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17/04/2024

On est deux en nous qui  (pour le coup) regardons devant nous ce qui est qui est, et ce qui est qui est est cette bête-joie, ce trait de lumière, cette chevauchée, ce sang vif de vif allant. On est deux en soi qui voulons cela : être bête comme elles. On veut ça pour soi, cette bêtitutde, cette chose rude, etre du convoi de bure. On s'avance d'icelle ici bête de poids , de poids-joie  qui nous observe ou nous observerait du coin de l'oeil. On voit icelle qui ne cesse on le dirait de pour le coup nous observer. On est deux pour elle. On dit cela ici, que (à nos yeux humains), on est 2 pour elle = deux pour le prix d'un. On regarde (devant nous) la chgose ici (bestiale) qui va et qui vient, Chose-Bête dirions-nous. On voit ça de près à présent car on est à deux pas d'icelle. On est pris et prises de belle manière en ce pré de rage, entre deux parois, parmi les bêtes. On est parmi les bêtes qui nous observent, et nous d'aller et de venir ensemble parmi elles. On est comme "coincées" on dirait, on est prises et pris , éprises épris d'elles-bêtes-mots en ce sas des sas. On veut comprendre ensemble ce qyui est ici entre ces deux parois, et pour cela on a besoin de "passer par elles", de  "passer par la bête ou les bêtes", on sait cela. On s'approche d'elles. On veut toucher à elles. On veut ici être de celles qui , de fait, touchent que tu toucheras à ces bêtes de poids, charge monstre, diplodocus, outrages, insultes des voix, carambolages divers sur la voie d'accès. On est comme elles prêtes à filer , à s'éloigner, mais voilà : on reste, car on veut voir, on veut savoir ce que est ici cette chose rude d'une sorte de trou dans ladite "paroi des accès". On veut (nous) comprendre énormément. On a soif de ça, de comprenure gigantaesque, de Foi, de Croyance en l'au-delà des parois de Rage. On voit ça devant soi qui avance. Cette Chose des bois et sous-bois. Cette bête rosse, ce coeur malappris, cette ouverture, ce sang dégou;inant, cette chute, ce coeur des parents, cette vive allure du vent. On voit et on sent. il s'agit ici de comprendre ça, copmme quoi on est, des qui (nous) voulons grave dcomprendre cela, cette chose devant soi, qu'est la mort. La mort pôur nous est devant nous comme une paroi : est-ce juste de penser ça ? On ne sait pas , on dit ça "la mort devant soi" mùais bon, qu'est-ce qu'on en sait ? On ne sait pas ce que c'est. On ne sait pas du tout et cependant on subodore un certain nom bre de choses , choses qui (de fait) nous obsèdent grave, et ces choses ici on peut les dire, ici on peut en parler, ici c'dst peut-être l'endroit parfait, ou disons  : qui irait très bien pour parler et dire donc ce qui nous obsède en la matière. Alors disons que peut-être pour nous (nous deux en nous) la mort est quelque chose qui de fait nous dépasse grandement, qui en soi est plus grande que nous. elle est grande, elle est même géante (etc.). On voit la mort comme une chose (disons) géante. C'est un ptremier point. Ensuite, on dira pour nous que la mort, ici bas ou vue d'ici bas (entre les 2 parois) est une chose rude, elle est dure d'aspect, elle envoie du bois et le bois qu'elle envoie est dur, dur partout ou quasiment partout ... justement ! il y a (quelque part) un endroit en elle (endroit connu de quelsques-uns et de quelques-unes sur terre) où voilà, il y a faille, faille ou trou, disons un trou (comme un anus) et ce trou de base (ici ou là en elle) est passage, passage étroit, anfractuosité de choix, un endroit où donc pouvoir passer d'abord la tête (classiquement) et ensyuite le reste : corps jusqu'aux pieds. On se dit que voilà ce qui est, ce qui reste à faire. Trouverb (en elle, la mort) l'endroit de passage. Il existe quelque part via des mots de rage. On cherche ici ensemble, on est deux pour ça, à trouer la Chose rude, la trouer la trouer, afin de donc pouvoir passer ensemble à la une à la deux sans problème. On veut ça, mais c'est pas gagné ! On veut comprendre mais ce n'est pas simple, pas simple du toutr. On doit se creuser les méninges. On a fort à faire. oN doit ensemble pousser loin la chose d'une sorte de recherche (peut-etre) anatomo-particulière, quelque chose comme ça. On doit oui creuser que tu creuseras la Roche Rude du Devant de Soi. cette Chose Rude a un nom : la Mort, et nous d'essayer ici de prononcer (à notre façon toute rupestre) ce mot de la Rage des Temps. On voit la mort qui s'impatiente, car, elle attend, lA moert elle attend après nous qui traînons la patte. On veut pas donner notre Nous. ON veut garder conserver notre Nous. On ne veut aucunement (jamais !) donner de notre Nous à la mort ici des bois et des chgamps. On veut, nous, garder notre nous. On est deux en  ous (et pour ça on est d'accord) qui mordicus voulons garder, consserver ce nous, qui pour nous est notre ptop^re nous en vrai. On veut être Nous pour elle jusqu'au bout du bout, et ne pas flancher, ne pas céder, ne pas donner ce Nous à sa Personne (ok grande personnne peut-être, géa nte personne peut-êtrte, mais voilà). Nous, on veut rester nous à jamais : un +un = 2, cette chose-trait, cette multiplicité, ce choeur de voix, cet amas, ce tas, ce petit tas, ce bébé (B et B). On est qui cherchons grave ici et là des choses vrraies (si possible vraies). On cherche ensemble à de fait comprendre (+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++) ce qui est qui est et pour ça à l'abordage ! on y croit ! on croit en ça (la mort) grave ! on y croit grave ensemble ! on s'acoquine, on se pelotonne, on se met en boule, on s'agglutine, on fait corps. Le corps est l'agglutinement des choses collectées. Des mots de pensée. Le corps est l'agglutinement (ou l'agglutination ?) des collectes.; 

fdes choses pensées. On fait corps = on eoffre soi (par la bande) à (donc) cette chose devant soi dont le nom est Mort, Mort comme la mort, , Mort comme La Mort. On y croit ! on croit en ça ! on se dit que la mort est une (sorte de) voix de stentor, buffe que tu bufferas, qui nous houspille,  nous appelle fort, nous réclame à corps et à cris continuellement ! Ah voilà donc la mort ce qu'elle est ! oh oh on le saura : une sorte de voix de stentor devant soi (la toucher la toucher ? mais peut-on en vrai la toucher ? peut-on en vrai = raisonnablement, toucher à cette voix qui devant nous montre ou montrerait le bout de son nez ?) . on voudrait comprendre, la mort, ce qu'elle est, à quoi elle ressemble, ce qui est, ce qui est pour nous. On voudrait ensemble (en  nous : égide) comprendre loin = profond , la teneur, kla consistance, l'aspect, la forme, les données etc. La mort, ce que c'est. Or voilà que nous ensemble on se rapproche d'une chose rude (comme une paroi) qui (peut-etre) serait .... quoi ?  .... l'antichambre ? l'antichambre de la mort ? Ce langage ? oh oh oh ! oh peut-être que c'est vrai, que cela est ! on ne sait pas tout à fait ce que c'est mzais 

enfin on cherche, on cherche que tu chercheras c'est un fait ! on cherche grave ! on creuse grave la question, on est pas plus cons ou connes que mal habillées, on est pas plus connes ou cons que, pour le coup, la moyenne des gens, on est cortiquées, on est là pour cerner, on a nos comprenures humaines bien chargées, on cherche à donf ! on est branchées ! on est connectées ! on veut cerner-comprendre, et aussi toucher-cerner, et aussi aller-pousser ici la Chose, cette chose , pariétale de droit, la pousser-toucher, la toucher-pousser, pour mieux la comp^rendre. La toucher-pousser pour mieux la comprendre = la prendre = l'apprendre, etc. On veut de ça, on vzut fa-ire ça ; et comme ça : ensemble, main dans la main, ensemble soudées, main dans la main ne plusq se lâcher , tenir bon, pousser que tu pousseras, cracher sur paroi, tracer les mains de bon aloi, mains + main = deux mains. On est 2 qsui voulons ça , tracer des mains : PLEIN ! On veut tracer ici ensemble sur paroi un fgrand nombre de mains car on aime ça, on en raffole, on adore, on est pétries d'adoration, on renvoie ça , cette adoration lunaire, ce feu de joie, cette vie en soi, ces mains de baptême, cet hourra de rage et de joie, cette fontaine, ce tribut ! on aime ici tracer-crzacher la main surnuméraire, et , de fait, on ne s'en prive pas ! on y va car on y croit ! La main est (en l'espèce) l'entrée déplacée, l'entrée creusée. La main creuse la voix ! La main creuse ! la main creuse la voix ! La main creuse la voix ! creuse creuse creuse ! On dira ça , que là, la main : creuse, creuse la voix ! oh oh ! berlle découverte ! On dirait ou on dira, cette chose-là comme quoi : la main creuse la voix (surnaturelle). On cherche ici et là l'entrée de base, le passage au débotté, l'espace mental du passage, le trou des parois, la chamade, l'enveloppement de soi pour un passage houp la la ! Et voilà qu'ici (Ici) on se dit ça (cette chose rude) comme qoi peut-être on a (on aurait) ici même (bois doré) un passage , un vrai, en bonne et due forme, où passer, où passer quoi ? où passer de nous... tout ! copr^s et âmes et plus si affinités ! oh oh ! et nous d'y croire +++ ! on veut ! On veut croire en cette chose ! On veut ! On veut s'avancer pour passer, passer Soi d'aspect. Passer pour passer et puis aussi : passer pour savoir et aussi : passer pour aller, passer-aller pour savoir-cerner, passer rude, passer cru et nues. On veut ensembkle passer crues, et passer nues. On veut la chamade ! Monteverita ! On veut comprendre tout, soit ce qui est qui est et qui nous "parle" à sa façon "lunaire" ou disons "solaire" ou disons ... pariétale ! On voudrait comprendre, on voudrait aller loin, toucher aux confins, creuser loin la roche à la traversée, aller de l'autre côté afin de trouver-toucher la bête des prés, celle qui toujours toujours broute l'herbe grasse, ne s'en repaît jamais, ne cesse d'ingurdgiter les données des prés. nous sommes qui cherchons ensemble à cerner-toucher Roche des prés, cette entrée de base, ce trou de corail, belle nature, chant total profond, cri de la passion, charmes lacustres. On s'avance à pas comptés, on est deux pour ça en soi. On s'avance = on avance = on marche devant = on est devant = on avance grave = on grave = on grave grave = on est grave = on est toutes deux graves grave = on est deux qui sommes grave = on est qui sommes grave = on est qui ensemble sommes grave = on est deux en soi qui ensemble sommes grave = on est qui ensemble sommes graves = on est qui deux, ensemble accolées, sommes graves = on est qui sommes deux, accolées grave ! = on est grave deux qui, ensemble accolées, sommes grave = deux on est, qui ensemble accolées, sommes grave si jamais , graves grave ! On s'approche de la paroi ! On est à deux pas (Un ;.... et DEUX), et nous voilà !On regarde. On voit La MOrt ce sque c'est/. La mort est un mort. La mort est une morte. LA mort = le ou la morte. ON voit cette chose, de la mort qui est la morte! On se dit ça que ça c'est, que la mort est la morte avant toutes choses ! On regarde de près, de très près ce que c'est. On voit une chose = trou du cul de l'âme ! Si ! c'est vrai , et même plus que vrai ! La mort est comme qyui dirait le trou du cvul de l'âme ! On dirait ici que ça, cette chose, la (pour le coup) Mort de là, est Mort qui est Trou, Trou-moort d'une sorte de Rage. On regarde. On est à deux pas. On regarde grave, on s'avance, on file, on y va ! On veut savoir grave! on creuse forceément ! on creuse fortement pour ça. notree but ici ensemble est de comprendre cette chose d'une sorte de "troudevant" (trou de vent ?) qui serait comme une sorte de passage, de petit et mince p assage oùu devoir passer subséquemment et à tout jamais , mais qui le sait ? qui sait à quoi ça ressemble et si cela qui est ou serait, l'est ou le serait à tout jamais ? à tout jamais  ! qui peut le dire ? on ne sait ! On s'approche d'icelui passage : main au déganté pour ainsi dire, main soufflé, et ce faisant on cherc he à comprendre : grave ! grave on cherche ! grave on s'approche et grave on cherche ! on est deux qui voulons comprendre en  ous cette chose ici d'une sorte de parade, de parade-choix ! on est qui (nous deux) voulons comp)rendre ensemble cette chose d'une sorte de parade-choix, trou du cul de l'âme, trahison, craintes, passages rares, dureté, prise de becs, anfractuosités pariétales ici bas. On se glisse  ainsi : mains au déganté. On souffle sur ezlles (mains nues) que tu souffleras. On y croit dur. On grimpe de joie ! On grimpe et on saute ! On lévite ! on lévite grave ! lévitons ! lévitons grave ! grave l"évitons ! On monte ! On est comme en lévitation à la recherche d'une voie d'accès disons quootidienne (ou quasi quotidienne) . On doit en avancer fissa . On se doit de tracer chemin sur roche des prés. On a à faire son chemin sur roche. On a à creuser sur roche le chemin. On a à comme pour le coup creuser sur roche (à la une à la deux) un chemin de passage, traversée, route principale, trait. ON veut être ici des qui comprenne grave = +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++, ce qui est qui est. A savoir : la Chose , cette chose des abois, aux abois, cette chose la gueule ouverte, anfractuosité. On guette. On veut ^$etre celles qui ici comprennent loin la Chose rude ce que c'est pour Soi , ce que Elle est pour ici Nous qui contemplons pour ainsi dire la dite Paroi des confins (= Roche 2). On est deux ici qui donc comprenons la Chose, ce que c'est pour Soi ici, ce que c'est en soi (trou de base) et aussi : ce qu'elle contient en termes de données. On chercjhe à y passer le nez, mais pas plus, ou beaucoup plus. On veut bien y passer le nez, mais bon, ne pas succomber, ne pas passer en entier, ne pas trépasser. On est qui voulons juste y passer le nez, y passer juste 1 nez, un seul né z, mais ... pas trépasser ! nous ne sommes pas de celles ou ceux qui veulent trépasser ! non et non ! On ne veut en rien (aucunement) trépasser ! on ne veut pas du tout trépasser ! nous c'est sûr on veut pas ! on ne veut pas ça ! on ne veut aucunement faire de la sorte que voilà on serait trépassées, on ne serait plus là, on ne serait plus ces êtres de foi, de foi et de joie, ces croyantes, ces dames de la vie sur terre, ces femmes des prés, bichesà pré, qui allons-venons et sautillons. Nous ne sommes pas de celles qui ensemble veulent de fait trépasser. nous voulons passer le nez ! rien que ! rien que lui ! ici ! Ici à cet endroit de la chose ouverte ! calfeutrage ! On passe comme ça. On passe de façon on dirait qu asi informelle. On se dit que ça le fera bien, que ça ressemblera à quelque chose, que de toute façon ça ressemblera bien à quelque chose : obligatoirement. Toutes les forme(vrai ?) sont là qui nous tendent les nbras. On se dit ici que voilà, on estt deux , qui courons dans les prés, joie d'aller, joie de gambader, de nous mettre cul par dessus tête, et allez ! On cherche : on va. On se dit que nous on a à encore et toujours creuser que tu creuseras la roche des bois, pour toucher ! toucher toucher ! à cette Chose ici présente dont le nom (communément) est celui-ci : La Mort. Mort des pârois dures, Mort des joies lacustres, Mort embrlificotée dans les apprêts. On se dit qu'on se doit ensemble ("àtoi oà moi") de la toucher grave. On se doit de la toucher ! on a à lala toucher ! On a grave à loa toucher ! on doit toucher-toucher la mort ! On se doit de toucher loa mort. Notre but ici gravant est de grave toucher la mort, avec du pic de verbe, avec du pic de voix verbale, avec  ce qu'on veut mais la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher !n la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! toucher à la mort ! la toucher la toucher ! toucher à la mort ! la toucher la toucher ! On se doit de fait (ici) de toucher, de toucher à elle, de ne pas passerv à côté sans ce faireou cela faire ici : la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! On a à comme qui dirait ici : la toucher la toucher ! On se doit de comme qui dirait ici : la toucher la toucher ! On a à ici cvomme qui dirait ou chanterait : la toucher la toucher ! On est qui devons ici (de fait) l a toucher la toucher ! toucher à Elle_Déité, à Déité Nacrée;,, à Icelle-Déité, celle ici dont le nom est La mort, car si Dieu est mort il s'agit de la mort. On se dit ici cette chose, comme quoi, en effet , Dieu est Mort car deiu est la mort. La toucher la toucher. On voudrait la toucher ! La toucher la toucher ! On vceut grave la toucher! On veut grave pouvoir la toucher ! On veut grave aller tout près d'elle pour donc en effet : la toucher la toucher ! comme dans la chanson, . La toucher la toucher comme dans la chanson. On est grave deux, qui voulons de fait : la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la touchert la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! On est qui sommes deux qui, incidemment, cherchons p)ar ici (paroi) à donc toucher la mort de là, cette mort de là, mort des parois, mort-roche. On essaoie ensezmbkle (autant que possible) d'y aller, qui d'un oeil qui d'un nez (un doigt ?) , le passer, juste ça pas plus, tout timidement passer le nez, le doigt ou l('oeil, passer juste un nez, un doigt ou un oeil, et là : voir, sentir (renifler, humer) et toucher, cette chose devant soi à proximité, dont le nom de base est : La Mort. mort des catacombes, des trous de passage, des puits, des données de Rage. vie des vies?

. cxhants des vies des années? On creuse ici à même la rage, ceette chose des données rudes de la mort à l'oeuvre et on y croit. On croit à la mort. Toutes on croit que la mort est. On croit touteezxs que la mort elle est. La mort est. La mort est = existe de Rage. on croit ça et fortement, on le croit ensemble, en rond, on fait cercle. On croit à cette chose en c  ercle. On y croit royales. On croit en  cette chose grave ! grave de chez grave ! On pense ça ! on croit çàa ! on pense et on croit ça ! on v eut c  roire à ça ! on ne v eut plus croire en rien dx'autre qu'à ça ! On est ça qu'on veut = des qui croient et grave à ça ici-bas, comme quoi "la moert est". Et pas pour de rire ! pas du tout pour rire ! On voit cette chose qui (devant) ouvre ses bras. Il s'agit  de fait des bras de Shiva. Elle est devant nous toutes, qui nous tend ses bras. On voit ça, on voiyt que la mort est là (continuellement) qui nous tend ses bras. On voit les bras de Shiva ! On est deux qui en soi (en  ous) alloons de bonne grâce vers Shiva là-bas, qui nous tend ses bras = Mort, Mort des catacombes, mort des catas, des catasrtophres, mOrt des belles Natures, des chemins boueux, des ornières, des traits de paresse, des effluves et autres cris de jhoie de l'animal; on s'ava,nce ainsi armées. On est munies de boucliers, d'armes de guerre, ccris et passions. On ne veut pas mourir du tout ! On veut rester grave ! On veut grave rester = demeurer sur l'herbe. On veut grave rester à brouter de l'herbe : chevreuille abonnhée. On ne veut aucunement se laisser aller ou nous laisser aller à trépasser ! ça non ! On s"'avance à pas comptés (pretits pas des bois) vers Elle, Mort des Catacombes iirisées, cris de guerre contre cris de guerre ! On cherche à entrer ... sans eentrer ! c'est tout le problème ! Comment donc entrezr sans entrer ? Par le Verbe ? Le verbe salé ? Par le VErbe salé ? cris de guerre ! On cherche. Le vErbe a comme qui dirait un pied (un seul pied ) en Elle ... est-ce vrai ? D'où on sortirait cela en vrai ? d'où, quon aurait compris ou appris ? On est ensemble deux en  nous : ne pas l'ouv

blier ! On est de'ux qui ensemble cherchons à de fait comprendre +++++++++++++++++++++++++++ les choses ici, ce que la mort est, ce que est la mort en vreai, ce que est et ce que hait, la mort en vrai. En vrai la mort nous hait. La mort hait la vie. La vie hait la mort. La mort est la vie et la vie est la mort. On est qui donc voulons ensemble vivement com)rtendre tout un tas de choses graves ! graves de chez graves ! On est ensemble qui voulons comp)trendre mille et une choses graves de chez graves ! On  veut ensemble mille et une choses les comp)rendre grave!, car voilà : on a faim et soif. On est êtres humains faits de rien, faits de choses et d'autres peut-êttre mais c'est misère ! rien ou pas loin ! On chercghe grave à essayer d'entrer , on est pas loin dxe pouvoir le faire, on s'incruste, on fait le pied de grue , on s'approche à quelques cm, on est tout près, on est prêtes et près, on est toutes tout près toutes prêtes, de pouvoir entrer en elle, Mort-Saleté, Moert -Méchabnceté, Mort -Salissure, Mort-Coulureet pissure. On voudrait bien mais on n'peut point ! et c'est bien dom^mzage . On Est qui voulons de fait entrer en elle : La ici Mort des Prés de RAge (ou de la base et ddu sommet, c''st égaal ou pas loin de l'être peut-^etre). On se dit que nous on a à donc si possible enttrer = entrer en elle, Mort des Dires des prés et prairies, rites funéraires. On se dit que nous on doit pouvoir toucher la mort : chants des vérités. On se dit que nous on a ici à donc essayer de toucher à cette Chose, à cette chose qu'est la Chose ici, cette ouverture dans le sas, dans le sas de l'ëtre. On est qui voulons = cxherchons, et c'est ce qu'on fait ! on est deux = deuses. On est comme deux .... euses. Oh oN voudrait féminiser ! Comment féminiser ? On voudrait tracer ! On voudrait comprtendre ! On voudrait alller loin ! On voudrait touchercà cette chose ici d'une sorte de paroi des termes ! chants de rue, chants doctes ou drôles, chants des confins et des embru,ns, chansons du commun, chansonnettes crues. On s'avannce : on chante. On veut être là celles qui chantent à tout va et à tout crins ! On veut toucher à déité ! on veut toucher à déité ! qu'on se le dise ! oucomment alors ? On chante grave la chanson des prés, qui dit l'engouement, la joie, l'extrème volonté, l'endurance, les vélléités, les envies, le souci, la rage d'un dire d'allant matinal, matutinal, avéré. On se pose ainsi sur roche et là on voit = on dit = on entre, car le Verbe entre. Car le verbe est entre (la vie et la mort) et il entre ! Il est icelui qui entre vif ! qui n'entre pas mort ! !Il est Verbe des fourrés de roche, des abris communs, des places fortes, des prairies. Il est comme qui dirait tout fait, comme déjà fait, comme déjà déposé. Il est VErbe des envies de rire ! hé hé on sait ! Il est le Verbe tout initié, des envies (folles) de rire à gorhge déployée ! On s'approche grave de la voie. On est qui s'approcjehons ensemble-e ici, de cette voie dxes donnéees rudes et dures, qui sont donc ici même, celles (pour le coup et comme un fait exp^rès) de la mort à l'oeuvre , dans les prés./; On est ensemble qui nous avançons via LE VERBE, on dirait ça . Tête première ! On est là pour ça. Ou comment alors, sinon,  si on est pas là, -ou pas là pour ça ? On cxherche ! On creuse ! on ne lambine pas ! On y croit ! ON veut être de ceux et celles (plutôt celles) qyui ensemble croiient en cette chose de la mort à l'oeuvre dans la vie. Et le verbe des confins comme faisant .... tapis ! tapis vole. On touche au but. On est ensemble qui nhous acharnons à contrôler ici, les donnéesz rageuses , qui viennent de fait, qui s'accumulent à p)as comp)tés, qui viennent à se loger tantôt, en ce pré de base pariétale. On trace. On court et on trace sur roche les termes. On est qui voulonssent ou comment dire ici féminiser la chose. On court grave de chhez grave,n, on trace gravre les mots sur p)arois: bêtes-mots surnuméraires, traits de jhoie, Candide, Chants dezs parallèles, dédoublements, contextes et textures. On wse dit que nous -e, on a à être ennsemble deux,  qui veulent dire ce qui est qui est = la Vérité ! La Vérité sur ça, cette chose, cette chose qui est la Chose = SExe ! Mort! vent dans les prés ! contextualisation dxes données rageuses principales ! On s'attend à voir ici la mort en personne, cette chose, ce trait de coupe. On voit la mort qui va et vient en cette roche dure des volontés. Onb voit Elle aller et venir, ce sang couler, ce vent souffler, cets effluves et autres bouquets de pets. On est comme deux qui se faisons ... péter à la figure oups ! Et du coup on y croit c'est ça ! Oh oh ! On croit à ça ! on croit qu'on y croit ! On est deux ici (jummelles ?) qui allons, de par les prés fleuris, à la recherche d'une sorte de choose imberbe, fraiche, douuce chose des embruns. On cherche ensemble ici la fleur des prés, on est qui voulons trouver. On chercghe ensemble ici à pour le coup cerner la Vérité. On s'approche ensemble (main dans la main) de cette vérité xdes prés. On est deux qui chyerchons de fait à comprebndre ensemble, icelle vérité des prés ! On veut comp)rendre ! On veut touxcher ! On veut aller ! On veut être ici des qui comprennent grave ce qui est qui est ! On est qui cherchonjs grave ! On est deux qui ensemble allons (par les prés et les bois et sous-)bois) pour donc trouver ici dee quoi pouvoir comprendre (mieux) les données de base. On se place ainsi de côté et on regarde, on regarde passer les bêtes de charge, sommités, sommes, sommeils, sommes et sommeils, véracités, chants gros, choses de poids = masses des prés, on regarde. On voit ça qui passe. On est là qui de fait, voyons ça qui pàasse ! Et cela qui passe, ici, est cette sommité de choix ! grosse canaille ! Extra de rage, rang facial. On est qui regardons de près. On est qui regardons main dans la main. Les bêtes passent. Bêtyes-mots cd'une sorte en soi de colère monstre = riposte. On est qui "gueulons" à tout va notre envie de ne pas, de ne pas en découdre, de pas flancher, de ne pâs ttrépâsser, pas chuter, etc. On est là pour ça et on avance. On voit la chose devant soi. Craintes divereses. ça te fout la trouille ! ça effraioe ! ça fout les chocottes ! ça fait peur grave ! c'est grave effrayant ! c'est quelque chose ! ça envoie ! ça crache ! ça en jette ! c'est flashy (la mort c'est flashy!) . c'est pas rien tout le contraire. C'est flashy ! ça crache du feu (feu de l'enfer) ! ça crache que tu cracheras ! c'est un truc de ouf tellementrb çàa crache ! c'est dingue dingo ! ça envoie méchant par la bande le chaud : chaud devant ! C'esst une drôle de sinécure ! C'est p)as fin ! c'est gros, grossier ! et nous du coup en réaction on est aussi groossiers, grossieères, tu m'étonnes ! ça pousse à être ainsi en réaction ! ça envoie de quoi et du coup pareil : on envoie de quoi. On est bhêtes comme elle. On est qui voulons riposter, et demeurer. OU demeurer en ripostant. Ou riposter en demeurant. Enfin bref : une sorte de riposte. Une sorte de réaction en riposte d'un Nom , d'une sorte de Nom, de Nom non dit, ou disons non dit à haute voix. Ou quoi sinon ? On s'approche rude, on trace cru; on treace grave des aurochs sur roche, des aurochs sur Roc. ON dessine à main levée des choses. On dessine x choses à main levée. On est deux qui pour le coup ensemble dessi,nons à main levée des choses squi sont des mots-bêtes = b^zetes-mots de ta pzauvre mère. On y croit dur comme fer. On croit en ça, en ces bêtes de poids. On croit à cette chose d'une bête bête, d'une bête de poids, surnuméraire, printanière, mise sur pieds au débotté, charmée, cernée, dessinées sur roche à main levée par icelle autre bête, à savoir ... Soi, NOus autres = SOi, L'Oeil des ronds-de-bosse, la dessinatrice vive, la dessinatrice irriguée. On voit le détail des bêtes dessinées, on en voit les menus détails, traits et hâchures, creux et pleins, vides ett déliés, on touche. On est qui touchons de fait la roche, avant de l'(attaquer, de front, p)ar cdes traits. On se pose là, sur roche, à faire-dire le trait dessiné de la b^$ete rosse, groosse, des labours, de somme, de poids de cxharge. Aurochs et bisonnnes et bisons. On desswine de chic ici bas la bête grosse. gros de chez gros. Bêtes grooses massives, c'est gros de chez gros. On est qui disons quoi qui disons cela, cette sorte ici de groosseur des prés, d'enveloppe, de groosse teneur. On voit ici la bête-mot aller : Verbe de la Rage à être. Verbe gros de son poids de charge : il envoie ! Il traque et trace ! chant d'azur ! épopée ventrale ! caillassage ! On l'entend : ça urge ! on voit ça : ça crache et grave ça crache ! On voit que le Verbe est là qui chante sa misère, sa grande colère, son envie cde vie, sa chaznson de rue. Le Verbe est chantant de nature  : ça qui est. Il chante cru, il chante à cru, il est cru de base. Verbe cru des données sommaires. écoutilles accrues. On est qui cherchons de fait icelui Verbe des données de base. on le cherche ici et :là. Il est ce Verbe des poids et mesures, posé ou tout comme szur roche des prés/ On regarde ce Verbe aller, il va. Il va comme bête de poids va. Il est par nature volage, va et vient, file et court, cherche-furete, etc. le nez divin comme à l'affut des données terrestres. Il est grave chercheur, il est grave renifleur. Il hume l'air. il est Verbe humeur (ou humant). Il cherche à cerner de base les données rocheuses ("creuse que tu creuseras"). Il s'époumone à chercher la faille, mais voilà, cette action lui sied. Il est tout entier à s'époumoner de )ar sa nature. Il est être mû ! Il trace : va et vient = aller-retour, de la vie (d'ici) à la mort (de là). Il est comme le pont sur la rivière appelée Eureka. Il est être des êtres de la joie à naitre. Verbe au taquet des données rupestres. On voit qu'il se tait, qu'il est lêtre des fées, paroles attitrées qui taisent plus que (en vérité) elles ne disent à prop^pos des prés et autres champs de blé. On se dit que le Verbe est"velu", ilest la bête monstre, toute vpoilue, salutaire mais poiilue-velue. On est qui voulons compre,ndre = ptrendre , ici, un maximum de choses vives , denrées, vivres, offrrandes données, douceurs de vivre. on veut toucher à Déité = toucher déité dite des déités. On veut toucher à Elle-Déité des prés, la biche venue, soit la biche vive, Bambine, Bambina, Bambino, la bête fine, gracvile, sauteuse, chant sur roche des biches des bois, on les entend. On les voit de loin. elles sautillent ivres. Elles sont en effet ivres (de la joie de vivre) ; ON voit ça ici qui va sur roche sautiller, effréné. on voit la biche vive ivre sautiller. ivree de la joie de naitre. Il semblerait. Ibvre grave d'une joie à naitre, ici (sur roche), à la vie vive./ On voit ça d'ici. On voit la Roche, on voit la Biche, elle sautille, elle est pleine de vie, elle est vive de chez vive. Elle ne s'arrête plus de sautiller. Elle fonce grave que tu fonceras ! Grave elle va, grave elle en avance. Elle est biche belle des attraits, allante, fouillante, furetante, trouante la paroi de son petit nnez. Elle est fine et élancée sur pré. elle a ses bois jolis. elle a de jolis bois. elle saute et sautille sans ceesse sur parois. On la dévisage. On la suit de près. on ne s'en lasse jamais tant elle est fine et élancée, gracile et vive, la douceur de vivre, l'élasticité; l'élégance des prés, charmille, charme et fille, chance de la voir ainsi, sur roche des prés, une chance. on ne cesse pas de la regarder. ELLe enchante. Son chant est prenant./ Elle aimme sautiller sur roche. ON suit ses traits de base, son dessin ancré, son creusement sur craie, silhouette des prés et prairies, chants doctes. On dessine à main lebvée . On est aussi doctes. On est doctes aussi parce qu'on sait. On sait l'atrttrait, l'apprêt, le soin, la chant, le vol, le sentiment, la taille des bêtres et le poids attenant. On crteuse que tu c reuseras sur roche le dessin des bêtes venues, des bêtes de rue. O,n trace grave le dessin sur roche des bêtes de poids pouvant faire accroire. on creuse sur roche les traits ou l'ensemble des traits pouvant faire accroire. on est fines et  vives. on est à notre tour (à notre façon) fines et vives. on voudrait bien, à notre façon (disons), être fines et vives. on voudrait cela ! on voudrait collerà la paroi. on voudrait coller de fait à icelle paroi des données de base, données rudes, raides, couillues, données de roche dure, données rudes d'une roche dure. On veut aller en elle (roche) ,

on veut grave aller en elle (roche) par le biais du Verbe couillu. On s'approche d'elle. On entre en elle. on entre en roche par le biais du Verbe. On est comme entré. On est ensemble comme entré en roche par le biais du Verbe. On est comme ensembvle entrée en roche par le b  iais du Verbe couillu". On est grave ensemble entrées en roche par le biais du Verbe "couillu" = cru. On dit qu'on insulte. ON vitupende. On dit mal que pis. On traite la mort. On traite icelle ici de tous les noms : oiseaux du p)aradis. On dit qu'on l'insulte, que le Verbe insulte, Que le vErbe en vrai en son sein est Insulte (à jamais) : insulte lâchée ! grivoiseries et mots gros et gr as ! mots de rage et méchancetés ! mots crus ! mots couillusz ! Le verbe est l'animal en soi de référence, allant de là à là = de vie à trépas , la chamade. Il y croit ! le Verbe croît ! IL est l'^$etre des entrées rageuses (et sorties de même). Il va loin en ça qu'on voit : cette Chose. IL entre : le verbe entre. IL entre dans l'antre de la mort à l'oeuvre. Le Verbe est là qui entre dans l'antre  de la mort à l'oeuvre méchamment. Méchamment à l'oeuvre et méchamment il enntre. IL est dedans  .Le Verbe est Dedans, qui cherche querelle, qui fout la merde, qui vitupende ! qui crache sa haine tenace ! qui insulte à tout va Déité, d2ité des déités, déité dite "de la mort à l'(oeuvre". Il ne s'en léa&isse pas conter ! Il pousse au cul ! Il pousse grave au cul d'icelle, Déité des D2ités . Il s'arrache pour ce faire. Il est vif, brutal, expressif, cxhargeur ou chargeant. Il vitupère car il est le père (ou le vit du père) . Il est gras, gros, vif , dingue dingue, pointu, cxhargeant grave dzvant lui icelle déité des déités. Il ne veut p)as qu'on ne le laissât faire. Il veut agir à volonté selon sa volonté sanitaire. Il pousssse , vitupère, charge, travce à main levée, dessine la bête des bois et sous-bois, cherche querelle ou cherche misère, va. Il est le Verbe des données rupestres, des tenants de fait et dxes aboutissaants de roche; Il intègre, il prtend, il cerne, comprend. Il prend grave en lui la colère des chants . Il trace à main levée sa Rage. Il envoie du bois. Il Ccharge frontal. Il touche la roche et la traverse. Verbe des prés et des prairies  vertes. Vertes de chez vertes. Il est le chant du coq , aux aurores. Il crie sa joie vive d'êtrez soulevé, porté, haussé. Il est le Verbe haussé sur roche des prés. Il est Ver be nu, cru, vif sous terre, chargeant grave la roche devant, chant des passagers, chants des passagères, chzant traine-misère, chants rosses. il (le Verbe) craint, car il envoie, il cxharge grave, pousse au cul la mort. Le Verbe est là (ici bas) qui là-bas(ici haut) pousse au cul la mort en ses retranchements (grotte souterraine). On voit ça. On est là qui voyons ça aller de base, aller grave. On est qui pour le coup allons (grave) ici même (en roche) à la recherche de ce Verbe de teneur sacrée, de grande complexité toute pariétale il semblerait. On se pose là qui voyons. On avance à pas comptés de la mport de base. on veut toucher mais comment toucher. Par du Verbe ancré ? hé hé qui sait ? On est tout près de le comptrendre = de comptrendre = de toucher-aller =  de faire ici ainsi que la chose en soi soit (pour le coup) comprise entre soi. On se dit que ici, la mort avec le Verbe a fort à faire il xzemblerait. Il se'mblerait qu'ici la mort a fort à faire = à comprendre , à acceppter. La mort est (de fait) donnée de rage, donnée vive de rage et de vie. La mort (oui) est en vie: en nous, dans le VErbe. Hé ! On dirait que ici, ici-bas, la mort est en vie dans, ou à travers le Verbe donné. Langue pariétale des entrées de vie. La langue maussade. Le chant des partisannes. On entznd au loin, le remue-ménage central, pariétal. On entend au loin, le chant des misères, chaud devant, en soi le chant. On entend et on xsent poindre ou sourdre ou saillir ou venir en soi, le chant b rutal des partisannes, des savantes, des femmes de vie, des êtrees de vie e, de vie vive : chanteuses crânes, chanteuses vives. On entend venir. On entend en soi venir le chant profond des données de base. Rage grise, qui griffe. rage au débotté. Car en soi monte ou monterait le chant qui griffe. Chant du chat en soi, chat griffreur. On entend monter en soi, peutêtre bien, le chant vif d'une joie à naître . On est qui vou:ons comptrendre, icelui chant profond , des douleurs de base, des cris de passage, des entrées maussades, des prairies, des biches soignées, des bpêtes de poids faisant remontrance, des acidités. On se plaît ici à chercher en vie les données de base ce qu'elles sont de fait : cris de la passion ? cri-cris des passions funestes ? Cri écrit ? christ et cris ? cricri comme Cricri ? On est à chercher sans cesse que tu chercheras sans cesse. On ne s'arrête plus de chercher. Vif sous terre on est, on sera, ou quoi ? encore en vie après la vie ? On serait gaga que ça sxerait pas extraordinaire. On est filles des joies de la terre, cherchant folles les données de poids salutaires : ours dee la partie, ourses des vives données, antilopes frapp^ées de près, antilops de base, auroques p^rises, chants des traits, chevfalines bêtes dégourdies, cris des épousées des roches; accolades maritimes, traits tracés, points de croix, mains sanglées, mains en veux-tu en voilà on y croit. Parce qu'on y croit ! Parce qu'en vérité c''sst vrai, on y croit grave ! on pense grave que ça peut ou pourrait bien le faire sévère ! On se dit que grave en vrai ça pourrait le faire. ça grave pourrait en vrai le faire. ça : cette chose d'une voie d'abord enfin trouvée. Via... du coup, le VErbe ? On pourrait le penser. Le verbe est vecteur, qui achemine les données. (On tremble à l'idée). On se dit que nous on est qui devons ensrmble aller loin en elle (déité des déités) pour comprtendre ça, qui est que voil;à : on entre par du verbe, on sort par du verbe, ni plus ni moins. On est entrées par le VErbe-né, on sort pareil, par du verbe-né. On est de la paertie commune. On est entrées en vie, on sort en vie : loi de la nature. On est deuse (deux -euses) qui entrons (sommes entrées) en vie et de fait sortons (sortirons) en vie. On connait la chjose ici. Deux au féminin se dit deuses, comme dans gueuse, ou fraiseuse, ou heeureuses. On est ici qui poussons au cul, icelle mort des données rageuuses rugueuses. On Est deux -deuses qui allons, en vrai,en ce sein tracé, à la recherche de la vérité. On poussse plus plus, on pousse grave. On pousse que tu pousseras. On est deux ou deuses, à vouloir pousser que tu poussezras. On pousse grave de chez grave que tu pousseras. On est comme ça entre soi à vouloir cela : pousser grave (ici ) la mort à l'oeuvre, mortifère, dure, charge dure des données de base, cherté, saleté. On charge. On (à nottre tour) charge. On pouseee ici à mort la mort. On est qui ensemble à mort poussons la mort +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++//+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ autant (si possible ) que faire se peut. On croit en notre bonne étoile. On cherche à comprendre grave les données. La mort on le sait est une saleté. Elle pue grave. Elle pue grave du cul. L a mort est (on le sait) qui grave pue du cul. Et nous d'essayer de la contrec arrer, par quoi par du Verbe, Verbe ancré de chez ancré on le sait (surnuméraire) et voilà ça , qui est, qui est que voilà : on y croit. On essaie d'y croire +++. On eszsaie +++ d'y croire ++. On est deux qui ensemble ici , voulons grave cerner les données, tracer à vif à même la roche, dessiner l'iguane, l'oiseau raide, le chacal et le cheval, des troupeaux entiers de bêtes-monstres, de la vie en barre. On s'avance ainsi ensemble de la mort qui nous reagarde. On est qui ensemble s'avance. On est ensemble qui nous avzançons. On va loin en elle (mort des prés) . On cherche querelle on dirait, ou sinon querelle on cherche à enttrer, à pousser la porte des données et à entrer. On est comme deux soeurs,  qui cherchons en force à entrerb en elle, via le Verbe. POusser porte d'entrée pour donc passer et voir ou savoir. "Poésie de mùerde ... pour savoir" ? on pousse ! on pousse grave ! on pousse pour entrer, et de fait on est "comme entrées", on est comme "passées de l'autre côté". On est comme nous deux (toutes les deux) passées grave de l'autre côté ! On est comme entrées ensemble en cettgte roche des données primaires : comprenons  ici.... qu'un plus un fait deux, deux plus deux fait trois, trois plus trois fait six, six plus six fait douze, douze plus douze fait vingt-quatre (ou vingte-quatre ?) . On voit loin les tenants et les aboutissants. Les mots sont bêtes de poids qui pèsent. ça douille grave = ça pèse son poids en monnaies de rage. On voit les abords (= les  berges) d'une plaie de base pour le coup toute saiignante ou sanguinolente. on s'immisce. On entre dans l'antre : ça pue ! ça pisse le sang ! c'est chelou grave ! La mort est chelou, qui pisse le sang ! La mort est chelou grave! La mort grave est chelou ! ça envoie grave ! ça envoie du bois ! du bon bois de rage ! On voit ça. On edst proches. On jouxste. On est deux qui ici (la plaie de roche) jouxtent que tu jouxteras. On est proche ici d'icelle Déité de base, trait tracé à mains levées, chants paréiétals, cavalcade. On est dans la grotte aux serments, on est main xans la main, on chante, on gueule à tout va. On est ensremble qui  voulons comprendre les données de base (de rage) ce qu'elles sont en vrai : catafalques ? On pousse ici au cul la mort ! on pousse ici au cul la mort ! on pousse ici au cul la mort ! on pousse ici au cul la mort ! on pousse ou pousserait ici au cul la mort ! on pouuserait ou pousse ici (au cul) la mort ! On est qui poussons, ici = au cul, la mort ! On est deux qui sommes ici à (disons) pousser (au cul !) la mort ! et pâs pas en vrai mais en vrai = pour de vrai ! on pousse ici (le Verbe aidant) au cul la mort ! On ne s'en laisse pas compter de pousser ! On est vaillantes, on est fortiches,; on est vives, on est costaudes, on en veut ! on en veut des tonnes ! on est fortes et bien armées ! on pousse au cul la mort ! on est qui donc voulons ensemble vivement et durablement, pousser que tu pousseras, ici, ici bas, au cul la mort ! LA mort au cul ! On pousse-cherche ! on cherche-pousse ! On y va gaiement ! on ne s'arrête plus ! on ne cherche p)lus à s'arrêter ou à nous arrêteer mais on contrairze on continue et puis à fond car on y croit grave, chelou grave ! on y croit à donf ! on est remontées, on en veut ! on veut y aller ! toucher ! touche ici que là tu touchera s ! On veut toucher la mort : la toucher la toucher ! toucher à la mort : la toucher la toucher ! toucher grave à la mort : ici m-eme toucher, soit son coeur d'acier ! Toucher et encore toucher à son coeur d'acier ! On veut grave toucher à son coeur d'acier ! On est deux qui voulons, qui voulons toucher, qui voulons aller, qui voulons creuser, qui voulons cerner, qui voulons usiner en elle, travailler en elle, via du verbe contondant. On veut ensemble si possible si pôssible longtemps usiner en elle . en la mort de base : dedans, le verbe aidant. Onv  eut ainsi faire = faire chose = faire ainsi la Chose. On est parées. On est femmes parées. On veut toucher vives. On veut ensemble ici toucxher, vives de chrez vives. on est femmùes ensemble, qui (de fait) touchons vives (ici paroi)  de chrz vives ! On pousse au cul la mort ! ON POUSSE AU CUL LA MORT !ON POUSSE AU CUL LA MORT ! ON EST QUI POUSSONS VIF ET VIVES ! on est qui poussons ! on est qui vivement poussons (au cul la mort ) . On ne s'en la&isse pas co n ter soit conter des balivernes ou des sornettes ! on veut toucher ! la toucher la toucher ! on veut toucher la mort , via du verbe consacré, consacré à ça , outi:llé, astiqué, soigné ou pas mais qui puisse aller, à toucher à toucher, la toucher la toucher. On essaie. on est là pour ça : toucher. Toucxher grave. GRaver. toucher-graver grave. esquinter la mort, la troubler, la faire trembler, la bousculer, la cerner, la faire vaciller et dire ce qui est qui est = ce qui vient, ce qui se trame, ce qui va et vient, ce qui se prépare, ce qui est qui va et vient,c  e qui est qui dit la vérité, qce qui se trame en vérité. On avance à pas comptés =mesurés sur roche, on est passé de l'autre côté, on est dans le pré, on est femmme des prés, on est doubles, on est doubles oudoublées, femmes des prés et des champs de blé. On trace sur roche, des traits de rage. Mains surnuméraires. Chevaux ailés. Monstres agraires. Mains sur parois qui saignent (les mains et non la paroi) . Chants donnés. On avance ainsi au jugé, on lévite. On tente le diable. on pousse au cul de l'âme (de l'âne ?°. on se tient fin prêtes à passer, à pazsxer à nouveau de l'autre c^$oté , soit à repasser : à faire le chemin inverse ? ON pousse au cuul de l'âme , de l' âne, de la moert . On est deux qui sommes passées. On regarde ce qui est, on voit les parois meubles, le sang du tourment, la lumière faible, on enteng gronder, monter des cris, monter des catacombes ici les cris de base, cris agraires. On est deuix en soi qui poussoons au cul ici la mort de pierre, de roche et rocher. La mort est là,  incluse en la pierre. La mort on dirait est prise ou prisonnière de la pierre ou du rocher. On est qui pensons ça. On entre en pensant cette chose. On est entrée de fait en pensant cette chose comme quoi la mort, ici (entre parois ?) est pierre, roche, roc, etc. Dure de chez dure. dureté des duretés, déitée dure de chez dure, dure déité des duretés. Dure déité des duretés dures. On av ance ensemble ainsi en roche... pour la vie. ON croit en sa dureté. On est deux en soi à) croire en, ici, sa dureté constitutive. On pousse à vif. On pousse grave. on pousse à la vie à la mort, la mort en ses retranchements. Onv eut croire + en sa bonne étoile, on veut ++++++++ y croire car on en veut, on veut aller, on veut grave aller, on veut grave de chez grave aller, ici, loin, loin en elle, en icelle roche des attraits, en cette roche de la mort à l'oeuvre, de la mort pédante, conne et déloyale. On veut grave la toucher . la toucher la toucher grave , l'insulter, lui donner du fil à retrordre, lui donner de quoi eêtre saoulée, être schlass, être prise, êtrte déboussolée. On s'approche d'elle et on lui pîsse au cul : on lui pisse au derrière. on veut l'insulter, on veut la salir, on veut lui faire mal, on veut la toucher, on veut grave lui faire du mal, on veut lui faire mal ++, on veut grave lui faire du mal et de fait l('insulter, la pourrir, lui faire grave des méchancetés, lui faire grave ce qu'on peut ensemble en termes de méchancetés (méchancetés de base), +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

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15/04/2024

On est qui sommes deux qui voyons devant nous ce qui est. Et ce qui est ici est cette chose d'une porte ouverte. On voit la porte, l'ouverture, et un peu (un tant soit peu) du dedans. Ombres et lumières. On est initiées. On voit des choses. On voit quoi on voit ce qui est, et ce qui est est devant nous  ... qui nous regarde, qui mire en nous, nous espionnne quasi. On s'approche car ici l'attrait est fort. On est comme aspirée on dirait. Aspiration par des données de rage devant soi. On est qui sommes deux en nous = en soi, qui sommes ici comme toutes aspirées par en face de soi des données de rage. On dirait cela. On dirait que c'est ça qui est ici . rage bisque d'une sorte de donnée de base devant soi (le temps présent) , qui mate, reluque, mate-mire incessamment, ne cesse jamais de nous avoir à l'oeil ! voilà, un Oeil ! L'oeil du chat ou comment ? d'une sorte de bête : des bois et fôrets ? On ne sait = on ne sait pas grand-chose. On s'approche de la mort à prtits pas. On y va mollo car ça buffe grave (du vent dans les voiles). On est 2 ici (en soi) qui de fait nous approchons à pazs comptés d'icelle (donc) Mort de mes 2 pourrai-on fdire en la peut-être "taquinant" ou pire : l'insultant ! Car il est nécéssaire (on dirait ça) d'en dire pis que pendre = (ici) le Langage = la langue, la (ici) langue articulée  comme (par exemple) un bras. On cherche (forcément) à comprendre, un certain nombre de données, et ces données, on essaie de les scruter = examiner, à notre façon toute humaine, toute simple, on regarde et on détaille, et ce qu'on voit ici (devant soi = temps présent) est un convoi de bêtes-mots de charge forte = insultes = méchancetés = critiques acerbes, etc., envers icelle-icelui La mort (Le mort) qui est (ici même) devant soi (Nous) cette Chose rude des confins. On s'est approchées nous deux, on mate un poil. On examine au mieux, et ce qu'on voit, dès lors, de la mort , est ce convoi de Charge rupestre, traits tracés, bêtes surnuméraires, chevauchées monstres, etc., qui sont pour nous Langage de vérité = Déité sacrée nacrée tracée à main levée par l'être (homme-femme) des cavernes. oN cherche pitance ici même. on essaie de piger queklque chose ./ On se positionne peletonnées. On se colle l'un l'autre en comme qui dirait Soi, qui sommes deux sous e-une même dénomination. On cherche le nom. On est à la recherche du Nom. On est deux qui ici (elle et moi en moi) cherchons vivement (vif = vite) le dit nom de base qui serait ce nom dont on = l'homme-femme, est à jamais (?) affublé. On vreut comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ le +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ possible ce que est icelui-icelle, l'homme dans la femme et la femme (conséquemment ?) dans l'homme. On est deux en soi qui cherchons vaille que vaille , des certitudes, un nom, le nom, la Chose qui pourrait de fait convenir, soit "coller". Coller à quoi ? eh bé à cette chose en soi, emplie d'animaux rageurs, puissants, broutant herbe grasse. On porte le nom de sa rage, de la rage d'être d'icelui : animal de base, d'iceux : animaux de rage, d'icelle : bête des apprêts. On porte des bêtes, qui sont Verbe = bêtes-mots, dans la lumière de la mort (la porte ouverte) à l'oeuvre. On est comme deux chevaucx qui tracent ! grave ! on est grave deux chevaux chevales qui de fait traçons-gravons sur roche (= paroi) les mots de base d'une rage d'être ici vivant vivante. On avance un pied, une rime, udu verbe coloré : insultes massives ! grave, l'insulte ! on est comme deux qui ne cessons ici d'insulter Déité La mort en  face, ezn faisant quoi ? eh bé cette chose incessante d'une sorte pour le coup d'enfoncement comme par la bande d'une porte ouverte ! oh oh, ça le fait pas mal ! ça pousse ! ça y va méchamment ! ça ne cesse plus car c'est (pour ainsi dire) ancré ! c('-'est l$"la langue pa rlée hé hé!ç ça rigole pas des masses ou si ça rigole ça fait pas exprès ! C'est cvomme une sorte de conduit de base, genre... un tuyau, une sorte de trompe (.. trompe-la-mort oui !) qui s'avance un peu, mais fissa ou comment ? car à grands pas, d'icelle porte ici ouverte ou comment ensemble on pourrait , dès lors qu'on est là, parlant (parlantes), spécifier la Chose ? la chose du cru .... car voilà ce que c'est que cette chose devant soi = une ... Aubaine !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u!u!!uu!u!u!!u!uuuuuuuuuuuuu!!!!!!!!!! Une Aubaine de charge ! Une sorte de denrée . Une sorte d'apprêt, d'attrait divin, de parade. Paradis ?  Parade = paradis ? un dit appareillé ? para -dit pour soi, qui dirait le Tout de son être ? oh oh on cherche à fond = à donf, icelle donnée de la base et du sommet, on ne lambine pas (jamais !) car ne pas lambiner est condition, est une coindition ou plu^tot une des conditions du succès ! oh oh ! le succès de la chose = l'avancée mordante ! Morsure et saleté. On creuse ! on ne cesse de creuser ensemble ("à la une à la deux", "à toi à moi") et pour ce faire on se serre les coudes, on se montre soudées grave, on se peletonne,, on s'étreint, on (on dirait ou pourrait dire) baise grave oui et longtemps de préférence : accouplement, sous la même Entrée de charge = Soi, Soi ici déposé comme un présent (de fait) posé en offrande, sur un seuil dit "de dépôt" placé à cet effet, charge mentale, vilosité verbale ou même Verbe acidulé ancré. On pose icelui sur l'herbe. Pré du paradis mental. Colère assoupie. On est qu'on regarde, on voit ça , la CHarge. On est qui pour le coup voulons soigner la chose devant nous qui nous regarde ! Soignons sa colère, absorbons, prenons fait. On est deux qui poussons ici la chose brutal ! On est qu'ion veut toucher la chose = la soigner. Soigner adoiucir. On est comme deux qui chercho ns sévère à comme qui dirait soigner-adoucir la Chose déifiée devant. On est comme deux qui disons cela = cette chose, d'une volonté sévère d'adoucir devant, l'ire de la Chose ici déifié. On regarde devant soi icelle anfractuosité de la roche 2 . Roche 2 = ROche 1 qui ici se retrouve de fait devant nous qui voyons une sorte de tout pariétal. On regarde devant, on voit Roche 2 qui est pour ainsi dire la continuité toute retrouvée de roche 1 dite " Le premier passage". On voit cela, la muraille en cercle. On est dedans . Dedans le cercle. Paradis d'une sortye d'enclave verbale incommensurable. On cherche les raisons en soi d'un dire (tracé à main levée) disant la bonne aventure = l'avenir = ce qui est qui sera = les choses des temps = le continuum = les données données par la bande traçante du temps déployé via le Verbe ici déplissé seconde après seconde. On voit le Temps tracé se dép^loyer. Les données font rage. on guette à l'entrée. On en v eut grave (nous deux). On veut grave détailler, comprendre, cerner, toucher bien sûr (déité sacrée) et tout à l'avenant (tout le reste) incidemmen,t. On ne veut pas "rester à quai", on veut "enttrer" mais pour le coup sans y passer ! sans trépasser ! sans passer l'arme de l'autre côté ! On veut toucher la mort en face = cette chose en face = cette face en face = ce tracé de bure hé hé ! Et voilà pourquoi on se promène dans les parages (activité soutenue du Verbe continu). On se dit que nous on a grave à comprendre mille et une chose ici bas, soit ça : cette sorte d'entrée ou passage des fées. On entre o

k de biais mais bon on entre. On veut entrer disons (un pied = une rime) et là, disons une fois entrées, toucher un tant soit peu le corps de cette déité sacrée (sacrée déité !) qui est Face grave, sévère, dure, pas marrante pour deuxs sous ! pas marrante du tout ! Tu m'as compris ! Elle n'est pzas là pour plaisanter du tout ! Elle mate grave, mire grave, nous regarde grave de la tête aux pieds et tout y passe grave. On est reluquées comme jamais soit de fond en comble en  ous-mêmes, on y passe en entier, on est scannées. Et voilà pourquoi on se tient à bonne distance, on se tient (un poil) à l'écart de ça, on ne franchit pas le pas, on est sur nos gardes, etc. On comprend des choses. On est deux en soi (toi et moi) qui en effet comme,ncent, à présent , à comprendre, un peu, un certain nombre de données données. On voit des choses se tramer. On voit davantage. On voit des traces et des traits, des visages, bêtes placides, des bêtes de charge, bêtes-mots de charge = billevesées = blagues groosses = mots gros de chez gros = gros mots de l'hommefemmehommefemme, quyi donc s'approche, à pas mersurés, doucement-doctement, sérieusement, concrètement, d'icelle Déité maussade, devant, face à soi, face à nous qui posons le pied ici sur la marche entre guiillemets. On est comme deux qui jouons peut-être avec le feu (un feu paradisiaque). On s'approche grave à quelques cm ou encablures de pareille ici ouverture. trou dans la muraille. Trou percé. trou du cul de l'âme ? oh on sait pas ! on en sait rien ! on cherche que tru cghercheras divin mais bon c'est pas si facile ! il faut s'accrocher ! bûcher ! ouh ouh ça le fait que ça le fait sévère : bûcher ! car oui tu pzarles, oui de chez oui, pour en avancer dans les parages il vaut mieux bhûcher, s'y coller, passer quelques heures sur pareille chose qui de fait nous plaît, mais quand même (tu le vois) c'est pas de la rigolade (de notre côté) , c'est du boulot grave ! c'est grave du boulot = du rambalh i,ntériuer, du remue-ménage intériruer, du chamboulement intérieur = madscarade ? ou sino mascaerrade charade ? ou sinon charade remontrances ? ou sinon remontrances transes ? ou sinon transes changement d'humeur ? ou sinon changement d'humeur passade ? ou sinon passade colère ? ou sinon colère cri ? ou sinon cri calage ? ou sinon calage assoupissement ? ou si,non assoupissement jeu de cache-cache ? ou sinon jeu de cache-cache crédit ? ou sinon crédit croyance ? ou sinon croyance avis ? ou sinon avis décision ? ou sinon décision illumination ? ou sinon illumination sentiment ? ou sinon sentiment voyance ? ou sinon voyance développement ? ou sinon développement censure ? ou sinon censure déploiement ? ou sinon déploiement ceésure ? ou sinon césure tracé ? tracé de bêtes des prés et prairies ? on ne sait. On cherche un peu dans tous les sens ensemble ici (prairie des féess) à la bonne franquette : on regarde, on regarde tranquillement, on se pose un temps qui est le Temps du verbe ancré etc, notrte sauveur. On se dit que noius on a la chance d'avoir un sauveur, ce sauveur du Verbe ancré, on est vernies. On est comme avec ondirait ça un vcul pas possible ! On est franchement bien lotties ! On est compme protégées ici par il semblerait ce Temps déployé dont on est nanties ! la chance qu'on a ! on appelle ça de la chance ! on est franchement bénies ! bénies oui-oui peut-être ou alors comment mais mazette ! le cul ! quel cul ! oh le cul ! oh le cul qu'on a ici ! ici-bas tantrique ! oh le cul qu'on a car on en a ! on a un de ces culs, pas possible ! éventails ! grave ! grave on a ! on a un de ces putauins de chez putain de cul que c'est pas la peine ! on est carrément bénies ! ici bénies = avoir du cul. On est comme soumises à une sorte (sur nous mêlmes) d'emprise divine (le cul) , qui fait que voilà, on est comme (un temps = le Temps) "protégées" entre guillemetsq, disons qu'il s'agit de la vie, de la possibilité de fait, d'$etre et de rester (un temps = le Temps = le présent = l'foffrande) en vie ! ni plus ni moins ! On est co:mme cdeux qui sommes vernies, du fait de ça : des bêtes ! bêtes-mots de deriière = derrière (pour le coup) les fagots ! On cherche à comprendre ici et là le plus loin possible ou profond possible. On rameute les mots-animaux comme à la parade ! on en veut des masses (c'est sûr !) et on charge ! on creuse dans le tas d'un devant de soi. On est voyantes. On lit dans les traces. On lit ensemble comme soudées main dans la main ici dans les traces, des craques. On lit des craques dans les traces, dans les tracés, ddans les tracés gravés. On cherche à cerner dsans les tracés gravés des choses graves qui, ici et pour le coup, ne seraient pas (en vrai) "des craques dans les craqueleures" mais du foncièrement fiable, à tout va. On va pour ensemble se rapprocher de la vérité ! on veut grave s'approcher ensemble (mzain dans la main = deux mzains) de la vérité des faits. De cette vérité des faits ici et des fées là. On cherche à comprendre un grand nombre ou disons un  ertain  nombre des données données telles qu'ellesq se présentent sous notre nez. On est comme une sorte de Personne de foi, charge dx'âme etc., qui va son chemin (placide) ici-bas, un temps donné donné par déité, par qui de quoi (lié au Verbe) eh bé on ne sait pas. Le lien est là , qui est lien de rage. On sait que cette chose est làen soi depuis la base, on sait juste c ette chose-là, qui est là pour Soi. On est comme envahies par en soi le dire de base, l'ancre de miséricorde, l'ancre marine, le Salut par l'héritage, la charge mentale = Aurochs !!!!! aurochs-auroques des prairies lacustres (un petit paradis). On voit ça "de là" = "d'ici" = de l'endroit précis où dans le temps les choses s'organisent entre elles, "à toi à moi", qui vitupèrent ! hurlent en transe ! chzaudement déblatèren,t ! sonnent l'alarme ! on est prises dans le vent ! on est pris et prises dans le vent car lme vent est fort, qui buffe de fait sur nos ailes, ou sous, et nous soulève ! grave nous soulève ! on est soulevées. On est prisesq. On est complètement prises-soulevées par elle : ventitude na crée, chargitude grave, trace des fées, ensoleillement monacal, césure et prise d'allure. On est deux qui nous nous soulevons, sommes soulevées, sommes portées et amenées ailleurs en des hauteurs de base rageuse = de rage tout court. On est deux qui voulons ici cerner de près les altitudes. Le dessin des Choses du Roi et de  Reine-Mère. On creuse vif, on est vives ensemble qui voulons comprendre Déité Nacrée-Sacrée. Qui de quoi est-elle en vrai ? UYne sorte de personne imberbe ? un dieu des fourrés ? des fôrets ? charg rupestre alpestre ? idiot des contrées alpestrs ? douce voisine ? calamité ? On ne sait. On se rapproche à petits pas, d'icelle douceur (?) ou d'icelle noirceur (?) ou d'icelle douleur (?) ou d'icelui document tracé (à même la pierre) : Aurochnoïdité de la base et du sommet, le Manitou, ou le grand Manitou, l'esqpèce Grasse, le pesant son poids de charge. Masse et contre-masse. On voit la charge, le poids, disons la groosseur, on voit que ça pèse son poids, son poids d'ancrage, on voit ça. On est voyantes. on est deux en soi qui sommes voyantes et cherchent à pour le coup comprendre les données données : la charge passant, le poids cde l'animal des prés, le mastoc en sang, le volume d'eau, l'épopée sacrée, l'enflure acidulée. On est qui cherchons de base, qui voulons de base ici comprendre le pourquoi des choses des tourments, ces choses de la rage dure, cette Voie d'abord, ces contrées, cette ouverture-échancrure aux abords. ON voit entre kles berges, un peu du dedans mais quoi ? ouverture borgne ? peut-être pas ! on voit ça qu'on voit des choseqs ! On voit cette chose, comme quoi la Chose est là dedans terrée. oN voit bien cette chose-là, comme quoi est terrée ici dedans (roche) la chose = la Chose. Cette chose d'une sorte de ... d'atermoiement ?pleine de lartmes ? On est qui regardons (grave de chez grave) ce dedans et  ce ici -même, trou de base verbale, caillassage à tempéraments ! On essaie de comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici, qui est cette chose qu'on voit, qu'on approche, qu'on voudrait toucher : déité des déités ! Oh mazette ! la chose ! on rigole mais c'est vrai ! on s'approche de fzait ! on est tout près. On est à quelques cm à tout jamais ou sinon à tout jamais pas loin d'à tout jamais ou comment ? quelques cm ? On regarde la CXhose "aller". Comment va-t-elle ? eh bé on dirait qu'elle s'impatiente ! On voit ça de là. On dirait qu'elle en a marre et même plus que marre , d'attendre après nous, qu'on veuille bien"passer", soit trépasser. sauf que nous que dalle ! on veut bien passer (ledit "passé") mais pas davantage en vérité, disons pas tout de suite ou pas trop vite, etc. On veut bien "donner du pass"é" mais voilà , ça s'arrête là ! pas plus que ça !! On est comme ça qui voulons demeurer, ici, ici paroi, le temps qu('il faudra pour se sentir êttre, etc. On est 2 qui cherchons la Voie, et pour cela le TEmps fait largement l'affaire on dirait. On dirait ici que voil;à, le Temps = le Temps présent = l'offrande du temps, l'offrande à déité du temps présent, on dirait ça, que pareille chose ici pour nous est comme salutaire grandement. une sorte de report de voix. On cherche à tout va mais enfin on serre, on serre le champs des possibles, des cerclescde compréhension, des passes d'armes. On se protège un tant soi t peu. On regarde au mieux, on s'approche les yeux bien ouverts d'icelle porte (de  ce porche) et là on essaie ensemble de cerner les probabilités. On fait des plans sur la comète (peut-êttre). On "imagine" !!!!!! on tente le diable !!!!!!!!! on veut toucher à ce qui est en vrai "de l'autree côté" et pour cela : le Verbe dansant, lancinement, tournoiement, derviche latent, mainmise, cri de joie, charge vive, un mot chassant l'autre on cherche à toucher ! on cherche à toucher déité qui elle est. On s'approche par du verbe allant, par Verbe allant disons, ou bien le verbe allant on fait un pas

on fait un pas, un pas de géant, le verbe allant on dirait qu'on fait, un pas vers Déité des prés et des sous-bois de RAge, déité sacrée des prés et des prairies, des données lacustres. On dit alors qu'on y voit un peu. On se dit devins (devines). On est qui nous diso,ns devins-devines. On est deux devines qui sentons les choses des temps dépliszqés à volonté. On s'approche ensemble d'icelle paroi des faits. On regarde dur. On voit ça : la Charge verbale, mots-bêtes tracés, bêtes des pat^urages, bêtes des contrées toutes verdoyantes, bises bisons, bisons fûtés, antilopes, aurochs des prés, buffles, ours, ourses, charges accrues. OIn est qui voulons en,semble ici comprendre un max de cette chose comme quoi il ssemblerait que nous fussions toutes et tous mortels et mortelles. OR ........................ non ? ou oui ? mais comment si oui ? ou comment si non ? On cherche ! ouh ouh on cherche ensemble grave ce qui est ! sommes-nous mortelles ? oui ! sommes-nous immortelles ? aussi ! Aïe ! c'est précisément là, l'endroit (ici) où les choses se gattent grave ! On voit ici des choses remuer, disons d'ici. Des choses se trament. il y a des faits. on voit des choses se tramer. On comp^rtend ensemble ici que des choses sont, qui se passent vif. On voit ici que des choses sont (dedans roche, entre les berges d'une plaie de rocghe°). On est ici 2, 2 qui voulons, 2 qui cherchons, 2 en soi qui voulons de fait nous approcher d'icelle plaie de roche, d'icelle excavation, d'icelle blessure, d'icelle ouverture sanglante, d'icelle pissure, d'icelle entrée de rage (bisque-rage) etc. NOus sommes un couple en nous qui pour le coup cherchons grave à ici nous introduire on dirait direct en cette sorte de plaie, sanguinolente, toute sanguinolente, y passer un oeil.On est 2 qui passons un oeil , et là on voit quoi (vitesse !!!!) on voit des choses. Quoi !!!!!!!!!!? eh bé ça ! Quyoi ça ????? merdum ! quoi on voit ? on voit cette chose là qui ..... eh bé oui : nous tend ses bras ! Mais quelle est donc cette chose ? cette chose est une chose dure, un pôil rugueuse, ardue, rude ! elle est dure comme de la roche ! elle est ardue car dure à cerner ! elle pisse le sang ! elle pisse le sang que (donc) tu pisseras le sang. Elle ressemble grave à une bête des prés. elle a son petit côoté animal sur elle. Elle semble vouloir comme nous absorber, nous manger, nous prendre avec elle, nous ingurgiter. elle semble sommeiller. ellest comme assoupie on dirait. On regarde cette cxhose ici, qui semble une bête, et on se dit que oui peut-être c'est ! c'est (en effet) une bête ! une bête à représenter ! belle bête de bon poids surnuméraire ! charge grave me,ntale ! poids des mots choc des images, une bête brave. On se dit que oui, la mort existe, il s'agit de (pour le coup) si possible "la tenir en laisse", la tenir de près mais à bonne distance = à l'oeoil ! au compte-chrono ! on est 2 ici qui (de fait) voulons +++++++++++ chercher à comprtendre une chose et une autre, d'icelle déité dite "La Mort", car la mort est déité, Dieu est Mort pour le dire ainsi (vite) et ça seraça, ou toujours ça. On est qui voulons et du coup cherchons. On est "aux portes de kl'enfer", on est accolées au x portes de l'enfer, aéux portes des données données. On voudrait ensemble savoir loin soit aller loin mais c'est difficile, les mots glissent. On voit un trait ici d'ouverture rupestre, entre deux bêtes ici gravées-tracées une ouverture, un dit "trou de roche", une sorte de passage à vif, berges, plaie, sang pissant, ça pisse dru, on cherche à passer ! on chzerche à passer la tête ! on cherche ghrave à passer la tête ! on cherche grave que tu chercher as (à pâsser la tête) incidemmùent. on cherche grave à pour le coup passer la t,ête et le reste du coprps en suivantr, et pôur ce faire, à la une à la deux, l'ivresse ! la fonte des neiges ! transe intègre ! fdirect tracé ! tracé direct ! voie d'abord surnuiméraire ! un treacé direct pour une sorte d'entrée en matière ! charge vive ! acouphènes ! on passe : on trace. On veut voir ensemble à pouvoir passer une tête (et ne pas y passer !). Une tête belle 

        😉

On est qu'on veut ça et pas autre chose ! On est et on naît à la vie, on veut ça. On cherche à être ici des qui pôur le coup voulons peut-être demeurer ici, charge rude, auroques ventrues, bisonnes, bêtes rustres, des mammouths en veux-tu en voilà , nous sommes les bêtes des bois, les bêtes des prés, chevreuils, chevreuilles, biches et boucs, bouquetinnes, oursonnes, lionnes, bêtes grasses, grosses, grosses bêtes de poids, fruits de la passion. On se rappreoche ensemble, via des mots de rage, de la véreité guidant le peuple. Une voie comme ça par où ensemble on pourrait passer. Charge d'ombre, ou sinon comment autrement ? on se dit qu'on en a pas fini de tracer des cercles. Looopings de base traçante, charge en boucle à même la roche, graveleuses charges, charges graveleuses, grave graver, gravons vgrave des données de base rupestre : pour la vie. On se dit que la vie en vaut la chandelle, etc. La vie en vaut)-elle vraiment la chandelle ? peut-être ! On se dit que oui, quand même. On se dit que peut-être oui il faudrait tracer (de base) les données rupestres concrètes concernant les choses d'une sorte en soi de déité sacrée dont le nom (on le sait) est (serait ?) La Mort. Or comment tracer à part soi ? par du verbe déplissé ? peut-etre ! Par du verbe ancré ? c'est sûr ! on le voit : le Verbe est l'allant du Ciel ! Il est ça qu'on trace devant soi "en allant". Le Verbe de la joie de l'être naissant est ce verbe clair, riant, allant son chemin ,traquet-traquet, faisant fi des tourments de base, criant ses 4 raisons, sifflant son air des catacombes telles qu'elles sembleraient à tout jamais se profiler incidemment à tout un chacun-chacune à distance juste. On croise les doigts que ça ne viennbe pas de sitôt pour soi. On est qui voulons comprendre les données de rage rude, et pour ça il faut s'approcher. Il faut pousser grave dans le tas des données données, ou sinon pousser il faut tater ! il faut toucher un poil (peut-être) mais toucher ! touche vif , que tu toucheras , m'amie (oups) ! il fzaut ! il est nécessaire ! il est important ! il est juste de ! il est capital ! il faut fissa aller toucher, ou voir à toucher. toucher m'amie = .... quoi ? mami ? oh on regarde par le trou la Chose. Elle rougit. S'agit-il de sang épaiis ? s"'agit-il de sang pris ? s'agit -il du sang des menstrues d'une femme nue ? s'agit-il de soi qui saignerait peut-être par contiguité, e,n miroir ? sommes-nous femmes déplissées ? sommes-nous le Temps ? le temps dépliszé comme une sorte de donnée donnée ? je suis femme des entrées de base ! je suis femme au cordeau ! je suis femme-homme des entrées de base ! des entrées acidxes ! Je regarde en biais la chose du cru. Je m'approche d'icelle déité du cru. Je suis nue. Je suis devenue Verbe nu des contrées arides. Soif ! soif de base ! grande soif en soi de base ! la soif est là qui préside ! LA SOIF TOUJOURS PRÉSIDE, DUCON!  TOUJOURS EN  SOI DUCON LA SOIF PR2SIDE! une insulrte est proférée , elle porte un nom, ce nom est : SOIF. soif à tout jamais .... de données acides ! grave ! à jamais ! à jamais la soif enracinée ! ON veut grave ensemble comprendre la soif en soi ce que c'est. Et on se dit que peut-être en effet la Chose (la soif) estb liée (de près ou de loin) à cette déité dont on parlait plus haut à propôs de la mort. car (à présent on le sait) la mort = dxéité. Le dieu de la farce (de la blague) est cette chose de la mort. Dieu = Mort. ou  bien : Mort = Dieu. On touche au buut. Ou du moins on s'en approche méchamment. Il semblerait, que nous fussions près (tout près) de toucher ici à ./... quelque chose qui ressemblerait (de près ou de loin) à cette chose dont le nom est Mort (avec majuscule svp°. Car voilà : nous cheminons. Nous traçons, et traçant de la sorte nous sommes qui (de fait) cheminons. Nous sommes des qui (de fait) ensemble cheminons grave (main dans la main). nous ne devons plus lambiner. Les mots comptent qui tracent un portrait. cheminons grave ! fissa allons ! traçons le portrait de ta rage ! grave trace! grave va ! grave dit ! trace grave graveleux des choses, envers icelle déité sacrée nacrée à insulter ... pour que le temps passe. Ou disons : dire-tracer c'est insulter ! insuylter déité ! insulte royale ! charge des temps donnés = le Passé ! mais le passé n''st pas assez on sait (ok) alors voilà, on tremble ! à tout jamais ! on tremble grave que tu trembleras toi-même, à tout jamais c'est un fait. On en a pas fini de trembler. On est loin du but. On est sur la question encore loin loin loin de pouvoir ici même (grave) la ramener. On est piégées. On est femmes rudes piégées. On voit de loin les données de base. On voit de rage les données de base. Femmes rudes envers déité (la mort) c'est bien fzait. femmes rudes ici et rudes là : bien fait ! On ne s'en laisse pas conter car on est coriaces, rudes, dures envers icelle déité des prés. On est femmes des prés mais on sait. On est aussi des prés et voi;là on sait. On veut tracer aurochs et auroques sur roche = portraits. nous on combine, on est toutes entières des qui cherchent ensemble à combiner des choses entre ellles (mots de la fratrie ?) mais voilà, à njottre sauce. délicatement nacrée pour ainsi dire. homme-femme rude. femmhomme des données debase. fhomme rude des temps dépl;issés. Femmehomme au débotté. femme et homme ancrées. On est des qui ici cherchons avidemment à déplisser pour ainsi dire les faits de la rage : ce qu'elle est en vrai une fois déroulée. Quoi est-ce en vrai ? On veut comprendre ici de près icelle rage, cette rage en soi (en nous) ce que c'est : vive romance ? tri nuptial ? ou plutôt cri nuptial ? chant des cortèges ? dureté ? dure-mère déplissée ? carambolages mensualisés ? de quoi donc la rage en  ous est elle l'objet ? qauoi est donc icelle rage en nous ancrée ? que donc est icelle Rage des Prés et Prairies ? quoi est icelle icii Rage des prés acidulés et des prairies nacrées ? On veut définir. On voudrait ensemble définir à tout hjamais (hé !) icelle Rage-Donnée de base. Elle est quoi en nous : chant profond des données sexuées ? cri de joie du JE de l'ëtre ? Chant des communs ? langue maline ? langue parlée par ici le chaman des coins déplissés ? cri de faim (soiof ?) intégré ? Une sorte de drapeau sur mât ? un outil de contrbande ? une volonté affichée ? un trou ? On est ensemble, accroupies, on fzait sous nous car on en peut plus, on en peut plud d'attendre. on a trop envie de pisser-chier = se vider = s'all"éger = se faire moindre. On veut le moins pour nous (pas le +). on veut toucher peut-être Déité du +, mais nous on veut le - ici démontrer. Ce que nous on  veut ici ensemble démontrer (pour ainsi dire) est cette chose (mille fois ressassé) du - maritime, du moins ancré, du moins de base. Moins une. On se fdit que nous on est des qui enswemble voulons faire aionsi que incidemment un déploiement de soi sur roche est une bonne chose devant l'Eternel des données données. On se dit (nous) que voilà, si on poeut toucher on touche, on ne s'en prive pas ! On est faites ainsi qu'on aime toucher (grave !). On aime ça8! On aime grave toucher Déité des données donn,ées = La %mort on sait, mais voilà, on peut pas s'empêcher de le répéter. On est qu'on se dit ici que peut-être en effet xdes choses de poids sont là entassées qui restent à comprendre-cerner par la bande ou, sinonpar la bande, au piolet, au pic des données, au picomètre tracé, au pif-pic des données tracées. On cherche à si possible ensemble toucher, déité de RAge, de rage on essaie, de toucher ensemble déité des rages. De rage on essaie (nous) de donc ici , toucher déité elle aussi des Rages. bref : Rage contre Rage.C'est un faitb des fées. On se cogne ainsi à cette sorte ici de Chose à cornes comme on est, comme aussi on est. Car on est bêtes à cornes comme la mort est. Car la mort est une bête à cornes (vous le saviez ?) et nous pareil. On est des bêtes qui allons (de fait) dans les prés, nous mesurer, nous cvogner, lutter, corne à corne, batailler, jouer. Nhous ne sommes pas des bêtes de rien, nous sommes des bêtes des prés avec cornes ajoutées, pieds de base, cris vifs, poids d'étai, mesures, densité, chaleur, rugosité, charge en nous des paroles proférées, pieds doctes. on est comme on est mais voilàon est. On est costaudesq. on pèse. Grave on pèse. On veut grave peser ! on veut peser grave ! contrer ! contrer ! contrer ! contrer ! contter ! contrer ! contrer ! contrer-batailler ! corne contree corne ! contrer la corne ! conter de la corne ! contrer ! contrer grave de la corne ! contrer sec ! contrer contre ! contrer vif ! contrer contre vif ! vif des cornes aiguisées ! vif de chez vif de la corne aiguisée ! on contre ! on s'appuie sur la corne de l'autre ! l'autre corne aidant ! on est deux des qui, des qui contrent (ensemble) d'un pas comme d'un allant ! On est des , qui ensemble, vont leur pas d'allant (contre) ! On cherche à de fait aller loin en cette roche dure des données données ! On veut toucher ! on veut grave toucher ! on veut toucher grave les données de base ! toucher grave aux dites "dionnées de la foi en  soi". On veut ensemble ici comprendre loin ce que c'est que ça, icelles données graves "de la foi en soi". On cherche à ici m^eme comprendre vif (vives) ce que c'est que ça, ça là-bas, cette sorte d'entrée en matière, trou de la passion, charge (?) ou chant (?) ou quoi d'autrtree, qui est ouverture monstre, grandes eaux. On veut aller loin en elles (eaux). . On veut ensemble si possible aller loin, pour mieuxw nous imprégner des choses du cru, chaleurs, moiteurs, ensemencements, déploiements, cernes. On est comme 2 qui , sous même pavillon, sous une même égide, bataillons grave (grave de chez grahve) conttre icelle Déité de base dont le nom (depuis toujours) est pour nous "La Mort". Oh Oh ! voilà qui est dit voire envoyé ! On peznsait pas que la chose ici arrtiverait ! c'est-à-dire arriverait à être dite ou jusqu'à être dite ! On pensait pas ça ! pas du tout ! On pensait pas du tout du tout que ça (cette chose) ici, serait (disons) formulée = dite à pas comptés, dite à petits pas = déplissée = déployée, déployée ici comme qui dirait une sorte d'offrande nacrée, déposée, offrande déposée sur roche = un ours ! une ourse ! un aurochs ! une auroque ! un antilop! une antilope ! un chevreuil ! une chevreuille ou quoi ? Bouc bouc bouc ? acidulé ? bouc acidulé ? charge de poids sur roche des temps ? roche-bouc à compter ou à dfevoir compter ? compter-conter ? On est qui sommes qui avons à faire , des choses = tracés vifs sur roche dure . Animaux de poids de base, bisons crus, ours des falaises, points de mire, mains en sang aposées. On fouillevgrave dans notre mémoire à la rtecherche de données de base, on est qui de fait fouillons ensemble ! Cherchons ! Cherchons vite ! n'hhésitons pas ! ne traînaillons pas ! Creusons parois ! creusons des p)ar'ois et la paroi ! On dessine à main levée la Bête (Mort) telle qu'elle nous apparaît. On est deux qui traçons ensemble la bête de poids, sur icelle roche des prés, sur grootte, sur paroi dure, sur pierre acide. on est qui pour le coup voulons tracer afin de tenir à distance icelle déité dite " de la mort à tout jamais". On est pas connnes ! on est pas des connes ! on est fortes ! on sait grave ! on sait grave des choses concernant la Foi. On sait en  ous grave des choses concernant la foi, ce qu'elle est en  ous ( : fille du verbe). On trace des bêtes de charge = mensualités. On paye comptant à jamais. On veut toucher déité. On veut toucher à, icelle Chose des mondes donnés. soit des mondes déployés, le Temps aidant. nous sommes qui voulons ensemble comprendre grave ce qui est de ouf, ici, sur roche, dséplissé ou déployé : des mots-animaux , des bêtes-mots, des mots-bêtes vi fs = mots de rage = insultes directes, cris drus, charges  crues ! on crie du cru ! on est pas contentes ! on est pas du tout contentes; Pas du tout du tout?.; on est pas contentes du tout ! Pas du tout du tout ! On est mais alors pas du tout du tout contentes ! On veut pas de ça ! On ne veut pas de ça = la mort. De la mort on ne veut pas ! On est femmes des prés, chaudes des allées, charges rudes et on contre à cru, à vif, l'entrée de la bête = icelle, déité mortifère. On ne veut pas d'icelle déité : casse-toi ! casse-toi déité ! casse-toi de là déité ! barrre-toi déité ! on ne veut pas dfe toi "à tout jnamais" ! On ne veut pas à tout  jamais de toi et : on ne veut pas de "toi à tout jamais" !!!!! voilà ça que c'est ! ce qui est ! et pas autrement ou autre chose !On est des qui, ensemble, unies (hoommee en femmes), disons . NOus sommes une femme doublée qui, ensemble, contenons le homme. Nous sommes haut perchées 2 femmes en nous (un Soi) contenant le homme, le homme des prés, l'être déplacé, charmé, pris à part, coincé. On cherche à faire ainsi que l'homme en  ous, soye ici l'être des prés touj,ours qu'il est. On cherche à icelui le conserver en tant qu'homme des prés, le petit calé. On cherche à bien le maintenir calé en nous qui sommes deux à pour le coup couver, à couver la chose, le passé qui n'est pas asdsez, qui n''est certes pas assez, on sait, mais bon ... nous veillons ... nous veillons sur lui, le passé , ce passé de rage (petit être aux traits affirmés) . Nous contenons = nous avons = nous sommes, une sommme. Nous marchons haut perchées dans les prés. Nous sommes qui nous approchons de la paroi de roche, la qui fait le tour (= une rotonde). On est ainsi faites, qu'on se voit haut perchées sur roche. On s'avance de la Roche number two. On voit Anfractuosité se faire. On lit dans les pensées. On voit kles traits sur roche de scission. On edssaie de faire ainsi abstraction des données soit des données de rage, et donc comprendre simplement ce qui ici se passedevant, ce qui est qui est, ce tracé natal, cette naissance, ce treain de vie, cette annonciation, cette venaison, ce cri, ce chant profond, cette envolée, ce chant de la roche, chant de vie dans une roche dure (inséré) et chant de mort conclue. On comprenddes choses vives, on vit = on prend = on comprend = comprenure avide bouche bée. On est qui voulons de fait comprendre grandement, les données dites funestes (ou funèbres ?) , et nous de pour le coup nous y coller permanemment comme de juste, comme à nous il parâit juste ou juste de faire. On se penche sur une question, voilà. On est deux qui pour le coup essayons de base de(ici) nous pencher sur une question, et puis "comme il faut", disons  : avec un peu d'application, sérieusement le plus possible, disons (modestement) avec un peu d'application et de sérieux, car nous sommes deux, qui (ensdemble) nous aidons à pour le coup comprtendre loin, des données de rage oui, des données de rage et de vie, de vie de rage, de vie vive de rage vive. on s'entraide c'est la vérité. On en veut des masses ! on pousse grave au cul d'icelle déité des pas chassés. on est comme enflammées à l'idéee de trouver (peut-être) des sortes de données données, cdonnées par la bande par (peut-être) quelque déités, incluses ici même, en la langue (la nôtre) parlée = le français (pour nous le français). O,n est deux qui traçons grave ensemble sur roche des traits de fusion. rappels. collections de bêtes. mots de la tribu. Appels des prés. charges rudes contre déité. cabinet-portrait. On s'avance à pas chassés et on regarde (on est haut perchées). On tient la route. on porte grave loin et du coup on voit : quoi ? ça ! cette chose ! ce train ! cette ribambelle de bêtes tracées ! ces estocades ! ce travail ! cette charge de base ! trafic ! griserie ! On est cuites (saoules) d'avoir bu autant d'alcoool de riz ici (roche dure) à toi à moi. on a échangé nos données. on est cuites raides. On dessine à main lzevées la Bêtye : qui est-elle ? eh bé elle est ... disons que c'est la bête qui ... ici ..... dit .... ce qui est qui est ! c'est-à-dire cette choxse compme quoi la vie = le vit ? ou peut-être pas ? Pic des données ruddes ? pic et pic des données rugueuses ? Ou alors quoi d'autre ? On pousse le pîc : femmes à pic. On est femmes à pic qui poussons grave (ici) la mort dans ses retranchements. Vas-y voir à y comprendre ici quelque chose de patent. on essaie de se positionner ensemble ici de telle sorte que peut-être, oui, on est bêtes nous-mêmes ... peut-êtrte, on aimerait. CAr on aimerait et  grandement savoir, ce que c'est que cette chose ici, dd'une sorte de donnée de vie acide, crasquelure sur plastron, donnée rude à lire incidemment, à déchiffrer. On comprend que des choses sont dites. On veut êttre ainsi informées à la poussée , à la ccriée. On veut comme emmagasiner des dires de poids, être grosses d'iceux; être comme engrossées enxsemble (sous une même égide) de pareils dires. On veut porter loin ces dires de poids, fruits de la pâssion, sur roche du cru, paroissialement, crûment, initialement, comme d'un art rupestre mis directement à disposition des gens . On tente la chose. On se dfit que nous on a à toujours plus tenter ensemble icelles choses des données de base, les toucher. tenter de toucher. Tenter ensemble de toucgher. Ensemble tenter si possible d'y toucher grave ! Si possibvle d'y toucher, et si possible ensemble ! On est deux qui en soi (en nous) veillons à pour le coup toujours tenter de toucher en vrai, à icelle vérité des vérités concrètes = bloc = charge = pierre = massif = Vie. Nous vsommes qui aimons cela, chercher vif, vivement chercher, chrchercher vivement. Nous avons à pour le coup ensemble nous positiuonner en roche, de telle sorte que voilà nous puissions voir en ellle (à travers diverses traces déplissées) des choses de poids = pesantes = qui pèsent ici leur poids de douce vérité, de vérité vraie. On s'approche de la vérité. On est comiques dans nos déhanchés mais on s'en fiche. On s'avance vif, car on vit, on est vives en vie et on trace, on fait du chemin. On est aux portes du SAlut, Charge Rude, POrtique? déploiement, à même la roche nue, cri de joie parmi les ouailles. On s'avance nues ainsi (main dans la main ) : MONTEVERITA ah ah ! MONTEVERITA AH AH! MONTAVERITA AH AH 

oh on est folles ! on est complètelment folles ! on a trop bu ! on est folles d'avoir autant bu ! on est complètement folles ! on est folles d'avoir autant bu ! pourquoi avoir bu ? on est frappatingues ! on est dingues ! on a bu des tonnes ! on a trop bu ! on est folles d'avoir autant bu ! on est complètement folles ! on est folles grave ! on a bu de folie ! on a vraiment trop bu ! on est folles dingue à avoir tant bu ! on a bu des masses ! on est dingues ! on lévite ! on est ivres mortes ! on est schlass ! on est complètement complètement cuites ! on est saoules comme jamais ! on est folles d'avoir autant bu ! dingue folles ! on a bu des tonnes ! on a trop bu ! on a bu des masses ! on lévite ! on grave ! on treace ! on écrit des noms sur roche : mots des bêtes bêtes, mots-bêtes des bêtes de poids ! on est ivres mortes ! on est folles ! on a bu des tonnes de choses fortes ! on trace à l'envi des bêtes de somme ! on est saoules à mort ! on est ivres mortes ! on est complètement complètement ivres mortes d'avoir autant bu et c'est folie ! on est folloes à mort d'avoir aurtant bu ! on est grave folles , dingiue folles, on est dingue ! on a bu trop ! on a trop bu ! on est dingue folle d'avoir autant bu ! on lévite ! on trace la bête de poids ! on la regarde aller et venir sur roche des prés ! on est saoules ! on a bu ! on est sur roche en lévitation ! on est sous emprise ! on voit la bête qui nous sied : bouquetin des prés, bisons rudes, chasse gardée. On est saoules de chez saoules. On a bu des masses. on est saoules grave ! ON boit trop. on a trop bu. On voit labête s'avancer vers nous qui nous regarde. On voit devant nous une bête grosse s'avancer, elle nous regarde. On voit devant nous ici la bête de poids et de charge, bête grossze massive, aurochs = AUROCHS (majuscules) ! elle vient vers nous ! elle vient pour nous toucher ! nous sommes ivres mortes ! nous sommes ivres ! nous sommes imbibées d'alcool ! nous sommes prises dans les filets d'une sorte d'emprise rupestre ! noius sommes deux en  nous qui sommes ivres mortes = sous emprise ! fulgurances, flagrances, France, charge grasse, poids des passions, langues latines évccaretelée, soumission à une vol:onté, ivresse vive, saouklerie, partance. nous nous approchons d'icelle présence . Nous sommes saoules, nous nous avançons. Nous sommes qui cherchons ensemble à co:mprendre cette bête ici qui vient vers nous commepour nous toucher,  qui est bête de la foi intègre. On est deux qui voulons aller, qui cherchons vif à aller, qui voulons grave chercher à aller, le plus loin possible en cette cavité des bêtes entre elles. Ivres mortes nous allons. Nous allons en elle (cavité) ivres de chez ibvres. Nous sommes complètement ivres. Nous sommes complètement saoules. Nous sommes archi-ivres. Nous sommes complètement ivres de chez ivres. Nous allons en cavité ivres de chez ivres. Nous sommes ivres de chez ivres et nous allons en cavité : trou de Rage de la Mort à l'oeuvre. On fonce, gravons ! On grave, fonçons ! On est deux en nous qui fonçons-gravons de rage ! on trace ! on fonce ! on y va gaiement ! on est dingue folles d'avoir bu autant ! on est folles dingue et même frappadingue ! MONTEVERITA AH AH ! MONTEVERTIRA AH AH ! On est nues de pied en cap ! saoules et nues et frappadingues d'avoir autant bu ! MONTEVERITA ! on est là : nues de chez nues, ivres dingue, on grave = on trace = on dit = o,n pousse = on veut aller loin = on creuse = on est deux = on est dans = on est dedeans = on avance = on fonce = on crie = on est en vie quoique ivres mortes ! on a bu des masses d'alcool fort ! on est folles complètement ! MONTEVERITA NUES ! MONTEVERITA NUES ! on pousse la mort en ses retranchements : on l:'insulte (gros mots), on est vives = acides = graves. ON lui pisse au cul. ON insulte grave Déité. On est cuites et on insulte D2ité : la Déité des déités. ON lui pisse au cul. ON dit des gros mots ! on est ivres grave, complètement HS, on est OUT, on est cuites grave, saoules à tomber, complètement schlass. Dingue DINGUE;. Dingue dingue. dingue de boire ! de tant boire !MOnteverita à cru, à la fontaine, direct live. on avance à petits pas. on s'avance à petits pas. on s'avance à petits pas ? d'icelle fontaine. pissons-lui au cul. ON est deux qui ici pissons au cul d'icelle fontaine des Temps. Mort amère. On lui pisse au derrière. mort nacrée. On avance vers elle. en lévitation. on monte , haut perrchées. On est deux qui aloons vers elle, chercher, chercher les données, les données données. ivres comme jamais. On est deux qui nous approchons. On est qui allons vers elle, D2ité des déités. ON est qui allons pour la toucher, toucher D2ité. Touchons. Touchons Déité. Déité des déités. Touchons déité. Touchons de chez toucher. Touchons à cette déité des Déités, allons vers elle cuites mortes afin de la toucher. Lévitons. Lévitons. Lévitons cuites mortes. Lévitons. Lévitons grave. montons. montons grave. tTouchons à déité grave. allons vers déité. T$ouchons déité ! gravons bêtes de charge sur roche des temps. gravons grave icelles bêtes des données de base, ivres mortes, schlass de chez schlass, ivres de chesz ivres. Nous avons tr$op bu. Nous sommes complètement folles. NOus sommes givrées d'avoir autant bu ! NOus sommes frappadingues. Nous sommes tarées. Nous sommes deux folles complètement, complètement folles de concert. MONTEVERiTA. Nues et crues. Crues nous sommes car ivres nous sommes. Crues et cuites .Fruits de la passion. CHarges mentales. Trou du cul de l'äme. salaisons.

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12/04/2024

On regarde = on explore = on voit = on fait ainsi que les choses du monde apparaisse,nt?, on est deux quivoulonds cela. Et ici du coup on cherche à vif des données de base qui, incidemment, pourraient le faire grandement, pourraient de fait nous initier considérablement et nous donner de quoi (pour le coup et enfin) comprendre, ce qui est ici, ce qui ici se trame, ce qui nous regarde, ce qui se plaît de fait à nous regarder, ce qui nous fait face, ce qui nous observe de pied en cap et peut-être davantage. On cherche à deux en soi des choses. On est deux qui dfe fait cherchons, ici et là = devant soi, des choses de rage (oui) et aussi des sortes de données de base radicales (les données). On est qui cherchons vif, vive, vifs et vives ensemble ici et là. Toi et moi en moi, etc. On comprend ici que voilà, des choses peu à peu (oh peu à peu) se mettent en place incidemment, et nous d'essayer d'y comprendre quelque chose et pas rien, d'y cerner des données de rage (de base) et aussi de base (de rage) incidemment. On est qui cherchons ce qui est qui est (devant soi) qui se présente = ce présent royal, cette drôle de murette, ce frontal, etc., et pour cela : fissa ! à l'abordage moussaillon ! du nerf ! que diable ici -bas , du nerf en pelote ! du frimat etc. ! on est qui voulons aller et loin en pareille roche chercher, chercher quoi chercher pelote ! oui !!!!!!!!!!!!! car noius sommes des (deux) qui (en soi = en nous) cherchons à comme débroussailler un devant de soi bigarré. On essaie à deux de comprendre ++++++++++++++++++++ ce qui est ici, devant, paroi, murette des données briutes, ce devant de soi nacré. On s'avance à pas comptés doucement et on regarde devant soi la tâche, cette chose rude, ce trait dessiné par quelque ausrtralopithèque autrefois il y a des années. qu'estce que cela ? qu'est-ce que ici cette chose devant soi armée ? on est deux en soi ("à toi à moi") pour tenter (essayer) de le comprendre, de toucher à ça, cette chose rude, ce poitrail ou quoi est-ce ici qui semblerait incidemment peut-être nous toucher en veux-tu en voilà ! nous donner du lest ! nous dire la bonne aventure ! Regardons ensemble icelle roche des attraits . Cherchpons ++/+ à  pour le coup comprendre les enjeux ce que ça peut êtte. Voyons voir. Sommes-nous ici des qui cherchent à vif les données du monde ? peut-être ! on voudrait ! on est deux en soi qui qui sait voudraient. On  le dirait. OU plutôt : on lr dirait volontier. On cherche à ncerner au plus juste des données de rage brute, à savoir , ici : cela ! ça ! cette Chose Rude, ce sens de la marche, comment dire ? cette catastrophe, ces catacombes, ce prix , ce pli pris disons. Nous ne sompes pas engagées inoccement pour rien. Nous voulons toucher à la muraille de la foi dans l'ombre. On est qui cherchonsb ici, à toucher à vif icelle roche des données de base, son allant, etc. On est, on est qui cherchons, on est qui voulons, on est qui nous infiltrons, qui voulons comprendre en ici nous infiltrant au plus profond de cette roche (dures) des données vives. On se pelotonne. On se plie en 4. On est qui pour le coup noius enfonçons à vif en roche dures des données rudes sur la vie, la mort, le tout verbzal, les transitions. On veut touchr à pareille paroi des donhées frontales ce que c'est en vrai : qui le sait ? qui sait ce qui esrt ? qui comprend les données frontales, pariétales, vives de chez vives ? Qui est là pour soi = pour nous ? qui veut bien toucher à une chose qui serrait la Chose ? Qui touche à vif icelle Chose sans se blesser ? qui va loin en cette chose rude et dure d'une sorte de paroi-tampon ? On s'infiltre vivement à la une à la deux et on fonce ! on creuse ! on y  va gaiement ! on ne lambine pas aucunement biien le contraire ! on est enfoncées grave ! on s'enfonce à deux et grave , grave ici et là, grave qu'on s'enfonce, qu'on creuse, qu'on touche au but. Ou (du moins) qu'on essaie ensemble main dans la main, mzain fdans la main pour ainsi dire (disons) et ce qui est ici, est cette chose d'une sorte d'entrée en matière, ce qui ici est à dire, à comprendre, à toucher à vif en termes de compréhension, est cettye chose d'une sorte d'entrée en matière. On est qui pour le coup voulons aller ensemble loin en elle (Chose Dure) pour comprendre, toucxher, cerner, coller à pareille Substance. nous on cherche à deux ici cette Chose, cette chose rude, ce travail, cette sortie de vie, ce sens de la marche, ces larmes, ce sang, cette ouverture comme à l'entrevie, à l'entrevoyure, au débotté. Chandail ! chant d'azur peut-être ! ouverture indemne, Colère de Divinité on ne sait. pEiut-être en effet une sorte de colère vive, sorte de chant désossé; on essaie ensemble de nous rapprocher d'icelle Colère des données acides. On met un doigt ou deux (pas plus). on voudrzait passer la tête mais est-ce raisonnable ? on voudrait ici ensembleb à toi à moi passer la tête que tu passeras, passer une tête, un bras, un oeil, un doigt ou deux, un petit quelque chose miséreux peut-être mais qui pour le coup et au fond "le fasse", ou comment dire : en jette (JE) un petit peu, manière. on est deux qui cherchons ce faire, cette chose à faire, ce sens radical, ce serment, cette entrée dans le sang, etc. Une sorte d'infiltration salutaire ? une sorte d'infiltration vive de nos sens et autres intelligences naturelles ? une sorte de poussée rapide ? entrée en mêlée ? cherche-merde ? On est deux en soi. On voit à deux. Deux est le chiffre nominal. On sait à présent que ce 2 est comme qui dirait le Chiffre, soit le chiioffrre qui serait celui que pour le coup ... on serait , nous, on serait ce chiffre. On serait 2. On seraitbv(en gros) le chiffre 2. Un numéro comme ça, qui irait là, là-bas ou là, en cette roche des apprêts, des données, des sources. On commande à être. On veut du mou, du meuble, du sensiblement ouvert, du qui puisse accueilleir nos êtres d'entrée. On veut être et avoir été, ou le contraire. On veut TOUCHER AU BUT, on ne veut en aucun cas se laisser aller mais plut^tot tenir bon, tenir à la rampe, tenir concrètement et sans lâcher, tenir comme il faut ! aller vif et droit en roche et là (une fois entrées) comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est, ce qui apparaît = cette Chose Rude = cette VOIX , ce tas, cette Vie de SOi, ce Tralala pour ainsi dire. Et nous de pour le coup nous approcher le plus qu'on peut, de nous coller à cette sorte de Donnée de base, à ce mur des données de base, murette des celtes, chants des choeurs, sons et lumières. On est devant. On regarde, on voit, on cherche à touchrr .... la VOix mais en vrai est-ce que c'est possible de toucher la Voix ? est-ce une chose possible cette chose de toucher, de toucher à la Voix de l'ëtre ici collé à paroi dure, à paroi du monde ? On est qui vou:lons ici nous approchzer soit au plus près, au plus près possioble, d'icelle déité Dureté denntée, et de ce fait : com-prendre = prendre ici et là ce qui est qui va, qui fonce, qui court en ces prés, qui va de l'avant en cette roche, en ce vent dans le vent, ou comment dire ici ce qui est qu'on voit ? on voit quoi ? On voit ça = des aurochs des plaines, des bisons nacrés, des charges mentales dessinées à main levées, des bisonees ezt autres bouquetinnes des attraits, charges vives, dures, concrètes, expérimentées, dures bêtes. On voit ici et là gambader les bêtrs. On vgoit ça qui est, cette chose ici, qui va de l'avant concrètement, qui fonce, qui broute, qui mange herbe, qui caracolle, qui sautille. Une bête est là venue sur roche nous "parler" (à sa manière) pour nous "dire" ce qui est qui est, c'est-à-dire cela, cette sarabande, ce Chant choeural, ce Crid e  joie , cette sorte de donnée toute musicale âriétale dessinée-gravée à même la roche devant soi. roche dure des temps donnés, pour ainsi dire. Roche des prés. Roche verte des prés donnés. Roche comme un invariant, une donnée de base et là, cela intégré, on cherche plus avant, on creuse plus profondément, on essaie ensemble (toi et moi en moi) de peu à peu creuser, creuser et toujours creuser, icelle donnée (rocheuse) des Vérités, soit : icelle Donnée vive, chant des Vies, Charge Rude, Cri de la passion. On voit qu'on voit. On sait qu'on sait. On cherche à ici ou là comprendre ce qui est . On cherche à pour le coup ici et là comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est dans ce qu'on voit, soit : ce qui est qui est, ce qui est qui est concret, cette chose d'une sorte en soi de Donnée de base r-rocheuse, ce Travail, cette Bouée et cette Boue tout court. Ce chant des parois = boue de Joie. On creuse. On y va creusant (à toi à moi et ça le feraà). On veut profondément comprtendre ici ce pré, cette herbe, ces bêtes broutant, ces chevreuils et ces  brebis, ces chameaux et chamelles, bouquetins et bouquetinnes, bises et bisonnes, cri de joie des données ancrées, charge douce (parfois) ou dures (souvent) des parois mobiles. On creuse à même la terre (la roche) le sommet. On est deux = dieux , qsui voulons = qui creusons, cette chose ici, d'une sorte de saraba,nde : confrérie (?) du temps qui passe ? consoeurie des données frontales ? qui le sait en vrai en vérité ? qui sait ce qui est ici des données de base ? On est qui voulons en  ous comprendre le plus, c'est-àdire le plus possible, mais en vrai pour ça "faut y aller !", faut certainement pas lambiner du tout mais au contraire aller fissa, vif de vie, tranquille assurées peut-etre mais vas-y ! cours et vole ! va -y donc ! ne traine pas ! ne trainaille pas ! cours vif de chez vif au plus rapide que tu peux , afin de (pour le coup) comprendre = prendre! prendre la tangente ? exactement, on dirait ! On dirait que nous on est qui sommes comme des qui (ensemble) recherchons La Faille = l'Enttrée = le Trou des données de base = cette Chose des parois du monde = cette Envie. On veut pousser et encore pousser et toujours, afin de (pour ainsi dire) "limiter la casse ", on veut comprendre. On veut aller en roche comme autrefois en religion ou alors quoi ? toucher les données ? toucher que pour le coup tu toucheras ici  c'est-à-dire là = cette paroi ? On est qui ensemble cherchpons au plus près les données de Rage ce que c'est et ce que c'est pas. On veut aller loin en  cette roche comprendre loin. On veut loin aller en pareille roche pour comprtendre = prendre un certain nombre de données, les prendre avec soi , dans sa besace, dans son ventre, dans son soi, dans son être de joie, en son sein de Rage, etc. Et pour cela que faire ou dire ? eh bé peut-être ça, qui est cette chose, d'une sorte d'e,$ntrée en matière, fouillage au corps de roche, craquelure, charge dure, bélier. On pousse. On pousse que tu poussezras. On arrête pas de pousser, de pousser à vif dans le vif, charge dure des données fro ntales contre charge rude des données (en face) pariétales. On creuse fort. On creuse à vif. On creuse la roche des données de base : mots de la prairie, bises-bisonnes sur pré, broutage et promenade en petites foulées. On est qui voulons nous approcher d'icelles bêtes-mots des prés de Roche. On est làà présent tout près. On touche au but : on touche la roche = on est près, d'icelles données pour le coup bestiales (bêtes et bbestiales). On croit comprendre. On veut être ici des qui savent loin ce que c'est que ça qu'on approche et voit, qu'on voit et touche, qu'on touche que tu toucgheras et que tu verrasz. On est deux ici = Elle en moi, femme des abois, rude pensée amicale parioétale, et donc Moi qui suis la Charge, le bélier de choix tu parles, enfant de la balle, bébé, cri de faim au débotté, cri de joie au final, chant docte, plaintes acidulées, vives lancées . On cjherche à deux ici la Donnée de Référence. ici = Paroi. Cette Chjose rude. Ce sens de la marche. Cette ri bambelle de micro-données disposées de base côte à côte comme osselets. On voit cette chose se débattre et on voudrait dès lors la cerner bvivante (quoi !? la mort "vivante" !?) et de ce fait : aller en elle, fouiller vif, creuser loin, toucher et toucher, toucher et toucher, toucher à Elle, toucher Ellle ! touche que tru toucheras à elle et puis pas qu'un peu : beaucoup ! longtemps ! profondément ! en colère ! en colère monstre ! On touche ici-bas à pareille (peut-être) monstruosité placée devant soi, on s'approche d'icelle à grands pas ou pas mais voilà : on est tout proche. On touche presque. on Veut toucher sévère ! On veut grave TOUCHER à LA MORT ! On veut grave y aller ! Toucher à IceLLE , merdre ! On est deux, qui cherchons ensemble, à toucher la toucher, la Mort des catacvombes, charge dure, poule aux oeufs d'or. On croit qu'on est que tous les deux, toutes les deux. QSue dalle ! on est plein ! on est nombreux et nombreuses ici, qui ensemble = main dans la main toujours, cherchons à toucher à la poule aux oeufs d'or. On veuit ensemble nous poster;, nous placer , nous mettre iic, de telle sorte que voilà, on EST, On s'avance, on côtoie, on touche à la mort oh oh ! on touche ici (le verbe minéral) à cette chose dite de la mort, à pareille chose dite "de la mort etc.", cette Voie d'accès est celle de la Mort de base, chant des charges (aurochs, buffles, bisons, mots de rage) . On creuse la roche avec nos petits bras. On est petits petites qui creusons que tu creuseras. On fait au mieux. On s'applique. On fait attention. On veut toucher toucher la mort de près. On veut toucher-toucher la mort au plus près. On veut ensemble ici-même toucher (touches qur tu toucheras) la mort au plus près possible ! On est cela qui sommes (nous) des qui voulons (ici) creuserr Roche Dure (de la mort de base) et puis comment ! à vif= vif = en vie ! Cela et rien d'auetre ! on veut comme dire-faire = faire-dire. On est qui cherchons frontalement à creuser pariétalement la roche dure des données de base = cette chose de la mort frontale = devant soi = Paroi. Et pour cela : le Mot, la bête-mot, Aurochs madrilènes, Cri de la passion, chants doctes, poussières tu retourneras en poussière, dénominations diverses. On touche à ici la mort de base .... par le cul ! On touche ici par cette chose déplissé = cul, qui est ce trou de base-rage, chou, chu, qui nous regarde. On essaie ensemble de comprendre. On veut ensemble ici essayer de com^prtendre, alors qu'est-ce qu'on fait on reprends la chose à son commencement et à nouveau on regarde. On veut dès lors aller ensemble commeb"à comprenure" ou "à la comprenure" des données "célestes" (disons "célestes"). Pour cela, une seule voieb : la nôttree (pour ainsi dire) = la Voix. la Voix" déposée" ="posée" = plissée sur roche : bêtes-mots de base rocheuse. On creuse à deux ici la Roche des prés. On lance les dés. On brûle ce qui est de soi (le passé) sur roche déplié (le passé) afin de faire "accroire". On déplie et on déploie. On est 2 qui voulons ça (comprendre) ensemble cela : cette chose de la base et du sommet pour soi. pour aller plus loin en pareiille paroi des données élémentaires, rudes et dures peutêtre mzais élémentaires = natives. On est qui voulons de fait comprendre loin = +, cette chose, d'une sorte de donnée brute, vive, naissante à même la paroi du monde. On s'approche d'icelle roche devant soi et là qu'est-ce qu'on voit on voit (toujourds pareil) un monde prairial, vert pré, fleurettes, herbe à fumer, bêtes alimentairs (massives, charnues, groossueurs de rage ventrue). On veut donc toucher mais comment toucher ? par le vcerbe ? eh qui sait ! la mort des Colères. OOn voudrait ici (le verbe) toucher. On voudrait ici (paroi) toucher à la mort des colères. On voudrait ici (paroi) toucher toucher Mort des Colères (dite telle). Ici on voudrait ensemble (toi et moi en moi) toucher-toucher à Mort des colères ou dite : des colères. On ensemble aimerions toucher, aimerait toucher, ou même "toucher-toucher", à Mort dite "Mort des colères" car elle en a m arre, elle n'en pêut plus, elle est crevée, fatiguée d'attendrte, elle veut toucher-toucher-toucher à nous , et nous toucher-touchert-toucher à elle ! va-et-vient frontal, pariétal, occipital qiuy sait ? boîte cranienne ! on le sait car on le voit ! on sait ça ! on voit qu'on sait ! On voit cette chose là , d'une sorte de pensée de base = cri de joie dans la savane ! cri prairial ! bêtes-mastodontes ! aurochnées diverses et variées sur roche ! On est deux des qui voulonbs creuser la roche des données frontales, et du coup passer; bille en tête, vifs (vives) , y aller ! pousser ! pousser de la base et du sommet, afin de passer sans "y passer" de préférence ! allons-y poussons poussons ! allons-y poussons ! nous sommes de la chambrée ! nous chantons le chant des damnés ! nous voulons passer sands y passer ! offrir ici notre passé de vie sur roche. pôusse que tu pousseras moussaillon ! enfant de basse extraction ! charge rude contre mur du son (pour le dire vite) et nous voilà qui re-considérons tout l'éventail des choses rupestres : les données acides, les données coriaces, les rudes ou dures données, les données-colère, les données vives de chrez vif, les données de base, Rage au frais de la Princesse, etc. On regarde le tout, on se pose ici pour regarder ce Tout, on voit ça d'ici, on regarde, on cherche à comprendre les données de base, on s'approche au plus, on veut toucher à Elle, à La Mort des prés, Mort prairiale des données rupestres. Ici on dirait un (une sorte de) paysage des marais, une sorte ici de champs fleuri humidifié. Qui sait ? On est deux en nous = en soi, qui voulons toucher = s'approcher et du coup déposer cette chose d'un présent-passé, d'un cadeau à déité = offrande, le Passé. KLe passé (passé) n'est pas assez on le sait (aux yeux de la Mort-Déité) et cependant, pour nous (= soi) ça ira comme ça ! on veut pas tré-passer ! On ne veut aucunement (c'est sûr) trépasser ici, rocghe des p)rés, mais demeurer tu l'as compris, Daisy ! On veut dire une chose ici comme quoi on est, des qui ensemble, soit main dans la main, cherchons que tu chercheras des choses rudes, dures peut-être, qui informent (de fait)  = donnent forme ! On veut toucher = toucher fort. On veut aller profond, on veut comprendre les bases du temps, on veut toucher la mort sans y passer, on veut donner de soi un quelque chose qui (ici : paroi) le fasse un tant soit peu aux yeux d'Icelle , tu le sais. On veut dire et toucher = dire-toucher. On dit que c'est pareil (ou on dirait que c'est pareil) . On est qui sommes deux qui cherchons de base. On est deux qui voulons comprtendre (de base) pareille donnée. On est qui voulons de base comp^rendre "des choses" , ce que c'est, ce que c'sset que ça, cette Voix qui dit ici des choses et autres ... pour Soi ! Oh , on veut ça (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii) compfrendre. On est deux ici qui ensemble voulons (le plus possible) comprendre les données de base, celess-là qui devant apparaissent, données des données. On est là disposées (toutes disposées) à comprendre, à prendre, à emmagasiner, à accueuillir, à chercher ensemble à comment accueillior; on veut être ensemble (DEUX) des qui sommes (UNE SOMME) celles et ceux = celles (ou celleux ?) qui voulons TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à cette choses ici présente (devant de soi) = La Mort ! Mort des parois belles, mort des Roches rebelles. On est devant la roche comme ici face à la mort. On veut donc toucher = comprendre = prendre .... mais commênt cela ? ce n'est pas (du tout) chose aisée ! pas ... du .... tout ! non ! On est qui voulons du coup (enlacées) comprendre = prendre = accueillir =cerner, icelles données des parois du monde = la vie et la mort jumelées. On se dit que nousq aussi on doit pouvoir nous affilier à son .... consentement ? nous ranger à lui ? On se dit que nous aussi, on doit ffaire ainsi que nous devons (nous nous cdevons) faire (de faire) cette chose (là ou là) d'une sorte d'acquiècement. On est qui voulons, dès lors que nous sommes, savoir. On est deux qui ici voulons savoir, de fait, dès lors que nous sommes. on est comme des qui, dès lors que nous sommes (des êtres en vie), voulons savoir. Quoi ? eh bé ça Duconno, cette chose (rude) des devantures ! Mort de Rage ! calipage ! tu déconnes à mort il faut croire ! Comprends-tu la chose, la substantifique moelle ou pas grand chose ? est-ce que tu comprends un peu (un tant soit peu) ce qui est qui est devant nous la Chose ? est-ce que pour toi ça ça a son importance, ce radar , cet oeil des données, ce Regard appuyé , cette vision d'outre (d'outre-parade animale) ? On le dirait pas ! On est qui voulonbs ensemble loin aller profond en roche, afin de pour le coup toucher à Déité mais pour quoi faire ? popur sauver sa peau ? son ëtre ? son chandail ? son être de vie ? sa divine comédie ? son sens des données brutes ? son amour de joie ? On s'approche pas à pas de cette chose dénommée "la mort" et ce faisant on "comprtend" des choses (on prend = on prend son temps) et ces choses que sont-elles ? eh bien, eh bé c'est ça : cette Voie Ducon, c'est ça,  cette chose d'une voie d'abord, d'une voie avant toutes choses, voie surnuméraire à des données brutes, voie d'abord surnuméraire : trou ou échancrure, passage royal. On y va gaiement ! on est remontées ! on est motivées ! on veut toucher à Déité frontzale ! on veut comprendre icelle donnée ! on veut toucher à pareille déité ! On veut aller loin en pareille dééité donnée sur roche comme empreintes, traces d'un passage, gravures, scellements, ruses. On est deux ici qui voulons toucher toucher toucher à cette déité des savoirs lacustres. On s'avance. On est proche d'elle. On la voit qui se désaltère à) l'eau de la rivière, elle est élancée, racée, elle est belle, elle est super, elles est (disons) superbe = sublime = Une Beauté = Un Canon de bête, etc. Ssuper lativement cotée. La Bête des Bêtes. Une sorte de Donnée de base déposéez. un cadeau de choix pour déité ou non .? Une sorte de doigts de fée ? On est ensemble = deux (minimum). On veut être ensemble toujours = soudées. On vveut rester soudées. On veut tous toutes, rester ici soudées face à Elle, bête au débotté (des attraits). On veut être et avoir été pour e

lle , une sorte pour le coup d'amie femmelle. Femme rude, grue, charge, explosion. On veut être belle (Belle) pour elle (Elle). On veut ici êttre Sorte de, soit : sorte de bête belle, belle bête = rude, massive sûr, une charge forte, un bouc des parois = bête belle, bête des rudes parois, bouc et bouquetin des prés natifs (à la base de la marge , cul centré). ON cherche à comprendre ici et là un certzin nombre de données débroussaillées mais de fait c'est pas simple ! du tout! tout au contraire ! c'est coton, c'est pas évident, ça pousse à dire des choses que peutêtre , en d'autres temps et heures, on ne dirait pas, mais là, sous influence majeure, sous vive influence majeure (majeure et mineure) on est saisies, on est prioises sur le fait, car tu le vois ça fuse, ça pistonne, ça court et puis vite ! ça y va grave ! ça y va de rage ! ça chasse ! ça pousse à comprendre = prendre , etc !C'est une sqorte de course-poursuite à même la lande = une recherche motivée, vive de chez vive, à même lla paroi. On voit ce qu'on voit et ce qu'on voit est un convoi de bêtes-mots de première extraction pour ainsi dire, ras la touffe. On voit ça qui va vif. ça y va frontal = royal. ça est cette chose d'une sorte de passage en force, rentron, pousse-misère, cri de la pâssion, osmose, colère, charge du temps. On donne le présent de soi = son passé (Histoire) à Déité, et on dira que ça le fait , grave ! On dira ça ici que grave ça le fait et pas qu(un peu ! On veut être ! on veut grave être ! on veut être grave ensemble soudées des (ici) qui "comprennent" = prennent avec (de fait) elles, les dites "données" "de la base et du sommet". On s'approche de la roche numéro 2. on dit ici qu'on s'approche main dans la main de Roche 2. On s'approche main dans la main xde Roche n°2, celle-là des catacombes, celle-là qui nous fait face à l'intériuer de la paroi, Roche des données profondes, ancrées, entrées, mises sur pied par déité de Base = Rage acidulée. roche 2 est une roche OUVERTE. Il s'agit ici d'une sorte de paroi finale. terminale. clôture des prés. On regarde cette chose des données ultimes, des données donc finales, et quoi on voit ? on voit là la Bête Maussade (SAde ?) qui regarde (OEIL) nous comme on est. Et comment on est ? on est mal fagottées, on est mises de travers, on ressemble à pas grand-chose, on est animées d'intentions bonnes mais on est bêtes comme chou, comme des benêts, commle bêtes des prés. on (on dira) s'époumone ! oh oh ! on va ! oh oh ! on fonce ! oh oh ! On y va gaiement grave ! Tu vois ça ! On est qui voulons ensemble comprendre loin icelles roches de la mort à l'oeuvre (de la mort acidulée). On se poste aux avant-postes. On se déploie. On s'ouvre à tout va (ouverture grande) . On est prêtesv à ici recevoir-accueillir la semence des données de base ou qauoi ? charge mentale ? cri de joie ? jouet de docte pelle ? on creuse ! on creuse dur ! on creuse fissa dur ! Pelle ... comme une pelle ? on veut être ici des qui pousse au cul de la mort à l'oeuvre c'est sûr ! On veut la bousculer de biais ou comme de biais. On veut être ici des qui cherche à comprtendre une chose ou une autre concernant la vie ce qu'elle est. On veut grave toucher, touche que tu toucheras ! cette voie d'accès, ce passage rude, étroit, "étroit pour soi mais ça va aller, on dirait. on va loin en cette roche des données de base , on creuse loin car on sait ( creuser loin), on creuse ici loin car on sait, on a ce qu'il faut, on est outillées, on est nous deux comme des "outillées de première". On est toutes deux Un (UNE) qui va sur la roche, qui fonce, qui pousse et creuse, cherche le défect par où s'introduire, fissa, à la une à la deux on traverse, on passe, on colle à roche et on poasse rude, on pousse que tru pousseras. On veut vite travezrser et nous retrouver "de l'autre côté" o`ù on dira que les bêtes broutent, mâchent, cherchent pitance (nous de même). on est ENTRE. entrées et EnTRE. On est entrées en roche et du coup on est entre = entre deux parois, la première (la paroi des dites données dures de la vie) et loa seconde (la dite paroi des données frontales terminales°. On se retrouve en cette sorte d'entre-deux magique, fait de bêtes nacrées, biches alanguies et bisonnes dorées, masses de vie, grios mots, injures, vives saillies etc. On fonce et on fronce. On est qui cherchons une place ensoleillée, à même la prairie filtrée. On s'avance au milieu des prés. L'herbe est grasse et fournie, vert pré, charge déposée. On est deux ici : sous la mère. On tête. On tient tête (verbe solidarisé, solide, solidifié). On veut rester un temps ici accolées. On est des bêtes nous-mêmes. on t!ète la Bête des prés. On est entre deux roches tracées, qui cherchons à faire ainsi que pareille bêtes, ici (bisonnes craintives), soient bêtes des données acerbes, vives, chaloupées, dociles, riches. On est qui voulons  comprendre ici profondément les données de base, et pour cela nous nous acheminons vaille que vaille vers icelle (donc) Roche 2, la (dite) Roche2, qui serait terminale, la dertnière, ultime sarabande, chant de l'oiseau sage, etc. et nous de nous poster près d'elle (pas à pas) tout près. On est accolées quasi. elle est là qui nous fait face. Elle nous regarde, elle semble nous regarder en face. Elle semble mater = nous mater. Elle est Roche de la Mort à l'Oeuvre, ouh malheur ! fuyons, non ? eh bé peut-être pas , hé hé ! soyons fins et fines, fines et fins ! agissons subtilement concrètement ! approchons-nous sans la ramener ! mettons-nous tout de biais et voyons ce qui est ! Que voit-on en vrai ? une sorte de paroi de Rage, ok. Une sorte de donnée frontale il semblerait = un mur. Ok aussi. On dirait que c'est quelque cxhose de plutôt sensible, une matière grise, intelligence articulée. on dirait que c'est en vie, que ça vit. On dirait cette chose, comme quoi ça vit ou vivrait. On dirait qu'ici (Roche 2) la mort (ici donnée) vit (oh oh) et pas pour de rire. on dirait ici cette chose, comme quoi le Verbe (déplissé) aborde la vie par la voie tantrique de la mort à l'oeuvre. On dirait cela ici, comme quoi la vie szrait, comme déployée pour faire son petit effet (à travers le verbe déposée : présent du passé°. On est qui cherchons +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est dans ce convoi. On voit quoi ? on voit un convoi (de bêtes de charge) et cela nous plaît un tantinet mais pas seulement, cela nous  démarque, cela nous entraîne, nous pousse de biais à être (ici = roche) des qui cherchent ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ à compren dre les données rustiques, ancrées de la roche des prés, la des roches dures de chez dures, Roche Rude = ROche 2, celle qui est (ici même : pré) celle-là qui njous "regarde" de pied en cap (= de la tête aux pieds) et ne nous lâche pas d'une semelle. On veut être ici ensemble soudées alanguies. On veut s'aimer (sur une étoile sur un oreiller). On veut toucher à icelle roche terminale, finale .... maisq sans sombrer ! On veut passer sans passer ou "y passer", et pour cela : fissa ! à l'abordage ! tentacules ! tracv ersée lacustre ! charge frontale ! tempêtes ! poussées majeures et complètes ! dans le sens de la montée (de fait) ! On monte ! on va de l'avant ! on charge ! on compte nos pas : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huitk, neuf, dix, etc., jusqu'à temps qu'on saura la vérité vraie, la Vérité des Vérités ce qu'elle est, à quoi elle ressemble, ce que c'est, ce que c'est que cette vérité des charges centrales. On est qui ensemble voulons nous approcher au plus possibkles, de (donc) pareilles vérité rocheuse, pierreuse, crue, dure de chez dure. Une sorte de densité. Une sorte de volonté rude. Une dureté des duretés. Charge frontale, caresse, charge pariétale, ivresse. Charges des données de Rage, crue des montées basses rude, crue drue des montées hautes, va-et-vient. On pousse à la une àà la deux à charge ! On veut monter ! léviter ! se hausser jusqu'à Elle, Roche 2 des dernières données des fées ! On voit là la Mort en face = cette Sommité = cette Somme = ce Somme = cet endroit où pouvoir déposer de soi le Passzé, et dès lors, se tirer fissa dans les prés, au milieu des vaches, des bêtes de poids comme soi (?). On creuse roche dure, au pic ou au piquet-poinçon : gravures, bêtes de charge, canassons et canassonnes, bouc et bhouques, booking. On est qui cherchons à vite fait nous introduire en cette roche des vives entrées, et du coup on est accolées, on fait corps, on est homme en femme deposé, on est homme-en-femme, charge intégrée, pli pris, donnée donnée, un tiens vaut mieux que deux etc., denrée, offrande à déité, ba nanana  ba nanana , incroyable être gliszé, qui va qui vient comme une sorte (pour le coup) de pic de sa rage, pic-piquous de rage rude, charge alanguie ou pas, mais charge du passé donné, vas-y que j'y vais, charge lourde ! On pousse au cul ! on pousse au cul d'icelle roche dure des données de base ! On veut êtte des (ici) qui chantent ! chantent-chargent = s'époumonent, pousse,t-poussent l'escarpolette ! On veut toucher de la rocxhe 2 ce que c'est devant, on veut devant toucher à Roche 2 ce que c'est ! pousser pousser l'escarpolette des données données ! on est deux ensemble main dans la mùa in, qui de fait voulons, ici, toucherr toucher, touche que tub toucheras, icelle roche acidulée des données de base ! on veut croire en sa bonne értoile et donc comprtendre = prendre, ce qui est qui est = la donnée de base = le moteur = la raison = le motif e,n pied = la Chose pentue, la Montée vers Déité. Déité des sommets. On s'approche d'icelle Donnée des Données.ON veut fissa alletb  et nbe pas traîner, et pour ça comment on fait on fait pitié ! on fait pitié car on fait piteux ! On est qui poussons ensemble la (la de qsuoi, la de là !) qui va, qui va là ! IOn est des (ensemble) qui vont loin en ça = cette chose de paroi = gratitude ! Nous cherchons du coup à, ensemble, nous approcher au p^lus près de cette sorte de porte d'entrée-gratitude qui serait (de fait) à nous ouvrir grand ses (sortes de) bras de rage, bras des parois. On regarde. On est là ensemble accolées qui sommes à vouloir regharder loin (en elle : roche) les choses du monde, ce qu'elles sont pour noius , et  ce qu'icelles ne sont pas, ne sont pascpour nous. On est comme bébés, baba, yeus écarquillés ! On regarde à fond grave ! On voit quoi on voit ça : des bras, des sortes de bras muraux, des bras et encore des bras, outre-tombe. On voit comme des bras qui s'ouvrent et qui du coup nous prennent, nous attirent, nous protègent. Il s'agit ici de bras articulés, qui sont bras d'étayage, bras de base, bras qui prennent à eux, qui dsont bras de la vive entrée déplissée devant. On voit ce qu'on voit : cette vrudesse, cette dureté, cette déité des duretés, déité des déités, dureté complexe. On s'approche ensrmble (main + main) de pareille déité frontale, ouverture meuble, chjants p)rfofonds, peurs comme ancestrales, rage de la foi et des bas-fonds. On est accolées ensemble à pareille roche rude des données finales. On voit ce qu'on voit. On voit ça, qu'on voit ensemble (à toi à moi) ce qu'on voit = ce convoi c''st une certitude ! On est comme collées à une sorte de paroi  des temps menacés. On cherche comme à s'infilvtrer en pareille déité des déités. On veut pousser loin la chose des données données, et pour ça : graver ! grave grave l'amie ! charge ! pousse-pisse ! pisse à pousser ! pousse à pissser ! Charge ! complète ! remplie ! mets-y le pâquet ! pousse-pousse ! mets tout ! charge grave  ! place ! dépose grave ! pousse grave ton  dépôt de choses gravées ! vas-y profond loin ! pousse que tu pousseras de la semelle ! On voit ce convoi déposé, de buffles et autres bêtrs de bon poids bon oeil. On est proches d'elles. On s'approche au plus de Roche. On est collées contrte : crâne conttre. On est des bébés : de roche dures.On veut toucher à roche rude, dure, OS. On ne veut pas lambiner. On veut s'accrochezr, pousser du crâne, s'appuyer ! On est des bébés qui (de fait) allons ensemble comme à la recherche de la Vériçté (des prés et prairiesq). On s'intercale. On est qui nous (du coup) s'intercale ou s'intercalons, en musique, sur rocxhe des prés, entre Roche d'entrée et roche de sorteie (pour ainsiu dire .... quoiqu'il semblerait que ce soit la même !). On est collées. On est comme sermonnées punies collées (à la colle ?) et voilà qu'à présent une porte (?) s'ouvre devanrt nous (du fait qu'on est comme collées ?), qui est porte 2 des données de base (dite comme tellle) . On voit l'ouverture à l'arraché. On voit l'échancrure tracée à main levée. On voit l'échancrure tracée au pic de rage, au pic de base, au piquous des données acides, provinciales, ancrées "sur territoire". On est deux dires ici tressées, o, voit ça : ç a pulse ! ça crache ! ç ça y va grave ! ça est ça qu'on voit que c'est tout , comme une denrée ! On cherche dans le tas la base = l'entrée ou la menue entrée ! on veut grave comprendre ce qu'elle est en vraie, pour nous ou pour quelqu'un ou quelqu'une d'autree. On eessaie ainsi de faire de fait, éclater le fruit de base, la sorte de chose rendue, ce domaine menu, cette sorte de pomme de l'âge, ce tri ou ce cri, cette pousseée, ce sang ou ce sens d'accès, quoi c'est ? On regarde ensemble posément la chose des données données, on est accolées = collées = à la colle des données données. On est ENTRE entrées. On est ENTRées entre,: on s'est mises entre. On est deux qui ensemble = vivement, se sont comme accolées à ROCHE 2, celle des données données et là, on essqaie d'enttrer ... sans entrer ! Comment dire ? On essaiev ENSEMBLE (important cela) d'entrer sans entrer (en icelle roche des données finales = ROCHE 2). Nous c'est ça cette chose, ça qau'on veut au mieux. Cette chose d'une sorte d'échancrure devant  soi (la paroi du temps) laissa nt passer quoi ? eh bé peut-être bien de ça (du ça) = le Verbe = VErbe de la foi = Verbe de la Foi Majeure ou Foi en SOi ou Foi dans le langage articulé , ou Foi en  ette chose de la mort à l'oeuvre (ici-bas) contre soi . On est deux en soi (en son propre soi , ou propre Moi) qui voulons ici (paroi du temps posé comme présent) comprendre loin = enttrer, en pareil domaine de la Mort à l'oeuvre. Et pour ce faire comment faire ? eh bien c'est facile ! pousser ! pousse que tu pousseras , l'escarpolette ! celle du Verbe tu l'as dit ! "le Verbe a un pied dans la tombe " : un pied = un ver = une séqauence = un peu de ça = temps d'envoi pariétal de base = temps béni = musique ! oh la migraine ! oh calor ! l'oeil m'en tombe (un, pas deux) qui sort de son orbite ! ça le fait méchant ! c'est tentaculaire ! ça pousse au crime ! c'est navrant (?) ou peutêtre pas mais c'est fatigant ! ou sinon non : ça charge ! ça fait scandale ! ça craint ! ça pousse grave en cette chose d'une sorte de domaine de nantis et de nanties, car ici est cette sorte de domaine, qui est ou serait le Domaine de la Joie de Naîtree ! ohh oh voilà ! ça fait ça et sens (peut-être) en veux-tu en voilà ! On cherche à pour le coup comprtendre grave un certain nombrev de do nnées données (par la Terre) qui seraient : données des cataco=mbesde la Mort à l'(oeuvre. et du coup comment on fait ? on fait ainsi qu'on puisse voir , voir pour croir  ! On essaie de dire ici des choses de poids (= qui pèsent , leur pesant de belles bêtes : aurochs et auroques, bisons et bisonnes). On est accolées (deux) qui poussont de fait l'esca rpolette  de la vie temporelle sur terre. On veut donc saigner la bête (pour ainsi dire) et cela fait entrer ("chaud devant !") en Roche Surnuméraire ! ça y va fissa ! c'est un tabac (ou ça fait un tabac), c'est dingue dingue! C'est tentaculaire ! c'est fou  ! c'est frappadingue ! On est donc entrées là pour ça (comprendre) et voilà qu'à présent on voit, on devine, on voit--on devine, on est devins devines, on voit ce qui est qui va là devant soi et c'est quoi, c'est des choses rudes, de la belle ruddesse de poids, on est , qui voyons ça de près, cette rudesse de paroi. On s'époumone mille et une fois car voilà, on cherche de la voix et en pensée les choses rudes, les do n ées données, les vérités vraies. On veut toucher à déité La Mort, car la mort est déité. La mort est déité des prés. On cherche à pour le coup cerner icelle afin de la contrecarrer, ou commùent dire, ici, cettye chose, d'une sorte en soi de volonté de repoussage, ou de décalage ou comment dire ? refus ? refus entêté ? On ne veut pas d'elle c'est un fait, un fait rudement avéré c'est vu ( assez vu) ! On gratte à la porte de la vérité ! On veut êttre ça qu'on dit toujours ici = l'être de la joie à naitre ! On est ça !On est comme à deux doigts ou pas de naître ! On est bébés à devoir nâitre êtres ! On va de l'avant ! on pousse grave de l'avant ! on est deux en soi qui donc poussons que tu pouusezras grave de l'avant ! On cherche grave à passer la t^$ete ! un doigt ! un pied ! le siège misère ! On ne veut pas trépasser le moins du monde ! On veut intercéder et du coup traverser et donc passer en tête et de l'autre côté mirer ! On est qui sommes qui voulons (grave !) passer une tête ou d'une tête (ici-même) cette chose d'une sorte d'entrée en matière ! On est qui voulons grave aller en elle Roche 2 des prés , de la ba se et du sommet. On entre comme à reculons mais bon, on entre tout de même, on est dedans, on est dans, dans l'antre de la Roche Dure, Antre xdes parois de roche. On est comme dxezux ensemble, qui cherchons passage en dureté. La Mort est comme Certitude. On creuse, on croit. Mourir = entrer. Vivre = passer. Charger = graver. Prendre = cerner d'un trait. Aller = vaincre sa timidité constitutive. pousser = demeurer = faire ainsi que les choses durassent. outrer le trait = faillir = tomber = vivre = tomber à la renverse = demeurer. On est là qui à deux sommes ainsi qaue nous voulons durer dans la durée. On regarde ce qui est devant, on voit la roche ouverte, le trou, la prise d'air, ce passdage étroit comme fût de rage. On cherche la Voie. La voie est là qui nous n argue ! Oh la voie la voilà ! Elle nous nargue ! Oh oh la voilà la voie , elle nous nargue ! elle envoie ! elle nous  nargue grave tellement elle nous nargue ! elle ne xe gêne pas ! elle n'a pas froid aux yeux ! elle nous nargue grave ! elle est là qui nous nargue grave ! elle est Voie de Rage Dure, elle est devant nous Ou verture X, Chant Y, douce mélop^ée conductrice : suivons ! allons ! passons ! faisons offrande de ce pas ! courons à vive allure vers elle ! dansons carême ! faisons fi de toute gêne ! courons à perdre haleine ! sautons ruisseaux et plantations ! Faisons comme si ! allons chercher les fruits de la passion ! crions ! chabntons l'avènement des cfruits ! allons vite vers elle, Elle, Elle est Elle l'Ainé&e, chant au débotté, la Chine première. on creuse et on voit la trace sur paroi. Brûlons ça. Voyons voir. Hachurons. Voyons de plus près ce qu'il en est. Où nous sommes. où donc nous sommes, 'est-à-dire : où donc nous sommes représentés ! où sommes-nous représentés sur roche ;. Qui le sait ? Qui saura nous dire ce qui est ? On regarde profondément la roche rude, on voit les hâchures et autres marbrures, mains surnuméraires, main main main main main, on voit les mains surnuméraires tracées ou gravées, mains de base et de sommezt, main de Rage. Main et main, main et main, main et main, main et main, main et main , main et main, main et main, main et main, main et main , main et main, mains et mains, main et main = deux mains, main et main = deux mùains, main et ma in :

= deux mains, main + main = deux main,s, main + main = 2 mains, main + main = 2 ! Main + main = 2 . On voit les mains peintes, sur roche, à l'arraché, à main levée, on voit bien. On voit sur roche = sur paroi 2 mains, il s'agit de nos mains ici de fhomme d'or ! femme d'or. Homme et femme d'OR. On voit les mùains tracées, dessinéees, mains + mains + mains +mains. On voit une main dessinée, une autre main aussi dessinée, encore une mùain, des mains à l'arraché comme s'il en pleuvait. grotte du Temps. Paroi monstre. Chant choral. Feux dieux. Cri de joie de base. Évacuation par le bas et remontrancces ! On cherche un passage : main + main, main + main, main + main, Mmain + main, main + main, main + main, main +main, main +main, main +main, main +main, main +main, main +main, main +main, main +main, main +main;, mai, + main = 2 mains, mains + main = deux mains,. Main +main = 2 mains. Main + main = deux mains. On cherche grave dans le sang. On cherche dans le sang ensemble grave. grave oncherche dans le sang ensemble. on est deux qui cherchons grave ensemble dans le sang ... la main ! grave on cherche dans le sang la main de sang ! grave on grave grave ! Main de sang + main de sang = 2 mains de sang. Main de sang + main de sang = mains de sang. Main de sang + main de sang = 2 mains. On est qui sommmes gravant gravante. On grave que tu graveras. On trace que tu traceras. Main et main = deux mains. Main +main = deux mains. Mai n + main = 2 mains. On est qui sommes qui allons fissa, en roche, tracer que tu traceras icelles mains surnuméraires ! chants d'azur ! beautés nacrées ! ficelles ! trouvères ! on va dedans , faire (ensemble) des tracés de base : mains doctes . Mains de sang. Chants de RAge, fraîcheurs ! 

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20/03/2024

On est ici qui regardons ce qu'est cette chose d'une sorte de paroi. On est dans la roche et voilà, on regarde ce qui se passe. On est inséré.es et on regarde. On est inséré.es dans la roche = en son sein prairial, et voilà, on regarde autour de nous aller et venir icelles massives bêtes prairiales. On est qui sommes 2 qui cherchons vivement à comprendre ici ou là les données de base ce qiu'elles sont et ne sont pas. On veut ensemble aller loin dans les découvertes , et pour cela on fonce, on ne lambine pas, on y va fissa (gaiement). On est qui sommes 2 à chercher vif des données premières. On veut savoir, et pour cela on va en cette roche regarder de près, les marques, les dessins, les gravueres diverses, les traits hachurés, les mains frappées. On est 2 ici, on regarde profonsd, longtemps, ce qui est qui nous fait face. On veut aller loin en cette roche des données de base. On veut toucher à déité pour ainsi dire et c'est pas peu dire. On veut allrer en cette roche loin, profond, fissa, ensemble, main dans la main, à toi à moi, prfofondément ancré.es en icelle des données rudes, dures, ardues, sauvages. On veut comme toucher à comme d"éité des parois de base. Déité = Mort, on sait. On est pas des benêts, on connait les usages, on a vécu et un vécu, on avance pas à ^)as mais on avance. On est 2 qui voulons comprendre (vite et bien) les choses d'une rage à être (ici même) sur roche des explorateurs et des exploratrices des données profondes. Cherchons cherchons cherchons cherchons. Cherchons de front. Cherchons vite de front les données cruciales. On fouille que tu fouilleras icelles choses des parois dub monde, on ne veut pas rester à quai mais tout le contraire, creuser en cette roche et trpouver quoi ? de l'or en barre ! qui sait en vérité ? sait-)on jamais ! on trouvera des choses, on trouvera quoi ? des choses de base, des données vives, des mots-animaux, des extraits de plantes, des mots durs ou doux (insultes diverses, obscénités). On cherche, dans la profondeur, des données de poids qui le fassent grave, et pour cela : fissa ! de guerre lasse ! allons-y gaiement ! allons vite en elle roche des données de rage, des données brutes. on est NOUS qui sommes en nous des êtres qui cherchons fissa à cerner de près les étapes d'une sorte en soi de mainmise sur ici des données frontales poariétales : aurochs au débotté, joie des prés, danses macabres. On est qui voulons comprendre à la une à la deux les données de base incarcérées, prises dans la masse, enfoncées de rage, prises et comprises. Et pour ça on y va ! on trace que tu traceras ! on trace grave que tu traceras ! on ne fait pas dans la demi-mesure ! on est pas nous-mêmes des bêtes de poids, on voit ce qu'on voit. On est bêtes de rage à contenu bestial, certainement, mais au fond de soi, pas en surface. Voilà ! On tente le diable ! on est comme 2 qui (ensemble) nous regroupppons (sous casque) pour comprendre ce qui est ici, en  ces profondeurs de la nuit prairiale. On s'avance doucement, on met un pied ici un autree là, on tate le terrain, on gagne. On gagne du terrain, on tate. On est 2 ici, qui voulons tracer ensemble pas mal de données de base-rage à déployer et c'est ce qu'on fait. On veut ici toucher à cette chose rude déplissée, qui a un nom , et ce nom est le nom d'une sorte d'entité maussade, d'entité des entités maussades, à savoir : JE. Oh, ah oui ? et nous d'être pas mal en vérité étonné.es et même davantage ! drôle de phonème ! on y pensait pas ! on croyzait comprendre (certaines données) et patatras ! ça tombe ! c'est drôle ! on est comme deux du coup qui regardons à même la roche le dessin gravé de l'antilope ou la bisonne, et voilà-t-il pas que la Chose, de front, apparaît ! elle a un nom : FORME, et ce nom nous plaiôt beaucoup, nous l'aimons tous les deux beaucoup, nous aimons ce nom de "FORME",  nous aimons ce nom et nous le répétons. NOus sommes qui aimons ce nom. Qui cherchons à mieux comprendre ici ce qu'il pour nous nous dit qui soit d'importance. On cherche que tu chercheras des choses et voil;à, on trouve un nom (FORME) et ce nom nous intrigue autant qu'il nous ravie ! il est curieux, il est drôle, il est pour nous l'énigme du jour. Essayons ensemble ici (sur roche) de comprendre ce qu'il signifie. Nous avons à comprendre des choses, des noms, des êtres, des surfaces, des sortes de surfaces toutes animées, des ombres chinoises. Nous nous approchons de la roche et nous essayons de mieux cerner les choses tracées par, autrefois, hommes-femmes des données brutes , premières, vives de chez vives. On est qui cherchons du coup à percer les mystères de l'être frontal, devant nous la Chose, dont le nom est (serait ?) FORME ! oh oh la Chose comme elle se donne ! On aurait pas cru ! on ne savait pas ! on aurait pas pu ensemble savoir ça car (quoi ?) on est un peu... comment dire ... bêtes sur les bords ... ou placides ... coment dire : mal venu.es, mal appareillé.es, mal outillé.es. On est des qui ensemble, cherchons fissa à la une àà la deux uun certain noombre de données de base à même la paroi, mais pour cela il faut quoi, il faut eh bien ... travailler ... un tant soit peu (la matière verbale du chant de la rage). On voit ce qui est (tout devant) , on s'avance, on trace vif, on trace que tru traceras et vif, on lambine pas, on y va à la gaillarde ou comment ? On est, qui voulons graver vite , vite sur roche, des betes de poids, cerfs surnuméraires, bêtes de parade et de paroi, chants non pas militaires mais  conduits, on cherche. On cherche à à deux tracer des bêtes fortes, prenantes, massives, coriaces, lourdes, pesantes, qui plombent, qui portent, qui vont loin porter leur masse et en imposent grave. Brefb : des sortes de bêtes rudes dont les noms sont : antilopes, buffles, ours, cheval, cerf, chevreuil, bison, bisonne, bouquetin, bouquetinne, chevale et jument, ourse, auroques, lionnes, chienne,  . On est qui voyons ces bêtes. Cheval, chevale, bisonne, bison, bufflette, aurochs, ours des cavernes, antilop, antilope, cheval de rage, bêtes mortes, chaleurs, animaux-mots, colères, RAGE, IRE, IRE de RAGE, chants des profondeurs. CRIs de base. et nous de nous tenir à part, sur un bord, et d'écouter, dessayer ensemble d'entendre la voix chuchoté ici ou forte là qui se déploie en pareille cavité rocheuse des données profondes.; On touche au but.. On est pas loin peiut-^$etre de toucher au but. On veut ici même ensemble toi et moi en soi comprendre et pas qu'un peu. On veut toucher à pareille rochhe ou rocher sdes savoirs de base , des données premières, des choses natives. ON prie pour comprendre. On se plie en quatre. On essaie de de nous-mêmes comprendre-toucher à cette roche rude des données brutes. Creusons la roche ! grattons icelle ! n'hésitons en rien à chercher ensemble à comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est de ce qu'on con voit, et de ce convoi (encore une fois). On cherche à savoir pourquoi et comment la bête ici tracée en impose lourd aux yeux de l'entité de base, d'icelle déité de base, d'icelui frontal hospitalier, d'icelle Chose déplissée, d'icelui Marabou. ON essaie de savoir, on tente, on fait mine de se glisser, on entre, on fait mine d'y passer mais en vérité on se garde bien de passezr, on est deux qui cherchons une -Entrée et c'est marre on dirait. On essaie ensemblke de comprendre le +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ qu'on peut et ce n'est pas chose facile, c'est coton, ça demande du doigté, ça demande de la réflexion, de l'endurance, uune (disons) certaine puissance de frappe, une (disons) aisance à la marche, etcc.On cherche à du coup pousser loin le bouchonn de la rage, le boucchon doré de la Rage; ce bouchon des temps déployés, aller ensemble, allons faire ensemble, allons ensemble déployer du Temps, donnons, posons offrande. On est qui cherchons +++++ à comprendre icelle paroi des abris terreux ce qu'elle est en véérité , et pour cela :vif de chez vivze et vive de chez vif pour ainsi dire = à toi à moi les paroles doctes, des échanges, du patois et des larmes etc. On patoise, on pleure à chaudes l armes... ou pas ! on rit à gorge déployée ! on tremble... ou pas ! on est sûrsq ezt sûres de soi ! on creuse, on avance, on va en dedans chercher pitance etc. On veut aller et du coup tracer et nous approcher (là-bas) de paroi des fonds, paroi 2 + paroi 1, car il s'agit (à présent on le sait) d'une seule et même roche qui , continuement, fait le tour il semblerait du cham fleuri, du pré des bêtes de Rage. On veut (nous) comprendre ce que c'est que cette chose rude ici qii nous regarde méchamment : une face ? Un visage maussade ? on dirait LA Mort , la mort a  ce visage menaçant parfois, qui nous regarde sans nous lâcher, qui veut nous accaparer, qui cherche à nous prendre dans ses filets, qui nous mate méchamment de la tête aux pieds. On est qui cherchons à si possible aller loin en cette chose d'une sorte d'embardée en roche du temps, creuser à mains nues, à mains levées, la pierre de taille. Creuser. creuser son creuset. Chercher. Chercher or et données de grâce. ON y croit fort ! On veut trouver des données de base à même la roche, si possible trouver et conserver, conserv er par devers soi la chose, penser fort à icellles données et du coup les voir se placer devant soi sur roche dessinées. On y croit dur, on veut dur y croire, on veut dur savoir et croire en cette chose d'une sorte de donnée-denrée (donc À INGURGITER) qui sezrait cruciale, capitale, première, initiale. On est qui cherchons à ensemble akller et venir en pareille roche dure des données de base primaires, celles-là qui en vérité nous importent le plus, nous frappê,nt, nous intriguent tant et plus et font que nous sommes comme des qui sommes ahurri.es, étonné.es grandement, pas choqué.es maids presque. On est face à elle l'Entité = La Mort = La (sorte de) Déité des Prés, on la regarde en face, on ne la lâche pa du rzegard, on regarde fixement sa face. elle a FORME humaine on dirait par cerztains côtésq. On diraiot qu'elle nous ressemble c'est dingue. On dirait grave qui'elle nous ressemble, qiu'elle est cvomme nous qui sommes ancré.es en pareille roche des prés (à toi à moi) pour comprendre, toucher = cerner, cerner = toucher, la pa rade, cette sorte de parade-cavalcade. On brûle de joie. oN touche au but. On est face à soi pour ainsi dire : car ici la mort, etc. On est qui sommes deux qui sommes Un qui cherche, qui regarde, qui espionne, qwui mate, qui cherche à savoir, Un qui est comme un êttre des rages, de la foi dans l'être, de la foi dans le langage dit aritculé. On est Un qui sommes deux en cette chose d'une sorte d'entité de RRage. On est deux qui sommes Un en pareille enttité de base, qui cherchons l'Entré, qui voulons connaître  les cxhoses d'une sorte ici-même (roche) d'apparition frontale, déité nacrée, chant des ombres, cris perçants sourdant des entrailles, enveloppe sonore brutale, collège de données cruciales, onctuosité. On est qui voulons comprendre++++++++++++++ pas mal de ces données données qui nous font face, et pour cela, pour comprtendre, il faut agir : il faut toucher, il fzaut de près toucher, ça veut dire s'approcher au plus près de la Chose = de la Forme = Entité grave = Chose de poids = Prix de grâce = chant des profondeurs des entrailles. On veut toucher c'est sûr. On veut y aller et on y va grave car on est graves, on est graves et on grave, et ce qu'on grave = bêtes-poids de base, chaud devant ça trace ! On dit que nous on veut tout comprendre. On dit que nous on veut aller vite vite en cette sorte de paroi des données graves, des données de base sades. On creuse. ON veut creuser. On veut aller ! On veut toucher vif ! vif toucher ! on veut vif toucher à vif la roche des prés, des  blés, des prés et des blés. Blés d'or et de brillances acidulées. On veut toucher ici que donc tu toucheras à cette Vie de base prairiale (on y est) . nous on aime toucher et pas à moitié = baiser ? peut-être. Oh ! On touche , on est touché.es. On touche et en retour on est touché.es. On aime cela, on aime aller, on aime croire, on aime toucher et croire, on aime aller et toucher, on aime toucher et aller, croire et ca resser, on aime toucher et parler de rage, toucher grave et croire, parler rage et toucher grave, aller et donner, poser-déposer, creuser toucher la roche des blés, creuser grave, toucher grave et pleurer, aller et pleurer en c ette roche dure des incantations et autres élévations-lévitations. On est qui sommes 2 qui cherchons grave à toucher-toucher icelle Donnée Grave des données de Rage, des données donnés de base pariétale. On veut ainsi aller et venir en pareille ici prairie surnuméraire des données frontales, on voit ça qui tremble devant soi : embruns ? fumées célestes ? brumes, comme sourdant des trous en paroi ? crachouillis frontal ? On voit ce convoi de bêtes lourdes, de bêtes de poids, pis-aller au débotté (de fait) de la chance. On est là ENTRE. on est dans l'antre ENTRE. ON voit ce qu'on voit, entre les goutellettes. On voit grave ce qu'on voit mais mal , justement : à cause pour le coup des goutelettes. On voit ce convoi (de bêtes de poids) à travers des goutelettes. On voit icelui convoi de bêtes de poids à travers le filtre des diverses goutelletes qui, ici (prairie) nous enveloppent, nous entourent , nous $pénètrent, etc. Goutellettes fines, crachouillis pariétal, brumes et /ou embruns. On s'avance. On est tout humides. On mouille grave ici paroi. On est qui voulons et cherchons à comprendre pareille mouillure, icelle humidité des roches vives, icelle brume des données centrales, pariétales, cruciales. On est qui donc s'avançons en  ce pré fleuri, entre différentes bêtes broutantb l'herbe grasse de la prairie, on s'avance, direction la Chance ou sinon quoi ? la chute dans le tas ? dans le tas de cendres ? On est qui voulons comprendre, loin loin loin loin loin loin  loin loin loin loinl loin loin loin loin loin loin, les choses rudes, les données rudes, les parios rudes, les explications données rudement par la bande. On veut tout t(oucher ! On veut aller loin et profond en cette roche donnée de front. Qui est-elle ? comment s'appelle)--t-elle ? Qui saura nous expliquier qui elle est ? qui pour ici nous ecxpliquer en vrai qui la paroi est ? de quelle entité s'agit-il en fait d'entité ? qui pour nous expliquer dans le détail ? qui pour dire ici ou là ce qui est qui est (et aussi ce qui n'est pas) ?On croit à ce qui est qui est, on croit en la mort qui est, on  croit que la mort est, on croit ensemble que Mort est, on croit dur comme fer que Mort existe soit est. On croit dur que Mort est. On croit dur de chez dur que Mort = La Mort = la morsure, est. On croit que la morsure est. On croit dur que la morsure est. On croit dur de chez dur que Morsure est. On croit dur que Morsure dure est. On  croit à cette chose, qu'une sorte d'entité de base ici placée (roche des attraits) est. On croit que des choses sont (ici : devant soi) qui nous regardent = un oeil ou deux de face, nous matant continuement. On pense à) ça qui est que nous on y croit grave et du coup on grave que tu graveras des bêtes de poids et de belle prestance. On trace sur champs, sur prés fleuris, sur roche tendre, sur paroi de rage. Bêtes des prairies des temps alloués. Osmoses. On pense à cette chose d'une sorte de donnée rude, chant des prés, sorties à vif, colères tracéeqs. On est prêts et prêtes pour passer à l'aboordage, pour caler son nom de rage entre deux noms de rage. On pense = on croit = on crie = on craint. On est qui cherchons ensemble à aller profond en  cette chose rude d'une sorte d'attribut de poids à la vie donnée (= don de soi à déité). on tremble sous le joug, on passe bparoles, on donne tout ou sinon tout beaucoup à pareillleb entité maussqade, sauvage. On crie de toute son âme (ou pas loin en vrai). On est deux ici accouplé.es qui voulons toucher, toucher, toucher, toucher à vif, toucher vif la chose ici déplacée, ou ici placée = l'Entité MAussade, icelle Gravité de face, Madame-Sieur la:/Le mort des données brutes, cha leurs, cris, extraits de naissance. La ici Mort des données frontzales nous regarde qui jamais ô grand jamais ne veut lâcher la plaie que nous sommes pour elle ! Nous nous affichons face à elle : homme-femme des données rudes, nu et nue = nue, nous pleurons-pissons-bavons-suons-chions-mouillons, nous avopns conscience (en partie seulement ?) de notre nullité, du moins nous sommes qui voulons cela avoir conscience. Nous voulons pisser-chier-pleurer-suer-baver-mouiller-éjaculer etc. sur pareille Entité Maussade (ou Sade ?) et pour cela nous nous approchons, nous voulons aller près d'elle Déité, Entité Mauszade-Sade, Entité des entités, Sade-Maussade Entité des Entitész quyi nous regarde, qui jamzais ne nous lêache du regard , qui jamais ne nous abandonne à) UNE destinée, mais tout au contraire : touche à nous, touche-touche-touche, ici, à nous, à nous qui voulons comprendre, qui cherchons vif à ccopmprendre x données du bout du monde, billevesées, charades, blagues diverses, cris de joie, etc., et autres bala des. on edssaie de fait de ensemble nous porter près d'elle au maximum de ce qui pour nous semble être le mieux soit (à nos yeux) cet endroit, de base frontale-pariétale, dont le nom ici (entre nous) est : PA ROI. on s'approche, on entre, on rentre en paroi pour ainsi dire, on passe le mur ou "on fait le mur", on entre conjointement à toi à moi, à la une à la deux on est entré.es. Et là : on regarde! il y a un champ de blé, des prés paturages, des bêtes de prairie br(outant, du vert à la toque, ciel bleu azuré hachuré de nuages blancs-gris, on voit ce petit paradis devant soi, tout autour de soi, il s'agit de comprendre cela comme quoi ici est, ce petit paradis d'une langue en vrai dé"plisszée ou étirée et comment étirée on chrche. On est 2, on est hjuste 2, on est en soi 2, on est qui sommes 2, on est e,n soi qui sommes 2, qui cherchons à du coup comprendre ensemble le pourquoi des choses et le comment ici la Roche "parle" cette langue ancienne (sumérienne ? surnuméraire ?) des données dites "DE LA BASE ET DU SOMMET" = capitales en capitale. On veut toucher la roche lointzaine, là-bas = traverser, traverser les prés parmi les bêtes, aller tout au fond de cette chose déployée qui est de fait du temps déplissé qui est du Verbe "coloré". On s'approche ensezmble d'icelle paroi "dernière" qui en vérité est toujours la même on le sait. On s'approche de fait d'elle Roche des données Rudes.;:; On est comme comblé.es à souhait. On est fhomme (femme homme). On est qui voulons de fait tomber le masquee et entrer. On est qui pour le coup cherchons avidemment à entrerr en roche rude, à percer la Chose rude des données rudes. On pousse que tu pousseras ! on pousse que tu pousseras à mort ! on pousse à mort qsue pour le coup tu pousseras à mort la mort en ces retranchements : on cherche ça. on veut cette chose ! on veut ensemble aller fissa en roche rude, pousse que tu pouuseras, et comprendre du coup le pourquoi des choses ici bas, les données de base, les mots de rage. On se dit ici que nous on est des qui vouklons comprendre (vif) ce qui est, d'icelles données et d'iceux mots de base : éty:mologie par la bande, cris axiaux, colères rentrées à présent dép^loyées, chants des caniveaux, sautes de joie et d'humeur, effloraison. On entre en  ette Roche de la mort de base : mot d'ordre animalier. On entre ensemble = fhomme (femme homme) des rages rassemblées sous un même bonnet d'âne. On est entrées. On est ensemble entrées en roche Rude et on creuse, on creuse grave dans le grave de la mort à l'oeuvre en pareille façade dorée, pierre de taille, roche bousculée, Verbe alambiqué, Loopings de ton pèr. On est qui cherchons-voulons, ici -même, aller dans les données d'une "sorte de" mort à la  petite entrée, aux petitt passage et doigté, etc. Mort d'ombre = mort de l'ombre = mort cachée = mort assoupie ? ou plutôt comme faisant penser que la mort sommeille, on entre. On est entrées et nous voil:à qui cherchons ensemble, à comprendre ce qsui est ici pour nous qui sommes donc entrées de concert, qui avons voulu comprendre +++ et qui donc à présent poussons poussons poussons grave la chansonnette ! On est qui poussons grave ensemble la chansonette ! On est ensemble toutes deux qui grave de chez grave poussent qui poussons, grave de chez grave, la chansonnette ! on avance ! on est deux qui cherchons la faille, elle et moi en elle, elle et moi sur le tarmac, on entre grave = on grave. Quoi ? des bêtes de poids, des buffles, des aurochs rageurs, des mobnstres de parois, des bisons-bisonnes, chevalines, jumentines, chaleurs-ruts et autres echauffourées. On creuse ici et là ensemble des choses choses, des choses rudes, dures, faisant fonctionb. On crie fort à l'étouffée ! On gueule que tu gueuleras nos chants magdaléniens et autres balades des temps anciens préhistoriiqaues européens ! on est qui sommes deux qui cherchons ensemble à toi à moi dans la savane, blé d'azur, parades nuptiales animales, soleils couchants. On aime la savane, on aime les prés, on aime la joie de l'être, on aime le temps déroulé, les mots qui s'agrègent;, les données royales, déité des déités maussaades, on veut être et avoir été, on couche des mots sur le sable, on trace ici à main levée le Verbe animalier des données de Rage de base. on veut de fait en avancer grave, on est nues, on est toutes nues de base et on trace, sur roche et rocher, des mots de base maussade = liés à Mort La Grave, la Maussade, l'Ampoulée, Mort Grave Maussade Ampoulée de base,Nom Majeur. On cherche ensemble ici et là à comprtendre ce qui est ici qui tremble entre nos doigts = une sorte de courant de rage, fluide glacial, cris crissés, cris du crissement de l'âme, oon pousse que tu pousseras, on est nues de base car on va sur roche chercher les données, soit les données brutes, brutes de chez brutes, et pour ça on s'est dénudées car lon veut trouver = toucher. toucher c'est trouver. toucher c'est chercher mzais c'est aussi trouver . On cherche ensemble à donc trouver-dénicher les traits de passage, les données rupestres de base, le vif du vif, la mort ce qu'elle est en vrai, l'outre-paysage. On veut être follles, fol-folles ensemble, p^ris-prises = prises par contiguité. Tâche d'huile. on veut percer ensemble les données des temps plissés. On veut toucher à déité des déités de la base et du sommet et cela fait, aller loin en pazreille roche des données cruciales, déité des déités de base frontale = pariétale = des données de rage = aurochs = poids = mots de base nacrée = mots d'hommes et de femmes des prés dits acidulés. On est ensemble main dans la main qui cheminons, à travers les prés, à la rechercvhe d'une voie d'abord qui saurait nous conduire (fissa) jusqu'à ça qu'on voit d'ici se dessiner, dans le lointain, quyi serait cela (en  vrai) qu'on recchercherait (ensemble) de base, qu'on voudrait en premier = ce savoir donné, donné par la mort des données prtemières = Mort la Duelle, Mort Primaire Duelle. on est qui voulons dès lors nous approcher ensemble (elle en moi et moi en elle) d'icelle Duelle Donnée Mortifère qui est-elle. On veut ensemble si possible ici toucher icelle donnée qui est donnée, qui est à prendre ou à laisser mais donnée on le sait . la mort est don. La mort est donnée de base, et donnée en tant qu'elle est un don de Déité duelle. duelle donnée. Elle (la Mort) est telle que pour nous les choses sont claires : on veut toucher ! on veut surtout toucher ! essentiellement ! on veut ensemble elle et moi en moi toucher que tu vas toucher ou que tu toucheras, à mains nues et levé&es, la Chose ici en soi qui nous regarde fixementb = Dualité ! Duealité des données, Genre Chose Doublée, cris des épisodes de la joie dans l'ombre. On est ensemble qui voulons ensemble qui cherchons de fait des données de rage. On cherche que tu chercheras icelles choses rudes et belles et tendres, qui pour nous ressemblent à (peut-être) des fleurs des prés. On est deux qui voulons ainsi, toucher-trouver = comprendre -prendre. Idéologies diversezs gratinées. On pense (on bande) , on crie (on fuit). On est qui sommes ensemble des qui pleurent vif comme à la pa rade. on est belles bêtes rudes déposées posées brûlantes dorées. belles et douces bêtes des prés. On regarde ce qui est qui à son tour ou conséquemment ou concomittament nous regarde, et là il s'agit de la mort-déité, de pareille doubleette acidulée des prés, chants doctes, femme-homme = fhomme = foam = mousse = genre chose douce = biche des biches des prés, animal du mal, tendresses incarnées. On s'avance nous-mêmes en ces prés de base, à la recherche d'une sorte de donnée qui (si possible) le fasse grave et puisse pour le coup nous regarder en face, nnous parler, nous dire ce qui est qui respire devant, qui souffle-buffe, qui crache parfois, crache que tu cracheras ! des naseaux, du nez-naseau de bête rude devant soi, bête des prés et des prairires frontales-pariétal:es. Echauffourées, batailles navales, prises de bec, chamade. On s'avance à pas comptés ensemble. On veut toucher Chose des bois et sous-bois. s'avancer ensemble comme à la parade. On veut deviner ce qui est et ce qsui n'est pas ici-bas : les mots de rage sont, qui en vrai ne disent pas l'ensemble des données soit des données dites "de la base et de l'assemblée". On croit comprendre un  certain nombre de données de base, mais que tchi, pas tout à fait, on reste à quai, on est grave qui restons à quai, on tremble. On est qui restons ensemble ici-bas grave à quai question comprenure cruciale, données des données, saerabandes, savoirs illimités, chants profonds, données de base. On croit comprendre-prendre, on est des ben^ets, benêtes primzaires, douces collégiennes drapées, on cherche grave dans les données et ce qu'on trouve c'est quoi sinon quoi ? du blé ? on ne sait pas. On est deux qui ensemble essayons de nous approcher au plus près d'icelle déité duelle, double des données doubles, chants morveux, cris de guerre, cris crissant énervzant, fontaine d'eau gelée : la mort déifiée est une drôle de paroisienne. On veut ou on voudrait ensemble (toutes deux) toucher icelle déité qui nous (comme) surplombe à kjamais mais comment faire en vrai ? c'est tout un poème  ! cd'est pas gagné ! ça pulse que tu pulsezras ! ça envoie du bois ! c'est comme un phonème mal employé, parole déplacé, chant crissant, cri mal déployé, courte-paille. On veut croire en sa bonne étoile mais bon c'est pas dit qu'on puiise ensemble de sitôt y arriver hélas, car nous on aime ça savoir, on aime savoir , on aime ici savoir ensemble cette chose d'une sorte d'anfractuosité recelant la Chose dont la mort est le phonème, dont la mort est (plutôt) le nom de naissance, petit nom à l'enragé, crise d'âme, tripotée, charge, bulbe et bulle doré, cris des ombres, fumée. On s'approche de la mort à l'oeuvre car en vérité écrire ou pazrler c'est s'approcher, déjà parler, de la mort à l'oeuvre ou comment on pourrait dire ensemble (à toi à moi) cette chose déployée, ces mots de poids, comment ensemble dire cette chose d'une vérité ou sorte de vérité qui dès lors seraéit la Vérité des Vérités ? on cherche ardemment ! on cherche crûment ! on essaie de comprendre au mieux et de nous rapprocher ensemble ici d'icelle vérité des donn,ées frontales : Déité des Déitées, Vérrités des Vérités, Dualité Royale Frontale = Mort, mort des donées Données. Mort aux vaches , mort aux saints des bases et saintes colères. On s'approche ici-bas de ça, qu'on cherche assurement et assi dument à comprendre pour soi, emmagasiner, toucher, touche que tru topucheras, va que tu iras, etc. , sur roche tendre, sur paroi des bases frontales. aurochnoïdité des données graves. On est deux qui ensemble cherchons une sorte de vérité dans la lande (l'animal sur pied). On s'avance à pas comptés et on regarde ce qui est, et ce qui est nous importe fort qui nous sied, qui nous plaît, qui nous emballe grave = biche des prés, le petit chevreuil sous la mère et le Cerf Royal des Contrées prairiales, cervidés des cervidés, on regarde grave et ça nous plaît grave, ça nous plaît et nous emballe, on aime à jamais, on est belles beautés des prés et  des landesq, on court sur roche, on chasse , on broute, on est données données des données de base. Chants-couteaux. ccHants-doctrines. Chants-polices. Chants des prises de becs, des cris mortifères, des parois premières. Alleluyahs divers et variés. On est ensemble en ce pré, cueillant fleurettes à déité, pour complaire, pour la tromper, lui faire croire ici que nous on va (illico) se donner à elle = mourir ("de la tête aux pieds") quand tu parles charles si on s'exécute, que dalle ! que dalle cxharles ! on veut nous rester en  ce pré, on veut nous demeurer, parmi icelles bêters fortes massives des prés, colères monstres, monstruosités, masses paysannes, obscénités et obscurités. on a pas vraiment envie ici d e passer = trépasser. On ne cveut surtout pas trépasser. On veut aller sans trépasser. On veut aller (dans lke pré fleuri) sans (pour autant) trébucher et trépasser. nous on aime la vie dans les prés. Nous on aime beaucoup, la vie dans les prés, la vie vive des données avides, graciles, vives de chez vives. On  veut tracer des traits, souffler, cueillirr, graver, dessinner les bêtes, manger, pisser, aller sur roche dessiner à main levée en transe, soulever la pierre, chanter, hurler, brûler de misère, tracer des tracés,n,, des b êtes agraires, des aurochs, des bouquetins, des biches des prés, des chevreuils de base, douce misère, tendres mots de la chaleur humaine, vivacités , soulagements, vivacités, soulagements, prises de vives alacrités, soubassements. On creuse la terre. on veut tracer les traits d'une sorte de miszère à être ici-bas mourants et $mourantes,. On s'approche des données de base rageuse, on voit ça : cette chose basse, cette chose haute : duealité / complicité / doublette des dfonnées de rage. Ici bas la terre est meuble qui se prête (de fait) à être creusée pour tombe des prés. on touche à icelle donnée de base sus-mentionnée et ce n''st pas rien car ça pèse grabve on sait ça, on voit que ça pèse, c'est frappant, ça impose grave sa prestance, c'est un fait saillant. On est qui ensemble voulons ici comprendre loin ce qui est et qui nous regarde, devant, cette chose rude, ce doublon, cette cavalcade, cette Chose rude et dure des doubl:ons. On veut ici ensemble comprtendre grave, x données données, qui sont (sezraient) données des données, données rudes des données de base = échantillons. On trace à main nues la chose rude, on trace que tu traceras ici, à mains nues levées, la chose dite "rude" des données diverses rupestres (aurochs de bonne compagnie, bises et bisons des attributs, bouquetins et bouquetinnes ventrues). On veut croire en sa bonne étoile et de fait aller profondd en cette roche des données vives, royales, rudes, fiables commde Vérités des vérités. On s'avance à pas comptés, on regarde, on est comme piégées ensemble, en  ce sas des sas rupestre pariétal, sas des données vives. On voit ce qui est ici qui nous regarde. On voit la Chose devant nous (masque facial) se déplisser et déployer et montrer toute sa superbe (sa gouv erne) à l'assemblée . Mort sortie de l'ombre on dirait, c'est-à-dire "Mort personnifiée" il semblerait. On est comme ensemble deux couillonnes qui vou;lons vite fait comprendre ensemble mais vas-y ! va ! cherche seule (ou accompagnée) c'est pas si facile ! c'est pass zévident ! ça demande (oui) du doigté, de l'endurance ! ça envoie grave dans les rangs des champs de blé ! c'est tout un système cde données espéciales et espé-cialisées c'est un fait ! on peut pas comprendre d'emblée faut être initiées. c'est tout un programme de faits, de données diverses. c'est ésoritique à souhait. ça chante grave, c'est-à-dire : c'est chantant comme à la parade, disons que c'est aussi chantant qu'à la parade, ça crache,, ça envoie du bois, ça force, ça pétarade, ça pulse des masses, ça pisse grave (dru), ça charge fro ntzal (des fois pariétal), ça induit et conduit de base, ça pousse que tu pousserasz, ça file fissa dans les fourrés, ça rezgarde de près, ça mate à la mathe, c'est foncé, c'est trouble et troublé, c'est feuillu, c'est tout près de nous, ça induit pas mal de données rageuses, de tendres données vives, rageuses, sorties des fourrés. On pe,nse à ensemble comment faire pour (finalement) comprendre profond, comprtendre en profondeur les profondeurs, soit icelles profondeurs des replis de l')'âme, des replisdes données des ombres, des fourrés. On est deux qui voulons de fait ensemble comprendre = prendre , ces fourrés, ces données des sous-bois, ces cachettes boisées, ces replis de l'^$ame ou de dieu sxait quoi qui devant soi est posté qui nous regarde fixement . Ombre portée ? charge mentale ? face décriée ? dualité destinée ? supplicié ? On est qui voulons et allons à la recherche motivée des données données par la bande. On creuse que tu creusezras la terre devant soi : tombe comme enterrée. On regarde à notre tour, et ce qu'on voit est un convoi de bêtes (grosses) alpestres rupestres, des bisons pour l'essentiel (et quelques bouquetins et bouquetinnes) . il s'agit ici de bêtes données, de données de type animalier données, données rudes s'il en est. On c

harge la mulle = le mullet = la charette . et ainsi fait on trace ! foule de données ! on charge, on trace, on grave, on en avancxe. On est comme des qui pour le coup essaient durableme nt et finement de co:mprtendre ce qui est ici (Verbe) qui nous pazrle comme à mots couvertsz  , de ce qui est qui est, à savoir : La Mort = la Mort sûre, du moins autant qu'il (ou plutôt elle) nous apparait. Car la mort nous semble s ûre, sûre d'exister, sûre à nos yeux d'être et d'exister, sûre cd'être, su^re de notre côté, d'être, d'exister. La (pour nous) mort est comme grandement liée étonnamment peut-être il semblerait (il faudrait en reparler) à la vitesse, aux mots frappés crachés, aux mots tracés à main levée, incantatoires, frappés saccadé, aux mots de la rage déployée, débittés (les motrs) à même la parade, cav alcade au débotté gravée sur roche des prés. on est qui pour nous voulons comprendre, icelle donnée d'une mort déposée, tracée, gravée pour ainsi dire, sur roche des temps donnés. mort est sûre. Mort pour nous est s^$ure = avérée (soit sûre de notre côté : quelque chose d'avéré). On dirait qu'on commence des fois à comprendsre et puis bof, ça tourne , comme le lait. donc on peut dire que c'est pas gagné, c'est tout un ensemble de choses à déployer pour soi, déjà pôur soi, et ensyuite on essaie de co:mptrendre danns le tas, les différentes choses qui composent pour le coup un tout prairial tel que, celui-ci, sous nos yeux avertis, ces derniers peuvent le rezgarder, l'envisager ou le considérer. C'est-à-dire (on l'a dit) : comme à lza parade. Chants des étourneaux de la base, chants d'oiseaux = obscénités, cris nuptiaux et paroles salaces. On aimme creuser, on aime l'amour, on aime proférer sur roche des insultes à déité pareille plantée qui semble, du coup, nous mater grave, et nous d'obtempérer : que faire ? quoi faire d'autre que ça, soit d'obtempérer devant pareille déité des déités, on est faits et faites, on est faites et faits. On est col§ère c'est un fait, mais quoi faire ? à part gueuler.... on est qui subisso ns la Chose de concert, on est qui subissons et grave, icelle xchose (des prés) de concert et du coup, on regarde à s'en dépêtrer mais comment s'y prendre ? On est prises ici dans les filets. On est prises grave ici dans les filets de sa propre rage, de sa rage à soi en propre, c'e'st grave. on est prises prisonnières grave en soi (= en nous) d'icelle déité de face qui nous accapare, qui nous mate grave, qui veut nous tuer et puis pas pour (comme qui dirait) rire au débotté ! que dalle ! elle pousse facial ! elle trace ! elle veut notre peau ! elle veut de noptre peau ! elle veut ou elle voudrait grave ça que nous, on veut certes pas (jamais !) doonnner ! ça on sait, on sait que ça on veut pas ! on veut des choses mais pas ça ! on v eut toucher c'est un fait, mais ce qu'on veut toucher-couler c'est quoi ? c'est ça ! = cette chose en soi = (ici -m^eme) cette "satanée endiablée" chose des parois de l'âme ou comment on pourrait dire en vrai ? On est qyui cherchons de près = au plus près. On veut comprendre ! on veut ensemble vite fait cvomprendre gravve ce qui est, qui nous regarde de face, ett puis en continu  : sans s'arrêter, et nous non plus on a pas l'intention du tout de nous arr^$eter. On vceut continuer sans s'arrêter. On veut tracer, on veut aller loin, on veut creuser profond, toucher à déité sans y passer = sans couler. Couler déité peut-etre mais nous : pas couler. pâs du tout du tout couler car on veut rester, rester là sur place en  ces prés des fées, prés fleuri des fées de la rage ! oh que oui on veut ! On veut grave durer, soit : durer dur dans la durée des temps déplissées de la roche gravée à mains nues, à main levée, mains surnuméraires frappées. frappe que tu frapperas, main nue ! frappe que tu frapperas, et fais s'il-te-plaît monter la charge ! fais en sorte d'aller au mieux, de pousser grave dans le mieux ! charge les données de charge ! pousse que tu pousseras ! trace que tu traceras ! ne débande pas de ta colère ! pisse au cul de la mort duelle ! pisse-lui au cul ! fous-la lui profond et sans ccrainte ! fiche lui ta queue satan ique profond ! n'aies pas peur de la'enfoncer ! de la foutre grave ! grave gr ave ! trace grave sur roche des prés ! dessine icelles bêtes des fourrés, des p^rairie illluminées ! On est toutes qui voulons cocher , la case xd'une sorte de charge mentale ! On est deux en bnousq qui (toutes deux) cxherchons grave à nouqs approcher d'un e sorte de déité des temps passés. On veut toucher à cette déité duelle. On veut toucher à cette déité duelle. On veut toucher à cette déitéduelle. On veut ou on voudrait toucher à cette dxéité dite "duelle". On est fhommes qui voulons toucher à cette déité dite "duelle". fhommes et femmes drôles, qui touchons-voulons, qui voulons-touchons toucher à ici pareille déité duelle des tempsq passés. on est ensemble ici qui sommes aussi comme voulant grave toucher déité des Déités qui nous font face dans le temps = parade = paroi = charge sur paroio. On essaie ensemble de co:mp^trendre ce qui est ici qui nous regarde grave, mate que tu materas, on voit ça, on comprend cette chose (là) qui est que voilà, on est maté, aïe ! on est surtout matées ! on est comme matées en permanence, comme en permanence matées on dirait . Onest qui nous voyons matées en permanence, on dirait ça. On est qui sommes (nous) comme bpermanemment matées de front, de front et de face, par ici la mort à l'oeuvre et çàa ça nous agace, ça nous fiche en l'air, ça nous emmerde grave, ça nous troue le cul, ça nous tue, ça nbous fait du mal; car nous, on ne veut pas de cette chose devantr soi. nous , on ne veut pas de cette chose devant soi, qui est de fait "la mort à l'oeuvre", ça fait suer. Nous, on veut pouvoir aller et venir dans le pré ici du langage prairial acquis de haute lutte. on veut pouvoir continuer à toujours se parler sans crainte d'être à tous moments importunées. On veut pouvoir et aller et venir sans crainte de se voir à tous moments comme embarquées dans une sorte de galère dont le nom en  v 

rai serait (deux points, ouvrez les guyillemets) LA MORT. On veut être dégagées, tranquilles comme Baptiste, sans entraves de ce type, mises ici sur prés à chercher et conter fleurettes, mises en majesté sur la roche tendrte, mises en beauté de majesté sur roche gravée, mises en cette sorte de beauté des majestés des roches auteefois gravées. on veut rester belles à jamais. Tracé à mains levées;Installations pariéto-rupestres à la volée d'une sorte d'envolée rupestre, de données de base frontale. On est ensemble, on vit ensembvle puisqu'on vit. On s'appelle ici du nom donné par la parade, drôle de parade. On creuse "à deux" la roche dure pour graver ensemble notre nom de bure. On est deux à faire ça : on s'aide = on s'entraide = on se donne à l'autree = on se donne = on donne de soi = on est généreuses = on est belles d'être généreuses. On cherche à pouusser de la voix et des bras une chose rude sur paroi. Cette chose est le nom de la durée. cette chose en vrai est le petit nom donné à une sorte dee durée en soi personnalisée. Cette chose a une forme dessinée, par exemple à même une roche, et cette  forme dessinée est une bête des apprêts, des apprets et des attraits, bête de charge et bête de somme. belle bête en soi au final. charge mentale = Verbe dans la durée = Verbe pléonastiquement inscrit dans la duré. On pèse les mots mais (quoi qu'il en soit) ils pèsent ! ils sont lourds de poids offert ! ils pèsent Anes morts, Anesses dépecées. On touche à l'anesse. On voit le mot-bête comme défiler et impacter. On commence à penser que en effet ces choses sont, qui doivent nous aider à pour le coup comprendre loin des choses rudes. On se dit que nous on a à il semblerait comprendre loin des données de base. On se dit que nous on se doit ensemble de comprtendre ce qui est ici qui nous regarde. On veut être ensemble et avoir été. On ne veut pas du tout trépasser jamais mais aller loin dans la comprenure axiale faciale. On est de'ux qui ensemble voulons comprendre des données de type données. On veut être ensemble belles comme bêtrs soit données sur roche par la bande ici du Verbe déplissé. Soit du Verbe déplissé dans la durée. Car nous ce qu'on aime tient en peu de mots en vrai, à savoir : les bêtes, les mots-bêtes, les mots qui sont bêtes, les vérités, les vérités allouées, les vérités dirigées, les vrais vérités, les vérités vraies, les mots de la colère montrée, déployée, les charges rupestres, les amazonnes, les bouquetinnes, les bisonnes, les dragonnes, les bufflettes des prés, les antilopes et non les anti-antilopes, les ourses des grootes, les ourses des p^rairies, les lionnes, les prises de becs, les denrées, les chants en offrande, les prières à déité nacrée duelle = chants de s tombes, des trrrrrrombes idéalement, des vives clartés, de l'obscurité tout aussi bien et même des noirceurs dentées. On est deux qui ensemble chervchons à comprendre loin et profond le plus possible des noirceurs dentées. on veut ensemble loin aller au plus profond des ombres cachées, des ouvertures finales, des trous l:ointzains. passer sans trépasser est notre adage, on y tient. On veut le plus ^podssible aller au plus lointain d'un dedans de rage rude, et pour cela on a besoin de ça, le Verbe brûlant, les choses dites, déploiement verbal sur roche rupestre. on veut toucher à déité duelle : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et pas pour de rire. Pour de vrai. On veut vif et vivement toucher à pareille déité des attraits, des prés, des parois mobiles. qui est ici la mort en vrai ? qui est-elle ? est-elle ? meurt-on ? allons-nous un jour mourir ? alloions-nous un jour subir les affres de la mort duelle ? solmmmes-nous prêteszcx à un jour comprendre cette chose, de la mort duelle ? sommes-nous prêtes à pour le coup un jour comprendre cette chose d'u ne mort inscrite (en nous) pour l'éternité ? devons-nous aller près d'elle la toucher ? la toucher la toucher ? la toucher la toucher ? la toucher la toucher ? la toucher la toucher ? la toucher de près ? devons-nous la toucher de près ? devons-nous ensemble la toucher de près ? la toucher la toucher ? devons -nous ensemble ici ? devons-nous préférentiellement ensemble ici : ici paroi ? devons-nous ensemble ici-paroi la toucher la toucher ? la toucher la toucher , la toucher la toucher ? devons-nous nous (ici) (ensemble) (de fait) (de front) la toucher la toucher ? la (vraiment) toucher de fait ? ssommes-nous assezv"remontées" pour ensemble aller de front, incessamment, la toucher la toucher ? devons-nous, avons nous à faire cette chose, devons-nous royalement , avons-nous royalement à faire cette cxhose ? sommes-nous de taille à faire cette chose ? avons-nous à faire ainsi que la mort soit touchée ? soit touchée par nous ? soit comme "touchée" = émue peut-être, par nous qui (ensermble) gravissons les marches , grimpons, aa;lons haut vers elle, en sa direction, pour pouvoir ainsi : la toucher la toucher ! grave la toucher ! gravement la toucher ! aller loin en cette roche des données rupestres pour faire ça = cette chose rude = la toucher ! la toucher la toucher ! toucher à la mort = toucher (en vrai) la mort = concrètement, physiquement, réellement. aller ainsi en roche ensemble vivement. aller ici en roche vivement pour faire cette chose d'une sorte de mainmise ou comment dire (via le Verbe ?)sur pareille déité des prés : est-ce possible ? il xemblrerait que non. il semblerait queen vrai on ne puisse, on ne puisse pas : la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la topucher ! la toucher la toucher ! la toucher la topuchert ! la toucher la toucher ! la toucher ! la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la topucher la toucherr ! la topucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la topucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher pa toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher !nla toucher la toucher ! la topucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la topuher ! la toucher la toucher ! la toucher pa toucher ! lza toucher la toucher ! la toucher ma touchertb ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la topucher ! la toucher la touchjer ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher b! la toucher la toucher ! la touchezr la toucher ! la toucher pa toucher ! la toucher kla toucher ! la toucher la toucher ! la toucher lma toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher! la vtoucher la toucher! la toucher la troucher ! la toucher la toucherb ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la touchezr ! la toucxher la toucher ! la touchezr  la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la touchjer lavtouchezr ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la touycher! la touycher la toucher! la toucherb la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la toucher loa toucher ! la toucher la toucher ! la toucher la toucher ! la touchezr la toucher ! la touchezr la toucher! la toucher la toucher ! la touchezr la toucher : la M de M.


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13/03/2022 

On regarde devant soi pareil présent, ce présent dit "de proximité", et ce faisant on capte, on attrape, on cerne un poil, on est attentifs et -ives oh oui, cça oui. On veut être des qui sans cesse regardent devant eux ou elles ces données de rage rupestres. Et pour nous c'est sûr que ça le fait .......... mais pour elle, Elle, La mort des embruns (ou dite "des embruns") ? On ne sait pas. On pencherait pour oui mais rien n'est moins sûr. Allons essayer , ensemble, d'y comprendre quelque chose ! allons donc ! Nous on voit des choses ici qui sont devant nous des bêtes, bêtes-mots de rage, et ces bêtes ou bêtes-mots de rage, sont des êtres de la foi en Ellle = bêtes surnuméraires (c ertainement) qui dsont bêtes de foi, en cela qu'ici, ici même ('sas des sas), la croyance est insérée, la croyance est comme prise, elle est Figure d'Austérité et de Sainteté. On voit que l'aurochs ici est la bête-mot de sa mère, la mort enchâssée. On voit bien ici que le Verbe natif est comme inséré à une sorte de paroi de base décorée, luisante, faisant forte impression, marquante. On cherche ensemble à comprendre les données les plus arcghaïques qui soient. On fouille que tu fouilleras; Orpaillage voilà ! il s'agit de ça. Et quelquefois (souvent) la moisson est maigre, qui n'est pas profuse/ On cherche à comprendre les données de base présidant l'Histoire des choses du monde, c'est-à-dire essentiellement : lza Vie (de rage) et la Mort(défaite). On touche (on dirait) au but. On se dit que nous on est des qui (ici : paroi) cherchons vivement les données majeures dites "Données des Embruns" , "Données des Fonds de Cale", etc. La mort est une enclave (peut-être) qui nous "tend les bras" ou alors quoi  ? on ne sait pas ! on est (deux) qui (ensemble) cherchons que tu chercheras, et forcément ça pousse à fouiller un peu partout mais bon, quoi on trouve ? des petites choses ici ou là, mais ces choses en soi sont pas si terribles ! elles sont des choses déposées ici, mais nous on aimerait en vérité que la justement (dite) Vérité se révkélât dans toute sa Magnificence rupestre et une fois pour toutes, or non. Il s'agit d'un flux. un cours des choses et pas plus peut-être. On cherche à se rapp^rocher le plus possible d'icelle roche des apprêts mais (comment dire ?) c'est un drôle de travail en soi, on est là tout pantois pantoise (toute) qui (de fait) essayons de passer , qui un doigt, qui une main, qui un oeil, qui quoi que ce soit qui puisse "le faire" et puis comme il faut ! comment faire ? L'oeil une fois passé semble regarder ce qui est ("in the baba" pour ainsi dire) et cela étant ou étant dit, on se dit que l'intérieur des choses, disons de la Chose (La mort en son royaume) eh bien est ........ pauvre plutôt, ou comment  ? paroi du bout du monde, galerie, chant d'azur, prairie ? on sait pas ! On regarde quoi ? on regarde Intérieur et Intérieur est sombre. Disons non, l'Intérieur est un début de galerie, on voit les cloisons, ça bifurque de suite et où ça va on ne sait pas. On imagine plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein de choses de la foi en cette Chose d'une fin dernière cloturante mais bon, qu'en sais-je ou qu'en sait-on ? A vrai dire pas des masses ! On est comme deux (en soi) benêts qui regardent regardent regardent plein plein plein plein de choses devant soi, des offrandes, des quoi ? des présents, ce preésent de rage déposé au pied de la Chose, mzais la Chose est gourmande, veut plus, plus mâcher de l'herbe, etc. Nous on est des qui cherchons ensemble plein de choses qui seraient fiables, et ces choses c'est comment dire, des données frontales, chevelus peut-être pas (imberbes ?) qui pour nous nous en apprendrait plein, ou disons beaucoup, sur ce que c'est la mort et ce que c'est pas. On regarde un tantinet dedans, on voit que rapidement ç bhifurque et du coup on ne voit pas loin. c'est courbe merde ! C'est ainsi que pour y voir (disons : da vantage) il faudrait ensemble aller plus loin, entrer plus avant, c'est à dire : mourir. Or bien sûr que nous on ne veut pas de cettye chose, on veut pas mourir , on veut tous et toutes rester en vie , tous et toutes a priori. On veut juste passer 1 OEIL, ONE. On veut ONe et pas plus oh c''st sûr ! On veut entrer en cette roche dure des parois du monde, icelle rotonde, en cet endroit de fin de siège ! oh on entre à peine un doigt , un oeil, une main de passe, un mot de trop etc., et cela fait on se dit que peut-être en effet la mort a fort à voir avec le Verbe. En vérité : plus ça va et plus on se le dit ! On se dit ensemble cette chose comme quoi le monde est comme nacré "de la tête aux pieds", on se dit ici ensemble en soi, cette chose, comme quoi le monde "de la vie et de la mort" est monde inclus "in the baba" du Verbe pariétal , soit en cette chose des Aurochs de bonne taille et forte prestance (pour en imposer en tant que tape-à-l'oeil). On est deux ainsi en  ous : un homme des prés et une femme au débbotté. On cherche ardamment les fruits de la passion, on creuse. On dit pour nous qu'on s'est ensemble construit et consctruite, sur ça : la Chose des bois , le chant de la roche, le trait de paroi, la gravure, l'antilope des données acides, le poinçon, la charte. On comprend que des fois c'est pas évident à comprendre pour aurtrui, cela qu'ici on tente , de faire de concert. Pzarfois c'est sûr on est pas compris et comprise. Pourtant on eesaie au maximum, de faire en soprte que vraiment les mots , les phrases, soient tous et toutes lisiblkes et compréhensibles, et du coup puissent informer ailleurs, au dehors, les gens de la CXhance, etc. Mais c'est vrai que des fois ça pêche grave ! c'est un fait ! c'est sûr ! c'est comme si c'était acté et frappé-gravé dans la masse ! On regarde les mots qui ici ou là, aurochs et bisons des bois, caracolent, et ces :mots,  on les suit longtemps des yeux et jamais on ne les lâche ô grand jammais car les mots sont ROIS, ROIS DES PAROIS, ROIS DES ROIS, ROI DU MONDE, ROIS DU ROYAUME DE LA MORT SUR TERRE ET AU-DELà, on voit ça ! C'est dit ! ça au moins c'est dit, inscrit, gravé dans la roche pour l'éternité, gra vé-sculpté et à jamais ça se saura ! On est 2 ainsi qui voulons comprendre ce ROI, ce siège, ce trône des attraits, cet endroit de basse-fosse, ce tombeau au dieu éploré. IL est quoi ? ce tmobeau est quoi ? un trou dans la terre ? une sorte de passage-cachette ? un champ de ruines ? une sqorte d'entrée dans la matière du Verbe multi-séculaiore ? un chant ? le tmobeau (de fait) est-il un chant ? un qui sortirait sourdant des entrailles, sourd, chant sourd sourdant ? On sait pas ! on trace = on court = on dessine = on dit = on vit = on tient bon conttre vents et marées soit les vents et marées de l'adversité pariétale. On regarde autour de soi ! orpaillage il va sans dire ! Orpaillage on dirait ! on croirait ! on chezrcjhe OR, ORAUX, ORO, ORAL, Organon-sur-Rage (un lieu dit) , et cela nous prend "du TEmps" c'est une (drôle d')évidence c'est sûr ! Comment ensemble on pourrait dire exactement pour se faire comprendre? on se dit que nbous (à 4 mains) on a à tenter des approches de près , o,n veut toucher,  à icelle Entité frontale, Reine de SAba, charge brutale, bête de joie, chant docte, pelure ! vivement le Temps entièrement déplissé sur table d'offrande ... ou alors notre peau ? eh bien ... disons ..... peut-être pas tout de suite s'il-vous-plaît, car nous sommes deux qui (en nous = en soi) cherchons justement à toujours davantage reculer le moment ou ce moment qui nous verra bon an mal an passer l'arme à gauche il semblerait. Nous on ne veut pas tant que ça mourir, nous ensemble on dit ça que en vérité on ne veut pas (pas vraiment) mourir, on veut demeurer = tracer, figure d'éternité (Aurochs, Anttilopes) à même la roche du Temps, soit du Temps déplissé, ici, sur paroi meuble, ce chant des apprêts, ce temps-Chant des choses de base sur terre assoupie (assouplie ?°. On est comme deux en soi (en nous ?) qui creusons de force, qui grattons vivement. Le Temps est l'affaire du monde de la vie passée. De la vie en train de passer. On se rapproche des données frontzales. On croit comprendre un  certain  ombre de choses qui se présentent et cesz choses, une fois cernées (vues) on se dit que bon, peut-être, il faudrait les rassembler,  les consigner quelque part à l'abri des regards mauvais, c'est-à-dire en vérité voir à les protéger, et cela fait eh bien ..... en chercher d'autres ! plein ! plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein, plein plein , plein, plein, plein, plein , plein, plein, plein, plein, plein, plein ! Car nous sommes friand-friande d'icelles vérités de base, nous les aimons bien (plus que bien), nous en raffolons, nous les zaimons ! Nous voulobns comprendre ensemble cette chose d'une sorte d'enclave prairiale : est-elle dedans la Roche , au dedans ? ou alors est-elle dehors, après, la roche passée, la roche une fois passée ? Les mots manquent on dirait , pour cerner au p^lus près les termes des TEmps, et du coup piger grandement (au premier coup d'oeil) les tenants et les aboutissants de pareille approche. On croit comprendre mais rien n'est moins sûr. Où est-on ici ? Où sommes-nous  p ârti.i.es ? ou : où enfoui.es ? Eh bé ..... je sais pas tout ..... je sais pas ..... je veux savoir mais je sais pas bien ..... je suis pauvre d'esprit ! bêtassou et bétassoune ! oh que oui je suis ! Je suis bête sur les bnords et même plus. je suis homme-femme bête. suis-je bête ? OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je suis ! et puis beaucoup , c'est-à-dire très. Je suis qurlqu'un / quelqi'une qui en vrzai pipe que dalle, sur pareils sujets de base concernant la mort. Je fais celui et celle qui sait, ou en sait long (très long : des longueurs de ouf) mais tu parles ! rien du tout ! juste bon /bonne à faire illudsion, peut-être un temps donner le change, faire accroire, faire ainsi que des choses sont quand en vrai elles ne sont pas vraiment (vérité des vérités) ou disons pas conformes aux attentes de qui vous savez, pas vraiment vraiment conformes. On truque pas mal. Tricherie tous aezimuths. ça y va ! ça masque ! ça ruse des masses ! cest bidon : complètement bidon ! C'est même la Honte oh presque  ! On pose que tu poseras des choses (le présent ? le pass"é de soi présent) et vite de nous retourner (les jambes à notre cou) et fissa filant ! nous on aime bien se protéger (ou nous protéger) des "intemppéries". ON veut pas trop être mouillé.es. Nous ce qu'on veut c'est pas sp^écialement être mouillé.es, pas du tout en vrai. On veut passer entree les gouttes de la mort à l'oeuvre. On s'immisce. On glisse vif ! On veut traverser la roche du temps sans trop casquer. ça, nous, qu'on veut, c'est : pas casquer de trop (c'est dit). On cherche à comprendre serré, le plus ^possible. On cherche des données frontales ! on cherc he des données coriaces ou comment, cordiales ? ou non : chorales ? comment ? liées (toutes) au coeur des choses du monde : vie et mort des données rudes. On s'avance à pas de fourmis ok mais c'est la vie (en vrai) qui veut ça. On s'avance ensembvle à pas de fourmis mais voilà, la vie veut nous freiner des 4 fers dans notre chevauchée. Elle s'interpose (un présent) en cette roche des tourments de bure (monacale). On est 2 en soi = moi et toi contre le monde entier, moi seul à tes côtéés , et c'est fait : la vie s'épanche, se dilate, prend de la place (beaucoup de place) dans le Temps ! une sorte d'avancée lisquide, tâche d'huile. On est qui voulons de fait aller profond en cette roche dure des temps impartis, et cela : vif ! vif de chez vif ! à la vive disons ! On est là ensemble quyi (ici ou là en vrai) cherchons qu'on cherchera des choses vives = de la Vie de base, vif du vif, beef, et voilà ! voilà tout ce qui est ! voilà ici et là ce qu'on voit de ce convoi de bêtes-mots de rage formulant la trame d'une Rage ! On t§ouche (qui sait ?) à une chose rude de chez rude : une bête-reine, chant des colères, trou normand, la belle des bêtes, une sorte de bête placide, campant sur ses bases, posant, nous regartdant profondément. Elle est qui ou quoi ? cette bvête est quoi ou qui ? Une bête réellemeznt surnuméraire ? ah eh bé peut-être bien ! ça se pourrait ! une bête en plus ! une bête en  ous qui est en plus de nous, soit de soi. On cherche ici ou là des réponses à des questrions de fond que nous nous sommes en nous (2) à nous poser. On se pose pas mal de questions concernant le monde, on essaiee ensemble de nous poser , pas mal de questions sur ces choses de la vie sur terre et de la mort de base en attente. On tremble un peu car les choses arrivent vite qui vous foutrent à mal, mais bon , on croit en soi, en son étoile, en sa parole en soi, en son avancée. On est qui voulons creuser profond bien entendu, et pour cela le pic de Verbe, pic et pic et collégram on trace sur roche : un aurochs, une antilope, un cheval ou deux, cheval ou chevale, jumente ou jument, bisons à fleur, bisonne baronne, plein de bêtes grosses et grasses, des dizaines sur paroi ici et là, surnuméraires. Mains fadas. On espère grave que des choses vont se mettre en place tranquillement à même l'espace du Verbe ancré. O,n est deux qui veillons à ça, c'est un fait avéré. On est dedans la roche (inclus et incluse) qui fouillons, qui oeuvrons pour un dire dur. On chercvhe en roche un propos de taille, un massif des clopinettes, rudesse à l'épreeuve, chargement frontal on l'a dit, caroosse d'or. on est Roi-Reine en soi Abeille. On est qui butinons la fleur des Merveilles. Qui l'eut cru la veille ? Nous on est des qui sommes du Royaume des Abeilles butinueuses, des Abeilles butineurs. Une abeille. Un abeil. On cherche grave des données rases. On est pas là pôur rigoler ni se faire engueuler, on est là (ensemble) pour (si possible) voir la chose (des moments de rage) défiler sur roche. on est 2 en soi = toi et moi;$, l'homme et la femme, le yin et la yang, le mot et la chose, croisement des données rupestres et on s'époumone. On est qui cgherchons ensemble à comprendre les données de base ce qu'elles sont ou sezraient en vérité pour soi à même la terre creusée. On creuse que tu creuser as , car nous quoi en définitive on voudrait ? on voudrait CER NER, voilà ! cerne que tru cerneras ! On cherche à pour le coup au maximum cerner de base des choses royales. Qui l'eut cru ? en vrai pas grand-monde ! on pousse ! oh oui poussons ensemble ! pousse que je pousserai et que tu pousseras des masses de poids à même la paroi ! adventice ! on creuse ! Amériques ! On est arrivé;Es ! Elle est arrivée et je (moi) suis arrivé, nous sommes en soi = en nous = oui en soi, 2, 2 pour une (sorte de) arrivée directe sur roche via la traversée ou comment dire d'une sorte de paroi du monde. Sainteté. On traverse roche 1 et là on se retrouve à l'intérieur d'une sorte d'enclos (rotonde - dominicale) où il fait bon aller et venir, sautiller et brouter l'herbe etc./ Il s'agit d'un champ d'azur. le soleil frappe, tape. Il fait chaud grave. on est qui allons ensemble (main dans la main) et cvo:mprtenons que là est cette chose d'une sortye de petit enclos à magie. On est accolé.es. Disons : collé.es. On est 2 qui sommes 1, et du cvoup on avance ainsi au milieu des bêtes a djacentes. on est à l'intérieur (peut-être ? le sait-on ?) d'une sorte de "petit monde de Don Camillo". De ddOn de la Foi ? de quoi ? Monde frais, éclairé, vert pomme. Chaleur. Moiteur. Sentiment de sécurité. Embûches ? On essaie de cerner de près les données ici présentes. On creuse à même la roche des données de rage vive, on veut toucher la roche des bois, on veut s'avancer ensemble de la paroi là-bas : est-ce toujours de la même paroi que l'on parle ? est-ce ici toujours de la même en vrai )paroi du Monde des Fées ? Oh ezh bien peut-^tre ! On dit des fois qu'un malheur en soi peut arriver à se loger facilement, et nous coloniser. Mais nous on renâcle ! On s'enfuit à bride abattue à travers la lande ! on court comme des dératés de la Rage ! On ne s'en laisse pas conter ! on court on vole. On est deux et des, qui courond-volo,ns à donf. Ça y va ! ça court à fond la cale ! c'est une aventure (une intrépidité) de chaque instants , soit dans les prés (du firmament ?) , les bois et sous-bois, les embruns nacrés, les proximités terminales. On est à présent proche de la roche frontale, der des der, qu'est-elle ? On dirait la même qu'à notre arrivée sur terre ! Peut-être, qui sait ? On touche à la roche, elle est gelée. Il s('agit de LA Roche Gelée. On touche qu-e tu toucheras à la roche, et voilà -t-il pas que pareille roche ici, est comme un abri qui serait abri d'une Chose Autre qu'ici. pré vert de la chance alpestre ? à nouveau ? On se dit que derrière cet ici, ce mur des paroles drues (crues), il y a ou il y aurait auttre chose que du pré fleuri. Mais quoi ? peut-^tre bien........................................................................................................................................................................................... des mots ? oh peut-être !çce sezrait cela ? que ça ? On cherche ! des mots de la rage et de la base, mots crus de ta mère, charge humaine ? condoléabnces ? peut-être en effet que des choses seraient qui viennent sur terre nous parler, via la roche et le temps posé ou déposé. on est qui vou;lons co:mprendre un certain nombre de données de base, données qui (pour le coup) nous vconcernent au premier chef , dans la mesure où nous, on cherche que tu chercheras (à mort) La Mort ! oh merde ! ça c'est un truc ! on s'attendait pas à ça en démarrant ! on pensait pas en arriver là ! c'est quelque chose ! on est comme des qui cherchons de l'or quotidiennement dans la vallée, la vallée des rages (et des avalées). On dit que nous ce qu'on aime et voulons est ça : cette chose rude à comprtendre comme quoi on cherche ............................................................................................................ de l'OR; oh ! eh oui ! C'ezst pas de la gnognotte ! c'est de l'OR EN BARRE ! ça rigole pas ! ça fait pas semblant ou plutôt si , pour elle, pour La mort, il s'agit de quelque chose qui le fait ou ferait grave quand en vérité il n'en est rien. Or, tu m'as compris, valeur OR maxi, mais pas vraiment (VRAIMENT) la Vie nantie ! oh oh ! l'or des confréries, des instants fatals, des disettes, du Temps déposé, de la Chance allouée, des confiseries, des gestes déployés à même la paroi du monde. "Une poule sur un mur" = une bête tracée, chargée et charmée. on regarde devant soi la roche des temps déployés, on trace à main levée (lévitationh) la chose à placer, à mettre vif, à coller. On est 2 qui sommes la somme de deux entités narquoioses. On truque : hé hé ! OR tu a s dit, OR EN Barre tu as dit ! il s'agit d'oralité basique ! chant grave = chant profond des catacombes , des apeuré.es. On s'avance ainsi à pas comptés, on veut comprendre l'ensemble des données qui trament une sorte de bande à accueillir ou recevoir des traits et figures. bande en contrebande. par la bande, etc. Chakleur des tombeaux, outrages, cris de guerre, insultesz et autres obscénités graciles. vas-y voir à ce qui est qui hurle, à la vie à la mort, son chant des profondeurs de l'âme ou alors quoi ? ON est pas (encore) sorti.es de l'auberge ! On est juste peut-être à la moitié, qui sait, du chemin des fuites, du trait de roche ici déplissée, du trait des abris. On est entré;es à pas comptés, on s'avance doucement, on essaie du moins d'en avancer, doucement, tranquillement, sur une sorte de sentier dit "des données royales " = frontales-fractales. Il y a des bêtes de bon poids tout autour de nous. des bêtes-mots paissent. charges rudes, cris de jioie = rut. brame. bramons. On essaie ensemble de se rapprocher d'une sorte de roche des prés qui serait reoche terminale : on a m arché, on est arrivé ici, on a comp^ris que voilà, on est des qui voulons aller loin en cette chose d'une roche des bords de base, des bords ultimes. Der des ders de la ROche dite Dure. dureté solaire. on est qui voulons pour le coup aller en cette roche ici  dé&plissée comme un rayon traçant un trait, à meême la Terre ouverte, on voit ça. IL s'agit de s'en approcher et de le mater , et de co:prendre ce qui est. Rayon des bêtes ? oeil vif alentours nous matant ? On peut essayer de déchiffrer. Le chiffre des données des bases mortelles, des bases de la Vie Rageuse : chants des prés et des rudes parois, chants des alentours nacrés, peuples du silence mordoré ? qui le sait ? on cherche ensemble en ce sas dxes sas ou en c e sein dxes seins la Chose. voilà ce que c'est que ça qu'on chezrche ici à deux. cette chose d'une sorte de donnée cruciale = fondamentale. Or des prés n acrés et sacrés. oR de la vie des bois et sous-bois. OR des rudes données frontales de paroi = temps d'az"ur. On comprend qu'ici des choses se trament, des choses ici qualifiées de "premières", "primaires", etc. S'agit-il d'un cri de joie lancé comme ça, pour la parade ? ou bien (tout autrement) d'une pariole réfléchie, posée, assoupie, qui dit son fait sans déborder, qui dit (dirait) sa pensée vive mais déplissée à même un Temps donné par la bande ? un peu peut-être des deux qui sait ! un + un = cela même qu'on rechercherait dans la lande. Une somme d'attraits, de révélations principales. On est qui marchons dans l'herbe nonchaleamment, on marche que tu marcheras nonchalamment en cette herbe de choix, on avance. on broute ici ou là("en passant je passe") et on est là, à présent, devant la paroi finale, terminale, ce mur des données, ce mont des apprêts, cette Chose Haute des Prés. on est qui regardons de près la Chose déplissée, haussée. armure

  ? De quoi s'agit-IL ? est-ce ici qui trône un ...................................... trône ? Siège de REine accroupie ? roi celte ? un de ceux qui plonge sa main dans pareille fente des temps montrés ? une (reine) noire ? grise ? ombre pôrtée ? roi et reine enchevêtré.es ? roi des reines et reine des rois. Des qui s'enchevêtrent fissa sur Siège (le Tas). ON essai-e de comprtendre. La déessse. La déesse nacrée. DU doigté . ON veut juste se rapprocher et un doigt poser . comprendre. De quoi qu'(est-ce ? Une Reine sur un tas ? roi des prés sauvages ? charge et chargement de choix ? On est proche (s) de comprendre une sorte de choses nées de la roche . On est collé.es quasi à pareille roche des fins dee roche des fins de fin des terres fleuries. ON compose (ici ou là) avec l'adversité. pas simple. pas donné d'emblée en termes de données solides, arquées, tenues de main de maittre par icelle roche gravée. on essaie de s'avancer d'icelle, d'icelles données aussi bien, ce qu'elles sont ou pparaissent êttre à nos yeux et nos oreilles. On essaie de se rapprocher d'icelles données frontales. un cri se fait entendre. une sorte de fée des parois sort "de là" soit de cette fontaine, de pareille douceur sucrée, de cette ouverture rocheuse des prés. On la voit qui sort de son ombre. elle est habillée de fleurs sauuvages, de fils de rage, de beautés vives, de traits de lumière. elle trône sous le vent. Le roi s'époumone à ses côtés, qui dit (et dicte) la bonne aventure. "une poule sur un mur, etc.". Le chant du Roi qui est chant de Rage, chant des bois, brame. cerf-roi d'une rage à être là : présent, offrande, geste de grâce, passage, tourment. ON est qui sommes des = deux, charmeuse /charmeur de serpent = boa. on veut ensemble si possible comprtendre sévère ce que c'est que cette chose rude-dure des Tempsq actés, des temps directement tracés sur roche des fins de carosse, des fins de passage, des fins de règne, etcx. Finalités agraires, rupestres, monacales. on cherche ensemble à comprendre, un grand nopmbre de données liées à des vérités, concernant le Geste d'un Dire de la Foi dans l'Ombre (etc.) et cela : à la lumière ici d'une sorte de fontaine (de joie) de rayons dardés, de rayons tracés. ça va ainsi sur roche se placer, se mettree à vif, vif de vie de base. On cherche à ensemble si posdsible toucher icelle roche des rayons, des luminosités terrestresz, et là : touche que tru toucheras la Déité. charge frontale. Charge des Temps. Charge Rude. Charge de colère. Charge-Colère. mise au banc des accusé.es. troublements, tremblements  . Tourments. Turpitudements. On essaie endsemble (main dans la mainb) de formuler un  ertain nombre de données pouvant incidemment nous rapprocher de la pour le coup Vérité telle qu'il semblerait qu'elle existât de fait à l'intérieuur de pareille Roche Nacrée. On se dit que nous on a à tracer grave, ++, cette chose d'une sorte de paroi des M%ondes. NOus sommes accolé.es collé.es à la roche;,,  on trace magdaliennement, aurochnoïdement, des données élementaires en termes de Vérités chargées. On dessine ici et là des bêtes, esssentiellement des bêtes de poids et masses agr aires. On est qui voulons aurochnoïdement charger la roche, la charger de folie, la cxharger dur, et cela, afin de pesezr +++ dansq l'escarcelle : cracher feu de rage, peser grave oui et charger, la mule du temps, afin de faire accroire. On est qui se tenons la main pour dessiner  = en transe comme qui dirait (est-ce vrai ?°). On dessine à main levée des bêtes et autres mots de base. ON est qui chargeons, la mule des temps déployés,, on veut comprendre;, on veut aller loin en cette roche des compréhensions faciales. On est pour la paix des mén ages. LA mort et la vie accolées pour une vérité des vérités de la rage drue, de la rage rude et dure rage des données tracées sur page par (peut-^$etre) une main (ou deux) amie(s). On est proche de co:mptrendre pas mal de choses liées à la vie et à la mort telles qu'ellkes ensemble elles sezraient soudées. Il semblerait ainsi que oui, la vie et la mort soit soudéesq. toutes deux main dans la main , comme enfants de barbarie, enfants du limon, enfants doux des abris, charges des prairies, mécaniques. On se rapprocxhe de la vérité acculée. ça douille, c'està dire que ça pèse. Le pez pèse. L'or douille. ça envoie du bois ! c'est balèze ! ça crache ! c'est couillu! c'est chereté nacrée de  face ! ça pistonne grave !  On est deux qui '(ici) voulons prendre et porter, des données, des choses de poids, les tracer sur roche, tracer sur roche, treacer ici ces dites données de la foi en cette chose dont le nom est : MORT ..................................................................................................................................................................................................................................................................................... ou quoi d'autree ? OR ? ah ................................... hé ! peut-être ! ça se pourraiot ! dans MORT il y a OR (comme dit l'autre) et du coup ça fait quee forcément on cfommence grave à se poser mille et une questions de base. on se de"mande ce que donc ça pourrait bien être que cette chose d'un devant de soi frontal, le nom de la chose : est-ce la même chose ? avons-nous à parcourir le TEmp^s en long et en large ? avons-nous à comprtendre 1000 et une chose postée sur roche ? Sommes-nous des intréprides de la prairie, chargeant mule outrageusement et cxhertchant de front à comprendre le sens de la marche  ? une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une , deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deucx, une, deux, une, deux, une,, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une , deux, une, deux, une, deux, une, deux, une , deux, une, deux, une, deux, une, deux, uene, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une , deux, une, deux, on dirait, on dirait ça,, on dirait la m arche, le Temps de la marche. On se met ainsi en bvonne posture de m arche. On avance comme ça sur roche des Temps. ON marche ensemble , on avance ensemble, et de une et de deux; on trace = on file = on pistonne = on va vite vers des sortes de "finalités" des catacombes, on voit ça qu'on est , à deux doigts de passerv l'arme à gauche ................................................... mais il ne faut pas ! surtout pas ça ! On doit tenir debout sur place. Campé.es. On se doit de faoire ainsi qu'on soit campé.es, qu'on soit bien arqué.es, qu'on tienne, qu'on soit là ensemble à bien tenir debout face à l'adversité des données priméires ou premières peut-être mais surtout finales = terminales. Données r(udes s'il en est, et "comme" nous regardant de face, cherchant assurément notre regard, s'appuyer sur lui, cherchant mots de base, chair et mots de base, mots-bêtes et chair de rage, etc., tout un attirail de données (humaines) diverses. Et nous du coup d'aller ensemble nous (comme) accoler, à pareille paroi des vérités, parois lisse ou au contraire, pas lisse, rugueuse, peu importe la chose, le Temps ici est, qui fait (lui) l'affaire , pour ainsi dire "de la t^$ete aux piedsz" si tant est que le temps ait des pieds, une tête, un corps entier, etc

😢😀😀😀

. pas sûr de ça,maids voilà : le tempsest incarné qui fait nos affaire ........ un temps ! hé ! c'est ainsique c'est ! ça fait son chemin,comment dire ? une sorte en soi d'épousailles , un chemin de croix ? rafales ? on cherche assidument la chose de poids, qui peut-être sezrait cela même que le temps offre ou offrirait à ceux et celles qui (comme ici) cherchent ensezmble (ou chgercheraient) à comprtendre profond = loin = dedans. Dedans quoi ? dedans la roche assurément. Et cela pourquoi ? pour naviguer évidemment ! naviguer (nonchalamment) dans le temps ! aller de concert en cette roche dure des abris de base "pour la vie". On se met ainsi en mesure à deux de comprendre mieux le pourquoi du vcomment des choses adviennennt continument au fil du temps. Et peut-etre que ouyi, en effet, on commence à toucher du doigt un certain nommbnrte de vérités de base, dites "vérités de rage", ou alors "vérités d'embase", "vérités des vérités". on s'accroche (il le faut) . on ne veut surtout pas lâcher prise. On veut tenir. On veut tracer grave. On veut vitte tracer grave des choses qui, pour nous, seraient capitales, choses rudes, choses de poids. Colères disons. Colères fortes, fortes colères. disons : de choix. Colères vives , colères qui sezraient pour nous armées, qui sezraient comme pour nous armées de sentiments divers (n'importe lesqauels) de façon à (de fait) pouvoir franchir (ensemble) la paroi des choses vives, des savoirs secrets, des données  vitales = vérités frontzales liées à la mort et à la vie ce que celles-ci contiennentb en termes de tribut donné à Déité. on croise le fer.On est deux qui croisons le fer, bataillons rude. ON veut tout toucher tout le Temps. On est garnementqs. On est comme des enfants qui ensemble essaient toujoursq plus loin d'aller à titiller les êtres de face, frontaux, devant soi qui trembvlent, etc. ON est des etres nous mêmes frontaux qui, pour le dire vite, tiennent tête, et puis beaucoup. On essaie de fait de tenir tête. On veut ensemble et pour le coup longtemps tenir le plus possible tête, ici tête à Déité nacrée. On est pas plus con que la moyenhe, ou conne. On est pas plus benêt que mal habillé. ON tient tête à tout casser. On est qui voulons de front tenir têzte et puis alors méchant = méchamment. on se met maretel en tête de vouloir de fait tenir têzte à la vie à la mort le plus qu'on peut = le plus longtemps possible : une éternité si possible. On veut ici toucher grave La mort. ICI PAROI. On veut ici -même graver et tracer, écrire et noter, creuser et dessinezr l'aurochs des turpitudes, la bête des prés, la gazelle vive; l'antilope soulagée, le bison salé, la jument débordée, un ou deux cxhevaux de trait, cheval d'envergure, chevaux ailés, vive allure, haute fûtaie, ours.On commence ensemble à comprendre ici bien des choses concernant la vie (monacale) des données de base : un tient ici est donné qui vaut sans frais son pesant d'or et de lumière céleste. On pose les mots de notree propre rage déployée. on creuse la roche. ON est menaçant(peut-être) et menaçante. On se donne les moyens d'une folie. On veut pousser à faire vif ce qui est qu'on se doit de faire, à savoir : tracer, graver, à main levée, l'image de cette folie, de vouloir passer sans trépassezr. Fol:ie douce des données de base. Charrgement postal. Cri de joie dans la tourmente. craintes navrantes. chaud devant. L'enfant court qui chante vivement (voire à tue-tête)son chant de colère, sa chanson de rage, sa peur des entités de l'ombre effrayante. Enfant-truc. Je. Et qui du coup se protège finement des entités le surveillant ici et là aux 4 coins du monde,. Enfant-je des parois du Temps. On charge les faits. ON essaie de fait de se rapprocher d'une chose qui serait cette chose ici d'une sorte de donnée donnée à même la roche : un sentiment d'étrangeté ? une parole docte ? un savoir ancré ? un cri de futaie ? une sorte de colère monstre ? chant des matités ? couche d'ozone ? oh, on ne sait ! on pênse à une chose et à une autre ! on cherche un poids qui aille à pic sur la balance, on veut aller, c'est àdire aller loin sur le chemin des données données. On est qui voulons de force creusezr. ON est qui pour le coup sommes comme déposés sur roche : troubadours et troubadoures. on vole. Hautement. Elévation des bras dans la grotte. on prie Dieu de bien vouloir comprendre (essayer de) notre position. ça urge ! C'est à prendre ou à laissser. ON veut pistonner et pûis ............ pas qu'un peu ! On veut que ça pisse, que ça fuyite grave à l'intérieur des galeries, des tranchées, des corridors, des passages. On s'applique ainsi à déposer des victuail:les en termes de mots de base, mots-animaux, alouettes, charmes, plis. On est des qui sommes des, soit des ami.es des chants de roche dure, chaleurs ! Oh on file, on grave, on aboie, on trace, on dit, on perle, on parle, on pose, on court, on fiche le camp et on se plait ainsi. On est comme deux qui courons à travers la lande à la poursuite d'une donnée. il s'agirait d'une bête nacrée. une biche allez. biche ma biche aux abords de la forêt, qui pisse. ELLe est biche des prés allouées. Elle aime gambader à la une à la deux au milieu des bois, des champs de charge, des patûrages. on dirait qu'elle pisse, pssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss. Elle est qui nousq regarde, nous fait face. Elle cherche à nous appreocher. elle est qui cherche ici (pré fleuri) à s'approcher un tantinet de notre (nos) gouverne(s) , alors même que nous, on voudrait la tenir à distance, à bonne distance, sait-on jamais. Nous nous disons que nous sommes qui cherchons à toujours comprendre une chose ou une autre qui serait (toutes) liées à des choses concernant la mort, la vie de la mort, la mort de la vie. On commence à se dire ici que bon, ça peut être un truc que d'ainsi creuser vite fait les sortes de banalisité psycho-mystyiques ésotyériques. Peut-êtere que finalement c'est pas si léger ! ça pèse son pèze. On veut bien sûr aller loin le plus en ces contrées concernant ici les données rupestres de la mort à l'oeuvre à l'intérieur du Verbe, mais pour cela il est bon (il wsemblerait) de cerner au plus juste les données acides , les denrées déposées, dans ce qu'elles ont (les unes et les autres) à nous apporter en termes de savoirs prégnants, trébuchants. on compte les données ensemble, en paquets.Elles nous importent. Elles sont pour nous choses depoids, choses lourdes à déposer, à cerner, etc. On veut ensemble comprendre ce qui est ici qui pour nous est comme une sorte de chose rude à déplacer ou à devoir déplaccer les mains fermées. On cherche. On essaie de se rapprocher d'icellle bête des prés, celle-là même qui ^pour le coup nous fait (encore) face = BAMBI ! Hé hé ! hé oui ! C'est BAMBI la grande ! la grand BAMBI ............... ou le grand BAMBI ? est-ce un mâle ? une femelle ? savons-nous cela ? mâle ET femelle ? une sorte 'entité compacte ? hétérogénéité ? on est devant. On s'est placé.es ensemble aux avant-postes, on regarde. ON est là aux devants qui sommes à comme regarder finement ici et là des choses de poids. C'est quelque chose ! ça dépote méchammen,t ! ! ça fait pas dans la demi-mesure ! c'est fatal ! c'est juste fatal que, pour le coup, ça fasse pas dans la demi-mesure , en matière de ...... semblant ? Car quoi, le wsemblant est là qui fait comme bonne figure : un tient vaut m

ieux que deux tu l'auras on dira, mais ce tiens est un drôle de tiens, qui se fiche un peu de l'Autre = la mort. Oh oh ! c'est une xdrôle de chose ici, c'est un peu bizarre, ça fait des plis, c'est tentaculaire, c'est long (méga-long) et ça rigole pas dans le genre ! "c'est une aventure humaine de longue haleine et aussi un parcours ou une sorte de pa rcours-santé, à la revoyure". ON essaie dès lors de nous rapprocher de ............... la mort ? oups ! c'est dit, merdum ! fallait peut-être pasq le dire ici si vite ? ou alors on s'en fout pas mal ? qu'est-ce qu'on en a à foutre ! On pâtit. On prends sur soi aussi. On évoque ici la figure des Dieux comme en furie après l'amendement que nous sommes deux à bien vouloir ici tracer à main levée , à savoir : comme quoi la Vie et la MOrt, ont parties liées via ....... le verbe, hou hou ! ou peut-être pas ? On cherche vaillamment, ardemment, conscientieusement, volontairement, et misérablement  certainement, une chose à dire qui serait c ela comme quoi la vie et la mort, ont parties liées dans (DANS) le Verbe, macarel, ou alors je me trompe, mais en vrai il me semble que non, pas d'erreur, c'est le dSieur qui tremble , qui jubile, et aussi qui jouit en soi (= en nous) à travers le

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VErbe ennous (= ensoi) inséré. CAr le Verbe est inséré "à la vie à la mort) en nous = ensoi= en nous-même = en soi-même,etc. Une sorte d'inclusionnative, unenfourchement des données,une prise dela Bastille, Capital. On cherche ainsi ensemble à piger profond des données de base native comme par exemple un pli pris, un cri primal, etc. ON est sur le pont pour ainsi dire , et ce : vaillamment, finement, solidairement, continuement, conjointement, ardamment, vivement, complètement, tendrement, soudainement, carrément ensemble, etc. La vie pour nbous est cette chose apprise. ON complète avec des mots de rage, on s'avance ainsi sur la page, etc. On est qui voulons de fait comprendre loin les données frontales telles que pour le coup on les devine. On regarde attentivement icelles et ce qu'on voit est un convoi : de buffles marrants, d'antilopes charmants, de bisons menaçants, de bouquetines pissant , de biches aux aguets, d'ours des catacombes, d'ourses virées, de bêtes bêtes aux abords des prés. On regarde autour de nous ces données données et forcément ça fiche un coup, et ce coup est porté, porté loin en nous, on souffre, on a mal et beaucoup. On peine. On est deux qui peinons. On est qui peinons blême certainement, devant pareille adversité en nous de la mort (de fait) à l'oeuvre ! oh voilà ce qui est en termes de peine, de douleur acide, de difficulté à digérer, de manquements, de handicaps moteurs et auttres. ON peine à comprendre;, on fatigue, on est peut-être mal-doués (c''est un fait). Mal-douées tambien : homme et femme mal-doué.es pour la recherche avide, bouche bée. On ouvre grand nos écoutilles, on cherche à grand ouvrir notre propre pouvoir de comprenure directe, mais ça grince, ça crisse, c'est mal huilé, c'est pas parfait. Nous on aimerait savoir beaucoup et loin les choses ici du monde adjacent, les données primaires, les bases natives, les mots de la rage naissante, les pousses jeunes d'un début de vie pariétal, mais voilà, en vérité, on peut le dire, on est (et elle et moi en moi) mal doué.e pour la comprenure essentielle ou directe des choses du monde : vie-mort en,chevêtrée, qui sont prises entre elles comme serpentins d'eau vive, cordellettes nouées, ou becs. On est qui allons loin dans la recherche disons  musicale de vérités mais tu parles si ça le fait ! ça le fait pas des massses, ça fait pazs des masses effet ! ça fait qu'on dirait pêutêtre et encore, de loin, qyue ça le fait, mais en vrai tu parles ! tu parles charles si ça le fait ! ça le fait à peine ! ça le fait que ça le fait à peine, merde ! on se dit que ça le fait à peine et c'est bête ! on aimerait grave que peut-etre ça le fasse davantage  ................................. aux yeux (?) de la mort , ou quoi ? ON cherche ici et là ! On est culotté.ES, on se gêne en rien pour chercher grave ici et :là les données. On veut toucher-toucher et pas toujours pleurer-pleurer sa misère ! On veut qu'on veut savoir ! On veut qu'on veut aller loin dans le savoir ! On est pas sorti.es de l'auberge peut-être mais on s'en fout pas mal car nous on a le temps (pour ainsi dire) pour nous : Temps déroulé, Temps déployé;, Temps déplissé, Temps acquis, Temps des bases rudes, Temps des prairies acidulées, Temps-remorque, Temps des choix princiers, temps rustiques des campagnes vives, Temps dévoluà la pensée vive = en vie. On touche au but, on est proche de la vérité, on s'approche vif. On est à deux pas. On est à deux doigts. On est à un rien de rage d'iccelle anfractuosité des données alpestres. on est deux face à elles : anfractuositeés des données de face, vilosisitées-pilosités de la bête-rage. On comprend des choses ensemble = on commence à comprendre. Un être est là devant qui nous appelle. IL s'agit encore et touj,ours d'une bête. Cette bête porte un nom qui est "La Mort". Il s'agit d'un "monstre", c'est-àdire d'une vérité (grosse) affichée. On s'approche d'elle et on la regarde. A quoi ressemble-t-eelle eh bien à une sorte de déité, dite "des chemins", sorte d'animal de compagnie prairiale, bête à bon dieu ou comment dire , bête rude. On s'app^roche d'elle et on voit qu'elle nous regarde. Elle ne cesse de nous regarder. son oeil est vif, allumé, intense, menaçant. QUE nous veut-elle, ou plutôtt, de nous, qu'attend-elle ? que veut-elle de nous que nous puissions remmettre à sa gouverne ? notre vie en vie ? EH OUI !!!!!!!!!!!!!! c'est pile ce que cette bête veut! ce que pareille bête veut de nous en vrai, qu('on puisse lui remettre (soit en bonne et due forme pour le coup). On est là qui co:mprenons (enfin) la chose qu'elle souhaite ! pas si=mple toujours de comprendre quand on est benêt, borné.e tu m'as compris. Il faut s'entraîner , à faire fonctionner sa fine cervelle de benêt tout ahuri, de bete des bêtes, d'idiot de la fratrie etc. On est pas grand-chose. Nods pouvoirs sont limités. Sa comprenure est peu développée, elle ne cherche pas loin, elle reste souvent à quai (ou comme à quai). On a peu de moyens à revendre. On est des benets de la la,nde. On court on pêine. On chante que tu chanteras à tue-tête pour ch asser le Mal, le Loup des contrées, l'Ennemi juré, le Méchant de la bande. on est dans les bois, on file à tout va, on en avance.

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11/03/2024

Nous nous approchons de la paroi du monde. Nous sommes 2. Nous aimons entrer en elle et nous y loger. Nous voulons comprendre les menus do nnées (et les moins menues !) et pour cela : fissa ! à l'abordage ! entrons de concert ! fissa grave entrons ! ne tergiversons pas ! creusons ensemble la roche à mains nues, gravons des bêtes, allons-y ! Ne cherchons pas à louvoyer plus qu'il n'en faut et plongeons grave en cette roche dure des apprêts, des données acides. Filons droit et dur ! allons-y Myster ! soyons dingo ! entrons à l'arraché ! finalisons icelle entrée tête première et le reste (le reste du vcorps) à l'avenant ! Soyons ceux/celles-là ici même qui. Qui veulent, qui osent, qui essaient, qui poussent, qui font pas semblant, qui jamais ne font semblant, qui jamais ô grand jamais ne font comme s'ils ou elles allaient faire sans faire, bien au contraire ! Imagine un peu que du coup on entre vraiment en icelle roche et que brusquement sur soi la chose se refer me, nous englobe, nous contient, nous prend en son sein. Oh oh la Chose dure ! Oh malheur Grand! Oh comme on serait pris et prise et aussi et surtout surpris et surprise de ce fait pas si banal ! Oh nous voilà (NOUS) comme surpris / surprise ici, qui sommes entré.es fissa tête première, en icelle roche des attraits (ou des apprêts), et voilà-t-il pas que nous nous retrouvons tout nu.es, tout chose égalemezn, qui allons dans ce pré , d'un entre-deux qui reste à comprendre. Où sommes-nous au juste ? Eh bien peut-être sommes-nous en cette roche dure d'un devant de soi pariétal qui est, peut-être : osseux ? spongieux ? pulmonaire ? acide peut-être ? que savons-nous ? nous sommes entré.es en cette Chose d'un TOut monacal fait de TEmps (sûr) mais pas seulrement : d'herbe verte, de flueurette, de plantes agricoles, de pousses diverses, arbuustes, chênes-liège, mimosa. Voilà ! et nous de nous y plaire pas mal en vérité. Nous aimons la Zone (icelle Zone dite "des attraits divers"). Nous aimons gambader en elle (biche des prés). Nous adoro,ns nous promener, aller fissa et revenir, tracer sur roche et graver de même. Notre but est d'aller profons, d'aller très loin, d'aller grave très loin en pareille ici anfractuosité qui semblerait nous mater grave, nous prendre en elle, nous englober de rage (à la une à la deux) et nous voilà, qui allons en elle ... dans le sang pour ainsi dire. Collons ! collons-nous fissa à sa gouverne ! nous aimons entrer , en pareille roche des prés, nous allons et venons (biches tracées) sur l'herbe d'elle. Notre but est d'aller, de tracer des traits, de cueillir fleurettes et toucher à pareille terre. Notre but est de nous abvancer le plus possible du lieu de la mort à venir, lieu lointain (pas si lointain) du bout du bout, choose finale, mur du son. Nous avons ainsi à comprendre , moultes données diverses (de nombreuses données) qui toutes sont comme situées face à nous (elle + moi) qui regardons en face, mironbs, détaillons la Chose: "une poule sur un mur, qui picore du pain dur". Est-ce cette Choàse de près ? est-ce réellement pareille Chose, ou bien pareille comptine (comment l'appeler ?) qui devant nous semble comme nous atteindre, ou nous astreindre à bien vouloir nous avancer au plus possible d'elle. "Avancez" dit-ezlle , nous dit-elle. Nous nouys avançons.  À présent nous sommes près d'elle, nous sommes vraiment très près d'elle, nousq sommes à quelques encablures d'elle, nous sommes à quasi rien d'elle, nous sommes à quelques cm d'elle visiblement. Et là nous devons faire ainsi que nous serions d'accord , que nousq szrions d'accord pour comme traverser ce sas fameux reliant ici le pré fleuri à cette excavation dite "de rage". Nous devons montrer pattte blanche ou quelque cxhose de cet ordrte. Nous nous devons de (comme) montrer p atte blanche à icelle anfractuosité dite "terminale". La belle affaire ! car nous sommes 2. Disons qu'en nous nous sommes 2. Au moins deux disons. Nous sommes 2, qui pour le coup nous infiltrons à la une à la deux (voilà) en roche 2, en roche finale, en cette sorte de pàaroi des fins = la roche finale, l'ultime larbin, la fine colère des temps, cette trouée ou bien cette trachée , ou alors tranchée, ce trou de  guerre. Nous nous sommes infiltré.es un peu, disons même pas à moitié : un peu de soi en elle (pas des masses = un tant soit peu) et voilà qu'à présent nous cherchons à comprendre ce qui (dans la Chose) semble nous parler en vérité, en paroles de vérité, pour nous dire pour ainsi dire la bonne aventure nacrée, la qui compte, la qui dit des choses et pas rien, la qui pèse son pesant de charge, la qui sans contrfaçons révèle grave des données fondamentales (à propops de la mort essentiellement, soit d'icelle donnée fatale et de son corollaire : la mémoire, le temps infiltré, les mots inculquées °). nous nous infiltrons "un peu". Nous glissons la patte en elle : un bras ou deux,; une main ? nous marquons la roche. nous voulons marquer la roche à vive allure, tracer vif l'aurochs des sentiersq. Nous sommes entrés en cette roche dite "des prés" et nous nous sommes apporté.es jusqu'au fin fond, au fin fond des roches finales, au bout du bout, au plus profond des donnhées de base, soit "là-bas". "Là-bas" est cet endroit du bout du monde pariétal. Il s'agit d'un endroiot de vie lié à la mort. "Là-bas" est un endroit de fin de roche, bout du bout, qui semble être là comme à nous attendre. Une sorte de "porte ouverte", d'entrée en matière,  de trou à rat, de charge frontale échancré pour l'occase, etc. Nous aimons ensemble ici nous approcher d'icelle roche comme ouverte, échancrée, ouverte pour nous, échancrée comme à la parade. On entre, oh pas des masses : un doigt de rien ! minuscule ver de terre ! un doigt comme une sorte de vertèb re, ou de sep de vigne ou de batonnet servant à tater lala chenille, ou comment ? on est qui sommes (nous) des qui voulons fissa comprendre ici et là les tenants et les aboutissants de pareille anfractuosité. Nous nous sommes rapproché.es et nous nous sommes infiltré.es et nous noys sommes aimé.es et nous nous sommes alangui.es et nous nous sommes endormi.es "à jamais". Voilà le deal. Et aussi volià pourquoi on se dit ensemble que peut-être vraiment on devrait eesayer de réellement comprendre ici des choàses attenantes , à une sorte de vérité des rages et des abois. nous on veut (voudrait) ça, c'est un fait. On envisage grave d'aller en,semble en cette roche terminale(après les prés) qui est pour le coup roche de la fin des vies. On est comme deux benêts qui nous ap^prochons main dans la main d'icelle roche percée. On voit dedans. On dirait qu'on est à la fête foraine. Il y a des plis, des parois plissées, des sortes de plis ou plissements , qui semblnt nous indiquer qu'uil s'agit ici d'une soprte de paroi dite "tissulaire" : une chair ? de la chair divine ? quoi donc ? on cherche (à 2). on est pas arrivé.es. On a du chemin (pas mal). On aimerait réellement arriver à nos fins mais vads-y c'est pas gagné loin de là ! On regarde à part szoi la chair plissée. On voit devant soi icelle chair de roche, stratifiées on dirait, plissements terciaires, glissements des roches entre elles, comp acticité des formes internes. On est 2 qui regardons : elle la bête en moi et donc moi la bête en elle peut-être. compacticité des données frontales . Chairr vive. Poisson-chat. Une drôle d'ouverture rose, chant de soie, chasuble, amulettes, colères sourdes, cris de joie sortant d'un b ulbe , coaptation. On aimerait vraiment tellement comprendre ce qui est ici qui nous regarde vif, et aussi qui nousz retient, qui veut à tout prix nous donner le change, ou même peut-être davantage : une vive clarté ? ensoleillement printanier ? Nous on est ouvert et eouverte à mille possibiltés frontales. On est ok pour plein de choses à pouvoir cerner, à pouvoir m^"eme emmagasiner c'est l'évidence. On porte en soi le Verbe des prés. On est pas né;es de la dernière averse, on comprtend des choses rudes, on s'acclimate, on se maintient entre soi et soi dans une sorte ici possiblement de comprenure comme "inversée", c'est-à-dire qu'ici la chose n'est pas "raisonnable", il s'agit d'une approche à pas feutrés, à pas légers, sorte de quoi ? d'impression de bases, sentiments, intuition diverses, soucis. On essaie. On co:mprend que cette chose de la mort n''est pas une chose facile à co:mprtendre ensemble (ou seul peu importe ! et d'abord on est jamais szeul , ni seule ! on est nombreux en soi qui progressons, qui allons ensemble, qui traçons). NOUS ne voulons pas tergiverserplus que ça, nous ne voulons pas tergiverser du tout mais quoi, tracer, traces que tu traceras direct, ici paroi, à fond de cale et à fond la caisse, direct in the baba tu l'as dit et en plus c'est vrai. On est qui avons envie de comprendre lourd, qui voulons ensemble toucher à pareille paroi , des fonds soit des fond de vie, "fond de vie" dit (ici) "de la terre et du soleil". Nous nous sommes approché.es (incicdemment) d'iceluyi solezil. Brille soleil, brille que tu vas brillezr, brille toute ! tout et toute de brillance ici = la paroi finale, anfractuosité des catacombes, trou n acré, ça pulse, ça vibre, c'est doux-soyeux des roches, ça nous plait beaucoup. Une main pas davantage. une autre main renouvelée. pas plus qu'une (ou deux allez!) main à chaque passage. Sur roche martelée. tape que tu taperas, ta main rosée sur roche des grottes. On est qui marquons ainsi la passade. On est qui voulons ainsi toucher à cette Chose de la mort bizarrement (szur roche) à l'oeuvre. On est qui sommes comme des qui en vérité voulons grave nousq approcher (pour la comprendre) de ola mort. De la mort dite "des prés". de la mort dite "de la joie incluse". On comprend à présent cette chgose ici d'une roche des temp)s traversés, roche dure aux données diverses, menant dès lors (une fois passée) aux confins rocheux (une rotonde : paroi la même) donnant accès à une sorte de ......... peut-être ........ gentilhommière ? gentilleffffemmmière ou quoi ? une sorte ici (derrière la roche 1, devenue roche2) de sas ? de quoi ? on  cherche vaillamment car on comprend bien qu'il s'agit (ici) de données pour le coup super précizuses. ON s'avance à pas comptés, on grimpe, on saute, on fait des galipettes, on trace, on est 2 chargeant ici et là la mule. On avance grave, on trace grave, on troue grave. ON veut pour le coup comprendre ce que c'est que cette chose d'une sorte de "prise de becs" (?) qui serait peut-être pour le coup à l'origine des données équestres. On sait pas. Cheval fou ici lancé (à bride abattus) à même la prairie des filtres. NOus on sait pas. Une prise de becs ? entre hommelettes et femmelettes ? entre qui et qui ? chat et chien , chien et chat. On sa it pas. il y a peut-être là quelque chose qui nous atten,xdrait de pied ferme, un homme et une femme accouplé.es. comment dire ? On est qui voulons coûte que coûte pîger cette chose , d'une sorte de paroi du fond, chant des parois meubles : "une poule sur un mur

quipicore du pain dur"

et voilà l'embrouille , pour le dire vite ! On cerne pas mal de choses à vif, on creuse un bon nombre de p )arois mobiles, on est pas parti.is pour rien à l'aborfdage on le voit . on dirait vraiment ici la paroi la même, elle ferait le tour, on la retrouvezrait comme une sorte de chose d'enclos, palissade. On est qui ne voulopns pas lâcher l'affaire et cela pour rien au monde ! ça c'est vrai ! On ne lâche rien , on trace, on ghrave;, on dessine sur roche aurochs et bisonnes. Vas-y voir si c'est pas vrai ! On est sous multiples (ici) influences majeuresq , celle de la pluie, celle de la vie, celle des embruns, celles des données frontales pariétales, celles des envies de vie, etc. Il y en a un bon nombre et nous on essaie tant bien que mal de nous y retrouver, de piger vif, de tracer sur roche, d'aller et venir en elle, d'e faire ainsi que nous puissions comprendre un maximum de choses avérées, ou disons le maximum en termes de données fiables concernant la mort, la langue, la vie, les données vivaces, le paazssage au débotté, l'entrée dans la (les ) matière (s). Nous on est vraiment qui ou des qui voulons finalement plutôt nous avancer , au risque d'y passer. On dit qu'on cherche dangereusement. on dit que notre but est de (dangereyiusement pour le coup) chercher ces choses dites ici , soit tracées. ON est pas si cons et connes que peut -êtte (sûrement) on en a l'aire. On est pas du tout aussi con /conne que ça en vrai. on fait ou on jhoue au con, au p as fûté, au pas bien futé, m ais non. On comprend des choses. on est tout ouïe. ON est 2 sous cloche qui allons à la rencontre d'une vérité de type déité de type entité, et icelle entité ou déité s'appelle "La mort" tu le sais. On dit Dieu ducon pour dire "la mort" c'est sûr ! voilà n,otre (à tous et toutes) foi inculquée. ON Veut que des choses soient su (de tout le monde , de beaucoup du moins) et pas cachées. ON cherche à cerner les données frontalesz (de la vie et de la mort) et pour cela : direct à charge ! fonce que tu fonceras troub adour ! n'hésite en rien en cette chose ! fonce grave direect en roche inclue, en roche qui inclut (plutôt) et vif, vif de chez vif, vif d'allure et de train de vie. ON veut, nous, comprendsre ensemble ça. LA mort est enfant, la mort est enfant de bohême, la mort est un ou une enfant. LA MORT EST UNE ENFANT DITE DE BOHËME. LA mport est ou szerait peut-être ici cettye enfant dite "de bohême", et nousq (2) d'y croire intensément. On veut tracer grave sur roche des dessins de betes grossses (fortes charges) qui pour nous sseraient comme des (sortes  de) mots ici tapés, sur paroi dure = martelés. On dit "des gros mots". les "gros mots" sont des bêtes lourdes, des aurochs. l'insulte est masse. le mot gros pèse dans la b alance de la déité c'est vrai (on le sait) et donnent (un temps) le change, font passer la chose comme en contrebande. Il s'agirait du coup de bien comprendre cette chose, de la soupesezr, de s'en gargariser peut-être ou non : de toucher du doigt icele. On pense, donc on est comme des bêtrs qui allonbs à la recherche d'une vérité allouée à un Temps de vie étiré. NOus on voit la Chose ici de telle sorte que peut-être oui, en effet, la Mort nous "regarde" en cela qu'elle nousq concerne, elle nous cerne avec elle,  comment dire ? elle cherche à comme nous encercler vaille que v aille et oui, en effet, elle y arrive, elle est pas "tarée". Nous on comprend que si pâr ecemple on cherche  à  entrer en elle ("la mort de derrière") eh bé p)eut-être bien que ça va pas le faire ! peut-etre en effet que si (par exemple) tu passes la tête "in the baba", eh bé oui, peut-être, à la minute : kaputtov ! tu p^longes ! sombre que tu sombreras pauvre nigaud ! TU n'es pas bien malin en l'occurence ! Si seulement tu pouvais un peu être plus malin alors peut-être, oui, qui sait ? tu comprendrais des choses sans sombrer , tu finirais peut-être par comprendre ici et là des choses, des données de base, ce qui est, ce qui se trame, les données de fait, les arcanes. Mais voilà, tu es comme illuminé et pire : a-veuglé, et du coup tu passes à côté et c'est bien dommage. On voudrzait du coup comprendre ici ce qui (peut-être) sous-^tend à mort,  une pensée "située" de la mort, de la mort annoncée. il se p asse quoi en cela ? il se passe que là, en ce sas de roche, entre 2 parois qui  sont  même paroi disposée, de fait, en une sorte d'enclos circulaire, il se passe que voilà, on est coincé/.es, on est prisonnier et prisonnière, on est interné.es comme des benêts. On voit la chose ici (devant) qui nous fait des signes pour qu'on (ensemble) s'a^pproche d'elle, et voilà : on va près d'(elle, on s'approche au plus près, on est qui nou!s approchons, on est qui voulons aller près d'elle pour comprendsre  beaucoup, jeter un oeil. nous jetons un oeil. Nous sommes qui jetons un oeil en elle. NOUs sommes 2 qui ensemble (soit main dans la main) jetons OEIL (1) en elle (1 seul de préférence). on essaie de bie,n se rapprocher au plus près d'icelle (mort des prés) et de passer sinon le corps entier , la main, une main, ou même un oeil, un seul oeil de buse, une sorte d'oeil ici télescopique, oulahou on passe ! on le passe ! on passe un oeil ! on est meuble, mou, mou de l'oeil disons. On aime ainsi explorer les données frontales d'une roche pa&riétales ici faite pour être ppercée et, pour le coup, explorée. On passe un oeil, et l'oeil voit des choses intérieuires, des choses de prix, des victuaiulles, des dorures, des sortes de bêters à cris, des bêters en nombre , des bêtes de bon poids bon oeil et chargeanrt (fissa) sur la plaine, des sortesq de bêtes amies, mots des catacombes . est-ce ça que l'oeil voit ? eh bien peut-êtree pas ! Il voit le miroir renvoyant de fait sa  bouille en propre  ! il voit ou il verrait peut-être une chose, une chose qui serait ici comme le miroir, le miroir sur pied, renvoyant l'image en propre de sa bouille d'oeil, d'oeil de la prairie ! On essaie ici de co:mprtendre ple"in de choses (le plus possible) pour s'y retrouver et du coup en avancer à l'intérieur des connaisqsances à propos du monde (la vie et la mort, le chant des données, le cri de la bête). On voudraiot cerner de près le plus possible de données , mais ce n'esst pas une chose mégafacile loin de là ! Il va sans dire que pour nous, cette chose (de comprendre des données rocheuses) est loin (trèds loin) de concrètement se présenter comme choses qui , du coup, seraient aisées à pouvoir comprendsre, cerner, piger, saisir par la bande etc. On voit que là il y a comme un OS. un OS de buffe ! de buffle et de buffe (souffle intégral). Il y a en cette chose (ici) d'une sorte (pariétale) d'anfractuosioté, une donnée à relever. Cette deonnée est donnée de base. "Une poule sur un mur

qui picore du pain dur". 

Tu m'as compris ! romance sans parole : un chant du signe, un point d'honneur, un cri animal tout aussi bien, et cezla (comme de juste) sourdant (en veux-tu en voilà) dee.... sous-terre ? des trous de parois ? des cavernes ? des trous d'avens ? on est qui écoutons monter des bruits des entrailles de pareille terre à trous. On est en nous plusieurs (oh , betes majeures!) qui donc voulons eznsemble écouter finement ces chants. Ces bruits ou borborygmes sourdant de terre (entrailles divines ?) d'où notre (à tous et toutes) capacités à bien cerner-piger des choses, des choses de poids, douces choses de poids, cris de la fratrie ? filistrie ? soristrie ? chinistrie ? colères grandioses ? paradis ? eh bé ................................................................................................... on dira que je n'en sais rien, pas grand-chose du moins. Il semblezrait que de la terre ici sourdraient "des choses" de type : chants, cris (christ ?) et autres bruits surnuméraires. On dit parfois que la mort serait , la charge première, poids d'airain, calcul mental, un mot enchassé en sa loge de cap, le mot de la foi dans toute sa splendeur de roche , préhistoire des données-denrées = offrande à déité monétisée (l'offrande). Onn se rapproche (petit à petit) de (qui sait ?) la vérité, on s'en approche peu à peu on dit, on se (on dit) rapproche (peu à peu) de la ou d'une vérité de poids (pesante) qui (de fait) nous indiquerait plus facilement la marche à suivre, plus aisément que tout mot d'ordre prononcé de face, prononcé brutalement à notre face (tourments). Nous on est des, qui essayonds d'écarter si possible iceux tourments. Nous , nous voulons, au maximum, éc arter iceux tourments de base, de base en ragée, on tente. On veut essayer nous autres dee se rapprocher de cette chose relativement lointaine, disons "décalée", qui est cette (donc) PAROI 2 qui (en vérité) est la continuité (circulaire : c'est compris) de PAROI 1, de nous en approcher et du coup, de toucher à elle en sa matière, y passer menotte, peztit pas, chants doux, gentillesses, petits cris à la dérobée, douces m atines. On se pose de"vant, on fait halte, la roche est devant;,, on est 2 qui voulons comprendre, on est des enfants qui tous (toutes) cherchons à bien comprendre, en passant qui un oeil, qui une main frappée, qui un pied de biche, qui le front de bélier, qui la langue fourrée. On est qui voulons grave aller en : en cette Chose de rotonde, traverser = la traversert, taper du pied, chanter, creuser à la cuiller, y aller en force non pas, tout au contraire : fines attaches. On est qui sommes qui voulons peser bébé. Nous ce qui nous intrigue le plus c'est ça et pas autree chose, cette rotondité des termes de vie, des finalités ancrées. La rotonde est un puits (on l'a compris). Puits sans fin (?) des données profondes. Chants des hommes-femmes dits "des catacombes". On se met au diapason et voilà qu'on chante ! "" une poule

sur un mur

qui picore du pain dur ....), la cxhanson des "embrasséé.es". Un chant profond censé masquer la peur des données acides. pas de ça pour soi, trouillomètre à zéro c'est ça, on est jeunes, on tremble, on a peur vite fait, on veut comprendre sans douter, on veut s'échapper, on veut cerner-p;longer, toucher-cerner, et pas davantage. un Savoir nous va. On donnerait beaucoup pour comprendre au mieux les choses du monde, les choses rudes, l a rotondité des choses dures, la belle nageoire, les élans de vie, les feux, les yeux, les ventres lisses, les écailles, tout un monde d'évasion qui , ^pour le coup, pourrait nous servir ghrandement à comptrerendre ce qui est et ce qui n'est pas. On est en ce sas de roche êtres malfamés qui cherchons ... l'embrouille totale ? Non : e^tres fameux , hommes et femmes, qui (ensemble soit main dans la main) cherchons à justement filer en elle (La mort des douceursn, des amabilités) sans plus de méchancetés, sans davantage de recherches mal placées. ON est guilleret mais pas des sortes de petits malfrats, on veut passer pour doux et douces. On veut en tout de la douceur, du doux remonté, du feutre, de la soie, du douillet. La mort pour nous pourrait peut-être nous offrir ici du doux douillet on aimerait. nous on aime le doux-douillet, pas moins. Ce qi'on aimerait touycher ici (la mort : anfractuosité) = du doux, du soyeux, du douillet de vie de catacombe, de la belle texture, un matelas, un lit douillet, xde beaux draps, de la propreté, etc. On est qui voulons comprendre beaucoup et loin cette chose de type rotonde, cette sorte de paroi ici bas à la traversé, qui est paroi dure (?) d'une sorte de rotonde (circularité) qu'on aurait à traverser 2 fois : une première fois à la recherche de la bête (de poids) des cavernes (pis-aller pariétal sentimental), une deuxième fois (une fois passé.es) à la recherche (à la conquête ou quête) d'une (sorte de) visibilité majeure, d'un rayon de vie magique, d'une sorte de clarté votive nous donnant (enfin) les clés des choses de la vie sur terre (mesures, concretions, charges, pelures, direzctions, marbruresq, chants profonds). On est du coup dans (à l'intériuer de) cet ezntredeux de vie, vie vive, à la rechherche d'une Vérité avec un grand V, Vérité des Vérités, charge vive des données de vie, tendres vérités des charges mentales, charges-chants pétris de vie, ambitions mortelles, colères monstres, nid de crabes ensemezncé, chapiteau. On commence (un peu) à comprendsre. on est qui ensemble un peu , commençons (de fait) à co:mprendre que (ici peut-être) il y a des amis , ami i, et a&mies i-e, qui sont pour nous comme des relais, des mains tendues tracées. nous szommes dans une grotte et à main levée (en transe, en lévitation, sous influence) nous traçons, et quoi donc nous traçons ? nous traçons des bêtes, des bêtes de poids, des charges de bonn poids bon oeil comme s'il en pleuvait. Aurochs des ca vernes, buffles ventripotents, bisons des rages, bouquetines, bouquetins, bisoonnes éclairées, gaze'lles au dxébotté, chants-charges animaliers, on rêve. On est ou bien sezrait 2, ici (en soi), qui voudriions (pour le cou^p) comprtendre un maximum de choses sucrées ou comment ? acidulées, qui seraient ces cxhoses d ites "de la vie et de la mort" c'est-à-dire appartenant aux deux. on est vraiment comme ceux et celles qui ont ensemble main dans la main à comprendre un maximum de choses vives (rudes) pour soi, soit pour soi se rendre compte du pôids du bétail en la matière, son importance. on pèse sa charge à mi-voix mais ça ça en dit des masses en vrai. ça dit beaucoup et loin. Le bison crie et criant dit. la petite bisone, le petit bison. Le petit de la bisonne, le petit du bison. l'antilope chassée, l' aurochs ventru, le buffle accoutumé, le cheval grave et la jument des prés, tout ce petit monde en soi (en moi) enchassé, c'est vrai, c'est dans les profondeurs de l'  ......................................................................... et puis pas qu'un peu : grave ! truc de ouf ! ouf ! ça pulse dedans ! ça envoie du bois de ramures ! c'est ancré ! ça pulse des masses et envoie des masses, quoi ? le nom de la personnhe, ce nom élaboré (ou finement élaboré) qui parle pour mmoi, qui pour moi dit, dit quoi ? dit la chose ou cette chose comme quoi on voit que là, là aux porte de la mort de base, il y a comme une sorte de filttre narquois, genre effluves (em bruns ?) brouillant les lignes. On dit ici que des lignes sont (en ce sas d'entrée) mais ces lig nes sont comme faussées (faussses ?) qui embrouillent le propos final, le gauchissent il semblerait vers une sorte pour le coup d'obscurité qui masque, empêche aux données frontalesz d'exister en toute clarté soit données données pour reconnaissance, etc.

"Une poule sur un mur

qui picore du pzin dur

picoti picota

lève la queue et puis s'en va" 

et nous de même : on part. On reste pas là à se morfondre. on va plus loin chercher pitance profonde, doigt surnuméraire. A quoi bon se lamenter ? on est vaches laitières, taureaux de camargue, buffles tannés, bisonnes au grand collier, antilope non épilée (chouette) et autres bêtes comme estomaquées par pareille fête du front, chant sourdant de fait des entraéilles de la terre (ou des catacombes) etc., bref : la Vie, la vie dans toute sa magnificence, vie vive des données vives. On se dit que nous ce qu'on devrait ce szrait d'y aller franco (à l'intérieur de la roche). on est ensemble à vouloir pezrcer à vif la roche-rotonde. On est qui ensemble voulons comprendre à vif desz choses de l a vie sur terre (ben oui). et puis au delà, plus loin là-bas, sous tutelle. On est des qui ensemble nous approchons d'une sorte de paroi brute, der des ders on dirait, la roche finale, or cette roche finale (à présent on le sait ) estl'intérieur de la roche prima ire, de Roche 1 dont on a vu (compris- la dureté à l'ouverture, au passage premier. on voit ici que l'intériuer d'une paroi de roche (dite r(oche 1) est cette cxhose retrouvée plus loin pour un passage (du coup) renouvelé.On voit icelle roche dezvant soi, et cette roche dite ici "des prés" (car il y a aux alentours des prés) est roche à traverser fissa tête première ..... ou pa s ! car derrière "ça"' y a quoi ya de la ......  mezrde  ? non ! n'importe quoi ! ya une sorte de lumière blanche (?) qui est la lumière , dite " des données frontales : excavations pariétales = passages). On s'avance à pas de fourmis mais bon, on commence à comprendre des choses, on se rapproche d'une sorte (en soi) de vér(ité, on file, on trace, on appuie grave sur le chamipgnon, on veut voir de près, on veut voir de près mais sans y passer,  c'est ça qui est dur. on est des qui ensemble essayons de (au mieux) toucher du doigt l'Autre de la paroi = l'Alie-n, et quoi ? y arrive-t-on ? sommes-nous des êtres fous ? folles et fous êttres de rage ! carn assiers et carnassières qui plus est ? sommes nous fous ? sommes nousq complètement "à la masse" ? sommes nous fous, folles, et assimilé.es ? avons-nous en nous un grain (de folie) faisant de nous des êtres tracassés par des questions (prégnantes) d'entité, de plongée, de charmes , d'onguent, de christ reve"nant, de perles princières .? notre but ici est de cerner cette rotonde (circulaire de fait : une rotonde !) da ns l'enselmble( peut-être) de ses composantes. 

"une poule sur un mur, qui picore du pain dur". la petite chose. une enfance à l'ombre d'un figuier mzajestueux. Les petites chansonettes. cri de la bête. on comprend des choses rudes à la lumière d'une sorte de douceur frontale, passage au p arlé, jambes repliées, tracé fait à main levée, chance offerte. il s'agit pour nous de nous acclimater à une sorte de contrée dont le climat plutôt tempéré peut ou pourrait ou pourra nous convenir sans trop de souci certainement. On est qui voulons ensemble et dès lors toucxher du doigt la vérité (ici) dxans ses entrailles. Car la vérité on voit ça est logée dans des entra&illes (terrestres) faisant d'elle une sorte de bête rageuse, enchassée, cachée et même enfouie dans une sorte d'enclave frontale, chargeme,nt, trou d'homme, excavation à même le roc. L'homme est pour la femme ce que la femme est pour l'homme : un trait de conquête, ou sinon de conquête, un trait de joie, un trait sur roche de la préhisztoire, un chant tracé. Et nous de le comprendre conjointement = au même moment. un homme-)felmme avpparait puis disparait. Une femme-homme disparait et apparait, puyis re-disparait. une femme-homme est enseveli.e, un homme-femme s'enterre. je suisq JE, l(hommme-femme attribué.e à un chant choral (et total) évoquant la buse (la bête dans son ciel). On comprend. on estr qui comprenons la chose d'une bu!se au firmament, d'un chant monacal, d'une srtructure pleine et entière. On est qui voulons savoir. On est qui ensemble cherchons à savoir (des choses). on est  deux en nous (l'animal et moi) qui voul:ons savoir ce savoir chelou. Quel est-il ? la mort ainsi nommé (c'est un fait) a-t-elle des ailes ? le mot "mort" est il lié de fait à la mort menaçante/acte ? faut-il"déquiller" la mort ? doit-on "déquiller" icelle don,née mortifère ? doit-on chaerger contre elle ? la mort est-elle un ennemi ? notre ennemi n°1 ? n°2 ? n°3 ? n°4 ? n°5 .n°6 ?n°7 ?n°8 ?n°9 ?n°10 ?n°11 ?n°12? n°13 ? n°14 ?n°15 ?n°16 ? n°17 ? n°18 ?n°19 ?n°20 ?n°21 ? n°22? n°23 ? n°24 ? ou quoi ? est-elle "vive" comme la vie ? toutes questions que ne cessons 

ensremble, à toi à moi, de nous poser à la veillée (ce n'est pas peu dire). On se pose beaucoup de questions concernant la mort, mais bon, ça peut se comprendre : on est des humains et des humaines, on voit cette chose se profile r, on sait pertinnement qu'une chose pour soi un jour arrivera et nous raptera . On veut toucher toucxher toucher, prendre ce qu'on voit (ce convoi) et ce convoi qu'on voit le déposer, aller à pour le coup le déposer tout contre (là)la paroi, grave quetu graveras, ou bien dessine (là) que tu dessineras des bêtres, celles-là même que tu portes en toi (en bandoulière peut-être pas, mais tout de même : au fond de toi, entrailles de l'âme, profondeurs du soi ancré, enfoncé). Je suis donc arrivé jusque là, et maintenant franchement j'aimerais pouvoir aller plus loin au sein des connaissances concernant la roche, les peintures parriétales, l'homme et la femme des cavernes, l'enfant-roi, les dessins magnifiés par la clarté des torches des grottes. un homme de la préhistoire en moi, cherche ici et là à comprendre les données frontales. Il s'approche en lévitation de la roche. Boum, s'envole. Va pour tracer-dessiner des bêtes de roche = de poids. il dessine fort ressemblant. Il ou elle, car il est jhuste de penser que le dessinateur est peut-être une dessiné&trice, c'e'st possible. Il ou e"lle sont qui dessinentsur paroi de roche. On rega rde. On est qui sous le joug regardent ce qui se dessine. Betes grossses +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ autant que possible. grosses bêtes au débotté. Chants profonds de la roche rude. Bêtes rudes des chants déformés. On comprend la bête (grosse) comme un mot de base rageur. bête groossse est le mot des rages, des données de rage. On file fissa à graver de rage la bête de poids = pis-aller hospitalier. On veut donc peser, soit faire bon poids dans icelle balance de la mort à l'oeuvre. On vzeut ça enswemble peser = porter = porter loin = porter de tout son poids surnuméraire. ce que nous on veut c'est ça = cette chose, de peser-porter (peser et porter) et p )as autre chose. pesons ! portons ! allons ! courrons sur roche (en roche, sur la roche, en la roche) ! faisons même comme si en vrai on était qu'on se devait de comprendre à deux des données de base pariétales. On est ensemble (nous) qui pour le coup cherchons à bien nous situer en roche, bien calé.es, bien mis et mises, afin de cerner-suivre, regarder-pister les bêtes des prés, ces (par exemple) doctes antilopes, ces douces bisonnes, ces buffles des prairies acides, ces chevaux caramélisésq, ces chevales amadouées, ces ours paresseux et ourses débonnaires, aurochs de survie. gens des plaines. on est assis et assises on regarde. On est qui sommes assis (-sises) qui reg ardent ou regardons des bêtrszx pour le coup pesantes (un âne mort) et qui du coup impactent ! qui ? La mort ! La mort est toute (il semblerait) impactée par ici une chose qui est cette chose d'(une bête-poids (= Verbe en son entier) dessinée à main levée par un homme ou une femme en transe ! oh la belle image de la bête-chair, bête rude, brute, dure, dessinée sur roche en ses plis, un aurochs agrippé à la paroi du temps. ON commence un peu ici (ensemble : à toi à moi) à cerner  des petites choses concernant leVErbe certainenement mais pas seulement. oOn a compris le coup de la rotonde. aussi le fait que la mort râle (rode et râle , de nous voir tarder comme on fait°). On a aussi compris cette (autre) chose comme quoi la vie est une sorte d'entité, monaca le (en vérité). La vie est toute entière  v  ersée, en c  ette chose d'une sorte de bulle de joie, Bulle majuscule en vrai, chose ronde enclavant des  choses de type liquide, verbve vif, chant docte, cris dans un creux. La mort nous mate grave, qui voudrait (très certainement) nous manger tout cru sans plusq attendrte, mais voilà, le VErbe en nous est cette chose qui, comme une barre, obstrue et fait ainsi que nous pouvons de fait retarder la CXhose = la fuite = le passsage = la glissade. On a qui nous tiennent des mots de colère. pôids massif en dépôt. Temps présent. présent -offrande sur roche anté.... anté... antémachine. On creuse. on est gaillards, on est gaillardes. Homme et femme accouplé.es on gratte, on enfonce nos dix doigts chacun dan s la m asse, on en v eut. On est pas né née pour parader. On charge ! charge à la vie vive on va !On tente mille et une approche du tas ! Vas-y que je tente ! On regarde cette chose tendre, ce verbe à cheval, cette charge, ce (disons) canasson. Il s'agit de fait ici (^peut-être) d'une coutume ? une habitude ? celle de (peut-être) croire (un tant soit peu) en sa bonne ét(oile ! oh oh ! je vois ça ! on sait des choses par devers soi et on ne les dit pas ? non : on tente, on tente doucement, on avance doucement, on gratte doucement. Les choses sont lentesv à venir mais bon, on ne désèspère pas le mùoins du monde. On est pas là pour croire que d'un coup ça va (les choses de la vérité) arriver de suite. On est concxsients parfaitement, conscients et conscientes, de ça comme quoi les dioonneés de base sonht , qui peut-êtrte mettrons des annéesq (qui sait ?) à arriver ici, jusquà nous = icelle roche, à pouvoir les graver, les traduire et les graver à main levée car c'est ainsi que tout le monde fait depuis longtemps (parois "musicales" du temps). On s'approche ensemble : on est main dans la main. On veut ensemble aller profond, creuser, graver, tracer les traits d'union de la vie avec la mort (Verbe aidant). Car voilà ce qui est , ce qui existe de fait : un trait tracé est dire de voix. une chance est , de le comprendre (il semblerait). on a la chance ensemble ici de (pour le coup) bien comprendre, bien situer, bien cerner cette chose, comme quoi "le Verbe a un pied dans la tombe", et c  e pied, on l'aura compris , est d'ordre musical, comme un fait excprès. LE Verbe (chose de poids, chose massive, aurochs, insultes, grossièretés, charges frontales) a (il semblerait) un pied dans la mort,. Le verbe est donc comme "à cheval" sur le bidet. On co:mprend que cette chose peut êttre (follement) troublante ! car évidemment, ça remue, ça questionne pas mal, ça peut per§urber qauand les choses sont ancrées mal digérées. le VErbe est aurochs de base, insultes à déité, chaleur tournante. on a compris que des fois pour nous les chose, certaines choses, sont vraiment vraiment intéressantes à explorer, à l'intériuer d'une sorte de (comment dire ?) ..... soupière ? soupîère peut-être pas mais quoi, récipient lambda ? Oh on ne sait pas ! On se rapproche petit à petit d'une chose qui (en vrai) est (par endroiots ? entièrement ?) musivcale , et cette chose musicale, et pariétale, pariétale-musicale, est comme un fait, un massif, un mot grosq, un chant profond (sourdant de la terre échancrée) et aussi matière à cerner les données frontales dép^lissées. On est deux. On est à deux. En soi on est comme deux. Deux pour soi, et allons (vers la cruauté des par'ois dures) creuser, creuser sillon. On chante (ouh) le chant de la douce (?) paroi des Tezmps, soit des temps déposés sur roche/. ON veut aller plus loin toujours et toujours mieux cerner, cerner les données données, dessiner, tracer, graver les données, les graver de fait sur roche des prés (intérieur et extérieur). Npous sommes doux comme brebis des prés. Nous voulons (toujours +) comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++, comprendre ce qui est sur roche : sont-ce des dessins de bêtes grosses ? bêtes rondes, bêtes grassses, bêtes rudes ? et aussi ces traits de caresses, ces paquets de traits , ces chants de rage, ces incantations de transe ? s'agit-il ici de croire , en sa bonne étoile pariétale ? avons-nous à graver des fées ? devonsz-nous passer et tracer ? ou tracer et passer ? sommes-nous en transe ? avons-nous à comprendre les mots employés sur roche gravée ? sommes-nous hommes-femmes conjugué.es qui (ici encore) vont et viennent à même l'herbe ? avons-nous à mieux nous insérer en cette roche des données de base ? NOus sommes deux qui (ensembleb = main dans la main) cherchons à pour le coup nous approcher d'une sorte de paroi meuble, chant total, trouée à vif, par où (peut-être) s'immiscer royal. On cherche une piste d'envol. Lévitation inclinaison pendaison. entrons dans la danse en transe. grimpons les échelons du monde des parois du monde. on est calfeutré.es. on va sur roche tracer à main levée l'aurochs, l'aurochs et l'auroque, soit les bêtes rageuses et pesantes, bêtes-mots par excellence, mots-bêtes assimilés et intégrés de fait à la roche. On est deux pour ça : toi et moi = "toi et moie contre le monde entier, toi seule à mes côtés", etc. : on charhge ! charger = chanter. Ou plutôt : chanter = charger, et charger = porter, peser, injecter, impacter, voilà. La mort dès lors est toute impactée qui (on le sait) se pose des questions sur la teneur en vie ou en vivacité des bêtes tracées, des mots prononczés, du passé donné, des présents et des offrandes.La mort a des doutes, elle se pose des questions, elle est troublée. La mort est une chose troublée. La mort est Chose (en premier), et aussi Chose troublée. ON veut le comprendre. On veut savoir et co:mprendre. On veut toucher et du coup comprendre : sa voix, son corps etc. Le corps et la voix de la mort à l'oeu vre. essayons. Essayons de nous approcher d'elle , si possible sans y passezr. "La toucher la toucher" mais sans y passer. on chante. le temps est étiré qui se déploie en ces contrées de base lascive (on dirait) et nous de nous étirer-allongger de fait. On essaie, on tente, on voit, on creuse, on parle sur roche, on grave, et on lévite, on sort dse soi, on tente le diable, on veut traverser la paroi et du coup passer de l'autre côté. On est né, né et née, nés et nées,. On est né.es à la vie des rages. On colle à la roche, crâne haut. On veut dire des choses de poids, des p)aroles vives, des choses rudes, du pesant son bon poids de charge-chant. La plaine est là derrière, autour, à côté. Nous filons vers les lointains brumeux. Nous sommes deux. Nous faisons corps. Nous sommes deux en nous (du coup en soi) qui faisons corps, qui faisons Unité de Rage. "Toi et moi contre le monde entier, moi seul à tes côtés", à tue-tête, les jambes à son cou, filons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! courrons par les prés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne lambinons pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! filons grave fissa !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chargeons la mule de pareille paroi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! touchons au but !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! gravons , traçons, dessinons l'aurochs et l'auroque, bise et bisonne, buffle et boufflonne, bouquetines !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! la bête-chant de charge, poids surnuméraire, grossièretés comme pis-aller et que ça passe , que ça passe si possible !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on chante ainsi le chant tracé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chante que tu chanteras comme à la parade, on y croit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ça, la charge, l'engouement, la délivrance de la transe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on crie, on file, on vaa et on vient dans la lande !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est fait et faite de tous peztits riens !

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10/03/2024

allons-y ! poussons ! crachons ! allons ensemble en cette roche dure à la recherche de la Vérité guidant le monde, et ne lambinons pas ! fissa allons ! cherchons ensemble ici et là à comprendre les données du monde ce qu'elles sont et en quoio elles nous regardent, en quoi c'est pour nous une chose cruciale. on tente esnsemble une avancée, on creuse que tu creusezras la roche, on est motivé.es; On veut savoir. on veut être et foncer fissa à travers la roche : à lza recherche ici des données premières, des données de base = ce qui est qui nous regarde, ce qui est devant, ce qui semble ici ou là vouloir nous regarder = mater = reluquer " de fond en comnbvle";, oh la vache ! elloe est là devant soi (ici ou là) qui mate , qui essaie de nous comprendre = prendre. Nous cerner au mieux = nous rapter. Et nous de vouloir la toucher la garce, ah ça oui ! on tente, on est pas en reste de tenter. On veut être ici (ou là) des qui ensemble tentent l'aventure d'une préhensiuon des choses frontales, des choses qui , devant nous autresq, nous deux en fanfare, sontr des choses de l'avant, du devant de soi ... mortifère ? oh peut-être bien, ou peut-être pas on ne sait pas. On glisse un oeil mzais est-ce su!ffisant ? sommes-nous suffisamment armé.es et elle et moi en soi (en moi) pour cerner-toucher- comprendre par la bande cette chose immense d'uune drôle de paroisse en vérité : ici-même soit devant = devant soi la lutte armée; les données rageuses, la guerre à outrance, l'épopée avanturière, les choses coriaces, élaborées, dures de chez dures (etc.).. Nous sommes donc ensemble réuni;es en soi (ou bien autrement ou comment ?) pour comp)rendre ici bas (la roche = le passé-présent) les choses du monde adjacent. On en veut de ouf ! on en veut gtrave ! on est pas entré;es pour rien en cette gare, en ce sas des sas, en cette fontzaine ou comment ? caverne ? antre ? chose ouverte comme au firmament ou quoi ? on cherche de concert les choses du monde adjacent, on est deux ensemble qui cherchons. on veut croire en sa bonne étoile, on en veut grave ! on en veut de ouf ! on est pas par'ti.es pour que dalle : on veut ramasser des données. on est là pour ça grave oui ! on cherche que tu chertcheras par la bande ici -même de quoi faiore, qauestion ramassée (amasséeé ? amassage ?) des données de bases rageuses, tendres donbnées ou bien rudes données peu importe. Nous, ce qu'on veut ensemble (on l'a dit) c'est ça : cette chose = une sorte en soi de Vérité des Vérités concernant le monde devant soi = Lza Mort (la dite "muerte des avancées , des données de rage" = devant soi le soi. On est qui cernons rapido les choses rudes , on avance. on veut croire en sa bonne étoile, on veut pas lâcher l'affaire, on est grave motivé.es c''st dit, on est sur le pont, on veille, on regarde, on lâcghe rien, on est calfeutré;es, on se donne la main et on fonce. on est comme dedans la pierre ou comment pourrait-on dire au juste cettye chose d'une entrée dans la matière céant ? Oh peut-être qu'on pourrait ensemble parler, et dire ça qui nous importe plus que tout question vérité; o, n cherche à comprendre c'est un fait ce fait, on cherche à comme "entrer" dans la matrière d'une vérité, toute (ou comment ?) confondante . on veut toucher, on voudrait toucher, on voudrait toucher la matière d'une sorte de vérité , des données de base;. Qui l'eut cru lustucru ? qiui eut pensé qu'on aurait pu toucher ou comment ? voulu toucher la chose crue, la chose nue ? on s'avance, on est deux en soi, soit moi et toi ou toi et moi, et on fonce, on creuse, on y va royal, on veut atteindsre des sommets, on ne veut pas lâcher prise, on veut aller vif( vive) de l'abvant. Vive (vif) et comme attaché.e au Verbe Royal = cette chose rude, appelée /: la Mort, ladite, cette chose des (rudes) avancées de rage, ce tremblon, ce tendon, cette sorte d'écoutille, ce vif étonné devant, cette ouverture à l'iris des pages, cette troublante vilosité, ce pont des caresses, ce charme fou, cette débandade, cette fleur au fusil de l'âme ou sinon quoi ? on cherche  v aille que vaille on l'a dit. ON est deux ici. On trouve ce qu'on veut trouvé. ON est pour la paix des ménages. Pour la paix tout court mais la guerre fait rage qui nous chagrine intensément, qui nous ravage, qui nous trouble grandement, quii nous fait du mal énormément. Un e guerre de tous les instants pré-funèbres. oN vante la chose mais vas-y ! ça couine des masses, c'est un drôle de paradisz ! ça le fait pas tant qiu'on aimerait plutôt l'image et pas les choses en vrai de vrai, genre viande. On est deux ensemble (main dans la main) à eesayer de comprendre profond et deviner ce qui se trame. ON regarde profondément la chose rude d'un devant de soi monstrueux, avalanche ! crissement ! inquiétude vive ! tourment des tourments ! étonnement magique ! étourdissement ! chaleur et moiteur ! tendres carapaces ! sorte de tortues géantes des galapagos ou bien d'où : le savons-)nous ? peut-$^être pas des m asses en vrai ! On s'avance prudemment à) l'intérieur d'icelles données de rage, et on regarde et que voi-ton outre Bambi la (jeune) féee du logis, eh bien cette autre fée appelée Fissa Grave, Fissa des avancées en vie = vives. ON ttouche au but pour ainsi dire. On est qui sommes 2 qui sommes qui touchons au but pour ainsi dire et c'est pas peu dire, ça non ! On veut tout toucher du devant de soi la mort en face : la toucher la toucher (ici bas = dancs cette prairie) On est qui voulons "la toucher la toucher" comme dans la romance, cette sorte de donnée en vie, ou comment dire ? de la mort en vie, de la mort vive. On s'approche doucement et on voit ça, comme quoi on est ensemble main dans la main qui touchons au but ou pas loin : on s'avance, on creuse, on fonce, on piste, on est sur la piste, on est qui cherchons, on voit, on est deux qaui voulons cerner-matezr et toucher-pétrir co:mme pate à pain. On se dit que nous on aimerait beaucoup aller de l'avant et nous mettre ainsi en mesure de cerner-comprendre un certain  ombre de données rageuses dite " de la base et du sommet" qui sont ces choses ici = devant soi, qui nous regardent, qui nous lorgnent et ne nous lâchent pas d'une semelle, non ! on voit ça d'ici ! on pèse le pour et le contre, on est amoureux et mamoureuse ezn soi d'une donnée vive qui est, là, donnée de rage vibrante, coeur du coeur des données de base. une poule sur un mur. Qui (on dirait) picore (il semblerait) du pain (béni) peut-être de carême (ou quelque chose d'approchant) : soupe tiède ? mets ou entremets princier ? charge lourde plus que de coutume ? vivres ? offrandes ramenée ? On se dit que nous peut-être ensemble on trouvera plus facilement et on saura la CXhose ce qu'elle est ou serait pour de  vrai , une sorte de pied-de-nez peut-êttre ? un ami de toujours ? une amie fidèle ? cran d'arrêt ? bon, voyons voir, on parle à tout va, on veut dire ici les choses avérées et pas des données futiles ou par trop légères ou bien non fiables en leur dureté. On cherche couillu. On est pas de ceux et celles qui galvaudent, qui sont frappatingues, qui se font dessus ou alors pas souvent. On est de ceux et celles qui sont volontaires, qui poussent que tu pousseras et rafistolent vailloamment les dires de poids : aurochs attribués, charges frontales, poids de roc, données brutales, bisons des montagnes et biçsonnes des plaines toutes ensoleillée. On voit que des choses se trament et on veut toucher à cette vérité incommensiurable des données imberbes ou comment dire ? on y croit ! On est qui fonçons et pas pour de rire ! On s'avance à deux et c e faisant on en avance, on creuse la pierre de taille, on entre via cet interstice des données de rage, via icelle donnée rude (dure) de la vie et de mla mort comme accouplée en cette sorte de donnée frontale (verbale) qui nous sied, qui nous arrange (le portrait) , qyui tranquillement ou insidieusement ou incidemment nous donne à comprendre cette chose (déformée ?) comme quyoi nous sommes en nous un certain nombre d'animaux de taille : aurochs des appelé.es, bisons-bisopnnes oubvertement posé.es sur roche des prés, antil:opes courantes, cri de joie en ces venaisons, brames. Et nous d'y croire sérieux comme pads deux. qui voulons comprendre mais aussi y  croire. qui voulons aller fissa à l'intériuer de la lande, en ce sas des données de rage, et là : touchrer ! grave toucher ! touche que tu touchezras la Rage Brûlantte, feu de jois des ambitions nacrées, anttre ouvertement coloré, donnée acidulée. On s'approche et on regarde et que voit-on ? O n voit devant soi la Mort = cette Rage des confins, cette entremetteuse, cette Voix des catacombes, chant nuptial, vibratto, cri de joie en ces rancoeurs ! ouverture meuble, cran ici des pâssions des vies vives de la Joie du Monde. On voit ici bas (d'ici-bas ?) la Mort devant soi, comme une sorte de sarabande très colorée, très acidulée, très vive, très marquée par les effets des vies passées. On voit Mort la Grande s'avancer vers nous et comme à vouloir nous toucher (fissa) en vrai : le corps , le corps dépôsé. Elle est la mort des passions vitales. Elle xdit (car elle parle à travers nous : le Verbe a un pied (musical) dans la tombe) qu'elle est contre nous (de fait) pour nous. Elle est qui veut nous dire ses dires de joie. En nous = à travezrs nous ces bêtes fuyantes. On se demande un peu ce qu'il en est e"n vrai , on cherche à comp)rendre les données de base qui gouvernent en nous ce foyer de rage. on est 2 = feux des Choses posées sur roche en guise de passé (présent = offrande) défait, pour être du coup déposé sur roche attenante. ON veut homme-femme comprendre les données de base : qui est-on en ce bas-)monde ? entourloupe déguiisé en genre de donn,ées vibrantes, en genre de données de vie, de vie et de mort ? On veut dire des choses pour soi, déjà. On se dit que nous on cherche pour nous soit déjà pour nous des choses de poids comme par exemple : l'aurochs de bonne figure, ou bien le bison mordant la plaine, ou bien c e (ou sorte de) buffle alangyui, posant (pour la confrérie) sur l'herbe aplanie. On est bête-mot de base (il semblerait) sécuritaire, ou alors, on est des bêtes qui cherchoons à en jeter des masses, à la mort de face, l'ébluouir, la ruser, lui faire croire en certaines données quand en vérité ces données partent en fumée ou comment dire ? transitions subordonnées au bison brûlé, aux vaches sacrées déposées sur roche à la manière des Anciens et des Anciennes (peuplades) du monde. On se dit que elle = la mort, n'a qu'à bien se tenir face à l'adeversité que  nous représentons sur roche de taille. A elle de le comprendre, de cerner le Temps déposé par nos soins via la roche traversée ou par  ce fait, de la roche traversée, ou par l'entremise ici d'un fait (concernant de fait la Roche majuscule°. On veut = on touche = ou veut allert = on creuse = on y croit = on veut toucher = on entre = on creuse = on cerne = on est deux qui cherchons l'Entrée des données de Rage liée à La Mort ou à Dame La Mort, ou à Monsieur, Monsieur de La Mort de Gouverne, etc. Ce qui est est, et nous nous sommes qui nous sommes soit la somme des données de base rupestre. Allobns voir eznsemble icelles données devant soi qui nous reg ardent, nous ne :laissons pas intimider : creuse que tu creuseras, creusons Roche et entrons, entrons dans la bataille, à 2, mùain dans la main comme des ouailles. nOuus avons ainsi à co=mprendre un grand nombre de choses vives, de choses rudes, de choses comiques peut-eettre aussi, de choses que d'habitude on passe à côté mais là non, on veut pas passer à côté, on veut mezttree la main dans la fente et t$ater ! toucher à la Mort de  face, cette anfractuosité. Est-elle "elle" la mort annoncée révélée ? est-ce donc l'anfractuosité de face qui est ici cette sorte de donnée qu'on dirait La Mort ? Ou bien plus loin, in the baba, la mort est dedans Roche, loin en elle, en ce trou d'ouverture offert, chose des confins, intérieure, ordonnancement, prière, chant total, chant de joie de rage, cri double : le brame, oh ! plait-il ? est-il ? est-il "elle" ? le brame qui sezrait la Mort en bonne et due forme ! chant profond de l'enfant-joie ! oh my god ! on creuse ! on se dit que nous on a à comprendre plein plein de choses ici-bas, et que du coup on est pas là pour lambiner et musarder et se dire que demain peut-)être on fer a ça, cette chose de creusert la roche du temps , et si pas demain après-demain, et si pas après-demain après-après-demain, qui sait ! eh bé non ! pas ça ! nous on dit qu'on est pas de ceux/ celles quyi sans cesse repoussons les choses à chercher ensemble à comprendre autant que possible ! on veut êtte durs et dures, dur au singulier et dure, et dures au pluriel et durs, car on y croit, on charge, on tape sur roche : à la une à la deux on fonce ! vivement dimanche !  creusons ensemble la roche de poids ! allons-y gaiement, ne nou!sz laissons pas abattre, allons ensemble en ce sas des sas (ou sein des seins) chercher à comprendre ce que c'est que ça : la musica. Train-arrière. chargemeent des chargements. Une bête entière. Rude aurochs. aurochs rude.Un drôle de paroissien. Une charge mentale. Un (tout un) passé dit "de contrebande", et nous d'y croire volontiers c'est un fait et même pas qu'un peu (c'est un autre fait) à m^-eme la roche percée. On est (comme) entré.es à la Une à la De"ux les Dieux ! On a pas lambiné plus que de coutume, on a cgherché à se dire ensemble à mots couverts ce qui est qui est. Couvertts de la joie d'être, de la joie "dominicale" de l'ëtre déployé sur roche = une donnée donnée. On s'avance à pas de fourmis peut-être (possible) mais bon il n'empêche que nousq on voit ça qu'on en avance malgré tout, que des choses se passent, que la vie de Rage peu à peu s'introduit (via le Verbe) en ce sas de la Mort en vie (vive de chez vive) : sûr ! d'où la Cro(yance = cette religion des entrées, cette foi en Soi en tant que Buffle Royal, tagadagada on tombe ! chute libre ! on est comme tombé.es de biais en cette roche trouée, chute en elle ! chatoiement des couleurs vives de faç ade et de paroi gravée ! on tombe que tu tomberas en  cette roche (entre deux rocs) qui nous surp;lombe. On est commre consterné.es c'est un fait, on va de l'avantr dans une sorte ici -m^eme de chute, en vie, dans la vie, de mort dans la vie via le Verbe. Car le Verbe ici est vecteur, qui vibre ! qui filtre ! qui ne veut certes pas en terminer ou en découdre incidemment mais creuse que tu creuseras son sillon facial, sa voie de Rage, son Coeur Vaillant, son attitude vive, son tracé d'épée : on fonce. Et du coup nbous voilà qui en quelque sorte "commandons" les instances de la Vie rageuswe, ouste là les Voyous ! Fichez-moi le camp rapidement ! on ne veut pas de vous ! Nous on dit que des comme vous voyous on ne veut pas pour nous ! Foutez-moi le camp salopiaudsq ! foutez-fichez-moi le camp salopiauidsz ! fichez-foutez-moi le camp saligauds ! pas de ça chez moi de grâce ! on veut pas de ça ! on veut Savoir = du Savoir, et pas de l a rigolade (ou franche rigolade) ou p as que ça de préférence. On est deux en  ous (minimum) qui avons à dire un  ertain nombre de choses rudes si possible, soit quoi ? soit des choses dites "de la vie et de la mort" = bbrûlantes. feu de joie ders données cardinales. cri de  joie au sommet du crâne. On se redresse, on sw'étire, on s'allond-ge, on se déploie, on est deux pour soi qui savons, qui avons, qui soupesons, qui sautons sur l'occasion.Ah voilà ça qui est comme quoi on est ... et peut-êtte on est pas (dans un même mouvement) ou non ? on est de toutes façons ? on est qui nous sommes ? alors même que des fois on pourrait croire qu'on est pas ! oh on sait pas , on est des qui ne savons pas toujours ce qu'-en vérité nosq coeurs et nos corps recèlent en la matière (buffles intrépides ? bouquetins des villes ? chant durs ? coraux ?). On est ensemble en soi quyi voulons Savoir = le Savoir brut (brutal ?). Nous on est deux en soi (elle et moi) qui nous nous plaçons sur roche ici, de telle façon pour le coup qu'on est qui voulons co:mprendre finemeznt (richement) la Mort (majuscuyle ?) ce que c'est en vérité : une donnée vive (= de la Vie, soit liée à la vie) ou bien une sorte d'enntrée des entrées, catacombes, escalier de roche, creux des enfers, chants p^rofonds, doublement sacré, dits-contredits, chose de la vie brutale, onomatopée ? QU'en savons-nous ? en vrai, pas grand-chiose c'est une évidence ! Nous on est comme deux benêts qui regardons passer la bande par la bande et jurons que jamais, jurons ensemble que jamais ô grand ja mais on ne pourra comprendre en Soi ce que c'est que  ette chose liée au verbe (la mort) ... mais comment liée, that is the question! c'est szûr ! Le verbe on le sait a un pied musical dans la tombe = devant soi, ce présent de pacotille, flambant neuf, ce choix du roi, ces victuailles accidulées, ces offrrandes à déité encore fumantes (les offrandes) et nous de penser que peut-êtte un jour on y comprendra quelque cxhose de cette chose. On se dit que le Verbe est ainsi. Que le Verbe luit. que le Verbe est cela qui brille loin et en impose, en jette pas mal. On voit ça ainsi et on en avance ! On est pas né.es pour se reposer quotidiennement de trop, mais ce qu'"il faut. On est comme deux qui gravons grave (grave q!e tu graveras) l'effigie rupestre. dire que c'est ça qu'on chertche à deux c''st possible, c'est envisageable. on veut de ça. On veut creoire. ON vfeut croire à ça , cettye Chose des données dures, ici, ou meuibles, là, mais qui toutes sont à travezrser par la bande langagière des données verbales de consezrve ("à toi àmoi inchalla h") et c''st m arre ! On veut être ici des qui savons ce que de fait on croit pouvoir enfin approcher de front. On se pose là ensemble un temps qui est le temps dx'un déroulé de vie par la bande. on verbalise (en gros) = on met (émet) des mots sur roche : gravure de bêtres ancviennes, chants de mains surnuméraires, tambouri nades, concert  de temple, cris. ON chante. quand on chante ça va. Quand on chante ça va. on chante et de fait : quand on (nous deux) chante (chantons) ça va, et même ça va pas mal. On chante dans la profondeur, ici, d'une langue bousculée, et puis du coup on se protège un peu ainsi , qui ne voulons pas être comme pétrifié ou statufié.es, ou je sais pas comment mais pris prisonnier et prisonnière. On veut pousser le plus possible ces recherches de consezrve v!ia le Chant Profond de l'enfance, des données rayonnantes, vibrantesz, traversantes. chargeons-filons. Ne nous laissons pas abattree mais creusons ensemblme tout notre possible, ou disons tout ce qui en n ous est susqceptible d'être déposé sur roche par la bande = par le Verbe vif des données de la vie rageuse. On comprend des chose peut-êttre. On se dit ça entre nous. On veut pouvoir se dire entre nous des choses, des mots de passage. On est qui cherchons à vif, qui cherchons grave en soi ce qui est et ce qui n'est pas, et ce n'est certes pas chose si facile en vrai on le voit. On voit ça qu'en  v rai les chopses en  ous (verbe nacré ?) ne sont pas topujours faciles à approchezr, à appréhender, à prendre = ezxtraire, comme dent gâtée etc. Cela est dit. On se réjouit bien sûr de se dire ensemble à toi à moi que donc oui la Vie la Mort ont parties (le Verbe) liées il semblerait, du moins c'est ce qui à nous nous semblerait, vu d'ici (tableau des rudes données de la Grâce et des tourments de l'äme). Mais bon. Peut-être ce qu'il faudrait faire c'est ça, c'est de croire en sa bonne étoile verbale = chant d'oiseau. Qui sait ? Tout le monde n'est pas né d'un même corbeau ! ça c'est vrai! y en a pas mal (voire des masses) qui en v érité jamais ne saurons tout à fait ce qui est sur roche (bisons ?) et ce qui n'est pas. Nous on voit les gravures rupestres, les dessins à main levées, les doigts surnumùéraires, tambour battant, et on avise grandement à même le Temps pour aiunsi dire, mais bon, va savoir. qui croit en sa bnone étoile au firmament ? qui pense savoir ce qui est ? qui cfomprend l'usure ? qui a qui sait ? qui n'a pas qui ne sait pas ? qui creuse à même le temps son image double, d'homme-femme incarné.e et pâs tout à fait : et pas tout à fait incarné.e, qui ? Eh bien on le cherche, on cherche qui c'est qui sait. On veoudrait le savoir de fait. On voudrait au mieux comprendre ce qui est en vérité qui charge (devant soi) commme bête du rut, comme bete en rut, comme grosse bête du rut, comme une grosse et grasse bête du rut rupestre on dirait (c(est vrai). Et nous voilà qui à notre tour chargeons à la une à la deux et pas qu'un peu ! ça on p)eut le chanter partout et m^-eme le claironner ! vas-y voir à voir ! ne gâche pas les données données recueillies, fais-en bon profit de préférence, du moins essaie. On est pas paerti sous la pluie pour se faire suer tant et p^lus mais pour creuser d'emblée la roche dure des données frontales = frontalièresq = à toi à moi on traverse la ligne de cr^ete ! RIGA toute tu m'étonnes, c'est un dire massif, un morceau de choix, une pièce (belle pièce) dans le jarret ! ça turbine ! ça co:mpte ses données de poids parce que c'est de fait du pesant son pôids de charge rupestre maghdalénienne, ou même néandertalienne ou solutréenne etc. Tout pour soi r(ien pour le voisin : socialiste carmausin. ET nous d'y croire ! on se rend co:mpte ! on voit la Chose, elle bat. Coeur des attitudes sous nos latitudes. On s'avance à la gaillarde, on fonce de front en tête de proue, vivement la cxhance ! On tate et on opine, on rase et on filtre, on entre à deux via icelle fissure natale (post-natale) qui nous fait aller et filer. On est entré;es, on a devant nous les prés. C'est comme si par exemple on devait faire eznsemble un chemin de croix à même la lande, pas sûr qau'on y croit, qu'uon voudrait ça, pas sûr du tout. On a beau se dire que nous on est des qui peut-êtrte ambitionnons de nous poster sur une sorte de butte des prés, à reg arder les résidents et les résidentes animaux animales. On voit le bison b router, la jument galoper, le buffle buffer, l'antilope aller manger boire et caguer, pisser dru tambièn. Nous on est comme des qui cherc hons avec avidité la zone d'intérêt monacale. Zone monacale (pariétale) d'intéreêt, c'est comme si c'était fait. On veut passezr, on veut pas trépasser. on ne veut certes pas trépasser mais passer. Seulement cette chose, du passage à travers (un champ de données sévères). O n dirait que nous on traverse, à même un temps de roche déplissé, on creuse et hop on est de l'autre côté ! ah mèfle, quelle aubaine ! joie de recevoir ! plaisir des fées ! carrosse, poupées et poupons, chats-chattes et chatons -chatonnes ! ah voilà ce pourquoi on va ! nom de dieu de là on est pas sur soi tout  recroquevillé.es mais plutôt comme déployé.es à toi à moi sur la toundra !  ça fuse à ça de là : fissure, anfractuosité des données, trou de base, canal +, cri facial = bouche bée, trou de buffe, cricri en son sein doublé d'une fumée. trou de quoi ? cul d'astre ? coincoin ? calfeutrage ? gravure ? creux des joies juvéniles ? jean-sans-peur ? Un homme à la mer ! Femme au parfum ! doigts des fées ! gribouille astiqué ! les âmes retournées de se voir plongées, de se voir plonger. et nous de pleurer forcément de biais car on est là qui passons tout près mais ne nous mettons pas à coomme pa sser la main ou  quoi (un oeil ou deux) en cette contrée ou quoi, disons ? car non ! pas vouloir ! pas passer ! on est qui ensemble ne voulons pas (ici même) passer et nous retrouver ou comme nous retrouver de l'autre côté des données de b ase, des données brutes. On est qui sommes. On veut aller, on veut y aller mais ne pas y passezr mais tout au contraire tenter (le diable ?) une traversée (traversée de base), avec pour le coup chant des données rudes, retour au bercail et sa ns cassure. Nous ne voulons pas trépasser, car nous sommes qui voulons comprendre et rappporter sur roche toutes les données d'un monde de joie, ou sinon de joie de mesure, d'obédience vive mais en vérité toute de mesure, de sobriété. On cherche ici et là. On ne se lasse pas de chercher. On peznse à part soi que voilà, des choses se passent, des données affleurent sur roche, des lettresou des sortes de letttrees (bêztes-mots de rage) viennent à ensemble former des sentences, des phrases de poids qui toutes vont à trouver leur place sur le rocher, en face de soi (la paroi). ça se pourrait que nous un jhour nous sachions enfin ce qui est sur roche qui nous reg arde, de son air de 2 airs c'est vrai mais bon, essayons de nousq accomoder d'un air pareil, d'e cette chose ici d'un trou de basse forme, on cerne, on ne faiblit pas, on touche, on touche à la paroi, on est qui touchons, on veut toucher, on veut toucher mais sans y passer, on veut le Savoir de base concernant la mort et pas autre chose. Nous on est qui voulons mordicus (vaille que vaille et coûte que coûte) co:mprendre ++ ce qui est, ce qui n'sst pas, +++++ ce qu'on voit de ce convoi (de bêtes - bêtes-mots -) en chaleur ! ah que oui on le veut grave ! vas-y ! on veut +, on dit nous qu'on veut ++, on est deux en  nous qui ensembvle sur roche disons ce + de la base motrice et du sommet dit "cérébral" du fait de sa possible position en ca p de pa sse. On pousse la chose rudement en force ou pas mais vif, vas-y mon ami et mon a mie ! traverse, la (sorte de) membrane ! troue ! passe la tête ! passe une tête ! essaie s'il-te-plaît de passeer une tête simplement, et après tu nous diras, nous en donneras des nouvelles. une tête ça devrait aller. Peut-être bien en vrai qu'une tête seule (peut-être) ça le fait , et du coup on se retrouve (on se retrouvezrait) informé/es, a verti.es, mis et mises au jus, enfin savant de cette chose, savants et sa vantes, d'icelle véridique chose de la foi en cette zone d'un devant de soi (p)ar(iétal) comme appartenant à cette sorte d'entité (déifiée) dont le (petit) nom est Dame ou Sieur La MortEn FAce de Soi-Même, l'homme-^femme des abois (brâme en veux-tu en voilà). Ah si seulement on pouvait comprendre mieux et plus profondément cette chose ici des données de base motrice, ce qu'ezlles sont en vrai et pas qu'à nos yeux mais c'est impossible et le Verbe en soi il peut quoi ? il peut frayer, il pêut entrer (ça oui) mais ça s'arrête là, ça va pas au delà, c'est mort. Et cest bien dommage car c'e'st sûr que nousq on aimerait des ma sses pouvoir comprendre loin (et l;ongtemps) la mort (en soi) ce qu'elle est mais comment on pourrait faire ? en "creusant" le Verbe ? comment ? à la (petite) cuiller comme un entremmet ? mousse légère ? riz au lait ? on sait pas. Le verbe est tracé sur roche à la ga ill arde et plus vite que ça tu peux peut-être mais bon, qu and même ça y v a , faut pas déconner ! ça trace, on ne peut pas dire le contraire ! On est ensemble deux qui pensons sérieux que bon on a à pour le coup creuser le Verbe dans sa fosse de basse-forme, peut-^être, mais est-ce que tu  crois que ça suffira ? parce que de notre côté la coup est poleine ! on est plein de chez plein (et pleine de chez pleine!). On est comme qui dirait plein-pleine à rabord pour une embardée toute à tribord in the baba de la pierre dure. Qui nous croit ? qui veut nous croire ? qui nous suit ? quyi veut nous suivre jusqu'au bout du bout de l'Age ? Eh bien, ... peut-^tre Untel / Unetelle. Dieudieu des-des para dis didi ? oh ! le mot est(peut-être) lâché ? hé ! qui sait ? Nous non , on se dit que non : la mort en tant que telle est une bête ! Une grosse bête de charge frontale ! à la une à la deux elle trace ! Elle est cette bête qui trace sur roche sa course folle ! roche des prés colorés (verte de chez verte vif). On se croirait en pleine nature, plongé.es. On pourrait penser ensemble que (en effet) on est en soi deux (doubkle) qui prenons des (sortes de) décisions animalières : un bison de face trace, un aurochs frontal grave, grave ici sa course folle à travers prés. Et nous de rêver. nous de songer. Nous de croire. nous de rêv assser. Nous de plonger en ces sortes de limbes terminales, ultimes fossés. Oh peut-être pour nous il szerait temps de nous accoquiner avec ici la Mort en personne, lui tendre une main amicale, main de loyauté, et non pas du sembvlant d'âme, du brûlé temporel, des âges, des passades ou des passsages; Du présent solaire. du Temps-crac ! crac boum hueeee ! on chante ! chantons ! chantons grave son avènement ! chantons grave son attroupement, cet attroupement, ces bêtres folles de p)aroi : mots d'ordre, conditionnement frontal, alertes, bambi est là qui nous reg arde dans le blanc des yeux et cherche à nous amadouer et à nous allouer ou comment , nous convaincre à sa cause,  à nous ajouter, à nous rajhouter à une liste déjà longue ou vcomment ? nous on a dit que non on ne voulait pas décéder et cela à l'envi ! la mort est - cette ouverture en roche vers des sortes de données brumeusesq ou peut-être pas mais on ne sait de toutees façons pâs ou pas vraiment les choses (de la vie et de l a mort) ce qu'elles sont, quand bien meme on cherche , on creuse, on y va de nos petites mains qui frottent, creusent large le sillon frontal, tentons l'escapade (la sortie du cap) et voyons à voir, oucomme à voir ce qui est là devant soi, qui semblerait vouloir (bon an mal an) se tramer ! courons donc les rues de la rage vive ! chargeons puissa:lment sur roche du tempsq , à la rechezrche de la Véreité toute frontale des parois du monde (le monde adjacent). je suis cet homme et cette femme cumulé.e, joint-jointe, accolé-accolée, qui trace : bisons, bisonnes, bisons, buffles, bufflettes, bisons, buffles, antilopes, buffles, bisons, bisonnes, antilopes, buffles, antilopes, bisonnes, buffles, bouquetins, bisonnes, buffles, aurochs, auroques, juments, juments, buffles, antilopes, bisonnes, buffles, antilopes, bouquetins, ours et ourses des  cavern es, chevaux et juments, bouquetins et bouquetines, aurochs, aurochs, aurochs, buffles, bufflesq, antilopes, antilopes, buffles, antilopes, bugffles, bouqauetins, bouquztins et bouquetines, chevaux, chevales, bufflettes, animaux des preés, charges folles, train de vie, colè§res, mots de charge vive, onomatopé&es rageuses et cri dejoie , gravures sans mesure, train de la vie, troubles en cette roche et coeur de choix ! on trace que tu tracer as des mots de roche durre : insultes à la queue leu leu = s ans débander ! je t'en passe et des meilleures ! graveleuses ! torrides ! grasses de chez grasses ! on en reparlera tantôt si le temps en vrai s'y prête (ou s'y prêtera) ! on est là pour ça : graver ensemble les mots-dits d'un dire de poids à pouvoir déposer sur roche. Qui pour moi saura ? qui saura pour moi ? On (ensemble) dit(redit) que de fait (en vérité) la chose rude (disons : rude et dure) devant soi (= la paroi) est comme à traverser fissa (vite fait) sans lambiner (trainer) car....................................;.........................................................................................;.......................................................................;...........................................................................;...........................................................................;;.................................................................;;............................. la mort guette et pas qui'un peu ! elle mate grave ! elle- reluque à mort ! elle ne cesse paxs  de nous reluquer de la tête aux pieds car elle nous veut "vivant" la mort ! elle veut que nous (toutes et tous) nous nous donnions instalmment vivants et vivantes on voit ça ! or ......................................................................................................................................................................................................... or il semble ouil semblerait que cettte chose (ce don de soi en cette pampa) ne soit pas de l'ordre du possible en soi ! on craint bien que non ! on voudrait pouvoir mais bhon, voilà, on n'peut point ! la mort râle ! et du coup la mort râle ! et nous on rit "sous cape" (sous cap ?) wqui ne donnonsq rien d'autre (un temps) que le temps, soit de notre présent ou présent filant = le passé qui, de fait (un fait des fées) n'est pas assez on dirait. Enfin il semblerait. Enfin bref. ON abuse un peu dee la patience ici de Mort la Chaleureuse, Mort l'intrépide, Mort la gueuse. ribambelle de bête en folie, sur roche des grootes, et autres saignées mâles et femelles. on tremble ! on tremble de folie sur roche du temps tout en gravant nos bêtes de ch arge frontale, car on en veut et pa s qu'un peu. on mesure l'étezndue desz charges animales et on trace : trace que tu traceras ! Ici on est comme en soi : doubvles = deux = deux pour soi et soi pour tous et toutes , inclusivité ! ça urge ! ça douille ! ça fronce ! ça fronce et ça fonce ! c''st une sorte de colère-monstre, oh oui ! et nous d'y croire à mort et puis alors à fond la caisse, comme quoi la Chose en soi devant soi (Mort dure) est une ouverture de joioe dite "de la faune et xde la flore" sur roche des temps alloués à (commment dire) vie tezrrestre. Ah voiulà la Chose en soi ce qu'elle est pour szoi ! ou disons : ah voilà la Chose pour zoi ce qu'elle est ou semble ...................................................... en soi, qui serait ! et nous de nous y coller, à pareille roche ou rocher ou même roc (rock) des temporalités terrestres : prés et prairies, vallons, creux des trous à rats, chargements géographiques, visées primaires. On avance pas à pas  dans la plaine. A la retombée (comme qui dirait) desz br as, des bras de l'accoucheuse ou de l'accoucheur. On voit que bon finalement ça va , ça avance, on est passé, y a plus qu'à tracer (bêtes surnuméraires) et à comprendre les données basiques (vie /mort au débotté) ce qu'elles sont pour nous qui saillons ! qui sommes hommes et femmes accouplé.es, jointszc et hjointes à même la roche des temps déployés par (ici) sorte de bande dite langagière des tourments physico-chimiques de base (et de rage de base). On avance droit sur chemin vicinal des plaines. on marche à l'envi. Ce qu'on dit ou rien peut importe, l'ivresse des données (des dites "profondeurs") seule (on dirait) compte. seule ici des profondeurs, l'ivresse. seule l'ivresse (desprofondeurs) en vrai compte on dirait et on le dit. la des profondeurs ivresse compte. Oh la des, ivresse qui nous tient , Je en jhoie ! joie d'un Je vif qui tremble, passe un doigft puis deux, puis un bras puis deux, une jambe et le buste en son entier, un bassin de près , une deuxième jambe et son pied et me (nous) voilà passé (

e.s) ensembvle : main dans la main ? p)eut-être ! car tel est notre destin : de tré-passer de rage en rage le passé-présent d'une sorte en soi d'être débonnaire genre cheval (chev ale) et voilà ! on est deux en soi pour la bonne cause (causezrie) :  le Verbe a un pied dans la tombe ; le Verbe a un pied dans la tombe ; le Verbe de choix (animal des prés broutant l'herbe lun aire) est ce verbe de poidfs pesant lourd (fortement) dans la balance des choses du monde : "à la vie à la mort". on dit ou on dirait que, en vérité, les mots (les mots-animqux) pèsent lourd d ansq la b alance, dans icelle balance ("à toi à moi") du tempsq dépl;oyé, sur Rocvvche ou Rocher, des temps déplisséewqs p ar la b ande (lang agière incidemment). on co:mprend ensezmble des chosesq  on dirait, du moins on se l'imagine. on = 2 qui équivaut à Une (sorte de) donnée de rage. On est ensemble sous même cape. On veut êttre ensemble deux qui cherchons de front à percer les mystères de l'humanité, à pezrcer la roche ici des temps mémoriels, à souder roche à roche, roc à roc; la roche au roc, le roc à la rocxhe : vivement tu m' as saisi. On veut très vite filer comme à bride abattue on dirait. filer vif vive (Soi = 2). On est comme des qui cxherchopns instamment à traverser disons la roche du temps via quoi via le Vezrbe, et pour cela bien sûr il est impératif de ne pas lambi ner mais de tracer ensemble à main levée (sous hypnose ? ennivré.es ?) les mots de la r age des vies déployées (accumulées). On est xdes qui voulons aller. On est ensemble des (de base) qui voulons mordicus aller , et de f ait allons. On aime aller de front : 1 +1 = dieux ou quoi ? Rocxhe beau bois , chant des steppes et des parois meubles où passer tête (et corps entier dans la foulée). On est paré.es à toute éventualité ! on trace-creuse en rase campagne et du coup on en avance en ces sortes ici (ou là) de compréhensions-justifications-combinaisons fortes-folles des parois du monde. c'est une chose à présent avérée, elle s'"impose, elles semble comme s'imposer à nos yeux, il semblerait de fait et du coup que (en vrai) on a là une chose en soi déposée (présent d'éterbnité : mots-bêtes) qui (peut-être) au fond, en impose, fait son petit effet, brille de mille feux, crache, rumine, ronfle, trépigne, renâcle à quoi ? à y passer pour sûr ! et du coup voilà : la mort attend l'heure de nous voir (en vrai : corps et âme ?) passer pour de bon = en veux-tu en voilà. mais nous on est des qui, bon, attendons.... par (via) une imposition ! celle (ohé) des mains frappées ! frappe! frappons de concert ! ma&ins rouges sur roche du temp^s déplissé pour une avancée, pour un retrait, pour une avancée-retrait ! La mort est la Patience même inc arnée dans les prés. Elle veut sans faute mais voilà qu'on se la joue gras pour la tromper c'est vrai. Elle gobe tout et son contraire pourvu que le feu fasse penszer, que le feu fasse effet, que le feu (Feu = effe) fasse son effet, f asse croire , fasse son petit effet de position, fasse accroire, fasse illusion ou comment ? fasse effet comme quoi, etcx. On est là pour ça armé.Es. Sûr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IOn veut tromper ! on veut repousser ! on est deux qui voulons trompêr son petit monde de la mort à l'(oeuvre dans le sang (sas ?) du temps déplissé en nos organismes. On crie ce qui est = cette volonté de ne pas "passer" = trépasser = passer l'arme à gauche, et tomber. tenons bon à la rampe des temps de vi vive, ne nous chargeons pas de choses inutiles mais de chosesq utiless : feux de la Saint-Jea,, cratères menaçants, cxharges rudes, poids débordants, bêtes grosses placides, cris fauves, hurlements pour un amant , une amante, défunt ou défunte (en faveur des temps "posés"). On pourrait pensezr que p ar chance on est ou on serait des ici qui savons bien (pertinemment) que la mort elle est, qui atteznd notre heure = notre vie offerte illico presto, or .................................................................MERDE-, MERDUM, MERDE ET MEZRDUM, MERDE DE MERDE. MERDEZ_MERDUM. MERDXE MERDE MERDE MERDE MEZRDEMERDE?, MERDE MERDE MERDEV , MEZRDEC ET MERDE, merde mezrde mperde , merde et mezrdum (ça pèse)- mezrxde merde merde merde merde merde merde merde merde, merdum ! merde et remerde ! merde on veut pas ! non et non ! plein de "merde" ici pour pesezr, de tout son poids surnuméraire, et en impoqser par du gr as de première , de prière et de première , ah !!!!!! oh on veut (nous) ça qu'on dit ici, comme quoi merde ! merde merde merde ! merde merde merde! merde merde merde ! merde et merde !!!!!!!!!!! on est ensembvle nous (nous deux) qui ne voulons pas donner notre vie à la science (ici) de la mort à l'oeuvre, alors qiu'est-ce qu'on fait on dit merde, et pas qu'une fois, dix fois, cent fois, mille fois, cent mille fois, cent milliartds de fois ! pour PESER de tout son poids dans la balance des choses qui ch argent, creusent, refoulent, tringlent, portent, portent loin, poussent et poussent loin le bouchon le l'âme, le bouchonn des choses rudes. ON est qui cherchons ensemble à bien cerner cette chose d'une sorte de bouchon à repousser envers cette autrte chose de la mort à l'oeuvre en ce b as-monde des données rageuses. quoi on pourrait dire en vrai face à elle pour la "couiller" et gr ave ? peut-être un peu de ce "merde" bien pronobncé ? allons-y ! merde et merdre et merde et merdre et mùerde et mezrde et même merdum de merde, enculé de merde ! merde merde merde merde merde merde merde merde merdemerde !!!!!!! merde et merde et encore merde pour peser et en jeter (je) de soi ici bas. on voit ça que nous, on cherche à ruser. Renard renarde. Ruse ma ruse. On est pas là pour rigoler on fonce tête baissée, et on fait ainsi en sorte ensemble de sauver sa mise en Jeu de rage. On est deux, là, qui poussons x présents (cadeaux royaux) devant soi sur roche. ON dépose = on pose = on pèse = du pez = des données frontales = dons de soi fruitiers, animaux de co:mpagnie = sardanapales ? peut-être pas. Jouets d' autrefois ? peut-être pas plus. pPrésents de soi : hé ! qui sait ! on crache à la face d'une déité, notre Verbe ulcéré ! on aest pas gêné.es c'est dingue ! on est envahi.es par ici un rire massif, gros des gros, gras des gras, on pousse ça sur ça. On décore pas on remplit pour peser. on veut pour soi devant du lourd qui pèse ou pesât grave gravé ! pas qu'un peu : des masses ! aurochs des plaines, charges verbales, verbe attrappé, cris des tempêtes, dure-mère, chants-charges de colères, brides abattues, frondaisons et venaisons, chasses ghardéezsq, offrandes à déités sur pierres tombales, pierres tombales, pierres tombées, jeux en bois, jean-qui-grogne et jean-qui-rit, trompettes de la renommée, fame (en anglais) et trompe-misère. On a pour ssoi de vouloir cela devant soi , la colère et l'avancée fractale. alllons chapeauter. Courons da ns la vallée à l a recher che d'une vérité de cxha rge a graire (peut-être) et suivons fissa ce sentier menant à dieu sait où sur terre qui peut-être nous verrait : ne pas succomber, rester, demeurer, nous enr aciner dans la terre et (qui sait) prendre, comme un figuier.

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9/02/2022

Nous sommes deux qui voulons chercher que tu chercheras (à même la roche des choses) des choses vives.

nous voulons comprendre ce qui est dans ce qu’on voit. nous sommes à vouloir cette chose, ce travail de fond.

nous sommes à vouloir comprendre

Nous voulons comprendre ce qui est dans ce qu’on voit. nous cherchons ensemnble (à deux) cette chose, cette chose ici .

nous voulons comprendre ce qui est dans ce qu’on voit. nous cherchons ensemble, ici (paroi) à entrer par la bande. on regarde devbvant soi et qu’est-ce qu’on voit ? on voit ça : cette chose là : cette chose devant soi appelée « la mort». et cette chose là qui est devant, qui nous mate méchamment, cette chose est là qui cgherche à nous happer, à nous embarquer dans ses la cets. nous ne sommes pas de taille à lutter on le sait et cependant nous sommes deux (en soi) qui cherchons vaille que vaille à faire ainsi que oui, on puisse aller conttre, on puisse regimber comme un cheval ou une chevale. on cherrche autant qu’on le peut à faire ainsi qu’on se tienne à l’abri des fourches caudines de lza mort à l’oeuvre : c’est sûr. on est deux en soi à faire cette chose : ce refus d’obtempérer. et cela comment ? par le Verbe saillant on le sait. on se place ainsi en vie de telle sorte que la mort soit comme du coup écartée par du verbe. on cherche à deux à faire ainsi que des choses soient (verbales, verbeuses)qui puissent de fait nous tenir éloignés de la mort à l’ oeuvre devant soi : ce trublion. on voit ça. on voit que des choses se passent via du verbe formé, via des mots de contrebande déployés, via cette chose posée devant, sur roche, et qui est gravé comme il se doit, gravé-dessinée sur paroi. on se dit que nous on peut ainsi agir de front face à la mort qui gagne, qui s’aprogresse. on se dit qu’on pourrait très bien aller contre elle avec du verbe, déplissé bruyamment, gravé sur roche, déployé ainsi sur tout un pan de mur humide en fond de grotte. on est deux qui cherchons-voulons à agir ainsi et du coup à repousser icelle (la mort) dans ses profonds retranchements, tout au fond là-bas, au plus loin possible. on se dit que nous on peut ainsi agir contre elle, la pousser ou la repousser, l’éloigner de nous par ce verbe déplissé contre elle, judsqu’à elle, dans elle voire, etc. on se dit que nous on doit pouvoir faire cette chose avec du verbe, de tracer en elle des volutes, des cercles, des élans de vie, et ce sans y laisser des plumes ou sans passer par une espèce de sanction qui tomberait sur nous qui, de fait, ne voudraient pas se laisser manoeuvrer par elle trop facilement, on sait ça. on sait que cette chose d’un refus est une chose dure, raide, compacte , c’està dire physique, concrète. on sait bhien que cette chose est une chose vraie = dure = vive = en vie. on voit ça que nous on a cette cha,nce de pouvoir lutter ici par du verbe un tant soit peu. c’est-à-dire de pouvoir tenir un temps contre elle, et cela vivement, physiquement, concrètement, placidement etc. On lutte en quelque sorte à travers le verbe lancé, jeté à la face, poussé sur un devant de soi. ce verbe a des antennes. il s’agit ici de voir cette chose comme quoi le Verbe (sidérant) a des antennes qui vont loin, qui fouillent devant (qu’on le veuille ou non ou qu’on le sache ou non) et ces antennes sont ainsi, comme connectées à cette chose qui, devant, eest appelée par nous «la mort». on comprend cette chose comme quoi la mort est comme connectée à nous via le verbe qUe nous employons. nous somlmes deux en  ous connectés à lza mort via le verbe projeté. on se dit que c’est ainsi on dirait que les choses sont. on regarde devant, je regarde devant moi, nous sommes à regarder devant et que vois-je ? que voyons-nous ? on voit que la mort s’ébroue, remue sa queue, cherche à se placer ici en nbous, cherche que tu chercheras à se placer en nous = à entrer en nous = à nous incorporer ou à s’incorporer en n ous, à nous envahir manu militari et nbous comment faire ? eh bien ainsi que nous faisons ! verbatim la mort ! on la chasse ! on chasse la mort en disant la mort! car la moert n’aime pas qu’on la nomme ainsi ! la mort n’aime pas du tout ce mot de «mùort» il semblerait. la mort est devant nous qui mate grave et nous on trace grave des bêtes de poids = mots pointus, acérés, aiguisés, qui taillent et pas qu’un peu. on voit que cette chose est là (la mort) qui nous regarde d’un oeil inquiet, invasif, fourbe, méchant, en  colèe-re. on ne veut pas d’elle. on se garde bien de ses fourches caudines on l’a dit , en comment cela ? eh bien, en poussant les mots de ta race dure. en poussant des mots de rage sur roche on arrive tant bien que mal à tenir en respect la mort de sa race à elle. on devine ça en voyant la roche, comme quoi la mort recule (on dirait) ou disons : se tient à carreau. parce que voilà : le verbe a un pied dans la roche, un pied = un segment, un temps, un segment de temps. le poème des années-lumières si on veut. on se dit que nous on se doit de faire ainsi qu’on puisse faire reculer la mort en ses quartiers, en ses zones de retrancjhement, ses propres zones de vie vive, à l’écart du bruit que nous faisons. hou hou hou disons-nous. nous disons hou hou hou. cela est dit. ça c’est envoyé ! on dit et on redit la chose («la mort» tiens-toi à carreau !») et la mort que fait-elle ? elle nous reluque de treavers, elle crache sa haine, elle en a plein le cul de nous, elle ne veut pas de nous ainsi mais en vie, elle nous veut en chair, bien en chair de vie et pas ainsi, lui faisant croire oou se passant pour, etc, des etres offerts, or non, nous ne sommes pas offerts, nous sommes en retrait = nous ne voulons pas donner de nous nous, mais seulement notre passé, cette chose nue mais non en vie, cette chose crue, posée sur roche à la manière d’une offrande à déité. la mort est pour nous cette chose au coeur de la foi. les mots «portent» la mort au plus haut des cieux. les mots se gargarisent ainsi. les mots portent la mort (de fait) en leur sein, comme au pinacle de ce qui est ici pour eux (pour nous). nous ne voulons pas aller dans le sens de la mort. les mots sont porteurs en eux de cette foi ici en ce verbe disant la chose de la mort. le mot dit la mort, et ce faisant se met ainsi en forme (ici) de pouvoir faire ainsi que celle-ci se sentit mal, mal comprise, mal cernée, mal saisie, mal vue. nous et je voulons-veux qu’icelle re c ulât. la mort (dite) est ainsi tenue à une (du coup) distance «respectaclble». on voit là que la mort est (comme) une sorte d’entité classée, cernée, archivée au sein du langage, un mot existe pour la «circonscrire», et voilà comment on en arrive à deux (en soi) à faire ainsi que la mort vénérée (d’une certaine manière : nommée) se tînt à carreau (du moins un temps). on se dit que nous = je + je, disons que nous = je + je , et que cela, cette addition, permet (il semblerait) bien des choses en regard de la mort (on verra quoi un jour). on se dit que nous nous nous devons de nous tenir (le plus possible) à l’écart du nombre de la mort à l’oeuvre. on se dit que nous on a à dire (foi) cette chose (mot absous) de la la mort qui vient vers soi (nous deux) nous toucher au vif; on voit que les mots s’emberlificotent comme il faut (comme ils doivent) si l’on veut faire ainsi que la mort reculât pour soi. on ne veut pas de cette mort là. on ne veut pas de cette mort pour soi ni même pour qui que ce soit (les bêtes en  nous, par exemple). nous on aime dire ce qui est pour nous = cette chjose d’un parler riche, fourni, étayé, qui fait matelas, coussinet, couvrante. on veut que des choses dites , soient ainsi pour nous des choses poséees. o

n est pour ça. on veut ça au plus vif. on pose sur roche les mots de la foi en la mort. on se dit que les mots de la foi en la mort portent en eux cette croyance (forcément) que la mort existe, et ce faisant ils signent une sorte de déni en eux, signent pour eux ou comment, signent à vif (sur roche) une sorte de déni des choses, ou comment nous exprimer ? car la mort «dite» est une mort»sûre» et aussi ce train de rage repoussée, ce cheval de bois, cette voiture, ce cheval de trait, cette camionnette à l’arrêt etc. on voit devant soi des échauffourrés, des luttes finales, des évènements de rage qui se trament : des gens et autres gentes se promènent pour ainsi dire sur une place et gueulent à tout va leur mal-être. on ne peut qu’approuver leurs dires, leurs chants. combien ont-ils raison d’agirr de la sorte ! oh que oui ! ils gueulent après la vie qu’on (le pouvoir) leur mène ! et oui, ils sont dans leur droit ! ils ont raison d’agir ainsi ! ils se doivent d’agir ainsi ! ils ne doivent pas agir autrement ! ils doivent renacler, regimber, s’ébrouer ainsi, comme des bpêtes, comme des chevaux de rage. car nous sommes des chevaux de rage. nous voulons comprtendre x et x choses de la vie à travers la lutte verbale, et voilà ce qui est, ce que nous voyons : le Verbe alloué est une arme de contre-parade. le Verbe en  nous est un outil de contre-pa rade. on doit voir cette chose là, comme quoi, on doit lutter  vilainement, frontalement, contre la mort à l’oeuvre via la haine du pouvoir en place (tous). on est qu’on se doit de lutter contre tous et toutes ceux et celles qui (au faite du pouvoir) veulent nous arnacher, nous coincer , nous tenir à l’ombre, nous faire faillir. Non on veut pas d’eux et d’elles. on ne veut pas d’eux et d’elles, ces gens gentes de la richesse au faite des maisons. on  veut lutter contre cette donnée, de gens et gentesxcappelée(e)s à nous haïr sous couvert de vouloir déployer ou comme déployer le bonheur des uns et des autres sur terre. on lutte fort. on s’oppose à des décisions arbitraires, à des dictats, à des désirs qui seraient soi-disant les nôtres. non. on dit que nous c’est ainsi qu’on veut. on s’oppose à la mort à l’oeuvre via des décisions de base autoritaires. et le verbe est là qui file à vif vers des horizons brumeux peut-etre, mais ainsi ça tient à distance la mort sûre des parois du monde. on cherche à comprendre. on veut comprendre tout. on cherche à s’immiscer de grâce et de rage et à contrecarrer les choses du monde qui nous insupportent. vif de rage on veut ensemble bousculer la donne, et chasser ces gens gentes du pouvoir en place, suppôts de la rage, méchants des contrées prochaines et pérennes, cornaqués de base. nous on veut les bousculer et les détroner, et pour ça : le Verbe, le Verbe saillant, cette chjose raide devant, ce culot. on veut de fait bousculer la donne et repousser loin, ces gens gentes qui veulent nous tuer, nous placer où ça coince, nous tenir en place, voire : nous muselerr comme chiens méchants qu’on protège , qu’on tient à part  soi. nous non. nous on veut pas ça. nous ce qu’on veut ce n’est pas d’être muselés comme chiens de chasse méchants, ou comme chiens de race mecha,nts, ou comme chiens de rage. on veut pouvoir s’exprimer bon an mal an à la bonne franquette à notrte sauce sans faiblir, tout devant, taïaut les amibes ! on fonce ! on creuse la voie dans la roche ! on tourne le dos aux gens du pouvoir maussade ! on leur pisse au cul les salauds ! on s’en branle de leurs décisions déplacés, ou disons que non : on veut faire ainsi que nous on puisse aller sur roche à notre guise , tracer-graver l’aurochs qui repousse la mort. on veut être cette chose, ce graveur de base. on veut pouvoir graver sur rooche l’antilope, le bison, le bouquetin. on ne veut rien en travers de nos pattes. on veut pouvoir escalader la roche, s’élever. Élevation. on veut pouvoir entrer en roche comme en religion, sans ce pouvoir de gentes qui nous importunent, qui ne veulent pas nous voir graver, qui ne veulent pas que nous puissions graver sur roche des aurochs de rage, soit de rage après la mort, après déité dont le nom est « la mort» on le sait. on cherche à nous gêner, à nous contrarier, à nous écartezr, à nous em^pêzcher, à nous faire fermer le caquett. mais que dalle mezrdum ! le caquet te dit merde, enculé ! le caquet est là qui dit sa rage d’être; on pousse sur roche notre rage d’être. on se dit que nous, on se doit de pousser ainsi cette chose devant soi, train de base, train des données posées, train de rage. On veut faire ainsi que les choses 

de l;a vie perdurent, ne sombrent pas, résistent aux coups du sort. on pousse que tru pousseras les choses de la vie : verbe au débotté déployé sur paroi de grotte, on avance ainsi, échappant à ceux et celles qui, derrière nous, à côté de nous, cherchent à nous dissuader de faire. on essaie de s’en éloigner, de nous en écarter le plus qu’on peut. on ne veut pas d’elkles et d’eux. on ne se sent pas d’affinités avec eux et elkles. les affinités sont-elles fiables, viables ? on regarde devant soi et on voit que la roche est là qui nous tend ses bras et tente pour le coup de nous parler, voire de nous sermonner ! mais nous on ne veut pas être sermonnées , diable ! on cherche à comprendre les données vfrontales de la vie. En gros : devant, il y a quoi ? la mort ? le pouvoir en ^place ? le pouvoir de se mettee en travers de nous ? de nous empêcher de graver la roche ? de nouys empêcher de nous projeter, via le Verbe tracé, vers la chose ouverte, devant soi, comme une porte , et dont le nom est affiché partout (pour ainsi dire) dans le langage (le langage parlé). on est qui cherchons à comprendre cette affiche, ce mot de »mort» ainsi contenu (pour ainsi dire) partout dans le langage (parlé) tel qu’on le connait depuis le début (son début de vie en propre). on cherche à cerner des données de rage graves, des données cfrontales, des dires de poids. qui est qui en place ? où est le pouvoir en place ? qyui est qui face à nous .? qui s’oppose à nous, à faire ainsi qu’on puisse vivre une vie de base rageuse , contrariée, haute en cris de rage , qui ? nous on veut savoir. qui est devant nous ? qui s’oppose ? qui s’interpose ? qui devant à quyi nous adresser ? le pouvoir en place est là pour (il semblerait) nous empêcher de (pour de vrai) nous adreesser en termes discourtois à la mort à l’ oeuvre, et pourtant elle le mérite, qui toujours cherche à nous faire faillir. on voitt devant soi des visages, et ces visages interposés, sont ceux du pôuvoir en place, des gens de pouvoir, des autorités. les autorités sont à déplacer. nous ne voulons pas des autorités devant soi. ce que nous vou:lons ce n’est pas du tout ça. on veut pas de ça. on veut pas des autorités devant soi. les autorités nous enquiquinent grave. on veut pas de ces autorités devant soi. nous c’est pas cela que le’on désire. on comprend des choses à présent, on commence. on voit des choses ici se dessiner sur roche entre nos mains pour ainsi dire : cghevaux sages, chairs de buffle, bouquetines à l’arr^$et, bisons-bidsonnes, on aime, on pose, on donne! oh oui on donne à mort ! ça oui ! ça c’est vrai ! on donne grave grave ! on donne à la mort à voir (boire ? ) cette vie de sang royzal (le cheval, la bisonne) et on prie ainsi que celle-ci (la mort à l’oeuvre) ainsi choyée (hum) nous tint à l’abri ou nous tint pour amis ou nous tint pour des gens bien, ou nous tint un temps à) l’abri de ses tranchants. on cherche à cerner ce qui est devant, qui se pose, s’interpose, s’inter-place etc. l’interdit entre la mort (dite, nommée) et soi (deux betes de so:mme sous une cape d’hominé). je cherche à comprendre des choses de poids, des données brutes. qui est là ? qui pousse ? qui chzante ? qui domine ? qui parle en moi et devant moi ? la tete du pouvoir en place est-elle à décalquer ou pas ? ou comment ? car elle s’interpose ici (roche) pôur nous empêcher le dire tracé, le dessin de rage, le haut cheval, la Haute Bouquetine. on ne veut pas que nous disions ce qu’avons de fait à dire = la grâcve en soi de rester en vie. le mot de rage est proscrit et c’est fort dommage. on ne veut pas de nos dessins sur roche et autres gravures à l’emporte-pièces. on = le pouvoir en place = les autorités = les gens et gentes du pouvoir = les cravatés = les biens habillés sur la place avec raie de côté et parfum de base. on se met à rêver que ceux et celles-ci ne soient plus devant nous qui nous enquiquinent et obstruent le paysage. leurs dires sont mauvais. leurs chants ne sont pas les chants adaptés à une vie rupestre dénombrée. nous ne voulons pas de ces personnes déplissées, posées de rage, charge forte mais comme à) rebours, nous regardant à nous alors même que non ! tournez-vous ducon ! tourne-toi du bon c^$oté ! c'est pas nous «la mort» ! la mort, c’est pas nous !  comprends-tu cette chose ? comme quoi la mort et nous ça fait deux ! la mort et moi ça fait deux ! les mathématiques ! comprends-tu ducon cette chose ? cvomme quoi la mort et moi ça fait deux ! je ne suis pas la mort. je ne m’appelle pas La Mort. mon nom n’est pas la Mort ducon. on se trompe, on fait fausse route, on n’est pâs en phase avec la vérité vraie des choses du monde. on est doublés. on se trompe et on agit mal. le pouvoir en place = cette chose des autorités, qui est chose incluse, inszéré, glissée à m^eme la roche, cette dureté de façade, cette chose en soi qui épouse le tracé des pierrres, eh bé voilà ! le pouvoir en place = cette chose insidieusement infiltrée dans la roche des temps, c’est--à-dire dans le Verbe en soi, cette chose est dedans glissée et nous on fait ainsi qu’on puisse ici tirer parti (malgré tout) de la pierre à dessiner, de la grotte nue prête à pour le coup être envahie de notre rage, ou par (en nous) cette rage contenue, incluse, insérée. on ne veut pas de cette cxhose ici qui viendrait s’interposer à meme

le Verbe déplissé. le pouvoir de l’autorité est dans l’aurochs, la bouquetine, il est gravé et mentionné à même la roche. on doit comprendre ici cette chose, comme quoi l’aurochs tracé, la «belle bête», est cet objet de base d’un pouvoir saillant, formulé de toutes grâces,à des fins votives (et acharnées) visant à écarter de soi l’assaillant des parois profondes comme celles d’une grotte, d’un aven, d’une belle caverne espgnole, etc. On est deux en soi (deux qui renacklent ?) qui cherchons du coup à cerner ces différents enjeux d’autorité tels qu’ils se présentent, à nous, historiquement, sur la place. on voudrait pouvoir chasser (du Verbe saillant) cettte composante d’une autorité d’interposition, mais évidemment que cette chose est difficilement jouable. on se dit cette chose comme quoi l’interlocuteur de poids = la mort et non point l’homme. Cette chose est dite ici sur roche, on voit ça et on l’entend depuis là, en grotte espagnole ou auttre. on cherche à cerner les choses du monde, ces données acides, ces paroles vives gravées : que sont-elles et qui les prononcent ? on dirait qu’on a affaire à des êtres venus d’ailleurs, des êtres d’une sorte pazrticulière à savoir : qui ont adopté cette chose de l’autorité des mots prononcés, dégout. on se dit que nous on perle aussi d’autorité, de fait (de gré ou de force, etc) mais voilà, on ,ne cherche pas à nous interposer, à nous glisser parmi les hommes, à masquer le paysage. on grave l’aurochs et le bison au bois brûlé, au charbon des zones des bois. on cherche à cerner le Verbe ce qu’il est en lien avec la mort, avec de fait l’au-delà de soi, à commencer par l’espace après soi ou en dehors de soi, ou même en soi (trous divers, tubes, lumières dees tubes). on est ainsi qui voulons comprendre le pouvoir en p^lace devant soi : ce massif de roche aussi bien,  cette chose posée brute, mettant ainsi à mal notre vision de «l’au-)delà» de soi. on veut nous empêcher de voir plus loin, les données, et de les comprendre, sous couvert de nous aider, de nous faire aller mieux, de nous cajoler collectivement (oh la collectivité a toujours bon dos). nous ne voulons pas nous laisser abattre par l’autorité du Verbe saillant. nous ne voulons pas nous faire toucher de force par cette chose d’une autorité placée. nous ne sommes pas enclins à vouloir nous faire museler. notre coprps est une chose raide, dure et rude, à ne pas pîétiner par de l’autorité. l’autorité en toutes choses est un méfait. la chose est une chose déplissée qui nous regarde et nous questionbhe, cette autorité dont x et y font preuve et dont ils nous assaillent vivement historiquement. que penser de l’autorité ? sommes-nous les enfants des «grands du mond»de» ? nous ne sommes pas ces enfants-là. nous ne sommes pas ces enfants de la joie native éberlués. nous sommes les enfants du Verbe votif déplissé sur roche à des fins techniques, subtiles ou pas mais à bonne visée, à visée précise envers la chose devant soi dont le nom est la Mort. notre but est ainsi affiché sur roche. à bas l’autorité du verbe de la place ! sus à elle ! on veut pas d’elle ! on veut pas de cette chose devant nous qui s’interpose comme un inter-dit entre la mort et nous, qui sommes des bêtes, des enfances de bêtes de roche ! merdum à l’autorité du langage acquis ! mercdum à cette autorité déployée à même le temps historique ! on cherche à faire ainsi que le pouvoir des choses en place, des données de front, soit compréhensible et approché par notre intelligence (intuitive) d’ommes et de fommes des cavernes, les bouseux du globe. on cherche à cerner cette chose d’une autorité consrtitutive à une entrée un jour en roche de l’homme, et aux méfaits de cette autorité. les mots portent en eux cette foi en des mots précis. ils sont porteurs de foi dans des mots de base ou en des mots de base désignant des chosesq. la foi est cette chose en du Verbe contenue. le mot de la foi se comprtend à la lumière de la mort nommée. la foi = le mot porteur. le mot complet contient la foi, et cette foi concerne on le sait la mort à laquelle on croit. croire en la mort (le langage en son entier, c’est à dire la foi) est cette chose dite »d’autorité» dont certains ou que certains sur terre cherchent à détourner ou dévoyer. ici est cette chose d’une sorte de pouvoir malsain ou comment ? d’une sorte de pouvoir qui tend à prendre, avec soi, pour soi, l(autorité du Verbe, à des fins qui ne sont plus directement ceklles envisagées (ou dessinées) dans les premiers temps (sur roche des mondes). on comprend des choses bien, à présent. on comprend bien bien à présent des choses. on comprend bien des choses présentement, certainement. on est deux en soi qui cherchons à cerner les choses du monde adjacent, la politique des pouvoirs en place d’interposition. on cherche = je cherche = nous cherchons ensem ble = le langage de la foi dans le lanhgade de l’autorité ! voilà ! voilà ce qui est ! le langage de la foi dans le langage de l’autorité, est-il besoin de le rappeler ? est cette chose d’une sorte de massif de base (de rage) déplissé (temporellrement = hisi$oriquement) à même la paroi du monde c’’st à dire dans le temps (on vient de le dire). on se dit que nous on veut comprendre = toucher à des choses de vie vive, aux données frontales vives, aux douceurs des choses, et voilà-t-il  pas qu’un pouvoir s’interpose, qui dit non, pas ainsi mais plutot ainsi, etc, nous dicte la conduite à suivre, un des nôttres, l’éluu de ta rage, le nommé ( le xseul pour ainsi dire) et ce nommé, est personne de base alangui, qui cherche sans chercher, qui tient son rang de base d’homme de l’autorité constituée toute par du Verbe de fait déplissé. cet hommùe a un nom qui est : « le nommé». Car voici ce qui est : il est l’aurochs eh oui de la fabble ! merdum ! voilà à quoi on en est arrivé il faut croire ! l’aurochs des cavernes a pouvoir sur la place vendômme, ou où d’autre ailleurs ? dans les capitales , dans les maisons blanches, dans les élysées, dans les contrées qui en imposent et s’interposent avec autorité c’est dit. le champs est complet, envahi. la tourbe, le fumier. les récoltes. on est loin d’un monde et pourtant ! pourquoi ? car non ! merdum ! le monde est là ! merdum des merdums ! sus à cette autorité des nommés et nominés de base! on veut pas de cette autorité de la base votive dévoyée ! non ! que non ! on veut pas d’elle ! cette autorrité a été déplacée, prise d’assaut, envahie et épousée. cette autorité (intrinsèque au Verbe) est devenus ce train de rage politico-maussade d’un pouvoir «nommé» « eh oui ! l’aurochs a été envahi, gangréné, et voilà la chose. le dessin des voies pariétales, ce massif de rage faisait rage. aujourdhui i dem mais en place de base politico-gangrénée sur place. on cherche à comprendre les données subtiles, fines, cachées-couchées sous table, les dessous, l’envers des métiers, les collisions, les bifurcations, mais cherche ! va ! cours ! il n’est pas facile ce voir ce squi est en vrai . le mon de est une chose ronde comme un fruit, une noix, une pomme, une orange amère. on  cherche à cerner le monde adjacent, les autoritées des verbes de base, des mots de la foi dans les :mots. car la foi est là (toujours et plus que jamais) et doit (peut-être ?) être consignée , touchée, appuyée. on veut comprendre ensemble (= une la,ngue) cette chose d’une autorité inhérente à cette même langue trimballée et usée ici ou là à des fins de ragge. on comptrend bien des choses. on comprtend des choses bien. on bien comprtendre, choses là, qui s’interposent entre nous et  cette déité de la mort à l’ oeuvre nommée. car le nom s’immisce en elle (la mort) de manière formelle. on touche à elle via le Verbe, ce verbe est là pour toucher la mort ! la toucher la toucher la voilà ! On est deux qui touchons par duu Verbe déplissé (oui) cette mort de cage, cette mort ensablée, cette mort des devants sablobnneux, des devants encagésetc. les mopts portent loiun en elle, et pas si loin que ça ailleurs. les mots d’une langue portent loin en cette chose devant soi dxont le nom est la mort, ils portent en elle loin, vont en son dedans, et ces mots en imposent raide, sont Autorité pour un faire précisde salut sur terre, de recul, de résistance, et vboilà que cet aurochs d’autorité s’est tourné peuetre contre son (propre) utilisateur des roches. on commence à vouloir se rapprocher incidelmment insisddieusement (?) ou comment des choses d’une vérité allouée à un présent offert sur place, sur la place libre. il y a une place commune, celle du monde médiatisé. on commence à co:mprendre quelques petites choses par la bande. on se rapproche d’une vérité de poids (l’aurochs de ta race) et ce poids est devenu massif (il l’était déjà) à un point tel que voilà : ce qui est gros est insulte à déité et tentative de maintien à bonne distance de la mort à l’oeuvre. tout ce qui est gros est à ranger du même côté qu’on se le dise ! tout ce qui est gros est semblable, est du même tonneau, sort de la même cuisse, etc. c’est à dire quoi ? eh bé l’aurochs oui, les chevaux en bataille et cavalcade sur la roche, mais aussi le verbe en son entier ou son entièreté de chose en soi inculquée et inoubliable à quelque chose près. le Verbe, et au plus dans le vezrbe le Verbe appuyée, les insultes, les mots gros et gras, les mots du sexe poisseux, du sexe hulmide, les mots du di ktat à foule, les mots gravés graves, etc. tout le poids du verbe coriace, les vélléités transcrites, les mots d’ordre trancjhés, les mots du pouvoir pla cé, nommé, etc. tout ce qui est gros se ressemble et est à ranger en un même espace de données. base de données commune. on voit ça (on a des yeux pour voir).on cherche à toucher cette roche des pouvoirs accrus, offertts en soi, etc. on essaie de comprendre et cerner au mieux les données de base, à paretir d’un jet de langage, d(eune sorte d’embardée votive natale. on pousse à chercher vif des choses en soi contenues, à même le verbe (le langhage inculqué) tel qu’il est logé en nous en notre bouche. nouys voulons toucher à cette dureté d’une sorte d’autorité vive contenue de force en cette chose d’une langue acquise, apprise, déplissé temporellement à travers nous, de la mort de l’un à la mort de l’autre prochaine. de la mort d’avant à la mort d’après. les mots chargent ainsi une grande dose de choses vives inculquées. nous nous soumettons à la tentation de comprendre vif et clair. nous cherchons grave à nous appuyer sur des dires dits «de vélléité». nous ne voulons pas nous laisser piétiner par le pouvoir en place, cette autorité qui de fait a épousé le verbe sur la place de la vie médiatisée, ou disons grosse de  cela : de cette médiatisation à grande échelle, grosse d’elle. on voudrait cerner au mieux 

ce que c’est que cette place donht on parle, cet endroit massif, cet endroit sous les lumières, cet endroit fortement éclairé et connu de tous et de toutes quasiment sur terre, c’est fou. la folie est  grosse de son vit de rage, phallocratie des temps montrés, outrageusement déplissés sur roche quand la vie est fine, faible coulée, menue traversée des données natives, douceurs des pommiers, chants doux sur roche agraire. on pense à u ne chgose et cette chose ici est déplissée dans un temps d’autorité qui pousse la moprt en sa demeure (repousse) et nous de cerner vif les données de la rage, de la rage et des outrages. on cerne à foison. on veut toucher à cette chose d’une roche acquise à notre cause. on cherche à toucher à pareille entité qyui est celle-c i que nous ai=mons nommer pour mieux nous en tenir comme éloigné, à bon droit. nous ne voulons pas nous la isser touchher par des mains phallocratiques. le pouvoir en place est tel un obsédé des données rupestres, des données de poids mais ici comme mal usées, usées ou usitées. nous ne vou:lons pas d’icelles données dévoyyées ou détournées du but initial qui les voyaient comlme sezrvant à d’autres fins que celle ici montrée à la face du monde telémachiné. Non nous non. non pas nous. nous on dit no et comme il faut. on dit nous que nous on veut pas pour nousq. on le dit dans la langue de l’ennemi. la langue de l’ennemi est devenue telle car voilà, l’ennemi l’a pris pour lui à des fins de propagande, d’autorité déplacée. les mots servaient à repousser la mort ou la survenue de la mort et à présent les mots sont employés pour nous faire rabaisser , pour nous infantiliser dans cette chose d’une sorte de pliement sur place, de pliage savant. on dit non. on dit que nous on parle aussi et nos mots sont ceux qui se retournent contre nous des fois. on dit aussi que nous on est des qui parlons ce langage des autorités et que du coup on est bernés, comment faiore ? on dit que nous aussi on est pris à partie et on est bernés et auusi qu’on est infantilisés par les mots du mùonde. On est qui voulons comprendre cette autorité du langage intrinsèque ce que c’est. on est deux en soi (des bêtes, pour le dire vite) et on cherche grave, à tracer des mots (sur roche) de type chevalin, ovin ou bovin. on dessine en transe vite fait, super ressemblant, et du coup imposant, comme vrai, comme nature, grandeur nature, etc. On cherche à faire ainsi que la mort y croit, y croit comme à une sorte de chose donnée qui serait ce qu’elle (la mort) attend depuis longtzmps : nous. nous en chair et en os (en vie !) et pas autre chose, pas du Verbe de contrebande. car le verbe toujours est de la contrebande, est passé qui s’interpose, est ceete chjose que l’on passe en douce, ce passé en douce, etc. Verbe = passé passé en douce = contrebande = choix du roi = valeurs qui donc imposent un dire = un diktat =  une autorrité réelle;, charge motrice, publique, chair à canons. Et nous on dit que les mots sont ainsi qu’ils s’adressennt avant tout à cet espace de recul là-bas, aux embruns, aux portes ouvertes des supermarchés de ta rage à être vivant, et pas à nous directement sous forme d’envolées lyriques des politiques, des gentes des paretis en place, nous poussant chacun chacune dans les orties, dans les bas-côtés. nous voulons y comprendre lourd à notre tour. nous voulons toucher cerner et aller loin dans la comprenure. nous voulons savoir ce qui est qui nous regarde et nous espionne par la même occasion.Qui sommes-nous quyi cherchons à nous interposer à notre tour, à prendre la place à notre tour, à occuper la place à notre tour, à faire ainsi que nous aussi on ait le mot à dire. lequel ? eh bien toujours le même : «mort». ce mot de la foi dans les mots. car, qui ne croit pas en la mort ? en la mort cvomme accomplisserment, comme certitude, comme finalité, comme passage vers un au-delà ou pas quelle importance, puisque là est le fait de cette croyance avérée,, enchassée, incluse, d’une mort annoncée réelle, chose due pour ainsi dire, obligation en titrte, chose connue. on sait que la mort est un mot d’’une langue acquise et inoubliablme à quelque chose près. mot «mort» est l’ami du commun. on pense à la mùort et de ce fait on y croit, on croit en elle, et cette croyance est toute autorité, c’esst ça. la croyance en cette chose de la mort, est possible ou rendue possible, par l’usage inculqué d’une langue qui dit cette chose, et du coup le disant ou la disant fait montre d’une autorité massive, grande et lourde. cette autorité est celle-:là m^me quec  ertains prennent pour eux, à part eux, dont certzains hominés s’accaparent et du coup épousent. ils épousent cette autorité du langage parlé. ils font leurs de cette autorité (et leurres) et nous de nous coucher c’est ça ? nous ne voulons pas nous coucher face à l’autorité du Verbe épousé ! le problème ou le hic est là, à savoir que nous pzarlons la même langue ! nous parlons (grosso modo) la même langue  ! nous parlons grosso modeo la même la,ngue merdum ! nous ne parlons pas une autre langue mais la même et c’est là où le bât blesse hélas ! on pense pouvoir s’affranchir de toutee sortes de la,ngues d’autorité mais macache ! on est en plein dedans ! on ne peut y couper ! on ne peut s’en extraire car, en vérité, nous pzarlons la =même langue. on dit des fois que non mais c’est pas vrai, c’est exactement la même à) quelques détails près (d’jintonations, de syntaxes, d’usages des données etc, m)mais pour l’essentiel je parle à coup sûr la même langue que celle du pouvoir en place, alors : comment faire pour me décaler ? comment m’extraire à bon droit ? comment faire pour m’extraire de ça et parler une langue nouvelle qui, pour lke coup, ne serait pas «d’autorité» ? eh bé c’est impossible ! car c’esst ainsi que toute langue est grosse de données d’aurorité voire de données patriarcales d’autorité et ça fait chier mais comment le dire que ça fait chier puisqaue tous les mots empmloyés sont connotés, sortent du même tonneau ? comment faire ? pleurer ? rire ? chanter coûte que couûte ? xchanter ? chante ! cxhante = rêve = espère ! oh on voit ça ! on le voit de là ! on est bien plcé ! on sait comment se mettre ! on est deux qui nous tenons la main ! on est deux êtres chapeautés de base qui, ensemble, vont et vienent en roche en se tenant toujours la main ! on est cdeux qui cxherchons à toujours immanquablement nous tenir la main et à en avancer sur le chemin tracé ! on va et on vient bsur un chemin qui est tracé par du Verbe déployé devant derrière , et qui (dès lors) nous permet le contact divin ou du divin. car le verbe est déployé = déplié = déplissé = déroulé comme un wsezrpentin qui relie notre âme d’hominé (vie vive enchassée) à la mort prochaine, son antre caché, son trou de rapines diverses. on colle à la roche et collant on s’enfonce en ellle. on veut passer à travers elle. on veut pouvoir passer à travers elle et aller en elle, et comprendre en elle les données. on veut vif passer oup! on veut aller en elle et toucher à elle au plus lointain. on dit que nous on doit passer en elle et comprendre et faire ainsi que la dite vérité des choses et des faits advînt sur le devant de la scène. on plonge oup ! on est vpassé la tête première, on a traversé la roche, on s’est retrouvé de l’autre côté et voilà pourquoi aujourd’hui on voit ces choses devant soi qui semblent nous faire signe, nous dire des choses de vie et de mport, nous pareler en propre, nous donner du mou à nos vies, nous dire ce qui est, du Verbe et de l’Aurtorité contenu e en lui. nous cvoulons aller profond en cette roche des données vives. on veut ça. on veut ici savoir ce qui est qui nous questionne méchamment depuis longtemps : la question de l’Autorité du Verbe. on pense qu’on peut dire en affranvchi mais le peut-on ? on pense royal que nous on peut ça : s’affranchir de toute autorité inhérente ou qui sezrai comme inhérente, enfin cette chose d’une autorité introduite etc, or comment dire : non! on peut pas ça! ou alors comment ? on est sur la roche à creuser des choses, des dessins de betes fortes. on est gravettien et gravetiennes. on est magdaléniens ou aurignaciens et magdaléniennes ou aurignaciennes. on parle un parler bancal, frontal, pariétal. on se plie en quatre pour parler de fait ce langage de la foi dans le langage, ce langage qui dit (et ne dit que ça) que la mort existe pour soi, etc, que la mort est bel et bien là pour soi, etc, et que par conséquent on se doit de faire avec, etc. Le langage ou verbe ici est ce dire qui dit ça en soi. c’est à dire que c’est pour le coup la langue parlée en son entioer(ce fait du parler) qui dit ça : la mort, cette mort pour soi. et ce Verbe est alors cette chose d’une Aurorité d’un dire frontal, pariétal, rupestre. on plon ge ensemble dans la roche (la roche du temps) à la recherche du mot de la fin mais le mot de la fin est inconnu au batailllon ! il n’existe pas ! il n’est pasv présent dans les annales, il fait ou nous fait faux bond. il n’existe pas de mot de la fin , c’est à dire qu’il n’existe pas de vérité incommensurable, or tout dire se présente comme vérité, comme autorité, et c’esst là où le bât blesse ! comment faire ? on ne peut couper au sens des mots, au désir d’expression sensé»e ! on ne peut s’extraire du désir d’un dire en bouche (nôtre) sensé ! qui ait du sens ! qui dit des choses ! ce qui est qui xse présente comme un dire qui en vrai ne veut rien dire d’autre que le dire, va un temps, est amusant, amuse un temps la galerie, fait rire un temps mais ce temps ne tien,t pas ou pas vraiment dans le temps ! car il y a des moments où de soi-même déjà il nous est impossible de tenir ce parler en l’air, ces chants plaisantins, impossible car sous emprise immanquablement ! on n’est pas toujours dans la maitrise du rire ou du dire du rire ! immanquablement ! on est parfois comme envahis par des affects qui, de fait, nous font parler sensé et comment ! qui nous poussent à moraliser par exemple ! ou à nous plaindre des voisins ou que sais-je ! et le rire dès lors, ou le parler en l’air est ramené à de drôles de proportions qui en font un dire foulé, un dire amenuisé, un dire quasi vain ou disons sans trop de consistance tous les comptes faitds. car il juste de tout compter, et pas que certaines données et pas d’autres. il est juste de compter tout ce qui est. nous devons compter tout et aussi le langage d’autorité ! il est dxans notre bouche qu’on le veuille ou non ! il fait partie du kit d’une langue, comme une sorte d’inclusion surnaturelle on a tendance à l’oublier. l’autorité du Verbe en fait le charme (au sens fort) susceptible de pousser la mort dans ses retranchements. le mot di la mort et ne dit que ça. le mot dit la mort, dit ce qui est en cette chose d’une foi en elle. le mot dit toutentier cette chose, cette foi. le mot contient la foi, le mot en entier (cest à dire une langue en soi) dit la mort et que la mort, nomme cette chose, dirt cette chose de la mort à venir, de la mort inscrite. et cela est cette autorité du verbe, disons : ses gros yeux, cet air sévère. car le Verbe a un air sévère intrinsèque. et cet air sévère intrinsèque est connu, est senti, est vu, est appris. il s’agit d’un père. il s’agit d’un verbe de père. il s’agit intrinsèquement d’un Verbe paternel, paternaliste, patriarcal d’autorité massive et magique. le père verbal est cette autorité magique intirnsèque à toute langue pzarlée. on sait que l’autorité d’une langue est là pour faire les gros yeux : aurochs. et ces gros yeux sont ceux-là même que l’enfant en son temps redoute. l’enfant s’effraie. l’(enfant en soi redoute les gros yeux du verbe intrinséquement sévère, patriarcal ou matriarcal mais qui en impose grave, fait peur, ça joue sur la peur, sur la peur du gendarme et de la loi, de la punition pour manquement devant la loi d’un verbe posé comme un dit-diktat, comme un inter-dit entre soi (nous, je) et l’autre de l’au-delà des montagnes vertes. on se dit que nous on a à pigezr cet état de fait, et donc à creuser un sillon dans la rocxhe du temps, traçant, dessinant des bêtes, ces betes massives ou bêtes -mots massives en nous contenues depuis l’enfance, notree enfance d’etre adoubé par une vie en nous insérée. on essaie de nous rapprocher un tant soit peu de la vérité, des choses vraies, des données rudes, vives. onessaie d’aller au plus posssible dans les profondeurs. on veut toucher Roche. on veut toucher que tu toucheras la roche des bois. on veut aller loin en cette roche des bois, en cette roche dure des bois de la lande, des prairies des vies, des prés endiablés, des zones de vie salutaires. on veut faire obédience. on veut creuser en profondeur cette roche des données solides et rudes. quand on s’en approche on croit entendre bien xdes choses dites, de type récits des hommes des cavernes et des femmes des cavernes. on veut comprendre  dur, dru, rud, on veut ! on veut y aller ! on veut coucher noir sur blmanc les données frontales les plus enchassées dans la roche, les cerner et les tracer . on ne veut plus du tout passer à côté mais tout le contraire on veut les toucher de près , les caresser presque dans le sens du poil, les amadouer ou bien se les amadouer. on veut être hominins comprenant la chose de lma mort à l’oeuvre, cette divinité calculée. nous on veut aller très très tres tres tres tres tres tres ytes tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres trexs tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tresctresctreszctreszxcgtrttttres tres vtresv tres tresvtyttetres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tresvtres tres tresv tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres trestres tresctres tresctres tres ctres tres tres tres ctrestres ctres ctres tres tres tres tresvtrtees tresv tres vtres tres tres ttes tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres tres loin dans les profondeurs de la grotte, au plus qu’on peut. au plus loin possible dans les profondeurs. au plus que nous pouvons raisonnablement et au-delà. transe des esprits en  nous nous chevauchant. on voit en nous l’etre chargeant, cet homme des bois, aux bois, ce chevreuil fait homme ou inversement. doit--on dire ce qui est ici qui nous occupe ? doit-on dire en entier le dire des prés en  ous contenu ? qsui donc pôurrait nous accompagner dans cette volonté d’un dire de cervidé amené à complète transformation ? qui est là pour moi, m’aider, me seconder ? une bête peut-être : une biche des praziries vierges ? une petite biche délurée ? on cherche gentiment des choses rudes. on s’enfonce en roche et on essaie dès lors, de cerner les notions profondes, cette autorité verbale ce qu’elle est, ce que c’sest que cette chose en soi introduite comme une sorte de   de

comme une sorte de méfait. on cherche. on est loin du compte ça se voit, inutile de le souligner. nous on cherche grave les données de base, les justes étayages, ce qui compte pour de vrai, cce qui est en vérité sur roche. donc du coup on regarde avec avidité, on n’en loupe pas une, on a envie de croire en ce qu’on voit, en ce convoi de bêtes lancées à) même la roche et faisant grand bruit imposant, faisant impression. on est là ensemble en soi qui voulons toucher à cette chose d’un passsé posé collé sur roche, cette chose vive d’un sermon, d’un dire de poids, d’une sorte de leçon de chose. poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids poiuds ! poiuds ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids poids poids poids! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids ! poids !poids ! poids ! on est deux en soi pour ça : qui et qui ? moi et l’autre, ou l’autre et moi. l’autre = cet homme ou cette femme en moi dont le nom est «la bête» car en vérité il s’agit d’une bête, une bête des prés, des rochers, un bouquetin, voilà. il s’agit d’un bouquetin, il s’agit d’une bête vive, à cornes, gravissant les rochers escarpés. il s’agit de cette chose. une bête à cornes et sabots, sautant et sautillant. elle est en moi comme un mot, pareil. indécrotablement insérée en moi comme un mot car il s’agit en vrai d’un mot, non pas forcément le mot bouquetin, mais un mot qui serait l’égal ou le semblable du bouquetin. un mot qui de fait ou dans sa forme serait ce bouquetin des roches ornées. le de la : le bouc de la roche. on voit ça depuis là, la grotte, son antre. on comprend que là on a affaire en vrai à du lourd de sa rage c’est une évidence. poids lourd. poids de rage lourd. on voit bien et comment que ça pèse. on est là à deux qui voyons cela comme quoi ça pèse la tonne. mot de rage pesant. le mot de rage a (comporte) son pesant de choses pleines, fortes, grasses. on voit ce qui est et ce qui est pèse son pesant de poids intrinsèque, c’est indubitable. on comprend que cette autorité, d’une langue en ezlle contenu, pèse. on comprend que ce qui est sévère et fait autorité pèse, a du poids, porte, porte loin, fait en sorrte que ç passe, que ça aille, que ça impose, que ça pousse. on regarde devant soi pareille autorité (langagière) sur roche et dès lors on en arrive à ensemble cerner pas mal de choses nouvelles comme par exemple ce fait coùme quoi la mort nommée est du même coup contenue à bonne distance un temps qui est le temps de la nomination. car nommer prend du temps, et ce temps du coup est le nom dép^loyé, le nom preononcé. temps = prononciation du mot «mort» que l’ensemble d’une langue dit. une langue (quelle quelle soi) est là pour dire cette chose de la mort. toute langue en soi est là pour nommer ça, la mort, c’est à dire gagner du temps = la prononciation, car la prononciation prend du temps. on comprend cela, comme quoi la mort est là nommée, et  la nommée, et que par conséquent on est peut-être comme protégé le temps de la nomina tion. nommer est d’importance et même d’importance capitale. nommer une chose, quelmqu’un, rend la chose ou ce quelqu’un du coup responsable de la cghose pour laquelle la chose ou ce quelqu’un a été nommé.e. on sait que le nom  ou le fait d’être nommé est d’une importance considérable, est d’une importance capitale en regard dde la question ici centrale de l’autorité. on veut aller loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin dans la connaissance de ce qui est et de ce quin’est pas, et pour cela nous gravissons la roche (en lévitation ?) et nous nous approchons d’icelle à la toucgher, à l’embrasser presque, voire oui à l’embrasser, à la baiser, à lui dire des choses de l’amour transi. on cherche à s’approcher d’icelle amoureusement, tendrement. on cherche à la pénértrer l:angoureusement gentiment, à entrer en roche comme en religion , à passer de l’autre côté  de cette chose appelée roche par la bande, ou rock en anglais, etc. on est deux en soi pour comprendre les données profondes, le pâsdsage vers cet au-delà de la roche salutaire. on pousse fort, main dans la main. on est comme deux qui cherchons à tracer grave ce qui est qui est une bête. une bete à cornes en ce qui me concerne peut-être. on est deux pour ça, on va de l’avant, on gratte la roche, on creuse en veux-tu en voilà et on s’enfonce dans le doux, le mou ou meuble d’icelle paroi des tendresses, des données de base. on est dedans à présent à tenter une approche des lieux à visiter, des prés verts, des prairies ondulées. on marche à pas comptés. on est deux main dans la main à aller et venir en ces prés de base, roche des prairies fleuries, champs des données vives de la vie et de la mort. on veut comprendre les données de poids. on veut tout comp^rendre. on veut aler et venir en ces prés des données de base, chercher une bête à bois, lui parler comme à son semblable le langage articulé qui le fasse. on aimerait trouver Bambi par exemple. la biche dees lieux dits acidulés. on est deux qui cherchons ici et là une biche des bois et sous-bois, qui sache nous parler de fait le langage des données de base, les mots communs, le bruit de la faille. on voudrait comprendre un langage des failles qui serait (ici) connu de tous et toutes, de toutes les bêtes des lieux et de nous pazreilllement, et ce langage le parler vraiment, concrètement, l’articuler copncrètement et échanger avec ici l’animal des prairies gravés, dire ce qui est pour elle et pour nous et elle de même. cette autorité inhérente à la langue , l’approivoiser. Cette autorité , l’apprivoiser et la tenir en laisse, à bout de bras. on voudrait cerner cette chose, d’une sorte d’autorité inhérente à la langue et dont certains ou que certains s’accaparent éhontément ou comment ? des aurochs ? des bêtes de poids ? sont-ce ces choses de gros poids et grande taille sur la place ? qui sont-elles ? qui sont ces personnes élues ? doit-on élire des représentants ? est-ce une bonne chose . doit-on élire au suffzage universel des rezprésentants du peuple ? et ensuite leur laisser les renes ? leur laisser le mot de la fin ? mais quel est ou serait donc le mot de la fin pour elles (ces personnes) ? le mot «chant» ? le mot «champ» ? le mot «chien» ? on ne sait et cependant il faut s’attendre à bien des choses ! on est ainsi livrés que nous sommes encadrés par des chiens enragés à tete , 

à tete d’honnetes betes, 

de  poids calibré contrôlé.

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8/02/2023

on avance pas à pas. on est deux pour ça. on veut toucher à cette roche des attreaits. on est partis pour. on veut comprendre-toucher eet cerner-ava,ncer ou en avancer. on est deux en soi pour aller loin en cette roche dure des temps alloués à vie humaine, bestiale-animzale, -florale-végétale etc. On compte sur elle (roche) pour comprtendre un maximum de ce qui est pour nous devant nous à mater nos avancées rupestres. on veut toucherr-comprendre = cerner-toucher. on est ainsi nous deux en soi qui veillons au grai,n et cherchons loin, dans la roche, des sortes de (dites)»vérités de bon aloi» qui seraient pour nous : étayages et membres, trains de vie et arbrres. on va loin ainsi ensemble à tenter des expériences «de paroi» (dites telles) et du coup on en avance ! on file fissa en cette roche dure de la vie sur terre, on cherche à toucher que tu toucheras à elle. on veut ctoucher-cerner la paroi à vif et pour ça on a besoin d’être ainsi colloés nous deux,  serrés-collés, adjoints ou conjoints, deux ensembvle pour une sorte d'embvardée votive, ainsi de suite. On cherche à bien nous immiszcer en cette paroi-monstre : temps ici des données de rage, temps mal dits mais toujours présents (en roche) pour la bonne cause. on est ainsi ensemble qui voulons cerner de près lkes données de base rocheuse, frontale, vives et acidulées. on creuse que tu creuseras. on y va gaiement à la une à la deux sans discontinuer. on ne veut p)as céder ! on veut tenir vif ! foncer que tu fonceras ! vas-y ducon, fonce à vive allure ! on veut ça pour nous c’est dit, cette vive allure tout-terrain ,; qui va vif son train de vie de roche dure ! va dedans à fond la caisse! on le voit, on voit ça, on voit bien ce qui iic se tra me en matière de train, d’allure, de vitesse de croisière, etc. Ce qu’on voit c’est ça et pas autre chose. on est deux qui voyons ça et pas autre chose : cette voie d’accès vers des données de base fronbtales, dures de chez dures il est mais bon, on le sait depuis longtemps, on est deux en soi (en  ous) à le savoir, comme quoi la roche est dure, un tourment. ça on sait pertinemment depuis longtemps, on l’a dit maiintes et maintes fois c’e’st sûr, on est deux qui savons ça, on est qui savons ici la dureté mère, cette chose devant soi en dur : ce bassin côtier, cette rembarde, cet accès escarpébv(scabreux ?) qui nous fait face, cette sorte d’ouverture mal foutue qu’on dirait un pic, un cap , une péninsule qyui sait. mal dégrossie. mal acheminée ou comment ? et nous d’y passer frontal comme des morts-de- faim qui vouolns de la roche à tout prix. on fonce fissa, on est deux en soi qui voulons fondre sur la roche, aller dedans au plus loin possible, entrer par la porte ouverte et du coup passer la tête etc. le corps enteier passe. on est passé. on veut deça pour soi, ce passage au débotté, ce temps calculé, cette rage d’être, ce chant des données cruciales, ce paraitre. et du coup voilà on est comme passés ensembkle main dans la mzain à travers la roche des temps déployés. on voul:ait ça on l’a. on ne voulait pas autre chose. on voulait comp)rendrte eznsemble un certain nombre de points en partiuiculier, et on peut dire que ces points, on lkes a abordé frontal, on a vu ce qu’on voulait voir : ce temps déplisszé, cette chjose devant soi massive, aurochs des données de rage, savoirs fous (fols) , gentrification de l’âme rupestre, trou de vie. nous on cherche à ici cvomprendre ce qui est, ce qui se trame ici en roche des temps, et pour ça on joint nos mains, on se rassemble, on fait corps et unité, on ne tremble pas d’une once, on fout la panique peut-eytre pas mais enfin on montre qu’on est là, qu’on compte et pas qu’un peu. on dit qu’on veut toucher à cette chose d’une roche des temps alloués à vie de base; et du coup voilà on est passés, on a franchi lerubicon de l’os pointu. on a traversé ce passage ardu, osseux, dur de base, montagneux. on est à présent logés à meilleure enseigne «de l»’autre côté» et on peut respirer, voir le paysage, souffler, vivre sa vie de rage rupestre, cueuillir les roses de la vie, chanter, courir à petrdre haleine, s’amuser gaiement dans les champs. on veut être ceux et cellkes (celleux) qui voulonbs toucher que tu toucheras à cette chose d’une vie «ouverte», fleurie, chaude, vive de chez vive, etc, qui pour nous serait de fait : vie de base matinale, chant des sirènes, ouvertures en vrai sur un paysage agraire etc. on veut aller de rage en elle (roche) da ns son sang pour ainsi dire. le passage est ardu on l’a vu mzis bon, tout se fait, on peut y arriver, on peut toujours, on est deuix pour ça en soi : bete et belle au débotté. on veut toucher à cette roche dure des données de base rupestre, et voilà la chose, ce que c’est pour nous ou  ce qu’elle est pour nous : une gageure ! et nous qui voulons ou vouliiiionds comprendre la chose !!!!!!! doiingue dingue ! on voulait ça ! et puis pas qu’un peu ! on en rêvait cher ! on voulait filer vif en roche des temps à la recherche d’un tourment de plus ! ou sinon comment ? on voulait percer la membrane, sortir la tête vite fait, aller en cette roche des données dures, et du coup comprendre ce qui est et ce qui n’est pas. on voulait aller profond en cette roche dure des temps placés. on voulait se tenir droit enelle, franchir les étapes et faire a insi que la chose soit, qu’elle fut pour nous une chose depoidsq de type aurochs, bison, buffle, griooossse bête des parois, ce genre-là. combien de fois dire les choses ! Combien de fois redire et encore, et pourquoi ? pour se faire mieux comprendre de la populace = soi en soi ? oh peut-être ! on est nous deux de cette populace à dire vrai : peuple petit des données de rage ! vitupérant après la bande, toute la bande = toute la clique ! celle des donneurs de sang tu m’as compris ! des chenapans oui ! charlatanisme de la base vive ! gens de poids mais de peu, etc., oui ils pèsent lourd, en effet, pour les décisions à prendre, ils pèsent des tonnes, ils imposent, ils forment et déforment : oui. Sûr de chez sûr, et nous = moi + je , on fait quoi on fait pitié ! on subit ! on faiblit ! on est deux cons de ta pauvre mère à subvir les choses du monde ! macronisme à allure de vive atrocité ! ou comment tu vfeux que les choses soient ? on est qui cherchoins à faire ainsi qUee , loa vie vienne à  n ous plus douce, moins a cide, moins dentée, mais enculé tu m’as saisi c’est dingue ! on peut pas ! on est pris à parti ! on se fout de nous grave ! on est p^ris de rage et pas qu’un peu tu le vois ! on se fait baiser de pied en cap ! on est touchés-meurtris à la ceinture, oh malheur ! oh l’enflure ! oh misère de ta joie à naître ! on voudrait aller dans les profondeurs du savoir de base mais voilà qu’elles se dérobent, qu’elles se cachent  de nous, qu’elles semblent toujours chercher à bien  nous éviter , de peur de devoir en découdre fissa devant nous, de peur de se laisser toucher ou comment dire ? on est qui voulons toucher la roche de près mais comment ? avec des mots ? oh misère ! oh la grande misère ! oh l’enfant ! oh l’enfance ! oh chant des enfants ! ritournelles seyantes ou comment sinnon ? on cherche ensemble à comprendre, ces données de base natives ce qu’elles sont pour nous quii allons loin, dans les connaisqances d’iune vie humaine ou auttre (végétale ?) et nous voilà, au bord de la rive, sur chemin tracé, préparé, on fouille à mains nues, on est deux ezn soi qui fouillons. on veut êztre ceux et celles-là quyi savent dur ce que c’est que ça, cette chose des données de rage, ce parcours de vie, ce pasdsage vers des embruns, cette voie d’accè§s vers davantage de sécurité en matière de vérité. on veut être ensemble ceux qui vgont plus loin toujours. on veut être deux pour ça : toucher que tu toucheras la rive du temps, ce ballast, ce train dee cortège, cette vive joie devant soi, cri de guerre, cri de joie on voit ça, c’est frais. on est qui voulons aller le plus possible en  cetrte roche dure des savoirs du monde, et dedans toucher ou voir à) toucher. on se dit que la vie est cette chose devant soi qui hurle à la vie à) la mort. on se dit que cette chose devant soi appelée «la vie» est une chose hurlante = vociférante après qui après mézigue = nous = je + je en soi = cet homme transi , cette double chose de grâce, femme au coeur, chant d’homme mais quoi, il s’agit d’un chant choral, hominien dirai-je, qui va haut dans la tonalité, monte et va bas pareil, descent. un chant hominien contenant de fait des voix de rage, voix d’hommes et de femmes animaux animales, voix parfaites au sens de co:mplètes au sens de travaillées à mort = assouplies = vives = mesuréesq = ajusté»es à une rive d’abord rupestree. on se dit qu’on doit ainsi aller en cette roche dure à la recherche en vrai attitrée à une cause qui le fait ou qui le fasse. et cette cause c’eest celle-ci : de toujours toucher à cette roche des temps déplissés. on doit pouvoir. on tente. on veut comprendrte loin et pour ça on deéploie le train = le train arrière , et on fonce grave da ns le grabve, on file fissa en avant marche ! on est deux qui ici nous redressons comme des hommes ou hominiens qui vohnt sur roche (terre, terre !) à la recherche de la V»érité des joies rupestres, des accvès de vie, des chants des champs fleuris. on compte les pas : on mesure. on parle bas mais les mots s’agrègent. on essaie de toucher à la paroi des choses rudes, on tente des coups, on tente ensemble à faire ainsi que des choses soient, que des choses prennent corps, se fassent devant nous = se formassent. on veut toucher vif, merdum ! combien de fois le dxire ! car le dire ici est cette chose d’une sorte d’entrée en matière dans la matière ! on veut coucher des choses par écrit, on veut calculer, on v eut compter les choses de vie, on veut aller loin dans ce calcul des choses de vie qui sont celles , précisément, qui nous accompagnent, qui sont pour nous nos amies des p^rés, betes de rage masssives, gens des plaines, hominidés aux allures d’aurochs et autres mammifères. on est deux squi voulons comprendre ce que c’eswt que cette chose devant soi : temps des données de ta rage à nazître ! eh bien peut-être est-ce ça, cette chose, ce chant des przairies, ce chant doux des données de vie qui nous «regarde» colmme si, des fois, on était amis. on se dit  quye nous on a à aller loin en roche dure. on se dit que nous on se doit fissa d’aller au pluys poossible loin en cette roche des temps donnés, octroyés, et voil:à pourquoi on est l;à. on cherche que tu chercheras des cjhoses à même la roche, et on monte ! on monte toujours davantage ! on fonce ! on fonce fissa à la une à la deux vers la paroi ! on gravit les ma rches, on ne s’en laisse pa s conter de rage ! on est sur le qui-vive ! on veut aller -en cette roche des données rupestres, au plus possible loin qu’on puissee, c’est un fait. on entre par la grande ou belle porte des embruns (ou des attreaits ?) et passée elle, on fonce à vive allure vers les preés. les prés de base : pré- de quelque chosqe d’opérant, prénuptialement, pré-sentement, pré-coïnci demment. on se dit que ce pré- de rage est notree mot de base. on se dit que cette chose est une chose vraie. on se dit que cette chjose ici est cette chose d’une sorte d’entrée en matière dans la vérité promise. on pênse ici que cette chose ici est une sorte de beauté de base placide et du coup on fonce, on va vers elle à vive allure, on veut aller vif vers elle et toucher à elle, la toucher la toucher de grâce, faire ainsi qu’elle se sentit forte, renforcée, tenue, comprise, étayée et rassurée sur notre entreprise. on veut que ça ici soit ça qu’on veut = une donnée franche, ouverte, vive et fraiche, etc. on ne veut pasb passer à côté de la vie. on veut faire ainsi que les choses soient. on veut faire ça ici, cette chose dx’une entrée frontale dans la vie. on veut percer la roche à vif, franchement, présentement, possiblement, conjointement (la bete en moi et moi en elle) et marre ! on y va ! on  creuse ! on fonce ! on fronce les sourcils ! on veut toucher le pactole ! la prime à l’embauche ! le cru et le cuit ! la marquise ! le chandail ! la loutre ! l’ouverture fauve ! le coeur de la vie vive en soi (en elle ?) et de là aller ezncore davantage dans les profondeurs de l’antre . oustte Marie ! laisse place à Jean ! ou comment ? ouste Jean ;, laisse la place à moi-Marie, qui va loin, qui entre dans l’antre, qui cherche à comprendre, qui Veut. orr quoi Veut-elle ? elle veut (je veuds) aller à toucher la toucher la Chose = ce corps, cette chair de Dieu ou comment ? sexe dur ? creusement ? glissade ? charge ? aurochnoïdement placée ? nous on se dit que ça doit ainsi fonctionner ensemble : elle et moi, elle en moi et moi en elle. on se dit que les deux choses ensemble doivent fonctionner et pas wqu’un peu. on se dit ensemble que, à nos yeux, les deux choses doivent fonctionner c’est un fait acquis, c’eswt une certitude. on se dit que voilà, ça doit, ça doit pouvoir, ça devrait pouvoir agir des masses, ça devrait aller loin dans la connaissance, ça doit pouvoir aller en elle vif, charger la chose (la chose de poids) sur son etre, ça bien doit pouvoir faire ainsi que la Chose (de poids, de fait) vienne vers soi, en soi, au-dedans, vous envahisse fatalement et vous rapte à vif, bêtement ou pas mais pour cde vrai (il ne s’agit pas d’une blague, d’un rêve de vie ou d’une charade, il s’agit d’un vrai élan). on se dit que si on doit y aller ensemble alors allons-y gaiement de préférence. on xse dit que si on doit ensemble aller au loin en elle (vérité) alors oui, faisons cette chgose d’y aller gaiement et vivement de préférence ! On est deux pour ça. on se sezrre les coudes pour ça. on ne veut pas lâcher du lest. on veut coucher les choses pâr écrit ici (puisqu’on écrit) mais en vérité la chose est frontale, on tape dur en cette roche des temps bénis, on frap^pe que tu frapperas cette roche du temps alloué, on est sur elle comme deux amants qui s’aiment crûment, on force la donne, on cumule ou on accumule, on tasse ou o,n entasse, on charge ou on décharge, enfin bref : on tire parti, on profite fissa des données genrées, on fait notre petit cinéma choral des parois des roches, on collecte aurochs et autres bêtes surnuméraires à même la pierre froide, à même le rocher tremblant, Peyro des temps. on est qui cherchons à fond la caisse en elle (roche) des données rageuses (de préférence), données à pour le coup prendre avec soi (dans sa gibeccière) et à rappoerter (a casa) avec soi. on est deux qui ici voulons comprendre ce que c’est que cette chose, d’une vie vive, d’une vie offerte, ouverte en soi, commune. on se rapproche de la paroi. on dit cette chose , là, comme quyoi on est deux en nous ou en soi, qui voulons nous approcher de cette chose d’une bête de poids qui serait la Bête majuscule, cette Bête dszx  Temps déployés par la bande traçante, ce cri de guerre au débotté, cet hourra-football, ce chant à corps perdu, cette joie-monstre, ce grand Animal des Rues, ce mastodonte. on veut ça pour soi : cette géantissime armada. on veut pouvoitr toucher à elle , on aime son sang, son etre de vie sensibkle, son cri fort , haut perché, sa vue sur le monde. on est qui voulonsq comprendre ensemble cette chose d’une sorte de tourment de base, de chant cru, de haine vive et raide, en soi, déplissée, entrée, et qui est cette chose, rude à comprendrte pour soi, comme quoi : nous sommes occupée s  par en  nous le Monde. on est en soi occupés par l’ensemble du monde. on contient le monde en soi. on est en soi comme un réceptcacle du monde alentour, quelle que soit l’époque de vie on est cette chose. on est cette chjose en soi d’une sorte d’entrée au moonde alentour, d’entrée possible, de chance, de place forte. on est qui voulons aller loin le plus, dans les connaisqances de base et aussi loes autres, les plus reculées, les moins en vue ou à la vue. on cherche partout des choses pour soi, des choses de poids on le sait : rudes beautés, main d’eouvre achalandées, corsages, crins. on veut faire ainsi que des choses soient, pour nous (de base) des données solides, etais de la rage, corps d’appuyi. on veut faire ça, cette chose, ce corps devant soi le déposer fissa, encore chaud et vif ou presque, et voilà pourqoi on est là. on cherche à déposer kle corps sanglant. on chezrche à poser le corps en sang. on cherche à à deux déposer-poser le corps chaud encore de sang fraois sanguinolent. il s’agit d’un dépôt de jhoie, de soi, de son propre soi comme offert ici sur roche par la bande (érection -misère). on veut être a insi adoubé ou comme,nt ? pris en compte comme devant faire parti du nombre. on veut compter. on vgeut être pris en compte. on ne veut pâs passer à la trappe. on veut être pris en compte. on veut être dénombré. on veut être pris pour ce qu’on est et pas pour autre chose. on veut être considérés à notre juste valeur et pas pour quelque chose d’autre qu’on est pas/. on veut être vus tels que nouys sommes. on veut être vus tels qu’on est. on veut être vus , perçus, reconnus, pour cela même (ça) qu’on est en vrai (en vérité) et pas du tout du tout pour cela qu’on est pas du tout du tout,. on est deux en soi qui voulons de préférence être consoiidérés pour ce qu’»’ils sont en propre = au p^lus profond = dans les profondeurs de leur âme etc. tu m’as compris ça fait presque sourire à l’endroit, et à l’envers ça fait pleurer de rage, tellement c’’st dingue, fou de croire en ça que ça ça serait vrai, qu’on serait en vrai «perçu» pour ce qu’on est par une entité dérobé»ée ! tu parles ! parole parole ! tu parles charles ! tu m’en diras tant ! tu crois vraiment qu’on est de fait comme reconnu pour cela même qu’on serait (rien de moins sûr !) en vrai ? tu me fais rire. ne me fais pas rire. tu m’amuses! ne faispas cela ici que ça ça me dérange aux entournures, ça me fait pisser. S’il te plait évite de grâce de me faire rire, ici , qsue ça me fait envie d’aller pisser et grave ! je veux faire ainsi que les choses ici soient couchées le plus possible, noir sur blanc, dans le sens précis d’une sorte en soi de vérité vraie ! on veut y aller ! on veut sz’époumoner ! on veut faire la chose ainsi ! on est deux qui cherchons ensemble à comprendre de la vie les données primaires, premières, natales ou natives, de base et de rage . on a cette envie en n ous de faire ainsi. on veut toucher la Chose, rudement, fontalement, rude, frontal on veut. on est deux pour ça. on ne veut pass passer du tout à côté mais tout au contraire y aller à vif vers elle direct ou en plein, on veut toucher sa peau, son sang, ses humeurs, son jus, ce qui coule d’elle, son pipi, sa vive salive, bave de vie, le j$us de son sexe, de son trouduc etc. on ne veut pas passer à côté d’elle sans savoir  ce qui en elle est, c’est à dire existe pour cde vrai, en chair et en os pour ainsi dire, au débotté, de toi à moi etc. on chezrche à toucher la chose, à toucher la toucher la chose en vrai, la toucher la toucher pour de vrai. on veut ensemble aller vers elle, à la toucher presque, ou pire : carrément : l’e,nlacer, la prendre pour nous, la sezrrer serrée, la coler à nous vite fait, la prendre par le bout du nez, la mener où bon nous semble = ici = antre = lieu de vie pour ceux deux ^ames de vie. on cherche à se coller. on chezrche à coller à elle, roche des prés. on veut à elle nous coller et embrasser la roche, la baiser de rage, faire ainsi qu’on soit de fait accolés tous deux, faire ainsi qu’on soye tous deux et deuses accolé.es de grâce grave. on veut coller à elle grave, gravant. on veut grave en gravant des bêtes coller à elle roche des tourments de vie. on veut grave (forrt) (gros) colloer à elle en gravant à l’envi des bêtes de poids, betes-poids. on veut grave graver des bêtes de poids, betes-poids de ta race mère. on veut e^tre grave des graveurs de betes graves, betes-gravats, voie de base, voi

x de rage. on veut grave graver des chjoses de rage à mmême la roche nue, en cette caverne, rageurs et rageuses nous sommes = je, qui grave que tu graveras sur paroi des choses, et cees choses sont des bêtes-poids, bêtes de poids d’une rage d’être (de naître) à la vie vive offert et non pas donné sans frais à la mort des bois. on veut comprendre ensemble des données, et pour ça on se doit d’aller nous accolert ou nbous coller à la roche des données de  base, celle-là même qui ici nous regarde vif, qui semble nous mater à vif, qui semble vouloir comme nous dévisager, or non, nous ne voulons pas prêter le flanc à cette chose devant soi dont le nom est «la mort». nous ne voulons pas faire ainsi que cette cxhose devant soi soit celle-ci qu’on appelle «la mort», soit «la mort pour tous et toutes». on veut de préférence demeurer en vie. on veut dfe grâce demeurer en vie. on veut toucherla mort mais rester en vie. on veut bien «toucher» la mort (un peu, pas trop) et rester e,n vie, demeurer, continuer notee bonhomme de chemin. on veut aller loin, en  ette chose d’une ruade, d’une embardée votiuive, mais bon, sans pour autant avoir à y laisser des plumes, à y laisser notre âme, notre sang d’encre. on veut bien aller ensemble en cette roche dure des temps, mais bon, pas vraiment en vérité, pas totalement, pas co=mplètement, car on tient à la vie, on veiut pas mourir, on veut rester en vie b el et bien, on veut poursuivre sur notre chemin notre petrite randonnée d’hominiens hominiennes des bois et chausséees. on veut bien «toucher» la mort mais non pas mourir c’est sûr. on se dit  cette chose ici, comme quoi on aime la vie, on l’aéime crûment et on ne veut pas la laisser filer ou pâsser entre nos doigts mais plutot la tenir ferme, l’empoigner afin de donc tracer oou voir à tracer des bpêtes de poids sur roche, aurochs des naisqances, bisons des données de  genre, buffle citoyens. on aime la vie sur roche : craies, traits, mains, coins, fissures, fentes, trous, vulves, sang. on veut être près, touchher à elle à vif, toucher-caresser-empoigner, nous coller, nous positionner contre elle à mort. on est deux qui cherchons de fait, à nous approcher d’icelle roche des données de  base. on est qui voulonjs ensemble aller loin en cette roche dure des données de base. on veut comprendre ensemble et ensemble aller. toucher la toucher ensemble et ensemble caresser sa vulve. on est comme deux en nous qui cherchons ensemble (main dans lq main) à caresser icelle roche des attraits de rage (base) des donn»ées. nous nous sommes promenés. nous avons cheminé. nous voulons comprendre les données rudes. nous voulons co:mprendre ensemble les données de joie, chants doctes, paroles enlevées et élevées. haute joie dominicvale, haute joie monacale, haute joie de grâce ! on voit ça par là, ce que c’est que ça : cette joie des données frontales , ce chant des prairies colorées, ce cri humanoïde, cette sanglante chevauchée à travers la lande. on voudrait comprtendre au mieux mais pour comprtendre au mieux on a besoin ensemble de nous erapprocher le plus possible de la roche qui jouyxte nos bras, nos membres, notre craie à tracer, notre bout de bois calciné. on veut être des qui savent. on est là, qui voulons comp^rendre pourquoi et comment la roche des temps,  cette dureté continue, ce sas. on cherche à plusieurs en soi, car on est nombreux en soi, on ne compte plus les êztres en nous, un troupeau d’etres déposés par qui un jour on ne sait pas mais c’est un fait : on est envahis en nous de bêtes de poids, qui chargent, chargent, foncent, grave,nt grave sur roche d’autres bêtres qu’elles quoique ressemblantes follement. follement ressembklantres c’est un fait. follement creuséesq, gravées à même la pierre : langue de la rue, chargement vocal, outrepassage, décollement de base, coins déployés, chargements au débotté de bêtes rudes, coriaces, fortes, pa ssées. on veut être pour elles (ces bêtres) d’autrees bêtes qu’elles et cependant follement ressemblantees. on est des bêtes pour elles , et pour nous elles sont aussi des betes cde vie, betes-poids de charge de vie devant nous, en nous puis devant nous. on est qui cherchons en  ous des bêtes de vie chargeant dru la roche. on est deux en soi qui cherchons de fait, à faire ainsi que des bêtes chargeassent à vif, sur roche du temps, ce nom de base (natif) qui est le nomm offert à la naiisance , à notre venue sur la terre ferme. on veut être elles (ces bêtes de joie) pour nous, qui allons nous coucher ou allongzer sur l’herbe du pré pariétal. nom de lma bête prise à partie. nom de la bête touch»éée. nom de la bête choisie, chassée. nom de la bête apprès laquelle on court fissa colmme des dératés de ta race mère. on court. on cha sse la bête. on est cha sseurs patentés et on y va, on charge à bon droit à notre tour, on veut pouvoir manger (en retour) de sa chair fraiche. on est chasseurs-cueilleurs par la bande, on charge grave sur roche, on broie l’os de l’aurochs, on dessine à main levée la charge bestiale, la ma sse pariétale, le poids saignant. hou hou hou. hou hou hou hou. hou hou hou hou hou. on est deux qui hou-hou-ons ensemble notree cri de joie. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou. hou hou . hou hou. hou hou . oon aime ainsi chasser-graver sur roche bête-poids de base, charge de vie,, remplacements. on est zensemble et on veut ensemble aller en roche dure graver, betes divers, betes de poids divers, grave que tu graveras. on veut faire ainsi que des choses pour nous  puissent de force nous parler en vrai. nous voulons que des choses de suite, en syuite, viennent vers nous, nous parlerr, nous dire ce qui est de ce qui se trame. la vie devant soi est masse. la mort devant soi est masse. la vie-moert devanjt soi est masse. la mort-vie devant soi est masse. la vie est masse de la mort. la mort est masse de lma vgie. la vie est masse acquise, la mort est masse promise. on voit ce qui est qui se dessine sous nos doigts et ce sont betes de poids agraires, charges frontales rupestres, voix de bois, cris de joie, cris de rage cjhampêtres, charges monacales (on y croit et on y va). on aime aller ainsi, au  coeur de la roche, chercher pitance, voix et vérités de base. on se dit que nous on a à faire ainsi qu’on swe doit de dire les cghoses qui pour nous sont devant nous qui semblent vouloir nous voir déployer nos dires de joie, et déposer nos charges fortes, grosses d’une joie de vivre centrale, coriace, comptée. on est deux pour ça. on compte que tu compteras les verbes posés, déposés sur roche : mots d’appui. on compte les mots sur paroi : un deux trois. ils sont ceux-là qui nhous importent, qui comp^tent pour nous, qui ont du poids, qui sont pour nous des données de base

. nous nous faufilons à travers la roche par une encoignure. nous cherchons à entrer en elle, à nous bien loger en elle si possible, nous glisser en elle à vif, nous coller à elle et en elle. a enttrer. à nous loger. à nous inclure. à faire partie des données de base. à coller à la Chose Centreale, Centrales données des parois dfu monde. on se colle à cette roche des données du monde et là, accolés, on cha nte : hou hou hou. hou hou hou. hou hopu houh. hou houh hou. on crie noàtree joie d’etre en vie toujours ! hou hou hou! on crie à voix forte, haute, hautement perchée, oiseau des donnéewq du monde, notre joie du je meurtri mais vif, vivant (et comment !) sa rage de vie allouée par la bande (langagière) des données de base naissante, crins, crinières, queue de cxheval. on veut faire ainsi, que des choses soient pour nous des reéponses de poids à des questions de poids qUE  nous nous posons subrepticement au décours de la vie. on est deux qui poussons grave notre char à bras à même la paroi, et qui dessinons de concert des betes de charge, vives données ou vives offrandes à déité. on trace à main levée (sur roche) des bêtes à crin, crinière, queuue, sabots. on aime tracer de rage (pour soi) l’âma, la forme, l’enveloppe de la joie de naitrte en vie, de faire ainsi qu’une vie durât. nous nous accolons à roche des parois du monde. on est là comme pour nous accolert à elle qui semble tout aussi subrepticement que nous préce»édemment nous regarder de biais, nous chercher du regard voire nous faire signe ou des signes, comme pour nous dire : viens donc petit animal, joindre tron coeur de vie à ma loge idoine, entre ! et moi de rétorquer (par des tracés de bêtes sur roche) : ça risque pas ! jamais de la vie ! tu ne m’auras jamais en vie, la mort ! jamais de la vie, la mort, tu ne m’auras en vie ! car lorqssque tu m’auras je szerai mort ! lorsqUE tu m’auras, je ne sezrai plus en vie ! lorsque, la mort, enfin tu m’auras eh bé mon billet (ma tête à couper, ma main surnuméraire  à) couper)   que je ne szrrai plus en vie du tout ! de sorte qu’en vie eh bé jamais tu  m’auras, tu peux te toucher lma mort ! tu peux te gratter la mort à te faire saigner ! tu peux toujours te toucher-gratter ! tu peux te toucher gaiement ! tu peux rêver ! tu peux te toucher-rêzver la mort, jamais de la vie ! jamais de la vie tu m’auras ! tu seras bernée, blousée, tu seras couillée ! la vie en moi (par le truchement des bpêtes de poids sur paroi : mùagdalénieene, gravettienne, etc) couille la mort comme pas possdible ! et la mort d’y croire l’idiote ! elle croit à ce qu’on dit ou dessine, y croit dur et dru ! elle est (ou comme elle est) naïve ! elle pense, la mort, que «je» va donner sa vie vive à ses fourches caudines ! ah la la ! hou hou hou ! on croit rêver ! Jamais de la vie la mort ! tu peux toujours te gratter (le cukl) ! tu peux la mort toujours et encore te toucher (la chatte ou la queue) ! jamais la mort tu ne m’auras en vie , c’est la vie! de sorte que voilà pourqsuoi je suis enjoué ! je suis jeu, je suis le jeu, je suis ce jeu de joie, je suis le jeu de la joie d’être, je suis je le jeu de la hjoie d’être un jésus de poids, sur paroi, maigre comme un clou mais pesant de toute sa charge spirituelle sur roche dure, le gravé des graves, le tracé des traces . chenapan de base. coursier. charge mentale. mécanique céleste. parade nuptiale : jésus. je tente ainsi ce treacé de pôids. parade. corps défendant. crainte et cri. dieu est parmi nous la bbête pure. on voit ça partout autour de nous. on voit cette chose qui vibre partout, aux quatre coins du monde. on voit cette chose partout qui vibre follement. on voit des choses sur roche, ces choses sont des chodses en vie forcément. on pense ainsi./ on croit que des choses dsont mais non. on croit que des choses de poiids sont là qui sont pour de vrai mais non. la vie vibre sur roche mais est-ce la vie ? la vie des bêtes tracées n’est pas la vie des bêtes en vrai. je charge sur roche toute ma colère d’enfant vif, vivant, vibrant . je suis hominien de race, bête à cul, corps de rage, l’enfance amoindri, chassée, rejetée et cependant toujours présente par la bande, oeil de voix. je suis l’etre des tenues correctes, porté vif, gens des plombs, touche à tout du verbe, collagène, craintif, arbrte de vie, abruti de ta race nue, corps de joie. j’essaie de comprendre loin et profond ce passage. cette voie d’accès à des zones franches de vie vives. Où donc placer son corps en cette roche ouverte ? où donc poser le pied, la main, le sexe, la langue ? où lécher ? où se mettre ? où se poser sur elle (en elle) roche dure ? qui je suis pour elle, roche rude? qui je suis pour elle que je ne sais pas moi-même ?je sezrais cet arbre, je sezrais cette bête des bois, ce cxhevreuil, cette biche fine. je serais Bambi. je szerais la loutre. je szerais l’oie. le jeu de l’oie. je serais le jeu. je sezrais cette bête tracée. je sezrais cette bête finement tracée de rage. je serais cette bête-là sur roche, grosse de sa voix caverneuse, grosse bête forte et imposant sa loi de bête de rage. on voit tout ça se dessiner sur roche sous mes doigts, qui font cette danse, chargent de près, collectent, chantent. on est deux en soi qui cherchons à tracer la vie vive pour pa rade, et couiller lma mort de ce fait ! c’est grave ! passible d’ammande ? on veut être (sur roche) des qui font impression vive, et qui du même coup sauvent la mise ou leur mise. on est ceux-là qui du coup, dessinant qui des bisons, qui des bouquetins, qui des aurochs, sauvenbt que tu sauveras lzeur mise de poids, leur patrie, leur paix, leur chant, leur vie de joie, leur nom. on essaie de faire ainsi que la vie puiissese être sauvée le temps nécessaire, on veut pouvoir compter sur les betes tracées (sur roche), qu’elles nous sauvent. nous prions de pouvoir ainsi tracer, en avancer, graver et gravir. nous sommes en nous des êtres qui cherchons à (en vrai) nous déployer sur roche sous formes animales (aurochs ou buffles) afin de sauver ce qui est pour nous une mise de choix. nous devons comprendre cette chose ensemble (moi + moi) comme quoi je = jeu = cette chose d’une mise sur roche (écoulemen) censée pouvoir sauver ce qui peut l’êttre d’une vie propre, d’un éla,n de vie rageur (dès la naissance), d’un élan coriace. On veut être cet homme ou hominien, cette femme, qui va sur paroi et creuse son nom, le creuse profond. onveut être celui-là ou celle-là (les deux ?) afin de cerner au mieux les tenants et les aboutissants d’une vie sur terre. on est qui voulobns de grâce comprendre loin. loin c’est à dire profond = les profondeurs. mais où sont les profondeurs ? où sont les gazelles ? où sont passé les gazellzs, les aurochs, les antilopes, les bisons, les bouquetins ? où sont les antilopes et les gazeeles et les aurochs passé ? où sommes-^nous dès lors ? champ des profondeurs ? champs nus ? champs déserts ? où sont donc passé les gazelles ? où sommes-nous à présent ? profondeurs de quoi ? du coeur ? vaisseaux ?  loges doubles ? qui sommes-nous en ces lieux vivants ? où sommes-nous tombé-s ? nous nous sommes engloutis, nous nbous sommes eknfoncés. nous sommes au plus profond de la roche, dans le sas des sas, dans le sang des loges de vie. nous sommes dedans : roche du paradis des données de base. nous nous sommes enfoncés grave, au plus profond des cavités. le coeur est  la grotte suprême. le coeur en ses cavités est la grotte suprê me des donn,ées de rage, car ici le sang (le vent ?) fait rage ! il fouette vivace ! il envoie du bois ! il trace grave à tour de bras sur roche ses betes de jhoie , qui sont : bouquetins des pyrénées , bouquetins des alpes, et autres izards fraternels. on cha sse ici et là la bête vive (en vie) afin de l’offrir à une sorte de dieu vivant qui serait celui-là qui toujours nous regarde, ne nous quitte pas des yeux, nous suit à la trace. on charge sur roche «cardiaquement» pour ainsi dire notrte propre bouquetin de joie (jeu-oie) et du coup on sauve (un temps) la mise initiale (jeton). on jette a insi sur roche sa gourme, sa colère, son envie de vie. ça fouettte, chla !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fouette grave car ça grave , chla et chla !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça rigole pas ! ça fouette que tu fouetteras grave sur paroi ! c’est pas de la rigolade ! ça envoie du bois et comme il se doit ! c’est pas de la débandade ! ça pulse vraiment, ça pulse et compulse ! c’est vibrant ! ça fouette, chla et chla ! et comment ! ça charge frontazl et envoie sa joie sur roche comme il se doit ! on y croit ! on voit ça que ça envoie, que ça pulse grave , chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! cjhla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! cjhla ! chjla ! cjhla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! cjhla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chala ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chlz ! chla ! chal ! chlla ! ça trace ! ça grave grave ! ça y va gaiement fineme nt ! ça ressemble grave à la vie en vrai ! c’est pas dégueulasse ! «c’est quoi dégueulasse» ! ça pisse du sang ! cf’est frontal  ! c’est un fait avéré ! ça charge vraiment sa vie de vive donnée brute sur roche du temps ! c’ewst un fait tout ce qu’il y a d’avéré ! un bouquetin, un ou deux bouquetins, un aurochs, un ou deux aurochs, une chevale, une ou deux chevales, un bison , un ou une bisonne, un ou deux bisons, une ou deux bisonnes des prés, et ainsi dessinant sur roche nous faisons semblant d’offrir en vrai de la vie de choix (de jhoie) or bien sûr que dalle ! on est des chenapans ! on est des vilains de ta rage , vilaines et vilains de ta rage drue ! on creuse  : une envie de vie sur roche. on est des coquins de première : on fouette ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chlza et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur venant ! chla et chla du coeur de vie ! chla et chla du coeur venant en vvie ! chla et chla du coeur de la vie ! chla et chla du  coeur de l’envie de vie ! chla et chla de ta vie de rage ! chla et chla de ta belle vie de rage ! on y va gaiement, car le coeur est gai de base : gai pinson. on charge sur roche : gravures de bêtes à l’envi, ça envoie, ça en jete ! ça pulse du cul ! cf’est collé ! le passé collé sur roche des temps, ça fouette ! chla de ta race ! chla de ta rage ! chla de ta race-rage ! chla des e nvies de vie ! chla tout court , du cul de ta base ! chla du cul grave ! pue du cul le chla de base ! chla des données frontales bouquetines ! chla sur roche et paroi, gravettiens, gravettiennes on vous a comp^ris ! chla tu parles une langue pariétale venus des tréfonds de l’ame rupestre (cavernes cardiaques : cavités doublées). on cherche à ensemble se rapprocher des choses qui comptent sur paroi, à se coller à cette roche des temps impartis à une vie humaine (animale, végétale, etc). on est ensemble à la la recherche d’une vooie d’accès direct, voie d’emblée offerte à une poussée, à une embardée. on cherche une voie d’accès à une cavité qui puisse pour le coup nous conserver par devers elle à l’abri (un temps) des intempéries. chla on entre ! chla on y va ! on entre dans l’antre du Roi et là on cherche, une voie royale dès lors, qui puisse de suite nous offrir de quoi ensemble nous y retrouver, en ce champ d’azur aux rayons nacrés, en cette prairie éclairée, e,n ce sous-bois aux bêtes à bois. on essaie dee se rezpérer tant et plus mais ce n’est pas chose aisée, pas du tout. on veut aller loin en cette roche des bois et sous-bois. on veut faire ainsi que la vie pour nous soit cette chose d’une sorte d’emprise sur nous, qui jamais ne nous lâche, qui nous szrre au cou, qui nous étreint, qui nous colle aux basquesq. Ne pas succomber aux charmes venimeux de la mort à l’oeuvre tout du long. tout du long de notre vie en vie. on se voit déjà comme »comprenant» des choses de poids : cette mesure (faite au debotté) des grandes largeurs, cette chance en soi découcverte à même la voie du sang, cette pariole en soi «creusée» comme une sorte de conduit, de tube à dire. on est deux dès lors qui disons ce qui est ici de la vie en soi : clartés, colères, chants, coutumes, joies diverses, oie. je = oie, l'oie du jeu. je suis l’oie sacrée, nacrée, dfu jeu peut-être d

e l’enfance nue. on pousse vif cette chose en soi, d’un dire creusé, creuse que tu creuuseras. on cherche vif, on creuse, on essaie d’en découdre, on va dans le sang, on est deux en soi qui voulons comprendre le sang de la joie, ce feu central (sacré ?) quyi perle au bout desdoigts, et trace bisonnes, chevales, bufflettes, bouquetines , auroques sur roche. sang de voix : chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chlma ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! c-hla ! chjla ! chla ! chlza ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chal ! chla !ç chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla chla ! chjla ! chla ! chla ! chal! chlma ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chla ! chjla ! chla ! chla ! chlma ! chla ! cxhlma ! chla ! chla ! chla ! chla ! chal! chla ! ça trace ! ça y va ! c’est pas pour de rire ! on y croit ! on se sezrre les cvoudes ! on (en nous) est dedans ! ou comment ? on essaie de piger ce qui est dans ce qau’on voit devant, ce troupeau de bêtes massives, et pour ce faire on y  croit , on  y va, on envoie du bois, on trace au charbon, on dessine des betes de rage, on charge, on chante, on crie etc. on veut être ainsi que des choses pour nous apparaissent, viennent nous donner des choses (vives) comme vérités et autres secrets révélés. on s’approche de lza bête de roche. elle broute. elle est belle bête de poids. elle pèse. elle est grosse de sa rage d’être sur paroi. bien tracée il va de soi (transe). on comprend que cette bête vient de là (roche) à son pas d’allant, à son allure, à sa carrure, et cependant elle semble être nôtre, venant d’un lieu auttre que la roche : notre cavité de choix ? chla de ta rage ? tourments cardiaques ? vols à la tire ? on est devant labête, campés, qui cherchons des réponses à ça : cette chose d’une identité, d’une provenance. on est qui chervhons fortement et conjointement à cerner la provenance de la bête devant soi, cette «belle bête» de poids qui en impose (impôts divers) sur roche : poids lourd, caisses de rage, elle foule aux pieds, elle rue, elle rumine et s’ébroue, elle est costaudeeee, elle charge son âme sur roche , hou hou ! chla et chla ! on s’approche d’elle. on aimerait tant pouvoir mieux lma comprendre en son langage. on aimerait à la folie faire cette cxhose d’une sorte de compréhension massive, rude, compacte, qui puisse être ainsi qu’on puisse dire à notre tour qu’on sait ou qu’on saurait de quoi il en retourne question paroi, roche peinte ou gravée, art des cavernes , rock art. nous on aimerait bheaucoup parce qu’on en veut des masses, on est qui en voulons grave et des masses, de ce poids de charge bouquetine sur roche, ou de ce poids de charge bhisonne, ou même antilope, ou même oie, ou même aurochnoiide. on est là pour ça : comprendre en soi (cavités du coeur) les données animales de base (poids et masse sur la roche humide, cul d’ombre, dessins à la craie, tracés nocturnes). on essaie de s’approcher de la bête-monstre (mastodonte) : mammouth ? bison ? bison ghigantesqUIe ? roche meuble à la mode aurochs ? cfreux des enfers ? cariatides ? colères de joie ? cartouche ? on y va à petits pas  car on ne voudrait pas se faire du tout étriper ou encorner ou transpercer ou écraser. on craint un peu ces bêtes géantes, ce qu’elles peuvent  faire contre nous, ce qu’elles sont susceptibles de faireà notre encontre après tout. elles ne nous conaissent pas tant que ça ou si ? nous connaissent-elles ? sont-elles sorties un jour de nous ? denotre caverne à nous ? des champs caverneux en nous ? d’un coeur d’homme ou d’homiinien ? de femme vive ? d’hommùe déplacé ? de femme mûre ? d’homme bébé ? on sait pas vraiment, on sait rien, on fouille les prés etc., mais que sait-on des bêtes sur roche ? chants profonds des tribus de passage ? cris déplissés à :même les longueurs de temps ? charges frontales d’un sauve-qui -peut au débotté ? craintes énoncées ? chants-charges ? portes ouvertes sur champ d’azur (de joie ?),. ? on tente x approches d’icelles (bêtes) mais pas si facile à faire en vérité, car il faut s’approcher près et quand on est près ça craint, çàa craint grave du boudin, c’ewst pas gagné. la bêtye est fantasque. à quoi en elle se fier ? son oeil est perçant qui nous dévisage ... ou pas : il ne fait pas cas plus que ça de notre p^résence ? oeil de la bete sur roche, oeil de rage de la bezte devant nous, qui cherche à s’approcher (à son tour) de nous. veut-elle nous toucher à son tour ? veut-elle à son tour nous toucher ? que veut-elle ? dx’où sort-elle ? est-ellle enfant des cavités ? lesquelles ? coeur de base ? coeur naissant à la base du termps ? chla des couturiers ? chla de ta mère couturière ? chla des appelés ? chla des tombés en hébétude sur le tas ? chla d’une rage diurne ? nocturne comme devant ? chla epoumoné ? chla des sentiments organiques ? chla du travail de joie (de jeu et de oie) ? chla desv envies de ba se pressantes ? chla du cul pelé ? chla des genres ? chla de la vie tressée à la mort = entortillée à elle comme ailleurs le serpent de la fable autour de l’arbre à pains ? chla de la conquête votive ? chla du cou alloongé ? chla de celle et celui qui cherchent passage = )à pa sser lma tête vite fait, voir alentour, et vite revenir sur ses arrières, retourner ? chla de celle qui vit en lui, et de celui qui vit en elle ? chla des vies tracées sur roche? chla de la peine, des données rageuses frondeuses ? chla sur chemin dessiné sur pierre ? on cher che ensemble (on se tient la main) à cerner au p^lus près ce qui est ici (la vie) qui nous apparait. on cherche des données fiables, des données tangibles, rassurantes. on veut être ceux et celles, celles et ceux qui comprennent ce qui est, ce qu’il en retourne de pareille roche des temps, ce qui est en nous (cavités) en tant que loges éventuelle d’une vie d’éla,n. nous voulons cerner au mieusx les données tenaces, les peines ancrées en roche, les tracés déployés, les dessins gravés sur paroi, ce que c’est au juste et pourquoi ça.

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30/11/2022

On regarde ce qui est. on est deux accolés. on est deux qui sommes accolées. on regarde les choses du monde face à nous et ce qu’on voi ne laisse pas de nous intriguer, de nous suroprendre, de nous attirer.  on est deux = un ensemble, qui va et qui vient en roche = dans le temps. on essaie bon an mal an de cerner-toucher (comprendre) ce qui est qui nous fait face , cette chose d’un devant de soi pariétal, et nous de fissa nous y loger dedans ! vite on fait ! vite de chez vite on entre ! on est deux ensemble cet ensemble d’immixtion, d’entrée vive dans la matière d’une roche dure. on est comme soudés ensemble= soudées. on est deux qui sommes délibérement soudées ensemble : 1 +1 = 2 dit-on mais qu’en savons-nous «en nous» ? nous tremblons car nous avons froid un tantinet. roche dure des appreêts, roche dure d’un après la vie de mise. on regarde et on comprend. on est qui voulons comprendre , toucher = cerner, cette chose rude, dure, d’unde sorte de paroi des tempds alloués, roche de la foi donnée, roche du ttimbre de la voix de base. on se carapace. on tentevle diablev (?) ou pas mais «on y va», on entre à donf, on ne s’en laisse ni conter ni surprendre, on est qui voulons toucher = toucher vif = toucher tendre = toucher commun = toucher vite fait = toucher sans toucher la roche = s’immiscer «à la une à la deux» mais comme si de rien ,n’était («etre ou ne pas etre» et c’est ça qui compte. on est comme si on devait touchger la roche sans veritablement la toucher en vrai. alors comment ? par la bande langagière tu l’as pas compris ? toucher pzar le verbe= toucher sans toucher. on touche du vberbe la mort (incluse en nous) sans y toucher à proprement parler (avec nos mains surmuréraires etc). on se dit que voilà on se doit. on se dit que voilà on se doit de toucher la roche, la toucher la toucher», de force, ou disons de force tout comme, on se doit d’y aller. on se doit de toucher à la roche des temps alloués , qui est la roche du temps pressé, passé, blotti, collé à cette roche dure devant soi. on se dit que nous on est qu’on doit agir ainsi qu’on le fait afin de toucher sans toucher la mort devant soi, soit par du verbe inséré, ghlissé dans l’interstice d’u e roche de paroi préhistoriqiue = enfantine. on se dit que cette chose d’iune roche est comme si ça devait de fait se présenter fissa devant soi, ouverte et offerte. on se dit que pour nous le verbe est une sorte de pouvoir, de chance, d’outil de rage, etc, qui faiot ainsi ou font ainsi qu’on entre ou plutot qu’on touche ou alors qu’o,nn entretouche, etc, la roche = la vie après la vie. on est deux qui savons pourquoi on entre, pourquoi on s’immisce, pourquoi on s’est introduit par la bande en cette roche dure d’une sorte d’après-vie en soi =la mort . on en,tre ainsi dans le royaume (?) de la mort, c’està dire par le verbe, par du verbe natif = vif = couillu. on entre en cette roche des temps alloués par du verbe nacré ou ancré, peut^être les deux. on veut tracer, toucher, coller, faire ainsi que des choses soient, arrivassent, etc, jusqu’à nous qui sommes «dedans» depuis longtezmps à présent (quelques années voire décenniees) et qui,  cherchons à comprendre vaillamment ce qui est dans ce qu’on voit. ce qu’on voit = ce convoi de bêtes lourdes, qui vont et viennent sur roche à la recherche d’une herbe à brouter qui leur plaiise. on aime aller ainsi auprès d’elles. on adore cette chose. on veut être des qui aiment ça la bête costaude. on se dit que nous on est là qui cherchons à comprtendre une chose rude et dure, une vérité de base, cjhose de la foi et des tourments. on veut pouvoir toucher à la rroche du temps comme on s’immiscerait dans l’interstice d’une roche devant soi : trou d’ombre, passage secret ou dérobé, sensation, entre deux lèvres. on est comme des qui veulent aller fissa en cette roche des convois. on est comme si on devait coûte que coûte aller fissa en cettye roche dure, vive de chez vif, à la recherche d’une vérité ancreé en elle et qui serait cella-là pour nous qu’on voudrait, espèrerait depuis belle lurette, qu’elle vienne jusqu’à nous fissa et noius révèle enfin les choses qui sont en vrai et cellees qui donc ne le sont ou seraient pas;,, musique des sph»ères. et nous de nous accoler à icelle roche de la foi dans l’être. de nous coller juste = contree = à peine peut-être mais voilà : on entre par lacelle, par pa reille fente ou fissure, on est entré. on est entrées , on est entrés, on entre, on est deux collées, deux accolés et entrés, qui allons ainsi soudées à la recherche de la vérité guiidant le peuple» ou autre attraction de fête foraine. on ne veut en aucun cas se laisser blouser ou berner par la mort de base, celle-là qui face à nous se permet bien des libertés on le sait. nous cela qu’on veut c’est cette chose d’une sorte de pouvoir en nous, le pouvoir d’agir à notre guise, et par exemple de pouvgoir entrer en roche incidemment, à la une à la deux, en brûlant son voeu pour ainsi dire. on veut pouvoir aller «dedans» la roche sans compter c’est à dire sans voir à compter = à la dépense etc. on se dit que nous on veut pouvoir entrer en roche sans compter au coût total, à la dépense finale, aux dépenses attitrées ou affichées, à ce qu’il nous en couterait d’aller de la sorte en roche. on veut pousser, on veut coller, on veut cerner. on veut que des choses soient pour nous ensemble des qui comptent. pour nous deux perçu p)ar tous et toutes comme un ensemble, trait de vie sur roche etc. on compte les points inscrits en rouge sur paroi. on n’est pas chiches nous deux de nous coller à comptyer les points martelés, scandés, appuyés pour faire ainsi que des déités ou autres e ntités entendissent nos signes gravés, nos présences accoutrées sur roche, nos lubies sonores, nos cris de haute lutte avec le démon de la charge. on essaie de passer ainsi en roche, à travers xxxxx interstices ,; par des creux, trous, entreés, échancrures de paroi. et une fois dedans on p)eut respirer, on est soulagés, on est toutes deux soulagées, ou tous deux soulagés, on est entrés enfin, enfin entrées. on veut toucher à rocjhe du temps = à cette roche en particulier qyi est la roche dite «de la roche et du sommet». roche des roches ? on se dit que nous on a à faire ainsi qu’on se doit d’aller vite en besoegne sur roche, fissurer icelle et foncer parmi des bêtres de passage (de broutage). on aime ces bêtes follement via (par) le Verbe alloué à une entrée dans la matière. on est comme des bêtes nous-mêmes. on espère fort pouvoir akller dedans en cette roche des tentations, des désirs, des envies de vie, des envies de vie et des envie s de vies. on veut toucher à Roche des preairies célestes tu m’as compris. onn veut zarriver à toucher à elles fissa, sans trainer une minute, à la une à la deux on taille, on creuse, on creuse , on taille, on force le passage, on pousse que tu pousseras, on y va, on colle à la rocxhe et on fait tout pour s’introduire, pour entrer fissa en elle et se retrouver de l’aiutre côté parmi les sangliers, les hippoopotames, les bêtes à cornes, les bisons et autres ours des bois et des cavernes. on est deux en  nous qui voulons comprendre les données de base pariétales ce qu’elles sont au juste, ce qu’elles disent, ce qu’elles montrent, ce qu’elles expriment puissemment pour nous. on est pas trop de deux pour ça. on n’dset pas de trop de deuxd pour faire cette chose d’un savoir ancré en roche, soulever la cghose, la saisir = la cerner. on est en nous deux qui cbherchons-)voulons, cherchons-tatons, cherchons-poussons afin de comptrendre cette roche ce que c’est et pourquoi c’est là, et pourquoi ça nous tend les bras comme un fait ecxpreès .et du coup on se rapproche d’une sorte de trou intérieur, au loin = dans les lointains intérieurs. on se dit que nous on se doit -d’aller loin loin loin en ces lointrains ragueurs, les tater sans plus ou disons : les toucher à peine, ou comment ? les amadouyuer ? les approcher gentimùent ? les froler ? les toucher des yeux ? car toucher des yeux ce n’est pas toucher diantre ! On peut aller à ses cvôtés (la roche) sans avoir à (obligatroirement) la toucher la toucher comme une chatte, ou comment on dit ? le dicton alloué ? la chose consacrée ? la vérité des vérités ? lke dire de base ? quel est donc ce trait de rage qui pose la chose, qui dit cce qui est en vrai, ce qui existe devant soi depiuis la nuit des temps : quoio est-ce ? qu’en est-il ? on cherche que tu cherchaeras car on est deux «à l’intérieur du verbe» c’est dit ! On est qui sommes deux pour ainsi dire : à toi à moi»»» les données de rage, une fois pour toi , une fois pour moi. on est deux accolés et on regarde les données données, les vérités cachées, les données allouées à une vérité collée sur roche (pli d’ami). on se pose un temps à même la paroi du temps, on espère un njour de pouvoir cerner-toucher une roche dure qyui saiurait révéler, dire, dire vif ce qui est et n’est pas, révéler les «énormités» de paroi, les vérités parmi les plus ancrées et les plus massives. onveut savoir = toucher = s’approcher = se rapprocher = se placer à kla bonnhe distance requise = avancer sans sombrer mais avancer. et nous d’y aller de notre regard en biais, vas-y que je finte, que je mate , que je jette un oeil pas deux, zou ! et me voilà qui saiot à présent à quoi m’en gtenir : un homme ou une femme, une femme homme, un homme femme, accolés, accolés, accol.é.e. s ou autrtement s’avance, s’avance doucement, avance, s’avance vers moi doucement, est là devant moi qui s’avance, qui gagne, qui vient, qui va ainsi vers moi qui vais vers elle, cettye Chose, Personne (?) ou Entité Magique / Massive : aurochnoïde ? ou alors s’agit-il d’une voix personnifiée ? d’une voix incarnée ? on sent sur soi le souffle de la voix qui gagne ! on sent sur soi venir (tout près) cette Cjhose d’une soprte de souffle transi, chaleureux, qui arrive vers nous et qui nous recouvre de ses effluves. on est deux qui sentons sur nous venir les effluves sortant du trou. on bvoit une buée magique, embruns célestes, suyites de vie. on se dit que nous on se doit de toucher la Cbhose à pleines quoi ? embrassades ? ou alors comment ? dans mes bras la Joie? on se dit que nous on se doit de se rapprocher d’icelle Chose devant soi qui peeeeeerle, qui piiiiisse, qui vient toute humiude, qui est toute muoillée de joie, qui vient fissa s’ouvrir à nous comme une vulve, une huitre, une bete fauve, une entrée de choix , e-une incursion dans la matière, une possibilté d’incursion à même la ma tière, une fissure allègre, un trait de foi , chant des entrées et des sorties, chants doctes au débotté. on se dit que nous on a à comptrendre mille choses e,n même temps et ça fait beaucoup pour nous, pour notrte pertite personne. on est deux à peine, ça fait pas beaucvoup. on compte à peine. pour pas grand-chose, des clopinettes. on compte peu dans l’escarcelle. on est deux (ou nous sommes deux) qui comptons pour peu au bout du compte, et cela parce que voilà, le nombre co,nditionne ! le nombre = le nom. on se dit que nous ok on est deux = à peine, mzais bon, à deux aussi ça compte, on doit pouvoir compter, peser. on se dit que nous aiussi on doit un jour ou l’auttre pouvoir peser d’une maniière ou d’une autre sur lme tas. Sur le tas = dans l’escarcelle. soit en cette roche dure des tourments liés à une vie humaine. merde aussi ! on fait partie de la fratrie, pareil ! on est pas à part ! on compte ! on pèse sur le nombre (nom ?) tout comme l’Autre des envies, le chie,n errant, la bête sévère céleste. on est comme elle,;, tout autant sévère en vérité = grave, grave que tu graveras la bête sur paroi etc. on est des hommes des cavernes. on est des femmes des cavernes. on grave que tu graveras des choses sur roche, ressemblantes fortement le plus possible (on essaie) et cela pourquoi ? pour intimider ! pour faire de l’effet ! un effet boeuf ! pour AGIR, pour DIRE, pour COMBLER, pour TOUCHER, pour y aller de notre pouvoir personnifié et COIMPLAIRE =COMBLER :la roche des prés. lui donner un sentiment de satiété (mêmùe momentané). on se dit que nous on doit impacter ! ion se doit d’impacter ! d’aller loin dans la démesure liée à une forte pression sur Chose, sur cettye entité de rage devant soi. faire ainsi qu’elle se sentît justement «chose» = «tout chose» = groggy = touchée = remuée = toute travazillée au corps etc. on se dit que bnous on doit pouvoir toucher la mort sans la toucher = la toucher des yeux (dun oeil?) et du coup ,comprtendre qui elle est . est elle un animùzal ? est elle un trou ? esdt elle de la vie Autre ? est eklle Vie ? est elle pour nous spécialement ou bien pôur tout le mon,de en bloc ? nous voulons comprendre qui est elle = comptrendre loin en roche des temps = déplier du VErbe «nonchalant» ou dit tel. déplioer du Verbe sur paroi de grotte, faire ainsi que des choses de choix (royales ?) viennent s’incruster sous nos doigts tandie que nous noius élevons à hauteur de roche. tandis que nous noius adreesssons à cette sorte d’entité céleste, reine des prés, riene-mère, chanteuse et ancienne marie, qui vient sur roche nous troubler, nous  parler, nous souffler dessus. nous voulons savoir ce que c’est que cette chose d’une sorte de Marie de rage dure, sermonneuse des parois, chanteuse de bon aloi, comédienne à ses heures, pleureuse, dormeuse, cernée, fatiguée, qui attend de nous un geste, une par(ole bienveillante, un mot doux. qui sompmes-nous qui allons cvers elle ? des qui sombrent dans la folie ? des qui tombent sur un os de vie  ? des betes de poids ? des paroles incarnées qui vont et viennent sur prairie ? des qui tremblent à sa vue ? des qsui parlent à tort et à travers pour combler à tue-t^te l’espace du temps ? nous voyons marie madeleiine, nous nbous approchons d’elle, nous voulons co:mptendre marie-madeleine, nous sommes près d’elle. nous sommês arrivées jusqu’à elle. nous nous sommes rapprochées d’elle. nous sommes deux ensemble ( cet ensemble «de paroi») quyi nous sommes rapprochées d’elle, marie mùadeliene. on veut comprezndre, on veut cerner. cerner par des traits ce qui est , d’où l’aurochs de  belle et grandev (grosse) renommée. o,n tente la chose. on se rapproche de Marie (marie-madeleine) , on veut lui parler. on veut parler à ma rie mùadeleine ! on voudrait parler à mArie madelieine, de grâce ! peut-on ? avons-nous le droit de lui parler ? de nous rapprocher et de la toucher ? de toucher son ëtre de vie, son être de grande prestance céleste ? peut-on aller vers elle et toucher sa robe ? son coeur ? on, veut la toucher = l’app^rocher = la toucher = nous avancer = nous rapprocher = toucher sa robe, ses souliers de jeune femme, ses souliers crottés de jeune femme des parois de grotte souterraine. on veut toucher la roche nom de dieu ! on veut crier à tout va notre désir d’aller ! on veut aller vif en cettge roche du bout du mùonde (intérieur des intérieurs !). on est comme si on était ensoi deux entités qui colloaboraient pour tenterde cvomprendre  e que c’est que cette chose devant nbous d’une sortye de robe de premier choix allouée à des chaussures en bois. nous nou!s approcjjhons de cettte roche (ici) de bienvenu. nous on se dit que on se doit de toucher à la robe et aux souliers. on est comme deux en nous v(deux entités de roche ?) qui allons fissa à la rencontre de la déité incarnée = marie des roches, des bois, des sous bois, des grottes cachées, des parois du monde. on est près d’elle. on cherche Elle, on veut ELllle, on est deux en soi (ici et là) qui cherchons à comprendre = com- prendre = prendre = prendre ainsi = toucher = saisir = cerner des choses vives = en vie, de cettye bonne femme des parois du monde. une femme nous apparait qui est devant nous la Ma rie Céleste des données déposées sur roche. on voit en elle une sorte de Visage de la Sainteté, de la Déité des entités, de la Déité des Déités, de l’allure divibne octroyée à une Chose des parois du monde. on veut comprendre grave, et graver. graver le fruiot de notre comprenure. on a vu la rochje meublée ainsi de bêtes grosses. ou bien SE meubler de ces bêtesb grosses, pesantes, fortes, lourdes et lentes, auréolées par la bande, décrites comme entités de passage mais donnant de l’ombre, etc. on dse dit que nous on pêut comprendre des choses parce que voilà on est là, on est à l’intérieyur d’une roche dure, on creuse des traits et autres points de chute, on dessine, on désigne. bnou!s on essaie de comprendre et collaborer. on s’approche d’iune déoité lascive, on voit ses traits de beauté, on voit le visage souligné, soon nom s’affiche, il s’agit d’une déesse des temps alloués à une vie terrestre. on tente ensemble de comprendre icelle déité (déesse) qui elle est au juste : son petit nom. quel est donc le petit nom de cette déesse, de pareille deééité ancrée en roche des temps ? quel est donc le nom ou petit nom d’une telle déité des entrées de roche ? cvomment s’appelle-t-elle ? qui est-elle ? qui saura nous donner son  om ? squi pour nous do,nner son  nom ? qui en  ous pour nous donner son n om ? qui saura incidemment un jour nous donner son  nom ? qui un njour ou l’autre incidemment saura en toutes lettres nous donner son  om ? qsui saurait réellement en toutes lettres nous donner son  om par lma bande ? on est là nous deux qui chercvhons à comprendre des données dfe poids, des données fiables, les toucher-trouver pour nous, les toucher-cerner et les comptrendre, comp^tendre à fond ce qui est devant nous qui nous regarde = nous concer,ne = nous c erne = nous comprend = nous prend = nous encercle = nous cercle = nous conduit à sa guise vers des lieux connus de lui (elle ?) seul (seule ?). on veut mordicus toucher que tu touchezras à cette chjose d’une sorte d’entité votive devant soi : eil de braise, oil de rage, oeil. on voit devant soi = une dsorte cde chose «grosse», une sorte de doublure, de vie sans vie ou comment ? double d’une vie en vie mais du coup ici sans la vie ? vie-vie ici quand devant  c’est vie-mort qui semble être ? on est commê deux qui cherchons en  nous une réponse (à l’intuite»»»» ?). on est comme deux en n ous quyi voulons comprendre puissan,mment les chgoses du monde de la vie ce qu’elles sont, ce qu’eelles dessinent, ce qu’elles promettent, ce qu’elles signifient. nous sommpes des êtrees de la vie fausse, de la vie larvée, de cette vie vdéposée en soi commpe un fluyide, quand la Vie, la vraie , est tout devant ( à portée) qui vibre de ses mille feux salutaires ! On comprend dès lors pourquoi on veut allerr vif à, comment dire, toucher-la-toucher» ? la Chose  ? et du coup «tracer» = dessiner = désigner qui est qui. qui est la bête de céans. qui est mla déesse. qui est le Roi au firmament des données de rage célestes. on est deux qui voulons cerner = dicerner = désasemblker les donnhées afin de les comprendre au mieux. je = je. deux = deux. il = il. nous = nous. vous = vous. je = jeu des données de rage. vous = un voeu de joie dans une cage = la paroi du monde. on cvomptrend des choses comme quoi on est qui savons ce qui est qui devant nous se pose pour nous aider à mùieux cerner = discerner ce qui est en ce monde des données de rage pariétales et autres chhants tracés par la bande à même la pierre tombale. on tentee de comprendrec les données célestes ce qu’elles sont pour nouis qui devons vite fait nous rapprocher d’icelles données élémentaires liées à des choses de paroi telles que bêtes tracées à main le vée pazr des hommes et par des femmes des cavernes, des avens de type Armand, des cavernes souterraines, des creux des enfers. on cherche fissament volontairement, car ici la vitesssee interfère, intervient, s’intermet, se place en roche ainsi qu’elle le fait, à savoir de manière sommaire peut-être mais active, au taf dit-on, d’une sorte de manière active, bousculée et de ce fait à mêmùe de troubler la donne et de faire jaillir ici ou là sur paroi «des choses», ou «des choses et autres» censées pouvoir nous aiguiller vers des pistes neuves, vers des entrées de roche salutaires, vers des fissures et autres fentes humides capables de nous emporter avec elles. On cherche ensemblke à nous informer de  ce qui est. qui est qui sur terre. qui parle en moi. qui est qui qui sait ce qui est. qui parle à ma place quand je suis à parler ici ? qui me dit la vérité ? qui me pousse à dire des vérités ? qui me pousse à me laisser aller à dire des vérités ? qUI en moi me pousse à graver des choses et autres comme ressemblantes à des vérités ? wqui veut ma pêau ? qui veut de mon nom pour elle (ou lui ?) ? qui en moi cherche à comprtendre ce que c’est que cette chose en soi d’une donnée de base rageuse ? onn est deux en soi qui voyons pour soi. opn se loge à même la pierre et ce faisant on gratte que tu gratteras à la paroi du monde adjacent tel quil noius apparait devant = devant soi = face à nous qui sommes ses (des ?) e,nfants = des qui cherc hent incidemment (à mla bonne franquette) sur leur chemin , le nom de la Chose. desqui veulent s’avancer longutemps, des qui longtemps veulent s’avancer. On est deux enfants (ses enfants) quui veulent s’avancer dfe cettye roche dure des tourments. nous seriiions ai,nsi des bêtes de poids : enfants de misère et bêtes de poids, les deux. on se rapprocherait d’icelle déeese ma riale. on swerait deux ainsi en soi qyi se rapprocherait d’une sorte de déesse de paroi telle que Marie des rages, marie madreleine de la grotte des mondes allouées. je comprends ce que c’est que cette chose en soi d’une sorte de prairie chargée de sens. il s’agit d’un sens de la vie mariale, lourdes, lentes disions nous et à présent la chose s’éclzairvcitt comme d’elle-m^rme ou par extraordinaire. on est qui voyons des choses se dessiner afin que nous eznsemble enfin on comprennhe mieux ce qui est en roche , ce qui n’est pas, ce qui est et ce qui n’est pas pour soi. on est qui regardons cette chose ici  d’une sorte de Chose de pôids dépôsée . est:-ce aurochs des tribus de pa ssage ? est-ce Chant docte ? est)-ce un cri des entrées vives ? est-ce la chose des parois dite Chose des Rois et des princes ? est-ce une vivre (vipère) des données collées à un dire ? a t on pour soi de quoi comprendtre en termes dx’intelligence votive ? qu’en est-il de notre intelligence votive native ? eston de ceux et celles dont l(‘intelligence a des limites ? est on limités et lim itées par des apprêtrs ? par des a -priori concernant la rooche ? a t on pour dsoi des arrets intégrés à comprenure ? est-on fous et folles ? est-on des qui ne comp^renhent rien à rien de ce quy’ils et elles voient devant eux et elles ? nous ne voulons pas aller contre le courant. nous ne voulons pas périr en chemin. nous ne voulons pas sommbrer corps et âmes. nous voulons tenir le plus longtemps possible tels et telles que nous nous montrons ici sur roche de vie. on est comme deux qui voulons toucher que tru toucheras à cette chose en soi d’une sortye de vérité latente, intégrée, enfouie en roche, et dont le nom serait «Marie», Marie des données lacustres, des données de rage. marie madeleine de belle et grandev renommée (ou fame). on essaie ensemble , à la une à la deux»»», de comptrendre cev qui est : qui est qui. et il semblerait que donc marie des prés soit cette dame des temps alloués à une vie terrestre. on est deux qui sommes à la recherche d’une prairie où trouver des bêtes à garder : pastorale. on est comme deux enfants lâchés, q<ui allkons sur roche, sur prés des betes, à la recherche de la fente de paroi ou fissure des rois»»». on est qui cherchons à v-entrter quelque part où des données seraient salutaires et nous donneraient de quoi toucher, cerner, clore (?), emporter, prendre , comprtendre = prendre ces dites données de la rage mariale. on tente. quand on tente on se donne des chances. on est accolés qui tentons à nous donner des choses. on tyente que tu tenteras, on touche quer tu touchezras., on se rapproche d’une chose rude, incrustée sur roche, comme un trait en rouge, trait vif, trait de bienvenu en roche. on pôusse des traiots de roche à nbotre tour chacun son tour. on se congratule d’y arriver. on dessine des chevaux des prés, des bisons musqués, des antilopes dressées, des ours atrabilaires, des lions des cavernes et des grottes creusées,. on aime les bêtes des temps passés. on est rempli de betesq de choix ( = pesantes) et on en avance sur roche avec ainsi en nous ce poids de réserve : cette peine. on colle à la roche. on est collés = accolés. collées-accolées à paroi fgine, lisse, soyeuse, humifdde, gelée ou non, réchauffée par les embriuns ou sinon non, froide des glaciations. on touiche Roche des dires = la paroi du verbe attribué. on est des betes betes, ou bien desz bites pas betes. notree intellige,nce est avant tout rupestre = sectaire en quelque sorte = cernée = prise d’assaut = endiablée. on se faufile au mileiu des betes gravées, on trace à notretour (fissa) la bpête en colère, kla grosse armada des betes rassemblées pour la circonstance, à savoir un dire, ce «non» de vconserve, ce cri primal commun ( à tous et toutes) disant son refus (de base) de donnerr sa prorpre charge, son etre pesant, toute sa peine assise, etc. nom des roches et des rochers. nom des  nombres, des données vives. on ne veut en aucun cas donner du large à cette chose en xsoi d’une sorte d’élan acté, ancré, qui est élzan contenu, élan de vie. gardons ça. soyons ainsi qu’on le veuille être. ne bnous laissons pas intimider et emberlificoter par la mort des prés. sachons lui tenir tete en pa rlan,t à tue tete, vivement, sans discontinuer, noptre chant des herbes vertes, nos cris de rage, nos paroles de base en colère, etc. on est deux à gueuler. on gueule wque tu gueuleras de rage, cri du verbe en xsoi, betes célestes, arguments de choix,; oui : colèere assouvie (assoupie ?) qui va vers elle à dire ce qui est qui nous chagrine. cettye chose en soi d’une mort (DC) inscrite : tu le sais et tu mm’as compris ! pour nous : on ne veut pas !on ne veut pas de ça en aucun cas. on veut faire ainsi que des choses soient qui nous poussent à dire (tracer) à l’inverse. on veut toucher toucher, toucher couler, toucher-anncrer,, toouchert- acter la vérité des choses. on ne veut en aucun cas faire ainsi que ce soit nous qui coulions d’etre touché à l’ioccasion par des mains surnuméraires, mùazin d’un dieu des catacombes, mains sombres des données de base, mains troubles. pas ça. on ne vcfeut pas ça du tout. ce qu’on veut ce n’est pas du toutr ça. on veut combler la roche oui, mais pas par des mots de vie, pas par des mots de la vie vive. on ne vfeut pas combler la Chose (la dite «mort des catacombes») pa r nos mots de vie vive, par les mots en nous contenus liés à la cvie, à la cvie de l’allant vital. on ne veut pas donner de nous ce qui fait que nous sommes en vie, l’influx rageur de base, natif, évolutif peuêtre mais ancré, soudé, collé à loa roche du temps. on esxaie de bien comprendre tout ce qui est, ce qui se dessine devant soi, ce qui se trame là sur roche, qui va de son petit pas pas à pas, qui marche menu ùmais treace cependant on le voit sa route sur champ, sur pré de rage, sur porairie aux betes placides. on est là nous deux qui co:mpto,ns icelles donné&es de base déposées sur rocje : une, deux, trois, quatre en toutes letres, puis le reste en chiffre divers, du 5 et du 7, du 12 et du 20, etc; on cherche une entrée dans la façade (fa ce à face). on s’approche ensemble (collés-colléesw). on tape. et de une , et de deux ! on frappe RRoche ! «roche, ouvre-toi, ne lambine pas  ! «. on voudrait qsue la roche s’ouvra^t comme dans la fable (ou «s’ouvrît», de préférence ?). oiuui : on voudrait cela, que roche s’ouvre, nous laisse enttrer, nous laisese la pénétrrer comê il se doit, et nous montre dès lors ce qui est en elle, de quoi elle est faiote, ce qu’elle a en elle, ce qui est en elle, ce qui est qui fait qu’elle contient du verbe, des mots de joie (je) et qu’elle nous interpêlle en continu comme des branché (e)s sur écoute  , sur piste de Roi, sur radio de rage continuelle. oui on sait à présentb cela comê quoi le verbe en soi est cette chodse d’une sorte de colère contenue continuelle, verbe cde la foi et de la rage, canevas, trame, trame des données célestes. on p)arle pour soi pour combler la déesse des do nnées célmestes. ou bien le roi. roi-reine accolés(e)s. ou bien commùent ? qui ? comment dire ici qui ? qui on est pour soi et qui on est pour... pas-soi en soi ? on est qui voulons comptrendre qui est qui sur terre. je = je = celui-là qui s’encolère à tour de bras, du fzait que voilà : son  nom est le nom d’un ^$etre assoupi hélas ! merde ! pas voulu en vrai ! j’aurais préféré être nommé «éveillé» ou comment m’exprimezr en  certtre cchose d’une volonté  en moi (ancré) qui eut aimé comprendre = prendre, ici autrementb «des choses», à savoir acquérir une sorte d’immunité pariétale, de longévité par la bande verbale. hélas voilà ce qui est. je ne suis guère adoubé et on peut le cvo:mprendre. car voilà : je = je de rage, pâs de chance. on voit cela comme quoi mon je est un je esse,tielklemùent de la rage, ert la raghe n’aide pas des massses ici (en l’occurrence) pour «parfaire» , «combler», «remplir de joie» l’Etre salutzire (sanitaire ? ) de la Joie Ancrée, prise dans la roche, ancrée docte, etc. on vfoit que cette chose est là npour moi me f-icxher en colère ! on voit bien cela comme quoi en moi règne que tu règ,neras une colère vive liée à une foi en moi en cette chose d’une sorte d’entité rageuse, déité des déités rageuse, déité rageiuse des données de base, commùe quoi je = l’antre ! lantre ou l’autre ? l’antre = le puits. je fais cette chose ici d’une sorte de désignation vive par la bande. je trace ma colère à même la roche : Saturnin, Saint des Saints, chants des dires pariétaux. je dessine à main nue et à main lebvée, des beters de roche, des betes dénonçant à leur façon  ette chose , comme quoi je = un antre = un puits = un puitds de colère = une source jamais tarie (de cvolère et d’envies de nbmeurtre) . je = l’antre de l’envie de rester en vie, et du coup de tuer le père (l’é»ternel) qui trone, qui pose, qui pre,nd devant soi cette place vide ou comment ? on ne veut en aucun cas faire cette chose d’ounne sorte d’accessit, dacquiècement à vif etc. nous cezla qu’on veut ce n’est pas cela. Nous ne voulons pas du tout cela qu’on n ous donne là de force ou quelque cjose de cet ordre. nous ne sommes pas qui voulons cezla que d’aucuns ou d’aucunes nous promettent diligemment cdebvant soi. nous ne sommes pôints des qui souhaitent grandement que leut fût donnée (offerte) pareille vertu. nous on ne veut certes pas, jamais, pareille chose offerte à notre pomme. on ne fdveut jamais ô grand jamais , nous laissr aller à aquiécer à pareille demande instaurée, installée sur roche, prise dans la roche comme dans la glace. on n’est point de ceux et celles qui voudraient instamment nous laisser manipuler par des mains de roche, mains martezlées sur roche à la façon de l’homme femme des cavernes. sus à ça ! on ne veut pas sombrer tête la première sur ce tas des morts et mortes d’avoir acquiécé. nous voilà, voilà que nous cherchons à résister de force un tant soit peu. on essaie de teznir longtemps de la sorte : engagés et engagées dans un mouvement massif de résistence  aux poussées mortifères des roches ancrées, des parois dures , des grottes assourdissantes. on cale. on fait barrage. on oppose à la destinée nos mots ancrés de force, repoussant l4ENnemi massif, le des ennemis. le gailka rd. la gaillarde. on ne veut pas couler à pic mazis tenir tête  à cetye roche rude des entrés fautives. pas de ça c hez bnous. on demeure. on colle aux basques de lqa roche rude pezut-^tre mais vive = en vie , ou comme pouvant maintenir en nous (antre débonna ire) ;la vie de la vie. on colle à cette roche des données actives, rassemblées sous fanion, soit une entité dont le nom de base est : Vie, vie d’ombtre, vie-Rome, vie des galeries, des entrées de vie cxhaloupée. on est sur un chemin peut-être escarp^é mais pour nous  cela qui compte ici est cette  chose d’u,ne sorte de chant déployé tenant tête, pou vant dès lors faire reculer la roche des données dures, Mort ta gueule etc, charge. on charge. on est pas des bêtes pour rien, ou au rabais, gueulme d’anges on dirait mais pour autant qui chargent ! qui poussent ou repoussent ! qui s’interposent eh comment ! qui sont des qui ne veulent pas défaillir et tombezr à la renverse sur dsu sable (bord de mer charmeuse). on tente des choses liées à des choses elles mêmes liées à d’autres choses liées à la roche de s temps. on se cvolle nous deux côteà côte à cette roche des données sombres (dit-on) mais pas longtemps, vite fait on pousse, on repousse, on s’évcarte pour mieux s’élancer (nous élancder) et, à la une à la deux, la traverser de part en part, la comme pénétrer et nous retrouver de l’autre côté, charge d’ames. on est qui sommes à deux passés à travers une roche des temps, dite roche des apprêts (des après ?) et roche des tourments (les nôtrex ?). nous ne voul:ons pas acquyiécer à un dire venant de là-bas (firmament) qui nous dit (fortement) d’a;ller , de passer, de gagner sur roche, et de toucher à lui (ce dire incarné) copmme à une roche des temps donnés. mais nous voilà, on dit «non» et pas à mi-voix ou demi-voix. on le gueule à haute et distincte voix comme des charretiers, ou comme des poissoniers à la criée. o ngueule que vtu gueuleras cette chose, comme quoi on ne veut pas (du tout) trépasser mais tout au contraire : aller vif en roche s’installer et cdemeurer «à toi à moi» commùe des qui serraient des amants de roche, amant et amante;, deux des lieux,cha,nts cfomme partagés, gueulzante à outrance sur paroi donnée. on est cdeux à pousser que tu poussezras une  gueulante après l’entité, tu m’as compris et cerné ! cette choçse est, et porte un nom (cette gueulante) et ce nom est le nom tracé sur rochje par (autrefois) un  homme (une femme) ou une femme (un homme) des cavernes, à savoir :» ainsi» = «ici» = cette chose ainsi (telle) ici (présentement) = ce présent présent, ce don donné présen tement. don de rage à naître = don de soi présent sur roche = Nativité (Natividad) . on comme,nce oà co:mptendre des chodses. on commence à cerner ici et là un certain nombre de choses vraies. qu’est-ce qui est vrai au njuste (dicible) ? qu’est-ce quiest au juste vrai sur terre et du coup dicible, traçable ? zu’est-ce qui est sur terre qui est ou sezraiot vraiment vrai de chez vrai ? on se demande qu’est-ce que vraiment ou réellement ça pourraiot être. on est deux qui nous demandons (ensemble = cet ensembkle)   ce que vraiment (en vérité) ça pourraiot que ça soit v raiment et pas qiu’un peu. on se dema nde nous deux (une entité formée) ce que vraiment les choses dumonde, seraient. ce que seraient vraimen,t (souligné) les choses du monde = en vérité, soit dans les termes en vérité , et pas pour de faux ou pour rire. on regarde loin les données du monde qui ici se dessineznt sur roche, sous des traits animaliers ou autres. traits basés, traits ancrés, points d’achoppement, scansions au rythmùe des entrées dans la matière. bébés. bébés nus. des bébés qui sont posés nus sur table aux offrandes. des bébés sont d»posés nus. des bébés de rage. on sait ceytte chose entre nous, comme quoiu xdes bêtes fauves (lionceaux ?) sont sur roche déposées par des hommes de la préhistoire ou par cdes femmes de la préhistoire ainsi : nus comme des vers. on regarde qui sont dessinées ces bêtes. on regarde fixement ces bêtes de roche. traitsq pour traits. incidences colériques. garnements et  garnitures. chants des b ases et des sommest de l’être. on est qui voyons se dessiner des bêtes de poidsq, rageuses, lmourdes et l:e ntes, en colères monstrueuse, chargeant que tu chargeras sur roche leur s envies de vie. nous pareil : envie de vie, soit de rester en vie. on est qui voulons. on veut rester = demeurer en vie. on veut faire ainsi que notre voisx de roche (buffles, bufflettes, bisons et autres b isonnes) rest

ât comme de force accrochée à icelle paroi dxes données massives, des données doctes, ancrées de force, tracées au couteau. on ne cveut en aucune manière tracer dans le vide mzais tout le contraire : dans le plein des ombres. on est qui voulns tracer coler notre «nativité» de conserve. on (nous) veut (voulons) coller (tracer) sur roche (rocher) des bêtes grosses (insultes à deité) à main lebvée (cha nts doctes) et ainsi faire acte de «reconnaissance». on est pas larvés pour rien. on est comme dépôsés (des bébés) dans un couffin de roche dure, antre d’antre, coin du bois. on ne veut pas traverser ;la roche poiur rien, on veut travezrser la roche poiur quelque chjose. on veut faire ainsi que pour nous la roche fût lza Chose des données de la rage de naître à la vie. on est né (e)s ainsi sur roche des temps (dureté ambiantye) à la vie de la vie, et non pas à la vie de la mort. on est qui sommes nous deux en nous nés(e)s à la vie de la vie sur terre, charge primaire, et non pas à la vie de la mort, charge secvondaire. on crève d’envie de rester en vie et  non pas de sommbrer dans une sorte de vie d’après-vie, vie de la mort dure, de la mort des catacombes, vie d’ombre etc. pas ça. on est qui voulons toucher à une sorte de vie envcore en vie, vie des ombres peut-etre mais toujours en vie. on veut VOIR la Chose derrière, derrière cette chose là, d’une sorge d’ouvertureb échancrure de paroi. on est deux qui sommes des qui voulons ça : rester. Aqui. ici. cui. pas là-bas de grâce. merde au cul. chaleureusement dessinée sur roche par des mùains levées «disant» la Chose à leur façon (formes). on est comme si on devait périr de rage (mots des nombres) mais non on ne mùeurt pazs comme ça on «on trzaîne la patte» pour ainxsui dire. on s’étire longitudinalement et latitudinalement sur roche terre des papprêts, dees zones terrestres. on campe. on ne tremble pas. on s’accroche à la paroi de roche. on dessine des betes de paroi pour faire aonsi que «ça le fasse grave» et impactât des masses (dieu doué se fait  cerner). on est fort en thème tu parles ! on sait dessioner main levée, on treace dxes charges de poids : feu contree  le feu. on est dégourdi(e)s. on est pas de la piétaille , nenni ! non et non ! on est qui comptons ! on est des qui comptent grave et on le dit ! on le chante fort ! on chante à tue-tete la chose du temps déplissé ! on gueule grave les données données de la roche ! on en pîsserait à la culotte ! marie mère de dieu, que ton règne vienne ! on est commùe des cons qui pissent au froc, de rage et de rire : nos savoirs de base ! nos drôles de connaissance acquises sur roche ! labours et ;abeurs ! on trace sillons ! on est deux beiufs qui traçont silllon sous le joug du jeu qui nous comme interpénètre, qui fait de nous une entité traçante, chant des données ghraves, sournoises, postées sur b ase pierreuse. on travce sillon sur roche, traits nacrés (ancrés) qui disent ce qu’ils ont à dire en termes de données de perce-vie, dee perçagve de vie. on pousse grave la charrue dans (de ?) l’antre. on est deux sous joug (je =jeu) qui poussons tirons trainons actionnons le Verbe cru (crudité) de l’âme. on pôusse au cul, en gros. on force la donne (et la dose). on colle au cul de l’âme ! on contrecarre ! on dit : merde ! merde à tout ! merde à la gueulme du con de sa race divine ! on dit qu’on est contre ! collés(e)s ! on l’emmerde grave ! on se fout de lui mignon ! on ne s’embarrasee  pas de chants pour rien ! nos chants ont une visée ! ils cherchent à pousser et repousser ! ils ne sont pas là pour faire sembla,nt d’en dire des masses à l’encan, dans une sorte de joli déplacement à deux balles, mais pôur donner le change ! faire exprès ! tracer sur roche des données de contrpoids, qui pèseront lourd et fairont effet ! on est là pourt tracer le buffle et le bison dorés du contrpoids, cxomme machiné, activé, mis en bra,nle à même la paroi du temps imparti à une vie d’homme ou de femme. on ne tremble pas. on charge grave la mule du pape ! on fait force ! on fait fort dee tenir ! on se fvait fort de tenir que tu tiendras lmongtzmps (le plus qu’on peut) contre elle (mort des vies) . on est qui cherchons à contrarier, à contredire, à contrer, à contrecarrer, à contrevenir à, à chercher cettye contradiction dans les termes dune vie offerte. on cherche le mot des do nnées finales, le mot de la fin pour ainsi dire. on tombe sur ce mot d’une sorte de rage naissante, le mot «antre». cette chose «antre « (entre ?) qui est comme une sorte d’en-soi contenue en soi (corps ? âme) et qui est là, paisiblement installé, accepté par en nous l’etre des données de vie, des données vives. on a en nous l’antre «de miséricorde». on colle au cul de l’ombrte. on s’époumone ! On charge que tu chargeras la mule des temps et du couip voilà ce qui est : on reste en vie. on vit. on continjue notre vie. on trace des traits sa illants rappelant la vie da,ns ce qu»’ellme a de plus en vie en la matière. opn est deux qui voulons comprendre = charger = charmer = dire = faire = aller = tenir = résister aux coups de boutoir de la mort à l’oeuvre. courir. charger. tracer. aller et venir comme l’animal de lalande, lee cheval de troupeau, le buffle ramassé, le bison cornu, l’antilope allongée, l’ours déployé, le lion des e,ntreées de rage, le poisson dxes eaux dorman,tes. on vpoudrait comprendre un tout en entier. qui est qui ? qui parle ? qui pointev en nous sa parole de rage menaçante ? qui en  ouscomprend pour nous ? qui pour nous en  nous est ? qui est en nous pour nous,, qui comprendrait un grand nombre (un certain nombre) de données mùassives : cjhants de la roche des données massives ? qui va sur roche à la rencontre des données massives (déposées comme des dons de base, offerts à l’envi, collés à roche etmis ainsi à la vuue de qui veut ou voudrait ou voudra voir ce qu’il en est). je suis l(hom=e dur de la paroi du mond, femme décxhaussée, craintif et  craintive. je hurle enmoi -même (tue-tete) le cri ou le chant d’une percée des apparences. on dirait le bruit de l’eau sur la pierre (du sang ?). je chercghe à comprendre ma propre colère, ma rage d’être. je cherche à percer en effet la roche devant, ce morceau cde choix, cette grosse et vive armada on l’a vu, ce massif temporel. je coupe et touche. hje sezrais cet homme des dxonnées cde base déplissées, femmùe aux arrêts, chanteur et chanteuse assermùentées, cet homme xde la foi dans l’homme , ou bien cette femme de la foi dans cette femme, de la foi ancrée dans la femme, dans cette femme contenue dans l’ëtre. on est cettye personne ancrée, cette force déplissée dans (en ) l’Etre. je sezrais une femme pour toi. je sezrais u!n homme pour toi. je szerais un enfant pour toi (on se rapproche) . il s’agirait ici de com^rencdre cette chose , comme quoi on (ça) serait une femme, un hommùe, un enfant, sous couvert d’animal, pour la mort devant soi (vraiment ? pas derrière ?) à l’ oeuvre. on s’avance ainsi comme à découveryt. opn est des qui voulons vivement durablement cerner les choses ainsi déposées sur roche comme le présent, l’en-soi tootal. on vit d’expédients. on frôle cent fois de disparaitre mais non. on fait comme si on étazit éternels et éternelles mais le sommes nous ? à mesure que le temps pour nous augmente (en durée de vie) lqa croyance en du rab dans l’au-delà semble se raccourvcir, s’amenuiser notablement. on pe nxse et donc on fuit la mort comme la peste ouy le choléra. on est comme des qui cherchons à se tenir loin des portes de la fin. on regarde mais que voit-on ? une voie d’abord ? traces de vie ? charges monacales et tentaculaires ? des pistes ? des tracés ? des bêtes comblées ? des troupêaux entiers de bêtes comblées débordées ? On est qui cherchons à nous approcher toujours davantage de la vérité, et pour cela on se doit de se coller, de collaborer, de faire corps «à la une à la cdeux» et pas qu’un peu. on trace des vies de betes sur roche : vive la vie ! hourrah ! on esdt quii voulons aller loin dans les pratiques ! on est qui gueulons la vie ! vive la vie ! hourrazh cent fois ! des viv ats ! plein de ça ! On veut concserver pour soi une vie d’allant qui marche, qui trace que tu traceras sans coup férir, à la une à la deux ad vitam aeternam. et qsue meure l’ogre aux données funestes ! ouste l’homme ! dégage de là, parole ! on ne veut pas (du tout) de toi ! on te veut raide mort comme terre glaise etc ! nous ça on le veut comme ça et pas autrement ! on veut que ça soit commê ça et pas auitrement du tout. on veut que cette chose soit pour nous ainsi et pas de la gnognotte de rien qui viendrait nous grignoter à) la racine ! on veut pouvoir aller loin dans ce qui est dit ici (roche) à la force du poignet (homme femme au débotté des temps magdaléniens) . on est dans une groote de la grâce et des tourments tracés. on voit ce qui est devant (toujours). le devant est le temps, l’espace généralement indubitablemen (un devant-derrière) mais surtout le temps : tout autant devant)derrière (= autour) eh bien oui peut^tre ! en vérité, pareil, qui sait ? peut -etre en ezffet que le temps s’étend comme on dira que l’espace s’étend = autousr. on se dit que le temps peu-être est pareillement une extension des alentours de type infini natif cohérent. on se dit que peut-etree en effet le temps devant soi = aussi derrière = une somme sans fin, tourments à jamais déposés, qui sont dons de soi à déité (maria le ?) juchée. on se dit que nbous on a à comprendre une chose grave, ici, comme quoi on est deux accolés qui allons en effet poussser c’’st à dire repousser une échéance mais pas dit que ce soit à jamaios. on se dit que nous on est qui devons voir à toucher couler la mort via quoi ? le vferbe (nu ?) d’une rage d’être ? peut-^ùetre. ça se dit en ville. certains et certaines le disent, parlent ainsi de la vie sur terre. on est deux en nous (joug) qui poussons charrue ou tirons charrue (?) à toi à moi»»» à la gouverne . tirons nous charrue ou poussons nous charrue ? telle est la question subsidiaire ! On pousse-tire, on tire pousse. on est qui poussons devant nous à bonne allure = repoussons. et tirons sur la corde derrière : charge pariétale, activation xdes do nées rupestrssx de base. boeufs de paturage, nous allons. nous sommes des betes de somme, mlourdes et lentes (quoique lentes...°. on trace = on sillonne. on est des boeufs de race romande(?) , ou normùande (?) ou vcomment ? on trace grave et vif sillons de hjoie. sur la terre meuble travaillée. champs des côteaux de la vie sur terre, champs des données agraires. du tonneau connaud à boire ! on a soif ! on a travaillé vivement la terre à sillonnner, et maintenant à boire s’il-t-plaît. on est deux boeufs pour un je de gloire (tu pârles) . on creuses la terre. on trace sur roche des traiots de colère monstre, et ce faisant que faisons-nous d’autre que ça, que de tracer des sillons (de voix) de colère monstre ! on trace que tu traceras sillons de voix sur roche, outrancièrement, colèriquement, vivement, monstrueusemùent, conséqiuemment, mù^échamment ou gentiment mais sérieusement consequemment, . on est deux de base motrice. conjugalement, conséqutivement à une entrée dans la matière. solidairement et de conserve. on s’avance ainsi masquées. on est deux qui voulons entrer dans la matière. on trace des traits de joie sur roche offerte et on est ainsi comme des qui disons ce qyu’ils ou eklles ont à dire de plus important ici. comme quoi on est qui recherchons des mots forts disant des vérités de bon p ôids bon oeil, aurochs et autres betes de roche dure. On pênse que nous on a à faire-dire des choses de poids. on esrt qui avons à dire-faire des choses qui pèsent, qui portent, qui collent au corps d’une roche. on dessine des poissons et des bêtes à cornes. des betes à crin , des betes sur pattes, des betes grasses. on gueule que tu gueuleras les noms des bêtesq grasses. on gueule que tu gueuleras à tout va le nom de ces betes dfites grasses ou grosses. mots des rages. mots gros de ta race et dec ta rage. gros du gros de ta rage d’etrev (d’etre né). gras des mots du gros de l’être. on est qui gueulons grave et gras les gros mots d’une rage d’êtrezv en vie sur roche nacrée. on pousse une gueulante fauve. on est betes de paroi, treacées à main levée par un homme aiutrefois des xdonnées de base, femmùe des tourments, homme menaçant. on pôrte des voix. on porte un coeur d’homme larvé. on pôrte en soi une voix des actes tracés, des ressentiments actés, des volontés insérées, des chants de contrées lointzaines . on a en soi le mal et l’antre, lme ciel et l’ombre, l’homme et lma voix surnuméraire. ge ntrification en mùasse. élaborzation d’un p^lan d’attaque. charge frontale. calibrage à l’encan d’un dire aposé sur roche. coo,ndyuite à gzauche. coeur vaillant, colère des temps. on est deux en soi qui portons le nom de la charge (joug) et qui, ainsi, ainsi forcé, allons sur roche tracer le sillon cde la joie (je) à être. on trace que tu traceras des sillons de joie sur paroi, on est comme accolés ou disons associés, on est sous une même charge de paroi actée. on est comme deux qui tirons charge, sur terre dure, sur terre meuble ou non, sur terre mère des vies allouées. boeufs de charge modérée ou pas, selon l’état du mùonde a d,jacent, on traverse. on entre dans l’antre, on y va gzaiement, on jouit pour ainsi dire.

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26/11/2022

On regarde ce qui est et ce qu’on voit ne laisse pas de nous laisser pantois, étonné et subujgué(e)s. on est deux qui regardons la roche et que voyon-nous ? nous voyons des bestes de bon poids, qui vonviennent assurément, qui broutent et gambadent. il s’agit de mots-bêtes, de mots de rage, convoi sanitaire. on regarde ça avec (on le sait à présent) «les yeux de la foi», car on a en nous cette chose d’une sorte de parole structurée, échafaudée, qui va de fait percer la roche devant soi, ce roc des rocs, et sait du coup entrer en elle et s’y loger. on avance à petits pas mais il s’agit de pas qui comptent lourd. on creuse dans la roche dure et on s’incruste, on se lopge ou met, on est dedans comme «à jamais» mais l’est-on ? on est deux qui avançons ainsi pas à pas à même la roche du temps et vont à s’immiscer bon an mal an en cette rooche dure des tourments de base = vie des vies. on se colle à cette roche des tourments. on veut comprendre mordicus les données de base, ce qui est et ce qui n’est pas. on va dedans à vif. on échafaude des scénarios, on va dedans au plus lointain et on se demande : qu’est-ce qui estb là-bas, au loin, qui existe et semble nous attendre fondamentalement ? qu’est-ce qui trône ? et nous du coup de nous projeter (bond en avant) vers icelle issue des embruns (ou dite telle). quoi est là ? que existe là ou là-bas, car encore il y a du chemin jusqu’à elle, pas mal à dire vrai à pied. on marche mais encore un peu à aller ici jusquà elle il y a. on avance dans la prairie. la Chose trône au loin (à notre droite ?). il semblerait qu’il y ait là-bas au loin un trône, une voie d’accès ou d’abord, tronc de rage en attente après nous, qui lorgne en nortre direction, trépigne que tu trépigneras sans cesse. et nous de nous projeter en sa direction. de tracer fissa la semelle etc. on avance assurément, vivement, d’un bon pas d’allure. on voit qu’encore il y a une trotte jusqu’à ça qui nous espionne, nous attend, trépigne, nous lorgne de la tête aux pieds, la manière dont on erst sapé(e)s etc. on file grave = à toute allure et sans traîner. on voit qu’au fond de la roche il y a cela. il y a encore de la roche mais pas que, il y a un trou, il ty a ce trou de base = cercle =cercle de la vie (ou de la mort» ?) . on creuse de face, en face, on creuse à vif. on se dit qu’on a encore d’ici là (arriveée en phase) pas mal à creuser ensemble alors c’est ce qu’on fait de suite ici, on ne cesse de creuser, fde treacer chemin, de gagner du terrain etc. on se dit qu’on a encore pas mal de chemin à faire, on est deux main dans la main à faire ainsi que nos pazs respectifs puissent fissa nous projeter direct ou propulser sur cette lande des apprêts, des betes de poids, des pachidermes et autres bovidés poilus et lourds. on s’avance ainsi parmi des betes de paroi (temporelles) qui elles ne cherchent en rien à aller plus loin, elles se plaisent où elles sqont, elles paissent en toute quiétude. on trace grave. on avance fissa. on est deux pour cela = ensemble cet enxsemble ou convoi de la rage à être ainsi celui-celle (ceux ? celles ?) qui veulent «savoir» = savoir tout de tout = connaitte toutes lkes ficelles, les arcanes les connaitre, et toute la chose en attenyte, ce que c’eset que ça ou elle. on est qui voulons comprendre vite et bien cette chose devant nous au loin : qu’est-elle au juste ? a t elle des ailes ? est -elle animale ? est-elle sainte ? à quoi ressemble-t-elle ? est-elle lubie de notre part , mirage ? on voit bien qu’au loin des choses se trament qui semblent nous attezndtrre, bbous i,nterpeller, nous appeler comme sirènes, nous faire de grand signes à la dérobée, hurler après nous pour qu’on aille les rejoindre : nous joindre à elles. et nous tu parles ! qu’est-ce qu’on fait ? on est deux qui regardons passer les buffles, qui ne lambi,ons pas mais le chemin est long qui mène à quai. on a encore pas mal de chemin à devoir serpenter par la bande et ça ça prend un temps certain, disons un  certain temps. on est pas là pour se faire allumer , on est là pour en avancer à notre ruythme, à notre pas. on est deux qui en avançons fissa mais à notte pas, czar nous sommes humains, trop humains peut-êttre c’est un fait mais comment faire ? on peut pas se changer comme ça. on doit faire avec ce qu’on est de force. on ne peut y couper. on est faits et faites de la sorte en tant que tels et telles. on ne peut obligatoirement pas couper à ça , à la forme bumaine. on est pas des coléoptères, ni même des félins, ni encore non plus des  boeufs. on trace à vif en roche à l’allure ici qui est nôtrte =  à    l’allure d’homme femme de paroi et des embruns. on ne peut assurément pas «aller plus vite» c’est un fait, on voit ça tous les jours. on est soumis à des lois de base qui font ainsi que notree vie est cette vie d’emprunt rocheux, d’allure de rage mais de rrage humaine rien que, etc. comment faire autrement ? comment autrement arriver à s’y prendre ? il n’y a guère pour nous d’autre choix que d’agir ainsi, que de faire ainsi que noius vfaisons. nous devons coopérer avec en nous des données de base qui sont ce qu’elles sont (fortement ou forcément humaines) et c’’st marre. on avance côte à) cvôte, on creuse la roche, on trace des traits, on dessine des aurochs et des chevaux, des betes de race, racées et tracées à même la roche des temps. on est deux qui traçons racées des bêtes de rage sur roche des temps. on y va ! on ne lambine pas ! pas de temps à perdre ! un chemin est là qui nous attend ! on voit au loin la bouche ouvberte (les dents ?) , on creuse ! on veut gagner encore et toujours du terrain sur cette terre allouée à des bêtes paissantes, mâchant dru de l’herbe, allant de poids sur roche dure, ici et là, à la re cherche de leur nourriture herbicole. on voit qure nous on a encore pas mal à tracer jusqu’à bon port. on voit ça qu’on a encore du chemin d’ici là-bnas, bouche ouverte,; dents de laiot, ouverture imberbe, lèvres roses, bébé. on se dit que nous on a à faire ça qu’on se doit de faire = tracer v if dans la masse, dégager des formes évoquant la bête-molodsse, ou bien cet aurochs de grande taille, ou bien cet ours mauvais, ou alors un troupeau de bêtes en folie (furie) qui tra ce à son tour sur roche, va et vient sans discontinuer, ne s’arrête plus. on est deux ainsi qui marchons à notre ryhtme humain trop humain sur lande, on va vers des devants de rage (foi d’azur) là-bas. on voit ça, on est pas mirods. on voit bien que là-bas des choses «se passent» = des effluves sortent en choeur d’une bouche rose grande ouverte. effluves de paroi de base, effluves de trou obscur (?), effluves fines, nacrées, sortant de l’antre tel qu’il nous apparait à cette distance. on voit que des choses sont qui nous tannent de les rejoindre et vite , pour ainsi dire, et ne laissent pas de nous adjurer. et nous on y va, trop bons (bonnes). on est cons (connes) . on fait comme on peut mais bon on est cvomme des petitous qui écoutent religuuesement la parole des ghrands. on trace parce qu»on»»»» nous dit de faire ainsi, et du coup voilà : on se projete, on va de l’avant, on a deux jambes , un tronc, des bras, un volume  cranien, etc et on avance avec tout ça en bon état de marche jusque là, une chance. on veut bien toucher à loa paroi du fond mais encore on a à faire du chemin, on est pas arrivbés(e)es. on a une trotte. on est deux pour tracer dxans lma roche x et x bêtes de bon poids et beau rendement (argent comptant) et on le fait incidemmenbt (en passant je passe»»»). on est comme deux qui devons aller vif vers un trou de fond, dit d’ouverture. on va vers. on avance vers. on est sur le bon chemin il semblerait. nous on veut comprendre un certain n ombre de données qui sont données de base votive (et native) et ces données les collecter, les conserver, les consignier à par t nous sur un carnet (carnet de bord) et le cas échéant les montrerer à qui s’intéresse à pareille chose, à celui ou à celle qui, de fait, mo,ntrera un intérêt non surfait pour pareilles recherches de fond. nous on se dit ainsi qu’on a à faire ce cghemin de destinée royal, ce trait de base sur roche, cette voie la tracer de pied, etc, afin d’aller loin verts une roche ouverte qui serait la roche des roches dit-on, la de les. la roche des.? et voilà pourquoi on trace ! parce qu’on est motivé(e)s. on est remo,nté(e)s. on est deux ou plus à l’être (en nous ?). on est qui sommes en nous (?) au moins deuxb à être = deux humanoides ou alors quoi d’autre ? on cherche à tracer sur roche le chemin le plus direct vers Bouche de la Vérité, ouverture nacrée des embruns au loinn, bouche ouverte à volonté, cherche-misère(?) ou sinon comment ? elle nous cherche c’est un fait avéré, elle nous regarde sans discontinuer, elle ne nous lache pas d’u,ne semelle du regard et nous on trace vers elle, on va loin vers elle, on court vers elle, onn file à grande enjambée vers elle, on ne veut pas être mis et mises de côté ! on veyut compter ! on veut être compté(e)s ! on veut être compté(e)s pour ce qu’on est ! on veut faire poartie du nombre, du nombbre en grand. on veut être comptabilisé(e)s. on veut que notre nom soit comptabiliséa par la Chose devant qui nous attend. on veut être reconnues( comme des qui, comptent assuirément et ne seront jamais ô gran,d jamaislaisséees) piour compte ! on veut compter grave ! on ne veut pas etre des laissées) pour compte ! on vbeut aller loin en  ette roche des tourments afin d’atteindre ce «firmament» de base, trou axial, facial, charge lèégère (ou pas légère) qui est là = là bas, devant, loin, un peu sur le côté on dirait (droite toute ?) et du coup être con-sidérées, pris de force, adoubhées, pris prise de force, prise et pris comme deux qui gforment l’Un de rage de la far ce humaine (le farci qu’on appelle). on voudrait aller au loin ensemble = mzin dans la main, à la recherche d(‘une sortye (en fait) de reconnaissance de ce qu’on est (qu’est-on ?) pour des siècles des siècles. on voudrait être adoubé(e)s pour cela qu’on est en vrai = en vérité je vous le dis» , etc. nous ne sommes pas là nous deux pour rigoler, faire semblzant d’y toucher, etc. on est là pour toucher en vrai = dans le vif du sujet pour ainsi dire. on veyut toucher la Chose de base posée ou déposée sur le devant : seuil d’attaque, seuil de céans,. on est là nous deux pour toucher que tu toucheras à cette chose rosse (rose ?) qui nous tend les bras, et qui est cet ange de la foi dans l’etre, ce gentil dauphin, cet homme femme au loin vivant vie de rage au débotté, mais courtois cvourtoise, avenant avenante, pr^t prete à nous venir en aide. gentil, dauphin, gentille delphine. on est deux ainsi qui voulons faire ici bonne impression face à ce dauphin, face à cette dauphine, etc?. on ne veut paspasser pour des morts de faim, des traine misère, des affreux et /ou affreuses jojos, on veut plkaire. nous c’est ça qu’on dit ici depuis belle lurette, colmme quoi on voudrait zau bout du compte plaire un tant soit peu afin de faire ainsi qu’on soit et l’un et l’auttre pris et prise en considération par cette bande de joyeux lurons de derrière, de derrière les embruns, face à terre. on se dit qure nous on veut toucher ainsi cette chose là-bas d’une sorte de «porte ouverte», porte de l’enfer ? ou bien porte du paradis peut-être ? on ne sait pas tout. on voit que devant nous il y a quelqaue chose d’ouvert : une sorte de trou de rage à même la bâche (truman show ?) qui fait de nous des êtres dépourvus d’e toute conscience des lointains cachés, des arrières-train de conserve, des données de l’au-delà. on aimzaerait bien savoir et connaitre ce que donc cet au delà recèle en vérité. on veut quoi au njuste ? savoir ? quoi ? ce qu’il y a derrière ? colmment alors ? comment faire pour savoir ? mais en vrai on sait que les mots de base ne peuvent jamais dépasser la roche allouée, on sait ça de base, comme quoi les mots bêtes de poids ici chargent mais ne peuvent pas sortyir de l’enclos. tout le monde la sait. tout la monde sait que c’est sans espoior. que les mots ne peuvent sortyir de leur enclos, ces mots de poids , de rage, de bon pioids , de bonne rage, etc, ils ne peuvent pas , et cela parce que voilà : ils font barrage ! ils obstruent le champ ! ils aiodent à cette chose d’une reculade du mobile vif de la mort à l’oeuvre, ils font officev de refouloir, etc. le (les ) mo(s) de la rage d’être (vioe humaine d’allant sur roche) ne peut ou ne peuvent pas «sabvoir» ce qui est de cette porte des données finales, des bouts des bouts. un mot court sur roche «à la recherche de la vérité» mais oublie ! billevesées ! il s’agit d’une fausse donne, mauvaios p;li. on se dit que nous on a à forcément en comprendre loin et l;ong sur le chemin (le chemin) mais le bout du chemin macache ouelou. on est pas là ^pour ça. on est là pour contenir la bande, faire le pont, l’arc de misère («l’arc dde la misécoirde agraire»). on est deux qui voulons toucher le fond (eh oui ! c’’est dit !) et du coup on travce à vif ce qui est notre chemin en définitive. on est deux en szoi (en nous) qui formons l’Un de la rage d’être cet enfant de base, courant vif sur terre, allant deci delà à la recherche d’une porte oiuverte, d’un seuil de paroi, d’une ouverture en grand salutaire, trou de bouche ouveryte, trou grand de ta mère etc. retour au domicile pariétal. rechargement à l’identique du mobile foetal axial. on retourne à nos misères douces, chant d’aeau, chaud devant les animaux etc. on voudrait que des choses soient qui dictent leur loi sanitaire : «à toi à moi» on chante à tue tête, on a froid un peu, la nuit gagne, on est un peu peureux peureuses, on est deux qui sommes moi peureux elle peureuse, on fonce, on court à toute blinde, on crie de rage (les foies) et on trace que tu traceras sur l’herbe . on a deux bras deux jambes, corps de jeunes athlètes au demeuirant, on est enfants qui filons droit sans jkamais se retourner vers cette obscurité mauvaise, méchante, grave, dure, sévère qui nous tanne au pied (talons) pour notre plus grande trouille à jamais on dirait. on court comme des fous, folles, on fonce. on court follement vers un retour de soi dans la ronde imaginaire. on vezut pas être absorbé(e)s. on veut rester? demeurer. on veut tracer cghemin de ronde oiui mais salutaire, sans être opppréssé(e)s le moins du mùonde. nous on aime quand on est sezrein et seraeine et qu’on peut faire ainsi qu’on peut s’amuser sansz etre dérangé(e)s par personne et  surtout pas par cette Personhe là-bas, droite, dure, debout, grondant, qui zattend les bras croisés, l eil sévère, fortement en colère, attendant notree venue finale , notre douce ovffrande nous mêmes. mùais nous non. On ne veut en aucun cas donner notre vie à cette personne-là qui nous sermble bien sévère, forte, dure, droite, colèrique, en un mot dangereuse et qsui fiche les foies. nous ça que l’on veut à deux = une sorte de porte oui mais de sortie, une façon de faire sans faire, une porte donnant sur la vie et non sur la mort, une porte ouverte sur un au-delà de vie et non de mort, une porte ouverte sur la vie. on veut pouvpoir continuer à nous amuser sans crainte, sans souci, sans peur ni rteproche, à la bonne franquette ensemble. on veut piouvoir tracer sur roche des choses rudes, on veut ensemble sur roche pouvoir sans mal tracer des mots de bêtes en réponse à des injonctions sévères provenant de l’au-delà. on est là pour com)rendre un certtain  nombre de données de poids qui pèsent aussi sévère (oui) dans l’escarcelloe, en  ette escarcelle de vie pariétlae = ivci même, champ d’aziur, pré des fées. on veut être ces fées des champs ouverts offerts. on veut rester ici parmi les bêtes des przairies. on veut être des bêtes nous-m^remes et continuer de la sorte notre vie ainsi comme elles (placide et museaux). on veut bien toucher à la porte du fgond mais la colère o n en a soupé, on n’en veut guère ! on veut pas d’elle ! on ne veut pas d’elle du tout ! on vitupère aprèds elle, on crie à gorge déployée ! on crie qu’on ne veut pas d’elle jamais ! on est deux ainsi qui voulons aller en roche jouer parmi les bêtes notre jeu de base (osselmets ?) et c’est marre ! quoi d’autre en vrai ? n’est-on pas des enfants de naissance ? n’a ton pas des envies cd’enfant ? ne sommes-nous pas des êtres avant tout de l’enfance en nous ? qaue sommes-nous d’autre que cela qui en  nous persisqte et perdure on voit ça ? nous voulons poursuivre sur roche un jeu de roi qui est le jeu que nous sommes deux (en Soi)- à connaitrec= jeu des jeux de base, chant des chants, joue contre joue. on aime comprendre, on aime rechercher le sens des choses, on se positiuonne ainsi qzue nous voulons chercher à bien cerner le sens de toutes choses, on se positionne comme des qui cherchent à penser juste, vrai, finement , intelligemment. on est qui nous positionnons commpe des qui cherchent à penser vrai, à voir mieux que tout le monde etc. on est des qui nous montrons sous ce jour des rois, sous un jour qui nous voit faire ainsi qu’on voudrait pouvoir dire ce qui est et ce qui n’est pas sans se tromper ! on est deux en soi, qui alloons pzar les chemins de ronde à l’intériouer de la roche, et qui cherchent à dire ce qui est et c e qui n’est pas en vrai : tu vois la chose ! On est comme deux en soi («à toi à moi») qui voyons cela de l’oeil de ceux et celles qui veulent bien comprendre ce qui est mais... comment dire.... sans la ramener outre mesure. on est né bancals, bancales, non pour ainsi dire adoubé(e)s par la bande, mis au ban pour ainsi dfire, écarté(e)s du jeu de base, mis sur la touche ou mise, mis -mise de côté par la force des choses (disons) familiales. aloors du coup voilà, on trace à main levée des bêtes. on dessine à tout va fissament des bêtes de poids, comme exactement celles qu’on porte en soi depuis belle lurette. on se dit qu’on a une chance tout de même, cetlle d’etre. celle d’etre deux pour Soi, qui allons ou va (Soi) à même la paroi tracer «sa misère» et c’seset déja ça ! feux des bois ! feux de rage agraire on voit ! vfeux de bois des rages ! on voit ça et on trace : betes de la joie de l’ëtre, tentatives fortes et folles, cha nts d’azur au débotté, cache-misère c’est un fait mais commpent tu veux faire ? la mort guette ! on se doit de faire ainsi qu’elle se sente aimée, adorée, adulée etc par notre gouverne. on a fort à faire une vie durant pour ça. on doit déposer des gerbes de fleurs et autres offrandes sur le seuil = la paroi de roche = le temps imparti = cette vie de rage folle. on tremble mais on ne rompt pas. enfants des tentatives cranes. on veut comprendre ensemble un grand nombre de données de choix (de poids) et aller ainsi ensemble à fond la caisse dans la paroi, toucher misère peut-etre mais sauver sa peau d’une embardée vive à notre encontre, celle de la mort vilaine, des embruns des fonds, des données finales sur terrte. on touche à toucher la reine, ou pliutot : on y touche pas mal, on connait ce jeu des trois tourments pariétaux frontaux : le jeu grave de la mort en herbe, le jeu tendtre des donéees données et enfin le dernier jeu , qui consiste à toucher que tu toucheras la mort de face sans trembler, la main levée, l’oil aux aguets. on regarde devant nous des choses rudes, dures et cvoriaces : chjants des bois, roule-misère, coraux. on regarde devant bnou!s un grand nombre dev données offertes du fait que pour nous kla mort est aux aguets qui ne cesse de nous mirer, elle est pleine d’elle, de son eil ouvertt en grand qui ne nous lache pas d’une semelle tu m’as xsaisi : ouste la mort ! dégage d’ici dit-on, va voir là-bas si j’y suis ! et c’set ainsi quye la mort «recule», pensant que nous on parle gras mais pour plaire à son envie de vies en elle ! on pense que la mort est pleine d’elle = d’envies de se voir aduler par une confrérie de gens nantis de vie eu--mêmes ! On pense que la mort a des envies surnaturelles de vies ! on se dit que la mort a beaucoup d’envies, qu’elle est follement gourmande, qu’elle ne lache pas (jamais) la bande traçante du rega rd et nous suit au mot près, de si près qu’on désespère de la voir aller ou nous quitter un tempds salutaire (ça le ferait). on craque un p)eu de la savoir coloée à nous, à nos basques et autres semelles. ouste la mort ! zou ! file ! va-t-e,n loin de nouys ! on t’a assez vu de prèsb ! on ne veut pas de ta compagnie de misère ! on veut pouvoir tracer chemin sans être forcément accompagnées de près par une bete pareille, grosse grasse bete des prés c’est ok mais la mort de grâce, excuse-nous, on ne voit pas en toi de bisonne adgfffichée, ou bien de bufflette avérée, ce qu’on voit c’est une sqorte de donnhée coriace, cri infini, cri qui casse les oreilles, cri du rire fou de l’homme des données de rage, ou de la femme des embruns matuttinaux. on veut percer roche sans encombrements. on veut toucher roche de face « à la une à la deux» sans etre le moins du monde perturbé(e)s pazr des etres de la nuit tels que roi en v»érité car qu’es-tu d’autre ? tu sors de là : trou d’eau. tu viens à notre encontre ok mais pour quoi faire ? nous gêner aux entournures ? nous donner l’aval ? nous donner l’imprimatur ? nous dire oui ? nous donner du oui en masse ? faire ainsi qu’on se sente ou sentit dégagé(e)s de toute choses pesantes ? on est deux sur roche, on trace, on file à tout va, on écrit nos noms à l’encre de vie sympathique. on veut certes dire et faire, faire et dire , mais quoi ? un tracé dit pariétal et dit «de lhomme des cavernes» (ou de la femme des cavernes»). on écrit des mots qui sont mots de base rageuse : aurochs, et cela fait on va ensembke (elle et moi) chercher pitance à même la roche = un salut de roi, une accolade, un chant de salut, un mot gentil à notre égard, qui sommes deux à présent assoupi(e)ies sur lande. On cherche fort et loin à comprendre ce qyi est ici sur lande en matière de données frontales, pariétalesz ou autres, et ce main dxans la main. on vejut aller loin parce que notre corps et notre espritb en vie le veulent. on ne veut pas rester sur le carreau mais gravir des échelons, monter en puissance, ouvrir des portes nombreuses et gagner du terrain de fgorce. on veut gagner gravre du terrain de force = aller dans le tas de la bande, tracer des données, recueillir, emmagasiner, cooptéer, prendre. on veut toucher à une chose «vraioe» = vive = en vie = véritablement cortiquée etc. la mort ? la mort e,n personne ? une personne ? la mort est-êlle une personne ? et si oui laquelle ? mère des attraits  ? cjhose rude ? colère ? cran d’arret ? courage fuyons»»»» ? on est qui voulons faire ainsi que notre colère d’être en, vie aille direct à se coller sur roche, sur paroi de grotte, à la manière usitée des hommes des cavernes, avérée, . à la manière ancienne et approuvée ou commênt dire, d’iceux et d’icelles hommes et femmes des cavernes. «éporouvée» voilà. a la manière longtemps épprouvée des hommes des cavernes et autres femmes des caver nes. on veut touchger la mort. ce qsu’on veut via le verbe (Temps de rage) c’est : toucher la mort ! eh oui ! on veut ça ! on veut via le verbe acquis (inculqué = inoubliable) c’est ça, toucher que tu toucheras, cette mort des prés, des champs d’orge, des bois et sous bois intérieurs. on veut toucher en vrai (physiquement, massivement, concrètement, finement, volontaorement, assuirément, incidemment , correctement et collégialement : «à toi à moi») la mort des prés de près. on est là pour ça = des qui veulent, ne tremblent pas qua,nd il s’agit d’a ller à demeure , quand il faut y alller faut y aller «»»»»», etc. on n’est pas là pour trembler ! on est là pour toucher ! pour toucher la mort de près ! pour toucher icelle dans son sang ou presque : ce qu’elle est, ce qu’elle semble, ce qu’elle représente, ce qu’elle offre comme image, ce qi’elle dit d’elle-même en se montrzant,  ce qu’elle insuffle, ce qu’elle permet,  e qiu’elle montre de son êtyre. nous c’est ça depuis toujours qu’on  cherche à deviner. et cela via quoi via du Verbe en branche. via ça qu’on appelle le Verbe de la voie lactée. on trace des figures ici ou là dites «pariégtzales», «rupestrss», «ancestrales» et ce faisant on signe pour soi notre ouiiiiiii de base, comme quoi on dit ouiiiii, comme quoi on donne un oui de masse, massue disons. on donne de soi un grand ouiii fronta l, pariétal. ce oui a des allures de vie, de vraie vie, de vie vive en vrai. or tu le sais ce oui est une vie de pacotille, est vie vive d’emprunt, est fausse vie de rage, fzaux derche et faux ami. on dit du oui ici qu’il est cette masse déposée sur roche (offrande à déité) censée comparaitre, donner de la voix et s’offrir ad vitam aeternam comme une vie de base cortporelle, or tu vois ça ici comme quoi la chose n’’st pas, ressemble fortement mais en vérioté n’est pas, ne conviendra pas sur la longueur etc. fera illusion un temps on joue sur ça. on se dit cette chose compme quoi le Verbe est vfaux derche, mais il croit en lui, il y croit mordicus, il n’eswt pas cetytte chose qui en lui ou elle ne croit pas pâr manque de confiance en elle (ou lui). le verbe croit en lui qui ne peut zgir auttement en vrai. car le verbe est tout entier cette sorte de serpent de roche, qui se mord la queue et cri sonn  cri vif de la vie vive dès lors, et du moment qu’il ressent la chose. on se dit que cette chose en lmui (serpent) de la vie est cette chose en soi d’un Verbe de vie traçant son tourment sur roche : cri xdes cris vipérins, cri des cris pariétaux de fait. ici est la vive vouivre, ici il y a une sorte de vipère en vie qui va finement sur roche tracer que tu traceras le dessin d’une vie en vie, vie longue ou pas, temporelle, offerte sur prise, chargée sur pzaroi comme une bête (ailleurs) de poids qui en impose. on trace cela à main nue, à main levée comme de bien ezntendu et noté, on est qui voulons faire ainsi que des choses soient pour de vrai et prises pour telles. on est qui voulons creuser à deux la roche : toi ert moi en Soi = un etre unifié par lma ba,nde = deux moitiés d’un être unidfié = deux moitiés pour une entité de rage. on est deux en nouys accolés, enlacées, pris prises, en nous pris prises, en nous accolés colloés, en ous mêmes deux moitiés serrées collé(e)s qui vont à tracer chemin de ronde, danse ancestrale, transe bpariétale, nouba. on comprend que pour nous il y a des choses qui comptent plus que d’autres : pmmots d’ordre, choix à faire, tenues vives, collages,ouvrages doctes. on veut donc ensemble agir = dire = faire = aller = donner = entrer = donner le cha,nge. ecrire ici sur roche des mots animaux équivaut à donnert le change «à toi à moi». on trace ces mos (aurochs de la joie, betes à bon dieu) et ce faisant on fait comme si on donnait la vie : ici le verbe est une sorte d’aide-misère, de cache-misère, etc, qui est bien utile mùa foi. on voit des choses qui sur roche vont à se tramer de force (inculquées) par la bande et du coup que faire ? voir = obtempérer/. l’image est reine. il s’agit ici d’un cache-misère de paroi maios aillezurs auissi, des cache-miszère, en veux tu en voilà tu en trouveras des masses, des tas, c’est facile.on voit devant soi le verbe qui va «à la chasse» a&ux données primaiores... comme s’il pouvait de force ! le pauvre ! et nous de panser ses plaies pour ainsi dire, p)ar des traits, des mains apposées, des betes dessinées en p^leine lumière, pâr des bêtes fines, finement tracées, ressemblantes le plus possible cxar on sait qu’il en va de notre survenue à brève échéance sinon à plus longue vue. on voit devant nous des betes de rage aller et venir commùe des mots sur une page, et ce sont bêtes majestueuses, qui impactent, qui en jettent beaucoup, qui font de l’effet, qui sont du coup, considérées comme prégnantes, comme pouvant impressionner et faire de l’effet. on cherche à les amafdouer à notre sauce. on s’approche d’elles. on veut toucher la bete vorace. on veut faire ainsi qu’elle nous laisse faiore. on est venus pour ne pas l’effrayer à pas de fouurmis, à pas comptés, feutrés près d’elle. on voit sa crinière qui est bellement implantée. ses cornes bien dressées. son museau centré. sa queue tambourinante sur des fesses charnues, bien nourries d’herbe verte. on voudrait lui ressembler : entrer en elle = s’introuduire en elle. allerv en elle, enttrer en elle, etre l’herbe qu’elle mâchouille ou sinon comment ? mange-moi, mange-moi, mange-moi» vipère ! Charge que rtu chargeras la Chose docte ! Vas-y de ta voix hautement portée (qui porte) ! on veut vivre en vie et non en mort ! on ne veut pas satisfaire toutes tes envies de vies mais faire ainsi qu’on puisse perdurer sans t’avoir permanemment qui nous tire au cul ou comment ? par la manche ? ànous faire presque sortir du rail ! merde ! laisze nous aller sans toi ! laisse-nous naviguer sur roche à notre guise ! ne nous touche pas la mort ! nous si on veut on te touchera mais pas toi ! toi reste là)-bas ! trou d’ombre ! cru du chai ! vin tiré à boire sait-on jamais ? eh bien non ! garde à vue ! on ne veut pzas de ta piquette ! on veut bgoire xde l’eau et rien que ! nous on est deux qui buvons essentiellement l’eau de la rivière, l’eau traitée nettoyée du robinet ou l’eau nettoyée en bouteille ( mont roucous, la salvetat, etc) mais pour le reste on veut rester sobrresz, on cher che à cerner les choses, on ne veut en a ucun cas tituber et tomber dans ta musette. on est deux qui cgherchons à nous dérober de force. on compte les points qui nous sépare d’elle, la de les. la mort des données affichées, des informations divulgées commê quioi elle sezrait : «agraire, ferme, rude, conne, folle, complètement absorbée par des idées fixes funèbres, etc». et nous on en veut pas ! on ne veut pas de ccces iodées funèbres ! on veut aller fissa là-bas (fond du problème) sans avoir à poser les armes et sombrer que tu sombreras. restons soudé(e)s. soyons accolé(e)s. faisons montre de discernement entre nous qui avons à comprtendrte ensemble trout un tas de choses rudes c’est vrai, mais enfin il vzaut mieux ça que de swombrer corps et âme dans la panade. nous on tient parce qu’on s’accole, on se colle, on fait corps, on tient de force par le coprs, on fait Un alors qu’on est deux au fond. disons qu’en surface, à première vue, on est UUn; uni(e)s quoi. on est comme unies. on est comme si on était unies. on se présente ainsin cfomme si de force et de fait on était bel et bien unies de base : à toi à moi» la chance d’etre ainsi : unies par la vie. on chjarge sur roche quelques mots, des mots animaux. on ne doute pas du bien-fondé de la chose et cela parce que les mots eux mêmes sont des entités pleines d’elles mêmùes  , donc : qui contiennent foi ancrée en ellkes mêmes, foi d’homme. on se dit que cela est qui dit cette chose, comê quoi l’humain (l(‘hommpe, la femme, l(‘enfant) porte parole en lui, e,n son antre, qui dit x choses comme autant de choses à déposer ou devoir déposer sur roche à  jamais gravées. nous on p)ense ainsi que ça (la roche) est là pour ça (le temps quoi !) et pas pour autrte chose. on se dit entre bnous que ça (la roche) sert à ça (recevoir des plis, des missives, des entrées, des letres enluiminées, des mots de la foi) et que du coup elle (la roche) a pour elle d’être secouée (il s’agit du temps) comme en permùannece ou sinon régulièrement, par des qui comme nous gravent que tu grabveras les mots (ces mots) de la foi. de quelle foi s’agit-il ? il s’agit de cette foi des rages intégrées, assimilées. il s’agit de cette foi de rage dure, raide,caudale, emboutie, qui trace à vif des courbes sur roche, dessins finement agencés et élaborés, ressemblances rares, traits appuyés. nous on voit cela comê des dons d’organe ou quelque chose comme ça mais en vérité il s’agit de dons de vie vive, de dons plus vifs que la normale : délivrance totale, chants profonds. on pense nous que nous on a à chanter de force une chanson douce. on se dit que nous on a ou on aurait à chanter vif des choses vives pour impacter, pour faire efgfet. on est deux qui voulons creuser des choses vives et impactantes à même la roche : hourra dieu ! hourra des carrosses ! On veut mes aieux , etc. cela est ainsi qu’on  veut ça et riezn d’autre v(pas la mort en l’occurrence). on est deux qui voulons tracer des choses sur roche, aller de l’avant, aller devant à la rtecherche d’une vérité d’époque, mais une vérité d’époqiue est (compme son  nom l’indique) d’époque et dès lors quel intéret ? piuisqu’elle sombrera comme de juste avec le temps allant sa barque, son niveau de rage.; on pênse nous que, à l’inverse, on doit pouvoir tracer des choses à contre-courant du courant, qu’on doit pouvoir «y akller» dans le tracé d’une chose semblant la vie vive , ou de la vie vive r(verbe  hautain, autoritéssds) mais comme qui dirait « sans y toucxher» ou comme faisant semblant d’y toucher quand en vérité on y touche (pipe) rien ! ou sinon quoi du rien ? pas des masses. or nous non, on veut toucher ou bien toucher, mais comme par lma bande, afin de savoir. on veut bien toucher, ou plutot ouiiii on veut, on cveut toucher, on veut même mordicus toucher mais comment dire , par la bande = de bhiais = en faisant mine de pas y toucher, l’incomptétence, l’inadaptation totale, ou qasi, intégrale ou pas loin, globale ou quelque chose y ressemblant. nous on trace là les mots de force (par défaut) de la foi dans l’etre (profond) du langage (langue assimilée). on dit par défaut ce qui est (cela qu’on dit) parce que comment faiore autrement ? il n’y a guère mille autre possibilités ! le Verbe est ancré qui dit sa misère à travers des canaux qui sont notre propre misère cd’être. le verbe dit haut notre lmisère d’etre mais sans les mots qui devraient etrte. car les mots du Verbe chantent faux de conserve (tous). et ce jusqu’au bout du bou du phrasé de vie qu’ilms interprêtent. nous on sait cela de longue date, parce qu’on voit l’ima ge, les contours, les bêtes sauvages des cavernes. on voit bavec nos yeux de «betes noys-mêmes», on est sérieux, on s’applique, on s’y tient, on trace à cdeux avec sérieux, on est pazs des sauvages, on est éduquées tu parles ! on fait comme on peut oui ! oui on est des sa uvages aussi ou nous aussi ! on dit des choses qu’on affiche cde concert ici et là sur roche , mais en vérité on est berné(e)s (béarnais ? non ! berné(e)s ) !on est deux en bnous (elle + moi) qui se jouons de nous par la bande =à cran ! mais en vrai vas-y jouer ! ccomment ? tu es berné de force par la bande oui ! On dit qu’on s’avance ainsi, pasv à pas, comme on peut, «à toi à moi» les miséreux de l’antre, on fait comme on p)eut. on s’afgfiche , c’est vrai, on se montre ainsi ou autrement. on est vus par des yeux de rage monstyrueux qui ne cessent de nous juger, et nous tout pareil on juge à tout crin. on est qui vopulonhs comprtendre loin les choses des tempsz mais pour cela il nous faudrait un tout autre Verbe en bouche, un Verbe moins sûr de lui-m^rme ou sinon moins sûr moin,s hautain, ou sinon moins hautain moins tenu, moins ancré, moins docte. on voudrait comprendre loin (des choses de poids) et profond (les données de base) mais pour ça on a besoin de force de base, de forve vive, vivante en nous, de force de poids langagière, verbale, de force abouties. on a besoin en nous de données royales. de données de rage royales. on a en nous un besoin vif, de forces vives. on veiut aller loin dans les connaissqa,ces. on veut creuser profond la terre des données de base, creuser que tu creuseras dans la profondeur et avec ardeur. on veut faire ainsi que des choses dsoiuent creusées et pas pour de rire. on veut «y zller gaiement» dans le geste assumé de creuser la roche, la paroi du monde. on fait pas dans la demi-mesure. on creuse les données progfondes dans la profondeur dee la roche offerte. on creuse à mort lza roche des temps et ce : à vif, à cru, vivf et vives. on pousse à deux le char de la joie. on est deux accroché(e)s à la roche, qui poussons vif le char des chars de la joie de l’être, et pas pour de faux ni pour de rire mais en vrai de chez vrai = à fond les manivelles, «à la une à la deux « fissa ! on vitupère ! on s’insurge ! on gueiule à tout va ! on rue dans les brancarts de la mort oà l’ euvre ! on y va ! on force la donne, lmes barrages, les données ftontales d’une roche, celle-là qui nous voit creuser en elle des mots des prés, des champs donnés, des prairies marital:es, mariales. onveut lui montrer (à la mort) de quelbois on se chauffe et qu’elle le comprenne ! le prenne pour elle ! pour un dit ! pour ce qui est dit et bien dit ! que ce soit le dit = gravé dsans la roche ! direct ! et pas pour de faux ou faire semblant mais tout le contraire ! ici on dit une chose etb son contraire peutertre mais pouqrquoi ? parce que le verbe dit cela (une chose et son contreaire) et que c’est justement celma qui, pousqsant au cul, ouvre des portes de vie vive ! oiuuiiiii monsieur ou dame la mort, on voit ça ici de près parce qu’on colle. on colle à la roche. u ne chose et son contraire collent, qui disent un enssmblke outré, monté, accolé, conditionné ou compacté de telle sorte que le verbe en son entier fait son p)etit effet de Parole Docte à tout jamais : médecine, Gentrification massive des données actées sur roche des prés. on sait cette chose (nous deux) comme quoi le Vezrbe contient l’esse,nce de la foi dans l’être de la mort naissante. on voit ça de là : outremort, outre mont de la mort, outremesure, outretemps. on voit (via quoi ? l’etre dees temps rocheux ?) que la mort des données rudes n’est pas mort définitive, mort totale, mais un temps de la mort totale. on voit des mots qui vont «à gravure» ou «à demeure»  mais ces mots sont mots d’ici (vernaculaires en diable) qui disent des choses «de la vie» peuit être mais sans trop donner de , de données informatives à notre gouverne, hélas, qui restent dans des zones de vie placides, ou vives oui mais cantonées à des régions de l’ombre. or nous on cxhervche loin, ou disons : on veut chercher l;oin ou voir à cher cher loin. on voudrait nous que ça aille loin, que les choses des temps aillent à chercher loin, aillent loin chercher des données ou les données de l’’âme ou sinon de l’âme de l’esprit, ou sinon de l’esprit du temps. On veut aller loin dans le système pariétal de la comprenure humaine, vive et céleste, ancrée de roche, actée. on veut nous toucher la roche en ses parties ver beuses, tracées, creusées. on veut êtee des qui savent, qui touchyent loin et du coup «y» touchent un tantinet question vérité. on est pas là pour faire semblant d’y toucher. on veut vraiment toucher aux choses de la vérité = y toucher grave, etre des sav ants de base, docte dur, chercheurs fous, et aussi chercheuses, chercheur-chercheuse fou-folle qui ont des atomes crochus à se partager ou mêler. on est qui voulons cerner = teracer = dessiner à main levée les choses du monde, comme par exemple la vérité&. et pour cela on a des antennes, on a dxes cornes de jouvence, on a des crinières, on a des tro:mppes, flagelles et autres données de foi ancrée, paroles à l’échaudé, cranes d’os. on pousse sa chance agricole. on pousse que rtu pousseras les données de campâgne et autres vfestivités rurales. on pousse que tu poussseras la charrue avant les boeufs dit)-on mais eswt-ce vrai de vrai ? on dirait que oui . le verbe avant le savoir. les mots-bêtes avant le fin mot de l’âtre (de l’antre) ? peiut être bien que oui, que c’est ainsi, que :es choses sont. on touche doux des données de basse motrice alors même  que voiulà, on portye ici la confusion da ns les données données, ou à m^$eme les données données. on fout la pan ique à mê:me le Verbe. on croit pouvoir dire et on ne manque pas d’agir ainsi, docte cru, chargeur, donnbeur des fois de leçons, le professeur des soeurs,; profession professeur des bonnes soeurs tu m’as saisi ! mais pour quoi on (nous mêmes ) nous prend (on se prend) c’’st ça qui irrite ! qui fout la haine vif ! mais pour qui on se prend nous mêmes par l;e v erbe acqhuis ! pour qui  donc on ose ! eh bien pour ... cela qu’on est pas vraiment ! parce que en  vérité est-ce qu’on est si savant que ça ! si docte ! si docteur et doctoressse ? est-onsi fier et fièrez ? est-on xes xsavants de la foi ? sommes nous sav ants sa vantes tant que ça ?que savons-nous des choses, qju’on puisse dès lors se permetytre ? pourquoi donc la ramener autant de base = pâr décfaut ? eh bioen p)arce que justement : comment faire auttremùent ? nous sommes touchées = coulé(e)s de ba xse par cdéfaut ! « à toi à moi» la contredanse ! on est touché(e)s coulé(e) de base par défaut c’est dit ! on est cuits (cuites). on peut pas lutter (comment ?). on est pris à partie de base dès qsu’on naît et comment tu veux lutter cx’un centimètre ? c’est acté de base ! c’est un fait de base acté à la naissance, le verbe-né te suit à la trace. on ne peut lutter de fait et voilà pourquoi on est qui disons des choses de rage à tout va, p)lusq ou moins sciemment mais de force on dit, on ne peut ne pas. on est pris et prises à la gorge./ on est accouplé(e)s de pariole comme qui dirait. sonné(e)s. et nouis de nouis dire cette chose comme quoi on est né(e)s ainsi qu’on est. c’’st à dire p»étri(e)s en nous de choses doctes qui imposent une cvision des choses à travers les mpots et ça pèse loursd c’est sûr, c’est même cela qui est recherché. on porte carropsse de notre passé passé et du coup on, pèese grave dans les tranchées, on poerte loin. on est de’ux qui portons loin une parole de charge votive à même la roche nue des griottes entyerrées, cachées, enfoiues sous terre (lieu des catacombes). on est des êtres venues d’ailleurs, d’autres mondes alloués. on pôrte des noms d’emprunts familioers et familiaux mais en vrai on provient d’endroits de sur la terre que peu imaginent, émigration dingue (quasi surnaturlle). on provient de lieiux encore inexplorés de lm’homme et de la femme. on est deux en nous qui provenons cd’un lieu de roche dure, de la roche dure (le temps) qui est lieu xes données de la raison profondes. données folles, fortes, profondes. on est deux en nous qui provenons d’un mùonde lié à un aillleurs profond = lointazin. on provient ennouys-:mp^mes de loin, d’un  ailleurs lointain. on est deux ennous qui provenons d’un lmointzai,n alileurs des ca tacombes et aiutres tombes cachées de l’oeil qui ne fait pas gaffe assrez à ce qui est ou serait autour de sa pommme. on vien de loin : attitudes lointaines, fortement ancrées, des données de la foi dans l’etre des mots déposés sur roche. on vient d’un endroit loi ntzain qui est celui de la rage xde naitre à tout va entre deux parois. opn est deux en Soi qui venons cde loin = d’entre deux parois mauvaises ou comment ? vives ? dangereuses ? accidxentées ? On craint car ça craint. ça craint du boudin  c ‘est grave. ou plutôt : ça craint du boudin grave, ou grave du boudin. ça craint grave du boudin , du boudin grave ! ça craint grave de chez grave du boudin ! commùe quoi on vient de loin pour dire ici des choses qui pèsent = qui portent = qui chargent gra ve = qui impactent = qui sont V2rités d’allant,  Vérites des vérités de charge. on propvient d’un e,ndroit lopintyain c’est à dire qui vient de très loin dans le temps et dans l’eswpace = murzaille de Chine d’u ne destinée accolée à un dire pariétal de base (arachnoïde ? ou bien a urochnoïde ? on cherche !). on se tient prête à dégainer le Verbe de la foi en icelui Verbe des données cde l:a rabge à être ou à naître. on se tient à vvif prêts et prêtes. homme et femme en soi de rage. homme femme de la paroi dense. homme femme des données sommaires (primaires). hopmmre des rois, femme des Reines et vgice versa. on obtempère et vitupere ou vitupérons. onbtempérons au débotté à même la charge primaire (priincière) xes données données et déposées sur roche : dessins ressemblants, mains calquées, points de non -retours scandés, treacés divers rupestresq, rassemblements et autres collections de mots affichés vite pardonnés. on pousse le char en roche dure à deux car à cdeux on y arrive mieux (l’union fait :la force des deux). on pousse de rage un char de données priimaiores : mots de croix, croix des mots. on est christ nouys mêmes en raison. notre poids porte lourd dans la roche des données de base. on creuse en v érites de  base la roche des prés = on donne les mots à la bande. on est colmme deux qui pousso,ns des mots de contrebande = les mots crus, les mots osés, les insanités « à toi à moi» comme s’il en pleuvait. on fait commùe partie cdes meub les en cette roche dure des temps dépl

acés sur paroi mobile (vie des vies) . on colmate à mùort ! on outre (force) le pasdsage des données frontales ! vie vive à l’encan ! cassure des vies animales ! craquements massifs sur roche touchée par la bande ! ossature meuble et entrée en fanfare des étonnés ! on pousse et repôusse ! on force et on comble ! on veut du sang cde première coul»ée, rouge vif, incarnat de l’incarnation. ça va saigner ! ça va pisser grave sa rage ! On est accolées comme deux qui poussons grave les données primaires du sang dans le sang (sas ?)  d’une vie à vcivre. on le dit eyt on le fait, c’est dit. C’ewst fait ? presque, affaire de temps. et nous de col:mater  ce qau’on peut colmater, à l’arraché, au déb otté, au cran d’arret, à la va comme je te pousse. on est enfantins = vifs mais limités dans nos déplacements. on voit loin mais pas tant qsue ça les choses du monde adjacent au nôtre. on se tient fin prêtes mais ce n’est pas donné à tout le mon de, on est deux en soi qui nous tenons fins prets (pretesw ?) mais comment ? en bonne posture de soi ? en cherchant des mots dans la manche ? en coulant un bronze ? en pissant menu du verbe nu ? et de quel verbe dès lors (nu) s’agit-il ? nu comment ? nu nu ? nu des profondeurs de l’âme ? où donc sont icelles profondeurs ? dans le creux de l’enfer ? firmament des données célestes ? où donc le verbe nu xe l:oge-t-il en, nous et de quoi est il l’interprête ? qui pârle nu en nous ou parlerait ? qzu’en est-il de la nudité suspectée ? qu’en est-il de la dit-on ou dirait-on  nudité de base v erbale . de qauoi parle-t-on quand on parle d’un  verbe qui (ici ou là) se montrearait sous une nudité totale, intégrale ? de quoi le mot de «nudité» est il le signe, le fond ? a t on pour soi de quoi cerner (vcomprtendxre) l’idée (folle ?) d’une éventuelle nudité de (du ?) Verbe ? qu’en penser ? sommes nous nus (nues) de base ? notre verbe edtil la nudité même affiché .? a t on pour soi (nous) des données ancrées , données de la base (rage) et du sopmmet (âtre) de l’âme ? ou comment sinon ? sommes-nous tout un attroupement de bêtes en nous et qui de fait serait désigné par ce mot de «âme» ? sommes nous plusioeurs en nous ? combien sommes-nous en nous ? combien en nous sommùes nous au juste (deux ?) ? combien je suis ? combien en moi d’êtres di vers je suis ? doueze ? 24 ? plus ? 48 . 96 ? oh je ne sais et sais mal compter! JE ne suis guère une lumière. mon temps ausdsi est co=mpté qui me jouie des tours et ce n’est pas fini. mon coeur, mùa voix, mon esprit, mon chant, mes jambes,, mon mùembre axial, mon cul, mes envies aussi sont pris eyt prises à parties c’est vrai et je le sais, je n’en suis pas dupe ou je ne suis pas dupe, du tout, de cet état de fait. je suis hommùe femme détestée peutetre c’est possible par x ou de x ou y,. j‘avance à mpa façon toute romantiquen, fine, douce, non colèrique de base (quoique : ça dzépend des fois) et ainsi faisant je gagne du terrain, je me porte un peu plus loin sur le chemin de l’âme (dit-on) ou du moind «de l’antre». l’antre», quel est-il ? de quoi s’agit-il ? Eh bien il s’agit de cet antre dont on parle ici ou là présentement (temps présent). l’anttre est cet espace de survie, dans lequel un homme, une femme, un être (ce peut être un animal) peut voir à placer en lui «des cbhoses et xd’aurtres» comme par exemple : des vivres, des données de base, datas et autres clés de rage numériques, ou bien offrandes à déité, dons d’organes, mots  de rage vive etcx. il s’agit d’un espace dit «surnuméraire» en cela qu’il ne fait pas pârtie des données primaires offertes à la vie, mais d’une sorte ou de sortes d’excroissance folles, affolements vitaux de choses en suspens, qui débordent grave et manqyent parfoisdoccasion ner bien dxes tourments à qui en est nanti. on pense à l’antre comme à quelque chose d’intérieur à soi quand en vérité l’antre vient de loin, d’ailleurs , donc d’un endroit hors norme vitales, hors envies, désirs en soi inscrits, hors données vives. on se dit que ctte chose (l’antre) est donnée de rage externe, venant d’autre part, et coulant en nous comme un lait de naissance ou de jouvence en notre vie vive alloué à un corps nouvellement né à une vie de roche dure. on est deux en soi qui portons cet antre comme une coulé en nous de bave vive, jus de vie en notte conscience, jus de vie vive envahissante.

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24/11/2022

On est là et on regarde. on est là nous deux qui regardons devant. on est deux qui regardons devant. nous sommes = on est = nousallons. nous sommes qui allons ensemble « à la une à la deux» en cette roche des tourments, des bases tantriques  ; nous sommes ensemble («toi et moi») qui fouillons la roche «à la une à la deux» à la recherche d’une vérité de rage (ou vérité de bon aloi). on fouille = on furette. on regaerde ici et là ce qui se passe, on ne s’en laisse pas conter de regarder ici et là. on est deux deux pour la bonne cause. 2. soit «toi et moi contre le monde entier» ou quelque chose e’approchant. on fonce. on y va fgaiement car on aime : on aime foncer en roche, on se plaît à faire cette chose. on fonce que tu fonceras dedans = dans le tas = à même la roche on y va. on est deux = 2, qui allons d’un pas assuré de préférence en cette roche-zone des apprêts, à la recherche d’une vérité de bon aloi (bonn rendement ?) qui puisse de fait nous offrir de quoi comprendre au fond du fond ce qu’il en est de cette chose devant nous dont le nom est quoi ? la mort ? on le dirait. disons : on le pense.on se dit ensemble (nous) que cette chose de la mort devant, que cette chose devant dont le nom serait «la mort» est chose rude s’il en est. on se dit que cette chose est plus que rude en vérité :coriace, raide, bizarre, ouverte, colérique, sermonneuse, qui nous voit aller et venir «dans le tas» et comment faire pour alors échapper à son regard ? pour ne pas êtree suivi ? pour ne pas que ladite nous voye ? nous matât ? comment faire à deux pour faire ainsi que cette mort «de rage» ne puisse de fait nous suivre du regard incessamment ? il faudrait ici qu’on puisse s’échapper, filer à l’anglaise = en douce , en rasant les murs, en se cachant de son regard pressant voire oppressant. comment on peut faire nous deux pour arriver à s’échapper du regard de la mort ? comment on pourrait faire nous deux pour que donc la mort ne puisse plus nous siuivre du regard, et tant pis si elle fulmine et râle et s’envenime et se contorsionne de rage : bien fait! elle le cgherche ! elle est co quine ou quoi elle est ? elle est vipérine. elle est la vipère de la blague. elle est cette vipère-blague aussi (collée). on se dit ça que cette chose devant soi dont le nom est la mort est la vipère de la blague. et nous (nous deux : elle et moi) on cherche forcément à échapper ou à s’en aller ou à fuir ou à se tenir loin ou à) s’échapper ou à courir ou à aller le olus loin possible etc d’elle. de cette saleté qu’elle nous fait dire. car la mort est uyne saleté on peut le dire. la mort «en soi» est une saleté de première. on voit qu’elle nous regarde sans cesse , on le comprend, on le sait, on le subodore, on sent que c’est ça. on voit que la mort est là qui ne cesse de nous regarder, et pourquoi ? parce que voiioolà : elle nous veut pour elle, elle veut direct (fissa) nous absorber, nous mangzer comme l’ogre de l’histoire (de l(Histoire) et nous de suite on rétorque : «non !»Car vas-y ! nous on ne veut pas. pas envie mais alors pas du tout de se laisser manger par elle. on se dit que nous non, on ne veut pas. alors forcément ça agace la :mort, ça la dérange, elle se sent flouée, etc. on se dit que nous non, on ne veut pas d’elle «sur nous». on veut ECHAPPER, on veut quitter la chose rude, ou comment dire ? nous placer de telle sorte en roche que voilà on y serait pas, pour elle, on serait absents, on ne serait pas voyants. on regarde autour de nous, on voit que des bêtes paissent tout bonnement et ne s’en laissent pas faire plus que ça (intimider). on voudrait être comme elles, tout pareil : des qui mâchent que tu mâcheras ton herbe et basta. des qui sont tranquilles comme Baptiste. des qui ne se laissent en rien démonter ou lmarcher sur les pieds. on voudrait être ainsi dans une sorte de tranquillité de base, sûrs de nous, sûrs et sûres, ou sûr et sûre au singulier etc, de manière à pouvoir vivre sans stress plus qu’il n’en faut, l’esprit serein voire dégagé, l’esprit calmé, tranquille, doucx, posé, marchant à bon pas sans se laisser bousculer, allant ici et là sans panique. on voudrait que ça le soit. ou que disons on puisse aller ici et là comme une bête des prés. c’est à dire sans se bousculer outre mesure, l’esprit frais, au calme de la nature, marchant à pas comptés, feutrés, sans s’énerver de rage pour quoi que ce soit qui serait à nous enquiquiner sans arrêt. nous on voudrait ça : du calpme et no stress, no panique à bord. de la tranquillité en toutes chose. on voudrait être ici (roche) comme est la bête à nos côtés : calme comme iune image, sage comme tout, bete de rage mais apaisée, bête nue. or voilà.... le VErbe ! ici bas il y a ça ! le verbe est là qui nous rappelle à lui, comme quoi la mort est là qui pèse sur nous comme le couperet ou comme le sabre ou l’épée de la farce, des données dites. nous on veut comprendre dands le détail les données mais il y a ça (le verbe) qui serait de force en nous, qui s’interposerait de rage ou comment autrement, et ne nous lâcghzaerait jamais «la grappe», ouiiii. alors comment on fait ? on regarde devant, on voit les choses qui se passent ici : bêtes rudes, bêtes vives,. opn se dit que voilà, on devrait aller loin, le plus possoible, afin de comprendre ce qui est qui se trame en ces contrées. on se dit qu’on est là pour ça , allerv  loin. que la vérité forcément ne peut s’être logée de fait que dans les lointains, tout au bout du bout d’une phrase, et que du coup on doit agir de telle sorte qu’on puisse gagner du terrain « à la une à la deux» sur roche dure comme ici, vers ces lointains décrits : champs d’azur, embruns, voies dites, voies nacrées, champ célestes au débotté. on fonce car on doit. on se doit d’y aller bvif car nous sommes préssés par le Verbe en nous qui pousse à dire, à faire, à tracer. on pousse quee tu pousseras le verbe peut-être mais cela car nous avons à tracer route en ce lieu de base rocheux (catacombes ?) qui pour nous est un hâvre, abri, zone de repli. on voit devant la chose, ce trait tracé, ce dessoiin de bête de poids, cheval. on se dit que nous on doit pouvoir aller loin à deux dans les connaissances de la vie, se loger à l’abri des secousses et autres avanies, etc, et toucher (toucher!) la timbale du temps ! peut-êtee. on croit que cette chose est une chose qui se peut assurément. on pense que oui, peut-être, cette chose, cettte voie, ce tracé-là, ce chemin de passage, etc, peut-être. peut-on aller jusque là-bas ? pezut-on gagner jusqu’à cetendroit ou disons gagner sur place du terreain jusqu’à pouvoir touchrer (toucher !) à cette chose des lointains majeurs ? des lointains liés à l’age adulte ? est ce cette chose ? on regarde le plus loin possible. on regarde loin, le plus loin possible. on veut regarder ensemble le plus loin possible : les lointains majeurs, ces zones franches, ce qu’elles sont. car on vboit bien (on devine) que pzareille zone devant soi n’est pas anodine, qu’elle a raison d’être forvcément, que si donc le Verbe dit la mort (le mot «mort») ce n’est pas pour des clopinettes , on se dit. on pense en effet que donc, ici, si le verbe, le parler royal, dit «la mort de rage», c’est pour quelque chose et pas pour rien. si le verbe dit la mort ce n’est pas pour rien, tout le contraire. on se dit que le verbe dit pour masquer ou chasser, ou faire fuir ou troubler la chose. on se dit qu’ici le verbe a ses entrées de choix (de roi) qui font qu’il est alors à pouvoir y aller gaiement en cette chose d’une sorte de repoussement, de reculement ou comment de cette autre chose déposée devant, apposée ou accolée, dont le nom est «la mort». il s’agit ici de bien comprendre cette chose comme quoi la mort est comme repoussée ou bien tenue à bonne distance, par le Verbe encalciné, par le verbe calcifié, par ce verbe en nous qui s’est incrusyté comme jamais (on le sait). on regarde ce qui vient devant, ce qui est devant, ce qui devant se présente, ce qui est là pour nous qui advient au fur et à mesure qu’on avance, qu’on fait des pas, qu’on marche en cette zone franche. on est là pour ça : comprendre. et du coup on fait des pas. on marche sur la lande au milieu des bêtes, parmi des bisons et des bisonnes, des chevaux et des juments, des ours des cavernes, des lions des prés, des mammouths. on marche que tu marcheras vif, en zone franche) à la recherche de «la vérité guidant le peuple». on marche vif à la recherche (acssurée- d’une sorte de «vérité de base» = fait des faits, qui nous dirait :pourquoi ? comment ? quand ? de quelle manière ? avec qui ? depuis où ? nous serio,ns comme invité(e)s à y passer . on se demande ensemble ce que cf’eset que cette chose devant nous. on se dit : «la moprt» mais lza mort n’eexiste ou alors n’xistera it que où en vérité, sinon dans le verbe etc. on se dit que pour nous la mort est une acventure avant tout «rupestre» et c’est tout, ou pas ? on se dit que pour nous la mort est cette aventure de paroi, ce trait de rage animalier, ce dessin de bête à la volée, ce chant des données célestes. on voit qu’un homme femme un jour a tracé et cette chose (ce ttracé) aujourd’hui nous interpelle, nous «regarde» comme jamais, nous «parle» à satiété. on voit des betes, des traits gracieux, des tracés vifs, des étiquettes et autres parades de grâce. on voit des tenues, des accrochages, des luttes et auittres joutes animalières. des combats de rage à mêmùe la pierre : feu devant ! chaud de base ! il fait chaud devant ! feu des dires ! On est qui regardons ensemble le feu. ce feu loué , ce feu comblé ! on regarde, on voit les flammes gagner, on se dit que nous aussi on va brûler et ça fera des flammes pour l’éternité d’une vie ancrée. on regarde devant soi les choses advenues, ces données de dépo^ts royaux, ces offrandes à déité, ces suppoositions)-appositions-dépositions. on veut toucher pzarce qu’on aime ça , et aussi parce que de toucher nous rassure, nous fait du bien car ça nous rassure, ça nous donne de l’aplomb, ça nous fait nous tenir droit, ça nous oblige à nous mettre droit en ce chemin menant aux fins de voie. nous on comprend que les choses de la vie pour nous se trament ici, sur pareille voie rocheuse. on veut aller loin ensemble (à deux) parce que voilà, on veut savoir, c’est-à-dire toucher. toucher = savoir. ou même : savoir = toucher. si tu touches tu sais. touches-tu ? si par aventure, par extraordinaiore, ou d’aventure tu y vas ainsi, à toucher que tu toucheras, alors tu sauras, tu verras et sauras ce qu’il en est de cette chose devant toi dont le nom est «la mort». mais commùent toucher» la mort me diras-tu. eh bien comme ça, comme on fait ici ou là : par du verbe en soi, entré, ancré, mis, placé, inculqué, tracé par la bande et ce dès le départ de l’existence.  on est deux qui comprenons l’axiome. on pousse à tout va en direction des fins de voie. on pousse que tu pousseras en  c ette direction d’une sorte en soi de fin de voie royale, fin des fins, trajets de fin, fin des données franches, finalités. on avance à pas de fourmis mais bon c’est ainsi et l’mimpotrtant est d’en avancer tout compte fait. ce qui compte le plus en cette choes ets d’en avancer fissa le plus possible et puis voilà. de tracer ou de filer. de filer ou de tracer, et qu’importe si au bout du compte la moisson est maigre, la récolte minable ou misérable, l’eimportant est de tracer ici ou là en roche le chemin qui est le sien = une voie d’abord ou d’accès. il s’agit de bien comprendre cette chose, comme quoi la roche ici est un entre-deux, une soupape = un sas. on est deux qui nous logeons de notre plein gré (on dirait) en cette zone-sas de base à même la pierre. on est là parce qu’on lke veut ! ou pas ? on dirait que oui, on dirait que cette chose (de tracer ici) est une chose volontaire, affichée comme telle, assurée ainsi. on pourrait penser le contraire mais voilà : on doit assumer ce nom porté par nous, cette chose d’une chance (ou malchance) d’être cette personne en particulier, cet être nommé et pas un autre. on trace sur roche un chemin de voie (de la foi ?) qui est voie docte = verbale = langagière. on est qui allons fissa sur roche à la recherche d’une vérité qui serait vérité des fond de carrosse, des entrées de l’au-delà, des passxages à vif dans la zone vive des savoirs lointains;, des connaissances acvidulées d’un après-terrain (apres la Terre). on cherche vif. on veut toucher. on se rapproche. on vient. on arrive vite vers toi, chargement. on est comme deux qui allons vers une voie (voix) de base céleste, à toi à moi», et qui regardons depuis là (roche des prés) cet endroit nacré enfumé, bouche ouverte (bée) qui nous attire à elle (nous intrigue et du coup nous attire). on s’approche. oui, iul s’agit c’est vrai d’une soprte d’ouverture large en forme de bouche ouverte. on pourait en effet penser que la mort est u e bouche ouverte, avec des lèvres comme de coutume etc. on voit l’ouverture grande, cette bouche grande ouverte, ces lèvres fines, charnues, cette chose d’une sorte de fumée ou d’embrun au singulier, qui sortgent d’elles ou qui sort d’elle. on aime beaucoup voir ainsi la Chose = être près d’elle (c’est «un peu» jouissif). on pense que pour nous la Chose est ouverte , qui fume que tu fumeras : vapeurs ? buée ? crachins ? brume ? condensation de base en ce chemin ? On regarde les données rageuses, ce champ de vie, cette blessure, ouverture au débotté sous le vent qui souffle vif son chant de parade nuptiale. on va dedans (oui ?). on voudrait disons. on se rapproche au plus qu’on peut . on veyut toucher la Chose, cette chose rude, ouverte, vive, qui est là sous nous, ou près de nous, à côté de nous. on voit la Chose remuer car la mort bouge. la mort est une bouche ouverte devant nous, happant ce qui vient à elle, aspirant. aspiration douce, en déclive dirons-nous. on est là nous deux qui voulons comprendre cette chose ici comme quoi nous sommes touchés à notrte tour, touchés-coulés pour ainsi dire, car en nous le vcerbe tient sa place, contient, pousse, fait effet, mais pas si longtemps en vrai,, qui relache, qui s’efface et alors nous voilà comme absorbé(e)s par une déoité de bas age, dont le nom est incrusté sur roche : Autorité. et nous de dire amen à pareille fée. comment faire ? on est qui devons accepter sous peine d’y passer fissa. on doit faire ainsi que ça soit et puis c’est tout. on est pas verni(e)s. on est deux qui sommes comme deux enfants largués, livrés à eux-mêmes, et qui du coup n’arretent pas de faire des bêtises, les 400 coups. on est comme deux betes des prés, on rit. on fouille partout à la recherche d’un secret qui serait caché ici ou là, dans les interstivces et autres cupules de paroi. on n’arrête pas de chercher que tru chertcheras des choses. on veut trouver-toucher, toucher-trouver des choses de vie : savoirs hautains, mondains, certains, assurés, doctes, magiques. on veut être ceux-là qui savent, qui en savent long, qui vont loin dans les connaissances, qui poussent le bouchon si loin que pour les suivre accroche-toi. on est deux (ELLLLLLLLE et moi-même) qui savent beaucoup, fort, grave, qui savent loin, énorme, considérable, qui ont en eux millle ezt une compétence : des doué(e)s de base, forts en thème et fortes, gens qui co:mptent dans les facultés, homme femme de lettres. on est pas de la piétaille. on est pas de cette sorte de piétaille telle que par exemple tu en trouveras ici ou là partout (à tous les coins de rue) dans ta cité où tu habites depuis ta naissance, ou alors dans cette autre cité où tu habites depuis que tu as quitté la maison familiale, etc. on compte trouver = toucher la mort. mais donc (voilà) sans vraiment vraimeznt la toucher de fait. car toucher à la mort = (oui ?) mourir. on pourrait le penser et on le pense, et le penser c’est une chose, soit : qui compte grave, qui importe. on se dit que dede toucher la mort équivaut à passecr l’arme à gauche et cela pas pour de rire on se dit. on se ditt que de toucher la mort = tracer un trait , et ce trait faire ainsi que la mort le voye comme quelsque chose de vif à ses yeux, qui importe, qui pulse, qui semble la vie. on voudrait comme toucher (!) la mort = tracer buffles et bouquetins sur roche, et s’en aller = fuir = s’éloigner = se cacher d’icelle (mort des prés et des champs de luzerne). on compte sur ça. on est deux qui voulons toucher que tu toucheras la mort mais comme ça»»»», par la bande pour ainsi dire, comme si en vérité la chose n’était pas ou pas réelle, non avérée.on voudrait juste faire «toc» et pas plus (retirer la main posée). on compte sur ça. on ne veut pas faire ainsi qu’on se regtrouve comme blessé(e)s à vie par elle, Mort de Rage comme on l’appêlle, on veut s’échapper, on veut fuir. on ne veut pas faire ainsi que cette mort de rage sus-nommée vînt vers nous nous assaillir de coups et autresbméchancetés, et du coup noys mette à mal, nous fasse plier, nous fasse couler, nous fasse mourir comme des benêts qui (i ncidemment, betement) n’auraient pas prévu ou vu venir la chose, et pouirtant elle s’est annoncé et comment (ici le Verbe)! on le sait. on est qui sommes deux qui voulobns greaver squr roche l’aurochs ou l’auroque = la bete à bon dieu etc. une bete comme une autre ? non. vcar l’aurochs ou l’auroque ont ceci de particulier que ce sont bêtes de bon poids bon oeil, pesantesb= lourdes, charges frontales, chargements aussi à leur façon, troncs de rage, betes fortesw. et du coup elles tiennent tête. elles affrontent à jeu égal. elles peuvent tenir la comparaison. elles sont ressemblantes et peuvent dès lors tenir que tu tiendras la comparaison (n’’st pas raison ?) avec la mort. elles sont fortes qui peuvent sans mal tenir largement la comparaison avec la mort de rage, avec Mort de Rage. elles sont des betes de bon poids, forts ressembklantes au demeurant, pouvant très largement tenir la compoaraison avec cette autre bete devant soi (pareil) dont le nom est «la mort» ou «Mort de RAge». et nous de compfrendre ainsi cette chose ici même, comme quoi la bete (le cheval tout autant que l’aurochs) une fois dessinée, est là qui «désespèree» cette Chose de la mort à l’oeuvre, car voilà : elle tient bon, elle affronte, elle ne concède rien de rien qui fut vital pour elle, ou disons qU ue la bete rosse, gra sse, grosse, dessinée à main levée par l’homme des cavernes ou par la femme des cavernes, est une bete de fort poids qui pôusse que tu pousseras le mobile adjacent de la mort à l’oeuvre, fuoc contre fuoc, ainsi de suite. iune somme contre la Somme des parties. une forte somme monétaire contre la des Sommes globales. on se dit que c’est ainsi qu(il est bon de faire : feu contre feu. la plus grosse somme d’argent monétaire apposée, accolée à Roche des prés.et cela pour repousser la mort (ou croire en cette chose d’un possible recul d’icelle ). on voit que ces choses sont ainsi qui nous absorbent, nous intriguent, ne manquent pas de nous intriguer et de noius absorber. on cherche à comprendre par la pensée, par le verbe raisonné, par des mots sensés , mais en repoussant en bloc la bête via du fait de textes avancés, posés sur roche comme antilopes, bisons, ours ou cheval sur paroi ailleurs. on est qui voulons avec des mots de base (raison déplissée) comprendre loin, toucher-trouver des choses de poids (forcé) et voilà ce à quoi ensemble on s’attelle «à toi à moi». à deux pour «la bonne cause». on fouille furete ouiii, mais aussi on repousse les assauts par du verbe. alors lequel ? de quel verbe s’agit-îl ? du verbe en bois ? aussi. du verbe vif de cherz vif ? peut-être. du verbe de raison, mots forts, gentrification de l’esprit par une langue d’assimilation ? c’est fort possible.on, avance ça (verbe en croiwx) sur roche , vif, à la manière d’autres hommes et femmes d’autrezfois, qui gravaient à même la roche des données fde base cornues, des betes à crin, des batailles d’hiver, dess combats de titans. on veut nous toucher toucher la roche des prés, et ce ainsi : par du verbe déposé sur roche, tré&acés faits à main levée. on pzarle une langue acquise, mots des hommes entre eux, des femmes entre elles, etc. on est deux (l(homme et la femme) à aller pour toucher à la roche cachée, enfouie sous terre, à l’abri des intempéries et des cvurieux./ on veyut savoir loin et long, toucher loin, savoir long etc la roche, ou de la roche, en savoir des tonnes, de la rocheetc. nous on est qui voulons comprendre un grand nombre de données donnéees, dee choses déposéees, de présents sur rochers, etc. on veut aller loin dans la connaissance de la mort ce qu’elle est en vérité , et le noter ici (text de base) pour s’en souvenir à jamais, ou du moins consigner la chose pour les jours à ve nir, pour les lendemains,, pour d’autres que nous, pour la descendanvce, les enfants des lendesmeaoins. on veut aller en roche à deux fissa , graver que tu graveras sous emprise. qui est qui ici ? on ne le sait pas. une langue verbale est parlée de rage, forte et folle, langue acidulée qui semble couler comme du petit lait , qui sembvle vouloir s’imposer et la ramener, ramener son bec. il semblerait que nous ayons (tous et toutes) affaire à une langue qui, de fait, vient la ramener grave, et semble vouloir toujours plus en rajouter par la bande, surenchère au débotté, rajouts de colères calcinées etc. on est qui, voulons de bonne grâce dire, mais comment ? par du rire acté ? pâr quoi ? par de l’insulte à déikté . on veut dire mais comment dire sans la ramener ? comment trouver à faire-dire sans obligatoirement ramener sa fraise sur le cdevant, face à Elle (Mort des Hommes) ?.On est deux (ici même : paroi) à le chercher ! à chercher compment on pourrait faire pour aller (sans aller ?) à la recherche d’une vérité qui ne fut pas intimidante, patriarcale, chau-bouillante en soi, dans un sens qui dirait la teneur forte, massive, conséquente, lourde de données et du coup écrasante un tantinet, comment ? on veut dire sans forcer , des choses et d’autrtes, doctes plutôt pas mais vas-y ! comment ? le verbe porte lourd sa pei,ne et ses poids de rage, le verbe est une entité à part entière, entité de rage ouiiii, c’est vrai, c’est une évide,nce. on comprend cette chjose là comme quoi le verbe est du poids, pèse dans la balance ecxprès, est là inculqué pour toujours peser pour nous sauver, pour faire ainsi que la mort fuit, puisse aller sur le reculoir. on pense ainsi, comme quoi le Verbe edst une donnée franche, pesante, lourde comme tout, un tout monacal, pariégtal, une enclave dans un tout mais comme un tout, un tout dans le tout. raison gardée. chasse autorisée. on voit des betes dessinées dans l’ombre, on voudrait les éclairer de nos lumières, avec nos torches internes, ou avec la bougie allumée et du coup cerner ce qu’elles sont en termes de dépo^ts de roche, cris gravés, chants anonnés, parties confrontées à déité. on se dit que nous on aimerait savoir ce que c’eest que ce Verbe en nous qui peeeerle (pperle et parle) à même la roche. qui on est bordel de merde»»», on dirait. on se dirait qu’on est des beêtes nopus-mêmes, belles bêtes grosses, grasses et tout, betes-caernes, bêtesà manger. qui mange ? qui ici mange de la viande ? la vie ? la mort ogresse ? qui d’autre ? on est ceux qui cxherchons à pousser des limites fines, des mots de rage au débotté, chants doctes à notre tour. on chante «oh la la « le chant vautour, chantx d’oisieaux de la rage, chants forcés. on est des qui voulons comprendre ici l’oiseau. lo’oiseau et le chant de l’oiseau. on veut pousser la mort (la mort ?) dans ses retranchements. les plus reculés. la mort, vraiment ? la mort déplissée ? ehp peut-etre bien, mais pas dit que ce soit ça en vérité qu’on fait car on ne sait pas ce qu’on fait, on fait. on pousse ça oui, on pousse que tu pousseras mais que pousse-t)-on on ne le swait pas. on pousse à vif des choses sur roche mais quoi au juste on sait pas. on est à cdeux qui poussons des choses (des bêtes) sur roche mais pourquoi cela, dans quel but, a t on un but avoué, cert§ifié, etc, on ne saiot pas, on improvise pour ainsi dire. on trace des traits de ressembla,nce en espérant pouvoir agir ainsi sur Mort de Rage placée en face (face à face). on essaie de repousser des limites. de chasser la bete d’(ici n(champ des frondaisons). on tente l’aventure. on essaie finement de toucher la roche mais sans si possible « y rester» collés, car non : on ne  veut pas rester collés à cette chose dx’une mort qui serait venue (?) jusqu’à) nous (par la bande langagière d’un verbe assoupi ?) et qui dès lors nous donnerait bien du fil à retordre c’est sûr, ça se verrait. on est comme cdeux quik voulons aller ensemble, à la pêche aux écrevisses, moules, cqoques et autres crustacés logés dans les caillasses des rivières  aux alentours commpe ailleurs les huitres perlières, etc. cherche que tu cher cheras pêcheur ! chasseur ! amateur ! on est comme des qui vont à lka chasse et perdent leur place, ou à la pêche aux vérités bien marquées, bien inscrites (en toutes lettrees) sur roche calcaire et autres rochers bien intenbtionnés. on cherche à écrire noir sur blanc ce qui est de ce qui est. pas autrement et pas auttre chose. noir sur blanc c’sst dit = à la une à la deux» on trace. onn veut aller-toucher parce que nous on comprend qu’on a fort à faire ensemble ici ou là, qu’on est pas venu pour rire ou pour la rigolade, mais bien au contraire parce qu’on veut connaitre les tenants et les aboutissants du VErbe, des données de base raisonneuses, des mots de la rage et des données fortes, des envies, des cdésirs, des ambitions. on veut toucher-couler le verbe, est-ce cela ? le couler à tout jamais ? est-ce de ça qu’il est question ? veut-on aller vif en  cette chose d’u ne sorte de touché-coulé du verbe natif , et faire ainsi qu’enfin la Vérité vraie, la des, puissee rejaillir, s’offrir, perler, parler, dire sa chose et faire ainsi qu’elle nous cloue ou clouât le bec : peut)-on ? on est qui vou:lons, on est deux ainsi qui se ou nous reposons l’un l’autre sur l’un (ou l’une) et l’autre,. on veut aller loin = au bout de la phrase. mais où donc est situé icelui bout . où le bout du bout se loge ou situe-til ? qui connait la cjose ? où le vbout du bout est il placé, situé, logé, ancré ? on se dit pour nous que cette chose de la vérité ancrée est chose fine mais de poids, soit fortement pesante partout, dure à l’emploi car justement pesante, elle pèse un ^ane mort. on conbnait la chanson. elle pèse un âne mort et nous du cvoup on peine à déplacer le corps du Verbe, icelui posé sur roche : ane en bataille ou bataillon. on cherche à pousser l’ane par la bande. on est qui chercho,ns à pousser = repousser = déplacer cet âne de Verbe = bete-Verbe,= billeveéses, mais comment avec nos petits bras mal faits, avec notre comprenure limitée, avec notre raison faussée ou dévoyée ? on ne sait pas tout.. les mots cachent. le verbe est un écran de rage. il s’agit de le comprendre et la chose du coup devient comme transparente ou alors non ? toujours elle reste opaque ? fumatière ? on est deux main dans la main. on cherche une raison qui puiise nous plaire d’aller loin, de ne pas lâcher la bride. et cette raison on la trouve. on la trouve ici même en roche du temps, on se console, on a trouvé. cette raison ou bonne raison xd’y azller est accolée à du parler de base, chant donné par une bzande, à la naissance, et qui, depuis, nous suit comme un chien de vie, chienne ou chien, etre accolé comme une sorte de furet, de bete vive, qui jamais ne veut nous lêacher, nouys perdre en chemin. on veut aller loin c’est un fait : dans le verbe. ici le vcerbe est un allié, qui est en  nous et hors de nous, pensé parlé. magie des apprêtzs, chants des envies, douceurs, amitiés venues, colle. on veut être des qui parlent à bon escient, disant ce qu’ils savent, ce que bnous savons de la vie et de kla mort sans tergiverser, en toute clarté et bonté. on veut être une chose et une auttre : 2. on veut glisser d’une chose à l’autre sans lambiner, sans traineer, sans faire faux bond non plus, en étant présent (un présent) sur roche = seuil de la maison de la divinité affiliée à la mort nommée (nom de base de la mort sûre). on se dit que «mort» = «déité» e,n c es contrées. On dit cette chjose comme quoi la mort a un passé pour elle qui est le passé des morts accumulées alors que nous non, on pose sur roche un passé (le nôtre) et qyuoi d’autre ? les passés passés de tous et toutes autant que  nous sommes sur terre ? on dirait ici (maintenant) que non mais en vrai qu’en sait-on ? que savons-nous du mùystère de la sainteté ? que savons-nous du muystère de la charité ? que sait-on en vrai du myst§ère des catacombes ? du verbe alloué à une vie terrestre : verbe vif, chaud (colère) qui va là sur roche se tracer quasi de lui-même ou disons via la voix (la mienne) accvolée ou attribuée. nous avons pour nous ce Verbe de poids en noius (v erbe-Colçère en effet) qui pisse que tu pisseras sa misère sur paroi : chants doctes c’sst vrai , une autorité planétaire, mots du cru, mots crus qui poussent au  crime, au crime dit de lèse-majesté c’’st un fzait, et ceopendant, ces mots dits par nous, ce verbe sectaire, est il « nous» pour autant ? nous «désigne)-t-il « ? estil notrte portrait sur pied ? est-il à notre image au sourcil près ? pas sûr. on parle une klangue rapportée quyi la ramène, se joue de nous, nous trompe allègrement, nous joue des tours. nous sommes ses enfants ou «les enfants du v erbe», au mot près quasi. nous sommes «les enfants du verbe». nous sommes trompés et nous faisons dès lors bonne figure forcée comment faire. on dit nous qu’on est «couilloonnnés» compme jamais dans notre parler vernaculaire, on dit cettye chose comme quoi nous on se sent comme couillonés de base, coincés, on se sent coincés et couilllonés de base’, on estv piégés. on se sent pe$

ressés, coincés aux entournure et du coup gênés, on est couillonnés c’est un fait.on est à l’intérieur forcés d’apparaitre : vus. on veut pouvoir ne pas, mais comment tu peux ? on aimerait tant pouvoir ne pas mais ce n’est pas simple;,, c’est compliqué, ça pèse, c’’st pas donné d’embl»ée. nous on voudrait ça, pouvoir nous échapper du verbev = de la mort. car le verbe et la mort sont liés de fait, accolés, frère et soeur de base. on est né qu’on savait pas tout, et le verbe en nous a pris de la place = une grande place, et aujourdhui on est bernés car lorqu’on parle on est bernés, on parle pour lui (pour le dire vite) et lui est coquin de la mort, ou comme acoquiné, copain de chambrée ou comme cochon : cul et chemise avec. et nous vas-y nous en désenticher ou comment dire ? libérer de force ou commernt ? de gré ? pas simple et surtout pass fait. car le verbe en nous, s’il est ce paratonneree nous comme protégreant de coups du sort éventuels, n’en xdemeure pas moins cette sorte de faux allié de base, chant en soi par la bande, preneur d’otages. on voudrait pouvoir se libérer d’icelui fisza, sans trainer à la naissance ou plus tard ou quand et du coup tracer sans ambages « le fil de notre destinée» telle qu’elle serait en vrai pour de vrai, mais voilà c’st impoossible on dirait ou si c’’st possible on ne sait pas comment on pourrait s’y prendre, à deux peu^-être , on pourrait tenter à deux mais comment ? par la bande langagière des chevazux lancés sur rochje ? treacés sous emprise ? connaissances par les gouffre et autrtes cavernes platoniciennes ? on voudrait «toucher sans toucher « la mort = l’approcher de près et lui dire (comment ?) son fait, et pas tendrement ! Mais comment ????????  on est deux qui sommes accolés à la roche du temps et qui cherchons ensemble à comprendre. c’est pas gagné. on va loin en elle. le verbe est un faux allié faux derche, il trompe à mort. le verbe accolé à nos lumières semblerait ce faux derche affilié à une mort qsui serait annoncée pour nous comme «par derrière» = par la bande = dans le creux des choses apposées = sous le vent = derrière et devant. on essaie de voir la cjose ce qu’elle est au juste. cette chose ici d’un verbe dit loyal ou déloyal. on tente. on veut comprendre ce «devant-derrière» brutal?. quoi ici est qui xe passe . on veut toucher-trouver la chose : le  verbe acquis est-il loyal ou déloyal ? est il du verbe «de derrière» = déloyal, ou bien du verbe de devant = loyal ? est il un allié ou faux-derche ? est il rond ou carré ? est il de la tribu des vertébrés ou des invertébrés ? il xwerait temps (le temps) qu’on sache pour de vrai = en toutes lettres gravées sur roche. et voi:là pourquoi la chjose : le trait fait sous emprise, à main levée. voilà le tout tracé ce qu’il est. verbe d’emprise ? on cherche à deux la chose en soi qui percerait et tracerait devant le mot de la chose. a t on en soi du mot de jpoie ? a t on en soi les mots qui comp^tent, qui font le compte ? qui pour la mort devant fezrait le compte = le bon compte et la chjose (le mal) est faite (fait) une fois pour toutes ? On est qui voul:ons ne pâs so=mbrer mais tenir bon lof pour lof etc, mais sans plus de tergiversation marine ou maritime. on est deux qui voulons nous accrocher à la paroi du temps et tenir bon ainsi, lof pour lof on l’a dit et d’autresv avant nous. nous on compte aller fisqaa dedans parce qu’on en veut, on est gourmangs de vérités de toutes sorteqs. on veut être pris et prise en considération. on ne veut pas passer pour de la merde. on veut passer pour des qui comptent grave, qui sont reconnus, perçus de bonne manière etc. on ne veut pascpasser pour des moins que rien , piétailles, gens de rien, traine-misère, sous merde, faux de-joie. on veut accrocher l’a chose d’une sorte d’engouement envers cette autre chose en nous que l’on représenterait de force. on veut montrer que non : on est pas ça, on est autre. on voudrait pouvoir montrer aux auttres que non, on est mieux que ça, que ce qu’on parait. on vaut bien mieux. on vaut quelque chose et pas rien. on a de la valeur. on est une valeur , une valeur sûre. on ne v aut p)as rien loin de là. on a du prix. on est qsuelque chose, une chose, quelqu’un et non personne. on voudrait chanter la chjose haut et fort mais voil:à la chjose : ça fait pouettttt, ça fait unev sortye de bruit faussé ou comment ? chant raté ? cri mal armé ? cri faux de rage ? faux de joue ou cde fausset ? on dit et pouette ça fait ! ça fait pouett que ça le fait pas des masses ! ça fait ce pouette de contrebande, faux ami, tromperie sur toute la bande ou la largeur. on est couiloonné s = baisés = trompés = cooincés. on voit bien que ce qui est qui sort est du menu fretin de pacotille, fausse donne, mais comment faire pour recommencer = redfonner les cartes . on ne sait pas. les jeux sont faits. les cartes sont distribuées. on est ainsi qu’on ne peut faire autre ou autrtement que de cette donc façon qu’on a de jouer avec un jeu (un je) qu’on a acquis de base à notre n,aissance et comment raisonnablement en chjanger ? avez-vousq une combine à partager ?. on veut être des qui sont reconnus comme faisant nombre = du nombrte. on voudraoit nous etre reconnus comme étant du nomb rte de ceux et celles qui (d’une manière oou d’une autre) sont considéré(e)s, adoubé(e)s , reconnu(e)s en tant que tells ou telles = pris en considération par une masse, par une troupe, par un gang, un groupe ou groupetto, par des qui sont ensemble, une confrérie, u ne chapelle, une église etc. l’église. car l’église est là qui veille, gouverne, acte. elle est toujours là présente qui acte, qui adoube, donne les points.  une église aux bons points. une église de base , qui de base donne les bons points (ou pas) comme à l’école. ah la barbe des églises ! ah la barbe des bons points ! ah si seulement on pouvait déplaire ! mùais comment plaire et déplaire ! comment faire pour plaire et déplaire ? comment et plaire et xéplaire dans un même moubvement de force ? comment faire pour plaire en déplaisant de force ? on vezut êytre ici des qqui comptent fort, qui sont recueillis comme des qui portent, qui ont de quoi. et cependant on voit que les choses ensemble ici ne sont pas si:mples. on voit ensemble ici que certaines choses, assemblées, ne marchent pas touj,ours ou comment ? on se dit que pour nous des choses mises bout à bout pourraient le faire : des données données, mais pas toujours on voit. On se dit que des chjoses à nos yeux pourraient :marcher et nous faire «bien voir» et du coup^adouber mais non, ça veut pzas toujours. des fois on dirait que oui, et d’autres on se dit que non. un ensembkle de choses. une sortye d’ensemble de choses qui ne marcheznt pas. un ensemble ce choses e,ntre elles qui non, parfois, ne marche pas : l’ensemble ? les choses ? les choses e,ntre elles ? une conjubgaison de choses entre elles qui pa rfois détonent, ne veut pas aller, ne veut pas le fairec = s’assembler, et du coup on se retrouve comme laissés pour compte = mis de côté = sur le carreau = non pris, non adoubés o,n l’a dit, non considéré(e)s comme des qui comptent pour de bon, et non comme des qui sont abandonné(e)s à leur propre sort, qui est sort cde peu. merdes humaines. gens de peu. traine-misère.,sous merdes ou sous fifres. paillasson. torche-cul ou autres etres de peu de considération sur ezux. on voit ça cfomme quoi il s’agit toujours «dun ensemble de choses entre elles» et non d’une seule. u ne seule chose n’entre pas en ligne de mire, il s’agit toujours d’un ensembke donné de choses entre elles. une conjugaison. un rapport cde sommes. il semblerait dès lors que nous ayons affaire à une sorte de pouvoir alloué à une somme, à une masse, à une groosseur de typee   pesante. on  aurait ici affaire à une donnée groose, une masse de choses accumulées, un tas de bois, une sorte de masse en soi, dépopsée sur roche, un présent de bonne taille = le passé. le passé de soi en impose ou pas, selon sa teneur en termes de données d’offrande. on )eut comprtendre cette cgose comme quoi l

e passé passé est un bien acquis qui, à l’occasion, peut porter, peut l’emporter au niveau des suffrages.on se dit pour nous que cette chose ici est une chose de grande importance en cela qu’elle est sensée pouvoir emporter avec elle un certain nombre de suffrages et du coup «passer» = «passer la rampee»». il s’agit pour nous de bien voir à comptrendre  cdette chose cfomme quoi l’adoubement ici notifié est adoubement d’un ensemble de données et non d’une seule. un tourment seul ne fait pas l’affaire . deux c’esst mieux. une dsomme de tourments impacte cdava tage et peut trouver preneur. une somme dépôsée (argent co:mptant) aura de quoi toujours faire son petit effet. u ne somme déposée fissa impactera toujours mieux ou davantage si la somme des parties est liée à une sortye de roche adoubante. on se dit que si somme il y a , alors la somme serra commê prise-comprise. on voit une somme (aurochs, argent comptant) sur roche , cette somme a des pouvoirs, elle pêut s’imposer, se poser comme l’impôt de choix (du roi) qui e,n impose grave par lma bande. une chose dxéposée est un impôt de base. qui du coup permet (vite fait) un calcul malin, une sorte de calcul des données en présence. on est qui voulons percuter et être pris deès lors en considération = pour ce (cela) qu’on est en vrai. car être pris en  considération c’est être pris pour ce qu’on est «au juste» et pas (du tout) pour ce (ça) qu’on est pas. or qui, ici (ici bas), sait réellement (en vrai)c  e qu’on est , ce que «je» est, ce que je suis ? pas même moi on le voit depuis longue date. qui sait ici ce que je suis et ce que je vaux ? ma valeur d’usage : qui ? on dit u ne somme. on dit l’aurochs. on dit telle somme de rage. une confrérie se prononce, donne la carte. je regarde ça et je vois que cette confrérie est un attroupenment de bêtes entre elles mais non point la belle bete attendue, celle du cru du chai, la bete des envies de rire etc. alors comment faire pour savoir de quoi il en retour ne ? on voudrait mais ce n’rst guère facil:e. on tente à t§out va des choses, on court i ci et là, on se court après, on court l’un après l’autre dans le champ, on s’amuuse. ah oui on s’amuse à xse courir après. on s’amuse follement = vivement. on est vifs ensemble. on se cfourt les uns après les autres. on est tous et toutes à se courir les uns après les autres . on se dit cette cjose de base. on se court tous et toutes permanemment les uns après les autres : une course de choix. la des courses de choix. the qui est. on est tous et toutes à se courir apèrs  per:meanemment vivement assurément du mzatin au soir et du soir au mztin = la gra,nde course. on veut que ça soit pas le dit. on se dit que nous on voudrait au contraire que ça soit le dit. on est qui voulons ensemble que kça soit toujours et encore le dit. on se dit que c’est cette chose de lma course de tous apres toutes et de toutes apres tous et de toutes apres toutes etb de tous apres tous ou quelque chose d’approchant qui est , et pasxle contrairze. c’est la grande couirse des aieux et xdes aieulles. on voit ça xd’ici : roche illuminée, roche sous l’effet des torches. u ne course grande au débotté de choix.on voit ce qui est qui se passe ici = une cavalcade en furie, course des courses dans un sas de rage rupestre. on veut toucher que tu toucheras... le cul (?) de la mort ? on vboudrait comme à travers toucher la XChose de la mort lointaine (lointaine ou pas : là-bas). à travers le truc du cul de cettte chjose devant soi qui court toujours. ou alors c’est pas ça ? c’est quoi ? on est qui voulons y aller grave dans la course, comme d’autres qui auussi y vont sérieux, sévères. nous pâreil. nous pâreil on aimertait aller loin en termes de connaissance concernant la foi, la foi da nd le Verbe. car le verbe est là pour nous parer. pour aider à parement? le verbe est ver be cde la foi dans l’etre = v erbe. disons, disons  cette cjhose : que le vcerbe ici (paroi) est verbe d’une foi : la foi en lui, la foi dans le verbe. on est deux qui vopul:ons comptrendre ce que c’est que cette chose-là , d’une foi dans le verbe, en lui, en cette cxhjose souveraine car acquise à tout jamais il wsembllerait. car le verbe est souverain  (le roi) qui jamaios ne peut êztre (de fait et la pluaprt du temps) oublié ou mis de côté. le Verbe croit en llui = en ce qu’il dit, car il ne peut dse déjuger, se fazire petit, s’ignorer ou s’immoler. le verbe est transi. il est plein de lui et de ce fait porte en lui sa croix de misère souverraine. le  verbe est plein d’une foi en ce qu’il charrie,; voilà la chose à dire ici : une croix de rage, un christ alloué, une croyqance affolée qui cherche de force (forcée) une vérité en son langage mais où ? là-bas ? loin . là-bas en cette paroi de base ? où ça ? On voit que le verbe i=mpacte et ne plis pas, qui nous sertt de garde-fou ou de paratonneree, et, disant la mort, fait cette chose, fait ainsi office de paratonnerre (garde-fou) en disant , c’est à dire en disant ou nommznt la mort. on se dit ça comme quoi la mort dite = un paratonnertre. une sorte de mi!se à distance grâce au Verbe nonchalant (quoique dép;oyée en vitesse = à la vitesse decla lumière) . on est ensemble qui bnous disons ccces chopses comme quoi on veut être considéré(e)s comme des (des é et des e é) qui co:mptent pour de  vrai = en vrai = vraiment = pour de bon = comme d’auttres qui sont adoubé(e)s par une ban,de de joyeux (ou pas) lurons de base : confrérie réduite mais influente, les contemporains. on se dit que nous on a à voir des choses, à nous approcher de choses et puis voil:à, et si ça plaît ça p;laît , et si ça ne plaît pas tant pis.pouyr nous ce qui co:mpte c’est cette recherche à tour de bras ou à tout va, cettye e,nquête et cette quête. on est pas là pour chercher des grâces, des grâces présidentielles (on y croit  pas) mais pour creuser l:a roche dev ant soi : ce mur du son, cette parole redressée, ce catalfalque, ce foyer brûlant, cette ouv erture de champ. nous on est qui cherchons ardemment passionnément à percer le mystère de la vie sur terre (ou de la mort sur terre) et donc on y va. on ne musarde pas dans les chambrées : on saute du lit = le pas. on ne traîne pas dans les couloirs ni même les travées. on cre»use que tu creuseras la roche du temps, à la recherchje d’une épine, d’un rie,n, d’un trac»é qui dirait une une ?) vérité de poids = qui vaut son pesxant de beauté, son pesant de roi. de reine. on est deux ensemble qui voulons comprendre un grand nombre de données de base concernant la vie vive et wson corollzaire : la mort vive, et pour ce faire on a (dit on ou pense ton) besoin du  verbe = de la voix lointaine, de  la voix en soi qui court sur roche, grave que tu gracveras des betes (chevaux en veux tu en voi:à) et touche à la paroi de base comme à une peau de jhoie, , dee grâce, des envies tenaces. on est enselmble qui creusons la roche du temps, le verbe aidant. le verbe est un paratonnerre ambulant, qui va d’etyre en etre au fil du gtemps, et qui, nommant la mort ou contenant nommée la mort, sert de paratonnerre à tout vivant qui , de gré ou dee force, a du accueillir en lui cette chose d’u ne sorte d’acquis acquis à jamais, de donnée à jamais donnée. on parle sur roche la langue donnéecpar l:a bande, et cette langue a des prolongements que l’on peine à deviner ou dessioner. la langue parlée (portée) a des pro:longements dans le temps, qui font d’elle le grand mystère de la création (ou l’un des) car le Verbe a des sortes en lui de ramifications terrestres, temporelles, spacio-temporelles, qui font de lui une chose de poidsxtelle que : aurochs sur roche (ou juments, ou antilopes) et telleque voilà ce qui est ici, en  ce bas monde, une chjose arrive via le verbe et nous quittera un jour toujours via le verbe. on est deux à le comprtendre en nous. une chose n  ous arrive et repart (repartira) via le verbe = le verbe de la foi = ce verbe de la foi dans le verbe = le verbe cru ou à cru de la foi nue dans (en) le verbe = le verbe à cru de la foi dans le verbe = ici le v erbe cul-nu. et voilà pour quoi on est deux ici qui parlons pour Soi, pour un Soi de rage déposé sur roche. on est deux ici (rocherrrrr) quik voulons aller loin dans la démesure d’un phrasé perlé déroulé jusqu’au bout du   bout. mais quel est-il ? quel est ce phrasé ? et où est-il ? où donc est ce vphrasé des joies sanitaires ? où se situ t il ? où donc se situe le phrasé de la joie sur terree ? où est  cette chose ? où est ce phrasé dans le champ des données rupestres ? où est cette chose d’un p)hrasé lancé»»»»»» à même la roche du temps ? et qui a lancé»»»» ? qui «lance» un phrasé de rage dans un temps donné par la bande ? on est deux qui voulons co=mprendre ici, deux ici qui voulons comptrendre entre nous , qUYI cherchons à dénicher, à trouver des données rares, des données de base, des denrées tout aussi bien. on est deux sur roche accouplée. on est deux accouplés sur roche. on est accouplés sur roche car on est qui nous uniossons dans un m^reme élan p)ariétal, vers destination recherchée = une vérité. on veut toucher à une sorte en soi de vérité de poids qui sezrait fiable, qui impacterait, qui imposerait sa loi, qUI dirait une chose de poids qui dirait ce qui est et ce qui n’est pas. on cherche à deux en nous une donnée vive. la donnbée des données pour ainsi dire , ou un mot fort, le mot des mots. on veut toucher le mot des mots et mieux cerner dès lors les contours de cette vérité par nous recherchée. on pourrait penser qu’on fait mine, qu’on se complait ou qu’on fait semblant d’^tre tourmenté(e)s mais il n’en est rien ! on est vraiment ce qu’on est ici, cette chose, ce tourment, cette recherche dans les tourments. on vibreb en vie. on ne cfait pas semùblant de vivre ou de vibrer. on est des qui sommes en vie (tourments) et ne font pas semblant. on paye de  notre vie pour ainsi dire. on est deux en nous mêmes («à toi à moi») qui chassons le buffle, l’antilopê, le bison, le chebval,  ;’ours sur roche, et aussi l’antilope femmele, la bisoonne, la chevale, la bufflette ou l’auroque. on ne fait pas semblant de les tracer sur des pzarois de fond de groote : on y va gaiement, on est secoué et secondé, secoués parce que secondés, on force le trait. on dessine ardemment les bêtes sous emprise. on est p^ris en considération. on est coooptés. on est coopté(e)s. on est adoubés. on est fortement adoubé(e)s. on ne s’en laisse pas conter ou si ? on est pris de force ou non ? violenté(e)s ? on est pris et prises ainsi, en considération = violentées = violées = mis et mises à mal par une confrérie de sages (dit-on) en tous genres (mâles et femmelles) qui nous poussent à dire-faire sur paroi des traits de rage, cercles de l’enfer, aniamux-mots et autres figures de style acharnées.

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23/11/2022

Nous sommes qui cherchons ensemble au creux d’une paroi une raison d’être. nous voulons savoir de quoi il en retoutrne de la vie, de cette vie de vbase, telle que décrite plus haut. nou sommes deux ici (paroi) qui sommes à la recherche d’une vérité. nous voulons savoir ce qui est, ce qui se trame devant nous. nous ne sommes pas chiche de cette chose = de chercher pitance à même la roche. car nous voulons, nous voulons ardemment cela. nous ne sommes pas chiches de le vouloir. nous voulons connaitre et aller, forcer la roche, entrer en cette chose d’une sorte de «paroi du monde». on veut ça = on veut entrer en cette roche des données du monde. on ne veut pas autre chose. on veut faire ainsi qu’on puisse s’»immiscer à deux, vivement, s’introduire fissa en pareille roche des données de base. qui est qui , voilà ce qui nous importe. qui en moi est qui. qui de moi va dedansd la roche. qui de moi est celui ou celle là qui va fissa à l’intérieur d’une paroi. je suis je qui parle mais qui donc est je that is the question. on dit que que je est, mais est-il tant que ça ? nous nous approchons ensemble («toi et moi») d’icelle paroi de base et voilà : nous cherchons à nous introduire en elle, on ne veut que ça. on veut entrer en cette roche des données dites «cél-estes». on voudrait entter en cette roche dure de chez dure des données célestes ou dites telles et pour cela tu m’as compris «à la une à la deux» on plonge ! on fonce vcomme pas deux ! on y va gaiement ! on ne se soucie plus du paraitre, des ornements et autres raffinements sociétaux, on creuse à même la voie oou comment dire. on se met ou plis en quatre : portefeuille ! on cherche fissa à entrer à deux en roche et pour cela on ne traine pas lma jambe, on cogne ou disnos on pousse, ou disons on appuie fort , disons de toutes nous forces et là, une fois entrés on regarde, on cherche du regard les choses qui sont et que sont-elles ? eh bien toujours pareil , des bisons et des bisonnes et des bisons et des bisonnes et des bisons et des bisonnes. a perte de vue. des bêtes graves comme s’il en pleuvait pour ainsi dire. on fouille la roche (de fond en commble ?) et on trouve forcément de quoi satisfaire 1 notre curiosité 2 notre soidf de nouveauté . on se dit qu’un bison ou deucx (ou bisonne) fera l’affaire. il s’afgit pour nous de comprendre, de cerner sérieux un certain nombre de données les plus ancrées, de voir ce qui est et de nous faire pour nous mêmes une idée sur cette chose d’une sorte d’intérieur de vie, d’antre outré, etc, qui est pour nous comme une caverne. on fouille quelques (tous ?) recoins. on fouille à deux les queslques recoins qui s’offrent à nous en pareille caverne, et là on trouve des choses qui parlent , ou disons qui disent, c’’stà dire qui donnent une sorte de voix, ou qui montre pour nous de quoi. on se dit que ces choses ici ont pour nous une certaine ou d’rôle d’importance c’sset sûr. on se dit que nous on se doit de les cernerv au mieux, de les approcher et de cerner ce»qu’elles veulent dire». on a devant nous des signes. ces sign es ont des raisons d’être. on se doit ici (paroi) de les comprendre et donc de les faire nôtres d’une certaine manière. on se doit de voir en elles (choses) ou eux (signes) des données de base. données folles s’il en est mais peu importe. on est ailleurs , on n’est pas «chez nous» ici. il s’agit d’un monde ouvert pour des expéreiences de pensées, pour des entreés dans la matière vive, pour des incursions vives dans un etre de paroi vital. on est deux qui voulons dès lors nous coller à cette roche des données de base, telles que nous pouvons les situer en roche, telles que bnous pouvons les cerner d’un regard, les repérer telles qu’elles se présentent. on cherche vif car on est deux qui sommes éveillés et qui s’entraident, . nous nous entraidons. nous faisons corops. nous sommes deux qui faisons corps $obstinément et qui ne s’en laissent pas (jamais) conter, c’est sûr. on trace. on y va frontal parce qu’on sait que la vie ici (paroi) aide en ce sens. elle permet l’entrée vive dans la matière, elle permet l’incursion vive, le foutage ou comment dire ? une entrée perçante. et du coup nous on s’enfonce en cette roche des données de base, on y va fort. on lit sur les visages des bêtes. on se dit que ces visages devant nous, de betes de masse, de betes fortes, massives, sont à lire. ces visages (tetes) de betes, sont en effet comme à déchiffrer par la bande et voilà pour nous ici à quoi nous employer un temps. on lit sur leurs visages (tetes) des choses de poids c’es-à-dire qui comptent, qui ont de l’impotrtance, qui ne sont pas rien, qui ne tombent pas dans le vide. on lit sur elles (betes) des données de rage, on lit plein de choses. on lit avec toute notre intelligence pariétale. on tente cette chose d’iune entrée en roche via l’intelleigence ou par l’intelligence dite pariétale. on essaie ensemble de toucher à cette chose d’une sorte de «donnée» vivante, massive, ancrée, située, posée et d»éposée, qui tient sur ses jambes, qui mâche et remâche une herbe des prés, etc. on se dit que cette chose (cette bete devant nous) donne à lire bien des choses d’importance, et nous du coup de nous «coller» à elle (on ne la quiitte plus) et de tenter de déchiffrer en elle un certain n ombre de choses, qui seront pour nous utiles ô combien pour y comprenfdre le fin mot peut-être pas mais enfin «pas mal» de toute cette affaire ici-bas de vie et de mort terrestre. on se dit que la bete devant nous est là poiir ça. on se dit que cette bete devant nous est forcément là pour ça et du coup on tente, on essaie, on fait des esssais, on cherche en elle, on cherche à comprendre = à lire en elle ou sur elle. peut-on lire ? a-t-on en nous de quoi lire, les capacités ? sait-on ? avons-nous de quoi pouvoir ? Nous cgherchons en elle (bete) des données de base, des données de poids qui donc pèsent, apportent, donnent, ont leur comptant de choses d’importance rayon connaissance. nous on veut comprendre loin parce que voilà, on est deux qui sommes des chercheurs, chercheur et chercheuse, et alors voilà : on veut «toucher» la bete en vrai = en vrai de vrai = au vif = pour de vrai = pasz pour de faux = en chair et en os. on se dit cela comme quoi loa vérité est une chose (ici : paroi) qui compte pour nousq. on ne veut pas lâcher la bride , la courroie, les anses, etc. on veut tenir et forcer la donne. quoi la bête a t elle à nous dire en termes de «révélations supraz-sensibles» ? on voudrait savoir. car en effet peut-être la bête qui est devant nous (monstre des apnées) est une bête folle, forte, folle ou /et forte, disons accrochée à la roche, accrochée à la paroi =collée à elle. on se dit que cette bête est là pour nous pour satisfaire nos envies vivves de connaissances. on se dit que cette bête est là (ici-bas ?) qui nous regarde pour nous satisfaire. on se dit que cette bête est une bête des données frontales, rudes, directes, sensibles etc, Bete de la foi dans l’e^tre. bete forte-folle de la foi dans l’etre du feu. on se dit que cette bête est une bête des données de base ravageuses ou comment ? car elle trône en vérité. elle est devant nous qui tro^,ne et ne s’en laisse pas conter outre mesure. elle nous suit du regard tout en machoiuillant, elle est une sorte de bete de la foi dans l’etre feu. on voit ça. dans son regard on voit cette chose, et d’autres encore. une sorte de donnée perçante ? on se le demande..est-elle perçante ? cette bête devant nous est-elle une bpête perçante ? est-elle une bête qui perce que tu perceras notre être à vif ? et cela on le dit par une sorte de regard perçant : peut-elle ? est elle en capacité de faire ainsi ? d’agir en nous de cetyte sorte ? est-elle capable sans accroc, sans manquements, d’agir ainsi en nous ou envers nous ? sommes-nous de taille à ainsi «subir» les assauts rageurs d’un regard de bete machouillant de l’herbe ? somlmes-nous en capacité de faire ainsi ? sommes nous en capacité de nous laisser ainsi comme monter dessus, ou comme assaillir , oucomment ? nous voulons comprendre ! nous voulons comprendre mordicus ! nous ne voulons pas nous laisser faire question comprenure des choses du monde. on sait cette bête devant qui nous voit. on la sait qui peut nous voir. on comprend qu’elle pense. sa pensée de bete est pensée docte. on voit en elle «des chses rudes», des donn»ées de poids, des informations de première main concernant les choses du monde. on comprend que cette bête devant nous connait des choses, en connait long, en connait un bout ça nous semble une évidence. on se dit que ouiiiii : cette bête devant nous en connait un bout, elle sait des choses, mais quoi ? va t elle nbous le dire ? va t elle daigner s’approcher de nous et nous dire ce qui est, ce qui nous attend, ce qu’elle est, ce qu’elle cache en termes de savoirs, de.. de données de poids. peut elle nous dire des choses à nous qui sommes des enfants qui regardons nonchalamment les betes cpomme elle aller et venir sur un pré de roche, sur prairie frontale ? est-elle  cette bête en capacité de nous adresser la parole en des termes qu’on puisse comprendre ? Nous nous approchons d’elle. nous sommes deux qui nous approchons de cette bête à cornes. elle nous dévisage dirait-on. elle a quelque chose à nous dire (révélezr ?). quoi ? on ne le sait pas encore ! on attend d’elle monts et merveilles ! on voudrait tant qu’elle vint à nous nous dire ce que c’est que cette chose là d’une sorte de p)arole en elle enfouie. on veut savoir. il y a ou il y aurait enelle une sorte de parole «vive» = éternelle, qui chante que tru chanteras un air de vérité , du genre : «oh la la, la la, la belle que voilà....», ou bien : «oh voici mon âme ! oh la voilà qui est ....».etc. on comprend ça com^me vquoi loa bete en sait long. elle ne fait pas semblant. elle est riche de données vives et pesantes. elle est pleine de données de rage, de données fortes. on cgherche à se l’amadouer afin d’en tirer le maximum en termes de connaissances agraires, en termes de savoirs secrets, en,  termes de données des  profondeurs, et voilà ce qu’on fzait du coup : on l’approche à petits pas, on se rapproche d’elle à petits pas, on s’avance lentement, on se rapproche d’elle gentiment et lentement. on veut la toucher sans l’efferayer. on ne veut )as qu’elle soit intimidée par nous cdeux qui nous approchons d’elle à pas d’enfants, etc.; on est deux qui nous approchons (enfants) d’elle devant, qui trône, qui est sur ses pattes comme «déposée», qui est campée. on la regarde. on voit qu’elle nous regarde. on la regarde gentiment ou dsisons : d’un air qui paraisse comme bienveillant pour elle. elle nous regarde nouis rapprocher d’elle. que vcontient-elle en termes de vérités de base ? qu’a t elle en elle en termes de savoirs de fond ? sait-elle ce qui est ? sait elle ce que nous réserve la destinée ? sait elle pour nous ce qui est en nous et hors de nous ? sait elle nous dire des choses, des choses de grande importance ? sait-ellle nous donner le change en termes de regard posé appuyé ? nous voulons savoir pour nous de quoi loa bête est faite : le pouvons-nous ? nous voulons savoir pour nous de quoi cette bête devant nous (en roche) est faite en termes de données de rage (cris surnumèraires) et de connaissances. saurons-nous comprendre un jour ce qui est ? saurons-nouys cerner un jour la parole agraire d’une bete de paroi ? saurons-nous un beau jour comprendre les données les plus ancrées de et dans la roche ? qui en moi parle ? une femme des vies offertes ? un homme du calendrier ? chameau ? chamelle ? une bete fauvee ? un bébé ? qui donc en moi «a» la parole et pour quoi faire ? qui pour moi saura me dire ? qui en moi est là qui parle à la cantonade ? je cherche à comprendre un vcertain nombre de données de rage et pour ce faire je m’approche de la bête campée devant moi, solidement arnachée, accrochée à la roche. elle me regarde attentivement parce qu’elle a comp^ris que je venais sciemment vers elle et pazs par hasard. elle ne me quitte pas des yeux. elle se dit que peut-être je lui veux du mal ou que se dit )-elle ? est elle effrayée par moi ? est -elle envahie de pensées me co,ncernant ? a t elle pour elle une envie de mieux me connaitre ? et moi d’elle alors ou sur elle ? ai je envie tout autant de bien la connaitre, ou aurais-je envie ? que recele t elle en termes de secrets de vie ? a t elle en elle une sorte de pouvoir magique «savant» ? que ou squoi recele telle en elle ? on se demande depuis longtezmps cette chose, ce détail. on se cdemande ensemble cette chose depuis longtemps , cette chose comme quoi elle aurait peut-être en elle contenue en elle des données. on se dit que, en effet, peut-être, en elle, il y a ou il y aurait un certzain nombre de données de rage (cri primal de la bête folle) qui serait pour nous comme une sorte de donnée première, de grande importance, capitale même. capitale car voilà : un cri ici éqyuivaut à une parole docte. on se dit qu’ici (roche de paroi) un cri poussé équivaut à une parole dite, à des mots comme agencés ailleurs. ou alors quoi ? on voit devant soi cette bêtye qui est bête des prés et des champs zaller et venir, et brouter de l’herbe et cvourir, et chercher à faire ainsi qu’elle se sente chez elle. on se dit que nous aussi on voudrait pareil : courir, brouter, nous sentir chez nous en ce lieu perclus, en cette roche dure des données rageuses, dans ce sas des sas, en ce sas des données de base. on voudrait pareil nous sentir chez nous, nous y installer à demeure. est -on chez nous dans la demeure ? a t on un chez nous ici qui nous attendrait ? peut-on imaginer une sorte de chez-nous de base ici même, en cette roche dure de chez dure ? on s’avance en ce logis. on est deux main dans la main. on veut connaitre le pays, fouiller activement, cerner les revcoins, et surtout vcomprendre le pourquyoi des choses de base. qui est qui en soi ? que fait-on en cette roche de si salutaire ou comment ? sauve-t on les meubles et si ouii lesquels ? on est qui sommes qui allons car nous voulons : aller en roche, courir, tracer, toucher l’aurochs, la bouquetine, la chevale ou chevaline bete des prairies vertes. nous on va comme ça à deux tranquillement chercher des données qui soient de celles qui apportent mleur comptant cde vérités. on regarde ensemvble les aborsds de base, recvoins, prés, parois, fonds, embruns, herbes, ciels, etc. tout ce qu’on voit là. on essaye de le détailler, de toucher à ce qui est en vrai. par du Verbe de poids vif, massif, etc. nous on veut ainsi aller vers des vérités qui en imposent grave et longtemps. on veut savoir pouirquoi il y a cettye bête devant nous qui nous regarde attentivement et semble nous défier pzar la pensée. que pense-t-elle ? a-t-elle envers nous des pensées néfastes ? que pênse t elle de nous au juste ? est elle une betye à pensées néfastes, critiques ? elle est une bête qui nous regarde mais est elle une bete qui voit ou verrait à travers (?) nous ? que voit elle en nous ? est elle «voyante» ? est elle bete extralucide ? est elle bête devant nous qui voit «loin» en nous, dont le regard va loin, va profond ? qui est elle devant nous que nous ne savons pas ? quel est son nom ? eh bien... le nom de la bête.... le  nom de cette bete devant nous en particulier... le nom de cette belle bete de bon poids bon oeil devant nous.;.. est... est ... est Bete de rage à Etre, bete de la foi de la rage à ëtre, à naitre, à venir. le nom de cette bete est celui-là qui dit ce qu’elle est ! cv’’st à dire que voilà : elle a le nom de ce qu’elle est = une sortye de foi sur pzattes! oh la drolesse ! oh le drole ou comment ? voilà la chose ? elle sezrait pour nous commpe une sorte de croyance vive sensible, c’est à dire à «explorer» physiquement ou sensiblement ou peut-^retre secxuellement (?) ou sinon commênt ? par le Verbe ? alors comment si c’sest par le Verbe ? parce que nous on ne sait pas y faire. nous vas-y pour qu’on comprenne. on cherche zattentibvement en elle des choses dev poids, soit dans son regard, mais pas simple. on est jeunes (tout jeunes) , on comprend bien des choses mais il y en a d’autres que voilà, tu le sais, tu vois comment c’est. on est deux à vouloir toucher sans toucher»,; à vouloir «toucher sans toucher» la bete, la toucher la toucher pour comprendre dans la profondeur humaine en elle ou comment ? est elle humaine ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii exactement ! qah voilà ! oh depûis le temps ! oh depuis tant de temps qui’on voulait savoir ou dire ou comprendre ou approcher de cette chose, nous porter près d’elle . ah depuis le temps qu’on se disait sans se le dire, on subodorait ? on pensait «à part nous « ? une chose en nous se pensait sans qu’on se le dise vraiment consciemment ? on voyait cette chose sans comprendre ou la comprendre comme il fauuut ? comme quoi la bete qui est là, devant, qui trône : déesse, reine des prés, roi cde céans, chevalier des hautes terres du temps, eh bien ... cette bete.... est humaine ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii exactement ! grav e ! dur de dur elle l’est ! Elle pourrait nous parler dans un langage comme salutaire ou comment ? divinement approprié ? ou cherche à nous approcher d’elle, à se rapprocher de son êtyre vif, vrai, dur, solide, ancré, qui campe bien sur ses quatre pattes. on l’aime. on aime sa peau, son visage (face). on aime sa queue nmouvante, son  crin, ses oreilles, son museau. on l’aime de tout coeur. on veut la comprendre pour ce qu’elle est. elle porte un nom qui est celui qu’elle a pour elle qui la définit au mieux. nous que dalle. on veut être compme elle bete-humaine. on veut , on voudrait pàareil qu’elle, etre une bête humaine, bete comme chou, avec en nous ce verbe vert, cette herbe de foi, cette nourriture céleste des peairioes de «l’aldelà» pour aoinsi dire (à l’italienne). on se dit que nous on fdevrait comprendre ici (paroi) par le rire franc, par le verbe en nous ancré, l’injure votive oui mais pas que : par du bon et gros rire de derrière les fagots. foi de chat. chant des données vives. on salue la bête à tour de bras. on est deux en Soi qui vouons à cette bête une admiration conséquente, réelle, grande, vive, chaude. on veut elle pour Soi : la betye des bois et des prés, la belle antilope, la belle bisonne, la belle brebis, la belle vachette, la belle bufflette. on se dit squ’on le mérite car on est là , c’est à dire : arrivés jusque là ! on a franchi mille étapes ! on en a sué grave ! on a fait du chemin et compment ! on a pas trainé derrière ! On trace ! on veut toucher ! On veut toucher ! on veut toucher ! on veut toucher ! on veut toucher ! on veut touycher ! on veut toucher ! on veut touchger ! on veut toucher ! onvoudrait toucher la bête «céleste»». nous c’est ça qu’on veut faire = toucher la toucher», la bpête de poids, campant, mâchant, nous lorgnant en broutant. on veut faire ainsi qu’icelle elle soit pour nous une bête rare, de rage et rare etc, de manière à ce que voilà, ouiiiii, on puisdse aller vers elle, la toucher la toucher» et la caresser dans le sens du poil (se l’amadouer) afin de mieux la connaitre et du coup comprendre au mieux les données de base d’une sorte de vérité ancrée, de v érité des données, de grande vérité des choses du monde. une bete est devant nous «humzaine» ou devenue telle. une bete devant nous est devenue humzaine, a les zattributs d’une femmele, d’un mâle guerrier, d’une guerrière, d’un mùâle jouant aux osselets, d’une femme agraire, d’un ghomme des blés coupés, d’une sorte de femme odfferte, ouverte, offrant ses a ttraits ou bien est-ce l’homme : ouvert, couché, donnant, offert par la bande, voulant la chaleur, offrant grave son ventre, ses pieds, son coeur, ses paerties dures ? on voit la bete aller et venir, va t elle nous parler ? et si oui en quelle langue ou en quel langage ? on voit en elle (cette bvete précisement) une sorte de sainte-nittouche mais comment ? cherchant le contact ! cher chant follement à nous garder en point de mire etc. On veut la toucher. on voudrait etre pour elle une sorte de compagnonnage. qui est-elle pour nous vraiment ? amie des prairies ? on veut toucher à ce qu’elle est en elle profondément. on veut toucher à elle da,ns la profondeur. eau vive des paroi du monde. trouver en elle une sorte de perle. ou alors comment ? que trouver en elle ? une sorte de chose vive, rondelette, une amulette ? un odsselet ? un os ?du Verbe de choix ? quoio d’autre en elle qui y serait logé enfoui profond ? On est qui cherc hons parce qu’on aime ça grandement et qu’on se plait à fouiller les entrailles du temps, de la vie déroulée, du corps de la bête déposé. on voit en cette bête une sorte de chose vive noyus regardant, qui est chose des données centrales, des données enfouies. on se dit que nous aussi on doit bien conteznir quelque chose de cet acabit, quelque chose de similaire à ce qu’elle contient elle. qu’a t on en nous de simila ire ? a t on en nous des mots de paroi ? aurochnoïdes ? on ne le sait pas vbraiment car on a perdu gros en grandissant et voilà ça. avant oui. avant on savait des choses mais en grandissant on a perdu gros. on a perdu le «gros» de l’^ame. on ne sait plus. on est qui ne savons plus tout à fait les m^-emes choses qu’avant quand on savait.. quand on éteit enfant ou même encore plus avbant, quand on était ailleurs : autres temps autres moeurs. on se dit que peut-être en effet on ne sait plus ce qu’on savait. on a perdu gros en grandissant. en se logeant en roche dure. peut-pêtre en effdet en se logea nt en cette roche ou roche du monde du coup il y a des choses qu’on ne sait plus et que par conséquent on aura du mmal à repêcher, à nretrouver, car le temps endurcit les choses, les parois, les ombres. nous on se dit que peutêytre des choses encore sezraient possibles mais rien de moins sûr en fait. on se dit que, en cherchant bien , c’est à dire sérieusement en l’Autre (nla bête de poids decvant soi) peut-être arriverons-nous à toucher à la chose dite «de la vérité gouvernant le mond»de». on l’espère. on veut y croire. on veut franchir des paliers c’est sûr mais seul c’est dur, à deux peutetre (en soi). et comprendre à mort : ce que c’eset que cette «bête humzaine» . on se porte près d’elle, on la «touche du regard». on voit ses ailes (?), sa beauté ailée (?) , son crin de soie, ses pattes arrières redressées. on vcoit enn elle une beauté de poids, belle bêtye «à croquer», betye-sentinelle. on se dit que voilà une belle bêtye-sentinelle s’il en est !, sentinelle de quoi, ça on ne sait pas. on voit la bêtye redressée. on voit la bête debout, belle bête debout, qui veut nous parler, qui veut nous dire quelque chose il xwemblerait d’important et quoi ? On regarde cette bete-sentinelle qui ,nous regarde. on voit qu’elle cherche à nous paerler pour nous dire quoi ? on veut savoir ! on veut le savoir ! dis-nous tout la bête ! la bete dis-nous tout et nous on sera charmés, ravis, contenté(e)s, contents et contentes. ravis et ravis. ébloui(e)s. on veut de ton éblouisesemùent ou plutot que tu nous éblouisses! on veut que ta lumière soit sur nous ! on veut de ton fzeu central ! on veut que tu nous éclaires incvidemment par ton feu de rage vive, centrale, central le feu. on veut la beyte que tu viennes et nous dises ce qui est ici, ce que nous on ne sait pas. on veut la betye que tu dsois pour nous cette chose qui pourrait nous informezr à mort de ce qi est qui nous attendb (sentinelle, bete-sentinelle) derrière toi. sais-tu ce qu’il y a derrière toi ? sais tu la belle, la bete, sais tu ? nous ne savons pas (pour nous) mais nous voulons sqavoir (toujours pour nous) car nous sommes friands de connaissances à tout crin/. on s’avance vers toi. on ne te veut pas de mal mais juste savoir ce que c’est que ça qui est... toioi ! qu’es-tu la bête ? etc. on cherche. on veut être des qui savent long parce qu’ils ont payé pour ce faire et du coup ils tracent, ils en avancent, ils foncent, ils filent, ils vont loin en cette roche des données priùmaires. une sentinelle ? peut-être ! après tout pourquoi pas ? puisqaue voi:là, on a droit à cette chose devant soi pour débuter en roche. on entre en roche et tout de suite on voit une bete et quelle bête ! dresssée sur ses pattes arrière ! sentinelle dit-elle ! et nous on cvomprtend que du coup il y a forcément quelque chose «derrière elle». on s’en serait presqaue douté en entrant, en voyant qu’on avait affaire à une bête déssinées, ou gravée sur roche, on s’en serait douté. onveut dès lors aller plus loin = après elle. comment ? en poussant du Verbe à couille ! peiutêtyre que oui. en poussant que tu pousseras à couille du verbe de poids : rire des chaumières, gros du gros voire gros du gras.$. blagasses. grosses ficelles et chinchilla. on veut pousser grave dans le temps à la revcherche de la toison d’or ou de quelle misère des données dures autres ? la ou lesquelles (des) ? on cherche ! On veut mais faut y aller. faut )asz lambiner.... méis qui parle de lambiner ? on tra&ce! On traverse. on en avance fissa. on se dit que derrièrev toute sentinelle (ici on l’a compris animalière) il y a forcément «quelque chose d’auttre» et ce «quelque chosed»’aurttre» nous attire grandement. comment faire alors ? en posant quelques présents de choix sur la terre ferme ? offrandes conséquentes ? viande de choix vif ? offrandes vives en pleine lumière ? On pose ce qu’on a en soi : de ce verbe cru des chaumières, des habitats vernaculaire. on pose que tru poseras du Verbe vernaculaire : ce qu’on sait qu’on a en soi, et pas autre chose, foi :à peine masquée.on déposev ce qu’on porte en soi en termes de données primaires. verbe cru. intelligence rationelle. cris de joie. justifications premières princières. on dépose de soi (deopuis soi) ce qui est qui plombe. on se libère = on se délivre = on s’allège =on se livre =on se donne soi = on donne de soi, de sa personne = on va en roche à la recherche d’une cjose qui soit , pour soi, chose (du coup) de poids = pesante = lourde = pesant son (bon) poids de charge. on a en nous du verbe inculqué = rire gras = grossièretés de bon vent et boone enfance. on veut aller gravbe au fin fond des temps offerts, toucher pelisse (on le sait). nous ça qu’on veut c’est vcette chose, ici présente (roche) = donné. on veut une donnée de poids : grasse-grosse de vie vive, outrancière etc. pas de la gnognotte en termes de vérité. on veut du lourd surnuméraire. de la bisque-rage, du trappu osseux , de l’osseline, du flanchet, de l’onglet, de l(‘aiguillette. on veut manger frais. du bon taillé des épinettes. on veut de la carne sanglante, saignante. ce qu’on veut c’est ça (en termes de vérité). nous on dit que lqa vérité a du poids, ou a bon poids, elle pèse, c’est à dire qu’elle pèse et pas qu’un peu, beaucoup, dans la balmance des choses qui comptent. carne vive. nous on pense que donc le rire = l’aurochs = le Verbe = la carne = le temps = cette chose folle-forte donnant à tour de bras de quoi comprendre (aller et venir dans le sas) et du coup savoir ce qui est, ou ce qui se trame au sein de la roche (sas des sas). on voit la sentinelle (betev rosse) et zaprès elle... les lointains Majeurs. ok. on voit des lointzains. on voit ça qui est au loin = des lointains c’est un fait. mais qu’y a til au loin ? voilà ce qui nous intéresse ! qui donc à la fin peut nous dire  cette chose ? et du coup par ricochetb nous renseigner ? qui connait le mot de la fin ? qui connait le mot cdes dernières choses du monfde ? y a til une fin à espérer ? y a til au fin fond de la roche un endroit sans au-delà ? le monde est il fgini ? le mondfe a t il une fin de vie ? est il humainement constitué comme un organisme terrestre tel que celui dont on est tributaire ? est il à l’image du mobile humain ? est il un mùonde des fins de série ? planisphère aboutie ? cvolère d’emportement facial en,fin apaisée par la bande des mots refoulant sa haine ? on cherche ensemble toutes les données de rage possible, on est deux pour faire ainsi qu’on sache enfin de quoi il en reytourne. on veut pas perdre le nord. on veut gagner sur le terrain du monde caché. on vfeut tracer, aller, traverser,par du verbe cru, de l’insulte à tout va, du feu de joie, du je de soi, du feu de roche dure.on dit ce qui est =qu’on est là à deux pour ce faire.on se loge dans le creux d’une roche dure. on trouve ici à se loger à moindrte frais. on veut savoir ce qui est en ces contrées, et du coup on est entré, on est pâssé fissqa pzar la bancde, on a fait un grand pas et nous voilà là sur place à chevaucher la lande, les embruns, le sas. on est qui sommes là ensemble (toi et moi) à tracer que tu traceras sur roche des bêtes grosses (de bon poids verbnaculaire) soit : des betes de rage, betes fortes, betes sentinelles comme aurochs, comme buffles, comme chevaux sanitaires, comme bisonnes, comme antilopes et antilopês (le mâle antilope et la’antilope femmelle). on est à l’intérieur qui fouilllons grave les recoins de l’âtre. on chzercxhe à savoir ce qui est ici qui nous regarde, qui ne nous lache pas d’une xwemelle (savate) et semblerait vouloir savoir ce qu’on fait là au juste, pointés, ancrés,; cherchant  des choses et autres, ou quoi d’autre en elles (ces bêtes) comme pensées ? On se dit que nous on doit aller loin chercher en roche des données de poids. on ne doit paslambiner. on ne doit pas faire semblant. on ne doit pas transiger. on se doit de creuser dans la roche passage et nous y glisser prompt.  on veut faire ça qu’on dit vouloir. on veut aller en roche à la recherche d’une cxavité par où passer pour aller plus loin vers les lointains Majeurs : l’Age d’or, lAge aduylte peutêtre aussi. la traversée est chaude. on trouve des choses à manger , on mange. c’eswt la travcversée des parois dures qu’on l’appelle. on traverse ensemble (main dans la main) la roche de poids, on est ensemble qui voulonqs aller profond en elle = loin = le plus loin possible = jusqu’au bout du bout. on veut toucher le loin, les :lointains, le fond, la cuve, le lointain des lointains a ncrés. on veut akller au plus profond de l’etre. de la chose des données de rage, chose dure, lointaine, profonde, an,crée, enfouie, logée ghrave dans la profondeur de l’antre. comment ? par le verbe cru de ta mère ! pas moins ! à toi a moi les sentinelles, et marre ! on pqasse quand même ! on force la voie ! on traverse fissa tete la première ! naissance à Java, Sumatra, ici ou là ! on gagne du terrain sur les avalanches ! on ne cherche pas à transiger. on y va abvec la foi insérée. on creuse la voie royale ! sumatra java à moi ! on fouille loin les entrailles ! on creuse que tu creuseras jusque là-bas, au loin, les données terminazles ou disons ultimes ou comment ? fin des ères de la joie sur terre ? fin des données vives ? ultimatum ? nouson veut ça , le comprendre fissza pour s’en repaitre (vache de la hjoie à êtree sur terre bonne laitière). ou alors pas ? rester enb deça, sentinelles nous-mêmes ? on aime aller chertcher des choses dans le tas, fouiller grave, cherc her l’oseille, la perle, l’or des prés. soucis printaniers. on gagne ensemble du terrain sur l’herbe vers la voix là-bas qui nbous appelle. qui parle ostentatopirement comme là ? qui hausse la voix des masses ? qui parle fort (stentor) et nous assomme de son v erbe ? qui en nous parade ? qui en nouys la ramène grave ? qui en nous parle pour nous et adjuge ? squi en nous dit fort ? qui en bnous bêtifie ? qui en nous se montre sous un njour de joie ? qui veut en nous nous faire plier, plier grave devant déité ? qaui parle pour nous soit en notre nom en cette roche des préd et des bois ? qui parle «animal» en  nous ? parlons-nous une langue parta geable avec lpes animaux de la rage et des tourments des roches et autres rochers de la lande ? parlons-nous «animalm», «l’animal», le «buffle», le «chacal», l»ours de joie» ? sommes-nous à même de correspondre avec un animal cdees bois, lui parlerr de nos misères ou petites misères, lui parler du vent, de la pluyie, des tourments, desmots de la rage, du frai, du chaud, de la terre meuble, des embruns ? Nous parlons une langue dfocte, qui se pose là, qui vitupère, qui «sait» mùême sans savoir, ou alors c’est vrai, elle sait ? nous parlons ensemble (sein) la lan,gue des prés. nous nous affichons comme ou en tant que parlant la langue identitayre des donn»ées stables. on se dit que nous sommes les parlants d’une langue stable ou relativement stable dans son ancrage. on ne loa perd pas comme ça, comme un trou de mémoire. on ne perd pas sa langue comme ça , trou de mémoire. on l’a on la garde en soi ou p)ar devers soi et on fait avec, ce qui signifie : avec ce qu’elle charrie de «mal» en elle, de mal dit, de mal pensé, de mal posé, de mal échafaudé, de mal-être, de mal tout court. une langue est pétrie de choses vives mal fichues, mal mises, débraillées, qui sont mauvaises conseillères en vérité. on veut nous aqller vers du  vrai en barre, fiable ô combien, qui soit juste et frais, juste et vrai de chez vrai. on ne veut pas d’une «porca misère» charriée avariée, mais du frzais vif de ta mère, v rai du vrai, beauté fine, vérité de base, chauderies jusstes et veloutées. nous c’est ça qu’on dédsire le plus et qu’on recherche. pas le mal, le bien. on v eut aller loin dans le bie,n des données hjustes pariétales, et ainsi ,on va. on veut aller au plus qu’on peut dans le fond des fgonds de roche. a la recherche des données primaires, des données enragées peut -être mais justes, vraies, fiables, solides, costaudes, avérées, qui tiennent debout longtemps voire permanemment. on est à la rtecherche de la vérité sailklante, qui porte sur elle les sxavoirs du monde, qui va loin pour nous en ce qui’elle apporte ou peut nous apportezr. on veut être informé(e)s par des qui en savent long, qui connaissent, qui ne sont pas là juste pour lza propagande. on veut savoir les choses le plus, des choses le plus. ce qui est qui résistye aux coups de vent, aux à-coups. on veut aller derière, après, loin, plus loin, au fond, au fin fond, dsans les profondeurs, là-bas, dans les marges de lma foi, au plus loin possible des données données, fond des fonds, ailleurs embrumés. on en avance ainsi main dans la main. on ne se lâche plus. on ne tienyt plus à se perdre de vue mais a t on jamais voulu ou seulrement pensé cette chose ? non. on ne se lâche pas une seconde. on tient bon ensemble = on fait corps = on est collés =on est cdeux =on va à deux au fond = on ne se perd pluys ou pas = on fonce mutuellement = on fait ceux (celles) qui sont = qui excistent entre eux (elles) comme une sorte de mobile, de chose mobile, de bloc. on bouge le tout à la une à la deux unis (unies). on bouge tout le bloc à la une à la deux en restant les deux unis (unies). il   faut faire azinsi et pas auttrement si on v eut arriverb à toucher la roche du fond ou dxes fins fonds. les fins fonds sont ceux- là qu’on cherche du regard d’abord et à gagner ensuite, par la courdse soutenue, bon train de mise, par la course vive de la vie en vie (tout bonnemen) , par l’envie, la joie, le désir, l’envol ou l’élan en soi, cet «élan cde base vive, de base ancrée, qui est élan de vie rageuse au sein d’une roche cdonnée. on creuse le Verbe fol. on ne cherche pas à tout va les voies fdites «de l’intelligence articulée». on veut s’appuyer sur du «fol en herbe» pour ainsi dire. nous on voit que le Verbe est là, nacré, qui aide à percer la roche : fol-fou de basse-besogne peu-être mais vpoilà , on trace, on fait des traits sous influence, on traverswe les filets, on passe carrosse, on se retrouve de l’autre côté gais (gaioes) et on respire, on souffle, on est p)assé, on peut se congratuler. on a réussi à passer et ce comment ? grâvce au Verbe des bois, Verbe cru achalandé, injures dra^pées, cris de joie, blagues à tavbac, corps serrés, chants des attraits, mesures rupestres, calculs, rires, osselets, via,nde cru$e désossée. on est passé ensrmbkle et c’’st encore ensemble qu’on veut s’enfoncer, en roche, plus avant, vers d’auttres contrées soputerraibnes = pluyds loin que loin. on veut toucher à la roche des fonds de base. on est comme on est maisb on cherche grave. On ne lâche pas nos recherches. on fouille grave les embruns, les zones humides, embrumées, les coins retirés. on est là qui fouillons de rage ce qui est qui se présente à nous, à toi à moi, par la bande. on se pousse ainsi mutuellemùent à ne pas lâcher mùais tout au contraiore à creuser toujours davantage les contrées célestyes, ou sinon célestes pariétales, murales, rupestres. on se met ainsi en quête du Verbe primal. du cri vif de ta mère, etc. chant des catacombes. on va loin en cette chose d’un sang déversé à même la roche : traits de base , représentations à cru de betes fictives faisant impression. vavches et taurezéux, bisons et bisonnes, juments des prés, chevaux en furie, ours de la plaine, lions, lionceaux, vachettes, auroques de joie,  ours des cavernes, lapinots. on veut êtere ici comme informés de  ce qui est. informés et informées. on veut que vérité soit faite sur la terre comme au ciel : justice céleste , primaire, fiable,, , ancrée, actée, entreprise au débotté. on veut que soit ici justice faite, une entreprise de tous les instants salutaiçire. on ne veut pas lâcher ce qui est. on veut toucher à cette vérité d’une chose rude, qui fzait foi. verbe agraire ?. on veut aller au fond des fonds marins, des fgonds souterreains, des fonds cielleux, des fonds de la raghe. rire à tous les étaghes. gros du Roi. on veut rire gras. fontaine. pissadou. chierie gracieuse, et allez ! On veut que les choses soient dites dans la virulence dx’une voix de rage . estomaqués. dire estomaqués. nous, estomaqués. tellement le dire est grossier, qui cherche à percer la roche des temps, à creuser de bonne grâce la roche des temps, à chercher pitance. on voit ce Verbe cru en chair et en os pour ainsi dire : pissadou. nous on aime. on veut zaimer disons. on veut que ça nous plaise. on v eut aller loin dans le rêve, les voix, les fondsq,, la rage, les entrées, la langue ouvragée. on veut toucher ce qu’on peut touycher et en vérigté, au fin fond, peut-être, y arriverons-nous, peut-être en effet y a til, au pl;us lointain, ces choses à toucher, rudes, dures, rudissimes ou tout le contraire, douces, meubles, finement offertes, ouvertes à l’envi ? on se dit que nous, avec ce qu’on porte en nous comme bagage, c’est à dire l’intellect, peut-être on pourrait comprendre, discerner ces choses de poids parmi les victuailles déposées, c’edst à dxire bonnes en soi, choses bonnes en soi, qui aillllent. peut-être qu’en effet, en cherchant bien au fin fond de la roche, finirons nous par trouver «des choses» = des données de base. comme : «un tiens vaut mieux que deux tu l’auras» ou autres locutions de base. peut-êtyre en effet un jour ou l’autrte on trouvera, on saura, on arrivera à comprtendre ensemble un certain nombre de choses rudes en soi, ou à première vue, mais recelant bien des xecrets dont l’usage et laz perception pourraoient nous être salutaires. oh on zaimerait fort que cette chose soit ! soit un jour ou l’autre pour nous devant nous ! comment faire ? en chantant à tue tete ? en creusant un puits dans la roche ? en gueulant apres justement la roche ? parce qu’elle est trop dure ? impassable ? on est comme deux enfants qui ont à faire une cbhose pour l’école mais qiu lambinent, qui trainent la patte, qui s’amusent «en attendant» alors même que le temps passe à une vitesse, et qu’après, le temps manquera pour mener à bien le travail scolaire. on est cvomme cdeux enfants qui voulons comprendre un vcertzain  nombre de cdonneées cfoncernant le monde vadjacvent à nous (à notre misère ou comment ?) et du cvoup on «coll;e» = on swe colle à elle (la roche), on fait la jonction. on simule ? oui et non ! parce que on cvolle en vrai, on s’ap^p;lique, on fait comme si ouiii mais aussi on est : on est le bec piquezur, on est le pic traverseur, on est lm’écharde, la crudité, le cru de base, le chargeur, la chargeuse, le qui pousse à être. on est deux qui poussons l’etre (en nous contenu) par le verbe, vers l’inconnhu du temps qui passe := le chevreuil, la biche, le cerf aux bois dorés, le buffle cendré, la biche poivrée. on est accolés parce qu’on sait qu’accolés ça passe, ni plus ni moins. on le sait de longue date. il y a bien longtemps qu’on sait cette chose, avant notre naissance, encore avant, encore encore avant avant la conception. on savait des choses. on sait en soi (via le Verbe actif) dxes choses cde poids comme par exemple comme quoi le Verbe est actif , natif acti ou actif natif. le v erbe natif est actif, influe, gouverne, distribue les données cde rage dans le xsang. le  erbe a du poids , comme le rire a du poids, comme les humeurs ont du poids, comme l’insulte, la viande saignante sur roche, les attroupements pariéto-frontaux. on connait la musique : «deux enfants s’en vont pzar les champs, la la lère, et trouvent un manant, la la la, ils lui demandent ce qu’il aime, la la lère, il leur dit «les enfants grands» la la la». oh pas cool ! Parce que nous on ne veut pas de ça, etre broyés. on veut tracer fissa devant sans se retourner. on veut se cacher et éviter les manants méchants. on veut pas se laisser entotrtillerr. on veut se cacher ici ouy là et lzaisser passer. on se cache. on se place ainsi ici : dans un verbe à cru qui  fera ou jouera son rôle vif de sauvetage. on regarde loin dans les embruns. on veut se cacher. on veut être ici à l’abri des manamnts méchants mangeurs d’enfants grands? . ogres de loa vie. on ne veut pas se laisser manger par les ogres-manants de la vie, on veut à tout prix les éviter. on ne veut en aucun cas se laisser manger par iceux ogres de la vie sur terre;, mangeurs d’enfants, car nous on est enfants et on ne veut pas être mangés tout crus par des êtres malvenus, malsains, grossiers personnages. on entre en roche = on fuit l’ogre. on estv entré par la porte étroite. on est dans la roche à l’abri de l’ogre. On se cache 

on se  c ache vivement. on est collésq. on colle à la roche. on se colle à Roche des TEmps. via le Verbe cru de ta mère : rires gras de base latine. on va dedans à la recherche d’une vérité de poids saillante faisant foi. on se colle au verbe acquis. opn est compme accolés au verbe acquis v= incumlqué par la ban,de latine. on est deux aux accents du sud , qui fouillons, allons, vivons en roche, cherchant pitance vive, actes de hjoie, vérités graciles, potlatchs. on veut aller loin jusqu’à toucher à cette chose d’une sorte de donnée rupestre de boone foi, ou de bon aloi, qui saurait nous dire ce qui est de cette chose devant soi d’une sorte de sentinelle. sentinelle des bois. on regarde. on est entrés fuyant l’ogre tapageur. on ne voulzait pas de sa présence : on a fui. on s’est caché, on s’est retranché, on s’est logé-lové, on s’est mis un pas de côté aillleurs : sas des sas. on ne voulzait pas de cette missère d’une sortye d’être en berne de type père, ogre du mal, chants funèbres. on voulait se cacher de ça et du cfoup on a pris nos clique s et nos claques et on est entrés en roche dure, paroi folle, dur du dur mais voilà on y est, on a réussi notre coup, on peut etre contents de nous, on a fai-t ce qu’on voul:oaiot faire : youhou !On est passé tête kla première, on a traversé la donnée primaire;,, rugueuse à souhait, et hop, dedans l’eau, l’eau de la terre, ou bien le feu , le feu festif, ou bien l’air, l’air des allées, des conduits de vie, des endroits rupestres. on est entrés à deux dans la cjhambbre mortuaire ou quoi ? sas des sas = quoi ? chambrte de la joie de vivre ? des dfonnées de bzase ? des envies pressantes ? des sexualités ? du cran ? de l’envie de vivre vif ? on se carapace ensemble côte à cvôte, serrés collés, oaccolés, joue contee joue, finement. on veut rester ainsi collés finement joue contre joue, en roche, à l’abri de l’ogre. on ne veut pas faire ainsi qu’on se 

fasse tuer ! on veut rester vif en vie.On veut rester en vie vif, car on est là qui voulons aller loin en roche à la recherche de la vérité sur quoi ? le monde ? nous ? notre origine ? ce qui est qui sera ? quoi donc ? On veut aller parce que on est deux qui cherchons grave des données de poids qu’on puisse ménager et à l’occasion présenter ici ou là à des spectateurs de bonne foi qui eux co:mprendront s^$urement de quoi il en retrourne jde cette chose. on se dit que nouis on est comme deux qui sommes des enfants qui voulons comprendre vivement ce que c’est que cette cjose cd’une vie à vivre, et d’une mort qui serait comme en attente là-bas = loin, au fond du trou de l’atre. on se dit que nous on est comme à l’abri mais non : on doit lutter sec, on doit hurler méchant, on doit gueuler à cette chose devant nous, lui gueuler vif des choses de poids = qui impactent = touchent = blessent = font de l’effet. uune sorte d’enluminure. une sorte de feu follet. une sorte de feu de joie. une soerte de vive clarté sur la roche, faisant comme danser les bêtes dessinées. on fait avec ce qu’on est ou avec ce qu’on a, mais ce qu’on est est ce qu’on a. ou ce qu’on a est ce qu’on est. on s’avance fissa, prêts à dégainer nos charges rupestres : à la vie à la mort. aurochs à foison. antilopes à donfle. on se met ainsi en charge ou à charge de ou comment ? obligés. on s’oblige, ou comment ? on est des obligés ? on trace des betes mouvantes, belles bêtes plus vraies que nature ou presque, on veut impacter. on veut faire ainsi que des choses crues, tracées, rieuses, folleùment rieuses, aient leur peetit effet sut l’etre moqueur, le roi de saba, lm’australopithèque (?) , le néanderthzalien rageur ou quoi ? l’ancêtre ? peut être pas. l’actuel Moqueur de base, lm’immortel tu m’as compris. l’australmopithèque c’est moi, l’immortel c’’st lui : le cheval de rage, l’autre nonassoupi, l(ogre de la mort ténue mais vive, le costaud royal; le corps du chrisyt (?), l’enflure. et nous d’eesayer de toucher à sa pelisse, au crin dee sa toison, à sa peau fine, à son être membré, à son corps. qui es tu la mort ? etre mallfaisant comme pas cdeux ? cornaqué ou pas mais bien présent devant nous à chacun de nos pas ? ;es tu llza misère ? es tu une ombre sur le chemin ? es tu gravcieux ? es tu gracieuse la mort ? es tu la ou es tu le ? es tu genré la mort ? es tu vcon ou conne ? ou pas : pas con, pas conne ? es tu d’ici (roche rude) ou pas ? es tu du monde de la vie, sorte d’enclave souterraine à portée de main ? es tu une chose de poids comme d’(autres, comme le verbe ? es tu du verbe et que ? es tu du verbe-queue, sortant de bouche : trompe ? es tu queue de verbe ? es tu la queue du verbe, la queue de la comète ? es tu massif ? vibration ? cuir ? es tu chaleur ? es tru pour nous une bonne raison de te tenir loin ? es tru la charge pirincière ? es tu une reine ? es tu une princesse ? es tu un pri,nce ? qui es tu la mort que nous ne savons pas, dont nous ignorons tout, que nous aimerions tellement connaiotre ou cvomment ? approcher ? repousser ? coller ? coller à soi ? accrocher à sa veste, au re vers de son habit de rage rupestre ? On se loge à deux en  cette roche dure dite «de la foi et du collé «. on est qui voulons aller loin dans la compfrenure et on charge en conséquence , quoi ? la mule ! la mule du pape ? pasz tant ! On charge que tu chargeras la mule de la vie sur terre , 

on charge que tu chazrgeras la mule sur terre, la chose cdevant, la chose devant soi : seuil d’anttre. on pose et on dépose. on offre royal. on veut satisfaire. on veut donner de soi royal?. on veut pour soi un tant soit peu de considération rupestre. chevaux gravés à :m^$eme la roche entre deux antilopes cornes contre cvornes? on dessine à la volée des betes sur roche, mots de notre rage, cri facial, primal, colère. insultes vives. rires outrés, fous, collés à la roche . temps frontaux des données de base paisible?. chants des apprêts? douce musqique. on regarde devant soi : la mort est là. on la regarde : elle est toujours là. on offre pitance : elle ne nous lâche pas de vue d’unre semelle. on dépose grave nos tourments passés furibonds, chants visfs sortis de la terre, feux follets : elle aime. on fzait la roue sur patte, on fait illusion, on se cabbre, on crie à tout va : elle absorbe. on est deux en soi chargeant grave la mule de la joie à naitrte : elle connait. on se plie en quatre pour la satisfaire : elle sourit. on fout le feu à la prairie, carosse d’or et la voilà qui encore voit qu’on chyerche à toujours repousser que tu repousseras ses avances vives, ses désirs. on ne veut pas de toi la mort, on en a marre. on ne veut pas de ta présence à nos côtés, peux tu nous lâcher la grappe s’il te plait, merci.

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22 /11/2022

On est deux qui regardons ce qui advient, ce qui se présente devant soi,  et cette chose devant nous est chose de poids = qui va loin = qui entraine vers des latitudes et les longitudes profondes. on comprend dès lors qu’on a affaire à du solide ancré, à du costaud des épinettes question fond, question profondeur de vue. on se dit qu’on a devant nous des choses de poids qui en imposent lourd, et voilà pourquoi nous on regarde attentivement, on n’en perd pas une, on ouvre grand les yeux, on s’extasie presque, on est béats d’admiration devant pareille chose vive, lourde et lente peu t-être ou comment devant nous qui s’interpose entre un lointain fumeux (?) et nous qui sommes enfants attribués à un temps déplissé. nous regardons et nous voyons la chose qui plombe, pèse, s’interpose. de quoi s’agit-il ? il s’agit d’une sorte d’animal de rage fait pour les labours ou la bataille ou quoi d’autre ici (plaine), qui soit digne pour nous d’éloges, de vivats ? on regarde. on voit des bêtes. ces betes devant nous sont de braves bêtes de poids. ellkes gambadent en veux-tu en voilà dans les herbes hqautes, dans les prés de base, elles broutent, elles se couchent à des moments, elles sont à plusieurs rassembléesqui nous regardent nonchalamment tout en broutant, et nous de les regaerrder attentivement à nottre tour tandis que nous aloons en cette roche dure des données de rage cernées. on regarde. on dit que nous on est deux pour comprendre vif. on se place ainsi en roche de manière à pouvoir regarder les bêtes (les mots ?) de près. on se dit que ces bêtes (ces mots ?) sont mots (bêtes ?) de rage à être, de rage à naitre, dde rage à advenir en roche, etc. ici il selmblerait que la rage, est une donnée primaire . rage de base, voilà. au commen,cement (?) était la rage, cette rage multiforme en nous, qui vouliat «saillir» le verbe à m^reme la roche, l’encorner ou comment sexuelllement et du coup on comprend des choses , disons que des choses ici se montrent, se mettent ainsi qu’on puisse comprendre un tant soit peu les données de base d’un monde déployé à même le temps de la roche. on voit donc des bêtes bêtes, sortes de mots de la rage et des tourments de base. ce sont bêtes de poids, c’est-à-dire betes-poids, qui pèsent grave, qui sont grabves dans le temps en cela q<u’elles en imposent grave, qu’elles forecent la donne etc. Nous on se dit que les mots sont ça qu’on essaye de cerner au mieux dans le temps, en les déployant comme des choses de paroles vives, d’allees et venues en roche dure. on se dit que des mots devant nous sont qui nous «regardent» comme des bêtes, comme bêtes dites -» de parole». on regarde à notre tour dit-on. on se dit que nous devons aller en roche dure à la recherche d’une vérité soit d'une vérité de poids de typeb «aurochs» = b^tes-mot de base, campée, dressée, posée, mise sur pied = temporelle. et nous de regarder la chose rude, pariole envolée (?) déplacée déposée etc sur roche, à la une à la deux ça passe = c’est passé. c’est enfin pâssé! ça a traversé la roche grave ! c’est ainsi que ça a fqit , et nous de regarder «devant» = dans = en cette roche = dans le sens des données frontales de base etc. on voit la roche dure devant nous comme une sorte de paroi vive, de chose rude qui pour nous est de la vie en barre. on se dit que pareille vie = les données de la base mleubvle. ou bien les données frontales de la base et du sommet meubles ou comment ? car nous on veut comprendre ce qu’il en est ! on ne veut pas rester à squai le museau en l’air, relevé, cherchant comprenure dans un vide qui n’est pas pour nous ce qui nous plaît. nous voulons «toucher» la vérité c’est simple = toucher à vif icelle devant nous vérité de bon aloi. verbe nu par les embruns. charge dure ? chjarge douce ? de la vie sur terre. on regarde la bête nue = cette chose devant soi qui fait écran, qui s’interpose et nous protège d’une certaine manière ou il sembklerait. on voit des choses. on voit que des choses sont. on voit que des choses de bon poids bon oeil sont ici en face, qui regardent, qui broutent, qui mange,nt, qui se nourrissent vivement etc, et alors on voudrait aussi, nous autre s = nous de rage, aller là, avec elles, brouter de cette herbe de choix. le peut-on ? peut-on manger de l’herbe avec elles ? avec ces bêtes de prairie céleste ? on voudraiot pouvoir nous autres aussi toucgher à ces choses devant soi qui portent des noms, qui sont, qui avancent, qui mangent, qui relèvent la tête parfois, qui trottent, qui font des pas en avanrt rarement en arrière etc. betes de la foi dans l’être. on se dit qu’on a devant nous ainsi quelques bêtes de la foi dans l’etre. dans ce Etre des prés et des champs. etre fou (fol) qui vitupère à l’envi et ne nous lâche pas de vue d’une semelle (dit-on). et celui-ci, cet Etre de choix, celui-là quyi vitupère, on lui connait un nom de base, on connait son  om ou son petit nom (surnom ?) du moins. et ce surnom (ou petit no?) est celui-ci : charge. chargement. poids. pioids de rage. chargement des chargemebnts. opoids de base, des tourments alloués à une vie de base terrestre. on connait le nom de la mort. on connait le nom ou petit nom de la mort, et ce nom ou petit nom est celui-ci : passé , foi, rage, coeur, allées et venues, je t’en passe et des meilleures ! le passé de soi = cette chose vive déposée sur roche. on se dit ici que les mots du temps déposés feront bien leutrr petit effet ou sinon quoi d’autre ? on dépose hardiment la chose. oh la belle chose déposée !  ! On se dit que cette chose déposée fera affaire , on se dit que cette chose en soi aura de quoi frapper les esprits, tenir tête etc à cette chose devant nous dont le nom (ou petit nom) est atre, âtre de la mort vive. cet atre. ce champ des paroles grises. ce doux labeur de poids. labour ? on voit là qu’ici ça trace. on voit que là (devant = temps) des choses vives se passent et ne cessent pas d’advenir, et du coup on essaie de suivre. on essaie de comprendre les choses du monde devant nous ce qu’elles contiennent en termes de sentiments,  ‘émotions, de vie, de chaleur, de sympathie ou d’antipathie, etc?. ce que donc la vie de rage «estt», ce que pour nous elle est de base, ce qu’il semblerait qu’elle fût (la vie) pour nous, à savoir : une sorte en soi de déroulé de rage dans le temps, à même la roche, au plus près d’icelle disons, voire en elle (champs d’azur). on voit que la vie la mort sont comme accouplées accolées à une roche (temps verbal) de base motrice. on se dit alors que nous on a fort à faire pour comprendre et nous situer, nous placer ainsi e,n roche, amphibies, ou comment on peut ? on se dit que nous onn a à comprendre les données de base comment se placer ? où donc se situer ? où aller sans autres attributs que nos corps lovés ? comment faire ? On est qui cherchons ardemment et hardiment car nous sommes (en  nous) deux qui sommes motivés comme opas deux et du coup on trace, on en avance. on fonce fissa dans ce ta s-là devant soi, qui est tas de rage on loe sait, dépôts des données de base = vérités rageuses (colères) qui pour nous ont une importance sans nom car elles en disent long sur ce qui est et qui n’est pas la vie la mort, etc. la vie est accouplée. la mort est conhjointe. on voit la chose rudement allouée à nous qui traçons. on (= je + je) regarde la Chose rude, dure, du ru ou comment ? du ruisseau de vie ? aller et venir = tournoyer = virevolter devant notre mobile, notre coprps nu de base terrestre. on vopit la Cjhose ici (accoulpée) qui est chose de poids malin (maline, la chose) et du coup on regarde à deux de près ce qui advient et semble s’adresser à nous et on voit ... des choses, plein, des données déposées comme par lmalice ou enchantement, comme par extraordinaire ou autreement mais là, vraiment : posées devant nous qui sommes deux en  ous, enfants du Verbe nu s’il en est, etc. on voit ces dépôts de base posés. ces échantillons de vie vive. cette sorte de vie de rage . prix coûtant ? chant de joie ? salubtrité publique ou auttre ? on voit que ça turbine grave dans les travées. on veut y croire fermement comme à des données de poidfs vives, vif le poids etc, de dsorte que nous (ensemble = accolés) on puuiisse comprendre «à mort» ce que c’est que ça qui se trame ici (roche) pour la vie. pour vie de passage. on veut comprendre = on veut combler les trous de nos consciences. on veut percer Roche. on veut couper avec un temps d’avant les données de base devant nbous = sauter le pas (le seuil) et courir»»»» de l’autre côté enfin libérés. libérés é et libéréees é e, on sait cela, inutile de le rappeler à chaque fois ou si , mais ça plombe, ça fait contrepoids etc. ou non ? on avance pas à pas, à la une (elle en moi) à la deux (moi en elle) et du coup on trace des traits de rage (aurochs muraux) et on comprtend que pour nous la vie est une adaptation à xes données frontales de parade, chants doctes dans le sas des sas, joutes, brutales paroles, ornements massifs, coins de rue alloués à des dépôts de rage vifs, charges monacales. on se prend au jeu d’une sorte en soi de parade nuptiale des profondeurs, cryptée pour ainsi dire, larvée ou comment : chiffrée ? on voit devant nous aller et venir un homme, une femme, un animal, un être de peu, une plante vive. on voit ce qui est devant et qui ressemble à de la vie en vif = en vrai? en est-ce ? pas sûr ! est-ce de la vie ? pas sûr que c’en soit ! on se dit que oui, on esdsaie de croire à cette chose, de comme s’en persuader mais vas-y, pas dit du tout que la chose posée devant soi par nous (feu d’attrait) soit de la vraie vie brûlzante (brûlant de tous ses feux sa chandelle verte). on fait dit-on «comme on peut». on essaie de faire cette chose d’un dépôt de soi dans le vif du vif mais nous on renacle, on résiste grave par ailleurs, on ne se donne pasz à tout va, on traine la patte (aussi) = la savatte. pas cons. on est pas si cons ou connes qu’on en a l’air.on fait attention. on se garde bien dev «s’évanoiur» de rage à l’envi pour un oui ou pour un non. on veut essayer de comprendre oui, mais on veut surtout «tenir» kla tête à cette chose de poids devant soi , et dont le nom répond au doux patronyme de La Mort de vive voix. la de la mort vive. La Vive de La Mort de s rois. (On cherche, on se dit qu’on finira bien par trouver. on cherche ardemment car il est pour nous de notre devoir de comprendre et de cerner, de toucher à des choses vives en vrai, à savoir la mort, en vérité, ce qu’elle est en termes de données frontales  palpables. peut-on toucher la mort «sans y toucher « ? that is the question. peut-on «tpoucher» (vraiment toucher = palper) la mort sans y toucher en vrai, ou comment dire : en faisant mine. en faisant comme si = en faisant comme si on était des qsui vraiment ensemnble (= main dans la main) allait incidemment toucher icelle au  oeur = dans le sang = dedans = en nous ? en nous devant ? oups ! mais comment cela ? et là on toucheb (pour le coup) à une vérité de base magique, ou comment dire, à une sorte de donhé&e magique de la vie et de la mort ensemble, à une sorte de donnée vive, folle( (?) qui dit une chose alors même qu’il nous semblerait que non, impossible, chose impossible en soi car non fiable ou contradictoire dans les termes, etc. il swemblerait que nous ayons affaire à une donnée dite «collée» de base. on dit une chose quand il s’agira en vérité d’une autre. les choses vives sont ainsi qu’on loes dépose en soi et devant soi. ou non ? est-ce possible ? peut-on ? on peut ça vraiment ? on en est capables ?? peut-on faire cette chose devant soi de poser son propre soi dans la balance ? dédoublement ? doublure ? déposition des armes fatales ? cambrure jusqu’à temps qu’on sortît de soi fissa ? comment on )peut comptendre cetre chose comme quoi «ça passe», «ça traverse», «ça rigole pas des masses»,? on voit que nous on peut arriver à «sortir de soi» par la ban,de (langafgière) des donnhées des roches et autres murs des profondeurs (murets). on voit ça. on se dit que nous aussi ensemble (corps verbal en son entier) on a à comprendre «dans la masse» ce qui est en vérité d’une sorte d’envolée lyrique de la Foi dans l’Etre Suprême, ce grand c... qu’il nouys fait dire, ce co... , ce conn.... eytc. les lèvres me brûlent de l’incendier, de lui foutre sa misère, etc. car merde il le mérite cent fois. il n’arrete pas de nous harceler et de nous tirer par les pieds et de nous tirer par la manche et de nous faire suer, chier, caguer comme jamais, etc. envolée de rage oui mais merde. il est là toujours à nous casser les opieds. on regarde, on voit, on assiste à.  à quoi on assiste ? on assiste à une pa rade nuptiale devant soi. on a les yeux tout embués. on croit comprendre et on comprend qyuoi, pas grand cghose au bout du compte concernant cela, ce treavail de soi, ce travail sur soi ou en soi ou à travers soi ou devant soi ou hors de soi ou alors comment avec soi ? car on cherche à fond ce que c’est que cette chose d’une sorte de soi pour soi. on veut touchger l’en soi magique. on veut toucher que tru toucheras cet en-soi de base magique = déplissé. le temps est une donnée = un don de parade (paroles) déposé à même la roche des autres données concernant la Chose./.. on se dit que nous on doit aller dedans chercher, qu’on se doit d’aller dedans la roche (le sang de la bête) chercher le Nom =le nom en soi de la Vérité des prés.on veut toucher x et y devant soi. on veut touchger que tru toucheras à cette chose là d’une sorte de paroi « meuble», dsouple, fine, humide peutêtre dans laquelle ppouvoir se loger fissqa («à la une à la deux») et comprendre alors ce que c’est que cette chose vive, ce don de parole, cette voix qui scande, cet engouement, ettte envie de vie maintenue. On vdeut faire ainsi que des choses soient qui nous importent grandement jusqu’à ce que voilà on en arrive ensemble à comprendre pour soi  ce que l’on est au juste ou pas : betes de poids nous mêms . betes-animaux de poids touchées ? betes-poids de base à toucher ? on essaie de se rapprocher au  plus possible de la vérité. on sait que nous aussi on est là, comme à cheval sur une sorte de paroi lâche ou sinon lâche flottante. on se dit que nous aiuussi on doit pousser à fond les manivelles de la chose ici qui se présente, à savoir : une envie = une envie de vie vive et pas de vie à la déglingue. on vbeut qzue ça flamboie de vie vive, franche, offerte mais non, il ne s’agit pas du foyer central, juste comme ça des piques-flammèches, des jets de soi par la bande, des feux follets de bas étages mais faisant office comme il se doit. le verbe est nu ici qui porte la croix d’une rage d’être. on est deux qui poussons la chose (le bouchon) le plus possible dans le sens d’une parole rude, portée, posée sur tabvle, commmandée de base, forte en soi, calibrée pour l’occasion à la mesure des données frontales ce qu’elles sont : paroi ronde, paroi souple, paroi échancrée, paroi ouverte, paroi percée, paroi colmatée, paroi incendiée, paroi mobilisée pour mla peine, etc. il en existe qulques centaines toutes différentrs et faites sur taille, sur creusée, sur forcement. toutes difféèrent qui sont comme creuseées, taillés par le verbe. creusement frontal longitudinal?.; ici le Verbe creuse qui sait. il sait bien faire. son talent ici (le Verbe) est de savoir très bien creuser la roche des prés, la creuser la creuser» de manière à faire en sorte qu’apparaiessent des betes de poids qui sont bêtes de rage qui sont feux de joie qui wsont feux follets qui sont faussetés en vérité etc : jouets de l’om bre, cornaqués etc. Nous c’est ça qu’on répète à couille. on dit que des choses vont d’elles-mêmes dans un tas agraire surnuméraire et du coup on remplit, on com ble, on fait des tas avec le tas ou disons qu’on surajoute au tas déjà là nos petits tyas surnuméraires (chants doctes, chants d’azur, chants de joie). on rajoute au tas (au chant déjà là) nos propres tas de soi, de nous qui allons = chants pour une survivance, chants des prairies pour un maiontien en vie d’un mobile agraire, boeuf des douceurs, chants doux d’un boeuf de passage,, cfommandements. ce qui fait que bnous on y croit foorcément. on croit en cette chose e’un recul ou d’une reculade, d’une sorte de retrait de cette chose devant nous qui voudrait nous écraser de sa patte folle, mais voilà le boeuf ici fait son effet, il tient bon la rampe, il ne s’en laisse pas conter si facilement, il fait masse électriquemùent pour ainsi dire. boeuf de poids de masse = boeuf de vie vive allouée mais comme «par enchantement» à vrai dire = magie, magie de la vie verbale, magie vive des données verbales, Verbe à nu (à cru) octroyé sur base. on fait ainsi ensemble = «toi et moi de mise. on tente le diable dit-on,. peut-^tre. on ne sait pas  c ar le diable on connait pas. sait-on ce que celui-ci en vérité est pour nous et pour l’ensemble de nos congénères (animaux des prés et autres lieux de rage compris) ? sait-on voir loin ? a-t-on de quoi en nous voir loin ? a t on en nous de quoi vraiment pouvoir voir loin loe plus possible pour comprendre ce qui est dans ce convoi de betes devant nous, batifolant, broutant, se chevauchyant, allant et venant ? on espère bien que oui mzais on ne sait pas. on voudrait que cev soit oui, mùais qu’en sait-on au juste ? on se dit qure peutêtree un jour on va savoir , on va enfin comprendre le pot aux roses, ce qui est et ce qui n’est pas. va-t-on ? va-t-on un jour swavoir ? pouvons nousdire cette chose crument, véritablement, comme quoi on aimerait savoir si en effet un jour on pousrra savoir ce qui est dans ce qu’on voit devant soi, dans pareil attroupement de betes fortes, costaudes ? On dit que nous on veut, qu’on ne lâche poa s. on dit que nous on est des qui jamais ne lâchent la bride, jamais ne l^$achent prise, etc, : est-ce vrai ? vrai de chez vrai et c’est marre : est-ce ça ? p)eyut-être ! pas en vérité à nous d’en juger car nous sommes mal placés pour parler de nous, forcément ! ça ne se fait pas vraiment ! c’est plutot malpoli d’agitr ainsi ! on ne doit pas parler de soi, ça ne se fait pas, c’est impoli. on se dit que les choses en soi sont ainsi que pour nous la vie a du prix ou disons que la vie pour nous est une chose d’importance dans le sens où «on sait ce qu’on a, on ne sait pas ce qu’on aura (ou ce qui nous attend)». et du coup on tergiverse ou tout comme. on pose des banderilles mais pas plus. on fait en sorte de s’en sortir à moindre coût. on faiyt mine = des mines = simagrées de bas étage = parafdes nuptiales = gentrification de masse des données rupestrss etc. on fait en sorte de passer muscade par la bande «à toi à moi» et la chose faite, on y va ! on force les traits ! on dessine à main levé sous influence, on trace des betes et des etres, des etres et des betes, on y va sévère ! on ne s’arrete plus : on fonce! vif la vie ! pif paf ! on trace au creux des roches , on trace que tu traceras au creux d’icelles des auroques et des bufflettes, des chevales et des bouquetines nos soeurs de prairie, des prairies célestes. on se dit que on se doit d’agir aindsi pour la bonne cause = notre survie à brève échéance. on se dit que nous on a à faire cette chose là d’un passage de paroi afin de faire ainsi que cette mort de base annoncée partout nous laissât tranquille un temps et nous laissât agir ici à notre guise. on regardfe les données de base posées sur seuil, ces présents-offrandes, on regarde loin, on voit que cette chose est une chose rude, vraiment coriace à faire ainsi, que les choses allassent de concert, qu’elles allassent dans le temps ensemble, vivement? on fait ainsi qu’on puisse aller ensemble avec,= avec elles (ces données données) et traverser fissa pareille paroi meuble ou pas mais nous laissant passer comme par la bande. dépots de soi pour soi à treavers la rochye du temps passé. ou sinon comment ? on est deux ici (elle et moi) à chercher fissa les données «graves», c’est à dire les données coriaces, les données rugueuses, rudes, dures, qui font de la sorte qu’elles nous fichent à mal, etc. on veut savoir pour nbous ce que c’est que ça. qui sont-elles ou que sont )elles ? je voudrais comprendre pour moi ce que c’est que cette chose ici d’un dire de poids , qui co:mpte ou comptât.on voudrait savoir ce que c’est que ça, ce dire de poids, ce parler massif, cette chose forte = pesante. quoi est-ce et comment l’appréhe,nder de base. on voudrait ensemble savoir et co:mprendre = creuser une roche, creusergrave dans loa profondeur et cezrner un c ertain nombre de données de poids. cerner à mort. on dessine à main levée des bêtes rosses et  ces betes à présent nous regardent, nous matent pàar la bande et presque nous poussent à rugir, hurler, rougir, pousser des cris de joie qui tous disent la même chose, une sorte de chose»de vie» = notre nom enluminé ! oh la cghose ! oh grave ça le fait ! ça percute grave ! ça grave grave ! -ça grave de ba se ! c’et frais ou pas maios ça impulse son comptant de données de poids ! sévère oui ! que ça le fait sévère et grave ! dingue ouiiii! dingue oui et pas squ’un peu ! et du coup on se met alors ensemble (elle et moi) en quête d’une voix pour nous, voix de rage, pôur hurler à loa vie à la mort à la cantonade, en cette région, en cette place, en ce lieu des offrandes. on crie. on hurle. on pousse notre gueulante. on parle gras. on )arle pas chatié comme d’auciuns. toutes les formes sont risibles et celle-ci ici employée pas moins que d’autres? on se dit que pour nous toutes les formes sont risibles (comiques) et la nôtre pas moins ici même, ne déroge pas. car ici, pour nous, pour nous qui sommes deux dans cette aventure, toutes toutes, toutes formes en soi ou même hors de soi est (sont) risible(s) c’est ainsi ! quelle est donc la forme non-risible en soi ? quelle et donc en soi vraiument la forme non-risible ? existe-t-elle en vérité ? y a t il une forme en vrai qui (de fait) ne prêterait jamais à rire ? on se le cdema,nde ! on se demande swi vraiment ou véritablement cette chose existe. on se dema nde ensembmble ici, ici même (roche) si vé»ritablement cette chose existe ou a eu ecxisté par le passé, une forme donnée qui nhe fût risible à jamais. Je ne crois pas. je il me sezmble : non. que pas jamais ç’(a a pu. qu(‘u ne chose ainsi eut pu être un jour par le passé. une forme de vie prête à rire grave toujours, regarde la nature, les bêtes des prés et toutes les autres, la forme animale, la diversité, etc. la diversité dans une sorte de co:mique en soi (intrinsèque à la nature) et qui nous impressionne car voilà on est quoi, on est des êtres qui ne voyons pas plus loin que le bout de lezur nez d’humain et d’humaine. on regarde les formes des temps. on est branché sur un courant central. on est comme des benets étoufeés par notre étroitesse de vue et note étroitesse de vie. on est à l’étroit dans  os pantalons. on croit qsu’on voit bien on voit mal. on fait les malins. on fait ceux et celles qui voiuent loin or on voit à combien, ? l(horizon : 200 kilomètres à perte de vue ? on me l’’a dit mais impossible de me souvenir. iun jour quelqu’un m’adit cette cghose mais là il m’est impossible de m’en souvenir c’sst comme ça. on croit qu’on voit loin et bien. on croit que c’est comme ça qu’on voit, que les choses sont telles qu’on les voit, etc ou comment ? la forme animale est une chose qui pour nous a de l’importance. on sait que toutes les formes dans la nature sont qui nous importent. on voit de ces bvetes, et nous parmi elles on ne déroge pas. on est comiques grave. on parle et ça prête à rire : toujours. on dit des choses et c’sst d’un grand comique en p)ermanence car voilà : la natrure aime la diversité, les différences, les écartsq, les grands écarts. nopus parlons une langue acquise comique ! bouseuse ! mortellement bouseuse et comique ! une languie en tous points risibles, non tellement belle ou comment ? belle oui mpais dans le sens où : «toutes les formes sont dans la nature» etc. On voit qyue cette chjose est, d’une sorte de comique «inviolontaire» (?) qui ne nous sied pas tellement. nous voulons bien rire (nous devons ?) mpais comment dire pas de  nous vraiment ou pas longtemps ou comment ? rire est là sous-jacent au Verbe nu, mais rire comment ? à voix de rage ? concomittament à notre propre élan de passage ? ou alors on rit de cette chose (drôle ?) d’une voie d’accès en roche pour nous autres, êtres de foi dans le langzage (ici une langue) ? On se met ainsi accroupis, on pisse : hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! ah ça ça fait grave rire ! dinguissime ! On veut rire ici pour faire ainsi que la chose soit pour nous une «grosse caisse» de poids massif. une belle et grossse caisse de paroles drues. on veut complaire. on voudrait faire cette chose d’un dire fort , d’un dire costaud, massif, qui percute la paroi de roche et nous permette traversée à gué (sans trop d’encombre de ce fait) de la roche des temps alloués à une vie sur terre(comme kla nôtrte : forme agraire). pour cela : on se regarde, on se voit, on se trouve drôle. on se dit que toutes les formes de fait sont drôles = drôlatiques = bizarres si l’on p)eut dire. mais peut-on le dire ? peut-on dire cette chose comme quoi une forme, qu’elle qu’elle soit) est d’eesence (par nature) drôle ou drôlatique ? on est comme deux en  ous qui aimons le rire oui, on est comme. mais bon, pas toujours... ou oui ? à tout bout de champ ? comme on fait son lit on se couche» ? On se dit que pour nous la vie est une chose «forte» = de grand poids, de grosse charge, une masse comme un mastodonte, ça y va etc, on se dit cela et du coup on voit bien la chose remuer devant, cette masse drôile, ce corps posé comme une banquise, cette tâche, ce ploc, ce gros pardon, ce gros poisson, cette masse-à-dire, ce mastoc du cul, etc. rire dans les travées... et pourquoi cela . parce que nous on est pas colmme des qui jamais ne rient ! on rit parce qu’on est gais de nature, pinsons ! pinson et pinsonnes de la rage dx’être naissant, d’etres quui naissons par la ba,nde à même la roche des temps : hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! on rit de plus belle ! pourquoi ? parce qu’on est «en vie» eh oui ! on vit et du coup^on rit ! on rit d’etre en vie = on rit de la vie = on rit d’eytre en vie = on rit parce qu’en nous la vie = vcette choese rude = chose rude et graveleuse = un rire de poids = massif de ce rire = une sorte en soi de rire-massif qui pèse ou pèserait son poids de charge = rire nu = rire à vif d’une vie de poids = vie-poids du rire-masse.  on essqaie foréczément de comprtendre cette chose, d’une sorte de rire-masse, poids de choix = Roi. mais bon, mêlme en chercbhant bien au fond de nous (conscience) c’’st pas facile. o,n essaie de s’approcher au plus possible de la Vérité-Masse, mùais bon la Vérité ne se laisse pas aborder ou apperocher si facilement qu’on le voudrait. les mots en nous font saillie, on le sait. ils portent un sens commun (échangea ble) qui les rend comment dire, possibles. les mots pour nous sont, se tiennent ou relévent d’un possible, d’un possible écheangeable, etc. les mots ont un sens commun, ce sens porte ou prete à rire si , si seulement ou si et si seulsement, si tu regardes, si tu prends cette chose d’un recul de base, si pzar ecxemple, si et seulement si par exemple tu regardes avec un p)eu de diçstance (?) ou comment ? oh le champion ! oh lui oui ill regarde ainsi ! oh la distance ! oh dis donc ! oh la belle distance que voi;:à ! oh ce dire ! oh le beau dxire que voil:à ! oh vce beau dire ici qu’on voit comme quoi kles formes du vivant dici ble (ou dit tout simplement) toutes r(toutes !) prêtent ou prêteraéient à rire ! et pourquoi cela ? parce que voilà : ce qui est dit est dit avec peu d’appuis en vérité. on se dit que ce qui est qui est dit manque d’appuis ancrés dansz la roche. ça y va dedans mais pas suffisamment. on veut dire ça, que ça va en roche dedans (le Temps) mzais insuffisamment longtemps pour ainsi dire et du coup pour dire ça, com^e quoi les cformes du vivant ne sont pas risibles en soi. on dit nous le contraire. paece que la vie ici (sur terre) est courte, si courte que les cjoses du coup sont qu’elles toutes prêtent à rire grave (dans le grave). loes choses du monde, de la vie, prêtent toutes à rire dans le grave, dans le sévère. ici en roche troutes toutes, sont choses qui, on l’a dit, prêtent que tu prêzteras à rire grave dans le grave, car la vie est courte, la vie sur terree est courte et tant que voil;à ! courte est-elle ! que voilà : ris d’elle ! possiblement ) sans tergiverser ! n’aies pas peur de rire, vas-y ! et nhous de rrire en  npous en restant en vie ! on rit = on vit. vivre = rire c’est un fait. la vie en nous (dsang de buffle) est du rire massif, fort, concentré, alloué. on en avance ainsi qui pensons à cette chose comme quoi le gros du gros de la troupe est du rire en boite. on se dit que ça qui impacte +++ est du gros rire de parade : «à toi à moi la bonne blague», de la blague de collégiens, de laz bonne groosse blague à deux balles c’est possible mais justement ! c’est ça qui le fait le plus ! exa ctement c’est ça qui le p^lus le frait on le comprend ou on l’a compris. a pisser à la culotte ! de la bonne ou bien bvonne groosse blague à cdeux balles qui puiise le faire grave dans le grave ! et p asd auitre chose ! On commence à voir se dessiner des choses de part et d’autre, des chjoses de poifds sur lesquelles s’appuyer un tantinet. on avance à petits pas mais les petits pas ont leur importance, c’est indubitable. le gros rire de saison est inhérent à la langue que l’on )arle entre soi. on se dit que pour nous le Rire Majeur l’emporte haut la main sur la raison, sur Raison Donnée, et que du coup loa masse ici d’un rire franc (français ici) est masse de rage-rire qui fait ainsi que «des choses arrivent» quyi semblent dire ou vouloir dire «ce qui est» des mondes, ou «ce quil en est» des mondes. c’està dire»du monde». cest à dire «du monde tel quil nous apparait». on se dit que ici (la tterre) on est qui allons à lav recherche d’une vérité, dite = formulée, que cette recherche s’apparente à du rire gros, massifs

, en forme de bête (de bete de charge) et alors on voit cetyte chose comme quyoi tout dire (langagier formuulé) est du rire gras de conswerve, lieux communs de basse besogne, tripartites : à toi à moi et à qui voudra s’adjoindre à nottre bande. nous on pense ça comme quoi le Verbe est du Rire en cage, comme quoi le Verbe edst du gros du gros, qui fait pisssr grave à la culotte et autrement souven,t, qui fait ainsi que des choses sensément sont dites mais comme à vau-l’eau et nous de nous y complaire, pensant que. Pensant que le dire charrie sens divers de vérité massive, sens sur lequel on peut décvemment s’appuyer longtemps mais rien du tout. le sens aide au passage d’un endroit l’auttre, il permet l’entrée dans le sas, il autorise, il charrioe avec lui. il est de fait comique. or qui rit ? qui sait ? qui rit vraiment de soi personne vcar. car le rire en soi ne peut ô grand jamais être tenu à tput jamais. en soi on ne peut le rire longtemps tenir qui bnous rendrait malade. en soi le rire ne peut excéder un temps donné sous crainte de bnous v oir sombrer,; défaillir, chuter, tomber, pleurer. on est qui sommes des qui ne pouvons longtemps (vraiment) tenir»»»» le rire. car la vie est ainsi qui nous pousse à être des qui vont nonchalemment (le temps s’étire) sur paroi ou au-delà mais toujours dedans». Or quoi ? la vie «dedans» est une sorte d’enclave, à être cela :même «qU’on est pas au fond de soi». c’erst dur à dire. on est comme des qui voulonds ou voudrions sa ns cesse rire, pour faire impression, et «sauver misère» mais la chjose est dure à faire ou parfaire car : les données sont telles dans lemonde de lka rochje dure, que voilà , on est là sans ^etre là, on fait ainsi qu’on est là pour ça (une soryte de vie d’emprunt) mais en vrai c’est pas ça. on tremble, on vibre de vie vive oui, ou est tout penaud de vie naturelle, copmme un petit veau sious la mamelle, oui. cependant : on p)arle une langue forte, ancreé, cooptée etc, on parle cette langue de poids qui, en vérité, «en soi», est du rire massif, rire fol s’il en existe. car^me c’est dit ici. le carême de la hjoie d’un rire fol qui voudrait mais il ne peut pâs. pourquoi ne peut-il pas ? il ne peut pas car voilà c’est dit : le mot cvomporte en lui mais ne peut déployer à vie, cette chose d’un rire frontal, brutal, collégien, qui pisse son être de vie, qui foule aux pieds, qui démantèle. la vie pour nous est ainsi que le Verbe, s’ilcontient de fzait le rire dans le sang, nne peut le tenoir ouvertyement durablement , du fait que la vie est une sorte d’endurcissement de roche, d’enkystement massue, d’encerclement rocheux de base qui font que voilà ce qui est, vivre = etre là pour soi dans une sorte d’allant «sérieux» qui oblige à de la discrétion de rue ou dite «de rue». nous bnous affichons comme n ous allons  = à deux, serrés, main dans la main, outrageusement serrés mais comment faire ? nous avons à être des êtres de copulation rupestre , «à toi à moi» les parties, et du coup ça cède et voi:là le rire sur terre, mais pas toujours, p)as en continu, alors que oui, ça devrait, massivement, aurochnoidement pour ainsi dire. ça devrait perler permanemment à même la roche, en jet (je) continu, mais non ! ça perle pas en continu ! ça stoppe ! oà des moments ça met le holà ! ça s’arrete dans le tasd ou cfomment ? ça dit puis ça dit pas ! ça va pas jusqu’au bout du bout cde soi car le bout de soi = un gra,nd rire massif, dee joie et de non-joie, rire dans le grave, ou rire dans le sévère, de joie et non-joie accouplées, de belles joies et de vbelles non-joies sezrrées l’une à l’autre comme autant de données de roche dure sur lesqullesv(les données) pouvoir prendre appui durablement. toutes les formes du vivant en soi sont «comme» (dirait l’Auttree) risibles de base. on se dit  cela comme quoi les formes, de base, sont toutes en soi risibvles voire pire,et  cela pourquoi ? parce que voi:à : nulle n’a en soi (comme autoporté) d’assentiment ancré, d’assentissement (un grand oui) autoporté qui puiise faire ainsi que ce qui est dit soit comme gravé dans le grave inaltérable de la vie des formes en vie. la chose ici est celle-ci : un mot dit est dit dsans un temps de ra ge qui en fait une misère. uun mot dit (prononcé disons) perce roche peutêtre mùais jusqu’à quel point de non retour ? on cherche à comprendre ce que c’est que ce gros rire de la vie brûlante, on cherche sérieusement soit sans rire, mais ce n’est pas gagné pour autant. car  ous avons à comprendre ensemble cette cghose comme quoi la vie est peut-être oui du rire forcé, du rire ancré, mais pour qui ? pour quel être en vie sur terre ? nous voulons cerner les données frontales de la roche dure cdevant nous et ce , oui, peut^rtre, par le rire gros. par du bon gros rire des familles ou des chaumières. on veut aller loin dans ce rire des chaumières mais comment sinon en dxépl;oyant comme on le fait (de force) un allant verbal, une sorte d’(allant dans le Verbe à cru d’une langue donnée, de telle langue en, soi des parois, d’une lazngue affolé ou rendue folle par le jeu du je pariétal de base : aurochs attribué, auroque allouée, les deux accolés pour la bonne cause. on voit que ça le fait, on voit que les choses vont. on essaie de toucher à ça qui est du dire de la foi dsans l’être. on se dit que nous on a à charger que tu chargera s une mule de paroi ou auttrement mais cela toujours ensemble. charge que tu chargeras la mule, va donc. et nous d’y aller fissa ! de nous entourer des bonnes ondes ou comment ? de nous disposer de telle sorte que oui, enfin, le rire, le bon gros rire familiail , le rire des derrières les tentures, le rire grave ! ah le voi:là ! puisse nous aider à franchir le pazs. le bon gros et gras rire de poids = qui pèse lourd dans l’escarcelle de la vie donnée de soi (celle-là) et dsu coup «l’emporte avec soi» comme on le dirait d’un raisonnementparticulier ou d’une sorte de démonstration par a + b. on avance ainsi qui allons par du grops rire à la pêche à une sorte de poisson particulier ici à une vie offerte par la bande sur roche gravée, creusée, ouverte au pic de Verbe. on rit. on rit à gorge dép:loyée. on rit grave. on rit jaune ???? on rit de bonne grâce car on est vivant, etb étant vivant on en abvance ainsi, qui creusons la roche da,ns le sens du fil de base pierreux, bete aux cornes élancées, talons rudes, crans et crins donnés, oeil de biais. on voudrait savoir pourquoi les choses de la Foi dsa ns l’etre ne sont pas tracées de base. on voudrait savoir pourquoi ;le Rire de la HJoie dans l’etre n’’st pas lui aussi donné par la bande. on voudrait s’appuyer (ou pouvoir s’appuyer) sur du vrai de vrai pzariétal. on voudrait creuser la roche durablement afin de co:prendre pourquyoi ce qui est ici (rire à deux) n’est pas plus en vue, ne pervcute pas cdavantage, ne va pas plus loin que ça en définitive. car on xsait à présent que le rire est Le poids de base déposé sur  roche, Le de Les, ou comment dire ? Le qui co:mpte le plus. on voit à présent (on a fait du chemin) que le Rire en soi (contenu en soi dans le Verbe) est la basev rude, est cettye base des tourments, ce fond de pot, cette base acculée, ou bien ce cul de roche ou cul-de-roche qui fait cette chose comme quoi à présent on comprtend des choses. on comprend que ça (le cul-de-roche) est la base des données de base (de rage) et aussi la chose qui permet l’Entrée. on sait à présent cette chose comme quoi le Rire contenu, le rire acquis, le Rire de la Joie de l’Etre, est cette donnée  de base enracinée en son prpopre soi commme l’est le verbe, pareil. bref. on se dit ici que voilà, cette chose, ce Rire des fonds, est cette chose commae quoi nous pouvons aller, avancer = nous projeter. le temps ici est comme poussé ou repoussé ou comment ? déployé ? redéployé devant ? par du verbe cru (du rire de base) qui permet la chosedurablement (un temps donné). on voit cette chose comme quoi la vie vive offerte est du verbe cru qui prete à rire r( du rire en soi) tel que les choses du monde nous poussent à en offrir ou comment ? On est deux main dans la main. on rit de bonne volonté. on regarde ce qui est devant qui semble vouloir nous parler, nous accoster pour nous par;ler. on veut essayer ensemble, de co:=ptrendre ce que c’est que ça qui s’avance vers nous et cherche on dirait à nous accoster pour nous adresser la parole. on est cdeux qui regardons. quelque chose s’approche de nous, on dirait que cettye chose cherche à nous parler, à nous dire des mots, à s’adresser à nous qui la regardons s’avancer vers nous. qui est-elle ? qui est cettye chose,  cet être ? comment s’appelle cet être ? peut-on connaitre son nom facilement ? qui est cetb être devant nous qsui s’approche de nous ? qui parle fdevant nous ? qui nous parle à travers bnous ? qui nous traverse ? sommes-nous ainsi aussi (nous ) à traverser par la nbande ? sommes-nous nous aussi à traverser ainsi par la bande ? devons-nous nous laisser faire ? sommes nous porteurs d’un rire massif ? rire fol qui force la roche ? le rire est-il le pic sus -me ntionné maintes et maintes foi ? doit on penser au rire en bnous (verbe de Foi) comme à un pic d’attaque pariétal  ? doiton penswer en  nous et de ce fait faire ainsi qu’une percée adveint devant nbous ? sommes nous du rire incarné ? rire cfranc de la francjhise ? rire en soi du franc-aller en roche ? sommes nous riants ? sommes nous des qui ont en eux (autoporté ?) le rire de la joie de l’etre en soi : buffle et bufflette alloué(e) s à vie de rage? avons-nous en n ous le rire porté ? azvons nous en nous du rire de roche ? comment faire pour bnous retirer sans encombre (pointes des pieds) et tenir ainsi en roche sans céder ? Nous ne voulons pas céder. nous ne v oulons pas passer pour des benêts, des betes de rage, des betes qui ne seraient pas à la hauteur, des betes de rage qui ne seraient pas considérées à laeur juste valeur, c’est àdire en tant qu’elles sont ou seraient porteuses d’un bon bon gros et gras rire des contrées, des localiktés. nous voulons être considérée(e)s comme des qaui sont porteurs et porteuses d’un rire de poids, gras co=mme une vache, gros comme un taureau, gros et gras comme tout, et qui allons de fait ensemble, vache et taureau ou comment à la foire, au marché rocheux, au marché de roche des parois du monde : rions ! rions grasd ! rions de tout notre pouvoir en soi ancré d’y aller, d’y aller d’un bon gros rire des familles ! chargeons la mule en  nous d’un bon gros rire des familles : actons ! faisons montre de volonté. ne lésinons pas sur les moyens à adopter pour cela. faisons en sorte que la chose soit de rage entérinée et gravéée sur roche au pas cadencé, fortement, vivement, sans sourciller une minute. allns vers pareil:le donnée et gravons. gfrave que tru graveras la roche de ton rire fra,nc. de ton rire fol ou fou, acté, tracé, gravé oui et profond, dans les plis de l’etre rocheux. faisons acte ainsi d’un tracé de choix «dans le rire vif» et ça le fera. on se dit cette chodse comme quoi, pour nous, à nos yeux, toutes les formes de vie sont comiques. toutes sans excefrtption, c’est àdire toutes dans le grave, la gravière, dans un grave de gravière graveleux. on voit que ça grave grave dans le grave , et cela dit ça , commê quoi le rire est gravé à même la rochje, bon gros et gras rire massif comme aurochs des latitudes et bisons (ou bisonnes) des longitudes. on exssaie de déchiffrer les données profondes. qui parle ? soi ! c’est dit ! c’est fa cile ! On se dit ici que celui qui parle = soi. c’est à dire il ou elle c’est selon. il qui peut être ils, et elle qui peut êtyre elles. ça peut être on aussi , c’est à dire iun + iun qui dfait l’on de l’onde. on regha rde loin devant soi le p;lus (combien de kilomètres au juste ?) et on voit cette Chose rude qui vient, qui vers nous vient, s’avance à pas lents, cherche à gagner du terrain vers nous qui nous tenons debout, campés, sûrs de notre assise ou assiete, campés ety campées, ou campé et camppée, et du coup on voit venir. on se dit qu’une chose arrive vers nous. cette chose est-elle pour nous ? vient-elle vers nous ? vient-elle pour nous ? veut elle venir vers nous pour nous ? doit-on penwser qu’elle vient vers nous pour nous ? que doit-on penser ? que faire ici sinon ça qu’on fait, attendre et voir venir ? doit-on agir autrement ? doit-on chanter ? rire à gorge déployée comme devant ? nous sommes des etres de peu cde foi peutêtre quoique non : nous croyons au verbe, et voi:là que npous sommes ainsi qui regardons venir vers nous une Chose «réelle» qui porte le nom de sqon père et de sa mère. qui est-êlle ? ou quoi est-elle ? qu’est donc  cette chose devant nous, qui srmble venir direct vers nous ? Quel nom cette chose porte-t-elle ? le nom dee ses parents ? le nomm donné par une chose surnaturlkle ? le nom de sa contrée ? on voudrait savoir. nous on se cdemande grave qui ça peut êtyre qui s’avance vers bnous d’un poas nonchalant et semble nous reconnaittre ou nous connaitre. qui ça peyut être ? on voit ça de loin.on voit  venir la Chose de loin. on se tient à carreau. on ne veut pas se faire avoir, ou se faire engueuler, ou se faire sermonner ou bien se faire entuber ou de faire mettree, ou bien se faire insulter, ou se faire crier dessus, ou bien se faiore conduireen des extrémités que personnellement tous deux on ne souhaite pas./ on ne vceut pas que  d’aucuns ou d’aucunes agissent sur nous de manière à nous faire mourir incidemment. nous on souha ite demeurer. on veut conserver à tout prix (peutêtre) la vie. on veut conserver en nous le rire de la graviteé, l’aurochs intérieur, cette chose de poids qui vibre et trace sur roche (à l’envi-) des betes célestes. on veut conserver pour soi la vie vive du rire ancré, encerclé. on est deux qui cher chons (main danqs la main) à sauvezr ce qui de nous peut l’etre durablement à sabvoir le rire, le de la, le rire gras de la vérité qui fâche, qui blesse, qui mezurtrit peut etre mais qui ne tue pas. on veut pousser loin (repousser) la Chose qui advient = l’impromptu, l’oiseau, le venant (tout venant ?) , le qui gagne du terain, le ou la. nous on tient bon sur nos positions : on campe. cvampement royal frontal . on se pose. on est deux en nous qui posons et se posons. on rega rde ce qui est ici devant : la venue actée d’une chose vers soi, acté car réekle, ou sinon réelle visible, sensible. 

On est deux qui cherchons de fait à comprendre, ce rire, ce quil est au juste. estil réelement du rire ancré, du rire de base ? du rire comme introduit en une sorte en nous de poche à contenance vitale ? ou bien est il comme plaqué sur de l’existant moteur ? que devons nous penser d’un rire plaqué ou qui serait plaqué par la bandfe en nous ? a t on en nous de ce rire plaqué , de ce rire ancré ? qui p)eut dire cette chose qui serait dès lors comme adoubée ? qui connait le fin mot des choses ? nous pensons que nous avons en nous du rire massif, choix de poids, qui pèse grave car il est le verbe en son entierr. vce rire est un rire massif en cela qu’il est le verbe en son entier. on sait que la chose du verbe est chose puissamment pesante. on sqait que cette chose en nous est une sorte de donnée frontale, accolée au temps etc. Difficile de faire ainsi que cette chose (du verbe accolé) puisse nous échapper fissa et viçvre sa vie (sans nous) par les airs ou par les monts ou par les embruns, etc?. nous sommes tenus. nous sommes commùe prisonniers ou faits prisonniers d’un état de fait. cette chosecpour nous est ainsi, que nous nous voyons comme obligés(es)s de souscrire à une sortye d’amendement comique mais qui , de fait, nous fait rire sans nous faire rire, pourquoi ? parce que nouys sommes comme submezrgés, pris à la gorge, pris à partie véritablement, et cela par cette chose en nous qui porte le nom de Verbe (ancré, acté) dde notre misère d’être. nous voulons savoir beaucoup mais comment savoir beaucoup sinon en faisant comme nous faisons à même la roche, en crachant, gravant, traçant sous emprise le Verbe du rire en nous contenu, ce  verbe grtos et gras qui est celui du rire et de l’insulte, des :mots durs, des mots de la rage etc. nous voulonqs aller loin dans cette chose d’une sorte de raison première, de raison primaire, ou d’intellige,nce pariétale ou dite telle, et ce dans le but avoué maintes fois de nous approcher le plus possiv

ble de la vérité telle qu’elle se logerait, qui sait, dans les interstices (ou autres fentes avérées) de la roche dure d’une paroi dure.

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15/11/2022

On regarde devant nous ensemble la paroi. on est deux ici qui regardons ensemble la paroi, cette chose devant soi énorme. cette chose devant soi qui ressemble à une bête énorme. on veut toucher icelle. on veut être deux ici qui touchons icelle. on veut s’approcher et toucher icelle. on a besoin de s’approchger et de toucher icelle. on est deux en nous qui cherchons vza

ille que vaille à toucher icelle «paroi du monde»»». on la regarde. on s’approche. on voit les tracés, les bêtes dessinées. on se dit que nous aussi on est des bêtes dessinnées, «on est» bêtes de foi, de rage, d’apparat, d’attrait, des arrêts. on se dit que nous auusssi on a besoin de faire ainsi que donc, on soit vu de loin comme des qui vivent /+++++++++++ leurs données de rage rustique, agraire, etc. nous on veut que nortre image (l’image de soi) soit çça qu’on voudrait ici = cette chose d’une sorte de bete de poids en nous ou comment ? bete qui va, qui force la donne. bête en nous qui force et pousse et gueule aussi = vitupère, etc, à même la roche des temps déroulés. on regarde ce qui vient devant, soit ce déroulé des instants, et on se calfeutre ou bien on se loge vif ou bien on s’incruste vilainement ou bien on se glisse subrepticement ou bien on se fiche à quatre pattes en cette roche dure ou bien on passe la t^te puis tout le corps ou bien on se carapate ou commùent ? on meurt ? on passe l’arme ainsi à gauche ? on fait quoi au juste ? on sombre ? on fait faillitte ? on ferme boutique ? On essaie à deux de nous rapprocher au plus du plus de cette zone dite «fatidique» et voir, voir ce qui est, voir «des choses», on veut voir , on veut voir sur place «des choses» = des données de base, «nature», chargées, rudes, pleines d’elles-mêmes,. on veut tenter comme une approche vive c’est-àdire depuis ici = la vie (la nôtre). on veut ensemble tenter cette chose d’une approche de la mort (le ou la «fatidique») mais depuis la vie qui nous est octroyée. on voudrait tous deux faire cette chose d’une approche de la mort «dans la vie» c’est-à-dire «à plat», là, pas loin, ici même, serré l’un à l’autre = collés. on se dit que le coup est peut-être jouable ENSEMBLKE. on se dit ici (roche) que cette chose (ce vouloir) est un coup jouable à deux , c’est-à-dire parce qu’on est deux (on l’a dit et répété° et peut-etre que c’est vrai en vérité ! peut-être en effet que cette chose de dire des choses concernant la mort, peut-être que cça , cette chose, de dire à) propos de la mort , je veux dire : depuis la vie, des choses rudes, eh bien peut-être que «ça peut le faire» un peu, que ça peut un peu le faire», que peut-être en effet cette chose d’un dire «depuis la vie» à propos de la mort est une chose qui , d’une certaine manière, «peut le faire». on commence à se le dire. en effet : cette chose là = depuis la vie, depuis ces moments à nous de vie, ces temps vécus, depuis tous ces temps qu’on est ensemble à vivre de concert, depuis là ou lors, eh bien on regarde, on voit, on touche , on touche la mort. est-ce que c’est ça ? est -ce que c’est cette chjose ? est-ce que c’eset cette chose d’une sorte de «révélation des ombres» ? on regarde «depuis la vie» la mort. et quoio on voit ? on voit... que ça vibre, oui, que ça envoie du bois, ça aussi, que ça charge grave (=poids), oui, que ça souffle en bataille, ok. on voit que la mort est devant nous et pas derrière (on le dit). on voit que Mort est comme une personne droite, postée, devant, devant nous comme une porte, un passage à traverser. la mort est une personne devant nous debout. ou comme une personne. devant nous debout = dressée= posée devant comme une offrande, une sorte de présent de base. on regarde devant nous la mort aller. elle va, elle est là droite comme un i. la mort (voilà) est droite comme un i. elle nous regarde et nous on la regarde. on se dit «la mort», on parle d’elle, on l’évoque, on sait des choses, on ne sait pas rien, on sait que la mort est une belle chose droite, dressée comme un i, debout toujours, forte d’elle, forte tête aussi. nous on pense que la mort ecxiste bel et bien et c’est la langue qui le dit. nous on se dit «depuis la vie» que la mort existe pour nous, elle est là devant dressée, c’est les mots en nous (la langue, l’idiome) quii le disent et pas qu’un peu : plein = plein de fois. nous on est presque certains deça comme quoi la mort devant soi est une chose qui est dressée, quimate sec, qui n’en louupe pas une, qui ne fzait pas semblant de nous regazrder, de s’intéresserv à nous. elle ne nous lâche pas d’un poil. elle nous suit à la trace comme un petit chien. elle est toujours proche. elle nous lorgne vif et jamais ne relâche. elle nous veut pour elle, elle nous colle au cul. on veut se détâcher d’elle et vivre tranquille sans elle mzis c’seet impossible car toujours elle colle que tu colleras, elle ne s’aerrête jamais, jzamais elle ne cesse. elle est coquine. la morrtt est une sorte «d’enfoirée» de base,»conne ou connasse» comment dire sans la f^cher ? on se dit que nous on a pas envie de se coller à cette chose rude et du coup on fait les pitres, on fait les 400 coups, on fait des grimaces, on fait tout ce qu’on peut pour ne pas céder à ses injonctions, à ses dires, à ses appels du pied. nous on tente de se retrancher dans la vie mais ce n’est pas facile loin de là. on veut comprendre bien sûr cette chose d’une sorte d’attribut parasitaire, cette colle, ce col de rageou cettee ombre de dépôt, etc. on voudrait en savoir long sur ça. Comprendre pourquoi la mort nous colle aux fesses en permanence et jamais ne nous lâche la grape. pourquoi cette chose ? pourquoi dit-on «la mort» et de ce fait on dit ce qui est, à savoir que la mort dite = une chose de poids tentaculaire, avec tentacules ordinaires ou extraordinaires (question de point de vue) mais qui vont loin là-bzaas, dans le temps du déploiement, vers des abords de base rupestres. et nous de nous dire ça comme quoi on est en vie des qui déployons nos tentacules verbales, nos allongements verbaux, etc, à visée incantatoire. pourvu que la vie dure , disons nous en d’autres termes, ou quelque chose de cet ordre on dirait. on se dit que pour nous la vie = cette chose nue qui cherche à percer la roche. attribut ? colère ? vent ? souffle de vie verbal ? on cherche (ça c’est sûr). on veut faire ainsi que pour nous la vie soit cette chose «dite» qui pousse la mort aux calendes grecques. nous on se dit que la vie ici est chose de base, chose collée à du verbe-né, on se dit que vie = v = verb = vie de verbe = verbe-vie = verbe-vit = verbe dur et qui pousse au cul de la mort voisine. on se dit que nous on a à pousser au cul la mort d’un dieu frontal ou pariétal, feu le dieu, et que dès lors on y verra mieux sur ce que c’est en définitive que cettte question des choses du monde. verbe-né = ventre à terre . verbe-né = cette cghose allant rampant , allant vif son chemin de terre, allant vers la mort donnée en é change... de quoi . de soi pardi ! de son soi à soi  ! on est comme deux qui nous regardons nous-mêmes nus ! on voit ça ! on est nus comme des vers de terre ou vers rampants. on voit qu’on est nus comme de rien, ou comment dire ? car nous ce qu’on voudrait c’est être habillés (pour l’hiver ?) et aller loin en ces contrées de rage, de base rupestre, ces parois, ce ciel. on veut traverser la zone. nous la zone on voudrait ensemble arriver à la traverser, avec des mots dits (prononcés) ou autrte chose mais la traverser vite fait, on pousse on y est, on serait passés, on serait à présent logés à l’intérieur d’icelle, on se regarderait dedans fiers comme pas deux, on sourirait, on se sourirait. on veut êztre des qui savent ou en savent loin (ou long) et pour ça on a besion de toutes nos forces, de toute notre intelligence, de toute notre envie prenante ou prégnante, etc, et du coup forcer . force que tu forceras. on se dit q’uon se doit de forcer la roche et la traverser coûte que coûte à la une à la deux ensembkle = de concert. a deux ça  pulse des masses on dirait. on se dit que nous on doit pousser fort pour traverser la roche des données vives de ;la mort à l’oeuvre ce qu’elle est. car la mort est une enfant du verbe. une ou un. car : elle est redressée comme l’enfant qiuui, passé un temps, cherche à se lever de par terre et à marcher d’un mur à l’autre, de la table au mur, du mur à la chaise, etc. on se dit que pour nous le verbe est né quand on était reenfant qui regardions les choses du monde adjacent comme des atours de base menaçant, des êtres malfaisants, des ombres suspectes etc. mots du Verbe vif d’une rage à naittre. on voit les données frontales déployées , elles vibrent. la mort vibnbre de tout son être dans le vent. on voit cette chose debout, face à nous,; ombre folle ,? ombre vive ? charge ? on ne sait que penser de cette roche qui est devant nous la roche des traits dessinés par une femme ou par un homme des cavernes. on vboit cette chose là qui dresse son être de vie devant nous, qui se dresse raide, vient vers nous et cherche à nous adresser la parole. que nous veut-elle ? que cherche-t-elle à nous dire ? que veut-elle pour nous ? que cherche-telle donc à nous révéler ? que ou quoi la mort veut -elle dire à nous qui sommes deux (main dans la main) à la regarder ? eh bien ça : que la vie-verbe est une sorte de massif de rage (colère ++) qui est cette chose posée (déposeé) comme une gerbe sur un xseuil de destinée, sur seuil de roche dure, sur fond de base rocheux, sur paroi frontale, sur socle. nous on écoute attentivement le dire de la mort en noys. car on dirait ça qu’en  nous la mort parle. car ça il sembleraiot que donc,; la mort, elle-même en chair et en os pour ainsi dire, parle en nous le verbe de la vie, verbe-vie de rage à être. la mort en nous dit des choses dures, comme quoi la vie est une chose en perdition, etc. on cherche à cerner lkes tenants et les aboutissants d’une sorte de donnée de base frontale (dieu sec, dieu d’eau, dieu des zones sèches, dieu des aquariums). nhous on veut ça. on veut que en nous parle la mort, qu’elle dise ce qui est et c’est ce qu’on fait : on la fait parler, on la laisse s’exprimer fissa, on lui laisse la main pour ainsi dire (sur paroi de roche : mains surnuméraires). et on se pose comme en retrait visà-vis d’elle. on essaie ensemble cette chose , de nous tenir près mais en retrait, de ne pasc interférer ou le moins possible. nous c’est ça qu’on veut pour nous. nous on se dit que on est deux qui voul;ons ça pour nous. nous on se dit que ça, cette chose = ce dire (de la :mort à l’oeuvre) a une importance massive, groosse, forte et folle, rudement gracile, pleine d’elle, de sa graisse d’être. nous on veut que ça (la mort) parlât à notre place mais à travers nous, c’est-à-dire par notre entremise («à toi à moi») et basta. on cherche à faire ici parler la mort = à l’écrit = pâr des mots tracés = par du verbe gravvé comme des effigies qui s’interpénètrent. la mort on la veut gravée. on veut la mort la voir gravée. on voudrait que la mort fut gravée et pas qu’un peu. on voudrait ensemble cette chose ici (depuis la vie) à savoir : que donc icelle mort de base frontale fût gravée fissa par la bande, sur roche frontale, effigies nacrées, cordes vocales ? On se dit que pour nous la chose est d’importance, comment dire ? on se dit que pour nous autres (êtres de la foi dans l’etre) la chose est ici capitale, importante comme jamais, cruciale même. qsuestiuon de vie ou de mort : le verbe. et du coup on trace c’est fatal ! on trace que tu traceras de rage des données, on trace des données de rage que tu traceras, on trace et tresse des données de base rageuse que tu traceras à l’occasion ou pas mais nous oui : fissa, grave, à fond, coinjointement ou main dans la main, à la une à la deux on est là qui gravons sur roche l’animal de poids frontal, l’animal frontal de poids, son frère, son cousin germain, son père, sa soeur de bas-âge, son amie des p^rés, sa mère forte, son copain ou petiot copain, ses entrées. on se dit que on se doit de dire ce qui est ici, cvomme quoi la mort de toi, de moi, de nous, de toutes et tous, est chse tracée = bouquetins des prés et des alpes, bouquetins-quetines des alpages, des hzauteurs de prés, des alpes de haute-futaie, des herbes folles, des cailloux secs, des monticules. nous on voit depuis chez nous les choses se tramer et on y croit parce qu’on est nés ainsi, qui croyons au verbe, aux mots appris, aux données de base (rage) verbale. c’està dire aux sens des mots appris. aux dires inculqués, insérés en  nous comme par la force des choses. on est comme le reflet des choses inculqués et du coup on sermonne en  eux-tu en voilà, on est pas sortis de ça. on se dit que c’est ça qui compte ? on se dit pour nous que cette chose ici d’un savoir inné est une chose de belle  prestance ou comment ? importance accrue ? poids du temps ? on voit la mort gagner sur nous (le Verbe) via les mots tracés à mêmùe le temps et du coup on s’époumone qui plus est, on ne cesse plus, on en veut, on crache du feu, ou pousse de belles et longues jérémiades à la volée. on voudrait pousser du moins, de belles et longues jérémiades de haute volée. on est qui voulons pousser ici de belles longues jérémiades rudes, fortes comme pas deux, fiables, graves, sérieuses, qui puissent le faire et pas wqu’un peu mùais fort etc. nous on cherche dans le creux de l’etre frontal = pariétal la chose. nous la chose on la veut là-bas enfoncée, dans un  creux de roche, roche dure s’il en est ou bien meuble peu importe du moment que la chose (la mort) est tracée au vif, nous on dit que ça nous va pas mal. que ça nous agrée. qsue ça nous sied. que bla chose pour nous est ok, va, colle, convient ferme. on dit comme ça. on dit que pour nous le Verbe est une chose qui colle et renvoie à des données de bases rupestres comme aurochs ou autres betes dessinées pâr des ancviens. par des êtres qui en   ous cheminent encore, vont devant, filent à tout va, nee traînent pzas plus que ça. on est deux à vouloir la chose comme quoi on est... des qui... comment dire ? sont (à deux) Un, qui file. on est des qui sommes Un = Nu. etc. nous on dit ça. que le Verbe en nous est une base de poids massif, qui fonce à tout va sur roche et dit la vie-la mort dans un même élan temporel = une courbe, un rond, un trou, un cercle de choix, une sorte d’entrée de bazar ou quoi d’autre ? une fable ? une fable vive ? un trou dans le sac ? nous on se dit que on a à dire à fond des choses de la vie (ou de la mort) à la mort (ou à la vie) et voilà pourquoi on colle aux basques du temps déplissé, voilà pourquoi on est là à deux (on dira ce qu’il en est) à coller aux bpassqques du temps rompu, du temps outré, du temps forcé, du temps accolé à du Verbe nu. on veut toucher à vif la chose du temps déplissé.nous on cherche à deux ^parce qu’on est deux. on cherche à comprtendre des données vives de chez vives à deux. on cherche à déployer le Verbe de Joie. on ne fait pas semblant peuchère non. ou oui ? gros massif de joie de rage à la volette pour de faux ? pour faire impression soleil levant ? somme toute ? peut-être. on cherche à combler les trous d’une sorte d’impatience. on se colle soi à dfu verbe nu ou tout comme = déplissé à même la roche = tracée au fusain ou bien gravé = antilopes antipodistes ? antipodistes»»» ? on ne sait mais comme,nt dire on fouille. dans le sac de jute oui. c’est exactement ce qu’il en est. on fouille le sac et on en sort des données de rage vive ouiiiii, et du coup ces données on les fixe à jamais sur roche en espérant que peut-être un jour nous serons enfin comme adoubés par quui de droit qui fera de nous des êtres de choix = choisis par la bande et élus comme des qui comptent dans le décompte. pas gagné ! on se dit entre nous (nous deux) que bof ! faut-il ? le je en vaut -il la chandelle pour ainsi dire ? le jeu de soi, le jeu de l’oie des données brutes : vaut-il qu’on s’acharnât pôur être ? pour «exister» ? faut-il s’acharner à paraitre ? ne vaut-il pas mieux pousser bébé dans les remblais et tracer fissa sa ronde de joie sur grève ? on voit la paroi faciale frontale : visage de la foi dans l’être, et on lui sourit comme des benets ou quoi ? on veut la charmer ? on se dit que la mùort en nous cherche à percer sa misère sur paroi de roche (du monde) et vas-y l’ami pour la contrearier, la freiner, la faire taire ! on peut toujours rmêver mais c(‘est loin d’être fzait, on a du boulot, on est pas arrivé, on pousse fort mais ç  pèse, etc. Donc voilà pourquoi on grave que tu graveras sur roche des données de base animale, des données de base animalière, des données frontales de base animale et des données rageuses animalières. des données qui toutes tiiennent lieu de serments de foi. car les mots de la vie vive (celle-là qu’on est en train de vivre) sont des mots liés à la foi en cette chjose de la mort à l ‘euvre en soi. car la mort travaille en douce, ou comme en sourdine, en nous, pour nous ou contre nous affaire de point de vue. la mort en  nous creuse son chenal. il s’agit de traits de rage vifs, qui frottent, fouillent la roche, la trouent, s’implantent etc et laissent des marques, et nous ces marques de les regarder, de lire les traits cvomme des messages venus d’on ne sait, messages crus, vifs aussi tout autant, colériques il va de soi et désarmants (un peu au bout du compte : l’arme à gauche»»»). voilà les mots ici, ce qu’ils sont en nous pour nous : des armes à double trancjantds. on voit que des mots ici se gravent tandis qu’on parle, et d’autres se retournent contre nous qui nous avançons (en effet) imprudemment. la mort gagne en nous sa misère (nous met la misère) et nous on trace «gentiment» des mots donnés pour des faits de vérités (tu parles !). on est comme des benets ou bien comme des garnements ou alors comme des enfants ou alors comme des idiots de ta rage ou aloprs comme des vivants qui sombrent ou alors comme des petits sacripants et petites, ou alors comme des qui fouillent dans le sac et  cherchent pitance ou alors comme de riches oiseaux d’envergure, royaux, chants des hauts, pépiements, gazouillis, cris déchira,nt l’azur, chereté, vivacité, envergure. on dit. on est comme on dit des betes, des idiots-bêtes. on veut toucher le ciel d’un trait oh c’est risible , presque ! on est comme on est dit-on c’est vite dit. on est autre aussi... ou pas ? que n’est-on sur terre ? oiseau d’nverhgure ? cris dans un ciel gris ? chants des hauts de base (cris soyeux) ? on est ce qu’on est ? on serait cette chose pour soi qu’on serait fautif et coupable d’additions : de mots sur roche, de gravures à l’emporte-pièce, de traits de furie, de scansions diverses. on ne veut pas être mal jugés c’est un fait de société. on veut»prendre» ou «bien prendre» pour soi,  ce qu’on est au njuste (= en toute équité) mais ni pour le voisin ni pour la voisine. on veut l’équité de base : royzaume des cieux. on veut la Grand Equité rageuse, celle-là qui trie comme il faut le bon grain de l’ivraie et sait. celle- là qsui ne s’en laisse pas conter par du verbe parcellaire (à toi à moi à la retombée). on se dit pour nous q<ue l’équité est la grande affaire pariétale : le sommet des affaires, le haut du panier de ta mère, lza chance à briguer, le mot de la fin sur terre (vrai ?), et nous d’y courir après à toutes enjambées = en colère nous-mêmes , sortis du ventre d’une mère nue, chargé des accus. on cherche-fouille, on fouille-tranche, on tranche-entre, on entre-creuse, on creuse-gagne, on gagne-file, on file droit à même la roche et on va là-bas, au loin, embruns, porte de la fin des monde (ombres ?);, trou axial ? fatal ? gravé ? trouée des acidités ? griserie ?On est accouplés et on chevauche ! on avance ! on se loge dans les interstices de la roche nue qui nous enveloppe et nous contient comme une sorte d’utérus rageur, comme offert, comme donné par les données de base frontales : parois des entrées vives, 

à-côtés royaux. et nous d’y aller de plus belle enchantés, enchantés é et enchanté é e, et pourquoi cela ? parce qu’on est passé de l’autre côté diantre (diable) ! on a réussi ceete gageuere, on y est arrivé ! on a cherché grave et on y est arribvé ensemble, justyement grâce ou à cause de ça, qu’on était ensembkle, car ensemble (2), on en avance ++++++++ et du coup on y voit mieux, plus loin, plus vif. on voit vif ensemble. les données tracées on les remartque. on voit des données de rage tracées et ç a ça marque un organisme double ou dédoublé (à toi à moi») comme le nôtre. on charge grave sur roche parce que que ça : parce que. parce que voilà. on fouille-creuse, on creuse-entre, on entre-couve, on couve-jette, on jette-croit, on croit-possède, on possède-entraine, on entraine-établit, on établit-absorbe, on absorbe-assouplit, on assouplit-glisse, on glisse-cache, on cache-éventre, on éventre-touche, on touche que tu toucheras la roche du temps = une vie durant. on se promène à deux (main dans la main) en ce lieu de verdure pariétale (à l’intérieur de la pareoi) = un pré pour des promenades et autres gambadements de bêtes sages. il s’agit ici de bêtes de poids essentiellement (une essence) et nous parmi ces bêtes on se promène main dans la main, on espère tomber sur des données qui nous apprennent quelque cjhhose de «divin», une sorte de «vérité» des entrées, des données, et certtte «vérité» arriver à nonchalamment de préférence (on a tout le temps) la faire nôttre, ou faire ainsi qu’on se l’approprit, qu’on se l’approprisse ensemble, nous deux , pour une vie donnée qui serait vie d’une foi dans la vie (foi-cryoance ici comme quoi le mot vie , et aussi le mot mort, se rapporte à quelque chose de patent). on regarde autour de nous les herbes, les bêtes, les arbres, les fourrés, les betes de poids qui broutent et mâchent-ruminent et nous comme elles on cvoudrait bien , c’esst-à-dire ruminer, mâcher de l’herbe des prés, être comme elles betes de masse = faire masse et ne plus trembler pour des choses dites «dites». nous ce qu’o,n voudrait c’est ça : de pouvoir dire à vif ou vif ce qui est, ce qui se trame en ces contrées de rage, prairies déplissées, prés des prés, chzmps des ommbres portées, etc. que se passetil en ces zones francjhes ? quoi est-ce ici qui est en vrai ? est-ce que c’est de la vraie herbe que ces bêtes mangent ? ou bien de l’herbe rêvée ? on se le dema,nde. on veut toucher à la vérité et aller loin dans les connaissances. on veut être ainsi comme accompagné(e)s par des betes en nous (poids de notre rage) et hors de nous (betes nacrées des contrées du rire). on veut toucher à Vérité Saillante qu’elle s’appelle. nous on veut cela = découvrir la Chose de poids qui nous fait face, dévoiler ses charmes, son collier, ses pattes, son museau de tanche, sa poitrine salée, son corps de boue, son cuir, son crin, son poil dru, sa queue battante. nous on veut «y alller grave» dans les recherches de données fiables ! on veut qu’on veut et pas qu’un peu ! on se dit squ’on est zaindsi qu’on cherche grave des données de base ! données des données ! on cherche à toucher des données, ce qui est donné on cherche à le toucher. on cherche à deux («toi et moi contre le monde entier») à toucher la toucher la donnée de base = rage-bisque, sur terre comme au ciel = accouplé s, cette chose, ce sens des choses, ciel-terre accouplés, on dit qu’on veut ainsi trouver = toucher = dire ici (sur roche) la chose vive, la donnée basique, le fond du problème, l’engouement natif. et qui le connait ? qui sait ce qui est ? quoi en vérité est ? on dira qu’au démarrage de la vie il y a eu une sorte d’envolée massive, co:mpacte, indéfférenciée de choses et autres et puis ensuyite les choses (ces choses) se sont délitées, détachées les unes des autres, poids massif éffilochés etc, qui fait que voilà on se retrouve aujourd’hui à tracer que tu traceras ici et là des mots en français, en patois, en arabe parfois, en occitan plutôt qu’en patois (?) ou autrement des mots de rage qui font ainsi que des chjoses sont dites pour de vrai = posées = déposeées = tracées = situées = fixées. On se rapproche de la vérité de base. par des mots poussés sur charge. on npousse à même le temps d’une paroi dure (des entités dites «duretés») et faisant cela on se colle au cul de kla roche, on fait tampon ou comment dire ? on dit «qu»on épouse» icelle menu, on colle aux basques de la vie en vie, on lui colle au cul. on fzait ami-ami. on est deux qui foulons au pied l’herbe des prés : on broute. on est qui allons à fond dans ;les contrées, dans les herbes de Joie édenique, dans les prés verdoyants, dans les champs d’azur et de luzerne. on est deux ensemble associés pour une cause dite «commune», qui vise à comprendre pour toutes et tous et pas que pour nous ! on a mission en nous de trouver la clé des données du monde ! on a mission pour nous en nous (notre vie en définitive) de toucher et de trouver, ou de trouver par le toucher de l’herbe, du caillou, des choses sensibles : épreuves de vie vive, vives épreuves de vie, charges fatales, crins et poils de rage, bêtes à monter , chevaux dans les prés, chants poussés la nuit tombée. on pense que des choses sont ici en vrai.Ici = ce pré des colères poussées. ici = une contrée salubbre. ici = une zone de repli = une chance de plus pour une vie de plus. on force, on fonce, on fouille, on y va, on sépuyise aussi mais on sait pourquoi : la vérité est au bout du trait tracé. on cherche dsans les traits tracés des choses, des données rudes qui pourraient faire ainsi qu’on sache enfin la vie la mort ce que c’est et pas qu’un peu, beaucoup. on veut aller dans les emlbruns aussi, c’est-à-dire un peu plus loin que loin. on veut aller toucher à cette chose rude d’une sortye de paroi de fin, fin d’antre, fin des fonds de rage, coeur ? nous on y croit. on y croit parce qu’on est deux à y croire, parce qu’on s’échange des mots de base entre nous, on a du langage = une langue commune, mots de foi, mots des foi de l’homme et de la femme conjugués , conjugués ou conjuguées, on est qui cherchons dans la conjuhgaison des termes des données primaires liées à la foi en cette chose d’une sortye d’idiome partagé permettant des trouées de rage à même la roche. on veut aller loin dans les donnhées. passer à travers la roche. creuser icelle à vif = du temps de notre vie sur terre, faire ainsi que des choses de poids fussent dites fissa incidemment et par la bande co^tière dans le sas des sas. on est qui voulons. on veut qui cherchons. on cherche fissa qui tenons à la vie sur tterre . comment 1 savoir 2 comprendre ? Comment 1 toucher 2 aller ? cvomment 1 cacher 2 frotter ? comment 1 aller de l’ava ntrt dans le sas des sas et 2 toucher à la roche diite «de la vérité» ? On est squi voulons comprtendre à deux les mystères de la vie sur terre, du langage acquis en tant que garde)-fou de base, chants des roches perlières, chapelets du verbe?. on touche ici à des zones profondes  de la vie vive. on toucherait ici (écran) à des zones profondes, chargées (rechargées), élezctriques = encéphaliques.  On ici cherche nous choses vives = vives de chez vives = en, vie = en vie forte, fortement. on est ici loin deda,ns, on est descendu d’un cran, on est dans la nasse du temps. oh on cherche grave (rimes ?). on touche ici à des fonds de base, on est descendu, ça grince, c’est étroit. les passages ici s’amenuisent et poussent à la rime. a quoi ça rime, ça s’arrime, eh bé voilà. on est collés-serrés. ça serre grave car ici les entrées sont menues qui nous laissent passer et nous avancer mais à pas de fourmis, à pas comptés, feutrés, fins. On est qu’on avance c’’est un fait. on est que des choses se trament, et nous de nous faufiler, de noius immiscer par la bande entre deux travées, cordées, cordes vocales ? on cherche à passer entre= à se faufiler entre deux travées, cordes vocales. on est deux (betes de rage) en nous qui cherchons à traverser, à aller, à gagner du terrain entre deux parois de base qui seraient des cordes vocales, des masses (?) , des données nacrées fiables, pariétales, pasdsage à l’emportée de rage, cours toujours !On avance ainsi au fin fond. on est enfouis. on est enfoui(e)s. on est enfouies. on est comme enfouis. on est deux en nous comme enfouies au sein du sein. on est deux qui sommes enfouies ou comme enfouies au sein du sein. o,n est deux en nous ou hors de nous (?) qui sommes comme enfouies ou enfouis au sein du sein d’une roche dure des temps alloués. on est dans = pris = inclus = adoptés. on est comme deux qui poussons à fond le mobile-corps entre deux travées (cordées ? cordelettes vocales ? charges ?). on pousse dans le saens ou dans la direction d’une sorte de finalité pariétale des données. on pousse en direction d’une finalité de rage dure, fin des fins, fin de la foi dans la fin. on va tout droit vers une sorte de donnée rageuse et donnée creuse dans le sens où ça vibrre en elle comme dans un trou de base, trou d’air. on y voit peu, on n’y voit guère = peu = pas grand-chose = mal = pas. ce qu’on voit = pas. on voit pas. on est ainsi qui voyons pas, ce pas./ on pousse misère = cache-sexe. on carbure, on fonce, on crie, on s’enfonce, on plonge, on gagne sur la terre, on est comme des qui creusent une galerie oucreusons une. On est comme des qui creusons notre propre galerie souterreaine. où on va ? où va-t-on sans lumière ? on est qui cherchons incidemment à aller loin dans la terre et à trouver de la lumière quyelqsue part = une donnée première, un tri, une donné vive, un cri ?), une donnée qui pesât ou porta^t de tout son long sur la terre mère et en imposât. et pour cela on trace à main levée des bêtes de choix sur une sorte de paroi, paroi de misère, humide et lisse, on fait ainsi que des bêtes apparaissent comme traversant par nous (becs de rage) jusqu’à vite fait aller à se ficher sur paroi de base. Nous on en avance, on ne regarde pas derrière (comment regarder derrière ?). on est positifs. on est vifs de chez vifs. on ne se laisse pas enguirlander et sermonner comme des qui sont craintifs craintives et n’osent pas la ramener, nous non. on la ramène ! on est deux qu’on la ramène ! on est à deux à nous qui voulons la ramener et dire haut et fort qu’on est pzas d’accord, qu’on veut pas de la mort , qu’on souhaite ardemment tenir malgré les charges, les tourments forcés, les plis, les accoutrements obligés, les habitus et autres tics de société tels qu’ils nous sont octroyés à notre naissance. on veut arriver à faire ainsi qu’on tînt bon lof pour lof la barque de l’onde de la vie sur terre et marre, tu m’as compris , joie d’aise, amours légères passageres, chants de biche et de cerf, brames. on se tient debout face à elle-lui. on tient debout sec.on regarde droit devant. on vceut droit cdevant voir en face les données raides, les cerner de près pour mieux les visualiser, les intégrer à notre comprenure et du coup les co=mprendre au mieux. la mort en nous est, où ? dans ce verbe tressé qui sort de nous via la colère. la colère ici =la vie tracée. on trace = on vit = on charge la mule de notre colère rentrée ou jusqye là rentrée. on ne veut pas passer l’arme à gauche alors on tient ainsi par du Verbe de poids ancré: il s’agit d’un trompe-la-mort de première, ça on sait, on est bête mais pas que bête. oh on sait  ette chose comme quoi la vie ici est une chose rude et dure, à éprouver c’est sûr, et pas qu’un peu : jusqu’au cou ! au cou et au-dessus encore ! jusqu’à la lie aussi ! on doit en baver et on en bave ! on doit en chier et on en chie ! on doit en prendre plein la gueule et on en prend plein la gueule ! on doit en suer et on en sue grave ! on se doit d’en passer par là et c’est ce qu’on fait en définitive, on peut pas autremùent car on est dans la vie jusq’au cou et impossible d’aller contre cet état de fait. la vie nous submerge. le verbe est ancré. il pousse à germer à travers la vie tracée. il pousse que tu pousseras et un jour il sort la tête et là on voit la misère qui va ainsi à se dessiner sur lza roche des temps déployés, une sorte de farandole, cavalcade, attroupement de bêtes entre elles. chevaux de bois. manège ? on cherche à se rzapprocher d’une sorte de manège dessiné par l’homme-femme des cavernes. nous aussi on est des hommes-femmes des cavernes, on dessine à main levée des betes de poids, on est sous le joug d’une sorte de misère en nous qui nous pousse à faire, à ne pas faiblir dans le faire. on se doit de dire haut et fort ce que sur le coeur on a depuis toujours (nuit des temps). on est freres de misère, soeurs de rage, accouplés, parties prenantes, moitiés. 

On veut aller loin sur un chemin tracé à même la pierre des bois. on est comme deux qui voulons aller loin en cette roche dure, creusant un sillon et s’infiltrant comme une eau vive. on fouille-pisse, on pisse-cague, on cague-largue, on largue-vire, on virevolte-charge, on charge-trace, on trace-passe, on passe-touche, on touche-ouvre, on ouvre-scelle, on scelle-éventre, on éventre-concède, on concède-entre à deux, main dans la main et on regarde et ce qu’on voit nous éblouit par la richesse de son contenu. ça brille ! ça pulse ! ça en jette ! ça propulse ! ça fait son effet ! c’est chaud ! c’est divin ! c’est monacal ! c’est un truc ! c’est une chose forte et douce ! c’sst beau comme tout ! On voit autour de nous un monde vif qui brille de tous ses feux. ce monde est un monde de poids salutaire, chose agraire, percée dans la masse, percée de choix dans une masse rude. on veut toutes et tous plo,nger dans cette chose des savoirs offerts par la bande : sas. il s’agit en effet du sas des données primaires. puis viendra le sas des données secondes, puis tertiaires etc. des couches et des couches de savoirs accumulées sur terre mère, entre deux parois dressées, murs de rage. on est à l’i,térioeur d’un sas dépositaire. on veut aller encore plus loin et pour ça on a chevauché les betes en nous qui savent nous porter plus loin encore. on veut gagner du terrzain à l’intérieur des champs et des prés primaires. on gagne à la force du poignet ou du jarret, on avance. on se dit que la vérité est là-bas au loin, en bout de phrase, au fin du fin, à la fin des fins d’une phrase, au bout du bout? on se dit que la vérité a besoin de temps pour se déployer du fait de son existence terrestre, et par conséquent il y a fort à parier que de vérités il n’y en a point sur terre avant xd’avoir atteint la fin dxes fins, le terme des choses offertes le temps d’une vie, et encore. de toutes les vies. on visionne les paroois avec dxes yeux d’enfants posés. on voit autour de soi les betes gravés par l’homme-ffemme des cavernes qui, en nous, perce que tu pêrceras lorqu’on se prononce en veux -tu en voilà avec les mots de la tribu dont on fait partie et à laquelle on appartient (pieds et mains liés). on est des qui sommes durs un peu à la co:mmpprenure, c’est norrmal : on charge (la mule) de notre vivant (le temps d’icelui) alors forcément ça compte, c’est pas rie,nn, ça fait ma sse, ça pèse, ça ordonne. nous on voit qu’en  nous les mots caracolent de toute leur superbe mais pour aller où , c’est-à-dire former quoi ? une vérité passagère ? une vérité instable ? un passé de rage coutumier ? une billevesée ? on tient parce qu’on est ainsi accolé qui savons ce qui est, on tient parce que la vie est une et indivissible en  ous et que le Verbe en nous fait face et ne tremble pas tout compte fait ou s’il tremble ou tremb;lote un peu il ne rompt pas, ou rarement. Le verbe connait la scène. il côtoie les données premières, il connait sa misère, il sait. son corps est moitié-rêve. le verbe est moitié du rêve avec vue sur l’au-delà (la de qui) et pour l’autre moitié sa misère ancrée, inculquée, enracinée dans des esprits faibles. on veut toucher aux mots des contrées faciales, frontales : arachnoides, aurochnoides aussi, betes à poigne. on veut gagner sur cette roche dure = foncer en elle = traverser le coeur des données et comprendre finement ce qui se joue en fin de compte pour nous, Verbe-misère en bandoulière.et de l’autre cvôté on dit qu’il y a le pré fleuri, les betes de pzaturage, le ciel azuré, les embruns du fond maritime, des al:lees et des venues de betes «incertaines» (magie ?). on se laiise faire par le Verbe : lui sait. on se laisse manoeuvrer à façon. on se dit que le Verbe en sait long sur les questions qui comptent. on se dit que le Verbe n’’st pas sans savoir ce qui compte et porte, ce qui est qui compte, ce qui porte ici et compte là. le verbbe est riche d’un savoir très ancien qui n’est pas sans nous travezrser en vérité. on pense que en effet en  nous existe un savoir que le Verbe porte et qu(‘il est plus que temps d’interroger par la vitesse, par la force, par le cran, par l’envie et par le débotté de charge. on doit (on se doit de) chercher à même le Verbe (uun pied dans la tombe ne l(oublions pas) ce que celui-ci porte en lui (enceint) en termes de données de base rageuse. on se dit que le Verbe en sait lourd, qu’il porte lourd le poids de la Chose (en partie peut-être mais quand même). le Verbe en lui porte que tu porteras du lourd, c’est un fait et ce fait le Verbe en nous semble le tracer ou vouloir le tracer à même la roche du temps qui, qui nous est imparti. en  nous le Verbe est vivant qui porte grave et lourd. il est fait de bêtes pour nous ou bien à nous surnuméraires (à nos yeux). on porte le Verbe comme on porte en soi la bete rosse qui va à tracer de rage, hors d’elle, hors de nous (sur pierre) sa colère monstre : antilopes, ours des cavernes, chevaux, bisons-bisonnes, ours des prés. on sait qu’en nous il y a du Verbe vif (chaud devant) qui Sait ce qui est (en partie) et du coup on doit voir ensemble à l’interroger fissa manière. on se doit fissa (manière) de l’interroger «à foison» car le Verbe est porteur en lui de Vérités de poids, qui en imposent, pèsent de tout leur poids dans la balance des données rageuses, savent se placer sur roche et en société. on se dit qu’on doit voir à voir. qu’on se doit de voir à voir cela avec des yeux non plus fermés comme autrefois mais ouverts en grand sur le monde, musicalement. on se dit que nous on a à faire ainsi que le Verbe eut dit ici ou dise ici des choses de poids = qui portent, c’est-à-dire qui portent loin, qui vont loin, qui vont porter ou à porter loin. nous on veut du lourd, du massif, du qui tienne fort, qui soit dur comme une vérité ancré et indéboulonnable. existe-t-il des vérités indéboulonnables ? existe-t-il de l’indéboulonnable ? existe-til du vrai et dur indéboulonnable ? pas que je sache, et disant cela évidemment je suis moi-même comme pris la main dans le sac. le sac est troué on le sait : ça file, ça fuyit, ça retombe sur plancher des vaches, c’est comme si ça devait être ainsi. on est cdeux qui pensons en nous que nos moitiés sont comme des dires accolés qui forment le Verbe de c»éans. royauté des mondes adjacents, principauté. On est deux en nous qui formons une principauté. chapeauté. chargé de ce Verbe de la foi dans l’etre, c’’st à dire dans le fait de vivre et de mourir (intervalle occupée). on pense = on est = on fuit. on glisse sur une sorte de pente drue qui est celle du verbe en nous inclu et ça file ainsi ! On est deux en nous (toi et moi) qui fouillons de base le Verbe alloué ici-même, à la une à la deux = à la cravache = «tu m’en diras tant» le temps». on cherche ainsi = dans le temps, des données, des bases, des appuyis = du vrai. mais le vrai est one ne peut plus fuyant qui a toujours besoin de temps pour se déployer or le temps s’époumone, perdx pied au fur et à mesure = est amené de fait à se voir déposé sur roche à la manière des anciens, mains pochées, traits de manganèse, gravure à main levée par l(homme-femme e,ndiablé(e). on se fait ainsi l’histoire = une sorte de parodie. on charge la mule à lm’envi et on fonce à :ême la roche et qu’est-ce qu’on fait on trace, on flanque nos mains tachées et vas-y qu’on marque : scansions, un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus iun plus plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plys un plus un plus un pluys un plus un pluys un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus p

un plus un plus un plus un plus un ^lus unp;lys un plus unplus un plus un plus un plus un plus plus un plus un plus un plus un plus un plus plus un plus un plus un plus un plus un plus plus un plus un plus un plus un plus unn plus uns un plus oplus un plus un plus un plus plus un plus un plus plus un plus un plus un plus unp lus = x fois la chose. on trace ainsi des choses de base manuelle. on est deux ainsi en nous : droite et gauche, à tracer menottes etc. sur roche dure. rude et dure. paroi de la vie et de la mort tressées. on se dit qsue nous on a à faire ainsi que des choses soient dites pour de vrai c’est-dire des choses de poids, qui pèsent ++ dans la balance de la Vérité. on se dit que nous on a à comprtendre parce q(‘uon le veut, c’està dire en fait parce qu’on en a besoin, parce qu’on fait partie de celles et de ceux qui ont besoin de la vérité, d’une certaine vérité, d’une sorte de v»éérité ou du moins de la braver, de braver le Verbe car le Verbe est l’ennemi de base, lm’ennemi hautain, suspendu, mortel, qui nous cherche des noises à perpétuité et que nous on aimerait voir à lui faire cracher son venin, verbe vipérin on le sait, serpent divin (?) des données de Rage, Verbe vipérin, Verbe-vivre. nous on veut toucher le Verbe comme d’aucuns touchent une vipère,  c’est un peu ça. on se dit que nous on doit arriver à un moment à toucher le Verbe physiquement comme on toucherait à un serpent, au serpent de l’Histoire, mais comment ? en poussant le bouchon de la vie vive déposeé toujours plus loin ? en pissant dru son parler de nacre : spermatozoîdes au débotté d’une passe à gué ? On veut dire ce qui est c’est tout. ce que le Verbe est. une passe ? un coup ? un coup de quoi ? une passade ? mode à la volette ? on cherche ardamment parce qu’on en veut et parce qu’on est jeune et aussi parce qu’on en a marre d’avaler des sornettes et zautres couleuvres de partout, on veut direct mla vérité sur les choses, qu’on nous dise cruùment = sans chichis = tout de go = sans y mettre les formes plus que ça , ce qui est en vérité des choses de la vie?. qu’est-ce que c’est que ça la mort. qu’y a til après la vie. etc. mais comment dire ces choses , c’eswt ça. comment tu veux dire ce qui est avec des mots qui toujours trompênt, car les mots s’étalent de trout leur long sur la terre ferme comme un pachyderme, bete-rage, poids-bête. On voit qye les mots s’étalent qui obstruent l’etre. tous les mots sont de trop pour le connaitre. pour connaitre (ce qui est)) les mots sont de trop. tous les mots de base ta,ntriques sont comme  de trop, sont comme saturés. les mots sont de trop qui chargent, qui plombent et pèsent-passent. on veut toucher comprendre (tantriquement ?) les données salaces, les mots gros, les mots de la rage à être l’etre entrant dans l’être. on cherche à se loger dans l’etre de choix, l’autrtre de gouverne, icelle-icelui qui comble. on veut dire ce qui est du monde en se logeant en icelle-icelui. les mots de base ont pour eux de pouvoir traverser la fosse, creuser chenal ou canal comme une eau vive en terre de feu, et du coup ça ressort ailleurs, c’est frappant. ça sort dans la mort c’st tout ! cx’est dit ! Les mots g:lissent en nous qui ressortent ailleurs, et cet ai;lleurs a pour nom (disons entre nous) la mort. mais de quoi s’agit-il ? de quoi le monde est il le nom ? de quoi la mort est -elle le nom ? doit on croire ce qui se dit ? les mots sont ils porteurs stricto sensu de vérités avérées ? les mots sont ils en charge de la vérité transportée ? les mots du verbe natif sont ils capables de cerner, élaborer, consigner, conscroire la vérité toute la vérité ? les mots ontils la foi ? les mots ont ils la foi en eux , e,n sont ils les dépositaires, les chevaliers ? les mots ont ils pour eux de pouvoir dire ce qui est de la vie tressée à la mort, ce chant célesyte ? les mots sont ils en capacité de «monter» la dune, le sommet, les hauteurs de vue, le lointain hautain ? les mots ont ils pour eux le savoir et la co nnaissance concernant le haut du haut de la vie et de la mort sur terre ? les mots chargent-ils la mule de savoirs et de connaissances? les mots ont ils en eux le savoir invcorporé . les mots saventils ce qui est , ce qui du monde en est, ce qu’il en est des choses du monde, des parois ? le monde est il né ? le mo,nde est-il lié de près à la mort de l’être ? la mort est elle dieu le père ? le pére est-il dieu ? squel lien y a t il entre le père, la mort et dieu ? quel lien il y a entre un père de souche, la mort dite «lointaine» et le duiieu verbeux ? que doit-on penser d’un dieu qui serrait comme acoquiné à la mort ? que doit-)on penser de la mort en tant que telle = un mot parmi des mots qui seraient logé en nous de force (au plus de notre etre)? on se voit cherchant à travers le verbe temporel des données de base à une vie (c’est à dire la nôtre) mais comment ? qui sommesnous pour chercher ainsi, et oser ainsi ? qui on est ensemble pour oser braver et enjamber ? pour oser soulever (?) le voile : toucher à la Chose nue (nue ?) ? on ne sait pas. on avance à tatons au milieu du bois. on veut comprendre toucher, couler aller, faire ainsi que ça vienne de soi à travers le Verbe de la foi dans l’être (l’étant) du langage c’es-à-dire d’une langue apprise ici, parlée, conjuguée. une langue parlée est une langue cvonjuguée. une langue usitée, employée, dite, est de force conjuguée à des temps déplissés. on sent que le temps (question langue) a fort à faire : il est poussé dans ses retranchements, il est bousculé, il est maneuvré à la va-vite ou pas mais pris, serré, sermon,né, bousculé en effet à même la roche. on voit ça que ça y va gaiement pour lui. le temps se voit mené par le bout du nez. il n’en mène pas large. il est pris à partie, il est conduit. on voit le temps aller et venir ou comment ? car il est comme tiré, harcelé, étiré, à hue et à dia , dans un espace de données diverses, données vives de la vie sur terre. on voit la chose aller comme de soi mais qu’est ce qui va de soi en vérité ? «il va de soi que rien ne va de soi» disiiiions-nous et est-ce vrai , vérité de poids fondatrice, colère rentrée ? qu’en est-il de cette «vérité» masssive ? on se plait de la reproduire mais au fond est-eellle fiable en tant que telle ? Nous nous aapprochons d’une sorte de paroi fatale. sommme des données connues de par le monde. le temps s’épuise (s’époumone) à déployer ses ailes sur la terre ou sur la pierre, sur paroi de roche dure. le temps fatigue. il en veut gravemais voilà, il fatigue. il est cuit. il est ce temps cuit des données déplissées sur roche, et voilà pourquoi le Verbe aussi peine à dire ce qui est justye ou ce qu’il en est au juste de la vie sur terree et de la mùort... sur terre ? sur ciel ? chant des plaines ? sphères ? on regarde les tourments gravés»»»»», on se dit que c’est bien fait, que «ça le fait», que»c’est beau», c’est fait dans les règles de la ressemblance appuyée, jça impacte. Vive ce qui est ici qui vibre ! vive la vie ! on chante : vive la vie qui va ! vive la vie sous les vivats ! vive toi et vive moi ! que vive la vie ! on chante à tue tete des chansons de fete ! on est frais, joyeux, sautilleurs et euses, on court toujours, on saute et ressaute,  on vrille, on sautille ! on est deux qui sautillons ! on est qui sautillons vif ! on est deux nous deux qui allons vif sautiller de plus belle dans les champs, les prés, les bois et sous-bois ! coomme betes agiles et graciles : bouquetines ! on veut sautiller longtemps ainsi en ces prés ! on veut qye ça dure son temps alloué ! on veut la vie du vivre alloué ! on est deux qui allons gaiement dans les prés, qui sautillant qui chantant ! on file et on vrille ! on siffle et on combine ! on glisse et on hurle ! on couche et on copule ! on chante le chant du charme, on chante vif le chant des landes ! on est deux à vouloir chanter indéfiniment le chant de la bande, chant rageur des endroits festifs. on veut tracer sur roche les données de base, ce qsui est en vérité, paroles d’évangile. on y croit sérieucxx : on pense. on est deux en soi qui poussons la chose (le crime) jusqu’à dire ce qui est ici d’une sorte de  chant choral, chant des cagtacombres, chants des profondeurs de la terre (soi-disant) . on en avance ainsi à même la roche à la recherche de la vérité «chantée» = la plus belle des beautés frontales. on charge la mule de beautés frontales, on en veut.On vibre.

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12/11/2022

nous on cherche. nous on dit que ce qui nous intrigue, nous retient, c’est ça : cette chose d’une sorte de «paroi du monde». on cherche ensemble à mieux cerner toujours, les données les plus ancrées de la roche, dans la roche. on est deux ainsi qui cherchons de concert à cerner les données les plus ancrées, les plus enfouies de la roche. il s’agit ici pour nous de bien délimiter notre champ d’études. on est deux pour cette chose et on fonce, du coup on se dit que la chose pour nous à faire bien c’est ça, d’y aller frontal, fonce que tu fonceras etc. on est comme ça qui fonçons à mort, à même la paroi du temlps. on ne s’en laisse pas conter ou raconter (sornettes) mais plutôt : on se tient aux aguets, on essaie de voir les données du monde dans ce qu’elles ont de plus enracinées, de plus ancrées etc dans terre-mère comme on l’appelle. on se dit que nous on doit aller loin dans la compréhension et pour ça c’est bon de franchir le pas et hop on saute ! on va de l’autre côté, on percute à mort ou vif, on y va gaiement, gracilement, délicatement ou pas mais vas-y, fonce, traverse, entre, franchit, touche au but ! et c’est ça pour nous le plus qui nous importe, de franchir le pas et de toucher au but. on veut cette foi en nous d’une sorte d’élan, d’élan moteur etc, qui en nous fasse ainsi qu’on se retrouve propulsés à la une à la deux, propulsé é et propulsée é e, comme il se doit, car on est deux en soi, on est comme double ou doublé, doublé é ou doublé é e, et on avance cahin caha de la sorte, double, on traverse la paroi à la mitan (?) du temps ou pas mais on y va : fonce que tu fonceras, l’enfant ! on cherche à entrer à deux = double ou doublés. on cherche à faire ainsi que des choses soient dans l’antre : une avancée, une incursion, une entrée, une immixtion, une sorte d’embardée. on veut toucher au but = «y aller» = ne pas lambiner, ne pas traîner, ne pas flancher, ne pas se laisser aller etc. mais tout au contraire : vif de chez le vif du monde ! vif du monde allant, vif-vif du monde comme il va de son pas d’allant, vif de chez vif. on se gare ainsi derrière la roche dure. on est cdeux qui nous garons ainsi dedans, dans le creux, au fin fond, on est deux qui sommes garés ainsi, en ce sas des sas. on regarde bien autour de nous, bien comme il faut, on veut pas louper le spectacle des données animalières, des chevaux lâchés, des betes de poids, des allées et venues à même la roche, au fin fons des bois, des prairies rupestres. on est deux ainsi qui regardons alller et venir les betes de la joie de l’être. on est deux qui cherchons à cerner au mieux les données animaloières de la roche : traits horizontaux, traits verticaux, renflements, grosseurs, tirets, points de croix, cercceaux, cercles, directions, crin, queue, oeil, délivrance. on se dit que nous aussi on est petits ok mais on veut savoir. on veut, on voudrait. on est pas là pour faire semblant, pour faire joli, pour faire ainsi que des choses soient à part nous, on veut être «considérés». on veut de la considération un minimum envers nous. on veut comprendre lesdonnées du monde dans la considération de notre regard, même si voilà, c’est vrai, c’est sûr, on est jeunes, on est encore tout frais émoulus, on est jeunes émoulus, émoulus e s, émoulus u, etc. on est jeunes, on est tout jeunes fringants ou pas fringants ok, on avance, on va, on marche et on regarde, et notre regard aussi on aimerait qu’il compte ou comptât comme il se doit. on veut toucher au but et être pris et prise en considération. on veut que notre voix porte. on veut avoir droit au chapitre. on veut que ça soit ainsi que les choses pour nous puissent aller et se dessiner, on essaie de faire ainsi que ces choses pour nous puissent ai nsi ^etre dessinées de cette sorte qu’on aimerait, c’est-à-dire dans la considération actée de notre regard porté (sur les choses du monde). on se dit que nous on a aussi le droit d’etre considérés, d’être pris en compte. nous on a le droit d’etre pris pour ce qu’on est, d’etre vu tels que nous sqommes, d’etre pris pour ce qu’on est et pas autre chose, mais... que sommes-nous en vérité ? dieu seul le sait. or dieu est mort. et du coup vas-y comprendre ! vas-y te repérer ! vas à toucher au but ! cherche ta voie ! chercjhe l’endroit idoine où passer ! cherche à toucher à cette roche dure des temps alloués ! cherche à cerner la bête rupestre devant toi ! cherche une voie d’accès et un cvonduit et à t’immiscer et à passer de l’autre côté ! cherche que tu chercheras ! pas simple bien sûr on le sait. on se tient la main. on ne se lâche pas d’une semeelle. on cherche à aller loin en cette roche dure de la joie de l’etre. on est deux en je (jeu). on est pas seuls, on est deux ou double = toi et moi. on est ensemble à aller fissa vers ça là-bas qui nous regarde vivement (vilzainement ?) et du coup on se sent (un peu) observés c’est sûr. on sent sur nous le regard de la Chose. il y a comme un regard sur nous porté que l’on ressent. sentez)-vous sur vous ce regard permanemment porté sur vous tandis que vous vaquez ici ou là à vos occupations coutumières quotidiennes ? etes vous de ceux et celles qui sentent ainsii sur eux ce souffle, ce bruit, cette chose, ce regard, cette présence quelque part (mais où ?) d’une sorte d’entité massive, bovine, peiut-etre gravée quelque part sur roche pour nous, etc. sentez vous cette chose de poids sur vous ? ce massif de traits et ronds et points et carés et formes diverses et variées  ? sentez vous cette chose ici d’une sorte de regard porté ou posé sur vous ?? il s’agirait de quoio ? il s’agirait de comprendre ensemble une chose comme quoi on est là ici des qui regardent attentivement devant soi les choses, on regarde attentivement les choses du monde, on est deux à regarder en soi : deux yeux ? on veut toucher à cette chose d’une sorte de paroi dressée devant soi comme une muraille de chine, mur des données profondes (vraies). et du coup on se rapproche ici d’icelles, on tente ici direct de bien s’approcher de cette zone là a ux donnjées de rage, de pareille zone vive, de pareille vie, de pareille vie de rage. nous on veut ça. on cherche ça. nous c’est ça qu’on veut grave. nous grave c’est ça qu’on veut et pas autre chose : s’approcher, se placer ainsi tout contre. contre icelle vérité de jhoie. icelle donnée de la foi ou comment ? de la chose rude ? de pareille chose dite «rude et dure» qui nous regarde tantôt tandis que nous on se colle à elle, on fait comme calin, etc ? on cherche ! On est deux en soi («à la une à la deux») qui cherchons des données cde rage massive, données dures et rudes, plis, passes, gentes, touches, crins, etc. mot-verbe à couille sur un mur. on cherche. on est ainsi qyi voulons aller ici le plus loin possible et alors on trouverait «des choses», des données de première importance, des choses fortes, on saurait. on est comme qsui cherchons à débusquer des vérités à même la roche des temps alloués à une vie terrestre, à une vie de bon aloi et élan, à pareille vie vive des attraits, à une vie personnalisée. On est deux à chercher ainsi des solutions à des problèmes de sensations rupestres, de vérification frontale, d’excavation pariétale. on veut aller aionsi touchant à icelle zone rude de la vie sur terre alluoée. on est là comme ça qui allons et regardons et cherchons et faisons ainsi que des choses soient ici pour nous comme dessi,nées à main levée par un homme ou une femme des cavernes. on est ainsi qui devons nous agenouiller devant pareille zone découverte. on regarde. on voit que ça vibre pas mal. on se dit que cette chose pour nous est gravée à même la roche des prés. on se dit que cette chose d’une b:ête monstre est comme incurvée, gravée grave dans la roche des parois du monde : antilope et bouquetin. antilope et bison, antilope et buffle, antilope et ours, etc. couple de la joie de l’être gravé. on est comme ça e,nsemble à rechercher ici et là v(grotte) une sorte de joie einterne, de vibration, de feu, etc, qu’on puisse comprendre et cerner-cibler. nous c’est ça qu’on veut . on vreut rien d’autre. on veut se rapprocher d’une zone franche, rude, qui puisse ainsi pour nous nous offrir de quoi pdenser un temps (le plus long possible si possible) et voilà tout ou presque il semblerait. on est comme ça ici qui voulo,ns cela = cette chose = une sorte d’engouement à notre égard, feu de la foi, feu magique, feu des trainées, feu des genres, feux des envies de vie, feux follets sur la lande et dans la forêt ! oui c’est ainsi et pas autrement on le dit et on le redit. nous on cherche à toucher à une vérité vive, sauvage, encastrée en roche, logée dans son nid de cxhasteté etc. nous on est comme ça qui voulons toucher à cette Chose nichée. on se dit que l’on se doit d’aller ainsi à la chasse aux vérités ancrées dans le langage de la foi dans le lzangage (langues diversifiées). nous c’dsst ça qu’on dit cdepuis le début et quoi d’autre en v érité ? on dit ça que pour nous les chioses sont ainsi que nous devons aller au plus loin possible dans le sas des sas du monde enfoui (sous terre) de la vérité rupestre = cette véroité des choses «pour soi», cettye véroté des données basiques = souterraines = ancrées -enracin,ées = fichées comme un pieu dans la terre ferme, et nous de nous loger près de ce pieu, de ne pas nous en éloigner de préférence, de le regarder «trôner» dans la lande etc. pieu de joie dans un monde  plat. on est donc ainsi qui cherchons à trouver, ou trouvonsb à chercher etc. notre vie à nous est une vie d’a,ncrage vif, on regarde et on voit, on sent venir sur nous les bêtes. des betes de poids sont pas loin qui viennent vers nous ou sur nous. on se dit que des bêtes de belle prestance et de bon poids chargent, viennjent à vif, viennent vif sur nous qui sommes comme à les attendre, assis ou debout, fichés-collés. on est ainsi comme deux qui voulons voir venir sur nous des bêtes de bon poids de charge. ces betes, on les appelle des «amies», des bete-amies , des betes comme des amies, nos amies les bnêtes, etc. c’est ça ! on se dit que toutes ces bêtes devant nous gravées par l’humain des cavernes ou l’humaine, eh bie,n ces betes (ouiiiii) sont betes de joie, sont betes de vie, sont fortes en elle d’une vie vive voire plus que vive ! on regarde pour nous ces betes comme des qui faisons ainsi qu’on est comme deux ensemble à former une entité dite «pariétale» de bon poids bobn eil à notre tour.  c’est-à-dire que nous aussi on est comme ces bêtes devant nous qui vont broutant l’herbe verte d’une zone de pa roi dite «ancestrale»,surnuméraire. nous ça qu’on dit, cela, eh bien c’est ça ou cela = comme quoi la bête de devant = (peut-être) la bête de dedans : «à toi à moi», ou alors comment ? parce que nous on veut savoir tout ! on veut p)as que savoir à moitié ! on veut tout savoir ! on veut en savoir long et pas qu’un peu ! on veut ensemble savoir plein de choses sur la vérité des choses et pas simplement des bribes de choses parsemées, sur roche ici, sur roche des bois , etc. on veut «pistonner» c’est un fait mùais parfois aussi nous arreter et «profiter» du paysage, creuser le regard une fois ou comment ? cerner à vif, cerner vif tel panoramique, voir venir, voir laz bête devant nous brouter, voir brouter la bête rosse deva,nt nous, on la regarde et on comprend des choses, on comprend des choses de la vie et de la moprt ou sinon de la mort, de l’après-vie. on comprend des choses de la vie et aussi de l’après-vie, de ce qui suit la vie pour telle bête, telle ou telle aiutre devant soi. on voit qu’elle broute devant nouys l’herbe de prés verte, l’herbe si verte des prés dits «de joie rupestre», on voit ça cqui»nous regarde», qui «nous voit», qui ne cesse de nous «mater grave» et nous du coup de nous lzaisssr faire = regarder comme de biais pâr icelles bêtes des contrées funèbres  ou pas mais comme apparte,neant à un lieu lié à un domaine ancré dans la mort, dans le sas des sas d’une sorte de mort aboutie de soi pour soi. on avance à petits pas mais sûr qu’on avance. on est dans la toundra, la plaine, un bois, une forêt profonde, une praireie de joie, un pré vert, une savane alpestre, un champ. on se tient la main. on voit autour de nouys ce qui vient, ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se conçoit. nous on voit des choses pour nous qui sommes deux en nous à tenter cette chose d’une approche «défensive», à cru, forte, dirigée, faite ainsi qu’on puisse toucher, touche que tu toucheras, à la vérité, ou : la vérité, des choses d’une vie d’allant. toucher la ou toucher à. nous on le voit comme ça et c’est ^peut-être comme ça qu’il faut le voir après tout, on sait pas. on s’approche de laz bête grosse, bête à toucher, bête comme paroi, on est tout près d’elle. on voit en elle des choses vives, des données de grande importance. on se dit que cette bête est bête pour nous de très très très très très très très très très très très très très très très très très très très très très très tyrès très très très grande importzance. pourquoiu ? parce qu’elle est la bête des prés ! parce qu’elle est la bête de la joie (le je) de l’être ! parce qu’elle est en  nous (l’être ?) et hors de nouys : dans la roche du temps alloué à une vie terrestre. bete en nous (l’être) et bête hors de nous (l’enjolivement des parois rocheuses : ornementation à l’enfant). nous on se dit que cette bête en  ous couplée à cette bête en dehors de nous (paroi) fait ainsi l’enfance d’une sorte de tenue de base en nous, de feu sacré, de base rustiqsue, rupestre, etc. on se dit icvi que cette chose d’une sorte de rapprochement des bêtes entre elles foait ainsi que pour nous autres homme et femme des cavernes on est comme adoubés par le ciel ou par la quoi de cette chose d’une destinée rupestre. on se dit que deux bêtes ici copulent et s’en donnent à coeur joie de vivre. on se dit que deux bêtes de poids font l’enfance d’une vie tracée à :ême la roche, enfance ou pas enfance mais comme un e sorte là de démarrage en côte, départ en fanfare, début de romance. on  se dit cette chose ici comme quoi une bete forte (un boeuf, un buffle) peut facilement en nous perforer l’hymen d’une sorte de conscience d’être, de consqcience comme quoio on est. ici en nous la bete un jour (il y a longtemps) perfore (a perforé) la membrane ! cette chose en  nous d’un voile écru ou commùent ? voilage ? fibre de soie ? un tissu flottant ? tissage, etc, qui en nous faisait ainsi que nous étions come privé de «comprenure» ou sinon de «comprenure» de jugé. et du coup on voyait sans voir, ou comme,nt dire ? on voyait «des choses» se tramer mais ces choses n’étaient pas (en nous : nos conscie,nces) nommées alors que maintenant que la bête (l’aurochs et l’auroque) est passée tu m’’as compris , c’est une autre histoire ! aiutre paire de ma,nche on dit;. on se dit que maintenant que la bête est pâssée en  ous ou sur nous ou à travers nous etc, et a perforé en nous le «vpoilage» de l’âge, eh bien voiulà : l’enfance a éte gravée commê une paroi, ou alors on dit ça que en nous il y a eu (ou il y a) un avant la bete et un azp^rès la bkete. on a été comme foulé. on a éteé comme marqué aux fers de l’être. on estt comme qui sommes marqués au fer en  nouds-mêmes (une marque qui donne le nom de la bete nouvelle à savoir nous). et donc on nait à la vie. la bete est passée, a troué. la bête a troué l’hymen. la bête a franchi le pas (le cap). elle est passdé en  nous, par nous, à travers nous, elle a glissé, elle s’est immiscée, elle est entrée en nous un jour de l’an je sais pas qua,nd, mais voilà : elle a laissé son empreinte sous la forme d’un  nom de famille : tartempion machin bidule and co. et nous on obtempère, comment tu veux faire ! on fdit amen à la bête ! on lui dit presque merci d’etre en vie ! on peut difficilement se plai,ndtre (comment ? la vie va !) et alors du coup on fait ainsi qu’on fait = on en avance, on trace route, on trace chemin, on trace que tu traceras, on trace fissa, on avance grave nos stylets et autres pics de roche à l’envi et on dessine à notre tour la bete en soi, la bête de soie, la bete de l’en-soi ou comment . cette bete grosse (sanglier) qui force la dose (la donne ?) pour soi, qui en nous-mêmes a forcé pasdsage et a donné du coup le nom que nous portons : Untel de la bande, Une telle au débotté, Chareline Duchamps, Berthe Califan, Thierry du Cadastre, Onomatopée. voiulà la chose dite icic à la manière d’un serment de vie. on se doit de dire des cjhoses. on en a pas fini d’en dire. on se doit de faire ainsi que des choses soient dites devant soi : tracés à l’encre de chine ou sympathique ou au sang. on se dit que la vie en nouys bénéficie d’une sorte d’accompagnement bestial de chaque instant, lié à une bete en nnous dont le nom nous est donné (de biais ?) à la naissance. tartempion = un nom de rage, un cri de joiue, un jet de colère, une parole agraire prononcée à l’emporte-pièce par qui de droit (parentèle évoquée). on est deux en soi à pouvoir acceuullir en nouys -mêmes (for) le nom de la rage allouée à notre vie de base rupestre, à cette vie de joie qui sera celle que ensemble on va avoir à «dérouler», à déplisser pour soi devant soi . une vie d’emprunt fatidique.; et nous d’y «croire» à fond comme des benets, des enfants de l’âge, enfance gravée dans la masse. on est là ensemble à nous col:ler à cette roche d’une voix (voie ?) de base rustique, on avance. on se dit que nous on doit aller loin le plus qiu’on peut en  cette chose ici d’une sorte d’entre-nous bouseux, rustique, rural ou comment, qui fait qu’on se voit nous deux comme des manants, gueux des gueusx (dégueu ?) qui allons par les prés et les champs à la recherche de la «vérité» broutant l’herbe verte, ou autre vérité de bon aloi machant tendrement l’herbe nourricière, le vert de la joie d’etre sur terre à manger que tu mangeras ce qui fera de toi une belle laitière ou pas mais belle bete aupres de soi, auprès de notre corps de rage tout juste né. on se dit que la bête des champs est une belle bête pour soi, nous couvant de sa chaleur d’etre (d’atre ?). nous sommes qui cherchons la chose des bois ensemble = vérités cachées. on est ensemble à chercher une sorte de vérité peut-être cachée, et qui serait pour nous une sorte aussi de réponse à des questions (nombreuses on le voit) qu’on se pose nous deuxdepuis bie,n longtemps. on se regarde dans le blanc dxes -yeux et on se demande : qui est qui ? qui est elle pour moi en moi ? qui pour moi est-elle au juste que cette personne-là qui est devant moi qui me regarde et me dxemande x choses à la fois ? eh bien peut-être une bête de la joie à être ? une bête de poids (vachette ?) de la joie à nâitre un être sur terre ? on regarde devant nnouys la bête macher, on voit l’herbe qui est arrachée, on voit la patte campée, on aime les bêtes de poids devant soi, qui sont toutes pareilles on dirait à celles qu’en soi (en nous-mêmes) on aurait qui seraient arquées, ancrées, incluses comme des piquets, des pals, des pieux et aiutres bâtons de roche. arquées en nous : l’arc de la miséricorde. on se dit que nous on est deux en nous, voilà . a toi à moi. a la une à la deux. on est deux en noius et on tente une approche (ainsi accouplé ?) de la Chose grosse. de pareille Chpse grosse devant nous : bête de bon poids, charge lourde, misère des temps déplacés (bénis ?) et autres chants de rage dé tourés. on voit la bête qui mange. la b^ete devant nbous = un champ de possibilités. on voit devant nous la bête vive, grosse de sa vie vive, toute vie , toute en vie, Vie de base, collectionn de choses et autres emprises, encerclées, comprises, entourés etc au sein d’un  cercle gravé à même la roche du temps, corps des coeurs. et voilà la bpête azllouée qui nous regarde, ellest  passée par nous et mzainte,nant elle est hors de nous (enfance) qui cherchons à la cvomprendre (reprendre ?) ? on nre sait pas. on essaie de voir ce qui est là pour nous et pour ça on a besoin d’enfance, c’est)-à-)dire d’une bonne dose d’enfance en  n ous = une sorte de «relachement (si l’on pouvait !) en nous qui nbous donnerait des pistes, des pistes et des direvctions, des bases, des bases de données, des bases solides, etc. on pourrait penser cette chose là pour nous comme quoi on serait des bêtes noys-mêmes qui alloons, cahin-caha, dans les champs de la joie de naitre ou bien de la joie de l’être, ou bien de la jhoie du je naissant à Vie terrestrte. on voit que des choses ici se dessinent tantôt comme à contrecoeur ou comment ? contre nous qui sommles deux à resister en  nous ? ou comment autrement ? on est deux à chercher querelle (d(§une certaine manière) afin de tenir deb out, en vie, en santé, comme deux brebis fringa,nntes, vives de chez vives dans les alpages, chevrettes des temps donnés, antilopes racées, petites betes sauteuses et vives de leur vie en elle ancrée./ on voit la grosse bête devant nous compme une armée qui charge , merde ! merde à l’armée qui charge ! vive la chevrette des alpes, le petit bouton des rages ! cette chose dite de la «joie menue», et nous de lui courir après. nous on veut comprendre loin parce quye la vie (en n ous) l’impose, demande ça. on veut être une cghose de poifds comme une armée mais co,ntre cettte même embardée motrice à notre encontre contre notre gré. la vie pour nous est une aventure à mener fissa par la bande, on veut toucher «à satiété» la chose du temps, cette chose vive (en vie) du temps imparti à une vie vive (en vie). on ne veut pas toucher la mort et succomber. on aimerait toucher la mort pour savoir ce que c’est mais sans y passser. on voudrait toucher que tu toucheras à la mort du petit cheval de la rage, mais sans nous-mêmes devoir succomber à ce toc de base rocheux, à ce toc toc des apprets, à ce toc de rage merdceux ou cfommentb ? toc de la base et du sommet ? chants des âges ? cri de joie à la naissance  ? nbous on veut ou on voudrait cerner la jhoie d’être,;, la ceinturer, l’entourer, la cercler cvomme une barrique, fût de joie de l’emporte-pièce, etc, et cela une fois fait : aller, courir, charger à notre tour, coucher, manger, salir, frotter, chargver la mule etc, nouys en foutre commpe ça de ce qui est pour nous le b-a ba de la joie de vivre sur terre une vie d’envois salutaires. nous oon regarde les données frontales comme autant de traits de saillie. betes dessinées par hommre-femme des cavernes c’est un fait de base, ça y va grave, ça pisse le sang de la vie vive, de la vie charmeuse. on voit le sang qui coule de la bête morte posée comme en guise de don à une déité menaçante. on voit ce sang (tout ce sang) pisser dru sur une pierre-table d’(offrande. ça pisse que tu pissseras le sang violacé. ça pue. ça renifle. ça fait son effet c’est sûr : ça accapare l’attention. ça charge à sa façon, ça pousse zau crime = lèse-majesté c’est un fdait vrai. on voit des choses remuer car la fumée trouble les données et donnhent «vie» à ce qui est «DCD. nous on voit cette chose ici d’une Vie DCD donnée, qui est bête-bête-rage déposée sur table, encore toute sanglante et sanguinolente. on se dit que La vie ici donnée est cette vie morte, cette non-vie qui contient cette sorte de donnée vive en soi = une sorte de vie de base ou vie de rage ou vie de race ou vie d’embase. nous on cherche ensemble à comprtendre, à détailler, démembrer des éléments enlacés, on tente à deux de détailler, de désosser des choses etc. on se dit que nous on doit comprendre-percuter ensemble parce que que voilà : on est deux qui avons en  nous cette «comprenure» ou compréhension des choses larvées, on se dit autant en profiter, autant profiter du fait qu’on est deux et qu’à deux on y voit mieux puisqu’on a plus d’yeux etc. nous on pense comme ça parce qu’on voit les choses comme ça et parce qu’on en avance comme ça et parce qu’on percute comme ça les choses$. nous on se dit que la vie pour nous est une sorte de vie de base, de vie comme offerte par la bande et du coup cette vie en  nous on cherche à faire en sorte de la conserver pour nous, de la choyer, de faire ainsi qu’elle reste pour nous une vie de base donnée et pas une vie pezrdue dans les prés et vas-y la retrouver au milieu des bêtes, des vaches et vachettes, des boeufs mussqués, des troupeaux de sangliers , des troupes, des champs de luzerne. on va dans la paroi ainsi motivés, poussés,. on va ensemble dans la paroi ainsi poussé.e.s; ou alors on fait quoi ? on sait pas au juste qui on est alors c’est compliqué ! par défaut on dit qu’on est deux qui faiso,ns au mieux afin de progressezr dans le sens des données données. on s’immiscve, c’est ça. on se glisse entre deux berges ou comment ? fi de soi ? fil ? phil ? philippe de l’en-soi brutal ? naissant ? cri de guerre ou cri de joie ? c’est ça qui va là ? vraiment vraiment ? Peut-être. on va devant soi courir la CHose rude (rudement dure ?) dune Vérité grand V. on s’avance à pa s comptés (feutrés) sur ce pré des vérités posées ou déposées comme autant de choses d’attraits rustiques, placides, débonnaires, doux, vifs et découpés sur champs des apprets célestes. nous on cherche c’est tout. on se dit que notre but (ou mission) est de creuszer la roche, alors on creuse. on dit ça comme quoi on a à creuser la roche devant soi = la roche dite «des données de base». on creuse à même lka paroi du temps (devant = demain) la roche «à graver». nous on creuse grabve. on creuse en veux-tu en voilà des bêtes de poids : animùalerie rupestre, pariétale, ancestrale, vivante au mieux, découpeé sur roche. ,on est deux pour nous qui faiso,ns corps en  nous : la droite et laz gauche ? le ying et le byang d’une par(ole ? il   s’agit pour nous de toucher à cette cdhose d’une sorte de paroi des telmps impartis à Vie d’homme (de femme) et la Chose ainsi touchée se pare des attraits que l’homme (la femme) y aura mis ou placé. on cherche la ressemblance à la clé. on veut que «ça le fasse» grave ! qjue la chose (l’animal des prés) dessinée soit plus que ressemblante : la chose quasi en vrai, vitupérant de rage, buffant de sa race, etc, feu follet mais feu, feu de joie (je surnuméraire =: je +++++++++ de par les attraits susnommés). on crache le feu. on crie le feu de la Saint-Joie de barbe. on se dit que la JHoie du Je en soi = ce feu de base trompeur pêuêrtyre mais charmeur. prendsça. et aussi ça par lza même occasion ! prends cette chose, prends cekla, prends dans tes bras la Mort. et ne nous saoule pas outre mesure! va-t-en de là ! Va loin là-bas et cache-toi et surtout ne la ramène pas ! cache-toi de moi ! va-t-en par là-bhas et restes-y le plus longtemps possioble, qu’on te voit pas ! file ! va ! fiche le camp de ;là ! cours à ta perte , saleté ! va donc chez speedy te faire mettree ! va donc te faire enculer ! va te faire foutre la Mort ! va donc La Mort te faire foutre ! feu total sur la région des bois. va donc La  Mort te faire Foutre grave , et ne reviens oas. va donc la mort te faire mettre, te faire engogroosser, te faire entuber, te faire enculer, te faire ficher, te faire foutre ni une ni deux, te faire plier et ployer. car nbous on ne veut pas de toi dans les parages et voilà pourquoi on parle haut et fort face à toi : vie vive de la vie qui va son allant frontal pariétal p^lacide, de poids, pesa,nt de tout son poids d’insulte vives dans la balance de la joie (feu et je de joie en soi, etc) . tu m’as saisi ! on charge la mule. bât de cris. on charge grave = on grave grave = bouqquetins, quetines. aurochs à l’endroit? charges fatales. gentrification des rages salaces. on y  croit. on veut tailler la barbe ! tu le vois ce qiu’on veut de toi, la morrt ! la barbe et le reste = les coucougnettes ! on veut poas de toi ! va donc ailleurs te faire voir cul nu, et profite ! va donc profiter cul nu ! va te faire mettre le cul et aussi la chatte ?). on cherche. dieuLa mort est-il male ou femmelle ? genré comme les blés ? on voudrait comptrendre cette chose en soi d’une mort-D. nous c’estça. pour nous c’est ça. on veut = on croit = on y va = on pense = on est nés à la vie vive = on est nées à la vie vive= on est des qui sommes et qui vont = on creuse que tu creuseras la vie qui va devant toi = ce creuset ? ce creusement ? cette croix ? ce tourment de base ? chants du Rude ? on est ensemble qui traçons ensemble les dessins dees betes p;lacées , sur roche ici, sur prés là. nous on veut ça. nous ce qu’on veut c’est ça et pas autre chose en vérité et c’est pour ça que noius on s’avance dans la joie de l’être, dans la joie d’être , de naître à la vie vive des données vives, feu de Sainte-Trinité, feu des Rzages Célestes, chants du cforps vivant, chants des données du monde de la foi dans l’ombre. on est deux : ce 2, ce nombre posé sur paroi du monde. chiffrage des données rustiques. en campagne. dans les bois et dans les forêts. magie noire et magie blanche au débotté? corps acides. crans xd’arret. charges vives déplacées et mises ainsi sous l’oeil de perdrix d’un,e sorte de déessse (divinité) qui voit ce qui est et ne s’en lzaisse (elle) pas conter du tout car elle est «affutée», elle sait, elle remarque, elle ne loupe rien, elle a de l’avance. on est deux qui cherchons à poser des banderilles de savooirs divers, de connaissances, sur un massif, sur une butte, sur une montéee, sur une bosse de pré. on veut poser sur monticule une donnée de poids. offrir Chance. on veut ensemble (à deux) déposer offrande sur un monticule, à l’écart des tribunaux, au frais des bois, sous la lune. on veut dire nos dires, nos chants décuplés, nos paroles genrées de base , nos cris écrits etc. on veut dse rapprocher de la déesse noire, des embruuns votifs, des paroles du passage, des messes de vie. on veut aller loin en  ette chose vive d’une voie de base vive. on veut le vif on le dit. vie vive non assoupie. on veut la vie vive non-assoupie. on veut vif la vie vive assoupie ? ou de base non ? non assoupie ? assoupie / non assoupie ? vie assoupie ou non assoupie ? assoupie-non assoupie ? non assoupie)- assoupie ? assoupie non assoupie dans un même élan , ou bien assoupie pour non assoupie ? ou non assoupie pour assoupie ? on veut aller loin = toucher les lointains de la vie en vie = cette chose au loin d’une connaissance des parois du monde alangui ... ou pqas alangui ? on veut ensemble cerner ++ les cbhoses rudes devant nous : charges frontales. ce qu’on veut = cerner = faire des traits = colorer la roche = souffler sur la roche = cracher misère = dire = dire en riant = faire sa co;lère = faire ainsi que nos dires fassent effet et trompent l’ennemi car l’ennemi est toujours là qui cherche à passer, à se frayer chemin vers notre gouverne . merde à celui qui le lira , en somme. merde à qui verra le verrat ! Merde à l’encan, à la cantonade ! Merde au con de ta rage à être, il se reconnaitra ou pas mais nous on fait au mieux ce qu’on se doit (à nos rpropres yeux , qui sont deux) de faire (on le croit). nous on pense que c’est bmieux de faire cette chose ici d’une sorte de passé comme déposé, comment ? à même la terre. de faire cette chose d’une sorte de «passé» (unj paquet) déposé sur roche : anilmalerie de passage. on dessine à main levée dees bêtes rosses (grosses) et ces bêtes ainsi dessinées sont comme déposées sur une sorte de montée ou monticule qui est comme une sorte d’écrin particulier, de pose-charge, etc, qui fait donc effet de passe-don,  ‘assiette à oofrande, monte-charge ou comment , vers déité»nature», native devant soi, déité des déiotés. on voit la chose là qsui est  cette chose cd’une déité native «nature», oeil de beouyf (?) qui semble ou semblerait nous regarder comme en biais, de biais = sans trop, et nous de nous dire que, en effet, on se sent «un peu» regardé(e)s  c’est sûr, on sent sur nous le regard d’allure, le poids d’un regard de boeuf, de vache laitière, de bete de charge laitière ou autre mais bien lourde «dans le genre», lourde comme une bufflette des bois d’à côté, comme la bisonne aux aguets, la bete des bois et des prés, la belle chevale, le sanglier propret, le cochon gros de sa race , au crin rosé, rose ou noir des forets et des prés de la roche dure. on voit ces betes autour de nous gambader et nous dedans, dans les turbulences, à essayer cde nous y retrouver = de nous repérer = de comprendre = d’aller cvers plus de connaissances, plus de savoirs solides, etc. ça c’est sûr on veut grave. on le veut grave. on veut pas passer à côté on veut comprendre grave. le cochon de lait. la bete cachée. la biche des prés et toute la clique à ses cvôtés. et la musaraigne, le chevreuil et lma chevreuille. le serpent des prés et la serpente. le petit furet et la furette aux anneaux dorés. le chant de l’âne et de l’anesse. le cri de la bête touchée. le cri du bestiau. des betes annoncées. on veut aller ensemble dans les bois et les sous-bois (nous deux) à la recherche de mots qui diront ce que c’est que cette chose d’une ribambelle autour de nous de bêtes de choix. on voudrait comprenxdre cette chose. on voudrait cette chose la comprendrte déjà pour soi, et aussi pour d’autres : nos amis proches, nos conjoints, nos enfants, nos parents, nos amis de base , nos collègues de bureau ou des champs, etc. on se pose un temps et on regarde et que voit-on ?  des choses vives. charges. guerrements = errements guerriers. ou autres déplacements meurtriers (ou qui peuvent l’être : chaud devant. on voit pas mal de choses rudes devant nbous qui semblent aller comme à se déployer comme des sortes de voilages de temps donnés par la ba,nde, temps aérés ou comment dire ? chants ? musique des tourme nts ? chants d’azur ? oups ? chant dans l’azur ? chants des temps déroulés dans l’azur ? chants du temps déplazacé ? chants déroulés dans un temps placé ou dépl$acé mais situé ? chants déroulés pour soi = temps posé ? chant = temps ? chant = temps d’azur ? chant d’azur = temps collé à une vérité placée ? chant = colle ? chant du temps en soi = colle à qui xde droit ? chant diurne et nocturne = temps passdé collé à roche pour la bone cause (reta rdement, alanguissement). on se dit que nous on a à faire une chose de parole et que cette chose de parole on doit aller la chercher le plus loin ôssible en  nous = dans la virtessse de l’élocution frontale patriétale, c’est-à-dire à la façon des hommes de lma préhistoire et autres femmes des temps reculés (donc préhistoriques) dande la roche dure. on dit pour nous que ça ça compte = ça fait foi = ça pèse = ça charge. Nous on pense que ça «ça peut le faire longtemps». on pense pour nous que oui, ça se peut que ça le fasse. on pense pour nous que ça pêut. on se dit que peut-être pour nous c’est une chance, de pouvoir ainsi creuser la roche, la roche des données basiques, dures de chez dures mais riiiiches, riches d’un savooir ancré et fixé à jamais. on regarde devant nous la roche : elle nous «sourit» on xdirait c’est dingue. on dirait -qu’elle nous sourit béatement ou placidement ou comment, gentiment, doucement, tendtrement, amùicalement, avec toute la bienveillance dont elle est pleine. on veut aller en elle la toucher. on veut entrer en elle la toucher. on veut toucher la roche du temps alloué. cfomment on peut faire ? comment on peut faire cette chose de toucher à la roche des temps alloués ? commùent dis-nous on pourrait faire pour ainsi faire cette chose de toucher que je touche ou que tu toucheras à la roche du temps imparti à Vie de base pariétale, rude et dure = coriace = pleine = chaude = brûlante = dure de chez dure, etc. on se dit pour nous que oui. on se dit que oui, pour nous, ça pourraitle  faire méchamment, ça pourrait méchamment le faire grave = dans le grave. on se dit pour nous que oui ça pourrait grave le faire grave. on se dit pour nous que en effet, les choses dsont ainsi qsue grave ça pourrait le faire grave méchamment , c’està dire dansv le grave, dans ce qui est grave, grave en soi et relevant des choses graves = gravées = dans le grave du graavé = gravité. la gravité des choses graves, etc?. on pense ainsi (pour nous)  c ette chose ici (plage ? cage ?) comme qyuoi : on voit ce qui est devant nous gravé, on remarque des treaits, des hachures, des points de suture. on essaie de faire des liens entre tous ces traits, entre toutes ces marques à même la roche. on essaie de faire ainsi qu’on puidsse s’y retrouver (= nous en ces traits = au milieu d’eux) et du coup cxomprendre = encercler = s’(immiscer. on veut par la raison (et la foi en elle) encercler le monde = s’y loger gratis. on veut touchger la mort, et ça c’est pas rien , déjà comme découverte, mais comme acte de volonté, ou comme volonté ancrée ou tracée en notre for de base qui est for de rage décuplé (on le sait). on veut toucher v(vraiment toucher) la mort devant nous. ce qu’on cherche à toucher (au sens large : par les sens) c’est ça, la mort diurne et nocturne, à toi à moi, la mort duiurne et lza mort nocturne, la mort du petit cheval de la roche. cheval du jour, cheval de la nuit. cheval du jhour, jument de la nuit. jument du hjour, cheval de la nuit. mâle du jour, femmele de nuit. mâle de la nuit rupestre, femmele des jours avancés. on se regarde en face ou fdace à face, cheval de la roche. on se dit que oui je suis la bête dessinées, ctte jument, ce buffle acidulé, ce bison soyeux, ce renard des bois et des forêts. je suis l’animale, je suis le bêt, je suis la bêtasse, le b^ta^-soeur, la chance xd’etre. je syuis accouplé à une bete en mùoi de rage qui cherche (vif) à me traverser du tout au tout c’est une chose. elle loge (la bete : jumenjt ?) en moi qui la porte depuis ma naissa,n ce et maintenant voilà qu’elle v eut sortir, aller, charger, courir, gravir la pente des données dures, passer de l’autre côté et m’ignorer. nous on veut savoir le plus pôssible ce qui nous sourit. nous le plus qu’on veut ensemble c’sset de co:prendre cette chose devant nous qui nous sourit placidement, vivement, dans la clarté lunaire de la roche cxachée. on veut nous tout toucher de ce qui est qui serait la mort. nous opn veut tout toucher (= ressentir) ce qui est autour de nous qui serzait (contiendrait ?) la mort. la mort on dirait qu’elle est là autour de nous, e,n nous, partout, «naturelle». on veut essayer de toucher  à cette chose d’une mort qui serait de force adjacente à cette chose pour nous qu’on dirait «la mort en nous» ou comment ? la mort autour touchant la mort en nbous ou comment ? on sombre vite, on est vite surpris, on est vite envahi par le contredit. nous on aime toucher aux chjoses du monde frontal, aux betes des prés et alors on s’e,n approche fissa le plus, afin de vite comptrendre pareil, ces choses des temps, ces choses enfouies dans la roche, les cerner d’un trait «ressemblant» ou dit tel. car nous ce qu’on veut c’est ça : cerner = découper de traits d’azur (ça ?) et du coup «parler» ce langage «inné» de la roche. «parler» cette langue fauve : rire dans les assemblées. on rit grave ! on se plis de rire. on est qui rions de bon coeur ensemble. on veut rire ensembler et toucher ensemble et per cer les mystères ensemble et ensemble creuser et ensemble en avancer et ensemble aller loin dans les connaissa,nces et dans les connaissances trouver, trouver chaussures à son pied pour ainsi dire. nous on est ainsi qui voulons trouver des chaussures de sept lieues et plus , pôur en avancer fissza (à grands pas disons) dans ces contrées dites «de la connaissance» des donn»éées rupestres et autres savoirs déplissés sur roche». on est comme deux enfants de base à aller ainsi à la recherche (active) de données brutes relevant des savoirs anciens (ancrés dans la roche) déplissés. on pousse vif la chose d’une sorte de recherche active à tout va à deux dans la roche. creusons ! creuse et recreuse. on trace les bêtes des champs = mots des données basiques, et ce faisant que dit-on ? on dit que la mort est la mort sûre, que la mort = une morsure, que la mort est autour de nous dans la nature, pas ailleurs, que la njature va loin w<qui jamais ne trouve de fin (comment est-ce possible ?). nous pensons aux choses comme étant muni (accompagnées) d’un clap de fin de base mais que nenni. où la fin est ? non pas la nôtre mais celle du monde. où la fin du monde est (dans l’espace et dans le temps)? le temps est l’espace du temps. l’espace est le temps de l’espace. on est au milieu : on croise le Verbe faisant arc de cercle, chant de jonction entre deux monts. on est double = moi/toi pour une action de ralliement de données frontales (o combie,n matérielles mais sans fin). on vibre à l’unisson. unissons nos vibrations. on cherche à faire ainsi que des betes en nous soient comme libérées et puissent s’en aller au plus loin possible. nous sommes limités dans  nos actions et autres volontés mais nous chgerchons à «nous dépasser» comme d’une tête c’est bête(est-ce bête ? si bête ?). le moi est haissable ok, le je est plein de joie  ? peut être. on dit ça que le je est plein qyand le moi (au fond) est vide : c’est ça ? on est sur le qui-vive permanemment et assurément, car nous le truc c’est qu’on veut savoir méchant, on voit connaitre et savoir, savoir et connazitre le mot de la fin mais qui parle ici de fin ou de fin mot ? qui comprend mieux que tout le monde ? qui en sait plus ? qui sait plus ? qui sait le plus ? qui comprend le plius ? qui comprend mieux et plus que tout le monde ? qui ici (ronde, chemin de ronde) comprend plus plus plus, et mieux que toi et moi ? qui ici (chemin de carezme, carême) comprtend mieux et plus que tout un chacun ? ça c’est sûr qu’on voudrait le savoir et surtout ne pas être en reste, ne pas être comme laissé, comme laissé de côté, etc.? ça nous on le veut pas. on veut aller loin dans les relations humaines disant ce qui est, on veut loin aller dans les relations (humaines) pouvant dire ce qui est, étant disons à même de pouvoir tracer et révéler, étant comme pouvant. on dit donc cette chose , nous, nous deux, comme quoi ce qui est (ce qui nous entoure dans la vie) relève des données frontales = pariétales. et que hors du cercle «grotesque» (de la groote, de l’ave,n, du gouffrre) il y a quoi il y a encore «de la paroi», soit du débotté de charge (aniamaux-mots, chants plaintifs des données rudes). Une évidencde. il faut voir la roche comme quelque chose envahie, ou qui est envahie, qui est pleine, compacte et pleine de choses de Voix.Pleine d’ekle-même = pleine de sa voix. Pleine d’une sorte en elle de voix. on dira ou on dirait cette chose comme quoi la roche est pleine de sa propre voix. on dira cette chose comme quoi la roche est une voix, parmi d’autres voix = parmi d’autres roches. ici on dira ça , comme quoio la voix de roche ou cde la roche , est voix parmi d’autres, voix disant ce qu’elle porte en elle en termes de bêtes votives. une rochje est pleine de bêtes votives, pleines d’animaux qui sont des mots = dyu Verbe. et nous de nous loger (ou cherchercher à nous loger) en elle : prisonniers d’icelle, prisonneirs et prisonnières. on se loge en roche pour la bonne cause : abri-bus. on va dans la roche pour = se loger, se glisser fissaa en pâreille anfractuosité salvatrice et auusi co:mprtendre: pour comprtendre les données sauvages, oeufs dees matins, joutes, fruits datés, colères gravées, treillis, charges lourdes antipodistes. on voit tout le chemin se dép^loyer à mesure qu’on en avance sur la trzanchée. on voit chemin de clarté se dzéployer à mesure. on veut toucher la roche devant soi comme d’un arbre, comme on touche un arbre, une fleur, un objet quelconque. on sqe rapproche de la veérité des choses déposées. on essaie ensemble de co:prendre l’infini des choses allouées, la possibilité d’une pensée de l’infini, mais en est-on capable ? pouvons-nous penser l’infini ? sommes-nous en mesure de penser celui-ci ? sommes-nous en mesure humaine de pensezr cette chose devant nous d’un infini des choses du monde (dans le temps : géovgraphiquement, et dans le temps : historiquement) ? on se dit que c’est pas dit. On se dit que rien n’est moins sûr. peut-on humainement (en termes de capacités physiques, sensibles, etc, organiques, sensitives) penser l’infini des choses adjacentes ? peut-on penser l’infini et aussi le fini des choses ;: court-circuit sur roche temporelle, sur roche dure des données brutesx / on se sait (?) fini(e)s dans un infini impensable. ou bien infini(e)s dans un fini (im)pensable ou comment ? on est double ça c’est vu (gente et gent) et cependant l’infini du monde devant soi nous porte peine (debvant nous). on voit l’infini sans vraimùent le voir. le fini du temps et des tourmùents se heurte à l’infini des choses rupestres : dents de chien. nous on veut comprtendre au loin, et ramener.  Os d’homme ? os de bête ? crâne détterré dans le sable des données données. on cherche en  creusant comme au débotté l’os de la chose vive enfin cerné,e= une vérité déployée.mais peut-on faire cette chose ? savons-nous déterrer les choses dans les prés, les chosesc enterrées de longue date ? savons-nous comprendre = cerner = envisager = donner un visage à , les choses du monde = les choses infinies d’un monde infini? où donc commence et finit le monde ? et si le monde a un débuut alors le mùonde a une fin ? si le monde un jour a eu un début, alors le mondfe un jour a eu une fin . Homocentrisme. on voit mal les choses. point de vue étroit. curieuse façon. liée à une vie humaine  ce qu’elle parait. report. on se dit ça , que là c’est ça : une vie = le monde. rien du tout peut-être. on cherche à voir, comprendre, situer, cerner, éclairer les choses du monde. on veut et on doit?  on veut comprendre = voir. on veut voir = comptrendre. balancier à perte de vue. on se dit ici que donc :les données rupestres sont de  celles qui renvoient à une sorte d’infini votif actif, et que les bêtes dessinées toutes se ressemblent qui toutes chargent, pèsent lourd c’set-à-dire vitupèrent, gueulent haut, font un randam de tout les diables pour se faire passer pour des qui sont vives comme jamais, or bien sûr que non, mais bon, parfois ça mùarche, «ça le fait», c’est dingue mais c’est comme ça et que faire ? on voit des données etre déposées (vivres) et faire ainsi que d’auciun ou d’aucune s’y cassât les dents. on voit les dépots d’argent et d’or. ça brillle vif. on dirait du vrai. infiniment. et nous-mêmes de nous voir charmé(e)s par la bande ! ouh c’est fou , dingue, une sorte de spectacle de tous les diables (ouiii)! et du coup on commence à co:mprendre. quyoi ? l’infini du temps. l’infini fini. le fini infini. l’infini du monde des temps, ça roule, roulis. on voit ce qui se pose ici et on comprend que lea vie aussi est une sorte de balancement de type roulis, va-et-vient longitudinal, avant de soi pour un arrière brutal et re, re-avant de soi pour l’arrière à soi, et re, re-avant d’un soi pour l’arrière brutal , et encore une fois, re fois deux, trois, dix, etc, re-avant pour un arrière, re-l’arrière pour un avant, re et re, on avance ainsi et le monde aussi. on voit les avancées nocturnes chassant les diurnes, les données rageuses qui vont loin et qui reviennent comme un petiti chien. chien surnuméraire. on voit ça. on est deux à voir ça, cette chjose enxsemble, re et re le chien de son maitre-chien.chant des voix de l’ombre ? on voit le roulis, lme balancement, les nageoires. un chien est un chien. un chien est parfois une chienne. un chien se meut à même la roche des temps déplissés, il cherche à gratter, ronger, creuser, pisser, mordre. chien de la rage du chien à même la paroi du monde. on regarde devant soi kla chose déplissée, monde infini des traces de vie, des traces vives déployées sur roche = gravées par x hommes ou femmes des temps vieux = passés. on est deux sur le monticule. on veut insulter la déité, la traiter de tous les noms d’oiseau. on est montés à deux sur le monticule. on est tous les deux montés sur le monticule = je et cet autree je qui dit je aussi. on est à deux montés sur monticule. on est deux qui sommes elle montée et moi mùonté sur le monticule, afin d’insulter la déité. elle est montée é e, je suis monté é (é ? ) et nous voilà qui insultons en  veux-tu en voilà pareille déité de base. nous crions-vitupérons. nous hurlons-insultons à satiété (la notre) l’enfoui des vérités, le chaeval manquant, l’ombre porté, la balance. Vif.

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10/11/2022

Je suis un animal des bois. Je suis là et je ne suis pas là. Je suis là et je ne suis pas là. je suis bête fauve, tracée à main levaée, gravée sur roche. je suis l’Etre de la Roche. animal velu. je cherche à comprendre ce qui est et de ce fait je me rapproche d’icelle ici paroi des profondeurs et là je regarde (attentivement) ce qui se trame : deux bêtes à corne sont en joute. deux êtres de feu. je suis celui ou celle qui va en grotte à la recherche 1 d’une sorte de voie d’abord et 2 d’une sorte aussi de vérité tenace = qui tient ou tiendrait bonn dans la durée. je suis l’Etre des parois de roche engoncée, enfouie, cachée ou masquée au «cenrtre de la terre». je suis ou serais cettte hommme, ce femme ou comment, cet encroisement entrecroisement des données de rage, un homme)-femme des bois, jean de la roche, homme aux envies vives, femme au débotté venant croiser ses cornes à la volée. je serais un homme des abris, des grottes enfouies ou cachées et toi la femmme du paraitre, des envies nacrées, des beautés fines. je cherche ici à comprendre quelques dionnées de base qui pourrait me donner de quoi aller au plus profond en termes de connaissances et de savoirs concernant la vie. je suis homme et femme assoupis ou bien assoupies ou bien assoupi ou bien assoupie, etc. une sorte d’entrecroisement de données salubres, un salmigondis de savoirs croisés, une sorte de salkade russe etc. je m’avance ainsi de rage dans la roche. je m’immisce, je cherche fort à m’immiscer afin de comprendre un certzain nombre de données de base, données vives et ancrées, concernant le seuil, l’endroit d’ouverture, les arrets, l’enfoncement ou l’encastrement d’une sorte de passage ouvert pour une incursion à la une à la deux en roche. je suis homme qui file vif à l’intérieur d’une sorte de passage ouvert à même la paroi du monde. où ça ? dans le temps d’une sorte de parade. je suis homme vif !je suis ou serais cet homme de parade (d’apparat ?) qui file fissa en roche à la recherche (il s’agit d’une quete agraire) d’une sorte de passage, d’outrevent, un conduit venté, un tuyau ou boyau ou comment dit-on ici ? galerie des passages humains ? on est deux qui cherchons à nous approcher d’une vérité ancrée (=gravée) à même la paroi de roche du monde. on y croit ferme. on veut croire en  cette chose d’une sorte de passage fin, assez large cependant, une ouverture de paroi, changement, ouverture dans un ventre ou antre pariétal et nous de nous y blottir, de nous y loger et de nous y blottir. on entre à 4 pattes, on se suit . on entre debout et main dans la main. on entre accouplé et on s’enfonce ainsi comme des amants de la roche dure. Etc. mille façons pour dsoi d’entrer en cette rocge des données de base : vie / mort entremélées. nous on avance ainsi qu’on le dit = enswemble. et pour ça on a besoin de croiser nos jambes, nos paroles, nos émois, nos envies et nos doigts : homme-femme rude à l’envi. homme-femme rude à l’envie aussi. c’està-dire qui ne s’en laisse pas conter outre mesure, qui cherche à cerner vif les données lacustres ou autres, qui tient bon devant l’adversité du monde adjacent, qui a des envies et les protège chaudement d’attaques et autres agressions éventuelles venant d’en face ou de dieu sait où. on s’avance ensemble. on essaie ensemble de comprendre où donc sont logés les données de base de la vérité gouvernant le monde. pas gagné c’set sûr ! pas sûr qu’on arrive à nos fins de sitôt ! on se rapproche du monde desparoles ancrées ou gravées en roche et que fait-on ? on essaie de lire icelles, on essaie de déchiffrer mais évifdemment que ça demande du doigté et pas seulement. nous on cherche à comprendre ce qui est ici mais ce n’est pâs si simple qu’il y parait, on se doit de bien «se poser» ensemble face à telle ou telle auttre inscription faciale, on se doit de lire attentivement à même la roche ce qui est écrit, ce qui est gravé, les traits de force etc,. on se doit de bien «se poser» et de bien lire avec application, concentration, engouement, passion ce qui est écrit c’est un fait. c ar nous ce qu’on veut c’est cette chosec = une sorte d’ouverture à même la roche, un endroit d’immixtion salutaire, une fente «en gros». une fente par où passer à deux = elle et moi en moi, ou comment sinon ? une fente fine mais suffisamlment échancrée pour pouvoir nous laisser passser ensemble (associés ou accouplés). on est ainsi qui cherchons à nous introoduire en cette roche dure du temps et là voir ce qui est qui va et vient, les données de vérité, chants de rage, douceurs, mots doux, Verbe haut, chuchotements ou sentiments. on essaie de se rapprocher ensemble des bêtes paissant dans un pré. on s’avance doucement de ces bpêtes. on essaie de s’approcher à pasc comptés, tout doux, sans brusquerie, sans gestes de trop. on est deux qui nous tenons la main. on s’avance d’une bête forte : cheval ? on s’avance ainsi vers elle,doucement, sans bruit, sans cri. on est deux qui nous av ançons vers une bête fauve ou comment ? une chevale ? une jument ? une jumente ? un jument ? une bête à poils longs ? une bête à vit ? crinière ? queue de cheval ? cran ? nous nous avançons ainsi d’icelle bête des prés, elle broute, elle ne nbous regarde pas, elle ne s’occupe pas de nouds, rien à faire de nous, pas son souci premier. elle se fiche de nous comme de l’an quarante. rrien à faire de nos avancées. elle mange son herbe verte. elle broute en  veux-tu en, voilà et nous dès lors de nous approcher d’elle et d’essayer de comprendre qau juste le pourquoi des choses, pourquoi elle ici en cettye roche des temps offerts, pourquoi elle ? pourquoi pas une auttre ou quemlque chose d’autre ? nous nous approchhons de cette bête. nous voulons nous approcher de cette bete devant nous, broutant à qui mieux mieux son herbe verte. on cherche à comprendre pourquoi cet être de... feu ? va et vient ainsi devant nous qui sommes entrés dans la paroi du temps. nous voulons comprtendre cette chose et donc npous voilà qui nous approchons d’une bête telle quelle : bête de poids = lourde, bête des parois dures, elle règne, trône aussi, en impose grave on sait, elle est plus-que-belle car elle est racée, fine, élzancée, uun charme fou, une ligne claire, une sorte de beauté solaire etc. et nous de cghercher à la toucher. nous voulons comprendre, nous voulons nous approcher de la vérité,  nous voulons nous approcherv de la vérité du langage tel qu’il est charrié dans les consciences ou comment ? lèvres ouvertes légèrement, mots doux ? chants doctes ? oh peut-être . une autorrité inhérente, basique, incluse, insérée. je suis un hiomme de paroles vives, femmme dure à l’envi, chorale acidulée. je «mépoumone». Moi ici pour ça. me mettre à plat ainsi pour comprendre, pour cerner et creuser mon trou dans la c onnaissance des données suprêmes tu m’étonnes ! normal ! qu e tu sois ainsi déboîté ! tu m’étonnes fort ! une envie pareille ! ça le fait que ça ne le fait pas ! c’est pas si facile ! c’est dingue-fol ! c’est un truc de rage ! ça force ! et moi qui croyais tantôt que j’allais co:mprendre illico ! mais que dalle ! qu’est-ce que je comprfends ? je suis venu, j’ai vu, j’ai touché, j’ai caressé, j’ai senti, j’ai embrassé le monde adjacent (la jument, le bouc, la belette, le chameau etc) et à présent me voici gros jean comme cdevant.que sais je ? sinon rien. et moi de m’immiscer encore et toujours en  ette roche des données de vie, des données de rage, des envies vives, des volontés et des vérités. je suis homme déplacé qui cherche à entrer par «la grande porte» afin de cerner ou de pouvoir cerner au mieux un certain nombre de connnaissances concernant la roche. on s’approche ainsi à deux d’icelle pa roi du monde et là on y voit plus clmair pour ainsi dire car on est deux, on cherche à deux, à toi à moi ça va mieux c’est une évidence et alors ainsi postés on peut y voir loin ou sinon loin on peut davantage voir ce qui se trame devant nous qui cherchons à chaque fois à (comment ?) conclure, toucher, aller vers, affirmer, graver sur du marbre, clouer le bec. car un bec cloué est un bec cloué. une chose dure est une chose dure. un lacet est un lacet. je suis un hommùe ici qui fiche sa patte à l’envi à même la roche (fente) et traverse les données ainsi, données rupestres, la patte ainsi logée, patte amie, je traverse et touche de l’autre côté la chose de poids (chevale ?) qui on le voit (vraiment ?) en impose grave : hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii elle dit. Et nous qu’est-ce qu’on dit ? ça = mots de base au débotté, chants de rage au kilomètre carré, exercices de passage, correspondances. on est qui allons à deux à la une à la deux en cette roche dure et habitée et on regarde, on regarde «à fond», on essaioe de ne jamais en perdre une miette de regarder ou comment on pourrait dire ? un continuum ! une sorte d’ouverture maintenue par une opération de vive allure ? on essaie ensemble de comprendre ddddes données de rage, de folie, de vie, etc, afin de pouvoir ensuite «en parler en société» tu m’as saisi ! on est «un peu bêtes» c’est un fait mais à ce point c’’st grave, vachement. on essaie ensemble de se rapprocher de cette bête («à poils») devant nous = quoi ? jumentophagie ? chou-rave ? une bete bete ? une bete à pelures ? qu’estce que c’est devant en termes de données ? quel est le mot qui irait ? chou ? cheval ? chant ? choix ? chine ? on est pas sorti des ronces ou non : le cul des ronces. on a pas sorti le cul des ronces ou non : de l’auberge. on a pas encore sorti le cul des ronces de l’auberge ou non / des ronces d’auberge ou comment ? on est comme des cons. on cherche un mot commençant (peut-être) par «che», mais quoi  ? lequel ? cheval ? chevalier ? chacal ? chat botté ? on essaie nous de nous approcher vif, de nbous porter loin, de toucher que tu toucheras en vrai à une roche de vérité = mot gravé, chant rude. on essaie mais bon ce n’est pas gagné ça aussi on le sait. une bete sur un mur etc. voilà la comptine , et nous de nous insérer à sa suite (à la suite de la comptine ?). on est comme deux couillons qui s’en vont main dans la main à la recherche d’une vérité ancrée, nacrée, de bonne contenance, de bonne chance, de bon aloi, vive et rude, déplissée ou déployée, etc. et ce»la ici même : roche, roche des bois. on est deux ainsi qui voulons comprendre le fin mot soit le mot de la fin quand la fin est loin, voire si loin qi’elle n’exisqte pas, et dès lors... le mot de la fin... tu m’as compris ! il est si loin que vas-y ! va ! cherche ! cours ! actionne tes guibolles ! vibre ! ancre ! pèle ! etc. jamais tu n’arriveras à «tes fins» car tes fins» sont ;loin, très. elles ne se laissent pas approcher si vite. courent toujours. erlles sont rapides. les fins sont vives et courent vite. animales. trapues. coriaces. ventrues. chaudes et chaudasses ou comment ? vérités vraies des lointzains égards. on essaie bien mais c’set pâs si facile en vrai. il faut batailler, il faut se lever de bonnhe heure, il faut insister, il faut s’y coller, il faut être d’attaque, il faut charger la mule, il faut en vouloir, il faut taner le cuyir, il faut croire en sa bonne étoile, il faut y  croire, il faut etre positif et aller de l’avant, il ne faut pas regarder en arrière, il faut insister, il faut toucher, il faut grimper, il faut saillir, il faut ouvrir, il faut creuser et cela sans compter, il ne faut pas se laisser aller, il faut pousser fort et ne pas reculer, il faut ne pas faiblir, il ne faut pas se laisser envahir par des idées sombres mais tout le contraire : ouvrir les fenêtres au grand air et au soleil et tenter que tu tenteras à bien cerner les données offertes par la paroi, restes des temps. moi je vois les choses ainsi.c’est mon swentiment. je suis fait ainsi (matière, mélange) que, ce quyi à mes yeux se trame devant mpoi, me donne envie d’en savoir plus continuellemùent. pas envie de m’arreter en cours de route. je veux en savoir long sur tout. je veux arriverb à trouver des cghoses en vfrai, c’est-à-dire à creuser profond le «langage» de la «foi dans l’ombre» (l’homme ?) ou quoi d’autre ? une sorte de vérité cachée ? je regarde assidument, je ne m’en laisse ni conter ni distraire ! je veux aller ainsi en roche à loa conquête de la vérité déployée ! et pas pour rigoler, pour de vrai. je suis cet homme qui va là en roche pour tenter une approche de la vérité qyuuiii serait contenue vive dans l’adversité. je lm’approche d’une vérité tracée (admettons : un bouquetin) et du coup, voyant cette vérité tracée je comprends mieux un c ertain  nombre de choses, par exemple comme quoi la vie ici (en roche dure) n’’st pas la vie en vrai mais une sorte d’épaisseur dans laquelle toutes et tous nous évoluons ! nous voulons aller ensemùble (toutes et tous) vcers davantage de comment dire connaissances peutêtre concernant la vie, la mort, tutit quanti, et pour cela nous devons faire ainsi que des chgoses nous arrivent incidemment. nous devons bnous ap^procher d’icelle vie vive (vérité) à même le temps, et là : touche à ça ! touche à cette chose ! touiche la paroi ! touche lka roche ! touche ce qui est gravé et essaie de lire , de cerner les traits et de comprendre ici  ce qui a été dessiné. nous avons à faire cette chose d’une sorte de dessin du monde, à la une à la deux, monde vieux peut-être mais encore en vie. nous avons à dessiner une chose qui serait cette chose d’une sorte de vie riche, riche de traits, de hachures, de points tapés, etc, sur roche, animaux des prés etc. et pour ça il faut y aller ! faut pas se cacher ! pas tirer au cul ! faut pousser la charrue etc . et du coup on fazit ça. on y va. on fait la chose ainsi. on essaie ainsi de se loger en cette paroi de roche et là on creuse, c’’st à dire on grave sous emprise ou pas mais le fait est là qu’on y va : on creuse des mots de rage (de «ta rage»). on est deux qui creusons «des mots de ta rage» com^me on cdit et pour ça on a des ressources, on a de quoi, on est outillés ou armés, au choix. on est deux qui poussons que tu pousseras dans la roche le stylet ou bec benzène, ou pique feu, ou pal, etc. perséphone est là ou quoi ? car nous ce qui est , ici, c’est ça. on chercbhe à percer d’un pic de rage la paroi du monde adjacent = la percer de rage afin de comprendre.On cherche à passer fissa de l’autre côté mais bon, pas sûr qu’on y arrive du premier coup parce que c’est un truc, ce n’est pas facile, c’est dur. lma paroi est dure. ellke ne se laisse pas percer commeça. elle est drôlement cvoriace. elle est dure de chez dure ! elle est rudement dure face à nous. nous nous tenons prêts mais ce n’est pas favcile d’y aller. on est tout prêts pour ça , percer, mais loa roche est xdrôlement dure sous nos stylets, nos pics de rage, nos becs et autres piques à traverser. on cherche grave à graver nos noms de vérité mais ce n’est pas donné d’emblée : il faut se faire un n om, il faut travailler la chose ou à la chose, il faut toucher la roche en vrai (roche de la vérité du monde) et du coup faut pas traîner ! faut en avancer ! faut tracer ! tracer = tracezr des traits sur roche (aurochs et auroques) et aussi tracer = aller fissa à même la paroi = courir le lièv re, la bête à chassezr, l’ours polaire, l’ours des cavernes, le chaeval fougueux, le lion nacré, la panthère, l’ornithorinque. on veut ici comprendre «lourd». on veut ici même (roche = temps =  verbbe = voix = vie) comprendre profond la terre nourricière. on est p^rêts. on se tient prêts et on est armés pour. on a du verbe plein la besace. on peut peser. on est ainsi qui sommes desqui comprennent peu mais qui en veulent grave. je suis l’homme qui (ici) veut grave trouver , quoi ? l’éternité d’un chant de paroi : houuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu fait le loup-garou. et le cheval fait hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et l’ane ? hi-han dit-on. nous on y croit. on croit que les lmots (on le voit) sont pile-poil adaptés aux choses : hou, hi, hi-han ça colle ! tu le vois ! et nous du coup d’y c roire à fond , c’est à dire que la chopse en nous est comme ancrée et vas-y la retoucher, oui à petits pas peut-etre c’est ça ! on veut essayer ou bien essayer lmais c’e’st pas fait ! On est sur du compliqué là. on est vpas sur du aisé. on est sur du lourd question cvomprenure c’est sûr ! on essaie de toucher à cette chose d’une sorte de monde qqui qsezrait pour nous un monde de vérité, mais lka chose est rude : hi-han ! on entend le braiement (braiement ? baillement ? ) de l’âne. on approche doucement, à pas feutrés, d’une sorte de vérité baillante (trou des fées). et nous de nous y loger vite fait le peu de temps que la chose dure, et hop, on est, on est entrés, on est dans, on est entrés dedans via (par) le baillement, ce trou de forêt (foret ?) qui donc nouys pousse»»» à nous immiscer ensemble («à la une à la deux») en cette roche des données ... lunaires ? lacustres ? logées ? limpides ? on cherche. on veut comprendre, on veut creuser et comprendre. on passe par le baillement (le braiement en soi de l’ane) et une fois passé de l’autre côté eh bien on avance, on «marche», on file, on regarde autour de nous, on regarde attentivement les choses du monde : la paroi comment elle est, les bêtes dans lkes prés, le ciel nacré (nacré ?), les lointains brumeux, les cailloux, les herbes, les fleurs, les troncs, les feuilles, les betes chargeant, les betes alanguies, les bouquetins, les aurochs, les buffles, les chevaux, les betes de pôids et les betes légyères comme les étourneaux, etc. on n’en perd pas une. on ne cessae de regarder autour de nous, on veut tout co:mpre,ndre = c erner vif = dessiner = prendre = embrasser = ingurgiter = avaler = avaler pour s’alimenter et du coup chier l’avalé. on est comme ainsi qiu’on voudrait être à deux = des etres assortis , qui prennent, avalent, ingurgitent à fond, digèrent et caguent. onj est comme des qui caguent derrière eux (elles). on est pas différents des autres betes des prés. on leur ressemble. be^tes on est qu’on avance ainsi vers d’autres des prés : aurochs et auroques on l’a dit mais il est bon de le redire. on s’avance à pas feutrés vers une auroque des pré s qui semble voulpoir nous parler. qu’atellle à nous dire au juste ? que veut (voudrait ?)-t-elle nous dire de si important en la matière ? dis-noyus tout auroque ! dis-nous ce qui te chagrine ou bien te turlupine ou bien occupe ton esprit ou bien te pèse ! nous on veut savoir ce qui est en toi en termes de poids vocxal. on est deux pour toi, on te regarde, on t»’écoute attentivement. on est là pour toi, pour te seconder ou t’accompagner : prendre soin cde toi. nous on veut comprendre cette chose d’une sorte de paroi du monde, paroi dure au demeurant, rudement coriace ou comment mais quyi , au décours d’un «baillement» (le braiement (?) de l’âne ?) se serait comme «séparée» ou disons échancrée , et du coup nous on a pu passer et c’est exactement ce qu’on a fait cd’un saut d’un seul, à deux, hop ! on est passé ! on a traversé les données primzaires de la roche (le verni ? le vernix ?) et cela une fois fait on s’est empressé de courir comme des damnés loin de l’entrée, vers des betes rosses de prairies, vers icelles bpêtes lourdes devant noyus : mots d’homme. et du coup on est dedans à présent = dans le temps. on est à l’intériuer des données frontales. on est entrés en cette chose ici d’une sorte d’intérieur basique, antre aux connaissances rangées, choix de classe. on veut comprendre ! on est ensemble pour comprendre les données vives. on est assoprtis et accvordés, on est accouplés et accolés, etc. on est comme des qui cherchent à l’envi des vérités, qui cherchons des choses déposéees, vivres. on veut pas céder. on veut résister. on v eut se poser en roche et tracer des traits : auroques et bufflettes et chevales et bouquetines des prés c’est fait ! le dessin est là qui nous fait face et on le regarde et on comp^rend deschoses : un mot = un animal de roche. une vérité de base est une vérité gravée dans le sang = du par coeur. on est comme deux e,nfants qui apprenons par coeur des vérités de base rocheuse. on est deux qui voulons comprendre des choses co,ncernant le monde du temps adjacent et dès loçrs voilà, on se poste à deux au rendez-vous, on est collés serrés, o,n est deux accouplés comme des mouches, on se pose sur roche ainsi accouplés, tenues, accolés, etc, et on tente l’approche de la vie et de la mort par des termes prononcés qui sont autant de jets de voix, de cris de joie etc à son encontre. vie et mort mêlées. on est qu’on cherche ensemble à comprtendre des choses vives concernant la mort, soit des choses de vie concernant la mort. nous on veut beaucoup comprendre des choses de poids, c’est un fait et ce fait pour nous est d’importance, on est dans la chose comme «remontés» à bloc et comme suspendus. on veut aller loin ainsi suspendue  et ainsi «remontés». on veut aller au plus possible loin en pareille prairie à paitree, à traverser. on est deux en soi qui cherchons des choses rudes = vraies = solides = vives = coriaces = debout = animales. notre but dans la vie est de comptrendre des choses de poids, des choses qui pèsent grave, qui ne s’en laissent pas conter et vous donne de quoi alimenter vos envies de vrai. nous ce qu’on cherche le plus c’est cette chose comme quoi on est des qui voulons, on cherche le plus parce que voilà, on veut; on cherche à deux parce qyue voilà on est accolés et du coup on est ainsi qui nous présentons en roche, on se présente, on s’avance, on cherche que tu chercheras parce que voilà on est des chercheurs patentés, chercheur et cherc heuse, chercheuse pour elle et chercheur pour moi ou l’inverse peu importe. on est deux chercheueses, on est deux chercheurs. on devrait pouvoir ensemble dire cette chose comme quoi on est deux chercheuses. pourquoi on peut dire on est deux chercheurs , et on pourrait pas dire on est deux chercheuses? on est deux qui chercons à fzaire ainsi que des mots affleurent et disent mordicus les»choses du ventre», ou «les choses de l’antre». ça on  veut. on veut ça nous deux. on veut cette chose du ventre, de l’antre du monde. qui sait vraiment dire ça ? qui saurait vraiment nous cdire ça ? qui vraiment saurait nous dire ça ? qui vraiment saurait nous dire cette chose d’une sorte de donnée tracée à main ;levée par un homme des temps reculés ? qui pour nous donner le change ? qui pour dire la vérité ? qui pour dire ce qui est au plus ? qui pour diire ce qui est en vrai au plus ? je suis entré dans cette roche devant moi, et maintenant me voi:là «coincé « ? ou sinon coincé logé ? comment dire ? car autour de moi le monde est, quyi tourne que tu tourneras, qui va sa vie de rage frontale, monde des entreés de rage etc, et moi de tenter d’y comprendre ou d’y cerner quelque chose de vrai ! oh misère ! il y faut la foi (dans les mots du Verbe) je te le dis ! sans la foi maccache ! tu peux te gratter ! sans la foi tu peux toujours courir : ici, là, là-ba s, plus loin, plus près, comme un lapin, un lévrier, un sanglier, un cerf, un chien. le chien de sturtevant; une bete des prés et des bois. une bete vive, racée, sur pattes. nous voulons comprendre des données de base vives (les données) et alors on fait ça, on cherche à 4 pattes, on se renifle, on s’aime, etc. on est physiques. on est fleur bleue mais physiques c’est un fait patent. on aime faire ainsi que des choses soient qui affleurent et viennent nous offrir du sens, des mots sensés, des raisons, des objets cde vérité. ça oui. on aime assez nous laisser porter par x dires dits «de vérité patente», oui. nous on voudrait toujouirs toiujours creuser davzantage la paroi, à la recherche de mots divers mais qui soient tous «de véreité». on aime les choses vives, on aime la vie des choses vives, on dépose de la vie vive ou disons : du vif coloré. nous ce qu’on aime c’est cette chose d’une sortye de dépo^t de choses colorées à même la roche des prés, et nvoilà, poiurquopi on s’en approche vivement, voilà pourquoi on veut aller loin vers elle, voilà ce qui nous importe, ce qui nbous plait et ce qu’il nous plaît de faire. on veut ense,mble trouver des vérités de roche cachées (les vérités). ensemble on cherche à trouver des choses ici ou là (antre) qui ressemblent , ressemblassent ? à des vérités c’està-dire à des «choses cde poids» et non pas fluettes, fines, fragiles, cassablkes. nous ce qu’on cherche le plus (ensemble) c’est desz vérités de bon poids bon oeil, «qui le fasssent», qui pèsent lourd dans la balance, qui soiuent costaudes et fiables etc. on cherche du lourd dit «d’aurochs». ou d’auroques. mâle et femelle. une vérité mâle et une vérité femmelle. vérités mâles et vérités femmelles. on est ainsi nous cdeucxx nous-mêmes et mâle et femmelle. on est comme en  ous et m^ale et femmelle, et dès lors on voit «doublement» les choses du monde : droite-gauche, endroit-envers, haut et bas, etc. on est ainsi cdeux (2) squi voyons double, quyi voyons  de nos quatre yeux etc? ou alors on est deux en soi mais avec deux yeux et pas quatre ? un pour chacun ? ou alors on a un oeil pour deux et c’est suffisant : ça voit. ou alors comment ? on s’approche de l’aurochs de base, dit «de base». on le voit brouter. il broutevavec force, vivement, ardemment. son allure est belle. il nous plaît? on l’aime. on aime l’aurochs, on aime l’auroque. on zaime la bête des prés et on la regharde de près. nous on aime ça de regarder la bete des prés de près, parce qu’on est près d’elle à presque la toucher que tu lza toucheras ... ou pas, selon que tu veuilles ou non, ou que t’en sois près ou non, etc. nous oui. on aime. à deux on aime ou nous deux on aime. on s’approche de la bete auroque, ou de la bete aurochs, on est tout près d’(elle à pôuvoir la toucher et allez ! on ne se gêne pas pour la toucher : «la toucher la toucher» on aime, on chante, on touche la bête en chantant, on aime la bête quyi broute tandis qu’on la touche ! on aime cette bête des parois, des champs des roches, des espaces verts, des prés natifs, des champs de verdure accomplis (les champs). nous on aime ça plus que tout au monde ou pas loin. on estt des «ruraux» de base. on cherche le vert dans le sang. on a pour nous cette envie de savoir ce qui est ici qui nous regarde : aurochs ? et qui dedans ? on est des qui cherchons vivement des cghoses de poids dans le sa,ng : mots donnés par la bande animalière coutumière. je suis ou sezrrais cet homme-femme des parois de roche, à la recherche d’une vérité nacrée que le sang (en soi) contie,ndrait comme un fluide de vie en lui, ancré. et nous (moi) d’y aller de notre (de mon) couplet acidulé : «vive la vie qui va ! je chante la vie qui va ! je suis l’envie en moi qui va ! mon coeur veut la vie qui va», etc. moi-nous suis-sommes celui-ceux-celles qui (hou !) vais-va-vont-allons dans les champs , à la recherche de la vérité an,crée chantée car elle est. la vérité ancrée est chantée = déplissée = déployée = déroulée = mise ainsi à plat sur roche (a)temporelle. on croit que les choses sont car les choses durent et sont dures, or. or voilà ce qui est : les choses sont dures, les choses sont et durent.... judsqu’à temps que la vie va, passé cela : les choses ne sont plus sidures, et la vie rugueuse etc, le chant se poursuit dans un sang de rage mais alangui, chant enfin apaisé de ta race (rage) oui, et qui combine pludsieurs données centrales, à savoir, en lui : une dose de bonté céleste, une sorte de magnanimité aagraire, un ressaut de vivacité modeste, etc. on est là pour co:mprendre les données placides. notre envie est de toujours comprendre au plus ce qui ici ou là (autour de nous) se passe en matière de chaleur de vie, de beauté de vie, d’espérance etc. on est pour aller, on est pas pour ne pas aller. on est pour cfranchir des paliers de reconnaissance, de connaisqsance, de naissances. on est ensemble en  certte roche (deux) pour tracezr du Verbe sérieux, du compact lisible, du vrai de roche : animaux de la tribu, betes de race, massifs montagneux, colères. voilà tout ce qui pour nous importe le plus. deux  êtres en  nous pour un paraittre, c’est fou. chaleur et moiteur, on sue comme tout, il fait chaud. on crève. on veut aller loin dans les conna issances, on veut aklller trèds loin dans les connaissances, on veut aller le plus loin possible dans les connaissances. on ne veut pas rester à quzai, on veut creuser, forcer la main, tracer loin des betes sur roche, dessiner à mains levée la Chose rosse , et prier que le vent s’apaise, que la pluie vienne, que le sang coule encore dans nos veines. il est bon ici de noter ça comme quoi on est sous l’emprise forte (folle) en nous d’une bête forte (folle) qui nous pousse à tracer des traits ancrés, à dessiner à main levée la Bête des bêtes, la des. on est pris ainsi à partie. on peut pas se li$bérer. on ne peut pas se libérer facilement (tout court ?) de la bête en nous qui vitupère, qui nous assiege, qui nous fout à mal, qui nous colle au cul, qui nous hante, qui nous habite, qui nbous prend, qui nous harcèle. la des. or quoi ? on est envahis c’’sst vrai mais quoi ? pour quoi faire ? eh bien pour cette chose d’un tracé rupestre haut la main, tracé de rage verbhale, d’une sorte en nous de rage verbale, de colère forte (folle : fauve) qui nous fait tracer des êtres de foi, de feu, (effe) sur paroi, à même le froid de la roche. on grave sec l’humide. on est deux en soi (bête et moi) qui gravons tenace. on grave tenace ! on grave sec ! on y  croit ! on a la foi car on est soumis à une bete en soi qui vitupère à travers moi, etc. moi moi moi je suis envahi par lui lui lui ou elle, la bête, lui l’envahisseur, charmeur, dompteur, docteur docte : il connait la chose rosse, l’aurochs, la bete velue, le cheval et la chevale, bouquetin et bouquetine, buffle et bufflette, bison-bisonne, etyc. je suis sous le joug (le bat) d’une bete de poids qui pèse sur moi, ou l’inverse ? je = bête de poids en moi et du coup quoi ? je suis bête ! suis-je bête ! je suis bête comme chou ! suiis-kje bête comme cghou ou comme tout ! mon nom est «colère», colère de gnou», mon nom est «auroque des prés allumée». je suis u ne bêtye bête, je suis aussi bête que bete, je suis aussi bete que ne l’est la bete, je suis tout aussi bete qu’eune bete bete est bete. je suis ou serais en vrai tout aussi bete qu’une vraie bête des prés. mon nom est «bête des prés» = gens de rage = jean de rage = jean des prés = jean éric des prés = jean éric des envies pressantes. je serais un homme, un enfant-homme, une sorte de manant dans le vent. je serais cet hommùe des parois rondes. je regardxe devant moi les choses et qu’est-ce que je vois je vois ça : la Chose Rosse, oh ! je vois une drôle de chosec rosse ! dingo ! c’est une drôle de chose rosse on dirait ! il s’agit de quoi au juste ? une bete forte devant moi me regarde et semble vouloir me dire une chose et moi de la regarder en retour tout autant fixement qu’elle elle me regarde ! je suis homme hé ! (je crie). je suis un homme = un garçon. je dis là à eele que donc «pour ma part» je suis un garçon mais voilà, elle me regarde. la bete sur pieds me regarde. je suis un garçon , ou alors je dis : je veux être un garçon pour toi . je veux pour toi être un garçon de base. je suis jeu. je suis jeux. je suis «je suis». je sezrais «Je suis». je regarde devant moi « des choses» aller et venir et il xemblerait que»ces choses» soie’nt des choses vives = vivantes «dans la mort» : ah ah. il semblerait que dans la mort il y ait des chosescvivantes, c’est dingue. attention. il xemblerait que dans la mort telle que véhiculée»»» dans les mots du temps pariétal (aurochs etc) il y ait «des chsoses» (quoi au juste ?) qui fussent vivantes = vives.On dirait cela ou il semblerait, que donc, «des choses» (lesquelles ? ) soient vives, soient vivantes, vives +++++++, à l’intérieur de cette chose dite «la mort» (et ici le «dite» a une importance capitale). il semblerait ++++++++++++++++++++++++++++++++++ que donc le mot «mort» contienne en lui des choses fde vie. il se’mblerait que le mot «mort» , et aussi la mort soient dans ce fait de vie comme quoi elle est dite, elle est nommée. on essaie de débrouiller ou démêler les fils de l’écheveau mais bon il semblerait vraiment ici cette chose comme quoi la mort serait «véhiculé» en nous (sang) comme un quelque chose en vie, vivant, gagnant du terrain. on est deux à penser (en nous) que la mort est vie (et la vie mort ?). on esqt deux (en n ous) à penser ça comme quoi on est des qui contenons en  n ous»des choses» qu’on sait pas encore. garçon de passage. devant derrière. on cherche bien sûr ces choses , «ces choses», ce qu’elles sont au fond de nous : attributs ? bêtes ? envahissaesseurs ? gens ? jean ? qui sont elles ou que sont-elles ? je suis un homme fol cherchant querelle , ou bien l’homme doux des parois ouvertes ? les deux ? femme à cran ? bete rude ? qui suis-je ? eh bien cet homme ou cette fezmme des abris de roche. je suis nu à l’intérieur d’une paroi du monde et je vais et je viens en elle, je me vautre en elle, finement, courageusement, co:mme un enfant, comme l’enfant-do qui chante à tue-tête dans la nuit des temps peureux. je regarde autour de moi les choses du monde, les attraits, les colorations, etc, je marche d’un pas régulier, je suis un homme réglé, je suis cet homme qui cherche à toucher à la roche des temps impartyis, mon nom est gravé sur la roche meuble. qui je suis eh bien l’homme doux ! le parasite ? pas vraiment ! l’homme des poids et des mesures, l’homme aimé pour ce qu’il dit du monde nacré ... ou pas mais adopté, pris dans une nasse, pris-compris etc. je m’avance à petits pas et chercvhe à comprendre kles données sommaires, je suis nu. mon nom est «coeur de la foi des dires». mon nom se décline ainsi à l’accusatif. je suis et ne suis pas celui que vous pensez. je cgherche le nom dans la roche dure du temps imparti à une gvie pleine. je vois les embruns. je vois loin (?) les données profondes. disons que oui et non : je vois loin ce qui se trame et en même temps je ne suis sûr de rien. je suis un homme doux dit -on mais qUi le dit ? la bete célestye ? le corps (lequel?) ?Je m’avance à petits pas : je charge à ma manière. cul nu conclu. je vais tout près de la bête. je la  regarde. je vois qu’elle aussi elle me regarde. je suis un être petit pour elle qui est bien costaude devant moi. je suis un homme fol de rage dure mais qui voit ça en moi car je masque. je cache ++ avec les mots d’une foi intrinsèque (dans les mots) qui fait de moi la femme des données de base, l’enfant roi, l’homme placé. tout à la fois. je suis et je ne suis pas cellui que vous croyez. je regarde loin et vois quoi  la peine ? je regarde au pluys loin possible et que voisd-je là-bas qui se dessinne une sorte de tete de mort, cadavérique ? ou quoi ou qu’est-ce ? je ne sais ! je voudrais savoir mais je ne sais vraiment ce qu’il en est. Je cxherche à comprendre assidument à coups de pic, à coups pde percées, d’entreés vives dans la matière du temps rupestre, je fais ce que je peux et de mon mieux. je fa is cette chose d’une sorte d’entrée vive à coups de pics redoublés, réitéréss sur roche. pic et pic et colégram, etc, mais cela peut-être ne suffit pas, il y fzaut davqantage. il faut presser. il faut pousser. presser et pousser la Chose. la faire reculer le plus. la repousser commme un intrus ou une intruse. on pousse de toutes nos forces la Chose dev ant nous dressée, mais elle résiste fort c’seset-à-dire «comme il faut» et nous on peine grandementr = grave, on est pas costaiud, on est costaud mais sans plus, on est pas des bnêtes, si on est des bêtes mais là faut du lourd, du p;lus que lourd, du vcostaud des épinettes et alors +++, pas q’un peu c’est une certitude. faut y aller carré. Faut pousser bébé. bébé ici c’est la mort, la mort dure. bébé ici on dira que c’est kla mort, voire son nnom. on dira ici que «bébé» est le nom (le petit nom) de lma mort à l’oeuvre. et du coup qu’est-ce qyue ça change au fond peut-^$etre pas grand-chose des données du monde. on regarde icelle mort à la lumière des données les plus récentes comme toujours. on voit toujours sous l’angle de la vie qui va, des lumières des temps travezrsésn,, etc. on voit les choses se dérouler sous nos yeux bien ouverts un temps et puis on les referme car on a sommeil, et c’est là (dans le sommeil) qu’il faudrait poursuivre ardemment et garder le cap, mais bon, on fatigue, on ne peut pas tenir lonftemps de trop, à un mùoment il faut qu’on dorme (charger les accus) etc.  on est des prtits hommes. on est pas bien forts. on est petits. on est des petits qui voulons mais on est quand même des petits, qui voulons grandir, pardon, mais quand même, on est des petits qu’on nous fait dire et c’est vrai, on «porte» pas loin.On voit pas bien loin. on voit à c^té de nous et encore. on voit autour de nous des choses et encore. on est pris en flagrant délit de visionnage zautour de nous de choses et autres et encore. à peine si on comprtend ce qui est autour de nous en termes de données de base, de données de rage, de mots portant. on regarde grave les choses l:ongtemps mais on voit squoi on voit pas bézef. on voit des choses de race, peut-être. pas s ûr. des choses de rage ? ah peut-être, davantage. on veut être et avoir été daans un même mouvement. on voudrait aller au plus profond de la dite rivière des  choses du monde, des données de vie, au pluys profons du monde ancré, etc, aller loin et remonter ensuite à la surface ainsi outillés ou comment dire, enrichis ? On aime beaucoup (grave) aller loin da,ns le temps mais aller ainsi (loin dans le temps) n’e’st pas donné à tout le monde loin de :à. on voudrait nous aller loin beaucoup ensemble dans le temps ++ mais c’est pâs gagné parce qu’on est des êtres humains qui ont besoin de choses de base comme par ecxemple : de manger, de boire, et avant de respirer, de faire pipi et caca, de dormir aussi, et peut être même de rêver sans doute, de se couvrir pour ne pâs avoir froid etc. basique. on est deux en nous squi rêbvons peutêtre un certain nombfre de choses qui grandement influent sur nous, notre vie, nos envies, nos certitudes ou pas, etc. on rêve la nuit, notre nuit. on rêve à l’intériuer de notre nuit. on rêve à l’intérieur de la nuit des temps, des avancées du temps etc. on est deux qsui voulons ensemble trouver dans la nuit des temps des choses de la profondeur : r^ves exaucés, chants choraux, troubles de la vie, offrandes, gentillessse, concerts donnés à la vie par des êtres des recoins cachés de la roche, douceurs éparses. on aime creuser au plus qu’on peut lza roche des temps et trouver des choses comme par exemple des mots usités.comme par exemple des paroles de bienvenue. ou bien comme par exemple des mots crus, des mots vifs. on est donc ainsi remontés et prêts (prêtes). on veut pas lâcher la bride, le morceau de choix mais poursuivre vaillament soit vaille que vaille sur notre lancée et aller loin dans les profondeurs, à la recherche cde la vgérité des choses de la vie et de la mùort mùais est-ce possible et si oui comment ? à la cravache ? au débotté ? en chantant à tue-tête ? en gueulant sa rage débonnaire ou pas mais vif ! vive sa rage et vif son chant ou son cri de joie. on est qui voulons percer-piéger, donner-colller, pousser-nacrer, quiiter un monde pour un autre, fait de voix diverses entremélées disant 1 la bonne aventure mais aussi : 2, le sens des choses cdans le sang. on veut «grapiller» des choses et autres en passant : vérités communes de préférence : qui sont pour toutes et tous à la fois. nous voulons aller dans les profondeurs de la foi dans l’être, car la foi est là (toujours , et toute) contenue en nous (le sang ? le Verbe) qui nous ceinture, nous mùaintient en vie, nouys dressse , fait ainsi que nous soyons debout des être de vie, qui alloons de par le monde, bavardons-buvons, etc/. IOn avance ainsi dans le monde. on est tenu par une foi de rage en  ous qui nous pousse vive à faire des cvhoses, à oeuvrer. on oeuvre. on foule aux pieds ce qui nous dép^laît ou pas mais on en avance en  marchant d’un bon pas. on est rageurs mais bon, pas que. on jouit. on a la rage en  ous de savoir la chose comme quoi nos jours sont comptés mais bon : on jouit des choses, fruits, chairs, vents, lunes, Verbe, mots des parois dures. chevaux dessinés à même la pierre. on eswt là ensemble et on essaie de voir ce qui est dessiné le plus souvent. on regarde la paroi attentivement et là on se pose un temps afin de bien réfléch,ir à ce qui apparait à notre vue, à ce qui se dessine sous nos yeux d’enfants ébaubis. nous on comprend des choses, mais ces choses sont-elles vraiment celles qui en vrai sont dessinées ? en d’autres termes : est-ce qu’on se trompe du tout au tout ou comment ? voit-on juste autour de nous ? voit-on ce qui est au juste ? sait-on voir ce qui est ? sait-on voir les choses comme elles sont en vrai ? sait-on ensemble voir les choses ce qu’elles sont en vrai ? doit-on penser pour nous que oui, que ce que nous voyons et pensons voir = la vérité vraie des choses du =monde . on cherche une sorte de donnée de base qui influerait sur l’ensemble des choses du mùo,nde telles que nous on les perçoit ou les percevrait. on se dit que peut-etre on pourrait ensemble trouver des choses de poids qui puiisent faire ainsi que nous puissions comprendre loin beaucoup des choses du monde de la vie, de nos envies etc. on poussee loin le bouchon du temps. le bouchon tout court, disons. on pousse ensemble loin les choses afin de donc co:mprendre loin, profond, la vie et la mort. on se dit qu’on est en vie = quelque chose d’auttre mais quoi ? on se dit que les mots ne sont pas à même de dire tout de ce que c’sset que cette chose cd’une vie en vie. on se dit qUe peut-être oui les mots peuvent, c’est-à-dire qu’ils sont capabkles de porter des poids ou du poids mais momentanément, pour la forme pour ainsi dire , pour donner le change (à qui ? à la mort ?) mais ça ne compte pas vraiment, jamais vraiment, ça fuse. on pourrait penser que donc les mots du monde ont la capacité de porter du poifds et c’est vrai mais pas tant que ça ou disons : pas très longtemps, pas des massses. Car les mots «accusent kle coup». les mots sont e,n peine. les mots de rage sont dans la peine. ils posent ce qu’ils sont au juste, ils posent un temps, ils posent ce qu’ils sont juste, ils sont comme des choses qui sont déposées. oh comment dire ? ils sont comme posés ici ou là un temps = le temps = le temps d’une sorte d’élocution et puis la chose file, va plus loin, échappe, rebondit ailleurs etc. onn essaie de la cerner avec des mots mais les mots tamponnent (ouate) qui se logent dxans les interstices du temps et comblent les trous de la soerte, masquant les données cruciales. on voit cette chose comme quoi la mort est bel et bien masquée par des mots de rage tereestres. la mort est cachée derrière un paravent de mot. les mots masquent grave la mort qui donc se tient comme cachée, à l’affut, derrière une sorte de paroi mobile, de mur de rage. on cherche dès lors (nous deux : la bete en moi et moi) à toucher à cette chose d’une sorte de paroi-paravent-tenture, quelle est-elle ? qui pour nous aider, nous seconder ? qui est-elle, c’està dire qui la Chose est-elle, cette chose d’une sorte de paroi de base... masquant quoi ? car la bete est là sur roche mais la mort ? où ? où dans le paysage ? hauteurs ? où ? profondeurs trerrestres ? où se loge l;a mort dans le paysage ? où donc la mort se loge-t-elle dans le paysage ? est-elle en haut , est-elle en bas ? que fait-elle quand elle nous regarde, ou pluto^t où est-elle posée ou déposée ? où se situe-t-elle sur l’écghiquier ? où donc a-telle son oeil ? à la droite ou à la gauche ? côté droit ou côté gauche ? de ce côté-ci ou de ce côté-là ? où la mort a-t-elle son oeil ? la mort a t elle un oeil en vrai ? la mort déjà est-elle nantie d’un oeil quyi verrait les choses crûment telles q<u’elles se dessinent sur la roche des tourments ? la moert est-elle située ? la mort est-elle postée ? la mort est -)elle postée aux aguets ? la mort est)-elle dans l’attente d’une sorte de sortie de nous , de sortie de rage, de sortie des lignes ? a-t-elle pour elle une vue fine , une vue de chat ou de chatte dans la nuit noire ? est-elle nantie, postée, dsituée, placée, mise, ouverte, l’oeil ouvert, haussée, collée à une roche ? la mort a telle pour elle un qualificatif qui collerait à ce qu’elle est ? est-elle ? la mort est-elle placée quelque part dans la groote du temps ou bien est-elle hors d’elle et si c’est le cas : où ? la mort est-elle cachée, placée, située quelquepart à l’i,ntérieur de la grotte ? où à l’intérieur de la grotte se cache-t-elle ? où donc la mort à l’intériuer de la grotte est-elle logée ? est-elle logée ? a-t-elle une loge à part ejntière pour elle ? un oeil ? est-elle seulement un oeil ? l’oeil de qui ou de quoi ? qui nous voit ? la mort est-elle dieu ? dieu (tel quon le nomme) est-il la mort ? est-ce que la mort ou dieu c’est la même chose ? est-ce qu’on peut dire cette chose commme quoi la mort et dieu ce serait la même chgose ? est-ce qu’on peut dire sciemment, incidemment, que Dieu ou la mort cd’est la même chose ? peut-on dire incidemment et sans peine que donc la mort ou dieu c’est du pareil au même et que donc si on croit à la mort, si on croit que la mort existe alors obligatoirement on croit que dieu existe ou disons que quelque chose existe «au dessus « de nous  ? qui peut nous dire ? est-ce que Diuueu-La-Mort existe ? est-ce que la mort existe ? est-ce que la mort en tant que finalité, terme, fin ou clap de fin , existe, ou non ? ça continuerait ? Est-ce  que Diau = la mort, est ce que la mort = dieu? Je regarde aurour de moi et qu’est-ce que je cherche  ? la mort ? unje image ? la mort perchée ? la mort est-elle perchée comme un oiseau est perché sur un arbre, sur un fil, sur une toiture? La mort est-elle perchée au sein cde la grotte ? la mort est -elle quelque part perchjée à l’intériuer de la groote où l’homme de la préhistoire grave que tu graveras des betes de poids à même la roche arrondie : auroqueries de rage faisant fi de la vie en vrai mais portant haut son semblant de vive aanimosité, . on regarde ici et là en haut (de prédférence) les moineaux, les tourterreaux, tous les pâsseeareaux. mort sur ta branche es-tu comme un oiseau ? oh, Mort sur Branche, nous entends-tu ? on gueule à tout va nos dires de rage, on veut perforer les tympans de la mort. gueuler grave. graver nos tourments de rage : bouquetineries par la bande, auroquinerie de rage. feeux vifs. flammes hautes touchant kes étoiles ou plus encore, plus haut. on regarde ce qui est autour de nous, on cgherche une loge, un coin dans la roche, un recoin = un petit trou. on cherche le petit trou. on cherche ensemble (main dans la main comme deux enfants) le petit trou. on cherche quye tu chercheras ensemble ce fameux petit trou de base : lieu d’une cachette (ou cachotterie). où donc ici est logée la mort ? où donc la mort est-elle ici logée ? ici = dans le sas. Où donc la mort est-eele en vérité logée ? où donc la mort est-elle en vérité placvée ? où donc est-elle sittuée ? où se situe-t-elle dans le sas des sas ? nouys regarde-t-elle ? nous voit-elle ? la mort a t-elle des (deux ?) yeux pour voir , pour mater, pour nous reluquer grave tandis que nous on s’affaire : feux de joie sur table d’offrande. on vitupère, on houspille, on criaille, on glapit, on crache du feu, on pousse la sérénade, on crache loin notre bave, on gueule à la vie à la mort, on pousse des cris d’orfraie, on pue du bec, on rumine, on ecxplose, on se met en 4 pour en imposer, pour faire de l’effet, pour faire impression. on cherche le feu. on cherche à brûler des choses de foi. oOn cherche à brûler nos envies de rage. on crie notre rage allouée à une vie de base : hosannah basta.

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8/11/2022

On regarde ce qui est et on voit quoi on voit ça : cette chose d’une sorte de paroi. On regarde devant soi et on voit quoi on voit ça : une sorte de paroi. Une sorte de chose humide. 

On regarde devant soi et on voit qu’on voit ça : une sorte de paroi. Chose des tenants et des aboutissants. On est deux qui allons fissa, qui cherchons fortune en cette roche devant soi. On cherche que tu chercheras à comprendre un certain nombre de données de base et ces données de base on les veut pour nous comme des vérités qui de fait se logeraient en roche, pour notre plaisir, etc. On cherche à comprendre ce qui est, ce qui se trame. On cherche ensemble à y voir clair le plus possible. Pour cela on s’avance ensemble et main dans la main vers la roche. On essaie de fissurer icelle (coups de bec). On est deux ainsi à vouloir entrer en cette roche dure, en pareille paroi de grotte. Deux à vouloir ainsi nous « encastrer » ou sinon « encastrer » loger. Voilà : nous loger en elle = nous blottir en elle = nous ensemble enfoncer vif, ensemble une vie. On cherche bien sûr à comprendre au mieux pareil enfoncement. On cherche à cerner les tenants et les aboutissants de pareille embardée dans la roche. On est motivés. On veut savoir. On veut y aller ensemble et ne pas céder mais tout au contraire progresser et aller loin le plus possible, toucher « les lointains », faire ainsi wqiu’on se projette ensemble dans « le loin » d’icelle roche des embruns. On est donc ici logés à demeure comme deux enfants s’en vont chasser la bête, la petite bête dans les bois, au sommet des arbres. On est ainsi deux qui chassons « la bête » ensemble et cherchons à trouver une sorte de vérité des profondeurs et ce en avançant fissa, à la une à la deux, afin de comprendre au mieux les données sommaires primaires de la vie sur terre. On peut ainsi comprendre cette chose comme quoi la vie sur terre est une sorte d’embardée votive, une sorte (en soi) de plongée « fictive », « fictive » ou native, une sorte d’en-soi qui préfigure une vie nouvelle, à venir, une vie neuve qui viendra bientôt, une nouvelle vie à vivre e,nsemble un jour prochain : une vie dans la mort. On cherche à savoir ce qui est et ce qui est est cela que nous ne savons pas encore tout à fait, on sait cela. On est à chercher une chose et puis une autre. On veut toucher à cette chose et une fois cette chose touchée alors peut-être on va pouvoir en avancer fissa sur pareil chemin des connaissances prosfondes, sur pareil chemin d’une sorte de co,naissance par les profondeurs d’une sorte en soi de mise en forme ou en délibéré de soi pour soi. On est deux ainsi (en soi) et on cherche fissa. Fissa on est ainsi qui filons dru sur la paroi (ou dans la paroi). On cherche à comprendre qu’est)-ce que c’est qui nous attend au débotté derrière pareille paroi et pour ça on doit aller loin dans les embardées (etc.) et creuser que tu creuseras à même la roche. On veut voir et que voit-on ? On voit des choses rudes (rugeueeses) comme par exemple…. La mort ! Mais pas que. On voit bien que c’est ainsi que des choses arrivent pour nous qui avançons. On voit bien que des choses ainsi pour nous qui avançons se trament. des choses devant nous opèrent. Il s’agit de quoi ? Il s’agit d’un genre de « paroles » vives, drues, fortement ancrées dans la roche, mots des rages, mots « durs »,, mots des parois meubles etc. Chants des parois. Chants de la terre meuble. Chants d’oiseaux. On veut voir ça de près, on se rapproche, on cherche à toucher, on cherche vaillamment à se rapprocher de cette chose d’une sorte d’envahissement de la roche par des mots de rage. Que sont-ils ? Que sont ces mots de rage sus-cités ? Eh bien voilà, ce sont des mots de ta rage à venir ! Oui madame ! Ce sont mots de l’avenir ! Ce sont mots posés ou déposés dans le passé mais pour un avenir, car voilà ici la chose à dire : mots + mots font une roche dure, c’est dit. Une sorte de paroi du monde » » », une sorte de terrain de la rage à venir, etc. Nous avons ainsi à comprendre cette chose pour soi comme quoi la terre sur laquelle nous marchons conséquemment est celle-là même que nous adorons comme une mère (par les pieds). Et du coup voilà ce qui est ici : on regarde devant soi, on s’avance, on touche la roche, on cherche une issue, on file à toute vapeur, on est pas des bêtes de classe, on creuse. Ce qui fait que quand on voit la roche on pense aux mots marqués dessus, on lit les paroles gravées, on voit l’auroch, le bison, le cheval, le bufffle, le wsezrpent. On est ainsi qui voyons devant des choses et quelles choses ! Des bêtes de rage m assives (bêtes massives d’une rage à être). On se rapproche doucement de ces bêtes et là on comênce à compter icelles, un , deux, trois, quatre, cinq, six, setpt, huit, etc, on compte que tu compteras sur nos doigts, on est des enfants,nés des ténèbres d’une grotte dans la terre, on cherche une façon d’aller de l’avant dans les connaissancsces. On cherche à toucher à roche des prés. On est là qui cherchons à nous rapprocher d’une grotte, de son entrée, d’un passage obturé, caché par des fourrés, etc, et hop, on entre dans l’antre. On veut percuter grave, on veut pas rester à quai l’air niais, on veut toucher la roche = la graver de belles formes, ou y graver de belles formes genre antilopes, genre bisonnes, genre bufflettes. On est deux qui sommes des bêtes nous-mêmes et du coup on voit ça d’un exil bestial tout comme. On voit des animaux, on voit des bêtes rageuses qui sont des mots, car les animaux sont des mots. On voit bien devant soi que des choses de base se trament. Il s’agit de choses de poids on le sait. Déjà dit. On sait ici parfaitement les choses comme elles sont car elles nous regardent plus plus, c’est àdire qu’elles nous concernent, elles nous sont chères. On devine à pfremière vue. On voit des choses, on voit des entités, on voit des marques. il s’agit de bêtes rosses, de bêtes fortes, grosses. On s’approche d’elles et on essaie de les détailler pour mieux comprendre la vérité de pareilles bêtes. On veut se rapprocher des bêtes et mieux les comprendre ensemble. Ce qui’on veut surtout c’est de comprendre ce qui est dans ce qu’on voit. On ne. Veut pas « passer «à côté é « , on veut cerner les choses au plus du plus et piger le maximum en ces contrées de base (de rage) telles qu’elles sont pour nous devant nous. On se rapproche ainsi d’une bête rosse. On la regarde. On voit sa croupe. On mate son bec ou bien sa crinière. On voudrait presque y monter dessus. On aimerait tant monter sur elle et enfin toucher sa chair de bête placide. C’est ainsi qu’on aimerait ensemble. On voudrait comprendre cette bête ce qu’elle est pour nous en définitive : bête rosse , vraiment ? Bête des parois du monde ? Bête gravée par un homme des temps reculés ? Bête de la fin des choses à venir ? Bête millénaire ? Bête à poids de roc ? Bête au firmament des données frontales ? Bête à cul ? Bête à queue ? Bête de rage ? Bête des poids déformés p)ar la rage ? On s’approche d’une bête dessinée par un homme des temps reculés soit des temps préhistoriques et là on la voit qui parade pour la bonne cause ou causerie = un temps qui fera l’affaire un temps, temps facial, temps déposé comme un présent de marque. Je regarde ce qui est et que vois-je ? Une sorte de beauté rupestre de mon choix, une sorte de bête alanguie (?) qui broute. Il s’agit de quoi il s’agit de… moi ? Oh pe-être pas mais qui sait ? Qui saura dire vite fait la chose ? On voudrait comprendre ici les choses dans la profondeur. On ici voudrait comprendre x choses dans la profondeur (de la terre ? Du verbe donné ?) et pour cela on fait à la va vite ce qui vient « de soi » à roule-barricvot comme dans l’enfance. On se vautre pertinemment ou sinon comment ? Vilainement ? Méchamment ? Honteusement ? Dans la nasse d’une sorte de donnée de base, mots de tous les jours pâssés au racloir ou au laminoir et au bout du compte ça fera ou « kça le fera ». On est ainsi à deux co^te à côte, à dire ça, comme quoi on aime ainsi aller profond dans les trous de roche. On se coule ainsi. On fait des choses ainsi. On touche au but. On veut aller loin et toucher au but d’une sorte d’enjolivement des parois du monde etc. cela pourquoi ? pour cela que nous sommes « petits », que nous sommes « nains et naines » pour ainsi dire devant l’Eternel, soit face à pareillle paroi déplacée. On se met ainsi en posture de vouloir toucher » » » » à cette chose d’une sorte de paroi massive qui serait… qui serait…. Comment dire ? Dieu ? Oups ! Mais le mot est dit ! On est comme deux enfants sur roche qui cherchons à faire ainsi que les choses vont, ou comment ? On se pousse du col. On pousse une chose devant soi qui est comme un chariot de feu. On pousse le feu de sa charge. On pousse Feu, on pousse un fe, un effe de foi. On essaie ainsi ensemble d’y aller en cette roche des choses allouées à Vie Humazine commùe il est dit. On ne veut en aucun cas se laisser envahir par la roche et lâcher prise, on ne veut pas ça. On veut aller au plus lointain des lointaines données. On veut aller au plus qu’on peut dans le lointain, dans les lointains, au plus loin qu’on p)eut des données de base, au pl;us qu’on peut ensemble aller en ces contrées des données de rage, etc. On est motivés. On ne veut certes pas céder c’estt dit, mais toucher, et toucher encore . Tocs pour une embardée dans le domaine de la Vérité on le sait. On touche pied, on touche pied sur plancher. On est pas là pour se faire allumer on est là pour toucher à la chose rude, à pareille roche des données terrestres : mal de terre,; mal de mer, mal des airs. On est comme deux qui filons non pas du mauvais coton comme dans la chanson mùais à toute berzingue, finement, ensemble, à bride abattue, vers un sommet, vers cîme ou comment dire ? Le haut du panier ! On veut ça et on l’aura preiiut-être, qui sait ? On reg arde ensezmbkle ce sommet , il est haut très ! Il n’est pas bas là ! Non ! Il est très très haut ici devant soi, il est qu’il nous domine comme un dominant, domino ou dominum. Et nous d’essayer de comprendre en quoi il est qui nous domine, ou comment il est devant nous autres, sa nature, ses mots de rage, son allure, sa tenue, son charme ou pas etc. On ne veut pas être ici l’homme (l’homme ?) d’une foi perdue en courant. On veut aller fissa mais dans la foi du Verbe natif. On veut aller vers icelle Somme, vers Sommet placide, toucher à La somme des données de rage qui nous dominent ou plut^to qui sont devant nous comme des massifs de rage dominant. Et nous de les regarder comme deux (des) enfants de basse condition, parlant patois, cherchant la misère, touchant au but. On est comme deux qui nous co,ngratulons d’une pareille découverte dans (ou au sein du) sas. On veut. On est comme deux (enfants) qui se congratulent du fait d’avoir ensemble (main dans la main : deux mains) trouvé cette chose d’un Sommet de rage rupestre dans le sas des sas, grotte aux demoiselles, grottes aux petits oiseaux, grotte aux hirondelles. On est là ainsi qui nous congratulons de cette chose comme quoi on est ensemble deux, et à deux on trouve, quoi ? La belle amulette, le beau caveau, le chant de la terre, l’oiseau des embardées votives, le choral, le carême, le vent dans les boyaux, le chant monacal, la plaine, la pleine plaine, etc. On est comme deux qui avons pour nous à comprendre une chose et une autre et voilà pourquoi on est :là. On ne voulait pas trépasser, on voulait rester vivants, on voulait perdurer « enfant », on ne voulait pas grandir de sitôt mais aller ainsi à même la roche dure à la recherche de ces animaux de la rage d’être. Et quoi ? On trouve ! C’ est fou ! On est vernis ! On a une chance de fou ! On est comme deux qui sommes couillus ou com^ment ? Le cul comme bordé de nouilles , ouille ? Peut-être ! On sait pas. Peut-être en effet sur ce coup on peut dire qu’on a de la chance, qu’on est vraiment vraiment comme des qui ont une cha,nce inouï. On peut penser que, en effet, on est bordés ! Ou alors on est nés sous une étoile qui nous sied ,;ou comment autrement ? On est couillus, on est là qui avons un cul, parole, jamais ! On a une chance de cocu. On a un cul énooooorme , dingue ! On est vraiment aidés par une destinée qui nous accompagne ou qui nous accompagnerait dans une sorte de douceur, de bienveillance, d’empathie. Et nous on suit. On se laisse porter par la vie en nous qui bat son allant votif (fictif ?). On est ainsi portés par des jambes de vie allouée, on est portés ensemble, on y va gaiement. On file fissa vers « la rage de paroi », soit vers le Verbe Dru, Verbe de la foi dans l’être. On fouille ensemble la paroi comme un bois, à la recherche d’une bête, d’une sorte de donnée faciale, à face de bête. On cherche la Chose dans le tas. On est deux qui ainsi cherchons la choàse dans ce tas de roche devant soi qui nous surplombe. On est dominé c’est un fait ! On est sous le joug ! On est sous le joug d’une sorte d’entité massive, coup de rage, qui nous voit depuis « là-bas » soit « là-haut » et ne nous lâche pas d’une semelle « le salaud » car c’è est un « salaud » qu’il nous fait dire. Il est saligaud de nous mater ainsi ! Il n’a pas le droit ! Il n’a pas à nous regarder de la sorte, c’est honteux. Il est à claquer. Il est à battre. Il est à tarter. Il est à battre comme nous on se  fait battre tanto^t ou je te sais. On voudrait l’emplâtrer c’esrt ça ! Le coucher ! Le foutre à mal ou plus bas que terre . On voudrait la mort de la mort ! Ça qu’on veut. On voudrait tant la mort de la mort c’sst dit. Le Verbe le dit en entier ! Le verbe il dit quoi il dit la mort. La mort de la mort ? Peut-être. On cherche. On est pas sortis de l’auberge. On est pâs sorties de l’auberge. On voudrait sortir de l’auberge ! De l’auberge rouge ! On veut ou on voudrait sortir. On veut mais vas-y, va à vouloir ! Vas donc à vouloir ! Car pas simple non ! Pas simple du tout ! On veut mais voilà que la chose est rude ! On voit la Chose devant soi qui trône : sommet-altitude de la roche rude ! On voit tout ça c’est sûr parce qu’on y voit, parce qu’on a de bons yeux, de bons yeux de chat, etc, mais bon. Vas donc comprendre ce que c’est que cette Chose devant soi qui trône ! Une sorte de baguette ? Un Ciel ? Une Poupée ? Un Jouet ? Une Amulette ? Un Jeu ? Une sorte de Carosse d’Or ? Une Donnée princière ? Un Chjapeau de cow-boy ? Un R igoloo ? Nous cherchons ensemble fortement et vivement. On cherche à comprendre au pl;us , en se basant sur ce qu’on voit devant soi principalement mais c’est sûr que ce n’est pas facile du tout du tout. On pourrait penser que c’est très facile mais ce n’est pas vrai, ce n’est pâs facile, ce n’est pas gagné, c’est compliqiué, ça pèse, c’est pas rien. Ça nous regarde de haut, ça nous mate méchamment ! Ça nous mate continûment et voilà pourquoi nous on essaie de nous r approcher d’icelui sommet de la Rage. Car il s’agit bien de cela. D’un sommet du bout du bout. D’un sommet de Rage percluse ou comment ? De rage percluse ? Car quoi ? Car la Mort veut vivre sa vie de base maintenue ? Que veut-elle ? Que donc veut-elle ? La mort dit quoi, avec ses mots à elle, eh bien la mort dit … la vie ! Hé hé ! Elle sait y faire ! Elle ne dit que ça ou presque ! Elle nous dit : « la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la v je, la vie, la vie, la vie la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la. Vie, la vie, la vie, la vie, la bien, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la v je, la vie, la vie, la v je, la v je, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, la vie, Loa. Ue, la vie, la v i e, la vie, la la vie, la vie, la vie, la vie , la vie, la vie, la. vie, la vie, la, encore et toujours. Elle ne s’arrête pas. Elle ne sait rien dire d’autre ou presque. Ou presque parce que quelque fois elle dit autrement, ou autre chose, du genre : «la mort veut la vie», etc. Elle est donc qui ne cesse de nous harceler et de nous tanner. Elle ne cède pas. Elle est une chose qui ne cède pas jamais. Elle ne cède pas jamùais, elle ne nous lâche pas d’une semelle et c’’est agaçant, ça nous dérange, ça nous déplaît, ça nous g^ne aux entournures. On voudrait pas ça de sa part. On ne voudrait pas déjà qu’elle existe. On ne voudrait pas que cette Chose du sommet existe et vienne ainsi pour nous tanner au cul. On en veut pas. On ne veut pas d’elle. On la déteste, on ne l’aime pas. On ne veut pas de sa gouverne ni de rien qui vie,ndr(ait d’elle?. On la rejette mais comment ? Par quoi ? En défaisant quoi au Juste ? Comment on peut ? Eh bien nous on se dit que pour pousser la mort (la repousser) loin il faut dire une chose qui puisse lui plaiore, du genre : « feu la vie », du genre «: « feu la joie », etc. Ça elle aime on dirait et on dirait qu’un temps (pas long ?) ça marche.On dirait que de lui dire « Feu » , ça la calme un temps. Elle aime le feu, elle aime ce qui brûle, ce qui flambe, les flambées et les flambeurs, les flamèches et les flambeuses, tout ça qui brille (or ou pas) et voilà. Parce que ça lui plaît. Parce que ça lui va en tant que tel. Elle croit que c’est quand ce n’’st pas en vrai. Elle croit elle que c’est de l’or en vrai alors que non, mais « ça le fait », c’est toujours pareil. Elle pense que ce qui est pour elle , dopnné par nous = de l’or = la vie = la vraie vie brûlante = la vie de la vie, elle pense que ça c’est du vrai de vrai, que c’est etc. Enfin cette chose comme quoi la mort se trompe et prend volontiers des vessies d’or pour de la vraie vie encore battante, la pauvrette ! Elle ne comprend rien ! Elle est bête comme chou ! Elle se trompe à tout va ! Elle croit comprendre ce qui est mais elle ne comprend pas. Elle est comme une dreôle d’empotée de rage qui se voit blouser. Elle ne comprend rien, bête elle est. Ou be^te … iI

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...est ? car ondit »la»mort, mais pêutêtre faudrait-il dire plutôt «le» ? carquisaitquoi? le ou  la.? la mort de la vie ? la vie de le mort.On essaiie ensemble de percer un grand nombre de mùystères mais tous ces mùuystères sonjt devant compme desmassifs trop hauts soit inattaeignabkes. on voit devant soi ce massif de rage (contre nous on l’acompris) qui séépoumone, qui gronde, qui fait les gros yeux comme un Père la Vilaine, bref. on voit ça.on comprend cela. on a vite cfaitc de comprendre ce Père Vilain ! ce sempiternel père le Vilain. il trône à sa place de Roi de la Roche, le con. il trône comme un con à sa place du Roc de la Roche du Dur. on sait cela qui est. roi de Merde. (Roi Con. roi de LAmErde auCul. etc. on se doit de lui donnezr une flzambée de choix »qui le fasse», pour sa face. Cul nu salopard. con de base. con du dire à queue». »connard de ta race merdeuse». crapule. crapulothorax.

On voit ce qui est : une sorte de Roche des bruits, des données rageuses. On est deux qui cherchons ensemble une compréhension de base, une sorte de donnée vive qui puisse « aller » dans le sens du vent, de la vie disons. On porte en soi une donnée qui est donnée de base, vie d’allant sur terre ferme, et cette donnée on dirait que la (le ?) mort la (le ?) veut mordicus ! Mais quoi ? Nous on ne veut pas ! On veut pas donner pareille donnée ! On veut pas faire ça que la mort en nous pourrait prendre ainsi (à sa guise) la vie vive , non ! Nous non! Nous on dit que non. On ne veut pas ça. On veut pas que cette chose soit et du coup on tient bon ++ parce que voilà, merde, on a notre Dignité . On, veut tenir droit comme des piquets de ta rage. On ne veut pas tomber en avant ni même en arrière on veut tenir. On ne veut pas aller contre soi, mais tout le contraire. Ce qu’on veut pour nous c’est cette chose ici d’une sorte de prairie qui soit pour nous comme un havre et aussi une sorte d’éden de folie et c’est tout, pas plus. Tomber non ! Tenir oui ! On tient à la vie comme à une branche ! On est pas cons ! On veut pas tomber dans les rets de la mort de base, on ne veut pas tomber dans les rets ou dans les filets d’une mort (d’un ?) qui nous materait comme un salaud, père du vit, du vice, de la rage, du sermon et de la leçon, père professoral, père saboteur, sonneur, sondeur, père à triche, père tricheur. Nous non. Enfance . On creuse. On est sous la ligne du chemin de fer. On est en-dessous du niveau de la mer. On est sous le joug mais on se débrouille, on cherche , on tente, on est ensemble, on est deux en nous qui tentons la chose d’une sorte de parole-parade. On est deux qui cherchons à comprendre ce que c’est que ça qui est pôur nous devant qui parade, qui fait son beau (bel âtre), etc. Nous on cherche = on est dessous.. on sait pas. Le Verbe dit oui et nous « depuis là » on dit non ». On est comme des « cons » qui disent et voilà pourquoi on doute ! On cherche à cerner des choses vraies à l’intérieur des données rupestres mais ce n’est pas simple du tout car nous sommes embringués (embringuées) dans une histoire de Palais, de Roi des Trônes, de Haut de Rage, de Beauté mâle, de Père Abouti, de Père encagé etc, qui fait que nous sommes comme des petits de base face à tel dedans, face à telle face. Nous on cherche à bien percer la roche du temps mais voilà sur quoi on tombe : mort de base à figure Papale ou quelque chose d’approchant. On est comme deux cons. Connes. On = onne. One est, ou onne est, ou on est, etc. Onne cherche ensemble à toucher… le cul de l’être mazzette ! Pim !!!! On cherche à ensemble (à deux) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher le temps (?): ça cent fois on l’a dit mais on le redit. Toc de rage en retour, via le Verbe à queue temporel, via cette chose d’une « saleté » qu’on flanquerait face. On ne veut pas d’un Père La mort qui flambe contre. On veut pas de ce Père la (le ?) mort , devant nous nous cherchant querelle ! Merde de merde ! Non que non ! Ça suffit grave ! Tu l’as dit bouffi on t’emmerde! Voilà ce qui est. Voilà le pourquoi du comment ça s’agrège. On est pas méchant(e)s pour deux sous mais merde on en a soupé de cette Colère de Rage papale, de ces mots de Père La Roche, de pareil Verbe au cul du Mal. On ne veut pas ça. On veut autrement et on le dit, et c’est tout le Verbe qui le dit en chœur. Le Verbe il dit quoi il dit merde. Le vErbe dit merde en bloc. Le verbe de la vie qui va en soi dit merde (la foi) à la mort qui mate, qui nous mate grave. Le Vervbe de la vie en soi (sang) dit merde continuellement (une vie durant) à la roche dure des données de rage placide, votive ou fictive. Merde à cul . Ça le dit sévère et c‘’s’est tant mieux. Je suis je de rage à dire merde à la mort de face. Mon nom est le nom de ma colère coutumière c: chant des jeux des enfants de l’âtre. Je ne suis pas je, mais jeu : jeu du temps des âges perdus retrouvés sur roche. Mon cul est mon con des données vives. Tu l’as dit. Tu es  pour ma gueule une sorte d’attribut festif. Tu (mage ou magie) es pour moi la Chose de poids, qui me donne une sorte de foi en moi (?), chose rosse. Je regarde devant moi et ce que je vois c’est ça, cette chose d’une sorte de paroi votive, chant des bêtes gravées , quand de mon côté j’ai sur moi quoi ? Une sorte de masque de joie (je = jeu) qui me « défigure » mais voilà , tant va la cruche à l’eau qu’à la fin je l’embrassse massif. Je ne suis rien d’autre que cette chose comme « embrassée » à part moi : masque que tu masqueras ta rage soudaine contenue. Sous le feu la braise, ou non ? On cherche une voie d’accès, on cherche à deux. Je suis femme de l’ombre : ouille. Ou bien homme des pieux : aïe. Pas cool. Pas simple. Ou pas mal ? Oh peut-^tre mais quoi ? Je vais dans cette roche dure à la recherche d’une vie de base salutaire, je en rien ne veux succomber aux appels de pied de ta Rage Dure, La Mort. On dit La car on dit La, mais aussi bien on dira Le. LEe Mort de La mort dure. On dit que la mort est devant nous comme une roche dans une grotte, on colle à la Roche. Le secret est là : dans la coll e. On commence à le comprendre. Si tu lâches un tant soit peu la garde alors les choses se retournent, sont ainsi qui collent, sont ainsi qui se collent à Roche, dans la roche, comme une sorte de contradiction dans les termes ou comment dire ? On est qu’on cherche, c’est aionsi. On est deux qui allons ainsi en roche à la recherche de données massives , de données fractales massives qui toutes réunies (collées) nous diraient ce qui est du mùonde, de la vie en cette chose d’un monde venu, attribué, offert p)ar la bande d’une vie de rage dans la mort. Ça ? On sait pas. On est comme deux couillons. On est comme deux perdreau des temps natifs, soit naïfs. On est là et on est pas là c’est ça. Ou disons que oui on est là dans la& langue puisque voilà, elle parle, elle est, elle est là continuement qui perle à sa façon son chapelet de mots attribués, mais aussi on est pas là vraiment car on fuit en elle, on s’échappe = on sort de la cape = du cap = du chef = du couvre-chef = le Patron tu m’as compris. Pas envie de donner du crédit à pareille engeance de vie, Père la Parole, tu le sais. Ça suffit d’entendre les vilaineries plénières, on commence à s’en fatiguer sévère, on ne veut plus de pareille RAge contre nous, MOrt de ta mère oui, on veut autrement mais comment ? Par en-dessous ! Comment par en-dessous ? Parce que ce n’est pas simple !ça demande un certain doigté de base ! Faut cerner ka roche, l’approcher, la toucher finemùent, la creuser au bec, la percer comme une peau de base, traverser icelle sans forcer (oui ?) et passer du coup (coup ?) de l’autre côté côté prairie, côté pré, côté verdure pariétale aux bêtes des prés. On voit tout ça qui remue devant soi (le temps) à m-ême la paroi du m=onde mais bon, ok, on connaît , mais vas-y percer ! Vas à traverser la roche = le temps ! POur percer le temps faut y aller ! Percer = se faire valoir = se faire voir pour aussi se faire valoir = reconnaître comme étant. On veut donc ainsi traverser la Roche des Temps Alloués ok mais pour ça comment tu fais. C’est facile : une plongée dans les abysses ! Ah oui , et comment ? Dans le sang c’est pas compliqué. Tu p^;longes fissa tête la première dans le sang. Oh ! Oui ! Ah bon. Eh bé oui c’est ainsi que dès lors devons faire. Nous devons nous immiscer en cette roche des données de base, des données fortes, et ensuite on voit venir, on devine les traits ou aux traits ce qui est : aurochs des plaines, chevaux dessaoulés, bisonnes agraires, chevaliers aux anneaux, antilopes, antilopes, perdreaux et perdrôles, esquimaux. Ça urge. Je veux dire que ça urge de savoir, ça urge vif de savoir pour nous la chose rude devant nous qui nous attendrait on dirait. Nous on aimerait savoir ce que c’est que cette chose rude ici qui nous gouverne devant nous en tant que telle. Nous ce qu’on veut savoir c ‘est cette chose là d’une sorte de durée de Rage, donnée brute, pansement, allongement du temps, déploiement au débotté ou au déroulé, candeur. Nous c’est ça qu’on voudrait connaître et pas qu’un peu, misère , à fond ! On veut aller loin dans les connaissances de b a se. On voudrait aller très loin dans les connaissances de la base et du so:mmet attachés à des choses rudes comme par exemple la Vie, la Mort, les Envies de RAge, le TEmps passé, etc. Tout ensemble nous parâit aller de soi mais ce n’est pas le cas en vrai. La vie qui va fissa va à devenir autrement au fil du temps. La mort est une entité à part entière en dehors du temps. Lre temps est un déroulé pariétal empli de bêtes de charge votive. La vie frotte la bête. La mort touche au temps. La bête est pleine d’elle même dans le sang qui est en nous vecteur de passages vifs, direction les roches, directions les temps de la roche frontale. Nous devons apprendre ensemble à toucher que tu toucheras le Verbe pariétal qui est l’encombrant pour ainsi dire de la vie accouplée à la mort. Je vois tout ça qui remue sur moi (?) ou comment ? Sous ? Je cherche et je n’ai pas fini. J’en ai encore pour un bon moment je le sais. Je suis homme comme fdemmme comme enfant et quoi ? L’enfant n’a pas d’âge ? N’a pas de genre ? N’est pas l’homme du temps ? La femme du temps ? Qui dit ça que c’est l’enfant qui maintient la garde (Vie) en nous ? Je veux dire : qui conserve en nous l’allant de vie motrice, de vie vive, d’allant vif dans un temps donné par la mort. Je regarde devant, loin, disons j’essaie. Loin c’est dur. Car le temps impose son phr$asé rugueux et maintenu bridé par une voix de petite semaine. On est là qui voulons comprendre c e phrasé :mais bon il faut d’abord aller ensemble, à confesse, à dépose, à cru, à nu, à voile et à vapeur c’est ça ? On dit ça c’est con.  on dit des choses qui sont connes souvent mais qui les dit ? Qui en nous dit des choses eh bien « on ». Pas plus con que ça. Et on c’est qui ? On c’est je + je + je + je + je + je + je + je etc, à l’infini, c’est à dire qu’»on» ne finit jamais, il perdure, il est le Père Dur de la vie frontale , du monde du levant. Sa voix tonitrue. Son corps en impose grave. Il se pose là, comme un pacha, un pape, un père d’empoigne, mercdeux. Père Ubu ? Peut-^tre. Il se peut que oui. Il est le monstre hideux de la fable et on voit ça quand on regarde avec attention, minutie, à deux, ensemble on voit, on voit ça, on voit l’hideux de sa face à la manque, car. Car DieuLaMOrtPère est de ceux-celles (tu le vois) qui cherche à nous plaire = nous toucher. On voit. On veut pas. On ne veut pas être touchés. On ne veut pas être touchées. On ne veut pas être touchés-meurtris. On ne veut pas être touchées-meurtries. Nous on ne veut pas de cette chose devant soi qui est chose de la rage contre nous parce qu’on ne veut pas et que du coup on dit non, on dit que non, on dit, on s’exprime fissament, on gueule que pour nous c’sset non et pas davantage ou disons un non franc et dur et costaud, bien planté sur terre, achevé. Ça on sait faire. Le non = le n,om = le Verbe. Ça c’est dit d éjà mais on le redit, on veut redire cette chose ici encore en cette loge ou à cet endroit précis (en lui) qui est antre = outre = globe = oeuf = ventre = joie de l’être assoupi qui plombe au pied d’un arbre d’un sommeil chanceux ou comment la chance ? Comment ici la chance ? On est deux qui habitons le Verbe en tant que tel, et à deux on essaie de comprendre les choses du monde, en grattant autant que faire se peut la roche mais aussi en y allant de notre couplet qui est chant de joie d’un jeu de base : le Tonnerre. On veut toucher sans toucher, voilà ce qu’on veut. Comment y faire pour toucher la mort sans y passer grave ? Co:mment tu peux faire pour toucher la mort devant, sans pour autant trépasser c’est à dire y passer corps et âme ? Moi c’est cette chose que franchement je voudrais savoir. Cette chose ici (roche) que j’aimerais beaucoup qu’on me dise, parce que d’après moi c’est au coeur du coeur du problème (os) qui nous occupe.on voit que des choses se trament devant : treillis. On voit devant soi (où ?) des choses de vie qui se trament (mais ouù ?) et ces choses on a envie de les toucher à travers la vie. On voit (vraiment ?) des chosex(oui le Verbe!) devant soi, qui sont choses de la vie vive à venir on dirait, on voit ça qui est du Verbe en devenir (phrasé) et ce phrasé en devenir, ces fins de phrase (comment dire ?) sont donc cela que nous cherchons à approcher ici-même via quoi ? Une butée de rage ? Force quatre ? Vent de face à la criée ? On tente une approche. On veut ainsi aller contre, mais tu vois comment : sans passer commun »éément pour des qui passent l’arme à gauche (etc). On essaie de tracer ensemble les contours (animaliers ?) d’une rage en nous qui nous fait renâcler contre une entité dép^loyée devant nous dans une sorte de donnée de base verbale : fin de phrase amorcée. Comment dire ? Le sommet, la face, les hauts, la rage motrice allouée, le vent de face, les bontés de base peuêtre ou non ? Quoi devant ? On sez fait avoir mais grave ! On se fait grave avoir dans le sang ! On se fait avoir dans notre propre sang mais grave ! On se fait grave berner dans notre propre sang de la rage à être (ou naître: c’est pareil). On est cons (trop). On est connes (trop). On est des cons-co nnes trop de ta Rage de meu. On veut percer mais que dalle on perce pas, et pourquoi on perce pas ? Parce qu’on va trop vite ! On file fissa ! On galvaude ! Oon pisse du sang ! Ça pisse grave et du coup ça refroidit ! On est pas de la bonne bande. On est pas pris en compte comme on aimerait mais par qui ? Puisque on dit qu’on est pas pris en considération ça veut dire ça , que des, nous regardent mal ? Ou pas ? Ou comment ? On est deux en nous à tâter la roche massive, pour quoi faire pour passer pardi! On voudrait passer fissa et y se retrouver ensemble (main + main = 2 mains) de l’autre côté delà Rage. On aimerait ça. On aimerait beaucoup ça mais on a du mal car la terre est dure = la matière. Ça force. C’est pas une sinécure. On veut bien tenter mais on s’y casse le cul mùéchant, on tente dur mais c’est coriace, ça résiswte à l’entendement. ;les mots comme paratonnerr ? Les mots comme quoi ? Engouement ? Contre-vent ? Contre-volonté ? Courage ? Cœur ? Chœur d’enfants chantants ? Nous on chante aussi de notre côté des choses fines, des choses fluettes, des comptines, des airs au rabais peut-être mais « ‘ça le fait », pour nous « ça le fait », donc pour nous c’e’stbl’essentiel . Du moment pour nous que ça le fait » c’est l’essentiel. Du moment pour nous que ça le fait alors c’est l’essentiel, disons à nos yeux. C’est ainsi toujours. On voit cette chose ici, comme quoi pour nous ce qui co:mpte à nos yeux le plus, eh bé c’est ça : que ça fasse à nos yeux son petit effet, que ça impacte un peu, etc. nous on veut bien comprendre des choses mais ces choses pour nous c’est pas évident de les cerner, de bien se les configurer. On est deux mais on peine parce que la roche est compacte et aussi parce que la roche (la roche de la vérité) est dure, elle est compacte dans le dur du dur, et alors pour nous c’est dur de passer à travers sans peiner, faut de l’entrain, faut de la volonté c’est sûr, faut du peps, faut du cran peut-être ou comment ? Faut aller fissa dedans comme à la cravache, percer fissa à ka base ou au sommet mais fissa et raide = dur = bandant son arc = dur du dur comme une bite ou comme une pique. on reste ainsi qui bandons l’arc, homme ou femme. On ba,nde l’arc , hommùe ou fe:Mme. On est deux qui bandons l’arc, homme ou femme, car la femme bande l’arc autant que :l’homme bande l’arc, et l’homme bande l’arc autant que la femme. On bande ensemble nos arcs respectifs et on tente ainsi une sorte de percée dans une roche dure , rudement co:mpacte, qui est donc cette roche dure des temps alloués à une vie terrestre = matérielle. On cherche à passer à travers le compâct de la roche rude, arcs bandés, deux est le chiffre. On pousse dans le tas nos corps accouplés. On sonde la terre : est-elle friable ici ? Y a t-il posdsibilité de s’y enterrer et de la traverser au fil des données terrestres ? On peut ? Un peu ? On cherche. On tente. On sonde. On cherche à comprendre dedans, comme enterré(e)s ou commùent mais sans trépâsser ! Oh c’est pas donné ! On est ensemble accouplés-accroupis qui cherchons à dire ainsi que des choses soient ici pour nous des données franchbhes et compactes sur lesquelles pouvoir s’appuyer. On est qui cherchons des choses compactes sur quoi s’appuyer frontal. On veut pouvoir tenir grave en gravant des bêtes, des aurochs pour ainsi dire. Njhous on veut pouvoir faire ainsi que des choses soient , qui nous disent ce qui est en vrai, et ce : dans une sorte de salmigondis verbal audible, cvompréhensible, distinguable, etc. On veut quoi on veut des mots. Des mots de base motrice. Le mot qui va suivre. L’anticipation motrice. La chose à venir déjà inscrite et clouant le bec. Fermeture au c entuple. Fracas. On voit ça grandir ou grossir devant soi et on comprend que « ça le fait grave » dans le sang mais est-)ce suffisant ? On voit cette chose d’une sorte de parade folle ou affolée des mots entre eux qui se font la nique de base, devant, dans le temps logé, dans ce temps d’un devant logé pour une éternité de rage. Ce qu’on dit ou rien c’est kif et cependant inclut le temps d’un sauvetage à la bouée. C’est ainsi que les hommes et les femmes vivent. On tombe des nues et on est recueilli s(e)s verbalement par plus fort que soi à savoir : Haut le Verbe en personne, ce charmeur étoilé, ce ch armeur des cages. On le voit se trémousser devant qui nous regarde et nous écrase dur, de par son aplomb et de par sa substance déployée ou commùent dire, éventée ? On comprend vite cette chose comme quoi on est berné de la tête aux pieds, c’est une certitude (notez). Lêtre de la rage à nnaître est un être dit « des certitudes incluses », ou alors on dit : « de la foi en soi contenue ». On dira que l’être (du verbe) est un chaud lapin de première. Il cherche à nous amadouer par la bande. Il nous caresse dans le sens du poil. Il nous assiège mais vas-y voir. On est sous le charme (hum). On est pris entre deux feux : les feux de l’amour et les feux de joie (je). On est considéré(e)s peut-être mùais comment ? Écluses ? Charges ? Chanteurs et chanteuses au fil des données ? Chouraveur et chouraveuse ? On se plie en 4 pôur lui (le Verbe accompli) mais qui gagne à la fin du jeu toujours le même : lui. Verbe accompli tu m’as co:mpris : il est notre misère crasse, il est qui vitupère contre nous en nous alors que nous on voudrait quoi on voudrait aller loin dans les connaissances de la vérité. Nous on cherche à co:mprendre ce que c’est qui nous entoure , soit les relations entre les choses, les données de base, les « autours » ou les alentours, les gens. Comprendre quoi ? Le monde ? La vie et la mort ? Le temps ? Les données rugueuses du temps ? Les quoi qui peuvent nous dire ce qui est ou pas ? Ce qui n’est pas?  Nous voulonqs nous approcher de cette chose qui devant nous serait de l’ordre (mendiant) de la Vérité, mais comment ? En nous logeant comme on le fait dans le Temps ? Pas sûr ! On fait ça parce qu’on est poussée (la vie va) mais au bout du co:mpte où est le bout du co:m’pte ? Le mot de la fin : où ? Le chiffre : où ? On est sûr de rien, on avance à tâtons, on essaie tant bien que mal, on tente des opérations , on fait ses calculs, on se rapproche de la raison, on construit. On voit devant soi des choses remuer mais quoi, des phrases ou bouts de phrase déjà démarrées ou commencés et quoi de plus que ça qui ne va pas loin on le voit, car humainement nous sommes limités dans le temps d’une élocution, d’une élaboration verbale de rage. On est deux en soi mais pas ça ne va pas loin question comprenure car quoi , la phrase élaborée ici dans un commencement se poursuit au gré du temps pour atterrir là-bas de rage dans le sang mais ça suffit pas. Faudrait plus que ça. Faudrait beaucoup plus que cette chose là pour nous, il nous faudrait plus plus. C’està dire plein de plus = plein de += ++++++++++++++++++++++++++++++++++ à couille. Des + en veux-tu en voilà. Ce qu’il nous faudrait vraiment pour bien comprendre les choses du monde, c’est quoi c’est des +, mais plein. Pas 1. Plein de + à couille dans le sang. Des suites de + à la toque, jusqu’au bout du bout du monde , mais le bout du bout du monde est où ?  Où donc est le bout du bout du mùonde ? Où est donc le bout du bout du monde ici, c’est à dire pour nous ? Y a t-il pour nous un bout du bout du monde , qui serait pour nous une sorte de Vérité enfin « touchée » ? Je cherche ici ou là mais franchement j’arrive pas à voir vraiment où cette chose d’un bout terminal pourrait se loger. Je cherche que tu chercheras le bout mais où il est , et comment faire pour le trouver. Dans le temps ? Dans l’ewspace-temps de la foi elle même contenue dans le VErbe ? Dans l’espace-te=mps du verbe contenant la Foi ? Qui sait , cette chose d’une sorte de bout , de bout de phrase allongée, qui saurait nous apostropher et nous dire ce qui est ? Nous nous devons de comprendre les données rageuses.; nous avons pour nous à bien comprendre ;les données rageuses de la foi contenue en ce Verbe ici intégré à une roche. Nous devons cerner (éclairer, tracer, dessiner, étirer) la Chose du monde ici pariétale. Bêtes fauves, bêtes rossses, bêtes crasse, bêtes rudes, bêtes dures, bêtes fortes et massi ves, bêtes fgonçant vers nous comme des folles. Nous voulons piéger la bête « en nous ». 1 : piéger en nous la bête. 2 : piéger la bête en nous. Piéger la bête contenue en nous . Piéger la bête en nous = dans nous, la piéger en nous. Piéger la bête contenue en nous. Et piéger la bête extérieure en nous par le piège que nous sommes , que nous déployons du fait que nous sommes. Bête en nous et bête hors de nous. Est-ce la même ? That si the question de fond. La question du fond ou du fin fond est celle -ci , d’un collage des données surnuméraires, des contradictions innées, du dit et du contredit dans un même élan d’embardée. On commence à le comprendre. On veut ça pour soi. On veut toucher à la contradiction de base : dit /contredit dans un mouvement pendulaire rotatif de vie allouée. On sait cette chose comme quoi la vie en soi est vie vive d’une rage dure, dépliszée comme une tenture, ouvbliée peut-^tre (ou pas) mùais déposée là, un matin, un soir, un jour ou une nuit, devant soi pour s’agenouiller.On commence à le comprendre. On cherche raison souterraine, on cherche le vide où donc pouvoir aller à s’y loger à deux, soi + soi. On est deux ainsi qui nous logeons dans cet espace de paroi du monde vibrant. Matériel. On est comme deux enfants éblouis pâr tant de luminosioté qui est cettte lumonoisité qsui sort d’une bouche./ on regarde. On voit cette bouche. On voit une bouche grande ouverte. On voit devant nous une grande bouche qui s’ouvre, qui reste ainsi comme une trappe ouverte, une porte, une fenêtre, ouverture en grand dans un espace de vie frontal. Parole d’homme ? Parole de femme ? Parole des temps donnés et vifs ? On voit l’ouverture : les dents, la glotte lointaine, la langue rouge, les lèvres rouges, l’intérieur des joues, le palais, la salive. Une bouche de la vérité. Devant soi comme une porte ouverte. On voit cette bouche grande ouverte et tout son attirail anatomique. Bouche parleuse. Bouche d’une Voix. La bouche est celle d’une Voix. Une bouche par voix. Une bouche pour une voix. Une voix qui gronde ? Une bouche ouverte qui ne parle pas ? Ou bien comment ? La bouche s’ouvre qui nous parle et nous attire à elle, nous pousse à aller vers elle, à entrer en elle vivant, c’est à dire tout vivant, pleinement vivant, complètement vivant, le cœur battant. Oui c’est ainsi que les choses sont. Sauf que nous non. On entre pas, disons pas vivant. On entrera une fois mort mais vivant non. Vivant on peut pas. On e,ntre dans la bouche quand on meurt et alors on est mort , en nous la vie n’est plus, et du coup la mort (la bouche) est comme flouée. Elle enrage. Elle nous voulait en vie comme devant, elle nous a mais morts = froids qui = bouts de bois. Pas assez pour elle, pas bon, pas assez pour son goût, pas assez relevé. Ça l;’agace et ça l’emmerde et ça l’a met en rage, et ça ;la perturbe. Elle nous veut vivants, mùais comment vivants ? Quand on meurt on perd la vie, mais la vie ne va pas à la mort, la mort prend la vie quand il y a de la vie, sauf que quand on meurt il n’y a plus de vie, la vie est partie et on offre quoi dès lors ? Des clopinettes ! De la fausse-vie ! Feux de bengale ! Chaud devant ! Feu de la xsaint-jean ! Sa ng de bête dégoulinant ! Offrandes à agents ! Fer-blancs ! Sentiments ! Colère au firmament mais quoi ? Poudre aux yeux d’un dieu rabougri ? Charge natale atone ? On est deux qui nous avançons vers la paroi des choses du monde, à la recherche de la vérité qui y serait comme intégrée, ou partie prenante. On essaie ensemble de toucher au but mais le but est loin, là-bas, fond du fond, bout de phrase qui n’en finit pas, car la phrase est de celle qui jamais ne s’éteindra, car la phrase change et plie mais jamais ne rompt vraiment, et si une langue s’en va, disparaît da,ns les décvommbres ou les catacombes, une autre renaît de ses cendres ou bien gagne en expansion, ou bien prend la place. On est ainsi qui avons devant nous ce Verbbe d’expansion comme un vase de choses de peu, toujours à demeure, posé sur roche comme offrande à déité, bêtes de poids. On charge = on charge la mule. On est deux qui chargeons la mule ici bas, en soi, avec soi ou sinon soi avec cette chose en soi dont le nom est « bête  de ta rage à naître » ou quelque chose de cet acabit. U ne bête en moi règne que tu régnerais, et supporte, porte, porte en moi le bat, le mat, l’élan. Il s’agit en moi d’une bête de poids surnuméraire, la bête, qui va depuis moi jusqu’à moi pour ainsi dire,on dira qu’elle fait le tour, qu’elle est cette bête qui , en moi, fait le tour de moi, fait son petit tour de chauffe, fait en sorte qu’en moi la vie va sous les vivats, etc. Bête en moi de race bovine (disons). Qui va en moi pour me tenir en vie, va nonchalamùment. Elle règne en moi comme une bête rosse, comme bête de poids, brute, massive, lourde, pesante. Il s’agit d’une bête de poids, de rage, de données lourdes, d’attributs mastocs. Hurlements en faveur de Sade. Quelque chose plutôt que rien. Alibi ouistiti. Paroles d’enfants qui se logerait dans un ventre. Un homme en soi. Un humain disons. Homme-femme tout pareil qui chante. Qui dans le sang chante, perdure, continue son chant démarré. Démarré à qui mieux mùieux un jour dans le passzé. Je suis homme déployé, femme aux aguets, bête fauve,  chant choral, ossature dure, arc bandé pour la bonne cause ou causerie. Je ris de me voir si belle. Je chante à tue-tête des chants de carême. Je vais et je viens en elle : chaud devant. Je suis un aniumal en cette roche des devants de vie. Je suis bête moi-même sur le parvis. Je cherche à co:mprendre profond les données primaires, mùais vas-y co:mprendre longtemps, et loin, il faut être compétent, il faut du coffre, l’allure, des soutiens, du vent aux arrières, des arrières, du temps, surtout du temps. Une chance allouée. Une sorte de chance allouée à une vie entière. Chaud devant dans les pissotières ? Chasubles .

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7/11/2022

On est ensemble accouplé. on vbeut comprendre et cerner au mieux les données du monde. On veut essayer de comprendre au mieux ce que c’est que cette chopse d’une sorte de «paroi du monde». Où on va ? qui on est ? comment faire pour aller profond et cerner ? voilà là ce qui nous turlupine méchamment ! On cherche à deux à cerner-toucher mais vas-y, ce n’’st pas si simple et cela demande à deux beaucoup de sérieux, d’abné»égation, de travail. nous nous immisçons au mieux c’est-à-dire au plus profond de la paroi qui est devant soi mais la chose est là qui n’est pas simple à perforer on le voit. on essaie ensemble : à la une à kla deux. on cherche à passer comme le bout du nez mais le nez ici est cet organe qui n’’st pas saillant suffisamment. on est deux à vouloir aller dans la profondeur d’une roche dite «temporelle» et voilà pourquoi on cherche ensemblde cette chose d’une sorte d’immixtion à :ême la p»paroi du mon,de devant soi». on fonce ! vivement la chose ! vivement qu’on passse ! qu’on puisse entrer en cette loge de la roche dure du temps imparti àune vie de rage-colère. nous nous approchons ensemble de ladite roche et creusons. qui est qui voilà la question. Nous devons ensemble comprendre ici qui est qui. voilà pour ainsi dire le programme du jour, le programme qui se fait jour. nous avons ensemble à comprendre ici la chose comme quoi «nous sommes» = deux choses. nous devons comprendre ensemble ici la chose comme quoio nous sommes = je suis + je suis, soit deux choses comme séparées et cependant on dira que non,; que la chose en soi n’est pas cette séparation de deux entitées solitaiores mais l’adjonction d’icelles. Nous avons une ici chose à comprtendre bien ensemble à deux. cettye chose a un nom, son nom est le nom des temps alloués. nous nous a^priochons de la roche et observons ensemble cette chose ici comme quoi on est et on est pas dans un mêmer mouvement de vie. on existe ici en roche, on veut comprendre, on se joint à cette chose d’une roche suspendue, on creuse toutes les questions du genre et pourtant quoi ? nous voilà comme laissées pour compte ? ou laissés ? é ou é-e telle est la qusetiuon ? peut-être . on cherche. on essaie de s’avancer au plus qu’on peut en cette zone franche des données rudes voire rudissimes on voit. On est pas là pour ça, dit-elle ? ou oui , on est ? On regarde devant soi la roche du temps à percer d’iun pic de rage langagierr. On veut tater de la paroi du monde» comme ailleurs le corps de son allié, é ou é-e. On est comme deux qui voulons percer la roche ensemble et pour ce faire ils foncent, il et elle foncent, ou bien il et il foncent ou encore elloe et elle foncent , ou bien encore ilws -elles foncent ou comment dire ici qu’un nouis n’est pqas cette chose neutre d’une voix sans air, sans données, sans bêtes ? NoUs ne voulons pas aller en roche ainsi démunis mais aller en roche ainsi démunies ? non ! Nous ne voulons pas aller en roches seuls et seules . njotre but est de creuser la chose en amont et dès lors de voir venir ce qui ici se trame sous nos yeux. on vceut être des qui savent loin, des wqui en savent long, des qui savent plus, des qui ne lâchent pas la bride du savoir intemporel. notre but est de cerner profond soit les recoins de l’etre rupestre. on est là dedans logés. ion est là dedans logées. on veut dire ici cette chose d’une roche des embruns à traverser fissa à la une à la deux par cdevers-soi ou comment on dira ? on cherche : 1, à comment dire, 2, à comment «passer». on veut ensemble traverser la roche des prés, on ne veut pas rester à quai mais tout au contraire «saillir». ici même : roche dure. on veut tenter une traversée communbe ou conjointe, aller à deucx au plus profond d’une roche du temps, percer de colère la Chose du monde devant, outrer les bornes, forcer la dose, etc. chacun poussant sa chose dans le sens du vent. on est ainsi qui cherchons ensemble à nous inclure dans cette chose ici d’une sorte de roche des temps impartis à une vie d’empptrunt rupestre. voilà ce qu’on est : des creuseurs de roche dure, passants des roches, passantes de la roche de ces temps donnés, passants-passantes allouées-alloués à des voix de bvase rupestre, etc. on voit ce qui est et on fonce. a toi à moi ! dans le tas ! en avant marche ! fonce que tu fonceras ! on ne lambine pas dans les travées ! on cherche pas quyerelle on cherche voie d’accès ou / et voie d’abord avant toutes choses ! on est deux pour la bonne cause, celle-là même qui nous voit nous plier en quatre pour tracer, percer à vif, nous accoler au temps des données de base (de la vie vive). on est deux qui alloons ainsi à travers les bois chercher faiulle dans la roche des temps impartis à Vie. Vie est cette Chose des Temps royaux. nous cherchons «dedans» la Chose des bois. nous cherchons à deux pour Soi. nous sommes ainsi qui cherchons à deux cette chose d’un Soi monacal, paréital, furieux ou fougueux, vif comme l’éclair . nous nous sommes approché(e)s ensemble d’icelle roche de la fin du temps et cette roche est là qui nous regarde de pied en cap et semble vou:loir bnous dicter la conduite à tenir face à eklle et vis à vis d’elle, or nous non ! on ne veut pazs de ça ! on ne veut pas nous laisser ou se laisser guider par une sorte devant soi d’être à la gomme ! On veyt traverser ok mais sans faillir ou faiblir. juste «passer». c’està-dire «passer à pied» = dans le wsens d’une marche scandée, ni plus ni moins pour ainsi dire. on veyut p»asser» ensemble à travers cette roche des embruns (damnés) qui nous fait face et pour cela on a compris qu’on devait aller profond en pareille roche du Temps alloué à Vie de rage terrestre (on le voit). on cherche à pousser la roche, ou si,non poussetr forcer, ou si,non forcer trancher, ou sinon trancher creuser, ou sinon creuser percer d’une sorte en soi d’en-soi piquant, qui va trfaversant la paroi cvomme une pique à feu ferait de la braise. on est deux ainsi qui poussons Roche. nous sommes à deux qui poussons. nous somlmes deux à pousser Roche. on est deux qui pousse ou poussons. qui ? Roche. et voi;:à le pourequoi de la chose rude ou si rude ici, qu’elle en perd le nord devant nbous, son latin de rage, et s’ouvre sous kles coups réitérés de nos pics de base langagiers. on = nous = deux = moi = toi = nouillke. on trouve ce qu’on pezut à lmesure et alors on voit la chose devant soi qui semble se comme dilater de force, ou bien comme s’ouvrir ouvertement, ou alors se désenclaver ? se démantibuler ? s’offrir ? se défaire d’une sorte d’en-soi rupestrez ? betes de paroi nous voyons ça. on est deux là qui voyons ça = cette chose d’une sorte d’échancrure mordorée à même la Terre, on devine à certazins traits qu’il s’agit de la Terre déplissée. on voit que cette Terre est une Terre dite «de la base et du sommet» qui nous regarde de la tête aux pieds pour ainsi diree. vivement la pluie ? vivezment le vent alloué ? vivement que nos noms soient sanctifiés par le vent, la pluie, toute la chaîne ? on s’avance nonchalemamment car on est (comme) deux enfants qui allons ensemble = mains conjouintes, dans ce sas, dans ce trou de base, dans ce qui dfevant soi ou nous nous regarde vif ou à vif = cette chose d’une sorte de paroi percée ! dingue ! vifs nous sommes ! vifs de rage ! perséphone ! nous passons le temps de lma roche et nous nous retrouvons «de l’autre cîoté» comme deux ronds de flan amoindris ou atterris, qui ont atteri. On va dedeans. en fait c’est ça on va dedans. on veut passer à travers et pour ça oin cgerche à se faire petits , à se rabioter soi-même, à se receuillir, à s’affiner à deux, etc, et là zou on passe = amoindris. est-ce ? on veut essayer de piper . on veyt tenter uune sorte d’approche qyui serait celle-là même qui nous verrait aller dedans à la une à lka cdeux comme deux ronds de flan, du coup amoindris peut-etre, soit élimés, oui, on peut le penser, on peut penser à cette chose d’une sorte de passage quyi serait rugueux, nous abîmrrerait aux entournures, nous élimerait. on passe. nous voilà passés. nous voilà passées. nous voilà qui nouis infiltrons en cette roche des temps vidfs et secs. on veut ensemble traverser la cxhose du temps donné et pour traverser lea chose du temps donné on doit pousser fort l’entité «carême», l’entitéfunèbbrte. on doit aller à fgond la caisse dans le tas, carême ou pas. on doit ensemble (à deux) pousser à fond les manettes du temps donné. on se doit ensemble de pousser à fons les manettes du temps aloué à une vie humaine. on est deux qui poussons la chose rudement et rudes, rudes on est. on pousse. on creuse à mort, on cherche à à mort creuser afin de pouvoirr traverser à deux soit conjointement le Temps des données de base (cruciales, frontales). on est deux qui chger hons cette chose d’une sortye d’embardée dans le sas des sas de la roche des temps permis (autorisés) et pour cela à la une à la trois ou comment ? on charge ! on perce ! on creuse ! on pousse ! on octroie parole ! on tombe sur kle cul ! on se reytrouve sur kle râble à cdevoir «comprendre « «ensemble» « kles données» « du monde adjacent», etc. et là comment tu fais ? cvomment tu fais pour comprendre ? cvomment tu peux imaginer la chose rude devant toi ? comment tu peux faire pour ici (Chose de poids) imaginer Cela qui te regarde nonchalezamment (?) ou pas nonchalzamment alors mais de la tête aux pieds on le voit, ça mate grave. et nous de nous agenouiller comme deux ronds de flan amoindris, élimés, meurtyris, amôchés, laminés, flétreis, fatigués ou né-fatigués. on est fdeux qui sommes nouille les parties prenantes cvomment dire ? on est les deux ensemble (à la une à la deux) qui nous agenouilloons face à Etre de la pluie et du beau temps tu m’as compris. on veut Nous deux percer RocheDure et Passer comme «de l’autre côté» afin de Savoir. quoi ? eh bien ... tout ! tout cela qui devant nous ouvre ses portes en grand et nous invite nonchamzamment ou pas noncxhzaleamment à passer le cap = enttrer = nous immiscer = nous loger en pareille roches aux beters «gra ves» (gravées). on veut, c’est sûr! on veut passer, on a hate même d’entrer et donc de nous loger à kla droite des bêtes , à la une à la cdeux, à la droite ou à kla gauche : près d’icelles qui sont soeurs de rage, nos = les nôtres en pareille loge. nous voilà qui nouysq approchons de ces bêtes de bon poids et bon oeil. on aime ces betes de poids massives. elles sont nos amies chères, nos amies de base, nos belles à aimer, nos soeurs de paroi rupestre. on est deux en soi qui veut-voulons tracer en roche un trajet : traçons ! On s’avance ainsi à même la roche nue, on trace chemin de nos pas ailés en cette roche dure de l’éternité allouée à Vie Humzaine détachée. on se congratule : à toi à moi la loge, hou ! on est comme «heureux-reuse», on est comme deux qui sont-sommes heureux-reuses de savoir que ça avance grave dans le sens de la parade, dans ce sens d’une sorte de pazrade = fiesta. on veut donc ensemble comprendre à deux ce qui est ici qui gouverne nos allers, nos passages, nods traversées. on est comme deux en nouys-même qui poussons (on pousse) la Chose d’un soi monacal fait de mots de rage, de mots vifs, touche à tout, qui font du passage un moment de rage à être (à naitre) celui-là ou celle-là que la Voie indique, que pzareille Voix ou VGoie devant soi indique à être ou incite. une voix de rage est là qui pousse à nous voir aller vers elle et nous d’y aller, ainsi poussés. ainsi nous faisons. nous voulons et du coup nous faisons la chose, nouys nous appliquons à aller ainsi au plus profonds de cette roche des données de rage dure. on voit ce qui est. on comprend salement et cependant on s’avance e,ncore, on veut plus, on veut plus loin aller et voir au plus profond sinon lointazin les données rageuses, la colère des embruns, les soifs, les faims, les envies. on se rapproche peu à peu de  cette chose ici d’une sorte d’ouverture meuble, trou de rage, colère ancrée, terre mère allouée, cri de la plaine . on est deux qui poussons la chose à son extrémité tempiorelle, on est ainsi qui sommes deux qui alloobs (je vais) à même la roche tendre ou pas mais pleine d’elle-même. on est qui sommes-sont deux, qui va-alloons (je-nous) sous terre par un biais de rage, col monté. on est qui allons fissa à chercher. on cherc he. on est deux ici qui (on cherche) allons (ensemble) à toucher à laz rochje des temps alloués (fissa) à travers la roche des vies abrégées. on est deux ensemble accolés et vas-y comprendre qui est qui ! vas donc y piper quelque chose àà ça ! vas donc cerner ! vas à comprenure et tu me diras ! on est deux, ok, mais quioi ? ou qui ? à toi à moi c’est dit, mais qui ou quoi ? homme des parois de base ? femme des années-lumières ? on se cherche une identité de carapâce ! on est dfeux en soi qui ^poussons dans l’ëtre cette chose d’une sorte de donnée rageuse de paroi. on cherche à se donner bonne (?) conscience à moindre frais. on est deux qui cherchons à creuser une direction dans la roche du temps déployé et du coup on essaie de ne pâs nous égarer, de bien toujours garder le cap sur ce qu’on veut vivre pour soi, etc. c’est-à-dire mùain dans la main. on vbeut essayuer ensemble de trouver-toucher l’endroit idoine (convenant) qui saura nous offrir cette chose en soi d’une ouverture de sas alloué, d’une ouverture à vif à mêlme le sas alloué à un semblant de vie humaine ou terrestre. qui est qui ? qui va là ? qui veut pour nous tracer la voie à dépl;oyer fissa comme un trait cde rage devant soi ? qui est en moi l’être de la pluie et du temps clément ? qui en moi dicte sa voie ? qui pôusse à rugir, à ghlapir, à courir ? je suis l’homme ici qui pousse rage à même une roche du temps percée, et femme cd’une sorte d’investiture à être un etre fol, folle, grave, grave, saoul, saoule, vif , vive, train arrière redressé. je suis Colère et Menace agraire. mon nom est «écrit sur Roche avec du sang de bête tuée. je m’appelle ainsi que je m’annonce : fol de Rage about(i. je pense, je pousse, j’appuie sur roche, je creuse. je suis le Je des roches étonnées de me savoir être. mon corps est de ce cul de rage, cul nu, cvorps nu, cornu de naissance. cul de base alloué. corps nigaud. parole des embruns matutinaux. nous noys approchons ensemble à deux d’une sorte de passage meuble où donc enfin pouvoir nous immiscer et pzasser. on est deux ensemble qui nouys accouplons alors. on passe. on est comme cdeux ensemble accouplés qui passons de rage à même la roche meuble. accouplées. on se colle. on colle. on veut aller collées aoinsi, collés cde base à êttre, collés ensemble comme deux p)arties qui seraient un tout organique. nous ne voulons pas mouirir de sitotbordel ! on dit qsue non ! on dit nous qu’on veut pas merde ! on dit que nous on ne v eut pas ! on le dit ici à fond ! on dit ici que nous eh bé on veut pas de cdette mort des finitudes ! nous ce qui’on veut eh bé c’est  pâsz ça c’est sûr ! On veut tenter l’approche double des donnéez ta,ngibles, on veut tater la roche à deux = conjointement = amoureusement = finalement. on ne veut p)as tomber cvomme deux ronds de flan sur la roche comme meurtris mais tracer. je + je = jeux. Nous le savons. nous ne sommes pas swi bétas tout ça. on est pas si bêtes. on co:mpren,d des choses un tant soit peu mais quand même. on veut aller loin en cette roche des duretés (duretés p)ariétales) et toucher à cette chose auissi d’une sorte d’enclav e dans le temps. cette enclave dans le Temps est une outre = antre = sas = trou = puits = cherche-querelle. on veut ensemble accolés-soudés ou accolées-soudées ou accolée- soudée ou accolée-soudé, ou comment percer, percer que tu perceras la roche, la percer la percer» etc, afin de donc 1 toucher au but et 2 aller fissqa de l’avant dans les connaiossa,nces. on veut être et avoir été voilà le truc! On veut toucher sans toucher en gros ! et ça c’est pas si facile on voit ça (on le voit devant soi). on est qui sommles des qui sont et du coup on creuse dans le temps la roche des espaces alloués à Vie cde base rageuse («qui est qui ?»).nous ne sommes pas venus pour nous complaiore à donner le change uniquement et c’est marre, mais auussi pour toucher à cette Voie d’abord(?) des choses du monde, à toi à moi, lm’un pour l’autre l’un après l’autre. on est comme deux enfrants qui nous noius agenouillons face à Roche des donnéexs prairiales, on regarde devant soi ou devant nous la Somme, ce total de base, on compte. un plus un plus un plus un plus un plus un pludss un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus uj plus un plus un plus un plus un plus un pluds un plus un pluds un pluds un plus un plud un pluys un pluys un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus uns plus unj plus un plus un pluys un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un plus un pluys un = x. on voit. on co:mprend. on touche. on trouve. on collabore avec icellle entité rageuse («carême» ? ) qyui nous voit aller «dans le xqsang», bete de rage à verbe. on eessaie de se donner une sorte en soi de contena,nce qui «puisse le faire» aux yeux des Autres = de tout le monde = de tous et toutes (ou toutes et tous). on est poas là pour lambiner. on est pas là pour trai^ner misère. on est là pour toucher à cette chose cd’une Vérité logée mais où est)-elle ? eh bien elle est ... devant ! voilà le xentimùent ! erlle se loge dans l’adversité des choses frontales déposées. elle est dispôsée comme une sorte de présent offert à divinité. on voit le présent devant soi cd’une soryte de vérioté à tout cfaire. on se dit que cette vérité du devant de soi est  celle-là que nous cherchons «à deux» à toucher des yeux, à percer de notre pic buccal de Verbe. on est comme deux pinsons, ouvriers -ouvrières, animal de co:mpagnie, chapârdeur-chapârdeuses, Colère ô grand jamais mais quoi ? co;lère ? on voit devant soi une sorte de chose rude et grave (gravée) qui s’apparente à une déité du nbout du bout (de la terre ? des mots ? de la rage à ^$etre ? des données senswibvles ?). et voilà ce que nous on voudrait faire ici : aller à toucher, aller à cerner, aller à toucher à vif, aller ensemble (mai,n et main) toucher-coller, toucher-couler etc, pareille roche xdure de la vérité, cette dxonnée frontale octroyée par une entrée de base rupestre («à lza une à la deux» comme une référencxe). nous on veut être des qui cherchons à bien nousapprocher cde cette vérité liée à un devant de soi rural, frontal, caverneux. nouis cela qu’on veut (voudraiot) c’est ensemble de pouvoir toucxher (= faire «toc») la vérité. touycher à cette vérité d’un devant alloué à vie humaine dép:loyée ou déroulée. on est comme deux enfants qui vont et viennent dans le temps et cherchent à toucher = à fazire «toc». car le «toc» est la raison d’être, pas plus. on dit que le toc ici est une raison dx’être mais c’eest vrai ! on le dit parce qu’on le croit ! on croit que cette chose («toc») est du dire vrai, du qui pue pas trop de sa rage mais qui est vif quand même et assez pointu ou acéré pour aller à vas-y perc er que tu perceras une roche «de la vérité des choses du monde ;On veut ça (au moins) et partant on cherche ensezmble = nous, nous deux pour la vie (la sienne), etc. je = je suis = je vais = je tremble = je reve = je sens = je touche à Vérité de bon aloi à même la roche des Temps. car ici le temps est déplissé comme un ruban lancé, déployé. ;on se dit que le temps va, et cest une chose qu’on expérimente à tout va au fur et à mesure que la vie va et se déroule ici-bas. on est pas deux pour rien en soi. homme et femme de la royauté des choses accouplées. homme-femme rude, commune, chercheuse, bete assouvie, tendrte, qui pisse que tu pissera s son chant de biçenvenue, sa chaleur, etc. je suis l’homme de la femme rude, femme au débotté, chant de rage en ce corps des plis. Je serais cet homme qui charge sur roche de son pic verbal acéréeé et traverse incidemment icelle pa roi meuble et du coup il se pâsse quoi ? il se passe qu’il devient Autre = femme des poumobns touchés, des perles montrées, des attributs, des atours et cdes attraits, charmeuse de base ô comment ! et l’homme ici qui est cet homme des touchers labiles, des caresses et du doigté devient cet homme des petites joies surmontées dfevenues Colères mortelles, chants doctes, bêtes à fleur, douceurs de la mort des voix. je suis donc cet homme des parties menues rencontrées , qui va dans la roche surmontant sa peur , et là je regarde devantt moi à la recherche de lz vérité etbqu’est-cde que je vois ? je vois que ça pulse grave ! ça vit ! ça bat la chamùade ! c’’st )as rien ! c’est une longue histoire (Histoire) déployée ! C’est toute une Aventure terrestre, une Vie de la Vie dans toutes ses conjectures et aiutres conjonctures et autres longitudes (ses grandes largeurs allouées) . je veux être ici   c elui-là qui est cette chose ici d’une sortye de parade. mon nom est le nom qsue je portye sur moi comme une offrrande à déité (de la Vérité). hosannah au plus haut dxes cieux ! Nom du Christ ? nom cde qui ? nom de xdieu ? insulte bsurnuméraire ? additigf merdeux ? cas de conscizence ? chants des tribus nomades ? porc-épic ? je suis homme et femme assoupi et aussi homme et femme assoupie, voilà l’ombrage. il se peut que je sois cdeux. suis je deux ? il se peut que je sois cdeux sous une même antienne déplissée à même la roche temporelle, et du cvoup si je suis deux alors c’est la merde, car. Car voilà que je vois la Chose se dresser, cette cxhose ici de’une Parole cons&acrée qui seraiot Parole deBVérité oui mais laquelle ? cetlle du devant qui n’arrtive jamais ? toujours recule ? jee ne sa is pâs. je suis homme des bhois comme robin des bois est homme des bois ou qui d’autre ? Je cherche uneb sorte de passage à travers le temp)s d’un dxép:loiement mais ce pasdsage n’est pas donnjé et fait fi de ma vie ancrée dans un ensemble déplissé de chgoses et autres sur la terre cferme. moi = je = nous = ils = elles = je. il se peut que mon moi s’estom^pat à mesure que ma vie va. il se peut que ce moi en moi (de rage) aille en diminuant de toute sa puérilité reconnaisazble ou identifiable. on est pas ensemble en soi pour être mais pour etre deux. on creuse = on étudie = on est comme deux enfants qui aloons par les champ)s à la recherche cfevant soi d’une Vérité de poids «qui le fa sse» mais pas seulemùent : qui pèse ou qui pês^$at. fd’est-à-dire de tout son poids de charge brutale (brutal ?). je suis je l’homme des arrezts de charge, femme des tambours battants, homme des poids de base, femme assoupis au firmamaent ou comment ? betebete-rage ? coeur au coeur ? je m’appuie sur ce Verbe alloué à une vie afin de pervcer la roche (du temps) par la base = le permis, lp’autorisé. Je veux être et ne pas être cette chose déplisqsée qui creuse un trait de rage à même la rocghe : animal de compagnie terrestre, aurochs. or me voici las de cette chose (et lasse). car l’aurochs ici a fait long feu qui a subi les affres x’une vie cde rage colère». je veux voir ici la chose placée et bien en vue, afin d’en mesurer les attriubuts. qui est squi ici ? qui va là mais aussi qui est là ? qui cherche qui en soi ? qui pzarle à qui en soi ? car il semblerait que «nous» «nous» parlions. njous parlons à nous de choses et x’autres, et ces mots sont mots de base meurtris, les mots. ces mots sont mots de base meurtris car ils en imposent guère en vrai. Ils sont faibles. ils ont de la fièvre. ilds sont comme touchés à vif, dans le vif de leur chair de mots mortels. je tente de co:mprendre le pourquoi une chose existe ou pas et ça avec des mots faibles souvent, avec des mots qui sont petits ou petitous, faibles cjoses au demeurant, faiibles constitutuions, faiblesse déployée à même un sa s, petites données déposées cvomme des présents de pacotilles offerts à la vue de qui de quoi va savoir mais c’est là, c’est posé sur ce devant de soi. on est qu’on cherche c ‘estça. on veut toucher à Vérité mais Vérité file toujours qui est devant nbous comme la bête qu’on est à chasser pour s’alimenter. on veut être ce et cettye chose, cdet objet, cette aventure ici d’une quête, commenytt pouvoir dire cette chose d’u,ne recherche de Chose Dure ? On cherche à percer les mystères de la Trinité, des Parades diurnes ou Nocturnes, des Amours contreariés ou pas contrariés, des Amours Courtois ou pâs, des accouplements pour soiu, des appoingtements. on cfeut aller loin dans les conjhectures divines ou pas mais qui dsont ce présent de soi devant, cetb à-venir de soi dans le temps d’une vie teerrestre. je regarde devant moi la roche gravée : de quoi s’agit-il ? d’une sorte de vie de base vive, gens de peu (?), vent de face ? cri rugueux ? je voudrais enfin comprendre ce que ça veut dire cette chose d’une sorte de façade devant soi «du temps qui passe», qu’est-ce que ça veut dire ? on dirait que ça veut dire mais est-ce que ça vceut cdire ? est-ce que vraiment (véritablemenbt) ça veiut dire = ça cherche à dire ? est-ce que vraiment-vraiment ça chezrche à dire ou à redire ? est-ce que c’’est ainsi cette cgose que ça serait ? Est-ce ainsi que la Chose est ? est-ce cette chose en vrai que ça serait ? est-ce que dezbvant moi il y a la vérité finale, docte, perlée, déplissée ? peut-on dire cette cjose ? on voit ça de près mais est-ce vrai ? je veux dire : est-ce la vérité, la vérité vraie ? On cherche à savoir parce que la vie cherche à savoir du fait qu’elle se cdéplie comme une sorte d’entité massive, tissu de données, chants. voilà ça qui est qui va de l’avant dirait-on. et aussi parce que la vie est une donnée qui va pour s’allonger zau pied d’une cdéité frontale dont le nom est l’attribut de base :Mort. car on sait ça : la mort a un nom pour nous qui nous donne de quoi penser à ça que nous avons à faire = vaincre = vaincre icelle, au jour le jour. la ici mort de base est cette Chjose Rude (du devant) qui porte sa col:ère monstre commùe une Image vive déplissée, dép:loyée, montrée hautement : feu de rage zu firmazment ! feu focal ! Et nous de nous agenouiller devant, de noius montrer petits comme des enfants, ou petits-petites, ou tout court petites, ou comme si oui on était toutes, c’est à dire tous toutes= des qui disent jee, des qui disent jee suis «e, je suis l’ «e» de la rage à être ce «e» de rage poerdu dans la rocghe, l’ e» de l’oeil de base, sorti de sa cage orbitazire et qui toque à «la poerte» du sang (?) ou commùent ? Je veux croire en cette chose d’une sworte de rage à percer le mystère de lza voie cd’accès à une Chose Rossee peut-être ou sinon rosse rude, ou sinon rude rageuse (envers nouys) ou sinon rabgeuse rugueuse ou sinon rugueuse vive, vive et vif de rage, vive la chose et vif le Roi, celui-là, ccet hombre, ce, ce Dire. je suis cet Hombre ou homme ou quoi d’un dire fou, fol, affolé, qui cherche à percer la chose rude, tezmps imparti, doonnée coriace, dure-mère, pelure, peau de bête, rapines. je ne suiis pâs cette chose d’une sorte de manant qui va à la pêche aux données rageuses mais l’homme des recherches folles, durement recherchées pâr la base d’une sorte de trouée dans un temps nacré, dans une dsorte de paroi des temps premiers. mon nom est le nom qsue je me doinne de ce fait = longitudinal, à longiueur de temps. et non point celui-là octroyé à ma naissance par ceux-là , celui-là et celle- là qui ont couvé mon être. Non ! je ne suis pas fou. Je tremble. mon coprs est le corps d’un enfant de peu allant en roche chercher perdreau. Qui veut ou voudra sa cvoir plus sur ça = moi ? qui voudra connaitre le fin mot ? qui va en moi vouloir savoir ? qui est qui en moi et quoi dire sur ça qui serait pour moi une chose de poids ? Je cherche à me connaitre moi-même à la retombée. je ne chezrche pas à percer pour percer mais je cgherche à percer pour travberser. ce n’est pasv la même chose. mon nom est celui-là que je donne à ma voix temporelle à m^zeme la roche des temps touchés. je veux êytre cet homme-femme des puits profonds, cettye homme-femme des puits sans fin de la roche. ouvre-toi mortelle ! oiuvre-toi Mortelle ! montre tes attraits de joie ! Qui es-tu qui v eut me dire cdes choses ? et quelles sont ces choses ? qui es-tu la mort ? qsui es-tu qui me regarde de pied en cap pe,ndant le temps de ma vie qui v a ? qzui es-tu squi cherche à «me déposer» contre une paroi, comme un meuble, comme une charge. je ne veux pas être pour toi une charge mais voi;là ce que c’est que d’être»en vie» = envie. Mon e^tre ici est tout entier une sorte de donnée rupeswtre (feu de jhoie) mais pas pour toi peut-être ? qui es-tu la moprt en moi ? qui en moi es-tu, la mort ? qui est cette Mort de base v(rage) qui en moi se  grave et se cdéploie au fur et à  :esure que ma vie va, ou azu fur et à mesure que la vie (ma vie) va de xon allant de rage. on esty convenu, on esty venus, on est nus. mon corps est posé. ma voix cherche issue. mon coeur est le de la. qui va là , eh bien ma voix de rage. qui est là eh bien celui-là ou celle-là qui chercvhe «à paraitre» tel ou telle que pour lui ou elle «ça va» mais ça ne va pas. jamùais ça ne va. vcar la vie emporte tout sur son passage». on dit ça. on dit que «la vie emporte tout de tout sur son passdage» et ma foi c’est une vérité qui se pose là on le voit, on voit ça, on a des yeux (deux) pour voir cette chose devant soi = là = au pied du dieu «de la vie et de lma mort terrestre». et nous de croire en cette chose d’une «vie terrstre» et dune «mùort terrestre» comme deux niais qui vont à la foire aux billevéséess. quelle audace ! sque de dires mensongers ! que de dires fous ou fols ! La terre tient sur elle par des mots de poids qui chargent sur roche. Le temps est la donnéee de base rapide. le sang circule dans les veines des etresà voix. je suis ce je des garnitures verbales. mon corps est un chant docte. mOn corps est nu comme une vivre allant rzampant. je suis je, ver de terre aux allures de vouivre méchamment allée mais non, ver de terre simple, singulier, vivant sa vie diurne à :=ême la roche et nocturne à même le ciel. mon corps est nu de cul. Je veux être nu cvomme le ver de roche. ma voix tout pareil. sauf que ma voix se double x’une voix de roche dure, celle des attraits des boeufs, des betes de poids, aurochs, buffles, céphalopèdes. mon être. or voici que je voudrais celza, ne plus etre cette voix de base dure, ou ne plus l’habiter ou comment ? ce que je voudrais ici ce sezrait ça : de ne plus être comme habité par cvettye voixb en moi qui dicte cette chose à déployer comme sexuée. qui a dit que mon corps avait pour lui de quoi dire une  v érité ? qui a dfit que mon corps avait en lui (à part lui ?) de quoi pouvoir (ce pouvoir) dire une chose relaevant des données natives ? mon coprs peutil dire la vérité ? mon coerps nu peut il dire ? mon corps nu peutil dfire l;a véreité ? est-il capable de  cette chose  ? mon corps nu peut-il dire encore, au fil des saisons, le dire nu d’une dfonnée nue ? je veux savoir pour moi (meurtre fde moi) la Chose Rude. car mon corps est corps de rage à être dans le Temps des données sensibles (rugueuses). qui sait ce qui est de  cette cjose ? qui sait dire avec son corps ? qui sait dire avec le corps nu de son envie de vivre sa vie de rage ? qui sait dire une chose puis une aiutre dans le temps sans perdre le  cap d’un dire de poids ? qui porte la croix ? qui porte en son sang ;a rage cde l’^tre de la vie nommée ? qui pisse et chie sa rage rude en parlant depuis son soi-meurtri par du Verbe natal calamiteux ? qui pîsse et chie sa rage à devoir dire ? qui est squi par investuiiture ? qui parle pour qui ? qui perle ou parle  ? qui veut en mùoi  percer de rage la paroi du temps ?   homme-femme ccroupis. ou bien : homme-femme accroupi ? ou bien : homme-femme accroupie ? qui ? car me voici qui me présente devant la paroi, muni cx’un bec de gravuité ou comment ? prêt à faire ainsi que des choses puissent aller en se gravant. puiisent aller à se tracer sur roche, ûiissent de la sorte aller à se tracer sur roche des temps perdus(où ?) ou sinon commùent ? je vais vif (vbive) en cette roche des temps alloués, vive (vif) vais qui tresse sa croix. Car je (croix) suis(vif ou vive) l’être de la croix des temps allouées, tissu des do nnées. Je veux être cet ou cette homme ou femme des données de la base à être 2.  Je veux être 2; je veux ce un ( ou Un ) du 2 dit ainsi (noté). voilà ce qui est. mon être noté se place ainsi sur roche et se montre à qui veut de la sorte : une a ntilopre, une bête de rage, un cri de charge, un premier émoi, un amour naissant, un e pârade nuptiale, un accouplement des données, un don ede soi, un amusement. jeu de l’oie. jeu des parties tempérées. jeu du petit cheval. je regharde devant moi la charge des données rageuses et je co=:prtends  cette cxhose du temps offert comme un présent à déité.je suis homme reçu, femme allouée, prince des de,nrées, femme de la roche aux agttributs rageurs, homme cru, femme cuite. homme aux dindons. femme de la plus haugtre branc he. homm-femme trimblallé. femme-homme touchée. ou comment dire ici l’entrecroisement ces pzarties rageuses d’un Verb e attribué à unnom d’emprunt tel que celui qui m’a été donné à ma naissance ? Je voudrais co=mptendre au pluys haut niceau des comp^renures humaines, charger grave, toucher haut les savoirs ruprestres, mais pour ainsi dir je nai(n’aurais ?) pas tout à fazit «le niveau». Car il s’agit ici d’une acsnesion native. d’une monté

e. d’une sorte d’ascension native ou comment  dire ? «nous nous sommes tant qaimés». «Nous avons festoyés». «nous avpoons collaboré»?; Etc, mais pas wque ça. Nous devons nous approcher enswemble des données fde  b ase de la mùort à l’oeuvre, et ce n’est pascvfacile avec des mots. noius v oulons noius approcher d’icemlles données de :la rage à être (ok) et popur ce faire nous nous adressons comme de vrai à une sorte d’entité dressée, debout sur ses mùembres, devant nous, comme montrée, comme démontrée. or non, pas de ça pour nous. nous, ce à quoi on aspire ensemble (un plus un) c’est pas cette chose, on aspire à autre chose. on aspire à mille autres choses qui non, ne sont pas cette chose devant nous dressée comme la V2rité (inatteignable). nous ça qu’on veut = ça là-bas, loin, l’Autre de lza manche, le courtois, l’obstiné, l’éduqué de ces dames et de ces messioeurs. on veut toucgher à la paroi du sens. On veut toucher à la paroi du sens donné. on veut toucher à une Vérité qui pèse et plombe et reste et tient debout comme un bvuffle ou un sanglier. pas de la gnognotte merde. pas. nous on veiut pasça. Ce wqu’on veut c’est facile à dire c’est pas ça. Ce que nous on veut c’est facile c’eswt pas ça. nous cela que l’on veut ce n’est pasq cette chose cde peu. nous cela qu’on veut, cela que l’on veut nous deux (en nous ?) ce n’e’st pas cette chose

 de peu (de poids) :mais plutôt cette autre cghose = de poidsq, qui pèse sévère, qui plombe, qui pèse de tout son poids sur la terre ferme, sur la terre de nos ancêtres. on veut pour nous que le mot pèse. que ça rappoerte. Que ça pousse. Que ça soit puiussant, que ça soit vif, vif de chez vif. on veut pour nous que le Verbe pèse de tout son poids de vie sensée et autre dans la balance. on veut que ça. ou disons on veut surtout ça : que tout ça ça pèse dru ou dur da ns la balance et que du coup on puisse pouvoir dire cette chose comme quoi on sait ou on saurait, comme quoi on saurait ce qui est, ce qui se déploie, ce qui s’insinue, ce qui se trame etc, à même la roche ces temp)s donnés par qsui on ne sait, mais temps offerts à Vie Humaine. Temps offerts et dép;lissés pour une durée. Voilà ce qui est. mais comme nt savoir ? cvommùent comprendre, comment s’approcher de la Vérité ? on est cdeux qui nous approchons fissa de la Roche mais bon, pa s si simple car il faut tenir sur l:a durée. faut pas lâcher prise, faut aller, ou : faut y aller. on n’a pas le dxroit de lâchger prise, on se doit dd tenir bon tout du long, on doit pouvoir tenir sur la distance, on doiyt pouvoir continuer sans sombrer etc. le but ici est cde tenir longtemps dans la durée et de  ne pas sombrter jamais ou pas de sitôt. On cherche à tout le temps aller cde l’avant, à ne  jamais a bandonner la course, à toujouirs en avancer sur ;e chemin cde cette vérité qui serait devant nous à attrapper. nous sommes deux qui cgherchons ensemble à toucher à cette vérité des choses du =monde, à cette  v érité devant nous des choses rudes, preut-être, peut-être pas , ou disons à ça cdevant qui «nous regarde» c’est-à-dire qui noius concerne, qsui nous englobe. or voilà que cette chose devant nous (qui nous englobe) est une chose rude (comme la mort»). voilà til pas que cetyte chose rude (dure) devant nous a pour nom (le Nom) La mort. or nous non. notre nom à nous non n’est pas celui-là (l’englobeur). déjà ça. mais en plus on veut pas. on ne v eut pas de cet englobemùent de choses et autres devant soi (monde des choses et d’autres) qui est exactement l’englobeur frontal  tel que décrit ici ou là dans des livres de poids (genre bibles des temps allouées etc). nous non. on a dfit non il y a belle lurette, et on le paye cher , c’est à dire de notre chair. o,n paye le fait que nous (= nous2) on a un jour (il faisait jour) dit non à l’Entité de poids, qui cxhargeait de tout son poids (être) devant nous qui  n’en menions pas lmarge c’’st un fait mais enfin voilà, on a tenu bon car on a dit non. On a dit q’on ne voulait pas. on a dit qsue notre choix nj’était pas celui-là. on a dit que pour nous la question ne se pôsait pas en ces termes et de  ette façon toute frontale ou pariétale. on veut pas de la mort pour nous, ni en nom commun ni même en nompropre. notre but est de graver la roche, d’orner, de faiore comme si, et jamais de la vie de nous donner c rument comme deux enfants condamnés, comme deux betes offdertes à l’incurie d’une mort de rage, à la curée, etc. on ne veut pas de la =mort-nom pour nous, nom ou verbe. ce qu’on veut pour nous est autre chose, une chose autre, beaucoup plus «nature» dirons-nous. une chose douce comme une pârole de bienfaisance. une chose douce ou doucereuse, douce et heureuse. nouys (je + je) sommes cette somme de je alloué à l’^etree bête. je + je dit ce qui est d’un nous massif comme un boeuf cde charge. je suis à la fois ce je qui tzambourine et  c et autre qui plombe sec sur la terre ferme. je + je = nous pour l’être. et aussi ce je  de l’enfant pointé, qui arrive nonchamlamment ou pas mais d’un pas d’allant et ce afin de se rzpprocher d’une sorte de vérité de poids (qui pèse, qui compte, qui en impose, qui porte) à même la roche du Temps. je suis donc ou je sezrais cet homme ou cette femme = l’enfant, soit cet être de la roche dure gravant ou dessinant à main levée une bete flambante, un etre animal, une charge de grande taille pouvant faire ainsi que LA mort des ombres puisse croire en de la vie vive brûlan,t sa chandellle. on vgoit un peu le truc. on commùence à co:mprendre. on commence à cerner les choses rudes. on a l’enfant qui grave grave, qui s’époumone, et de l’autre côté on a la mort dfu petit cheval, lm’ombre dép^lissée, l’antre, le lieu des catacombes, le chenil. Car moi ce que je vois c’est ça. ce que moi je vois de près c’est çaz et pas autre chose. je vois cette chose comme quoi on est en soi deux (double ?) soit l’un en deux, ou comment dire ? on est l’un du deux, deux en cet un de charge pariétale (aurochs, fruit des bois). Et du coup on aavnce ainsi sur cette terre, sur pareil chemin tracé, on trace.On est deux en soi pour former l’un de la b lague à tabac. Oàn est deux ainsi pour former cet un de la rage à être cetb enfant traçant sur roche la bete pesante, poids verbal d’une sorte d’enclave de la «bvérité» telle qu’elle sszerrait (pourraitêtre). enfant du lion ? ou pas mais enfant de cette chose rude qui ressemble fort à lza moprt, à la mort ancrée dans une roche, prise, prisonnière d’icelle. l’enfant ici qui va fort en ellle à coup de mots placés ici ou là, tracés à l’arrache, composées du feu de dieu, mis en branle à la une à la deuxc comme en colère. moi p)areil je charge. je dis moi pour dire lui ou elle = cet enfant traçant de plus beelle la b eauté d’une bete agraire, la beaiuté d’une de ces bêtes rudes chargea,nt et pouffan,t. moi pareil. et voi:là pourquoi je vais et je viens en cette zone fran,che des données de base rupestres : je suis je l’homme cde la manche, du jeu de la loi, des envies de vivre, etc. pas plus. ou pas moins en vérité. Je veux être ici cet homme de la foi dans l’être. pas moins. pas plus non plus. homme-ombre et femme aux attraits : ensemble, joue contre joue. pas pluys que ça en vérité, ezt aussi cettye chose d’une bête-colosse, gravée au pic de  verbe à même le temps = Verbe à cul (acculé). voilà ce quii est. voilà en vériyté cze qui pour moi co:mpte et pèse le plus. une chose qui importe et emporte. on dira ça, que moi + moi = moi. Alors que je + je = nous. cette vérité de la base et des données rudes, comme une vérité diurne. voilà cce qui est. une sorte d’envoutement, de boulebversement intérieur, de remue-ménage à l’intérieur de la paroi du Verbe. une bousculade. un remue-méninges aussi bien ou pas mais cette chose d’une bousculade-maison pour ainsi dire. tremblements. sidération. collection. charge. dép;lacement. colkère à tous les niveaux de sa propre rage à être. ou bien colère de tous les instants de sa rage d’être. on commence ainsi à tenter une approche dite v»souterraine» mais bon, on doit s’y tenir sur la longueur et de ne ^pas défaillir et ça, c’est pas (disons) donné à tout le monde, il faut s’y coller, il faut surtout accepeter l’idée que la chose, ainsi sortie de soi, puiisse être, à tous points de vue, bancale, ou disons, à de nombreux points de vue, ou pour de nomùbreux points de vue, ou à certains points de vue, ou à de certains points de vue, ou selon, etc. car forcément ce qui est qui sort n’est pâs toujours bien reluisant, n’est pas toujours super reluisant. on fait ainsi qu’on sort de soi des choses qiui sont parfois un peu ou un petit peu fzaibles en termes d’ossature (fragiles ? fébriles ? fluettes ?).  F. Or voilà que  ce F ici s’impose comme une donnée. une donnée franche Forcément. une de ces données Franches qu’on aime avancer, ocffrir,, donner ou déposer sur seuil de base (monde adjacent) .. nous opffrons un F à la base rageuse. nous offrons un F (effe) ou fe (feu) à cette base devant soi qui est ce seuil de rage d’u ne Mort à l’oeuvre. Car ici la mort attend l’heure d’une défaillance. et nous que faisons-nous ? eh bien du fe , du feu, du effe en veux-tu en voilà la mort. Tu voulais du Feu, voilà du feu. Tu voulais de notre vie Fichue, finalité, fin des données, voilà ce Feu des données genrées comme calcinées. On tend ou on va vers c ette chose là d’une sorte de bûcher sur fond de rage à être. On tend vers les données données. on tend à donner de soi du verbe Fichu = feu de rage la mort ! Feu la Mort tu perds ! Feu La mort tu files du mauvais coton car on sait y fFaire ! on est pas né d’hier ! on sait cerner ! on sait pre,ndre appui ! on a cdeux jambes deux ! on a deux bras deux ! on est réguliers ! On pèse :lourd sur l’échiquier ! on tient parole = on tient la parole = on est vaillant. on file grave da,ns le vent cxar on a la vie en  ous qui pousse de tout son élan. On erst deux en  ous comme le couple on dirait parfgait qui fiche sa parole grave sur roche du temps et percute à mort, à la une à la deux, comme un dératé. Comment dire ? on Fon ce. on Frappe. on est pas perdusd pour tout. on regarde devant nous cette cbhodse d’une mort (verbe) à l’oeuvre et ça nous pousse à nous agenouiller de commiseration et à prier pour nous, comme on le ferait pour une sorte d’entité en nous qui épouserait notre fond d’être. Nous voulons ensemble essayer dde bien nous poser zafin de bien comprtendre ce qui est qui vient vers nous en termes de vérité. on dit : la verité, on pourrait dire : la vivavité de la mort à l’oeuvre. On pouurait cerner cette «vérité» comme d’une chose qui serait phydsique. c’est-dire dure. Paroi. on pourrait essayer ensemble  de comprendre cette chose de la vérité commùe une chose rude = dure. on pourrait ensemble (de concert) esseeayer cde cern,er cette «vérité» en tant qu’elle xwzerait u ne paroi, une dureté. en termes de choses rugueuses. en termes de chose rude. en termes de choses qui en imposent de par leur consistance en dur de chez dur. On veut ça pour nous : co:mprendre dans le xdur. pas pour le dur en soi , mais pour c ela d’une co:mpréhension quyi fdasse foi, Foi, le lit de la Foi. on cherche à pouusseer le plus possible et le plus vitecpossible «le paquet» pour toucher («toucher») à cette v érité des choses cde poids, des choses qsui pè§sent lourd, qui pèse de tout leur poids. On veut. On veut toucher que tu toucheras enxsemble à cette chose devant nous d’u ne vérité des catacombes, c’est-àdire des données rageuses, enfouies, placées devant = forontales, qui sont Vérités de la base à nai^tre et du so=met à disparaitre. ce genre. Or bien sûr que non. on pousse loin la chose du temps ici parce qu’on est ici dans le temps d’une vie à vivre. on est pris ensemble («nous») dans les aléas d’unevie à vivre, d’une vie en cours, etc. ça porte. ça en impose un peu mine de rien. disons que ça impacte un peu, voire plus que ça. Et du coup la mort se sent comme soulagée , cvomme achalandée, etc, alors que non : ici le verb e est du feu de hjoie qui ne donhe en rien son être principal. il s’agit d’un fceu de joie qui n’est pas le feu  central. La joie n’est pas cette chose d’un  noyau dur d’une vie pleine, non. la joie offerte est du feu de base rupestre, est du feu de base pariétal, mais pas le noyau dur de l’etre de la vie vive contenue en soi. on donne quoi on donne peu = je = joie. Pas bien plus. ce qu’on donne ici est certes cde la joie à être mais non point l’etre dans toute sa plénitude et cela la moprt ne le voitpas d’emblée car la moprt a l’esp^rit touhjoutrs obnubilé par les flammes drues qui font obstruction à s

a compréhe,nsion/. on fait comme si. on pousse bébé dans les orties. on fazit ainsdi qu’on se montre comme faisant en vrai or bien sûr que non  c’est faux. on faiot pasça. On fait semblant = du sang blanc = le plan  blanc = de la fausseté de misère,; mais bon, pour l’insta,nt. car pour le moment ça passe. pour l’insta,nt, car la mort un jour ou l’autre se réveillera de sa torpeur et comptrendra le pot aux roses de l’enluminure. Sûr. un jour va venir où la mort (pas si bête) comprtendra la chose et se retrournera, et nous c ueillera, nous prendra dans ses filets et nous eteindra commùe un Feu de Peu. su^r et certain. parce que le Verbe tout entier le dit: on peut le croire. le verbe tout entier dit la finitude de l’etre menu. Tout entier le Verbe dit la finitude de la vie tendue, un temps, comme l’arc qui relie la chose du temps au seuil de la roche. on voit ce qui est à travers le Feu du verbe transi. chaleur acoustique. le temps se déploie devant. La vérité est une qui se présente comme un tourment à vivre. On regarde devant soi et que voit-on ? la queue du Verbe touchant la paroi d’un temps déployé de toute sa longueur de misère. Feu dx’abord pour une vie d’emprunt. manquement d’usage. tri postal. qunantité. Douceur.

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10/06/2022

Nous sommes un certain nombre à vouloir comprendre les données basiques, soit celles qui regardent dans les profondeurs. nous sommes un certain nombre à chercher ensemble ici à comprendre, soit à creuser la roche devant soi. nous nous accordons. nous sommes collés et serrés pour un faire vif, à mener fissa soit tambour battant. nous sommes nombreux (une tribu, disons) à donc vouloir aller profond, creuser dans la roche, percer les mystères, aller dans les bas-fonds d’une pensée qcomme souterraine etc. nous nous accordons = nous faisons en sorte de nous accorder = nous nous joignonds ou nous rejoignons = nous formons équipe = nous nous congratulons. voilà ce qui est. nous sommes nombreux à chercher ainsi à nous accorder afin d’entrer fissa en cette roche des savoirs du monde, roche meuble ici ou pas, roche dure là ou pas, etc. notre volonté sur terre est de (toujours plus) creuser (dans la profondeur) les savoirs rupestres ou dits tels, et pour cela nous nous accordons, accolons, collons, etc, jusqiu’à temps temps quie nous ayons percé ensemble telle roche devant nous, soit telle paroi, par un endroit d’excavation précis permettant l’Amorce. nous sommes munis (tous et toutes ou toutes et tous) d’un pic de perçage en bvonne et due forme. nouds nous sommes armés d’un pic de rage et de pezrçage, et c’est ainsi que nous voilà qui nous introduidsons en cette roche dure (ou pas : meuble) devant nous = cette roche des savoirs rupestres, cette roche des savoirs ancrés, gravés, dessinés à main levée, formés et placés. nous voulons comprendre à vif. notre but est de cerner au mieux les choses du monde : le pourquoi des choses et le comment de celles-ci en leur temps d’apparition. nous sommes munis de notre pic de perce, . nous sommes armés comme des flibustiers etc, et voilà ce qui est ici , qui se trame devant nous : perçage, ytraversée, passage, entrée et placement dans l’échancrure. nous nous blotissons en roche à l’abri des courants d’air que font les bêtes fauves qiuand elles se déplacent à tout va. nous nous protégeons des écarts bestiaux éventuels. nous faisons corps. nous formons le corps de troupe : armée solidaiore, choeur de joie, chanteurs soudés par la bande langagière commune à chacun d’entre nous. nous voulons savoir un grand nombre de choses et pour cela nous devons nous sezrrer les coudes, faire corps de rage, nous blottir les uns les autres et creuser de front cette roche dure des tourments et autres inconvénients liés à une vie humaine terrestre. notre envie se loge ici, en ce désir fou (demi-fou ?) de creuser que tu creuuseras, etc, telle roche dure (aux savoirs précis) ou telle autre moins dure, mais toujours lma roche = l’avanie, la perte, la décrépitude, la décxhéance, la mort. nous voulons ensemble ici même (devant soi) creuser follement (?) ou à demi (?) cette chose d’une sorte de paroi du monde liée à la mort. car on dit que c’est (cela) : folie (demi ?), que de faire cette chgose ensemble (ensemble ou seul n’importe pas) et de se faire ainsi comme cerner ou répérer ou voir ou comment par qui ? par elle ! la qui nous regarde vif, qui jamais ne nous oblitère ou comment ? La mort ! car la mort est là permanemment qui ne cesse d’avoir sur nous cet oeil de rage, d’envie, de désir, qui fait que nous nous retrouvons cerné et épié permùanemment, comme un gibier, comme une bête traquée. nous voulons comprendre les données basiques et pour  ce faire : une armée de bonhommes ! un langage partyagé ! une la,ngue surnumérzaire ! un apprentissage d’éduqués ! nous sommes des milliers ainsi à nous présenter bille en t^ete face à elle : la paroi du monde, la roche binaire etc. nous voulons cerner (à notre tour) la Chose = la Moert. et pour cela fissa creuser = coup de tête cd’une armée entière, chants choraux, cortège ou collège, etc. nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère ! nous allons fissa en roche ensemble accolés forçant la pierre, traversant d’un coup de bec icelle et sa dureté. notre envie (du coup) est de traverser pour nous retrouver de l’autre côté et gagner sur elle = marcher = aller = se porter plus loin en elle, oui mais où ? eh bien jusqu’au bout du bout ! voi;à la chose ! jusqu’au fin fond si tant est et cf’est ! car un fonds de roche existe : là = là-bas, fond de roche bleiutée, fond de roche vivement illuminée etc. nous voulons comprendre ensemble cette chose ici d’une sorte de paroi frontale terminale = une porte d’accès, un e sorte de sortie, un endroit de passage . nous voulons toucher à icelui ! nous sommes plusieurs ainsi à vouloir traverser la roche et à aller au fond du fond d’icelle = dsans les profondeurs d’une sorte d’antre ffoorclus, antre de contenance = outre = bassin. nous voulons allmer là-bas = loin. et pour cela : fissa ! la rage au ventre ! continullement creusant roche de nos pics de gorge ! oui ! car la vie ici n’est pas la vie là ! la vie de ce côté-ci de la vie n’sst pas la vie de ce côté-là d’icelle ! non ! et nous de chercher ensemble (une armée de rage) à creuser, à aller profond, à fouiller la roche et du coup à npouys transbahuter en ses profondeurs nacrés, chants d’orge, chants d’azur, chants mobiliers, chants sussurées ou portés rageurs, chants des profondeurs de la terre mère et de ses entrées, chants dits et redits, maintes et maintes fois redits, etc. nous nous app^rochons (une armée d’hommes (et de femmes) casqués) . nous sommes dix, vingt, trente, cinquante, cent, deux cent, deux mille, des milliers, des milliers plus un à aller, à crzeuser la roche pour nous rap^rocher d’icelle paroi de fond de carosse. nous sommes des milliers = ubne sorte d’armée chelou, armée coriace, armée armée d’armes de guerre lasse ou comment ? armée de sabres ? de mille sabords ? nous faisons ainsi que nous vou;lons former = ensemble , main dans la main, une confrérie con fraternelle. nous voulons cerner ensemble un grand nombre de données rageuses, de données de base rageuse, et voilà pourquoi nous entrons à tant (par milliers) pour comprendre. nous voulons en savoir plus = tout. tout et plus encore : la somme globale. nous voulons entrer en roche à vif = tout cru = tout nu = vrais = ensemble = nus comme des vers = crus comme tout = vrais de chez vrais = entièrement =complètement = comme ensemble on le ferait dans une vague ici de la mer des salins de la rage à être cet enfant naissant que nous sommes permanemment  . ou pas permanemment ? ou pas naissant ? ou pas enfant ? ou pas entrant ? ou pas naviguant ? nous avons à chgercher ensembvle les données basiques, les choses de poids (= bisons durs) et voilà l’entrée : une case, une sorte d’échancrure, un trait de parooi, une croix. je suis là pour ça = trouver une chose de poids , aurochs des certitudes, buffles fol, chant des ardeurs, vélléités rupestres et rustiques (les deux), corps défendantss. nhous voulons comprendre loin les choses du monde et du coup, nous sommes entrés pzarmi toutes ces bêtes des alentours. nous nous wsommes rapp^rochés de cette porte (bouche ?) des confiins et là, ensemble (soit : main dans la main) nous sommes qui reghardons, qui nous penchons, qui osons le geste, ce geste fol (irraisonné ?) de pencher la tête un rien, un tant soit pas grand-chose en vrai mais tout de même un peu = ici ! là ! passer tête un  brin (un oeil) afin de quoi ? mater ? mater quoi ? mater «les données» ! Les ddonnées de quoi ? de la mort en herbe ! en oeuvre! à l’oeuvre ! oups ! Je suis celui-ci (hommre ou femme) qui, muni d’une sorte de batoon de joie («je») va fissa à la rencontre d’une déité de base contenue en nous un temps, pûis sortant de nous (à notre corps d»éfendant) à nottre mort. la mort nous appaertient tout comme le corps nous appartientt  mâis pas le Verbe qui fait son chemin,  de place (être) en place , etc. le corps est ce réceptacle , cet antre de contenance pour un verbe d’aloi. nous voulons eznsemble frapper roche ainsi, second rideau, fond de grotte. quyi est là ? nous demandons. nous ne savons pas (jamais !) à quoi nous en tenir mais nous aimeriuons en savoir plus et pouvoir passer un oeil (de rage) entre deux barreaux de cette cage. comment faiore ? nous vou;lons aller en roche dure comme en religion = ensembble = fraternellement ou confraternellement = unis par un Veerbe de poids portant lourd sur la balance de la vie vécue, et aller ensembkle = gagner du terrainn   ensemble = gagner ensemble dans le creusement des connaissances. nous voulons percer = apparaitre = passer la tête (la tête !) et la tête passée ou une fois la tête passée aller, aller là, là ou là-bas = en ce point , de rendez-vous dominical, en ce lieu des dires Majeurs et Massifs (AUROCHS) et là: pisser ! pisser contre le muret c’sst un fait ! pisse que tu pissereas saleté ! ainsi de suite ! une sorte de pied de nez, de moquerie, d’outrage voire plus: une insulte dans les faits. nouys devons nous moquer grabve de pareille engeance postée là qui ne cesse de nous expionner. nous devons lui pisser à la ré. nous avons à l’insulter de notre queue de verbe radical. voilà ce qui est à faire ensemble. nous moquer et insulter et lui gueuler dessus et injurier et traiter soit de tous les noms de la roche dure, tous les noms présents = tous les termes = une langue parlée en entier, une langue entière parlée, une langue entière communautaire, une vérité langagière en tant que telle . AUROCHs des certitudes, massif décoré, charge de guerre, patissons. nous aimons ainsi berner. nous voulons ber ner la mort par du Verbe de rage g»fgros» comme dix doigts. nous sommes ainsi plusiriurs (une armée entière) à vouloir toucher ainsi la mort, lui g ueuler dessus vulgaire, la moquer, s’en moqsuer, la prendre de haut si tant est, lui dire « nos quatre vérités» rupestrss animalières.Comme quoi : 1, la vie est une masse vive, 2, les mots s’agrégentb pour former pitance en odffrande, 3, la chance est partie prenante, 4, le ciel est le soleil est le ciel, 5 la vie vive est loin d’être donnée vivante! Nous avons ensemble à nous parachueter en cette contrée d’un entre-deux-roches-dures. pour cela : contagion ! ensemble des données données ensemble ! et fissa nous porter présents. nous avons à comprendre un grand nombre de données massives, données lourdes, données fines mais pesantes. nous voulons comprendre ensemble le s données basiques présidant la Chose du monde, cette Chose rude, dure, tourmantante, etc, qui est cette chose ici d’un devant de soi dans la vie. nous nous approchons d’un fond de roche, et nous regardons ce q<ui est. que voyons-nous ? des fleurs coupées ? des choses perdues ? des dépo^ts de base ? offrandes ? mets ? vivres déposés sur roche au seuil d’un trou de boue ? Nous nous sezrrons les uns contre les autres (corps) et tentons une approche ainsi wserrés (collezctivité). que voir ? nous voyons des choses vives = colorées. mais de quoi s’agit-il ? de choses vivantes ! oui ! ça bout, ça bouillonne ! c’esst vivant comme en l’an quarante ! c’esst une certitude avérée ! dans la mort çqa vit ! et quoi d’autre ?     eh bien peut-être cette           cette chose comme quoi, oui, une chose est là (tout près) qui nous regarde. quoi ? une Chose. c’est-à-dire ? peut-etre une bête mais pas sûr. alors quoi sinon ? une bête dee poids . une bête rosse. une bête chargeant. je regarde. j’essaie de comprtendre. de cerner la forme, de comprendre ce que c’est mais c’est quelque chose, ce n’est pas du vide. je vois quelque chose. une chose rosse ? peut être ou pas, peut-être rosse ou pas. je regarde. j’essaie de comprendre. il y a là une chose vivante c’est un fait et c’est déjà beaucoup en termes de co:mpréhension, d’extra-vision, de repérage, etc. une chose vit dans la mortr, soit en elle = dans son sac, sas, antre, outre, etc. nous sommes qui voulons comprendre ensemble cette chose d’une chose en vie dans la mort. la mort en vrai n’est pas la mort de la mort mais tout au contraire la vie de la moprt. si la mort existe alors cela signifie que la mort est en vie et non morte. une mort morte est une vie en vie  ou comment dire ? une mort vivante ou bel et bien vivante est une mort en vie = une vie. or la vie est là qui déjà existe, est réelle. alors que dire ? et si nous disions que la mort est Vie au même titre que la VIe ? on ne sait pas ! on pati,ne et on patauge. on patine dans la farine et on patauge grave. c’est un dit à dire ici. nous voulons comprendre et voir, ou voir et du coup comprendxre. une chose vit en elle (dans la mort) quyi bouge et brille, vive et douce chose en elle. nouys vou;lons nous approcher de cette chose en elle : qu’est-elle ? eh bé peut-etre.... rien ? colmment ça ? un rien qyui vivrait ? ça n’exisqte pas ! si ça vit vif c’est que c’est quelmque chose ! et pas que dalle c’est un fait ! regardons.

nous sommes qui voyons des choses. ces choses ici (rage) sont vives comme bêtes vives sur un pré, sur un champ de blé, etc. noius voulons cerner des formes, silhouettes, mouvements, bruits ou chants. qui va là en ce logis ? squi est là minute ! qui cherche qui ou quoi ? qui nous cherche là et nous regarde (n’en perd pas une) ? qui veut nottre mal ? qui cherche à nous complaire, à nous plaire, à nous charmer, à nous attirer, à nous prendre à poart lui ou elle ? Nous cherchons une sorte de Vérité majeure, grande et Forte v2rité des temps abattus (ou d’abattement). et pour cela une seule chose à faire ensemble (ensemble) = cette chose d’une sorte de perçage fol (du mot folie-douce) de roche dure. nous devons creuser ensemble (d’où le Verbe partagé) la roche des temps octroyés à une vie humaine, et ainsi fait : mater ! mate dur mon garçon ou petite! mate dur petite ou garçonne ! vas-y ! cherche ! cherche à voir des formes ! cherche donc à piger ici les données antrales, chezrche ! Vois donc ce qui est à travers les persiennes ! essaie  donc de comprendre (à mort !) la mort (si tant est) ! Vois ce qui bouge dans la vive cxlarté aveuglante d’une sorte d’ouverture monstre dans la chair d’un corps menstruel ou quoi ? roche numéro 2 ? roche numaéro 3 ? roche numéro 4 ? roche numéro 5 ? roche numéro 6 ? roche numéro 7 ? roche numéro 8 ? roche numéero 9 ? roche numéro 10 ? roche numéro 11 ? roche numéro 12 ? roche numéro 13 ? roche numéro 14 ? roche numéro 15 ? roche numéro 16 ? etc. nous avons à piger ensemblke = à regarder ensemble ici, cette chose d’une sorte d’ouverture à vif de la roche dure des fonds désignés d’une grotte rude. nous vouylons ensemble agir = faire = entrer = nous immiscer et toucher à quelmque chose qui sezrait dedans un peu de cette mort de base matérielle. nous pensons que nous devons a gir ainsi pour nous, pour que nous sachions, que nous soyons ainsi fixéés. nous avons à  voir ce qui est dedans. voir dedans un peu de ce qui est et sans se brûler, ou du coup sans se brûler. nous avons à passer un oeil, un temps, et voir çà, tout près, au plus près = à l’entréeou passé le seuil, ce qui est qui bougerait on dirait ou pas ? ça ne bouge pas ! illusion d’optique ? rayons-dards du soleil brûlant ? impression solieil levant ? nous vgoulons nous approcher de telle ou telle porte... de sortie ou d’entrée ? pour comprendre. pour voir ce qui est qui sezrait en vie ou peut-être en vie. nous cherchons les choses du monde ce que c’est. nous ne lambinons pas ! nous sommes au taf en continu comme des morts la faim ou comme (aussi bien) des ouvriers rageurs munis de pics et autres piolets. nous cherchons à comprendre par où passer = par où on pourrait sinon la ^tête  un oeil (passer). où ? ou : par où ? c’est-àdire sans se brûler , sans y rester, sans passer, sans y passer. comment (en gros) passer sans paqsser = le Verbe ? hum! bon ! réflé choissons ! voyons voir à compfrendre ! Comment en fait passer sans passer. ou commùent passer sans trépasser. comùment passer sans y passer. comment faire pour passer mais sans «vraiment, réellement» passer. la «solution» du Verbe ici ? hum. on essaie de voir «ensemble» (une troupe entière, une co,nfrérie, une armée, l’Agence) comment faire. on cherche ensemble : une solution d’attaque, une stratégie, une sorte de sortie. on veut voir. c’est un fait avéré. on veut voir pour savoir. on est tout entier dans un désir ancré qui est de voir ici les choses du monde = loin = lointain = la mort. voir (ouvrir les yeux) = voir loin là-bas l’endroit. soit le seuil. soit la mort ou disons la porte d’entrée de la mort (ouverte ? fermée ?). et voilà pourquoi nous insistons et cherchons de fait à pousser le verbe (ici même) en ses retranchements de rage, en ces fonds de raison, en ses fondements pariétaux (AUROCHSRUPESTRES). nous ne voulons pas lâcher du lest mais toujours et encore poursuivre sur notre lancée ce chemin de rage (la vie) jusqu’au bout du bout pariétal (une armée de cxhevaux en cavalcade). notre père ici , est là, qui  veille = la Voix. nous voulons comprendre des données de base rageuse, et débloquer vif tel  compteur de chaerge vive : foi, croyances diverses, chants votifs, ouverturews folles d’un ensemble de perles chorales. nous ne voulons pass passer l’arme à gauche ! de perles ou de paroles (chorales). nous ne voulons pas passer l’arme à gauche ! nooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon ! Nous vouylons ici (seuil, Verbe) voir = toucher (d’un oeil) à la vérité deschoses (du fond) d’une Vie brève. qui va là du con ? qui va là coconnasse ? aindsi xde suite : insulte majeure à déité velue(§?). nous voulons savoir = voir = toucher = passer mais sans «vraiment» passer d’où l’usage (infini) de la parole. voyons voir.

nous voulons comprtendre enxsemble cette cghose (dans la vie) qu’est la parole dite, le parler fol, cet engouement, cette piste. on dirait du Verbe oui. on dirait du veau ? on diraiot quoi ? on dirait que c’est du ... Verbe alibi ! Du verbe des chants nuptiaux ! Du verbe accroché à une rampe. un verbe de nigauds qui ensemble pavanent et parlent à tout va indéfiniment, incvommensurablement, interminablement. je cherche à dès lors comprendre ou y comprendre quelque cxhose de vraiment aidant en termes de chose à comprendsre, à cerner, à isoler pour observations vives, soutenues, assidues, sérieuses, vives. nous voulons comprendre ce qui est ici de rage. nouys voulons comprendre ici ce qui est qui est. nhous voul;ons ici comprendre les données du monde verbal, son utilité, sa force, son poids, sa charge, etc. Qui pourra nousq aider à bien comprendre les données rageuses, les choses de poids, le Verbe dans sa plénitude rupestre ? Nous cherchons les bonnes âmes, les frères et les xwoeurs de coeur, les amis du monde, les copains d’abord et autres êtres débonnaires. nous voulons aller ensemble voir, en nous protébgeant mutuellemnent. voir la mort en face tu parles ! éblouissement solaire et comment ! on l’a dit ! depuis longtemps ! et tant d’autres avant nous l’ont dit ! et cependant : un oeil ! juste ! passage vif, raide, fissa ! voir ven ir ? voir quoi ? une boule incandescente ? un soleil de base ? ciel en feu ? chaleurs)-rut au firmanent des deux ? je suis chercheur d’or mais tout de même. une aventure extra-terrestre ? un chant moyenâgeux sortant de terre ? un chant ancestral ? pire (plus lointain) encore que moyenâgeux ? une chorale ? sourdine ? chants fous ? chiens fous ? nous chefrchons à donc comprtendre ce que c’ewst qui semblerait «bouger» en elle (la mort) «à première  vue»»»» (le Verbe). mais quoi ? le verbe il bouge, il remue, mais c’est le verbe. quoi ? le Verbe sezrait «dans la mort» ? le vertbe sezrait là : un pied dedans ? d’où cette impression de mouvement en elle , de bougé ? Je cherche mais ça se pouirrzait ! on pourrait le croire. le verbe des temps incertains bougerait en elle, sezrait là en elle bougeant un pied ou un vers entier etc. ses pieds. ses pieds déposés. nous nous approchons d’une sorte  de... venelle ? ruelle ? un passage étroit, une sorte de fissure de paroi, fissure tracée, fissure ancrée. nous voyons cette cbhose depuis là = une vie humzaine. nous voulons ensembvle nous interposer ou bien nous déposer ou bien nous transbahueter ou nous téléporter jusquy’à ce point d’orgue, cette faille de paroi, ce passage étroit tel que mentionné.et passer . Quyoi ? un doigt ? un dé ? un quoi ? oh peut-etre rien de soi de préférence si on veut rester en vie de ce côté-ci de la roche . ou alors un oeil (perdu à jzamais co)comme un flibustiezr ? nous passons cet oeil de verbe (?) à jamais ? passaghe du verbe en ce sein de rage ? un passage d’oeil de base (Verbe) incommensurable ? Je(nous) cherche (cherchons) à même la pierre de taille. à califourchons sur madame ? vrai ? peut-être que oui; ou peut-être pas (selon les moments de la journée telle que débutée). nous avons à ensembkle nous porter jusqu’aux confins (et plus loin encore ?) de cette sorte d’ultime roche de paroi de grotte (antre). et donc à voir. voir endsemble quoi ? la Chose. celle^-là quui «bouge ses bras». est-ce ça ? bras de rage de nous voir (encore et toujours) vifs et fringants comme des bêtes de bon poids bon oeil le cas échéant. nhous avons un oeil ppour notre gouverne (le Verbe) à passer par une fente ici tracée (de rage) par un homme ou par une fezmme. on dirait cela. on voit que ça bouge dedans = le verbe, notre verbe à nous faisant pont (de bois de rage) entre deux parois, ou comment ? le Verbe est jonction = petit pont 

. le verbe est à l’intersection des choses du monde = de la vie et de la mort. Le Verbe aurait un (petit) pied «de lm’autre côté» et de ce fait sezrait ce pont ou petit pont entre deux entités tracés au cordeau par un dieu lâché, largué, désamarré. nous voulons comprendre ici cet état de fait rageur. on verrait ce Verbe en  ous comme faisant un pont ou petit pont de bois entre deux monts de base rageuse.. voici voilà comme dans la  chanson. on verrait ça depuis notre base ici même langagière. une langue incluse faisant petit pont entre d’un côté l’écluse (de la vie) et dee l’autre tout cet attirail de roche dure (la mort en ses vies de rage folle). que penser ? que cela est vrai ? que le Verbe est là qui a un pied dans chaque botte d’une sorte de jambage fou ou fol ? nous pouvons penser des choses et autres (tout crins) et voilà poiuerquoi  cegtte navigation fantasque (fatale) est pour nous cette chose, d’une sorte de pont, de pont faisant jonction. Des mots dingues doux sont là possibles qui forment le pont, le petit pont de bois à travers la montagne, entre deux bords de mer ou quoi ? parois ? vagues dures redressées comme chiens debout de basse condition ? de bas-âge ? on cherche. on voit. on cerne. on dfessine. on calfeuitre. on veut comprendre un  certazin  nombrte (en soi) de données de rage (ce que c’est que ça : le Verb e déplissé formant tapis dit «des vélléités») et nous voi;là qui gravitons, grimpons, allons et touchons à roche 2, à moins que ce ne soit roche 3, ou peut-être roche 4, ou encore roche 5, ou mieux : roche 6, etc. on voit ça. on tente. IoN tente une approche de nos dix doigts (puisque tel est le cas... quils sont dix et pas un seul de plus... la plupart des fois !). nous voulons aller ezn roche ainsi, et donc co=mp^rendre cette chose comme quoi le Verbe a (comme qui dirait) un pied (plus que ça ? un vers entier ?) dans la tombe ? on cherche de ce côté-là des données de rage. on peut le penser puisqau’on peut penser : bien des cboses folles, etc. Car ici la folie (ou le cdébordement des choses de poidsq, ou le débord des vérités massives, etc) est condition rageuse d’une sorte d’enjambée des mondes. nous voulons cerner cela. cette chose là d’une sorte de débord, de chant (à dire vrai) qui pousse ou pousserait sa chose vi vement en  cette chose autre d’une sorte d’antre, ou de cavité de rage (ici aussi) qui est rage (celle de la mort) de ne pas nous «voir»»» mort et enterréquoiqU e «mort en vie», ou comment exprimer cette cxhose comme quoi la mort désire (en vrai) la vie plus qu’autre chose. mange-moi en vie disons-nous , si tu en es capable, la mort! Essaie donc de me mzanger vivant ! «connasse» ! «connasse» deux fois ! belle grande «connasse» («connasse» trois fois) ! etc. une litanie de mots de poids = vifs = de la vie ou du semblant de vie en vie, etc. on voit là le petit pont verbal e ntre, x’un côté, la vie en vie, et de l’autre, la mort en vie. le mot d’insulte (majeure) est ce mot de rage (grave) qui percute le tympan meurtri dès lors, de dame ou sieur La mort telle que postée wsur la plus haute branche.  nous vcoulons perc er tympan (gueulante) d’icellle ouverture ou comment ? l’oreille fatale ? cacophone ? cachhée ? charge ? trou d’oil ? cri de chat ?Nous avons pour bnous du Verbe à revendre (inculqué) faisant (dans tous ses à-peu-près) fonction de petit pont entre, d’un c^té», la vie, et de l’autre, la mort: un pied de chaque côté. soit le cul entre deux chaises. le verbe est bancal, qui porte à faux comme on le xsait (raison / folie) et sert de la sorte (avant toute chosr) à permettre (pour le coup) une jonction (salutaire un temps = le temps) entre deux mondes cohérents mais non atttenants sans cette aide de poids oh combien. nous avons en charge cette chose forte, ce poids de base massive, cettte bête en nous consacrée, ce chant choral bestial, ce palais. nhous devonjs comprendre ensemble (ici même) la Chose. il s’agit d’un Roi de coeur, Dame des prairies, charge fatale, animal royal de compagnie = ce Verbe (en  n ous) commê une flèche, comme une bête à dévorer cru, etc. une sorte d’enluminure. nous cherchons à creuser au loin (le plus possible) les donn,ées données par la bande verbale du train, d’une vie lancée, débloquée. nous vcoulons a gir = rage. nous voulons aller = toucher. nous voulons toucher = faire ainsi que nous soyons nantis d’un verbe caudal de première urgence (ça le fait). nhous avons à comprendre x choses encore concernant ce vernbe donné à une vie en tant que telle. nous avons ensemble à toucher la Chose = toucher vif = toucgher raide ou comment ? la Chose du temps imparti, la chose des temps (ce présent en don d’offrande vive), etc. ce qui est ici pour nbous devant nous ressemble fort (à s’y m :éprendre) à de la vraie vie déposée fisza le hjour des funéraillesq, mais voilà : il ne s’agit pas de  cela (vie vive passée) mais de ceci : passé d’une vie vif, ou passé vif d’une vie en vie. voilà toute la chose ici. dépot du diable tu ;l’as dit. et pas dépot en vra i de sa propre vie vécue abandionnée. nous cherchons à nous approcher de la porte de sortie;  cette porte est comme un trou de roche ou anfractuosité des fins de partie.  noius avons ensemble à devoir toucher icelle porte «à tout jamais» si tant est et, ce faisant, assure r cette chose d’une sorte de jonction fatale (de «fatum») qui pour nous puisse, de fait, nous donner de quoi comprendre enfin ce qui est qui est. nhotre but ici, est de développer un dire fatal, qui soit du xdire dur ou douxs mais vrai comme une Vérité de base. nous nous approchons de telle ou telle anfratuosité (elles sont légion car chacun-chacune de bnous est censé -censée avoir la sienne) et nous glissons dès lors en elle ... quoi ? le  verbe !c  elui-là qui en impose grave xdu fait qu’il impacte fort, car ce dire est du dire d’insulte massive, le plus «gros» des mots de la rage, un mot dur ! fou ! con ! c»rétin voire ! etc. nous bnous approcjhons de rocxhe numéro untel (ce peut être un nombre conséquent, nanti de plusiuers chiffres, accolés, à kla queue leu leu , comme une sorte de donnée de rage temporelle, égrénée et distancée ). nous chercxhons jonction et par conséquent passage. passage du temps dans la plaie. passage d’un temps (verbe cxonjugué) à l’intériuier d’icelle anfractouosité (dite «de la mort à l’ oeuvre»).. voil;à les données de base du  jhour telles qu’elles nbous sqont dsdonnées par la bande langagière de ce même jour de rage à être, ici même, l’être du convoi verbal en soi et autre bêtes surnuméfraires., je vcoudrais comprtendre la jonction (l’onction ?) verbale ce qu’elle est. hje voudrais cette chose la comprendre au mieux, au plus du plus possible. nous cvoulons toucher ka roche des temps menacés. ,nous vcou;lons toucher à cette roche dure du temps déployés = Verbe lancinant, piège vivant, pont de genre. nous nous immisçons. où allons-nous au juste ? qui saura nous dire ce qui est ici en ce sein royal ? nous vcoulons cerner les don,nées rupestres dessinées. un cheval de treait, un aurochs déboussolé, un ours échevelé, une bande cde buffles nacrés, une sorte d’antilope à poil dur, une sorte de rhinocéros à corne pointée. je cherche. je suis «je» de rage cherchant passage, via ce verbe «gros» de rage et de charge. je vais sur la roche du temp)s déplisszé, chargeant fort (devant) afin (de fait) d’éloigner (de rage) une sorte d’entité de base, déposée comme une offreande ou pas mais faisant là (devant soi) obstacle ou quelque chose d’approchant. gardien ou gardienne ou gardian de bêtesq en enclos, ou comment ? pr$ince et autres rois des parois dures ? princesse au drapé nacré ? reine d’un soir pour une embardée ? les mots font le pont

; les mots de la base ici de la roche des temps d’une vie allouée à une sorte d'entité qui serait pour le coup un animal rageur remonté, ces mots sont là qui nbous permettent une embardée (c’set dit) au plus profond (on dirait) des bases de hjoie. joie des ombres sur une prairie. chants totaucxx. chants des parois de base et autres roche de destinée. quand je chante tout va, quand je chante ça va. quand je chante ça va, quand je chante tout va. et voi;à pourquoi hje xcherche cde la sorte (par le cxhant de rage) à me placer ainsi entre deux mers debout, entre deux parois d’une sorte  de co;lère monstre etc. mots durs entre deux feux. mots de rage entre deux montagnes (vagues d’(ea u brune, etc). nous nous affichons ainsi sur roche dure, gravant bêtes rudes (aurochs et genre bison) , afin d’en imposer (grave) à déité ! insultes massives ! poids du roi et de son rohyaunme ! impacts divers !»beautés» faciles ou pas mais qui en jettent grave = poudre aux yeux de toutes les manières, chants de vue, choix de rage drue, à perte de vue. je compreznds la cxhose des temps déplissés comùe celle-làç qui va grave dans le xsens d’une sorte de sang ou d’effluves, de lymphe ou d’effluves, etc, qui en nous serait pportant Verbe haut (firmament) à tout jamais. je cherche à c erner de rage une entité dénommée «La Mort». pourquoi ce mopt de «mort» ? parce que . parce que la mort «mord» c’est un fait et avéré. la mort mordv dans le vif de la vie en vie. la mort est machoîre de bete carnassiere. on sent les dents. ç a fait mal . c’est une chiose qu’on ressent, qu’on ressent beauxcoup ou loin ou long. on sent  ceette chose comme quoi la mort mord à pleines dents la Chose en bnous dont le nom (ou petit nom ) ici est : queue de voix, $ou cauda verbale. on voit ça d’ici : une queue verbale pour une immixtion da,ns une échancrure dite «trou de balle» d’une sorte de chose royale fatale. Je suis là qyui cherche à comprendxre wqui quoi où quand comment pourquoi jusqu’où et depuis quand ce mot de «la mort», ou ces mots de «la mort» ou même la mort, la mort toute nue, la mort szans le mot de «mort». nous cghercgons à bien cerner la cghose rude, drue, dure, massive, brute, coriace, queue -cauda de rage, hurlements à travers les mondes, pont de bois petit mais vif et  vaillant comme une armée d’ombres. nous voulons ensemble aller en roche dure, à la rtencontre de telle (ou telle) entité  de ba se vive, mort d’antienne, moert des mélopées, Mort des beautés nacrées, chant des ombres. on croit rêver mais on ne rêve pas : voici la vérité vcraie, nue, royale (on sait) qui sepavane., on veut la toucher (cauda) par xdu verbe en soi inséré comme un couperezt. alloons sur bosse toucher cette chgose. sur monticule. soyons êtrtes de la foi et du sommet, de larage et du cervelet débordé. croisons le fer cde lance et touchons à vif la chose menaçante. une sorte d’entité buccale, un trou de passage, une grande gueule. point d’azur. chaud devant. cri de guerrrre et cxde haine. hurlement à travezrs les mots. chance?, cris d’oiseaux touchés par la bande. on s’avance. petit pont de bois. les mots en nous sont là, qui forment  ce pont, entre d’un côté une vie égrénée comme un chapelezt, et de l’autre une mort enclavée dans une vie nôtre à tout jamais. peztit pont de charge, chant rocky, voix d’abord majestueueuse, cri de guerre, houurra basique saturé. je cherche à cerner cette chose ici x’une sorte de base native votive. un hourra cfranc du collier. cet hourra de la rage perlée. ce cxhar d’asssaut ! cette sorte d’entrée en force et autres béliers. je pousse . je pousse du col. je charge. hje charge la breb is de rage. entrées de perçabge. coprps entier. poussades. je veux entrer coûte que coûte. je cherche à passer sans passer d’où l’emploi (mome ntané ?) du verbe de charge, bête-mot de la place, croisillons, chaud devant ! Je charge ! chargeons ! feu de toutes sortes de bois de chauffe ! nbous entrons. la porte s’ouvre avant la poussée comme dans kles dessins animés , et nous voilà lancés comme desz  benêts à ne pas pouvoir nous arrêter ni lmême instamment bnous freiner (ou instantanément). alors donc bnous voici perforant la Chose, et la mort en son logis touchée ou tout comme par du verbe chaud en folie. mots à mot. car le verbe s’aligne au feu de la roche, sur  ce feu de roche, etc. ;le Verbe «monte haut» et brûle ses cartouches. le Verbe sort des clous de la raison pure. il n,e se laisse pas contraindre et enfermer deci delà comme une bête en cage. il va loin dsans la démesure et ce faisant permet la jonction vie-mort, soit le temps, soit le Temps majuscule, soit ce temps cd’une vie (longueur) à vivre séant. je suis cet homme ou cette femme ou cet enfant (hommeet femme ?) ou ce sentiment (incarné) de rage, ou cet êtyre a nimal, ou ce sens, ce sens de direction, ce sens de voyage, ou comment ? je suis un homme, une femme, une armée de teerre. je cherche à aller loin sur cette chjose d’une sorte de planète entyère. Je suis qui ? hommùe des battues ? felmme des virées ? hommùe du sens de la vie ? femmùe détachée ? homme-femme aux quatre vents ? je m’approche d’une sorte de pzaroi du mon de vivant, et cette sorte de paroi (devant) est comme à transpercer par du Verbe, et c’est cezla exactement que nous faisons. nous devons ensembvle comprtendre cette chose d’une sorte d’entrée en matière via le verbe, car le verbe navigue. le verbe est à califourcghon . Le verbe fait le grand écaert et sature .le Verbe est fol qui foule la roche. le verbe est du compact, du massif de base, bvbête des labours, poids xd’ombre charnu, col de rage, croco, rhino, harpo, groucho coriace et pesant lourd dans cette balance d’une vie entre deux eaux (?). nous nous acharnons sur roche à tracer à main levée des betes de rage, forte, coriace (oui) et faisant i:pression à qyui de droit. nous dessinons de chic, sans crainte, main levée, des bêtes, des chose, cdes pensées, des noms. nous voulons tracer le nom d’une bête et pour ce faire nous nous apppliquons à faite ressemblant le pluspossible, et cela (donc-) abfin que chacun et chacune puiise du coup comprendre et c erner au mieux la bête ici représentée. aurochs de charge. cheval de trait. bouquetin et bouquetine. bise au bison. buffle qui buffe etc. les mots-jeux sont gravés de rage sur roche (dure) des temps dépliossés par la bande . un mot cha ssee l’autre. le temps s’écoule dans le sang. le verbe cru (cul) chercxhe à joindre ici et là deux bouts de base. je suis homme des temps dép^loyés. je me charge de pisser contre un muret, afin d-’effrayer l’entité nacrée ou quiconque qui viendraikt s’aventurer à proximité et cela pourquioi ? pour durer ! pour tenir ! pour rewster-demeurer massif en ces contrées du bois-joli sur terre-mère. car voilà : nous sommes et voulons reswter. nous sommes armés pour pouvoir rester. disons plutôt que nous sommes armés pour pouvoir éventuellement rester un temps sur roche, loin des crocs et autres dentiers de la mort rageuse, de Mort la Rageuse des Crocs. bnous voulons aller sur roche toucher à cette chose d(‘une sorte d’entit»é cde base, pour la retenir, la tenir en bride, la bloquer, l’empêcher, la vaincre, etc. lutte armée

lutte des classes. la lutte des classes.

 nous  chercho,ns ainsi à faire ainsi que   cette chose d’une sorte d’entité rageuse finale soit tenue   en laisse et nous laissât de fait paître à notre guise, gentiment, cul nu si l’envie nous en prend, et sans crainte de rien, qui serait à nous chyercher quereelle. nous ne cvoulons pas passer l’arme à gauche. nousw ne voulons pas trépasser, ni même seulement «passer» un oeil ou comment ? et y perdre le nord, le latin, la vie, etc. nous cherchons ensemble (une confrérie, une bande, une tribu, un peuple, etc) soit d’un e xseule voix, d’un seul tenant, main dans la main, à repousser (via queue verbale) l’échéance, queue Verbale en main ou du moins en bouche ou comment car voilà quoi ! Queue-Dire est là qui piquee-perce et troue l’hymen de la Roche Dure. queue de V erbe est là (= bouche-trou ?) qui perce-pique la roche du temps menaçant (l(antépénultième ? le pénultième ? leqiuel ?). voilà ce qui est. queue de verbe nacré. chant de ;a roche des temps floués. nous voulons tracer, sur roche du temps, ce chemin de carême, cette ligne dorée,; ce chant velouté, ce chant-charme déplacé;. à quand la chance de se voir choyé ? on attend avec impatience ! On veut être touché pour ce que l’on est. on veut être touché pour de bon et pour de bonnes raisons et pas autrement. on s’avance gentiment sur le xsentier et on regarde ce qu’il en est exactement, du chemin à faire encore, fissa, sur nos devants. on est lancés. on ne va pas s’arrêteer comme ça. on veut continuer fissa et aller devant encore et toujours à la rechercbe d’une Vérité xde roche gravée. on est motivés. On veut y aller et sans nous retourner. fissa commùe à l’accoutumée. ça va dépoter ! ça charge ! c’est en charge ! ça file ! ça court mon amour etc, c’est dit c’est fait. ça pointe (du doigt ?) les choses menues. c’est tout doux, ça urge, ça brille, ça fouette, ça cocotte, ça y va, ça fonce. ça grave à tout va comme (ezn lévitation) l’homme des groottes. je suis un êttre de la vie wsur terre. je m’adreswse à mes congénères. mon doigt est pointé. je montre ce qui eswt. je dessine à main levée. je croise les doigts pour que la vie de grâce me soit conservée, et ne me quitte pas de sitôt. je wsuis un homme déplisszé dans un temps verbal donné et c’est ainsi que je vais, traçant gageure, sur chemin de vie et voie d’accçèes. je suis (sserais) une ombre au tableau : charme coutumuier, charge animalière, soin de base, toucherie. je suis un être des parois de roche et rocher. mon coeur bat à l’unisson des tapes sur roche et rocher. je chant à haute voix le chant de ma charge. j’impose le la. je suis homme fol des caves et autres cavités de roche. ombre sur un tableau. chants des colères monstres afin d’impacter le’oiseau. (le zozio). je suis amené à toucher une roche des fonds de la grotte . je suis amené à toucher la roche d’un fond de grotte cachée. je suyis un homme des grottes cachées et autresb excavations de la rage à naître. je cherche! je charge ! je trace ! je crie ! je suinte ici ou là par les pores (toutes) de ma peau. je porte le nom dxe mes frères en arme. je suis le conscrit de la roche dure et je me porte aux postes-clés. je cherche à cerner ce qui est icvi qui semblerait  me regarder en face, un (deux)?) oeil (yeux ?) ? Peut-être. je ne sais. nje suis un petit homme ignare et mal formé. mon coeur bat mais la tête est bancale. mon esprit fuit. mon etre est mal armé de pied en cap  . je bat la semelle. je suis un rien de rage dure, chercheur attitré mais peu glorieux. mon nom est mort-né comme un nouveau-n»é malchanceux. je suis timide. je suis gringalet. je suis pauvre. je suis homme pauvre et l’homme de peu de la roche. je m’avance à pas mesurés, doucement, à même la roche. je voudrais comprendre ce que c’est que cette cxhose ici d’une sorte de «royau:me ouvert» : ouvert à quoi et à qui ? on cherche. on voudrait être mieux informés et plus encore au jus de ce qui est ici («royaume des fées») cet antre aux vérités dites «des entrées de rage». on est là pour ça : comprendre, toucher, creuser, aller loin dans les connaissances.on voudrait xse rapprocher (des fois) de cette roche terminale xdécorée. on voudraoit toucher la roche gravée et comprtendre au mieux cela qui se passe : quoi est)-ce ici qui est ? qu’est-ce ici qui va ? quoi ici est qui nous voit (ou pas ?) ? On ne sait pas. on est quyi cherchons. on veut . on cherche parce que l’on veut et ce qu’on cherche on veut le cerner au mieux devant soi, comme une entiteé (ou sorte de) à part entière. on est pas sorti de l’auberge on le sa&it mais on s’en ficxhe un peu car nous ce qu’on veut c’est ça, aller loin dans les tourmennts peut)-etre mais pour mieux co:mprendre les données natives cruciales, les ponts de rage, le Verbe cadré, la base natale, le parcours. ce qui est pôur nous est cette chose ici. ce qui pour nous est, ici, d’importance, est cette chose comme quoi nous voulons être ensemble déplacés, en bloc pour ainsi dire, ou d’un seul bloc ou tenant, et ce adfin de prendre ce qui est devant, cette chose rude(?) ou pas mais compacte, la prendre ensemble à pleines mains, brusques, à pleines mains brusques, puissantesz, ensemble, et ploc, on décolle tout (le tout) et on le broie , o,nn le flanque minable, on le broie en mille morceaux... mais ces morceaux ? que faire d’eux si tel est le cas ? car la mort ne se broie pas ! la mort ne se découpe pas , ni en tranche ni en quartier ! La mort est indestriuctible et indivisible ! elle est ce bloc de rage frontale, mal veznu , ou comment ? malmis ou comment ? mal en p ôint ou cvomment ? mal léché plutôt !!!!!!!!!! voilà ce qui est ! La mort a les crocs. la mort a bien les boules. la mort nous en veut. la mort en a gros après nous ! La mort veut notre peau car elle nous déteste, nous hait ou disons plutot que la mort se sent floué, se sent mal considérée, mal co:mprise. la mùort aurait aimé que nous fussions donné à elle dès notre venue au monde : illico presto, et pazs au bout de tant d’années (pa r exemple). la mort eut a imé que nous fudsssions offertt à elle (offrande-paquet) dès notrre arrivée en  c e bas-monde maisbon, non ! pas ainsi que cela fut ! et cela pourqoi ? parce que voilà: nous sommes tombés sur le nez. nous sommes nés, et tombés dde l’antre aussi sec. ou sinon quoi ? nous sqommes nés (un jhour) à la vie, et pas plus tot nés que nous sommes tombés des mains de cette chose ici qui jusque là nous tenait bon. cette cxhose c’était ça qui eswt ceci ici qiu est cette cxhjose, comme quoi voi;là : nous sommes. nous sommes nés. nhous sommes nés en vie et non en mort !! hé hé !! et voi;là pourqsuoi la mort nous en veut ! ou disons que la mort est comme flouée, ou se sent comme, car elle pensait (elle) profiter d’emblée de notre flux de rage. aussi sec. or que dalle ! car : nous avons chu à la naissance . glisssemen, glissade. c’était mouillé. on a glissé. on a chu. on est tombé qui sur le cul qui sur le pif qui sur le bec qui sur le museauqui sur le derière. nous nous sommes retrouvés cul nus sur le cul et ç fait mal . on est devenus des qui ont eu mal c’est sûr. on est tombé comme des qui ont pas su ne pas tomber. et voi:à pourquoi la mort nous cherche depuis lors. pour nous attrapper. pour nous prendree en son sein de rage à elle. nous ne voulons pas céder à ses appels du pied mais bon, on sait que la chose arrivera un de cdes quatre, à un moment  ou à un autre, c’est un fait. on s’attend à ça. on y coupera pas. on se doute bien que ça viendra un jour ou l’autre et qu’on devra (forcément) se soumettre à cette loi. on ne pourra pas ne pas succomber. on devra y passer. on sera iinvités ou pas mais voilà ce qui sera. le verbe-cauda fait jonction entre «toi et moi», soit entre d’un côté on va dire la vie qui va , et de» l’autre la mort-trou. je veux être ici celui-là qui pourrait évent§uellement cerner une chose ou cdeux concernant ces choses vives de la vie en train (de la vie en train = en continu) d’être cette chose, qui , sans pour autant  a ller de soi, va son train de roche. je suis homme ici d’un train passé-présent déposé fissa à même la roche des temps déployés. je cours je vole à ma perte je le sais : comme tout le monde. je ne suis rien de plus ou de moins que quiconque ou sinon quoi ? autre ? non ! même ! idem au centime près  ! on charge brutal : crac! o,n entre ! On veut perdurer en cette roche des temps plissés ou déplissés (temps trame)/.On veut aller loin en cette roche d’une sorte de grotte ici des temps surnuméraires (les temps) et surnuméraire (la grotte). on porte un nom : celui de ses parents. on veut comprendre ce que c’est que cette chose d’une sorte de paroi (du monde) recélant des vérités premières, à titre de noms de couvées, de nichées, etc. on est là qui essayons de pour le coup nous introduire en pareille niché ou couvée. comment ? par la force centrifuge (centripète ?) d’une vrille en nous perforant la roche ! pic verbal acéré ! v rille -vrillette ! pic de rage au débotté et nous voici entrant comme de concert (une armée en campagne : orchestre de base). nous entrons ensemble fissa. faisant bloc. touchant roche devant soi. porte aux aléeas. nous sommes en roche enfin logés, contenus et reçus. nous voulons comprendre, nous voulons savoir. nous voulons en savoir long Spigolon. voilà. on s’avan ce. on est plusieurs. on tremble un peu mais on s’avance vif. on ne lambine pas le vmoins du monde. on est même un peu comme préssé d’en savoir un peu, un peu plus sur la question. on est aerrivés. on regarde devant soi. une porte ? une boucxhe ? une plzaie ? une plaie ouverte ? une anfractuoisté à même la roche ? une ouverture fatale ? un coin ? un con ? un tyrou de balle ? un trou borgne ? oreille ? coque ? antre ? nous cherchons ensemble le mot qsui convient mais il semblerait que nul ne convienne en vérité. nous passons au crible, nous passons 

Nous passons au crible. nous cherchons cde près. nous nous regardons. nous nous congratulons. nous parlons à haute voix. nous cherchons le mot idoine. njous voulons comprendre ce qui est, et pazr cvonséqUent, nous vou:lons voir = voir de nos deux yeux = voir à fond = voir en grand = voir vraiment. et par conséquent, p^longer un oeil, un oeil ou deux mais guère davantage. on veut voir la chose qui bouge ou semblerait. la vie dans la mort. la vie qui bouge dans la mort. car : la mort est un cercle de la vie. la mort n’est rien de plus que cette chose = un cercle, une sorte d’auréaole. on dirait cela. et le verbe le pont. la mort est cercle, et le verbe est pont. la mort est dans la vie, un cercle. il y a ainsi de la vie infinie et en elle un c ercle. et le verbe est le pont reliant la vie à la vie à travers le cercle. le verbe ewst caudal qui relie la vie à la vie à travers la mort (son cercle).

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9/06/2022

nous sommes deux voire plus, à tester les mots sur la page, à nous confronter, à nous isoler pour nous parler et échanger des pensées de rage. nous voulons ensemble trouver ce qui existe et ce qui est , ici même (terre), qui soit pour nous ce qui immanquablaement ou indubitablement pourra être à même de nous aiguiller dans un sens ou dans un autrte maiis qui puisse nous guider ensemble sur la voie (tracée  ?) de la Vérité. car pour nous, le but ici est inchangé : comprendre, toucher, percer, percer les mystères, toucher sa dulcinée en tant que telle et en tant qur réserve (ou réservoir) de donnhées de base, chercher issue. notre ambition à tous (autant que nous sommes) erst de co:mprendre dans la vie les choses de la moprt, et cexla évidemment est une gageure ! Nous ne sommes pzas sorti (certes !) de l’auberge encore à ce jour on le sait. nous aimerions fort mais point n’est le cas. nous voulons cerner les données basiques dans un sens qui aille vers la certitude, mais comment faire cela ensembvle (ou pzas) cela n’est pas dit en toutezsx lettres. Nous cherchons à beaucoup  à nous immiscer au sein d’une cxavité qui contiendrait un grand nombre de vérités concernant la vie, et, pour faire ainsi que cela soit, nous nouis rapprochons, nous tentons de faire coprs, nous nous peletonnons chaudement et forons la roche ensemble d’un seul élan, ou d  ‘un seul pas ici continu, ou bien en nous donnant la lmain. nous forons avec ensemble un pic, dit «pic de rage» , et qui est de fait ce pic dont nous nous servons coutumièrement pour percer un certain nombre de matières dures, comme : la vie dans ses retran,chements, le temps à venir, le chant de la roche, l’implosion massive des donnhées brutes devant soi, le vif du temps imparti à une vie d’ho:mme. nous vou:lons tester pour nous tout ce qui devant nous cherche à nous «toucher». nous sommes êtres  «touchables» on le sait. nous sommes êtres de foi, de vie, de sens, de sentiments aguerris, de croyances et de pouvoir. nous voguons ainsi en ce monde (de la vie et de la mort) comme des vaisseaux sur un océan dit «océan des données de base». nous cherchons ensemble à comprendre

ce qui est ici qui semble nbous toucher, se rapprocher de notre corps offert à unevue. nous voulons comprendre ce qui est ici (monde réel) à kla lumière des pensées natives, des donhjées de rage de base, et des écueils (en vérité) contournés par, en nous, une gouverne squi est (serait) vive de chez vive perpétuellement, ou sinon perpétuellement sioouvent. nous avons cette chose en nous de vouloir saisir (à plusieurs) des données concernant (de fait) la vérité des choses du monde. nous voulons ensemble aller loin en cette vérité. nouys ne sommes pas venus sur terre pour nous isoler dans un recoin mais tout au contrzaire pour nous rassembler, nous aider, njous soutenir, nous épauler, échanfger nos vues, nos armes, nos pensées, nos vies. nous voulons comprendre à pl;usieurs (tribu) un champ entier de connaissances. notre but est de toucher la Chiose, cette Chose devant soi, qui est Chose de poids et qzui nous regarcde vivement continuellement. nous avons à coimprendre ensemble (tous et toutes) ce qui est ici, ce qui se trame, ce qui se fomente, ce qui se dessine devant nous au fur et à mesure que nous nous avançons sur ce chemin des dires pl;aidés. nous voulons cerner ces dires = les graver à l’encre vive, les tracer au chaud, les donner de rage sur une dsorte de devant de soi quyi de fait serait le Temps dans toutes ses cvo:mposantes. nous voulons ensemble akller profond en cette roche des temps traversées, et pour cela nous nous épauylons par la pensée et par un dire échangé élaboré en petiytt co:mité. nous sommes deux (voire plus) à composer cette chose d’une sorte de verbiage fortement ancré en nos gouvernes, verbiage tout entier tourné vers (il semblerait) la vérité des choses sur terre. nouis avons à comprendre ensemble ce qui est ici qui semble ou semblerait vouloir se dessiner devant nos yeux, et voilà pourquoi nous en sommes arrivés, à ce stade de noos réflexions, à chercher à percer , à piquer la roche des temps. le temps erst pour le coup ce monument de base, déposé comme des présents, offerts (pzar la bande) en offrande ici à un dieu malin, ou bien au Mal divin. nous avons à percer ici même (temps de roche) la chose venant vers nous comme en une sorte de colère monstre. nous szommes amenés (é et é-e) à toucher vif les données frontales des temps alloués à des vies de rage, à des vies de souffrance diverses. hommes nous so:mmes, femmes tout autant, enfants de la balle, chercheurs et chercheuses de données de base, de données vives , continues, colorées, charmeuses, précises, enfouies. Nous avons à ensemble comprendre le temps en toutes ses composantes fines, et pour cela noius nous devons ensemble de nous approcherde cette roche debvant nous , qui semblrerait vou;loir nous dire (peut-être) des choses. cherchons ! brutalisons icelle roche du Temps ! cognons Roche et consorts ! allons-y gaiement de notre pic de verbe assoupi, ou pas mais acéré ! Cognons vif cette roche crue ! alloons vers elle à l’abordage ! vifs de chez Le Vif des données ici, de la rage et de la volonté ancrée. nous cherchons à comprendre ensemble un nombre suffi!sant de choses relzatives à ici la vérité des temps alloués. noàtre but est inscrit sur roche en toutesxlettres enluminées pour ainsi dire : chiens de voix, chiens de rage. nous voulons toucher la roche du temps devant nous via ce Verbe coutumier, élaboré au fil du temps (à plusieurs) et servant de fil de rage, de fil rouge, de fil des données rupestres, de fil venant (de soi) d’un point de rage, de tourments, de souffrances diverses et diversement vécues. nous sommes p^lkusierrs à chercher ensemble ainsi, à bien comprendre les données les plus profondes et à nous projeter le plus loin possible dans le temps de la vérité telle qu’elle nous apparait en filigrane devant nous sur une roche déployée, sur une sorte de roche dure, ciintrée, montrée, déroulée. nous sommes qyui avons ainsi pour nous la possibilité de bien comprendre ce qui est dans ce qui se trame sous nos yeux.noius sommes amenés à pour le coup nous rapprocher d’un certain nombre de vér’ités qui sont vérités du creux du monde»»»». nous avons à devoir toucher icellesw. touchons ! allons ensemble nous projeter, nous élancer, nous envoyer pour ainsi dire (etc) vers icelle roche. nous devons ensemble (Voix) percer icelle (roche) des temps de vie, et cela afin de nous nous projeter (finement et continument) en pareille cage (cave ? antre ? ) quyi serait l’endroit dit «des vérités de bonne fame et autres vérités de bon aloi». nous cherchons à nous y -retrouver, au plus possible que l’onn pourrait, et cela de front, ensemble, en faisant bloc, en poussant de toute notre rage les données qui sont les nôtres (voix d’abord) vers la roche dure des temps devant soi. nous avons à dire ce qui nous importe, et aussi : ce qui est en nous qui pèse, comme un poids de rage éperdue. nous avons à faire cette chose ici (roche) d’»une sorte de percée de rage (foi) qui puiise nous offrir de quoi comprendre loin, ce qui est dans ce qui sepasse = ce qui est de fait dans le déroulé «monumental» du Temps imparti à la Vie dans toutes ses co:mposantes (animales et autres). nous voulons comprendre au plus possible ce qui est ici, devant nous, en tant que tel = une vie de rage éperdue mais aussi : une vie de voix diverses, de voix chuchotées, de voix hurlées, de voix susssurées ou de voix d’incantations diverses. nous sommes qui cherchons ensemble les données qui sont celles d’une  v érité des bases communes = un langage ! une pensée ! une voix donnée ! un chant de tribu ! Qui pour nous saura ? car nous ne sommes pas encore assez avancés au xsein de nos recherches , pour comptrendre ce qui est ici qui serait pour nous la Répobnse enfin notée (sur roche) à notre question (existentielle) la plus redondante, à dsavoir la question du pourquoi le monde devant nous, et pas le monde déplié, défait, déroulé, déplissé en nous ? nous voulons (ensemble) toucher à cette vérité desz choses déplissées en  n ous. et pourquoi cette chose, ici, ne va pas là ! pôurquoi en nous ce sens du dépliement (de fait) dans le temps et par ailleurs cette sorte d’impossiblilité à effectuer pareil dépliemeznt ou déplissement devant nous tout à trac : pourquoi ? nous cherchons ! nous sommes plusieurs à) tenter cette chose d’une sorte cde compréhensiuon, vive, forte, des données de Rage rupestre. nous avons en nous une sorte de tissu (tissage) ou de linge (chandail ?) ou de vivre, ou de fil etc, qui est pour nous une sorte de poids de base (calfeutré) qui a pour lui le sens dxe la roche, de la pierre dure du temps. nous voulons comprtendre cette chose = ce tourment ancré en nous (tissage assidu) et cette autre chose d’une voix communautaire. allons donc creuser dans le xsens d’une sorte d’avancée menue, fine comme touut, qui est cette chose devantr soi du temps à vivre. nous avons à toucher icelle (vie de bazse) par la bande = le langage pour le coup de la communaiuté (vive) à laquelle nous appartenons. nous devons nous employer à toucher à cette roche (dure) des temps, via ce Verbe donné, ces données de base langagière (ailleurs rupestres) qui sont celles qui en nous perdurent contuinuyment comme un sang flottant, comme une  donnée de la rage vive, comme une humeur des temps présents, des temps déplissés. nous avons à ensemble ici aller et amener sur un devant de soi des données de rage : celles contenues jusqui’alors en notre sein , en ce sein des seins humains, en cette chose d’une sorte d’enclave interne à une vie de rage humaine. nous sommes ensemble qui cherchons à aller loin, dans la profondeur des paroles devant nous proférées par une bouche ouverte et prête à nous gober comme des mouches. nous so:mmes à la merci d’une bouche monstre. nous sommes comme à mla merci d’une bouche monstre, finement tracée à mùême la roche. nous avons ici à instamment cerner les choses vives, les données rageuses, les plis, les replis, les dép^liessiements, les adverbes, les noms, les phonèmes. chacun a sa part. nous sommes pliusieurs et à plusieures nous cherchons une issue à une aventure; notre but est de cer ner profond ce qui est ici qui semble se tramer sous nos yeux ébahis. qui suis-)je en ce règne ? qui va là devant moi pour un temps treacé ? qui me cherche noises ? qui a ou aurait envie de creuser profons ces questions concernant de fait le temps déployé et la vie devant xsoi ? je suis un homme des cavernes. mon nom nhe vous dira rien. je ne suis pas quelqu’un de très connu sur terre, en dehors de quelques êtres de mon entourage. connu = touché. je ne suis pas un être des temps plissés mais un êttre des temps déployés ou du moins qui cher che à l;’être . je suis «je», homme-femme, dur de chez dure, etc, qui cherche à percer par le Verbe lma paroi du Temps, et voil:à pourquoi «mes tourments» , ces tourments de la rage, et des envolées massives, des disparitions, des entrées dans la matière. je suis «je «, être de peu (de»ux lettrees) qui va devant lui à la recherche (vive) dee données rupestres ; qui est là pour soi devant soi ? qui nous attend de piedferme ? qui cherche à nbous gober ? qui se tient debout face à nous ? qui a donc ouvert sa porte ? qui a (aurait) donc ici (devant = le temps) ouvert uune porte ? une porte = une bouche = une gueule = un antre = une sorte de trou . nous devonjs ensembkle cerner vivgement les données de rage telle que ceklkes-ci nous apparaissent au fur et à mesure de nos avancées dans la matière. nous so:mmes priis de fait en elle (matière du temps) comme des bêtesz, comme des bêtes quyi pour elles sont naivement venues chercher pitance alors même que ici le danger fzaisait rage de se voir piégés; nous sommes qui abvons à dire des choses devant soi. nous avons à dire ici (rage) un grand nombrte de choses vives, et ces choses sont des sortes de données (soit de dons) qui sont choses vives comme ici une voix venant ou sourdant de telles ou telles catacombes qui serait en soi. je suuis homme des tourments, dees sentiments, des mots rageurs, des effluves, et je vais devant moi à loa rencontre d’une Voix de Rage, d’une ouverture. mon nom est le nom donné à ceztte ouverture. mon nom est le nom donné à cette échancrure de roche. nous cherchonjs à nous immiscer brusquement en cette roche des temps offertts offerts par lma bande, et pour faire cette chose nous devons fissa percer (d’un coup d’un seul) la roche rude, en colère des temps trahis. qui pour nous comprendre ? qui pour savoir ? qui pour nous aider à entrer en cette ca vité du temps ? nous sommes ensemble placés de telle sorte dans la vie que nous avons à pour le coup tenter l’aventure d’une sorte de percée (vive) de la roche du temps déployé. nous devons percer ensemble cette roche dure, ce roc des temps fous, cette sorte de paroi du mondedevant soi. qui pour nous seconder ? qui pour nbous aider dans pareillme tache ? qui est là pour nous, qui saurait nous donner du vif, du précis, du cxhant, de l’élan votif ? nous voulons aller ensemble (via notre lmangage) dans la profondeur des données vives d’une Vie sur terre. nous voulons aller ensemble en cettte roche des temps impzartis à la recherche d’une v2rité des données du temps. nous ne vcou:lons pas défaillir ni même faiblir, mais tout au contrzaire aller loin en cette roche du temps imparti à la Vie; qui pour nous donner le nom des choses .? qui est là pour nous, pour nous seconder en nos recherches ? je suis cet homme chercheur dans le sang. je suis homme des temps plissés cherchant déplissement ou dépliement ou déploiement, etc. mon nom est le nom de la chose rude devant moi = le nom du mort. je suis cet homme des temps fous (adffolés) par la bande.  ou plutot : je suis cet homme fou des temps déplissé par la bande. Ou encore : je suis ou serais cet homme des temps déplissés qui irait (fou) se loger en certte roche dure du temps imparti à une vie humaine. quii siius-je ? uine sorte de préciosité ! qui suis-je ? un,e sorte de continuyité rupestree ! ou qui d’autre ? je porte le nom comme une chyarge = poids d’abord = chant du rut = chaud devant notre limonade ! NBous avons à cerner ensemble un grand nomùb re de données de base, données vives à poser sur roche en offrande = un langage surnuméraire, fou des fols, chargés comme une mule terrestre , déplissé et déployé sur son séans. je (= me) se (= te) dis( = dire) cette chose, comme quoi mon, nom est un nom d’emprunt (posé sur roche) qui ne dira rien d’autre de plus que cette chose de la mort à l’oeuvre (en nous ? hors de nous ?). nous devons comprtendre cela, comme quoi la mort n’est pas hors de nous, mais en nousq. hors de nous rien en vérité ne meurt. la mort est en nous comme le sang est dans nos veines. tout ce qui meurt autour de nous cvontient la mort en soi. la mort n’est pas un élément abstrait du temps mais une donnée vive, continue, allouée à une vie humaine (ou non humaine, peu importe). car la vie est vie de rage folle paretout. nous debvons cerner vivement les donnjées rageuses du temps déplisszé. la vie est une gageure de première i,nstance et voilà pourquoi ,notre temps à nous est le temps des tourments, des ancrages vifs dans loa matière de la vie des rudoiements et des bousculades. je suis homme et femme du Temps pris comme le sang. je cherche oà passer, tête devant, en roche rude. Je cherche à percer la chose = le temps = la roche = l’enfance devant soi d’une sorte d’enfilade (langage perlée) qui est cette sorte de cavalcade (chevauchements) d’ e betes de poids devant soi. je suis homme du temps brut. a califourchon sur madame. ou bien : je suis madame, dame de coeur, chaud devant, huitre, qui s’iouvre à une vie de rage perlée (perlière ?). je regarde devant moi les données qui apparaissent, et ces données sont données des temps alloués à Vie deRage. je suis homme , homme rude, homme voix, homme des paresses diversses, hommme crapahutant la paroi. je suis Femme, femme rude, femme chercheuse, chyercyant roche rude pour vintimités et affection. je suis cet homme-femme rude-dure, dure-rude, dur des dures, dure et dur, des temps fous? fol des termes. corps cdevant, chants des temps déplisszés, ofrrandes à déités, chaleurs = rut sur un devant de soi dépooszé comme une sorte d’entité verbale, vive, voyante . un V de belle adVenue. je cherche à ici bhien me placer en cette roche dure des temps fols et pour ce faire me voicibqui parle, qui grave, qui trace (AUROCHS) et cherche par là même à comprendre qui de quooi ici se trame, ou quoi de qui. nous ne sommes pas perdus, nous sommes situés, nous sommes l;ogés, nous sommes nommés. nous sommes hommes et femmes des temps reculés qui cherchons à comprendre ensemble ce qui est au monde en tant que tel = les mots de la rage, mais aussi : les mots de la base du temps compris. qui est qui , qui fait quoi, quoi est qui, quoi fait quoi, etc. nous devons comprendre ensembvle ce qui est ici qui va loin se loger dans le temps. nous nje voulons pas passer pour des moins que rien. nous vopulons que nottre nom soit «estimé» en tant que tel = pris en charge par la mort. nous voulons cela vivement ! Nous vouylons que la mort soit pour nous non xweuylement le prix de la vie mais aussi le chyant de nos tourments, le chant articulé de l’ensembkle des tourments dont nous sommes meurtris. nous avons à comprtendre ensembkle une sorte de chose de poids , qui est cette chose, cfomme quoi kle Temps n’est pas une sinécure on s’en serait douté, mais un voyage dans une sorte de paroi-modèle, d’antre divin (ou malin) qui serait cette chose devant soi d’un langage fou, déplié à volonté, ezt montré à qui veut ou à qui va. je suis un homme du temps déplisszé, et non pas (ou plus) un homme du temps noué. mon cortps va sur roche à kl’aventure, il n’est pas  cerné par la bande comme le langage articuylé l’est, mais il est touché, meurtri par les vents, les intempéries, les vives attaques des envies de mort contenues en son sein. je suis cet homme dur, et cettte femme rude. je suis cet homme, dur, des temps fols, et cette femme rude (folle ?) des temps déplissés. qui suiis-je ? un enfant poussé ? un grand ? un p  etit ? suisje un grand ? suis-je un petitv ? suis je fou ? suis je fol ou fol de la praiorie» ? qui je suis en vérité sinon cvet être vif des temps déroulés devant soi comme un chant de rage rude. Je cherche à bien me mettre ici, en roche, en cette roche rude, me placer au mieux, me glisser subitement et vivement en cette sorte d’antre moyenageux. je suis homme des temps passéqs, et en tant que tel je cherche à toucher ce qui peut l’être devanht moi. mon corps est tout entier «versé vezrs  le sens des choses, ou comment dire ici cette chose d’une sorte d’engluement dans la matière (folle) du temps. je suis cet homme pris de fgorce, chantourné, consacré peut-être (pas sûr) par une voix en soi qui instaure une sorte de gouverne, de prise en soi, etc, qui pousse à aller cdevant afin de recherdcher une sorte de vérité, vérité de poids = pesante = lourde comme un animal de paroi. je ne suis pas une bete monstre mais je suyis le contenant cd’une bvete monstre. je ne syis pas une bete de roche mais ,jre suis une sorte de contenant, de poche, d’outre, pouvant en effet accueillir une bete monstre comme le langage. je contiens en mpi (= ici = là) une sorte de monstre (vif, gro, gros de soi) qui est ce langage tel que la vie ici bas me l’a offert. je contiens en moi ce langage des parois du monde, ce reflet, cette charge lourde, incompréssible et inoubliable (à jamais ?) en véreité, et voilà pourquoi mon nom est assopcié à une cxharge. je veuyx êttre ici même déplacé, déplacé vers une sorte de déité qui szerait celle ci qui saurait me dire (me montrer) ce qu’il en est de ce qui est. je cherche ainsi à mre glisser au wsein de la roche, à la recherche d’une déité cvontenant en elle la Vérité des Vérités, ainsi est. ainsi sont les choses des temps offerts par la bande à un homme de peu, à une créature humzaine, à une ombre. je cherche à comprtendre ce qui est ici qui pour noius semblerait vouloir nous parler or comment cela wse pourrait ? car les choses devant bnous contiennent leurv prooppre mystère qu’elles ne relachent pas dans la nature comme ça. tout est dans tout et inversement. je suis un homme des temps perdus , disons des temps passés. je vois devant moi une sorte de bete de poids qui s’avance vers mpoi en me regardant.qui donc est cette bête ? de quelle bête s’agit-il ? poids lourd ? camionette ? charge légère ? sentiment du temps ? chacal ? chat de gouttière ? cri primal ? ouvertiure du temps et passage à vif du mobile foetal ? colère monstre ? charge rude et pure  ? carnation ? nous cherchons ensemble = à tous = la tribu entière = une confrérie = un petit comité des fêtes locales = les envieux, les charmeurs, les chanteurs, les volontzaires. nouys voulons enselmble arriver à toucher cette chose devant nous qui est cette sorte dec passage vers un au-delà desv temps. qzui peut nous aider ? le langage articulé le peut-il ? le lanhgage articulé a til ce pouvoir de nous donner de quoio comprtendre les donées de base concernant la vérité des choses du monde ? il semblerait quez oui à premùière vue, mùais en deuxième vue, il xsemblerait que non. les mots pèsent dans la balance, de tpout leur poids de données vives = élaborées = chantantes. mais en vérité, les mots , s’ils pezrcent, ne touchent à rien d’autre cqu’à la matière du temps ainsi percé. je suis celui-là qsui va en roche du temps chercher sa misère, son tourment, sa belle meunière tout autant mais quoi d’autre ? une sorte de chaleur ? une sorte de sueur ? quoi d’autre  ? je suis homme à la recherche d’une vie qui puisse combler mes ardeurs. je suis homme des tempsq durs, dits «durs» , qui veut pousser loin les recherches concernant la vie et la mort dans ce qu’elles ont en elles qui les constituent. la mort est rebelle, la vie est belle. le temps se déploie sousz soi comme une sorte de tapis de base vive, chant doux, col de cygne. nous sommes qyui cherchons (chercheurs) à comprendre loin (vif) ce qui est sur terre (flanc de  coteau) qui nous regarde. je voudrais savoir ici même ce qui est devant moi, qyui cherche à entrer en contactt avec moi. je suis cet homme du temps des paroles (vives) gravées par cet homme ou cfette femme des cavernes : je suis «je», homme-femme des cavernes le Bienheureux, ou bien : la Bien heureuse. car nous voici là qui voulons toucher la paroio, et la traverser , à force de touchers, de caressess, de chaleurs. nous voulons nous deux traverser. nous avons ce but nbous deux de traverser ici la roche du temps = cette chose rude (dure) à percer à vif cvomme une peau de base. nous voulons à deux percer. nous voulons nous immiscer en pareille roche des dsonnées de base natives. qui est làn pour soi ? qui va là dans la roche des temps ? qui nous regarde depuis (peut-être) le firmamen,t et même au delà ? je suis «je», homme du bal, gravekleux, tombeur, chant d’azur, pleutre, corps donné poar la bande acidul»é du temps déplissé et de ses tourments. chercheur d’or et de vér’ités. j’enttre en cette roche rude par l’échancrure en e’lle contenue depuis la nuit des temps octroyés (de fait) à une vie trerrestre. u!ne fois entré je regarde ce qui est. je regarde tout autour de moi. je cherche à bien comprendre ce qui est que je vois qui se passe. que vois-je ? eh bien je vois des choses, des chposes disons «monstres», en cela que  ces choses pèsent fort et lourd dans la balance dite du temps. nje vois toutes ces chioses devant moi qui sont dfe bon poids et qsui toutes semblent me regarder attentivement comme si j’étais en moi-m^eme une personne à considérer et à regarder avec artttention dès lors. or : pas sûr. pourquoi ce»la ? pourquoi «pas sûr» ? eh bien, pour la simple et bonne raioson que ce que je suis ici devant ces bêtrs n’est pas ce que je suis en vérité «au fond de lmoi». car «au fond de moi» hje suis qUelqu’un «en particulier». on dit cette chose , on dit cela comme qUOOi je suyis ou je serais (ici et là) quelqu’un en particulier. or non ! je ne suis pas quelqi’un en p)articulier. je suis Autre. hje suis multyiple = vif = corps = un être à facettes = un être des parois du temps = une sorte fde «girouette». voilà donc ce que je suis en vrai = cette «girouette» desvtemps déplissés devant soi. et pas l’1 qui gagne. non. je vois cela qui est devant moi, comme quelque chose que je dois comprendfdre par le menu. il n’y a pas d’a lternartive. je me dois de troujnours chercher à cerner ce qui est devant (= cette voie d’accès) en parlant = en usant des termes alloués à une vie humaine ancrée dans la matière des choses du monde. notre vie est une vie de rage, mise en quarantaine, charge morale. or voilà cette chose ici bcomme quoi nous sommes (ou serions) mourant (ou mortel). or : non ! nous ne sommes ni mourants ni mortels ! nous sommes vivants bel et bien jusqu’à preuve du contraire , or qui peut affirmer qsu’un contraire (ou que le contraire) soit ? qui sait si la mort est le contraire dfe la vie ? qui sait si la mort est véritablerment le contraire de la vie ? ou si ;la vie = le vsens des battements du coeur en soi (comme cherz l’animal, comme cherz la plante etc) mùais sinon ? nous vcoulons en vrai savoir ce qui est ici en termes de parlerde rage. notre envie prononcée et gravée sur roche , est de toujours vouloir aller dans le sens d’une sorte de compréhensiuon affichée des choses du monde telles que celles-ci sembvlent vouloir ensemble ecxister à nos yeux ou bien s’affirmer sur roche devant nous qui en restons babaa comme des enfants cherchant un trésor pa r la bande. nous sommes deux = nous. nous sommes deux qui cherchons sur paeroi la vérité gravée par un homme des cavernes. nous voulons aller loin en cette chose d’une sorte de recherche vive de lma Vérité des choses du monde. notre voçlonté la plus ancrée, est de rechercher ici même une sorte de «vérité de poids», qui puisse nous comme «décharger» de tout un attirail en nous contenu, qui est cet attirail de rage et de col:ère larvés, qui nous pèse grave et nous empêche un tant soit peu de progresser à nottre guise sur la vioie du temps telle que celui cii nous l'a offerte, autrefois = à la naissance de notre propre mobile de joie. nhous sommes deux qui pour le coup nous immisvçons en cette roche rude via le Verbe. on comprend cela . la roche est dure, rude, rude à perforer, et cependant : on y va ! on fouille ! on s’introdyuit ! on y va gaiement ! on cherche à e,ntreer età se loger ! on ne fait pas semblant ! on est deux pour s’épauyler et pour pénétrer et pour se loger au mieux en icelle qui (devant nous) nous est offeryte. nous avons oà bhien comprendre cette chose comme quoi la vie est une entité à part entière, et la mort une enclave en elle. la mort est logée dans la vie. lamort est une sorte d’enclave de fait contenue à l’intérieur du domaine (chantant = temporel) de la vie. la mort est accidentelle et noe compte en rien au final dans le déroulé princier des choses du monde. la mort est cette chose rude (attribut) contenue dans la vie comme une verrue; on chzerche à comptrendre les données du temps, on s’en rapproche incidemmeznt mais enfin on sait pertinnemùent qu’ici même (terre) seul le jeu importe et l’emporte. jeu de dupes ? jeu comme une hjoie ? jeu de chance ? nous voulons aller dansz la roche du temps comprendre là ce jeu alloué à la paroi : que signifire-t-il ? qu’e,n est-il de lui .? zde quoi le jeu (= permanence de la vie) est-il le reflet, la trace de l;a vérité chantée ? nous voulonqs aller en roche dure à la recherche de ladite vérité chantée qui est lma vérité des temps alouuées. nous savons cette chose ici comme quoi le temps alloué à une vie humaine est un chant de joie = jeu des données de base rageuse. je = jeu = joie = jean. je suis = jésus. je tombe = je vibre = j’enrage = je crie = je crois = je crois en cette chose d’une voix en soi qui plombe, qui pèse et en impose quoi qu’il en soit. je suis «je», homme rude, homme roi, homme riant, homme criant, homme en chaleur. je suis homme roi = en chaleurs. en chaleur = vif. vif = vivant. vivant = en bout . ainsi vont ces choses du monde adjacent à une vie humaine lambda comme la nôtre . nous sommes qui voulons compre,ndre des données, des bases, des mots, des phrases, des pensées. notre but est essent§iellezment ici de chercher fortune dans le sens des chodes à comp^rtendre. nhous avons à de fait nous immiscer en cette paroi du sens des choses. et là : pousser = poussser de la voix = pousser njotre petite et vive (vivante) chansonette de bon aloi, voire de bhonne allure. nous sommes quii voulons aller loin dans les connaissa n,ces du monde des temps alloués, et pour ce faire : gagner (ensemble) la roche au plus vite, faire corps et traverser icelle pâr la bande = par le pic = par le Verbe dzéplié comme un ruban. notre envie ici de comprendre (= cerner = tracer = contenir) est telle que nous  sommes comme fous et folles à l’idée de pouvoir toucher à cette chose d’une vérité livresque, écrite ou déjà dite = langagière. ici (roche)-) le sens est donné par des mots communs de bas c-étage, et ces mots sont «à notre image» on le sait. nous nous devons de prenfdre ce parti (le nôtre) qui est celui de se voir refoulés par en nous une sorte de bête de rage, mais adoubés par, en dehors de nou, cette créature vive des données de base rupestre. nous sommes ainsi pris comme en otage en ceette chose d’une cavité monacale ou sinon monacale pariétale. njous sommes commùe priosonniers du langage articulé. nous sommes comme sous le joug d’une entité qui a sur nous une sorte de mainmise qui nous enqsuiquine. nous sommess des êtres de poids qui allons fissa en roche charger et en imposer. nous sommes qui voulons faire ainsi que la roche puisse révéler u,n certain nombre de données frontales (brutes ? brutales?) qui puissent toutes nous guider sur le chemin de la dite Vérité Majeure et Active. nouqs vouylons savoir ce qsui est dans ce qui va. nous voulons savoir les choses qui sont. nous voulons percer la roche crûment sans tergiverser, sans faire de chichi, sans louvoyer, sans n ous prendre pour dieu sait quoi ou pour dieu sait qui que nous ne sommes ou ne serions pas le moins du monde. nous sommes des êtres de peu mais nous pesons dans la balance car nous sommes bel et bien là, vbivants, occupants un espace du temps, et chercgant pitance au jour le jour. nous sommes qui vgoulons piger = cerner = entourer = encercler le monde de la vérité. compre,ndre = en cercler =contenir = prendre en ouvrant ses bras en cercle. njous voulons sacvoir ce qui est ici qui semble nous paerler ou vouloir nous parler. nous sommes des êtres vivantss (sur terre) à la recherche de données frontales (devant soi = la vie devANt soi) qui puissent toutees nousd aider à nous y retrouver sur roche, à nous guuider ici instamment et sans nous lâchert. je suis l’homme du temps des xdonnées de rage. a mon corps défendant. je suis celui-là qui (vif) cherche à toucher cette chose devant soi qui est un corps, qui est chaude, qui est une sorte de vie vive à cerner comme un savoir., mon nom est le nom de cette chose. je syuis cette chose que je cherche. je suis = jésus, cette chose = carnation, ce sens des choses = langage = voix = prisme. je suis homme parlant, cherchant pitance et connzaissance à même certte chose devant soi en interposition = la paroi des sens, le monde du temps matériel  = joie = je = vie= oui. je regarde devant moi la chose des temps ouverts comme des portes , ouvertts sur la fosse, sur une szorte de cavité, sur un trou de rage. je sui «je» = le feu = feu machin = feu truc = feu untel. qua,nd je chante ça va. quand je chante eh bien ça va. je regarde devant moi et ce que je vois = cette chose d’une sorte de paroi vdu monde = firmament = chant d’a zur = chant du monde = chants doux (durs ?) des temps alloués à une vie de base humaine, animale, végétale, minérale etc. je suis cet homme doux-dur des choses du monde à devoir comprtendre avecque des mots de la bande. qui je suis eh bien ceci, ou celui-ci : hommme dur-doux , des choses du monde, introduit en roche et coché comme une case. je suis homme des temps ouverts. je suyis entré en roche par la bande, à coups de burin , à coups de serpolets, à coups dfe caillou, dessinant kla bête de poids qui charge, qui en impose, qui pèse son pesant de charge, qui foule la tterre des rages perlées, des colères vives, des envies massives, des cris perçants. ,une bête en soi est cette chose en nous, vive = la vie. je sais cette chose = le parler = les données verbales = l’offrrande à déité = la pariole gra sse = grossse = grave = graveleuse = les gros mots des hommes pour porter atteinte à une sommité. je regarde devant moi et ce que je vois ressemble fort à une sorte d’animal de poids du gzenre bison ou buffle. aurochs ? qui sait ? on voit ça ici, qui va = une bête forte, grosse, grave etdisant des choses. nous vcoulons savoir ensemble ce qui est ici qui veut (voudrait) nous dire ces choses. que sont ces choses ? que penser de cette chose ici d’une sorte de passade ? qyui a permis pareille passade ? qui gouverne ? qui gouverne le temps ? qui pour nous ecxpliquer cette chose ici d’une gouvernance passagère ? je suis une sorte d’entité moi-même en tant que pic de rage pertçant en colère la roche des temps déplissés par la ba,nde. quii a fait cela ? qsui a déplissé le temps ? qui a mis son nom sur la page et s’en est allé vers d’autres tourments ? nous sommes deux ici à vouloir comprendre cet état de faits. nous ne voulons pas passer à côté mais au contraire troucvezr une vérité qui puisse nous donner un peu de ce courage dont peut-être n ous aurons besoin incessament (un jour ou un autre) le moment venu. je me pose ici sur roche (animal velu, charnu, osseux,; massif) et rega rde ce qui est quii tourne, ou tourneboule tout autour de moi.je vois autour de moi des bêtes velues comme moi, et de bon poids bon oeil pareillmlement à moi. je suioiis entouré. je suis encerclé. je suis au centre d’un cercle donné. je suis cet homme des temps déplissés, cherchant à m’immiscezr en roche, afin de comprendre ce que cette roche recèle en termes de vérité de poids concernant la mort, la vie sur terre, la mort sur terre. je suis homme des temps devenus fous par la bande = temps passés, temps déposés, temps offerts à déité pour consoler ou pour adoucir. je suis cet homme aux données de rage intrioduites en lui par la bande langagière d’une voix de roche. je veuxx savoir ici ce que cette roche contient en termes de données de base massives, en tant que données de vives  vérités. je cherche. je suis chercheur. je suis homme-chercheur de choses et autres. mon langage est celui qui est en moi ce poids qui pousse mon être à cerner les choses. je cherche : je suis donc ce chercheur aéttitré, cherchant en folie des données de roche et autres vérités rupestres de bel acabit : aurochs, bisons, buffkes, chevaux, ours, antilopes, rhinocéeos, lions, bouquetrins. mon ambition est de compre,ndre ces betes velues, poilues, grosses, à l’aune d’un langage déployé qui en contient toutes les données. car, les mots ici = des bêtes. nous sommes forts et gros de pareilles bêtes de la rage d’être. nous allons sur roche àà la recherche d’une bête qui sszrait la bête des temps passés. je regharde autour de moi, je m’inquiète du paysage, je mate la bête de roche, celle-là qui vezrs moi s’avance à pas comp)tés sans me perdre jamais de vue car elle  s’inquiète, car elle s’enquiert, s’inquiète ou s’enqyuiert de ce que je peux être pour elle, de ce que je peux être comme être pour elle. un charmant ? un e^tre menaçant ? un être de colère ? un être con ? un être fol ? un demi-être ? je suis ici sur roche dure déposé. je suis un être déposé sur roche par la bande. je suis un être deposé sur roche par la bande langagière des temps xdéplisszés et je vais et je viens en pareille roche à la recherche de la vérité sur la vie vive et la mort morte. je veux être considéré comme celui ou cellle qui saurait percer la roche du temps avec une sorte de pique-paroi de belle allure et acérée. je serais cet hiomme perçant la roche avec non pas ses dents mais une pique langagière de première instance. je suis un homme xdes cavernes. je trace des bêtes sur une roche pleine. je dessinje à maoin levée des bêzters grosses. je dessine des b etes groosses et resse»^blantes car je feux que ces bêtes puissent êtte comme «nommées» du fait de leur reessemblance. je suis un hommre des cavernes qui dessine des bpêtes qui ressemblent à s’y méprendre aux vraies bêtrs couran,t dans la savane ou ailleurs en vrai. je dis des bêtes. je dessine ou dis des betes, afin de faire ainsi que ces bêtes soient fortes et costaudes face à ici la déité de la (dite) Chose des temps passés. je veux que la bête dessinée en imposât grave à cette déité de la mort à l’oeuvre dans la vie. nousq voulonq que les cjhoses du monde soient répertyoriées en tant que telles comme des objets de connaissance. nous voulons avoir pour nbous des choses du monde qui puissent bnou!s dire ce qui est et ce qui n’’est pas en vérité. nous voulons aller sur la rroche dessiner et auuissi la tr$averser comme une peau de bête à transpercer pour la déchiirer., et la découper. nhous vcoulons comprendre les données faciles, les données agiles, vives de la bpête, les comprendre pour ainsi mieux les digérer en nous et nous en repaître en termes de connaissance de bon aloi et de belle prestance. nous sommes des êtres qui cherchons à nous immiscer à l’intériuer d(‘une roche des temps déployés et pour cela nous devons aller ensemble fric frac à l’abordage, et pim : toucher à la roche du fond, à Roche Dure, à pareuille roche du temps qui est temps de vie octroyée on le sait. on veut tout. On veut cfomprendre tout. on veut savoir tout. on vfeut toucher à tout et dès lors percer le mystère des roches pleines. vie = vibration. la roche pleine est pleine de vie comme une antenne. nous devons ensemble nous lier afin d’en avancer dans la possible recherche assidue et tenue de part en part des connaissances et des savoirs concernant les choses du monde. nous sommes des hommeset femmes qui cherchons ensemble (= à plusieurs) les données de base d’une vie terrestre humaine. nous sommes des etres qui voulons comprendre tout à la lumière des bêtes cde roche, soit de toutes ces betes dessinées ou gravéesq par un homùe des cavernes il y a plusirurs millirezrs d’années. nous portons en  nous la croix des donnéesc s frontales. la croix est en nous comme une certitude ancrée dont il est impossiblle de se départir. loa croix en nous est chaleurs, est rut, est joie des virées de rage. nous avons ensemble à comprendre ce qui est ici qui nou!s regarde. la vie est une et indivisible. la mort est une enclave de la vie, ou plvutot une enclave contenue au fin fond (peut-être) de la vie telle que nous sommes à mêmzee de la vivre soit de l’éprouver. nous sommes ici deux qui cherchons pitance. notre envie est celle-là qui est en nous contenue en notre antre, soit au coeur de ce que nous sommes. je cherche une chose, et  cette chose je la cherche a ssidument car je suis un être qui (en vérité) veut savoir les choses les plus folles, les comprendre le plus possible dans ce qu’elles ont en elles en termrs de prtofondeur. car je suis mpoi-même une sorte de chose à même de contenir de cette oprofondeur. ou sinon de cette profondeur, de cette chose contenue en roche, et nommée «temps» par la bande. je suis un petit homme des temps anciens et  je cherche  à comprtendre les donn»ées du monde. mon nom est le nom d’une chose perlée; je porte un nom qui est un nom de la rage d’être un homme. on sait plein de choses à présent sur le monde des tourments, des douleurs à viçvre etc, mais pour ce qui est du nom, du nom pôrté ou du nom que l’on porte, on ne sait pas encore beaucoup de choses. et pourquoi cela ? parce que nouys sommes ici-bas dees êtres de peu, mal  outillész à v rzai dire, ou sinon mal outillés peut-être maladriooits, mal dégauchis. nous sommes des êztres qui ensemble essayons de comprendre des données basiques à travers des voix dx’emprunt (aurochs ou bouquetins etc) et cela n’’st pas si simple car il y faut beaucoup de compétence, beaucoup de courage, de perwsévérance, d’envie, de désir, de volonté,, de joie en soi. la hjoie est cette chose en soi que nous voulons comprendre comme celle qui serait en nou!s le coeur du coeur. la jhoie en  nous est cette chose d’une sorte de coeur de vie qui perdure. nous sommes des êtres qui vopulons comprendre les chosescdu monde à la lumière de la hjoie contenue en  nous (= coeur) comme une sorte de betye de poids pouvant peser de tout son être dans la  jauge des temps pourvus. nous ne voulopns pas passer pour plus bêta que nous ne sommes, quand bien même il est vrai que nous sommes (oui) des bêta de première, on le sait, on voit cela avec ou depuis toute notre intrelligence, donc voilà. si on le voit, si on le sait, c’est qsue voilà, on a malgré tout notre petit sou d’intelligence native. on comprend au moins cette chose. cette pecadille. on tente de mieux se comprendre mais c’esst dur, on est limité, on est bêtes, on voit pas bien, on est un p)eu (beaucoup) bornés. on est cons. on est comme des cons. je suis moi-même une sorte de bene^t qui voudrait échapper à cette charge, ou s’échapper de cette charge langagière sur moi ou en moi, qui me pousse à dire des choses bestiales et bêteszs. mais comment faiore ? comment faiore pour arriver à s’échapper de toutes ces choses en soi qui vous empêzchent d’être des eêtres de bon poids bon oeil, soit vifs et costauds, et forts en thème ? cvomment faire pour que je puisse moi aussi devenir une sorte d’intelligence ? je voudraois tellement moi aussi devenir une sorte d’intelligence de la vie des choses ! ah oui ! oh oui ! oh c’est sûr que je serais heureux de devenir moi-même une sorte d’intelligence  vive, forte, cvostaude, qui sache, qui voye, etc, et puiise dire à la fin ce qui est, et ce qui est avec les termesjustes. Mais voilà , je ne suis pas bien futé. ie suyis mal dégauchi on l’a dit. je suiiis un être de peu qui en sait peu, ou quyi n’en sais pas lourd, c’est un fait. que sais)-je ? je suisz un petit homme des prairies, je chasse au trait, je trace des bêtes sur roche, je m’élève, je hurle, je crie ma joie-haine en grotte. mon nom est un nom de roche, un  om de paroi du monde = joliesse. mon n om est donc le nom gravé, de fait, dans la roche, et ce afin d’en imposer à déhité, à dfieu de roche, à un dieu des dieux de la roche des temp)s. je suis un être petit qui veut comprendre loin le monde m ais voilà , ce n’st pas si dsimple en pratique c’est sûr. on cherche à bien tout comprendre et cerner acvec des mots mais tintin les mots, ça ne marche pas si bien, ça merdouille, ça fuite, ça fuit opar les trous , les pores, les anfractuosités de la roche. nous voulons cerner les choses du monde , ce qu’elles cachent, ce qu’elles contiennent, mais comment nous y prendre quand on est comme nous fort limités en matière de langage, de savoir, de conniassance, d’intellige,nce, etc ? car voilà ce que nous sommes : bêtes, bêtes comme chou, bêtes comme tout. nous sommes bétassou comme tout. nous aimerions beaucoup ne pas être bête comme tout mais «des têtes», dews intelligences de tête. seulement voilà, la chance n’a pas été pour nous vers nou!s mais bien au contraire. nouys nous sommes faits berner. nous avons été touchyé par la méchanceté desz choses rosses , desq choses du monde rosse, etc., et voilà pourquoi nou!s y voilà comme deux bêtzs, de la malchance à naitre bêta, ou quoi ? car nous sommes deux, nous sommes nous deux comme deux bêtas de rage, deux êtres de peu sur roche des temps. nous aimeroions beaucoup être différents et pour le coup comprendre beaucoup. or nous sommes comme deux êtres de peu qui ne sommes pas très munis en termes de capacités à comprendre dans la profondeur ce qui est qui se trame au sein du monde. question : la terre est-elle habitée ? le ciel est-il habité ?la mort est-ezlle en collère apr§ès nous ? on peut le penser. on p)eut le penser car nous ne sommes pas encore pour elle cela même qsu’elle voudrait que nousq fussions. nous sommes en vie. or la mort nous veut, pour elle, mort «en vie». voilà ce qui est. la mort nou!s veut pour elle en vérité «vivant» mais comment ? comment peut-elle nous cueillir vivant en elle ? voilà la question. je regarde ;les bêtes de la roche dure. ,il s’agit de belles bêtes s’il en est = de bon poids moléculaire. ,la bete dessinée est une bêzte déployée afin de faire du coup impression.il s’agit d’un mot = un nom = une insulte à déité. je vois cette chose se dessiner devant mes yeux à mesure que jee vais dedans Roche m’introduire, et voilà la chose à comp^rtendre. j’entre en roche par la nbande (langagière) du temps = cette chjose vive d’une bête en soi cherchant à tous prix à s’extraire de moi devenu à mon tour une bêzte (elle ? la même ?). et nous voilà (ou me voilà) qsui allons vifs sur roche toucher à icelle, afin de com^prendre ce qsui est de ce qu’on voit (ou de ce qu’on voàyait jusque là). je szuis homme des parois fortes. je suis homme rude. je suis homme-queue. je suis cauda, queue d’homme amoureux. je cherche à comprendre ce qui est devant moi déployé. je cherche une chose de poids qui soit pour mpi un nom qui le fasse. je voudrais aller en cette roche des temps accompagné par une personne qui puissem’aider à m’immiscer profond au coeur des savoirs liés à la mort. je suis celui-là qui va vers la mort à petits pas (espérons) et qui de ce fait s’enqyuiert de ce qui est et de ce qui n’est pas en ce monde des choses du temps., nous chercghons à nous introduire en pareille roche , afin de cerner les données d’un monde sensible alloué. et cela car nous avons en  ous ce besoin massif de connaissance, de repères, de certitudes langagières. on chertche ainsi àà comprendre au mioeux les choses du monde. une course à l’échalotte, un rallye. on cherche : on est munis d’un parler en hjoie, raisonné, raisonnable, permettant phrasés divers et autres parades qyiu sauront un temps nous calmer, nous tenir, nous faire être. mais en vérité, la chose est auttre. en vérité, le temps est une romance, un chant dfoux d’azur, une mélodie veloutée. je suiis hommùe des parois rudes, cherchant à me coller aux vérités massives dessinées. je suis un homme ici desds vférités, dessinées ou gravées par un homme des cavernes. je suis un homme dessiné par un homme des cavernes. je suis un être dessi né par un homme ou par une femme des cavernes. mon nom s’etire sur roche dans le temps = dans un temps de vie, déployé cvomme un tourment de vie. je porte nom de roche, nom et prénom. ma voix est la voix d’un être de peu cherchant pitance et connaissance à même la roche du temps. je vais seul sur roche, je suis mort. je vois cette chosqe rude d’un temps déplissé comme une outre percée. je suis seul ou accompâgné, je vois, nouys voyons, nous voguons, nous sommes ensemble serrés, en ce sein d’une roche dees prés et autres champs de blé. nous cherchons une chose neuve. nous voulons trouver une chose neuve. nous voulons aller ensemble dans la profondeur des choses rudes, operfides. nous sommes associés. nous sommes accolés. nous sommes conjoints et mariés. nous sommes deux pour être. njous sommes deux pour entrer en cette chose ouverte d’une sorte d’entrée de roche. njouys entronsq. nous sommes deux quientrons en roche comme dans un temps déplissé pour nous et pour notre goueverne. nous sommes deux qui  voulons toucher à cette roche dure des temps alloués à une vie humaine. noius nous introduisons en cette roche des parades et autres cavalcades enluminées. je suis hommùe de la roche dure. mon nom est «roche du bois». mon nom est «Jean des bois». mon nom est «Jean du bois» . mon om est «jean des bois du temps». mon nom est jean des parois». mon  om est un don de la joie des coeurs de la vie motrice. qui sait cela ? quyi sait ce que le nom contient en termes de joie à être (= à naître) ? je vais sur roche à la re cherche d’une clé. je suis l’homme du monde alloué. j’e,ntre en roche dure. je porte lma clé. je suis l’être déplisszé dans un temps donné. mon corps est soulevé par le Verbe des temps offerts. j’entre ainsi soulevé muni de la clé. mon nom est un nom de roche. j’entre en roche à l’uniisson xdes chants poussés par des entités pariétales : jean l’aurochs, jean le bison, jea,n le buffle, jean l’antilope, jean le bouquetin. je suis holmme rude déplacé et j’entre en roche comme un homme des prairies va vif en sa chose dune vive ouverture de vérité.

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19/05/2022

Nous sommes qui voulons aller en roche conjointement. nous sommes qui voulons nouscapprocher d’icelle roche des fonds de paroi. nous poster au plus près d’icelle. nous voulons comlprendre les ressorts et les arcanes de ce fond de roche devant soi : quel est-il ? à quoi ressemble-t-il ? que nous dit-il ? etc. Nous voulons (ensemble = toi et moi) aller au plus loin possible qui se puisse, et là : touchrer ! toucher à cette roche dure ! la toucher de prèds ! et voir ici les données natives, ce qui’elles sont pour nous. nous nous sommes approchés et nous regardons. nous nous sommes placés ainsi de face, et regardons les choses qui se trament. face à face c’est un fait. on voit l’échancrure dans la tenture. on sent venir (gro nder) le chant profond des données visibles. on devine ! On sent venir à soi le souffle divin. on comprend la chose. on sent à soi venir cde chant chaud des profondeurs, vent du sud, souffle magique, brise menue. nous voulonds comprendre = toucher. cela est un fait comme tant d’aiutres faits. nous voulons comprendre ce q<ui est qui nous regarde (devant nous alloué) et pourr ce faire : nous poster ensemble, soit main dans la main, aller loin au fond du fond d’une grotte ornée. nous ne voulons pas y passer mais durer à même la roche du temps. ouvrons donc nods yeux en grand et voyons voir ! Nous cherchons ensemble... des choses, choses et autres. nous voulons toucher à cette roche des fonds de pasdsage,, des fins fonds. qui est là post»é en face à nous attendre ? qui est là devant nous qui nous regarde, nous surveille, veille, voit ? Je suis un homme des cavernes enfoui en terre, sous le joug sur moi d’une emprise forrte (une bete en moi). je regarde devant moi la roche et je me pose des qsuestions de tête. suis-je un mobile ? suis-je une voix ?  suis-je un homme fou ? suis-je un animzal ? suis-je moi ou suis-je toi ? je cherche à comprendre au plus lointain possible. je suis homme des parois données, des roches offertes, des trous de base aux données vives voire acidulées. nous nous approchons de la roche centrale = devant soi ce Roi. nous voulons comprendre cette faille devant soi, ce trou dee rzage, ce trou menaçant, cette parole ici au sens caché (quel il est ?). nous voulons aller en roche dans la profondeur des données de base. fouiller à foison. trouver et conserver le butin amassé. nous voulons aller en roche comme en religion pour ainsi dire = une voie d’abord pour une missuion à mener ensemble fissa. nous nous approchons d’u,ne paroi = la numéro 2, on voit ça qui souffle ou comment ? ça qui est du dsouffle sur nous, vent de face, sensation néfaste. nous nous approchons de pareille paroi du temps, une sorte de muraille , de muraille avec trou de rage. on voit ça. on voit ce que c’est. on devine = anfractuosité native, trou de rage vif, trou d’ouvreture avide, chant choral des données profondes, vent fourni, chaud devant lkes amis. nous nous approchons d’une sorte de «pariole « forte, un e sorte de bruit des tréfonds, chant me,né à la cravache, ça frémit et fait frémir, c’est du chaud dedans, ça bout. on voit ce qui est qui va, qui vient, qui cherche à nous prendre pour lui, pour sa face. nous noius approchons ensemble d’icelle paroi ouverte et nous regardons à travers l’ouverture la cghose = la faille = la face = la chose. nous voulons comprendre ensembvle (toi et moi) ce que c’est que cette chose devant soi «qui nous regarde», qui nous voit vraiment semble-t-il, et ne noius lâche pas d’une semelle. on voit ça. on se demande. on veut savoir. on est venu ici pour comp^rendre c’est sûr. on n’a pas envie de repartir bredouille sans savoir. on veut en savoir ou connaitre long. on veut aller loin en ces savoirs de base déployés. le but erst d’apprendre au plus ce qui est, ce qui se trame devant soi, ce qui se présente, ce qui s’ouvre. nous voulons piger à fond des chodses, des données. nous voulons grapiller ici des dopnnées de base et ne pas, du coup, nous en retourner, de fait sans rien, vide de tout, chaud devant mais quoi en vérité ? brûlé ? nous ne voulons pas repartir brûlmé ! Ce que nous voulons ensemble, nous deux, ce’est cette chose ici d’une vérité déplissé devant nous comme une donnée = un don = offrande à déoité. le retour de rage. une sorte de renvoi de base. on a donné le tyemps devant, on veut e n cerner ou en tirer ou en comprendre les conséquences. on veut être servi et comprendrte. on a donné on veut retirer. on veut comprendre un vcertain  ,nombre de données frontales, dorsales ou comment, ensemble, mzain dans lma main. on est là pour se trouver ensemble à voir pour ainsi dire une chose ou deux à comprendre. on veut savoir. on veut être. on vdeut deviner. on veut toucher. on veut se placer de face et voir ce qui est devant dans ce sas des vents. nous ne voulons pas trépasser c’est un fait mais demeurer = vivre ensemn$blke, toucherr roche de près, comprendre icelle et ses données frontales. nous ne voulons pas y passer du tout. notre but est de résister, est de ne pas sompbrer. de tenir. de noiuds tenir fort à la rzampe. de ne pas chuter mais de tenir debout face à pareille adverdsité venteuse, qui nouys foutrait mal vite fait = à plat, touché par des vents de rage on sait, on pourraoit sombrer. mais voilà : on veut tenir. on veut tenir droit. on ne veut pas plier, ployer. ce qie l’on désire ici est cette chose de toujours tenir debout, de tenir droit, de ne pas plier face aux vents de face. on veut être droit devant la face des souffles nocifs. on est bete de charge, on pèse, on campe sur nos positions,, on a du verbe dru, on porte loursd, ion est costauds et costaudes. ça y va ! on cherche ainsi ! on tient ! on campe dur. on est bêtes de rage aussi bien : la réponse du berger à la bergère. on fait face. on a du répondant en tant que bpête forte, de bon poids bon oeil, dure bete déposée, chant choral verbal, dureté massive, sorte de chou à la crème déployé sur base de rage endiablé, ça pulse !Nous vfoulons comprendre enseemble les dionnées rageuses d’en face. nous vpoulons comprendre ensemblke icelles données et les soupesezr pour ainsi dire, les tester, les prendre à soi ou pour soi un temps afin de les comprendre au mieux, de les bien cerner dans ce qu’elles sont. nous voulons comprendre ce qui est ici devant nous en termes de roche dure percée. de quoio s’agit-il ? où se trouve l’entaille vive ? où sdonc est la plaie de base ? où trouver fissure ? dans quel coin d’icemlle roche ? par où donc passezr les enfants ? par où donc passer à présent ? nous cherchons ensemble ce qui est, ce qui se figure de soi, ce qui se porésente, ce qui nous appreoche et cherche à nous prendre , à nous souffler. nous voulons aller profond en roche des temps, creuser en elle une sorte de voie par où nous immiscer jusqu’au bout du bout royal, cette ouverture terminale, cette faille à bruits d’air, ce chant des entrailles, cette Chose vive d’un vent de face de folie. des vivats comme s’il en pleuvait et autres hourra ou cris de joie. nous voulons comprendre ce qui est pour nous. cette chose devant soi est une chose vive on le voit. on voit ce qsui est. on devine ça d’emblée c’est un fait : cette chose vive ouverte velue ou pazs mais animale on dirait ça. on veut être «au jus». ça nous intéresse, ça nous plaît. on veut s’approcher de cette chose rude devant soi qui buffe que tu bufferas des tonnes et nous pareillement on buffe. on est là pour ça aussi : renvoi d’ascenszur de plein droit, chose due, chant d’antienne, chant des b etes monacales pariétales , on dirait que ça pulse grave, que ça remue et que ça influe. on veut renvoyer ! on veutt cracher ! on veut composer en une sorte de renvoi de rage ! on veut ça. on cherche à comprtendre cette chose ici d’une sorte de renvoi de rage à déité (la mort de base).  on veut pouvoir comprendre ce qui est ici qui nous regarde grave et nous souffle fort comme pour mieux nous entarter, ou nous fariner, ou nous allumer, ou nous impressionner de son souffle chzaud, ou nbous envelopper pour ici nous attirer, nous prendre en son sein de rage. car la mort a la rage après nous. pourquyioi cela ? car nous ne jouons pas le jeu qu’eelle voudraiot que l’on jouât. nous ne sommes pazs «sérieux». nous ne jouons pas le jeu de la foi en cette chose d’une vie  vive après la vie. nous ne voulons pas de son souffle de vie à la manque ou commpent situer lma chose ? nous ne voulons pas d’ellee-vivre. nous voulons comprendre ce que c’estr que ça qui nous met à bas sur pareille roche des temps déployés. qsui on est pour elle ? nous ne savons pas. elle est là pour nous entuber de colère. elle ne veut pas de nous vivant pour nous, mais elle veut de nous en vie pour elle, dans son sas à elle (totaux). nous ne voulons pas nous laisser faire ! nous ne voulons pas nous laisser monter dessus ! nous ne voulons pas de sa colère sévère contre nous ! nous voulons nous échapper de son emprise militaire ! merde à elle ! merde à la mort-rage ! merde à pareille entité native ! à vcette chose ici d’une ire de rage paprès nous, et cela pourquoi ? parce que ! parce que voilà ! on a pas joué lke jeu du je comme elle aurait voulu madame! on a pas joué le jeu du je natif comme icelle (icelui ?) eût aimé q<ue l’on hjouât c’est un fait ! On comprend des choses on est pas benêts de base. on a notre gouverne printanière en bon état de marche : on raiosonne grave. on est là pour ça : raisoner que tu raisonneras. on est là pour en cerner long (quelques tonnes de viande de rage sur le front). on a compris. on fait pipi au lit peiut-etre (encore) mais on voit la chose devant soi qui se soulève, ce vent de folie, cette drôle de furie native, profondeurs des données rageuses après nous. et cela pourquoi ? parce que voilà, on est là, on vit, on voit sa vie prpopre, on ne se donne pas d’emblée vivant comme tout de go mais o,n tarde via du temps. on tente la chose, de durer vivant un temps qu’on aimerait toujours voir durer au plus. on est là vivan,t sur terre (une mission) et pas ailleurs (= dans le sas des compromissions ?). on cherche à percer le mystère de la destinjée humaine. on parle entre soi une langue chelou. on essaie d’aller loin, ded rage en rage, en ce sas des sas qui nous contient, où en avancer, comprendre = marcher  et marcher = s’avancer judsqu’aux portes de la déité ventripotente, ce chant gonflé (outre mesure) , cette voix de stentor qui nous abjure de faire ainsi ensemble (nous) qu’on soit pour lui (masse d’ombres). Non et non ! On veut pas! mourir on veut pazs ! on veut pas de ça ! ce qu’on veut  c’est aller ici et là. ce que nous on veut au plus = cette chose-là, d’aller ici et là comme un bouquetin de la lande. on essaie ça de le comprtendre vif ett de ne pas nous éamloigner de pareilles pensées en soi développées. nous voulons comprendre ce que c’est que cette chosev devant soi qui nous regardev d’un air de deux a irs. de quoi s’agit-il ? s’agit-il d’une paroi acide ? d’un oeil de blaireau ? d’une outre ? d’un cran nouveau ? d’une sorte de rage à naitre ? d’un cri de basse-fosse ? d’une chance pour la vie ? d’une sorte de prairie nouvelle ? encore une autre ? ou alors comment ? comment comprendre ou à quoi s’appuyer ? ou commùent aller pour y comprendre quelque chose de bien formulé dans le genre ? on cherche dur ensemblke et ce n’est pasd facile de comprendre ce qui est au juste. on cherche ensemble les données naissantes = la chose des bases, le tralala comme qui dirait (de rage) initiatique ou initial, ou comment autreement ? nous voulons piger les choses ce squ’elles sont zau juste devant nous, qui nous approchons df’icelle roche percvée, trouée, ouverte comme une bouche. on est là pour le comprendre. on est là pour cvomprendre ça. on est bien présent en tant que tel pour le comprendre, pour comprendre ça , comme quoi la mort est dfevant nouys l’Entité de base, divine entité de la rage après nous. on sent venir le mal qui gronde dfevant. on voit devant soi ce mal gronder, gonfler, se former. on est ceux-là qsui cherchons ensemble à comprendre ce qui est au juste (qui nous attendrait incidemment). on veut aller en roche dure ensemble pour piger et pigeant se sauver de base, ou quelque chose de’approchant disons. on cherche. où donc est située la faille ? par où pouvoir passer ? comment faire pour alller ainsi que l’on fait ? comment aller profond et toucher la Chpose ? qiu nous dira comment nous y prendre ? squi saura nous dir  ça et ne plus nouys narguer comme quoi nous on ne sait pas ? on veut passer, on veut passer roche 1 , mais passé roche 1 ne pas aller plus loin dans roche 2; on veut reswter à quai entre deux roches (1 et 2, soit roche d’entrée et roche de sortie). nous ne vcoulons pas sortir du sas de roche dure. on veut demeurer. et piger ce qui est là-bas, drôle d’endroit. on est là ensemble à visée commune. on est ensemble qui voulons comptre n,dre cette chose des loi,ntains brumeux, bois de ce r fs ? bois d’homme ? on est ensemble pour comprenfdre raisonnablerment les données du monde en vie. la mort est une entyrée dans la matière. une certitude ancrée en  nous c’est dit. on a cette foi en  nous d’une mort certaine, d’une sorte de trépas de sqoi. on est là ensembke pour comprendrec les donn,ées du monde adjavcent, venteux, soufflant wsur nous son chant de servitude. on ne veut pas ça pour nous. on  veut avancer les genoux, les pieds, les hanches, le corsezt de rage, le menton, le front, et nos bois de base, nos cornes tout autant, nos attributs de rage fropntale. on est là comme deux chenapans de la lande, à cghercher querelle à une déité «de merde» (oh) et c’est marre ! ou de merdum disons, pour fgaire dans la den telle. on veut être et et ne pas sombrer, êttre et tenir droit, être et se poset sans devoir chiuter. on cherche à nous où se positionner de sorte que. on  veut pouvoir (de fait) tenir tête, à tete divine. on veut pouvoir pour nous (la vie) tenir (ainsi) tête, à cette Chose devant soi qui serait pour le coup la Chose des parois du monde, la qui nbous ma te etc. Et nous de vouloir tenir tête infiniment, i,ncommensurablement, sans cesse, de la ma in à) la main poour ainsi dire. nous ne voul;ons pas y passer. nous ne voulo,ns pas trépasser. nous voulons aller de rage en cette chose d’une sorte d’antre, d’antre à dingueries. on veut comprtendre. on est deux ensemlble qui voulons nous approcher de certte rage vive sourdant des entrailles d’une terre de paroi du monde. nous cherchons à voir ici les données de base natives. où sont-elles situées ? que nous montrent-elles ? que nous disent-elles ? que voit-on ici qui nous interroge ? que voir ? nous sommes ensemble qui cherchons à bien co:mptrendre ce qui est devant, en termes de trouée, de trou de rage, de percée, de contrepercée disons, en reflet. bouche à bouche ? Nous vopulons comprendre cette cghose d’une sorte de paroi percée, «pour la vie», dont le nom serzait «la mort», mais en est-on sûr ? rien n’est sûr ! on cherche vif ! va à chgercher vif ! c’est pas si facile ! c’est coton grave ! pas si fa c ile en vérité de s’approcher d’une pareille anfractuosité de base, on avance d’un pas mais ça ne suffit pas. d’auttres pas viendront, seront, nous seront donn,és par la ba,nde (on le dirait). on s’avance à petits pas comptés. on veut comprendre un grand nombre de données de base et nous en retourner en  n os pénates. on cherche de concert le nom de la chose, cve qu’elle porte en elle, de quioi elle s’affuble, ce qui la maintient et la fait perdurer, de wquoi son ventre s’alimente, ce qu’elle dit à bas bruit, etc. nous voulons comprendre ensemblke ici la Chose , cette chose rude, ce chandail en vérité (ou vetement de bure). outrageusement bariolé. on dirait un habit de la rage, poil inclus. on cherche . s’agit-il d’une bête ? une bête rosse ? la mort est-elle une entité ? un dieu chevelu ? un,e bete des prés ? un homme à crinière ? une femme imberbe ? un drôlre d’animeal debout ? nous ne xavons pas mais on y croit . on pênse à cette chose ici , d’une sorte de mort qui parle, qui nous parle dans le sang directement, qui nous alimente quotidiennement. nous voulons comprtendre cette chose en vie d’une mort latente, enfouie, donnée, dépossé coomme un serment de base en  nous, chant des entrées de rage, confiance, contenu, charge, don. la charge est massive (bete ventrue) et le don royzal (couronne). on veut ça pour soi, de cette corona, de pareille vie d’une rage vive. on est homme et femme à la fois car on tombe ensemble (et de trois ) à même la roche percée. on est deux pour ça = trois , ou comment ? on cherche à fond. on n’en a pas fini cde chercher profond. on est là pour creuser dans une sorte d’entité rocheuse meuble (parfois mais pas toujours) qui nous «regarde» depuis là-bas (horizon gravé) et nous interroge vivement : voilà son dire : «veux-tu bioen venir te loger en moi ! veux-tu bien venir te plcer en moi, moi bouche d’ouverture sale! «. on essaie de décghiffreer et c’est pas gagné. on tente de comprendre ensemble, mais vas-y. on est pas sorti de l’auberge à xdire vrai. on voudrait piger c’est un fait mais comment piger sans aide ? on cgherche des aides à même la roche du temps, on cherche des étais, des aides de camp, des aidants de rage. mots d’homme-animal des parois maussades. faisant-fonction (disons). on est ensemble pour aller dedans , en cette roche meuble aux entrées diverses, riche roche. on est là qyui disons de ce qu’on voit ce que l’on sait ‘( de ce qu’on voit et de c e convoi = cet attroupements de bêtes entre elles). on est là pour aller loin en termes de recherche s et de comprtenure. car ici nous sommes deux (trois ?)qsui cher chons ensemble à nbous introduyire dans le sein du sein (cet antre) mais (pour le coup) sain de corps si tant est, sain et sauf disons. nouys voulons aller profon,d en cette roche des temps déployés par la bande. on est là qui reghardons ou comment dire ici la chose contenue ? on voit ce qui est = une contrée peuplée, de betes de roche. bouquetins sur toute la crête? signes vifs comme quoi ça pulse vif ! On est ensemble en roche à rechercher les mots imposés, les formes digitales, les paroles remontées, les signes des temps traversés. les mots ici sont choses de la rage et de l’emphase = cette voix de base venue à (comme) nous faire paraitre tel que non nous ne sommes plus depuis longtemps (notre naissance ?). on est deux ici qui cherchgons la faille = l’antre = cet espace de destinée qui serait caché et qu’on rechercherait infginiment, interminablement à travers l’usage ici deun verbe ancré en n ous comme une couleur, une saveiur, une odeur etc. nous vcoulons aller ensemble loin. loin ici au sein des connaissances de paroi. on veut ici aller ensemble loin en cette chose, d’une sorte de dire qui dira la Chose ce qu’elle est pour nous, devant nous qui baille. une bouche ouverte à des moments mais pas tout le temps ? on voudrzait être et avoir été. on voudrait ne pas succomber à ses charmes  mais toucher à cette chose d’une sorte de paroi des mondes perdus, cachjés, mis à mal, troublés, mais donn,ésxcc de base à la naissan,ce (dieu donné comme un  nom de rage, chant total inculqué). on veut être et ne pas être dans un même mouvement, mais comment ? on voudraiot savoir ce qui est ici qui nous gouverne. on cherche à savoir entre nous la chose, cettye chose forte (folle) ?) qui serait la chose déplacée depuis la nuit des temps : vie vive des viviers de vivres ? oh peut-etre ( vivres = vouivres = vipères). on voudrait comprendre  ensemble le pourquoi des  choses rudes sur la terre. cette cghose d’une sorte de misère entière./ on cherche vif. on est vifs ensemble pour aller profond dans les connaissa nces. on veut icvi aller ensemble au plus loin possible au sein d’icelles connaissances des parois. on est et on cherche. on veut être ici des qui savent dur. on veut toucgher = tripoter la roche = entrer nos sales doigts dans sa chair molle. on veut ça? on est là pour ça.. on voudrait cxomprendre ce qui est ici qui bnouys regarde, qui est là deebout, qui nous mate, qui se tient debout pour ,ous faire face. on est deuxv ici qui faison,s face, face à face etc, debout tout pareillementr et cela poarce que voilà, on a à toucher ! on a à piger des chgoses cde base. on veut être là cfomme en face à face face à ça qu’on dit que c’est la :mort. on veut de ça pour nous = cette connaissance vive, cette chose d’une connaissance vive, vivangte, vivavace. on est devant, on est face, on est en face, on est posté, on est là, on est bien en face en phase, on veut voir ou reluquer ou mater ce qui est, ce qui se passe. on voudrait aller au coeur des connaissances liées à cette chose de la mort en face = face. cette bouche d’ouverture, cette sorte d’échancrure, chant total choral acidulée rythméé comme une musqique des attraits. on entend le chant monter (descendre ?) et nous voilà qui nous portons aux avant-postes d’une destinée tracée. car le chqant attire à lui les êtres placvés sur roche du temps. on voit ça. on comprteng grave. ça dépotte un max. ça charge son poids de base rude. c’est lourdissime. ou pesantissime. ça le  fait royal c’est un fait on l’a dit. on est là ensemble pour comprendre cette chose d’une roche qui serait La Roche des temps déployés. on voit cette roche des temps, on avance pas à pas parmi des bêtes en accompagnement, on les regarde brouter, gambader, charger, se monter. on rêve fort d’être comme elles. on aimerait. on a pour nous des choses à comprtendre fissa par la bande, mais quoi au juste ? le nom de la Chose ? on le connait : divinité ! Le nom d’une sorte d’anfractuopistyé au sein d’une enclave ? oh c’eswt aussi connu ! on veut toucher ! on veut touycher au ... nom de la chose ici déplissé ou cvomment : offerte ? .On est deux qui cherchons ensemble les donn,ées, qui voulont prendre, nous servir, emprunter. je chertche à comprendre  ce que c’est que cette chose d’une sorte de paroio du monde, d’une sorte de paroi dure (dureté native) de la roche dure. on est là ensemble pour tenter des choses, soit chercher oà vif les données du mo nde. où l’on va ? où est-on ? que faisons-nous en étant en vie ? qui sommes-)nous pour aller ainsi entre deux roches ? qui on est ici entre deux roches ? sque faire pour dsoi afin cde comp^rendre ce qui est ici qui nous regarde ? suis-je homme des entrées de base ? suis-je un, homme dépliossé ? suuis-je un homùme rude et bien membré ? ai-je assez ou de quoi en montrer ? suis-je l’homme des efforts de rage à même la page ? le sang ? à même le sang de la rage ? on est là pour se compre,ndre ensemble. on cherche que tu chercheras des données sensibles, des données de base et autrrrees ressorts dépposés. on voudrait piger ensemble les don,nées les plus enfouyies au wsein de la roche de vie.quelles sont-elles ? qui sait de quyoi il en retourne ? avons-nous assez pour nous comprendre (assez de mots et de phrases ) ? sommes nous de ceux qui pensent que nous sommes des enfants des sommes posées sur la lande, présences animales : oui ? Nous nous approchons de Roche 1 et nous la traversons (transe banale)? piuis, ainsi logés entre dxeux roches, nous nous approchons de Roche 2, la der dxes ders, et, ensemble = main dans la main (grande importance) on tente de toucgher à cette roche des fins fonds de la roche du temps. on tente à vif. on veut comprendre ce quyi est. on est là ensemblme pour comprtendre = toucher. on veut (de fait) s’approcher ensemble, de pareiklle roche dure aux données basiques, aux données de la rage à naitre, ou à être cette chose. cette chose rude dont le nom, incidemment, s’écrit de la sorte : M,O, R, T. voilà ce qui est. car ici la mort s’écrit en toutes lettres, elle s’affiche/. on voudrait comprendre pourquoi. on voudrait aller en roche le plus loin possible et toucher à cdette chose d’un e sorte de paroi dfu bout du monde (= de lka mort native). ce que c’est que ça. cette chose rude : le comprendre ensemble. car voil;à : je suyis bête rude, rouge, carnivore. je mange de tout ou presqaue, soit aussi de la bonne carne de bête à pourchasser à travers les champs, la lande, les forêts. nbouys devons comprendre ce qui est ici en termes d’effigie votive, en termes vd’image incarnée d’une déiité «ventripote,nte» = le =monde comme il est. je vcherche à com)rendre un max, et ce faisant je tombe com^me à la renverse, c’est un truc! hje suis homme des apports de rage (le langage ou langage articulé des foules). je suis l’homme de la roche dure de chez dure, et je vzais et je viens en elle (roche) à la recherche de’un plaisir de vie, sensible, douceur, chant, chorale, fleuirs, désirs, musique, déité nacrée, chants des sirènes, déploiuements soyeux à travers la lande, course affolée, chuintements, sifflemùents, douce pelisse à tout jamais comme firmamant, maman. je guette ! je voudrais comptendre une donnée de base native ici -même, soit en ce sas nacré des choses vives. on veut toucher ! toucher la pelisse ! on voudrait ici comprendre  ette chose vive que serait la mort. la mort a-t-elle un temps pour elle (temps de vie) ? la mort est -elle logée et si oui où ? la mort est elle ancrée en nous et si oui sous quelle forme ?,la mort est en  nous un petit être aux données acides. on cherche à comprendre fissa ce qui est mais voilà : pas simple; on est là ensemble pour comprendre mais ensemble on ne comp^trend pas, ou disons pas tout. on est enselmble qui cherchgons à découvrir le pot aux roses de la vie et cde la mort, les choses cachées, les sortes de données natives bien cachées en ce sas de la roche du temps. on est là ensemble qui cbherchons à toucgher lka VChose, à la touchert plus qu’à la compren,dre, ou disons que laz toucher c’est la comprendre, ce serait. On vouydrait pour nous comprendre cela, comme quoi toucher = savoir =comprendre =cerner; toucher plus que raisonner . toucher plus que pen,ser. toucher à la place de penser. toucher ce serait la voie, le sens de la marche. on veut ainsi pouvoir toucher les choses, les toucher pour les comp^rendre = deviner = faire ainsi que les choses soient sues, connues, comprises, prises, déployées sur roche ainsi qu’elles le sont pour notre goubverne. vivezment dimanche disait-on et c’st vrzai : le jour du seigneur. on cherche à coimprendre ensemble un certain nombre de données rustiques, acides, plastisques, placides, rapides, qui ;puisseent nous donner champ libre pour une sorte (pour nous) de comprenure, de compréheension fdes choses du monde adjacent = ce monde des pourtours de nous (= de tout un chacun). nbous voulons aller au loin comprendre le plus, pour y toucher grave = vif = sans cesse = une continyuité. notre envie ici est de base celle que nous déployons sur roche du temps. je suis un homme des tourments rupestres : bouquetins infiniment, bisons rouges, buffles au firmamzent, antilopes rosses, grain d’avoine et chants des blés. kje me loge en pareillme contrée acidulée, à même la pierre de tzaille et dans l’attente d’une invitation à bien vouloir entrer en roche dure (pic et pic et collégram) sur une injonction d’une (ici)  déité des mondes se crets. je cherche à aller en  cette roche des données de base (roche 2) accompag,né = accompâgné pa r en moi laz bête des pârois. bouquetin sage, antilope vive, ourse des plages, ours au traits tirés. je cherche à comprendre uner chose de poids, une chose lourde, un chant sourd, un cri des parois. quels sont-iuls ou elles .? qui devons-nous croire et d’abord écouter ? qui parle à bon droit et dde belle facture la vérité ? la érité est-elle de ce monde nacré ? cvommùent comprtendre ce qui est ici qiu va sur roche se loger comme dans un nid ? suis je un oiselet ? suis je vivant comme une bête aux c hants sourds des données de basxe ? qui croire ? suis-jke en vie ? suis je mort il y a longtemps et logé dands un être de vie qui wsezrait moi pour la gouverne mais pas moi pour tout le reste ? qui suis-je en vérité en ces co,ntrées ? dois -je dire ce qsui est ici qui nous regharde vivement ? fdois-je révéler le nom des choses des tourments et auitres méfaits ? je cherche à me rzapprocher d’une cgose. cette chose est chose de poids, chose dure et fauve, un ours. Je cherche à aller loin en  cette chose d’un entre-pârois de rage. où donc aller à déposer son miel, ses victuailles et autres vivres dobnnés en échange ? en échange de la vie sauve, où ? On cherche. on veut c’est un fait cvonserver sa vie sauve autant que possible et le plus longtemps possible. on veut faire ainsi que les choses soient et s’incrustent en roche de la sorte : bouquetins des bases motrices, faons de hjoie, biche lacustre, onomatoipées. mon nom est écrit sur roche à la manière des aurignaciens : nom désiré, nom déposé, nom placé, nom soufflé, nom brûlé pour la bonne ca use. un nom chasse l’autre = des données de rage. on vbeut comprendre dans le sa,ng ce qsui se trame. on veut vcompren,dre ensemble = dans le xang. dans le sang = en sem ble. dans le sang =en ce sang qui est bleu = royal, on a compris. car ainsi on voit, on pige, on avance. on voit ce qui est qui va. on cherche une voie qui soit ici la voie d’un passage vif, pour passage à deux (trois) d’un convoi. on cherche à se :loger en roche vivement, comme autrefois l’homme des cavernes vivement gravait son  om (sa misère) sur roche des temps , qui un bouquetin qui une panthère. on avance pa s à pas, on ne se retourne pas, on flirte avecf la mort sûre;

, mais on se tient tioujours en deça, on ne regarde pas à la dépense, on y va. on veut pouvoir toucher à la roche des temps dépliossés et en avancer grave (fissa) sur ce cghemin tracé d’une sorte d’embzardée xsalutaire. on veut aller, on veut aller vif et toucher ce qui est qui se libère (de la roche dure) : une sorte de poupée ? biche vive ? une chose veloutée ? train arrière ? on cherche. on ne voit pas tout loin de là. on voudrait vcomp^rendre au loin les don,nées mais nos yeux (notre gouverne, nptre comprenure, nos mots) ne portent pas loin qui restent en -deça, toujours, de la vérité. de la vérité des choses du monde caché ? de la vzérité des choses de la mort de rage. o,n est là pour s’épauler : on trace. on en veut grave. on est là pour nous placer de face en face à face avec la mort et ses attreaits. on est doux de base, mais pa rfois énervés car on  

car on traine trop dans le genre. on voudrzait tracer plus vite encore et toucher ! toucher oà cette vérité des choses bhruyantes, des choses dépl;issées sur roche attenante à une vérité cachée (dite «des profondeurs») qyui serzait celle qu’on voudrait (de grâce) comme soeurs, comme sorte de consoeurs ou de soeurs d’etre. on est comme ici déplissés sur roche des temps. on se place ainsi qu’on puiisse aller en roche , finement, à la rechgerche de la vérité (nacrée) des choses du monde (= de la mort, ce qu’elle est pour nous et ce qu’elle est pour d’autres que nous comme par exemple pour lkes betes de paroi).nous voulons comprendre ensemble = dans le sang = dans le sang dit «bleu» d’une royauté des rages amoncelées. on veut être ici «ensemble» des qyuui savent, qui en savent lourd comme de chez lourd, et qui peuvent ainsi déplisser pour eux les données de rage enfin recueillies (par la bande ?). on voudrait comprendre ensemble ce que c’(esst que cette rage des attraits cachés. ce que c’est que cdette chose ici d’une sorte de paroi aux sentiments exarcerbés de colère vive et d’énervements transis. pourquoi ça ? pourqauoi la colère, l’ire ? pourquoi cette chose devant soi (le temps) en tant que colère, que lecture, que colère vive et lecture de soi avec ressentiments +++ comme dans le sang ? on voudrait comprendre longtyemps, loin, long, et vif.

on voudrait comprendre les choses du monde. on voudrait savoir ces choses, ce qu’elles sont pour nous qui allons de pair à travers la roche. nous sommes deux qui voulons comprendre ensemble les données les plus ancrées de la roche. nous sommes deux ici, qui voulons aller profond, en pareille roche du temps. nous sommes des enfants qui cherchons une sortyie de roche sans faux bond, sans trouble, sans cris, sans se fzaire voir. nous voulons aller en cette roche du monde adjacent, sans se faire voir ni même attrapper. car nous sommres des enfants de la roche dure. nous sommes en,fants de roche des temps, qui allons ensemble à la recherche d’une vérité qui serait de fait logée quelque part à même la roche du temps; nous sommes enfants du verbe allant. nous voulons ensemble cvomprendre un certzain  nombre de données de base, données vives, données rudes, qui seraient dès lors, un trésor inestimable,  une sorte d’outre pleine (à ras bord) de choses de poids. nous voulons toucher la roche de la mort des êtres. nous voulons toucher la roche (dure) de la mort des êtres du monde. nous voulons nous appropcher ensemble cde pareille roche aux noms gravés par l’homme des cavernes. l’homme cdes cavernes est un animalm de première importa,nce. il s’agit pour nous (aujourd’hui) de comprendre cette chose, d’une sorte de donnée ancienne, étrternelle, comme quoi : l’homme des cavernes était une bêtye, homme-bêtre ws’il en est et il en est plus qu’on ne l’imagine. je suis un homme-bête moi-même. je suis  cet homme-bête des attraits de bord de mer. je file vitesse grand V à travers la la,nde, à la recherche d’une v érité de poids et de masse . genre quoi ? genre bouquetin ! genre auirochs ! genre buffle ! gen re cheval ! car je suis avide de nombreuses vérités pour moi. on veut dire  c e qui est, on veut dire la vérité, on veut développer des dsortes de vérités , etv cezla sur roche, gra vées, gravées ou dessinées à la manière (fabuleuse) des hommes et des femmes de la préhistoire. j’essaie de comprendre à part moi ce qui est ici, ce qui se trame ici, ce qui seprésente, afin de pouvoir de fait le regtranscrire sans fausse note. nous voulons ensemble aller loin dans les connaissances concernzant des chgoses de poids, comme par exemple : le poids de la mort dans la balance, le poids de la vie sur terre, le poids massif des betes de rage qui, en nous, vitupèrent contre le père. je voudfrais co:mprtendre ce qui est au juste en cettye roche. ce qui xse trame et se dessine indéfiniment sur pzareille roche des temps. qui est qui ? qui est devant moi ? qui chante debvant moi ? qui parle et dans quelle langue ? je suis un homme dur , des temps durs, des parol:es dures dans le vent./ je vois devant moi cette chose, d’une sorte de présence folle (affolée et folle) qui voudrait instammznt me voir succomber à ses attraits et du coup la suivre jusqu’au bout du bout de la roche percée. seulement voilà : je n’y consens pas le moins du monde. je suis au regret de le dire ici, comme quoi la mort pour moi, ne représente pas le bou du bout tel que l’aventure terrestre nous semble nous y amener. je suis un homme qui ne souhaite pas aller vers cette chose d’une mort terrestre. je suis homme d’une voix en moi qui parle une langue folle. JKe cherche à cerner au mieuxd ce qui est en cette roche dessiné. ou ce qui est gravé en cette roche des données de base. je suis homme aux envies de vie. nouys ne voulons pas y passer trop tôt, nous voulons perdurer. nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici qui nous regarde. je suis un homme des parois monstres. mon nom est un nom de base pariétale, ou bien le nom d’une soerte de bête gravée. un aurochs pour ne pas le nommer. je suis homme des temps déplacés sur roche aux apprêzts. je cher che à co:mptendre ce qui est ici, en termes de vie et de mort de l’etre que je suis sur roche ornée. je regarde cdevant moi, et ce que je vois est cecvi : une sortye de pzaroi aux reflets nacrés. je cherche à comprendre. je suis hommùe des temps déplissés. je cherche à comprte,ndre les données n atives, les données vives, les mots de la fin, les choses du temps, les principes. je regardxe devant moi cette chjose des temps de la vie sur terre, je vois ce squi est et ce qui est se ppose devant moi comme un présent, offrande vive à déité. je syuis un homme des en,vies ancrées dans une rage en moi  , rage dure, rage dép;loyée cvomme une sorte de rubban en soi de vie vive. nous voulons comprendre ensemble ce qui est. nous voulons ensemble aller loin en cette roche dure des temps octroyés. je suis un homme aux mille reflets. je cherche une voie d’accès. je cherchje à comptrendre par où passer pour m’y retrouver et en avancer sur la voie des données de base. je cherche à m’immisc er ici, en  ette roche des données vives, des tracés déployés comme (ailleurs) des rubans de soie nacrée. je suis un homme des temps fous, des roches allouées, des principes bafoués. je cherche à comprendre ce qui est ici en roche en termes de données de poids pouvant nous inqdiquer la marche à suivre pour se sauver. nous voulons comprendre ce qsui est ici qui nous voit aller. nous voulons toucher à cettte roche des données frontales, des données qui pèsent lourd dans la balance des choses de la vérité frontale. nous avons pour nous la chan ce de pouvoir aller et vif, vers pareille déioté de rocxhe dure. nous avons en  nous cette chose, d’un pouvoir, d’un savoir, d’une envie. nous pouvons aller en roche chercher, au loin, les données frontales les plusc abouties, les pl us déplissées. et pour ce faire : aller vif ensemble. ensemble pour l’éternité. aller ensemble vifs en cette roche dure des donnéesz du monde, afin de comprendre, ce qui est ici d’une sorte de paroi aux choses de la vérité. nbous voulons nous poster ici en cette roche, pour comp^rendre ce qui est et ce qui n’est pas, en termes de voix, de pariol;es, de mots déposés comme autant de présents à déité. nous cherchons une voie d’accès. nbous voulons aller en roche ainsi attifés ou sinon attifés ainsi fagottés ou sinon fagottés ainsi membrés ou sinon memembrés ainsi montés ou sinon montés ainsi calibrés ou sinopn calibrés ainsi dépl;issé ou sinon déplissé ainsi déployé ou sinon déployés ainsi remontés contre le cours du temps. nous voulons nbous approcher incidemmeznt d’une sorte de paroi percvée quyi serait l’entrée de la Chose. nous voulons enswemble aller en  cegtte roche dure cdes attraits, afin de cvomprendre ce qui est ici qui nous dit et qui nous montre ce qui est en vérité en matière de données de  base native. nous voulons entrer e,n cette Chose rude (brute ?) d’une sorte de porte ouverte ou de bouche ouverte ou d’antre ou de conduit, ou de gaine, ou de tube debvant dsoi, à même de nous receviioir. nous voulons aller ezn cette roche ouverte , comme noius irions ensembvle (main dans la main) chercher à se comptrendre, à se touycher, à se faire du bien, dans un sein des seins pariétal. njous voulons aller loin, en cette roche des temps aboutyis. nous vcoulonbs aller loin, dans la profondeur d la roche des temps. nouys voulons aller ensemble en cette roche dure des temps assoupis. quels sont-ils ? qui le sait ? squi pour nous donner le cha,nge ? qui nous connait ? qui comprend ce qui est vraiment en cette roche des données du monde ? qui est ;là pour nous ? squi est là pour nous parler et nous dire ce qui est en vérité ? qui pour nous seconder dans nos idées de prise ? je regarde devant moi. je suis homme des rois, des reines, des chants, des envies pressantes, des données lunaires, des voix d’outtre -parades, des chevaux de bois. je cherche ;à co:mprendre une chose rude, un pavé. lje suis celui-là qui s’avance pas à pas, sur pavés, qui veut comp^rtendre, qyui veut cerner, qui veut toucher, qui veut s’immiscer, qui veut aller en cette roche des données de base. qui voudra me seconder dans cette affaire ? qui est là pour moi en moi ? bouquetine ? bouquetine à bec ?. chant de joie ? bête nacrée ? chaud devant ? chant des parois ? doigt des rois ? je voudrais comprtendre ce wqui est ici qui me regarde. je voudrais savoir. je voudrais savoir les choses du monde, ce qu’elles sont pour moi en cet antre entre deux parois. je suis un être déplacé. je suis un homme dép;loyé. je vais sur roche dure, je m’avance. je regarde cdevant moi ce qui se trame et je vais (ainsi) vers une entrée de rage, ouvertuire de face, bouche non cousue, chant des profondejurs, fumée, fumée rouge, fumée des entrées et des passdages. je suis debvant la Chose ouverte l’homme des envies de base :  chercheur de corail, découvreur matinal. je voudrais comprtendre les donnéezsc du monde, ce qu’elles sont pour moi en termes de reconnaissance. je m’avance )à pas comptés verts une déuité de paroi monstre. un etre m’atteznd, un etre à cornes, un enfant peut-^ùtre, l’enfant-roi des données de base. je voudrais arriver à toucher la chose sensible : cette vie d’un vivre dans lae sang, ce vif d’une vie sanguine, ce sang d’une vie vive, ce sang vif d’un vivre en soi déployé comme le temps. je m’avance en roche. je suis devant la porte des données acides. je suis homme-bête des tourments. je cherche à comp^renfdre ce qui est dans ce qui va. je veux être l’homme des temps fous, des envies brutes = vives dans le sang. je cherche à êttre cet enfant des envies de rage motrices. je m’avanvce incidemment en ces lieux de base rude, en pazreilles alcôves, en ces creux de rage. je suis homme des données avides, aciides, qui fouille en lui le vif de sa rage naissante.je voudrais comprendxre ce qui est ici, en ce lieu d’une sorte de paroi avide de données diversesw. je suis homme aux envies de voix divines. qui parle de pousser la chose gaiement ? qyui parle d’aller loin dans ce sas de bonne fortune ? qui a dit de ne pas aller trop loin en pareille roche des temps ? qui connait de fait les rudimrents de pareils savoirsq ? qui cxherc he avec moi en moi des données de poids ? qui me parle ? qui parle pour moi ? qui dit pour moi les choses des temps ? qui pour me dire ce qui est et ce qui n’est pas ? qui est :là pour moi qui xsait ce qui est ? qui vcomprend le mùonde de pied en cap ? qui me regarde fixement pendant la montée ? qui me voit monter et graver la roche à main levée ? qui est là pour lm’aider à dessiner le cheval xde trait sur la roche ? qui me tient le bras ? 

qui est là pour moi me tenir le bras ? qui est là pour moi pour m’aider à graver de force l’animal de la roche nue ? je vois devant moi une chose se dessiner, et cette chose est un animal des prés. je vois cette chose aller, chanter, courir, faire ainsi que la vie aille dans le sens d’une envie perpétuée. jhe regarde le tracé et je comprends les mots proononcés? je porte le nom d’une gente attribuée. je suis homme-point, hommee-trait, homme-fou, homme aux accents fins, homme des données brutales, offertes, changeantes, déposéeses. je cherche à comprendre le plus,  

je cherche à comprendre le plus, ce qui est ici qui semble vouloir me donner le change. jre cherche à comprendre ici ce qui est qui me regarde instamment et fixement : est-ce une bete de la roche dxure ? bete-fauve ? char ? char d’assaut ? cri ? cri des forts ? hje cherche à compfrendre au mieux. je ne suis pas au bout de mes peines. je suis un homme aux données de base abouties, cherchant sa misère dans le sang ou bien dans le vent. dans le sang circvulant dans mes veines, ou bien dans le vent venant à moi par une bouche ouverte, par la bouche ouverte de la mort de l’être. nous passons ainsi un temps infini à cerner les bases d’une vie vive, d’un tracé poli, d’un dessin de belle facture. le cheval est reconnaissable, l’ours aussi, l’oiseau moins. le nom de la chose (devant soi) est aindsi gravgé dans la ressemblanvce. on voit ici ce qui est dit = un nom = le nom d’une bête de ^poifds = une injure = un verbe de grande importance = une bete forte = un poids de rage = un massif à opposer à une envie vive («de l’autre cvôté») de vous voir brûler sous le feu d’un souffle mortel sortant de sa bouche. nbous voulons comprendre ici ensemble un certain nombre de données rageusesz, de traits appuyés. qui est là en moi ? qui parle pour moi ? qui comprtend ce squi xse trame devant soi ? quib ouvre grand son bec de rage folle ? qui donc est cette bête des parois du monde ? qui fouille en moi et me met à nu comme un ver de soie ? qui me touche à vif ? qui occupe ma pe,nsée première ? qui cherche à m’auréoler de misère ? qui est là l’homme des temps vifs qui me sourit en mon être de joie ? qui  « je « est, je de base attribué? qui est donc ce «je» de la hjoie à naitre ?qui est là pour moi me donner sa voix ? je regarde cdevant moi. je suis homme des données acides. je cherche à comprendtre ce qui est qui me regarde et me parle bas comme un enfant de douce mémoire. je me pose un temps devant l’enfa,nt portant pariole./  je suis homme s urdimensionné commùe une pomme. je regarde devant moi cette chose d’une bouche ouverte. j’offre la pomme. je donne. je suis cette pômme. je donne de moi cette pomme nue. je suis cet homme donnant de soi la pomme des temps, le doux sucré, la charge émotive, le fiel et le miel, le jeu et la jhoie. tout un assortiment de choses diverses, à forte teneur il semblerait en ressentimentrs. je suis holmme doux des passages vifs. je vais en roche ainsi, à la recherche incessamment d’un bruit, d’une voix, d’un cri, d’un jeu, d’une parole douce, d’un chant, d’un souffle. je regarde ce qui est,  ce qsui devant moi vient à) apparaitre sous mes yeux d’enfant, et je vois quoi ? le ciel ou la terre, le doux et le dur, le vrzi et le faux , accolés, mot à mot. je cherche à cerner la vérité des dires sacrés. Je cherche à comprendre ce qui est ici en cette chose d’une sorte de paroi du monde. le temps est l’enfant de sa propre misère. le temps est un en fant pris de rage. le temps est un enfant jouant avec ses dés , sur une plage, l’été, avec des amis à lui , sous le ciel nacré d’une divinité. je vois cette chjose. le temps est un enfant jhouant à qui perd gagne. je suis cet enfant de près. je vois ce qui est qui vient se déposer. jeu d’être. jeu de soi. jeu d’un être en s soi. jeu de l’etre = de la bête en soi? jeu déplissé en soi, d’une bête de paroi. jeu d’un dire amical. jeu cd’un choix royzal. jeu d’un dire déployé à même la rocjhe,; . jeu d’un dire ouvert, d’u,ne bête forte, d’un homme poussé par la bête en lui. je regarcde cdevant moi ce qui fuit ou ce qui luit, et je vois la bete, ceele-là surnuméraire, entrée  sabns avoir annoncé son zentrée, :la bete de rage, ventripotente, lourde de chez lourde. une bete-monstre, un bête de poids pesant lourd dans la bal:ance d’une vie à vivre sur terre. je suis hgomme des cavernes = néandertalien, ou bien aurignazcien , ou même solutréen. je grave. je trace. je dessine sur paroi. je dessine des voix.je dessine des accès de rage. fje tremble. je suids homme-bec. je suis un homme de la voix de rage attitrée. je suis une bete. je suis une bete poilue. je suis bete de la tete aux pieds. je cherche à aller en roche au p;lus profond pôssible, et pour cela , à lea une à la deux et fissa, j’entre incidemment comme un ouragan. je cherche à comprendre un certain nombre de données pouvant m’éclzairer sur ce qui est et sur  e qui n’est pas dans la joie de l’être. je m’avance à pas com^ptés sur pareille roche des prés. je suis ici ainsi l’homme dit «des prés de la roche». je collecte les données en poche. je regarde les bêgtes brouter, ou paitre. je charge à mon tour, de tout mon poids surnuméraire, la paroi de roche dure. je suis devenu l’être des entrées rageuses. je suis devenu l’etre (fou) des données de rage «a&ffreuses». je cherche à savoir ce qui est ici qui me regarde fixement. qui est qui quyi m’instrumente ? squi va là vers moi ? squi me parle incidemment ? qui me voit entrer en pâreille demeurede joie ? qsui en moi parle pour moi ? la bête cendrée ? la bete nacrée ? la bête bête ? la bête folle à lier ? la bête narquoise ? la bête riche ? la bête velue ? lza bpête grise ? la bête chzamoirée ? la bête brute ? la bête rageuse ? lma b^$ete cornue ? la bête ventrue ? la bête -misèrez ? la bête en joie ? la bête en rut ? la bête-co;lère ? la bête vive ? la bête incident ? la bête de la rue montante ? lza bête des vies calcinées ? la bête hurlante ? la bête des prés . la bête du travail sur roche à main levée ? la bete dessinée ? la bete gravée , la berte outrée ? la bête des temps menacés ? la bête des temps plissés ? la bête des temps forts ? la brte des envies pressantes ? la bête zau firmament ? la bête fine et léhgère ? la bête aux envies de foi ? la bête surnuméraire ? la bête frappée ? la bpête chassée ? la bête mangée ? la bête avalée ? la bete en soi, en son antre ? la bete contenbue en soi à peine mangée ? la bête avalée comme un met ? la bête nourrisssante ? la bête-met ? la bête-vivres ? la bête à avaler tantôt pour sa gouverne. une bête est là, en soi, avalée, mangée, qui tr ône: reine des chaleurs torrides. foi en  cette bête des chaleurs. foi-rut, en pareille bete avalée. chaleurs ancrées. chants de joie pour une chasse gardée. je cherche à comprendre. je suis l’homme des parois du monde. je m’avance à pas feutrés. hje chasse une bête de poids, je la chasse du matin au soir. je cherche à cvomprendre ce qui est ici (roches) en termes de nom donné à une déité . la mort est-elle en nous surnuméraire ? ,suis-je un homme à déité ? suis-je simple d’aaccès ? l’homme est-il l’etre des parois gravées ? la bete est -elle un,e voie d’accès pour une vérité ? je cherche à comprendre. je cherche à savoir ce qui est ici qui nous regarde fixement comme un être de joie avenante. je suis hjomme-bete des tourments tracés. mon nom est le nom donné par la bande. est le nom donné à moi par la bande = par la voie d’une sorte d’entrée en matière. je cherche à) compfrendre un certain nombre de données rageueses contenues en cette roche des parois du monde. je suis cet homme-bête aux accents de vérité. mon nom est gravé sur la pierre. je suis mort et entérré pour ainsi dire pour l’éternité./ la voie est la voi$x, la voix est la voie. je chasse la bête

je chasse la bête à mzain levé. je chasse la bête de l’antre.

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17/05/2022

Nous nous approchons de la paroi. nous sommes deux. nous voulons comprendre ce qui est qui nous regarde. nous voulons en savoir long le plus possible. nous voulons cerner les données de base et en avancer dans les savoirs. qui nous aidera ? qui viendra vers noius nous dire et nous montrer la voie à suivre, le chenal, le passage ? nous cherchons à deux car nous sqommes deux. nous cherchons assidument et nous creusons avec sérieux. nous ne voulons pzas ne pas comprendre mais tout le contraire : saisir, cerner, piger, comprendre donc et bvoir surtout , les embruns, les fonds de rage, les ciels acidulés, les passdages de fond de paroi. nous voulons comprendre un maximum, et ce maximum l’expl;orer de bon droit. nous voulons en avancer fissa ensemble, dans les connaissances concernant cette chose d’une vie de base, allouée à un corps vivant, à une destinée, à un homme-femme des embruns. nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici qui nous concerne au premier chef, et cela en roche , main dans la main, à la une à la deux on fonce, on creuse, on cherche, on y va gaiement. on ne s’en laisse pas conter, on est motivés et même plus que motivés : mus. car nous portons en nous des élans de rage et autres bouquetins vbifs. nous y allons de toute la rage dont nous sommes des porteurs de base. nous portons en nous qui des bouquetins qui des buffles et autre bovins de bon poids bon oeil. nous voulons tracer sur roche des paroles vives, portant loin, faisant comme fonction de feu, de vive embardée pouvant faire accroire. nous ne sommes pas nés d’hier ni même d’avajt-hier. il y a longtemps que nous traàçons sur roche de la sorte, des myeriades de bêtes en folie, vives betes des prés et prairies, chants de joie. Nous sommes deux qui cherchons pour nous à comprendre des données de rage, de base, sous nos yeux. qui je suis sur terre ? l’envoyé tout spécial de ma misère ? un homme peureux ? une femmelette ? un chien de rage ? une omelette ? squi je suis qui obtempère ? qui je ne suis pas ? cazr suis-je ici l’homme des tracés rupestres ? suis-je encore cet homme-là ? cette femme-là ? cet hommùe des parois, cette femme aux accents de roche ? je comprends des choses à force mais quoi ? comme quoi je suis et je ne suis pas ? comme quoi je suis un hhomme des bois et ne suis pas cet homme de la rage à être ? ou inversement ? un cerf peut-etre, un cerf aux bois géantissimes ? Je viais sur roche à la rec herche d’une vérité concernant le Verbe. je cherche avec conviction, avec une volonté ancrée en mloi et massive, avec cette volonté d’en découdre, de comprendre, de trouver des choses ici et là, de faire des découvertes, de chercher à vif dans la plaie dite de la roche et des embruns. une faille ? une fente ? un passage ? une excavation ? fissure ? trait tracé à main levée par un homme des cavernes ? porte des enfers et aiutres cachettes ? je cherche vif que tu chercheras. je ne suis pas en reste de chercher ++. je suis homme qui cherche, femme qui cherche, homme et femme cherchant pelisse, peau d’’ombre, trou d’oc, que dire ? un passage pour la vie ! une sorte d’entrée en matière ! un chenal gagnant. je cherche que tu chercheras une sorte d’ouverture de paroi, azfin de «voir» au-dedans et loin ce qu’il y a, ce qui se trame là, ce qui s’y joue en termes d’après-vie, en termes de voie d’abord pour une vie après la vie.  nous vopulons cerner profond ce qui est qui noius attend. nous vou;lons aller en  cette roche dure, creuser loin, toucher la Chose vive de l’après, touchger à vif cette plaie de base : fente ? trou ? vulve  ? chien fou ? nous voulons en avancer fissa en cette roche des envies de vie à vif. nous ne voulons 

pas

nous ne voulons pas  lâcher, nous voulons poursuivre sur nottre lancée. nous voulons cerner dedans sans «y passer» de préférence, dedans cette chose, cette chose d’une excavation, d’iun trou de faille, chant des roches dures (roches 2).nous voulons toucher la Chose du monde devant, de ce monde du devant. nous disons le vent. nous deiso,ns ce vent de face, cette face. nous disons du vent devant. vent debout. nous disons ce vent debout devant. nous pensons à cette chose (ici) d’une sorte d’ouverture dans le tas, de faille devant soi, entrée en matière, chant choral venu d’on ne sait où : d’outretombe ? nous cherchons avec assiduité, et noius grapillons des données au fur et à mesiure de nos avancées. nous sommes à deux pour chercher fortune (roue de la fortune) et nous seconder ou épauler dans ces recherches, dans pareilles quêtes vives. nous voulons cerner lma roche au pl;us près. la toucher comme oon toucherait peut-être la pelisse d’une bête (racée) des prairies et des boisb (genre quoio ? genre cerf  ? cervidé ?). nous voulons toucher lma roche des temps impartis (la numéro 2, celle des fonds dits «de lma roche dure»). nous nous approchons de ces dits fonds de roche. nous sommes à l’intériuer de la paroi. nous sommes au coeur du coeur d’une sorte de paroi interne au monde du vivant terrestre. dans le sas des sas. nous gravitons grave. nous voulons comprendre ensemble ce qui est en  ette roche dure : un endroit où se loger ? une cave  ? une cave à vin ? un endroit humide où il fait bon conserver du vin en fût ? une sorte de caverne ? de jolie caverne à bijous et aiutres trésors cachés par la bande ? nous nous approcgons de roche 2 (la dernière) . nous cognons à la paroi du monde (vie du verbe). nous ne sommes pas en reste de cogner à elle, et vas-y qu’on cogne gaiement ! qu’on y va ! qu’on s’acharne ! on est là pour ça quasi ! on cherche fortune : un sabvoir. on veut toucher le gros lot. on veut cette chose, d’une sorte de savoir des champs, des prés de roche, des vives embaerdées rocheuses et autres murailles de chine. nous voulons comprendre ensemble les données de base les plus fines, les plus ancrées, les plus enracinées dans ce champ de blé aux embruns. qui est là pour soi ? qui est là pour nous guider ? qui nous guide fissa sur cette allée d’un entre-deux-roches ? nous cherchons ensemble à nous y retrouver et à cerner au mieux les données dites fonndamentales d’une destinée terrestre. nous voulons comprendre ensemble pareilles données liées à un vent de face. buffade buffadou. chant choral en plezine poire ? on cherche ! On veut savoir. cette chose devant soi serzait un chant vif, souffle acide, cri de guerre et de joie, chaleur tournante. nouis voulons y aller en semble (à la pêche aux données vives). nous voulons combler nos lacunes : passer une tête ? deux .$? la tienne et la mienne ? pas sûr ! on bveut pas mouriron l’a dit. on veut pas de ça. ce qu’on ne veut pas c’est ça. on veut bien voir à l’intériuer , les données de rage et autre trésors des rochges dures, mais sans avoir (forcément !) à en découdre (pour le coup) illico presto. nous ne vou:ons pas trépasser, nous vou;lons rester = demeurer en roche les enfants surnuméraires d’icelle. voir ? ok. mais pas de trop près. si possible sans se brûler. on veut rester frais. jeunes et élancvés. vifs de rage et pif de poche etc. Nous vou:lons comprendre ensemvvkle ce qui est ici en roche 2, sans avoir à nous brûler les ailes ni mêùme les yeux (surtout les yeucx) par trop de lumière. nous savons que cette cghose de la mort devant, ce de vant de soi, cette chose de front, de face à face, etc, eh bien elle est pour nous (pour ainsi dire) une donnée bnrute = brutale. on voit la roche 2 colmme une sorte de fin de paroi contenant des flammes (chaleur vive) pouvant incidemment nous faire du tort, et le tort tue dit-on (on l’a dit) et ne peut guère en l’occurence nous mettre à l’abri de pareille engence (les malappris ?). nous pouvones toucher à la roche (la numéro 2) mais peu. car trop nous brûlerait à tout jamzais, et c’est terminé ! On veut continuer notre chemin xde rage, nos insultes à divinités sont en chantier, le vent souffle sur nos faces vives, nous voulons tenir et résister, nous ne voul;ons pas nous couchezr. ce que nous voulons ensemble ici est cette chose d’une sorte de tenue dans pour le coup l’adversité buffante de la roche dure des fonds de paroi. nous voulons comprendre loin = dedans, mais cela sans crainte de devoir y passer fissa ! on veut pas ça ! on ne veut pas de cettye chose-là ! ce que l’on veut c’est ça = te ni r ! tenir debout ! tenir par les deux bouts d’une vie vive encore en vie. ce qui est ici est ça : cette envie d’être en vie = à jamais ! cdar voilà ce qui est ici (roche des temps) : on voit le passage vers un au-delà menaçant. on sent cette chose devant : flamme !feu ! feu brûlantissime ! lave en fusion ! volcan ! on sent d’ici le feu dedans ! on lme sent d’ici (la vie) alors même que qsuoi ? on sait quoi ? on voiit quoi ? on comprend quoi de là ? on est loin de tout et on dit : le feu ! or : que sait-on de toute cettye affaire de feu des enfers et aurtres portes ouvergtes sur un chemin illuminé ? Nous ne savons pas ce qu’il en est ! Nous voul;ons toucher la roche 2, nous voulons toucher la roche dite numéro 2. nous voulons cerner lkes données basiques de lma foi, soit de la foi en ça = cette chose-là qui nous «regarde», nous «espionne ? Cette chose d’une sorte de «finalité absconce» (?) ou quoi d’autre en vérité ? nous cherchons ! NBous sommes deux = 1 + 1, à chercher ici des données. des dons de nature et autres vivacités déposées mais pour nous autrtes (si possible), cette fois, dans le sens contraire = dans le sens qui va de là (la mort) à là ( la vie) ! une fois n’est pas coutume ! or : la mort a-t-eelle les moyens (physiques, matériels, concrets) de nous parler et de nous dire (sans contrfaçon) la vérité ? j’(en doute ! je ne sais pas au juste mais je syis plutot du genre qui doute; la mort n,e parle pas, ou pas «de là», de «cet endroit» que l’on voit (par ma foi). la mort, si oui peut-etyre elle parle (tout bas ?) ce sera plutot par ma voix ! la voix que j’ai en moi, que je porte, dont je suis porteur. hélium de bas-age ? chant total ? cartouche ? je suis un homme de type «parlant» , et cela , que continueeellement je raconte, est cette chose d’une voix de base motrice liée à la mort par le verbe. on sent la chose fortement . comme quoi le  erbe est jonction, ou assure la jonction (enttre la mùort et moi en vie). je regarde devant moi et voit cette rage à être pour moi (pour tous) l’ennemi numéro 1. je regarde devant moi et ce que je vois là) cv’est ça : cette engence des templiers, cette charge murale, ce trou de cachette, cet enveloppement mortuaire, cettye voix des profondeurs, ce feu coriace, cette flame vive, cet enduit des coeurs. je cherche à piger vif. on cherche à cerner des données de base. on cveut co:mp^rendre ce qyui est qui va vers soi. on est là face à l’adversité venteuse, face au vent des caraïbes, face au vent des fous et autres mistrals. on voudrait dsavoir ce que c’est que certte chose d’un vent de paroi : pets de rage ? fou vent d’un cul de basse-fosse ? cul béni pouffant ? chant choral des catacombes ? soudffle divin ? pet de nonne (ah ?)? on ne sait pas ! on cherche à savoir de ce pas. Qu’est)-ce que c’est que cette chose-là ? qu’est-ce que c’est que cette chose de paroi qui est devant soi . que penser deça. qu’estce que cest que cette chose là devant soi . nous cherchons ensemble les données rageuses, les données les plus vives qui soient, les plus riches et vives. nous ne voulons pas y passer mais comprtendre ensemble cette chose , ici (devant soi) d’une sorte de paroi percée. qui est qui ici ? qui sommes-nous face à l’adeversité venteuse ? squi nous voit de là-bas (ou pas ?) ?Nous voulons comprendre ce qui est . nous voulons trouver «des choses» de poids, on le sait : chants totaux, betres-monstres, trous royzaux, carrosses, combles. nous bvoulons toucher à une chose dure qui serait la chose des p^rés, une chose vive des prés. betes des allées et des venues en roche des prés. nous vou;lons toucher la Chose dure devant soi, dure cvomme tout. cette chose devant nous = une sorte de trou dans un sas, trou fou , trou des fous ? Nous voul;ons toucher cette chose devant nous mais sans bnous brûler de préférence (oui !) et sans avoir à succomber non plus, ça c’est une certitude (foi d’homme et de femme nus). nous voulons aller dedans la rochye nous poser un temps, et depuis là (de là) aller fissa, vers ce fond de paroi dite «mortelle», chercher faille (oui ?) et faille trouvée voir dedans (comment ?). car on veut savoir ! mais comment savoir ? par du verbe ? laisse-moi rire ! oh de grâvce un peu rire ou de rire ça soulage ! laisse-moi me torcdre ;les côtes ! On peut pas savoir avec que ça ! avec que du verbe va ! onp )eut pas avec que ça (verbe ailé) savoir ! ça ne se peut pas ! le verbe... ne sert pas à ça ! contraireùent aux idéees acquises ! le verbe n’est ^pas là pour ça ! Le verbe est là pour combler la faille , pour faire parade, mpour boucher bouche des ap^prêts, pour combler le mal cxdentaire et autres trou de basse mesure. nous voulons comprenderr ce qui est ici (faille de vie) mais comment comprendre ? en butant contre les mots d’un e rage sourde ? peut-êttre ! après tout pourquoio ne pas ? pourquoi ne pas dire cela ? la vie est une sorte de :misère incantatoire. on pâsse du temps sur mesure, on trace des traits de :la rage à êttre, on suit chemin de destinée votive : cris massifs, chants choraux, hurlements en faveur des fonds, tribulations. on veut toucher la roche terminzale maios sans y passer . on veut être des enfants de l’âme. ou : enfants des parades. ou : enfants des paroles sales. ou : e,nfants des mots gros de ta rage. ou : enfants fous ! Car le vent est fou qui nbous pousse au ventre, à la face nue, au sexe natif (et naïf), aux quatre memnbres. nous voulons en vrai toucher roche, Roche 2 ici, et comprendre, cvomprendre loin = dedans. comment noius y prendre ? comment faire pour comprendsre ce qui est qui se dessine au fur et à mesure de nos avancées v erbeuses de concert, comment faire pour cela toucher , pôur piger ?Nous voulons comprendre à deux la Chose. nous ne voulons pas laisser tomber. nous sommes entrés dans une sorte de sous-pente ou cvomment désigner pareil logis des prés et przairies ? sous-monastère ? nous ne savons pas . nous nous avançons en cettye bulle (cloche) de vie «prise» (comme on dit  «un sang pris») et là, fissa, allons sur le chemin d’une (sorte de) voie d’abord, pour la Vérité. nhous marcghons en semble côte à côte vers la roche (la numéro 2 ). nous nous fzaufilons entre deux parois de rage. il ya ce passage pour deux que nous empruntons. il fait bon. le fond de l’air est doux. il fait bon vivre en ces prés de soie. l’herbe est fournie, la roche est belle, le temps clément, lea vie fine et élancée. bnous voulons aller vers ce trou dee fond de paroi de roche. ce trou-fond de roche dure. ce tréfond de paeroi coriace, percée, dure de chez dure. nous nous ap^preochgons d’icelle. on voit quoi ? on voit que la roche est trouée en son milieu ou sinon comment ? ici même = face à nous ! jouys sommes deux qui voyons la chose trembler devant nous. roche des dieux imberbes ? faons de carrosse ? rois divins ? charhges massives de données rupestres (aurochs ?) : nous voyons cela, comme quoi ici ce qui est est gros de soi. est une chjose de bon poids moléculaire. ça le fait grave c’est un fait ! c’est costzaud des épinettes ! ça chyarge son pesant de cacahuèftes, de caca tout court ! fumeterre ? nous voulons cerner la roche percée (coups de craie) et nous en avancer pour la toucher furtivement, furtivement pour ne pas nous brûler de préférence car le risque est là (dit-on) qui est qu’on peut ici vite fait s’y brûler méchamment, car c’esst méga-chaud ! ça rigole pas ! ça crame le bras ! ça te brûlerait tantôt sans forcer de trop ! c’est vif chaud crois-moi ! ça br û;e  massif ! c’esqt chaud ! Et nous dès lors de fgaire méga-gaffe à pas sebrûler car nogtre but est de toucher sans y passer. toucher à «porte de la mort de base». toucherr vif à porte de la mort. vie contre mort mais toujours en vie. pas évident que ça puisse. pas sûr que la cghose se puiissse vraiment en vérité. on s’ampproche à pas comptés, doucfement, on s’approche du trou béant. on voudrzait pâsser un oeil maios comment tu  v eux ça brûle un max. ça chauffe dingue. vent fou des chaleurs de brute ? chaud devant ? on cherche ! on veut savoir. on voudrait savoir cce qUE c’est que cette chose devant soi. une chaufferie ? chaudière ? poele à bois ? poele à granulés ? poelme à fiuoul ? une cheminée centrale avec passage (conduyit) d’évacuatruon pour les fumées nocives ? on est là pour cvomprendre ça qui est pour nous en vérité. on cherchge à cerner à vif (sur paroi de roche) ce qui est en vrai en la matière : bêtres de roche = bêtesde poids = massifs verbaux = insuyltes rapides = chants totaux = cri de joie d’un être de joiue monacale (pa riétale ?). on veut e^tre ça ici pour soi : chercheurs émérites, trouveurs-fdénicheurs, e»nfants des trouvailles folles, hommes-azuréens. nous avons ensemble à comprtendxre cette chose ici d’une voie d’abordd pour une penseé de la mort. mais hé ! comment tu veux ? la pensée s’enfuit à l’approche du feu pariétal. les mots filent comme des b elettes. on voit plus personne. le désert nacré. plus âme qui vive sur pierre dorée. ça fiche le camp ventre à terre, ça fiche la trouille incidemmlent ou comment ? on cherche. on voit le trou devant soi qui nouis interpelle (ou sermble ainsi faire). quyoi est dit ici ? quels mots sont ou seront prononcés ? y auratil des mots ou même des phrases complètes ? qui sait ça ? qui pour nous dire ce qu’il y a là ? On cherche à comptendre. on est là pour ça (ou pas ? en partie ?). on voudrait comprendre en semvble  ce qyui est ici, en termes de voie d’abord à la mort oub pour la mort ou vers la mort. on ne sait pzas tout. on veut voir dedans = passer la tete : verbeusement ? On veut passer verbeusement (dès lors) une tete, raisonnabmemment tu penses ! ça le fera pas car quoi, ça crame sévère, c’sst pas pour ça mais vas-y comprendre ! c’est chaud mais pas que ça : ça ne pârle pas ! ça ne dit rien qui vaille ! c’est du charabia ? pas même ça ! c’est pas. ça ne parle pas devant soi. ce qui parle c’est en soi (en  n ous) la vie, attrappée par les deux bouts. ce qui parle ici provient, de ce nous de jhoie en  nous (en je) qui vitupère et crache que tu cracheras sa hainec = sa foi. nous voulons comprendre ensembvle un certain nombre de données de rage vive en nous, donnés vives et fer:mes, percées de roche par là même, trou effectué pour un passage à l’acte dans Roche 1 des prés et praiories. roche 2 en point de mire . mort alpestre. ça bouillonne grave, on voit ça. on veut comprendre. on veut aller en roche à deux afin d'enfin comprtendre la paroi des fonds,  ce qu’elle contient en termes de données de base : victuailles ? déposituions ? cris hachés ? chants de rage à être ? cucurbitacées ? ,nous voulons comptendre les données profondes en roche (de la roche) et dès lors les retranscrire incidemment à l’occasion, pour notre (propre) gouverne personnelle (peut-être) mais aussi pouir d’autres gouvernes, pour une humanité entyière de fgouvernes. nous nous approcho,ns de cettre roche dure et nous regardons ce qui est. on voit qauoi ? on voit des bras ? deux mains tendues ? deux mains de la rage à naitrte ou à cfaire naitre ? on voit deux mains de là , soit de l’endroit où l’on se tient debout, face aux vents des trous de base.on voit quoi ? deux bras de roche 2. on voit cette chose là de ces bras tendus. on voit cela : deux bras = deux mains = demain = deux entrées peut^être ? ou sinon deux, une avec en elle deux étais ? on dit ce squi est pour nous, qui sembkle advenir vers nous mais on ne sait pas au juste ce qu’il en retourne. on dit cette chgose, comme quoi «on voit» = on parle. on dit  cette chose , d’une sorte d’avancée vers noius, de deux bnras de base , avecmains en bout, mains surnuméraires. on voit ça. xdes mains en veux-tu en voilà. on dit qu’on voit dfevant soi des mains (rocheuses) tracées au cordeau, à l’emporte-pièce, à la souflette (?) , au charbon de bois. on dirait çàa. on essaie cde voir cette chose d’une rage vive , d’une rage vive des parois des rois , cette rage «en soi» que la mort détient, à part elle et pour nous faire aller dans un sens précis qu'elle seule sait où c’est. on est là face aux quatre vents de la paroi. ça nous souffle au visage de plein fouet. ça rigole pas des masses. c’est vif de chez vif et du feu de kl’enfer on dirait. chaud devant qu’iul disait ! eh bien ouyi ! eh commùent ! ça chauffe grave ! ça tourmente un max ! c’ssrt pas de la rigolade ! On veut savoiir ça ensemble = toucher à la roche des prés, au trou de la balle, au chant choraux, aux abris mesurés, aux victuailles déposéees. nous sommes qui voulons aller en elle (roche = roche 2) au plus lointzain, profonde, ancré, massif que nous pouvons. ça vente c’est un fait. c’est le vent des fous qyi remongte , qui en monte, qui en monte sec. c’est à prendre ou à laisser. on est là pour aller dedans toucgher. on edssaie de comptrendre. on voit ça : ce trou de rage, percée vive, anfractuosité maussade, vive clarté attenante, cri de joie des profondeurs et chants de base rageuse. on voudrait comprendre = voir. voir de près ce qu’il en est de la mort telle qu’annoncée. on regarde , on voit quoi? on voit rien, on est aveuglés par tant de richessaes ancrées = la réalité. car la réa :;ikté fait feu de tout bois ! elle est chargée commùe une mule, elle part à hue et à dia, elle n’a pas de sens atitré,; elle va ici et là et ne s’en laisse pas conter outre mesure. la réalité est une sorte de parade, de paroi meuble, chant total des totalityés salutaires. on voitr ce chant aux donnés diverses(roche 1) mais ap^rès (roche 2) ?on voit quoi après ? on voit une chose = cettye chose rude d’une sorte d’axe , de roulement, d’essieu, de tronc mesuré, de tige spatiale . on veut comptrendre ce qui est cdevant : du vent ? peiut-être ! peut-être en effet s’agit-il de vent, de vent de fgace,; une face devanrt nous qui  faisons face. vent cde rage. dsouffle «embarqué». cri des joies mesurées. trou d’homme (cd’ombtre ?). nous cherchons ensemble à comprendre. nous cherchons ensemblke des données, des bases, du sens, du sens à la vie, des mots de rage, des mots de vérités, des effets de base massive, des bêters de poids riches de données de poids. on est là face à ça qyui nous regarde =  oeil desd prés, trou des parois meubles, entrées. on voudrait passer un oeil (une fois) mais surtout pas ! car qui dit ça dit y passer. passe l’oeil et tu y passeras tout court. on voit quoi ? une sorte de passage-verbe. passage cde verbe. mots de la mort-être. passage-verbe pour une sorte en soi de mort attenante. on dit que ça, la mort, est attenante à du verbe en  ous (forme bêtes) qui ewst là pour faire accroire, et peser de tout son long ou de tout son poids dans la balance. on veut tenter dde comp^rendre des donnés cde rage (à être ?) dans le sang = la vie comme elle va = comme elle va de soi. on est deux pour ça. on s’avance à deux, on va vers des embrun s, on ciomprend sque les mots ne portent pas ou pas bien loin. les mots (peut-être ?) reste»nt à squai , qui ne savent pas «monter» (montrer ?). nous nous blotissons l’un lm’autre. nous nous tenons chaud. nous voulons touchert , une peau de base vive : celle d’une roche (percée) dédiiée à une déité. qui va là sur roche ? moi ? je ne xsais pas. les mots trimballent bien des choses qui relèvent de la mort en tant que phonème. je vois ça de là = de loin. je ne suis pasv près d’en découdre (jamais ?). peut-on e^tre près d’en dé coudre plius que de coutume ? qui voit-on d’ici-bas ? les mots ont-ils de l’enverguure . loes 

mots portent-oilds loin ? vont ils loin chercher des données . les mots porgtent ils jusqu’au bout du bout .  les mots porgtent ils si loin que ça en vérité ? pas sûr pour deux sous. ça ballotte pas mal. ça b ranle du chef mais ça balotte un maximum et ça perd vite piefd car lkes mots n’exploreznt pas la mort. les mots restent à quai, qui ne servent à rien d’autre que de faire figure, de tracer figure, de tracer aurochs pour en imposer. les mlots chargent leur misère agraire. on sait cette cbhose, comme quoi les mots sont qui chargent à v if (aurochs massifs) lejur misère de base prairiale , ensoleillée incideezment, ventilé ô combien, vivve de chez vivze. on avance à pas comptés = pas à pas comme des sherpas. nous sommes sherpâs. nous voulons comprendre ce qui est en ce convoi ici de sherpas motivés. on essaie cde s’avancer groupés. on cherche à neuf (neuf  ?) ce qui est (ici) qui nbous regarde = qyui nous concerne = la mort. la mort est une bé»a&nce vive , devant soi (sous nos yeux) qui nous «revgarde» en cette chose qu’elle est là pour nous faire chuter. or ici, le verbe (ou le dire) permet cette chjose ancrée (inculquée) d’une mise à bonne disytance (un temps) par du ver  be dépl;oyé. nbous devons comprendre ensemble un certain  nombre cde données rageueses pariétales. on est là pour ç a : comprendre = prendrev =prendre le pâs = prenxdre le pas sur ça = prendre sur ça (la mort) le pas qu’il nous sied de perendre au débotté. nous avons en  ous cette envie cde vie, quui «pousse au cul» de notre être touché, meurtri par la bande. on avance de  c e pas. on voit qauoi ? on voit pas grand-chose. on voudraiot comptrendxre u,n grand nombre de choses liées à la mort (et à la vie par contigyité). on av ance fissa vers la roche. on voit les tracés (roches enjol;ivées) et on voit cela de la façon qui, à présent, nous vient en premiier , à savoir comme quoi tout dessin anui:malier est masse explosive de mots amoncelés pour vfaire ainsi que le-a chose est vraie = vivante , et massive = impactante comme une sorte peut-être de roulement (roulement de ta mbour) faisant accroire, faisant impression. on est là devant roche 2. on cherche à percer le mystère, avec quoiu ? avec du verbe ça fait rire. lEt ici le rire est gros du verbe déployé, le rire s’impose comme une sorte de donnée ma ssuive (fou rire) qui «le fait» c’sst un fait. je vois cette cghose là d’eune sorte (un massif) de rire fou , majeur, déployé et impactant grave. vive ce fou-rire ! ou : que vive ce rire desq fous ! cde fou;-rire vif ! chantons donc ensemble son avènement ! car ici le rire prime sur un tout sensique ! ça dépote grave ! ça y va ! ça chante son chant de paroi (grave) et peuple la terre ! On voit depuiis là-bas (champs et prés) l’entrée de la grotte rupeswtre. on devine une entrée cdisons : ce trou de base, ce passdage menu pour un corps menu. on veut etre et avoir. etre dénicheur (la renommée) et ahvoir pour soi le butin, les trésors posés, tout l’attirzail. on voudrait être et avoir de quoi. etre le qui trouve (ou la) , et avoir pour soi (oà part soi) de telles trouvai;lles telles que précédemment listées : charges frontales, massifs de tzaille, betes-monstres à la cravache, pierres monuments, chants de roche hautains, pissadou. on voudrait comprtendre ce qui est ici (rocxhe 2) pour soi, qui serait là à attttendre, à nous attendre de guingois ou pas, mais là. on cherche à comprendre la paroi, ce qu’elle recvèle en termes de trésors cachés, bijhous en beautén, perles princières. on ne s&it pas. on est là pour toper la chose, signer d(un nom l’ensemble d’une découverte. on veut pouvoir dire ce qui est. la mort est, trois points, croyance ancrée en l’homme et ezn la femme des cavernes. la mort est, trois points, uune donnée de base rageuse (rageante ?) qsyui nous tend ses bras (mains ?) et nous interpelle. la mort est devant soi passage alambiqué, pour entrée directe ezn cette matière du feu de la hjoie de l’être. nous voulons compren,dre cette joie. nouis voulons aller loin en elle. nous voulons toucher la roche des parades n acrées, des partici^pations massives, des chants de parois, cdes bêtes des prés chevauchant la roche. on voit ça : une sorte de trait de joie dans la roche . mains surnuméraires ? parades ? tambourinrements rupestres ? chants et cris de circonstancesq ? points d’azur ? points d’époques anciennes ? nous nous approchons de la roche xdure. nous voulons aller en elle fissa. nous ne voulons p)as défaillir mais aller profond, en elle, à la rtecherche d’une voie d’abord , axe de vie, charge vive, trou des fous. qui parle pour moi ? qsui par(‘le en moi ? qui pzarle pour moi avec moi ? qui parle pour moi en ce sas des sas? je cherc he (misère) à comprendre ça qui va là face à ça qui est là = la mort sûre. je suis cette chose devant moiu ? je colle ? je suisq cette chose qui est là qui va devant soi ? je cherche à faire ainsi que les choses sqoient pour moi comme indiqueant une marche à suivre? je suis homme des paroisz rudes. homme rude des parois dures, rudes, menaiçantes. je voudrais comprendre loin en roche les donnéesz basiques présidant une sorte de royaume. nje suis l’homme des pzarois du monde, dieu du ciel et dxe la terre, enfant-faon de base, rois des nez et autre s pieds cde nez. je cherche à piger c’est un fait ! Je chgerche à ne pas rtrépâsser c’est encore plus vrai, et cela comment ? en étant vivant= en «étant chgargé (en moi) de bêtes rosses (de bon poids de base) amenées à figurer sur roche le cas échéant (parades nu^tiales rupesgtrss) . je suis je (être vif- qui cherche voie (rocheuse) par où s’immiscer. on voit c ette chose depuis là, depuis l’endroit de base où nouis sommes. on est là qui allons vifs en pareilkle roche (bras dessous bras dessus comme autrefois). on cherche à toucher une chose rude, dure, massive, pleine, compacte = une bête rosse = un cerf de przaiorie céleste ? on aimerait ! On vbeut aller loin ! on veut aller le plus loin possible avec des mots ! oi n chante ! on voudrait comprendre via le chant cde rage ! On veut ça : comprendre via du cha nt., Mais comment co:mpte,ndxtre via du chant ?  en allant fissa par la bande ? pêut-être ! ça se peut ou ça se pourraiot. on en avance finement, on meswure le chemin pasdsé, parcouru, on se dit que ça le fait déjà il semblezrait. on veut faire ainsi que les choses soient, pour bnous, comme des tracés, des chemins ancrés, des voies dessinées, des pasdsages marqués par la bande. voilà tout. on s’avan ce à pa s co:mptés sur pareille lande (ebntre cdeux parois : pario 1 et paroi 2).  on dit qi’on veut ça : savoir. voir cde squoi et savoir pourquoi. ,on, dit qu’on cherche ensemble  c e qsui est,  e qui se trame sous  os yeux d’enfants ahuris voire obnubilés. le temps est le treacé vif (en vie) de la rage à être. la mort est une sorte de passé de b ase brûlé (ça le fait). la mort est une sorte de donnée royale comme la gelée. la vie est vie vive dans le xsang royal d’une vie d’emprunt à tout jamais. nous nous aapuyons sur ces données (et sur x’autres, nombreuses et variées) pour en avancer dans nos découvertes. nous nous appuyons de force, de guingois peut-etre et bon an mal an, mais touit de même, avec conviction etc. les mots (le verbe) est pic de percée et c’est marre (via du son, du sens, toute une frappe) et nouis voi;:à, qui en avançons de base vers la roche 2, cdite 2 car elle sw’impose en second lieu (loin) à notre gouverne entrée en fanfare da ns le sas des sas alloué à une vioe terrestyre., la morgt est chantde passage. la mort est acidulée. la mort est ancrée comme à la parade (pnuptiale, bvestiale , pâriétale). la mort est un chant cde paroles i naudibles =ais peuplées , peup;lées de betes-mots ancrées à même la racine dxes dxonnées primaires ou premièresw. la mort erst un e chose rudee à partager v(nbous sommes accolés, nous sommes assermblés). nous voulons aller en  cette roc he des données brutes, à la rechezrf he (a ctive) d’une voie d’abord, d’une voix d’abord puis d’une voie d’abord. les mots portent un sens qui dit ce qui est du monde adjacent il semblerait, mùais voi;là : ce sens portant a été devoyé, deplacé incidemment par quoi? par les tourments liés à la roche du temp^s : fumisteries, chants rudes, chapitres d’une vie fanée, rudiments lacutres insuffisants, mauvaise tambouille verbale, charlatanismies. nous avons en noys pour nous la chose rude devant  nouis : porte en bois. je cherche ! jke trouve du b ois ! eh bien, aallon s pour du bois ! allons fissa ! Nous voulons ensemble aller ainsi vers une porte vive (chaude) wqyui est là pour nous comme une sorte d’entrée (massive : aurochs) dans une matière dde vie (;liée à la mort de la rage à naitre). on comprend bien desz chosxes à présent. cfomme par exezmple  ette cghose d’une sorte cde paroi active, vive et nacrée, devant soi, en receuil des voix (les nôtres) et des voies (d’abord) pour une «rencontre». on est là qui allons , qui poussdons la charge comme des putois, comme betes de rage, de sang pris, de massive agttaque. on en veut. on cherche une voix pour soi (actif) et une voie d’abord (passif). on file à tout va vers cett en droit (voie d’or) de passage. est-il là pour nous aider à y voir clair ? est-il là pour nous aider à mieux cerner la base et le so=met de l’être ? est-il là pour nous montrer la voie (sanglante ?) à suivre incessamment ? :e chant sourd d’un trou de base. il s’agitcde le co=mprendre ensemble (chant choral) et d’en tenir co:=pte infiniment. on est là ensemble face à elle (mort d’ombre) et on regarde vers elle, on cherche une foule de choses, de détails, à pouvoir ai nsi prendre pour soi ou à part dsoi, à part de sa gouverne, loin des yeux peut-êztre mais près d’un en-soi basique, cordial, en son sein, c omme une sorte de pierre de joie, de vie vive allouée. nous   nous immiscons en  cette roche 2, nous cgherchgons passxage. nhous cherrchons le passage cd’une sortye d’entité narquoise. nous nous infiltrons par une sorte de passage «outreé» qui xemble ici nous appeler ou vouloir ce faire?

. la mort parle-telle ? parle)^telle en nous ? la mort parle t ellmke en ous ? ;es mots en nous sont ils l’apparten ance de la mort ? les mots portés par nous szont ils à la mort en termes de prop^riété active, d’actif ? nous voulons  cer ner xdes chjoses de passagve. notre but ici est de toujours cgherchezr la chose à dire (encore et toujours) en face de la mort. les mots portés par nous sont)-ils à nous ou sont-ils à quelqi’un d’autre ? sont-ils à la mort ? la mort à trav ers nbous dit-elle  ce qui’elle a à dire? les mots cde n otre rage sont, qui vont. nous voulons ensemble nous poster sur roche, ouvrir une porte (bois) et passer mais san,s trépasser. mais co:ment passer sans trémpassserr ? comment faire cette chose xd’un e sorte de’emba rdée voti ve à même la roche (1 et 2) ? Nous  cherc hons ensemble à nbous approcher d’une sorte de roche de poids. nous chertchons e nsemble à nous rapprochezr d’une sorte de paroi de base, emplie de bêtes-monstres s’il en est (et il en est des tonnes, y a qu’à voir !). on se dit enswemble qu’on se doit de faire ensemble des choses par la bande. on veut être nés ici de ça : cette bande traçante pour soi des mots riches d’une vérité incommensurablement assurée. on cherche : on poiusse. on pousse = on porte. on est là ensemble munis de mots de bêtes pour une parade. on veut cerner cesz choses rudes. on veut aller loin en roche du temps. on veut toucher à la roche des temps impartis à une vie de base sévère, certaine, sûre d’elle, dure de chez dure = ancrée comme jamais. nous voulons toucher à la roche du temps et fissa la traverser de force (à la une à la deux) et ainsi fait (la travezrsée) aller vcers roche 2 en continuyité, pour (dans la foulée) une nouvelle emb ardée de rage, pour comprendre loin = ici = là = chargement frontal. Bélier toute. on charge! on court devqant fissa à la une à la deux surnuméraires. je veux bien co:mprendre ce qui est en roche 2, mais d’abord toucher à cetgte frise, à ce décorum, à ces dessins de betes au taquet. toucher la pelisse bestiale : bambinette et autres betes des bois et fourrés. puis, ensuite, après la caresse, bvers la fin, aller loin. je suis hommùe-)femme attribué à un e sorte de paroiob de base tangible, concrete, allouée

 à une sorte de passe-montagne, chandail, pull marine, vetement de passe, corsage, nudité bafouée. nous passons. nous nous avançons vers le trou lointain d’une roche dure, la 2. nous sommes qui al;lons vers elle gaiement, enjhoués comme des enfants (gardons cette cxhose en mémoire). nous nous approchgons d’un e roche dure. bnous nous approchgons d’u ne sorte de parois de bure, vetement de base, chaud devant, crépine, gaine vaginale, onguent. je cherche à co:m^prendre. Je m’avance dans la xainteté monacale d’une sorte de cave nuptioale,  avité des cavtés. je cherche à co:=prendre. je suis là qui chercbe les données de base, données vives d’u ne sommité de rage devant soi qui sait. J’avance fissa. je charge (aurochs attribué) . je vais sur p;lace à lza rebncontre d’une déité nacrée (foi-) qui (déité) est (de fait) persona non grata peut-êgtre (pourr bauecoup) mais pas pour nous. Je cherche cette deéité en roche dure (la 2) pour comprendre mieux les données de base mortuaires. je suis là pour ça. je m’avan e. j’avance à pas de loups ou bien fissa selon les moments (je varie). je suis homme femme des embruns de base. je voudrais comprendre dans la profondeur ce qui donc ici se passe sous nos yeux, d’enfants ahuris (voire baba). nous ne savons pas exactement à quoi nous en tenir, sur cette question (fine) des données de base contenues. nous chertchons à bie,n cerner ensemble un  certain nombre de données vives ici contenues (à m^$eme la pierre).nous sommes ensemble qui nous approchons d’une sorte de porte dans la piee-rre; nous cherchgons ensemble à comprendre cette chose ici d’un,e faille , ou d’une fente. nous voulons tenter cette cghose, d’une sorte de compréhensionn mùassive, compacte, dru, à même la roche, des données de base en présence : antilopes ? anti-quoi ? nous voulons ensemble trouver à toucher, à nous coller à pareiller rochje, lma toucher de base, lma toucher ensemble de concert, faire ainsi que nous puissions entreerr oà son contact dans l’antre divin, verni, chjaleureux, votif, d’une sorte d’antichambre à tout. mais est-ce possible ? peut-on raisonnavlement espérer cette chose . peut-o,n croire en cette chose fd’une sorte de paroi mobile, laissant ici passer certains êtres et pas dx’autresw ? on sait pas. on regarde depuis là, soit loin , le feu qui couve au lointain. feu ? foi ? fille ? faille ? faon ? fou ? on ne sait pas?. Effe ? comment dire ? elfe ? oh peut être, ou peut-être pa s ! personne encore l:à pour dire à moi (à nous) la chose juste ! ça ennuie ! ça pèse !  car nous on voudrait ça pour nous ! ce savoir-là ! cette cghose vive ! on voudrait savoir ce qui est ici = cette choseds des parois du monde (enclave mal foutue ?) et ensuite aLOrs on s’allonge (solitude) et on attend (amplitude des en,trées possibles et autres passages dans l’au-delà). on chertche à se positiuonner au mieux dans l’atrttente = vie de base et vie de rage ne font qi’un dit-on. on voudrtait comprtendre ensemble ces données, ces bases de rage (mot à mot). on insiqste. on voit loin là-bas le feu fou (follet ?), la faille-fille, la foi qui grandit via les mots du cru. on est là ensemble à chercher de rage une voie d’abord pour une percée-embardée à même la roche verws un futur. on est ensemble main dans la main. on veut ensemble per cer des mystères (soi-)disant mùais pas si sûr !). on pousse loin mla chanson des bases :lacustres et autres données de rage fvrontale. on va loin. oun pousse. on essaie ensemble de crier nos rages diverses et autres tourments associés. on est là ensemble pour toucher la roche du temps , la percer soit la traverser, puis, dedans, aller fidssa à la renvontre de la rochge dure n°2, celle-là en fond de ca le. on est là ensemble qui chertchons à co:mprendre ce qui est pour nous qui se présente à nous sous forme buccale. bouche de la vérité. façade trouée. chant sourdant des profondeurs d’un gosier?

. colère monstre en forme d’entrée en matière, coeur avide, logement du roi. nous nous approchons de la chose lointaine (feu ! feu ! feu ! feu ! feu ! feu ! feu ! fezu ! feu ! feu ! feu ! feu ! feu ! de tout bois on voit ça). ça crame des masses velues, pioilues, chevelues. aurochs en ligne ! chants des roches habitées par des bêtes-mots de première, tout droit sorties de nos entrailles pariégtales. on rêve !on v eut comprendre ce qui est ici devant : ces envies de vie rudes, ces bois posés, ces mers acifdulées, ces chevaux nappés. on est ensemble qui voulons comprendre ce qui est dans  e qu’on voit (et dans ce convoi): betes rosses sur toute l;a ligne, beautés vives, biches des prairies, cerfs olé-olé. ça le fait. ça plombe. ça pèse son poids de carrosse. on essaie de ws’approcher encore mais rien de moins aisé en vérité car la chgose des fonds est  brûlante, brasier, vulcano de base, lave riche, chaud devant, fusion rosse, Calor°. Nous voulons co:mprendre ensemble un certain  nombre de grandes donn,ées frontales comme par exemple celle-ci, concernant le bruit (ce bruit d’entrailles) : estce le bryuit de nos entrai:les ou bien le bruit d’entrai;les «autres»? en d’autres termes : est-ce le bruit ici de nos prop^res entrailles de vie ou bien le chant sourd de la terre ? on cherche à savoir (qyui le sait ?). on est deux ainsi (associé, accoup;lés, pris) à chgercher ensemble une sorte de swemblant de chose dx’un e vérité ancrée. on vceut bien s(avqancer pour comprendre mais sans se brûler c’eswt un fait. pas là pour calciner. pour se cramer. pour perdre le nord. on est là pour toucher le verbe, en soi (betes de rage), d’une sorte de serment vital. on cherche. ça ira ainsi. on v eut pouvoir aller profond ezn roche, creuser la paroi des monstres, dxes betes vives, des aurochs. on voudrait comp)rendre ce qui est ici en termes de données basiques vives animalières : dsont-elles des mirages dorés ? embardées imaginaires ? ou vraies bêtes données pour un faire vif ? nous voulons comprendre cette chose ensemble, d’une sortye de donnée vive (ancrée) ennous, qui sommes des enfants de bas-$étage, pauvres de nous, vifs chenapans fluets, coureurs a ssidusq, courseurs ventrus. npus voulons entrer en roche vifsq = en vie. entrer en vie en roche 2, et demeurer ainsi en vie en ezlle, afin de cerner (de tous nos sens) ce qui est. soit la vérité sur bébé. sur la Chose des temps attribués. chose vive et rude sq’il en est et il en est c’eest une vérité. j’aime ainsi aller en roche traverswer icelle vers deux mains. j’aime ainsi beaucoup aller en cergtte roche, à la traversée vers des lendemains. nous devons comprendre cette chose d’une sorte en soi de donnée massive (buffle, bison) squi nous porte, et cette donnée (buffée) = le Verbe, on le saiyt. le Verbe est (de fait) une entité lourde de poids , qui peut nous porter et le fait, nous maintient debout pa r là même et nous aide à pour le coup en avancer fissa dans la vie terrestre. on cherche ensemble à bien cerner les probabiliotés, qui seraioent, de nous voir passer sans devoir trépâsser. comboien sont-ellles ? pâs bézef on dirait. pas bien gra ndes , alors même qu’on s’efforce violemmeznt depuis longtezmps à creuser kla roche du temps (bouquetins, aurochs, buffles, ours des bois et des cavernes). on est là pour ça. ;là = en roche du tempsq (entre deux parois swurnuméraires). pour ça : pour comp^rendre au mieux ce qui est de force, de rage aussi bien, qui nous attend. la mort = la vie mise à bas/ la vie = la moert mise à bas. la vie de roche = une certitude nacrée. le temps = cette envie de vivre sans trainer. la chan,ce = le vent qui tourne, qui vire et va dans de multiples directions. on va devant soi à la recgerche de la foi = du verbe ancré, placzé-déposeé devant nouys comme u,ne denrée. on veut faire ainsi qu’on sache ensemble (ça se peut). Pour cela : nous tenir serrés, main dans la ùain, aller ensemble à la une à la deux dans un même élan. touchher à cdeux la b oite aux malices. cherchger nutrition ensemble dans pareille boite. on abvance à petits pas qui sont des pas de chasse. on veut compfrendre ce que c’est que cette chasse-là. on est là ensemble pour cern er des choses de poids. le vezrbe ici nous aide à vfomprendre. le verbe est une sorte d'entité à part entière en  ous = dépot d’arme. nouys avons eznsemb le à comprendre en core mille choses rudes, mille et une choses folles, comment nous y prendsre pour en avancer incidemment, convenablement et cvonséquemment ? en chargeant la mule ? en nous chargeant nous mêmes jusqu’au bout cdu bout ? en comblant des trous de passage dans le paysaghe ? on s’avance ! on part en avance ! fort à faire ! des milliers de cxhosqes à faire ici et là. on voudrait comprfendre ensemble ces données ruprstres d’orneme ntation animalière, mais ce n’est pas simple. on voit des bvêtes qui s’amusent à se chezrcher, qui courent, chient, broutent etc, et nous de rêver à un sort similaire. pas d’entraves autres que domestiques ou cvomment dire ? on serait des bêtes fde poids, aurochs et autres, et on avancerait sur la voie tracée par lm’homme des cavernes; on chercherait e,nsemble, vivementb,  à  nouys approchezr d’une roche vive (ezn fin de parcours) et là, en semble touyjours, -on chercherait à voir x choses, pièces diversesq, rapportées ou pas, pour nous nous positionner (d’abord)  et pour piger de près ce qu’il en est en matière de chaleur ten ace, intena ble, du moins pour soi. on avance à petits pas v ers des vérités d’inclusion rocheuse. on voit peu car on est loin encore. que voit-on ? des flmammes ? non. du feu ? pas sûr . de la fumée ? peut-êztre que oui. fumée, feu, flammes. peuit-être. commùent savoir ? on voudrait savoir mais savoir n’est pas chose facile. on a beau s’échiner (s’escrimer ?) à chercher ici ou là, on est vite piégé par le sens des mots (qui l:a ramène vif) et dfu coup on tremble. on voudrait comprendre kles données frontales (frontal:ières, frontales) mais ce n’est pas simple. on se doit de se coller serrés. de faoire cvorp^s vraiment. de se pelotonner vivement. Car la vie est ainsi fqaite que la roche est dure qui nous surprend, qui nous prend en elle et nous surprend quyi allons vivement àç travezrs les prés courir l’amourette, ce qui est de bon aloi, ce qui nous fait être, qui nbous pousse à être. nous voulons comprendre ce qui est en roche 2, pour nous, en fin de vie. nous voulons cernert un grand nombre de données vives, contenues en pareille paroi = ces b^tes de poids, préalablement sorties de moi, de ma bouche : aurochs assidusq, be^tes-balises, bouquetins des chants profonds, buffle aurignacien, bison braque, ours poilaire aus antennes poilus, chevaux sanguins et juments sauvages, ourses des entrées de face, rhinogéronimo, planches de salut.

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16/05/2022

nous cherchons ensemble (nous deux) à comprendre ce qui est dans ce qui se trame. or la chose ici à comprendre ou à bien comprendre est celle-ci : nous devons francghir des étapes, soit un certain nombre d’étapes (un chemin de croix) jusqu’à toucher à cette roche dite de la vérité dont nous entrevoyons le bout via le Verbe; nous sommes deux qui avons pour nous cette chance de pouvoir aller dans la profondeur des savoirs rupestres. nous cherchgopns une faille de paroi, un passage fin mais pour le coup suffisamment ouvert pour faire ainsi que nous pussio,ns ensemble (main dans la main) nous introdyire et de ce fait, nous ancrer à jamais dans la roche du temps imparti. nous voulons toucher ensemble à Roche, nous ambitionnons cette chose. notre envcie est notre but. nous voulons creusrr en cette roche des trous de passage pour chacun de nous, et cela fait, entrer et nous loger en roche (blottis) comme on le ferait en vrai dans un nid. nous szommes qui voulons comprendre des données de base certaines, des données dures, pleines, massives, comprenant tout un ensemble de savoirs à acquérir (pour nous) pour comprendre mieux ce qui est dans ce qui se jhoue devant nous. nous nous immisçons de concert en cette roche des temps vifs, et là, blottis dans notre nid, nous voyons passer les bêtes de poids près de nous, nous les voyons aller et venir et courir, et charger. nous sommes parmi elles comme deux amants éplorés. nous voulons comprendre ce qui est ici (roche) en termes de données de base, d’étais, de solives,, de chgarpentes, d’architecture. notre but ici est d’aller loin en pareils savoirs, et de trouver le motqui dira la cxghose . nous voulons aller ensemble à la recherche de pareils savoirs de base , et pour ce faire nous nous promenons, nous marchons main dans la main, nous faisons corps. faire corps = s’aimer. s’aimer = aller jusqu’au bout du bout de la roche. aller en roche = se toucher. se toucher = vivre. vivre = aller en roche jusqu’au terme de ce qui est. je regarde devant moi et que vois-je ? une vie d’emprunt ! Un calice ! oh voilà ce qui est ! Nous nous agenouil:lons auprès de cette chose devant nous qui est une ouverture de paroi. nous voyons la chose devant nous comme une entrée de roche, une sorte en soi de passage de vie, un trou de rage. nous vou;lons aller dans la profondeur de pareillme nasse et pour cela nousnous blotissons l’un l’autre, nous faisons corps = nous allons , nous sommes qui marcho,ns, qui vivons, qui nous inscrivons dans un temps de vie (ici) pariétal.nous sommes deux ! nous sommes deux en nous ! nous = deux (en définitive). je suis nous qui est je. je suis ce nous de base rupestre, ce nous envolé, ce nous rageur. je cgherche à m’immiscer en roche du temps pour mieux comprendre les donhées les plus sommaires, les plus fines, ou primaires, les données de rage et de base, les données massives et élementaires. nous voulons aller loin en  cette roche des temps alloués à une vie humaine et pour cela : vif de rage ! à la une à la deux à tout va ! on crache ! on vitupère ! on s’exclame ! on rugit ! on chante ! on y va ! on crie nos cris de rage ! on s’époumone ! on pisse à la culotte (pour ainsi dire) et on cherche querelle ! On veut savoir ! on veut comprendre ! on veut dénicher et trouver des choses ! on veut pouvoir toucher la chose du temps, ce mal de rage, cette vipère, ce ciel de base, ce rocher tremblant. qui pour nous nous dira ? qui dira pour nous ? qui saura nous dire ce qui est «en vrai» et pas qu’un peu ? je suis un homme des cavernes. j’habite la roche incidemlen t mais pas tout le temps. je syuis cet homme qui tente des choses concernant la chose vive de la vérité des prés. nous nous agenouillons face à roche dure (excavation....) et nous cherchons à voir «dedans» les choses qui sont, qui perle nt. nous voulons savoir ce que c’estque ça. nous ne voulons pas y perdre au change = nous voulons donner mais recevoir = nous voulons donner de soi = de nous mais pas que. car nous sommes deux ici placés face à face. nous regardons la faille. nous sommes deux p;lacés ici (agenouillés) face à pareille faille cde roche, à tenter une approche, une immixtion, une immiscion, une sorte d’entrée de base, un petit doigt dans la fente. pas beaucoup plus a priori. ou tout d’abord pas beaucoup pl;us. car nous ne vou:lons pas «mourir» , nous voulons «tenir». nous voulons voir ce qui en roche devant soi(temps d’homme) va qui va. nousvoulons comprendre ce qui est en roche qui sezrait pour nous à nous attendre. qui est qui en somme ? suis)-je moi l’homme des envies de rage ? suiis-je moi la femme aux désirs ancrés ?dsuis-je moi la bête des pages et des pages ? ou bien qui d’autre dont  j’ignore trout à ce jour ? je cherche à piger = comprendre = prendre = cerner = aller = entrer = me blottir en cette roche des données cruciales. mon nom est le nom porté (lourd) de base. je suis homme-entrée ? homme -sortie ? qui suis-je ? je voudrais comptrendre ici une chose qui serait liée à une vie de rage sur terre. cette chose est une chose à bien cerner de préférence avant de la toucher = la bien rzgarder sious toutes ses coutures. car la vie est la mort sontt soeurs de courage. on sait cela. on voit des chosesw. on voit peu et surtout peu loin mais un peu quand même, cette chose en ce trou, ce passage ouvert comme une bouche ouverte. nouscherchgons à bien comprendre ce qui est ici qui pourrait nous aider à y voir plus clair. nous so:mmes deux (ensemble) à chercher la faille de roche. nous voulons comprendre ce que c’est que cette chose d’une faille en roche, d’un trou de passage, écartement pour une passage de mobile. nous voulons voir = toucxher (du regard ? pas seulement ?). notre envie ici (de passer) est liée à une vision (du passé ?) . nousvoul;ons aller dedans la roche (roche 2) vers des données de base à comp^rendre = à embrasser. qui saura nous aider à franchir le pas, à creuser profond, à sauter , à francjhir ? qui pôurra nous donner de quoi de fait nous sentir au mieux en pareille cavité ? nous voulons aller profond en roche 2 car nous voulons comprtendre ce qui est ici (là) dans ce sas de rage dit «de la mort en branche’»» . nous voulons toucher pour toucher. nous ne voulons pâs toucher pour trépasser. ce que nbous voulons c’est ça. nous voulons toucher la roche de temps et pour cela : une sorte d’entreprise en nous, une bataille en  nous, une lutte frttatricide en nous , une guerillea en nous = des bêtes de voix forte, allant vif de tout leur poids massif de bêtes de charge. je suis je rempli de betes de charge = nous. nous somme forts (ensembkle) d’une vie de rage à devoir déposer «devant» = dans le temps. voilà ce qui est. nous nous blotissons et nous cherchons à pour le coup cerner un certain nombre de données de rage pérennes. co:mment faire pour aller enswemble à la pêche aux données sol:ides , et cela sans coup férir, sans mordre la poussière, sans chuter cul pa r dessus-tête, sans sombrer ? nous devons nous appuyer sur des données so;lides (étayées) qui puissent nous rendre conscients, informés et formés. nous voulons aller en roche 2... sans y aller , et commùent ? eh bienn ainsi : en posant de nous un peu de nous devant. en posant de nous un peu de nous = le passé. le passé devant. déposer icelui. faire ainsi que les choses passées de nos vies d’allant fassent poiuds sur marche du temps déployée devant soi, voi;là ce qui est. nous voulons poser de rage une voix de soi faite de bpêtes de bon poidss dans la balance : le passé. je suis je qui va vers roche. je chante à tue-tête les chants de la roche des temps. ma voix contre une nacelle. je veux être CON-SI-D2É-R2É en tant qu’être de rage ruprestre , homme des cavernes, graveur émérite, traceur-cogneur-chanteur et partisan des chants . je veux être pris. je veux être pris de rage par la bande devant moi = cette chose d’un mural de base, peinturlure, animaux, cornes et becs. je suis un homme des cavernes. je suis un chanteur des temps alloués à vie de rage humaine. je treemble et lébvite. je monte en des cieux de pierre sol;ides. ma voix est la voix d’un homme sous emprise on sait cela. je suis comme sous l’effet massif en moi d’u ne drogue , d’un don, d’une parole, d’une mesure, d’une sortie de bêtes fauves par ma bouche ouverte qui crie. Je suis un homme des parois, je cherche à comptrendre qui est qui, et aussi : ce qui est pour moi devant moi à attendre «après» moi. je voudrais comprendre un cezrtain nombre de données de base concernant la vie et la mort sur terre. ce qui est qui est. ce qui est qui nous attend devant : la mort est-êlle ce qui bnous attend ? la mort a telle pour nous de quoi nous satisfaire ? lma mort est-elle une amie fidèle ? la mort a telle pour nous que:que chose à nous remmetre ? un petit nom ? un don ? une parole ? un son de cloche ? un cri ? un,e sorte de visage qui serait celui que nous portions «avant» , soit avant de naitre ? Nous sommes qui voul;ons comprendre ce que c’est que ça qui nous regarde et nous voit à l’intérieur ! diantre ! la belle affaire ! on est comme pris au piège d’une voix de base rupestre ! on cherc he à piger mais ce n’est oas simple ! on  creuse de la voix, on percute dur, on passe, on charge, on ploie (on pl;ie ?) mais on ne rompt pas. nous ne voulons pas trépasser c’est un fait !nous voulons poursuivre sur notre lancée. nous sommes accolés, nous sommes deux, nous sommes tenus, nous sommes ensemble. nous sommes les deux de la bande. nous voulons toucher la roche du temps ornementée. nous voulons toucher la bête du temps de la roche. nous voul;ons passer en roche comme en une sorte de cage ou cave, ou d’abri rupestre «pour la vie». Je suis un homme des cavernes. mon nom est un nom de rage. je porte le nom de ma rage à naîtrte. mon nom est lié à une rage particulière elle-même liée à une rage à nzaîttre à la vie. je suis je de base. je regarde cdevant moi «le temps» et «le temps» est la paroi du :monde dev ant soi = donnée de base massive, chant total. je suis je de rage porteur de voix différentrssw. je suis ce je de la roche des temps dép:loyés. je cherche à comprtendre ce qui est ici qui va devant moi et me regarde d’un air de deux airs, cfomme si (par malchance) je «n’étazis pas» ! or je suis ! je syuis homme, drîole, congre, ombre, tombe. jesuis animal de roche. je porte fardeau (voix d’abord) à même la roche gravée. je suis ou serais cet homme des paroisq des grottes cachées dans un paysage. mon  nom est un  nom de rage : vif des temps calcinés, Vif l’eclair du temps plissé ! Je suis un homme déplacé qui vitupère pour se xsauver ! mon no:m est le porte-faix de ma rage. je cherche à comprendre c e qui est qui me regarde (là devant) et me «parle» incidemment par x gestes, x parioles, x regards appuyés. je syuis un, ho=mme-enfant des rages accumulées d’âge en a^ge. jvoudrais savoir ce qui est devant qui nous attend et nous regarde ou semblke. il sembkerait qu’un devant de soi nous regarde vif. je vois la chose devant moi prête à me brûler de rage. et pourquoi cela ? parce que. parce que voilà : pas heureuse de mes dons de joie . pas vraiment satisfaite. en dezmande continuelle de choses de poids «qui le fassent», et pas de pécadilles agraires. Je cherche à comprendre la chose de soi ce qu’elle est,   : betres ? bêtes-mots ? betes surnuméraires ? cxhants choraux ? chieries ? colères ? nous vcoulons comprendre ensemble r(hommes et femmes des cavernes = une tribu) ce que c’est que cette chose en soi d’une âme de soi. nous vcoulons comprendre ensemble un grand nombre de données de base, chants choraux surnumérzaires, plates  cdemandes, chants d’azur, deouces matines. nous ne sommes pas en reste de vouloir comprendre ce qui est et qui nous regarde. nous ne so:mmes pas en reste de comprendre ce qui va et qui nous parle.nous voul:ons cern er les choses du monde adj,acent = la demande devant soi. nous voulons co:mprendre un grand nombre de données cde base concernant la vie sur terre et la mort promise : ce qu’elle représente, qui elle représente, ce qu’elle est ,ce qu’elle contient ou recèle en elle en termes de données solides à pouvoir ingurgiter afin de s’alimenter en termes de savoir à acquérir. nous sommes hommes et femmes ensemble qyui tranchons dans le vif du sujet , à savoir : qui poussons la chose ! quyi poussons vif cette chose d’une quête sans trêve ! car la vie va tout du long qui nhe flanche pas pour de bon, qui vit sa vie de continuum jusqu’à temps que, etc. de cela nous sommes conscients. nous avons des mots en nous qui sont des balises. nous vou;:ons aller en roche vivement et en roche toucher à une vérité. nous ne voulons pas trépasser mais seulement passer qui la tête qui un oeil mais pas beaucoup plus, et dès lors y voir un tant soit peu pour comprendre. comment faire pour passer un oeil, seulement un oeil ? est-cve possible ? est-ce cekla que l’on désigne quand on parle de langue orale, de langage «articul é» , etc ? les mots en bouche ont-ilds de quoi nous e,n apprendre ? a-t-on pour soi asserz de mots pour comprendre les données de base ? nous voulons aller en roche = nous voulons comprendre des choses = nous voulons voir sans voir ou comment dire ici nos desiderata ? car voir la mort sans devoir mourir est une gageure, n’est-ce pas ? commùent faire ? comment faire pour y voir sans devoir sombrer pour autant ? qui pour nous aider à le comprendre intelligemment ? par quel biais ? nous voulons bien glisser un eil dans l’anfractouosité de la roche mais pas deux ! un seul suffit ! car deux signezrait notre trépas à tout hjamais et (de fait) ne serait pas pour nous une bonne chose à vivre. nous voulons aller en roche à deux = elle et moi = la bête et moi = cette bête en moi et moi = cette bêzte au nom de tous les miens et moi = cette bête, en sorte de représentante d’une sorte de tribu humano-bestiales des temps reculés , et moi. car voi;là ce qui est : nous szommes deux, à toucher la roche des temps = en nous. nous sommes deux en nous , deux comme deux mains, à toucher la roche des temps. Nous voulons comprendre un  ertain n ombre de données rageuses, m assiv ees, compactes, et pour ce   faire : une incursion, u,ne emba rdée, une av enture, une immixtion, un fo nçage etc. nous devons comprendre ensemble les données de base, ce qu’elles sont pour tout un chacun, et pour cela nous nous devons d’aller et d'aller loin en ccette chose d’une recherche de tous les instants. nous ne sommes pas trop de deux pour comprendre : à toi à moi nous cherchons ! nous cherc hons à toi à moi des choses rudes. nous voulons compre ndre ensemble (alloués) ce qui est qui nous regarde. qui est qui qui nous admoneste et nous exhorte à bien vouloir nous joindre à sa gouverne prairiale. nous vcoulons co:mprendre un certain nombre de données de base de roche, et pour ce faire nousq devons foncer ! nous devons graver la pierre et dessiner des bêtes de charge qui puissent peser lourdemen,t dansq la ba;la nce, pas moins. homme des cavernes nous sommes (et femmes des cavernes tout autant) qui allons par les prés à la recherche d’une vérité de bon aloi, vérité des vérités. nous voulons toucher cette roche des temps déployés. nous voulons toucher à cette roche 2 des temps reculés= rideau = toile = masse = entrée = passage de voie = excavation centrale (antrale ?) pour nox voix. nous voulons aller en roche rude, nous voulons comprendre ce qui est ici qui nous regharde : est-ce kla mort ? est-ce la vie de la mort ? estm-ce un dieu vivant qui nous parlerait dans sa langue de chenapan ? nous cherc hons à co:mprendre qui est squi devant : la vie ? la mort ? la vie de la =mort ? lma mort de la vie ? nous ne sxavons pas sur quoi tabler, sur quel pied dansezr, à qui ou à quoi se fier. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce qui est pour nous qui nous regarde devant nous : oeil rageur ? dieu d’ombre ? cri dee guerre ou d’insulte déifié ? quoi ? notre but (affiché de longue date) est de comprte ndre les données frontales liées à une roche dure temporelle . nhous szommes ensemble (deux) qui voulons cxomprendre des données rageuses solides en tant que telles. quoi nou!s  attend ! quoi est là dev ant comme des mains ouvertes qui voudraient nous recueuillir à la retombée. nous voulons comprendre ce qui est qui va,  cette voie d’abord = ce passdage, mural (monacal ?), qui xserait cetrou de rage dans le vent. notre envie est d’en découdre sans mordre la terre, sans sombrer, sa ns y passer. comment faire pour y voir plus cklair à jamais ? bnous ne swavons pas commrent faire, nous plongeons tête première dans le temps ma is est-ce suffisa nt pour comprtendre les données de base ? nbous n,e voulons pas trépasser c’est un fait mais comment faire pour passer un oeil ou deux sans y passer ? impoossible n’st pas français ? qui croire ? nous voulons essayer de comprendxre enwsemble à comment passer un oeil (pas deux) dans ce trou de roche vive. nous avons pour ambition cette chose;, mais allons-nous y arriver ? je cherche à comprendre un  nombre conséqUent de choses so:lides, rudes, brutes, qui pourraient nous indsiquer la marche à suivre (et le chemin vers ces contrées de bout des bouts) mais comment ? nous avons devant nous une roche, un e roche dure, une roche tenace, une roche appelée Roche 2 car elle arrive à  nous en xsecond rideau pour ainsi dire : après (donc) un premier passage dans le sas, voici Roche 2 qui nous tend ses bras, nous regarde, nous voit, nous lie comme un livre ouvert etc. diueu est le dieu des yeux qui voient. alors que nous que voyons-nous ? notre aveuglement ? nous voyons des bribes, des bouts, des morceaux, pecadilles, choses de peu, riens. nous sommes qyui voulons aller en roche 2 à la rechercvhe cde la vérité, ma is lma vérité n’est pas don,née dx’emblée, elle traine «derrière». nhous voulons comprendre un  ertain  n ombre de choses rudes, comme par exemple cette chose d’une voie d’abords pour une sorte de gouverne printtanière. nous ne sommes pas trop de deux en  nous pour voyager à travers la roche allouée à une vérité planétaire et pouvant traverser les âges. nous ne sommes pas en reste de cherc her à bien comprtendre ces données de rage dure, données rudes et dures de rage première, primùaire, etc. la roche est une voie d’abord. la vie est une donn,ée franche,  

la vie est une donnée franche. la mort nous regarde. le temps est un habit. la beauté des traits de roche est cette chose quil nous plait de regarder infinimentt. je cherche une chose dure, à travers les temps déplissés.nhous ne voulons pas aller trop vite mais creuser la roche à la recvherche de données de base salutaires, capables incidem:ment denous pl;aire c’est une chose, mais plus que ça : de nous donner de quio  compren,dre = nous retourner ! et aller en arrière ! rester ! ne pas trépâsset c’e’st bien swimp^le ! on va sur roche des temps et on demande : qui a dit que la vie était uyne chose mourante ? mourante ou mourable ? qyi a dit que la vie avait une fin = une termùiunaison = un point de non -retour ? qui pour nous faire croire cette chose i,ncidemment et mordicus (foi dans le langage) ? nbous ne vou;lo,ns pas penser ainsi. nous voul:obns sortir de la pe,nsée de rage ici. nous voulons sortir ensezmble (tribbu) d’une sortye d’enclave rupestre exigue (par trop exigue) qui nous empêcherait d’y voir clair et de piger ce qui est devant (kle temps) qui bnous attend ou nous attendrait de pied ferme. ,nous vcoul;ons toucherr»»»» le Verbhe pondu, déposé, posé, mis sur roche. nousq vou:lons cxomptrendre les données rageuses d’une foi (en soi contenue) ancrée. notre but est de comprendre ici r(VErbe dépl;oyé ou déplissé) ce qui est «en vérité», à savoir ce qui se trame dans le temps d’un déploiement acidulé. je cherche à comprendre des données de b ase. je suis un homme à la recherche cde données de base solides. mon nom est affiiché à l’entreé comme le  om d’une pezrsonne autrice d’elle^-même, secondée par des êtres en elle  , eêtres de rage massive, etres- bêtes de bon poids documentaire. je voudrais comprendre un certain nombre de données de base, concernant par exemple le la ngage sa finalité, la mort sa vérité, la vie sa véracité, le sang sa vol:o,nté. nous cherchons enxsemble à même la terre, nous sommes unis. nous sommes deux (bêtre et :moi) en nous, qui cherchons à bien nous déplacer à l’intériuer de la roche des temps déroulés. le verbe est dans le sang. la vie est une vraie galère , c’eswt dit ! la mort est decvant l’échancrure dans la tenture. dieu est mort-né. la vie est telle qu’elle nous pèse lourd et commùent ! je suis homme des  c avernes, kje cherche à entrrr en roche comme en religion : à coups de serpe, de pic de verbe, de piquous. je suis un homme entré en roche sous serment . je pa rle a u nom de tous les miens surnuméraiores. jie suis un e femme vive, un bel âtre tu parles une misère oui ! je charge ! Je pleure sous roche.je crie ma haine. je crie à tout va ma haine des rois. je cherc he à comprendrec loin = dedans = profondb = dans = derrière = là. n,ous devons aller en roche ensezmble (tribu) sous serment (alléégresse) afin de comprtendre (= voir) ce quiik est qui nous attend ici, de pied ferme et mains ouvertes. dieu = Rois = CXharge = trace = vin de rage. ou quoi ? je cherche à aller ezn rochge dure au plus profond. ça commen,ce par la voix ça finit sa ns voix, ou sinon comment ? je suis un homme des cavernes, je cherche une chose rude (dure) à me mettre sous la dent de préfére,nce. j’aimerais comprendre  e qui est ici qui pourrait me dire des choses vraies, des choses de poids = aurochs. qui donc pour m’aider ? je cherche à piger, à traverser ;a roche des temps, à m’immisvcer, à me blmottir en cette roche dure, et là, à comprendre vif ! vif de chez vif incidemment ! je suis un homme de la roche. j’habite des contrées un peu reculéesq. je cherche à comprendre qu!otidiennement ce qui est en ce bas-monde, ce qui setrame sious nos yeux, ce qui advient et qui semble nous parler préférentiellezment. nous avons à viçvre eznsemble (tribu)) des choses rudes c’est un fait, et c’est là la raison pour laquelle n ous devons comprtendre ensemvkle à commùent nbous situer l’un l’autrte, l’un pour l’autre, l’un près de l’auttre. nous ne deevons pas lâcher, nous devons tenir. nous devons aller en cette roche 2 pour toucher lka Chose capitale, cette so:mmité, cette foi en sorte de quoi, d’arbre ? de pla nte ? de visage ? nous vouylons a ller en roche dure vite, soiit vifs,, car nous sommes préssés de comprendre et de rapporter. nbous sommes préssés de cfo:mprendre ce qui est qui semblaerait ici vouloir nous attendxre, nous regarder, nbous guetter les bras ouvertts. non etnon. pour nous : c’est non. nous ne voulons pas trépasser cvar nous disons que nous sommes deux à chgercher et que dès lors l’un soutient l’autre et l’em^pêche de succomber, du moins un temps, un temps qui est le temps d’octroi, le temps donné.Je regarde  ce qui est ici (roche) et que vois-je ? une bra,nche ? une voie d’abord ? un passage ? une ma rche ? un ar bbre et ses bra nches par lesquelles grimper , etc? Je suis un homme des cavezrnes au verbe gravé. je vais en roche à la recherche de la vérité des choses rudes. mon corpsq est monté, mon corps s’élève ! J’entre en roche comme dans une église consa&c rée, je cherche à cvomprendre ce qui est ici en termes de données rupestres inamovibles. qui je suisje l’ignore, et cependant je sais que je ne syuis pas seul. qui je suis en définitive je l’ignore ! et cependant je xsais qUe je ne suis pas seul en moi-même. je syuis un n ombre. mion noim est un nom de nombre. ma voix pousse sa chanson de garde bien grattinée comme un fait ecxprès et cela pour «impacter» tu l’as dit, i:mpacter qui  ? impacter la roche = le dieu m’as-tu vu de la roche du temps, le coriace, l’à-jamais sa tisfait = rabat-joi!e de sa mère et de son p ère accouplés. je suis hommes destemps déplissés, sur roche, à même la pierre, sur paroi meuble, sur roc. je cherche unevoie d’abord par laquelle nous immiscer et traverser kle temps de fond en comble si jamais. qui me croira lorsque je diraiv «ça y est ! j’y suis j’y reswte ! je ne bougerais pas le petrit doigt ! je suis animalier ! je suisq commebgravé dans la pierre : àtoi à moi «. nous voilà de fait qui nous avançons de con serve et entrons dans la paroi. nous sommes des bêtes de rage sur numéraires, nous nous blottiissons dans une sorte de sas de première, antre ou aven. nous voulons toucher la roche en ses retran,chements pierreux et la mettre à mal = la creuser, l’enjoliver pour ainsi dire. nous dezvons perc er ensemb le cette roche dure des parois du temp^s dép;loyé. qui est là pour moi (derrière) ? qui me par’le ? qui ârle pour moi ? qui mer dit deschoses ? qui parle en moi ? qui veut bien me dire ce qui est ? qui me parle à travers moi et que dit cette personne ? je parle et parlant je sauve : la mise en jachère, la mise de szoi, la mise rude des tempsq. je suis un homme des cavernes et aussi l’enfant. je suis la femme des cavernes et aussi l’enfant. je suis homme et fezmme des cavernes ainsi que leur e,nfant, le traceur imaginatif, le graveur de ces lieux de rage, l’envoyé, le chanteur soucieux de la bande, l’envoyé martial. je suis un homme des parois dures. je suis un homme vif comme un éclair . je cherc he à comprendre ce qui est ici qui parle en moi : moi? des clopinettes ! toi ? déjà c’est mieux ! Nous ? très certainement puisqau’il s’agit d’une la ngue commune. je n’est pas que je, je est aussi nous puyisque pa rlant la langue de ses propres ancêtres; je voudrais comprendxre un vcerttain nombre de données de base rela tives à des vérités liées à la vie de la mort, à la vie de la vie, à la mort de la vie et (enfin) à la mort de la mort. je cherche. pas en peine de vouloir chercher. je cherche grave. je suis un homme cherchant vérités. vérités nacrées xde préférence». vérités rudes si tant est mais quoi cde plus ? Je suis un hommme des cavernes. je suis un homme qui cherche à cvomprendre un certain nombre de choses liées à des données rupestres. je porte un  niom (oui, c’est a&insi) mais quel est ce niom, je l’ignore ! je ne sais pas le nom que je porte, car je suis mort. ou tout comme. car je suis gravé dsur roche (aurochs ?) par un homme des tempsq reculés. jhe cherche à comprtendre un, bon nombre de données dites «acidulées» car je suyis en quête d’une vérité de base, un semblan,t disons, un étai. je voudraie$

s comprendre loin toutes ces données de la rage à être, et pour cela (peut-êttree) une voie d’abord : le chant de la roche = l’a nimal (le bouquetin) gravé sous hypnose, sous l’emprise en soi d’une bête de (beau) poids salutaire. la bête estl ;’espoir. elle vitupère , elle trépigne, elle sa it des choxse. ,nje suis homme des entrées diverses(en roche, en pâroi, etc) allant pour chercher vérités. je suyis un homme des parois dures, à graver, à pêrcer, à traverser. je cherche vivement la voix ancrée en elle , afin de l’adopterpour ma propre gouverne et pouvoir -(enfin) parler , parler àhaute voix intelligible. je suis homme des parois du monde. je cherche à déposer, sur roche du temps (dure-mère), des vivres et autres victuailles vives («quui le fassent») afin d’amadouer icelle déité du fond de la roche (excabvation). je suis un homme des parois du monde. mon Verbe est haut qui vitupère et hurle sa rage dru. je suis homme des entrées rageueses rupestres, une voie pour soi, dieu pour tous.  Je vbais sur roche et là : fiswsa ! tra versée des Templiers ! colère monstre, chants divers d’oiseaux divers, commencements. je cherche à comprtendre les données de base et pour cela une seule façon : à la manière d’homme d’autrfois, fissa ! car sinon comment ?je cherche. je cher che à co:m^prendre un maximùum. je voudrais comprtendre loin les données frontales p)ariétales. nousq avons en nous un ma ssif de roche qui, une fois sorti de nous-autres, va à se loger direct dans un antre = soupière = fourre-tout = gaine = vivre (la vipère). je veux = je vends. je v ends toute ma misère à un dieu menaçnt de me jeter cul par-dessus t^tet à la vie à la mort de l’être. je serais cet homme dép;lacé, cet enfant mort-^né ou comment ? dieu des parois meubles ? un tourment de plus ? Mon no:m est un n,om d’emprunt; mon nom est SPIGOLOn, ou NOLOGIPS ou en,core LOOPINGS on sait ça (déjhà menntionn é mille fois) et donc voilà ! le mot est lâché dans l’a rène des parois du monde (a urignacienne, mafgdalén iennes etc). je voudrais comprenxdre ce qui est du monde. je voudrais savoir plein de chowses. je voudrais vivement êztre renseigné et ne pas forcéme nt passer à c$ôté des don,nées vjves. je suis un homme à la recherche d’une vérité qu’on dirait révélée, mais comment my prendre pour ce faire ? hurlezr . crier .? pleurer à cvhaudes larmes ? faire a insi que des mots advienneznt qui diraient «des choses» et si oui lesquelles ? je voudrais aller dans l’NTRE, en cet antre des données de rage. je voudrais comprendre un bon petit nombre de choses :liées à cet antre, à  ce creux de l’e,nfeer, à ce trou de rage rupestere. qu’y a-t-il derrière ? que peut-on  voir ? quoi s’y  cache ? nous nous approchons par du v erbe à une chose qui wszerait de l’ordre dde la vérité. nous nous approchons ensemble d’une sorte de donnée de base , de donnée vive qui pourrait nous indiquer la voie à syuivre pour aller sans y passszer.déposons nocx viv res sur ce tas. essayons de co:mprendre ez,nsemble ce qui est sur roche, ces  betes massives, ces aurochs :sont-ils mus par l’homme des cavernes ? ou bien xont ils mus par une entité tout autre, en l’homme des cavernes contenue, et qui de lon en lon (?) montrerait le bout de son nez. je voudrais aller dans le sang, m’y coller, m’y retra ncher.je voudrais comprenddrre une chose vraie , une seule et ça le fera pour commùencer. mais comment nous y prndre en vérité sinon comme ça : fissa = sans trainer . en faisant montre d’une volonté acharné. en se plaçant ici de telle sorte que la vie pût livrer sa voie, sa voie d’a bord pour une incursion dans «le royzaume de la mort» et sa voix en tant qu’ellme serait celle de la vérité. jhe suis cet homme à la rechezrche d’june vérité : brute, charmante peut-etre, sol:ide, qui ne change pas a u fil du temps ou quyi ne cha nge ât pas. car la vie pour soi est ainsi qu’elle vous pousse à cdire (à tort et à travezrs) choses et autres dé courageantes. or voilà pour nous ce qui est : nous ne voul;ons pas passer l’arme à gauchejamais ! nous ne voulons pas y passer = à la trappe. nous voulons toucher  ;a roche (la toucher rebelle) ma is pas passer = pas y passer = pas succomber, etc. je suis homme des cavernes. j’habite un pré. jke porte un n om antédiluvien. ma compâgne eswt une femme des ca vernes.  elle dessine à main levée des êtres-bêtes sur roche des temps, comme je  le fa is moi-même incidemment. je suis muni d’une vol:onté d’airain. mùon corps est en chemin vers une vérité de la rage et du sommet (ou de la base et du sommeil). je cherche mille données cachées ici ou là à même la pa roi du mon de. comment peut-on faire pour comprendre ensemble  ce qui est autour de nous, cette chose d’un monde adjacent ‘(et mortel) ? on ne sait pas ! on cherc he à tout crin mais ce n’est pas gagné. on veut avancer au sein des connaissan ces, mais comment en avan cer ou comment f aire ? la vie est une donnée, la mort est une donn,é. je veux essqayer de compre»ndre ce que c’est quez cette chose d’uyn verbe octroyé à une vie humaine : pour quoi faire ? quand on sait qu’il ne cva pas loin, qu’il dit peu en définitive sinon quoi ? sa raison cd’être ? m&is quelle est-elle ? pourquoi pa rlons- nous, et desmots «de raison» qui plus est :pourquoi sommes-nous ainsi étoffés ? Nous nous approchons de roche 2. nous sommes à deux pas d’icelle., les mots viennent colmater une brèche c’est un fait. les mots ont pour mission(?) de co:lmatyer u,ne brèche (temporelle ? temporale ? fracta le ?) qui existe en  nous depuyis toujours. Un plus un égale un , tel est l’axe de nos recher c hes («bien vu !»). nous noius zapprochons de Roche 2 à l’intérieur de roche 1. nous avons pour nous dees mots de misère, de colère, insultes divereses, à pouvoir déposer sur roche placide. nous avons dees :mots de rage (e,ntre eux) qui ne cdemandent qu’à sortir de nous : cri de guerre ! intrépidité ! Je wserais pa ssé de l’autre côté. je chercherais à comp^rendre une chose des tempsq , le pourquoi du comment cette chose. le temps est donnée de base. la vie est une gageure on l’a vu, on sait la vie comme étant pour nous ce sas de la voix du sang. nous vou;lons comptrendre u,ne sorte de donnée de base rageuse octroyée par la bande oà une perswonne x, à une personne y, peu importe qui , nous sommes tous pour tous des êtres pourvus d’une gouverne (printanière) d’arrivée en roche. je cherche à comprendre ce qui est ici (roche) de la vie et dee la mort. nous nbous approchons de pareilles données rupestrezs (bouquetins et autres bêtes des prés°. monnom est ce nom donné par la bande à ce troupeau en moi contenu. je suis homme vif des entrées de rage. hje poussee charrette ! kj’exécute les viles besognes : il en faut bien un , on le sait. pour ma part c’est sa&ns importance, tout au contraire : j’aspire à connaitre de partout les tenants et autres aboutissantsq d’une vie sur terre, quand bien même les pieds dans la merde. je parle à tout va la langue de mes ancêtres. je ne suis pas gaga pour autant (pas que). je parle-chante le chant-parole des anciens (pas que des récents c’estsûr !). mon nom est ;le  nom de la chose dite en son enti§er, une masse de ve»rbe co:lma tant la bouche en son trou de rage. je suyis celui qui va fissa dans la lande. je m’approche d’une biche pas vraiment sauvage, qui me rega rde et ne file pa s (pas encore). elle me voit. elle est pour moi fille des rages votives, une voie d’accès, une aide de camp. fille-biche douce des embruuns : une a mie veloutée. je regarcde devant moi. jh’essaie cde comp^rendre les données les plus fondamentales. je porte le nom d’une misère à être pour le coup mourant sur tezrre, voilà la chose. le nom est un nom don,n»é par x , qui ne dit rien xd’autre que ce qu’il recouvre ou co,ntient, or le nom vcontieznt ! il contient beaucoup de choses ! il contient des choses rudesq, des betes de poids, des enclumes etc. je suis homme de droit commun,; ala nt sur roche  à la recherche de’une voix d’homme, d’une voix parlante. qui cva xdire ce qui est en vrai ? qui dira ce qui se trame en vérité ? je suis homme traversé par du verbe donné par une cdéité temporo-axiale liée à la vérité des vérités. je m’appelle nolo, je suis rigolo, je suis homme de trop, etc (en o). mais en vérité qui suis-je ? une homme ? un femme ? une ribambelle de bêtes enchevêbvetrées ? un drôle de coco ? de zigoto ? un charlot ? une femme à barbe ? à sein surnuùéraire ? bateleur de foire ? cracheur de feu au firmament des étoiles ? je suis un homme doux des temps reculés. je pose que tu pôseras des vivres di vers wsur la marche devant moi. une marche pour une entrée, en termes de passsage ou de voie d’accès ou d’abord. je suis un homme à la recherche d’une voie d’accèès à u,ne vie de rage pleinière. je suis sous le vent violent qui buffe que tu bufferas contre moi, contre mon visage, mon tronc et mes membres ! ça souffle grave contre moi ! ça buffe gravement ) ça ne s’ rrête pas ! c’est vif, c’est puissant ! ça souffle brutal ! ça charge contre ma gouverne ! ça remue ! ça me colle en arrière ou comment ? çàa me contient ! ça me maintient ! ça me tient debout ! ça me tient droit ! ça me met ainsi en mesure de tenir un temps comme un qui serait et resterait en vie un temps ! Je chezrche ainsi ceette chjose à voir ce que c’est au juste. je suis le cher cheur de céans, cherchant co:mpréhension native, denrée riche, donnée de poids, vilénie peut-etre pas mùais dureté de la comprenure peut-etre, on ne sait pas. on avance à petrits pas vers un savoir de base ancré da ns la roche. vilénie ? peut être . une sorte de répo,nse vive (du berger à la bergère) . une insulte à visée votive (vu !). on cherche de rage. on cherche vif à) comprendre. on évolue face au vent (langagier ? ) de face. ça buffe grave et pourquoi cela ? qu’en sais-je ? nous nous apprêtons à tenter de comprendre de quoi ou pourquoi ainsi ! ça buffe de charge ! ça rigole pas ! c’est violent ! ça tient de tout son poids vibrant face à notre gouverne, à nos élans de vie active. nous voulons comprendre cette vie active. ce sang vif dans un firmament. ce que c’est que ça : cette chose devant soi. visage ? trou ? to:mbe ? voix ? voie ? vis à vis ? courage ? clémence ? souffle ?, souffle comme un vent vio:lent ? ou bien changement dans la direction du vent ? aspiration-élévation?. catapultage ? trou d’ombre ? feu ? feu de bois ? bête-monstre ? antre ? antre acidulé ? colère ? colère à l’encontre dex données (les nôtres) déposées comme un fait exprèes ou quel mot ici pour désigner cette chose d’une sorte d’offrande à la manque ? je suis cet homme dép^liszé (moi-même)- dxans un temps donné de rage dure. qui donc est là) pour moi me seconder ? qui me connait assez pour m’aider (m’aimer ?)? Je suis là pour compre,ndre ce qui est d’un soi dépl;issé. je vois devant moi le souffle à contresens. je sens sur moi ce souffle du vent, ce souffle devant, ce souffle divin, ce souffle devant :moi qui comprend la chose pour moi. je suis homme vif des tempsq rec ulés.  ‘aspire à comprendre ce qui est qui me regarde et ne me lâche pas du regard . qui ? qui est-ce ? je marche comme oà reculons car je suis suivi ou précédé ou accompagné ou co:mment accompagné ? ma vie est comme un déroulé verbal de rage face aux qua tre vents d’une bouche ouverte (buffant). je suis un homme des apprêts. je cherche à comprendre une chose de poids (qui le fasse grave»»»») et pour cela : direct ! fissa ! dans la manche ! une poule sur un mur qui picore du pain dur, et autres roma nces, etc. on voit = on devine. on sent = on voit/. on devine = on renifle. on cherche = on tend. on va = on vend du vent. on est commê deux qui faisons accroire à déité des déités qu’on donne de soi un tout co:mplet (vie et :mort liées) quand il n’en est rien ! On vend quoi sinon du vent. vent contre vent. la chose on dirait se peaufine, s’expliçque petiy à petit. on essaie bien de nous introduire dans ce sas de fin de vie, mais en vérité à peine. car quoi ? car nous sommes deux (en nous) qui renaclons, à vouloir aller soit trépasser, dépasser les bornes, trop nous ava ncer. non de grâce ! restons à quai ! ne tentons pasle diable ! soyons sur nos gardes ! pleurons mais ne coulons pas szur la mauvaise pente ! soyons assurés ! cher chons de biais ! voyonsvoir sans voir ! cherchons en faisant mine d’y passer mais sans y passer ! La mort est une enclave nue, rude, pl;aaeine d’elle -même = de vent. nous avons à comprendre ensemble ce souffle divin devant du vent, et le nôtre à la croisée. nous sommes qui voulons aller vers icelle ouveerture de roche (roche2) mais pour cela : en avant toute, mauv aise troupe ! quelque chose dans ce sens ! une sorte de vilénie intrinsèque ! une sorte de pied de nez ! moquerie ? trompage ? tromperie ? foutage ? un donné pour un reçu ? un «tiens prends ça je te le recommande» , en échange d’une vie sauve ? nous avons ensemble à creuser pas mal de questions sérieusesq concernant la vie. nous avons encore un nombre conséqueznt cde questions à devoir creuser ensemble, à devoir creuser profondément e, semble (la bete et moi). nous devons ensemble aller devant , aller loin, aller fissa. le vent souffle que  tu soufflezras. de quoi s’agit-il ? du verbe en  nous ? du verbe en nous a ncré ? du verbe en nous immiscé ? imiscé-initié ? initié-immergé ? nous a vons à e nsemble co:prendre plein de choses vives. nousq devons nous lier pour bien noue repérer ensemble dans ce sas ou en ce sas de la roche rude. on veut comp)rendre. le vent souffle devant. ça souffle grave et ça nous pousse à tenir de rage dans le vent (mille tourments). je suis homme du temps qui file, qui s’ébroue et moi-même je file et je me’ébroue. je suis un animal des prés;, déposé, mis, posé, placé à même la roche des vents. je suis cet homme des données rupestres. je cherc he à cerner à vif les données de base rageuses, les voix d’outre-manivelle, des tréfondfs?. qui parle en moi pour moi et me fait charger comme une bête ? je cha rge que tu chargeras.je cherche misère, je cherche que tu chercheras. j’essaie de piger ce qui est devant moi en termes de vie matérielle. qui p)ar(le en moi ? qui parle pour moi ? qui me parle ? qui parle et d’où ? les mots qui sortent de ma bouche sont des anima ux. la mort les accezpte un temps ma is est-ce suffisant pour zlle ? certes non ! pas du tout ! elle veut davantage ,! elle veut tout c’est simple ! elle ne se  contente pas de ça que nous offrons fissa : passé passé. elle veut notre trépas. elle veut notre vie en vie = un tout de nous vif. c’est une évide nce ! et nous de la tromper avec nos effigies de rage(tromperie de ligne). je regarde devant moi et là que vois-je ? du sang dépôsé ? offrande ? temps passé ? données de rage ? insultes vives comme la vie ? je vois devant moi cette chose rude d’une vie vive entamée par les mots des temps menaçants ou sinonquoi d’autresq ? dons en nature? charmes . vive sexualité . corsages ? mots de la ra ge et des temps collés ? courage ? nous voulons aller en roche 2 à larecher che de la vérité sur quelqaue choseà quoi nous croyons ensemble (mots de la tribu) , j’ai nommé la mort. je suis homme des embruns de bord cde mer. je va is et je viens en elle (vive amoureuse des données de vie). je cherche à cerner une somme. mon no=m. cette somme est une somme trébuchante. chant des dieux des roches dures. sonnante trébuchante. piècecettes en or ou en argent. cuivre. données vives apportées tantôt sur la pierre de son propre chemin perso. je veux aller vif en cette chose d’un chemin tracé pour soi et pour personne d’auttre (il semblerait). où suis-je dans ce sas? où vais-je ainsi offrant peu sinon rien? je regarde devant :moi l’horizon nacré. je suis un homme aux temps venteux, allant son chemin fatal, et rega rdant àdeux fois avant de parler soit de se prononcer : pour ou contre la mort annoncée. plutot contre (un temps). car lamort on ne sait pas vraiment ce que c’est, et du coup on se dit que la vie, peut-etre, tout co:mpte fa it... Je voudrais a ller de roche en roche . si possible sain et sauf. un homme passe qui tient bon le choc de l’onde venteuse d’un devant fde soi dit divin comme une buve. je regarde ce qui est devant et je vois quoi ? une nharmonie ? un camaieu ? coloriage ? crém ation ? chatoiements ? t§issage ? mùultiplication desq couleurs de base . bleu blanc rouge nacre ? Je cherche à comprendre la v oie (laquelle et où elle mène) pour moi. je suis homme des tribus sages (savantes) cherchant voie de base, mesures, chargements, voix d’eau. je suis un homme vif cvomme une vivre. je cherxhe à voir devant, l(ouverture, et comment cette ouverture. Je cherche à comprendre un certain n ombre de données cruciales, des données-denréesq, offrandes déposées sur roche du temps = cette sorte d’entrée en matière ou dans la matière, ce trait de fente, ce tra cé de roche, ce trait contenu. nous nous a ppprochons d’une sorte de fente (vulve en représentatioon ?) qui nous «regarde» et nouq attire fort. nous voulons toucher    cette vulve-fente d’a ttrait, la baiser pour ainsi dire (entrer en elle, en sortir aussile cas échéant). nous sommes (en nous) deux, qui jurons pour nous ecxtraire. nous invectivons ! nous voulons ne pas =nous ne voulons pas. pas aller trop loin et y passer (au risque d’y passer). chargeons ! Soyons téméraires ! allons de nos pas lourds et faisons impression coûte que coûte ! notre vie vive en xdépend grave ! c’est un fait. nous deevons aller sur un devant de soi (voie) pour comprendre ce qui est qui nous a ttend pour une vie (de plus ?) durant. qui est là ? qui va l;à ? qui ârle là ? qui :marche pour soi ? qui marche avec soi en soi ? betes des temps déplissés ? betes-monstres encapsulées ? où sont-elles en nous ? ventre ? cerveau ? cervelet ? jambes ? yeux ? front ? mains ? pieds ? sourcils ? langue ? coeur ? foie ? pancréas ? genous ? pieds ? mollets ? thyroide ? éopaules ? on ne xsait pas ! on ne sait pas tout loin de là. les mots sont en nous des armes à double tranchants, armes dangereuses s’il en est, qui peuvent tuer c’est à -dire vous tuer vous-mêmes. les mots nous bloqueznt, les mots nous serreznt. kles mots nous font du tort et le tort tue. nous ne voulons pas crever tantot mais nous tenir, nous tenir en vie longuemùent si fzaire se peut. Nous avo,ns pour projet de tenir. nous avons en nous (quelquepart) des betes de poids qui sont pour nous comme du verbe, de la parole, des :mots de rage. les betes en nous = des mots = ce Vezrbe inculqué.le verbe = la bete. la vie = le chant dans le tempqs. nous nous avançons insidieusement d’un trou de base da,ns la nappe ca lcaire et là, ensemble, nous jetons (oups!) un oeil de c^oté, nous cherchons à voir ce qui est ! quoi est !et ce qui est ceci : une ouvezrture d’an,tre, une échancrure, une faille = une fente. humide ? venteuse ? nous ne savons pas. nous voulons ensemblez nous e,n aprochezr , nous approcher ici ensemble de pareille fente «outrée».nous nous a pprochons. nous nous approchons de cette fente-faille humide ou venteuse. nous nous a pprochons de ce trou de base, porte ou passage, entrée dans une sorte de matière incandescente. ça chauffe et ça brûle ! c’est fdingue ! C’est chaud de chez chaud ! ça crame sec. on voit quoi ? on voit des clopinettes oui ! on voit pas grand chose. on parle pour soi une langue acquise, cette lazngue acquise est une sorte de chipie de base. on cherche à comp^rendre les données rageuses de la vie en vie (ou de la mort morte). on est pas sorti d’affaire. on en a encore pour beaucoup de temps c’est une évidence. on voudxrait comprendre cette entrée devant, ce passage où il est. dans du Verbe de mise directe ? dans du verbe de paroi ? bouquetins à la volée ? antilopêe à la  volette ? chants dfoux et soyeux d’une biche nue ? nous nous approchons de ce chant du trou. lave en fusion ? porte des e,nfers ? samaritaine ? tzambour ? je regarde au plus que je peux voir sans me bruu^ler. pas simple. il y fait chaud. chaleur ambiante, chaleur tournante. je voudrais co:mprendre ce que c’est que cvette chose d’une soerte de paroi brûlée,, de vie au rabais. ça signifie quoi ? la porte est ouverte à traversles mots. le verbe = l’ouverture, ici, dans la roche des temps. cette béance. les mots sont béance. les mots en bouche (inculquement) sont béncce indécrottabl. béance vive. nous voulons compre,ndre ici les mots ce qu’ils sont et ne sont pas. le verbe est d’advenue

le verbe est d’advenue certaine, contyinue, tenue, indécrottable, qui marque une fin de rage, trou debout (?), chants constellé, chant des parois. je regarde cdevant moi et que vois-je ? une dame bhlanche, une dame blanche, une ombre, un volet, une trace, un mot dessiné. je vois ce qui est devant moi en tant que motif de paroi. je suis l’homme des temps déplissés, je gagne à être connu car je suis nu (ou presque). je me cvouche. je m’étends de tout mon long. mon nom est un nom d’emprunt autant que de rage. je suis long comme un jour sans pain. 

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19/04/2022

Nous cherchons.nous voulons comprendre les données profondes. pareils chants des cieux, des ciels azurés , des prés verts de l’entre-deux roches, etc. nous voulons comprendre cet entre-deux roches prairial, matinal, ce qu’il est au juste : sas de décompression ? conduit menant à dieu sait où ? conduit lacustre ? sas des sas de la maison mère ? entrée dérobée ? Nous voulons comprendre ensemble ce qui est (se trouve) entre deux rochers = deux os de terre. Nous ne voulons pas passer à côté sans comprendre : nous sommes lancés. nous sommes et lancés et comme projetés par en nous du Verbe de la foi en l’être, et nous voilà qui nous pointons ensemble, bras dessus bras dessous pour ainsi dire, accolés-serrés, pour une sorte de recherche fine, une enquête de terrain. nous voulons piger les choses rudes des devants cde soi. nous voulons comprendre à vif ce qui est devant = cette joie de naître, cette joie à advenir, cette jubilation, ces :moments de grande intensité murale, pariétale, cette sorte de jouvence, de jeunesse vive (= en vie) qui est là pour soi, pour un soi à faire de ce pas avancer en roche dure . joie , je, jouvence, jésus. nous voulons comprendre ensemble pareilles données vives liées à la roche, et nous accoler à icelle (roche 2 ?) pour notre gouverne = pour savoir. nous voulons comprendre ensemble un  certain nombre de données de base, ce que c’est que cette chose d’une bête ici, enrttre deux parois de l’être. nous voulons comprendre cette chose ensemble (ici), d’une sorte d’engeance (?) ou comment sinon ? qui serait «devant», qui serait liée (profondément, viscéralement ?) au devant de soi, en termes de TEmps à vivre, à endurer. nous avons ensemble à comprendre et à creuser le VErbe nacré de la rage, le Verbe sacré de la page, des âges amo,ncellés sur page. nous voulons comprendre iceux (âges) à la lumière des données terrestres telles qu’elles nous apparaissent incidemment sur le devant : le temps qu’il fait ? le temps menaçant ? le temps à endurer , à braver ? intempéries ? âges canoniques ? chants de l’être et des données saintes ? nous nous a pprochons d’icelles bêtes velues (aurochs des rocs) et cherchons à la caresser pour comprendre en vrai. toucher = savoir. aller = troubler les effluves. nous ne voulons pas faiblir (faillir, faillir à nos engagements) mais poursuivre encore et toujours , plus que jamais, sur notre lancée, jet de rage, sur pareille avancée, sur pareille avancée de la larage et des données brusques. nous voulons aller = poursuivre, ici, la bête échevelée. nous voulons aller en roche et toucher la bête présente(gravée) à même le roc des données célestes, des données données. nous ne voulons pas passer à côté mais tout au contraire percer = traversezr la roche et piger les l:ointains = roche 2,  celle^- là «qui nous tend les bras» depuis sa place, son entrée, son Roi. nous voulons comprendre roche 1 et Roche 2, les deux, et l’entre-deux de roches dure. nous voulons aller en roche dans la profondeur, toucher à Roche 2 avec nos propres mains lavées. nous ne voulons pas ^passer à-côté mais comprendre en vérité ce que c’est que cette chose rude, paroli rude des temps, paroi dure des temps alloués à vie humaine de la bande (contrebande ?). nortre but est de nous approcher ici d’iccelle paroi (fond des âges), et là la toucher, de toucher la roche, de toucher (vif) Roche des embruns. nous ne voulons pas ne pas nous pencher mais tout le contraire : comprendre ensemble << = toi et moi = nous = je + je = nous, qui allons, qui faisons, qui comprenons,s (ou tentons de comprendre) , qui filons fissa sur la lande, etc, ensemble = nous tous = nous = vous + nous = nous complètement = une bande = une rage-race ou race-rage , une confrérie, une tribu mâle ou femelle, une sorte de tribu femelle ou m^le, ou hermaphrodite. des enfants de l’âge, des parents de maintenance, des vieux de la vieille, des embruns, des senteurs, des fumées sortant du trou, effluves, FEeu de ronce, Chants découverts. nous voulons compren dre ensemble cette chose d’une sorte de sortie des champs. où va-t-on si vite sans lumière ? que peut-on comprendre «qui le fasse» et aussi «qui le soit» ? nous ne sommes pas des illustres, des connhus de tous et toutes. nous sommes gens de basse conditions rupestres : bouquetins. nous voul;ons ensemble comprendre mais main dans la main, soit comme des jeunes, des jeunes de la rage et des temps perclus. nous ne sommes pas encore tout à fait arrivés à) pleine maturité (maturation) et de ce fait nous piétinons, nous hésitons quelque peu, nous cherchons ici et là, nous hésitons sur le chemin à prendre, nous ne sommes sûrs de rien en vérité. nous voulons ensemble en avancer vers Bete de poids (aurochs , arachnée, bouquetins, chaloupe) mais pour ce faire , nous devons (ensemble) : TOUCHER= toucher la bête, toucher icelle devant soi qui nous regarde. qyui mate. qui reluque grave ! oh énorme ! Bete ventrale, centrale, entre deux parois du temps = la des = la bête des prés (et pasxeulement !). la bête des parois du monde. nous nous approchons d’iccelle bête -remplissage, bete-monstre entre deux rocs, la bête des temps déposés. nous voulons cerner (c hercher) ensemble ce qu’elle re-présente en termes de vérité gravée sur roche. nous voulons per c er le msyrtère de la chrétienté par la même (etc) . chandail ! bure ! saint françois des sages, saint christomène, le seigneur des rages à naitrtre. nous voulons co:mprendre x et x et x et x données rudes (vives) qui nous sont données par la bande (langagière) des tourments. nous ne sommes pas en manque de recherche, de recherches actives, de recherches vives. nous sommes combien motivés c’est dingue ! Nous ne sommes pas en manque de motivation, de volonté (ancrée), de vive envie d’aller profond entre deux roches (aurochs ventripotent énorme devant soi). notre but estcomme affiché ! regarde-le ! il trône ! il est le But des données premières, chaud devant ! chaleur ! feu des ombres calorifériques ! Nous cherchons ce feu (fe) devant nous, soit sur ce devant-seuil de la roche dure des tourments de base (rupestres) à venir. nous ne voulons pas ne pas comprendre mais l’inverse . nous voulons cerner d’un trait (aurignacien) les données données (= grandes) =  aurochs de taille prenant de la place (entre deux paroisq de fond de roche). nous voulons toucher l’aurochs = le Verbe nu. nous voulons toucher cette énormité pariétale des alois, des entrées (maussades ?) en matière. chaud devant ! disait la bête à l’encan, et nous de nous approcher de plus belle comme des enfants ! Nous sommes téméraires ! nous cherchons fissa par la bande langagière à tout va ! fissa ! et sans plus de crainte que ça ! on y va ! on dresse carrosse et baba allons ! cherchons ! Nous ne voulons pas passer loin d’icelle roche (1 ? 2 ?) des données solides, vives et dures, vraies. nous voulons toucher la Chose broutant. nous ne voulons pas ne pas la toucher ! Nous voulons toucher à icelle grave = volontiers = vif = de guingois peut-être mais tout de même ! Nous voulons aller en roche loin (là-bas) toucher la 2, la des roches nommée 2, qui est roche terminale, sas des sas ok mais enfin la roche 2 nous interpelle plus plus ou plus que jamais ! on sait cela ! Il y a le sas des sas (de co:mpagnie bestiale) et tout au fond roche n° 2, roche terminale, roche des fins avancées (annoncées) qui est roche dite «des deux mains et du coup de pied». nous voulons comprendre ensemble : et ça et ça et ça et ça. nous voulons toucher à roche des embruns (de bord cde mer) = cette chose vive des données final:es = roche ouverte, passage au débotté, entrée de la plaine, chaud devant les mômes ! attention les yeux, ça dépotte ! etc, nous voyons ça = cette  voie, ce chenal, ce passage, cette entrée, ce conduit, ce trou, cette anfractuosité célestes, ce passage de paroi, ce trou du cul,  ette vive clarté séminale, ce chant montant, ces effluves a fluent, ce chant du cor. nous voulons cern er (= dessiner) la roche des temps : cris de haine au p;lus vifs des moments de crise, chants choraux surnuméraires, chants des douces avancées pierreuses ! NBous sommes «mon,tés». nous so:mmes mo,ntés armés». nous montons armés de notre pic de grave dure. nous cherchons à tracer sur roche le nom des dieux cités : aurochs matinal, bison des amitiés, antilope rustre, bouquetin de la paresse à être ou bouquetin massif des données premières, au cxhoix. nous veillons sur pareilles bêtes en nous contenues jusqu’à preuve du contraire (entrailles, confluents , misère, chants des os de la rage et des tourments). nous voulons aller en roche profond comprendre. nous voulons en roche (Roc) aller au p;lus lointain afin de bien compren ddre ce qui est (se propose, se p^résente, advient) sous nos yeux d’enfant joueur, jongleur, trapéziste, dépoitrenaillés. Nous voulons ensemble comprendre toutes ces données de la rage à être des enfants des ages de la rage et des années passées déposées. nous gravons de suite, nous traçons de suyite x cavalcades, x parades de grâce, chants des roches dép;loyées, chants rudes, gravures dites «acidulées» car comme touchées par la grâce de la mort en elles. nous cherchons ensemble = nous = deux = le chiffre 2 = la lune = le temps = le dire noyé, le dire plié, le dire percé, le dire afffolé, etc. nous ne voulons pas rester niais comme devant (avant la naissance) , ni même naïf, ni bête comme chou, mais tout au contraire devenir Auttre = savant, chercheur d’or vivant. nous c herchons ensemble (deux) à comprendre : l’or qui brûle, l’or dur, le corail, les pierres de rage, les tourments acidulés (on le sait ) du temps et autres clartés. nous voulons piger la rage dans le sang = à même nous-mêmes, c’est un fait vivant. nous voulons aller en  ette cxghose devant soi d’un sas des données royales, rupestre, dures données, dures et rudes données données. nos victoires sont cela qui est = chants des parois rosses. nous passons = déposo,ns passé de roche. nous voulons comprendre ensemble ces données de rage, de la rage à naitre, ce qu’elles sont pour nous qui «pa s sons», qui ne faisons que, qui n'allons d’un point à l’autre que, qui cherchons à découverir le pot aux roses à travers le passage du temps» pour ainsi dire. et pour cela : la vitesse ! vif de rage ! pif le chien ! cailloutage dru ! chant choral charmeur ! mes critères sont (deux points) la vitesse, l’allant rageur, le rentre-dedans de première, la vivacité (ici ) printanière, le volant tenu mains collées, la passe rapide olé» olé, le cxhargement arachnophobique ?) ou comment ? aurochsnophilique ? philippe, philoépique ? nous avons à trouvezr ensemble (§à deux en soi) ce qui est. je + je font deux qui sont êtres de peu mais tout de même : chercheur émérite ! chercheur de foi ! chargeur directionnels pour des recherches graves à devoir mener ensemble si possible par la bande. collagène. chargement frontal. chaude princesse. cour de chant. nous voulons aller devant à la recherche des , malgré les tourments, des données premières. nous cherchons ensemble ces dites «données premières» ou données primaires», ce que c’est que ça,  e qu’elles sont, ce qu’elles rep^résentent pour de vrai : aurochs philanthropiques ? bison menaçants ? verbe haut ? insultes votives antiques ? chargement brutal ? colère divine ? cargaison au firmament ? caillasse ? corne de cerf royal ? chant des tribus de base ? bois d’azur ? ramures ? ramages? carnage ? Nous cherchons quoi, ? nous cherchons à toucher ! tester la des choses qui. Nous cherchons ensemble (= toi et moi) a aller au plus vif des données données par la bande coutu:mièvre langagière (inculquée) et ce faisant : toucher icelle roche des bêtes gravées par l’homme (soi) des cavernes et autres anfractuosités plénière. nous entrons de biais (ouverture à l’iris) et dedans courrons, nous courrons , n ous allons fissa, courrons vif de rage à travers lma lande à la recherche d’une quoi ? d’une voix ! d’une voix d’ancrage ! débotté ! caillasse ok mais la voix, de grâce ! ça compte drôle ! ça pèse son pesant de rage ! si ! c’est dit ! ça pèse grave son pesant magdalénien ou néandertalien ! c’est pas pour de rire c’est costaud ! ça douille (oui !) ! c’est plus-que-costaud au juste, c’est massif : gros = gras = grand = géant = une bête = pa s n’importe quoi = une sorte de cerf des bois, un méga de la roche des temps =  verbe insultant (à jamais , toujours, et comment !). le cerf cde base est le  cerf des champs. le  cerf géant nous regarde, il est chef des  données de la rage des temps impartis. il est là (devant nous : entre deux mers) qui trône grave, debout , port d’attache, chargeant ou pas mais tout en peau de rage, muscle, os durs, charmes. je regarde devant moi et que vois)-je sinon ça , qui va et nous entrâinee (comme qui dirait) après lui , cerf aux bois collés, aux sabots dorés. je kle regarde. je suis homme des chants d’azur. je suis ombre ? je sous ombre-homme accolé à kl’ombre de s données données (cerf et cerf des bois) qui sont devant moi (temps dépl;hissé). je comence  à comprendre un tantinet on dirait mais en vérité que xsais-je ? pas des masses. massifs ? peut-être ! Charge complète ? c’est à dire aurochs) ? peut-être. je l’ignore. je suis l’ignorant du poème, le chanteur gracile émérite, liquidé,ou liquéfié plutot. je vais et je viens. je cherche la corne, le sabot, soit la biche folle, affolée, vive, sautillante. nous voulons ensemble (= n ous = je, je et je associés) comprendre la biche, affolée, de ces contrées (de la rage à naitre). ce qu’elle est pour nous qui courrons après comme des morts cde faim : succédané ? temps déposé pour faire accroire ? charmes à visée ? confiance ? nous avons encore du pain sur la planche (pas mal) mais nous ne sommes pas pour autant fatigués bien au contraire, nous sqommes plus que motivés, nous voulons p

ercer les mystères les plus cachés ou comment dire ? les plus enfouis sous terre ? les plus dérobés de misère ? les plus quoi ? nous avons en nous une sorte de petite (?) bête qui chers he que tru cher cheras des choses (des données) de poids , qui puissent le faire»»e»», qui puissent nous donner comme une direction à suivre sur pareil chemin de vie à prendre fissa par la ban,dee, à suivre de concert jusqu’au bout du bout de kla roche. nous avons ensemble à devoir aller à percer icelle la n° 2) et là : grave que tru graveras ! grave la roche que tu grav eras = mets ton  nom, grave icel, celui nom que tru portes ! graves à vif et sans ta rder ! avant que la mort ne t’approche et ne te gobe ! grave que tu graveras icelle roche des tourments = le temps ! grave de ton sang la roche ! pisse dru ! chaudement ! pisse roche dru ! chaude pisse drue de la roche des temps : grave ! parce que ce qui est c’est cette chose comme quoi le temps = le verbe et le 

verbe le temps = la bête première ,; la bête contenue en soi (surnuméraire) chargeant (de paroles) sa charge primaire : val d’Aran ! charge printanière ! prise de bec ! choral ! cxharge vive dans le vent de  fa ce ! carnage ? cargaison ? charge droite ? Nous avons à pour le coup comprendre ensemble (oups ?) cette chose d’une sorte de recherche ici assidue, à fond les manettes, verts la vérité ou dans le sens dxe la vérité, ou comment ? de vérité ? nous voulons toucher à cette roche 2 des fonds baptisma ux, des pierres fines, des enclaves. nous avons de vant nous de la roche de poids, roche pesante grave, aaurochs = roc de rage. nous cvoulons aller «de l’autre côté» de la rage d’être , de la rage des temps posés ou déposés (présents de façade) et là (là-bas) traverser, aller, cxharger, foncer, fracasser la roche d’un coup dxe taloche. far casser icelle gaiement, ici d’un coup de corne, là d’un coup de sabot, d’un coup de pic de roche dure : vive entrée danbns la matière de la mort à l’oeuvre ! car voici qu’elle se pointe vive ! la voici devant, qui menace ! bisque bisque rage dégage ! va au loin ! ne viens pas nous enquiquiner ! reste à ta place ! reste dans tes souliers ! dégage grave ! car nous : de l’insulter et pas qu’un peu : tout (en entier) le langa ge pa rlé ! Les mots sont pour le coup des entités de rage , prêts à des dires de pa rade, charge virale, constructions artistes visant à pour le coup tuer dans l’oeuf de sa race la mort déployé sur une sorte de devant (pariéto-frontal) de façade. la mort dure mord. la mort est la dure qui mord à la dure. elle s’en fout de nous, elle cxhezrche je, l’être des données acides comme elle. Je cherche à comprendre, je cherche à entrer par la bande en  cette roche vive des données de base. ce que c’est que ça : la mort et la vie, la chance et le rire, l’aurochs de compagnie et la jument vierge, vive. Je cherche que tru chercheras. je cherche volontairement à travers la roche un passage de choix menant ici direct aux savoirs les plus ancestraux, les plus primitifs. Je veux comprendre ces données de la rage vive ce que c’est au juste, et pour pouvoir en avancer dans les déccxouvertes à mener, à faire. nous voulons toucher la roche , toucher la paroi du monde, toucher le devant de soi matériel, chair des choses. ça le fait des masses ! c’est frontal ! ça douille ! ça coince pas mal mais ça parle un brin ! c’est rugueux parfois mais vas-y des fois que ça passe ! tete 1 ! tete 1 dans kle sein ! tette numéro 1 pour une entrée dans la matière fauve des denrées déposées sur roche ! vif des parois ! vif du Roi ! vif des Choses de choix ! vif des feux de bengale et autres attrappe-joie ! je /+ je = trois c’e’st ça ! et trois = la cxhaloupe = la bête primairev = le cheval ! je suis celui-ci qui broute (chamanisme ?) l’herbe (verte = verbe) des prés :la beauté nacrée. je suis cet hommùe des cavernes, cherchant sas de vérité premières. je cxherche que tu chercheras à comprendre l’hommes des cavernes en moi,  ce qu’il est en vérité en moi : cetteChose ? cet homme des bois ? ce cerf de paroi ? pacotille ? chant ? courage ? dfonnée ? présent = temps de rage déposé ? Je cherche à savoir ce que c’est que cette chose devant moi qui charge. je cherche à comprendre ce que c’est que cette chose de la rage à être (et naître) sur un tas de vivres offertes : bébé né à une vie présente déplissée, déposée, placée sur roche = dite par la bande comme un nom de rage le sezrait, comme nom d’apprêt. Nous voulons ensemble percer les mystères des temps dépl;oyés par la bande = tourments déposés = chants choraux de rage monstre = aurochs. je cherche à tout va ce qui va de soi par la bande = mots d’apprêts, cortège, parades natives, cavalcades des embruns, charge primaire, embardée votive p;lacide. je regarde devant moi ce qui est, cette voie des ombres, passage à vif à même la roche, entrée des artistes, cxharge, chant. je regarde  cette chose d’une voie d’abord à même la roche cdes temps. je glissde sur du lisse puis je passe ( par un trou de rage) dans la roche dure des données de base (nu=éro de la  r âge, chant d’oiseau). Je suis un ho:mme dépl;oyé, un homme traversé par du temps déployé en lui-même. je suis déplissé moi-même peut-être (en partie ?) par la m=ême . Je suis disons comme traversé ou sinon déployé ou sinon déplissé par la même par le verbe en moi déplissé. j’essaie de suivre à la vitesse grand V(?) des avancées telles qu’elles sont libérées de fait par la bande au fur et à mesure d’une entrée (en vie) dans la matière de la mort à ;l’ oeuvre (en soi ? hors de soi ?). je regarde ce qui est devant = roche de la grotte pl;us que cachée. J’eesaie d’entrer fissa tete première (naissance aux abois) et pour cela : le pic de verbe (ou dit «pic de v erbe») ?. ça y va ! ça pulse des masses : aurochs-tac, tic-aurochs ! ça dépotte sur paroi à la manière des hommeqs d’autrefois ! ça grave que tu graveras aurignaciennement ! ça charge courage et foi, ça pulse du sang de roche perlée ! ça fouette ! ça schglingue royal! ça cocotte grave car ça pue la  meu ! et pourquoi cela ? parce que ! parce que la mort ! parce que la voilà qui pointe sa langue , bout de langue tirée, bout des bouts de la langue-pointe, langue de la pointe et des données vives ! ça chae-rge en même temps que ça pulse ! ça rigole pas ! c’est pas là pour ça ! ça schlingue que tu schlingueras car ça y va question caca tu le vois ! C’est comme si la mort étai t comme de la merde. c’est un peu comme si lma mort en vrai était de la merde, une sorte de paroi de rage rszmplie de merde, de bas en haut, tout un attirail. on comprend à présent  cela, comme quoi la mort = de la meu de rage devant soi. trou puant sa rage fauve. carnage ok. charge virale on le sait. la Covid majeure ? pourquoi pa s? le K des données brutes, hé ! ça pulse ! c’est massif-royal ! c’est gros que c’en pète ! ça y va frontal dans le tas ! ça déconne pas ! ça fronce ! ça force ! ça pousse depuis là (nzaissance) à tour de bras (le temps) dans la nasse (Vie reine de la joie du je joueur). je serais cet homme des cavernes, cherchant querelle à travers la foi. je gra verrai, de mon sang vif, la roche dure : sentiments élégiaques divers, dépositions saignantes, temps passé de contrebande = temps (passé) de contrebande. je cherche à tout va ce qui est devant, == ce que c’est. je cherche dur dans le dur. je cherche vif dans le vif. je cherche à même le temps déployé devant moi par moi la Chjose des parois du monde (mort, qui es-tu ? m’entends-tu ? veux-tu me laisser tran,quille !). Je cherche que tu cher cheras à comprendre le temps de la roche diurne ce qu’il est pour moi : temps passé (de moi ?) déposé ? cxhant d’homme-femme doux-douce ? Je suis là pour enfin co:mprendre (pour moi ?) les données cde base, les chants drus, les contours de ta race, la mère, la misèsère, le mal, la peine, la joie d’être et la peine à naitre, etc. je vois devant moi des choses posées (vivres) à même la roche du temps (du verbe à couille sur bois de céans). je suis un homme)-b^$ete né d’hier, voulant aller dans les lointains chercher sa pitance, son «de quoi vivre» dans la joie de l’ettre. je suis verbage, mot dur, Verbe hautain de base, charge-chant mauritanien, australopithèque, toltèque, néandertalien, chant doux-dur des provinces arides, charge des parents, vent de face. mon nom est deposé sur roche à la manière d’hommes de la ^réhistoire : au pic de ta gravure, au bois brûlé de tes envies de bure, de vêture, d’ornements col:orés. je suyis homme des bois, des bois et sous-bois d’une rage grave. je veux être vif = vif de ta rage à naître sur terre un enfant de la voix montante. je regarde devant moi cet être de poids qui est le Roi des rochhes dures = le méga, le grand manitou de la place, j’ai nommé le Cerf des données acides , des données vives de la mort (c’est un fait !) à l’oeuvre . la voil:à qui pointe ses doigts, qui montre la voie, qui cherche à nous soustraire d’une loi de rage, d’un endroit boisé comme bois de la place, etc. Je serais cet homme-là, ce chercheur. celui-là qui va vif à la recherche d’une voie sens»éée, d’un verbe empli de données de roche, d’une solution à un problème ; quelles sont donc, ici m^me (Vie), les données ? voyons voir ce qui est qui semble nous «chercher», nous «chercher misère». on dirait une entrée dans la matière, soit un trou dans la roche = fissure-a trait, trou-apprêt, chant vif des anges des prés. je regarde ce qui est ici sur roche (vent force majeure) et je vois quoi ? la terre entière ! cheval de la foi ! grosseur ! entièreté printaniè!re !  erreur ! plantes diverses à consommer avec ardeur ! Je suyis un ho:mme chercheur d’or par la bande et par le sang. le sang en moi est l’instrument majeur de connaissance. la naissance par la voix est la qui priime, qui dépotte vif, qui sert la vacance en moi d’une pensée de poids pouvant cerner, coincer du dire ici et pour le coup de poids, trouver pitance. je suis homme des parois de rage, des parois meubles à traverser. le nom que je porte est un nom ancré dans le sang de ma race dx’être (cheval line ? caprine ? porcine ? ovine ? arachnéenne ? on cherche ! on ne sait pas on est cdes enfants venus tard à cette chose d’une sorte de paroi colorée du monde, montrant choses et autres en lien avec la foi)= la Foi = le Feu de la voix). Je cherche sur roche des données (si possible) solides = de poids = qui pèse grave kleur peswant de cacahuètes. nous voulons cxomprendre ensemble  ce qui est qui va, ce qui se trame devant soi et nous concerne (on le voit) au premier chef, du moment que la vie va pour nous ou va toujours , pour nous, alors oui : nous sommes concernés, nous devons de fait nous positionner grandement et de façon ancrée , en cette roche dure à graver peut-être mais roche des données premières, pionières, roche à regarder (dès lors) comme celkle (en premier) qui nous donne ou donnerait de quoi nous faire (un temps) comprendre bien des choses concernant le Feu

ou la Foi contenus((e) dans l’homme. nous pouvons toucher. toucher à la bête. toucher à la bête surnuméraire , hors de soi. nous pouvons à présent toucher à cette bête de la foi, de l’être, de la rage, des tourments de base, du temps dévolu. le temps dévolu est une bette. Le verbe cru est une bête. la place vacante (vacance) devant soi est une bête. le temps déployé par la bande (langagière) des données de base est une bête. en soi la voix, en soi la colère. la voix de stentor d’une rage vive (bête de la joie) est là qui nous interpelle, nous pousse à naitre terrestre. nous cherchons ce passage (de temps ?) entre un moment de rage (naissance assistée) et cet autre moment , moment dit «des embruns», qui est ce temps lointain (espace de grave) dans le vent. je voudrais savoir, je cherche. jke cherche = nous cherchons. nous cherchons «ensemble» = de co,ncert = une tribu = une peupplade = une confrérie = deux ? nous chercho,nsq. le temps déplissé est du verbe déposé (coute que coute : c’est la vie! ) à même le pied de la roche de la mort en branche. on connait la chose  :  la mort est entité. on voit ce que c’est que cette Chose d’une sorte de dessin sur roche dure : bouquetin ? censé représenter la donnée princière, ce je dit d(un dire noyé, dissolus, envolé ou sinon comment ? pris dans la nasse ? dans du sang de biche ? de chevreuils;l ? de cerf géantiissime ? élan du coeur ? nous avons chacun un nom de  bête à dérouller comme un parchemin sur la table d’un chateleian. nous sommes deux , ici, qui cherchons ensemble à comprendre leks données donné»es par la bande. nous voulons nous immiscer entre deux parois dans la parois. comment expliquer cette choses ? voi;là : nbous entrons (en lévitation et sous l’emprise en nous de la bête fauve) dans la roche, et là , nous regardons aux alentours ce qu’il s’y retrame, ce qui est. nous voulons nous aprocher d’une vérité, d’une chose en  vraie. nous voulons entre deux roches toucher à ce qui est = une bête surnuméraire. cette bête est notre double dépl;oyé, ayant traversé kla paroi (la 1) du temps déposé comme une offrande à une déité (ne cherchez pas laquelle, il n’y en a qu’une (deux points) , la mort. La mort est la déité par excellence. elle trone massivement au dessus de tout le monde , roi-reine des champs de blé, des prairies vertes acidulées, des prés nuptiaux. la mort est la princesse, est le prince des parois doublées. elle trône comme une bête a ssise sur siège des données amères. elle est là pour ça : trône que tu troneras. elle nous regarde. je suis un être droit debout enntre deux parois de roche, je m’avance 

je m’avance gentiment, finement, volontairement, tendrement, cordialement, connement, vivement, soudainement ou pas vers les embruns du fin fond de la roche dure devante nous. je suis un enfant des champs. je veux toucher la vérité vraie . comprendre est une chose, toucher en est une autre, et comprendre-toucher (ensemble) une troisième. je cherche à comprendre ce qui est qui se pointe jusqu’à nous comme par la bande langagière. nous sommes marqués à vie (tracés) par des mots en nous inculqués difficiles à approcher. les mots sont des b^tes comme les autres = des aurochs de rage, sacs de blé. sachets-tisan-e. je voudrais aller loin dans les données pour mieux les comp^rendre, les soupeser, les voir de près. ce que c’est que ça. Ce que c’est que cette Chose (grand C) là qui est là pour soi (gouverne) dans le sang de la v ie vive en soi (pas le passé). Le pâssé (déposé) on le voit (on le comprend) n’set pas assez. il ne suffit pas de passer un temps (sur terre ferme) pour être pour la mort la carne p^remier choix qu’ellev adore et qu’elle attend impatiemment tout le temps. la mort a des goûts de luxe. elle veut la Vie vive, et non pas le passé clinquant, succédané. pas folle la mort pour deux sous c’’sst dit ! (Ça se dit ainsi). La mort est une bête de bon poids bon oeil, qui ne cesse  de nous suivre du regard, qui cherche à nous piéger continuyment, qui n’arrête pas de nous en vouloir, de nous chercher des noises, à nous faire chier sans cesse, un,e dro^le de paroissienne. nous voulons la toucher. nous cherchons (ici :être) à toucher la mort sans devoir y passer =  succomber à ses attraits. nous voulons aller en roche comme en religion à la recherche d’une vérité (de choc et de poids) concernant la mort = ce qu’elle est pour soi en soi (bête massive majeure ? majeure au sens xd’adulte ?) ou quoi d’autre ? une denrée ? denrée de prix ? denrée riche ? à se mettree fissa sous la dent et à croquer ? la mort est-elle donnée = don,ée et donnée ! donnée en tant qu’elle nous sezrait offerte par la bande, et donnée en tant qu’elle serzait pour nous un élément-clé pour une comprenure attitrée. jke suis cet homme (ici bas nacré) à la re herche (vive) d’une vérité de base à comprendre. je suis homme vif, chercheur d’or, chant des blés, courage, trouvaille, découverte au débotté, plantation, ccharmes. je veux être conduit à bon port vers une vérité d’abord princier. je charge à tout va. je cherche pitance de base. je cherche une denrée sauvage ou pas m âis nutritive et pouvant du coup combler mes ardeurs printan!èerezs premières. je veux être là pour comprendre en soi les raisons qui poussent x ou y à chercher pitance dans les bois, les sous bois, les champs, la toundra etc. je mange (rumine) herbe verte = verbe = chant =champ. Je suis cet homme ici des années déposées sur roche à la place de . a la place de la vie voyante, ces années de vies voyantes ne sont pas la chose .

ces années de vies voyantes ne sont pas la chose en vraie attendue par la mort en face. La mort ne veut pas de notre passé posé. ou oui mais pas que. la mort elle veut plus, elle demande davanta ge. comment ? par la bande ! c’est à dire ? par le…. vent ? par cette chose qui ici buffe vif et qui est ce vent de fa ce ! la mort veut la vie , pas un semblant de vie comme le passé. le passé brille, brûle, se consume, tout feu tout flamme c’est un fait (clinque que tu clinqueras), peut «sembler» le faire «un temps» mais tu m’a s compris : pas assez, pas suffisant, pas assez nourrissant, tu vois ça d’ici. la mort veut gra ve de la vie en vie et pas du passé, qui est comme de la fausse vie, fausse monnaie. La mort veut manger de la vie en vrai et pas du temps (présent) passé déposé à ses pieds. la mort a des pieds : ce sont des données. la mort est munie de deux pieds dits «de rage», pour marcher da,ns nos brisées. je veux comprendre ce que c’sdt,n, et viol;à pourquoi je m’acharne à tracer (sur roche) des bêtes rudes, de gros poids pour en imposer : verbe gros dit «de synthèse», chants choraux , ventre plein de ra ge à être, charmes surdimentionnés , cerf de la partie, cortèges,; choeur devant les attributs nacrés. je voudrais comprendre ce que c’est que «la mort en branche» ou dite telle. Je voudrais que quelqu’un m’explique. je voudrais savoir ce que c’est que la mort qu’on appelle «mort en branche».  je voudrais bien, une fois, qu’il y ait quelqu’un pour m’expliçquer ce que c’est que ça. j’aimerais bien que quelqu’un un jour m’explique ce que c’est que ça au juste. j’aimezrais beaucoup un jhour que quelqu’un vienne, pour m’expliquer entre quatre hyeux ce que  c’est que ça : la mort xde la bande, la mort par la bande, la mort de contrebande, la mort en branche ?. comment dire ? car la mort est une entité pointée. elle guette (le guet) et ne nous lache pas d’une semelle (bottée). je cherche ce qui est. je chcherche à comprendre un  certain nombre de données ce qu'elles représentent, ce qu’elles désignent pour de vrai, ce qu»’elles désignent ici et là , ce qu’elles sont pour nous en tant que telles. la mort est-elle une entrée dans la matière ? ;la mort est)-elle une ouverture de paroi meuble ?, la mort a telle des antennes outre-monde ? lma mort est-emlle une princesse ? un prince ? reine ? roi ? est-elle religieuse . la mort a telle en elle de quoi nous enfumer ? est-elle une sorte de trou de fumée ? brule-telle sa chandelle ? est-elle riveraine de la vie nacrée ? de la viepassée ? a t elle pour nous de quoi satisfaire notre gouverne intellectuelle ou b ien pas de ça ? est-elle riche d’une vie en elle la tenant vivante à ja=mais ? la mort est-elle une princesses ? un prince des bois ? char d’assaut ? cochère ? vive ? à califourchon sur notre être de vie ? est-elle séduisante comme la pluie, comme le sol:eil, comme les embruns, comme la  brume sur la prairie, le gel, les giboulées, les nua ges ? je cherche à savoir ici et là, à discerner, à comprendre vif, à toucher à la paroi du monde = Chose rude. qui est là pour moi ? qui est :là pour soi ? qui va là pour un en-soi en soi ? qui parle pour moi ? qui parle en moi pour mon soi de rage (bête captive) ? Je suis comme hanté. hje capte des données de rage par la bande ancestrale du temps déplissé dans une vie donnée. car la vie est don, don attrappé, don capté par la bande à la naissance = jeu. nous devons aller en roche à lza recher che d’un temps déplissé déplissé par l’homme : donnée masquée. nous devons toucher la roche : au pic perçant, à la vive antienne, au chant dru, à la col:ère (jeux divers). nous sommes deu

x = deux = deux = deux à l’infini. nous sommpes deux dires, deux voix, deux chants, deux ventres. deux antres?. deux roches devant pour deux êtres (en nous) entrant. tout est double. tout est comme double ou doublé. nous voulons compte ndre des données de base déplissée de rage (ici : paroi = roche) et pour cela llezrt «ensemble» («toi et moi» de roche) à même cette Chose vive (ouverte) devant, et qui est cette bvouche grande, ouverture majeure, trou béant comme une caverne, une excavation, une tombe. je voudrais comprtenxdre ce que c’est que cette tombe-là. qu’est-elle pour de vrai ? les mots se chassent (on dirait) les uns les autres mais ce n’est pas vrai. les mots tournent que tu tourneras comme sur un manège de soi en soi = une sorte de révolution de palais. un chant choral à multiples entrées de rage : rzage 1 = la parole dru (celle de la colère). Rage 2 = l’invective à forte  teneur en termes de méchanceté. rage 3 = la voix des parois, celkle de l’aurochs surnuméraire, de l’an tilope des entrées, du bison moqueur, des chevaux récalcitrants. la mort est une biche-^fleuve (o ! qu’est-ce ? ). une biche-fleuve est une biche offerte dans un temps (étiré) long de plusieurs années ou comment peut-on ou pourrait -on décrire ce temps déplié ? les années forment sa jeunesse et constituent le coeur des donné»es données. on cherche ! oh on est pas arrivé ! On sait que les recherches dureront dans les années qUI viennent, s’étireront. nous cherchons ensemble durement. nous mettons notre coeur à) l’ouvrage. nous y mettons beaucoup du nôtre. nous voulons comp^rendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est, ce qsui se dessine sous nos yeux. aurochs, aurochs, antilopes, bisons, buffles, chevaux, cheval, aurochs, bhison et bisone, cheval et chevale, douceurs, finesse des traits, vives clartés, sentiments de destinée, ouvertures grandes, passdages de denrées en bouche de rage. nous cherchons à (donc) comprendre la voie. nous voulons nous approcher de près et voir ce qui est , en cette bouche grande ouverte de la mort sur pied. où va ton ? où sommes-nous ? y a till du danger à s’avancer ? que devons nous faire pour ne pas sombrer et y passer ? doit on nourrir la mort ? doit on nourrir la mort ? doit -on nourrir la mort à satiété ? doit on nourrir la mort de notre passsé ? doit on nourrir la mort avec autre chose que notre vie passée ? la mort est gloutonne, elle aime ma,nger sans arrêt (brouter, ruminer) , on le xsait : estomac sur patte , comme une vache, aurochs des prés, jument verte étoilée, chaleurs. La mort aime tout le temps manger. la mort aime manger trout le temps. dort-elle ? fzait-elle des sommes dans la njournée ? la mort ne s’en laisse pas conter fleurette jamais on le sait, et toujours demande ou est en demande de deznrées de choc = vie active. on comprend sa rage quand on voit ce qui (par nous ! hé ! ) est donné! temps maussades, tourments de dires longs, douleurs déplissées, passé passé de  date ! tu le vois, c’est maigre ! ça ne nourrit pas des masses ! or la mort a tout le temps faim. elle est la faim personnifiée grandeur nature (grand G). Elle en pleurerait (de pas avoir suffisamment de quoi se susteznter). elle a très faim en permanence comme un loup, car elle est le loup de ,;’histoire. la mort est la faim incarnée (pour ainsi dire ) = faim de louve, faim de loup, faim de bête rosse. faim-fin d’une telle (dite) qu’on nhomme : La Mort, car elle mord. jke suis homme des parois de base, à la recherche d’une vérités (peut-être) »chaude» concernant la mort : qu’est-elle pour nous qui so:mmes des humains perlés, parlant Verbe de poids (inculqué) et pour le coup pouvant tracver sur roche des traits de vérités vraies ? nous nous approchons de Roche 2 en lévitation (pas que de roche 1). nous voulons monter, toucher haut, troubler, com^rendxre, aller sans y passer, trouver. nous voulons savoir ce que c’est que ça, cette roche de paroi aux accents de base rageuse (bêtes monstres au haut pouvoir intimidant ?). notre envie de vie soutenue est à jour et compte son pesant de voix diverses (voix de bure, voix de buve, voix de buffe : les trois voix de la rage à naître°. nous compteons sur elles (gravures, effigies) pour paraiitre l’être (tu m’as compris). le temps déposé (présent d’actions) a son petit effet attendu (on l’espère) et «marche» à pas d’enfant, sur roche de la lan,de va, de son allant direct. on veut toucher la Chose du temps avalée , on veut ou on voudrait comme toucher, comme faire toc. on veut s’approcher, on veut être à deux pas de la Chose . mais gaffe !la mort est une bouche grande ouverte ,qui sait aspirer, qui sait avaler, qui sait man,ger, qui sait attraper comme qui couillonne, fissa et alors vas-y t’en relever , tu peux pas ! Oa mort est gloutonne. bouche ouverte. ma,ngetout de première. ventre = antre = coeur à l’estomac. pas coeur, creux, on voit ça. on dit cette chose là comme quoi la mort est un estomac ! tu vois ce qui est ! ça plo=mbe des masses ! ça pèse de sa voix de rage et ça impacte ! on veut ça ! on veut comprendre ça ! on veut savoir ça ! on veut dépotter des masses de vraies dires de poids ! on veut de la rage en branche pour soi (mordre et tuer). on veut comprendre ce qui est qui nous regarde de biais (ou comment ?) en face = le temps à devoir passer = ce temps devant soi comme une sorte de paroi de base = ce chemin de destinée maussade (ou pas ? sade ? ) et allez ! on va direct vers ça qui nous mate, qui donc ne cesse de nous reluquer ! On veut comprendre les données de base ce qu’elles sont pour nous qui aspirtons, à) (pour le coup) co:mprendre fissa (par la bande) ce qui se trame ici en termes de terminaison à une vie (humaine) octroyée. la vie est vive de fait, qua,nd le passé est feu de joie de cavalcade. on voit la mort se trémousser de rage en attente de quoi. on voit bien ce qu’elle est en vraie de vrai, on voit ça. la mort attend l’heure de mangezr sa planche !Elle meuble ! ouh la voici ! elle vibre  et vire au gris de rage ! car elle est vexée ! elle s’attendait à mieux (à pire ?) qu’à une sorte de passé de poids surnuméraire, comme aurochs ou ours des cavernes. elle voyait tout autre. elle pensait qu’elle serait volontiers choyée en permanence, qu’elle verrait pour elle x et x de nrées se profiler devant elle (devant nous : entre-deux) pour sa gouverne : verbe des bois, verbe des sous-bois, vervbe ventripotent, verbe pesant, verbe d’insulte primaire, antithèse et synthèese de g»éants, colères imberbes surnuméraires, choeur de l’armée russe, courage de masse, entretiens au débotté durant une vie pleine, choux garnis, parfums enivrants, calcaire, calcites, pierres de lune. nous cvoulons ainsi aller loin, nous cherchons la profondeur, nous voulons trouver des choses de poids, des aurochs et âutres bisons de Vérité. la Chose est tentante (verbe) qui se mord la queue pour être. nous nous déplaçons de concert et foulons la terre, saut de branche, et hop ! tete première, en ce sas des contreforts, en cet anttre primitif de rage, entredeux pour une voie et une voix. une voie d’accès (vers la mort des vives clartés) et une voix de rage, celle-là précisément que nous comptons pour nous comme alliée de base, en -^soi ancré, verbe inculqué , langage parlé inoubliable, le par-coeur de la principauté. nous cherchons à comprendre ce langage ancré, cet espace occupé, cet entre deux mers, ou entre deux terres, ou entre-deux tout court, ce chemin empli de données mâswxives, de bêtes paissant, verbe de poids dans l’escarcelle = insultes à agent de mùunicipalité. nous voulons toucher la roche 2 après la roche 1 (entre-temps : la vie pas facile ? la vie des tour:ments ? la rage du verbe ?). nous avons ensemble à devoir aller, fissa, direction étoile, vif d’un trait, percer les mystères. nous voulons trouver , et pour trouver il faut chercher. ou non ? peut-on trouver sa ns chercher ? ben oui ! et comment ! c’st souvent ainsi ! c’est quand on lambine, musarde, tête en l’(air (sa ns chercher plus que de coutume) qu’on trouve sa voie. on trouve que tu trouveras une voie d’abord (de rage) dans les bois, les champs, allée de base, contre-allée de rage. la voix en moi gronde de toute sa gourme sa gouverne incommensurable (une bête malodorante). je l’entends monter en moi (grondement sourd de paroi). une voixw de bête rude, bête aux attraits vifs, roue dentée, roues dentelées, parades nuptiales, danse du ventre, pets de nonne, complètes vérités aux traits acidulés, charmes d’oc, colères. je crie ce qui est = une vie de base massi ve (bête roosse) et ce faisant m’approche du fond. je regarde. je vois une bête, ou on dirait. une bête de belle carrure, arquée sur roche, bec de rage, cornes au vent ou bien quioioi ? ramures ? armures ? cris de la bête ici nous voyant et alertant toute la contrée. on s’avance. on regarde. on voit ce qui est : une bête vivant, une b ête vivante. on voudrait la toucher pour se rendre compte. on voudrait toucher la bête pour nous rendre compte de ce qu’elle est en vérité. est-elle  vraie ? est elle dessinée ? est-elle gravée au piquet de rage (voix de stentor) ? a te lle pour elle de vrais attributs d’être, ou que de paraître ? vivacité ou vie vraie ? La mort est aux aguets, elle est prête à croire mais hésite encore sur ce qu’il en est de pâreille bête présentée. La mort est vite blousée mais revêche , elle sera toujours là pour vérifier ce qui est sur roche présenté : vraie bête pleine de vie en elle, ou alors effigies comme pour de vrai à s’y tromper ? elle regarde au plus près pour comprendre, juger et jauger. elle se pose des questions existentielles. elle ne sa it pas sur quel pied danser. elle est toute chose. elle est comme une enfant (un ou une) qui regarde passer et se demande, l’air défait, ce qui est etce qui n’st pas. être ou ne pas être la vérité vraie d’une vie en vie offerte à une déité telle que (mais c’est la seule existant sur terre) cette chose d’un passé de roche, passé passé, vie passé n’est pas la vie mais peut très bien «le faire» si tant est = si des fois la mort(enfant de joie) s’y trompe. si la mort en soi co:mprtend mal la chose et croit. si des fois la mort de rage voit, ou pas cde rage ne voit pas ou quoi ? la mort est trompable ? enfance ? une enfant ? un ? une quoi (ou un) ? la mort voit quoi se trémousser : la vie, de ta rage à faire comme si ? ou bien voit-elle de la vie en vrai , vie des pères, des données de base, tic et tac sur place ? la mort est-elle clairvoyante ? comprend-elle le petit manège ? a telle de quoi en elle comprendre tout le machin ? est-elle assez fine pour voir ce qui est de cette vérité des données offertes et autres denrées déposées ? qui est-elle ? une (un ?) enfant de choix? allant sur roche de son pas de base outré, ourlé, ou comment tracé ou quoi ? la mort est elle une e,ntité saillante ? trou ou pic de roche ? cavité . pic de battue ? on cherche vif, on demande, on s’inquiète, on voudrait connaitre le fin mot, on soulève. on voudrait comp^rendre ce qui est exactement : la mort est-elle grugée dans l’histoire, ou dison,s : grugée un temps ? il semblerait. et pourquoi grugée ? pourquoi est-elle influençable, grugeante, etc ? parce que ! parce que la mort est cet être de base ici présent, cet être se p^résentant de base à toute gouverne vociférant (= vivant sa vie) , à savoir : cet enfant des bêtes nacrées, cet enfant de parade, ce ve,nt. ce vent de façade native. nous vou:lons comprendre ce qui est, nous chers hons assidument ce qui est qui sepresénte dans le vent.

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15/04/2022

Nous sommes deux ici qui cherchons ensemble. 

Nous sommes soudés, nous sommes deux. nous cherchons ensemble. nous sommes ensemble qui voulons comprendre ensemble. nous cherchons ensemble. 

nous voulons comprendre ensemble. nous sommes deux (ici) qui cherchons ensemble. nous voulons ensemble entrer dans ce sas de la roche. nous sommes ensemble qui voulons entrer en ce sas de roche. nous nous sommes rapprochés, nous nous sommes accolés. nous cherchpons ensemble à entrer en ce sas de roche dure : le Temps, soit le temps des tourments. nous cherchons fissa à nous introduire. nous sommes ensemble qui cherchons à nous introduire fissa en cette roche des données de base. nous voulons comprendre dans les profondeurs de la roche du temps ce qu’il en est, ce qui donc ici se trame (durée) et nous «regarde». nous voulons nous approcher ensemble << et pas isolément de cette vérité de base devant <<nous. nous sommes deux = un couple = un assortiment. nous cherchons dès lors ensemble à nous immiscer-insérer et ainsi à piger. nous ne voulons pas (du vivant) passer à côté des vérités de poids. nous voulons toucher la timbale = cette chose devant nous dite «de la destinée des choses du monde». nous voulons toucher = trouver. trouver quoi ? trouver «des choses et autres» mais toutes liées à une Vérité de rage (= de base) incommensurable. je suis lmà pour être, nous nous sommes accolés, nous faisons corps, je suis je , l’entre des données derage et autres vilénies premières. je suis je, être donné (par la bande) à une vérité-sommité de race = aurochs des prés. nous nous approchons (dedans la roche) de la vérité de fond de cale = des tréfonds. nous voulons comprendre ensemble la base et le sommet de l’être == cette CHose rude, forte, un colosse, une bête de poids oou de bon poids bon oeil rageur, cette Chose ÉÉbnorme, ce poitrail, ou ce portail ?), qui est devant nous l’Accès. nous nous approcjho,ns «ensemble» = «nous deux» = «nous» = «je + je» = cette Chose en nous de rage rude, ce chant en nous qui ourle les coeurs ; Hardi ! faisons foi de la rage du coeur mais fonçons ! allons en cette roche 2 (celle des tréfonds) à la recherche d’une déité ! cherchons bien lm’entrée ! soyons «solidaires». faisons le bon choix! passons ensemble les arches et les arceaux. faisons chemin faisant «connaissance» avec… soi + soi = quoi ? nous ne savons pas ! Nous voulons comprendre ce que c’est que ce «nous « de rage pariétal, xce qu’il est au juste, qui est qui et quoi est quoi. nous voulons comprendre loin car nous savons que c’est au loin que les choses ecxistent crûment carrément. nous voulons co:mprendre vif et loin les choses, ce qu’elles sont au juste devant nous (fin de phrase au déébotté) et voilà pourquoi on avance, on grapille sur le Temps, on chers he à passer muscade ou comment : on file ! on va vite ! on ne traine pas. on est là pour comprendre ensemnbe «»»» cette chose d’une sorte devant nous de rapine ou de quoi ? de porte ? ravin ? trou d’ombre ? ouverture grise ? chant des colombes ? attrape-joie ? colère des dieux de la roche ? catafalque ? contremal ? Nous cherchons à tous (?) à comprendre ici cette chose (au-devant = temps) déplacée, cette chose rude. nous cherchons à nous approcher ici même (temps) de la roche de paroi rude, de pareille rudesse de roche, de ce temps monté et montré, de cette ouverture (béance) ?) de paroi meuble (ou pas ? ). on cherche ! On est là pour chercher ensemble la voie. on veut comprendre ensemble<< et pas (surtout pas ! ) isolément. ou séparément. on veut ensemble (uu!ni, unité) comprendre les données de base. et surtout pas isolément ou séparément. parce que c’est ainsi que l’on se doit de faire et pas autrement, du fait que voilà : nous sommes vivants, nous sommres des v ivants parlants, des êtres de la rage d’être dans le temps des mots déplacés, apporetés sur roche, présentés en tant que présents , offrandes à déité. nous cherchons dès lors cette chose, de nous voir absous. nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici (roche des dieux de la Roche) et pour ce faire : une voie d’abord = le sens de la marche, l’allant des parades, cavalcades, chants des trouvères et autres troubadours (homme et femme troubadours). nous voulons aller de près toucher, pour toucher à Elle = Roche des temps. nous ne voulons pas (p;lus) de la misère mais aller ensemble au plus profond des rages lovées en icelle. nous ne voulons pas trépasser , nous ne voulons pas passer, nous ne voulons pas faillir, nous ne voulons pas aller comme à la mort des données  de perte, nous voulons toucher ! RToucher déité sans nous brûler ! Nous sommes «remontés», n. nous sommes êtres de la foi, gravée sur la roche : animaux dit «de coi:mpâgnie» = animau-mots d’une rage à naitre tantôt. je veux ça ! Je veux cette joie en moi. je-joie veux ça = cette joie de base = je. ce temps de latence, cet écart momentané, cette survivance des images, ce … chandail ! Oui ! cet habit de bure ! franciscain, pauvre des données, chants de base rassemblés, choeur d’hommages, ouvertures entière, calfeutrage. nous ne voulons pas mourir ! nous voulons toucher. nous ne voulo,ns pas mourir mais toucher à cette roche dure des données de base (à une vie humaine permise). notre but est de toucher . de toucher la main. de toucher à cette main, à ces deux mains qui (devant nous) se présentent. nous ne voulons pas passer l’arme à gauche mais aller, courir, sauter ramages, contrecarrer. notre but ici est de damner le pion à icelle roche des données vcoriaces , de doubler la mise pour ensemble nous en retourner fissa sans plus attendre et : pas mourir ! de grâce ! pas ! on est pas là pour ça du tout ! on ne veut pas ça, pour rien au monde ! on est là pour tenir bon l’onde de choc, ou comment dire ici ? cette chose rude, ce sens de la marche, cet élan-allant, ce réseau, cette voie,  ce chant du monde : comment ? car la vie vibre , de tous ses canaux surnuméraires, surdimensionnés, chaleureux, a graires, monstrueux, exponentiezls. nous sommes deux (en soi ?) qui cherchons querelle (insultes natives) à cet être cdes parois molles (meubles) ou bien dures (rudes) à dessein. nous solmmes qui voulons toucher la roche du temps. qui nous approchons (au plus près du F eu (du «effe») ensemble. nous nous approchons ensemble << du feu, de ce feu de la foi de l’être, ou de la foi à être. nous cherchons «ensemble» (ici-bas) à nous coller à la paroi du monde (touche-touche) et là : à comprendre = à cerner = à nous immiscer (un pas dans la tombe ?) et à passer. mais attention , pas directement «de l’autre côté» car nous ne voulons pas trépasser, seulement traverser la roche du temps, entrer en c e pré charmant (fleuri pâturage) et là nous approcher «ensemble»( une main dans une main = deux mains) nous porter fissza vers Roche 2, la nommée des avancées, la belle que voilà, la cxharmante azureé, l;a belle ouvrière, l’ouverture-rage des appr^$ets. Nous voulons aller «fin fond» de rage et toyuucher carrosse ! voilà tout! car isbas = ça ! et ici-haut = ce ! ce carrosse des destinées royales rapides. nous cherchons ensemble à bien nous immiscer encettte roche dure des données rares, nos sommes entrés c’est un fait, . nous solmmescdedans et nous avançons : pré des parades, animaux sauvages, montage nacré, alluvions et allusions, bêtes placides broutant herbe haute, chants d’un entre-deux pierral, ouverture-fermeture. nous cherchons ensemble» à comprendre ici (temps) ce qui est qui nous attend. car la vie fait rage. car le temps = tourment. car le coeur est las de passer commande à qui de droit (du firmament) pour (de fait) une tenue de base, pour un cri à pousser, pour une avancée tena ce qui le fasse, qui permanemment le fasse couramment. je cherche à)  comprendre c e qui est ici (sur place) de la vie; nous voulons toucher à la paroi du monde « latent». notre envie est celle-ci : de toucher que tu toucheras. de toucher fisqa, de toucher rapide : à la paroi dure, au temps consacré, à la belle meunière, au champs doré, aux bêtes des plaines, aux arbres de la vérité, au chant des parois vives. nous voul;ons toucher vite ! nous ne voulons pas trainer. nous sommes deux en  ous (= couple de données) qui voulons traczer sur roche une bête des données coriaces. nous collons (à roche, au temps, à paroi, aux tourments). nous ne sommes pas «décollés». nous sommes des êtres de bon poids bon oeil qui vou;lons comprendre «ensemble (juxtzaposition des êtres de base) ce qui est ici (rue des rendements) qui nous regarde. Qui nous interpelle . qui nous mate grave et nous exhorte vivement à suivre le signal de rage provenant du trou béant qui s’ouvre sous nos pas à mesure que nous avançons dans notre marche. nous nous avançons et nous comprenons que des choses devant nous se trament : des choses de poids, fines mais costaudes, alluvions. nous voulons aller profond en  cet entre-deux temporel et temporal ou pariétal. nous voul;ons creuser dans la roche des temps alloués une sorte de passage à vif, donnée rude, creusement de joue (caillasse) et aller ainsi (en cette ouverture) à bras liés. nous voulons traverser la place, continuer, jusqu’au bout du bout pariétal soit cet antre des fin fond de roche, ce passage à vif numéro 2, cetteanfractuosité pariéto-frontale des données natives. je suis je = joie. nous allons ensemble à la pêc he aux voix = aux voies de misère, aux voies de peu, aux voix surnuméraires, aux voix sourdant des tréfonds de la paroi. qui suis-je et dans quel état j’erre ? that is the question dit-on, et pour quoi ça ? pourqyoi dt-on ça quand on sait que la voix en soi = mis!ère = pauvreté = peu de chose en soi : pourquoi ? nous sommes accolés (deux) pour… eh bé toucher Roche! toucher à cette roche des données rudes, aller de l’avant,; co:mprendre, toucher à une roche des tourments, coller serrés à pareille ouverture ou comment ? doux passage des embruns ? Nortre envie de vie est juste incroyable c’est dit ! ça déménage ! c’est seyant ! ça charge ! ça pèse son poids d’élan ! ça chauffe sa rage ! c’est brûlantissime ! c’est dingue brûlant et même davanta ge ! c’est dit ! c’est à dire :: c’est du dit, du dire de la foi dans l’être de base, chant d’azur au débotté, cavalcade, cascade, cortège et autres dons de soi à déité (spectacle). nous ne voulons pas y passer car nous ne voulons pas passer, car nous ne voul;ons pas chuter. nous voulons durer dans la durée. nous voulons pouusser (penser) nos cris de rage à naître : cris vifs des enfants «battus» ou quoi sinon ;::bousculés ? tiraillés ? tirés ? nous cherchons à piger ce que c’’st (ce dont on parle) et pour cela : aller vif en roche bras devant, pousser vivement sa caboche et contrer sa mère de base, bassin fin, colma tage-calfeutrage, ohé dubonnet on y songe ! on y va loin, on plonge, etc. une chance à naître. le bel endroit. une sorte de paroi de grâce. colportage. cri de joie. naissance à trois. je sors du tonneau ivre dingue et vais droit vers roche (dernière)- à la une à la deux me satisfaire « = doublonner (je +  je = trois). qui me  croit ici-bas ? car il est ainsi que ce que je dis s’additionne au fur et à mesure des pousseées de rage pour former parade. pour aller fissa (à la demande ?) devant soi. je suis homme des parois gravées : néandertaliens ou mieux : aurignaciens, magdalénien. je grave en transe.. je suis dreéssé. je suis droit devant ! je colle à la roche et grave que tu gravveras des bêtes de poids de type ours ou lion des cavernes et autres aven des parois cachés. je suis homme graveur, je soigne la bête dép;lacée. je suisq cette bête moi-même, soit ce chant des doubles, des dupliqués. je regarde devant moi la roche des données vives, cette roche aux allures nacrées (bleutées, violacées) et là, debout , élevée à des hauteurs de rage, je  grave lza bête velue, le bouquetin, la bête derage, le bison, la bête folle, l’antilope, le rhinocéros.  C ar me voil;à qui marque à vif ce qui est = ce présent de soi déployé , cette sorte de rage (de soi) par la bande = cette voix donnée à un être de poids (animal des prés). nous voulons comprendre ensemble un  certain n ombre de données de poids, ce que c’est que ces données, et filer fissa , aller de rage de l’avant, creuser tombe que tu creuseras, chers her voix et voie. nous voulons toucher = ouvrir ! c’est ainsi que nous voulons comprendre ce qui est. nous voulons aller de rage dans le sang = le temps des données circulaires, des révolutions de palais et autres girations surnuméraires. nous voulons coller ensemble aux données déplacées de ta mère, de ton père, de tes frères de lait. chacun sa misère, ses joies et ses peines, sa vie passée et sa vie à passer. nous savons ici cette chose de poids , comme quoi la vie est comme un poids de base,poids des profondeurs, caillasse des pareties de rage, vifvivacité monstre et autres pmonstrations de catacombes. nous voulons aller en roche profond et concommittament, à la re cherche de la belle rage, des données subtiles, des données fines et racées, des mots de la vérité déployée et autres vérités des allants pointus. nous voulons aller ensemble dans le rang = entrer fissatête première, coller ici à la roche vive et sans tarder la traverser comme une rivière (à gué). c’est zainsi que nous voulons faire : nous dnner à déité colmme des morts de faim de ta mère (tu vois ?) . et ensuite, nous laisser aller dans ce sein des seins pariéto-frontal cherchezr ensemble l’entrée des ténèbres ou des quoi ? des serments ? des chants ? des champs ? des champs de ronce ? des beautés ? Noius voulons nous rapprocher «ensemble» (soi) xde (ici) la vérité (nacrée) des champs de blé et auitres  céréales paradisiaques. nous ne cherchons pas à nous débiner. nous cherchons à pour le coup nous présenter à pareille déité de choix devant soi, comme des mort de ta faim à être = naitre cet enfant joueur, cet enfant pleurnicheur, ce gé»ant des prairies riches (en termes de verdure, de flore acidulée, de plantes aromatiques). ce géant des bois : cerf à ramages, à bois - de ramures. nous voulons être ici reconnus, comme des qui vont (fissa) jusqu’au b out dubout de la lande, à la recherche d’une entrée nouvelle, pas sage vif, rentrée, ou entrée, ou comment dire ce trou des denrées déposées ? seuil des bêtes de poids ? seuil solide ? chant sourdant de la paroi scindée ? collagène ? nous voulons aller ensemble à la recherche d’une bête en soi surnuméraire. pour ce faire : une voix, c  elle de toutes les voix. ou alors : une voix,  celle des marchands du temple. ou alors une voix : celle des dames de france ? qui est qui ici ? qui peut sans souci sereconnaitte, à sa voix de rage d’abord, à son allure médiévale ensuite : qui ? nous cherchons ensemble à comprendre un certain nombre de données vi ves liées à la vie. nous voulons toucher = toucher terre. nous ne voulons pas rester suspendu dans les airs. nous voulons entrer en roche et  y demeurer un temps (latence) afin d’observer de près les différentes bêtes surnuméraires présentes en c es contrées acidulées. quelles sont )elles ? énumérons-les : bêtes des parois rudes, bêtes-mots des don,nées placides, bêtes de la rage à  naitre fissa, bêtes rudes des temps assoupis, charmes, cormorans, sainte bête des tourments de bure, chaud devant. nous ai:mons paraître en cette reoche comme deux amants conjoints (identité rageuse) dans le sang. je touche au but ! je cherche loin les données rageuses mais co:mment, je vois, j’appréhende, je sens, je renifle, je pezrçois malgré moi des choses et autres de type fantôme des parades, cheval bai des parties fauves, cris des monstres pariétaux, herbe folle. je suis l’homme à ;la recherche d’une vois d’accès. je syuids la femme à la recherche d’une sorte de contribution, de permission, d’apport, de soulagement. je  v eux aller vif. je veux pas passer (= trépasser) mais poursuivre sur ma lancée pareille ezmbardée de bord maritime. on voit ça comme quoi je veux, c’est un fait qui le fait grave. je veux ^rtre celui-là qui touche que tu toucheras la misère de l’être en soi : bête funéraire ? ou surnuméraire funéraire ? nous ne savons pas . nous ne sommes pas en reste de chercher ensemble l;e vrai du vrai, la clé, le bruit ce que c’est = ce qu’il est devant qui nous interpelle. que donc (quoi donc) est- ce ? quoi est : là, qui pousse romance(?) de paroi meuble (= trouée)? ? chant de rage et embruns ? chant des parades nuptiales ? chaud devant des destinées maussades ou tout le contraire : sades ? nous nous approchons de Roche numéro 2, la der des ders (?) à ce qu’il semble. roche 2 = fin des fins du monde, ou non ? démarrage sur trombe ? caviardage ? chants choraux ? qui va là sans foi ni loi sinon ta mère ? je cherche ! je voudrais comprendre l;oin le plus et pas (ne pas) rester en rade (carafe) dans le temps. je suis  cet homme cherchant passage (sang) à :même la roche cachée d’une drô;le de cavern e évenntré, d’une sorte de prairie «interne» = paradis nacré des fonds de durée. je m’approche d’une bête pour lui demander ce que c’est que toute cette affaire type roche, ces beêtes paissant, ces rêves de vie éternelles, ce chant choral indiquant la marche à suivre. je suis homme des parois du monde adjacent. hje suis homme qui essaie bon an mal an de comprendre (à deux = toi et moi) ce qui est sur roche = en roche = dedans . car quoi ? le temps est tourment, tornade, tempérance ou pas mais évocation, signe des appels. je veux être déplacé vers la voie d’abord, sorte de passage étroit mais tout de m^$eme, si la tête passe et les épaules, le reste suivra nonchalammentr.bnous devons poursuivre sr notre lancée cette chose d’une voie humaine (bestiale ?) à suivre fissa par la tangente, à suivre fissa de biais ou de guingois = parade, et ce à deux («à toi à moi») afin de mieux comprendre les données de base ici présentes. je suis homme rude, femme fluide, chant d’oiseau. homme et femme (sous chapeau d’une même gouverne) à la recherche de paroles vives, de dons de roche alourdis du Verbe, chants choraux matinaux, allures soignées, gentilhommière. je suis homme des envies de v ie éternelle = chants des roches agraires, chants aux bêtes en troupeau, gra vures «célestes». je suis homme-femme aux mots des rapines et autres essais de contrebande. qui voudra de moi sur la lande ? le cerf royal ? la biche jumelle ? le bison sooigné ? l’ours alerte ? le lion tracé? la belle belette des prés ? je cherche lequel (donc) de ces animaux pourrait faire incidemment l’affaire. je suis homme-femme soyeux-soyeuxese, peau douce échancrée (?) , femmelette-hommelet, tendance paraîtrte». Je veux être et non paraîtrec = entrer en roche signée, donner ma misère à l’entrée et plo,nger tête première dans «l’adversité» (?) des choses rupestres (?) : c’est à voir ! pas dit/ pas sûr pour deux sous. colère + colère = changement de chargement. on avait la bête (sortie des entrailles ou du lit de la vie) , nous voici parent d’une sorte de petite scène, ou de petite chaine ? on ne sait ! on est, qui nous demandons ce que c’est : chaînette ? csénette ? nous voulons crever l’abcès du temps dépl;oyé et nous enlever une épine du pied,, à savoir : le temps, ce temps des tourments dits acidulés, comment on pourrait, soit : comment y échapper. nous sommes ceux / celles qui ici cherchons à nous projeter vers les devants fuyants d’une vie d’allant terrestre, faite de mots doux, de mots savants, de mots de savants, de mots riches, de mots pauvres, de mots dépl;acés. notre but est de vaincre une sorte de peur en n ous nichée, au point de nous empêcher parfois d’en avancer sur notre voie. je pense = je pousse. je fuis = je vais. je tremble = j’obtempère. je glisse = je commande à déité une durée longue. je regarde devant moi la roche, tyrou de ballle ? trou du cul de l’être ? par où passer ? entrer ? comment ça ? car quoi , la belle est la dern ière en date à nous parler on le xsait. la belle et la bête. ce chant des clameurs montantes, ce chant déplissé qui est chant montant et non descendant. qui est chant des terrres et des perçages frontaliers, chant d’hôtes, chants du monde creusé. Je voudrais comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++/+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce que c’est que cdrtte chose, des parois meubles. ce que c’st que cette chose d’une roche meuble (molle ?). je voudrais de fait en avancer en termes de connaissances à travailler, à traiter, à cerner, à toucher. je suis homme et femme des cavernes à la recherche d’une déité nacrée contenue dans la roche, pour lui pzarler, pour lui dire (vif) ma misère, mes tourments coutumiers, mes choses de roche personnelle;, mes données de base. je veux être sans être, ou toucher sans toucher, ou faire sans faire, ou aller sans aller, ou passer sans passer, ou crier sans crier, ou naitre sans naitre= ne pas trépasser mais passer sans passer, ne pas déployer sa misère mais du coup la placer co:mme un pion sur un échiquier, et tête première. je suis homme vif des temps déplisszés. je vais et je viens en cette lande verte, ce pré azuré, ce champs aux bêtes sages. je m’enfonce en  cette chose verte, auprès des b êtes vertes, manger vert de l’herbe verte. je file tout droit vers cet endroit qui semble me tendtre ses bras si tant est =cette chose ici d’une percée de rage, bouche ouverte sanguinolente, perçage de gencive ou de chair vive ou comment ? traversée des apparences charnelles ou bien frontalement pariéto-rocheuse. Je veux comprendre. je voudrais comprendre ce que c’est que cette chose ici que nous voyons se profiler, devant nous, chose rude quoique fine, paroi «riche» (dit-ôn) en termes d’effigies don,ées par la  ba,nde, temps des rires, des mots consacrés, des grosseurs sur pattes. nous ne voulons pas passer et trépasser,, nous voulons passer et ne pas trépasser. c’est à dire ici : nous voulons traverser et , dedans (roche du temps) demeurer, comme la bête des prés (la bête broutan,t son herbe) est, soit reste. soit s’incruste en ce champ fleuri contenu. en ce champ des contenus fleuris. en ce champs fleuris aux contenus frais, aux senteurs d’été, aux vents de face caressant les joues des êtres attitrés à pareil

les mouvances. je cherche à comprendre ce que c’est que ce sas, d’un entre-deux de base, entre-deux de la joie à être entre deux parois. paroi 1 = la naissance (hum ?), paroi 2 = le final, le fond, la fin, les termes et le terme. mots acidulés des fins de carrière$. chants choraux de la misère d’être destiné à y passer. comment faire ? ne plus parler ? chers her à s’extraire ? chercher pertinnrement, souverainement, royalement, concomitamment («à toi à moi») à s’extraire de ce monde ancré d’un entre-deux-mers, ou d’un entre-deux-terres (parois rudes) ? pourquoi aller ainsi fissa tête première dans la vie <uand on xsait que la vie = un entre-deux, déposé sur pied sur un devant de porte ouverte, sas des sas peut-ettre, devant soi l’antenne., je capte pas mal mais pas complètement. ça passe des fois et des fois pas. je cherche ! je suyids là qui chers he en :moi» «» ce qui est ici qui serait («en moi» !) cette chose d’une sorte de sortie de rage , chaud devant, de ma voix de rage : cri brut.  «chaloupe à la mer « ! Cje cherche à comprendre un  certain  nombre de données de poids (aurochs attribués) qui pourraient fortement peser, dans la balance des vérités et autres faits vrais. je suis homme des savoirs ancrés en du Verbe octroyé par la bande des données natives : chants choraux des attributs soudés, chants des parties molles, douceurs et autres saveurs en soi monnayées. je suis fait de sortes de paroles en moi incarnées , qui toutes cherchent à parlerpar la voix de l’être déplacé = temps des données (rupestres) animalières, frises des données données, chants choraux matinaux, paroles de princesse, de prince des prés, cerf et biche aux apprêts surnuméraires. nous nous approcho,ns du fin fond de roche entrelardée. nous voyons devant nouys leF (majuscule) de Feu l’entité, ou qui d’autres  ? ou quoi ? feu pâle, feu vif. feu ou pâle ou vif. tendance brûlure. je m’approche dangerrteusementr de cette voie d’abord surnuméraire qui nous tend ses bras on dirait. on voit ça. on s’approche à petits pas. on cherche à cerner cette misère sus-citée ce que c’est qu’elle, quoi est-)ce en vérité, qui c’est. or on ne sait. on ne voit que dalle, ou on y voit que dalle = pas assez (de ce p âssé tel que déposé). je suyis homme vif = en vie, comme est vive en moi la bête printanière au coeur des données don,ées. je marche = je m’avance à pas comptés. tout en moi est matrière d’être (à être). tout de tout en moi sert la bête en moi (surnuméraire) qui trépigne en moi comme u,ne sauvage ou une dératée, une sorte d’entité de la rage à naitre, à sortir de soi via quoi, via bouche ouverte des paroles ancrées, ou via la bvouche fermée des paroles tues, on ne sait qui de quoi c’est ou ce serzaitr. pourquoi ? parce qu’on est là qui voulons aller en allant, qui voulons parler en parlant, qui voulons toucher en touchant, qui voulons charger en chargea,nt. drôle d’affaire. on voit cette chose en  ous qui va et se déploie, d’un désir naissatnt à même le désir, d’une sorte de parler à même le parler, etc. train en marche ? chant des choeurs d’oiseaux ? prière agitée ? nous cherchons ensemble à bien nous repérer par la bande langagière des temp^s déplissés et à bien aller, en santé, au fur et à mesure de nos avancées. nous voulons aller en roche incidemment, toucher icelle crûment (le cul d’icelle ? le cul de quoi ? le cul tout court ?) et ne pas chuter sur elle, ou ne pas chuter tout court. jke suis homme des données acerbes, chargeant mule, donnant du Verbe aux parois nacrées des données de roche brutes. je cherche à comp^fendre en quoi est ici cette chose d’une sorte de charge lourde en soi (aurochs) qui est quoi au juste sinon ça : verbe acidulé, verbe ancré, verbe natif, verbe naïf, verbe coulé,  erbe déplissé dans le temps d’une dictée (diction) printanière. je me pe,nche sur x données de rage devant moi (déposée par la bande») et tente de comprendre un mot (traitre :mot) des choses en p)résence. un plus un fait deux. deux plus deux fait quatre. quatre fois quatre : 16. deux fois troi = 6; 3 X 6 = 18. 6§x 4 = 24: on voit ça. on est là pour ça : voir «derrière», les sommets, les pics de crêtes, les reliefs, les monts, les hauteurs célestes, les pignons. je voudrais m’avancer fissa  vers la lande et m’amusezr à gambader que tu gambaderas por faire ainsi que je sois je = la joie = cette joie à naitre puis à être. joie des rages rentrées, des paroles de sang, des cris de base tracés, des élans ferrés. je cherche ouverture en  c e lieu des don,nées de rage dessinées à main levée, passage lacustre ou passage délivré des eaux mouvanteesq, peu importe, pourvu que je puisse passser. un trou = une entité de rage. je cherche à donc passer par trou de cul de rage à êtreou quoi ? trouduc ? chatte agraire ? coin d’herbe ? velouté ? mon  om est une sorte de dire sans être. je regarde devant moi, je vois cela comme quoi j’avance, je file, je cours à la recherche d’une déité de bon poids de base (archibête des données rudes ?). je veux fissa coller à la paroi du moncde mais  celle-là dont le nom interpelle puisque voilà, son nom est M, M pour amour, pour Amour transi, Amour chaleureux. je suis un homme aux sens aiguisés pour ici une recherche soutenue en termes de recherche tendue de mots de la ba,nde. je veux être et ne pas être = être mais ne pas mourir = être en vie et pas sombrer, = être être qui vit sans arrêt soit sans fin soit pour une éternité de douleurs diverses  à endurer . je regarde devant moi et je vois cette chose là d’une sorte de donnée rugueuse = cette chose d'une voix outrée, chargeant, déplacée, prise au piège d’un verbe d’élan pa riétal (signé : l’homme des cavernes). je voudrais comprendre si possible dans la profondeur, cve qui est ici, en ces contrées de base, qui semble ou semblerait vouloir se dessiner : aurochs ? ah peut-être ! Car l’aurochs est l’animal par excellence pouvant piétiner un champ de données diverses de type serments. je dirais cela, comme quoi l’aurochs piétine le dire en le disant : poids lours, chaud devant, ça pisse son devant de Verbe divers, co:mme jus de rage naissante à la vue d’un êzttre (nous) qsui faisons copmme si (tout pareil) la mort en nous, sur nous, n’avait pas de prise. or bien sûr que non ! La mort est sur nous , accrochée comme jamais. elle ne nous lache pas x’une semelle ou d’iun iota. elle est toujours là qui cher c he à nous tatter  comme bête à dires, comme une bête à dires (de poids) en elle, copmme en cette bête d’être, cette bête fauve, tater comme il se doit qu’elle doit , à ses yeux faire fissa. nous ne vou;lons pas passer à travers la roche sans sécurité ou comment dire? sans savoir quoi ou qu’est-ce du retour au piioint initial. nous voulons comprendre à deux (elle en moi et moi) ce qUIi est au mon de , qui va vif (sans trainer) et donne des données de base à pour le coup bien employer szi nécessaire. nouys ne voulons pas mourir ! nous ne voul:ons pas y passer ! notre vie doit se poursuivre. Je vois devant moi la roche. je vois la roche s’ouvrir devant moi. je vois cette ouverture comme celle d’une plaie , une entrée de rage : une percvée? je vois cette ouverture ici comme venant de l’intérieur d’un présent dépôsé; je vois cette fente aller se dessinant sur roche comme ddu dedans. je cherche à comprendre ce que c’est et pourquoi, qui et quoi. une sorte de fissure advient, devant moi, qui (moi) parle à tout va pour colmme l’embobiner, l’emberlificoter dans mon  chandail de dires divers.je vois la roche du temps sw’ouvrir, se dilater, laisser le passage ; je suis hommez-pic ! Pic ! qui voit devant lui autre pic (dirait-on) perçant paroi (meuble) des devants : les temp^ls déployés ? je suis homme rude, craintif, cher chan un peu d’ombre. je serais cet homme rude aux entrées de rage vibrantes naissantes : me voici ! «bébé dort» ! je cxherche à comp^redre bébé. je cher che à comp^rendre en moi ce que c’est que ce (ici) bébé-victuailles! quoi ? bébé sacrifié ? bébé offert par la bande ?. bébé doux posé sur marche et kla mort viendra, qui le cueillera incidemment de rage. je veux être vif du temps de la mort; et mort du temps de la vie ? ah peut-être un peu (sur les bords) : on se conn a it mal ou pas. on ne sait pa s sur soi grand-chose en définitive. on veut savoir mais il n’est pas facile de savoir. on veut compren,dtre mais voilà : o, n peine. c’est ardu ! ça pè§se ! c’est ventru ! c’est tout en ventre ! et en plus ça pue la bête ! chaud devra nt ! verbe allant =convoi sanitaire. je voudrais co:mprendre loin (dans le sas) ce qui est ici en termes de géographie, déjà.On regarde devant soi, on voit la parade nuptiale des bêtes entre s elles. on voit un ciel a azuréen assurément, chant choral des bêtes sur tertre. on voit le soleil, l’ami des astres (tous et toutes-)) qui est soleil des rages accumelées.nous n ous approchons d’une bête fau ve, rugueuse rageuse. son nom est celui qu’elle poorte»sur ses papiers « : nom : divers, prénom : quelconque. ou alors ... le Pig ? «CXhaloupe à la mer « ? pa s quand même. je vois icii cet engouement pour un nom porté. j’imagine alors qu’il en est pareil un peu partou à la surface de la terre. nous voulons percer, nous voulons traverser. nous voulons toucher REoche 1 puis (apres les prés) roche 2. les mots disent ce qu’ils ont à dire si tant est. un mot n’est pas seul en son être, il porte d’autresq mots dont il est gros; un mot pèse. un mot est du pesant de rage. un mot vitupère son pesant de rage à être. il est vif et va chercher querelle à tout jamais si nécessaire. un mot-^b^ete est un mot de base rageur, faisant fi de l’âme, mais allant à se loger dans l’homme (à la faveur d’une embardée) dans un creux de rafle, dans du creux blessé, dans une anfractuosité radiale, trou donné par la bande à l’ettre des ressorts secrets . je suis homme des parois de base, creusant sa sainteté verbale à coup de prières exaucées par la ba,nde. je suis déplacé moi-même comme jamais = trimbl&allé, bousculé, mis à mal, chargé, contenu parfois mais souvent lâché, par le verbe des données salaces. je suis homme de l’ombre. caché dans les prés. je broute. j’aime l’herbe v rte. j’aime me nourrir d’herbe verte et gra sse. je rumine comme un ruminant des parois fauves. j’aime l’herbe folle. je suis dans les prés qui me nourrit de fait cd’herbe grasse et fraiche, et cela me sied à merveille. je voudrais comp^rendre ce que c’est que cette chose cdevaznt moi qui cherche à me parrler. qu’est-ce que ça peut être ? c’est dur ? c’’st vif ? c’est rugueux ? ça porte peine ? c’est quoi au juste: la mort sûre ? celle-là qui porte ce nom de mort sûre des entrées de rage ? la mort est-elle une (comme) déité des parois pleines ? que penser d’elle, au juste ( si tant est qu’elle existe en vrai) ? je rtegarde devant moi (les yeux grands ouverts) et que vois-je ? des élans, des élans et encore des élans. des élans viennent  vers moi me parler doucement en un langage dru d’élan déplacés. l’élan parle dru un la ngage de bête posée, à dessein, sur devant de porte royale= déplacé comme jamais. d’où le fait ici, qui voit (de fait) notre nom de rage(élancé) aller à se loger sur page (roche des prés) comme un dessin d’homme de la préhistoire. nom d’Aven en vérité. cavalcade. et nous d’ovbtempérer têzte basse, dis a nt que oui, laM%ort a raison, qu’elle a bien raison de s’offusquer à la vue de nos denrées données. elle voit l’(entourloupe c’est un fait, un fait massqqif pour de vrai, on lme sait. je regarde deva nt moi la roche du temps. le temps est déposé sur roche comme une sorte de présent offert à la rage i,nca rnée. non ? ou alors quoi d’autre ? le temps est une sorte de donnée de poids donnée : donnée don,ée et poids donné = tel. nous nous faufilo,ns en cette roche dure , à la recherche dx’une voie d’abord, un passage, un petit passage par où du coup passer ensemble. car , nous  ne nous sommes pas quittés un seul instant depuis le début des tourments, nous faisons corps, nous sommes unis. noous nous sommes accolés, nous nous sqommes serrés, pour aller. nous nous sommes accolés serrés pour aller fissa, à latravezrersée des roches de poids, tracer colère : aurochs acharné, bête de merde, conséquences  directes hautaines, fracas s, chant fort du collet, capitanat de première charge. La parole est à l’accusé ! Je traine, je cherche à me placer sezrré en  cette roche dure des bois de carême et autres faits de société. cherchons ensemble le nom dxe la bête. quel est-il ? cri des paroios dites ? ccxhrist assagi ? christ du cul de l’homme ? christ sale et décharné ? cul d’homme habilité à recevoir denrée ? charge, coffret, compétence, appétences, doigté ? que savons-nous du cul de l’homme, du cul effleuré ? Je veux être ici ce dire déplissé rageur, déplissé de rage dans un temps donné (don de soi en soi = bête des prés). je cherche )à me placer sous haute surveillance de la bête en moi surnuméraire, et à en avancer ainsi secondé, dans les connaissances sacrées, nacrées, verdoyantes. homme des prés, es-tu de la lande ? homme des bois es-tu des prés ? homme velu es tu l’^$ame imbezrbe des contrées de rage ? homme-femme halluciné-e, es tu ce;:ui -celle qui pisse à la ré de la mort de b axse ? tu fais quoi ? bete-monstre des parois = verbe menaçant de  sa charge fauve . ou trou du cul de Verbe voulu ! tu m’éton,nes ! ça y va gaiement ! ça charge sa charge ventru ! c’est mortel ! ça choque ! ça craint du boudin ! c’est pas quelconque, c’swst pas rien, c’est quelque chose ! ça pisse dru son savoir de rage = ses pmoumons ! sa voix ! son être ! ses yeux ! son foie ! c’est couillu ! c’est une sorte de parade oùu l’homme, de soi, pârade. comme quoi l’homme est bete-mot de poids menaçant ou comment, charge verbale en surpoids ? je tombe sur un mot de base calcifié, j’en cherche un auttre?

. mon souci est de toucher la roche vive, ses mots dépl:issés sont des êtres menacés, ça craint du tonnerre, c’est un fait : ça s’incruste dingue, c’est gravé dans la pierre (ou, «simplement», dessiné, c’est comme une prière). nous nous approchons,s de la pierre. nous voulons comprendre ce squi est ici qui est, ce qui est ici (aussi) qui n’est pas vraiment, qui ressemble à de l’être mais tintin milou, pas ça pour deux sous : succédané. je m’approche de la pierre, pierre plate où pouvoir déposer mes offrandes : fruits des bois et des sous-bois, charge  brutale de paroi, conséquences lourdes, faits divers, faits de l’ombre,; savoirs accumulés, verbe hautain. je cherche parole, haute vie, carrosse des rois, chant d’oc, pelure & sciure, conscience et science. je suis vert pomme. je charge dur. je veux être (une) voix des hommes pl   a cés sur roche des p^rés par quoi par la bande mena çante. je swezrais cet homme des envies p^ressanbtes (pipi) qui pisse à tout va dès que voi;à, possible, contre ce muret, ah enfin ! c’est que ça urgeait ! pissadou de base, chant du cortps blousé, une charge vitale postée pour le coup dans un corps de rage. je cvoudrais comprendre  c e qui est ici, en termes de mots de paroi. qui dit quoi ? on dira ceci : comme quoi le dire est ancré ! le dire est posté e,n roche de fait , par cet homme des cavernes sus-nommé par, ici, la bande temporo-spatiale. je regarde une roche de près et j,e vois quoi ? la honte ? le  cri de la honte ? ce cri «raide» xde la honte de ne pas donner (de soi à la mort déifiée) plus que le temps passé (déposé) qui n’est (de fait) pas assez,. qui ressemble fort à la vie vue de près mais oublie ! autrevchose avérée, vivacité n’est pas la vie, le passé n’est pas la vie . le passé en soi n’est plus de la vie vive (chair fraiche de bon prix-) mais velléités, chants mort-né, colère de base, dépôt suintant sa charge ici placée comme un tourment dans un élan de vie soit de vie vive. Je ne suis pas cet homme aux abois.hje suis cet homme cherchant à comprendre ce que c’est que cette chose rosse d’une vie à vivre «par la bande» si tant est e( et si tenté). pa sons voir icelle (roche des apprêts)- et allons vers elle l’embrassr.

je suis ca pitaine des corvées de base ayant à tracer (de près) ce qui est, ce qui setr&ame en toutes ces contrées, de la rage et de la ba se, du nacré calé et du sa&cré placé, placé dans lme verbe., je cher che issue de secoursq à 

issue de secours à trouver

je cherche une issue de secours, sortie de la rage, retombée

je cherche à comprendre, je cherche que tu chercheras la rage

mmmmmmmmmmmm

Je cherche que tu chercheras. je suis homme-chherchant une issues. je cherche que tu cherchzeras. jhe suis homme des abordsds de base. je suis homme-chercheur, homme vif aux entrés de rage; je cherche que tru cherchaeraras à cvomprendre au mieux ce qui est et ce qui n’est pas. je vois ce qui est devant moi et comprends des choses de poids = un aurochs ici, un buffle là, cette amie de base, ce chant des contrées maussades, ce chandail. je cherche à comprendre ici ce qui se trame là , ou là ici et ici là ce qui est qui va de son allant de vie acidulée. je cherche . je suis né pour être cet homme de la foi dans l’être. je suis fait de chair et d’os et du verbe nacré de la joie, du je de l’effroi, du temps déplissé./. mon corps est un homme de rage, un homme doux donné, homme rusé ou pas m:=ais placé de force en ces contrés. corps-homme = verbe à louer. je cherche à comprendre; je suis homme des parois de rage à comprendre ensemble = toi et moi , pour une ezmbardée matinale , avec recherche de données frontales pariétales, recherchevives en ces zones (ici) acidulées. je suis entré. je suis dans la roche. j’ai creusé le nom cde bzase et à présent je trace. j’avance fissa impunément ou sinon quoi ? gentiment ? à même la paroi du monde . je vais de mon allant sensé. je cherche vérité des vérités ou sin on quoi ? assentiment ? un oui de déité ? parole crue pour un semblant d’appointement ? d’imprimatur ? ce chant d’accord ? Je suis homme-ventre, homme-antre, corps naissant à une vie nouvelle sc»éance te,nante. je suis :le frère du frère du ferrer du frère du frère du frè!re d’une déité menaçante à tout jamais : MortRage des Contrés Maussades, Mort des Temps des Dires Sacrés, mortdes Pensées vives sur Pierre allouée. je vaque à mes (propres) affaires de destinée, cherchant de ci de là des donées primaires, chants doux ornés de bêtes princières, chants des fleurs, chants d’azur déployé sur roche. gravures à l’envi. je teste. je regarde devant moi et vois quoi? vois la Mort en face à tête de Rage. colère maitresse. méchanceté. Cri de la bête ferrée. caernassière. chairaimante, critique, vive et dépl;oyhé comme une bnande; la mort (devant soi) est tentée de vous amadouer par le verbe acéré c’est un fait. la mort est une bette monstre à tuer de près. je cherche à comprendre ce qui est ici, d’une sorte de Chose en colère. mort des passes à être, mort des passabges à naitre, mort comme un passage à être, etc. je vais sur roche à la rec her che d’une voie d’abord, passage secondaire, tremblement, ouverture dernière en fond des torrents. je cherche. je suis cet homme des recherches affi,nées, qui va sur roche en quête d’une vérité acidulée ou d’une vérité à pouvoir graver par la ban de à main levée comme l’homme ancien des cavernes et autres anfractuosités. je suis moi-même un hommre des cavernes. je vais et je viens en cette tere des données rudes, des hommes assoupis, des vives tranchées, des colères monstres et autres vivacité printanières. je suis homme des creux acidulés et des pleins nacrés. je veux compren dre ce qui est qui pèse son pesant de foi, aurochs et bouquetins chargeant leur poids lancés comme à la parade. je veux être imberbe comme un nouveau-né, né de ce pas, cxharge matinale ou matutinale comme autrefois l’homme naissant était. je vais en ces termes charger une bête à tuer. je charge. je cherche à tuer = donner. je cherche à cerner une bête de la rage et des sentiments partagés. je suis la bête moi-même je suis icelle bête à tuer. en moi à tuer ? en moi à déquiller par icelle bande des attraits ? comment faire pour tuer icelle  ? icelle bête des parois de rage comme lovée ou logée en moi-même ? une bête en moi serait logée. elle gambaderait en moi pour ma gouverne. elle porterait loin son  verbe nacré qui se ferait dès lors entendre au plus lointain des contrées rupestres. bête à avouer de rage?. donnée claire, tracé. je chercherai (en moi) le nom dxe la bête (à tout va, à la va vite , au débotté) mais comment le trouver ? quel est donc le nom de la bête en vrai ? quel nom porterait la bête en moi déposée ? quel est donc l;e nom de la bête en moi logée par qui de quoi ? par qui de droit, ou qui d’autre ? en moi pl;acée comme un fait saillant, germe, os de roche : une colère rentrée ? un cri de fureur ? un mot de trop ? un homme mort né à une vie ancienne ? homme-bête des réseaux sociaux ? Je cherche ! je cherche à vif = à tout va = printanier = à fond de cale = à la va vite = à la va comme je te pousse ou pousserai. je suis homme portant bête en son sein de     base. je suis homme portant bête vive (crue) en lui-même : sein des alpes, sein des données de roche, colère ancrée, charge native. je parle avec la voix de la bête ancrée. je pa rle une langue inculquée par une bête en moi attitrée. je serais cet homme au chant dép;loyé par la bande, mort)-né à la roche mais vif des contrées acides ou comment autrement ? je vais à la une à la deux chercher ma pitance premièreds=  ce nom du corail, ce cri des parois,  ce chant des champs de blé, cette romance acidulée des endroits de la base, du venant, des données primaires; je suis capitaine. je cherche un tout venant. je cherche carrosse. je cherche contrée. je vvitupère père. je cherche à naître vivant dans kle verbe. je cherche à centrer le verbe en cette roche dure d’un donnant-donnant : la roche a pour moi le mot de la fin, j’ai pour elle la bête à graver, nom d’une déité de fait trépassée. je suis homme d'avancées soudaines, vives, consacrées, aux allures de pleine  romances. je vais vite; ça file. ça court sur roche. ça gravce que tru graveras l;e nom attitré. ça y va de base;: ça charge un pied, une main ou deux, une ^tete contre, deux épaules au chandelier, une parade. je vais sur roche donner mon aval de base sacré et ce faisant je trace à tout va cette chose ici d’une parade printan!ière, aérée, fraiche et dodue, tambour battant. je vais ainsi à la recherche d’une base et d’un sommet saillzant : alpe de haute provence ? je regarde au firmament, je guette lla colère des vents. je suis l’ombre de moi-même : mort devant, ou pas mort mais trempé dans une source aux eaux mùélées ? sang et suc? bruits de rage et train de vie de rage ? au hasard des entrées ? Je trace : bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins , bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins, bouquetins ad vitam aeternamn.

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13/04/2022

nous sommes deux qui cherchons à comprendre les choses du monde. nous sommes associés, nous sommes proches. nous aimons chercher ensemble ce qui est, ce qui existe devant nous. nous sommes qui aimons chercher soit rechercher des choses concernant les choses du monde. nous voulons comprendre ce qui est, ce qui va ou ce qui se trame devant nous , et pour cela : fissa ! fissa toutes ! en avant la troupe, etc. car nous devons entrer en roche comme en religion = armés. armés comment ? armés de notre pic de verbe ma tinal ! armés de notre pic de verbe affuté ! armés de pareil pic de verbe pointu, pouvant s’immiscer à la une à lka deux en pareille roche des données frontales. nous voulons aller loin en ces connaissances. nous ne voulons pas rester à quai mais tout au contraire, monter dans le train du monde pariétal, lieu des vérités rocheuses dure, crues, vives et sûres. nous aimons entrer en roche ainsi = à deux (minimum) et là (en pareille roche des prés) toucher la b^$ete fauve, le lion castré, l’ours des prairies, l’antilope à genoux, le bison rapide, le cerf décoré, le chevreuil, la jument, l’aurochs des familles. nous voulons comprendre ce qui est ici (devant) qui nous questionne, qui nous voit, qui nous mate vif, qui semble vouloir nous parler. nous sommes deux = un couple d’amoureux transis, qui allons en roche ainsi, les bras devant, munis de notre pic de rage perçant, entrant vif en icelle, comme en une sorte de nacelle des montées de rage. nous nous infiltrons en elle (roche) et une fois entrés allons, poussons plus loin, grattons, cueillons des baies, allons vif en ce prés des données de rage. nous disons que nous voulons aller en roche à deux et maiin dans la main , cela pourquoi ? pour mieux trouver !  à comprendre ce qui est, ce qui file doux (devant) = le temps dép^loyé des tourments de bure mais pas seulement ! le temps déployé des envies de vie, des envies de vie ç)à vif. nous entrons ensemble et c’est ensemble que nous progressons à même la roche habitée. nous voulons comprendre le plus loin possible les raisons qui guident le monde. nous avons pour nous la chance de pouvoir gravir les échelons de la paroi dure. nous ne cherchons pas à nous cacher, nous cherchons à en avancer dans nos recherches longitudinales : nous poussons toujours plus loin nos mobiles, nous allons toujours plus avant dans ce coeur de roche ou en ce coeur des roches rudes devant nous. la chose ici est de comprendre ce qui est à l’aune des velléités animales , mouvements divers des  cerfs et autres cervidés, mouvements de rage mais aussi gambadements sur herbe des prés. nous nous approchons des bêtes à cornes, à ramures. nous nous approchons ici (roche dure) des bêtes des prés, des bêtes sur pied qui sont bêtes pour nous pouvant nous guider. nous ne voul;ons pas passer à c^té des savoirs de base. nous cherchons vif à) comprendre ce qui est ici qui bouge devant nous: sonrt-ce des bêtes surnuméraires (en sus de nous = notre gouverne) ou bien sont-ce des traits, des mots de colère, des attraits ? Nous avons envie de comprendre ensemblele plus possible. nous voulons ensemble trouver des rtéponses adéquates aux questions que nous nous posons. nous voulons toucher la Vérité dans ses retranchements forestiers. notre but est de comprendre ensemble ce qui ici en roche se trame et se déploie. nous sommes deux qui cherchons ensemble les données de base pouvant nous renseigner au mieux sur ce que c’est que cette chose d’une rage de vant soi, d’une rage à être, d’une rage à naître, d’une sorte de rage à vouloir toucher les données primaires devant soi : rudes et graves roches à graver. nous ne voulons pas passer à côté, nous voulons toucher la roche des données vives. nous voulons comprendre au plus juste ce qui est qui nous regarde , soit qui nous concerne, soit qu’il nous incombe de comprendre ensemble. nous sommes qui devons comprendre ensemble un certain  ombre de dionées (vives) concernant la vie, et pour cela un seul mot d’ordre : fissa ! vif ! file ! cours et va ! chante ici ta rage à naître ! ne te cache pas ! chante que tu chanteras ! va devant ! file ! cours et touche ! touche à la paroi ! touche-touche ! touche à icelle paroi du temps et enttre ! et une fois entré regarde ! vois ce qui est devant toi : ce cerf géant est un cerf des prés, il porte un  nom, son  om est gravé sur la roche, il est imposant. son nom de roche est là, gravé devant toi. son nom est gravé là, en tant qu’effigie d’une rage à vouloir comprendre les données frontales. je regarde devant moi et que voiuqs-je ? une sorte de parade , de parade folle (fauve). je vois cette chose se dérouler, et j’essaie de piper. j’eassaie de comprendre les données de b axse gravée (notifiée) et pour cela : fissa ! tête première ! rentrons ! forcement des choses agraires ! je m’enfonce en roche comme en religion = muni. muni donc d’un pic de roche qui est pic de verbe acidulé (verbe acidulé). je me plonge en roche (ici même) et cherche = cherche à voir = cherche à déceler = cherche à isoler des données de base,, soit: qui ? qui va ? qui est ? qui bout ? qui trompe ? qui demande? etc. je demande à voir. je suis là qui cherche à comprendre qui. je cherche à savoir qui : qui va, qui bout, qui plonge, qui foule, qui trompe, qui nous mate sec, qui nous cherche la misère ou pas, qui nous suit des yeux de part en part = de la tête aux pieds, qui cherche à nous coincer, à nous museler, à nous éteindre, à nous faire choir illico presto. nous sommes dès lors ensemble (main dans la main) à vouloir chercher au plus profond ce qui est en cette zone des rages premières, des données raides de la base, des données de rage abouties, des visages de la foi en l’être suprême. nous voulons comprendre ici ce qui se trame en termes de données vives, vivantes. nous voulons comprendre ensemble cela qui nous regarde de pied en  cap et ne nous quitte pas = la (des) mort (morts) de la rage à être (naitre) sur terre. ou comment penser la chose d’une vie ? squi sait ce qui est et qui nous pend au nez ? qsui veut bien nous donner de s données de base ? squi est là pour nous en tant qu’aide-ant ? qui veut bien nous seconder dans nos recherches assidues, dans nos recherches vives de données de base ? qui veut bien nous tendre une main et nous tirer d’affaire ? nous cherchons à nous introduire à l’intérieur d’une paroi, nous sommes soudés comme jamais et nous nous infiltrons par des entailles à :même la roche, afin de progresser dans pareille durée, dans pareille dureté. nous voulons de fait aller loin en cette roche qui est celle-là qui nous tend ses bras. nous voulons toucher à la profondeur des choses du monde ici bas mais au delà, à la profondeur des données de base, des données qui sont celles d’une base à être au monde un enfant naissant; nous voulons comprendre ce qui est ici (roche) dans la profondeur des données rupestres, d’une roche de vie (prairiale) et de mort (finale). nous voulons comprendre vif ce que c’est que cette chose d’une rage à vouloir être. nous voulons cerner ici un  certain nombre de données de poids qui sont a aurochs de compagnie rupestre, bison des amibes, charges lourdes, antilopes au débotté, canassons des passages agraires. nous voulons toucher à une roche des vérités sde la base et du sommet de l’être. ce qui est est. ce qui n’est pas n’est pas. nous savons cela depuis belle lurette et cependant nous avançons fissa dans cette nasse -là, devant soi, qui est nasse du temps des choses déposées (présents de pacotille = faux-fuyants, données arides, manquements, fausses pistes, tourments, charge lourde pouvant faire ainsi «que ça le soit»). nous devons comprendre ici (la roche) les données fauves = fortes = rudes = lourdes de sens. nous devons comprendrecx ici même (une fois passé la roche des entrées) ce qui est au juste en termes de données de poids. nous avons à comprendre ensemble un certain nombre de données de base (de la rage à naitre) et pour cela nous nous de vons de bien nous faufiler ensemble (sans nous lâcher) à travers la roche dure (rude) des entrées, des passdages, des données et des 

et des dires développés = gravures au piolet. Nous avons à être ensemble deux pour une sorte de mission à mener en roche, à vif, ensemble on l’a dit, mus par en nous des forces majeures. nous creusons la roche et dessinons, par la même, x bêtes de fort poids pouvant faire accroire ou tromper son monde. nous devons pousser les choses vif au plus loin possible , et tacher du coup de cerner des données de rages primaires, premières, art des roches acidulées, art des parois gravés par la bande, art des données rageuses si tant est (et tant est) ainsi xde suite. Nous so:mes ici qui cherchons (sas) à comprendre (douceur) ce que c’est que ça (données) dans le tas. nous ne voulons pas passer à côté, nous voulons toucher grave ! gravement ! fiszaa comprendre ici ! tout ce poids surnuméraire, ces données lourdes, ces dons en paroi (animaux de rage) déposés. nous avons à donc nous approcher de la vérité, concernant la mort annoncée (titrée) . qui est-elle ? est-elle pour nous autres la Personne des personnes ? déité de poids ? carcasse ? chant d’a zur ? qui est-elle devant (?) soi ? qui nous regarde ? est-ce la mort (des temps rageurs et des données de rage)? nous ne savons pas mais nous cxherchons assidûment = sans nous cacher  = sans nous dérober = sans fausses pensées, etc. nous voulons aller en roche le plus vif possible. nous voulons ensemble comprendre ce que c’est que ça = la mort, ce qu’elle est pour nous êtres de la foi da,ns l’ombrte. nous voulons toucher la roche en vrai (à travers le temps d’une vie à vivre de concert). nous ne voulons pas nous dérober à tant de choses qui sont choses ici qu’il nous incombe de mener dans la pensée. nous voulons pousser = penser les choses du temps devant nous = ces données données = apportées = déposées comme autant d’offrandes à déité. nous cherchons ensemble à toucher , à toucher icelle roche des temps déposées devant soi. Nous sommes des poseurs de base rupestre, qui allons en roche à la découverte des contrées. nous voulons aller ensemble loin et pas «lambiner de rage « , ça non ! mais  : courir ! sauter ! crapahuter ! aller à fond ! contrer ! taper du sabot et des cornes contre la roche ! user de nos attraits ! convaincre nos congénères à bien vouloir 

à bien vouloir s’enchainer à nous, à nottre gouverne. nous voulons toucher à la roche du temps et ce à l’aide du pic ici (bouche) sortant de notre organisme. nous sommes des êtres «remontés» comme tout à cause de ça qui en nous trépigne fort = aurochs de ta rage à naitre au monde par la bande = entre deux parois = dans un sas = antre = antre des données rupestres = chargement fissa devant soi = temps facial. nous voulons aller en  ette roche vivement, et là tenter une incursion à même la porte, cette entrée des données de vase, ce trou d’anfractuosité, ce trou mou (?) dur de ta rage à naitre (c’est cela !). je tombe ! je serzais comme un q<ui tombe de pied. je serais celui-là qui va fissa et vas-y que j’en avance ainsi ! pas simple d’aller et venir en  ette roche dure des passions du christ et autres tourments temporo-faciaux. pas simple du toute. on galère. on craint. on est pas sortis d’affaire. on veut toucher la roche du temps mais c’est pas facile. ça demande lourd. ça cherche du pesant.  ça va loin chercher son comptant de bure et dee sommités ou de sommes au sens de lourdes charges apportées. nous voulons aller le plus que nous pouvons au loin. et cherc her à fond de cale loin. chercher loin à fond de  cale ce qui est qui se trame vif, qui va à se tramer à vif. nous voulons aller en roche et nous lover en elle  comme des affamés, des qui cherche à être rassasié de saviooirs de base. nous cvoulons comprendre ce qui est ici : ce qui se trame en cette zone des parois de rage, ce qui surnage , ce qui se montre, ce qui a pparait en termes de face, ce qui se dép;loie à) m^$eme la pierre frappée. nous sommes des qui allons ainsi ensemble taper roche à deux, taper vif ,, taper sur paroi et tracer = tracer la bête sur pied = sommités, cette bête des bois et des prés de la base, des endroits nacrés, des sas de contrebande (entre-deux-mers). nous voul:ons aller au loin, là-bas, loin là-bas dans les profon deusrs de … l’âme ? de la vie ? fde la foi ? du langage ? des p)arois de la vie vive ? du langage des déités ? de la foi à être ? des données rupestres ? Nous cherchons à nous enfoncer DANS LE TEMPS= dans le sas des temps = dans une sorte de paroi percée, sac de rage, colère envahie, rougeoiement, tendre soupir de fin de vie, charge entière?. nous avons à aller là où la vie pour nous en décide 

. nous avons à ensemble aller à  c et endroit des profondeurs qui est le sas d’une sorte (en soi) de vérité «grimpante» comme une plante. nous voulons toucher icelle vérité à même la roche des temps ou comment ? en nous lovant en pareille anfractuosité, et ainsi lové : aller fissa vers :le Verbe saillant sortant de roche comme une donnée. un don. un service. plante des entrées, charge lourde, commiseseration, concrétions calcaires, homme. nous devons aller en roche à la recherche (tendue) d’une vérité des profondeurs. nous voulons toucher à icelle roche des données rudes. nouys voulons toucher à cette chose des données de base encalcifiées. nous devons aller à nous loger-lover en roche à la recherche de données de rage calvcaires, rudes-dures, pointues comme des concrétions rupestres. nous voulons toucher le Temps = les tourments de l’âme. nous sommes ensemble accolés (sioudés = scotchés) qui voulons entrter dans la rochge du temps afin de nous y loger un temps (logement de rage) et attendre là que la Vérité du chant d’azur (des chants venus des p^rofondeurs) nous apparaisse. nous voulons comprendre le te:mps déplissé ce que c’est au juste : tourments ? ah peut-être ! qui sait ! on ne sait pas ! on ignore ! on veut savoir ! on est deux qui cherchons ensemble à savoir ce que c’est que cette chose ici d’une sorte de paroi de base, de paroi «meuble» (?) = un meuble ? armoire ? confiturier ? vitrine ? commode ? bahut des données de base ? ou quoi d’autre en termes d’ébenidtsterie ancienne ? NOUs voulons aller en cette reoche au plus lointain possible à deux, et, pour cela, nousq avons à faire ainsi de nous lover (love aidant) ensemble (accolé) en  ette sorte de repli que forment les tourments de l’âme (le temps) dans icelle roche dure des apprêts. nous devons dire = parler vif = se montrer = filer en roche = greaver <qui des aurochs , qui des troupeaux de bêtes fortes (sommes, sommités, noms de rage, noms vifs alloués) à même la pierre nue. nous sommes deux qui avons à dire des choses de poids (= qui le fasse»»») et nous voici donc, q<uii arrivons main dans la main (main tenant) ensemble, a fin de ça : être. être celui là ou celle là (les deux accolés) qui foule la roche, ceux là accolés qui foulent la roche = la transpercent afin d’enttrer en elle (tête première = la raison, le verbe sensé = les termes communs à une troupe donnée) et une fois entrés on cxharge = on rue = on tape = on moque = on vitupère = on crie = on se bat = on est des guerriers et des guerrières. tous et toutes contre celle-ci devant : la hautaine ! toutes et tous ci-devant contre elle = la des mortifères, la déesse des. Car nous sommes remontée. remontés et remontées. nous ne voulons pas nous laisserr faire. nous voul:ons creuser laroche à la recherche de la vérité sur ;les prés. notre but est de creuser profond et de trouver à nous satisfaire, en termes de données brutes concernant icelle vie ci-devant et icelle mort ci-après = loin = là-bas au tournant = en ce meuble de la roche rude = trou de boue ? = trou de rage ? = vent de face ? = cri intempestif ? Nous cherchons. nous voulons comprendre ce que c’est et pour ce faire nous cherchons main dans la main (le Temps) ce qui est devant ce que c’est. nous voulons comprendre ensemble ce que c’est que cette chose rude (ici) qui va et vient et nous regarde vivement devant. -je cherche : bête canasson ? coque ? caribou-é»lan de ta rage à nzaitre ? ah possible ! oui ça se pourrait! ça pourrait coller ! une bête -$élan, une bête de poids ( lourdaud) vitupérant pour soi = à notre place = en nous mais à notre p^lace. Est-ce ? est-ce ainsi que les choses vont ? nous avons en nous une bête (âme ?) qui vitupère, à couille , ça oui ! et nous de penser que nous sommes xseuls(en nous) à penser ce que nous pensons ! ça craint ! ça craint de la rage et des serments de bnase, c’est un fait ! ça urge (aussi) ! accroche-toi à moi ! colle-toi à) moi (mes reins) et ne me lâche pas (sous aucun prétexte) car je suis … la vie ! hé hé ! la vie en v rai = la Vie majuscule =  cette chose en soi trépignant et râlant de sa rage vive (en vie) des dedans de soi. du dedans un soi mortel mais tenace. Nous avons ensemble à bien cerner ici (la roche) une vérité des données xde base, celles-là qu’il nous incombe d’approcher et d’appréhender. nous sommes des êtres des forêts, nous nous promenons entre les a rbres, les fourrés, les bêtes diverses, les fleurs cachées. nous devons aller en roche à vif = tourmentés =blessés = mis à mal = en vie. nous devons en vie aller v ers la mort, aller vif (= en vie) vers une sorte de porte d’entrée «décorée» (gravée : bête à l’envi, chevreuils et ourses grises). nous devons TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TIOUCHER TOUCHET TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCGHER TOUCGHER TOUCXHRER TOUYCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER ETOUCHER TOUCHER TOUCHER la roche de la vérité = toquer à la porte (roche) des données brutes (brutales). c’est ainsi que nous devons ensemble faire ici, en ce sas des données données = pierre d’offrande à déité. nous voulons aller en roche ainsi, soit fissa et tête (la raison) première, et entrer de front, contrer, coller à roche et la pénétrer. nous devons aller en cette roche des données acides. nous ne devons pas lambiner mais aller , aller dedans;entrer, entrer en cette rocxghe des tourments maussades, des douleurs ancrées, des vivacité, des saignements et autres faits de guerre lasse. nous sommes en cette roche dure, des qui  : des qui vont = des qui viennent. nous sommes tous (clans) qui voulons toquer à la porte de la vérité des affaires du monde. Nous voulons aller en roche rude. Nous voulons aller en  ette roche des données ou données de la rage, et des dons de soi, en numéraires, en victuailles, en or et denrées diverses. nous donnons de  nous à chaque pas que nous faisons, sur la terre ferme = le Temps passé, le temps dépassé, déplissé, dé pl;ohyé comme un tapis de bienvenue à notre sas de rage, à notre petit comité, à cette chose d’un endroit de rage (à être) etvoilà pouqoi, voilà tout, voilà pourquoi ça, cette chose en nous, ancrée comme jamais, comme quoi on cherche à ciomprendre le temps ce que c’est en termes de présents donnés   par la bande (rage) à une déité./ nous avons à TOUCHER TOUCGHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHGER ce qui est (= devant soi) et pour cela : allons ! courons à travers les bois sans tergiverser ! courons fissa à travers les prés ! cherchons notre allié ! cherchons allié et alliée ! ne nous laissons pas mener par le bout du nez de la mort à l’Eure ! merde non ) fissons ou (plutôt) fissa courons ! oups ! cherchons à filer de plus belle au sein de cette roche d’entre deux parois. nous avons ainsi à nous immiscer en cette roche dure par la bande = à entrer en elle fissa et tête la première par la bande = par le verbe (cru et rude) de la vie «montée» en flèche. nous voulons passer en elle (roche) nous placer de telle sorte que voilà : nous serons mieux abrité, nous serons des êtres des bois (sous-bois) surnuméraires (numéraires ?) qsui allons sur pied ainsi gambadant, à la recherche de la vérité guidant nos pas (le temps déplissé) à même terre mère la bien nommée? qui va là ainsi ? qui cherche à crever les abcès et vas-y w<que ça perce ! çàa perce de folie on l’a dit ! ça y va de la tempête, c’est juste dingue ! c’est mortel ! ça pisse de rage ! ça craint du boudin tu l’as dit ! ? je cherche à comp^rendre ces données, ces chants venant des profondeurs des entrailles (?) ce qu’ils signifient au juste et sont censés nous dire, nous donner comme identités, comme noms d’apprêts. je suis homme et femme des cavernes, soit un homme doublé d’une femme (à l’intérieur ?) ou alors une femme doublée d’un homme (en son sein caché, ancré, lové). nous nous avançons de concert, nous cherchons à nous faufiler ainsi collés, nos voulons trouer la roche des prés et traverser icelle vif = sans trainer. nous sommes deux qui voulons ensemble aller loin dans des recherches dites «de paroi» à même la roche des temps déplissés, et pour cea l nous nous invitons , ou faisons que nous nous immisçons en elle (roche rude) afin de nous y ici loger fissa, accolés en cette belle roche dure des apprêts et ce pour l’éternité. notre envie est de nous solidariser avec la roche, ou de nous solidariser à la roche, au roc des parois, de nous solidariser soit nous solidifier, etc, à) même Roche 1 , puis , passée Roche 1, à même Roche 2; Car la vie est ici une, qui nous tend les bras comme une personne. nous voyons ! nous ouvrons les yeux pour ici voir la roche dxu temps. nous voyons devant,t nous ce temps de parade (chars d’assauts ?) qui est cetemps des données d’une rage à faire naitre, sur terre, l’enfant des données brutes, nues, vives, ancrées. nous voulons comprendre ici même ce qsui est, ce qui est en soi (bête surnuméraire) prêt à se déplacer. nous voulons toucher = toquer = frapper à la porte d’une sorte de joie à naitrte je. nous voulons ici même toquer = toucher = faire ainsi que  c ela soit ! quoi ? la chose rupestre pardi ! aurochs des parois ! considérations pariéto-frontales ! Nous devons toucher à roche dure = verbe = donnée déposée sur pierre de taille = table orientée. Nous devons signer le Verbe, nommer de notre nom de base icelles données déposées sur roche des temps (les pas que nous faisons ?) et ainsi fait espérer nous en tirer kle temps nécessaire, ou le temps le plus déplissé, ou le temps le plus long. car la vie va vite d’un point de charge (la naissance) à un autre (les lointains : points d’orgue), et ce qui doit être (une vie d’allant) doit être secondé»v pour être,; secondé vivant par en soi la bêtye surnuméraire = numéraire = argent co:mptant = don de soi en a rgent trébuchant = ors et données vives. chants montant ici des entrées lointaines; nous voulons comprendre tout ce or, ces données en or et autres préciosités. la vie est dépot de soi (temps déplié) sur roche dure. la mort est une entrée d’une autre sorte mais toujours dans la matière. nous voul:ons aller en  ette roche rude les yeux bien ouverts afin de bioen cerner et piger (comprendre = prendre) ce qui est ici , ou ce qu’il en est , ici-même, de cet or de base, nacre, nacré ? cet or fin , cet or de la rage bestiale en soi = don massif comme or massif ! aurochs ? ORochs ? au roc ? oh voilà ! on cherche que tu chercheras ce dire d’or, ce dire de l’or et de l’oral, ces dires massifs comme aurochs de la rage forte à vouloir sortir par la petiote porte d’une bouche en nous = ouverture-plaie , par ici = pic. nous voulons TOPUCHER et TOUCHER &TOUCHER & TOUCHER & RTOUCHER = toquer à la porte du temps menacé par la mort en rage après nous qui l’avons berné. nous voulons aller en elle à la recherche de cet or des données cruciales, acides (?) ou pas mais avérées = sûres = physiques = rudes et déposées (qui plus est) sur roche rude et dure comme un os de poids, ou comme or en branche. Nous avons pour nous cette chose, à devoir comp^rendre ici, 

comme quoi nous sommes ensemble, nbous deux = elle et moi, des êtres qui, autant que faire se peut, devons voir à bien cerner les enjeux de ce qui se trame en pareille roche des temps. nous sommes deux êtres qui ensemble donc, cherchons à nous débat rrasserr d’un ceratin verbe logé en  nous, verbe de bon poidss bon oeil il semblerait, mais qui en  nous gêne, gêne fortement dans la mesure où nous sommpes deux (en nous) qui,cohabitons pour une gouverne. poidsds lours xd’une sorte de rage à être ensemble sioux un même toit pour ainsi dire («à toi à moui») . et voilà pourquoi nous cherchons assidumentt à njous p^lacer en roche (ici) de telle sorte que jamais personne ne pourra raisonnablement nous mettre endemeure de nous éloigner d’iccelle roche des temps alloués à une vie humaine. nous sommres solidaires , ensemble, d’un état de fait, qui veut que nouys fudssions collés-serrés ensemble pour l’éternité. nous voul;nons toucher à une roche de bon poids devant soi, nous ne voulons pas passer à côté sans toucher la roche, ce froid cde roche dure, lisse ou pas mais raide comme la justice, rudement montée, dure de chez dur ou de chez dure, etc. nous sommes qui avons ensemble à comprendre toutes ces données de base déplissées ici (roche = paroi) pour un faire monacal et pariétal de t’en dance agraire. notre envie d’être en   vie est de celles qui en nous semblerait «qui vitupère» , ou sinon alors que fait-elle ? en nous cette envie vitupère ! elle crie-hurle sa colère ! elle est vive ! elle veut vivre ! cette envie en nous veut vivre c’est un fait (à ne p)as sous-estimer) ! ça colle aux parois ! c’est tenace ! on y croit ou on veut y croire ! par quoi ? par le langage des données de base ancrées. car le verbe est ancré comme une sorte de donnée indécrottable = langage avec foi = langage avec la foi inclue = langage parlé avec en lui (incrusté) la foi en lui-:même , franc parler, franc-or, étalon de la rage à être, chant des données intrinsèques à une vie humaine. nous sommes qui voulons nous donner de pied, mais pas en,core. Ou : nous sommes qui voudrons un jour, ou qui voudrons bien un jour ou l’autre (le plus tard possibles) nous donner enn pied = de pied = en chair et en os = intégralement, mais pas tout de suite. d’où les tourments, la vie rageuse, les plaies de guerre, les traits tirész, la haine enchâssée en notre gouverne».,nous voulons aller au fin fond des données de base les cerner, nous voulons aller de rage en ces données de fond à comprendre  ce qui est.  nous voulons toucher la roche des temps déployés comme ornementation rupestre de façade. on veut ça. ça on dit que ça va. on se dit que les dessins sur roche et autres gravures animalières rupestres sont une réponse à une sommation dernière. on veut pas céder. on veut pas passezr = trépasser/ ce qu’on veut c’est être sur pied (gaillards) sinon pôur l’éternité du moins pour une durée excédant de loin le temps habituel à une vie humaine, octroyé pour la peine. on veut ça. on veut aller rageur en  ette chose-là d’une sorte de paroi des données premières (vie des vies, chant des chants, mots des mots, vérités ancrées de vérités de poids). ça peut aller. ça peut être vif. ça peut donner des fryuits qui le fassent vif. c(est un fait estampillé comme quoi en effet ça pourrait aller et kle faire grave tantôt. c’est ainsi que ça  nous apparait. résumons : voi;là, nous sommes porteurs en nous d’une sorte de rage verbale , de rage à être ou à naitre, qui est rage vive verbale (vie de base) qui est qui vitupère, à même une roche dure (de s temps) devant soi.nous sommes comme secondés par (en nous) une bête de verbe de rage, insultes premières, chantshonteux, crue des verbes hors de leurt lit de base donné. nous nous approchons ensemble de pareille roche des abois, des cris de guerre, des dons de soi. çàa le fera pas trop vite si tant est , ou alors si : à fond la caisse .? quoi ? cette chose ici bas d’une sortie de soi de son être bestial (étalon-or) qui cherche à donc passer museau et tete et corps en tier à travers la bouche que nous cherchons nous à ouvrir en grand (pic du verbe-animal en soi ,,)transperçant icelle donnée charnelle. nous voulons comprendre ensemble ce que c’est que ces données de rage intrinsèque. qui ou quoi a mal en  ous? qui ou quoi se sent à l’étroit en nous ? qui ou quoi en nous cherche à comprendre ce qui erst ? qui veut per cet en nous la joue qui nous sert de poche de verbe conservé, tenu, emmengasineé, qui ça ? on sait pas ? onb est deux (en soi = là) qui cherchons  cdette chose,pareille chose rude en nous : bêaton de bois ? ce que c’est, ce qyu’il en est, ce qu’on pourrait dire sur elle (chose) ou sur lui (bâton) d’avéré et de justifié.nous n ous logeons de rage en elle (roche des temps) pensant nous tirer d’affaire (car il s’agit de temps) mais en vrai tintin ! et même tintin grave ! pas vrai ? le temps est pour le coup ce déploiement sur roche, don d’un soi trompeur, don à déité d’un temps de soi qui n’est pas soi en vrai. seulement du présent déplissé : tapis rouge, tapis de feu, tapis pour une entrée de feu à même le feu ? nous nous calfeutrons, nous nous glissons ensemble en cettte roche ouverte (joue percvée par pic de verbe). la vie en nous parle de sa voix de rage. la vie est en nous qui parle vif de sa voix de rage dure., nous voulons casser la roche des temps. nous voulons briser la roche du temps. nous voulons aller loin en cette roche des temps menacés, déplissés et m:ena cés. nous ne sommes pas seuls à vouloir cette chose, ce sang ou comment, ce  verbe coulant, ce verbe sortant de nous comme une bête : accouchement dans le temps? ça urge. c’est dingue comme ça urge. on veut pouvoir ensemble toucher à cette chose d’(une sorte de paroi de roche dure qui serait du temps = le temps d’une vie humaine, octroi, chant doux, usure à peine visible par soi depuis soi, . une copmmuynauté se prend au jeu et cherche à comprendre (en petit comité) les choses du monde, ce qui est qui semble être sous nos yeux éberlués (denfant nouveau-nés ?). une communauté prend corps, vient se mettre au jour, arrive, naît à la lumière. de quoi s’agit il au juste ? eh bien on le voit, une communauté se prend au jeu en soi du je isolé. une communauté = un troupeau = une sorte de frise dessinée représentant des bêtes de poids.  nous sommes habités, nous sommes tous comme habités ou même habités. nous sommes habités par en  nous des bêtes de poids, des bêtes qui poussent = pen sent = crachent = vont = sortent = vitupèrent = insultent déité = Mort. je cherche à comp^rendre ce que c’est que cette chose en or qui sort de soi par un trou de rage. un couteau a taillé (cisaillé) la joue du je de l’^$etre mû. je voudrais comprendre cet êtres , cet enfant en soi, ce cri de guerre, ce chant des données vives. le chant impoporte. le chant est une sorte de douceur sur une plaie (vive) de joue blessée par unn pic de verbe aiguisé. je voudrais piger au mieux les données de base, ce que c’est que cette chose acide, vive et coriace (une mort ? la mort ? Mort ?). on voudrait comprendre ensemble.on voudrait savoir ce que c’est. on voudrait pas passer à côté, ça non. ce que n ous on voudrait c’e’st ça, c’est comprendre   c e qUe c’set que cette mort dont on (le langage en vérité ? soit la bête en soi ?) nous parle en continu. on voudrait comp^rendre, ce continu, ce qu’il vient faire dans notre affaire. ce savoir ancré, cet ancrage mordoré, ce Verbe premier , ce qu’il szerait?. Or ? c’est une évidence ! Aurochs de passage = or = Ver be déplié comme un tapis (d’accueil) sur des marches (une langue dépliée). kje cherche à comprendre toutes ces données, tous ces dires posés sur roche, ce qu’ils sont en vérité. je ne suis pas seul en moi à chercher à bien délimiter les frontières de ce que est cet espace alloué à une vie d’homme. je suyis celui-ci (homme des cavernes) oou bien celles-là (femme des cav ernes) qui vais ainsi , cheminant sympathiquement sur lande, etc, à la recherche de la vérité cachée, d’une  vérité éventuelle qui ici (roches , entre-deux) wserait bien cachée et pas trouvable . ou comment ? je veux faire ainsi que je puisdse toucher, tout le contraire ! car je veux toucher ! je veux faire  cette chose d’un toucher de rage à être à même la pierre (froide?) et pas plus tard quee tout de suite ! je le veux ! j’exige cette chose ! je veux savoir ! je veux compre ndre ! je vbeux être le savant deslieuwxcx x’une rage naissante  ! vivement la rage et sus aux tourments ! NBous sommes qui voulons comprendre ce qui est ici, cette chose rude évanescente, volatile, fugace, aérienne, d’une vérité ou vérité vraie.  ce qui est est là qui nous poses un peu là, à savoire ce lien dxu sang, ce tourment, ce dépôt acide : quoi est)-ce en vérité ? nous voulons aller en roche (roc dur) comme ailleurs un pr^retre, un moine bénédictin, un homme du Verbe ira, nonchalemmant (ou pas), chercher victuailles ou autres dennrées  à pouvoir déposer sur roche du temps (pas à pas) continument. nous  nous sommes approchés ensemble d’une roche meuble. nous voulons comprendre ensemble ce que c’est que  ette roche meuble. s’a git-il d’u,n meuble en vrai ? bahut  des familles ? ou bien s’agit il d’un endroit de la roche, d’un endroit dit «meuble» en cette chose qu’il est là comme anfractuosité naturelle, spongieuse, vive et nue, à traverser de notre pic animalier (en or 18 carats comme de juste). je suis homme-enfant, chant d’oc, carrousel. je suis homme vif , aux allants dodus mais rapideq, qui frottent sa gouverne (son chgant ?) à même la roche des temps impartis.je cherche à comprendre cet or, cet aurochs, ce verbe, ce christ, ce bruit surnuméraire, ce poids de vérités toutes amassées. Ce que c’est que ça au juste. ça est quoi ? ça veut dire quoi que cette chose accumulée ? je suis être qui cher che l’or dans le sang de l’être. je suis cet être chercheur d’or, chercheur de victuailles, d’or en branche, étalonsq-or, etc, à déposer (oh, finement) sur table des offrandes, des dons à déité de type déité des portes de la mort. nous sommes deux (2) qui cherchons en moi = en nous du coup. nous ne voulons pas sombrer, nous ne voulopn,s pas flancher. nous voulons durer dans la durée. nous voulons finaliser une durée de temps suffisante à une embardée à meme le roc de la ban,de. 

notrre vie est une vie de rrrage 

notre vie est une vie de rage

notre vie est une vie de rage. nous voulons comp^tendre ce qui est ici (roche des prés) et aller fissa à la rencontre (initié) d’une sorte de vérité transformée en bête aux aguets. NBous sommes des êtres du temps déployé montré, déployé trimballé ou comment ? nous voulons comprendre dur, sec, rude, les données basiques d’une vie à vivre. nous ne voulons pas nous tromper de vie mais aller ensemble ici vers une sorte de chemin de destinée ancré, chemin dx’une voie à suivre pour une entrées vive dans le sas des sas d’une sorte de paroi surnuméraire. nous voulons savoir ce qui est, ce qui va de là (paroi nhumé»ro 1) à là,(paroi numero 2) en termes de données rupestres d’ornementation céleste. je suis là. jke veux comprendre. je veux savoir. je cherche une issue verbale. un temp^s de latence-trajet. ouverture et entrée de bal? colère intrinsèque et parade nuptiale. on voit cette bête des temps aller et v enir devant soi (dans le temps) et cette bête est comme une telle qui (nommée) serait pour le coup sortie par la bande d’un trou affecté en nous par un pic de contrebande (le sommeil ?) et nous voilà qui sommes troués, qui sommes comme troués par icelui pic de cette rage à naitre en nous, pic acidulé si tant est, acide et acidulé. nous vou:lons aller en roche dure à la recherche de la vérité ou vérité de poids (surnumaeraire) pouvant éventuellement nous donner de quoi en termes de vérité». la voie ets ouverte devant soi. un trajet peut xse dessiner. on veut toucher la roche des données basiques, initiales, natives : verbe arachnéen ? placidité ? plasticité de la roche à notre arrivée ? écart de voie ? ouverture chant premier ? ouverturre du bassin d’une sorte de mère allouée à pareille entrée ? je suis celui-là qui cherche que  tu chercheras ce que c’est que la mort annoncée. on dirait que c’est cela :ouverture de bras (deux bras) devant soi, ouverture en grang, chargement, fissure d'un antre avec entrée de rage, colère et tourment de côté, cassure , déité fractale, chuintement-suintement et glissade. ion ne sait ce qu’il en est au juste mais enfin on cherche. on ne désespère pas d’un jour trouver, de trouver «chaussure à son pied» ou autre chaussure de marche attitréezc(la chaussure) pour la marche à gué. Je cherche. je vais ainsi au coeur de la roche à la recherche ici de ce qui est et aussi de cela qui ne peut être. je veux être roche dure. je veux être de la trempe d’une roche dure = verbe-. je veux co:mp^trendre icelle roche des apprêts ce que c’est au juste : chant des pareties molles ? de la chair et des denrées offertes à déité de base ? chants des inclinaisons ? des sensibiltés ? chants du tout au tout et rebelotte éternellement ? chants des cécités . des cédilles ? chants des tournées, des tours de la rage, des tours et des détours ? chants des cavalcades ? nous cherchons ensemble ce que c’est. nous voulons toucher = tourner casaque, comprendre, aller au fin fond et toquer à la porte de données finales. alors on dira : anfractuosité, ouverture de voies, chant d’azur, crédence, portrait de face, une porte ouverte sur une ouverture bleutée. échina,crure. ouverture sablée. chant de bure. australicités ? austrealités ? australéités ? vérités australes des données de base ? nous cherchons. les mots sont des bêtes nacrées. le verbe est une gibecière. le temps est poumons. le verbe est cavalier-cavalière. on sent les choses a rriver et on se protège : santé.. on est faits comme des bernés de première ou alorqsquoi ? on vitupère ! on cgherche à toucher à la roche dure devant soi et pour cela on se doit d’entrrer en elle, et pour cela : fissa ! la tête (ou pas ?) la  première ! déité devant ! toute nue la déité ! la toucher la toucher on y croit ! on veut pas tyrépasser ! on veut durer dans la durée des données placides encastrées ou encra ssées dans un temps donné. on veut toucher à déité de base rapide., on veut toucher à déité la rapide. on veut toucher à cette déité rapide. on  v eut toucherr rapide à cette déité !!!!!!!!on veut toucher rapide = vif = à vif = vivant . à) cette déité des  temps déplissés, touche que tr

u toucheras. a cette déité des temps allouées . a pareille déité des temps octroyés. on veut pas en finir fissa mais fissa aller à nous insérer dans la paroi des temps déplissés informatifs. je chers he à co:mprendre les dionées de rage, ce qu’elles sont pour soi, ce qu’elles représentent en termes de mots ou de mots-animaux. nous sommes qui chers hons ensemble à être des êtres de la foi dans l’ombre = l’homme. nous voulons nous i n itier à des rites païens dép:osés sur roche. notre but est de piger la roche dure ce qu’elle représente en termes de données de poids surnuméraire. je me place ainsi tout de biais en elle (roche) et cherche à voir ce qui est caché, au loin, les données rageuses, ces bêtes verbeuses, herbeuses, ces v de corniche, ces soupirs, ces voies d’accvèes et autre s paroles au gré de la roche. Nous voulons aller en roche comme en religion = ensemble = masse = vérité des vérités = communauté = ensemble d’une seule voix = vérités placides = un ensemble lié par la foi intrinsèque = langue des parois = concassage. nous voulons percer ! Nous ne voulons pas ne pas percer ! nous voulons per c er icelle roche 1 et tra verser, nous trouver au sein des seins qui est un pré, piuis nous rapprocher de roche 2, la belle des prés, anfractuosité lointaine à aborder de près par petits pas et mots de base doux. nous nous approchons de roche 2. nous sommes auprès d’elle tout doux comme des enfants doux de base native. BNous voulons nous approcher d’icelle au débotté, le plus possible près sans nous brûler, car le Feu fait rage, Fe du Feu,. Ici (roche n°2) le feu fait rage et brûle que tru brûleras les données de rageou les données de base contenues ici même (sas) à même la pierre. je suis homme des parois de l’ombre. je suis homme des données rapides et rapidement déposées. je veux toucher la mort (ou déité nacrée) sans la toucher, sans toucher à elle pour de vrai, car voilà : je ne tiens pas à me brûler les ailes. allons donc toucher sans toucher … mais comment faire ? comment on peut faire pour toucher la roche (2) sans véritablement toucher icelle ? comment on peut faire ici cette chose? comment tu peux faire ici (roche 2) pour toucher la chose de feu et ne pas s’y brûler de trop ou trop méchamment ? la porte ici est porte de feu, ou serait dès lors une porte de feu :le cercle enflammé d’un cirque alloué à une cité ? je suis ou szerais cet homme décidé, p^ris de rage, pris d’assaut par (en moi) des bêtes de poids qui sont mots de trop (ou non ?) mais mots de rage si tant est. je suis pris d’assaut par des mots. je suis bête des parois du monde. je cher che à comprendre ce qui est ici d’une sorte d’entrée en matière dans un sens qui est le sens d’une parade funéraire ou sinon comment ? folie ? une parade : folle de rage à ^etre ? je cherche à co:mprendre. je cherche à crever la bulle céleste. je cherche à percer la roche des données frontales, des données acides, vives, consacrées, allouées, à mieux cerner au jour le jhour, à dessiner sur roche à la manière ancienne de ces hommes des cavernes susnommés.  nous devons aller profond en roche et comprendre les détails, les traits de base, les points dessinés, les courbes, les tracés votifs, les chants lourds, le sang qui coule sur la pierre meuble. ouverture des sas ! ouverture à vif (du temps du vivant) du sas de la rage ! ça balan c e ! ça criaille ! ça y va dans l’orxdre mendiant ! c’’st pas rien ! c’est clair et net ! c’est comme une chance offerte à une déité de se voir rassasiée mais tu parles ! ça trompe énormément ! c’’st placide ! c’est ;le cou de la bête grosse étiré ! c’est chant choral, sommité, parade des ventres, chevaux consacreés , turf ! alors voilà ! le verbe est dans l’homme ver dans pomme. tu le sais?. car cela est un fait patent. on trompe son monde et impunément du temps du vcivant ou comment ? car en vérité on dira que vivre c’essttromper son monde =le monde = la mort. vivre ici (ici -bas) = tromper = tromper la déité de la mort à l’Euvre. verbe aidant. ça craint. c’est mortel. ça pulse et ça craint. c’est une sorte devant soi de d»éité nacré de base, chant total = choral = lourdeur de ta mère on le sent, ça pulse, ça renifle, ça fait des choses, c’est une aventure, c’est  classique. ça y va frontal brutal. ça descenndv la piste. on cherche à comprendre cette voie d’abord , avanr-t de laprendre. on cherche à co:mprendre cette voie d’abord avant de la prendre (ensemble) pour de bon , car on ne veut pas risquer de rien, on veut pas prendre le moindre risque pour l’occasion, on veut ménager ses abattis, on veut se proptéger et aller fissa mais dans le sens des mots de trait. on veut pas bifurquer? on veut aller direct, droit devant, embardée native, chant des bois et des sous bois, un prêtre est né. je cherche où ça ça se pourrait , où exactement, où situé. je chgezrche que tu chercheras un certain  ombre de données de bases native, ôù ça se pourrait que ça sezrait tombé pour ainsi dire. nous allons de biais à la re cherche des données premières, des données sages, posées, déposées sur roche : fruits de la passion, conséquences,a-ttributs divers, colères rentrées, mats de charge, mots doux, compétences, chants des parois mobiles, outrecuidance, perforations, tromperie sur toute la ligne  de démarcation entre une roche et l’autre. nous vou;:lons passer entre deux roches et rester là à observer, l’aurochs trépigner ou le bison futé. nous voulons aller sur roche , entre deux monts de rage, contrer la belle des attraits , celle-ci qui nous fait signe de bien vouloir aller vers elle à sa suite mortuaire ou funéraire et nous de déclamer que non , que rien du tout, qu’on v eut pas de  ette chose rude, la mort on veut pas, on veut demeurer. on veut rester en vie le plus possible dans le temps. le temps pour nous est salvateur un temps. le temps (la courbe des données rageuses) est salvateur le temps de sa reévolution première, chant doux des sphères, et un jour les choses s’en vont mais où ? voilà la question  ! voilà ce qui importe et nous questionne beaucoup ici même (roche/roche). nous voulons comprendre loin ce qui est de ce bassin de roche. nos voulons toucher la belle mort des parois dures, ou bien pareille mort appelée, ou bien cettte mort au nom de l’appezlée, ou alors Mort sûre des parois finales. mort est une sorte de beauté de ba se, mais peut être pas en vérité. on pense à la mort comme à une beauté mais qui sait ? la mort est elle belle intrinsèque, ou rien du tout ? la mort est-elle une beauté de base ou alors non : la mort pisse au lit, fait des ravages, est le mal inclus, la perte de bases, le chant cru vociférant sa haine tenace par la bête insérée en nous (= la vie vive) ?Je cherche à comprendre vif les données accumulées sur roche 1, et cela pour en avancer +++ vers roche 2, soit en fait++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++===++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ car mon but (initial = de naissance) est de percer; percer roche 1, percer roche 2, percer… roche 3 ? percer roche 4 ? percer roche surnuméraire d’abord et surtout, puis : à voir. fonction des arrivages de paroi vers soi. ou sinon fonction des rêves ? on cherche assidument car on en veut grave. motivation première intrinsèque (soit : faisant partie du vivant)./ nous vou;lons percer à vif (vivant) la roche des temps. nous ne vou;lo,ns pas nous retirer mais tout au contraire percer et puis comment ! complètement ! passer la tête fissurée puis le reste du mobile : notre trouée. corps et ^$ame ? les boyaux, la tripaille, les données de rage, mots chauds, insultes votives on l’a vu, tendant  à faire naitre de soi la bête de joie = je pour ma gouverne printanière. je cherche à co:mprendre ce qui est ici qui me regarde. je veuc faire ainsi que la vie s’accrochât à lza rampe et ne succombât pas : de grâce ! car ici la peine est vive, vivement ressentie pour quiconque s’aventure dans la vie. chair fragile

chair fragile, sens aiaigu des douleurs de base, rapine, colère de la viande, occasions loupées de se taire, charges massives sur les pieds, temps brisés. je veux savoir les choses ce qju’elles sont pour soi au fond de soi : bêtes-mots de la rage à être (ou naitre ?). chants du corbeau. passages de quart. tentatives vives de perçage de la roche dure par un pic de verbe induré. Nous voulons toucher la paroi de la roche des temps, la n°1 puis, plus loin, la numéro 2, c’est un fait. on v eut pistonner. on veut agir = traverser, et vite. pas lambiner. chaud devant les attitrés ! ça urge ! la colère urge, r-avine, pousse à vif, déplace, emmaga    sine les données avant d’exploser. on sait ce qui est : la mort est une entrée focale, ouverture large, passage outré, forcé. un écartèlement (ou un écartement) pour un passage de mobile frêle, doux, frais, vif (en  vie) et une parade. je suis u ne bête de la joie d’être. je suis l’animal des données de base = naissantes. le verbe est vif qui brûle sa peine, sa crainte, ses effrois, son sang. je veux comprendre le sens des tourments, ce qui est devant

t, ce quinhous regarde : quoi c’est. je suis un homme des cavernes, je dessine à main levée des bêtes de roche = verbe grand V, chaud devant, poids surnuméraire, appuis, chants choraux, volontés massives?. je suis cet homme qui dessine en transe (à main levée) la bête des prés surnuméraire : le langage pa rlé nous protège, qui nous voit aller , bon an mal an , à la découverte des données données par la bande assurément.Je cherche à comprendre icelles données, les toucher les toucher et m’en rassassier (à mon tour ?) si tant est

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6/04/2022

nous cherchons ensemble des données de base concernant la mort. Nous voulons comprendre loin ce qui est, ce qui se trame en ces contrées de bord de mer. nous cherchonn en veux-tu en voilà des données de base, données fines si tzant est, fiables, utiles et qui puissent nous offrir de quoi penser la mort en termes de voix, de paroles ancrées, de Verbe sinon acidulé acide. nous cherchons ensemble des données fiables pour la bonne cause. nous voulons cerner icelles données à m^eme ce sas de roche dure, la paroi telle qu’elle nous apparait devant nous qui nous aen approchons tantôt, cherchons de rage à la crever, à toucher icelle et la percer, la crever-percer pour une traversée de base. nous voulons cerner la roche, la percer, la traverser ensemble, la toucher la toucher de manière à passer ensemble à travers, ensemble jumelés, conjugalement, comme un couple aux envies primaires, aux douces volontés. nous nous enfonçons en icelle de front, comme des béliers. nous cgherchons passage adéquat pour notre gouverne, passdage nacré si possible = ouverture mordoré, chant des signes d’appel, ouvrage de piété. nous sommes entrés ensemble par la bande langagière d’icelle paroi de grave. nous nous sommes en la cés. nous regardons autour de nous les «choses du monde «»»»», soit ces choses rudes comme aurochs ou buffle, ces données de rage qui vont comme déambulant sur prairie de base. nous nous promenons ensemble en ces prés de verdure ondoyant, en ces herbes hautes. nous cherchons des vérités terrestres, des données fiables et utiles comme tout, des choses à cerner de front, des beautés. nous sommes deux qui cherchons ensemble à comprendre 1 les enjeux liés à pareille traversée, 2 les données frontales adjacentes en pareil pré ou prairie  dite «de la rage», 3 ce qui est ici , plus loin, qui s’avance (on dirait) et semvbvle appartenir à une sorte de paroi surnuméraire, de paroi de fin, de paroi ouverte en ce fond de la roche interne. qu’en est-il au juste ? nous nous demandons ! nous nous posons un grand nombre de questions ici même (roche rude) et nous cherchons comme de conserve en ces contrées prairialres quelques verités de base à pouvoir, comme qui dirait ou comme il semblerait, se mettre sous la dent ou sinon comment dire ? car la vie s’affole au milieu des bêtes fortes ! la vie file grave ! chante à nu son chant placide, tenace (lié) qui est le chant ici de la roche et des prés. Nous cherchons une entrée de parade à même la roche finale. nous disons : «la roche finale» mais qu’en savons-nous ? nous disons des choses rudes, des paroles de poids, des mots lourds parfois, oui, cela est, cela est cela que nous disons ici parlant d la roche verbale, oui. nous disons le verbe = aurochs. nous disons ici (volontiers) que VErbe = Aurochgs de rage = vitupération de la base = grandeurs des envies = chaud devant la honte = ce débit , cette phrase, ce lancer de rage = des bêtes de poids, des mots-bêtes de vie frontale. nous pensons nous deux que là, ici même (roche) le Verbe est de bon poids bon oeil mais tarde à dire ce qui est. nous voulons crever ci après la bulle du temps et pour cela aller ensemble << en cette roche 1 qui nous fait face (faisait) et donc chercher la voie menant à roche 2 et à sa parade. la parade de la roche 2 est celle-là que nous voyons lorsque nous allons de concert vers une sorte de luminosité bleuté de fond de roche. nous pensons que cette chose là, cette lumière des embruns , signent une sorte d'avancée de poids de type roche 2, de type roche de la fin des roches ancrées. nous pensons que nous devons aller profond en cette roche des apprêts et des conduits. nous nous approchons d’icelle (roche 2) et cherchons la faille, ou disons la faille, ou un genre de. comment faire ? comment faire pour trouver ? qui est là pour nous aider un tant soit peu ? Nous voyons rocher numéro 2 qui s’ouvre ou se présente devant nous, anfractuosité de base, trou de rage, ok. mais est)-ce en vrai ?  un mirage ? illusion d’optique maximale ? nous voulons toucher à la roche pour comprendre ce que c’est, si opareille fente en roche (dure) 2 est vraie ou pas vraie. et pour ce faire, il est juste et judicieux de s’approcher fissa tout près, et de jeter un oeil, un oeil dedans, ou un oeil en dedans d’icelle (roche des fins de la roche) et là : voir, voir venir. le temps ici = les tourments = les données abruptes. et cependant : le temps est  donnée de base adjacente, courant de dires, chant derniers, la colère et la volonté d’en découdre, le temps dépôsé comme un don de soi à la mort de branche. nous cherchons à toucher ce qui est de face , ce qui existe sous nos yeux d ‘enfants baba (comme effarés ?) et voilà pourquoi nous sommes collés à pareille entité pierreuse, à pareille roche des savoirs outrés (et cachés). nous sommes deux qui cherchons ensemble à percer roche numéro 2 mais sans y passer. car notre volonté première est de ne pas flancher mais de tenir de bonne guerre dans le sas des sas de roche 1, notre bonne mère. Nous voulons comprendre ensemble vif = à vif = cru = à cru = vivement ou crûment les données rageuses d’(une terre offerte à notre bienveillance humaine. notre choix ici est de percer la roche 2 afin de pour le moins savoir en vérité de quoi il en retourne, de quoi il s’agit au juste (ici et maintenant) de cette ouverture des fonds,n, de ce puits de roche, de cette excavation rupestre, de ce fond brumeux assagi, de pareille brume des profondeurs , ou de pareille brume de la profondeur à une roche ouverte comme une huitre. nous voulons toucher vif icelle roche, c’est à dire subrepticement, comme s’il n’en était rien ou peu, comme si nous ne faisions pas cette chose de pzasser ou la main ou autre chose, un oeil de parade, un rien morveux, une petite tape, rien de bien fameux mais qui cependant puisse dire ici cette volonté qui est la nôtre de «passer» un quelque chose «de l’autre côté» mais comme si de rien n’était. à dire vrai peu n’est pas grand chose ! est ce rien ? pour autant est ce rien du tout ? bien sûr ce n’est pas rien ! peu n’est pas rien, peu c’est quelque chose ! peu est une chose comme une autre. alors comment  ? nous sommes à vouloir ou à devoir chercher encore, une sorte de comment dire, possibilité sournoise ? de possibilité narquoioise ? d’entrer en icelle matière des fonds. notre envie est affichée, elle est présente sous formes de bêtes (betes-mots) de rage en ces contrées prairiales. nous gravons des buffles, des chevaux, des bêtes de roche (poids lourds de base en calcite). nous voulons comprendre ici ce qui est de base, qui est là pour nous aider à pour le coup comprendre ce qui est, ces dons de façade, ces entrées de rage, ces insultes vives (virulentes) à déité, ces mots de la colère entière, complète, débordante de vitalité. nous sommes à vouloir nous poser ensemble, devant déité pareille. cette déité des fonds de paroi = la mort ouverte, cette main ouverte. nous voulons comprendre cette main, ce roc terminal, ce trou des roches nacrées, ce fond de prairie, cette voie de base, ce cri (aussi), ce cri filant, ce chant, ce chant des retenues. quoi ici advient qui nous interpelle ? nous voulons aller au loin , aller loin en cette roche (première ?) des embruns. nous voulons toucher = prendre = appréhender = conjuguer = faire = aller en pareille paroi seconde (ou oprimaire , première, c’est selon l’endroit d’où l’on se porte !). nous cherchons à (donc) piper quelque chose. nous voulons toucher roche 2 avec du Verbe de la foi. nous ne voulons pas passer à côté d’une connaissance entière, peut-être endeuillée (possible) mais cependant pleine d’elle, dure au toucher, compacte, vraie de vrai comme une vérité pesante. nous nous approchons de la roche des fonds à pas comptés. nous sommes deux qui allons de conserve vers elle. nous voulons la toucher en vrai = poser sur elle nos mains pariétales. nous voulons toucher (toquer) icelle et comprendrec la véracité (ou pas) de sa réalité en tant que telle. est-elle de la roche en vrai (comme la première de la traversée) ? ou bien non , mirage, faux-fuyant;, outrage,, conque ? Nous ne savons pas au juste encore sans avoir touché, mais comment toucher sans se perdre ? comment faire à cet instant, pour toucher la roche sans y passer (= trépasser) ? en comptant les traits de faille ? en co:mptznt fissa les traits dessinés de la faille pariétale donnée ? en faisant quoi ? Nous ne savons pas ! nous craignons pour notre matricule ! nous ne voulons pas mourir pour rien au monde, en posant une main, en glissant un oeil, en toucheant du bout des lèvres pareille entité rocheuse. notre envie est de rester «en vie», et pas d’y passer comme un passé donné avalé ingurgité. nous voulons toucher sans toucher ! comment faire ? l’El ? un oeil de rage ? un oeil glissé par comme mégarde ou comment ? nous cherchons à faire ainsi que la chose soit, pour nous, une chose de poids = qui compte, de tout son allant en roche, vers icelle roche (numéro second) qui donc nou «regarde» dans le se,ns où nous sommes (incidemment et violemment) concernés de base, concernés en pl;ein, concernées de la base. nous voulons toucher la roche devant noius, elle semble nous le demander, il semblerait qu’elle ait en elle cette volonté de nous voir la toucher. nous nous approchons de plus en plus d’iccelle roche, nous solmmes tout près àç présent, et (comment dire ?) ça craint grave ! on risque gros ! on pourrait (on peut) uy passer tantôt ! ça fait des choses ! ça remue ! ça vibre ! ça titille ! aïe ! attention les yeux à ne pas se brûler les ail;es ou qoiu d’autre en vérité ? l’El de ta rage vive ? le quoi qui vitupère ? ou quoi ? je cherche ! Je suis là qui va et vient en roche auprès de ma blonde à tenter une approche des données finales d’un fin fond de roche ancré dans la sphère pariétale des outrages et autres mots de rage. je cherche. je suis posé, je suis déposé. je suis homme aux allures de graveur de bêtes sur roche lisse , ou pas, mais qui s’y prête. je suis homme des données acides ou pas mais qui cgherche que tu chercheras à comprendre cette acidité de paroi, ce qu’elle est, ce que c’est, ce que ça veut dire, ce que la roche 2 veut dire pour un homme muni d’un parler de type «organisé».je suis cet homme de la roche des temps menacés, qui va et vient et cherche (en elle) à comprendre ce qui est du fond d’icelle roche, comme surajouté à elle, à la pierre des contours (un cercle). qu’est-ce qui est à comprendre là ? que voit-on ? que peut-on comprendre ensemble de pareilles données de rage ? qui va là à même la paroi des fins et des terminaisons ? l’ouverture est grande devant soi mais qu’en est-il au jusqte : anfractuosité lacustre ? ouverture en grand d’une bouche dentée ? ouverture de la rage à naitre ? cri de guerre provenant des entrailles fumeuses ? nous cherchons à tirer parti ensemble, de nos connaissances sur la prairie mais qu’en faire au juste de si utile, ou de si concluuant ? car en vérité, la roche 2 se moque bien de nos savoirs lâches ! elle rit de bon coeur et nous «regarde» faire = dire, colmme deux enfants qui jouent à la marelle, c’est dire ! Nous cherchons à nous loger au plus profons d’icelle roche des embruns, sans «passer» de préférence = en restant sur nos deux pieds. nouys ne voulons pas crever du tout. nous ne voulons pas du tout y passer , ni de près ni de loin. nouys voulons conserver pour nous notre élan vital de  la rage et du verbe ancré. nous cherchons à comp^rendre ce qui est mais quoi, pas comme ça = en y passant de but en blanc comme (il semblerait) les damnés, les hôtes de la mort à l’Euvre et autres créatures menacées. nous ne voulons pas traverser pour traverser, nouys voulons à peine traverser pour mater, mais sans vraiment aller de l’autre côté, comment faire ? comment dire ici cette chose comme quoi on veut mais en même temps on veut pas vraiment <<. voilà la chose ! Ce «vraiment» de rage ici, qui dit ce qu’il dit = cette recherche de la vérité, est comme éludé à même le langage ! Le verbe se tient à distance ou : le Verbe ici^-bas, s’en tient à bonne distance et autorise le parler pour le coup relâché afin de protéger les abattis de ses hôtes langagiers. nous ne vou;lons pas y passer, nous ne voulons pas crever, et voilà pourquoi le Verbe est comme une sorte en soi de protège-cahier qui nous empêche ici de nous brûler les ailes de la vérité. nous disons cette chose là, comme quoi kle Verbe (pis-aller de la roche dure) autorise des allers et des venues en piéces prises, en sorte de comprenures mais qui en vérité ne sont pas tout à fait des pièces allouées, des pièces de la rage vive , des pièces de poids montant, des pièces crédibles. ici = là la roche dure. et là-bas il y a le trou dit «de la vérité infaillible». on cherche à piger mzais les mots nous extraient (pour ainsi dire) de ce Feeu de rage à succomber, de ce Feu de roche dxernière, feu de rage à nous voir succomber, la tête (la raison ?) la première. nouys voulons comprendre ici (en roche 1) ce que c’est que ce mystère des données finales, ce feu vif de la terre-mère (on dirait). ce que c’est. or quoi ? les mots nous protègent plus qu’ils ne nous renseignent, comprenons-le. les mots du Verbe ancré nous protègent plus (et comment !) qu’ils ne nous renseignent sur une quelconque vérité attachée à la roche du temps menacé. les mots du verbe égal, commun, mélangé, et partagé, nous protègent grandement du feu vif devant nous qui vitupère et nous exhorte à bien vouloir nous rapprocher d’icelui embué. nous ne voulons pas de lui cependant. nous voulons ensemble nous tenir loin, nous en tenir loin, nous tenir de lui à bonne distance = le verbe. nous cherchons dès lors à comprendre à cette même distance du Verbe aidant. nous cherchons une faille en ce v erbe ou comment ? le verbe aidant ? le verbe aidant à trouver la faille ? nous sommes qui nous approchons d’une sorte de paroi géante, trou de bouche au débotté géant, chancre mou ? violence ? merde ambulante ? cri cde haine ? la mort ici serait cette chose des apprêtezs qui nous ferait face et nous narguerait, nous dirait (sortirait) des insanités, des mots de sa rage à se voir floué du fait (en nous) du langage tel qu’il est ancré (le par-coeur de ta race). on voit ici la mort qui enfle ! qui outrepasse ses propres données ! qui cgherche à nous toucher ! à nous tater ! à nous coucher ! à nous avaler ! la coquine, oh comment ! Elle vibre que tu vibreras et nous exhorte ! mais voilà : nous non ! nous on veut pas ! On essaie de comprendre une chose, on essaie de comprendre les données de base, les rages premières en nos organismes, les bêtes de poids dans le v erbe : truck des données de rage, poids d’aspect coriace, chants lourds des parois meubles, conquêtes surnuméraires, chants d’azur au cordeau, caillante ! Nous ne sommes pas encore prêts la mort pour aller ainsi vers ta gouverne ! Nous voulons tarder ! le verbe aidant nous cheminons ici parmi les bêtes des prés. nous sommes emparadisés parmi elles, et nous ne voulons pas en être délogé (de pareille prairie des données frontales) . nous ne voulons pas être déplacés, nous ne voulons pas être ravis. nous voulons rester ici (roche 1) parmi nos congénères à cornes, à sabots de poids. nous voulons frayer avec des bêtes de beau poids, de belle robe. nous voulons frayer ici avec un animal de compagnie, avec la bête-mot de rage en  ous qui (elle aussi, de rage, en écho) vitupère allégrement, à tout casser, contre la déité des déités frontales, à savoir La mort, la Belle ou dite ainsi. nous voulons piger = piper. nous voulons toucher sans toucher, et voilà pourquoi le Verbe nacré (sacré ?) en nous qui vitupère et ne s’en laisse pas conter soit mener par le bout du nez. nous sommes ici deux (roche 1) qui cherchons à comprendre ensemble l’intérêt que nous avons à nous satisfaire d’un  verbe comme détachédans les faits de la vérité. car en vérité (!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) la vérité des faits est détaché du Verbe puisqu’il est ainsi ici que nous pouvons déblatéerer sans crainte, dire ici ou là des choses comme sans foi ni loi ou tout autres choses d’aspect coutumiers, débranchés, désolidirarisé df’une base cornue, pleine, haute, pregante et pouvant avouer ce qui est . nous voulons toucher la roche mais sans la toucher : on y va ! du moins on essaie. les mots sont là pour ça. nous voulons ainsi comprendre ici cette chose, ce verbe de la foi en lui, ces mots détachés d’une base réelle (faille ?) , ce qu’ils rteprésentent en termes de vérité ou même en termes de recherche de la vérité. les mots  ne font rien en l’affaire : en l’affaire de la vérité, qui permettent x et x monstruosités langagières et / ou autres billevesées coutumières. et pour cause ! le soulagement ! l’écartement ! la mise à bonne distance cé»a,ns ! le soin de nous garder en vie et bien en vie, de nous loger en roche 1 paradisiaque si tant est (et  cela est ici : verbe des prés, V  comme vérité en herbe). nous voulons toucher la roche durre , nous voulons toucher la roche du temps = la dure. mais déjà la meuble nous effraie. est-ce ainsi qu’il nous faut dire ? sommes-nous suffisamment armé (en dires) pour parler un langage de vérité ? eh bien peut -être pas ou pas tant que ça. nous sommes armés d’une âme de poids = larmes. nous voulons pipper mais vas-y piper ! c’est corriace ! ça va charger dans les deux cents (?) kilos tout mouillé (un buffle) , pas vrai ? même davantage ! ça pèse un âne mort, ça pèse grave ! c’est pas de la rigolade ! ça pèse son pesant de rage ! c’est verbal, ancré, placide, fonceur, agile, gros, et ça estomaque. je cherche ce que ça peut être. une bête-mot ? gagné ! par la bande ! et nous voilà qui nous avançons (dans la ;lande) des fonds de roche, de ces fonds vertigineux de la roche des embruns. nous pouvons toucher mais nous en gardons bien : la toucher la toucher demain, allez ! mais pour l(‘instant restons groupés, tenons-nous par la main, ne nous éloignons pas les uns des autres, sachons nous entraider, essayons de nous sauver si tant est. comment ? par le Vezrbe alloué à une gouverne c’est un fait ! On voit cela (le Verbe) comme quoi la chose ici (qui compte ++), est de tenir coûte que coûte accolés, collés-serrés autant que possible. le verbe est la voie d’un transfuge de données. le Verbe est le soin octroyé comme dsur une plaie la crème adoucissante d’un onguent de base. nous voulons toucher sans toucher, comment faire ? heh bien … le verbe , c’est un fait ! pas autrement faire ! faire ainsi ensemble collés-serrés ! faire ainsi que le toucher ne soit pas du toucher « à proprement parler» mais pi-aller, comme ailleurs la rage des prés (l’aurochs placide dessiné ou bien l’antilope gravée). nous nous affirmons de rage ensemble incidemment au contact du verbe donné, inculqué, mais bon, par tous ses côtés il nous sauve un tantinet, ou disons : il nous permet il semblerait de nous étirer dans un temps donné par la bande. il nous donne de quoi durer, poursuivre sur notre lancée du coup monacale, aller de l’avant dans les charmes, continuer , poursuivre une sorte de biche bleutée qui serait la biche de la destinée, des chants choraux et des données vives. nous voulons toucher sans toucher la mort de la faillle, ou dite ainsi, et pour ce faire, quoi d’autre sinon le Verbe, c’est un fait ! Nous nous approchons dès lors par le Verbe << et nous nous éloignons ou nous en éloignons de même = des allers retours séculzaires, des allers-retours séculiers, des embardées votives, des voeux divers de chasteté en termes de recherche de la vérité telle qu’elle est dans le sein des seins outragé. je cherche à piger (= comprendre en faits) ce qui est mais tintin. la chose est rude. c’est pas fait ou pas gagné. ça prendra du temps : le Temps d’une embardée dans les contrées de la possible rage à dire les choses en vrai. « nous ne voulons pas trépasser « est un dire de poids qui impose sa loi trépignante, qui pèse lourd dans la balance… un temps ! car le temps est courbe , monte et descend, va et vient, ou va crescendo et vient decrescendo comme une misère de donnée maussade. nous voulons cerner de base un ceratin nombre de données rupestres (aurignaciennes…) telles qu’elles nous apparaissent de fait, et pour cela le Verbe = un pic = un trait = une sorte de tranchée. nous voulons toucher (= toc= onomatopée) la mort dans ce qu’elle est. mais pour ça comment ? comment articuler le verbe en soi afin de définir au mieux ce qui est en  cette roche dure des données de base : comment nous y prendre ? comment toucher ? nous devons de fait aller ainsi à deux, vers une sorte d'entité de type « kla mort», entité rageuse (on sait) qui nous regarde fixement (on a vu) et nous veut «vivant»! et voilà ce qui est ! ou bien : où le bât blesse itérativement ! car  c’est ainsi que cela est en vérité ! les mots nous protègent on sait ! les mots sont notre couverture, kle chandail de bure, animalité soyeuse, chants et contre-chants. notre but est de tenir bon l’onde vive en nous ancrée. nous devons toucher sans toucher par le verbe. c’est un fait de base. le verbe est entité ancré qui nous protège un temps (rocheux) de la misère. on est deux pour nous satisfaire nous-mêmes : est-ce ? est-ce ainsi que nous serions ? nous nous avançons à pas comptés (de laroche des fonds et tréfonds de roche) et nous voulons comprendre le chemin (la voie) par où ça passe incidemment, pour nous reéperer et aussi pour ne pas flancher. nous sommes (nous deux) qui nous approchons de pareille entité reocheuse dite «de la mort en branche folle», ou bien « de la branche molle de la roche» ou encore «molle de sa branche folle» , etc. la mort porte des surnoms en pagaille, ils sont innombrables, on ne les compte plus tant il en apparait au jhou le jour et partout. on est comme deux qui parlons le Verbe ancré d’une sorte de mise à distance de la mort à l’oeuvre en nous. en ous la mort est, et le verbe animalier (aurochs des tribus) nous en tient (un tant soit peu) à bonne distance, qui va de l’avant s’interdisposer, ou bien s’interplacer ou encore s’interposer . nous voulons toucher le Verbe de cette maniere. nous voulons ancrer le Verbe en  ous cvomme une bête déposée  (présent de ta rage) sur table d’offrande ou autree mur cde  la rage d’être. nous ne voul;ons pas casser la pipe de sitôt mais conserver en nous le plus longtemps possible cet influx de base, ce chant des parois dures d’une vie de rage, etc, et cela, afin de tenir << dans latourmente, dans le vent buffant de la mort à l’oeuvre séance tenante. nous voulons tenir droit = debout, face aux quatre vents de pareille entité rageuse (elle nous hait) et pour cela : kle Verbe = l’onguent = le chrême = la douceur nacrée d’une pellicule de bonté verbale : soin au beurre frais de karité pour notre usage. nous ne voulons pas flancher en si bon chemin (vers la vérité ?) mais coller serrés à ce train de bure, à cette aventure rupestre (pariéto-frontale) qui nous sied. nous voulons comprendre ce qui est ici en termes de Verbe alloué à une gouverne, ce que c’est que ça. nous avons pour nous ici cette chose à nous (gouverne de rage) et voilà pourquoi nous nous en wservons incidemment au coup par coup (au cas par cas ?) si nécessaire. le Verbe est l(onguent, le chr^me, le gel, le bienfait de base. nous voulons nous protéger des temps alloués à pareille entité menaçante (devant soi) et voilà pourquoi nous nous échangeons mutuellement des vocables, des mots de ta race (et de ta rage) en  veux-tu en voilà, à brûle-savate, au débotté, afin de nous nous comme conserver ensemble vivants, afin de nous nous voir aller (séance tenante) à nous balader en cette sorte de prairie paradisiaque ou sinon paradisiaque débonnaire. nous nous sommes rapprochés, nous nous sommes accolés l’un l’autre, nous nous serrons serrés, nous nous accolons collés, nous sommres deux pour former cette chose donnée d’un corps alloué à une gouverne passagère. les mots gravent en nous leur données animalières, les mots-bêtes en nous gouvernent, échaffaudent, décident, trient le Verbe , trient ce qui est ici qui compte ou pas à nos yeux de rage.. Nous sommes qui voulons comprendre ensemble << les choses du temps déployé, les rubans, la soie nacrée, le vent soufflant vif dans les travées. nous ne sommes pas nés pour nous 

nous ne sommes pas nés pour nous crucifier , diantre ! non ! nous sommes des, qui ici, ou là, veulent durer malgré la tourmente, soit ce vent cde face de la mort à l’oeuvre ! Nous voulons toucher sans toucher la mort «des don»ées de la rage à nous voir vivant «. je cherche à toucher sans toucher. je suis homme des cavernes. mon nom vous $est donné incidemment par la bande (rude) des données frontales : ou bien Aurochs deCompagnie, ou boien Cheval Vif des Roches Dures, ou encore Bison des embruns. je suis homme des cavernes, donnant du verbe à foison (bêtes surnuméraires) et cherchant en moi une colère digne d’un effroi à toute blinde ou comment dire ? à tout casser ? àà faire ainsi que la mort recule ? je cherche ! Je suis homme vif cherchant querelle et aussi soutien en lui-même (une bête est là qui aide  ?). je regarde ici et là la roche du temps déplissé par du verbe dru, je mle place vivement ainsi logé en cette roche (1) des zones franches (pleines, remplies, saturées de verbe inculqués à jamais). je porte le nom de ma misère à être, un cheval de paroi dure, un aurochs des saturnales, une brebis g^leuse, un hippopotame langoureux, une douce et fine antilope gracile. hje suis homme de la roche des temps impartis et je vais (et viens) à la recherche d’une (pour le coup) vérité de poids , qui fasse son petit effet si tant est, et ne se laisse pas contaminer par la mort à l’ oeuvre en elle. je suis ou sezrais cet homme de la foi (le Verbe) allant vite (vite fait) vers paroi de roche 2, v ers Vérité gravée surnuméraire, vers le Feu. le Feu brûle vif son être de rage. le feu vous calcine de près. il est virulent, il charge. le Feu crame grave vos accès. il est charmes fol des temps maudits = déplissés comme intériorisés. je cherche voie d’abord à vérité mais vas-y trouver. pas simple du tout. le verbe élague, repouusse,, donne son aval, protège longuement, met son élan pdans kl’eswscarcelle. je suis homme des tourments de rage à être un homme sciemment. ou sinon quoi ? bête velue (araignée ?) chercheuse dx’embrouilles ? je suis homme au sang glacé par (en moi) la mort de survenue grave. ne veux  pas ! ne le veux pas ! ne veux pas d’icelle non ! Car la mort = une entité comme une sorte de surplus de rage, panaméricain, comme une sorte de rajout venant de loin, charge en trop de base, ou comment définir icelle ? chapeautage ? couverture ? mise par dessus soi en branle ? nous nous affichons tels que nous sommes, ou tels que nous apparaissons incidemment. Nous sommes à la recherche d’une sorte de chose vive, chose rude à l’occasion mais vive, comme par exemple un mot de rage (une insulte, une vérité tenace, un chant collégien, un dire fou). nous ne voulons pas lâcher la bride mzais poursuivre (encore et encore) sur notre lancée, sur cette lancée qui nous voit aller  nous bala der, courir, crapahuter en cette roche des données vives. nous sommes qui cherchons ensemble une compréhension pouvant offrir, à une éventuelle gouverne acide, son humanité frontale. nouys voulons trouvezr les mots de la roche dure ce qu’ils disent au juste de la vie en vie et de la mort morte. nous voulons aller au plus loin possible, d’une sorte de travée (le cou;loir, le corridor) menant à déité (la mort) devant soi. je suis ce chercheur qui cherche que tu chercheras à même la roche du temps de rajout. je ne veux en aucun cas sombrer et finir, mais tenir la dragée haute et poursuivre un temps (long si possible) sur ma lancée, d’homme des cavernes adoubé, consacrée, soutenu, vivant. je cherche à comprendre vivement ce squi se treame en  ette roche pariétale entre deux szerments de base. je cherche à vif ce qui est qui est et nous concerne = nous regarde = nous cerne par la bande langagière d’une vérité alloué à notre misèsrre.  nous ne voulons pas crever, merdum ! c’est une chose que nous voulons dire ! comme quoi merdum, etc! car la vie enous nous pousse à dire (par le truchement d’un Verbe animalier) la colère, la colère vive, qui en nous vitupère à mesure que nous nous avançons ainsi , ensemble, sur chemin de bure, dans vie à trépas. nbous sommes deux qui pour le coup cxgherchons des don,nées vives à pouvoir nous introduiiure ou comment dire : avaler ? manger ? ingurgiter ? faire nôtres en tant que denrées diverse toutes comestibles et nourrissantes. nous avons cette chose à bien comprendre ensemble = les denrées = les données du monde = les choses diverses à cueillir de rage. car quoi ? la mort fait rage de son c^$oté, alors nous dee même ! la réponse du berger à la bergère, mèfle ! nous sommes soumis à des contrepressions de ta rage à être, et pas facile ! ça bout fort ! ça risque ainsi de déborder et de péter ! tout se voit pour qui sait regarder… ou pas ? billevesée ? nous nous glissons sur roche subrepticement , à la recherche d’un dire faisant foi = carrosse = onguent = douceur = vive douceur à prendre avec soi comme un chrême de sainteté. nous ne sommes pas nés pour en chier grave automatiquement mais mesuré. nous voulons filtrer = nous protéger. les mots nous aident qui sont placés entre. nous savons cela ensemble, ccomme quoi la mort est une entité de parade, ou qui parade, pour nous faire trébucher ! nous voulons toucher icelle mais voilà, comment faire sa ns avoir à y passer sub reptivcement : that is the question ! toucher sans toucher ? toucher ou ne pas toucher ? tpoucher-toucher ou bien ne pas toucher)-toucher ? pas simple. ça xdemande une expertise, un sens des données frontales, un sens accru pour comprendre pareilles donnés déployées, etc. tout le monde n’est pas toujours en capacité de bien comprendre les données frontales pariétales (aurochs des prés, chant de la roche) mais enfin beaucoup peuvent s’en approcxhezr et teznter un semblant de chose, de compréhension, de mise en forme, de recherche active, etc. nous voulons,s comprendre ce qui est ici en termes de données «ouvertes», soit laissant passer de nous l’animal en herbe (vu !). je cherche à piger une chose, qui serai, ici, relative à telle ou telle donnée de race, à telle ou telle donnée de base, ce que c’est en vrai ou pourrait être. nous ne voulons pas passer ainsi trop vite l’arme (des prés) à gauche mais durer. notre but (verbal ?) est de durer coûte que coûte,; et non pas de trépasser incidemment par le biais d’un cri perçant (sorti des entrailles) qui eut pour effet de nous entrainer dans sa cxhute. nous voulons nous en tirer bon an mal an au débotté, et  ne pas sombrer. nous voulons toucher la mort sans la toucher, et voilà : le verbe est là ! il apparait ici , pour un dire, pour pareil dire de la joie à êtres en vie (je des jeux, jeu des je). Nous avons à percuter la roche dure (1) et traverser icelle cde pied en cap. nous devons toucher la roche meuble au delà d’icelle roche dure :. ça nous pend au nez. nous devons aller en roche 1 à la recherche de la roche 2, et pas qu»eun peu pour ainsi dire ! Nous sommes groupés !nous szommes rassemblés , nous sommes toute une tripotée et notre envie est de durer le plus possible (= la grâ     ce) à même la pierre de roche.  nous avons à donc chercher à comprendre des données données de base et de rage en nous, données vives comme autant de bêtes-mots surnuméraires, ancrés (= inculqués) pouvant un temps nous sauver la mise , par le truchement, en eux, de leur influx de vie ou élan de joie à être. nous nous blottissons dans la roche, nous nous lovons. nous voulons percer, nous voulons aller loin, nous voulons traverser, nous voulons nous enfoncer en elle , et voir là-bas ce qui est . pourquoi cela ? pourquoi ce désir ? parce que voilà : nous sommes nés pour en baver temporellement ! nous sommes ensemble cet eznsemble de personnes vives, qui sont soudées, qui sont comme entre elles soudées par une bande animalière (frise des données primaires aurignaciennes ?) et nous voilà dès lors qui voulons (avons ce désir, cette encvie) de toucher la pierre de la moert à l’oeuvre. nous voul:ons toucher = faire toc = onomatopée frontale, qui résonne en  ous incidemment .../ depuis la nuit des temps ? avons-nous fait (déjà ? ) toc incidemment il y a longtemps ? sommes-nous de ceux et celles (êtres ou êtresses) qui avons déjà connu précédemment (temps préhistoriques) un toc des données basiques d’une rage à naitre en vie ? sommes)-nous au jus du toc initial ou qui serait comme initiateur ? sommes-nous venu pour ici (roche 1) comprendre un toc de ta rage à naître un enfant de base meurtri  (trou de bouche frontalier)? Je swerais cet homme qui chercherait. je voudrais comprendre un grand nombre de données de rage et, pour ça, besoin de toi : âme damnée ! ai besoin d’un alter-ego ou d’une âme bien née si possible. nous avons à devoir toucher mais non ! pas encore ! oh de grâce ! la gr^$ace ! d'un temps de repos ou de répit : pour soi et pour l’ensemble de sa fratrie. nous devons a ler ensemble dans la roche afin de pour le coup pallier, à certains défauts de cuirasse (intrinsèques à la nature humaine) comme par exemple ici le Verbe : il dit faux souvent, ou disons : il est en possible capacité d’énoncer du faux. par conséquent on dira là que le faux (à l’intérieur du verbe) est partie prenante, fait son effet, a sa place, est de fait immiscé, est prévu de rage au débotté et  de longue date (depuis le début de l’humanité, etc). nous avons à bien cerner un grand nombre de données diverses concernant la mort, ne pas égarer ce Verbe susmentionné mais le conserver à pa rt soi, au chaud, comme une denrée de réserve, pi-aller peiutêrttre mais pis-aller utile car pouvant remplir pour soi un grand nombre de fonctions. nous nous avançons incidemment (franchement, en vérité) de la roche des apprêtres, et nous regardons (devant nous) ce qui est qui semble vou;loir nous parler. fille ? vie ? chant ? animal daté ? qui est là qui nous regarde ? qui nous mate en pied ? qui veut nous parler tantôt ? qui va là ? Nous ne savons pas ! Nous voudrions oui !) savoir, c’est-à-dire comprendre, soit trouver , soit toucher , mais comment toucher la chose (roche) avec du verbe printanier ? Pas simple du tout on le sait. les mots cherchent à percer une roche des attraits mais tournent sans fin, virevolts au confins mais sans réel effet de masse. les mots se chantournent volontiers autour d’un pilier de rage (ok) mais ne percent rien, n’entrent pas direct dans la tourmente, ou disons : ne vont pas loin./; car les mots ne vont pas bien loin qui restent à quai, qui virevoltent dans le sens du vent, qui sont comme des êtres de parade en suspension , mais pour cela qui nous occupe (une entrée frontale) macache ! Un mot perce que dalle, n’est pas vrillette, n’est pas lignophage, va pas bien loin dire ce qui est, n’est pas calciphage , n’est pas bien malin <<, loin de là. nous sommes deux qui aimerions être munis d’un langage malin mais pardi que vas-^y, ça craint ! le ;langage malin collerait frontal à une roche des confins, et vads-y pour te tirer d’agffaire : on ne pourrait pas. on serait sommés de collezr avec, de faire corps avec la mort (sûr !), d’où`l’intérêt du Verbe «relâché». le Verbe relaché» est ce v erbe incluant les dires diversn, dires fous, contradictoires, aéchevelés, tendancieux ou autres, etc, toute la gamme. car la gamme en son entier permet (de fait) la mise à distance (grave !) dee la mort un temps, c’est une évide,nce. ici on dira que la recherche de la vérité n’est pas ce qu’on croit, qui jamais n’aboutira, mais qui est utile, bien bien utile on le voit, à tenir ou pourtenir la mort , la mort de ta race, à bonne distance = le temps. La mort nous cherche céans permanamment mais jamais ne pourra (vraiment) nous toucher ici = au sein de ce Verbe (pour le coup) de poids surnuméraire. les mots pèsent qui bouchent un trou. la colère en eux est animalière et fait partie du je. je suis = je suis en colère, et la colère est le pendant animalier dune vie ancrée (de fait) dans la gouverne, une vie de rage «raisonnée». jre suis un homme des temps déplacés mais (toujours) tena nt bon la barre à parade. qsui l’eut cru à mon arrivée ? qui eut pensé pareille chose, ce souci de l’être ? ce quoi en moi de l’être vif, vivant, conscient de sa faconde, qui ?Je suis homme rude  à lm’effgort de buffe (souffle monacal) qui cherche que tu chercheras à comprendre ce qui est (ici bas) en termes de gouvernance. ça chaufferait sec en ces catacombes ? ça y va ! ça pulse ! ça va vif ! tic et tac de rage en soi ! c’est dit et écrit. je suis par conséquent celui-ci qui ici croise les doigts et qui déplie la carte devant lui des données de base. je regarde ce qui est, ce qui advient, ce qui donc se présente en termes de présence au monde adjacent?

. nous voulons piper ! nous voulons aller loin au coeur de la roche et des connaissances = de la roche dure des connaissances. nous voulons toucher à vif la chose ici d(‘un e sorte de roche comme intermédiaire = prairie = paradis = vie de rage naissante = vie tout court. la vie sur terre est donnée de base rageuse, contre qui ? contrecla mort pardi ! qui chgercxhe le mal ! qui cherche la merde continuellementt , qui nous en veut grave = qui veut de notre vie en vie et pas en mort on a compris. on est pas tout à fait ignares ! On pige des choses parfois ici et là, on prend au passage,, on tente du moins. on essaie de bien comprendre ce qui est (verbal) en termes de données rageuses de base : le départ, le début ou les débuts, ce qui est à l’oporigine, ce qui a servi de base native, de support de rage, etc. noussommes qui cxherchons à bien comprendre les choses , de la base d’un soi déposé à même la tourmente d’une vie ancrée. nous sommes qui cgherchons à dénicher des vérités tangibles, mots de roche = aurochs, c’est une chose vraie , estampillée et avérée. nous devons pousser les choses loin , en roche dans les apprets, en roche 2 dans les embruns et autrtres brumes de fait avérées? on cherche. ion veut piger au loin le plus possible. on s’(approche ensemble de la roche 2 et ion rtegarde, et là que voit-on ? on voit des choses rudesq. on voit du feu. on voit le FEu majuscule = le  FGeu xde la roche trempée dans les flammes d’une vérité incandescente. on voit une main chercher à nous toucher. est-ce la ma in de dieu ? on en douterait ! On penche plutôt pour la main nacrée de la mort à l’oeuvre. mais la mort et dieu c’est la ême chose, pas vrai ? on sait pas. on trace du Verbe de poids dans une sorte de balance intra)-pâ riétale et ce par la bande. on tente. on vire. on tourne que tu tourneras. on veut comprendre les choses de poids à même la roche ornée? on est pas là pour se congratuler insidieusement ou éhontement ou outrageusement à la vue de tous, mais tout au cvontraire :: faire profil bas, ne pas (de grâces !) trop la ramener, aller (de fait) en ce sein des seins la tete penchée, comme un chien des prés, comme une bête, et n e pas hurler plus que de coutume, mais hurler sa rage à moitié, en faisant ainsi que la mort (de près) comprenne la douleur, la chose en nous introduite, cette chose en nous comme introduite, mais du coup comme un apprêt de roche, comme apprêt de roche = attaché à la roche et pas venant de nous directement (pour tromper icelle dès lors). nous voulons toucher soit toucgher-vrai, icelle (la mort) sans vraiment << la toucher la troucher, car on est ainsi qui jamais ne voulons tomber et passer. alors voilà, on offre de nous le passé, on donne oà la mort, ce passé de nous = le temps, ce temps en tant que présent, ce temps que (du coup) nous déposons en vivant de notre vivant, et voilà ce qui la gêne, ce qui gêne ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la mort de ta race ! voilà tout ! d’où les croix de rage à même un parterre de tombes frontales ! ça devait ! ça charge ! c’r’st compact au mètre. ça pulse que tu peux pas dire le contraire ! c’est une donnée de rage première ! ça y va ! Et nous d’essayer de comprendre, de troucher à y comprendre ou comment dire : de toucher pour comprendre mais sans y toucher, est-ce ? est-

ce cette chose que nouts sommes deux à vouloir comprendre? est-ce cette chose, ici (roche 1) que nous recherchonsensemble ? on dirait que oui. on dirait que la chose est ainsi, comme quoi la roche (du temps) est cette  chose déposée, ou comme déposée, par en nous cette sorte de bête de rage , gouvernance des envies, des envies vives et du désir de poids. la chose est prégnante, animale, forte en tête, costaude des épinettes. poids lours = camionneur ou camionneuse. un semblant de vie pour un don de soi. le passé surnuméraire = la paroi du temps. je charge (balèze) donc je suis (qui reste en vie). le temps ici est ce qui estdonné (de bonne grâce ?) à la mort en vie, qui vitupère à mort, qui gueule puissament sa gueulante vive, qui cherche à nous piéger de force, qui est là pour nous rapter, nous avaler, nous ingurgiter par la bande. nous tenons = nous tenons bon sur noss pattes, et nous tenons = nous tenons à ne pas dféfaillir, nous y mettons un malin désir. nous ne voulons pas trép^zasser ,; dès lors les mots voltigent, font des avancées et a utres reculades, vrillent et vrombissent, tournent et s’en retournent , sont  loopings de rage à être sur la place des vivants de l’interface. nous voulons toucher sans toucher (la mort) ou comme si de rien n’était, mais comment ? et ce «rien» frauduleux = le Vzerbe : hé hé. on dirait cela : le verbe à tout va (chargeant grave sa gouverne i:mpersonnelle) est cela qui empêche la mort de nous attei ndrte à la retombée d’(une entrée dans la matière. les mots , de tarage d’être, sont fraude avérée mais que faire quand on le sait ?. que dec$vons-)nous faire du verbe nacré (ancré) qui en  ous vitupère de conserve avec la mort en nous incarcérée: que devons-bnous faire ? quelles solutions s’offrent à nous qui cherchons ++ à piger les choses de base, et à en faire quelque chose de notable ? Nous devons aller ensemble en roche, chercher ce Verbe dit «de poids» , qui pèsera lours le moment venu (par sa voix ?) dans la ba lance des choses de la vie . On dit que la vie est chose malade, pourquoi ? on dit de la vie qu’il s’agit d’une sorte de maladie : pourquoi ? parce que la vie va vers sa fin au fur et à mesure que nous avançons en elle (temps) et qui dit fin ici dit dégradation au qauotidien = décrépitude et autres dépérissements, déchéances de survenue temporelle, fin de vie. nous devons avoir à l’esprit cette chose d’un e sorte de donnée de rage vive allouée à notre gouverne, mais par qui ? par la mort de base = la mort placée à la naissance = au départ. ça cocotte mais c’est ainsi ! la mort cocotte mais nous laisse en vie du fait (un temps = le Temps) du Verbe en  nous inculqué. la mort  n ous voit dx’un eil particulier (mauvais oeil de sa rage à nous voir encore  << en vie ou encore et touj,ours <<) et voi;là pourquoi la mort renâcle, elle renâcle de nous voir en vie, elle nous veut, elle veut nottre vie, elle veut nous prendre la vie, pas la mort. ce que veut la mort chez nous en vrai ce n’e’st pas la mort (elle s’en fiche de notre mort) mais la vie, cette vie en nousqui pulse vif son envie de vivre = de rester en vie. la mort ne se contente pas du temps que nous donnons comme pour la faire patienter. la mort n’a pas assez de ce passé que nous offrons à cette déité des devants de soi pariétaux. la mort veut la vie, pas la mort. nous offrons le temps, soit la vie passée, à la mort. comprends sa colère ! pis-aller dit-elle ou : « le passé ? pas assez !», qui nous mate grave à la rec herc he (= une quête) en n ous du bout du bout du boud, dx’un commencement ancré pour une sorte de vie à mener (la nôtre). mais où donc trouver en nous un début de vie, une mèche ? où pouvoir trouver la flammez animalière en nous , signe d’un début de vie vive : où ça ? où trouver en nous la mèche rebelle ? qui sait où ? qui connait le sang ? qui a parlé du sang ? qui pour nous dira ce qui dans le sang contient pour le coup quelque chose de la vie en vie ? nous cherchons les mots qui conviennent et tentons de les coucher sur roche, noir sur blanc pour ainsi dire : zèbres de fol;ie, antilopes communes, bouquertins-trouvères, aurochs rock n’roll, vchevaux azuréens. les mots (ou mots de la tribu) chargent à plein (sur roche) la mort délétère… mais comme un fait exp^rès, ou non : comme par inadvertance,ce ,  … ou non : comme par miracle… ou non : comme par magie. car les mots de base = la magie d’une vie contenue dans la vie. nous cgherchons vif à comprendre la magie, comme opération du saint-esprit soit opérationnelle à grande puissance. nous voulons co:mprendre la magie, ses commencements, ses données, ses violences, ses traits ( ce qu’ils sont), son verbe a bracadabresque. nous voulons trouver à vif la magie du verbe à l’intériuer d’icelle «roche aux attraits». Qui voit donc en elle  (en vérité) des traits de magvie ? de quoi s’agit-il ? nous voulons aller en roche à deux, soit main  dans la main … par magie. soit : armés (nous le sqommes) d’une sorte (en soi ?) de pic verbal cde rage, censé pouvoir (il semblerait) conjuere r le sort de ta race et percer la roche et offrir l’accès. quand je chante (ainsi) ça va, quand je chante (ainsi) ça va. je cherche à comprendre loin pour me porter loin en cette roche dure des données frontales (frontalières). Mais quoi ? où allmer ? où comprendre ? qsue faire pour comprendre ? qui est qui ? qui pourra m’aider à piger ce qui est qui est là pour soi surnuméraire on dirait : qui de nous ou en dehors de nous  ? Je vois une ombre qui, se dép^loya,nt, va nous recouvrir. je sens sur moi l’aile de l’ombre se déposer. je suis un animal à grand pouvoir déplissé. je charge, je vitupère, je buffe, je trépigne, je renâcle, je vais fort et vite une fois lancé. je suis Verbe des parois à graver en toute grâce. je suis Aurochs le soyeux ou Bison le preux. gr^ce des entrées de rage ! Nous nous faufilons à même la paroi du temps, nos noms sont là qui nous protègent des coups du sort. les mots sont des paratonnerres, qui nous sauvent des regards acides, des mots de la haine, des coups de sabre d’icelle déité nacrée qui nous observe à tout jamais en continu comme jamais ou comment jamais ? on veut pas mourir. on veut pas céder. on veut tenir. on veut tenir bon. on est là pour tenir debout et ne pas flancher et tomber. Verbe aidant est en nous qsui est là (la bête) pour de fait nous faire tenir droit devant l’adversité de la mort agraire. je pense à la mort comme à une sorte d’entité de base, printanière, fraiche, vivante, vive soit pleine de vie, cherchant à nous extraire de la vie en vie. comprenons ceci : à nous ecxtraire (nous) du monde de la vie, durant notre vie, en nous gardant en vie. on est ceux-là qui essayons ensemble d’y piper un tant soit peu mais, évidemment, la chose (là) ne se laisse pas faire d’emblée. ne veut pas de fait se laisser absorber à son tour, ou mener par le bout du nez. on est de ceux et celles qui voulons toucher sans toucher ... d’où le Verbe. car le verbe est cette chose (exactement) qui peut à sa façon dire sans dire. qui peut dire = toucher du dire sans toucher = sans dire. on cherche, on est là pour ça. on lâche pas. on ne lâche rien. on voit des (petites) choses se dessiner ici ou là (ok) mais bon ce n’est pas gagné on le sait. encore beaucoup à chercher, à creuser par la pensée ou autrement, à l’intérieur du verbe nodal. nous cherchons une chose rude (à trouver) mais enfiin , nous ne lâchons pas la bride, nous continuons vif et sur notre lancée à cghercher ensemble (main dans la main) des données premières , censées pouvoir nous aiguiller, nous diriger, nous informer, nous donner du lest pour unr gouvernance allégée de notre moi encombré (de trop) jusque là. par des bêtes oui soit par du verbe, mais bon , on s’y fait (on s’y est fait) et même tant mieux, et comment ! car le Verbe intrinsèquement, nous protège, nous aide beaucoup qui nous permet un temps de nous placer comme à distance (ou à bonne distance) d’une mort alléchée, vivante, ttribulante, cherchant sans cesse querelle. le verbe est notre allié des temps déployés. il est le temps lui -même, ce continuum imputrescible. ce chant de la roche lactée, ce vivat des années, ce berceau de l’humanité. nous ne voulons pas faiblir. nous voulons aller au loin, ou loin dans les découvertes. le verbe est de fait notre plus s^$ur allié qui sait faire pour nous soit intercéder, placer ici (la roche) gouvernance et juguler, gérer, faire cas, museler un temps (le temps) et nous protéger, et co:ment!Le verbe est l’allié de la ba se et du sommet. le verbe trépigne peut-être (il est l’animal enchassé) m:ais pour autant il ne perd pas le nord ni la patience  nécessaire à une vie à déplisser (sur roche) par la bande. $vive ou que vive le verbeaidant  !) l’aidant de ta race )!, le vivant ! le «chaud devant» ! je suis cet hommùe qui, en roche, entré, mis, placé, sent des choses. je sens une chose arriver = de grande importance = une sorte d’embardée massive = aurochs= bête lascive.elle s’approche, elle est là tout près qui semble vouloir nous parler. pour nous dire de nous appuyer sur son dire à elle : portée. nous voulons l’écouter et nous laisser guider. nous voulons comprendre les données de rage, les données fauves, les données vives, les données données de la rage à être. nous sommes deux ici en nous qui veillons au grain. vive la vie verbale de kla vérité ! Nous touchons au but. nous voulons comprendre et toucher, ou toucher et comprendre = aller = aller profonds = aller dans la roche = la frontière. nous voulons comprendre ensemble les données de base surnuméraires, en faire cas avant de succomber si tant est. la mort est une chose imberbe, dép^lissé (sans pli), fine et élancé. Fibre. je regarde en biais. un regard lancé. l’ oeil placé. je cherche le biais, je m’immisce. je cherche à comprendre une donnée, soit celle cxoncernant la chance = cette chance à être, à tenir son étant en vie, à être en vie cet étant de vie. je regarde cecqui est. je suis à l’entrée. porche. porte. poignée. vitre. carreau cassé ? je cherche ! je suis posté. je me suis posté via le Verbe nacré en moi depôsé. je cherche à cerner un  certain  nombre de dsonnées rageuses insérées en cette roche 2 de la mort à l’oeuvtre. on dirait que quelque chose me regarde. on dirait que la mort me regarde. on dirait qu’en roche (la 2) quelque chose nous regarde fixement. on dirait que lza mort est comme un couvercle, une chose chapeautant un tout verbal. on dirait que la mort est un cimeterre. on dirait que la mort est le cimetière des enfants. on dirait que la mort = un cimetière d’enfants géants. on dirait que la mort est comme une prière, sourdant des confins, printanières, mélodieuise, vive = vivante ô combien, une sorte de prières sortant de dieu sait où où la chose a pu naitre. le mot de la roche est «Auriochs». celui de la mort est «vision». nous voulons comprendre et pour comprendre il faut toucher et pour toucher il faut passer soit trépasser, et pour trépasser il faut la mort en soi (vibrante) vous chers han querelle. nous ne vou;lons pas trépasser le moins du :onde, mais a-t)-on le choix ? le verbe est-il bon conseiller ? la mort (imberbe comme un nouveau-ndé ?) est-elle une alliée ? une amie chère ? attribut ? qui est-elle ? l’ennemi du bois joli ? une soeur, un frère ? qui donc est la mort pour nous qui allons sur terre à la recherche d’une vérité de bonne chère? qui est-elle ? qui va là ? la mort est -elle ici-bas attribut divin pour un passage à l’acte «de l’autre côté «? nous cherchons vivement des données fiables, assurées, qui puidssent nous aider à bien comprendre ce qui est, ce qui donc se trame, et pourquoi la vie est-elle friable. nous voulons trouver des données de base et les partager. nous voul;nons trouver en roche 1 les données liées à la roche 2 et les partager ici même incidemment à volonté. Car nous sommes nés à la vie ppour ce faire et aller fissa à la recherche d’icelles données surnuméraires., c’est un fait.

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5/04/2022

nous sommes tous deux qui allons en roche. Nouss nous approchons d’une roche des temps. Nous sommes à deux pas d’une roche des temps. nous sommes tout près d’une roche des temps ou «dite «des temps». nous nous avançons. nous voulons connaitre icelle de but en blanc et pour ce faire nous devons nous introduire en elle, nous loger en elle et comptrendre depuis l’intétrieur d’icelle ce qui est, ce qui vibre en elle, ce qui en elle advient, ce qu’il s’y fabrique en vérité. nous avons à nous projeter et pour ce faire nous entrons ensemble << en cette roche des embruns de bord de mer. nous devons comprendre les données profondes, soit les termes introduits, les vocabkles et autres sentences contenues (en termes de betes de rage) en cette roche dure des embruns. nous devons nous avancer ensembkle et perforer la roche ensemble, et nous loger en elle, comme dfeux amours pelotonnés. nouys devons comprendre un certain nombre de données de face, ce qui est de rage, les embruns et autres bienfaits d’une roche dite «des données de base». nous nous approchons d’icelle roche et nbous nous enlisons ou comment dire ? en elle, en pareille paroi, en cette pierre, en cette dureté massive, concrète, réelle, des données rugueuses. nous sommes ensemble qui allons de face en elle, vif, vigoureusement, nous chargeons ! Nous sommes deux qui nous introsduisons en une roche des données acides. Nous voulons comprendre ces données à l’aune d’une vérité de rage ou dite «de la rage», et pour cela : fissa ! vif des vives entrées communes ! nous entrons , nous crevons l’abcès pour ainsi dire, nous nous introduisons, nous sommes entrés. nous sommes en roche comme en religion en vérité, êtres des données de rage pariétale. nous voulons comprendre ce qui est, ce qui se trame ici en roche, ce qui est pour nous de l’ordre d’une vérité «acide» (dit-on) . et voilà pourquoi nous entrons. voilà ce qui est. nous entrons à pas de charge. nous ne voulons p)as trépasser tantôt ou de sitôt mais durer dans la durée. nous voulons cerners un certain nombre de dobnées de base et ce dans la durée d’une immixtion frontale, julmelée, directe et vive. nous voulons aller en roche à vif, à même la paroi du monde, cette dureté de première, ce vif de contrée, cette vive clarté. Nous voulons cerner des choses ici : virée de bord, colères, chantourlnements, évolution calcaire, tendresse de roche, onomatopée rapide. nous voulons comprendre içci un certain nombre de do,nées liées à des semblants de vérités acides (dit-on) qyui (de leur côté) seraient liées à des données profondes avérées, liées elles même à des données de rage liées à la mort. nous voulons comprendre ensembkle ce qui est, ce qui vibre en roche, ce qui sembkle s’époumoner , et pourquoi. nous avons en nous cette volonté de base (ancrée) qui est volontée de comprendre ensembkle , oui, les chopses, ces choses rudes des temps allloués à Vie humaine, et pour cela nous nous sezrrons les coudes, nous faisons corps, nous nous adjoignons dans un même mùouvement d’immixtion terrestre (de paroi) et fissqa gagnons, le sas des données de base = cette roche dure (tendre ?) des données de base = ces données liées à cette mort des mouvements, à pareille mort des enfants de l’âme, à la mort ditte des rages et des abris de base. Nous cherchons ! Nous sommes deux qui voulons comprendre vif ce qui est ici (en rochge) qui se fait ou se fabrique sous nos yeux d’enfants ébahis( baba) comme tout. ce qui est qui se trame sousq nos yeux, ces betes de la foi dans l’âme etc. nous voulons toucgher icelle flamme (ou âme) ensemblke = à deux =conjhoints = vif de la vivacité des rages des entrées de face. nous voulons comprendre un certzain nombre de données rudes. nous voulons comprendre un grand nombre de données de base bnaissantes,. nous cherchons à cerner de base les données, ce que c’est, ce qu’elles sont, cela même qu’elles contiennent en termes de secrets liész à la mort ce que c’est. nous avons pour ambition de toucgher la vérité comme s’il s’agissait d’une sorte de paroi de roche. nous cherchons à même celle-ci ce qyui est en dur de dur, ce qui est ici en cette roche dure en termes de données dures. nous voulons percer la roche compme on percerait ailleurs (?) un secret bien gardé ou comment nous exprimer ici sur ce squjet ? car en vérioté nous nous infiltrons via le Vezrbe (nacré ) des données vives (ce tic tac) squi (données) nous poussent à vivre ici une entrée dans la matière rude (dure) des données vives. nous nous infiltyrons ensemble en ces données de base, et ensemble nous essqayons de cerner au plus près ce qu’elles sont,  ce qui est à voir et à délimiter par la raison. nous devons nous approcher des bêtes de roche, ces cerfs de parade, ces bouquetins, ces biches nomades, ces betes de la foi et des tourments, de l’envie et des envie : de l’envie de nous parler et des envies de nous consommer. nous voulons comprendre ce qui est en elles (bêtes-mots des apprêts) et ce pour quoi elles vivent ici (en roche) entre elles , e, tre deux paroisq de roche ou comment dire ? e,ntre deux mers ? Nous voulons comprendre icelles bêtes rudes, de bon poids, ce qu’elles fabriquent entre elles en termes de vocables, de dires divers, d’onomatopées lascives, de mots de rage. Nous avons à piger grave, oui !Nous avons grave ensemble à donc cerner)-piger x et x données directes, liées à quoi liées à cette Mort des données de la base ou comment ? Mort des acidités ? ou bien Mort des vivacités ? Nous sommes deux qui, ensemble = main dans la main, en direct, cherchons à comprendre. nous sommes entrés ensemble en roche, en ce sas des sas, et nous voulons cerner ensemble un certain nombre de vérités directes, ce que c’est q<ue cette bête devant nous (aurochs ? bison ? bousquetin ? buffle ?) et pour ce faire : ouvrir les mirettes (grand) et ensembke repérer les divers éléments constitutifs de pareille bête posée devant nous = tyrônant = pla,ntée comme une plante des prés. Nous voulons toucher la bête des temps alloués à gouverne, à une sorte de gouverne. nous voulons aller en roche dans la profondeur des données célestes si tant est. pour ce faire : fisza une entrée de type virée, et vas-y nous en empêcher ! cherche ! cours ! cherche à vif ! Car quoi ,nous sommes nous deux ensembke motivés comme jamais, et nous ne lâchons pas la barre ! Nous fonçons fissa comme des dératés de la base et du sommet ! nous ne voulons pas rétrocéder ou passer le pas ou reculer ou intercéder ou poser pied à terre etc. ce que nous voulons = vivre ensembkle les années, et percer de rage les savoirs ancrés de la roche des temps. nouis voulons touchger la timballe des données acvides, ici = en ce sas, nous coller à deux à comprendre vif , ou comment ? nous pelotonner ? et percer la roche ! tac ! pic ! toc ! onomatopée de base et nous voil;à comme transis ou gelés, entrés enfin, de l’autre côté, pour un bienfait ou sinon un bienfait pour une récompense en termes de savoirs de rage. nous avons ensemble << traversés icelle roche des données (vives) concer nant la mort?. nous voulons allmer ensemblke en elle cdans la profondeur, et cvomprendre ensemble << en elle ce qui est ici qui sembvle ou semblerait nous regarder. qu’est-ce qui est ici qui nous regarde ? quoi nous regarde en  vérité ? qui est là pour nbous qui sembkle vif nous mater coilmme jamais ? nous voulons comprendre ce qui est à l’aune des vocables susurrés ou plus que ça : hurlés si tant est ! Noius devons comprendre ensemble ce qui est ici qui semble aller de soi, coimme ici des betes lmarchant dans un p^ré, déambulant, et, pour cela, nous devons nous rapprocher d’un fond de roche longitudfinal, nous porter au loin, nous coller à roche 2, à roche des lointains, des fonds de carosse. Nous nous approchons des profondeurs de roche, et cgherchons à toucher icelle roche à m^$eme la froiodeur, la roideur d’icelle. nous voulons comprendre cette chose de la mort de base, ce que c’est en termes de données acides etc. et pour cela : la vérité première ! la grandeur de base, les données franches, les acidités rageuese, les données outrées, contententements- consentements, entrées dans la matière ett jet de rage au fin dfond du «trou de ta race». Nous so:mmes accolés comme ailleurs gélméllités, et entrons en cette roche 2 ou sinon quoi ? nous en approchons fissa ? col:lons à elle à vif ? tentons une approche ? voulons toucher à vif la roche 2 ? Nous cherchons ici à toucher de front (du front ?) pareille entité de base (de rage ?) quyi nbous fait (ferait ?) front.  vEt pour cela nous nous tenons la main et nous ouvrons grand nos mirettes, nous voulons voir +, nous cherchons ensembkle à y voir ++, nous voulons comprendre ensemble +++, nous voulons toucher +++++ la paroi meuble (dure ?) de la roche 2. nous voulons ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ comprendre ++. et donc : chercher, soulever des choses, creuser, ta^per du front, cerner la roche etc. taper roche à mains nues. comprendre ensemble << en tapant la roche que tu taperas. Nous so:mmes entrés, ici -même (sas des données vives), et nous sommes deux à taper sque tu taperas la roche à main nues pour ainsi dire. nous voulons co:prendre la mort = la toucher la toucher comme dans la romance. nous ne voulons pas «passer à côté» mais tout au contreire, noius voulons toucher icelle (comme de fond en combleà-) en termes de données, en termes de rentrées, d’immersion, en termes d’entrée en matière, de rentron, la toucher la toucher en termes de rentron tête première. nous voulons cogner la mort et la percer -crever et mieux la connaitte si possible, si la chose est pour nous possible ou rendue possible. nous nous approchons d’icelle roche 2, nous voulons toucher icelle. nous voulons cogner = tapêr = frapper = toucher la roche des temps alloués numéro 2, celle des fonds, du fin fond de roche. NOus nous sommes immezrgés ou comment en pareille roche des temps (une vie humaine ?) et à présent : la roche du fond, la numéro 2 dsdees données (vives) dites de la rage (de la base ?) et allez ! à vif ! entrons ! un rentron ! catastrophe ? nous voguons ? nous sommes saoulés ? nous somes pris de rage  !

nous

nous cherchons ! nous sommes deux ensemble << qui cherchons, qui allons profond dans la rocheet cherchons à comprendre, à trouver = toucher, à toucher = nous immerger = nous plonger en icelle roche 2, roche des embruns ou roche de quoi ? nous cherchons ! nous ne voulons pas passer à côté sans piger -cerner la roche 2 ce qu’elle est pour nous en termes de données de rage (sournoises ?) ou de données de quoi en vérité : : Désir ? données des embruns ? données de la rage-monstre ? désir de royauté céleste à califourchon ? Nous nous sommes comme rassemblés et nous cherchons que tu chercheras la roche dure 2 ensemble = motivés ! pris de rage ou comment en pareille roche 1 ! Nous voulons passer de roche 1 (une vie humaine ?) à cette roche 2 des apprêts de base. et commuent cela ? een, plongea,nt = tête première = vifs = à fond la caisse = ensemble direct. nous nous approchons d’icelle roche des tourments et nous entrons en elle (au milieu des bêtes : chevreuils de rage, biche aux attraits) et là, en ce pré de base, doux prés de la lande oréaulées, nous poussons plus loin vers les embruns, nous tentons de nous approcher de paroi 2, ou d’iccele paroi 2 ou numéro 2, nous nous approchons d’icelle à deux, nous nous colons à elle : réverbération. nous cherchons une entrée dans la matière molle (folle) d’icelle paroi de roche (2) qui est celle-ci des fonds de paroi, des fins fonds de roche creuse (dent ?). nous nous approchons de cette roche 2 dite «de la nuit des temps» et nous essayons dès lors ensemble, de comprendre ici ce qui est qui nous regarde, nous suit, nous parle ou tout co:mme, nous adresse une parole vive (vivace ? violente ? acide ? narquoise ? sournoise ?) . et voilà ce que nous faisons : nous touchons à la roche du temps ensemble. nous voulons ensemble toucher : à la roche du temps devant soi, à la roche des embruns, à la roche du temps imparti, à la roche meuble des entrées de rage , puis, une fois entrés de concert, nous voulons gagner du terrain ou plutot gagner icelui fond de roche, le bas-fond ou cet espace dit « final» de fin fond de roche, cet endroit numéro 2, cet endroit funeste, ce fond de paroi qui serait la porte des sorties surnuméraires. Nous gagnons = nous filons = nous :montons = nous entrons, en icelle roche 2 , dite de la base ou bien de la rage ou encore de lm’ancrage. nous nous sommes rapprochés d’icelle et nous voulons enttrer (à présent) en elle : si possible. car en vérité vas-y à comprendre commuent. va donc à y piger tantôt quelques données utiles qui puissent nous offrir de quoi nous immiscer sans trépassezr. car le but est là, ikl est celui-ci qui nous voit cghercher (que tu chercheras) à entrer en elle (paroi 2) sans faillir ou défaillir, sans chuter ou trépasser. nous voulons passer la t^te, ne serait-ce qu’elle, et filezr à l’intérieur de pareille entité cd’ancrage, de pareille anfractuosité «maussade» ... ou pas , ou sinon maussade sade , ou commuent décrire ici pareille entité de rage, pareille ouverture dans une paroi, pareille excavation, pareil trou de bure : comment ? quels mots serviraient ? quels sont lers mots de base qui, pour nous, pourraient nous aider à décrire icelle anfractuosité ? Nous voulons comprendre ensemble (= soudés) ce type de données vives, ces données verbales de type animales etc, ce que c’’sst, ce que ça peut ou veut dire à nous qui nous glissons (ensemble oui) en elle (roche 2) à la recherche d’une vérité. les bêtes des bois nous entourent, nous regardent faire, nous questionnent pour ainsi dire de leur (on le voit) regard appuyé. Nous voulons percer kla  roche 2, la roche des fonds terrestres ou sinon trerestres célestes. Nous voulons toucher roche 2 et entrer sans trépasser. nous avons envie ici de piger comprendre-toucher-cerner- saisir sans faiblir la roche : la toucher la toucher comme il se doit = en chanson de base, en chant de roche advenue, en chant des temps déployés. romance du cru, fête avalisée. Nous nous approchons d’iccelle (roche 2) et nous regardons ensemble ce que c’est que cette chose, ce dur, ce mou par moments, ce dur cde la feuille ou ce mou de l’entrejambe etc. Nous cherchons à pister, à suivre, à percer, à co:mprendre, à piger, à prendre, à cerner ensemble = conjurer. comment nous y prendre ? comment faire pour comprendre ensemble ces données données d’icelle paroi ? bête dessinées ok mais quoi au juste ? mots de rage et autre «vilénies de ta race» ? nous sommes entrés c’est un fait ! Nous sommes dedans Roche de bois de rage. nous entrons ensemble c’est un fait. nous noues immergeons c’’st vrai, c’est ainsi que  cela est pour nous, pour nous qui nous glissons en  cette roche dure des parois mobiles. nous siommes dedans, parmi les bêtes des sous-bois, des prés, des rages à être bête de paroi. nous sommes dans un sas de base qui serait pour nous ce sas des sas ou sas des vérités p^remières, solutuiopns à des problèmes de bas-âge, de petite enfance, de début ou de déma rage, de premiers pas. nous voilà qui sommes entrés ensemble (gémellité ?) et qui cherchons dès lors à gagner sur roche, à virer de rage au plus lointain, à nous projeter comme des morts de faim jusqu’au bout du bout de la roche dure, cette chose des fins fonds, visible et tangible o,n le croirait : l’est-eklle ? est-elle un fin fond fiable ? est-elle fond cde base  ? est-elle pour nous ce fond de roche sensible = mobile = vif = un dan,ger ? Nous vou;lons passer menotte en elle (roche 2) ou un peu plus de nous , mais pas beaucoup plus si possible, quelque peu mais guère. nous voulons de nous passer peu (à la guerre comme à la guerre ? peut être pas ou pas tant que ça !). nous voulons toucher roche 2 et la surprendre ainsi (en la touchant) car s’y attend-elle ? ça m’étonnerait ! elle campe ! elle est dans la lune (lunaire), elle pipe que dalle des données terrestres (de roche 1 ?). elle est dans les vaps = les vapeurs. elle campe grave = du feu (FEU) de dieu tu l’as dit. elle est dans les nuages de la vie  céleste. elle ne sait plus trop où elle crèche. elle est perdue, elle est ailleurs, elle est out. et nous nous cherchons ensemble à comprendre ce qu’elle est «de pl;us que nous» pour ainsi dire, ou «en sus de nous». Nous voulons toucher (toc et toc) icelle mort de base (roche 2) ensemble (à deux) et concomittament. ensemble dans un :même élan, c’est dit : racccccc ! on enttre en partie en elle ! on veut voir , oh oui ! voyons voir  c e qui donc ici (lza mort ou le domaine de la mort) se trame tantôt. de quoi s’agit-il  ? y a t il des choses à voir de près ? sommes-nous assez entrrés pour y voir quelque chose d’avéréeé ? avons-nous de quoi mirer ? avons-nous de quoi piger vif et loin les données données et déposées ? sommes-nous assez de deux pour entrer en ctte roche de la mort à l’OEuvre ? eh bien on l’espère ! On veut y croire ! on est motivés pour cela de comprendre à deux cette chose rude devant nous, qui semble nous mater de rage (elle peut ! elle est bernée) et ne plus nous l^âcher. Nous voyons ce qui se trame , nous voyons un peu cde ce qui se trame, nous voulons entrer un peu pour voir un peu. tant pis si on voit peu mais voir, voir un ta nt soit peu ce qui se trame = les données de rage de la mort à l’oeuvre en sas numéro 2 (après les bêtes). Nous passons un oeil pour ainsi dire : oups ! tirage du nerf, décollage de cornée ou d’e globe oculaire ou qu’est-ce, cette chose, cet oeil détaché et hop ! on voit quoi ? on voit cette chose des parois ouvertes= cette chose des parois meubles = ce mou de la chique rupestre = trou de bufe (souffle) à même le dur. incroyable !  c’est tentaculaire ! c’est bestial ! ça buffe grave = ça souffle du feu (Feu ! ) de dieu les amis i et ie. Nous passons un oeil de rage, criccccccc, et le voi:là qui voit dedans, et quoi voit-il ? il voit ça = l’arme ! quoi ? il voit l’arme ! l’arme cde quoi ? les larmes ! ah des larmes ? ou des armes ? quoi ? il voit quoi au juste ? quoi voit-il en vérité ? il voit ou verrait des larmes ? des larmes-armes ? des armes -âmes ? des cris ?            v»voir» des cris ?! du cri ? du christ alloué à la roche 2, percé ? voit il un être amadoué à roche 2? l’être des ténèbres ? il voit quoi au juste l’El de rage ? l’El ici p;lacé : quoi voit-il pour nous qui saura nous «ré»véler ici la chose = la données frontale . Quoi ? eh bien : ça ! c’est-à)-dire cette chose rude, ce chant (un chant ?) . ce chant des tourments profonds. ce chant cdes oppressés ? ce chant des données acides. ce chant de la vie en vie éternellement ? Nous cherchons à voir (l’El dedans) la chose commune, le cerveau, la rage primaire, le doigt, lma pleine mesure des chants déployés comme des rubans, le cri matinal, le cri de la bête. nous cherchons à voir de près = co=mprendre = savoir. Nous avons un oeil deda ns. nous avons p^lacé un oeil de rage à l’intérieure de cette roche 2 des données de base. ce que c’ezwst que cette chose rude. ce que c’est que cette Chose dure, dure et rude en rudoiement, cette cChose rude et dure en mêlme temps, ou concomitamment,  ce que c’est. ce que ça représente au juste. et aussi  e que ça dit pour nous qui nous avançons vers elle un oeil dedans et pas beaucoupd’autre chose en plus. Nous mettons l’El de la rage à être dedans, ou plutôt : nous mettons dedans (l;e royaume ou le do=maine de la mort) un oeil , un oeil nu, un oeil détaché du cervelet, tenant par le fil de l’être tout en nerf xde rage. nous mettons dedans icelui. nous plaçons de rage cet oeil par la bande. nous plaçons  cet oeil détaché de ta rage, en icelle paroi (2) des données célestes = de la roche des embruns, de la roche des données finales, fin fond de ta race = le trouduc, ou sinon quoi ? trou de la paroi ? anfractuosité notoire ? découverte, déplacée ? nous cherchons à glisser un oeil (pas deux) en pareille roche 2, celle (pour le coup) des fonds de terre, des finistères, des données rudes, des denrées déposées aussi peut-être par la bande. par la bande (verbale) déposées au pied d’icelle roche 2, ou sinon laquelle ? la 1 ? Nous voulons jeter (oui ) un oeil mais sa ns le perdre toiut à fait car nous y tenons (prunelle) plus que jamais. nerf en bandoulière ? je de jet ? je des j,ets de rage ? tendon ? crispation ou au contraire : relacxhe ? noius cherchons (cet oeil du dire ?) à mieux comprendre = le cerner = piger vif = toucher ! Toucher roche ! toucher à la roche des données -denrées de base (= de rage) présidant lma Chose ce qu’elle est pour nous, pour nottrere gouverne princière yprintanière (un éveil aux sens, aux vibrations terrestrestres). nous plaçons un oeil de rage : oups ! nous glissons un oeil : houppppps ! et nous voil;à qui regardons à l’intérieur ! voilà ce que enfin on arrive à faire ensemble ! ahhhhh voilà on y est ! On a franchi le Rubicon pour ainsi dire : traversée ! cxhomage ? nous pleurons de rage de pouvoir ... ou pas pouvoir ? être, ou comment on est ? ou comment on fait ? on perd pied ! on vibre ! on dirait qu’on per d la boule ! on dirait qu’on se perd dans les vocables ! on essaie de tenir droit en notre rage d’être ici cet homme des parois de base (homme ou femme incidemment ça n’a pas cd’importyance puidsqu’on est <<). on vibre à vif ! on est vifs de rage ! on est entré (d'un oeil) dedans cette roche, on est dans, on est comme dans une dent, on est dans la roche (2) comme un microbe de céans dans une dent creuse : un peu. nous penso,ns que nous sommes celles et ceux qui entrons ici en pareille loge (céleste ?) des rages de base. Nous plaçons OEil de rage en elle (roche) de la mort de l’^treee. nous plaçons un oeil de roche dure : détaché. nous voul:ons piger ghrave, et cerner de base les données-denrées (vivres) déposées à même la roche courante (main courante des données de base). nous voulons comprendre (loin) les vives densités verbales. notre but est avoué (de base) à même la terre./ nous so:mmes des qui cherchons vif, des données vives, d’une rage à être des enfants nacrés, enfants-faons nacrés de bois jolis, de sous-bois tantriques et autres plaines acidulées. nous voulons aller en roche 2, comme enfants^-faons joueurs de ta race d’être.nous nonus faufils:lons en roche 1 vers roche 2. nous sommes dedans pour paretie = oeil = cet oeil des dionnées = cet oeil dép^lacé = détaché.  tenu par quoi ? par soi en soi, ce fil à la patte de soi, etc. une sorte de conduit de rage, de fil des années, temporazlités filaire, ordonnancement terrestre tenant bon, faisant fonction de fil de base, faisant ce qu’il faut pour (cet oeil) ne pas le perdre= ne pas l’égarer en roche du temps. nous cherchons à faire ainsi que nous puissionqs aller en roche 2 à la recherche de don,nées visibles ou dicibles, en tous les cas archiva

bles = notables. nous nous entraînons à comprendre = nous faisons des pas = nous progressons = nous fil:ons à toute berzingue = nous creusons la roche du te:mps, et cela cfomment ? d’un oeil mon oeil ? peut-^tre que oui : d’un oeil de rage , déplacé, entré, décollé collé, décollé de l’orbite pour se voir collée à la roche dure (la 2 ?)? Nous cherchons à bien  cerner les données frontales. un oeil de grâce ! hjuste un ! juste ça ! et qu’on puisse y voir éclairés ! qu’on puisse voir en  ette Chjose (de la mort des catacombes) un petit rien qui dise lourd, un de ces riens de base qui, cependant, puisse nous dire = affranchir. nous nous sommes projetés ainsi : oeil de rage dedans cette chose de la mort à l’Euvre dans le temps = la roche creuse (firmament ?). nous ghagnons sur chaque mot que nous disons un peu de rage à naitre , nous gagnons du verbe. nous voulons comprendre ce qui est qui nous parle bas ou bien au contraire nous crie (putois) dans les oreilles : oh le con ! oh diantre ! oh comment ? oh il nous gueule après ! il est ce dieu vivant du dire fou de rage d’etre trompé (un bleu) qsui se voit blousé par nous qui tenons bon à la rampe . Oh le couillon (ou méga-couillon) qsui croit (ce dieu) que nous «trépassons» quand nous donnons (de rage) le temps cramé , brûlé vif (la vie passée par là : qui crame que tu crameras) à la place (lieu et place) de la «vie en vraie « = dou$ble V = W = double V de rage = vie des vies = vie vive de la vie à être en vie. nous so:mes rugueux sur ce sujet c’est sûr, car la vérité est difficile à approcher : ça brûle , ça brûle grave (du feu de la roche de dieu , tu l’as dit). et nous de nous transporter (épaulé-jeté ?) dans roche 2 : tout un programme . nous voulons ensemble (oui) avoir de quoi toucher sans y passer, voi:là pourquoi nous détachons l’(oeil (un) et entrons en roche (anfractuosité) incidemment. nous voyons… eh bien nous voyons (listons) des choses de poids = des immeubles -parois ? des pans de mur ? des choses dures, frontales ? mur du son ? ah peut-être , voi;là quyi est dit ? ce que l’on voit ici dans la voix est ce mur de la rage à naître à u ne «vie nouvelle» = la des quoi. la (la mort) des quoi, eh bien des paroios . ah ! eh bien peut-être. rien n’est sûr à cent pour cent, on cherche. on est ensemble qui allons fissa à travers la lande à la recherche (tralala : le chant) de données sommaires ou sinon sommaires ramassées, disons utiles, disons à même de nous enseignezr ce qui est, en termes de données de base concernant la mort ce qu’elle est pour nous qui poussons le vice à aller ensemble<<) jusquà chercher à la comp^rtendre, et ceci : à la force du jarret = course à travers les prés paradisiaques. nous solmmes entrés en  ce sas de la roche éclairée, et nous voilà qui voulons enttrer (à présent) dans ce + de la roche dure des lointains, ou pas dure mais des lointains ça oui. nous pensons que nous devons passer un oeil (ainsi décollé par la bande) afin de voir à l’intérieur (paluche) la chose donnée, la des choses rudes, la chose qui vaut de s’y coller, ou qui pour nous vaut cette chose, d’entrer, de rezgharder et de co:mprendre ce qui est en ce domai n e des données preimaires. nous voulons connaître,  nous vou;lons nzaitre à une connazissa nce pa rtagée. co-naissance de la roche et des serments. nous nous faufil:ons (un oeil) dans cette roche (meuble ? laissant passerr ? ) de la mort à l’Euvre méchamment, car elle est méchante ! la mort est  méchanceté, méchante comme pas deux, une méchanceté ambulante  ! insidieuses, vive, rude, caillouteuse, faisant fi de nous (notre gouverne) comme personne. elle est devant nous qui trône, qui préside, paternelle ? maternelle ? une autorité de première ! ELLE SAIT ! oh la vi:la ine ! ELLE SAIT BEAUCOUP DE CHOSES ! oh la garce, qu’elle me fait dire ! comment faire aklorsq pour comprendre à comment éviter toute rencontre ? comment faire pour en échapper et fi;ler fgissa à travers la lande, au milieu des bêtes de poids : commuent ? nous passions oeil de rage à même la roche (anfractuosité) et pleurons dses larmes (de ce fait ?). ah voilà : ;les larmes ! on voit ! on pleure ici bas ? ou là ;: roche 2 . on comprend pas mais on voit que ça semblerait vouloir peu à peu se décanter dans un sens qui irait à se glisser vers de la véritév première, vérité des vérités, vraie de vrai si tant est. nous cherchons vivement. nous voulons toucher à cette roche 2 des données vives de la mort, en ces contrés des parois du monde. où sommes)-nous en reoche qui faisons des tourniquets, tourneboule de rage, qui faisons des ghalipettes : où ? car nous sommes deux qui cgherchons ensemble v(de co,ncert) à toucher icelle parole, ou icelui cri, ou icelle voix, ou icelui vocal de rage, etc: toucher la voixcomment ça ? eh bien en… vociférant à son tour ? en gueulant de folie ? en haussant la voix ? en haussant le ton ? sacrant ? consacrant ? sacralisant ? sa nctifiant la roche 2 ? ou bien au contraire en insultant icelle ? vif de chez vif on gueulerait sur elle : oui ! on ferait ainsi qu’on se foutrait d’elle (la mort) à jamais par le verbe , l’entremise des mots-bêtes de roche allouée. Nous nous approchons d’une sorte de paroi percée, nous glissons un oeil»»»»» de la ba  se en icelle, nous voulons connaitre l’intérieur ce qu’il est = ce trou noir ? ce trou dee paéroi meuble ce qu’il est : un trou de basse-fosse ? trou des vivres ou pour les vivres ? garde-manger ? garde-robe ? BNOus nous approchjonds d’une roche des données  déployées sur un devant placé à bon ezecient pour nous permettre à nous d’en avancer. nous solmmes placés cde rage (de grâce ?) par la grâce (rage ?) d’une sorte en nous, de «velléité rageuse « de la tete et des paertyies molles. nous voulons passer. nous voulons transpercer (par le Verbe ?) la roche des temps déployés pour un semblant de vie rageuse, ou de vie verbeuse, ou de vie douce (par mo=ments). nous sommes entrés et cherchons à bien combiner ensemble (à deux <<) cette chose d’une sorte de perforation de la matière par le verbe . attitude des princes de la voie. a&tytude ancrée des pri,nces des roches. nous voulons creuser à vif (en vie) la roche des données de ba se (la qu’on dit «la mort»!). on cgherche eznsemble à bien comprendre ce que c’est que cette chose rude allouée à une vie de bête en  ous. on voit ! on sent ! on comprend ! l’El est détaché et tient par une fibre neuronale à un ensemble crano-frontal de données rupewstres. oeil de rage détaché tenant par un fil. ça chauffe ! ça s’approche ! ça va loin chercher (une fois ,n’est pas coutume !). ça veut déppoter grave ! ça cherche à tout va ! ça y va ! ça pulse ! ça bat la chamade ! ça pulse à tout va et ça va , ça gagne ! c’est ainsi que les choses sont, pour nous qui allons, qui allons vif par les sous-bois, les bois et les prés on le sait. on cherche vif à même la roche = cette roche devant soi, qui est (sezrait) la mort à l’Euvre, le tourment des tourments cde la rage rude ! anfractuosité nous voilà aqui ! nous voulons co:mprendre le trou iceluyi, ce que c’est que ça , ce qsue c’est que cette chose des données de rage monstrueusement acide et vive, acide et brûla nte, pour nous qui allons, qui cheminons près des bettes des prés, des bêtes allouées à une lande. nous cvoulons toucher roche numéro 2, et faisant cette chose comprendre = voir. il y a quoi à voir ? sait-on ce q’uil y a -exactement ? listons : une poupée, un doudou quelconque (nommé), une pelle, un ballon, une sorte de jeu de lm’oie, un jeu de mikados, des allumettes magiques, des boites de crayons, des feutres, des voiturettes de collection (petites voitures), des habits-déguisements, des outils en plastique, des livres à raconter, des chants de collège, des débris. nous voul:ons toucher icelle roche dure aux jouets de base. nous voulons aller en ellepar la voie royale si tant est , à savoir par le Verbe «motivée» =mis en branle vivement à même la roche perlée . chante que tu chanteras ducon ! chante que tu chanteras Spigolon ! tu crteuses ta tombe : oh le con ! tu fouilles à perte ! tu perds ta misère céans mais jamais ne la récupère ! tu es sombre ! tu pleures, et tes larmes vont qsui entrent en icelle roche des passwio,ns maussades (de la mort dure ?). nous voul;ons perler à notre tour = larmes = lancements = jets = je an,créé = dires de bure dans le sas des sas. nous nous sommes infiltrés par la bande ver b ale des données de rage. nous avons pleuré. nous avons pleuré tant et plus , et nous voilà qui entrons fissa par la bande (larmes) en elle (roche 2) qsui est lazvroche céleste des données royales = la mort de la rage, le swzerment du je de pomme. Nous voulons comprendre  ici et vite fait ce qui est. nous n’avons plus de temps à perdre. nous voulons comprendre vif ensemble ce qui est et qui se trzame en elle (roche 2, dite «de la :mort et des embru ns» tu m’as co:mpris !). Et moi de toucher à icelle : toc ! toc toc toc ! on touche comme il faut ! on ne cesse de toucher icelle,, roche calfeutrée, à part, choyée, déplacée de soi. nous nous sommes concertés et nous avons ensemble décidés cette chose, d’en découdre «frontal» à coups de boule répétés (réitérées) contre roche 2 ,  celle des apprêts, des mots- ^betes gravés ? peut -être pas, maids plutôt icelle roche nue : du feu = du FEU de dieu = ce feu vif d’une rage d’être d'être dégouté (maussade) pa r la bande (nôtre) qui cherche à blousezr en  veux-tu en voilà par la gr;ace des tourments trrestres hospitaliers, des rudesses pâsdsagères pari»éto-frontales. nous cvreusons roche des tourments (Verbe) à la recherche du sas des jouets (ils sont où ?) . nouys cherchons nos armes rebelles, jeux de la guerre à l’étouffé à mener fissa, jeu des caravelles lan,cées, des navettes déployées, des ombres premières jetées, des mots de grave, mots tendres de grave que tu graveras la roche primaire (le primaire). nos jeu et jouets «vitupèrent».  comment est-ce ? nous voulons aller en roche 2 ainsi, via le Verbe, le verbe oculaire ! tu saisis ? Je chers he ! Je veux être ici une chose de poids, qui fasse effet et pas qu’un peu, qui fasse sa chose rupestre volontiers et ne s’en laisse pas (pour autant) démonter ! jetons l’El à travers la roche = pleurons ! pleurons de grâce amère ! creusons trou de basse-fosse dans le temps et non dans la terre : comment ? en parlant ! en parlant à voix haute , en disant la bonne aventure, en pleurant toutes les larmes (peuchère !) d’un corps de  bure (l’enfance) à travers la rage.  Nous gravons ! Nous devons graver la roche amère. Nous devons tracer des traits et autres mots de rage vive, à vif et ensemble, sous le vent, vivement, vivement ensemble, en tenant debout ensemble : se congratulant ? NBous cherchgons une voie tend

re (meuble)- où pouvoir passer la tête (l’El ) d’une rage )à naître . on trouve ? on cherche ! on voit des passages ici ou là dans le verbe conséquent. on veut aller loin et toucher roche dure d’une roche dure quyi sezrait LA ROCHE DURE des bases motrices soit motrices à toute vie (sur terre incidemment c’est dit). nous nous affichons de conserve et cherchons à nous placer (de base) dans le sens valable ou sinon valable , dans le se,ns qui tend ou tendrait à nous laisser aller bon an mal an dfa,ns une direction xde base sinon naturelle du moins agréée par les instances (les instances ?) de la mort à kl’euvre en cette roche dure (ici) du monde de l’après, des données cachées, des données à rechercher à même le temps. n ous ne voulons pas trépasser muais aller fissa de conserve (de concert) en cette roche 2 des données dites «oculomotrices». On cherche; on voit quoi ? on voit ce qu’on peut. Et on peut quoi ? on peut peu. on est là pour ça = comprendre, mais vas-y comprendre avec du verbe rien-que, tu peux te grattezr ! ç a va pas si vite en besogne comme on voudrait ! ça traine des masses. c’est d(‘un lourd dx’aurochs! ça pèse grave de sa gravité terrestre (rupesqtre ?) ! ça pèse des tonnes de sa gravité de parade : larmes allouées, chants des ruses, chansons tristes consacrées, consolations, trépidations, double détente !  nous passons le temps , et ce faisant nous consacrons le Verbe dans la manche (la manche du temps = ce manchon de base à même la roche des parois meubles) . nous ne voulons pas y perdre au change. nous voulons toucher à Roche2, la gueuse. merde à la mort dure ! la sale saleté ! la minus ! Nous n’en vou:lons pas ! fissa pars ! pars au loin la mort (fissa) et laisse-nbous tranquille : on te veut pas ! on veut pas de toi ! on veut pas que tussois là à mater ! on veut pas que tu sois là à reluquer ! on veut pas de toi ici = ici -bas tu m’as co:mpris ! ici haut (charmes) peut-être, et encore que ! on ne t’aime pa s ! on te hait ! on te mauditr ! on te juge mal car tu nous pourris la vie ! tu nous enquiquines !tu es sale comme un peigne ! tu es une merde de base ambulante malodorante tu le sais ! tu pues grave (gravité) du  cul tu le sais aussi ! Tu nous enquiquines pour pas dire pire ! Tu n’es pas pour nous une solution à nos problèmes de juridiction. tu es sale comme un peigne et tu pues. tu n’es pas sortable. tu pues dee la gueule (ouverte) et nous empeste personnellement (voix d’un dire nominal). nous avons eznsemble << à bien réperer ici tous les éléments en présent ce, et ains

i fait à les bien comprendre ensemble, à bien les poser ou déposer toujours ensemble sur ce seuil du temps présent, du temps qui se fait au fur et à mesure que nous avançons en âge. nous devons aller ensemble (toujours) à la recherche d’une sorte de passage dans le temps (anfractuosité radiale ?) squi nous permettrait de nous glissezr dans une sorte de conclave, de parade, de regroupement de tripe cavalcade, etc, où nous serions pris (nous deux) par l’élan de rage ici nous kidnappant comme des enfants au passa ge. nous aimons trouver des choses ici ou là à déchiffrer. nous aimons les hiéroglyphes, les mots secrets et autres lan,gages codés (comme icelui ?). nous ai:mons comprendre ce qui est qui vient comme succédané d’un dire lointain ou comme remontée acide ou quoi ? car les mots sont porteurs de choses vives qui montent, qsui remontent des parois meubles  du temps déployé, c’est ainsi que les choses vont, nous savons cela. nous pensons ainsi (nous deux) que des mots de base vont qui viennent en nous à travers nous. nous pensons nous deux cette chose (là) comme quoi les mots sourdent, grimpent, cheminent et ce depuis plus loin que nous c’est une certitude : ils nous sont induits ou intégrés à nous qui nous présentons sciemment comme les émissaires de tel ou tel Verbe de poidfs (mammifères langagiers) qui poussent leur dire ici de poids racé, à même le te:mps d’une vie humaine. nous blousons la mort scandalisée, ou pas scandalisée peut-^tre , seulement outrée ? ou comment est-elle ? que pense-t-elle de nopttre petit manège ? a t elle avec elle ou en elle toutes les cartes en main pour ici comprendre notre petit jeu (je et jeu) de rage nominale, de rage du dire, de rage des dires déposées : présents de la vie = temps écoulés = larmes de bébé pour ainsi dire. on sait ce qui est. on dit ce qui est. on dit ce qui est = on sait ce qui est. et ce qui est est cette chose d’un dire comme poussé à son extrémité temporelle et placé deforce (en force) sur un seuil de rage naissante, coutume, habitude (et habitus) , entrainement de cxhevauchée, continuations verbalo-primaires. nous nous avançons de la roche finale = termes = eaux de rage = eaux usées = passé (le passé) = les eaux de ta rage à naître de près. nous nous approchons ensemble d’une roche dure (donnée) qsui est  ette Chose (grand C) d’une vie allouée à un hommesur pied (ou femme des parois éventrées). Ça pulse grave … et ça cocotte dur à peine à côté on sait ! c’est la Chose ici, la des Chopses des parois finales (ultimes) qui cocotte ! ça le fait que ça le fait pas ! et pourquoi ? parce que ça cocotte grave tu le vois ! ça gagne sur le cocotier ? ça gagne quoi ? ça progresse fissa ou pasds ? ça pulse devant soi mais quoi ? la mort est-elle en vie ? est-elle la Vie devant soi ? on peut le dire ! et ainsi va la mort qui gagne (tiuoujours?) sur le verbe déplissé dans le temps des données rueopêstress ? nous ne savons pas. nous cherchons à nous y rretrouver ensemble et main dans la main , pour bien faire oui, pour bien com^prtendre les choses rudes, les embruns tout ça. ce que c’est que ça, va comprendre. on détache un oeil (jet du je) et ce faisant qu’est-ce qu’on fait ? on joue ! on est là qui jouons de tout ce qui devant nous semble se produire au fur et à mesure de notre avancée de type progrès. nous nous aplatissons pour entrer. nous faisons corps = un corps = un seul corps ! wouah ! la donnée ! on serait ça ? un corps un seul regroupant deux êtres en amont ? lesquels ? nous cherchons = nous passons = nous vibrons = nous allons = nous faisons ainsi que nous nous faufilons de grâce en elle (icelle : la roche) à même, comment dire: le Verbe ? ah voilà ?! on dira ça ! on va le comprendre de cette manière. on veut ça au moins, on veut cette chose là au moins, on  v eut comprendre ça au moins = cette chose d’une rage, d’une rage vive en soi (la bette) qui (de fait) vitupère à fond la caisse et pas qu’un peu : ça y va ! On veut dire ce qui est. on veut s’épancher. on veut pas sombrer mais dire ce qui est qui semble gouverner. qui semblerait en n ous vouloir pour le coup gouverner de rage, qui voudrait (il swemblerait) en nous aller au loin = au plus loin , de ta rage à être (naître ?) céans. nous nous avccolons. nous faisons corps = 1. nous voulons aller vers roche des temps 2= roche 2 des temps nacrés, ancrés, déplissés devant soi comme de  la soie. nous voulons traverser la roche 2,  ette roche de l’âpres)-roche. cette roche de l’après-pparoi dfu monde. c’est ainsi que c’set , qu’on veut faire et être : posés sur paroi comme aurochs gravé par l’homme des ca v ernes, mais plus encore : ancrés = gravés de chez gravés en cette roche dure (dans = dent) d’un espace pariétal sentimental. puis, poussant la chose, gagner les abords (les embruns) et là cueillir ce qui peut l’être : fleurs du verbe doré, fleurs des données de base, fleurs douces des apprêts, fleurs du temps amadoué, fleurs des entrées frontales, fleurs nacrées des beautés acides de la mort sûre, fleures épouvantées ? fleurs apeuurées ? fleurs des vibrations nocives ? fleurs des mouvements apaisés de la lande en retrait ? fleurs-machicoulis ? fleurs comment ? nous voulons un oeil jeter en cette roche 2 des denrées avalées. nous voulons jeter je (= un oeil de soi) à travers la fente , et voir. voir quoi ? voir le sein que l’on ne saurait voir. ou sinon quoi ? cette vie de la vie de la vie de la mort à l’Euvre ... ou pas ? de la mort qsui lâcherait sa proie ? nous cherchons. nous ne sommes certes pas au bout de nos peines, nous le savons, nous le savons depuis belle lurette. nous voulons cerner à grands traits les choses du monde (roche dure) et au delà : la mort en ses retranchements : zones concassées (consacrées ?) , brisures en amont (en aval ?), concrétions pariéto-lunaires, chants des blés, communes mesures. nous voulons aller en roche comme en religion, et prier tout notre soul notre propre misère de guerre; nous sommes enfants des parois du monde, cherchant à jouer de base nos données frontales sur tapis de jeu, qui seraiot tapis (celui-ci) d’herbe à brouter par en nous l’animal de race aimant brouter. j’ai nommeé qui ? j’ai nommé la bicxhe ? le chevreuil ? le cerf mégaloïde ? bouquetins des alléers-retours dans la lande ? ,ou alors l’aurochs ? la jument ? l’antilope ? le veau sous la mère ? la vache rageuse et ses enfants ? le gros venu broutant verte donnée ? Je cherche ici et là (dans le temps) une entrée dans la matière (c’est fait ?).

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28/03/2022 

je suis homme des données données. je vais et je viens en roche à lza recherche d’une vérité; je suis homme tendre, déplacé, je charge, j’entre en roche comme en religion car je suis cet homme des essais de rage en cette roche vdure. je suis homme, homme-bete des appprêts, je m’avance en roche. je suis homme des antennes et des attitudes. je vais et je viens en roche à la recherche d’une vérité. je suis homme des recherches avérées; je suis homme et femme des recherches vives, en roche et au delà. je cherche volontairement, cherche que tu chercheras, une base à être, un support, une roche. je syuis base ici de rage,. je suis homme et femme des supports de rage. je naviivigue à vue?. je suis homme et femmme des don,ées de base )à m^me la roche. ivcci je vais et viens. je cherche à comprendre les données de base, les choses profondes, les effets rageurs etc de kla roche. je suis homme et femme déplacé(e). je vais et je viens en roche. je m’immisce fissa à la recherche d’une vérité. je suis homme et femme assidu(e), je m’enfonce. mon souci est de connaitre en vrai la chose des choses en cette roche, le souci de base, l’effeort assidu, acvéré. je cherche que tu chercheras. j’essaie d’aller en roche dans les profondeurs. je cherche une issue. je suis homme-femme cgherchant issue en cette roche des a^pprêts de base. je cherche que tru chercheras issue. je m’avance à pas comptés. je suis là pour cela que je fais de base au débotté : recherche, tentatives de compréhrension, etc. je cherche que tu chercheras une chose de poids, une bhête-monstre, un aurochs. je cherche que tu chercheras pareille bete -monstre à même la roche : vérité des vérités. je suis homme et femme assidue. je m’immisce àla recherche d’une vérité faisant le poids, faisant son petit effet en za matière. je suis cet homme des parois cherchant à comprendre ce qui est devant soi en termes de jeu de l’être, ou de jeu à être. je m’enfonce en roche élégamment diligemment fiinement ou comment ? car je suis  cet être des paroois de base = de rage. je suis rageur de base, ou comment dire ici cette chose d’une envie pressante ? cette envie de base menaçante ? ce cri ? ce chuchotement à d’autres moments ? je suis homme des parois meubles et je vais en roche «comme en religion» dit-on mais est-ce vrai ? je cherche à comprendre «de près» ce qui est en cette roche dure du temps à vivre incidemment. je lm’avzance en elle, je suis dedans, je suis entré, je suis dans la roche. je suis pris entre deux voies ou parois ou vagues dressées, ou monts des apprets. j’avance en cette roche vivement, je suis moi-même redressé, j’avance entre deux mers vives, entre deux feux, entre deux parois. je suis homme aux recherches actives de base. je cherche vivement «des choses» = vérités de rage pour un agrément, pour un savoir à acquérir, pour un cheminement de pensée sauvage. je cherche à comprendre ce qui est,  ce qui me regarde. ce qui est est ce qui me regarde. je cherche à voir devant moi lla base, la rage, le serment = cette chose rude d’une sorte de présence forte, forte et massive, comme aurochs de rage en roche, comme bouquetin magdalménien, biche des prés, sauvegarde pariétale. je suis entré en roche, je me suis lové. je suis devenu cet homme de rage attendri par des betes de poids et de belle prestance autour de moi. je veux comprendre, quyoi ? la Chose =  cette Voix, ce Cri guttural (ou pas ?) ou bien ce bruyit dsourd des remontyées. j’eassaie de m’immiscer profondd, d’aller loin en cette paroi de la rage d’être un moment de base. j’essaie de comprtendre vif, de comprendre fol, de percer dur, d’enttrer vivant dans la «matière» de lma mort à l’oeuvre (c’sest dit). Je cherche à être ici même (la mort) l’etre de la vie joueuse, le donnant son âme à l’envi maids ne mourant pas pour deux sous ou comment cerner le dire ici,  cette chose à dire promptement, commùent dire ? je suyis là qui cher he à comprendre une Voix de rage sourdant d’ici -bas et montant comme effluves ailleurs. je serais cet homme des recherches graves, cherchant en roche «sa pareille» ou sinon qyui d’auttre ? soi ? sa voix en propre ? cri des profondeurs animal ? qui ou quoi ? je cherche à cerner de front xdes données que je voudrais fines et bien venues comme biches et cerf cdes prés. je cherche à dessiner la bête au plus ressemblant du possible afgin d’en jeter grave des louches et des masses. mon envie est de faire impression et de faire accroire que. mon envie de base est de faire penser à dfe la vie vive (= en vrai) d’une bete de poids surprise, etc, et donc de m’en tirer ainsi un temps (massif de rage?) qui sera le temps d’une vie à vivre par la bande = par ce temps d’une diction (élocution) terestre = pariéto-frontale. je suis cet hommùe cherchant ici une voie d’abord pour se sortir d’affaire, pour «tirer la révérence» sans tirer la révérence « ou bien mourir sans mourir ou bien chuter sans cghuter. et pour ce faire : le serment des dupes. la donnée rageuse sur pied, ce donant -donnant, cette voie. je pose mon pied à même la roche gravée (élocution) et je suis comme né dès lors à une vie autre , pris entre deux feux, pris-cerné opar deux entités de ta race à être cet enfant changeant, ce je de l’enfance allouée, cet enfant des parois du monde. je cherche à piger de près ce qui est qui me regarde volontiers, et moi de chercher en ce regard appeuré une sorte de vérité qui serait pour moi la vérité des vérité ./ je m’avan,ce en roche du temps. je cherche à me rapprochger de l’endroit final des donnés de roche vive. où aller après le champ ? où donc aller après le pré des betes paissant ? qui sait ce qui est aprsès la prairie des rages, des envies, des tourments, des courses effré,nées ? Je suis homme nu cgherchant base de l’etre d’une vie à vivre «enfant». je voudrais comprendre ce qyui est ici en cette roche dure, ce qui s’y trame  de fait, ce qui a dvient en elle bruyammzent (parfois) et «me regarde» vif. je cgherche à me placer de telle sorte en elle (roche) que voilà, je suis homme des parois vives, je suis devenu cet hommùe fort, ce cheval, cet aurochs des bois, cet animal massif imposant sa gourme, sa présence folle, son fort potentiel , son souffle épique, etc, devant l’etre vmajeur d’une classe d’âge ou qui ou quoi ici (roche fine-ale) en vérité ? car je suis homme des parois qui aest homme des envies pressantes ! je suis l’enfance réinterpr^éteée par la bande = chant d’oiseau de la plus haute branche perché. je fouille en roche une chose d’une vérité ancrée. je suis comme en recherche de  vérigtés et par conséquent je dois ou je me dois dee, etc . je me dois de chercher ou rechercher assidument des v»érités de poids , vérités massives, pesant leur bon poids d’injures faciales etc?. cris à satiété ? Je cherche ! Je cherche  vif ! je veux, je voudrais ciomprendre ce qyi est en vrai à l’aune d’une vérité tangibkle : un coprs à toucxher. je suis homme-enfant comlme soulagé par le jeu de l’etre . je m’avance à pas menus sur roche dure, je m’avance en vue, je suis commùe à découvert, je vois et je suis vu : par x bêtes de bon poids bon oeil qui ne cessent de me regarder en veux tu en voilà comme si j’étais «des leurs» peutêtre ? ou dsinon qui d’autre ? un enfant se promenant nonchamlzamment à travers la lande , à la recherche d’une vérité inscrite ici ou là ? et où ? sur quoi notée ,? sur sdes arbres ? sur des bouts de bois ? ramages ? nous cherchons des  vérités de poids pouvant faire accroire à telle ou telle divinité (la mort de base) que nous nous donnons «corps et âme» la belle affaire ! tu parles ! que dalle ! juste quoi ? un peu de sang de soi ? ou quoi d’autrte ? eh bien : le Temps passé à graver que tu graveras une vie passée, des betes de poids = vie passée de rage = des tourments = du verbe «troué ) par la ba nde = par ici ce pic acéré, ce piqous de la base rude, ce pic-pic des données coriaces, charge complète. je m’avance en roche du temps comme un enfqant sur son terrain de jeu de vie. je regarde ici et là les betes des temps, elles broutent à qui mieux mieux et ne s’en laissent pas conter des sornettes loin de là. je suis homme(ombre) sur prairie , qui chgerche à percer l’hymen d’une sorte de vision nacré e des tourments, des rudesses et autres duretés d’une vie à vivre ensembkle (= à tous, acccumulé ou accouplés). je cherche une voie.. je suis là qui me chercxhe une voiooe d’abord, lm’endroit par où passer : trou de rage ou trou de rat ou trou de balle ou tyrou de quoi en définitive ? car je veux passer coûte que coûte de l’autre côté mais par où passer et comment passer et comment passer sans trépasser voilà le hic. Car voilà en  érité ce qui m’importe ici kle plus ! Je voudrais passer de l’autre c^$oté de la roche finale (fin fond) mzais cela sans (bien sûr) tyrépasser le moins du monde = par la bande = par le jeu de l’oie = par le christ = par l’envie de rage vive = par un mot de trop qyui serait ce mot prononcé (à la courte paille ?) par l’enfance (?) ou par l:’enfant (?) en soi = cette bete des données rupestres = bouquetin ! Car je suyis je, dit bouquetin des données de base. je serais ce jke de la base à être en vie, en vie dans la mort. je serais cet enfant commùe chu d’on ne sait où , qui vous  nargue (sur kles bords) tout en vous parlant ce choses et autres concernant la vie de roche, le jeu sur prés, les bêtes placides, les riches hreures du jeu attitré à pareille roche. je cherche données cfrontales pour aller plus loin en roche du temps. je syis homme qui recherche dur à travers la lande des raisons de base à pouvoir déployer incidemment sur terree de rage (planisphère) et comprendre alors le chemin nacreé, la voie royale, la voie des données brutes, le bon grain, le qui convient. je cherche à voir autant qu’à comprendre . je vuex voir la cghose rude, ce cghemin tracé sur roche : plan d’attaque au débotté, chemin facial ? Je herche que tu cherchezras la chose sur le tas = à même la roche du temps, en marchant = en vivant ou de son vivant. je suis cet homme des tourments (une vie) allant de biche à biche dans le pré à la recherche xd’une vérité de bon  poids bon oeil , qui puisse me donnezr de quoi piger vif, longtemps, ce qui est en roche, ce qui est sur roche qui se trame, etc. je voudraois aller ainsi bon an mal an en roche des temps, comme muni d’un langage fort (dit «des certitudes») qui puisse pour moi représenter cve qui est, ce qui existe en tant qu’arme de  front, arme pour défense de son propre nom. je suis hommùe ainsi quyi cherche à percer roche de son  om de base (arme ?) et ce faisant se présente en tant qu’être d’une enfance de l’être, ou alors comme un garnement cherchant querrelle par le verbe à déité . je cgherche à compfrendre vif ce qui est mais vas-y, c’est coton, ça ne se laisse pas guider par lebout du nez, faut creuser, faut y aller, faut cghercher, ça cdema,nde du nez mais aussi de la volonté et aussi une aptitude à savoir se glisssr ici ou là en cette roche fluide du temps déployé par la bande, c’est vrai ! C’est pas évident mais cela est incidemment pour tout le monde = pour vous et pour moi quyi allons sur roche des prés à la rencontre d’une sorte de déité prénommée «chaloupe» 

(?) ou comment prénommée ? comment s’appelle-t-elle ? quel est donc le nom de cettdéité de poids surnuméraire ? déité des déités ? chezrcheuse de merde ? comment s’appelle -telle ? chaloupe à la mer ? je cherche ! je ne suis pas en reste de chgercherr fissa que tu cghercheras fissa le nom d’icelle ? est-ce : «morte caillasse « ? est-ce mort de rage calfeutrée» ? est-ce «vie de base mortuaire» ? est-ce chant choral des allées cde rage «? est -ce «chant d’azur et du temps perdu» ? je suis là pour comprendre en tant que je swuis cet êztre déplacé (cxhevelu un tantinet) qyui cherche à comprendre, qui chgerche que tu chercheras à bien cerner les données rupestres d’un (dit) homme des cavernes ici = cet homme (chevelu grave) qui trace que tu traceras des betes de poids (étonnament ressemblantes on dsait pourquoi) sur roche du temps dépôsé comme un présent de choix (des rois) pour une déité au nom à trouver (jeu de base de la rage et du bonnet). je commence à comprendre on dirait. je cherche le nom ce que c’est mais pas fgacile de trouver car il est bien  aché (où ?) ici m^emme (roche des appre^ts). Je cherche ici ou là ce nom de base. qu’est-ce que c’est ? ce nom de déité est... eh bien on sait pas ! on chgerche continument, on cherche tous azimuts, on cherche sans cesse, on ne s’arrete vpas cde chercher ici et là le nom de la «bête» ou de quoi qui esrt devant soi (surnuméraire) cette chose d’une sorte de paroi du monde mais vive, rude et rugueuse (camionneuse ?) on sait pas ! On veut savoir ! on veut comprendre ! on veut deviner ! on veut la vérité ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut etre mis au jus ! on veut connaitre les données frontales d’une vie au débotté déplacée (de place en place) sur oparoi du temps déplisszé. on est aindsi qu’on veut la vérité vraie. on ne veut pas cde faussetés de quoi que ce soit mais vérité vraie, courante, fine, vive, qui soiit disons utile ou sinon utile ferme, so;ide, arquée, pouvant suypporter des données placides de type aurochs et autres mammiferes de forte consistance et de bon poids bon oeil de rage par la bande. nous voulons toucgher à une vérité de rage dure mais sans trépasser, c’est-à-dire sans chuter. nous voudriiiiions co:mprendre ici même (roche) un certain  ombre de données vives (données de paroi) qui soient pour nous des vérités de bon aloi à pouvoir diffuser sans gêne ici ou là au fil de nos recherches. je regarde devant moi et que vois-je ? une déité dont le nom serait à rechercher (oui : pa r la bande) en veux-tu en voilà par cette chose d’une sorte de course poursuite, de course racée, de recgherche vive. nous aimons aller et venir sur roche, nous voulons aller sur roche et ensemble (toutes et tous d’une même rage d’^tre) aller et  venir sur paroi du monde , à la recherche d’une vérité de poids et de bonne présence à être (à être l’animal de choix : l’être suprême). je regarde devant moi et je vois quoi ? déité nacrée ! déité des déités ! déioté de la roche et des prés ! dékté rugueuse ! déité rageuse ! fil de soie ! Je cherc he ! je voudrais co:nnaitre ici =même (temps)- la chose crument = dsans son jus = finement tracée = dessinée au cordeau = mise sur orbite et jetée ainsi à la vue de cellkes et de ceux qui ont des yeux pour voir et des esgourdes pour entendre le cri primal, le chant sourd, le bruit des profonds qui sortt de terre , qui sort inciddement de la terre basse, du trou de rage, de l’excavation rupestre de base. je suis homme de  ce temps des rages célestes, quyi cherche à s’approcher vif des vérités de base, des qyui sont pour soi massives, confondantes, qui le fassent, etc, car nous voulons savoir ici (la roche du temps) ce que c’est que ça qui devant soi ou devant nous tend à être (pour nous) la déité des déités royales, j’ai nommé «La Mort». mort des jetées, mort des grèves, mort des mers redressées comme des êtres. je cher che à piger ce qui est et le nom de chaque chose ce qu’il est, mais ce n’est pas simple loin de là. c’est fdur à comprendre. je tente ici ou là incidemment quelques apperoches ou quelques essais ou comment on dirt, je dis ceci puis je dis cela, j’avance des noms puis d’autres, puis encore d’autres, je joue à quyi perd gagne ou comment ? je  joue à comprendre, j’avance des données, je dépose des vivres et autres victuaille= je pa rle, je dis, je dis des chgoses et autres, je dépose des présents de vie (le verbe) à même la roche du temps octroyé, et cela en dit long sur ma v ol:o té de ne pas passer = trépasser on l’a compris . enfant de la haute ou pas, enfant des prairies et dxes sous bois, enfant touchyé par (ici) la bande lan gagière des appuis debase (les tourments d’une vie) j’a vance à pas ee géant (ou pas) sur ce chemin de vie vive, chemin de vie à vivre ensembkle ( «toi et moi») à même la paroi. je cgherche une sorte de Voix grave qui saura (hou la») dire le nom du roi ! hé, pas si simple ! Car je suis l’enfant ici de lka roche et des tourments (une vie à vivre) et ce qui est pour moi est cette dureté de front, ceette chose rude des ap^ports de vie, cette rugosité raciale, humano- frontalo- coriace etc, qui encombre, qui gêne vivezment aux entournures, qui n’est pas facvile à mettre de côté ou comment pour piger à vif, éclairés, les choses du monde tel qu’il erst = deéité nacrée, chant des ruines (?), données acides d’une mort ancrée dans la terre ou à même la terre. c’est ainsi que nousq nous effa çons «ensemblke» de terre-mère, tous au cimetière, et finissonsq. nous dsommes toutes (et tous ceux-celles qui devrons finir ensemble dans le sas des xsas rupestre = la paroi du :monde, mais comment faire pour ne pas sombrer de rage en ce sas des sas de bonne guerre ? nous cherchons ! nous voulons savoir ! nous voulons toucher la chose devant soi mais sans s’y brûler les ailes etc. ici le but n’est pas de trépâsser mais de... jouer à trépasser hé hé ! on l’avait compris kl’autre matin déjà il semblerait mais vas-y ! cherche ! essaie ! pas simple ! pas simple de deviner ! de comprendre ! de trouver ! de toucher ««« la vérité vraie ! d’utiliser les mots à bon esciennt ! pas si simple en vérité ! ça colle ou comment ? c’est pas (loin de là) de la rigolade-maison ! ça colloe grave ! ça colle de fait ! c’esst une chose rude ! c’est un truc ! ç ça pèse ! ça charge ! ça commùande, etc. ! et nous pour comprenxdre on a à s’approchezr en roche de la Chose des fonds, cette Chose là-bas postée au fin fond des travées de base rupestre, et cetteChose la toucher = «la toucher la toucher», à même le Temps d’une sorte d’embardée votive «dans le sang», on dira ainsi. et cela «ensemble» = tous et toutes, toutes et tous, en termes de gens divers , gens communs, gens des communs. nous devons toucher à cette vérité dex roches, des parois «osseuses» du monde (l$e bassin des prés et des bois) et là : oup ! on saute le pas ! on nait «à soi» (hou !) , on francghit la cghose d’un cercle de vie allouée, on est passé (de l’autre côté ?) à travers la Joie, le Je, lke JEu;, la CHance des données rupestres de la Voix. je chjante ou je crie ou bien je susurre, ou bhien je dis à basse voix des choses de poids comme par exemple que je suyis ce’la ou cela, que je suis homme ou que je suis femme ou que je suis roi ou qyue je suis prince ou bien princesse des parois du monde ou reine des prés verts aux betes de poids. je serais un homme aux bois de ramure, je m’avancerai en joie sur un bout de terre lacustre à la recherche d’un mot de la rage et du ruisseau qui nous dirait ce qu’il faudrait penser ou ce qu’il  faut penser de pareille déité des termes justes, de pareille divinité des mots alloués à une  gouverne de rage motrice, etc. je cherche que tu chercheras à comprendre les données de poids qui président à la Vérité de la grâce et du déroulement nacré des cghoses royales en ces prés. jeveux comprendre ! ça oui ! ça je veux vivant = ça, cette chose rude, je la veux de mon vivant ! Je voudrais compren,dre ce qsui est ici sur roche qui semble vivement ou pas mais volontiers me regharder et ne pas me lâcher. vcette chose ici (déité ?) pa rait monstrueuse, coriace, rude et dure à la fois comme une porte raide, un portail lourd, fermeture ancrée, rudesse. et moi de chercher à pousser la porte lourde mais Ccomment ? moi (ici : paroi) qyui cgherche incidemment à pousser que tu poussezras la porte (vive,, nacrée, vcolorée) des données de base,, des données de rage, déités des déoités. mais comment pousser ? vas cvomp^rendre. ça pèse un âne mort. c’est mortel comme ça pèse. pour pousser pareille porte -déité vas-y. ça va chezrcgher dans les x ou xx tonnes ou comment ? xy ? Je voudrais qu’on me dise les choses vraiment ici bas et que je sache tout, or je vois que non, que les mopts sont là (en bouche) quyi courent à part nous comme un fait exprè§s, en avance, ou comme avec un temps d’avance , et nous de courir après en essayant de co:mptrendre or que comprenons-nous sinon la foi ? que faisons-nous sinon de bonne foi ? que disons-nous sinon cette foi à  dire ou faire ou comment le cxhemin verbal de la terre entière, de terre-mère, etc. nous cherchons à dès lors comprtendre ce Verbe de poids sanguinaire ce qu’il cgherche en soi à dire de base. nous nous regroupons pour chgercher ensemble les données p^rimaires, les bases, les mots de démarrage, les vélléités primales, premières, princières, longitubdinales. nous avons à cerner ensembkle toute une série de choses du monde, concernant ici  ou là ces données de rage pariétales. les betes ezn nous sont là qui vitupèrent, hurlent leur misère et nous d’entonner pour elles nos chants de paeroi. nous voulons comprendre ces chants animaux ce qu’uils sont pour nous qui c reusons la roche du temps pour faire accroire (diversion) et rester sur terre-mère à courir la gueuse, le man,ant, la xsalace et le tourment de bure. nouys ne voulons pas faillir à nos obligaatiuons terrestres, nous voulons tenir la dragée haute d’une vie humaine à vivre (humaine endiablée) et pour cela le verbe monétaire, le prix de la Voix ancrée, la rage des dires poussés par la bande sur roche des présq. je chante à tout va la romance. je connais le Verbe de la joie de l’être naissant (né à njamais). je suis n,é à kjamais ! Je suis né (= nouveau né ?) à jamais ! me voici sur roche du temps comme n é à jamais muni de ma gouverne (pariétale) printanière des tourmenrts de base à (semble-til) devoir écareter par la bande = par icelle bande de la roche et des tourments liés à pareille roche qyui sezrait la vie à vivre de concert (toi et moi») à même la bande traçante, la paroi meuble au firmament. je grimpe. je monte. j’use de ma voix de rocxhe (puisque c’esst ainsi que je peux la chose ici). je syuis homme rude, homme qui va fissa chercher querelle ou quoi à une déité de poids devant soi dont le nom sezrait «tourmente» ou bien ‘«colère» ou bvien «rage» ou bien «cris» etc. nous avons ensemble (tous et toutes) à comprendre ce qui est et ce qui n’est pas ici bas (= base) et pour cela nous allons à l’abordage, nous sautons lke pas, franchissons le pas, allons vif (fissa) vers cette Chose devant soi appelmée parfoisColère, Colère-trépas, ou Colère-envoi, etc. nous devons trouver le nom dxe la Chose rude. nous nous devons de trouver (de chgercher et de trouver) dans le temps octroyé le nom, ce nom dép^lacé, ce nom déposé, ce nom placé, ce nom posé, etc, d’une déité-divinté- virginité nartive = une vie de base vive, ce t oiseau. nous devo,ns toucher la timbale des données rapides (natives) d’un oiseau de belle envergure si tant est. car la mort est cet oiseaéu de base native (naïve) des parois. nidicole. nnid de roche nidicole. je vais voir. je vais , et je veux voir. je veux voir et savoir. je voudrais cerner la roche dans le temps de son appa rtition rupestre et comprendre (pour moi) ce qyui et ici qui semblerait me regarder = me concerner de  base, me voir en premier ou comment ? car je suis là, car je suis présent = ce présent de temps fait incidemment sur roche en, tant que présend’offra,nde offert à déité-divinité dont lke nom est «Mort» et dont le petit nom est «canasson» ou peutêtyre tout autre (on cherche) incidemment. nous voudrait savoir le bnom vrai (avéré) de la mort à l’oeuvre, ou son petit nom. quel il est ? quoi est-il ? quoi est-ce ? ce nom là est il ceci .: la prairie ? ce nom-ci est-il cela : la jolie prairie des betes de poidsq ? nous ne savons pas et nous cherchons à mort, nous n’arrêton,s pas de (voilà) chercher que tu chercheras « à même leverbe « (c’sst un cas !). jhe voudrais comprendre long = longueme,nt = vif = beaucoup = sans cesse = sans trêve = sans souci , eh bien tout cela qyui nous concxerne au premier chef d’une sorte de raison de base nôttre, et tout cela = la Vie de la vie et la Vie de la mort, mais aussi la mort de la Vie et la mort de la Mort, etc. je dis ce qui est pour moi que je vois car je vois. je vois plein de chosesq, ou plutot non : je ne vois pas mais les mots voint pour moi, les mots que je prononce. je cgherche à savoir le nom de la mort pour moi, ce qu’il est et ce qu’il n’est opas. car je ne sais pas. je ne sais rien de bien juste ici, concernant la mort son nom, soit en vérité son vrai de vrai nom de type jhoie d’être, vie d’allant, vie vive d’allant octroyée à un nom surniuméraire. que penser en vérité cde cette chose comme quoi la mort porte un  nom «de plus» que ce mot de «mort» ? que penser du fait que la mort est une entité rageuse ou  swerait ? que penser du fait que la mort pour nous est la fin de tout alors que non, que c’est faux, que les bêtes elles, pour elles, sont et restent en vie de rage pour l’étern ité ou quelque chose de ce genre ? que penser de cette cghose comme quoi je suis et je ne syis pas un être vivant parlant ? que penser du fait que je suis et ne suis pas dans le même temps ? qsue penser du fait que voilà, je suis un être dees parois «de sang», je cherche à même ma gouverne une chose de poids, aurochs & consorts des parois dures, censés pouvoir m’aider à y voir clair de plus en plus, à com^prendre loin, à cerner les choses du monde dans leur crudité de base

. je cherche à tout va et ne m’en laisse pas surprendre, conter, mener ou autre verbe de type de ceux qui sont là pour indiquer le fgait que vous êtezs bérnés et comment! car voilà en vérité ce qui est : les mots (de base) vous mènent par le  bout du nez . vous arrivez après ! Vous êtes à la rama sse du verbe ancré. vous êtes comme dispensés de la rage en ces mots de base mais en vérité que dalle , vous êtes toucheés. je voudrais comp^rendre un  certzain  nombre de données rudes liées au fait de vivre une vie sur terre, et pour cela je me mets dans cette chose d’une sorte d’attitude de vie vite, de vie «rapide»entre guillemêts, etc. je force la dose ou sur la dose. je force les traits continument. je pousse que tru pousseras. je chercvhe à franchir en force les données rebelles à un entendement lambda, ou commùent dire cette volonté qyui est la mienne de traverser que tu traversearas les données lunaires, et faisant cela aller loin dans des découvertes, dans des vérités ancrées ou perchées ou vers de telles vérités de base contenues incidemment ou autrement mais véritablement en  ce sein des seins d’une rage à être vivant «dans la mort». car voilà exactement la chose qui est , qui nous regarde, nous concerne au premier chef. nous voulons connaitre de kl’intérieuer la mort ce qu’elle est mais (évidemment ) sans passer ou trépâsser (le verbe aidant ?) . nous voulons toucher à cettye mort de choix, ici ou là peu importe car cela qui compte c’est cela comme quoi nous voulosns (par le Vzrbe) toucher la paroi , la paroi de face, soiy t la chose de rage qui nous fait face, ou bien au delà, cette chose au delà de la roche du temps = ce firmament. nous voulons comprendre les données de base naissa ntes, ces données des pzarois des temps, des parois de roche dure (le temps) et ces données , une fois comprises,voir ensemble à trouver où lesz déposer en tant que présents (de pacotille ?-) offerts à qui de droit qui nous attend. la moprt est La Déité des déités c’est un fait, à laquelle on le voit on  croit de force, obligé puisque voiloà le Verbe en nous inculqué nous l’impose de fait et c’est même tout ce qu’il fait. et pourquoi cela ? parce que. parce que le verbe enn  nous est un animùal de basse compagnie, forte t^te, grizzli ou autre bête surnuméraire, qui va et qui vient dans le temps de nos incartades et autres prérégrinations rupestres ou pariétales. nouys portons en nous le Verbe-animzal de la foi dans l’être de la :mort tracée. nous devons nous placer en roche ainsi que nous avons à faire ici, par la bande langagière et en vie. or voici lka chose : la mort ok est une entité à part entière. elle nous suit de près, ne nous lache jamais c’st un fait. Ok la mort est une Chose rude devant soi qyui est à creuser ici ou là, on voit ça. on se dit que la vie est portée par le verbe cru, qui chgerche à tracer xon tracé de bure, son animal de co:mpagnie , sa bête de  voix, son  cri de base: ok. mais qauoi dire alors de ça,comme quoi la mort est cette donnée devant soi qui cherche à nous toucher à vif, à nous faire trébucher, à nous jketer à terre comme des va-nu-pieds de rien ou de misère, que dire ? nous pensons que nous devons poursuyivre ensemble ce chemin de bure, «à toi à) moi», et ainsi bnous porter jusqu’au chevet de lanimal de poids surnuméraire, cheval des prés, cheval fou, prince fou des prés , cheval en vie, cheval puant la vie comme un fait exprés. nous voulons touycher la bete des prés. nous voulons toucher la bête rude des prés. nous voulons nous approcher d’icelle bête rude, dure, des prés, qui serait une bête belle, bête rude et belle, bête racée, belle bête de poids et de rage à etre cette bete des parois des roches. nous  voulons toucher la bête forte ! la toucher ensemble (continument unaninimazement) et ainsi fait nous rezgarder, nous parler, nous dire ce qui est pour soi, pour l’un et pour l’autrecx= échanger nos dires, nos avis, bnbos idées, nos sentiments sur cette chose d’un toucher de base, d’un toucgher fol, d’un toucxgher ici d’une sorte en soi d’entité qui seréait la Chose à toucher «par la bande du temps». les mots du Verbe incidemment placé en nous à notre naissance , sont mots de rage ou de kla rage à dire (affirmer de base) ce qui est ici , pour nous, en termes de «mort à vivre un de ces qua tre». nous disons cela comme quoi les mos sont mots de rage à énoncer le Verbe de poids de type bête-mort, b^ete de la mort de l’être. nous disons  cela ici, comme quoi la mort pour nous est une entité à part entière, inscrite = verbale, qui bnous nargue depuis toujours ou depuis (plutôt) que le monde est monde parlé. nousq cherchons à toucher la mort mais... sans la toucher pour ainsi dire, ce qui est en vérité proprement impossible, car vcoilà la chgose qui est, qui est là pour nous qui nous rega rde : on ne peut toucher la mort sans la toucher ! non et non ! i!l est purement et nécessairezment et tendrement et fortement et gentriment impossible d’agir de la sorte ! La mort touchée est la mort touchée et dès lors implique la mort ! = la mort du pertit cheval et la nôtrte pa r contuiguyité ! Nous avons à toucher (peut-^tre ?) la mort (si on le dit !) mais pas cde suite et pas en vrai et si possibkle jamais ! car la mort est vive qui nous rapte comme un rien en deux temps trois pas, et vas-y duconno à revenir sur tes pas c’est impossible ! Voilà ce qui du coup est là pour nous en termes de données données par la bande. les mots sont la foi. le verbe est ancré comme une (nôtre) misère. la voie d’acces à l’éternité est cvomme surnyumértaire = en trop. je regarde devant moi et ce que je vois =  cette parade, cette cavalcade, ces chevaux de bois, ces faussetés mais qui font poids, qui marquent (les esprits malins) comme un fait exprès qui suffirait à nous sauver un temps, un temps plusq ou moins étendu mais tout de même. nous voulons savoir ce qui est qui nous atteznd de pied ferme, et pour cela : le Verbe nacré ! la voie royale du verbe nacré ! Les mots d’allégeance ! les mots d’une rage dans le dire vif d’une foi dans l’^tre de la mort à l’e uvre sur terre. bnous devons toucgher les mots (le verbe) et pas la mort ! voilà tout ! touchons au verbe de la mort (pour ainsi dire) et surtout pas à la mort en elle-même. nous toucho,ns la mort via le Verbe (nom des choses rupêstres) et pas directement elle. c’est aoinsi que nous sommes (un temps = le Temps) sauvés par la bande dite langagière des tourments d’une diction rupestre cavalière : sûr. nous nous apliquons à comprendre. nous vouylons aller en  ceette rage des dires célestes au plus lointain possible sans trembler, sans chuter ou sombrer. nous voulons toucher au verbe (oui ?) sans toucher au reste = à la mort de près. nous sommes deux en nous (nous verrons qui) à chercher à toucher à la mort sans y toucher. mais qpourquoi toujours vouloir savoir ? pourquoi do,nc toujkours a ller en rocxhe du temps déployé à la recherche d’un savoir de base mortel ? nous ne vcoulons pas mourir (c’est dit) mais savoir. mais comment savoir  ce qui est ou ce qu’il en est, de cette chose, de la mort à l’oeuvre, sans passer du coup par la case «mort» ? car la mort est quoi ? trou de l’ombre ? squoi donc est cette mort xdes parois meubles ? le mot mort « est-il la mort ? le mot mort» est-il la mort soit so,n emplacement ? hé hé qui sait ! nous (de notre côté) nous l’ignorons. nous serions réellement ravis de pouvoir vous apprendre bezaucoup sur la questions mais voilà nous sommes des «couillons» qui savent peu de choses en vérité quand nous aimerions être très informés sur mille et une cghoses, sur la Vérityé vraie des Vérités qui comptent et en imposent. pour quoi savoir kles choses ? car nous sommes animés d’un verbe bruyant (en nous) dee recherche active ou dit tel. en nous (betes de poids) les mots caracvolent qui vont droit devant voir à se ficher en roche commùe autant de mots de bbase rupestrss, comme par exemple le mot : buffle, ou bien le mot bison», ou bien le mot «bouquetin des prés sura joutés à des terres vues en rêve. nous  voulons cerner à grands traits les vues d’esprit qui sont ceklles que (ensemble) nous avons à comme «toucher» par la bande en étant vivants. nous sommes deux (ouiiiii !) qui allons ensemble chevaucher la bande (ou lande ?) langagière des tourments et autres duretés d’une vie terrestre. nous voulons tracer sur roche le  nom de nos pas. ou bien le nom de nos trépa s ? nous voulons sur roche ensemble tracer des noms qui seraient noms de cxhoses de poids comme aurochs ou dromadaires, ou cheval (canasson ,) ou bison. nos noms sont des noms de bêtes. et la mort aussi porterait (ah oui ?) un nom de bête ou quoi sinon en v érité ? La mort est-elle cette cghose ici ou là) qui nous guette , nous reluque de pied en cap et cherchye à nous ab sorber de rage en son sas des sas de la rage à vouloir attenter à nos vies. les lmots sont là pour distraire, faire contrepoids (et quel poids !) et nous laissezr pour ainsi dire au p;aisir de rester vivant. nous ne vopulons pas passer crûment l’arme à gauche si rapidement mais durer. et pour duurer il vaut le verbe, ce paratonnerre. le verbe de la foi en luui même (on l’a compriixs : le par  coeur;, le iumpossible à lacher ou à déswapprendre). nous disons pour nbous cette chose comme quoi kle Verbe est cette chose en nous prise en étau, quil nous est proprement impossible de pezrdre en chemin , qui est là en nous comme à njamais incrustée , qui est ce paratonnezrre, ce bouclier, cettte affaire de survie ou plan sur comète. nous avons, portons, en nous-mêmes, cette chose du Verbe muni, du verbe étoffé, du Verbe collé, etc, qui peut faire ainsi que la mort nommée soit cette chose d’une sorte de prolongement en vie de la vie. je m’explique : on dirait  cette chose, comme quoi le Verbe en nous inculqué dit la mort des choses et des êtres (la nôtre pour commen,cer) comme un fait exprès, ou comme un fait de société, ou pire  : comme un fait surnuméfraire. or pas du tout. la mort ne dit rien de tout cela. le mot mort est la voie de rage, cette voie d’abord (dans le xang ?) squi est le chemin de la foi dans l’etre de la Voix divine, ce cheval. je veux savoir = je comprends la voie . je dis cela comme qyoi la mort pour soi est un mot qui renvoie à un ensemble global lexical, qyi dirait les données profondesq, qui nou!s servirait sa faconde a minima ou pas ma is saurait nous aiguiller ici ou :à sur le chemin de vie d’une rage (personnelle, nommée) en devenir. je suis homme qui cgherche à savoir kes données profonxdes. l’importance des pa rois du monde, ce sas : c e que c’est que ça. je cgherche (nous chercvhons) à comprendre ce que c’est que cettye roche devant soi , faite de Temps présent (offrandes de jhoie = du jeu = de je) qui semble devant nous attezndre «après nous» comme si bnous (de fait) étions des etres de la roche et des combats de roche, autreezment dit des animaux gravés par autrefois des hommes rupeswtres. or quoi ? nos noms sont des entités de rage dépôsées sur roche (peut-etyre) mais suffiront ils pour faire accroire et nous preotégezr ? un temps, il semblerait. car la mort erst un enfant  crédule, candide, frais, naïf, comme tombé du nid il ya peu, etc. la mort est un enfant qu’o,n peut berner un temps (un temps peut ^etre court en vérité). je chgerche à savoir cela qui seraitr pour nous. nouys voulons troucher à cette roche lointaine (secondaire) qui pourrait peut-êttre nous donner de nouvelles infos de poids bien réelles sur ce que c’sst au juste que la mort dite (elle aussi ?) «surnuméraire». nous nbous appreochons peu à peu de la vérité. car on a dit ici cette chose il y a peu, comme quoi ;la mort (en vrai) sezrait quoi, serait un e,nfant ou l’enfance, ou l’enfance reztrouvée, ou le retour cghez soi ou dans un chez soi , qui sezrait co,mme le ventre de sa mère, l’espace de l’avant langagge articulé = pur azur et tra&lala de rage à naittre., nous voulons comp)rendre ensemble ces données de base con cernant l’enfant ou l’enfance, temps naissant ou temps de la na&issance. nous voulons comprendre ensembvle icellkes dsonnées de poids, ces données de rage dure, ces motrs dses paroisq : bouquetins malins, cris de bêtes, aurochs de rage vive, bison de carême, chevaux des données rupestres asservies, chjants de guerre, prix d’amis. nous coulons aller en roche incidemment fissa par la ban,de = par la bande langagière d’une voie d’abord surnuyméfraire tu l’as dit. et pour ce faire p;longer.  plo ger tete première de destinée. creuser la roche au pic de Verbe a céré : trompe des merveilles, nez de près, colère et misère associée ou accouplée. le VErbe est de la terre-mère l’enfant comme choyé par elle. je serais cet homme des parois de grootte, nu vermisseau, cxherchant de l’eau fraicxhe à même la pierre et trouvant quoi ? trouvant cette sorte de bière ! ce caveau ! cette déesse des caniveaux, ce dieu des ténèbres, ce prince maffré, ce cri des guerreezs vénales, ce chant rude des parois maussacdes, cette mort de rage vive menaçante. nous sommes deux = nous sommes nus. Nous sommes deux = nous sommes venus à la roche nus. nous so:mmes deux = bnous sommes de la bande et du sommet de l’être. nous sommes deux à naitre en naissant. nous bnous retrouvons nus, vifs, ethérés, connaissant le VErbe un peu mais ne sachant en prononcer le tiersz du quart d’une gouverne, car naissant et non n encore ét(offé. je regarde deva nt moi le monde «s’ouvrant» par la bande. j’entends parler. je se,ns venir à moi des choses de poids  soit qui pèsent leur pesa&nt de rage verrte. que sont ces bêtes ? des mots graves (gra vés ?)  ? peut-^tre. c’est possible. pôurquoi pas ? les mots pèsent dde tout leur poids surnuméraire dans la balance du temps. les mots sont des betes qui pèsent grave dans la balance ou balance du temps»»»». les mots pèsent grave, sont betes de poids, pésent grave dans la ba lance, ne s’en laisse pas conter ou se se laissent pas comme ça démonter tout le contraire : restent accrochés et bel et bien, comme des morts de faim. les motqs s’accrochent à bnous et impoossible de s’en éloigner, de les écarter, ils ont pris racine et terminé. du coup la mort (h»é hé) est (serait ?) tenue à distance, un temps, serait dép;lacée(?) un temps, et nous serions pour le coup sauvés (un temps) pour nottre aise. je cherc he à comprtendre ici les données frontales,  ce qui est devant = danjs le temps en cdehors du temps. des mots de ra ge terrestre ? ah peut-êtrte. verbe colmatant des trous de rage ? qui sait ? le  verbe, le verbe est comme l’ami fidèle qui jamùais ne vous laiss (laissera) de côté. d’ou cette chose comme quoi le Verbe est rémora de rage colère. il colle aux bbasques. vas-y voir à t’en dépêttrer tu peux toujours y aller ! Les mots collent (vu !) et collant ab sorbent «des choses « : quoi ? je ne sais pas. je pense que les mots sont là (para vent ?) qui absorbent grave au fil du temps, absorbent deschoses ++++, absorbent ++++ des choses de poiods mais comment et pourquoi ? nous cherchoàns : nous devons nous écarter, nous éloigner du Verbe premier (de raison) et cher cher ailleurs des solutions à nos problèmes. le moment ici serait venu d’un tel faire , d’une telle recherche vive à menezr. nous voulons aller loin loin loin en besogne dans nos recherches. nous voulons eznsemble tracer à vif ou vif, vif tout court, les choses du =monde terrestyre, lmes données de base, les tracer sur roche (aurochsq ou bouquetin) pour berner. blouser l’enfant-roi de la paroi (pour ainsi dire, mais peut-on le dire ?° Nous cherchons à toucher la parole du temps, l’animal des temps dépl;oyés, le firmament ou la timbale décorée (dép;loyée ,) qui est  cette chose lointaine (deuxième trait de rage) qui, il semblezrait, nous attendait ferme sur le pied de guerre (merde). Nous nous approchons du temple. nous nous approchons du dieu des déesses. nous nous approcjhons du temple sidéral. nouys nous a pprochons d’une sorte de déessedes temps nus. le verbe est là qui tamponne grave les données de rage et autres monstruositée mortuaires. je syuis homme xes paroles dans le vent (le sang giclant ?) d’un souffle de rage qui sezrait tout droit sorti de là, mainmise, cris de guerres dures, chant des prairies = ce trou, ce trou de la nuit, ce trou du cul de basse roche ? ce trou noir ? ce trou nacré ? ce trou de roche consacrée ? on cgherche d’où, mais comment faire pour trouver ? à deux ? s’y mettree à deux cxe serait mieux c’est dit ? on dirait qu’à deux , cghercher, c’est mieux ! on dirait que cela à deux ce szerait bien mieux et plus instructif et aussi plus juste, ou comment ? qui en fait de deux au juste ? qui nhous sommes ? qui est nous ? qui est ce nous des déa mbulations pa riéto-frontales ? qui est «nous» qui disons jke ?. je est-il du nous de contreba,de ? ah peut-être, nous l’ignorons. nous sommes deux qui cherchons àç comprendre «pourquoi deux» et pas «un seul élément» au nez et à la barbe d’une déité (La mort) comme rencontreée (on voit cela) en rocxhe du temps. si le temps est une roche alors la mort est comprise en e’lle, c’est ainsi ? nous chezrchons à dessiner à main levée des choses de bon pôids de rage, comme aurochs ou betes de roche, cheval ou bete de poids, bouquetins ou bouc, jument gracile, animal verbal, ours des cavernes ouvertes, chant d’homme déplaccés en roche ou de femme des f irmaments. je cherchons ici même (roche dure) à toucher x données de base et autres notions premières concernant la vie de la mort et la mort de la vie (par croisement des données entre elles) et pour cela, une seule sqolution : la guere ? la guerre da,ns les balkans ? la guerre primaire ? le chant des partisans ? lm’ambiance délétère ? le cri vif de la bete mourante sur roche ? oh que dire à ça, qui va là s’inscrire : que dire ? qsue penser d’icelle dionnée ? nous ne voulons pas trépasser du tout ou sinon quoi ? nous voulons allmer en roche à la recherche xde quyoi ? la bete (en nous) court depuis belle lurette et ne s’arrête pas comme ça tu peux toujours y aller. en nous la bete court touyjours, qui râle toujuors, trépigne grave, râle que tu râleras grave, etc, et nous d’obtempérer : comment faire ? les mots de la rage (en nous : naissante’) sont de ceux quyi sont (injures de masse) à devoir gra ver fissa sur roche des parois de grotte ici ou là (france, espagne, etc). NOus devons comprtendre une cghose là comme quoi la roche est «perçable» fissa  de base. nous nous appliquons dès lors à percer icelle par le Verbe = pa r un pic de bave ? nous cherchons ! NBous ne sommes pas sorti de l’auberge, à devoir (illico presto ? fissa ,) chercher que tu chercheras par la bande les données de poids de type agraire (?) ou pas peut-êtte mùais quoi qu’il en soit : de très bonn poids de base. et  ela pourquoi ? pour berner le roche, enfin la roche, diso,s la paroi, disons le dieu de la paroi, disons la déité incor^poré dans la matière pariétale d’une roche de Verbe Alloué. nous voulons cerner = toucher la roche (le Dieu de la Roche) soit quoi ? la mort ? l:e dieu de la mort ? nous diso,s le dieu pour dire ;:a foi , soit la foi ancrée

, le par coeur pour ainsi dire = le par coeur en nous d’un verbe de rage corpôréifié. nous devons toucher icelui dieu des parois dures des mots déposés dans le v ent. qui souffle ? l’enfant ? où ça ? dans la flûte, le pipeau ? pourquoi fait)-il cezla ? pour nous amadouer, nous  charmer, nous faire aller : aller de l’avant en dansant ? nous chercbgons à bien cer ner un certain nombre de données de base située sur un devant de soi amical (?) ou pas mais comme déposé par la bande (le temps d’une sorte d’élocution) . nous cherchons grave ce temps des parois collégiales; verbe aidant nous nous avançonsq. BNous sommes deux à gra ver (ensemble ) la roche. nous sommes «nous deux» (ensemble) à graver Roche des tourments , de notre pic de v erbe saignant, etc, à même la pierre tombale. nous ne voulons pas mourir mais toucher. nous ne voulons pas mourir mais nous voulons toucher. nous ne voulons pas (du tout) mourir mais toucxher lamort «sans la toucher», ou comment dire : «sa ns y toucher « ,; on cherche. faire ainsi sans donner l’impressiion d’y toucher, ou commùent ? sans y toucher toucher ? ou qauoi ? comment on pourrait ? on est là, on cherche, on veut savoir, on veut des notions, on veut piger. veut-on tant que ça piger ? que cherche-t-on en vrai de si i:mportant en soi que nous aimerions connaittre ? qui connait la vérité de l’etre de la foi dans l’etre ? je suis homme cdéplacé = je suis né. la mort est l’enfa nt des termes. je suis arrivé jusqu’à l’aube du temps naissant, et  ce par la bande dite langagière dyu temps menaçant (lews tourments de base). je suis n,é enfant pour une vie de Verbe attenante à quoi ? au temps déployé ? au temps dévidé ? au temps éloigné ou étiré ou déplissé ou déroulée comme un fil de soie ? Je suis homme dur de sa rage d’etre vif encore et non mort à vif ? ou commênt ? je cxherche à comprendre crûment les données dxernières d’une vie à vivre vivant ou d

‘une mort plutot (à vivre vivant ? par la bande ?) et pour cela : le verbe = le tampon = le motif = le dessin = cette chose en interfa ce déposée fissa par la bandxe sur un terre plain = cette rocghe deva nt soi qui est le temps placé «ddevant» comme un souffle de vie nouveau né, ou noubvellemeznt né, posé de rage, surposé ou comment dire sur table d’offrande comme un met. nous nous a pprochons de ces données rudes telles que là, pour nous, ellesnous apparaisszent. nous voulons aller vers elle accoutré ou comment dire : habillés, voilà! et pas (cette fois) nus comme des vers de terre, ça suffit. noys voulons nous pointer habillés, vêtus pour l’occasion d’un vêtement chaud, peut -êgtre de misère (bure des oiseaux) mais tout de même , chaud devant, chaude pelisse des élans. nous sommes des bêtes de poids au verbe haut. nous gueulons sur rocxhe nos mots dits «de merde» et autres atrocités.nous ne voulons pas décéder de si^tot et c’est  cela que nous disons, que nous assénons, que nous gravons sur pierre de taille. notre but ici est de cghercher parade, de creuser l’écart, de touchger timbale nonchalanmment ou sinon lentement vivement mais de grâcedans le sang ou comment ? dans le sang xdes roches dures ? dans le sang perlé ? ou dans le vent ? dans kle vent de face ? dans ce vent des roches ouvertes à notre vie de buve ? Nous nouys adressons directement à une déité de grande fortune , à une sorte en roche de divinité de la lune et des vfoixw deesx roches duresw; nouys cherchons... carosse ! où nous poser, où monter, ou aller avec ou comment ? nous cher chons le caroosse des contrées princières, y monter deda ns et rouler de rage en veux tu en voilà à même la lande, déplacés de rage, enfants faons cherchant l’enfant d’un devant de soi déplissé. nous sommes sur roche des temps vifs. en caroosse amie. nous sommes nus ou habillés pour l’occasion dans ce carosse peu importe, car nous sommes promenées, portyés et choyés comme des bébés. nous sommes bébés d’or, chant d’oc, pointe vive

pointe vive sur roche des temps. nous avons à vivre une vie de rocxhe des tourments, nous devons poursuivre. nous sommes posés. nous sommes portés. nous sommes princiers. nous sommes des betes de poids sur roche du temps , da,ns carosse , dans carosse doré de la roche du temps. nous voulons cerner les données royales d’une roche dees tezmps déplissés par la bande dite du firmament. bébés d’or aux mots de roche, bêtes-mots durs, chants des contrées de rage, vers des plis tracés. nous dessinons à main levée des betes de poids, imposant leur superbe aux yeux ddes déités déités des embruns et autres vents de facve; nouysz parlons le langage des êtres de peu, mal fichus, mal p^lacés, mal mis, mal habillé, malhabiles. nous nous avançons ainsi accoutrés, ainsi placés, ainsi dép;oyés, ainsi dépl;issés, ainsi présents. nous voulons comprendre les données du temps, le mot de la fin, le chant des matins soyeux. nouys touchons au but, 

le temps est là qui nous maintient en vie dans les roches nacrées; nous voulons comprendre ce qui est. nous cherchons à cerner le temps des données rageuses; le temps est donnée de vie. le temps est à donner en vie. le temps est donnée de vie à donner pen,dant la vie. la vie = don de soi en forme de temps dép^osés. ou comment ? le temps passé est ce que nous donnons à Mort de rage (cet enfant crédule) pendant le temps de notre vie, ou commùent dire ici ? nous sommes en vie = nous donnons . vivre = deonner. vivre et donner = vivre . comment dire ? nous donnons le temps passé au fur et à mesure que nous avançons dans l’age de la vie à vivre fissa comme un tourment, une tourmente, de buffe, de bure ou buve de choix. nous poussons les recherches avec volonté, avec tenacité, avec force et avec envie. nous chercghons à toucher la chose dép^la cée, la chose du devant des données, nous cherchons à toucher à vif la chose vive de la vie qui (devant nous) semble se déplier comme un tissu de base, momot de rage,  mots donnés àar la bande traçante d’une naissance.

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25/03/2022 

nous sommes ici (roche) pour cerner au mieux les choses du monde. nous sommes ici réunis pour cerner au mieux les choses du monde. nous sommes deux qui voulons trouver à comprendre. nous nous sommes réunis, nous sommes deux, nous cherchons ensembkle. ce que nous cherchons est lié à une chose rude de la vérité. Nous sommes ensemble, nous voulons comprendre les choses du monde, soit du monde devant nouys . ce devant de nous est la chose la plus importante à comprendre; bnous sommes ensemble qui cherchons, qui voulons comprendre le monde etc. nous nous sommes réunis en cette roche des apprêts et nous cherchons à y déceller des choses de poids. nous avons ensemble (autant que nous sommes)) à comprendre un certain nombre de choses concernant la vie et la mort ici-bas et pour ce faire nous devons allaer ensemble en ce sas des sas pariétal qui est devant nous cet espace de conviction. nous nous approchons d’icelui et nous entrons en lui par la bande. nous cherchons ensemble à percer la roche, nous nous joignons collé-serrés pour ainsi traverser l e temps, soit la masse de ce roc de base, de pareille roche aux données primaires ou premières. Nous voulons comprendre ensemble ces données et ainsi en avancer dans la connaisssance. nous sommes deux qui voulons aller en roche à la redcherche d’une vérité de poids qui puisse nous do,nner de quoi satidsfaire notre envie ou nottre besoin de savoirs de toute sorte concernant les questions (ici adulées) de vie et de mort. Et pour cela : entrons ! passons à travers cette roche du temps ou dite «du temps», et pour faire cela il est nécessaire de se bien coller-serrer ensemble, intimité, proximité, étreinte, amour adonné, etc, et fissa entrer en cette chose rude ou dure d’une roche de fin fond de grotte. ici nous serons à l’abri et pourrons nous consacrer à l’étude des données premières, le chant d’icelle paroi va nous en ap^prendre de nouvelles, etc. nous aimons la roche pour ça = cette chose d’une sorte de donneuse de choses diverses concernant les questions de base , vie et mort dans un sas de roche, vie et mort dans un sein des xseins pariétaux. nous voulons ensemble toucher = trouver. et pour cela il nous faut entrter en elle (roche) tête la première, fissa on l’a dit, sans chercher plus loin soit à fond les manivelles = à la une à la deux on fonce, on entre, on s’introduit, on passe, on va, on est ainsi passé de l’autre côté de la paroi (épaiisse ? c’est une question !) et là, une fois passés, on rezgarde et que voit-on ? des betes, oui. de grosses betes de prairie, de type aurochs ou ce genre de mamifères. nous sommes deux = unis ici (roche = temps) pour com-prendre = prendre = prendre avec = avec nous on prend, on saisit, on prend pour soi, on attrape, on se dsaisit ici de cette chose de visu = une image en pied d’une bête de poids pour notre gouverne = notre espèce de piquet de chance, ce pic à nous de guidance à travers le monde. nous voulons cerner des choses ici (roche) afin de mieux comprendre ce qui est au juste ici en présence . Nous cherchons ensemble à comprendre ces données, bêtes de poids sur un devant (temporel ) de soi, ce que c’est. et en effet, qu’est-ce que c’est ? qu’est-ce donc que cette chose ? que voit-on quand on s’approche de bêtes pareilles ? que sont-elles en vérité ? que voit-on à travzers ces bêtes ? il sembklerait ici que pareilles bêtes devant soi soient cette chose d’une sorte d’écran de rage, de pare-tonnerre, de calfeutrage etc. il semblerait ici (roche du temps) que betes et autres masses soient cela que nous cherchons à bien comprendre ensemble = cet espace de supervision, cet espace ancré pour une vision intercédée, espace de choix pour un tamponnement de soi pris entre deux feux. nous voulons comprendre ensemble << et pour ce faire il est juste et bon de nous immiscer en roche (religion du temps) et là bien voir, ouvrir en grand les yeux , ouvrir grand les écoutilles et chercher à qui mieux mieux les données frontales de cette chose dont le nom ailleurs est «mystère». or est-ce bien cela qui est ? est-ce le mot juste ? y a til ici un mystère des données célestes ? on peut le penser mzais on ne sait pas . on ignore tout. on cherche à tour de bras mais ce n’est pas simple. on sz dit que la chose ici à cerner au mieux est celle qui (grosso modo) concerne les bêtes. ces betes de bon poids paissant l’herbe v erte des prés et prairies des roches. nous cherchons à cvoir au mieu-x cette chose : ce pré aux bestioles. cette chose d’un interespace dépposé ou sinon déposé placé ou vcomment nous exprimer ici en la matière ? car il xwsemblerait que nous ayons affaire à une sorte de tampon de rage, forte masse, animaux massifs, poids d’abord, exposition à même l’antre, une excposition entre x et x soit entre deux feux. nous voulons toucher la bête et pour cela nous approcher d’elle pas à pas. nous voulons nous approcher de cette bête, nous en approcher fissa et la toucher. nous voulons nous approcher de cette bête et la toucher afin de ressentir l’effet sur nous de sa pelisse à nu (à cru), ce qu’elle nous ferait, ce qu’elle pourrait nous donner comme informations en ce qui concerne la véracité de nos visions, de nos pensées, de nos approches. nous comptons sur elle, la bête, pour comprendre les données de face, cet espace d’entre-deux, ce champ limité qui est comme interposé entre d’un côté la conscience vive (les mots de la rage) et de l’autre l’ensoleillement d’une stratosphère à distance de notre gouverne (pensée céleste) . nous voulons ainsi déplacer la bête (en pensée ?) pour voir derrière, découvrir ce champ de  luzernz»» derrière, etc, qui serait le Pré dans toute sa splaendeur déitéale. nous cherchons à déplacer icelle bête des Rois. pour ce faire : notre pic ! le Verbe nacré ! la chose ancré ! cet apprentissage inculqué ! cette chose des apprêts de base. nous voulons aller en roche à la recherche cde données de bzase, données fortes (= massivement et pariétalement bestiales) qui eussent pu (pour nous) nous en apprendre tant et plus que voilà ici ce qui est ou sezrait : nous aurions pour nous de quoi nous parler, échanger, correspondre, mélanger des dires à plusieurs et ce au mieux pour une notre gouverne nacrée (à son tour nacrée). c’est-à-dire que voilà : nous aurions de quoi navifguer à vue en toute bonne foi ou sinon foi, en bonne intelligence ou comment ? de raison ? avec raison ? avec quoi de plus ? nous voulons entrer en roche et cerner les données de base qyui président à pareille position (pour tous et toutes ou toutes et tous) en cette Vie de rage telle que , oui, nous la connaissions du temps de notre vie sur terre. nous cherchons à bien toucher la bête de près = la toucher vif = la toucher la toucher en vrai. nous voulons cxomprendre cette bêgte ensembkle et pour cela ensemble (à deux  ?) la toucher la toucgher, de manière à «‘dépasser» pour ainsi dire l’animalité constitutive de pareille donnée, d’une donnée comme elle, comme cette bete devant soi qui est donnée, qui est une donnée donnée par la bande, donnée de poids à considérer, à bien envisager ou considérer etc, et du coup à prendre en compte dans notre décompte. nous devons aller en roche ici (temps) pour toucher la bete. toucher la bete = comprendre = prendre quelque chose de la bete. ce quelque chose de la bête une fois pris nous avons à cerner (dès lors) l’espace de ma turation quyi s’offre ou s’offrirait à nous. cet espace-temps des données primaires edsssentielles. nous avons à nous avancer vers les confins. nous avons à traverser cet espace ou champ des convenances pariétales, aller loin en icelui , jusqu’au bout du bout si tant est. il y a ici (roche du temps) un espace à bien considérer ensemble. cet espace est espace de vérité. nous devobns aller ensemble dans la profondeur de cet espace. nous nous devons d’aller ensemble dans la profondeur, dans une sorte de profondeur qui est profondeur des espaces déployés temporellement. nous avons à comprendre ainsi ici ce sas des données premières, ce que c’esst au juste que pareil espace déployé, ce qu’il contient en termes de vérités, de savoirs, d’appuis. nous voulons comprebndre cet espace-temps déployé ce que c’est pour nous qui sommes entrés en icelui bon an mal an incidemment et t^te la première (généralement). temps donné pour une gouverne dite printanière (à comprendre). nous voulons ensembkle ici (roche des temps) cerner cet espace d’intersection, cet espace-temps déplissé et déposé pour ainsi dire (déposé ?) entre d’un côté des confins interplanétaires (peut-être) et en amont quoi donc ? une treille ? un chais ? du vin ? une sorte de vigne vierge ? raisin de corinthe ? nous cherchons ! Nous voudrions savoir profond et loin = des données et des données. nous voudrions connaittre les débuts du monde et les finalités d’une vie à traverser. nous sommes à deux entreés pour faire ainsi que nous fussions comme formés à des savoirs de rage à pouvoir dépployer à vif sur terre, inciddement, volontairement, cvomme deux entités qui déploient de s dires de conserve, chant choral azuréen, beauté des voix déplissées à même la terre, sur paroi meuble, sur tapis. nous voulouns toucher à bete devant soi placée. cette bête est une bete qui (de fait) en impose grave, masse de beauté, et du coup bnous protège un temps (pour ainsi dire) des attaques à vif de cette déité lointaine appezlée «La Mort». car la bete (le mot-bete) est ainsi comme déposé ici (devant de vie) pour nous protéger, pour faire ainsi que cette Mort ainsi dénommée , cette mort des apprêts et des lointains nacrées ne vienne pas trop vite nous enquiquiner. le mot -^bête est là dans sa massivité pour nous protéger (inclusion  , inculcation). nous devons toucher icelle bête en vrai = à deux = massif devant soi = cette chose de parade . poids surnuméraire (on le sait). nous n ous devons de bien nous approcher sans l’effrayer de cette bête de beau poids surnuméraire, la toucgher la toucher, et prendre « pour ainsi dire un peu d’elle en nous : le verbe . et voil;à qui est dit ! car ici (temps royal) la bete est cette chose en vrai dont le nom est Verbe. temps des passages inversés, temps massif des données frontales, temps des temps dé»plissés par la bande ici (roche) temporelle des données cruciales. croix d’azur au débotté. chant de la plus haute tour érigée. tenture ? tomahawk d’une aventure ? nous cherchons ensemble les données basiques déployées, ce qu’elles pourraient nous enseigner en termes de vérité, de belles et douces et tendres vérités à embrasser. nous voulons toucher à elles (les toucher) afin d’en avancer fissa sur  le chemin des connaissances inculquées ou commùent ? desz savoirs de rage. nous nre voulons pas trépasser c’sset un fait (et un dire vif). nous voulons aller profond en pareils parages mais sans succomber aux charmes élyséens de la mort à l’oeuvre, de pareille entité détestable, de cette déité des apprêts à ne pas croiser. nous voulons aller profond dans la connaissance des données de rage ici posées, soit déposées, présents de ta race, dépo^ts d’armes, chants de buve, ordonnance, mise au tombeau. nous avons à chercher des choses rudes oui, on sait cette chose, on comprend, on voit un peu, on est un peu voyant, on s’approche, on cherche lentement, on avance pas à pas, on s’infiltrte , on s’immisce, on trafique. on voudrait comprendre l’animal de rage (aurochs et compagnie) ce qu’il vient ici représenter en terme de données vives. est)il ici pour tamponner ? interférer ? intercéder ? interromprte un fil de données ? est-il poids de rage pour un pis-aller ? est il façonné à l’ancienne : chant des roches en canopé ? est-)il un etre à part entière ? vue d’angle ? ou colère vive déplissé sur tapis de feuilles et d’herbes vertes ? Je suis près de cette bête?. je m’approche d’elle. je suis près. je suis tout près d’elle. je m’approche de son poil de crin. je suis là près d’elle pour la toucher, compre ndre ce qu’elle est en termes de v»éérité vraie. est-elle vraie ? est)elle une vraie dure compacte bête des apprêts ? est-elle une rude et belle compacte bête des données célestes ? est-elle une amie, un ami, un genre, une donnée de base, un poids réel, une douceur ou pas, un chant des attributs de base? est-elle colère enrzacinée dans un cham de betteraves ? qui sait ce que c’est que ça ? qui sait ou saurait ce que c’est que cette chose-là ? qui sait ici ce que cette bête de bon poids moléculaire est ? qui sait ce que bête de poids est pour nous qui sommes tout près d’elle en vérité = à l’intérieur du verbe ? Nous voul;ons cerner les notions, les avoir pour soi, les comprendre, les avoir pour soi au fond de la gorge, au ventrte, au sein ou dans le sein;, dans notre ancrage ou comment ? nous voulons savoir ici pour nous la bete ce qu’elle est au sein de nos entrailles. un ancrage , des entrailles, ou ce genre de données de base. nous cherchons à piger le Verbe vis-à-vis du ciel. nous voulons comprendre ce que c’est que cette chose d’une sorte de donnée bestiale interposée, ou interdéposée, intercédée, interdite, ou interplacée etc, entre d’une part la terre nourricière (notre mère à tous et toutes) et d’autre part le ciel des données rupestres (chant, collecte, amours, étrangetés). nous voulons toucher la bete pour passer de l’autre côté . la bête = le v erbe. le verbe = la voie. la voie = la peine, la douleur, la chance, kla rudesse, l’inconfort, la maladie, la dangerosité. nous sommes ensemble réunis pour un faire à devoir cerner, à devoir déployer de rage, à devoir introduire, à faciliter etc. nous devons ensemble aller en roche à la recherche d’une sorte de tribu de bêtes fauves, temporalités, qui serait , tribu, notre soutien de vie à vivre, soit étai (appui de rage) pour continuer, pour continuation sur roche des temps déployés; nous voulons toucher la bête. nous devons toucher la bête. nouys nous devons de toucher la bête. nous avons à toucher la bête. nous sommes qui devons toucher cette bête de joie et poursuivre ce chemin de joie à même le temps dit «de la paroi des roches et rocs». notre envie est délimitée à ce type (ici) de dires envoutés. nous sommes somme, nous sommes un ensemble, un massif. nous fonçons comme des acharnés dans le tas des betes rupestres = nous parlons langage de tribu agraire, facillitatrice de destinée, présentialiste, chargeant à fond leur caisse ou caissete de base de denrées diverses alimentaires, fruits de la passion, dattes, poires, melons, tomates, vin de base. nous voulons aller profond dans du dire de vie, à même de nos dégourdir, de nous sauver, de nous soulager (sauver ?) un temps qui est le temps du déploiement à même terre-mère. offrandes à déité on le xsait. quelle déité ? celle-là qui est devant soi. temps choral des extraits de rage : saturnales. je suis homme des données données de base, sur paroi du monde, déplissées. je vzais et je viens en cette roche ouverte pour cette affaire d’une simple entrée de corpuscule (nous) en son swein joli (bois des cavalcades, sous-bois des pârades). nous avons ensemv$ble à toucher la bete à bois, à cornes, à ramures, à pique-ramure, à feuillets. nous devons toucher icelle bête-mot de rage des parois de roche. nous nous devons d’en avancer dans les connaissances et de creuser que tu creuseras dans le tas : betes de poids, betes en troupeau, chants dégorgés, outremonde des pârois données. nous devons aller ensemble en elle (paroi simple) puis , une fois icelle travezrsée, chanter nos chants de rage, intercéder, nous placer enttre,, voir au loin devant nos mirettes, nous avancer. nous devons toucher à la bête de poids devant soi, qui est du Verbe, qui est Verbe dru = crue = insultes plus que vives. nous devons toucher icelles et en avancer plus plus, sur chemin de buffe, sur chemin des souffles mùortels, sur ce choemin du souffle mortel menant à l’antre. je rega rde devant moi le Temps des passades, il y a quoi, il ya des betes de poids en nombre conséqueznt. elles broutent l’herbe des prés. elles ne se laissent pas abatttre. elles sont toutes à leur affaire de paroi. elles sont sages. elles broutrent que tu brouteras un jhour, peut-êztre, sait-on jamais ce que nous serons dans... le passé ? ou bien comment ?  car la vie est circulaire, tourne et retourne ,,et volette et vrille sa luette, etc. il s’agit ici  d’une sorte d’embardée votive dans kle sein des seins sidéral . il s’agit icvi d’une entrée dans la matière dure du temps déplissé, des temps forts, des entrées de rage, des données de base, du val de prairie, des entrées vivaces, des cris et autres chants du monde pierreux. je m’approche d’une bête fzauve, elle me voit mais fzait-elle cas cde moi ? pas suûr plus que ça. Je cherche à toucher sa peau = sa pelisse = son poil = son crin = sz$a charge. je m’approche d’elle vivement. elle me regarde sobrement, elle fait peu cas de moi, de ma gouverne temporelle. elle est attribut de joie. son nom plaide pour elle puisqu’elle s’appelle joie de base céleste. beau nom   de parade? nom beau de charge amère ou sinon amère acide ou comment ? elle sent fort ! elle pue la bête ! ezlle a chié sous mon nez ! rien ne la freine ! elle est née divine et peuple la terre m;ère. je regarde ses attraits de base animaux, son etre de charge. je suis là pour elle l’explorer, la regarder avec attentuion et avec sérieux et avec toute mon amùitié. je la vois qui mange que tu mangeras de l’herbe grasse. verbe acidulé ? verbe nacré ? verbe éploré ? verbe comment ? verbe de joie ? verbe des parois rudes ? verbe interposé pour faire accroire et repousser les échéances funestes ? verbe déposé en soi comme une vérité ancrée indélogeable de fait. les mots (animaux) en nous pèsent cde tout leur poids de charge indécrottable et, ce faisant, tiennent «un temps» (à comprendre) la mort à distance. les mots ancrés (inculquées ) en nous font office de tamponnage, sont ce qui en nous (via la foi) nous permet de faire ainsi que la mort attende, soit patiente. nous cxherchonszv  ensemble à comprendre ici (paroi) ce quyi est de ce qu’on voit soit de ce convoi de buffle trépignant. nous devons comprendre ce que c’est que cette chose de la foi dans une sorte de verbalité massive de bon poids de charge. foi = ancrage = entrailles = ventre = voix = vivacité en notre sein de base humain (humaine ?). nouys voulons entreerr en ce sein des seins pariétal devant soi = le temps devant soi qui est temps-espace à vivre = donnée massive = cxharge = verbe = donnée de la rage et du cran d’arrêt. nous devons percer mystère ici de pareille masse devant soi. de quoi s’agit-il ? est-ce donnée vive ? tambourins ? quoi est)-ce ? nous avons pour nous à déplacer la roche massive du devant de soi alourdi (le temps) par du verbe ancré (indélogeable à tout jamais ou sinon comment ?). 

ce verbe de masse animale devant soi = temp-espace à) vivre ensembvle (gentiment) dans un sein de base nacrée, déployée comme une guirlande. la terre est cette cxhose de passage, mise en bière sous le vent. je suis homme et femme secondé. je suis un homme secondé et une femme secondée. je suis donc homme-femme secondée . ou comment ? homme-femme secondé ? homme-femme secondé ? hommùe & femme secondé& e ? je cherche à déplisser le verbe, à assouplir, à faire défiler, à déployer, à faire ainsi que le verbe eût son mot à dire etcx. chant des luzernes. je cherche à entrer en cette roche devant soi dont le nom est Roche avec l’accent(?) ou comment siinon  ? je cherche vif en moi des raisons, du verbe, des mots de bascule, des poids votifs, du tout cru, de la belle mise en bière, du temps. je suis homme & femme à cru sur roche, cherchant ce mot du verbe initial, cette bete aux attributs, ce buffle monacal, sidéral, commun. je suis un homme des recherches actives au sein d’une roche primitive de type (exemple) aurignacienne ou magdalénienne.  hje cherche que tu chercheras vivement à traversz cla roche du temps adjacent (= là) les mots de la col:ère monstre = cette joie du je en nous déplissé comme une carte. je voudrais comprendre ce qui est ici , en termes de joie de vivre en  ous = ce feu vif d’une coulée de lave en nous = cette envie de vie en = en cette roche devant soi qui est roche des temps impartis déployés. nous voulons comprendre ce qui est ici pour noius de la joie de vivre pareille embardée votive. injurions ? dfaisons quoi ? disons ? disons du dire de joie = injures massives = aurochs = Verbe à l’unisson ? que devons-nous fzaire pour tenir en joie notre gouverne animalière ? eh bien peut-êztre nous toucher ? ou bien comment ? aller sur roche ainsi accolés ? nous placer ainsi en cette roche des données massives acolés-serrés ? mis en orbite ? je suis là qui cherche pour moi, qui va fissa pour ça : recherches actives dans le sein des seins de la paroi du temps. nous devons comprendre ensemble << ce qui est de ce qu’on voit ici devant soi qui s’agite. de quoi s’agit-il en vérité ? qui nous dira un jour la vérité ?  devons-nous courir après ? qui parle en moi qui dit ce qui est ? qui pour moi parle en cette roche des attraits de base = ces tourments de bois, ces cornes amères, ces bois de parade : ramages, floraison, damage et autres venaisons temporo-spatiales : qui ? car ici la terre est meuble, on s’y enfoncerait à tout jamais : pardons . nous devons cerner la roche rude (son «minois») et  comprendre ce que c’sst que cettev chose de façade, etc. je suis homme du temps déplisszé comme une carte aux données de base : routes et voies d’accès, chemins vicinaux, sentiers de randonnées, passages pour la voie ferrée, autre donnéesz de base vives. nous avons devant nous le Verbe outré qui «pisse», qui «file», qui se «vrille», qui cherche à percer , à tracer sa courbe nacrée. le verbe est un devant de rage monacazl (? ) ou comment : abdominal ? l’être de l’antre ? je regarde devant moi la bête des prés, zlle broute que tu brouteras, elle mange à vif, elle rumine grave. elle est la bête des temps concédés. elle porte le nom de sa gouverne animalière = une présence en dur de rage = une insulte constitutive. je suis là pour voir cela, ce cri de paroi = cette charge à fond des données, ce rentron, cette peine des parois de charge. je regharde. mon oeil est oeil de base native, je vois les données comme «s’étirer» ou comme «s’allonger» sur roche, sur pierre d’offrande. je vcoudrais piger à fond les données données qui s’allonge,nt ou s’étirent nonchalemment, ou se glissent ainsi sur pierre froide, sur pierre d’offrande. je voudrais y compre ndre quelque chose à la fin mùais vas-y comprendre ! Je szerais ravi d’y piger un tant sqoit peu de toute cette affaire ici de charge, ou sur toute cette affaire, sur pareille affaire de charge verbale. car le VErbe est en nous ce soin, cette parade. beurre affable. je cherche à comprendre?.$. j’en ai pas fini de comprendre, de chercher à. c’est une évidence ! pas fini du tout. car la vie de rage est longue coomme tout. je cherche à comprendre dans mon sang ce qui est ici qui va de l’avant, qui semble se charger au firmament de pareilles contrées célestes, se charger de rage remontée. je cherche à co:mprtendre ici (sel de mer) ce qui est qui va et qui se contourne et se vrille vif et grimpe et chapeaute et entoure et cingle etc. quellle est cette chose tourmentée aainsi  ? qui sait ce que c’est ? je m’avance en roche du temps et cxherche à déceler les choses cde base qui commanderaient. je m’approche de ce firmament sus-nommé, cet endroit des fonds de cave. je suis bien avancé ou me suis (bien avancé) en lui = en ce fonsds des données vives. je regarde ce qui est qui se présente. on voit quoi de ça ? de la mort on voit ou vezrrait quoi en vérité ? ion voit pas grand-chose. c’est fermé. le monde est comme cloturé sur son propre êztre)-monde, hum. on comprend. on voit. on sait. on dit. on parle. on affirme. on dit avec sérénité, des choses ancrées ou qui sezmblent l’être. on dit ici et là des choses de base na tive et on y croioiot (c’est la foi) et on va et vient de la sorte : disant des dires de poids de base, disant dires divers, dires de base vive, ancrage au demeurant, turpitonades»»», déplacemeznts, soulagement, couillonnades. je me meus ainsi dans ce vent de face : parlant. je suis homme rude à la croyance, homme dur de la  croyance, homme rebelle. je veux comprendre  ce qui est au monde de si «pla nétaire» ? la vision globale ? la donné de rage intergénérationnelle ? qui sait le pourquoi du comment le Verbe est ancré ? quyi sa<it cela ? qui pourrait nous aiguiller ? nous informer ? nous donner de quoi co:mprendre ? qui connait la base et le sommùet de l’etre de la vie cde rage terrestres  (rupestre ?)? qui a tout co:mpris ? qui sait tout ? qsui a tout vu ? qui va devant à la rencontre de la déité des mondes frontaux ? je voudrais cerner les choses du temps à même la roche, dessiner la bête de poids, l’aurochs assidu, le bison volé, la chamelle, le taureau, la chèvre, le bison doux et le bouquetin des allées des frères. je suis cet homme au sang donné qui parade devant déité pour impressionner et conserver pour lui sa base de vie en faction ou en action. nous ne voulons pas mourir de sitôt. nous avons bon espoir de rester en vie, de courir tantôt sur la roche, sautiller si nécessaire, jouer , nousamuser aux jkeux des mères, etc. je suis homme-bête à mon tour, je vais à larencontre de la déité nacrée qui a pour nom la mort ou bien Trépas. je regarde dev nt moi, je suis prêt à interférer, à m’immiscer entre = ezntre ça et ça = entre la poire et le fromage ? ou quoi ? entre kla vie et la mort. et qu’y a til entre la vie et la mort ? une vérité ? laquelle ? entre la vie et la mort on a quoi , on a le Verbe ! c’est un fait de base acquis ! ça pulse grave sa misère mais enfin çàa pulse. le verbe est co:mme la plaie, la plaie tracée. le verbe est une plaie de rage animalière, piqueton. nous cherchons ensemble à nous approcher d’une sorte de paroi guerrière animalière, combat de coqs bruyant,s, combats nécessaires (?) car la bête a faim de congénères pour certaiones , pôur elle. Je regarde devant moi le bond de la roche, le saut de la base, le doux remue-ménage pariétal = cette cabvalcade. je suis fou de rage après la Chose déplissée sur paroi votive : ici est la chose = la vivace, la betasse, l»ancrée de ta race, etc. j’ai nommé la/

... rage ? ou la .... mort de l’ange ? Je cherche assurément ! Je cgherche avec gravité. je n’abandonne pas mes recherches de poids, mes recherches ancestrales. je veux être parmi les premiers à comprendre : pourqoui ? parce qque  ça me plait de comprendre ce qui est ? non ! parce que pour moi c’sset indsispensable = ça me met en forme ou comment ?  ça m’oblige à, ou non : ça s’impose à moi depuis tout petit. ou alors qu’est-ce qu’on pourrait dire ? car pour moi le vif des choses reste toujours, devant, cette cjose à explorer cr ûment par la bande. je ne lâche pas. je veux comprendre le pourquyoi des choses mises sur ce tas de roche . je ne veux en aucun cas me faire blouser. Je veux piger grave. je veux comprendre  ce qui est qui nous attend grave. je veux comprendre au plus les données de base qui commandent à nos destinées, qui font ce que la vie est. je suis dès lors ici monté , remonté, etc, pour une recherche vive à mener dans le sens des vérités nacrées à trouver, à chercher fissa et à troouver pour soi (d’abord) et pour qui veut qui s’y intéresse de près . je suis homme des recherches déployées. je veux toucher la vérité vraie = l’animal en soi sorti de soi via ce verbe de poids déposé comme un prése nt de rage sur paroi du temps : insultes à agents maussades, à gringalets, à Mort en branche, à cet être des données sades ou comment ? je cherche vivement et ne m’en laisse pas conter ! car la vie est cette donn,ée animalière mise en quarantaine. je regarde vers le fond des roches brûlées, kl’estomac ? le quoi , l’antre ? un ventre ? encore ? le retour en arrière ? on revient chez soi ? ventre de sa mère ? gargouillis de hjoie sous le tas ? Je cherche à comprtendre et ce n’est (certes) pas simple tout le temps, il faut se loger et se lover avec attention et se prêter et se donner avec affirmation et penser à des choses, à des données basiques dites «de maintenance placide», etc, et là peut-être. Car le vie des devants est une courbe ! la vie devant soi est courbe allongée. il s’agit de comprendre cela comme quoi la vie devant n’est pas un trait de rage menant à la mort devant ou qui werait devant (où ?) mais courbe des temps déplissés en parlant <<, courbe de la roche et des appreêts temporo-faciaux. devant moi il y a un viçsage permanent. devant moi il y a la permanence d’un visage «alloongé». devant soi il y a visage de joie (je) mis ainsi en quarantaine tempoorelle, déposeé -posé sur roche-firmament, mis ainsi à plat comme le nom de la luzerne, de l’herbe des champs, denrées célèbre (céleste); je veux m’avancer en  ce champ de parade des tourments de l’âme corporéifiée. l’^$a:me est avec le corps comme soudée , comme accolé dans une même bannière, ou comment ? antre des données ? l’âme = la chose en soi hormis ça (le corps) fait (en vérité) partie prenante, partie pleine, partie entière, de ce corps de base déplissé dans un temps de maintebna nce. je regarde ce qui est et cherche que tu chercheras à me cdéplacer en ce sein des seins pastoral. des bêtes sont là qui regardent mes fzaits et gestes, ou après eux s’enqyièrent gentiment, matent que tu materas mes allers-retours, pérégrinations rupestres ça et là, chants doux des dires vifs. je charge, je remplis, je cède, je marque, je pousse, je mets, je plombe, je développe, j’écris, je mets au propre, j’estampille, je reluque, je marche, j’insulte, je râle après la bête ici qui ne veut (?) pas de moi il semblerait, car elle me fuit. je suis cet homme des roches du temps. je cherche à comprtendre les données du monde ccéleste, ce don, ce don de soi à sa pareille (?) c’està dire à la joie d’en être (de la confrérie animalière). car voilà bien des années et des années et des temps plisszés qui sont à  maintenant   lisser ou quoi ? je cherche ! je cherche des données fiables ! je cherche à comp^rendre ce qui est de toutes ces années de base, ces années de base rageuse à devoir (?) à présent déplisser sur pierre de base, sur paroi, sur table etc, pour sa gouverne, pour clarté, pour savoir, pour vidange aussi de son antre plein à en péter. on cherche à vif? on veut aller en roche profond et trouver le Verbe inséré. ou  il est ? ou il se loge l’enfoiré ou ke quoi? car il est mauvais ? est-il si mauvais ? est-il bete de poids pr^$ete à vous écraser ? eh bé peut-être bien. on ne le sa it pas. o,n aimerazit bien kle savoir tout plein mais non. on voudrait comprendre loin et disposer nos mots de rage à notre guise, gentiment, mais non ! la base est fuyante, lesz mots du Verbe chargent et inquiètent. ils sont vifs et repoussent les velléités guerrières de la mort à l’ oeuvre c‘est un fait et tant mieux en vérité, mais enfin lkes mots sont des armes de guerre, des mopts no,n pôint édulcorés mais chargés de haine (votive ? native ? captive ?) qui fait d’eux (les mots) des betes de rage mortelle. Nous voulons co:mprendre ces données de mpoids à l’aune du temps déplissé et cde la «vitesse» d’une entrée telle qu’on la mène, mènerait, sur roche des prés et autres oparois naissantes. nous voulons entrer dans kla roche du temps jusqu’au firmament d’icelle =  cette fin de base ancrée, ce char de parade, char de base royale, chargement sacré, base du Temps. nous voulons entrer en cette roche des tourmenbtsq de base anatale, ce vent de face, cette évolution de façade, ce cri abouti, ce vif tir de mortier à notre encontre ou quoi de plus qui voudrait nous vfaire trébucher ? nous nous agen ouillons. nous prions. nous voulons prier nos paroles de vie ou comment dire ici ce souhait, cette envie ancrée, ce vouloir)-prier, cette charge. nous disons que nous voulons prier = prononcer la parole ancrée , la développer comme ruban na creé sur roche du te:mpds déployé à cet effet. roche ondulée. peine de coeur. plats de saisons. carosse d’or. nous voulopns comprendre et cerner au mieux. nous voulons cerner = encercler = cercler =  toucher; nous voulons comprendre kes données qyui sont à la base de nos vies ancrées printzanières animalières. nouys voulons comprendre les données rageuses, perlées, qui président à une destinée comme la n,ôttre par exempllple. nous voulons comprendre ensemble << (voilà) = à deux = unis = ensemble collés = mis ensemble = soumis à un encollage = mis de biais de guingois peut-être mais soudés, soudés)-accolés colmme des jumeaux de rage ensemble soudés ou accolés parv la bande. nous vcoulons toucher ensemble << la chose du temps déplissé, cette carte pour le  dire ainsi ou sinon comment ? une carte des prés ? un chant ? une sorte de façon sur roche ? dessinée ? je = nous: cherche ou cherchons ensemble; je cherche que tu cherchera s ensemble ? je suis qui ensembkle chercherait ? qsui suiis- je pour le dire ain,si ? qsui je suis sur terre pour ainsi parler à cherche-parade ? qui je suis ici pour aindsi m’exp^rimer collectivement ? est-ce ainsi que kles choses se passent  ? suis)--je comme emboîté à une sorte de contrée de base ? mis sur roche ainsi ? mis ainsi sur roche du temps : gravé ? je cherche que tu chercherais avec avec moi amitié envers :moi ou sinon pas ? veux tu la bête (en moi) être pour moi une amie saine ? je voudrais que tu le sois. j’aimerais que pour moi tu sois cette bpête de rage mortelle qui ne voudrait pas me toucher mortel, mais la mort toucher. hum... je voudrais, j’aimerais, j’aimerais beaucoup, je voudrais beaucoup, etc. que la bete-verbe mortelle ? (§, que pareille bete-verbe guerrière, puiisse ainsi comme attaquer icelle la mort de façade, frontale. je voudrais dès lors ici même (roche) que le verbe (dit animalier») puisse s’attaquer (de front) à mort la vilaine. je serais ravi de cettye cxhose. que les lmots du ventre puiissent s’attaquer fvrontzal à la mort de bazse frontalière, cettye mort d’en face, cette chose «de kl’autre côpté». je commen,ce à cerner desz chjoses , à-à comprendre un tant soit peu l’action du verbe en soi (ancré) animalier : instrument de percée mortelle. je cherche à cerner. instrument de percée mùortelle, vif de sa rage, vif (vivant) de sa rage d’être (vivant) devant l’adversité matriarcale ou comment, patriarcale ? parentalee ? nous voulons comprendre ce qui est ici qui se dessine vif dans les travées. nous voulons aller profond. nous cherchons profond à nbous dépl;oyer dans le temps de la paroi meuble, de pareille paroi de roche déplissée pour l’occasion. alors résumons ici même les données receuillies tantôt par notre gouverne printanière , voilà ce qui est en résumé : le verbe est animalier, le verbe est bete-mot de rage. le verbe est insulte de base. le verbe est guerrier (haineux) de bvase. le verbe est de base une arme guerrière, un pic de percée. le verbe est plein de lui comme une outre est pleinev de vin mauvais . le verb$be est de base mauvais, vitupère, insuylte gaiement. insulte qui ? la mort paérdi ! Le verbe en soi est ancré comme une insulte. le  erbe est ancré (pédiculé) en soi comme une insulte de basse extraction vivante. nous disons cette chose ici (ensemble <q<à)) comme quoi le  erbe en nous est une bête astrale (antrale) qui renâcle et quyi râle que tu râleras à jamais). nous pensons que nous savons que ce que bnous disons vient «du ventre» pour ainsi dire. le «ventre» parle = la bête = le sein = le mot de base = mot de rage au débotté. le mot vitupère , est mauvaiseté exprès , car il n’est pasc là pour rigoler ! Le mot vitupère après déité de base frontale, cette face de destinée, ce cvisage déposeé sur roche, devant soi comme une sorte d’accueillant de paroi. nous voulons comprendre ce qyui est ici, certte bête est là dxevant soi qui cherche que tu cxhercheras à peut-etre nousq (fissa) déstabiliser, bnous faire sombrer ou chuter, nous faire tomber ou nous ramasser, ou peut-^tre pas ? nous faire nous élever, nous faiire monter ? nous faire gravir les paliers ? Nous vou:lons aller au plus profond desz choses données, des choses diu monde, des données de poids. en nous le verbe est masse des apprêts, mùasse solidifiée = incarnée  = incorporée à notre (vive ?) gouverne animalière interne. les mots = animaux de masse. les mots en nous inculqués forment un massif de belle taille indécrottable (on se soumet) entrainant kl’entaille. l’entaille faite à même le rocher ou roc des parois du monde (la ré lité); le v erbe entaille à vif la roche rude dees réa lités du monde à vivre tantôt ou par la bande langagière ou par la bande animalière (c’est la même chose en vrai). nous cvoulons toucher la roche = percer les données données. nous voulons trouver ce qui est ici, de cela = cette voie d’abord ancrée, ce chenal = ce cheval de paradis = ce cheval dit «du paradis des ombres sur la prairie». Nous voulons comprendre ce qui est ici de crtte chose devant soi qui semble aller comme se déplissant au fur et à mesure que nous avançons (gaiement) en  cette sorte xde fdirmament aux données rupestres, aux données de rage rupestre. nous sommes deux (ainsi) qui frappons la roche : incantations ! mille et mille incantations de rage ! cris de joie ! cavalcade ! cris sur des pa rois, formes animales ici et là chargeant a près la mort comme déifiée. ca r la mort est cette donnée de poids qui est à dégommezr de toute urgence (on se dit ça)la mort est à écarter de la table (judas) de toute urgence, car elle pue grave, elle schlingue grave, elle nous emmezrde grave, elle nous fait du tort, elle jette sur n ous le discrédit car voilà : elle pue, elle pue du cul et nous de  ous sentir gêné d’etre pris pour celles et ceux qui eux -ou eklles puent du cul alors que non, c’est elke ! la cochonne c’est elle ! qui c’sst qui pue c’est elle c’’sst pas nous. c’est elle qui pue grave la meumeu paz nous. nous voulons savoir ce qui erst, ce que c’est, ce qui nous attend ce que c’est. bnous voulons ensemble découvrir le pot aux roses. nous voulons ensembvle (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ensemble !) tout comprendre = de la vie et de la mort, de la vie et de la mort du Temps, de la vie du temps et de la mùort du Temps, ainsi fait. nous voudrions. nous voudrions nous accoler ad vitam aeternam pour comprendre au mieux. nous voulons être accolés, cololer ensemblke pour former ensemble qui serait un pic rageur de basse extraction natiive mais poussant sa rage vive à même la paroi du temps, c’est à dire pouvant pousser, pouvant perforer. nouys voulons nous deux être ainsi cxollés, être mis ainsi accolés pour un genre de percée etc. nous = nous deux = elle et :moui = elle et aussi moi en moi = elle en moi = le verbe =  ceette cghose en moi + moi = cette cxhose contenue en moi = moi + moi= cette chose rude en moi = elle rude = la bête = elle = elle + moi = elle= elle et moi en moi = cette cxhse en moi quyi sezrait elle (bete-mot de rage) + moi qui ferait nous, qui ferait cet ensemble en nous qui formerait ce nous de rage bruyant. nous cherchgons ensemble (elle et moi en moi) à co:mprendre cet ensemble (nous <<) ce que c’’st , car le sait-on ? sa it-on  ce que c’est que ce nous ici de rage à vivre une vie temporelle = déplissée sur roche. verbe en soi ancré on sait + moi de rage massive = cette cxhose en nous wqui dit je mais est nous de la base et du so:mmet acide. nous voul:ons ensembke (je multipliés) ainsi a ller tete première en cette roche des données de base temporelle, et ne plus reculer. nhous voulons aller loin, nous voulons toucher la terre des lointains. nous voulonbs creuser la terre des données rageuses. nous avons en nous ce qui fait que je suis nous ou que nous sommes je , ce sujet de rage motrice (vive) qui fonce, qui va, qui cherche à co:mprendre ce que c’esst que cette mort dont «on» nous parle ici et là. la mort est une sorte de roche votive, autremonde au cdemeurant, en roche du temps, collée à c ette roche ornementée comme une sorte d’onguent. je cherche à co:mprtendre ce que c’est à même le temps mais ce n’est pas si simple, pâs si aisé, car le temps est aidant et pas aidant. le temps bousculé fait passer le sang dans le verbe, mais enfin, le  temps (ainsi bousculé, mis à mal) ne dit pas si long qu’on le voudrait, ou comme on espère, car le temps est d’aspect rochzeux,; pisse sa misère, ou plisse ? sa misère , son etre de base édulcoré, son peu d’être ? ou comment comprendre le temps déployé, ce qu’il est, ce qu’il recèle, ce quil cache de si étonnant , ou ce qu’il ne cache pas de si détonant ou étonnant. nous voulonq aller sur roche graver xdes b etscx= desz présents de base = le temps. ce temps (gracvé) est cette chose à donner cde base à une déité de type «mort», de type «décés», de type «trépad», etc. les mots sont des accroches . les mots sont des faits de guerre. les mots sont là pour faire la guerre au trépas et pads le contrzaire on l’espèrz. o,n cherche. on voudrait en savoir des masses sur cela qui pour nous est une xchjose d’importance en cette cxhose que nous sommes là (nous deux) pour ça : faire la guerre (mortelle) à la mort ou à cette mort de rage à être pour bnous cette guerrière qui voudrait de nous àç tout jamais et nous non, nous ne voulons pas céder, nbous ne voulons pas la satisfaire mais tout au contrzaire échapper à ses fourches caudines, à son  enfance, à son entrée, à son importance, à sa vivacité, à sa vision des chjoses, à son être, à sa main posée sur un pêu cde nous , à son impact, à son cri, à son chant;, à son envie ou à ses envies. pour nous, la mort est cette chose devant soi nommée, et quoi de plus ? Nous ne sommes pas perdus comme enfants perdus mais nous sommes collés comme enfa nts collés. nous sommes accolés comme enfants collés. nous sommes accolé (= Nous) comme par exemple xdes enfants qui se tiendraient permanamment la main avant de tracverser sur un pâssage clouté ou alors avant de franchir un obstacle, ou d’entrer par un porche ou avant d’entrer quelque part. le monde est ainsi comme échancré. la porte est à reperér incessament qsur place = là, porte de la voix du monde orné, chant des prés, betes brouta,nt son herb e chaude. nous voulons comprendre les données du monde, données de la base, données du so:mmet des monts de rage. nous sommes ensembvle ici, qui nous tenons la main = par la main avant d’entrer, avant xde traverser la rochje, le sas des sas. nous sommes à deux = deux = 2 = ce deux des nombres de roche. deux pour être. deux pour apparaitre ici (roche) comme ceux (celle,  celui) qui vont sur roche dessiner des bêtes de charge (le Verbe) afin d’impressionner l’enfance = la roche finale = laz mort déplissé co:mme une tente, comme un filet, comme un vetement de parage, déguisement, veture aux couleurs chamoirés, tenture au firmament, bras donnés commùe ceux d»une sorte de ... poupée ? enfance déplacée ? enfance prise et déplacée sur du devant tempoorel ou spatio-temporel de base ? Je cherche à toucher la base, la roche finale, le bloc terminal : la porte ? l’arche ? l’(arc ? le porche ? le passage maximal ? bouche des bouchées ? bouche-bouchée , ? je suis cet homme ici (paroi) qyui dessine à cru des  betes de poids comme aurochs ou autres bouquetins de belle taille, des élans de contrba nde, des ours de parade, fausseztés pouva nt faire accroire à une enfance que c’est vrai ! pouvant faire accroire à Crédulité que la cxhose est vraie cde vrai ! tu parles ! et l’enfance d’y c roire,;, zut ! on az mal fait ? on fait ainsi qu’on semble se moquer du monde ? on est comme deux en nous qui so:mmes une somme = amalgame ! chapeauté ? nous voul;ons toucher à cette vérité des monts de la roche percée : gravure au sty:let, chant des bois xdes p:laines, chants doux susurrés, chant de la plaine et du vallon, du roc de roche et des rochers escarpés. nous voulons aller ensembvle (elle et moi»»») dans la profiondeur des profondeurs. bnous voulons eznsemble (nous deux»»») aller au loin, au plusq possible loin, au fond des fonds des fonds maerins pour ainsi dire, pour COMPRENDRE = trouver. car nous sommes excités à l’idée de chercher «des choses» de type «vérités nacrées « (tu vois un peu) de type quoi, coquilles ? coquillages ? nous chercxhons à nous repérer sur p^lace (roche du temps devant sa pomme) et pour cela nous bnous paerl:ons continument, nous ne cessons (jamais) de nous adrresser la pârole . nous vou;lonsz (toujours) nous tenir pour ainsi dire le crachoir mutuellement, un coup c’st toi la bete, un coup c’est moi l’etre, et ainsi faisant on en avance grave <<, ça rigole pas ! c’est du massif ! ça pèse ! aurochs & compagnie rupêstre tu l’eas dit u(une fois et une autre on a co:mpris!). je suis ce chercheur cde base ragheuse (un gueulard ?) qui va a u-devant chercgher misère à  cette Chose (rude, à cette donnée de la base , du sommet et des paliers intermédiaires, à savoir La Mort. je ne l’aime pas des mazsses. Je n’en veux pas tellement pour moi. je ne suis pas fan de pareille donnée donnée. la mort est bonne conseillère ? oça m’étonnerait. la mort est une enfan ce rare (rage) dép;lacée, déplacée de rage.ou pas ? nous nous enquiérons de (sur ?) ce qu’elle est en vérité ! reportage , donnéez données, nous cherchons vif. nous voulons bien sûr comprendr’ et per cer la roche, percer roche et toucher et touchant travezrser de gré ou de force ou comment, cette roche dure des tourments et autres embêtements. car l’embêtement est là, devant soi, qui est cette cxhose rude (ça trépigne) qui repouusserait (peut-être) un  certain nombre d’échéances ou quoi d’autres, d’ennemis notables ? je regarde ce qui est. uyne enfance percée ? je regarde ce qui est : une sorte d’enfance de vie rapide? je regartde ce qyui est. je cherche à co:mprendre, à filer, à rompre, à  cerner, à creuser, à fracturer le coffre, à toucher à toucher, à traverser la roche ici ou là , comme un homme des temps déployés, dex temps de la rage et des beautés nacrées des fons des mers. je veux etre soudé à Elle = La = Her ou She= The Chose d’être, ou bien  c ela,  ette chose-là, ce sens de la marche = ce treacé ou ce treajet, = ce jet = ce je de rage ou de la rage à être souymis ici à  ette chose de la mort acquise (par la bande ) langagière. je suis ici homme et donnée de base = femme. je cherche à me mesurrer (en taille d’être) à cet enfant de base nu, devant soi, etre de la pluie et du beau temps, être du passé ?  je regarcde ce qui est qui sembvlerait vouloir pour soi se dessiner à même la roche : un aurochs de plus ? ou bien un phacochère ? ou quoi d’autre : bouquetin ? etre vif sur roche comme bouquetin ? ou bien : l’élan =  

L’Élan  ? peut-être L’Élan. l’animal hautain ? ce tte bête de poids sur roche? ce dessin à maiin levé : transe et incantation survitaminées. je veux être ici connu pour ça que je voudrais comprendre ce que c’est que ceytte ou ces incantation(s) dites «de la base (rageuse ?) et du sommet (cordial ?)» : je voudrais comprendre ici la Chose rosse, cette Chose susdécrite ailleurs, qui est la Chose rude (dit-on) et dure (dit-on aussi) par excellen ece ou sinon opar quoi ? car pour moi la vie à vivre = la paroi =  cette chose forte, cet aurochs, attribut de poids à une sorte de mainmise domaniale, mainmise puyissante, un espace-temps, devant soi la mer ? la montagne sacrée ? la quoi ? un massif de bienvenue ? une sorte de houppelan,de géante ? un cri venant des profondeurs, et quel cri misère ! Une sorte xde cxhant des parois, sortant d’on ne sait où sinon de derrière, des lointains entre les parois . je chercjhe à comprendre fissa, parce que fissa. je chezrc he à fouiller dans le tas du verbe posé ici ou là à même la terre (la roche, le pânier) comme une offrande à satiété. je voudrais savoir ce que c’eswt que ce présent donné en offrande par la bande, et pour cela je me dois de toujours et encore creuser la roche du temps (magdalénien?) comme un homme xesz cavernes d’autrefois, commùe une femme des cavernes, comme un animal rageur des cavernes. je dessine à main levée (mainmise, emprise) et je grave idem kla roche temporo-spatiale, le rocher du roi, la belle romance, etc. je suis homme du fond des rochers de grave. je porte le nom qu’on m’a don,né à la naissance. je suis enfance déplissée sur roche aux données acide comme la mort. la mort est une drôle d’entité votive, déité des déités ça se pourrait, prête à vous avaler commùe dxe rien , vite fait bien fait, car elle a toujours faim, n’’st jamais rassasié, veut dfe la cxhair fraiche en permanence, ne s’en laisse pas conter par nos sornettes pariéto-frontales animalières ou pas longtemps. elle en redemande permanemment. jamais ne s’arrête. elle mange à mort, elle mange que tru mazngera s sans discontinuer, il faut voir ! il faiut voir ça ! il faut la connaitre ! elle vaut le détour, elle vaut l’os, elle vaut la peine d’aller vers ezlle, se pencher sur elle, la regarder, peut-être même la toucher, la toucher la toucher, mais attention ! nattention les yeux !  c ar elle vitupère ! elle chevauche ! elle vibre ! ellke est vie de vive colère en elle ! la mort est vivante comme une huitree (une huitre vivante) qui vous observe depuis sa coquille entrouverte : c’st dingue ! la mort est cette dro^le de bestiole soumarine. on dirait cela ! On dirait cela ici, comme qyuoi kla mort est une chose soumarine d’extraction brutale, vive, pêche rapide au lamparo, et la voilà qui nous regarde, qui semble du moins nouys suivre des yeux, nous mater grave, mates que tu materas, elle n’arrête pas. lma mort est une sorte de coque marine, elle semble nous mater beaucoup, longuement, sans cesse. je regarde ce que c’est? ou du moins je chezrche ! je suis homme des parois de roche, je grave, je grave grave une bête de poids (= le verbe = le verbe au complet : «tout le dictionnaire») et faisa nt cela je fais allégeance ou pénitence. je suis comme offert mais e,n vérité (hé hé) sans réellement me donner «en échange» : pis-aller = jhouet ! c’est un fait ! c’est vrai ! il s’agit dxe ça c’est compris. je commence à deviner ! je commence à creuser profiondd on dirait, je m’enfionce dans la profondxeur d’icelle paroi de roche meuble comme un  fait exprès et c’est pas plus mal en vérité, comme ça je fais remonter des choses ou peux, je peux comme ça un peu, des choses, faire remonter ici et là, pour ma gouverne (la raison) et pour mon intuition (la veine secrète). je voudrais comprendre loin ce qui est ici (en roche) : ce présent comme posé à même «le temps» pour ainsi dire. Je demande à voir la mort. la mort n’est pas là me dit-on. ;là où ? là bas. c’est-à-dire ? c’est à dire que la moprt est là (près de soi) mais pas là-bas («au-delà»). est-ce ça ? je ,ne sais pas. je dépose mon présent de rage verbale (ce chant des communsz) et ce faisant je fais accroire (il s’agit d’un peu, d’un pas bézef, d’une misère). je pousse à vif les choses à offrir devant moi = ces mots de la rage et du sommeil pour ainsi dire. je pousse que tu pousseras le tas. je chezrche à comprendre . quoi ? lma Chose en soi = cette main tendue, cette main offerte devant soi (en vérité elles sont deux) quyi veut de vous, qui voudrait de vous, vous prendre en son xsein de base, en ce sein menu, offerty ainsi comme ouvert. ouverture de la roche du san,g ? ouverture de quoi ? nous chercxhons pareille faille (en soi ? où ça ?) mais nous ne trouvons pass ! le monde est ploein ! co:mplet ! saturé pour ainsi dire ! point n’’szset en lui ce trou où pouvoir ensemble s’ilmmiscer et dès lors comprendre. où trouver trou du cul du monde ? et puis trou du cul, trou du cul pas sûr. car le trou du cul mène à quoi en vérité ? oui, à déité nacré des dents de devant ? dentition massive ? chaud devant la bouche ? dents de reine et dents de roi ? je suis l’homme au chandail tissé par la bande, je suis habillé de pied en cap. soieries? lainages. plis. bottines. ceinturion. je m’avance ainsi attifé. je vais vers la mort pour lui parlrr. la mort est ce devant de rage temporel, on sait. on y va ensemble. on va vers elle ensemble elle et moi. elle est en moi qui vient du coup avec mpoi. je = nous par la bande. je m’avance = on y va. je suis ombre rapportée ou portée sur roche = l’animal si bien dessiné = ressemblance bluffante = satiété mùomentanée ? JKe charge, je monte, je m’élève, je renâcle, je cours, je vole à tout va. je suis la bête-mot de rage, cri dans les azalées, je fonce grave et foule aux pieds la rochje ou quoi ? la bête en moi ? je cherche à comprendre. je suis l’homme des appr^rts, des recherches tendus, dez regards appyuuyés. je veux aller loin en cette roche des temps alloués à une vie humaine; je suis homme a ttifé = fagotté. hje suis vêtu comme un asx de pique, comment  vêtu ??  je suis mal vêtu. je suis mal fagotté. je suis pauvrement doté. je suis le va nu pieds de la bande, un enfant de rien, vêtu de misère et de sable. j’avance lancé, j’avance lancé, j’avance lancé. je suis enfant nouveau né -mal fagotté dans des habits trop grand pour moi né préma turé. je suis comme un enfant xe la rage à naittre. je porte le nom de mon père et de ma mère. je suis entravé, je suis mis à mal. mon nom est gravé sur la roche des temps alloués. je suis né de la dernière pluie langagière, enfant trouvé. je parle une langue donnée par la bande à la bête en moi surnuméraire : ce vautour ou bien cette buse de la joie à être je, la bête nacrée, je regarde ce qui est devant, la roche du temps, la roche dure. je suis l’animal de fortune, l’etre en soi déplacé, cet être mal barré ou comment dire ici la chose qui est : cettte bête rosse des prés verts.

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23/02/2022

je regarde ici la roche. la roche est devant moi la chose à percer. on voit devant soi une chose, cette chose est chose à percer. on voit devant soi l’espace déployé, le temps déposeé, le temps d’une embardée. je suis cet homme nu qui va (fissa) en roche du temps tête la première. je m’enfonce en elle. je sais pertinemment que de l’autre côté une bete rosse sera là pour m’accuuezillir, mle guider, me porter plus loin; je rregarde ici les données primaires d’une roche dure, acerbe, colmatée. je suis homme entré en elle; je serais cet homme entré en elle via du Verbe. je serais Homme Entré, Homme des Parois, Homme magdalénien. je suis homme des parois du monde, soit cet homme entré dans la roche = matérialisé. je suis entreé par le Verbe (saillant) dans la roche (dure ?) du temps. je m’y suis lové, j’ai vu passé des bêtes de bon poids, elles broutent l’herbe verte à mes côtés. je suis ou serais cet homme des parois du monde rupestre. je regarde à mês côtés les bêtes aller, danser pour ainsi dire : elles virevioltent, elles ne s’en laissssent pas conter, elles sautillent, elles sont vives, nacrées-dorées, elles n’arrêtent plus de sautiller, elles aiment aller, elles sont folles. je vois ça . je suis l’homme allongé qui ne bouge plus et vois le spectacle des bêtes en chaleur à ses côtés. je me suis allongé «dans la roche du temps» et je regarde les données de bzaase qui sont là (toutes) à sautiller en veux-tu en voilà, qui sont folles d’aller là ou plus loin vers les embruns. elles me désignent le chemin à suivre, tout au fond. il y a cette luminosité ambiante, ce son d’outre-tombe (on dirait), ce bruit sourd, ces cris par moments, cet appel. je suis l’homme au sexe dur. je fonce. il y a des clameurs. il y a tout au fond des clameurs qui semblent m’appeler , qui semblent appeler, qui semblent nommer, désignreer, etc?; qu’est-ce ? je regarde autour de moi et ce que je vois m’intéresse au plus haut point car il s’agit de luminosit»é vivace ou comment dire: en vie ! comment exprimer ? clameurs vives des allées de rage ? je regarde, je vois ça : des betes en rut. je sais cette chose d’une bête affolée qui vibre, vrille, qui se plie en quatre, qui saute ou sautille. je vois ça : une (ou deux) bête(s) de rage, bête(s) folle(s) qui va (vont) et vient(viennent) près de moi qui me tiens coi et de préférence ne bouge pas ou pas trop. je suis allongé à même la roche et jeme tiens plutôt à carreau car les bêtes près de moi sont chaudes à chaudasses, elles y vont, elles sautent, elles foncent, elles sautillent, elles ne s’en laissent pas conter, elles sont en chaleur. elles ne cessent de se chercher. elles se reniflent. elles se lèchent. elles se grimpent. elles se sautent. elles se coursent, etc. je vois le manège = cette course dans les prés nuptiaux. je suis homme-ombre sur la plaine. mon coprs est corps de roche. je suis homme aux allures de moineau, bec de parade, plumes d’oie, oriflamme, chants des prés fleuris. je regharde près de moi les données frontales, ce conduit = ce chemin = ce tracé = ce tte voie vers l’au-delà à moi (de moi). je suis «aspiré par la bande (lande ?). je suis vif aspiré par elle et du coup je me relève, je vais de l’avant, je marche au-devant vers la lumière quyi «me tend ses bras de misayre». je cherche à comprendre cette chose au-devant de soi qui attire-aspire un homme comme moi au coeur de la paroi du temps. je cherche à comprendre ce qui est, ce qui se trame en ces contrées de rage (de bêtes acidulées). que se passe t-il ? qu’est-ce qu’il y a ? que comprendre en ces bois , sous bois de passage ? je traverse les données hospitalières pour aller plus loin vers ce bout de bout de rage, ces clameurs acides, ces bruits de paroi, ces mélopées, ces chants de la roche et des apprêts. je vais loin en cette roche offerte à mon regard, à mon corps entier ou en entier. que vois-je ? que suis-je ? que voir ? quoi être en ce coin de buffe ? car ici le vent est violent, qui souffle que tu souffleras sa faconde, son chien  de rage, sa voix d’outre parade, son con de suite, sa voix de chamelle, son quoi ? je cherche ! je suis le chercheur de ces dames ou comment dire cette chose ici d’une recherche par lza bande (langagière) des temps déployés sur la lande? je cherche un dire de poids (bete monstre). hje cherche à comprtendre ce qui est «qui sort de là» si tant est = une voix ? un cri ? un christ ? un homme ? un chie,n ? une rengaine = une musique = un trait prononcé ? je cherche ! Je suiis chercheur de base, chercheur doux de sa base rustre. je suis à la recherche d’une vérité de charge ou d’une sorte (en soi) de vérité forte, grosse de sa voix de base, conséquente. où donc pouvoir la trouver ? qui me donnera la chance ou comment pour savoir ce qui ici se trame sous mon nez ? Je suis homme des recherches actives au sein de la roche dure des temps annoncés devant soi comme d’une trouée de rage dans le sac. je cherche ! je suis vif dans mes recherches parce qu’entrainé... par quoi ? par devant le vent, aspirant, attirant ? je cherche ici et là les données de base à une vérité de poids, à vgérité des vérités. je comprend la chose ici comme étant vive, verte, violette, foncée ou claire ou comment ? colorée ? certainement ! virevoltante ? on ne sait ! un pet ? oh que dire mais ça buffe à mort, la mort ! c’est une certitude ! La mort souffle que tu souffleras ! ou plutôt : la mort est un souffle vif, est vent d’a zur, est ce pet de rage au-devant de soi ! est vent de car^$eme : une aspiration de première ! elle est là pour ça, pour vous attirer «dans ses bras» qui sont quoi , des bras ? de vrais bras de bête ? des bras ou pattes de parois ? que dire ici bas de ça ? car on voit bien que là, devant soi (temps offert) est cet espace de dépo^t de choses et autres de type offrandes, de type présents (cadeaux royaux) et ces présents sont comme aspirés de rage par la mort de soi déployé aux plus lointain de ces contrées. on commence à bien cerner les choses des devants. il semblerait que njous soyons ainsi comme soumis à une aspiration ventée ou venteuse d’un être ou sortie d’un être ou conduite par ou comment ? nous cherchons d’où cette chose et comment cette chose et pourquoi cette chose. nous ne savons pas d’où ça vient ou provient . aspiration douce ? déclinaison ? ou bien chant de joie aspirant ? je suis cet aspirant cghercheur qui cherche à comprendre les données de rage devant lui, cette aspiration de rage devant soi, cette aspiration ou a imantation ou comment ? car on sent les vents souffler sur votre visage, sur vos membres, sur votre minois, sur vottre chevelure, vos bras tremblent, vous êtes secoués, vous ne savez plus que pensezr; je suis l’aspirant-chercheur aspiré. je cherche à comprendre les données rageuses des temps déployés devant soi comme zibeline; je -voudrais comprendre ce qui est qui me regarde, qui me voit devant, qui mate-mire, qui cherche à m’attirer à elle, à son être fol des parois des temps. je suis ombre sur un champ de joie. je comprends peu. je voudrais plusq. j’en voudraoisd des tonnes, j’en voudrais beaucoup soit beaucoup plus = une masse = une bête = un e bête-monstre = un chevreuil méga = un élan des bois = une g

rosse bête volante. je cherche dès lors devant moi cette bête-monstre, cvomment la trouver, comment l’approcher, comment la repérer dans les bois = la chasser comme un gibier et l’attrapper pour la manger et la mangeant savoir, savoir + = savoir fort cette chose d’une sorte d’entrée en matière en soi = ingurgitation des données royales = réification = changement de voix = mutation de poids. je suis l’homme ici qui cherche sa voix de rage en ce lieu des ombres portées. qui m’aidera ? qui va bien vouloir m’aider tantôt et pour de vrai ? suis-je bien placé pour comprendre ce qui est ou non ? suis-je situé à bon escient ou pas ? qui suis-je pour la mort des rages ? ou : qui suis je pour la morte de rage ? qui je suis pour ezlle qui me nargue ou narguerait ? je cherche (aspire) à comprendre ce qui est dans ce que je vois, et que vois-je ? eh bien je vois »ça» = la bête devant moi (aurochs de base) qsui obstrue le paysage car elle est massive, elle est grosse de sa voix de rage, elle obstrue grave, elle n’est pas venue pour rien, elle en impose par sa hargne, sa superbe, sa présence de masse, son port de rocghe, son corps velours; je comprends ce genre de choses, mais pour ce qui est plus loin de cette «porte» des apprêts ? que penser de cette chose ? quoi penser de pareille porte aux données de rage ? quyi est là pour soi ? soit : qui la mort est-elle pour moi = pour soi ? qui elle est ? qui ou quoi est la mort devant soi = cette entrée de roche par la bande (= le langage articuylé) ? nous nous approcjons dangereusement de la moprt. elle est présente devant nous, elle nousattire = nous aspire = nous souffle dessus mais courant inversé pour ainsi dire ! je suis homme dur au secxe tendu et voilà lea mort qui m’aspire comme un être à avaler par la bande pariétale des apprêts. qui croire ? comment être ? que dire ? comment faire pour se déplacer, changer, tourner casaque, etre autre, devenir? je cherche ! je suis le chercheur de parade, coincé dans les filets d’un temps deplissé. pas facvile de s’y retrouver en ces lieux de base mortuaire. qui m’aide ? qui veut bien ? qui connait les données principales ? qui connait les choses de base à comprendre vif ? qui a avec lui le bagage idoine et saurait le partager ? je suis un homme au sexe dur de chez lz dur et j’avance ainsi tendu comme muni d’un serpolet de chance; je voudrais comprendre ce qui est ici devant, qui nous atten , qui semble vouloir être pour nous tous un lieu de repli en attendant plus. que penser de l’anfractuosité native ? qsue penser de la fzaille de paroi ? que penser des bêtes de poids devant soi comme autant de mots de bêtes (mots-bêtes) déposés pour faire diversion, faire penser que, faire semblkant de, faire accroire = tromper son monde de la mort en branche. qui me croit sur ce chemin-là ? qui pense comme moi ? qui va là avec moi et me suyit sur ce cxhemin des rois déplacés ? qui croit à mes dires de paroi de grotte ?pourtant quoi, je suis vif de rage à dire ce qui vient fissa sous mon doigt ! je ne mens pas ! je ne maquille pas les choses ! le verbe est déplissé et deposé comme un présent de choix dans une corbeille placée exprès à cet effet . je cherche avec entrain à d»époser. je suis homme des parois rudes mais voilà, je cherche que tu chercheras, et ce faisant je m’enfonce dans le tas. je monte. je m’élève. je saute le pas et entre en cette paroi de roche rude. je suis ombre-homme traversant la roche du temps à la poursuyite d’une chose vraie = vérité de base = sentiment donné = vive chaleur = vie des vivres := chant de rage. je suis là (l’aspirant monnayeur) pour ça et j’y tiens grave, c’est-à-dire pas qu’un peu : beaucoup ! énorme ! conséquent ! car ma voix ici porte jusqu’au bout du bout ! ma voix de base est voix d’homme déployé sur un devant de soi déposé par la bande. je cherche dès lors à comprendre ici de près les données données par une sorte de déité (la mort) déplissée ou comment , montrée ? ou non : posée ? peut-^etre, qui est déité de la base et du sommet du chant des données acides. je cherche à comprendre ce que c’est que cette acidité de façade, d’impact. qu’est-ce ? que penser ? quoi penser d’elle = cette acidité offerte à notre gouverne ? cette acidité est-elle en nous cette chose d’une sorte de méfait de la pensée ? sque penser de cette acidité liée à la mort de base ? que penser de cette chose inculquée ? la mort est chose rude comme aurochs, ok. lza mort est acide et vive, on le sait. la mort est comme une fée qui virevolte à nos côtés, on voit. on comme,nce à connaitre un certazin n ombre de données de base (de rage) sur la question ici d’une sorte de mort déployée comme un tapis de bienvenue, comme un chenal. oui peut-être. on aspire à voir, c’est dit. on cherche dans les coins et recoins des tempsq déployés ce qui est , mais évidemment que les choses ne vont pas de soi et ne s’offrent pas si vite à compréhension (disons) fine et de bon aloi, il y faut le Temps. nous avons à , par conséquent, trouver des choses de rage (si possible) devant nous = là = la place = ce lieu = ce devant de soi en termes de temps donné ou temporalité octroyée par la bande. je voudrais comprendre ce qui est et ce qui ici sembvlke vouloir arriver, mzais pour cela je dois déployer mes ailes de bete volante, etc. comment dire ? je serais oiseau à ramages ? ou comment ? houppe ? je cherche ! je suis là pour ça = chercher données rzageuses de la base et des sommets, chant de charge, la mort ce que c’est, porte d’italie. je chante ! je crie ! je hurle ! je serais qui m’époumone à vif ! Je commênce à me demzander si (de fait) la mort n’est pas ce vent du sud, cette envolée vive, ce courant marin ou courant d’air, ce vent de face, ce pet de nonne ou autre douceur, ce chant venant de loin , du centre de la terre, sicxilien ? quel est donc ce chant de la rage ? qui chante ici depuis ce trou de balle ? qui pète grave ? qui dit ce qui est du temps ? qui va là devant ? la mort est-elle au firmament ou bien veut elle nous intoxiquer et nous étourdir et nous enfumer et nous inoculer son pet de rage dans le sang ? voyez la te neur de mes questionnements ! la classe ! le bonheur d’en lire des extraits ! Jze chante à même la paroi du monde des apprêts et ne m’en laisse pas conter plus que de coutume car je suis fait pour être ici le chercheur assidu («cherche que tu chercheras») qui ne tremble pas devant l’adversité venteuse, qyui va devant ou au-devant de ça qui dit ce qui est de soi (= la mort de ta rage, etc) et ce faisant je me plie en quatre pôur comprtendre, pour cerner, sentir oui et gober mais pas sezulement ! trouver parade ! comprendre ! absorber la mort dans mon sang et dès lors l’utiliser comme nutriment de grâce. je veux être ici celui-là squi cherche à savoir ce qui est qui va et tourne et retourne et vrille de sa vie vive de mort à l’antenne. j’eesaie de comprendre. je cherche des mots. je me dis dès lors que le mot (le Verbe) est l’entrée (entaille) en matière idoine pour ce faire = toucher. je me dis que ici le mot (ou Verbe) est l’outil parfzait pour toucher la Chose = cette mort devant = ce chant des parois de rage, ce doux désir, de»type ouverture de façade. je dis ici cela comme quoi la vie devant soi est bete de poids (c’est un fait) masquant (derrière elle) cette base des pârois des temps = cette Chose rusée, rude et rusée, de la mort à l’oeuvcre incidemment = chants des contrées acides, pets d’homme ou d’humain de base , quoi, que dire, cette chose sortante, ce fumet, cette envolée, cette vive clarté ou comment ? Je syuis homme qyui cherche à comprendre ce que c’(est que cette chose de la mort devant. du ventv ? ou comment ? je cherche vif ! assidu ! tenu!, je ne m’en laisse pas conter des insanités mais plutot je chezrche à cru les données basiques  , je regarde à vif, je pè!se les mots, je cherche dans les coins, je tente des choses, j’expérimente, je soupèse, je fais des essais et autres ecxpériences de près. qui je suis pour ainsi agir ? eh bien... une bete-mot de oparade, allez ! ou comment ? maitre-mot de base ? serment ? colère incarnée ? rage des prés ? soulèvement majeur ? enfant-faon ? quinconce ? KJe suis là en ce champ de blé à kla recherche d’une voie d’abord pour une dévcouverte de la Vérité avec un grand V. je ne céde pas. je continue. je suis là pour ça, pour comprendre :  fouiller de près. je veux être ainsi reconnu comme celui-là qui cherche à tout va (follement) à comprendre ici bas ce que c’esst que ça qu’on nous annonce : ces deux bras, cette porte ouverte dans la lumière, ce chant comme édulcoré, ce chant de berceuse, etc. est-ce ça qu’on voit ? est-ce ça qu’on subodore ? n’est-ce pas plutôt quelque chose d’autre, genre fleur des bois mais malodorante ? cris de joie mais irritant ? crin de gris ? plainte à vouys assourdir complètement et sans possibilité de retour en arrière ? qui me croira si je lui dis que c’est ainsi que les choses (de la mort devant soi) sont pout tout un chacun qui se pointe au plus près de son être-là : une sorte de cour intériuere c’est un fait, mais curieusement agencée ! une sorte de sas de bienvenue mais tu vas déchanter car la mort pue ! ça pue grave du cul ! c’est un fait de rage, c’est dirt. ça fait son effet garanti. la mort n’est pas la panacée, loin de ça c’est une évidence, mais cour de rage, abri de fortune aux bruits et odeurs néfa&srtes. quinconce oui, dans une sorte de présence négative de son soi mauvais. je suis celui-là homme des parois (néanderrtalien ? ) qyui chante, hausse sa voix, chante fort son chant des sirènes, creuse à vif la roche au pic de vertbe ey s’introdyit , et va profond (lévitation) à la recherche d’une voix qu’on dira d’outre-tombe mais on ne sait pas. on subodore. on se dit ça. on croit savoir. on dit et refdit mais en vérité on cherche à travers les données saillantees des données profondes soit des profondeurs de l’être donné par la bande : dieu d’une misayre (ancienneté) qui sera elle (ici : paroi) qui saura nous révéler des choses de poids (aurochs ?) liées à la mort de base = la donnée de base = le soutien de base = le support natif = la chose des débuts d’une vie nacrée, étoilée, racée, vive, ondoyante, Courrèges. je suis homme du temps vif, qui fonce que tu fonceras dans la lande. je suis homme vif des temps déplacés par la bande du langage neuf, sorti incidemment d’une bouche ouverte, bouche ouverte de paroi de roche = bouche à vif. je cherche à comprendre ce qyui est qui semble vouloir advebnir et se donner à une gouverne commùe la mienne = sensibilité ma rquée pour un intéret prononcé. je cherche à comprendre ici bas et de base (là) ce que c’est que ça, cette mort des parois du monde, ce chant de lza rage, ce montage, ces paroles vertes, ce ciel étoilé sous mes yeux levés, ce temps déplissé en ruban doré, ce chant de dires dévidés. je crache dans l’eau de la rage bue de toute étezrnité ou pas ? j’essuie le chandail ? je suis celui-ci qui va à chercher des mots dans le sang d’une bete morte, couchée, posée devant, offerte, donnée à un dieu vivant, donnée encore brûlante. Je voudraois comprendre ce que c’est que cette bête des parois des rochges, ces dessins à main lezbvée sont bêztes de rage rude c’est sûr mais quoi de plus en vérité ? je voudrais comprendre loin car ma gouverne me le demande , intériueurement, comme elle ferait son miel des dires receuillis ici ou là par la bande. je suis cet homme au sein déployé sur scène verbeuse des temps occupés à graver des bêtes de poids sur roche antédiluvienne. je porte sur moi la bete première = le chant gros de sa voix de buffle. je suis Aurochs la Magnifique, le chant velouté, encolure au débotté, charmes des attraits, convalescence. je cherche à piger ce qui est qui va sur moi commpe un pic de parade prhêt à m’inoculer par la bande son venin nacré : qu’est-ce ? je ne sais pas ! oh je voudrzais comprendre et toucher à cette vérité ancrée mais comment m(‘y prendre ? comment faire pour cerner au mieux et utiliser dès lors les données données pour sa propre gouverne printanière ? commùent faire pour savoir les choses ce qu’elles sont, ce qu’elles représentent, ce qu’elles p^roposent en fait de vérités de base: données vives et  natives, chant de la poche des eaux, comment ? car le vent est vif , frontal, qui cingle et nous fait du tort. je suis devenu la bêtye dees parois rossses. je cherche à toucher la mort mais comme il se doit sans devoir y passer «plus que ça». je cherche à toucher à la mort des données de rage ou comment ? la Mort dite «des données de rage» ? ou comment dire ? les données sont là qui ne sont pas mortes (elles) pour deux sous mais bel et bien vivantes devant soi (= la mort) mais commùent diantre arriver jusqu’àelles sans trépasser ? comment faire pour toucher à ces données de base ? et ce sans 

y passer, sans chuter ? nous cherchons ici et là (Verbe d’entaille) mais vas-y y piger tantôt une chose ! c’est coton ! c’est pas sqi facile ! ça coince vif ! c’est pas du tout cuit ! ça brûle ! ça fait pas forcément que du bien car ça fait du tort ! ça fout les chocottes (en plus) ! c’est pas si swimple, et du coup on cherche mais c’est pas donné ! on cherche à toute vitesse = dans la vitesse ou par la vitesse, ou à traversz une certaine vitesse (ou vivacité) du faire, pour trouver, pour toucher, etc, les données primaires. nous devons toucher la Chose rude via les mots de rage inculqués en nous à notre naissance (peu à peu) et pour cela nhous devons toucgher à) une sorte de chose de poids en interférence, soit à ça qui se tient  là, ossu, qui est cette bête de poids. je sens cette chose comme étant de celles qui importent. la bête de poids est cette chose rude, forte, costaude, qui se met devant «à la place de « pour ainsi dire (de la mort on l’a compris) et dès lors (un temps : jusqu’à sa mort) nous sauve «la mise». nous savons cela depuis loin. nous ne sommes pas nés des dernières averses. nous avons vécu et trimballé partout notre misayre c’est une évidence, et nous voilà qui renaclons à nous laisser faire, à aller contre notre intéret vers un champ de grandes allées, ou comment ? trou des fosses ? corps meurtri allongé en trou de base mauvais ? Nous sommes deux (ah !) qui voulons (-je) aller devant (loin) sans trépasser. dès lors : pour quoi faire allezr ? parce que nous aimerions savoir ! savoir ! savoir ! savoir ! savoir ! savoir ! savoir ! savoir quoi ? savoir ce que c’est ! ce qui nous attend ! ce que c’eswt derrière ! derrière quoi ? derrière le visage de la mort d’autrui ! derrière ce visage mort ami ! derrière ce visage d’autrui mort ! derrière ce visage mort d’un autrui qui disparait du chzamp de la vie ! ou comment je pourrais dire ? je voudrais savoir  = comprendre = connaitre = toucher = cerner = saisir = etre au jus de ce qui est pour nous qui nous attend de pied ferme. la mort on dirait que c’est une enclave céleste mais en vérité la mort est en nous depuis la nuit des temps. où ça ? en nous ! oui mais où ? dans le sang c’est sûr ! et cvomment dans le sang ? par la bande ! qu’est-ce que ça veut dire ? ça veut dire ce que ça veut dire ! et encore ? ça veut dire que le sang contient en lui (rotative) la mort ! c’est-à-dire ? rotative ? oui rotative ! donc , eh bé ça , comme quoi la mort est logée en nous dans notre sang, et ce sang circuule rotativement, révolutionnairementdans notre organisme, voilà tout. ah et alors ? laz mort est dans le sang cette chose rotative, ou circuylaire, ou cyclique etc, qui jamais ne cesse sauf un jour où les choses s’arretent et alors on dira que la mort est en vie. est vive de joie. est coomme «partie» et chante? etc. vois tu la chose comme elle est ? je chezrche à piger profond des données maids il est évident que ces choses, à comp^rendre, ne sont pas aisées, ne sont pas faciles, ne sont pas si simples à décortiquer. nous voulons toucher à la mort, la toucher de près, la toucher la toucher («comme la charttte à la voisine») mais vas-y ! cherche ! vas ! cherche et vas comptrendre les tenants et les aboutissants du sang ezn soi (rotatif ?) qui szerait le «lieu» de 

la joie à être je, à être ce je d’une joie de vivre. pas facile à décortiquer. pas simple du tout. une gageure. une ghageure tout ce qu’il en est. je cherche en moi les mots de rage susceptibles de m’apprendre des données de base, des choses profondes, des mots de la rage naissante etc, mais on peut comprenfddre que les motsc , de base, ne sont pas faciles à manier, à interprêter. car les mots sont chargés de vivres. ils sont pleins (remplis) de choses et autres en offrande. présents sur le pouce, déposés fissa devant soi = verve-vivres de premières, dépôts consacrés, charges massives, trommpettre de la renommée. je vois cette cjhose devant déposée (verbe) comme une sorte de don octroyé par la bande (insidieusement ?) à entité. a deité. a divibnité . a bete à dure réalité ou de dure réalité cé;leste, ou comment ? la voix sort de la bouche des enfants comme sa rage. quoi ? bouche à vif (saignante) dit sa rage d’etre un enfant du jeu divin. hein ? ou comment dire : je suis je , lêtre à queue de verbe sortant fissa de la bouche ouvertte?. de ma << bouche ouverte ça se voit ! car quyi dit Verbe dfit Queue de verbe, dit sortie, dit ouverture de soi pour sortie fissa d’une queue (en soi) de verbe de poids = mammifère ! Je suis dès lors cet homme qui cherche à comprendre les données profondes d’une sorte de parole consacrée en soi par un dieu logé (dans le sang) comme un souverain assis (ici : paroi) sur trône de destyinée; je suis cet homme cherchant avec engouement , à comprtendre kles données les plus cachées, enfouies, masquées du dire divin, du dire de paroi, du dire princier, du dire vif de destinée, du dire chaud bouillant d’une partie fine. je regarfde devant moi cec qui est qui semble se tramer et comme m’interpellezr. que pensezr de ce devant déplissé comme une carte ? je voudrais comprendre ce que c’est que cette carte déployée ? est-eele tracé de rage ? voie au débotté à suivre à latrace ? quoi est-ce devant soi qui semble nous arriver comme un méfait ou non, bienfait de grâce ? qui comment quand comprendre car vas-y ! ça pèse ! c’est pas donné ! vas comprendre ce que c’est ! Une carte d’état-major avec entrées diverses de tous les côtés et directions à situer pour sa propre gouverne existentielle; je regarde de plusz près ce quye  c’est , et que vois-je là ? je vois un tracé vivant, une sorte de canal vers du devant nacré dép;lissé. Je vois un trou au loin=une lumière = une clarté. une clarté diurne c’est un fait. je vois une sorte de con duit rustique, agréé, comment dire ? approuvé par ma gouverne ou comment ? directement compris par elle dans le sang = comme incorporé à son savoir (sanguin) de base. je voudrais savoir au mieux ce qui est de cette chose rude qui serait devant à nous attendre bon an mal an et de pied ferme comme un employé des pompes funèbres:. oh commùent savoir ? en poussant ? en poussant le verbe à lqa dérobée ? a brule-pourpoint ? au chat perché ? je cherche grave, je suis le chercheur de  céans. je n’arrete pas ! je suis lancé et dès lors m’y tiens mordicus et ne lâche pas le gibier. Je suis pârti pour durer je l’espère, et me voilà qui pousse brutal ce Verbe de joie dans l’ensembkle des retranchements qui s’offrent à moi. je suis dès lors à la recherchye d’une voie de rage,, voie d’eau si tant est, chenal ou canal, vers une ouverture de paroi, vers une faille-entraille, entaille, etc, qui fut pour moi passage, ouverturre-trappe, pâssage au vbif, chant des vertbes prononcées, chanmp de blé. je passe. je passe en ce passage étroit de la mort à l’oeuvre et vois ce qui (deerièrecette entrée dans la matière) s’offree à mon regard d’enfant obnubilé par tant de clarté. que vcois-je ? je vois ça = la parade ! les betes montées ! cavalcade ! oh corso fleuri, oh les belles bêtes de poids ! oh j’aime ! oh je veux pour moi ! oh je suis là pour ça := toucher la roche = la paroi du monde = le réel = les données frontales doulourteuses si tant est. il me sembke ici que ça commence à vouloir se dessiner tantôt pour moi. on dirait que les choses des temps déployés apparaissent finement , incidemment, à ma gouverne printanière et c’est tant mieux car le but est encore et toujours d’y voir mieux sur tout, de comprendre ce qui va, ce qui bouge devant soi , ces betes de poids comme un écran de bienvenue, comme une parade-écran de rage, fine fleur des prés, betes à course, chant des données vives, tremblements des sentiments rupestres, façon d’^tre ou façon de dire ce qyui est. je voudrais pouvoir touchger kla base et le sommet de l’être. lêtre de la joie d’^tre en vie pour Dame la mort de rage, ou pour Sir de la mort de Rage, ou pour La mort tout court telle qu’elle nous semble devoir se montrer, un jour procheaoin, à notre gouverne (printanière ?). je cherche devant moi les mopts de ma rage à comprendre  cecqui est pour soi qui nous regarde. je cherche que tu chercheras les mots d’une base de rage à devoir déplier comme une carte, un plan d’attaque. je suis déposé comme un présent  de rage dféposé sur roche. je suiis mis ainsi au courant du temps , au sein de la roche, au quatre vents ou comment ? soufflé ? Ah peut-être ! soufflé comme un qui serait aspiré vivement par une sorte de tube de hjoie devant soi (le tunel desz bases naissantes) : aspiration plus ou moins douce on le voit, et du coup ensuite on va se retrouver ici ou là de l’autre côté on dirait . est-ce cela qui est là, cette chose d’une sorte d’attrappage dans un sas de roche ? est-on aspiré par dame la mort ? ou sommesz nous poussés par le verbe en nous qui cherche à piquer, sortir, tracer, se montrer ? par dame la mort ou par sir la mort, car on dirait que la mort est sexuée mais en vérité on ne sait. loa mort est elle mâle ou est-elle femmelle ? zeeest-elle genrée comme un fait exprès . a-telle pour elle un sexe à montrer, à déplisser, à déployer ? est elle sexuée comme une bête ? suis je bete moi même , sexuée nacrée, déplissé et déployée comme un tapis de rage devant soi, un d»éroulé de bave, ce chandail, cette bure, cette sorte de tissu de base, ce temps déplissé comme val et vallées tantott. je regarde les données de rage devant moi et cherche à toucher à loa pârooi du temps déplisszé. je cherche à creuser profond, à percer la voie, à touchger parade (parole ?) , à aller fissa à kl’intérieur d’une sorte de cavité qui ressemblerait à une grotte de type ventrale ou antrale : outremont des vies. je regharde un ensemble adoubé et tente une approche intelligente (?) à peu près, c’est à dire sensée, c’esst à dire pesée si possible. je vois cette chjose devant moi , qui est une ouverture de paroi de roche (dans lke temps). il s’agit pour moi de m’immiscer de bia is (au mieux) afin d’entrer en pareille cavité pour m’y loger un temps et regarder ce qui est ici ou là autour de moi. je voudrais cxomprendre ce sas, ce qu’il est. cet endroit du sas qui sembvle vouloir désigner ou comment ? représenter ? une chose connue (cavité des prés ?) . je cherche à comprendre icelle cavite : des prés ? des prairies ? des vallées ? des bois et bois jolis ? du temps offert ? du temps déplissé à même la vallée ? je cherche à toucher au temps deployé qui serait la roche aux bêtes tracées par l’homme des cavernes ou par la femme des cavernes. je cherche à creuser profond mon sillon d’homme qyui cherche que tu chercheras profond dans ce sas de bien venue dans une roche dure de groote cachée (sous terre) par lza bande langagière des tourments (vifs) d’une vie à vivre. je suis homme là qui creuse la roche des temps pàar du verbe bruyant, tourneboulant, concernant ce qui est à dire d’une vie à vivre. je monte à cru sur roche. je veux  toucher vif la mort en ce sein des roches plissées.je veux déplisser la chose rude mais comment ? verbalement ? avec du verbe d’antaille ? d’entrailles ? je voudrzais aller ici même (sein) vers la chose rude posée = cette sorte de bête de joie n,ommée comment ? nommeée bete de la joie cde naitre», est ce cela ? nous cherchons assidument (à quatre) ce qyui est. la corne, les pattes, la barbichette, le crin, la queue de la bête. qu’est-elle ? chèvre de monsieur Seguin ? cri de joie dans les bois ? amours de passage ? petites remontreances doucement vexantesz ? je comprends des choses (la paroi, le temps, le chant sourdant ?) mais hélas pas tout ! car tout comprendre est difficilement faisable pour quelqu’un comme moi qui cherche à tout va à toute blinde dans un sas de bienvenue rupestre. c’est un fait de base, comme quoi la mort est logée (depuis toujours) dans un antre pariétakl, de bienvenue ssur terre ou non ? ciel ? chance ? courage ? dieu des temps meurtris ? la mort est logée sur terre dans le sang c’st indéniable ! elle habite notre misère. elle ne se laiisse pas faire : elle occupe l’espace et le temmps en nous comme la misère dans une sorte de plainne aux hommes de rien sur terre.je cherche que tu chercheras à piger la chose ici-bas comme quoi la misère des hommes ici et là ne fait rien à l’affaire : la mort passera quand même, elle ne lâchera pa son petit stratagème de paroi, elle est là pour ça. son coeur est là qui bat son chant de guerre, cherche à assourdir, impressionner son auditoire de vivants, entrainer à sa suyite et manger gloutonnezment. la mort a une faim de loup planétaire. elle sait ce qu’elle  veut. ce qu’elle veut c’esst de manger la chair humaine ! la chair et (de l’homme) le reste = son esprit, ses vetements de hjoie et de colère, son corps devin, sa vibration première (du temps des données princières) son amont et son aval sensible, son aval et son amont sensique, sa paroi interne (chant d’azur), son coeur de retape, son val d’aran, sa vie ancrée comme une soupapê, son chandail. la mort est gloutonne, vive mangeuse de denrées diverses, chaudement touchée par la grâce, par icelle grâce céleste qsui vous voit chercher constamment à manger de l’être que tu mangeras. zelle a trou,jours faim ! elle voudrait toujours manger, ne kjamais s’arrêter ! elle est curieuse pour cela qui brooute en continu comme l’estoma c sur pattte dez champs de luzerne : vache consacxréee, veau dxes prés nacré, chant d’azur de la luzerne printanière, animaux des prés. je voudrais être « elle», la mort, pour manger comme elle : sans s’arreter, à perpétuité, mange que tu mangeras, mangetout de première lignée, moggrophage mordant. je voudrzais manger de kl’herbe continument ! voilà ce que je voudrais faire ! vif de chez le vif du temps ! Je voudrais manger en continu comme elle, comme fzait la mort sur terre. car la mort existe bel et bien sur terre, jamais ne cesse. la mort est chenapan. la mort est princesse de céans. elle habite sur terree, elle est là. la mort est liée à la terre humaine. la mort n’est pzas de l’au-delà ma-is de là. la mort est de la merde = de la terre = du san

g de rage = de ma terre humaine = de là. je sais cette chose co:mme qyuoi la mort est»humzaine» ou «zanimale» ou «végéttyale» etc, soit liée à ce qu’o$n voit auprès de soi ou de soi . mirettes ! La mort est, elle est cette cxhose là, parmi nos congénères, qui existe là comme une voix, comme un cri de rage, etc, qui serait à nous= pour nous , cette chose d’un bruit cordial, d’un bruit du coeur de la roche dure; tic et tac des temps vifs = en vie. je cherche à toucher icellle (la mort) autour de moi (le Verbe aidant) et pour ça je vais au-de

vant de la roche = je me plie en quatre, je me donne, je donne ++++ de moi autant que possible, je suis tout amour désintéressé, don de soi pas à moitié, complet ou complète inveswtiture ou quoi ? hje cherche à définir les temps déplissés ce que c’esst,  ‘est-à-dire ce que c’est en termes de visions directes (voie d’abord ?) qui, visions, pourraient nous tromper mais non , voyons voir, soyons là de plain pied, essayons ensemble à cerner les faits. nous devons comprenddre ensembkle (confrérie en termes) les données globales (= du ciel et de la terre) qui puissent (pouurraient) nous dire ce que c’e’st que la vie du Verbe sur terre. je pense donc je suis» est bien dit mais non salutaire car la vie va de son allant de rage dans le sang continument, et la pensée est bien petiooooote en cette matière, peut peu en vérité en termes de vérité, et donc comment faire sinon ça, cette chose pour soi, ce  sang déployé, ce sa ng coulant et déversant son être dans le chant d’une parole humaine, ce sang le piger à l’aune des denrées offertes déposées sur roche = à l’aune des présents de rage, des offrandes conséquentes amenées sur un devant de soi  pariéto-frontal dont le nom est «bête», ou «bete-rage» , ou «bête-mot» de ta rage (etc). je cherche à m’immis cer ainsi en ce sas des sas, à la recherche du temps donné (perdu ?) par la bande , et pour cela : fissa ! fonçant ! vif de l’être ! croyance en quelque chose de céleste ? je  voudraois , c’està dire que j(‘aimaerais, j’aimerais beaucoup, j(aimerais tant et plus, j’aimerais plus plus, j’aimerais mùassivement. mon coeur est logé dans la grotte. ma voix porte ses fruits sur ce devant de soi appelé pierre d’offrande. mon etre est au courant des faits et gestes de la mort dans l’âme (de la mort à l’oeuvre). mon désir est ancré comme une embarcation arrivée à bon port. je suis homme des vivres données à une déité de court passage en soi : vent de face (pet de nonne déplacé ?). je veux déchirer l’hymen de la paroi des ombres, des mots de rage, des données salubres, des mots vifs d’une vérité enfin dép^lissée. je veux toucher ce qui est qui vient devant, devant soi, en termes de  douceur de vivre et autres bienfzaits (si possible) mais comment s’y prendre ? je voudrais aller ici et là à la recherche d’une vérité de bon aloi = la chance et le chant, le chant et lza chance. je cherche à toucher le mal (la mort) au plusz pprès sans se brûler, et pour cela : le Verbe saignant ! la co;lère, oui ! l’injure massive (aurochs et buffkles de pacotille) , etc ! Je suis cette personne dépléacée (de là placée là) qui veut savoir fort, qui veut plus, qui voudrait des plus = +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et toujours +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ que cela qu’on voit ! je veux voir ++, je voudrais +++ comprendre et toucher, aller et percer la roche du temps devant soi +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ = cette chose ici d’une sorte de volonté grande et massive, cette voix de grave, stentor, douce massivité peutêtre des donéesz de rage à dzéposer. je voudrais toucher ce massif de voix d’abord. cette sorte de grosseur placide. cette voix de base. cette voix grise de base native. ce chant xde la roche perlée. cette groosseur outrée qui rechigne, qui renâcle et ne s’en laisse pas conter de prime abord. je vgois icelle groosseur devant moi (verbale) comme une sorte de bêtge de joie de grande taille. voilà ce que je vois : kla bete temporo-spatiale de belle et (très) grande ampleur, qui srmble ici (devant = le temps) s’interposer,;, soit se poser entre, c’est àdire entre la mort qui semblerait vouloir nous avaler, et nous, de nottre côté,  cette chjose en nous d’(une sorte de fine virée, ou comment? cette fibre en mouvement ? ce fil ténu vibran,t ? oh comment signifier la chose ? fil de soi ((de soie ?) qui sezrait interne à une gouverne ? Je serais cet homme déployé qui cherche à piger vif mais c’est coton ! ça coince partout ! ça n’est pas facile ! c’est juste dinguissime ! c’est un truc = une chose = un tourment au quotidien, car la vie est dure comme des donnéesz de roche sont dures ou comme des données massives bestiales sont dures. nous voulonq toucher ensezmble à cette chose d’une sorte de finitude , de fin de paertie, d’acharnement qui prendrait le parti d’en finir avec la vie, etcx. nous avons de l’espoir en nousz, soit cela qui en nous cherche à survivre via le verbe des données natives? je cherche l’endroit précis où pouvoir déposer ce Verbe des données natives (naïves) : où ? eh bien peut-êtyre «là « = ici même = sur terre de joie. je cherche, et forcément les choses ne sont pas donnés  de base, elles demandent à être secouées, à être touchées, à être brûlées, à être cherchées etc. faut voir. il faut comprendre cette chose comme quoi la mort est donnée (une donnée) de base à la vie, c’est-à-dire que la mort est une donnée qui est à la base de la vie en vie, à la base et au sommet pour ainsi dire. la mùort est à la naissance de la vie. la mort est première puis vient la vie qui, partant, rejoint quoi ? la mort primaire ? la mort était là avant? la mort avant la vie était là (pas l’au-delà) qui servait x’appui, de socle, de palier, etc. je voudrais comprendre ces donnéers. je voudrais cerner = entourer = encercler icelles données de rage , dans ce qu’elles recèle,nt en termes de joie à être, à vivre une vie de base. je voudrazis toucher = trouver. mais pour ce faire il faut déployer un grand nombre de stratagèmes , une somme de savoirs vibrants, etc, et ne pas se laisser faire par x tourments liés à une vie humaine sur terre. nous devons toucgher la mort à deux = ensemble = dans une sorte d’envolée de grâce communautaire. nouys devons aller dans les profondeurs de la terre à la recherche d’une déité consaécrée, à la rrecherche d’une soerte d’entité sacrée qui sourdirait, sortirait des profondeurs et viendrait nous donner le nom à portezr pour soi et ses congénères. nous devons toucher terre, voilà le deal ! et pas qu’un peu ! beaucoup ! sans cesse ! tous ! toutes ! tout le monde à l’unisson ! Nous devons voir les choses du monde comme toutes recelant la mort en elles. car la mort n’est pas logée ailleurs qu’ici même : laz mort est de la partie et l’au-delà (le dit au-delà) n’est pas la mort mais la vie en vie ! La vie est hors la vie pour ainsi dire ! ici la vie est lié»e à la mort, mais la vie -vie est autrement formée ou ficelée ! La vie-vie est hors cette vie que l’on connait, liée à la mort de près etc. la vie vie est hors la vie-mort. on voit des cxjoses se dessiner sur roche, et ces choses sont liées toutes à) la vie après pour ainsi dire = à de la vie dépassant le seuil (acide) de la mort nacrée. on voudrait y voir plus clair toujours mais voilà, les choses ne sont pas données , qui demandent à être remuées comme un brouet. nous nous y colloons de bonne grâce (à remuer) mais comment s’y prendre dans la durée , eh bien peut-êytre en y allant fisza, sans discontinuer, sans trêve de quoi que ce soit, on y est on y reste ! on cherche avidemernt. on fouille à vif sans s’arrêter. on file son chemin d’élan de rage. on ne se laisse pas berner par des mots de passage rustique, durs d’entrée, chauds devant comme un bouillon de base trop salé, etc. V-Ce qui compte ici est de tenir bon cap assidument et de placer sa voix dans une rage d’^tre présent comme offrande ou comme un soin , apporté incidemment, à une entité de passage (dieu des temps ?). on comprtend des choses rudes et on avalise. on essaie de voir ce qui est devant : quoi ? chair .? boeuf ? grizzli ? on eswsaie de comprendre ensemble << ce qui devant nbous semble nous «parler» de bon aloi, de bonne amabilité, ou comment , avec assez de bienveillance pour nous rasssurer. noàtre envie de vivre est actée c’est fait. le chant qui vient vers nous est peut-êtyre un chant déformé mais comment savoir ? le chant qui monte est comme une voix meurtrie. le chant devant soi est-il chant de joie ? de quoi est-oil le chant ? je suis là à écouter ce cxhant montant des parois des roches de telle ou telle caverne de$

es mondes adjacents. nous voulons aller dans less contrées les plus enfouies d’une terre humaine. notre but est d’aller loin dans les allées, de creuser parole dans le sang révolutionnaire et de placer ici ou là des points d’achoppement pôur la «pe nsée chantée». nous vfoulons comprendre les données les plus affirmées et ne pas sombrer.

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22/03/2022

Nous sommes deux (main dans la main) qui entrons en roche, qui nous infiltrons. Nous nous immisçons en elle et regardons les alentours. Nous sommes au coeur de la Chose = en ce sein de rage fauve ou comment ? nous nous sommes introduits en lui, nous avançons, nous nous logeons, nous sommes au coeur de la paroi, nous regardons autour de nous les bêtes qui vont et qui viennent, des aurochs, des bisons, des bêtes de bon poids et bonne charge principalement. nous sommes dedans. nous sommes dans un sein de rage, au coeur de la Chose rude. nous nous regardons, nous nous embrassons. nous sommes dans un creux de rage, voilà. Nous nous sommes introduits en ce creux (ce vide, cet espace) ici même = creux de rage = vide ici de ce sein de la rage d’être l’animal ailleurs. nous avançons. nous cherchons à comprendre ce qui est au juste et en définitive. quoi se passe au juste , quoi au juste existe, que ou quoi au juste se trame etc, en ce sein des seins pariétal. oui des bêtes nous entourent, vont et viennent près de nous. nous sommes comme elles = postées (posées) à même la roche du Temps imparti à pareille roche. nous sommes nous deux parmi elles, êtres comme elles déposés, comme elles posés sur roche dure (meubles ?) qui nous contient. Je suis en = dans le sas. je suis en ce sein de rage Verbal pariétal. Nous nous avançons des bêtes,nous sommes proches d’elles, nous les regardons et elles nous regardent. ici la paroi de la roche = sein. Nous sommes dans un swein = antre = ventre = outre = imagination ? Nous cherchons ce qui ici peut être à dire de ce wsein de rage. nous nous avançons d’une bête de poids (aurochs de ces dames ?) et nous la regardons. nous sommes près d’elle. nous la caressons. est-elle une vraie bête de céaeans ou bien ... imagination rupestre ? nous disons que la bête est. elle vit près de nous, à nos côtés. elle est vivante en roche : vibre. elle porte un  nom (Vivre ?). elle est bête de poids dde carosse. elle est cette bête de rage folle, vive, qui est bête qui vibre et va, fonce et cours, et tombe pârfois pour mieux se redxresser sur ses pattes arrièr. elle est une bête de bon poids surnuméraire = une entité. je cherche à comprendre icelle bête près de nous, ce qu’elle représente, ce qu’elle signifie dans ce paysage. est-elle vive ? est-elle cette bête des embruns ? est-elle bonne conseillère ? qui est-elle en vérité ? un agent secret ? un guide pour une traversée des temps alloués ? qui est la bête pour nous qui sommes près d’elle ? qui est cette bête fauve ? qui est cette bête forte qui nous mate vif ? Nous cherchons à comprendre au mieux les données célestes (pareiétales) de la roche. nous sopmmes deux ici (main dans main) à tenter une approche et à vopuloir comprendre cette bête, son nom, son allure, sa vie, son train, etc. qui elle est. nous cherchons ensemble à mieux la «cerner» et comprendre ce qu’elle est dans le paysage. a quoi est elle associée, etc. nous marchons. nous sommes entre deux mers (?) ou bien enttre deux parois (?) sur un chemin (?) quelquepart dedans = dans le sein = dans le rêve, etc. nous sommes entrés ensemble main dansc la mzain et nous explorons les alentours, les lieux de rage, ici même cet aspect des choses. nous nous avan!çons ensemble et cher chons, nous cherchons ce qui peut être, ce qui est, ce qui pourrait être de ce paysage d’un entre-deux roches dures. nous no!s avançons sur un chemin, un chemin déjà tracé qui va au loin, que nous voyons filer devant, qui nous guide et nous entraine. nous bnous faufilons enttre deux rochers (?) ou mers (?) ou quoi ? dans une sorte de contrée lacustre ? nous allons fissa. nous marchons côte à côte et de bon pas. nous en avançons mordicus. nous sommes qui allons fissa par la bande. nous en avançons grave. nous marchons sur un chemin déjà tracé (par qui ?par une bête ?) et nous nous apprrochons d’une sorte de fin de partie. nousvoul;ons comprendre les données cruciales, celles-là qui en disent long et vous en apprennent des masses si tant est. et voilà pourquoi nous maerchgons. nous marchons vers un final de base rupestre, échappoatoire, destinée, tracé, couloir de rage, embardée, charge rocheuse, coloriage aux couleurs nacrées. Nous sommes proches de la fin. nous som=mes à deux doigts df’en découdre de la traversée. c’st à dire ici que nous touchons au but, aux dernières lueurs ou comment ? nous touchons au bout. nous sommes alllés loin en cettye roche des prés et prairies de rage. nous sommes deux debout au bout du bout qui nous regartdons et nous disons des choses comme quoi le bout est cette chose devant soi qui est (serait ?) en butée. Nous voulons piger. nous voulons toucher : oui voilà ! cela ! toucher à la roche du temps des apprêts, du temps des fins de rage, des bouts de bout. Nous voulons toucher lza porte finale. la dernière accolée. la porte des passages transverses. nous voulons toucher la roche-porte. la porte-roche. la des portes qyui est la cdernière avant le saut, avant quoi ?Nous voulons toucher= comprendre = prendre = aller. notre envie d’aller est puissante, de passer la tête et de naître à une autre vie de l’autre côté. il y a l’antichambre (imagination ?) et la chambre (soin de base en canopé). nous voulons comprendre les données les plus ancrées en cette rochge dure, ce que c’sset que cette antichambre aux betes de poids, et ce que c’est que cette chambfre dans les lointains, ce sas (?) ou comment, ce passage vers, ce sas ailleurs ou comment , ce... soin ? nous cherchons ! nous ne sommes pas (on le voit) en reste de chercher et vigoureusement, avec entrain, avec une volonté affirmée, avec assiduyité et avec curiosité. nous cherchons à cerner les choses du temps, ce fond de roche, ces betes de poids, cet imaginaire, ce sens. nous nous approchons de la roche percée. il y a chambre de l’autre côté , chambre nuptiale ? amours de rage ? qui est là ? qui va dans le sein ? qui entre ou qui est entré ? qui est là derrière ? parenté ? charge vive ? qui existe en pareille chambre des embruns ? qui renâcle à dire ? qui trépigne insytamment ? qui veut ma mort ? qui  veut notre mort ? qui nous veut morts nous deux ? qui veut que nous passiiiiio ns l’arme de l’autre côté ? qui veut que j’outrepasse ou que je trépa sse ou que je passe ou que je passe le nez, la main , la figure, quoi ? Nous sommes des qui allons en roche dire ce qui est pour nous qui recherchons des choses vraies ou tout comme. notre envie est de creuser le temps, de creuser profond afin d’en extraire des données cde poids qui puissent nous donner de quoi comprendre vif et bien ce qui est de ce qu’o,n voit (ou de ce que l’on ne voit pas, etc). nous cherchons choses et autres à même la roche. ici trou de passe. ici excavatioon. ici trou de rage et derrière...  quoi ? une fumée ? des goutelettes de buée ? une lumière bleutée ? une chaleur ? un bruit sourd ? une sorte de mélopée sortant d’e plus bas dedans ? quoi est ? Npous voulons comprendre. nous voulons nous approcher d’icelle pezrcée de roche, de ce lieu de chambre nuptiale, natale, ou comment ? retour ici vers un passé récent tout compte fait ? retour aà un chez soi de base ? nous cherchons la chose ce qu’elle est au juste, et aussi à nous «tirer d’affaire» = trépasser sans trépasser comme pour ainsi dire; Nous voulons toucher sans toucher. toucgher sans nous brûler . toucher au cfeu sans nous brûler. cela se peut-il ? cela est-il chose possible ? qui nous dira ? qui va là ? qui est l’homme des données de rage vive ? qui est homme des parois du temps ? qui comprend au juste ce qui est de ce qui là se trame dans le sa ng ? je (=nous) cherche ( cherchons) ce qui là (dans le sang) se trame au juste , se conçoit, s’élabore, se transforme (se forme) et aboutit à cette chose devant soi qui est et qui reste à comprendre . nous voulons toucher la roche du temps mais sans nous brû;er à son contact . le feu sans le feu; la mort sans la mort, voilà ce qui est. nous  sommes d’accord pour mourir peut-etre mais en vérité sans «trépassezr» = sans passer le nez ou quoi que ce soit d’auttre de l’autre côté. nous voulons comprendre ce qui est ici mais sans passer l’arme de l’autre côté. bnous voulons toucher sans toucher ou comment ? nous vouylons touchger le feu mais sans nous brûler ! nous voulons toucher au feu mais sans nous brûler ! nous voulons ensemble toucgher, toucher à ce feu central (chambre nue) sans un tant soit peu nous brûler les ailes. nous voulonss comprendre ce qui est ici en roche = trou de passe, chambre, lumière, musique ou bruit sourd de type mélopée (lascive ?) .nous voulons nous approcher d’icelle paroi des fonds. nous pensons «chambre «, nous pensons «antre», nous pensons «chambre = antre», nous pensons «chambre nuptiale» comme à l’aller, nous pensons qu’il s’agit d’un retour à quelque chose d’antérieur à notre arrivée sur le plancgher des cvaches. antichambre des parois de bêtes (de type préhistoire, aurignavcien, magdalénien etc). antichambre aucx bêtes (en premier) puis chambre nuptiale xplus loin. nous voulons toucher la timbale du temps. nous voulons coller à la roche rude. nous voulons nous enfoncer dans ces tourments de roche allouée à vie humaine mortelle mais quoi ? sommes-nous de tzaille pour «passer» les chjoses, les étapes de destinée sans succomber ? sommes-nous des gringalets ? sommes-nous des bêtes de taille ? sommes-nous des freluquets ou bien aurochs de roche, aurochs des rocs ? qsui nous sommes ? qui on est ? qui sommes-nous qui cherchons à passer le n ez par la fente ? la faille ? la quoi ? porte des parois ? nous passons 1 nez de base, nous tentons, nous vopulons sabvoir, nous sommes deux. nous nouds sommes avancés à deux jusqu’à la chambre bleue(?) et nous cherchons à voir decdans ce qui s’y trame mais comment sans y entrer soit sans se brûler ? de loin et de biais ? NBous pensons que la mort est après la bête rosse. la mort est logée plus loin. la mort est après la roche des fins de grotte. nous pensons que la vie est traversée puis saut puis embardée puis arrivée devant une porte (?) ou disons ouverture de roche (sas , ) qui est trou de balle pour le dire ainsi = trou du cul. je dis cette chose ici (ailleurs aussi) comme quyoi la mort est, non seulement à insulter (c’est une donnée de rage d’évidence) mais en plus de ça elle s’y prête en vrai , car elle est ce qu’on dit d’elle en l’injuriant. l’injure la forme ? l’injure la dessine ? ou bien l’injure la définierait telle qu’elle se présente )à nos côtés pour ainsi dire ? nous voulons comprendre ce qui est exactement. une chambre mortuaire = une chambre à air = une chambre soufflante = une chambre aux airs = une chambre de vie = une chambre d’amour = une chambre du cul, etc. nous disons que nous aimons chezrcher les vérités là où elles se trouvent. nous voulons toucher les choses en vrai. nous vouyl;ons comprendre, nouys voulons cerner, nous voulons toucher la vérité en vrai = en dur de chez dure vérité. Nous voulons toucher le feu sans nous brûler : comment faire ? nottre but est de troucher le feu sans jamais pour le moins nous bruler ni les ailes ni rien d’autre, et pour ce faire, une seule voie : la lévitation et l’incantation . la lévitation incantation. kle choix du Roi; le cri de guerre. le chant des apprêts. le terminus, on descend de sa rage à êttre. on est là sans y être (en gros). on est et on est pas. on flirte avec la mort mais on ne meurt pas. on vit la chose crument mzais sans y être en vérité. Je suis dans la chambre du Roi. je regarde icelle de près. je suis Roi du passage dans l’au-delà et pas. je suis et ne suis pas ce Roi. je navigue d’une chose à l’auttre. j’entre et je sors; je vais et je viens. je suis en cette roche creuse dans le xsang. je suis homme des parois mo,nsqtre, douceur et candeur, douleur et rougeur, vivacité. je cherche à toucher cde qui est ici à toucher d’une chose vive. je cherche à comprendre les données du temps ce qu’elles sont au juste pour moi (pour soi) qui suis (nouys sommes) l’êtree de la foi dans l’ombre de la paroi (êtres d’une foi certaine). nous sommes qui cherchons à mieux cerner les données de rage idoine. Nous nouys infiltrons et touchons la roche en ses fgonds. qui est là en cette chuambre ? le dfieu des passa ges ? le dieu roi du temps absolu ? une pariole musicale = chantante ? une chorale ? un cri de basse-fosse , un dieu du paradis ? une cxhaleur étouffante ? un feu de prairie ? kle Feu de joie d’un animal de base ? une perle ? un coquillage ? une donnée-denrée : victuaille ? Nous voudrions savoir beaucoup de choses sur la mort. nous voudrions connaitre plus, plus et plus encore, sur la mort. quoi en elle. que existe en elle ; Quoi erst-elle ; qui sait ça ? nous nous approchons d’iccelle porte (?) ou anfractuosité rocheuse, nous passons la main . nous passons le pied. nous passo,ns le buste. nous passons la têtye. nous passons le bassin. nous passons le reste du corps. nous passons en entier. nouys sommes passés. nous sommes passés à travers la faille. nous avons passé nottre corps dans cette fente, à travezrs elle, et nous nous retrouvons de l’autre côté à chercher ce qui est dans ce qu’on voit. et que voit-on ? le feu de rage vive ! il brûle nos vies ! feu des temps impartis ! aiuto de grâce ! ça fait quelque chose ! ça fait pas du bien ! le feu de ta race au cul ! le monstre ! le salaud nous brûle ! oh l’enculé de ta rage à être divin ! tu m’as compris ! ça pue, ça pulse, ça brûle ! ça pue grave , et d’où ? dfu cul tu m’as compris ! La mort pue du cul depuis la nuit des temps ! ça pue grave ! cça schlingue sa misère crasse ! oh la meu ! oh merdum de rage ! que de ça qui nous attendait ? que ça pour nous informer ? Nous voulons comprendre ce qui est ici en roche, et pour cela il nbous fallait entrer en elle et pousser dans les lointains d’icelle à) la recherche de la vérité vraie des choses du monde, de lma mort et de la vie, des choses du monde en vie de la mort à l’oeuvre. nous vouliiions compren,dre loin alors voilà , nouys sommes allész loin.nous vouliiions comprendre dans les profondeurs mais comment sans passer la tête ? et si tête passée comment faire pour : 1, ne pas se brûler , 2, ne pas succomber, 3, ne pas trépâsser ?Voilà les choses, ce qu’elles sont pour nous, ce à quoi on peut s’attendre. Nous voulons comprendre enwsemble les données de rage les plus prononcées et pour ce faire comment faire sinon ainsi : en touchant la roche de près , en nous immisçant en elle frontal, en naissant à une vie nouvelle = en mourant. il n’y a pas d’autre possibilité on le sait. Nous voulons piger par la bande, comprendre les mots de la roche : ces bisons de belle extraction, ces buffles surnuméraires et autres aurochs de  bellez remontée de rage. nous avons touché à la bête charnue, nous nous sommùes avancé des bords de plage, là-ba s c’est le pré, ici l’anfractuopsité pariétale. nous voulons passer mais sans trépasser mzais comment ? par la pensée ? oublie ! par le sa,ng versé ? cdéjà, c’sst mieux! pâr quoi ? par le Verbe nigaud de ta rage ! par le verbe de ta rage d’être ! par du Verbe dru de ta rage incluse ! par du Verbe de paroi de base ! Nous pensons que la pensée est une chose véhiculée mais que le véhicule prime, sa motricité, son allant, son biais, ses richesses naturemlles, son  ntremise, son  coeur, sa vaillance en ses données, etc. nous voulons aller en roche ainsi, toucher roche des parois vives (en vie) et pour ce faire  : travzerser la roche prairiale, aller par (à travers) elle et atteindre un fond de paroi mobile, le fond des fonds, ce fond dit «des fonds», etc. nous voulonsaller en roche vivre notre vie d’emprunt. nous sommes entrés en elle. nouys voyons des betes massives dites «d’a,ntichaMbre». nous les regardons brouter, se courir après, chevaucgher ka roche, manger, se coucher. nous sommes entrés dans le sas des pârois du monde. le verbe est une donnéecentrale qui nous intéresse au plus haut degré. le Verbe est au coeur du problème des parois de roche. le Verbe est pour soi l’Entrée du Royaume des Dieux de la Roche. nous penso,ns à un dieu velu quand le dieu est colmme un feu qui couve, qui fait son chemin de feu suspendu. qui fait son chemin suspendu de feu alloué à une vie humaine. nous cherchons ensemble, ce feu : 1, où il est, 2,qui il est, 3 qu»en penser . nous voulons piger vif (à belle comprenure) ce qui est ezn roche (antichambre) et après (chambre) : le cul , le cvul ici dit «de la mort de l’âme» ? ou comment ? le cul nu de cette mort à l’oeuvre dans le temps ? je suis qui cherche longtemps dans le temps kles raisons qui sezraient celles qui présideraient aux destinées. nous nous avançons de ce feu bestial de la roche : cul ? cul de quoi ? cul de rage ? brouet ? chant ? chant du cul ? pet ? squi sait ? souflle = gaz = vent = cul nu ! Je le sais ! je sais cette cjkose d’un vent de la roche, qui serait tout droit sorti d’un cul xe rage ! On sait ! on est pas né de hier ! on sait ce qui est ! on sent le brouet, le pet ! ça pue du cul grave : c’est la mort ! c’est elle (la mort) qui empeste et nous empeste ! elle pue grave on sait cezla. la mort pue à mort. nous voul:ons comprendre ici des données, des données vives, des données de rage, et voilà ce que l’on trouve en creusant un peu, cette chose comme quoi la mort est une entité de chambre qui puezrait mais grave ! on le voit ou on le sent ou bien on subodore ou bien ion devine car on est devins. On pense = on avance sur un trait de base nuptiale. nous nous avançons sur roche, bnous pensons à cette chjose devant soi (?) qui serait ce trou = trou borgne un peu, donnant sur cavité fermée, close sur elle-même, etc. un trou sur cavité close. une bulle = une outre = un antre = une poche = une sorte de sac ou de sacoche ou de sachet ? ou commen,t ? car le cul est trou donnant dedans sur toute une tuyauterie de rage, sortant vers devant la bouche, la bvouche en fin de parcours ou en commencement, selon par où tu vas ou veux comme,ncer l’ emba rdée. je cherche. je suis pas en reste de cghercher. je suis pas là pour rigoler; je cherche vif, dru, sec, roc, bec, et ongles; je cherche que tu cher cheras fissa, on voit ça. je vais ici à toute blinde autant que possible = sans le moindre arrêt-buffet, pas cde pause de quoi que ce soit, on trace = on travaille = on y va = on avance = on ne regarde pas à la dépênse = on file phil, on court on vole, on chante son chant des parois, on co:mprend ce qu’on peut, on essaie d’aller, on cherche à cerner, on est deux à tracer des bêtes de poids sur paroi; qui l’aurochs , qui l’antépénultième bête à cornes de type bouquetibn. nous voulons piger = toucher = aller; nous voulons toucher à la bete de poids et par elle aller dans la profondeur, dans un sein, dans un sas, dans un antre d’outre, etc. nous vcoulons passer sans trépasser, aller sans se brûler, toucher sans s’âbimer, connaiotre les donnéesz de raghe les plus lointaines ou les plusq ancrées. nous avons à ici comprendre ce que c’est qyue cette chjose de la roche des parois du monde de la mort de base à l’oeuvre dans un sein de base motrice (votive ?) .  et pour ce faire : vif ! fissa vif ! courir ! al;ler vif à fond ! ici = le train ! ça urge ! ça pistonne ! ça y va ! ça n’arrête pas ! ça fait sens ! ça douille ! ça coute un bra s ! c’est pas de la meu c’est quoi ? je cherche ce que c’est que ça qui nous attendrait les bra s ouverts .. deux bras pour moi ? pour soi ? deux bras grand ouverts pour nous enlacer, nous rapter, nous prendre et nous avaler ? je cherche ! je suis ici un (un parmi tant) qui cherche ce que c’e’st que cette chjose d’une mort à l’oeuvre en ce sas des sas surnumérazires. je cherche à fond, je suis lancé, je ne m’arrêzte plus. que pertsonne ne vienne m’emp^echer d’aller plus loin ! que personne ne vienne m’enquiquiner et m’em pêcher de tracer mon chemin ! que pezrsonne nre vienne se mettre en travers de moi et m’empêche d’aller à bon port = à kla mort ou jusqu’à) la mort ! Je suyis celui-là qui cherche en paroi du temps des données sensiibles fiables, consultables etc.mais est-ce possibvle ? on dit que non ! on dit que c’est impossible , que la vie ne contient pas la mort , que la mort est un au-delà (?) qui ne se montre pas comme tout au-delà puisque au delà , etc. on voit, on chemine, on guette, on mange à satiété. on est hommess et femmes qUI aiomons mangezr la bete coriace à chasser. nous nous regardons dans le blanc des yeux et nous cherchons à piger ce qui est icvi en termes de  voix, de bruits, de cris, de chants, de sons, etc. car le son ici (roche) est pris comme du sang pris sous la peau ail;leurs. Nous sommes ensembkle (deux) qui cherchons à toucher la roche dure, la trouer, traverser icelle, chambrer la bete avabnt de tracer au loin vers une sorte de nouvelle roche des prairies nacrées, des embruns, etc. cvette roche 2 est roche des fonds de roche. nous croyons, nous croyons à roche 2.  nous pensons que roche 2 exisqte, qui est rocghe ultime, fracassante. Nous vou;lons piger ce qui est et aller dans les loin,tains d’icelle roche de paroi de type terminales. nous sommes devant, nous voulons entrer, mais comment entrer sansq succomber ? ça buffe grave ! à décorner un boeuf ! à déterrer un mort ? à quoi faire ? et nous de nous pointer ainsi vent de face ! grave ! ça pue ! oh ça pue du cul ! ça pue grave ! vent de face mes aieux ! cça cocotte un max ! ça fait pas sembvlant ! c’est tenace ! ça pue grave du cul de ra ge! c’est un truc! et nous tout de même de nous y collezr, de nous y coltiner, de plaquer la bvouche sur bouche ! de plaquer bouche (nôtre) sur ce trou cde vbouche grand ouvert ! nous sommes devant = nous plantons ! nous nous sommes approchés d’icelle paroi terminale, nous chercvhons la faille (anfractuosité) et la trouvonqs. nous voulons passer mais le passage est fin, trop juste, ça passe pas, faudrait dilater ! dilater icel passage (icelui passage) du cul ! tracvfersée de rage pour une naissance à déplissezr. nous voulons comprendre ce que c’est que cette chose d(‘‘une mort lointaine, l’autre côté, ce fond de roche, ce fin fond de rocxhe, cette chose au loin bien après les bêtes de roche tra&cées par x, homme des cavernes ou par y, femme des cavernes, ou pa r z, entité nacrée des cabvernes (un enfant ?). nous sommes ainsi qui cherchons avec beaucoup d’entrain à bien comprendre les donnéesz offertes par la vie à son sujet, mais ce n’esqt pas simple, c’est coton, et en plus ça pue la merde ! !ça  pue grave la meumeu sortie du cul de basse-fosse, on le voit. la mort est un trou de rage, puant grave car fait de quoi, fait toujours cde meu de base, rage des parois du sang,, chant nuptial, ouverture dans un sens de base , vie de mort de rage. nous cherchons à dépl;oyer (dans le temps forcément) ce qui peut l’être.  nous voulons ensermble toucher la paroi, la roche, le sang, le trou, la belle chjose des apprêts. nous voulons aller profons dans une sorte de vérité rupestre. quyi saurait nous seconder ? qui saurait nous en dire long ? qui connaît les données swecrètes , qui veut avec nous venir profond en pa reille roche des temps assoupis ? nous vouylons savoir ensemble << ce qui est exactement ezn pareille roche d’ouverture. Nous avons le Verbe d’entrée pour nous = pic de pezrcée. nbous nous disons que peut-êztre en effet, ainsi munis d’un pic de roche, ainsi armés nous pourrions traverser la roche ultime, excva vation, trou de bure, aller profond en icelui et comment, sortir de l’autre côté ? par un,e bouche autrze ? autrez bouche des parois du monde ? bouche des paroles vraies ? bouche de la vérité ? peut-etrte ! peut-être on peut. nous oçn sait pas. on a pas a ppris. on nous a rien dit. personne  ne nousq a dit. on est incultes. on sait pas bézef./ on xwait pas grand-chose mais enfin on chercxhe beaucoup et depuisz longtemps; on veut comprendre au mieux et loin les dsonnées offertes par la bande pa riéto-langagière du temp)s octroyé à vie humzaine. on se dit qsue c’est ainsi que c’est, que ça changera peuêtre, que les choses vont petrit à petrit s’(activer et qu’ainsi bnous saurons quoi penser au juste , de la mort à l’oeuvre c’est un fait, de la cxhambre mortuaire (§lieu de vie) ou tout autre enclave de l’après; bnous voulons savoir ici la donne juste, la connaitre sqi possible de bout en bout pour mieux l’appréhender dans ce qu’elle est au fond d’elle-même. nous nous disons que bnous devons aller profond et toucher kle fond de la roche. toucher au p;us lointain des lointains de sa rage à vivre sa vie vive de la mort à l’ oeuvre, on a compris. on voudrtait savoir la mort, ce que c’est au juste : chambre , antre ? outre ? passdage ? cavité borgne ou non ? cavité avec en son sein passdage à noubveau pour une remontée du ruisseau et sortie nocturne par bouche du temps (à devoir percer); nous ne savons pas tout. nous sommes ignares pour beaucoup. nouys cherchons entre nous (langage articuléé commun) xdes choses à comprendre ici et là. quoi penser de toute cette cjose d’une mort en nouys progr&mmée peut être par usure ou autrement (tué ?). nous szommes à vouloir comprendre + ce qui est ici en roche du temps déployé, ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++, nous voulons ensemble «toucher» la roche = la «cerner» = la «résoudre « . = couronner . nous voulons cerner = couronner la roche = la placer ainsi surChose; nous voulons comprendre et toucher, toucher et cerner, cerner et faire vibrer. nous sommes qui voulons comprendre ensemble icelles vibrations de vie, ce que c’est, cecque ça dit, ce que ça promet en termes de vie à viivre demain ou après-demain, et pl;us loin. nous voul:ons comprendre ensemble les données de rage, les moments-clés, les attraits de base de la roche aux dessins gravés. nous sommes des bêtes de jopie. nous nousalloongeons sur natte, sur plan d’herbe fraiche, sur pierre de taille, sur table, sur paroi mobile. nous bnous allongheons et nous nous reposons et nous nous offrons en quelque sorte, aux dieux dees parois de roche : dieux fols de rage à vouloir être Vies de vie de race riche; Vie riche de ta race d’être une personne en vie sur terre, riche d’un passé de charge, communiste, cher, compagnon du monde, sapeur, chanteur né pour icelles dames des parois vives, dessinateur émérite, graveur au taquet. nous voulons comprendre les données rageuses d’une rage à être en vie l’etre d’une vie d’empruunt surnuméraifre. qui nous croit ? qui pense que nou!s sommes là pour quoi en vérité ? qui croit quye je = nous multiplié ? nous chassons les mauvaises pensées. nous voulons toucher les choses en vrai et non en rêve. nous avons cette volonté en nous déposée de vouloir en vrai touchezr les choses, toucher vif, ces choses du temps, parades nuyptiales; nous nous envoyons des signaux, nous communiquons par des effets de corpsq;$

, nouds crions comme des animaux, nous nous frôlons ou caressons incidemment en pareille roche; nous sommes deux êtres en nous-mêmes qui gravons la roche, dessinons l’aurochs. nous vouylonsq aller en cette roche des données de base nuptiale mais comment ? njous devons per cer l’hymen c’est une évidence ! percer icelui abvant d’enttrer : ça coule de source ! c’est un fait que nous devons percer l’hymen avant d’enttrer et de nous y (où ?) loger . car l’(antre est un antre bouché. L’a,ntre est une outre fermée, close, ceinturée sur elle-^même. l’antre est close, ellke est outre rezfermée, faut la percer pour faire s’écouler le suc de rage, sève de vie. bnous savons cela ici comme qyuoi la mort est un antre de vie (oui !) qyui atteznd que nous fassions le nécessaire (tous et toutes sans oubli) de notre côté pour le (la : la mort)) rejoindre. le pour l’antre et la pour la mort on m’a compris. je cgherche à comprtendre. pour cela je fouille. je perce la roche. je remue. je vais et je viens en elle, je ccoïte ou comment dire en elle. je suis Vif l’éfclair de ta rage et je cherche à comprendre à paretir des mots déposés devant szoi (présents = odffrandes) pôur un dieu xde la paroi dure, ou pour un autre dieu de lapa roi meubke. Je suis vif l’éclair de ces dames et de ces meesieurs , vif de rage et coeur vaillant (tic et tac des embruns, des gouttes d’eau, de la rivière, des mers ancestreales, etc). je chante à tue-tête le channt de laroche du temps. je chante haut le chant des partisans. je suis cet homme au chant qui résonne; je suis homme desv temps alloués à mille vies sur terre, comme autant de pierrres déposées ici et là pa r un petit poucet de ta race; je collecte les données car je suis dans un élan de type recherche vive, à même le vif de la vie parlée,, etc. mon coeur bat son chant de vie allouéee. je conçois par devers moi un chant des rues et autres placettes de village, jje crie. je suis homme-fezmme des embrunsq. je suis cet homme)-femme des e»mbruns ou bien cette homme-femme des ezmbruns ou bien femme-homme des embruns de bord de mer ? une femme)-homme adoubée, qui s’avance dans un pré et cherche des fleursq, tout un bouquet de belles senteurs qui nous chan,geraient (grave) des odeurs de mort et autres saletés de l’au-delà à la paroi meuble (percée pour la Chose); nous voulons cxomprendere ce qui est, que l’on subodore, que l’on ressent(, que l’on imagine de loin et comme de biais. nous sommres à chezrcher la Chose du trou dans la meule? non ? quoi dx’autre ? nous voul;ons comprendre le trou de la roche finale ce que c’est. c’est quoi ? c’est un trou de quoi ? trou du cul remontant (à l’envers du tempsz) vers une bouche ? tout ce trajet ? trou du cul (la mort) vers bouche de la vérité de l’a&utre côté (fin fond pour ;le coup devenant début de passe). je suis motivé, attitré ou commentt ? car je suis enposte : j’écris, je tiens la chronique du dire lâché, de ce dire des a ppreêzts de rage. je cherche comme je peux des données de base à même la pa roi du temps par l’entremise d’un verbe de poids quyi eut pu le faire fissa et comme il se doit. je cherche à cerner kles donné&es de base rageuse, etc. rzace ? rage ? quoi ici qui cherche à émerger d’un dire de poids (de type aureochs de compagnie né»a&ndertalienne ou bien aurignaciennne ou ma ghdalébniennee, etc) Je suyis Homme (H) qui fonce. Je suis Femme (FEU) quii va dans le tas. je cherche à vif une vie après la vie cfomme le professeur Moody, ou comme qui d’autre ? je cherche que tru cherchezras les choses, lesz données fractal;es, les vives données de ta rage vive; mon coeur bat : je suis né à la vie. je cherche mon souffle dees rois. je cherche que tu chercheras le souffle dans les a irs et j’aspire bouffée sur boufféeqs, je me remplisq d’air, je me gonfle comme une outre, un balloon de rage. jke suis hommùe des p)arois de rage vive et je rehgarde autour de moi , je cherche à comprezndre les données de base qprésidant la Vie de base. je cherche à traverser la roche, à aller loin en elle, à touchert le fond. ou est donc ce fond dit «des profondeurs» ? qui le connait ? qui pour me guider ? qui pêut me donner la main pour m’entrainer à lui vers lme fond nacré des choses de poids , je veux traverser la roche dsu temps mais surtout toucher à cet autre côté rupestre (pariétal) qui sezrait (hje dis serait») l’ezntrée pour une vie nouyvelle, autre, peut-êtyre tout autant «fleurie» que la prmeière, c’est à voir. j’imagine, je subodore, je me fais kle film, kje pense, je compense (?). j’essaie de comprendre les données natives et celles d’une fin de vie : retour ve»rs le passé 1 ? retour (1) vers du passé d’un antre pariétal ? le ventre ? l’antre ? le ventre de qui ? je suis celui-là qui chezrche dans un tas un trésor de rien (à peine visible : poussière de vie) et pour ce»la : avoir de bons yeux, le bon dieu et des aieux (peut-être); je veux être vif d’une sorte de rage à vouloir trouver «des choses» = des «choses de poids « = qui en jette lourd, qui font impressiobn; je cgherche à comprendre tout, et ce Tpoout le déposer sur roche comlme un Tout de base en tant que présent déplissé, offrande à déité, cxhapeau de royauté;,je veux être ici le Chef de rage à être le manant, le passant qui charge, l’(animal trapu; moi ide»m (trapu) commùe une bete ressemblante; je veux être l’êtyre des parois vives. je veux être l’être desz belles m»élopées de rage. je m’approche d’une vérité ‘(pas vrai ?) mais laquelle ? je ne sais ! je cherche à comprendre les données natives et aussi ce qui est qui semble demain vouloir nous attendre, nous attendre sur le pied de guere. nous voulons savoir. Nous voulons comprendre ensemblke ces données. nous voulons nous pencher sur icezlles. nous voulons trouver des chosesz belles en elle, et comment faire pour ce faire ? car nous sommes for gênées du fait que nous sommes limités dans nos corps d’homme et de femme terrestres; commùent faire ? chanter ? penser ? hurler ? tuer (?)? aller et venir dans un être ? chercher une vérité ? tracer des bêtes de roche ? ceuillir des baies ? tuer du gros gibeioer = se sezrvir ? aller en roche à la recher he de la vérité frontale ? mznger les données et s’en re^paittre , qui saura distinguer le grain de l’ivraie sur le sujet ? si lz mort est une entité alors la vie a ussi ‘(peut)-être) est une entité ! on cherche ! on creuse toutes les qUEStions de front, on ne s’arrête plus, on fonce. on a une envie monstre cde piger ce qui se trame devant nous en fait de vie à vivrre vpar lma bande (langagière) des temps imparrrtis. bnous voulons comprendre dans la profondeur des temps à venir : voilà ce qui est. et pour cela il est nécessaire de se projeter da,ns un temps rocheux de type pariétal , rupetres, ou sur table, sur paroi horiznt(a&le. nous xdezvons nous projeter un tant soit peu pôur mieux comprendre les données liées à un devenir. car le devenir a son importance, forcément. nalors voilà : le mouvement, l’élan imposant mouvezment, etc, oriente nt les données de rage d’une vie , et de fait, orientent grandement la chute (la courbe) d’une action de vie dans le monde. ce n’est pas au coup pa r coup, ça s’inscrit dans la durée(moment = mouvement) et par conséquent le temps est courrbbe, est treacé de rage en sa révolution spatiale. mouvement = moment et inversement. la Cg$

hose s’inscrit de fait (de rage) da,ns le temps d’un gezste dessiné, tracé, et les choses vont ainsi qui ne s’égrènent pas pour somb rer à chaque grain touché, mais vont à tracer une courbe d’ensemble, un dessin de courbe allouuée, une figure de sainteté. je vois cette roche  du temps devant moi qui est massif de grande envergure :comment passezr outre avec ses mainqs, avefc peu de moyens ? voilà comment : en pârlant , ou plutot en faisant celui-là qui parle ! en faisant celui-là qui parle en soi par la bande. je me meus en cette roche des tourments et tente u ne approche de la mort pâr les sezntiments en luyi disant qu’elle bnous manque, que nous l’aimons, que nous voulonsq la satisfaire coûte que coûte, etc. fayotage, façon masquée, faiblesseses; nous  nous approchons de la mort à petits pas, touts les -jours un, peu. nous nous approchons de cette cxhose ici que nous nommons ainsi de ce mot de «mort» de ta base à être vivant ou qUEZlque chose ‘a&pprochant. la mort = la honte. car la mort a honte de puer la merde, elle est mal à l’aise, elle ne sait où se mettree, elle ne sait comment faire pour oser, pour oser se montrer à tout un cha cun, car, pour le coup et franchement, elle cocotte sec, c’est fou, ça pue du feu de dieu, ça renifle quelque chose. et du coup la mort a honte, elle ne sait où wse loger ou placer. trou de basse-fosse ? oh elle pourrait , tzant elle est honteuse., trou du cul de l’^tre  ? oh pareil ! elle en pleurerait. elle fondrait ezn larmreses./ elle pourrait facile fondre en larmes et se vider, et vider son sac (lacrymal) mais pas que. se vider en entiezr. -se vider de tout son saoul en termes d’etre à vives données de base, ou contenant vives données. nous nous a vançons d’elle , nbous nous abvançons de cette Chose devant soi. nous avonsq encvie de comp^rendre les données, soit les déposer (ou poser) debvant soi (là) et piger ensemble, discuter, imaginer, découvrir, etc. la mort est un objet d’étude comme un autrte.on peut «s’amuser’» à cxghercher wdans tous les sens. on peut essayer de chercher profond ce que est la mort annoncée partout. nous vcoulons trouver des termes, desmots de rocghe, des dessins d’hommes et de femmes de la préhistoire. nous voulons trouver des mots (des pensées) cachés (e)s. nous szommes partis cpour durer à même la roche si tant est, continuer sur notre lancée un bon bout de temps, ne pas sombrer mais poursuivre longuement les choses amorcées.nous comptons poursuivre sur notre lancée et ne pas sombrer du tout mais tout au contraire y allezr de nos recherches les plus abvouties, les plus prononcéesq, les plus nettes, les plus sérieuses, les plus avérées. nous bnous présentons face à roche numéro 2, l’ultime parade. nous nous présentons; chacun décline son identité, nom , prénom, qualité, signes particuliers, lieu d’habitation, lieu de naissance, profession, etc. nous avbons à dire ces choses avant de vraimznt commencer à questionner la roche (la paroi) et à receuillir les données qui nous interessent vle plus. nous voulons toucgher la roche à deux avant toutes choses, et c’est ainsui que nous faisons, que nous disons . nous voulons comprendre ce qui est en roche, ce qui  en roche se trame depuis le début maids pour ce faire nbous devons entrer en transe, léviter, nous laisser guider (absorber) par en nousq la bête de rage et de poids , qui sait quoi faire, qui sait comment faire et qUAND. La bête en moi eswt une bête des parois préhistroriques. la mort la regarde finement, attentivementr et approuve sa corporéitée rocxheuse ou disons l’envisage d’un bon oeil. je vois cette bete devant moi , qui fait impression (forte) mais pas seulement, elle a pour rôle aussi de nous transporter plus loin (ailleurs) dans l’esoace)-temps de la rochge. elle eswt là pour faire impression (et faire croire à de la vie vcraie : aux yeux de lma mort) mais aussi elle szert de passeur, de passe-^rage, etc. elle nous guide versz un a&u-de»là pariétal de première, dans le sens où elle est toute en capaacité de pouvoir accompafgner notre mobile jusqu’au pôint final d’une sortie de rage (sas) pour une naissance à quoi , à une autre vie «aptrès la vie» ou quelque chose de ce genre. nous voulons toucher la bete et nous laisser guider. nous voulonbs aussi faire accroire à un dieu de la mort, que nous donnons beaucoup de nous (tout) quand ce n’e’st pas vrai mais il ne faut p)as trop ébruiter cette choswe, car il en vca de nottre survie on l’a comprisq. rester dans une sorte de qUANT-à-soi de toute réserve, ne pas de trop ramenerr sa fraise. rester coi ou tout comme. posezr, se reposer, faire le mort (?). nous vcoulons aller loin en cette roche des tourments afin de comprendre les données de rage profonde (la rage est profonde : une fois n’est pas coutume) et toucher à cette vérité de bhords de mer. nous voulons entrer en roche, voir lkes b)êtes devant nous , voir paitre les biches, kles chevreuils, les élans, loes méga)-cerfs, etc; ce sont bêtes amies. elles sont là pour nous guider le temps de notre vie sur terre, ni pluys ni moins; ,elles sont cependant appelé&es à mourir, car la mort (l’oeil) guette, guettye continuellement et ne lâcxhera rien et surtout pas la perspectrive affichée de pouvoir à termes manger de ce gibier de choix (de vpremiier choix). nous aimons les betes des bois (sous-bois) et nous savons que leur vie est quoi qu’il en soit, aappezlée à s’éteindre un jour ou un autrte, et nous de la m^eme manière nous mourrrons un jour, lâcherons prise et rejoindrons ce je ne sais quoi qui ressemble ou ressemblerait à un au-dezlà. nous voyons paitre des betess des prés, bnous aimons les rezga rder; nous voul:ons nous en approchezr et traverser la roche dans la foulée, aller vers la buutte finale ou terminale , comprtendre. on voit ce sas autour de nous ; estil antre avec paroi en cercle ? grotte des prairies d’une rage vive à être en vie en permzanence ? nous cherchons à voir les ale ntours. les côtés na crés, quelq sont imls ? qui sait ce qui est qsui nous entoure ? on voit deux parois et un conduit central, cette travée. on voit qyue nous sommes pris dans du flou de rage prairail, image saturée, chiens fous. nous vgoulons cerner les contours précisément mais il n’est pas sqimple d’ainsi calculer car nous ne voyons pas un tout , nous voyons des boutsq. nous voyons des petites cjoses ici ou là d’un payusage et non un antre qui sezrait une totoalité rezvfermée sur elle-même. nous voulons comprendre «l’antre» = le foyer de base. commùent comp^rendr ? cvfomment se réperer dans les apprêts ? comment on peut faire , on voit que des bêtes ici sont qqui nous acceuilleznt» pour ainsi dire. on voit ici des betes de fort poids en interposition entre lma mort et nous. la mort vient après la bêzte. la  bete est première. la mort est pour la fin des temps, du temps, du temps de quelqu’un. ,nous savons cette cxhose d’une bete avant toutes choses. lpa bete est bete de joie car elle nous accompagne (je) en nous qui a lloons fissa (tete première) dans la vie. alors la  bete est là qui nous sevconde, n’en perd pas une (miette) de nos vies sur terre, sur roche aussi bien. nous voulons savoir sur cette bête un certain nombre de peztites choses de la vie, mais pour cezla nous devons apprendre et pour appre,ndre il faut creuser, etv pou^)r crreuser il faut un pic de creusement (piolet ou pioche) afin d’y aller, d’activer la chose avec virulence; nous devons aller en roche ensemble (la bete et moi) pour nous souvenir des données anciennes (la rage de la préhistoire) et rappôrter au pl;us du temps impartyi ce que nous pouvons (savons) de la vie plus qu’an,cienne. car en mùoi réside quelques reliquats (j’en mettrai ma main à couper). je suis porteur. je porte ezn mon sein un savoir. le savoir est bien enfoui en moi (cachette) qui ne vcoudrais pa s le garder pour moi mais pour cela je dois le retrouver, le trouver en mmoi dans un endroit de moi que je ne conna is pas ou si ? Où est le Verbe ? où est le pic de verbe ? d’ou vient-il ? d’ouù est-il venu ? je vcherche à cvompre,ndre en moi l’origine des chjoses du temps. jer cherche à me rapp^rocher de mon être des temps rezculés (réformés ?) qui semvle na ger (?) en moi, se lover en moi, logezr en mon sein de ra ge, etcx. on dit ça. on dit que l(‘homme de néa&ndertal (par exemp^le) vit dA ns nos cxorps de base (où ?) et cherche àç vivement s’é chapper de nous. nous voulons comprendre ensemble ces données de base native, qui nousaccopmpâgne de fait depuis que nous avons montré le bout du nez à la maternité. nous sommes dfes êtres de rage vive et notre a mbition estde mettre à p^rofit nos savoirs et ce sans louvoyer, sa ns faux-semblants. la mort peut attendre «et elle va attendre, car la vie pour nous est pleine de cxhoses diverses, nous devons aller et finir les choses commencées abvant de tré^pa sser (si possible) . Nous devons comprendre et toucher la roche. c’est à) dire cette chose : nous avons à faire ainsi que nous puissions toucher la roche , la toucher la toucher de fait, pôur lka mieux comprendre. nous devons bnous avancer d’icelle eznswemble, la toucher la toucher de  front, voir, voir en elle, voir en ellme ce qui est. voir la bouche ezn elle . voir en ellme cvette bouche ouverte. est-ce un trou du vcul, ? erst)-ce bouche bénite ? langue de vipère ? meu de la meu des amours de rage ? nous nous infiltrons par la bande et entrons en roche à la recherche de la vérité des vérités. nbous voulons comp^rendre les données de base régissant un monde de vie vive (celui-là que nous vivons de pied en cap). nous voulons toucher la roche des temps alloués, traverser pareille donnée rude (paroi) et aller à la recherche en intérioeur d’une ouverture de l’autre côté; cul de bouche ? bouche-cul ? le cul vers la bouche ? ou : du cul vers la bouche. ou : du trou du cul vers la bouche = joue = joue à percer pour faire d’elle une sorte de bouche. nhous cherchons la chose devant nous. où est ce trou de roche finale ? où est ce passage vers un audelà buccal ? comment on peut faire pour nous y coler de base et mieux le comprendre ? la mort est elle au rendez-vous pour tout le monde ? on dit oui mais on ne sait pas : on se fie à ce qu’on voit. on voit près de soi mourir des personnes en veux tu en voilà (la mort) alors fatalement  on se dit qu’un hjour nous aussi nous y aurons droit; c’est une évidence diurne; je conçois cela comme rezlevant d’un fait de bon aloi à pouvoir archiver (entériner) sa ns fausse notes, sans scrupules. je vois devant moi la p)rairie, les bêtes des prész, les betes à bois. je suis moi-même une bête à bois; je veux me faufiler (fissa) jusqU’au bout du bout de la roche à présent ouverte (dans le temps par le verbe) et là-bhas trouver de quoi satisfaire ma gouverne printanière, ma jugeote d’encerclé, mon gout des voix. je tombe , je m’affale, je me noie ?  je vois ce qui est , ce qui devant moi se trame en termes de données royales : la belle donnée en termes de passade, etc, est donnée de choix, qui pèse lourd, qui en jette quelques tonnes, qui en imposent à l’auditoire et fait impression c’est un fait. je cherche à me rapprocher du trou donné par la bande. du passage vers cet au-delà dénoncé; quoi erst-ce ? squi veut voir avec moi le bout du bout ? qui veut se rapprocher à mes côtés du bout du bout et co:=prendre de plus près les vraies données du monde pariétal, du monde ees contrées votives natives, du temps a lloué à une roche. je regarde devant moi les betes brouter et au delà, la voie royale, la travée pour une traversée, ce conduit de guide, entre de»ux parois (mers de roche ?). je marche à l’unisson de la bêtye rosse (grosse) en moi. grosse bêtasse dirait-on ! On en avance, on glissee, on est sur la voie, on fonce, on va entre deux parois; Couloir ? couloir d’effroi ? chant des roches perlées ? nous nous avançons sur roche, nous gagnons sur le chemin tracé = nous progressons vers une v&érité. nous nouys faufilons ensembvle (l’animal et mpoi) et allons fissa direction la roche tremblante des fins de la paroi gravée. nous nous faufilons côte à côte. nous nous entendons à merveille (oui ?) . Nous sommes vifs. Nous sommes secrets. nous sommes nus. nous sommes déguisé»es en bete en rut. nous chevauchons les plaines, les prairies, les bois, les rochers divers. n ous sommes «nature». nous nous faufilons entre deux parois rocheuses aux dessins tracés à main levée par l’homme des cavernes, nous voulons toucher les fonds de roche. aller le plus loin possible vers la déité nacrée de la roche. fond de fin. faim des fonds d’une bouche affa mée qui  n’atteznd que nous , ou plus que nou ? non : mille et mille et des milliers d’êtres de tous temps sweront ap^pelés c’est évident !Nous voulons nous approcher encore davantage et toujours plus du fond de la roche = déité = dentition. nou!s cherchons à nous approcher de ce fond de roche. nous progressons ainsi déguisés. nous nous avançons d’icelle roche déployée ouverte, prête à nous gober comme qui couil:lonne. nous ne vou:lons pas de la mort en soi mais de la connaissance à propos d’icellle. ce que nous voulons est cettye connaissance : pour quoi fqAire ? pour savoir . Pour quyoi faire savoir ? pour ne pas trembler. ou alors : pour ne pas aller fissa à pleurer dans le tas des êtres. ou alors : pour tenir sur pied. ou alors : pour «la  ramener». ou alors : pour se rassurer . nous nous faufilons dans les herbes hautes. nous marchons main dans la main. nous nous approchons de la porte qui (d’où nous sommes) semble être ouverte (entrouvertte ?). nous nouys approchons d’icelle porte des apprêts. bnous nous rapprochons d’icelle porte entrouverte. elle est peinte en beige on xirait, on dirait une porte de service. on dirait une porte tout ce qu’il y a de plus domesqtique . je vois ce qui est devant moi. je vois ce qui est qui se trame devant moi. je vois la porte devant moi ouverte (entrouverte) qui tend à se donner à moi. je vois devan$t moi une porte qui sembvle vouloir s’ouvrir = se donner. je vois qui se donne une sorte d’entrée ou d’ouverture fran,che. une franche ouverture dorée. je vois porte qui (ici) semble se dilater ou comment, s’évaporrer ou comment, sortir des visions. s’échapper. je vois porte vivante. porte vive vivre. je vois ouverture de parois acide. je vois que cette porte n’est plus là en tant que telle mais quoi ? une ouverture vive, acide, cris diverts, luminosité de rage. la porte n’est plus mais une ouverture dans la roche des parois du moncde = un trou. trou du cul debase. je regarde. jhe vois quoi ? je vois cette chjose qui sezmble se donner à nous car voilà cette chose qui bouge = vibre. je regarde devant moi et vois vibrer icelle luminosité» comme si par extraordinaire elle tendait à se rapp^rocher de nous tandis que nous , de notre côté, nous nous rapprochons d’elle. vibrations. illuminations. explosion. la porte a fondu dans la nasse de lumière active. vibration ds’ordre mystique = musicalité performative. je m’approche de la voie,, je vois la voix.

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21/03/2022

Je vois

je suis homme des parois meubles. je 

Je suis homme

nous nous approchons de la paroi. nous voulons comprendre les données de ce qui est. nous sommes deux à vouloir comprendre. Nous nous approchons à deux de la paroi, nous la regardons et nous nous regardons. nous voulons comprendre ensemble << ce qui erst, ce qui devant nous semble (volontiers) se tramer. nous voulons toucher la roche et traverser icelle à vif, ensemble soudés, ensemble logés en icelle, ensemble blottis. nous devons comprendre ce qui est et pour cela nous nous aprocjhons de la paroi du monde et là, ensemble, nous la traversons de but en blan c, nous nous infiltrons et passoons (bon an mal an) de l’aiutre côté. nous cherchons à comprendre les choses ce qu’elles sont, ce que celles-ci pour nous ont à révéler, à montreer du monde, etc. nous voulons comprendre au plus possible les données du monde. nous avons cette ambition commune , et notre but est de trouver «des choses» ou «des choses et autres» à même la roche du temps, car le temps est cette roche devant soi du monde, cette roche devant soi du monde adjacent, ce temps déployé. nous voulons ensemble nous immiscer, traverser, passer, nous enfouir et nous loger, nous glisser et nous pelotonner à l’intérieur du temps . et pour cela : la plonge = le plongeon = l’enfouissement. nous devons comprendre ensemble ici même les données du monde = le temps déployé, le temps déroulé comme un tapjpis de bienvenue. Nous voulons entter à sa suite = après lui = après la chose = justye a près la chose = après le tapis = après le chemin. notre but est là (en toutes lettres) notifié, comme une envie ma rquée, comme une envie qui serait pour nous motrice. nous cherchons à nous immiscer à l’intériuer du temps déployé devant nous, après le tapis ou comment ? car où commencerait la chose à dire ici ? où donc est le commencement temporo-spatial de la chose ici à dire en toutes lettres ? qui voit le début ? qui sait le repérer dans les allées ? qui est qui sait ? nous cherchons ensembvle à nous y retrouver en cette chose d’une sorte de prairie de rage, pré des amitiés, des colères, des bouts de vie à vivre. Nous voulons touycher à la vérité de la colère, de la colère massive, au truck, etc. Nous voulons toucher la roche du temps, la roche dure. nous ne voulons pas passser à vcôté sans l’avoir touchée , et pour cela : fissa ! fissa tête en avant ! bélier ! raccourci ! nous cherchons à toucher la roche des temps allmoués à une vie qui serait la nôtre, la belle, ce ciel de rage. nous voulons comprendre ce qui est ici qui nous concerne au premier chef, nous tend ses menottes, nous parle à vive voix. nous voulons cerner les données frontales d’une vie à vivre «devant soi». nous ne voulons pas passer à côté de pa reille vie allouée à une misère de parole vive déroulée. nous voulons toucher lza roche , la toucher et la caresser. Nous voulons toucher cdette roche du temps , nous voulons l’embrasser. notre but ici est d’embrasser la roche, de l’aimer. nous voulons ensembme (la bête et moi, ou : la bete en moi et moi) avancer en elle (roche) comme des mariés au coeur de la cité. nous voulons aller ensemble là, au coeur de la roche, toucher icelle de près, e^ttre, nous lover en elle, nous loger fissa en elle, la toucher de vive voix ou comment ? la toucher la toucher en chantant notre chant nuptial de parade. Nous voulons aller en elle au vif de la roche et toucher icelle de l’intériur , paroi des embruns. norrtre envie est notifiée à même la roche meuble, elle est comme à lire. nous devonns comprendre  ce qui est ici en termes de vie à vivre, de vie déployée comme un ruban de mariée. nous voulons toucher icelle roche à même le temps (vif) déployé. nous ne voulons pas passer à côté d’icelui qui nous «gouverne» pour ainsi dire, qui est cette chose qui poiur nous a de l’importance du fait que le temps = la roche et la roche le vent, et le vent le sang et le sang les peines et les tourments. nous nous devons d’en avancer fissa en rocghe, ne pas recvuler, ne pas traîner, fissa aller, courir à vif et comme un dératé de la roche, un de ceux/celles qui (fou/folle, vont et viennent à volonté en  ette chose d’un pré céleste. Nous voulons comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour nous qui alloons en elle à la manière de bêtes des champs. nous voulons comprendre ensemble ce squi est ici d’une roche qui serait pour nous la chose à comprendre soit lka chose1 à devoir comprendre, cette chose numéro 1 qu’il nous faut comprendre à deux = les données rupestres, les données coriaces, etc, qui jalonnent un pré, qui sont celles-ci qui sont à repérer bon an mal an au hasard des allées et des venues en pareille roche. nous voulons ensemble aller le plius loin possible et aussi co:mprendre le plus loin possible. nous ne voulons pas rester en  caraafe, mais toiut au contraire aller (au plus possible) loin en cette roche du monde qui pour nous est la roche des tourments (des peines) et la roche des serments (des paroles déroulées). nous sommes ensemble pour ici faire cette chose d’une sqorte de contre-révolution à même le rocher brut. nbous voulons entrer en lui comme d’autres passearaient ou passeront la porte du Temps. nous voulons toucher au Temps comme à une roche et pour cela contrer la chose = rencontrer la chose «rotativement» = à la manière (esperluette ) de’une sorte de vrille (vrillette) qui troue, qui s’infiltre ! BNous voulons ensemble comprendre ici les données du monde adjacent, du monde des parois cde roche, . nous voulons toucher la roche ensemble ou main dans la main. nous voulons ensemble toucher la roche. ensemble onous voulons comprendre ce qui est en cette roche qui nous regarde et ne nous abandonne pas. nous devons pousser la chose loin pour comprendre. nous devons ensemble pousser, repousser les échéaeances ou sinon pousser le roc ou sinon pousser un cri ou sinon placer = déplacer de soi, déplacer icelle chose, de soi, ici même = sur ce drôle de devant de sooi ou à soi = cette chose rude, cette chose ici qui pèse son pesant de charge. nous avons à déplc&acer de nous icel pesant de soi, ce roc de ta charge, cette masse aux attributs, cette voix de charge coriace (injures des profondeurs). nous devons de nous (=depuis nous) déplacer la charge brutale (nuptiale ?) de kla voix des chgoses d’un en-soi au monde. nous nous devons de  = nous devons = nous avons à = nous sommes soumis = nous sommes sous le joug = nous sommes deux. nous ne sommes pas xweuls qui entrons à la recherche d’un... dépo^t de soi ? ou comment stipuler ? comment dire-tracer ? comment graver-dessiner la chose = la Chose ? cvomment délivrer de soi cette chose en soi contenue depuis la nuit des temps ? nous cherchgons ensemble à déposer de soi la masse, ce poids de corail, ces données dures (en soi) comme roche des prés natifs. nous voulons déposer ou voir à déposqer ou vouloir ou comment ? la Chose de soi qui (pèse que tu pèseras!) nous semblke popur nous comme une âme dite «des parois mobil:es». nous voulons à deux (pour nous deuxd) déposer icelle devant soi , comme la des choses tremblante, la chose tremblante d’un soi intériorisé ou corporéifié. nous ne siommes pas des êtres de rage pour rien. nous solmmes êtres des parois dures , pour une embardée, une aventrure, un passage, une travezrtsée. nous devobnns aller en cette roche des tourments de soi , à la recherche d’un monde frais, vif, cinglant-cinglé, à même ;a roche. nous sommes deux ainsi qui entrons en ce Temps déployé de la roche des par(ois dfu monde. nous voulons aller en elle, nous loger fissa et comprendre ce qui est ici, ce poids de nous donné en elle = déposé comme des victuailles données en offrande. NouS sommes deux qui chgerchons o’endroit idoine où bon pouvoir nous allonger ensembvle et révasser ou pas mais «attendre» , ou sinon «arttendre» aller à rêver, ou sinon comment ? car la vie de roche est vie de paroi mobile = ça y va ! ça vrombit ! ça secoue ! ça se déroule ! c’’est vif de roche ! c’est conçu pour ! je regarde = je vois = nous sommes. je veux = nous allons. je hurle = nous pleurons, etc. la roche est un bout de soi déposé. je comprends les choses du monde à la manière d’un qui cherche assidument les clés de la roche (de la Chose) et ce faisant découvgre kles données de base (jonchant la prairie ?) qui nous regardent ou semblent icelle chose faire pour nousq . nous voluolns comprtendre ensezmble ce qui est ici de ce monde extrait , ce que c’’szst, ce qu’est cette chose, ce «travail», cette progression, cette entrée da ns ke dur des cxhoses solides, ce trou de paeroi, cette ouverture enceinte, ces données mobiles on le sait. nous voulons à deux percer l’hymen d’une roche coriace, dure d’approche, fine fleur du monde, corniche. nous sommes ensemble quyi allons à l’intérieur de la paroi et qui cherchons ici ensemble (assidûmrent) à comprendre ce quyi est qui nbous entoure, qui nous environne de près ou de loin. embruns mais aussi corniche, floutage au lointain et lumière vives des vivres. nous siommes ensemble (main dans la main) à marcher «en roche» = à l’intériuer de cette chose ici d’une sorte de paroi creuse, ouverture dans le dur du temps offert, entrée dans une ma tière, déploiement longitudinal en elle. nous nous promenons à l’intériur de la paroi des Choses rudes; Nous voulons nous promener à l’intérieur de la paroi des choses du temps. nous voulons comprendre ensemble ces chioses soit les aborder ensemble frontzalement, vivement, coriacement, de manière à mordre (façon ?) dans elles ou en elles, et ensyite cerner = saisir , les données de rage (morsure) prise , ou de rage en prise, ou de rage sous emprise, ou comment ? car la rage en  nous est prégante, elle situe le monde. Nous voulons toucher la roche depuis l’intérieur d’une chose ouverte, une plaie ?) qui sezrait antre = outre ? outre-monde ? = quoi ? car la vie pour soi est cette chose de soi déposéez comme une denrée ou sinon quoi ? déppot sde soi devant soi ? dédoublement ? quoi en est-il ? nous voulons ensembvkle (collés) toucher roche = se dédoubler = de multiplier (?) ou sinon se dupliquer ? Nous avons à faiore une chose ici en roche et cettye cjose est une chose de poids car elle pèse son pesant de vivres (victuailles) à même la roche avancée. nous ne sommes pas morts. nous szommes en vie. nous voyons les choses venues à nous. nous voulons toucher à la roche du temps déroulé. nous voulons toucher le temps de manière vive, soit en diablé, ou eendeuyillée ou vive de chez vif, ou enjouée, oui enjouée voilà. nouys voulons cela !nous voulons toucher Roche du cru. nous ne voulons pas cédezr et nous en aller mazis rester ensembkle accolés à pareille roche des temps donnés par la ba nde. nous sommes deeux, cv’est-à-dire que nous sommes un couple d’êtres de vie vive, quyi entrons par effraction, par une entaille. l’entaille du Verbe; nous voulons comprendre les données du monde rochezux,; du monde des parois dures quoique mobiles. nous nos fzaufilons en cette rochge du temps main dans la main; nous avons des mains de charge. nous pouvons nous seconder. nbous sommes deux qui nous entraidons dzans cette déma rche d’une entrée fissa dans la matière; nous sommes ensemble soudés comme deux êtres qui, soudés de kla sorte (colés ou collézs sérrés) vont et viennent dans un chzamp fleuri à la recher he cd’une vérité allouée à pareille contreée de rage; nous voulons comprendre ensemblke ce qui est ici en termes de données vives, de sezrments, de données de poidsq, de rage motrice, d’embaumement, de voeu de paroi, etc. la tenue ! lka jolie tenue droite allouée ! nous nous avoançons ainsi dressés, nous bnous immisçons ainsi redressés, droits comme des i qui vont ainsi, qui fonce, qui vont vite, qui entrent dedans à toute berzingue, qui outrepassent, qui enflent. nous vcoulons comprtendre à deux car nouys sommes deux. qui so:mes-nous ? quoi donc ce nbous (de nous) représeznte ou recèle ? nous sommes deux (en nouys?) qui sommes êtres de rage, êtres de la malveillance à l’endroit ici donné d’une mort promise. Nous = deux. nous = vivres. nous = victuailles/. ou offrandes déposées comme ailleurs l’animal en forêt:; nous couvons. nous voulons couver le temps ! et ne pllus reculer mais «y aller» fissa frontal en roche accolés. accolés filer ! fissa de rage aller ! aller vif en colère coller ! coller vif à roche dure ! aller vif en roche ! aller dans la roche du temps accolés et comprtendre enxsemble ! qui est qui de nbouqss . alors voilà : qui est qui; qui nous sommes. nous sommes deux. nous en nous sommes deux. nous sommes en nous deux. nous sommes deux qui voyons les chosesq : deux pour soi. nous sommes en nbous deux qui sommes et formons somme. nous sommes deux en  nous qui allons en roche commùe dans un pré. nous = deux = deux qui. nous voulons comprtendre les données du monde à la lumière de ce qui se trame deva nt nous. noyus voulons cerner au mieux ce qui est pour soi en tant que donnée de base, en tant que vérités premières, natives; nous cherchons oà nouys intoduirte par une fente à k’intérieur de la roche (sanglante) du temps déployé pour une vie à vivre tantôt; nous sommes (en nous) deux pour ce faireici, d’une sorte d’embardée, de receuillement, de mise au tombeau ou d’adoubement d’un soi déployé par la bande à même le temps (le rouleau du temps). je suis hommes. je suis hjommes et homme; je suis femmes et femme; je tremble. je regarde devant moi le Temps ainsi dxéroulé par la bande langagière des données à) déposer de soi sur ce devant qui peut être : une déroulade, une débandade, un tapis de roche, un ruban de dépl;oiement facial, une outre, une couverturte, un chandail, un habit de bure. sezntimernts profonds. colère incluse. tri des mots par lma bande touchée dans le vif. nous nous infiltrons comme des mort-de -faim qui entreznt dans un monde déployé à la recherc he du gibier de vérité. Je rehgarde devant moi la roche ainsi déplissée. qu’est-elle ? e»lle est ce Temps du monde adjacent à son propre corps de rage offerte. nous voulosns essayer de comprendre cette chose du Temps vif qui xserait ce ruban de vie devant de soi, ruban doux-dur de rage motrice. nous voulons toucher à cette roche des parois mobiles et entrter eznsemble afin de nous loger en elle, logé et lové comme deux qui sont (nous sommes) des êztres de coeur, de rage assouvie, de colère monstre, pesante, coriace, dure au contact, rugueuse comme pas deux; nous voulons arriver à toucher le Temps comme une peau de bête. ou commùent ? arriver ensemble. toucher le Temps. peau de bête vive grassouillette : biche ? cerf ? élan ? bison ? ours ? chacal ? cheval ? rhinocé»eros ? Nous nous avançones en roche et esdsayons de comprendre ensemble ce qui est. le poids des choses, le Temps du monde, les données de vie. Nous devons comprendre ensemble ce qui , en cette rocghe dure, semble se tramer. nous faisons des pas. nous marchons à même la roche, au contact. nous voulons tenter une approche vive des données. nous ne vopulons pas passer à côté de ces données de rage mais les bien cerner ensemble, toucher à pareille roche des temps, toucher à icelles(S) roche(s). toucher retoucher. retoucher toucher etc. touche que tru toucheras, etc?. il y a pour bnous cette chose qsui est à faire ensezmble, qui reste à comprendre = cette chose rude d’un toucgher frontral (bélier) contre la paroi (osseuse ?) du monde a djacent à la vie menée. nous nous approchons de ce monde. ce monde est là qyui pâraît nbous zyeuter. nous voulons aller en pareille roche des données du temps menaçant. noys voulons comprendre la cghaleur du monde = le feu qui couve = la foi. nous voulonbs comprendre en  ous la foidans le v erbe, cette chose d’une foi ancrée comme le sang est là (logé) en soi , qui coule (coule que tu couleras) dans nos veines. verbe de joie (le je) qui fait comme le lit du feu de la foi motrice. Nous voulons toucher au temps déployé comme un ruban de soi (de roche) à même la Vallée. qui eut pensé à cette chose d’une voix ouverte ou comment dire ? bouche de la vérité ! parle que tu parleras ! bouche de la v érité, parle ! dis nous tout ! ne nous cache rien ! dis nous ce qui est qui sembkle swe tramer du mo,nde. bouche ouverte dis ! dis nous ce qui est ! ne nous cache rien ! dis les choses comme ezlles sont ! dis la chos e rude, dure ! dis ce qui en nous ecxiste en termes de données de base à déposer de soi «hors de soi» ; car voilà la chose ! une chose (de soi?) sort. cette chose est une chose rude (?) ou sinon rude dure (?) ou sinon dure(.?) rugueuse (?) ou sinon rugeuse rageuse (?) ou sinon rageuse enjouée (je ?) dans le sang ? nous sqommes ensemble qui cherchons à comprendre ces données de soi déposées sur roche (offrandes à déités de rage ?). nous voulons toucher la Véritév= crument = dans le dsang. qui pour nous aider ? qui pour nous dol

nner une main ? qui veut bien nous entourer , nous accompagner ? je regarde par ci par là autour de moi et ce que je vois ressemble fort à une prairie. à un pré à brouter pour bête prairiales. biche des biches, cerf des cerfs, chevreuils, cariatides(,) ou comment ? la vie prairiale est belle, elle nous attire fort. nous ne voulopns pas pâsser à côté mais nous y lover-logher et nous y aimer et copuler, nous monter etc. chants des pareois du monde vif d’un entredeux mers. BNous sommes qui voulons comprendre ce qui est de pareille roche dure. nous sommes deux qui cherchons à comprendre ce qui est icii d

e cette roche des temps alloués à) une vie humaine déplissée comme un ruban endiablé. qui parle en moi que je connais ou pas ? qui en moi s’exprime et dis. quyi parle qui dit ce qui est (ou ce qui l’en est) de la foi ? qzui est qui en moi qui croit en un moi délimité, à une foi intégrée à une envie ? je cherche à toucher Roche des Temps meurtris. touchons ensembke la roche = soyons vifs. notre envie est telle que voil:à ce que nousq faisons sans même nous en renfdre compte. nous voulonsaller en roche déployée, en roche dxéplissée, en roche dure des temps alloués, et pour ce faire, une sezule solution : passer par la ban,de verbale du temps, à travezrs le flux = la rengaine ; transe parolière ou transpa rolière. le langage des données acerbes. calorimétrie. chaleur . rut. chants des prières vives et vivements offertes. je conçois la chose devant moi comme un tas cde petites données déposées sur roche; colère verbale = jhoutes; je deviens roxxse (rouge ?) de colère et m’époumone. Je suis l’ombre des tempsq colé&riques ? oui ? suyis-je ? suis-je pareille ombre de ces temps de  vie rageuse ? comment suis-je ? qui siius-je ? comment faire ? comment comprtendre °? où doncx trouver pour soi endroit idoine pour un déploiement du soi intégral (une misère de rage offerte)? Je cherche. quand je cherche ça va. quand kje cherche ça va. je cherche que tu chgercheras. je regarfde cette misère mienne déplissée à) même le temps et je vois en elle kles donnéesw primaires, les donné&es de base, les soubassements, les traits prinvciers, les traits décoratifs follement : aurochs de bas-â ge, chevreuils déployés de tout ramage, biche ô ma bicxhe, etc. njos amies les bêtes des bois, qui sont là pour ça = une mise en place d’un dedans de soi déplissé pa r la bande à même la roche en colère. je suis Homme dur. Femme rude. cvorps calleux. Chant des parois de vie. commencement et fin d’une sorte de rage à être en vie. homme tenu. femme prise. emboitement. communs. je (ici) suis (là) pris (épris) entre (au milieu de) etc. je suis ombre sur la prairie, chant des parois mobiles, déploiement verbeux (verbal ?)de roche adoubée, calfeiutrage, colmatage, remplissage, trop-plein. vie à vivre parmi les chiens, les betes près de nous qui les voyons se secouer les puces, trépigner, grignoter, aller dans la fôret. je suis homme vif , plein de rage en lui. je veux comprendre la vie déplissée sur roche (ruban) et lka  cerner de fait, la représenter. je suis cet homme dur de sa voix dressée comme une barre d’amitié; je comble, je remplis, j’obstrue, je bouche bouche. je suis je , l’homme des paroles d’évangile = cri de basse extraction, de remontée acide vive, cri de rage olé olé, chatiments. je chrerche à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++//+/++//+/+/+/++/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ cxe qui est ici (roche) pour soi. je cherche ouverture de pa roi et entrée possible. je regarde les données de base, ce qu’elles sont pour moi qui cherche à savoir, qiui voit le Temps se tramer à même une roche dure (verbale) xdép;lissée. je suis un homme)-femme adoubé, femme-homme des prés, chant de rage à être touché par les faits = la vie , le pa ssage, l’envolée, l’entropie, le paradis. je tombe sur Bête de poids de rage, cette bete vive des apprêts qui semble vouloir me parler. que veut-elle ou voudrait-elle m’annoncer de si frais ? de si grave ou pas mais pesant ? je m’approche d’elle. je suis cet homme des données qui (déroulées) insdiquent le chemin (la voie cendrée) à syuivre; je veux suivre cette voie. je vuex comprencdre icelle et toucxher à la vérité des cjhoses du monde. qui est qui en moi ? je suis deux mais qui ? je suis porteur mais qui c’sst que je ici porte en moi ? je suis je (qui est) qyui porte (= porte que tu porteras) une chose de poids à déposer fissa par la bande entre deux mers. je suis deux. je suis moi +moi. je regarde devant mpoi le trou de paroi par où passezr fissa par la ban,de. je = moi + moi = deux = rage et bisque rage. colère acidulée dans lkes travées. je commence à me repèerer mais pas si simple en vérité car kles temps sont durs qui nous réservent leur lot d’insanités guerrières et autres méchancetés de trêve. je cherche à cerner les faits mais vas-y. la chose est rude. cotonneuse ? qui va lmà ? qui en moi existe en termes de vies ? je voudrais comprendre au plus = au plus du plus = dans le plus du plus = ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui estv dans cela-mêmev (ici bas) qui se tramùe en mùoi (dédoublezment de personnalité ?). je cherche ! qui est qui ! qui parle? qui va ? qui sent ? qui fouille ? etc. la voie est une entrée danhs la matière. la mort est une gageure, elle pue du cul. je regarde au loin les données acides, les vivacités qui fleurissent, les prés verts, les azurs, les beautés du monde : coucher de soleils. j’opte pour pareille vision édenique; je tombe des nues à la vue de la bête géa nte, le vautour ? la grue ? la buse ? le faucon gféant ? qui est là devant moi qui veut me dire , me parler, me donner du dire . me dire les chose. qui ? hje cherche à comprendre ce qui est qui est, ce qui est qui devant moi se trame à vif comme une pl:aie ouverte, saignante (sanguinolentee) riche de données. je regarde autrour de moi le pré, la roche mobile, tracée; j e suis cet homme-deux, cet hommme deux qui... etc, file, va, fouille, file fissa, va vif, fouille da,ns la profondeur de la paroi des chosesv crues. jue suis homme des rochers de grave et je grave ici qui la bete bete, qui la bete non-bête, qui des traits pour une incantation déplissée. je meurs (oh ?) à même vif la rage. qui ? vif  ! Vif la Rage ! ou vif kl’éclair de rage ! le chevreuil, quoi ! ombre des ramures sur l’herbe à brouter de ta race, etc. je m’appellez caliban,! Je suis homme des p)arois du monde prairial, car de pa rt et d’autre de la bete devant moi (cerf des cerfs) il y a ces )parois de base, montagne, escalade, traits de poids. je cherche à cerner icelle rage des devants, la bete forte, cette bete des ezmbruns de bord de mers. je suis deux, homme-homme. je suis deux, homme-femme. je suis deux , femme-femme. Je siius deuxd, femme-homme. et a insi vais-je, je rezgarde, la bête est devant, elle appelle , c’est-à-dire qu’elle aspire. elle vire vibre. elle déploie ploie. elle vrombvit et chasse les pensées maussadesq. elle ceuille vérités à même la roche et nous kles remet via du Verbe de paroi dure (vélleiités de délivrance de données contenus jusque là en soi); je veux comprendre d’»eux, ce que c’est, ce que deux veut dire, etc. je cherche à comprendre ce que ‘«deux» veut xdire. quoi est-ce ? qui dit ? qui parle ici quye je ne connais pas ? qui est qui ? qu’en est-il dxes connaissances intrinsèques ? qui comprend les données rudes et qui au contreaire n’y comprend goutte ? je me place ainsi sur roche du temps afin de cerner de près les données qui (là ?) président à une vie humaine terrestre pa rmi les bêtes. Je parle une langue outrée, perforée, calfeiutrée; je parle une langue de bouche, langue à débouler ou comment dire ? à offrir en boule, en bouchée, en chose roublarde, en tronc; je cherche à piger de rage les données debase incluses en nottre propre antre de vie tenue. je cgherche à déployer ce Temps de ra mage, ici même = roche des tourments; ce que c’est que cette dureté de base . je cherche. je suis loin de comprendre ce qui est de cette affaire des tourments à vivre incidemment. je veux toucher la roche crûment, par des mots de rage et de colère ancrées mais pas seulement, car les mots chargent mais pas seulement; les mots de rage chargent c’est un fait, mais il est d’autres mots de face, bien d’autres en roche, des mots doux, des mots de buve. nous disons que bnous aimons la roche et l’embrassons; le temps devant soi est rude et coriace comme des dents sur une proie, mais pas seuylement. le Temps peut être doux comme l’agneau naissant, comme un souffle de beauté nacréez, comme une  aresse sur le devant, comme un sifflement à petits bruit, comme une romance d’aujourd’hui, un chant venu du fond des temps jusqu’ici où nous nous logeons pour la peine; nous voulons toucher ensembkle la paroi du temps = la toucher + la toucher, soit : la toucher à deux: comme des morts-de-faim de leur rage à êztre. Nous voulons aimer = toucher. nous voulons toucher le temps du verbe na cré, ce chant des parois ancrées, ce chant de la bêtye en vie devant soi = déploiement de vie animale pour la Vérité des choses à comprendre. Car comprendre = toucxher = toucher vif = aller et venir en oa roche des temps animaliers = la vie riche des paroles drues (et crues). je touche carosse. je vais sur p)aroi princière. je suis Roi des crins. Je suis Bête Fauve aux couleurs de roche. mon nom est déposéeé  sur roche comme une entité à part entière, mot de rage faisant fonction de déité surnuméraire; doigt de trop. je comble de mon antienne le trou à vif de bouche» de la vérité incorporée; je sezrai un hommùe, je sezrais un homme doux, je sezrais un homme des prés de base, je serais une -bête des apprêts, allant et venanjt sur roche commeun manant(?) ou comme un mendiant (?) ou comme un chenapant (?) ou comme un sacripant(?) ou cvomme un coureur de jupons de ces dames ou cfomment ? comme un (ou deux) qui va (vont) sur roche à la recherche de leur vie donnéecxpar la bande = le passé. je commence à comprendre; je commùence à mieucxx comprendre. je cherche à comprendre et de fait je remue dans kle paquet; je cherche à piger les données vives, les mots de ta rage, les mots de rage dure, les denrées(?). je veux être celui-là qyi cher he à compre,ndre (un ensemble?) les choses de soi déposées sur roche : soi ? vivres . vies ? passé ? passé de soi ? passé de quoi ou de qui ? victuailles ? animaux blessés ? morts ? la mort à la mort quand elle veut la vie ? ou que veut)-elle  ? nous nous approchons d’icelle mort de base. elle est «devaht nous « = la pa roi du monde. son coeur bat pour nous qui n’en voulons pas. nous avons dee quoi. nous voulons aller en roche ensemble et tenter l’approche par la bande. nous voulons toucher la mort = la roche = le temps. notre envie est ici de tpoucher ka mort comme d’une sorte de roche dure à percer. roche dure, roche à per cer avec pic. roche à devoir avec pic de perçage percer iinstamment on le sait. nous voulons aller de base ezn roche nous loger, nous immmiscer, nous calfeutrer, nous introduire, nous glisssr, nous incorporer comme dans un oeuf, ou bien comme à l’intérieur d’une outre, ou comme à l’intérioure d’une valve, etc. nous voulons toucher le Temps concrtrètement à savoir cette chose devant soi qui fait écran et masque la mort : est-ce cela ?  car le temps est une donnée de grande prestance, importance, de fort poids de base = aurochs attribué pour ainsi dire = velléité de type cghevauchée, de type embardé. kle Temps est embardeée native vive. je sens cette chose de poids, ce chant de toutes les minutes corporéifiées ou vcorporelles ou incorporées: . je sens cvette chjose se tramer en moi = chant des Temps inachevés; je voudrais comprendre  ce qyi est ici de cettye chjose devant soi (chatoyante) squi semble renacler, trépifgner comme une bête fauve (forte) des temps déployés. chantons notre chant des parois coriaces !Chantons à gorge déployée nos chants d’azur, nos chants tourmentés, nos chjants de vie acidulée, nos chants de contre-avancée, etc? et pissons nos larmes, etc.. pissons dru nos larmes de vie ! allons gziement en rut ! comblons nos envies de nos charmes de vie de base désirante, etc. allons-y gaiement de nos sentiments eet autres chants des parois de rage. je cfommence à détacher du verbe des données qui p)euvent «renseigfner la bête» (en moi) qui râle que tu raleras ta colère d’homme des temps alloués. qui veut bien comprendre ici avec nous les données de base telles qu’elles seraient censées apparaitre à notre gouverne? qui veut nous aider à piger ? à dessiner la bête sur paroi de grotte ? qui veut dire ? qsui veut parler à travers nou!s ? quyi veut toucher en nous la chose qui est (qui vit) cette chose d’une vie à vivre pariétalement de conserve : qui ? qui est qui «par la bande» ? qui a pris le temps ? qui a mangé le temps ? qwui a mangé le temps des  tourments ? quyi veut nous dire ce qui est ici quib tremble, qui file et fonce ? Phil file on sait, mais qui trace ? qui dessine sur la roche l’animal de forte envergure . qui nous aide à bien chercher ? qui aide qUI en soi ? qui suis-je quye je sais vouloir aller au plus profond des données rudes ? je regarde ici ce qui est qui est, je vois la parole (grand P) qui (onan mal an) srmble aller en se tramant de telle sorte que la vérité des cxhjoses pourrait s’y loger incidemment. je veux êztre ici homme des contrées de rage, tambourinement; je tombe nu. je tombe à nu, je trépigne, je touche à vif la roche des temps de partage. qui veut bien toucher icelle roche des apprêts ? qui veut bien toucher roche dure des apprets de base sinon «moi» = ce caillou de rage en moi !calcul des données sommaires ! calfeutrage, calibrage, colmatage et coloriage ! Je tombe nu sur icelle roche dure à devoi!r graver. je veux toucher icelle roche à devoir graver de base, à devoir lécher, baiser vif, toucher colère, tendresse, compagnonnage. qui est qui ? qui veut voir ici les données se dessiner à même la pierre , à la lumière na turelle du feu intérieur : foi de basse roche en soi, foi des don,nées de douce contena,nce, foi doublée de rage , dee colère à soi, etc. qui veut croire en sa bonne étoil;e du berger ? qui veut toucher cette dite «étoile des donnéess rupestres» ? QSui va vers moi (nous) me (nous) toucher ici (massif de verbe déplissé) à même le temps ? qui en moi se prénomme untel et grave ? qaui se redresse ? qui a voulu se redresser et aller ? qui a cherché à toucher la roche des tempsamicaux, amabiles, mobiles et amicaux ? je voudrais comprendre (à la longue) ce qui est en soi qui sembvle vouloir émerger et montrer le bout de son nbez : quelle bête au juste ? quand ? le jhour j d’un dire alloué à une mort ? je  voudrais comprendre ce que c’est que cette chose d’une sorte de paroi du monde attribué à une vie terrtestre d’homme des cavernes. qui saurait m’indiquer le chemin a pproprioé à pareille poursuyite ?, je vois devant moi cet espace prairial-verbal. dequoi s’agit-il ? eh bien.... il s’agit.... du Temps enfant ! waouuh la chose accomplie ! waouh la chose assouvie ! ouh la belle ! ouh la riche ! ouh la belle et riche donnée déposée à :m^$eme la paroi du Temps déployé dans le ... sang de rage ? sang de buve ? sang des dires ? sang de rage à pousser les choses dans un trou de basse-fosse ? ou quoi ou qu’est-ce en définitive ? mon coeur bat à l’unisson d’une voix de rage ! je comble le trou de la roche d’un pavé de base a n imalière, et , ainsi fait, je chante à tout va , mon cxhant choral de basse besogne, de basse-fosse, des bas-fonds hospitaliers. Je suis homme sacré , sacrément sacré par la bande, par icelle ba nde déployée de rage par un ou une ici pa role   d’évangile qui co:mprendrait les données (toutes) cxde la base et dsu sommet de l’êztre. je serais cet hommùe devenu la bête. je me déguyiserais en bete des Rois, bêt--monstre au débotté d’une roche ezndiablée (ensorcelée ?). mùon nom est le nom de la roche plissée devant moi. qui l’eut cru ? qyui le connait a u juste ? moi même sais-je ? ou qu’en sais je en vérité ? est il nom des parois coriaces à graver ? est il nom de base colérique ? est il le nom d’un rapace ? d’une buse des champs nacrés ? dois je aller profond pour comprendre : jusqu’où doisz-je aller ? dois-je aller judsqu’au bout du bout de la base langagière animalière pa ri»éto-ancestrale ou non ? rester dans les pa rages ? combler demots la base ? je me place ici en roche à l’abri : je fais le mort. je me donne ainsi (faux-sembklant) à la mort de base. elle s’approche de mon «moi profond(?)» et me touche à peine du bout des doigts (mains diverses). on dirait qu’elle  veut de moi : mon sang, ma bave, mon jus, mon verbe, mes peines, mon sang. je suis colère. hje suis vif l’éclair kl’être en colère ou  : permannement l’homme en colère; ou : la colère pesonnifiée ou représentée, ou : la colère faite chair de base. je voudrais comprendre ce qui est en moi qui suis la colère, le cri de rage, le mécontentement du fait de cette chose qui nous est promise = la mort de ta rage à être, etc. insultons la mort. traitons la de tous les noms d’oiseaux, car la mort (toujours ?) porte un nom d(‘«oiseau ? est elle un vautour dès lors : charognard ? eh, poissible ! on ne sait pas tout ! on a fort à comprendre encore (de tout et de rien) et c’est un morceau de poids dès lors quinous attendra, qui est là, qui nous a ttend de pied ferme ou de pied tenu. Je veux toucher l’aile ! Je veux toucher lke bec ! Je veux toucher la bête ! je veux être bezc, aile, vol, bete qui prend son envol et touchye le ciel de toute sa splendeur ailée. je suisz homme des parois de rage et que faire ici d’autre que cela, qui nou!s voit aller et venir, etc, à) mêmùe la paroi du temps. Je szerais cet homme au firmament ou pluto^t : en lévitation pour un temps. je monte, je m’envole, je vais de l’avant, je monte, je suis cet animal de rage à ^-etre la bête. je monte à même la roche, je suis envolé, je suis dans les airs et cherche à entrer dans un sas de bienvenue, pour m’y calfeutrer et y demeurer un temps certain afin d’éviter les coups de rage en retour de base, coups des betes des prairies et autre poussées rocheuses. je cherche à aller profond en ce verbe des parois du monde. je m’appelle Calorie (,) ou comment sinon : feu ? feu intérieur ? vie vive intérieuire ? quel est mon  nom ? qui vois-je devant moi qui sembkle aller se dessinant à même la pierre humide» ? aurochs ? oh ! eh bien... on ne sait pas ! on ne sait pas tout ! on ne voit pas tout ! on voit peu ! on voit peu de choses ! on voit soi qui va à mêzme la roche ? ou qui qui va ? qui va là sur roche ? qui est qui sur roche ? qui est l’animal (ou cet animal) qyui semble velu ? et charnu , et pesa nt son poids de rage : qui ? je veux toucher ici (Verbe’) la bête de rage en moi ! c’est ainsi que je dis ici ce qui m’apparait. le but ici est de contrer (contrarier) les vélléités atachées à la figure de la mort à l’oeuvre, cekkle-là quyi nous attend de ra ge devant soi (ou devant nous) comme une mort de faim de première. la gloutonnante,; l’avide, la ja mais rassasiée, la jamais contente mort de rage des devants à soi. je voudrais comprendre ce qui est qui file devant soi son tra&in de rage à être vif comme l’éclair de vie d’une sorte (en soi) de bete à devoirs. De bête riçche, de bête de rage aux devoirs nombreux, à commencer par icelui concxernant la rage qui en elle (mort) fait trace. le devoir de se montreer incorigiblement contrariée,; ou quoi ? Loa mort n’e’stt jamais rassasiée. la mort a toujours un creux à kl’estomac. la mort est un antre, un trou )àà combler, un estomac de grosse bete de roche. la mort est une affamée de première, bête des bois, bêtye des sousz bois ? chevreuil =la mort , est^-ce ? squi de quoi cxhevreuil serait, qui de quoi biche sezrait? je cherche une entrée pour moi (mon pic inséré) m’insérer ou m’immiscer en roche (vie de la mort vive) et là, voir ainsi à pôuvoir toucher que tu toucheras la roche et tout letremblement acidulé des grottes décorées. jue syuis dedans la roche (verbe des parois de rage) et me voilà qui cherche que tu cherchezra s à comprendre-toucher (ensemblke) les données rupestres de ces hommes des cavernesz qui perdurent en nous, en notre sein. homme-femme 

homm-femme des entrées, des immixtions, des chevauchements, des incursions, des passades ert des e»mbardées, des ruades et des introductions à deux (soudés) en pareille contrée ma&térielle. nouys voulons toucher la roche des temps affichés et comp)rendre les données les plus fines (profondes) liées à la mort de soi «en bataille « = sur le vif de la rage à être en vie. je suis hoomm-femme des contrées de base langagiè!re. mon coeur est à la mesure (débotté) des chants d’azur ajournés.le chant des parois du monde, l-e chant matinal desz ezntrées de rage allouéeee. qui mange ? qui broute ? qui renâcle ? qui va  là ? qui trépigne incidemment ? qui veut toucher le temps ? qsui veut sa misère la voir achevée = annihilée par des mots de base frontale ? qui je suis en moi ? b ête ventrue ? phacochère ? je suis deans une roche. j’essaie de m’immiscer autant que je peux. ilm me semble que la vie en moi est trace de vie, sur roche, un passé, un tra&cé de base temporo-spa tiale, etc, capable de me poussser vif dans la plupart de mles retranchements d’homme des cavernes. pas de base = pas comptés de base = marche sur les prés du Temps déployé de la Mortblousée. je veux êtree homme et felmme et gosse. ou qui ? homme = femme = enfant des paroles vives. je syuis celui-là quyi chante à tout va son chyant des parois des venaisons. je serais à m-ême de comp)rendre un ma x de choses rudes (dures et rugueues et m^-eme rageuse) à  même le temps, ma is eznfin ce n’esst pas si simple. il faut creuser. il faut s’y tenir =s’y coller. il n’estpas simple de toucher la timbale du temps pariétal mais compliqué. nous voulons comprendre ce que c’est que cette mort dont le nom est ancré (profondément) en nbous. nous vopulons comprendre ensemble les données liées à la mort à l’oeuvre sur roche des temps de la vie pâssée. Nous nous a&ppreochons d’iccele (mort de mes tourments). nous nous approchons de la mort déplacée. elle nousq regarde. elle pa rle. elle dit cdes choses qui sont difficiles à déchiffrer car elle sussure plus qu’ezlle ne deéclame par exemple. la mort ne p)aerle pas mort. et m^-eme en vérité : la mort est (quasi ?) muette : elle ne parle pas, elle ne dit rien, elle dit peu de choses, elle n’est pa s ba vzarde. et cela car elle ne cesse de mangher et elle ne peut décemme»nt jamais (en ce cas) parler bla bouchye plaeine; elle ne peut jamais, la bouche plzeine, p)arler ezxactement comme elle voudrait kle faire; elle mange à tout va des monceaux de betes et autres êtres de vie passée. elle broute-bouffe. elle est la faim personniçfiée, la faim de rage ! grave ! Elle pue la charogne, la ga rce. elle pue du cul grave la cochonne, etc. loa mort est à insulter. la mort est une ezntité à devoir (par la bande , oui !) insulter . car la mort est un cxharognard de première, et en plusq ezlle pue, elle ne sent pas la rose ni le jasmin. elle pue le cul grave. elle ne s’en laisse pas conter de puer. pue que tu pûeras. elle pue sa charge, elle sent mauvais, elle empeste, c’’est une infection. pyo de ta rage à être la mort ! et grave ! massif ! pyo total comme il s’en devrait. je m’avance à pas de chat près d’elle. Elle est femme et homme des prés, elle est homme et femmme des prairies vertes; nous sommes deux qui attendons (façon de pa rler) après elle. nous nous blotissons l’un l’autre , et attendons les consi gnes ou comment ? un signe ? un signe de qui ? un signe de loa mort ? que la mort nous fasse signe ?, nous nous alloongeoons à même la pierre d’offra,nde, nous sommes enlacés, npous nous embra ssons. nousb voulons comprendre ce qui est ici en termes de don : une chose ? un cri ? un fruit ? du sang ? une vcoix ? du verbe ? de» la chzair fraiche ? du passé ? un  nom de famille ? son (propre) nom de famille ? je cherche à toucherr-cerner roche-temps de façade. puis : traverser le paqssage clouté ! car la vie est passage de rage. La vie (roche des tourments) est un passage tout du long à devoir arpenter et suivre de son propre chef d’hommùre touché par mla bande = en lévitation ! Nous sommes ainsi qui voulons compre»ndre ce qui est en cette roche des te»mps donnés , à mêzme de nouus re,nseigner sur les tenants et les aboutissants d’une vie terrestre. je suis homme des temps reculésJe suis femme des données frontales, vive clarté adjacente, ombre sur roche, cailloutage etc. je cherche à toucher la roche des temps à l’endroit propice pour une immixtion du corps en entier, de la tete aux pieds : comment entrer ? pour entreer il fauit peser, il faut peser les mots, il faut parler, il faut savoir parler, il fzaut êztre muni d’un langage vocal et articulé. les mots sont en bvouche des pics de percée. ils savzent s’introduire en roche fissa et s’y logezr le temps nécessa ire à une entrzeée dans roche des prés, dans prairie finale, pare-boue, pare-vie, pare- raison. Je cxherche à toucher de rage la paroi du temps desq années, des temps ooferts, du Temps déplissé à même la pierre aux offra,ndes : table ronde aux dépotsq de sang. je m’appelle Vif de Rage au!x Embru ns. je suis hom:me du te»mps alloué à une vie de roche déplissée pàar la bande tremporelle du verbe alloué à une vie terrestree (à la naissance et pour la vie). Je suis homme au ventre dur. homme dur de sa rage à être vif. je suis colère (de base) en moi qui comprend la chjose de lma mort à l’oeuvre pour soi. sus à la mort ! à mort la mort ! à mort la mort ! merde à la mort ! à mort cette saleté ! à mort cette ignominie native ! à mort la Chose rugueuse qui nous tend les bras. a mort vivacité ? non à mort la mort ! car la mort est une saleté de première, soit la saleté des sa&letés ! Elle ne nous plait guère! elle bnous enquiquine fondamentale’meznt c’est§ sûr ! elle nous rezfroidit rien que de l’entrendre (le chant de la roche ?). elle est conne. elle pue. elle est à moquer, vilipender, etc. la mort est une saleté ou même saleté des Saleyés. la mort est folle . la mort est la folle des Temps. la mort est l’affolée totale; l’a llumée, la folle du logis, l’agitée; je la sais follasse. je comprend la mort commmme ce quelque chose qui wsezrait complètzment déra ngée de l’intérireur. je  voudra is comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est quiu (devant soi) ecxiste en tant sque tel. je suis (oui) porteur d’un nom de charge (ce peut être aurochs, bison, buffle, élan, chevazl, chevreuil, ours, ours et ourse, biche et cerf, jument, etc). ce nom peut m’aller comme un gant ou ne pas m’aller du tout; je suis l’homme aux vezrtus enchassés comme pierre de prix montés sur bague. j’opte pour les rubis; je m’appeelle ainsi que l’on me nomme de préférence. je suis un homme des parois préhisqtoriques, femme à l’ancienne ? cheval ? je serais cheval. je serais la bete des contrées de rage. je serais cette bete au sang chaud, pleurant, épousant la roche», se collant à pareil plis de base rocheuse. je syuis hommpe des parois du monde des prés, homme aurignacien, homme solutréen, etc. je suis homme vif des )arois mobiles : ouvrez le bal ! ouvrez l’échancrure ! laissez-moi passer mon vieux ! je suis là (l’homme des apprêts) à vouloir entrer fissa da,ns la roche : vite fait bien fait. je veux ou je voudrais, entrer m(immiscer, dans la roche des prés. et là : brouter , manger l’herbe des prész, brouter vif à vif l’herbe drue. j’aime l’herbe, j’aime brouter, j’aime m’alimenter, j’aime manger. je suis un qui aime s’empiffrer de vivres et autres offrandes déposées sur roche (dessinées ?). je m’appelle Haut La MAin l’homme des ^parois ornementées. jentre. j’entre vif. j’entre en cette roche à même le Temps, ou l’inverse : dans le tempsz à même la roche, ou comment sinon ?, je suis homme entrant ezn roche via l’anfractuosité naissante (de la naissance) et passage direct dans une sorte d’au-delà prairail : qui l’eut cru ? qui eut pensé cela ? ou pu pensercela : qui a compris ? squi a vu . squi a c erné ? qui est vif de comprenure ? pas moi, diyt l’autre ! ni même moi, dit le prezmier, etc. je suyis dans lke temps à la recherche d(une vérité. je me dis quye le temps recèle nombre de vérités et du coup c’est là (juste!) que je vais, pensant pouvoir trouver incidemment au paqssage quelquesq vérités de bonne fame. j’espère pouvoir un hjour trouver qUE tu trouveras des tonnes (?) de vérités de poids, qui le fasse dur et bnous entraineznt à comprendre loin, loin le pluqs possible. les données du monde sont massif de bêtes acoquinées. les données de bhase ont des noms d’oiseaux gé ants, pesant, betes monstres. je ve»ux croire en moi en tant qu’êztre de basecolère = chant des trois abris, des trois bruits et des trois amis. je veux essayer de piger au plus possible cette rela§ion qui exisqte (ecxisterait) entre d’une pa rt kla bêete méchante (?) ou disons brute, forte, osseuse ou ossue, etc d’un côté, et nous de l’autre, nous, hommes de cro-magbnons, et en troisième le rapace, l’oiseau de ces dames, le qui mange «mort», le (dit «le charognard») de la rage à être au vif du sujet . je tombe sur kle nez. je cherche une entrée (ouverture grave) dans la matière, genre portail, genre anfractuosité, ge,nre fil de roche. Je veux essayer de toucher les choses du temps crument si possible. je veux tenter pareillle approche et aller deda ns roche ainsqi atttifé : plumes du paon, bande passante, cris primal, chants de guerre, chandail, hommages. je veux eswsayer du moins. suius-je suffisamment accoutré ? suis-je assez colorié ? assez décoré ? je m’avance de la roche meuble (mobile) et la touche incidemment . ça  brule ouh, et pas q<u’un peu peuchère ! grave ! ça bout ! ça bout grave ! ça bout de tout son soûl ! c’est pas (loin de là) de la rigolade ! c’sst un truc ! c’est juste dingue ! ça remue ! ç frotte aux entournures ! ça gêne un pôil ou deux ! c’est coton ! c’est rude ! le passdage est insidieuzx, ne s’en laisse pas conter des vertes et des pas mûres ! le pasxsage attend des mots de poids, des mots de szervice, des mots-trous comme il se doit . poidfs massif. pelage. betes roosses. élans de l’azur et des sentiments? chant doux du dalai-lama ou bien la colère des ragesz de l’etre des temps calcinés, brûlés, passés. le temps est la base, le temps est le moment de rage. le Temps est moment de rage à être du temps. je cherche en co:ère. je cherche que tu chercbheras un passage assez :large dans le temps mpour m’y glissser fissa par la bande et pouvoir, dès lors, aller (incidemment) de l(autre côté, côté roue de la fortune, côté vie d’emprunt. je suis un homme aux allures vives ou vivement visibles. je suis homme des temps dépôsés sur roche comme autant d’offrandes à des divinités. je suis homme à vif, homme des tourments, des voies empruntées ici ou là à la dérobée, et qui va nonchalamment sur son cxhemin de destinée, voie d’allant, course au firmament, chant des données rudes des temps alloués. je chezrche une entrée de roche à même le  temps deplissé : où la trouver ? je cherche un trou de passage, anfractuosité de la rage dans le sang, fissure-entaille du tourment de’une vie à vivre. je suis homme dit. homme suivi. homme aux abris. b ete de la vie des bpêtes en son sein en propre. je colmmate = je bouche = j’obstrue le passage = je parle les mots crus de ma bande pa riétale : aurochs pour cul nu, bison pour enflure, chevazl pour trou du cul, bison pour gelure, jument pour conne-mort-de-rage -de- mes», etc. Je insulte Mort. je insulte la mort car la mort est entité à dezvoir traiter comme une meu de ta roche à être. oui ici ! ici même en temps et heures. Ca&r la mort est une saleté. la mort n’est pas potable. la mùort est de loa cxharogne à devoir écarter. la mort empeste. la mort plombe. loa mort erst une infection. la mort pue grave . la mort elle pue grave la charogne, le pus (le pyo), la merde ambulante. la mort est une saleté de puanteur acide. elle cocotte; elle ne sent pas bon, elle n’embaume pas, loin de là. ;la mort est saleté des saletés de ta race à être maussade. je lui pisse aucul, je me dois cela?. je me dois de la traiter de tous les noms fin de l’éca rter de mon chemin de bure. il s’agit de cette chose là, d’écarter Sir-Dame la Mort le plus pôssible, à bonne distance, de creuser sillon et de la repousser comme une bete qu’on chasse de soi. La mort est à écarter fissqa. la mort est une saleté de première instance ou dsinon quoi : mocheté ? méchanceté .? elle bnous cherche querelle, elle en a après nous, elle est vilaine. pas confiance en elle. à virer, à virer vite ! car elle pue de sa merde ambiannte ou comment ? ça ne sent pas bon. ça sent même très mauvais. ça sent l’échappée du trou de bale, la colère monstre salopée, le cul nu de ta race, la meu de ta mère, le sang pris fdans la cxhair pincée. J’aime assez la travée de passe et je me fau-file, je file vif à travers elle, je vais au loin, je fuis. je fuis cette mort de base natale, cette mort des puanteurs. je suis homme = ombre sur roche, fuyant puanteurs et autres senteurs désagréables? j(‘inhjurie, sus à la mort ! j’invective, à bas la mort ! jeveux être l’homme des roches aux apprets, fier de moi et de mes connaissances, portant haut son port de rage, homme bete décoré, homme bete attifé, homme bete habbillé de pied en cap comme une bete. homme-bete décoré comme une bete. homme bete comme décoré comme une sorte de bete velue, comme sorte de bete de roche. homme)-bete déguisé comme une bete, ou commùe déguisé en bete ou même prenant figure animalière en son sein de roche. homme bete transfomé en bete de roche aux a llures guerrièresq , hurlant à la mort, haussant le ton, p;leurant sa misère d’etre adoubé par en lui l’etre des termes. j’obtempère. je soulage. je crie. j’eznfle. je suis donné» comme une pl:aie saignante. je suis né.

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9/03/2022

Nous devons comprendre ensemble ici m^eme, ce qui est de tout ce que l’on voit. nous devons toucher la roche ensemble. Nous devons ensemble , vite fait, toucher la roche. nous devons comprendre ensemble ce qu’elle est pour nous, ce qu’elle repr»-ésente, ce qu’elle est devant nous qui nous approchons d’elle vivement. Nous devons aller vers elle ensemble et ensemble la toucher. qui est-elle en vérité ? que dit -elle ? que dit-elle à ceux et celles qui l’approchent ? nous sommes ensemble qui allons vivement vers elle avec un but précis en tête, celui de la toucher, de nous incruster en elle = de la perforer, d’entrer en elle comme deux moineaux rentrant au bercail ou quelque chose de cet acabit. Nous devons toucher la roche, nous glisser en elle, la pénétrer incidemment, faire ainsi que nous fussions dedans sans tergiverser, comme deux oisillons qui rentreraient après quelques heures de vol plané. Nous sommes deux qui cherchons ainsi à retrouver l’endroit connu de nous : ce nid ou bercail, cet endroit d’une couvée, ce sein des seins. Nous avons ici cette chose à dire comme quoi nous sommes deux à chercher cela qui est de nous nous retrouver chez nous ou comme chez nous, soit ici même = nid = paroi = temps. Nous devons ensemble (c’est important)comprendre cette chose d’une sorte de retour à des valeurs ou choses de valeur ou comment ? à des endroits ? à des lieux précis , qui sont lieux d’un passé ancien qui nous a vu naître. Nous touchons ainsi à des choses passées qui sont pour nous essentielles et que nous cherchons à déposer sur roche incidemment chacun sa façon ou sa méthode. Nous nous approchons d’une roche en continu. nous nous approchons ensemble d’une roche des temps en continu et sans sourciller. nous sommes deux pour aller en cet antre des destinées, des tracés de vie. nous sommes ensemble qui cherchons à entrer dans le temps. Et pour ce faire nous devons impérativement nous donner la main, ne pas s’éloigner l’un de l’autre, avancer ensemble et garder le cap. nous devons ensemble toucher que tu toucheras la timbale du temps déployé. Nous devons comprendre ensemble ce qui est, ce qui se présente, ce qui devant nous pointe son museau de tanche, etc. Voilà qui est dit. et du coup comment s’y prendre ? eh bien facilement, facile, il faut agir, il faut placer son pied puis l’autre devant soi ! il faut actionner les membres ! il faut virer de bord et plonger en avant vers la roche et la pénétrer et passer à travers elle,; et se retrouver ainsi ayant traversé. je suis là ici pour aller dedans avec toi. je regarde les alentours. je suis cet homme qui ici est là qui regarde les données de base déployées. ce sont des bêtes-mots de race, c’est un fait. ce sont des bêtes-mots de rage dure, on voit ça. il faut toucher devant soi cette chose d’une sorte de paroi des temps = le dur de la vie rustique. nous devons percer ensemble la roche des temps et nouds retrouver de l’autre côté. nous avons cette chose à faire ensembkle. nous devons ensemble aller et dire-toucher, aller en roche et toucher-dire son fait, etc. je regarde autour de moi et je vois des choses qui remuent , qui xemblent de la vie en vrai : en est-ce ? est-ce de la vie en vrai ? est-ce cela ? est-ce de la vie vive flamboyante ? ou bien succédané ? faux-semblant ou simulacre ? je ne sais que penser en vérité car on s’y tromperait facilement c’est sûr ! alors comment savoir ? nous nous approchons de cette chose dessinée à main levée, il s’agit d’un cerf aux bois majestueux. Nous voulons comprendre ce qu’il représente aux yeux de la mort-dieu. qu’est-il de plus à ses yeux ? que doit-on penser à ce sujet ? je suis homme qui cherche à comprendre vivement à l’intérieur du temps les données données de base, celles-là qui sont sous-jacentes à une sorte de prése,nce devant soi, présence pleine, présence corporéifiée, etc, qui est cette bête, qui est ce cerf des prés et prairies. Nous sommes ensembkle qui voyons ce cerf de roche dure. nous voulons comprendre ce qu’il représente et qui il est vis à vis du temps déployé, etc. Nous aimeriions comprendre ensemble (sa main dans ma main) ce qu’est ce cerf de rage, aux bois de charme, vif et racé, bel être des forêts du temps déplissé : qui est-il pour notre gouverne ? et qui est-il pour cette déité nacré des lieux consacrés ? nous chezrchons ensemble x réponses à même la roche. Nous voulons comprendre ensemble cette chose d’une roche des temps habitée ou comme si. nous voulons comprendre ensemv$ble cette chose d’une roche du temps havbité par (on dirait) des êtres-fantomes, des figures, des tracés etc, qui xsemblent plus vrais que nature. c’est étrange et ça nous surprend. nous voulons comprendre les données offertes par la bande langagière d’un parler inculqué en nous depuis la nuit des temps; nous sommes ainsi qui allons chercher des répponses en ce sas de roche dure (= la vie) mais comment trouver ? comment faire pour trouver quand le verbe est comme accolé à nottre gouverne et ne s’en laisse pas conter ou comment dire ? renacle à nous lâcher  ! renâcle vivement à nous lâcher la grappe ! car il est cette chose ici, que donc le Verbe est accroché à nous par la mort ! eh oui ! le verbe en nous tient à nous par l’entremise de la mort (en nous) à l’oeuvre, c’est vrai. je regarde ici et là avant de traverser la roche mais le fait est là , que le verbe et la mort sont comme en ménage, et ce depuis le premier jour ! Nous allons en roche trouver des réponses à cet état de fait mais le fait est là, que verbe et mort sont associés dans cette sorte de croyance inhérente à l’être, et qui a des ramifications nombreuses en nous, comme  cette chose de la foi en son propre langage, comme cette chose d’un e foi en nous incarnée par le verbe inculqué; je suis homme qui vient et va sur roche à la recherche d’une vérité qyi puisse nous donner des choses en retour. il s’agit pour moi de cerner au mieux la qUeswtion des cerfs royaux de rage gambadant comme à la dérobée sur champ, sur praierie, sur pré vert , et nous regardant aller et venir autour de lui. nous devons toucher sa pelisse, et du coup changer, nouys transformer, devenir des alliés ou ses premiers alliés. nous avons à toucher la pelisse du cerf aux ramures et autre bois dorés; nous devons toucher le cerf devant nous, dans ce temps pariétal aux e,ntrées diverses. nous sommes deux. nous nous aimons. nous copulons sious l’oeil de  ce cerf aux bois dorés, sous l’oeil de ce cerf qui semble malgré tout nous ignorer, ne pas faire cas de nos ébats endiablés. Nous nous approchons d’icelui afin de toucher sa pelisse douce (rêche ?) et de nous rendre compte de «sa vérité» en tant que bête-mot de rage pariétale temporelle. Nous devons comprendre les données offertes par la ba nde langagière et ce  : en passant, en passant je passe»»»,  on avance. on va de l’avant. on cherche vivement de belles réponses seyantes, qui aillent pour le coup au mieux avec nottre gouverne, avec ce cap de roche en  nous. Nous voulons ensemble cerner les données de base qui en roche nous regardent ou semblent ainsi nous regazrder voire nous faire des signes, nous appeler. je tombe des nues. Je suis cheval ailé. je me transforme volontiers en une sorte de cheval ailé. je suis homme nu, homme vif, homme-cheval nu, je vole. je suis cet homme nu transformé par la bande en cheval ailé qui s’envole vivement, monte que tu monteras et franchit la roche (oup !) et se retrouve dès lors de l’autre côté à regarder ce qu’i s’ y trame de concret à regarder. je vais et je viens. je suis nu-cheval. je voleque tu voleras. je suis cheval de rage. je suis entré en cette roche «ouverte» des temps impartis et me promène en lui comùme l’animal de compagnie d’une déité assoupie. je cherche à comprendre les données de base, ce que c’est, ce qu’elles sont au juste et en quoi elles pourraient nousv être utiles. je veux être celui-là qui trouve incidemment dans le temps des choses de poids = des bisons de foi = des aurochs de contrebande etc, à pouvoir afficher de front et pour lesquels nous pouvons nous bazttre, nous placer en cette chose d’une sorte de riposte à offrir à un dieu narquoi s qui ne nous lache pas d’une semelle, qui ne lâche pas la garde et nous enquiquinne prodigieusement; nous voulons toucgher la roche et aller en elle . comment faire ? en parlant continument ? en regardant les bêtes de rage que celle ci (de roche) contient ? en nous agenouillant à ses pieds ? en faisant quoi au juste , nous voulons ensemble toucher la pareoi et comprendre ce qui est en ces temps de vie à venir qui sont rocheux autant que divins. nous parlons de choses en vie et aussi de la mport qui est en ménage avec, en nous, le verbe seyant, le parler de base, cet habit de bure;. nous voulons toucher à cette chose d’une sorte d’habitus de vie parlante, ou de vie prise ainsi dans l’étau du verbe. Nous voulons toucher le verbe : le toucher fissa = le contrer par la bande temporelle afin de faire ainsi qsu’il se sentît piégé. Je cherche quotidiennement des choses neuves à formuler afin d’en avancer au mieux sur cette voie d’une sorte de vérité à devoir cerner ensemble. nous voyons les bêtes-mots se déplacer, en avancer, courrir, aller et venir sur roche. Nous voulons comprendre ce qui est ici en cette roche dure du temps alloué à une vie de base rrageuse. Je vais loin en elle. je m’enfonce en elle. je veux aller loin en elle et loin trouver ce qui est qui est la fin des choses de base ou plutôt la fin de ce lieu de base rocheuse, de ce lieu ancré, de cet antre aux données premières, de cet antre aux douces données de base. je cherche. je suis lancé dans un programme de recherche sidéral, qyui me voit toucher la timbale (la timbale ?) du temps à même l’espace (ce lieu des prés, des chzamp d’azur). Je cherche à cerner lkes données priimaires. je veuxcx comprendre ce qui est. ce que c’est que cette chose nommée , qu’on appelle «mort». quoi est-ce ? la mort est un mot de base inculqué, alloué à du verbe nacré, et déposeée sur roche des temps pariétaux. nous avons à trouver les mots de description fine et pour ce faire nous nous enchainons les uns les autres, nous faisons corps. nous avons à ensemble toucher la roche du temps, la percer de nottre pic de verbe (museau) et traverser. ayant traversé nous sommes accueuiillis (de l’autre côté) par une bête-mot des premiers instants de la roche du temps (xddes temps de la roche). nous disons : «oui !», et njous nous éloignons. nous allons plus loin à l’intérieur. il y a un sas. il y a de l’espace dans le temps. et du coup deux temps = une entrée de rage , et une sortie vers de l’inconnu de bas-âge (?) ou autre. Nous voyons cette chose ensembkle (à deux) comme quoi la mort est cet espace de conduction, de promenade (?), d’entrée en matière , etc, qui nous tend les bras. dans la roche il y a de l’eespace où bon gambader comme un animal. soit un fond de roche qui nous interpelle vivement : lumière, fumée, ouverture ou échancrure mordorée, cris soursds ou bien est ce des chants ? des chants susssurés ? nous allons ainsi vers cette issue de roche des temps. nous sommes entrés ainsi en cette chose d’une sorte de pierre «acoustique». nous gravitons (gravons ?) sur roche. nous nous avançonds des données dernières. que voit-on ? nous voyons des fumées blanchhes. embruns ? embruns de bord de mer ? nous voyons de la buée, un souffle et le vent qui buffe à mort sa mort ventrale ? nous cherchons ! Nous voyons d’un trou sortir du vent qui est vent de rage ! nous cherchons ensemble à percer des mystères adjacents à une soorte de vie humaine terrestre. qui est là (roche) à nous attendre ? le vent sort de la bouche d’un zanfant ! le vent sort de pareille ouverture dans la roche = dans la terre. nous voulons ensemble toucher cette chose ici d’une sorte de bete de foi, qui est là devant nous, qui regarde notre

qui regarde après nous et se pose (qui sait ?) des questions sur nous : qui sommes nous pour elle ? que cherchons nous à ses côtés ? que voulons-nous savoir ? où allons-nous d’un pas si alerte ?  nous voulons comprendre cette chose en soi, ici, d’une bete-mot faisant écran : premier palier . récapitulons : 1, la roche dure de la grotte à devoir traverser (cet abri rupestre), 2, la prairie de l’autre côté, avec ses bêtes. 3, les bêtes devant nous qui semblent s’interposer, bêtes-mots et mots de bêtes, etc. 4, le fond de la roche, l’entrée (la sortie ?) qui semble nous interpeller ou s’adresser à nous, nous crier de venir jusqu’à elle : pour quyoi faire ? voilà les données de base := 1,2,3, et 4; ce qui est ici  cette chose d’une sorte de pazrcours de rage à mener à deux. sorte en soi de parcours de rage « à naitre» à une vie nouvelle (rocheuse, ancrée, aérée, vive, accompagnée, douce et soyeuse. nous voulons aller ici en roche du temps chercher vérité. la vérité est celle des monts. nous voulons comprendre ces monts ce qu’ils sont pour nous qui montons car nous montons , et même en fait de montée, nous lévitons, chevaux ailés nous grimpons dans les nuages dessinés par les fumées. nous voulons en xsavoir  long et toucher cette fameuse timbale tant vantée et tant évoquée. nous sommes deux personnes (en soi ?) qui cherchons à co:mprendre un certzain nombre de données de  base concernant une sorte (dans le temps) de passage à autre chose, trou de base, trou des fonds de roche, point 4. je cherche avec avidité. je ne suis pas venu pour m’amuser ou seulement pour m’amuser mais aussi pour comprendre ce qui est de ce point 4. Le 1 on comprend : traversée de la roche dure au pic du verbe acéré. c’est ok. lee 2, c’est aussi connu : le pré, l’herbe, le foin, les bois, les sous)-bois, les bêtes gambadant etc, tout un paysage. 3, plus préciosément ces bêtes de paturage : ces cerfs de belle envolé, ces biches nacrées, ces betes-mots du premiier des âges de la création, ces mots-bêtes chevauchant la roche du temps. puis le numéro 4,ses données fumaeuses, l’à peu-près en son jeune, etc. nous voulons cerner le 4 plus avant (après avoir franchi ensemble les 3 p^remières étapes, stations, par la bande). le 4 est là qui nous intrigue fort. qu’en est-il de ce passage ouvert ? échancrure, oui. grotte des mille et une nuits ? peut-être. un passage en arche. aurore. nous cherchons. nous voulons comprendre et nous approcher d’une sorte de vérité du numéro 4. Nous sommes postés à cette même entrée de grotte. déjà le pourtour : de la roche dure, du sol en seuil, une musique sortant du trou , un bruit sourd plus qu’une musique ? une sorte de cri musical, ou de mélopée des profondeurs. ça chante ? ça crie ? ça râle ? ça meurt ? ça râle son dernier soupir ? ça fait quoi ? nous voulons comp^rendre cette chose du numéro 4 au fond des temps impartis, ce que c’est. nous cherchons ce qu’est cette chose rude, ce vent des profondeurs soufflant de plein fouet dans nos figures. quoio est-ce ? le vent de la mort ? la mort serait vent de face ? la mort est-elle vent de face violent ? ce vent pour nous fzaire chuter, nous renverser, nous faire reculer ? nous cherchons les mots car nous cherchons à cer ner les choses et les mots  de la rage en nous sont aussi là pour nous permettre un certain  nombre d’avancées notables, c ertifiés et vraies. nous sommes entrés en roche du temps. nous sommes deux qui sommes introduits dans un antre (ou sas) temporel  = lieu de vie. il y a là des betes herbivores (notamment). nous marchons et chantons sur nos passages. Au fond de pareille cavité habitée il y a (en 4) la paroi « qui recommence » = fortification ? Nous l’ignorons mais nous cherchons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi nouvelle avec (encore ?) échancrure en ses parties et passage ouvert pour une traversée nouvelle la tête en avant comme le bélier. nous ouvrons la porte (une porte  ?) à cette sorte de maison de type rocheuse. porte ou pas nous entrons, passons un pied et là... un vent de folie mes a mis ! une bourrasque ! le souffle de la joie divine ! un souffle mortel ! quel souffle divin ! quel est-il sinon celui du dieu des perditions ? nous nous confrontons à un vent fou ! nous avons devant nous (4) du vent, et ce vent est le vent des fous, car fou lui même, et qui rend fou de par sa soudaineté, son âpreté, ses apprets, sa virulence, sa violence , son insoumission, sa dureté, son vacarme, sa musique des profondeurs. le  vent de la mort est prégna,nt. il vibre vivement à nos oreilles et nous ferait vite chuter tellement il souffle. il s’agit d’un vent de face. je tombe ! aïe  et re-aïe ! ça fait mal ! de tomber ça fait mal , ça peut esquinter! le vent continue de plus belle. il est le vent des fous. ,le ve,nt fou de la roche perlière, soufflant incidemment sur nous qui vouliiions braver son souffle, résister et en avancer sous la violence, ou du moins tenter d’en avancer grave. mais le vent est si violent qu’il nous fait tomber. et  nous voilà qui sommes tombés? qui tombons à la renverse. qui ne pouvons pas tenir sur nos (2 ?) jambes car menus, nous sommes frêles, peu costaud au demeurant, peu solidement arqué et impla,ntés. nous sommes balayés par un vent violent, souffle musical de rage sortant des entrzillkes d’une sorte de paroi de terre- mère. nous tombons car nous sommes frêles. nous ne sommes pas comme ces bêtes-mots ici présentes (aurochs et antil;opes, bisons et ours des cavernes) qui ezux-elles savent s’y prendre, p^lomber, tenir, et ne pas s’envoler de fait. D’où leur présence éminemment actée en ce lieu prairial de broutage et gambadement; l’aurochs et le bison tiennent debout (4 pattes) et ne s’en laisse pas conter si facilement : la mort peut souffler ou leur souffler dessus , qu(‘ils ne tomberont pas de sitôt. ils sont costauds, ils tiennent bon, ils sont solides et solidement implantés. je suis là pour comprendre les données rudes. les ponts  . les jeux de mots et autres glisssements verbaux : qu’en faire ? qu’en penser au juste ? Nous aimons la roche rude , nous la franchissons, nous passons; Et après ? que voir ? échancrure avec bord de roche, ouverture dans du noir de jade. une sorte de conduit auditif interne ? oreille perlée ? boucle ? Nous nous sommes rapprochés de cette chose devant la paroi, la paroi du 4. nous  nous sommes rapprochés et nous écoutons ensemble ce chant de la roche des temps, roche profonde des temps alloués à une vie humaine «entière». Quii est là (en roche : temps) pour nous indiquer les chodses à devoir comprende en premier ? mots de roche = verbe assidu = vif de paroi = meuble. je cherche une voie d’abord en ce sas de bienvenu, près des betes de paroi dure (des aurochs, des bisons, etc) . comment comprendre ce qui est devant ? du temps ? le temps incertain des  roches gravées ? le temps ici est une donnée à bien considérer. le temps est une donnée rude à p^rendre en compte incidemment sans tarder car le temps est money et aussi des mots ;déployés, ruban des prés, chair vive aux tourments. nous vcoulons toucher kla timbale du temps et pour cela nous devons nous approcher de la vie sensible, la toucher verbalement mais la toucher, et tout de suite après entrer en elle, faire place nette pour s’y mettre «un temps». je vois dans la roche du temps. cette roche du temps est ma boule de cristal pour ainsi dire. je vois en cette boule de cristal des choses de pooids qui s’avancent : biche, antilope, a urochs, lions, chevaux. je vois en cette roche-boule sas, choses de poids = bouquetins-verbe. Je vois loin car je vois le paysage intégralement ou pas loin. je suis cet homme qui voit dans la roche du temps alloué des choses. je vois dans la roche des choses. je suis qui vois dans la roche des choses. je  suis là qui vois dans la roche des choses. je suis là qui vois dans la roche du temps foultitude de choses. je suis là qui vois dans la r-oche du temps une grande moisson de choses; je vois cette bete de joie arriver vers moi; elle porte un nom. son nom est inscrit sur roche en touteszs lettrrees. je connais son nom. il s’agit d’un nom de bête sauvage.ici son nom est, qui est inscrit sur roche du temps. je suis cet hjomme des parois de la base (mort) et du sommet (vie). je tombe ou tomberais à la renverse dans un bain de sang de roche . je suis une bête. je suis cette bete des parois du temps, bête-mot de première instance, chaleur vive du rut animal. je fais impression avec mes cris de rage cérébraux ! j’hurle à la mort comme le furet, comme le gnou, comme l’antyilope . je suis homme-bête avide , qui va-vient sur roche placide, vif, colérique, mortel. je cherche un e,ndroit où pouvoir me déposezr diligemment sans gêner personne. je suis pris ainsi entre deux feux de rage, deux parois pour ainsi dire ou est-ce la même qui fait le tour de la penndule ? de la quoi ? Car la roche 4 est toute semblable à la roche 1. c’est ça qui est étrange ! 4 et 1 semblent appartenir aux mmêmes fortifications rupestres, même zone des tourments, continuation paysagère. je regarde. je syuis penché ainsi sur la paroi de base = mon écran aux données de base. je veux trouver = toucher. car trouver = toucher. et inversement ? toucher = trouver ? je chercjhe rudement à traversz une sorte de paroi comme d’un écran ou comme du cristal de  belle remontée. Je suis chercheur-voyant en colère, qui fouille la plaine, vaille que vaille, à la recherche d’(une bête de bon pôids pouvant (face à l’adversité venteuse) faire potentiellement l’affaire (on l’espère fortement). qui pour venir ici nous rendre service ? un aurochs ? ce sezrait parfait. un aurochs en colère encore mieux. qui bravât le temps du vent montant des profondeurs. je suis penché sur la zone des vérités et cherche à co:mprendre ce qui est ici en termes de données vives, rustiques, rudes, clairvoyantes. je veux être là pour comprendre de plain-pied. je cherche ainsi à me placer de telle sorte que voilà : j’arrive à trouver des choses diverses, des donnéesw de base, dires directs, chants de base, ou bien chants de la base, etc. je m’approche de pareille roche et la traverse et là le champ (à perte de vue c’est doux !). je vais pouvoir comprendre enfin un grand nombre de données données et soulager les gens de la suite. je compose. je suis l’ombre de la roche rude, je suiis ombre sur pied, ombre «montée»,, chevvauch»éée de rage en termes d’élans rupestres. je cgherche une voix pour moi , l’attrapper, la prendre au collier et l’adouber pour l’imiter. voyons : je suis entré en roche et me voici qui cherche à cerner un grand nombre de données à explorer concernant telle ou telle personnes ici (roche ?) présentes, à savoir : petit a, la bête. une bête de poids bravant la bourrasque du souffle divin (= de la mort) et aussi la bête-mot qui est grosse d’elle-même et pèse son bon poids d’incandesce nce. je regarde à travers la roche, vois par transparence des données à étudier de près. je suis bien placé pour ce faire ici. je veux toucher des choses en vrai et les comprendre 1 par le toucher, 2 pzar la raison, etc. il y a à comprendre un bon nombre de choses de poids, il y a ici à comprendre moultes et moultes choses qui pèsent lourd dans la ba lance des données de base à la vie sur terre et au delà. je comprend ce qui advient avec lmes mots, qui sont mots de base, de rage dure, de concert. je compte les piedsq; je cherche à toucher une roche dure. je vois la roche devant moi : animaux de compagnie. biche des prés, biche ma biche, biches soulevées et a ériennes sous mon oeil inquiet. va t elle retomber comme une merde ? non !!!!!!!!!!!! oh non , que bambi vole , continue, mais ne tombât pas de grâce ! telle est ma prière du jour évoqué par la bande! je  m’avance et cherche à comprendre qui est là, qui va là, qui est là en ce sas de rage à être vif: qui ?. car la vie est vie de belle envolée de lyre, belle rage à déplisser devant, tourniquet, attirance de roche des prés. je vais voir du paysage pa riétal et je reviens. je ve’ux voir icelui en pied ou sur pied. je ne déses père poas d’y arriver fissa ca r je suis plus que motivé, je suis pris par la douce folie d’alller chercher devant moultes données de base censées pouvoir nous éduquer et nous inddiquer le bon chemin pour trouver où aller ensemble. je me vois ainsi prezndre ce chemin de belle vue, trouver de quoi devant moi comp^rendre, trouver belle de rage, la brebis, la bête, be^te-mot de rage accouplé à la bête en vrai surnuméraire. je regarde et vois icelle qui gambade sur pzaroi. elle a fort à faire. elle ezst belle des rochers (appelée telle). elle en jette ! elle est vive et va loin devant nous nous indiquer la voie de l’envoi. hje suis derrière elle, je la suis patiement et gentiment. je veux la com^prendre et   e pas la rater. je veux comprendre ce qu’ellle est pour moi, l’animal qu’elle est en soi (en elle) et cet animal lui parler en toutees lettres; qui est-il en elle ? que suis-je aussi pour elle ? est ce qu’il me comprend? connait il le verbe ? est il lui-même du verbe ? est il du verbe lui même pour moi ? a-t-il en lui ce verbe des parois de roche ? qui parle pour lui ? qui parle pour moi ? où sont les données de la rage d’être ? où donc sont passées les gazelles de la rage à être l’animal des prés ? je chante à tue-tete et ce faisant je  ne m’en laisse pas conter outre mesure car je suis un homme de la roche dure. dure des dures. je fouille au-devant le temps : il contient le verbe = la mort. car le verbe est le verbe qui parle pour dire la mort et dès lors combler ce trou de la bouche-mort qui devant nous se montre à nos yeux d’enfants baba. la bouche de la mort ! la bouche de la mort ! oui ! ici même ! devantt moi ! la bouche de la mort en position 4, quand la notre (de bouche) peut-être, depuis l’intérieur de nous, est en position 1 ? comment savoir ? comment faire pour comprendre enxsemble (qui, ensemble?)? Pour comp^rendre il faut toucher la roche = la mort. pour toucher la roche il faut être mort or merdum ! merdum grave ! je veux pas ! Qui veut ? certtains veulent mais pas tout le monde, c’est la loi ici qui dicte son vouloir de base ou pas, soit le bon-vouloir d’icelle à nos côtés; mort = vie moins le passé ? Ou comment ? je cherche asssiduyment, je suis qui cherchecherche vivement en cette roche devant moi , qui semble vouloir me pa rler, me dire des choses. parle-moi la roche ! qu’as-tu à me dire en termes de données de base vive ? la mort est l’endroit de roche dure à même de te présenter à une déité rocheuse de base rupestre. la mort est devant en roche déité. la mort est déité qui se loge en roche = sas. qui parle quand je parle en  vérité ? qui en moi prend la parole et ne veut pas lâcher pour  ma gouverne ? qui parle incidemment son parler des embruns et des nuits de pleine lune pariétale ? je regarde. je suis vif. je comp^te les points de roche frapp^ée. je suis celui qyui veux trouver le pot aux roses et cherche vivement à toucher la roche aux serments. je conduis le verbe à des dénouements rupestres. dénouements et dénouements et dénouements et dénouements et dénouements ezt ezncore d’autresc . fin des fins. je me plonge a insi dans la roche temporo-spatriale des dénoue:ments de toutes sortes (vies diverses) à kla recherche de la vérité des gens dee près. je m’applique; Je veux cerner. je dois cerner. je veux toucher. je dois toucher. je veux aller en roche et trouver le pot aux roses, et c’est ainsi que je le fais incidezmment, entrant en roche par percée de vive voix (pic des pics) et là : voyance ! la voyance est profitable ! elle naît à elle comme du tourment, mais là indemne de méchanceté car la voyance ici a de quoi aller sans faire d’écarts ou d’écarts mal faits, mal pensés, mal venus, etc?. je veux voir iici des choses de la vie à vivre, et pour  cela je dois aller au fond des choses, soit : de la grotte. dernier sas. chant des partisans. je tombe. je suis homme du mal-être permanent d’un être de base??; je me dois de lui venir en aide. je veux prendre ici le pari de pouvoir agir. je cherche une issue agraire. je veux toucher ici voix d’une sorte de chapitre à double entrées. ici nait la chose, ici même. je vois cette chose aller, venir, tomber,, être. je cherche une voix de base. je cherche une voix ixi qui donnera le bon tempo d’une vie nouvelle à vivre tantôt; je suis homme chercheur de paroles vives. je suis cet homme des paroles des tourments de vie à vivre ensemble dans le sas de roche des prés, des prairies nacrées, etc. . je suis devant la roche cgherchant paroles adoubées , qui puissent me donner de quoi toucher à une vérité profonde. je veux être l’être de la voix du monde collé à une roche. je suis dans le sas. je suis passé en ce sas de bonne roche à la recherche des embruns et des eff;uves, des cris souterrains et du vent moqueur. ici est cela qui buffe (souffle) et vous emporte au loin dans le sas des sas. parol:es dures ! colère en d’autres termes ! des col:ères. du vent. de la voix rupestre (stentor) en guise de contrechant ! on comprend, onest pas si bêtes,; on est là pour ça = la compréhension fine et racée, la comprenure fine et racée, la chose d’une comprenure assez fine et racée pour pouvoir en avancerr assez sur ce chemin des données rupestres. je comprend les données rupestres. je veux toucher ce qui est en termes de données rupestres essentielles? ce qui est devant est dans le sang. ce que je vois devant sort du sang ou provient du sang, du sang offert en offrande = le temps = le présent = ce temps déployé comme un ruban de confection (apprêts). je me loge en roche, afin enfin de pouvoir cerner ce qui est d’une sorte d’envol»ée massive de chevaux ailés à même la roche; en lévitation. curieuse solitude . je me vois volant ! je   me vois aller et venir en roche (sas) comme un cheval ailé voleta nt vers la roche à traverser; je co:mprend ce qui est qui vient = ce cheval dxes certritiudes, des dxonnées dures = fiables = vérités des vérités. je cgherche à travers la roche à voir loin ce qui est qui semble arriver =advenir = se passer = nous rejoindre = nous pousser dans nos plus vifs retranchements, c’est dit. car oui, la roche est pleine de données diverses : boule de cristal qui est devant soi l’espace de diffusion. je vois ça; à moi de comprendre. à moi de toucher par la bande un certain nombre de données vives et de les consigner illico presto sur carnet à souches, etc. Qui va me croire ? qui va suivre kle mouvement ? qui suivra le mouvement pendulaire d’une voix de rage inscrivant ce qui est, sera, ce qui surviendra, ce qui survient? Je dois peser les mots. employer les mots de rage avec a ssez de tact pour me faire comprendre et donner de moi (depuis moi) les informations nécessa ires oà une sorte de portrait cde charge à dessiner comme autrefois l’homme des cavernes savait. l’homme en moi (des cavernes) veille , qui me voit tracer deva nt moi dxes traits de parade,,  des traits fous de bonne taille = des portraits sur pied de bêtes  massives. je suis là pour voir ce qui ici (boule, paroi, ombre) se dessine sous mes yeux. voici la chose enfin d»éployée, qui est chose d’un ruban des vérités de chance , charme, etc, sous le vent sortant d’une bouche dee la (ou des) vérité(s) de base. ruban fin comme  voie d’abord. je cherche le nom noté, celui-là que l’homme des parois savait reconnaitre sans forcer, car toute sa vie était dans son geste menu mais précis. je suis celui qui voit la bête. je suis ici celui qui cgherche le nom de la bête. je suis cet homme cherchant nom de bête endiablée. je swuis homme qui cherche à comprendre beaucoup de ce monde rude des apprezts de bonne venue (sur terre-mère). je suis là qui voit une roche, un cghemin, un passage vif, un terrain de prédilection = la roche rude = la paroi xdes ttezmps = lm’échancrure = la félure.  je suis homme au vent. je me prête au je (jeu) du vent facial. en prends p;lein ! ouille ! vif ! ça pique ! tant pis/; pas encvie de pas 

pas envie ou plus envie de ne pas y aller, de voir à reculer. je charge = je donne = je dépose = je pose = je nourris = j’asperge etc. Je suis l’hommê aux voix de base menues mais qui savent toujours dire ce qui est en roche pour la bande, voix menueszxsoufflant leurs dires de parooi percée. je cherche à me retourner et dire ce qui est que je cherche à voir de visu en cette roche aux aprêts. je veux combler le trou de bouche par du verbe: deux fois. ici à l’entrée = percée, et ici (:à la sortie ?) par une sorte de chose qui sezrait de l(ordre d’une sorte d’embardée votive incandes cente : feu ! feu de rage ! feu sur toute la ligne ! feu en ligne ! feu vif de ta rage à  naître et renaître ! qui ;l’eût cru (cette chose) ? qui aurait pu penser que cette chose enfin adviendrait, qyui me verra tracer des plans sur la comète mais pas que ! car la voix de second va pour moi m’aider à tracer ;les traits d’une bête en vrai. je vais sauter sur l’occasion. je veux sauter sur l’occasion, toucher vif, dire à vif ce que la mort est pour tout un chacun,; et les soucis, les peines de coeur, les dires avortés, etc? je comblerai?.. je dois combler, au passage, trou de bouche en  veux-tu en voilà sans me retourner. je veux comprendre ce qui est au juste d’une sorte d’embardée votive dans la sas des sas d’une vie à vivre pour untel dont le nom ici serait caché. je veux dire ce qui est. je veux pouvoir dire ce qui est. la chose se dessinerait peu à peu sur roche, à lza ressembl:ance d’un être donné, qui verrait dès lors pour lui se dessiner des traits, des courbes, des schémas de base et autrescx points de vie vive agréés. je cherche à m’approcher d’icelle roche «transparente», prairie, pré joli, carré frais. je veux êrte l’être du passage à un audelà rupestre, ou en (souligner) un audelà rupestre ou pariétal = le temps. passage au temps ou dans le temps. le passage d’un corpus, corpuscule, dans le temps. le passage ici du sang dans le temps. le passage voulu du sang à l’i,ntériur du temps pariétal. ici ce passage du sang (coulure) dans kle temps, à travers le verbe (la voix) enfin déployé devant soi : rubanesqque. je comprends les choses enfin déposées sur bâche, sur tapis, sur carré devant soi, vide-grenier. je veux toucher la roche des temps donnés et cela fait aller loin en roche, aller au plus que je peux en ses profondeurs, en des profondeurs de cette roche, en les profondeurs d’icelle roche ou à la profondeur, en la profondeur d’icelle, au profond le plus d’icelle roche, en elle dans la profondeur. je cherche parade rupestre : cheval, cheval dépl;issé, traits de base, aurochs adoubés, traits de charge à contrevent, massifs eh comment ! double-^massifs de la rage à être contre le vent ou à contre-vent. j’hallucine ! je cherche à voir : je vois ici une sorte de chose rude, dure, du dur de chez  dur qui semble aller ainsi sur roche se tramant comme la  sang qui coule sur table aux offrandes, comme un sang de veau sur roche perlée. hje vois : homme, sang, veau, perle, rocaille, une femme qui s’approche, un homme rude, des chevaux, l’haleine des chevaux, le souffle vif, le vent soufflant vif, les paroles en djur comme une sorte de coulée de lave pariétale. je suis un homme des temps avertis et du coup que fais)-je , je regarde les alentours. j’essaie de piger vif ce qui est, ces dons de soi déposés sont ils des offrandes (le passé) à telle ou telle déité de choix , les mots ontils de quoi nous satisfaire incessemmant ? fau-il croire au sens des lmots , a)-t-on le choix ? qui parle pour moi ? qui parle pour un homme comme moi qui est homme des parois de roche, homme-bouc, qui ? qui pazrle en moi pour dire sa hjoie de voir ce qui devant moi cherche à pointer sa rage : qui ? qui vient vers moi semer la pagaille ? qui veut comprendre assez pour s»’en retourner ainsi armé et vaquer que tu vaqueras à swses occupations quotidiennesq : squi ? qui va là ? qui chante ezn moi la chant de sa rage d’être ainsi envahi par en soi la mort du petit cheval ou auttre mort de bete de poids pouvant lutter contre le vent brutal de la mort à l’oeuvre en ces contrées de base rupestre (sas des sas, etc)? qsui veut m’avouer ou veut bien m’avouer ce qui pour lui ressemble à de kla vie en vrai pouvant le faire incxidemment face au dieu (le seul) de la mort. croire en la mort = croire ezn dieu. croire = conserver pour soi le verbe. être être de verbe inculqué (impossible à évacuer) = croire ce qui est  = croire ! Je pense = je crois donc jésus, etcx. je veux être ici la roche p:leine, la toucher de près, être roche = entrer, etc. je suis homme d’une voix de base rocheuse, cherchant à travers la roche un ou une allié(e) qui sache ce quil en est de la parole vive des ap^r^$ets : qu’est-elle ? qui la parle courammeznt à travers moi ? qui sait parler à travers moi la langue pleine ? qui comprend la langue pleine ? qui pa rle en moi la langue pleine = complète =entière = massive =aurochs des prés et des prairies. je regarde devant moi l’aurochs, le bison, la brebis, le chameau, la belette, le cheval bai. qui sont ces bêtes allouées à une vie de base rupeswtre = la vie: -qui ? je me penche sur la question. je cherche à comprendre vif ce qui est ici qui semble avoir à me dire des choses , à me parler incidemment, à évoquer des données de rage mais basiques. je m’avance en pays qua si conquis (car je suis entré) et vais auprès des bêtes demander  ce qu’elles fabriquyent ici, le pourqyuoi du comment elles ont atteri ici (champ de marss) et les mots qui sont ceux qu’elles portent, pourquoi cela ? je demande. je vais vers la  biche et je lui demande. que peut-elle dire ? que pourra-t-elle me dire en vrai qui puisse m’(aiguiller vers des cxhemins de vérité , que saura-t-elle signifier et comment , est-ce que la biche sait parler lalangue rupestre ? connait-elle le françzaiios ? a-t-elle quelques rudiments en langue étrangère à elle ? que connaît-elle en fait de langues étrangères ? connait-elle l’indo-marital ? la langue plénière ? le chant choral interne à une gouverne ? l’indo-sacripant parlé , la chance-langue adverbale ? le pointu ? le couillu ? le chant morveux ? le vil babil des classes laborieuses, , version canigou ? que connait elle en la matière ? je veux le savoir tantôt car je veux piger et m(aligner, soit parler pour elle avec elle et ce en la matiè!re (idiome) qu’ezlle a ura choisi : je me plie. je vuex toucher icelle bête devant moi, la toucher des yeux (1) puis avec la main = une caresse sur pelisse, vent facial, chaleur du rut, hommage de l’artiste à son être divin ? Je tombe ! je suis las! je suis vif de rage mais las , et du coup je tombe, je m’affale , m’étale là de tout mon long et dieu sait s’il l’est ! je suis étalé, je suis a llongé, je suis déposé, je suis posé, je suis mis, je suis aligné, je suis déposé sur une table, table nue, en pierre de lave. je suis l’offrande?;; je me meurs comme une bête pourchassée touchée , que l’on dépose encore cxhaude (le sang chaud) sur pierre d’offrande. je parle l’idiome idiot de la rage à être nu ! colère ! animal  velu ! poubelle des rues ! anfractuosité ! je plonge ! je me place ainsi de manière à pouvoir entendre et écouter la musique des sphères : la voici qui monte»»»» et s’élargit, je vois ce qui est ici qui me rezgarde et me fait envie; je me couche sur la pierre; je suis l’animal saignant car j’offre mon sang aux temps impartis, aux temps alloués à une vie en particulier. je vois ce qui est qui marche, quyi va, qui mange et qui s’ébroue. homme-buffle au sa ng mauvais ? j’opte pour le buffle ! je charge à la manière de la bête des parois, soit de tout mon saoul, à contrecchant, à c ontre-parade. je veux m’envoler comme un cheval ailé s’envole et franchit la corde. je suis être au vent mauvais pris de face , et qui (etre) veut (cherche à -) s’échapper fissa de là car ça pue du cul : car là (porte damnée) ça pue grave du cul tu le sais. ici ça pue grave ! oh ici énorme : c’est la porte. la porte aux damnés ? la porte ! oh alors fichons vite le camp ailleurs et n’y revenons plus ! mais comment cela ? il s’agit ici d’u ne sorte d’échancrure à même le roc et à travers elle souff;le que tu souffleras le vent de la mort ou de l’empechement à naître ! ah voilà ! alorsq commùent ? qui pense ? qui parle ? qui crie ? qui chante ? qui veut soulager ma gouverne et penser ou poarler pour moi ? qui veut dire ce qu’il sait sur roche gravé? qui veut dire gravé ce qu’il sait sur roche des temps ? qui gravera , qui gravera gravve la bête repue ? qui va graver grave la bête rezpue ? qyi sait graver grave la bête des prés ? gravons ensembkle telle ou telle bête des champs, des bois et forêts. gravons grave eznwemble les noms de tous nos associés de chaerge. qui parle en mon nom ? qui porte mon  nom ? qui porte ou porteras mon nom ? qui est là pour moi ? qui parle pour moi enn mon nom ? qui parle avec sa voix de contre-chant ? qui pârle bri;llamment sa belle romance d’enfgant déployé sur roche d’allant , qui enfin comprend son sien mal-être étiré comme une tourmente ? qui veut mourir ? pas moi, dit le coq. pas moi dit le cochon. pas moi dit la bete des prés consacrés. je vois ce qui est ici qui semble me mater de pied en cap, et pourquoi cela ? qui suis-je qu’elle ne connait pas? ou l’inverse ? qui la bete des prés voit elle en moi qu’elle semble reconnaittre voire connaitre et comment connaitre si tant est ? car je suis nouveau venu en ces contrées de base. où donc m’aurait-elle déj-à vu ou rencontré .? me connait -elle et si oui d’où ça ? car je suis nouvel arrivant ! je viens d’entrer à peine à pic  pique , à pique-piquage, à mêmùe la roche: donc ? commùent ferait-elle pour me reco,nnnaitre ? comment pourrait-elle me connaitre ? qui déjà lui aurait peut-etre un jour parlé de moi incidemment ou bien comment ? m’aurait-elle cerné ? m’aurait-elle touché ? m’aurait-elle senti ailleurs, une autre fois que là ? Je cherche ! Je demande à voir. je suis être du temps des tourments de rage, habillé à la six quatre deux, venu tard sur le devant de roche, calfeutré, pris à partie par un vent de face mais cherchant un abri derrière la bete à cornes. je calcule les données de rage (= chance) et me dis que oui peut-être un jour ou l’autre je serais enfin touché par telle ou telle bête pariéytale dessinée (ou gravée) par un homme des temps reculés; je 

je me vois toucher la roche, je me vois aller et venir, je me vois toucher la roche et aller et venir, je me vois toucher la roche

veux être vu ainsi, comme l’animal, la bête, l’homme des parois dures. je veux être ainsi comme touchézsx des yyeux par un e sorte de divinité qui me regarderait sans chercher à me vouloir des noises, etc. mon ombre est l’ombre de mon soi (mon moi ?) abrité. comment m’exprimer ? je suis l’homme des temps alloués à une vie humaine de roche perlée; je suis celui-là (celle ?) qui va dans le sens d’une parole proférée à l’emporte-pièce par un homme des cavernes, et cette parole est une insulte à divinité ! à deité d’antre ! on voit ça ! ça le fait (fera ?) grave ! Je rezgarde ce qui est ici (sous moi = la terre) et je comprends que je suis arrivé sur roche la tete la première, cap sur cap ! je suis dès lors l’(ombre de moi-même ou comment ou qui sinon ? dessin animé ? ah peut-être ! je me vois toucher la roche, je me vois toucher la roche 

je me vois toucher la roche. je me vois aller et venir en cette zone des embruns, des betes de poids, des betes rosses. je vais vers la bete de poids. je m’approche d’elle. je veux lui parler, la toucher et lui parler. je veux être un ami fidèle, un ami de poids pour elle. hje veux être pour elle cet ami sacré qu’elle attendait peutêtre. je suis hjomme des parois des temps octroyés à une vie terrestre, . je vois ce qui est. je vois ce qui se trame en ces contrées de charge. je suis homme des parois du monde aux apprets. je regarde au loin les données de base, fummées, voix, chaleurs, sentiments diffus, contrechant, amours, donations. qui sait me guider vers les finitudes ? qui saurait me donner du lest ? qui pour m’aider à chevaucher le temps ? qui pour me donner le nom quil me revient d’avoir à porter ? qui pour me souffler à l’oreille les mots importants concernant une vie sur terre ? qui chante avec moi ? qui chante depuis moi ? qui veut ma gouverne et charger pour moi les betes de rage postées devant .? qui sait ma misère astrale ? qui commande en moi les données ancrées, les mots du passé ? qui parle en mon nom surnuméraire ? qui connait le chant des contrées premières ? qui a parlé le premier ? quel était le premier mot prononcé sur terre ? qui parle à travers la roche gravée ? quel homme en moi parle pour moi ? est il homme des cataacombes ? est il homme mérovingien ? est il homme plus ancien, de type aurignacien ? vit il en moi quelque paartt , et où si oui ? qui vit dans :mon sein ? qui vit en moi qui me connait mieux que mon ombre ? qui est en moi qui parle une voix de fausset ? qui parle en moi qui dit n’importe quoi pour jouer ? qui a dit que j’étais niais, l’imbécile, le menteur, le sacripant, l’australopithèque ? je regarde devant moi ce qui est et qUe vois)-je ? une sorte de donnée étrange, un don en nature déposé, une sorte de corps allongé déposé sur roche ? outre ? antre ? autre ? être ? de quoi ws’agit-il ? les mots n’aident pas qui se ressemblent ! comment faire ? je chercbhe à comprendre mais ce n’est pas simple du tout car la voie de passage n’est pas large, il fzaut se serrer, se faire menu, enfant, se faire fin, se faire fil, etc.Nous avons à comprendre l’être du temps (l’antre ?) commùe étant ce qui pour nous nous ressemble (au fond) le plus ou sinon le plus, ce qui est pour nous le plus ressemblant en termes de traits, de hachures, de croquis, etc, à même de nous présenter ressemblant : aurochs des prés comme cheval bai. je vois devant moi un homme qui s’avance et vient vers moi mais ce n’est pas un homme, c’est quoi ? un cheval ? ah oui ! un cheval de rage, dessiné à main levé. je comprends. je sais ce que c’est à présent : il s’agit d’une bête-monstre. bête de destinée. bête représentée pour fairze accroire à une déité (la mort) que la vie (la nôtre) est là tout entière offerte pour sa gouverne, pour une gouverne magnifiée mais en vérité ce n’est pas tout à fait le cas. magnifiée peut êtree mais question vitalité c’est pas ça; on voit  ce qui est ici, qui est cette chose comme quoi la mort, quoique magnifiée (tu parles !) n’a pas , ou disons n’est pas, à nos yeux, si enviable? comment dire ? à nos yeux la mort, ici bazs, n’est pas cette chose qui, pour nous, nous plaise tant qu’il nous faille donner notre vie devant pour la satisfaire . nous ne voulons pas tant que ça la satisfaire. nous ne voulons pas lui plaire; nous ne voulons pas qu’elle sache notre senti=mment p^rofond. nous faisons semblant (en vérité en étant vivant) de lui plaire, de la satisfaire complètement ou de vouloir la satisfaire complètement, mais en vérité non, nous cherchons à la ruser, à nous passer d’eellle. nous faisons semblant de la satisfaire ou de vouloir la satisfaire mais ti,ntin.nous donnons de nous le passé de nous, le passé mort, le passé est toujours mort. nous donnons de nous le temps qui est du passé de nous, ou plutôt le temps passé de nous qui n’est plus tout à fazit nous, ou plut^$ot cette chose du temps, de ce temps de nous passé, qui semble la vie,, qui lui ressemble fortement, qyui ressemble fort à de la vraie vie mais la vie la vraie n’est pas le passé bien au contraire , la vie est le présent cordial. nous cherchons à la truquer : à truquer la mort. la mort gobe tout. la mort est un ventre. la mort est un antre?. la mort est une bouche ouverte. la mort est un trou. la mort mange. la mort a toujours faim. la mort n’’st jamais rassasié. la mort prend ce qu’on lui donne. la mort mange de tout. mla mort aime manger. mla mort aime bien ma,nger ce qu»’on lui met en bouche. la mort mange le passé de nous. la mort mange de nous notre passé deposé par nous deevant nous comme un présent en hommage, ou comme une offrande à une déité. la mort aime nos offrandes ainsi déposées. la mort aime avaler. la mort aime ezngouffer. la mort avale vif. la mort n(‘est pas la dernière à s’attabler. la mort avale les denrées diversesc et autres vivresx ou victuailles qui lui sont (par la bande) proposées; la mort avale les données de base. la mort est un estomac sur pattes. la mort est bete carnivzore. la mort aime la viande fraichje. la mort aime manger la vie. la mort aime la vie. la mort aime s’empiffrer de vie vive, de chair fraiche et autres offrandes inavouées. la mort mange vitte. la mort engloutit comme un alambic. la mort est vite assoupie. la mort est assoupie. la mort s’assoupit. la mort a mangé et cela fait va à s’assoupir un temps. Ou non ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort toujours se met sur le qui-vive. le qui-vive intéeressee fortement la mort. la mort adore le qui-vive, s’en repait vif. kla mort aime que la vie soi t donnée d’emblée. que toute vie soit donnée d’emblée. la mort adore que la vie d’emblée (dès porton-minet) lui soit donnée. La mort veut la vie pour ezlle. la mort veut toute la vie, pas que le passé. la mort veut toute la vie dès que née. la mort veut la vie tout entière en permanence. la mort veut toute la vie pour elle. la mort a besoin de la vie pour elle, pour se rechzarger. la mort veut pour elle la Vie en-tière. La Mort veut pour elle la Vie en entier, soit tout de tout de la Vie vive existante sur la surface de la terre. La Mort veut la Vie entière, toute, le paquet, toute la Vie vive en entier pour elle. la Mort veut la Vie pour elle , pour être la Vie à son tour, pour être vie à son tour, pour devenir Vie à son tour, pour mourir en tant que Mort ? La mort veut la vie pour elle : pour être. La mort veut la Vie pour être Passé.

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8/03/2022

Nous devons comprendre ensemble ce qui est dans ce qu’on voit. Ce qui est est une choese rude si tant est et cela est. Nous devons cerner des choses au sein de la paroi , et ces choses (toutes) portent un nom. le nom des choses (de chacune des choses) est nom donné par un en-soi qui s’interpose, se glisse fissa, entre elle (la paroi) et nous (qui la regardons, l’approchons, la touchons). nous avons dès lors à comprendre ensemble cette chose (ici : face à elle) comme quoi la roche ci-devant est du dur de dur, du coriace, du «pas facile» s’il en est, etc. Notre but est de comprendre au mieux ou du mieux poss blle ensemble ce qui est de cette roche des apprêts. quoi ou que est-elle en vrai  ? succédané ? Nous disons que nous pensons que nous voulo-ns savoir ce pour quoi pareille roche est devant nous, comme dressée, qui xsemble nous interpeller. qui ou que ou quoi est la paroi ? vaste question ! Nous cherchons une réponse. nous devons trouver une réponse ! nous nous devons (c’est-à-dire à nous-mêmes) de trouver réponse qui soit opérante, qui soit fiable et sur laquelle pouvoir s’appuyer. Notre envie est de savoir ce pourquoi les choses du devant (paroi rocheuses) sont, et oour cela nous nous devons de nous poser les 

bonnes questions ensemble, face à face, et tenter d’y répondre au mieux. la vie est telle que le temps nous est compté, nous savons cela. nous voulons cerner les s choses au mieux c’està dire finement et dans toutes leur complexité. nous voulons nous approcher de la paroi, nous voulons toucher et entrer en elle. comment cela ? par le biais (natif) de la transe ! on plonge et on y est ! on monte et voilà que les choses devant soi viennent à s’ouvrir subséquemment, qui nous laissent entrrer, qui nous engloutissent (bouche de la mort à l’oeuvre !). Nous avons cela pour nous, qqui est que nous savonbs (très bien à présent) entrer en transe (ou quelque chose d’approchant). nous nous mettons dans des dispositions (ensemble) rappeleant la transe par bien des côtés. nous voulons comprendre, touccher, entrer, nous glisser dans les profondeurs, c’est un fait, mais aussi nous voulons nous adjoindre à une déoité contenue en cette roche, ou : déité des déités. Nous voulons toucher la roche (la réalité) poutr la dépasser, la traverser, nous introduire en elle et en elle «toucher la timbale» d’une déit»é des plus ancrées. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contraaire entrer en elle fissa et y rester un temps (le Temps ?) pour nous soulager, nous poser et résister. Nous devons toucher la roche, nous devons entrer, nous blottir incidemment en elle, nous poser un temps, nous poser le temps nécessaire, nous glisser en elle un temps qui est le temps de l’immortalité ou sinon le temps de quoi ? nous devons cerner cela ! Nous devons résister on l’a dit : à quoi ? à cette chose ici qui semble vouloir nous faire trépasser ! a pazreille chose en ce  tte roche, en pareille chose de roche, en cette chose d’une sorte d’entité de roche (etc) qui est cela, qui est cette chose-là qui chercherait fissa à nous faire chuter et pourquoi ? parce que voilà : la mort cherche la vie sous toutes ses formes ! La mort aime la vie et n’aime pas la mort ! la mort veut de la vie fraiche pour sa gouverne , pour son xsein ! La mort veut la vie ! la mort aime la vie ! la mort veut la vie vive ! la mort aime la vie vive et bien fraiche, à consommer subséquemment ! elle aime manger, engloutir, prendre pour elle : aelle a faim , un faim de bête ! on dirait cela, que la mort a fvzaim, c’est-à-dire une faim incommensurable, faim de la fin des temps, fin de la rage et des tourments de bure. La (ici) mort, est cette chose, cette chose comme quoi ou comment ? cette chose devant soi (loin ?) que l’on cherche 1 à situer, 2 à approcher, 3 àà décrire finement. Nous disons cette chose là comme quoi la mort a faim, faim permanente, a pour elle une gueule affamée en permanence ou sinon dsouvent : estomac sur pattes. On dit que la mort est un estomac. On pense cela et on le dit. On dit que la mort est comme un ggidgantesque estomac sur pzatte et on ne se gêne pas pour le dire. on pense xici quela mort en roche (à l’oeuvre) est Estomac, a la fringale dite permanente ou sinon permanente pas loin. nous voulons comprendre le sein de la mort et ses liens avec le Verbe ancré en nous. nous voulons ensemble (2) essayer de comprendre ici ce sein de la roche, ce sein de la mort, cette enclave absorbante, cette gueule ou grande gueule ouverte : qui elle est.. Nous voulons comprendre le pourquoi la mort est un sein, un anttre, un ventre, une sorte d’utérus des temps déployés. Qui a dit cela ? qui veut nous dire ou bien nous dire des choses pour nous seconder ou nous aider à y comprendre quelque chose de concret ? nOus devons nous approcher d’icelle paroi, la toucher la toucher, et entrer en elle (fissa !) et là nous enfoncer en elle, creuser que tu creuseras direction le fin fond, le son, le chant des terminaisons, des creux, des portes ouvertes. nous voulons nous approcher ensemble (2) de cette chose du fond de la roche = la porte, cette porte ouverte sur un au-delà pariétal, sur un espace auttre qui commence là, en fond de roche, sous les embruns. Nous avons à dire ici cette chose d’un lien précis qui existe entre la mort d’une part (telle qu’on la connait entre hommes) et le Verbe monacal (ou pariétal) tel qu’il existe dans son coin, en nous, sous forme de bêtes. nous pensons pour nous que lza mort et le verbe ont parties liées. nous pensons que la mort est comme attenante au verbe? nous pensons que mort et verbe sont unis et courent ensemble sur prairie ou sinon comment expliquer les choses, toutes ces choses qui ici semblent nous gouverner, avoir la main mise sur nous, etc, comment expliquer le temps de la roche rude (brute) ? comment toucher au verbe des de vants ? squi comprend ce qui est qui va devant soi ? qui peut nous aider ? Nous disons cette chose ensemble (= 2) comme quoi la mort est cul et chemise avec le VErbe tel qu’on le pratique entre nous au sein d’une tribu, d’une con frérie, peuplade, groupement, etc. nous devons cerner ensemble ces données concernant la mort en tant qure telle et nous approcher au plus des choses de la v»éérité, des définitions. nous devons toucher juste. nous avons à toucher juste les données. notre but est de touchger au plus juste toutes les données qui, devant nous, s’offrent à nous soit à notre oeil. Nous voulons comprendre ce qui est du monde des esprits, de la mort et de l’au-delà à la paroi, à la lumière d’une déité de type ancestrale = monacale = pariétale = aurignacienne par exemple. Je tombe à la renverse ici et que vois-je ? l’antre ! ou le ventre ! cet antre est un ventre rond ! Je cherche à comprendre les données de base qui, en nous, gravittent et chgerchent issue, car il est ainsi que des mots cherchent à affleurer d’eux-mêmes c’est une évidence. nous voulons toucher la roche du temps et la traverser. nous avons en nous cela = volonté ancrée, de vouloir toucher la roche du temps, de la pénétrer pour nous y loger fissa et là : résister, on l’a vu. à quoi résister ? eh bien aux assauts bruyants de la mort des rocghes ou dite «des roches». nous devons nous protéger de ses assauts, des à-coups réitérées, des coups du sort, des coups de massue et de bambou. nous devons veillezr à toujours le plus possible nous placer de telle sorte (ici = la roche) que la mort nous laissât tranquille et ne vînt nous poser sur nous sa main de bete immonde = saleté. Je regarde devant moi et que vois-je ? antre de parole vive ! mère sulpicienne ? je tombe ! ah me voilà tombant dans»»» roche ! oh l’affaire ! oh voilà ce qui arrive à moi qyui m’approchais de la paroi et cherchais à m’insérer en elle via le trou fait par (en moi) la pique verbale éternelle ! merde ! pourquoi faut il toujours tomber au pire des moments ? juste quand on entre ! merde ! merde de la merde ! merdum de merde ! merde à loa mort saleté ! merdum au dieu vivant (?) de la mort à l’oeuvre ! Nous vouliiiions enttrer et nous voilà qui nous trouvons comme sur le carreau à compter les morceaux pour ainsi diire ! lmerde ! on voulait pas ! on ne voulait pas ! on voulait restyer vivant en  cettye roche dure ou alors comment faire pour ne pas sombrer ? Nous sommes ensembvle qui allons en roche à la recherche de la vérité. ici on dirait que le temps est un apprêt. on voit la chose remuer qui est la mort devant soi nacrée, qui va et vient, serpente sur son chemin. quand va t on devoir»»»» mourir pour ellle ? a t elle décidé du moment pour elle, pour elle ou pour nous, : a t elle choisi lm’heure et le jour ? est elle décidée ? a t elle des vues sur nous = notre vie ? qui est-elle ? nous voyons une chose, nous sommes deux (ici) qui voyons cela , devant nous = une porte = une entrée = un trou dans la roche = un passage concret = une sorte de sas pour une traversée des données de base rupestres. NBous entrons ensemble, nous nous faufilons, nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici pour nous en termes de données de rage. qui pour être là à nos côtés de grâce, qui ? car on veut avancer ! on veut pas rester à quai ! on veut cerner ! on veut pas rester sur le pavé à lambiner etc ! Nous voulons toucher la timbale, creuser le fossé et nous y loger si tant est , nous faire petits, nous glisser en lui (fosse ou fossé) et ne pas trépasser mais rester = tenir = aller toujhours vers sa destinée ou en direction de sa destiinée = tenir bon = choisir le bon wagon ou bien le bon cheval. que dire qui puisse nous donner de quoi comprendre les données les plus intimes des choses du monde ? nous ne vcoulons pas trépasser car nous voulons être, pour la chose devant soi nommée, êtres de renom. nous ne voulons pas sombrer corps et biens à la renverse mais faire ainsi (à travers le temps) que le nom que nous portons soit celui que l’Amour des roches , cet etre diffus, ce fantome ou commùent, puisse conserver par devers lui en sa mémoire, en son sein ou antre mémoriel. Nous creusons la roche devant nous = nous faisons un trou = nous fouillons = nous nous infiltrons = nouds mesurons = nous étirons, etc. le temps pour nous est cette chose permettant l’offrande d’un devant de fausse monnaie. Nous nous agenouillons sur roche et prions que la mort restât gentiment où elle est dans les embruns.  nous sommes qui voulons comprendre des données liées à du Verbe nacré,, à du verbe fin, à du Verbe de paroi ambrée. Nous nous approchons du fond de roche et nous cherchons à passer la tête, à comprtendre, à trouver, à toucher pôur trouver. la mort est une et indivisible ? ok ! Pourquoi pas ? la mort est un antre de roche dure !Bon. elle se situe au centre de la roche dure = de la vie, soit en son sein. elle n’’st pas facile à trouver ‘(à dénicher) car elle est bien cachée en ce sein de roche (de la vie vive ? de la vie dure ? des tourments donnés ?). nous nous appreochons d’icelle (roche et mort) et nous les touchons (les deux) à même la peine ! comment dire  ? nous voulons comprendre icelles (roche et mort, roche de la mort) ce qu’elles sont au juste, ou bien ce qu’elle est pour de vrai (roche de la mort à l’oeuvre) et pour cela nous... chantons ! ah misère ! oh l’enjhoué ! oh l’homme aidé ! oh l’homme mal aidé oui ! hommùe ou felmme ici pas d’importance ! et homme et femme aussi bien ! Nous cherchons ensemble , nous sommes soudés, nous sommes collés entre nous et c’e’st même pour cela que nous ne nous lâchons pas d’une semelle ! Nouys entrons ensemble en roche (pîc de verbe aidant). là, nous regardons les abords, zt l’horizon au loin qui semble nous faire sign e et nous appeler (musique !). nous sommes deux (2 de rage) et poussons au loin, allons plus avant, ma rchons de guerre lasse et ainsi faisant nous voici qui arrivons aux portes ouvertes d’une sorte d’enclave en paroi. Nous passons la tête, manière. qu’y a t il à voir misère ? peut-^ttre une... voix ? ah ! Quoi d’autre ? voix qui parle = meugle = animale ! ah ok ! et du coup on se dit que peut-etre en effet la mort = un antre = un terrier = un lieu de repli animalier, etc./ ventre ? nous disons que nous ne savons pas ! nous disons que nous voulons savoir ! $nous disons que nou!s devons savoir et aller plus loin vers des connaissances primordiales, princières, premières, ancrées, insérées en un sein de base. Nous nous devons de pousser plus loin nos investigations. Nous avons à faire cette chose ici d’une poussée en roche ! et cela : fissa ! via du verbe repoussé comme un métal, via du verbe de paroi de roche, à la mode des temps reculés (aurignaciens ou magdaléniens) comme pour de juste. Nouys devons cerner précisément un certain nombre de donnée, les poser sur roche (offrande à deéité) et nous échapper ensxemble (main dans la main) sans nous retourner de préférence. antre ? ontre ? outre ? être ? altre ? ancre ? Nous cherchons ! Nous sommes ici sur des questions de grande importance. Nous chgerchons avec beaucoup d’assidyuité, de sérieux et de conviction. nous nous disons que nous devons pousser = pousser loin mais comment ? les mots sont de la partie on voit ça. les mots (le VErbe) sont là (est là) qui pèse(ent). On dit que les mots sont des mots qui pèsent = plombent = porteznt = étais = cheville ouvrière = producteurs de choses de roche à la base et au sommet/.;. Nous cherchons la vérité de la lande dans la la,nde. nous voulons comprendre  ce qui est en roche, ce qui est pour nous qui sommes des intrus pour ainsi dire, qui allons en roche ar(més de nos verbe acidulés, ou de notre verbe dit «a cidulé». qui est l:à pour nous aborder, nous guider, nous acccueillir comme il se doit, et, qui ? qui fait ça ? qui est là pour ça ? Nous voyons devant nous comme une porte = échancrure de roche dans la roche = concavité ? Nous nous infiltrons en elle. nous entrons à pas comptés, marchant lentement, sans bruit, dans une direction voulue par la bande pariétale. Nous sommes deux (2). nous ne sommes pas de trop à deux (2). car à deux c’e’st mieux ! au moins à deux, etc. nous voulons toucgher ici au plus vif du verbe ! Nous voulons ici ensemble toucher le vif du pklus  vif du verbe déposé. noussommes  deux ici (roche) qui touchons au vif du ver-be nacré. Nous nous excusons ou presque de toucher. Nous nous excusons d’avoir touché mais il le fallait car nous sommes pris = prisonniers d’un état de fait qui nous voit grimper, léviter, charger, piquer roche et entrer cfomme par miracle. ,nous avons pour nous ce pic de v erbe acéré, nous nous en servons cfomme on peut le penser et entrons. Nous nous immisçons en roche = en ce sein des seins pariétal animalier tempporel de roche. nous devons toucher la roche. Nous nous devons de faire ainsi que nous soyons comme accolés à pareille roche des tourments liées à une vie humaine (contractée) à devoir endurer vaille que vaille. nous devons pousser la chose au plus loin possible , vers les embruns, vers le son sourdant de pareille anfractuosité. les mots sont de roche dure mais ils vont vers pareille entrée et savent «naviguer» dans un sein pareil aux donées de roche déployée. les mots naviguent, flottent, aident, tamponnent. Je vois ici la roche s’ouvrir et moi (nous) d’y entrer. d’entrer en (oche pour la vie ! d’entrer vif en elle et de vite chercher à m’y loger sans crainte, sans souci. Je me loge. je me love. je m’accoude. j’entre en roche comme en religion : ici lka parole est  verte. ici la roche est un antre? ici le verbe est une plante ou comment ? qui pousse en moi comme une branche. Mort de rage est là quui menace, saleté !  nous voulons compren dre. Nous devons compendre. nous voulons cerner ! Nous voulons ensemble cerner au mieux. nous voulons ensemble cerner ce qui est et ne plus recvuler. notre but est affiché depuis la nuit des temps pariétaux c’est dire ! notre but est notre ambition est notre projet est nottre trajet est deVerbe constitué etc. charges comprises. car la charge ici est massive soit considérable. on sait ça comme quoi le verbe est animalier qui cherche à se lover non dans le passeé mais dans le présent adoubé par l’avenir du dire déplissé comme une chemise (chandail ? jacquette ? chasuble ?). nous disons que noys voulons cerner au mieux les contours d’une sorte d’antre fzit de verbe animalier : cette chose-grotte est chose-sein. notre but est de nous afficher nous-mêmes sur roche, sur paroi comme aurochs des prés ou autres betes cavalières, chargeant, pouvant du moins charger que tru chargeras dans le tas. nous nous affichons en tant que nous serions bêtres nous-mêmes, et de même ordre divin = aurochs et autres betes à cornes et des prés. nous nous approchons de la bête monstre, elle eswt là devant nous qui cherche à nbous parler et à nous donner ce la de base (musical dès lors) qu’il nous sied (à nous) d’activer fissa par la bande : la la la ! nous chantons ce la de contrebande, ! nous sommes chanteurs d’une rage à être prisonnier dans un sas de roche tourmenté. Nous ne voulons pas trépasser, nbous voulons tenir  en roche le Temps le plus approprié à une vie longue. nous voulons aller fissa en roche , traverser la roche et nous retrouver au fond d’iccelle (croisée des chemins) à devoir toucher (touche que tu toucheras) la porte d’entrée à une autre cavité cachée ou celle-ci cachée qui serait pour nous l’entrée parfaite, l’idéale;. nous sommes (à deux) contre = accolés. Nous cherchons à passer la tête = à naittre à cette nouvelle vie qui semble pour nous se tracer devant nous. Nous sommes deux qui ici cherchons à) passer la tête soit à renaitte là, ici, roche, galère. nous voulons essayer de passer la tête c’’esst galère ! Comment faire pour passer la tête ? comment faire là ou ici pour passer la tete et le reste à travers la roche du temps ? soit : crever (percer) l’écran du temps ? comment on peut faire ? comment cette chose ici (la mort en roche) est-elle comme dépassable ou traversable ou perçable ? Nous nous immisçons enn roche et cherchons. nous sommes deux qui (ensembkle = main dans la main) cherchons à percer l’écran, la feuille, la fibre du temps. nous voulons percer cela qyyi devant nous déploie ses ailes de géant. l’animal ici devant est comme ailé on dirait. On dirait cela, comme quoi ici bas règne l’animal ! l’animal est roi, qui rèeg,ne sur terre paertout et même en  ous. nous voyons la chose, nous la comprenons : une bete en  nous est logée qui cherche à sortir son nez ou bec ou museau. nous sommes occupés ou avons en nous cette bete, par cette bete. nous sommes occupés par en nous cettye bête de la paroi dure. l’animal est en nous du verbe. la mort est greffée sur pareille chose déplacée. ou disons placée et où ça placée ? en nou--mêmes. Nous voulons comprendre tout  cela ici à la lumière de la vo... voix qui parle en  nous ? ou de quoi d’autre ? une voix en nous s’exprime, dit fissa ce qu’elle a à dire, ecxprime ses vues sur la roche, dame le pion à mort la grande bécasse, etc. voix de rage en nous, qui n’en demandions pas autant. Nous nous approchhons d’une bete de joie. la bete est devant nous, qui semble voir en nous la bete contenue en nous : de bête à bête. Nous sommes postés ici mêmev (roche) sur paroi = l’endroit des betes perlées. nous ne voulons pas mourir et voilà pourquoi nous sommes entrés en roche (la vie) par la bande (le langage inculqué ezn nous). nous sommes éduqués.nous oparlons l’idiome loco-régional que l’on nous a appris conséquemment, et cet idiome à présent est incrusté et ne sw’en laisse pas conter tu peux le croire.  nous sommes à devoir comp^ter les mots les uns les autres,; afin de comprendre ce qui est, cette chose en nous qui est du passé, qui est temps vécu = mort. nous l’offrons à qui de droit devant soi = postillons. nous ne voulons pas passer l’arme à gauche (point de ça simone !) : non ! Nous voulons creuser la roche et toucher la Chose devant soi qui est...  un animal on xsait cela ! l’antre de la bête  ou bien la bête elle-même ? ou bien les deux mon caporal ? nous cherchons à vif ! Nous devons ensemble nous positionner dans bien xdes domaines et toucher les choses pour de vrai de préférence. Nous voulons comprendre les données de base présidant la Chose, soit la Voix, ce qu’elle est pour nous qui nous enfonçons dans lke Verbe vif de rage incluse. NBous voulons cerner les données dx’une rage à être on le comprend. Nous sommes qui voulons cerner ensemvbvle et en avancer grandement sur ce chemin des connaiossances eswssezntielles = vives = premières. nous nous approchons de la bête et cgherchons à toucher sa pelisse. devant soi il y a la bête. une bête trône devant nous. nous sommes deux qui nous inclinons . une bete devant nous est là qui nous en impose par sonn poids, sa masse, son allant de rage, son pas lourd? voi;là ce qui est. nous sommes à ses pieds comme deux enfants des landes, pezrdus, perdus dans les prés, dans les prairies, dans les bois et sous-bois. nous voulons comprendre  ce que c’est que  c ette chose ici pour nous, d’une sorte de chant choral(?) qui vient hjusqu’à nous. nous voulons cernner des choses fines, vraies, avérées, qui puissent nous aider pertinemment et concrètement sur ce chemin (devant nous) des connnaissances définitives. pour cela : un mot d’ordre : fiissa ! pas d’autree moyen que la vitesse ! ce qui vien t de chic impose sa loi ! la chose est rugueuse mais a le mérite d’exister c’est déjà ça ! je vois cette cjose en moi qui a pour nom la mort. elle est toute entortillée au Verbe, et, de ce fait, semble se comp^laire à pareil embrouillamini. on dirzait que ça lui convient ! je vois lma roche dezvant moi= la bete = la gravure = du verbe = l’homme ancien ? je veux être cette bete que je porte en moi et ainsi déposer icelle vite fait sur ce seuil de basse-fosse, sur roche attitrée ? Je veux être vif = en vie  : à jamais on l’a dit . l’immortalité ! cfomment s’y coller ? comment comprendre ? commùent toucher latimbale ? comment faiore ainsi que des choses soient pour nous choses de rage à naitre, à être sur terre, à v enir?-? car voilà  ce que je vois devant moi : une sorte de paroi du monde»»»»», qui est (sezrait) la vie e lle-même avec ses soucis, ses coups durs ou autres coups du sort. nous voulons savoir ensemble (en même temps) ce qui est ici pour soi en attente.en attente d’une réponse : en attente d’une sorte de parade à la mort. La mort on le voit est entortillée au verbe de la vie interne à soi. on comprend que les choses ne vont pas de soi, que rien n,e découle de rien sans chose cachées.  On voit ce qui est qui nous regarde et nous de nous étonner permanemment si tant est, ou si chose se peut. nous voulons piger vif la vie, la mort aussi. but avoué est à moitié touché. Nous devons pisser (copie de rage) et filer doux à la dérobée, car nous sommes postés, nous nous so:mmes logés ou lovés dans la roche... à la place de l’animal, et ça l’animzal nj’aime pas, donc :  fuyons ! allons voir ailleurs si on y est, etc?. je suyis celui-là qui cherche à comprendre des données de base concernant cette chose devant soi d’un animal de poids. outrage ? nous nous sento,ns comme conditionné, enserrés, encerclés, c ompris ou comme comprimés. Nous vcoulons nous échapper (par la bande ?) de la cape d’une sorte de raison de base adjacente au dieu de la mort (entortillement ?). nous sommes à vouloir chercher ensemble des données de rage tantrique, etc. Fuyons la raison ! ou pas vraiment : fuyons l’analyse . ou comment ? Fuyons tout court, à bride abatuue, à toute blinde, dans le temps (soulignezr «dans le temps»-). je suis homme qui (ou femme) va vif devant lui (ou elle) : un chemin de croix pour une sorte de réserve à faire pour soi en matière de ... joie à être (à naitre, etc). Nous ne voulons pas pâsser àç trépzas. vifs voulons rester fissa. je rega rde devant moi, ce temps déplissé est du temps de rage. ,je suyis ceet homme cheveux courts, pas bronzé, menu (?) ou potelet qu’importe ! je vais dans kla roche. je m’avance en elle. je cherche à cvomprendre: à comprendre ici cette chose nommée sas.Je suis inséré en cette roche pariétale capitale =antre = outre = réduit = caverne = pièce = sas. nous voulons comprendre ce que est ce lieu d’un dezvant de soi offert. il sezmblerait que nbous ayons à cerner de près pareilles données concernant la mort. admettons un antre devant soi. de quoi est-il fait ? de magie ? de quoi donc ? nous devons à présent explorer les tenants et les aboutissants de la magie telle  qu’elle semble opérer en  nous, dans notre cavité perso (antre-outre de roche dure) . nous voulons comprendre ce qui est , et pour cela nous devons rester éveillés , ne pas glisser subrepticement, ne pas s’endormir sur ses l auriers et y aller ! tout de go ! vif fissa ! Ne pas trébucher ! tenir bon la travée (sa travée) et ne pas en démordre ou s’en éloigner car là (travée) est la vérité on le voit. on doit faire cettye chose ensemble, qui est de comp^rendre au mieux les données les plus fines et perceptibles possib le. Nous cdevons touchger à pareille roche et ne pas sommbrer soit chuter de tout son long par tezrre (en arrière par terre, ou en avant peu importe : ne pas sombrer coute que coute, et akller fissa en roche debout, droit posté, etc). Nous devons toucher la roche pour nous. Nous nous devons, pour nous, de toucher la roche. nous devons veiller à ne jamais sombrer mais à toujours tenir bien droit, ou à nous tenir droit face à l’animal consacré. La bete dezvant soi est une bêzte-monstre, éminaemment forte, qui connait beaucoup de choses qu’elle serait susceptible de nous divulguer le cas échéant. une bete(devant soi, est une bete à chochoter si possible, ou disons à ne pàas effrayer, à toujours veiller à la tenir comme rassurée face à nous qui nous a pprochons d’elle à pas menus. nous sommesq deux êtres (ensemble) qui cherchons  vaille que vaille des donhées de profondeur concernant ce que c’est que la mort, la vie, le  verbe, les embruns, lm’au-delà etc. on sait que l’au-delà (déjà) est une gageure. On sait très bien cette chose, comme quoi l’au-delà est une sorte de prairie bien verte et lumineuse. on voit y brouter ou y paitre moultes bhetes herbivores. kle cheval en (très) bonne place (la première) . et l’aurochs alors ? bon dernier, qui traine sa misère ? qui fait long, fastidueux, qui traine que tu trainezras sans cesse ? Nous pensons aux betes. nous voyons ce s betes devant nous recelant le temps cd’une vie à vivre, et la mort comme enchevétrée à notre» tige».  a pareille tige pariéta le, etc. Nous njous enfonçons dans la roche. je regarde un peu autour de moi et que vois-je ? eh bien je vois que des choses sont en train de se tramer que je n’attendais pas forcément. une Voix parmi d’autres s’élève, quiiu dit ce qu’elle a à dire. et qu’a-t-elle à dire ? elle est Voix de Rage au singulier(rage) et voix de rages (au pluriel). car la rage a fait des petits qsui brooutzent (tous) sur pareille prairie-aux-embruns de l’au-delà à une vie terrestre lambda. nous cherchons ensembvle à comprendxre ces données de rage(s) déployées, données d’une rage à être nanti de ce bec de perce-paroi. et auussi d’une rage à naittre dans un sein des seins clôturé comme une prairie. je trace des traits à même la roche. j’essaie cde co:mpre ndre ces traits (venus à moi) ce qu’ils représentent, ce à quoi ils se rapportent. Je cherche à trouver des choses de poids à même la roche. Comment  faire ? Je voudrais connaitre un  certain nombres de clés susceptibles d’ouvrir x et x portes de destinée. comment trouver ? nous cherchons ensemble les clés un peu partout à la surface de la terre. Nous cherchons depuis des lustresc ensemble, partout, dans tous les coins et recoins du monde. ou sont passé les clés qui ouvraieznt des portes ? ou sont donc passées ces clés de base, clés de choc avec paroi de roche, où ? nous sommes deux, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons toucher la roche et la pêrcer ensemble : verbatim au plus haut des cieux ! Nous cherchons à léviter ! grimpons ! cherchons la lévitation ! cherchons ensemble icelle ! Ne nous laissons pas démonter mais allons profond, creusons, faisons obédience (etc) à meme la paroi du monde. nous ne sommes pas de trop de deux pour creuser la roche et trouver qui des choses graves, qui des choses moins graves, etc, mais ensemble creusons pour la bonne cause qui est de nous voir enfin comme récompensés de tout ce travail par nous effectué à même la terre, terre-mère, soit sur roche = gravure au stylet, dessins animés etc. Homme des cavernes. je suis homme des cavernes. je chante à tuee-tête comme l’homme des cavernes. je chante que tu chanteras ainsi, je file, je chante en filant à même la paroi de roche, soit en m’’immisçant en elle, tete première comme un nouveau-né sortant du ventre de sa mère. je ne suis capitaine de rien (pas militaire). je cherche une voie d’abord pour pouvoir perfuser la roche de mon sang chargé de betes de roche. Je cherche. Je veux percer. Je veux passer l’épreuve du sang donné par la bande et ensuite me ficher ou voir à me ficher plus loin en cette roche dure (une vie de base). je veux etre pris en elle = choyé. mon sang donné je  veux pouvoir aller à me porter plus loin, dans le sas des sas, en ce lieu des vérités indéfinissables ou incommensuralbles ou bien imprévues. car la vie de roche contient l’imprévu des temps à vivre dans le temps. Je cherche à comprendre ce qui est en ce verbe ce choix. qu’est-il pour nous ? tampon ? molleton ? condition sine qua non à un passage dans l’au-delà de la paroi du monde ? Je cherche avec entrain et conviction. je fouille dans tous les coins. je ne suis pas en reste de fouiller que tu fouilleras comme un forcené qui ne s’arrete ou ne s’arreterait jamais tou du long mais continuerait permùanemment son vibrant travail de sape, son chemin de ronde, son entrée dans la matière des données de base (rupestres). Je cherche = jke chante, car le chant induit fortement les recherches, qui incline, incurve, déplace, etc le Verbe dressé. je cherche une excpression à du mystère?. ce qui est ici se loge à vif en cette plaie d’une hjoue blzessée transpercée pour servir (incidemment) de bouche. je veux être ainsi adoubé par cette autre bouche de la mort d’un devant de soi déployé. Je file Phil ! Je fonce Alphonse ! Je regarde Rémi Garde etc ! Je suis l’homme des parois de rage, calfeutré dans son antre, cherchant sxa chaine, tramant ses dires à même sa paroi de charme, etc. Qui veut aider ici pour y voir plus clair sans trébucher ? qui donne ? qui veut faire un geste pour cette recherche à mener ? qui va là sur rail s ? Je regarde, je vois devant moi la roche, je suis proche de la roche, j’apose mes mains sur pareille roche froide. je suis là pour ça. je veux savoir les choses ce qu’elles sont et ne sont pas. je veux être cela que nous voyons devant,, qui est animal, qui est bison, qui est buffle, qui est aurochs, quyi est antilope, bouquetin, lion, ou ours des cavernes. je m’appelle ainsi que l’on dit à voix hjaute en classe, par mon nom. Je tombe ! aie je tombe ! aie aie je tombe ! mille dieux de rage assoupis (les diieux sont assoupis et la rage aussi !). qui parle en mon nom ? qui cherche pour moi à même la pierre une entrée de pa roi ? qui veut m’aider ? qui comprend ce qui est devant ? qsui voit le sas ? l’antre  ? l’outre ? la cavité ? Je m’avance et comp^rend des choses. un jour prochain j’en saurai davantage. il y a loin de moi à cette chose, qyui le sait, mais je suis prêt à braver la roche, m’immiscer fissa, et tomber  nez à nnez si tant est avec une quelqconque (?) déité dite « de la roche et des touyrments», quyi sait ? Je suis l’homme au sang qui bout en ses veines. je m’appellme ainsi que je m’appelle, soit du nom porté. je suis ombre = homme (as)--tu pigé ici l’allusion de masse ?). j’opte pour une voie neuve en cette roche dure, j’opte ainsi (pour moi)- pour nouvelle entrée de base = les données données = la paroi percée = le sang donné. je donne :mon sang à la paroi du monde. c’est ainsi qu’ici je suis, à vouloir donner que tu donneras mon sang à la volée , comme une balle à attrapper ? comme balle jetée ? comme base vive déployée ? comme quoi ? flux sanguin qui est donné à travers la fente rocheuse; invcursion plénière. sang de base consacré. règles. temporalités lunaires; Handicap. obtention d’une prime à l’embauche. collagène. attitude de paroi des monstres? confort manquant, souplesse défaillante, âge gagnant. je tombe ! je suis tombé en arrière et me suis esquinté les omoplates.  je sombre. je suis ombre . je veux être ainsi touché comme par la grâce d’un qui sezrait présent à mes cvôtés pour 1 me soulager , 2 m’aider, 3 me donner du lest, 4, m’octroyer quelques données à me mettre sous la dent en termes de nutrimùents. je veux être pris en considération ,  par la bande, or ce n’est pas simple, il ,ne suffit pas «d’en être» = de la confrérie, encore faut il savoir «naviguer», «nager», «flotter», «en avancer fissa’» dans les eaux du temps. BNous voulons comprendre à fond, et pour comprendre à fond nous devons percer la chose jusqu’au fond = à la garde. nous devons aller en roche à la recherche d’une vérité concernant la mort, c e qu’elle est et le pourquyoi elle est au lieu de ne pas être. car les choses ont l’air (toujours, mince !!!!!) d’aller de soi or pas ! que non ! on peut pas le dire, et cependant... Les mots influent gravement, qui sont formés sur tramed’autorité. les mots ont ce semblant de base, autoritaire, qui forme les choses dans un sens de persuasion, de certitude. nous disons que le langage parlé, les mots de rage, le parler des mots inculqués, est basé sur une trame dite «d»’autorité» qui en impose et font penser à tout bout de champ que les choses (toutes ou presques) vont de soi, sont vraies, ne souffrent aucune voix contraire. or c’est faux ! les mots tremblent sur leur siège ! ils sont menacés. les mots tremblent fortement qui sont infoutus de teniçr parole longtemps, et ont vite fait de tomber à l’eau, de dater, etc. Nous voulons comprendre les données vives liéesz à la mort. nous voulons cerner au mieux ce ghenre de données primaires ou premières à même la terre. car les mots sortentb (sourdent) de terre c’’szt un fait. la terre recèle les mots. La terre est l’antre des mots . la terre est le cercueil des mots et le berceau. ou 1 le berceau, 2 le cercueil, etc. je parle tout bas car je sais que je suis pisté. je connais (de loin ?) l’olibrius, il s’agit d’un Roi. oui, Méga°_roi de la Roche du Temps, du chateau. je cherche à comprendre ce tout mais comment car avec quelq mots ? Je suis sur roche un homme perdu. je suis homme perdu sur toche des temps et je vais et  viens incidemment à la recherche d’une déité perlière (perlée ?) qui puisse m’aider dans mes recherches (souterraines ? aériennes ? à ciel levé ?). Je chezrche que tu chercheras en vibrant. Je suis un homme des guerres aux tourments mais comment veuxtu faire la guerre aux tourments ? Je tâche d’y voir clair au plus, et pour cela je me rapproche de la paroi meuble, je m’approche d’elle au plus possible que je peux. jhe vais ainsi. hje touche. c’est touché. je sens en moi la force gagner qui veut me donner le peps nécessaire à un jet brusque de mon moi tracé à la ronde : pif ! adoubé = inséré ! Je suis entré et je m’assied un temps en roche. dur de ne pas souffler ! Je creuse ! Je veux être là cet homme sans voix qui va de l’avant et s’enfonce ici (roche) da,ns les sphères d’une sorte d’au-delà à une autre roche ceklle -là, à savoir roche des embruns de bord de mer. Je veux être reconnu comme homme des prés chargé de victuaillesz à devoir donner oà une déité de passage. qui est-elle ? je veux toucher roche-verbe. je veux cerner verbe-roche. qui est qui ? la mort est elle salutaire ? La mort a t elle pour elle de quoi se vanter ? est elle maitressse ? que dit elle ? ou est elle logée ? en mon sein de base ? verbe-cancrelat ? chanoine en moi ? je veux etre ici compris pour celui ou pris comme celui ou pour celui, enfin pris-compris pour celui-là que, en vrai, je suis, or qui suis-je ? Je cgherche à comp^rendre x données de base royale, ce que sont icelles sur un pré, dans un champ etc, pour moi qui veut vaille que vaille m’approcher d’elles pour les soupeser, les jauger, les prendre en main pour m’en faire une idée et les nommer (renommer ?) le cas échéant. je suis homme des tourments qui cherche ici et là sa gouverne, son chef en son propre sein de base. je cherche à même la roche gravée, soit ainsi plaqué contre icelle, mis à pklat sur elle = appuyé etc. je suis homme qui (dans son sein) contient du verbe, et ce verbe est natif, et nominatif. je cxherche à comp^rendre un certzain nombre de données qui pourraient éventuellement faire l’affaire et me donner les ailes nécessaires à un envol dans lkes règles. Je veux être ainsi soulevé et je l’annonce en pâreille roche ou en ce sas de roche, c’està xdire que j’annonce la couleur de cette chose que je souhaite instamment pouvoir développer incidemment. je m’appelle ainsi que l’on me nomme et ainsi nommé j’avance d’un trait, d’une foulé et m’incruste vif (le passzé donné) sur roche des bois et des forêts dites «domaniales» il se pourrait. je vais en roche nommé. je suis nommé. je suis homme nommé. je suis bêtye nommé.  je suis bête de paroi nommé. je suis homme-femme xdes parois nommé. Je veux l’etre et le rester. je ne souhaite pas perdre le nord, je souhaite le conszerver et savoir me repérer en toutes contrés (boussole du Verbe enchâssé en ma gouverne) . je tremble quelquefois devant l’adversité mais pas cette fois on le voit : je me risque à nommer la mort ! Je pzarle d’elle à des temps conjugués et ne m’en laisse pas conter pour rien , ou sinon pour rien pour me faire blouser par icelle. car la mort est un chenapan de sa rage. la mort est toujours là (présente) pour vous blouser, pour vous attrapper. La présence au monde de la mort ne fait pas xde doute, car on la sait logée dans un antre qui est un ventre qui est un sein contenant des bêtres. et si ces betes contenaient la mort ? l’abritaient ? nous ne savons pas mais nous chercghons coûte que coûte et sans rechign er. on se doute ici que le mot induit la chose recherchée ou plutot : le tempo, induit fortement le déroulé de ce qui se dit en termes de recherche à mener, à conduire. la dite «musique» ici fortement indyuit qui conduit le dire et le canalise à son gré. Or voilà ce que je vois ici : je vois une mort, la mort, aller et venir en moi. le passé de moi empiète sur une paroi de temps qui est la paroi du temps présent. le temps est don à dé»ité, mais quel don !Le temps est déposé au pied de la roche du monde = sur la terre ferme = le plancher des vaches laitières. je suis à la recherche d’une voie d’abord afin de perfuser le temps de mon propre sang. je cherche à perfuser la roche de mon propre sang ou avec icelui en premier de préférence. Je cherche ici à donner mon sang à l’intérieur du temps = règles ? Je suis homme au sang chaud bouylla nt cherchant chose = don. Je suis homme des parois du monde, je suis ombre et homme = hombre = animal = animaux car je suiis double ou en moi doublement habité par deux tetes chercheuses qui cgherchent (les deux) à donner du sang par la bande. je veux être a insi considérés comme icelui donnant du sang de lui à déité nacrée, à ce dieu des parois mobiles. je m’applique. hje tente une approche presqaue rebelle. jhe veux être un homme déployé et pour ce faire jentre dans le temps d’un déroulé quasi monacal. disons pariétal et ça fera l’affaire on voit. on voit ces betes de choiçx (bouquetins ? buffles ? bisons ? ) aller et venir sur roche comme da ns le temps. ce sont de bien belles betes au demeurant, on voit ça. on dit qu’il s’agit du temps ainsi déposé mais du temps passé qui donc ne jouit plus du même «train de vie» que la vraie vie encore tremblante. La vie vive est chose rude mais tenace. Je cherche une voie, une voie d’abord pour une perfusion voire une transfusion. qui voudra donner le sang de son passé passé ? qui perle ? ou qui parle à travezrs le sang ? qui veut y toucher (à la roche) sans se brûlerr ? qui a mis ses mains devant et tracé la Chjose du temps saccadé? Je vois devant moi une chose rude, cette chose est une chose dure, il s’agit d’un être de paroi. Chargement. qui va là sur roche ? qui me veut ? qui voudrzait incidemment de moi ? qui pour me comprendre ici ? qui me co:mprendra et m’écouteera d’abord et me donnera des garanties concernant la mort ? c’est à dire : qui pour moi me secondera, ou m’accompagnera dans ce saut de rage , dans un saut de rage, de là à là: qui ? Je suis homme des parois de roche dure, je m’enfonce en elle, je cherche mon nom : quel est-il ? doit il se terminer fiszaa ou doit il continuer le temps d’une vie allouée ? je ne cherche pas la Chose pour la Chose, mais pour me sauver ou quoi ? comp^rendre ? qsue comprendre ? me tenir coi ? je cherche faille pour me protéger, éviter les coups du sort et les coups de bâton. je vais en cette roche innoccement quadsiment (?) à la poursuyite d’une sorte de donnée royale, princière, vive comme l’or. cetye donnée porte un  nom et ce nom je vais à mon tour vous le donner si tant est. le nom ici est.... Chose = bidule ou machin «de la roche des apprêts» . retenez son nom, soit la fin. car la roche des apprêts» n’sst pas rien. il s’agit ici d’une sorte de denrée, de chose à manger , à ingurgiter. la mort a toujours fzaim et jamais n’est rassassiée hélas. la mort mange = gagne du terrain à mesure que nous a vançons en âge. la mort est Chose rugueuse, qui file vif ici (roche) sa pelote à faire des chjoses et d’autres à qui mieux mieux afin de vous comme pousser à la faute et vous faire tomber illico presto sur roche. nom de nom ! mzais qu’est-ce que c’est que ce travail de saligaud ! car la mort est à injurier ! toujours ! volontiers ! permanemment ! car elle le mérite : elle mérite les mots de forçage, l’incandescence, les feux de l’enfer des mots déployés. je regarde loin et quoi vois-je ? eh bien ces apprêts = cette chosedéposée= cette chose comme crémeuse, huile de bain ? huile tout court ? huile à masser ? huile d’enduit ? huile alimentaire . huile des tourments de rage et autres faits divers? Je cherche dans la profondeur d’un sein qui est ce sein qyui est le mien. oh voilà la chose rugueuse enfin décrite sur rochje : il était plus que temps. c’est fait et on s’en réhjouit ensemble. je tombe sur le cul et me ramasse. je suis ou serzais cet homme dees temps déployés ou déroulés comme ruban flottant dans le vent. il s&’agit(peut-être) d’une... gamète ? oh peut-être ici cette chose en don dé»posé dans le temps lunaire d’une déité est clle-ci que nous pouvons toucher incidemment par la bande ? qui le sait ? nous passons et pensons , et pensant et passant nous abordons les questions cruciales = celles qui importent au plus haut point et nécessitent réflexion profonde, échanges nombreux, confrontations vertigineuses, mises à plat sur un devant à soi du genre table ou tablée. je vois cela sous l’oeil (en moi ?) de la bête de rage, cettye bête multi-^séculaire, apparté. je cherche à la cerner du mieux possible : est-elle en moi ? est elle si vieille ? est elle une aide ou au contrzaire un handicap ? surcoût ? surpoids ? Surcouf ? je cherche à cerner le plus possible les contours de cette bp^te-mot en moi = ce mot de la mort ! ah voilà ! le voilà qui pointe son museau ! le mot si costaud, ce mot si prégnant, ce mot-massue si vif et vigoureux = ou égalerait ce «beau» (?) mot de «mort», ou ces mots accolés de «mort à l’oeuvre», etc. est-ce cela ? est)--on sûr s de cette chose ? peut-on dire ainsi sans cse tromper ? est on sûr que le mot-$bête par excellen,ce est  c e nom ou mot de «mort» ? on ne sait pas. on cherche dans les profondeurs. on ne veut pas passer à côté d’un xsavoir immense mais plutôt comprendre, fouiller, nous jeter à corps perdu dans la recherche des raisons initiatrices et des mots de la base de l’être. nouys disons cette chose enswemble (ou nousd disons) comme quoi merdum ! va la mort te faire foutre ! va dégage! va nu pieds de merde va loin et ne reviens pas», etc. Nous insultons. nous injurions. nous traitons la mort comme une merde, et plus que ça, comme moins que ça. NOus traitons la mort de «petite merde «. De «petite à moyenne merde»,; ou de moyenne à grosse merd» etc. Nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère. «saleté, dégage de là», etc. nous avons compris cette chose comme quoi la mort-déité a à être insultée pour être «chargée». nous voulons cela, charger, charger la mort, et pour cela une seule chose à faire instamment, et c’est chose = in jurier fissa, la traiter de tous les noms, la foutre minable, comme à l’ensevelir de termes notables. nous pensons que c ette chose est rude à faire c’est un fait, mais nécessaire à la gouverne, à bonne gouverne pour nous, à bonne gouverne pour elle (nutriment de chargement) mais aussi pour nous qui, ainsi faisant, pouvons un temps nous mettrre à l’abri de ses dents à elle (mangetou). Je cherche à comprendre au mieux les données rudes, celles qui sont dures à devoir déposer, comme les insultes, les gros mots, les injures et autres blasphèmes éducateurs. car ici nous avons affaire à une bouche-monstre. Elle est grande comme la mort, ou oui : la mort ici a grande bouche d’engloutissement notable. je cherche des mots d’une rage à mettre sur roche, mots d’argot ? mots de merde . mots cvomment ? nous nous sommes approcjjés de la porte du temps et nous avons passé la tête un court instant pour y mieux distinguer d’éventuelles formes à l’i,nté»rieur d’elle. et qu’avons-nous vu de si précieux ? un homme ? un homme nu ? un homme nu touchzant la bête ? une bête ? une bête aà ses c^otés ? wquii est-on ici qui parlons  de cette chose ? qui pârle ici même à prôpos des temps d’allouage ? nous voulons comprendre ensembvle ce qui est qui ici semble se tramer. une porte (?) ouverte. un passage de grotte disons. excavation ? anfractuosité ? damnation ? nous entrons. nous sommes en un sas de roche de choix (toujours) qui nous avançons et chgerchons à être. nous cherchons des données de base royale. notre but ici est de donner des nutrimentsd de choix à une bouche ouverte ou à la bouche ouverte d’un être glouton plus que de coutume. nous voulons percer l(hymen de la roche dure des temps octroyés à une (un ?) vie (vit ?) de parole. Homme court, as)-tu vu la roche trembler ? homme aztèque, es tu de la roche comme une déité nacrée ? homme tampon, saignes tu ? homme hybride, as tu de la peine ? sais tu naviguer ? j’entre en roche nu. je  v eux entrer en roche nu. homme je suis qui en roche veut ou voudrait ou voudra entrer nu. pas plus. Pas davantage. rien de plus que cette cxhose d’une nudité à jama is? soyons chiche ici de dires alloués et donnons du dire à foison : pleurons ! Car ici dire = (oui ?) pleurer sa rage d’être un enfant égaré dans un sas de roche dure. nous voulons comprendre au plus, et pour comprendre au plus nous devons pleurer !ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ici ! car oui ici c’est ! c’sst ici oui que c’est, et quoi c’est ? c’est la vérité ! la vérité des vérrités (V majuscule) passe, passera, passe toujours, par du verbe dru = qui pleure sa rage enfantine (nacrée) dans le sang donné. j’opte pour le sang. je chevaucxhe le temps. je rentre dedans. j’entre en roche = je m’infiltre = je me glisse = fuselage = gaine vive au sein de l’être. j’opte ainsi pour du sang touché comme effluves, embruns et autres brumes de passage. je suis hjomme-embruns à mon tour car je passe ! je passe dans le vent. jentre. j’essaie d’entrer mais le vent me refoule, me repousse , m’empêche de progresser, me flanque la trouille qui me crie dessus vcomme un forcené. vent fol des parois de roche. je suis sourd (devenu ?) à ses appels de rage déplacés. je veux y aller de mon propre chef pour comprendre (viser) et en revenir instamment sans y passer complètement, mais cela, tu parles, la mort n’en veut pas qui me refoule en veux tu en voilà comme (à son tour ?) une merde ! un qui ne compte pas ! un qui ne fait pas le compte ou n’entre pas dans le décompte ou ne fait pas partie du nombre. est-ce cela ? je voulais entrer et voir (com^prendre , jeter un oeil) mais non ! pas d’oeil ici à jeter qui se voit refloulé, écarté , eloigné du globe et tenant à peine ainsi : par un nerf atttenant au cervelet. fichtre ! quel vent ! il s’agit du vent de la mort ! le vent furieux tenace, qui nous pousse vif, ou qui vif sait nous repousser colmme de rien, comme un fétu de paille, une herbe dans le vent, un rien pariétal : aurochs ? hum ! l(aurochs campe sur ses positions et ... resiste à mort ! c’est à dire à la mort (il faut). l’aurochs ou le bison, le buffle ou le méga)-chevreuil, le troupeau de buffle, les chevaux, les antilopes et les rhinocéros, tout cela fait bloc et tient bon face aux courant venteux provenant d’icelle échancrure de roche de la mort à l’oeuvre buffant de tout son saoul sa gageure, son embonpoint, sa mainmise, son train, sa rage perlée ou perlière, son aimant, son sel, sa vie , sa chance, son paradis.

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7/03/2022

Notre but est de comprendre dans les profondeurs le plus que nous pouvons concernant icelle paroi et icelui «devant» qui nous regarde. Pour ce faire nous nous blotissons l’un l’auttre, nous tentons de faire coprps le plus possible, soit 1 corps, 1 corps regroupant nos deux corps ainsi soudés par du Verbe. Nous cherchons ensemble à nous projeter en cette roche des données de base. Nous sommes deux pour un. Nous cherchons à comprendre dans la profondeur d’une joie ainsi présentée. Nous nous avançons ensemble soit soudés soit unis soit pris comme on dira de deux morceaux de bois collés que la colle a pris, qu’ils sont ainsi unis par la colle ici d’un effet de rage?.; nous nous blotissons et en avançons sur ce chemin d’une roche dure, sur pareil chemin de rage, sur une voie ou route de passage, etc. car pour nous la vie devant soi» ets celle ci que nous voyons comme une masse déposée au pied d’une divinité, un présent d’offrande, du temps pour les rêves, une voie de rage, un essai de oublement des choses du monde. Nous nous avançons unis et nous regardons ce qui advient, et qu’advient-il ? Nous voulons aller ensemble au plus profond de pareille paroi. notre envie est de comprendrec dans la profondeur de la paroi ce qui donc se passe, ce qui est et ce qui ainsi nous regarde. Nous cherchons à nouys blottir en elle, à creuser profond jusqu’à toucher le Verbe si tant est. czar le verbe est ici logé qui nous regarde. il a fort à faire : il se doit de nous suivre à la trace et ainsi fait  de nous espionner ou sinon de nous suivrre sans arret, nous mater de base, etc, de façon à ne jamais , pour ainsi dire, avec nous, perdre le contact. nous devons comprendre ensemble ce qui est ici de cette chose qui va, en suite royale, pour nous espionner de visu. Il s’agit de quoi ? il s’agit du Verbe. car le verbe est là qui nous regarde de là-bas soit de là soit d’ici soit de tout près = cet endroit de base, ce lieu des dépôts d’offrande, ce seuil. or quel est)il ? qyuoi donc est ce seuil ici présent ? verbe incarné ? chaleur de type rut ? amitié de rage ? ombre ? NOus voulons comprendre ensemble ces données qui s’offrent à nous et pour cela nous avons décidé en amont de nous loger en cette roche (dure) des tourments, en veuxx tu en voilà, collé serré, en elle comme deux oiseaux ou oiselets ou oisillons qui se pelotonnent pour braver les choses de la vie. nous devons ensemble cerner là une vérité de base qui nous tend les bras, et cette vérité est celle-ci que nous devons comprendre ensemble par la base, par le pied pour ainsi dire, chose à vite cerner par la base ensemble et vas-y à y comprendre davantage sans cela ! Car la vie naissante ici est vie de rage. un poids lourd. un beau poids qui pèse son pesant de rage !! nouxs voulons comprendre ensemble cette chose d’une Voix qui parle haut, nous dit de nbous tenir prêt à tout moment, ne nous l^zache pas «la grappe», nous sermonne un peu aux entournures, nous parle d’une voix qui va de son allant nacré, de son timbbre lourd. nous devons comprendre ensemble un certain nombre de données liés à des vérités qui sont vérités de bon aloi, qui sont vérités de première instance, chant d’azur, honte bue. Nous nous faufilons à travers la paroi et hurlons notre rage à être ainsi tenu par (en nous ?) cette voix de rage introdyite, ce chant fzaux, cette sorte d’incartade, etc. il s’agit pour nous de nous délivrer de ce mal de rage à être un animal en soi contenu. Nous ne voulons pas décéder et cela étant dit nous nous introduyisons ensemnble au coeur du temple, en ce coeur des coeurs, au fin fond. nous tenons à ne pas lâcher notre mission, nous tenons à poursuivre ensembvle sur notre lancée et à ne pas lâcher pareille mission qui nous voit aller dans la roche du temps à la recherche de la vérité des véérités. notre encvie est délimitée. elle appartient à un corpus. elle est introdyuite, elle est achevée et acheminée. Nous disons que nous voulons comprendre ensemble cette Vérité de rage déposée ou comme déposée sur le seuil d’une sorte d’Entrée en matière. notre vie est dépandante d’icelle = cette Cjose devant soi, ce bouledogue ou sinon cette bête-monstre, chenapan des loges, homme-bete ou bete-homme des apprêts. Nous nous voyons ainsi comme perdus, ou comment sinon ? détachés ? décollés de pareille roche ? et à nous de nouds y replonger par lma bande = par le temps ? nous voulons entrer en  cette roche de paroi dure, entrer en elle et mieux cerner dès lors les tenants et les aboutissants de  cette voie d’abord, de ce chemin sa,nglant, de pâreille issue devant soi qui semble vouloir nous ouvrir ses bras comme un ami ou une ami (e) chr(esrs. nous Voulons entrer en cette Chose devant soi, qui est de ml’ordre des choses données, qui est outil , siège, pa role, contact, etc, pour nous. Il s’agit ici de toucher la parole de front. il s’agit ici pour nous de toucher icelle de front et de lui bparler. s’agit-il pour nous de toucgher icelle (pa role de front) et de lui parler ? Il semblerait que oui ! Il nous swemble ici que nous devons aller au fond d’une sorte de paroi des profondeurs verbalkes, nous devons cerner ici les fonds de la roche afin de mieux comprendre les données de base présidant la vie de ta race ! Nous voulons aoinsi ensemble toucher le fond. Nous devons ensemble (toi et moi en nous) toucher le fond d’une sorte de langage abrupt, sorte d’incartade ici tenue, qui est écart, qui est encart. Nous voulons toucher le fond d’une sorte de roche du temps. pour cela nou!s nouys blotissons l’un l’autre, l’un dans l’autre, nous faoisons corps. La chose estcruciale. Il faut voir cela comùme quoi pareil effort ici = une volonté = un désir = cette envie en nous de traverser la roche (le temps) et de nous loger à la droite d’une déité qui serait celle-là même que nous espérions rencontrer depuis longtemps. Nous disons cette chose , là, comme quyoi icelle déité de roche = une sorte de divinité des choses du monde = un voeu, une sorte de V, etc,, qui est ce V moultes fois rencontrées depuis notree naissance = vbVérité de bon aloi = Vérité des Véreités = vanu pieds. Nous disonsq ici que nous devons toucher ce va nu pied venant vers nous, le toucher du bout des doigts, le toucher à même la roche des temps (du Temps). Nous voulons toucher cette ombre, cet homme, cette Chgose, ce Vent, ce va-nu pied tel qu’il nous apparait. Nous voulons toucher cet homme devant nous qui nous regarde et semble vouloir nou!s parler. Nous voulons aller vers lui, nous voulons le toucher au vif. Nous ne voulons pas le laisser de côté et le snober mais tout au contraire le toucher de nos dix doigts, le touchger en vrai, concrètement, pleinement et amicalement. il sw’agit pour nous de comprendre ici la raison qyui nous pousse de conncert à vouloir aller profond dans pareille loge ou roche de contenance. nous sommes ainsi ensemble mis ou soudés pour un faire qyui concerne la Vérité des Vérités, ce quartier, cette loge, ce sein, cet endroit des données profondes ou aux données profondes, ce drôle d’endroit», etc. Nous  voulons ensemble toucher cette chose devant noys qui nous regarde, il s’agit peut-être ici d’une sorte d’entit-é de base, formée ou dessinée par un homme des cavernes : un aurochs ? nous voulons essayer ensemblke de nous approcher d’icelui aurochs. Notre envie est de nous approcher à pas doux de pareille bête de poids conséquent. nous voyons la bête devant nous , eelle est drôlement osseuse et massive et forte-folle, etc, elle pèse son pesant de rage c’est un fait. Nous voulons ensemble nous en approcher via l’emploi de verbe de poids tout autant = feu contre un feu ou comment ? nous faisons le pendant ! Nous tentons ici de faire ainsi que la chose soit, que pareille chose ici d’une sorte de contre-poids, ou bien de contre-chant, ou de contre-balancement puissent nous donner de quoi rétorquer et peser en face, peser à notre tour face à la bete devant nous dressée qui nous regarde méchamment et semble vouloir attenter à notre vie de rage à nous. Nous cherchons à comprendre ensemble x et x données qui nous apprendraioent les rudiments d’une façon d’agir en face» pareille bete. Nous voulons apprendre à comment nous en sortir, à comment contourner, à comment toucher sans se brûler les ailes, etc?. Nous sommes deux. Nous sommes soudés. Nous sommes unis pour la vie en un sein de première instance. Qui vient à nous qui nous regarde ? eh bien peut-être est-ce un aurochs ? ou bien qui d’autre ? qui veut nous voir et nous parler ? qyui veut nous toucher à son tour ? qui est là pour nous, qui veut nous toucher et nous adresser mla parole ? une sorte de bête de rage enfin dressée ? une sorte de bete des parois ? animal domestiqué par lm’homme des cavernes ? animal des parois mobiles ? animal mobile des parois d’une sorte de rage à être ? qui veut savoir ? qui dit que cela est ? qui en  nous parle un langage des entrées en roche ? qui veut nous toucher à même notre peau d’enfant naissant ? qui veut nous toucher déjà tout enfant ? qiu a compris ceztte chose ici d’une sorte de parole incarnée, devant soi (le passé déposé) qui nous regarde fixement comme un dératé ou désaxé ou comme le fol de sa rage à être devant nous l’homme-ombre des parois du monde : qui ? car la vie est vie de rage, elle se déploie dans le temps comme un ruban. Nous ne sommes pas trop ainsi de deux pour aller en cette roche dure d’un verbe incarné = une mesure, un poids, une sorte de poids de rage, drôle de mesure etc. nous cgherchons. Notre but est là quyi est noté en toutes lettrees sur la roche et ne souffre d’aucune sorte de , comment dire ? déclinaison ? non ! comment alors ? nous cherchons ! nous sommes sur un chemin : est-il le bon ? devons-nous poursuivre l’aventure ? devons^-nous creuser plus avant la roche et tenter de lever des «lièvres» pour ainsi dire = des données = des savoirs = des données de base = des savoirs de roche, etc : devons nous creuser ensemble ? devons- nous creuser le Temps du dire assoupi ? devons-nous creuser assoupis le temps du dire ? quelle est donc la vérité à mettree en branle ensembkle ? qui connait le chant de la roche ? qui a cerné ou bien comp^ris icelle chanson des grandes largeurs ? Nous ne voulons pas cessezr de gagner du terrain à petits pas comme nous faisons. nous savons que nous sommes deux à chezrcher ensemble le chemùin menant à la paroi des  vérités de poids. Le poids ici importe, qui parle fort, quyi vitupère, gronde, pèse lourd son poids autoritaire, son poids de paroles fortes, de paroles rudes. Nous sommes sous le choc ici d’une sorte d’image , ou d’une imagerie votive conséquaente : quelle est)-elle ? patriarche ? homme fort de sa force brute ? colère idoine ? Qui s’avance .? qui est là qyui nous regarde avec nos propres yeux pour ainsi dire (= ici ! en-soi des pârois ! charge première ! naissance assistée !). Nous voulons aller en roche à la renconttre de l’aurochs des p^rés ou de quelle autre bête ici même sinon ? bicxhe des bois jolis ? chevreuil au débotté ? cerf des paroles avouées ? Je suis l’homme-femme assoupi parlant sa lmangue vive (de la vie) à même le temps déployé comme un tapis. je regarde devant moi et vois la CHose qui se dandine, qui jhoue de son popotin, qui m’attire à elle,  semble chercher ici à me faire aller quelque part que je ne connais pas encore. où ça  ? ici même ? seuil de base, corps de ferme, danse natale, colère du vin, chaleur des parois étanches, contrechant pour le coup votif, dureté à même les temps dessinés par des hjommes et par des femmes de temps plus qu’anciens. nous nous acheminons et grimpons et montons sur la bete et sur la bete (ainsi montés) nous y voyons loin. nous voyons tout le paysage; il s’agit d’une vallée, il s’agit d’herbages, de bois et de sous bois : la campagne environnante. Qui sait où c’est ? qui connait les lieux pour nous aider à nous rep^érer ? Qui sait de quoi il en retourne ici ? qui a déjà parcouru les lieux et pourrait nous indiquer ce qui est, par où passer au juste, comment ne pas se fourvoyer mais tout au contrzaire trouver le chemin qui convient, ce chemmin de rage prégnante, ce chemin de voix offertes, hurlée ou pas mais posées comme des présents dans une caissee, ou comment dirons nous la chose ici présentée ? Nous ne voulons pzas tomber à la renverse. notre but ici est de tenir bien campés sur nos quatre pattes, sur nous guibolles, sur nos étais. nous voulons aller ensemble (elle et moi) en roche ainsi et ainsi munis (étoffés) comme nbous le sommes : voix, peau de rage, pleurs, cris des chants du temps, etc. chqacun voit ce qu’il doit voir. il sw’agit d’ouvrir l’oeil et de ne pas se faire embarquer dans une tourmante qui vous ficherait vite fait bien fait plus basque terre, c’est sûr ! c’est écrit ! cela est écrit ici sur roche par un homme des cavernes ou par une femme des caverne c’est égal puisque derriière cet homme ou cette femme il y a qui , il y a la bete des rocghes dures ! il y a l’aurochs velus ! chevelus ! poilus ‘ etc, cette bete-mot déplissée qui dit son trajet et son dire de base tel que nous serions à devoir l’entendre. nous nous blotissons et cherchons à comprendre ici cette chose d’une roche dure de la Vie ici déployée = temps d’un parler vif, temps venu d’un dire homologué, temps enfin arrivé d’une venue venant direct des prés de roche. qui vient ici ? qui s’approche ? une bête c’est ainsi ! Nous voyons la bête et elle nous voit. nous sommes face à face. il s’agit d’une rencontre cruciale = première = primitive = collégiale ou comment dirons nous ensemble pour la qualifier ? qui est là en nous qui cherche une voix ? qui cherche une voiix et une voie ? qui cherche passxage de stentor ? qui cherche en nous ici ce passage pour la voix qui déclamera son statut de rage ? qui est là en moi qui parle pour moi et chyante à tue-tete un pareil chant de rage pêrlée .? je cherche = nous cherchons = nous pleurons = nous allons sur roche du temps («la vie devant soi») à la recherche d’une sorte d’entrée en matière capable ainsi de nous pousser vers des v érités à bien cerner ensemble = elle et moi en moi. Nous = je + je = une sorte de jeu d’enfant à mêmùe terre-mère = tourments ? Nous voulons comp^rendre ce qui est, et pour cela nous allons ensemble ici en roche, toucher la paroi du monde = du verbe perlé. nous voulons ensemble toucher cette roche du temps déployé par la bande (langagière) d’une destinée en ^particulier, soit d’une destinée appartenant à tel ou tel sur la surface de la Terrre. nous nous accolons = nous faisons corps = nous naissons = nous sommes cdeux = nous sommes enfants = nous sommes pris = nous sommes compris = nouis sommes ici comme dans un antre de mère vive. Nous cherchons ce dire de nous qui puisse indiquer un trajet, une direction, un passdage, une entrée, ou bien une sortie etc. Nous ne voulons pas perdre le nord ! Nous voulons aller en roche dans le temps qui est temps d’une roche des TEmps. nous voulons toucher à une cxhose qui sezrait chose de la vérité des temps offerts par la bande langagière d’une sorte d’embardée princière (premmière). Ici est la Vérité. Ici nous touchons à quelque chose des profondeurs, et le touchant nous nous faufilons dans ce sas de la paroi meuble = mobile. nous cherchons les mots de la chance. nous voulons toucher la roche à même le Verbe, soit la peau du monde ? peut-on ? peut-on toucher à vif pâreille pelisse de bete venue devant nous nous offrir son être divin ? qui parle quand je parle ? qui en moi parle quand je parle ? qui dit en moi ce qu’il a à dire ? qui parle pour moi ? qsui pour moi exprime ses pensées de rage ? rage belle, rage rebelle, rage des abris, des antres, des zones de replis, des sas. Nous creusons la roche du temps, nous cherchons à comprtendre les données subtiles. qui va de l’avant ici même (chant) sinon l’ettre en soi de la rage à être ? à quoi être? à être un enfant de la pa role due  ! ou quoi d’autre ? car voici le temps venu de casser la glace, de briser ici ce qui gêne aux entournures = ce corps ! Nous voulons aller profond et comprendre enfin les données qui président à une installation en soi d’une bête de poids comme surneuméraire à notre corps. Nous voulons comprendre en  ous pourquoi ici même (corps) cette bete comme surnuméraire = un doigt, une main de trop , pourqyoi ? qui en moi se loge ainsi qui veut s’échapper = sortir du cap de ma raison native : qui ? qui cherche à ? qui veut dès lors ? qsui souscrit à ? qui a pâreille volonté comme enracinée en son être et par là même en nottre fief auto-régulé il semblerait : qui ? qui parle pour moi et dit les mots d’un cap de première ? qui en moi est la bête à voix, à verbe, à co:;ère, à haine = ce mal à être un homme de joie tel que je me dois (? ) ici -bas (?) de l’être pour moi. Est-ce cela ? Je suis chercheur, je cherche en laboratoire. mon être chercxhe en laboratoire. nous sommes deux (l’êytre et moi en moi) quyi cherchons de concert en laboratoire = toit du monde ! caillou ! ordonnance ! Je veux toucher la roche du temps et la traverser à l’aide (nonchalamment, mùais vivement) de mon pic attitré de roche ou de percée de roche = cette chose rosse sortant de ma bouche grande ouverte. passage forcé. cailloutage, etc. je xse,ns cette chose ici d’une traversée en moi de la bete de poids surnuméraire. la bete traverse, pazsse un cap = une raison humaine = un phrasé alzambiqué, etc. la bete est sous le charme d’une voix externe, un chant nuptial, pa role d’évangile, attirance de re^ve ou des rêves, chant d’azur émancipé. je tente une approche et touche la roche. je suis un homme des doux sentiments de base masquant bisque rage d’enfance incréée. Je vais sur le parvis. je m’approche de pareille bête meurtrie, qui, devant, devant nous, cherche à nous parler, à commmuniquer l’ensemble des données de présidence. Nous voyons la bête devant nous, comme une hydre (un ?) , comme quoi ? nous voyons icellle bête devant soi, elle charge, elle pose, elle pèse, elle est grosse, elle mesure long et profond et  haut. qsui est-ezlle ? est-elle pour nous la Voix ? est-elle pour nous la Voix qui gronde ? squi est-elle ? qui est-elle pour nous ? qui est-ellle devant nous ? qui est-elle qui nous mate dur ? qui est-elle qui cherche à nous toucher de même ? est elle en vie ? est elle en mort ? est elle un rire fort voire trop fort qui nous assourdit ? que veut-elle avec nous ? veut-elle nouys faire du tort ? veut-elle nous toucher à mort soit à kla mort ? veut elle nous toucher jusqu’à ce que la mort s’ensuive et nous laisse là, pantelant, sur roche trembant, sur roche assoupis, morts comme de juste, misérables ? a t elle envie de nous voir morts et entérrés ? a t ellle envie de nous voir retrouver la terre ? a t elle envie de nous voir nous immiscer dans la roche sinon de terre mère (ouh !) disons de la roche du temps , disons de pareille roche du temps : estt ce ainsi que les choses tournent ? ou s’en retournent ? Est-ce ainsi que nous devons faire = toucgher le Temps par la bande ? Devons-nous aller en roche dans le sang ou comment devons-nous faire ? Nous voulons aller en roche dans le sang ! nous voulons aller  dans le temps devant = le sang versé = donné = offert devant = offrande à déité consacrée = offrande aux dieux des pzarois perlées ! Nous sommes deux : outrage !! nous sommes deux qui venons dedans et creusons de notre rage ! Nous disons ici que nous cherchgons à poser des banderilles, à touchyer de biais dans un premier temps, mais pour ensuite aller au loin, au p;us profond, au plus que nous pouvons aller. Nous voulons aller au loin, chercher ici  de quoi comprendre ce qui est qui nous entoure . Nous voulons toucher la roche du temps et ainsi faisant aller loin dans les connaiossa ces, percer roche pour trouver, percer icelle roche du temps pour trouver des vérités à transposer, à poser sur paroi comme dessinées, gravées, à même la pierre. Nous voulons aller profond et toucher le  verbe incarné = la roche mobile, l’onglet, l’antre, le bonhomme des temps, l’hydre chevelu, le tourment des ans, la peine, le vif ou kle plus vif de la colèreancrée. notre but est affiché et porte un nom, un  nom de rage s’il en est, qui est celui que nous portons chacun pour soi depuis la naissan,ce. voilà qui est dit deux fois (au moins) sur paroi mobile. nous avons à dire ici une chose rude, cette cxhose est rude du fait (oui !) que nous sommes nus et frêles et perdus commùe deux enfants qui (dans la forêt, dans un bois) cherchent à s’y retrouver? nous sommes deux qui sommes égarés et qui de ce fait cherchons à nhous y retrouver, à trouver passage, à trouver par où passer ensembvle sans plus que dee coutume avoir à galérer pour faire ainsi qu’une clairière, un chant, une voix nous apparaissent et nous disent ce qui est et comment aller. nous voulons toucher kla chose de poids devant nouys = masse = poids lours = remorque = chaine = trame = tissage des endroits perdus = colère d’une déité incorporée. je suis l’homme ici qui va à la recherche d’une déité incorporée à la paroi du temps. je vais vers elle en parlant, marchanht etc. Et si le temps était ce dieu de rage assoupi ? ou non : cette déité des passages induyits ? ou bien : ce cheval ? aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah voilà lui ! Voilà itou ! ou voilà ce qui est qui va et nous regarde devant nou!s, qui se pointe, qui pointe son museau, qui campe, qui se campe devant nous dressé  comme un piquet. je suis là qui voit la bête devant moi (mes yeux sont ouverts sur le monde) et cette bête est bete de joie = je, pour ma gouverne première (printanière) mais quoi de plus en  vérité ? je = joie. je = jeu. joie = jeu. Jeu = voix qui cherche à se faire entendre «par la bande» c’est dit. je suis «je», homme des ravins, des  endroits de dangers divers, endroits comme ouverts et qui sont risqués. Je veux faire ainsi que je pûisse aller fissa à travers la lande à cheval, à) la recherche d’une déité des prés, des praireis, des bois et si-ous bois, en «la personne» de Bambi (peut-^ttre) ou de qui sinon ? car ici le chevreuil conserve à nos yeux ses attraits. il est juste ici de dire ainsi, comme quoi la biche, le chevreuil, le  cerf, le mégacerf, etc, conservent à nos yeux tous leurs attraits, et ne manquent pas de nous attirer. nous devons comprendre loin ce qui est ici question attraits, et commùent cela ? en parlant à tout va à tue -t^te à mêzme la roche du temps ? en faisant squoi ? Nous voulons aller loin dans des domaines de connaissances encore inexplorés de nouis. nous voulons essayer de comprendre ce qui est qauestion roche, roche meuble , roche mobile, roche dure ou pas, etc. nous nous approchons d’une bête rosse, bête massive, elle trône grave devant nous et nous regarde. qui est-elle ? le passé ? le pazssé déposé .? lez présent sur roche : cette offrande du passé ? lme présent ici est du passé que nous déposons (de rage ?) à même la roche du temps ? est il ce passé déposé de la sorte ? est il une offre vaine ? est ce ainsi que les choses sont par la bande ? nous cherchons ensemble = à deux = vifs = nous = NOUS = vous aussi , à comprendre cette chose d’un devant de soi temporel habité par une masse qui est langage et plus que ça, qui est le Verbe de céansq, la roche plénière, le temps adoubé, le parlement. nous voulons aller en roche pour dire la chose et du coup la mettre (vite fait) en ceette lumière vive qui est celle d’une entrée solaire dans la pierre, au coeur d’icelle, au plus profond du coeur (pariétal) d’une sorte de donnée de base royale. Je = jeu = j’ y ! j’y quoi ? j’y suis j’y reste ! Czar ainsi est-ce que (là, pour soi) je = j’y = joie. je vuex être ici pour toi l’homme du comment dire changement brutal de paradigme . changement des changements. Je suis homme défait (ou tout comme) pour un dépliement de l’être en moi. je suis l’homme défait (déplissé ?) en moi par le temps du verbe ou comùment sinon ? je suis déplissé par le temps, je suis déployé, déplissé-dép^loyé dans le temps d’un xdéroulé de rage vive = en vie. qui l’eût cru ici ? qyui a cru que cette chose allait advenir ? déplioement, déplissement, dépleoiement, etc, dans le temps = verbe assidu ! assoupi ? je vveux toucher à Roche des prés. Je veux me rapprocher de roche des prés. je veux être roche des prés. je veux comprendre icelllle rochge des prés adjacents concomittants. Je suis (szerais) un homme au sang coulant dans des veines de temps. Je serais un homme des temps au sang royal coulant en moi commùe une sorte de denrée de choix, aide alimentaire, nutriment donné par la bande en moi. Je syuis ou szerais cet homme dit femme dit homme allant de l’avant dans le temps comme dans une roche percée. je suis celui-ci qiu veut toucher la roche rude, rude et dure des parois, du monde entouurant, etc;  Je veux ettre homme de la joie à naitre au monde verbal . Qui le croit ? qui est pour moi être de bon aloi ? qui est ici ou là pour moi cet être donné, ce don de rage, cette voix ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui est là pour moi une sorte de paroi votive à percer ou comment sinon ? Je veux ^$etre l’homme de la rage à être. je veux être l’homme aux sentiments exacerbés, a&ux paroles fortes, au sang chaud, aux allures de bêtes qui grondent. bete monstre = betes mots de rage = parler de la lande = paratonnerre. je veux là être ça= cette bete fauve forte: lion ? cri ? vue d’ensemble sur une vallée primzaire ? Je veux être ici un homme qui voit et pige vif et peut dès lors aller plus loin xdans le domaine de la connaiossance des choses natives. je veux être homme des temp^s impartis, offert en offrande pour ainsi dire (une part de moi = le passé nacré) et pour cela («à toi à moi») la balancelle ! la balance ! la balançoire ! l’escarpolette ! je me joue d’un monde enfantin à comprendre par la bande = la raison première, à savoir ce monde intéreiur des rochers de grave, de roche allouée. je vais (vite !) en  c e sein des seins. mon antre est celui-là que je vois se dessiner devant moi à main levée:= effigie d’antre, ventre dur, colère allouée, gageure sur paroi de roche, escarpolette, dancing. je suis cet homme des roches allouées à une vie rêvée ou tout comme en v érité car peut-on se fier aux donn,ées de base ? à pareilles données qui (dépôsées en nous) nous semblent comme surajoutées à de l’etre comme caché en nous va-t-en savoir où. Nous voulons vider le corps (le notre) de sa chair de base et le remplir de vie d’emprunt, de vie éternelle. comment faire ? par le verbe ? alors si c’set ainsi , comment ? comment on peut faire eznsemble pour s’y prendre et déloger ainsi la bêtye en soi, en  ous autres qui so:mes pleins ainsi d’une sorte de masse dure (temporelle) comme intrus : comment pouvons nbous ? il y a en  ous une sorte de masse de poids, masse dure ici ou là en nous, qui sembkle vouloir peser = pesezr lourd dans la balance = enquiquiner. Nous voulons toucher pareille masse qui (masse) se laisse regarder en tant que telle,; quoiqu’elle sache (au fond d’eele-même) que cela m^eme qu’elle montrre d’elle n’est pas elle à proprement parler mais succédané. Nous nous approchons d’une sorte de masse posée devant nous. nous sommes deux (comme toujours) qui cherchons à contourner la cxghose, à la voir sous toutes ses coutures, à prendree la température de cette chose ici déposée. nous essayons de faire cette chose de pouvoir nous approcher. Nous sommes qui cherchons à nous approcher de la bête. cette bete est lourde, pesante, massive, un poids de rage, poids mort comment dire, âne mort, poids lourrd de sa rage, bete prisonnière d’un effet de masse. je m’approche de la bête déposée comme un présent (offrande) aux pied d’une divinité (le temps est posé conséquemment). la déité de paroi dure est une déité de rage, déité postée sur ce devant comme un Père en soi autoritaire et menaçant. je vois la chose crument à présent et je chercjhe à la décrire au mieux possible. la bete (devant soi) = bete de paroi = dessin. ok . mais pazs seulement cela (on le comprend bien) mais aussi : l’aurochs = le Verbe échevelé = cette masse dure (une masse déployée !) qsui est devant nous du temps à dépenser encore à venir. le temps devant soi est masse bestiale, agréments de rage, perles posées en guise de dons à une sorte d’animal phénoménal, charge majeure, colère intégrée. la ici (bete) est , o,n le voit , rage à (ici même) etre l’enfant ou lk’enfance. je = cet enfant portant pareilllee bete de poids en soi : cxomment faire en étant enfant ? eh bien en ‘subodorant» la chose : perspectives, projections, ciné-pariétal, catalogue pour une destinée à vivre tout du long en tant que voie d’abord à déité. je suis l’enfant-de-rage, l’enfant-roi, aurochs nouveau-né,, vile pensée de base ? cariatide ? Qui suis je ? Je suis homme-bete = mot de rage? Verbe cru ! bisque bisque la pareille ! va au loin et vois ! mate ! charge la Chose, cette chose devant toi, cette chose devant toi qyui la regarde et elle de même, de te regarder vive, de regarder à vif, de voir à vif et fissa la chose en toi, qui est quoi qyuui est du verbe de parade ! charlatanisme ! oh l’envoyé ! oh le larbin ! oh l’homme à tout faire ! oh galère ! oh homme de peu qui vaque à ses affa ires do:mestiques coutumières ! qui es-tu homme du balai ? je suis homme balai, je ramasse grave, j’en prends en  veux tu en voilà à longueur d’année, je ne suis à l’abri de rien. ma vie est une chierie ou comment ? chienlit ou pas ? on dit comment ? Oh ma vie ! rudesse ! royauté mais rude ! ouh la, vif de vif à la rude, etc. Jecherche à me glisser dans une roche des parois mobiles, des parois du monde vivant, charlatanisme et autres viies d’esprit à ne pas suivre ? squi a dit que vif = vivant ? quui dit que vie vive = la vie, quand le vif du présent déployé (offrande) est du vif décédé, trépassé = le passé (très passzé c’est fzait !). je cherche à comprendre. je suis celui-ci dit «de roche dure», l’homme écartelé en lui par du verbe de bon poids surnuméraire./ mon nom est affiché à l’entrée du monde, sur ponton, comme sur panneau (panonceau) de signalisation rupestre. aurochs dis-je ! Je m’appelle l’aurochs ou même Aurochs tout court. quand je chante on dit ou on dirait que les choses vont ou vont mùieux. ma voix se greffe à la roche du temps déployé, déplissé à même la pierre tombale (ou à même la pierre d’offrande). je vois loin car je suis en moi porteur de l’oeil bestiazl de la bete cachée en mon sein (surnuméraire) d’homme (feemme) des données de rage. hje file vif sur roche et voit cette chose de la mort à l’oeuvre incidemment. hje veux toucher zau verbe sacré, merde ! Moi ici je veux ! Je suis fhomme et hemme ou qui suis-je en roche du temps logé(e) ? Je me positionne en tant qu’être de paroi, recherchant la vérité sur une chose déplacée ou si,non déplacée peut-être placée à bon droit mais menaçante incidemment, pour nous ou  à nos yeux, du fait qu’elle charge ! qu’elle rue ! qu’elle vitupère gravement ! qu’elle nous regarde (devant) d’un air de deux airs ! je veux être homme des temps forts et moins celui des temps affaiblis par des coups de masse de rage sur nous (habilitatation) qui cgherchons à savoir du monde ce qu’il est en vrai. nous voulons toucher et cerner, soiyt : toucgher-cerner et c’sest marre pour ainsi dire ! Je suis cet homme qui (en vrai) cherche que tu chercheras , et vibre que tu vibreras, et fouille que tu fouilleras, et vais que tu iras, ou va que tu iras, etc ! un cghercheur de perle princière ! un chercheur de rage allouée ! homme-femme-enfant (un seul être vous manque et tout est dépeuplé) de la rage à être l’etre des tourments, des ennuis de toutes sortes sur roche. comment être sinon vif ici, pour être = pour être vivant de roche dure ou dit vivant de roche dure : commùent ? je m’enfonce pas à pas. j’avance en  cette roche dure des temps donnész par soi (ou par nous) à l’entrée (= à la naissance de notre mobile). quand je touche vla paroi ça va. je suis homme des temps vifs amenés à ébuliition ou tout comme afin de , enfin, déployer pour nous la Chose d’une vérité à pouvoir (devoir et savoir) graver à même la roche. je m’enfonce en elle. je suis comùe dévasté par en mùoi du parler brutal (hominien bestial) qui plombe, m’empêche d’être si tant est, et me catapulte ou presque (direct) en tombe de hjoie (ou non : en tombe pour soi). Je vais ainsi qui m’avance en paroi , cherchant un mot, un nom, une parole de bienvenue mais elle ne vient pas : pourquoi ? qui a dit que j’étaios frêle ? qui a dit que j’étais menu ? que j’étais timide et doux comme un animal de douce comp)agnie ? qui a parlé de moi ainsi ? qui me voit ainsi ? qui sait de moi des choses de razge ? qui comprend de moi icelles choses d’une foi à être ici lm’homme-femme des parois ? qui pour me plaire ainsi ? qui voudra me dire ce qui est , de pareille donnée mais pas seulement, aussi du Verbe déposé en guise de présent, et où ? sur ce devant de soi temporel = masse bestiale ventripotente, bouc ? Je fonce rude. Je colle à la source. la voie s’ouvre devant moi au fur et à mesure mais en vérité de qyuoi s’agit-il au juste ? est-ce voie d’abord pour une perfusion de l’etre ? est-ce voie d’abord pour une perfusion d’etre à petits pas ? qui porte en moi la raison ? qui en moi se parle ainsi ? qui parle et porte en moi cette raison ? qui est qui en moi ? suis-je moi pour moi ou bien je suis la voie de l’animal battu, aux coups reçus ? Suis je bete de paroi meuble ? suis je ignare ? suis je l’enfant vil de la naidssance, recouvert de merdxe et autre vernix de bienvenue ? comment suis-je ? suis-je le parfait bandit terrestre ? cvolère des dieux ? cocoricocoboy ? chercheur d’empreintes ? colllargol ? qsui suis je ? un petit de rien du tout déposé en roche par la bande langafière d’une confrérie antédiluvienne ? les mots quye j’apprends sont des mots de rage latents, ils s’incrustent en moi comme des pseudocytes sur mes leucocytes. je tombe des nues ! ma voix se porte loin qui hurle sa joie d’être je, homme, femme, grizzli, enfantillage, animal poilu on l’a vu, homm-bête du monde adjacent ou dit tel. qui voudra de moi kle moment venu ? soit le moment de ma finaison, de ma fin de vie, de ma livraison : qui ? jke voudrais savoir ca r il en va de mon désir à être vif encore et toujours, soit le demeurer. qui vibre en moi qui me connait de pied en cap et sait tout de moi (depuis le début et au delà même du temps présent les données futures : vernis du passé déposé pour l’avenir d’un dieu des parois) . je me pose ainsi comme icelui qui cherche que tu chercheras. un chercheur. un homme de la science et des données riches d’enseigneme,nts. homme-science ou chaman peut-^tre va savoir ! qui sait qyuoi sur la question qui nous occupe ? qui peut dire là (devant ! de suite !) ce qu’il sait , soit tout à trac l’étendue de ses connaissances. mort je monte, vif je tombe. c’est dit. Car la vie est ce mouvement de glissade arrière (sur le cul) jusqu’à nouyvel ordre des choses. je tombe = je file = je vibre, et vibrant m’incline et me loge = me confond à terre-mère. qui va là sur terre ? le père de la joie d’etre .? petit père des parois dures ? je suis l’homme des parois du temps comme enseveli par le verbe naissant et prenant (vite fait bien fait) la tangente = le temps on l’a compris. je cède, j’ai tenu longtemps. je craque, j’ai tenu des années durant et j’aurais fait (dès lors) mon possible pour aller ainsi en roche des temps à la recherche de la vérité des vérités concernant icelle la mort, cette chose des embruns, des effluves, des senteurs des bois, etc. qui me dsdonnera de quoi m’exprimer par la bande ? qui saura trouer ma joue de base et fzaire en sorte que des mots de moi puissent s’échapper direction la joie, le je, le je de l’enfant narquois , Je cherche une base à un dire fort, ici sur la roche, bete dessiknée en transe, etc, et cela, ce dire (cette recherche) concerne ma vie, sa vitaluiité disons, son désir en elle de toujours aller vaers un maintien des forces vives , soit des forces qui, en soi, tiennent bon pour aller plus loin , toujours, à la rencontre du pot aux roses, du piquet de rage, du poteau d’anggle etcx. on co:prend en nous que tout cela est d’une importance capitale ! c’est un dire à formuler fissa comme il se doit et à incruster sur roche comme parole d’évangélisation, comme pariole de paroi coriace. je vais sur pâroi dessiner pareilles parioles coriaces, prêtes à faire entendre leur fond de haine et de méchanceté et de vilénie à l’encontre de la mort de la rage à être. je cherche issue. je veux toucher = trouver une issue à pareille enclave. car la vie est une enclave (qui contienbt la mort) que le verbe définit en tant que telle? car le verbe est lui-:même donnée de rage à être , soit la mort en nous incorporée, mise par à-coups au fil du temps et des épreuves du quotidien. on voit  ce qui est quui vient à nous, ces données dites «incorporées» sont natives  = brûlent à vif (au fur et à) mesure) leur chandelle en nous qui allons fissa vers elles (?) ou pas peutêtre, mais qui sommes des enfants du jeu à être des hommes-femmes de la préhistoire à toute histoire narrée. HJe veux comprendre sciemment ce qui est = le Verbe de joie, le Verbe de rage, ce qui est ici en tant que parioles menacées, paroles des apprêts comme menacées par la mort en elles. la (ici) mort (belle ?) de la rage à être soi. je vois cela (la mort entortillée) comme une sqorte de chose de nacre, chose belle car fluorescente, etc, et cette chose (dite «belle») est comme naissante à même la racine du langage incorporée. je cherche la voie ici, le parcours, la trtrace, le chenal, le passage ouvert pour une entrée de mobile foetal incorporé. je cherche passage (trou) dans du Verbe de paroi, pour aller loin, creuser-crever la CXhose du temps immmanent. je veux trouer la roche du temps par du verbe contenant la mort. la ici (mort) est , comment dire ? «belle» ?, qui s’apparente àç du verbe ? je veux aller au plus profond d’une parole incorporée par la mort en soi (la mort d’une betye forte) . je veux comprendre cette cghose en moi dx’un verbe de poids (u ne lourdeur) contenant la mort qui est la bête de paroi dessiknée par l’homme des cavernes. car la mort en nous trace que tu tracezras sa voie de «belle» bete menaçante, déployé (temporellement déployée) par une bande langagière inculquée. quoi donc , la mort, est-)elle pour nous, qui avons en  ous du verbe ? ezh bien en vérité : la mort est du verbe, la mort est le Verbe. nous parlons la mort. parler = dire celle-ci qui en nous est comme incrustée pour nous plisser, pour nous faire plier, etc? je comprends la chose ainsi et tente incidemment à poartager ce dire un peu tourmenté il est vrai mais dit avec le coeur, avec en moi ce que mon être au plus profond contient en termes de joie à dire kles choses du temps. la mort en moi est le  verbe. la chose ici qui est et que je partage en l’énonçant, est cette chose comme quoi la mort (celle-là qui nous «brûle» les lèvres) est du contenu verbal. les mots de ta rage sont : verbe , dires, parler, mots-bêtes,; etc, ou vo cables. Qyui disent (tous) cette chjose comme quoi la mort en nous loge dans le verbe ! et la vie alors ? le coeur ? oui en effet le coeur, il se peut. nous cherchons , et nous en sommes au tout début, nous avons encore fort à faire et rien n’est fait. les mots s’agglutinent à qui mieux mieux mzais que disent-ils ? voilà ce à quoi nos recherches sont attelées. nous cherchons vivement, patiemment, séerieusement des dires de poids (de genre aurifgnaciens) qui puissent «aller» avec une chevauchée brsusque au fond d’une grotte, sur parois éclairées à loa lumière vibrante, virevoltante, des torches. la dite mort est de la mort dite. seulement ? la mort est du dire, et aussi le dire est la mort. Comment dire cette chose ? voyons : on dit cela, comme quoi le dire contient la mort, et la mort le dire. erst-ce ainsi que les choses sont ? que voyons-nous qui s’adresse à nous ? que sommes-nous qyui allons (ensemble : toi et moi main da,ns la main) à même la roche ? Nous sommes des êtres de peu, eanimaux de rage, chien et cheats (?) quyi allons nous enfoncer ou pour nous enfoncer dans une pierre, une pierre à graver avec des noms, à graver en transe, etc. nous cherchons à signifier pour dire ce fait comme quyoi la bete dessinée est grosse de son être-vie de rage à sauver. mot de la roche complète. mot d’une roche entière, pleine, masse de paroles viles, conjugaisons. je tourne et retourne une langue en bouche de joie. je suyis celui-ci qui va en roche à la rencontre d’une déité de type bléssée, de type touchée par la bande (langagière ? ) du temps adonné. Je chante à tue-tête mon sonnet de bete de rage. je chante que tu chanteras ce chant de la rage à être le porte-parole attitré d’une bete de roche en moi, mort va nu pied, mort de colère à être la mort, mort dure, mort tenace, mort cvoriace, mort «connasse» on l’a dit (ezntendu). je suis homme qui , sur roche, cherche à comprendre cette chose d’une mort de peu (?) qyui viendrai morveuse me toucher pour me mettre à mzal voire me tuer. je veux pas ça ! je suis homme là qui ne veut pas de la mort pour lui enrubannée à du Verbe inculqué à la naissance , et qui cherche à s’en libérer = dégager = à décoller la mort du  verbe merdum ? car quoi au fond ? sinon icelle mort de la rage d’être cette chose, mort de rage à être, fille de rage, fils de = fils de rage idem. comment s’échapper (sortir) sinon ai nsi faisant, par du verbe dru  dép^loyé», qui file fissa sa gouverne, tisse que tu tissezras, iras, etc, à même le temps ici déroulé comme une bande. je commence. je débute ainsi le voyage. l’embardée votive. je commence incidemenht et jke sais cela comme quoi kle chemin est ardu, long de sa rage (aussi ?) à être : même rage que la précédente ? simili-rage ? simulation ? simulacre de rage adoubée ? les mots contienhent la mort. la mort loge dans le Verbe. le verbe contient la Mort. la Mort loge dans le Verbe dép^loyée temporellement et s’en plaint grave depuis les premiers moments de notre venue (engagement) sur terre-mère (tourments). qui l’eût cru ? comme quoi la mort est dans le  verbe (ver dans la pomme) qui dit son fait brutal et apeure ! délivrons-nous-en et allons par les chemins de la roche des temps nous porter vaillants à d’autres recherches, à d’autres fêtes. ou vers d’autres fêtes, recherches, embardées, etcx; filons sur monture. canassons ! fuyons ! cha rgeons ! faisons comme si , d’aventure, la mort n’étzait pas en nous contenue, comme le ver est dans le fruit. faisons comme si nous étions indemne, non recevable ou comment dire : vierges ? notre voix pousse ce qu’elle veut bien dire en passant, monture, cheval, nous sommes portés et disons. que disons nous de si malin en vérité ? oh, peut-être... rien ? Ou bien : ça , cette chose comme quoi nous sommes porteurs de la mort en nous (dans le verbe ) et pas... au delà. est ce cela ? Est ce ainsi que la mort est ? est ce cette chose qui est à dire et aucune autre ? la mort est en nous logée, dedxans, comme une bete de poifds massif. il s’agit du verbe. ou «de» vervbe. car le verbe en nous est une sorte d’entité majeure, comme en,châssé en  nous (perle princière sur anneau d’or) et cela est ainsi que nous comprenons cette chose comme quoi la mort (le Verb’) est à proscrire dans le temps = à brûler. je cherche une vooie d’abord. où la trouver sans rire, où donc la dénnicher sans s’esclaffer, sans honte, sans rougir de honte ? nous cherchons la mort. nous cherchons disons à situer la mort sur «léchiquier». où se loge t elle ? eh bien... dans le verbe ! oh voilà ! oh la trouvaille ! et donc ? à p^résent ? tu fais quoi ? tu vois quoi ? tu dis quoi ? tu vas où avec pareil dire ? où veux tu aller ou en venir ? quel être es tu pou$r dire une chose pareille ? qui es-tu pour parler ainsi et faire cette chose (ici) d’une parole déplissée comme ruban dit de donnéres premières, à même le vent, changeant, tourneboulant mais toujours étant ce ruban d’une rage (vive) à etre vivant? qui est là pour nous parler de ça qui nous échappe grandement du fait de notre infirmité intellectuelle : qui ? je voudrais comprendre les lointains, les fonds de roche, le fin fond du temps, les trous de basse-fosses de ce temps royal déployé pour une vie à la sauvette, pour pareille vie de grâce, pour pareille vie chanceuse ou sin on chanceuse comme aidée». nous voulons savoir cela qui existe en nous en tant que bete de poids fort, qui renâcle, qui hurle, qui cxherche issue, : est-eklle... la mort ? la mort qui dès lors chercherait vivement à sortir de nous à toute vitesse, ou comment ? mordicus ? qui chercherait mordicus (plutot mordicus) à sortir de nous coute que coute, pour une question (pour zlle) de survie, etc. Est c de c ela que nous devons parler et si oui le doit-on en parteils termes ? doit-on agir de la sorte ? doit on poser des mots sur roche comme autant d’aurochs (surnuméraires ?) censées éloigner le verbe de nous, de l’antre des jhoies de la vie en nous ? je ne veux pas que le mort-verbe s’incruste en moi ! je dois la cxhasser ! je me dois de chasser l’aurochs qui est en moi ! je me dois de chasser la grosse berte (= la mort-verbe) en moi contebnue ! qu’elle s’en allât ) qu’elle filât ! qu’elle nous laissat tranquille une bonne fois pour toutes et ne revint pas à la charge; je comprends la chose rude, cette voix ici plombante, hurlant son dézir, son vouloir, son envie de nous oter la vie, de prendre de nous  non point de la rage seule mais la vie de base. et nous de rétorquer par du verbe vif, de roche incrusté, qui va loin dans un dire de paroi gravée, qui va dire loin, qui cherche à dire loin, qui va à graver loin son dire. je grave mon dire (auochs aux confins) et ce faisant je plombe» la mort, je la gruge finement (un temps qui est le Temps, ni plus ni moins). grugeons la mort néfaste. grugeons-la comme nous savons ensemble faire cette cxhose, déroulons. faisons ensemble ce déroulement = temps = Temps = musique  = verbe musical de contre-bande/. je sais (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !) la mort ici comme étant incluse (introduite) en moi ou dans moi à la manière d’un poids mort. cependant, je dois faire ainsi que cette mort (incluse en moi) ne sorte pas sinon comment ? sque dois je faire, le verbe, la mort : la mort contenue dans le verbe. or le verbe est en nous depuis la nuit des temps. que faire ? chasser les démons ! chasser de moi le mot mort et pas le mot seulement, aussi la mort-bête : aurochs ! ah voilà le pot aux roses ? que penser ? qui croire ? à qui se fier ? qui dit vrai ? qui dit le vrai ? qui parle sciemment pour dire la vérité (la sachant si tant est)? qui est pour moi l’ombre de cet être de paroles justes ? qui voudra dire ce qui est et ce qui n’est pas ? je vois devant mpoi se dessziner (malgré moi ?) des betes de poids. elles sont cela même que nous voulons, cette chose rude comme tourments de vie, méchancetés de vie tout autant et autres vileniesq. nous hurlons injurons la Chose : «merd»use ! merde et merdum ! merdeux», ainsi tout du long?. et ce verbe déclamé devient du verbe d’injure gra&vé. gravé au stylet de l’homme des cavernes. Blasphéèmes, livraisons d’injures, convalmescence, congratulations, pleurs, chaleurs vives, tombereau de mots votifs de type gros =mots par la bande; je regarde les lointzains, je vois la parade. je regarde au loin aller et venir les cerfs, les biches des bois, les chevreuils amis. nous devons toucher la roche ensemble. viens le cerf ! viens t’accoupler ! viens la biche ! viens te szrrer et me monter ! je suis celui ou celle que tu es. joignons-nous de destinée pour une embardée et traversons les contrées rupestres. betes-joie de poids pour une embardée salvatrice. je regarde = je vois la roche d u ttemps. le mot mort a deux entrées : 1, celle de la mort en tant que telle = le temps de la mort. 2, celle de la mort en tant quu’événezment de survenue vive; je dis ce qui est pour moi squi semble être comme une parade devant moi, chargeant dans le temps son apport de base sensique. Je regarde devant moi. je vois une chose rude. son apport est de type bestial. il s’agit d’une bête de poids, d’une masse énorme, considérable. un volume conséquent. il s’agit du Temps. le Temps ici est ce devant de vie à vivre devant dsoi = hors de soi = bete-mot de rage folle dessinée, ou gravée, sur paroi de roche, à la manière du magdalénien. je vois hommes sur roche = aurochs. vies de sauvetage. qui est qui ? je vois les mots devant comme mots de rage pour une incursion dans le domaine de la mort de l’être. je vois icelle chose devant moi, pousséeé en moi par la bande (transe) s’inscrire à vif à m$ême la roche (le dur) de ce Temps imparti à une vie. la mort gagne mais ici le temps déploie son facial de rage à être vivant. je veux être cetteChose ici accumulée : dires sauvages, grinçants, vifs, honteux, déployés à vif, mis sur roche à la volée. je veux être l’homme de ce déploiemeznt conséquent. je veux penser la XChose du temps. Je suis cette Chose rude déployée sur roche (temps) à la manière (surnuméraire) des hommes des temps des cavernes. hommes et femmes regroupées sous une même égide, celle de la Voix qui parle au nom des hommes et femmes soudées, regroupées;, envahies par du dire fol de transe endiablée. Qui va là, du tourment? Moi iici ! moi qui brûle ! mon passé sur roche déposé ! chant du roc aggravé ! Je cherche un endroit où déposer mon «joli» barda de contrebande ... dans le temps peut-etre ? Ou sinon où ? je vois la chose comme quoi je suis être en vie du fait du Verbe-mort en moi. et comment cela ? c’est ce qui reste à comprendre, ou à explorer prochainement incidemment. nous devons aller au loin ainsi armés et touchger la roche du temps aux endroits magiques, aux endroits qui sont comme des points de paroles magiques. nous devons prochainement comprendre ce qsui est de cette chose de parois ou d’endroits dits magiques. nous devons nous pencher sérieusement sur la question de la magie, de la magie contenue en pareils endroits de parois (et pas à d’autres il semblerzait dès lors ? ). nous nous approcherons de ladite roche (à deux mains, soit à quatre) et ce faisant nous pourrons comp^rendre mieux les données de base concernant une certaine chose dite «relevant de la magie des choses»,. nous voulons aller au lointain des roches combler notre soif (indemneà ce jour) de connaissances. nous voulons toucher la roche des savoirs, la roche magique. nous voulons toucher la roche magique (animée à notre approche) des savoirs de base : quoi la mort est ? quoi la vie est ? quoi le Verbe est ? quoi le sang est ? quoi la vie + la mort sont ? quoi la vie + le Verbe sont ? quoi la mort + le  verbe sont ? quoi en soi (en nous) est magique : l’aurochs de contenance(?) ? le cheval en nous ? la bete furieuse ? la mort incluse dans (en nous ) le verbe du dire princier ? la mort est-elle chevauchant la vie comme la bete dxes prairies ? la mort est elle en nous comme cxhevaucxhant la vie comme elle cxhevaucherait une bete sur la prairie : cheval de la rage ou jument des apprets de base ? qui sait ?

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2/03/2022

Nous nous avançons incidemment, nous allons de l’avant. nous voulons connaitre le fin mot de cette histoire d’échancrure (dee faille, d’encoche) dans paroi, et pour cela nous nous avançons ensemble, soudés, prêts à déguerpir si nécessaire. Nous voulons comprendre ce qui est incifdemment de ce qu’on voit qu’on voit devant soi. nous = nous deux. car nous sommes deux, nous sommes soudés, nous avançons ensemble de concert, nous sommes deux pour une connaissance ou reconnaissance de paroi. Nous sommes soudés comme les doigts de la main. Nous nous avançons dfe concert, nous marchons d’un pas décidé, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants de pareiille ouverture de roche devant soi, ce qu’il en est au juste, ce dont il s’agit en clair et cela qui (pour nous) est d’une importance majeure, à savoir le mot de lza fin. il s’agit pour nous de comprendre ce mot, cette cchose, ce mot de fin de roche , ou de fin fond. cazr il s(‘agit ici de bien comprendre cette chose à deux, ce trou de roche de paroi, cette chose ici qui semble s’ouvrir devant nous à notre mesure. Nous voulons comprendrde ;les données rupestres les plus fines (ces dessins de bêtes) et pour ce faire nous devons nous inciter, nous provoquer, nous bousculer ensemble pour aller fissa, pour entrer en roche, pour nous immiscer. Nous devons comprendre ensemble le pour quoi nous nous plaçons ainsi à deux de telle sorte que nous soyons dès lors en mesure de comprendre cette chose d’une excavation, d’une fissure par où passer le corps, ce trou de la roche devant soi par où un corps peut ou pourrait passer. et pour cela une chose dd’envergure : ici = la vie devant soi = le temps à venir = des mains sur un devant de soi comme déposé. Je vois devant moi qu’une cjhose semble vouloir se dessiner qui ressemble à une bete de paroi aurignacienne. Je vois devant moi cette bete qui va et qui vient, je vois cette bete meugler, trépigner voire s’énerver. je sais de quoio il s’agit. Il s’agit ici de Verbe, de verbe nacré, de beauté nacrée, d’une bete belle, etc. une bete forte et belle, bete belle et forte qui va de l’avant, qui meugle, qui trépigne, qui s’énerve volontiers. Je vois devant moi pareille bête des apprêts qui cherche à s’approcher de moi dirait-on ou du moins qui regarde en ma direction et cherche à entrer en contact. Est-elle pour moi une alliée ? est-elle pour moi une ennemie ? a-t-elle pour moi de la bienveillance en elle ou bien veut-elle me faire du tort ? Je suis en roche pour lyui parler. je suis comme entré dans la roche (le dur) du temps pour tenter de lui parler, de l’approcher dans le but d’échanger avec elle. Est-elle en capacité de pouvoir échanger avec moi ? a-t-elle de quoi correspondre et me comp^rendre ? je veux etre une bete comme elle ici même afin de pouvoir lui parler, lui donner le change. Une bete est devant moi , dans ce temps imparti d’un devant de soi temporel. Il s’agit d’une bête de bon pôids, pesant de toute sa grosseur sur pareille pierre de vie devant soi , qui est seuil de vie-mort à venir , ou bien entrée pour une parade. Je vois devant mpoi cette entrée et cette bête. Il s’agit ici de comprendre cette bête dans l’entrée comme notre amie de roche, la parleuse, l’entremextteuse aussi. on voit la bete postée au beau milieu de la prairie. on voit ce préfleuri de la prairie. Il y a là des fleurs de choix. Noius voyons la bête (cerf de rage ?) qui est là, dans l’encadrement de la porte, au seuil de lza prairie, prêt à bondir et à nous inviter (inciter) à bien vouloir le suivre dans sa course. Nous aimons ce cerf de roche mzis nous hésitons car la mort est un curieux pays, il semblerait. Il est pour nous une chose ici à souligner et cette chose est cela comme quoi la bête devant soi est bête des azpprêts et nous d’hésiter à nous lancer à sa poursuite au sein de la prairie soit de la mort incluse en roche comme une entité, une encklave ou un sas. Nous vopulons comprendre cette chose ici d’une sorte d’enclave à parois, à murs d’enceinte mais commùent ? et c’est là que le chevreuil, la biche, le cerf ou l’ours des cavernes pourraient nous aider , car la bêtye sait. La bête est savante. La bête sait des choses. la bête en sait long, en sait suffisamment pour nous en apprendre tant et plus c’est un fait. Nous voulons comprendre ce qu’ici la bête du devant pourrait nous indiquer ezt nous donner en termes de données premières. Nous cherchons à lui parler. elle est devant nous, elle pavane. elle est devant nous qui fait la belle, qui se montre sous ses plus beaux attraits, elle fait la roue, elle fait la belle devant nous. ET nous d’eessayer de la comprendre afin d’avancer plus plus dans toutes nos recherches sur prairie à propos de la mort, du rapport mort/bête, du rapport entre d’un côté la mort et de l’autre le verbe (par exemple). ici l’animal en sait long (on le comprend). La bête connait la musique des sphères, le train de la vie, le chant de la prairie, la magie des perles, etc. la bête en connait un rayon. elle n’est pas née de la dernière pluie et son savoir est dingue, est pprofonds;, va loin, va dans les propfondeurs de la roche du temps, car la bête est temporelle. son élan de vie est une sorte d’entrain musical, de mélodie, de chant des profondeurs. ce chant est le chant de la terre. il s’agit ici de cerner cela comme quoi la terre ici est une ouverture pour un chant venant des profondeurs. On sait que la bête entend ce chant (toutes les bêtes) . toutes les bêtes sont à l’unisson du «chant» de la terre = d’une vibration, d’une secousse, d’un bruit des tréfonds, etc. La bête est come branchée direct ici,  à mêmùe le «bruit» du monde adjacent, alors que nous.... moins ? on cherche ! on veut savoir ! On en a pas fiini de chercher et de savoir, de chercher à savoir, de creuser dans de nombreux sens pour bien comprendre de quoi il s’agit. Nous voulons toucher la timbale du temps à travers la bête. ici une bête nous parle en direct via la roche devant soi (aurignacienne etc) et du coup on écoute à fond ce qui est dit, ce que la bête dit , ce que la biche ou le chevreuil disent?. Nous voulons comprendre ensemble les données liées à la musique des embruns, au chant de la terre, à ce qui sort de terre, au chant du monde. ce chant venant des profondeurs vient à nous via le chant (le cri ?) d’une bête ici postée, soit dans l’encadrement d’une porte cochère = ici la fin de vie la bien nommée, la mort en personne. Nous voulons comp^rendre toutes ces données de base ici pour nouds, pour aller loin dans nos réflexions et mieux cerner l’ensemble des données offertezs pzar la bande lan,ghagière intégrée. nous savons que cette bande a fort à voir avec le sang. nous nous appuyons sur de tels savoirs pour en avancer sur un chemin ardu s’il en est, qui est chemin des connaissances affichées, montrées pour ainsi dire. notre but est de creuser la roche jusqu’à l’animal. et l’animal atteint de voir avec lui à comprendre un certainn nombre de pourquoi et de commùent. qui parle en moi = qui parle à travers moi = ma voix) ? qui parle à travers ma voix ? qui parle pour moi ? qui en moi s’agite ? squel animal en moi s’agitte ? quel est cet animal qui en mois s’agite ? quel est donc cet animal qui s’agite en moi ? qui est)il ^pour de vrai ? qui estil pour de faux et qui parait être pour de vrai ? etc. car lma bête en moi parle que tu parleras, et ce sans cesse. il s’agit d’un flot continu , une mer, un ru, une avalanche de paroles «bêtes» soit fortes et massives, un poids de plusieurs kilos voire davantage, car la bête ici est bête de belle taille, elle pèse lours dans la balance, elle en impose, elle est une force vive, elle va loin et profond du fait de sa masse qui pèse et force barrage. Je suis avecv elle celui-là qui cherche à percer des mystères. Je suis  cet homme fou-vif, cette ombre sur de l’herbe, ce fennec peut-être moi-même ou bien quoi d’autre ? Je cherche à cerner ce qui devant moi se trame ; une bête se poste = se positionne dans l’encadrement d’une porte d’entrée, elle me fait signe de la suivre sans tarder, ce que je fais. et là me voilà qui me retrouve dans un sas de vie de rage, une sorte d’enclkave vitrée ou sinon viitrée luminueuse, éclairée de part en part, enveloppant mùon corps d’une douce lumière vive. Je suis avec un animal des prés et j’essai-e de comprendre ce ^pour quoi cet animal est là qui m’a poussé à bien vouloir aller vers lui et traverser la roche à la une à la deux. Celui-ci (l’animal en question) est bete des prés et des bois. il s’agit d’un c erf de grand ramaghe. Je sais qu’un  cerf est bete royale. on sait cette chose depûis fort longtezmps, comme quoi un cerf de parade = objet d’attention. je file vers lui pour ne pas le perdre de vue. mon interet est de bien mù’enchainer à ses pas et de bien garder contact avec lui, ne sezrzait-ce que visuel . une bete-devant de soi = un devant de soi animalier = une vue d’esprit salutaire = une sorte de main offerte (deux) qui est (qui sont) main (s) du temps imparti à vivre. je vois cette bête ici comme celllle qui me guide dans la vie de la mort à l’oeuvre. on voit ici cette chose d’une main (de deux ?) qui est (qui sont ?) dès lors cette (ces?) main(s  ?) tendue (s ?) ou bien comment ? on sait une main (ou deiux) devant soi, ces mains sqont de bête, sont de provenance animalière, elles sont là  ou elle est là (la main) pour nous aider à franchir (verbalement) le pas d’une vie à vivre tout du long. on sait que cette main = une chose rude. je vois près de moi (déposé) une sorte de corps mort de bete ou bien une sorte de chemise froissée enseanglantée, ou quoii donc , je suis à la recherc he de la v érité sur terre. je suis à la recherche d’une vérité a ttenante à une paroi temporelle. on est plusierurs ainsi à travers le monde , qui ncghercghons des  vérités de grande (et première) importance. nous voulons creuser cette idée commùe quoi le Verbe est dans le sang comme le ver est dans la pomme. un ver de pomme cherche issue. la bete en  ous aussi. et voilà pourquoi nous raisonnons, nous batissons des architectures de raisonnemenrtts, nous cherchons une compréhensiuon mutuelle. nous  ne voulonbs pas céder, nous voulons intercéder et gravir les échelons de la paroi aurignacienne ou néandertalienne. nousd devons comprendre tous ensembvle (une humanité) ce qui surnage ici en termes de paroles offertes ezn guise de présents à déposer sur table a ux offra des, sur seuil ou sur paroi. nos mots sont des bêtes-mots, sont des bêtes et bêtes. nous voulons comprendre au plus loin et aller ainsi de découvert en dsécouverte. Nous sommes deux qui voulons ensemble toucher la paroi des choses cachées à la vue de l’homme. Nous ne voulons pas passer à côté sans savoir, ou sans rien y voir, mais tout au contraire emmagasinner des données et en avancer sur la v oie des connaissances les plus achevées sur la question de la mort en atteznte, de la vie déposée pour de faux, de la mort en branche, de la vie des sphères attenante à une vie telle que celle que nous vivons sur le plancher des vaches. Nous ne voulons pas nous affoler mzais placidement ou calmement avancer sur ce chemin (escarpé) des connaissances brutes, des données de rage ou de la rage, des embruns, des apprets, des chants des profondeurs. la bete devant soi sort (est sortie) de soi via la bande langagière et à présent comment faire ? comment comprendre cette bete, son parcours, son but de vie, ses intentions rupestres, son cri ?. nous voulons comprendre ensemblme (la bete et moi) les données du monde adjacent qui est le monde vif et beau d’un sas de prairie. nous voul:ons cerner dans loa longueur du temps ce qui est qui est, et inversement ce qui n’st pas dans ce qui n’est pas. car il va de soi que nous sommes touchés, meurtris, ou susceptibles d’être touchée s ou meurtris. Nous avons devant nous une bête sortie de nous par la bande langagière. Cette bête est bête de roche, qui pèse un âne mort et jamais à nos yeux ne s’en laissera conter si aisé ment ! car elle trépigne continument (en nous déjà : le sang, et à présent hors de nous : les effluves). Je vois devannt moi cette bete qui se tiennt droite et nous fait des signes (kabbalistiques ?) afin que voilà, on puiisse la suivre et entrer de ce fait dans le sein des seins ou sas des sas. nous obtempérons et entrons. décrivons. nous voyons des choses, nous voyons de l’herbe, nous voyons de la lumière, nouis voyons une belle lumière sur une prairie (un fond d’écran ?) . Nous avons devant nous de l’herbe et des betes (bouquetins ?) qui paissent. il y a des champs à perte de vue, tout un paysage de nature. du vert en  veux)tu en voilà. soleil et clarté sur les prés. des betes qui paissent et batifolent. univers p)rairial ensoleillé. une sorte d’encklave rustique, une sorte de troué-e dans une adversité. Je vois l’herbe verte devant moi et j’avance en elle. touché ! j’ai touché l’herbe ! je suis entré dans l’herbe. il ya beaucoup d’herbe : elle monte haut. je suisq entré en elle et à présent je suis comme l’enfant qui cherchant a trouvé, ou qui même sans chercher si volontairement a fini par trouver quelques données de roche. je suis ou serais cet enfant des prés qui sans vraiment chercher (ou si ?) a trouvé. et ce qu’il a trouvé relè ve de données fondamentales. nbous sommes des enfants qui nous avançons sur roche = dans les prés à la recherche d’une découverte à faire incidemment, un trésor de beaiuté (?) ou un trésor des templiers, ou bien la clé des champs, ou bien la clé musicale des chants, ou bien la cklé musicale des données de base? nous voulons trouver ce pour quoi le temps est dit le chant est dit la roche est dit le verbe est dit l’animal . notre envie (enfantine ici) est de dire ce quyi est. ce qui est serait ce qui se voit. pas seulement mais pour paertie?. nous disons dès lors que nous sommes les enfants de la pprairie qui nous enfonçons dans les herbes vertes,  hautes, à la recherche du trou de céans, passage idoine, excavation et perfgoration, trou non-borgne si tant est = pasdsage pour une entrée. nous sommes enfants en nous, qui cherchons à découvrir kle pot au x rooses et pour cela nous chantons à tue-tête le chant de la roche perlée. nous chantons haut et fort ce chant de roche dure, ce chant venimeux, cette drôle de parade mortuaire, ce chant des sphères dernières. nous voulons ensemble trouer la paroi et nous immiscer bon an mal an à travers elle. la vie est une chose vive mais la mort aussi étrangement. la vie est vive, et la mort est vive. La vie est une sortie et la mort aussi. des passages différents mais... concomitants ? Nous cherchons ! nous voulons cerner des données. nous voulons toucher à des données de poids «qui puissent le faire urgemment». Nous voyons cette chose (en tant qu’enfant) s-d’une sorte de praiorie des roches, lieu des betes des prés, lieux des cavalcades. nous voulons aller au loin en  cette roche du monde, en  cette chose de l’autre côpté du monde, en ce sas. trouveropns- nous ensemble kle secret ? quel est ce secret ? qui connait au juste (exactement) les mots du secret ? qui peut parler au nom du secret ? je veux toucher à une bande royale langagière qui le fasse. je ve»ux toucher à un Verbe de joie. je ne veux pas rester en carafe mais aller profond au sein des connaissances. ma voix est voix qui porte comme celle d’un enfant de peu mais enfin je cherche, je ne cède pas, je poursuis sur mode déraison mais pêu importe ! le but ici est de trouver «des chose», du menu fretin pour certains peut-être mais pour nous ce menu fretins est plutot des merveilles, des données riiiiches, des données solides qui imposent leur étant à même une roche souterraine. nous cherchons partout (soit dans kle temps ici) des données de roche dure = des choses de poids , afin de comp^rendre le monde, l’(étudier au mieux, toucher la timbale aux enjeux de base. nous sommes ou serions des enfants. nous sommes ou serions des enfants qui cherchent, qui creusent des puits, qui soulèvent des fourrész, qui zyeute à la toque ici et là la rocxhe du temps à la recherche de données qui pûiissent informer quiconque de  ce qui est au monde (ou derrière» le monde)  en tant que choses de la vérité la plus extrême, la plus fine, la plus ancrée. Je suis un homme-bete qui cherche avec en lmoi une voix jeune de parade,, voix d’emprunt surnuméraire, qualité à zéro degré de mensonge en vrai. je cherche une façon en roche d’y voir clair le plus que je peux. ma voix porte ce qU4elle porte mais en  vérité peu importe, car je cherche que tu chercheras à tout va, à fond, au fond, dans la profondeur du monde adjacent et ce à travers le verbe ancestral, ses réseaux internes, ses relais en roche, la faconde. nous devons aller eznsemble (qui ?) à la recherche de données de base, de choses de poids = aurochs, de belles et douces vérités qui en imposent (verbe perlée) etc ; le chant de la paroi file et vibre. nous savons que nous devons aller en roche à deux (toi, moi) et ce main dans la main (à toi, à moi) afin de pouvoir nous introduire illicoo presto en cette zone de temps impartyi, en cette matière temporelle et aussi musicale de la roche dure ; nous ne voulons pas succomber mais plutôt poursuivre sur notre lancée et tentezr d’y voir enfin suffisamment clair pour pouvoir nous prononcer sur la question des vérités cachées du monde (s’il en est). nous voulons trouver «des choses de poids», ces choses nous les a ppelons du nom de la bête ici postée devant. nous cherchons une sorte de définition. le but ici est de cerner ce qui est à la lumière conjuguée de la cla rté céleste et du soleil de roche dure et xdes apprêtsq. nous vou:lons enttrer dans cette zone de vérité;; nous voulons percer la roche et nous loger en elle instamment. la beauté des lieux incite à se poser et à seulement contemplér le paysage. nous nous approcjhons du cerf géant.. nous voulons toucher icelui en son pelage dru. nopuys voulons toucher la bete de crin. nous aspirons tous à dire des choses dee poids , soit à révéler un certain nombre de secrets contenus ici bas. peut-on et si oui commeznt ?  en tournant sa langue dans sa bouche ? en pleurant ? en ouvrant son coeur ? en pissant ou chiant ? en parlant tout haut ? en gueulan,t même ? en donnant du fil à retordre à son entourage proche ? en oinspectant le dessous des cartes ? en levant lkes jupes des femmes de tout ages ou presque ? en faisant comment ? nous diso,ns que nous devons comprendxddre ce qui est du monde = ses dons de choix, ses offrandes, à même le Verbe comme turgescent?.. le but ici est de toucher au but = de comprendre le mot de la fin. Le mot dit dans une prairie. ou le mot prononcé en cette prairie par une sorte d’animal de base, animal au poil serré, bete des embruns, bete au chant, bete aux cornes ou aux bois de roche. je cherche à comprendre = percer un secret mais il n’est poas facile d’atteinte et je je ne cesse de percer, de faire en sorte que pa reil secret me tombât dessus comme un fait exprès. enfant de lka roche aux tourments de mille sortes je m’avance et donne mon la de contrebande : vie flouée pour ainsi dire = le passé. mais le passé seul ne suffit pas. Seul il n’eswst pas assez, ne pèse pas assez , ne pè§se pas assez dans la balance, ne pèse pas assez lourd pour la mort à l ‘euvrre, ne pèse pas son pôids de rage dure, ou si oui incomlplètement aux yeux de l’entité déjà nomméee plus haut. Nous disons cela , comme quoi les mots ne sont pas suffisant pour dire ainsi qu’ils feraient bon poids dans   la balance qyui est cellle xde la mort à l’oeuvre. on dit cette chose, on dit ainsi. on pense que la vie passée (qui n’est que du passé) ainsi déposée devant soi (dans ce temps d’un avenir direct et tombal pour ainsi dire , quoique non) n’est pas suffisant aux yeux de la mort. il en faut plusz (eh comment !) pour la contenter. nous disons que le passé seul ne suffit pas pour contenter la mort, le feu vif et impactant du passé (mort oui, mais pas assez fort , ou pas assez vif) n’est pas chose qui pour elle (mort) en impose asssez et fasse illusion assez de temps pour que nous puissions faire pour nous une sorte d’écart ou de pas d’écart temporel qui nous tînt en vie incidemment plus longuement? nous disons que nous sommes qui cherchons à dire-faire un pas d’écart un temps. pour ce faire ici le v erbe. verbe pariétal ety monacal pour ainsi dire. verbe dressé, verbe en berne ou pas mais verbe de paroi, de roche dure, de sein des seins. nous nous immisçons en  cette roche du temps alloué à un devant de soi de rage à être coûte que coûte vif et non mort. nous voyons la roche devant nous, nous pouvons toucher icelle sans crainte. nous  voulons aller en elle dans la profondeur et comprtendre kles données basiques initales. je est je mais pas xseulement. je est nous mais pas sezulement. je est un ensembkle de données peerlières princières. je est effluves. je s’infilttree dans la durée en équilibre. je est une tentative de raisonnement par la bande à propos du temps. je s’incruste dans la pierre comme un pic de roche à pezrcer la roche. je est vers  de roche, et ver de pomme. je est chant et champ. je : glisse sur les mots, d’un mot l’autre continument, sort de sa bulle précipitamment et grave que tu gravezras à lka manière toute pariétale d’uun homme des temps des cavernes. je suis hyomme-femme soudés entre eux. je suis homm-femme soudés, qui tremble, qui a froid, qui cherche un reayon de lune ou de soleil. je veux toucher la pareoi du monde (kle verbe) et pour cela je parle en continu et jamais ne cesse si possible. je creuse’ à même la roche dure. je veux toucher à cette roche dure et rude et commen,t ? rugueuse d’une sorte de peau de paroi rocheuse, de paroi du temps. vive la vie sur terre parlante ! vive ici la vie parlante à traversz la pierre,, la roche du temps ! je veux être ici homme considéré, aimé, qui veut cette chose pourv lui d’un nom donné qui lui plaisze, qui aillle à son teint d’enfant naissant. je cherche à percer la pierre. pour cela les mots. pour cela il ya lkes mots, le verbe dru, les mots de derrière, les mots à hurler au fond des cavernes. je hurle ! j’hurle comme un dxexaxé ! J’hurle à fond les manivelles ! je plaide coupable et invective concomitament ! je dis que je poses la vie passeé ou du passé sur la pi

erre, en lieu et pklace d’une vie humaine, d’une vie pour le coup complète, entière, exa cte. or vas-y (!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je donne voix passée, voix d’ombre !Je donne peu. je donne mon passé en tant que tel = une faillite. et la mort of course de rouméguer, de râler haut et fort , de se pl;aindre et de pleurer que ce qui est donné (par moi, en mon nom) ne lui sudfit pas. elle se moque du pzassé. ce qu’elle veut n’est cpas de ce passé bruûlé mais de la brûlure, en nous de la bnrûlire vive, du fond  de partage, etc. le fond de roche est ouverture vers un au-delà auquel nous n’avons pas accès. nous voulons comp^rendre ce passage ensemble,  ce qu’il est au juste. une naissance ? une seconde naissance .? une renaisszance ? une mort-naissance ? ce que nous voulons pour nous égale cette chose d’une sorte de donnée de base rupestre = ce cheval en nous, cette bete en  nous ! nous voulons toucher la bete en  ous mais ou est-elle ? comment faire ? devons-nous «entrrer» en nous à lka recherchez de la bête ? devons-nous percer en nous une chose de nous pour trouver où donc en bnous se loge ou logerait pareille bete de la vérité: devons- nous percer ? devons-nous toucher la roche = le verbe? comment faire pour toucher le verbe ? commùent faire pour toucher le verbe ? comment faire pour toucher le verbe d’une roche dure ? comment faire pour toucxher le verbe tendu comme un arc ? comment faire pour touchger à vif et sans contraefaçon le verbe tendu comme arc ou arbalète ? je cherche à comprtendre les données de rage en soi contenue et qui ne demandent rien de moins que de sortir de nous pour allezr fissa voir à xse loger en roche, en l’une de ces anfractuosités poreuses, etc. je suis hommbête qui veut toucger à kla paroi =à la timbale. je chezrche vif ! je cherche à fond ! je cours et je vole ! je suis être ailé comme le  cerf volant de la rage des temps. mon nom s’incruste à même la paroi : aurochs de la rage à être un aurochs. je suis homme qui veut comprtendre kles données qui sont à la ba se d’une sorte de pareoi du monde. je me prénommre Averell, je suis niais, je comprends les choses à peine, et cependant ai droit de cité en cette chose que malgré ma très grande bêztise devant l’éternel je n’en suis pas moins un êttre pensant, qui réflévchit, qui cherche à comp^rendre, soupèse des mots, va dans le sas des choses retenues et à comprendre un jour, etc. Oui je suis crétin c’’st entendu. je ne vole pas haut. cepenfant je vole, je monte, je m’envole. je suis oiseau de branche, ou bien oiseau-ma rtinet qui jama is (?) ne se pose de son vivant. j’essaaie moridicus de comprendre les choses du monde, la mort en son logis, la vie en son autre logis, etc. la porte d’entrée. la paroi d’un couloir de rage. un b ruit dans le fond, au fin fond du monde. une voix appelle ! elle crie de toute sa misère ce qui est , ce qui est qui va se tramant.Je cherche à etre cette chose d’une voix qui dirait ce qui est, soit ce qui serait pour elle , comme aux yeux d’une bete des prés. je veux essayer de comprendre ce qui est qui est devant moi, ce qui devant moi se trame. je veux essayer de co:mprtendre les choses du monde au mmieux, essayer de :m’intégrer à une sorte de vision globale qui me dépasserait de loin mais m’engloberait. mon souci premier est de m’inviter à pareille supervision , à  ce genre de supervision collègiale, à pareille chose d’une sorte de vision supraglobale sur le monde, qui verrait dès lors le tout, ssoit chaque chose d’un tout intégral. je serais   cet homme qui, bon an mal an, cherche à tirer profit d’une course vive aux données diverses. je m’infiltre cvommùe un agent double dans la prairezie. mon souci constant est de bien cerner lmes enjeux qui président ici aux choses du monde. mon souci est de percer vla roche et de m’introduire à une sorte de conversation supra cérébrale, comprenant ;kes données du temps adjacent à une vie vive,mais aussi les données de la roche dure, soit les betess , dessdinées, gravées, qui paradent et semblent nous interpe:ller de loin pour nous dire qUelque chose. qu’ont-elles à  ous dire de si vif ? qu’ont-elles à bnouds donner comme renseignements de première main ? veulent- e;lles nous troubeler par des dires de poids ? veulent-elles nous toucher de leur museau de bete de poids ? sont-elles pour nous des v érités premières en l’état ? mots-bêtes de charge ? mots qui sont des betes et qui parlent en leur nom à travers le nom que nous leur donnons par misère ? je suis à la recherche d’une v érité qui pl;ombe, qui pèse dans la balance, ou qui pèserait dans la balance. je veux être considéré à l’aégal de ceux et  celles qui , comme moi, cherchent de leur côtés des choses de poids, des  vé»rités premières et autres évclaircissements. nous sommes tous et toutes parties prenantes dans le grand concert de la Voix des choses du monde. qui est là qui parle en moi sinon cet autre moi de contrabande ! je veux essayer moi-même par la bande (= avec le temps comme allié) de creuser le plus loin possible la terre des apprêts, et trouver en elle de quoi me sustenter un temps en termes de données probantes pouvant m’éclairer sur les affaires courantes, celles qui sont pour nous attenantes aux choses du monde. Nous devons ensemble comprendre ce qui est,, à la lumière vive des données qui sont données de roche, de paroi rocheuses et zautres pierre de taille ou d’offrande. nous voulons percer les mystères de l’au-delà à une vie brève. pour cela il y a le verbe, soi le Verbe dresszé pour un faire. je pèse les mopts afin de me fa ire comprendre le plus possible du plus grand nombre.  Je veucx êtres pris pour  un être de la joie à êttre. Je ne veucx pas être pris pour un être qui serait celui-là que la mort rejette. mon moi est une chose rude, qui perle, qui perd d’elle ses attraits au fur et à mesure que le verbe croit en moi. Croit , du verbe croitre et non du verbe croire, quoique. car ici le verbe est aussi cette chose en soi qui tend à montreer de lui un visage proche de la foi. je suis donc je crois. et en quoi crois)-je ? je crois en  du verbe pris comme une sorte en soi de bête forte = fauve = de poids = pesante = lourde = qui sème sa charge = qui en impose beaucoup et longtemps pour nous aider instamment à tenir en vie le plus longtemps possible. je regarde devant moi et ce que je vois est une chose rude mais tenace. je vois la bete. je  vois devant moi la bête. devant moi est une bête qui est une bete de la joie à être, et voilà pourqauoi nous cherchons sxans cesse, en vivant notre vie sur terre, à nous app^rocher d’icelle bête qui est bête de la joie à naitre. Je pe nse ici = je suis ici la b^ete de la joie à naitre nommé. Je suis homme des embruns. je vais sur roche regarder au loin les donnnées de base à une vie humaine. je veux connzaitre ces données. je veux toucher la mort pour la comprendre et comprendre ce qu’il en serait si moi même en était = de la mort comme elle. or, ce que je vois, ce que depuis la vie que je vis il me sembkle voir de la mort, est cela, co:mme quoi la mort est vive comme une vie vive. je vois cela, cette mort vive, comme une donnée qui, pour nous qui cherchons, sonne fort à nos oreilles qui sont ceklles d’hommes des prés. Nous sommes néandertaliens, ou aurignaciens, en nous mêmes pazr nos orteilles = nous sommes restés des hommes des prés via le son qui vient sonner à nos oreilles. Balafon ! balafon ! balafon 

moqueur ! je cherche ici une chose de poids. je v eux toucher la mort dans son terrier sans pour autant moi-même ezt à jamais (dit-on) passer l’arme à gauche. mon but n’est pas de sombrer. mon but est de connaitre ce qui est dans ce qui vient. et ce qui vient vient vite, vient vers moi si vite, qu’il est difficile de cerner avec justesse, et ce permanemment, les données de base du monde, soit les outils de comprenure, les outils de rage, les cerner au mieux, il est difficile, ensemble (une humanité) de co:mprendre ces données, ces outils, ces bruits avec pour nous comme seul bagage la raison de l’homme perdu dans le temps. notre voix porte mazis porte peu. notre voix est une sorte de parole à vide. il est nécessaire de penser les choses à la lumièrre d’une sorte de parole «p;leine» = enceinte d’un double de soi animal. je veux être pris, je veux être compris, je veux être adoubé voire considéré par mes pairs comme celui-là qui, parlant, chasse des démons. mes pairs sont ceux qui , comme moi, parlent vif à d’autrews qu’à soi; je cherche ici (dans ce sas de bienvenue) une parole animalière(animale ?) qui puiisse me guider sur la voie d’une vérité de bon aloi. ce qeue je cherche est une vérité ancré dans une roche. cette roche est faite de temps amonczelés. Temps d’amoncellement pour une embardée rendue possible à maints hommes et à maintes femmes des cavernes dont nous sommes. car je suis homme des cavernes, je suis cet homme gravant la paroi du temps. je suis (aussi) cette femme aux attraits, dessinant sur roche l’antilopê, le buffle orgueilleux, la bete de rage sanglante; Je suis celui-ci et celle-l)à . je veux etre homme et femme à la fois , afin  de comprendre au mieux ce qui est devant moi dans ce que je vois. je suis homme vif et feeme vive = en vie , sur rochje, comme l’animal dans le sein des seins pariétal. je suis ce même être de vie. je vais et je viens vers lui, verts la b ête dessinées, cvers la bete en sang, vers une bete qui se fait ainsi apprécier par une déité de base aimante. car la mort nous aime. la mort nous aime ta nt, qu’elle nous veut pour elle, qu’elle cxherche urgemment à nous prendre en elle, ou sous son ai;:e.la mort est pour nous cette aile qui, bon an mal an, cherche couramment, urgemment, vivement , à nous prendre au vif de notre floraison , sous l’aile d’elle qui, ici (sas) est celle de la vie en la mort. nous avons cette chance ou chose, pour nous, de pouvoir voir l’aile sur la roche. quelle est-elle ? eh bien elle est celle-là que nous voyons se dessiner à) part nous et comme par devers nous, sous nos yeux, à même la roche, entre nos mains. nous sqommes pris ainsi par un feu en nous de rage, qui, vif, hainueux, tend à faire sur roche tout le mal que nous souhaitons offrir à cette déité. nous sommes hommes et femmes des enfants qui haïssons la mort. nouys voulons la mort de la mort. nous dessinons sur roche la mort de la mort à travers la vie de la vie. nous voulons aller en roche comme deux (elle  et moi) qui savons de quoi il en retourne entre nos bras, entre nos mains, depuis nous qui sommes comme lévitant en grotte, pris dans une sorte de tourmente qui nous voit co:mme léviter pour aller fissa tracer les tréits (sur roche) de la bete en sang, de cette bete-verbe qui dit ce qui en elle ecxiste de plus prégnant en termes de vie offerte. je suis hjomme et femm, l’enfant de la roche. je cherche à faire ainsi que le verbe dise ce qu’il a à dire de plus urgent?$-. je ne cherche pas l’amoncellement pour l’amoncekllement mais à tracer les traits nécessairees à une vision. ce qui m’importe ici est ce dire de la joie à être (ou naitre) je = nous = l’homme doublé de la femme. ou bien un je de rage, qui soit celui-ci que nous voulons pour a insi faire, depuis nous, all»égeance. ici allégeannce pour aller plus loin et tenir encore devant soi le présent donné à une déité en tant que présent de réserve. je suis homme débordé mais qui cherche l’être dans le vent sortant d’une anfractuosité menaçante. je veux toucher pareille menace, je veux pouvoir toucher pareille menace plénière. je suis homme des tourments, homme des roches dures, du temps présent, du temps offert au présent comme un présent à déposer sur roche. mon coeur dit ce que la vie l’oblige à dire à la mort. Ou plutôt : mon coeur, battant, dit à la mort qui est là près de luii, à veiller sur lui, à chercher querelle aussi, mon coeur dirt ce que la vie en lui lui demande urgemment de dire. je suis celui-ci qui parle et qui, parlant, sauve un dire de la mort xde kl’âme. je suis unn être calculateur. je compte chaque battezment-. je vais devant à la recherche d’une vérité de poids qui soit pour moi une aide substantielle à un maintien en moi d’u ne poussée vive de vie vive. je suis cette ombre déplacée. je suis celui-là qui veut aller loin dans la roche à la rechercjhje d’une sorte de donnée de  base votive, et pour cela je me dois de toucher le  verbe de la foi dans l’être. je touche ! je touche et touchant (forcément !) je suis touché et voilà où le bât blesse ! car touchant on se trouve touché et touché on se trouve blessé. je voudrais comprendre à jamais les données franches d’une vie à vivre ! je cherche ici même à comprendre au mieux ce qui est de cette chose en moi d’une bêtye de joie (ce je) qui cherche à être ailleurs qu’en moi, soit  : dans la mort ! or mèfle ! nooooooooooooooooooooooo,n , merdum non ! pas vouloir ! moi enfant ! moi pas avoir envie ! moi enfant parle pas ! moi qui suis enfant peux pas ! sait pas comme il faut ! peux pas bien ! sait pas bien ! parle à peine ! voilà ! et donc du coup comment on fait ? si en moi l’enfant ne parle pas car il ne sait pas, qui pour lui va prendre la parole ? qui prendra pour lui la pa(o;:e ? dieu ? la rage ? la bête ? laquelle ? le serpent $? la vipère ? le père ? le sang ? la chance ? le verbe ? le verbe menaçant ? la prière ? la joie ? je ? et nous voilà cherchant ici et là ce qui est dans ce qui se trame ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous avons du pain sur la planche ! nous devons nous serrer les coudes ! nous avons de quoi faire ! nous ne sommes pas en manque de quoi que ce soit en ce qui concerne ce qui reste à faire pour comprendre les tenants et les aboutissants d’une vie sur terre, avec temps de vie effective (fluctuant) et temps de mort (enterrée ?) qui peut varier selon les données qui seraient les noôtres au moment de notre mort. Je suis ici pour faire cette chose d’un calcul, d’une sorte de calcul de base, concernant les jours à vivre vif, et ceux qui seraient (peut-être) à vivre non-vif = mort. je cherche devant moi (ici bas mais dans le fond des choses recentrées) ce qui est qui puiisse m’offrir des donnéesz dde base intéressantes à plus d’un tittre. je  veux toucher cela même qui vient à moi dans le temps. mon soucib ici est de toucher vif la mort contenu dans ce daevant de soi interplacé. je veux être homme comme bete des parois du monde = un homme devenu bouquetin ou bison ou cheval. je suis cet homme de rage au sang chaud, au sang qui vibbre en lui comme du verbe. jke cherche à toucher la roche de mon pic acéré (du verbe) pour percer icelle illico presto afin de percer par la même le mystè§re de la destinée. ce pic est cette chose en bout de moi , qui pisse sa gourme, qui va à vau l’eau ou pas mais tente une approche liquide, effluves, ou sinon comment ? volatile ? Je cherche à comp^rendre les données les plus fines et les plus naissantes. jhe veux toucher la roche des temps alloués de ma pique perlée, plzine de Verbe , de verve, de paroles vives, de cris de haine et de joie mêlées. mon coeur est tendu à l’extrè:me : je monte ! je me hausse ! ou plutôt : je suis haussé, porté et me voit monter comme soulevé par en moi une sorte de bras qui me soupèse, me portye haut et me fait tracer sur roche des betes des prés. je suis homme des paroles dites à la voléée et tracée de fait sur pierre au stylet. je suis un homme à la voix perchée. je suis homm des apprêts , qsui cherche à comp^rendre au loin ce qui se dessine et qui sembvle vouloir me parler en son langage. quoi lire ? que co:mprtendre dans ces dires d’homme des cavernes ? que la vie e-st vive sur paroi qui n’est pas la vie vraie ? que la vie dxes betes est vive sur roche mais c’est faux en vérité ? que la mort est soudée au  verbe ? comment cette chose , comment l’exp;liquer ? si la mort est, en effet, soudée au Verbe alors l’animal en moi erst soudé au verbe et de fait à la mort ! eh bien ... peut-être ! très certainement ! peut-être qu’en effet il est cette chose comme quoi la mort est soudée (enlacée) au verbe ! qui l’eut crû ? la mort est vie de rêve enlacée à du verbe vif ! la mort est cette chose d’une sorte de parole en soi accrochée à une roche, à un pic de roche (etc) qui fait d’elle une sorte de conseillère attitrée. je la vois qui s’agrippe au verbe comme un fil de soie. Je veux la comprendre et pour la comprendre il faut la toucher. il faut faire cette cxhose de toucher la mort.; mais comment faire ici ou là pour la toucher ? est)-elle touchable ? est-elle intouchable ? est-elle donnée ? est-elle une offrande à son tour ? est-elle enlacée ou entrelacée à du verbe et si oui à du verbe à qui ? je cherche à fond kles manivellkes ! je ne m’en laisse pas conter outre mesure ! je veux tracer ma route, tracer au mieux et cerner. Mon coeur bat comme  celui d’une bete de joie et j’en suis bien aise, car je veux que ma vie perdurâ t et tint bon sa chandelle verte. je suis animal. je suis Bête. Je suis un animal des données profondes , et je veux trouver sur terree cxde quoi me loger, me mettre à l’abri, me protéger des intempéries et des prédations. je m’appelle du nom doux de Spi l’homme des parois du temps. j’opte pour un autre nom que kle sus-cité par la bande. je cherche fortune dans le temps d’un déploiement, ou comme fortune, car kje chgerche à moitié car je suis cherché, je suis comme (en moi même) cherché par la bête qyui se joue de moi et moi de suivre ses prérogatives et ses volontés. je fouille dans la roche dure à la recherche de données de base qui piuiisse nous donner de quoi avancer sur la voie des connaissan,ces majeures. mon coeur est une sorte de machine à être. je veux sortir de là (sas) et aller là (autre sas) pour comprendre ce qui est d’une vie terrestre. je vais vif. je suis l’homme au passé déposé. Je ne veux pas tomber à la renverse mais tout au vcontraire rester droit et voir devant moi les présents de taille déposés en guise d’offrandes. je les vois qui trônent devant moi = le présent, la cxhose offerte et le temps passé déposé. je vais vers la roche et touche. Je suis l’homme aux bras ouverts. je ne tombe pas à la renverse mais je tiens. nous voulons comprebdre loin et profond les choses encerclées, les choses situées, celles qui sont déposées dans le monde. notre besoin est incommensurable de vouloir comprendre mais cvomment quand les mots surnagent qui nous font espérer et ce faisant sont liés à la mort. la mort et les mots sont main dans la main. ou : le v erbe et la mort sont main dans la main. ou zncore : mort et verbe sont main dans la main. Ou bien verbe et mort main dans la main. je cherche que tu chercheras les mots insérés qui sont dans la paroi comme adoubés par la mort à l’oeuvre. nous devvons comprtendre un grand nombre de données de rage et pour ce faire : aller fissa ! filer à l’anglaise ! tracer ! faire vite fait! pistonner ! par la bande aller et tracer que tu traceras qui des buffles, qui des bisons ! Je vais dans la roche, je vois ce qui est = des betes sur un pré et qauoi d’autre ? dees entrées de groottte, et quoi d’autre ? je ne sais ! je regarde, jke regarde de pl;us près mais il n’est pas facile i ci de distinguer les choses en vrai, car nombre d’entre elles ne sont pas en vrai mais seulement les enfants (?) du Verbe ! Je m’approchhe d’une biche , je m’approche d’un chevreuil, je m’approche d(une bete des bois, je suis l’homme des approches de prairie. la biche est douce comme de la soie. Le cerf lme regarde méchamment, qui se demande ce que je lui veux incidemment. Je vais vers eux et cherche à lkes toucher en vrai. mais sont-ils vrais ? sont-ils en chair ? ont-ils de vrais attributs sexuels, de vrais bois, etc? je me le demande à présent. rien n’est moins sûr il sembklerait. et cependant ces bêtes me parlent, $me regardent, me parlent avec des mots, des mots de contrebeande ma is ce sont des :mots. je veux les comprendre. La mort dans la vie. Où est elle située ? que fait-elle de ses journées ? la mort est-elle si occupée au jour le jhour ? est elle sur le qui vive en permanence ou prend-elle le plus souvent ses aises, le soleil en terrasse ? Qui ou quoi est la mort ? Nous voulons comprendre ce qui est et pour cela nous devons cerner au mieux les contours du Verbe, car la =mort est dans le verbe et le verbe dans la mort (cul et chemise) on l’a dit ! La mort et le verbe font bon ménage, ou disons qu’ils sont en ménage. ils couchent ensemble. ils sont ensembkle. ils sortent ensembvle = ils sont ensemble dans l’intimité. je cherche à comptrendre ce qui est, et ce que je vois c’est que la mort est une sorte de don,née de poids qui tend à devenir Êttre au fur et à mesure que le temps grossit d’une vie particulière. je cherche en roche des motifs qui soient des formes qui puissent nous donner un quelque chose à butiner. ,je veux être pris en considération. je veux être comme priis en une sorte de considération. respêct à personne en danger peut-êtrte pas mais enfin le respect qui serait kla première des choses. donc, la mort : respect à mon encontre. tu me dois le respect en permanence. tu ne dois pas encombrer les lieux mais déguerpir vite fait bien fait et nous laisser aller à nottre guise soit longtemps si tel est notre voeu le plus cher. nous voulons comprendre ensemble (elle et moi = une paire) les choses de poids qui font que voilà, nous avons pour nous à cerner le Mal par la bande et non point frontalement comme  ccertains le croient. le Mal est bien enfoui en nous mais se loge là pour de vrai, il prend placce, il est inscrit  en nous comme un silence des profondeurs, comme anguille sous roche, comme bête des tréfonds. je suis un homme des fonds de la rage à être et je veux comprendre ce qui est ici (roche) qui existe en tant que tel et n’est pas du mirage ou seul mirage. voilà , la mort, ce qui lui passe par la tête !Elle pense « la vie» sans cesse. elle  veut de la vie, elle souhaite pour elle la vie, elle ne veut rien d’autre que la vie pour elle (s’en rassasier, s’en foutre plein la la:mpê, etc). La mort aime la vie. la mort en vie aime la vie en vie. et nous, ce que nous donnons, c’est de la vie en mort = le passé brûlé ! et la mort de rénacler... où ça ? en nous ? comment ? par le sang ? et si par le sang comment ? NOus voulons savoir, nous voulons en savoir long, nous voulons trouver. la mort est liée à la vie (tressée à elle) par le Verbe. la mort n’est ni devant ni derrière mais liée à nous (tressée) par le  verbe serpentin en   ous (caducée ?). nous  voulons comprendre vif et pour ce faire comment faire ? nous voulons ensemble ici comprendre et cela pourquoi ? parce que nous voulons être in-formés c’est-à-dire formés, en  ous, comme en nous la prière induite. nous voulons aller en roche des prés ceuillir des  herbes, ;les brûler, les offrir à une déité de parade. nhotre envie est notre vie. les mots caracolent dans le tezmps et font diversion. les mots sont tresszés à l’être et ne peuvent facilement être débarqués (et si oui comment ? qu’on me le dise !). je sais cela, comme quoi les mots sont pour moi adjuvants à autre chose en soi qui perdure un tempsz puis finit par s’étouffer et céder. je comprends les données de base (de rage ?) mais enfin la terre est ronde et non p;late ! le ciel est bleu et non vert, et . kje  suis «branché». je vois avec des yeux de rage. mon coeur voit pareil. ma voix se perd. ma voix est sans importance notoire, elle fait ce qu’elle peut et que peut-elle sinon peu een vérité, quyi a vite fait de dérailler comme la voix qui mue du jeune blanc-bec. Je cherche à comprendre dans un tas de choses ent&assées ce qui est et ce qui n’est pas. mon nom est un nom d’emprunt que je n’aime pas plus que ça mais peu importe. ce qui compte c’est la voix ! la voix de rage ou pas mais cette voix qui sort de moi comme un cracxhat. JE veux être pris pour ce que je suis et pas pour autre chose ! je veux être priis et du coup, considéré pour cela même que je suis (mais que suis-je  ?) et non pour quelque chose ou qsuelqu’un d’autre qyui se verrait payer à ma place, ou moi à la sienne plutôt ? Je ne suis rien de plus q’un verbe de poids sur paroi = la bete de réserve, la bête rosse. mon nom trône c’est un fait, se voit réifié, etc, mais en  vérité il est peu de chose. il n’est pas si fin. il ne donne pas grand-chose. il est ce qu’il est mais ne porte pas loin.Je sais cette chose comme quoi un nom xe famille est une chose prise à part par en soi la mort. comment cela ? par la bande = par la bande langagière = par kle temps. nous nous agenouillons côte à côte et regardons au-devant de nous ce qui se dessine sous nos mains. il s’agit de betes de cazvernes ou autre bêtes des prés ou des bois = l’ours des cavernes mais aussi le cerf, la biche, la jument, la bisonne. je regzrde ce qui est. la mort est assujettie au verbe. le sujet du verbe se voit accouplé )à cette chose (en vrai ?) de la mort de l’être; je regarde innocemment mais en vérité peut-être pas tant que ça. je suis cet homme qui va devant et court et traine sa misère et fonce et trainaille selon les moments. je vois loin. mon etre est l’etyre de la jhoie à être. je veux etre vif permanemment et ne pas tomber en arrière ni :même )à kla renverse. mon coeur bat et tant qu’il bat c’est donc que l;’animal en moi est toujours là comme une sentinelle. je veux être adoubé par qui xde droit qui me dirait oui, szoit un oui massif comme aurochs des prairies. ce ouiii serait la marque d’une sorte de 

d’une sorte de volonté ancrée, pleine, venant de l’après, de me voir secondé par en moi la bête majeure. je dis oui à cette bête. je me la veux pour moi dedans comme un -enfant. je veux etre enceint (ou enceinte) d’elle. vive la bete en moi ! vive elle ! que vive la bête en moi ! qu’elle soit toujours là ! que la bête en moi gouverne ! que la bête en moi à jama is gouverne ! qu’à jamais en moi la bête soit le guide de mes pas ! Je veux de cette bête en moi pour être mon être de joie = je ! Je veux ça ! je  la veux pour moi comme la bête qui en moi serait  c elle-là que la mort voudrait mais n’aurait pas ! Je suis être de vie et de mort puisqu’en moi la mort (dans le verbe !!!!!) erst insc rite en vrai. Je suis adoubé.  Je suis betye en moi de rage dans le sang. HJe suis cette bete en moi qui se peletonne et chyerche son aise. je veux de cette bete en moi à jamais enchevêtrée au Verbe de la mort . je suis homme-ommbre bete-mot qui (un jour) va tomber et va succomber et mourra et alors on verra cve qu’on verra. je veux ne pas. je suis l’être qsui veut ne pas. Soit : tomber à la renverse, t^$ete la première, dans les bras non de morphée mais d’une sorte de bete de joie en soi. je suis homme des parois du temps, qui irait tremblant mais tiendrait le cap de sa rage à être un enfant.

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1/03/2022

Qui est là devant soi pour soi ? qui nous regarde ? qui s’approche ? qui vient à notre rencontre ? Nous cherchons ensemble à comprendre les données présidant le monde mais comment agir ? comment décider à quoi faire ? nous nous approchons d’une porte ouverte : cela est. nous disons cette chose comme quoi nous sommes ensemble (une confrérie) à nous approcher d’une porte grande ouverte. Cette porte est une porte ouvrant sur du vide il semblerait mais qu’en savons-nous ? nous nous approchons nonchalamment d’une porte ouverte sur quelque chose qui reste grandement à définir ensemble , il est cette chose comme quoi une porte devant soi nous est ouverte, nous la regardons, nous sommes cois, nous nous tenons par lma main mais nous ne savons pas grand chose de ce qu’il serait judicieux de faire à cdeux comme nous sommes. Nous voulons comprendre ce qui est ou ce qu’il en est du monde. nous voyons au devant de nous une porte. Cette porte ressemble à bien des portes. elle semble ouverte. il semblerait que cette porte devant nous soit une porte ouverte sur un avenir, sur des lendemains, sur demain, etc. sur ddu temps offert par lma bande, ou bien sur du temps multiplié par une bande devant soi, bande des abris de buve, souffle tantrique , estomac. Nous cherchons ce qui ici peut bien être trouvé en la matière. Nous nous approchons de la porte et regardons subrepticement ce qui s’y trame et que voit-on ? nous voyons des choses remuer mais sont-ce des choses ? fantomes ? herbes ? foin ? quoi donc ? il s’agit d’un champ. Il s’agirait d’un champ. on peut s’imaginer un champ de blé ou d’orge. de quoi s’agit-il ? on voit que derrière la porte une chose se dessine et semble bouger comme une herbe dans le vent. on pense à un champ mais est ce bien cela, ou plutot un chant ? ou comment peut on comprendre ce qui est ? car la lumière ici est vive et nous éblouie ! nous sommes subjugué pour ainsi dire et rendu mirauds. Nouys voulons comprendre ce qui est ici de pareille lumière vive, on voudrait comprendre ensembvle cette chose, de pareille vive lumière des embruns. Nous ne savons pas au njuste ce qui se trame et raison de plus pour essayer (ensemble = main dans la main) de le comprendre. Qui est qui en la matière ? que voit-on qui semble s’agiter derrière la porte ? qui vient ou viendrait (peut-etre) à notre rencontre ? ou n’est-ce qu’une sorte de vision faussée ?  brin de muguet ? brin d’avoine ? champ de la roche des temps ? praiorie faciale , collège ? chant d’azur de la plus haute branche ? arbre de vie calfeutré ? Nous ne savobns pas mais il semvlerait <qu’il y ait derrière (une porte ouverte) une chose d’importance, un sas, une sorte de pièce d’acceuil, une antichambre à une chambre plus vaste qui serait cette chose d’une sorte de champ étendu, contenant des bêtes de poids, contenant des biches, des cerfs et autres chevreuils de compagnie. Nous cherchons à comprendre cette porte devant soi (son aspect ?) quoi elle représente en termes d’ouverture sur un pôssible prolongement à la vie ? nous ne savons pas ce que pareille porte représente et pour nous il va sans dire que c’est plutot chose gênante et peu confortable. Nous voudrions que pareille porte ouverte pour nous devienne un savoir fort et ancré. nous avons cette envie en   ous de comprendre cette porte ce qu’elle est pour nous qui la voyons car noius savons que notre vie va se terminer, se terminera, finira par s’achever, etc, soit nous quittera. or , comment dire, nous s&avons mais que savons-nous ? nous savons disons-nous (voilà la porte !) mais que sacvons-nous de ce savoir-là ? NOus dison,s que nous savons ou connaissons l’existence de cette porte (ouverte ou fermée là n’est pas la question à cet instant) mais qu’en savonsnous ? que savons nous de ce savoir ? que savons nous du fait que nous disons que nous savons notre fin inscrite dans une sorte de tracé de vie à vivre, que savon- nous de cette chose au juste : de pareille porte ouverte ou fermée qui nous serait offerte au fin fond d’une vie à vivre ? nous disons que nous savons que la mort existe, que la mort est inscrite en tant que telle, soit qu’elle fait paretie du schéma de vie. Nous disons que pour nous kla mort est une évidence. Et voilà où le bât blesse ! voilà exactement où le bât blesse  ! nous croyons dire vrai ou juste, en disant cela comme quoi la mort existe en vrai, nous pensons être dans le vrai, nous sommes sûrs de nous. nous en mettrions la main à couper. nous l’affiermons ! nous affirmons ce dire. et cette affiormation est le fait global du dire humain ! voilà ce qui est ! dire = affirmer. affirmer cette chose ici pour nous, d’une mort éminemment annoncée comme incluse de fait (et pour le coup) dans les arcanes du langage humain. nous disons que cette chose est, comme quoi parler humain équivaut à dire que la mort exisqte. et parler animal = auttre chose qui reste à comprendre (ici ou là à) un moment donné). nous disons que nous cherchons du dire crevé, percé, comme percé par en soi une pique qui viuendrait trouer une bulle de Verbe. nous cherchons à percer une chose devant soi, qui est une bulle de verbe, qui est aussi comme cette porte signifiée plus haut, ou outre, ou fenêtre, ou paroi, ou roche etc.le Verbe en soi dit la mort de base. on comprend cela comme quoi le verbe, le verbe déroulé dans un temps donné, dit cette chose comme avééeré , commae quoi nous sommes (serions) mortels. ou plutot : comme quoi nous avons la mort pour nous au bout du chemin. or que dire ? que dire ici et là sur cela ? nous disons que nous cherchons à bien comprendre ce qui est ici pour nous d’une sortye d’emploi du langage humain (animalier ?) en tant que tel. Nous pensons que nous avons à bien comprendre cette chose d’une sorte de parole comprenant la mort en elle en termes de chose avérée, certifiée, sûre de chez sûre. Nous disons que parler = asséner ce fait, d’une mort prochaine. D’où l’autorité intrinsèque du langage humain. d’ou l’autorité incluse en ce langage humain. d’(où cette chose d’une certitude affichée aux quatre coin d’un langage humain. Nous voulons comprendre cette certitude à la lumière d’un dessin de bete pariétal, ou d’une gravure de paroi, etc, et pour cela n ous nous approchons d’une sorte de porte devant soi, porte des embruns (dite) qui est devant nous ouverte et semble nous «aspirer». Que est-elle en vérité pour nous ? il y a devant soi une porte ouverte (à jamais ?) qui semble nous «aspirer» et nous pousser à nous approcher d’elle (simple curiosité ? aspiration a vérée ?) . Nous nous approcjhons. Nous voyons cette chose devant nous = une sorte de mort inscrite sur roche (effigie ?). nous nous approcjons de cette porte. une porte ouverte. une porte ici semble e^ttre ouverte pour quelqu’un en particulier. Nous nous approchons (à deux ?) de cette ouverture dans le temps qui est une ouverture dans le vent ou comment ? car ça souffle fort en ce lieu, misère ! ce que donc ici ça peut souffler de rage ! on se croirait tout en haut d’un mont ! on dirait un mont de rage ! on dirait un mont haut perché aexposé aux quatre vents ! Et noius de nous y retrouver ! que faisons-nous ? qu’avons-npous décidé ? qu’allons-nous décider de faire ? sauter à même le vide intersidéral éventuel de l’apres-seuil ? que décidsons-nous ? mais d’abord que voyons- nous ? pouvons nous décrire la chose, la comprendre et l’exposer ? nous voulons comprendre  ce qui est ici pour nous en termes de certitude inhérente à un la,ngage d’autorité. Est ce animzalier ? est ce autrement ? qui sait ce qu’il en est du langa ge parlé sortant de nos bouches ? humano-animalier ? ah certainement ! il semblerait que cette chose soit (ici) d’une langue humano-a nimalière de base ou par défaut, langue humano-animale par défaut, venant en nos bouches combler cette cghose d’un trou inhérent à nos natures. Nous voulons comprendre ici une chose vive, cette chose est une chose liée au Verbe. Nous voulons comprendre cette chose ici d’une sorte d’ouverture dans le sas du temps. nous disons que nous cherchons à bien cerner une chose qui serait comme relevant de données liées au temps = cette sorte d’ouverture en roche, cette faille dans le dur, cette excavation-fenêtre, ce passage des embruns, eh bien tout cela, cette chose entière, cet ensemble à apprécier, ce conglomérat de données serait lié ô combien à une sorte de pariole vive temporelle, à une sorte de vive parole liée au temps, à un temps imparti d’ordre musical. reprenons : ici nous sommes, nous autres (ensemble) des êtres qui nous avançons dans un temps donné ou imparti qui est  celui d’un temps de vie coctroyé. nous noius avançons = nous cheminons. et ainsi cheminant nous allons vers des lendemains, nous progressons vers des lendemains qui (dit-on) mènent à la mort inscrite d’emblée dans le paysage (pour ainsi dire) . nous disons ainsi que nos vies ont un parcours pour elles à devoir suivre et une fin brutale au fond du parcours ( à la fin). Or comment dire, icelui savoir, cette chose, ce savoir de basse extraction langagière en  nous , est savoir qui demande examen approfondi. nous ne sommes sqûrs de rien et cependant nouys l’affirmons ! nous ne pouvons faire autrement etre parlant) que d’affirmer . nous ne sommes pas capables en vérité de parler sans affirmer du dire. la chose est claire et nette, nous savons cela. nous savons cela comme quio pârler = toujours affirmer = asséner = approuver = conforter un dire de mort, c’est à dire un dire qui inclut la mort, c’est à dire un dire qui dit que la mort existe, et ne dirt que ça pour ainsi dire. Paerler szemble deès lors une gageure à la hauteur de nos espérances. nous voulons ouvrir un e voie pour un passage autre que la mort inscrite (ici même = le langage humano-animalier) et pour nous il est important de comprendre = prendre à pl;eines mains, à la sauvage, vivement, une chose de poids, cette chose qui est un massif de type temporel, de type animalo-temporel, soit un aurochhs (ou tout autre animal xde poids dans la balance). nous voulons cerner cette chjose, d’un dire «de la mort inscrite», d’un dire «fol;», d’un xdire qyui vous ravale, qui vous intercède, qui vous condamne, qiui vous cxharge, qui vous pl;ombe pour des décennies. notre but est de comprendrree en quoi le langage ne peut se sortir de l’étau de la mort inscrite en lui. nous voul;ons comprendre ici cette chose, cette vérité pour ainsi dire, temporo-pariéto-animalo-certaine, d’une sorte d’enclave à chercher, et à trouver, à même le temps. comment se sortir de ce guépier ? comment faire cette chose ici (parole de temps) sans se perdre et y laisser la vie ? Nous voulons «toucher» le Verbe (on l’a dit) quand bien même le verbe est une chose qui peutêtre n’est pas «à toucher». Nous voulons toucher = ressentir = nous approcher ou nous en approcher physiquement, etcx. toucher dans la vitesse. toucher par le train mené (le nôttre) vers elle, vers la mort, vers du temps, vers la mort induite dans le verbe via le temps d’une diction animalière. Nous sommes ceux-là qui cherchons à bien comprendre un certain nommbre de données particulières liées à un verbe qui serait un animal à graver xsur roche, et cet animal dit la plus  grosse des choses, qui est cet allant de vie massif en nous dont le nom (bizearrement ?) ailleures est celui de «mort» comme de juste ! alors même que non  ! nous disons pour nous, que laz mort ici, cette mort induite, n’est nullement la chose vraie qui nous attend ! non ! nous disons que non ! nous disons que cette chose n’’est pas  vraie ! nous disons que le verbe dit la mort de part en part (grosse chose à déposer) mais en vérité non ! nous ne pouvons pas savoir ! nous pouvons deviner mais quoi en véroioté ? La mort est une chose rude, inscrite ici dans un langage animalier imaghé, qui est ce langage des parois des hommes des cavernes. la mort est déposée sur roche instamment. il s’agit de bien co:mprendre ici cette chose rude (la mort) inscrite d’emblée dans nos gènes en tant que verbe de données de base, de données données. Nous disons ici cela qui est. Nous disons que verbe = autorité (de base) et que pareille autorité signe notre foi (intrinséèque et massive) dans pareil en nous langage humano-inculqué. Nous voyons cette chose de la sorte en nous et pour nous. nous disons cela comme quoi pour nbouys la vie est une donnée franche mais coton à comprendre à la lumière des donnéess inscrites df’emblée (à la naissance) dans le langage. nous voulons co:mprendre ce qui est au juste ici (langage humano-pariétal) et pour cela nous nous apporochhons tempoorellement d’une porte qyui semble êttre ouverte devant nous (puisque nous nous infiltons en effet !). nous nous infiltrons dans un sas de temps déployé, nous sommes plusioeurs, nous sommes ce «nous» qui s’exprime au nom de plusieurs. qui sont ces «plusieurs», ou plutot qui sommes-nous qui sommes plusieurs en nous ? Nous cherchons à nous approcher d’une sorte de «fin» de rage à dire le temps d’une vie impartie par la bande animzalière d’un dieu de la mort. nous nous infiltronstemporellement dans un sas de rage = dans un sas dit «de rage» à être l’homme ici (la femme) qui chante son tourment lié à des tourments paticuliers liés à de la misère : à être, à devoir passer, à souffrir, à endurer les ordres, etc. nouys voulons comprendre les données du monde offertes dans la roche d’un temps déployé pour une vie humaine. nous voulons cerner les choses vives, les toucher pour ainsi dire. Nous voulons aller au plus profonds des choses du monde. Nous voulons aller loin dans les arcanes d’une  vérité à devoir «toucher». Comment faire ? dans le temps semblke une solution mais comment nous y prendre au juste pour bien faire ? Nous nous approchons à force d’une vérité de bout de phrase, car lma vérité n’est pas donnée complètement mais y va de son déroulé temporel animalier (cavalcade) sur paroi de Verbe. nous cherchons à nous approcher d’une paroi de verbe. Nous voulons nous approcher ou rapprocher d’une sortye de oparoi de verbe = ouverture à l’iris, chant des autres, chant vif d’une sorte de mélopée sortant don ne sait où en vérité. il s’agit d’un chant dépl;issé , qui conduyit à aller profonsd, ou qui incite, ou bien qui pousse. nous cherchons à comprendre cette mélopée de base ce qu’elle est pour nous qui nous approcjhons toujours davantage (temps) d’une sorte de fin inscrite = écrite, qui sertait Vérité de rage, Vérité grave, Vérité incommensurable et comme éternelmle. nous voulons aller au bout de la phrase soit au bout d’une vérité affichée, certaine comme toute vérité, mise enfin sur pied et utilisable à jama is, mais nib de nib a ton dit ici ! nib ou tintin ! car vas-y à terminer la phrase ! Aucune phrase n’est (de notre vivant) possiblement terminable en acte. nous savons que cette chose est impossible. Toute phrase engagée ou démarrée aura sa fin de rage 

aura sa fin de rage dans les vents ! nous voulons comprendre ! nous cherchons à toucher à = à toucher à une chose = à toucher à une chose en dur = à toucher à du vif = à toucher à toucher = à toucher un corps nus, une nudité de base, un corps vif et nbu de base = un corps à aimer, etc. nous voulons toucher une sorte d’entité de base, qui serait pour nous du Verbe incarné, un verbe de poids = une parole qui (de fait) dit la vérité sans contours de quelque sorte que ce soit, sans faux-fuyant, sans paroles mensongères surajoutées, sans crainte. Nous voulons comprendre ensemble un grand bnombre de données liées à une vérité qui serait (pour le coup) corporéifiée de base (Amour des chants) et qui serait pour nous une solution (ou représenterait) à nos problèmes de vie et de mortenchevêtrées. nous savons cela (ici) comme quoi le Verbe ets une autorité passagère. Nous disons que pôur nous le v erbe pèse (lourd) et fonce que tu fonceras et à ce titre il est incommode, il nous enquiquine, il n’est pas facile à endurer etc. Je suyis un homme qui (en roche du temps) essaie de trouver parade , rune sorte de parade langagiyère (à ma façon) afin d’en finir avec  cette chose induite dans le verbe appris, à savoir avec la mort. car la mort est ce mot sûr , est cette chose induite, inscrite, à laquelle nous croyyons permanemment, indubitablement tous et toutes. notre foi est cette foi que nous avons en  ous concernant la mort. qui ne croit pas à sqa mort p^rochaine (un de ces quatyre), qui ? qui est là qui ne croit pas à cela en vérité ? qui est près de nous, qui donc ne  croit pas au mot «mort» ? L’animal ? hé hé on ne sait ! on ne sait pas ! on ne le sait pas vraiment ! on croit savoir mais quye sait-on ? les mots se chevauchent (chevaux) qui semblent nous dire des choses (nous tromperaient-ils ?) à force d’aller en ce champ de temps à la rechgerche cde données. Les mots se chev aucheznt dans le champ temporo-spatial d’un chant mélodieux qui est le chant des temps alloués dépliés, temps des dires fous déroulés, temps comprenant phrasé aux issues fatales (?) ou pas, mais qui semble voué à une sorte de tyerminaison de type «vértité» incommensurable. nous voulons comprendre cette vérité des chants xd’ai:leurs, cette mélopée (mélodie) de base s’élevant. où sommes nous enselmble ? que voyons nous ? que craignons nous ? que cherchons nous dans un sas pareil , fait de temps et d’espace méla,ngé ciomme dans la brume acidulée d’une sorte de verbe de fin de campagne, quoi  ? Nous voulons aller et loin et vif. nous voulons cerner et court et près. Nous voulonbs cerner au plus près les données langagières de base, celles-là que nous contenons en   ous-mêmes = ces données de rage animalière, ces données déployées dans un temps déplisszé pour quelques années. nous chgerchons à co:mprtendre ensemble (Nous) ce qui est ici d’une rage contenue (en nous) quyi sezrait du verbe dépôsé sur roche du temps. Nous voulons aller au plus loin possible de la phrase = de la vérité qui donc apparaitra de fait à la fin de la dictée. Nous nous disons que cette chose (d’une phrase élaborée et complète) est chose inatteignable. qui dit vérité dit phrase et qui dit vérité-phrase dit phrase terminée, complète, avec un début et une fin qui rendent kla parole contenue en elle , en, pareille phraxse, hautement intelligible. une véryté nécessite du temps = temps d’une diction, d’un déroulé, d’un xdépliement, d’un déployement, etc = du temps donné. Or ici on voit cette chose , comme quoi le temps donné trouve chute au moment précis où nous passerons (où nous passons ) l’arme à gaucghe. donc quoi ? on sait cegtte chose d’une mort pré-enregistré dans le langage de la foi dans le langage de la foi dans le langage lié (évoquant) à la mort (la mort). Nous voulons comprendre le langage «de la mort» en tant qye tel. Le langzeage «de la mort» est le v erbe rude (ici présent) qui sembkle «toucher» à ka roche du temps. KLe verbe en nous congtenu par la bande (animale = animzalière) est une chose qui (ici même : 

écrit) pèse de tout son pesant. nous devons comptrendre ici même = dans lke temps du déroulé verbal, cette foi induite, cette mort donnant accès,  cette foi induite en pareillle lan,gue inculquée, qui est la foi enn la mort, soit en la vérité de la mort, soit en la vérité des mots. Les mots contiennent des données de type vérités (des définitions, qui donc «finissent» les termes, les cklosent). Nous pensons que nous devons comptrendre la mort (et lke dieu en elle) à la lumière des définitions contenues en cxhacun des motds que nous e^mployons. kles définitions finissent les mots, lesz achèvent = les terminent. Les mots zont ainsi cernés. les mots deviennent des  vérités à part entière. les mots sont des stèles. sont commùe implantés dans des champs de raves. Nous cherchons à bien cerner ces choses de mots inculqués, de mots qui szeraient des bornes. Nous voulons co:mprendre des données vives (verbales) dsans kle chant, dans un chant de rage déployé, le chant) à même la roche transversale. Nous ne vou:lons pas subir ;le Verbe or si ! nous subissons intégralement ! Nous ne vouliiiions pas subir le verbe de lka foi, et pourtant voilà que nous nous trouvons ici pris commùe d’assaut par du   erbe de poids en nous, qui semble trépigner, nous en faire voir, nbous  mettree à mal. nous voulons co:mprendre cette chose ici (verbe en nous) d’une définition écrite en toutezsxlettres (aurochsc ?) qui serait celkle concernant la mort en tant que chose sans manque ou manquement, sans faute ou falsification, sans appui, etc, en cettte chose en nous d’uyne foi en elle; ou comment exprimer cette foi en nous contenue en une sorte de parade (printanière) d’apparat ? Nous voulons cerner kla mort, la cerner au vif, au plus près. notre but est de co:mprendre ce pour quoi nous croyons en la mort , en la mort et en la vie , et en d’autres choses de poids dit massif. nous voulons comprendre cette foi en nous en ces vocables : pourquoi ? pour parer ? pour tenir à distance ? occuper le terrain de la vie impartie et ce sans succomber au premier coup du sort ? pour se tenir aux branches d’une vie offerte pzar la bande langagière ? pour chasser les vieux démons ? les vieux et / ou les jeunes, qui sait ? pour tenir face à la tourmente des méfaits et autres faits de vie ? pour aller contre le vent sans devoir poser pied à terre ? pour «rouler» : roule que tu rouleras à roule-barricot ? pour chercher ombrage, ombre, ombre sur la prairie, ombre où pouvoir se poser, se reposer, déposer son barda de vie vive ? Nous sommes deux en nous (betye et bekllke ?.) qui nous approcjhons à) petits pas de la  vérité, à savoir d’une fin, d’une fin de phrase. notre but n’est pas de finir la phrase (et de co:mprendre dès lors le sens complet d’icelle) mais d’en avancver fisza dans lke temps, à savoir de percer la roche devant soi, de touycher la Chose qui se (ici) présente à nous qui creusons, et ainsi faisant de «trouver». De «trouver» joie = je = jésus= jean= le père = cette Chose rude (rugueuse?) d’une foi à être. nous sommes ensemble accrochés, qui allons fissa à fgond la caisse dans les remblais d’une sorte de foi à êtyre : est ce cela ? nous nous affichons comme ceux qui cherchent violemment, incxidement, coonscienceusement, finement ou pas mais vivement, etc, à cerner les données qui ici président cette chose d’une foi (intrinsèque) inscrite dans le Verbe «déposé» en nous comme présent d’offrande. A la une à la deux, renvoi, envoi, chose donnée chose due, chose promise chose déposé, échanges (à toi à moi) de bons procédés. je suis un homme (femme) déployé (= temporel) qui dit l’etre de la mort, qui parlant (foi en des mots de base incu

lqués) dit cette chose de la mort inscrite, de la mort en tant que croyance inscrite indéplaçable. Je pense (la mort) donc je suis (la mort). je pense la mort = j’y crois mordicus? Ou comment ? je parle-pense mots de roche, et ces mots en moi inculqué sobnt fixés et ne peuvent être déplacés, et voilà pourquoi nous avons «’la foi», qui est foi en du Verbe massif, pesant, pesant comme aurochs. avons nouy bien compris cette chose ? avons-nous bien cerné cette chose rude ? sommes nous assez fins et malins pour comprendre cette chose rude ? voyons-nous ce qui est asssez ? voyons-nous cette chose ici d’une sorte de foi intrinsèque liée au  verbe implanté en nous ? nous parlons le langage de la foi qui est le langage du «je crois», du je crois au sens inculqué (indéboulonnable) des mots. la foi est foi en  ceete chose (rude) des mots implantés. la foi est cette chose qui est cette chose i:mplanté et inculquée? je pense-parle et dès lors je crois, je fais avec, je ne peux me défiler «comme qui couillonne» mais bien au contraire je dois faire avec = je n’ai pas d’auttre cghoix que celui-là qui me voit croire en ceratins mots (tous ?) qui vont avec la vie à vivre musicalement = temporellemnent. croire = ici penser = ici aller dans un sas de vérité. d’où l’autorité intrinsèque du langage en soi : incontournable et bien utile en vérité il swemblerait... ou pazs ? nous voulons comprendre kles données vives, celles là qui appelent l’être. nous voulons cerner au mieux ce qui est ici d’une sorte de dire de vérité, ou serait ici d’une sorte de dire implanté, dire vif, nacré, implanté, enchâssé, en nous qui so:mmes ou sezrions des sortes de betes de rage, ou de betes-rage de première./ Je suis homme et homme je vais. je suis cet homme qui dit des mots de charge. cxhaque mot contient son poids de vérité soit d’uidentité. Je parle avec des mots d’a utorité. je pa rle-charge, j’entre en bière. je suis l’o:mbre d’une ombre d’un homme du dire déplissé à même le temps d’une virée. je compte les piquets de base = les mots dé»posés sur roche (autel) comme des offrandes. petits piquets deviendra grand ? petit homme pouussera céans et dira à son tour son dire de voix, son dire dur, sa chose lourde, son pesant de paroi, son vif déploiement avide. je suis homme et homme je suis = je suis homme du temps et homme je suis qui va de l’avant, qui seconde, qui chevauche, qui foule, qui vire, qui poursuit sa route temporo-spatiale )à même lke chenal des rues, des opassages, des routes de vie, dees passages ardus, des venelles, des artèresq, des trous dans la roche. notre bhut est de creuser kla roche du temps à la recherche d’une sorte de donnée de base rupestre. qui est là pour moi ? l’a n,imal cxhagrin ? le roi du monde ? un dieu malin ? une ombre ? un cri de victoire ? un cri ressemblant à un chant ressemblant à un cri ? qui sait ce qui est qui nous attend devant ? qui sait c e qui est qui devant nous fait son petit spectacle fou-fou et semble vouloir nous charmer, nous attirer, nous plaire ou chercxher à nous plaiore, nous «toucher», ou à nous toucher»? Je suis un homme des parois de rage à être, je cherche des données de poids, je veux connaitre cette chose ici dx’une roche remplie, pleine de verbe, pleine-comblée de verbe intégré à une gouverne. je me loge en  cette roche des temps déployés et là j’essaie de comprendre ce qui est au juste en ellelle, question foi, question pa rade, question parole, question mot de la mort à vivre. Nous ne sommes pas des êtres déployés pour rien sur le front de pareille roche mais tout le contrzaire, nous sommes armés xd’un pic de percée vive. chacun de nous ici se voit muni d’un pic de verbe à percer la roche= la roche du temps. chacun ici (de nous) se voit muni d’un pic à percer la roche du temps, à savoir d’un pic de bouche, d’un pic sortant de notre bouche à tous. njous piquons devant nous kla roche (le dur) du temps. ah c’est dur ! ça rigole pas ! c’’st pas si facile ! ça coince ! ça répond ! ça a du répôndant ! ça veut pas se laisserr faire si facilement ! C’est pas de la rigolade ! c’est pas du tout de la gnognotte en l’affaire ! C’est dur à percer, !ça résiste! c’est pas évident ! ça veut pas forcément nous laisser entrer , sauf qu’on wse doit d’entrer car on est là pour ça : on a payé pour ainsi dire ! On veut entrer tout du long dans ce dire fol d’une roche de temps déployé, nous voulons entrer en ce temps des temps,; en cette chose d’une sorte de donnée de rage dépliszée et prête (il sremblerait) à nous acceuillir convenablement. qui peut aider à nous placer de telle sorte que (enfin) on puisse entrer sans nous retourner ? qui sait  ce que signifie le mot ‘«dire dru», ou les mots de rage ici formulés en tant que mots drus, qui peut ou pourrait ? nous nous infiltrons dans un temps de rage qui est le temps de la vérité cha&assée mais l’attraperons-nous à temps, soit avant de succomber ? pas sûr ! LA bete est tenace ! Nous cgherchons. nous cherchonsdans les embruns, dans les vocablkes, dans un sas, dans un abri, dans lke Temps, dans un déroulé-déplissé-déployé actif. nous chezrchons à toucher» le verbe si tantt est et pour ainsi dire de biais.  Nous sommes (deux) qyui chgerchons à «toucher» icelui Verbe de mes cdeux dit on, car il s’agit d’un verbe de foi en la mort. Que pouvoir comprendre dès lors ? qsui est là avec nous pour nous guider sur la voie de la raison ? qui a compris le fin mot de l’Histoire ? qui pige vif et loin ? qui va loin en le disant , ou comment dire ici cette chose d’un dire qui irait profond et loin en même temps? nous sommes qui vopulons «toucher» le verbe de la mort de l’etre, mais comment en v érité ? car le  verbe de la mort de l’etyre est verbe vif, qui file vite ailleurs, nous échappe continuement qui nhe peut être rattrappé de notre vivant; Jez suis homme de la voix en mùoi qiuiu parle et dit des choses du temps. nous voulons comprendre les données de base ensemble (l’animal et moi) et pour ce faire nous avons à nous glisser subrepticement en cette chose d’une roche des attraits, roche du temps déployé, dureté incommensurable et cependant, cependant voilà ce qUI est : il est cette chose, comme quoi, ici, nous sommes deux (oui !) pour x et x recherches ininterrompues. voilà ici ce qui nous absorbe. nous cherchons s des vérités de poids qui aient assez en elles de pouvoir afin de nous permettre une échappée dite majeure en son wsein. nous voulons cerner kes données du sein en même temps que nous allons au plus lointain vers une lumière, vers une clarté qui est lumiàre (ou clarté) de vérité. la vérité n’est pas de ce monde, elle est du monde «d’après». La vérité (avec un grand V) est logée en dehors du monde sensible, de ce monde à nous que nous parlons continuyment sans nous arreter , or cette chose ici dit bien cette auttre, comme quoi la vérité du bout de la phase est juste impossible en ce bas monde connu de nous. il est fonda mentalement impossible de ne pas dire = de ne pas penser = de ne pasv poursuivre sur njotre lancée langqagière. colmment pourrions nous , voilà ce qui donc l’emporte en fait de pensée ou de dire formulé, voilà ici la chose, cette chose de dires inco:mplets, des parcelles, des carrés, des bouts, de la filoche,; etc, des petites choses qui, peutêtre, mises bout à hout, donneraient «qUELque chse», mais rien de moins sûr. njous nous disons quye nous devons comprendre cette chose de la mort, cette chose de la mort à l’oeuvre, comme une chose dépôsée sur un dezvant de pacotille (poudre aux yeux) quoique douloureux pour les yeux (pas seulement mais aussi pour les yeux). Nous nous avançons sur un chemin de connaissance qui n’est pzas facile à arpenter on le voit. les mots que nous avons en bouche portent en eux la foi qui les anime, les pousse à etre prononcés, etc. les mots que nous portons en nous (sas de vie) sont des animaux on le sait, du verbe-âurochs de rage, on a vu ça cent fois, sont des mots de poids qui font que voil;à nous sommes qUI restons (le Temps) en vie et ne succombons pas de sitôt a priori?;. du moins pour la plupart d’entre les hommes. Nous nous appretons à percer la roche = le temps , pour enfin comprendre un c ertain nombre de choses de poids, qui forcém»nt pèsent dans la balance d’une vie sur terre. nous perçons la roche avec du verbe. nous perçons le Temps avec du verbe. Nous sommes deux (bete et belle ?) qui perçons le Temps avec du verbe et cherchons à trouer la roche, à passer à travers elle fissa, à nous retrouver de l’autre côté comme deux perdreaux de l’année, fraichement débarqués comme des nouveaux-nés. le sommes-nous ? sommes-nous fraichement débarqués ? sommes-nous fraicheme,nt émoulus ? Nous arrivons ici (le Temps) comme des bébés couinant à l’envi leur cri de fringale ou autrte, d’inconfort ! Et nous d’y aller de nos recherches poussées ! nous cherchons des vérités de roche (temporellesp) qui puissent nous offrir de quoi respirer longtemps, peut-être à jamais, au sein d’icelui Temps wsusnommé. nous sommes deux en nous. nous sommes deux qui (en nous) cherchons des entrées. ces entrées sontt des sorties animalières. nous voulons tyrouver des mots de poids à même le temps et pour cela nousq nous faufilons par un interstice et passons la tête et rega rdons et que voyons-nous ? nous voyons des betes de poids qui se montrent à nous, qui tournent leur t^tete vers nous, qui broutent, en nous regardant venir vers elles. les betes sont des mots de rage. verbe fol. je suis ombre qui va sur roche et marque de mon empreinte (ombreuse) lke mot de la fin. je touche la roche à vif. je suis un etre de rage , de vie,  ‘ombre, fait de temps assoupi et de temps éveillé comme de juste, et ainsi étoffgé j’avance dans une vie dx’empruunt, sous nom d’emprunt (visible) et sous kle joug d’une peine (une) à devoir endurer de force. je m’appelle Espigolon, mon  nom est un nom de rage coutumier, il ressemble à plein d’autres noms formés par la bande, mon  nom est un nom de passage. il me syuit cdepuis ma naissance et prendra fin le jour de ma mort (il semblerait). Je suis donc porteur dde force (de gré ou de force) d’un nom qui dit non, qui revendique son opposition, sa contrariété. mon nom dit non à dame -sir la-le mort de branche c’est une évidence. je cherche à voir au mieux ce qui se trame dans une évidence mais ce n’est pazs si simple loin de là. BNous voulons «toucher» la mort via le verbe, oh la gageure ! Toucher la toucher ! la toucher toucher ! à travers le verbe, icelle mort des apprets, des faibles contrées. Nous nous approcjhons d’elle (la mort) dangereusement. nous ne voulons pas d’elle, nbous ne voulons pas de sa mécxhanceté, de sa vilenie, de sa monstruosité, de son allant de rage à être contre nous. Ce que nous voulons tient en quelques mots. Ce que nous voulons est une entreprise de salut public, de bonhommie, de bienveillance. notre envie est de creuser le temps devant pour comprendre kles données s’y référant , ou attelés à icelui temps des données incluses (via Verbe et consorts). je rega rde au loin ce qui me regarde. Je regarde au loin ce qui sembkle poser sur nous des yeux de rage à nous voir êtte. nous traversons , ainsi, des contrées, nous en avançons, et ce faisant nous alloons loin dxans les découvertes ruprszstres , et pas seulement rupestres. nous sommes deux en nous qui tenons la baraque et ce contre vents et marées. nous sommes deux en nous qui endurons la vie. la mort est prise dans les mots cvomme dfans un filets de haute mer. la mort est coincée dans le verbe prononcé de gré& ou de force (foi) et voilà pourquoi kla mort persisqte à être, à exister. a pour nous représenter l’enclave temporo-spatiale qUEE nous aimerions savoir (et voir) exister quelquepart. je suis l’homme du temps poussé dans ses retra,nchements, et au bout du compte il wse opasse quoi ? au bout du co:mpte il y a qauoi ? quoi a t on déniché enswemble ? au bout du co:mpte qu’avons-nous appris ? des petites choses tout de même ? sommes-nous des enfants du temps, qui déboulons incide mment sur la place et imposons nos dires fracta ls ? avons-nous de quoi nous retourner = vivoter un temps ? avons-nous pour nous de quoi prolonger le temps du séjhour qui nous est offert gentiment par la bande langagière animale en  nous ? Je vois ce qui est deva nt  : des mots, du temps, de la rage, du Verbe nonchalant, de la parole acerbe, du pipeau, de la hjoie, du je de base, de la nuit. je chercxhhe dèsq lors à comprendre cette nuit, ce chant, ces mots radicaux, cette foi induite ou incluse. les mots en nous obstruent le passage de la vérité plus qu’autre chose. ils gênent fortement fondamentalement. je chante la chanson des affres. Je suis ombre de paroi, je suis ombre sur la paroi, homme)-aurochs. qauand je chante je vois, quand je chante j’attrappe. J’attrappe un peu de cette chose d’une vérité saillante, contondante, vive percé ou perce-vie de rage (?), je ne sais, je cherche vigoureusement. je suis cvelui-ci (homme) qui s’inquiète du sort dee ses congénères, qui veut kleur bonheur, santé, prospérité, sur un air de fraternité, de joie pa rta gée (peut-êtyre). je vais vif en rocxhe et tente une a pproche. je veux voir la Chose sur pied. Je veux comprendre ces données de base pour moi et les intégrer à ma gouverne. mon temps est le temps  phrasé (fractal) d’un parler de poids intéreiur mais coulant de moi comme effluve, sortant vif de mon sein de bois. Je suis un qui vibre à vif, parlant dru, communiquant à tout va de rage, allant de son pas de charge sur p)aroi comme troupeau de rage à être. je com^prends la mort, sa colère. je trompe le monde avec ma trompe, avec icelui pic de rage, pic de rage à êztre, perce-vie de rage. mon corps est corps de passage, pourrira. mon corps est ce corps juste de passsage ici, qui un jour va (tu verras) pourrrir ici bas et c’est alors qu’un nouveau monde (pour moi ?) commencera, un monde nouveau fait de chants rupestres, de chevaux, d’aurochs herbivores, d’antilopes sur pattes fines agiles, de rhino. je chante à vif ma colère : car voilà la chose , cette chose, cette choçse ici, voilà ce qui est : je me meurs de rage. jhe suis homme ici ardu, qui cherche vérité aussi ardue, qui chezrche que tu chercheras une (oui) vérité de poids = qui le fasse» aux yeux de tous et toutes ou de toutes et tous. Je veux faire ainsi que des choses soient qui puiissent nous en inculquer et p)as qu’un peu. Choses rudes ! choses ru des et dures ! choses dures, rudes, rugueuses si tant est. Je veux dire ici cette chose comme quioi les mots sont à nous (en nous) comme le passé. le passé est en nous qui vibre, et ce faisant nous permet le don d’échange. les mots semblznt pareillement pouvoir servir à qui de droit, et à faire en sorte que nous (nous tous et toutes) puissions y voir clair un jour ou l’autre. y voir loin tout autant qqUE clair. voir au loin ce qui se passe = loin là bas, en bout de phrase, loin daans une phrase. nous devons comprendre ce qui est sur roche qui s’anime devant nos yeux et semblent parler en vrai. que dirt la roche septemptrionale ? que dirt la roche devant soi (la roche du temps)? La roche dit ceci : « je suis bete-mpot, je suis une bete, une bete-rage». je suis bete-rage» dit la roche, dit le temps. je suis une bete de rage dure». voilà ce que (donc) dit le temps, cette chose rude, cette chose ici gravée au pic de percé. je veux être un homme du savoir, aller dans une roche et trouver des choses qui puissent nous conduire vers des vérités de poids. on se dit que le temps est une vérité. mais en  vérité il n’y a pas de vérité qui soient au wsein du monde ici bas, seul le monde du très haut (lévitation !!!!) peut être pour nous le sezcours (en la matière) que nous attendons mordicus. que nous attendons depuis si longtemps à présent, que nous l’oublions, avons tendance à l’oublier mais rien du tout ) la chose est toujours ! le verbe est toujours présent en nous. nous parlons à l’emporte-pièce car les mots en nouys s’enchassebnt comme des piolets dans une neige  épaisse, comme pics de rage dans la boue, dans la terre glaise. les mots sont une enclave souterraine. les mots-bêtes en nous sont des mots de foi . les mots de rage en  ous ont de  l’allant, . on dit que des mots en nous auraient trouvé où se loger en nous, auraient trouvé» rzefuge, maison, une maison, voire deux maisons où pouvoir se loger fissa. nous voulons comprendre ce qui est ici d’un endroit idoine en nous pour une invitation (?) ou pour inclusion. je parle mots de rage à être vif (= vivant) et parlant je sauve ma mise (ce cheval) à :ême le temps? je ne suis cap de rien, ni capitaine, ni capo, je chante à gorge ouverte des chants d’une contrebande à être, je trompe le monde. qui sincèrement ne trompe pas son monde ? qui véritablement échappe ou s’échappe des fourches ? a-t-on de quoi (en nous) pouvoir filer à la gaillarde sur paroi et sortir des griffes de la mort à l’ oeuverree ? Je cherche une raison qui donnerait le piment nécéssaire à une vie de gré. Je veux comprendre le temps, la paroi du temps, les mots rageurs, le sang dans les veines, la Reine et son valet, le Roi surnuméraire, l’ombre des amants, etc. Qui est mena!çant ? qui menace ? qui veut nottre peau ? la mort a t elle ses agents sur terre et si oui njommés par qui ? je ne veux pas succomber à des menaces et me faire lyncher manu militari sur la place. Mon corps n’eswt pas un otaghe. je veux cerner  le temps du passdage à la cravache ici = en pissant le dire dru, en pissant que tu pisseras (contre un arbre ?) ce pissou de rage éhontée ou comment ? cette chose à faire de front, cette grâce, ce chant de pierre, cet aurochs gracvé, ce cheval s’ébrouant dans le temps. Qui comprtend en vérité la chose crûment ? la mort devant soi est ce verbe brûlant ses cartouches diurnes ! je vois la moprt devant moi comme une donnée belle tenace peutêtre mais bon : pas encore pour moi ! ne veux d’elle, ne la veux pour moi ! car : cette chose, ici, d’un verbe fol( tiré !) qui s’impose pas à pas, et donne son propre la de base (une musique des parois) à même un temps déployé funèbre, ou sinon funèbre déployé tout court comme une ribambelle, un ruban de joie, une ligne devant soi, un tracé de pas. je chante une chanson de la grâce à être vivant permanemment. mon corps est corps de pasdage à vif. betes en moi sommeillent qui cherchent issues. Suis je fier pour elles ? trop ? qui suis)-je ? sque sui-je ? que vais-jez être à l’avenir ? un chant ? un cri ? un mot de rage ? un braiement ? roucoulement ? Je vois devant moi qui s’avance un etre de rage, un etre de peu, un être vif, un etre de poids, il s’agit d’un etre de poids qui est etre vif , etre de rage vif des champs et des bois, j’ai nommé le CErf. oh voici l’être ! oh voici le Roi ! Il est majestueux comme tous les rois. Je vois ce roi devant moi, il en impose grandement, il pèse, il plombe, il impose son allant, il est vif, dur, coriace, debout, il pl;aide pour moi, pour mon salut en rocxhe des temps alloués. on dirait ccela, ici, qu(‘il plaide pour moi. plaide t il pour moi ? est il avec moi ou contre moi ? est il la bete azttendue par moi ? d’où sort elle ? d’où sort cette bete ? la bete a t elle assez de répondant pour tenir tête au dieu de la mort ? la bete en moi a telle assez de répondant pour pouvoir tenir tête incidemment à un dieu de roche vif, dieu vif de rochje dure, qui sezrait ce dieu des parois du temps , ou bien ce dieu des tourments, ou bien cet autre dieu du temps brûlé acqiuuis.... La bête est elle assez forte et musclée ? a t elle du liant ? de l’entregent ? assez de courtoisie pour savoir jouer ou jongler en société ? est eklle une betye morte ? est elle une bete plkeine de vie à déposer sur roche ? est elle géante ? un amas ? une grandeur d’ame ? est elle une souris ? est elle chargée de victuailles, prête à déposer icelles sur roche en tant que présent (temps donné) ? est elke une enfant (un ?) ? a ton en nous cette chose d’une sorte de bete à bois ? suis je vif et dru comme elle ? suis je enfant de cerf et de biche des bois ? où est l’enfant roi en moi ? où en moi se loge l’enfant de la roche, soit ce cerf des temps alloués, ce beau de la forêt, cette ombre sur roche? JE veux être pris pour l’homme contenant la bête. je voudrais ici êtrez consifdéreé comme étant celui qui porte en lui pareille bete de céans. Je suis Chevreuil, ourlé, pris à part, grave. je suis chevreuil : chanteur. je suis cet homme du brame. je veux «toucher» au verbe de la mort à l’oeuvre dans le temps, le toucher le toucher comme le bateleur les berges, est ce ainsi ? Je veux ici faire ainsi que mon nom soit recvonnu comme icelui d’un d’ici qui, en son nom de base, chante que tu chanteras la chamade, le tic tac du coeur, les mots de la rage à e^tre un homme cde la lande (comme l’aurignacien, comme le solutréen, etc). mon vcoeur est las de savoir cette chose (d(une mort annoncée, intégrée au paysage) et lutte de toutes ses forces pour contrarier la chose. je suis homme du temps qui passe : à cdevoir déposer sur roche (= vivre). je suis homme doux des temps définis comme étant ceux qui sont attribués (incessamment à la naissance = par la bande) à l’homme intransigeant = qui chgerche la vie vivement, absorbe, prend et se gonfle pour un temps. je v ais devant, je plonge, je nage, je suis l’ombre. il se pêut quye je sois l’ombre de la bete en moi , celle que je porte au fond (?) de moi et qsui porte le nom que je porte fatalement. j’ai nommé la bete des bois, le cerf aux razmures imposantes, racées. le cerf qui va sur roche (nonchalamment) toucher la paroi du monde. je veux être cerf. c’’est-àdire cerf géa nt, bete de la rage à êtrte bete dans un corps d(‘homme ou de femme des temps impartis. Je szerais la bete. Je serais une bete des bois. je serais vif comme une de ces betes fauves des przairies , un lion peutêtre ? Je suis un animal xde grande taille, je suis une bete rosse, je grave mon nom de bete rosse sur la roche. je ne traine pas, je suis sous l’influence conjugué»e d’une betye de poids et d’un homme de peu (genre qui en vérité ? saint homme ?). jhe tourne que tu tourneras le fil de ma pelote vive , qui est fil de voix, fil de Verbe, mots des chants, mots de la colère intéègre, mots du vent soufflant à travers le fût. Je suis homme du temps déposé sur la roche et ce pourquoi, pour déplacer les choses du monde, pour crever l’abcès, pour contrarier la mort, pour gagner sur le tableau des données de base, celles qui ensemble forment ce savoir de l’êtte, ce savoir du temps alloué à une vie humaine. je comprends les choses à moitié dirais-je mais enfin je trace, advienne que pourra, nous verrons plus tard à y co:mprendre un tant soit peu, à déchiffrer les hieroglyphes et autres glyphes ésotériques. je suis un homme qui cherche dans le temps une entrée en mùatière juste, vive, qui soit porteuse de vérités. la vérité ici est tout entière contenue , qui ne dit rien de plus que sa gouverne langagière d’attribut ou d’attribution. je pense la rage, je parle la rage, je pose la rage et tente ainsi de faire impression. est ce ainsi que les choses se passent ? suis je l’animazl des paroles ancrées ? suis je un animal comme il en existe au fond des grottes parcheminées ? qui parle en moi ? qui me cherche ? qsui veut de moi par la bande ? suis-je appelé à devoir mourir en roche comme aurochs de compagnie ? ou bien la fosse commune , le charnier, la flamme ? Que vais jkez être dans le futur  ejn tant que bêzte ? grilladou ? chaleur sous les tropiques ? venaison ? Je suis celui-ci qui s’avance à pas comptés vers une porte qui parait oucverte deva,nt lui? je regarde kles données repérables et essaie d’y comprendre quelque chose de patent. je suis sur une branche pour ainsi dire . attention à moi de ne pas tomber à la renverses, mais de bien m’accrocher à cette branche et de regarder ce qui est autour de moi qui semble advenir : parade ? corso ? cavalcade ? défilé ? une tribu passe. il s’agit d’aurochs rassemblés pour un but qui est d voir à se loger ensemble (cote à cote) dans le sas d’une roche du temps, dans un recoin où bon se loger, dans un coin de roche mùeuble. Je suis un homme des temps déposés pour faite accroiire. la question est là qui cherche à vouloir être formulée mais le temps emporte tout sur sion passage et ne laisse pas le dire se dire à sa guise mais le temps l’emporte, le temps a sa prpopre guise qui conduit le sens et repousse les assauts du dire animalier: est ce cela ? nous pensons quye kles choses ici se disent  incidemment à la mesure du pas d’un géa nt, qui est  ce méga-cerf de contrebande. je regarde au loin et vois la roche aux tourments, aux bahgarres, aux présents. qui me croit ? qui comprend les choses du temps ? l’emportement, la vague ? qui comprend la vague langagière du temps déplopyé qyui se joue des sens à sa guiuise et gêne grandement les miennes entournures si tant est, qui voit cette cghose ? qui comprend que les choses dites sonbt tournebouylées selon la guise d’une sorte d’entité (votive) appelée Le Temps, qui voit que le temps est cette chose ouverte devantt soi comme une découvertte ? je file à toute vitesse dans lke sas. je veux mon nom ici gravé en elle. Je comnble des trous. Je continuellement m’acharne à combler kles trous infinis du temps et ce par du verbe de roche, verbe vif destiné à comblker de joie la roche des temps = la mort, cette printanière entité de choix. Je comble en veux-tu en voilà kla roche et ses anfractuosités par des mots de rage (aurochsc, bisoons, cheveaux, antilopes, ours, lions, guépards, rhinbocéeros, b uffles, bouquetins). je comble de joie (de je ) le verbe nacré, le  verbe du temps déployé, le chant de rage, l’épopée. je suyis un chevreuil de raghe belle, ombre sur le pré, majesté tenace, roi du bala fon, roi des chants choraux, roi des musiquesqq des apprêts, roi du temps déployé à vif, sur roche dure et dans le sens d’une venue majestueuse, d’une sorte d’arrivée vers soi d’un enfant de la rage à être enfant. je suis roi de rage à etre enfant tenant parole. Je co:mmble les trous de la roche. hje veux comprendre les données de bvase: qui est qui, qui fait quoi. qui est l’enfant, qui est le roi. qsui menace, qui tourmente. Qui fait le bien sur roche dure. qui commble et qui ne comble pas. qui a pour moi les yeux doux de l’amour courtois et qui n’a pas. je suis homme au chant ficelé. Je tourne que rtu tournzeaers ma langue dans lma bouche : sept fois avant de trépasser, ou sinon non : mille ? Je suis homme)-cerf. je marche droioit. je ne tombe pas. je ne chute pas. je ne suis pas un ange de lma roche, ni démon des bois. je suis homme-chevreuil d’un temps dominé par les embruns. je cherche une faille = une ouverture de paroi. pour cela je parle, je comble de mots le temps imparti? je suis Verbe de la tête aux pieds. je suis du verbe incarné de la tête aux pieds; je cherche une amie dans les prés avec qui batifoler. je suis doux et fou, fou-doux comme jamais qui batifloe, qui saute à tout van, qui fonce dans la paroi, qui me joue du tezmps à ma guise. je suis un homme des parois du temps dép;loyé, je chante à tout crin,; je hurle ma rage à vouloir demeurer la bete du sang, des veines altières, du sas royal. Je ne tombe pas à la renverse. ou si, je tombe à la renverse. je ne tombe pas à la renverse ou alors si, je tombe, je m’affale, je m’affale de tout mon long, de toute ma longueur de temps déployé imparti à mon être animalier de vie. je m’afale sur prairie, sur pré vert de chez vert, je m’allonge, je suis long?. je cherche une voix parmi des voix. je cherche à capter juste. je chercxhe à faire un tri. je cherche à capter la voix qui parle àà bon escient, celle-là qui dit la vérité des choses des temps, cette voix amie qui sait. je cherche une voix dans les apprêts. je chezrche une voix de concert.

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23/02/2022

Je vois ce qui est devant moi comme un présent de contrebande. Il s’agit ici de capter des choses, des informations, qui puissent nous donner de quoi comprendre les effets et les données, les secrets et les atours. nous avons ici de quoi cerner pas mal de données et c’est la raison pour laquelle nous allons, pour laquelle nous progressons. ici = cette vie d’un devant de soi apposé ou déposé. Qui peut croire ici que le Temps n’est pas de l’Affaire ? Il s’agit du Temps perdu = le passé = cette somme. Nous devons aller au plus possibkle loin en cette reccherche de données cruciales. Nous disons ici que nous sommes deux qui cherchons volontairement (assidument) ce qui est dans ce qui se présente, à savoir ce temps (ou TEmps majuscule) passé soit derrière, qui est ce présent d’offrande. Nous ne sommes pas chiches de ne pas le dire. Nous sommes fichus de telle sorte (en nou) que nous avons à faire-dire cette chose d’une geste (un ?) qui soit celelui-ci que nous déposons devant soi, devant nous sur bosse, sur seuil, sur ce devant, sur un devant de soi qui fasse l’affaire et l’Affaire. qui nous croit ? qui pense qu’il comprend les choses de front ? qui sait de quoi nous parlons ? nous nous débattons gentiment pour la bonne cause des tourments ou de tourments à éviter si tant est. Notre but est de toucher aux portes de la vérité, et ce par la bande = le parler, le parler vivifié, le parler brusqué, le parler qui est du Verbe à la fois choyé et bousculé. Nous avons à percer un certain nombre de mystères de la vie (comme par exemple les données de bzase, les dites «données de base») et pour cela nous avons choisi une voie en particulier qui est la voie d’un dire bousculé = vif = accéléré = de chic , etc. Nous voulons dire= faire. Notre but ici est de dire-faire ensemble un certain nombre d’assertions de type votives, nous voulons creuser les profondeurs du Temps devant nous; nous voulons aller au loin armé de notre manche (manche  ou ma,nchon) à faire-dire des données, à dire-faire x données, des mots de réserve, mots-dits, mots faits pour un savoir à déployer. Nous voyons devant nous une porte. Décrivons la porte. Cette porte 1 est devant nous. 2 ressemble à une porte lambda. 3 est porte qui semble nous interpeller. 4 est porte ouverte pour nous faire entrer ensemble. 5 est cette porte que nous recherchions depuis longtemps en tant qu’eêtre humain. 6 est la porte parfaite pour des découvertes à mener ensemble (elle = la bête = la bête en moi, et moi). 7 je vois cette porte, je vois cette porte devant moi, je vois icelle porte devant moi, je vois que cette porte devant moi est porte ouverte pour un soi à déposer ici ou là, sur seuil ou bien à l’intérieur mais à proximité d’icelle. Nous disons ici que pareille porte porte en soi les attributs votifs d’une sorte (semblant ?) de Vérité majeure concernant la Vie = cette chose à découvrir sous l’angle d’une finitude inscrite à l’origine , ou aux origines. Nous voulons comprendre un grand nombre de données de ces origines, de cette origine native, de ces premiers pas de l’Ordre, etc. POur cela, nous décidons cegtte chose , d’aller loin dans la découvertte. pour cela nous disons que nous employons une technique particukière qui est celle de la voix rapide, qui est celle dite «de la voie rapide». Nous voulons comprendre ensemble. Nous voulons cerner ensemble et pour ce faire nous creusons dans la pensée ce dire-faire natif d’une voix (voie ?) rapide s’il en est. Voilà ce que nous faisons-disons. et aussi voilà ce que nous recherchons pzar de tels dires poussés loin et menés de front, à fond. Notre envie est vive de cerner des choses de poids c’est une évidence. Notre envie de dire vif des choses fortes-folles est là ancrée en nous comme un pieu, comme une arme. Nous savons que pareille arme a un sens et n’est pas vaine. Nous savons cette chose comme quoi la mort est devant nous comme une sorte d’ouverture vers de l’inconnu supra-sensible, vers embruns dorés, vers lumière tamisée, ambiance nacrée. Nous aimons ces ambiances de rave, de rage, etc. Nous savons cette chose là d’une rave à mener, à comprendre, à vivre, à user, etc. Cette chose d’une sorte de rave en soi, de partie de vie, d’ambiance au débotté. Nous voulons comprendre loin ces données de vie déployée sur des confins. Nous voulons comprendre au mieux ces données de base, ces dires majeurs, ces envies natives, etc. Nous creusons devant nous dans la pennsée d’un dire-faire d’envergure, d’envergure au sens où ce que nous fouillons concerne des choses de poids concernant la mort. Nous voulons cerner ces choses au débotté on le voit là mais pas xseulement, au débotté comme il se doit mais aussi à la cravache, vivement, durablement, considérablement, comme on le ferait d’une sortie brusque d’une route traversière. nous voulons compter les points tracés sur roche : claps divers, punctums, sites. Nous avons à comprendre tout un ta s de choses de poids à même la pareoi du monde, ce devant à soi qyi nous regarde, qui nous parle mais l’entenddpns-nous ? sommes-nous capable d’entendre celui-ci ? sommes-nous en mesure de comprendre dans les profondeurs ? sommes-nous de taille pour ce faire ? qsommes -nous capable de comprendre ensemble cette chose d’un parler de base, d’un dire natif, d’un vif aperçu, d’un dire de poids et de charge ? sommes-nous en mesure d’aller loin dans les données natives, dans les données vives ? sommes-nous en mesure de cerner au mieux les données qui se présentent devant nous en tant qu’elles sont données de paroi de taille ? nous disons que nous cherchons assidument, que nous ne voulons rien céder pour nos recherches. Nous nous avançons pas à pas de cette porte du devant de soi, qui est cette porte du présent au monde, et du passé mort déposé comme vie de Roi. Nous avons à piger vif, à cerner cool, à voir vite. à vite cerner-voir ce qui est qui se présente à soi comme une furie, comme un trait de vie à vif (comme entaille) et pour ce faire nous allons ensemble tout aussi vifs, vers porte de ce roi du monde, de ce gentilhomme des parois anciennes. Qui est-il ? qyi est ce Roi ? qui est le ROi ? qui est ce Roi qui nous attend (ou semble nous attendrte) de pied ferme devant nous qui nous avançons d’age en âge, qui est il ? nous voulons comprendre qui il est. notre but est de comprendrec ensemble qui est ce dit Roi des portes du vent. Des portes de cette chose devant soi ouverte qyui semblent une entrée vers quelque chose ? sas ? ou comment comprendre cette entrée ? l’entrée poour une sortie ? une sortie pour une entrée ? ou bien une entrée poour une sortie ? nous nous blotissons l’un contre l’autre (nous). NOus disons que cvette porte est une porte ouverte vers de l’avenir. Nous disons que cette chose ici d’un antre (troué, incurvé) est comme un dire fou. Nous pensons que nous devons comprendre ensemble ce qui est ici en roche du temps pour nous, cette chose d’une entrée-ouverture de roche, d’un trou bleu, d’une sorte de trou bleuté, nacré par endroits. Ciel ? ciel d’eau ? ciel de quoio ? bleu d’azur ? bleu de belle beauté de rave ? nous cherchons à cerner au lmieux les données de base se présentant. Nous voulons comprendre au plus juste ce qui est qui se présen,te à nous dans $la durée d’une vie octroyée impartie ou alloué par une bande pariétale v(vive, vive et belle). Notre envie est entière, est complète, est pleine, est formée, soit de chzair et d’os : elle remplit de fait sa fonction première qui est de nous donner l’allant de base à une course, à une entrée vivve, à un pas de plus, à pareille incursion immersive dans un sas de vie à vivre. nous disons que nous voulons enttrer en cette paroi, par la porte ici ouverte (de préférence et conjointement) et ce dire a du poids, pèse lourd, nous protège, nous pose et nous aide à poursuyivre sur nos lancées. Nous voulons cerner au mieux les données qui se présentent et comprendre ce qui est (devant) qui pointe sa tête, son museau de tanche, son avant de taille. Nous parlons comme des enfants car nous sommes des enfants. Nous parlons «enfant» car nous sommes des enfants qui allons à la recherche d’un trésor caché de préférence : caché de préférence et trésor de pré férence. Nous disons que nous voulons comprendre dans la profondeur des choses icelle figure de Roi, de REine, de VAlet, de chose et auttres dépla cées. NOUss voulons comprendre icelui roi de rage. ou icelle reine des apprêts. ou bien ce valet chantant sa romance devant nous comme un bateleur. il chante bien. il a de la voix. il chante longtemps. il ne pleure pas quand il chante. il ne chante pas pour rien car son chant s’infiltre en  ous qui nous mettons à danser, à remuer comme de beaux petits diables enfantins. Nous dansons la carmagnole, la gigue, la bourrée, la danse de saint gui, les pas de trop, la belle danse des arrêts. Nous ne sommes pas les derniers à vouloir bouger et nous bougeons ensemble main dans la main, nous entonnons le chant de la rage à être présent. Nous disons que nous aimons la chose, cette danse ensemble. Nous entrons dans la danse ensembvle. nous entrons ensemble dans la danse d’un parler brusqué, ouvrant des portes inexpliquées, portes d’azur et de royaumes ancrés dans un ciel de paix. Nous disons que nous sommes ici à vouloir comprendre ensemble un  certain  nombre de données de base relatives à des vérités de poids qui puissent nous éclairer da,ns notre marche vive (transe ?). notre but n’a pas varié depuis la nuit des temps. Nous cherchons toujours la même chose , oui mais comment à présent ? telle est cette question qui nous taraude depuis longtemps. Nous voulons comprendre ensemble icelle question de poids et de rage. quoi est en elle ? hein le sait-on ? hein savons-nous ? qui sait ou saurait ou saura nous répondre et où ? dans le monde de la mort ? dansq quel monde au juste  ? nous vopulons comprendre des données de rage, données folles, données vives devant nous offertes. Nous voulons trouver des choses comme des xsecrets enfin levés, des choses de poids qui nous informent coomme il faut soit comme on le voudrait = durablement dans la vérité. Nous sommes deux een nous, la porte est ouverte, un Roi règne avec une Reine et leur Valet. le ciel est azur et brille. il s’agit d’une ouverture. il y a des embruns, eau-forte. Nous pensons à ce qui est devant (vive voie, vive voix) comme à une entrée dans une matière. Nous cvomprenons= nous prenons contre. Nous voulons comprendre = nous voulons pprendre tout contre. nous sommes deux = nous sommes ensemble = nous sommes un ensemble =nous sommes une partie d’un Tout majeur. le Roi est devant nous qui nous regarde, assisté : Reine d’un côté, Valet de l’autre. Nous ne sommes pas venu au monde pour déchanter bien au contraire ! nous sommes là pour la bonne cause qui est celle d’un parler «tenu» de bout en bout comme une ficelle, un fil de soie, une ligne de partage, don de soi à Sommité (roi, reine et consorts). nous voyons des choses, et ces choses nous regardent également, nbous parlent à leur façon : sachons déchiffrer. NOus voulons comprendre les données du monde d’une royauté développpée aux confins du monde, instaurée. Nous voulons comprendre (nous = 2) cette Chose rude, ce chant de prairie, cette atmosphère embrumée, ce val de rage, cette rage à vivre au devant, cette ouverture vive de torrent, ce mal d’aventure, cette quoi au juste ? vive armée de mots de toutes sortes et de toutes provenance ? nous cherchons ce qui est ici devant = cette chose ouverte de la Mort des temps donnés. Nouys posons pour la postérité (une image) comme on se doit de faire cette chose là, soit là devant, là sur ce devant = pierre meuble, ordre des temps, seuil de bosse, porte des parents, caillou. Nous voulons comprendre cette chose d’une sorte d’entrée en matière qui est ou serait une entrée dans la matière. nous voulons comprendre ici même (seuil) cette chose d’une porte ouverte sur un au-delà de rage bu = consommée. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici d’une rage à être ensemvbkle nus, main dans la main, assoupis, vifs à l’intérieur car la voie va, elle ne s’arrête pas, elle poursuit sa route de joie. NOus voulons cerner ensemble des données de base, données de choix pour un savoir de choix, le savoir de base de la rage à être. Nous sommes 2 pour cela ! nous ne sommes pas seuls au monde, nous sommes deux à dire les faits = 2. 2 ici pour une dévcouvertte à mener de front, à compre,ndre = à prendre = à cerner = à toucher. Le vent souffle par l’échancrure mordoorée. Le vent s’engouffre, il vient de dieu sait où soit de si loin que nous ne savons pas d’où. nous cherchons porte d’entrée à un monde caché de nous. Nous cherchons la porte du roi et de laReine. la porte est logée devant, comme une sorte de paroi princière printanière : la prairie des prés, le vent sifflant, les bêtes paissant, les fleurs s’ouvrant, le chant grimpant. Nous sommes ouvertts également car nous sommes deux qui collaboraons en une sorte de corolle pour les découvertes. nous cherchons ensemble à comprendre soit à entrer. l’entrée ici se fait par lma bande = par du langage meurtri, ou sinon meurtri bousculé, passé au vif de notre moulinette primesautière. nous ccherchons ensemvlbe à cerner au vif les données du temps déposé au jour le jour. Nous donnons à Dieu (la mort : idem) cette chose par nous déposé, par nous passé = du passé. nous donnons de nous au fil du temps le Temps de nos vies passées, et ce temps devient présent , devient offrrande, déposée sur seuil de porte ouvertte = celle de l’après , de la vie après ou d’après. Nous voulons ce faire dire, ou ce dire faire, d’un dépot de «soi» (vif ? mort ?) sur table (?) d’offrande. Nous posons vivant (de notre vivant) le passé de soi consummé , sur table d’offrande = terre-mère s’il en est, et il en est : la preuve sous nos yeux ouverts sur un monde déplissé. Nous disons que nous avons à faire ce pas en avant ensemble vers la voie qui s’ouvre devant nous longitudinalzment. nous voulons toucher le Roi mais ne point en subir les affres. Nous disons que nous voulons comprendre au mieux ce qui est ici d’une voie royale : qu’est)-elle ? quoi est-elle ? où peut-elle nous mener ? quoi erst en elle ? que il y a en ? quoi en elle est ? voyez-vous comme ensemble nous cherchons la faille ? ce passage de destinée, cette faille d’échancrure, ce passaghe pour un corps de rage, cette chose d’une sorte d’anfracvtuosité dans la paroi , dans la pierre meuble, dans le sas, le voyez-vous ? Nous cherchons la faille-taille, nous cherchons ouverture de bas-âge, enfance donnée, vive parole échangée à même ce seuil déployé. Nous voulons toucher cette Chose là, d’un Roi de patience. Nous disons que cela est qui existe ici. Roi de rage, Roi des patries folles, roi du temps passé déposé , roi des Asturies. Roi du passé de la rage à être mis de base à l’’écart. roi du monde dit. Roi pour une infante assoupie. Roi divinatoire. Roi chaleureux. roi des patries marquantes et des parties manquantes. Nous voulons toucher (connaitre) ce Roi du paysage, ce roi-Reine avalisé, cette reine -roi avalisée. Ce chant de la terre, ce chant d’azur, ce chant de la colère, ce chant de rage, ce cjhant des parties fines, ce chant des touchers et des caresses. Nous voulons toucher la reine et l’embrasser. Nous voulons toucher le roi et lui dire (donner) l’amour que nous avons en nous pour lui comme une bête, comme icelle bête de poids déposée sur rocher (magdalénienne).= tout notre amour. Car l’ammour pèse ! oh oui ça oui ! oui l’amour pèse et pas qu’un peu : il fait partie des choses de poids, comme chair de rage ou boeuf de mont. Nous disons que nbous voulons donnertAmour à Roi. Nous disons que nous voulons donner tout notre amùour au Roi de la rage des devants à soi qui sont debvants comme des portes ouverttes sur un au-delà planétaire. notre envie est située à cet endroit et n’’st pas vaine. Nous sommes deux pour cette chose d’une voie à dénicher à même la paroi du monde. Nous voulons toucher la chose devant soi, cette chose d’un debvant à soi qui nous regarde, qyui nous parle, qui dit des mots de poids, mots de poids qui pèsent leurr pesant d’insanités rupestres on xsait cela (injures votives, etc). On dit que le mot renseigne mais le mot en  vérité (d’abord) vitupère ! et comment ! à la cravache jusqu’au firmament c’est dit ! le mot crie sa haine première (primaire) avant toutes choses ! il n’est pas là pour rigoler, il est là pour dire ce qu’il porte en lui de misère à être ! il panse les plaies (de bouche percée) au passage

 , il n’est pas pour faire joli, il pisse de rage. Nous disons cela comme quoi le mot vitupère au préalable, depuis longtemps, depuis la nuit des temps et des rois, etc . Nous voyons la chose à présent plus clairement concernant  ce passaghe vers un au-delà de prince et de roi de céans. Nous cherchons à nous y retrouver , et pour ce faire nous touchons la chose devant nouss, roi-reine des parois du monde, royaume des présences, des dons de soi à Auttre devant soi = la vie rageuse donnée de base à déité demandant du vif, du qui saigne vif = en vie, etc. Et nous de la couiller comme de juste ! la coquine ! la voilà blousée ! nous savons $y faire dans le faire ! nous savons nous en dépatouiller ou nbous dépatouiller de la misèère à être des qui sont appelész à devoir flancher. Nous disons que nous avons à faire-dire une chose ici (seuil de porte) qui est cvelle ici qui concerne une vie après la vie, via le passdage (rage) de la mort de base. la mort est porte, est passage, est entrée, est sortie, est antre, est porrtique, etc. passage vers un au-delà rupestre, prairial, salutaire, clair, vert, aéré, limpide comme une justice qui se tiendrait. Nous voulons toucher la Voix du père ! Nous voulons «toucher» la voix du père, les mots du ruisseau. Nous voulons toucher vif, cru, à même la rage,  cette voix du père éternel, du roi de sa rage dite, du Roi majeur des catacvombes, ce prince rentier, cet homme des tourments noyés, des tourments terminés? NHous voulons comprendre ici cette chose d’un vouloir toucher, d’un vouloir de base, d’un vouloir toucher voiiooix comme d’une base. Nous voulons toucher que tu toucheras, la toucher la toucher, toucher la rage à la voisine, toucher toucher la rage, cette voix de rage?. comment toucher Voix ? comment faiore cette chose ? Comment faire pour toucher la voix ? comment faire pour ici toucher la voix d’une rage à ^etre ? comment ici faire cette chose d’une sorte de toucher buccal (rectal ?) ou comment ? comment faire ? comment toucher une sorte ici de voix venant des profondeurs ? La voix en question est celle d’un père assoupi , d’un père éternel, d’un père des embruns, d’un père mordoré, d’un père pionnier, d’un père premier. Nous voulons comprendre les données qui président ici à une remontée des catacombes, chenal, pâssage étroit, sorte de conduit menant à pareilles vérités comme «incarcérées». Nous voulons aller en roche du temps comme à la guerre maiss non ! non nous ne devons ! Nous devons ne pas. Nous ne devons pas aller ainsi. nous devons conduire nottre vie en vie et la  mener à charge sans fausse maneuvre, sans p;lainte, sans douleur, si possible sans douleur. nous avons à comprendre des données de poids, à cerner le Mal dans toute son étendue de rage, à piger vif et bien ce qui est (devant nous) qui nous apparait : tronc ? buste ? tete couronnée ? sceptre d u temps passé ? colère ? nous cherchons assidumment à même le verbe jeté, nous voulons tracer des traits de rage sur roche des prés et dessiner l’arbre. Nous voulonsaller profond dans le savoir des choses déployées, des choses mises à portée. Nous sommes deux pour une entremise d’envergure princière (royale ? monacale ? pariétale ?) et   ainsi étant nous sommes qui allons, qui poursuyivons recherche, nos recherches assidues. nous ne voulons pas mourir car nous ne voulons pas céder car nous ne voulons pas rétrocéder, quoi ? notre vie de rage contre un mal de chien. Nous disons ici cette chose, comme quoi nous sommes deux pour une perspective longue, pour tracer des choses rudes, pour creuser l’abcès d’une vie de ragre octroyée à la naissance (pour nous deux). Nous voulons toucher-tâcher d’y voir et loin et profond? Comment faire ainsi que nous fussions deux ensemble à comprendre sur pied les raison,s qui gèrent, président, chapeautent le monde . Nous voulons cerner au vif = à la vive = acvec bon train et bonne allure = en vitesse . car nbous sommes deux qui nous disons que oa vitesse prime, primesautière elle vibre et dès lors prime, qui permet des sauts de rage, des écarts de voix, des passades, des entrées diverses en diverses matières déployées. Nous  voyopns la porte ouverte devant nouis. Nous nous approcxhons de cettye porte ouverte. dedans on voit des choses déposées. dedans cette pièce derrière, on voit des choses qui sont déposées. on voit des objets, des victuzailles, des dons divers, qui sont comme déposés à dessein, qii sont des offrandes à des dfivinités. Nous voyo,ns pareilles offrandes posées à même le sol qui est le seuil qui est la marche , qui est marche pour une avanncée. nous posons ntre pied sur cette marche. nous sommes proches (tout proches) de comprendre ce qu’il en est ici de cette entrée, de ce passage découvert, de cette bouche avide, de cette bouche de rage, de cette bouche gueularde, charretière, poissonnière, chant des parois rocheuses du monde, chant des tréfonds d’une terre grande, grosse de vie morte. Nous disons que nous voyons une chose rosse, cri de guerre, cri vif, cri des déportés de la misère, cris des hommes perdus, des femmes battues, des hommes pris, des enfants meurtris ou cris de qui ? les cris (le christ) montent (monte). Le cri est le cri du christ qui monte devant nous et vient nous parler de  ce qui est pour nous qui nous attend devant nous. je suis arrivé à destination princière, en  ce passage des tréfonds. je suis arrivé là avec en moi du dire de poids : chant des pertes, chute libre, bois des partiess pleines, mobile, choix de carême, plaintes ténues, bois d’ombre. Je suis là avec avec moi des ombres. Je suis là (sur roche = sur paroi) avec avec moi des ombres de poids : aurochs de bienvenu, mais surtout cheval ! Je trace; Je suis monté. je suis cet homme des temps premiers, qui trace à main levée des betes de poids qui en imposent grave, qui poussent à vif leur chant de poids premier, qui font obstruction comme un langage de vif affront; je cherche à comprendre en moi la bête de poids qui sommeille ou ne sommeille pas mais rêve ou ne rêve pas mais cherche à parler. jke cherche à parler pour elle ! je veux faire à tracvers moi parler la bête contenue en moi. Je veux  faire parler la bête contenue en moi depuis longtemps, dezpuis si longtemps qu’elle en fatigue et semble vouloir s’assoupir (s’éteindre ?) alors non pas ! ne pas ! que ne pas cette chose ! non et non ! Nous ne voulons pas qu’en  nous la bête en nous contenue (l’aurochs on l’a compris) s’éteigne et peu à peu vienne à flancher et meure de tout son long sur pareille pierre devant soi (la vie) comme pierre d’offrande.nous voulons comprendre «ensemble» (la b ete et moi) cette chose, d’une sorte de donnée de base, ou dite telle, qui sezrait cette chose d’un devant de soi monacal, sorte de paroi du monde, chaloupe, antre, arche, pour une aventure de recherche surmenée ou disons soulevée ou bien menée grave ou comment ? menée tambour battant à force de rage ! Nous nous infiltrons, nous entrons, nous nous faufilons, nous nous infiltrons ensemble, nous passons le pâs. nous sommes entrés dans un  temps de rage et de colère ancrée. nous sommes entrés dans le sas de la colère, de la joie à dire vif, de la chose vive, des vives données. nous donnons de nous l’invective, la haine, la voix rude, le coeur vif de vie pleine, entière, battante. nous voulons cerner les choses du monded’après. le monde est tel qu’il nous fait croire en un après, à une vie sur terre déjjà, au sens des mots commùe allant de soi, etc. les mmots que nous portons en nous son,t Verbe de joie  = Verbe des croyances en un sens avéré et attenant aucx choses du monde : la vie, la mort, le sang, la douleur, la parole, le cri, la peine, lma vive misère, les données rupestres, les aurochs, les chants, les cris pariétaux, les dessins donnés par la bande, l’art surnuméraire, le pouvoir de dire non, l’épopée princière, les appeaux, les traits de rage, les enfants qui cherchent et finissent par trouver le pot aux roses en  cet endroit qui est perforation, anfractuosité, passage dans la roche dure, trou de choix, perçage, ombre, ezntrée sale, pluie de verbe dans le sang qui va de son chant circulant. Nous disons du verbe alourdi de peines diverses, il es t temps de s’en alléger, et de pousser ailleurs l’escarpolette ou bien la chansonnette ! Nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici (roche-royaume de dieu = de la mort nommée) et pour cela, un mot un seul : l’entraille ! l’antraille dite, l’entrée dure, l’entrée de poids, le passdage en force par le sas. nous sommes ainsi nous deux qui voulons cette chose d’un passage en force ! NOus voulons ensemble pester pour traverser. soit pour une traversée. nous voulons ensemble (qui en nous ?) aller ainsi vers un ailleurs votif qui serait celui d’une vision globale = totale= élargie. comment s’éla rgir ? comment faire ainsi que des choses soient ainsi que nous le voudrions ? comment faire ainsi que nous puissions «sortir de nous» et toucher le père ? qui a dit que le verbe était nécessaire pour ce faire ? qui dit cette chose d’une envie vive de toucher le père devant soi = ce roi = cette reine = ce valet = trinité ! Je cherche avec les mots de ma tribu des choses de rage qui seraient comme des levées, des découvertes. Je cherche à même le verbe buté, je cherche à bloc, au débotté, à la vacharde, au vif canif, au tracé rugueux, au colérique. Je cherche à vif et ne m’en laisse nii conter ni démonter car je suis motivé = motorisé = mû = bougé = seconcdé par en moi l’esprit de la lutte  entièyre, pleine, formée ronde comme meule, douce et brillante. je veux être l’être des découvertes d’enfant  de ta rage. Je veux être l’etre d’enfance )àà être de rage une rage à être ! car enfance = rage. rage = enfance. rage à être = enfance de poids, aurochs et bison, soulèvement ! Je cherc he à comprendre les données du monde et agir = à agir durablement. je suis venu en roche pour compre,ndre les données (les dons) du monde, ce qu’ils sont et ce qu’ils ne sont  pas. je regarde aux alentours et du coup j’esszaie de comprendre ce qui se passe. pas facvile de toujours comprendre ce qui sexpasse. on essaie bien mais vas-y, essaies de comp^rendre vraiment les données du monde ! On rehgarde longuement, on essaie bien sûr de regarder, de voir dans la profondeur, de comprendre tout ce que l’on peut en fait de vérités mais ce n’’st pas simple car pour comprendre loin et profond il est nécessaire d’avoir un esprit particulier c’’st)à-dire bien affûté, bien tourné dans un sens qui convienne à pareille visée, il est nécessaire de se placer au monde ou dans le monde de telle sorte que des données puissent affleurer et s’ooffrir à notre gouverne. Nous testons en perma,nence. nous faisons de la recherche. nous voulons expérimenter, creuser des données, trouver des choses, trouver dans la profondeur, trouver le plus possible de choses dans oa profondeur. nous sommes nés pour cette chose et nous faisons dès lors cette chose d’une sorte de pratique de la profondeur. nous faisons pratique, ou en pratique, nous cherchons des choses, nous creusons une pratique. ou bien : élaborons une pratique. Nous sommes ensemble (deux = 2) qui cherchons à développer par le verbe, une sorte de pratique rudimentaire peut-êztre mais bien réelle , pour des tentatives de percée de roche, pour des tentatives de passage, d’entrée de rage . Nous voulons toucher la déité. Nous voulons toucher déité. Nous voulons toucher à une déité. Nous voulons toucher déité de pasdsage. nous voulons creuser loin et profond à travers la roche du temps qui est cette roche du devant qyui est cette roche d’un devant de soi qui est cette roche d’un passage acidulé verbal, qui est lui meme un passage à l’acte. Nous touchons là à une vérité de poids : nous sommes double = nous sommes doublé = redoublé = pris au sang. Nouis solmmes qui allons à même la roche à la recherche d’un xserment, d’une parole an,crée, d’un dit de poids ou d’évangile. Nous cherchons au débotté (à la gailla rde) à nous approcher (par la vivacité) d’une vérité qui serait native = naissante. La des vérités. la seule , l’(unique. Nous pistons, nous explorons, nous ne voulons pas lacher prise, nous poursuivons sur notre chgemin cette recherche de tous (ou presque) les instants. Nous voulons trouver ce qui est au juste à travers le v Erbe: le verbe peut il nous aider à y comprendre quelque chose de vrai ? le Verbe a)-t--il en lui possibilité ? qsui sait ce qu’il en est du Verbe employé par mla bande  ? la ba,nde est-elle de la bande ? est-elle minorée ? est-elle :majorée par les embruns ? a-^t-elle du répondant ? peut-elle induire des données de vérité ? est-elle majeure, mineure ? est-elle à vif dans le sang ? la bande est)-elle le sang ? 

La bande est elle dans le sang ? la bande est elle sang de vie ? la bande est elle sang de vie pour une vie libre à mener fissa ? qui saurait nous indiquer les choses, nous donner le sens de pareille donné de base ? qui est pour nous celui qui sait ? qui est-il pour nous ? comment le nommer ? nous cherchons à même la roche, à même la paroi du monde. nous voulons comprendre  ce qui est, ce qui est sur roche qui nous parle rude, qui sermonne. Nous sommes dxeux pour ensemble nous y retrouver et comprendre au mieux les données du monde. qui sommes-nous qui parlons pour nous, qui nous exprimons dans le dire vif d’une parole comme échancrée de base ? qui on est pour soi ? qui parle en nous à la gaillarde ? qui s’exprime durablement en  nous par le  verbe dru ? qui parle qsuand je parle ? l’épopée ? la pleine misère ? le chant de la rage à être ? muusicalement de principe ? comment parle t on ? parle ton par la voix dexs astres,? des prairies ? des prés vertts acidulés ? des chants d’azur et de beaueté ? Nous pensons que nouys devons ensemble chercher à comprendre les données de base rupestre à la lumière d’une voix qui nous serait donnée à la naissance par nos pèrres et mères, qui nous dirait de nous pencher durablement sur pareille roche aux apprêts, et là : écouter le chant d’une rage à être domi-cilié. Car ici nous sommes (terre-mère) sur roche du temps dans un sas de belle (bonne ?) aventure rupestre. Nous solmmes assis. Nous sommes déposés. Nous sommes sur le tas. Nous regardons au loin ce qui est qui semble se passer loin de nous. nous regardons au loin ce qui sepasse, loin de nous, de notre gouverne. il y a plein de choses déposées à même la terre, victuailles diverses, données vives, temps passé déployé, temps passé brûlé comme de coutume, et nous de penwsezr la chose comme quoi nous sommmes deux qui allons de concert à même la paroi du monde à la découverte des données princières, celles-là qui nous intéressent, mots de rage pariétale, mots des embruns,; mots de la mort à l’oeuvre, mots de la fin. Nous voulons cer-ner ensemble (corps à coeur) les données qui sont devant nous déposées comme des offrandes : temps passé brûlé, chose de la rage à être, prime sur l’éternité. Nous savons des choses à force. Nous avons à force compris certaines petites choses du temps, nous avons enfin à force pigé x petites choses du temps donné qui est le temps brûlé= le temps mangé = le temps perdu. nouys voulons comprendre ensemble ces choses rudes, les pousser au plus de leurs retranchements diurnes. notre volonté s’inscrit dans un projet. il y a ici choses et autres qui sont ou sezraient à devoir être dites mordicus (Verbe aidant) et voilà ce à quoi nous croyons (notre foi de rage) et ce à quoi nous voulons porter pareille foi, ou nos efforts, nos envies. nous poussons loin. nous allons au plus loin possible que nous pouvons. Nous eessayons de forcer la roche et la dose et creuser profonds  pour des connaissances à faire affleurer à la surface d’un dire de pâix. nous filons ! nous filons le ruban de l’âme ! nous foulons ! nous foulons la terre première ! nous cherchons à nous carapater ou comment dire cette chose d’un vouloir particulier visant à se cacher, à vouloir se cacher, à chercher cachette, à chercher salut dans le verbe dru. nous sommes ensemmble qui nous promenons sur un chemin. ce chemin est une voie qui mène à  un au-delà pariétal. Cet au-delà pariétal est une cachette (ok) qsui nous concerne, nous intéresse, nous  parle, nous regarde, nous espionne peut-êtrte, nous parait convenir à nottre gouverne si tant est. nous voulons nous libérer d’une emprise rupestre, nous cherchons la libezrté. notre but est de traverser à travers la roche, de la dépasser, de creuser entaille, de passer, et de nous retrouver de l’autre côté et là de toucher le pere éternel, voix rude (?) qui parle dru à nous qui sommes des enfants devant le firmament. nous disons que nous devoons comprendre ensemble (main + main) des données princières = primaires = premières liées au Verbe d’un élan vif. nous faisons ainsi ce parcours de vie dans le verbe. nous poussons de rage nos savoirs comme des données à déposer sur seuil de cdemeure l:ouée. Nous disons que nous devons louer pareille demeure, glorifier  l’antienne, hurler de joie-souffrrance notre avancée en pareil sentier. hurlons la demeure, ou : hurlons pour la demeure ! faisons fi de notre santé appelée à succomber quoi qu’il advienne ! Nous devons penser à nous protéger du verbe continu qui semble menacer à vif notre vie interne de rage, qui semble vouloir nou$s toucher à vif et nous faire chuter. Nous sommes des enfants dans une grotte. nous parlons pour comprendre le monde. nous pen,sons que de parler ainsi (à brûle-passé) peut de force nous aider à comprendre le monde au mieux, c’est)àdire les données premières , c’est à dire ce qui nous attend «dans la mort» car on dit cela (on le croit) que sommes appelés à devoir y passer un de ces quatre. Nous pensons que c’est lma vérité? que la vérité des choses est logé e dans le v erbe, dans ce qui est dfit. misère ! que ne croit-on pas ! Le verbe est salutzaire mais point da,ns le sens où ce qui est serait dicible ! oh misère ! oh enfa,nce de la pensée à jamais ! Nous passons par un trou d’aiguille et nous sommes à présent comme de l’autre côté, à savoir côté pair. nous voulons cerner des choses liées à des vérités de poids. nous parlons pour dire icelles. nous pensons que de parler (de raisonner) aide à comprendre, à savoir, à naviguer, à aller, à marcher comme des jambes aident. mais la vérité c’est que des jambes aident davantage. nous pensons que cette chose de parler induit la vérité, permet une approche (à chaque fois renouvelée c’est à dire repoussant la chose ). Nous pensons que de parler et de penser, est chose de base, est chose de poids , chose pesante = lourde = quoi ? nous pensons que nous devvons parler (penser) pour prendre avec soi un paquet de chose de poids. nous pensons que nousq avons pour nous cette chose (rude, vive) à faire tout du long, qui est  de penser-parler le monde, de penser-parler icelui ici, en allant, repoussant par le verbe au loin ce final jamais en vue d’une verité qui se puisse être dite enfin et une fois pour toutes. gageure et anerie font bon ménage ici. la chose est classée. le dire dit «de vérité» sé’éloigne à vue d’oeil. il file da ns les profondeurs des limbes de la vie sur terre. le sens est perdu qui n’a jzamais été pour nous donner de quoi dire «c’est fait, nous savons, la chose est ainsi». Jamais de la vie. nous pe,nsons -parlons pour en rajouter dans le dire qui, accumulé, éloigne le dire du vrai. je pense donc je suis la chose, or que suis-je d’autre que ce verbe déployyé (le temps suffit) pour une gouverne en sainteté (odeur de sainteté ?). je cherche à comprendre ce qui est dans ce qui se voit mais impossible car la vie ici est telle que le temps brûle son allant de rage au fur et à mesure que nous a vançons ensemble en age = concomitament dans le  VErtbe cru. nous croyons. Nous pensons = nopus croyons. Penser = croire, évidemment ! il s’agit ici de voir la chose comme qyoi penser-parler induit la croyance en du verbe sensé or inutile (presque) de préciser cette chose comme quoi le verbe est avant toute cghose du massif de base, rage vive à déposer sur terre-mère à la volée (le temps aidant) comme un dég&agé des limbes, comme un déployé des sens, comme un homme délivré dee sa gouverne printanière. hje cherc he dans le dsang le mot de la base.  je cherche dans le sang perlé, le mot qui pose, qui pousse, qui enchaine. hje suis homme des parois du monde et je cherche dans le sang des choses qui sont (ici mêmme) les choses 

de la joie à être. le sang porte en lui le nom donné à la naissance. il s’agit de cette chose d’une donnée rude, vive comme les  pluies, vive et belle, belle bête s’il en est, qui vibre, qui pousse, qui permet d’en avancer fissa sur le chemin de notre destinée, etc. Nous savons cette chose ici comme quoi la vie est une destinée de rage, qui va du point a au point b en poussant des cris de betes massives, des cris forts de betes des bois et des prés, comme aurochs, comme cheval, comme bison, comme rhinocéraos, comme cerf de grande taille. je pense ici = je parie sur l’avenir = j’extrapole = je pousse dires et gestes au loin comme une coupole lancée comme à la vol:é. je suis sport. je chante. je suis cet homme qui va de l’avant dans un dire affolé qui vibre et s’implante sur terrain approprié comme est le temps de la durée d’un verbe attaché à une pensée. je suis homme qui compre nd ici les données posées ou déposées à même l’herbe. je tomberais à la renverse, je serais piégé, je serais piqué par la mouche tsé-tsé ou par quelle bête inoculant son venin acide meurtrier ? par quelle autre bête filant sa toile , par quelle autre bête de poids ou de charge ? Je suis homme des apprets de base, on voit cela, on comprend, on devine, on voit ce qui se trame, on voit les données de base qui se p^rofilent et semblent nous adresser comme une parole de destinée (de sainteté ?). je sens venir l’ombre sur moi. je vois venir le verbe sur ma gouverne. je comprend que des choses se passent par-devers moi. le temps se déploie par la bande. la bande est celle-là qyui me voit aller de guingois dans le Verbe. où se loge t elle ? dans un sang des rois ? dans le sang bleu d’une sorte de reine primaire,  cherchant querelle et me sermonnant comme un enfant ? qui est ici qui puisse dire ce qui est pour  de vrai ? qui sait la vérité des limbes ? qui connait le mal à être soi pour soi ? le verbe est il porteur (en soi) de connaissance ? le verbe a t il pouvoir sur nous ? saurait-il nous indiquer la marche à suivre, le trajet à empruunter ? le mal est il logé ? la peine (la douleur) est elle à  devoir etre ? qui sait ce qui est du verbe en nous contenu ? qui parle pour moi ? qui me parle et parle pour moi ? est-ce u ne mère ? esdt ce un père ? est ce la voix du Verbe attenant à soi ? est ce une misère ? un monde ? le monde ? le portrait craché d’un monde ? je cherche à comprendre avec (ici) les mots qsui me tombent et me portent et aussi me soulèvent et ausdsi me prennent et aussi m’amènent au loin, là-bas, champ d’azur et de betes boisées, les biches nacrées me regardent. je suis homme déployé par la ba,nde en moi langagière. Je suis homme langagier, dit homme des contrées vives, homme vif dxe verbe employé, homme du passé brûlé (calciné) comme charbonille. je tombe de mon poids d’aurochs offert du fait que je suis à même (incidemment ) de pouvoir parler en veux-ttu en voil:à à même la pierrre. qyui suis-je d’autre que cela, cette pierre, ce sang sur la pierre, cette pierre d’apparat ainsi «décorée» : qui ? je suis un homme qui, sur pierre (monde) pose, le présent attezndu par la mort à savoir la vie, mùais ici la vie n’est pas à proprement parler la vie mais «la vie passée», soit le passé brûlé, consumé, le passé de soi comme mort, vie de soi sans vie, etc. je tombe sur le sol , me ramasse, me relève, va = vais. Je suis ombre et homme des parois du monde adjacent à celyui que nous vivons. Je regarde la porte s’ouvrant devant moi à mesure que jh’avance sur ma voie. je regharde au loin et voit la biche, le chevreuil, le cerf, le méga-cerfg. je suis cerf mùoi-même. je touche au but. je touche avec des mots de base qui sont mots de rage rupestre. jhe veux dire ici cette chose d’une voix de base menaçante, voix qui hurle à la mort d’un juron de poids monacal : bisque rage !  Je suis homme au parler ardu, critique, perlé, parfois vif, parfois vil, etc. je cherche à comprendre ce qui est ici, les enhjeux de race première,;, ces données de poids, ces données de vie riche. je fou;le la terre , je m»’e,nfuyis pour ainsi dire. Je suis homme qui s’enfuit dans du verbe de poids salutaire, dans du verbe dru, récolté, rassemblé, assemblé, mis comme par paquets de dix. je cherche une entrée de voix. je cherche assidument un passage pouvant donner de quoi ou vers quoi aller. je suis cet homme qui, parlant, pousse une porte,  cette porte porte un nom de porte = «porte»; je veux. je cherche. je veux savoir. je veux comprendre le xang, la chose du sang = l’être, le chant du sang, le chant sanglant du sang qui se faufile par les anfractuosités de l’être. je comprends. je cherche à savoir. je file. je cherche à comprendre loin. je veux cette chose. je veux faire cette chose d’un savoir de dires durs, d’un savoir lié à du dire dur. je veux faire cette chose de savoir et de savoir loin et long, longtemps, vif, comme un homme qui serait nanti, qui serait muni bel et bien d’un dire de poids, d’un xdire pour des embardées salutaires à même une paroi de roche à graver, à peindre, à percer. je sens cette chose qui en moi renâckle, qui szerait bete soit la bete-mot contenue e,n moi. je cherche à comprendre ce qsui est en moi qui serait pour moi une sortye de gouverne animalière et cette chose l’approcher par du verbe dru = dur = vif = porté = mené = déposé = posé = donné. je veux aller ainsi vers des savoirs qui puissent me donner l’élan, l’élan suffisant pour une incursion à faire en roche à deux : la bête et moi main dans la main pour ainsi dire. sauter le pas. franchirv les obsctacles posées devant soi; sauter les bouts de bois de la foret qui jonchent le chemin de destinée. Je suis sur ce chemin de destinée, je file vitesse grand V. je cherche à comprendre ce qui est qui devant moi se pointe à vif comme une pointe . vit ? vite venu ? vite venu à moi comme un geste de bienvenu décoché ? je cherche à comprendre ce qui est cde ce que je vois se tramer. la pensée rédige. l’homme en moi déplace la pensée vers un dire animalier de bien venue (de bonne renommée). je suis à xdép^lacer une pensée de poids (plus ou moins salutaire) vers du verbe ancré, ou vcers un sentier, ou vcers sentier de cverbe déposé. Je cherche à comprendre ce qsui est pour moi dans le  verbe soit en moi cette bete de poids qui cherche à pa rler;, mais comment peut-elle ? comment faire pour ainsi faire que les choses soient et restent ? comment faire pour soi (en soi) faire parler la bete ? quelle est-elle ? suis je en moi pôrteur d’icelle ? qui est cettye b êtye ? quel nom a t elle ? quel nom porte t elle ? a t elle un  nom que je connais ? le verbe est il inné ? est il donné ? est il appris ? est il induit ? est il déposé ? est il donné comme le présent du temps ? est il Verbe de peu ? verbe de poids ? verbe sauveur ? verbe contenu dans le sas de la vie sur terre et pas au delà ? a t il des ramifications dans l’au-delà ? est il du verbe de paroi (aurignacien pour votre gouverne) ? est il verbe d’un don de rage ? est il poussé ? est-il tiré ? est il aspiré ? est il soufllé ? est il contenu en nous ou hors de nous contre vents et marées ? est il verbe des loiintains parages ? est il verbe traversant nos corps comme un instrumment ? Suis je bete ? suis je l’idiotie première ? suis je ab ruti ? suis je con comme une lune p;leine? croissant ? quartier ? suis je con-con ? suis je à emplatrer de première ? dsois-je vivre longtemps ? suis je fait pour vivre ? suis je fait pour aller loin en pareille voie ? suis je fait pour toucher au verbe vif, monacalement logé, emprunté à qui vous savez, etc : suis-je celui-là ? suis je un moi ? deux ? suis je en moi deux moi ? qsui gouverne en moi = qui parle et conduit le mobile de vie ? qui est qui ? qui en moi comprend ce qyui est ? qsui de moi sait ? qui sait de moi ? qui de moi sait ce qsui est ? qui sait de moi ce squi est ? qui en moi regarde ? qui voit en moi profondément ? qsui en moi voit ce qui est que je szerais? qui «en moi « (où donc ?) voit ce qui est que je sezrais ? qui peut avec des yeux voir ce qui (en moi) semble être logé ? squi pour moi peut dire ? qsui pour moi sait ? qui pour moi peut dire ce qui est qui semble se tramer en termes de santé à vivre ? qyui connait la destinée de tout un cxhacun sur terre mère ? qui parle pour moi ? qui est là pour moi parlant ? qui est là pour moi qui dit ce qsui est ? qui pour moi est là qyui parle en moi et dit ce qui est de moi = ce qu’il en ressort ? qui parle à travers moi, mes dires, le verbe, les dessins de rage sur pierre d’oofrande, tout ce passé mort déposé en voulant faire accroire à une déité que le passé est vrai sang de ta race. Je suis celui-ci qui cherche à comprendre un certain nommbre de données de base = de poids , qui puiissent dès lors que ça pèse donner directions. Je vois ce qui est devant (le temps) comme une sorte de voie à emprunter fissa par la bande (sanglante) du temps. je suis homme qui s’avance sur p)areil sentier et fonce que tu fonceras , tête première, vif éclair dans la nuit des temps, à la recherche d’une voix. la voix Premièere. Mot des mots. Mots des dires fous de rage. mots des voix qui péèsent. je regarde cdevant moi  ce qui est qui semble aller de soi et nous donner du fil à tisser, et ce que je vois est ce fil xde soie, ce fil de rage, fil fin d’une rage à être vivant par la bande = le verbe = le cri = le christe = l’oint de destinée. je me place ainsi en ces parages, à l’abri du vent qui souffle fort. je regarde de biais et comprends ce qui est ici en matière de donnée primaire : le vent, le vent dans les voiles, souffle que tu souffleras, le vent vif qui cingle le visage, le vent sifflant. je vois devant moi cette ombre portée qui vient jusqu’à moi, m’effleure, me touche crûment, cherche à m’emporter, à me rapter. Je  suis l’homme là du la de la bande, du la la la d’une bande en soi, chant menu, chant fin, chaznt doux, fil de chant de soi, chant de rien ou de si peu. je vois  ette chose devant moi qui est entrée de rage dans la matière. hje veux savoir, et cela que je veux savoir existe ici en gra,nd devant moi sous la forme d’une bête gigantaesque, la bête des bois, le cerf mèga-grand qu’on l’appelle, ce grand des grands cerfs, ce cerf géantissime, cette bête de forte prestance et assurance-présen c e.Je regarde icelle. ma voix porte. le temps file vif. les mots viennent se loger dans un sas de roche dit «magnificient»». je pense à la bete belle. je suis ombre. je touyche la bete belle. je regarde icelle devant moi et m’en approche. il s»(‘‘agit d’une bete de poids qui sepose là , en impose, dit son dire fol, peuple laterre. je vois icelle devant moi et essaie de la comprendre soit de la toucher. ma main s’approche d’elle. je ne tiens pas à l’effrzayer. je veux être un ami pour elle, bienfaiteur, ami doué, jeune pezrsonne apprécièe par elle, seigneur . je veux être un seigneur pour elle, un joli être d’approche sensible, caline, pas brusque, doux d’allure, etcx. que la bête ne me craigne surtout pas mais au contraire qu’elle soit en confiance, qu’elle vienne à moi sans crainte, qu’elle vienne à s’approcher de moi sans crainte, en toute confiance, doucement et durablemenent. la bete- chevreuil, la bête)-biche, la bête-joie, la bête-mot, la bete-mort ou comment se nomme-t-elle ? Je suis l’homme des parolesq déposées sur roche, magdalénien, aurignacien, solutréen, ou plus loin néandertalien de rage. je m’approche de la bete incidemment et je cherche à lui parler ou à la toucher, les deux. à toucher-parler ensembvle une bete des bois de la rage à être?. mon nom est le nom de cette bête. je connais mon nom , il est celui de cette bête. mon nom est exactement le nom de cette bête, de la bete devant moi qui se présente comme un temps donné. mon nom de base est nom de bête. je cvonnais le nom. ce nom est logé. il siège. ce nom est contenu. il préside. ce nom est un cap de rage. ce nom est capitaine au long cours. ce nom est un nom déposé pa r la ba,nde en un antre de rage. ce nom (mien) est tel que la bete le voit (dezvcant moi), le sent, le subodore, le renifle, le lèche etcx, comme une chose en soi dépôsée devant. je suis l’homme au nom animalier, porté par la joie à être un homme rageur, d»éployé dans un temps tout aussi rageur. je suis l’enragé de la bande, homme)-cervidé, connu, cherché voire recherché par d’autres cervidés de la lande. il se peut que je sois nommé par la ban,de. par la bande animalière. par un nom d’appret. par un  nouveau nom de ta race : le nom apposé comme une main qsur paroi de roche . nom surnuméraire ? nom donné par les embruns ? par les betes paissan,t ? par la roche elle-même ? par un dieu de foi ? par la bete en col:ère ? par la mort ? par lma mort en vie ? par une mort en vie contenue dans la vie ? par la mort en nous contenue ? par en nous une mort contenue ? par en nous lma mort vive ? par en bnous une mort vive ? par en nbous la mort qui vit ? par en nous une mort vivante ? par en nbous une de ces morts vivantes qui siègent en nous comme une gouverne princière ? qui loge en nous en fait de gouverne ? qui en nous se loge en fait de gouverne princière ? le grand manitou ? une huitre perlière ? un prince ? le prince ? le Roi ? le roi des parois de rage ? rOi aurignacien ? roi madgdalénien . roi néandertalien . ? Roi de céans ? rois des parages, des parades ? quel est donc le roi en soi qui pèse, pose, siège et parle pour nous ? 

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21/02/2022

je suis homme de peu à la recherche de données diverses. je vais et je viens ixci et là, car je suis avide de données de base pouvant éclairer ma lanterne. je suis présent en tant que je suis celui-ci qui cherche avidementt des données (dites «de vérité») de par le monde et pour ce faire j’entre comme en religion ici-même, ici = en ce sas, de temps imparti. Je vais (fonce) dans le tas. je ne suis pas en reste de foncer  brusque, d’y aller franco, afin de pour le coup trouver ici des données (dites «de base») pouvant éclairer incidemment et notablement ma lanterne. je suis donc icelui, l’homme des recherches vives, trempant sa plume dans l’eau de la vie  ou de la vie brusquée, cherchant données de la base et du sommet à même le Tempps déployé. Je suis ici celui-là qui cherche volontairement à comprendre ce qui est qui vient à nous soit devant nous, et ce qui est est cette chose d’une sorte de «donnée», vive, brusque, déployée etc, qui semble nous «ouvrir des portes» sur des vérités soit sur des vérités de poids. que sont ces données ? ces données sont des choses rudes on le sait. Des choses qui en imposent de par leur stature, de par leur profil bestial et rugueux, de par leur élan, une chevauchée, ou de par leur allant, un vif remue-ménage devant nous. nous devons comprendre ces données ici en tant que massifs différenciés qui imposent leur stature, leurb présence. Nous regardons, et ce que nous voyons ne laisse pas de nous intriguer, de nous impressionner aussi, de nous subjuguer. nous sommes face à pareille données qui semblent nous narguer, ou bien nous faire des signes : de bienvenue ? appel ? appeau , que se passe-t-il ? Nous ne voulons pas passer à côté d’une vérité de poids et pour ce faire nous entrons ici, ensemble (à deux) dans le temps, dans ce temps d’une vie allouée à une existence ou quelque chose de cet ordre. Nous sommes deux (en nous) car nous sommes double. Nous sommes double = nous sommes deux = nous sommes doublé = nous sommes «plusieurs» si tant est que plusieurs puisse être deux. Nouys cherchons de ce fait ensemble des données (brusquées ici par la bande et volontairement) qui puisse nous donner de quoi éclairer notre lanterne pariétale. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contrzaire poursuivre (et fissa) sur notre lancée qui nous voit ensemble (main dans la main ?) chercher ici et là des données de base concernant les choses de la vie, soit tout autant les choses de la mort. La mort est de ces données de base que nous recherchons. Nous voulons comprendre ensemble loin ce qui l en est, ce qu’il en résulte ou comment exprimer cette pensée qui nous occupe tout du long tandis que nous allons : comment dire icicette chose d’une mort qui serait une donnée ? Nous pensons que cette chose (mort = donnée) est très importante (souligner). Nous pensons que cette chose ici (ce dire) est capital (souligner). Nous voulons comprendre cette chose. Nous pensons que cela, ce dire, comme quoi la mort est :une donnée, et : donnée , est une chose de compréhension ou relevant de kla compréhension, des connaissances, etc, à ne pas traiter à la légère. Nous cherchons des données fortes, rudes, dures soit qui tiennent et ne flanchent pas. Nous pensons que cette chose de lza mort en tant que donnée (et donnée au sens adjectival du terme) est chose de premiere importance, capitalissime, capitale en cela que la mort ne tombe pas de rien, ou cheveu sur la soupe ou fait subi, mais est don pour soi, don d’une déité pour soi, don pour soi d’un dieu Amour. Je dis les choses ici telles qu’elles me sont soufflées par la bande pour ainsi dire. ici je dis les choses d’une sorte de souffle ou soufflet qui m’est comme transmis virilement ou sinon virile ment visiblement, ou sinon visiblement incidemment par devant moi cette chose d’aplomb, cette ombre portée, ce chant personnifiée, cette ove. Je cherche une Vie. je cherche devant moi cette chose d’une vie à vivre et virilement et visiblement et incidemment à même Terre-mère des Tourments = ce monde adjacent à une vie (autre) de rêve, ou sinon de rêve : de poids. He sais cette chose comme quoi la mort est une donnée de poids, est une donnée qui pèse, qui en impose de par sa masse, son allant trappue comme aurochs. il y a longt:mps que nous avons compris la chose, celle-ci, comme quoi la mort est donnée (une donnée) qui en impose durablement et à la dure face à nous qui regardons comme nous pouvons cet être de joie devant soi (devant nous) qui allons ensemble à la rencontre d’une vérité. La vérité ici est comme imposée. un impôt pour ainsi dire (imposition ?). Nous voulons toucher cette peau de bête, ce chien ? ce cheval ? Nous voulons toucher cette peau devant soi qui se présente, qui se déploie, qui se place sous nos yeux pour inspection pour ainsi dire. Nous voulons toucher cette chose d’une sorte de donnée vive (vivante ?) qui vient à nous et cherche à nous embrasser, nous serrer, nous prendre, nous cerner, nous comme envelopper, nous souder à elle. Collage : frottadou. Et pourquoi cela ? parce que nous sommess intéressant (ô combien !) pour elle ! Nous ne sommes pas rien! Nous sommes êtres qui comptons notre poids de cacahuètes, de monnaies. nous sommes êtres qui comptons pour elle = nous valons, nous sommes de valeur, nous sommes cher, et nous sommes chair. Nous sommes cher et nous sommes chair = nous sommes h umains qui sommes de sang et de chair. nous sommes incarnés. Nous sommes incarnés pour elle = des êtres de poids et de masse, des êtres quyi se posent là, êtres qui sont des qui sont, qui existent en dur, pour de vrai, homme et femmes aux attraits , de par leur étant dur, leur constitution. Et voilà pourquoi la mort «nous cherche» et finira par nous trouver ici ou là. nous savons cette chgose d’une porte devant soi, temporelle, dure, vive, ouverte. Nous la voyons de nos deux yeux, nous voulons nous en approcher et pouvoir y voir à travers ou bien pouvoir entrer (un pas timide) et voir au loin, ou dedans, ce qui est, etc. On sait que la mort est une donnée de poids de type peinture rupestre. On connait ces choses des parois, toute une imagerie de rage étirée, cette chose d’une cavalcade pariétale. On connait les betes dessinées ou gravées et on sait leur importance «mimétique», cette chose d’un semblant qui est offert à une déité afin de faire accroire. Nous savons que cette chose (don de soi par la bande) est : et capitale et un capital , Le Capital, cette chose d’importance grave, rare, dingue. Nous disons que nous voulons savoir les choses de ce capital, nous disons que nous voulons comprendre ensemble (tous et toutes) cette chose grave, rare, cette drôle de donnée massive appelée » le Capital». Nous ne voulons pas faiblir. NBous ne voulons pass lâcher les brides de la connaissance en toutes choses. Nous voulons comprendre ce qui est ici (le Capitzal) en termes choisis, appropriés, qui cvonviennent à une pensée menée tambour battant, vive pensée vive, vive pensée vivement déplissée ou déployée comme un devant de soi monacal, pariétal, d’homme ou de femme des cavernes. Nous sommes ensemble (homme et femme réunis) pour cause commune qui veut cette chose d’un savoir ancré. nous sommes ensemble pour , pour agir ensemble, trouver, consulter, trier, convaincre après nous du bien-fondé de nos recherches actives. Nous voyons devant nous des choses de poids et ces choses de poids sont de l’ordre de la vérité des choses graves (dites «graves»).Nous voulons cerner ensemble ces choses et les déplavcer pour nous en des formes, ou vers des formes qui puissent, vivement, faire accroire ou du moins en jeter etc, à qui de droit. Nous voulons faire ainsi que pour nous la mort nous dédaigne, ou comment dire ici nos quatre volontés. Nous voulons comprendre les données ici devant soi déployées comme des temporalités à cerner, à toucher, à approcher sans crainte, à voir. Ici sont ces chosex déployées qui sont pesantes, qui sont choses de grande importyance de par leur stature, de par leur aspect de bete de choix et de bêtes des Rois. l’ours des cavernes, l’aurochs, le cerf géant, le mammùouth,; le grand bison, etc. toutes bêtes quyi (devant nous) se posent comme autant d’effigies (rupestres) d’envergure, fils de roi et reines, fils et filless de ces rois et de ces reines des parois du monde , ou de ce monde d’un après le monde. Nous touchons ici à une vérité de poids, à une de ces vérités de grande importance, capitale, conséquente, centrale, d’importance majeure. vérité des vérités. Nous voulons savoir ensemble les données, ce que sont ces chose d’un devant, ces betes charnues, ces betes devant nous qui sont des images de la mort à l’oeuvre ou sinon quoi ? de la vie vive dzéployée comme pour de vrai ? une vie d’emprunt ? vie de rage pour la bonne cause à imager ? vie vive d’une fausse vie offerte ? nous voulons cerner la mort dans ce qu’elle a pour nous à nous apprendre sur sa vie. Nous voulons comprendre les données franches d’une mort pour soi à l’oeuvre (pour soi et pour tout un chacun) devant soi = face à soi = dans le temps. Car cela est ici (en vérité) cela, comme quoi la mort = ce devant de soi rupestre (on le sait) et ce devant est là qui se présente en tant que tel = un devant de rage forte (folle ?) qui crie à tout va de par sa faconde volubile, crie vif son cri pulmonaire. Il crie, le devant de soi crie. Le devant est cri. il est ce cri qui va vif nous envahir ou vif vient nous envahir et nous interpeller et nous en mettre plein la vue et nous sermonner, nous adjurer, nous mettre en difficulté. Nous voulons savoir pourquoi ce cri mais comment sa voir ? pour savoir il faut mourir dit-on ? Doit-on ? nous voulons savoir c’est un fait , mais pour autant nous rechignons à cdevoir mourir pour en savoir long. nous ne cherchons pas la mort mais la vérité, et pour trouver la vériité doigt-on trouver la mort ? la question se pose durablement (en dur et dans la durée) .  = durement et durablement en un xseul mot pour ainsi dire. Nous voulons cerner « la mort, la comprendre pâr le menu, la toucher la toucher comme la chatte à la voisine, etc, c’est dit, mais doit-on ? doit-on toucher toucher ? doit-on toucher la mort ? doit-on toucher la chatte à la voisine , ? etc, autant de questions à devoir résoudre fisza afin de pouvoir (enfin) passer à auttre chose ensemble, dépasser un  certain nombre de données de base (écueils ?) qui gênent un ppoil, s’immisce, s’incruste, et dise,nt ce qui est pour elles, ce qui est masqsif. Ce qui est pour llles (ces choses) qui doivent ou se doivent être ou d’êtres formulées coûte que coûte (naîveté et puérilité) avant de pouvoir (pour nous) en découdre, dépasser la chose et aller ensemble nous poser ailleurs. ainsi, il y a comme ça des choses à dire ipso facto, choses qui s’imposent dans un dire déployé infini, choses ici qui cherchent à  se placer manu militari ou presque, etc. Nous voulons savoir les choses, ce qu’elles sont. les choses posées devant soi, présents d’offrande, temps présent d’une offrrande à des divinités qui sont des mots d’enfants prononcés par lma bnande et comme échappés. nous voulons ensemble toucher la Vérité des mots et sentences. nous ne voulons pas passer à côté, tout au contraire, nous voulons toucher la Cjhose vive, ce devant de porte, ce seuil pariétal du monde des vivants, des morts, des etres bi (mi mort mi vif) etc. nous voulons toucher à cette vérité de belle prestance, de jolie fame, de belle renommeée s’il en est, de grande stature, etc. La vie ici n’est pas déposée en tant que telle (qui serait la mort pour nous mais la vie pour la mort) mais la mort d’(une vie passée. ici la vie déposée n’est pas la vie en tant que telle mais une sorte de petite vie (le passé) qui est une mort , qui est la mort de soi en continu. cette vie-mort ici donnée en tant que vie vive ou au nom d’icelle comble un temps la mort avide de données de poids, qui le fasse vif et bien, qui fassze ce pour quoi la vie est là pour elle (un combustible ? une denrée ?) et voilà ce qui est du coup pour elle. Couillonnade alambiquée comme de coutume. couillonnade vive et comme déposée. Nous cherchons ce qui est à même la langue?. KLa langue a deux mots à nous dire il semblkerait. nous sommes à vouloir chercher les mots d’une langue «informée» qui en swait des tonnbes, qui connait sa bible. Nous cherchons à comprendre ensemble un + qui pûisse informer notre gouverne, nous en dire long et vif, qui puisse nous donner les beases d’un savoir à creuser, à pousser, à placer pour nous cvomme savoir de base en nous , donnée franche inscrite à jamais , langue maternelle. les données du monde sont celles que nous voulons pour nous acquérir fissa si tant est. Nous voulons ensemble (tous, toutes) acquérir des savoirs de rage (pour nous) et de fame (aussi) qui puissent convenir à notre gouverne et éclairer notre chandelle. Nous allons fisqa, nous marchons. la marche ici est importante, nous devons ma rcher. nous devons comprendre l’importance ici de la marche, de l’avancée, de l’allant, de l’éla,n, de la conduyite en avant d’un mobile, des traversées, des avancées nonchalantes ou vives mais menées durablement à même le temps. nous voulons comprendre la mort. nous voulons comprendre les raisons qui poussent icelle à nous affronter, à venir vers nous, à nous chercher queerrelle, à nous en vouloir = à nous «en « vouloir. Nous cherchons vivement mais il n’est pas simple de trouver icelles raisons en nous-mêmes, car nous ne sommes pas voyants extra-lucides hélas, nous ne sommes pas devins, nous ne sommes pas des êtres aux vues longues s’il en est. Nous sommes êtres de peu , êtres de foi oui mais qui allons ainsi armés soit mal armés car nos vues sonjt courtes. Nous essaéyons vivement d’en avancer, de gravir les échelons de données en particulier, de cerner au plus juste ces choses de poids pariéto-frontales c’est un fait. mais bon, nous sommes êtres de peu, nous sommes pauvres, nous ne sommes pas ecxtra-lucides, nous ne voyons ni loin ni longtemps dans la durée. Nous voyons court?. et nous sommes courts. Nous ne sommes pas tr!ès doué en la matière, notre vue ne va pas loin. La mort pour nous est une donnée et peu de chose en plus. ou comment sinon ? car nous voulons comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ce qui est qui se présente à nous . Quoi est la mort en vérité ? nous voulons comprendre ensemble cette chjose de la mort, nous voulons ensemble  cerner cette chose = la cerner d’un trait = la dessiner = la comprendre de cette manière formée sur paroi. Nous voulons toucher la mort au plus pprès. Nous voulons toucher icelle ensemble. nous voulons toucher la chose vivement, en vitesse et durablement. nous voulons comprendre icelle ce qu’elle eswt au juste, ce qu’elle signifie par la bannde, ce qu’elle est pour nous qui nous en approchons par le Verbe incidemment. qui est-elle pour nous, que nous dit elle à nous que nous pourrions entendre ici ? quoi est dit ? qui parle ? qui dit quoi ? quoi estdit ? etc., nous cherchons ensemble à nous approcher d’elle, à voir à quoi elle ressemble, qui est en elle, quelle bête, quel animal de vie, quelle bête de joie, quelle bête vive. Nous voulons comprendre ici ce que la mort est, un cri ? un cri venu des profondeurs ? un cri pariétal ? un cri de s tréfonds de l’ombre ? une mainmise ? une main ? une main sur soi ? un semblant de main sur soi ? une gageure ? une donnée francjhe et si oui laquelle ? une pensée ? une vibration ? un vibre- méninges ? quoi d’autre ? nous voulons toucher à une vérité de poids qui pûisse nous donner de quoi comprendre dans la durée les choses comme elles sont en vérité. Nous ne voulons pas ou plus à présent passer à côté mais tout au contraire y aller fissa et franco vers des vérités ici et là à decéler, à dénicher, à attrapper au vol. Les données de rocjhe importent, elles sont capitales ici, pour nous, pour comprendre ce qui est et ce qui n’est pas. Nous devons ainsi aller fissa tout contre la roche et trouver ces dites données de rage nichées incidemment, par qui on ne sait pas (enfants des lumières vives ?) mais voil:à, la chose est là comme elle se doit, nous devons TOUCHER ! c’est un fait ! c’est sûr ! la vérité passe par là ! nous devons comprendre cette chose d’une vérité passant par le toucher à même la paroi des cjhoses : touchons et creusons la pensée ! touchons et creusons une pensée de poids ! touchons au monde et nous allons comprendre :loin, loin et long, car nous sommes vifs, outillés pour (ou pas loin) et nous pouvons savoir ensembvle des données, les cernerr d’un trait, dessiner à main levée, léviter etc. si nous sommes soudés, si nous nous soudons, si nous ne cherchons pas à nous séparer, si nous resstons unis, si nous insistons dans l’union, alors peut-être que nous pourrons, que nous serons à même de pouvoir savoir longtemps et loin. il suffit de faire ainsi que nous restions unis. Nous ne devons pas nous désunir mais rester accolés, colés, soudés, scotchés pour ainsi dire l’un à l’autre et ainsi entrer en roche des temps;$, ainsi faire de concert. nous sommes deux (en nous) qui cherchons des vérités de poids, des choses durables, des impactants, des choses «qui le fassent» dans le temps comme par exemple donnée rude d’un temps défini, ou comme do nnée rude , déployée, d’un temps en p)articulier, ou comme donnée massive d’une bête-mot déroulée sur un devant de soi pariéto-temporel. nous nous sommes avancés ensembvle de la paroi , et hop, vifs, entrons, lévitons-entrons, filons fissa en  elle et touchons à la vérité desz choses de la mort. La mort est une donnée vive dite « de base» couramment. La mort est cette chose d’un devant de soi temporel ou sinon temporel temporal : ? La mort est-elle temporelle ? temporale ? Qui le sait ? Nous sommers deux (ensemblke) à vouloir savoir, et nous gravissons les monts, les roches rudes, nbous creusons dans loa paroi, nous fouilloons en veux-tu en voilà comme des forcénés que nous sommes ici bas, nous ne lâchons pas la grappe, nous fouillons mordicus, nous fouillons en roche, cherchons une entrée pariétale, où la trouver, où aller ensemble, où se loger, où se lover ensemble. Nous cherchons ensemble l’endroit? le lieu qui le fasse dur. où donc aller à se lover pour cette chose d’un savoir à acquérir, d’un savoir coinc ernant la mort et la joie, la vie et le sang, la mort des données et la vie de rage, les données vives de la mort à lk’oeuvre, le chemin, la voie de la voix. nous av ons ensemble à comprtendre ces choses rudes, ces choses d’un don total, brutal. Nous dezvons savoir pourquoi et pour ce faire nous disons que nous avons à dire durablement sans peine, au fil du temps, ce qui vient en nos bouches d’enfant désarmé (armés ?) . nous avons en nous des mots de rage à pouvoir déposer sur roche comme autant de bêtes de poids qui sont des insultes votives on xsait cela. lers insultees votives sont force de poids et d’apparat. elles vont chercher loin, beaucoup plus loin que les simp^les mots des jours du quotyidien. les insultes dites votives ont le poids de leur étant et de leur allan,t pour elles : ellkes brisent les chaînes, eklles forment armée de réserve, elles sont la puissa,nce même et donhent le la d’un ensemble à cru d’entrées dans la matière. Nous pousson,s nos pics dans la roche et perçons icelle de part en part. nous ne sommes pas venus pôur rien (en ce bas-monde ?). nous avons bien fait de venir ensemble et d’ainsi percer roche en des endroits d’entrée en matière (failles ?) permettant pénéttration et pouvoir de logement. nous avons traversé la roche et à présent nous comprenons des choses ! nous comp^renons ici cette chose comme quoi nous avons ensembkle à comprendre les données du monde à l’aune d’une destinée durable. nous sommes sûrs, nous sommes p^lein s de foi, nous avons des certitrudes, nous voulons savoir à l’intériur des certitudes, nous voulons comprendre enffin ce qui est, ce qui ecxiste, ce qui se soumet à notre entendement en mpatière de données de base concerna,nt les choses de la mort à l’oeuvre. Nous avons pour nous des mots en réserve (un acquis = un apprentissage) et cekla est, que nous sommes ainsi comme parés. Armés peutêtre mal mais parés. Nous sommes dans un sas de vie vive, sûr, et là : nous pensons. Nous sommes dans nos pensées. Nous sommes dans une pensée active, cherchant vivement à se dépatouiiller des données de base comme offertes devant soi ou sinon quoi : présences ? présents ? offrandes ? nous cherchons à nous diriger en  cette chose d’une vie de vives données. nous voulons cerner icelles données de rage et comprendre loin ce qui est . qui est qui . quoi est quoi, etc. pour cela : la voix. La voix en soi quyi parle et dicte sa loi. nous sommes e,n transe, la chose est connue. nous sommes e’nsemble (tous ? toutes ?) entrés dans la transe d’un homme des bois. Nous cherchons ensemble à comptrendre des données de base concernant la mort. Nous sommes entrés dans loa transe, nous devons fouiller, aller dans kles forêts, aller loin dans les embruns, aller fouiller dans les fourrés de la lande. nous avons c ette chose à faire ensemble et ne rien lâcher. que faire sinon ? sinon cette chose, car nous le devons. nous nous devons de fouiller fissa par la bande pariétale les donnhées du monde adjacent et concomitant. nous devons trouver des mots de rage et les afficher par la bande durablement. nous avons à trouver iceux mots de rage et de les ficher incidemment sur rocxhe et voilà la chose comme déployée ! Nous sommes deux (un 2) quyi poussons les cvhoses loin, quyi poussons le bouchon loin, qui loin voulons pousser la réflexion et lkes conquêtes. notre but est de trouver le pot aux roses des données des  choses. Nous sommes tout proche de le trouver il nous semblerait. nous avons cette chose devant soi qui est du Verbe de données de base ou aux données de base? consultons la chose = regardons de près et fouillons avec nos mains nues. nous avons cette chose à nous qui nous a été octroyée un beau matin (la main, le verbe) alors usons de notre main de Verbe ! usons d’elle pour creuser la roche et graver des bête-mots de rage rupestre. creusons les données rudesq. allons à la recherche de données de poids. soyons colère ! soyons énervés ! rugissons ! ruons ! allons vifs ! complotons si nécessaire ! filons à l’anglaise ! cherchons querelle à icelle déité de la mort en branche ! nous avons la possibilité de nous énerver et de pousser notre gueulante (notre cri) alors faisons-le ! n’y allons pas de main morte ! poussons gueulante assurée, vive, tenue, complotiste ou pas mais du genre qui ne s’en laisse pas conter outre mesure ! couillons la mort ! couillons-la de grâce ! allons-y ! baisons-la ! baisons-la durablement ! ,notre vie est notre vit ! sachons discerner et nous appuyer sur des savoirs de rage nominale ! creusons les données, cherchons vif et courageusement ! allons dzans le sas et trouvons ! trouvons de quoi faire et la ramener ! ne nous laissoins pas griser, soyons attentifs, examinons les choses de front et voyons voir ce qui est au juste, les mots délivrés, les nbêtes courantes, données-sommes, etc.le poids de la bête sur roche en impose et a son effet. la roche est du temps donné ;à) la mort. la mort est une seule entrée dans la matière. le Temps est déployé comme un ruban de données (ailleurs?) dites «acidulées». la peine est celle qui sur bnous ravage nos esprits, les met fissa et vif en difficulté, etc. nous essayons de trouver mais ce n’est pas simple car nous sommes bousculés vivement, durablement soit tourmentés. C’est une vérité élémentaire que cette chose et voi;là pourquyoi nous nous tenons debout, rassemblés, unis, dans un apparat de fortune en tant que tel, grimés ou pas mais près à comprendre, à chercher en transe le contact avec la déité. déité qui es-tu, peux tu me parler ? déité quyi tu es, m’entends-tu ? as-tu cdes oreilles pour entendre ? as-tu des yeux pour voir ? as-tu une langue pour parler ? es-tu mâle ou femelle ? es-tu homme ou femme ? es-tu homme et femme ? es-tu homme et femme à la fois dans la mort ? es-tu un femme de parole ? une famme douce de parole ancrée ? une homme à lettres ? un mot de roche : bête des entrées brusques ? cavalacade fleurie ? le corso ? la bete remontée ? la qui pulse ? la qui peine ? la qui se propulse ? la qui cherche querelle et si oui pourquyoi ? qui es-tu déité qui nous rega rde, qui es-tu entrée dans Matière, qui es-tu Sommité-somme , qyui es-tu pour nous qui entrons en Verbe dans le Temps d’un déroulement pariétal : qui ? une femme ? une homme ? un femme ? un homme ? qui pour nous es-tu que nous cherchons à «dessiner» en ces contrées ? qui pour nousc es-tu qui semble nous espionner par la bande allègre ? je voudrais savoir ! je ne voudrais pas passer à côté mais au contraire : de plein fouet comprendre et entériner et avaliser et savoir ce qui est et prendre pour moi en mon sein. la chose de la joie la poursuivre et l’attrapper et dire (dès lors) «je suis» homme d’une attrappe de parade. je suis homme des joies entrées (rentrées ?) en moi-même. je suis icelui qui «pense» les données de roche en moi même et non pl;us sur roche comme dans le temps des hommes des cavernes. Je suis celui-ci qui cherche «dans la durée» ce qui est qui nbous incombe ou qu’il nous incombe de devoir comprendre. Je cherche la voie, en roche mais pas sweulement, dans un sas de roche pariétal mais pas seulement. Je chgerche une voie d’abord, douce et fine, pour parler à une déité , pour parler à Déité de la roche Dure. je suis homme gris, je suis un homme fait , je suis cet homme blet, cet homme de peu prêt à la traversée mzais comment ? nous devons touchyer la roche des temps pour la tre$averser , nous devons toucher en,semble la  rochje dure (calcique) des temps impartis afin d’etre en mesure de la traverser et de pouvoiir passer de l’autre côté sans ghêne ; notre but est de traverser la Chose ici même sans trop de gêne et d’aller là-bas. de toucher à icelle roche des données de base (de la vie et de la mort) et de mieux comprendre ce qui dès lors pour nous va se tramezr. Je cherche donc je vis. je ne suis pas en reste de chercher des données marquantes. mon corps traverse la roche. mon être est de plein pied avec elle. mon savoir se construit au contact des données rocheuses. je suis êtyre-bête, chose rugueuse, qui fonce. mon corps est à la science ce que mon âme est à la mort. je suis cet homme-femme déployéecomme une aile de paroi, comme aile d’oiseau de réserve, aile longue, viool plané?; je suis cet ombre-homme en transe dans la roche des donhnées du monde des esprits finis, des betes mortes, des betes calcinées. je veux etre bete. Je veux êztree une bete de vie rocheuse. je veux être une de ces bêtes de vie rocheuse des parois du mùonde : etre de la roche dure, venant à comptrendxre la mort et autres divinités. Car la mort en est une, la vie une autre, la bete une de plus, etc. nous sommes environnés de diviniytés de toutes sortes qui nous regardent, nous matent en continu, ne nous lachent pas d’une once, cherchent à nous coincer par la bande, nous suivent au pas, nous cherchent noise, nous poursuivent, nous suivent incidemment au fur et à mesure que nous (de notre côté) avançons en âge. notre envie d’être ainsi (touché) est de celles qui nbous donnent un élan certain , en ce qyui est nottre désir de poursuivre fissa notre aventure de vivant sur terre. notre envie de vivre est dite à haute et distincre voix on le voit, et n’a pas à rougir d’être ce qu’elle eswt, ce qu’elle représente. nous touchons ici à des bvérités profondes.  nous voulons toucher profond et faire remonter mille et une chose d’importance à la surface de nos dires bousculés. nous touchons à des bvérités de poids, à des vérités massives, dures au contact mais solides comme roc de roche. Nous voulons connaiotre le fin mot de toute cette adffaire de paroi du monde, dee bouche de la mort, d’ouverture -faillke dans un sas de temporalités diverses (pour chacun ?). Nous voulons aller en roche de la connaissance des choses du monde à plusieurs en swoi-même ou sinon armés comment ? car on dit que l’union fait la force et peut-être est-ce vrai !Notre  but est de toucher au but= de toucher ! Notre but est de toucher laz mort sans la contracter pour ainsi dire = voir. Je panse mes plaies de bouche par du verbe et ce faisant j’arrive à comprtendre un  ertain nombre de données des plus importantes. je vais dans cette roche du =monde (terre-m^ère ?) et cherche à me repérer afin d’avancver vers le lieu éclairé (?) de la Vérité contennue en elle. la voie est ouverte. jhe traverse la paroi longitudinalaement et me porte en ses extrémités. Je suis à présent tout au bout du bout . où suis-je exactement ? je suis au bout du bhout du bout du bout du bout du bout c’e’st facile. je suis arrivé à destination = au port de  la roche des fins , des peines déposées sur roche, des offrandes = au pied du mur des lamentations./ je ne suis pas  capitaine, je ne suis pas caporal, je ne suis pas militaire mais je suis armé , mal armé ou bien armé mais armé,. De quoi ? de mon pic de Verbe acidulé. Je veux creuser le temps et comprendre la mort, cette déité contenu (la foi ici) dans le langzage indubitablement? voyez mes recherches un peu où elles me mènent ou bien m’ont mené. je fouille à l’intérieur du Verbe déposeé sur rochje ce qui est, et ce qui est est encore et toujours du verbe mais pas que. La chose est rude. il faut le comprendre? ça demande de la persévéran,ce, ça demande foi et persévérance. Je pênse donc je ne plie pas aux premières attaques pariéto-frontales. je suis un homme des entrées de rage ou aux entrées de rage et je vais fissa contre la paroi. Crane contre crane ? craneur ? crane ? que dire qui soit juste et vrai ? je veux faire ainsi que pour moi lkes choses soient sues, comme acquises = entérinées = absorbées = eznglouties = bues = avalées = mangées = prises = enregistrées dans ce qsui est ma gouverne (ma foi) = mon âme (?) = mon esprit d’homme des cabvernes. je suis homme et femme des cavernes, je cherche une entrée dans la matière, je chgerche entrée vive pour un corps de rage. moi-même suis ce corps de rage. Je veux comprendre ce corps ce qu’il est en c ette roche dure de la foi à êttre (= les motsc acquis). si je rentre je m’installe durablement et je regarde et je tire des conclusions. ce qui est sur roche est sur roche = animaux-mots des vérités. Ce qui est sur roche = bêtes-mots de la vie morte. ce qui est sur roche = vie morte comme autant de données de rage déployées. je veux toucher  ce quyi est = l’être d’une déité. qui est-elle ? qui est cette déité ? est-ce elle que l’on nomme «Mort» ? la mort est-elle une déité ? la mort est-elle une déité de poids qui en impose comme aurochs, comme bison,; comme antilopê, comme méga-cerf ? je suis à la recherche d’une vérité qui serait contenue da,ns un aurochs de compagnie, dans un buffle de base. je veux toucher à pareillle bête de roche des temps. le temps pour moi est ce déploiement animalmier votif. qu’en est)-il de la mort à l’oeuvre dans les parages ? je suis cet homme, cettte homme, et je suis cet femme ou ce femme, cette homme-femme cet homme-femme des abois , ce homme-femme grêle, ce homme-femme frêle, cette homme frêle femme et homm, ce homme-et-femme déployé comme un temps donn»é, voilà ce qui est. je pisse au lit enfant. je grandis. jhe deviens cxhevalier de céans, je vire. je touche au but, je cherche. je suis homme-bête de la mort certaine en ce sas de deswtinée humaine. ah la peine ! oh le mal ! aie tourments des tourments ! me voici qui entre imberbe dans le sang d’un savoir ancré et des profondeurs. Je veux toucher lkes choses d’un savoir de vérité , et pour cela je dois faire ainsi de me montrrer dans un corps de vie en tant que donnée de vie rude comme mouvement-déploiement sanguin en moi-même, etc. je vois en moi , ce que je vois = des données de base. Mais d’où sortent-elles ? squi est là ? qui vava là ? qui me cherche ? qui est en moi (une bête ?) qui me cherche ? qui est ici ou là en moi qui cherche à me faire du tort et à me mettree à mal comme une bête ? Je veux toucher cette chose en moi qui circule fissa par la bande et pour cela je choisis la voie la plus raide et directe, j’ai nommé la voie sa nguine, le sang circulant, car le sa ng est le support numéro un = la voie principale (ou artère) = voie royale s’il en est = la voie des princes et des princesses du palais. je veux aller dans le sens de la vérité des choses du monde. je suis remonté à cet ezffet, je le veux. il se fait que je veux mordicus cette cghose et que je m’y tiens durablement. tout mon corps tend vers ça. mon corps en entier est une flèche on le sait. tout mon cvorps est comme une flèche projeté et tend à aller se ficher sur roche = la paroi des choses dures de la vie à vivre. et  cela pourquoi ? pour traverser. pour aller à un,e travzersée, pour aller à se loger de l’autre côté. je vois devant moi une chose rude, un mot -animal;. je vois devant moi animal de compagnie. je vois devant moi un e bête des embruns qyuui cherche à me parler et moi d’aller vers elle, d’essayer de la toucher, de la caresser pour l’ammadouer, etc? qui est elle ? qu’est cette bête au juste ? on dirait un bouquetin, on dirait une beteantédiluvienne dessinée, on dirait une bêtye de roc. je vois cette bête devant moi : est-ce mon n,om ? mon être ? mon soi ? mon élan .? mes tourments ? une déité élaborée par une pensée ? la pensée est la cvhose rude qui trépigne. elle renacle en veux tu en voilà depuis la nuit des temps. elle n’arrete pas. elle ne cesse pas de renâcler comme une bête (laquelle ?) enchâssée en nous, en notre sein des seins. je vois cette bête en moi et cherche à la faire parler mais comment s’y prendre ? je voudrais tellemment c onnaitre son nom, savoir qui elle est pour moi par ecxemple (déjà) en termes de parenté , qui elle est pour moi, qui me connait ou connaitrait mieux que moi sur mloi, qui elle est ? Je vois cette chose ici d’une bete qui en moi en saurait long : elle vit en moi, elle trépigne en moi (le langage = le langage de la foi), qui renâcle en moi (une certaine odeur de sainteté), qui ne cesse de ronfler en moi (ronfle que tu ronfleras : du fait des apnées ?). je veuc pister. je veux être. Je ne suis pas celui qui veut rester sans conaissa nce. je cher che à tout va des données dures sur lesquelles pouvoir s’appuyer et en avancer. ion dira  ce qu’on voudra de moi ou sur moi, il n’empêche que je suis cet homme (cette femme) de foi qui en sait un b rin, qui comme,nce disons cette chjose, d’en savoir un brin on le voit. Je com^mence à y voir un peu, à comprendre un peu , un chouia. pas si:mplle de dépatouiller, pas ssimple de voir clair, de se réperer dans la nuit des choses cachées à sa gouverne. Vite, ma lanterne ! ma chandelle ! ma torche frontale ! la lumière ! Je vois devant moi le temps déployé comme une donn,ée de circonstance. devant moi se dresse l’ours-temps des cavernes, ce chacal des prés,  cette bête aux bois dorés, ce chien applati, ce vif bison des roches, ce cheval. Mon coeur bat (c’est dit). on voit se dessiner au loin des betes de pré. Je commence à me repérer, j’y vois quelque chose, je suis éclairé par la bande = cette bande (traçante) des embruns de bord de roche. vive la vie ! houlà à sec ! ou meme humide qu’importe ! Je m’avance de concert (moi + moi ?) et je fonce en cette rochge-temps du Nom de soi, dépl;oyé comme une offrande (mort blousée). Mon coeur est mis à nu par ses célibataires même, et par la joie aussi de se voir vaincu. hje tombe à la re nverse ! vivement le soi dép^loyé à jamais ! chant des roches contenues dans un,e paroi inconnue. Mon corps s’(époumone de la sorte, à dire vif ce qsui est qui setrame de front et nous nargue ou semble cette chose devant nous ?. devons-nous pleurer ? chanter ? rire ? toucher la voisine ? toucher le voisin ? entrer en colère ? reluquer fissa par la bande ce que l’on voit ? pisser co ntre un arbre = se soul:ager comme rabelais ? je suis homme en dur, hommefemme dure des années de rage. mon corps est nu, ma voix, tremblannte, le siè§ge de mes to urments. qui vient vers moi et me donne l’influx ? qui pour me souffler dessus ? suis je moi, êtyre-âme ? ou bien suis-je une entité wseulement pariétale de raccroc ? comment être et comment savoir ? je veux être en roche homme des tourments de rage, mis à mal pour la bonne  cause mais restitué à l’identique, du moins il semblerait. je (suis) veux(là) être(vie) dans un sas de roche dure. Je suis celui-ci qui veux être. je suis cet homme des pârois qui cherche l’être, vais-je le trouver ? où se loge-t-il au juste ? est-il donnée de base à déployer ? que vzais-je être en c ette tourmente ? comment  ne pas succomber aux chjarmes d’icelle Colère ? je m’avance à pas comptés et cherche à regearder le plus possible et le plus loin possible ce qui est qui vient vers moi. Est-ce une bête ? est-ce une divinité ? est^-ce (sont-ce) les deux pour ma gouverne , pour me diriger, pour s’introduire en mes exrtrémités et me commander «comme une merde» ? JE cherche à comprendre ! Suis-je une merde ? suis hje une so=mmité ? un salut ? un enfant ruiné? feeme-outre ? homme des prés? suis je fait d’etre de peu en mon âme ? suiis je corporéifié inci:demennt par la bande depuis des années ? dpuis en vérité que je suis né , suis je ainsi carné ? suis je ainsi fabriqué et estampillé ? je veux voir la vérité se dessiner «sous moi», devant moi mais aussi sous moi. Le coeur est la donnée de base, le siège de la vie dee l’homme et de lma femme de l’éternité. le monde est rudiments?. la mort est une tourmente acidulée comme du Verbe pourchassé par des hommes des caver nes. je sais cette chose d’une mort donnée par la bande animalière temporelle. je connais la mort de près, elle pisse le sang devant soi, elle crache (remugle) à tout crin comme une bête morte ensanglantée pissera le sang sur table d’offrande. jhe vois la chose se dessiner sous moi : merdxe ? sanquette? pisse ? cris ? je suis homme et ombre car je suis (h)ombre moi même de la part d’un soi intégré. je suyis (h)ombre à l’allumage et peutêtre autrement au finissaghe. que dire ici d’une foi dans le langage comme inhérente ? ça qui est cela que je suis cela = cette foi, moi et d’autres. Je pisse le sang comme une b ête déposée sur une marche. comme une  bête morte dé»posée sur une marche, sur un sweuil de rage. Ma vie est vie de rage dure = des tourments, des tourments de base et encore des tourments. une calamité. je songe à ce que la mort, la mort-déité, pourrait m’apporter en termes de données rageuses (de surcroit ?). Je vois loin loin car mes yeux portent. qsui est qui dans les embruns ? où va ton une fois la vie cloturée» ? qui est l’homme des entrées données, du passage vif, de l’aide au pasdsage ? vais je mourir de rotation ? comment s’y retrouver en  cette cxharge ? qui va là qui me parle bas ? j’essaie de comprendre ce qui est qui gère et touche au but à travers moi . qui est l’homme-femme-bete en moi qui  parle ? quyi est l’homme-bête de la roche dessinée, ou la femme-bête aux bois de roche ? qui parle ? qui veut parler ou bien pa rler à travers ma voix? qui veut (me) parler à travers la voix ou cette voix  de rage à travers moi ? qui parle vraiment ? la bête en moi parle-t-elle ? a-t-elle des mots pour elle ? je parle pour e lle ? qui parle pour moi ? suis-,je une entité princière ? un coeur vaillant (coeur à prendre ?))? Qui je suis que je vois aller à travers la lande, les champs d’azur, les forets et autres bois des abris pour soi, qui suis je en vérité ainsi «chapeauté» ? Je commen ce à voir c e qui est autour de moi : cerfs et autres cervidés boisés. je commence à savoir et pouvoir me rep^érer un tant soit peu, car ma gouverne semble à nouveau (?) éclairé. Je fonce grave dans le tas et remugle comme une bête. allez donc cher cher à comprendre ce qui est en moi qui peine à co:mprendre ! mercdum ! est ce moi  qui gêne au pasdsage ou quoi ? je sais cette gêne enquiquinante, cet amas de VErbe obstruant passage direct et cependant, grâce à icelui, nous voilà qui restons (oh, un temps court tout compte fait) en vie ici ! je suis homme)-ombre sur roche (double à Malacca ? là ?) et je vais ainsi chercxhant idiome de base royal, faisant fonction. qui me croit ? voulez-vous vcomprendre (mieux) le sens de ma requête ici ? dois je dire les choses  crument , à base ou force d’injures diverses ? dois je dessiner le Mal ? que dois je faire pour me faire mieux comprendre des autochtones, des contributeurs, des gens du service, deees azmis de longues dates, des paroissiens : que dois je noter,qque dois je tant développer par la bande ? y a t-il péril en la demeure «si ne pas» ? comment dépl:oyer sans temporalité ? comment d»éployer (et décliner) son identité hors le Temps de son vivant  ? Hum, dur dur à ce qu’il semble. Peut-^être en marchant sur la lande = en parlant sur la lande = en cueillant fruits et fleurs pour offrir à deéité de la lande ? Je cxherche à aller loin dans des directions appropriées à pareilles recherches «de tête» mais enfin ce n’est pas simple du tout, cela demande beaucoup d’application, de rentre-dedan,s, de chevauchées, de maitrise, de vitesse, etc. le mal à dire est dur à dire. Le Mal dire est concomittant, dur tout auta,nt qui nous intéresse. je vais  et vois. je suis homme du temps déployé par la bande. je cherche le mot dit «de la vérité» et où cela ? à l’intérieur des mots comm e il se doit, ou comme un fait exprès, ou comme de juste. Je cherche dans les mots des solutions et des combinaisons pouvant apporter un peu d’eau à notre moulin. Je ne veux pas flancher mais tout au contraire tenir bon de rage et aller fissa et loin dans les savoirs répertoriés en tant que savoirs de poids (betes de charge) «qui le font» des masses c’est à dire pas qwu’un peu?. Qui est là qui s’avance vers moi ? qui vient vers moi me seconder ou me sermonner peut-être ? homme des embruns ? femme de joie ? femme à homme ? homme à femme ? bete des parois = aurochs ? buffle ? ou bouquetin peut-être ? mon cher bouquetin ? je suis un etre qui est fait de chair et de verbe. Si le verbe meurt la chair se sauve, et inversement : on voit. On sait cette chose d’une mort prochaine (de nottre mobile) à même la roche du temps, car le temps (pour nous vivants) a une fin qui est la fin de la phrase ni plus ni moins, c’est ennfantin ! La mort pour nous est passage, le verbe est enfantin, la vie est tourme,nts, le coeur est un aidant de rage, la mort une saleté de ta race de meu, etc (= à insulter). oui cela . la mort oui, est à insulter et pas qu’un peu de grâce ! sonnez lees ma tines ! gueulez-lui dessus comme il faut ! pissez-lui dessus (à la ré) et bouffez la, ou comment ? la mort est à insulter car elle pue du cul. voi:là ce qui est. insultons la mort. disons enfantin les mots qui s’imposent en tant que tels = merde, merdum, merde sèche, pue du c$ul de mùerde, puanteur du cul etc, saleté ambiante. Je sais ici cette chose comme quoi la mort est à insulter (via la vie cordio-cardiaque) pour rester en vie. Vivre = user de l’insulte à tout va = jeu d’enfant. je comprnds. ou disons que je commence , ou disons qu’il me semble cette chose ici comme quoi je commence ou commencerais à comprendre un certain nombre de données de base. Je suis un de ces enfants qui jouent à insulter la Chose devant soi = cette chose pléacée de front. Je vois celle-ci (dite « de la mort de branche» ou «de la mort en branche) venir vers moi pour me pârler ou peut être me troucher. Que me veut-elkle ? devine ! c’est tout vu ! elle cherche «la merde». c’est compris.Elle cherche à me faire du tort, à me g^ener aux entournures, à me briser les ailes, à me raplatir, à me minnimiser en pl;eine terre, etc? la mort n’est pas cet animal par soi dessiné (si ?) mais cette déité contenue en nous comme un relent ou comme un remugle ou comme ce souffle ou air (cet air vif) sorti de soi par une bouche qyui est trou ou trou de sang, ou trou-bouche sanglant. la bvouche est eznfin ce trou permettant sortie affolée de betes de poids nombreuses affolées. Je suis ouvert à la discussion. Je cherche à comprendre. je cherche une sortie et u ne entrée. une sortie de moi en tant que tel (= corps de chair tourmentable) et une entrée : dans un savoir à dessiner ou à tracer à main levé? qui pourra m’aider pour ce faire car je manque d’aide. je suis hommù-charge déposée commê une offrande sur seuil de vie morte. Mon nom ici sert de transaction , ou non ? je vois cette chose devant moi aller, ce mot qui s’époumone et va à se loger à même la roche du temps imparti (par qui ?) à une vie rude (humaine) de coutume. je vois cette b ete aller se graver (incidemment ?) à même la roche : lévitatation ! gravure en lévitation ! mon nom ainsi inscrit comme une donnée forte et folle (nom d’^tre de joie = je , ou sinon je : nous). voilà les raisons qui cxhapeautent un tout. ce tout est vie de rage (incommensurable) sur paroi du monde. je m’avance et touche la roche. jhe ne suis pas mort. Je suis bel et bien en vie. je cherche une connaissance (un être ? un savoir ? ) et pour cela je dois me rapprocher de la paroi du monde , et la toucher vif (pareille connaissance) ou le toucher vif (cet être de joie) et comprendre les deux choswes ensemble ou voir à les comp^rendre. je cherche ma voie dans la roche = par où passer pour me faufiler et entrer. JE cherche à me loger en roche comme d’autres en religion  car les deux choses se ressemble,nt énormément et ne manquent pas d’entrer en correspondances sur de nombreux points. la mort eswt une chose rude pour un homme sans langage./ la mort est une chose détestables pour un homme ou une femme sans langa ges quel qu’il soit. la mort nous enquyiquine énorméme,nt. la mort porte le nom de sa bande langagière. la mort n’a pas raison car elle est sans raison. la mort est le coeur ! l-a mort est le coeur !oui!!!!!!! le coeur (en soi) est la mort , ou on dirait cela ! on dirait que la mort est le coeur ou le coeur la mort. la mort en tout cas a quelque chose à voir avec le coeur. il y a une chose ici qui serait à comprendre, comme quoi la mort est partie prenante (du coeur ou avec le coeur) . la mort et le coeur sont main dans la main = le temps total d’une vie-mort à vivre à l’intérieur du nom que nous portons = notre identité. nous savons une chose de poids. Nous savo,s une chose rude (de poids, de rage) qui est celle-ci, commùe quoi nous sommes munis (en nous) d’une parole vive (traversée des siècles) qui nous pousse au cul et nous fait (quasi de force)) e,ntrer dans une ,nasse, mare, mare aux animaux, etc, qui est pour nous antre de vie et de mort. Nous touchons là à une chose de la vérité. La mort et la vie sont liées par du verbe ancré (contenu dans le coeur:). le coeur à son tour contient cette chose (tressée) d’un tronc de  vie-mort accolées. nous pe nsions à la mort comme à une gouverne printanière, a&érée, claire, etc, mais en vérité il s’agit d’un coeur de destinée votive. la mort est un salut de type pariétal (monacal) qui induyit du Verbe. le Verbe dit la chose crûment comme il sait le faire («gros mots» acidulés d’une enfance de récréation) et ce faisant vient à se loger (pour un temps ?) dans kle Temps. Je cherche issue de secours dans du Verbe sale, ni plus ni moins (c’est dit un lundi). Je cherche à dire ce qui est pour de vrai, je cherche misère, je vois les embruns, je :m’époumonne (chacun son tour) : cela pourquoi ? car je suis un homme-chercheur= la tete pensante, guide des travaux, collègue de bureau. je vois ce qsui est qui me regarde. ce que je vois est une nuit des longs manteaux. ce que je vois me trouble, trouble ma vue. je vois bien des chosesw. jhe  vois ce qui est. je vois des choses qui vont ensemble à s’agglutiner : sont-ce des mots ? bêtes-mots de rage primaire ? gros mots sanctifiés par la bande collégiale professorale ? sont-ce des mots de foi ? mots de bas âges ? mots bébés ? sont-ce des mots ou semblants de mots (mots de bébés) qui vont à se coller sur roche comme autant de vues-effigies de contrebande ? szont-ce ?

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16/02/2022

je suis homme de peu soit homme de rien, homme des apprêts. je vais et je viens sur mon chemin. je suis à la recherche d’une vérité qui puisse me donner du large et m’aider à vivre. je cherche un ciel. je suis cet homme cherchant ciel ici et là . le ciel est une entité comme la mort est une entité comme l’animal en soi-même est une entité. Le ciel est un paysage vibrant qui nous donne un lien vers un audelà pariétal. je vois devant moi la vie qui vibre. la vie vibre devant moi. un homme se meut en moi maoiis est-ce un homme ? je suis homme de peu soit homme de bure soit homme de rien ou comment ? mon nom est gravé ici ou là sur des parois : antilope de la joie, aurochs des données faciales, bison des abris, mmammouth géant, cerf aux abois, biche des prés, et autres betes imposantes. je suis cet homme qui va en prairie , en forêt, qui cherche, qui cherche dans les profondeurs des bois et des sous bois, qui cherche une vérité parmi des vérités, une vérité qui nfasse le poids on l’a compris. Je cherche de quoi, je suis à la recgherche (une recherche vive) d’une vérité de bon aloi, qui fasse le poisd, qui en impose par son poids, qui fasse obstructionb. De quoi s’agit-il ? il s’agit de cette chose comme quoi le verbe(pesant de tout son poids de bete forte) va bloquer issue, bouche que tu boucheras, va faire obstacle à quoi ? à mort de la lande, à pareille entité merdeuse ou comment dire ? on cherche ! on cherche crument soit dans le cru des mots en réserve. on sait cette chose comme quoi la mort est une saleté qu’il est bon de nommer ainsi qu’on le fait, à savoir : à coups de mots crus sur la tete ! à coups redoublés de mots crus en veux-tu en voilà prends ça la mort ! Et nous d’y aller de plus belle, d’appuyer ! de faire cette chose d’une sorte de battue sur roche à coups réitérés de battements de bois en tre eux, à coups redoublés de claquements des mains entre elles ou sur donc la roche devant soi, un temps donné. nous ne voulons pas succomber sous elle, sous la mort ou plutot sous ses coups à elle, sous ses coups de saleté qu’elle est. Notre but est d’éviter le coup du sort. NOus cherchons perma,nemment à éviter le coup du sort de la mort à l’oeuvre et pour ce faire nous faisons ainsi de lui asséner nos cris de joie vive, nos cris redoublés d’hommes des cavernes, nous crions à tout va ! nous gueulons comme des putois ! nous disons nos affaires de haute volée en gueulant à toute gueule nos dires méchants, nos insultes à son endroit, nos turpitudes, nos cris vifs, nos gueulantes bien placées. NOus ne voulons pas de la mort et voilà pourquoi nos incantations et autres chants gueulés assénés. merde à la mort qui nous encombre ! zut à celle-ci qui vient nous emmmerder vive , qui vient nous géner grave, qui vient grave nous enquiquiner. Nous ne voulons pas , en nous, de la mort, et c’est en nous que nous faisons obstacle, comment ? via ici le Verbe en soi, comme déposé devant soi, comme posé en nous vers ce dezvant de soi ou comment ? ou est ce verbe déposé en vérité ? est il déposé dans le temps ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii voilà où il est ! il est là, flambant neuf, dépot perlé de première et belle offrande s’il en est! Je suis cet homme au dépôt de verbe sur un socle ou autrement mais déposé comme un présent offert par la bande à une entité redoutée. Qui va là qui me regarde ? je dirais : la mort. et comment fait-elle pour me regarder ? elle mire avec ses yeux partout cachés. où sont ces yeux ? ils sont partou cachés dans les embruns, dans la vie, dans les recoins, dans les recoins de la vie, etc? ou ça exavctement ? la mort a des yeux qui nous mate volontiers mais comment savoir, comment faire pour savoir, comment savoir pourquoi et où et comment la mort etc ? NOus cherchons dans tous les coins, nous cherchons partout, nous nous déployons. Nous avons cette chance pour nous de pouvoir faire obstructuuiion à pareille entité en nous via ce Verbe des débuts de vie, en nous inculqué incidemment par nos parents, par nos proches, etc?. Nous pensons que nous avons pour nous beaucoup de chance d’ainsi avoir été touché, d’avoir ainsi été élevé et monté ainsi vers du verbe d(‘obstruction masssive («aurochs, aurochs, aurochs «). Cela a été une bonne chose pour nous car ainsi, la mort, nous pouvons un temps (le Temps) la tenir à bonne distance et ne pas subir de front trop tôt ses vélléités guerrières. Nouys voulons comprendre ainsi pour nous ce que cette obstruction en nous au juste signifie. NOus voulons savoir pour nous ce que cette disposition en nous (d’anima ?) signifie en termes d’obstruction à passahge, à entrée ou à sortie car la chose encore est à considérer et à étudier. Nous cherfchons les données probantes, nous voulons comprendre loin. Notre but ici est de comprendre loin et vite les données de base quant à l’obstruction en soi à pareille entité de rage, à icelle entité de bas âge ou comment ? qui est-elle ? qui est la mort si entité ? qui est cette entité appelée la mort ? bas âge ? qui est elle ? était elle à notre naissance c’est cela ? était éelle là lorsque nous sommes nés ? est elle lié au verbe inculqué en nos bas âges , est ce ainsi ? qui est elle pour nous qui faisons obstruction par du VErbe en  ous , qui est elle pour nous en nous? et d’abord est elle en nous et si oui où ? nous voulons comprendre loin, dans le Verbe et aussi dans l’enfance du Verbe pour nous . Nous cherchons à tout va, tout azimuth pour ainsi dire. Notre but est de chercher et de trouver, c’est à dire de chercher et de mettre la main sur une vérité ! la main sur elle afin de l’attraper et de l’écarter pour ainsi dire ! Nous voulons comprende ici cette chose d’une voix en nous qui parle pour nous et nous permet d’écarter un Temps la mort. Cette voix est en nouys la voix inculquée soit éternelle (traversant les âges) : elle nous survivra. Cette voix (une langue qu’elle qu’elle soit) est en nous comme un bouchon de rage, venu de loin (des profondeurs des âges en vérité) et qui nous aide follement (oui ?) à tenir bon et à ne pas céder devant icelle mort qui nous attaquerait vite fait par la bande ou autrement sans chercher autrement. Nous devons comprendre ensemble cette chose d’une voix ou langue en soi qui fait obstacle : 1, à la mort à l’oeuvre ici bas, 2 , aux vertus cachées des embruns, 3 , aux mots de trop. Car le verbe est ici cette chose qui fait front et permet de tenir bon. Le vErbe gêne la mort, obscurcit kles choses dite «de la vérité (c’est le prix à payer) et nous permet de vivre un temps particulier loin des affrres de cette entité qui nous cher che noise, nous cherche des noises à tout va : la mort . car la mort est une enquiquineuse de première pour ne pas dire une emmerdeuse ! Elle nous cherche querelle permanemment, elle ne se lasse pas de nous chercher querelle ! elle est quelque chose ! elle est toujours là (dans nos pattes) à nous enquiquiner, et nous , par le Verbe en nous contenu, de la repousser, d’y faire obsctacle, de l’écarter, de la tenir à bonne distance . Nous ne voulons pas de la mort et le Verbe est là (dépot devant soi = le Temps) pour faire ainsi que les choses soient ainsi. Nous guettons. N?ous sommes aux aguets. Nous tenons bon devant l’adversité. Nous voulons tenir. Nous ne voulons pas céder. Nous voulons tenir bon et repousser tous les assauts les uns après les autres. Nous ne sommes pas de ceux qui veulent déceder fissa dès qu’ils sont nés mais de ceux qui veulent perdurer un temps en ce monde des tourments peut être mais tel est le prix à payer pour tenir bon et ne pas chuter. Nous ne sommes pâs de ceux qui veulent chuter dans les limbes du temps dès potron-minet mais de ceux qui veulent perdurer un temps qui est le Temps pour nous (pour soi) dans une vie vive. Notre but est de tenir ainsi à la vie via le BVerbe d’obstruction pleinière en soi. le Verbe sert à ça. Le verbe est là pour boucher passdage, empêcher une sortie de soi qui viendrait nous dépl$acer d’où nous sommes où nous nous sommes déposés; Nous disons cela : que le verbe ici, le Verbe en bouche, ce verbe de kla foi en des mots de bouche (comme «mort» ou comme «vie etc), ce verbe est pour nous bouvchon ! Le bouchon obstruant passage à cette bete en soi que nous avons et qui est peut-être cette bêzte qui pourra ou pourrait tenir tete à la mort ? qui sait ce qui est ! qui le sait ! qui sait ce qui est au juste : c’est une question mais c’est ausi une exclamation ! car la bete est là, en nous, qui est comme «coincé» par du verbe contenu depuis notre bas-âge , du verbe contenu et tenu en laisse, comme un animal, comme un chien, comme un petit être contenu. Nous disons que, en nous, existe une bete-mot, soit ce verbe de maitrise, qui fait front. Le mot-bete est verbe et bete et contient les données ensemble associées. Nous disons que nous cherchons ce qui est exactement, soit la place des chosesxc : où sont kles choses déposées ? où sont donc déposées les choses ? qui le sait ? qui sait où sont les choses déposées ? qui sait cette chose ? qui sait où est la mort, où est le verbe et où est l’animal ? y a til 3 choses ainsi à considérer et à cer-ner ? est ce que les choses sont superposées ? la mort est elle la bête, la bête le verbe, le verbe la mort, etc ? ou bien est-ce 3 choses bien distinctes en soi ou sinon en soi hors de soi mais vraiment distinctes et dséparées ou tout le contraire ? le verbe est cette chose faisant obstackle à quelque chose : à la bete contenue en n ous ? )à la mort elle aussi (?) contenue en  ous ? sommes nous solidaires de pareille étoupe d’obstruction massive (placide ?) ou ne sommes nous point solidaires d’elle ? qui sommes-nous ? nous disons qu’en nous une bete existe qui file sa pelote toute verbzale et ce faisant obstrue la bouche qui est plaie = panse . nous disons que le verbe est là pour panser la plaie d’une bhouche ainsi sang uinnnolente.Nous disons que nous cherchons à comprendre cettte plaie de bouche (la nôttre) avec les mots qui sont à nous, qui sont ceux que nous avons apprris. Nous disons que nous devons comprendre cet apprentissage, ce qu’il est et a été pour nous en termes d’obstruction à quelque chose, à quelque passage, mais de quoi ou de qui et surtout pourquoi et dans quel sens : dedans -dehors ? ou dehors dedans ? nOuds ne sommes pas au bout de nos recherc hes. Le verbe est bouche-trou on le conçoit, la bouche est une plaie c’est une évidence, en nous des betes de poids (des injures tout aussi bien) c’est certain. reste la mort à situer ! est-elle liée au Verbe en notre bouche ? peut-être bien que oui ! Est-elle liée à la béte-injure en  nous (le temps présent ?) peut être bien aussi ! Est elle liés-e à une plaie, à un pansement, à une obstruction, etc, à des mots d’obstruction ? on ne sait pas. On est ensemble à rechercher des choses ici et là et ce n’est pas simlple de comprendre le fin mot.nous devons chercher avec applicattion et ne pas musarderr incidemment mais s’y coller fissa sans respirer quasiment car le temps presse. Le temps nous presse fort qui nous pousse à chercher fissa à même le temps pour ainsi dire : dans le sas. Nootre but est de trouver des données de rage qui soient données utilisables, fines, avérées, construites, posées ou dépôsées comme des offrandes sur une corbeille, sur un tapis, sur une étoffe. Nous voulons comprendre ce qui est ici (bouche ouverte comblée) à la lumière de cette entité dénommée «la mort». La mort est une entité déplacée. La mort est une entité déplacée = qyi n’est pâs situé à l’endroit où elle devrait (pour elle ?). La mort est cette entité que le Verbe (en nouys : bete de joie, du je de la bande) repousse aux calendes grecques ou disons à quelques heures (mètres ?) de distance. Nous cherchons ici à piger ce que la mort est. La mort est une entité dite «déplacée», ce qui sihggnifie qu’elle n’est pas (à ses yeux ?) à sa juste place et elle renacle méchamment, trépigne tout va, se met en colère souvent, se cabbre, vitupère, charge, nous enquiquine pour être gentil et ne pas dire de mots plus violents. nous voulons savoir la mort ce qu’elle est au juste et où elle se trouve. Pareil pour le verbe, pareil pour la bête ! La bete est le verbe. Le verbe est la Bête; Tous deux sont équivanlents dans notre bouche qui font obstruction. qui repoussent «l’échéance» d’une mort annoncé, etc. nous savons que cette chose (de la mort «vivante») est croyan,ce criticables et critiquée. nous savons que cette chose est parfois critiquée comme quoi la mort ici bas ecxisterait, certains n’y croient pas. Nous poensons que nous sommes deux en  ous à chercher via le langage (une langue incorpôrée) à comprendre ce qu’il en est de l’action conjuguée du verbe en nous (parole de bure) et de la bête en nbous (bête de poids et de charge). le tout à visée de reculade , c’est à dire dans le but de repousser la mort qui gagne, qui procède par étapes, qui fait des bonds, qui saute en  veux tu en voilà d’une t^te d’homme à l’autre, etc.la mort est cette chose devant soi qui cherche sa place dans la vie c’est cerztain. la mort cherche à trouver sa place à l’intérieur du «sas» de la vie mais vas-y du connaud ! cherche ! quand tu es la mort tu n’es pas la vie ! tu ne peux prétendre à cette chose ! et dès lors comment veux tu trouver ta place ici puisqu’ici est le royaume de la vie, ducon ! voilà comment nous parlons et commùent dès lors nous repoussons la mort dans ses dix huit mèttres. nous ne voulons pas de la mort «dans la vie» et voilà pourquoi nous parlons, voilà pourquoi nous sommes nanti (muni) de cette arme de combat à savoir du Verbe du jeu. Nous disons que le Verbe en  ous (l’animal de compagnie) est du verbe vif, qui va son allant contre vents et marées et comble un trou que le jeu permet, ou comment dire ici cela qui nous interroge ? Nous pensons que le verbe est cette chose d’une bete-mot qui fait ainsi que la plaie du coprs est pansée, est apaisée, est mise en sourdine question méchanceté d’une douleur vive. Nous disons que nous devons cerner des données de base à même kla plaie, soit le corps, et comprendre les enjeux qui sont à ce niveau de réflexion, comprendre les enjeux à ce niveau de réflexion. Nous vou;lons comprendre ensemble les enjeux qui sont ici et ce avec les mots que nous avons en bvouche incidemment. Les mots (bêtes de charge et de rage tout à la fois) pansent la plaie du corps, et nous permettent de tenir un temps qui est le Temps d’une vie humaine. Les mots sont pour nous ce chargement quiu pousse la mort vers d’autres latitudes, la maintiennent hors la vie pour ainsi dire. ce quyi est ici (indubitablement) est cette chose comme quoi kles mots repoussent et tiennent à distance et font  en sortent que la mort soit écartée à jamais de la vie telle que nous la vivons de base sur la terre ferme, telle que nous sommes nous à la vivre ici debout, sur nos deux jambes. Nousv ne voulons pas de la mort chez nous et nous le disons par le verbe qui est insulte , qui est bestial, qui vitupère à la une à la deux, qui ne s’en laisse pas conter des fariboles, qui renâcle, qui trépigne, qui jhoue du sabot dans la poussière, qui gueule sa haute gueulante cérémoniale. Nous gueulons notre parade nuptiale ou «de» notre parade nuptaile, soit p)»par» notre parade nuptiale ! nouds repoussons les assauts vifs de la mort à l’oeuvre «dans la vie» comme une cochonne qui fait mal les choses ! la vilaine et cochonne personne mal léchée ! je t’en mettrais , etc. de sorte que voilà ici (la vie) ce que nous faisoons : nous faisons preuve de belle intelligence -sabotage. Nous faisons corps = nous poussons. nous faisons un corps, nous faisons un corps de repoussage, repoussoir, etc. Le corps est du verbe -repoussoir . plaie pansée. plaie pansée pour un repoussage de première. Nous voulons repousser lza mort dans ses pénates qui sont ses pénates et non pas les nôtres. ses pénates sont ailleurs. nous voulons que ses pénates restasse,nt les siennes et ne devinssent pas vles nôtres. Nous voulons faire une chose ici qui est de repousser la mort soit en vérité lk’empêcher d’advenir et pour cela nous faiosons cette chose qui est de parler que tu parleras à tout crin de vive voix, à la cantonade ou pas, en catimini, chuchoté, c’est sans réelle importance puisque ici ce qui compte vraiment le plus est de parler sans discontinuer, sans faiblir = le Verbe connu, le Verbe incorporé= le verbe enregistré en nous à jamais car qui n’a jamais désappris son verbe ? qui a perdu les pédales du Verbe ? qui a un jour perdxu icelles ? qui a perdu pédales un jour ? qui de nous a un jour perdu les pédakles du Verbe inculqué , qui ce serait retrouvé «imberbe» comme un coquinou, mis à bas ainsi, detaché, comme délavé, comme vidé, comme vain ? Nous voulons comprendre ici cette chose d’un Verbe de repoussage, de repoussée, de repoussoirage, de bousculement. notre but est celui-ci qui dit que nous fgaisons corps avec le Verbe en nous incorporé ‘d’où la chose) et voilà pourquoi la mort « ne peut entrer». e,nn tout cas pas tout de suite. ou comment alors ? quand ? quand exactement ? lla mort est toujours là qui guette dans les menus choses de la vie:. La mort est induite. La mort est inscrite dans les mille choses . on dirait que cela est et cependant oui ? ou bien non ? non à la mort ici et là inscrite ? ou bien oui ? oui à la mort ici et là lovée-cachée etc ? QSue sais je, qui cherche fissa sans discontinuer. nous voulons comprendre des donnéesz, ce qui est qui va, cce qui va qui est, etc, et pour ce  fairev nous parlons «à l’emporté» comme il se doit peut-être. nous voulons creuser dans ce sas de vie profond. Nous voulons creuser profioond ici, chercher les données cachées, comprendre en soi la bête-mot de rage, ce qu’elle est, ce à quoi elle sert, ce pour quoi nous la voulons pour nous expréssement, ce qui est au juste la concernant. La bete en nous est mot d’injure on, le sait. va loin dans l’injure, le ressentiment, le mot de trop, la violence verbale, le haine, les effets délétères, les mots crus sexués et autres saletés verbeuse. c’est une évidence ! Le verbe est sale qui se veut tel pour repousser la mort ! le verbe est sade et sale qui veut pour lui repousser la mort dans ses pénates ou en ses pénates on l’a vu ! Lza pmort est à repousser en ses pénates. où crèche la mort .? où qu’elle crè!che la mort , dis ? qui le sait ? qui sait où la mort crèche ? nqui sait cette chose ? qui sait où crèche la mort ? qui sait cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui connait ici cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui co=mprend les choses liées à la mort de base ? qui comprend la mort de base et saura nous révéler le pot aux roses ? qui voudra bien nous donner son savoir, ses dires, son influx ? qui est là pour nous ? je cherche dans mon coeur de base des données, je cherche fissa. je suis (deux) qui chercheune Chose ici bas à la force d’un étant ou d’un allant verbal. le vent souffle. la lumière se fait sur les embruns, me voici pezrlé, brillant sous les rayons qui darxdent, je brille à tout va, j’illulmine les entours, je suis homme de cro-magnon, bete fauve, ogre, monstre des prairies vertes, je charge à la force du verbe brandi, je file , je caracole. mon nom est insc rit tout en haut de la paroi verbale. je suis homme de la tour de rage, considéré, conscrit, pris, chargé d’allure, concomittament temporel = de concert. je veux comprendre ce qui est qui se trame ici dans un sas de bienvenu. Je veux comprendre des données, des mots, le verbe, les données rugueuses du temps de la vie et les donhnées soyeuses (?) du temps de la mort ce qu’ elles sont (les unes et les autres). qui sait ce qui est ? qui dira la vérité ? bnous cherchons partout sur terre des idées de base, données brutes, données profondes, pleines, pesantes. nous ne savons pas ce qui est au juste en nous : sommes nous comblés ? sommes nous pris en défaut de verbe ? sommes nous comblé de joie-je  ? sommes nous des êtres malfaisants de base, le verbe d’insulte à agent aidant ? qui sommes nous en tant qu’être de verbe ? nous avons à ici cpmprendre des données profondes concernant la vie et la mort ce qu’elles sont pour nous. nous voulons en avancer et faire cette chose d’une sorte de recherche jumelée (à la vie à la mort) mais comment ? Nous ne savons pas . Nous sommes penauds. Nous sommes de petits êtres penauds voire raboufgris en notre misère de faisant partie d’une misère globale, générale, liée à la vie sur terre. Nous voulons co:mprendre loin dans le sas de terre-mère et pour ce faire y aller fissa de notre gouverne temporelle, chercher ici et là (recueillir) des données fortes, costaudes, qui tiennent, qui soient comme des certiitudes de paroi. Nous voulobns toucher (trouver) la bête en nous , cette bete-mot qui en impose un peu malgré tout et charge et tient tête, tient la tête, la tient devant soi = la repousse de ses deux mains, repousse à demain, à deux mains la tête de la mort à l’oeuvre dans la vie ou sinon quoi d’autre ? nos mains sont ici qui repoussent, tiennent, contiennent, cherchent à contenir, à suspendre, à tenir à distance, à protéger tambien, ou comment ? la tete icii d’une mort annoncée comme un nouveau-né. présentation ! calfeutrage ! homicide ! colère ! chearbon de bois ! dessin galbé ! le lion est dans le pré ! la pelouse ! le lion est consacré roi des lieux de rage, ornements dorés, veture de nacre, Soleil. nous voulons contenir de nos deux mains la mort de rage. nous voulons de rage contenir la mort et ce de nods  deux mains. Comme une sage-femme. car la femme contient (elle) et nous aussi qui voulons être fame. nous sommes ainsi que nous voulons la rebommée. . nous sommes homme ainsi qyi voulons la fame comme la felmme et repousser l’assaut de ll’assaillant en la perso,ne de pareille ici entité de merde, ou comment dire ici la chose à insulter comme une merde?Nous ne vcoulons pas de la mort. Nous ne voulons pas de la mort . mnous ne voulons pas de la mort merdum. voilà qui est dit et crûment dit. La mort est chose rude, crue, elle va droit vers nous mais nous avons deux mains pour repousser son mobile. Nous ne voulons pas d’elle pour nous, et nous la repoussons du mieucx possible et pour ce faire il faut faire poids , il dfaut contrepousser, il faut contrecharger, il faut contre tabler, contrer etc la mort qui elle ne s’en laissze pasz démonter si vite. Nous voulons toucher la mort pour la repousser avec nos deux mains devant. nos mains sont du Temps (on le sait) . nous repoussons les échéances ménagères. nous ne voulons pas que la mort vienne sur notre terrain. nous disons que nous ne voulons pas que icelle mort de merde vienne saleté. nous disons nos excréments de verbe fissa à son encontre, la souillons de Verbe vif, culotté, contraire, etc, afin de la pousser et de la repousser et rerepousser en ses quartiers. Lune ! charge ! conne ! pute ou putasse ! tu vas trembler ! voilà ce qu’à la mort nbous lui disons en face (demain) et c’est ainsi que la mort recule pensons-nous. à la force bestiale du  verbe temporel, du verbe cru et nu, du verbe de haine, hot verbe de rage, vif de vive, cher verbe ollé ollé et pire ! nous pissons de rire et gueulons de rage et gueulons de toute notre vue de la vie de rage ! nous voulons contrarier la Mort. Nous voulons contrarier ses avances, la débouylonner, lui faire peur, l’effrayer, la placer ailleurs, la faire reculer, la rehjeter ailleurs qu’ici, ici = devant, ici = où en  vérité ? nous voulons aller loin dans l’invective. nous voulons aller loin dans l’invective !BNous voulons aller loin dans l’invective et cela pour ça. pour cette chose d’une reculade. «vive la vie !» n’y fait pas des masses; mais l’invective. Nous voulons repousser les assauts vaillants de la mort à l’oeuvre et pour ce faire un Verbe de bête, zaurochs et bison, mots d’insultes de poids, charges pleines. Nous devons comprendre cette chose de la mort qui charge et en contrefort, en contrerpartie, en contrarieété ou comment ici le verbe accolé. La mort est une charge mais le verbe aussi. et donc voici la chose, x contre y, la bete mot de poids, de poids et de rage, contre madame ou sieur de la Mort à l’ OEuvre. une belle partie de campagne. Nous voulons savoir, bnous saurons. nous voulons comptrendre, nbous toucherons au but un de ces quatre, à la force du poignet qui sait. Nous voulons  toucher à la vérité des choses du monde, celles-là qui nous regardent, qui sont présentes autour de nous , comme un cercle d’initiés. je cherche une raison de tête wquand la vérité est dans l’à peu près des dires jetées comme des armes de jet. nous disons que la vie est Une et Indivisible comme la parole divine mais en vérité la vérité est une que nous sommes des enfants du jeu de la chance. La chance est éghale à cela même que nous engageons nous mêmes de nous mêmes comme poids dans la balannce = du donnant-donnant. nous poussons (repoussons) la mort de nos deux mains (de nos dix doigts) car nous sommes fort de la rage à être des bpêtes de poisds surnuméraires. Main, main, main, main, main, maoin , main, main, main on l’a vu maintes et maintes fois et c’est ainsi que cezla est c’est une vérrité qu’ion ne peut nier. je regarde devant moi et vois ce qui est qui setrame . une vérité est là qui cherche à être formulée. La mort est une entité menaçante c’sst un fait, mais le verbe est nacré,  il résiste au choc, il est bestial et sait contenir, faire contrepression, porter charge et faire face ou dès lors faire face. L’animal en bnous-mêmes, cette bête-mot des années écoulées ou amoncelées ou agglmutinéees, ou associés, cette bete mot est la bete en nous qui sait résister et toujours tiendra tete à distance, tiendra la tete (de la mort) à bonne distyance. IL faut cette chose. il faut ce sens. il faut comprtendre cette chose d’une tete tenue, repoussée sur le haut du crâne. nous poussons ensembvle, lles mains, nous pousso,ns ensemble, deux main, nous poussons ensemble de nos deux mains (ç a fait quatre ?) l’assaillant. La mort assaille. La mort vient pousser de sa tete de bélier et charge. nous sommes nous aussi en face qui chargeons et mettons nos deux mains (le Temps) devant = présent de bonne renommée on le sait (fame ou réputation ?) qui nous aide à tenir bon. Nous ne voulons pas céder aux premières incartades. la mort est ce bélier de face, à face dure, cornes devant, chertcheuse d’emb rouille. Nous résistons = nous repoussons avec les mains du TEmps déployé dans du faire monacal , pariétal ou autre, ici ou là, pourvu «quon ait l’ivresse» de la joie à être ces etres de rage repoussant l’enflure, la vilaine, l’assaillante, la cochonne, la merdeuse, la conne mort de cette saleté d’etre des vents. Nous ne voulons pas de cette saleté et nous l’effrzayons verbalement comme nous pouvons . l’insulte à agent est notre réponse = la vie en nos organismes/

. nous cvoulons creuser les données royales et comprendre ce qui est ici en ter:mes d’insulte. nous avons à chercher longtemps et ce faisant nousc repoussons également. les recherches sont telles ici que nous sommes ainsi à nous accoler à une question qui est celle-ci qui nous voit forcer, rentrer dans la masse, contrecarrer, pousser dur, charger de tout notre aplom,b. nous voulons creuser profond les questions, nous voulons charger de front, nous voulons «tenir tête» et c’est cela que nous faisons ici , caracolant à toute blinde et àà tout va vers icelle «bête» (?) de la mort qui charge, elle, vers nous qui chargeons, nous, vers elle continument et elle de même ; feu contre feu. la mort contre la vie du verbe insultant = la vie. La vie est une insulte (proférée) devant la mort via le temps de son déroulement ou de sa diction, ou du temps utile à son déroulement . Nous disons et disant nous repoussons. Nous disons le mal en  nous contenu (le lmal et le mal : la douleur et la vilaienie ou la méchanceté) et ce qui est est. Nous disons que ce que nous disons provient loin en nous du mal de base nous constituant. Le mal est un mal de base. le mal à la base est la douleur de bouche et puis le temps aidant ou passant la chose est cdevenu cette autre ch ose d’une sorte de méchanceté latente, enfouie, en réserve dans les profondeurs de la bete en nous contennue. je suis une bêtye de rage, betye de poids qui pousse et contient (temps-verbe) la mort à distance sinon en repos. corne contre corne. Cornes contres vcornes. Nous passons un temps ainsi à tenir tête (sage-^femme’ = maïeuticienne) et faisant cela nous disons que nous voulons de la vie poour nous à jamaisq. La maïeutique est l’art de faire naitrec les bébés, soit de les mettre au monde, il s’agit de cette chose d’une mise, d’un dépot, d’une deposition à même le sol de dallage. je suis cet homme-ombre qui, maieuticien, cjherche à tenir la tete de la mort pour la contenir avant qu’elle ne naisse au monde des vivants. nous devons tenir la tete à la mort de branche. La mort est mort qui pousse devant soi, qui grignote sur le temps verbal de survenue, sur cette chose à bas qui est présent de dépot d’offrande sur table dédieé. nous cherchons la v érité des sables, des embruns, des terres en friche, des devants de soi alloués, des verbes haut perchés, des vêtures de bure pour une embardée de contrairiété». Nous disons que nous voulons comprendre loin et profond et pour ce faire nous devons chercher ensemvnle les données de base (dites «nature») venant à nous, à notre gouverne princière, cap de la haute, parlure du chapeau, collège. Nous voulons comprendre avec des mots sensés les choses du monde mais le peut-on ? je pense que non. le monde échappe à tout entendement intelligible et seule une approche sensible intuitive fine arrivera à cer-ner des cercles, des sortes de bulles de sens, à toucher la tête, à teenir pour soi (dans ses bras) des dires de poids de type aurignaciens, magdaléniens ou même plus lointain néanderthaliens. BNous pensons que npous devons fouiller le dire intégral enb ses déclinaisons diverses et contfronter ces dires les uns aux autres afin d’en extraire la moelle nourricière, la belle romaine, le suc, le charme, l’esswentiel de ses atours. Nous voulons cerner en confronta,nt les dires de base : mots creux mais tintant comme des instruments de musique (à vent ?). nous disons que nous nous engageons dans des recherches fouillées, dans des recherches qui vont loin à fouiller des vérités de poids et de bon aloi. nous fouillonns dans la profondeur d’une langue inculquée vles données offertes par la bande et ce faisant le temps sé’écoule qui repousse les assauts (bélier) de la mort à l’oeuvre incidemment. la mort est une beauuté cachée , qui sait  ? nous la tenons à la distance qu’il nous sied. Nous sommes deux mains. le temps pousse. Le temps est cet homme de paroi qui pousse (= repousse) et cherche à tenir (= contenir) les coups de l’assaillant  brutal. sus à la mort ! laissons la mourir ! que faire ? les mots cherchent u ne entrée de choix, de base, dans la faille d’une paroi. les mots sont mots de rage à être, c’est un fait, et bouchent la plaie qui saigne (saigne beaucoup) de nous. nhous voulons comprendre tout ce sang perdu, cette plaie de base, ce sang de la rage à devoir repousser et à repousser. Les mots chargent de tout leur étant rupestre : sens et musicalité pour un recul avéré de l’assaillant ailé. nouds ne voulons pas de sa présence en ce sas de vie qui est le nôtre et du coup que faisons nous ? nous repoussons la tete qui devant nous se présente (imberbe = crane nu). Nous voulons repousser ce crane, ce mobile, cet os, cette ame, ce sens, cette peau, ce brin, cette charge,  cette bete, ce caché de l’age. Nouys voulons repousser le caché ici qui vient se ficher devant nous pour nous enquiquin er et nous briser dans notre élan de vie racée. alors que faire ? nos deux mains misère ! mais oui voilà ce qui est qui est nécessaire ! vive nos deux mains ! que n os deux mains vivent . les deux mains d’une rage à être temporelle seront nos alliées et vont nous aider à comprendre, à prendre corps, à prendre corps contre, etc. Accolés pour une floraison. nous disons que nous devons co:mprendre ensemble ce qui est ici qui nous regharde et qui cherche à nous tromper avec son crane profilé, sa tete première, son avancée princière pitttoresque : sus à l’assaillant des rois! ne nous laissons pas piéger ! nous ne voulons pzas que la mort gagnât trop de terrain sur notre p^ropre territoire, elle se doit de nous respecter. Nous voulons la contrarier et pour cela rien de mieux que nos deux mains := le temps à d»ployer sur roche (monde) et à opposer. nouds devons aller contre icelle entité armés, et pour cela rien de tel que deux mains «frontales» , quii sont des repoussoirs de choix et de poids, qui tienhent la tete , la  retyiennent, la coincent, la blmoquent, l’empêchent de trop progresser vers nous qui ne voulons pas (vraiment) d’elle du tout (en vértiré). nous noyus plaçons de telle sorte ici que voilà : les cornes ! cornes contre cornes ? feu contre feu ? la vie du Verbe contre la vie de la mort .? BVerbe versus Mort ? nous sommes des (ici) qui(là bas) allons à contrer la charge princière opposée, à savoir les cornes, les cornes rouges de la mort,  les cornes fumeuses, les cornes rougies, les cornes br^ulantes de la mort en sa lave-coulé, en son feu terrien, en  cette flamme dure, qui brûle que tu brûleras le Temps. nous ne voulons pass passer trop loin des données de base. en sommes-bnous loin ? nous  voulons comprendre ce qui est à l’aune d’une vérité accouchée. nous sommes deux mains = le temps = le  verbe = l’animal ou mot-bete , qui allons ainsi bille en tête repousser laz b^ete, repouuser l’etre de l’opposition à nottre allant. nous voulons percer la terre. Nous voulobns creuser la roche. bnous voulons d’une traversée des apparences et pousser loin les données du mon,de adjacent vers des données plus lointaines encore qui sauront ou sauraient nous dire ce qui est exactement de tout un monde qui se cache ici de notre entendement. quoi existe hors le monde ? nous voulons toucher la t^te (crâne, craneuse) de la mort, et pour cela il n’y a pas à lambiner mais à fissa aller vers elle et le contenir, la tenir à bonne distance, avec nos deux mains , avec les mains qui sont  celles que nous opposons pour notre chance. nous voulons repousser l’assaillant brutazl en nous montra,nt nous mêmes tout aussi brutal. nous ne voulons pasv mourir c’est un fait mais non p;lus céder du terrain, laisser la moprt grignoter nos terrres. Non ! nous voulons qu’elle se tînt à carrteau et n’empietât pas sur nos plates bandes de fortune. la mort, tiens-toi à carreau, de grâce ! voilà ce que nous lui disons en lui tenant tête. voilà ce que nous disons et cela (ce dire) est du tenir-^tête de premmière. les mots chargent et caracolment et tiennen,t bon l’onde de choc. nous voulons que cette chose de la mort à l’oeuvre (choc time) tînt son rang et n’en bouge ou démorde pas ou reste à sa place là où (où ?) elle est en vérité. Mais oui sinon : où est elle ? la mort est une sorte d’entyité de base, contrariante, qui est  pour nous contre nous, qui s’oppose à nous, qui est une donnée rude, qui est une donnée de poids, qui est cette chose d’en face qui nous gêne contiuement et cherche à nous mettree à bas. nous résistons bien mais vas-y à comprtendre tout de tout. quoi est-elle en termes de contrzariété ? que nous offre-t-elle comme perspectives dec destinée ? où veut-elle nous embringuer ? commùent se nomme-t-elle ? que nous veut-elle de bien ou de mal ? que et qui croire ?  on dit que la mort est dans l’atte,nte de notre âme ou de notre coprs ou des deux mais en vrai la mort vient charger, vient nous plan,ter ses cornes pour nous assaillir, nous tuer, nous tuer de rage, nous tuer car nous l’effrayons, elle nous voit comme l’ennemi potentiel numéro un pêut-être et dès lors elle vient nous agresser de force et de rage comme d’un fait excprès. la mort est efffrrayée et cherche à  nous tuer car elle est ainsi qu’elle a dans le sang (en e llke) cette envie de vivre à vif et du coup de tuer autrui qui lui appartait comme un danger éventuel ou bien comme une proie pour son quotidien, pour son anttree. nous voulons comprendre des données qui pèsent. le vent souffle à travers les monts. le vent siffle et souffle et nous fait impression. la mort rôde ? la mort est elle proche ? est-elle derrière la fine tenture des choses du monde façonné? qui sait quoi ? la mort est-elle «derrière» le monde ? Qui sait ce qui est ? nous voulons enbsemble trouver les données cachées , comment faire ainsi que la vie restat en vie ? comment faire ainsi que le Verbe put dire ce qui est en toute logique ? la logique est-elle la v érité ? qui saura nous aiguiller et nous placer sur le chemin approprié pour une connaissance avérée ? nous prenons le temps de co=mprendre = un temps pour un passage = une vie humaine. Et ce temps est cela :même que nous déposons sur terre-mère (la paroi) du temps de notre vivant? je chertche la voie nacrée, le passdage ondoyant, les fleurs des prés, les vives clameurs, le chant roucoulant. nous chercvhons ensemble des entrées, ici opu là, car oùù aller ?où se placer ? où se mettre et comment ? nous disons cette chose comme quoi le temps est une donnée brute qui mérite réflexion etv inspection. nous disons qu’ici la mort est une entrée dans la matière = faille à ^etre = trou non-borgne si tant est, mais où ? dans le verbe ? maids où donc est le trou dans le verbe ? ou se situe-t-il ? où donc se situe le trou dans le verbe ? où donc est le trou dans la bête en soi ? où tyrouver le trou du passage et commùent? je suis une bete car en moi vit une bête. je suis une bete de poids c’est sûr. je pèse mon comptant de choses et autres (veture de bure, mots acidulés). je m’avance sur les devants, je suis sur ces devants l’etre menaçant. je suis bete-verbe aux allures rupestres (bison ?) et ainsi vêtu, ainsi atiffé, ainsi arrangé (de bure et acidulé de par le verbe) je vais. je suis homme-betye de céans, je vais et je viens à travers le temps, je veux savoir la vérité, je veux comprendre, je veux trouver, je veux être. je suis homme des prés qui court comme un dératé à la rechezrche d’un semblant de vérité contenu dans l’herbe à brouter. JKe ne suis capitaine de rien. je suis un être de paroi de monde (du) et cher che que tu chercheras à travers la lande les données. oh mais je trouverais ! un jour ou un auttre. je suis ombre = hombre, cela est , mais pas seulement. Je suis femme = fame, cela est tambien, mais pasxseulement . Je suis bete = bete comme chou, cela est également , mais pas seulement. je suis verbe à vif de sa découverte, je saigne des dents, de la machoire, des joues, du palais. un trou de merde !!!!!!!!! merde merdum !!!!!!!!! un sale trou en ma face imberbe , oh saleté de bete en moi ! et me voilà qui parle à toute blinde, fort, chargeant de rage, y allant, etc. je parle par le trou : ni pl;us ni moins. je pa rle car j’ai un trou. et ce trou = une bouche

. Ce trou est une sorte de fissure à laisser faire. une sorte de fissure en  ous, laissant passer la cohorte de betes contenus en  noous depuis l’aube de l’humanité et nous voilà êtres parlants, êtres qui avons des mots de bouche plein la bouche et les exprimons de conserve et ce faisant bouchons notre bouche d’étoupe verbale. Nouys voulons comprendre cette étoupe ce qu’elle est au juste et ce que cela fait d’avoir pour soi cette chose en bouche, ce pic de verbe, cet onguent, ce pansement, cette chose ressemblan,t à quelque chose d’autre comme par exemple à une sorte de bete de jhoie.-, etc. nous voulons savoir les mots, depuis qu’ils sont là, dans nous, qui bouchent que tu bouchertas la bouche, ces mots : qu’en est-il en vérité ? sont ils dews apprêzts ? szont ils appeaux ? sifflent ils pour attirer ? font-ils partie d’une chose plus ancienne ? font ils partie d’autre chose que de nous , dans le sens où ils seraient liés à d’autress corps que nouqs? nous pensons et  ce faisant nous plaidons coupavle de coups et blessures envers la joue en nous. jze pense donc je suis coupabvle.je vais ainsi à la recherche d’une vérité de bon aloi qui me donnât de quoi , disons, «respirer» et me porter bien. et faisant cette chose , d’une recherche aussi attentive , aussi soutenue dans la longueur, je m’approche (on dirait) d’icelle v érité nacrée des fonds de la paroi. Je cherche à m’approcher d’icelle. la paroi = le monde attenant à l’au-delà. je veux cerner un univers entier (de la naissance à son passdage de l’autre cvôté : trépas de charge) et pour cela je parle en continu, je ne m’arrête plus, je charge à bloc les données frontales, les soupèse infiniment et cherche à comprendre. les hommes sont des femmes quyi sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qUI sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui so,nt des femmes qui sont des hommes quui sont des femmes qui sont des hommes qui so nt des femmes qui sont des hommes qui sonht des femmes qui sont des hommes qui sont des felmmles qui sont des ghommes qui sont des femmes qui sont des  hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des fgemmes qui sont des bétes, qui sont des bêtes-mots, qui sont des mots animaliers, qui sont des mots de peu, qui sont du verbe. Je comprends la chose ici qui me regarde fixement, ce qu’elle est pour moi (la misère) et ce qu’elle cxherche avec moi (la misère?°. Je cherche une voie pour un accèe àà même la terre, à même le sol, au ras des pâquerettes. je veux être une voix pour moi. je veux toucher la voix en moi qui parle pour moi et la déplacer sur roche de paroi. je cherche à toucher en vrai icelle. la toucher la toucher. je cherche incidemmeznt, concomittament, allègrement à toucher icelle (voix de rage) en moi, la toucher la toucher, concomittament = en parlant. puis-je ? suis-je en réelle capacité de pouvoir ? suis je capable de ? suis kje capable de faire ainsi que cette chose ici puisse ou se puisse ? suis je (moi) l’homme des prés de la situation ? comment puis)-je ? comment on peut dire ? comment pourrais je dire et faire à la fois = concomittament sans y laisser des plumes d’oie ? je veux être cette bête contenbue en moi! je veux parler le langage des bêtes à cette bête contenue en moi et comprendre q<ui elle est et poyurqoiu est-elle là en moi, qui swemble s’y plaire ou s’y complaire, qui est-$elle ? la bete en moi a un nom de passe. la bête contenue en moi porte le nom de son espèce, de son genre, de sa voix. il s’agit (pour moi) d’un nom «adultère» pour ainsi dire. Jhe suis homme de la voix qui tremble en moi à dire ce qui est de moi ! qui je suis je ne sais pas mais les choses ici sont ainsi que je dois comprendre loin et voir loin et marcher longtemps. je suis hjomme qui veut comprendre ce qui est autour de lui sur terre et pour cela je dois marcher vers les embruns c’est-à-dire vers la vérité. je ne dois pas m’en éloigner. je dois chercher une voie d’abord et creuser et fouiller et dire p;lus plus sans lambiner ni trainer ni faire le malin ni pleurer ni trépigner ou faire son intéressant ou le petitt diable ou quoi d’autree en ces contrées? Jez suis homme à paerler vif, qui chante là son dire du passé de soi. je dépose. le passé est cette chose (en soi) qui est déposé au fil du temps sur une marche (table) des offrandes. mon passé ne m’appartient plus qui est déposé sur une table à offrandes. je sais que mon pasxsé est cette chjose qui est dépôsée sur une table (où ?????) et qui sert à cette cxhose d’une sorte de repoussoir. je cherche à compreendre où donc la table, or voilà : dans le temps. La table aux offrandes est musicale = une portée. la table aux offrandes est une portée musicale = temporelle. il s’agit ici de piger cela, la portée porte le passé, le temps est le nid, nos vies la nichée etc. je veux croire en c ette chose d’une sorte ici (pour nous) de temporalité première déposée sur roche au fur et à mesure de nos avancées bille en tête. le passé se voit déposé sous fgorme de temps sur une porté, ou sinon sous forme de p^résent (de dons de soi) sur portée de sol, de fa ou tout autre portée musicale de consitutiuon. nous disons que la portée est musicale de constitution et porte le passé de soi (vbrûlé) qui est le présent (le don) déposé par la b ande passqzante, par icelle bande en nous du temps qui passe sur nbous. nous ouvrons la b ouche et parlons et la parole co:mble et panse. la pensée est chose de rage, elle vibre en  ous (onguent) et vient à se ficher sous forme verbale (crue) entre nos lèvres. ainsi est la foi. nous parlons et disons dès lors la foi que nous portons en nous, qui est la foi en des entités divines, de type : la mort, la vie, le verbe, laBêtye, la joie, le sang, la Parole, etc. les mots sont ainsi portés (:musicalement, une portée) à travers la vbouche, à travers une bouche , et portés se voit déposzés comme autant de vivres sur une table aux offrandes ou comme autant d’offrrandes diverdses sur  ou dans un panier. Nous disons panier, table, marche, pourtour, devant de soi, seuil, entrée, devant de porte, etc, pour dire le monde adjacent =: terre mère aux embruns lointains. je cherche une voie d’accès pour un passage de destinée et comment m’y prendre, voilà ce qui est qui m’occupe fort. je veux creuser la terre et traverser le film de la réalité des berges. je ne suis capitaine de rien et c ependant le verbe est du capitai ne. alors comment faire ? comment pousser loin ces données frontales, duccales, pleinières, princières et premières ? en chantant ? moui ! peut-être. ou bien en marchant ? les deux mon capitaine ou comment ? car, car je suis vaillant, je file, je tie,ns, je coordonne, je donnbe, je vais, je sens, je resse,s, je cherche, j’obtempère, je renifle, je touche, j’entre, je perçois, je coopte, j’envisage, je pl;eure, je ris, je ventile, je m’ouvre aux quatyre vents et moi même je ventile, sougffle que tu souffleras, je cherche à comprendre, je vais loin dans les recherches, je m’enfonce dans la nasse des savoirs de toute sorte concernant la mort et la vie, la vie et la mort.  Jee ne suis capitaine de rien or si. je suis au cap de mon phrasé de bure, maintenant du sens coûte que co ûte. je suis  celui-ci qui parle mal mais parle. un homme de la foi dans le langage (comme tous les hommes ?). je fonce fissa à travers la lande . je vais vers les bêtes de poids qui toutes broutent à l’unisson, paissent nonchalantes, me matent de coin, voudraient peut-être me parler comme elles me voient comme elles, peut être (qui sait ?). Je veux toucher, je veux toucher, hje veux toucher la vérité. Je veux me rapprocher d’icelle . je veux via le verbe toucher icelle v érité de la voix en moi qui vibre que tu vibrera s tton élan (son élan). je suis un homme-femme aux mains plaquées contre. contre la paroi = le crâne (je le sais). sage-femme aux bois sur la tete. je touche la roche, affronte. je suis la bete rosse, je suis cette bête rosse qui touche la roche, qui pousse la roche, qui foule. je suis bete rosse qui foule. je vais dans la roche, je suis une bête de poids, mon poids est une chose de poids en la matière = qui impose son allant de rage, sa toute puissance contenue en elle (bete) comme une sorte de vive donnée à donner temporellement , finement, volontiers, sur pareil devant de soi de type rupestre. je vais vif en roche et trouve là la vérité recherchée à savoir le NOm. qauel est-il ? qu’est-il ? est il mon nom ? est il le nom donn»é à lma naissance ? est il un nom vo:lé ? erst il le nom d’une bête ? est ce que ce nom, le nom que je porte (portyée temporelle) est le nom qui m’a vu naitre ? suis je moi m^me le Nom ? suis je un  nom parmùi d’autres noms ? suis je un nom parmi d’autres noms ? suis je ce nom-ci ou ce nom-là parmi d’autres noms ? suis je une vie d’emprunt ? la mort à l’ame ? suis je unn enfant qui va sur son chemin vif ? suis je l’enfant de la fame ? suis je l’enfant des tourments d’une vie à vivre ? suis je vif ? suis je à vif ? suis je mort ? suis je la mort ? quel est ce nom qui en moi chercxhe à naitre, à voir le jour, à sortir de ses gonds, à parler pour moi ? quel est le «vrai» nom (de paroi ?) que je porte  ? est il celui-ci :»Aurochs» ? est-il celyui-là : « Cheval «, ou tel autre du même acabit, «Bison des prés», ‘« Sanglier», vache ou dindon, etc. Je cherche à savoir en moi. je pense que je suis sur un chemin tracé ici en amont qui peut peut-^erte être fructueux on ne sait jamais. le chemin est peût^etre tracé de fait avant moi = mon passage = ma venue ou peutêttre pas. je vois que les mots s’en vuiennent sous mes doigts et chargent la paroi. je suis la bête des prés et des forêts, je cours et vole car je suis ailé comme le cerf ailé est ailé. je veux comperndre le cerf em moi (ailé) et pour cela je dois me pl;onger tete première dans l’eau d’un chant choral qui résonne en moi son fluide nacré c’’est un fait. je plonnge. je suis bete des parois de roche. monacales. pariétales. Et je file ainsi à la recherche instrumentée d’une vérité musiqcale du monde adjacent soit du monde de la vie et de la mort xans le langage. je file vif sur pareille portée musicale dee céans. je vais en roche à la recherche dx’une nichée. je ne ferme pas la porte aux savoirs de base mais je cherche loin, à tout va et à tout crins des savoirs autres : savoirs déployés ici et là à la d»éerobeée  peut-être par qui de droit que je ne connais pas ou si ? que je connais ? qui c’est ? qui  est)-ce ? un être caché dans les fourrés ? l’animal aux aguets , un frère animazl , une soeur de roche ? une effigie ? une bete gravée ? un etre de frai ? une vive gente ? qui est cette bete , qui sait ce qui est ? suis je bete moi :même ? l’idiot du village ? le demeuré ? le bestiou de sa rage entière ? ‘l’écervelé à bride abattue ? ou sinon qui ?

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15/02/2022

nous savons cette chose comme quoi la mort est une entité. la mort en nous est une entité. nous ne sommes pas dupe (au fond de nous) de cela. nous savons pertinement cette chose ici, comme quoi la mort est une entité que nous portons en nous comme un animal, ou comme un  anima, ou comme une ame. Nous portons en nous cette chose, appelée mort, qui est une sorte d’animal contenu soit maitrisé en soi, animal ou anima (ame ?) qui est comme ainsi logé en nous à un endroit précis mais qu’il nous reste à situer. Où donc en soi (en nous) la mort est-elle situé ? nous ne savons pas. Ou bien le savons nous à notre insu ? savons nous en nous où se trouve la mort ? savons-nous en nous où se trouve cette chose nommée «la mort» et qui est chose de grande importance pour nous, puisque contenu en nous comme un organe, ou comme une bête contenue soit tenue, tenue en laisse, maitrisé par nous à notre insu ou sinon à notre insu par la bande ou sinon comment ? car la mort en nous est logée. elle habite dans notre sein. le sein est l’endroit en nous qui loge la mort ou la mort «animalière». Le sein est un endroit en nous qui contient des choses, un endroit de contenance en particulier puisque contenant la mort dite »animalière». nous savons que cette chose est d’une importance majeure, nous savons que vcette chose (de la mort dite «animalière» )) est d’une importance considérable pour nous, pour les savoirs à acquérir, pour notre avenir dans la penseé, pour la compréhension des choses du monde. il est important de signaler ici cette chose comme quoi la mort (qui vit en nous) est une chose incluse dans un sein. ce sein est le sein de base ou dit tel. ce sein est un sein qui demande à être observé et étudié. Nous pensons que cette chose , de la mort en soi, est logée en nous par des canaux en particulier (réservés à cet effet ou à cette chose) et ces canaux se doivent d’être regardé de près, c’est une évidence. Il est nécessaire ici de comprendre cette chose de cette évide,nce à devoir regarder de près des canaux qui sont canaux de contenance. Ces canaux en nous ont une importance majeure qu’il est bon de souligner. ces canaux en nous sont d’une importance considérable, à prendre en compte sérieusement, à voir de près, à explorer fissa par la bande ou autrement mais sans plus tarder. que sont ces canaux ? que cvontiennent-ils ? ou se logent-ils au juste ? qui connait l’existence de tels canaux et qui les étudient dans le monde ? y a t il au monde des personnes bien intentionnées étudiant de tels canaux de vie ? nous sommes à vouloir connaitre un grand nombre de vérités et pour ce faire nous creusons notre pensée dans un sens qui puisse nous offrir des retombées de poids. Nous voulons comprendre dans la profondeur cette notion ici abordée des canaux de vie, d’un sein des seins hospitaliers, d’une mort animale, animalière ou autre, contenue en ce sein des seins, d’une mort en nous contenue comme un animal en fuite ou bien caché , logé-lové comme un serpent, comme une anguille sous un rocher. que penser de cela ? Nous espérons à termes pouvoir démontrer un certzain nombre de vérité mais enfin le travail est immense qui ne laisse pas de nouds bousculer, de nous presser et de nous pousser dans nos propres retranchements de chercheur de base. nous sommes en nous (le Soi) plusieurs on le sait. nous portons une parole d’envahissement du Soi en nous-mêmes, c’est à dire en vérité que nous sommes cette chose, cette chose rude et vorace, cette chose d’etre (comme) envahi de base, comme (d’être) envahi de l’intérieur oou dévoré par en soi une sorte de bête de rage, fauve nacré qui cher che une issue en nous via un trou de bouche ou autre anfractuosité cutanée?. nous sommes plusieurs ainsi en  nous à parler lorsque nous parlons. nous sommes au moins deux. Il ya la bete vorace, et il y a npous qui sommes de peau recouvert. Nous sommes deux en nous à nous exprimer lorsque nous parlons . nous sommes deux à nous exprimer, et étant deux, nous nous tenons pour ainsi dire par ma main, nous faisons corps de cette manière liée à la main (la manière ici) et ce faisant nous avançons cahin-caha sur le chemin de notre vie ainsi soudé ou attachés. Nous sommes deux qui vont ainsi leur chemin. Nous sommes en nous (le Soi) deux à marcher, qui dans la forêt qui dans un champs de blé, qui ailleurs au bord de l’eau, etc, et ainsi nous avançons sur un chemin, nous sommes qui nous avançons sur un chemin de vie lié à une mort en soi contenue dans le sein des seins. LE sein des seins est cet endroit en nous qui contient la bête? Il x’agit d’un endroit caché, c’e’stà dire enfoui, mis en nous par la bande animale du temps, déployé en nous par extraordinaire, déployé pour une cause en nous liée à la parole à acquérir enfant. Nous pensons que cette mort en nous contenue est la mort de l’ame ailleurs. nous pensons que cette mort contenue en   ous est mort d’une Chose rude. nous pensons cette chose comme quoi la mort en nous contenue porte un nom précis, à chaque fois (soit pour chacun de nous) renouvelé, et que c e nom a fortement à voir avec la bete en nous contenue, cette bete-mot de rage est peut être (akllez savoir) la bete-mort en nous contenue par la bande. Nous nous disons cette chose comme quoi la betye mot d’étoupe, de remplissage, de sauvetage temporo-spatial (le temps d’une vie terrestre) est cette chose ici que nous nommons ailleurs par ces mots de mort de l’ame, ou de mort de soi, ou de mort du soi, ou de mort d’une anima (du souffle de vie et de mort). Nous pensons que cette chose est à observer et à étudier avec attention. Qui connait l’astuce ? qui sait de quoi il en retourne ? qui sait s’y prendre ? qui sait comprendrte ? qui a appris les rudiments d’une méthode, d’un savoir, d’une parole, etc, qui sachent nous aider sur notre chemin et dans nos recherches assidues ? Nous voulons aller très loin dans les connaissancec s et pour cela nous devons chercher à cerner un certain nombdbre de données en particulier, comme celles concernant la mort-bête en soi contenue,, cette mort de la bete-mot de rage qui, mort, est logée en  nous par la bande passante du temps de la vie qui est la nôttree. je suis cet hjomme ici qui regarde fixement la Chose ici présentée comme une offrande. Qui est qui qui sait qui est qui ? qui connait l’astuce pour savoir parler un langage des p^rofondeurs ? qui connait l’astuce ici pour savoir parler ce langage en soi de la profondeur des choses du monde ? qui est cette pezrsonne qui sait ? nous cherchons (on le voit) des personnes = des gens sur qui s’appuyer = des gens de bon aloi = des gens de bonne contenance = des gens savants = des gens de peu mzais savants. car il est important ici de comprendre cette chose d’une connaissance lié à une vie de peu, temporo-spatiazle( localisée et fixée dans un temps donné) pour comprendre un certain nombre de données liées aux savoirs les plus ancrés (reculés) et d’importance. Le llieu, le temps (kla date) ont leur importance, et plus encore les données liées à une personne de confiance en particulier. une personne qui sait sait beaucoup mais cache beaucoup. une personne qui sait peu sait peu mais montre beaucoup. toujours un même schéma de base retrouvé partout. Nous pensons que la vie en nous contenue est logée en n ous dans un sein qui contient la mort = la bete , ou cette bete-mot de «la mort» ou comment ? la mort-bete ? «la mort-bete» en toutes lettres ? nous chercghons à deux en nous (accolés serrés) des notions à explorer incidemment et si possible dans la justesse, à explorer de fond en combkle incidemment, à fouiller cvomme une poche, comme un sac, comme une outre.Je regarde en moi la chose lovée : s’agit-il d’un animal meurtri ? une bete des abris ?  une bete des prairies de type aurochs ou bisons ou cheval ou boeuf ou antilope ?. s’agit-il d’une bete de rage en soi, comme l’animal qui sera furieux de ne pouvoir sortir de nous à sa guise ? s’agit il d’une bete fauve ? un serpent ? le mot «serpent» ? un mot ? le MOt, le mot «mort» ? où est cette bete en soi ? où en soi est la bete cachée ? où est cachée en soi la bete ? quelle est elle ? qui le sait ? nous voulons essayer de comprendre pas à pas les données qui ici président à cette observation de base comme quoi en  nous est ou serait contenue une bete de rage qui serait nommée. Et dès lors qu’elle serait nommée elle ne pourrait plus sortir à sa guise comme autrefois il semblerait qu’elle pouvait. Nous sommes à réfléchir à cette chose d’un mot en nous (contenu dans notre sein = ancré) qui est le mot de la rage à être. Ce mot quel est il ? that is the question. Nous nous diso,ns que ce mot est d’une importance capitale, un cap. Nous nous disons cette chose ici , comme quoi icelui (ce mot de vie) est d’une importance capitale = liée à un cap de vie en cours. Nous pensons que le mot ennous présidant la chose de la vie à vivre, est un mot de rage (c’est entendu) mais aussi un mot d’importance vitale. Nous cherchons à comprendre ce mot (ce mot de la mort) et pour ce faire nous allons fissa nous jeter (allègre) dans la feria, dans pareille cavalcade endiablée, la feria, cette fete colorée, etc, qui nous absorbe icvi en son train. Nous devons prendre ici le taureau par les cornes et chercher mordicus les données de base présidant l’élaboration en soi d’un sein de contenance. Nouys avons cette chose à explorer finement (si possible finement) et à relater ici ou là pour la postérité?. la postérité ici est cette chose (aussi) recherchée dans la mesure ou les écrits (des faits) peuveznt être consultés et peuvent dès lors accélerer les processus de prise en compte des connaissances. Les mots déposés sous forme d’offrande participent du présent de la vie à vivre noncxhalamment (= dans l’espace-temps) et ne sont pas à ignorer. Nouys devons poser nos choses = lkes poserr pour une opffrande à faire à une déité. Les mots sortant de notre bouche forment ce présent de vie donnée par la bande (animale) en nous, trépignant du sabot en n ous, renâclant en  nous de toute sa haine contenue en nous. La mort loge en  ous depuis longtemps (toujours ?) sous forme de mots accumulés en bouche. La mort est cette chose en nous contenue sous forme de mot, de mot de rage, de mot d’apprêt, mot de rage sourd aux cris de vie de l’autre bete des embruns qui nbous appelle depuis loin ou sinon comment ? pas sourd ? comment est en nous cette bete contenue en  nous ? comment est en nous la bete de la rage à être ? vive ? vivante ? morte ? parlée ? nous cherchons des vérités en permanence, nous sommes deux en  nous à chercher en permanence des vérités qui puissent peser et nous apporter eau à notre mooulin intérieur. Nous voulons savoir des choses fortes, des choses de poids, des choses qui pèsent et ne soient pas des choses de peu en termes de vérité. Nous sommes des etres de peu car nous contenons, nous sommes etres de peu pour pouvoir contenir, nous nous faisons petit pour pouvoir absorber, receuillir, cerner en soi, concerner etc, des choses de grande importance. nous voulons comprenddre les données de based’une sorte en  nous de bête de joie hurlant à tout va sa colère, son ire fauve ou folle, son trépas à venir, sa sortie de route, sa chute finale, sa mort. Nous voulons comprendre ces donnés qui toutes ont à voir avec une raison de base bousculée. Nous voulons comprendre cette chose d’une voix en nou qui dirait ce qui est en vérité et qui serait cette chose d’une sortye de parole ancré e,n nous dans les profondeurs de notre psyché. Le mal est contenu dans la psyché accolé au verbe de poids. Le verbe de poids est le verbe lourd de foi. Il ‘s’agit ici d’un Verbe des prés, Verbe des prairies fourragères. Herbe folle de la mise en bière ailleurs. Nous pansons nos plaies en parlant et la mort (en n ous : bete-mot) le sait qui se rit de nous. Nous sommes deux en  ous à comp^rendre cette chose en nous d’une bete de poids qui porte le nom de la rage à être vivant de base. La mort trépifgne, renacle comme l’animùazl en nous qu’elle est . vie-morte enchevertreé . nous voulons aller dans la profondeur de la psyché de base = le langage. nous voulons creuser ensemble toutes ces données qui ont toutes à voir avec la mort telle que le mot de «mort» nous l’enseigne ou nous en parle = cette chose soi disant promise à jamaios, cette éterb-nité or rien n’est moinbs sûr ! La mort dit «l»’éternité» mais de quoi s’agit-il ? nous voulons comprendre ensemble ici cette chose d’une sorte de do,nnée de base, de donnée votive de base, cette chose ici d’une éternité promise dans la mort. car la mort est une chose et l’éternité en est une autre . notre but est de trouver des choses à l’intérieur d’une cavité, nous savons cette chose. nous cherchons ensemble (à deux) cette chose d’un savoir de base ,, à l’intérieur d’une cavité. Nous xherchons une chose de base comme une pensée à l’»intérieur d’une cavité comme la psyché. La psyché est une cavité, est un forage, est une outre, est un anttre = un sein = un sein des seins, et à l’intérieur de celui-ci il y a le mot qui trone, l’entité majeure, le jaguar, la bete, le bison, la bete fauve, l’éternelle bete vorace, la bete des prés ou bien des bois, la bete la plus dévorante, la bete la plus présdatrice si tant est. Nous pensons que cette chose d’’une betye, ici contenue (sein des seins) est importante à comprendre en mots. Les mots en n ous sont ancrés comme des etres de rage venus coloniser les données de base psychiques. Nous devons essayer de comprendre ces données aumieux. les données du temps sont celles qui nous semblent les plus salutaires. notre but est de les accoler (de les rapprocher) à celles concernant l’espace. nous voulons savoir ce qui existe en nous en tant que raison ancré par la bande , censée pouvoir nous donner un nombre conséquent d’informations majeures concernant la vie, la mort, les données rudes, la bete en soi ou la bete de joie des embruns. Nous vcoulons aller ainsi clopin clopant nottre petit bonhomme de chemin. Nous en avançons pas mal à force. Notre temps est un temps déroulé comme un devant de soi p)ariéytal du temps des hommes et des femmes des cavernes. La chjose est entendue. Nous parlons ensemblke de cela que nous comprenon,s le plus ensemble à savoir de cela qui nous regarde dans la profondeur de cette chose en nous appelée âme et qui est cette chose en nous ailleurs appelée sein ou antre ou outre de contenance. et quoi donc contient cette outre ou cet antre sinon le mot «mort» on l’a compris = intégré à notre gouverne de raison terresterre. Nouysvoulons comprendre cette chose d’une sorte de mot-bete en nous intégré par la bande temporelle langagière d’une vie octroyée fissa par qui de droit : déité des profondeurs ? cache-misère ? déité des amplitudes tempelles ? qui ? par qui la chose est elle co:mprise ? Nous soommes et je suis à chercher = je suis et nous sommes à nous pencher sur la question sempiternnellement dé»plié e ou déposée sur roche des temps. Nouys voulons aller en cette roche dure du temps à vivre ensemble, c’est à dire que nous sommes deux ensemble à comprendre cette chose d’une vol:onté commune à panser les plaies soit nos plaies de bouche et ce par la parole (ancrée) prononcée comme en continu et comme par défaut. Lemal est fait de longue date. en nous existe la bete des prés de sa rage à etre : c’est vu. en nous existe une bete-mot qui dit sa vérité de base rageuse liée aux choses de lma mort à l’oeuvre. Nous savons cette chose ici comme quoi la mort est la mort des chants de base en soi, musique de variété pour une entité à décvelopper (fissa) dans un  chant quel qu’il soit pourvu qu’il soit, car ici on voit cette chose comme quoi la musique a partie liée avec la mort (mot-bete) à l’oeuvre. La musique des profondeurs est une qui a , ici, partie finement liée à une chose dite «des profondeurs» quand bien même elle serait située en vérité en surface, comme une donnée de base déployée à même nos yeux ou à même notre ententendement sensible. Nous avons cettye chjose ici (musique variée ou pas, musiqaue lancinante ou pas) à comprendre = à prendre en soi comme le maintien en soi d’un savoir de base, ou comme en(souligné) maintien en soi d’un savoir ancré dans les profondeurs d’une bete en soi , sein des seins animaliers, cavalierrs de tenue franche, territoire de l’âme (peut-être ?) ou des données de base inspirées. Notre envie est grande de savoir ++. Notre envie est logée dans la vie d’un antre de donnéess vives. Nous parlons à deux ici de tout cela qui nous occupe et nous donne élan pour un savoir à compléter. nous voulons découvrir ensembvle des xdonnées brutes, des données qui soient fiables, sur lesquelles pouvoir s’appuyer sans mesure et que l’on puisse développer incidemment au cas par cas et au hasard des rencontres, des moments, des situations rencontrées dans la vie, des occasions, etc. le but est de comprendre ensemble (souligner) cette chose d’une rage à être cet homme ou cette femme qui pourrait entendre le savoir profond d’une rage à être en vie cou^te que coûte. Nous ne cherchons pas à nous défiler de pareilles recherches à mener ici ensemble = de concert comme des musiciens de bande ou peutêtre de contrbande ou sinon de contrebande. ou sinon de rien : musicien de l’ame sans foi ? musicien privés de musique ? charlatan hospitzlier ? cueilleur-briseur de données . amputeur ? nous sommes deux qui nous accordons pour chercher ensemble la musique qui préside aux données du monde vivant. Quelle est elle ? qui veut comprendre ? qui veut dire cette chose d’une sorte de donnée du monde rageur ? qui veut dire cette chose ici d’une donnée riche, pl;eine, contenant mille et un savoirs de poids ? Je suis un homme de peu de chose en soi sinon la bande. mon nom est rien ou personne. je guette en moi l’animal ventru. Je sais qu’en moi réside une bête de rage ancrée qui sommeille à pei ne car elle parle sans discontinuer de sa voix de vie chevrotante lancinante. Il s’agit en moi d’une bpête de poids et lourde de données de base. Je suis un homme fol de vie vive à vivre fissa par icelle bande langagière animazlière ancrée dans un wsein qui est le sein des seinsq. revenez-y, dit on , et que fais-je d’autre ? je reviens sempiternellement sur le métier et cherche ici la faille là l’anfractuosité qui fasse e,ntrée, porte ou passage de destinée. Je cherche à vif des données vives concernant la mort en soi (on le croit) contenue par la bande. Il x’agit ici d’une sortye de rage à vouloir être ensemble logés comme deux qui se congratulent d’etre en vie soudés.Nous voulons ainsi agir pour ainsi en avancer sur le chemin escarpé des connaéissances primaires de la vie et de la mort ou sur pareils sujets concernant vie et mort accolés voire accouplées comme dans une tresse les fils de lin. liane de vie déployée à même la terre, sur sol de destinée rupestre, etc?. je suis homme -femme à égalité, partant l’animal. Je suis cet homme ici qui comprend les choses rudes, les perçoit en flèche, fonce dans le tas d’une sorte de donnée géante fzaite ici de vivres, de denrées à en soi ingurgiter fissa en son antre de vie et de mort à être. Je fonce fissa. Je tape dans le tas. Je cherche ma misère en cette roche dure devant moi, à savoir ce temps déployé de base = temps de roche des tourments divers à être et autres vilénies coutumières. mon moi perd sa faconde au fur et à mesure, comme ce bidon percé, outre qui se vide au fil du temps et du cheminement à deux sur un sable ou une terre des données de base rupestre. Je veux ainsi dire ici ceci comme quoi je suis cet homme des paroles ancrées de rage. Je suis homme en dires, homme du dire et homme du mal dire ici sa rage ancré et cependant je suis l’homme ici qui cherche son être dépléacé, celui-là quil se doit de chercher fissa. Je veucx comprendre des données de base concernant une vie à vivre par la bande, un moment de passage, cette chose d’une vie terrestre ou rupestre d’envergure menue, de court déploiement peut-être et cependant. Car la vie en soi est une sorte d’entité votive ancré en chacun comme un organe plein, un organe de chair vive, un morceau du corps.Je suis un homme des tribus de l’ame perdue», ou alors celui-ci qui «chante son envie de vie alloué à un être de destiné. Je chante à tue -tête le chant de la roche. je ne suis certe pas le cdernier à faire cette choe de chjanter, j’aime cette chose et je la fais, j’aime cette chose ici, ce chant mélodieux, ce cri de bête, cet impact, ce morceau de vie riche, cxe gras, ce vent, ce souffle, cette chzir vite débordée, cet élan en soi vers une contrée détachée de soi. mon coeur frappe à l’envi ce qu’il a à dire, il nettoie» pour ainsi dire, quoi ? la place vide, ce chant à rechercher en soi comme une outre ailleurs, un antre de vie, une poche minérale, etc. je suis homme des paroles fortes, je creuse ma voie sur cette terre aux destinées avides de savoirs. je tombe ici ou là mais je me relève car ma volonté est de poursyuivre sur ma lancée une recherche de vie rude, comprise par x, déployée à façon et riche de données consacrées, considérées. Je veux dire ici cette chose d’une tenue à même la base . Je suis cet homme qui, muni d’un bec de percée, va fissa à l’encontre d’une déité promise (la mort en c e chantier) pour la trouer comme une bulle. je veux faire ainsi cette chose. c’est ainsi ici que je cherche à faire cela , cette donc percée de bulle qui est bulle de la mort promise à toute vie humaine ou autre . la mort ne meurt  pas dit-on mais qu’en savons-nous ? la mort est cette chose en n ous qui (dit-on) ne meurt pas mais cela est faux car je le vois, je vois cette chose parfaitement, comme quoi la mort n’est pas la mort que l’on croit (= morte) mais la mort vivante ô combien du fait de sa «promptitude» à être. je suis cette chose moi-même d’une sorte d’outre à contenance. Je contiens vie et mort en moi enchevetrées comme une tresse. Je comprends cela ici comme étant cette sorte en moi d’ADN de vie tressée, de vie-mort soudé dans un brin de vie vive en soi comme une fibre, la fibre des apprêts de buve ou celle)-ci appelée «donnant», ou bien «donna» ? Je cherche. Je suis déposé moi-même. je peuple . je cherche ici et là une raison qui dise la chose déplacée, la chose rude, le pouvoir central, la parole animalière donnée. Je cherche à comprendre cette chose en moi d’une sorte d’entité de foi en cette chjose d’une vie liée de force (et rage) à la mort offerte par la bande. je veux creuser ici une sorte de percée à même les choses du monde, ces choses rudes, rugueuses, dures pa rfois, dures comme roc, etc, qui sont ces données de base tterrestre : dureté d’une vie à vivre ici bas, quand la parole en soi cherche à comprendre cela, ce sens des choses compactes. Nous disons que nous cherchons à percer mille mystères, mille choses rudimentaires ou primzaires = premières = natives = physiques = naïves = vives comme la pluie. notre envie est de celles que l’on remarque, du fait sans doute de cette géné»rosité dans uune recherche à partager ou bien de cette sorte en soi de générosité à partagher les chgoses du monde ancré. Je fonce et file. HJE pousse et meuble. Je comble et perce. je trou la tenture, la fibre, le tissu des choses rageuses par la bande active d’un semblant de pic vernaculaire,; à savoir ma voix (fluette) d’enfant de quelques ans, homme-femme-enfant rassemblés sous le patronage d’un saint animalier de préférence il semblerzait. je pousse devant, je secou, je file, je meuble, je cherche, j’affirme, je trouble, je concède, j’évolue, je sacre, je sens, je comprends, je guéris, je vais, je sable, je saigne, je pisse, je conduis, je mouche, je vibre, je tremble, je monte, je monte, je monte, je monte ici ou là à meme la paroi du monde. Ici ou là = sur le tas = dans la vie = sur la terre ferme = dans un sas.  Car la vie est sas qui contient ;l’être. L’etre est ainsi ici être de contenance allouée à une gouverne princière, coutumière des pensées de rage, des pênsées tourneboulées comme icelles de la confrérie (ici). Je vois qu’ici les choses se rassemblent et forment ou font bloc. Les choses ici sont celles-ci que nous connaissons depuis (

toujours = depuis l’instant précis où nous sommes nés au monde par la bande (pour ainsi dire) d’une mère en couches. Nous sommes nés ensemnble au monde, nés à une vie vive pour l’éternité du chant choral (parole parlée à même le sang, ou comment s’exprimer sur cette chose d’une voix ancrée dans un corps donné ?). nous voulons comprendre ce qui est ici d’une voix poussée à son eccxtrémité langagière animalière de paroi. Npotre envie est ainsi formulée ici : en toutes lettres, noir sur blanc, fissa, tapé que tu tzaperas, à la cravache = mordicus. Nous avons cette envie en nous de cvomprendre ce qui donc préside aux différentes étapes d’une vie à vivre tout du long:= les âges, les moments faisant succession et ligne de voie pariétale comme autrefois des betes sur roche, chevaucx et autres , faisaient calavalcade sous l’oeil averti et vif d’un être desz cavernes, homme ou femme des temps antérieurs à notre vie de rage à nous, et cependant si proches de nous via la bande langagière animalière qui nous constitue un temps (un temps  seulement ? ). Nous devons pousser les dires loin. NBous avons à comprendre loin en soi (ou où ?) ces dires de vie-mort enl&acées, entrelacées, enchevetreés, etc, qui sont tresse de vie de rage folle on dirait, ou sinon de rage d’envie. L’envie de faire ainsi que des choses de pôids fussent dites ici. car telle est celle ci (envie) qui en nous fait rage, de donc dire dire dire à foison, ce qui est qui est, ces choses «vraies» de contrebande : à côté des données natives ces données de rage votives ou lkesquelles ? Car nous devons comprendre et donc fouiller dans la profondeur d’une langue déroulé comme un cheminaement vocal à faire naitre = à déployer sur lande. Je suis homme ici d’un rapport bete /mort à co:mprendre : quel est-il ? estil ce rapport qui compte pour de faux et fait illusion comme mirage dans les sables, ou non : est ill vie de poids comme aurochs de roche ? cherchons ! Nous cherchons. Nous devons chercher ensemble, nbous donner la main et ne pas nous éloigner les uns des autres ou l’un de l’autre si on est deux. Car je suis cet homme qui compreznd ici qu’une chose de poids est en train de naitre incidemment, cela me parait une évidence, et c’est pourquoi je fouille avec autant de passion ces choses rustiques pour ainsi dire(je suis de la campagne) qui me constituent et semblent présider. Je veux être cetteChose-Homme tombant le masque et révélant sa face animale (ici : un merdum de sainteté pour la bande, ou bien : un merdum de plus à déchiffrer pour qui souhaite s’y coller). Je veux ici (ici même, lien,, côté, roche, pli) comprendre ce qui est au fond concxernant la mort. Est elle mort-vie accouplées ? est elle cette vie-mort décuplée ? Je cherche. Je cherche avec avidité et voracité. Je suis l’animal en moi vorace et de combat. je ne m’en laisse pas conter et n’ai peur de rien en vérité. Je file fissa à la recherche des données de base concernant cela en soi qui est la bete-mot de base, mot de bete virale, ou comment ? mot de soi en cet antre des données de base ? kje cherche une vérité. Je suis qui va devant à la recherche d’un xwemblant de vie vive à prendre en compte fissa, sans p;lus tarder, pour aller plus loin toujours sur le chemin (dessiné) des connaissances les plus ancrées, profondes, déployées en soi cvomme une bande, déplacées car autrefois elles n’étaeint pas, ou si, ? etc. Je cherche à aller loin en cette donnée qui pour moi est cette chose d’une sorte d’échancrure dans un sas de vie murale, de vie à l’étroiit entre des parois. Je suiis à la recherche d’une vérité qui soit tangibkle et puiisse nous donner de quoi déplacer icelle Chose en soi, la placer ailleurs afin de mieux la visualiser (devcqant soi ?) et la comprendre poour ce qu’elle est : Bete ? bete primaire ? charge ? charge de poids ? montant ? montant i:llustre, ou quoi d’autre qui soit éclairant?Je cherche une chose de poids. Je cherche une chose rude, chose de poids et rude et dure et même rugueuse comme une peau de bete forte. Je cherche cette peau de bête en moi ! voilà ce qui est ! je cherche en moi cette peau de bête, où est elle ? où donc en moi est cette peau de bete de poiids qui me chevauche ou est-ce moi qui la chevauche, qui chevauche qui ? je veux prendre ce qui est ici pour moi en termes de données et les déposer sur un devant de moi hospitalier comme tapis rouge, voie d’abord veineux, parois d’homme des cavernes, socle ou cimaise, ou dans le corps de l’autre en sainteté. En odeur de sainteté ? peut être ! car l’oint initial permet bien des choses d’un ordre parfait qui est l’ordre parfait d’un adoubement séculier. je vois l’ointt de base couvrir les chairs molles d’un  être de vie de rage ici, ici en cet anttre de vie = cette chose au monde = cette vie entre quatre murs, cette vie condamnée comme une maison ou comme une demeure ou comme une tombe, etc. Je suis celui-là qui cherche et qui chercheras demain encore et qui encore au loin cherchera et encore plus loin si tant est : jusqu’où ? Car la vie n’est pas sans fin dit-on ! Qui le dit ? qui dit cette anerie ? car la vie en soi n’a pas de fin quui n’a pas commencé en vérité ! car la vie est vie-mort enchevetreées et par conséquent ne peut finir car ne peut mourir de fait puisque contenant la mort en son wein. je suis cet homme d’une vibration continue qui comprend = prend les choses au passaghe et en fait son fil de soie ou de roche, fil à soi pour ainsi dire, fil-fibre de paroi, fil-fibre de bon aloi : aurochs ? je suis homme au fil de soie, je tra ce à main levée sur un ciel opaque des mots de rage.Je vais en ce ciel comme un volatrile , je m’élève, je me meux, je respire, je connais, je chante, je vire, je tombe = je tombe à pic, je tombe à pic = je m’enfuis, je suis ombre d’une ombre d’une ombre d’une ombre sur la prairie. volatile ? je vais loin au sein du sein des connaissances acquises car je suis dedans, je suis entré, j’ai traversé, je suis passé de l’autre côté et ici le dis par la bande à coups de mots martelés, de points d’ancrage animaliers tambourinés, ertc. Je suis un qui file, deux qui vont, etc , car nous sommes deux qui filons notre pelote, nos fils de rage entrelacés comme les fils d’une pelote, comme fils de chanvre, comme fils de bure. nous tentons moultes expéreiences à même la terre, agenouillés, nous cernons les choses qui nous font face en les dévisageant au mieux, en tentant de comprendre au mieux ce qui se trame ici e,n matière de don, de don allloué, de présent déposé, de temps déposé comme le présent princier sur un tapis déposé à même le sol en guise de paix. Nous parlons une langue qyui est langue des anciens à soi c’esst une certitude. Les anciens parlaient langue de poids qui a changé au fil des temps, des années, mais pour autant elle reste ce que de tout temps elle a été à savoir cette chose en soi déposée comme un présent à accepter, à prendre pour soi de gré ou cde force (un présent ne se refuse pas) et à déployer par la bande?. Nous sommes deux en nous (en chacun de nous) à vouloir comprendre les données profondes à la lumière du présent déposeé sur roche. -le sauveur arrive ? attise ? admet ? quel est il ? le saut dans le temps est possible en soi par l’action conjuguée de la vie et de la mort entrelacées. La mort s’entrelace à la vie et les deux ensemble forment la Fibre, soit ce Fil de soie qui file sa pelote dans le temps et nous traine ainsi, comme un fil de rage entraine dans sa tourmente et pousse à être. Je comprends cette chose là d’une voie d’abord de rage, chant d’azur dans un déployé de paroles saines (ou pas  saines ?) qui en imposent et se posent là comme une misère. Je suis homme des entours brumeux, je marche sur mon propre chemin de vie, je vais à la rencontre des damnés, je vire et vais à la rencontre des passants d’une foi en l’homme ou comment ? des passants de vie ? des passants qui vivent la vie dans le sang ? des passants de la foi ou comment dire cette chose d’une foi incluse (intégrée) en soicomme un sang royal coulant dans des veines royales, ducales, primaires, anciennes, etc. Je suis celui-là qui viens voir à comprendrec là (parade) les données les plus compactes à devoir déployer urgemment dans un  temps donné qui est le temps des données à prendre en compte (un calcul de tous les instants). mon nom s’inscrit par la bande = à part moi et n’a pas d’importance en soi. il s’agit x’un nom d’emprunt, car mon nom est un nom d’emprunt, il sera restitué un jour prochain, on sait cela. car cela que nous «rendons» à notre «mort» est cette chose du nom porté durant la vie sinon quoi d’autre ? le nom porté (comme un  passé) est à restituer mais pas seulement : tout ! Une vie complète = coeur de vie compris. nous nous inquiétons de cette chose, nous voulonbs connaitre cette chose, nous voulons découvrir des choses, nous sommes plusieurs à vouloir découvrir des choses, nous sommes nombreux à vouloir découvrir des choses, nous sommes toute une chié à vouloir découvrir des choses c’est parfaiot. on se doit d’être plein. plus on est plus on sait. Plus on est plus on échange de données et plus on voit ce qui est qui au loin se fomente/ La vie est liée à la mort par le verbe. la mort existe en nous sous une forme animalière. la vérité est celle du seinb. le bonheur est cette chose d’un devant de soi présenté comme un dépot de soi rajouté. Je vois ce qui est sur ce devant et comprends le sens de cette chose qui est cette chjose (donc) d’un vouloir, d’une volonté ancrée, d’une volonté tenace. le coeur est le siège du sang des rois, reines, valets et aussi du Verbe. je suis connu pour cette cette chose des parois du monde : incorporée (la chose) , prisonnier comme un bandit dit des quatre chemins qui va à vivre son emprisonnement sur terre et le conçoit ainsi qu’il se doit de la faire. Je vais sur roche comme l’hiomme des cavernes tracer un nom qui est ce nom dont on m’a affublé lorsque je suis né. je suis né à une vie de rage terrestre et je porte un nom qui est effigie rupestre. Nom donné = nom «courant» comme un sanglier, un phacochère, une jument, une poule naine, un bison  busqué. l’homme des parois est le père de la foi. L’ame des morts s’est envolé dans les limbes d’un ciel écartelé par du  verbe. le sang en soi est la chose rudimentaire à devoir apprécier en tant que telle. la mort est une entité incorporé qu’on ne s’y méprenne , elle loge en notre sein comme l’organe de la foi à faire naittre. Je cherche à même le dxsqang, à même la peau, les viscères, le cervelet en moi des mots. Je cherche les mots contenus dans ma chair fraiche de vivant la parole des morts à même la roche du temps. mon vcoeur est cette offre, ce don, ce don apporté, ce présent de soi sur roche-plage-temps d’une vie alloué à une pzersonhne, un animal, une p;lante, et même un objet. le temps est ce don. ce don est une chose riche, vive. la vie en soi comporte les données de base présidant cette chose autre (dit-on) j’ai nommé la mort. que sait-on de ce qu’est la mort sinon pas grand-chose. en moi la mort est contenue et renacle comme une b ete, que veut -elle ? la mort est une sorte de bete en moi contenu comme le verbe = indéboulonable ou sinon comment qu’on m’explique; Car un e fois ancrés les mots ne bougent plus qui restyent tapis et parlent pour moi (à la vie à la mort !). Les mots en moi sont tapis comme la bete, comme bete fauve sur roche, au soleil, prete à vous sauter dessus cfomme tout félin qui sait la chose en lui d’un élan divin. Je cherche, je fonce, je vibre, je foule, je vaix,, je chjevauche ou pas, je divise, je jette, j’enrage, je connais, je creuse une voie d’abord pour une saillie.Je veuc connaitre la vérité et pour ce faire je décide ici et solennellement à quoi je vaios me consacrer à présent. mon coeur est coeur de bete. Mon sang est sang de bete. mon sang est du sang de bete vif, filant vbif en sa veine. le sang est porteur de la foi e,n l’être. il n’y a pas à chipoter, le sang ne chipote pas, qui file fissa sa pêlote dans les veines et ce au train altier qui est le sien comme par magie, car comment fait-il ? le sang est cette chjose en circulation et sans queue ni tête c’est frappant. Le sang est une chose riche d’e denrées diverses, un liquide nourrissant. Le sang est cet onguent de vie pissant dans les veines son savoir de base à comprendre et à méditer. je suis monté et je vois cette chose au loin qui semble nous appeler et nous d’y aller fissa par la bande langagière d’un tracé de choix à même la terre. Je vois cette chose au loin, cette chose dite «sempiternelle», et me voilà qui cherche en moi des donné&es fiables sur lesquelles s’appuyer sans tomber, sans chuter plus bas que terre si tant est, car plus bas que terre ? qu’est-ce ? qui sait cela ? qui le sait ? qui pour éclairer notre lanterne. nous voulons comprendre les données qui sont nôtres en cela qu’elles sont en   ous logées, lovées comme des betes. ces données sont des présents déposés, sont des choses à manger, sont vibrantes de vie perlée parfois et d’autres fois juste calcinées. l’homme des parois conna iossait la Chose des temps déployé et se mettait à l’unisson du chant scandé, des badaboums et autres coups sur peau de bete, sur tzambour de roche, sur paroi forte. nous devons cerner les données rocheuses en  cettye chose ici d’une sorte d’abri pour des compréhensions à faire ou à acquerir ensemble par x bande langagière à dérouler fissa sur un devant de soi approprié. nous pensons que les données cde roche sont de celles qui nous regardent, qui nous tiennent à coeur, qui pour nous sont capitales et peuvent noius aider à nous guider sur ce chemin, chemin situé qui est ce chaemin d’une vie xparticulière, celle de tout un chacun mais chacun la sienne. je regarde devant moi, je vois des choses déposées, ce sont des présents, ce sont des données de base, il s’agit de le comprendre. nous dsommes plusioeurs à devoir comprendre pareilles données et à devoir les soupeser enswemble afin de les mieux juger et d’en tirer parti au mieux possible. Nous tenons à nos dsavoirs. Nous voulons les étoffer des mille données de la bande. Nous voulonbs creuser loin pareilles données et ne pas en perdre en route. Nous voulons cerner dans la profondeur de la psyché, du sein capital, les données les plus ancrées, les bases du soi , les parties charnues et autres composants d’un corps alloué à une vie terrestre. le mal contient le bien. la bete est l’ennemi du bien. Le chant est choral et vient de loin. le sang porte le chant. le sang est une donnée, est cette donnée à faire circuler de main en main : par la bande langagière ici spécifiée. le temps est une donnée , le tempds est déploiement de vie-mort réunies et va de l’ avant à qui mieux mieux afin de tromper son monde et de blouser l’ensermble des parties. les parties ici décrites concernent la vie de la vie et la mort de la mort, mais aussi la vie de la mort et la mort de la vie. je suis hommre rude , homme rugueux, homme vif et dur cde ka feeuille par la bande. Je connais et rapine. JHe cours et j’affirme cette chose comme quoi le sang est à la base des données du monde, raison incluse. Le sa ng circule, le sang va ici et là;, méninges comprises. le sang est fractal, il est cvette chose en complète révolution permanente et aussi cela qui parle en notre sein comme étant cette bete mot de première fi gurant la vie pour la mort. je suis dès lors le messager. Je dis ce qui est qui tombe sur le  ta s. Je suis homme du parler de rage vif et à même ce tas de petites brisures, de petites choses à même la roche. Tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tazmbourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tzambourinons ! tambourinons ! rtamboriunons ! tambourinons sabns discontin uer ! tambourinons notre joie à être des betes des prés ! tambourinons de plus belkle ! chevauchons la bête des prés ! allonbs de conserve dans lkes prés ! je suis la mort personnifié et aussswi la vie personnifiée car je suis l’entrelacs, l’entrelacs de la paroi de roche ! Je suis un homme entrelacé, homme)-femme des apprêtes, chanteur, chanteuse, coureur, coureuse, femme-enfant de roche, homme enfant de roche, mon sort est lié au temps déployé. Je suis Temps de roche incluse, temps et Temps. Je file vif fidssa par la bande oup ! je vais loin en la demeure car je creuse que tu creuseras mon dire de vie vital. Je suis celuici qui cherche à creuser sa vooie de passdage sanguin, voie d’abord pour une vie d’(abord; Voie ou vie d’abord pour une vie ou voie d’abord . entrelacements, entrezlacs, aenchevetrements vie-voie et vie de la voie , etc, pour une main mise sur une gouverne = une tête = la mienne = dans le sas une sorte de donnée de base à bien considérer comme il se doit et à ne pas perdre de vue une seconde en vérité car la voix s»époumone qui dit ce qu’elle a à dire et à ne jamais perdre . Je dis ce qui est qui tombe. Je vais en cette roche à la recherche des donnézs de poids qui comptent, qui sont fortes de sacvoirs anciens, grosses de ces connaissances antédiluviennes qui nous intéressent au p;lus hzaut chef. Nous devons creuser une voie pour une traversée. pour cela nbous sommes équipés d’un pic de pezrcée. Ce pic de percée a pour nom «langage» car, en effet, tout langage est un pic de pêrcée. le langage en soi permet une entrée(en force) dans la matière des choses du monde. Je vois ce quii est quii s’ajuste et j’en tiens co:mpte (j’en prends note). je vois ce qui se joue, je co:mprenbds ce qui se dit, je note ce squi advient, je m’élève ainsi et comprends ce qui est de cette élévation. je monte sur roche des Temps et cerne les données frontales. Le Temps est ainsi dép;oyé qy’il nous permet de creuser au loin et dxans les profondeurs des données de base premières, princières tout autant, et chapeautées (elles mêmes ) par d’autres données qui en font des choses de poids, choses rudes ainsi consacrées. Je vois cette consécration comme une sorte de chapeau chinois, un toit, une toiture de données surajoutées formant capsule, formant monture, bete complétées ainsi sacrées. Je suis du regard pareille monture. Je vais, je file sur roche, je colle, je vais auprès des parois pour m’y accoler et hj’essaie de comprendre ce qui est qui semble me regarder. Je suis cet homme des parois du monde, enfin à découvertt pour ainsi dire. Les données du monde sont rassemblées sous chape ou chapeau de bure, il s’agit d’une tunique du labeur, un chandail fait de fibbre rapiécées, veston, chapeau de roche, ornement, pour un consacrement ou pour un sacrement etc à) même le Temps. viive pareille Chose sacrée deux fois ! vive cette cxhose d’une sorte de vie-mort adoubées. Vie mort adoubé au singulier = entité ; Vie-mort adoubées au pluriel = tresse de fibres nouées entre elles. Nous avons à  choisir des choses à penser , ces choses nous adviennent au fil de la roche, nous passons. nous devons comprendre ensemble ce qui est du monde adjacent à une vie terrezstre, et il y a passage. un passage existe qui bnous regarde. Un passage est une chose qui existe devant soi et qui nous regarde. nous devons comprendre ce pasxage à l’aune de la Destinée, soit de la notion de Destinée. Il s’agit d’un fil de soi, fil de rage, fil étiré comme un temps donné par mla bande (contrebande) et ce fil est à considérer pour ce qu’il est = une chose rude, fine, forte, en co;ère pour ainsi dire, chose des temps, chose des tourments. Nous avons cette cghose à devoir comprendre ici , cette chose est une chose des temps déployés sur une roche comme dans le temps car le temps et la roche se confondent dans le Verbe ancré d’une bête en soi parlant la langue de base, la langue de la base dfe la vie à vivre. La langue de la base de la vie à vivre est déploiement = vive aile dure dans le sanG. Je veux comprendre dès lorsq. QSui avec moi veuxt dès lors aller à comprendre icelle aile ? est ce dans le  vent ? dan,s le sang ? est ce la  même chose présente ? vent est il égal à sang ? Je cherche en creusant la roche du temps accordé à un dire mené. je trie les donnés. Je cherche à cerner les contours d’une bvérité allouée (peut-être) à une langue en particulier qui serait celle que chacun en soi connait par lma bande, à savoir du fait d’un apprentisqage immersif, mis par en soi une main qiui pose , main posée qui dépose en soi (au fond) pareille donnée d’une langue élaborée. Je cherche à comprendre des données de rage qui sezrzaient celles-ci qui diraient ce qui est de ce qsui se trame. Je vais et viens en roche ainsi cherchant. Les données szont à) co:mprtendre dans le sang.Le sang est une chose rude. la mùort est collée au sang. le ciel est prégnant. je vois icelle roche devant moi qui semble me faire des signes et m’appeler incidemmentt, et moi de courir fissqa vers elle car elle m’attire fort, elle me fait du charme , elle me charme, elle me jette un charme, elle m’attire à elle comme jamais?; j(‘essaie de me porter ainsi rapidement jusqu’à elle . J’essaie de co:mprndre ce qui est en elle qui setrame (roche) et wse doit de m’éclairer. Je suis prêt pour une découverte. je suis fin prêt et me propose à pareille roche, pour ce faire (découvrir) et aussi pour entrer afin de pouvoir dire et graver à l’envi le résutlat ou le butin de mes recherches. mon temps est temps donné déposé. Le temps est un temps de rage. montemps est celui là même que je vois se déployer dans le langage = le temps de la foi = le temps de lma paroi. Je suis cet homme qui file fissa à travers la lande )à la poursuite d’une déité nacré e sans savoir à ce jour ce qu’il en est de pareille déité. Je file à tout va à travers les champs, à travers les forêts, à travers les déserts, à travers les prés, à travers les sous-bois, à travers les prairies et les champs de blés. Je cours comme un dératé, je cours à vive allure, je m’avance nonchalmamennnt sur des sentiers, sur des chemins tracés par des pas, par divers passages d’animaux ou d’hommes. Je m’avance à pas co:mptés en allant fissa. je ne traine pas. je ne veux pas être considéré co:mme le trainard de la bande, comme le tire au flanc. Je veux êtyre bien considéré. je  veux que mon nom résonne bien et présente bien et soit bien vu de tout le monde. je suis un être qui avance de son pas vif et ne traine pas, je file mon train comme une bête lancée et folle. Je veux être vu ainsi et pas autrement. Mon nom est à prendre en compte. Mon nom est à prendre pour ce qu’il est , c’est à dire pour un nom de bête, à la fois nom-bête( = bete mot) et nom de bete à savoir nom d’une bête. je porte (c’est sûr et je le sais depuis longtemps) le nom d’une bête. je sais cette chose.Cette chose , que je porte un nom de bête, je la sais depuis mlongtemps. je sais cette chose depuis très longtemps. je sais cette chose depûis la niiut des temps. comme quoi mon nom est un nom de bête. mon nom de famille ? non ! mon nom en vrai, le nom que je pôrte en moi, le nom qui circule en moi, le nom qui en moi circule dans mon sang. Le nom que je porte en moi est différent de mon nom de famille. Il s’agit d’un autre nom. jhe ne porte pas le même nom que mon nom de famille?.. Je porte un autre nom que mùon nom de famille. Je suis doté d’un auttre nom que c elui que vous pouvez connaitre à travers mon nom de famille. mon nom est très différent. Il s’agit d’un nom (un mot) qui est en moi logé, c’est à dire lové comme un serpent, il s’agit d’un nom très différent de mon nom de famille ou de mon prénom. Mon nom est mlogé lové dans mon wsein/ il est cachécomme le loup dans la foret. Mon nom n’est pas mon nom de famille. mon vrai nom est caché en moi : où ça ? dans mon sein! Mon nom est dans mon sein. mon nom est contenu. mon nom est contenu dans un sein qui est mon sein. mon nom est toujours et à jamaios contenu dans mon sein. le sein est l’endroit parfait de contenance. Le sein est lié à la mort par le temps, et mon nom est aucentre, au coeur du coeur, est enfoui au coeur du coeur du verbe contenu ici, dans ce sein du sein. Le coeur eswt dans le sein. le sein est du verbe. le verbe est la voix. La voix est cette chose en moi qui parle continument avec ma voix. Ma voix parle pour la voix . ma voix parle au nom de la voix/ . Mon nom est le nom de la voix en moi. Mon nom est ce nom de la voix en moi à quoi lma voix donne voix. Ma voix donne voix . mon nom est caché dans la voixw que ma voix rellaie. Mon  nom est un  nom de rage, pris dans les tourments, menacé, mis à mal. je suis un ^$etre qui contient en lui une voix de rage, vociférante, qui hurle à tout crin et à tout va, qui bne cesse de hurler sa haine = la vie en notre organisme. Cette voix est en soi une voix perlée. Je porte en vrai le nom de cette voix. cette voix est en moi la voix de l’éternité ancrée qui est l’éternité du langage. seul lui ne meurt pas qui nous traverse comme une donnée filante dans un ciel nacré. La voix en moi n’est pas la voix que j’entends de moi. mon nom n’est pas le nom de moi que je connais car il est celui qsui m’a été donné soit transmis. le nom que je porte est une donnée de base à considérer. le nom que hje porte en moi (dans le sang en moi circulant) est le nom d’une rage à être. il vitupère, il est mot d’insulte, il est mot grossierr, il est le mal incar né. mon nom est le mal incarné, il circule dans mes veines et fait continument son train de vie ainsi révolutionnaire. Je suis l’etre ainsi au nom perlé. je porte perle en moi qui suis cet être au sang de rage. Je comprends des choses et d’autres non. je cherche à m’y retrouver parmi toutes ces betees qui, autour de moi, m’accompagnent en paroi de roche. le temps est meuble. la douleur centrale en  cette vie de rudoiements. je cherche crument le nom qui m’incombve: quel est il ? je veux savoir ! je veux qu’on dise ce qsui est de ce qui est ! je veux savoir long ! je veux savoir large ! je veux que tout cela qui est autour de moi et qui me regarde dise enfin le nom quel il est ! quel il est ce nom que je porte ! quoi est il ! que est ce nom ! quoi est ! quoi est il ! quoi il ! ce nom qui est en moi cette Chose qui est et qui me constitue de base comme une donnée ! quoi est ça ? quoi c’est ? quoi est ? quoi est ce nom ? ce nom est-il»non» ?

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11/02/2022

La pierre d’offrande, devant soi, est véhicule de données diverses : on va voir lesquelles. Il s’agit en vérité d’une pierre d’apport et d’une pierre de support. Nous posons nos choses diverses (on va voir lesquelles) sur elle et, ce faisant, nous posons un peu de nous, un peu de cela que nous sommes en  nous. nous avons , à travers elle, un lieu particulier, délimité (on va voir comment) pour du dépôt de soi, pour soi déposer de son être, pour dépot de soi en tant qu(‘être, nous verrons en quoi. Je regarde la pierre d’offrande et je sais que celle-ci , à son tours, me regarde. Qui est elle et que veut-elle ou que nous veut-elle ? voilà aussi une chose ici (déjà) qui reste à comprendre et à explorer. La pierre d’offrande est devant soi cette chose appartenant au Temps qui se déplie au fur et à mesure de notre avancvée dans une vie de bure comme est celle -ci que nous avons à vivre ensemble au sein d’une communauté. Nous sommes ensemble à avoir à vivre une vie dite «de bure» et cette vie estcelle ci qu’en partie (le temps, le temps brûlé) nous déposons sur pareille pierre devant soi. Une pierre est une table en quelque sorte./ Elle a donc un pied comme toute table. Il s’agit de voir ici cette table comme un réceptacle et comme un véhicule «de l’âme». il s’agit pour nous ici de comprendre cette chose à voir, d’une sorte de pierre taillée pour un transport et ce transport concerne cela-même que nous déposons au fil du temps à savoir le temps déjà consumé de sa propre vie à soi, chacun la sienne. Et c’est ainsi que pareille pierre absout, prend, concède, cherche en vous, etc, à même sa matière froide ou chaude si réchauffée par nos petits soins. Car nous sommes ensemble qui brûlons sur pierre (pour ainsi dire) nos passés de Temps impartis, sur pierre d’offrande, à la une et à la deux, au fil des avancées de nottre vie. Nous avons cette chose à faire ensemble et cette chose ici est une chose rude, dure à développer, pas évidente, et cependant qui reste à faire incessamment à nos yeux. Nous devons comprendre les donnéez  les plus natives des chose du monde. 

Nous avons à comprendre ensemble un certain nombre de choses natives et parmi elles ces données concernant telle ou telle pierre d’offrande, de recueil, et de support. Nous cherchons dès lors dans un soi qyui est comme surdéposé sur pareille pierre, et c’eest ainsi que nous arrivons à faire naitre ou mettre à jour des choses diverses contenues en nous, que nous sortons de nous illico presto et déposons sur pierre du devant. cette pierre du devant est la pierre du levant. Nous la regardons devant nous régner et troner. il s’agit ici d’une pierre déposé sur sol, à même la terre battue, sur sol de terre dure, contenante. Nous avons cette chose à comprendre ensemble d’une sorte de soubassement à du passé mort , calciné, brûlé, passé à déposer comme s’il s’agissait en vrai de vraie vie de soi cardiaquement physiquement concrètement avérée o

r bien sûr que non. Le passé n’est pas la vie vive. Le passé est de la vie morte en vérité. Nous essayons dès lors de comprendre ce passé. nous voulons essayer de comprendre ce passé ce qu’il est et de ce passé ce qu’il en ressort en termes d’offrande à poser sur table ou pierre de table. Le passé que nous avons vécu (encore tout dernièrement) est du passé à présent brûlé, il a subi la chose. Le passé de temps passé, ce passé mort, cette chose appelée passé qyui est du temps mort, du temps de derrière = de derrière soi, tout ce temps est cela même (sous quelle forme ? on va le voir) que nous sommes , e,n tant que vivants, à déposer sur pierre. Ou à avoir à déposer sur pierre. Nous sommes des êtres vivants parlants qui avons cette chose à faire d’un dépot de choses passées, de choses mortes, mortes mais on le voit qui ressemblent fortement à de la vie en vrai, soit sortant du coeur, ou élaborée par un coeur en vrai. Nous abvons ce passé en nous (mais où ? voilà la question !) et ce passé en nous doit être exploré d’une manière telle que nous serions ou serons en mesure de le déposer comme un paquet, comme une outre, comme une bête sur une pierre. Cette chose est à hautement considérer. La pierre d’offrande reçoit, et recevant elle absout. Il peut s’agir d’un paquet de linge, d’une outre gonflée, d’une chrême ou auttre huile ou graisse, d’une bete sanguinolente. tout cela a fort à voir avec nottre passé et c’est cela que nous vou;lons comprendre ensemble, c’est une évidence. Comment ? en étant vivant, on va le voir. Nous avons à une chose ici dire à vif, cette chose est chose qui a une importance considérable au sein de notre débat et c’est la rzaison pour laquelle nous nous asseyons et nous notons toutes ce s choses cvoncernant la vie de la vie, la vie de la mort, la mort de la mort, la mort de la vie, etc. La mort de la mort a son importance. La vie de la vie a son importance. La vie de la mort a son importance, et donc la mort de la vie ici, qui est ce quatrième (dès lors) volet abattu, abattu contre un mur qui est le mur d’un savoir profond,, qui est ce mur des dires profonds, des vérités hautes et autres données de base. La mort de la mort est d’une importance capitale sur cette quyestion d’une offrande et nous allons ici essayer d’y comprendre au mieux, de comprendre au plus juste ce qu’il en est et de quoi nous parlons quand nous parlons d’un passé brûlé, d’une offrande de soi vif, déposée, etc. La chose ici est celle-ci : comme quoi le passé, le nôtre, est une Chose. Déjà cela. Cette Chose est une chose vive, de par son aspect (c’est une certitude) mais non pas vivante, et voilà cela qui est ou cela qui reste à explorer pour nous. Voilà pour nous cela ici qui reste à explorer et à mieux cerner ensemble. Le passé n’est pas du vivant, le passé est chose morte mais qui loge en soi comme une bête en soiqui, trépignant et renâclant,;, «demande» (via les mots, c’est à dire l’udsage des mots) à sortir. Comprenez à filer. Car la bête est morte en soi ou comment ? car cette bête qui est contenue en chacun de nous est une bête qu’il est important pour nous de considérer à sa juste mesure, car elle renâcle , elle trépigne fortemebnt, elle veuut de l’air frais, elle veut sortir de nous fissa, etc, autrement dit «elle veut voir du pays». Or voilà la chose : la bete en nous est vie vive, vie vive du vivant, et sorti de nous (on va voir comment) elle n’est plus vie vive mais vie morte (oh encore chaude de sa vie passée , passée soul;igné) mais enfin voilà : elle ne vit plus de la même manière (manière , souligné aussi). Comprenons : la bete est morte qui sort. Comprenons bien cette chose d’une bête morte à la sortie de notre bouche à verbe. La bete se voit déposée (du Verbe) sur la pierre , elle est posée par nos propres soins d’êtres en vie, d’êtres déambulant dans une vie vive. ou déambulant avec en soi une vie encore brûlante, flamme vive, car la flamme est vive jusqu’à notre mort. nous devons comprendre ensemble des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre un grand nombre de choses rudes et ces choses rudes sont à déposer sur pierre aux offrandes et autres tables construites, élaborées à cet effet. La pierre est un devant de soi monacal et / ou pariétal. Il s’agit d’une zone de franc dépôt de soi, où aller à déposer un certaoins nombres de choses de notre vivant . C’est à dire : du temps de notre vivant, mais pas seuleme,nt. du temps de notre vivant, on le voit, mais aussi de notre propre vivant à nous,;, déposer de nous, depuis nous, à partir de nous, etc, ces choses qui sont contenues en nous, ou qui étaient contenues en nous. Nous devons comprendre cette chose ici d’un dépot continu de soi sur pierre d’offrande . Nous offrons de nous un passé passé. Le passé passé est cette chose que nous sommes ensemble à devoir si l’on peut dire déposer sur table. La table d’offrande est un objet de confection dure, avec piétement changeant selon les lieux , les époques, les lmatériaux, les techniques etc. La table aux offrandes est une table qui contient en même temps qu’elle soupèse c’est à dire en même temps qu’elle jauge et juge, qu’elle mesure et accrédite ou pas. une table ou pierre aux offrandes eswt cette table devant soi qui s’offre à nous en tant qu’ouverture-échancrure de bon aloi. nous déposons cela que nous avons à déposer, et déposant nous comprenons qu’il s’agit d’u ne chose de poids en la matière = du passé. Le passé est ce qui en nous a surnagé un temps, s’effiloche tout du long, fait mine, passe pour, fait la roue et contient la mort (un temps qui est le Temps) à bonne distance de nous. Nous devons ensemble comprendre une chose, cette chose est chose rude, il s’agit de choses liées à la mort, d’une chose liée de fait à cette mort dont nous parlons. La mort est une chose rude, la mort est une chose brute, la mort est une chose à déplorer. Et comment agir afin de la contourner ? Comment agir afin de trouver à bien la contourner ensemble ? la question est méritoire et appelle un certains nombres sinon de réponses factuelles et crues, du moins d’éclaircissements concentrés et concertés. Notre envie ici d’éclaircir domine et doit êttre reconnue pour ce qu’elle est, à savoir une volonté grandissante au fil du temps, soit la volonté des Volontés. Nous devons co:mprendre ensemble des données de base importantes ici pour une réflexion à mener de front sur ces questions de vie et de mort, et notamment de vie vive et de mort assoupie. Nous comprenons que le passé , ici déposé sur table aux offrandes, a un poids certain mais fait il le poids ? that is the question. Le passé fait il le poids devant la mort ? le passé passé fait il son peztit effet ? peut-êtyre que oui en vérité , peutêtre ! mais peut-être pas ! car le passé est calciné, il s’agit de bois brûlé, de bâton de bois brûlé, il s’agit de ce peu qui est brûlé qui vient de soi-même, soit des profondeurs de sa vie. Car la profondeur est ici dans le passé. La profondeur n’est pas en soi comme un clignement de paupière ou l’’ouverture d’un sphincxter. La vie est cette chose ici contenant du soi dans le temps. La chose à comprendre est ici logée. le passé est cela même que nous déposons au cours de nos vies sur table d’offrandres pour rester en vie bel et bien. la mort absorbe le passé. Le passé est absorbé au fur et à mesure par la mlort. Le passé de soi se l;oge direct dans la mort des temps. le Temps est l’absorbeur des choses de soi (passées) qui sont dès lors comme déposées au fur et à mesure sur telle ou telle pierre ou table aux offrandes. Car ce que nous donnons de nous porte un  nom. Ce nom est un nom donné. Ce nom est le nom dionné par la bande temporelle à quelque chose qui vivait en nous avant, soit avant déposition sur table aux offrandesq. nous devons comprendre cette chose d’une sorte de donnée brutale et brute d’une foi en nouys déposée comme un présent de temps = le présent des temps. Ce présent meurt à foison ou comment exprimer cette chose d’un temps qui (ici sur table) brûle sa pépite (sa palpitation ?).? Comment déployer sur table cette chose d’un passé de soi vif mais mort et devenu la mort pour la mort ? nous avons une chose à comprendre ici, concentrons nos énergies. Nous devons ici comprendre et creuser. Nous devons comprendre ici et creuser dans les profondeurs du Temps cette chose d’un passé de soi déposé sur roche = sur table = à p;lat = sur p;lan dur = sur la terre dite terre-mère. nous  devons co:mprendre ici ensemble cette chose si grave, ou si prégnante, ou si importante, etc, d’une vol:onté en nous (cette foi dont on parlait) qui cherche en continu à alimenter la flamme devant nous d’une bête à brûler, d’un mot à déposer vif, d’un langage des parois (voir l’art des paroi) etc. Nous avons à comprendre ensemble cette chose d’une sorte de langage «fol» de la roche du temps. La roche du temps est ce bloc-temps qui nous constitue en tant qu’être vivant sur terre, debout, parlant, donnant de ses mains victuailles et autress p^résents devant soi = dans le temps vécu de son monde et de sa vie d’homme des prés. Nous devons aller dans la profonduer peut être oui de la psyché mais en vérité bien au delà = dansd le temps de soi déployé. Cette chose est à comprendre ici comme une chose considéralble ou considérablerment importante à devoir cerner cde concertt (§l’usage du monde devenant l’usage de kla parole) et ce faisant, comprenant, nous trouvons la cklé. Nous devons comprtendre loin ces choses de choix. Nous devons ensemble loin comprendre ces choses d’une foi en soi qui est celle là concernant le Temps existant comme une entité ou déité centrale et permanente ; nous croyons en bveaucoup de choses permanemment et c’est ainsi que nous restons en vie et ne mourons pas : parce que nous croyons, parce que nous portons en nous des choses rudes, choses rudes et choses rugueuses , que nous déposons sur pierre, devant soi. Nous sommes des êtres «fous» ou «fols» , qui posons. Notre raison suit sa pente qui est pente contenue. La raison est une gouttière, et pareille gouttière nous permet de conserver pour nous (dans la vie) un xemblant de joie avérée. La peine s’uni à la vie pour nous troubler mais le passé fait feu de tous bois. Nous essayons ainsi ensemble de comprendre et de situer pareille pierre ou pareille table devant soi dans le temps. on dit cette chose, comme quoi kla table est mise, la table est dressée. nous voulons déposer sur elle tout notre barda comprenant des choses de poids. Cette chose ici est une chose qui porte un nom, cette chose ici est chose qui porte un nom en particulier, et ce nom est nom de base, nom donné par la bande, fort de café ou non, nom de rage ou pas, alcool ou non-alcool, etc, il s’agit tout de même d’un nom à bien considérer comme étant celui là qui (ici ?) va l’emporter dans une sorte de combat avec le temps. La chose est à considérer longuement et à ne pas lâcher tro tot ou de sitot, question comprenance, comprenure, préhension primaire. Nous devons creuser kle temps dans kle temps d’un déroulé formel. notre devoir, vivant, ou étant vivant, est de creuser le Temps à vivre dans un déroulé formel, de type linéarité concentrique, tracé de vie, tracé vif d’un dire de choix (ou de pôids) etc. Je pense donc je suis « est une gageure on le sait. le Temps est le Temps d’un déoploiement sur place. je regarde devant moi et mon regard seposesur la table, car la table est devant soi l’espace-temps d’une vie imparti.Il s’agit ici de «piger» pareille donnée à même la pierre rude. La pierre est une encklave, un sas de vie à vivre (rudesse) et s’ouvre pour nous contenir. nous sommes pris dans la matière charnelle (pierreuse tout aussi bien) du TEmps. nous sommes pris ensemble (à tous et nous tenant la main) dsans cette matière d’un Temps déployé sur table. Nous sommes pris soit prisonniers de la matière. La matière est sans borne : à toi à moi, qyui nous re-garde depuis l’intérieur d’elle-même et nous absorbe. Je suis cette main qui pose. Je suis cette main qui absout. je regarde devant moi et que vois je, que vois je devant moi qui brame ? la bpête de joie (= la Bête) qui brame que tu brameras sur pierre d’offrande = pierr de taille = pierre aux dons divers de choses mortes ou mourantes comme le passé. Car xde nous meurt en conti nu des choses de choix et de poids et de joie et de foi. Il s’agit ici de voir au mieux ce qui est en pareille bête qui swemble nous xsauver un temps d’un trépas brutal et surtout non-salutaire. nOus déposons pareille bête, nous posons pareille bête, nous posons le sang de la bête en déposant la bête, nous sommes attentifs. Nouys ne voulons pas g^cher le temps d’une vie à vivre tout du long. Notre vie à vivre tout du long est une vie vive de rage et de tourments divers à devoir encaisser, ici ou là et d’une manière ou d’une auttre, tous et toutes autant que nous sommes. La vie en soi ne sort pas de soi. Le passé tient au temps par la matière. Il ya ce lien entre le temps présent des tourments et autres peines de toute sorte, et cette chose en dur de la matière corporelle charnelle de tout du tout de terre-mère. le lien (terre-temps) est à entrevoir par le verbe, en tant qu’il serait à la base de la mort rageuse, soit de son étant de vie à vivre à nos côtés et vioolemment. La mort cherche faille en nous, ouverture au cadratin, ouverture mineure du iota, chose de la brèche, petite entrée de vie à voir venir, etc. Nous voulons aller ensemble à tous (l’humanité) dans la roche dure de la xchose ici temporelle sous nos yeux. nous sommes qui voulons comprendre un Tout en ses parties fines. notre but est clair, il est stipulé, il porte un nom, il est mourant mais il tient le coup (le choc) et ne s’en laisse pas conter outre mesure. Choc des parois les unes contre les autres ou sinon de quel choc s’agit-il ? Nous devons creuser la question du temps de la roche (terre-mère) et ce faisant comprendre les données de base. le temps est attenant à la matière. Le temps est une donnée fixe quoique fluide. la mort est prise entre deux feux et se laisse envahir par les données verbales de base : voir ici l’aurochs ou le bouquetin dessiné par l’homme des cavernes. je suis aussi un homme des cavernes , qui, bon an mal an, y va de son petit schéma de derrière, de son mot de rage tout autant. je suis l’homme qui, un temps, brûle sa cha ndelle et tente une approche sensée des choses du monde. Vais-)je mieux comprendre avec des mots de bêtes , avec ces mots-bêtes de parade ? y a )-til une façon plus fine qu’une autre pour comprendre les données du monde ? vais je trouver ? vais je comprendre ? vais je pouvoir arriver à comprendre et à trouver ? vais je pouvoir associer mon nom à ceuux-là qui ont eux compris des choses et sont dès lors du bon côté, ou plutôt aux noms de ceux-là qui sont passés fissa (ou pas) de l’auttre côté, du côté de ceux qui «comprennent», car y a til une chose («en soi» ?) à comprendre ici ? nous voulons passer du co^té de la compréhension des choses, de l’intelligence de vue, de la clarté sur ombre, etc. nous voulons cerner le bien (le bien dire ici, correspondant à du dire de choix) pour nous loger (enfin) du bon côté du monde soit ici même, du côté de ceux qui comptent aux yeux de certains autres qui savent déceler en x ou en y la flamme de la foi en l’ombre. je vois cette chose ici, je vois ce Temps lié par la patte à la matière des choses jonchant terre-mère et terre-mère elle-même. La table aux offrandes est ce devant (permanent) dee soi dans le monde, il s’agit du pl;ancher des vaches. j’essaie de comprendre x et y données terrestres ici et pour ce faire je tente une sorte d’abordage 1 da ns la matière des choses du monde (ce foyer de base) 2 dans le Verbe dit «déployé» qui est le Verbe de la foi intinsèque (en la vie et en la mort on l’a compris). je veux cerner loin les données humaines du temps. Voilà donc (en résumé ?) ce que nous faisons «en vivant» ou «en étant vivant» sur la terre : nous so:mme, nous sommes qui déposons. Nous sommes des hommes et des femmes qui déposons des choses sur le sol de terre-mère = des cendres = du passé = des choses swemblant la vie dans sa flamme vive mais rien du tout ! il s’agit de soi mort = le passé de soi, il s’agit d’un soi passé qui est ce soi déployé dans le temps attaché à la matière = une sorte de boue de soi permanente : calculs, boue, matièrerupestre, onguent, chreme christique, chrème de vie, christianité. Nous devons nous rapprocher de la matière de la foi. Nous devons nous isoler en cette matière (d’une foi dans la matière) et comprendre kles données de base humaines, données douces ou dures, qui sont celles qui nbous représentent à tout moment et nous maintiennent en tant qu’homme (ou femme) debout, dép;loyé dans le temps et marchant sur roche (sol) à m^$eme le temps. nous sommes devant une roche. cette roche est la matière même (en dur) du Temps. Ce temps est une filature. nous devons comprendre cette filature à la lumière de telle ou telle recherche à mener de concert dans kle temps : oeuvre de chair, oeuvre de Verbe, oeuvre, dure ou douce de charité, oeuvre de parade. nous sommes à devoir comprendre et que faire d’auttre dès lors que cette chose ? Nous sommes ensemblke, nous cherchons les données de base, nous cherchons à comprendre des données de base royales, nous voulons cerner les données de base au mieux et voir devant nous les offrandes et autres présents dans leur finesse la plus grande, etc. nous voulons comprendre les données des chosesq = ces offrandes déposées qui semblen,t devoir nous en apprendre, et nous donner foi en quelque chose en nous qui ressortirait d’un domaine en particulier comme celui -là qui régit aux lois de la foi dans le Verbe, dans les mots sortant de bouche ou mots bêtes de la Vérité chapeautant le monde. nous voulons comprendre un ensemble de données de base. ces données concernent une table. La table est le monde tel qu’il nous apparait «de conserve» ou «de concert». Nous devons cerner  vif le monde. Nous devons le monde le  cerner en ces retrancjhements langagiers de base. Voyons de quoi ici le monde langagier est il constitué ? Qui nous donne le droit de parler une langue déposée en nous comme une offrande ou le présent du Temps global, qui est là pour cette chose ? nous devons comprendre un bon nombre de données de base rupestre (on le voit) et poser-déposer sur roche nos bêtes de poids liées à un passé de soi qui est passé vif. le passé de soi est lié à la matière (charnelle) des choses du monde. il s’agit d’une chair de roche. La paroi du monde est le monde dans son intégralité. Le Verbe est une accoutumance de façade, un don de s rois de la bande, une sorte d’accomplissemennt du soi etc, à même la matière du temps. La beauté est une chose dure comme la pierre, car ici la pierre est logée dans le temps d’une fiction rocambolesque. Je cherche à m’immiscer dans une sorte de savoir des temps à même la matière me constituant. La matière ici est une chose rude, et dure à la fois, etc. nous donnons de nous un passé vif mais non vivant. le passé vif porte un auttre nom = :mémoire. nous sommes qui devons comprendre  ce passé de nous enfin libéré par un don de soi en nature (on verra lequel) et ce passé est passé de soi maintenu, passé maintenu d’un soi glissant dans le temps de sa dispparition matérielle, lieu de la mémoire et des restes attribués. nous voulons comprtendre ce passé lieu de mémoire, nous voulons le déposer sur roche (= terre-mère) et se sauver par la même et par la ban,de pour ainsi dire. Nous devons comprendre cette chose d’une sorte de dépot de choix = de roi = de foi = de poids sur pareille terre de son etre à vi vre ici. Nous devons comprendre ici cette chose d’une sorte d’être de choix, à poser sur roche (table) dans le temps.  car le temps est d’une importance capitale sur la questionb. l’etre est né du temps déployé parla bande langagière des tourments à vivre = pla intes, pleurs, cris, etc. cces mots de bêtes sont ici à poser fissa sur pareiille terre des pârois, des zones alentour, des sortes de niches ou enclaves de vies terrestres. notre vie à nous = une vie de rage langagière. Pourquoi ? parce que voilà : nous sommes des êztres de voix, de paroles proférées, de Verbe déposé, de cris de rage animaliers à même la terre. Qui nous croit ? nous allons ensemble à déposer sur table nos tourments divers, nos vivres et nos victuailles langagières et liées au temps par la matière, d’où le choix du roi, la belle princesse des temps impartyis, le valet cavalier, le cavalier valet de la roche, etc. je regarde devant moi la roche du temps et tente une pezrcée dans un langage déployé à même le temps. la chose ici est celle-ci qui reste à cerner, comme quoi la mort est mourante. kla mort peut mourir. la mort est chose qui peut être atteinte et touchée. comment ? par le verbe déployé à même le temps. Nous devons comprendre ici les données rudimentaires, les données riches, les données de bnase. Nous devons cerner ensemble ici le plus possible de données de baxse concernant la vie ici sur roche à dépenser, à brûler, à calcciner, à ca rboniser, à  pisser de rage. nous devons comprendre ensemble des données de base rudes, rudes et rugueuses, et kles regarder comme des termes de choix pouvant ouvrir des portes ou bien les «portes de la connaissance» des choses du monde. Nous sommes postés sur un devant qui est ce devant d’un verbe alloué à une vie riche. le temps dépensé est du temps déplo yé comme un linge , comme un linge ou linceul sur un corps allongé et nu , à même la terre, linceul ou drap blanc -sur un corps v erbal prioritaire. je cherche devant moi où se trouve la clé des entrées rupestres : où est-elle ? que devient-elle ? QSu’est-elle en termes de vérité ? Je cherche ici cette chose d’une foi dans l’homme-trépas. qu’est-il ? qsuel est son nom véridique et reconnu ? Nous avons devant nous cette chose d’une table posée ou aménagée ici, devant soi, posée devant soi aménagée afin de pouvoir recevoir des vivres = des vies de pacotille, vies fausses, faux-semblants de vie rageuse rien du tout rageuese, etc. Nous voulons comptrendre les données rageuses et les cerner au mieux, comprendre ce à quoi elles se rapportent, ce à quoi elles sont kliées en vrai. Une table est devant nous qui absorbe, prend pour elle, etc, les données de base langagière sortant de nous. Les mots sortent (de nous) par la bande. Les mots sont chance et cghute, sont onguents de type christique, déployé, placé, glissé, etc, sur outre de parade, sur paroi, sur face de peine et tourments, sur visage de saintezté. Je regarde devant moi cette plzace à être, qu’est-elle ? Les mots viennent  qui s’agglutinnent et x’amoncellent et chargent que tu charcheras le char de ta rage à dire l’être. je veux comprendre au mieux les données royzales du temps à cerner ou à devoir cerner kles choses du monde. un mot est du Verbe et l’animal contenu en soi. L’animal contenu en soi est du mot-betye de rage une fois déplacé et sorti de nous (trou-bouche) par la bande. cette bete est le pzassé carbonisé, encore tout chaud de sa vive et haute combustion en nous.la bete en nous est Verbe dehors? nous devons cerner la cghose et nous laisser porter (griser) par la bande animalière des tourments et autres mmé&faits rterrestres. je vgois la roche, je vois devant moi la roche. je suis l’homme des pârois de choix, des dures données brutes de la matière. La matière en soi est du tourment car elle est meurtrière : la matière est meurtrière, et comment ! or la matière est liée (par la bande : langagière) au temps d’une vie à vivre. la vie est cette chose d’un temps imparti lié à la mort par la bande (langagière) des tourments liés à la matière. Vie et mort d’un côté, temps et matière de l’autre, pour une chevauchée menée de concert sur roche à même la bande treaçante du temps.. le temps se dépl;oie devant soi (nous) qui suis ou sommes, etres(s) qui est (sont) homme(s) de la rage. homme-femme s’entend. De la rage à être sur terre l’etre de lma voix qui parle haut son tourment de bure, de façade, de présence en des lieux charnels distincts. je chevauche les temps de parade. je chevauche au fil des ans les temps divers d’une vie à vivre en  matièrre. Je veux être homme de la bande à celui-là ou à celle-là qui nous donne une sorte de poids à être. La déesse des embruns.  nous voulons cerner les données rudimentaires et puissantes de la foi à être. Nous devons comprendre ces données à l’aune d’une tourmente )à même la matière. Nous devons comprendre un dieu de vie et d’eau à même la matière environnante. nous avons à comprendre cette chose , cette chose d’une tourmente à même la matière animalière en  nous. cvar nous sommes envahi de vies (diverses) de bêtes en nous, qui renâclent et qui trépignent à tout va, en v eux tu en voilà, de leur rage (voilà) à être (ici-bas),. voici la bête-présent à présent déposé sur pierre : elle saigne tout du long, c’est à dire tout du long son nom (à proononcer incidemment et dans le temps). la Bête est bête-mot de rage à ^-etre soi, ici bas, comme un qui se doit d’aller devant et de l’avant permannement dans le sang d’une vie à être. Les données sont simples, les données sont déployées, les données sont déplissés. il est bon de comprendre ces données à la lumière du jour des reines et rois, dames et princes, etc, d’un royaume aux données de base. je lm’avance près de la roche ou pierre aux offrandes et, les bras chargés, j’implore le Temps brûlé de bien vouloir m’aiderr à cdéposer (en du temps ou dans du temps ou dans le temps ou dans le Temps majuscule) les données qui sont les miennes. je regarde cette chose d’une table recouverte de denrées soit de données soit de dons divers liés aux victuailles, aux betes de chgoix, aux fruits défendus, aux mots de la tribu. mon nom est accroché à pareille sorte de mets mélangés pour la bonne cause, celle qui nous vcoit chercher à s’échapper des griffes de la moert à l’ euvre. le temps se déploie depuis la naissance. un homme nzait qui va de l’avant à l’intérieur du sas. je vois cet homme se lover (ou loger) dans un temps pierral de table aux offrandes salutaires un temps. la roche du temps comprend la parade. les mots de bouche sont des animaux de rage lié au passé calciné, carbonisé,, carbo. Je suis homme-carbo de base, calciné par la bande, déplacé sur roche (d(ici à là) et je cherche à comprendreces données qui sont dons de soi par la bande = mots de la tribu évoquant la biche ou le chevreuil, le cerf ou le méga-cerf, etc. je vois roche-pierre aux offrandes saintes (sanctifiées) et je  m’avance ainsi , vers pareille fête, vers ce fracas de bruits divers, onguents sur roche meuble, huiles saintes sur paroi, graisse d’animal sur roche. Je veux être homme squi saurait des choses, et femme qui saurait des choses, et betes qui saurait des choswes, et aussi l’enfant de l’homme et de la femme et de la Bête qui sauraient des choses. je suis homme des vivres et vi-ctuailles déposées sur tabkle d’offrande. La terre entière est table d’offrande et se plie sous les données. nous avons à comprtendre choses et autres à la lumière des données de cchoix déposées sur pierre d’apparat. les données sont dons (de verbe) riches, pleins, assurés sur leurs trépieds ou autre piétements central

 de maintenance , de maintien, de pose. nous cernons les choses dépposées comme étant de cellkes qui (donc) nous tiennent à la vie et repoussent vla mort. la mort est une cghose rude, en cela qu’elle frappe sans compter. elle n’a pas pour elle de voix langagière et pourtant si : à travers la bête en nous. nous sommes deux qui cherchons à découvrir des choses ici et là à même la plaine. chosesconcernant la Chose. Nous pistons les bêtes de poids à même la plaine et courrons comme des affa més sur pareille roche de terre (terre aux vérités de la roche dure des appuis). Nous voulons en savoir long et cherchons vif les données à déceler sur roche, soit dans un champ de rage ou sur paroi ou même dans un trou terrestre et autres anfractuosités. j’(entre dans la matière du temps = la chair d’un Verbe souverain pissant sa verve, son verbe dru comme vache qui pisse sur pré et donc herbe sacrée. je veux cezrner roche dure et roche meuble des temps impartis. Je veux cerner kles choses du temps et ces choses les poser szur table et kles offrir à qui de droit. Le temps est cette enclave d’une vie à vivree matérielle. Les mots sont des animaux. Le temps aussi est animal et cette enclave à vivre une vie matériellement klangagière,  car les mots ne nous quittent plus, les mots chargent (aurochs, bisons) en, continu l$e temps de ta rage à être. Les mots sont des appuis (étais, pilotis) qui nous portent en vie jusque dans la mort qui n’est pas de ce monde. Car en v»érité la mort meurt en vie ou dans lka vie, mais au fond ne meurt pas, c’est à dire dans la mort ne meurt pas mais au contraire est bel et bien en vie, qui ne nous lachhe pas d’une semelle guerrière. la mort meurt dans la vie (la vie la nôtre) mais la mo rt ne meurt pas dans la mort. La mort est en vie dans la mort et guette. La mort est cette chose d’une sorte en soi de roche. La mort est chose de roche rude. KLa mort se voit touchée par la bande langagière temporelle. La mort de la mort (et non  la mort de la vie) se voit comme « touchée (la toucher la toucher») par en nous (vie) ;la langue vive d’une bande en soi de rage. La mort (celle de la mort) se voit par nous touchée par en nous un passage de langue vive. Par en nou!s la bête-mot de la rage à être ici et maintenant des êtres en vie et non en mort. nous posons des mots sur un devant de soi vivant, nous posons des mots de rage sur la pierrre, nous posons des mots sur un devant de soi vivant, pariétal, organique = matériel, et ce faisant que faisons nous ? nous touchons la mort dans sqon être ! La mort est devant bnous qyui guette notre advenue de déposition. elle n’e’st jamais loin qui nous espionhe presque, nous rel;uque incidemment et cherche (du regard) la chute. Car elle voit. elle est l’oeil qui voit beaucoup et loin de nous et en bnous et cezla par la bande, par cette sorte en nous de bande de joie qui nous incite à davantage de prudence, car en  nous la voix est bestiale et hors de nous le monde est danger, est mort à venir, incluse, insérée, entrainée. je vois le monde comme monde des dangers de mort permanents , planétaires, insidieux, cachés. le monde est pierre de taille et pierre d’offrande. Vivants (vivant) nous offrons nos temps de bienvenu en pareiille roche des temps déployés. nous voulons comprendre des données mais la fluidité des avancées, des pezrforations, des glissements langagiers nous oblige à devoir composer. Nous ne sommes pas encore tout à fait sortis d’affaire, nous devons comprtendre ensemble des données de charge lourde, qui sont dons de vie, dons de soi, dons de vie brûlée en vérité, charges langagières d’apparat (de parade) afin de faire accroire au dieu de la mort de la mort (et non au dieu de la mort de la vie) que notre etre est là toutentier qui brûle de hjoie, alors que non ! notre être est en nous contenu comme bete de chance à l’abri d’x tourments liés à la matière. la matière est faux derche , merde ! on sait ! on voit la matière troubler le v ivant de sa race grise, saleté qui nous peine, nous trompe, nous induit en erreur, nous blouse, etc. La matière (auussi bien le sexe, aussi bien l’auttre en matière) etc, soit le monde des entours à soi, des cercles de vie (prés carrés divins) qui nous prennent (partout) à partie et nous entrainent vite fait bien fait dans des méandres et autres replis dangeereux ou potentiellement dangereux. Car l’Auttre (quel qu’il soi) est potentiellement un danger de choix. Il contient en lui ce qu’il ne connait pas qui peut être nocif ou néfaste, et moi itou contiens en moi ce que j’ignore et qui peut attenter (sans gêne) à mes jours de vie sur terre. Cela est une certitude (ici et là), on le voit. je tombe à lma renverse incidemment et cependant je vois la chose ici comme quoi la matière de la vie contient partout en elle le germe (les) de la mort en brancjhe, etc. La ma tière est cghose riche de mésaventures, méfaits et autres médits. je croise les doigts que pareillle cghose de la moort à l’oeuvre ne pas de sitôt s’en vienne que tu viendras à me faire chuter de tout mon long nominal dans un temps brûlé sans perspezctive, c’est à dire sans possible ou possibilité de salut, sans possible échappatoire oou autre possibilité de salut terrestre. je vois devant moi ces choses de rage, temporelles à la diable , une chose une autre, une chose un e autre, une chose un e autre, une chose une autre, comblement, briquettes, une chose une autre et pas tout (le tout) à la fois, d’où notre misè!re, et d’où cette notion d’offrande soit de parties fines pour un tout de rage. Nous voulons ainsi cette chose ici, cette chose d’une offrande particulière ayant valeur de tout divin par la bande . Pourquoi  ? parce  que  le t emps est un écoulement, éboulis de roche. Le temps ne permùet pas un don global. LMe temps ne permet pas un ébou;lis total, une chute raide du tout par la bande en son foyer central mais seulement des bouts, un bout puis un bout puis un bout puis un bout etc, une litanie qui ne peut en aucun cas «figurer» le Tout de la Chose. La musique implique. le temps érode. Le temps mesure les cadxences, cerne que tu cerneras les effets de chance. La musique est partie liée. la chance est la chute dans un temps béni qui comprend les choses du monde afin de les sauver à jamais. le temps est musique du temps. Je vais vers kla pierre et dépose mon Verbe crue (des parties fines et de la rage à être de concert). Je suis  cet homme des parades langagières déployées, des parazdes de temps, des données de poids divers, etc, qui porte en luuiui la bhonne parole du tourment de l’^utre . je suis homme qui va dans le sas du monde, il est dans le sas, il rega rde danns le sas, il veut comprendre. je regarde dans kle sas du monde les données rugueuses des temps. Je regarde ici et là et comprend ces choses du temps comme celles-là qui restent à cerner par la bande langagière animalière déposée. je veux être ici celui-là et celle^-là : ce»lui là qui pénètre les données et celle là qui les reçoit de grâce. je tombe «comme» à la renverse dans le temps, voilà cette chose à noter et à retenir. les betes en moi me poussent à dire x et x et x et x et x choses de poids (meute, troupe, troupeau) et ces choses une fois dites vont à se loger dans ce Temps de la terre dure (matérielle = pouvant à tout moment provoquer le pire) et se logeant trouvent habitat (zone de repli) et lieu pour une réflexcion à pouvoir mener dans un certain cal:me propîce aux découvertes et autres trouvailles «qui puissent le faierre» à nos yeux de betes et autres vivants sur terre. Je suis cet hyomme-femme aux données induites (en soi = là) et qui cherchent partout l’entrée : ou se trouve t-elle ? Je veux être ici rage et serviteur. rage à vivre et serviteur de céans (bouquetin  ? chevreuil ?) servant la roche. je suis  cet homme des parois meubles incorporant. incorporant quoi incorporant son verbe. Son verbe «assidu» et acidulé . son verbe assidu adulé ? ou seulement acidulé ? Je tombe à la renverse dans le temps du v erbe, et ce faisant cherche à comprendre les données du monde : vie -mort de pacotille (douloureusement matérielles) quand la vie ailleurs (par le VErbe) et la mort ailleurs (par le sang) peubbvent ensemble être entraperçu (par nous) par le dire fol de la rage à être vivant sur terre, ghravissant, escaladant les mots, se servant d’un pic de traverseée la roche, etc.  nous pleurons et nous montrons sous un jour peu ragoutant voire peu attractif voire maladroitement dépl;oyé. Nous ne savons pas parler le lan,gage déplissé à bon escient,. notre verbe fait chou blanc. Notre Verbe eswt pleutre, piètre, pisseux, paradant sans verve, etc, et ne mérite pas que nul s’y atta rde plus longtemps que ça. Les choses ici sont dites. Le malheur est induit dans la matière. La matière est intrinséquement dangereuse. Les mots paradent qsui disent du mzal du temps et da,ns le temps. Les mots sont méchants, hurlent avec les loups. Les mots sont betes et méchants qui hurlent avec les loups. Les mots hurlent avec les loups qui sont betes et méchants avec les loups tout autant. Je veux é»chapper = m’échapper = sortir = cxhanger = aller = etre. Nous disons que nous devons sortir du sas du monde tel qu’il nous apparait. Nous disons que nous devons sortir du monde rude (rugueux, nerfveux) et changer de monture, hop ailleurs ! charger mulet, innocemment, dans le verbe ! Il s’agit pour soi d’aller vers du Verbe cendré, prise d’un dire, etc, et crever l’abcès monacal-pariéytal du temps passé sur terre mère. NJOus devons charger la Chose à même le Temps. nous devons cerner les donnéez rageuses du temps afin de mieux les intégrer à notre propre entendement d’homme matériel souffrant les dangers divcers et variés de la matière, l’autre inclus en elle, etc. Nous devons toucher la table via le temps d’une élocution pariétale = en transe ou quelque chose d’approchant. Nous devons toucher à cette table d’une roche de la CVhose. Nouys avons table devant soi = la matière des parois du monde adjacent qui estce monde de la voie et de la mort cerclées. Nous avons à entrer ensemble via la matière temporelle dans un sas de destinée autre, sas des sas du temps de terre mère et de ses tourments nombreux et variés. Notre but est donné de rage, car il est prégnant, il s’impose à nous comme un nom est imposé à la naissance d’un individu/. Nous sommes tous et toutes êtres qui allons et avons à ) déposer nos mots de bêtes et autrees mots bêtes sur table des temps alloués à une vie matétérielle. nos mots sont déposés à même la matière dure d’une vie des temps. Notre mMot de grâce est vif mais fuyant car «il tombe en arrière», il chute dans le temps de son élocution sommaire. Les mots déposés sont... onguent ? graisse de bête ? huile essentielle ? gras de porc ou de truie saignés à blanc ? Que sont les mots de la tribu champêtre ? que sont donc les mots d’une rage à être vivant coûte quec coûte ? que sont donc ces mots d’une rage à être nus, pris dans une nasse verbale, consignés comme en résidence, dépourvus en soi en vrai d’attraits dignes de ce nom, charmeurs sans charme, plaideurs, calfeutrés comme en quarante : qui suis-je ? quyi je suiis qui vais vers la roche (ou pierre des embruns) pour y déposer mon verbe de bure (oh si mal fagotté je le jure ! oui ! ainsi est!) et qui tremble à l’idée de se voir «touché» par dame ou sieur de la mort des Graves, de la Mort sur Esp;lanade ou autre mort des temps affrontés. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis que je ne sais pas. qui je suis que je contiens en moi. qui je suis qui contient en soi le  mal permanent, le mal de la rage d’être ou à être . Car le moi (le je : l’être) est menaçant. le je (le moi : l’être) est comme contenant le mal xde tage à être le méchant des temps alloués. Enn soi (= matière) est le mal c’est une évidence. Nous sommes le mal (matériel) incarné de base : tous et toutes. Mal d’une rage en n ous matérielle pris dans la matière = pris dans cette matière du monde adjacent. Nous solmmes êtres qui en nous contenons le mal que nous faisons de fait (même au mieux par devers nous si tant est)  en étant vivant sur terre-mère. Nous pissons nos larves. Nous sommes défaits. nous faisons main basse en permanencve sur un temps alloué divin qu’il nous incombe de» «mener» comme une danse dans un sas de roche aurignacien. Le mal est inclus. Le mal est inclus dans la matière. la matière est la roche des temps. Le temps est le présent à déposer de soi (don) surnuméraire sur paroi ou table ou pierre d’offrande : pour ne pas mourir de préférence. et deès lors faire accroire : que 1 mon nom est mon nom, 2, que la vie est odfferte dans pareil paquet décoré, 3, que la vie sur terre n’est pas l’opposé dee la mort en tant que couperet, 4 , que je suis du monde des songes animaliers et autres fables des temps passés. Je veux servir le monde divin en faisant offrande de mon nom donné par la bande. Le nom déposé est le nom d’une rage à advenir coûte que coûte. Nous avons pour nous de quoi allonger nos phrases sur paroi des temps. les phrases sont phrases des temps. Nous voulons touchezr une roche dure qui serait une roche donnant un accès privilégié à une sorte d’entité rocheuse devant soi, accès à notre vie vive, à notre oplus de vie vive contenue en nous, pour permettre à celui-ci, à cet être des parois, de mieux nous connaitre et de ce fait de mieux pouvoir juger notre soi en propre = notree être vrai si tant est. Nous voulons comprendre et toucher. Nous voulons comprendre et toucher la mort. nous voulons comprendre et toucher cette Chose dite de la mort des étants de base. Nous sommes ensemble dans un pli de roche. Nous voulons comprendre loin, profond, les données rugueuses, les dons à pourvoir, les offres diversesq, les dons du ciel, les prises, les ajouts, les colères divines, les prises

les données des temps impartis. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici qui nous voit aller sur roche dans le temps. qui je suis que je ne suis pas. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis qui en moi contiens une cha rge . Qui suis je au fond de moi en tant que tel ? le mort à venir ? la belle morte aux allures divines racées ? qui je suis qui tremble ? qui ne suis je pas qui tremble tout autant ? qui suis je dans un déroulé de temps alourdi d’un verbe prégnant ? qui je suis qui «casque» ? qui «e^tre» ? qui voir ? qui comprendre ? qui deviner et quoi déposer ? Je pose sur table des devants à soi la Chose des roches endiablées (mesure pour mesure) et m’en retournne = reviens, vers... moi qui reste là = en vie, dans un monde ouvert et fermé, ouvert aux aguets et fermé aux apprêts. Je veux être l’être des temps dépl;acés, depuis un intérieur(?) à soi déployé p âr la bande vers la roche meuble d’une pierre où deposer choses et autres en guise de présents au monde. Je cherche issue sur table d’offrande, calfe»utré on le sait, caché dans ma cabane aux charges. Je veux dépôser sur table icelle temporalité qui donnerait crédit à) pareille cxharge en moi (en soi) contenue. La charge est de celles que l’on voit courir dans les prés. les prés sont les prés des temps i:mpa rtis. Il s’agit dx’un pré de chargements animaliers, de courses endiablées parmis les herbes hautes autres et autres arbustes dessinés, etc. Nous voulons toucher la mort à travers la roche langagière des apprets. Que faire pour ce faire abrupt ? comment déloger la roche ? comment déplacer la Chose des temps matériels ? que dire ici pour un faire vif ? comment dire ici ce faire adjacent ? nous vouylons creuser loin pareille entité verbale qui nous vient  nonchalamment comme une épave, en bvouche ouverte ou fermée, en nous comme condamnés, et voilà ce qui eswt : nous tombons à la re nverse dans le temps = en parlant (en disant) nous tombons à la renverse. dire = tomber. dire = tomber. dire = tomber dans le temps d’un tracé de rage. Dire = toucher. dire = toucher. Dire = toucher à la roche dure des temps alloués à une vie humaine. dire = donner sur pierre : offrandes diverzwes, vivres déployés commme un dire long. Je vais voir ce qui est . Je dis que je me vauttre. jE regarde les données brusques. Je veux être l’ombre des données de base et de rage. la douceur incarnée dans le sang donné du verbe dépoosé sur pierre d’offrande. je szuis je l’homme-femme-enfant-animal d’une rage à être envahi par la bande langagière d’une vraie vérité native. Je compose avec les données natives-hâtives naïves. Je veux déplacer les donné»ées rudes vers du  doux peut-être bancal mais soyeux et comme énoncé pour du dire vif amoureux. Je veux toucher la mort de près = la comprendre sans l’éprouver, mais comment cela ? comment puis-je faire de la sorte : et toucher et ne pas y toucher ? il s’agit d’une gageure (on l’a vu plus haut) et cette gageure nécessite un exeamen approfondi de ses parties afin de bien la comprendre et en cerner les tenants et autres aboutissants <wqui font d’elle une donnée  de base, une donnée avérée, une donnée sur laquelle pouvoir s’appuyer pour mieux l’aappréhender . Il s’agit pour nous d’avoir à toucher icelle gageure dans un sens particulier qui fera d’elle à nos yeux une sorte de donnée de base pour l’éternité des temps i:mpartis à des vies d’hommes et de femmes et de betes particuliers et particulieres. JNotre but est de trouver à co:mprendre loin pareille gageure : comment faire pour toucher et ne pas toucher?. Comment s’y prendre pour toucher la mort de face et ne pas toucher la mort de face. QZuestion épineuse s’il en est, et qui nous occupe +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++/+/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ depuis lo ngtmps. Et la réponse est : en dichotomisant, e,nn séparant, en coupant, en sectionnant icelle mort en deux, un jeu d’enfant ?

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4/02/2022

Le vrai nom de la mort . le vrainom de la mort. quel est le «vrai» nom de la mort. Quel est-il ? De quoi s’agit-il ? de quoi il s’agit ? Il semblerait que le «vrai» nom d’icelle soit un nom «connu» = répertorié. il semblerait que le «vrai « nom d’icelle soit le nom répertorié dans des annales spécifiquement créées à cet effet. Il semblerait en effet que le nom «propre» de la mort soit un nom connu, affiché parfois, reconnu, nommé dans des instances appropriées qui sont instances de conservation. LE «vrai» nom de la mort est un nom qui existe ici et là en tant que nom gravé, gravé à même la pierre : aurochs ? Aurochs de céans ? Bleu de Prusse ? aménite ? nous ne sommes pâs seuls à chercher icelui ici et là . nous sommes nombreux , et notre recherche de noms ou du nom est recherche tenue dans les temps, est recherche largement développée, menée aussi tambour battant une vie durant = la vie. Car (on le voit, on le sait) la vie = recherche du nom. Ou plutot : la vie dans le temps est recherche du Nom. Nous diso,ns la Vie car la vie est une gageure, est ce développpement pariétal de l’homme des cavernes : Aurochs ? peu^etre bien que oui. Il se pourrait bien que ce fût ainsi que cela est : rien n’est sîur mais enfin la chose est possibe, ç a se peut ou se pourrait. nous cherchons à plusieurs (quelques uns = peutêtre quelques millions) des choses ici ou là eb-n rapport avec un nom propre à trouver. Ce nom est porté de l’i,nntérieur par soi, comme une bete-mot qui en impose «grave» de par soi. JE vois la chose qui se dessine sur la paroi et je comprends les ramifications internes liant la chose à l’être, ici l’Aurochs à cette vie de soi qui va battante et frappe que tu frapperas au son des pipeaux. je crois comprendre, du moins je suis sur cette pente. Qui est qui en cette zone des abris ? qui me parle ? un animal de race/rage, qui veut savoir «pour moi», qui cgherche à sortir sa tête de moi, qui cherche à dire qui il est en fait de bête, quel est le nom qu’il porte, etc. Il est animzl de rage et il est animal de race, et à ce titre , à ce double titre, il mérite tout le respect dû à pareilles créatures saturnales. Je vois que des choses doucement (oh doucement !) se mettent en place incidemment et c’est parfait, c’est une bonne chose. Nous devons panser les plaies et aussi nous devons penser à notre bonne étoile qui veille sur nous, qui nous accompagne, y penser comme à une amie très chère, à l’amie qu’il nous fallait pour vivre en confiance, à cette amie qui nous insuffle le souffle divin, cette voix d’or, ce chant d’azur, et aussi en nous un peu de cette chose d’une rebéllion, d’une insurrection, d’un refus d’en découdre incidemment au premier tournant. Nous sommes êtres qui pleurons de compassion. Nous sommes êtres qui chantons et ^pleurons de compassion de temps à autres et sommes ainsi touchés par en soi (en nous) une flèche qui nous transperce et nous met à mal et cela est. Nous sommes êtres qui sommes par moments (toujours ?) touchés patr une flèche. NOus sommes tous touchés par une  flèche, nous sommes tous tout le temps touchés par une flèche. Nous sommes en continu (vivant) touché par une flèche, nous sommes touchés. Npous sommes meurtris, nous sommes touchés. Notre coeur est touché et transpercé par une flèche et cette flèche est flèche d’un dieu de la rage et de la race des (qui savent) qui touchent. JE vois la flèche, je vois cette flèche transperçant mon  coeur, je vois cette flèche me faisant saigner. Je suis un homme qui est touché par une flèche qui le fait saigner. Je suis cet homme touché par devers lui pzar une flèche (incidemment) qui le fait saigner «grave» c’est un fait. Et d’^où vient cette flèche ? qui pour l’avoir tirée ? qui est à l’origine ? quelle est l’origine ? est-elle animalière ? est-elle animale ? d’où vient-elle ? d’où vient cette flèche de vie en nous, de type cardiaque c’est dit , d’où ?EH bien on dira... de par là-bas, plus loin, bout de phrase (vérité) et ce là-bas en question (ce bout de phrase) est une somme. NOus pensons ensemble. Nous sommes toute une tribu. Nous avons une pensée commune, nous sommes clanés. Nous avons pour nous (notre vision des chgoses) une pensée commune, qui est que le mort, ici bas, n’est pas la mort, là bas. Nous pensons que cette mort dont on pzarle (nom commun) n’est pas cette mort qui semble (semblerait) devoir nous attendre sur le pied de guerre. La mort porte le nom que la vie (pour nouds) génère, c’est dit. La mort n’est pas n’importe quoi qui serait commun. LLa mort est une chose en relation avec la vie que nous avobs (dans le temps de son inscription murale) d»éveloppée tout du long, déroulé et mis à plat ou tout comme. Lza mort est chose précieuse en cela qu’elle est (ici) individualisée et à chaque fois différente dès lors. NOus voulons comprendre bien des choses , et ces choses nous regardent dans le blanc des yeux. Nous avons en nous cette chose d’un vouloir qui est vouloir avéré, vouloir ancré comme il se doit, vouloir qui cherche à se montrer , à jou-er des coudes, à faire du gringue, etc. Là, nous savons. Nous avons compris. La mort est individuelle mais aussi individualisée en cela qu’elle a à voir avec un déroulé de vie. La mort est une chose qui est de celles-là que nous devons comprendre de visu mais comment ? vas-y comprendre ou y comprendre quelque chodse de profond ? où est d’abord la profondeur en cette chose, et en toutes choses déjà ? qui a dit que «la profondeur n’existe pas « ? qui a dit cela ? un sqcientifique ? peuchère non pas ! Un savant fou ? il se pourrait ! une sommité ? à tous les coups ! un chanteur de charme ! allez ! qui d’autrte alors ? nous cherchons l’auteur de la parabole ! nous ne sommes pas arrivés à nos fins car l’auteur est caché et bien caché sous un amoncellement de tirades et autres paroles d’évangile, c’est sûr. Alors qui ? je voys le donne en mille : l’Autre, l’Enfant, cette personne brute, douce et compréhensive. Je me demande qui ça peut être. Qui est-ce ? il s’agit d’unêtre fin, plutot ra cé, qui a du chien, qui croit en des choses comlme tout le monde mais en plus d’y croire , lui, colmme d’autres d’ailleurs, les couche noir sur blanc et les propose (de fait) à la vindicte populaire. quel courage ! pas tant que ça car en vérité il balance : il jette son nom sur la paille, il est de ce genre, qui, une fois inscrits, jeyttent mots cul par dessus tête, il est de ce genre de personnes-là qui, ayant notifié et dit (évangile) jette tout cvul par desssus tête et s’en fiche comme d’une guigne. Voyez le style ! Alors que faire? croire. OUi on peut croire, on peut se soulager ainsi. on peut essayer du moins et tenter de s’y tenir. ON peut essayer de croire ici et là, en sa bonne étoile incidemment ou bien au paradis, ou bien à une entité porteuse, etc, mais commùent y croire ? en marchant ? en portant un nom ? en pleurant ? en vivant ? c’est à dire quoio , en vivant entièrement ? en étant vivant ? car la  croyance en quelque chose de fatal est la croyance en quelque chose d’écrit , est la croyance en quelque chose de ditt, est cette ctroyance en quleque choses d’important dans le fait de dire. c’est-à-dire de sérieux, de fort, d’important dans le sens centtral du terme. noussommes en vie, et de ce fait nous «parlons» pa riole d’évangile. et cette parole portée par nos vies numaines vient contrecarrer l’accès vers nous à cette mort cvommune qui cherche en continu à porter notre nom, ce nom dit «de famille». La famille a un sens précis. La famille est cette chose ouverte et vfermée à la fois (replioement sur soi) qui aide à la constitution du Verbe. Le Verbe est chose rude et rugueuse (à incorporer) qui est cette sorte de chose posée, ou déposée,, sous une forme ou une autre (ce peut être un bouclier) qui nous regarde, qui est là qui nous regarde avec ses yeux perçants, avec ses yeux insquyisiteurs? Nous voulons comprendre ce squi se passe en ces lieux de vie, et pour ce faire nous devons parler = dire la vérité =chanter = vivre une vie d’allant qyui colle au vErbe, voilà la gageure sus dite. Ouu susmentionnée dans du dire. car ici la mort est une chose et la vie une auttre, et les deux (bizarrement) s’entrelace dans du Verbe. On voit que les choses sont étranges ,; et ne se laissent pas appréhender aussi facilement qu’on s’y attendrait. La mort est liée à la vie dans une tresse. ou plutôt, la mort est liée à la vie et la vie à la mort comme dans une tresse formée par deux gfibres ou fils qui s’entremêlent pour former quoio, pour former «parole d’évangile» on, l’a compris. Les mots de ma tribu sonjt les mots d’une tribu pe nchée sur une idole qui a un nom. Nouds ne pouvons pas l’ignorer. Nous ne pouvons pas faire fi de cette chose. Les mots de ma rage ont à voir depuis longtemps avec les mots de ma tribu. JHe veux penser cela comme à une chance octroyé qui nous tombe dessus cfomme la misère en d’autres contrées, ou d’autres endroit de proximité ou pas, etc. Nous sommes des qui allons, ainsi, à la rechgerche d’une Véroité de base de type évangélique. On voit que les choses petit à petit se recentrent qui nous donnent un la musical de bon (de très bon ) augure. On va y voir clair dans pas longtemps. On est là pour ça. On ne demande que ça , d’y voir (si possible) le plus cklair possible. On veut cette chose, on veut cela, on veut comprendre, on veut prendre, on veut savoir. Il y a de ça. Or comment faire pour savoir ? comment faire pour comprendre ? comment faire pour percer le voile masquant kles choses les plus importantes de la vie et de la mort ? nous devons essayer ensemble de comprendre ce qui est mais pour cela comment s’y prendre ? comment réagir surtout , à pareille entité devant soi qui cherche à nous truquer etc, comment ? nous avons peut-être ici une réponse . Nous avons peut-être ici matière à nous tirer d’affaire . Voilà comment : en parlant . c’’est-à-dire : en ne s’arrêtant pas de parler . C’est-à-dire en parlant continuellement. il y a toujours «quelque chose à dire», oui, car le dire est là (de fait dans la vie) qui nous accompag,ne tout du long. Le dire est du sang. Le dire est un sang e,n nous qui ne cesse et fonce et va et file et fiche et court et meuble et colporte et sonne et cache et doute et rit et va loin et porte et sombre. il est celui-là que nous portons en  ous comme le nom de l’animal en nous qui est le nom en nous de cette bête de type évangile de saint-machin. On voit la chose. IL s’agiyt ici de comprendre un fait et de s’y tenir au mieux et le plus possible dzns la durée. Nous avons Chose en  nous (un nom à trouver) qui parle en nous (le sang) sa parole dite «d’évangile» selon Saint_-Machin ou dsaint-Chose, etc. cette paro:le en   ous est donc portée par une bete (effigie pariéto-frontale) et cette bête est en bnous comme un mot est dans la bouche du parleur de rue . nous sommes deux (bete en moi et moi) à comprendre cette chose. Nous sommes ici deux (en nous) à comprendre cette chose ici, et ce n’est pas rien. Nous sommes deux en soi à tenter une approche ici et ce n’est pas rie,n. Nous sommes deux qui ensemble essayons de comprendre au plus possible ce qui est en  ette chose d’une bete en soi animalière -donc et sauteuse : hop, de là à là, elle a sauté, elle est bete des sauts, va loin dans son élan, cherche que tu chercheras, etc. Une bête animalière est une bête qui «défend» son dire. au contraire d’une bête non animalière, qui elle se tient (le plus fréquemment) en-dessous de son dire , comme éteinte, on y reviendra. La bete est la bete rude en soi qyui cherche à trouer la Chose = ici la bouche , et sortir? il y a chose et chose. ou plutot  : il y a Chose et chose, etc. nous nous retrouvons pour mùieux comprendre les données du monde, ce qui est au monde qui exisqte et qui semble nous parler. nous voulons comprendre ensembke des choses et ces choses les reporter sur paroi, cvomme un homme du temps des cavernes, et dès lors tracer nos noms indélébilement si l’on peut dire. HJe suis un parmi x squi cherche. Je cherche à comprendre ce squi est. Je cherche à savoir ce squi en moi reflue, ce qui est en moi quyi surnage, etc? La profondeur des choses décentes ? peut-^être ! mais en vérité mon souci premier est de me plonger dans un dire fol qui puissee dire et former des dires d’importance. Il s’agit pour moi de cracher des dires cvomme d’autres crachent du venin ou bien, leur gourme ou encore la haine. Je suis un homme sain (je crois) qui cherche à toucher de ses doigts (peut-être) la bête en moi, etc (c’’st à dire les bêtes, car elles sont plusieurs : ça change, ou même elles sont plusieurs «en même temps», etc) . je vais loin dans la démesure rupestre tribale et pour cela je suis accompâgnzé on le voit : un animal me seconde. Il s’agit en moi d’une bête qui est bête de charge. Il s’agit de ce genre de bêtes qui toutes chargent dur et portent costaud. ces bêtes sont toutes massives. On les appelle »les bêtes de poids» car elles pèsent lourd dans la balance (poids public) et ne s’en laissent pas conter sur cette question. Notre ambition est de les nommer. Nous devons nommer ces bêtes = les dessiner = les faire et les montrer au mieux ressemblantes, car il en va de notre sainteté. Nous sommes des enfants qui tentons de creuser la terre et y loger des choses qui toutes nous concernent au premier chef : dires de peu mzais pas seulement, effets divers de type votif, etc. des choses de pacotille, des choses qui brillent, de l’»or en barre, des pierres précieuses, du chiendent, des herbes diverses, des choses de prix comme tissus, vetements, et zautres tentures. nous nous prosternons comme de coutume et nous pleurons.Les larmes ont à voir avec le présent posé en offrande et avec le présent des temps impartis. nous sommes à la recherche d’une dent en or, d’un dire de grâce, d’un cercle de pierre précieuses, de mots divins, de parole d’évangile. Nous voulons comprendre et donner. nous voulons comprendre et doser noss dires.Car nos dires pèsent (trop ?) dans la balance. Nos dires dsont dires de joie et de poids. Ils sont dires de peu et de joie mêlés. ils en imposent parfoios mais de temps à autre et encore. Ils ne sont pas à même de nous aider lorqsu’ils ne disent rien de plus que la faconde mais enfin nous les aimons, nous les regardons avec bienveillance, nous  croyons en eux, nous voulons les voir se loger de préférence en des loges idoines de type temps d’acceuil. notre but est ainsi ici de faire en sorte que la vie s’écoule le pluys simplement du monde et dise son dire de vie de base, son dire découlant de soi comme un corps saigne (menstrues ?) ou comme un corps évacue le trop-plein d’énergie vitale (selles ?).nous voulons savoir dans la p^rofondeur ce qui se trame autour de nous. Nous voulons co:mprendre les choses au son du pipeau. Le son du pipeau est le son qui nous interpelle le plus souvent à bon escient car il «dit» des choses qui sont capitales en de nombreux domaines. Il s’agit pour nous d’écouter ce son (qui est du dire) et dès lors de retranscrire, tout simplement, tout bonnement, ce dire natif. les choses sont dites carré, sdont dites clairement, sont carrées, etc. C’est-à-dire que les choses du monde fractal (du monde de derrière soi ou de derrière les fagots) sont ainsi qu’elles se montrent sous des jours divers (par exemple : aurochs) mais toujours accompagnées par un son de base (le son d’un pipêau) qui font d’elles des êtres lunaires, échevelées, vibrants, etc. Nous avons à comprendre encore des choses mais enfin nous avançons (pas à pas) sur un chemin de connaissance ou de ces connaisqances dites «de la bande» c’est-à-dire de la bande langagière d’accompagnement (pipeau). Les mots pour nous ont une raison d’être c’est sûr, et pas xseulement «tétière» on le voit. Les mots disent par devers eux, voilà les données. Les mots ont des choses à dire concernant la voie mais aussi concernant la mort, et pas seulemen,t la mort «pendant la vie» mais aussi la mort»pendant la mort» ou alors à quoi servent-ils ? les mots sont à nous qui avons à dire des chosesq. Les mots nous appartiennent en tant qu’ils sont pour nous des données de base cruciales, ou comment exprimer cette chose d’une profondeur des profondeurs dans l’adversité ? Car vooici que les mots bataillent, entrent en guerre, combatttent l’ennemi inscrit en eux-mêmes. Que sont les mots sinon des bêtes de combat ! que sont d’autre les mots que betes cde combat : d’azur et d’ancrage, quoi d’autre ? nous avvons à nous poser ainsi (par devers nous) ici ou là, et dire ce qui est. Les mots nous regardent. Les mots nous portent. Les mots nous disent des choses. Les mots nous aident. les mots nous accompagnzn,t une vie durant dans le sang comme des betes de labours qui tracent sillon sur terre meuble. notre sang ne fait qu’un tour : de la vie à la mort. c’est à dire de la naissance à la la mort. C’est à dire de la naissance effective (la venue au monde réel) au jour de la mort soit de l’xtinction. La naissance est la sortie d’un ventre, mais elle arrive après un temps de conception.La mort de la même façon est la sortie d’un anttre (ventre dieu ? ventre d’un dieu ?) et se poursuit par un temps de déception etc. nous pensons que les cghoses (cvomme toutes choses visibles (ou la plupart) sont de type syméétriques ! nous disons que la mort contient un temps qui correspônd au temps «ventral» de la conception. la mort est une enclave de type utérin , qui est cette outre de bonne foi et de bonne maison et des  certitudes. La Chose est svelte comme la parole. Un coeur assidu s’y révèle. Nous en tentons l’approche ici :même. NOus essayons ensemble cde comptrendre des données de bazse certaines sur lesquelles s’appuyer . notre dire est vif. Notre dire est un dire vif. Notre dire est ce dire vif qui est du dire fol qui est du dire échevélé on le sait?. Quand nous parlons les mots butent contre la misère d’un regard obtus, creux par endroits, etc, et c’est ainsi que nous nous retrouveons (ensemble) à verser des larmes : commisérationb. dévception on le sait. on connait la chose. o,n vezut croire en sa bonne étoile mais la chose est rude et demande à êtrez vue et explorée. notre but est logé à pareille enseigne . notre but est ckair, va dans un sens qui en fait le charme, ne se  cache pas ou n’est pas caché, se montre sous un jhour de clarté complète, ne va pas se planquer ou masquer son dire quelque part. Notre but est là : ici = dire. Je veux que le dire dise ! je veux que le dire en dise long de grâce ! je veux que le dire dise et redise ce qui est et vous l’enfonce (me l’enfonce) à jamais soit pour l’éternité. Les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ontils qielque chose à dire ? les mots ontils quelque chose à dire ? les lmots ont ils quelque cjose -à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelqzue chose à dire ? nous le peznsons . Nous espérons que oui. Nous pensons que oui. Nous le subodorons. nous aimerions que oui. nous aimerions beaicoup que oui mais rien n’est moins sûr. Nouys voulons savoir, comprendre, aller loin dans la mesure d’une démesure ou mieux : aller en mesure dans la démesure mais la démesures, quelle est-elle ? où est-elle ? que peut-elle nous apprendre si tant est que nous l’attei gnissions ? Je cherche. Je  veux penser. Mon souci est la pensée, la p ênsé»e à travers le verbe, le Verbe en musique = dans le temps de son déroulé, etc. la pensé&e magique est la pensée de bout de phrase = la vérité. la dite «vérité» sur les choses du monde = pzensée magique en cela qu’elle se loge (icelle vérité) au bout du bout de la phrase construite c’està dire temporellement située. car pour dire il faut du temps = le temps du dire. et le temps du dire implique la recherche d’un dire cde poids, qui pèse, qui a de l’impact commpe une bête. Nous avons à cerner choses et autres au mieux , et pour ce faire nous collectionnons les dires, nous accumulons les dires, nous mettons nos volontés à plat et pouss-ons dans un sens précis qui est celui d’un vouloir)-dire brusqué sinon brutal , qui cherche à cerner = coincer la bête d’un dire dit «vrai». notree but est affiché. nous espérons pouvoir trouver des chose, des choses diverses, des dires de pôids, du vrai qsui en jette (quioi ? des rayons de lune ?). notre envie est une envie complète en ce senns qu’il s’agit d’un corps (corpus) en entier. le corps du dire ici est plein de lui, d’un magma de  base (de ba ve ?) qui est lourd de conséquence rupestre on kl’a vu. Le magma de base (langagier animalier) cherche à faire apparaittre une dite «vérité de bon aloi» qui est Vérité des Vérités. La chose a ici une importance première, capitale, importante en  cela que ;:a chose est lourde, pesante, elle pèse son poids et ne s’en laisse pqas conter facielement. Car elle en veut ! elle cfonce (elle eswt fonceuse) , elle ne s’arrête pas en chemin. elle vibre de troute sa gourme animalière à même le temps d’un phr&asé colporté ici ou là sur une grève. je salue la grève ! il s’agit de voir en elle (la Chose de soi: l’âme des défuunts ?) une chose de poids comme une bete de paroi : le bison ? l’ours des cvavernes ? le mensonge et la vérité nee s’opposent plus, quand tout est langage. Il s’agit de cette chose d’un dire ici déployé comme dans une phrase une vérité. Nous sommes deux ensemble qui cherchons à dire des choses rudes. notre volonté s’exprime par la bande et ne souffre plus. La peine est allégée de fait, elle n’est plus que l’ombtre d’elle même. nous ne voulons pas peiner quiconque et blesser outre mesure, nous savons à quyoi nous en tenir. Nous voulons trouver des mots de rage dans la lande en nous promenant ou en chassant ou en courant après des chodses peu reocommandables ou autres. notre envie de bvivre est i ntacte puisque le coeur bat qui dit sa Chose animalière de concert et de base de vie. Nous nous saluons : à toi à moi. Nous sommes deux pour un e Entente, l’Amicale des amis du sang. nous voulons en savoir lourd et du coup, que faisons-nous ? nous nous abvançons de concert à même la roche (ou roc des dieux) et pleurons toutee notre peine déplacée ! nous pleurons ensemmble = main dans la main : la bêtye et moi. Nous ne voul:ons pas perdre le nord ni même l’habitude de nous retrouver ensemble à une même table. Noius voulons aller sur un chemin qui nbous conduise vers la vérité des véerité = celle-là qui nous regarde dans le blanc des yeux et nous donne le la à suivre dans notre périple. Qui est cette chose, ou que est cette chose, ou quoi est cette chose, ou qu’est cette chose ? Nous ne savons pas mais nous chertcbhons ! nous cherchons dans la profondeur d’une voix énoncée. nous cherchgons dans la profondeur d’un tracé de base. nous cherchons dans la foulée xd’un traçage frais, vite mené et consacré par l’usage, etc./ Nous sommes tous deux de la paretie fine qui nous voit nous remuer et chercher peut-être à enfanter du dire vif, cklair, outtré mais le bienvenu concernant le dire dit «de vérité « ou «de la vérité». nous ne sommes pas trop de deux pour ce faire. nous voulons «coiincider» et nous «coincidons» car noius sommes vifs, douybles, prêts à nous adjoindre, à nous emmelezr, à nous mêler comme de coutume, à nous inserrer l’un ;l’autre lm’un dans lk’autre. Le but est cklair. il est affiché aux portes du palais et chacun, chacune, peut en prendre connaissance. Il s’agit d’un dire de foi qui en dit l:ong. il s’agit d’un dire doux, qui parle de sa voix sucrée, etc , pour dire une chose de grande importance, comme quyoi la mort est une chose du temps de son vivant, mais tout autrte chose du temps de la mort ou de sa mort, ou du temps qui «nous voit» mort. la mort a  deux visages : l’un est cvelui-ci (nacré) que nous lui connaissons, l’autre ewst celuyi-là (lequel ?) dont nous ignorons tout sinon cette chose commùe quoi il est un temps après la mort qui correspond EXACTEMENT à celui précédant notre arrivée de fait dsur terre (le jour de l’accouchement de Mère). Nous savons à peine, nous subodorons, nous pensons, voilà ce qui est. la pensée en soi est la pensée qui mène au bout, est la pensée dite «de bout de phrase», ou «du bout de la phrase» ou « des bouts», etc. penser = comprtendre ici (du vivant) le fait que la mort eswt une sorte de prolongement en tous points symétriques au temps de la conception. il s’agit de cerner ici une chose comme quoi kla mort est égale à un temps (neuf mois ?) de déception. Et de quoi s’agit il ? du temps nécessaire à une sorte (sous terre ?) de décrépitude ! combien de temps un corps met-il à disparaitre en poussière ? il s’agit de cette chose ici d’un temps de déception qui est ce temps dee la vermine et de la putrification des parties charnelles . Notre but est adffiché : colère ! colère sur toute la ligne ! colère devant soi ! colère de base ! colère menaçante ! colère vive et basta : que les choses soient ! nous ne pouvons pas supporter l’idée, comme quoi nottre ^$etre sera dévoré (un jour) par le feu de l’enfer ou la vermine ou le chacal. Nous voulons comprendre cela. Nous avons à penser rude et nous pensons rude. Le temps est animal = dépot, et le Verbe est vif quii se déploie incidemment tout le long d’une vie allouée à une gouverne en partie tétière. la peine s’allège au fur et à mesure où nous sommes ensemble à entrer en âge de la destinée. c’est à dire ici cette chose, cet aval. Nous minimisons. Nous sommes qui peu à peu nous liquidifions. Nous sommes qui peu à) peu nous réduisons nous mêmes, etc. la peine est donc à cerner ainsi comme d’une sorte d’étant qui se désagrège au fil du temps. La peine = le tourment. Le tourment = le ciel d’azur. Le ciel = cette chose donnée en dépôt comme une bête encore chaude de son temps de vie. nous nous abritons, nous nous plaçons de telle sorte que la vie pour soi devienhe auttre, une autre vertu, une tout autre mise, autre valeur, auttre présen c e, etc. nous essayons de nous poster ensemble au devant cde nous pour comprendre, là, ici, à cet endroit tout près de soi qui est cet espace de mise directe, d’emplacement pour des présents à cdéposer conjointement en type d’offrandee. nous voulons comprendre ensemble ce dépot à faire fisza c’st à dire sans tarder car la mort rôde qui nous surveille d’un oeil en permanence et ne nous lache pâs d’une semelle. La mort est lza présenc e continue de l’histoire, c’est sîiur. La mort guette de son piédestal (sa hutte) et ne bnous lache pas de vue. nous voulons comprtendre, nous voulons cerner la mort ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. nous voulons comprendre entre nous la mort, ce qu’elle représente et ce qu’elle induit en termes de fi nalité langagière. nous voulons ensemble ici comprendre ce qui est, ce qui advient, ce qui arrive vif, ce qui se trame, ce qui se loge en cet espace devant soi qui est espace de proximité?; «Je pense donc je suis» est une chose rude à prononcer pour nous qui pensons-vivons de conserve. Nous nous diso,ns que nous sommes ensemble à devoir chercher des solutions qui sont solutions 1 de repli et 2 de réserve. le mmot prononcé est le mot donné, il est ainsi. Le mot prononcé à haute ou basse voix est le mot donné «par la bande animalière» à une entité de rage (la mort =déité) qui nous interpellke continument à traversz le mouvement pendulaire de kla vie et de la mort en nous (fibre de vie chargée, rageuse, colère, vive, allumée, etc) . nous ne voulons pas mourir c’est un fait, et ce fait a à voir avec la mort à l’oeuvtre en  nous, qui dicte sa loi menaçante, squi dicte ses lois, qui, nous cherche noise (la maladie et ses petits). alors comment faire pour trouver des choses qui nous en apprennent ? hummmm, difficile , dur dur. Avec des mots c’e’st dur. Avec le Verbe peut-être, oui. lke Verbe est aidant car le Verbe contient sa propre misè§re et en fait cas. le Verbe est Verbe d’un dieu de réserve (pacotille ?) qui dit loin et fort son envie de vivre une vie «entière» = vie-mort entrelacées. Voilà ce qu’il en est de cette chose ici appelée Verbe, ici VErbe, ailleurs autrement (Vivre, Vouivre, Vipère, etc .). Je et nous cherchons, je cherche ensembvle, nous cherchons seul, dans cettte sorte d’entrelacement des dires singulier-pluriel. Nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! Nous avons fort à faire (foultitude d’actions à mener de front). Je suis l’homme au chandail gris, qui marche dans la plaine. Il se promène nonchalamment. Il promène sa misère. il est tout ouïe et qu’entend -t-il au juste ici, en ce lieu des outrages et autres parades guerrières, qu’entend-il à par t lui ? il ente nd du bruit. Il entend le bruyit cde l’eau. Il entend cette chose d’un bruit qui semble lui donner des ailes. Je vais dans les airs m’envolant comme  l’oiseau du chant des rêves. je suis oiseau plein de grâce et changeant sous la lumière. Je veux comprendre, je veux aller loin, je veux dire, je veux ^pousser plus loin les recherches, je veux cerner serré, je veux comblker, je veux être un homme comblé soit rempli. Le souci ici est de dire ensemble. Il s’agit d’un dire de feu. Le feu est cette chose contenue en soi (inflamation de la chair vive) qui va de son allant de vie animale (ou animalière) jusqu’au bout dxu bout d’une cvie à vivre. Le feu est inflammation terrestree charnelle : sulpicienne. Je croise les doigts en espérant que les choses iront de soi et ne buteront pas méchamment contre la misére des temps de céans. je croiose les doigts et espère fort?. jhe prie que les choses viennent comme elles se doivent de le faire . je suis cet homme qui pousse loin et fort son envie et poursuit fissa à travers les landes son chemin des découvetes. Je veux savoir ce qui est qui parle à travers moi. je veux dire ici ce qui est pour moi et répond de moi?. je suis homme des battues. Je suis cet homme des recherches avérées. Je suis cet homme des recherches menées pour une juste cause. Je cherche en moi des raisons de croire en une étoile (cette étoile) qui saura me diire ce qui est et  ce qui n’est pas. cette étoile ai-je dit = l’2toile, celle-ci qui nous accompagne : suivez mon regard. Je suis homme qui chante-cherche son allant de vie dans lke sang et va loin dans des directions de vie votive, allons-y! Nous parlons pour ne rien dire dit-on mais cela est faux sur toutes la ligne , oui ! pourquoiu ? parce que kle dire vain ou dit «vain» est du dire Verbe, soit du dire plein de son dire, du dire rempli de dires, et ce dire rempli de dires, plein à ras bord, est ce dire de la joie à être (ni plus ni moins) et par conséquent exige le respecrt (de grâce ! ) car il en impose de par son allant, sa vitessee, son rendeme nt, l’accumulation, le recueil. je tombe ici car je suis frragile, je suis sous empridse. Je tombe ici car mobn corps chancelle vite. Il est corps émis./ IL est ce corps de la foi en l’être du dire de joie contenu en soi comme une bête?; J’avance donc je suis. J’avance dans le dire donc je suis, je suis celui-là qui vais là-bas loin en bout de phrase = tout au bout cdes choses à comprendre, incessameent. jhe ne suis pas chiche de quoi que ce soit. Je suis enclin à me placer ici pour comprtendre = en ce lieu monacal, prêtral  pour ainsi dire, ou prairial ? pour le dire autrement. JE pense donc je syuis cet homme qui tire le rideau. je suis homme des bois et des landesz, chevreuil de ma rage, animal monté à l’occasion, bison des prés à houpelande ou comment ou squoi d’autre ? une biche venue tout exprès des bouts du mondee pour nous parler ? un chien eznragé ? une douceur de biche racée qsui s’en vient vers nous nous parler en son langage de fée ? qui est-elle qui nous regarde ? je veux le savoir nom d’une pipe ! je ne partirai pas d’ici (logis) sans le savoir ! car il en va de mon salut, de la reconnaissance à moi offerte, ou de reconnaissance. il en va d-’une possible reconnaisszance à mon endroit, voilà. il en va pour moi d’une sorte de reconnaissance. il est pour moi ici chose d’un dire vif, qui est ce dire commpe quoi le nom de la biche importe beaucoup et pèse dans l’esvcarcelle. comment s’appelle-t)-elle ? quel est le petit nom de cette bête ? comme,nt se nomme-t-elle dans sa vie ? je suis cet homme re-ncontrant biche et cgherchant à connazittre son nom de pasdsahge. je veux comprendre la raison qui préside à pareille venue jusqu’à moi et ne partirai pas tant que la chose ne soit pas réellement poszée,; c’est à dire à plat. je veux que les choses soient dites et bien dites soit en toutes lettres. je veuxc cette chose d’un dsépot de soi dans le sang; qui sezrait dz»pôt de soi à même le temps du dépôt. Je creuse la terre. fautil creuser loin ? qui est icvi l’êztre du chant choral ? suis je cet être ? comment faire pour savoir ? qui a parlé de misère ? qui va me répondre ? puis-je entendre cette personne cde mon vivant ? que vais je devenir ? que suis je en vérité qui vais dans la roche m’immiscer ? que serais-je après ma mort ? qsue sezrais je apreès moi»»»» ? que vais-je ^etre «après moi» ? suis je sensible ? la mort m’intéresse t-elle tan,t que ça ? la mort en soi a t elle un intéret de roi ? squi est qui dans pareille demeure de choix ? je sais plein et c ependant quoi ? Je cherche à comprenxdre ce qui est danns ce qui se voit, mais ce qui se voit intéresse peu qui dit peu et dit fou. je ne suis pas à la recherche d’un dit fou pour un dit fou. Je suis à la recherche c’un dit fol ce qui n’’st pas la même chose on en conviendrea.  Le dit fol, face au dit fou, a cela de particulier qu’il n’est pas de rage, qu’il n’est pas ce dit fou «de rage». Le dit fol n’a pas la ra ge, il a la hargne mais pas la rage. Il porte en lui hargne et volonté, hargne et vivacité, hargne et ténacité, mais pas obligatoireme,nt la raghe . Ou SI ? Aussi ? ah oui ? Peut-être. Les mots sont coquins. les mots ont vite fait d’induire en erreur. Les mots parlent à tracvers nous et disent bien xdes choses qui ne manquent pas de nous tropmper et de nous échapper. Les mots font fureur. Les mots ensemble font fureur et chassent les betes de rage dure ou les autrezs bpêtes de rage moins dure; tout mot qui se respecte cherche une voie. tout mot cherche voie de base où se déposer pour une offrande. un mot est un dire qui file vitesse maximale, et cherche à comptendre le dû, ce qu’il est pour soi, ce qu’il, signifie, et la hauteur de son être en tant que tel, soit le montant de cette chose à être. Je chante. Il se peut  que ce chant soit ici ce dû dont il est question. Il se peut à) présent squ’icelui ait quelque chose à voir avec ce dire d’un dû dépôsé sur roche comme l’a nimal . l’animal enragé ou pas mais dessiné par x , homme des cavernes (ou femme des cavernes, c’est compris). je pè!se les termesq. je cherche une sorte en moi de gouvernance parallèle. je suis en moi (ici bas) à la recherche d’une gouvernance pa rallèle, à la recherche d’une sorte en soi de gouverne auttre que celle-là qui est , pour moi(tétière) celle qui me voit me vautrer souvent, sur roche et aillleurs, comme un chenapan trébuchant, or non ! Je ne suis pas  ce chenapan. je suis en tout bien tout honneur un êttre respectable au pire et vivant le pl;us au mieux.mon coeur bat,; misère ! entendez-le, qui dit sa cxhose coutumière d’un éla,n vital dans le sein des seins monacal. Suis je en vérité ? un être des temps déployé . incinéré ? pas encore, mais en moi au juste il y a ce feu diurne, cette inflammation brute et brutale, qui fait ou qui font cde moi  c et être de joie brusquée qui fonce fissa dans la masse . vivement que la cghose soit  et qu’on comprtenne ! vivement que soit icelle et qu’enfin on sache ! vivement que la chose ici advienne et qu’on puisse aller vers icelle sans dommages de quelque sorte qUE ce soit, car nous voulons vivre vif = vivant tout du long et même après le mort s’entzaend. pour nous qui sommes vivants, en vrai la mort «en soi» n’a pas de sens, car la mort est un lieu-dit ou tout comme, et de ce fait (tombeau des peaux) est à pensezrccomme  une chose qui est volatile comme un oiseau. je veux cerner l’oiseau mais va cerner l’oiseau. Je  veux cerner le chant, mais va cerner le cxghant, je veux cezrner le  coeur mais va cezrner le coeur. Je veux cerner la trinité mais va la cerner, ou va à (soulign»é) la  cerner ! . Car la trinité est une chose difficile à concevoir et donc àà cerner. car la trinité est  cette chose d’un devant de soi d’apparat et n»écessite une étude profonde (approfondie) et un szouci majeur, une sorte de souci majheur à bien comprendre ce que c’est qu’une cghose tri. Je veux comprtendre x chosesz mais la tribnité... je veux bien comprendre x choses mais la trinité... ce n’est pas donné. Je suis homme quyi veux aller loin et  cerner loin et m’investir à fond dans des recherches «qui le font» (c’est dit) mais en cvérité, la mort, en soi, n’est pas la queswtion. car la mort est du dit vain, est du dit qui la ramène mais cache son dû. Je suis celui-là qui cgherche loin des données profondes et s’en vante fort ou à tout va on le voit, et cependant voilà autre chgose, cette chose comme quyoi mon coeur b at sans «moi» pour ainsi dire, et de  ce fait  ce «moi» tant déposé, tant dit, tant prononcé, est une cxhose comme secondaire à un  état de fait ou de siège. le est le comme la est la, et le moi tout con, au bout du co:mpte, qui compte peu dans une allure ou un train générale (ou général). Je syuis homme qui, en lui lmême, contkient très certainement des données de base à mettre en lumière, ou sinon quyoi ? le Verbe divinn est ce Verbe en soi qui cherche à aller loin dans la connaissance du dicvin, qui est ce divin de la mort à l’oeuvre, car ici ce qui est qui compte est cette  chose, comme qyuoi le dire divin et le dire de la mort sont unis (comme main dans la main) en cette cxhose d’une sorte de fibre de foi. nous avons à penser c-ela. KLa foi = la peine ramenée à une sorte de fibre souterraine en soi. La foi est cette chose d’un ancrabge quasi magique. La foi est inhérente à la nature humaine et ne se discute pas car elle est la discussion pour ainsi dire à son sujet, elle eswt toout le dire en entier. elle est cette complexité du dire en entier = vie et mort mélées dans un dire fol (fou ?) qui dit sa Chose crûment comme dans la nuit des mots contrechastes. je pose mes conditions, je dépose un dire appuyé, je valide, c’est fait. je connais toute l’astuce car je suis pas né dhier et je vois de près (depuis un long moment à présent) ce qui se trame. je suis homme au cerceau, et au flutiau. je jhoue de la musique. Je jhoue de la musique des attraitsq. je file fissa vers un endroit où pouvoir jhouer la musique des attraits. je cherche pareil endroit par exemple dans les prés. Je cherche endroit où me poser et jouer de mon instrument de colère. qui m’écoute ou m’écoutera comprendra. Je m’avance à pas co:mptés, je chemine, je vais de l’avant? je suis celui-ci qui charge son devant de soi animalier comme une musette et v as-y qu’il chante sa romance doucereuse, cha rmeuse, d’homme qui induit des dires, colporte et cherche à entrainer après lui. mon corps est ce corps de base racé. je colporte des dires soit ici sur roche soit là bas dans la mort dit du verbe ancré. je ne suis pas en reste de colportezr que tu colporteras des dires de joie et c’est exactement  ce que je fais depuis le dé but : je colporte, j’entérine, j’avalises, j’adoube, je prends dans ma gourde, je pose la chose à sa place de choix qui est place xd’un devant de soi pariétal (homme je suis qui dessine l’aurochs et le bison des plaines).HJe  cherche au loin les données de base censées pouvoir guider ma gouverne. Ces données ont à voir zavec une fibre, une des fibres qui sort de ma bouche, de mon «trou percé» ou commênt le nomme-t-on ? Je vais et je viens à même la lande et voit ce qu’y s’y trame incidemme,nt. Le coeur de la bete en moi fait rage (tic-tac) à même le xsang déposé. Je fonce corps et âme. Le corps comme le temps au singulier comporte un s qui en fait l(attrait ou comment dire cette chose d’un plus de signification commune affiché. je tombe sur un os. je suis tombé. je vais dans la roche et ml’y loge un temps donné, le temps donné est don de soi mort. Je suis homme des parades, des cavalcades, des sorties diurnes. Je file vif vers une chose qui me regarde $longuement, posément, pertinemment, nonchalmamment de ses yeux clairs, de ses yeux profo nds. Je voiis cettye bvete , cettye bete qui me regfa rde, je vois cette bête. Elle me regarde longuement. Elle me connait? elle connait mon nom. Elle sait qui je suisq, elle sait parfaitement bien qui je suis et comment je m’appelle. Elle sait quelle personne je suis, ce qu’est mon être. elle sait ce que je suis. Elle sait ce que je suis en vérrité. la bete   me connait de fond en comble. La bête me connzait parfaitement = de fond en comble. la bête en moi xsait pertinement que je porte un nom et que ce nom est d’une importance capitale dans l’affaire (de la vie et de la mort) qui nous occupe présentzement. la vie est une chose, la mort une autre, le nom porté encore une autre qui semble chapeauter le tout. Je regarde au loin les données de rage. je suis homme qui au loin regarde les données de rage et se dépose , ici, sur pierre tombale, lui même, comme un être assoupi tombant de fatigue trouve sa litière ou sa coucxhe où il se trouve (trou de base). Je collecte. La main qui me pousse a des ramifications (nerveuses ?) dans kle sas des sas du monde adjacent et cela est à considérer cde cprès. La main des origines est btrès-liée (pour l’écrire ainsi) à la vie de base rugueuse du monde vécu. il faut voir cette cxhose ici comme quoi la Chose du temps est an,crée. La Chose du Temps a des ancrages dans le sas des sas de la réalité du monde vivant. Le =monde vivant est le monde des tourments et des peines de tout ordre  , et la vie cd’(avant comme la vie cd’après est ancrée, les deux sont ancrées. La viee d’avant dans le BVerbe des présents, la vie d’apres dans le verbe des avenants. Nous trouvons en passant des choses à noter et  ce sont choses de la ra     ge indyuite en son sein en propre. ces choses ont à voir avec la vie vécue. la vie vécue est une chose rosse on sait cela, à vivre de conserve, à ne pas méconnaittre, etc. une chose ici est de penswezr, une auttre chose est de passer du gtemps. Les deeux choses s’entremêlent bpour former ficelle, jeu d’enfant, caricature cde  cie vive tourmentée, colère intrinsèque. je suis l’homme fonceur donneur de  leçons, ou bien quel homme cherchant sa chaise . son lit ? son habit ? son toit ? qsui irait au loin trouver pitance, chargement et nom de base. je v eux être l’homme des paroles glissées (en lui) pâr la bande et qui se borne à relever les dires (les uns après les autrrees) comme ils vienneznt. Je suis homme et femme tourmentée dans une sorte d’enclave à être. Mon nom est Personne . Mon n,om est-il Personne ? je suis cet homme des passagves renouvelées comme fait la vague. Qui a cru que je m’arrrêterai en si bon (long) chemin ? qui croit en ma bonne étoi;e (sur moi, comme une lampe d’appoint) : qui est celui-ci ? Je vais devant moi et regarde de plus près les données de base déposées par qui de droit (= le cheval ? l’aurocxhs ?) et je me rapproche délicatementb pour humer. Le cxheval sent le cheval. L’aurochs sent l’aurochs. lkes deux sentent fort leur animalité en propre et les deux me parlent concomittatament. les deux me   disent de voir à penser la chose du temps comme à quelque chose de tourmenté et c’e’st ce que je fais depuis le début dont acte (on dira cela) . on dira cela (acte) comme quoi je suis et je ne syuis pazs. je suis l’animal en moi et ne suis pas moi en tant que tel. et aussi : je suis moi en tant que tel, Et ne suis pas cet animal en moi. Je suis, et je ne suis pas. Jke suis cet homme de la foi , et ne suis pas la b^ete de rage en moi. ou bien je suis pareille bete en moi de la rage à être, et bne suis pas ce moi de pacotille (bling bling et racoleur) que j’ai cru (un temps ?) être... ou pas ? car l’etre en moi va fissa et ne s’embarassee pas cde choses de trop , comme : museau, cornes, sabots, etc. JE cherche à être au plus près l’être. je regarde les devants et ne vais plus trop en arrière car j’ai à faire. Les données du mo nde m’incombent. ou disons que lkes données du monde sont à explorer par en moi cette bête cachée qui renâcle tant et plus que j’ouvre la bouche en grand et la voilà qui sort de moi et va fissa donner son dû et dire ce qu’elle a à dire  crûment = vif = sec = rapide = à volonté. Je suis sur un monticule, je suis monté, je suis assis ou debout mais fier. je regarde au loin le paysage offert par les alentours : landes à perte de cvue. Je vois dans kles prés aller et venirv grand nombre de :mes congénères. je suis dans la vallée l’être en surplomb (pas peu fier le monstre) squi mate que tu materas partou (droite et gauche) et vois ce qui advient de pareiile contrée habitée par des êtres. Je surplombve et décline mon identité. Je suiis M le Monstre, chenapan de ma colère dite, chenapan ou garnement de ma colère dite = prononcée à haute et ddistinguable voix. je m’appelle de ce nom de rage frappé $= Aurochs de la roche du coeur. Mon nom s’écrit de la sorte : Au Roc, ou bien Aurochs, selon votre degré d’excellence ou de compétence en matière d’otrthographe (les deux sont possibles) . je mate au loin, je renifle, je sens ce wqui est à mes na rines. Je suis cet homme au nez  fin. je veux être un homme qui comprends les choses dfans la profondeur des tracés. Je regarde les pârois du monde et tente incidemment de cdéchiffeerr ce qui est inscrit et semble avoir à nbous dire des choses sur la vérité des temps, des êtres du temps, de la vie et de la mort des temps reculés. Je suis en quyête d’une vérité de poids et de charge. Je ne veux en aucun cas tomber à la renverse or :me voilà qui à nouveau tombe à la renverse, que faire ? je suis l’homme des désirs (peut-être ?) rezfoulés et qui cherche et chercbhe encore à les amener sur un devant de soi (monacalk ?) qui les prenne en main et les prennent bien et les chouchouttent et les quoi de plus ? je regarde ce qui est de ce refoulé, posé debant soi comme un prsésent offert par la bande, et ce refoulé (anc-ien refoulé dès lors) est pris en charge diligemment par devant soi l’être de garde qui conçoit la chose comme à devoir être prise en compte = oui, chouchouttée un tant soit peu, c’est à dire (ausssi) un tant soit peu considérée. Car le refoulé de branche est un refoulé qui a à être cajolé un temps avant d’être replacé dans son propre environnement.. Nous devons veiller à comprendre ce qui est ici d’un refoulé déposé vdevant soi comme une charge. Il faut y veiller. Il est nécessaire de veiller sur lui et de ne pas le bousculer de trop, de veiller à lui, à ne pas le déplacer ou le bouger de trop. Il est bon de veiller à le poser docilement, doucement, et gentiement. nous devons veiller à déposer pareil refoulé avec les précauytions dx’usage nécessaire à un développement d’icelui sur roche (aurochs = au roc) en bonne et due forme car le refoul:é est un animal, il peut mordre, -il peut tenter decv s’échapper, il peut faire du mal, ilm peut ne pas voulopir jouer le jeu du je en l’occurrence et filer dru sa haine contre soi, contre celui-là que nous sommes en vrai en nousd-mêmes. nous posons le refoulé, lm’écarté à même la roche du temps. Le refoulé en tant que tel est tel l’écarté une chose de peu, plutot fragile, limite débile au sens médical du terme. v eillons ensemble à ne pas l’effrayer et veillons sur sa gouverne animalière. Il s’agit ici de comprendre cette chose comme quoi le refoulé ou l»’’écarté de soi est aniumalier, est une voix, est une voix animale, une voix déposée, est une voix qui est déposée comme un animal est cdeposé, c’est une voix, c’est la voix de l’animal en soi, c’est cette voix en soi d’une bête de poids. Le refoulé ou l’écarté de soi un temps, revient sous une forme qui est animalkle. verbe haut de l’animal de choix. le Verbe est haut qui singe l’animal de choix. le verbe en soi de l’animal de choix est là devant soi comme le dû qui est celui-là que nous avions à devoir (depuis longtemps) transmettre de visu. je suis l’homme qui transmet un dû qui est le dû de la rage à être? je suis redevenu. Je suis revenu transmettre. Je suis revenu redevenu transmettre. je suis revenu tantot pour transmettree icelui (dû dû) et déposer pareille charge sur une plaque, table, devanture, où meettre son nom adjacent , où mettre avec (le dû de la charge) le nom adjacent à une vie sur terre en tant que vivant la chose réelle. Je suis homme des bois, chevreuil, bison,; bete sur terre, quatre pattes pour un fond de course, une bete des avants et des arrières,; qui va et qui vient ramener son groin, ses cornes princières, son sabot de traine, sa crinière ou sees ergots, bete des rêves ancrées dans la chair de la chair fraiche, bete outragée, bête des bois jolis pour de douces promenades et des parcours-santé de premièere. La bete est en moi comme une bete des bois de la rage à)à être. Je suis je le fils des rois. Je commande à pareille fête, je suis roi moi même dans un cercle. je tombe à la renverse.

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3/02/2022

Je suis homme des bois, je cherche que tu chercheras. Je cherche dans les bois une sorte de quoi ? de chose en soi. Je suis homme des bois qui va cherchant au coeur de la forêt la vérité des vérités. je suis cerné, des bêtes me matent. je suis un homme maté. Je suis cet homme des bois maté qui cherche que tu chercheras un semblant de vérité. je m’avance nonchalamment. Je vais loin en pareille contrée. je suis homme-cerf , homme-bête aux allures fières, homme de la lande et des forêts. je vais et je viens en pareille contrée à la recherche de la vérité sur les choses du monde. Je suis parmi les miens. je suis homme au milieu des miens et je cararacole, je file fissa parmi toutes ces bêtes de bon poids qui sont mes soeurs de sang et qui me regardent. Je suishomme-bete qui s’avance et meugle et beugle parmi x bêtes autour dee moi, qui sont soeurs de colère et aussi d’effrooi. je suis cet homme au sang chaud, qui file fissa au milieu du troupeau et caracole et fonce et tourneboule et y va de son allant rustre, meuglant et beuglant d’aventure. Je regarde autour de moi et que vois-je ? des betes rustres et rosses, soeur de paroi, des amies fidèles, des betes de dieu, des amis de tous les jours, des betes qui foncent fissa à même la pierre . qui je suis pour être parmi ellles sinon comme elles ! je suis cet homme aux allures fières = fières comme tout = (une sorte de) malotru de lza bande, chenapan, sacripant, coquin du sort sur ma figure d’homme-bête de céans. Je veux comprendre dans les profondeurs et pour cela je me dois de fouiller fissa la langue ou ce patois de base qui me constitue de grâce. je suis à fouiller ainsi une langue, langue d’aboiement, de japissement, de glougloutement et autres cris de bêtes. Je suis homme-bête du sérail et je vais sur roche ainsi, comme une effigie : je regarde, j’observe, j’ai les yeux tout écarquillés, je n’en loupe pas une, je suis ce voyeur docile, cet entre deux, cet homme entre deux feux , entree deux betes de poids, entre deux parois, entre deux volontés de choix à faire,, etc. Je suis cet homme entre deux volontés et je vois devant moi la chose des bois qui semble vouloir me parler, elle me regarde, elle est dressées, elle est devant moi comme aux aguets et cherche à me parler . Il s’agit d’une «belle bête» comme il est dit. Je suis son valet de roche, elle est là pour me parler, elle cherche l’instant, elle me regarde. il s’agit d’une bête de poids, d’une bête lourde, d’une bête comme il en existe sur les parois, il s’agit d’un cerf de  céa,ns, hautain, royal ou princier, au port altier, au port digne, au port majestueux. Il s’agit d’une «belle bête» du sérail, cerf de la plaine et des sou-bois. -IL s’agit d’un cerf de prestige, et je vais à ses devants pour toucher sa pelisse . Qui est-il pour moi ? un père digne ? colère ? homme des parois du monde ? qui est il devant moi pour me regarder comme il le fait incide mment.. Estil dans une colère sombre ? est il heureux du sort jeté à sa race brune ? estil de ceux qui rêvent à jamais d’un meilleur sort pour une vie sur terre ? qui est il qui me mate de près et semble vouloir me parler par la bande . Il est grand voire géant et en impose grandement (méchamment ?). Je regarde ses bois, son port, son allure. Il est pour moi ce cerf de la base et du sommet des choses de la vie. Il en impose cvomme jamais. Son allure est magique ou tout comme. Il est vif et droit dans ses sabots, ou sur ses sabots qui tintent sur la pierre dure des rochers. Il est le cerf-homme des attraits. Il est comme un seigneur de race. Ou de rage aussi bien : seigneur de sa rage folle, aux aguets, me matant comme jamais et cherchant en moi l’interlocuteur de choix (qui sait ?). Je m’approche d’icelui quyi ne recule pas . Qui est il au juste ? réincarnation de qUel être antérieur à lui ? peut-être est il homme des bois comme moi et cherche t il ma compagnie pour cela, comme un qui trouverait enn quelqu’un d’autre un frère de sang, un frère des temps passés, un qui fut pour lui à son image ou bien lui était à mon image un temps passé, qui sait ! car je suis pour lui l’eêtre du sang  abordé, qui va vers lui vitesse grand v à la revoyure ou quelque chose d’approchant. Je veux comprendre chez lui ce qui est qui bout. De quel sang se chaudffe t il ? de quel bois va til fissa ? de quels muscles est il constitué au deumeurant ? Je cherche à savoir. Je tant voudrais ici savoir sur pareille bete des bois et des forêts . Qui saura me dire toute la vérité rien que la vérité ? qui pourrame donner les choses à savoir ? qui est pour moi la bienveillance même ? qui est là pour moi ? et qui n’est pas là pour moi ? Qui est là pour moi, qui cherche à me dire des choses, à me parler à voix posée, à s’approcher de moi par la bande, à me comprendre et à m’écouter volontairement : qui ? ici je ne sais. Je cherche assidument et assurément. Je veux ou je voudrais comprendre et savoir. Je suis parmi ceux qui cherchent un savoir, un savoir profond. Je suis parmi ceux et celles qui ensemble (de concert) cherchent à comprendre ici bas les tenants et les aboutissants des choses du monde. Quoi est il ? que est le monde en vérité ? est)il lisible « = compréhensible = dicible ou rien du tout  ? la science est là pour dire sa chose et faire entendre le son de sa cloche. ici je suis parmi mes congénères (aurochsrassemblés) et je vois la chose d’un certain eeil qui veut ou voudrait y voir de visu dans la profondeur, c’est un fait. Je veux = je voudrais : comprendre, c’est à dire prendre à pleines mains et m’en pourlécher les babines à satiété et de contentemen,t . je suis homme des bois à la recherche d’iune vérité «profonde», et voilà dès lors la chose que je veux compre ndre, qui à moi est à comprendre ou comment dire : qui se doit pour moi d’être comprise . nous tournons autour (musicalement parlant) de la vérité des choses, car nous sommes musicaux de base. En nous gravite le chant des oiseaux, des biches, des serpents, des betes diverses. Nous disons chantons permanemment = nous tournons la terre glaise, nous tournons comme des affamés de première, nouschantons-tournons comme affamés du bois joli, qui cherchent incidemment, continuellement, en virevoltant de base, à comprendre et attrapper , qui une sentence, qui un phrasé de vérité.Je suiiis homme des prés à la recherche de la vérité des choses adjacentes à un corps de chair et de sang (le mien en l’occurrence) et je vais et je viens (je virevolte) comme un animal des roches, ici et là au même instant quasiment tant mon allure est vive, ma parole dru, mon port princier, la vitesse acquise avec la marche droite et debout comme un ours en furie, comme un yéti, comme un singe du paradis etc. Je suis cet homme-là qui caracole de fait car en lui le feu règne qui le pousse à dire, un virevolt de première = temporel = fatal = fatalement temporel = vif comme l’éclair. je veux dès lors (tournant que tu tourneras) toucher à cette chose de la vérité fuyante dans les entrechats et les entrelacs, essayer d’y voir un petit quelque chose de vital, de sûr de chez sûr mais rien n’est moins sqûr ! Car quoi ? car je suis celui qui dans le temps développe son phrasé de base sanguine, il est là pour ça. Je suis l’homme-chien, ou bien l’homme-cheval, ou bien l’homme- buffle, ou bien l’homme-bison, ou bien l’homme-aureochs des bois et des plaines. Je cherche à qui mieuxmieux à me rea pprocher d’une base fiable, pleine, compacte, certaine, assurée, dure de chez dure dans la langue que je porte en moi indécrottable et qui constitue le fond de mes pensées. Je veux savoir vite et bien ce qui est ici, en cette zone aux bêtes de poids, qui y a til à voir de si important ? je veux comprendre dur et pouvoir retranscrire fissa toutes les donnhées récoltées par la bande par :moi?. Je suis homme des recherches pleines, des recherches menées à vif tambour battant. je suis hommes des recherches menées à l’emporte-pièce ou autrement mais toujours dans la joie de me pencher fissa sur pareil sujet de contrebande. Je colle à la chose. j’essaie bon an mal an de comprendre. hj’essaie de me rapprocher d’une ou d’une autre de ces vérités qui comptent, ce qu’elles sont pour moi, ce qu’elles sont pour moi m’intéresse, ce qu’elles recèlent est du pain béni. je veux creuser dans la roche du temps = dans les profondeurs des choses de la vie et toucher (à ma façon) la chose vraie qui semble être une chose rude mais avérée. Je ne veucx pas laisser tomber de sitôt , car mon but est toujours (ou encore et toujours) de toucher à vif le coeur d’icelle vérité musicale. Ou sino n musicale quoi ? car il se peut ici que la chose à dfevoir comprendre (via le temps et donc la musique) soit chose «sans musique» justementt ! soit bloquée ! ou comment ? bloc de vérité sans temporalité ! autre mesure ! et nous de tournebouler que tu tournebouleras comme un musicien de campagne , au flutiau du bois joli, chantant par moments sa romance, oh le gueux ! Je tourne autour d’une chose rude = compacte : de l’autre côté»»», qui me regarde ou me regarderait comme le fait l’animal meuglant, mâchant son herbe, ou tapant du pied. Je suis cet homme tournant autour, comme un forcené de sa race belle, il cherche à comprendre au mieux les données du temps, il cherche vif à mieucx cerner les tenants et les aboutissants des choses du monde. QSui estil pour essayer pareille chose ? SQue veut-il nous dire ? que veut l’homme des bois ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui et quoi suis je en vérité ? le temps est un déroulé pariétal (et paroissial) qui en impose musicalement et dit sa cghose rude , qui est : cette chose ici, comme quyoi la vie = un déroulé, mais la vérité est une et hors du temps ! je tente l’approche : un aurochs ! oui pourquoi pas ou alors quoi d’autre ? je chezrche continuement à comprendre lkes données de base et cela qui serait pour nous comme de l’ordre de lka vérité des choses du monde = hors la musique des profondeurs ? hors ou en dehors d’un temps déroulé comme une fibre ? hors d’un éventuel déroulé fibreux pariétal ? hors la paroi et ses émoluments ? que sais -je ? je cherche à comprendre à ma façon peutêtre malvenue, voire mal menée et cependant je cherche, je ne cesse de chercher à même le temps, à percer la roche = traverser , et mieux y voir de près , ou à mieux cvomptrendre de près ce qsui est et ce qui semble ne pas être. Je suis cet homme-animal chargeant la roche. je suis cet hommefou ou fol, qui fonce fissa tout devant pour une approche des choses du monde, dans la vérité de leurs évolutions et autres circonvolutions. qui pourra m’aider à comprendre ? qsui pourra me dire ce qui est en vérité ? la mort est elle au bout du bout du monde ou seulement «à moiti-é» ou comment ? La mort est elle une entité personnifiée ou rien du tout ? quoi nous attend de plus ? les mots ont ils raison d’être ? très certainement ! Les mots ontils raison d’être pour nous, hommes des contrées humides, vivables, etc? très certainement ! Les mots ont ils raison d’être, pour les hommes des parois et autres roches et rochers rupestres ? assurément ! car le mot est là qui bloque écoutilles ! il est là pour ça ! il ne s’en laisse pas conter(à savoir : par la mort à l ‘euvre) c’est un fait ! Les mots sont cette cghose en contre-bloc, qui sert à ça, à contrecarrer l’adversaire, cette chose rude des devannts à soi, ce monument de lka mer morte, cette charge contree soi qui plombe etc. je veux dire ce qui est?. Je tourne autour, dans ma farandol;e. que faire d’autre en vérité quyi puisse nous aller ? nous sommes ainsi motivés, nous nous motivons de même, nous nous motivons par là même ou nous nous motivons de biais ensembkle ou comment nous motivons -nous ?Nous sommes tous et toutes, toutes et tous, de la partie fine. Nous sommes toutes et tous, tous et toutes , de la partie fine. Nous sommes ensemble pour une partie. nous sommes aimant, nous sommes qui aimons aimer. Nous voulons nous rapprocher d’une vérité de base, vérité des vérités de base. Nous zavons pour nbous cette chose en nous d’un vouloir qui est vouloir d’approche, d’approche de la v érité des choses du monde ! NoUs voulons savoir ce qui se trame au sein du monde et pour ce faire rien de mieux en vérité qyue de crever l’abcès, et musicalement de préférence, munis de sa clé, etc. Nous savons, nous comprtenons, nous savons que la chose est rude. Nous savons que telle ou telle chose est rude et dure à piger à la dérobée. comment s’y prendre pour bien aller, ce n’est pas facile de trouver !dès lors que faire ? où aller ? en quel lieu nporter ses guetres , ses mitaines ? Nous cherchons assidument à plusieurs c’est à dire tous et toutes et toutes et tous autant que nous sommes. Nous voulons comprendre loin, et aller loin dans les profondeurs des données existentielkles. Qui va pouvoir dire à nous la vérité vraie des choses du monde = ce que c’est que la mort en vrai etc. Je suis l’homme cherchant pitance. je veux savoir. Je veux qu’on me dise. Je veux apprendre des chose, je veux en apprendre, je veux aussi en avancer. Je suis homme ici qui cherche à comprendre et à savoir les choses du monde : ce qu’elles sont pour moi, pour tout un chacun quui va dans la vie à la recherche de données fiables et sur quoi pouvoir compter sans plus de trouble. je regarde près de moi. Je suis là près de la bete à presque latoucher. Je suis à ses côtés, elle est vive = vivante. Je suis près d’elle comme jamais je n’ai été : qui est-elle pour moi ? que dit-elle ? que dit la bête pour un être comme moi parmi d’autres bêtes de poids ? qsue veut-elle dire en vrai ? sait)-elle parler ? squi est lza bêtye pour moi ? qui est cetyte bpête en particulier ? qui est cette bête pour moi en particulier ? qui pour moi est cette bête en particulier ? qui est en particulier cette bete des bois pour moi qui suis à ses côtés ? qui est pareille bête debout devant moi à me regarder ? qui est pareille bête devant moi qui chercjhe ou chercherait àà me parler ? sui-je un homme pour elle ? suis-je l’enfant ? suis je dieu vivant comme une gageure ? un monstre de céans, roi -reine ? 

qui je suis ici pour pareille bête des temps refoulés ? Je veux comprendre le refoulement ce qsu’il est pour moi, et aussi ce qu’il,  représente en termes de données de base lié à une véerité ancré&e. Qui je suis que je ne suis pas en définitive. Car qui dit «je» dit «me» dit «meuh» dit la vache et consoeurs, c’est sûr ! et pour quoi cela ? Parce que je suis vache et veau (taureau ? boeuf charolais ?) : quoi suis je au fond de mes entrailles (ventredieu) ? suis-je un être des przairies de la prairie ? suis je hommechenapan chargeant sur paroi à la recherche d’une effigie de contre-abord ? qui je veux être aussi ? qui je suis que je veux être ? qui ici je suis que je veux être ? qui ici suis je que je voudrais être au juste et longtemps, c’est à dire jusdqu’à temps que c’en soit fini (de comprendre et de savoir) : qui ? JKe suis homme de la foi en cette chose appelée du doux nom de «mort en branche», etc. Mon coeur est coeur de jar. Il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de porc, il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de mulet, de porcin, de verrat, de bête à groin , il s’en faut de peu. Je cherche une parmi d’autres vérités de poids, qui puisse en démontrer, en dire long, se positionner, montrer sa chose pconvenablement. Je suis homme au groin, bete-bisque, chargeant sa mule princière à tout va. qui suis je ? l’être fol ! qui je suis ? je suis lk’homme au corps dép^loyé dans un temps donné par qui on ne sait . Je veux aller loin en pareille roche du temps et toucher la v»érité comme un corps plaisant devant soi à caresser et à aimer pour ce qu’il est. je cherche une donnée franche. Je suis qui va de l’avant, cherchant tout azimuth les choses avérées sur lesquelles pouvoir s’appuyer. je suis homme au sang bouillant, qui fonce, va vif, touche, creuse, commence ici et continue là, va droit devant et comprends les choses crûment lorsqu’elles se manifestent lentement. je suis cet homme aux recherches assidues, cherchant ici et là où poser ses guetres et autres attributs de roche. Qui sera pour moi la personne idoine ? que vais-je comprendre à tout ce tralala(à tout ce charabia ?) des choses du monde ? qui me nargue ? où sont mes bottes ? qui a rangé mes culottes ? etc ! je suis là qui cherche ! et ce que je cherche  ou recherche a une importyance à mes yeux considérable il s»en va de peu ! je suis homme des apprets et des décharges, qui (dans le sang) comprend des choses. A savoir : comme quoi la mort est au rendez-vous bien e,n place pour nous. La mort est au rendez-vous fixé et nous attend de pied ferme et la bouche poouverte. La mort est là qui nous attend de pied ferme, la bouche oueverte, au rendez-vous fixé préalablemùent par qui de quoi que sais-je ! Il est ainsi que oui la mort est là au rendez-vous fixé par quyi de quoi que sais-je et nous y atte nd de pied ferme et bien attablée. Je suis homme qui(d’un bond d’un seul, voire de deux) va au rendez-vous fixé par la mort. la mort fixe un rendez-vous et nous regarde ici ou là, chargeant, donnant pitance, relevant sa jupe grège, montrant ses attraits?. Je ne suis pas cet homme-bête là qui cherche à toucher à) tout va ! je file phil comme celui-là qui craint l’eau froide des rus de campagne. qui me verra ? qui saura me voir ? qui va savoir dire à moi la vérité nonchalante 

? Je voudrais en avancer le plus ppossible et crever l’abcès. Je voudrais percer et fortune et la chance, et le mal , et la cloque des parois dures et passer. Qui peut m’aider ? qsui est là ? qyi parle ? qui parle avec mpoi ? Car je sais qu’avec moi quelqu’un parle pour moi ! qui parle pour mpoi et me dit des choses de poids ? qui parle pour moi quand je parle ? le phrasé ? la langue ? le patois ? la phrase elle-même ? le temps ? le temps musical ? la musique princièere ? une chevauchée ? une dulcinée ? une promise ? une promesse ? un chant de la plus haute branche ? une brancjhe ? un écureuil ? un chien ? une betye rosse ? un  cerceuil ? un tiens vaut mieux que deux ? etc! car ici la chose est certaine comme quoi en moi (me) parle x, ou y peut-être et pas qu’un peu ! Qui dit quoi en moi ? qui me voit et prend parole ? quyi de moi est la chose assise, ou comment ? en moi ou sur moi, assise ou pas, qui est là ? je cherche une raison parmi toutes celles qui (dès lors) me sont comme propposées par la bande allègre du temps. Je ne suis pas au bout de mes peines. Je sais pertinnement qsue la chose est rude , que lke mal est profond, que la vérité est incertaine, les blés sont coupés. Je sais ce qui est de front. Je sais que  ce qui est est de front obligatoirement. Je sais pertinement que ce qui est est véritablement positionné comme chose de fond à creuser, à explorer par la bande, si possible par la bande. cette chose est sue de moi qui chercxhe vaillamment et ne s’enn laissees pas (jhamais) conter plus que ça. Je touche au but , je ne suis pas loin de l’arrivée. je me rapproche posément. Je suis à deux pas cxd’y arriver. Je ne suis pas loin d’arriver à bon port et cela parce que je suis là qui creuse tout du lmong comme mon  nom l(‘indique et comme il se doit en pareil  c as. je suis home qui cherche fissa à tracverszla lande une chose de poids qui puiissee en imposer et pas qu’un peu devant l’auditoire, à savoir devant icelle mort de bonne compagnie dit-on. ou pas de bonne compagnie c’e’st idem. C’est chose pzareille. Il s’agit de soi. Il s’agit ici de voir à comprendre pourquoi ici la mort, etc. La mort ici est chose pareille = idem = la même = la chgose en tous points ressemblante à une «bonne compagnie» pour soi, en soi ou avec soi. Je cherche et tourne que tu tournezras, on le voit. Je suis celui-là qui cherche ici à comprendre une chose et l(auttre concomitament, et pour cela : une écriture-manifeste, dure d’oreille, colère, fissa-vite déroulée comme une temporalité princière, tapis sur lke quai, etc. Je tate des chosescrument et cherche à déployer toute ma mis!ère. je suis homme des temps reculés. JHe fonce à la dératé comme un qui serait lancé par une main assermentée et assurée et sûure d’elle, de son trait, de son élan, de sa justesse, de son savoir, de ses compétences, de son bon vouloir, etc. La main qui m’a lancé en premier est ceklle-ci : main de base. La première main est la main d’un temps révolu. La main première (primaire) est la main du sang (aussi étrange que ça puisse paraitre il se fait). Je comprends les choses depuis là = cet endroit de ma misè§re déployée. Jez suis là à comprendre cette chose cd’une main portant l’êttre, l’être de départ, comme étant celui qui est né d’une volonté. La main prime. Au début il y a la main. la première cghose = la main ; Mais qu’en est-il en véritéé de cette main ? que dit la main ou quoi est-elle dès les origines ? que est la main dont nous parlons comme chose des origines = point de base et des départs multiples et concomitants: qu’est-elle au juste dans la vérité ? eh bien, la main, vcette main dont nous parlons, cettemain dont hje parle ici, cette main des origines, cette main originelle, cette main première et primaire, etc, cette main n’était pas une main à proprement parler, ni même un bras, ni m^me deux bras, ni même un membre,;, ni même deux membres, ni même de la chair humaine, ni même de la corne ou de la peau ou de la défense, ou de la crinière, etc, cette main était Volonté Divine , Volonté de Rage, Volonté Naerquoise, Volonté Affichée, était Volonté d’un être de Rage, Volonté d’un eêtre de parole crue, de parole drue, de parole forte comme un alccol de même ordre, etc. La main dont nous parlons est la main qui préside, est la volonté première, ce «je veux» tant énoncé, ce vouloir de bonne parole et «d’a gréable compagnie» si tant est. la main ici est chose de base, dure et rude, peut-etre rugueuse. Elle pousse à être un temps. Elle débloque les compteurs du temps. Elle lance le mouvement?. car il va de soi qu’un mouvement a autrefois été lancé par on ne sait qui ou quoi en vérité mais c’est un fait. il est évident que ce fait est capital. Ce fait est très important pour le genre humain. Les choses sont dites ici en toutes lettres. Il n’y a pas à tergiverser ou à faire la moue ou la tête ou à se montrer commme dubitatif outre mesure car lka chose est vraie, la chose est certaine : les mots le disent ! Les mots disent cette chose de «la mort à l’oeuvre», de la mort commandant le petit peuple des hommes des Temps. Je cherche que tru chercheras, je cherche assidument;, je cherche à comprendre. il se fait ici que c’est un fait avéré cvomme quyoi la mort est cette chose qui cfommande de base, trie, commence, débloque les compteurs du temps et tout de suite (dans la foulée) s’en repend et nous le fait payer monnaie trébuchante et clinquante. La mort brille de tous ses feux. elle n’est pas de la gnognotte : elle est vive et brûlante-brillante. Il faut dire ici cette chose concernant la mort. Il fauut dire ici cette chose, comme quoi la mort est la motrt de dieu, la mort ici décrite est celle concernant un dieu vivant, une déité contenue dans les faits, une sorte de déité que les faits en soi contiendraient et conserveraient pour eux et en eux jalousement et bien contre eux comme enfants de rage. je sais cette chose, comme quoi la mort est morte à la base. Elle s’en veut d’avoir perdue (via nous) beaucoup. elle est morte pour la mort, mais pas morte pour la vie, voilà ce qui est au juste. La mort a changé de camp. la mort à la naissance (à nottre naissance) a changé de camp. La mort est une chose qui à la naissance nôttre, etc, et pourquoi cela ? Parce que voilà : la mort est double ! La mort nous mate doublement. La mort accouche  dee nous et dans un :même temps nous cherche des noises c’est étrange ! Il se fait ici que pour nous qui sommes cdeux nous devons comprendre (l’animal et moi) le pourquoi du comment la mort en est arrivéev là à nous adreesser la parole, une parole de dieu, ou du feu de dieu. Car  c’est ainqsi que sont les choses. Les mots en bouche appa retiennent à une déité-divinité pascale, il s’agit de le comprendre. Les mots de ma bouche perlent. Ils sont mots de rage tenue = contenue = maitrisée comme la bête conduite à la mort. Je cherche une parade langagière et vais-je la trouver, et si oui ou ça ? je cgherche à comprendre les données de base ici présentes, ce présent déposé à même la table d’offrande d’une vie entière à éprouver. qui me dira  ce qu’il en est en vérité de pareille gageure ? QSui sait ce qui est ? qui comprend les choses dans la profondeur ? je cherche à percer le mystère de la profondeur mais où est elle ? il y a le déployé du temps comme un tapis de charretier, il y a ce temps des choses déroulées, mais la profondeur ? ce qui n’’st pas vu va l’être, de fait ! puisque la vie de base eswt déroulé de bawse ! alors la profondeur ? ou donc est la profondeur ? qui connait l’endroit des profondeurs ? non point des profondeurs de la rage et du temps mais celles des choses cruciales , qui ? je suis à la recherche d’une vérité ancrée. Je suis à la recherche d(une vérité des profondeurs mais en vérité je n’y croois guère, ou disons que je me dis que de la profondeur en vérité je n’en verrais pas la couleur, ou plutot que de la vérité de mon vivant je n’en verrai pas la couleur, parce que la vérité n’est pas de ce monde c’est un fait avéré. La vérité n’est pas de cemonde, ou disons la verité dews»petits faits» oui, qui peuvent s’explkiquer, a + b, mais la vérité concernant la mort (par exemple la mort) soit «les grands faits» de société, eh bien vas-y à comprendre et savoir! va donc hé du petit malin ! va à comprendre long, va à savoir large, c’est dur et malcommode, c’est pas dit et pas facile, c’est un truc et l’autre, etc.! je sais (pertinement) pareille chose et en parle là ! jesais bien que les choses de la vie et xe la mort ne sont pas simples à aborder avec les mopts de la tribu c’est-à-dire avec les mots de la rage, je le sais ! Je sais parfaitement que ces choses-là sont coton à appréhender avec justesse et avec toute la justice requise. Je comprends très bien cette chose commpe quoi les mots glissent sur les choses comme des canetons sur un lac de base?. je comprtends. Je ne suis pas fou. Je ne manque pas d’air. je suis lm’homme non assoupi. Je cherche avec des mots comme les copains / coppines. je ne suis pas vraiment à part. j’appartiens à une clique. mon nom est nom de peu. à lm’envers il se lit Loopings. on peut croire en moi on peut ne pas y crooire./ On dit des choses sur moi, on dit des chosesc à part moi, ondira des choses, il s’en dira ou ne s’en dira pas

. Moi = dires. Je conçois. il va sans dire que je le conçois. une bête en moi est une bête en moi qui dit ce qu’elle  à dire, et ce qu’elle a à dire est cela : je suis en toi l’etre de feu qui croit en toi et actionne le foyer de ta rage à être . je suis toi tout autant que toi tu es toi car je suis en toi. Je suis cet être ezn toi quyi te chevauche, obtempère, te guide, va vif et vite, fouille en toi dans la profondeur d’une mémoire peu véloce au demeurant , du moins on pourrait le croire. je suis en toi cette bpête dees apprets, des attraits, qui cherche à sortyir de toi (fissa, fils, fille)) et meubler le temps de la paroi? Je = me = noeud = cri = christ = char = va nu pied et de la tete au pied= va nu pied = nu de la tête aux pieds = vif l’éclair = le cxharmant des temps des reines et des chateaux= l’ami sensible = le tombeur = la vie en ses retranchements. Je cherche une solution fiable, digne, responqsable, avérée, qui puisse déccliner son identité ou du moins nous dire qui elle est en fait de vérité, etc./ Je suis à lka rechercxhe (coutumière) d’une vérité de bon aloi concernant des Faits de Gra nde Vie Allouée= FGVA et c’’st ainsi que je dis cela comme quoi les FGVA sont là qui demandent à être explorés fissa, et voilà pourquoi je m’y emploie. Je cherche  à trouver ici passage, ici = dans le Verbe de l’Au-Delà à soi. Je cherche à comprendre le plus loin possible et le plus possible ce qui est , c’rest à dire  ce qui ici même se construit à même le temps. Et ici cette chgose (construite, élaborée) est du temps de RAge comme il en exisqte ailleurs. temps rageur (enragé) de ma rage à êtrte ici bas celui et celle -là (les deux je veux) qui savent (sauront) à qsuoi s’en tenir : coque humide. Je suis être au chant choral, ici déoployée (le revenant) qui dit ce qui est et qui s’impose de la sorte au sein d’une meute . Je veux être vif. C’est dit. Je veux être coriace, voilà qui est dit. Je veux être ici celui -là qui charge à tout  va et cherche sa voie dans cette rage à être présent, soit le présent, le temps présent, et le présent soit l’offrande déposée au pied de la roche. Je suis l’être mouvant = meuble . A toi à moi ! voilà de quoio dire ! et moi itou y vais chargeant la mule ou le mulet, pour une aventure «de poids» soit icelle aventure à même la pa roi des morts, des morts-nés, des morts-vivants, des morts de ta rage à être le malodorant, malmis, malfichu, malconnu, malembouti, malêtre. Je commande : kje commence. Ici nous sommes deux, c’est à dire qu’icvi il y a moi qui suis cet homme des parois menaçantes, et ensuite lui (ou elle) qui est cet être de foi (en la mort pour soi) qui est cet animal de bonne compagnie (ou pas : selon) qui obtempère en moi, dit sa cghose via la chose d’un tic tac de base et s’en excusepresque. qui connait tout ça ? qui sait ce qui est ? qui connait les choses du mal ? qui peut m’aider à m’y retrouver sans trop de soucis et sans trop de peurs ou d’effroi ? qui est qui pour moi ? Je cherche à dire des choses de poids mais ces choses ne s’imposent pas qui glissent sur :la base meuble des dires divers. Je comprends mille chose. Je suis à m^$eme de co:mprendre mille et une cghoses c’est un fait mais bon, pourquoi se passer d’une petite sieste et relacher tout?  ou plutot : pourquoi ne pas relaxcher un tout dsans une sorte de sieste de base, ici et là, yeux fermés pour la gouvernance, et on laisse à soi venir les paroles de poids si tant est. HJe croiqse les doigts pour cela, car j’aimerais. Je serais fou de joie de pouvoir tracer que tu traceras sans trop être là en tant que moi qui plombe, écrase, obstrue le passage . Fi de moi et gaiement filons à même la la,nde ! une bonne sieste au pied des tourments nacrés, étoilés, etc. je veux être l’être hors de moi, et cet être (l’animal) lui tendre la perche et lui donner voix au chapitre et que l’être parle ou parlât à ma place , ouiiiiiiii ! oh oui je veux ça ! que ça ou cela que ! en vérité ! car oui, jhe suis celui-là qui cherche, qui tourne que rtu tourneras, qui fouille, qui comprends, qui veut, qui va, qui tourneboule dans son pré carré et de prédilection. Qui est avec moi pour l’occasion  ? qui me suit qui m’aime ? hum, peu = pas grand-monde, on voit ça.Et pourquoi cela ? car mon parler déraille grave, ou poarce que mon phrasé , musicalement, incidemment, n’a pas de charme et tombe à plkat à tout va ? parce que je suis je ? parce que que ma voix est celle d’uyn rat ? d’un mulet ? qsui veut de moi à la vbonne heure ? on voit que ;les choses sont là que donc cette xchose , comme quoi personne etc ne veut de moi quelle tristesse (pour moi : rien que pour moi, dès lors....). Car qui dit «soi» dit «roi» de même. Il s’agit xd’une sortye d’échancrure à même la paroi du temps? reprenons nos esprits, essayons d’éclaircir les données sommaires, soyons concentrés. nous voyons ici que des choses sont qui nous rezgardent. Nous voyons icvi que des choses de poids (ici et là) sont qui nous regardent. Nous pensons à une chose et une autre advient dans un déroulé temporel qui conditionne et à chaque fois éloigne. Les propos sont caracolants comme des roues toutes motrices, c’ewst ainsi et cela nous sied qui nous en accommodons par la ban,de. Nous sommes nantis d’une langue svelte. Notre ombre nous suit, et  c ette ombre est la parole de guingois dans notre bouche (une saleté d’étoupe à moudre) .Je sais comme quoi les chosex (de la vie et de la mort) vont bon train. Je comprends cette chose d’un parler urbain, posément gagné, dépourvu de vérités ancrées mais cependant la ramenant, la ramenant à tout va et à tout bout de champ comme des muletiers.. hje sais cette xchose d’un dire de tête,  fort, fort en thème excessivement et volontiers, etcx. Ces dires sont ceux qui se passent (on dirait) de rage, à première vue et sans creuser? or non ! tout dire est nanti (à la base) de rage !tout est dire de sa rage vive, ou plutot : tout dire est dire de sa rage drue et dure et vive colmmme la couleur. je tombe sur des mots de moi rapidesq. je comprends ce qui se trame vite fait. je déboîte au débotté et concède les données qui sont les miennes. je suis un homme des parois dures. Une femme douce à toucher. Un homme rude à co:mprendre de fait. une femme rugueuse, une arme, une drôle de paroisienne, chevaline, un cheval, une ombre. Je suis ombre-homme et femme juste. Je caresse des espoirs ou comment autrement ? je dis que je suis ceci, je dis icvi que je suis celui-là qui cherche. Je tombe à la renverse, en arrrière =. Je dis que je tombe ici :même co=mme à la renverse = comme en arrière et vois défiler le Verbe. Le Verbe est donnée de rage, est donnée de base, est cette donnée en soi (don par la bande) d’un quelqconque ou d’un quelqu’un en soi ou de qui en soi ou quoi en soi-meme qui sait et que sait-il ? dieu de face. que sait il ? qui est il qui sait ? je ne sais qui est qui ici en c ette chose d’une sorte d’abri. Je cherche à comprendre depuis le début mais quel est-il ? où est cette chose d’un début de quelque chose en soi ? qsui pour dire cette cjhose ici ? qui va dire ici cette chgose d’(un début pour des données franches ? squi pour dire cette chose ici d’une sorte de commùencements (lesquels ?) qui seraient du Verbe, qui seraient Verbe, qui d’icci ? je vois près de moi une chose ramenée. Il s’agit d’une chose perklière. Je vois ici la chose déposée. déposée par la ma rée. je vois ici pareille chose ramenée par une vague oblongue. il s’agit d’une coque perlière. Je syuis homme des parois du monde passagher. Mon corps va p âsser. le corps passe. tout passe et trépasse. Tout va qui passe et trépasse. qui de quoi dit la chose en vrac ? je suis cette personne à mon tour oblongue. Je tombe des nues à la renverse;, poussé pzar la mort e,n personne. Je veux savoir quoi , quoi est qui m’atteznd?. JHe suis homme des parois rudes, dures de la chose en soi, parois du dur de la chose rude qui est chose des tourments qui sont choses des dires du monde. Je veux déposer à mon tour : ici paroi, comme une sorte de pierre d’offrande à formaliser. Je vois loin les choses du monde. Ici sont lointaines, les choses du monde. ici lointzaines sont les choses. Ici bas sont lointaines les  chosesq. Ici sont b asses et bas les chopses du monde. les choses du monde ici sont bien basses qui se laissent «penser», hourra ! Ici basses sont qsui se laissent «penser» les  choses euréka ? jhe suis ombre-homme devenu cheval. Mon cri est l’ébrouement et le cri dit «de hjoie». le cheval hennit, la pôule caquète, l’homme pense tout haut et volète. je suis l’ombre de mpoi même, je trafique dans la matière. je veux être menaçant, colère entière, un qui vaut deux dans le genre (c’est dit). Je veux être ici l’homme)-chercheur de base, celui-là qui depuis lui (son coeur-antre) cherche phrasé à la hauteur cdes vérités ancrées mais ce n’erst pas simmple, et le dire ment continuelklement qui est temporel et se doit de fait de se dépl:oyer cvomme u,ne  vérité étirée qui dirait son être à la cxdérobée mais vas-y. La vérité dite «étirée» n’est pas la vérité mais «l’étirée» de rage, rien de plus. La penséedéployée fait rire au)-delà de là. la pensée (aussi bien le dire) fait bien rire au-delà de l’au delà, c’est dire ! à gorge déployée fait rire  c’est dire ! une belle  tranche de rire ! une de ces tranches que je ne te dis pas ! etc, c’est dire ! une belle tranche comme quoi etc ! c’est dire ! je ris ! je ris de plus belkle ! m’esclaffe tardi c’est un fait ! La pensée déployée c’’st du rire en soi ! c’ewst dire la cxgose ! Penser -= s’étaler de tout son long sur la terre-mère ! Penser ou dire (dans le temps dès lors) = s’étaler comme  une sombre merde sur le sol d’une sorte de parade à être vivant. je vois la chose ainsi qui s’étale (de tout son long) sur un sol de grève, c’est un fait indubitablement avéré. Je pose sur moi la parade. je pose sur moi (mental case) la parade = en moi, en mon sein. je cherche. je m’esclaffe idéalement de même. Je veux m’assoupir et laisser venir diablotin. cfomment faire ici pour aller plus loin et essayer d’y comprendre plus et plus encore dans ce sas de la rage à êttre ou de la rage d’être  cet hommme de feu, de peu, de meu, etc. cela est qui me concerne : mon ton son nos voleurs. je sui s cet homme là qui cherche une voie par le langage ou plutôt dans le langage = un accès vers un, semblant de dire non hautaibn. Je voudrtais co:mptendre àfond les choses de cela ici qui coince ou coinceraitUne voie dans le langage, non pas ma voix mais une voie d’abord = un abord veineux. perfusion. prise. de sang. je veux cette chose (dabord) d’une sorte d’accès de type abord veineux pour une perfusion (ou prise de xsang ?°. Je suis l’infirmier de céans qui chercjhe, et squi cherche assidument dans le xsang, le xang des autres incidemment. A prése,nt dans son propre sang. Je chgerche vdans mon propre sang une chose. Je cherche une chose à présent dans mon propre sang. à présent je suis l:’homlme)-bête de joie qui (je) cxherche ici présentement (suite logique) une chose de rage sanglklante (l(infirmier) à même sa rage./ je chercheche le présent (l’offrande) de ma propre rage présente dans un sang bestial. je suis  c et infirmier qui prélève sang de rage et sang de bete en soi comme l’écume, l’onguent, la graisse, le vil écoulement ou non vil écoulement de soi à typpe de quoi , de selle ? de’urine vive ? je t âche de co:mpfrendre au mieux. j’ai été cet infirmier qui préle vait le sang à l’hôpital et même au domicile (un temps ) des patients petits ou grands. Le sang est cvette  chose qui contient le Verbe vivant, le VErbe des bêtes de rage contenues en nous qui sommes v ivant et des vivants sur terre. Je sais que la bete m’habite dans le sang qui, en moi, vit sa vit de vERbe. je veux dès lors ici dire ceci : comme quoi le xang = la bête des prés qui  me suit paretout puisqu’elle cvit en moi qui suis le réceptacle de sa vie vive. Je suis co;:lère à partir d’elle. Mon cri est son cri. Je suis pour elle contenant. je veux la co:mprendre c’est à dire que je veux coûte que coûte comprendre la b ête en cela qu’elle est ou szrait pour moi une voie d’abord. un accès possible pour une aprrochje possibv;e. je cgherche à comprendre en moi ce que cette bête est. Je cveux au mieux , au plus, au plus vite, comprendre, savoir, etre, dire ici ce qui est de  cette bêzte rosse ou pas , en moi, qui sent sa p^résencxe. cette bpête en moi esrt bete de jhoie dure, rude etv rugueuse, qui en moi toujoures sr’époumone, est colère, ire de joie, ire vive, ire prononcée, ire velue, ire commandant, ire disant la bonne aventure d’une vie-mort à dépl;oyer incidemment dans le temps. Le temps est hors. le temps (vraiment) est hors? il est or, et hors. le temps est hors, et nous de dépl;oyer nos choses du ,monde cdans un déroulé qui mime le temps de par sa cxhose douceureuse ou pas, de par ses attributs de rage à dire, de par son velouté de base animal, de par sa faconde coutumière. ici bassse, ici bas. La roue tourne. Le soleil se lève à l’est. on voit la parole lointaine qui menace. On voit la rage monter. les mots caracolent de première. on sent venir le mal de la douleur à naitre. Il est  cette cghose ici à comprendre fissa par la bande, et cette chose est rude comme la justrice, fine fleur de la manche, des branches votives, etc. IL s’agit toujours de la parole meuble, toujours essentiellement déplacée, toujours essentieelement reportée, prolongée, étirée, dépl;issée comme une fibre. je cherche en mpi-même à bien  cernezr  ce qui est qui se présente sous mes yzeux mùais ce n’est pas simple, cela n’est pas simple du tout ccar je suis mourant et dès lors je risque gros qui peux défaillir d’un moment à l’autre. Je sais cettye chose pertinemment. je sais que mon compte est bon et bien rempli sur cette question d’un dire hautain de naissance, dire de langue autoritairement présxente dans le sas (sas des sas) et voilà pourquoi je  tends toujours à vouloir m’excuser de dire, de parler, d’ouvrir la boite aux dires divers. jE suis autre que je bbveux être hélas. je voudrais tant être différent et parler malin = parler bien = parler reconnu = parler adoubé par la bande paysagère (les malins de rage : ceux / celles qui savent percevoir idoine). je sens cette chose approcher mais pas encore là pour moi, hélas, car mon mérite est grand qui se vautre. Je voudrais co=mprendre ce qui est ici, dee grâce, et comment cela sinon en parlant (ici) à mon tour des choses qui comptent. D’où mon envie de tzenir continument le jhournal de ma féerie, journal (journaaux) de type un tantinet (oui-da ?) ésotérico-placide, qui puisse (et puissent) me donbner du grain à moudtre. je cherche un temps de bataille. mon souci prégnant est de chercher ici (le temps) l’enxdroit pour déployer (et où d»ééployer) toute cette chose amoncelée en termes de betes à rega rder, à toucher dyuu regard, etc. La bete a en mpoi sa place à présent consacxrée mais qui reste à situer. je cherchje en mpoi (de moi) où donc la bùete est logée et cezla (cette recherche) est à mener avec sériuex et tact. je ne veux pas déranger la bête. Je veux lui parler calmement et sans l’effrayer. je veux qu’elle sache de mpoi toute la bvienveillance qui est en mpoi à son égard, qui m’habite comme elle (la bête) m’habite. Je regarde deva<nt moi, et je vois la chose se présenter, soit la Chose qui, vue de près, c’est sûr, en impose, c’est frappant. Je sais que cette Chose sort de moi qui la contenait malgré moi. La Chose porte un nom qui reste à décghiffrer , d’où mes écritures. ça viendra. La Chose est vive, elle vit, on sait cela comme quoi la Chose est vibvante, n’est pas morte malghré les apparences. C’est-à-dire que la Chose (la :mort en vérité) n’est pas (elle, pour le coup) morte comme on pourrait (parfois) le penser ou  s’y attendre. La mort porte un nom en p^lus de «la mort» on l’a compris. donc , on peut dire ici que la mort a ou porte deux noms en quelque sorte. La mort a pour nom : la mort. mais la mort porte un autre nom. la mort porte ce nom commun dit «la mort» ou «de la mort», mais la mort porte un autrte nom. ce nom eswt à venir. c’est à dire que le nom de la mort , ou l’autre nom de la mort, n’est pas encore là, il est à venir, il est là-bas pour ainsi dire, au bout de la phrase. le nom de la mort est logé à la fin de la phrase, vient en bout de phrase. L’auttre nom que porte la mort, en plus de ce nom (commun) qui la’identifie, est ce nom de bout de phrase, de bout du bout de la parole dite. La mort porte un nom commun (la mort) et un nom propre, qui est celui -là qui se love en bout de phrase, comme le point qui ferme un dire sur une page. mais pour le coup ici le point serait (sera) définiitif. Le point ici serait l’image de la mort . un point égalerait la mort, et dirait son autre patronyme ou son vrai patronyme, ou son vrai nom, ou le nom vrai qui est le sien, et pas seulement ces mots communs qui disent «la mort» à la place. Je comprends des choses en disant mais eznfin pas tant. car l’essentiel se lloge en bout . L’essentiel des dires d’intéret commmun et crucial, est logé en bout de phrase. On voit ça. Disons qu’on voit ça de loin. les choses justes et vraies à propos de la vie et de la mort ne se laissent pas cdéployer si vite, elles  nécessitent le dép;loiement c’est un fait, mais elles cherchent toujours à se p^lacer en bout de course, elles vont toujours à trouver place au fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fin fond du fin fond des fins fonds des choses, c’’rst à dire des pensées parlées. La chose est à comprtendre ainsi. La mort porte un  nom commmun (celui notifié dan s le dictionnaire, au coeur de la langue = la langue) et un nom qui n’est pas commun, qui est propre (en propre) et ce nom propre n’’st pas dans le dictionnaire. Ce nom qui n’est pas dans le dictioonnaire, se place toujours, iincidemment, en, bout de course. il n’apparait pas tout à trac. Il est fuyant, il file à l’anglaise ou sinon quoi ? il va au plus lointain des lointains des bouts de pbhrase. On peut ainsi dire ou affirmer  cette cghose, comme quoi la vérité sans temps pour la formukler n’esxiste pas (1) et (2) que la vérité arrive toujours «au bout de la phrase» soit en fin de course. or l;a phrase n’est jamais finie qui se perpétue continuellement et ne cxède pas. la pbhrase est infinie. aiinsi, on peut agffirmer, aussi, cette chose, cvomme quoi le (vrai .?) nom donnée à la mort (par qui ?????????????) n’est pas pour demain. à savoir. n’est pas pour nous pour demain à savoir. le vrai nom de la mort : c’est pas pour demain qu’on saura. c’est pas demain la veille qu’on saura ce que c’est que le dit «vrai nom» donné on sait pas par qui de la mort. C’est pas encore pour demain qu’on va savoir en vrai ce qu’est le vrai nom de la mort en plus de son nom commun. on aimerait savoir ce que c’est en vérité que le (vrai?) nom donné (par qui ?) de la mort : quel est-il ? eswt)-il (déjà ) connu de nous ? saurions-nous le prononcer (de quelle langue vient-il ?) etc: alors ? Nous pensons que la chose eswt d’importance, oui. Nous pensons en effet que la queswtion est une question d’importance, c’est indubitable. Nous sommes plusieurs à penser que en effet la chose est de poidfs . Le vrai (?) nom donné à la mort. parce que l:a mort aurait son petit nom. le nom de famille en vérité. un nom de famille, quoi. ou commùent ? il s’agirait de trouver un nom qui lui serait donné ou lui aurait été donné en propre, comme un nom (ailleurs) de famille. Oui. Il se  pourraiot que ça soit ça. oui en vérité, fort à parier. On pourrait en effet penser cette chose. il se pourrait en effet que ce soit ça en vérité que nous devons penser. il se peut grandement qu’en effet, la chose à penser, indubitablement, soit cette chose-lkà, comme quoi la mort est appelée commmunément la mort, mais qu’elle porte (en fait : portera) un autre nom à un moment donné, et ce nom sera celui porté par qui, par qui ici, par qui vous savez . par qui la mort, par qui ici, qui porte ici le nom que portera la mort un jour, qui ici porte que demain portera la mort ? qsui ici porte que demain portera ? qui porte ici que portera demain ? qui porte que portera ? porte que portera : porte que portera : on se le demande. on est nomb reux à se le de=mander. on est loin d’être seul à se le deamander. nous sommes une tripottée, toute une chiée, à nous le cdemander. Nous sommes une chiée à nous le demander ici et là.

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2/02/2022

La bête est en nous comme une donnéevive. La bête est en nous commme une donnée vive . on dit que. on dit la chose comme quoi, il semblerait. on dit cette chose ici ou là, comme quoi, en nous, la bête est entrée. nous sommes je suis celui-là qui voit. je vois ici cette chose d’une sorte de chaleur .Je suis celui-là qui voit, au loin, une ombre sur une paroi . Je suis celui-là qui voit au loin. Qui regarde ce qui est qui se présente. Je suis l’homme bête de céans. Je vais et je viens nonchalamment et regarde au loin ce qui s’y trame de notoire et que vois-je ? une chose perlé ? une sorte de bonnet de dame ? catafalque ? une donnée de base et si oui lzaquelle ? je suis homme-animal de rage et en avance ainsi, de mon pas lourd, sur terre meuble. De quoi s’agit-il ? d’une sorte de donnée qui serait déposée à même mlza pierre tombale ou pierre d’offrande. On sait les choses qui se substituent et cependant que sait-on au juste ? Nous parlons d’une pierre d’offrande, nous disons la bonne aventure, nous fouilllons dans les profondeurs de la mémoire, nous voulons gravir des échelons comme dans la transe. Ce que je vois est ce que je crois. Ce que je crois est ce que je vois. Je suis l’animal de ce ces lieux, je vais et je viens comme transi de froid. Je suis la bete en moi contenue et je vais ainsi, bon an mal an , à travers la lande (il s’agit d’une vie) à kla recherche d’une cl. Cette clé est celle qui ouvre les portes d’un domaine oparticulier. Je vois devant moi des ombres danser et ces ombres ont des noms, des noms déposés. JKe suis l’homme des parois de roche (de néanderthal»?) mais pas seulement ? je suis celui-ci qui comprend et de ce fait prend à lui, ou avec lui, ou en lui, ou contre lui, ou par lui, etc, des choses de lza roche dure (ce temps imparti) qui sont choses d’un monde adjacent au notre. je regarde dans les lointains. je suis l’homme au regard appuyé qui fonce et va au loin cerner ou pour cerner des choses de base et autres données premières, c’est-à-dire de la vie et de la mort . Je suis l’hommbête (bi) chargeant de toute sa «faconde» un chenal, un sentier, un passage, chargeant passage, chargeant vivement ce passage effilé pour une entrée dans la matière vive de ce Verbe pourchassé. Je file à l’anglaise(comme toujours). Je vais vif sur roche à la recherche d’une clé qui ouvrira la porte du Verbe. Je vois devant moi des «effluves» ou qu’est-ce ? Je sais ce qui est, il s’agit de choses brumeuses, de choses un tout petit peu floues et cependant réelles comme (on dirait) la nuit, le jour ou autres méfaits. Je suis homme tombé. Je suis cet homme-bête cherchant clé dans l’herbe (cheval) ou bien dans les branches de l’arbre ou de l’arbuste (antilope?) et me voilà qui fonce droit devant (effilé) vers un azur, une roche, un trait, un passage, un mot de ta rage, une vibration, un cri, un christ etc, qui seront pour moi matière à penser mes plaies, ou bien matière à) comprendre le pourquoi du comment j’ai pu, un jour, tomber si bas et y rester un temps long tout compte fait. Je cherche dans ma mémoire. Je suis celui qui cherche dans sa mémoire des données de base, données rudes, données dures, données rugueuses et rageuses (?) on dirait. Je cherche au plus profond de moi même», cette choseici d’une sorte de donnée vive qui est donnée de base de la vie sur terre. Une clé ? oui ! musicale ? peut-être bien en vérité. Dès lors on voit ici que la recherche est loin d’être vaine. Il s’agit d’une recherche de tous les instants (bloc de rage) qui se pose là comme une offrande au dieu (oui ?) de la mort à l’oeuvre en ces bases. Je pense = je suis = je vais = je vois = je sens = je pue = je meurs = je tombe = j’entre = je monte = je suis. Mon coeur est le coeur d’une ombre portée, une ombre soulevée. j’avance ainsi comme soupesé et quoi je vaux de plus ? je suis l’ombre d’un devant de soi qui demande à être jaugé (jugé) par la bande langagière d’une confrérie experte. De quoi je me mê$

le ? là est la question ! De quoi mon nom est-il l’attribut ? là est l’autre question ici salutaire . Je veux comprendre ce qui est et pour ce faire je m’avance à cru, vif comme un éclair, doux comme une bête à laine, chargé comme un mulet des basses oeuvres, donneur de choses à la dérobée, etc. Je tombe nez à nez avec icelle clé qui m’attendait . De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une sorte de donnée de base, une sorte de donnée de base rude, une sorte de donnée de base changeante peut-être (=fluide ?) qyui se donne ainsi à mon regard. Je vois le clé dans sa brillance illuminatrice. Il s’agit d’une clé des champs, d’une clé de basse maneuvre, d’une clé acidulée dans ses couleurs, etc. Je veux savoir : qui parle en mon nom , et de quoi la clé est-elle le fait ? Je veux comprendre ici plus plus qu’aillezurs car l’endroit s’y prête. Je suis homme qui va direct vers un verbe de voix dure, je vois ce qui est devant moi, il s’agit d’une ommbre portée sur un devant de soi en forme de clé. Je veux ! je ne suis pas en reste de vouloir ! je veux de cette clé de base. Je veux toucher ! Je veux croire en elle. Je veux que cette clé m’ouvrât des portes de base, m’ouvrât grand les portes d’une entrée vers l’au-delà de la base rude, je veux de cette ouverture . Il s’agit pour moi d’une entrée dans la matière de la vie venue pour me consolider dans le Verbe. Je tombe sur elle (clé) à la renverse et je vois en elle les pouvoirs octroyés par la bande langagière. Je vois ces pouvoirs de près, je suis à côté, je me loge tout p^rès d’elle, je suis l’ombre d’elle ou comment ? un double dessiné par un homme des cavernes ? clé de rage comme de coutume ? cheval valant val ? qui suis-je ? un cheval valant pour deux ? une cantinière ? je file à tout va vers ma destinée de rage (rage de ma ragee) et ainsi faisant je cours à ma ruine, ou alors : je cours à mon succès de base ? Je cours vers une destinée qui est celle de la base, ou alors : je cours fissa vers une clé d’ouverture prompte, ou sinon commment ? Je cherchje à comprendre ici et là au plus juste ce qui est qui se «développe» à façon devant moi et se montrte ainsi (sculpture ?) comme une effigie grandeur nature . Clé de base = clé de sol = clé musicale = cxlé d’ouverture prompte = clé d’ouverture facile = clé d’ouverture vive et facilitée. je veux savoir le plus d’une chose que je vois, je veux savoir le plus plus de cette chose, devant moi, que je vois, et ce que je vois, c’est cela : une clé d’ouverture vive (vivante) = une oeuvre de chair : cheval ? cheval valant pour val ? paysage des confréries ? saturnales ? Je cherchje à comprendre au mieux ce qui qui devant moi parade de guingois mais cependant se prête il semblerait à une étude (sérieuse) de  cas. Je veux comprendre les données de base, les données franches = la Vérité sous toutes ses formes, de la plus informe à la plus structurée peu importe, toute la vérité. jesuis l’homme-bete des Temps reculés, cet aurignacien qui monte, ce magdalénien de force, ce solutréen de bas-âge, etc. LMon corps est donné devant, est la donnée, la donne et le don. Mon corps se donne devant. Mon corps sort de soi et se donne devant comme la donne de bas-âge. MOn corps est cette donne d’un devant de soi en âges divers. Mon corps à tout âge se donne devant comme une offrande vouée à êttre acceptée. Mon corps est le corps donné devant soi à une rage bue. Mon corps est une offrande déposée à même la pierre tombale marquée. Mon corps est ce corps donné de base à une entité dénommée x ou dénommée f ou dénommée y. jE cherche à comprendre ce qui est de ce corps de rage (et de base) déposé )à même la pierre d’eoffrande : qui est-il ? Je veux savoir et que l’on me dise, que les choses soient connues, que la Chose en elle-même soit connue de moi, que la Chose en elle-même soit connue au plus de ce que ça puisse être pour la compagnie (le nottre , l’évangélisée). JE cherche ! Je veux ça ! Je veux savoir ! Je veux savoir vif ! je ne veux pas être en reste de savoirr ! Je veux comprendre au plus juste ce qui est qui est, et aussi ce qui n’est pas qui n’’st pas ou qui n’est jamais, car je suis ce chercheur cheval de ma rage aboutie, de pareille rage corporéifiée de base à la naissance. mon coeur est mis à nu par mon corps tombé. ma voix est celle d’une sorte de donnée de base. il s’agit de savoir et de comprendre : qui est là (devant soi) qui nous «tend des bras» , qui ? le savons-nous ? le saurons-nous ? saurons-nous qui ? qsui est là qui nous regarde et file fissa dans un sas de contrbande ou de quoi ? je cherche assidument, muni d’un verbe de rage, celui-là qu’il m’a été donné à la naissance, verbe des prairies, des prés d»herbe, des champs récoltés, des natures vertes, tendres, jeunes, afiliées à une confrérie bienveillante, etc. Je veux comprendre ce qui est au mieux . De quoi est-il question en cette lande ? Qui saura me donner des choses de poids à mâcher ? qui saura m’indiquer la voie à suivre sans se tromper ? je veux savoir ce qui est ! je veux savoir ce qui est ! je veux savoir au plus de ce qui est ce qui est ! je veux en savoir long et large et ne pas succomber ! je v eux comprtendre long et large et toucher à la vérité des choses du mùonde ! qui suisje en ce b as monde sinon ceelui làqui, s’ébrouant (chevalin ?) dit la vérité de sa rage-race! Je regarde près de moi et je vois se profiler des ombres qui dessinent sur les pareois du monde des choses à comprendre fissa. Je vois sur  ces parois x choses qui sembleznt quoi , des rois et des reines ? Je vois des chose dessinées qui semblent des reines, des rois, vazlets de coeur, charge animalière, verbe hautain. Je tombve. Je suis tombé. Je vois x et x choses dessinées sur roche devant moi et je comprends (vite fait) qu’il s’agit d’ombres portées, de traces votives, cris d’incantation primaire, de chaleur de rut, de montée en flèche dans les cheminées, etc. Je vois devant moi l’ouverture tant recherchée. Je sais que la clé est clé d’ouverture prompte, c’est déjà ça ! je sais que cette clé est la clé des ombres, des cavalcades et autres fêtes de joie. Je veux aller loin dans la parade, je veux loin aller dans la parade, je veux dans la parade aller loin. Qui pourra me donner sa main et m’aider à traverser la roche du temps ? qui voudra me donner sa mzain et m’aider à traverser la roche des temps ? qui saura me donner sa main et m’aider tantôt à traverser la roche des temps ? qui m’aidera tantôt à traverser la roche du TEmps ? qui saura me donner sa main et m’aider à traverser la roche des temps alloués à une gouverne comme la mienne ? Qui voudra bien m’aider à toucher lka roche des temps ? qui voudrza-pourra bien me donner à pouvoir toucher, à) pouvoir toucher la roche du temps ? QUi ? je cherchje désespéremment et qui vient ? nul au loin ne montre de visage bienveillant, pourqyuoi? La chose est rude, la chose est cvomme un coup du sort. Je veux comprendre et toucher à la chose crûment le plus possible si tant est, et ce faisant courir au loin dans les allées du temps imparti à une vie comme la mienne (comme toute vie). Je vois une chose se profiler : il s’agit d’un homme . Il est plutot grand, fin (effilé) comme un passdage ou comme une entrée étroite dans une demeure de grâce. Je vois cet homme devant moi se profiler. Je vois devant moi un homme aller, se pointer, montrer le bout de son nez, dire et montrer, dire et pointer du doigt, dire avec sa voix de rage ce qsui est et  ce qui n’est pas (de la vie et de la mort de base = ici-bas) . Cet homme porte un  nom de rage,, nom donné pa r la bande d’une confrérie animzalière. Il s’agit d’un nom de tribu. Il s’agit d’un nom rare. Il s’agit d’un nom acté comme une barre. Il s’agit d’un nom de paroi. Il s’agit d’un nom octroyé par la bande-barre animale d’un passage en biais dans (à l’intérieur de) la lande. QUi est cet homme des bois . qui est cet homme des effluves ? qui est cet homme des voix perçues à la gzaillarde ? qui chante en lui le chant musical des sphères ? squi chante en lui la bête primaire ? quelle bête en lui en fait le siège ? qui est cet homme animalier ? ce cheval, ce cheval de soi ? ce cheval, ce chevazl d’un passage étroit ? ce chien ? ce chien des tribus lointaines (da,ns le temps et dans l’espace) ? qsui est-il ? je cherche son  nom à même la paroi du temps, car son nom est incrusté en elle, commùe un dessin d’aurochs ou de bison sur la paroi cachée d’une grotte des temps derniers. Nous devons comprendre, nous devons comprendre au plus loin des tempsq. Notre but est de cerner au mieux les différentes parades. QSue sont-elles pour soi et pour un ensemble de personnes regroupées dans une sorte de tribu de charge. Que sont elles ? Nous cherchons au débotté. Nous cherchons attablés, nous cherchons à table, nous cherchons des noms. Le saint suaire est peutêtre l’un des leurs. La peine est bue tout entière à même la coupe et ne se laisse en rien distraire . JE veux savoir vif car je suuis vif ! Je veux savoir loin car je suis lointain ou comùment ? Mon corps se prête à des commentaires ou à subir des commentaires injurieux, peut-être. Qui va là dans le sens des voix salutaires ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort en ce chemin de joie ?. Qui donc veut ma mort en  c e chemin de joie monacale ? Je l’ignore ! mon coeur suit sqa chamade irisée c’est un fait, mais le coeur seul ne suffit pas à combler de joie ma gouverne, il y faut du temps, de l’allure vive dans le temps d’un débotté ou d’un débraillé de première. Je suis homme vif cherchant sa peine intègre sur piste temporelle, son nom (mon nom) est celui-là même que vous ignorez. Je veux comprendre au loin les données sommaires, les données encagées, les données qui sont liées à des noms donnés. QSue sont ces données et que sont ces noms ? nous devons comprendre dans la profondeur ce qui est qui nous observe. Nous devons dans la profondeur comprendre au mieux ce qui est qui nous observe, et ce qui est qui nous observe porte un nom, ce nom est le nom que nous donnons aux choses du monde pazr la bande , à savoir : a, b, c, d, e, f choses d’un monde à percer en son mystère. Je vois loin car mes yeux (de voeu) portent loin. Je vois loin car mes yeux sont ceux qui portent loin en la matière : voeu pieu. Je suis homme d’un courage extrème quoiqu’insuffisant! cazr quoi ? car je suis meurtri (par la bande) en ma chair d’homme bi : mi-cheval de course (ou canasson planplan) mi homme en herbe (ou monsieur de rage) : qui ? je sais ce qui est en cette chose ici d’une donn»ée de rage, et cependant que dire d’autre que le nom donnée à pareille entité, de ma rage douce), quel ? qui est qui ? qui sait ? qui veut dire ce qu’il sait ? je cherche l’endroit où pouvoir me poser un temps et souffler. Je respire profondéme,nt, je suis l’homme des respirations profondes. Je suis l’homme des données rageuses, quyi file fissadans la lande comme un cheval lancé à bride abbaatue. Je veux comprtendre les données présidant l’épopeé d’une course dans les prés. Je suis un homme en herbe, luzerne ? peut-être. Sinon comment ? corps , corps de dieu, corps, corps déposé, corps, corps mort, corps mort déposé. Je suis l’ombre de moi-même, un cheval lancé comme à brise abattue à travers la lande et qui dfile vitesse grand v comme un dé raté de ta race princière. Cher Tout, qui est tu ? qsui es tu pour moi cher Tout ? peux tu me dire qui tu es ? peux tu révéler cela ? peux tu être pour moi un être de révélation directe ? comment t’appelles-tu ? quel est toon nom misère ? quelle est cette chose ? qui sait ? comment te nommes-tu petit sacripan ? comment es-tu venu jusqu’à nbous, c’est-à-dire par (ou à travers) quel passage dans la roche du devant de soi (temps intégral) ? commùênt as-tu fait pour traverser le temps et arriver jusqu’à notre demeure des joies et peines ? qui es-tu anilmal ? qui estu chacal ou cheval ou comment ? qui es-tu pour nous qui t’attendions de pied ferme ? Notre volonté ici est de comprendre ce qui est de cette chose d’une entrée dans la matière. NOus voulons comprendre ensemble (= toi et moi) ce qui est ici en cette chgose d’une entrée dans la matière du Verbe fol, de ce verbe octroyé fissa par la bande et s’écoulant comme de juste en ce réduit , en ce récipient, en ce conduit, en cette buse, en ce puits déployé, en ce trou de base terrestre. Nous pensons qsue Dieu est ZAmour de base rustre, malcommode et incommo

dé car gêné. qui est ce dieu de la rage meuble ? qui estil ? Nous avons à nous (avec nous) l’aide d’une mère, d’un père, d’une soeur, d’un frère, et le tout forme tribu (tribunal ?) qui est celle qui est , à nos yeux, celle qui plombe et pèse, porte et soupèse, conduit ett s’encolère après nos dires ou faits divers. je cherche une voie parmi celles qui s’offrent à moi. Je veux savoir loin car mon nom prête à savoir loin. Je veux comprendre à vif, comprendre vidf, cvomprtendre le plus qu’il m’est possible de comprendre en  ce chemin de terre qui, chemin de vie, porte et contient. Je suishomme-animal de base. JE vais et je viens sur un chemin pentu qui est ce chemin vif des choses rudes à devoir déposer. Je ne cherche pas à me défiler, je chgerche à me présenter commùe il se doit. CVomme il est de coutume et cvomme je me dois. Non que je ne puisse pas mais il est tentant de s’extraire, mais non ! restons accroché ! collons au palier, collons sur terre ! soyons scotchés ! je suis homme de la terree et des prés. Je suis homme chien oou chienne, cheval ou jument, homme-bête des temps reculés d’où je viens. Je ne veux plus connaittre kles anciennes choses des temps menaçants mais seulement les toutes nouvelles et plutot seyantes, les qui m’iront bien pour dire, etc. Mon corps est déposé comme un canasson tombé à la guerre. Je tombe à mon tour, où ça ? dans le verbe, et comment s’en relever ? par la grâce du temps imparti, celui-là mêlme qui dit ce qui est sans faux-sembvlant (ou du moins si oui , ici minimisés par la bande à dire) . je ne pe,nse pas à la mort comme à une ouverture langagière mais je pense à la mort comme à une fermeture (à l’iris) du parcours de rage verbal, etc. Les mots sont en force là qsui font barrage à quoi, )à la mort de ta race brute, à pareille entité sacrée. Les mots chargent qui repoussent l’assaillant . Les mots sont en masse qui poussent = repoussent l’être malfaisant dont le nom est Mort comme un mort. Je veux repousser les assauts par du verbe ! Je veux repousser des assauts ! kles assauts ! par du verbe fol, comme enguirlandé, vif l’éclair, cheval dessiné, aurochs aussi, toute une confrèrie de bêtes rameutés comme à foison par l’homme (que je suis ou serais) des temps reculés. Mon  nom se prête à mille interprétations, ici même ou bien plus loin sur la lande. Je suis homme des plis, hommes des abris, homme-chien ou cheval de kla magie, etc. Qui suiis je que je ne sais pas ? qui me dira le pôt aux roses ? qui saura m’indiquer la voie du passage béat ? Je trembkle ! je veux savoir ! Jze veux comprendre ! je veux toucher ! je veux toucher et comprendre le ciel et ses diverses entités divines ! qui est qui dans un ciel de guerre ? qui parle pour qui ? qui dit le nom et se fait connaittre ? déclinez vos identités ! dites-nous tout ! dites -nous ce qui est ! dites-nous ce qui est ici qui nous regarde et qui se place de la sorte (face à nous) à bien nous mater sous toutes nos coutures lâches , qui ? Je cherche à comprendre vif des données rugueuses. Hje sais cette cghose. Je sais pertinnement cettye chose ici, comme quoio la vie est misère d’un bout à l’autrte (oui) et va vers du pire nacré, et ensyuite ? ensyuite rien, le vide parfait, calmme pklat, calme et vérité. Je tombe, je suis tombé : voilà la vérité, ou sinon quoi ? Je vais et viens brutal dans la lande comme un cheval, je m’ébroue. Je cxherche à comprendre pareil ébrouement, qu’est-ce ? QSui me dira le fin mot de ma rage, de mes tourments ? qsui saura me dire ce qui est ici qui pèse sur moi et me regarde ? qui saura m’indiquer un chemin monacal de réserve où pouvoir aller ? qui pourra me donner du lest et faire en sorte que mon corpps sinon s’envole vif (oiseau des ciels) du moins s’élève comme une effigie, qui ? qui est qui pour dire «je» ? qui saura me dire ce qui est en moi qui surnage lorsque l’on me voit de pied en cap ? car je ne suis pas moi (pas moimême c’est un fait, maisdavantage : pas moi tout court) . Je ne suis pas moi en cette lande. Je suis l’autre du chenal . je suis l’autre qui va et qui vient en pareille contrée. Je suis cet autre vivant sa bonne (belle) aventure vivace et comment sinon, piuuisque je suis «là». Puisque ma vie se déploie à même la lande des parois du termps, comment être autrement ? Je file à vitesse vive pour un dire monacal à déposer au pied de qyui de droit m’y encourage par la bande (un verbe de soi). Je ne pense plus à perdre le temps. Le ciel est sous mon ombre, sous moi comme une coupole, un trait de marque céleste couché. je veux savoir vif kles données premières, ce qu’elles sont pour moi qui file vif aussi, qui file à vif aussi et va loin en moi. Du moins espère. Je veux co:mprendre les données primaires et fouiller profond ma misère de paroi dure (celle du temps imparti à une vie comme est la mienne : n’importe laquelle). Je suis homme-bête de céans, je vais et je viens à travers la lande. Je m’appelle «sentiment» ou «tourment» ou «méchanceté de base» ou comment ? quel est le nom donné à la parole en herbe ? qui le sait ? je veux savoir ce qui est, je veux savoir ce qui se trame en pareille lande et en pareils prés à brouter par la bande. QSui suiis je que je ne sais ? qui je suis en dehors d’un nom donné , d’un minois de gouverne, d’une sorte de misère d’incantation quotidienne réelle», etc, qui ? l’ombre de moi-même ? le cheval d’arçon ? le piéton ? la poutre ? la corde à noeud  ? la balustre ? le tablier ? le cri de joie de la bête en moi ? une sorte d’épopée votive incantatoire ? qui suis-je que jke ne sais pas au fond de moi ? que je ne sais pas au fond de moi, et qui je suis au fond de mloi : les deux ! car la vie va vite, va fissa -de son train arrière qui, bon vent, va loin et pousse que tu poussezras le mobile, pousse au cul fissa et vous envoie comme valdinguer de grâce, vif et vive ! vous envoie vif et vive en votre destinée, vos pas d’allant sur lande, cheval lancé, course à traverts kles prés, rondes emberlificotés ou tout comme ! je suis homme des parois de rage, qui file fisza à traversz la lande comme un animal en cage c’est un fait. Mon coeur est encagé tout pareillement, le corps en son monde de peu et mon coeur en sa cage corporéifiée par la bande. Je suis homme vif des attraits, au coeur encagé on le sait, toutes voiles ouvertes et prenant le vent. mon coeur est pris d’assaut par un verbe animalier : trace dure d’une frange de bêtes assoiffées. Qui sont ces betes ? des betes qui ont soif de verbe ! Je tombe de moi-même , ou = je tombe de là = de moi-même ! vif ! pif ! comme une andouillette ! comme x dit «l’andouille de ces lieux discrets» . je veux aller loin et combattre : repousser le chenapan de la mort à l’oeuvcre, car il est là (toujours) qui nous surveille ! qui est il ? il est celui-ci qui cherche à nous faire chuter, à nous taire, à n ous frapper, à nous placer lke nez à terre, à nous faire tomber par terre, à nous mettre à sac ou à mal, à nous écraser de sa patte folle, à nous coucher comme une merdxe, à nous ficeler vite bien fait et , zou, ouste, à la mer d’écumes ni une ni deux ! comme un fait exprès ! je suis l’andouikllette, misère ! voyez comme je porte mal ! je ne vaux que dalle ! une merde à braire, rien de bien pharamineux pour vous plaire ! laissez-moi poursyui vre la misère hautaine, mon verbe de gueux, mes paroles saintes, mon voeu de chasteté troubklée, ma victoire sur herbe, mon temps de passage, ma vitesse de grâce, mes émoluments pariétaux (aurochs et chevaux) : de grâce ! ne me tuez pas comme une merde molle ! je suis mal : mal dit, mal dégrossi, mal venu, mal charpenté, mal dégauchi, mal ficelé, mal poncé, mal bâti, mal monté, mal verni, mal débité, mal serré, mal conduit, mal montré, mal désigné, etc ! jee ne suis pas celui que vous croyez , voyez ! Dès lors que dire ? il s’a git ici de comprendre un fait, ce qui est est . Ce qui n’est pas n’est pas (combien de fois ?) et pourtant : la chose est à comprendre «au fil dfu temps» et nulle part ailleurs . Nous devons comprendre au fil dfu temps et nulle part ailleurs . Nous devons cerner au fil du temps les données de base, les données qui s’offrent à nous au fur et à mesure que nous avan,çons sur pareille voie de halage. Qui pourra nous donner le change ? qui connazit la cklé desz entrées romanes ? qui sait ce qui est en ce lieu de perdxition ? ouvrons et regardons et que voit-on ? Nous voyons cette chjose ici d’une sorte de paradis ou comment, herbe folle ici qui pousse à foison. Nous sommes entrés et que voyons-nous ? le paradis des prés de’une lande herbacée de fait.Nous disons que bnous sommes entrés, entrés en ce paradis qui est champs d’herbes hautes à tout va. je vois ici l’herbe des prés. Je vois ici l’herbe des prés pousser. je suis homme-cheval de gré, allant sur roche à la recherchje d’une clé d’entrée, pour un passage à l’intérieur d’une rocxhe percée. je vais en elle et pousse ce qui est en moi d’une sqorte d’animalité narquoise. JHe veuc comprtendre les données du monde facial pariétal. Je veux comprendrre ici ce qui est au loin qui pousse et tend à me donner un change de destinée. Qui me dira la conduite à tenir ? qui saura m’in-diquer le chemin de grève ? qui est la personne attitrée à pareilles données langagières, à pareilles données de base langagière , qui ? qui va loin ici ? le temps est le temps donné rageur, le temps est temps donné rageur comme une vol:onté venant d’en haut quisaurait nous parler «comme il faut» sans nous troubler. Je veux savoir ces mots ce qu’ils contiennent. Que contient lke mot «misère» ? que contient le mot «if» ? que contient kle mot «trait» ? que contiennnent les mots «traits de joie» .? que contienent lesq mots «va de branle « ? que contiennent les =mots «chargements directsq « ? que contiennent les mots «m’as-tu vu l’ami fidèle ?» ? etc ., car je veux y trouver mon miel de connaissances, y trouver matière à penser kla terre, le ciel et autres tourments paysagers, je veux toucher la mise et m’en aller. Je veux me sauver. Je veux filer loin dans les remblais et comprendre ce quyi est en cette chose d’une vie (allouée) sur terre et dans le ciel. je suis dans une sorte de demeure entouré de bêtes. je suis comme veillé. Je veux aller debout marcher et rencontrer des âmes bien nées. Je ne veux pas tomber de cul sur les passdages des données votives ou autres mais charger bon pied bon oeil mes données xde rage à même le VErbe de céans. Je suis l’homme qui va, qui foule, qui comprend, qui pousse, qui contient. Je veuxx contenir le plus possible, comme une outtre . Je veuxx être  cet homme de la foi dans ce tourment de soi dépl

acé. je suis homme qui veut aller et comprtendre dans la profondeur d’une voix placée sur roche comme une donnée de grande importyance en vue de se sauver. je vais et je viens et vois ce qui est autour de moi en termes de bêtyes de poids. JE suis homme de la base, rustiquement mal déployé. Je vais et je viens dans les champs d’herbe hautes fouurragères. Je veux toucher la timbale , l’atteindre fisqsa de mes bras, comme un hochet. Je suis l’homme je de la base rustre, ambivalent, calfeutré chez lui un temps, obnu-bilé par un savoir de ra ge en lui qui le pousse à) tracer fissa les mots de la lande sur roche des Temps. Il soupèse (pèse) et cherche à comprendre et cerner le poids des choses, ce qu’elles sont ou réprésentent, ce que pareil poids masque, recèle, contient, désigne, donne en fait de savoirs à déployer etc. Je suis l’homme soupesant sa peine légère d’être vivant dans les confins. Qui me dira le mot de la fin ? qui saura m’indiquer le chemin de la voie du sentier des grâces ici bas ? qui est kl’Empereur ? qui est le charmeur docile : moi ? Qui pleure à tout crin son émoi de base motrice ? Je veux savoir ici ce qui se trame en termes de données de base rageuse (ici rageuse, ailleurs rugueuse comme un pied de nez). mon corps n’est plus mon corps mais le corps d’un autre. Mon corps m’échappe incidemment et se montre coriace pour x raisons qui lui incombent ou sinon comment, et coriace pour qui ? pour la personne ici qui tremble, qui mate en tremblant. Je veux pousser loin les recherchhes  lancées, les recherches de fond qui sont recherches de données fiables. je suis homme des tribus sacrées, cherchant cheval à ma portée et voulant courir sur la plaine à grande enjambées. mon cheval a le nom qu’il porte continuement = Cheval de Joie de sa RAce Dure. je suis homme-cheval des dires déposés. Je vais en cette roche dure déceler (ou dénicher). Je veux comptrenbdre au mieux ce qui est qui tente ma gouverne et attire l’oeil (l’oeil du dire) de ma foi en l’au-delà. Je vais vif sur roche? Je veux savoir. je veux comprendre. Je cherche un trait de rage à lmême le temps. ICi est la chaine ou le chainon manquant. la terre est justicière. le sommeil du juste est mien ou est le mien dès lors que je comprends. Je tombe nez à nez sur terre ferme, le nez dans l’herbe. Qui mesurera ma parole échancrée ? quyi jugera icelle de près ? qui lira mes paroles sacrées ? qui saura ce qui est dit à travers une misère de paroles échangées comme une monnaie ? car la vérité se loge là, dans la monnaie, plus la peine cde cxhercher. QSui saura dire ce qui est de ce qui n’est pas et inversement sans s’emberlificoter et y perdre le nord plus qu’il n’en faudrait en vérité, qui ?Je me loge ici même (verbal case) pour une recherche de tous les moments de grâce. Je me pose enjoué, je vais vivant à l’intérieur, car le but affiché se situe là, dans c ette volonté d’y» entrer vif = vivant comme un «échancré de ta race dite», pareil ou pas si loin au juste, et pourquoi cela ? Parce que je suis là homme des bois = homme aux bois = chevereuil ou cerf de céans, bete de ta rage au ventre, colère des fées, sentiment exacerbé de misère interne, double voix qui parle en ses noms dupliqués, échos de voix de bure, chantournements à la dérobée, courbettes, façons, loopings dans les prés à la manière de l’aviateur renommé. Je  suis l’homme au bras d’or. Amphibie. colère personnifié comme jamais. KLa colère en moi ne faiblit pas, qui gouverne ma gouverne. La colère est en moi qui jamais ne cède et qui toujours pointe, cxherche à percer le mystère, le voile des réalités, le tyissu tissé de mots du Verbe Nacré. je vois lka chose depuis moi, qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien , à savoir : l’écriture du passage, le tracé nboir sur blanc d’une phrase, le trait courbe, les traits d’incise, les riches heures d’incise verbales, etc. Je veux dépoter. Je veux que kle sang gicle en ces contrées et tâche (souille) la lande comme un sang versé d’une bete rosse. Je cherche ce sang en ma voix, en c ette voix de freluquet cherchant pitance ici et là comme le mendiant de la fable : à l’arnaque, au débotté, faux -fuyant, mal encouragé depuis l’intérieur, etc. je suis homme au sang chaud de son antre. Il se peut que mon sort soit déjà tracé. Il se peut que ma voix soit morte cde fait et ne puisse jamaisq exp^rimer son dire en entier. Il se peut que mon corps lâche et tombe, lâchat et tombât le nez à terre et mourut. QZui pourra le dire ici .? LKA voix ne dit rien de plus que son timbre alloué, et lmes mots de parole sainte sont vifs peutêtyre mais creux d’aspect rupestre. Les mots de ma voix sont titres , sont paroles perdues quoique déposées. Il n’y a rien qui puisse être plus à même d’être ce cxhemin, cette voie d’accès. Rien de tangible ici qui puiiissee être chemin d’accès pour une entrée (princière) dans le sas des sas de la destinée. Le monde est clos comme une outre vide (à vide) . Il s’agit de le comp^rendre et de l’intégrer à sa propre gouverne ddde 

à sa propre gouverne interne. JeE suis un homme, qui va sur herbe, fonce, va loin, fouille, cxherche ici et là. Où est logée la vérité ? qu’est-elle au juste ? quoi est ce sentiment que nous avons de pouvoir en découdre sa ns frais ? comment pouvons nous comprendre cette chose ? qui saura placer le mot qui convient dans sa case ? qui va savoir parler au tout-venant sans embarras ? qui est la personne idoine, responsable, motivé, qui saura parler d’un ton approprié ? Je ne suis pas vcette personne hélas. Mon verbe est court, maparole rustre (et rude), mon corps frêle qui faiblit. M%a voix est celle du freluquet, du gamin de base, l’aspirant, kl’homme en herbe. Je veux pisser dru mais que tchi de premièere, ça veut pas. Les mots qui sortent de ma bouche sortent à la queue leu leu comme une tresse de hjoie. Je voudrais que les choses perçassent d’elles-mêmes la paroi du temps et me permissent de me  dép^loyer de tout mon long de base nominal. Moi suis moi, pour ainsi dire ! Mais... non ! pas tout à fait ! ca r mon nom fait les frais de cette opération de désenvoutement. ou comment sinon . je voudraois comprendre les données ;les plus ancrées et m’offrir ainsi comme en partage de données mooi-même?.Je suis celui qui cherche à comp^tendre loin ce qui se trame en lui en fait de destinée. Qui je suis dont j’ignore le nom. Qui je suis dont j’ignore tout. Qui hje suis dont le nom m’échappe. Qui je suis qui pleure son nom de rage et le pousse fort au-devant comme l’inscription-incursion, ou comment d’effigie votive . Je vais vif en roche inscrire mon nom, incision-inscription pour une obstruction. je suis celui-là qui comprend au loin les données natives, les dfonnées frêles, ou du moins qui pense les, sinon comprtendre de fait, mais les toucher du doigt. Le doigt ici est ma gouverne de tete? Ou sinon de tete : de joie (joie ici signifie je). Quand je chante je sais. celuyi qui cxhante sait. quand hje chante je vois . quand je chante je conçois un échaffaudage, une structure, des données de base architecturale, toute une construction-inscription qui fait office d’obstruction , d’empêcheme,nt de pôids à un passage délivré. Je sais cette chose xde l’empêchement de nature verbale déplacée, et je vois ce qui est qui vca loin en cette xchose d’un savoir dit «de mémoire» , soit basé sur des reliques déposées au fur et à mesure des avancées . reliques folles,; on sait la chose. complètes, pleines, creuses, pleines et creuses, objets. je subodore les données ancrées à même lka roche comme étant de celles qui contiennennent en leur sein moults trésors de provzenance diverses , qui sont de ceux qui peuvent nous aider à nous y retrouver incxessamment ici ou là ensemble pour des découvertes à mener de front en bonne intelligence. ici la tête. et pourquoi pas? nous sommes nantis, nous avons de quoi. Nous so:mmes «de la misère en toutes choses « comme les descendants et cependant nous pensons pouvoir trouver ici ou là clé à notre mesure. La mesure ici fait foi. La chance est (sera ?) au rendez-vous . La peine tout comme (tout contre). et aussi les sentiments concomittants, ceux des régions centrales à nos tourments d’homme vivant dans la lande. Je crois en dieu manifeste, tombé sur terre, déployé et relancé par du Verbe des prés. Car l’herbe est de celle que bnous aimons (nous autres, phacochères ? antilopes ? mammouths ? brouter. nous aimons manger de l’herbe, bnous aimons manger l’herbe verte des prés de destinée, nbous mangeons continument l’herbe verte de sous nous (nos pas) qui allons fissqa dans la lande à la recherche de la vérité soit (on le voit) de l’herbe de la v érité. SQui l’eût cru ? qui pensaiyt pouvoir ? qui savait cela ? qui pensait pouvoir ? qui eut pensqé cette cxhose ? qui croyait en cette cghose ? quyi avait des vues sur cette chose ? sinon qui d’autre que ce dieu de ta ra ge rude, celui-ci : l’aurochs ! peine perdue ! le mot est dans la case ! la chaleur du sein maternel est une cxhose bonne pour qui veut ou voudra aller, szoit filer, à même la lande à larecherche de la vérité. Car la vérité est une chose rare, ou peut êtyre (sinon rare) à dénicher «comme» une chose rare. Le nid de laportée, etc. Mon coeur est coeur qui veut chanter la gloire céleste, je le sens. Il ya à chanter (en soi) des cghoses c’est une évidence. NOus sommes contenant le chant, du chant, un chant permanent, acté, vrai, ficelé en soi comme une liane. en nous il y a du chant. il y a du chant en  nous. ficelé comme une liane c’est une évidence ! nous savons cela depuyis touy,ours. Nous sommes avertis et aguerris et savons cette chose ici depuis longtemps, depuis des milliers d’années en arrière, nous savons cette chose du chant intrégré (fissa) à nottre gouverne et  ce depuis la nuit des temps ou dit autrement : depuyis kla naissance et plusq avant, etc. Je suis homme qui sait en lui lke chant animal des prés; lk’aspirant écrivaillzeur dxe rage embringué» et mis à mal dans une tourmente animalière langagière de première. Je suis cet animal des prés de ta race, ami ! Je suis celui-ci et ne m’en vante pas  car je suis meurtri. Je suis homme qui va dans la lande à la recherche de lka vérité des temps et il me semble que je m’en rapprocjhe assurément, cvontinuement, fractalement, fatalement, incidemment, vo:lontairezment, gentiment un peu plus tous lkes jours en matinée. Car je suis lancé comme un, animal sur pattes. Je suis homme de la lande aux pôuvoirs divers et variés, sacxhant chasser et davantage, pouvant déceler ici ou là une vérité nichée, ou même sachant parler à haute voix les mots d’une rage intégrée et digérée comme une denrée? le fruit de mes paroles incantatoires est à lire pa ge  24, il se fait. je sais comment : à tue t^tete en «rentrant dedans», et c’est fait. je veux dire ici cette cghose du tourment de base menant le monde comme il va, ce tourment sacré est intégré à la gouverne tétière humaine (cervelet ?) et panse les plaies (intériorisées) d’une volonté en nous ma rquée de «ne pas y aller». Nous avons (portons) en nbous misère = cette volonté de «ne pas y aller» et dès lors (disant la chose) de faire ainsi la chose = ne pas y aller. je pense donc je suis celui qui reste, qui est car il reste. je pense (ou parle, mets des mots) et donc je reste = comme une donnée. Je pense donc je reste= j’y suis j’y reste et c’e’st ainsi que je fais 1 pour ma gouverne (tétière), 2 pour mon salut de contre-bande (etc) à chevakl. mon envie d’en découdre ainsi s’inscrit ici ! Je suis homme-ombre-hombre etc qui file à toute enjambée sur la lande et ne s’en laisse pas conter plus qu’il n’en faut pour sa gouverne ! je suis hjomme vif des paroles vives. Je suis ce»lui-là qui pôusse à cran les données rageuses et cherche dans le vent, dans l’air, dans lkes embruns, dans la brume ce qui est qui puisse l’aider à cerner une vérité (tangible) de près. me voici cheval = transformé ! je suis celui qui est = je suis 

celui-là qui reste à quai et ne meurs pas : je pense donc je ne meurs pas ! tant que je pense je ne meurs pas. Penser = conserver son étant en vie, etc, et voilà pourquoi la chose s’incruste et jamais n’en vient à s’en déloger. Nous nous voyons ainsi nanti d’un appareil de dires  c élestes, dires fols qui tendent à monter, à grimper comme la p^lante non r»écoltée qui va monter en graines, etc. Le dire devient vite fol qui monte en graine religieusement et atteint des sommeets de rage. je suis ombre de moi-même en cet étau de vie. mon êytre est aillleurs (animal xdes prés) qui court (à bride abattue ?) sur la lande. Mon corps sera mort et sezra jeté. Il se peut que cela soit un jhour. il se peut que la chose un jour soit. il se peut que cette cxhose un jour advint et que mon corps fût jeté vif en un trou de passe. Qui dira laz chjose ? il se peut que (un jour) une personne vint à moi (vers moi) pour me pousser et me fzaire chuter et me tuer et me cacher. je suis cet homme de la mort par poussée , par peutêtte poussée interne : chacal de soi qui pousse à faiblir et faillir. on ne sait. Les choses sont peut-être écrites à part soi et nous en recueillons bon an mal an les dividendes pour soi. nous avons pour nous ce Verbe de la foi en c ette chose de la mort comme de quelque cxhose qui est et n’existe que pour soi. Je pense donc jh’y suis hj’y reste ? Je vois devant moi une chose belle» = certaine = sûre = avérée = tenue = physique = charnelle = vraie comme une déité de dires dit «de la réaklité».Mon corps en subit les effets. Je suis homme-hombre à la gaillarde du train d’avant. vivement dimanche (le jour du seigneur) ! je branle oh misère : de tout mon poids ! je suis homme des parfums ancréqs et des couturières ! vive la vie qui va vive ! chaleurs ! obligations ! mes obligations cxharnelles : envies de vie dure, envie de vit dur, etc ? Je tente l’approche, me rapproche d’elle et lui dit le mot du passage. qui est l:à pôur moi ? je vais en roche dure dur. Je suis cvelui qui va en roche dur. Je cvommunique avec l’au-delà. Je veux commmuniquer avec l’au delà = commu(niquer) ou comment ? je syuis ombre d’homme sur page des temps, sur paroi mobile : Verbe haut capitaux. Je veux comprtendre ce qui est en  cette chose d’un dire haut (venu) qui serait dès lors la monnaie d’échange. Je cherche à comprendre ici ce qui est qui file à vive allure dans le sens d’une pesée liée à des questions de capital. je tombe à la renverse. Ici je suis qui cherche à comprendre cette chose (bien venue) d’un dire alloué à du capital, à de la monnaie, à pareille donnée de base à échanger : le prix de la peine à être. nous allons ensemble (la bête et moi) à larecherche d’une vérité d’emprunt (on voit laquelle). BNous allons ensemble, soit la bête en moi et moi, à la recherche d’une vérité d’emprunt = empruntée) avec intérets à la clé ! et voilà la clké laquelle ! Nous essayons ensemble de percer grand nombre de mystères enchâssés, et pour ce faire nous devons creuser le verbe (animalier) à même la venue princière, ou sa survenue princière. Nous devons comptrendre ensembvkle ceszcdonnées et, les ayant comprises, voir ensemble (toujours) à les déposer cde rage sur paroi (pour l’homme d’autrefois) ou ailleurs au demeurant pour soi, ou pour nous qui frayons avec le présent du =monde adjacent. Nous devons comprendre. BNous devons aller ensemble. Nous devons filer doux ensemble et comptrendre ainsi, ainsi accol;és. Nouds devons rester soudés et accolés comme deux moitiés d’un même fruit, ou comme deux moitiés d’un même êztre à deux côtés qui se ressemblent, comme pour nous. Nous devons coller à cette chose d’une vérité inscrite dans le temps, vérité-monnaie qui dira la CXhose crûment et nous donnera des ai:les (innocemment ?) . nous devons poursuivre sur notre lancée et  ne surtout pas abandonner trop vite ! nous devons poursyuivre fissa sur notre lancée toute animalière et y aller de la sorte à crann, à cru, ou cul nu ou comment à même terre-mère des tourments. Je suis homme d’épopée salutaire. Je pense donc je ris. la parole est misère qui ne perce pas (ou cherchera à ). mon ambition. mon souci. Ma chance ? ici est la chance ? ma cxhance ou pas s’inscrit de visu in situ. je tombe à la renverse, encore une fois, pour mieux me relever de pareille misère allouée à une vie de règne ducal, ici même, en ce lieu des paroles drues débordées. je veux coomprendre les données les plus secrètes de la vie et de la mort. Je veux comprendre ce qui est (de la vie et de la mort) au plus juste des tracés de roche, et pour ce faire : j’y vais, je ne lésine pas, je file fissa, je m’engage dans la voie d’une parole assumée, je craque les coutures d’un corset langagier trop ressérré, je vais en pareille lande oou pareil pré à bride abattue comme un forcené, je file fou mon allure étrange, cavalcade, vive embardée, je fonce en v eux-tu en voilà à même les herbes des prés. HJe suis parti. je ne suis déjà pluds là. Je suis passé. Je ne suis plus de cemonde calfeutré. je tombe sur les fesses à vif. Je suis tombé et retombé et pourtant me voilà vibrant comme jamais, renouvelé comme une entité de roche, remis en selllle par en moi une gouverne animalière perpétuelle, etc, le coeur parle pour moi son lan,gage animalo-sanglant, ou comment dire cette chose d’une sorte de soutien de vie de type animalier comme il se doit pour un coeur transi. Je tombe des nues à perpetuité, voilà ce qui est ! la chose ici est celle-ci. je tombe à perpétuité des nues. Je tombe des nues à perpétuité . Je suis tombvé et je tomberai à perpétuité des nues de l’enfance de la joie d’être. je comble. je trace. Je traque la vérité sous tous ses aspects par la bande et pour cela j’ouvre grand mon antre-coeur de passage et incorpore tant et tant xde ce Verbe fol (animalier en diable) faisant obstruction à la mort (du temps) en son heure, ou comment ? à qyui d’autre ? Car la mort est entrée dans la demeure, la faute à qui la faute au petit animal des prés ou alors au petit ver dans une pomme ou sinon ? Je cxherche ce qui est qui est. La voix qui parle est une donnée de rage motrice. Quand je parle je ne suids pas là. Je veux comprendre les données de base dans leur profondeur de parole drues, échangées, instruites, dirigées. QSuand je chante je ne suis pas là. Quand  je pense je ne suis pas là. je suyis l’être aux doux pouvoirs de bure, enchassé dans l’herbe comme un animal, je broute ma vive denrée, je cxhevauche des données, j’avance à pas cadencés. Je suis bete de rage au front haut boisé. Chevreuil de destinée ? caroubier ? quelle est en moi la bete ou l’arbre de tête ? je suis homme des temps reculés qui cherche à comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour moi qui cherche à comprendre. Je veux soigner tel ou tel dire en particulier pour le présenter devant moi en tant que tel : pierre tombale. je suis homme des temps reculés, à barbe ou sans, charmeur ou non, nu de sa race intègre, peuplier ? je cherche ! je ne suis pas ça . Je ne suyis pas ça. Je ne suyis pas ça non plus. je suis ça ou ça. Je suis homme ombre hombre étoilé par en moi la voix des prés et des champs de blé. je suis étoilé par en moi la voix qui chante que tu chanteras de ta race boisée. Je veux être. Ne suis quoi d’autre que ? que quoi suis-je ? suis je autre que queue ? qsui a dit que oui ? je cherche à me rapprocher de telle ou telle vérité de base, qui pour moi sera vérité d’appui, car je me fais vieux au fur et à mesure de mes avancées et je me dois d’en découdre (de la vérité) avant de trépasser. vais-je pouvoir? vais-je pouvoir acquérir des savoirs de branche ? qui a pôur moi une réponse qui fasse le poids ? je suis homme des prés (oui) et cependant aussi la bête en soi , qui, renaclant, trépigne d’en savoir aussi, un bout ou un autre, comme nous. NOus disons que nous sommes xdeux à vouloir, nous disons dès lors que nous sommes deux à vouloir dès lorsq. Nous disons dès lors que nous sommesdeux à vouloir savoir = de concert. Savoir de quoi il en retourne dans les champs de blé concomittant. Savoir ce qui est pour nous qui bnous attend et tend à parler, à dire (=signifier) ce qui est en cette chose d’une vérité (des limbes) cachée. Je cherche = nous cherchons. Car nous sommes deux (en moi-même) à cxhercher que tu cghercheras. Nous cherchons à deux = à toi à moi, bras dessus bras dessous ou sinon un pied l’autre, etc. Une démarche pour une foi en la mort pour soi. 

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1/02/2022

Je regarde devant moi et que vois-je ? du verbe, de ce verbe vif déposé sur un devant de soi. Je suis là pour une chose à découvrir. Je veux comprendre les ressorts de cqui est qui se montre et au delà. Mon corps est ainsi en mesure de toucher au Verbe d’un devant de soi déposé . jre cherche aub mieux les raisons (en moi) qui me font espérer en une découverte, majeure, s»rieuse, déposée, mise en place sur pareil devant d’éternité. Je veuc x comprendre au mieux les ressorts qui sont, afin d’aller profond et de trouver en moi l’animal de base, quel il est ou quel est-il ? car est il celui ci qui charge de toute sa force son allant en moi, ou bien celui là qui regarde en moi et cherche à en trouver l’issue ? je veux comprendre au plus juste et au plus près les choses de ce monde partagé, ici la bête qui renacle en moi, là mon etre déplacé, mon corps de bure déposé sur ce devant hospitalier. Je suis l’homme bi des certitudes = cette chose doublée, cette chose double, etc., mi homme des attraits et mi-cheval des commùunes . j’aspire à trouver ici et là un grand nombre de données qui feront de moi cette bete mi-rosse mi-douce des abris. je vais sur ce terrain-là enfourché, je cherche issue et demande à droite et à gauche qui pourrait m’aider et me glisser le mot qui convient à pareille recherche vive, à l’oreille, pour me guider. Je vais en cette chose d’un devant de soi, je suis ce cheval des bois, je trépigne de joie, je suis je l’animal à la belle robe. Mon cvorps est musclé, lissé, je brille . jre suis cheval des prés qui va sur ce dfevant d’un soi de parade (cavalcade) et s’ébroue. mon cvoeur est coeur de joie . Je veux comprendre au mieux les données du monde : qui suis-je que je ne suis pas ? qui ne suis-je pas que je suis ? est-ce possible ? je vais et je viens en cette zone neuve des abris de toutes sortes, je m’avance nonchalamment, je veux trouver , dès lors je cherche. Je suis cet homme qui, assidu, motivé, pris par en lui la voix de la Chose, cherche vivement à comprendre au mieux les données prése,ntes d’un monde d’alentour à soi, celui-ci, qui est cet espace-temps pariétal. Je suis cette personne aux abois. Je veux savoir + car je suis mi bete mi-homme et en tant que tel j’aspire = je suis aspirant. Je guette autour de moi les diverses données qui viennent toutes (les unes après les autres) à se présenter et me concerrnent = me mirent. Je vois ces choses devant moi et comprend que celles ci comptent plus qu’il n’en parait : ce qui est et qui se montre = une et autres choses dures, des tourments c’est une évidence : malmadies diverses, souffrances diverses, douleur incommensurables, pas qu’un peu. je veux savoir. Ce qui est ici est cette chose d’une sorte de massif de joie mais déplacé. Le massif de joie est cette montagne sacrée déplacée = devant soi et non plus accolé, car fut un temps où ce massif était en effet accolé à soi et n’était pas cet espace-temps de rosse donnée comme à ce jour. Le massif de la joie ou massif de joie avait pour lui d’être accolé et pouvait dès lors nous permettre de nous protéger. je vois les choses comme elles sont, je suis celui-là qui veut et cherche à voir, qui veut voir et cherche à voir les données les plus naïves-natives premières-primaires car me voilà qui vient vers vous, quyi approche de la «vérité en toutezs choses» à grandes enjambées mi-humaines mi-chevaline.  Je suis le cheval des landes, je vais et je viens à la carmagnole, je veux comprendre au mieux toutes ces données concernant un monde qui serait ce monde des vivant la mort de près», qui sont ils ? Mon coeur demande à savoir métronomiquement. Mon coeur cherche à comprendre chevalinement, car en moi résude (résidu) le cheval de la rage à dire sa voix, sa voix de coche? Je veux savoir au plus ce qui arrive ici dsans le sas = espace temps des courtes vues, etc. Qui va là sans lumière ? qui est qui ? qui est qui devant soi ? qui est cette personne devant moi qui me reluque de la tête aux pieds (de pied en cap) et ne cesse de m’aguicher : la mort ? oh certainement, on la connait, on sait pertinneme nt de quoio elle est capable obstinément. je sais cette chose ici d’une mort qui mate. Cela est connu de tous et toutes, cela est une certitude. Cela est même la plus grande des certitudes : la mort mate, oublie. Elle n’est pas là pour du semblant de joie et ne s’en lzaisse nullement conter par qui que ce soit, elle est fière, dure, rude, brute et charge en veux-tu en voilà sans regarder qui de quoi ni à la dépense ! Elle est moche ! elle ne ressemble à rien ! elle n’a pas de la beauté du monde adjacent et ses formes peuvent revêtir des alluures étrandgement fades ou mêmes maussades. je comprends ce qui est (du monde adjacent) à la mesure de la Chose ici qui mate. qui est elle ? qui est cette Chose ? eh bien voilà : nous avons affaire à une sorte de petite (?) bete des prés, une biche ou un chevreuil, une petite biche, ou bien une chèvre, ou bien la brebis galeuse, ou bien la brebis tout court. cette bête est une bete de la joie du monde et aussi la bete des attraits. nous cherchons dès lors pareille bête autour de nous, nous espionnons ou plutôt inspectons tout autour de nous et que voyons-nous ? cette petite (?) bête des attraits, nous la regardons dans le blanc des yeux, nous comprenons que cette bête est là (et bien là) pour nous, pour nous parler, pour nous dire des choses, pour nous guider, pour nous donner le change, pour nous indiquer le chemin de base, pour nbous indiquer la voie la plus courte vers cet au delà de soi, cet espace de la joie votive, ce coin des durées, ce ventre mou. Je regarde icelle bête devant moi, elle est celle-là qui connait un grand nombre de données de base concernant pareille entité votive. Qu’a t elle àà nous dire ? elle a à nous dire ceci : comme quoi la vie est cettye chose des attraits, des beautés nacrées, des couleurs vives, des douceurs mais aussi cette échancrure dans la toile, dans le lin de la roche des temps déplacés à notre gra,ndétonnement ou comment ? Je vais vers la bête, je m’approche d’elle. La bete connait bien mes volontés car elle lit dans ma pensée. La bete est autre, c’est à dire l’Autre. Cette bête est pour moi celke-là qui sait pourquoi je m’apprioche d’elle et quelleq sont les intentions qui m’habitent car elle voit loin et longtemps, elle fouille les êtres, elle comprend à demi-mot ou sans mot en vérité, elle a vite fait de vous cerner. La bête est cette Chose devant soi en interposition d’avec la mort. Elle obstue le paysage (la beauté) et ce faisant sert de bouclier. il y a la bête-mot (ou bete tout court) d’un en-soi de vie pariétale et la mort «de l’autre côté» de la bête-mot. on voit cela tresq bien, on comprend les données ici, on s’en approche du moins . je vois la Chose ici en tant qu’elle est celle-ci qui me regarde, me concerne, m’épie, me soupèse du regard en se disant = «mais qui est donc icelui qui va ainsi devant à mon approche ?», et moi de rétorquer : « je suis celui- là qui vient à ton encontre ou à ta rencontre dans le but avoué (affiché) d’en connaittree fort, d’en connaittre le plus, d’en savoir un max, etc, sur les choses du monde : peux tu m’aider ?», et la bête de répondre : « oui je peux car je sais des chgoses, je suis fine et gracile, fringante, je cours vite, je suis lancée et charmaeuse et charmante, etc, je peux te donner le change, je peux t’offrir le change, je peux être de bon conseil pour toi et pour ta gouverne, jhe peux t’aider sans arrière-pensées, je suis biche et brebis, mi biche mi-mot, mi brebis mi antre, etc, je suis hybride, je suis la bete qu’il te faut», et moi de me dire comme quoi j’ai bien fait cette chose d’aller, de gravir la pente, de monter tout haut, transe, transe, et toucher, la toucher la toucher, transe, montée ardue, monte que tu monteras, me voilà en haut . je suis tout en haut c’’st à dire en lévitation. je suis à présent cet être de peu en lévitation. je suis monté. Je suis monté sur pareil monticule de base. je suis tout à moi sur pareil monticule de base, je suis arrivé à bon port: de quoi s’agit-il ? il s’agit de cet endroit de la joie d’être, cet espace quasi mental, ce trou de fosse, cettte sorte d’excavation qui serait celle d’une sorte d’appétance pour la joie de figurer ici en tant que quoi, en tant qu’homme-biche, ou homme-cheveruil, cheval ? en tant qu’homme-cheval, brebis ? ou homme-brebis ! je vais en ce mont et mate. Je suis monté, je vois loin, il y a loin à voir, l’horizon de nacre, les fumées, la veine bleutée etc. Je comprends que l’enderoit est propice à rêveries, il y a cette chgose pour moi à comprendre, cette chose d’une rêverie de base, une sorte de romancero intérieur, une sorte de danse macabre (?) ou commùent ? sarde ? je vais et je viens tourneboulant, je fais des tours et des retours, je tourne que tu tourneras, je suis le danseur des bois, je suis dans la transe sarde, je comprends . je suis monté ! je suis tout en haut du monticule et de là je vois loin ce qui est qui me regarde et m’appelle de son chant d’azur, etc. je suis homme-biche nacrée, je suis homme-cheval bleuté, je vais de monticule en monticule, je vois alentour, je suis hy = hybride, je suis bi = bi-être, je suis mi = chanteur ! je vais loin car je connais les lieux et je me laisse ainsi guider par kles effluves, je suis l’être du mont de la joie d’en être. Mon corps entier est passé ! hourra et gloire à toi, le cheval ! gloire au cheval ! gloire à toi le canasson ! gloire au cvanasson ! gloire à toi l’animal ! gloire à toi animal des prés ! car je suis en toi et tu es en moi, et à nous deux nous faisons la paire et aussi la Chose (comme quoi) qui pourrait nous en dire long si seulement la Chose voulait (via nous) et pouvait se poser (quelques secondes) pour nous évoquer toutes ces choses qui sont choses de première main, choses rudes mais premièeres, choses des temps naissants . nous espérons beauycoiup qu’un jour, un jour prochain, la Chose, la Chose voudra, etc. Voudra-t-elle ? rien ne le garantit ! Elle vit sa vie de Chose hybride, détachée de nous, lointaine si elle le désire, etc. mon souci premier en toputes choses est de comprendre ce qui est, ce qui se trame aux alentours de nous, dans le sas des sas, dans ce sas des atours, des entours, etc, c’est à dire tout autour de nous. J’aspire à en savoir long soit le plus possible . je veux espérer = j’ose espérer. je dios cette chose comme quoi la vie des entours est celle-ci que nous qua;lifionds (en petit comité) dee borgne quelquepart, et pourquoi borgne ? comme d’une porte, ou d’un mur plutot ! voilà les don,nées, nous disons les choses telles qu’elles nouis adviennent, c’’st à dire telles qu’elles arrivent (ensemble) à nottre intellect. Je charge = j’avance. Je suis mi- mi-, et cela étant jre grimpe comme l’animal (en lévitation) de la fable (l’âne d’or ?). je veux comprendre plus plus plus que ce que je sais de ce qui est, et que sais-je ? Je sais par exemple une cghose, cette chose d’un savoir ancestral et premier , même premier, etc. cette chose est celle-ci : comme quoi la vie des atours (entours, alentours) à soi = une sorte de zone franche, mortifère comme pas deux, ultra-dangereuse de base et casse-pipe de première. cela est une chose des plus sûres . Et donc c’est déjà pas mal . Il y a bien sûr mille et une chose de plus à comprendre icicbas incessamment, on est d’accord, or il est bon de rappeler la Chose commùe quoi la vie est souffrance (depuis la naiossance) et n’est pas une partie de jambe en l’air ou commùent dire , ou seulement partie de jambes en l’air, ou comment dire, ou seulement, des choses de joie, mi chair mi poisson, etc. Je veux comprendre . La vie est parties de jambes en l’air mais pas seulement. La vioe est joie d’être mais pas seulement . La vie finit mal mais pas seulement . je suis l’animal choyé par la lande, je m’ébroue comme jamais , j’avance sur les platesbandes, je veux du savoir, des connaissances, des compréhensions, je veux des donn,ées concernant mla mort, je veux creuser à même le Vzerbe de destinée les choses essentielles à ma démarche, etc . et pour cela que fais -je ? je creuse ! J’y vais franco de port, j’y vais gaiement, sans regarcder à la dépense plus qu’il n’en faut : rotation, derviche, je file, looopings de ma race j’obtempère ! je suis l’homme des attraits comme il y a la biche des attraits, tout sensiblement pareil . je monte ! je suis monté ! je regartde et que vois-je ? je vois loin les données de base : le Verbe est un bouclier, il laramène comme jamais mais il a fort à faire et les choses sont qu’il ne peut faillir sans qsombrer, d’où telle attitude de ramenage, etcc . LE verbe est là (à sa manière printanière, usurpée, racoleuse, etc) pour comblker et faire barrage à la mort de ta rage concrète . La mort voudrait passer par tel chas d’aiguille rupestre mais tintin car les mots sont là qui (de bouche) obstruent le passage (à la bonne heure des sentiments !) et voilà pourquoi la mort est cet oeil de razge, cette sorte de tourment qui mate, cet olibrius de premièrere à nous chercher des noises, etc  . Je vois que les choses se présentent de la sorte et se placent de part et d’autre du cheval . Je comprends )à présent  l’importance de la musique, du fluide, de l’eau, des choses advenant selon leur propre rythme d’appel, selon le rythme d’emplacement qui sied à Nature rustique, à pareille musique de déroulé . Les mots viennent musicalement prendre place dans un déroulé pensif déterminé par des canons de rage placés. je comprends ces attraits sus-mentionnés comme étant ces cases dans les quelles musicalement la pensée de bure vient à se loger incidemment à son ryhtme de partage . Je comprends la cghose d’une sortye de mélopée qui laisse passer = filtre au fur et à mesure des choses d’advenance vive = de la vie . Je voios que tout setrame en soi selon le schéma que ce tout adopte et non point selon ma volonté d’aller . je ne pense pas donc je suis . jer crois que la chose est rude qui veut que nous fussions mortels ! Je ne veux pas de la mort de base, qui veut ? nous pleurons ensemble sur un parapet, nous sommes assis ou pour certains agenouillés et nous prions : de quoi s’agit il ? nous parlons dans un vide  ou creux de la rage d’être, nbous nous emberlificortons les pinceaux , nous nous mélangeons nos données, mi-homme mi bête, nopus sommes parés : fibrilles ! tresse de la joie d’etre ici cette chose hybride = hy, ou bi, ou mi, comme de coutume . Nous voulons creuser le plus loin possible la donne, nous sommes deux qui voulons creuser au plus loin possible la donne telle que nous (ensemble) nous nous l’évoquons et telle que nous (ensemble) la subodorons, car la donne = la chose des temps= cette chose d’une sortye d’appendice à la mort de base . Oui ainsi. car la mort a son appendice caudal, et la vie a son appendice caudal, et les deux savzent mélanger de base (de rage) pareil leurs appen,dices, ils savent, les deux savent mélanger leurs (le leur) appendices (chacun) c’est une certitude . cela est . Nous savons . La mort et la vie = main dans la main ! nous cherchons à comprendre loin ces choses des données de base, nous ne voulons pas ne pas nous approcher. Nous voulons co:prendre ce qui est (de la vie et de ma moprt) et pour cela nous nous unissons dans la joie et dans la bonne humeur et accolons nos pensqées natives,   . nous voulons comprendre loin = creuser dans la profondeur des données qui nous sont offertes par la bande . La bande est nacrée (on sait) et se prête volontiers à être exploré part telle goyuverrne mienne ou tellle autre gouverne nôtre . nous avons envie ensemble de mêler nos dires pour un creusement temporel ou temporo-spatiazl, ou spatio-temporel etc, ici même, au sein de la vie de base qui est vgie de rage pour tous et qui plus est à mesure de nos avancées en âge. Nous devons comprendre cettye chose d’une sorte de donnée comme quoi la mort et la vie sont en ménage, etc. fibres de vie-mort emberlificotée comme jamais, tourbillon nacré, chaleurs du rut ensablée ! nous sommes deux (homme et bete conjointe) à le subodorer, mais est-ce vrai, et si cela est vrai est-ce dicible (avéré et dit ?) ? Nous pensons des choses, nous pensons que nous devopns co:mprendre des choses, nous pensons que nous devons nous associer pour comprendsre des choses . Nous voulons comprendre des choses. Nous sommes ensemble (mi-homme, mi-bête) pour comprendre la chose ici comme quoi la vie a partie pleine ou partie prenante a vec la mort . -La mort est liée à la vie dans cette sorte de déroulé  temporel qui fait qu’elle est comme prise dans un, piège à son tour mortel . La mort est une sorte de fibre à vif (un nerf) pris dans les rets d’une vie tout aussi vive et nervurée . Je cherche à comprendre ce qui est, je ne suis pas chiche en la matière. Mon corps partira mais ma voix reste qui sonne mâtines et crie sa gouaille animalière ! JE vais sur le parvis . je regarde les alentours, je croise des reagardsq de bêtes ici et là (betes des bois ?), je cherche à cerner les données tenaces de la vérité, je ne lâche pas la grappe. Qui est là decvant moi ? qui se pointe en face)àface ? qui me cherche des noises ? qsui est là qui me regarde ? qui me regarde ? qui est là qui me regarde ? qui me regarde insidieusement ? Qui veut me voir sous toutes mes coutures sinon Dieu on l’a compris ! mais qui est Dieu  ? dieu est l’ami simple, l’ami fidèle, l’oiseau de bonne compagnie, l’etre de la chance d’être, la joie au monde, le bel innocent de la fable ancienne, l’ombre sans ombre, la belle meunière des abruzzes, etc . Nous cgherchons à cerner au mieux les différentes données apportées (de grâce- par la bande . nousv  ne lambinons pas, nous sommes tout à notre tâche . nous checherchons avec sérieux,, nous sommes 

nous sommes assidus. Nous ne voulons pas lacher la bride. Nous voulons comprendre le plus de toutes ces données de base déposées à nos pieds, déposées tout près pour reconnaissance et étiquetage .  notre but est de cerner les données du monde au plus juste du plus juste des chgoses vraies, nous pouvons comprendre ce qui est ici en tant que ce qui est est cette chose d’un monde fermé, obturé, pris au piège de la réalité des tracas et autres tourments de destinée . nous savons que les choses sont telles car la vie est torsadée. Nous voulons comprendre ce qui est au mieux et pour ce faire nous devons chanter à notrte tour ce qui est de ce qui advient, etc, et ne pas lâcher la bride jamais mais bien la maintenir contre l’en-soi qui est le nôttre un temps, soit celui de nottre temps à vivre une vie sur terre. Nous devons ainsi nous faiore à cette idée comme quoi kla vie est rage et la mort aussi cette chose liée, comme embrouillée, comme prise dans les rets de pareille rage, etc . je vois depuis les monts cette chose làbas d’une sorte d’horizon de nacre. je vois au loin cette chose d’une sorte d’horizon qui nous regarde, il nous fait face = il fzait que nous avons (ainsi) face à arborer, laquelle ? celle ci : vie-mort emberlificotée comme qui dirait la tresse ou natte d’un être de rage ? Je comprends les choses ici à) la lumière de la rage à être, et c’est ainsi. il se peut que la compréhension ailleurs aille ailleurs et se posât sur d’autres territoires de pensée. Nous nous disons des choses mais la vérité excède (de loin) les dires humains, voire les dires matinés (homme / bête) on le sait et on le souligne ici. nous voulons toucher les cghoses du monde et pour cela nous devons creuser dans la profondeur des données de base déposée . Nous avons à toucher la Chose en vrai = en dur. Est elle de la partyie(vie-mort accouplés) ?Est elle cette chose qui cherche passage à tyravers nous (bouche ouverte) et cela pour la bonne cause (causerie) ? nous pen,chons pour le oui . nous avons à nous positionner et  c’est exactezment ce que nous faisons en priant , agenouillé, espérant en la venue un jour d’un être de salut . nous voulons combler le trou de notre bouche par des mots d’attraits (garnements) qui seront étoupe faisant barrrage. Notre but est affiché. Nous voulobns combler d’étoupe le trou de la bouche et faire barrage à lea mort de rage . nOus nbe voulobns pas mourir . Nous ne voulons pas de la mort . nous voulons conserver par devers nous les données vives de la joie à être et à vivre une vie d’emprunt. notre vie est ainsi délimitée, cernée, dessinée. je regarde lers données du monde et je vois que ce qui est est une xhose rude de chez rude pour tous (pour beaucoup sinon pour tousq). nous voulons être etres de rage comme est la mort et rétorquer du tac au tac et pourquoi pas ?  Car nous sqommes remontés, nous sommes à bloc, nous sommes deux qui sommes remontés et forts de notre envie de bousculer la donne. NOu somm es deux qui voyons les choses du monde alentour nous coincer pour ainsi dire . notrte but est de voir ce qui est au delà des alentours les plus sommma ires. nous ne voulons pas de la moprt de base, celle -là à laquelle noius sommes promis, nbous n’en voulons pas, nous ne voulons pas de cette chose rude. notre but est de chercher ailleurs et de trouver à même la vie de quoi sortir latête (d’éternité ? nous y reviendrons) et prendre un peu d’air, respirer, souffler, vivre dans la joie de vivre, vivre en joie, êztre joie, etre, etc. notre désir est ainsi signifié en toutes lettrtes . comment s’éloigner de la nasse mort-vie de base attitrée ? que faire pour s’en protéger ? où aller ? cvomment s’y prendre ? nous ne vcoulons pas mourir en c ette cgose d’une vie sous emprise ici bas, et pour celac : le Verbe en bouclier !nous comprenons pas mal, nous comprenons que nous comprenons ! nous comprenons que nous comprenons des cghoses de base, nous ne sommùes pas si betes que ça, nous ne voulons pas passerc à côté de tout. notre ambition est ainsi ici, qui nous dicte la marche à suivre. Notre but est celui-ci. nous ne vcoulons pas trépasser, nbous ne voulons pas succomber et de ce fait njous cherchons ensemble (main dans la main) à comprendre le plus, le plus loin possible, à cerner le plus, le plus profondément possible, les données les plus profondes, les dires de base, les mots de la joie de l’être des ou du temps, nous voulons comprendre dur. Ce qui est au monde est au monde nu. ce qui n’est pas au monde est au monde habillé. Les choses sont ainsi qu’elles se trament dans (ou par) des apparats. nous voulons cerner rude, comprendre dur, ttrouver la voie, aller dans les limbes et les catacombes, percer. Mais comment percer ? un pic est nécessaire ! Comment donc percer la Chhose du temps ? eh bien armé ! oui et de quoio ? de ton pic verbal de rage. il s’agit de ce pic mal ou bien  embouché ! Eh donc ? eh bvien ainsi armé tu peux lutter ! tu peux aller loin dans la profondeur des langages endiablés, tu peux danser la carmagnole, le cha cha, etc, facile ! tu deviens l’etre aux doux atours, tu vogues, tu volette à la volette, tu montes d’un cran et cxharme l’auditoire à la bonne franquette du pot ! rien de moins ! cest ainsi que pour ma gouverne j’ose faire, voici ! je file ma rage ! je v ais loin dans la conna issance des données de la terre-mère, je fonce = j’y vais = j’obtempère = je me lie aux temps des passages frères, etc Je cherche à comprendre au pklus du plus et pour ce faire je vais vivant dans la nasse et me délecte des données brutes : mots de peu, voilages, doux désirs, mots de rage a minima, colères doucement frappée, carambolages de façade, etc Je suis l’homme qui vibre, armé de sa batte animale, il ne s’en laisse pas conter cxar il y va fissa tête première dans la mêlée. Il est l’homme des places vides à combler de jhoie urbaine . l’homme du sérail cxhangé en jungle. L’homme doux privé des abris. le tentaculaire, etc. sa voix portera, mais ne porte pas car elle est légère, fluette, et nbe va pas là où bon lui semblerait de devoir allzer . chacun sa peine. nous voulons comprendre   e qui est de toute l’affaire et ainsi aviser ensembler à comment pouvoir aller se dépa touiller d’une telle engeance en la personne de la mort ici présente dans le sas des sas . mais de quoi est donc fait ce sas des sas ? de quoi en retourne t il ? nous pensons que cette chose (sas des sas) est chose commùune, disons : place commune, ou disons : liueu d’accueil. Nous voulons cerner la chose ensemble soit au plus juste d’une sorte de justice sans faux)-semblant mais ce ,n’est pas gagné . nous pensons que nous devons comprendre au mieux les données r&acées, soit ceklles qui ont du chien, qui en jettent, qui en fichent plein la vue, etc, les cerner au mieux et faire avec. la chose ici concerne une vie d’ezmprunt on l’a dit et ne doit pas être p rise au pied de la lettre. à savoir : non ! la chose n’est pas une chose au rabais ! Nous voulons ensemble essayer de comprendre au mieux ce qu’il en est de cette vie de base rustique, princière, de rage, etc qui est la nottre en cxe bas-monde sidéral (et monacal) et pour cela nous devons veiller à nhe pas nous arrêter à ce que dit la lettre en son être, nous devons comprendre au delà des mots, passer cap pour ainsi dire et déplacer notre chazmp de vision. La terre entière est sous l’étau d’une chape de mots ambivalents ! sus aux mots de toute sorte ! sortons-en ! allons voir ailleurs si nbous y sommes, etc. Car la terre est aussi ce lieu de souci simples, d’études, de recherches menées tambour battant à même le Verbe plein, etc, et pas seulement cet endroit de plantation, ces herbages de perte, ces fouillis matinaux, etc. la vie a des bons côtés. LKa vie se prête à des études langagières de haute tenue dans un cadre (calé) déplacé. nous avons à comprendre beaucoup en disant la chgose crument. nous nous devons ensemble de chgercher la faille dans le temps, pousser au plus que nous pouvons les données de base telles que celles-ci se présentent à nous, faire ainsi que les choses soient et ne plus lâcher la bride . notre but est de teznir bon dans les charges, dans pareilles charges allègres, dans ces embardées vocales, dans les recherches menées de conserve, etc . Il y a à comprendre et cer ner, il y a aussi à creuser de notre pic de bouche appointé ! qui l’eut cru ? nous sol:mes deux pour un,e recherche a ctive à mener au sein du verbe !  qui et qui ? eh bien peut-être l’animal et moi, la chose, cette Chose dite qui serait ou répondrait de l’ordre des mots bêtes, betes et betes, betes animal, et bete pas bien futé, etc, car la bete-animal n’’est pas bete, et la betise en soi n’a rien d’animal . Nous nous appuyons sur le Verbe et cxhercghons ainsi par ce biais la Chose à comprten dre . nous fouillons de rage et creusons de concert. La mort est cette cghose en contrefort qui sembvle avoir à (pour elle) nous atteindre, nous attirer à elle, nous pousser à la faute. il semblerait que cette Chose de la mort à l’oeuvre est un véhicule primaire amené à nous adjoindre oà un lieu de perte. notre envie est d’éviter pareillle embardé, ou pareille volonté. nous n’avons pas signé pour être capturé de la sorte et selon son bon-vouloir. nous n’avons en rien voulu cette cghose ! nous n’avons jamais signé pour ainsi nous laisser emporter de force par la mort à l’oeuvre, la gaillarde : que dalle ! non ! non ! non jamais ! nous ne voulonbs pas ! nous ne voulons pas être pris de la sorte, surpris, prisonnier, fait comme des rats, belettes, rats des chzamps et rats d’egouts, belettes et autres betes voreaces. la tete est nôtre qyui cherchons à la sauver. notre ainsi tete de roi. nous voulons combattre, car nous savons , cette chose comme quoi lea mort est une chose mûre, dépourvue de sentiments de quelque sorte que  ce soit, pour ainsi dire dégaagée et prête à tout, qui n’est pas peu fière cx’elle-même, et qui ne manquera pas de nous capturer si nécessairte et si, de notre côté, nous n’y prenons gare?$. Car quoi 

malheur ! la mort est entière ! elle ne renâcle devant rien et impose sa loi divibne à la une à la deux sans tergiverser . nOus voulons aller au loin dans la connaissa nce. Nous voulons aller dans la profondeur de  ce qui est et qui est approchable par le Verbe;. oui nous voulons ! ou plutot : ouyi nous voulons buter mais pour mieux percevoir le plan d’ensemble, sinon quoi d’autre ? c’est à dire (en gros) quoi faire d’aurtrre que cette chose ? Nous sommes deux qui voulons trouver ensemble la clé . quelle est elle ? nous voulons trouver la clé, où est la clé ? c’est quoi une clé en  cette matière ? qui répondra? Nous cherchons une clé pour une porte. nous voulonbs traverser le sas. Nous ne voulons pas rester à quai (en carafe) à attendre gentiement que les données du monde nous tombent dessus pour ingformation, mais aller de l’avant, passer outtre, pâsser le cap, frapper à la porte si tant est ou bien (et donc) actionner la c lé (musicale ?) des temps. notre envie cde clé est envie de joie, ni plus nbi moins. nous sommes dans l’atteznte d’une joie à être vif à jamais, musicalement très certainement, cvorporellement peut-etre, amiicalement il se peut, concrètement n’en doutons pas. je cherche voix d’attrait, et voie de passage dans un antre qui serait celui de la vie éternellement embellie, et dfu coup : la clé ! cette clé est clé de ta rage folle (folie ?) mais pas seulement. Cette clé est clé de base. clé pour le trou à percer (pique ?). Il s’agit d’une clé de base pour un verrou à faire sauter vite fait. ne trainons pas dans l’embuscade ! filons doux nottre pâreille ! chargeons à dos de mulet les parades ! concentrons nous sur le pas de charge ! comblons nos lacunes immenses ! passons outre à volonté (celle de la Chose) de nbous voir dépassé et mis à bas ! prisons ! prions ! allons voir ailleurs si nous y sommes ensemble , etc , et voilà pourquoi (ce tout) est pour nous une voie d’abord possible, une entrée possible en cette matière d’une sorte de donnée rupestre (à la dure) qui bnous tens les bras ou nbous tendrait les bras à qui mieux mieux afin de nous aider à passer un c ap, celui de la mort (dite) promise, de la mort affichée, annoncée partout et qui n’est pas pour nous plaire outre mesure loin de là ! nous voulons trouver lma cklé, quelle est-elle ? nbous chezrchons ! Nous voulons trouver à même le VErbe d’état cette cxlé de rage si prisée, et pour ce faire un peu de musique car on le sait, toute recherchge digne cde  ce nom s’accompagne toujours de musique, qu’elle soit interne (musique interne) ou externe (musique des contrées) peu importe, la musique estla part du diable, elle a mesure à joindre à nous, elle se doit d’êtrte clé de la base et clé du sommet des données natives, des données terminales ou finales, des données de base rageuse comme on le voit icvi et là, nous devons comprendre ensembvle cette clé, d’où et comment l’envisager ou la cerner ? notre envie est envie de nous pla cer de telle sorte que pareille recherche de clé devint possible. nbous nous installonsface à face et par(lons. Nous devons nbouys placer face à face et parler ensemble, et trouver les mots de parade . passons la cxhose en revue. La cklé est d’abord musicale, on le voit, ça s’entend. la clé est chosemusicale en cela que le temps est de la partie. le temps est l’espace de vie cx’une sorte d’envie allouée à une destinée mortelle. nous ne voulons pas cdéfaillir mais nous n’ensommes pas (encore ?) à l’abri et cela car nous sommes encore «jeunes d’esprit» il se peut, ou bvien parce que les mots dans notre bouche ne s’imposent pas comme on le voudrait. nous avons des choses à cerner, à comprendre, à dire, à percer de notre piolet vif de rage, et bien d’autres cghoses encore à faire, mais d’abord : la clé ! quelle est-elle ? où est-elle ? qui la connait ? qui sait où elleest, où elle se trouve ? qsui la connait ? qui sait où elle crèche ? qui connait la cklé de mémoire ? qui sait ce que c’est qu’une cklé de rage ? qui connait le sort réservé aux clés ? qui voudra comprendre notre but et cette chose de vouloir mordicus comprendre, de la cké, les aboutiisants ? qui voudra nous aider dans notre recherche de clé ? Nous sommes deux (ensemble) qui cherchons la clé = la musique = le temps = les tourments = les sorties rugeuses dans le sas des sas dx’une vie de base, etcQui a compris le sebns desq mots ? qui cherche avec nbous à dépasser le sens pur et dur des mots de la rage à être vivant ?  car les mots sont tous enfants de la rage à être = à être vivant de ta race ! oui ! cela se voit partout, sous toutescles latitudes ! les mots nous protrè§gent (un temp^s = le Temps) de la mort à l ‘oeuvre c’e’st ainsi, car ils font écran, ils comblent le Temps, ilsq obstruent trou de bouche ouverte, ils font barrage d’où leurs noms de» mots de barrage on l’a compris ! ils barrent dans la rage, etc! nous devons comprendre les donnéesz ici qui semblent s’agglutiner à la lumière d’une  vérité de passage, nous sommes entiers et nous cherchons cette vérité. nous devons comprendre au mieux cette notion abordée d’une sorte de barre-ba rrage à Chose de la mort à l’oeuvre, cette cxhose d’une obstruction. nbous nous devons de compre ndre pareille donn,ée frontale et en mesurer les effgets à lo ngue écxhéeance. Je vois le mot «mot» faisant écran, je songe au mot «bete» et comprend davantage . L’animal est le mot de la fable, mot de rage dure et d’obstruction 

à captation. le Temps est un abri de type rupestre (une grotte décorée) et de type musical( le chant des atours). nouys voilà qui cherchons à nous désembringuer de la chose en soi qui parade devant nous comme une mal élevée comme tout. que dire à la mort pour la chasser ? du dire de rage = du dire = des mots-animaux = des betes de charge = du venin ou du poison en tant que donn,ée folles, ou en tant que données sombres. Je regarde autour de moi, je vois de beaux pâysages . les beautés des lieux d’atours, cela est ainsi que nous voyons eznsemble. je m’imagine une vallée, un sillon, un chemin dans lkes collines avoisinantres . pa ysage ami qui nbous regarde et semble nbous apprécier, bnous reconnaitre en tant que tel et nousq adopter. or voici que la mort parade ! Elle n’a jamais peur, elle n’est jamais rassasiée, elle cherche rtoujours à nous blouser ou ruser. nous ne voulons pas de la mort car nous sommes eznsemble qui cherchons à commùent agir et à comment nous y prendre , et ce faisant nous disons ensemble ce refus de nous voir piéger. la mort n’est pas cette chose rosse que l’on croirait, ou ne serait pas ? nous n’en savons rien ! Nous sommùes à la recherche d’une vérité des vérités, nous sommes à la recherche d’une vérité des vérités, comment l’aborder ? qu’y a-t-)il «après « la mort que nous ne sacxhions ? si je meurs mon corps tombe et s’éteint. je crois en une étoile de la destinée vive, qui saurait nous seconder en ces pires momeznts de rage. je cxrois que mon corps est voué à disparaitre mais pas mon âme. mùon âme est cettte chose d’une sorte de volonté. je crois que mon êame est une chose dite coriace mais qui l’est en vérité . l’ame est pour le corps l’équivalent langagier de ce qu’est à la mort le langage. ou non : l’ame est pour le coprps ce que les mots (les mots-betes ou mots-animaux) sont pour la mort. Nous devons obtempérer. l’ame est au corps ce que le mot est à la mort : fissa pareil. nous disons (fissa) que les choses sont équivalentes, ou disons se font é»cho par la bande. nous cherchons desq vérités de poropagande pour ainsi dire ! les mots disent la chjose nue mais ne la montre ! ou bien : les mots disent à nu les choses de la mort à l’oeuvre ici bas (sas des sas) . Nous pensons que la mort est en soi gageure, forte tête, misère, pitrerie, rature, colère, peine et prise, et voilà pourquoi nbous n’en voulobns pas. l’âme a à être. le corps finira sa course (étoile des mers) . nous ne voulons pâs de la mort dure, ni de la mort -outrage,, ni même de la mort-romance. le but ici est de trouver à nous en dé&faire (de pareille prise) et pour ce faire un peu de musique temporo-spa tiale fera bien l’affaire en ce lieu de rage qui est lieu où bnous avons à faire ainsi qUue les choses (à nos yeux) «soient» et non le contraire. vive le temps musical de base ! chgantons haut sa louange ! vive le temps ! vive le temps ! dsoyons nous memes temps d’azur accolés à des sentiments ! filons en vitesse en sens contraire et nbe prêtons pas l’échine au couperet fatal de pareille Chose du vent, des brisesq, de l’air ambiant. Comptons sur notre bonne étoile de berger = celle-ci qui nous accompagne depuis longtemps, c’est à dire depuis toujours (les débuts de l’humanité) . Nous avons à dire des choses en vrai, nous devons dire des choses pesantes et tant pis si la somme est lourde et surtout lourde à digérer. Le but affiché doit être visé continument et coute que coute . nous devons aller ensemble loin et chercher ensemble profond des données de base . nous ne voulons pas pâsser continueelement à côté sans en rien retirer on kle comprendra, et pour ce faire : fissa dans la masse ! verbe à cran ! capitale des rechercbhes menées la fleur à la bouche ! capitale des séries des  recherches vives ! la capitale annoncée ! Nous sommes ensemble deux qui cherchons volontiers à cvomprendre l;es données ré&gulant le monde et la destinée du monde. je regarde loin et vois que la terre est ronde mais est elle à nous ? à qui appartient la terre ? est elle terre d’emprunt passager ? qui est l’homme des abris ? suis je homme-cheval caressant l’envie de trouver pitance en pareille zone fleurie ? suis je homme de peu d’envergure ? le mal dégrossi ? mal futé ? mal mis ? mal embouché ? mal conduit ? mal guidé ? mal dit , etc ? Jignore le tout. La cxhance que j’ai est que je suis ici pour ça / faire, filer, tracer, courir sur la pl;aine, et aussi toucher la fibbre, la vrille, cette coulée douce ou colmment appeler pareillle sorte (tresssée) de coulée de rage buccale ? Je vois devant moi des choses rugueuses mùais que vois je d’autre ? je vois des prairies, je vois des prés, je vois millme cghoses rudes, je vois des traits hachurant le ciel comme une peau de bete, je vois des êtres de données diverses se moquant de moi, qui sont ils ? Je vois des betres cxhevauchant la plaine et allant vif de cabrioles en xcabrioles. Je suis hommme dit, quii regarde en lui mais devant. je veux combvattre les données verbales par le v erbe à cru, ficelé comme une antenne . rien ne pourra se mettre en travers de moi sinon quoi ? un mal perforant plantaire ? une rage dentaire ? deux brasz coupés à la guerre ? un couperet sur une nuque frêle ? je sens venir le vent qui va à travers la plaine jusqu’à moi et me dit xde nbe pas m’en faire : nous sommes deux qui sommes des chercheurs de choses cachées, enfouies de base, qui bnous regardent, qui ne cessent de nous espionner, de nouds reluquer comme êttres à surveilller par la bande . qsui viendra me voir ? qui viendra me toucher ?. qyui viendra me parler ? qui viendra me montrezr du doigt ? qui viendra pour le coup me montrer du doigt et jeter l’opprobe sur moi : qui ? je cherche le nom de la bêtye ! quelle est -elle ? Qui le sait ? nous nous approchons d’une vérité qui est vérité de bon aloi pa r la bande : une de celles qui nous charment longuement. nous avons pour nous une voix qui est voix de passage et de traversqée de zones senqsibles. notre voix meugle ou beugle quand elle charge. Animal xde compagnbie je suis. je cherche pita,nce dans les zones les plus reculéesq de la lande «de la vérité», et c’’st ainsi que je trouve où aller pour trouver «des choses», soit des instrumentr= des outils de traversée, etc . car ce qUI est est cette cxhose comme quoi jhe suis chargeant de roche dure = une bete à cornes. je m’impose en tant que bête à cornes fouillant dans la masse des donn,ées offertes par la ba nde d’une vie a llouée à la mort. je ne cxherche pas autre chose. Je cherche vie ainsi et tente de comprendre la cxhose ainsi tressée, ainsi tissée, ainsi :mélangée.La mort est une sorte d’enclave à baisers. sorte d’encl;ave à colli-collage ou comment dire ? ici est cette chose d’une enclave où kles rapprochements de type collage sont à observer. je vais dans une direction qui est direction ascentionnelle, et cela du fait que la mort aspire d’en haut les qui viennent (comme itou) d’en bas. La mort aspire et ce faisant attire. il s’agit de cette bouche d’aspiration douce (ou pas en l’occurrence) qui est devant nous sous forme de... eh bien voilà qui est à definir ! sous forme de Chose on le sait : paradis perdu ? bnous ne voul:ons pas abandonner en si bon chemin la lutte mais encore et toujours progressser car après tout peiiut-être sommes nous sur le bon chemin ? Nous dison,s que ce que nous cherchons se trouve devant et non derrière. ainsi n otre a mbition est située. nous ne cherchons pas à «bien fdaire» mais à creuser que tu creuseras les dires d’un Verbe de joie adjacent à cette vie de rage (et de colère) en   ous . car de base l’hgomme est en colèree. il n’est pas homme dégagé», il est homme engagé dans un souci massif (conduit, tubage) de colère . Vivre = de colère, et aussi de rage. nous voulons dèsq lors dire cette chose comme qUOI ce que nous recherchons n’est pas à peaufiner derrière mais bien au contraire à creuser devant. qui creuse devant trouvera le trou où se mettre . chacun son trou, chacune son trou. nous devons creuser ce verbe déposé qui est ce présent de roche (terre-mère) à même ce Temps qui nous apparait dans sa composante rupestre. depot de joie, depot de soi dans la joie. sachons nous contenter de ce maigre dépot de paresse, ou de candeur, ou comment autrement ? Je suis un homme-cheval dans la tourmente d’une vie à vivre radicale, je fonce. Et aussi je monte, soit je m’élèvze : cheval ailé qui surplombe les contrées. je vole. mon nom est   elui qui s’affiche de visu sur ma tombe (forcé). ici est la  vérité ! ici est la chose de vérité , ici est cette chose de la vérité , ici eswt la  vérité. Je ne nargue personne. je veux cerner cette dite vérité du monde et de la mort à l’oeuvre dans le sas des sas pariétal qui est le monde (dur) qu’(il bnous incombe de cxonnaitte au pklus près, de visu et la crinière dans le veznt pour ainsi dire : vive le vent ! Nous ne sommes à l’abri de rien. Nous voulons cerner les choses au plus près des ressemblan,ces. Notre envie est de cerner fissa au pklus juste possible ce qui est d’une vie à vivre et ce qui ws’ensuit à pareille vie. notre b ut est ainsi de dire et disant de faire, quoi ? allégeance on l’a compris . Misère de soi dans un sens fatal.misère de soi dans le sens fatal des cghoses mouranteqs! nous dsommes finis ! la vie est de celles qui meurent à trépas. Je veux mieux comprendre : qyui parle en moi ? qui dit les chgoses pour moi  ? qui me pousse à des retranchements de plus ou moins bon aloi ? qui est qui dans le sas des sas ? qui parle pour moi et me mouille de la sorte = me pousse à la faute bien malgré moi(?) ? Qui va là pour moi ? kje cherche la pêtite voix en moi parlant pour moi et disant ce qui est (ici) qu’il m’incombe de co:mprendre au mieux et sa ns p;us tarder car le temps presse . jhe  v eux cerner la voix = l’entourer d’un trait de rage et la capturer comme la bete à prendre. je cherche vif en moi des raisons de croire en la Voix en moi parfois menaçante. qui est nom de dieu, ou : qui est qui nom d’une pipe ! Qui parle là pour dire quoi ? je chezrche à l’envi des choses de poids qui puiissent plaire et instruire à et ma gouverne si tant est, car rien n’est fait ! Je cherche à tout va des raisons de base, de quoi nbourrir ma mémoire interne et la charger en   diverses croyances étoffées, affermies, sereines, dignes. Je cherche voix en moi qui put dire sa croyance dans un au-delà non pas de soi maisq de sa voix. je ne cherche rien xd’autre que ça. Ma voix est de celles que l’on peut toucher comme un bébé naissant, trouvezr en elle une douceur de belle facture et s’en conforter, ou réconforter , dans un sens qui dirait que ce qUI est est cette choseà caresser vivant dans la joie. lje veux savoir  cela (ce qui est) en passant la paroi du tempsq. Mon nom s’affiche de concert. il est icelui natif. il est le nom  qui dit la chjose du temps traversé. Il est icelui petit nom disant à bas bruit cette cxhose d’une tra versée du temps dans le sang. Je comprends les choses ainsi. j’eswsaie du moins de comprendre ainsi et de ne pas :m’en retourner si vite mais tout au contraire de c reuser plus avant fissza et toujours dans le sein des seins pariétal d’une vie sur terre. Je suis homme-bête à cran. je suis en colère = en hjoie. je  b ande dur de la force rageuse d’une en soi époopée de rage, ou comment ? je suis l’homme-cheval (chevalin) croisant les fers,; luttant de pleine grace, perçant et foulant, cognant et raturant la dxite «mort à l’oeuvre»» de céans. pissant culotte, fouaillant dans la cxhair blême, trouant ciel de mon cri de bezte à crinière, sabots blancs, cornes à vif. JE suis Autre. Calqué. Je m»’épuise à dire le mal co ntenu dans la rage, cette cbhose d’un en soi de ma sse à bruler, à poser sur pierre d’ioffrande, tout ce temps de soi passé à déposer fissa par la bande et en priant que la chose fut telle qu’elle put êttre pour la mort suffisante, soit touchante. je chezrche à percer mystères, à trouver lesq mots de base à dire, à caler mon dire à ma rage d’être. qui parle en mon nom ? qsui parle en mon nom ? quyi parle en mon nom ? qui porte mon nom ? qsui porte mon nom ? qui porte le nom de la bête ? qui porte le nom d’une bête ? qzui a pour nom le nom cx’une bête ? qui a comme nom le nom d’u ne bête ? qui a comme nom  elui d’une bêzte des bois ? qui a comme nom le nom d’une bêtye à bois ? qui tremble devant la  bete  ? qui est comme tremblant devant une bêtye ? qui sépoumone à prononcer tel ou tel nom de bête ? qui a pour lui en lui un nom de bête ? qu est pour lui , à ses propres yeux, une bêzte ? qui est bête à ses yeux ? qui poerte en lui une sorte de bete qui est un mot bete de rage ? qui dira la vérité de la betye en soi, de cette bete en soi que nous «portons», que nous contenons (où ?), que nous embrassons ? qui saura dire cette vérité ? qui saura dire cette v érité d»’une bête contebnue en nous)-mêmes mais où ? qsui a compris cette vérité d’une bête en nous contebnue ? qui entre nous a compris ? qui a compris entre nous cette cxhose ? qui a vu la bete en lui même ? qui en lui même ou en elle même aura vu la bete et entendu meugler ? qui meugle en moi ? qui sinon la chair ? qui meugle en moi sinon la chair , cette chair de rage aniumale ! qui parle : le corps parle ! qui est le corps ? le corps est la bêtye ! qui est la bête ? la bete est le sang on le sait ! la bete est le sang qui coule dans nos veines bleues, la bete est ce sang des veines bleutées. Nouscherchons les données de b ase, les lignées sanguines, les noms de traverse, les pouvoirs occultes. nous cherchons des savoirs venus d’outre-tombe, d’au-delà des monts de parages, d’outre-barra ge tout autant . ici le mot bnous met à l’abri un temps, car le parler fait la différence. qui parle sinon le Père. Qui chante sinon la Mère. qui pl;eure sinon le Frère. qui meugle sinon (en moi : ancrée) la bête des temps dep^l

ac»és, car les temps (et de fait les betes) le sont, qui voient depuis ailleurs les choses du monde  . ici nous sommes et ici allons, mais dans un sens qui fait que nous sommes trouchés = meurtris, et que bnous chercghons (dès lors) à dépasser le stade de la mort inscrite en nos vies, pour aller plus loin deéposezr nos vivres à même la pierre . lza bete en bnous porte le nom que nous lui donnons. la bête en bnous est porteuse d’un nom de bete, et ce nom est donné par bnous qui savons y faire = nommer vivement (sur roche) l’animal de poids qui en impose et manifeste (dans la ressemblance) ses émois.  Nous sommes qui devons co:prendre cette chose . une clé est musicale de parade, elle est clé d’azur. La cklé ouvre la porte aux passages vifs, courabgeux, volontairesq, élancés et motivés par un allant de belle remontée. la clé est celle ici qui est pour nous une ouverture à des données franchhes. une clé pour un royaume et la chose est entérinée. nous cherchons la clé pour entrer en ce monde effilé. Nous voulons comprendre le ++++++++ de la roche rude. nous voulons cerner le plus concernant icelle roche aux tourments de base. notre but est de co:mprendre vif et de toucher à vif la chose . une bete en bnous parle pour nous . il s’agit d’une bpête de poids. elle porte le nom que nous lui donnons . elle nous seconde partout où nousallons. dès lors nbous pouvons dire qu’elle nous appartient (elle est à nous car eklle est en   ous) et que nous mêmes, aussi, lui appartenons car elle se loge en bnous comme à l’intériuer d’une demeure, d’une hutte dont elle sezrait propriétaire. la bete est en bnous comme dans une case. nous parlons pour elle, elle nous souffle quoi dire à son tour et nous d’enchainer pa r là même, a insi de suite?. nous sommes à sa merci et elle à la nôtre, et chemin faisant, bon an mal an, cahin caha, nous allons de conserve v ers une finalité bleutée, ambrée, ou bien nacrée de bout de monde,  . njous sommesq remontés, nous sommes vifs. nos percées sont vives. notre joie plaide. nous passons le  cap et traversons ensemble lka fine fibre des données de  base. nous sommes de l’autre côté.

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31/01/2022

Nous savons que les choses dites «de la vérité» sont (toutes) postées devant soi : je regarde devant moi, etc . Je regarde devant moi et ce que je vois correspond en tout et pour tout à des choses dites «de la vérité concernant le monde». Nous disons que nous sommes en attente de pareil savoir qu’il nous incombe (bon an mal an) d’explorer . nous voulons en connaitre long car nous sommes des êtres qui voyons les choses autour de soi comme les données offertes par la vie, données qui se rapportent à un devant de soi lié à une raison, à un esprit en nous raisonneur, à une volonté en soi toute de raisonnement . Je vois devant moi une chose, cette chose est une vérité, cette vérité a à voir fortement avec notre raison de base, avec la raison telle qu’elle est logée en notre intérieur dit intelligent, ou si,non intelligent een notre intérieur dit voyant = qui absorbe et mouline . Nous regardons les choses crument, et ce que nous voyons est de la vérité vraie soit cette chose devant soi qui semble signifier un certain nombre de faits justes, ou d’évènzements tracés, de choses et autres, etc, qui pour nous sont des éléments (directement) de pleine compréhension. je suis assis à mon bureau, mon souci est de creuser au plus profond dans ce devant devant moi des vérités qui sont à cerner . Je comprend les choses au plus juste, disons que jeme place en position pour ce faire c’est à dire pour cerner au mieux. cC’est à dire que je prends, je cerne = je prends ce qui arrive de cette mùanière que j’ai ici de me placer de telle façon que les choses dites «de la vérité du monde» viennent comme d’elles mêmes (enchantement) se déposer dans l’e’scarcelle d’un devant de soi pariétal ou de ce type . mon souci est continu, il s’agit pour moi de cerner les choses d’un devant de soi radicement cerné . Je cherche des dires et ces dires ont à voir (fatalement ?) avec la vérité vraie des devants . Que sont les devants ? les devants sont des signaux, des signes majeurs . Je regarde les signes majeurs . je ne suis pas (jamais ici) en reste de regarder les signes (les signaux) majeurs . il y a ce souci qui est perpétuel, de toujours voir à regarder les signaux majeurs . je cherche en continu à regarder dans une direction neuve, fraiche, mon souci est tel . Je ne veux d’aucune manière voir ce qui advient avec des yeux embrouillés car mon souci est de comprendre «des vérités», des choses vraies, du vrai, les choses dites «de la vérité», etc . Je suis à mon bureau (claquemuuré) et je cherche avec assiduité à me positionner (la cghose est là) de telle manière que la vérité des choses du monde advienne au plus juste et au plus près de ma gouverne . Nous cherchons à nous positionner (dans la vie ?) de telle manière (il s’agit d’une manière) que les choses de la vie (soit la vérité) se montrassent, ou se montrât pour la vérité, se monstrassent pour les choses de la vie , ici, devant soi, devant notre «raison de gouverne». Car voilà de quoi il s’agit : il s’agit d’une gouverne temporelle . La gouverne temporelle est celle-ci qui nous guide en continu dans nos cheminements de pensée . La gouverne ici temporelle, est une gouverne qui, obstinément, nous guide, nous pousse à , nous abjure, nous donne à faire etc dans le swens d’u ne recherc he en continu (on l’a dit) de la vérité. La raison , pour nous, est comme assise , et la gouverne actionne et lève la raison . nous voyons devant nous les «choses de la v érité», et ces choses sont toutes empreintes d’une sorte d’aura qui fait d’elles des sommets, des choses à gravir pour notre gouverne, soit pour moi aussi qui suis face à elles comme un aspirant qui cherche délicatement à ne rien froisser mais tout au contrzaire à déplier les facettes (tissées etc) des choses du monde qui s’offre à un devant aux yeux ouverts (fermés ?) . Je vois devant moi les cghoses qui arrivent les unes et les autres, ces chosesd d’un devant comme attribué à chacun . Ces choses sont telles que je suis celui- ci = cette personne, quyi (à mon tour, ou à son tour) les absorbe . je vois ces choses comme des présents . ce sont des présents . Ces choses sont, face à moi qui les regarde, des présents au monde, présents de dépot ou de déposition, présents-offrandes comme il en existe partout (visiblement) et ces présents ont des formes diverses, quelquefois surprenantes, quelquefois banales ou passant inaperçues . Ces choses, ces présents, sont ceux dits «de la vérité des choses déposées». de quoi s’agit -il ? il s’agit de choses autour de soi, toutes réelles au sens physique ou concret du terme, ces choses déposées sont des choses à cerner, à cvomprendre, à prendre, à mesurer, comme on le ferait d’une surface cadastrale . Ces choses choses sont toutes des choses concrètes, mais, car il y a un mais, elles recèlent en elles une puissance de vérité qui dépasse de loin leur forme visuelle ou sensible . nous avons à comprendre ensemble (il s’agit d’un travail de groupe) cette chose d’une vérité des données sensibles à dépasser. Notre ambition en ces cahiers est de comprendre cette chose ici d’une sorte de définition des choses déposées en tant que vérités des choses du monde : une chose et une autre devant soi et s’offrant «à la vue» d’un entendement particulier . je cherche en cette chose, en cette façon, de cette manière, ici même, l’endroit par lequel pouvoir me faufiler dans ce but avoué de me placer de telle soerte que la vérité du monde advint à mon entendement de gouverne . La gouverne est le gouvernail, la mêmechose . Il y a le mot gouverne (une sorte de permission) et le mot gouvernail qui situe concrètement la notion de gouverne, ou disons plus concrètement . je vois devant moi la chose posée. Il s’agit d’un présent de base . la base du présent de base est celle là qui est (reste) à déchiffrer . je suis assis dans ce but . Je veux dès lors comprtendre au mieux les données qui président à un devant de soi déployé comme une sorte de tissage de données diverses, tissu «fou», données partiellement visualisées par nous dont la gouverne (ou gouvernail donc) est comme limitée dans son approche . alors, voici kle secret , le secret de notre façon : nous nous installons ensemble !nous sommes deux ! nous ne sommes pas seuls ! nous sommes deux ! nous ne sommes jamais seuls dans nos recherches ! noussommes deux ! etc . Le secret ici est lié à une sorte de jointure ou d’accolement, à une sorte de mesure redoublée, à une sorte de recherche, de recherche en commmun (commune) à développer de par soi-même de sa place dans le monde ou de sa prporpre place dans le monde . Le souci qui préside à notre volonté est tel que nous voyons les choses ainsi . nous disons que «je» est doubkle, est comme doublé par en soi un autre je qui détermine les avancées . Je vois devant moi dees choses «réezlles», ces choses sont délimitées concrètement et sensiblement, elles se livrent telles quelles de telle sorte que nous sommes à devoir les mesurer d’une manière ou d’une autre (en comprendre le ou les dangers potentiellement contenus en elles ) . Nous voulons cern,er ces choses au plus juste, les comprendre pour les mesurer et voir ce qui en elles peut ou pourrait nous aider à franchir des paliers «de gouverne» . les choses sont cvoncrètement et physiquement délimitées devant soi, ce devant de soi est une matière ferme . Nous avons à mieux nous approcher (ensemble») de cette matière qui est : «la matière de la foi», qui est la matière de notre croyance en des choses déposées . je vois devant moi le produit concret de ma foi en ce monde mesurable soit «scientifiquement» mesurable, je devine . mon premier souci est de m’approcher des choses par la gouverne, mon premier souci ou mon premier réflexxe (quasi enfantin) est de m’approcher au plus près des choses du monde autour de moi pour mieux lles comprendre soit les cerner dans leur possible dangerosité . Je m’approche. Que fais-je d’autre par ma gouverne ? je pm’approche des choses du monde, mon souci est ainsi ancré dans une approche de mesure,  de mesure des choses, je vgeux comprendre depuis «moi» ce qui est en ce dezvant développé comme un tissage (tenture) de données diverses concrètes. Voilà ce qui est qu’il m’échoit de cerner au mieux ? mon souci est réflexe, voilà . Ma voie est de me faufiler à l’intérieur de ces données diverses et d’y trouver matière = matière à comprendre . Comment cfaire pour se faufiler ? eh bien pour cela il est nécessaire d’entrer( fisqza ?) en cette matière du Verbe, il s’agit de cela . Il s’agit de bien se placer en cette chose d’un devant de soi verbal continument mené ou déroulé, afin de tracer une sorte d’entité-piège, de filet de raison ou de filet-ratiocinateur qui puissent et l’un et l’autre, les uns et les autres, filets divers, pièges de mille sortes, etc, vous aider à cerner la Bête . La Bête est la Chose . La Chose est devant soi une donnée intrinsèque . je me place ainsi (à mon bureau) à comprendre la Chose ici déployée comme une sorte de présent de soi (à toi à moi) qui vient trouver à se loger dans  cet espace , l’espace imparti qui est celui du temps, soit du temps déployé . Je m’explique : il y a devant moi un e sorte de tissage, de parvis, de seuil, de tapis, etc, qui est ou qui sont (les uns et les autres) comme des sortes de suppôts . Je vois en  ces choses (ces dépots de «vrai») des données directes, des données sensibkles à embrasser par ma gouverne (moulinette) a fin de les dépasser toutes en mesure . les choses du monde se présentent comme des données diverses qui sont toutes à sqcientifiquement contrôler afin d’en mesurer la dangerosité et ainsi fait, les dépassezr par un entendement verbal de première . Je suis ainsi ici aussi pour ce faire : cet entendement à déployer, à démontrer etc, est ma chose, mon souci autant que mon ... salut ? Je dis le mot comme à regret car ici le salut n’e’st pas la chose à dire en premier chef mais plutôt la chose à considérer comme étant secondaire, car la primauté va (toujours !) aux savoirs ! les choses devant soi (= des choses rustiques, claires dans leur visibilité le jhour) sont choses à mesurer par sa gouverne (exploration) et ainsi fait elles deviennent (ou pas ) nos aliées et se prêtent à mille et mille jeux de reconnaissance . Les choses d’un devant de soi sont des choses rudes à cerner p)arfois (il y a le mal sous toutes ses formes) mais enfin elles se prêtent à une mesure à chaque fois et pour chacun et chacune de nous personnelle . La mesure est la clé de voûte de l’édifice (Vie). car la mesure est liée à la chance, et la chance est partie prenante dans cette affaire . nous mesurons à lmesure que nous vivons . je m’avance dans la vie comme un gouvernail qui cherche à se frayer ou tout comme, son cheminement salutaire, je cherche à me frayer chemin de Vie en cette Terre des donnéesx rupestres, etc . mon coeur suit . 

Je vois devant moi des choses qui sont choses rudes souvent car le sensible l’est souvent, ces choses qui sont déposées sont celles qui sont  comme à se présenter à nous sous des formes dures ou rudes et autres, choses à prendre avec des pincettes parfois, et donc, elles se posent devant nous, elles sont qui vont à se poser devant soi, devant un soi qui est celui de nottre gouvernail soit de notre gouverne sensible, raisonnablemenbt sensible : il s’agit ici de neurologie ou d’approche médicalement sensible . Je vois la Chose, je l’approche : elle se place devant mes yeux  de telle manière que je suis ou deviens celui qui se doit de l’absorber . jhe me loge en elle , : comment ? par la bande ! je me loge en cette chose présentée, en me faufilant verbalement par la bande . je fonce en cette Chose crue comme dans une sorte de brouet, de sauce, de matière molle, de suie etcx . mon souci majeur est une envie majeure est un désir majeur et une approche délicatement insérée en moi comme une sorte de volonté intériorisée, ou bien intégrée par la bande , en moi qui devient cet autre cherchant une issue, qui devient l’Auttre de la fable, celui -là qui veut dépassezr le monde, les vélléités physiquo-pratiquess d’un devant de soi s’offrant à une gouverne (en l’occurence la mienne, ici) et aller à filer doux de son avancée dans la matière . Je deviens cet Autre filant . Je comprends une chose puis une auttre et ce faisant je m’avancve à petits pas vers la Chose rude des données frontales du monde . Mon coeur est le foyer central, le secrtet interne ancré, etc. mon envie = mon désir d’en découdre d’une vérité tissée.HJe vfeux co:mprtendre loin car les données de base me poussent à ce faire, diligemment . Je ne veux en aucune manière lâcher du lest en termes de connaissances oblitérées, je veux tout au contreaire délivrer la Chose rugueuse de son emplâtrement, de son stuc, de son  crépi (?) de devanture, etc ! Ma volonté est telle en cette cbgose que voilà pourquoi et comment je cherche . Je cherche pour tracer une sorte d’entaille à même la Chose (roche) du temps, et comment ? par mon pic de verbe, on l’a vu en d’autres temps . Je suis ici pour  cette chose (ici sur terre !! ) ?? de trcacer entaille = de percer = de piger = de piger la Chose rude-dure ou rugueuse . Je veuc aller le plus possible au plus profond des savcoirs du monde et pour aél;lezr au plus profond des savoirs du monde je dois en ba ver = un aspect rugueux des choses est offert et nous en subissons les foudres . je vois très bien cette chose comme quoi lkes foudres ici nous tombent fissa (en effet) sur le râble et ne manquent pas de nous débvoussoler un tant soit peu, la cxhose est sûre . Et cependant, me voici qui ver balise les approches, car mon but est là . Je cherche à poser les mots qui s’imposent . mon souci majeur est contenu en ces quelques lettrees de rage . il n’y a pas à chipoter, mon souci est dans l’appreoche, soit : un souci de me positionner . je veux cette chose . Mon vouloir ici fonctionne à plein . je veuyx aller à l’intérieur des données du monde et pour aller à l’intérieur des données du monde je dois m’immiscer en celui ci par la bande de préférencxe, soit ainsi que lje m’y emploie . je = moi = nous = vous = eux = elles = les données coriaces internes = la raison des membres d’une confréreie planétaire . Je suis 1 parmi 10. Mon envie est donc intégrée à une vol:onté d’alluyre générakle planétaire . Monb souci est là mis en perspective comme étant celui qui est d’une sorte d’appproche communautaire et comme relevant de données intégrées à une gouverne (l’apprentisqsage au cours du temps d’une langue dite «de tissage») . Je vais en cette place devant soi par la bancde = par le biais d’une «langue de tissage» (ou de «maillage») .Je ne veux aucunement me défiler quant à cette chose d’une vo:lonté, humainement ancrée, de comprendre . je ne veux pas me placer de biais et faire comme si, pour me loger ailleurs et fermer les yeux . mon envie est de les ouvrir . Je veux ouvrir les yeux le plus possible si tant est (mais la chose on le sait a ses limites) et les yeux ouverts voir ce qui est en vérité = En Vérité . Car ici kle vouloir se double d’un ancrage verbal de survenue (on dira) pariéto-temporelle : la chose on le sait est disposée, elle se présente, elle est vivace, elle s’ébroue devant soi, et cette chose (à mesurer peut-être mais pas seulement) est une ouverture vers une sorte de conduit menant à x ou y vérités de base (de la mort des choses et des êtres) . je vois tout cela comme une entreprise de salut interne (organique ?) . je pose des conditions sur latable et ensemble nous av

isons : doit-on mesurer ensemble (tous et toutes autant que nous sommes ?) ou bien isolément doit on percer chacun son pic,,  ou de son chic chacun pour soi ? Mon pic a des allures de creuse- mystère (ah!) et se pose à même la CVhose par des travers . mon pic est sensible : il vibre en perçant, il «s’incorpore» et fonce (fronce ?) et ce faisant cherche à toucher («toucher») la vérité v raie des données présentes ou représentées (re-présentées) . je vois devant moi une sorte de coulée suintante comme o,nnguent christique, je vois devant moi une sorte de coulée vive, de couleur acidulée, couleur chair ou couleur soleil, ou couleur vive, etc. Mon approche est telle que je me loge en  c ette coulée comme un animal blessé par les rudoiemnents de la vie concrète, par les brutalités du monde du présent sur terre, etc .Je vois devcant moi cette chose d’une sorte de coulée suave, douceureuse, fragile(?) qui se glisse jusqu’à me toucher les doigts de pied . qu’est-elle ? je l’ignore ! Je suis celui-là qui cherche en soi une donnée » de vérité», je veux aller en cette coulée vers la Vérité vraie des onguents divers, c’est à dire vers la Chose reconnue comme relevant d’une absolution finale, terminale = dernière . Je tremble à ma façon mais ne cède pas . mon approche est telle que je ne lâche en rien  cette recherche en pareille coulée vive d’une sorte de donnée primaire (acidulée ? acidulée ?) : je guette lafaille, soit ce passage en pareille Chose dép:loyée. Je guette ce passage d’ouverture (échancrure) dans pareil maillage cde front et ce faisant je suis tout aguet, tout ouverture des mirettes, etc, je garde ma raison comme étai, je ne veux en rien sombrer ou sombrer dans une folie douce (ou autre ) qui me pousserait vers d’autres localisations premières (dernières) incommodes et au final peu instructives? mon souci est de toujours garder le cap, de ne pas ployer sous le poids d’une approche trop sensible, ou trop 

ou trop sensiblement

ou trop différente de ceklles là que tout un chacun coordonne en soi , et déploie sur terre en termes de cdémarche et d’avancée à même le temps, l’espace, la vie à vivre de concert, etc. je ne veux pas sombrer dans la folie, c’est dit ! Je ne veux en aucun cas sombrer dans la folie ! je veux savoir ce que les données du monde recèlent en termes de vérités frontales et pour cela je guette continuement et sans cesse (sans trêve) les données du monde telles qu’elles se déploient sur ou dans un devant de soi verbalisé car il est ainsi que cette xchose ici se présente : déploiemznt en sa s, dépl;oiement d’un soi (de base = commun = « nous) verbal . Je vais dans une direction et ce faisant je grapille ! Je cherche les mots de la foi car la foi est la chose à cerner devant soi , c’est à dire à toucher comme la poutre d’une demeure, la sol;ive, le bois de la cxharpente, le mur porteur . je suis sur terre aimant, cet amour a des prolongements sensibvles dans le temps et dans l’espace d’une survenue «naturelle», cette cxhose est enteérinée comme relevant des données verbales (verbeuses ?) et cela étant nous pouvons dès lors comptendre lke pourquoi des choses du monde déposées, le pourquoi les choses du monde se présentent ainsi : déposées, nous voulons et pouvons comprtendre, nous voulons co:mprendre et dès lors pouvons ; Pourquoi ? Parce que nouqs sommes deux ! Nous sommes double ! nous sommes deux à chercher en soi des données rudes, qui fassent effet, qui portent, qui durent, qui soienbt des supports et autres étais consolidateurs ! Ma chance est d’être né sur terre par la bande, et d’avoir toujours conservé en moi cet aiguillon de pique-mystère ou de pique-données célestes, ou de pic de roche à cru . ma chance = mon salut car fatalement l’un ne va pas sans l’autre ! Je me pose ainsi (assis) qui regarde devant lui kles donnéesz diverses et tente de comme percer une sorte de tissage ou tissu ou voilage ou maillage etc qui seprésente et obstrue le paysage des données profonsdes, ce maillage étant tissage de vie, Tissage de Vie brusque, un appel à candidature . Je veux savoir, et ce que je veux savoir concerne une candidature ! Ce que personnellement je cherche à savoir concerne essentiellement une candidature et celle ci s’inscrit dans un schéma global qui englobe la cxhose sur terre d’un e  vérité native et d’une vérité dernière (etc) . mon eêtre est né à la vie pa r la bande langagière de données rupestres . Il va de soi que la Chose est sue . Je regarde pâr la fenpêtre, que vois-je ? l’oiseau qui picore ? le ciel délavé ? une brume ? un voilage de réalité ? une couverture sur des données, posées à même les données les plus rudimentaires ? un visavge ? lequel ? celui de ma mère ? le visage de la cxhrétienté ? quel est donc ce visage qui cherche en continu à m’apparaitre ? où est il ? quekl est-il ? que dois je comprendre en pareil cas ? Les données du monde sont elles à mlêmes de nous renseigner sur la profondeur du dit «mystère» de la chrétienté ? que dois je comprendre à part moi ? je veux savoir ! je veux déployer ! mon envie bvrusque (vive = de la vie ou resssortant de la vie ou des cghoses de la vie) est de déployer du verbe dru (= dur) comme «pine de baise» etc . Car quoi ? je vais en ce chezmin des données de base présentes sur terre, comme le cheval, commme l’animal qui, s’ébrouant, dit sa faconde . mon envie = mon désir = ma vitezssse . rien ne peut combler une envie de baise dit-on ou comment ? je veux ici poser les mots qui sont à la recherche d’une vérité centrale deplissée . Les mots du Verbe cru déclinent leur identité monacale . je ne cherche pas la vérité pour la  vérité ou pour en tiirer  des effets ou pervers ou néfastes à l’humanité, jhe chezrche dans le but (précis) de me positionner, voilà la cxhose ! Ce que (ici) je (= nous) cherche ou cherchons (je-nous) est une chose déployée. Je veux percer lke mystère de la vie sur terre déplissé, c’est à dire ce mystère déplissé de la vie sur terre ! Je suis un homme-cheval, mi homme mi bete dès lors, qui cherche à comptrendre loin les données primaires-dernières (coque) d’un étant donné carcéral, car la vie l;’est (carcérale)  : la vie est demeure, la vie est grillagée, bnous le savons . Il y a des clos de part et d’autre. La demeure d’une vie est cloturée comme un cxhamp de belle ordination . Il s’agit de toucher à ces choses «vraies» ici rudes = physiques (concrètes et sensibles) et nous verrons dès lors au-delà kle passage par lequel l’étant peut tout bonnement (simplement = sans pli) s’immiscer de copncert (c’e’st dire à deux !). Car qui dit passage dit vélléité de traversée, de traversée vive ! Je file à tout va , intégré, je suis da,ns le sas ! La donnée première est ceklle ci : une aide au passage . le puits de la vie est le puits des données de base . je veux entériner les données verbales dans une sorte de chapitre dit «des vérités incommensurables» et pour ce faire y aller fissa de conserve = « à toi à moi» dans le sens des choses qui adviennent, soit dans le fil (droit ? courbe ?) des données telles qu’elles se présentent devant moi et viennent à se loger . Le pourtour du monde est celui-là même que le cxhant décrit (le chant de la bête e,n soi ?) par des sortes de prises de bec, ou bien par des sortes de criaillements divers qui font résonner les données du monde dans le sas . Je crie = je chapeaute = je titre = jh’entérine = je cghoisi et me positionne . Le chant de rage (animazl en soi ?) est la donnée de réception . Il faut penser vrai la chose cru. le tout est brutal, le Tout est cette chose dépourvue de contrefort . mon envie découle d’une rage interne animale, celle-là que je cdéploie à qui mieux mieux au fil des pages c’est à dire au fil du temps imparti . Car le temps est donnée fixe pour ainsi dire : une vibration contenue délitée ou comment dire, déroulée, déployée, filée, etc devant soi comme une relique de saint sacrement, comme chose à conserver religieusement, etc. je tombe sur le cul, me voici en transe ! je ne veux pas perdre le fil mais je veux le conserver à portée ! je suis l’homme au chant animal de base, rageant et rageur, qui cherche à comptrendre ce qui est ou ce qu’il en est d’un monde dit prétendument «de clarté» . Je veux toucher la vérité musicale des sphères d’une destinée .souci premier et de base rageuse, comme icelui des temps anciens, antériuers, d’hommes divers à travers le monde et kles époques de survenue. ma cxhance ici est de me dé^ployer par la bande comme une sorte de donnée raidi pleine de grâce : cettye cxhevauchée acoustique, verbale, considérable dans le sens où cette approche est à considérer (à commencer par moi) commùe celle)-là qui cherche à longer au plus près la paroi du monde des données primaires . «je pense donc je suis» est une sortye d’entrée en matière : à dire et à penser , peutêtre, or : «je pense donc je suis « est chose rustique, appartenant à la tezrre et à ses agents (pourriture noble) mais insuffisamment déployé, ou comment dire ? chose insuffisante ! chose d’un trop peu de raison dite , ou comment ? Le premier pas est le pas dfe base . Le premier pas est ce pas qui erst pas cde base . Le pas qui lk’emporte est lme premier pas et ce pas est un pas de b ase . Le pas premier est pas qui l’emporte . le pas en premier, le pas posé, le pas d’un premier déploiement, le pas qui vcient en premier, est le pas qui dicte la pe nsée . Donc : je pense donc je suis = je pose donc je suis . Je pose un premier tiret, je pose le présent de soi, je pose multitudes de données brutes, je pose un avant et un après, je pose voix de chant;, je pose l’animal en moi contenu depuis la nuit des temps, je suis l’animal, je suis cet animal en soi ou en moi qui dicte sa loi et dit son dire de joie . je ne suis pas une forte tête mais celui là qui cherche à percer la vie des vérités natives dépl:oyées . QZui sommes nous qui chantons et crions de nos voix de fausset ? que disons nous d’autre que des choses dites malen,contreuses ? Je plie mùais ne rompt pas. Ma voix s’allège à mesure de mes avancées . je crois en ma bonne étoile : l’avenir dira le cxhemin de la destinée pariétale ou quoi d’autre .? mon tout est mon sa s . je plonge dans la  verité des données présentes de ^parade et ce faisant jh’envisage le présent sous telle ou telle forme de déplissement ou de défroissage ou de dépliement ou de déploiement cfrontal . ma vie vaut la peine d’être vécue si tant est que pareil déploiement vient à se loger par la bande en cette sorte de dezmeure temporo-spatiale échancrée : l’échancrure est là commer un tilt de coursage, comme ce tilt qui est cette chose à devoir toucher à kla savoyarde, à la catalane, à la bretonne, à la régionale pour le xdire ainsi : chacun xde son côté et la chose sera avérée. je vais sur pareille paroi cherchant pitance : savoyarde, occitane, régionale ainsi, à la recherche des données de b ase les plus estimables. Je veux entrer . je ne veux pas rester à quai, je veux traverser les données verbales et pousser loin tout cela qui cherche à advenir sous moi qui suis celui-là qui se prête au jeu des dires brusqués. je vais dans un sens qui est sens de fuite. je tombe à même des données de roche. je vais en cette roche ou roche du dur à la recherche d’un sxavoir ancré par la ban,de et que je serais dès lors à même de co:mprendre c’est-à-dire d’incorporer, d’incorporer à ma gouverne, ou à cette gouverne (princière ?) qui me constitue de pied en cap . car en soi le corps entier est de la partie . rien ne manque à ;’appel de la mort à l’oeuvre : tout est bon dans le cochgon pour ainsi dire , ou pas? comment co:mptendre kles données les plus ancrées dans un sas de contre-mystère ? qui bnous dira la vérité des choses «adjacentes» ? qui connait la v érité vraie» de ce tout-Mystère de base ? y a til myqstère ?. est il présence, est il absence ? le coeur a t il son mot à dire dans la continuité ? qui est le premier à s’implantern, de la bete en soi ou de soi en tant qu’etre humain de référence ? que dire dans la foulée ? qui a dit que laraison l’emportait ? qui a dit que la raison eétait cheminement et  traversée tourmentée d’une contrée ? je ne veuxc pas passer inaperçu comme de coutume mais me montrer voyant comme une sorte de paon des contrées lointaines, des zones de région terrestres, des champs d’azur des peuplades oubliés, etc . Mon corps vibre l’ai-je dit ? mon corps n’a pas de paire d’yeux pour contrer ! je veux charger et percer kla fibre ! Vivement les temps offerts par une déité qui saura nous placer dès lors au bon endroit et à bon escient car je veux vivre ce moment, ne pas le gâcher bêtement, cerner les données vives de la mort à l’oeuvre le moment venu et contrer ! contre que tu contre eras ! vif ! cher ! collé ! clair! perclus de vilainetés peutêtrte mais tout à son souci d’ouvrir et d’écarter des dites «mirettes» d’homme déployé ! je cherche un semblant de vérité à :même kles données offertes pâr le temps, cdes données sont celles liées au tourment dx’être né on le sait, et cependant elles sont à travezrser comme une forêt , en quête de données autres à déceler ou à discerner ou à prélever ou à toucher ou à tirer , pour soi, vers soi, par la bande, et pour un temps long qui sera celui d’une cvie pleine et complète . mon envie de vie est tel que la mort m’effraie, qui me fait de l’oeil on dierait . Je suis un homme mi : mi-homme (humain) mi chèvre(caprin) . la volonté qui préside à toute destinée est celle-là, qui est bvérité d’un combat à mener de front par la bande verbale d’une destinée déployée à) même la terre (terre glaise), le saut du cheval, la rusticité localiszée, les fougères, les abords forestiers, les replis arb orés etc. Les lieux de cghute sont tant que peu importe en vérité klesquekls, puisque l’emporrte ici la chose comme quoi nous nous devons d’ancrer nos dires dans le xsable, les cendres, kles débris de vie, la poussière des abords de base, rudes, rugueux et porteurs. je chante à :même la roche divine pour ainsi dire ! Mon coeur bat à l’unisson du chant choral ! la bete en mpoi est cette bete des forets  de brocéliande oui dx’a illeurs : divinités saturées ! je cherche une vie meilleure dans le sas des sas des vérités offertes par la bande déplissée d’un verbe de joie nouvelle . Mon corps = une tombe.. Mon être = un saut /. Mon envie = une vie de rage . Mon amour des cxhoses présentes = une donnée ancrée comme un organe . je vgeux savoir loin car je veux comprendre le pourquoi des choses qui se lo gent en soi permannement et n’en démordent pas jusqu’à temps . Jusqu’à temps que le mort l’emportye, or quoi ? Que dire qui se puisse entendre de soi et par soi ? qui suis je ici qui parle e,n mon nom ? suis je l’animal intègre ? suis je un ami des limbes ? suis je une femme déniaisée, une femme allègre, une femme forte ? que suis je en ce sas fou des temps impartis  ? suis je une envie première encore en usage et pointée du doigt par la bande ? suis je puceau de materre ? le pôu de la rage vive ? un carnet xd’adresse ? un mot de trop ? le nom quipointe son museau et se loge sur la  roche des données de base ? suis je fol ? corps et âme déployé dans un verbe de données rudes ? dsuis je corps ezt âme ? suis corps et aussi âme ou seulament l’un et si l’un lequel ? je tombe des nues sur le cul et gratte la terre : en effet, elle est bel et bien réelle, j’en conviens, je vois cela de mes propres yeux, je ne suis pas en reste de m’en rendre compte, j’obtempère, je conçcois, je dis oui, je ne dis pas non, je dis que la chose est vraie c’est à dire réellement placée, je ne dis pas le contraire . J e suis homme qui dit, et disant j’affirme, affirmant je clos, cloturant je vferme écoutilles et bloque l’accès à toutes vérités meneuses et dures ?$.Ce faisant que fais-)je d’autre ? eh bien je ferme les vannes, cela est ainsi . La vérité a pour elle besoin d’écoutilles et cela toujours, et depuis toujours . pour se déployer incidemment, il semble que la vérité a de tout temps eu besoin d’écoutilles avérées, profuses, offertes diligemment, etc, un ancrage potentiel et performatif, un ancrage à même la cxhair du verbe natif, etc, la vérité n’est rien sans pareil ancrage . Nous avons ensemble à copmprendre à comment nous y prendre pour ainsi déployer ce verbe d’ancrage natif, par où commencer, comment nous y prtendre c’est à dire comment en soi permettre une entrée pour des dires vifs de v érité vraie, etc . nous devons aller ensemble à rechgerche, à la recherche, nous mettre ainsi en pareille position, aller à recherche = aller ensemble à chercher icelle (vérité  dure) sur roche des temps . Notrte but , à nous qui cherchons, est de déplisser kles volets dfivers du monde sensible et de mettre en lumière (au jour naissant) les données rudes, brutes, naisqsantes , natives des savoirs de base , soit ceux là qui sont , pour tout un chacun, les savoirs porteurs . Je suis celui-là qui est l’en gouement. Je suis cet autre qui est le plaisir, etc. rien n’affecte la joie, tant que celle ci s’incorpore à une donnée franche, donnée de savoir déplissszé et déposé sur un devant de soi temporel . si la vérité est nu, le savoir est su . Je vais vers un semblant qui est le swembvlant des données frontales, physiques et concrètes en diable c’est un fait, et cependant, «allant», je m’infiltre . Où ça ? eh bien : dans le sas des sas de la bande ! Je peux en parlerr : je suis inclus car je suis invité ou tout comme à me déplloyer dans le temps d’une survenue pariéto-verbale. Invité par qui ? par  celui ci qui me voit incidemment comme étant celuyi qyui cherche avec acharnement à comprendre . Qui est il ? il est l:’être des donbnées de base, le Summun ou disons : le Suprême . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que cet être ici a de quoi porter et soulever . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que je suis portyé et soulevé par le  v erbe c’est une évidence . Ah bon ! Oui , car mon coeur bat à l’unisson, car mon bras est actionné par laraison instrumentale, car les yeux s’ouvrent sur un devant éclairé, car les mots caraacolent de conserve dans le but dx’une chevauchée, d’un défroissement intégral (éloge éligible) d’un soi de paroi contenue. je porte , je me meus, j’avance, je file fissa versq là-bas= cet endroit de repli majeur . Je suis homme des Calabres, des régions suaves, de Ligornie, d’Ambroisie, des épopées sardes, du creux de l’enfer ou de la vague, des zones de frontières etdes appuis, etc. je veux aller en Lombardie Lomagne, au Pérou, au loin , ailleurs, vers des lendemains qui direont ce qui se trame en des épopées de première ampleur, je veux voyager ! Mon coeur est ce voyageur de l’au-delà à des contrées vives, etc. Il me suffit de poser l e pied, et l’ai-je fait ? je Crois ! je suis cet homme au savoir déployé sur bande = une mesure pour toute mesure . Quand la vie vibre alors le cviel s’assombrit et l’orage gronde, et le ciel est ou devient antre, il enferme en lui des données de base qui sont celles que nous recherchons de concertt . Où aller sans ombre ? que donner de soi par la bande verbale ? qui puise ? que donner de soi en termes de destinée ? J  sais ce qui tombe ici = une vibration soudaine, souterraine, suppliciée. je n’entérine rien qui ne me fasse mal ou du mal ?. Je cherche non pas l’hécatoùmbe (la tombe) mais l’entrée de cette tombe ou hécatombe, soit ce passage vibrant d’un au-delà de toute envergure ou de grande enver-gure : un animal . Je suis moi-même animal de rage en moi, je porte en moi cet animal de rage, il y a en nous (en chacun de nous ) un animal . comprenez cela: en cxhacun de soi il y a un animal . Il y a e,n chacun de nous un animal . Il y a en   ous tous une pensée, une vibration, un corps, un corpuscule, un étai, un brin, une fibbre, un mot, un cri ou du verbe animal . Nous avons qui est logé en nous l’animal . Lequel ? chacun le sien ! qui est il ? il est l’animal vibrant, coeur de terre, ombre et portée planétaire, charge, char, chute. Je veuc comprendre le plus que je peux ! je veux comprendre le plus possibvle que je peux de cette cghose qyui serait un dire qui serait le dire animalier par excellence ou sinon quoi d’autre ? car le dire dit «animalier» l’emporte haut la :main sur toute parade mortifère venant d’un en-soi raisonneur, mentalement étriqué, conservateur, scientifiquement cloisonné etc . Le dire de la bête est mot de rage déployé dans un temps donné fra ppé . Je ne cesse de l’affirmer. Or wqui m‘entend ? qui m’écoute ? qui a une oreille pour moiu ? pour ma misérable bete chercheuse ? qui ? je n’en vois pas ! Je veux croire en un auditoirec majeur, sensible, à l’écoute, permis, etc, or que tchi dit-on, qui est là pour pareille salade ? qui chante avec moi ? le preneur d’otage ? je veux chercher dans la profondeur du dire animal en moi, laraison qui pousse et a des vues sur l’audelà d’un soi étriquéeé. Mon corps est entier conservé et à déposer, on sait . Je vais sur des chemins pentus, ardus. rien ne m’effraie ? il semblerait en effet cvette chose comme quoio cela ici est . Nous devons pousser au plus que nous pouvons , pour nous déposer nous mêmes . Nous avons à vcomprendre beaucoup de données diverses et ces données nous devons les déployer sur pareille roche (dure) du temps, et ainsi faisanbt les présenter à qui de droit qui nous surveille, qui jette sur nous son oeil malicieux, celui là qu’il a pour lui incessamment et ne cesse d’ouvrir au hjour de la roche . je suis l’homme au temps brûlé d»éposé o,n le sait. Je m’avance en pays conquis ? oui et non ! Je m’avance dans la durée et cherche à comprendre vif, c’est un fait, et ce pendant ce que je sais est mùaigre, ne se laisse pas aborder si facilement par ma gouverne et a tendaznce à aller se loger dans des replis qui ne sobnt pas salutaires . Ce que je  veucx est si:mple à décrire : une vie de rage déplisszée ! Ce que je veux est une parole xde vérité qui dise son aval ! Je veux aller en roche dure, je veux  creuser vif, je veux cerner-entourer, je veux vibrer avcec la vibration en moi animùale . Qui a compris ? que celui qui sait se prése,nte ! Je veux déplissqer la cxharge frontale, déplisser le verbe emberlificoté en lui-même, et sonner parade ! rien de plus ! je suis homme des vives embrassades, des embrassa des vives verbeuses ou verbales ! coltinons-nous l’épopée ! prenons en de la graine ! Filons à confesse fissqa ! ne trainons pas ! Ne lambbinons pas en chemin, allons sur la place et décryptons tourtes lkes données offertes devant nbous . Je vois devant moi des chgoses qui sembvlent être des choses rudes des temps mais pas seulement : quelles sonbt-elles ? il semblerait cette chose ici , comme quoi ce qui est qui seprésente face à nous, soit la réalité des choses du monde, soit  cela qui nous regarde à son tour et voit en nous quoi donc sinon cet animal en nous qui sommes bi . Je tombe ! Je sais cela ! La chgose devant soi du monde sait cela : voit en moi la bete de rage, qui est paretie prenante, qui est assortiment de mots divers agglutinés en une sorte de piolet prêt à décghirer tel voile de la mariée ou tel maillage déployé comme un étendard . je pe,nse ombre et je devine l’ombre . Je suis homme des contrées de base royale ezt à ce titre je chezrche violemment (vivement disons) à m(‘introduyire en pareille roche des temps déplisszés, en, cette zone d’azur, en ce ciel des vérités ancrées, etc . je veux comprezndre toutes les données . J suis celui qui veut comprendre toutes les données . Je suis cet homme ou animal,, mi-homme mi-animal, qui s’avance dans le temps d’un présent déployé sur paroi, et va à combler ainsi l’anfractuosité qui secprésente vive sous nos yeux et prête «sa voix» comme un animal xde réserve, un collègue charmant, un ami de longue date bienvaeillant et aidant . Je veux creuser cette cxgose devabnt moi et pour cela je dois trouver le biais qui me permette d’agir sans contrzainte . Qui peut m’aider ? je pense à aller ainsi creuser la cxhose des temps par la bande mais est ce fin ? est ce =malin ? dois je me montrer malin ? la victoire ici est elle ou va t elle au malin ou au plus malin ? le plus malin gagne ? qui est le malin ? qui est le plus malin ? qui est ce malin ? qui est icelui m:a lin ? comment semontrer malin ? commùent faire pour êtremalin ? commment faire pour toucher en termes de malin ? suis je moi-même malin, un malin qui trouve le biais et hop, sauvé ? qui suis je ? comment faire pour sauver la mise, c’est à dire une pa rt de soi (mi bête, mi homme) qui serait à mettrec à l’abri et si possible pour l’éternité = la vie maintenue pour les autres = pour ceux et celles qui restent en vie ici et là ! Je hne veux certes pas porter poissee à qui que ce soit, mais eznfin il y a des choses ici (devant soi) qui embarrasse et gêne le paqssage, d’où le Verbe en soi dép^loyé dans le temps, pour une entrée vive dans le sas des sas intégral, sas des sas qui se veut royal, premier, princier, pariétal, animalier. Je vois devant moi une chose, cette cxhose a des ramifications diverses ici et là et va loin porter. Or quoi ? qui suis je pour tenter pareille approche «dangereuse» ? suis je l’animal contenu ? sduis je un paradigme ? suis je le plaisir ? suis je une envie pressante ? suis je vivant ? suis je à quelqu’un zet si oui à qui ? suis je un vrai animùal des prés en moi ? quelle la ngue est elle «pour moi» ? qui veut m’aider ? l’avenir est il plein de soi ou vide ? Je suis l’ombre et la proie, je suis la chair et l’âme, le vert et le gris, l’ombre et la lumière, le cheval . Je suis un cheval, hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je suis animal = ombre . je suis la bete rosse = ombre . Quand irai-je trouver à comprtendre la plaie buccale ? ce verbe est il à placer sur place , en termes de petit soin à dire et à poser ? qui a cru que je m’en sortirai inde;mne ? Je vois devant moi un gra nd nombre de données diverses déposées, il s’agit d’un réel de pacotille en cela que ce réel tourne ezn rond, ne sort pas du sas, reste à demeure concerné, se mord la queue, vibre dans son coin commme un serpent à sonnettte, etc. Rien de fractal . or comment faire , car nous devons faire ? pisser son dire induement tracé ? trouer la fibre ? comment s’y prendre ? commùent faire pour s’y prendre ? Je devine à part moi des choses, comme quoi oui nous devons aller (ensemvble : l’animal et moi) loin le plus pour toucher cette vérité des temps impartis soit à une vie ou soit (ici) à un programme matinal de recherche verbale ou sinon verbale verbeuse . Un petit mazlin s’approche, saura-t-il me convertir ? saura-t-il toucher du doigt ma  gouverne ? saura-t-il me dire ce qui est en des termes qui seront (espérons) compréhensibles ? que dois-je comprendre de la vie et da lma mort ? Je deviens le mort de lka fable, je suis comme celui qui, dans la vie, rencontre la mort et s’en offusque , alors même qu’il savait déjà que la mort est là alentour qui espionne, trrépigne, cherche à se placer comme une malottrue et malélevée de première . Notre but est de toujours à deux toucher la Chose : la toucher, la toucher. notre but n’est pas de nous cacher et de nous tenir loin des données de base rustique ou autre, non ! Restons groupé en campagne ! Chargeons fissa sur cet eznnemi de base a ppelé de ce nom baerbare de «Vélléité «, car la mort a des noms barbares. Elle sait s’y pre ndre. Elle sait y faire . Elle sait se placer . elle comprend loin en nbous et sait toucher en bnous la fibre animalo-humano-sensible c’est un fait. Dès lors comment faire pour s’en prémunir et sa sauver (si tant est ) d’affaire ? Nous pensons que le mieux est de dépôser les présents sur place, soit devant soi. Nous pensons que le mieux est ainsi : de voir à déposer ensemble les données sensibles, les vivres etc, ces offrandes de bon aloi . Nous devoons a ller en roche ainsi, bnous devons faire ainsi que les choses soient, nbous ne devons pas nous mettre de côté et louper l’affaire, non . nous devons déposer ce que nbous avons en nous qui mérite de l’êttre ou se doit de l’être = de l’Être. Car voi;là ce que nous sommes : nous sommes des êtres de peu, nous sommes des êttres qui devons voir à déposer les choses du temps (calcxiné pardevers nous) sur pareille place devant soi, qui est place des présents et des offrandes . notre but est affiché . Nous sommes deux (en nous ) qui nous devons ou qui devons ainsi déposer les choses du temps car nous le devons incessamment ! nous devons inceessamment et urgemment déposer au fil du temps cet ensemble en  nous de choses acquises : le verbe sidéral, eh oui ! Ce verbe est en nousq l’ancre de miséricorde ! Il influe sur nos gestes de parade, il est porteur comme une âme, il vibre animalement son étant de rage ! Il n’est pas sans ramifications diverses (on verra plus loin lesqauelles) ?. On sait faire fa ce et creuser devant soi dans l;a roche (perlière ?) des données de destinée, et voilà pourquoi on tient bon, on s’accroche, oin ne débande pas, on poursuit vaille que vaille ce tracé de bure, ces vives entrées en cxhemin, ces volontés de se voir adoubés, etc. Notre avancée est cellle d’hommes-bêtes de céans , et à ce titre mérite le respect, ou peut-être davantage . Nous avons ensemble à tenir bon coute que coute . Nous devons ensemblke tenir bon coute que coute . BNous devons ensemble nous serrer les coudes : l’animal en moi et moi . quel est cet animal en moi qui renacle ? Que sais je de lui ? comment puyis je faire pour le recvonnaitte, le toucher, l’approcher, le reconnaitre oui et savoir commment lui parler ? que vais je lui dire , et lui qu’a t il à me dire ? est il un animal des prés comme par exemple un cheval . est ce que je suis pour lui un animal ? est il pour moi un animal ? est il humainb ? est il fait de verbe ? est il un cvopain de ra ge ? est il pour moi mon alter ego ? alterEgo le Sage ? QUi est il pour moi qui chezrche à (le) comprtendre et àsavoir plus loin toujours ? Disons qu’il est celyui là qui co:mprend en moi ma recherche de données de base, cet allant de vie en moi qui me pousse à toujhours creuser plus loin , à toujours creuser au plus possible dans la profondeur . Je cherche une voie, je cherche à toucher la Chose d’une rage noble, donnée de base sur un devant, doublure d’un quelquechose qui serait cela même que je chgercherai . Je vois devant moi, il y a cette cxhose du temps octroyé, cette ouverture, ce temps déposé  pour ,  ce temps déposé pour   , ce temps d»éposé . Je vais dezvant moi et me pose à mon tour comme du^pliqué . qui en moi est cet animal de réserve ? que fait-il en moi ? que dit -il ? Que veut il me dire ? que chercbhe t il à me dire ? que cherche t il à dire d’emblée et  / ou pa r la bande ? est il en moi l’animal malin qui sait y faire en toutes cghoses ? est il en moi un animal vivant ? est il en moi un animal mort ? est il en moi un animal-temps imparti , est il de l:a bande ou du rocher ? appartient il à la confrérie des betess passées, des betes mortes, des betes données en offrande ? qui est il pour ma gouverne : pour ma raison ? dois je tenir co:mpte de sa voix en moi ? parle-t-il à travezrs moi ? qui est-il en termes d’espèce, de classe, etc ? ai je en moi une vipère ? un alligator ? une vivre ? un chien, ou même plusieurs chiens ? que dois je dire et que dois je penser ? la pensée en moi (le verbe ici) prend ses aises et déploie son allant comme l’animal du pré sur son herbe: je suis la bete mouvante, je parle pour dire la cxghose d’une sorte en moi de rugosité toute a nimalière de base . En soi, il y a cette cxhose : d’une bete meuglante, sidérante, et cette bête en soi est celle contenue dsans le coeur du Verbe tracé par la bande, le Verbe est vif comme bete vive, il cingle, il ceinture, il vibre, il obstrue, il fzait la roue devant la mort à l’oeuvre, il n’est pas peu fier. Le Verbe est fier comme une enclume, etc. il est fier comme artaban et ne s’en laisse pas démordre si facilement. -Le verbe parade, fait son fin, et de sa finesse tente de tirer parti . Il n’est pas dit qu’il ne soit pas fier . il  n’est ^pas dit qu’il ne soit pas vif . Il avance à reculons mais cherche sciemment la  v érité des cghoses du monde, on le voit . son allure est celle d’une bete fzauve, ou d’un paon des régions rustiques, ou de tout autre betes d’effigie . Je suis la bete auxc aguets, je suisq cette bete des prés, je suis une bvete charnue, je parle à tout cva et à tout crin. ma crinière au vent, le sang chaug, l’allure vive, je vais, je caracole, je trace, je suis sur la voie d’un tracé rageur, je fonce à tout va dans la démesure, je trace des traits de réserve, je tombe vif et colporte des données. Mon est Saint- Léger des Cendres d’étrennes. je suis là pour un dire fol, commme cavalcade.

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4/09/2021

main dans la paroi, main dans la paroi, je suis l’homme au ventre vide, je suis homme des embruns, je suis homme des embruns, je suis homme au ventre vide, je vais et je viens en roche, je vais en roche et je reviens au milieu des bêtes, je suis homme au ventre vide au milieu des betes, je chasse les betes alentour, je suis cet homme au ventre vide sachant chasser alentour les bêtes de rage, jentre en religion, je suis soumis à des effets de rage animalier, je suis porteur d’effets de rage, je suis pris en otage, je suis pris, je suis soumis à des effets de rage, je suis pris, je suis homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes au ventre vide et soumis à des effets de rage animaliers, je vais et je viens en roche comme neen religion, j’entre en roche indépendant, j’entre dans oa roche dure seul ou accompagné, je suis cet homme au ventre vide entrant en roche dure et qui va et vient en icelle à la recherche d(‘une vérité de bon aloi, je suis l’homme dans le creux du temps à la recherche d(‘une vérité ou vérité des vérités, je cherche à comprendre, je me meus à l’intérieur de la paroi, je cherche des raisons d’y croire, je me meus à l’intérieur d’icelle paroi et essaie de comprendre ce qui est qui me regarde : des biches ? des biches fines ? des fauves  ? des fauves félins ? des aurochs ? des aurochs de compagnie ? des buffles ? des buffles naturels ? des antilopes ? des antilopes rudes ? des ours ? des ours des campagnes ? je cherche à savoir ! je ne suis pas fini ainsi de le comprendre, je rehgarde de mes yeux d’homme non fini qui chgerche à comprendre et que vois je ? je cherche à comprendre ce qui est et ce qui est est devant moi comme une sorte de présent déposé à bon droit et qui m’attend = qui me tend les bras ! je cherche à comprendre ce qui est ici en cette roche des donn»ées de base rupeestre : ce qui est qui me tend les bras , quoio est ce ? est ce de la vie ? est ce de la mort ? quoi est ce ici ? qui peut le savoir ? qyui sait ce qui est en  de cette roche des embruns ? qui nous dira la vérité ? je cherche une voie d’accès à même cette roche des embruns de bord de mer, je cherche à comprendre ce qui est ici, ce qui se trame, ce qui m’attend, je regarde autour de moi les betes de rage, massives, costaudes, fières ou pas mais pesant lourd de tout leur poids pariétal, je regarde près de moi ces betes quyi paisssent et gambadent, se couchent et filent, je suis parmi elles un homme des cavernes, l’in-fini de la roche des temps, cet homme au ventre hurlant , je vais dans la roche duure du temps à la recherche de’une vérité de poids, qui puisseassouvir mes attentes et me donner le la (musical du diable) des airs de de la roche, son image, sa texture, son élan, etc, je suis homme au sang chaud, je vais en roche dands le vent, je suis cet homme doux des roches dures, je suis cet homme doux qui va son chemin de roche des temps à la recherche de la vérité ambrée, douceureuse, mangeable pour le dire ainsi, qui se poste près, qui tend ses bras sous le soleil de l’ombre des parois, etc, je suis homme des carosses, je cherche à comprendre les données de base déployées, je suis celui là qui va dans le vent à la recherche de la vérité des temps allongés, je me couche en roche, je suis nu, je suis cet homme des embruns qui, en roche, cherche à comprendre kles données kles plus lointzaines, les effets de terre, les données vives, les trous de la roche, les envies en soi de mangeaille, etc, car mon corps a faim de viande, de choses plus que nourrissantes, etc, je suis homme au corps masqué par une peau de bête et j(‘entre en roche comme en religion : muni de mon passé d’homme de la roche rude, muni de  cette envie en moi de comprendre et de cerner au mieux les enjeux de tzaille : le buffle, le cheval, la bete de poids qui charge , le tuer d’une flèche ou au coutelas etc car la faim me tenaille, je n’en démords pas, je suis enseveli sous des envies accumulées qui me tenaillent et me pousse,nt à tuer l’animal de tzaille à manger ! je suis homme rosse tueur ! je suis cet homme des tueries de b etes ! ah oui ! je suis celui-ci ! je ne suis pas cet homme non tueur des temps étirés par la bande mais tout le contraire, un homme des bases donnnées, des effets de terre, des effetds vifs de terre vive, etc, je regarde autour de moi ces betes aller et venir, je suis l’homme des attentes pariétales , qui, seul ou accompagné, va son chemin de ronde rupestre, va dedans, entre en religion, cherche la fortune, cherche à manger, part à la rencontre de la bête fière, dure de chez dure, donnée, vive, qui se fache ou pas, qui gambade, qui cherche à son tour pitance etc, je suis homme des prairies et des sous bois, homme-femme rude aux envies vives (à vif) de manger du corps de la bete, je suis cet homme aux envies acérées, je cherche à comprendre ce qui est des vérités de base neutre et pourquoi cela ? pourquoi cette chose , ce sang coulé ? qui fait cela ? qui dépose ? qui place sur table ? qui va saignant la bête rosse ? qui le neutralise et la pose sur pierre des temps ? qui cherche à donner ? qui donne et file ? qui se meut en cette roche des apprêts des bords de mer de roche , je cherche à xsavoir ce qui est de cette roche dure des apprets, je suis là sur elle ! je me pose en elle ! je suis en cette roche des embruns l’homme des parois naissantes, celui-là qui sort satête et qui comprend ce qui setrame ici en termes de parade et de cavalcade, je me meus en cette roche du temps déployé, je suids homme frais,, chargeant, tuant, ramenant la viande à soi, mangeant cette image, nourrrissant son appétit d’homme des cavernes in-fini, etc, car la viandfe participe de la finitude, etc, je suis l’homme doux des temps déposés par la bande sur pierre tombale etc, je sais cette chose, je m’avance à pas comptés, je m’avance vif et je regarde près de moi les choses du temps se déployer fissa comme un étendard de fortune car mon nom est noté sur roche à l’encre dure, mon nom est le nom de ta race des prés alloués et voilà ce qui me tend les bras : la mort en face, ce chenal, cette voie d’accès, cette chose rude des prés et desbois, cette vive clarté de face, ce temps dép:;oyé comme une bande , je file à jamais en cette roche des pazssages et autresx embardées natives, je suis né pour manger et de ce fait tuer, et que fzais je ? je m’en vais en roche comme en religion à la recherche de la bete grosse à devoir tuer pour manger et dès lors me sustenter, je suis l’homme des apprets de bord de mer, je vais en roche dure à la recherche des temps rudes, des temps communs, je m’allonge, je suis homme-femme rude et je pose nu sur roche mes attraits de bure , et file fissa tout au fond à la recherche de la vérité concernant la mort : ce qu’elle est, ce qu’elle nous offre en matière de vérité etc, je suis cet homme aux failles ouvertes en grand laissant passer cohorte en soi de bêtes de rage allant piquer dame la roche de son pic d’allant coriace, chasse et tuerie pour un passage , enn lévitation, sous l’influence con juguée des larmes et des cris poussés, cherchant vérités de carosse, etc, je cherche ! je suis homme à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! la connaitrais-je ? je cherche finement, tendrement, coriacement, continuelement, avec ardeur, avec joie, je cherche continuement, je cherche à savoir, avec en moi une faim de loup, je cherche vivement, je cherche l’endroit où aller en roche afin de piger au mieux les enjeux qyui (ici ou là) me tendent des bras ou comment ? pas cela ? je cherche avec l’envie d’en découdre le plus que je peux ! je ne suis pas l’homme des marées ! je suis l’homme des enjeux de vie ! mon  nom est un nom: à coucher sur roche fissa , il s’agit d’un nom de paroi, nom d’emprunt à poser sur roche gravé, dessiné, exploré ainsi, nom de caverne et de prairie, etc ! je me meus en roche, je suis l’homme entré par lma bande en cette sorte de carosse d’or = l’antre, le sas, cetyte outre, cette voie de rage etc, je suis en  cette zone des parois l’homme ou la femme des temps assoupis, je me meus en cette roche comme homme de peu qui trace sa voie (nonchalamment) à même la roche des prés ! je suis vif de rage couplé ! mon nom est le nom de ma rage éperdue ! suis je né à pareille envie de viande saignante ? il s’agit de savoir ce qui, en roche, me regarde et me tend les bras ! mais de qulels bras dès lors s’agit-l en vérité ? qui dit ce qui est ? qyui me donne de la voix ? qui parle pour moi ? qui est qui en cette chose ici d’une sorte de paroi du monde ? je cherche avec assiduyité , je cherche vivement ce qui est qui me regarde et me tend des bras de rage, qui ? ou quoi ? je cherche fort ! je cherche vif ! je cherche accouplé ! je cherche au plus loin des roches des temps, là bas est cet endroit de convenance et c’est là bas que je vois à toucher cette chose rude des apprets de fin de roche, je m’en vais vers elle, je syuis cette chose qui, vive, va ! je tombe ! je suis tomb»é ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombvé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! jhe tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je syis tombé à la renverse devant moi ! devant moi à la renverse suis tombé ? suis tombé à la renverse devant moi ? devant moi à la renverse suis tombé ? je ne peux le croire ! je suis homme chu mais comment et où ? je suis chu ! je suis cet homme chu de rage vive, je me meus en cage pour le dire ainsi ! je suis l’homme de la b ête des données rupestres, je suis cet homme des données de rage vive , qui suis je ? homme ou bête ? bete ou vivre ? je regarde ! je me meus , je suis homme des paroles déployées en cette roche des temps consacrés et c’est ainsi que je comprends le monde des attraits de bord de parois, je vais dans la roche rude des apports de rage et je regvarde autour de moi kes choses du monde, ce qui est qui se dessine abvec pertinence etc, cela est cette chose vive d’une vie de base allouée à mon intention, je vois la bête de joie ! je voie la chose crue ! je sais ce qui est ici en, cette roche dure du temps menacé et étendu, car mon nom eswt une figure de la xainteté, je comprends les choses déployés, je suis fier comme une buse et m’envole fissa dans le vent (le sang ?) qui est celui-là des roches pentues, je me meus à même la paroidu monde, aurignavcien ou magdalénien, je suis homme aux parois gravées, homme des cavernes au nom gravé sur la roche : aurochs d’éternité, buffkle des temps déroulés, bisons des catacombes, antilope vive, chien de garde etc, ma vie se déplie comme une carte et pas facile à replier ! jhe vais en cette roche des temps fous à la recherche d’une somme, à allouer, à cet individu des roches tremblantes, à ce quidam de société, filant dfoux à travers la lande :; : une biche dorée ? un chevreuil de qualité ? une bete forte , fauve, folle ? je veux comprendre ! je sais que le chemin est long pour comprendre, toute une voie tracée, un chemin de campement, une voie meuble,  trou de vie dans roche dure ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi ! cela est ! ça est ! c’est ! c’est ainsi que cela est ! cela est ainsi que cela se trame dans le vif de la roche des temps : je suis entreé en transe, c’est-à-dire que mon corps en entier est entré dans le wein des seins pariétal, j’ai vu la bete près de moi, j’ai pu la toucher, je l’ai prise en moi (mangé crue ) et là, je me suis couché sur roche afin de digérer, digérer mon méfait et me disculper de la chose à force de cris, cris de joie proférés etc, comme s’il en était dès lors en moi de cris de betes ou autres gloussements ou meuglements de betes rosses, en mon sein des seins personnels : à toi à moi ! et voilà ce qui dès lors se joue par la bande, en cette roche des enduits de base : onguents et autres chrêmes de vie allongée ! je marche à travers la lande, je marche dans le vent, je suis dans une sorte de paroi du monde allouée à vie d’homme étonné comme un  ouveau-né ! je veux comprendre les donbnées du monde : quoi est-ce à comprendre fissa ? qyui peut cvomprendre vif ce qui est ici qui se trame ? qui va là ? qui cherche ? car la vie de roche est vie vive des parois du temps déployé à même la paroi des mondes menacés , or : voilà ce qyui est : le temps est donnée de rage, il s’agit de le comprendre ! le temps est une sommité des parois du monde ouvert comme des mains ! je vois cette chose des lointains qui a nom d’emprunt et cette chose est une sorte d’échancrure dans le temps, ou dan s le sas du temps, ou comment ? cherchgons en vitesse ! allons de ce pas vif à la recherche de la vérité (cachée) des attreaits de rage pariétazux ! car l;a vie va vite qui ensevelit fissa les etres de joie comme moi , ou tout autre betes des embruns de base, je suis homme de la rcoche dure, allant de son pas chassé, chasseur ?)))))à même la roche , je m’avance ! je suis en avance ! je frappe à la porte de la mort de dieuu ! je cvomprends les données déposées sur roche du temps commun, et c’est ainsi que je fuis (fissa) à travers la lande et les prés des parois du monde couché, je comp^rends les enjeux ce qu’ils sont pour nous, je me pôse en roche du temps allongé et vois passer les bêtes dessin,és pâr l’homme des cavernes, je suis comme déboussolé ! je cherche à vif ! je suis troubklé ! je cherche vif ! je cherche à comprendre les données de base, ce que sont ces données de rage ici bas = dans le sas de la paroi, en elle comme des lumières, etc, je cherche avidement, je cherche à savoir ce qui se trame , je veux comprendre toujours davantage ce qui est en  roche des temps fous , ce qui en roche nous attend à tous autant que nous so:mmes ! je vais dedans ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je suiis entré ! j’entre ! je syuis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suius entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entreév ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je syis entré dans la paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans kla paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans la paroi du temps de la roche vive, je regarde au loin les données rupestres, je suis vif comme l’éclair, je me vois aller et venir ! je me vois entrer ! je me vois aller et venir dans le sas des sas ! je me v ois aller et venir en cette rocghe des temps alloués et je me pose en elle un temps qui est temps de vie, jhe vois et me vois aller , je vzois aller ce travail de soi en roche et m:e vois tomber sur la roche dure du temps imparti à un e vie ! hje suis l’homme des données de rage vive, je regarde au loin les embruns, j’essaie de trier les données et de com^rendre les enjeux qui sont ou szeraient ceux des parois de roche et autres murs de joie votive ! qui l’eut cru ? qui co=mprend ? qui sait ? qui connait les mots adéqua ts ? qui parle en son  nom ? qyui réellement parle ou parlerait en son nom ? qui parle ou parlerait en son nom de roche ? le tribun ? l’homme politique ? le poète des damnés ? la chanteuse des prés des  roches ? le quoi ? le défunt ? je cherche à vivre vif la donnée brutale des parois et à la com^rendre fissa fissa comme d’une sorte de charade à dé   à déployer, à découvrir, à dépoussiérer ? eà quoi ? car le ventre crie famine incidemment ! il s’avit d’une charade des temps durs, des temps vifs des parois du monde ! nous disons vifs car ces temps sont ardus ! il s’agit de comp^rendre en soi ce qui est qui file fissa à travers la lande, homme aux aguetzs, chzair de joie des temps corrompus, ou sinon  quoi ? je cher che ! je cherche à) savoir ! le temps est un allié de première main, il s’agit de le comp^rendre ! je suis homme des cavernes au sang vif en mes veines de jhoie, et je vais en roche à la recherche des choses du monde animal telles qu’elles se présenteznt au fur et à mesure de mes avancées, je vezux savoir la vérité du monde ! je ne veux plus passer à côté ! je cherche à savoir la vérité du monde ou sur le monde et ne veut en aucune manière passer à côté et ne rien en,te,dre, je cherche le la musical , où ça ? eh bien là, comme il se doit, soit ainsi fait sur roche, dessiné /gravé par la bande, sous emprise, ou sous hypnose, ou sous l’influen ce d’une bête rosse en soi même, je veux croire en elle = c ette bête en soi qui renacle (trépigne) et cherche de soi à sortir sa tete et xavantage et fissa piquer une tete dans l’eau de la roche dure, ou comment ? travaillant la roche au pic de sa joie verbale, etc : pic de fièvre, pic de joie rudement colorée, etc, je cherche une sortie de route afin de comprendre enfin en se posant les enjeux de la roche du temps alloué à une vie dite mortelle (on le sait : on sait cela) et comment ? comment trancher ? comment couper? comment s’arreter sans pour autant sombrer ? nous ne savons pas , nous subodorons, nbous cgherchons le fin du fin, nous voulons comprendre, nous voulons savoir, bnous voulons comprendre etv savoir les choses du monde ce qu’eslles sont pour soi et ce qu’elles contiennent en termes de connaissance rupestres, etc, je rega rde les chevaux qui caracolent, je regarde les bisons des prés, je regarde les hommes aller, je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois aller et sombrer et donner du la musical ,au diable ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi  ! oui de chez oui ! cela est ainsi que cela se trame : je suis l’homme des cavernes aux parois ornées, je regarde le tracé des betes sur la roche dure, je vois mon image au débotté, je me vois cerné de toutes parts par des b etes de joie surnuméraires, je suis traversé par des envies de rage, je me meus à leur côté, je suis emporté par la vague (cela est) et emporté je me vois entrer dans la nasse, passage doré, «éch-ancrure sur le côté, tentation avortée ? ou sinon comment ou qyoi ? je cherchje la réponse à la question des temps déployés sur la lande, vie de chance, joie d’être, courage & passion, la colère telle, que je suis emporté à mon tour par la vague des betes poussant fort ensembke vers la chute finale ou prétendue finale ! me voilà contraint d’y a ller à mon tour ! on voit cela ! je charge au milieu des betes ! voilà ce qui est ! je suis pris dans la meute ! dans la troupe, au milieu! dans troupe de roche en son milieu ! au beau milieu d’u,n troupeau d’aurochs ou autres bovidés ou de cervidés ou autre betes à sang chaud ventripotentes ! je suis emporté par la vague ! je suis emporté par la vague ! cela est ! je suis comme emporté par la vague ! je suis emporté ! je suis comme emporté par la vague des betes entre ellles et me voilà contraint «d’obtempérer» de conserve ou cvommùent dire ? un laisser aller, un laisser filer, un laiisser croire, un laisser faire en soi ou pour soi, une chose pl;us une chose plus une chose plus une chose plus une chose et toutes cumulées m’emportant dès lors avec elles vers ce lieu de destinée finale (fatale) qui commaznde ! oups ! le trou ! le trou du cul d’une vie du monde ! jhe vois le travail ! je connais l’astuce : emporté parmi , déporté ! je suis ! oh comme nous sommes ! nous sommes ! oh comme je suis ! cela est ainsi que la chose wsembke se ttramer ou s’être tramé par la bande ! on voit ce qui est à l’aune de la parodie (de toute manière) et me voici qui tombe à la renverse parmi toutes ces betes de choix, belles bêtes s’il en est, troupeau de betes fauves rosses rudes, etc, chazleur des betes entre elles, me voici porté ! je suis emporté porté, je suis a;longé sur le dos d’icelles au complet qui me font bouger = me mouvoir sur elles à l’emporte-pièce pour le dire ainsi et vite ! car ça file ! les betes m’emporte et me font passer de gré ou de force le passdage du temps poussé, du temps accoutré ou comment ? chaleur des bêtes en tre elles, accoutrement ! je file ! jhe suis pris ainsi part la bande traçante des bêtes entre elles , elles me font passer le sas d’entrée et me propulse dans le sein des seins pariétal de la mort à l’oeuvre ici bas (là-bas) à même laroche gravée , je suis pris d’assaut ! les betes me prenneznt qui me poussent à toutes dans le sein des seins de la mort à l’oeuvre il va de soi ! je vois ! je suis voyant ! je suis un voyant ! voyance !  etc, car le temps aidant je m’approche de la bete fauve et lui parle à demi voix ou comment : mezza voce, etc, lui demander ce que je dois penser de cette sorte d’ embardée prenante , et que me répond-elle ? elle me répond que je suis «fait» et file aux quatre vent de son échappée verte ! je m’accroche ! je suis l’homme du temps qui cherche une accroche ! je suis cet homme des tourments des roches, cherchant le Temps à même la paroi du monde (une gageure ? une folie  ? ) et ce faisant que pense-t-il ? il (je) pense que (ouiiiiiiiiiiii!) lza vie va fisza à même la roche comme une donnée graphique de prezmière ! exactement ! je vois kle tralala se dessiner sous moi : aurochs du passé, aurochs du passé, aurochs du opassé, aurochs du présent donné par la bande, mort à l’oeuvre, sentiments désordonnés mais rassemblés sur roche pour la bonne cause, sentiments généralement désordobnnés mais ivci rassemblés sur roche pour la bonne cause, et pariétalo-frontale et animalière ! je sais ce qui est , je travaille pour la vérité du monde des embruns, je suis homme des charges votives, trainant sa belle (ou pas ) carcasse d’homme frontalier, passant de ta race, chargement de denrées, donnée rustique, pesage ambigu ou  sinon comment ? car un jour je file devant et le lendemain je recule à toute blinde comme un qui s’effraie devant le spectacle déployé de la misère, alors quoi ? veux-je ou ne veux-je pas ? sais-je ce que je voudraois au vrai ? le sais je véritablement et en toutes lettres ? que sqais-je ? je sais  ce qui est de la roche des temps alloués : une sortye de tribune ! or me voilà porté bien malgré moi par un, troupeau de bovidés traçant sur roche dans la direction de la porte rosse, alors comment faire ? mon nom est gravé au dos du mulet, de la bete rosse, du veau de carosse , etc, que faire ? je chjerche à comprendre les données de base des vies allouées à roche des temps, et pour cela le mieux est de tomber sur roche fissa et de ne pas se relever, feindre la foulure du poignet ou de la guibole, etc, il est cette chose comme quoi je suis comme porté par des betes de somme (une so:mme) jusqu’au point d’azur où donc une main, une autre, me capte et me tirentt à elles, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cela est ainsi ! il s’agit de deux mainsq, voyez-vous les mains ? il s’agit des mains de dieu, des mains d’un dieu, des mains de quelqqu’un, des mains d’une personne de type humain caucasien, il s’agit de mains ouvertes, bras oouverts, enveloppement de type chaleureux, etc, je me vois pris par des mains sortant de la brume ! je me vois ainsi ! je me vois ainsi soumis ! je me vois ainsi comme soumis à des sortes d’emprises de b ase raciale ou comment ? pris en étau ? p^ris de force et soumis aux effests de betes rassemblées entre elles et me pousqsa nt au plus lointain possible vers la roche des fonds baptisma ux d’un antre de roche c oriace : mort dans l’oeuf = cette mort qui est là à nous attendre se loge dans l’oeuf ou comment ou où sinon ? la mort est une ambivalence : ouverte et vfermée, selon lkes moments de la journée ! je cherc

he à comp^rendre  , je suis l’homme au pas rapide cherchgant à compfrendre (dans le vif du sujet) ce qui se trame et ce quy’il advient d’une embardée vive dans les prés, je cherche en moi ce qui est, je cherchje en moi l’être des parois rudes, qyui suis je ? le troupeau file à grandes enjambéesq, jhe suis pris à la renverse, je tombe sur des betes rosses qui m’emporten,t dans l’élan de leur foulée lourde à travers les prés, je suis soulevé, emporté, je lévite ! voi;là ce qui est ! je suis porté par des betes de cgharge, une cavalcade, et ainsi passe lkes années, les temps déroulés par la bande (la troupe des passants de rage) etc, cekla est ainsi  c ette chose crue, chose rude et crue qui me pousse à me laisser aller , on sait cela ! je charge avec elles ! je suis l’homme des apprêts, l’homme au v erbe haut (trop) qui pique la roche et traverse ainsi kla (belle) paroi des hjommes et fvemmes des cavernes dont je fais pa rtie depuis ma naissance poour le dire ainsi, je suis un homme pris en tant que je serais ivci pour des betes une raison de plus «d’y a;ler», etc, les betes me poussent à aller par elles, à me laisser faire sur elles, porté soupesé, choyé soulevé, etc, et me voilà qsui trace le chemin (mien) de randonnée ou d’embardée vive à travers un, paysage pariétal de vie terresstre, je rz$egarde au loin et je comprtends ce qui m’attend : des mains ! des mains tendues ! mille ey une mains tendues , ouvertes, qui m’attendent on l’a dit, on le voit, elles sont grande ouvertes, eklles sont des mains de roche, mains sortant de quoiuui nous l’ignorons mais mains pour le coup en v rai pour ainsi dire ! je passe sur l:e choix des betes (elles sont nombreuses et diffèrent fortement enttre ellersx: bisons mais buffkes, chevaux mais antilopes, ours mais lions;, etc) et tout de suite me voilà allant fissa vers l’échancrure ! ou la la ! ouh me voilà devant la porte ««««« de la mort à l’oeuvre ! que voiis je ? voyons : des mains de passdage, oui, de la brume nimbant les mains ? oui , quoi d’autre ? des mai,ns -manucure ? hum, peut-être ! rezgardons ces mains, comme,nt sont elles ? humaines ? oui ! vioolettes ? non ! roses fuschia ? non ! rose bonbon ?. non ! rose clair de type incarnat ? très certainement ! les ongles bien mis ? très sûrement ! c’est à dire non rongés ? ouiiii ! quoi x’autre ? à toi de deviner ! je ne vois plus rien et ne co:mprend plus rien ! jke suis aveuglé par (en elle , en cette échancrure) une lumière des apprets de roche ! lumière solaire on l’a vu ! et moi de pleurer et doucement gémir comme un nouveau-né infecté ! je suis homme des roches rudes ! je sauve le nom de la misère ! qui peut m:’aider ? je voudrtais toucher la timbale du temps et comprendre loin et profond les données de base rupestre, je voudrais comprendre  ce qui est qui me fait de k’effet au point de me faire aller (sur le dos des betes) vers un trou de basse-fossse on dirzait, ou pas ? trou borgne des parois du monde ? trou plein de son vide matériel ! je cherche à comprendre le ++++++++++++ du monde pariétal = ce qu’il donne ezn plus à l’homme des cavernes, ce qu’il donne en plus à l’homme des cavernes est : viscéral, troublant,, coriace, vertueux ou vicieux mais fortement vmarqué dans un sens oi dans un autrte, je cherche à savoir ! je veux savoir ! je veux pouvoir ! je voudrais pouvoir savoir ! je cgherche à vouloir savoir ce qui est ici d’un troupeau de bêtes sorti des entrailles de la terree ou d’où , m’emportant fissa à travers les champs vers des bandes de.... vers bandage de .... vers une sorte de .... qui le sait ? nous cgherchgons de toutes nos forces à savoir la chose (la Chose = la Moort) ce qu’elle est : qsu’est-elkle ? quoi elle est la mort ? la :mort elle est quoi au juste ? que la mort elle serait là ? là la mort quoi elle serait ? qui sait quoi ? je cherche et pousse vif le  verbe pour lui faire xdire ce qu’il (???????????????????????????????????????????????????????? ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????)a à dire ici ! je veux comprendre les données de base rupestre, cet aurochs qu’est-il ? est il le nom de la chgose , de la Chose ? est il le n om déposé sur rochge des temps passés ? que vois-je au déb otté de telles paroles ? je suis sur roche à tenter des approches de chgoix à même la pierre, gravant en  veux tu en voilà des betes de joie de première chance ! qui suis je ? je suis homme doux dépoitrenaillé ! ok, qui suis je ? je suis chevreuiuil de roche maeuble ! ok, qui suis je ? je suis pomme d’api et ver dans la pomme accouplé , ah ok, qui suisq jke ? je ne sais pas, mais je vois que je souffre (parfois) lorqu’on me déforme (la déformation minérale) etc, je vois cela ! je sais cela ! je me vois touchant la bete d’un xdoigt et celle ci de me pousser à terre, me poussant d$

dans le fossé et cherc hant à :me pîétiner (dans un rêve ?) etc, je suis une bête de poids moi-même, je suis homme des parois soudaines, homme du temps doucement déployé sur roche rude aux abords mauvais (escarpées) et je me vois de ce fait mp’éloigner des abords pentus dangereux et me tenir loin des risques de chute, si possible, en tous les cas me voilà tombant dans la roche rude, à même la pierree si froide, allant de mon pleur d’enfant et couinant en  veux tu en voilà sur la lande , pleurant cette chose comme quoi : «je veux pas mourir ! non non non ! je veux pascmourir  je ne veux pas !» et moi d’écouter ce chant sorti de moi ! oulala ! je chante par devers moi ! je chante ainsi cvomme si , comme si j’étais, moi même, le c hant des sqphè§res ou à peu près or «que non !», on le sait, le chant des sphères ou chant céleste sort d’un trou de terre mzuble pour le coup et non point t trop dure, il s’agit d’une sorte de chant guttural ! je suis homme de roche pentue mais se tenant coi et cherchant pita,nce à l’intérieur de la paroi ! je cherche une voie pour mieux m’enfoncer dans ce trou de roche parlée, voie d’a ccèes monacale ou pas mais permettant une embardée sur beêtes de premièeere ! je suis l’homme des cavernes, je suis l’homme desz cavernes emporté, je suis l’homme emporté (emporté) des cavernes, oui :: doublement emporté, emporté par des bêtes (sur le cdos d’icelles regroupées) et emporté du gen,re en colère, etc, vif l’éclair, chercheur de vérités, etc, à même la pierre tombale ! le nom que je porte est nom de piètre renommée en  cela que rien «ne l»arrete» pour ainsi dire (éceuils sur un fleuve temporo-spatial, de type branche coincée, caillassse mal placée, etc) , je suis l’homme cherchant rude une voie de passage à travers le temps, mais comment  ? nous cherchons ensemble ce qui est, nous = tous ceux et toutes c elles qui sont associés en tant q’usagers d’une langue précise en particulier, je vois sur roche aller et venir des betes de poids, je sais qu’il s’a git de bete massives agencées, regroupées pour une traversée, celle-là qui saura me faire passer (de guingois ou pas) pas ce passage découvert ou creusé par icelles bêtes des attra&its, des apprets, des appeaux, des turpitudes ou autres joies de l’existen ce si tant est ! je cherche ) à comprendre les données de base, ce qu’elles sqont pour ma gouverne ! je veux savoir , je cherc je à savoir ! , je voudrais savoir ! je cherche à savoir ! je voudrais savoir +++++++++++++ et pour cela jje vais en roche dure devançant la mort ! n on pas d’elle, de grace SVP ! car je suis un homme doublé d’une bête alors fissa filez, etc, me voilà nommé , je suis affublé désormais d’un nom de ta race qui me donne vif de quoi me soulever et ne plus tomber sur ;la tete ou sur les pieds peu impôrte, cce quicompte ici est de ne plus tomber, sur le bout cdu  n ez ou le cul importe peu mais acte ! on voit ! on voit cela ! je suis l’homme des cavernes au vin  ou au vent mauvais ou non ? qui ? je file ! je suis filé ? je suis l’homme des temps alloués, je file sur roche à vitesse grand V  car mon nom est nom de roche déployée comme une donnée de vie dépl;oyé dans un temps donné,, donné par la bande on l’a compris ! je traverse la roche de part en pârt et sort de kl’a utre côté avec au passage avancée massive des bêtes de choix (de l’homme des cavernes), donc, ok pour cette traversée de part en part, mais qu’y a til de «l’autre côté « ?la même chose qu’ici même, car la roche est boule de feu pariétal, et deriière laboule il y a partout la même chose, poupées russes au débotté sanglant,; douleurs terrestres xde type tourments et derrière : l’e nvol d’un air radian,t, du vide de joie, espace temps globbal, chant des sphères azuréees, je vois la roche s’ouivrir devant moi ! je vois la roche s’ouvrir devant moi ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois devant moi la rocher s’ouvr(ir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devan,t moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi qui s’ouvre au débotté de la paroi ornementée ! je sais cette chose ici cd’une roche des temp^s alloués et je m’en félicite ! je regarde oppportu-nément les voies qui sont cekllers ici d’unaccès possible vers des destin éesq lointaines et vives, je regharde devant moi  ce qyui est qui me semble ok e,n matière de destinée, etc, je suis homme des cavernes recouvert de peaux de betes tuées, je suis le chasseur de la lande,; je porte en moi la ou les betes chassées par moi voire mangées pâr moi et me voilà qzui tombe à la renverse, chandail déplacé, je tombe ! je me couche sur les betes mouvantes ! je suis homme rude ! je cherche issue par tous les moyens car mes conna issa,nces étant sommaireezs je me dois d’explorer finement les temps impartisà la recherche d’une denrée quuii ferait mon afffaire, je veux aller loin et profond en cette rocghe des temps alloués à une ca use, cette cause est celle qui me voit cvhercher fissa fissa à treavers la lande de quoi me nourrir un temps qui sera le temps de la Chose rude ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je suis cet homme de la gorge et des poumons ! je suis homme des attreaits velus,; ou comment ? pas xtant que ça ? je veux savoir ! je veux savoir ! je veux savoir ! jhe veuxw x dsavoir ! je le veux savoir fisza de grâ ce ! pas à pas mais vite on le voit ! dites moi ce qui est qui turlupine et empêche l’avancée frontale ou faciale ! c(est facile : le sang coule de la plaie et gêne aux entournures, ce sa ng chaud humain coulant d’un e bouche de tra it ! je suis l’homme des parois meubles, d’autres sont des parois dures, je suis homme des cavernes des parois non dures, je traverse à lo’échaudé, à l’écha uffé, au cordeau, comment dit on ? je traverse’ ! et, passé de l’autre côté, je m’étire, j’ouvre mes mirettes (grand) et là atteznds et que voiwje ? une puis une autre puis en,core une autre et encore, bete de poids ! des massifs, des il:ots de viande fauves ouhlala ! je vois cela ! je ne suis pas n,é de la dernière pluie ! je ne suis pas néé du cdernier convoi ou du dernier envoi ! je pleure sur roche , je suis né ! me voici au monde ! je suis né ! je suis enfant né ! je suiis né comme il se doit ! je suis enfin né ! je suisq passé ! je suis né ! je suisq eznfin passé ! je suis né ! je suis een fin  né à la vie de roche ! je suis né à cvette vie de roche dure, e,nfin né je suiis, à pareikll:e rochge des données, je suis homme vif, chant d’azur, hommê et femme de le et la   caverne pour le dire ainsi, fou des tempes, chaleur viscérale, onguent, christ devant ! oula ! le christ est devant ! qui est devant ? le christe est devant ! qsui çàa ? le christ ! je ne comprends pas car kje n’entends pâs ! le CHRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui ça ? aiïe ! j’ai dit : LE CHGRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! as tu entendu à présent ? je cherche à savoir les données, avoir) et ces données les employer à bon escient de préféren,ce, je suis l’homme des données frontales, je cherche à me glisser comme par la fente d’un temps décontenancé, déboussolé, dépoitrenaillé etc, mon nom est le nom que m’ont donné les anciens etc, je ne suis pas plus que ça carnivore mais eznfin oui, je le suis , je mange de la viande de bete de belle prestance de préférence , je suis enfin né !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et cela ewt un fait vrai (oui ou non ?) : je suis né à la vie des roches, je me pose en elles, je suis infiltré ou l’infiltré de la roche des temps, je vois e,n roche les données kes plus basiques du monde , je vois cette chose d’une roche des apprets , d’une roche dure des voies célestes, j’entzn,ds le coucou de la plèbe , qyi monte, quyi vrombit, qui semble vouloir acceuillir (dès lors musicalement) mon entrée dans lka vie des roches des temps d’un devant de soi, la mort est la vie,, la vie est la mort, la mort est peut-être :a vie et la vie est peut-être la mort, sont ou seraient interchangealbles ou non ? ou comment vous dire cette chose ici, entre deux parois lisses d’une destinée ? je cherche à comprendre ! je cherche vif ! je chercbhe à plusieurs à comprendre à vif ! je suis l’homme des embruns massifs et ondoyants qui cherche à compren dre à vif les données les plus lointaines qyui seraient logées à même la pierre du temps dsans le sas des sas temporo-facio-pariétal, on sait cela ! je file à l’a nglaise car mon nom est phil et mon nom de famille «ambidextre «, ou comment ? je cherche à savoir ! quel est mon nom ? mon nom est le nom d’une bete connue de par un grand nombre de personnes ! mon nom est un nom connu ! hje suis homme de la joie d’etre enfin au monde né ! je suis cet homme né d’une joie partagée ! je + je fait ce je né de roche ten,dre ! je et je font je par la bandxe ! hje suis l’homme cde la femme née, et la femme est l’homme de l’homme né, ou comment xsinon ? mon cvorps est donné sur roche à tout ja=ais comme une impression 3D de première loge, il sw’agit de le comprendre vite (v ite fait) et de le dire quelque part qui se puisse être pzerçu au mieux : entendu au mieux et compris de part en part ! j’aime, j’aime de folie  cette chose de me voir en vie c’’st à dire enfin né au monde ! j’aime la vie ! oh j-’aime cette vie de roche grave ! je suis homme des embruns des roches du temps, je me meus dans le sas des sas, je suis l’homme de la vie de roche , je suis cet homme au ventre vide, je cherche pitance à vide ainsi à travers les l:andes ! je veux donc aller tuer, chgercher ce qui compte, man ger, je v eux remplir de fait mon estomac d’hommme des cavernes, manger et chier, manger et chier, etc, boire et pisser, boire +++ (= m’abreuver à la source du temps) et pisser ! je suis homme vide , homme avide, trou de bouche à devoir n ourrir ! je veux manger ! je veux ma,ger ! je  veux mùanger ! hje veux déposer, ces victuailles, ce manger de roche, ces bêtes mortes, tout ce sang royal, sur la roche du temps = nourrir le temps, le gonfler de mille choses nourrisdsa ntes = nourrir la mort des pa roles des temps, etc, je veux la toucher ! = l’émouvoir ? ou comment toucher ou dire, ou comment ? je suis homme des temps cde cxarême, qui, soulagé d’être enfin né, voit sa vie défil:ezr vitesse grand v sur la terre, or le voilà qui cherche à s’en ecxtraire ! il va traverser  les barrages septentrionaux de la roche rude et voir (enfin) de l’(autre côté et que voit-il ? il voit la prairie, lesw prés oùu paiossent les bêtes, il voit la prairie calcinée ? il voit la prairie en feu ? il voit la prairie aux bêtes fines, élancées et racées, comme biches des parois solides ou cerfs de ta race belle, etc, je suis l’homme qui va sur la roche et quyi cherche que tu chercheras une ombre (un nom) où se mettre à l’abri des piétinements ! je suishomme du temps qui passe nonchalamme,nt, je suis un homme des  cavernes, je suis l’homme des cavernes au ventre vide, je suis une femme des cavernes, je suis un nous des cav ernes, nous-je sommes deux des cavernes à pousser la chansonnette gutturale des parois du monde, bnous voulons comprendre +++++++ ce qui est en roche pour nous , nbous voulons ensembke comprtendre ce qui est pour nouys depuis nous en nous, et ce qui est est, ainsi de suite ! nous cherchons la Chose rude ! nous voulons comprendre le TEmps ! nous sommes morts à une vie vide ! nous allons loin en cette roche des tourments nacrés ! nous sommes deux pour une causqe enfin dép^lacée ! les mots nous incombent et nous savons lkes déposer à même laroche pour le coup ornementée, nous sommes entrés dans la grotte , main dans la main, deux enfants en bord de :mer, nous nous étions baignés et à présent nous explorons lx’antre nu, l’intérieur sombre, la voie de passage, les boyaux, les places, les parois, les endroits humides du temps imparti, les trouées de bout, etc, nous sommes des êtres de feu enrichi  par la bande et nous n ous faufilons (sous le regard divin ?) à travers la roche rude ! nous tombons des nues pour ce faire ! pamoison ! nous tombons en pamoison ! nous sommes etres qui tombons en p^$amoison ! nous sommes êtres qui tombons v ite fait bien fait en pamoison ! nous sommes nus comme des petits vers de terre perdus ! nous voulons comprendre ce qui est et qui se trame sous nos yeux d’enfants ! nous sommes cdeux qui entrons de concert dsans la pierre, nous nous sommees serrrés pour ce faire l(‘un l’autre = lm’un contre l’autre, et nous voilà , à présent, qiui nous approchons de cette biche de paroi ornée, et allons la toucgher délicatement afin de ne pas l’effrayer, nous voulons creuser profond au wsein des connaissances, nous voulons creuser p^rofondément et sérieusement, consciencieusement et fin ement, volontairement et concrètement les connaiossances des parois du monde ou contenues dans les parois duu monde et pour cela, une seule chose à faire : tourniquet ! eh oui ! ainsi fait ! comme un fait exprès ou comment dire ? car le temps est pour nous une chose de poids ! nous savons cela, comme quoi le temps pèse lourd da ns la bala nce d’une vie sur terre, nous devons nous avancer fissa, nous nous avançons fissa, bnous devons fissa nous avanc er, nous devons nous avancer fissa, nouqs devons nous avancer fissa, nbous dezvons nous avancer plus que fissa : vitesse grand (méga-grand) V de préférence car le temps pressse pour la  vérité ! nous parlons par devers nous et pensonbs de même ! méfiance ! nous disons dees choses de rage et cependant méfiance envers tout = aussi envers nous, premier de cordée ! nous devons nous méfier de nous ! tel est la donnée de base raciale ! ouiiiiiiiii ! méfies toi de toi ouap dou wah, car c’et cela que nous sqommes à même de voir de près ! nous devons tous et toutes (e,nn roche) nous attendre à tout de la part de nous (de nous m^$emes) ,, cela est assuré ! nous devo,ns nous attendre à bien des trourments ! nous cdevons comp^rendre les donnéezbasiques de la rage du temps déployé , je suis homme premier de cordée de moi même;,, nanti  de pouvoirs dont je préfèrerai me méfier : je suis l’homme a u parler «sincère» = «vrai» = «d»pl;oyé comme une tenture sur un mur acciçdenté, je veux croire en moi mais «c’est compliqué» car le moi est envahi d’un brouhaha pariéto-cordial de première censé améliorer les relations du tout sur le tout mais en vérité pl;uytôt le contraire : méfies toi de toi wap dou wap, car je pense que c’est préférable ! je cherche à comp^rendre le plus de cette roche des embruns, je cherche à toucher le fond ce qu’il est ! je cherche à toucher le fond des problèmes, à toucherr le fond tout court, à touchezr le fond donné d’un e langue «déplacée» par la ba nde, jhe suis homme des attraits de fond de roche, je vais loin le plus, je cherche le plus (là) en cette roche des lointains, les mots caracolent, ils nbous wsont donnés et impossible de cs’(en séparer, ils’agit dès lors d’une sorte en soi de  cadeau de roi empoisonné (le cadeau et peutêtre le roi p)ar la :même) : je cherche à comprendre le plus d’une sorte d’embardée de force,et  pour cela je me vois dans l’obligation de toucher le fond, car toucher le fond = tenter de troucher le fond,car le fond n’est pas neutre ou n’existe pàas neutre (au contraire) : il s’agit de savoir ça ! je cherche pitance dans le sang, je suis l’homme -plein xde cette joie de rage et de cette foi en soi en tannt qu’etre de rage, jhe veux une sortie de route ! je veux aller loin ! je veux comp^ren dre loin les choses du temps ,  je veux chercher loin les choses rudes, je veux rudement savoir ce qui est, je veux savoir rudement ce qui est sur roche qui me tend les bras ! je suis n»é (enfin) à la vie ! je suis né d’un homme et d’une femme ! je suis né d’une vfemme meuble ! je suis né de par la fente d’une femme meuble, je touche le fond, je  voudrais toucher le fond, est ce qUE je touche le fond ? hélas non ! jamais ! jamais de la vie ! je suis soulevé par des  betes de poids qui me portent ainsi, ainsi regroupées, qui me soulèvent permanemment et m’empêchent de wsombrer ou de chuter dans le degré zéro de l’inanité vitale, je sais cette chose : sous moi il y a des bêtes, elles me portent comme sur une soupière, ou comment me portent-elles ? elles me portent ainsi faisant : regroupées, un troupeau sous moi me porte vif ! elles sont fortes, elles sont racées, elles sopnt vives ! elles sont masssives ! elles me portent vives ! elles sont vives qui me portent , etc ! je suis porté et sous moi il y a des bêtes ! nje suisq homme des parois du monde, porté soulevé par des bêtes de masse sous moi, j’essaie de compren dre ce qui est et qui me regarde et qu’est-ce ? s’agit-il de vies de ra ge ? non ! une vie de rage sous moi ? non ! quoio alors ? que saisq -je ! et me voilà comme contrefait par la bande , je cherche à comprendre, j’essaie de savoir, je veux pouvoir compter sur moi, j’avance soulevé, je suis emporté par des mots de roche dure sous moi, caca, et me voilà rude , rudement bouleverswé ! que dire ? mon nom est un nom de roche, il préside à mon aventure sur roche rude, mon nom est le noom de rocghe attitré qui m’a été donné à la naissa nce et s’épèle ainsi : S virgule p virgule i virgule, etc, je ne sache pas que ce nom soit riche, l’est il ? je cherche à compfrendre ce qui est en roche pour moi, ce qui est en bout de course qui m’attend impatiemment : qu’est-ce ? alors voilà : la mort est l’instru:ment de dieu, la mort esdt une gageure, la mort est une plaie ouverte, la mort est tendue comme un arc, la mort est une échancrure dans l’etoffe de la vie, la mort est un calfgeutrage oppôrtun (?), la mort est une denrée etc, je suis l’homme au temps déployé devant lui comme un tapis de dates, il s’agit pour soi dde comp^rendre cela comme quoi la vie est une gageure infinie, je pense donc je rougis oui, et pourquoi suiis je ici dès lors ? pour quoi faire en vérité ? pour piger et cerner au plus près les données fron tales de la vie et de la mort au débotté sur terre  ? je rega rde au loin les lointzains rocheux et nua geux ! la mort fume ! je reg arde au loin ce qui mù’attend et me regarde de son oeil de vitre fol ! je suis homme des enduits de peau ! christ des marivaudages , je pleure ! je pleure sévère ! je pleure de toutes mes la rmes ! je pleure de toutes mes larmes du ciel ! je pleure encore et encore ! mon oeil ne cesse de pleurer toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel ! toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel ! toutes les larmes delaterre et toutees les larmes du ciel , toutes les kla rmes de laterre ezt rtoutes les larmes du ciel ! mon oeil pleure ainsi (ici) toutes les larmes de laterre et toutes l;es larmes du ciel , toutes les larmes de la terre et toutes les lar$mees du ciel! mon oeil pleure (un saule pleureur : le sauule pl:eureur) : toutes les larmes dee laterree et toutes les larmes du ciel ! toutes lkes larlmes de laterre et toutes les larmes du ciel ! je suis celui qui pleure ici (roche) toutes les larmes de la terre et toutes les larmes du ciel car je suis puni ! hje pleure vif : toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel car je suis puni car j(ai mal agi, j’ai pêché ! et du coup je pleure ! je pleure ++, je pleure ici (paroi) ++++, je pleure ici -m^eme (paroi de la vie) ++++++++ , je suiis celui qui pleure +++++++++ ici même, en cette roche des abois, car je suis puni, je suis l’enfqant de la roche puni, ou l’enfant ici puni de la roche du temps, l’enfant xde roche qui se voit puni, je me vois puni, je suis l’etre de roche puni, mot beau de ta race mère : puni ! je suis homme-enfant de rage rebelle ! je me vois puni par ma mère, je suis l’homme des données rapides, vite délivrées, je suis l’homme dur des données rapides, et je suis celui , par la même, qui tombe des nues sur du sable, je vais et je viens en roche des temps : incxantations, délivrance , incantations et déklivrance, jhe tombe des nues et pl;eure ma jhoie , je tombe des nues et pleure que tu pleureras, je suis l’homme des cavernes quyi pleure sa joie d’etre au monde, tombé des n ues, né à échéance, choyé par la bande animalière langagière,; mon nom est donné d’emblée, mon nom est looopings des grâces, versus chenapan des prés, je veux croire en ma bonne étoile, je suis homme dépourvu de rage, chanteur de ces dames, enfannts des salons des fées, je vzais en roche à la recherche de la vérité ainsi né, je surfe sur la vague des mots pariétaux de fortune : animaux-mots de rage belle, tendresses au débotté, mots d’usure, je trempe mes doigts de pied dans l’eau froide d’une mer de rage, jhe suis homme troublé, dépensier : je mets les mots de force en cette ravine et je pleure ainsi les larmes accvumulées par tant et tant et tant et tant de passages obligés par un silence ancré dans un sang défait, je cherche une vérité de passdage, mon n om est le nom de :ma rage, je cherche à savoir ce qui est dans ce qui est, je suis homme des contrées de base intrapariétales, aurochs des fourrés, bisons des entrées, chevaux menacés, confréries diverses,et j’avance ainsi, bon an mal an, qsous une pluie de mots acidulés

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3/09/2021

main et main, main et main, main et main, main et main, main, main, main ,main, main, main, main, main , main ,main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main ,main, main, main, main sur la parois, mains renouvelées, mains appliquées, je suis homme des cavernes aux mains posées sur roche, je suis homme des cavernes aux mains apposées, monn nom est le seuil de la roche, homme-ombre des cavernes au sang total, je vais en roche comme en religion, je suis homme- ombre des apprêts, je suis entré en cette roche dure, je vais et je viens, je suis homme des apprpêts, des flux, des entrés fébriles, des transes au taquet, fou de rage, amoureux transi, vif l’éclair, j’entre et je m’installe : biches des bois alentour, cerf de pacotille ou bien cerf de race boisée, je cherche une vérité des vérités à même la roche du temps imparti, je suis entré par la roche en cette zone des abris de buve, je cherche une sorte en soi de vérité des vérités à même la roche, mon nom est gravé sur la pierre tombale (ici bas) et je vois prèsc de moi ces biches des prés aller et venir, je suis homme des temps reculés, je vois et me vois, je suis cet homme au sein de cette roche dure , qui vois et qui se voit en ce miroir de roche ou de roche lissée, parois des przairies, pierre de la vie, dure et contraigna,nte, homme des vallées, déboulant, en transe, en hauteur, à travers la roche calcaire, le granite, l’effervescence des tributs, je vais en cette roche dure à lka recherche d’une vérité de bon aloi, vérité des vérités de soi, je suis cet homme aux dents longues, je creuse, je suis entré en roche comme en religion : les mains ouvertes,, vif comme l’éclair, je suis entré en cvette roche du temps présent, face de vie vive allumée, cette vive clarté de vie soudaine, ce travail de vie rocheux, clartrté vive des temps vifs, je cherche à même la roche une (ou des) raison(s) d’aller à la rencontre : de la biche des sous bois, du cerf de la roche, du bison soyeux chevelu, des betes de traits, des betes massives, des betes fauves, des ours debout, etc, je suis vcet homme -femme aux allures de bete vive, je suis grimé, je suis attifé d’une peau de bete, je porte peau sur mes épaules, j’entre en roche : mon travail ivcci est d’entrter fissa (vite !) en cette roche des embruns de bord de mer, en cette roche rude de vie souterraine, le charbon de bois à la main, en lévitation, rude vécu, je cherche : je suis le chercheur de la roche, je tombe : je suis le tombeur de la roche, je grave : je suis le graveur de la roche, j’essuie la roche d’un revers de main, je place mes doigts à dessein à même la paroi meuble et laisse l’empreinte d’iceux, je suis cet homme des trempages et autres alunissage, je vais vif en cette sorte de paroi lunaire, je suis ombre portée sur la face cachée d’une roche tentaculaire, je suis homme au sang qui bout dans les veines, je m’approche de la bête, je suis moii-même cette bête aux accents vifs, je suis cette bete causeuse, ttrempânt son aile dans l’eau de la roche, je vais sur roche à la recherche d’une donnée vive de première bourre si tant est, je suis homme au sang chaud, je suis cet homme chaud de la rage à vivre la roche, je suis cet homme-femme au sang bouillant en cette roche des embruns de fond de mer, sous terre est le chemin, je m’insinue, j’entre en cette roche comme une ombre, je suis l’homme entrea nt en roche comme l’ombre d’une palme sur la roche dure des temps soumis , me voilà qui me pose sur paroi comme un dessin de buffle, de renne fuyard, etc, je suis le cheval et l’ours des ca ernes, je suis cet homme au sein des roches de grotte cachée sous un monticule de betes, de pierres, de végétations diverses, etc, mon nom se trace ainsi à la sauvette, comme une sorte d’effigie de bete de grotte, je regarde près de moi le sein rocheux, l’antre monacal rupestre, cette roche aux attraits certains, aux fines lames pierreuses, je suis fin de rage folle, je tombe comme à la renverse en roche dure et de ce fait me voici passé, je suis l’homme dur du temps révolu, je me meus en cette paroi comme se meut l’homme caverneux pierreux deven u chaman ou ogre, je suis ombre sur roche (roche déployée) par ici une sorte d’entrain à entrer en cette pierre dure de la vie à -vivre ainsi, sous un vent de buve vif, comme une sorte d’apprenti des roches et rochers, amateur éclairé, etc, homme au sang chaud qui va sur la roche et entre à l’unisson d’un cri, cri dur , vocalises diverses = époumonnements dans le sas, je me place e,n roche comme en une sorte d’antre où pouvoir mourir de sa belle vie souterraine, je regarde près de moi les betes mugir , rugir, beugler, meugler, etc, et me voici bête comme elles, bête à mon tour en cette roche ornementée, gravée par la bande, cette roche est mienne roche, et donc me voici entré en elle comme en religion (pour le dire vite) : comme une sorte d’oisillon tombé du nid qui se voit abimé sur la dalle de la terre dure d’un sol pierreux, je suis cet oisillon, je suis homme des atours de roche souterraine et me voici en cette rochge comme l’oisillon tombé du nid et qui, de ce fait, se voit contraint d’aller sa vie de bete à ailes, bete vive et gracile, etc, bete de rage en soi (le sang) comme une sorte de moteur de vie de soi en son sein, ou comment ? je file vif, je suis oisillon, je squis oiseau, je suis l’oiseau du terrain,  je suis cet oiseau de la roche des prés et je vais et viens en elle, nmon nom est gravé sur roche comme une effigie, je suis homme des temps de parade à même les embruns des roches des temps, je veuc comprendre ce qyi est ici, me donner vif à pareille roche aux vives clartés lointaines, je suis l’homme des parolesc  vaines, homme des pièces rajoutées : buffles à volonté, bisons laqués, rennes au chapeau, cornemuses, pipeaux, sonorités des profgondeurs, sourdes, vives, colorées, je suis entré en  cette roche des peines sûres, de la mort des  vents, etc, je tombe, je suis né à la roche du temps pour y laisser des plumes au passage : entrée par le sas puis continuatioon par la bande vers des fonds marins de rage, d’attrait certain, de vacance de limonade, jhe tombe ! vif! je suis vif tombé ! je vais vif sur roche dure ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombe! je tombe! je tombe comme à la renverse , dans le sein des seins pariétal, je suis entré -tombé dans ce sein de roche dure = la vie , et me meut de la sorte (vif) au milieu des betes de poids, qui een imposent, qui sont belles rages, qui broutent, qui ont desz yeux pour voir et ne manquyent pas de me lorgner (placidement) d’un air de deux airs ou du coin de l’oeil comme il se pourrait, oon les voit, on voit cette chose rude, on sait cela, on voit cela, on sait cette chose et que voit-on ? cela ! cette chose des attraits de roche ! cette volonté d’en découdre pariétalement cvomme en u,ne sorte d’entré»e fautive à rebours : buffles au quintuple et bisons velus, etc, je veuc croire en moi ! je veux savoir quoi et qui en moi me soulève et me pousse dans le sas de la roche tremblante ! qui ? je le veux tantôt savoir vif ! car : je suis homme des cavernes au tracé de bois, mon nom est ins crit sur la pierre tombale et me voilà qui tommbe , tombe, ttombe dans le sas , en cette roche rude d’une vie allouée à un homme-femme commùe moi qui vais dans la roche à la recherche de la vérité à creuser fissa par lma bande si possibkle, je veux croire en cette roche des temps alloués à vie d’homme ! je suis homme des prés charmés par des betes de bois et sous bois, bambinette et auttres bambinnous charmeurs comme il se doit ! les voilkà qui viennent près de moi et me pourlèche doucement les doigts de pieds, je vois la roche se lever, s’ouvrir, m’emporter, me prendre entre ses bras, ses bras déployés, etc, et moi d’enttrer en elle (merci qui ? mercib bambi on dirait) et en elle me loger en son sein royal comme un cerf de race-rage, fou de rage, éperdu de grâce, vif de sa race dure, tendre et calin, misérabkle bete à mon tour parmi les betes, je vais en ce sein rocheux qui s’ouvre à vif comme une plaie de joue (la bouche) en soi, qui vient à s’ouvrir et me prend (en son sein) dfe rage, je suis une ombre déployée sur roche, ma vie est cette voix, ce son des entrailles souterraines, je viens d’ici pour a ller là-bas au passage, mon coeur est corps d’azur, corbeau, bete rude, chandail, allure-vêture, chapeau, etc, je suis cet homme au chant poussé comme effluves des prés soulevés, j’entre en roche, je me vois enttrer en roche, je me vois soudain entrer en roche, je me vois soudainement entrer dans la roche , me voilà là pour deux (pour le dire vite) et soulagé, pris en main, pris entree les mains d’une sorte en soi de déité dépourvu d’attrait ou comment ? par qui et par quoi ? je cherche lentement autour de moi, je cherche à vif, je cherche une sorte de donnée centrale expliquant le tout de la roche rude devant soi : le présent du monde, cette chose des apports vifs, des prises de bec, des engueulades votives natives, etc, qui dit quoi dans le sein des sweins ? la mort est la donnée de base rupestre, on voit sur cettye roche un tracé fin qui rappelle un tracé lointain en cette même roche : les embruns, les traits appuyés signifiant l’appret sur un corps de roche, je suis homme dépourvu, homme nu dépourvu de verbe, l’homme nu qui est l’homme comme dépourvu d’un attirail mécanique de verbe ou de mots de rage, je (le) suis le = suis l’homme , lequel ? celui -là qui va en roche à la recherche de sa voix pierreuse ou comment le dire ? il prie de toute son âme ou comment? car sa voix se mue à l’entrée de laroche et devient pariéto-animale, voix d’ours des cavernes, voix de lion, voix de renne, voix de renne des prés, voix douce de l’oiseau monté sur roche à tire d’ailes, etc, me voilà grimpant de la sorte, je mon,te à vif car je suis l’homme vif des aires anciennes, je me veux dedans, je suis en la roche dép;loyé comme l’homme aux apprets rudes, dur de chez dur comme un qui ici se donnearit direct à dame rocghe, à sieur pierrreux de la côte rude ! mercveille des temps ! chant d’oiseau ! fifrelins ! pipeaux des années de rage ! il se peut que cela soit pour moi cette chose, d’une sorte de paroi dite «des mesures», homme rude à l’entrée des sas de la roche, me voici regardant à travers et volant dedans l’air doux d’un intérieur, jhe suis l’homme des cavernes au sang chaud, il est pour moi cette chose sûre comme quoi nous avons cette voix en nous qui dit cette cghose d’une sorte d’entrée à même la matière = la terre , pour y retrouver une mère, un chant de principe, un belle chance, un tombeau, etc, je cherche à trouver ! je vois la chose aller sur roche sous mes yeux ! je dsuis homme aurignacien : je grave, je dessine à vif la plaie de ma race = mon nom chapêautée par une sorte d’entité de droit, vive allure sous les vents, qui ressembkle à quoi à une bete rude, massive attaque, charge lourde, etc, je vois la scène en, son entier comme un film déroulé, je cherche cette vérité des roches de poids = des chevreuils massifs s’il en est, des betes solides, bien campées sur leurs assises, etc, afin de faire accroire encore une fois ! il est cette chose ici d’une vérité à débusquer , d’une sorte de vérité vraie à chercher ici ou là au sein de la paroi, et une fois trouvée vite aller la rapporter et la montrer à qui de droit qui saura en faire le meilleur usage qui soit, à savoir : la mort ! car la mort absorbe et nous absorbons la mort, la mort nous absorbe et nous mêmes absorbons la mort, si la mort est le présent donné, ce don devant soi à absorber, alors c’est la mort en ses attraits et atours que nous absorbons ! nous sommes deux en soi, en nous-mêmes, comment dire ? je suis deux en roche (voilà !) quand je suis seul ailleurs ! en rocghe je suis deux ! je suis deux en roche, à la traversée ! je suis deux une fois passé& , est-ce cela ? je ssuis ou sezrais deux en cette roche dure aux temps impartis, je suis cet homme des temps impartis à roche rude ! je vais et je viens ! je suis l’homme au taquet ! je vais vite ! j’entre vite ! je file ! hje soulève le voile ici de cette roche aux attraits certains ! je vois ce qui est qui me tend les bras ! je suis homme aux tentacules , homme aux tentacules ? je suis homme au dur de la roche rude et je m’enfonce en elle comme en religion, je cherche, la musique des mots porte et empêche, filtre et détourne, fait glisser, fait glisser sur l’aire de kla vérité, chante que tu chanteras oisillon, qui vibre et glisse comme une sorte de glisseur des roches, etc, je suis entré en roche des parois du monde, je v eux être rude ! je veux être l’homme des temps fous ! je suis fou des roches des temps! je suis cet homme de la rocxhe aux temps déplacés, qui cherche pitance et finit ou finira par la trouver ici ou là, planquée, posée, déposée, riche, où ça ? je cherche et vois cette chose d’une vérité des roches au détour des bois , quoi est elle ? qsui de quoi est elkle ? où la voir ? où la dénicher ? où donc dénicher la Vérité des Vérités ? je suis homme du temps octroyé , je veux croire en cette roche des embruns et des désirs placés dans la rocghe, le trou devant soi est le trou des temps déployés, il s’agit de cela qui nou!s tend les bras, cette cghose rude et belle comme fleur des prés, je vais en cette roche aux dures ouvertures pariétales et cherche à me loger en elle, icvi ou là, en ce sas de belle montrance, calfeutré, logé lové, mis à l’abfri des ruades, etc, mon nom est donné par la ban,de , mon nom est ce nom donné par la bande ! je suis homme au sang qui chauffe en moi ! je suis cet homme au sang qui chauffe, comme sang de Rome, ou comment ? je suis homme des parties rudes, des morceaux de choix déposés sur table d’offrande ! je veux ! je veux ! je veux l’ etre ! je veux ! je v eux ! je veux être cette chose vive déposée sur roche et à jamais consezrver la vie ! je veux ! je suis cet homme desz attraits ! je veux ! je veux garder roche, garder roche à :moi ! je ne veux pas sombrer corps et âme, je ne veux pour rien au monde sombrer corps et âme ! pour rien au monde je ne veux ! je suis l’homme aux traits fins, doux de rage, perdu éperdu en ce sas de roche tendre ici ou dure plus bas, mon corps volette, mon image s’implante en ce sein nacré royal de roche des prés, mon nom est le nom de la roche, il suffit de lire et le tour est joué ! savez-vous lire les noms gravés ? connaisdsez vous le verbe des tombes ? je  vois en la roche le sein = l’antre = le sa s = le sein de la roche des temps = le temps = la vie en son déroulé pariétal de fortune = une chance = une cghute (de la proximité des mots «chance» et «chute»), etc, me voilà qyi va loin en elle (roche) pour la bonne cause solidaire, je cherche (ce nous) à comptrendre ici les raisons qui font de «moi» ce «nous» de ravinage, d’estroiemen,t, etc, je veux aller loin ! je veux troubver ce qui est dans ce qui se dit ! que voir ? qsue dire ? que toucher ? quoi toucher à) vif ? une plaie huzmaine ? une humiidité native ? un semblant de peau rude ? quoi faire en ce sein xdéposé ? je suis l’homme aux multiples chants de la roche, je  cherche à com^prendre ce qui est en elle pour soi et pour notte gouverne pariéto-frontale de fortune ! voilà kles données ! elles sont à portée de main, elles ne sont pas loin,; kle temps est une gageure, la mort eswt donnée , est don, la mort est le présent posé en offrande par dieu sait qui que nous ne voyons pas de nos yeux vitreux comme  ceux d’une carpe ! hje suis homme femme des apprêts ! l’art ici est une chance = chute ! on sait ce qui est dans le swein car on en vient, mais que sait-on ? je suis ouvert , je suis fin, je suis posé, jhe suis vide ou vidé ! mon nom s’écrit à l’encre sympathique ! me voici ouvert à même une rocghe de grotte de Fra,nce ! la chance ! la voilà pour moi qui me fait rêver ! je suis homme-ombre donneur de mots sur roche tendre ici, ou plus ou moins dure aillezurs, selon les endroits ! l’art d’un cfaire est un art divin, , quand l’art du dire est pis-aller de la roche accolée à une vie de vide ! me voici changeant comme le temps ! lje suis homme renaclant ! chargeons vite notre monture et filons avant la pluie ! je suis l’homme aux allures de bete à coucher sur lapaillle ! mon nom s’écrit certainemeznt (pourqoiu pas ?) à l’encre sympathique , me voil:à ! je regarde autour de moi les bêtes placides, je vois les betes au débotté, qui se montent, se pénétrentc=copule,nt sous mes yeux de roche rude ! jhe suis homme des parois gravées au burin, )à la pointe sèche, ou dessinée par des chgemins de charme, par des mains multipliées ! je suis cet homme aux accents graves des parois du monde menacé ! l’art est l’engeance ! kl’art d’un dire fol  est placé sur roche et to nitrue ! l’art est une faille ! je sens la chosese placer de biais ou de guingois dans le sang des betes touchées comme par un pic de verbe, me voilà chargeant ! je tombe à la renverse ! je suis homme qui, dans le sang des betes, voit sa mère, la chaude parole,; le parler rural, l’antienne tentaculaire, le pot aux roses, la chance d’une vie, le ventail, l’époumonnement salutaire, le vent dans les voiles, le sang vif qui bout fissa en son sein des seins pariétal, etc, je suis cet homme-là, des parois ! je suis cet homme femme rude au swang chaud ! aloons y à deux ! tôt le plus possible ! je vois ce qui est sous mes yeux et je comprends la chose des roches ployée, soit la cghose ployée des roches : le sa,ng està moi ! ce sang de bete déposé sur roche est mien, car la bete et :moi sommes soudés de toute éternité , ainsi soit il ! et moi de le chanter ici et là à tout bout dxe champ , car je suis ce bnous de ta rage )-race on le sait ! je suis ce nous de ou du passage ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! oui lui je suis ce oui du passage au temps ! je suis ce nous oui ! je suis oui ce nous d’un passage au temps, etc, mon corps est doublé d’un corps de rage (dépourvu de failles) , je vais en la roche ainsi accoutré ! je veux penser la chose à vif ! je suis homme femme des passdages rudes de paroi ! noyus nous retrouverons ! nous serons amenés à aller sur roche dans le sang ! la bete en moi est l’animal qui me seconde et me donne le la musical de la rocxhe ! musique ! je tombe ! musique ! la roche est ma défaillance on dirait ! je suis tombé de haut, mon corps a chuté, je suis devenu maussade, je tombe haut de haut à même la roche des temps impartis, je cherche à pousser loin le domaine des connaissanxces , et pour ce faire que faire sinon cette chose qui serait d’aller chercbher ici ou là la vérité du sang dans la rage d’un aller en roche , ou comment sinon ? je vois en  ette bêtye des parois (le buffke ou l’antilope, le bison ou l’ours des cavernes) mon allié centra l, mon seconsd à la barre, mon ami certain et dévolu, mon cher compatripote, etc, il me suit à la trace, au cxharbon, en lévitation, il est la bete ezn moi me chevauchant et m’entraînant ! je cherche à vif aller ainsi en roche dure ! et pour ce faire y aller à cdeux c’est bien mieux on sait cetgte chbose ! on peut aller loin en, besogne (à deux) et filer fissa son train de paroi à la une à la cdeux à même les temps octroyés par une sorte en soi de déité des roches des p^rés, fleur de couronne, tendres données, poséidon ! nous voici munis ! je veux parler en ce nom de la roche donnée ,; pour la confrérie , et dire à celle ci ce qui bnous attend au tournant, ce qui à tous nous attend sur roche au sortir du temps, à sa voir la mort, car lma mort est prise à partie, elle est soulevée par des fluides, elle vit sa vie vive de morte saison )à même la roxche c’est un fait, il suffgit de le savoir et la chose est classée pour soi (en soi) comme une sorte d’organe rentré, ou enkysté, qui existe mais ne répond plus de rien en termes de machinerie ou d’efficacité notable quant au fait de vivre, nous pensons que nous devons aller en cettye roche des temps fous à larencontre d’une déité pariéto-vcoriace ou comment dire ? dieu des faits de roche, dieu fin des rocghes gravées ! nous solmmes «montés» commùe des chevaux de parade ezt nous allons vite en besogne, la paroi aidant qui se prête au jeu , au nôtre, etc, car l‘homme est hjoueur de nature et file que tu fil:eras sa bobine vive, en cette rochge rude, au sein de la roche tendue, au fin fonds des ouvertures, etc, l’homme est une bete de partade, l’art est un pis-aller de prezmière, la mort est une vie rentrée, le sang est un moyen de vive connaisszance, l’oiseau est une bete humaine, on cherche ainsi troutes les vérités du monde vif et on les aligne sur le  sa s, ou sur table aux offran,des, etc, je veux croire en ma bonne étoile! mon sang est un sang de tours, je suis homme des ezmbruns de pacotille ! je regarde autour de moi les bêtes fi:ler et je file après elles à mon tour ! je vois cette chose rude, ce swemblant tourmen,té, ce vil aentourage tombé sur la roche et p^l;eura nt la chgose: betes  pauvres ! je compatie ! je suis l’homme des voies d’abord à mêmùe la paroi du monde, par où donc passer pour comprendre ? où aller en roche ? quoi penser de cet ordre fin ? qui est l’ordre en soi ? qui vceut penser doux ? commênt dire et faire à la fois ? dire est vfaire dans le temps rocheux d’une vie passée à comp^rendre, à chercher, à tirer des plans sur la comète ! je chezche une voie d’abord en cette rocghe des atours et des attraits et des apprêts et des joies déposées sur table d’offrande , je cherche volontairzment , sciemment, avidemùent, complètelmment, à comprenbdre les choses xdes roches ! je veux savoir ! je veux vite savoir ! ce que je  veux est dit ici : vite savoir ! je suis kl’homme-femme rudement soudéec par la bande , je suis homme-femme au sang chaud bouillant dans les vaisseaux et me voici qui m’avance sur roche des prés: je suis entré en c ette roche, j’e,ntre en elle, je suis entré en elle et je regarde aux alentours ces b etes des prés, ces chevreuil;s, ces biches, ces buffkes, ces auroichs, etc, je vois ces betes fauves, ces betes rudes, ces betes racées , nacrées, ces betes accolées, etc, je suis une bete moi même, déployée, ouverte, échancrée, etc, je suis la bête des embruns, je suis bete aux dires morts-nés qui s’avance en roche et s’en vient toucher la timbale ! vive le temps deezx parois de roche ! vive cela en ce sein royal ! je suis homme rude, homme rugueux, homme des vies tenta culaires, homme vif comme oisillon, homme charmeur de serpents de roche, je suis l’homme au papillon, l’homme du caillou posé sur un caillou, homme du temps, homme des temps déroulés en ce sein des seins pariétal, betes dessinées par une main seco ndé, etc, mon nom est écrit en lettres ca pitales, je suis le nom que je porte cfomme par inadvertance, mon nom est nom déposé par la bande, je suyis ce nom porté par une sorte d’aide m:enaçzante animalière, je cherche à comprendre ! hje cherche le mot de la fin, (toujours) «§t plus que jamais je cherche , car la vie de ro-che est vie de dureté, de rudesse, de vive clartés par endroits mais aussi cde coups du sort, etc, je cherche à comp^rendre les données les plus ancrées en roche des temps, quye sonjt-elles etqu’ont-eles à nous apprendre en véerité ? je tombe sur roche du temps tete la première , je suis né aux tourments torrentiels du monde, je suis l’homme vif de ma peine rageuse déployée sur roche, mon  om est une entité à part entière et vole bas (ou hzut) selon les données enregistrées ce qu’elle apooortent ou pas en termes dfe rareté, d’exclusivité, de don alloué, etc, je suis un homme des parois du monde = néandertalien par la bnande ou aurignacien tout aussi bienn, je cherche une voie sécure ici ou là en roche du monde, , cette cvoie est la voie du sang, je cherche à comprendre kles données les plus ancrées dans le san g de l;a roche offerte, mon nom s’écrit de la sorte : MON NOM, comme gravé sur piezrre tomb a le, ou sur le marbre d’une sorte d’entrée de passage, passdage-entrée pour une gouverne certaine, droit d’entrée en terre dure ou meuble avec acquisition d’un espavce de sustentation, je cherche à comprendre kle sang , le sang royal comme la gelée, cette chose au fin fond de la roche déposée, cet onguent tout autant, cette chrême acidulée, ce christ de générosité, etc, je veux savoir ce qui en roche nous atteznd et nous fait rêver, cela serait quoi ? ce serait la chose à comprendre ! et moi d’y aller de mon cxhapelet de notes en bas de page : auirochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aureoxhs ! aurocxhes ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ayurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! auroxchs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! aurochs ! a&urochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurocxhs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! auriochs ! ayrochs ! aurochs ! aurochs ! auriochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ainsi de suite ! une so:mme ! u ne sorte d’entité à part entière : somme d’aurochs accvumulés pour une approche déployée et tentaculaire = entité rochgeuse consacrée ! je vais en cette roche des temps assurés,, je cgherche à comp^rendre les données vives, je suis homme au sang de ma race donnée et soulevée , hje veux tout comprendre sans rien payer et me déposer sur roche (fleur) comme en une sorte de paroi-antre, cachette aux cinq sacrezments, qui me verrait me mettre en quatre et creuser icelle jusqu’au bout du bout mona cal à la recherche (expresse) de la Vérité acvec un grand V, car je veux savoir ! je veux comprendre ! je veux connaitre ! je veux trouer ! je veux passer ! je veux passer la tete et le reste mais passer ! je veux déposer mes mains salies sur la paroi nue et appreteée ! je pose mes mains tachées ! j’appose comme sur le corps d’une misérabkle ou d’un miséra ble ! hje fouille oà même l’anfractruoisté et me comporte ainsi que dieu le fît ou comment ? actualisation coutumière des données de base par la bande ! défenestration coupable ? hje chante ! je chante le chant de kla roche du temps ! je chante à gorge déployée, à tue tete, les choses du monde, les choses rudement tracées sur roche par cet homme de néandertal que je sezra is parfois au décours du temps, je sezrais cet homme des caverners, , j’irais loin au fond des parties, je m’enfoncerais dans la roche et toucherai le fond des parties, hje file et filerai, jhe ferai le temps, le soulèverai comme une bete morte montrée, adulée, soulevée comme l’offrande déposée, vcommê offreande à dépôser sur table aux présents de la roche du temps ! je suis homme -temps, caresse buccale, baiser à vif sur une plaie ouverte (bouche percé) qui serait cette zone (administrée) du passage v ers un audelà de la paroi du monde (à côté ?) qui saurait nous receuillir et nous bercer, nous bercer pour l’éternité (espérances) et pour cela , une chose rude : le baiser à cette plaie encore chaude et sanguinolente, purulente etc : le temps partagés des effluves maritimo-terrestres, etc, le coeur est en moi le serment, l’art est une sorte d’entrée en matière = dans la matière, l’art a des antennes dans le sein des seins parioétal, l’art est effigie rupestrze, va avcec le vent, est art de figurer le temps de la roche, est dfon de soi pour une échancrure coupable (ou pas ?) à même la roche, la mort eswt comme une entité deéifié&e défibnitive,  ‘art a à voir avec de soi (ici) le sang à l’épreuve du temps, l’ame est morte depuis longtemps, reste l’effigie (en soi) animalière :  cette voix en soi tonitruante bousculant les codes et gravant d’elle même qui des aurochs, qui des sangliers, qui des marcassins, qui des quartaniers, qyui des  betes à cornes diverses et variées, etc, je suis bete de joie profonde et vais sur la roche du temps ca lfeutré dans un sas pierreux de fortune = mon image , mon nom rajouté, la chose accolée de base := la donnée du temps par la bande ! je suis chercheur de choses rudes, j’affronte le temps !  je foule à même la dalle, je corrige peu, je corrige à l’allure des temps, je tombe ! je suis homme des années de roche allouée, je commande aux turpitudes ! je veux combattre ! trouer la paroi ! percer vif ! percer rude ! pezrcer coriacve ! percer fol ! percer à même la roche au pic verbal sorti de ma bouchhe blessée de l’intérieuer par pique-ma-pique des prés, tournicotas de betes enlacées , tournebroche ou brocheztte de betes de poids (toutes) pour la bonne cause = l’entrée da ns la matière inconfortable (a priori) de la roche des temps impartis, je creuse ma tombe ! je creuse la tombe «artistiquemen,» = don de soi à dieu viva,n,t (la mort) afin de faire «durer le p;laisir» d’une vie de roche tourme,ntée ou «fatalemenrt» tourmentée ! je syuis homme felmmle des cavernes, je suis à la recherche d’un e voie d’accvès à dénichger, je ne désespère pas de latrouver, je  suis à même de panser la plaie du temps à force d’animaux représe,tés, du moins je l’espère, jhe me place ainsi en roche de telle ou telle façon q<ue rien ne puyisse me contrariezr dans mon approche et dans  ma décision d’en découdre une fois pour toutees avcec la tribu, cette meute de betes enragées, ce troupeau mauvais (plein des turpitudes, etc), je suis hoomme des parol:es vaines déposées, je cherche une vérité aux accents de la bete de roche, je la cherche vigoureusement, à la force du jarret etc, ou du poignet, et cela en fanfare comme il se doit ! je veux être l’homme des paroles vaines déposées sur roche pour la bande, compter sur des données de belle contenance ! je voudrais ! je suis homme au sang qui bout dans les veines, animal à sang chaud, homme-bete-mot coriace et vif, je suis k’homme des défis de roche, pariétaux, qui file vif , vite, dans le se ns donn,é par la bête des prés (la biche ? le chevreuil ?) vers la pôrte ouverte aux insanités, aux turpittudes violontiersq, aux écarts dorés etc, je me vois tomber bien bas ! je me vois sombrer corps et âme, je me vois mourir ici bas ! je me vcois aller sur rochge et creuser ma voie = tombe de parade ! je suis un homme des temps passés, je veux savoir la vérité à propôs du monde et des choses peuplant ce monde, hje chezrche à vif ce qui est ici (ronde ) qyui serait fiable à cent pour cent en termes de données deb ase pour l’éternité , je suis homme au cxhandail, homme atiffé, homme colporteur, hommùe soumis , homme ici des paroles b risées comme verre de paroi rocheuse, homme des tombeaux ouverts au public, chaleur en, son sein brûlzaant, je veux connaitre le tourment de b ase et de le déposer sur la pierre aux dons, je veux sa voir , comprendre loin ce que c’est qyue de vivre ensermbkle accolé dans un sein des seins pâriétaux, et pour cela : aller en roche tendre, coller à laroche des temps alloués et ne plus s’en aller ! roche des rochers des roches , aller en elle tendrement et y demeurer le temps nécessaire à une approche sensée ! je suis homme rude , homme rude de cherz rude, je suis homme fou, homme fou de chjez fou, je suis l’homme aux douces approches sensibles d’(une roche, je me vois aller et venir et pronon cer à même laroche la se ntence à mon égard  : meurs sur place ! tombe ! tombe là ! tombe vif ! ici même tombe ! ici le trou ! ici même le trou ! là le trou !  là le trou pour un enterremeznt, là même le trou pour ensevelissement ! le trou est ici où je tombe, mourir = tomber et tomber implique latombe à l’endroit même où je serais tombé ou bien a illeurs serais déposé ... par qui saura offrir son aide à ce faire ! car on meurt seul ou pas mais d’autres que soi prendront soin de moi, de ce corps de rage vive, corps et âme au cdébotté d’une roche dure, caillasse, dureté des duretés, douleurs incommensura bles, partout, tete à pieds, etc, je veux aller en roche du temps et tomber sur la place des données vivantes et du coup sauver (qui sait ?) ma mise à tout jamais ce sezrzait parfait ! je suis homme des cavernes aux allures vives, jhe feinte la mise et espère ainsi m’en sortir à bon co:mpte = gagnant !  et pourc cela , une seule parade : l’envie ! le désir ! l’atrait partagé ! le toucher buccal et autres turpitudes données, etc, je veux etre l;’homme des parois rosses comme déployé en un sein de beautés furieuses, je le veux patiemment ou impatiemment peu impôrte : je veux xcette chose, je suis homme des cavernes au sang dxépôsé, je syuis l’homme des cavernes au sa,ng frais déposé, je suis l’homme des c a vezrnes au vrai sang déposé sur roche, je suis et serais cet homme des cavernes au sang frais dépôswé sur une roche rude de parois de monde (etc) à même la froideur d’une pierre meuble (ou pas) qui «tombe» là ! je suis homme à toucgher par la bande , vivement ! je serais cet homme de la roche, aux tourments divers, je sezrais cet homme des tourments divers déployés à même une sorte de roche des temps donnész pazr une sorte en soi de déité corporéifée ou comment ? rendue visible, sensible ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement ! et qu’est ce alors que cette déité rendue sensible = tangible ? c’est facile, il s’agit xd’une sorte de bete de chasse ! d’une bete de forêt ! d’une bete tout court (visible à l’oeil nu) ! voil;à ce qui est et ce que la vie de la roche propose en fin de co:mpte ! nous savons cela , nous ne voulonbs pas passer à côté , nous voulons comprendre cette cghose là et aller plus loin en roche des temps alloués, car bnous sommes a vides de xsavoirs, avons fzaim de loup pour ce qui est des connaisqsances à acquérir fissa )ar la bande de paroi, nous cvoulons aller loin dans pareilles connaissances, nbouys glisserprofond en elles, cherc her loin ce que cette xhose d’une biche des prés pêrdue»»»»» dans le temps représente, est-elle perdue ou si perdue que ça en vrai ? nous ne savons pas ! nous cherchons à savoiircezla ! nous cherchons à comprendre toutesles données du monde et trouer la roche pour entrer , pour nous immiscer frontal en elle et crever la toile nous masquant à perpétuité les choses du sang , ce qui est bien dommage en soi on le voit, car qui croire dès lorsq ? à quoi se raccrocher ? qui louer ? qui ou quoi suivre en termes de pensée ? je vezux comprendre ce qui est de la vie et de la =moprt mais pour cela sans (de grâce) devoir mourir ! je suis  celui là qui voudrait mourir coute que  coute ou pas ? je suis l’homme de la mort certaine ? suis je l’homme de la mort certaine ? qui suis je en termes d’identité et d’aspect personnifié ? suis je l’homme des embruns ? suis je l’homme des parois humides? sduis je l’homme aux destinées contrariées ? suis je la  voix de la Voix ? suiws je mùort ou bien bien vivant ? suis je le mort xde la place ? suis je un mort ? lmort vivant sur roche ? suis je un mort de belle extraction ? suis je vif et brûklant ? qui suis je que je ne sais pas vu de l’intériuerr ? suis je un vouloir ? une assise ? un tronc ? une voilonté fortyite ? un homme ? un hummo-femme ? une femme-mec ? un crabe ? une tentacule ? un chevreuil ? un poinçon ? une brise ? un bonnet d’âne ? un bel hommage ? un point de côté ? une rougeur ? un bubon ? une maladxie expônentielle ,? un coup sur le cailllou ? une oreille cassée ? un chien de  baskerville ? u ne maison de poupée ? un gilet rouge ? un point de beauté ? un, grain de beauté ? un point de croix ? une croix ? la croix ? le vent dans les voiles ? le petit chanteur à la croix potencée ? etc, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme , je ne sais pas ce que je suis mais je souffre qUA Nd on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme, etc, je ne sais pas ce quye je syuis (x ou y) mais je souufrree quand on me déforme, je ne sa is pas qui est qui, je ne sais pads quoi ou qui est qui ou quoi (entrelacs) mais je souufre (le mal de ma race) quand on (qui ? qui de droit ? ) me déforme = me tourmente, me tord, me couche, me single, me taraude, vitupère après moi, etc, je veux savoir ! je suis l’homme au sang chaud qui, en lévitation, arrive à tracer des bêtes de poids sur une paroi, qui des aurochs, quyi des aurochs, qui des aurochs, des bêtes rudes, vives, qui imposent leur superb e à tout auditoire, etc, qui des buffl;es, qui des bvuffles, qui des bvuffles, etc, des betes ra vageuses , qui des bisons etc, je suis entré dans une roche «par la grande porte» pour ainsi dire = tout devabnt = chaud devant = on file en vitesse et on s’introduit conjhointement pour une entrée complète ! il s’a git pour moi de comprtendre juste et de toucher fort, car kla roche est dure et dure à percer et dure à piger ! je sais tout cela ! je sais ce qui est en cette roche des données fiables, je le sais , je sais cette cghose, jhe vois cette cxhose en soi, cette rudesssee, ce travail de sape à :ême la paroi par des hommes et par des fezmmes des caver nes car :moi-même je suiqs homme et femme des  cavernes, je suisq femme et homme des cavernes, homme-femme accolés , collés pour une bonne cause commune : la recherche de la v érité concernant la vie  et la mmort, la recherche vive (assidue) de la Vérité grave, du seuil fatal en termes de connaissance, des outils lles plus aboutis de contre-propagande ! mourir existe t il ? savons nous si mla mort existe ? le mot «mort» a t il du sens ? le mot «sens « a til du chien ? la mort a telle en elle xdu pouvoir ? qui est elle en termes de domaine ? je sais ce qui est, je sais que la mort est pleine, co:mplè§te, non point vide ou vidée ma is au taquet de ce qu’elle peut donner ! je xchezrche à comprendre ce qui est, et c e qui est est emporté au fur et à mesure par un flux de  verbe qui va ,, cxaracolant, à même la roche ! nous voulons savoir ce qui eswt en cette roche des apports de bzase concernant kla cvie de la vie et aussi concernant la vie de lla mort ! nouys voulonqs aller en, roche rude , charger nos effluves, comment dire ? emmagasiner du concentré de roche, de roche aux pouvoirs ! et pour ce faire nous devonsq entrer fissa dans une roche de paroi de grotte, tete fcrontale, deda ns la pareille, au fond du  bistrot, salle comble, carnagge, etc, ou où ? car nous nne savons pas tout ? nbous ne con,n,aissons pas tous les itinéraires, où pouvons nousaller ensemble sans dommages et sans contrariétés sur le passda ge ? qui le sa&it ? qui sait ce qui est en vérité ou en termes de vérité ? qui pourrait nous renseigner sérieusement et compl ètemen,t ? je veux aller en, roche des temps vifs ! je ne veux pluys lzambiner maé&is vite m’enfoncer dans la plaie du temps saignant ! je veux aller loin et profond en cette plaie car j’ai beaucoup ici à trouver , cher cher et trouver car je suisq follmement intéressé par lkes données les plus fines et basiques du monde des parois du monde, je m’appelle nologips, je vis à l’envezrs du temps, je ren,tre en roche et m’y love vite et bien, je tomb e ! je tombe fissqa par la bande, je tombe à la renverse des données de base, je suis fou lié ou comment ? perdu ? plein ? plein de soi ? fou ? cher ? cvolérique ? excommunié ? tenté ? pauvre ? je suis pauvre en cela qUE je suis fauché ? je me pose aux prezmières loges, je m’impose tete avant, à tout va de l’allure ! je perce, et me voilà qui rentre , qui xse pklace peu à peu, qsui entre en  cette rocxhe du mon de, je rentre tete la première puis de tout mon corps en suivant et derrière moi la plaie (plaioe ?) se referme illico presto , je suis passé par cette biche ouverte qui est une plaie ouverte, par conséquent qui saigne et tache, et donc me voilà taché à jamais (au passage) d’où cette cghose d’une sorte de tachage au passage etc, je suis un homme d’entrées vives en la matière, du fzait que j’ai en moi ce pouvoir (incantatoire) de pouvoir entrer dsa ns unee roche dure, rochge des prés ou des blés, etc, je suis homme du pouvoir des rocghes, je vais en roche ilki!co presto à ma guise ou presque, car je wsuis en vérité muni d’une «torche-pique» d’entrée en matière = le vzerbe ! le verbe est ma «torche-pique» d’entrée en matière , je sqais m’en wservir, je ne peux m’en séparer sans devoir mourir (on le sait) et dès lors je fais cette cxhose (là) d’une sorte de voeu comme quoi un jour (une fois) je pourrais non pas mourir pour ne plus revenir mais tout le contraire : mourir pour revenir, mourir «et» revenir, c’est à dire en vérité mourir oui mais sans mourir ! mais peut-on mourir sans mourir ? ou plutot mourir sur terre ma is pas ai;leurs (où ailleurs ?) , peut-on mourir ici, sur la terre ferme, mais en revenir ? nous ne savons pas au juste, nous ne sav ons pas ce qu’il en retourne, noys sommes éduqués partiellement, nos savoirs sont ridicules, nos savoirs sont pauvres, sont petits, sont comme des b ébés-savoirs et cela ne manq<ue pa s de nous fragiliser bien évidemment car bnous (en  vérité) ne sommes pas dupestout à fait de cette chose, de cela qui donc nous voit comme infériorisés, intimidés, etc, je sais ce quii est en vérité et ce qui est ne manque pas de me chagriner vous le comprendrez ! je suis un homme des cavernes en moi, je porte en moi l’homme des cavezrbes qui lui m^me porte en lui un hom:me des  cavernes qui lui :=ême pôrte en lui un homme des cavernes qui lui même pôrte en lui un homme des cavernes qui lui m^me porte en lui un homme des cav ernes qui lui-même porte en, lui un homme des cavernes qui :lui même porte en lui un animal qui lui même portye en luiun anima l qui lui même porte en lui un animal, qui lui même poeerrte en lui un an imal qui lui même porte en lui un animal de roche dure = aurochs, ou bisons, ou renne, ou cheval , etc, je suis le cheval de la fable, je tombe nez à nrz avec une pa roi de roche, qu’en bien même je la perce et latraverse et me voici dès lors passéc fissa de l’autre côté ! je szuis l’homme des parois de roche en grotte et à ce titre je me pl;ace sur une sorte de crête interne à la roche, une sorte de butte haute, et de là je vois le straatagème, ou disons les parties d’un tout p)ariétal, d’un tout rupestre : les tenants et les abvoutissantsq, les betes en parade et autres cavalcades vives et brûlantes , l’homme des cavernes figurant la vie à la mort et tirant a insi les piques du feu ! marronier ! il est fin joueur ! pas folle la guêpe au sarment ! il se débrouille, il vit sa vie de roche aux quatre vents, et cela continunament éploré ou comment ? larmes de la joie du monde + larmes de l’antijoie du monde ? il faut savoir ! je cherche ! j’essaie de tant et plus me rapprocher de cette verité qui est ce devant ce devant mortel tendant ses deux bnras , car la mort on le sait ma intenant  a deux bras ! la mort a deux bras devant soi, et à vous de savoir feinter si envie ou besoin la chose ! deux bras pour mieux vous encercler et vous emprisonner ! or cela n’est pas à faire tantot illico et sans reflexion ! non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!u!u!u!!uu!uuuu!!u!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!i!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sûr que non ! vous pouvez encore ruser ! vous devez ruser et meubler ! MEUBLER KLE TEMPS DE LMA ROCHE ! MEUBLER LE SAS ! MEUBLER FISSA LE TEMPS ! eh oui ! voi:là le fin mot à comprezndre ici ! il est bon x’urgemment comp^rendre cette chose et de n’en plus démordre et de pousser à fond le la,ngage de vie en ses retran,chements monacaux salutazires ! et pour cela : in !  dans ! en ! deda,ns ! pas d’autre solution que ça ! vous devez agir de cette sorte et ne pas ou plus reculer (jamais) ! forcément ! vous êtes né à une vie d’homme ou de fezmme, et un jour vous vous retrouverezz à toucher la paroi des mondes des grottes, il sera alors temps pour vous de comprendre les eznjeux de base, les enjeux divers et variés, ceux qui président couramment la chose du temps, ce noeud, ce coeur, ce plexus etcx, il s’agit de voir ce qui est dans ce qui va ! il s’agit toujours de cette chose en définitive, c’est à dire de comprtendre, pour soi, ce qui eswt sur roche (la vie ?) dans ce qui va (le temps ?) , etc, et pour cela : une armature, une structure, un échaffaudage, une architecture,  des étais, des pieds droits,,  des pontons de stab ilité, des échasses, des pieds de table etc, ou des jambes, on sait tout cela ! nous marchons sur la roche du temps et bnous devons parler en notre nom pour exister (= continuer à vivre) et du coup nous disons ces choses (au charbon de bois, au manganèse) : aurochs des prés , aurochs des prairies, bambinous nacrés, chevaux de bois, renne précaires, mammouth de ta force, bouquetins fins, ah les bouquetins, chevreaux, chevreuilx

s, chèvre de monsieur seguuin, bichedécorée, biche -attrait , biche-apprêt, biche-biche, ornementation de biche, etc, nous pensons que nbous devons fouiller ensemble (nous sommes deux) dans la profondeur des pierrres solides, nous devons ensemble nous coucher sur roche (pierre de taille tombale) et voir venir à nous les betes de poids, qui font leur effet certain sur leur auditoire à savoir : la mort ! la mort est l’auditoire de la vie feinte ! je connais cela ! je chevauchge ! je suisq homme fin des parois de roche, je cherche pitance à même la roche et je trouve quoi je trouve des  betes ! pourquoi ? pârce que la bpête en soi est contenue dans moi , elle y prospère avant d’en sortir, de s’en échapper par la ban,de = par la fourche = lala,ngue = kla queue dite «du verbe» sortant de ma bvouche comme un entrelac (une tressse) fait avec soin ou métier, une sorte de pique tressée qui perce la roche comme d’un,e plaie (qui saigne) et nous voilà «incorporés» à pareill:le pierre, rochers, cailllasses, antre et gosier, je suis ho:mme des cavernes au vent de buffe, ici mêm, je suis dans le sas, je suis pris entre deux feux, je chevauche les données animales du temp^s et me tient pantois devant pareilles betes alléchantes (on en mangzerait) et vives comme des éclairs, je cgherche à entrer en roche vite, si possible :même très vite, jhe suis homme vif qui entre à vif dsans la roche du temps , je m’immisce, je zuis dedans, je suis dans le temps rochgeux d’une sorte d’incorporation par la bande d’un verbe nerv eux fazit de betes nouées entre elles, et vive le pic ! vive et vivement ! car le pic se fait attendre, ça glisse vivement plutôt ! mon pic est il contondant ? le pic xdu verbe (le langa ge articulé ) est il réellement contondant ? peut il dire ce qui derrière se trame ou se treamerait ? que voit il ? etc, je pense que cette chose, je pense que cette cxtte chose de paroi nous concerne tous à plus d’un, chef, etc, je suis homme des cavernes à soubassement cellulaire, mon nom est introduit dans la roche m^$eme par contiguité ou peut-être capillarité, je chgerche à co:mprendre  ce qui est, ce qui se hjoue en termes de données brutes puis moins  brutes (déjà un )eu «travaillées «, etc, je suis l’homme -fgemme)animal desz cvavernes, mon nom est un nom d’emprunt, mon nom s’écrit en toutesxclettrres, il s’agit du nom que mon père avait , a toujours, il s’agit du nom que je porte en moi comme une sorte d’organe de vie, nouys poussons loin les dires mauvais de nos races rudes et les incorporons à la pierre dure, puis nous nous allongeons sur terre, sur terre friable (ou pas) et regardons passer les betes-mots ainsi (par nous) générés, nous sommes prêts pour la compréhension native des phénomènes,  nous devons interaagir (betes et hommpmes et femmes) et nous entraider au niveau de la compréhension des phénomènes de vie et de mort, je suis bete-roche, bete- mot, bete-effluves etc, je charge la parooi de tout mon sang ! je charge ! je charge vital! je  chatrge avec vigueur ! je suis vif ! je vais et je viens en cette roche des attraits de type bambinesque etc car je suisq chevreuil et en tant que tel je me vois sen sible permanemment à la gente dite bambinesque ou bambesque, j’aimme les bambis de roche, je me reconnais en elles, je suisq attiré par elle (efflucves) considérablement voire éperduement voire sans le rechercher sciemment voire contre mon gré ? je cherche les données fiables, les données reproductibles, à co:lporter, à montrrer à qui de droit, le temps est la raison du monde, l’art son corollaire floral, je pense donc je rougis, je suis l’enfant de la roche dure, je me poste aux p^remièresx loges et regarde aller les betes massives, leur manège, leurs écarts, je me faufile, je suis l’homme au ventre vide, j’ai fzaim de vie, je cherche pitance, je me couche sur le tertre ou terre plain et reste à l’affut, armé de mon arc de chasse, de ma corne et de mes chiens, je suis raide  

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2/09/2021

main et main, main et main, 

je suis homme des cavernes, je vais et je viens en cette paroi de roche dure, je suis homme de la roche dure, homme au fin fonds, homme des embruns, je suis homme fou, je vais et je viens en cette roche des cavernes, MON nom est la chose gravée sous mes yeux, 

je suis homme des temps impartis, de la joie brumeuse, des pzaroles déposées commpe des présents sur pierre tombale, mon NOM est la chose dure du temps, ici déposée à présent comme un don de soi à la bande, je m’immisce, je suis entré, je suis à l’intérieur de la roche dure, mon nom est le nom de ta race , mon nom est le nom de ta race dure, je vais et je viens en cette roche des embruns, je suis homme fol, fou de rage, en colère après l’orage, etc, mon nom est le nom gravé par la bande, je suis homme des cavernes, des sous bois, biche des temps, le bison et le buffle, l’orang-outan, l’antilope gracile, le chevreuil sautillant au fond des bois, je suis l’animal-mot de ta race-rage, fou d’être en cette roche dure l’aniimal des prés, des prairies vertes, etc, je suis ombre portée sur la roche, mon nom est l’outil de mon entrée sur roche dure, je vais et je viens en  cette roche des apprêts, je suis homme du temps qui va et ne revient pas sur ses pas, je suis e,ntré dans une grotte, il fait frais, je suis entré dans une roche, mon nom est gravé au poinçon des temps écoulés, je suis l’homme-femme des cavernes, je suis homme des temps passés, mon nom est le nom gravé à même la pierre : aurochs et autres noms de bêtes fortes, renne, bison, buffle, cheval, ours, mammouth, chevreuil ou biche, etc, je suids homme des temps passés qui va et qui vient à même la roche dure des temps impartis à une vie terrestre, je regarde autour de moi, je vois des bêtes de joie qui sont quiètes et paissent : il s’agit de betes fortes, massives, tenant sur pattes sur herbe fraiche des parois de grotte (en) et moi de les approcher et d’aller toucher leur pelisse : elles sont en  vrai, elles vivzent au sein de la grotte, elles ne sont pas que des sortes d’images fautives, etc, elles existent, elles broutent, elles se montent, elles chevauchent la prairie, elles vont et viennent, elles existent pour de vrai en cette roche dure des parois de grotte, elles sont mes amies de rage, elles me montrent ««««« le cghemin à suivre, elles ne sont pas en reste de me dire et de me montrer, elles me montrent et me désignent le chemin à suivre, ce chemin tracé à mêmùe la roche : ce qu’il est pour moi, à quoi il ressemble, à quoi il mène ou cette chose et moi de suivre cette chose sur roche dure, je m’avance, je suis en, je suis pris à l’intérieur, je suis en  c ette roche celui-là qui va vers loin, horizon nacré, trou de balle, ou comment ? je suis homme de la voie tracée menant à trou, je suis cet homme des tracés de roche : où vais je ? qui suis je ? que vois je ? où sont ils ? qui ça ? les betes de rage aux embruns ! les bestiaux, les betes fauves , ou sont elles ? qui va là vers une sorte de paroi percée ? je suis homme des temps reculés, mon nom est aurignacien, je suis entré dans une roche dure par la force des incantations, mon corps en entier est passé, sous l’égide en moi (en soi ?) d’un animal de rage, aurochs ou lion des cavernes, bison de la rage ou antilope au pas vif et élancé, je suis entré muni, je monte, je vais sur roche vers l’entrée prochaine (le cer ceuil ?)  : je suis fol vibrant qui file vers un trou de bure, ceztte chose des lointains au son sourd, je vais accompagné, je suis ombre portée sur roche dure du temps imparti à vie d’homme (ni plus ni moins) et je m’approche de la porte, de l’entrée, ouverture à l’iris, chaloupe ! je veux ! je voudrais ! je vois cette Chose rude, ce travail au corps, ce passage sous mes yeux, cette ouverture-échancrure, ce tracé de foi en cette roche des embruns de bord de mer, je vais loin dans la paroi, je suis homme vif de ma race allant sur roche puis dans,; creusant l’effigie animale sous hypnose, ainsi fait beuglant et pleurant, etc, lmon nom est le nom d’emprunt à déposer tel quel sur pierre de taille (tombale) etc, et cela fait nous pazssons, trouons, découvrons le pot aux roses : je suis homme des cavernes, je suis cet homme, cette femme des cavernes, je suis animal des cavernes, je suis bete-moot des cavernes enfouies dans kla terre, je suis un homme des cavernes, je suis l’homme des cavernes, je suis homme et l’homme des cavernes, je vais et je viens en ces contrées de type pariétales, du genre rupestre, genre en soi pour un homme-femme commùe moi, qui va se poser sur la roche, nom d’emprunt sur stèle mortuaire, don du ciel, ouvrage ciselé au burin de pierre, je suis homme au tracé votif, vive soi pour une éternité de roche ! allons sur la pierre ! jetons nous ! couchons nous sur elle ! je cherche une voie à même la roche du temps, je cherche une voie profonde, un trou vif, une armature, un chenal, une ouverture belle, je vais et je viens en roche rude, je suis homme du temps qui file fisza sur roche des temps alloués, je suis cet homme au sang chaud, vif l’éclair, homme femme détaché, qui va sur roche chercher sa pitance, vive la roche pour cette cause ! et ainsi faisant (entrant) je m’insinue, je m(‘infiltre, je m’enchaîne au pas des aurochs, je vzais mon chemin de bure, je cjerche à passer, je traverse, je suis dans le temps de la roche pleine, je vais mon chemin d’accès vers une sorte d’échancrure à même la paroi, fssure, trou comme on voudrait etc, je suis n u, homme betes qui, en lévitation, entrte et traverse, je suis cezt homme-bête de la roche dure, j’entre en roche comme en religion, les mots ont sur moi l’attrait de la rage et c’est ainsi que je me vois entrer fissa en cette roche dure d’une voie d’homme, je suis homme au pas mesuré, j’entre en roche vivant, mon sang est l’ombre portée sur la roche des temps alloués, je suyis cet homme doux au chant nuptial en,trant en religion aurignacienne : aurochs, et ce faisant (entrant) je m’allonge et vois autour de moi (qui me frolent) betes de joie, massives, tonitruantes, impactant la dalle, etc, je suis cet homme au chant de la terre , qui va son chemin brutal, cherche l’aumone, trouve une voie, se meut en bete de joie ou de rage, va fissa vers ses lendemains, nourrit sa voix d’un chant lointain, sortant de lui comme une queue de rat, je cherche une voix qui porte et troue la paroi, je suis homme des temps révolus ou dépourvus de cette mesure qui nous pèse et nous retient à roche dure , je veux tracer ! je suis cet homme au chant de la terre, découvert, qui file vif sur roche des p^rés, vois la bete brouter de contiguuité qui va, qui vous regarde d’un air de deux airs, je suis cet homme au chant ddépposé sur roche comme un don de soi à dame ou sieur de la Mort en Branche (etc) et me voilà qui feint d’etre bete, qui me montre couard, qui fait l’idiot, qui pue, etc, mon corps est azinsi offert par la bande passante à telle paroi de grotte de france, etc, et ce  faisant (ou cela fait) je vois sur roche aller ces betes fortes près de moi, qui me voient toucher la timbale et chyanter en veux tu en voilà des chants d’azur, je syuis homme fol de ma race rosse, je veux croire en moi, jhe veux toucher kle fonds, je veux faire comme une sorte d’allégeance à la paroi noble, des temps alloués à ma vie d’homme femme de roche dure, je suis cet homme rude au tracé vocal , je vais et je viens à même la roche des temps, je veux passer comme à travers une «chance de rage» et tomber sur pierree , et tomber sur pierre tomba le, etc, je suis un homme des abris, des parois du monde : deda ns, à l’écart, dsans la roche dure, au fin fond d’une sorte d’abri anti atomique, etc : grotte ! va loin voir où donc je me loge ! viens voir kle caillou ! cherche-moi dsans la paroi ! vois la bete-moi qui broute : animal ! je suis (devenu) bete de rage dodue qui broute en veux-tu en voilà à qui mieux mieux la plaine herbeuse des parois de roche, je vais en cette roche sous le vent vers des embruns lointains, trou d’ombre, ouverture au carré, chant sortant de laterre meuble, caillasse, trou de balle d’une sorte d’ouverture-fermeture, je suis cet homme au trou devant lui qui le suit, don d’un homme des praiories, don d’un homme fol, va nu pied, qui vous aide à trouver lma voie menant à cette chose ouverte lumineuse qui vous tend les bras : la mort est voie d’accvès à une parade,; je vois cette chose devant moi, je suis cet homme au cou allongé qui cherche vif et coute que coûte à voir le plus et à comprendre au maximum ce qui donc se trame en cette rochge rude et dure d’un cheval de troie pariétal pour le dire ainsi, je suis armé d’un courage d’acier ! je chezrche à comp^rendre ! quoi donc est la mort ? que est donc la mort en ces parages ? qui peut dire à me ? qui saura dire à me ce qui est ? qui sait dire à me ce qyui est de la mort en branche ? je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veus découvrir et comprendre le plus et le moins de la roche dure ! je suis homme-dur de la roche vive ! va nu pied sur champ et pré de la paroi riche, richement ornée par x ou y,  hommes des cavernes, femmes des cavernes, et autres etres des cavernes, je m’enfonce en roche (la tete la p^remière comme un  nouveau né) : je suis homme né à pareille fete praioriale en intrapariétal ! je suis cet homme au sang de veau, qui fonce en roche à la recherche de la Vérité des joies rupestres, fgonce que tu fonceras à) la recherche de la vérité ! je veux comprendre ce qui est , je veux le comprendre, je veux savoir ! je veux qu’on me dise, je vois voir, je veux savoir où aller , je veux comprendre ce qui est, je veux voir les choses de visu, je veux savoir ce que la mort est et recèle en termes de données terrestres de base, qui est qui en l’occurence, etc, je veux comprendre le pourquoi des choses, les choses de rage, le commun, la voix de l’homme ensablé, les paroles crues par la bande, les paroles crues de l’invective, de l’insulte à son supérieur (!), etc, ma chance : la trouver ou bien la trouer ? qui troue quoi en définitive ? qui troue ? qui trouve ? squi cherc he ? squi cherche en cette roche du temps le passage savant ? je veux savoir (une fois n’est pas coutume) ce qui est de pareille roche des temps: dedans ! je suis passé sous hypnose (pour le dire vite) et vois là-bas (roche) les embruns de bord de mer, où vais je si vite ? où je vais qui me tend les bras ? qui me tend les bras ? que sont ces bras ? bras de mer ? bras de quoi ? bra des chants des roches dures ? hum ! ou bien quoi ? car qui ? qui sait quoi ? je cherche à comprendre le pot aux roses, le comprendre vif ou bien lke soulever et comme le découvrir ou bien comment car lke pot est cet objet de la roche aux attraits, il semblerait qu’un pot pareil ait (ait en lui) mille attraoits à faire valoir par la bande : oui ! or , vboici par ailleurs ce qui est : je vais sur roche dans le sang, je suis moi m^eme découvert, je suis hooome des temps découvert en roche : sang filant comme fleuve d’eau vive, je cherche courant, je cherche le savoir vital, je veux entrer dans la roche du temps déployé pour l’éternité et ne plus sombrer ou capituler ! nommons la chose rude de son n om de bure = mon nom ! car le nom est percé comme un panier, il s’agit d’une sorte de chance à trouver-trouer par la bande pour soi et pourr en soi la bete montante, je veux croire en ma bonne étoile, je suis cet homme au chant menaçant qui cher che une issue, dans cette rochge aux attraits de robe, au fins sacrements, aux entrés multiples et variées, au chant des prairies et des prés dormants, car je suis l’homme des pârois de grotte, je traverse la paroi du monde, je m’immisqce nonchalamment à travers elle par mon nom, mon nom est cette chose de la roche dure à devoir comprendre en tant que dire pour une immixtion : écarteur de rage, etc, je ne veux et ne sais vouloir, je veux et ne sais de quoio, je le veux de quoi ne le sais vraiment en  cette paroi = je suyis ! or voilà ce qui est : je suis ombre-homme de la roche des tourments du monde (il y en a) et cela est ainsi nque je vis sur roche mes affaires d’homme tourmenté et fatigué, las des choses rosses, etc, la vie est une gageure tourmentante on le sait : une plaie ! la vie = plaie ! la vie est rosse pour quiconque on sait cela ! je suis homme au chant sortant de moi comme une bête en rut , et cela est ainsi sur roche, cxe chant plein comme une en,vie pressante ! je ne veux ne suis ne vais ne va ne chante ici pour qsui pour rien ! car : MON NOM est gravé ainsi, avec en son milieu la fente, la fissure, cet écartement dentaire, ce choix de rude monture etc, je vais et je viens dans la roche du temps à la recherche d’une voie d’accèes pour un passage «fol» de riches aventures ou comment sinon ? car me voici là qui cherche ouverture ! je la cherche ! je veux passszr ! je veux pouvoir passer ! je veux trépasser ou sinon passer ! je veux faire cette chose, d’une sorte de passage-traversée à travers la bande pariéto-frontale comme un nouveau n é que je serais ! je veux traverser cette chose et passer le fil ! je (moi) suis (là) ce mùonsioeur de robe, ah la voilà, qui passe la tete première entre deux piliers et cherche l’air de toutes ses forces ! vif ! car me voicii là comme au premier jour , qui passe tete et corps par une faille membraneuse, me voici lové dans la roche (enfin vif) qui me donne à voir à tant cxde betes alentour qui paissent placidement et me lorgnent de leur oeil vitrreux et intrigué, car mon nom gravé dit sa chose sur rocghe du monde, il s’agit d’une effigie-vérité des vérités gravée sur paroi par homme (femme) des cavernes (on sait tout 

cela) : l’art d’^tre son propre père puis grand père etc! je suis homme des prés qui chante à tue tete son chant cghoral, frontal, qui va sur roche le chantezr sous des vivats fortuits, je suis homme de la roche rude du temps dépensé, mon  nom est le nom que mes parents (ensemble ?) m’ont donné comme un don de roche, il s’agit de comp^rendre la vie à l’aune de ce nom donné comme pour l’éternité, il s’agit d’un  om de roche : vive la vie et ses tourments tracés à même la paroi du mobnde , car le monde est rond de son infortune, il s’agit d’une boule de feu, ça gratte aux entournures, cela est vivant comme une plaie ouverte grouillant, etc, je suis sur la terre mon nom dép^lacé l’homme de la roche rude, je veux toucgher le sang ! car : je (me) suis cet homme(le) qui va sur la roche (lent) son pas chaloupé (ici même) vers des directions qui demandent encore à être précisées , etc, car mon nom gravé sur rocxhe est un nom donné par la bande (de chaque côté) et n’explique rien ou bien peu de ce qui se trame en cette roche des attraits de bure ! il s’agit de sexe ? d’accouplzament monacal ? de quoi ? nous cherchons ensemble une vérité, nous voulons savoir ce qui est en cette zone rude des attreaits de roche corporelle , ce qui est = ce qui se voit mais pas que ! je veux toucher le corps en dur de la parole douce ! je veux toucher ombre ici d’une femme de vie c,ourageuse, vive et simple! je veux chercher cette parole d

ans le sang ! je suis cet homme aux plaisirs marqués ! je  v eux toucher la roche du temps et percer l’hymen d’icelui en guise d’entrée en matière ! je suis homme des temps couverts ! je suis cet homme en transe ouvrant la paroi et entrant ! je syuis en  cette roche dans le sang d’une rage de vie-courage, mon corps est coeur de rage et file à tout va en cette roche animale ! je cherche une vie à louer et à monter ! je regarde ce qui eswt en cette roche des temps dépensés et que vois je ? l’ombre d’une fe:mme, l’ombre d’un homme, une sorte (cannibale) de paroi géante quyi me mord ou cherche à cela faire , à faire cette chose d’une sorte à mon encontre de morsure dsans le vif de ma chair tendre ! je suis l’homme et la femme des prés, je veux pas sombrer ! ne veux pâs somb rer ! ne le veux jamais ! ne veux pas sombrer dans paroi des prés ! je ne le ! car mon nom est à présent gravé dans la roche, je sais cette chose, cette cxhose est avérée, existe bel et bien et me voilà ainsi qui voit la chose dans le temps qui m’est donné, pour entrer , pour traverser et toucher les choses rudes (dures) des temps tourmentés en icelle, je veux toucher en elle (paroi) le sang de laplaie des choses ! joue percée vois tu ! car il s’agit (toujours et encore) xde cette même chose d’une sorte de queue d’homme sortant de la bouche et per çant la roche en veux tu en voilà comme une feuille de papier ! je suis l’homme des temps passés, je serais cet homme : l’aurignacien, qui, en lévitation, sur roche, tracerait son nom à) m^$eme la paroi, tracerait que tu traceras icelle roche dure, au cgharbon de bois ou autrement mais véritablement et non point dans son rêve ou dans des songes menaçants, etc, je serais cet homme traçant nom (bete) sur la roche, mots de roche au carré, multipliant les formes vives pouvant faire accroire à de la  vraie vie de fortune ! je (moi) suis (homme) le (chant) chant de vie dans ! ou pas ? je serais ? car me voixci mort ? je cherche ! je cherche à savoir qui suis je  : le cheval ? le bison ? le chameau ? la chamelle ? la bisonne ? la chevale ? l’antilope ? l’antilop ? le comment  le mùammouth ? le quoi d’autre en la matière ? car je suis surr terre qui trace le nom de la bete vive, pis aller au champ de blé, etc, je cherche vers elle (paroi) et trouve l’entrée où passer (par latranse) et une fois entré en elle je compreznds les choses crument véritablement, ces choses comme quoi la vie sur terre est cette épopée de rage à supporter, nous voulons comprendre les sens et aller plus loin dans les connaissqances de base, nbous ne sommes pas seuls à vouloir savoir, nous essayons de  savoir, bnousessayons ensemble de co=mprendre les données du monde ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles recèlent en termes de vérités à signaler et à donner à qyui de droit parl a bande ou pas mais géné reusement et volontairement, afin de plkaire ! car le mal est fait (la douleur de latra nchée) et c’est ainsi que nous devons comprtendre à présent ce qui est en cette roche (la roche des temps) qui nous regarde, quyi nous montre la voie à swyuivre par où passer, je comprends les choses du monde, je suis l’homme des attraits de bure et file fissa à travers la lande en tant que chevreuil («bambi») qui va là à la recherche de son âme-soeur, je suis hombre-ombre, homme des pareois gravées (art) pour la bonne cause (je) en tant que telle : ce moi-je de rage rude (à comprendre au son du pipeau de la roche) !je veux toucher ici la roche dure , je la veux pour moi et seulement ou comment sinon ? dans le paertage ? certainement ! je suis celui là qui va en roche tracer son tourment de bure animalière, cette cghose sur soi xdéposée comme une peau de bete, je découvre avec vous le pot aux roses, je ne suis pas là , je suis là et pas là, je ne suis pas là, je suis ombre portée pâr la ba,nde (pariétale) à toi à moi, et dans cet entre-xdeux je vais, m’immisçant à la va vite, trouvant en chemin de quoi me sustenter, et  ce faisant gagnant du terrain , je suis aurignacien de race-rage, néandertalien de souche, vivant à même la tezrre meuble, sous le wsoleil exactement, chassant le buffle, l’aurochs, l’ours, le tigre et lma panthère, le lapin de gharenne, je m’ap^pelle de mon n om d’emprunt comme une betee, je suis homme dur de la roche dure des temps durs d’une vie du dur au passage, des dures contraintes ! je ne suis que ça ! nhe suis pas autre chose que ça ! je veux aller ainsi en cette roche rude découvrir les membnranes des passabges à vif, et pour cela je m’offrre tel quel, nu comme un ver, assoupi pour ainsi dire (en vérité : sous emprise)) et me voilà qui apparait comme dans la manche ! je me vois toucher le sol et décoller ! je me vois décoller du sol ! je me vois toucher la timbale des parois de roche ! je me vois traverser la roche ! je me vois traverser la paroi la tête la preremière ! je me vois traverser vivement la roche des embruns de nacre ! ces contrées fugaces etc! je suis l’homme traversant la roche rude ! je suis cet homme aux envies de rage rude ! je suiis cet hommme, ce (hommùe) qui, etc, je suis lui  le , je suis celui -là qui va dans la roche à la recherche d’une voix, d’un chant de bure, etc, je vais ainsi en roche des temps à la recherche d’un chant sourdant de telle ou telle entrée dans la matière, je veuc comprendre le pourquoi des choses rosses de la terre dure ! qui saura  ? qui dira le fin mot de ta rage ? qui pourra me renseigner cvonvenablement et corrrrectement et vivement et avec les mots qui s’imposebnt (fissa) par la bande , qui ? je cherche assidument cette personne, et ce chant des ombres ! car ici la voie (pariétale en diable) est mienne par le sang qui va en mes veinews (de rage) de passage, etc, et je suis ainsi, à vouloir savoir de quoi ce sang est-il l’objjet, que doit on penser de ce san,g coulé, de cette offrra,nde sur les prés d’une paroi dure temporelle , que ? quoi ? ou comment ? ou qui ? qui dit quoi en cette voix ? dans ? je cherche ! je cherche les mots de la joie d’être , qui pussent me donner de quoi nourrir mza gouverne à bon escient et à bon droit , car je suis cvet homme aux tracés pariétaux (animaliers) cherchant à traverser la roche , à se mettre à l’abri du temps, etc, je suis cet homme des embruns, cherchant pitance dans la roche dé»couverte, je veux croire en ma bonne étoile dans le firmament et touchger latimbale ! je suis hom mme au  coeur d’azur dépourvu de rage un temps, mais pas longtemps (systole/ diastole) et voilà le pot aux roses : je vais et je viens dans ce tourment d’une voix double, etc, je suis cettte b ete de rage dépourvue de sang (parfois) et d’autres fois cet homme déposant la bete saigna nte sur la table des données de base, je suis  homme-bête de la foi dans l’ombre, je cherche à me passezr de la cxhose rude, commùebnt faire ? je suis celui là qui veut savoir qui de quoi en luyi se trame en tant que tel, ou comment, ou quoi de quyi, car je suis l’homme ici de la rochge perdue au fin fond d’une grotte perdue au fin fond d’un pa ys perdu, etc, je cherche vérité traçante naissante, je veux comprtendre les données qui sezraient ceklles ô combien qui expliqueraient pourquyoi je est cette personne donnant le la ou ce la musical à une sphère ! je cherche à comprtendre le pourquoi des choses musicales, je voudrais  comprendre et toucher, et du même coup savoir, et sachant aller, et allant filer, et filant brûul:er, et brûlant coucher sur lma roche le nom véritable de ma destinéec par(iétale et non point dès lors ce nom d’emprunt dont je suis accoutré depuis ma naisqance (bure de pa roi) pour ma misère ou comment sinon: pour la joie de me savoir viva nt ? ou comment ? pour mon malhezur ? je cherche ! je suisq ici cet ho:mme des prés qui , avec ardeur et une volonté quyi est là affichée,, va, chaerchant sur roche, le tracé adéquat, la bonne chose, le vif du sujet, etc, je dessine la bete ainsi soit à main levée (hypnose) et cette chose dessinée est le n,om que l’on m’a donné d’emblée (à ma naissance) par la b ande, ce nom de la bnande à dire vrai, ce raccroc, non : ce raccrochement à la bande, ou commezn,t ? attacghement ? fortitude ? je cherchje devant, je vois devant moi le présent donné, je le prends au fur et à mesure de mon avancée sur roche dans le temps (une nourriture : donnée-denrée) et prenant la chose (engloutissemeng) je me loge ainsi dans une marche vive dép^loyée, je file, j’(avance, je prends au fur et à mesure les données données, je me noiurris d’elles et trace sur paroi le dessin de cette ava,ncée animale : aurochs busqués ! sorte de cheval sur pied de cavalcade, etc, je suis celui là quyi (a rtistiquemùen,t = volontairement = fidèlement) dit le nom des choses à même la roche : le cheval, le renne, le bison, le buffle, etc, et cela à foison, moultes et moultes fois, pour la bonne  cause (la survie du genre) etc, je vais sur roche à la recherche de la vérité, je veux comprenxdre ce qui est qui se tramerait sous mes yeux hagards, qui dit quoi dans cette  habit de bure ? je vois la chose ici se dessiner sous mes yeux hagardsz,  je la vois qui se dessine seule pour ain si dire, je vois cette chose se dessiner seule sous mes yeux, à travers mon corps, moi, ma main, mes mains, etc, à travers mpoi se dessine le corps de la bête rosse, ce cheval de cava lcade (par exemple) ou cettt oiseau de pied, ce petit volatile agile, etc, je suis l’homme aux traits de roche, qui chante à tout va, qui pelote la roche vif, cherche faille etc, et donne son  om par la bande pour (vraiment ?) l’eternité soit l’éternité pariétale des roches ou sinon pour un temps = un temps particulier qui est lme temps de la survie des roches (etc) : cela est ainsi , et c’est ainsi que nous (nous deux : toi et moi, elle et moi) nous l’envisageons, elle et moi = elle, la belle, et moi, le sang, kle san,g sur la table, le sang sanguinolant dégoulinant etc sur tyable, cette chose rouge -rosse, qui est cette cxghose en soi qui te,nd à vouloir être en vrai sur paroi comme une vérité ta ngible et fiable,; je veux croire en cette chose d’une sorte de paroi de roche rude qui serait celle des zmbruns de bord de mer mais pas que, qyui seraitt aussi une sorte de paroi mobile, qu’on peut déplacer, qyui est la paroi de la chose rude, qui est pzaroi du monde, l’effigie du moins, la pari-ole déposée à meme le monde, cette v érité»»»»» de la réalité des choses, je voois cette chose devant moi, j’absorbe, je prends, je prends continuement, j’absorbe au fur et à mesure = je gobe, j’absorbe et gobe en continue = je traverse, j’entre dans le vif du vmonde adjacent, je suis «bouche» ouverte grand , je suis la vbouche qui absorbe en grand le monde devant soi qui s’offre  comme un présent, je suis le preneur des choses pour mon sang de rochje, je suis celui qui prend continuellement l’air et les choses du temps présent, de ce présent déposé à mes pieds, etcx, je veux comp^rendre cette xchose d’une sorte d’absorption du monde continuement, cette chose ici d’une sorte d’ezngloutissement (ourp) du monde présent, du don à soi fait par déité de rocghe xdure menaçante (ou pas) mais bien présente «devant» soi qui va , qui allons, sur roche son ou nos chemins de ronde terrestre, il est ainsi que nous le savons ! nous savons cette chose ici d’une sorte d’embardée vive, pleine, trempée, qui fouille dans la roche un wsemblant de vérité votive si possible et tente d’en extraire une sorte de quintesse,nce nativ e, voilà le hic ! et voilà pourquoi je m’»incline deva nt la roche ! je suis homme des embruns, homme du peu de foi dans la roche ou com:ment , suiis-je croyant en  cette roche des abois sourd ? non ! ou oui ? non ! ou si ? ou peut-être oui à l’occasion ! car quoi, je suis un homme «dépensé «, je suis l’homme traversé dépensé ! je suis traversé ! nous sommes traversé ! je suis travezrsé ! tu es traversé ! nous sommes traversés ! par des milliers  et des milliers de choses en suspension dsans l’air de la grootte, auusi des choses de type virus etc, mais de tant d’autres, mots de rage au débotté, colères sourdes, vzent astral, colères des intimidés, chants des plaines, soupirs, vivacités sexuellkes tangibles dépourvues de genrre, etc, nbouys voulopns comprendre ces passages-là à travers la lande et aussi ces passages à travers notre corps, corps de base, bnous voulons comprenxdre ce qui est ici ainsi qui va setramant dxans la roche ornementée, nous vcoulons toucher la chose pour soi,; pour sqon effiçgie et sa gouverne, car je suis ici cet homme , aux printemps donnés par une bande rouge, je veux croire en ma bonne é&toile, en moi la foi est incxluse comme il se doit cvar je dis des choses «motivées» et comme de plain pied, et voilà de quoi il en retourne, nous sommes soumis à des envies de rage pressantes, nous voulons comp^rendre les données qui vont comme à creuser la roche , qui sont en roche comme logées ou comment ? je veux pousser loin le / les recgherches, le / la recherche  ou les, car : je suis friand ! je suis lo’hommùe -femme des parois qui cherche le et la, c’est-à-dire le pot aux roses et la vérité, c’est ébgal, et cependant c’est différent, car si le est le, la est la, or voilà : le = la en certaines «occases» on le voit ! on sait cela ! on le voit ! on veut toucher en vérité ! on veut se toucher ! on veut toucher la plaie de la roche en sang (tourmenbts) à même la roche frooiide , nouys sommes deux pour faire ainsi que ce passage en soi soit effectif et puiisse nous tenir en vie, nous absorbons des choses de poids, nous sommes qui absorbons mille et une choses de poids moléculairews bas, de poids bas de molécules, de bas poids moléculaire etc, nous preznons ! le sang se nourrit en  ous de mille effluves , diversement réparties à m^$eme laterre, etc, que veut-on absorber où nous ayons la main ? nous prenons les cghoses à la va vite tout le temps, nous prenons de force («c’est la vie !») tant et tant de choses à la va vite c’est ainsi! engloutissement et poursuite sur paroi du temps (pariétal forcément !) ainsi de suite ! jhe-nous cherchons ensembvle le, or pas facile ! pot aux roses des vérités, il va de soi que cela est tout sauf facile ! je chgercbhe assidument l’entrée dans la matière,je n’arrive pas à me détacher, je voudraios tant pouvoir me détacher, comment pourrais je enfin me détacher de ce pouvoir de rage en soi parolier ou langagier ? en créeant la mesure agraire des données du monde ?  en comptant les denrées déposées pour soi par une sorte de paroi des temps envahis ? en faisant quoi ? je vceux penser la chose à l’aune des tourments de bure existentiels, mais comment ? nous cxherchons enwemble dans le temps de la roche ornementée pour l’occasion, et faisant cela nbous gravitons, bnous bnous approcghons du «mot de la fin» qyi serait le fin mot qui dirait ce vcqui est vraiment, en des tezrmes autres que ceux que bnous avonjs pour nous en magasin (mémoire d’un apprentissage), etc, mais comment savoir ou connaitte (apprendxre) ces mots neufs qui nous diraient finalement ce qui, en vérité vraie, se trame «depuis le début» ? notre envie  est pleine, forte, envahissante ! je-nous voulons merde ! pas qu’un peu ! je-nous voulons «à mort» ! c’est à dire à la vie à la mort = dans un mouvement pendulaire, je veux ! et voilà pourquoi nous sommes ensemvbkle sur ce chemin là de la roche dure des temps, nous gravons des betes de poids (qui pèsent, qyui en imposent, qui font office) et voilà pourquyoi nous cherchons ensembvle à savoir ce qui, en cette occasion d’une entrée dans la matière sourdxe, swe trame ou se tramerait en termes d’oraison funèbre, de recueil de donnéesq, de tourments dénoncés, d’avalisation temporelle etc, nous vou:lons comprendre ensemble ce qui est et ce qui n’est pas, bnous voulons aller dans le wsa ng (le nôtre) à la rechgerche du tourment (pour le coup) de ba se, quel est il au juste , et cela bien sûr (encore une fois) ensemnbble , main xans la main, enlacés comme jamais,  pris dans latourmente d’un accouplzement furieux, etc, je cherche le je de la chose rude, quoi est-il ? je est le chantre , ok, mais quoi d’autre ? en soi : je est chantre on le voit, il pérore de toute son autorité langagière (intrinséquement déposée) et voilà pôurquoi je est l’ombre d’une chance aévalée, avalée = mangée, je le sais, je sais cette cghose, nous savons cettye cxhose comme quoi le je de’ l’homme (pérorant) est sous l’influence majeure d’une langue intrinséquement autoritaire et mal goupillée, on sait cela, bnous voyons cela, nous voyons cette chose comme quyoi le monde est la paroi, et comme quoi la paroi est le tempsq, et le temps est kle tourment qyui sera déroulé ou déployé comme le présent donné par la bande et à (coute que coute et par dxevers soi) absorber ou emmagasinner continuement tout le temps !je suis homme de bure, je cgherche la fortune dans le sang, je m’accroche au temps de laroche, hje suis fourbu, je souffre les pierres un temps, je suis homme des tourmùents rageurs, des betes en soi (en, moi) qui gravitent, qui sont betes de roche des prés, caillassant mon anttre de leurs pics acéréeé s et cgherchant issue par la bannde, etc, que suis je ? où vais je ? en quelle contrée dois je figurer et la ramener ? car je la ramène par devers moi, je suis qui parle d’autorité l;e langa ge narquois de laroche des temps déroulés comme une nappe ou un tapis volant, un chemin tracé, une vcoie lactée etxc, je suis cet homme à larechezrche de la  vérité sur paroi de rocge dure, traçant au burin les données de base x’une vie terrestre, je veux comprendre la chose nue, je n e veux pazs d’une chose affublée par quoi que ce soit ! mon nom ! ah le nom ! je suis dépléacé ! je vois les mots-betes ga mbader sur la roche des prés d’une grotte de france alllouée à une vie d’ho:mme  ou de fzemme , je m’incline deva nt loa paroi, je sais que je triche ! je ne donne pas cde moi  ce que Mort-la-p.... attenxdrait xde moi comme de qui que ce soit ! nous savons cela : l’art de la fugue ! l’art de la fuyite sans fuir ! de la fugue san s fuguer ! etc , ou comment le dire ? nous devons traverser les temps donnés par une bande, et ces tempstravezrsés aller de consqerve vers cet avenir de bras donnés et tendus, tendus fdonnés, etc, qui sont ou seraieznt c eux là que nous esp^érions au sein d’une langue, nous pensons que nous devons co:=p^rendre les données de base avec ce langage vo cal, oral, ces mots et cette grammaire etc, alors m^$eme que lesmots nousd trompênt, comment faire ? jouer le jeu du mot qui advient de force, et à treavers lui toucxher à vif la roche du temps, et là esdsayer de comp^rtendre, tirer soon épingle du jeu etc, chercher à travers son prop^re lzangage une voie d’accès souterraine (entrée de grotte) qyi sezrait comme de juste une sorte d’in-quelque chose, excavation , trou  de roche temporelle, etc, trouver dans le verbe non pas sa pênsée en propre (bah !) mais plutot cette sorte de pen sée «de roche», dite «de roche», quyi serait la voix d’un au-delà ou d’un en-deça de la roche rude, voix ou voie on l’a comp^ris , voix-voie qui dirait le pourquoi du comment ce cheminement ! or commen,t s’y prendre ? comment faire pour trouver la voix (la sienne ?) et la voie ( la sienne de même ?) ? commùent ?. en touchant la plaie on le sait ! en touchant vite fait la plaie dans le temp)s , ou laplaie du temps, lke temps de la plaie, etc, la plaie du temps est plaie des tourments sur roche dure, bnous vcoulons comprendre ensemble les données rageuses des temps déroulés, des temps possédés, nous voulopns comp^rendre ensemble les données de base, les choses rudes, les vives couleurs des envois de base pariétaux , les b etes pour ainsib dire, betes de poids soupesant kla vie ou comment ? betesq de poids sur base de vie pleine, betes rosses sous la chose ? je cherche ! je veux dire ce qui est mais ce n’est pas vfacile ! ca r les mots ont leur propres chemins qui m»’emportent dans un sac de jute vide ! que dire , ? la vie de la roche est la vie rude des emprunts , la vie est cette rude paroi devant soi qui semble nous tendre les bras voire nous appeler (de notre nom ?) et nous interpeller vivement, mais pourqyuoi ? les bras dev nt soi sont là, ils sont ouverts, nous a bsorbons ce que la vie en continu bnous donne en fait de denrées à prendre fissa par la bande (de gré ou de fgorce pour le coup) à même la paroi du temps (aurignacienne, magdalénienne, erythréenne, etc) , nous voulonsq sqavoir kle fin mot d’une aventure mais comment savoir ? nous vpulons toucher les choses du mùonde en vrai (paroi  céleste) et pour cela tenter le diable en osant le v erbe troublé dans nos b ouches enfin ouvertes sur kl’adversité ! les mots sont des ép^ées et des étais : xdes choses du pic dans une rochge rude ! nous voyons sous nos yeux s’ouvrir une roche (pic du verbe alacre) et nous nous infiltrons en cette alacrité dite pariéto-frontale ! pleurons ! à présenbt pleurons , ou crions ! le temps nous sourit ! il erst temps pour nous de toucher la cghose et de traverser x et x de ces données vives déposées sur pied au dxevant de  nous, de notre gouverne ! nous voulons qzavoir ! nous voulons comprendre ! nous vouylons aller loin sur roche ! nous ne voulons pas etre dépossédé d’un savoir de base profond et tendu comme un, arc, qui serait encore (et toujours) tendu comme l’arc de la vie sur terre (donnée brute et vive à la racine dela vie terrestre): nous voulons ensembvle conserver la vie vive des temps alloués, rester soudés de la ssorte dans une sorte de chose rude, de donnée rapide mais précise, -un conglomérat ? une antienne ? un choeur ? une réunificatio copulaire ? nous voulons chercher ensemble, nous ne voulons pas nous désunir ! nous voulons ensemble cher cher les données qui seraient premières et nous octrooieraient le pouvoir partagé de pouvoir alller dans les p^rofo,ndeurs de terre mère sans flancher ni succomber ! nous voulons aller en  cette roche des prés à la recherche d’une vérité qui put nous donner la hjoie attendue par en bnous la bete vive (une armée de betes en vérité) et voilà ce qui est sur roche et en , voilà donc ce qui est en roche, et sur , c’est àdire cette cxjose d’une sortye de retombée sur le carreau d’une paroi du monde ensevelie, cachée sous des monceazux de débris de toutes sortes, de cailloux dépôsés par tels p;lissements géollogiques des temps ou comment, car voilà : nous sommes hommes, noyus sommes femmes, nousq avons pour nous le pouvoir d’entrer ensemble (seulement ensembvle) dedans la matière du temps, et là : naviguer à volonté, «e la nave va», comme deux qui seraient chahutés par la vague mais ne cèderaient en rien sur ce qu’ils auraient en eux comme volontés pures, désirs ancrés, etc, nous vcoulons toucher au sang de la plaie du monde, toucher le vif du sujet, toucher le vif, toucher au pklus vif, nous voulons toucher le vif du sujet, toucher au plus du vif du sujet vif, nous bvoulons toucher le vif de la cxhose rude, nous vopulons toucher et nous infiltrer mais toucher vle vif de la chose rude ou dure,  nous voulons toucher au plus vif de la chose rude des temps déroulés, nous avons le temps devant soi comme le déroulé à absorber fissza et xsans avoir le cghoix, d’une vie de base etc, et là, à travers cela, toucxger ! toucxher le vif ! toucher le vif du sujet , etc! nous vou;lons comptendre c ette cxhjose en soi d’une roche de paroi ouverte comme une sorte de bouche-plaie,; de bouche de rage, etc, nous nous infiltrons dans  lafaille ! nous voulons nous infiltrer dans cette faille rude (dure) dxes temp)s alloués et toucgher cette humidité, cette eau de buve, ce coin donné par la b an,de : ouverture centralisée, caroosse d’ore, nous perlons ! nous pleurons ! bnous pissons de toutes parts nos eaux de chance, nous ne voulons pas céder à la mort étendue sur roche ! nous voulons tenir à la faille , nous acoquyiner à icelle  et doubler nos voix de  c elles qui sur roche poussent leurs accords de paroles  vives, de chants nuptiaux, de pépiements divezrs et auttrescxgrognements de moments de ruts, nous voulons toucher au fond de la roche l’ouverture humide (bord de mer) d’un e sorte d’entrée en matière (poreuse)ou d’entrée dans la matière ! car nous sqommes deux, nous sommes à deux pour ce faire, nbous sommes deux qui voulons , nous sommes deux qui chercho,ns ensembvle à toucher du doigt les donn,ées les plus radicales, ou les plus primùaires, ou les plus anciennes, les données natives sur roche, beautés lunaires, ombres portées sur roche rude, ombres dépôsées, etc, nous sommes eznsemble en c ette roche rude deux oiseaux de fortune qui pépientb leurs tourments nidico:les, qui vont sur roche nicher et se nicher, qui sont ombres sur la roche rude des temps dépl;oyés par la bande, n ous voulons aller dans la roche rude, nous ne coulons pazs nous défiler, bnous avons à tracer des noms à main levée à même la roche, nous sommesz deux quyi devons aller en  ette roche des apprêts tracer des noms de betes de poids , de betes massives et lourdes qui pûissent «le faire» fortement, granxdement , sur la place pour a insi dire soit aux yeux de qui xde droit , nous voul;ons i:mposer bnotre présence vive sur la place, la donner en guise d’écha nge (xde libre échange) envers cette chose déposée wsur ce cdevant de soi, donner de sa voix ! je veux dire ce qui est ! je veux dire haut ce qui est ici ! je veux pouvoir donner ici de ma voix ! je veux pouvoir de ma ma voix donner ! de la voix donner en termes d’échange et de tributs ! je suis homme de lafaille pariégtale, femme ouv ezrte aux sang de la roche, je m’applique ! je crie  ette chance x’etre ! je crie la chance ds’etre en roche dure l’enfant xde la voix qui sourd d’on ne sait où aller ! je  crache rude ! je tombe fleur ! j’essuie mes larmes ! je suisz dans la transe du temps pariétal ! ombre portée ou jetée ! fleur du pavé ! je lm’infiltre, je m’immisce, je  v ais dans la roche ! je  vais en cette roche des temps alloués et hje rega rde près de moi ce qui est qui va et vient nonchalamùeznt : sont-ce des betes rosses de bon poids bon oeil ? que vois je aller et venir près de moi ? que sont ces betes dessinées ? que sont donc ces betes gravées ? ou suis je ? la grotte est elle pour moi l’antre de la foi dans l’autre langagierrr ? les motsq  caracolent et vont se loger sur la rocghe des temps a;lloués ! jke sais voir deva nt ! je vois depuis moi le sang de la plaie sur roche, qui coule fissza et tache ! je suisq cet homme des parois du monde, paroios saignantes, tourmùentéewq, blessées, troués par le pic de la bande an imalière le cas échéant !  je chezrtche à comprendre les données de base qui sont ceklles de la roche meuble, humide, ouverte, quasi gluante, etc, je cherche en cela cette chose de pois qui saurait me donner des ailes et me porter , car je veuxw voler , je le souhaite, je voudrais, je cherche et j’aspire, je suis l’homme au désir doublé cde volontés vives de vouloir voler, outrer le trait etc, je veux comprendre loin dans la roche, je veuxx tra vezrser la roche, jhe veux entrer da&ns la roche, je veux percer laroche , je veux m(‘immiscer en elle et passser de l’autre côté, je  eux aller de l’autre côté, je v eux traverser le dur de la rocghe et ce nb’est pasc simple, mon envie le plus a ncrée en moi- même est xde travezrser le rocxhge de bout en bout, la matière, le pavé etc, il s’agit pour moi d’une volonté primaire, fortement ancrée ezn moi et c e depuis toujours, je suis l’homme de la roche rude des temps déployés, qui surfe ou comment sur la roche des temps alloués et chezrche à passer à traversq le temps de ce déploiement p)ar la bande mais comment cela ? eh bhien a insi : en fichant son pic de verbe saturé à lmême la roche et forçant le trait = poussant ! pousse que je vais pmoussser, a insi fait! nous pousssons la roche au pic frontalier ! nous nous infiltrons dans la durée ! bnous épousons le temps au dit «pic de verbe» accoutumé à pareille roche, traçant sa gageure, etc, nous voul:ons comprendre au plus possible les données de laparoi du tezmps, ces données -racines des temps alloués allouées au tout départ, nbous sommes nbeaucoup, nous sommes nombreux, je ne suis pas seuls, nouys sommes des millions, je me fais petit, nous sommes des millionset des millions qui poussons nos pics de parole rude, acéré, pouvant percer la roche du temps et creuser la tombe des temps impartis à vie de femme et xd’holmme (sur le temps) : nous cherchons ensqemble (à touus) ce qui est,  ce qu’il en est, ce qui est sur roche trezmblante, et au delà, au fin fond de la paroi l’échancrure, car nous sommes tous (des millions) à vouloir déposer nos  oeufs à même la roche du temps, oiseaux de passage, nous avons pour nous en  nous cette cxhance d’eztre des etres de rage vive, vifs  passagers de  ce temps de roche mobile (elle nous suyit) et voil;à les choses du temps qui (pour nous) offre sa mainmise sur la roche dure, etc, nousq so:mmes deux (a u moins deux) qui fouillons ! nous fouillons laroche des prés à la recherche de la v érité sur tout et rien de par le mon de , nous cherchons à comprendre les données les plus lointaibnes, ou profondément cachées, nous cherchons à co:mp^rendre les données les plus profondément cachées, les plus vivement cachées à même la paroi des rocxhes, nous voulons traverser le sas, aller loin en cette roche du monde donné,,, aller loin vers ces b ra s du mon de ouverts à la postérité, etc, nous chercghons à nous ancrer dans la roche, nousq cherchons à épouser le temps naissant de laroche rude, nous ne voulons pas trépassser ! bnous ne voulons pas trépassser ! nbous ne voulons certes pas treépâssser ! nous ne voulons pas treépâssser ! nous ne vou:opns pas trépasser du tout ! nous ne sommes pas à vouloir passer ou trépa sser ! bous voulons vivre la vie des choses rupesqtres à jamais ! oeufs de soi dans le sas de lma roche des temps ! oeufs de son soi n aissant à la roche rude ! notre b ut est ainsi formé qu’il s’affiche et qu’il affiche ses dfonnéesw à même la pa roi du monde souterrain ! je suis l’homme cdes  avernes au sang versé, je donne mon nom et ma voix à la bete en moi sura hjouté ! je contiens des chosex et j’en absorbe d’a utres : je suis tuyau ou boyau de travezrsée rude , je suis à treaverser de part en part, je veux de cette traversée de part en part, je veux être tracversé de part en part, je veux être travezrsé de art en part cvomme un instrument de musiqhe, je vezux deveznir cet instrument, je v eux être tra versé de part en part comme un instrument cde musiquie vocale, je suis cet homme aurignaciezn qui tyraverse la paroi du monde et trace sa voie (sa voix) dans le sas pariétal de la roche des temps offertts (les bras ouverttsq) par la mort (la grande) déployée de tout son long à) même la roche rude (très) et dure (trop), je vais ainsi en elle (roche ou paroi) à la recherche d’une vérité pfrofonde (si tant est) qui (hors les mots) donnerait à mon élan de vie les ailes de l’oiseau du paradis, ou celles d’un cxhardonneret, ou d’une mésange ou cekles xd’un piivert ou d(une colombe ou bien celle d’un rapacve, d’une buse ou d’un a igle royal, etc, je  eux etre l’ombvre sur lma roche dure, ce tracé de bete v ive, ce tracé faisant a ccroire, je  v eux cette chose et c eette cxhose je la veux vivace, je veux etre cettte bete-mot sur rocghe du temp^s et «pas mourir «,, « veux pas mourir», «v eux pas de lma mort», «je veux pas de la mort pour moi», «je veux pas pour moi de la :mort, je le chante à travers la roche», « 1: je chante mais pas seulement», «1 : je chante mais , 2, je repousse en trompant le monde !», je suis l’homme repoussant la :mort ! comment ? pâr l’empreinte ! je pousse la mort au p;lus lointain possivble de la roche, je la pousse vif afin de l’étourdir : étourdissement facial ! je cherche profond à faire cette chose d’une sorte de repoussement ou comment dire ? je vais en roccche dans le tempsq et pousse que tu pousseras la chose ! je veux faire ainsi que la chose soit ! je veux que la roche saxche ce que la mort eswt ! car la mort eswt l:a parole dite de la mort ! je pousse à qui mieux mieux les choses du temps ! jue poussse vivezment la roche des temps da ns ses reztranchements et chercbe par la m^$eme  à comp^rendre  ce qsui est xde tous ces tourments de roche dure, nous voulons savoir ce qui est, ce qui setra me au fin fond de la roche xdu temp)s, nous voul:ons savoir ce qui en vérité xse tra me au plus profond de la roche des temps allouéesq, et pour cela bnous chantons le v ezrbe nacré,, dépôsé sur rocxhe = nous pleurons ! nouqs cvoulonbs co:mprendre le monde, le pourquyoi du monde ! nous voulons cxo=mprtendre ce que c’eswt que la :mort en roche qUI nous tends les bras : que sont-ils ? que sont ces bras en vvérité ? que sont-ils ? que sont ces bras, ces mains ouvertes ?. que sont donc cesq mains ouvezrtes, ces deux mains tendues et offertes ? que sont donc ces deux mains offertes ? que sont ces d’»ux mains ouvertes ? sont-ce des =mainsq ? que sont-elles en termes de vérité vraie ? que sont donc ces deux mains ouvertes : un passage vers un au delà ? un,e sorte de pesage ? une sorte de portage :des mains porteuses ? que sont ces dxeux mains offertes ? que sont elles a u juste ? que sont ces mains données à soi par devers soi ou dezvant soi ou devant soi même ? qui est derrière ? qui y a til derrière ces deux mains ouvertes de va nt soi ? qui se cache derrière ces deux mains ouvezrtes ? qui est derrière ces mains ? à qui ces deux mains offertes (ouvbertes) sont elles ? qui est caché (,?) derrière ces deux mains offertes ? qui se caxche derrière  cesz deux mains offertes ? qui xherhe ainsi à se faufiler ? qui se  cache en vérité derrière ces deux mains deeva nt soi ouvertes et ofeertes et qui sont celles du présent soit du temps présent ? et si le temps présent (le temps) étaeit ainsi offezrt par des mains d’on ne sait qui mais qui existezrait bel et bien au sein du =monde (il serayt le monde !) ! et si le temps était deux mains offertesq par la bande «au-devant» de soi ! et si le temps était deux mains ! et si ces deux mains du présent portait le présent du temps !  et si le présent était porté par deux mains ! et si le temps présent était porté par demain ? et si le temp)s du présent au monde était comme porté par ces deux mains du temp)s à venir ? je cherche dans la roche dure, nous cxherchons à deux dans la roche dure , nous sommes à cghercher vaillamment (à deux) dsans la roche dure du temps ! nous sommes deux qui (ensemble) recgherchons des  vérités de b ase, des onglets, des vivres, de la nourriture à penser ou macher, etc et cela continuyement , soit au fur et à mesure que nous avançons dans le temps de nos vies couplées, bnous voulons comprendre ce qui est, ce qui se trame en cette roche des embruns, des paroles votives, des betes tracées, nbous sommes homme-femmme des cavernes, bnous montons , nous sommes montés, nous montons, nous nous hissons, nous sqommes tout en haut de la grotte enfouie souterraine, bnous sommes en haut à l’intérieur ! nous sommes en lévitation ! nos corps sont hissés en hgabits de betes ! nous sommes sous le charme d’une bete de poids en nous, qui nous chevauche ou bien qui nous pousse à faire ou bien qui nous venge ! je  cherche la voix commode ! je regarde les alentours et que vois-je ? des données de base, rudiments, je touche latimbale, mon corps est nommé, enfin nommé, je suis devenu le dernier, je deviens la roche, je sombre, mon nom eswt mon nom, mon nom eswt mon nom, mon nom est mon nom, mon nom est mùo,n nom, mon nom est enfin mon nom : loopings de roche farfelus, choses de peu en un sein pierreux, choses rudes xde par la texture, déboulonnem,nts ! changements ! montures ! je me hisse haut en lévitation et me voilà qui entre en roche comme en religion : fissure, excavation, pénétration, et au loin les lumières vives des fond de parois 

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1/09/2021

main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main main , nous nous retrouvons tous deux (deux + deux) au sein de la roche : nous sommes deux au sein de cette roche des abois, nous sommes enlacés et nous regardons autour de nous aller et venir les betes des champs, nous sommes tous deux enlacés et nous nous tenons prets à filer, au loin, vers la lumière des embruns, au fonds des fonds, vers cet horizon des prairies et des sous bois, nous sommes deux qui regardons aller et venir ces betes de rage : aurochs des plénitudes, rennes aux aguets, bisons futés, salamandre, nous aimons les betes (ces betes) qui nous entourent ici, au sein de la roche du temps, nous nous tenons prêts (enlacés) à quitter ce lieu d’arriveé, ce lieu de paroi dure, pour filer vers cet  horizon déployé, ce fond de roche aux embruns, attraits, fumée sourdes, etc, nous nous avançons dans la roche des temps impartis, nous sommes ensemblme cet ensemble fol ou fou qui file devant (au devant) vers l(horizon nacré des limbes, le fin fond des temps déployés, cette chose au fond des ravines (etc) qui est la chose dure (rude) des temps de colère, des temps fols de belle revanche etc, nous sommes soumis à cette chose de la vie placide ici-bas, cette chose rude au détour, ce tampon, ce mur d’enceinte, cette donne, ce paillage etc, nouss nous avançons de la sorte = main dans la main, nous sommes deux pour cette cause bonne, nous aimons aller et venir parmi les betes alentour qui ne cessent de nous regarder , elles se tiennent quiètes, elles broutent (pour la plupart) et nous regardent d’un air de deux airs, elles sont nos amies très chères ici, en cette roche des parois des temps, elles sont ces betes de rage et des tourments qui sont ceux de leur espèce, nous allons fissa dans la lande (projetés) et nous nous avançons )à pas mesurés vers cet horizon dit «de la colère et des ires du temps», nous filons droit, nous ne cherchons pas à biaiser, nous allons fissa à travers la lande, nous sommes deux agneaux des temps des épreuves et du sang retourné en ses vaisseaux : nous filons ! nous sommes deux (main dans la main) qui filons fissa (dru) vers cette Chose ici (les lointains) qui nous regarde et semble nous interpeller, quoi est-ce ? qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? qui est là derrière qui nous interpezlle ( nous épie ?) ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas qui de quoi est là qui semblerait nous «mater» de folie alors même que nous sommes ceux qui vont tranquillement leur chemin sans rien demander sinon cette (donc) tranquillité de base nécessaire à notre bien-être ! alors que dire et que penser ? nous sommes sur lma lande, nous marchons sezrré l’un l’autrte, nous ne nous lâchons pas d’un iota, nous ne voulons pas nous perdre l’un l’autre, nous voulons aller loin en cette lande aux vérités nacrées ou comment ? car nous sommes deux qui nous avançons dans le but (avoué) de nous informer complètement sur ce que c’est que cette chose (Chose) des embruns de bord de mer ! nous voulons savoir ! nous voulons mordicus savoir le pot aux roses, ce que c’est que cette affaire d’horizon  nacré (perlé ?) qui semble nous tendre «des bras», ou «ses bras» comme de juste : de quoi s’agit-il ? qui est derrière ? qui parle et nous fait paerler ? qui parle ici qui ne cesse d’aller et venir dans la lande en nous ou comment ? on voit bien qu’une chose pense, voire raisonne, parle haut, dit mille et unes choses les unes après les autres, va à se déposer sur table aux dons, etcx, on voit cezla, et pour autant on ne peut se soustraire des apparences, des choses données comme par devers elles, etc, nous sommes pris comme dans une tourmente qyui pousse chacun et chacune à parler (selon son point de vue) à tout un chacun de la lande : aurochs prioritairement, avec bisons, rennes, chevaux, ours, etc, nous disons que nous parlons comme une langue de survol, cette langue sortie de nos ventres par le trou de notre bouche (ou jhoue trouée) et voilà ce que cela est à nos yeux : un flux de gare, une touche pique, un fil à la patte, une sorte d’emprise etc, nous voulons comprendre très loin le plus possible les données qui sont ou seraient celles qui président ou présideraient à la Chose, cette Chose lointaine (là) qui est cet espace de logement pour deux corps enlacés mouvants, je suis l’homme au  coeur offrert sur table, comme bete de pasdage, comme celui -là qui cherche à comprendre à travers le don, je suis cet homme doux des temps avoués, je cherche Vérité de bonne chère ou comment ? victuailles à déposer sur table ? charité ? je suis homme des embruns, homme des passages dans la roche dure, je cherche à comprendre ce qui est en cette roche des temps déployés, je cherche fissa à me colleter à cette vérité native (votive) sous les bras etc, je suis l’homme des cavernes des sous bois, je suis homme-femme des cavernes cachées (enfouies) au sein des sous bois, je suis cet homm-femme au sein des parois, je file à vitesse grand v, je marche auprès des betes rassemblées qui broutent, g ambadent et nous regardent, nbous allons fissa àtravers la lande , dans la direction des lumières embrumées des fonds de roche, nous voulons comprendre cette vérité des choses lointaines : la mort !!!!!!!!!!!! quoi est-ce ? nous ne savons pas ! nous voulons savoir ! nous cherchons fissa des réponses ! nous voulons comprendre loin ce qui est de cette chose qui nous tend les bras ! nous voulons comprendre ce que c’est ! quoi estce ? quoi la mort est ? nous voulons comprendre et toucher du doigt la vérité des vérités concernant la mort ce qu’elle eswt ! quoi est elle ? qu’est-elle au juste ? deux bras qui se tendent ? deux bras ouverts ? deux bras offerts ? nous cherchons ensemble (à deux) à comprendre ce que cela (ici : roche) pourrait être au juste en la matière , nous ne savons pas ! nous voulons savoir ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ car nous sommes en vie, nous sommes deux vies qui chevauchent les plaines rocheuses, qui chevauchons les plaines de la roche (en intra !) et qui allons ainsi, bon an mal an, à la recherche (sidérale) d’une vérité de poids à) pouvoir déposer à plat dans lma bnalance des choses données déposées, nous voulons savoir le «fin mot» = le mot de la fin, de la fin des temps, ou sinon ? car quoi ? nous sommes deux ! mille vies en deux ou comment ? nous avons (portons) en nous cette vie de roche dure, cette vie d’homme des cavernes,; cette vie de rage pariétale , etc, nous cherchons ensemble une compréhension finale = le mot de la fin = la vérité en toutes choses = le pot aux roses = ce qui se doit d’etre dit enfin ! car la vie file sa course pa riétale à travezrs le temps et nous sommes deux qui voulons fissa comprendre +++++++ les raisons qui incombent à, ou comment ? qui sont celles qui président à , ou comment sinon ? nous vou:lons aller loin en cette roche des parois de grotte car ici «git» la vérité des vérités, nous le subodorons, nous voul;ons comp^rendre +++++++ les données qui seraient premières = primaires = natives = vraies, si tant est ! car qui sait ? nous ne sommes pas ensemble pour rien, n ous sommes ensemble pour tout ! nous sommes cet ensemble de vie s enlacées qui se permet ainsi en roche une perforation spiralée qui permet l’entrée dans la matière fine des parois de roche embrumée ! nous voulons ! et ce que nous voul;ons est devant nous = ce devant de rage folle = cette insulte déployée comme (sur) une banderole : pissez donc vottre vérité monsieur du Tonneau pour ainsi dire ! dites-nous ce qu’il en est de la chose dite «Mort», car qui sait quoi de cette chose ? nous sommes qui disons et ce faisant nous éloign on,s la mort à bon escient ? nous parlons pour conjurer le sort ? nous parlons par devers nous (=foi) et ce faisant nous a ffrontons la mort à bonne distan,ce ? nous parlons pour combler le trou qui est ce trou de roche dure de la mort à l ‘oeuvre ? qui sait ce qu’il en est ? les mots ont pour finalité de tenir la mort à bonne distance un tempsq ? non ? ou peut-être oui ? ou comment ? les mots ont une fonction par rapport à la mort ? pas sûr de ça à 100 pour 100, mais cherchons ! njous sommes ainsi nous deux à l’intérieur de cette roche à la recherche d’une vérité de poids qui put nous donner de quoi nous retourn er sur notre chgemin et rester en vie mais oublie ! vas-y ! cherche ! essaie donc de compren,dre un chouia de tout ça ! c’r’st balèze ! c’est comme on veut pas ! c’est dingho pour le dire ainsi ! c’est coton cardé ! vas-y ! cça craint du boudin , etc, et voilà pourquoi nous sommes ici sur cette piste (nous deux) qui chertchons à comprendre le fin mot (le mot fin et le mot de la fin) de cette affaire de mots inculqués et parmi ces mots celui de «mort» qui semble correspondre à un quelque chose de réel, passage obligé etc, et cependant nous sommes tous deux comme dubitatifs un tant soit peu car cette chose dite est une chose de la roche dure, de l’homme néanderthalie,n ou aurignacien ou p;us proche de nous et jusqu’à nous, et de ce faiyt nous laisse (cette chose) quelque peu pantois devant elle ! car enfin si la mort existe, si elle est, si lmza mort (contenue dans le langage articulé) est une vérité de type entité à part entière a lors pour quoi s’inqyuiéter ? car nous sommes deux (ici : roche) pour l’affronter ! nous nous teno,ns par la main , nous sommes serrés l’un dans l’autre, nous sommes liés par ce lien d’une sorte de pénétration l’un l’autre de nos moi secrets ou comment sinon ? nous sommes e,nlacés à bon escient, nbous nous collons serré comme des limaces, nous sommes soudés comme deux collés de la roche ! nous voulons comprendre loin =beaucoup = plzein = tout , et pour cela nous nous colloons l’un l’autre afin de former cette pique-perce de première, enfin capable de trouer les choses frontales, de la vérité et de la Chose comme quoi nous serions mortels, ou comment dire ici cette chose d’une volonté de perça ge des embruns ? nous vopulons comprendre au plus profond ce qui se trame ! nous voulons au plus profond comprendre ici les choses qui sont et qui nous regardent , nous voulons ensemble (deux !!!!!!!!!!!) comprendre , mille dieux dit-on ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! l’aton bien compris ? car nous sommes deux et dès lors (à deux) nous pouvons cerner un tant soit peu les enjeux qui sont ceux d’une roche dure ouverte sur quoi en définitive sinon sur ce qui est qui nous regarde là, au plus lointain de pareille roche de paroi du monde : aurochs ? ou quel autre bete des apprêts ? nous cherc hons ensemble )à comprendre les données xdu monde à la lumière dela roche transversale, nous voulons comprendre les données du monde du devant, ces mots qui sont ceux d’une sortie de bouche pâr la bande sont aussi devant, qui filent, nous disons = assénons des faussetés accumulées, strates de paroles vaines ? nous disons et ce faisant nous éloignons la vérité ou disons la tenons lointaine, car les mots comblent  Trou de bouche, mzais quoi d’autre à part ? nous voulons savoir ce quyi est, nous voulons comprendre ce qui est, nous voulons cerner ce qui nous attend, nous voulons cerner et piger profond ce qui nous attend, nous voulons comprendre +++++++ ce qui est de ce qui nous attend qui nous tend les bras ! car quelque chose en paroi (aurignacien !) nous tend des bras, qu’on swe le dise ici bas, ou pas ? car quelque chose icvi bas semble nous tendre deux bras ! semblkerait nous tendre deux bras ! semblerait nous offrir ses bras ou ouvrir ! et quoi ? la mort a des bras ? deux ? la mort a deux bras ? la mort aurait deux bra s qu’elle ouvre devant soi permanemment ? la mort ouvre ses bras devant moi ? lza mort a deux bras ouverts devant moi, ou devant soi, ou a u devant de soi, ou au devant de nous, ou devant nous , est ce cela qui est ou serait ? la mort = cette chose rude des lointains, cette lumière acidulée, ce cri de la roche (guttural et minéeral), ce cri sort i des tréfonds de la roche ornementée, la moprt sort (sourd) de roche, elle est contenue da ns la roche des temps déployés (magdaléniens, aurignaciens, etc) et c’est ainsi que nous co:mprenons dès lorsq ce que c’est que cette cgose, cette Chose rude des percées de roche rude, etc, nous voulons comprendre  les données de base présidant les choses du monde : la mort est une porte, la mort est une vérité, la mort est une ouverture, la mort est une échancrure dans un vêtement de fortune, la mort est embruns (embrumée ?), la mort est une paire de bras ouvertsq , la mort a deux bras ouverts, la mort a des bras,une bouche, un habit de bure ! la mort est un nom (=un mot);, la mort porte majuscule = la Mort, la mort a sa majuscule qui la suit partout, la mort est là bas, loa mort est là, et pas là , c’est à dire que la mort est là (bas) et pas là (haut ) etc, je cherche = nous chercghons ! je suis nous qui est jhe qui est nous qui est je qui est nous qui est je , etc ! homme femme acharnés dans leurs recherc hes actives, à travvers l’immixtion de roche et l’inscription dans la paroi de leur mobiles (accvouplés) respectifs : corps nus dépployés dans le temps de la roche dure, nous voul:ons comprendre le plus que nous pouvons et pour ce faire nous gardons la tete froide, nous ne voulons pas nous emballer, nous voulons comp^rtendre ensembvle ce plus de la roche rude, nous nre voulons pas nous défiler mais bien au contrzaire nous colleter aux effluves et autrtes attraits de la vérité vraie = cette chose en soi déposée au xdevant de nous, = cette chose rude comme la mort et qui est la mort ! cette chose dite ! car la mort est dite avant toute chose , ou pas ? la mort erst cette chose déposée sur roche, voil;à ce que c’est ! un dépôôt sur paroi qyui confine à quoi on ne sait pas ! on cherche ! on veut savoir ! on cherche à comprendre ! la mort est une chose déposée sur roche (plan cadastral ?) et voilà pour quoi nhous entrons en roche (à deux) comme des morts de faim ! car nous sommes curieux de savoir +++, nous n,e voulons pas passer à côté de la vérité ! nous voulons comp^rtendre au plus lointain des profondeurs les données les plus primaires de la vie et de la mort, nous disons des mots mais ces mots nous troublent grandement, nous n’avons pas une confiance absolue dans le sens des mots, nbous ne pensons pas que les mots soient fiables à cent pour cent, nous pensons tout au contraire que les mots ne sont pas fiables à cent pour cent, nous pensons que les mots de rage d’une langue bne sont pas fiables à cent pour cent, et kles autres mots de cette même langue guère davantage ! nous pensons que cette cxhose ici est une chose à comprtendre permanemment, comme qyuoi nous disons (avec convictiobn) notrte profonde interrogation quant aux convictions qui seraient ceklles contenues au sein d’une langue de paroi du monde, etc, nous ne voul:ons pas penser autrement ! nous voulons camper sur nos positions ! nous disons avec conviction (!!!!!) notre manque de convictiopn !!!!!! or cela se peut il en vérité ? les mots employés sont des mots ina ttaquables ! car les mots caracolent de conserve en nbous qui les accueillons commùe des bienfaits lunaires or quoi  penser au juste concezrnant l’efficacité du langage ou d’une langue articulé dans l’»édification (ou non) d’une construction sensée et sur laquelle pouvoir tabler ad vitam aeternam! nous pensons que les mots ne sont pas fiables et disant ce

la nous nous contredisons, or la contradiction a nnule le raisonnement, donc : ou raisonnement ou pas raisonnement , et si raisonnement alors du balai les contradictions dans l’oeuf ! car nous savons que cela est ainsi que nous avons pour nous en nous une foi ancrée qu’on le veuyille ou non , et cela tant qu’en nous les mots caracolent au sein de phrases échafaudées par notre gouverne ! nous savons cela comme quoi les mots caracolent de conserve en nous qui kles faisons sourdre fissa par cette bouche ou trou en nous qui nous permet de sortir pique et de percer paroi à la manière magdalienne ou aurignacienne ou toute magdalénienne ou toute aurignacienne qui est ou était celle de cet homme des cavernes contenu en nous, car nous szommes encore et toujours des hommes des ca vernes ! en moi j’ai! j’ai en moi cet homme des cav ernes intégré ou inséré comme une branche d’un moi à moi profond, ou comme branche xd’une sorte de lignée sanguine etc ! je suis homme (l’homme) des ca vernes en moi ! je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes qui dessine à main levée et sous incatation , lévitation, emprise, etc, des betes royales, je suis homme des cavernes ! je suis un homme des cavernes ! je suis l’homme des caver nes ! je suis l’homme-femme des cavernes, je suis femme des ca vernezs, je suis la femme des cavernes, je suiis femme des cavernes, je suis une femme des cavernes, je suis femme (la femme) des  cavernes homme, je suis femme homme des cavernes, je suis hommùe femme des  cavernes, je suis femme hommùe des cavernes du sud de la fra,nce, je suis hommùe femme femme hommùe des cavernes (profondes) du sud de la france ou d’ailleurs dans un autrte monde , je suis hommùe et femme des cavernes, je suis en moi qui porte : l’hommùe et la femmùe, je suis (une langue) porteuse d’un homme et d’une femme accouplés, je suis langue porteuse de cet homme aurignacien et de cette femme aurignacienne, je suis une la,ngue à travers la roche, la roche est le temps de ce déploiement séculaire (aurignacvien, maghdalénien, etc) de l’homme et de la femme accouplés ensemble, cet ensembkle conjonctif de roche et de base, je sui hi, qui dit ha! je cherche je en soi, comme la v érité en roche des temps : je cherche ! je suis hi, l’homme ho, qui dit ha à qui veut l’entendre ! je cherche en moi la vérité des choses des parois : l’aurochs est il l’animal des rois ? la belette et le chacal, l’a louette et le bélier sont ils betes de chgoix ? je veux comprendre les données de base liées à ce langage pariétal de rocghe des temps : qui est qui et qui fait quoi en définitive ? peut on pazrler à toute enjambée ? qui cherche avec moi ? les mots sont sensés pouvoir dire le xwsavoir ! etc ! je cherche à comp^rendre  ce qui est dans ce que je vois, je vois l’animal gravé et je com^prends que celui ci (ce dernier) est l’effigie votive d’une entité diuyrne, je vois le cheval et e,n ce cheval je vois des données de base radicales, je vois cet ours des cavernes et en cet ours je vois l’allure générale de la vérité , je suis l’homme doux des temps rocheux impartis, je cherche à comprendre ce qui est dans ce que je vois, je cherche à savoir le plus, et pour cela je regarde dsroit devant, je vois les choses rudes des parois du temps, je cxomprends ce domaine de cette parole d»éposée sur roche, je comprends la chose crument en tant que telle, je suis hommùe des tributs, des dettes, des amendes, des paroles lachées à l’ermporte-pièce ! je suis hommùe femme de la base ou branche radicale des gens tourmentées par la chose rude des temps, bnous allons ensemble dans le sens du vent et crions ensemble nos tourments de bure rase ! je = nous = je = nous xà l’intérieur du mlan,gage, cxar qui dit je dit nous, dit le je de l’autre et de l’autre et de l’autre etc qui ensemble formen,t ou formeront (d§ès lors) ce nous basique et premier (princier) de la la ngue royale ou dite royale ! je dis nous pour dire bnous (en majesté) etc, et cela est, cela est ainsi a u coeur de la langue genrée pour la cause commune et le bien (?) commun il semblerait, ou du moins voilà ce qui, à nos yeux, nous parait etre ou exisqter en roche, sur la roche des parois du monde, nous pensons cela ainsi comme quoi kles mots sont contenus dans une roche rude, roche des tourments d’une vie humaine terrestre, tous les mopts de toutes les langues sont égaux en cette chose d’une sorte de rassemblement sidéral minéral à même la paroi du monde ornementée en tant qu’ils sont ou sezraient (ces mots) des outils de transition, des modèles du genre, des outils de rage déposé par soi sur la lande = la pierre tombale = la pierre aux offran des, chaque mot contenu dans une langue renvoie à ce don de soi intran,sigeant, il s’agit de comprendre cette chose comme quoi le mot déposé sur roche = la vie conservée, il s’agit de comprendre ici cette chose comme quoi tel mot d’un langage précis en particulier = celui qui permet une approche distancée (temporelle) de la mort en elle même (= en son sein), nous devons compren dre cette chose ici comme quoi le mot dit = le mal xdit = la mort dite = la vie conswervée un temps qui est celui de la diction, nous disons que nou!s savons, nbous ne disons que ça , nous diso,ns permanemment que nous savons, bnous sommes bien incapables de dire que nous ne savons pas, nbous disons en, permanence que nous savons = nous assénons en permanence des xdires divers qui disent le pouvoir du dire sur autrui, sa raison qui a raison, etc, nous tous nous disons que nous savons, bnous disons que nous savons ce que nou!s disons et ce permanemment comme s’il en était, de ça, une condition qui soit telle que nous le devons dire de la sorte à l’autree et asséner ! nous disons et disant nous assénons permanemmeznt nos dires de raison , et cela nous ezncombre «follement» = fortement car nous savons que  ce que nous disons est une sorte d’appui sur autrui qui nous semble mal venu de base ! nous ne voulons pas assénezr quoi que ce soit or nous assénons dès que bouche ouverte pour parler, c’est ainsi ! nous disons nos raison,s qui ont raison <quoi qu’il en soit à nos yeux et à notre mcompéhensio nature»lle ! mer... credi ! que nous sommes ! car nous sommes mercredi ! nous sommes soumis ! nbous sommes pris en étau en cette nasse pâriétale des parois de rocxhe ! nous sommes pris ! nous ne pouvons pas nous défaire de cette chose d’un parler de poids qui impose son entendement raisonné et raisonnable ! il y a quelque cbhose qui nbe convient pas à notre entendement ! bnous ne voulons pas mourir, voilà kle dire ! n,otree but ici (raisonnant comme nous le faisons) est avant tout de conserver la vie sur terre et audelà : permanemmùent, or comment ?. nous voul;onbs conserver kla vie sur terre , nous n,e voulons pas mourir c’est entendu ! notre but ultime est de nbe pas mourir, de repousser lkes éché&ances dirait-on, mais comment cezla ? en gravant sur roche nos noms d’emprunt ? en gravant sur roche des noms adoptés ? en gravant sur roche ces noms qui (en vérité) ne riment à rien ? en grava nt (aurochs, bisons) nos propres patronymes qui en vérrité sont des étiquettes au même titre que tant d’auttes étisquettes, fil à la patte, noms surnumérairews, rajouts de parade, raillerie ! quoi d’autre ? nouys pissons de rire ! nouys n,e vou:lons pas passer pour ceux et celles qui en savent ;long or nous parlons (à notre façon mais tout de même) et ce faisant nous imposons nos dires (de rage ou autre, peu importe) à autrui qui n’en perd pas une et colporte, ainsi de suite ! nous sommes dès lors plusieurs en nbous qui pissons de rire , ouh la , et comment ! car les mots en nous caracolent (chevaux sur paroi) qui disenbt leurs raisons de base raisonneuses et s’imposent ainsi comme autant de dires-dictatures, ou comment ? car qui dicte dxit son dire-diktat, ou comment ? bnous disons (nous sommes contraints) nos dires-diktrats, comment autrement ? et dès lors nous sommes à l’étroit à l’intérieur de ce champ des dires donnés, bnous sommes deux qui disons en bnous la bonne parole de l’évangile selon saint machin ou saint truc de la roche des temps de l’nhomme des cavernes, je suis cet homme qui dit sa chose rude sur roche, et ce faisant assène ! crie ! chante! crie (fortement) ! découvre ! supplie ! prie ! plie ! etc, nous savons cela, nous ne sommes pass si niais, nous voulons savoir ce qui est mais nantis de nos savoirs co:mplets de type langagiers et dès lors que faire ? notre but §(affiché, avoué) est de percer kle mystère de la pyramide ! notre but ultime (avoué et affiché) est de percer fissa le mur du son ! notre but ultime et final ou comment, est de percer trouer la roche du temps par la bande, et de nous infiltrer comme des taupes espionnant la roche , nous voulons ! nous ne voulons pas (en revanche) mourir ! non non non ! nous voulons cvomme espionner la roche des prés, ce que pareille roche des anciens contient en elle en termes de vérités vraies, cela n ous kle voulons mais en reva nche , de mourir, nous n’y tebnons pas, mourir n’est pas notre objectif prioritaire (de vie) et cependant, la mort un hjour, etc, sera a u rendez vous dominical (?) de nos vies rewspectives, il est ainsi que les choses sont et seront, nouys savons cela := kla mort est une porte ouverte sur demain = sur deux mains ! nous swavons  cela follement ! la fo:lie nous gagne fortement, et nous savons cela ! nous voulons comprendsre  ce que c’est que cette mort de rage dure , ce que c’est que cette mort de rage, cette mort en soi de rage mobile, ce que c’est : c’est quoi ? nous ne  savons pas ! nous cherchons à comprendre kes données présidant la question (centrale) de la mort de soi dans la roche (le rocher) du temps, nous voulons comprendre ++ les donn,ées ditezs radicales, princières, primaires, royakles, naissantes, princesses ou comment ? car la vie en nbous est accompagnée par un vezrbe dru, qyui pisse wson élan de vie sanguine effectivement mais pas seulement : la vie est prise en étau entre deux parois de roche (murs d’enceinte) et vas-y t’en sortir tout xseul ! vas ! la vie est gageure articulée comme une langue inculquée etc, nbous voulobns cerner au plus prêt ce qui est ici (roche) en termes de vérités acquises, bnotre parole, nhos mots, sont pris ,; et prise en étau, notre parole (de bouche ouverte, per cée) est prise en,tre deux fers, entre deuxx parois qui l’étouffent, la paroi du sens et la paroi du son, ni pl;us ni :moins : la betise grande d’un côté (incommensura bment humaine et incontournable) et de l’autre côté kles tourments du son des voix de faussets ou autres voix gzamines mal léchées ou mal placées, ou mal abouties ou mal posées, ou mal déposées, ou pas encore ici suffisammen,t déposée à bon escient, ou à) bon ordre ou comment ? sens bafoué et voix bafouée ! aïe ! car ça, ça pèse fort! ça compte pour b eaucoup, ça compte pour beaucoup dans la balance desq :mots déposés sur la roche , nbous savons (assénons) cela : nos mots sont mots massue (tous) et dès lors nous sommes tenus, contenus, nous gravitons ! les mots sont tous des mots massue , tous !  nous disons pour nous que les mots (tous) sont des qui sont massue, ou comment le dire avec des mots justes ? mot = massue de l’homme des cavernes = piquet = bout de bois ! c’(est une cbhose qui semble a vérée , nous y croyons fort, nous savon,s cela , comme quyoi le mot = la mort d’une chose dite, nbous disons que les mots sont massues déposées sur table et offertes au dieu de la roche dure = à la mort, ni plus ni moinsq, c’est ainsi que la chose swe trame : un :mot (massue) déposé sur table et donc vu pa r qui de droit qui en pren,d note et le tient pour co:mpte, nous disons que nous co:mprenons cette chose ici, comme quoi le mot déposé (quel qu’il soit) = un mot massue , qui en impose grave et pèse son bon poids dans la balance, nous dxisons que nous co:mprenons cette chose, nous disons que nous sommes toute compréhension pour cette cghose, cela est  certain, nous disons que nous comprenons cette cbgose là comme quoi le mot assène, impacte mais assène,,, se pose en mot de roche dur qui sait, le mot déposé est mot de savoir = qui impose son imposition, etc, son sens assuré , etc, nous voulons comprendre pourqyoi ! nous voulons comprendre pourquoi ! nous voulons comprendre  c e quil en est au juste ! nous voulons comprendre au juste ce que c’est que cette chose d’un savoir de base inclus au sein d’un langage quel qu’il soit mais articulé, etc, nous voulons comp^rendre les données de base radicakles, les étais, les soubassements à cette raison que les mots contienneznt,car les mots contiennent des raisons et la raison qui a raiswon, etc, et  cela passablement nous gene ++ aux entournures pour le dire ainsi, nbous ne voulons pas asséner quoique ce soit, notre but ici est de graver la bete rocheuse, point finhal, pour faire accroire très certainement mais pas seuleme,nt, nottre but est de faire accroire à un dépot de vie dans les règles mais pas seuylement : notre but est de graver le nom de ta race blanc bec ! voilà ce qui est ! nous voulons graver nos noms sur paroi du monde temporel ! nous voulonbs graver nos noms sur la pierre tombale du temps affiché, ni plus ni =moins, dire cette chose, nommer cet endroit (lieu dit, pour le coup) où nous sommes placés dans le monde (entérrés un tempsq, etc) , nous vou:lons nommer ce lieu de laroche comme étant le lieu de notre corps mort, ou comment ? nous voul:ons savoir ce qui est de cette chose appezlée la mort et voilà ce qui est en définitive : nous traçons nos noms sur la pierre du temps dép^loyé en éventail, nos noms sont notés et datés, etc, je veux croire en cette chose d’une mort acqUIse et sûre ! je le veux pour moi ! je veux croire en cette chose d’une mort de rage en paroi mùeuble du temps des c a vernes ! les mots caracolent sur paroi comme xdes chevaux de type caucasiens magdaléniens, je cherche la voie du sang dans la roche dure, je cherche le sang dans la voix, je cherche à comp)rendre les données, recvulées, des mondes pâriétaux de la roche du temps, je veux comprtendre «lourd» la pêine, les tourments renouvelés, la souffrance primaires, les douleurs écheloné&esq, le mal princier ! voilà la tache qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien ! je suis et nous sommes hommùes et femmes des  cavernes débridés, nouys chezrtrchons à signifier la vérité des vérités à même la roche des temps, nous voulons savoir ce qui est en  cette parole écervelée de la roche dure des temps : son élan, son pouvoir, sa structure première, son vouloir, son sang , car la chose est telle que la roche dit  c e que son etre de sa ng (royazl) contient en tant que vocables  gravés, n ous savons cela comme quoi le prince des temps est entier contenu en elle, dans la roche dure des parois de grotte ou des grottes du monde, nous voul:ons savoir les choses  ce qu’elles sont du monde, nous voulons comprendre dans la profondeur de la langue pariétale (rocheuse) ce qui est au juste contenu en termes de «mal», de mal donne, de douleur, d’échancrure, d’ouverture sur le blanc du mo nde passé, etc, nous sommes deux qui cherchons ensemble à comp^rendre qui de quoi et pourquoi ce monde aux paroles assénées ! qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène tant de vérités écervelés échelonnées etc, qui ? nous sommes deux (nous) qui voulons comprendre les données de base radicales ce qu’elles sont, contiennent, réservent, et offrent comme perspectives ! nous sommes deux qui voulons comprendre  cette chose cd’un e sorte de donnée cde base au sein du langage (articulé) qui est(donnée) cette chose d’une sorte de pouvoir du verbe à assé ner son dire piquant, perçant,, etc, nous nous disons cette chose comme quoi notre sentiment est le suivant : comme quoi il nouys semble que le langage articvulé (celui d’une langue bâtie) est un instrument xde pouvoir, ou du pouvoir , car : car voil:à ce qui est : ce qui est est cette chose comme quoi, comme quoi la mort ! ah la mort ! comme quoi la mort est l’instrument caché au sein du langage-pouvoir ! je m’esxplique : les motsq assènent volontaikrement ««« leur pouvoir élocutif, et ce pouvoir contient la mort (tenue dès lors à distance), ou en x’autres termes (dit autrement) la mort est dans le langage l’élément-clé xde laraison, les mots glissennt xsur la vérité (jamais réellement ne l’atteignent) et pour cause : ils contiennent en leur sein la =mort, la mort de l’etre pour ainsi dire, qu’ils tiennent piégée ! les motsq sojnt un piège où la mort vient s’attrapper comme dans un filet une ablette ! les mots sont les filets de piègement ! la mort les mots : la mort le mot, le mot la mort : la mot le mort, etc, il y a au sein d’une lan gue parlée, une sorte de contenant (un fil:et de p^êche) où la mort vient se déposer, malencontreusemeznt pour ainszi dire : le mot est le piège de la mort , voilà ! le mot est ce piège où la mort vient à se loger ! le mot est un piège pour la mort! la mort est piégée car elle est saisie dans un sens outran,cier <qui la fige pour l’éternité comme une effigie de bête sur roche : cheval, renhe, bison, etc, les mots sont des instyantanés qui figent la mort dans ses fil:ets, nous dès lors essayons de comprendre ce tout d’une langue vive (virevoltante) contenant en son sein la mort en tant que donnée de vie radicale (finale, terminale, cloturante, etc) , nous ne voulons pâs mourir et c’erst ainsi toute la langue en nous (compacte) qui dit cette chose lorsque nous parlons : si je parle alors ma parole dit la foi en la pârol:e qui dit son désir de rester en vie et de ne pas mourir, voilà le fait tel quil nous apparait à n ous (yeuxc) à l’intérieur de la roche,  nous voulons comprendre gra ndement les données de base, nous voulons grandement comprendre les données de base rupestres, nous sommes deux qui voulonbs volontairement granxdement comprendxre les données de base rupêstres : ce qu»’elles sont au juste, ce qu’elles peuvent nouys offrir en termes de réponses à des questions ou interrogations que nous nous posons, nous voulons savoir ce qui est du :monde, ce que la vie est, et la mort par consé&quent, etc, notre but est de creuser l:a roche du temps, les yeux ouvertts, passer à travers la rocghe, passer de l’autre côté à travers la roche du monde pariétal, ce monde de la roche dure des te:mps alloués, noys pouvons passer car nous sommes munis ( armés) d’un pic de destinée qui nous aurorise ou permet ce passage radial à travezrsq la roche, pic de verbe fou, dfonnée radicale, époumonnement, tendre traversée, évitement et lévitation, etc, la tra,nse aidant (incantations votives) permettant le paqssage en toute dou ceur de la rocghe du temps animal, je suis cette bezte des parois de roche, jhe vais en roche en cette bete des mondes cachés etc, je traverse habillé en bêtye, etc, est ce cela ?je suis l’homme à l’habit de bure, homme des données dures, radicales, fermes, soudaines, brutes, fermées, jhe deviens cette bête des parois des grottes du mùonde, je passe, je suis pâssé, nous passons, nous sommes passés, nbous voulons traverser longtemps cette roche meuble et aller au loin à la recher che des données les plus reculées, nous devons comp rtendrdre à travers la rochje ce qyui est et qui relève de la venaison (ou pas) et ce qui est et qui relève de la frondaison (ou pas), et pour cela : un mot : fissa ! ca r ici l’allure (le train) prime ! la vitesse pour ainsi dire a son mot à dire ! la vitesse conditionne grandement, considéravblement l’é»locution et les données , la vitesse est vcomme point dx’achoppemeznt  central à la base des données de roche, des dons saturés etc, nous disons que nous devons aller et cet allant se doit d’ettre en tous points (moments) soutenus p)ar la bande traçante , etc, nous penso,ns que nous devons donner à notre élan de vie (= allant) le train que la vie impose à la vie (ou à la mort ?) et qui va bon train pour ainsi dire, et ce faisa nt recueillir les perles de p;luie qui s’en viennent à s’échouer dans l’escarcelle , ou commeznt dire ? ce quyi est est, ce qui n’est pas n’est pas, je conditionne, le temps pousse à la faute, conditionne, etc, les buts (nôtresw) sont ainsi que nous voulons et rezcherc hons à (toujours plus) faire en sorte (via le train adopté dans nos déplacements) que donc adviennent sur roche des données de base, bousculées, forcées, etc, des donnéesq foulées, des données ragheusement forcées à montreer le bout de leur nez or pâs sûr que la chose soit de la sorte en vérité : peut-on secouer le cocotier en vérité ? peut on presser le train de l’allure vitale et creuser le verbe : le faire saillir ? peut on pressurer le tout verbal et lui faire sinon rendre gr^$ace du moins faire éclore des perles ou quoi d’autre qui pussent nous donner de quoi ra sssasier notre soif ou nottre faim de savoirs de base (vérités des verités) ? bnous voulonbs comprendre un tout à la lumière de la mort donnée comme étant, nous voul:ons comprendre un tout votif à l’aune (drue) d’une lumière permanente des lointains, etc, cela est ainsdi, nous ne voulons pas (jamais !!!!!!!!!!!!!!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!) faiblir, nous persistons pezrpétuellement dans nos démarches, nous devons pezrpétuellement persisqter dans nos démarches,, nous vouy;lons perpétuellemùent persister dans nos dém rches, nous voulons persister de but en blanc, et graver sur roche auroichs et rennes des prés pour la bonne cause liée à kla mort à refoul:er, etc, la mort est (très) liée au verbe (on le sait ?) et dès lors quye faire ? que rewste til à faire dès lors sinon cette chose d’un trait sur roche : chevakl ! njous voulons comprendre les lointains rageurs, nous sommes à l’intérieur d’un monde de rocghe brutal, lke monde est dur, le monde est pierreux, le monde est la dureté rocheuse même, nous gravitons (bon an mal an) au sein d’un monde dur comme pierre dure, nous voulons comprendxre les données de base, la roche devant soi est dure à percer, le temps est le temps donné par la b ande rocheuse des abris pour soi; pour autrui, au sein de la roche, nbous cherchons à com^prendre (déplacer) les données du monde terrestre (la réalité des apprets) et pour cela nous nous immisçons tête première au sein de la roche, à deux, à la une à la deux, etc, nous nous immisçons en  c ette rocghe des temps donnéés pâr la ba,nde et v oil;:à  ce qui est ici, en  cette paroi aux betes gravées, ici sont ces betes-mots de rage rude ! ici sont des mots de betes rudes qui sont des mots-betes ou mots-bêtes de rage et de colère à l’(égartd de la mort (en lutte) dans la vie ! nous ne vouylons pas d’(elle ! nous ne vpoulons pas mourir ! sus àla mort ! fous le camp la mort ! fiche-moi kle camp, de grâce ! ne reswte pas là au sein de la roche, sois ailleurs, va loin, fiche moi le  camp fissa, etc, nous ne voulons pas d’elle, bnous la voulons qui fiche le camp, les mots sont un piège où la mort vient se perdxre un temps ! les mmots sont ce filet de pêche piégeant la mort dans ce qu’(elle a de plus accessible à notre entendement , etc ! nous cherchons à comprendre les données de base du monde vivant : pourquoi nous parlons en assé&nant obligatoirezme nt ce que nous disons a ux oreilles de notre auditoire etc, pourquoi nous disons des choses rudes et déposées ainsi rude»ment ? nous ne voulons pas asséner et voil;à que nous assénons ! nous disons des choses qui sont comme paternelles, qyi sont comme paternalistes, patriarcales, = de l’autorité, l’autorité branchiale etc, nous savons cela ! dire = faire autorité mais d’où cezla ? parler = faire son autoritaire ! parler = se donner de l’importance et faire son autoritaire et c ela est ainsi que cela est ! parler = infa ntiliser l’auditoire ! parler = se montrer et faire son intéressant patriarcalement ou commùent ? parler = autorité comme il wse doit ! je =  cette chose d’une sorte de : autorrité mal p;lacée : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui car cela (cette chose rude) est incluse da&ns le contrat ! cela nous semble une évidence ! nouys pârlons et parlant nous assénons des  choses qyui ressortent d’une autorité de base néfaste ! notree but est de chasser la cxhose contenue en nbous, hélas ! notre but est de nous secouer nous mêmes et de creuser à lo’intérieur de nous cela quyi nhous semvble devoir l’etre enn roche, et pour ce faire : le pic ! pic des pics de pert!çage fou ! car le pic en nous a de beaux hjours en perspective , nous devons piquer, creuserr, piquer roche xu temp)s, piquer roche vive nous devons ! nous le devons, nous le cdevons car nous devons travezrswer la roche (buffles, chevaux) et passer du côté des ombres, des lumières douces, feutrées, des embruns, etc, nous nous tenons par la main,nous sommes accouplés, nous sommes comme sertis, bnous sommes un e,nsemble sezrti, nbous sommes deux qui bnous tenons devout en rocxhe prêts à bondir ! biches des prés éblouis ! nous sommes biche-chevreuil doux des roches dures ! si la ro che est dure la biche et le chevreuils sont doux ! nouys sommes des betes de paroiç du monde, notre  but est de co:mprendre l’animal représenté sur roche du tempsq, bnous pênsons animalier, bnous parlons un langahge de b êtes, bnous nous infiltrons dans ;a roche (loin), nous cherchons, nous recher chons, nous chercghons une ouverture à même la roche, nous cherchons le trou, un trou, un pâssage vers un au-delàç radical qui nous laissât (de préfére nce ) aussi inta ct que possible, nous cxherchons passage de roche, traversée des apparre,nces pariétyales, bond danss l’au-delà ! nous voulons aller comme biche des prés par delà la butte àç la rencontre d’une dame ou d’un monsieur qui saurait nous dire ce que la mort est au juste, nous voulons savoir beaucoup longtemp)s, loin à fond etc, ce que est la mort, ce que mort est, ce que la mort elle est, ce que est la mort, ce que Mort est pour soi, etc, nous voulons savoir ce que la mort elle est au juste, cxe qu’elle est en définitive, quoi en elle ? incubateur ? bnous voulons comprezndre kle plus et entrer dans la roche ainsi attifé (ainsi outillé») et creuser ! creuser ! creuser ! creuser ! creuserr la terre ! creuser la question ! creuser la terre ! creuser, creuser la terre et la ou les questions ! je creuse que tu creusezra s ! creusons le trou de notre tombe ! creusons tombereau,; tombe, tombage, tombée et retombée, etc ! nous voulons entrezr dans la matière dure des temps éblouis, bnous voulons entrer dans le dur de la matière dure en lévitation : incantations ! betes de rage ! beauté anim& les etc ! l’art de se faire petit et d’entrer ainsi rabougri (rapetissement) dans la roche ! faisons nous peti = art ! l’art ainsi est cette a pproche de la roche visant à faire en sorte que : nous ne la ramenions pas plus que ça ! cela est cette chose, d’une sortye d’art (l’art) qui consiste dès lors que nous sommes entrés dans kla roche, à se faire petit le plus possible r(ramener sa fraise le moins possible) afin de passer «««, de préswenter bien, de se faire adoubezr, etc, car la vraie vérité est d’ordre pariétale, oui !!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!uuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisons nous petits : art, l’art ! l’art dès lors est la chose ici qui permet cette chose !oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l’art ou l’art de se faire petit et d’entrer plus volontiers dans.... la matière de la roche dure ? la matière des mots déployés ? la matière du temps alloué à une vie d’homme ? etc ! nous tenons le fil, nous sommes sûrs de nous, les mots imposent leur certitudes ! nous cherchons à nos infiltrer dans cette rocxhe des prés, nous nous infiltrons en cettte roche des prés jolis , aux milles betes aux aguets, aux biches élancées, aux cerfs géa ntissimes, aux bisons racés, aux buffkles vigoureux, aux troupeaux de vaches ou de chevaux , nous marchons  m âin dans la ma in, nous voulons saisir ce qyi est et c e qui est au xwein du langage, ce qui est dans cette roche habitée, et ce qui se trame au sein du langage , nous voulons comprendre ensembvle (le coït) ce qui est en roche en termes de finitude, nous avons bon espoir d’un hjour pouvoir comprendre kles données finales, le plus du moins, et dès lors d’en avavncer dans nos connzaissances, bnous sommes mus pour cette cause (en nous) par un troupeau de bêtes fortes, massives, pretes à chevaucher la lande et nous guider vers cet audelà printanier, agraire, prairial, ensoleiullé, qui est celui de la roche du temps imparti à une vie terrexstre, d’homme ou de femme mus, etc, nous cherchons ainsi à aller le plus possible loin en besogne, nous voulons aller loin au sein de la roche dure (printanière) et creuser le sillon de nos destinées reswpectives vers cet au delà monacal (dominical) contenu en roche (seulement ?) et dont le nom (le petit nom ?) est : Mort Grande la Bête du temp)s, ou autrement ? nous cherchons à nous approcher le plus possible de la vérité, nbous sommes deux qui cherchons à nbous approcher lke plus possible de la vérité, bnous sommes deux qui cherchons ensembkle à nous rapprocher le plus pôssible de la vérité des faits pa riétaux, nous sommes homme-femme des cavernes , nbou traçons sur roche des traits caricaturaux , de betesq, de betes de poids, etc, plus ou moins caricaturaux, etc, ce sont les noms que nous portons en tant que tels, je suisq aurochs le chevelu, etc, et mon mon (MON NOM) s’inscrit de la sorte sur roche , par des traits à main levée, tracés comme en état de renoncement ou comment dire ? dans un état d’emprise etc, ou sous emprise etc, renonçant à (en moi) écouter la voix pour(en moi) écouter la voix bestiale de mon guide en traversée, etc, je suis homme-bete de rage agraire, je veux rentrer dans la roche, je suis à même de pouvoir le faire, je suis homme bete, hommùe qui pousse dans la roche et finit par s’y loger comme da ns un nid douillet, enfin protégé,, hje parle au nom de la bete et son nom est dès lors celui qui me revient et que je trace, sur pa roi, au charbon de bois, je m’appelle nologips (par exemple) ou autrement, MON NOM s’inscrit par la bande par devers moi, jhe n’y suis pour rien,; je suis hjomme des parois de roche dure, je suis dans le temps comme (plus ou moins) dans un nid d’oiseau nidicole, je vais da ns la roche du temps, je cherche une issue langagière à xdes questionnements d’orxdre  sanitaires , ou comment sinon ? je cherche une vue d’ensemble, des réponses banales, un viçsage, une silhouette , un animal, voil:à je cherche un animal, une bete des prés, un animal savant, une bete de rage folle qui saura me dire sans contrfaaçons ce qu’elle est au juste et son rôl:e précis dans toute cette a ffaire de vie et de mort de type pa riéto-temporo-facial, ce q’uil en est et ce qu’il en découle , je suis homme des embruns cherchant bete fa uve pour échange de bons procédés et de connaissances primaires, car la b ete sait peut-être ce que la mort est, très certainement, la bête côtoie quyotidiennezment, régulièrezment la mort, en chair et en os pour ainsi dire, et par conséqueznt est très à même de pouvoir nous renseigner et nous guider sur ces queswtions existentielles qui sont de celles qui , souvent, nous taraudent, nous pèsent, viennent à se loger en nous et en notre gouverne : nous voulons lever le voil:e sur la vérité ! nous voulons comprendre les données de base ! nous voulons savoir ce qui eswt ! nous voulons a ller loin dansq les connaissanxces ! nous voulobns trouver notre miel ! nous voulons savoir profond ! nous voulons nous grimer en bête de somme !nous voulons nous la isser envahir par en nous la bete de roche ! nous voulons tracer sur roche un (trait de) chemin de ronde et le parcourir à destination ! nous sommes deux qui a;llons profond en cette roche des embruns et qui donc essa yons de comprendre sur roche les données princières, nous vouylons comp^rendre les donnéesq du monde = cxe qui est donné, ce qui se présente = le don, le présent, les brassées etc,  et ne pas mourir de sitôt ! ca r le mon de est don et aussi présences, bnous cherchons à creuser la tombe des noms en présence (en nous) : lesquezls ? nous sommes hommes et femmes à destinée de roche, nous sommes et des hommes et des femmes dont les destinées sont de type ou rocheuses ou infrarocheuses et voilà pourquoi nous nous immisçonbs (de préférence à deux) au sein de la roche dure des parois de grotte, magdaléniennnes , aurignacieennes, néa ndertaléiennes, etc, nous creusons, et ce faisant nous nous immergeons ou immisçons au sein d’un langage perlé, de roche et de pré, qui contient lkes données princières de la mort à l’oeuvre sur roche, sur paroi, sur pierre, etc, une mort gravée par la bande du temps  sur pierre tombale de granite, sur pierre nue, sur paroi de grotte, etc, je suis l’homme au port de tete déployé, mon cou s’allonge, mes bras s’ouvrent, je nais ! je suis l(homme naissant à une vie d’hommùe terrestre, je nais dans le san,g et les glaires : me voici imberbe, nus comme un ver, souriant de toute son âme quooique révolté et foulé aux pieds, je vais sur roche graver mon nom, mon nom est le nom de la bete en moi qui me co:mplète et me donhe le la musical des sphères pour ma gouverne, etc, mon nom est chié! je suis rouge ! mon coeur bat ! kle mal est fait ! la chance me sourit ! je suis né à la vie tezrrezstyre ! je vois dieu dans l’ombre de la mort ! dieu est cette chose langagière tapie dans la mort ! je foule ! je vais fissa par les grands chemins pariétaux,; hj’essaie de co:mprendre cela qui m’arrive en cette roche ornemezntée par l’homme des cavernes, par la femme des  cavernes, je sors de la femme des cavernes, j’entre en cette roche dure par telle fissure fine due à l’entremise d’un pic de percée rural, jhe vais dans la roche tete prezmière comme un nouveau né, ou comme le bé bé (le nouveau né) que je suis sur roche, je vais en roche comme le nouveau né qui pointe son crane sailla nt, je suis comme le nouveau né de la roche dure, je passe entre les faisceaux, j’entre, je passe, je foule, je fais la traversée humide, hje suis iinséré, je suis mis en orbite, je suis entré, mon nom est MON NOM gravé sur roche ou pîerre tombale, me voilà né à une vie de roche dure, je suis mis sur terre aux qUatre vents d’une rochje meuble, nous sommes entrés dans la roche, nous sommes entrés dans la roche dure, MON NOM sont les mots gravés par la bande pariétale des embruns, je suis né à la vie terrestre», MON NOM est ce nom que je vois sourdre à mes côtés et qu’il m’incombe d’adopter fissa , me voilà nommé ! je suis l’etre au nom déposé sur la bande, je suis homme au nom déposé, treaçant l’ombre de sa visibilité

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31/08/2021

main, main, main, main , main, main, main, main, main, main, main, main, main, main , main, main, main , main, main, main, main, nous sommes deux, nous sommes entrés dans la roche du temps, nous nous sommes insérés dans la roche du temps, nous nous sommes insérés dans la roche du temps menaçant, nous sommes deux et nous nous sommes insérés dans la roche du temps menaçant, nous sommes deux qui nous insérons en cette roche des embruns, nous sommes deux qui nous intégrons à celle-ci, à la roche dure des temps alloués, nous sommes deux qui allons de concert (main dans la main) dans la roche dure des temps, ensemble pour la vie, un ensemble de roche alloué, une somme, une sorte de somme dure, du granit, de la roche du temps intégré, etc, nous avons franchi le pas, nous sommes en cette roche du temps menaçant deux êtres aux désirs de temps, nous nous tenons par la main, nous voulons aller loin en pareille roche, et nous nous tenons par la main à même la paroi du temps, nous sommes une somme de roche dure, nous nous intégrons à icelle et voyons ensemble les lointains nacrés, les bêtes de rage, les embruns ornés, les dessins de paroi rude, les betes de charge, les temps menacés, menaçants, les ombres, les betes autour de nos ombres, etc, nous sommes deux qui cgherchons à voir les choses de roche des temps, et pour ce faire nous entrons main dans la main en  cette roche dure des embruns nacrés, des betes de cgharge fortes, des betes rudes , dures, menaçantes, paissant tout près, qui sont betes de roche du temps et nous nous infiltrons en cette rocghe des embruns, nous sommes passés de l’autre côté, nous avons franchi le rubicon, nous sommes passés, nous sommes entrés ensemble dans la roche, nous avons franchgi le pas de la roche, nous voulons passer des caps de roche dure, nous sommes ensemble ici même (roche) à vouloir passer des caps de roche de temps, nous nous infiltrons par des failles temporelles et nous nous glissons en ces roches rudes, dures, de temps alloués, qui sont roches des temps impartis à une vie d’homme, nous sommes deux qui cherchons fortune en pareille roche des temps, npus nous ofrrons ainsi de la sorte l’un à l’autre en cette roche des embruns, à la rechercheb d’une bete rosse, d’une bete des prés, d’un animal de compagnie rocheuse, etc,nous sommes deux et à deux nous cherchons la voie qui mène à la bête, nous voulons trouver en cette roche du temps alloué la bête qui se meut en elle, cette biche des embruns, ce cerf écervelé, cette roche animale ou animalière, ce cerf volant, cette bhrebis des champs etc, notre but est clair, nous sommes deux pour une bonne cause et nous entrons ainsi en roche pour ce faire , pour une recherche vive, pour trouver la voie menant incidemment à pareille bête des embruns, nous ne voulons pas céder, nous voulons poursuivre sur notre lancée nos recherches,n, nous sommes dans une recherche vive de roche, nous nre voulons pas céder et c’est ainsi que nous cherchgons encore et toujours, nous voulons trouver dans la roche dure des betes de voix, des cris gutturaux,,, des meuglements, des sonorités calcaires, des bruyits de toujours insérés, des beuglements de charge, etc, notre but est ainsi gravé que nous nous afficghons en tant que chercheur et chercheuse de rage, en cette roche du temps alloué à une vie de roche, nous cherchons en elle des betes de choix, des betes graves, dures, fortes, lucides, qui puissent nous donner le la musical d’une bande à dérouler (temps alloué) à ou pour une vie d’homme, etc, notre but ici est comme gravé sur roche du temps, nous voulons cela, nous voulons graver cette roche des temps impartis à même la pierre froide, nouys ne sommes pas dépourvus de tout, nous sommes munis d’une envie et cette envie est celle de graver (ici) la roche dure, le temps menaçant-menacé, la pierre de roche calcaire, le sommet, la butte, cette cghose devant nous qui s’offre à une sorte d’immixcion totale de nos corps soudés, alanguis, vifs, traçant sur roche le trait d’une entrée en matière, nous aimons entrer dans la roche dure des temps et nous entrons ainsi (deux par deux ?) en elle, nous sommes deux qui entrons ainsi, nous sommes deux qui nous immiscons èen cette roche des attraits, des betes dessinés parxdes hommes descav ernes, nous entrons ainsi ensemble en roche des temps durs , et nous nous blottissons l’un l’autre l’un dans l’autre l’un pour l’autre en icelle, fous de rage rosse, amoureux des roches, amoureux transis, cherchant pitance dans la rochge dure dessinée, grav»ée, etc, par un homme cdes cavernes nu, homme des bois et des cavernes antédiluviennes, homme-femme des embruns, hommùe-femme des temps rudes, des temps alloués à Vie d’homme, etc, nous sommes de la partie, nous cherchons ensemble une voie d’abord, une voie de race rude, un attrait, une entrée, vers la roche rude, vers Roche Rude, vers Bete rosse, vers la bete rosse du temps gravé, etc,notre but est de trouver ensemble (main dans la main pour la vie) une voie d’accès à une bete de roche dure , à cette bete du temps dur, à pareille baete des temps rudes, à vbete du temps de paroi, à bete de grotte, à betye debout, rude et dure, bete immonde ou point mais chargeant de toute sa force son allant bestial intemporel, nous nous asseyons un temps en ceztte roche gravée des temps alloués, nous regardons passer les betes de pâroi, nous les aimons fortement, notre amour est affiché sur roche commùe une ezffigie trzemblante, comme trait de vie vive disant son allant, ses tatraits, ses goûts , ses désirs de rudesse et de beauté rocheuse pariétale, nous regardons, nous vou;lons connaitre les enhjeux de  cdette roche rude du temps offert (un don) à l’emporte-vie, nous nous asseyons ainsi face à cela qui nous tend des bras : la mort, la mort est notre alibi, nous nous donnons ainsi (corps et âmes) à pareille entité de roche rude, le temps est notre alibi, la mort est notre alibi, nous gravons des betes de beau poids sur roche rude, et nous disons cette chose ensemble comme quoi nous aimons la roche plus que tout, le temps bestial de pareille roche, nouds l’aimons d’un amour fou, nous nous donnons ainsi en cette rocghe à même le trait, la gravure, le dessin des betes rudes, qui menacent et tapênt du sabot, etc, nous sommes gens de rage forte, cherchant fortune en roche vers la mort ou en la direction d’une mort gravée à ne pas charger, à ne pas ennuyer par des mouvements déplacés etc, nottre envie est celle de voul:oir comprtendre ce que la mort est, ce que Mort de rage est au juste en pareille roche aux bêtes gravées,; qui nbous sommes (nous deux) qui cherchons la vérité dans la roche du temps, dans lka roche des p)arois du temps, etc, qui on est au juste face à elle (paroi) qui nous tend ses bras (la moprt) comme dans un sas (musical) de belle advenue, de belle descendan,ce, etc, notre envie est de comp^rendre ce qui est en roche qui se trame et nous donhe ce pourquoi nous sommes là à essayer, bon an mal an, de comprendre les enjeux de roche pariétaux, ce qui se trame en  ette roche rude de la vie offerte par la ban,de, et pour cela par un accouplement vif et pénétrant de nos deux mobiles, nous nous so:=mes introduits ainsi accouplés en  cette roche des temps donnés par une déité de roche dure, par la Mort aboutie, par cette entité de la Mort à l’oeuvreen pareille roche de grotte ! nous sommes sur la place rosse, nous voulons comprendre les enjeux ! nous voulons comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les enjeux qui président à cette entrée dans la matière de la foi dans l’ombre de la roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nous ne voulmons pâs pâsser à côté et lâcher prise, nous voulons co=p^rendre cette joie de rage allouée, cette tentation, ce sermon, cette voie d’abord sur roche, ces gravures à lm’emporte-vie, ces betes de somme, ces chevreuils , essentielleme,t ces chevreuils,; ces vies vives aux attraits sourds, aux élans rageurs, etc, nous les voulons vivre, nbous vou;lons les vivre, nous les voulons vivre pour nous, ces élans rageurs de roche, ces moments nacrés tracés à même la paroi d’une grotte cachée dans les vallées, etc, notre envie est celle-là qui nous voit nous donner ainsi sur roche (par la bande) à même la paroi, à graver-dessiner vif ! nous nous donnons ! nous sommes deux (elle et moi) qui nous donnons ! nous donnons de nous à m^$eme la roche des temps ! nous ne voulons pas aller à l’encontre d’une vie de rage, nous voulons comprendre les données rupestres de base et pour ce faire nous donnons de nous corps et âmes à pareille paroi de rochge dure (grotte) des fins fonds de terre -mère, etc, cela est ! cela est un,e vérité de bon aloi et de bon ressenti ! cela est une chose avérée, cela est une chose vraie , indubitablemen,t marquée à même la paroi du monde et nous voyons cela en,semble = main dans la main, nous ne sommes pas nés de la dernière pluyie, nous sommes affutés, aiguisés, vifs comme des éclairs dans un ciel menaçant de toute sa gourme, nous sommes viçfs et lucides, genrés (?), raisonneurs, donneurs de leçons permanemmùe,nt inopportunes, etc, nbous avons des yeux pour voir, des oreilles pour entendre,; etc, et cela nous pousse à décreter à tout bout de champs et à l’emporte-pièce des dires qui sont dires de peu de poids voire sans poids du tout en leurs charges, nous nous enfermons en cette roche du mùonde maios cela pour mieux «passer à travers» et comme en ressoprtir «de l’autre côté» ou quelque chose de cet ordre : nous sommes motivés !!!!!ç!!!!!ç!!!!!!!! = munis d’une sorte en nous d’élan moteur ou quelque chose d’approchant, etc, npotre but est tel que nous nous affichons ! nous disons ce qui nous pèse sur le coeur, nous voulons savoir ce qui nous attend, nous cherchons à co:p^rendre  ce qui est réellement en cette roche dure des embrunbs qui nous tend ou tendrzait les bras et pour cela nous nous asseyons un temps (Vie) sur roche du Temps et contemplons le paysage menaçant, les emberuns de bord de mer, lers ravines, les parois rudes, les piques, les piquants, les endroits de charge, kles possibilités de charge, etc, nous ne sommes pas des êtres fous de rage, npous sommes la rage incarnée dans une roche rude (gravée) qui est roche du temps des cavernes, un e sorte d’entité rocheuse à même la Chose ou comment dire ? notre but a une visée, notre but est de charger la roche du temps de betes de poids et d’entrer ainsi dans cette dimen,sion pariéto-menaçante cde la vie de roche à donner (fissa) en offrande à un dieu de la paroi meuble, notre but est celui ci ! nous voulons savoir ce squi nbous attend dans le temps de la roche enfouie sous terre, notre ambition se loge ici, en cette excavation, en,  ce creux de temps rocheux, dans la roche du temps déployé le temps d’une vie d’homme, nous voulons comprendre ensemble (accoulpement = coït) les raisons qui poussent à fzaire ainsi allégeance sur roche, à un dxieu de roche dure, au dieu des rochess de peine, etc,cela pour nous est une sorte de fanal qui, devant nous, guide notre voie, nos pas, etc, nous cherchons, et chertchant nous trouvons des bornes-balises, qui sont bornes-balises de temps impartis, bornes de joie aussi car la chose ici découle d’une sorte d’élan de vie vive qui est une joie de vivre» vive, etc, nous voul:ons comprendre les données les plus reculées dans l’ordre des savoirs de base et pour  c e faire nous sommes dezux (cote à cote) qui cherchons à bousculer les hié»rarchies, à tomber les masques pariétaux les un$s après lkes autres etc, bnotre envie de roche rude est vive (intacte) et nous pousse à cher cher ensemble les données de b asxe;, nousne voulons pas céder, nousq vou:ons pousser loin (le plus loin possible) nos rechertches vives, nos envies de connaissan ce etc, nous ssommes deux qui cherchons de concezrt à même la paroi du tezmps, nous sommes deux main dans la main, qui cherchons de concert «des choses», soit des choses rudes, des poids, des poids de charge, nous cherchons charges sur paroi, des charges de bon poids moléculaires, des sommes, des sommes de rage = un,e belle v érité de joie, une belle de ces vérités enjouées qui donnent le la musical par la bande à une vie d’homme déployée incidemment ! incidemment car les temps sont longs ! car les vivres sont sur place déployés, ou déposés ! nous voulons comprendre ce qui est de ceztte roche des temps donnés, nous voulonbs co:=mprendre ensemble kles données brutes, kes savoirs de base, les vivacités, les choses du nacre, les p;longées, les meznus désirs, les poids déposés sur table d’offrandes, le sang en toutes ses composantes, etc, notre en,vie pour nous est infinie, nous aimons les cvonnaissances a n cestrales, nous voulons savoir ce qui préside ! nous cherchons à vif ! nous creusons la roche du temps pariétal comme des hommes-femmes des cavernes : je suis un hommev des cavernes ! je suis une homme-femme des cavernes de la roche dure, nous et je sommes suis femme homme de (des cavernes et caverne ) car cela est ! car cette chose ici est ! car je = nous qui = vif ! et cela ainsi est que nous sommes deux (par deux ?) qui chezrchgons ensemble (cet ensemble) les données les plus avancées , reculées, ou comment dire ? qui président ! nous = je = vif ! et : feemme de paroi = homme du monde = vif éclair de rage = accouplement rocheux = transe ! car la chose ici est radicalement meurtrie ! nous sommes touchés par une grâce des embruns = meurtris par la bande = terreswtres = soumis à des attaques vives de choses des temps, etc, nous sommes chairs qui nous soumettobns ! notre roi et notre reine ici sont de ceux celles qui sont roches de parois mobiles ! sus à la rocghe rude ! déployons nos vies sauvages ! sachons graver la pierre à) la manière de (de ces hommes et de ces femmesz des cavernes) et trouons le temps comme une toile, une toile de jute, toile-é»cran, vive chaloupe ! nous voulons comprendre les données les plus reculées = nartives à même la roche du temps déployé, et pour cela nous devons nous rapprocher, nous réunir, nous accouyp^ler, nous pénétrer, nous szerrer l’un l’autre : corps à cortps = éléctricité , et ce faisant nous traversons la roche rude à creuser, nous sommes deux betes de rage, notre souhait ainsi formulé comprend lesq données recherchées : qu’on se le dise ! le secret est dès lors contenus dans le pot de base, il s’agit de se pencher sur roche de paroi et de regarder bien attentivement, et vous trouverez la ou les réponses à vos interrogations primaires (enfantines) telles que vous les comme trimbalez depuis longtemps, depuis quelques milliers d’années, cherchez bien et vous allez trouver : le pot aux roses ! le secret des données de roche, les données les plus reculées, le vif, le natif, etc, nous voulons savoir, nous avons cette vol:onté ancrée de vcouloir savoir ce qui est = la vérité ! et pour cvela nous entrons en roche comme en religion : munis en nous d’une «pique cde joie « (je) quyi nous guide dans nos déambulations pariéto-terrestres de mortel de base, nous voul:ons comprendre et pour ce faire nous nous entichons l’un l(autre ou l’un de l’auttre sur paroi, nous nous accol:ons, nous nous coloons les uns les autresq, nous touchons ce qui nbous approche : nous sommes collés = dans la glu des temps alloués comme betes dans roche des prés, aurochs de prairies, mammouths sidérés, antilopes en folie, jun gle ! toute la jungle ! la jungle en entier ! lka jungle affiichée etc ! notre (le notre !) but sur roche est de nous enticher les uns les autres «pour comprendre « , c’est à dire pour savoir c e qui dan,s la roche (rude) du temps vient à se tramer comme soubassements , et pour cela nous nous accolons à roche de la roche dure, nous entrons en elle en lévitation, nous sommes etres ^pris à partie, nous sommes accolés et pris à partie et voilà ce qui est sur roche ici qui nous dit « à sa manière ses dires de joie (je) dsans le sang : nous sommes rudes comme la paroi ! nous sommes de rudes hommes-femmes de parois de grotte ancestrales ! vive la vie ! la joie de roche est prise dans le sas du temps pariétal ! notre joie (ce je du jeu) est celle d’une sorte x’embardée native (votive ?) qui est celle d’un élan de vie alloué , nous ne voulons âs mourir ! bnous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous et je ne voulons pas mourir! nous = je, ne veut pas mourir ! je = cette chose de roche du temps, ne veux (je) pâs (du tout) aller là bas loin da,ns les bartas ! nonnnnnnnnnnnnnnnnnn n  n nn nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, non de non ! ou comment ? car : de deux choses l’un e, ou je meurs ou je ne meurs pas ! point final ! l:a chose semble claire ! ou bien ou bien ! et cela est ainsi depuis «la nuit des temps», cette chose de roche rude ancrée ! car vivre = savoir = dire = faire = aller = mourir ! le vivre contient le mourir quand le contraire n’(est pas vrai, pas vrai ? et pour comprendre cette cghose il est bon de se poser un tant soit peu en roche, et de regarder les betes (dessinées ou gravées par des hommes et des fe:=mes des cavernes) alentour, ces quooi, ces aurochs ? ces betes «fortes fauves» ? ces quoi en tant que bêtes ? ces chevreuils ? ces biches desz prés ? ces cerfs de contrebande ? contrepoids ? nous pen,sons (nous !) que la vie est une chose rude à traversezr comme la roche (dure) d’une sorte de paroi de grotte enfouie, bnous pensons que nous devon,s comprtendre loin loin loin loin loin lion loin lion loin, tres loin dans la rocxhe, les données brutes, ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles seraient à même de nous amener en termes de données de base rupestres, nous voulons comprendre vif car nous sommes vifs (vivants) sur roche ! ne pas lambiner , forcer les traits, graver en transe = en lévitation ! creuser dans la roche des mains de charge ! poudrer ! faire ces chgoses au son des pipeaiux, creuser ;la paroi pour des sommes à déposer de victuaille et autrtes betes mortes encore toutessanguinolentes ! bnous voulons comp^rezndre vif et le plus profond possible les données qui sont les données qui président aux destinées des uns et des auttres ! notrte chance ! la voi;là quyi sort des bois, elle porte un nom et ce nom est «Bambi» la douce créature des sous bois , nous voulons comprezndre loin +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ca r nous en ressentons le besoin, nous nous tenons par la main, nous sommes deux, nous sommes à deux, nous sommes une somme de deux, nous voulons comprendre à deux les lointains attraits de roche rude, ces pourquoi, ces choses déployées sur table ou mur aux offrandes : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, etc, nous vcoulons comprendre les eznjeux, les données brutes, les racines prises dans la roche où vont-elles , jusqu’où vont cexs choses , etc ! car cela est cette cxhose devant soi qui nous tend les bras ! les mots pêuvent ils ? ou les cris gutturaux de la b ete ? qui en nous p^réside pour nous ? qyui parle en mon nom ? suis je cette betise, incommensurable et mal embouchée ? syuis je trompette , suis je cette voix , suis je cette corne de brume , ce piston ? ce cornet d’enflure ? suis je  cette vcoix de mauvaise joie , suis je ce trompé de la manche , qui suis je pour parler ainsi par la bande >, suis je une envie , une sorte d’en-vivre de la joie des temps alloués ? qsui je suis qui va sur roche à la recherche des données brutes ? je suis homme-femme-embruns des venaisons ! mon corps est une entité votive ! je porte le nom de ma rage de vivre ! ma casaque est ainsi déployée qu’elle me recouvre de pied en cap comme une peau de bete ! malheur à celle-celui , celui-cellle, quyi viendra ainsi me toucher ! ainsi = avec ses pattes de devant, ces patttes de bete debout ! bete de ta roche , de ta roche de m.... qui me parle bas et dit son nom à qui ve’ut l’entendre = la mort ! la mort dit son nom dans et à travers le langage, le langa ge articulé sinon comment , le langage articulé est une entité rude qui parle en notre nom et dit «la mort» en tant que telle = cette roche creusée par lma bnande musicale d’un temps déployé , nous voulons comprezndre  c e qyui est et pour cela nous nous affichons de concert sur roche, e,n transe, main dsans la main, la menotte d’un dans celle  de l’a utre etc, cela est une  vérité à prendre en compte 

, nous solmmes ensemble soudés c’est à dire un ensemble soudé, nous sommes deux accolés, nous sommes soudés par la bbande musicale des embruns du temps, nb ous somlmes deux êtres qui sommes soudés accolés par ce fait cde roche d’une sortye d’embardée votive à même la pierre = à travers elle ! notre nom = celui là qui nous «tend les bras» au devant se soi (de nous deux) comme une sorte d’entité rocheuse déifiée ! nous voulons ensemble dans l’accouplement comprendre ! le coït aidant ! car la vie (temporo-pa riétale) est une roche rude , et kl’accouplement est cette incursion (immixtion) votive qui sonde la roche et la perce de son pic de verbe acéré ! vive la vie ! nous cherchons à comprendre vif ce qui nbous azttend par la bande et pour cela nous sommes deux (accolés) qyui gravons grave la paroi du temps , eureka ! cette sorte de paroi du monde, cette vive chose rude pierreuse ! nous voulons savoir et comprendre et faire cette chose ensemvble ici même sur roche = crevaison ? immixtion-crevaison ? passage à deux dans la sphère meuble ? quoi dire sur  ce ? nous posons nos victuailles (noms, prénoms, âges et qualités) à même la roche du temps et croisons les doigts ! nous sommes deux qui voulons comprendre ce qui est dans ce qu’»on voit , et pour cela : la transe gutturale ! le mot rude grav»éé sur la roche comme aurochs de co:=pagnie ! nous sommes nous deux qui cherchons à comprtendre les données les plus frontales (effigies) afin dec comprendre les données les plus natives, radicales, enracinées, etc de la roche des temps, nous voulonsaller dedans ! loin ! passer muscade ! poiindre ! saillir! creusqer madame la roche et monsieur du rocher ! le toucher comme on toucherait la banquise ! filons doux ! per!çons la roche à la manière des aurignaciens ! nous sommes deux qui sommes ceux qui veuleznt sa voir ! qui et quoi nous atteznd devant ? quelle est donc cette musique ditec «des embruns» ? je veux savoir ! je le veux savoir, ou la ! je ne suis pas né de la dernière pluie ! je suis un homme aurignacien en transe et qui lévite face à la pâroi du monde ! je suis un homme et une femme, un tourment et son contraire édulcoré, je suis femme de roche, homme des ezmbruns, homme-femme des temps incertains, je suis la femme graveuse, l’homme riche de sseees cris d’homme touché par la bande ! femme au racloir, au pic de grave, au sarment, à la belle arracheuse, etc ! mon nom (mon ?) est égal à la somme des parties présentes ! = troupe ma troupe ! je suis l’homme des parties soudées ,mon nom est MON NOM, et cela : pour une éternité, ou pas loin de cela qui est cela de roche allouée ! je cherche avec elle , je cherche avec elle-femme en moi-même la vérité, la vérité sur les prés , quelle est elle ? je suis homme de laprairie des roches, je vais et je viens en elle, MON NOM s’écrit en lettres majuscules, je suis ombre, hombre, homme, home, heaume, l’homme-femme aux accents de rage brute, cette somme des envies rocheuses pariétales cdéployées à même latable aux offrandes : vive moi nacré, cette somme de données rageuses, e,nveloppement et déploiement de cxhoses et autres (bric à brac) à dééposer incidemment (négligemment ?) sur la pierre de taille des offrandes à faire à déité ! je = nous = vous = moi = toi = quand je cherche = quand je suis = nous sommes, nous sommes cela que nous déposons sur roche des temps : pis aller par une bande et pour une ba nde langagière ! le temps = cette sorte «en soi» de déploiement-déroulement pariéto-temporel, ce la de contrebande, cet élan vif (tic et ta c) qui sonne la charge sur roche : aurochs ! encore aurochs ! toujours ! cette brebis, ou autres betes de prairiesq : nos freres et soeurss d’infortune pariéto-frontales, nous voulons comprendre dans les profondeurs, nbous voulons sonner le tocsin, la cxgharge, ébouillanter ! brulons nos cartouches ! sachons ! sauvons la mise : vivons tardi ! kla vie ici est pariéto-animalo-frontalo-pariétalo-rustique , on le sait ! nous voulons savcoir ce qui est, ce qu’est la mort, ce qui nous attend devant, devant ou derrière, ce déroulé musical des sphères, où va t il ? qui est il ? qui nous voit ? sommes nousq vus ? voilà : sommes nous vus ? qui nous voit ? qui nbous voit si nous sommes vus ? qui pour nous voir si nous sommes vus ? qui peut ou pourrait ? qui a des yeux pour voir ? qui nbous voit avec ses yeux ? qui sans roche nous visionne ? où ? nous visionne nous approche nous condamne ? nous quoi ? nous voulons savoir ce qui est en roche des temps alloués à vie d’homme ? je suis homme de rage, je suis homme et femme de rage frontale et c’est ainsi que, en, lévitation, sous influence, je trace les traits (vifs) de la bete à cornes (pâr exemple) sur la roche car je suis un homme-femme des cavernes, je suis cette homme-feemme des roches alloués de grotte et je vais et viens ezn  cette roche des embruns à la recherche de la v érité, ce qu’elle est pour «moi» (= nous) qui sommes (qui est) somme de choses rudes à devoir endurer une vie durant ! je = nous = vous = me = noir, ce noir de la roche profonde, etc , cela est ainsi et cela nous parle, je = cette chose dans un noir de jais de grotte antédiluvienne, homme des cavernes je traverse ainsi les donnéeszc rupestres et me retrouve «de kl’auttre côté», côté «chandail» à chercher pitance musicalement, ainsi est, car la vie tempiorelle est musicale comme un dxéroulé de sonorités fluctuantes, un fleuve de mots, une cha rge vive dépl;oyée comme un tapis de bzain au sortir de la toilette , nous maerrchons vers des biches des prés, nous solmmes soumis, nous nous entichons l’un à l’a uttre, nous creusons la roche, nous voulons akller loin en cettye roche dure des attraits et des apprets, nous creusons à deux la roche rude, dure-rude, rude-dure, «rudure» etc, car la roche est telle qu’elle se voit pour bnous comme creusée de l’intérieur par la bande : une érosion temporo-massive, etc: charge animalière, sortie  brève mais vorace, puissante, complète, tonituante, etc, nous voulons toucher latimba le du temps musical et comp^rendre les données de base et pour cela nous y allons de notre immixtion brutale : à la une, à la dfeux ! et c’’rst ainsi que nous nous affichons ensemble en roche , nus comme des vers des prés, prêts à nous laisser guider par lma ban,de muusicale animalière des betes de roche (aurochs, bisons, chevreuils, rennes ou ours des cavernes) et ainsi touchés nous nous laissons guider sur roche vers des sortes de finalités brumeuses de type anfractousités fumeuses, trous de boue, trous de terre ouverte, etc, volcanités ? volcanités ou autres embouchures ! car la vie va (musicale) qyi nous emporte en sqa paroi cde roche ! nous sommes deux pour un faire vif, nous traçons des b etes sur roche, nous dessinons à deux en nous mêmes ces betes de roche rude, betes de poids présentiel, creusan,t la roche de nos pics de verbe, de ce pic de verbe en nous intégré par la bande, ce pic de rochhe rude, pic des pics, sortant de bouches nôtres comme une sorte d’invectives : nous hurlons notrte vol:onté vivace de rester en vie sur roche meuble ! nous crions à l’emporteée ! nous ne voulons pas DCD ! voilà le pot aux roses déployé ou déposé ! car ... car la vie en nous est telle (animalière) qu’elle s’ébroue à part nous sur roche du temps = dép;:oiement rocheux de première ! les mots sont du xsang ! le sang est l’instrument de mainte»nance et de ma intien ! la vie est rude comme une galette ! je cherche avec elle, Elle, et elle même égaleme,nt cherche que tu chercheras des vérités certaines, avec moi qui suis la bete de rochge ancrée = gravée ! et ce sur le champ des batailles (rixes) de prairies, de prés allouées, etc, nous sommes des donneurs de victuailles, nous donnons le sang de nos ambardées rocheuses, nous voulons VIVRE ! vif la vie vive le ou la ! nous cherchons à creuser le temps ensemble dans ce sang de roche du temps ! vive la qui est le ! vive le qui est la ! nous ne voulons pas mourir ! nous-je ne voulons p)as mourir ! je-nous ne voulons pas mourir ! je-nous ne le voulons pas ! je suis nous qui est ce je qui ne veut pas passer l’arme à gauche du tout ! je suis homme rude (dur) qui pose sa main (main, main, main,; mzain, main , main, main, main, main, main, main, main, main, main) sur la roche et cela vivement (comme il se doit) pour scander une immixtion soudaine et la graver ! je suis celui là qui grave sur roche une sorte de portrait de cghoses,  sorte de portraitdes choses du temps, je cherche à comprendre les données de base naissqantes à m^$eme la roche native du temps : où sont les brebis gâleuses ? qui porte un noim ? combien portons nous en  nous de betes de roche ? qui en moi s’ébroue de la sorte (criant ou vociférant) ? que dois je dire à l’emporte-pièce ? qui va là en moi ? qui est lk’homme des embruns ? suis je l’homme des cavernes sus mentionné ? que vois je ? qu’entends je ? suis je l’homme rude rudoyant ? je chercxhe un savoir animalier qYUIi expliquearit le pourquoi du comment nous nous sommes retrouvés comme intégrés à la roche (dure) du temp^s imparti ! qsui ? qsuand ? qsuoi ? où ? pourqyuoi ? à partir de quand ? jusqu’où ? qui de quoi ? quoi de quand ? pourquoi et comment kl’homme des cavernes en moi qsurnage-t-il dans le temps présent ? je suis homme de rage pariéto-calcaire, fait de la roche du temps = kles mots de  ta race pute ! ou comment ? «les mots de ta race pute» ??? ou comment ? invectives avons-nous dit ! je suis moi-je une invective an,crée de verbes acérés ? est-ce ? je suis hombre-acéré-invectives ! ou quoi d’autre ? je suis l’homme-hombre-ombre- heaume-home-femme-fame de la paroi dure du temps menaçant ! mon nom (MON NOM) est personne, je vais et je viens en roche rude comme un enfant sur terrain de hjoie (jeu) ! je (joie) suis l’homme de roche, la femme des roches sanglantes, l’enfant fol des temps de jeux récréatrifs, la monnaie du pâpe ! je regarde au loin la bete des bois et des sous bois, la biche gracile et le cerf géant qui file à toute vitesse , je suis homme-biche du TEMps fol, ou fou, je (joie) cherche (cerceuil) la vraie vérité des temps alloués, cette charade ! je ne suisq pas daltonien ! je mire ! j’ouvre les mirettes en grand pour y voir du mieux possible ! de mes yeux je suiis ! je veux de mes yeux faire ainsi : la chose : la voir de visu comme une e,ntitév matérielle, etc , je cherche à co:mprtendre où donc la vie pariétale me mène ici bas qyui me pousse à tenter des appreoches sauvageonnes à même la roche, du genre l’aurochs répétées, renouvelszeé, ou bien du genre le cheval e,n bande, etc : des sortes cde frises ! et cela pourquoi pour la bonne cause ! je suis l’homme desx temps alloués à roche rude ! je suis homme des temps alloués à vie de temps perdus, ou comment ? le temps est lm’écoulement musical des pareties dures d’une roche de paroi rupestre ou comment ? je (joie) suis (son) celui ou celle (les) qui fais ou faisons allégeance à toutes les pareties, et crions (lévitation) nos hzaines p^remièresq (§ranceurs initiales) sur la roche dure , nous pleurons nos larmmes de jute ! vive le roi de roche rude : le chevreuil , la biche, le  cerf, le cheval, le bison, le renne, l’ours, le mammouth, le singe, le lion, l’antilope, etc, je regarde autour de moi et qsue vois -je sinon des betes de poids qui en imposent par leur présence, pesent lourd sur roche des temps et font forte impression ! et cela : à visée de sauvetage ! bnous savons cela ! nous le savons depuis le premier hjour, depuis le jour de l’immixtion, de notre immixwtion, depuis lors ! je sui homme-enfant-femme de paroi, MON NOM s’écrit (ainsi fait) en majuscuyles , je cherche à comprendtre ce qui (dans les mots de ce langage articulé qyui nous colle au corps) nous doonne ou donnerait de ces indications nous permettant de «fracturer» la roche du temps et (dès lors) de perdurer par le sang en nbous contenu, etc, je cherchje dans la profondeur des parois musicales cette hjoi!e du  hje asssoupi, de ce je qui (assoupi) laisse aller de lui kles données ( physiques) de base nécessaires à la boonne adaptation de son être fou (= noommé ) à une sorte d’au-delà de soi pariétal,; au delà pariétal de soi comme une sorte de verrue, d’excroissance, de surplus, de main ou de doigt surnuméraire : qui je suis en vérité ? une somme de cxghoses en surpl;us , bete de rage ? collage ? transistor ? je veux co:mprtendre puisamment ce qsui est en moi qui dit ce qui est en moi ! et pour cela je dois m’immis cer en cette paroi d’une grotte perdue dans une sorte de vallée de roche, je veux = je suisq = je vais = je sais ! je suis je vais ainsi en riche dessiner l’aurochsq, le renne, le renne, le cheval, l’auroch, le renne, le renne, le cheval, l’ours etc, je suis soumis, malléable, meuble,, mou de chgez le mou des temps, homme des cavernes traversé de pied en cap par la déité du lzangage vif (musical) des sp^hères divinesz, des sphères de roche, etc, je suis homme des embruns et  des roches perlées, MON NOM (majuscule) est celyui de l’homme du temps , à savoir : SPIG le pig, ou bien NOlogips ou e,ncore : le SPIG, ou SPIGOU, ou même : SPI, etc, à toute vitesse ! je ne cherche p)as je trouve ? je suis cet homme de roche coriace (TEMPS impartis) qui cherche ou chercherait une sorte de vérité-déité dans un lan,gage de destibnée ou à destinée essentiellemen,t votive ! je vais de mon mieux sur rocghe vive des attraits , je regarde paitre une bête, je veux la cerner cd’un trait vif au cxharbon de bois, à l’arbalette ! je me meurs ainsi désignant , et ce»la est une somme de tourments surnuméraires, ou pas ? je suis homme des temps déposés, cet homme aux dons divers, cet homme du temps fol alloué à une roche rude et dure, faite des amis du temps sous formes de betes de poids et de charge, je suis l’homme de la roche endurée, je suis l’homme et la femme jhoints, je suis homme joint à femme jointe, je suis l’accolé accolée, je suis l’accolée accolé, je cherche en elle (roche) une fortune qui fut celle là qui me maintînt en vie pour une éternité pariéto-pariétale, je vais danc cette roche du temps donné avec en moi une sorte de chose de poids (parioles drues) qui put faire « la différence» et s’imposer ezn tant que pis-aller de fortune (donnant-donnant : je donne la vie, je conserve la vie = je donne une vie à la mort = je donne à la mort une vie «morte» et ce faisant je conserve à part moi la vie) , je suisz homme du trouble ^pariétal des genres déssinés à même la roche des tempsq et, dessinant, je v ais sur roche détail;ler les mots du nom qui m’incombe, je suis homme de paroi, je vais loin en elle, je cherche une vérité de bon aloi, je suis une bête moi-même et en tant que bête je vais droit, je file vrai, je charge follement et :mon nom est  celui là que mon corps trace de toute sa charge sur la pierre des embruns matutinaux , cette sorte de donnée rupestre primaire, ce cri de base inaugural et ce dessin vif d’une sorte de bete revancharde, je mesure ce qui est (de la vie et de la mort) à l’aune de la v érité gravée par un homme des cavernes et ce faisa nt je deviens moi même et bete de charge et homme des cvavernes ! je veux ettre l’homme naissant à une mort douce, feutrée, te,ndrte, assoupie, etc ! car MON NOM est ce tracé de roche, cette voie d’accvès, cette félure entre quelques traits qui se ressemblen,t, etc, je veux comprendre loin les donhnées du temps alloongé, quelles sont elles et pour’qyuoi douter des choses rudes ? je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je v= jev = je = je = je = je = jeu =jeu = jeu= jeu= jeu = jeu = jeu = jeu =joue = joue = joue = joue = joue = joue percée par en soi une pique animazlière faite de verbes crus, de vivacités verbales, de.... de ces mots de roche drus (les mots) comme piolets de cre v aison vive, etyc,; les mots en moi sourdent comme un horizon ! je suis l’homme percé, troué de lm’intérieur par une cohorte (vive) de betes à cornes (pour la plupaert) et c’eestbainsi que je me vois tracé sur roche par un homme des vavernes ou même par un homme fou des cavernes ( ?) ou bien pâr un hommùe transi (?) des cavernes ou même par un homme sous emprise ! sous l’emprise en lui x’une bete de roche, bete forte-fauve sortant de sa bouche (trou de joue percée) et allant se loger fisqsa dans la roche du temps ! je regarde loin les embruns : où sont kles vérités de base ? qui peut dire où sont les vérités drues ? qyi croire ? je cherche une somme de choses tracées de type vérités de bon aloi ! je vais de chose de traits à chose de traits ! je veucx comprendre les données du verbe natif, ce que le verbe sur roche charrie et peut nous appren,dre en termes de vérité de bon (de bon ?) aloi  , et pour cela : piqueton ! pique roche de première ! la roche est piquée ! Roche-Piquay la belle des belles ? qui suis je pour ainsi «tenter le diable « ? qui je suis pour aller pareillmezment fort dans ? qui ? qui pour vrombir en cognant pour une traversée à la rude rude ? je cherche une donnée qui fut donnée de base forte, rude, traçante, on l’a vu , et pour cela je me jette tête première dans la roche meubkle et m’immisce au vif ou tente cette cgose, cette vive incursion d’un soi animùalier dans une sorte de poche de vie secondée par une emprise, etc, je file droit fissa dans la roche des données rupestres (sur le temps) et pour cela je me sers de c ette chose en moi dont le nom est «piqueton», sorte en moi d’organe de vie», de penne sur roche, double donnée, denrée ? donnée cde vie vive : vit ? chargeur ? coupeur ? pic de rochge ? je suisq l’homme des embruns votifs, mon om est le nom qui dit sa cghose pariéto frontale de première = native , et pour cella il doit passer par une sorte d’immixwion (souterraine) d’incantation, ou commeznt dire , d’incandescente incantation, etc, je suis l’homme qui revient vers le temps déposé sur roche par cette sorte de bete de poids déifieé , et approchant la bete je m’incline debvant elle et lui donne  c e que j’ai en termes de vocables ou auttres savcoirs gutturaux, etc, je donne (sors) de moi les mots de ma race-rage, etc, je suisq un animal ! j’acte ! j’agis ! je suisq lm’animal de la prairie ! je suis cet animal de joie pure dite pure pâr la bande et par la joie, je cherche une voie la plus directe qui soit pour allezr fissa vers ces lieux de vérités de base (naissantes) qui pussent me donner de quyoi comp^rendre loin et profond «ce qui est», je suis un homme-femme rongé, je suis l’homme (la femme) rongé (rongée) qiu vibre de tout son élan sur la roche et trace desq betes à main levée : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mùain, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main , main, maion, main ma in mains et pieds liés pour ainsi dire, je suis animal, je suis un animal, je suisq cet animal que je dessine, jhe suis l’animal que je dessine, jhe suis cet animal que je dessine, je suis un animal, je suis une animal,  je suis animale, je suis l’animale, je suis cet an imale qui trace sur roche desbetes de poids et de forte présence votive, je suis Aniumal le charmant, je suis Animal le Fol, Animal des Rois de Perce,; je perce la roche ru$de armé de mon pic de perceé votive, je suis Animal le Geznré perlé, je vibre à même la roche gr aniteuse, je trace les données de base = les véritész, ce troupêau de betes fortes;,, pesantes, lourdes, vives de chez vives, etc, je ne suis pas de la belle meunière mais je suis le traceur de ces roches de rage, je veux ! je v eux comprezndre ce qui est ! jhe suis ! je suis celui qui veut cette cghose , je  vais ! je vais dans le sas de la roche du temps ! je crainbs, je crains les effetss délètéres d’un apprentissage bloqué et bloquant , je file dru vers des horizonsq de parade agraires, etc, je file rondement, je suis l’homme aux quatre ven,ts des roches du temps , je vbeux aller dans le san g, dans le ventre du temps royal, l’habiter fissa, m’y loger vivant et y demeujrer, je veux comprtendre l;ongtemps et loin et souvent, je veux pôuvoir savoir et compter les donn,ées de base en termes de den rées à déposer sur table d’offrandes : et si les mots étaient des offrandes ? je veux essayer ou tenter des approches qui fussent celles qui pussent m’(offrir des sortes (en elles m^$emes) de vérités vraies, ou comment sinon ? et si le verbe acéré (l(insuylte, l’invective, la méchanceté, l’ordure prononcée, etc) étaient cette chose ou représentait, d’une sorte de Vérité grand V, qui fut Vérité des Vérités, si ? car quoi ? nous ne sommes pas sezuls dans la meute ! les mots sont ils nigauds ? doit on chanter la pa rade nuptiale ? le cordial ? le coeur à l’unisson ? je suyis l’homme «de lka caverne cachée dans lles prés», jev suis l’homme aux pouvoirs fous qui tombe, qui va, qui entre, quyi bouge, qui s’étire, qui marche, qui boit, qui mange, qui chie, qui pisse, qui hurle, qui brandit son baton de p;uie, son a rbalète, son pic de percvée, son museau dde tanche, son élan ! le voilà) qui brandit sa bête de ra ge en son sein, dson coeur de vie vive ! érection ! le voilà qui souille ! il entre en floraison à même la roche, oup la houp le voici entré commùe une fleur ! je veux comprendre les données les plus fines et vraies d’une sorte de monde pariétal de roche, ce que  celuyi ci contient en lui en termes de données vives, riches, vibrantes, qui eussent pu nous donner «du mou» dans certe charge de vie à vivre fissa , nous sommes deux (elle et moi) qui cxhargeons sur roche, artistiquement, nottre mal de vivre ou comment ? cette doulopureuse frondaison ? cette doulopureuse immixtion dans la roche ? cette entrée furieuseet furieusement douloureuse dans la pierre des temps alloués ? je cherche à savoir : qui et pourquoi ! qui préside et pourquoio cettevallée de larmes ! ces données ! ces dons ‘ ces vibrations ! cette chose à bnous déployée devant nous comme une sorte de découverture ! je suis ou serais l’homme des cavernes, je serais perdu dans la roche du temp)s, je dessinerais des betes de masse sur roche, et cela comme sousz ezmprise ou sous l’emprise de tellle ou telle bête de pa rois, de type aurochs, ou ours des cavernes, etc, je dessinerai à m âi n levée des betes de hjoie rude, des mots de parois, le mal intrinsèque, l’insuylte vive, etc, je sezrais cet homme des temps reculés, armé de son ba ton de joie, pic à) tracer, qui dessine ou dessinerai kles mots de sa rage = de sa race = de son mal de ragge = de sa vie vive dép:loyée, je  vais sur paroi ainsi armé et grave à l’e’nvi les données primaires , à savoir : ces mots qui sont mots de rage, ces mots de rage vive déployée sur roche dure des temps impartis, je ne souhqaite pas tant que cela passer l’arme à gauche   dis-je, «je ne veux pas passer l’arme à gauche», je ne veux certes pas», «je ne souhaite certes pas», «je ne suis pas de ceux ni de cellmes qui souhaitent là, présentement, incidemment, b rusquement ou autrement passer l’arme à gauchjze, ’» je ne suis pas de ceux et de celles qui incidemment brusqUement souhaitentt passerl’a rme à gauche», «je ne suis pas de vceux qUI souhaiotenyt vivement pàassefr l’arme à gauche», « je = nous ne voulons pas (passer l’arme à gauche)»’, «je pas vouloir passser arme à gauche» = «je ne pas vouloir mourir», «je moi jamaéis vouloir mourir» = «moi je jamùais vouloir mourir» = je (moi) pas vouloirv mourirsur roche», etc, l’(homme est à la bête, ce que la peau est au chandail, l’homme est cette sorte d’entité de roche temporelle, qui fonce fissa tête première dans le tas = la roche (en grotte) commev un forcené ! son en,vie est folle ! son désir est fol ! sa voix est folle ! son engouement est fol ! son envie de vie est folle ! sa perc ée est folle ! sa hjoie est folle ! sa vaillance est folle ! son trait est vfol !sa p)ariole est folle ! son cri d’élan, est fol ! son ordonneme,nt est fol ! son chandail est fol ! sa viçtesse est folle ! son aisance est fol ! son cri guttural est fol ! sa peine à tracer est folle ! il avance dans la roche comme l’animal de race et de rage vibrant, comme animaél vibrant de race et de rage, fou de roche immiszxcé, intégré comme une donnée, il cherche en elle la beauté racée des vérités vraies « (?) ou bien la chose quyi dure .... il est vif comme l’éclair, il est l’homme des cavernes au pouvoir donné de pôuvoir aller dsans kles profondeurs nacrées de la roche du temp^s imparti à une vie d’hommme, je suis l’homme des cav ernes a ux pouvoirs entiers: de pouvoir entrer dans la roche armé d’un baton ou d’une sorte de baton de jhoie : hourra ! vive les fiançailles ! chercghons dee quoi trouver la vérité vraie ! allons de ce p)as à la recherche de la vbérité vraie des vérités vraies ! où sont elles l;ogées ? qui les connait ? qui peut parler sans gêne, sans honte, sans honte bue ? qui est l’homme-femme des situatuionhs fortes àç développer ? qui comp^rend la vérité des vérités ? qui est homme entier ou femme entière vive ou vif qui put savoir tout de tout à la manière des sc iezntifiques ? qui ? quel homme sait manier l’»épée de percée du langage acquuis ? qui comprend les mots comme personne ? qui pêut comprendre commùe pezrsonne kles mots de roche et ceux qui gravitent autour de la roche, par exemple : qui pour comp^rendre les mots de l’insulte à p)aroi ? ou bien : qui p ôur comprtendre les mots de la hjoie raide ? je nous suuis ici pour le comprendre ensembvkle, nous no!s immisçons ensezmble pour je le le comprendre nous et en faire jhoie, je nous voulons ensembvle comprendsre les choses (pa riétales de fin droit) pour savoir ce qui de quoi nous interpeelle fissqa longuement au bout du bout d’une voie octroyée, etc, je suis vcet homme qui parle à la mort ! je suis de ces hommes de foi qui parlent à la mort ! je suis un hommme femme enfant et bete de rage , qui pârle (en MON NOM) à kla mort, et ce comment eh bé ainsi : par cette échancrure dsans le temps, en passant la tête, pas szeulement, la tête mais aussi le sexe, et plus encore : le corps en entier, fissa ! hourrah! vive le roi de la roche dure, l’enfant courronné, le manant des temps bénis par l’animal de roche (aurochs ?) qui no!us regarde de son air de rien, tout en broutant kl’herbe du pré vert, je suisz cet homme aux pouvoirs divers, en transe ou pas loin, qui trace des betes de rage sur paroi de grotte , le voil:à qui se porte là sur l;a belle murette de roche, et trace! grave ! grave grave à l’envi ! ne s’en laisse pâsx compter, nb’oublie pas de dessiner des betes «de vie» qui font croire à de la vraie vie, dieu est un ensembvle de donbhé&es de base, qui com^preznd des vérité»s sensibles mais aussi lesz mots de la tribu, et de ce fait : nous nous «comprenons», == nous nous colloons les uns contre les autresz, nous sommùes collés ! nous sommes sous le joug d’une volonté divine d’encollage minéral et sidéral de première incommensurable et indécrottable, nous = je l’homme décollé ou tenta nt de l’être ou comment ? je suis sur roche du temp)s à la recherche d’une vérité de bhon aloi, je veux savoir ce qui esdt, je veux comprendre les données les plus anciennes, je veuc comp^rendfre les données du monde les plus ancie,nn,nes et ancrées dans ceztte roche des temps vifs, des temp)s des hommes vifs des cvavernes ett des temps des femmes vives des cavernes, des hommes et des femmes et des betes vives, etc, vivantes sur roche, en lévitation (ce petit monde) et sous l’emprise en eux et en elles d’une force tellurique incantatoire de première main, je gratte la roche, je suis cet homme outillé, je pénètre en elle, je suis l’homme au membre sailla nt poussant sa misère dans la roche du temp^s déroulé, je m’immisce : nous nous immisçons,;  nous solmmes deux à nous immiscer ! nous nous immisçons, nous nous immisçons, nous sommes deux qui  nous immisçons, nous entrons dans cette roche de paroi, nous sommes entrés dans cette roche de parois meuble, nous soommes à présent immiscés , nou!s sommes tous deux à présent int&égr&és à la roche dure de la roche meuble de la roche rude des temps ou commênt ? nous sommes deux : nous sommes deux qui allons dedans : nous sommes deux qui ensemble = main dans la main allons à l’intérieur de  cette rochge aux embruns matutinaux et ce faisant nous nous logeons pàa rmi les betes de prairie, biches des sous bois, cerfs géants de Roche des Prés, ours, ourses, chevaux des effluves, re nnes cxhargeant, ours des cavernes, des lions, des  brezbis, des betes tout azimuth, betes de pârois des hommes = effigies et trompê-couillons, trompe la mort de prezmière, art en tant que telk, etc, nous cherchons ensembvle à comprendre le fin mot de  cette chose desq parois du monde contenant les «betes de la vérité» du monde, et pour cela nbous nous conditionnons, nous parlons à haute voix, nous hurlons lma douleur d’une déchirrure-échancrure de bouche-roche par où passeront des mots, vocables quyi piquent -percent et poussent à une traversée dees a&pparences rupestresx, inchallah ! nous aimons traverser la roche, le temps est l’enfant du mal (mal-douleur et mal-mal!) et c’e’st ainsi que cette chose advient : la vie terrestre, à travers l’événement d’une bouche percée (pas moins !), et voilà  c e qu’il en resssort en termes de vives données : je suis homme des  cavernes au titre de... femme des cavernes au titre de .... homme des cavernes ainsi de suyite, je suis lk’être du bois joli(biche ou cerf) qui gambade à même la paroi du temp)s, mMON nOM est inscrit sur la roche , il signifie l’amant, l’amoureux du temps, l’amant ou l’amoureux du temps imparti à une vie d’homme enlacé, nous allons sur roche à lma recherche d’une vérité qui fît poids dans la balance = nous allons ensemble (enlacés) à la recherche d’une vérité de taille, vérité des Vérités de poids et de taille qui pût faire effet et pesezr

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16/07/2021

je cherche un sembkant de vérité, je cherche à vif et vif , je cherche vif cette chose d’un semblant, et qui pour m’aider ? qui saura me guider ? me prendre par la main qui ? qui va savoir ? qui est là en roche pour ce faire et dès lors m’aider à mieux m’introduire, à entrer profond en cette roche des tourments, qui va savoir ? qui est là pour m’aider gentiment , pour me seconder et me guider vers les embruns ? qui sait cette vérité des embruns ? qui connait les lois ? qui connaôit les charges pariétales ? qui sait distinguer le bon grain de l’ivraie rupestre ? qui charge et fonce et connait les temps ? qui est le grand ceci de la manche ? je cherche à qui mieux mieux comme un homme de la préhistoire, je suis homme ancien au bagou guttural, au verbe acéré comme une lzame, je pique rude, j’entre par la bande, je me glisse par le  verbe dur, je cherche fortune en cette roche des bvérités, je charge : fissa ! j’entre ainsi en pareille rocghe (dure) des embruns de bord de mer, et je me glisse ainsi dans les profondeurs, ainsi attifé de mon habit de bure monacal, je suis homme à vif de la roche rude, homme des temps gris, maussade et pluvieux, charmeutr de serpents ou dompteurs de félins, homme de la manche et des tourments, je fais l’aumone , je suis nhomme rare, cheargeur grisou, dompteur à la manque, prince déchu, coureur de jupons, chercheur d’or, qui suis je ? je vais en cette roche dure chercher les serments adoptés, les phrases acquises, je vais en roche des temps brefs à la revoyure, je cherche les mots de la phrase donnée, le sentiment avéré, les paroles d-’évangile, la courtoiseii, je suis homme de la roche des temps impartis à cette vie de rage, je suis cet homme-femme des temps alloués à telle vie de ragee rupestre, je m’amuse ainsi de cette rage, je mords dans la roche du temps, je suis homme-hombre des temps fous, découverts, à vif comme une plaie, ouverture dans kla chair blessée, joue percée pour une échappée de bêtes de rage, je suis homme ouvert comme une plaie de bouche , laissant dès lors de lui, passer ces bêtes de poids, ces bêtes de grosse présence, les laisser filer par ce trou de soi et aller ainsi bon an mal an se ficher direct, sur une paroi de la roche des temps, s’incruster (gravures) et se loger ainsi, se chevauchant, à même la roche, je regarde le spectackle des embruns, je suis bouche bée, je vois la bête sur roche aller de son pas princier, je suis homme des embruns des parois de roche, je suis cet homme aux allures de peu, habillé-ar-ttifé à la six quzatre deux sur paroi, je suis entré comme secondé par, en moi, la bête des rois de la roche, je suis soupesé, soulevé, mû, je suis entraîné par une force en moi animalière, ilm s’agit d’un appui forcé, une main de rage, un souffle épique divin, une accolade etc, qui me prend la main ou quoi d’autre de moi qui file, qui fonce, qui de rage fonce ainsi secondé, je fonce à même la roche du temps et je me glisse au beau milieu des betes de rage, je suis homme des parois, je vois ce qui est de la roche des temps, je m’en approche, je file doux, je suis gris, vert, bkleu, homme de peu , charmeur de serpênts, homme des sables, des tourments de ta race mère, donneur d’envie de rage, soulageant la bete en moi de son envie de rage, je tombe ainsi, je suis en une sorte de lévitaztion porteuse, ou comment dire cette retombée, cette chute en elle (paroi) donnatelle, ou comment ? je tombe ! je tombe vif ! je tombe de tout mon poids dans la roche ! je tombe vif de tout mon poids dabs la roche ! je suis cet homme qui (de tout son poids de bete massive) tombe «dans» kla roche de temps alloué à vie de base ! je vais en roche ainsi projeté par en moi la bete des temps, bete rosse et tourmentée par son envie d’en (de moi) découdre fissa , plus vite que ça ! je vais ainsi $sur roche à la recherche de la vériité sur les choses du monde , je suis permanemment à la recherche de la vérité à proppos des choses (ici) du monde pariétal, des betes de voix, betes rosses et trappues, bouquetins ! je vais syur roche et trouve LE bouquetrin de la roche : homme-bete des p^remières loges, il se plaoit à gambader, sautiller, grimper, paitre ou manger des baiees, je suis l’homme-bouquetin son frère, amitiés précidpitées, je vais en son fief de roche à la recherche de la vérité ici logée, je suis homme des embruns diurnes, des mauvaises passes, des troubles dans le genre, des leçons de flottaison, des cris de rage, je suis homme du temps des embruns nacrés et je m’approche de lazbete, la bête des prés et des bois, je suis près d’elle swon dompteur, son ami de roche, son étai, son charmeur, son correspondant, sa douce amicale attentive soeur ou cvoimment ? car sa voix est gutturale et retentit fort dans les champs , il s’agit d’une bete de roche rude, homme-bete de paroi des temps dxonnés, je vais sur elle la chevaucher et filer ! je file ! je file à l’anglaidse parmi les autre s bêtes de la roche rude ! je suis cet homme des cavernes au baton brûlé dessinant ces traits, ces cornes, ces points, ces yeux, ces silhouettes, ces mains, ces combats, ces cornes, ces bois, ces vbulves et aiutres efgfigies de roche, hjje dessine à l’envi des portaiits du monde pariétall, je suis fin guerrier sur la roche rude, je grave kles traits qui s’imposent, je suis pris au collier, soulevé comme une jupe (détroussé comme un riche rentier par la bande , je suis homme et troussé et détroussé, pillé de l’intérieur par une force-rage en moi qui vous lamine vite fait, qui vous prend d’assaut, qui vous fiche à plat sur la lande, le nez dans les fougères, je suis pris pzar en moi une bete des rois, bete fauve de paroi du monde, une betye en moi me soulève,;, charge son baudet, me couche littéralement sur roche à graver et me pousse, me condamne etc, je suis homme pris comme un sang pris, à percer , à tailler pour une vidange, etc, je suis cet homme des embruns montant sur roche, je vais et je viens sur roche dure, je suis soulevé par une bete en moi (de rage folle) qui va sur la roche et me pousee à : me caler à elle, à roche belle, me caler sur elle fissa et graver, qui l’aurochs, qui le bouquetin, qui le renne, qui le bison, qui le cheval, etc, l’ours des cavernes menaçan,t, le lion rugissant, le rhim

noczéeros, ke buffle et le sanglier, l’antilope de prés, Bambi, je suyis homme de la roche des bambis, des chevreuils comme Bambi, des biches douces, je suis homme dur de la roche douce, homme du Temps, charmeur de serpents , enfant de la balle, donneur de leçons rupestres etc, je lm’infiltre comme bete de charge en  cette roche des embruns de bord cde mer, j’entre par la bande, je suis fier, donné, colère, homme des prés, chasseur estivalier, etc, je charge squr roche de toute ma superbe boisé, chevreuil ou faon de terre mère je m’infiltre et montre mes bois, je suis fier comme un seigneur des prés, je vais sur roche à la recherche de la vérité, des temps incertains, des parois du monde : cet espace -temps des embruns, des effluves, des virées de rage, des nuages et des traits de rage sur la roche : points surnuméraires, tracés au bâtonb, cercles de l’enfer, mains à la toque, nous sommes deux qui gravons en moi , elle et moi, c’est à dire donnatelle et moi, je charge ! je suis cet homme soulevé par une force incandescente en moi , qui a un nom, ce nom est un nom de rocghe, un nom de belle prestance (romance) et ce nom est vif, vif de rage, nom de base pour paroi de rochge, nom de nom qui va son chemin, nom des noms de la bande etc, jean de la branche dure etc, je file ! je suis Hombre des chevaux, des bisons des toits, je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe sur lke champ, je suis homme tombant de la sorte sur un champ de roche, je suis l’homme des tombées et retombées sur roche des temps, je suis homme-aznimal des oparois du monde, je cherche à savoir ce qsyui est ici de cette rocbhe des embruns, de pareille paroi de roche du temps, ce que signifie cette chose forte, cette force de paroi, des temps durs, des temps endurcis, nommés, caillassés, etc, nous sommes deux pour faire ainsi quye le nom perdure ! je cvherche à comprendre ! je suis fier comme un serpent ! je redresse mon cadavre ou quoi ? retour des enfers ? perduraison, perduration , perdurement, perdurance ? je veux etre et comp^rendre l’etre , savoir long pour aller loin en pareille roche ! je suis homme des prairies et des bois d’alcove! je chercjhe ! je suis en cette rocghe des apprêts du monde, comme un dieu pariétal de la force rude, dieu du sang envahi, dieu rivé à une chose déployée sur roche, dieu meurtri par la bande, ceet etre de la rochge rzaide, tombé à ka rebnverse, dépoitrenaillé, qui se laisse approcher, qui parle en mon nom de bete et dit ses tourments tous emmagasinés, il dit : «je suis le dieu vivant de la roche, je parle une langue fauve, mon nom est un nom d’smprunt, je cherche pitance , je suis le moins-que-rien de cette roche des apprêts, je m’en veux d’etrte, je ,ne suis rien qui vaille, laissez moi pleurer toute ma misère de taille «, etc, je suis hommùe du temps des batailles pariétales sur paroi du temps, je cherche à comprendre qui est qui  : qui est moi , qui est toi, qui est lui, qui est elle, qui est nous , qui est vous, qui est ils, qui sont ils, qui sont  elles, qui sont elles, qui sont ils, qui dsont eux, qui sont les dieux des rochers posés sur la lande, qui sont -ils ? qui sont les dieux et les déesses des parois, qui sont les choses rudes, les tourments? qui sont les tourments ? quyi sont les choses rudes ? qui pleure sur roche ? qui est qui ? la mort est elle au rendez-vous ? a-t-elle du chien ? doit-elle nous voir etre ? est-elle une chose vide ? un  caillou ? nous pleurons à notre tour, nous sommes deux sur roche à chercher de quoio nous sustenter cvonvenacblement (à notre faim) et pour ce faire nous grimpons sur les hauteurs à la recherche d’une vérité de poids, vérité de rage dure, vérité des vérités, nous cherchons cette chose ensemble (de concert) dans la lande, une denrée, qui puisse nous contenter un tant soit peu et nous nourrir un peu, nous sommes deux pour faire cette chose, chercher la chose de poids qui puisse faire ainsi que nous soyons (nous deux) sinon rassasiés du moins contenté un tant soit peu, nous voulons comprendre les données de base, les tourments du firmament, lkes parois ornés, les mots de ta rage folle de paroi, homme des cavernes  : qui es tu pour nous qui sommes tes frères ? est tu l’homme des bois de la roche rude ? vas -tu chasser la bete au piquet ? es tu l’homme des chasses vaines ? chantes tu kle chant de la guerree ? as tu du chien en ton ^me et conscience ? es tu fier ? as tu raison ? es tu de la partie des chances ? es tu vif comme un damné ? es tu charmeur de betes rac»ées ? vas tu loin dans la foret ? es tu une entité pleine d’elle même ? je suis l’homme des cavernes soulevé en moi par une force surhuma ine (surnuméraire ? ) qui me pousse «au cul» et me force à (fissa) entrer dans la parooi dessiner des betes ! je dessine des aurochs ! des betes de poids conséquent, je suis homm des tourments de roche rude, jke suis homme des tourments de la roche du temps, je suis homme du tourment menaçant, je suis l’homme des embruns, des vérités nacrées, des dangers de roche, des trouées, des percées de bouche, des cohortes animalières sortant de ma bouche ouverte, trou de bouche hurlant sa peine à l’occasion ou pour l’occasion : je suis traversé, je suis piétiné comme quyi dirait, je suis pris d’assaut au taquet par des betes de charge sauvages, rudes, grasses, qui me chevauchgent, qui me prennent, qui me hantent, qui me soulèvent, qui me font cghuter de toute ma hauteur en roche, déclinaison vive ! je suis à la renverse en roche des prés, je chute de tout mon soûl, je suis ivre de la chute rosse, je suis cet homme de la chute rosse, je tombe sque tu ttomberas fissa, je suis l’homme des embruns des roches meubles , des parois de vérité, des tempsalloués à des vérités de roche dure, je tombe ! je suis là sur roche qui tombe et se lazisse emporter oar une fgorce en moi (considérable) forte comme tout , qui m’emporte vif, qui :me fout à plat, qui m’exaspère, ,me met plus nbas que terre , etc! je suis homme qui (considérablement) va sur terre à la ramasse, va, va sur terre à la ramasse, va, va cvomme sur terre à la ramasse, soulevé et projeté par cette force en xsoi qui «pousse au cul» et vous fiche à terre plus vite que ça ! une sorte de bete en soi ! une ou des betes, betes rudes s’il en est ! des betes en moi me chargent, me mettent à plat, me mettent à mal, me font du tort, me font mal, me blessent, me trouent;, trouent ma joue, trou ma figure et forment de ce fait ma bouche d’homme qui rit, je suis cet homme des beautés de rage rupestre, je syuis le Grand Dessinateur de roche de paroi, je m’appelle en  capitale, je suis Cerf de Roche des TEmps du Passage des Tourments de la Roche Dure des présents Donnés par la Bande Nacrée d’une Joie de Roche profonde, je suis dépourvu de données de base, mon nom est l’antépénultième ! je ne suis rien ! je suyis que dalle : poinçon ! je ne suis rien de plus que le poinçon de sa charge humaine ! je pleure misère ma joie de vivre en roche les temps octroyés et rien de plus que cette chose donnée par en moi une bete ditec «de paroi», je suis aurochs le sage des prés, Antilope la belle gourmande, une sommité des prés de la lande, un homme-somme, un troupeau figuré, une somme de données maussades, etc, mon coeur est le coeur des temps octroyés, je cherche la vérité par la bande traçante sur roche des betes de roche rude, je m’appelle Poinçon le cerf, ou cvomment ? charmeur ? charme ? arme ? ame ? art ? je tombe ! oh me voilà qui vais droit fissqa sous mmoi ! sous mon être mien qsui se tient dans les airs de la roche rude ! je tombe à la renverse, je suis pris de force et tombe vif ! je suis homme de la roche rude et belle, bellement ornée poar un homme des cvavernes, mon sang bout en mes veines et artères, vaisseaux de nuit, je suis celui qui tombe bvif, à même la roche, de tout son poids, sur pareille paroi bellement ornée ! je tombe comme une meu, comme une sorte de... je tombe sur le bec ! je tombe ! je suis l’etre fou de laroche des temps alloués, qyui va de son élan , ou y va de son élan brusque, à même le rocher des prés, se loger ainsi attifé : robe ce bure ! chandail tricoté main ! sandales de pénitent, de chanteur à la croix potencée, ceinture de chasteté ! je suis l’homme des attrreaits de rage, sombrant sur la plage du termps donné, homme découragé, miserable, tombeau de son allant de roche, tombeau de roche nazissan,te, ce tombeau fait homme, etc, je deviens le chantre maussade d’une destinée de rage allouée, je cherche pitance ! donnez moi de quoi me reswtaurer de graâce ! je suis affamé ! mon corps réclame ! j’ai la dfalle ! merdxum de  chez merde en branche ! de quoi me restaurer = baffrer de grâce ! jai la dalle grave !une faim de loup pour ma place ! je suis homme aux fringales vives, aux espoirs récompensés parfois, aus ambitions cdémzesurées, au chant d’azur, aux sauts de carpe pariétaux, au souterrai,ns, aux ravins, aux effluves etc, je vais et je viens en roche à la recherche (vive) de la Vérité Vraie des données du monde, cette vérité du bout du boud du bout du bouts du bout du biout du monde, là, à cette place des doonnées de rage, en ce lieu des présents déposés (offrandes) pour complaire à qui on sait, on regarde : il y a de la meu, ça cocotte ! la mort n’est pas loin il faut le croire et nous le croyobns ! croire ici est synonime de parler ! je parle = je crois ! je suis homme  du sang dans mes veines allant son chemin de rage ! je regarde par dessus la Chose devant moi (embruns) et que vois je ? une déité de façade ! un chenapant ? une déité troublée par la bande du temps, cette bande rosse, les tourments, les effractyions, griffures et autres pendaisons etc, la mort en a marre ! elle  v eut du sang frais, non des victuailles au rabais ! ce qu’elle veut ce n’est pas MON NOM ! ce que la mort veut est autre chose que MON NNOM ! elle veut.... elle veut .... erlle veut .... elle  veut de mon moi vivant tout cru ! elle veut «attenter» à ma vie, elle veut mon ryhtme cvardiaque des profondds, de  cette en moi profondeur de champ, etc !  elle me veut vivant et pas mort = des p^zarties ! elle me veut en tant que tout , elle ne vzeut pas de mes parties de rage : temps passé brûlé, nom d’emprunt, aéchandges, dépositions de race petiote, dépots maigres, faux filets, entrecote, rapines à la dérobbée, doucveurs fines des retombées sommaires, la mort veut la vie ! point barre ! une sorte d’envie follement ancrée en elle : incrussté comme la perle sur sa châsse de bague d’or ! je suis homme au sang chaud , je cherche à comprendre bien ce qui est qui est, et voilà ce qui est : la mort veut la v ie pour elle ! la mort veut la vie pour elle ! la mort veut pour elle kla vie ! la mort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie pour elle ! la lmort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie poour elle ! la mort veut pour elle seule cette vie de moi surnuméraire : ce chemin de plage, cette voie d’accès vers la mer ! elle veut ça ! la mort veut de ça de rage dure, , la colère en moi, les mots les plus crus, la vive charge des embruns des temps brûlés, toute l»’énergie en moi rugissante, etc, sous sa forme la plus directe , native, juste, pleinement naturelle (pour le dire ainsi ) = la vie ! la mort veut la vie ! la mort veut elle la vie morte ? non !!!!!!!!! la mort veut la vie vive ! mais dès lors comment ? that is the question ? comment être ou ne pas ^tre en vie ? je cherche à savoir ici la chose d’une vie offerte en vie, colmment faire ? si la vie meurt, la vie n’est plus la vie mais la mort, et si la mort attend de nous un don de vie vive, comment faire alors ? je cherche rude ! je cherche raide ! je cherche dur ! je cherche de bois et de ramure ! debout et direct ! hombre de la nación ! je  veux croire en toi la mort cvomme en quelque chose de surnaturel, c’est à dire comme en quelque chose qui serait en plus de ce qui est et qui gravite ! or quoi ? la mort est une entité réelle (on voit mourir autour de nous des êtres) mais voilà le hic : la mort n’est pas une entrée de roche ! elle n’est pas ouverte comme une porte ! elle se tient close, bouche bée, porte close bouche bée ? ou comment ? porte close ou bouche bée ? je cherche ! je tombe ! je tombe de tout mon poidfs pariétal ! je suis dans les tourments ! je tombe vif à même les roches des temps des vies de rage ! je suis dépassé par en moi la rage des b etes ancrées , je suis pris par en moi des betes de rage rude : elles hurlent de faim ! elles sont affamés comme des bébés ! donnez leur à manger ! mais qyuoi ? de la rocxhe de temps ? des tourments ? du charbon de bois ? de la pierre meuble ? des baies ? des embruns de mer ? de la clarté ? du noir de jais  ? qsue donner à des betes en soi qui trépignent d’impatience (de sortir de moi) et quyi meurent de faim et le font savoir en hurlmant sur roche leur misère de betes en demande ! nous sommes ensembvkle (main dan,s ma main) des etres à la faoiim prégnante , nous cherchons pitance sur les chemins, nous voulons comprendre le cmon,de et ses tenants de base et zautres aboutissants de rage, notre but est affiché sur les chemins, ici ou là, en lettres capitales : MANGER, car le manger est la chose de base, avec COURIR, avec DONNER et avec PLAIRE, voilà le carré secret, les choses cruciales, les données de rage perso, le temps déployé, voilà ce qui est en roche qui compte, ces données de rage rude sous le vent et dans le sang, il ne fzaut pas confondre les données mùais les apprivoiser (se les apprivoiser) pour bien les cerner et les comprendre à leur h-juste prix, nous donnond nos noms sur la bande, nous donnons des noms, nous donnons des mots de rage bestiale, animaux mots de compagniev pariétale, ces mots sont des betes fortes on le sait et ne comblent en rien, le dieu de la roche des temps mais voilà , nouys n’avons pas tout à faitvle choix, nous sommes mus ! nous sommes entraînés à de nous donner des pis-aller qui puisse le faire un moment donné, et à voir pour la suite des choses, nous verrons, nous devons aller en roche et comprendre les choses du monde, nous ne devons pas défaillir mzais tenir, tenir bien droit et debout autant que possible,  ous devons nous montrer vifs, nous devons peser sur le chemin, de tout notre pas, nous devons poser le pas de roche sur le val de la paroi rude, nous marchons, nouys sommes hommes des marches forcées, desz poussées rudes, des appuis outrés, des outrages vifs, des volontés à satisfaire par le sang, notre nom à tous est an,imalier, je me prénomme Bouquetin le grand, (ou le mince ?) et vais de mon pas de géant à travers vals et plateaux du coin, je m’appelle Bison le géant (ou le minuscule ?) et je vais de  ce pas à travers les prés et les champs, je m’appelle Aurochs l’imposant (ou le récalcitrant ? ) et je vais à déposer mon pas sur la paroi cvomme d’une gerbe sur une pierre, je m’appelle Antilope la grande gigue (ou la petite voix) et je cours fissa vers la roche et ses embruns de joie, je suis homme de laroche vive, des ornementations dépourvues de joie, des peines de coeur, des ressentiments, des tristesses, des pleurs, etc, je veux changer le temps des paroles rudes et parler la voix de la joie, dees roches du sang, des roches rudes et vives du sang, etc, mon nom est le nnom donné par la ba,nde en soi qui est bande rude des tourments de charge passée, je veux dépâsser ces charges et tomber sur roche comme un nouveau né pour une relevaille de roche ancrée, je veux d’une re(con) naissance imagée : roche rude, vive toi !  vivement la loi nouvelle ! la pleine mesure pariétale, le plein de la joie rurale ou comment ? je dis la joie en ce jeu de grave allongement des temps, je veux dire cette joie du sang, ce roule-barricot de l’âme sur la roche, cette cxhevauchée de betes au couteau, au baton de bois brulé , je suis l’homme des cavernes enfant, je joue la mise, je joue au marchand de perles, je joue au caillasseur, je joue au merdeux, je joue à la princesse, je joue au chercheur de poux, je joue au valet de ferme, à l’écrivain, au dingue de la partie, au dingo du teonneau, je joue à cache-sexe, aux remparts, au dieu du sang de la bande, à l’inclusion, je joue au pendu, à la roulette russe, aumorveux, au kilo de merde, au chien errant, je joue au facteur et à l’usager, au chanteur de charme, à car$eme, au dieu de la roche, à l’homme des cavernes, je joue mal au petit soldat, à pisse menu, à la belle  terre, au ventree mou, au trou de balle, au chant doux, à la carmagnole, je suis un homme des embruns natifs, je veux vivre vie de roche rude au milieu des bêtes, je bveux cette chose pour moi et les miens, mes congénères, gens proches de roche, ma propre tribu, concert, cercle, musique des parois du monde en feu de joie, nouys faisons sur roche ce que nous faison,s : dessins de bisons à l’arraché, de bouquetins vifs, de rennes des prés, etc, et cela d’un seul élan qui est celui de l’ombre portée dans le sang : nous sommes envahis, remplis, nous sommes pris, tenu, nous sommes soulevés, soupesés, nous sommes bousculés, pôussée, nous sommes meurtris, blessés, nouys sommes vus, mirés, nbous sommes secondé, doublés, nous sommes mus, actionnés, nous sommes revetus, attifés, nous sommes dénudés, changés, etc, nbous voulons entrer dans la roche des temps et voir de fgace  ce quik nous atten,d, à quoi çaressembke, ce que c’est, ce qui est qui nous attend, ce que c’est qui nous attend devant et ne nous fera pas la grâce de nous «oublier», hélas ! car nous szommes vifs de rage et nous sommes ensembkle (pris ensemble) comme deucx qyui (de tout temps, en eux) ne veulent pas mourir, céder et tomber, nous voulons aller d&ns la danse du tempsqn, entrer en elle fissa par la bande et n’en plus sortir à jamais ! responsabilité ! choix de vie ! prise de consciebnce ! décision mesurée, pensée, pesée, affirmée et affichée,; notre but est clair et net, et tient en quelques mots d’usage, en quelques phrases : je suis je l’homme des cavernes (à jamais), les mots sur moi m’attifent comme je ne sais quoi qui , chaque jour, rajoute du ridicule de façade, je suis homme des parois du monde, je suis enveloppé d’une sorte de textile rêche qui me gene aux entournures, je suis je l’hommev des embruns nbacrées, je cherche une voie d’acvès à même la roche : cupule ?  je ne trouve pas, je cherche ! je suis l’homme des doutes avérées, des sentiments passagers, des dessi,ns de roche, des paroles exemplaiores, des beautés de rage, des temp^s alloués, des pistes de chants, des voix d’outre tombe, des passages de charge, des betes mots de belle tenue, des amitiée animales, des nudités, jke suis homme des passages rudes à travers la roche naissante, comment faire pour s’y retrouver et comprendre ce qui est en  cette rocghe dure de la  vie humùaine élaborée ? je cherche ! nou!s cherchon,s ensemble ! je suis homme des parois rudes ! je ne trouve pas  je cherche ! je suis fin d’azur, fin des données vives ! je m’affine en progressant, j’e,ntre en lévitation, je tombe des nues, je m’interpose ici, sous l’oeil de cette Chose rude des devants, à même la paroi touchée, et me glisse entier (en entier) dans la roche locative , je suis l’homme femme des tours de rage, je cherc he issue en pareille  pa roi, je tombe sur la roche dure, je suis l’homme d’une chgute raide en pareille roche, ça me va ! je tombe ! je suis tombe ,  je suis une trombe, je tombe, je vais sur roche, je suis l’homme qui va  squr roche, je suis l’homme de la roche allouée et je vais en elle fissa ! je cherche une voie de passage en contrebande , je cherche une voie d’accèes pour la contrbande ou par la contrebande et cela pour me lmoger fissa vcomme le roitelet dans le trou d’une roche  dure, son nid douillet faisant, etc, moi itou : nid d’emprunt pour une installation de fortune, ma fortune, cette chose rude de la roche à explorer, un nid pour sa peine, etc, je veux ! je dis que je veux ! je veux quoi , je veux vivre vif et faire accroire ! aller loin en soi ! chercher la rage en soi, chercher à comprendre en soi la rage qui bout et fait son chemin de paroi ! je cherche ! je cherche raide ! nous chercvhbons !bnous cherchons raide ! nous vouylons comprendre loin ce qui est en roche des temps : la mort notamment, l’ouverture des sentimùeznts menaçants, etc, la mort est une entité à part entière, elle se loge près de soi comme une tombe de son moi de rage, il s’agit de cetteb chosec commùe quoi je suis fait de telle sorte que je vais (un beau matin) passer l’arme à gauche, et moi de m’offusquer (rage) de toute mon âme, car je ne veux pas ! je ne veux pas cde cette cxhose ! je dis non ! je dis et redis non ! je dis : merde ! je dis merdum, je dis mille fois merdum, je dis mille et une fois lmerdum , merfde !car je suis un homme des cavernes et mon coeur bat fort sur ce tas de roches dures, petit tas terrestre dx’un lieu précis ou d’une cavité précise, je cherche à comprendre lesz données les plus subtilesz, les ressorts des ^profondeurs, les arcanes majeurs, les raisons et les motifs ! je suis un homme dit «des cavernes», je cherchev à com^prtendre les données données, de ce monde des parois, ce quye pareilkles parois peuvent bien receler en leurs seins, ce que pareilles parois comportent en termes de données vives et riches de vérité, je syuis cettte personne de la roche , qyuin veut com^rendre, qui chgerche en profiondeur à trouver des pistes de compréhension subtile, je suis en qu ête d’une chose vraie, d’une cghose de poids dans le domaine de la vérité la plusq ancrée, je grave des betesmots sur roche, m’immisce ainsibpour ce faire, je suis une personne de la roche des temps  , qyui pousse le bouchon plus loin chaque jour pour comprendre , ou sinon le  bouchon la Chose, ou comment ?, je chezrche vif à comp^rendre le pourquoi ces choses, le pourquoi des choses ainsi, le vpourquoi des choses se passent ainsi sous nos yeux, qui est derrière qui, ou quoi est derreière qui ?. qui comma,nde ? qui commande le chantier ? quyi dirige ? qui est à la barre de soi ? qui parle en moi ? quii marche ? quyi veut en moi ? qui s’énerve en moi ? qui s’emporte en moi ? qui pleure en moi ? qui pleure en telle ou tele personne ? qui vibre en moi ? qui sepose un peu là en moi en tant que chercheur à la ramasse ou comment ? apprenti , apprenti)chercheur et apprentie-chercheuse? je veux savoir la chose ce qu’elle est ou serait au juste pour moi quyi me tiens ici sur la roche, qui fonce, qyui est l’homme de la roche dure à cdevoir graver le plus vite possible, la vie (la mort ? ) n’attend pas ! je me glisse en  cette rochge de la groptte, je suis entré en elle, je suis bien  calé en elle, je veux toucher kl’extrémité du monde  mais cela sans devoir succombezr aux charmes d’une déité quelle qu’elle soit ! je veux traverwser la rocghe sous le vent, l’oeil vif, alerte, les  cheveux au vent, l’esprit libre de ses mouvemenrts, etc, je veux trouver le pot aux roses d’une affaire de parois et de tourments meurtriers mais co;mment faire ? je cherche subséquelment, confraternellemùent, innocemment, subséquemment, principalement, idiotement, volontairezment,  nuitamment, diurnement, quotidieenement, crucialement à comprendre ces données du mùonde pariétal, ces betes qui ornent lza roche, significations, conception, etc, ce que c’est qye ça ! qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? squi est derrière ? qui donc est derrière ce dessin d’aurochs ? qui donc est derrière l’homme des cavernes ? qsui donc est deriikèrev la bete ? qui donc est derroière unev pôssible déité surnumérairev(de rajout, raccroc et au rabais ) : qui ? la femme de l’homme ? l’homme de la femme ?, qui ? jre suis incapable de le dire ! j’ignore ! je ne sais pas ! je ne sais rien xdetout cezla ! je cherche à comprendre de puis tant et tant de temps eh bien malgré tout jhe n’en avance pas des masssees, je suis souvent sur le carreeau à chercher pitance en cette matière, je suis un homme frais (fou) qui chante à tue tete sur roche sa compla inte animalière, sa peur d’avoir à) en découdre fissa , je  cherche une chose rude, je cher che en moi (sang) ce qYUI est qui me gouverne volontairtement incifdemment, et  ce vqui me gouverne le pourquyoi il me gouverne etc, l’homme est l’animal cde la fable, la fable est la voie de rage, La Fontaine aufirmament, son image planetaire comme la (chose) qui parle  plus, ou plus plus, du fait de son rapport aux betes de paroi ! je vais et je viens en elle doucement, sur un pied puid l’autre, je cherche à me ménager car je veux durer, je ne veux pas mourir trépané ou va savoir , pris à partie : assassiné ? ou sous le coup d’une rafale de mortier, ou comment ? je suis homme-en,fant de rage folle , je colle à la roche du temps , je colle à la roche dure, je colle au temps de la roche des temps, je colle ma face aux parois froides, , à même la paroi glaçante etc, je suis le nouveau né de ces dames et de  ces messieurs, je suis un drôle d’être menaçant la paix, de roche rude, du fait de sa venue brusque, un temps, un temps menaçant et troublant la paix de la place, car bientot je ne sezrai plus là, je serai parti,je serai ailleurs en d’autres lieux de rage, autrtes zones sde déteznte, autres parois à orner  fissza, etc, je suis hommùe des cavernes, je porte une robe, mon coeur bat de sa vie claudicante, je m’apprete à graver sur roche l’aurochs dela fable, je syuis le graveur émérite, je suis l’homme dur des parois mobiles des temps a lloués, et je vais et viens fissa sur roche comme un nouveau né de sa mère, de son père, de ses frères et soeurs, de sa confrérie tribale, je veux !  je veux croire en ma bonne étoile ! je veux passer le cap de la rochge ! je veux vivre vif ce cap ! je  veux plonger fissa en rocghe du temps et ne pas succomber aux cvharmes déca pants de la roche dicvine, soit de cette chose rude des devants : dieu du ciel vibrant dee sa belle musique, je ne veux ! ce que je veux c’est ça (vivre) et ce que je veux pas c’est ça (mourir) car la mort en moi n’est pas une amie, la mort en mpi eswt mon ennemi, la mort en moi est e lle une amie ? la mort en moi est elle une ennemie ? lma mort est elle notre alliée-amie ou quoi d’autre ? je veux vivre pleinement ma vie de roche : aurignacienne,, magdalénienne, etc, mon nom est : spigolon, je porte ce nom de la bande : spigolon, il s’agit d’un nom d’un emprunt pazssager, je ne suis ni ne veux etre spigolon le sage, ni mêmev «au rab ais, « ni mêzme «l;’enraghé», je suis spigolon lm’enfan,t de sa rage;, seuleme,nt l’enfant : l’aventurier du bois joli, le faon des terres meubles, l-’enfant- faon de ses dames et de ses messieurs , furet, carmagnole, le pont d’Avignon à qui mieux mieux, passez muscade ! je suis de laroche du temps ! je suis homme dingue des tourmentds du bout (du bout ?) du monde pa riétal, je cherchje une issue , je chgerche avidement !  mon corps est pris dans lkes filets d’une paroi du monde, car mon cvorps est entré par la bande, de biais, sur le pouce, comme une limande, pris )-à part, comme soupesé puis déposé comme un nouveau né, écrin de sa mère, chaleur et moiteur, :le sein à portée etc, mon coeur est ouvragé comme une déité de roche, comme un objet de vente, comme une sorte de beauté» du genre, etc, mon nom est MON NOM ! il s’agit d’une donnée de poids, cette symétrie d’approche des parties, cette faille en leur milieu$, ce miroir, ces trois élaborations de part et d’autre d’une faille-couloir de principe , etc,; je cxhertche vailla mmeznt ce qui est sur roche, ce qui s’y élaborefissa  par la bande : qui est qui = qui est derrière qui ?ou : qyui est derrière x ou qui est derrière y ? car nouys ne savons pas ! qui est derrière moi ? qui est derrière machin ? qui est derrière le vilain ?. qui estv derrière le sempiternel sentimental ? qui est derrière cette voix de charghe ? qui estv derrière le cheval, l’alouette, le chacal, la beleztte, le chandail et l’amulette ? qui ? nous ne savons pas mais nous savons que cette chose existe, la question du «qui derrière ?» ! forcément ! nous  ne sommesc pas seuls ! nous ne sommes pas seuls en nous, nous sommes plusieuirs, nous sommes plein, nous so:mmes un nombre conséquent de betes de foi en nous, bnous sommesen nous toute un,e syuite, une cghiée, une c onfrérie, une tripottée, une quantité non négligeable de pêrsonnes ou de betes ou de voix ou d’etres ou de dieux ou de quoi e,n nous, cela est indéniable et nous le savons ou le suubodorons, nous sommes plusieurs en  nous, nouys sommes plus qu’un , c’est à dire plus que moi tout seul ! je suisq l’homme-bete des attraitqs, je me documente fissa par la bande, j’essaie de comp^rendre, pourquoi mon nom, celui que je porte et pourquoi pas un autre, un nom neuf, nouveau , le nom de quelqu’»un d’autre, etc, je suis un hommecdes cavernes, je dessineà main levée des betes de poids sur une roche affectée à cela par moi, je suis outillé, j’ai de quoi tracer ou graver des bvouts de choses adaptées )àà faire dezs choses sur roche, mon nom n’exisqte plus, il a disparu du champ lexical de la terre, mon nom s’est perdu en chemin et ce qui reste n’est rien d(autre que cela,  ces dessins de rocghe(et autres gravures : au même titre) et aussi klev reste, objetscdu quotidien peut -êttee, quelques peccaddilles, etc, je suis un homme cdes temps reculés, mon nom est perdu à tout jamais, je ne suis plus rien que mes dessins, mes deesins sur roche son t des mots de roche, la rocxhe parle et dit son mot de rage dure, comme un dieu xdes temps impartis, parlerait pour cdire sess tourments, les afficher, dire ses complexes anncrés en son sein etc, jeb  vezux croire en ma bonne étoile ! je suis u,n homme de cr

oyances, je suiis un homme aux croyances affirmées: les mots (chcun) signent une croyance (= la foi) alors même que l’idée d’un dieu supranaturel et logé dsans le ciel m’incommode, or voilà la chose ici : dieu peut-etre pas, mais les mots en bouche ?  car je vois df’ici (roche) ce qui est (vals et plateaux) qui tend à dire, que oui, la vérité est de ce mon de, les mots suffisentv à notre bonheur (à notre destiné) et pourquoi les remmettre en jeu et en qauestion ? le mot-bete est sur roche comme cavalant icelle c’est un fait, un mopt est une bête, une  bête est un mot, je cherche issue dans une roche afin de m’immisqcer fisza et d’aller à larechezrche de la  vérité qui est «de paroi», c’est unevéviçdence , je suis un chercheur de vérités de poids, de celle dont on peut peut-être se  nourrir à bon escient, de celles qui nouys plaisent fortement et dont nous voulons afficher les tenants et less aboutyissants sur rocghe :  qui est qui deerrière ? qui présidze ? qui y a t il derrière l’hommùe des cva ve»rnes ? qui y a t il derrière x ou y ? je  chezrhe à copmp)rendre lesq enjeux vitaux de la bande, qu’eswt ce que c’est que  cette bande de la paroi noble ?  nous voulons comp^rendree vif, nous voulons co:mprendre vif vif le plus, car bnous sommes des enfantsz, et en tant que tels nous voulo,ns découvrir les se crets les plus cachés de ctte aventure, nous ne voulons pas mourir ! notre but est de comp^rezndre ce qui est en roche qui plombe ou tombe : moi ? soit en moi ce moi de roche des betes ? qu’ai-je en moi en fait de bêtye ? laquelle ? la loutre ? non ! le chien ? non ! le chat ? non ! la vache ? peutêtre ! le cheval ? peut êtyre aussi ? un chevereuil ? hé ! Bambi ? je me le demande ! j’ignore, mais je sais qU»’en moi existe une bete de roche dure, elle est en moi comme le nez  a u milieu de la figure, ou comme des entrailles en moi, etc, je veux savoir ce qui est en roche qui m’attend, je  veux dsacoir ce qui est en, rocvhe qui m’attend le plus, je vzuwx swa voir  ce qui est ezn roche qui le pluqs m’atteznd, ;je veux savoir ce qui m’atteznd le plus enn  cette roche des tourrments  et des se ntiments, qu’ewt-ce ? je ne szais à ce hjour qui pourra me répondre et entrer sa voix (son  nom) dans le chapitre : est  ce possible ? je suis homme du temps, mon corpsd est un corpsd du temps mais pas seulement on le voit : je déambule, je fi:le,; je cours, je me jette tête la première, etc, mon nom est comme un c orpds séparé de la roche, je tremble sous lui, jke suis l’homme dur de roche meu ble, mon cprps est le nom de la roche aux passdages donnés, je suis cet hommev de la rocxhe  dure ! je suis homme dur de rochge ! roche rude où es-tu ? où vas- tu la roche ? je suis homme du temps de la roche, je suus un homme du tem^s de la roche, je suis homme des temps de la roche, je suis un homme du temps de la ro che, hje suis homme du temps natif, des premiers instants, du trouble, des données  faciales, des colères rentrées et absorbéeqs, des paroless viles, des parois meubkles, du printemps et de l’été, fdes champs lexicaux menacés, des virées et autres embardéees en roche des temps, je suis l’homme cde la roche desz ^parois du monde : ouvriers de passage venez m’aider ! cha,nteurs à kla croix poten cée venez ! chanteurs aux vêtures de bure (pasteurs , pâroiisiens, imposteurs ? ) venez ! venez voir mes chances de rage à :même laterre ! je suis hommes des raves de rage, plantées, replantées, jardinées etc !  ma voix est  voisx de peu de voix ! mon nom est rupestre ! imagerie : MON NOM ! effet miroir ! cailloux choux genousx , etc ! je suis homme d’un emprun,t du fonds monétaire, je cgherche une voie d’accès par la bande, je suis un homme dezs possib ilités parieto-frontales, je regarde autour de moi et vois ce que je vois, je vois la roche qui treezmble, les parties de cav a lcade, les essais avortés, les tracés monumezntaux : qui est quoi en cette sarabande, ou quoi est quoi , ou qui est qui , nous chertchons , nous ne sommes pas en, reste de toujours cher cher que tu cher hzeras ce qui est , ce qui est la trame, le substrat, le miel, etc, toute une gamme de données de base , je suis un homme des embruns, je suis à la recherche d’une  vérité de roche rude, mon nom est écrit sur un bout de papier et c’est marre (littérature de gare ! ) et voilà pourquoi je lm’enfonce en roche fissqa et plus que ça : volete ! fiche mon aile , va ou vais devant à la volettte, etc ! carmagnole ! je file mon coton de carde ! je suis doux comme un duvet de charme ! douce voix de passage, chant d’azur au cordeau, pâssade, pont de charme au dessus des eaux, je suis un homme doux dee son charme de rocghe pezrlée, ma voix se pose sur la roche dure et grave son chjant mélodieux, la mort eswt mon ennemie radicale (dit-on) mais est ce si sûr  ? qui le sait ? je cherche à savoir ! mon  nom pourrait m’aider mais il ne m’aide pas ! MON NOM à l;’a ffiche, au taquet ! et pourqoi cela ? car je suuis homme de larage au  coeur infil;trée, son nom est la rage même tracée au couteau des benets, je veux ! cherche donc l’image tienne ! où se loge t elle en vrai ?. xsoit  l’image véritable  : où ? où se loge te lle  ? qui ou quoi est-elle ? cherchons donc dfa,ns les fourrés, au creux des anfractuosités de roche, dans les trous de laparole, cdans les fosses co:mmunes de rage, dan,s le sang !  jze cherche le tourment du sang, le tourment dans le sang, le tourment grand du sang ! je wsuis l’homme radical de lma chance rupestre, mon nom est craint dans les donnéesw, il force la chose, il dévie ou dévoie ou dit ce que la roche a ou aurait à dire : que dit elle ? elle dit sa rancoeur ? dit elle sa rancoeur ? que dit elle ? que veut elle dire ? où est elle ? qsue cherche telle à dire ici pour nous autres ses betes de somme ? que bnous dit elle de si rageur ? nous ne savons pas ! nous sommes benêts ! bnous avons peu de profondeur en nous mêmec!  noçtre fo,nd de roche est fin et ne va pas loin ! njous dsommes «sezrrés», nos sommes des benets xde ta rage grave, et de c e fait nous pensons «court», oh court nous pensons hélas !  nos savoirs s’(arretent tout près, ne vont pas bien loin et se perdent vite dans le pré de la roche des tem^ps alloués, nos savoirs sont menu fretin, sont petite don,née de la roche rude, des instants de vie de voie, de vie douce de voie douce, etc, mon coeur bat en roche son trépignement frontal : croix de bois, croix de roche, mon coeur est à l’unisson, d’un e sorte d’emportyement claudiquant, je vais sur la roche dure et je cherche à comptrendre les dommées fron,trales,; mùais vas y les comprtendre bien ! ce n’e’st  pasfacile ! c’est coton ! c’est dur ! cv’ewst méga-dur ! ça va chezrcher loin , niveau niveau ! ça cher che à haut niveau ! ça cxherche loin qsuestion niveau ! surtout pour moi qui ne vais pâs loin queswtion niveau ! qui ne sais aller loin quewtion niveau de base et question échapppées pariétales, etc, je suis limité comme un jouvenceau, je m’avance à pas de rage doucement, doucettement, MON nom est (voilà) à l’affgiche du Temps, je cherche à  creuser la plage mais vas-y ! vas  creuserr la plage, ou la page pare’il, ça suit son chjemin de buffe (buffle)^sagement mais  ce n’est pas xdonné x’emblée et ça pèse lourd ! c’est u,ne chose ! c’est fol ! c ‘ewst pre»nant ! ça passe miseère ! çarend son allant de cxharme au taquet ou pas ! c’est perce-oreille tenxdrement ou pas ! ça pousse sa co;lère ou pas : vassavoir !  le temps est une amulette, la mort est un chant xde jhoie, la roche est une fredaine, la bete eswt un mot de peine rageur, la mort est une voie d’accèes vers des lendemains de fortune, la pêine est ancrée, le ciel est un pis aller, la chance est prin cière, la voix du cviel est la même ezntrée en matière que la  v oix du temps,; le roman des temps est le  vent fou, la  haine eswt la cxhaine desq temps, la cxhaine des vents est la chaine des temps, je vois sur la terre les vents comme se jeter kles uns sur les autres, je suis un hommùe asttral, muni d’un baton, homme aurignacien de la balle et de la ba nde, je v ais et je viens a rmé de mon baton de bois, je deswsine des figures de ra ge animalière,,; onguent, je trembkle, je cdessine sous le joug, je suis =monté comme un animal de trait, je suis l’homme des parois gravées, ornementées par la  bande, MON NOM est de type rupestre : voyez le sur roche figurer ! ma voix est rageuse,, et hurle sa facconde de misère, je vais sur roche au déboté, à la vive escouade, charmeur-chargeur, ou chargeant ma pleine mesure, je suis emberlificotée dans les rets de rochge dure, je dessine les aurochs des roches de tempsq, les bouquetins, les bisons de la foi dans les mots des parois dures, je vais au sein des seins, je me glisse ici vite fait, je suis a insi déposé comme le présent de la fab le, ce temps donné par la bande vive, vite fait bien fait, mon coeur chevauche les traits cde la roche, vivat au pl;us haut des cieux ! les beters xse cxhevaucgent entre elles, s’époumounent, et moi de crier de tout mon soûl ma haine de misère, mon coeur adoubé par un ciel de rage, ma peine est celle qui se voit gravée : bison,s de ta peur, renne de ta haine, bouquetin de ttes tourments, buffle de ta misère, a ntilopes racées de tes douleurs cdiverses : poinçons ! poinçlons du cru ! poinçons ! piquetages ! pique , pique-rage , etc! points d’acupuncture sur la peau blessée d’une bete mot de ta race ! je suis charmé ! je chante à l’unisson des piquetages ! je m’envole dans les prés, sur roche, 

au fon des for^ets, je suis emporté par un vent fou de rage forte, par le vent des fous, par une rage en moi qui me pousse à dire ma chaleur, mon rire, mùa joie de date à date, mes rancoeurs, mes élans de bete-mots, mon aerdeur à la charge, mon sang, je suis l’homme de la pré)-histoire, chargeant (de sa ng) la roche mùeuble, je suiuis Jean de Bure le sauveur du temps, je parle en son nom de jade, iil parle en mon nom de pluie, de court circuit, en mon nom de pluie de rage, de larmes chues, de court circuyitage à) la vue des betes de rage, etc, je suiis l’hgomme des parois couvertes, des pasdsages an imaliers, des présentations finales, lma mort n’est pas mon méttier, mon coeur ruisselle, mon corps est mouillés desx embruns de roche, je suiis mort de ragge dure ou comment ? mi-^mort ? à la vie à la mort ? mort dur de rage dite ? qui dit quoi ? qui est qui ? qui veut quoi ? je vbeux ! je veux ! je veucx ! je veux ! je  veux ! je veux ! je veiux ! je veuix ! je veuix ! je veux ! je le veucx ! je veux cela ! je  v eux dire ! je veucx dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela  comme quoi ! je veuxdire cela comme quoi ! je veux dire cela comme quoi je suis ! je veux xdire cela comme quoi je suis ! je vbejux xdikre  cela commùe quoi je sius !ç je  veux dire cela comme quoi je siuis ç! je veux dire cezl;a comme quku je suis qui ! je veusx diore cela comme quoi je suis qui e,n vérité ? je veux dire cela comme quoi je suis celui qui est cvelui qui dit  cela = cette vérité de la roche des te:mp^s, soit des temps i:mpartis, je suis cvelui qui dit la  érité a nimale du temps ! suis je celui là ? suis je cvelui qyui dit cvela, la v érité des temps de la roche dure, suis je celui là ? suis je homme du te=mps menacé ? suis je un homme des ca vernes ? suis je l’homme des caver nes mena ceé ? suis je l’homme menacé ? suis je l’homme des cavernes vigoureux, charmeur, rusé, trompeur ? suis je un homme des  cavernes volontaire, raccoleur, dessinateur, graveur par la bande ? ai je en moi deq quoi dire le mot de la fin rageur ? ai je en moi de quoi poser sur roche le présent donné ? je file ! mon coeur bat avec la roche , je cherchje une voie dx’abord dans la roche, je v eux m’immiscer , je voudrais, je veux et voudrais m(‘immis cer ! je suis l’homme des cavernes au pouvoir vital, chertchant immixtion vitale, parole vitale, chjant vital,; feu vital, aide vitale, secousse vitale, une entrée vitale dans le sein dxes sein s pariétal, une entrée vitale dans le sas, cdans le sanctuaire, je suis homme xdes vcavernes au sang  chaud, mon nom est affiché sur roche comme suit, effet garanti : MOn NOM, de bure affilié, nom de roche au taquet, chant de bete de roche dure, berceuse

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15/07/2021

je ne suis pas l’être de la mort, je ne suis pas un cheval blessé, je ne suis pas une grue, je ne suis pas une amande, je ne suyis pas un renard, je suis l’homme des cavernes au sang chaud-bouillant qui fonce dans la roche vif et n’en démord pas, son souci est toujours le même , je (il) cherche une vérité de fortrtune et de bon aloi et de de bonne fame, et «qui le fasse» face à quoi face à elle, cette Chose de roche dure, La Mort en personne, dieu du ciel et de lma terre, chamanisme, outrage, colère, vivacité, tendresse dans le sang, rancoeur, etc, je suis Homme Vif , qui cherche à comprendre La Mort, La Mort est une personne, La Mort serait une personne, elle me regarderait fixement depuis la roche aux tourments de vie, elle serait cette Chose vive (peersonnifiée) qui me regarderaiyt de ses 1000 yeux tournés vers ma figure, je suis un homme qui va enn roche me promener et sur quoi je tombe eh bé sur La Mort la belle de Roche, cette Chose des embruns, cette ouverture dans la pierre dure, ce sabot de temps, et moi de vcomprendre une chose, comme squoi je dois aller, dans la profondeur de la paroi dure, je me dois d’aller dans lza profondeur de ka paroi dure et là je dois regarder précisément et sérieusement ce qui s’élabore en fait de vérité, je me dois de regarder précisément ce qui est ici, de moi, ou de la roche = ce qui est de moi ou de la roche = faire un tri ? faire un pas ? comprendre avec soi ? charger la bete ? comment savoir ? je vais ou irais ici et regarderai (je regharde) une roche dure comme les temps, comme les temps impartis -alloués à une vie rude, je suis l’homme de la roche dure ! je suis homme vif de roche dure ! je suis homme du vif de roche vive ! je suis et serais cet hommùe qui vient et va en roche dans le sang ou comment ? je m’immisce ! me voilà qui rentre en roche et comprends les choses des tourments d’une vie d’homme : rancoeurs, blessures diverses, saignements, humeurs et colères diverses, je suis dans le sas déplacé et cherche vérité : qui suis je ? où vais je ? quel est mon nom ? est il le nom de la roche dure, le nom icvi gravé par un homme ancien (des cavernes) et qui me fixe ? ou bien suis je celui là squi n’a pas de nom ? je regarde les embruns, la faille dans ce fond de roche, cette cavité centrale, ce bloc de roche aux apprets, cvette vive anfractuosité monacale, qui suis je ? c’est à dire : qui je suis qui porte un nom , je l’ignore ! je ne suis plus celui là que je fus enfant, ou même avant, dans le ventre de ma maman, etc, je vois la roche des embruns et me pose 1000 questions relatives au temps, je suis un homme des temps reculés, je porte en moi la roche des temps, je suis bete rosse, bete rage, betee vive, bete endiablée, bete remontée, bete coriavce, bete lméchante, mordante, etc, et mon nom est celui de cette bete que je suis !!!!!!! car voilà la chose : je vais et je viens en roche des Temps comme la bete en cavalcade sur paroi de grotte, je suis cette bete de roche gravée, je vais en roche dure et me glisse dans un interstice de paroi et me loge ainsi dans l’attente d’une vérité, je suis homme des embruns de roche, mon nom est le nom donné à la paroi du monde, mon coeur bat à l’unisson de pareille anfractuosité rupestre, mon nom est un nom de rage et de charge : bete rossee, coriace et vive, qui charge que tu chargeras de toute sa force sur paroi du temps, je serais l’homme des parois meubles, prêtes à se voir gravées, au stylet, à la plume, au silex, au pic de verbe acéré et affuté, je serais cet homme des embruns, ce chenapan courant à travers lalande, je suis homme de peu, chargeant comme une bete de roche en paroi du temps, je vais sur la roche et vois cette chose d’une sorte de paroi meuble, presque molle, de la gomme,, une sorte de paroi de gomme, à graver l’effigie directe, une sorte de gomme de roche ou quoi d’autre ? prête pour être gravée à l’envi par qui de quoi en v érité sinon par elle, cette Chose des embruns de roche dure, La (dite) Mort sûre de roche des temps, cette Mort de base, sure d’elle, pleine d’elle, une sorte de belle donnée, un oeuf ? je regarde ce quyi est et ce que je vois est cette chose devant mmoi qui porte le nom de sa roche porteuse, je suis Homme des embruns de roche, je veux savoir ! tout mon être veut savoir ! je ne veux pas rester sur le tas à chercher pitance ! ce que je veux ici c’est cette chose d’un savoir profond, dur, plein, rigide, conséquent, pariétal, de belle tenue voire éternel, «qui le fasse grave «, qui soit le Savoir majuscule, un savoir de tous les savoirs, et pour cela je vais et je viens en roche, je m’immisce, je m’i,nfiltre, je me glisse, je me loge, j’entre fissa, je m’introduis, je me mets en telle roche des passages du temps imparti, jke suis cet homme quuii va et rentre et rentré regarde et que voit il ? la bete de roche près de lui : biche des temps de rage, ours des a$mitiés de roche, cerf au débotté, peuplades a,nimales diverses, chants des pzarois , or voilà ce que je suis : cette même bete de la roche temporelle que je vois = une biche- cerf, un cerf-biche de rage, cervidé à charge, point de roche surligné par des mains au soufflet, pointds , points, points, poibnts, etc, une sorte de cohorte punctiforme animalière, cettye charge dure de l’incantation, ces réitération vivantes, ces appuis de roche, ces mains de passage,, cet auvent, ce chenal, cette voie, ce toit, etc, je suis l’homme des caverness au sang bouillant car je porte en moi la bete du rut, le chant millénaire de la roche dure, la voie lactée, la princesse des 1000 entrées, kle chant de ma miosère crasse aux deuils de rage, mon coeur est sur roche déposé comme une offra,nde en priorité, ma chaleur ou mes chaleurs, mon sang bouillant, lmes envies de vie, mon tout, ma rage première, etc, je dépose sur paroi (art) la chose d’une sorte de tourment votif, je suis homme des dépots sur roche, je vais en roche ainsi remonté pour cette chose à fzaire à vif , et qui est de déposer de quoi satisfaire une sorte de déité pariétale temporelle , qui est elle ? Mort de rage folle de me voir ainsi (vivant) déposan,t ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas la chose ! elle cherche à comprendfre la chose ! elle ne me comprend pas, elle m’observe, elle ne 

me lache pas du regard, elle ne mze lâche pas d’une xsemelle, elle ne me qsuitte pas, elle me suit partout, elle cherche à me capter ou capturer, elle est celle qui me cherche continument et jamais ne me lache vraiment car elle veut de moi car elle m’aime fort, car elle m’adore , elle aime ma personne, elle me veut mort comme ellle ou comment dire ? comme elle devenu La Mort, ou comment dire ? confondu ? gfondu ? pris ? capté ? capturé ? absorbé ? avalé ? ingurgité comme un met déposé sur roche ou sur une table ? je ne saurais préciser la chose à ce jour car je suis le pauvre des esprits du monde, fine fleur de la roche bete, bete comme chou d’une roche dure, pauvre en tout  y compris en esprit malin, fin de peu de rien en somme, une larve d’intelleigence en bagage, rien ou pas loin à montrer en termes de perspicacité, etc, je suis pauvre d’esprit, chant de peu, court-circuit, etc, car kje suis court, je ne vais pas loin ou pas bien loin, je ne vais pas loin en image, en rien, je suis pauvre en termes d’esprit des choses à comprendre, je ne suis pas fort ! je ne suis pas bien futé ! je ne suis pas bien malin ! je ne suis pas bien doué ! je ne suis pas bien doté ! je ne suis pas bien muni ! je ne suis rien qui puisse vous emballer en termes d’intelligence profonde, large, envahissante, globallisatrice, etc, je suis un petit etre de roche dure (bouquetin) qui file sur roche son temps de passage et regarde à brouter son herbe essentiellement au passage, je suis homme de peu de foi en quyoi , en son etre de vie vive ? en quoi d’autre ? mon nom est bouquetin l’Ancien, je suis chantre, je vais et je viens en roche comme une bete rosse de paroi, mon nom est Bouquetin le Chantre de ces lieux de roche, je suis homme bete de céans le bouquetin mâle, et aussi femme-enfant d’une roche des prés, bete femme, bete homme, bete enfant des rochersss, bete des rocghers de rage , femme des prés, homm des sous bois, enfantillage, homme-enfant de rage folle, hurlant la mainmise sur lui et pleurant sa rage première : ne me touchez pas sacripan ç! ne venez pas troubler mon pas ! je suis et veux rester en vie car je suis vivant et compte le rester longtemps ! la mort gare-toi et gare à toi ! va ton chemin mort de mes deux «, merde ! merde ! merde ! merde! merde ! merde ! merde ! merde ! merde à cette qui me  casse le... et me fait grave chi ... etc ! car merde à la mort « est le minimum que je puisse dire = le dire ! le dire ici est du «merdum» adressé à quui de droit = devant soi, ce qui est à dire ici est cette chjose de paroi, comme quoi le langage, le langage articulé de l’homme des cavernes (le sempiternel), est tout entier inhjures à déité de roche ! en intégralitécou dans son intégralité ! kla rocghe est belle dame ou bel homme d’aspect et la mort est le ver dans la pomme (misérabkle) d’une roche antédiluvienne ! je suis homme des cavernes menacé par la bande langagière de céans , je ne suyis pas l’etre qui file sous roche et se tait mais tout au contraire la voix tonitruante d’une adversité à la mort de roche ! je cherche à comprendre le sang ! je suis homme de ce peu de foi en son wein car il ne comprend pas la mesure vitale des apprêts de roche, que suis je en vérité sinon l’adversité ? je tremble devant la roche mzais je n,e romlpts pas ! je suis ombre-homme, homme-ombre ! je suis rage des pouvoirs célestes ! rage au coeur d’une faille antrapariétale, antédiluvienhne et intrapariétale, je file doux mais ne rompts pas avec la paroi : je dessine des aurochs, des mammouths, des chevaux, des ours, des rennes, des bisons, des bouquetrins à couille etc, je ne lache pas le morceau, je suis homme-hombre des cavernes du sud de la france et du nord de l’espagne et mon coeur bat à l’unisson de laz paroi ! homme vif , chaleureux, vivant, aimant, vibrant, amourzux, le sang en lui est une rivière etc ! mon coeur est à l’unisson du chant de laroche ! je veux tout savoir de la roche du temps ! tout pour me plaire en elle ! vivat ! viva la vida , etc ! mon coeur est vif argent, va dedans, rentre, s’immisce fissa et charge et cherche à comprendre le pourquoi de cette chose temporelle d’un déroulmement langagier de soi dans le temps d’une roche dure aux tourments divers, pourquoi ? nous voulons comprendre kle sang , et le sens , et pour cela : fissa dans laroche ! trouble dans le vent ! je file ! je suis homme des défauts de roche et autres fissures d’arret, je veux l’ombre et la Chose, l’homme et cette chose en soi qui me regarde dangeureusemùent;, La mort est rageuse et m’en veut grave ! ! merdum ! je suis un homme qui irait à graver des betes sur une roche, je szerais cet homme-là qui graverait des betes de bon poids sur une roche dans une grotte, je veux être cet homme là qsui dessine et grave des betes de bon poids sur la rocghe du temps langagier = musical = déplissé = déployé = dével;oppé = déplié = déroulé colmme tapis de sol, ou ruban de mercerie, je suis cet holmme des temps reculés (aurignaciens ?) qsui va en roche à la recherche d’une vérité, je syuis armé de mon baton brulé et que fais je ? je dessine des betes de roche, pretes à en imposer et à influer et à convaincre (vaincre) kla dite déité des dires de roche vive : je veux troubler ! je veux faire accroire ! mon coeur est l’organe de ma foi dans le langage appris, je ne suis pas etre de rien mais je suis etre de ce tout verbal inculqué acquis, qui erst verbe de rage de ka vie sur terre, enveloppement viscéral de base, la colère incarné, ou les chatiments à donc déplier ou déplisser sur la rocghe dure du temp^s alloué à une vie (terrestre) par qui on ne sait mais par x ou y de roche dure, je suis homme de ce x ou de cet y, qui file sa pelote (fil de soi) sur roche dans le temps imparti à sa vie rude, je veux et trouve ! je veux savoir et trouve des savoirs à même la roche ! je suis ombre et homme dévolu! je file fissa dans la rocxhe des temps adoubés et, de ce fazit, comprends la chose en train de se dessiner sous mes doigts : cet aurochs des déités de rocghe, ce bouquetrin viscéral, ce renne des données de rage, ce bison de pleine mesure, cet ours au taquet, ce lion à emporter etc, je regarde sous mres doigts se dessiner la rocghe du temps, les tourments, les saillies, les chants rudes, les efforts de rage, etc, je devine ! je devine le pot aux roses : la mort est une entité de passage, elle nouis regarde car elle a des yeux, elle voit tout comme un dieu vivant, elle ne lache rien tant qu’à faire et nouscespionne jour et nuit de pied en  cap, la mort est une bete de paroi, elle mesure un bonn m!ètre de vie vive , ou même davantage = elle en jette grave, cvomme une sorte de bete géante, animal de poids comme une sorte de massif de rage rude, je vois en elle une sortye de vive incartade, ou bien de vivat, une sorte de chose dure, qui vibre, qui nous chzante sa mélopeé de bure, applaudissements carcéral, mural ou paréiétal etc, la mort esrt cette chose rossse de paroi : aurochs ? ou quoi d’autre ? je suis homme des sentiers battus et je vais à l’intérieur de cette roche de paroi poour dessiner des betes de fort poids qui sont des betes-mots de fortune, insultes, gens de rue, crachats, va nu pieds comme mendiants, rien de race, perduraison d’un rien qui se plie mais qui ne rompt pas et c’est la chose à retenir : vive la vie vive et ne cédons ps aux appels de pied de  cette bouche des apprêts de roche, bouche -trou de roche, bouche-baise, saligaude, cette Chose en soi de roche dure, ouverture à l’iris, conséquence, tentative, appel, survivance etc, je ne suis pas l(homme des appr^ets, je ne suis pas ton homme de la mort ! je suis l’homme cde la vie de roche vive ! je tiens bon la barre de l’embarcation rupestre et ne m’en lmaisse pas conter (non de non ! ) car je veux vivre = je suis l’homme qui veut vgivre ! je suis l’homme qui cherche à tout prix (incantations) à tenir bon face à l’adversité d’un appel de pied, merdum» dis je , et je réitère ! je dis mille fois «merdum», mille et une fois merdum « , les voilà : merdum , merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum;

, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum merdum, merdum, merdum, merdum, etc (1000 fois) à la mort en roche, à Mort de la Rocghe des Prés, à Dame MOrt des roches Dures, à ce Mort de roche le dur (monsieur), à qui de droit la mort Insulte, ou comment ? je dis La mort , pensant LA vie ? qye dis je ? je me perds dans mes lacets ? je dis La quand je dis Le, et je dis Le quand je dis LA ? que dis je ? cazr quoi ? la mort est une entité à part entière, la mort est une chose ruge et rugueuse, la mort est un appel du pied, la mort est une échancrure, la mort est 1000 yeux de sa race, la mort est une forme cdrôle dans la roche : trou borgne ? fistule ? claudication ? cambrure ? catafalque ? cache-misère ? je cherche abvec cette chose d’un la,ngage animalier , je cherche vif à partir de moi et jusqu’à la roche, ce que donc icelle (la mort) pourrait bien être pour moi (nouys) qsui syuis (sommes) cet etre démuni en termes de .... de ces profondeurs de l’etre, en termes de .... de ces choses d’une intelligence allouée humaine : grave ! grave démuni ! l’ai-je dit  ? ou l’ai-je assez dit ? je veux comprendre et dès lors je cherche à tout va et conséquuemment la chose ! je veux comprendre et par conséquent me voilà qyui cherche vif le sens de la chose en roche, la mort est une déité, cela oui (tablons !) et aussi : des yeux, on le voit, et aussi un trou : lequel encore on ne sait pas, on cgherche vaillamment, on ne lâche pas le morceau, on dit : le morceau et du coup on pense à une mort qyui serait matière, étoffe qui sait, tissu d’insanités proféreées à son encontre, ramassis de «merde» jetées sur elle par des hommes et des femmes des cavernes et bien au xdelà, on dirait cela comme quoi la mort est cette souillée, souillure dxu fait qu’elle s’en ramasse à longueur de temps plein la gueule d’insultes, d’invectives et autres saletés verbales ou insanités de toutes sortes et de toutes origines ou acabit, nous pensons dès lors que la mort «ramasse» grave, s’en entend des verrtes et des pas mûres, de tout, qui fait d’elle une souillarde, une sorte de «merde ambulante» , ambulante car elle nous suit à la trace (de nos injures proférées ? de nos saletés projetées , dé^poseées en guise d’offrandes ?) et voilà ce qui en est ici, qui s’ensuit, à savoir cette chose comme quoi la mort est sale ! sale de chez sale ! elle pue le fenec, sans rire ! elle coccotte dur ! elle pue lma merdxe ! elle empeste , et pourquoi cela? car elle subit les assauts multirépétés de tout un chacun qui l’invective et l’injurieb à longueur de temps = la longueur du temps ! voilà ce qui est : le Temps dé»roulé de la vie terresrttre= l’invective, l’injure, la chose dite crue = le «gros mot» de l’enfance interdite ! merdum mille fois « en d’autres termes, ce «mille fois merdxum», cette chose  , je vois cela, je comprends, c’estc à dire que je commence enfin à comprendre les données ou disopns à m’apprrocher d’une sorte de vérité quyi sezrait attenante à une paroi de roche à l’intérieur d’une grotte, le Temps déroulé (pléonasme !) est insulte déposée comme une sorte de don (de vie) royal, commùe sorte d’offrande à déité, etc, mais de quoi s’agit il ? d’une saleté vive ! d’une turpitude ! d’un trop plein de vie débordante etc, ce trop « qui est le «trop» qui est à déposer fissa afin de complaire et le tour (de passe-passe) est joué sous les yeux hagards d’une Chose postée devant soi $qui serait la Chose ! et voilà ce qui est ici en vérité ou en matière de vérités , nous avons compris (enfin) le lien qui unit ce depot sur roche (on dira l’art) au temps déroulé qui est une insulte à agent, c’swt à dire une sorte d’invective proférée brutalement et vilainement envers la mort ici présente en tant que réceptacle aux dires intégraux d’un homme (remonté) des cavernes, je est je, comme je est je suis, je est ce je du je suis, mais aussi je tout court = ccette chose rude d’une vie à vivre pariétalement, nous = nous sommes, je = je suis, mais nous = nous avant tout et je = je avant toutes choses ! je suis je l’homme de la roche, je suis nous l’homme double ou doublé de la roche dure, mon coeur est double comme une méprise, je trembkle de tout mon corps devant la mort une vie durant mais je ne cède pas de sitot , je résiste grave ! je suis sur roche des embruns de bord de mer , je me loge, me love, je suis Amour fou, rage bete, caresse mais rude ! je ne veux pas de la mort en moi ! je en moi nhe veux pas de la mort de rochje ! je en moi de la mort de roche ne veux pas ! je veux ne pas mort en moi roche de ! merdum à la mort de laroche du gtemps ! je dis (je redis ) merdum», car ce «merxdum» est la vérité de la langue (une) déposée sur roche (table d’offrande) par un homme (une femme) des cavernes : «m:erdum» en guise d’offrande on l’a compris = le langage de a à z, rien de plus ! et ce qui est est dit, ce qyui est de ce «merdum» de rage est dit à même la paroi sous une forme animakllière : aurochs , renne, bison, antilope, mouton, ours, brebis, chien,, chat, etc, nous cherchons ensemble tous, u,ne vérité de joie, qui puisse nous donner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner de quoi y aller fissa à même la roche indéfiniment , sempiterneellement, le temps d’une vie à maiontenir vive pour soi, noys vivons et ce faisant cherchons dans la roche le depot de soi a minima, etc, à faire, et ce que nous disons là vaut pour nous c-omme pour la bete en   nous, qui desespère presque de pouvoir sortir ou (plutôt) de ne pas pouvoir, de nous qui sommes des hommes de foi, sortir fissa ! car nous sommes des hommes à la foi intègre ! nous cherchons en  ous les mots de ta rage vive = la vie profonde, l’influx moteur, le cardial, le cordial, le mot du coeur à vif, ce tic ici et ce tac de rage sur roche, cette chose intrinséque est le mot de l’inhjure vive , adresseé vilainement, jetée à la face, etc, d’une sorte de... déité de roche ? déité de la roche ? déité de laroche dxu temps ? déité de la roche des temps ? déité de la parole comme avalée ? bouche d’avalabge de couleuvres ? bouche d’avalaghe cde mots de merde ? bouche d’avalages de couleuvres et autres insanités à son encontre ? la moprt avale l’insulte et l’invective, et du coup, depuis ttoujours, la mort est une bouche à merde , etc, nous savons cezla, nous le comprenons, nbous comprenons cela de toute nottre comprenure vive de vivant la vie sur terre et dans la roche dure (même chose en vérité) et voi;là ce que nous disons de toute l’affaire, nous disons qye nous sommes deux qui cherchons à panser la plaie de notre bouche brûlée par la fine lame d’une percée à même la chair tendre , nous sommes deux (en nous ?) qui voulons pa,nser la plaie de notre bouche saignée à blanc, à vif, par en bnous une sorte d’épée ou delame fine, faite de betes-rages vives cherchant sortie à tout prix et voilà ces betes (en  nous) qui nouys perc ent de l’intérieur, squi nous transpercent et nous font mal (et du mal) et nous font hurler (gueuler) et maudire et injurier et parler mal = parler gras, grossierr, plus quecgrossier ! voilà la chose ! et du coup nous hurlons toute notre misère d’homme à vif, traçant sur roche des betes de poids surnuméraires, betes ++++ , qui sont betes de forte cxhevauchée ou vive chevauchée, elles sont fortes, elles vibrent comme des messages, elles se cambrent vite fait à la moindre remontrance à leur égard, elles ne s’en klaissent pas conter, elles sont betes de rage et de bisque et de bisqUE rage des apprets de roche, elles fusent à même laparoi, elles foncent sur leur proie, elles sont costaudes et forcent la note et se présentent temporelleme,nt comme des invectives de opremièresn, adressées de fait à une déité qui est celle delaroche mère, à savoir : la mort !  car la mort est une déité, la mort est un dieu de roche, la mort est une drole de chose rude, la mort est la parole rude, laz mort est caméléon, la mort absorbe et prend allure vite fait bien fait de k’invective ou de l’injure à elle adressée, je suis je l’homme de la pampa ! je suis je = je suis vif, je suis je = je suis homme des temps vifs , je suis je  = je suis cet hommme-hombre des temps reculés : la pampa ! je veux vivre ma vie de rocghe des tourments sanglants, je veux et jke vais, je viens et je vais, je serais cet homme rude aux allures de chantre (de chaman ?) et je m(immisce en roche sur le pouce, direct, chargeant de tout mon poids et de tout mon être la roche des temps ! je (je) suis (syi) cette (cette) chose (chose) quer (que) je (je ) veux (veux) etre (etre) pour (pour) belle (bbele) la (la) déesse (déessse) de (de) la (la ) mort(mort) des (des ) embruns (embruns) , ainsi de suite : doublage ou doublement des choses dites (nous) comme une redite liée à une vision liée à une vibration liée à un sentiment lié à des effluves liées à des mots de roche des temps= un déroulé pour une insulte et une insulte pour un déroulèé , tapis ! et voilà ce qui est ici, cette chose en soi (en moi) qui dit ce qui est qui s’impose à soi (doublure), tout comme kles tourments qui viennent se placer pour soi sur roche et vous faire trembler et trembler, je vois roche sous kle sang, je vois lza roche et le cxang, trembler et trembler, je vois trembler la roche sous le sang qui bout, je vois trembler la roche sous le sang jeté quyi bout, je vois qui tremble cette roche des parois, sous l’effet de la chaleur du sang bouillant, je vois tout ce sang, ces effluves, cette chaleur montante, ce sang de la roche, sur roche, ce depot de sang sur roche, je suis vbif comme une peau d’homme ou de bete, je suis (disons) vif comme une vie de bete ou cd’homme vivan,ts, je regarde la paroi, je suis homùe vif, je rehgarde dfevant moi cette paroi du monde, et j’essaie de comprendre les enjeux gs’y attelant, ou attenant, que sont ils ? je suis homme de la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des embruns de roche, je suis vif l’éclair aux 1000 tourments, je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cvavernes tenu, je suis homme de roche dure, je suis cet homme des rocghes dures, je suis hombre de la roche dure, je suis homme des tourments,; je suis ombre et hombre et homme et femme des tourments, et aussi bete, bete de rage des tourments, je suis homme vif de roche dure et bete de rage des temps impâretis à une vie (ou deux) terrestres en diable, mon coeur frappe et bat et tape  car il est vivant et ne s’en laisse pas conter par la bande, à la une à la deux, le voilà qui frappe ! cogne la paroi du monde et grave à l’en-vie des betes de choix qui en imposent et se posent là, il s’agi-t de betes de charge, captures, il s’agit de grooses betes de charge lourde, des aurochs pour ainsi dire, ou des buffkles de donnée rapide, je file sur roche mon fil de vie, je dessine l’insulte grosse et grasse en termes d’offrande, je suis l’homme au baton de bois, au charbon, qui trace un visage de bete rude et insulte la mort au passage, et ce trait est du temp^s de vie en barre, rien d’autre que ce temps vif de vie vive de baton br ûlé d’une vie de rage, car vivre = souffrir et parfois non, ou moins, la vie = le passage sur soi d’une bete d’invective à l’egard de mort la belle b ete, nous disons que nous devons mourir, nous disons que nouis devons mourir, nouys disons que nous alloons mourir, nous diso,ns que nous allons un jou mourir, nous diso,s que nous sommes tous et toutes qui allons mourir, n ous disonsque rtous et toutes nous sommes qui un jour serons morts et mortes, nous disons que nous sommes deux (ou plus) qsui alloobns mourir ! nous allons mourir ! nous allons mourir !nnous disons que nous allon s mourir un jour ! le jour viendra ou nousseron,s morty ! ce jour est le jour de la paroi ! je suis homme des ezmbruns (de roche) et je vais mourir ! je dis que je vais mourir ! je suis ou serais celui là ou celle là qui va mourir ! je suis celui ou celle qui va mourir ! le langage est le parler du jeu, et non point de la vérité des rochges du temps, le langage du jeu est le langage vrai, le jeu impulse et gagne la mise, le parler articulé est le jeu en soi, le verbe est le parler dfu jeu et non des savoirs tranchés, le parler est jeu, est le je d’un soi dédoublé, je suis cvelui là qui joue sa joue trouée sur roche (saignzante ) du temps, je ne tremble pas ou pas plus que  ça, je suis homme de la roche dure, le parler est le $parler du hjeu de roche dure, et non point d’un savoir tranché (découpé) à l’emporte pièce sectaire, je dis je que le jeu est dit, je dis = jeu dit, =jeudi, car la vie ici ( 15 juiillet 2021) est chose de rage et aussi de race et aussi de beauté ancrée dans la nasse x’un temps pariétal, je dis ce que je dis qui est du jeu dit de rage vive, comme le temps, le sang, les tourments, le vent dans les branches, etc, je suis homme d’un temps découvert sur roche, il s’agit de betes vives (racées) qui vbont à kla roche se désaltérer et poursuivre de leurs avancées de parioi dure, nouys devons comprendre ce qui est ici en roche pour nous, en tant   que données de base, rudiments, ancrage, saignements, etc pour une sorte de compréhension de rage, etc, noudevons comprendxre ensemble ce qui est qui nous tend les bras , nous devons ensemble comprendre les donnbées de base intra-pariétales et les soupeser par la bande et n,ous figurer dès lors leur teneur en termes de   vérités liées à une paroi de grotte, ou roche souterraine, etc, nous savons cette chose colmme quoi nous avons à comprendre les données du monde, nous savons cette chose ici comme quoi nous devons creuser profond laterree du monde, les choses rudes, le vif du dur etc, car la vie est rude volée, chose crue, rageurs, turpitudes à devoir déposer sur une butte,,  ou table , ou roche, cvomme autant de betes de poids allouées à une paroi d’ornementation rupestre, nous passons sur la paroi notre charme sous influence, volée ou volette, nous poussons à travers, passons et poussons à travers = gravons ou dessinons des betes de rage, ce sont betes de poids lourds, ou comment dire ? choses crues ? rudesses ? nouys disons les mots de latribu et ce faisant nous rudoyons fort la mort de la roche ! nous l’invectivons ! nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère ! nous voulonbs savoir ce qui est et qui nous gouverne pariétal, et ce qui est (pariétal) qui nous gouverne est cette chose comme quoi la vie en  ous est une donnée brute, rude, qui file sa misère brute sur roche du temps, et les mots betes (§art ?) sont  ce langage ou kle représentent en tant qu’il serait dekl’invective pure, adressée, à visée précise, etc, comme une flèche (une flèche cde temps) jetée (filante) vers une sorte de cible-déité ancrée da,$

ns la roche , ce que nbous disons ici est cette chose (donc) cvomme quoi le mot est jeu de roche dure, ne sort pas du jeu de roche dure, il s’agit d’une sorte de jeu enfantin des roches du temps, un jeu pour un autre, une sorte de succédané de parole vive, un langage perlé, princier, rupestre, modeste, louvoyeant, etc, qui mène sa barque fissa à m:ême une roche (ornée dès lors) du temps et c’est ainsi que l’homme des cavernes (que je suis , que nous sommes ) s-’y retrouve, faisant absratction de sa gouverne pour toper en lui la bete et la présenter sur son devant de vie qui est sa vie de rage alentour, espace temps circulaire, rond de gite, carême, chou à la crème, etc, nous disons : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikikikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à lka vie en   nous ! nous voulons dire ce oui ensemble = main + main, car nous sommes deux en noys-mêmes ! qui + qui ? nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base quyi présideraient à une vie humaine, à vie d’homme des cavernes, à vie d’homme de céans, nous vopulons comprendre ensemble cette chose, et pour cela nous nous glissons en cette roche des tourments, nous disons cela ensemble comme qyoi nous sommes tourments nous -mêmes, nouys voulons comprendre, bnous cherchons  !  nous sommes de la partie fine, nbous nous exécutons sur roche et traçons la bete à main libre (libre ?) comme des enfants, notre coeur est le coeur de ce tourment de roche, je vais sur roche commùe l’enfant en bvord de mer va à la mer, je suis homme des roches ornées, de la roche du temps ornementée, je cherche pitance dans kes trait sd’une roche rude, mon nom s’inscrit à l’emportée, il s’agit d’une effigie de rage, tracé monstrueux, caillasse, rage-bisque de ta race et autres mots d»’’emprunt, je suis homme des temps furibonds , je suis homme vif de rage vive, la vie en moi est ce parler (total) de l’invictive ornementale ou d’ornementation : je crie ma haine primaire = ma douleur en termes gras qui sont  ceux de l’injure grossière, de la pleine mesure injurieuse, du trop plein et ce trop plein est injurieux, est inhgjure, est grossièreté de type aurochs de roche, ou buffle-sanglier de terre-mère, il s’agit s’une  bete de poids, pesante forcémen,t dans la bnalance, chaude bete rude rugissante, elle pue, elle force la mise, elle est enragée, elle hurle à la vie à la mort et son parler est d’i nvective car elle souffree sa mort en mil;le et ne veut cela ! elle ne veut pas cela bougre de non, elle ne le veut pas ! elle veut vivre ! elle dit dès lors cela = ce trop plein lié à la douleur du vivre terrestre, elle crie sa douleur de r age, elle hurle à tout va sa douleur du vivre terrestre, elle crie-hurle son lmalmheur de bete en misère, elle cherche issue et voilà l’ornementation salutaire, dépot sur roche de cette invective de paroi, dure mère, caillassse, caillassage de roche xdure, ce depot de betes, cette voix, cette voix qui vocifère et dit sa haine comme  ça : « purée !!!! pure purée de meu !!!!», etc, elle dit peu mais vif ! elle en dit long sans dire plus ! elle chie sa gourme et sa haine et sa vive beauté par la :même ! elle pue son ressentiment en roche, le pue, le dit puant, ou comment ? elle est cette bete rugissangte qui hurle sa peine mortelle, et vce trop ploein est «vie» donnée sur une roche (à la mport en attente) et se veut vie tout court, or vie-verbe n’est pas vie tout court, le mot ici ( de «vie») n’estc pas la chose , hé! et c’est ainsi que la mort encaisse ! écoonomie ! salut ! échange et partage ! don de soi pour une rentrée ! je taime et autres tourments forestiers de cervidés ! je chante à tue tete et je crie ma haine ! mon parler est celui du charretier, mon parler vrai, le seul qui se tienne, etc, je ne crois pas aux mots de tete à froid, je suis homme de la ragee des temps car le temps (qui passe) est fait dxe sa rage, des tourments accumulés comme en une nasse, etvc, je cherche une voix qui porte , je regarde azutour de moi, je veux statuer ! je suis ombre !  je veux croire ! je dis que le mot et la chose ne s’égale pas sur la roche, et que la mort a qu’à ! a qu’-à se tenir ou se bien tenir ou bien se tenir et ne pas chercher à bnous enfumer ou nous anéantir ou bnous saloper ou nous enchâsser ou bnous ensevelir ou nous encadrer ou nous saborder ou nous prendre par la peau du cul etc, nbous ne voulons pas mourir !  nous ne voulons pas céder du terrain sur la vie qui est la nôtre ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pzas lâcher prise ! nous ne voulons pas laisser le temps ainsi sans soin, nous voulons donner de nous du temps soigné ! et non point notre feu central, la roche brûlante, ou commùent , je suis l’homme dxe la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des rochers tremblants mais qui ne cèdent pas, je suis homme vif, je suis chien, je suis animal de race, je suis nommé, je suis frappé, je suis couché sur paroi des temps alloués, je m’appelee jean, je suis rageur, je suis ombre sur une paroi des tempsc anvciens, je suis chaleur en jet, je me pose sur roche du temps aux tourments, je pleure mes larmes de sang,, je suis homme des cxavernes aux sentiments exacerbés du fait qu’ils sont vivants, je dis ce qui est d’une sorte de déité majeure, celle qui est postée là sur roche près de soi eyt vous regarde fixement sans jamais baissser la garde (étrangement ? ) , son regard est fixe-vif, ne trembkle pas, cherche complaisa nce, vous recouvre, il s’agit d’un regard de rage, uune mort de bete sur paroi, une remontrance mais ne cédons pas à son appel, soyons sur nos gardes à nous, ne nous donnons pas trop vite ! je  cherche une voix et une voie (en roche) pour moi, ma gouverne, mon allant direct,, ma chance etc, je suis un homme des temps reculés aux miens ou comment dire ? lointains ? je cherche la vérité , la vérité n’est pas de  ce monde ! je cherche la vérité et me dis qye la vérité n’est pas de ce monde ;,, autrement dit: la vérité n’est pas dans les mots qui sont les nôtres, ou dit autrement (en vérité) : les mots ne peuvent circonscrire une vérité qu’elle qu’eelle soit, or ce dire s’annonce ou se présente en tant que vérité !!!!!!!!!!! d’où la misère  !!!!!!!!!!!! et la tres grande contradiction inséré à même le langage, le langage est jeu et en tant que tel contient sa propre contradiction, et de ce fait, la vérité du langage est la vérité du lan gage, la vérité du :monde est cette vérité comme quoi il n’y a pas de vérité qui soit (= possible) via un emploi quel qu’il soit du verbe, or ce dire s’affiche comme une vérité, alors voilà ! la contradiction primùaire, le feu sou$s roche, la chose en recel, le jeu, le je , le je du jeu, le «je dis cette chose », ce « je dis » de la chose, ce jeudi= ce temps monnayé, etc, je suis sur terre en tant que je qui dis une chose c’est à)àà dire une affirmation positive, mzais celle ci est négativée d’elle même intribnséquement et le tout constitue dès lors la contradiction primaire, priincière, royazle, conséquente, dure comme la roche, le noyau putain ! ce noyau de meu qwui nbous encombre et que nous dépôsons comme une bete morte sur table d’(offrande : cette exclazmation inhjurieuse , ce mot grossier , ce «putain de meu» jeté balanczé et démerde t en ! et voilà ! car la mort est là devant nousw qsui s’interpose comme une sorte de réceptacle (bouche) dx’avalage ! on voit cela ! on sait cela ! on comprend cela ! on le subodore ! on est deux pour ça en soi : yin / yang de basx étage ? comme quoi ? nous cherchons, nous cherchons cette chose de ce dire  double, ou comment ?  nous chercxhons cettye chose d’(une sorte de dire en soi, qui est double, qui est particulier, qui tire à hue et à dia, qui va ici et qui va là ! je cherche ! je cherche de rage ! je cherche une voie de rage et de paix associées  : qui suis je ici (je) qui contient en moi la «contradiction « du langage parlé ? qui je suis en moi même qui comprtend( = contien) la contradiction inhérente à tout idiome articulé par une bouche d’homme ? qui je suis qui contient en lui cette contradiction inhérente à sa langue, quelle que soit la langue, touteszx sur ce point sont égales : qui ? je chertche ! je suis je l’homme de la manche , ou du machin glissé dans la manche ? un double terrestre (terrien ? ) ? je cherche : je suis homme au langage parlé de la roche, mots = injures, = dépots sur parois = vivacités = chants dazur, = chants  de betes de poids rageuses, je veux comprendre les données du monde et ce qui est ici en termes de choix à faire entre deux assertions qui se contredisen t, etc, je dis que la vie est riche  de vies diverses en elle même  (animalières) et voilà pourquoi cette e=mpreinte de soi sur roche : mazin, mùain , main, main,; main, main, main, amain, main, main, main, mzain, main, mzain, main, main, main, main, mazin, mazin, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mazin, main, mzain, main, main, main, main main, etc, mains ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ sur roche du temps , mains en plus, plus plus de mains sur roche, etc, nous sommes homme / femme sur parois qui vont /viennent dessinant, nous traçons x figures de betes, traits sur rochz au bois brûlé, nous parlons le langage (inné ?) de la roche dure : cris primùal ? chant de couvée ? chant d’azur ? cris de guerre ? mots betes de rage ? cris de douleur au pazssage ? rugissements incantatoires ? que suiis je sur roche que je ne sais pas ? que sais je de moi ? suis je blanc comme neige ? suis je noir comme tout ? dois je rire de moi ? suis je bete mot de ta rage folle, débridée ? dois je p;leurer sur moi de moi ? suius je indemne de reporoche ou pas ? suis je l’animal blessé criant sa douleur maussade ? dois je crier avec la bete en moi qui semble trépigner ? suis je un animal ? phoque ? otarie ? je cherche ! je suis moi-je la bete de la roche rude, je crie mon tourment à même mon sang ! je cherche la Chose de pôids , je regarde autour de moi ce qui pèse ou pèserait et que vois je ? le bison racé, le buffle fort, le bouquetin trapu, le mammùouth géant, le chevreuil aux bois haut, la biche gracile, l’ours debout, le lion couché, l’antilope, je veuxw etre bete moi-même (très) pour la saillie, je veux corresponxdre, que mon mùoi aille à plein avec la bete et qu’ensemble nous ne fassions qu’un ! je suis homme des roches et rocherrrs, je mange la chair de la bete, je suis ambré, je suis homme de la terre meuble, je veux filer droit en icelle et comp^rendre les données les plus subtiles qui soient en la matière, ou en  cette matière d’un dedans de soi animalier qui serait la bvérité vraie de roche dure, je chercbhe une sorte de clé permettant l’accèsd à une  vérité de poids, je cherchev volontairement, sciemmen,t, vivement, les yeux ouverts, je cherche vivement la chose, je veux savoir , je veux comprendre, je fouille, je veux aller loin en roche, je veux creuser loin en roche, je veux creuser dans les profondeurs de la roche, je veux creuser profond en cette roche des embruns, je veux creuser profond la roche du temps, je veux creuser profond la roche dure des temps alloués à une vie terrestreanimalière et humaine ou humaine et animalière , je veux comprendre le tourment lié à une vie de roche dure, kje suis hommùe vif du tourment racial, je creuse : je suis une bete, c’est à dire une sorte de bete, c’est à dire , une sorte de mot-bête de roche allouée pour un dire fou, à dires fols, ou alors comment ? je suis homme des embruns des rocs et des rochers de bord de mer, je cherche une voix / voie de halage ou de passage, je suis homme sur la grève, je marche vers les embruns, je chercbhe une vérité de poids qui puisse «le faire grave» et me sweconder dans ma tâche qui est celle de troujours en avancer fissa sur la voie d’une sorte de recherche double : vers la vérité des choses du monde, vers la vérité des choses du monde de la mort, double = vers les choses du monde alentour, et aussi : vers la vérité des choses cde la mort, je vois ce qui est et je comprends la chose dédoublée, je vois la vie déposée et je comprends cela qui est cette chosecomme quoi nous sommes «appelés» à mourir un jhour ! mille misères ! je vois cette dualité , avec d’un côté la vie (alentour) vive et de l’autre l’appel sur soi, la chose dressées, ce chapeau cde paillle xd’italie, ce quoi ? cette débandade ? ce relent ? cette musaraigne de parade ? la mort a des aspects divers, elle charge de partout sa peine, elle ne lâche rien, elle est souterraine, surterraine, de plain pied, elle s’(accroche et mange à tous lkes rateliers : musaraigne de première ! elle charge ! la mort est égale, ne sombre pas, rameute, chie sa gaine etc, je cherche ! je suis homme des cavernes armé de mon bâton de bois, je vais de mon pas assuré dans la lande, je suis homme chassseur de contrebande, je dis le mot de la bete rossse sur roche, le grave, je dis le mot de la bete vive sur roche , et le grave aussi, ainsi de suite en lévitation (transe) pour une pazrade spectacu:lzaire qui en jette (je, je , je , plein) afin de convaincre , capter une attention et laz tenir serrée, celle de la mort, la bloquer, la tenir au bout du baton, lui faire garder  ses distances, je suis homme de roche des temps, je suis l’hommùe en roche duu temps inséré et je cherche à comprendre dans le vezrbe de la roche dure, le tourmen,t ins»éré, le mal de base, le mot grav»éé, la parole fine des tempsq ancrés etc, je suis hommùe des parois du monde et je vais /viens à même la roche : incantations massives, solidarité pariétale, jeux de dupes, chants choral, double détente, jeux d’enfa,nce, colère, transe parodique, tombola ! je suis un homme fou de roche dure inséré ! je suis homme des cavernes au sang vif , qui donnhe de lui une chose, une chose seule, et non pas le tout de son etre, et cette chose donnée (en roche) est gouverne animalière, temps passé lourd de son poids surnuméraire déployé, je suis homme de rang, je m’avance, je parle à tout va à pareille entité pariétale, l’invective fissa (paroles de poissonier ou de charretier) et ainsi fait je me sens léger un temps, comme soulaghé par en moi ou de moi la chute brutale d’une bete dure, rude, forte, massive, sortie enfin de mon antrte, et qui sur roche va ainsi, gambadant à qui mieux mieux, soulager (elle) sa gouverne, et voilà ce qui se trame dè!s lors sous mes yeux d’enfants échaudé, ce qui se trame est cette chose rude,; ce tombé-jeté de betes-mots sur la roche du temps, ces sezrments, ces cavalcades ensdiablées on le sait, tout ce tralala de première, cette musique primùaire, ce chjant d’azur, nous voulons aller vers la bete reine, sortie (il y a peu) de nous, nouys voulons cher cher les betes :mots de roche dure sur le tas, nous sommes vifs = vivants et non morts comme la roche rude, nous voulons connaitre les enjeux primaires, les données justes, les parties complètes (toutes) , et autres articulzations p^remièresq entre elles (entre les parties ) , nous sommes vifs et tombons des betes de nous (bouche) sur paroi du monde à graver, l’homme des  cavernes est la bete-mot de la roche, son  nom est ghravé au stylet, à la pierre aiguisé, il parle langhage rustique (rupestre) de charretier, tous ses mots vont à l’invective salutzaire , vivre = conspuuer ! vivre = touyjours et encore et en tous lieux et en toutes occasions et quelle que soit l’époque : conspuer la mort = conspuer , vivre ou conspuerr c’est la même chose , le coeur bat = conspuer ! nous disons = conspuons, nous vivon,s , nous sommes en vie = nous sommes une iunjure à la mort, etc ! cela est de source sûre ! cela est la vérité vraie ! kla vérité vra ie est logée en  ce fait que la vie en wsoi (en bnous) est une injure (incantation) envers dame ou sieur de la mort en branche (oiseau ?) qui nbous «regarde» sans faioblir et jamais ne nous lache la grappe ! car la mort est là (toujours) qyui surveille et cherche à nous adjoindre à elle, forcémeznt ! elle nous veut car elle nous aime ! elle veut /aime nous ! elle est  cette Chose de rage affolée, qui semble la passion ! nous ne voulons pastomberdans ses filets ! nous voulons  croire en nottre étoile de salut rupestre et tracer la bete-mot de roche hospîtalière, l’aurochs des tribus, nous voulons comprendre loin, comp^rendre longtemps, vif, vif nous voulons ! nous voulons comprendre loin et longtempsq les données du monde royal de la vie et de la mort, ce que l’homme est ... avec des mots de rage c’est coton, mùais essayons ! nous disons que c’eswt coton car nous sommes sûrs que cela est , car nous avons des convictions (foi) ancrées, car en nous les mots , le verbe, des locutions, sont ancrées qui nous portent vcomme des bleszés sur leurs civières, etc, les mots nous portent comme des civières, eureka ! et nous de nous laisser pôrterr(une chance ?) par la bande ! car nous sommes deux qui sommes n ous memes ce je de roche des temps, je = nous en termes de tourments rocheux et de mains surnuméraires ! je suis je l’homme du nous grégaire, etc, MON NOM est affiché comme à la porte du salon, je chante ma mélopée acide, je rugis comme un animal, je crie guttural à toute blinde, je chevauche les données, je cherchje issue , je suis homme de la roche des embru,ns, je suis homme au verbe imagé, violent, cabossé,, qui veut comprtendre les soubassements du monde de la roche dure des temps impartis : qui je suis en termes de vie, qui je suis en termes de tourments ? suis je un animùal ? une chose borgne ? un trou ? une perle ? une pouussière d’étoile ? un hommùe ? un homme-enfant- femme ? une parole d’évangile ? un serment ? un salut ? un jeu ? le jeu ? le jeu de base ? le jeu ancré dans la roche, le jeu = le vide entre les éléments ? y a t il du vide entre les éléments ? je suis homme des roches et des rochers d’une terre mère allouée à une vie terrestre, je regarde autour de moi les betes paitre, je suis homme du jeu enfantin de la parole écartelée,; je suiis homme d’un jeu dxe rage folle, détendue, offert, qui voit dans la roche l’image d’une déité, à tenir bon pied bon oeil à bonne distance, cxar la mort grignote et cherche à vous happer à la une à la deux comme qui rigole

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14/07/2021

nous aimons la bête, nous l’aimons passionnément, nous voyons la bete aller et venir en cette roche des embrunds et nous l’aimons passionément, nous aimons la bête plus que tout, cette bete en nous de race, belle bete au bois dormant, elle nous intrigue et nous séduit, nous en sommes baba, nous lm’aimons plus qu’il n’en faut ou comment dire : plus que de coutume ? nous l’aimons tant et plus et plus encore, nous aimons sa grâce, son allantr et ses chevauchées dans la lande, nous aimons la bête rosse,, la bete des embruns de rage, nous nous infiltrons près d’elle, elle est cambrée, elle nous suit des yeux, ses bois vont haut, nous l’aimons pour sa majesté, son allure fine et musclé, son aura et sa superbe, nous en sommes fous, nous sommes fous d’elle, nous aimonds cette bête de paroi de roche : vive elle ! vive la bête ! vive bête la ! que le seigneur soit avec elle ! vive bête-la ! nous aimons celle ci en son champ d’azur, au milieu de ses congénères, qui va et qui vient, qui broute, qui chevauche la prairie, qui monte et escalade et file et revient et nous regarde, nous aimons ce cerf, ce chevreuil aux bois de race, cette belle biche des parois, ce sanglier aussi, et le bison des prés et l’autre, le bison des bois, et ce chevreuil en majesté géant, cerf de la reine, nous voulons comprendre de ces animaux leur présence soit le pourquoi, nous ne voulons pas rester en rade de savoirs, nous voulons aller très loin dans les connaissances et pour ce faire cheveaucher la roche avec l’animal = le monter comme sa monture oou comment ? grimper ? sauter sur lma bete et l’enfoucrcher comme une mobylette ? nous sommes baba, nous sommes fous de pareille bete des embruns, nous sommes sonnés devant tant de beauté de rage, nous voulons comprendre ce qui est en elles, le pouvoir induit, ce pouvoir des betes contenu en elles, cette chose en elle vibbrante, ce que c’est, ce qu’est cette chose contenue en elles, = ce pouvoir de la bete de rage, ce pouvoir contenus (en elles) qui est le pouvoir de la rage, etc, nous voulons comprendre et prendre = absorber, comprendre = absorber, nous voulons comprendre /absorber le pouvoir animal et nous en faire un quelque chose de vital, pour notre gouverne, pour nous qui allons en roche, faire ainsi que ce pouvoir de l’animal en nous fasse son chemin et nous entraine loin, et nous donne des ailes et de quoi comprendre les effets de Mort la Bouche sur nous autres humains, qui ne sommes pas des betes, etc, nous essayons de comprendre ensemble le données de base animales ou animalières, quielles sont elles ? qui connait ces données de base ? qui sait de quoi il s’agit ? qui sait ce qu’il en est de ces donneées de bas e animalières ou animales ? nous voulons comprendre entre nous (petit comité) ces données de base, les ingurgiter, les digérer, etc, afin de mieux appréhender le jour, le jour de la mort, xcar le jour (la clarté) de lka mort est animalière, nous le comprenons, nous comprenons cette cghose, nous voyons pour nous que cette chgose de la mort-(lumière est une chose qui nous pend au nez, qui nous attend comme de pied ferme = animzalier ! c’est -à dire : cette chose est comme l’animal, ou : cette chose ici est cvomme l’animal, ou : cette chose, on voit ici que cette chose, etc, = un animal , ou cvomment dire juste et vrai la chose ? la chose du divin ? la chose douce d’une mort de bete ? nous pensons que nous devons aller en roche ensembkle et trouver la bete pour la déloger et prendre sa place, tel est le chemin que l’on s»’est tracé à tous les deux : nous allons en roche déloger la b ete , nous cherchons ensemble cette chose, nous voulons comp^rendre endsemble les données de base, les données vives animales, les données de la bete rage, etc, nous ne voulons pas rester en carafe de savoirs, nous voulons acquérir les savoirs de la bête, acquérir ensemble une foultitude de savoirs de base, savoirs fous et vrzais, ceux là qui nous incombent, ou nous regardent ou comment ? nous ,ne vvoulons pas perdre la mesure du temps, nbous voulons raviver la flammze des savoirs animaux en nous = déloger la bete de paroi, en nous ou hors de nous que sais-je mais la déloger et prendre sa place, épouser son ombre comme qui dirait ou commùent s’exprimer sur cette cghose d’une bete rosse à déplacer de toute sa masse ou comment dire ? car nous sommes deux, nous sommes deux à vouloir ! nous sommes deux qui voulons déloger cette bete en soi ou où ? qui est là dans toute sa splendeur de bete à cornes ou à ramure, nous voulobs ensemble déloger la bete, la déplacer, la bousculer un tant soit peu pour prendre sa place, la bouger, la pousser, icelle pèse ! elle vaut son pesant ! elle en impose ! elle est vive et racée ! elle est belle et fine et élancée et gracieuse et remontée comme une pendule ou pas remontée mais elle nous plait énormément ! elmlle a du sex appeal ! elle est devant nous qui plombe, qui pèse, qui est une masse, qui est un «morceau», qui en impose grave , et nous d’aller vers elle et de lui demander de bien vouloir se déplacer un peu , et si possible aussi ou par la même de bien vouloir nous donner sa place en rocje (etc) car nous voulons ici même (à la place de la bete) nous «caser», notre but ici (ultime) est de nous «caser» à la place exacte où était telle ou telle bête des apprêts devant soi, nous ne voulons pazs y couper , nous voulons coute que coute déloger, nous ,ne vou:ons pas abandonner la chose, bnous vopulons mordicus de la place de la bête rosse, nouds voulons prendre sa place dans le firmament et c’est marre ou comment dire ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! nous sommes deux à vouloir cette chose pour nous, cette chose des embruns, des bords maritimes, des vagues dressées, des parois mobiles, des dessins de roche, des dessins eyt autres gravures d’hommes préhistoriques, nouds volulons ensemble (à deux !!!!!!!!!) déloger la BETE ! voilà ! voilà l’histoire ! nous sommes 2 pour déloger la bete ! nous nous mettons à 2 pour déloger la bete devant soi, et quelle est cette bete ? nous nous mettons à deux et ce n’est pas de trop, pour déloger icelle bête des embruns, cette masse de poids lourd, cette masse rude devant soi, ce donb, ce prédsent ou cette offrande du présent de temps, nous nous amenons, nous nous approchons, nous nous fgaufilons près d’elle, nous sommes deux pour ce faire, déloger la bete et prendrecle pouvoir, déloger la bete-présent du devant, ce temps pesant odffert en offrande (temps passé par la bnande : cette bete) et prendre dès lors le pouvoir de la bete ici déplacée = ce pouvoir d’elle laissé ou comment dire ? le pouvoir de la bete fauve l(‘attraper ou comment ? nous voulons comprendrec ensemble cette chose d’une bete de paroi, ce qu’elle est pour nous en termes de pouvoir (efflucves ?) et pour ce faire noius avons à nous approcher d’elle, la déplacer à cdeux, la bouger de là, de ce daevant de soi temporo-spatiazl (lieu de l’offrande à déité -) et cekla fait : prendre le pouvoir ,  c’est à dire aller, vibrer, checvaucher la plain,e etc à la manière dela bête delogée ! ou comment sinon ? nous voulons comprendre et savoir, bnous avons une ambition démesurée, nous sommes deux qui cherchons la bete à d»éloger agfin de prendre d’elle toute cette chose d’une sorte de pouvoir en elle (intrinsèque) allant vers des fins ou comment ? nous voulons comprendre de la bete ce qu’elle est et cvontient ! nous voulons comprendre cette chose ensemble ! nous voulons savoir de la bete ce qu’elle est au juste : quyi est elle ? comment cfaire pour la délogerr ? comment faire en nous ou de nous ou comment pour cette bete arriver à fissa la déloger sans trop fatiguer , etc, car cela a pour nous une importance considérable, cette chose, cette chose à faire à cdeux, cette chose à faire à qui mieux mieux ensemble ! nous avons à faire cela et faire cela est notre affaire de toujours ! nous devons déloger la bete ! nous avons à délo ger la bete en  ous ! nous devons déloger la bete en n ous ! nous avons à déloger la bete de poids en nous ! nouys devons ensemble (à deux !!!!!!!!!) dé»loger la b ête en nous ! nous devons à deux déloger de nous ou en nous ou comment cette bête grosse et forte, ce poids lourd, ces mots betes de p^remière, etc, ces mots !!!!!!!!!!!!! ces lmots -bêtes déloger !!!!!!!!!!! car ces mpts sont lourds de leur paresse , de leur présence temporo-spatizale, de leur masse et puissance, etc, et à nous de faire en sorte que cela soit comme déplacé de nous afin de pouvoir enfin nous sentir libéré de cette chose en soi d’une sorte de poids qui serait de trop ! nous voulons nous libérer de lma bete en  ous pesante ! nous voulons nous libérer de cette bete de paroi de roche, bete gravée par l’homme des cavernes, enfin la laisser de côté et aller fissa à même la roche gambader l’esprit léger comme une biche des apprêts, mais pour ce fgaire comment cfaire ? poussser ? pouysser ? pousser ? pousser ? pousser la bete ? à deux ? à combienn ? nous cxherchons à pousser la bete, à la déloger, à la déplacer et à prendre sa place sur la place : le pouvoir ! le pouvoir est cette chose ici de l’animal de rage, le pouvoir est cette chose d’un dit animal de rage, il s’agit xd’une sorte de saveur ou cvomment dire, un gout, une inclinaison, ou une pente, etc, nous voulons enesemble comprendre les questions, les voir devant nous et les intégrer à notre conversation ou comment dire ? les questions s’imposent à notre vision, elles sont devant nous comme des bêtes, nous vboulons comprendre les données natives = les questions de base = les betes de roche = les betes meubles = les beautés nacrées de la lande = les douces vérités des zonez de la vie mortelle, etc, nous ne sommes pas en reste de vouloir cvomprendre les données, ce qu’elles sont pour nous, à quoi elles ressemblent, leurs traits de base, leurs tracés etc, ou les tracés etc de ce qu’elles sont ou comment ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! et à deux c’est mieux : pour enfin déloger la bete ! nous voulons savoir ce qui est de toutes ces betes de poidfs devant soi : qui sontr elles ? nous ne savons pas le quart du tiers de la moitié du centième de la véerité les concernant , nous voulons savoir beaucoup, nous voulons comp^rendrec loin,  nous voulons trouver des choses sur notre chemin de halage, nous ne voul:ons pas rentrer bredouille de notre promenade, nous voulons comprendre les données de base concernant kla mort (notammeznt) et son corollaire : la bete de sang devant soi ! nous ne voul:ons pas (d’aucune manière) transiger, mais tout au contraire tenir bon sur nos positions , tenir ferme et ne pas marchander ou se laisser aller ou mener par le bout du nez, eztc,; point de marchandage sur la question etc, nous voulons comprendrecloin et faire une chose ici qui est de déplacer la betye du temps, cette grosse et vilaine (?) bete la bouger de grace  ! la bouger ! car zut et mèfle ! nous devons ! nous devons faire à deux cette chose devant soi ! c’est une certitude ! nous devons bouger la bête ! la bête du temps devant soi (cette masse) la bouger = la déplacer = la bouger devant = la faire circuler , etc ! cet etc signe le déplacement de ce temps bestial du devant : etc ! voilà ce qui est ici ! voilà donc ce que nous devons, ensemble, découvrir : un déplacement des données terrestres, des données de vbase ! notre but ici ensemble est d’agir dans l’idée de dép^lacer subséquemment le poids du temps du devant = ce temps à venir, ce temps deevant soi = la masse, ce temps à venir en déplacer la masse etc, nous devons comprendre ensemblke cette chose ici d’une sorte de déplacement des parties de vie à venir, nous voulons co:mprendre ensemble ici cette chose , qui est celle ci :comme qioio le temps à venir = la bete en soi, ou disons les mots betes en soi, cet appareil de charge, cette drole de chose lourde, cet appareil menaçant, cet impactomètre, ce chant de la roche, nous devons aller en rochje à la recherche de lma bete mot qui est ce temps massif de la rose des vents, ou des temps, etc, nous nous devons de le comprendre, nous devons comprendre cette chose ici , d’une sorte de massif spatio-temporel qui (de

vant nous) nous oblige oà voir de nos quqtre yeux cette chose déplacée,, devant nous, qui est cette bete de poids surnuméraire, nous devons comprendre ensemble ces données de base naissantes liées à la bete des temps, bnous nous devons ensemble de comprendre ! quoi est ? qui va ? quand dans ? etc, car la bete devant soi ou devant nous est une bete de belle racée, de belle couvée, de belle nichée, etc, nous ne voulons pas le méconnaitre ou l’ignorer, nous vopulons compere,ndre les données complètes, les données de base complètes, nous voulons savoir ce qui est en cette roche vxd’un devant de soi animalioer ! car voi;là la chose : le devant de soi est animalier ! enfin comprise ! la chjose est enfin comprise ! la chose icvi est presque enfin comprise ! la chose ici est quasi comprise ! on comprend quasi enfin cette chgose d’un devant de soi animùalier ! ah la la ! enfin on comprendf ) on comprend enfin cette chose ! ah la la ! car enfin on voit (4 yeux pour ça! ) ce qu’on voit ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! on voit ce qu’on voit = on voit ce convoi, on l’a compris ! on a dit la chose ! on voit ce convoi ! on voit devant soi ce convoi de temps animal, et  ce convoi de temps animal est un espace temps alloué à une vie humaine , terrestre, qui nous «tend les bras « ou commùent ? l’animal est devant soi la bete de temps monstrueux, temps de roche dure monstrueux ou non ? ou comment ? nous avons devant nous le temps cdéplo yé comme le présent de l’épopée animmalière, nbous voulons savoir de ce temps quoi en tirer en termes de donn,ées de base, et pour ce fzire nous ouvrons nos yeux en grand ! nos mirettes ! nous bvoulons enfin savoir le fin mot = le mùot dela fin ! nous ne voulons pas rester en rade sur le quai m$ais prendre le train lancé des données de base vivantes, nous voulons acquérir, nous -ne voul;ons pas rester betes, nous voulons nous enrichir d’x  ou x données de poids, nouys voulons pousser la bete du devant de soi et comprendre le plus plus que nous pouvons comprendre et cekla ensemble c’est-à-dire main dans la main : une main dans une main ! et pour ce faire : fissa à la banque ! à la banque des données ! une économie de denrées ! vivement ! allons-y gaiement à <quatre yeux ! ne fazisqons pas wsemblant d’y toucher mais au contraire touchons au vif ! alons y touchons ! touchons de la bete poil;ue ! touchons à) pareille bete temporelle ! le temps à venir (devantt soi ?) est une bete de poids, elle porte un nom (le nôtre ?) et va fissa filant doux de sa meute, elle est cette bete de poids attitrée à une roche de lza préhistoire, nous voyons la bete devant = sous nos yeux d’enfants ébaubis - baba, nbous ne sommes pas en reste de comprendre ce qui est, ce qui est ici sur roche, tout ce savoir de base velu, de base poilu, etc, ce plumazge ou quoi ? nous ne voulons pas «passer à côté « ! nous voulons comprendre les données cde la base dure, la roche est une donnée brute à considérer et nous agissons de concert pour le comprendre ensemble, au plus loin que nous pouvons c’est à dire au plus profond des profondeurs, nous ne voulons pas passer à côté, bnous voulons savoir pour nous et pour la bande etc, nous ne voulons pas ig norer, nous voulons faire partie de ceux qui en savent lourd, nous voul:ons nous associer à  ceux et celles qui en savent et lourd et long, nbous voulons comprendxre au plus des vérités, nous ne voulons pas rester en amont de ces vérités de base mais bien au contraire chevzaucher la rocjjhe et apprendre plus, apprendre plus plus plus de toutes ces affaires de parois aux betes et autres embruns subliminaux, bnous ne sommes pas des bétassous, nous avons comprenure humaine, une langue -^patois de belle acqyuisition, une intelligen,ce correcte, des mlots en bagage, des mots betes de rzage en soute, etc, nous ne voulons pas défaillir maios tout au contraire gravir dans l’échelle de la connaissance des données rupestres : kl’art de la ban,de, l’art des dieux de laroche dure des temps, l’art des aumônes, l’art de la roche, l’art du temps, l’art = l’art du temps, l’(art = l’art du temps fleuri, l’art = l’art des temps fleuris de la roche des temps, nous voulons comprendre vif et long, long et vif ce qui se trame en cette matière d’une sorte cde donnée de base rupestre  liée à un envo;l sur roche, de betes ailées, nous ne voulons pas passer à côté ,;, nbous voulonsw les voir décoller et s’en aller de toutes leurs plumes élancées, etc, et nous dès lors de prezndre leur place en paroi ? ou cvomment ? le temps est une donné brute, il s’agit d’une bete du devant, nous voyonsd la bete wsous nos yeux, nous sommes quatre yeux pour ce faire, ce que nous voyons de la vie est la bete, lma bete de mots, nous voyons de la vie la bete en ellme contenue et ce avec nos quatre yeux de rage (race) ou quoi ? nous disons que oui nous voyons ! nous disons que nos (4) yeux voient parfaitement devant soi les betes dressées, chargeant, fortes, la puissance, etc, et cela pour nous a une im:portance con,sidéralble,  ancrée et cvomment, fine ? nous dison,s que nous voulons savoir, savoir les savoioirs : nous ne voulons pas ne pas savoir mais le contraire : savoir ! car nous sommes deux ! car nous sommes main dans la main ! car nous sommes assoc iés sur  ce chjemin des connaissances de baswe à devoir acquérir fissa pa r la bnande, nous déployons, quoi donc ? le temps de la rage, de la rage-race, de ta race -rage etc, nous sommes motivés = mus, carnous sommes touchés ! nous avons un coeur à montrrer ! nous ne voulons pas rester comme bouche bée à ne rien savoir de ce quyi est mais au contraire rassembler un maximum de données de roche (aurochs, bouq uetins, rennes, bisons, chevaux de parade etc) et ces données de roche bien les regarder ensembvle, posément, à part de la foule ou de la cohue du monde, et apprendre à déchiffrer, nous avons ce travail ensemble à mener, ce travazil de sape à développer ou commùent à d»ployer ? ce travail de sape est notre labeur , il s’agit d’une chjose à faire ensemble , à mener ensemble main dans la main n, nous devons aller loin dans cette chose dev ant soi pariétale, entrer en elle (c’est vu et acquis) et en elle déloger la bete soit prendre la place , ou sinon la pkace le pouvoir  , ou comment sinon ? nous ne savons pas tout , nous cherchons, nbous sommes sur une piste, nous sommes ensembkle sur une sorte cde piste folle , piste des pistes, qui nous voit aller et  venir à la recherche d’une denrée rare ou donnée rare ou donnée de base, fine, première ou primaire, le mot de la fin qui serait le mot du déb ut etc, le mopt mpour nous d’une sortye de fin (de vie terrezstre) qui serait en vérité le premier mot des choses de la création, ou alors commùent ? car la vie devant a du poids on le voit, la vie devant dsoi est un bouquetin (tout le monde voit ça !) et nous de vouloir creuser plus avant la roche, et graver la bete de poids qui en impoose, la bete au pouvoir de roche, l’altière ? l’altesse ? qsui en elle ? nous voulons découvrir le plus possiblre de choses à ce jour encore cachées, nous voulons découvrir ensemble des choses qui nous sont en,core à  ce jour cachées, nous voulons découvrir des choses (§^plein si possible) qui (choses de poids) nous sont plus ou moins encore à ce jour cachées et non évidentes, nous sommes sur une piste liée à des savoirs cachés, pistes aux :mots betes de paroiis, aux animaux mots de première instance, etc, notre volonté sur tertre est de voir ce qui est et vibre dezvant nous, la betye cde roche = le temps imparti donné, etc = le temps (celui-là) qu’il nous reste à vivre ! nous savons cela ! nous voulonsq comprendre beaucoup encore ! nous avons cette ambition en nouys de vouloir comprendre encore beaucoup, encore pl;ein, de choses concernaznt la mort, nbous voulons comprendre les données les plus souterraines, ce qu’elles sont pour nous, ce  en quoi elles se .. commênt dire ? ce en quoi nous pouvons, d’elles... etc, nous vouylons comprendre ! nous voulons savoir ce que ces donhnées, voilà !! recelent en elles en termes de savoirs anciens, des profondeurs, plus qu’ancviens, etc, nous vopulons comprendre loin et plus loin que loin, ces données : creuser creuser creuser ! car nous sommes friands de don,nées, qu’ont-elles en elles de si secret ? nous voulons aller très loin en ces données cde rochev dure, les fouiller de fond en comble et comprendre plus plus un ensemble de choses de poids, des betes pszut-être, ou sinon des betes des mots ? ou sinon des mots ou des betes, des mots-betes ? mots de roche dure, gravures sur paroi de roche ? nous cherchons ensemble à comprendre ce qui est sur roche devant soi = ce temps dévolu à une vie humaine déployée comme un ruban de soie dans le vent de la roche du temps, nous ne voulobns pas rester en carafe mzais trouver la clé des chants, etc, nous voulons comprendre plus plus plus = ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++  ce qui ewst devant qui nous attend, qui nous regfarde, qui nous voit venir ensemble (main + main) dans son champ de vision, nous parlons à l’emporte pièce à son endroit, avons presque envie de l’insultyer, nous voulons nous poster en roche ;:a tete redressée, le front haut et comme fier, nous ne voulons pas nous montrer blessé ou meurtris, doux de trop , ou trop gentil mignon, non ! nous voulons en jeter grave ... dans l’ignominie verbale ? nous ne voulons pas passer pour des benets de roche tendrte , nous voulons en imposer fissa et grave, envers qui envers la mort ! voilà la chose ! car la mort nous attend au tournant, et nous de l’éviter le plus longtemps possible ou d’éviter de la croiser kle plus possible etc, nous voulons savoir les choses du monde, ce qu’elles son,t pour nous qui avons pour nous petite comprenure, etc, nous ne vopulons pas sombrer vaillament mais vaillmament relever la tete, noys voulobns aller en roche comme en religion à la recherche de données rupestres foncières ou comment ? les fondamentaux ? nous sommes unis, nouys sommes deux, nous sommes unis par la vie, nous sommes deux, noius voulons com^prendre les données de bnase, nous sommes deix, ous sommes un couple de gens en nous mêmes,; bnous sommes unis, nous sommes deux, nous sommes ce couple de gens so;:idaires, soudés c’est à dire cvollmés, collés entre eux, un côté droit et un côté gauche, nous sommes binaire, nous sommes double = doublé = à doublure = habit de bure pour l’éternité d’une vie de roche, nous nous asseyons dans la grotte, nous sopmmes assis dans la grotte, nous voulons comprendrec les données de base de la vie dev roche et pour ce faire aller loin le plus possible à l’intérieur de pareiklle roche , creuser creuser creuserr la pierre, entrer en  cette maztière, s’y nicher un temps et regarder les yeux bien ouverts ce squi ici setrame de folie,  c ette conversion à vif, ce spectacle de la prairie, ces feux de roche fuulmina,nte, cette cavalcade animalière, ces incantations grossières, mots betes enchantés, ces ignominies proférées, ces chants d’outre mesure, ces parioles fautives natives, ces bryuits, ces xsecousses, ces écarts, ces choses de peu déployées sur table, et tout ce sang ! nous ne voulons pas passer à c^$oté ! nous vopulons comprendre les données de base, les soupeser ou les soulever et les montrer en les portant haut au-dessus de nos têtes ! nous imploronsle  dieu de la fête ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pazs mourir ! nous ,ne voulons pas mourir ! merdum de merdum ! car nous sommes deux (en nous) qui voyons les choses autour de nous, et deux est le bon chiffre pour ne pas mourir ! hé nous sommes deux, la mort ! le vois tu ? vois tu que «je» est deux, ou «suis» deux, le vois tru ? et dès lors tu n’as pas le vdroit de m’écrabouiller ! je suis deux, le chiffree deux, je suis deux de rage, bisque rage au firmament alors voilà : tu ne dois pas attenter à mes jours, tu dois me laisser en vie , tu ne dois pas me toucher à vif,;, tu dois me laisser i,ntact et sur la roche des embruns, etc, MON NOM est à l’affiche, oup la ! me voilà célèbre = reconnu par la bande ! je suis l’homme des aveux de bure, homme-chevazl, canasson des bois, tranquille, cxhevauchant laz plaine à l’envi et me faufilant parmi les betes de ma confrérie animalière, ce troupeau de betes de roche, bien ou mal dessinées peu importe, cette meute (?) ou cvomment en cavalcade,; vive le cheval du roi ! du roi de la meute ! ou sinon la meute la quoi ? car la meute ici m’appartient, elle fait partie de mon imaginaire pariétal , car je suis l’homme des cavernes au doux chant de la roche, au chant doux de roche dure, jke suis homme et femme des cavernes, une meute cavalière sous mes yeux haghatrds, je vais et je viens sur roche, mon nom est le nom de la mùeute etc, je cherche la chose sur roche, il s’agit d’une sorte de beauté plastique primaire, des contours, des formes, des tracés à l»’emporte pièrce, pour donner de quoi à la roche (la nourrir) et la contenter, nouys didsons que nous voulons comprendre les temps du devant de soi, ce quils sont pour nous : présents = offrandes ? animaux -mots de rage ? tombola ? nous ne xsavons pas ! nous voulons comprendre ensemble ces données de base déployées sur roche par des hommes anciens des  cavernes, ces données les soupeser et dès lors les soulever et les affgicher de conserve («à toi à moi») de manière à être bien entendu et revconn,u des hommes, nous ne vcoulons pazs passer pour des nigauds qui ne comprennjent rien  à rien, nous avbons chacun notre gouverne existenciellme, nous sommes munis chacun d’une sorte d’appareilk;de jhoie sommaire mais charmeur, appareil de roche dure, qui sert à graver-dire nos tourments de  vie sur la roche, nous voulons graver le plus que nous pouvons, nous avons cette envie très ancrée et forte en  nous de vouloir cela, graver cette roche des p^rés, à la manière ancienne (ancestrale) de nos précepteurs aurignaciens ou magdaléniens, nous voulons graver vite les données du monde à vbenir , ces betres-mots sont à déloger «comme il faut» à savoir à  la souflette, au souffle divin, au souffle des temps reculés, en-bouche doré, en-bouche doré de la roche, etc,; nous ne voulons pas perdxre le wsens des choses, nous avons pour ambition d’aller tres loin en cette roche des données du monde, nous vopulons comprten,dre  ce qui est, ce qui setrame devant nous, ces allers-retours de conserve en roche : qui va là ducon ? qsui est là quyi parle ? qui s’adresse à nous dans le noir ? qui nou!s parle dans le noir ? qsui est devant nous que nous ne savons voir ? car quyi voir ? et qui voit ? nous n,e savons pas comment dire ! nous sommes deux etres de peu qui cherchons la chose à comprendre dans le noir ! nous savons cela : que nous ne savons pas ! or ce savoir eswt un savoir comme un auttre savoir ! or : ce savoir là, ce savoir du non-savoir , est aussi savoir ! et dès lors nous nous trompons ! nous savons ! et que savons-nous ? que nous ne savons pas ? oh misère ! que savoir ? que donc savoir nous deux dans le noir ? noussommes dans le noir de la roche brute et cherchons à nous y retrouver, qu’y a t il dans le noir de la roche brute ? il y a des animaux de taille ! il y a des mots betes de rage (de race et de rage) et ces motrs sont là pour nous aider à nous y retrouver , nous voyons les chgoses du devant de soi, les betes mots qui nous gouvernent, qui sont «nous» ou ce «nous» de la procuration, nous sommes deux pour cela le xdire, cette chose, comme quoi nous sommes deux en roche à recherchjer des données de poidfs qui puissent faire de la sorte qu’enfin nous puissions nous sentir aimé et reconnu pour cela que nouys sommes enemble, un couple de gens de fortune, peut etre mal dégauchi mais bien présents cvolmme des dons de soi à la bnande, par la bande ou à la bnande, à la bande nous pensons, nous pensons cela comme quoi nous so:mmes comme des présents, déposés (de soi) à la bande ou sur, ou dans peut être, présents de rage et de sang, présents-dons qui sont autant de données de base déposéesq sur roche : aurochs de laz prairie et bouquetins des monts de la roche, nbous so:mmes deux ainsi à chercher ensemble ce qui est, nous sommes deux qui ensembvle chertchgons ce qui est et qsui nous regharde de pied, nous voulons savoir ce qui est, nous voulons savoir ce qui est qui est devant nous et nous regarde, et pour cela nous devons l’approcher, voire le toucher, le sentir, le regarder, etc, lui parler peut être, devant soi il y a la mort = le temps devant dsoi, il y a la mort qui est du temps, qui eswt ce temps d’un devqant de soi pariétazl animalier, nous savons cela comùe quoi le cdevant d’un soi est anu

imalier en termes de constitution premioère, nous voyonds la bêtye caracoler sous nos yeux, nous la savons plzeine d’elle-m-ême et dure à déloger fisqa, et voil;à pourquoi nous solmmes deux à être, car à deux c’estv mieux, à deux on y arrivev mieux,à deux on a plus de chance, à deux on doit pouvoir arriver à nos fins plus facilement, à nos fins qui sont celkles ci : de pouvoir déloger la bete-mots de sa loge pariéto-frontale, nous voulons déplacer la bete (= le temps) de sa loge temporo frontale ou pariéto frontrale ou temporo pariétale etc, et cela fait, prendre sa place = son pouvoir de chance, son allant de rage, son élan de peu, sa mzainmise sur les prés, etc,; , nous voulons cela, nouys voulons aller au plus profond des données du monde, nous ne voulons pas rester en deça, notrte but ultime est d’aller tres loin dans la roche à la recher che d’une vérité costaude, nous ne voulons pas mourir ! nous ne vcoulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir !nous ne vou:lons pas passerr l’arme à gauche ! nous ne voulons pas p^mourir ! nous ne voulons pas décéder ! nous ne voul;ons pas déceder ! nous ne voul:ons pas trépassser ! nouys ne voulons pas dispatraitre ! c’est à xire qu’en nous exciste cette chose cx’une gouverne qui dit qu’elle renackle à devoir succomber sous les coups du sort d’une sorte d’entité de roche prête à nous tuer , nous disons cela, comme quoi la roche, ici bas ,; est le pré qui nous voit rena kler, regimber, nous cabrer, refuser la mort, nous sommes deux en nous à refuser (refuser ? comment ? ) la mport à l’euvre (de la recevoir) et voilà pourquoi nous sommes reconnu de tout un chacun ! nous sommes reconnu car nous saignons ! nous pissons le sang de ta mère ! nous sommres tout pissant cde san,g ! nous pissons un sang cde roche dure, nous pissons le sang de la vie à l;’ oeuvre, car en bnous pisse que tu pîsseras le sang de la vie vive, fine, secondée, doubl»ée par la bande , etc ! nous pissons le sa,ng par la bnande et ce faisant  nous recvulons les éc héances et nous nous sauvons, nous ne devons pâs mourir ! non non non ! nbous tenons  à rester en vie, à pisser le sang de laroche, à tenir ! nous sommes deux enfants, nous nous promenons dans laroche, nous sommes deux enfants du temps, nous sommes en,fants des temps de la roche des temps, nous nous promenon,s dans la roche, nous sommes deux enfants de roche, nous sommes des et deux (enfants de roche) qyui allon s en roche fissa, à la recherche de la vérité a ncrée, et pour ce faire : l’animal ! car l’animal-mot sait les choses, il en conna it un rayon, il sait le tout dans sa gouverne temporelle, il n’est pas en manqque de saavoir, il connait le monde, il sait ce qsui est qui nous attend,; il sait plein de cghoses et à  nous d’axcquérir à présent ce m^$eme savoir, qu’est-il ? que sait l’animal (du temps de la vie) que nous ignorons ? nous nous immisçons à ses côtés, il est beau nacrée de ba se,; l’animal est beau, est charme, est cette forme d’un devant de soi soigné, il est «formé», il est bel et bien formé par la bande («en formes») etc, il est l’animal formé par excvellence (toutes les parties présentes) etc, et nous de le reconnaitre en tant que tel, et nous de le (presque) jalouseer pour ses formes, etc, nous voulons comptrendre les données de base les plus fines, nbous voul:ons savoir et comprendre au mieux ce qui est, vce qui se trame devant soi en maztière de deonnée du monde adjacent, quioi est là pour qui ? sommes-nous attendu ? sommes nous reconnus pour ce que («réellement») nous sommes au plus p^rofonsdd de nous ? sommes nous recvonhu pour cela que nous serions «vraimùent» ? qui nous voit en toutes nos partie («à plein») ? qui sait de bnous tout ? qui sait tout de nous ? qui de nous sqait tout ? qyi pour nous juger en toute honn^$zeteté ? qui nous voit en intégralité , c’est à dire := 1, de pied en cap et de partou, et 2 : dans le temps déployé complet, le temps qui court du mommernt p^récis qui bnous a vu sortir d’un ventree à ce moment précis qui nous verra passer l’arme à gauche, etc, nous voulons être vu et revconnu et validé (ou pas) pour ce que nous sommes ou en regard de ce que nous sommes «vraiment», or que sommes nous «vraimennt» ? le savons nous ? savons nous ce que nous sommes ? dsavons  nous ce que n ous serons ? savons nous ce que demain apres demain nous allons devenir ? et ce que demain ou apres demain nous serons est «nous» tout autant que ce que hier ou aujourdhui nous sommes ou avons été, nous ne savons pas qui nous sommes, et cependant n ous voulons etre recvonnu pour ce que nous sommes au juste, nous voulons être reconnus pour ce que nous sommes et pas pour auttre chose, or que sommes nous ? ou qui sommes nous ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas <qui nous sommes, nouys ne savons pas qui nous sommes au juste ! il s’agit ici d’une qustion précise de justivcve et d’honn^êteté , nous vopulons savoir, saurons nous un jour ? qui saura nous dire qui nous sommes ? qui saura nous dire quoi ? quoi en soi est ? qui en nnous eciste ? qui existe en  ous, etc, nous ne savons pas,, nous sommes ensemble en roche pour ce faire ;: cette tentative d’en  savoir long, ou pl;us long, mais comênt ? en creusant la roche ? en creusant ou traçant sur roche des betyes de roche, dits mots-betes de premièeze», nous voulons comprendre ce qui est qui nous atten,d : qui je suis sur roche  que j’ignore , ce qui est est peutetre, très certaineme,nt mais qui voit au plus juste ce qui est ? qui sait voir vraiment les quatre vérités , qui sait recvonnaitre le bon hgrain de l’ivraie ? qui sait s’y retrouver en toute honneteté ? qui sait voir au plus prrès et au plus juste kles choses du monde ? y a t il des sa ges ? y a t il sur terre ces sages, des savants de ta race, des forts en thème sur pareille roche des connaissances, etc qui le sait ? nous vcoulons tomber sur le juge suprême, calé, cvonnaisseur émérite, la tête ! or où est elle ? qui en sait plus lourd que la moyenne ? parmi nous qsui pour n ous jugezr «hintelligemment» ? personne ! qui aura l’intellige,nce asseez dévelop^pée pour nous juger à bon escient et «parfaitement» ? personnne sur terre, impossible, trop limité tout le monde ! tous ! alors comment ? par lma bande ? un espoir ? pas d’espoir ? point d’espoir ? nul de chez nul espoir d’être reconnu en entier , pour ce qu’en entier nous sqommes et ne sommes pas , calcul complmet, le bon chiffre !!ç!!!!!!!!!!!!!çç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pas le mùauvais on le voit ! nous vopulons comprendre ce qsui est pour soi qui nous attend, et pour se fzairee : la bete ! devant soi sur roche ! tracée à main levée par l’homme des cavernes, ce voyant aux yeux fermés ! etc, nous savons celac , nouys chertchgons dans le sang de la rage une réponse à nos questions posté»es, et comment savoir ici, entre nous, cette chose ? comment faire pour savoior ce qui dan,s le dsang bouilloonne , comment faire pour comprendxre, pour trouver-dénicher la Chose , comment ? nous avons devant nous lke temps quil nous reste à vivre, ce temps est pariétzal , ààà sa voir que ce temps est comme déployé sur une face, une roche = la paroi terrestre, nousq voyo,ns devant nous ces betes xde roche dessinées ou gravées et ces betes sont des :mots, sont du  verbe travcé à) main levée,; nouys disons que ces mots sont ce temps décrit, celuyi qui reste à devoir traverser, ces mots de la roche dure sont les mots-bêtes du monde terrestre, les raisons de cap, les gouvernes, etc, nous ne voul:ons pas mourir, nous ne voulons pas trépasser ! nous voulons conserver notre  quant-à- soi et tenir les yeux ouverts, face à l’adversité pariétale ou pas mzais les hyeux ouverts comme un nouveau né (naissanrt) etc, le nouveazu né nait au monde (si tout va bien-) les yeux grands ouverts puis il les referme un temps (quelques heures) pour les reposer peut etre avant de kles rouvrir à J 2 ou J3 pour voir le monde menaçant et attendre le lait de sa faim naisssante etc, nouys voyons kles choses du monde, nousv avon,s les yeux ouvertezs sur le mo nde, nous voul:ons comprendre le monde et le voir tel qu’il est pour nous,; cette cbhose ouverte sjur le temps ou commùent ? nous sommes nous deux à la recherche cd’une  vérité de masse ! nouys voulons comp^rendre les don,,nées du monde ! n ous ne vou:lons pas mourir ! nous ne voul:ons pas trépasser tantot ! notre but eswt de reswter en, vie ! nouys voulons déloger la bete en  nous ezt la faire dè!s lors figurer swur roche ! en nous il y a une bête et cette bete elle  nous gène fort aux entournures ! nous ne voulons pas défaillir avant cx’(avoir vraiment réellement dé;logé la betye rosse de sa loge pariéto-temporelle frontale, nous voulons cela ! nous sommes acharnés ! nous voulons creuser la roche au pic de verbe et traverser la roche à dos de xheval et aller au fin fond d’icelle découvrir ;kes données finales, etc, nous voulons compfrendre ce qui est en roche qui serait cela que nous devons avoir un jour à affronter par la bande, qui est qui en rocxhe ? la bete est elle la bete (ou la belle ?) ? la bete est elle la bete ? le ciel est il le ciel ? je est il je ? nous est il nous ? que est il que ? chant est il chant ? fleur est il fleur ? je est il je suis ?. je suiis est il je ? nous sommes est il nous ? nous est il nous sommes ? le vrai est il le vrai ? le beau nacré eswt il le beau nacré ? je suis est il je suis ? la vie est il la vie ? le sang est il le sang ? le vent est il le veznt ? le roi est il le roi ? la biche est il la biche ? l

e cerf eswt il le cerf ? la  biche est elle la biche ? le cerf est elle le  c erf ? l’(animal est elle l’animal ? l’animal est il vrai ou un pis-aller de première ? faisons ac croire ! faisons croire au dieu de la roche des temp^s , que notre heure n’estpas venue, que la bete sur rocxhe est nous de fond en comble , etc ,faisons croire à dieu que nous sommes morts !!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisqons croire que nous sommes morts ! faisons croire (à deux) que nous so:mes morts sur la l:ande , sur roche du temps, dans le sas, dans la pierre, à dos de chevqal, près des embruns, entre deux mùers de roche;, sous le vent, dans le sxang, etcv, faisons croire comme cdes enfants, que nous sommes morts : jouons !!!!!!!!!!!!!!! jouons à faire les morts, à fzire le mort, à faire la =mort, à faire le mort, à faire le mort de la mort, etc, nous devons jouer ainsi en roche (bisons) à fazire (simul;er) le mort ou la mort, nous devons com^prtendre ensemb;le les données qui préside nt au jeu  de la mortn ,, ous sommes en roche afin de simuler, et de simuler pour nous sauver ! nous avons à co:mprendre cette  chose d’un salut, nous avons à ensemble comprendre ici  cette cgose dx’un salut à opérer par lma bnande de paroi, pour nous et nottre gouverne etc, nous devons aller profond, nouds avons à simuler , à faire le mort (c’eswt cela) et  cela pour nous sauver (un temps) et nous permettre de rester encore un temps parmi les b etes de przairies , à paitre et nous monter, à courir et  boire l’eau de la rivière, à brouter -qyue tu brouteras etc, nous sommes les  betes de la roche dure, nous sommes les betes du rocher, nous sommes betes du rocher, bnous sommes betyes de rochge djure, betes rosses et fauves, nous avon,s acquis nos lettres de noblesse en roche, nous faisons partie du gratin, nous so:mmes betesq belles, belles betes xs’il en est sur roche, bouquetins des prés tracés, rennes d’envergure, chebvaux du roi, biso,ns de corinthe, amabalités pariétales, soup^lesse des données, tranquilités domainiales, tendres boutons, colères innées, chjaleurs du rut, comédies agraeires, touchettes, perles de pluie, caillebottis, chazmpifgnons de sous bois, beautés rocheuses de parois du =monde, nous voul:ons cxomp^rendre un ensemble en ses parties,  ce monde de paroi de roche ornementée, par des ho:mmes des caver nes, il y a un bail, et nous de nous coller à pareille roche   desqmilliers d’années après, nous  voulons comprendre ensemble les données de bazse, savoir lire sur roche les mots de la bete c’est à dire les mots-bêtes d’envergure pariétales,; sont ce des mots d’intelligence ? nous voulopns savoir , nous voulons comprendrte au p^lus juste ce qui est et  ce qui n’est pas,; pour notre gouverne et pour pourvoir nous situer sur l’échiquyier du monde adjacent : qui nous sommes et qui nous ne sommes , qui je suis et qui je ne suis pas, qui nous sommes et qsui je ne suis, qui je suis et qyui nous ne sommes ! qui je suis et qui en vérité je ne suis pas, qui saurait ou saura me xdire de mon vivant ? personne je le crains ! car qui wsait au juste ? qui est juste ? qui est le juste ? qui est ce juste attendu ? qui est cette perdsonhe agttendue, dite «de la justesse du poiint de vue « ? qui est elle au juste ? que est elle au juste ? comment la trouver si tant est ? je veux me trouver prè!s d’ezlle, je veux et je vcoudrais la conn,aitte de près , je suis homme-femme de la roche des attreaits, je  cher che à trouver la  vérité de roche-dure, ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas, je cherche vaillamment de force, je m’échine, m’escrime, me plie en deux puis en quatre : qui est elle ? où est elle ? ou quoi es telle ? je veux savoir ! je ne vbeux pas passer à côté ! je cherche à compren dre le + ! je ne suis pas là pour me marrer mais pour comprendre les données de base, les comprendre pour les soupêser et les juger, lmes juger pour ;:es comprenxdre au mieujx : soupeser et élever au plus haut des  cieux , je suis homme des ezmbruns de la roche rude et à ce tittre je me permets de dire  ce qui est sur rocxhe en termes de billevesées, de fauuseté surtout etc, l’(animal montré n’est pâs ce moi de base trimballé par moi dans les prés et cependant ... l’a nimal montré (ce bouquetin, ce renne, ce bison, ce buffle) est un pêu moi en cela qu’il est le mot de l’homme que je suiis sur rocxhe, mot-bete de roche dure mienne (mon cervelet ?) et le mot bete ici présenté (dlonné en offrande ou guise de ) est le mot de roche «parfait» , c’est à dire «plein», c’est à dire «complet», etc, nous cherchons oà nous y retrouver dans la roche = qui est qui , et pour cela nous devons nous projeter fissa et tête la première sans tergiverser, nous devons pl;onger fissa et vailmlament, nouys ne devons pâs lambiner et hésiter, nouys devons aller v ite  en besogne, nous devons courir sur la lan,de, nouys devons aller vite le plus , nous devons vite aller le plus et tracer, tracer betes à main levée ! lévitation ! tra,nses dansez ! charmes dansez ! nous devons vite fqait bien fait tracer ! nbous devons traczrcer vite fait les betes mopts de la roche dure , merde à la mort ! disons cette cghose vive ! nouys disons entre nous sur roche cette cghose vive s’il en est : merdum de  chez merdum à la morgt de roche, à mort la roche dure,, à Mort Roche de la dure mère ! nous ne voulons pas succomber deux fois (ni trois ni quatre!), nous voulons trouver la parade nuptiale et tenir bon coute que coute au mùilieu des beters rep^rése ntées, qui le sait ? nous voulons tenir bon fissa , tete devant, forceant le passage, allonsq y gaiemen,t, et tenir, tenir bon la Chose, ne pas lâcher prise, aller de l’avant encore et troujours,; car la  vérité est toujours devant, la vérité est cette cgose brandie cdevant soi pour un dépl;oiement de type temporel intrinsèque (hélas ?) et voilà pôurquoi les mots de la raison (intrinsèque) en nous, car nous so:mmùes (nous) des etres de rage au fin fond, mais en surface ? etres de ;a pleine mesure pariétale étirée,; qui allons nous promener gentiement sur roche à la recherche (soi disant) de la  vérité de façade, nous ne voulons pas d’une vérité de façade (quoique) mais d’une vérité de fond de cale (en,core que) ,  voilà  ce que nbous disons et dessinons, bnous voulons savoir ce qui est de rage et non de race, ou sinon cde rage de col;ère ou sinon de colère de passion ? que ! que quoi ? que de rage  ou que de passion ou que de co:;ère ou quoi ? nous vcoulons savoir en  nous ce qui est qui vibre de sa vie de base , ce qui vit le pli de ta rage, nous voulons comp^renxdre, nous chercho,ns à qui mieux mieux, nbous sommes attendus au tournant,, nous sommes suivis par la bande dan,s nos tourtmentqs, souffran ces, atermoiements, chevauchements, bouscula desq, turpitudes ezt autres envahissements du moi par la ha rde, nous voulons savoir ce qui eswt en termes de vilenies de façade, entermes de sa:eté des saletés, etc, la mort est cette chose coriace, l:’apres mort est une misère, le sang est chant, la mort est le chant de la rage terrestre, lma mort est incluse e,n soi (sang) comme une sorte de donnée réelle (de base) pour une éternité de parade, nous voulons en nous de la mort de rage, qu’elle soit celle en nous à laquelle nous voulons un temp^s aspirer ou commùent dire en  nous cet engouement lié  à la grâce ? bnous alloons en roche enwembkle, bnous cherchgons UNE V2RITY, nous  cherchons une vérité, nbous cherchons une ou une autre vérité, nous voul:onsq conn itre la v érité sur les choses du mon de mais en vérité nous voulons sauver de nous ce qui peut l’être, voilà la vérité (ou pas ?) que nous adorons, nous ne voulons pas trépasser, nouys ne voulons pâs mourir , nous ne voulons pas défaillir, nous voulons durer dans le dur ou le moins dur mais durer, notre but est plein de l:ui qui s’affffiche sur roche du temps, la bete en nous est le mot de la fin, la bete de roche est ce mot de la fin et de lafaim, car nous sommes ainqsi des etres de ventre ,; à  nourrir, à remplir, etc, et l:a b ete comme nous a des bhesoins, etc, nous ne voulons pas mourir trop vite, notrte but est dxe cdurer longtemps et de ne pas flancher, bnous ne voul:ons pas partir  car nous craig nons les choses du levant, or pas toujours , nous ne craignons pas toujours les c hoses du levant mais là oui, nous craignons là ces choses rudes, pourquoi ? nous sommes comme des enfants qui jouons à simuler la mort à l’oeuvre, cette mort de  roche xdure, nous sommes enfqants de la roche dure et  nous jouons à faire le mort, au mort dee la roche, à pisse-canette, au turlurin, à la morte-belle, au galopin, au chihuahua, au prince des ténèbres, à la bouclette, au pincengrin, à mistigri, au parap;luie, à la bouillabaisse, au charmeur et à la c haremeuse, au sang dans les veines, au vent dans les voiles, au sécateur, au docteur et à l’infirmière, au docteur et à la princesse, au dieu des roches allouées, au ventre à terre, au beau du bel élan, à la riche héritière, au genda rme et au voleur, à la fguerre comme à la guerre, au principal, au sang  noir, au sang blanc, à michette, aux gtrois cailloux, à labelette, au marcassin, au livre ouvert, à miche mange, aux douillets, au lit d’accveuil, au résistant, à la belle chausse, au tiens-prends-le-dans-le-sas, à caille belle, à ravinette, au chalumeau, au tombeau des dettes, etc, nbous sommes les enfants des bois, nous allons gaiement dans la lande, nous nous amuson,s hgentiment, nbous voulons savoir c$e qui est en roche qui nous attend, bnous nous asseyons sur roche un court instant et reghardons autour de nous ce qui est qui sembkle swe tramer pour nous, ce qui nous attend par la  bande, qui serons-nous, c’est à dire qui demain apres demain, serons nous et pour nous dèjà, soit à nos yeux, qui allons nous devenir sur roche : betes-mots de roche ? mots betes des )arois du monde ? squelettes ? qyui sommes nous ? dieux vivqants en  charge dx’une dette ? que xdire à la volée sur roche à main levée : des mots de la raison pure ? des serments ? saints sxacrements ? envol:ées lyriques ? dépl;oiements fa cial ? turpitudes ? notre but est de nous afficher sur roche «tel s que nous sommes» et pas autrement, or que sommes n ous ? qui sommes nous ? devons nous mourir ? la mort est e:lle une jhoie ? pôurquoi ne mourons-nous pas vite fait bien fqait dans la roche ? qui , du cerf ou du bison, de l’antilope,$

 ou du cheval, est notre bel.le ami.e inclusif.ive ? nous ne sommes pas perdus, nouys sommes dans le sas, nous sommes pris insérés da,ns la roche, nous sommes beaux des belles données, bnous sommes en roche des sous bois inclus et i,$$ncluses, nous voulo,ns comprendre le + de ce + de la roche rude, quoi est-ce ? nous voulons connaigtfre ++, la  vérité des choses du =monde, ce qu’elles sont, ce qui  nous attend, ce qui est,, ce que nous avons à comprendre e,nsemble, nous  voulons savoir ce qui est en roche pour nous qui semble ou semblerait devoir nous attendre : je suis homme des cavernes au sang chaud bouillant, dressé, en joie, minéral, je veux la vérité sur ce qui est en roche adoubé, je ne veux pas mourir séance tenante, mon ciel est le chant dxe laroche meuble, mes tourments sont ceux des szerments de poids, ma vie eswt pleine de vie, jke ,ne veux pas de la mort en moi, mon coeur bat sa choswe rude, le temps est l’animal de la paroi, le temps quil nous reste à vivre est un animal de grosse taille et de b elle prestance pariétale, je suis un homme des cavernes rugissa,nt en vgrotte sous l’effet vivant d’une bete de roche en mon sa ng, je vais et je viens sur roche comme l’(animal dans sa cage, ou comme la bete des prés jol:is sautillant à qui mieux mieux de roche en rochje, mon sang est ma gouverne, le dessin la voie lactée vers le =ystère de la déité,, je cherche col:ère, mon sang rugit sa haine princière : sus à cette «mort de mùerdxe», sus à cette chose à insulter fissa, les genoux en croix, sur roche , sur paroi du mon de, «:merdum des :merdums» à son encontre car en moi (homme-femme du temp)s ) la vie  va qui chante sa colère vive, je chante et entre en roche fissa, mon chant est mon pic de roche, je suis la b ete fauve cl:audiquante entrant dans la roche, bnous sommes betes de joie vive, notre coeur est fou de roche dure , de roches rudes, de roches rugueuses, nous vivons, nous sommes en vie, nous en   trons fissa tete première dans la roche des ezmbruns et  nous parlons à haute voicxx, nous disons toutevnotre colère, nous hurlons en roche et insultons la mort qui nous hele, nous ne voulons opas mourir ! nous ne voul:ons pas mourir ! nous ne sommes pâs prêts de vouloir mourir,  nous ne sommes pas près de vouloir défaillir et sombrer, bnotre vie nous garde, nbousq vcontient, nous épaule, nbous donne du large, bnous ne vopulons pas passer l’arme à gauche, n ous sommes enfqants de roche dure et nous jhouons à dire des choses de la  vie rude, dure, pleine de tourments, nous jouons au papa et à la maman, à la belle hélène, au gracié, à la mort écartée, aux soubassements premiers, à la préhistoire, au miel, aux chaises évenntrées, à la courte paille, aux wserments xsanctifiés, aux pl:eureurs, au chant des terres meubles, à mil;le princesses, au gaerdien du phare, à l’(attrappé, au chenil, au peetit prince, à la marelle, au  bénitier , au vent dans les paraghes, au charcutier, à la sauterelle,; au vbentretere vide et à cache poil

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13/07/2021

main , main, main, main, main, main, main, main main, main, main, main, main, main ,main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, je regaerde autour de moi : betes de rage, je vais et je viens en paroi du temps, mo,n nom n’est rien qui puisse vous indiquer l’origine des temps, je  vais et je viens en cette roche des tourments, je suis un homme de la préhistoire, mon nom est un nom d’emprunt, je suis homme au ventre vide, aux faims coriaces, je suis sur roche en cette roche des attraits, sur et en, cette roche est l’endroit-sas de mon origine, je suis homme vif, vide, plein, chargé, déchargé, je vais en roche à la recherche d’une vérité de poids, je cherche à savoir ce qui est dans ce que je vois, mon coeur bat, mes mains tracent des betes de charge et de poids à même la roche nue, je suis homme des cavernes et aussi femme des cavernes et aussi bête des cavernes, je suis homme des temps anciens : je grimpe, je saute, je monte, je franchis, je file, je dessine, je crie, je chante, je vais en roche via cette même paroi de roche avancée devant moi, en cette roche dure pariétale, en cette fissure de paroi, par ce trou de basse fosse devant soi, cette échancrure de paroi du temps, ce trou proche, ce trou pour soi et chacun le sien comme de juste : nous passons enselmble la parooi main dans la main, nous sommes deux qui passons ensemble la paroi du temps main dans la main, nous sommes deux qui passons la paroi du temps ensemble main dans la main, nous sommes deux (en nous ?) qui passons la paroi dure (très) de ce temps imparti à une vie (terrestre) ensembvke et main dans la main comme de juste, ou comme il se doit , nous passons le cap, le cap est passé, nous passons les embruns de fond de roche et les voilà passésà leur tour, nous nous tenons uniment par mla main et ne nous lâchons plus (ou pas) , nous acvançons, nous sommes liés par la main, sa main est dans ma main, nous disons que nous sommes deux, nous disons que nous sommes liés, unis, soudés, collés, agrafés ensemble pour la vie = pour un déroulement ou déroulé de vie, nous disons  ensembmle , mezza voce, que nous sommes unis, que nous sommes soudés ensemble par la main, la main et la main soit sa main dans ma main et nous avançons ainsi soudés, mis ensemble, mis contre, l’un l’autre contre l’autte ou l’un , etc, contre soi, contre cet autre que soi, cet autre proche (très) qui est celui-celle qui vous tend lla main que vous prenez, nous sommes donc ce deux de ml’ombre pariétale temporelle, nous nous sommes glissés dans l’ombre native d’une roche de paroi de grotte ornementée, nous sommes unis ainsi vers une recherche de la vérité, nous nous sommes accolés vers ce but commun d’une recherche de bvérités vraies,  de celles à arborer, à publier (rendre publique) etc, nous disons que nous avons à faire ensemble (deux) ce chemin de voie directe, fissa dans la roche, oup la oup on y va, on saute, on franchit, on passe, on enttre, on s’introduit, on s’immerge, on plonge, on perfore, on trouble,; on troue, on rentre dans icelle roche orneme,ntée de betes de roche, animaux-mots antédiluviens, ces chevaux qui sont à la parade, ces bisons de grotte et autres ours des cavernes, ces félins, ces animaux de belle prestance et de bon poids, nous sommes deux : deux ! deux nous sommes ! nous sommes deux ! deux ! deux nous sommes  et main dans la main pour la bonne cause ! nous y sommes (dans la roche) et nous nous avbançons des fonds pariétaux de cette roche aux embruns ambrés, nous nous tenons par lma main , nos mains sont ainsi collées entrte elles, nous ne nous lâchons pzas d’une semelle car nous nous aimons et donc nous nous tenons proche (très) et avançons clopin clopan ainsi sur cette roche des embruns de rage, proche de la fin, proche du fond, proche des visions lointaines, ainsi nous allons, proches de cette chose en fin fond qui semble nous ouvrir son anttre, sa bouche, ses bras, une ouverture dans la paroi = une faille = un défect qui nous trouble à peine ou oui ? qui sommes nous ? que devons nous penser ? que devons nous dire dev ant cette ouveture béante ? co=mment se comporter ? que dire à cette ouverture ? comment parler (à deux !)  à une ouverture de roche , que dire à une ouverture de roche dure ? que penser devant cette ouverture de roche ? que se dire à soi devant pareille ouverture de roche ? que se dire en soi devant (face) à cette ouverture, devant pareille ouverture et face ou face à pareille ouverture, etc ? nous ne savons pas cvar nous sommes jeunes ou mal éclairés ou mal voyants, ou mal tout court  ! car nous sommes mal ! nous ne voyons pas et nous ne savons pas à quoi nous en tenir car nous sommes mal, nous sommes souffrants, nous sommes de chair et de ce fait amenés à souffrir la pierre si tant est, etc, du fait de notre vulnérabilité constitutionnelle, etc, et que dire dès lors devant, face, devant soi, face, cette chose, devant une ouverture, cette chose, ce trou de face, en face, que dire avec en face de soi cette chose d’une sorte d’ouverture de roche de paroi ? que dire ? que dire à un trou ? que dire à un défaut de paroi dure ? à cz ette échancrure, que dire qui le soit ou le fasse ? qui soit fiable , non friable, qui tienne, qui se tienne, qui tienne droit, qui en impose par satenue, qui le fasse grave, qui puisse le faire grave, qui puisse aller grave et le faire grave idem etc , quoi ? que ? quoi ou que dire avec devant soi une échancrure de paroi, un trou ! que dire ? nous disons à deux uniformément,, unilaatéralement, que nous sommes deux pour entrer en roche et poursuyivre l’aventure ou cette aventure intra-paréietale de fortune, nous disons que nous sommus deux (en nous ?) dans cette embardée rocheuse, etc, nous sommes deux = deux nous sommes, nous sommes à deux = à deux nous sommes, nbous disons à deux, à deux nous disons, nous chargeons à cdeux, à deux nous chargeons, nous entrons dans la rochje meuble, dans la roche meuble nous entrons, nous sommes deux pour ce faire, pour ce faire nous sommes deux, nous nous aimons comme des frères, comme soeurs de rage, comme soeurs de rage, comme des frères , nous nous aimons, deux nous sommes, nous sommes deux ! nous deux ensemble, ensemble nous deux , et ainsi faisant (pied droit, pied ghauche) nous progressons, nous entrons en roche, nbous nous faufilons, nous voulons savoir et comprendre la Vérité ! nous la voulons connaîtte de près ! nous vopulons comprendre ce qui est qui nous regarde, ou qu’il nous incombe de connaittre en tant que nous sommes munis (alloués) d’une comprenure de base magique, de pareille comprenure assise, de pareille machine à co:mprendre en soi (trou) qui puisse nous donner de quoi nous y retrouver en cette roche de la roche des temps etc,  nous sommes deux ! nous nous donnons la main !  nous sommes armés d’une comprenure ! nous avons en nous un appareil de détection magique, ancré, installé dans nos méninges et il s’agit d’une sorte (en soi) d’intellige,nce native, directe, diurne, etc, qui nous permet de comprendre (un peu) ce qui njous entoure et du coup de pouvoir (un tant soit peu) nous faufiler ici ou là sur le sol de terre-mère (l’attraction terrestre) à deux et main dans la main , nous sommesx enszemble sur un chemin, nous marchons côte à côte, nous sommes dans une roche de grotte, nous sommes entrés ensemble main dans la main, nous sommes deux pour la bonne cause pariétale, au lmilieu des betes qui paissent ou broutent tranquillement, nous nous tenons par une main, notre mùain xdroite dans une main gauche ou bien la gauche dans la droite, etc, nous nous tenons par la main, nous sommes deux qui nous tenons par la main, nous sommes d’un temps alllouéé à une vie sur terre = pariétale ? nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base les plus fiables, nbous ne voulons pas passer à côté des données les plus marquantes, et dès lors nous vou;lons comprendre au plus juste ce qui est qui semble s’avérer fiable de visu mais pas seulement : de visu et tactilement, incidemment, et voilà pourquoi nous entrons de face, ensemble, concomittament, fissa, d’un saut d’un seul , car la vie terrezstre est vie d’emprunt pariétal, elle se loge là (à cdet endroit de laroche dure) et vise à s’extraire de là incidemmùent, maids comment ? en se mettant au (comme) garde-à-vous devant l’échancrure finale ? ou comment ? nouds pensons que nous avons à comprendre une chose de poids en cette roche de la roche dure, et cette chose de poids est aurochs ! ou bison ! ou buffle ! cette chose de poids est lourde de soi ! nous sommes ensemble ici à chercher que tu chercheras les raisons qui poussent hommes et femmes de la roche à trouver l’issue fatale ou finale ou terminale etc, qui pôurra nous éclairer sur ce que c’est que cette chose (aventure) d’une vie dsur terre (endiablée) : nous cherchons la chose = vérité de bon acabit, nous cherchons cette chose rude ici (paroi dure) d’une Vérité de poids (buffle) qui puisse «le faire vif», «qui puisse le faire grave « = gravure ? dessin sur roche ? ornementation pariétale ? bison de grâce ? forfaitures dessinées de main de maitre ? chzaleurs du rut ? incantations votives ? trouble dans la masse ? besoins d’azur ? trouble dans le genre ? etc, car nous voilà là enfin ensemble et main dans la main unis, pour pareille  cause que tu causeras, etc, nous sommes UNIS ! nous sommes SOUD2éS ! nous sommes ensemble réunis pour une traversée des choses des temps, comprendre le mouvement général (déjà) et en particulier le sens de la marche vers une échancrure ! nous disons ainsi que nous devons toucher cette timbale (à deux) du ytyemps alloué à une vie d’homme, nous devons ensemble (homme et femme) toucher ! toucher quoi ? ytoucher la timbale ! la timbale de quoi ? la timbale du temps alloué à cette vie de charge pariétale qui nous voit aller (et venir) en roche , ou sur roche, pzarmi tant et tant de betes tout autour de nous, et nous glisser fissa incidemment à même la roche du temps : mains surnuméraires ! = main + main + main + main + main + main + main +mùain, etc, ce nombre ! nous entrons en cette roche des tourments, nbous sommes unis pour la vie terrestre (accolés) , nous nous immisqçons gentiment parmi un nombre conséquent de betes de taille (aurochs et autrees bisons) et nous recherchons où bien la vérité (la vérité) pourrait etrte située, où est elle ? où la Vérité pourrait elle bien etre située ? où la Vérité pourrait bien avoir trouvé à se loger en cette roche des embruns de bord de mer , etc: où ? car la vie treeerestre ne nouys le dit pas, qui se maintient entre ses 4 murs et n’en sort pas (on ne sort pas !) et voilà pourquoi je m’avance, à deux, en roche, dans le vent, etc, voilà ce qui est : je m’avance à deux, je nous nous, nous nous avançons, je nous avance, ou comment ? je nous place ainsi qui nous mettons de face ! droit ! i ! comme de juste ! comme deux justes ! face à elle (ou il ?) : la mort (le ?) et là, face à face, nous disons ce sque nous savons , des mots betes de fortune, des bisons rageurs ou paisibles, des buffles au souffle profonsd, des bouquetins qui vont fissa se loger sur rochecap, nous nous épaulons, nous sommes deux ! nous sommes ce deux de la rage du temps impartyi ! nous voulons comprendre (à deux) les données primaires , les fortes rives, les embruns dotés, les trous de roche, les feux alloués, etc, nous voulons trouver en roche les dites vérités de bel aspect et de bon aloi, nous cherchons, et ce faisant nous poursuivons ce chemin de roche temporo-spatiale, nous n’en démordons pas, nous y restons accolés, nbous poursuivons sur notre lancée et allons ensemvbvle, nbous trouvons de petites choses (de ci de là) qui nous paraissent etre dignes d’un interêt conséquent (pour notre gouverne) en ce qui est ou concerne cette (donc) vérité des choses du temps à rechercher conséquemment, ces petites choses de ci de là sont pécadilles certainement (au regard du tout) et cependant en disent un peu sur ce tout majeur d’une vie terrestre, ou alors que penser ? les mots peuvent-ils dire la Vérité ? les mots ont ils le pouvoir ou pouvoir de dire icelle ? les mots humains ont ils la capacité intégrée, allouée (par qui ? ) de dire la Vérité, ce qui est vraiment de cette vie aux tourments ? les motsque j’emploie à dessein ont ils capavité de toucher la timbale du temps ? ou que dalle ? pis-aller, chose par défaut,; prise de b ecs unilatérale, besoin de cabinet , etc, est-ce cela ? je vais en roche buter la paroi et coller au verbe : le voyez vous ? mon  nom est nom de rien, s’a:menuise en se disant pour finir par disparaitre, j’épuise, j’épuise mon nom pour le rendre liquide arroser laterre, ou comment ? pour que liquidifié il se laisse aller à tomber et à entrer en cextte terre des embruns de bord de mer : sable ! sable mouvant ! chants de la terre meuble ! oup la oup ! une prise rapide, une envolée ou un envol rapide, deux battements d’aile, je ne suis plus là ! je file à toute vitesse, je vais en roche pour savoir quelque cghose d’une chjose dite «de vérité» ou cvoncernant la vérité des choses du monde , je suis appareillé , je suis muni, je suis équipé d’un corps de rage (la souffrance) qui, seul, peut me donner le peps d’y aller , c’est à dire de sauter, de passer, de franchir, de passer «de l’autre côté» du fleuve, l’autre rive etc, nous voulons aller ainsi au loin de la roche des temps, nous voulons aller profond = loin, loin = profond, profond = à deux, à deux = loin etc, nbous sommes pa rés ! munis ! pris dans le sens de la marche vive (= en vie) qui nous pousse à dire et redire en continu cette chose d’un trac»éé de buffe (= de souffle) dans le sang , ou sinon comment ? le sang en nous est le vecteur ! noyus cherchons ensemble dans la roche  ce qui pourrait bien nous donner de quoi comprendre ce qui est de’une temporalité allouée à des hommes et femmes de la roche dure, aurignaciens, aurignaciennes, magdaléniens et magdaléniennes, nous nous affichons de concert main dans la main : c’est nous qui venons vers vous, La Mort ! La Mort, nous voyez-vous ? nous venons à vos devants, nous venosns devant vous , nous venons face à vous, nous nous plaçons devant vous ou en face de vous, nous sommes venus tous deux jusqu’à vous , nous sommes ensemble devant vous ou face à vous! nous nous tenons par la main, nous nous tenons par mamain la mort !, la mort, nous nous tenons par la main ! La Mort, nbous nous tenons par la main ! nous nous tenons La Mort, par la mùain ! nous nous tenons par la main, La Mort ! nous  voyez vous ? pouvrz-vous le comprendre ? La Mort, peux tu le comprendre ? 

La mort, comprends tu ? cvomprends tu quelque chose, ou rien ? que comprends tu de bnous, La Mort ? est ce que tu comprends, La Mort, que nous sommes deux quand j’arrive seul ? vois-tu mon double jovial ? mon alter ego pariétal ? ce buffle de foi ? ce bison de rage ? ce bouquetin des temps reculés ? cette antilope ambrée, ou cambrée ? ce bison des roches dures, cet ours de la vallée, cette antilopê antédiluvienne, ce cheval ? vois tu les raisons (les causes) qui président ? qui sont les bases de nos tourments : les vois tu ? es tu de la partie fine ou juste le regardant ? la , laregardante , ou comment ? es tu (La Mort) la vilaine, l’exécrable, saleté des saletés, la cochonne, la rageuse-chieuse couille ou pas ? autre ? qui estu ? qsui pour nous es tu ? une biche ? une bambinou ? qui donc es tu pour nous devant nous ? échancrure de paroi, bisque-rage de ta mère  pute ! ou pas ? quoi ? qui es tu lza mort ? que puis je dire sur toi «qui le soit» ? je ne connais pas ton petit nom, ni tes mensurations, ni rien ! tu n’es pas pour moi une fame ! tu n’es pas pour moi une dame , ni même un homme à lataille svelte, ou qui ? tu es qui pour moi ? qui tu es pour moi ? qui es tu pour moi ? pour moi qui es tu ? pour moi qui tu es ? pour moi qui tu es et n’es pas ? qui pour moi tu es et n’es pas ? qui tu es pour moi et n’es pas ? qui tu es pour moi et qsui tu n’es opas ? qui tu n’es pas pour moi et qui pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi es tu ? qui n’es tu pas pour moi ou vcontre moi ? qui contre moi pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi (et contree moi ?) tu es ou tu n’es pas  ? qui La Mort tu es pour moi ? qui es tu La mort pour moi ? qui La Mort pour moi es tu et n’es tu pas ? qui La MOrt n’esw tu pas pour moi ? etc, La Mort me regharde de ses yeux de feu, elle cherche à brûler mes ailes, je suis l’animal peureux de base, je suis sur une branche, je vais et je viens de branche en bran,che, Ka Mort est ce regard de feu le dieu de la roche, La /Mort ou Dieu , c’est la même chose ! on le sait ! on wsait cela depuis la nuit des temps ! on sait cela tresbien  depiuis longtemps ! on connait toute l’histoire, et si dieu est mort au 19e siècle, pas La Mort ! pourquoi ? car ... nous sommes deux ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! car nous sommes deux embarqués ! car en moi le 2 domine, qui me voit danser sur la roche, aller d’une branche à l’autre, d’un endroit cde roche l’autre : le soleil ! lka plaine ! le vent ! les arbres ! les ruisseaux! l’herbe ! les fleurs ! et nos amis chevreuils de belle tenue, droiit, riches, raides et musclées, boisés, mis sur roche cvomme des seigneurs de belle race, etc, nous voulons copmp^rendre les choses du monde du temps, ces données racées, ces betesq de poids, ces cervidés, ces betes des bois et sous bois , des plaines herbeuses, des borsds maritimes, etc, nbous cherchons des données de poids, de belles et ro-ndes vérités de roche, pleines d’elles mêmes, pleines à ras etc, nous chertchons des choses dures = qyi tienneznt ! nous ne vou;:ons pas «rentrer» bredouille de notre périple in,tra- pariétal, nous voulons «rentrer» pleins aux as ou comment dire ? en cette matière de la ou des , vérité des vérités etc, nous voulons comprendre ensemble : deux !!!!!!!!!!! cette chose ici d’une vérité de poids de type aurochs et autres bovidés ma jeurs, nous voulons (nous sommes deux) savoir , et savoir = comprendre , et comp^rendre = prendre avec soi = emporter = porter = porter en soi = tenir = prendre = avoir = etre = vivre = mourir = aller , où ? eh bien là ! où ça ? là ici bas ! à demeure ! où ça ? eh bien ici, en ce lieu de rage, sorte de trou barre, ce trait ! ah ! quel trait, quelle barre ? ne la vois tu pazs ? ne le vois tu pas  ?. non ! alors ouvre lkes yeux et rzegharde bien : il s’agit   xd’un trait de joie, sur roche, tracé à la dérobée par x ou y (homme des c avernes) sur paroi du monde ! tu le vois ? je ne vois que dalle, je suis miraud , je suis comme miraud , ou alors quoi ? je vais sur roche découvrir des choses , il s’agit de traits de roche, de hachures, de tracés infinis, de troubles, je vois ce qui est en roche qui «me parle» , et ce qui «me parle» parle en moi à cette bete ro

sse qui trépigne, qui renacle ou comment ? elle est en moi la bete de charge ! elle charge en moi et me trouble grave ! elle est bete en moi racée rageuse ! elle est furie ! elle est rage ! elle est entrain ! elle est vie ! elle est vire ! elle est cette chose en moi qui vibre fissa et laramène grave sur la roche et dès lors trace comme à l’envi des betes de poids sur la roche et ce faisant dit son envie de rester en vie à La mort qui gravite et n’en perd pas une ! elle est là ! elle  ne nous quitte pas d’une semelle ou d’un oeil , elle est toujours là qyi nous inspecte et nbous cherche noise ! la vilaine ! la garce ! la vilaine bgarce ! ou le vilain ! le saligaud, l’enflure, le mécghant, l’indécrottable tourment, etc, nous cherchons des vérités de poids l:ivresque, et ce n(‘est pas simple, nous voulons essayer de c omp^frendre les choses du monde à la lumière de ce qui est, et pour ce faire nous nous promenons sur les b erges et regardons autour de nous ce qui se trame, les betes poids qui sont là (ou pas : en vadrouille) et nous cherc hon,s à comprendre ensemble ce qui donc se passe autour de nous, ce qui est et ce qui n’est pas, et pour cela : des mots de farce, des morts-farce à offrir sur roxche : bouquetins ! nous l’avons cvomp^ris ! qu’avons nous comp^ris ? qui sommes nous pour comprtendre ici les raisons du monde ? des savants de la roche dure ? amateurs de sensations fortes ? chercheurs de buffe ? qui sommes nous ? cherchons nous un souffle, le souffle, souffle ? que cherchons nous ou que recherchons nous ? nous cherchons des choses, ces choses ont un nom, ce nom nous incombe, à nous de le donner ou de le poser sur roche (offrande et don de grâce) : à nous de poser la chose (le Nom) sur pareillle roche à orner, etc, c’est à dire qu’il est pour nous ici  cette chose à faire fissa , de poser ! de poser le Nom, le Nom précis (juste) sur la chose, et  ce n’est pas si:mple ! origine du nom sur la chose ? le cri est à l’origi,ne ? le quoi ? quoi a présidé ? l’origine du nom , quelle est ellle ? ou bien : où la trouver ? quoi a présidé à quoi que ce soit comme nom ? nous cherchgons des origines a-vec des mots non originels, il y a maldonne ou presque ou squoi ? nous voulons comprendre les données de base, le cri primal, l’alouette des temps anciezns, qUI chantait le chant des sphères := o=ù est elle ? ou est elle allée ? nous abvon,s à percer la roche première tete en avant (nôtre) et traverser = passer , et passer = se reytrouver de l’autre côté, dans ce vide (autre) de derrière = cette zone aux cervidés et autre s bovidés etc, nous y sommes = nous sommes passés = nous sommes unis en cette autre rochge des embruns où débnicher le nid des vérités ouvertes, fines, dures ou douces mzais réelles, pleines d’elles -mêmes, etc, nous nous asseyeons sur pareille roche et rrregardons les betes alentour, nous sommes dezux , nous sommes à cdeux, nous sommes deux , deux nous sommes, nous sommes dezux !!!!!!!!!!!!! nous sommes deux qui nous épaulmons : le maitre mot !!!!!!!!!!!!!!! nous sommes deux ici (roche, paroi) qui nous épaulons pour trouver, pour dénicher, pour creuser une vooie, pour soulever kles pierres à la recherche d»’une sorte d’échancrure de paroi ! le monde est plein comme un,e courge, une citrouille, une pastèque ! butternut ! il s’agit de voir (pour nous ( ce qui est , et ce qui est est cette cghose ici d(‘un monde plein = sans faille ! car où est-elle swi tant est ? où se loge t elle (cette fzaille = ce trou) eh bien ici ! c’est à dire l:à ! c’est à dire à l’(endroit précis (sur terre) qyui saura me voir passer l’arme à gauche ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement , c’(est à dire au millimètre : là parfaitement lafaille, ce trou de basse fosse nominatif, et voilà la chose ! voilà où donc la faille du monde saura se montrer que nous ne verrons pas car bnous serons mort : est ce ça ? est ce xela ? quii le sait ? qui va dire ? moi ? moi je peuxw ? je pêux ? puis je ? et si oui comment ? ai je assez de quoi pour dire (vraiment  ) ? ai je assez de quoi (moi !) pour dire vraimùen,t ? et cela pour tout : ai je assez de quoi en moi (!) pour dire le vrai en quoi que ce soit ou «pas res» ? a i je assez de quoi en moi pour dire vraiment une chose ce qu’elle est ou RAS, ou rien ? etc !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!car qui suis je ? homme-femme-enfant-bete des cavernes, qui va et qui vient en roche des temps alloués (alouett ? ) ? je ne sais pas ! je suis l’homme de ma race folle, homme aux mots des vraies vérités, ou comment ? je cherche ! je ne suis pas fou moi même ou si oui par où ? par quell c^$oté de moi le suis je ? suis je fou intégralement ou partie de moi ? peut on ? je cherche en roche une vérité de base rayonnantee, pâs simple ! je suis sur cette roche des embruns et je cherc he une vérité de poidfs qyui «puisse le faire» intégral mais ce n’est pas simple, pas simple du tout, c’est complexe, c’est un processus complexe, un drôle de travail à devoir mener, à pousser loin, etc, car notre volonté est forte (intacte à ce jour) de vouloir savoir, savoir quoi eh bien tout ! forcément ! puisque le langage est ce tout , est plein à ras bord de lui même, ne contient nul manque, est à l’image dela stratosphère à nos yueux : monde plein pareil ! monde plein de lui (sans faille, sans trou autres que borgnes) et le langage articulé (une langue prise au nhasard) est pareillement un monde clos, un monde fermé sur lui même,; contenant le tout de son etre langage, etc, nous savons que cela est cette chose et que les mots sont ce qu’ils sont, à savoir ce pis-aller à déposer sur roche coute que coute et par devers soi pour ainsi dire, ou bon gré mal gré puisque nous sommes pris (=piégés) par icelui (la ngue) ou icvelle (ce langage) ou in verwsement, enfin voilà la chose rosse, ce besoin d’orage , voilà ce souffle ! cette bouffée d’air, cette trouée dans la roche, ce chant dxes attraits gravés ! ces bouquetins ! nous tombons des nues ou pas loin, car ce qui est ici (temps nbr ûlé) déposé est cette chose doublée par un ensemble langagierr frontal, dur delafeuille pour azinsi dire  car replié sur lui même en portefeuille, ou comment ? homme m’entends tu ?  je dis : comment «, car je suiis ici pour comprendere ce doublement ou doublage de paroi, je suis ici même à larecherche d’un,e solutuion à un problème de cop:mpréhension : qui suis je et dans quel état j’erre pour ain,si dire ! qui je suis que je ne saurai voir ? qui je suis en roche ? le temps brûlé est il du verbe et si oui lequel ? je cherche à savoir, je ne la^che pas la rercherche, je ne lzache pas la main, je ne lâche rien, je cherche «follement» dans la méprise le summun ! c’est à dire la lumière, le feu central = le jour = la fzaille = l’éclaircie =mais vas y !  ce n’est pas facile , ce n’est pas simple du tout, on doit fortement s’armer de courage, on se doit de chercher vif, vigoureux, on se doit de chercher dans les profondeurs de la roche, parmi toutes ces betes, laquelle est pour soi : transe ! trans-humanité du genre ! etc, et voilà ce qui est, ce qui nous regarde, ce qui vient vers nous par la bande, cxette humanité trans-genre de l’aprrè!s- passage de roche : homme-femme des attraits de roche, de la roche ornementée : bouquetin, chevreuil, ours, cheval ou buffle, etc, nous chrercghons une raison (musivcvale en diable) d’y croire, c ‘‘est à dire de croire au lan,gage, c’est à dire de croire à sa langue propre, etc, nous voulons essayer d’y croire fort, nous voulons ensemble essayer dxe pe nser lza :mort comme une entiteé cde passdage or que dalle ? ou quoi d’auttre ? une venaison ? pendaison ,; prise d

‘otaghe ? suspension temporo-spatiale ? fin des temps pour tout le monde ? intemporalité n ative retrouvée ? temps de roche dure reprisé comme une chaussetre ou commùent ? trou ? trou du cul de la roche meuble ? trou de quoi qui nous voit plonger ? je cherche avec assidiuté, je ne lâche rien au pasdsage, mon élan est tel qyue rien ne m’arrete (à ce jour) et me voil;à nqui fouille les données du monde lan gagier de base, à la va comme je te pousse mais justement, tel est le deal ici qui me voit naissant perpétuellement ou du moins voulant cela, de cette renaissance au monde brutal de la roche, à perpétuité, commùe un condamné de basse roche, ou commùent dénommer icelui qui ira fiszaa (tete plongente) en  cette roche des temps offerts par la bande (= la paroi) au «fil» du temps, qui saura nous dire le pourquoio de cette chose ? nous sommes dfeux qui alloobns en roche chercher que tu  chercheras une vérité de poids de type buffle = buffe = souffle = soufflrerie = soufflerie d’un dieu sur une cote, etc ! et cela nous incombe , c’est à dire qUE cela (cette recherche) nous rehgarde, il s’agit d’une recherche de bon aloi, d’un présent de base à déposer devant soi (l’endroit du trou) etc, et ce présent temporo-spatyal est ce don de soi alloué à la roche meuble,; et donnépa r la bande aux dieux de la paroi de l’homme (des cavernes et autres avens), nous voulons compfrendre cette cxhose en soi = ce présent de vie brûlée déposée à l’endroit précis du trou (chacun le sien) de la fin, nous voulons comprendre ensemble les données frontales pariétales ce qu’elles sont, et ce qu’elles sont nous regarde fort en cela que nous sommes deux à vouloir kles approcher au plus près et concomittament de préférence, elle et moi, moi et elle , etc, car je suis l’elle de la joie du monde tracé, et elle est l’il de la roche dure des temps, et ensemble nous allons de branche en branche et touchons (ou visons à toucher) la timbale du temps imparti, de ce temps «humain» de la roche : naissance et départ de rage, etc, nous voulons comprendre =menu ce qui est, et cette chose (cette Vérrité) la graver sur roche ou la dessiner (art) cde telle manière qu’elle puisse r(cette cghose) en imposer grave et frapper les imagi,nations ! celle de la mort à l’ oeuvtre notamment, car la mort nbous guette, nous swuit depuis toujkours du coin de l’oeil, tous et toutes, nous tous, nous so:mmes toutes et tous ainsi suivis par un oeil de roche, et  cet eil de roche est oeil d’un dieu des roches, et  ce dieu des roches est ce dieu touché (bzambi ?) par la grace , ou sinon qui ? nous voulons toucher ce dieu de la grace meuble ensemble et nous avancer ainsi sur  ce chemin de roche dure vers ce trou de roche qui saura nous contenir zau mieux le moment venu, nous voulons comprtendre les données de base les plus  fines , les plus justes, et aller ensemble dans la profondeur ders choses cde la Vérité ancrée, celle là wque nous voulons compfrendre, etc, nous sommes deux qui recherchons LE POT AUX ROSES, cette chose, et ce POT AUX ROSES nous regarde , en cela que nous nous sentons «concerbnés « par lui, par son effigie pa riétalzae, nous sommes de la bande, nous voulons toucher la plaie de roche dure, l’entaille disons, entre deux mains soufflées sur roche, deux pochoirs antédiluviens, etc, nbous sommes de la roche dure les enfants ou quelqjue cxhose d’approchant ! nous sommes enfants de roche dure, nous cherchons la cause première, le summum du monde, le genre des temps, la parole de poids, la pleine mesure des temps, le vent dsans les feuilles, les tourments des mots de grâce, les bouquetins, les enduyits (onguents et autres chrémes religiuesement déposées), nous voulons aller loin en la demeure pariétale des serments, bnous  ne voulons pas rester en carafe et choir : que non ! mais poursyuivre sur notre lancée la recherche active,la recherche active des vérités, nous sommes deux pour agir ainsi, pour toucher ainsi à une vérité de roche : bouquetin ? nous voulons co:mprendre ensemble (mot à mot) les données frontales du mon,de du trop p;lein, ou du plein dxe soi (ras bord) etc, car le monde est plein de partout, se contient lui même sans faille (archivage) et dès lors cvomment bifurquer ? où trouver sa voie (et son chant ) ? car ici la roche est l’endroit des fuites peut être mais comment ? homme aurignacien ou magdfalénien ou même néa ndertalien , sauraais tu nous renseigner ? comment tu asfait ? lévitation ? transe ? transe-lévitation ? drogues ? cvomment ? la «religion» des roches des temps ? l’in cubation ? la parole manquante ou comment ? les mots faussent-ils la donne  des temps ? qUuoi faussze la donne ? nous cherchons la vérité sur roche (aurochs gravés ou dessinés) comme des morts cde faim pariétaux ou comme mort de faim «de vie» en la roche, ou comment ? nous voulons aller en c ette belle roche xes temps donnés, nous «congratuler» = nous donner dxu «je t’aime, je te veux» à même la roche, et cela pour «passer le temps» à la charge, au poids de roche, sur le poids donnéé, ou comment dire ? à charge ? à volonté ? commùent ? nous disons les mots de telle ou telle roche :  ces «je t’aime», ces «te quiero», etc, sont mots de roche allouée, ces mots nous viennent en bouche par la ban,de et vonjt xsur roche se graver comme à la volette, par des hommes ou femmes des cavernes, ou via des hommes ou femmes des cavernes, nous voulons graver nos noms qwui sont des amen et des j»e t’aime» de haute volée, nous disons la roche, nbous diso,ns la paroi, nous avons dezws mots pour dire, et ces mots sont  ce qui ici se pose par nous en depot de soi sur la roche : nous faiso,ns = nous vivons-faison,s = déposons le temps en offran,de : «te quiero mùucho mi ammor ma mùort «, etc, ce que nous disons, ce que nous disons est ce temps de roche attitré, ce temps attitré à roche attitrée ou sur roche attitrée à cet effet , mots surnuméraires comme des mains (ou doigts) qui vont à se graver illico presto à mla une à lma deux via l’entremise (en treanse) d’un homme (des cavernes) remonté comme une pendule , un sorcier ! et moi de parler une langue comme ce sorcier (la même ?) pour la bande !  je cherche en amont et en avakl, devant et derrière, mais en vérité il n’ya pas de derrière qui soit mais que du devant , ou même : s’il n’y a pâs de derrière qui soit, il n’ya pas nonn ^plus de devant, mais un pourtour temporo spatial cde première, une «zone de rage» donnée, un temps de roche dure , une zone franche, canal, chenal, passage des oies, tombeau pour des enfants rois, passage à niveaux, nous cheminons, nous voulons voir, nous voulons savoir et voir, voir et savoir, tanguer, aller dans cette roche temporelle d’un monde clos sur lui même = sa n s la mort vécue ou comment ? nous sommes dans le ventre mou de la roche, nous sommes insérés dans un ventre mou dx’une charité, nous sommes pris dans une nasse de la charité des bienséances (au mieux) et nous avançons de concert vers .... la mort ? celle là qui njous tend (vraimenbt ?) les bras ? qui suis je pour dire cela ? les mots quye j’emploie d(‘où sortent ils ? qui m’a inculqué ce langage des grossièretés  et des insultes de saillie ? qui je suis pour parler tout court ? qui donc je suis pour l’louvrir ? qui etes vous x ou y pour vous zautoriser l’ouverture en grand de votre gueule , et parler , et dire, asséner, tro:mper, réduire, cramer le temps d’une offrande à venir, etc ? je suis roche moi même un temps qui est celui d(‘une déposition (art) de temps brûlé sur table df(‘offrande, et je vais et viens , je vais et je viens en roche, à la recherche de la vérité liée aux données dde ba se, roc et gravillons, roche dures, parois naissantes, etc, gravons nos noms ! faisons de la sorte que nos noms, ainsi, fussent gravés ou dessinés par une main xd’homme , nbous voulons savoir ce quyi est en cette roche des v érités des temps,  bnous pensons que nous pouvons trouver-dénicher mais rien n’est moins sûr ! car la roche est pleine à ras bord de sa rochéité pour ainsi dire, elle n’a pazs de trou à proprtement parler, ou si oui, anfractuositész, il s’agit de trous qui m;ènent à des non -trous = des butées, or voilà ce qui nous intrigue, nous retient, à savoir cette  chose en butée, ce non trou au fond du trou, ce fond plein de l:ui (fonds) en vérité, qui l’eut cru ? le monde (le langage idem) est plein de lui, à ras bord pour ainsi dire, et n ‘offre pas de «sortie» possible, et nous de naviguer en lui à la recherche (motivée, on l’a vu) d’une sorte de vérité de poids «qui le fasse» et il y arrive ! l’homme y arrive, oui ! l’homme arrive à ses fins, qui sont d’asséner des charges pariétales , oups ! voilà qui est dit ! l’homme a le chic pour assén er que tu assèneras des charges de pôids sur paroi du temps «et que ça le fasse , moussaillon !», ce ge nre de phrases, etc, l’homme est parti prenante, il parle à tout va, dit sa recherche inébralnkablz$e inénarable, etc, il dit ce qui est pour lui «verité» de roche et ne s’en laisse pas conter, il est fin rageur, tombe sa veste et crache le morceau conwxéquemment, il est vaillant, il pzarle-assène et charge-pl;ombe etc, il n’est pas en retrait pour ce faire, il est vif comme l’éclair dans son  verbe de foi, il file à tout va sa pelote vive, il est vif (fou ?) qsui charge la mule du temps imparti de sqon verbe «cuit», etc, nous voulons comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et même davan tage, notre ambition est facile à cerner pour qui que ce soit, nbous sommes comme les auttres, bnous sommes pareils , nbous ne sommes pas différents, nous cherchons tous la vérité au quotidien, sur quoi s’appuyer en vrai, comprtendre les données de base voire plus si affinités avec les savoirs, etc, et voilà pourquoi nous sommes en quête (nous memes, à notre façon rupeswtre) de vérités vraies, de celles que l’on peut graver sur une roche, au galet, etc, ou dessiner au bout de bois brûlé, c’est exprès, et nous savons graver et dessiner, on sait, car un temps on nous a appris par l’exemple etc, nous voul:ons comprendre ce qui est pour nous, nous voulons comprendre  ce qui est pour nous = pour notre gouverne, nous sommes deuxxxxxxxxxxxxxxxxx, ou bien deuuuuuuuuuuuuuuuuuuux, ou encore  deeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeedeeux, ou comment étiré ? encore ? quand ? car nous voulons , c’est un fait ! que voulon nous ? eh bien : étirer le deux, ce deux de cette roche des embrun,s, ce cdeux surnuméraire ou comment ? nous voulons étirer ce deux de charge et en faire un deux monacal, pariétal, de roche raide, etc, nous voul;ons cela, nous  cherrchons cette chose pour nous, cette chose d’un étirement du tout dans sa ligne, etc, et cela peut très bien être rendu possivble si une volonté de vérité ou de recherche de la vérité préside à ce mouvement, il suffit de vouloir pour faire, vouloir savoir le mot de la fin,  ce qu’il est, et dès lors : faire cette chose, cet étirement par la roche de ce mot  de «deux», petit mot de rage, «deux « ou «de» a minima, ou même «2» écrit comme ça, tout marche, etc, nous sommes convaincus, nous sommes homme-femme  de larage verbale des temps, nous sommes à cdeux l’homme et la fgemmùe xtourmentés des sables, des apprets sur roche, des gra-vures au vin mauvais, des troubles sur roche tracés, etc, troublkes tracés sur roche du temps mezn,açant, nous fouillons dansles profobncdeurs, que voir en icelles ? nous fouillons grave dans les profo,deurs et nous nous demandons quoi donc pouvoir voir en icelles , quand (comme nous) nous sommes ou vous êtes comme appareillés par une co:mprenure ou d’une comprenure en bon et due forme, que comp^rendre à cette affaire de roche à graver «par la  ban,de « ? de quelle bande s’agit il ? bande» de b andaison ? bande de bandage ? une bande comme une langue ? bande de terre,, bande de paroi ? peut-être ! nous tombons sur roche simultanément, à la une à la deux, conjointds, soudés co:mme les doigts de la=main : l’amour au centre de la roche = l’immixtion frontale (parioétale) cd’un couple de betes de choix et de poids, ovins ? bovins ? vins ? nous ne savoons pas ! notre but ici est de chercher cdes vérités de poids qui sauraient nous donner de quoi nous retourner « c’est à dire survivre c’est à dire poursuivre ce chemin de vie attitré ou alloué à notre gouverne ou pour, car nous voulons poursuivre ce chezmin de vie , ne pas trépasser certes pas, etc;,  nouys voulons continuer à vivre,; nous ne voulons pas «passer» = mourir, nous voulons «‘à tout prix» (au prix de la douleur ou de la souffrance) continuer notre chemin de vie ou de la vie, nous voulons continuer ! nous voulons conti nuer ! nous voulons poursuivre ! nous voulons aller ! nous voulons vivre ! nous ne voulons pas mourir ! nous voulons poursuivre sur notre lancée et ne pas succomber ou sombrer, nous sommes ensemble unis sur une même voie de rage, qsui est celle cde la voix posée sur roche (engouements a nimaliers) et notre but et de toujours plus annoter la rocghe = graver, dessiner, afin de faire ainsi accroire à quyi de droit (ou quoi ?) que la chose est vraie, que l’animal représen té est vrai zanimal et non faux animal, représen tation fautive, etc, notre but est clair comme de l’eau de source, il s’agit  d’une tro:mpêrie, d’un tour de passa-passe, betise, etc, nous voulons comprendre ensqemble ce qui est ici sur roche représenté, cet art de la ruse, de la ruse traitre etc, qui est qui ou quoi ? que quoi est ici ? qui quoi est que ? qui que quoi est qui ou quoi ou qu’est ce ? nous avons une am bition (démesurée) qui est celle ci : de trouver le quoi du qui , ou le qui du quoi ? l’animal freprésenté avec art de la ressemblance, avec cet art de la reessemblance recherchée poussé (l’art) à son paroxysme, cet art est il tro:mperie ? est il fzaux xsemblant ? pour faire accroire qsue ? eest il art d’une ruse de joie ? pour rester soi en vie tout plein ? est ce cvela ? est ce cette cghose ? qui sait répondre à pareille interrogation fortement existentielle ? je voudrais savoir la  vérité et comprendre les données qui sont ou wseront cellles (j’imagine) qui devront m’attendrte le jour j où ma vie sera à l’arrêt, quyi pourrait me rensezig ner ? les mots de la roche sont des pis-aller qui servent à tenir à distance (via l:’emploi du temps) la mort xde roche à l’oeuvre, car les mots sont un organe de satiété, les mots sont organiques, sont en place en nous autrtes comme en nouys un os, un estomac, une nervure, un poil, un foie, nbous savons et comprenons cela ! les mots ne bougent pas, et comnblent , quoi ? eh bien voilà ce quil  ous reste à définir ensemble , ce que lesw mots comblen,t , ce que les mots en nous font en termes de fonction, ce n’est pas tant ce qu’ils disent en soi (vérités toujours les mêmes : assénées malgré leur fausseté consttitutionnelles) mais  ce quuils sont en termes de fonction à etre, de fonction d’etre etc,  ce que les mots pour nbous représentent, à quoi ils servent au juste dans la bande, ou dans la paroi  ce quyi revient au même, etc, les mots viennent à xse loger sur roche, et cette action des mots en dit long sur leur fonction toute pariétale , nous voulons dès lors comprtendre cette opération xd’immixtion, ces «je taime» et autres mots doux insérés par la bande et le passage des temps sur un organisme parlant, nbous voulons compfrendre les donnéesx brutes (b rutales ?) du temps, ce que le temps est en roche, ce qUe lke te:mp^s permet à l’homme-femme d’être, etc, nous sommes ici nous deux qui voulons comprendxre, nbous sommes deux qyui voulons comp^frendre, nous nbous joignons ici pour une cause qui esqt commune , (

Cause Commune) et qui est celle de voul;oir comp rendre ENSEMBLE cette chose d’une sorte «en soi» de V2rité Majuscule, V2rité des vérités, chose rage , rage du temps, rage folle, folle rage du temps, ravins ! nous voulons comp^frenxdre coute que coute ces ravins ! ravines ? nous voulons comprendre au plus profond de l’age des temps, parois folles, etc, nos espoirs dans ce domaine, bnous voulons comprendre main dansq la main, soudés comme des amants pris en otage,etc,  nous voulons savoir loin ce qui est qui n ous attend demain dans le sang , au plus lointain de pareille roche dure des tourments donnés, offerts, ou chus, etc, nous ne voulons pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! , nous ne voul:o,s pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, nous ne voulons pas DCD, nous ne voulons pas DCD, nous ne voulons pas DCD, ou comment dire ? car qui suis-je pour dire cela et comment dire cela, et de quel droit, et par quel biais, et de quoio dire cela ou comment de quoi , etc ! nous avons pour nous en nous des mots de rage, ces mots sont des mots-animaux de provenance, et dès lors nous pouvons nous en wservir à l’occasion, nouys devons agir, nous dezvons agir de concertt car nous sommes deux et à deux nous en avançons, nous avons en  n ous tout un langage acquis qui est voix d’autorité massive, aurochs pour le dire vite, notre voix porte un temps, va, tra ine sa galère  de ciconstance, se pose là, va droit à dire ett porte mal (essentiellemen t imma,quablement) mais pour autant ne peut en dévcoudre, le fil est cousu à notre b ouche, il s’agit d’un quant à soi monumental parioétal incontournavblement cousu à    notre gouverne d’enfant perdu comme faon de roche dans la lande, loin de sa tribu ou meute (harde ?), et voilà pourquoi les mots en notre bouche ont ce mal xde chien à s’extraire vraiment, à aller fissa sur roche se loger et rezprésenter ce qui dev rait, ou ce pourquoi ces mots seraient à etre d’eux mêmes, nous dison,s ce que bouche veut à travers des canaux rocheux, notre but ws’ins crit de la sorte (sur roche) avec des mots creux comme des gourdes, nous poussons le tout sur roche à son paroxysme pariétal, betes-mots de fort impact, mais ces mopts de roche sont sans consistance autre q<u»’en ttermes de données de roche représen tatives, nous voulons aller dans la roche du temps : nous deux ! nous deux nous disons cvela comme qyuoi nous voul;ons aller dans la roche du temps, nous voulons crezver l’abcès decette roche = la percer ! nous voulons percer la roche ! nous voulons pêrcer le rocher ! nous voulons perc er le roc ! bnous voulons per cer les termes, le sa ng pariétal, le sang pris pariétal, parcer l’abcès ! merdum ! merdum à l’abcès ! nous sommesq les infirmiers de cette roche du temps, infirmiers qui venons percer cette roche du temps pour la bande ou pour co:mment dire ici ? nous sommes les soignqants ou l’infirmier qui vient paercer, je suiis cet infirmier qui viens perc er l’abcès et perce que tu per ceras, infirmier, cet abcès ! v as y infirmier, ne traine pas et n’hésite pasx ! perces ! perce que tu perc eras l’abcès de la roche ! pâs d’embrouille ! pas d’hesitation ! perce fort ! traverse ! vide l’abces, ce sang coagulé, ce sang noir, ce sang pris par lm’infection localisée, sur roche du temps, sur paroi dure des tourmentsq, dans le temps imparti à une vie de roche = terreswtre, vidons l’abcès de son sang noir, prenons cette xcghosex pour soi , de voir à vider , etc, nous devons vider les abcès, nous devons soigner l:a chose ronde, la crever fissa pâr lma bande et soigner purifier arran,ger la chose (roche) de ce temps offert comme sur un plateau , nous devons jouer de concert à vider le sang de la roche, nous ensemble (deux) avons à, et voil:à cela, ce que nous faiso,ns, nous vidons car nous sommes cdeux qui avons à, et nous faiso,ns cela sur roche (en) ensemble, à toi à :moi, toi et moi, bnous faisons la chose, nous faisons cela, nous donnons cde nous pour ce faire, pour vider l’abcès de la roche dutemps, le sangh pris est du sang noir = vieux, coagulé, mort pour ainsi dire, car le sang sde couleur noire est du sang mort quand le sang vivant (vif) est rouge incarnat, vive vie de la roche dure, entrain, vif train de vie vive allant de son élan rocheux à :m^$eme le temps attitré, je suis homme de  la roche rude, je veux aller loin, je veux aller au plus loin des connaissances  verbales ou octroyées par l’emploi assidu et concerné-concentré du verbe pariétal, du vocabulaire pariétal , fait de betes de rage et autres animaux-mots de belle prestance, je veux swa voir, je veux compfrendre les données, poussser dans le temps la force d’un élan, ou de la force d’un élan, d’un renne, comment dire ? mon coeur bat à l’unisson de ma voix , de ma voix comme déposée sur la table aux offra ndes vives, je touche du bois, je veucx vivre longtemps mon temps de vie vive et dès lors offre, sur roche, ce pis-aller animalier, mots de rocghe duree, pis-aller de roche dure, sang versé coagulé, percée, etc, et ce faisant je parviens à me sauver un temps, qui n’est pas le temps donné maids le Tezmps vécu maintenu vcomme le sang de vie (rouge vif) d’une sorte de parole «engen,drée», nous poussons la chgose dans ses lointains et ce faisant nous restons en vie sur roche, nous restons en vie et non pas mort, nous ne restons pas mort, comment diire ? nouys  voulons rester en vie ! nous ne voulons pas défai;llir ! notre but est de crever l:’abcès sur roche (le dessin à la volée) et de nous en tirer du coup de la sorte ! soins ! soins sur toute la ligne ! ouiiiiiiiiiiiiiiiikiiiiiiiiiii ju’ai trouvé ! le soin princier, le soin primordial, le soin offert, le soin de base, la ^percée , ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cezla est ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiikii! évidence !car le sang pris de roche se devait d’etre ;:libéré , que oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il devait l’être, il se devait de l’être ! le san,g noir est du sang pris, dessins sur la roche, et nous nous so:mmes les soignants, nous venons en nomùbre (à deux ?), nous devons co:mpfrendre ensemble les données du =monde , et aller en roche ainsiéquipés de nos pics de percée de roche, droit sur l’abcès ! voici la faille dans le roc ! oh on a trouvé ! je j’ai je ! oh ! voici je j’ai ! ohhhhhh ! je j’ai je ai ! ohhhhhhhh! je suis je , jhe j’ai trouvé, je !!!!!!!!!! je suiis je j’ai, ohhhhhhhh j’ai ! je suis ici celui celle, qui est cet homme femme, ce enfant -faon, il-elle a trouvé la faille = la pl:aie = le sang pris = l-’abcès ? = quoi ? cette chose ici d’une sorte de sang enfermé dans la roche, et le «pic de verbe» est là pour cvrever, pour crever ce sang pris d’une bulle d’abcès pariétal, et voilà dès lors la roche (enfin) ornementée, à la mode soin, soignemùen,t;,, etc, nous voulons comprendre ce qui est ici en roche et qui répond à l’odrdre des tourments, nous pensons le Temps, nous pensons a u temps comme à quelque chose de sanglant, et peut être, en vérité, quyi sait ? le sang versé est le sang de la roche des temps, le sang versé est ce sang de rocghe dure, c’est ! or : nous ne so:mmes sûrs de rien en  vérité ! notre gouverne nous porte (ici ou là) sur la roche, nous treaçons des  betes à la vo:lée , nous sommes :montés haut sur pareille roche, en lévitzation on le sait, etc, et nous dessinonsq des betes de poids qui sont des betes de charge qui sont des betes d’impact car notre but ici est xd’impa cter la mort au maximum et de lui en mettre plein les mirettes pour ainsi dire, bnotre but est de la surpendre et, dès lors, de l’écarter un tant soit peu, car nous ne sommes pas près de vouloir décéder, nous ,ne vpoulons pas décéder, nous voulonstenir en vie encore un tem^ps que nbous n,e voulons pas écourter etc, voilà le credo nôtre, ce que nous «penson s» dans le xsang, etc,; notre  vie l’emporte et emporte avec elle les mots de ta rage, etc, nous voulons tenir et toucher la timbale du temps, nous voulons survivre aux coups fourrés de la =mort à l’ oeuvre, nous sommes deux pour ce faire et à deux c’est ainsi, à deux nous poussons, nous poussons la chose, nous poussons la chose rude, lourde, pesante, la pouusons loin ou la repoussons, nouys poussons cette chose à deux d’une bete de poids, âne bâté, chevfreuil centripète, biche aux abois, bison des grisons, ours en peluche, dindon de la farrce, nous poussons sur roche l’animal de la gra ce des temps, grassouiillet comme il se doit, à deux nous pousdsons cet animal de choix à même la lande, le faisons se mouvoir de toute sa charge, bouge toi de là bete rosse, nous sommes ensemble pour te déloger, nous voulons ta place, nous voulons de ta place, nous voulons nous deux prendre ta pl;ace, notre but ultime est de prendre la place de pareille bete de poids (un massif) ornant telle roche ou paroi de grotte, nous sommes unis et so;:idaires pour ce faire et pousser la bete (à deux c’est mieux)

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main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main,  main, main, main, main, nous traçons des mains à même la roche du temps, nouss traçons des mains à même la roche des temps impartis, nous sommes deux de la bande, nous traçons des mains en veux-tu en voilà car nous sommres de la bande et nous avançons en icelle, deux par deux, comme des enfants entrant en classe, nous sommes des betes de rage et nous entronss en icelle paroi 

xcomme dans une nasse, nous entrons en paroi ensemble, le front hzaut, la tete fière, nous sommes unis dans une rage folle de paroi, nous allons gaiement en icelle et nous nous aimons en icelle, nous nous lovons, nous sommes deux de la partie, deux pârr deux, nous tombons des nues en icelle paroi et nous nous immisçons en elle subséquemment, nous sommes en elle comme des chenapans de ta race mère, nous longeons la rive, nous sommes en roche comme deux amants qui se congratuleent et s’autoravinent et s’autoravinent, nous sommes deux qui allons en roche ainsi accoutrés : pieds de poule, chapeau, ambrassades, nous aimons la roche, nous aimons la roche dure, nous nous allongeons en icelle et nous regardons passer les betes près de nous, nous sommes deux qui allons en elle gaiement et qui s’autogratulent ou se congratulent de conserve, nous aimons la roche bpour nous, pour ce qu’elle nous reçoit en son sein temporo-spatial et nous donne le la de la roche, son allant dicté, sa muse première, son chant d’azur, nous aimons cette roche dure des embruns, nous noius asseyons, nous voyons devant nous rugir les lions et les pumas, les tigres et les panthères, nous voulons comprendre le la de cette roche des temps musicale, qui elle est, quoi elle est pour nous qui nous avançons en icelle commùe deux amants de réserve, chantournés, pris à partie, pris dans le sac, la main, munis de nos becs de percée première, pris dans la nasse, chochotés, etc, nous sommes deux qui nous infiltrons, nous noius immisçons conséquemment en cette roche  des tourments de rage temporaux, (temporels ?) et nous nous avançons ainsi, bruyamment, en pareille paroi rocheuse, main dansla main comme de coutume, nous sommes unis pour la vie, nous aimons cette roche meuble à graver fissa par la bande, à toi à moi, au bec, au piquet, à la serpette, au tracé vif, etc, nous dessinons des bêtes-mots de rage ensemble, bnous aimons ces betes mots de première instance, cette charge animalière sur paroi du temps, cette frise, ce rajout, ce sempiternel salut de rage en boite, cette venaison etc, nous aimons des betes de paroi de grotte hospitalière, nous cherchons à comprendre ensemble ici ce qui se trame et nous tend les bras : la mort, qui es tu , qui es-tu que nous ne savons pas ? car les mots ne disent pas tout , les mots ne disent opas tout, les mots haélas ne disent pas tout, pourquoi (c’est une question) les mots (les mots) ne disent pas tout ? pourquoi donc , pourquoi donc les mots, nos mots, les motd de «ta race princière de m...» ne disent pas tout , pourquoi ? pourqyoi les mots de rage ne disen,t pas tout ? faut il (dans les mots, au milieu des mots , ou avec les mots) chercher à tout dire , quand les mots ne disent pas tout , ou comment ? nous cherchons issue de secours, plaie à vif par où pa sser, ou bien une faille  cde roche, ou bien une échancrure dans l’encolure, ou bien un V de ta rage vive (ViVe) qui eut pu nous satisfaire, ou quoi d’autre ? nous cherchgons ,   des solutions de première, des vérités natives, des espoirs et autres déveleopppements de rage en icelle rocghe des temps alloués, nous chercgons à nous introduire ensemblke (2) vers là-bas ! cette zone auxcx clartés ! cette zone franche de fin fond des temps, cette douce ouverture vocale , bruyante (?) qui nous interpelle , que dit -elle hormis le sempiternel essai de captation , que nous raconte-t-elle que nnbous entendons ? elle (la mort indicible) nous dit : va venir ! va à moi venir , toi ! va toi à venir moi ! dans une sorte là de charabia venu de la rooche, nous sommes qui l’entendons, nous entendons ici cette roche dure, ce sens de la marche en elle, cette voix de rude rochge des temps alloués, ce sens précis d’une voix disant, cette invitation nominale, cette chose en roche vocale, roche et choses vgocales, etc, nous écoutons, nous sommes tout ouïe, nous aimons cette zone franche des embruns, nous so:mmes au fin fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond de la roche du temps, en cette zone franche de lza voix céleste d’outre-roche, cette zone aux pa roles sensées, nominalement adressées, qui va et qui vient en cette roche des embruns, cette chose rude, ce tra vail de voix de roche, etc, nous sommes en  cette roche rude comme en une nasse de première extraction, pareille paroi a pour nous ce sens, ce sens inné : il est pour nous cette chgose ici d’une sorte de paroi de roche rude (dure) qui nous «tend les bras» comme de juste, sage-femme à la naissance ? rudoiement mortel ? colère ? corsage ? nous ne xsavons pas ! nous cherchgons issue de concert à même cette rocghe de paroi, à m^$eme les betes de rage gravées par x ou y, homme des cavernes, chenapan-chasseur, homme de lma roche dure première, homme du temps calciné, baton de bois, nous cherchgons ensembkle des issues à même la roche, nous voulons comp^rendre enwsembkle les données du temps, les soubresauts, les époques  temporelles, les circuyits, les vents de face et autres intemppéries etcx, nous sommes deux qui chercgons à comprendre en profondeur les données cde base qui président à cette envolée de roche dure, aux betes de voix, aux betes-force de paroi, ces betes de rage xdure, ce serment, nous disons que nous aimons la roche dure, nous aimons la roche dure, bnous disons que nous aimons la roche dure, nous aimopns la belle roche dure, rude, rugueuse, nous aimo,ns en cette roche la bete gravée, l’ornement fatal, le mot de lma fin (eyt de la faim ?), cette en,geance frontale, déploiement du bout des temps, enfermement intrarocheux, déplissement, ornement, danger, prise de parole ingrate, etc, nouys disons que nous voulons savoir la chose, ce qu’elle est pour nous, ce ravin, cette chose ouvertte, ce pâssage, ce torreznt, cet enclavement, cette oraison de roche rude, ce passdé, ceyte voix de la chose, ce passé révolu en soi etc, ce qui est en  nous qui perdure est comme déposé sur rochge du temps en, guise de présent, présent alloué à pareille roche, qui est ce présent dit « de la roche du temps», etc, nous nous tenons prêtes, nous sommes deux,nous nous tenons par lma main, nous nous enlaçon,s, nouis copulons, nbous faisons des choses, nous sommes unis en    ette rocghe des embruns votifs, nous aimons la roche dure, son allant de roche rude, etc, nous sommes deux qui nbous aimons en  cette roche des embruns natifs, nous aimons cette drôle de roche dure, nous l’aimons comme une soeur d’infortune etc, nous sommes en elle comme deux amants de roche aux tourments, nous nous introduidsons de conserve etfilons en elle fissa , au fin fond du sein des seins de la roche meuble (à graver) des temps impartis : hommes des cavernes (nous sommes) qui vont et qui viennent en cette rochge meuble, prêtes à bo,ndir, ou saillir, etc, nous cherchons une chose, nous cherchgons la chose, la Chose rude, nous cherchons la Chose des choses (rude et dure), etc, nous sommes deux : 2 ! à chercher la chose : deux ! deux ! deux ! deux ! deux + deux = quatre à chercher ou qui cherchons ! oup nous voilà ! nous cherchons de cvoncert = musicalement, cette chose rude que v oilà devant = ce présent de la roche meuble (ici) pour une gravure à l’emporte-pièce ! stylet ! nous gravons des betes-mots qyui sont betes de rage -mot ou comment dire ? nous gravons à l’envi des betes de rage qui sont betes mots (de rage) au complet : zaurochs de paroi, mammouths surnuméraires, ours des cavernes, bouquetins, nouys traçons ces betes de voix de roche, ces paroles d’outre roche de pârois, etc, à main levée, à la rapide, sur place ferme, etc, nous cherchons, nous sommes deux qui cherchons la Chose, nous subissons les embruns mais la chose est là que noius recherchons ou comment dire ? nous cherchons la voie pour une entrée xde face, vive et primaire, dans le sein des sezins, fissa oup là, etc, nous voulons franchir le rubicon , le saillir ou comment dire ? nous devons comprendre ! nous sommes là qui cherchons à comprendre ce qui est de cette affaire de paroi du monde primal etc, quoi est ce ? nous cherchons la voie d’entrée en matière, la voie d’une entrée à cdeux en matière ! nous voulons comprendre ce qui est en roche, cette face, ce visage pour ainsui dire, cette face à voix de roche, cet appel buccal (lèvres) et pour ce faire noius nous uimmisçons en cette reoche dure comme deux enfants ou deux amants ou deux brigands ou deux chenapans ou deux faons ou deux lascars de roche primaire : dedans ! hop là ! pour la chose d’une sorte de mainmise compréhensive ou comment dire ici cvettye chose d’un savoir à acquérir enfant, ou sinon engfant adolezescent ou sinon adolescent adultre ou sinon adulte vieilla rd impotent ou sinon vieilard impotent vieillard mourant voire mort ! nous sommes deux à faire le chemin de roche ensemble, main unies, main en main, main + main sur roche du temps = mains surnuméraires de première, nbous entrons en roche comme en religion, munis, attifés, pris à paertie, chipés ou comment ? car la roche nous encercle et nbous tient prisonniers d’icelle la chienne ! nous ne voulons pas rester prisonnier saleté ! nous parlons comme des charretiers à son adresse ! nous utilisons des mots gras cde première car nous sommes munis d’un langage ggras de première, ni plus ni moins, et ainsi nbous allons en roche vociférant, ou bien nous entrons en roche hurlant, ou criant l’infamie ! nous ne voul;ons pas de cette roche des apprets de roche ! nous cherchons une embardée votive, embardée native votive de première voix, ou comment ? nouxw hurlons n otre misère ! nous ne voulons pas mourir ni passer des caps douloureux de morts successives ! nous sommes ensemble en roche pour ce faire, qui est de rester vivant, on l’a dit, nouys ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous voulons rester en roche ceux qui comptent (égrenent ?) les betes gravées ! nous ne voulonbs pas lâcher le déco:mpte (le perdre) mais tebnir la cghose crument (véritablement) à m^eme la roche, nous avons à compter (décompter) le (les) temps de paroi de roche dure, on le sait, le temps est un décompte nominal musical, basé sur larépétition des vocables, chatoiement de beauutés racées nominales égrénées sur roche comme des attraits et autres appezaux et autres apprêts figuratifs, nbous zommes en roche pris ainsi comme par la bande, nous sommes insérés ensemble en cette rocghe des attraits de roche, animaux-mots de parois des temps, attrappe-nigauds etc, nous sommùes pris ainsi dans la roche, pris-admis en cette pâroi du temps qui passe, nous égrenons le chapelet de la roche rude du temps donné (brûlé pour partie) qui est celui de rocghe du temps (des temps) qyui nous sont donnés, qui nous est donné(le temps) comme une faveur des prés parioétaux , ou comment sinon ? nous avons à dire les choses crument maids comment ? car les mots nre disent pas tout, nous voulons agir ainsi comme si les mots pouvaient tout dire etc, mais non ... ou oui ? ou quoi ? car nous «voyons» vla roche dezvant nous, embarcation de roche dure, cette emba rcation, cette barque aux amants natifs et autres faons de la première heure, nous voyons cette rocge du temps et comprenons la méprise : oui nous donnons à Mort de rage folle en elle (paroi) et non nous ne donnons pas , et cela en un même mouvement vital ! nous donnons de nous ce qui meurt ezn vie (en temps de vie) et nous ne donnons pas cde nous ce qui vit encore en ce meme temps alloué à une vie terrestre , nous donnons une partie de nous et ce don est le fait dxe la vie terrstre allouée par qui on ne sait mais voilà ce qui est ici qui nous est imparti ou quil nous incombe de vivre ! nous so:mmes deezux qui cherchons à cvomprendre la Chose, ce travail de roche, cette embardée, cette envolée lyrique (oui ?) qui est roche gravée etc ! nous c herc hons cette chose en rut, ce cri primal, cette secousse, cettte vive envolée de rage pariétale, cette frise, ces betes de voix, ces betes-mots «de ta race de m..» qui nous «tend ses bras» ou tout comme ou quoi d’autre ou comment ? qsui donc nous tend ou tendrait les bras ? qyui pour nous dire ce qui est devant qui nous attend ? qui sait réelmlement cce qui nous attend ? qui sait cetrte chose qui (devant nous) serait postée comme animal volant sur sa branche de buis, etc, nouys ne sa vons pas ! nous voulons savoir la mort ce qu’elle est pour nous , envolée lyrique ? hum ! peut-être pas ! ou si oui qui ou comment ? c’est à dire : si oui , qui est elle ? = qui est elle pour nous : lien de pare,nté , quyi  ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas quekl est le lien de parenté qui unit la mort (le devant) à cet être de rage en  n ous qui renacle et piétine en nbous , etc, cette bete de choix principal, cette bete principale en soi de choix de rage, ou comment dénommer icelle ? la principale ? la chieuse ? la belle romaine ? chandail ? heaume ? grive faute de ? etc, nous ignorons le nom (vrai) de la bete en nous unie à la mort ... mais par quekl lien de parenté unie ? bnous ne savons pas ! nous cherchons ! nous ne lâchons pas le morceau, nous voulons essayer de comprendre au p^lus ^récis et au plus juste et profond la chose mais ce -,n’est pas simple du tout , c’est même coton à piger ! une dro^le de sinécure que cette envolée en ce sein des seins royal (= pariétal) de roche primùaire (grotte) , nous voulons dès lors comprendre loin en elle, bnous vouylons aller loin en, cette roche des attraits de rochge, oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et ne pas lâcher le morceau ! nous vopulons comprendre les mots entre eux, les raisons, les motifs de roche, les moteurs, les volontés naztives, les vouloirs, les prises de rage parolières (de parole) etc, nous cherchons ensemble ( deux !) à creuser profond les savoirs ! ce que le mot peut ! ce que le mot de roche peut nous révéler si tant est ! mais peut il ? car le mot de roche est un pis-aller ornemental langagier qui est ce machin-chgose d’une roche des parois, qui est ce présent offert à la volette ou comment ? oiseau ? priison doré ? pigeon vole ? découverte de première? circuit fermé ? nbous voulons comprendre en ce circuit ce qui est compréhensible, mùais pour ce faire comment faire autrement qu’avec loes mots de ta race mère, mots de rage oprimaire (la rage) qui vont sur paroi noter leur misère ou quyoi ? nous cherchons à comprendreles don,nées de base de ra ge ou de la rage : qu’est ce que la rage ?  qu’est ce que ça que cette rage de paroi ? qui est derrière elle en nous ? la bete ? cette bete en particulier en nous , et qui est la bete «de ta rage-mère de m... ? ou quoi d’autrte ? nous cherchons ici (solenn,ellement) le lien de pare,nté qyui unit en nous la bete en  nous contenue à la mort des devants (présents déposés par la bande) de roche du temps , quel est ce lien ? nous chezrchons )àà comprtendre, ou faire le liezn alors ? ou comment ? comprendre cette chose, comprendre ensemble ce lien (le faire ?)- qui unit la bete en soi (rage-bisque) à la mort des attraits de roche, c’est à dire à la mort aux attraits (de roche dure) c’est à dire à la mort gouleyeuse, rude, qui rudoit, qui ne s’en laisse pas conter outre mesure et cherche à vous extirper coute que coute de pareille vie aux embruns, aéux vagues, aux effluves etc (poltergeist !) car nous sommes deux à penser en nous à la possibilité ancrée (en nbous mêmes) d’une volonté tenace divine  dee vouloir faire en sorte qu’un lien puisse etre qui lie ou lierait l’animùal en nous (celui de la roche : gravé ou dessiné) à elle (icelle beauté rudimentaire de la roche finale : excavation, trou  e roche rude) , noys voulons cela comprendre ensemble ici en roche des temps, nbous le voulons ensemble cxo:mprendre vite fait , c’est à dire à bride abattue et à main levée, comme il se doit en poareille contrée habitée par des cerfsq, chev reuils, etc, cezrvidés des bois et autres sous bois, etc, nous cherchons à nous y retrouver ensemble en roche parmi tout cet ensemble de betes rosses (ou pas) qui paissent et ga mbadent paisiblement (ou pas) etc, bnous sommes dee’ux (en nous ?) qyui cherchons les occurences (les comprendre) et aller en roche ou à aller en roche ainsi attifés (chandails de bure) pour une chasse aux vérités natives (aux données primaires), aux raisons premières et auttres causes de première instance ! qui fait quoi à l’origine ? qui le sait ? les mots peuvgent ils nous dire (a pprendre) qyuelque chose qui szerait le Primordial ? nous voulons co:mprendre loin ce qui nous anim$e en nous mêmes en tant que tell, le cordial, c’est à dire le cardial (le coeur et son battement) etc , qui suiis je ? qui je suis ? ou plutot qui on est ? ou qui solmmes nous ? nous ne sqavons pas qui nous sommes ! nbous sommes deux pour une causerie ! nous sommùes deux pour une parole de roche endiablée (endiableé la roche ou bien la parole , endiablée ? ) , nous voulons comprende ! endiablée mla roche ? endiablée la parole ? paroi-pariole ? parole-paroi ? qui l’eut cru ? qui dira ? la parole est elle la paroi ? la paroi est elle la parole ? qui parle en paroi ?  ? qui est qui ? qui fait quoi en elle (paroi du temps) ? nou vopulopns comprendre ce qyui ici en roche du temps swe trame sous nos yeux, nous ne sommes pas nés de la dezrnière pluie et nous considérons à part nous et pour nous , que nous avons le droit d’avoir voix au chapître en tant que tel, nous voulons bnous inscrire dans le temps et en lui aller loin parmi les betes de somme ou autres représentées à même la roche, creuser loin dans le domaine du savoir, des connaissances (de vie) rupestres, c’est à dire des savoirs premiezrs (ce qui compte»), etc), et pour cela nous nous afficjhons dee concert, main dans la main, sûrs (ou pas ) de nous peu importe car  ce qui comp^te est cette franchise de vcoix c’est à dire plutot cette volonté (native ?) de franchise à tout crin, cette volonté-engouement de se  montreer sous ce jour vif et éclairant etc, comlme quoi nous recherchons coute que coute et pas à pas la Vérité de paroi du temps, cette Vérité grand V, cette enVergure, enVolé, Voilure, Vitesse, cette Vitesse des données naissantes, houp la oup et nous voici sur le carreau, la plaine, terre-mère des embruns, rives de la cxhance (ou pas) d’être secouru à la volette à la naissance dans les bras («de rage») d’icelle sage-femme des parois ! nous cherchons des solutions à même la roche : qui est qui ? qui est uni à qui ? lma bete en soi (en nbous) est elle unie (lié et si oui comment ? ) à ce dieu de la roche rude = la Mort belle (trace) des parois , est ce ain si ?  nous cherchons dans tous les sens, nous avons pour nous l’emploi d’une langue allouée qui est l’instrument par lequel bnous tentons l’app^roche, cette chose rude d’une approche piquante, ce pic de roche aux ealentours, etc, nous vpoulons savoir cette cxhose qui sezrait un lien,; qui serait cette chose-lien unissant la roche et les mots-bêtes à ccette Mort de rage sus -nommée, cette Rage grave, cette Rage des attreaits, des traits sur roche meuble (ornementartion) qui est cette Chose rugueuse, ridée, cette chgose rude, etc quyi se pointe là, devant soi, comme un cheval fou destiné à nous emporter au delà de l’audela ou va t en swavoir ! nous voulons essayer de comprendre les données du monde : ce qu’»il est et ce qu’il n’est pas ! nous sommes deux, noys sommes en rage ou cpomment dire ensemble = ce que nous serions, ce qu’ensemble nous cserions : une entité éduquée ? une sorte d’entité votive de belle tenue droite ? chapiteaux ? nous essayons de comprendre , nous ne savons pas ce que nous sommùes, nous voulons compren,dre ce que nous sommes, nous voulons savoir qui est je et qui est nousq ! nous voulons savoir enswemble ezn roche ce qui est de ce je de base rocheuse et incidemment de ce nbous, mles tenants et les aboutissants d’icelui , etc, nous voulons comprendre loin car nous avonbs à comprendre loin car nous sommes sur une lancée car les mots enn  nous (malgré nous pour ainsi dire ) caracolent à l’emporté, etc, nous sommes comme emportyés nous mêmes par le flux d’une vie cordiale en nous, flux de rage moteur, ou de rage motrice etc, nous sommes sur «des rails» qui nous voient aller sur rochge dure graver des betes mots unis à la mort (à la vie ? ) , c’est à dire «adressés», c’est à dire «versé»s, ou tournés vers icelle mùort «de mes deux de m...» etc, car la mort est à insulter on l’a vu ! la mort est oà couvrir d’injures et autres vilenies ou grossièretés langagières ! vive la v ie disons nous eh bien disant cela nous «touchons» la mort , hé ! car la mort entend la rage vitale et vibrantec en  ous qui a llons sur roche (fissa) graver nos mots , et ces motrs disent notte engeance ! notre volon,té de ne pas en découdre et notrte a ttachement à la vie de rage animalière en soi , nous ne voulons pas mourir = «en d’autres termes, nous ne voulons pas mourir «, etc, car nous ne voulons pas mourir ! nous sommes attachés (pieux, piquets) à la  vie terresteezre (l’attraction qui nous cloue au piloris) etc, nous ne voulons pas mourir car nous sqommes (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii) atta chés ( et comment !) à la vie d’attraction terrestre (kles pieds) et voil;à ce qui est, cette chose d’une sorte d’enclouage sur roche, sur piquet, sur paroi, dx’un homme de peu de ra ge folle ou comment ? de peu et de rage ? nous chertchgons ! nous voulons compre,ndre mles données les plus anciennes, les plus élémentaires, les plus natives, etc, nous voulons comprendre kes données de base, ce qui est sur roche qui préside à un ensemble langagier de roche, etc, notre but (ultime) est de comprendre ce lien qui unit cette bete (de mots) en soi oà cette chose hors de soi, présents de ta race primaire, dodécaphonique, qui préside aux destinées du temps, ou présiderait , qsuel est il ? nous cxhgerchon,s des choses de poids = qui pèsent dans la bnalance xdes coinnaissances, les mots peuvent ils nous etres secourables ? ont ils en eux le opouvoir de «dire», ou sinon quel pouvoir ? car n ous sommes avidesq de savoirs ! nous voulons savoir ce qUI i est devant qui nous attend  ce que cela pourrait bien etre : une chose ? un mot ? une rage ? un cri ? une plainte ? un rut ? c’est à dire un cri de rut? une sorte d’embardée vocale princière ? = une royauté qui s’affiche dans le sang ? comment savoir ? qui est qyui en  c ette roche des saavoirs de roche ? nous voulons creuser icelle roche en ses profondeurs les plus premières ou sinon où ? nous avons à comprendre ensemvcble un grand nombre de cxghoses rudes concernant la vie, la mort et ses confluents, où donc pouvoir aller ensemble nous donner la main et comp^rtendre , quoi faire denos temps de vie alloués, que dire sur roche «qui le fasse» a ux yeux de cette déité nacrée des embruns, où aller pour comprendre-pfrendre et emporter-porter la vie en szoi, cette vie de roche temporellme,; etc, nouys voulons essayer de toucher la Chose du sang dans le ventre, nous voulons essayer en soi de toucher la chgose d’une sorte de»paroi» du monde ventrale , ou comment ? nous sommes femmes de roche rude, nous portons la mort anoblie, notre but est de toucher le san,g de cettye rocghe des embruns, ces mots de rage nous attirent fort et nbous font passer, nous  font nous placer, etc, nbous sommes femmes-hommes des parois du monde temporel, nous voulons aller ezn roche rude ainsi outillé de cet a rtsenal de mots de ta rage, nbous  voulons entrer en roche ensemble : hommùe et femme eznsembnble, en nbous mêmes, un corps premier, une sorte d’entité (bicéphale?) d’entrée en matière, etc, on dira cela ! ou alors on dira  ette chose que nous sommes deux qui p^rêchons sur roche la parole des tourments, des volontés terrestres ancrées etc, des avancées dans lke domaine des savoirs liés à des données terrestres, etc, nous voulons savoir = nous cherchons = nous creusons = nous prions = nbous parlons sur roche = nous hurlons comme des bêtes de paroi en rut, brame que tu brameras, etc, nous vooulons comp^rendre ensemble les données de base unissant la bete en soi à cettre déité hors de soi (?) qui serait elle même liée au présent donné sur roche , c’est à dire aucx betes représentés par un ensembvle d’hommes des cavernes, nous voulons comprendre ces données à l’aune d’une sorte d’ezntité ce roche, entité nacrée, qui sezrait cette chose rude d’une sorte de donnée de bnase, grise, forte, chzaleureuse, brusque mais dure, ou comment ? qyui nousq attendrait de pied ferme au devant de nous ! qui est elle ? qui est donc pour nous cette chose ? quoi donc est la mort (en d’autres termes) ? egh bien... la mort est ... la mort est cette chose que .... la mort est une entité : une entité, qui (entité) va sur roche nous trouver : terrain xde rencontrte ! est -ce cela ? hum ! on dira que oui ! on dira que la mort est une entité native, une sorte de je-hjoie direct, un je direct de hjoie de roche, une sorte de je crois (amen) sur roche du temps = mot-bete de roche première, on dira ainsi que la mort est un «je crois» de roche rude (la Vie terrestre») qui njous regarde ou comment ? qui nous interpelle ? on dira cette chose, on xdira que kla mort est voix (Voix lmajuscule) qui hurle son envie de vies, etc, et ce : sur cette roche poréhistoruique d’une sorte d’avant-scène primordiale, on dira que la mort est cet avant sqcène , ou bien cette chose devant soi qyui hurle sa vive colère d’en vouloir à notre vie, ou d’en vouloir attenter , ou comment ? mort de rage, bisque rude, chalezurs !!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pourquoi , pârce que ! car nous sommes neufs ! nous venons de naitre ! un + un + un + un + un + un etc, nous sqommes nombreux, nous ne sqommes pas (rien du tout !) seuls au monde eh non ! nous sommes nombreux, nous devons aller en roche de la sorte : outrant la mesure ! nous devons forcer barrage, crever les abcès parioétaux d’une sorte de roche den taire, buccale, etc, comment nous exprimer ? car nous souffrons les pierres de la vie terrestre,  nous souffrons à qui mieux mieux les douleurs du monde ( «mon dieu !»), et ainsi souffrant nous nous poso,ns en tant qu’abjurateurs ou purificateurs de nous mêmes (dès lors) ou pas cela ? comment alors ? nous s ouffrons les pierrezs de la roche terrestre des temps br^lés, bnous avons à subir ces effets, ses dires, nouys devons ramasser ««««, nous nous devons de «ramasser» ce qui est sur terre en tant que «désagréments» éventuels etc, cela est , cela ne fait pas de doute; , cela est une vérité de roche tendre et une vérité de roche dure ou brusque ou brutale (à d’autres moments) vcar l a vie terrestre est une sinécure ou pas (on dit comment ?) qsu’il nous incombe de de voir «passer» c’est un fait, etc, nous sommes deux quiu cherchons à nous poser sur roche un temps et là, ensemblke, trouver ou découvrir des vérités de poids qui eussent pu fzaire leur petit effet sur pareille paroi dite «aux ornements animaliers», nous voulons aller en  ette roche des temps au plus loin possible et essayer de crever l’abcès ou toucher latimbale ou toucher au sang de ta rage, ou toucher la mort de près , etc ! car la vie terrestre est une chose (les embruns) et la vie apres la vie en est une a utre : éclaircie ? donnée vive ? lumières ? éclaircissemùents ? données de base ? persoinnifications ? etc, nous voulons savoir de la mort du temps et de la mort tout court, bnous voulons savoir de la mort, nous en voulons savoir long ! nous voulons savoir à propos de la mort et ce swavoir ici passe par une ornementation lan gagière animalière d’homme ders cavernes, nous voulons comprendre  ce que c’est que cet art de roche , ce qu’il est qu’il représente, ce q’uil dit en termes de don,nées de bnase, etc: la mort est elle une entité ? la mort parle t elle ? la mort parle t elle à travers nous ? la mort nous manbge t elle cde l(‘«’int»ériuer ? la mort a t elle faim ? la mort est elle liée (très liée) à la faim ? loa mort est elle a vide ? la :mo rt est elle un ventre à nourrir ? un ventre ? la mort est elle une pân,se d’animal des prés ? la mort est ellme un antre ? une roche incurvée ? la mort est elle une outre ? la mort est elle une grotte-ventre avide affamée voire assoiffée ? la moprt a t elle faim ? souvent ,? toujours ? jamais ? quand ? lma moprt est ellme affamée de naissa nce ? qui a faim en  ous : la mort ? quyi va là ? qui va là surveille sa monture ou pas ? ou comment ? nous voulons comp^rendre loin et beaucoup : la mort est une chose, ou serait, ou comment ? nous voulons comprendre loin et beaucoup à propos de cette mort de roche rude, nous voulons comprendre ensemvble un grand nombre de données de base concernant la mort, ce qu’elle est, son souhait, ses richesses de paroi,; etc, ce que c’est que ceztte mort dont «on « (qui ?) nous parle incessammment (le tic et le tac de nos coeurs de roche) etc, quoi est qui ou qui est quoi ! car voilà ce qui est ici en roche, ces tracés de betes de poids sont des mots adressés à des sortes de dieux incantatoires ou encha,ntés ou enchanteurs ou chanteurs ou à chanter, etc, la chose à ce jour n’eest pas claire à 100 pour cent pour nouqs, nous voulo ns comprndre ensemble ces donné»es de roche animal:ières, ce qu’elle sont tres exactement à  c ent pour cent, pour nous, en cette roche dure d’une vie terrestre, etc, nbous voulons creusezr dans le ventre mou, ou coment ? nous avons pour nous cette chzance de pouvoir aller en roche incidemment à deux (main danslma main) et cela aide beaucoup l’insertion et l’acclimatation et l’immixtiuon et les effets de roche , etc, nous devons comprendre ici que nous avons à nous insérer pour recevoir x ou y données vives, nous devons enttrer en roche et ouvrir les yeux en grand, percevoir = écouter finement par l’ensemble de nos attributs, etc, et de cette chose faire une sorte de condensé langagier et dessiner dès lors le bouquetin de lafable, ou bien l’aurochs, l’ours des cavernes, la jumaent, le puma ou la belette, etc, nous voulons co:mprendre dans la profo,ndeur de la roche ce qu’elle est pour  nous (à nos yeux et au delà) et pour ce faire il est immportant de nous pzarfaitement positionner en elle (vie de roche), tout bien (au niveau de nos fonctionnements corporels) et chercher, chercher à comp^rendre, nous positionner en santé et cghercher en santé lkes données de roche, celles là qui nous concernent au premier chef, données de roche liées à lma mort sur roche, etc, nous cherchons des donn,ées brutes (rudes ?) qui puisse,nt nous mezner au plus lointain dans les connaissances, nous fouil:lons tant et plus et ne voulons en aucune manière l^$acher prise dansq nos recherches, car nous sa vons quune sorte de semblant de vérité vraie pourraiot nousattendre, ce sezrait parfait ! nous subodorons la c hose ! ou disons que nous espérons , ou comment dire : le langage i,nculqué (en son entier) ten,d à dire («dire» ) la vérité vraie des choses du monde car telle est sa pente, et pourqyoi cela ? pourquyoi donc lme langage humain articulé tend-il à dire (faire ? montrer ? déceler ? détailler ?) la vérité du mon,de : ce quyi est et qui n’est pas, etc, or pas sûr que cette vérité-là (de roche dure) fusse la, c’est à dire la vraie, qu’en xsavons nous ? qui parle en nous ? qui dit quoi en nous qui eut pu nous donner de quoi nous contenter en matière de vérité , qui va pour nous dire ceztte chose ici, roche des attraits, roche musicale, temps adoucis, temps de vie de roche, gravures, nervures, chants et chansons, gravures de betes à l’unisson, nous voulons compre,ndre les données de b ase, cette chose en  nous qui ressort de l’apprentissaghe d’june langue (cvhacun la siennn,e sezlon les tribus , leur différe,nce) et, nous p)enso,ns que ccete cgose de la mort en roche est une sorte d’entité «sacrée» qui résiste, qui tient tous les chocs et ne s’en laisse pas conter si facilement, ou ne se laisse pas intimider par n’importe qui ou quoi , nous pensons cette chose comme quoi la mort nous «regarde» (d’yeux !) et nous reluquent même ! de pied en cap = de la tete aux pieds ! nous pensons que d’’yeux = dieu, ou l’inverse : dieu = «d»yeux», car nous savons cvette cghose en nous ou sur nous d’un regard intègre et total (qui voit tout objectivement) qui serait  celui de la roche du temps, qyui serait cel:ui d’une sortye de roche des temps alloués, nouys voulons com^rendre ensemvlble le plus de données possible et aller en roche fissa xdan,s le sang (sas ?) de Rochedes Temps, nous fouillons ensemble dans les profondeurs de la roche, nous avons en n ous ce désir et cette volonté de tomber sur une chose noble,; racée, intègre , vive, complète, qui serait la  vérité vraie telle que nous en rêvons depuis toujours (les apprentisssages) etc, noys espérons de mpouvoir un hjour trouver ce qui est en termesz de vérités de type la,ngagières animalières, et pour ce faire nous gravons à qui mieux mùieux ces betes de roche, ces betes mots des roches dews  temps, ces betes de paroi ornées, etc, nous pensons qUe les mots sont des instruments de connaissances primùaires, à savoir que’ils sont à mêmes de creuser la roche et de dessiner l’aurochs ou lze cxheval, le bison ou l’ours des cavernes mais qUOI d’autre ? peuvent ils dire ce qui est ? peuvent ils dire et nommer (la mort ?) ? peuvent ils nous informer sur roche ? ils caracolent (depûis toujours) dans le sens de «la vérité des chgoses», qu’elles que soient ces cdernières, etc, les mots =voie d’abord de la mort on l’a compriws ! les mots sont vecteurs, les mots s’inter posent et montreent leur savoir rocheux, nous voulons comprendre les choses du monde ce qU’elles sont en vérité (§=en majesté») mais non point comme des entités de roche mais comme desq mots qui szeraient sen sés et «diraie,nt» sa chose crument ! comment faire ? les mots-betes ont le pouvoir d»’’endiguer la vague perlière princière, c’est un fait ! les mots de ta rage fde vivre sont mots sensésc mis en branle et qui cara col:ent sur reoche à la manière des petits chevaux de la plaine, des ezmbruns, des coteaux et des avancée de terre, nouys pouyvons a ller en roche loin en ménagheant nos accabits livresques, nos savoirs de déposition, ou même nos savoirs induits pat mla bande pariétale aux betyes de taille, ,nous voulons creuse r la roche dans kla profondeur et percer un v$

certain nombre de mystères , de secrets, etc, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons creuser ensezmble les wse crets, nous voulons ensemble (qui ensembvle ?) creuser, qui ensemblke sommes nous ? qui est en nous ? qui parle au nom de nousq ? qui est nousq ? qui sommes nous ou qui est nous ? qui suis je dansq la vallée aux betes des prés ? qui va là sur rochge et grave grave ? qui pour nousexpliquer, nous comprendre, chapeauter et donner l’élan, , car nous sommes lancés commme des fusées ! nous sommes dans la vie comme lancés et comment compfrendre en cours de routee les donn,ées de base (lancement) ou de sourc e ? comment faire pour comp^rendre icelles ?avec desx mots-betes ? mots de roche rude ? mots de base natifs comme de juste : cri primal ? squi suis je ici qui pousse une plainte : un e bete ? je suis une bete ! je suis aurochs ! je suis cet aurochs ! je suis ho:mme-aurochs ! je suis homme)-femme de la roche, je porte et me déporte ! je suis hommùe des embruns de roche et je vais en roche à la recghezrche d’une  vérioté qui eut pu plomber sur roche (= balance) et nous placer en bonne position d’une sorte d’acquisition ou pour une sorte d’acquisition - mainmise etc de sacvoirs ou xsur des sa voirs ! je suis un animal de roche , mon nom est antédiluvien,, je parle une langue animalière (je dessine et crie guttural), je suis homme de la hjoie du je de rochge rude et du nous animalier, nous = je + je , qui forment ezntité animaloière prénommée, bnous voul:ons comp^rendre en,semble les données du monde , nous voul:ons ensemble creuser dansla roche et dessi ner la b ete forte (fauve) qui impacte ou puisse impâcter grave la mort, etc,; nous ne faisons pas dans la cdentelle,; nous disons haut et fort nos choses,; nous parlons à tue tete, ou bien nous parlons haut (très) nos dires de roche = inca ntations à la mode aurignacienne, etc, cris de betes au fonds des bois, charges votives, tralala de roche musicale, temps offerts sur roche par la bande ! je = nous , nous = je, je = ce nous de contrechannce, ou de contrechien, ou de contrechant ? nous disons nous «musicalzment» le comprenez vous ? une question de tempsq ! de temp)s imparti et de temps brûlé comme des calories;, etc ! nous voulons comprtendre ensemble les données de base concernant la vie en  nous (les betes) et la mort devant soi (prése,nnts déposés pour cela) qui est cette chose de roche du temps, chose rude et dure, qu’il nous est donnée d’avoir à tracer  ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochjs ! aurochjs ! aurochs ! aurocxhjs ! aurochjs ! aurocxhs ! aurochjs ! aurochs ! aurochs ! nous traçons des betes de roche, je-nous sommes deshommes preéhistoriques , je nous allons en cette profondeur de la roche dure, nous devons comprrendre cela ainsi que nous le faisons = à la lumière d’un soleil cde plomb qui chapeaute les rives du tempsq, etc, nous tentons diverses approches, que est donc la mort en roche ? ou comment dire «mort» : mort de rage» ? mort dure», qui sait ?. comment est «habillée « la mort ? comment se tient elle en société ? qui est-elle en vérité ? la vérité est cela que le langage articulé trimballe à part lui pour des découvertes à faire, levées dxe lièvres, chants de roche avccompâgnateurs de pareille recgezrches, etc, les hommes des cavernes «savent» : ils «savent» ce qu’est la mort en roche, c’est à dire qu’ils ont cet accès direct (ou pas loin) à pareille entité sa creée , nous xcherchons pareille entité da,ns le langa ge articulé, nousq savo,ns cette chose comme quoi le langa ge xde l’homme (la langue articulée) est le vecteur de passe, le train etc, nous disons que la ngahge = train  de vie wsensée, etc, nous vou:lons essa yer de comp^rendre ce que c’est quye cette c hosqe d’une langue de roche (pa rlée ?) qui eut pu nous donnerr des nouvslles de poids concernant la (dite) vérité «de roche», nous creusons kla roche a u pic de verbe (buccal) ench assé ezn nous comme u,ne épine (sortant de trou-bouche de rage) et pour ce faire , nous donnons le nomm, ce nom de roche c’est à dfire le mien : mon nom est un nom d’emprunt, fausseté allouée pour faire accroire, mot vif de roche = vivant, vivat au nom ou pour le nom ! nous voulons comprendre les choses du monde ! nous voulons aller loin xdans le domaine des compréyhhensions souterraines, ce qu’elles sqont au juste et que xdisent-elles du monde tel qu il nous apparait et tel qu’il s’offre à notre gouverne , nous ne savons pas, nous avons espoir en nous d’un jour pouvoir savoir, etc, nous sommes deux en nous , nous sommes cdeux en n otre entité c a valière, nous  voulons creuser lma roche et figurer la bete en nous, cettye bete unie aux dires (mùonstrueux) de la mort à l ‘oeuvre, qui donc eswt la mort  ? la mort = entité = monstruosité = monstre = richessse de roche = dessins = gravvures de betes de poids ou de masse, rhinocéros ; mammouths , et autres bovidés à la pâtte l;ourde ! nous sommes deux , nous snous avançons de concert, nous sommes deux qui cherchon s en roche, je ne suis pas seul , je ne suis pas seul en moi, je est un autre je, je est doub lé, je subiss des choses de rochge, des en,vois, des cris, des donnéews, je ne suis pas wseul en moi même ! jhe subis les affres d’un e bezte en moi qui rugit, qui est rageuse, qui hurle ezt pousse son  cri de douleur, je suis je + je ca r je suis doublmé pa r un autre je que le mien, et ce je apparetienjt à une sortye d’animal surnuméraire en moi, bete des cieux a:loués, des chants de roche rudes, betes en moi des parois préhistoriques, nous entrons en roche comme en religion, nous voulons comprtendre les données du monde terrestre , les données qui président à une embardée à la une à la cdeux en cette roche rude des gropttes des tempsq, animùaux de gravures et de dessons à mqain lev&ée, nbous aimons la roche du temps, la mort est une entité, l’animal sur rocbhe est un mot sensé, nous voulons cxo nserv er la vie,, la v ie nous est chère, nous ne voulons pas perdre la vie, n ous voulons con,server lavie et ne pâs sombrer, nous voulons rester dans le sa s, njous ne voulons pas sortyir du sas, nous voulons parler à lma mort et lui dire notre col;ère et notre dégout et aussi notre peur et aussi en nous cette joie d’un xdire alloué à cette vie de bouche langagière, bouche aux betes de joie, bouyche dont des b etes sortent ou d’où sorteznt  x betes de parois ,; qui (dès lors qu’elles «naissent») vont à se ficher illico presto sur cette rocghe des tourmentsq, des présents déposés, des offran des a llouées, des prix de beauté , etc, nousq voulons comprendxre ensemble ce qujk est en roche destemps pour notre gouverne = ce <qui nous attend de pied ferme et à bras ouvertqs (?) qui serait La Mort = cette Chose rude (rugeuse, rude) d’un endroit de roche alloué à une vie n ommée = désignée, nous creusons à même la roche une bete, cvette bete est un mot, ce mot est un mot de trop = chose par défaut, chose incontournab le, chose du devant de soi rugueux, pa roi des mots de roche, tete dure, etc, nbous pa rlons cette langue de parois du mo nde et cettye langue = un patois local, localisé , etc, facile à compren,dre entre soi mais difficile pour des étrangersq, nous sqommes ,nés du feu de la roche, accoudés tous, et tous apprenant de nos parents de roche, lalangue co:mmune , en petit co=mité dèsq lors : patois buccal guttural, homme-femme  des  c avern es d’un apprentissage et dans appp^re,ntissage il y a tissage, enveloppemnent pariétal, couvade, couverture-enfilade, etc : fil ! le fil de la roche ! le fil du temps ! le fil du bois ! le fil de la roche filante ! etc ! nbous cgherchons ensemble (nous) à comprendre (vif) c e qui est en roche (dure) qui setrame (fort) pour une sorte de peuplade nôtre (gens) qui serait la peeuplade des parois du monde, nous tapons la tete contre la parloi ! nous voulons travezrsezr icelle (mots) dxe notre pic de rocxhe attitré, et c’est ainsi que nous piquons cettye roche des temps à l’aide (ici) d’un pic de vezrbe attitré, mots de roche rude, engouement verbal, titre ! titrages ! nous perçon,s ! nous so:mmes  passés de l’autre côté , nous avons franchi le cap du cap, bnous voulons travezrswer la roche vivement et nous retrouver sur paroi du monde co:mme le nouveau-né de la crèche : qui es tu homme des bois ? jhe suis un chevreuil ! où vas tu homme des bois ? je vais à confesse me ressourcer ! qui as tu comme cxonfident ? jai l’homme en tant que confident ! homme des cav ernes connais tu les vents ? je conn,ais les vents ! es tu un homme ou u,e femme homme des cavern es ?. je suis un e faon,; je cherche à parler la langue des prés, je sautille sur mes pattes dans le  champ fleuri de la roche, je suiis une bete fauve, mot de tete,, trala la sur une roche faite dx’harmonies, de séquences, de pa rades, de développêmentsq musicaux anc estraux, car ici (en roche) la musique est belle, est beauté animalière, est tracés de betes -cavalcades, est cet attirail de roche guerrier, attirail guerrier de roche dure (rude) pour la vie, nous sommes des ho:mmes et femmes des cavernes, je suis hommùe-)femmùe alloué à une roche, je suis l’hommùe de  cette caverne et aussi la femme de  cette même caverne aux chants patiétaux, je suis ho=mme vif, homme du temps déposé, je suis femme au sang versé, je pleure le sang, je suis homme des temps br^lés, je suis fgemme des tourments de ra ge, je suis ho=mme des mots de ra ge, je suis femme du versant nnacré de la roche := firmaments, je suis homme du pasdage et du repassage (point de plis wsur mon devbant de bure !), je suis femme chine, femme entropie, femme-femmelle;$, femme rudoiemen,t et même rudoiment de type cavalier (envers la mort à l’oeuvre et auutres tourments), je suis hjomme  depeu de foi, je suiis femme des tributs, je suis homme du cheval de roche (c’est moi !), je suis lafemme aux septs couteaux, je sui s l’homme du chandail, je suis vfemme a ux belles envolées de roche : lévitation !!!!!!!!!!!!!!!!ç!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!è!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et me voilà haut qui surplombe ! je suisq femme)-homme du surpl;omb, haut-haute qui parle ou crie ! haute femmùe dans le ciel de pareille grotte, haut homme pour une immixtion conjuguée ! qui est l’homme en l’homme ? qui est l’homme en elle -femme de paroi ? qui va là en roche en lui ? qui est qui ? je suiis bete de paroi, homme bete de rage dure,,;, femme betye en moi même, rudesse, trouble dans le genre ou califourchon ! je vais et ,je viens ezn  cette roche des embruns nacrés (bleutés) qui va et vire ! je ne veux certes pas mourir ducon ! l’entends tu La Mort ! entends tu mon chaghrin scénique ? es tu au parfum ? je ne veux pas ! JE / NE / VEUX / PAD ! pas plus «con» que cça à dire vrai ! je suis l’homme de la femme = l’heaume! et la femme de l’homme = la fame ! pas mplus «con « que cça et le tour est joué , je suis homme-femme des embruns de roche, au p;lus profond d’icelle et je pl;onge tete première dans le veznt !  je suis un homme de la préhistoire, mon nom n

e vous dira rien qui d’ailleurs se perd (est perdxu) dans les limbes du temps pariétal, je vais et je viens sur roche (ou en roche) en lévitation et ce afin des tracer des betyes mots qui chacun (chacune) représentent tellle ou telle bete effigie de base en particulier, pour moi = le cheval, ou bien le bovin, etc, je suis u,n homme feu, qui brû:le sarage mobile au fur et à :=mesure de son avancée en pareille roche du temps, il s’agit de choses fuga ces, non essentielles, non vitales pour ainsi dire, car le temps pazssé (brûlé comme des  calories) n’eswt pas la chose vitale en soi, c’rst à xdire l’influx direct, à la source, cardial, etc, non ! et voil:à pourquoi la mort «nous en veut « = veut contre nous, njous en veut = nous regarde cd’un, sale  oeil , etc ! la mort = entité buc cale d’accès, qyui est devant soi comme une ouverture (borgne ?) de première : fissa la donzelle ou le donzeau, vas-y voir à la comp^frendre sans mourir de base , impoosible ! nous c

herchons issue de secours, bnous cherchon,s issue rageuse, nous voulons comprtendre les données les plus subtiles co,nc ernant les  choses du monde et  créer cette base de données à) pouvoir consulter incidemment les uns et les autres à notre guyise, bnous nous immisçons profonsd, nous cherchons profond, nous fouillons profonsd, nous v oulons profons aller loin, en cvette rocghe dezsq donné&ezsw du monde (rrepréswentations animalières pour la bonne cause ) : nous fouillons la roche menu ! nous voulons savoir les raisons qui font que nous parlons (en chemin) un langage dit de vérité «, ou « V», qui est un la,nga ge perpétuellmement à la recgherche dela vérité incluse, masquée ou cachée, qui reste (perpétuellement , à découvrir, à dénicher, etc : nous cherchons en permanence (‘?) à dénicher ce qui fait que leverbe  buccal est verbe dit «de vérité « c’est à dire dont la  vérité est le souci majeur (non tout à fait entier mais majeur),etc, bnous voulons co:mprendre une chose, cette cxhose comme quoi  le langage articulé est betes-mots ou fait de betes mots qui tous (au nom de tous) sont recherc hes de vérités bvraiEs, etc, les motsq betes sont des ezffigies-vérités, nbous voulons savoir le vrai du faux et ce vou;loir savoir est cet usage des :mots tel que l’avons, à notre naissance, intégré et qu’il nous wserait à présent impossible de désapre,ndxre , en nous, si tant est que nous eussions voulu nous en débarrasser de fond en co=mble, les mots sont sur  ce penchant infini d’une recherche in hérente dxe la  vérité des choses, avec à-côtés mensongersq qui sont le penda nt vital, et neséxssaire, ou nécessaire, de la vérité, car la  vérité pour bien s’affichzer véritzé a besoin de l’à-peu-près lan gagier à ses côtés, la bête-mot est une donnée de base, la bête-mot est donnée  de base, rudiment, les mots sont des animaux qui cherchent à p

ercer 1 la bouche (la joue nôtre) , puis , 2, la roche et ses sources de vies pariétal:es, sesq betes des champs, ses chants mélodieux (incantations rupestres facétieuswe ? ) , nous voulons comprendre, nbous voulons nous y retrouver en termes de vocables de vérité,; bnous cxherchons honn^tement, sérieusement, fortement les mots qui seraient  ceux-là qui sauraient nous dire la  vraie vérité concernant la Chose du temps, nous nous appliquons à comprfendre, nous voulons compre dre, nous voulons comprendre la Chose, nous voulons savoir et co:mprendre les données du monde : qui est qui en cvette roche ! qui suis je (moi-même) en  cette rocxhe ? qui je suis en  cette roche : bete ? qui suis je en pareille roche aux embru,ns : bete ? qui est qui en cette r(ocxhe pariétale : un amant ? suis je le vent dans les branches ? suis je un je du nous commun de latribu des hommes femmes dupliqués ? suis je un homme des cavernes caverneuses ? nous disons je et nous à l’emporte pièce de roche = gravures sur le tas meuble ! nous disons que nous voulons savoir et comprendre et toucher et trouver et percer des mondes : qui est qui sur roche , suis je l’animal dressé ?  suis je une entité monacale ? suis je un je de roche allouée ? suis je l’oiseau qui va wse nicher  dans la roche (nidation-i

mixtion de roche) ? suiis je une bete de paroi ? cet aurochs gravé ? ou bien l’homme des cavernes surdimensionné , cet homme oiseau d’envergure, se levant et s’envolant et entrant la tete la première dans la roche (dure) dxes temps impartis à une vie terrestre ? je regarde devant, la paroi est meuble, dès lors je m’immisce, je suis immiscé, je suis da ns la roche comme un coq en pate, a:loué à ceztte rocxhe des présents soit des offrandes, des dons offertts à des déités frontales, bouches ouvertes, becs, becs de vie, becs, becs de rage surnuméraires, becs d’envie de vies, becs de belle raghe , chants d’oiseaux menus, fins, vifs, drôles, vigoureux, becs

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2/07/2021

nous sommes deux pour une entrée, nous regardons autour de nous pareilles bêtes fauves de paroi : elles vobnt et elles viennent incidemment et nouds regardent d’un air de deux airs, nous aimons «nos « betes, nos amies, nous aimons les approcher et leur parler, nous parlons ce langage des betes pariétal ou dit «pariétal», nous nous approchons des bisons, aurochs, buffles,, bouquetins , etc, nous sommes deux pour une approche animalière paréitale , nous nous approchons d’icelles bêtes de pâroi qui nous regardent (nous espionnent ? peutêtre pas , mais ne bnous quittent pas des yeux) , nous aimons «nos bêtes», noos amis des roches, nos amies chères, nous les regardons batifoler, nous nous approchons des betes de paroi, elles sont fortes et massives, elles en imposent, elles «disent» leur pesant de fortitude, leur allant ventripotent, leurs avancées toute en musculature etc, eklles font comme si, elles sont des betes de grande envergure faisant comme si en elles (fort) la vie bouillait, comme si en elles il y avait La Vie, une vie vive d’attrait complet, etc, or non : la vie en elle est fausse donne, on le sait, il y a dans la bête ici représenttée à nos côtés quelque chose du pis-aller de rage, sorte de succédané pariétal , qui donne de soi mais quoi? une peccadille ! et nous de nous en excuser ou comment ? cazr nous sommes de la partie, nous sommes deux pour un faire ici de concert, ce faire d’une sorte d’allégeanvce, cette chose à deux à concevoir sur roche est une sorte d’allégeance, le pardon est imploré et nous pleurons les larmes chaudes (qui bouent) de nottre corps , toutes les larmes au complet, nous pleurons en roche des temps sur paroi meuble les larmes (toutes) ) de nos corps soudés, unis, une étreinte de vie pour la vie, etc, et pourquoi cela ? car nous sommes deux à devoir ainsi nous soumettre (sur roche ? sous roche ?) à cette sorte d’allégeance à cdevoir faire, à cette sorte de pardon, brusque, vigourzeux, nati f, etc, qui est le pardon de la rochge des temps, le pardon au dieu de la roche, etc, nous savons cela, nous savons que nous sommes pris comme dans la nasse, nous sommes touchés, nous sommes vuuss, nous nree sommes pas dupes de cette chose, nouys voyons loin au fin fond de la roche du temps : les embruns, les tourments, la peine, la mort qui nous attend de pied ferme la coquine , nous savons cela, nous ne l’oublions pas, nous savons cette chose dure au fond de la roche, nous la connaissons, son nom est un nom de roche dure, son nom est nom de roche allouée à une mesure de circonstance, celle de nouys voir meurtris, touchés, bientôt anéantis par la bande alors que faire qui pour nous soit salutaire et puisse nous offrir de quoi nous en remmetre et nous échapper d’icelle à nos basques ou comment dire ? que dire ici «qui puisse le faire « ? car la vie est là, sur la lande (aurochs, bisons, chevauc$x, chevreuils) , nous le voyons, nous disons «la vie» pour le dire vite et c’est zainsi que nous devons nous excuser ensemble (soudés, main dans la main) afin de monttrer patte blanche et nous tirer d’affaire au mieux, si tant est que ce fut possible, une fois de plus n’est pas coutume ou oui ? nous disons que nous devons bnous échapper de la roche au plus vite et sauver de nous ce quyi peut l’etre, quoi ? l’animal en nous endormi (endormi ?), cette bête de choix enfouie , cette bête rosse, grave, soudaine, forte, folle car affolée par la bande pariétale des temps remués, etc, nous portons en nous cette bete de circonstance, elle ne demande qu’ à sortir de nous, elle en impose fiichtrement à la parade et se montre dûment dessinée ;ou gravée sur roche comme à demeure, elle est belle bête» de parade, oui , belle bête de cavalcade, aussi, elle meuble ! elle est belle ezt dure à l’effort, elle vibre, elle semble être en vie, c’est rare ! c’est notoire ! nous disons la vie pour dire ce semblant et nous crions gare ! que dire ? nous disons «la vie» quaznd la vie en vrai est absente, oh la belle farce nous dirons ! que dire ? nous passons en roche le temps de ce dire fou, grave et tracé, nous disons que nous sommes fous à notre tour d’agir de la sorte, soit de nous prononcer de la sorte sur roche, car la vie demandée est tout autre en vérité, il s’agit de notree vie de coeur, celle là qui frappe la chamade en nous et ne s’en laisse pas conter, ce tic tac de roche appuyé, cette bizarreté corporéifiée, ou comlment signifier pareille allégrresses ? nous disons que nous sommes deux à chercher la voie pour une entrée dans la matière des embruns célestes, où sont ils ? que veulent ils nous dire ? où sont les embruns ? nous cherchgons ensemble (à deux) de tous les côtés, ici et là en roche, aux quatre coins, sous le sable, près des côtes, en bord de mer, dans les coquilleages etc, et rien qui fasse l’affaire à nos yeux , nous voulons comprendre et découvrir le pot aux roses de la vie faussée, fausse vie plutot pour une offrande à déposer tantot au pied de la roche = dans le temps, bnotre langage de charretier, les betes massives, les ++++ de roche dure, etc, nbous savons à présent nous y prendre, nous sommes rodés à pareille enge gence (enfance ?) , nous disons que nouis sommes rodés à pareille engeance ! nous disons que nous devinons, nous disons aussi que nous savons certaines choses de la vie et de la mort, le temps est là pour nous permettree une déposition en bonne et due forme, cette forme des embruns de bord de mer, cette chose rosse, ces aurochs de plage, ces mots attribués sur paroi dure, ces phrase prononcées à la cantonade, en lévitation, doucereuse, belle et donnée comme des bons points à frapper en rythme, ou au ryhtrme des incantations hurlées, etc, nouys offrons du plus de roche, ce plus de vie brute, augmentée, calcinée, en,core brûklante, nous voulons ensemble offrir une vie qui le fasse à Mort- de-roche-la... qui nous regharde, qui ne cesse de nous regarder , comprend elle le subterfuge ? voit elle vraiment les tenants et les aboutissants de la ma scarade ? voit elle ce qu il en retourne ? a t elle les yeux en face des trous ? les yeux bien en face, la mort ? car squoi ? eklle est où ? elle voit quoi ? quoi elle voit ? la mort elle voit quoi ? a t elle déjà assez d’yeux pour voir ? de quoi est-elle munie en la matière ? je ne sais pas , je ne wsais pas de quoi la mort est ou serait munie, j’ignore la chose, mon nom est caché sous la roche, je ne vois que dalle, je ne sais que dire, mon nom est un nom d’emprunt donné par la bande, quioi voit elle je l’ignore, de quoi est elle munie en matière d’yeux je l’ignore aussi, je ne sais que dire sur la chose et m’en repend ! mille fois pardons ! mille mesures de pardon de mon côté ! car la vie donnée sur roche est une mise en scène de première ! je le sais ! je sais que la chose est, je sais pertinnement que cette chose de la mascarade aura un temps (le Temps) qyui ne fera certes pas l’affaire longtemps, je sais cette chose, je sais pertinnement que ce succédané de roche (dépôséeé) aura son temps, un temps donné, étroit 

ou allongé mais non infini, et ce temps déposé ou comment, sera ce temps qui est le temps de roche dure pour la vie vécue, mais non point la vie dans ce qu’ellez a de plus intime en elle en matière mécanique de fonctionnement (on l’a vu) alors comment faire ? faire comme si nous ne savions pas ? faire comme si nous étions naïfs et ne savions pas ke fin mot de toute cette affaire ? faire comme si nous étions idiots (le sommes-nous ?) ? ou quoi d’autre en définitive ? nous devons graver des bêtes sur roche à l’envi (en hurlant notre misère cvonstitutionnelle) et ainsi fait nous devons parler le lmangage des pierres, des czilloux des plaines, des roches endurcies etc, nous devons »entrer dans la matière» de la roche rude, du dur de la roche de grotte, du plus en plus dur de la roche rude des temps alloués, car la vie est «brève», ne s’en laisse pas rzaconter des sornettes, aura son temps qui finira, sombrera dans les bartas, ne remontera pas la pente, nous souillera, nous enfoncera dans la nasse (les sables mouvants) de laquelle nous ne sortirons pas car nous sezrons piégés, pris d’assaut, emberlificotés comme des benêtzs, etc, nous savons que cette chose est (sera) qui nous attend de pied ferme on l’a dit, et comment donc dès lors se tirer d’affaire ? oublie ! pas possible ! ou comment ? en postant son nom sur roche du temps ? pis-aller de première on le sait ! en donnant du «gnou» par la bande , gnou ou autres bêtes rosse et forte ? que dire ? nous cherchons avidement, assurémment, sérieusement, confraterlellement, carrtément, soudainement, fraternellement, vivement à deux cette chose, eyt comment s’y prendre pour sauver les meuvbles d’une vie de roche dure (et ce depuis le premier jhour ) ? nous avons nbotre petite idée mais il n’est pas sûr qu’elle soit opérante à cent pour cent, et cette idée (notre) est celle ci : comme quoi nous pouvosns peut être nous tirer d’affaire en priant, ouh la oui, ou non, ou peutêtre, on voit cette chose sur roche qui se note ainsi en forme cde betes, betes à cornes, à bois, betes grosses etc, nous disons «peutetre la prière», nbous disons «peut être certains mots de roche «, etc, l’aurochs essentiellement ? nous dessinons des mots de betes sur paroi comme des hommes des cavernes, ces mots nous regardent d’un air de deux airs, ils sont mobiles, ils chargent leur pesant de vie à la manque, nous chargeaons ainsi de misère notre poids de rage et espérons pouvoir ainsi nous en tirer à moindre frais, nous verrons bien, nous nous agitons dans la roche, nous pleurons, nous implorons disons, nbous ne voulons pas passer l’arme à gauche, nous sommes touchgés par la bande, bnouds nous enfermons dans cette roche des tourments et comment faire pour en sortir, nous en délivrer ? nous disons que nous devons nous en sortir, nous disons que nous devons nous en délibvrer , nous disons que nous devons chasssercles mauvais esprits de la roche du temps, mais comment chasser ? chassons les esprits néfastes, chassons-les d’un revers de mùanche , chassons la mauvaisetyé pariétale , oublions ces données de race mortelle, ces rapines, ces regards de coin, ces ombres portées, ces mots de rage à notre encontre ! portons nousailleurs en cette lande coexistentieklle ! allons loin aillleurs nous porter fissqa et ne donnons pâs de notre vie vraie, gardons laz pour nous, essayons de résisqter aux appels du pied de dame-la-mort-la... qui nousregartde ! ou sieur «de la mort en branche «, le sa... qui nous regarde tout autzant ! elle ou lui , ou bien : elle ET lui ? ah peut-être ! deux pour une entrée en roche de première ? la mort serait double ou comment ? nous disons la mort, nous disons LA, ce la musical d’une roche dure, bnous disons la en langue de papa, nous disons ce la de roche ancrée, nous disons un la pour lma mort de face et pourquoi ce la ? pour quelles raisons ? pour quoi la et pas le ? conventions ? que dire de ce la qui tremble ? que penser de ce la qui treemble devant soi et nous interpelle ? oh mais pourquoi «la» et pas «le» , quand même ? nbous disons que nous devons comprendre ensembkle des données de roche durez, nous devons ensembkle aller à confesse en roche des temps impartis , troubler les embruns et nous donner (corps entier ?) sur roche comme des benets de la lande aeréée ? comment faire ainsi que nbous puissions comprtendre les données ? la (le) mort de nous a en nous les clés pour un dire de moitié ! ce dire est dire mi ! ce dire mi est un dire mi cheval, mi âme ! nous voulons comprendrec cette chose et comment nous y prendre eh bien c’est enfantin (un jeu d’enfant) : une sorte de don de soi qui n’en est pas un en vérité, d’où la confession postérieure à jamais (du temps où nous sommes en vie) et l’effeervescence associée (chants paiens de la roche rude) etc, nous essayons de clarifier les données de roche et de nous y retrouver si possible entier, etc, nbous diso,ns que nous sommes deux ici pour une gouverne instrumentalisée par la bande des temps alloués, nous ne so:mmes certes pas xseuls au monde, nous prenons les à -coups comme les autres en pleine bouille la plupart du temps, de ce temps des choses du Temps, etc, et cela pour nous est une sinécure de première, charge pariétale (onguent christique ? ) nous le déplorons, nbous sommes 2, 2 pour la pârade ! ce 2 est le chiffre pair de ma race , comme on dit «ta race», etc, nous voulons savoir ! nous sommes sur une sorte de qui vive pariétal de roche dure et nous reghardons passer les betes ou ce train de bêtes rosses (qui nous mate du coin de l’oeil), nous voulons comp^rendre les données de la roche du tempsallouée à notre vie de base non durable etc, comment comprendre , où se loger , où seposer, où seplacver, où se mettre ? où donc trouver à se loger en roche pour comprendre les données de base ? confession ! confessuion en catimini ! nous cherchons des solutuionsdans lma parole, ce flux sanguin de roche annoblie, cette épée dans la roche rude, ce tremblé perclus etc, nous cherchons des mots-betes sur paroi des temps et ces mots sont des animaux autant que des tourments ou commùent ? nous devons comprendre les données franches , creuser de son nom la roche (une peccadille) et forcer le ton, force que tu forceras le ton d’un ensemble votif ! cherche à cran ! cherche fort ! crie ! catapulte tes données de bbase ! vas y mon petit , etc! nous savons ce qui est, nous savons ce que la vie est en ous (cette chose batttante) et nous savons ce que nous offrons (ce que c’est) , nous savons des chgoses, nous ne savons pas rien, nous disons des choses , nous ne disons pas rien, nous ne savons pas nous taire , là où le bât blesse ! nous ne savons pas nous taire et c’est là très eactement où le b 

ât blessse, nous ne savons pas (hélas) nous taire ensemvke , et c’est un problème de choix, ou comment ? car la vie nous pousse à devoir nous sauver de la mort cvontinuellement et pour ce faire nous pleurons nos larmes d’enfance meurtrie par la bande, nous disons cette chose ici , comme quoi nous pleurons de concertt (tous les hiommes et les femmes du monde) nos larmes d’enfance touchée par la bande du temps pariétal, roche dure des tourments de 

base, pleur et rires associés pour une misère, nous pleurons-rions notre peine de coeur maussade, nbous devons prier pour noues reprendre, nous disons les mots de larage des mots, soitt les mots du libertinage,, de la messe folle, des animaux-mots, d e la grande et belle parade nuptiale des embruns etc, nous disons les mots «de ta race» dure, qui durent (le Temps) et ne s’en laissent pas compter outre mesure et voilà ce qui est ici à signaler, comme quoi nous sommes deux sur roche à crever l’abcès d’une donnée rude, aboutie, finale, terminale, saleté des xsaletés de ta race rude, cette mort acquyise, cette méchanceté postée, ce rapace etc (rapines ?) qui nous voit aller et qui s’en réhjouit d’avan,ce ! oh la vile ! nous le savons : nous ne sommes pazs aussi naïfs, nous savons cette chose d’une mort de rochge qui nous interpelle, qui nous mate, qui nous pazrle, qui nous chasse, qui nous pourchasse veux-je dire et c’esst ainsi que nous voilà touchés par la bande du temps menaçant ! nous ne sommes pas indemnes de de toute «touchée» ! nous sommes touchés par la bande , nous sommes pris comme à rebrousse poil par la bande et cela n’estpas juste, au reghatrrd de ce que nous montrons de nous mêmes : ces envolées de rage, ces incantations pariétales, ces colères monstres, ces ébats de jouissance rude, ces carambolages de penséesq, ces langues amassées, ces rudiments de pensées natives superposés, ces envolés de base percluses de choses acérées, etc, ce tas de misère fait le tas de cette offrande par nousq déposée (l’art) comme une denrée à ingurgiter : mange ! vas-y mange-moi saleyté des saletés ! mange ces tourments de base, mange moi ce temps que je t’offree fissa continuellement ! le vois-tu ? entend tu ce que je donne en termes musical ! cette litanie de parole perlées, cet echafaudage ! vois tu saleté... ce que là je dépose , le vois tu saleté ? saleté des saletés ! saletés des saletés ! saletés de Mort de rage ! vois tu c e qui est déposé, cet art de la jouissance , cet art de la partie noble, cet onguent princier, christ édulcoré, le vois tu ? vois tu l’art à la rue ? vois tu ce qui est qui tombe sur roche pour ta satiété ? qui est là devant moi qui trembkle, est ce toi ? es tu la Mort majuscule, celle qu’on enc... ? es tu celle là ? es tu cette mort de rage qui me prend le temps ? es tu rageuse de mémoire ? où veux tu ezn venir ? es tu la mort bete, celle qui croit tout ce qu’on lui dit sans demi mesure ? es tu couille à ce point ? es tu connasse ? es tu de celkles quuii nous matenttnt et nous atte,ndent comme un pis-aller ou comment ? qsui es tu ? qui veux tu prendre dans tes tentacules ? qui es tu qui nous regzarde méchamment ? es tu la misère de base, tombeau pour un cxheval de rage, tombeau pour des enfants nés ? qui veux tu pour commen,cer ? veux tu ma vie en premier ou bien ce temps déposé par la bande ? pour qui me prends tu , la Mort , qui crois tu rencontrer avec moi comme allié ? qsui crois tu rencontrer avec moi ? une merde ambulante : chameau ? chevreuil ? bousquetin ? cri de guerreere incantatoire ? mains sur main ? chinoiseries pariétales ? onguent ? douceurs de parade ? vulve au kilomètre ? qui es tu la moprt pour espérer de moi un don de roche lmassif ? qui veux tu absorber entre tes dents pointues, sur ta langue, dans ta gorge, au fond du ventre, dans les entraillkes, sous le vent ? es tu de celles qui pètent à tout va sans s’en excuser ? as tu de la classe ? es tu de la rage ? es tu du tombeau ? es tu de la misère ? es tu des animaux ? es tu ce qui va vers nous et nous attrape et nous étire, nouys tire fort, encore et encore afin de toujours plus nous ficher dans la nasse d’où ne plus pouvoir trouver à s’echapper (on sait cela) : est ce cela ? veux tu me crever comme une merde ? veucx tu me calciner ? ou bien m’au- réoler ? ou bien me sacrer ? ou bien m’emboutir ? ou bien, me meurtrir ? ou bien me chaudffer ? ou bien me tuyauter sur les bonnes mesures à adopter pour sauvber sa mise ? veux tu m’aider à m’en tirer ? veux tu me dire ce que je dois faire pour ne pas mourir ? veux tu m’expliquer par a + b ce que je dois faire et ne pasd faire ? es tu pour moi ou contre moi ? veux tu ma misère ou ma contre-misère ? veux tu me sauver à ton tour ou au cvontraire m’enfoncer comme une merde dans le caniveau, dans son trou de chasse ? es tu mon amie ? ohé du conno, es tu mon ami ? ohé de la fleur de rage, es tu mon amie ? veux tu attenter à ma vie ou bien non, me sauver des griffes de l’envie princière en toi m^eme ? squi estu la mort pour me dire ce que je dois faire ? qui es tu la mort pour me donner des ordres ? qui estu la mort pour me fracasser ? qui es tu la mort poour me faire la misère ? quy es tu la mort pour me foutre mal ? qui es tu la mort pour me ficher en l’air illico presto ? qui donc es tu la mort pour me pourchasser comme un voleur de grzand chemin ? qui es tu la mort pour voir en moi cette chose de peu des tourments ? qui veux tu en moi, quoi de moi vezux tu ? ma vie ? laquelle ? et voilà ou le bât blesse ! car la vie c’est celle du coeur quand il bat (l’eessence vitale humaine pour soi) mais aussi ce monde que l’on traverse, ce passage de soi dand le temps, ou dans l’espace-temps de ce monde de soi, alors voilà ! nous disons la vie pour dire le temps, et nouys donnons le temps pour dire la vie ! ouille la méprise ! ouille la chose ! ouillue re-ouille ça va pas le faire ! ou si ? la mort est à c e point bête qui ne le voit pas ? qui ne comprend pas ou ne saisqit pas la méprise ? oh la bete en elle , oh comment ? car qui dit la chose comme quyoi il sait ? qui sait ou saura dire (à nous) la chose vraie sur la question de ce mépris de base, ou méprise de roche, etc , qui ? nous voulons savoir ! nous ne voulons pas ne pâs xsavoir ! nous voulons connaitreles données rugueuses de bbase, et du coup savoir à quoi nous en tenir ! nous voulobns comprendre loin les choses du temp^s impartis à cette vie humaine offerte par la nbande ! nous sommes des merdeux, des petits humains de rage tristes, nous sommes tout aboutiffés ou commeznt dire : malotrus, ou comment ? des enfants sauvafges de la bnande , des petits morveux de passage vif ! nouds pleurons notre misère : voyez ! nous pleurons de loin et encore là jusqu’au sommet ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous voulons convaincre mais vbas-y ! vas donc eh du con ! vas comprendre les donnhées natives ! vas dsavoir ce qui setrame en pareille roche des temps doublés , vas donc y piger quelque chose et tu reviendras m’en donner des nouvelles : j’y tiens ! je veux ça (au moins) , et cette chose ici d’une sorte d’attreappe nigaud est donc déposée dans le temps d’une vie impartie à même la roche, à même ce rocherrrr de base rugueux, nous disons le mot suivant : «art», et ce mot est là pour résumer l’ensemble dééposseé (de nos tourmeznrts) sur la roche du temps : livraison en bonne et due forme de ce pis-aller dfe première censé en jeter ou cracher des litres, alors même qu’il s’agit de fausseté, fausses larmes, fausse joie, faux serments, fausse discrétion, faux rapports, fausse jonction, faux dires, fausse caerresses, faux jeus, fau$x jetons etc, nous ne disons pas tout d’un seul coup mais ce que nous donnnons-disons est cette chose d’une sorte de dépot de soi dans le temps imparti, en espérant que « ça le fasse grave pour longtemp^s» et voilà l’idée qui réguule et se place icii, idée-fixe de paroi de roche, fixation pour ainsi dire = emprise, prise, collage, prise de donnée collée etc, nous voulons comp^rendre ce qui vient et va, ce qui se balade ainsi dans ce sas de la roche du temps, les données mobiles etc, nous cherchons, que voyons nous ? nous voyons la roche du temps calciné (le temps) près de nous, ce dépot d’argent (ou d’or) qui est celui que nous donnons de nous par la bnande à la mort cdevant , nbous offrons le temps d’une vie rosse, bnous donnons ce temp^s de «vie la nôtre» la béjaune ! que vouloir quand on est la mort ? la vie des autres ? que donc elle veut cette mort de meu ? la vie offerte ad vitam aeternam entière ! c’est à dire corps et âmes temps inclus ! la garde ! tout, quoi, de nous, on le voit ! elle ne manque poasd’air ! elle ne manque pas de toupet ! elle ne manque de rien ! elle veut tout la pu... la chi..... la sal.... la saleté ! elle ne manque pas d’air ! elle est coquine, elle rapine ou comment on dit grapille ou comment ? ekle veut de nous c’est facvile tout ! la chi... la sal.... la saleté des saletés, elle ne s’en laisse pas conter ou si ? couille à ce point , qui prend des vessiesv(le temps donné) pour des lanternes (le tic tac vital) ? elle n’est pas maline ! est elle maline ? est elle futé e ? est elle dégourdie ? est ellme folle ? est elle mentalement déra ngée ? est elle couille ? est elle belle et sensible et intelligente et bien mise et intéressante et plaiseante et sensuelle et attirante et?.... ou non ? est elle une femme ? est elle un homme ? est elle un femme ? est elle une homme ? est elle une sorte de mix entre d’un côté le femmme et de l’autree la homme ? qui sait cette chose wque la mort serait, ou est ? nous voulons en savoir long sur la quyestion et pour cela nous interrogeons autour de nous l’ensembvkle des parties , bnous voulons comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ +++++++++++ et pour cezla nouysq nousqagitons de concert en incantations massives, glorieuses ou glorifiantes, qui ont pour but de toucher la roche du temps devant nous, et celle ci, une fois touchée, de la pénétrer le plus rtapidement possible et cela à deux comme convenu entre nous, c’est à dire elle (la bete en moi) et moi , cet etre de misère et de joie m^élée pour une vie de base rugueuse peut êtyre mais tournée tout entière vers une finalité que j(‘espère (que nous espérons) heureuse, nous voulons essayer ensemble cde comprendre un certain nombre de choses concernant lza mort, bnous avons cette ambition, nous voulons nous positionner en cette roche de cette mùanière que nous fzaisons c’est à dire en nous congratulant par la bande, en nous chevauchant comme chevaux en cavalcade, etc, afin d’en imposer le plus possi ble et du coup de faire croire qu’il s’agit de vraie de vrzai la vie de roche nôtre (à la mort) et non pas d’une sorte de pis-aller de fortune, bricolé au pas de charge et à l’emporte pièce, non : une vraie de vrai de vie battant son tic tac charmant cordial, cardial ou comment dire ? nous disons que nous sommes partie prenante et que dès lors la vie pour nous est cela m^zme que nous déposons (cet art de la chute) sur ces parois lisses (ou pas) de la roche (grotte) du temps (du Temps) , nous disons ces choses devant nous, nbouys les apportons sur le devant de nous, nous disons qyue ces choses pour nous sont d’un intérêt crucial, qu il s’agiyt pour nous de choses considérablement importantes à nos yeux , et que notre but ici est de donner un peu de lest à une pensée déjà bien alourdie poar des données de base pesantes, ces donn»ées liées au temps passé, à l’enfance vécue et enkystée etc, nous devon,s comprendre pas mal cxde choses encore concernant la vie des données rupestres, nous vouklons encore comprendre pas mal de choses c oncernant pareiklle vie de roche dure, telle que nous pouvons l’appréhender et l’expérimeznter au quotidien, car la vie pour soi est une sorte d’eznvie de vie, une sorte d’envie forte (fole ?) de rester en vie quoi qu’il en soit de nos misères, nous voulons durer et pour cela reien de tel que la roche princiere, le Rocher du prince comme dit l’autre, ou pas mais quoi d’autre ? que dire en soi qui puisse le faire et nbe pas raccourcir nos vies , ou les stopper net ? nous disons que l’art de la roche des temps (l’art préhistoriqye des paroiods) est un bon parti, une chose beklle dans le sens où cette chose remp^lit un certain nombre de données de base, les comble ou comment dire, «sait y faire», on pense cela, nous disons cela car nous penso,ns que cela est , que la cxhose ici d’une vie dxonnée est cette chose d’une sorte d’art de roche à vivre (un temps) sur le qui -vive , qui sait cela ? nous disons que nous nous avons à comprtendre en,core pas mal de choses ici bas co,ncerbnant les choses de la vie , nous disons que lea vie pour nous n’est pas seulmeme,t ce qui bat en nbous en termes d’allant de vie, mùais aussi l’accumulation des choses passées par nous en termes de souvenirs par exemple, ou bien de blessures physiques, ou physico-chimiques telles que ces blessures se sont imprimés en nos orga,nismes c’estv à dire en nous, bnous pensons que nous devons aller ainsi au p^lus profond de la roche du temps (du temps des cavernes) et trouver le mot qui dit tout, ce mot de la roche plénière, ce mot du Tezmps fatal, ce mot du D2sir de rage intéhgral, ce mot après lequel nous courons ensemble (elle et moi = la bete et moi ) depuis tant de temps, et ce mot est le suivant : la gr:^$ace,; cette chose des tourments lazrvés, des tourments rejetés de base etc, la gra^ce est le mot de la fin (qu(‘on se le dise !) qui ne souffre pas d’être contredit : qu’on se le dise aussi ! que la grâce soit et la grâce fut ! cela aussi qu’on se le dise ! car l;a grâce est le cheval d’attaque, le chainon manquannt, l’outil principal, la patente ou on dit comment ? l’amande honorable , ou commùent ? nous voulonssavoir ensemble ce qu’il en ressort cde cette grâce sus mentionnée en paroi de roche et pour cela nous nous blottissons de concert et nous chantons à haute voix les chants «de ta race» = chants nuptiaux d’homme flanqués de femmes et chants nuptiaux de femmes flanqués d’hommes (ou doublés, doubles de préfrérence !)-: nouys disons que nous sommes deux, que nous sommes double ou doublés (ou flanqués mais doublés est juste); ou fklanqués = sur le fla nc la prise etc, cela n’’st pas faux non p^lus ! nous disons que nous sommes deux sur le flanc est ce cela ? nous nous touchons ! nous sommes deux à nous toucher : ici le flanc ! nous sommes qui sommes une somme de cdeux qui nous touchons ! nous nous caressons, nous nou!s embrassons, nous nous donnons des biçsous, nbous nous enlaçons ! etc pour soi ! nous donnons de nous à la mort la Chose, laquellev? eh bien celle ci que nous comprenons pour nous comme étant celle (la seule?) qyui puiusse en imposer assez pour la (la mort) satisfaire asserz, ou du moins un certain temps qui est le temps de ce répit que nous recherchons poour notre gouvernev (et pour notre xsanté) : nous cherchons des choses de base, nous cherchons à nous donner ici en termes d’amourettes passagères printanières finales, nbous sommes de la partie fine et nous batifolons comme ces betes de prairie ou des sous bois qui se cherchent follement et finissejt (immanquablement) par se trouver : nous nous enftilons comme des perles, nous nous embrassons follement, nous nous embrassons sauvagement, vie de roche vive, transitions, catapulte, echauffements, turpitudes, saletés assumées, caresses des trépasséas, courage, chaleurs animales, points des doigts sur la hanche, courses folles dans les bois, nuages, enfumage, touchage, caressage, treempage du biscuit dans la cxhaine, souléèvement agraire, tornade, pétrissage divers, alunissage poin,té, tournage à) 180 degrés, enfilage sous le nez etc, nous offrons de nous le temps passé d’une vie de roche tourmentée et entournoyée ou colmment la nommer ? loops ? nous tombons à la renverse dans nos amourettes et filons fissa vers les ghrèves ! nous sqommes touchés ! toc de roche à vivre ! toc toc de la roche vive ! toc toc toc du mot balancé : la grâce annoblit, nouys plonge da,ns l’être de vie brusque ! nous donnons notre temps d’amour allonghé, nous le cdéposons sur les prés et nous courons nus vers notre tracé de vie rude ! nouys pissons dans l’herbe des prés : nous sommes affranchis de toute raison de passaghe dur , nous nous affirmons par la bnande en tant vque cerf et biçche, bison, buffle, chevakl, jument, âne, bouquetin qui vontv et qui viennent «nus» sur la roche du temps, tracés de roche charbonneucx, nous faisons pipi comme eux, sans oplus de soucis d’aucune façon , dégourdis cde ça, libérés à) l’en,vi, charmeurs, doucement 

déplacés, nous voulons la roche pour nous afin de gambader à notre guise et c’est tout ! nouds voulonbs connaitre les jhoies et autres joliesses des prés (comme l’aurochs ou la jumzent, l’antilope ou l’élan) , nous donnons le temps de nos passés de vie et l’effervescence de nos parties, nous offrons de nous ce qui bout hormis la chose en soi cruciale (le tic et tac dee la vie donnhée), nous donnons : ce qui de nous n’attteznte pas à notre vie donnée de base, voilà tout = les données périphériques , effluves et autres dé chets, temps passé brûlé et autrees rejets, etc, cela fera t il l’affaire ? on peut en doueter... quoique ! car la mort ne semble pas toujours pressée de nous absorber ! elle a fort à faire mais enfin nous sommes les t»émoins du fait sque nous abvons pour nous une révolution permise ou comme trac»ée à devoir (plus ou moins devoir) observer , nous voyons la chose, nous sommes témoins du fait qque cette chose ici de la roche dure est comme une offrande adressée àç une sorte de «déité majeure», une prise vive, comment dire ? celle là qui cherche mordicus à prendre de nous ce qui l’intéresse le plus, à etre cette prise, cette chose d’une prise sur le râble et sur le vif ou comment dire ? nous disons les mots de la fable (en permanence !) alors même que nouys penso,ns dire en toute intelligence des choses justes et sensées, or que dalle (tu parkes !) , pas du tout ! ce que nous disons ou rien c’est égal, or le hic ici , c’est que voilà : impossible de chez impossible de «réellemùent» se taire, car les mots en nous ont pris racine, car les mots sont ce présent de vie passée à déposer sur la roche du temps comme autant de betes massives (ou incandescentes) chevzau chant la roche intrapariétale des cav ernes du temps alloué, nous diso,ns cela, cette chose, comme quoi les mots sont enracinés et ne peuvent plus être cdélogés, et cxes mots fort heureusement nous protègent, qui sont des boucliers de première, nous font patienter, ou plutot font ou feraieznt patienter, qui ? xdecvinez ! etc, car la mort est là qui cherche à nous happêr , et nous de déposer ces mots sur roche, d’y aller de notre dépot longitudinal de fortune, ou «à kla fortune du pot», ou : «comme on peut «, etc, nous disons que nots sommes à deux pour faire cette chose d’un dépot de soi en «bonne et due forme» si possible, bnous nous donnons de la sorte (en veyux tu la mort ? en voilà !) à quyi mieux mieux (= au bmieux = au plus vif possible) etc, nous sommes deux ainsi qui chevauchons la paroi du temps : houp la ! et ce faisant nous bnous infiltrons en cdes méandresq vertigineux qui nous fontb ou feeront bientôt toucher la timbale nous n’en doutons pas («mon oeil» ?) et nous le disons à quyi veut l’enten,dre («n’est-ce pas») cvomme des trublioons de la blague (ou pas ?) : nous parlons un langage de dupes , nbous nous adressons des mopts doux (ou pas doux ?) et ce faisant «nous y croyons « , nou croyons à ce que nous nous xdisons (pl;us ou moins mais toujours un fond,) et voilà la chose qui se passe ici, cette chose des pârois la voilà, il s’agit d’effigies de type votif (votives ? ) qui sont là pour faire accroire et repousser l’instant fatal, nbous voulonbs que les choses sqoient et les voilàqui sont graâce («la grâce») au verbe chu de nos bouches ouvertes (ce trou d’une plaie) : nous crions le verbe innocent ! nous le hurlons sur roche par la bande ! nous dison,s merdum ad libitum ! nous répétons nos mesures hachées scandés ! avertissements ! applausdissements ! nous donnons le la de la mort en chambre, ce morceau musqical de choix, cette douce méloppée de buffe, commùent dire ? buffe pour bouffée ? bure comme la bure ? buve comme la boisson de choix soit le nectar , ou quoi ? nous cherchons la bvérité pleine c’estv à dire pleine d’elle -même, nbous cherchons ensemble (une bete en moi et moi , la droite et la gauche, le yin et le yang que sais je ?) une vérité de choix, non : une vérité de poids, voilà ! qui en i:mpose, qui se pose là («un peu là») et fasse le taf, et fasse pour nous le travail; le travail de sape ou « ce» travail de sape essentiel à nottre survie pour ainsi xdire ! nous voulons creuser profond la roche aux tourments ! nous voulons profond creuser cettez roche a ux dires fous des betes de race, musquéeqs, placides, campées, broutant, regardant nonchalmamment les pas de nos allers, etc, nous pistons sur roche les doux mouvements de la bete, nous pistons ses mouvements brusques, nbous sommes à l’affût de tout mouvement ou déplacement de la bezte-mot de laroche du temps, nous sommes affutés pour le dire vite, nbous ne sommes pas e,n reswte de surveiller ce qui donc se trame en pareille zone aux embruns matutinaux , nous pleurons, déversons des paquets de larmes sur le pont, nous sommes deux qui pleurons de tout notre corps tout cela qui en nous nous pèse fort = l’aurochs déplacé, la bete de roche, le bison masqué, la biche, le cerf, l’antilope, l’ours, l’ourse, le cheval et la jument, le renne et la renne, eetc, nbous sommes nous mêmes des betes de choix, nous posons nus sur les photographies, nous sommes betes-mots de ta race vive», saligaud ! nous chions («eh oui !») à même le sol, comme betezs-mots de ta race, pareil ! nous chions et nous pissons et cela sans honte ! nous sommpes (enfin) ultra-dégagés de toute honte, nous sommes enfin comme soulagés ou comment dire ? nous allonds fissa au fin fond de la roche rude et recherchons encore et toujours une once de vérité, nous allons fissa au fond du fond de la roche du temps et nous nous mettons de la sorte en quête d’une vérité «qyui eut pu le faire» vraiment et puyisse nous donner des ailes, nousd voulons comprendre ce qui est en roche, ces mots de paroi, ce langage frêle, cette voix de soi assourdie ou pas mais qui se pose là comme le chant nuptial de la rocghe du temps, chant doux ou dur, dur ou doux, qyuui va d’un point a à un point b comme dans l’alphabet , nous chantons sur roche le chant de la roche, nous disons sur roche le dit de la roche, nouys sommes deuixx ! nous pleurons de concert ! nous sommes deux et nous offrons de nous les larmes cde la joie de nous voir annoblie par la bande du temps (passante, trzaçante) telle qu’elle nous appaarait dans les embruns, parmi les betes paissant de conserve etc, nous sommes au beau milieu du temps découvert, nous logeons eznsembvle e,n pareille roche comme deux amants, nous ssommes deux qui nous mesurons à l’épreuve du temps imparti , en espérant des lendemains donnés pour des durées qui seraient prolongées etc, nousd voulons savoir ce qui est ici pour nous qui nous attend au coin du bois, qui est là ? qui nousatteznd là ? qui veut bien de nous ou plutôt : qui nous regarde langoureusement depuis longtempqs ? est il icelui ou icelle sensible à la beauté des choses , du monde ? ou non ? à mon avis non ! nous pleurons et tout autour de nous le monde s’organise en continu, va son treain de vie pariétal etc, ne wse soucie guère de nos vies de baswe à nouys (c’est à dire individuellemen,t) : le monde est ainsi découp^é en tranches de vies vivess indénnombrables tellement leur nombre est grand, et 

c, et nous de nous positionner qsur «une branchje « («allons-y») qui soit celle là qui puiisse nous porter sans se casser, nbous disons : oiselets ! nous disons : oiseaux ! nous disons que nous sommes «à bec» et nous rions sous cape du même élan, nous disons que nous rions du même élan sou cape de nos sentriments, de nos tourmen,ts, de nos discours tracés, etc, nous rions de nos dires : oiselets ou oisillons, oiseaux de la branche haute (basse ? ) , nous rions, nous sommes des enfants hjoueurs sur roche des temps alloués, bnous jouons à qui mieux miuex (billevesées) à nos jeux de dupe ou quoi d’autre , à quioo d’autre jouons- nous ou pourrions-nous jouer ? nous voulons savoir du temps et de la vie, de la mort et des envies de vie etc, ce que cela est, ce tout ajouté ou accumulé ? quyoi est ce ? qui le sait ? qui connzait les choses ? squi sait nous parler ? les mots ont ilds de quoi en eux nous satisfaire haut la main ? les mots résonne,nt ils en cette roche des embruns de race ? sommes nou!s rageurs ? sommes nous dans une sorte d’embardée native ? depuis quand si oui ? devons nous courir sur la lan de avec les chevreuils ? sommes nous des chevreuils nous mêmes ? devons nous mourir sur la lande ou par la bande sur la lande ? avons n ous la mport en ous , comme muselée, mais qyui parlera un jour quand nous seronsq «sages» ? ou pas ? qui sait de quoi il en retourne et en retourn era pour notre gouverne ? voyons nbous loin ? jusqu’où voyons nous ? voyons nouys au loin les embruns de roche pezrlée, La ROche Perlée, les voyons nous distincteme,nt ? sommes nous assezvsa ges pour durer , ou l’inverse : sommes nous insuffsisalmment sages asserz pour durer , ou comment nous exprimer ? la $dsafgesse ici eswt-elle une donnée de poids, c’est à dire : pèse t elle da,,ns notree destinée ? pese t elle un poids conswéquent «qyi puiise le faire» et alléger sinon nos tourments du moins cette chose sur nous quyi bnous attise et qui.... etc , chose de poids brute, pesante chose sur le râble, carrezment, comme une épée rude, prete à sectionner parr la bande ce fil alloongé qyui nous relie à la paroi des temps, nous voulons comprendre ce qui est ici en termes de poids et de prises et de sentiments lourds et d’amours de base (ou de passions échevelées) qui sont autant de choses qui, sur nous (râble) pèsent lezur pesant de cacahuètes ou d’argent ! nous voulons savoir ! nous sommes proches de savoir peut être mais que savons nous , ou qui sait pour nous si nous sommes proches ? nous voulonds comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++sur tout de tout, sur tout de nos vies vives, ce qu’elles sont au juste, cxes passages de vie vives sur le temps ou dans le temps, ou sur la paroi ou dans la paroi, ou sur le sable, ces tourments et ces joies de rage pariétales, nous voulons comprendre /+ de toute cette chose d’une sorte de parois de roche ornementée pour une connaissance anticipée des raisons qui président à notre sorte de disparition nacrée etc, nous esssayons ensemlble de comp^rendre cequi en roche se trame devant nous, c’est àdire concernant ces betes de roche, ce qu’elles sont pour nous au juste, nous essayons ensemble de cerner par le menu ce qui ici en roche du temps se trame sous nos yeux qui restent comme baba ou comment dire, ouvertts en greand tout du bmoins, devant pareil spectacle grandiloquent et carnavalesque de roche des temps, ce spectacle d’une rocxhe peinte , d’une roche gravée par des hommes (nous ?) de la préhistoire : njous pensons que nous devons comprendre pas mal encore de choses sur la Chose, cette donhée brute (vive) de la roche des temps, nous voulons bnous approcher au plus près de pareille roche, nous cherchons à nous approchezr au plus près de cette roche des tourments et des joies mêlées de la roche du temps, cette roche)-paroi de base, ce rocherrrr longfitudinal de la base nommée vie terrestre, vie sur terre pour les gra nds dadais, etc, nbous essayons de comprendre les donn,ées de base pariétales dessinées, et les messwages adressées à déités, et les scansions réitérées sur roche (pariétalismes ) à l’envi, etc, bnous cherchon,s à nous immiscer en cette roche du temps découvert (troué) par en nous des piques verbales (acérées) qyui permettent les entrées de roche, les pazssxages, les incursiuons, les enfilements etc, nous pensons que le v erbe natif (grossier de nature) est celui qui seul peut tenir à distance (un temps) les vélléités oh combien nocives (néfastes , «mé chantes») de la mort, ou sinon le verbe le sang dans le verbe, nous pensons que c e sang versé sur la roche (quoique neutre pour partie) est celui qsui pourra ou pourrait un temps nous sauvezr la mise et faire reculer la mort zqui gagne, nous pensons que si la mort gagne (gagne du terrain) le présent de soi déposé sur roche ewst comme le tampon de la fete de hjoie , ce tazmpon de bure, ce chandail de laine tout rafistolé, cette couverture, ce feutre de tamponnement, comment dire ? ce cale-misère etc, tenant à petite distance peur^etre mais à distance tout de même cette mort promise, et voilà ce que nous faisons, ce que nous traçons : ces mots de la roche des temps et autres mots (ce sont les mêmes) -betes du temps, bnous disons : le Temps, or le Temps (c’sst à dire le Temps majuscule) est ce temps minuscule annobli par la bete, en bnous, sortie de sa tute ! nous disons la bete mais la bete en bnous est la belle des champs, cette belle bete ou bete belle etc quyi, sur roche, trace et grave à l’envi les mots qui portent ! nous disons : «chions» ou «pissons» mais c e sont mots de roche porteuse , s’il en faut ! nous donnons de nous des mots de mpoids de roche qui sont mots de poids de betes qyui sont vmots de mpoids de belle qui sont mots de poidfs soudain, car l’âme de nous est allégée par ;le coprps défait ! nous voulons comprendre ! nous sommesc ensemble à vouloir co:mprtendxre les données les plus fines quin soient concerna,nt ces passages de roche à roche, de roche à rocher, de rocher à roche, de roc à roc, de roche à roxc, de roc à rocghert, de rocherr à roc,de rocxher à rocher, de rocher à rochje, de roche à roc, etc, nous cherchgons partout à nous initier et à nous infiltrer par la bande, autant que possible par la bande», en pareille roche vdes temps bénis, bénis ou meurtris ,; etc, nous voulons comp^rendre ce qui en roche nous attend de pied en cap, nous voulons savoir ce que notre corps, notre ^$ame etc (la forme de nos téguments, la trace de notred passage) sont susceptibles d’avoir à subir, à en,caissezr, etc, cette menace, or évidemment sque la mort en soi n’esst pas cdangereuse, ce qui l’est, ce qui en cette mort ou en elle l’est, dangereux, c’est cette chose comme quoi elle aspire, ezlle est force d’attraction terrestree,; c’est cela le hic ! la mort est l’attraction terrestyres on l’»’a comp^ris ! la mort bn’a pas d’autre nom (‘petit) que cellui d’attraction terrestre, elle est laz force qui domine et préside ! elle nous adspire follement sans même qu’on s’en ren,de comp^te , c’est amusant ou presqu’amusant ou sinon amusant c’est é«tonnan,t ou sinon étonnant c’est dr^loee ! eetc, car la mort est attraction : elle aspire à elle et maintient ! et ce main-(main !)-tien est le rôle ! erst LE rôle ! c’est -à dire celui là qui préside, qyui est principal = le principe ! la mort-attraction participe duv maintien de l’hommùe sur la roche, car la mort attire à elle et ce faisant déploie de nous le dire à tracer c’esst à dire à déployer muisicalement (une ordonnance pour une ordonnée , en d’autrezs termes) et voil;à ce que la mort espère ou comment dire , ce que cette chosec dite «de la mort» espère pouvoir dégager de nous, ou extraire de nou!s, cette chose en ous (animzalière) à déployer ou agencezr ou organiser dans le temps fissa de la roche du temps, cette sorte de paroi aurignacienne ou autre, c’est à dire hors Histoire avec un gra,nd H, qui dit sa retransqcrition la,ngagière (ce langage articulé), la mort nous fait «dire-faire» le faire xd’un diire «muet» qui sait se taire dan,s l’incantqation efdfervescente ou incandescente de sa survenue pariétzale, nous disons «le mal» et le mal est fait, car la roche est belle , belle roche à prise rapide, nbous voulons comprendre les données brutes, telles qu’elles se présentent devant nous qui sommes des enfants aux yeux ghrand ouverts, bnous voulons comprendxre le plus de toute l’a fffaire dxes tlourments et jhoies en roche des temp^s et du délpoiement par le menu (un déroulé) de la roche dure , du temps de roche dure, de roche aux tourments etc, bnous sommes deux pour comprendre ces données, bnous nous approchons desq betes de poids, nous sommes soumis comme elle aux puissances vives de c ette attraction de la- terre et des airs, sur nous qui alloons, et sur nous qui sommes, car ici l’etre qui va est ce sang qui bout, bnous a llons sur roche allégés d’un corps de dure matière, nous voul;ons comprendre cette cxhose d’une sorte dxe légèreté de la masse e,ntière découverte, soulagée, posée sur un seuil de paroi votive, comprendre le sens ensemble de la marche vive (la vie) et nous poser ainsi les bonnes questions parmi celles qui , depuis toujours, nous ta taudent ! qui sommes bnous qui marchons ainsi attirés ? qui solmmes nous qui subissons l’attrait dela roche (amour collant) ? qui voit on venir devant ? où est le devant quand la CXhose est ronde ? qui sait quoi dire de plus et de probant ? squi a dit le vrai de la roche ? l’homê des c avernes ? il se pourrait bien ! il se pourrait que l(homme des cavernes ait su et vu un hjour la bete arriver sur roche et dire sa vision des cxjhhoses du monde ! laz mort (disons le) est attraction (terrestree) de donnée franche, laa mort est une attraction de la bnase vers le ciel, elle attire à elle continumen,t le vivant et s’en repait comme une mère, comme une terre mère se repâiit de fumier ou d’engrais pour sa gouverne et son bon vouloir, ou comment se repaitre quand on est la terre qyui attire à elle le vivant ? nous chercghons à comprendre la mort ce qu’ellme est ! eh bvien laz moprt est cette chose en soi nommùée «;l’attraction», cette chose d’une sorte de collage au sol de terre-mère des données en vie de roche, nous savons à présent que le mot de la cxhose est un pis-aller dépopse$é à même le sol, présent de soi pour un redoublement des hjours restant à v ivre , pour soi même et pour lea bete en soi qui vous chevauche (double que tu doubleras) à même la roche, bnous voyons se dégager des zones de renvois, nous voyo,ns devant nous s(éclairer des zones de roche nbeuve, jamzais touchée, bnous voulons nous approcher de la vérité des choses, nous nous avançons de pair vers cette roche de paroi maeuble, afin de tracer ou trouver à tracer les betes fortes qui sauront jouer de tous leurs attraits pour en imposer un temps (le TEmps) et faire illusion comme nous l’espérons,; n ous voulons tenir debout sur terre mère le plus longtemps que nous pouvons, l’attractiion est là qui nous porte et nous soutient : nbous lachera t-elle ? qui dira pour nous cettre chose à tempqss ? deevons nbous nous tenir aux branches comme l’oisillon ? qui sait ce qui est , et celui qui sait comment sait -il , c’sest à dire avec quyoi sa it il , avec lesq mots de latribu = avec les mots de sa race, deson genre, de son espèce, de.... est-ce cela ? nous voulons comprendre ! nous voulons comprenxdre ! nous (nous !) voulons (voulons !) compprendre ( comprendre !) les choses du monde royal ! oh la bezlle affzaire ! car les mots nous échappen,t au fil du temps (perlier) comme autant de perles tombées ! aïe la roche ! sur le cul la cjhose ! nous donnons notre nom sur roche du temps= la paroi du monde, la paroi du monde est la paroi de la grotte cacghée, la pâroi est un bout de terre-mère = du grand tout qui nous porte sur elle , ou lui, si le tout est pris en considération, nous cherchons ! nouys cherchons qui du tout ou de terree mère est pris grammaticalement en considération ! lui ou elle ? la chose a son importyance ! il ou elle , lui ou elle, lui- elle, ou elle-lui ? qui elle , qui lui ? nous voulons comprendre dans la profondeur de l:a charge ! qui nous attire ainsi (attra ction terrestre) vers luyi (ou elle ? ) ,; qsui ? qui « peut être elle, ou lui, indifferemment, et dès lors il est pour nous difficile (avec les mots de charghe) de s’y retrouver (nous) et de se prononcer (pronom), dè!s lors vas-y voir, à comprtendre un quelque chose cde patent ! pas simple ! la vie tezrersztre a cela de bon qu’elle nous donne l’espoir de comprendre , oh la belle affaire ! oh la honte savante ! la méprise de a jusqu’àà z ! ça fait rire ! ça fait forcément rire, de ce rire tranché quui ne sait si rire ou pleurer est préféré ou préférable ! ça fait rire (penser dsans le rire = penser ahuri ! mais est ce possible ? ) , bnous chercghons à cvomprtendre les mopts de la roche des temps ce qu’uils ont dans le ventre, c’est ahurissant ! bnous essayons de nous y retrouver sur roche et dans le temps, c’est à dire sur tezrre- mère , comme souleévés , dressées pâr le vent ou les airs ambiants qui nous maintiennent vivants couramment ! nous cherchons la vérité sur la roche doubvle : roche des joies et roche des tourments,; ce rire de conjugaison ! cette chose grammaticalement induite par la bande vaporeuse dses embruns dee bords de mer en roche des temps impartis à une vie terrewtre, nous chions , oups, nous sommes qui déféquons ici ou là sur notre passdage (transit) et pas que , nbous pissons , aïe, et pas que, nous allons mourir (déchet terminal) et donner d e nous (engrais) au sol de ta rage ! la partie ! le ciel assouupi ! la pa rtie belle ! l;e calme apres la tempête ! la belle meunière sous le vent ! la cxhaude première vertu rocheuse : ce chandail de vie sur les épaules, oup la houp ! nous truquons à l’emporte -p ièce;, nous sommes des chenapans qui faisons prendre des vesswies pour des lanternes et malheur à celle ou c elui qui tombera dans le panneau, car notree but est sans contredit celui de durer le plus, en pareille praiorie aux animaux : gare à toi la mort ! gare toi de là et laisse ouvert pour nous un passage décent, un passaghe décemment ouvert, qui nbous donne ou donnât le la de la roche dure musicalement ! gare, la mort, gare à toi ! nousd savons comment tromper «son monde» et te tenir un temps encore à disqtyance depuis mmmmma naissance ! tu esq belle et racée, tu as du cxhien et xde l’entrezgent, tu en jette grave, mais nous aussi on en jette grave : incantations sur roche meuble, mains surnumùéraires (= plus que deux, ou plus que quatre si on est deux ) vois : main, main , main , mzin , main , main , main, amain, main , main, main , main et encore main, pour la bande 

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1/07/2021

je suis homme des temps durs de chez lz$e dur, je suis homme des cavernes, je vais et je viens, je m’immisce, je m’introduit, je me glisse, j’entre en paroi comme en religion, je suis homme du peu de confiance en l’être et je file en roche à toute blinde, innocemment, la tete première, j’entre en roche édulcoré, je m’infiltre, je suis homme des prés et des prairies, bois et sous bois, je me flanque à vif en pareille zone aux embruns et je vois des betes de charge aller et venir autour de moi, je suis cet homme de la roche dure, je vais et je viens en elle, je m’infiltre innocemment, graduellement, je suis en rochre fdure dand le dur des temps alloués et je regarde passer les betes qui m»’entourent, m’encerclents, me regardent à leur tour, se demandent qui je peux etre en cette roche ornementée par des hommes des cavernes , je suis homme de peu de foi en sa gouverne, en sa voix etc, je vais et je viens touché par qui en moi qui a pris les renes je l’ignore et cependant je sais et vois que je suis touché (blessé ?) par en moi une bete de roche, l’animal des lieux pariétaux, ce chevreuil ou cette antilope, ce chevreuil ou cette antilope me chevauche, m’envahit, me trouble, me saisit, me gagne, me mesure, me charge, me prend, me voit, me rentre, m’entre, entre, et me fait dessiner sur roche des traits de fuite, des tracés de betes voyantes, de belles et fortes betes de paroi qui en jettent à mort, qui en jettent un max, qui en jettent des louches, qui en jettent fort miraculeusement ou commen,t dire cette cghose d’une bete de roche dure, armée, chargeant, dessinée, qui crache sa vie pleine, forte et racée à la face du monde, comment dire cette chose d’un impact à la lumière des torches mouvante, nous ne savons dire, nous sommes témoins, nous aimons la roche des temps, les tourments d’icelle nous blessent mais que faire d’autre que d’entrer en roche et pleurer notre misère, nous ne sommes pas plus forts que ça et nous voulons l’etree, nous chargeons sur roche nos bois et nos cornes, nous sommes betes mots de lma paroi du temps, nous sommes pris dans la nasse, nous somms cernés par des betes de roche qui, autour de nous, batifolent en veuc tu en voilà et ne s’arretent pas de nous observer czar nous sommes voyants comme qui dirait, nous sommes «montés» et cela se remarque alentour forcément ! nous sommes des qui sommes montés par des betes en nous qui nous chevauchent, nous sommes deux qui gagno,ns à etre ainsi téléportés en roche des temps et là, ensemble, nous gagnons les terres lointaines : nous courons, nous nous projetons vers les horizons, nous courons à pertdre haleine, nous cvourons au loin verts des horizons de roche nacrés, bleutés, qui sont des lointains embrumés, qui noius appelent, qui nous font de l’oeil, qui nouys interpellent, qiu nous réclament et nous demandent, qui noud parlent la langue des fins, qui nous demandent de les approcher, de nous rapprocher d’e pareilles betes ou comment dire ? des lointains abnimaliers (peut-être), des lointains de roche dure animalière, des amis de roche animaliers, des betes de roche célèbre, des données de roche, des cris, des cris stridents, des cris de roche stridents ou gutturaux, des cris d’animaux touchés, des cris de betes dans ces lointains de la roche ouverte, tout auu fond, ce cri, cette chose gutturale en diable, au fond de la roche cette chose gutturale et stridente qui ressemble à s’y méprendre à un cri de bete aux abois, une bete se meurt en roche ou ça m’étonnerait ou comment dire cette chose d’une sorte de cri strident, provenant du ciel, de le roche dure étoilé, du fin fond nacré d’une roche, toile écru d’un fond de roche douceureux, ce cri de la bete des fonds, ce cri musical, cette note de roche dure, cette partyition des fgonds alloués de la roche, une bete meurt dirait-on, une biche ? un chevreuil ? bambinou ? qui meurt en cette roche des fonds de la paroi ? qui se meurt là ? nous ne savons pas ! nous cherchons à savoir : q<yui c’est ? nous voulons savoir qui c’est, nous ne savons pas qui c’est , qui ça peut-il etre nous lm’ignorons, nous voulons savoir qui c’est, nous voudrionds savoir qui ça pourrait être en fait de bete, qui ? qui tu es la bete qui xse meurt ? qui es tu la bete qui se meurt ? qyui est cette bete de roche dernière, de fond de ruisseau, de ciel étoilé, de rage forte, etc ? qui est cette bete qiue nous entendonshuurler à la mort de la roche du temps ? qui c’est qui crie ainsi, quyi c’est qui pleure ainsi ? qui c’est qui gémit ainsi ? quyi c’est qui se meurt ainsi en roche au fin fond ? nous ne savons pas : nous cherchons ! nous cherchons colmme des dératés ! nous cherchons endiablés ! nous cherchons en veux tu en voilà ! nous ne cessons plus de chercher ! nous voulons savoir ce qui est ici qui nous regarde du coin de l’oeil et qui nous appelle à dfonc aller comme nous joindre à cette échappée de son guttural de la roche dure, qui crie ? qui est cri ? qui est ce cri de roche princière ? qui va là au fond en criant ? qui nous saoule de son cri strident de bete à l’agonie ? nous ne savons pas ! chevreuil ? bouquetin ? bison ? budffle ? animal de compagnie ? oiselet ? oisillon nidicole ? un nid ? une perle ? ce rond de carême ? que dire ? la main chaude ? le passaghe nousattend et nous de nous rapp^rocher et de regarder et de nous dire que, en effet, le trou est patent d’où provient un cri strident qui nous envahit, nous trouyble, nouys émeut, nous met «en branle», nous chevauche, nous pince, nous crache dessus ou presque (postillons ? ) , nous prend à partie, nous ceinture, nous aggrippe, nous perle et nous parle (les deux) nous fait chanceler ou tanguer, nous fait nous introduire en roche puis, vers de ces fonds de roche de paroi, vers le cri primal de la roche des temps, nous sommes pris à la racine : éjecté comme un cri de bete à notre tour, nous nous retrouvons dans la roche à écouter ce cri de la bete mourante, nous ne sommes pas trop de deux à écouter pareille mélodie, bnous ne sommes pas trop de deux en nous à écouter pareille vilenie sonore, ce cri de roche dure sortant des embruns, nous sommes des betes à notre tour, nous nous transformons en bete, nous nous transformons fissa (illico presto) en des betes de paroi de roche au sang chaud et crions à notre tour cette chose rude qui nbous traverse, nous solmmes dehors puis dedans puis dehors puis decdans, voilà la chose, voire la Chose : nous entrons en roche comme en religion par ce cri de roche en nous qui nous traverse, venu d’on ne sait où mais voilà, et de là nous entrons dans ce cri de la roche xdure ou comment dire cette chose d’une invasion en nous de ce cri de bete furieux (le cri), fureiuse (la bete) qui nous prend au cou et nous étreint, nous pousse à dire la Chose, laquelle ? celle-là qyui nous regarde ! celle)-là qui est celle -là qui nous regarde ! vcette chose des embruns de bord de mer ! je suis sur roche (en) et je vais et viens en elle, je suis sur et en 

roche des temps et je vais et je viens en elle comme un animal des temps impartis, nous nous sommes rapprochés ! nous avons vu et entendu ! nous sommes deux qui nous avançons sur paroi des temps comme betes de céans : des aurochs, des antilopes, des bisons, des buffles, des chevaux, etc, tout un almphabet d’animaux de roche et de paroi, l’alphabet furieux de l’homme des cavernes et de ses pârents, etc, nous sommes nous deux qui pensons à la chose rude de céa ns comme à une sorte d’embardée votive, native, qui nous sied un temps = le temps d’une vie terrestre, et nous nous approchons de l’endroit précis (semble-t-il) d’où provient ce cri de bete à l’agonie, nous nous approchjons de ce cri de bete rosse (de roche perlière) et là, ici, à cet endroit précis, sur roche du temps, en ce lieu sonore, noys voyons la roche percée, le trou du cul de basse fosse, le trou où aller se coucher et passer , nous savons cela, nous savons l’infamie des temps parioétaux, nous ne sommes dupes de rien en ce qui est cette infamie , nous savons que le trou de roche = trou du cul de roche = trou borgne de roche = trou perlé de roche = trou mauvais de roche = trou à la noix de la roche dure des temps alloués à une vie d’emprunt delètere, etc, trou de basse fosse pour un etre monacal ! trou de basse condition ! troou d’emprunt tout aussi bien ! trou du cul de terre , trou meuble où se garer le temps, etc, je vois la chgose gutturale, ou l’entend, je vois le trou et j’entend le cri sortant de ce trou, le cri de la bete est celui là qui m’a poussé à etre et me voilà, reghardant ce trou (borgne) dou provient ce cri de l’eytre à l’agonie (une révolution pl;anétaire ? constellation révolutionnaire ? ) , nous savons et nous cherchons et pleurons aussi et marchons et allons en roche comme cdes betes rossses de pâroi d’homme des cavernes, nbous sommes deux (qui ????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????) qui cherchons vaillamment, prudemment, volontazirement, avidement, nuitamment et diurnement, ensemble, forts, soudés, collés, dans la roche, une VERITE de roche dure, ou : une VERITE DURE de roche, ou comment ? nous voulons savoir qui nous sommes ici, en roche, dans ce sas de pzaroi mobile, nous cherchons ensemble (mais qui ?) à savoir , et pour cela nous nous avançons vers les finds fonds de cette roche des embruns, nous écoutons les cris stridents de pareille roche éclairée, nouys voulons comprtendre les données du temps, nous voulons essayer de comprendre ce temps en nous qui est il ? un cri strident ? une avancée volontaire ? une embardée-poussette malheureuse ? un chapeau ? nous ne savons pas ! noius sommes ignares, nous ne savons pas ce qui est de la roche et du temps, ce qui est présent, qui nous crzegarde, qui nous appelle, qui nous fait des signes, qui s’agite, qui ? nous l’ignorons ! nous ne xsavons pas «qui je suis «, nous ne savons pas qui est qui et qui parle pour qui et qui s’avance près de nous en nous ten,dant les bras, qyui est qui ? qui est quoi ? quoi est qui ? quoi est quoi ? eh bien : ignorance totale sur toute la ligne de front ! complète ignorance crasse ! vieux sabots de l’ignorance de classe ! perdition sociale ! défaite ! chargement de rage ! colère en soi naissante ! roule tambour et roule tazmbourin et roulement de rage en veines et vaisseaux ! nous ne voulons pzas de cette engeance plénière devant nous, de la mort du caniveau, ou bien de cette mort de caniveau-là ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir merdum ! nous ne voulons pas mourir mredum deux fois ! nous ne voulons certtes pas mourir mais surtou pas là , de rage, en cette roche de paroi des temps donnés, car il s’agit d’un pis-aller, défaite, billevesées, arnaque à la mort etc : trou borgne de la roche dure, trou du cul de terre meuble un temps et les vers à l’avenant (les vers et aussi les betes charognardes, etc) : nous ne voulons pas de cette mort en roche du temps imparti malheureux, mais plustot de celle , lointaine, qui nous tend les bras et nous interpelle, nous ne voulons pas de la mort-charogne, nous ne voulons pas de la mort de pleine terre (cul de basse fosse) mais plutot de celle (légère, lointaine, acidulée, douce et nacrée, douceureuse heureuse) des beautés du geste ancré, des beautés racés de la belle meunière ou comment ? nous voulons mourir pertinemment, sur roche des temps devancés etc, notre but est affiché ! nous savons la chose, nous savons le pourquoi du comment, la chose est dite comme un dit de roche magdalénien ou auttre (aurignacien ?) : nous touchons le feu ! nous sommes de race de charge ! nous touchons le feu de la roche du temps donné ! nous voulons de la roche pour nous, en nous, avalée ! nous ne sommes pas des en,fantts de choeur, nous sommes faits de rage et de tourments, nous voulons tantôt nous débarraser de la rage, du tourment de bure , et aller nus (dénudés) en pareiklle zone aux bienfaits, nous voulons ne pas, nous ne voulons pas, nous ne voulons pas de la mort en roche, bnous ne voulons pas de cette mortsure, nous ne voulons pas de cette morsure du temps à l’endroit de notre coeur ! non de nom ! non de notre nom de roche ! merdum à l’infini des temps de nacre ! nouspleurons ! nous sommes des petits garçons de race blanche, éblouis, tancés, corrigés, dressés par la roche , nous nous tenons là à carreau, nous ne bronchons pas, nous sommes tenus (!), nous sommes couvés et tenus, , nous sommes tenus et couvés, nous ne sommes pas peu fiers de vivre et cependant nous sommes dirigéés, nous sommes observés, nous sommes comme diligentés par une vie en nous qui préside à notre destinée, nous sommes pris ainsi en roche par la bande brutale des pârois mobiles, nous ne savons pas que faire pour en réchapper, que fairze ? que dire pour sortir du sas ? comment s’y prendre ? qui croire ? comment croire ? que penser ? où aller ? cvomment se sortir d’un pareil traquenard de roche endiablée ? qui pourraiyt nous renseigner voire nous aider à dériver inoccemment vers d’autres rivages s’il vous plaît ! nous n,e sommes pas «de l’engeance démoniaque «, nous ne sommes pas «du caniveau-toto», nbous ne sommes pas de ces lieux de basse fosse, lieux douteux, trous borgnes mauvais, sang de rage, nous ne sommes pas de la pleine page des temps alloués, nous sommes d’un ailleurs racé, couvé mais aimé etc, nous cherchons la faille dans le sas, ou dans le sang ? ou où ? car nous ne savons pas (voilà le hic) où chercher ! nous ne savons pas sur terre où chercher la chose, où dfonc cjhercher la chose ? où peut oon chercjher la Chose, où va t on pouvoir chercher la chose ? où on pourrait bien aller à voir à trouver la Chose fissa ? qui peut nous renseigner ? qui sait où pouvoir pour nous trouver la Cghose, le trou non borgne, le passage adéquat, la zone printanière, l’ambiance ddes fées, le chenal, l’embacle etc , qui ? nous disons le mot : qui ? car qui sait ? qui dit ? qsui parle ? qui donne ? qui soutient ? qui va ? qui donne le la de la roche ? qui soupèse ? qui tombe la veste ? qui charge le mulet ? qui ventile ? qui vibre ? qui vrille ? qui se tient à nos côtés ? qui veut de notre sang ? qui veut de notree voix ? qui veut de nos poumons (et de notre souffle) ? qui veut l’anilmal en nouys grondant, s’en repaitre ? qyui veut de nous ? qui veut de l’animal en ous ? qui de nous veut l’animzal ? qui cherche une voix de bure en nous ? chandail ? chant de la roche perlée ? chant du sang de la roche perlée ? chant cde la roche aux embruns bnacrés ? chants doux des passages perlés de roche du temps ? chant des temps doux de rocghe princière ? chants doux des temps perlés de la roche princière ? chants des doux efforts ? chants du carême ? chant heureux des tambours de l’ordre ? chants cazlamitzeux ? chants (tout au contreaire) prestigieux , Chants cde roche allouée à une misère , ou tout au contraire chants de l’ordre des prix adulés ? qui pense ? qui bouge ? qui en nous se meut ? qui pour nous dire ce qui est de la rocghe des temps et de ses ornements bestiaux ? nous voulons entrer en roche pour savcoir : nous entrons, nous entrons et voyons ces betes de roche gravées, les betes, sur la roche dure (dure de chez dure) xdes temps octroyés à une vie trerrestre calcinée, nous devons comprendre cette chose, ce sens de la marche, cette sorte d’immixtion-inversion , oui, nous avons cette cghose à devoir comprendre, ce rebours, cette marche à reculons pour ainsi dire, dans le sens du sang pour ainsi dire, comment ? eh bien ainsi : marche que tu marcheras à reculons homme des cavernes ) ta voix entre dans le sang, se coagule en perle princière, et, des vaisseaux, naisseent des betes ! betes-mots de roche azllouée ! implorons la grace des limbes ! nous savons ce qui est qui est , et ce qui est qui est est cette CXhose en soi de la grâce belle, d’un passé blessé enterré pêzut être mais qui est là qui reste ? le présent de soi en offrande 

(passé xde rage pour une gouverne) dépassé, nous pleurons ! nous avons des larmes en pagaille, nous sommes des enfants, nous sommes enfants des roches dures et nous voilà posés-déposées sur roche comme des présents de temps en offrande , cela ira-t-il ? cela sera -t-il suffisant ? aurons nous le temps pour nous ? serons nous touchés pâr la grâce des parois mobiles ? serons noys adulés à notred tour et posé-déposées sur roche ? qui aloons nous être alors ? qui de bnous sauverons nous ? qui en nous sera sauvé ? qui de nous aura son salut de rage ? qui xde rage en nous aura salut ? qui de nous la rage aura sauvée ? qui de la rage en nous verra son salut ? qui rage de salut en nous saura-veerrra sa rage ? qui de rage saura ? qui de rage verra ? qui de rage touchera la grâce du tempps éclairé ? qui touche-touchera ? qui touchera-aura ? qui aura-verra ? qui verra-manquera ? qui mange qui ? quel est l’animal qui en moi me mange ? qui mange en moi qui ? qui mange qui ? nous nous approchons de la mort, nous nous approchons de c ette cdéité gracile, qui est déité de roche des embruns : une biche ? la bambi de belle venue ? la douce bete des apprêtes ? nous nous approchons de la mort de rage, nous- nous approchons d’une mort de rage belle, nous savons, nous savons le temps qui en nous fait rage, etc, nouys pleurons des larmmes chaudes sur le temps perdu de ta race, nous aimonsq les choses des temps dévolus à des pensées de race etc = classieuses ou commùent ? notre but est de naitre au mondec édulcorés, nous voulons de cette chose ici pour soi, de cette édulcoration native, de cettye avancée dansc le sas du temps, sans ombres ni vetures ni nom d’emprunt ni cheval, nous voulons aller en roche nus, dépoitrenaillés et fiers comme des nouveaux-nés, et là : pipi ! ou comment ? le temps est l’allié de l’homme des cavernes, l’homme des cavernes a du temps de soi (passé) à déposer sur roche (paroi) comme autant d’offrandes offertes à une déité nacrée, l’homme des cavernes fait la sourde oreille car quoi ? car le cri est strident qui l’interpezlle et l’appelle virilezment, ou virullamment (avec virulence) sans trainer ! il ( l’homme des cavernes) comprend (comprenure de roche) et obtempère : il dessinnne des betes, des betes cde rocghe dure, betes fzauves etc, il dépose ses tourments de force, il voit, il décrit et décripte, il donne xde lui sa parole fauve, il offre sa vie langagière à lui, animalité conjugale, cette denrée ou cette donnée, ou ces données, etc, il dépose grave, il pleure, , crie à son tour, il est pris d’assaut, il est enseveli pour ainsi dire et les cris sur lui le font se cabrer sur roche comme un animal de folie rare, il chante ! il chante sa complainte dépoitrebnaillée ! il est vif et vivant ! il est l’homme destourments de roche donnée, il tombe sur roche aux embruns, sur roche diurne, sur roche couverte, sur la roche dure du temps offert à une vie de base, le nom quil porte est un nom donné comme la rage, etc, son corps est moitié bete moitiéc homme, il va et vien t en roche et ne s’en laisse pas conter car il croit en l’homme des temps déplacés, des temps déplacés de roche dure de chez dure, etc, il est l’homme des tempsalloués qui pense temps de rive, temps de rives et de percées, etc, son nom à lui est le nom quil porte (urgemment) dans sa transe, nom d’emprunt animùalier, nomade, dépourvu d’attraits : aurochs , oou bien bison, ou bvien antilopee ! il est l’homme au nom dépl;acé etc, je vais en roche à larecherche de cet homme là de la roche dure, je suis l’homme cherchant l’homme de la roche dure, l’homme de feu l’homme, l’homme de feu l’homme-betye, l’homme de feu l’homme-animal de ta race jeune, etc, je cherche en roche l’animal de race, cet enduit, ce chandail, ce christ de la nuit, cette ombre, cette bete-mot de première, cette bete en roche du temps déplacée (la bete) et déplacé (le temps) : nous allons (à deux) vers les embruns, nbous savons comment y aller et quel chemin emprunter sur roche (celui de la biche et du cxhevreuil déjà renco,ntrés) , nous nous faufilons entre deux bras de mer, nousarrivons , nous voyons la chose = la Chose, cette chose d’un tracé de roche (bouquetin ?) et nous l’approchons à poas comptés, mesurés, nous nous appmrochons délicatement, nous nous approcjpons d’icelle roche des embruns, où sommes nous qui regardons les yeux grand ouverts ? qui sommes nous qui gravons des betes de roche ? nous traversons la roche et traversant la roche nous solmmes happés et appelés et nous voilà debout qui nous présentons à Dame de roche la dure, celle là (ou sieur : celui là) qui sait nous reconnaiotre et nous nommer : tu es l’homme des cvavernes ! tu es l’homme de deux moitiés, tu es l’homme des moitiés , tu es l’homme mi ange mi bete, ou mi homme mi bete, ou mi ange mi démon, ou mi quoi ? tu es homme des temps offerts par la bande innocemment (je le swais) et qui s’en repend, qui xse repend de cette chose d’une sorte d’offrande tronquée et cependant (si bien tronquée) innocemment tronquée car qui l’eut cru ? qui pouvait savoir ? qui savait ? qui était là aux origines de la paroi ? tu ne savais pas ! tu ignorais le pot aux roses, l’arnaque initiale, la fauussee monnaie dépposée sur table, sur roche des roches, etc, tu ne savais pasd ! comment aurais- tu pu ? tu ne pouvzais pas deviner , , tu ne pouvais pas trouver de toi même ou comment ? tu es l’enfant de laroche trompeuse et à ce titrectu es innocent de latete aux pieds (cordialement) et tu peux passer, dès lors, ou tu (ddès lors) peux pzasser, tu peux dès lors passer, tu peux à ton tour passer , repasser dès lors, ou comment ? viens que je te couve ! tu es l’homme de tous les attraits, l’homme-bete de céans, rois de Mandchourie ou quoi ? CChine principale ? californie ? oklahoma capitale ? tombouctou ? correze ? nous ne sqavons pas doù vient la rage en soi ! nous voulons comp^rendre les données primaires premières des temps alloués mais comment savoir cette chose seul, car nous sommes seuls, nous sommes chacun comme seul en 

soi, nous ne pouvons échanger nos peines, nous douleurs dentaires, nos méfaits, nos noms de roche, nhous sommes des betes de roche allouée, nbous voulons graver des betes de roche sur roche et tomber dans les bras de morphée pour ainsi dire ou sinon comment surnager, comment se refaire ? vive la vie vive on l’a dit ! offrons de nous ce qui meurt en roche et gardons l’influx principal (ce principe de base) sans l’eédulcorer, ou comment ? nouds touchons vérité de la rage , ou commùent ? nous touchons «à» icelle vérité de ta rage dure, voilà le truc, voilà ce qui est ici, voilà cette chose rude, ce tombeau ? nous sommezs des etres de rage doonnée, etres fous de rage dure, nous avons pour nous, en nous, de la rage, nous avons en nous et pour nous de cette rage des embruns, nous sommes des etres de rage en,diablée, endiablés la rage, endiablés nbos etres de ce fait, nous donnons sur roche ce que nous savons : mots de rage du temps, animùaux-mots sanguinolents, cris de guerre, incantations surnumétraires, monnaies clinqueantes, chaleurs, nous offrons ce qui vibre le plus et le plus longtemps, ce qui pèse son poids de misères hautaines, etc, nous sommes des enfants qui aloons sur roche, jouer à la marelle ou au chenapan, à brûle- coursive ou au petis pans de mur jaune, au caillou boiteux et à la misère des deux, au perclus et au chandail, au bonnet et au béret, aux données de bnase et à rage-bete, au tombeau nominal et à la belle bete cde céans, au chameau et au dromadaire, aux chaises misicales, au tambour-major, à calirfourchon, à la chambre claire, au mimosas, au chien andalou, au carrosse d’or, au sang de paroi, à mesure agraire, au donneur et au receveur, au médecin et à la la bergère, au berger et à la docteressee, au titre de rage, au caillou-moteur, à tombe la gifle, à la douce ré, au carreau d’eau, au belge, au timbre, aux taxis, au denier du culte, à la grande messe, au doux de la feuillle, aux lmille misères, au dieu du ciel , au pendant du ventre, à caresse, à tatane, à la pisse-mouille, au mot de la fin, au cher disparu, à battue, à batte paresse, à carnaval, à chant de prairie, au bilboquet, à la patte-mouuille, au dieu de la fa rce, aux milles écrans, à «certitude», à la bise de rage, au caca mou, au caca dur, au caca mi mou, au caca mi dur, à paltoquet, aux sentiments défaits, au lit de Jaccuste, à mime la bière, au tribunal, au baba au rhm, au pirate et aux contrbandiers, au vieux cheval de cirque, à la boite aux lettrres, à cours y vite il va flancher», à cherche lunette, à la mamlheureuse, au bonnet d’ane, aux carcasses des temps, à la mi-temps, au temps partagés, au vieux dires, au chant d’azur, aux limonades, au conductions, au limonadier et à la brouette, à la bise passe, au poil du cul, aux cartes anciennes, aux tribus, aux terres brûlées, au sang qui bout dans les veines, au charmant et à la charmante, aux charmes égarés, à la soupière, au soupe-tard, )à carême, à tendre cousin, aux tentacules, à «qui veut de l’âme ?», aux pompon, au dires de colle, à chat hurlant, à pot des pots, aus tombes ouvertes, à chine de bruit, à chine écrite, à chine tracée, à petite chine, au vent dans les voiles, et ainsi jouant nous nous amusons, nous passons, nous traversons, nous dsommes pris d’une envie de rage enfin déposée sur la roche tendre, nous voulons comprendre le jeu de la farce, bnous ne sommes pas en reste de vouloir cela qui consiste à enfin pouvoir ensemble y comprendre un tant soit peu de cette chose d’une sorte de jeu initial (primùaire) ayant présidé aux données terrestres (?) de base, à savoir : la roche, ce qu’elle est, ce qu’elle offre en tant que surface d’apprêt, etc, les betes-mots pouvant s’y coller, s’y inscrire fissa par la bande d’une sortye en soi de mainmise incantatoire, emprise animale s’il en est, qui a pris les renes soit les choses en main (de soi) et trace que tu traceras pour nous qui sommes des témoins de force et de rage rentrée ou comment ? car la bezte en nous sait tracer ce jeu de roche alloué,e, ce je de roche, ce treacé de bure, cet écart, ce voeu, cette volonté princière etc, il s’agit d’un jeu royal, le jeu du roi et de la reine et de ses valets etcx, nouys voyons le roi se dessiner sur roche sous nos doigts : aurochs sur ligne de rage ! bouquetins suspendue à la roche ! re-nnes des app^rets ! bisons de toute incartyade ! cavalcade vibrante ! vies des vies défaillantes ou comment ? vies de vies ? nous tombons dans le paneau nous mêmes c’est dire ! nous n’y croyons qu’à peine ! nous cherchons à donner le la et faire impression ! noys voulons trouver de quoi imposer notre vivration magique ou quoi ? nous sommes deux qui voulons ainsi imposer des vues de rage endiabklée nat(ive ! et voilà pourquoi nous :lévitobns , nous sommes qui nous offrons sur paroi de grotte, hommes et femmes préhistoriques, hommes et femmes des temp^s reculés, dxes guerres anciennes, des travzaux des chzamps gutturaux ou comment ? nous voulons savoir ! nous ne sommes pas chiches de vouloir savoir ce qui est et qui est gravé dsans les mémoiresq, nbous voulons comprendre le sens de la rage, de la marche rondement menée et de la rage au ventre, de la rage au ventre décelée ou commênt ? rage- vivre, rage de vivre ? vivres de rage ? vivres-rage déposés comme autant d’offrandes adoubées ? nbous voulons sacvoir ce qui est pour nous en cette roche des apprêts, ce qui est qui reste, qui vibre, qui tombe sur roche, qui s’incrusqte ainsi (une fois tombé) et vit sa vie pariétale endiablée ,native ! nous voulons co:mprendre les données cde base , ce qu’elles sont pour nous qui voyons la bete (en nous ? sous nous ? sur nous ? ) dessiner de belle grâce des données de rage, ou comment ? dessiner par nous (en nous ? à travezrs nous ?) des données de belle venue, seyantes, tracées au cordeau, ficelées pertinemment, ou comment ? l’animal en moi trace, ou par moi, l’animal trzace, l’animal trace à travers moi etc, nous devons comprendre c e qui est ici à l’aune d’une sorte de tremblé, de tremblé de roche : incantations réitérées ! chaleurs ! chaleurs ! temps des cxhaleurs ! chaleurs car temps des chaleurs ! le printemps des chaleurs ! le printemps du rut ! la saison des amours ! la parade, la roue de bete sur paroi ! chandail ! carnaval ! l’homme trace des betes de rage, qui sont betes de belle parade-prestance qui en jette, qyui font impression, roule-barricot ! nous hjouons à rooule barricot, bnous hjouons tous à roule-barricot, bnous sommes tous qui jouons à roule barricot, tous et toutes nbous jouons à roule-barricot, nous sommes ensemble et eznsembkle (innocemment) nbous jouyons à roule barricopt, l’innocence est lm’ oeil hagard de l’enfance rude, le temps est déposeé sur roche comme une enclume, ça pèse que ça pèsera ! le temps passé est une enclume sur paroi de roche , ça pèse son poids de ta race balnche (pour toi) etc, je vais et je viens, je suis l’homme des passages travaillés, des jeux examinés, des regards appuyés sur la roche : dessins de betes ressemblan,tes, gravures à l’unisson, je grave le cheval d’attaque, le bison busqué, l’aurochs de la plaine, l’ours des cavernes, la jument belle, le vautour , le cormoran, le beau de la belle etc, ou pas de cormoran mais des betes de rage à la place, cvommê ces mùammouths, pumas, lions, ou buffkles, etc,; pas de vautour, pas d’oiseau ou peu, mais buffles des données de rage, buffles buffant sa race dure, trépigna nte, hurlante ou même gueularde, etcx, nous aimons les betes de poids qui en nous imposent leur superbe et voilà pourquoi ce sont elles que nous dessinons en première instance et principalement, bnous sommes deux (????????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????????????????????????????????????) (888 8888888888888888888888!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) qui dessinons ces betes de poids, nous sommes deux et nous dessinons des betes de poids, bnous disons que nous des- sinons des betes de poids, nous parlons de poids et nous dessinons des betes de roche, nbous aimons dessiner ces betes de roche dure sur paroi de grotte, sur parois nues, nous les dessinons à) main levée, nbous dessinons ces betes avec des bâtons de bois brûlé, nous dessiinons des betes fortes, des betes que nous voulons fortes et massives afin de plus toujours impressionner, afin d’en jeter à rabord ! nous voulons intimider peut-être pas mais impressionner et que l’auditoire en reste baba ! dieu baba pour ainsi dire, ou dieu-mort baba ! ou La Mort baba , etc! cela est ! cela est ainsi que celka est ! il en est ainsi que cela se trame ou se passe ! trame-passe de rage ici bas pour un passage dans l’au-delà de ta rage ! de ta rage ou de ta tace (pareil ?) ou comment ? nous nous affolmons le b aton en mzain et traçons dès lors ! nous sompmes en lévitation ! nous voulons comprendre les données du monde et pour cela a 

ller à charge dure, travailler au corps les données, prendree par le bout la chose rude et la ficher sur roche vprojetée comme une terree glaise porte à dessiner ces betes, ces données bestiales, mots de rochje a nimzliers dès lors et couvant sou roche leur virilité ou leur virulence, qui sqait ? nous disons : leur virulence = leur vitalité ! nous voulons comprtendre les données de base eyt ne rien louper de la parade , nous avons pour nouds le sang qui bout et bat en nous, nous savons des choses : nous savons que nous ne savon,s rien, voilà la Chose, nous savons cette chose, comme quoi (hé hé, pas vrai ?) nous ne swavons rien ! foutaise ! nous savons ! nous savons une cghose ! nous savons que nous ne savons qu’une chose, et cette chose est quoi, cette chose est celle ci : comme qyuoi (hé hé) nous ne savons rien, mais cela est faux ! on le voit bien ! alors que dire, et comment s’en sortir ? comment se dégager de cette cxhose cclose ? nous ne savons pas ! nous voulons savoir ! nous voulons comprendre les données les plus enfouies dans la roche : l’aurochjs est il de compagnie ? le renne est il renne ? l’antilopê a telle de quoi me donner du sang ? qui est qui ? qui veut ma voix ? quel est cet hommùe des cavernes accroché à la roche des temps ? quel est son petit nom ? a t il un petit nom et si oui quel est il ? bnous 

cherchons une vérité quyi puiise azller c’est à dire co nveniçr à notre gouverrne animalière en nous, cette chose rude des données de base, quoi est ici en ce lieu rocheux la donnée de b ase, le summumn, le bas de casse initial, la paretie débutante, le pilpoil de la rage, le tombeau , quel est ce tombeau ? nous chercghons ensemble à dénichger , nbous cherchons à dénicher ensemble les données brutes, noyus voulons eznsemblke trouver , bnous voulons ensemble débnicher les données brutes, oiselets de l’ame, ou quyoi d’autre ? poussins ? nous voulons savoir , nouys voulons comp^rtendre, nous voulons percer la roche, nous voulonstraverser la roche, bnous voulons toucher le coté impair de la roche, nous voulons allef de l’autre côté de la roche, nbous voulons de l’autre côté de laroche aller, nous voulons de l’autre côté aller cde la roche, de la roche allezr de l’autre côté et toucher la bete gueularde (pour la faire taire ? qui sait ?) et cela fait nous déposer ? nous poser ? bnous reposer ? poser de soi ce temps passé qui est notre présent (offrande) donné,; nous cherchons par où passserr, nous ne savons pas par où passer au juste et c’set cela que nbous recherchons ensembvle, nous voulons comprendre et toucher aux sens de lma marche rude , e,n paroi de rocghe, les toucher = les comprendre = les prendre = les maitriser = les tenir fortement contre soi et ne plus les lachezr, les sens = les données, les raison,s= ce qui préside et initie, etc, les mots de la rage des départs, les mots premiers, les pilotes, les tombveaux (?) ou tombreaux de base , ou quoi ? car qui sait ce qui est qui est du début de larage ? qui connait lkes tracés de base ? qui sait ce qui préside à un enfantement ? qui a vu le loup dans la bergerie ? qui a cru au loup dans la bergerie ? qui pense à ce loup en termes de donnée primaire ou première ? le salut par le feu ? le chenal menant aux catacombes ? le passdage étroit de la roche des temps anciens ? l’aboutissement poa riétal ? l’aurochs ? le cheval ? le cheval sur roche ? nous passons ces betes en rezvue, ce cheval coursant, cette antilope, ce cheval de poids, ce bison -fauve, l’attribut, nous vooulons comp^rendre ce qui est et qui semble nous regarder , ce que c’est qYUE ça ! ce que c’sst que cette bete des attraéits, cette bete forte, rude et dure, ce chenal-passage à l’envi pour une tracversée des destinées communes, nouys voulons comp^rendre au mieux les données des cieux, des cieux étoilés de la roche endiablée (incantatoire) , nous voul:ons aller en roche ainsi que nous disons : à la bavarde comme de juste, ce besoin, noyus disons que nous voulons toucher la roche dure et ne plus pleurer n os larmes d’enfant mais rire de la hjoie (ouvertte) de l’homme de céans ,, l’olibrius aux doigtdss de fée, l’homme au teint halé , traçant laroche, betes fauves, ou traçant sur roche de ces beztes fauves des temps reculés, nous voulons savoir de cet homme les données cde base : nom et qualités, ses mesures (poids, taille) et sa pensée ce qu’elle est : à quoi pense t il ? qu’a til sdans la tetecqui le turlupine ? à qui pense til ? que se dit il et que dit il à haute voix ? sait il le nom des b êtes qu’il dessine ? a t il un nom en lui pour chacxune des bestes qu’il représente ? qui est cet homme ? que mange til ? que chante t il ? que jou e til comme morceaux dans son pipeau ? est il un musicien de l’âme ? a til la foi ? sa foi est elle princière ? a t il en lui un,e foi ancrée et si oui quelle est- elle ? est il hommùe de la destinée tragique, ou au contreaire comique, ou tragico-comique ou comment ? est il un homme de princedsse ? ewst il couverts d’ors et d’argent ? a til une recette pour vivre longtempsq ? que chezrtche t il dans sa musette ? esyt il un enfant ? est il perdu dans sesq tourments d’enfant ? a t il une raison primaire ? cherchevt il )à toucher le sang en lui de sa colère ? que vezut il ? qsui erst il ? qsue nouys dit il à travers lkes âges ? nbous cher chons à d»écouvrir des choses ancrées dans la roche du temps, nous voulons aller loin dsans la roche, le plus loin possible, nous voulonsaller le plus loin possible dans la roche des temps impartis par la bnande, nous voulons ensemble 

aller, creuser et toucher , nous voulons creuser kle temps et toucher à cette vérité des tourments, les dépasser, trouver la faille et nous immiscer par le chant, nouys devons comprendre ce quiiest qui nouscregarde avec insistance tout du long de notre arrivée en roche, et cette chose qui nous- cregartde porte un nom : avidité ! oui avidité ! cette cxhose devant soi , qui se porte là ou pose là devant nnous, qyi devant nous sepose là et bien là, cette cghose porte un nom sur elle (pour elle, en elle (?) ou commentv ?), et ce nom est c elui ci : avide avidité ! avidité ! avide avidité de roche dure ou : de la roche dure , oui ! nous savons cette cxhjose , nous connaissons, nouys avons dees connaissa,nces, bnous ne sommes pas à ce point inculte pour ne pas connaitre le nom (ou petit nom) de la Chose en soi qui nous gouverne et nous tient à bonne distaznce, tout du long = tout du long de notre vie, elle nous regarde, elle nous a à l’ oeil, elle ne nous l^-ache pas, elle est quelqu’un, et cette Chose , dès lors, porte un nbom précis ,, pas n’importe lequel : avidité, ou Avidité avec un A majuscule forcément ! nous l’avons trouvé ! nous avcons co:mp^ris ! ce nom c’est nous autrezs qui l’avons trouvé et nous n’en sommes pas peu fiers, car il fallaiot le trouver ! ce n’était pas donné ! ce nbom était bvien ca ché et il fallait y aller pour le trouver c’est à dire le dé-nicher ! Avidité est le nom de la mort, la mort porte un njom qui est «Avidité», il y a conseécration, il ya conception, il y a adoration, il ya adulation, il y a tout un tas de nom du même genre mais le bnom (le vrai) de la mort est ce nomlà d’avidité avide, etc, nous l’avons trouvé de nous mêmes (en cherchant un peu) et nous sommes fiers de notrectrouvaille (oui) car il fallait y allezr (sûr) , la chose en soi était loin d’être donnée, il fallait la chercher, avoir de l’idée, aller au turbin, ne pas faignanter, mais creuser la roche au stylet etc, dessiner dxes betes de treaits ou d’attraits etc, et cela sur roche, à la lumière des §torches, du vif et du vivant flammesque, etc, il fallait trouver ! ce n’était pas donné d’emblée ou de soi ! avidité est le nom de la mort = avide + ité , ou comment ? car dans avide il y a (qui s’entend) « à vide « et quoi de plus ? dans avide il y a vie de , etc, je cherche à comp^rendre, je suis l’homme du dessin dxe roche, MON NOM est perdu )à tout jamais mais a t il nécessairement exisqté un jhour ? MON NOM est nom xe trivbu de rochge, je dessi,ne à) main levée des betes de xrage, la mort est comme avide d’en manger, la mort avide est prête à dévorer de rage = la rage! nous pouvons co:mprendre : elle a cfaim de fin ! nous pouvopns savoir et pîger, trouver et toucher, collezr et pleurer , que la mort restera avide devant soi : ce vide de paroi à décorer ! ce creux à graver, cette roche meuble à ornementer par la bande temporelle d’une vie de gvrâce allouée, nous ne pleurons plus mais chantons à l’unisson nos cheants de betes tracées, nous chanto,ns nos chantsq stellaires, nous sommes hommes et femmes élevées dans les airs de la 

rage du sang, nbous ne voulons pas trépassser incidemment, nouys n,e voulons pas mourir et glisser, nous ne voulonsq pas trépasser et dispâraitre dans le firmamùent, nous voulons demeurer vivant et tenir, ne pas tomber , ne pass reculer, venir, bnous voulons venir, je veux venir, je suis celui qui veux venir , je veux venir ! moi je bveux! moi je le veux ! je veux venir ! je veux venir ! tel est mon cri xde base := je le veux ! je veux veznir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! ke veux venire ! mon envie la plus grande estr de venir ! envie la pl;us grande = venir avec vous ! je veuxc venir avec vous ! je veux mordicus venir avec vous ! je v eux ! je veuxs ! je veiux veznir avec vous ! je ne veux pas rester ici mais je vbeux venir ! JE VEUX VENIR ! JE VEUX VENIR ! JE VEUX VEZNIR ! JE VEUX VENIR ! JE VEUX VENIR ! je ne veux pas rester ici en roche des temps impartis mais venir avec vous, avec vous là bas, avec vous ici = avec vous ! je ne veux pas sombrer dans le sombbre et tomber dans la tombe mais vbenir ! vebnir = aller en roche dans la profondeur, venir = dire = aller dans le dire formulé ! je du dire-aller en roche, je du dire d’aller en roche, je de ce dire d’un allezr en roche = voeu, de voeu, cettye cxhose du vouloir a ller coute que coute et pourquoi ce»la ? car je ne veux pas (jkamais) rester sweul en roche, ou plutotv: votre envcie me fait trop envie, en moi l’envie est massive, grande de cxhez grande, considérabmpement marquée ou imprimée ou placée ou mise, cette envie en moi est prégnante, est énorme, est lza plus grande des choses,; est en moi la plus grande des choses = l’en vie ou le faitr xdêteze en vie = cette volonté massive en moi que l’enfann,t (en moi) tyraduit de la sorte en disant je veux , c’est à dire «moi aussi je veuux venir avec vous «, voilà la phrasxe, et je répète celle cxi : «moi aussi je veux venir avec vous «, l’ensemble (de la phrase) est comme ultra-codé si on y prend garde; etc, je veux moi a u s s i venir avec vous, moiaussi je veux venir avec vous, entre vous , etc, cette phrase a une i:mportance considéravble dans la cie de l’homme des caver nes et da&ns la nôttre obligatoirement, cette phrase de l’enfant qui dit que lyui aussi il vzeuut venir etc, ce n’est pas une petite affaire, il s’agit d’un e affaire de poids, de taille, imposante, lourcde de sens on l’a compris, il sq’agit d’une affaire de grande taille et x’un poids conséquent on le voit : quiui est qui ? qui dit quoi ? qui est qui qui veut de quoi ? etc, l’enfant pèse en nous son poids de passé révolu , à devoir déposer sur roche (incantations, tracés, betes en veucxx-tu en voilà au charbon de bois) et ce qui est sur roche (visible) est le résultat de cette envie dxe l’homme naissant, cette envie en lui de venir au monde , parmi nous,; etc, il est cette chose ici comme une évidence, l’hommecdes cavernes est l’homme du sang dans les veines, de ce sang princier qui orne les roches des grottes cachéesq, nous disons princier pmour dire la hauteur des cxhoses, nous voulons cxom^prendre ce qui est , et pour cela bnous cherchons de conserve (communément) des choses de poids = qui pèsent dans la balance des tourments, et ce que nous trouvons parfois vaut le coup cest une évidence, car parfoios bnous trouvons de quoi (bnous remmettre, nous repaitre, nous reswtaurer, nous susqtenter, nous conso;:ler , etc) : vivres cde joie commune, phrasé lancinants donnant le tempo à la roche, treacés clés en main à portée de paroi, douceurs et autres clameurs, etc, nous cvou:lons venir avec vous ! nouys voulons nous aussi venir ! nous ne voulons 

pas reswter, nous voulons venir ! nous ne voulons pas rewster mais venir a cvec vous ! je veux moi aussi venir avec vous ! moi aussi ! moi aussi ! moi itou ! moi aussi je veux venir ! moi aussi je v eux venir ! moi aussi je veux venir avec vous deux, avec vous autres, avec vous qui pârtez, qui allez ailleurs, quyi allrz voir du pays, vous déplacezr, etc ! moi aussi je vezucx venir, vous accompagnezr ! je vezux venir , je veux aller, je veux suivre, vous suivre, moi aussi je veux vous suivre, moi aussi hje veux venir, moi aussi je veux venir, moi aussi je veux vous accompâgnezr et du coup ne pâs rester, je ne veux pas rester ici à m’i ncruqster dans le paysage, je ne bveux pqas de cette cbhose, ce que je veux ce nb’est pas cette chose, ce que moi je veux c’est cette chose = cette cxhose de venir, mùoi je veux venir, moi aussi jne veux venir, moi aussi je veux cette chose, je veux pas reswter, je ne veux pas cette cxhose : rester, veux pas de cette chose : rester, veux pas de cezla qui est que je serais à devoir rester, moi ce que je veux c’est pas cette chose mais le contraire car ce que je veux c’est cette chose de venir me joindre à vous , c’ssxt mon envie, c’est l’envie en mùoi la plus grossee, la plus i:mpôsante : aurochs massif, dire massif, une langue de boeuf complète, poidfs massif, du massif costaufd bien lourdaud, pas de la gnog note, du massif bien lourd bien costaud, qui tienne le choc, qui le fasse ,une encvie de ouf, une nvie massive soit l’ENVIE massive s’il en est, l’envie bien lourde, biezn en chair, cette envie de mpoids qui en jette grave, qui montre ses den ts, «qui le fait» à mort, qui en jette des tonnes (ouh le poids de la- tonne tu le vois !) et moi d’écrire ainsi cette chose comme quoi la mùort a à bien se tenir, car l’envie de l’enfant est massive et va de l’avant e,n pleine roche comme un tourment ronge sa chjair,; ou comme le xsang v a qui circule gaillarcdement xans les v eines et artères d’un corps d’homme cdes ca vernes ou d’une femme des cavezrnes, je cher che et trouve des donhnées de baswe tracée, ça le fait grave, ça le fera grave n’(aies crainte, n’aies crainte que ça va le fzaire ! je trace à l’envi mon envie de rage, cette cbhose en vie tracçante ou commen t dire ceztte cxhose d’une en vie en soi qui est cette envie de rester envie en venant !en naissant ! parmi nous ! nous tous ! NOUS ! nous qUYI sommes une somme d’envies en vie et pas en mort ! nbous ne vcoulons pas de la mort , nous ne voulons pas de lma mort, nous ne voulons pas de la mort ! nous ne voulons pas cde laz mort ! voilà notre envie ! noius ne voulons pas de la mort ! nous voulons reswter en vie ! nous ne voulons pas de lma mort ! nous voulons reswterv env ie ! nous ne copulons pas de la mprt ! nous voulons rester en vie ! nbousne vou:lons pas de la mort ! nous voulons rester en vie ! nous ne voulons pqas de la mort ! nous vopulons rezster en vie ! nous ne voulons pqas de lmaz mort ! nous voulons rester en vie ! nous ne cvouyl;opns pas de lma mort ! nous voulons rester en, vie ! nous ne vopulons pas cde la mort ! nous voulopns reswter en vie ! nous ne voulons pâs de la mort, nous vopulonsrewter en vie ! voilà notre envie la plus ghra nde, lma plus massive, la plus bestiale, la pluqs vivrante, la pl;us fine et forte, la plus ressemblante à une vie en vraie trébuchante, etc,; nbous voul:onsa ller loin dsans la démesure afin de faire accroire à dieu de la mort, qsue bnous sommes ainsi qui offrons de nous nbotre vie en vrai sur la rochje or que non, bien entendsu, il n’en est pas quesqtuion : nous ne vopulons pas mourir, bnous voulons reswter en vie et nous 

le disons à notre façon d’hommùe ou de fezmme des cavernes, nous ne lésinons pas sur les moyens pour dire lma cxhose, nous devons cette chose faire = dire, dire = faire, faire un dire ainsi sur roche : bouquetins, car le bvouquetin dressé est notre dire vif (à cran) qui peut peut être en imposer géant au die 

u de la mort dure, de la mort sure, de la roche dure, de la mort en roche ou comment ? nous faisons ce deswsin de roche pour dire la Chopse, cette chopse comme quoi la vie en nous est conservée par devezrs nous (et bien malgré nous) et que dès lors ce qui est cdéposéé da ns la roche desx temps imp)aertis est un succédané de vie = un dire-faire de première, un langage articulé, fleuri, brûlé ou nacré mais qUI, quooi q’u il en soit, n’est pas de la vraie vie d’envie de base, pas du tout, seulement son tempsdétaché, etc, nous savons que nous avons à dès lors nous excuser de cette chose, nous en excuser en haut lieu, voilà le hzaut lieu de la vgrootte, a lors excusons nous : main sur roche ! les mains sur la roche et plus vite que ça ! mains squr la roche, allez ! allez les mains ! haut les mains ! les mùains sur la roche, sur la roche de la grotte ! allez lezs mains ! hqaut les menottes ! allerz ! et nous (commùe de bien entendu) d’obtemperer à l’adjuration ! que faire xd’autre ? que faire dee plus ou de moins que d’obtemperer à cette adjuration parioétale p^rincière , rien que ça ! aller ezn roche et a pposer la main ! dire amen à la pâroi ! dire nos envies de vie qui l’emportent, etc, nous cherchons à nous in filtrer, nous voulons nous placer ainsi et trouver de quoi bnous rassasier en termes de connaissances primaires,etc, nousq voulons comp^rendre p^lus plus plus plus ce qui est en cette paroio d’homme des cavernes, c’eswt à dire en cette zone de repli pour un homme envahi par la bande, l’homme des c avernes est un hommùe envahi de pied en cap pa
r en lui cette bete des parois dite surnuméraire parfois : un doigt de pl:us à sa main de roche,; qui l’eut cru ? nous touchons du doigt (de ce doigt ?) la bosse dxe la roche, tatons la Chose, nous rions sous cape = les dires nacrés, et ce faisant nous poursuivons nogtre c hezmin de sape, de xapeur-pompier, de grosq trtravai;leur de l’asphalte (le chemin) sur roche, sur paroi, au co:mpte-visage eetc : nous savons co:mptezr : une main, deux mains, trois mains et des lendezmains, bnous disons maintenant la chose , sur roche gravée, une somme, tout un arsenal, nous pleuron,s de hjoie, nous sommes etres de harde folle sur roche, bouquetins des termes, mots-betes de joie , jeu de rochje au calciné, au bois brûlé, à l’arrache, etc, nous disons nbotre envie de roche, bnotre envie cde demeurer vivant coute que coute (goutte à goutte ?) et de ne p^zas mourir, car ... bnous ne vopulons pas nmourir merdum ! notre envie est l:ogée à l’abri des temp^s menaçants, notree envie est une envie lovée, bnotre envie est de rester en vie sur roche ou au-dxelà, aileeurs pourquoi pas, notre envie se borne ainsi ezn x-ces contrées d’un dire tra&cé, sur roche au bois brulé, comme un bouquetin de la roche, un ours desq cavernes, un chevreuil boisé, une biche élancée, un aurochs de rage, bison futé 

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30/06/2021

nous sommes deux sur roche enclavés, nous sommes deux en cette roche des temps alloués, nous nous avançons, nous allons profond, nous voyons près de nous des betes de roche, ce sont bouquetins, aurochs, rennes, chevaux, antilopes, mammouths et lions des cavernes, nous allons en roche comme en religion pour des festivités de type pariétales et nous nous infiltrons en pareille paroi au bplus profond d’icelle si possible, à la recherche d’une vérité qui fasse le poids, le bobn poids de sa bete-mot, bete-mot de rage acculé sur roche, bete rage des parois du temps, nous nous immisçons dans les entrailles, nous sommes vivants bel et bien et regardonds passer les betes devant nous, près de nous, autour de nous ou derrière nous, ce sont de «belles betes» de roche du temps, aurochs surnuméraires, chevreuils adoubés, cerfs de première portée, chaleurs, nous nous enfonçons en des méandres pariéteuax de bord de mer, nous allons profond;, nous fouillons la roche à qui mieux mieux à deux, nous aimons la roche et nous l’embrassons de concert en nous introduisant en elle fissa, comme un dératé, comme des dératés de roche première, à la gaillarde, foutrage etc, sur roche des temps assoupis ou comment ? nous nous infiltrons en cette roche des parois, des parois meubles, ici ou là , et entrons de concert en elle, vers la vérité du temps, en cette direction votive de la verité, des temps de vérité etc, vers ce V des vérités natives, à l’arrache-pied ou comment dire cette chose d’une chose vive, brusque, à kla racine ? nous allons gaiemen,t en cette roche du temps imparti à une vie rupestre, nous gagnons du large, nous filons tout doux vers les embruns de ce fin fond de roche à l’horizon, nous sommes amis, nous sommes les amis d’une roche de vie, roche dure pour la vie etc, nous nous avançons, nous sommes rugueux, nous sommes associés dans une même action de recherche active d’une vérité de bon aloi, nous aimons la roche d’amour et nous l’écrivons à même la paroi du monde ou comment dire cette chose d’un amour humain de pleine mesure ? qui pour nous aider dabs cette tache ? nous cherchons la vérité des temps alloués, nous voulons savoir, comprendre, percuter, charger sur roche, traverser vles embruns lointains, aller fissa vers cette fin de roche tendue, cette image de fin fond de grotte , cette roche rude percée, cetrou de destinée native, cette rage, et c’est ainsi que nous nous infiltronds à deux, main dans la main, au plus lointain de pareille percée dans une roche via la roche dure puis meuble, en des épousailles pariétales raallongées, nous nous épaulons, nous nous aidons lmuytuellement, nous sommes deux qui nous avançons vers ce moment de fin de roche pleine, vers le trou du fond, ce trou de roche lointaine, des embruns, une percée vers des embruns de rochev lointaine, nous voyons la mort approcher, qui est elle ou quoi est elle ? elle ? il ? ou qui ? qui peut légitimement dire ? qui a le droit de dire «la mort « ? la ou le d’abord ? ou bien ni la ni le ? qui pourra nous dire une chose DE POIDS surr elle ou il ? il la mort ? elle ? qui nous dira une chose DE POIDS mille dieux ! qui ? qui pour dire une chose de poids sur la ou le mort, le la mort ! qui ? qui peut parler dûment, qui pour parler décemment , qui pour parler vraiment, qui peut parler intelligemment à propos de la mort, de ce mort de vie le , de ce mort de vie la , etc , qui peut ? nous cherchons des choses «à voir», choses concernant la mort à l’oeuvre en pareille roche, où se situe-t-elle ? où est mort la belle en pareille roche ? qui nous dira où est cette chose rosse de la mort à l’oeuvre ici bas ? qui sait cela ? qui sait cette chose ? qui sait ce qui est en pareille roche des temps à ce propos de la mort à l’oeuvtre, et d’abord pourquoi «la» et pas «le» par exemple ou tout autre article défini (indéfini ? ) , oui pourquoi ? pourquoi la mort», et pas autrement ? pourquoi on dit la moprt, pourquoi on ne dit pas le mort pour dire la mort, par exempl ? ou les morts pour dire la mort , etc, pourquoi ? nous disons la mort en roche (ici bas) et cette mort est devant soi (sous nos deux ou quatre yeux) et se pavane ! qui est elle (disons «elle» ) ? qui est devant nous qui pavbane «oubvertement» ? nous pensons à la mort comme à une ouverture dans la roche pleine, un trou de passdage, or ce trou est borgne comme un coquillage on le sait, le trou de la mort est un faux trou, en cela qu(‘il ne traverse pas les apparences et reste en deça pour ainsi dire : petit trou de basse fossse en terre mère et basta cosi pour ainsi dire or bien évidemment cette chose pour nous est loin d’e^trte dsatisfaisante en termes de connaissances, de savoirs sur un sujet comme celui ci, nous voulons savoir des choses dans la profondeur du temps et non pas quelques bricoles de pas grand-chose, nous sommes friands de savoirs profonds, qui vont loin, qui cherchent loin, qui vont à chercher loin, qui ne s’arretent pas en chemin, qui ont pour ambition d’aller fort loin en ce paysage de la roche dure de grotte rupestre, etc, nous savons cette chose , nous en parlonsautour de nous, nous sommes deux main dans lma main à chercvher des vérités de roche concernant la mort à l’oeuvre sur terre : où se situe-t-elle ? ou vit-elle ? où se loge-t-elle ? comment vit elle = cde quoi , etx,c, nous cherchons ! nous ne sommes pas en reste de chercher ! nous cherchons enveux tu en voilà à qui mieux mmieux de conserve à deux, en cette roche des abois de roche, en pareille roche aux cris gutturaux, aux musiques de fond atmosphériques etc, nous nous donnons la main à cette fin , qui est celle d’en connaitre un bout sur pareille question de trous et autres percées, et autres échancrures de parois, et autres fissures dans le pli du temps, et autre excavation finale, nous avons ce souci ppour nous de chercher profond à deux, mains jointes, mains soudées, ou accolées, nous allons de ce fait en recherche active solidaire, nous nous blotissons en pareille paroi vers ce chemin d’ouverture princière qui est le chemin de la voie royale vers la destinée de la fin des temps impartis, nous nous avançons de concert : nous écoutons le bruit des embruns sur roche, nous voyons la Chose se dessiner dans le ciel, elle nou!s apparaît, elle arrive, elle est là pour nous sous nos yeux d’enfants ébaubis ! vive la vie disons-nous pour mieux l’effrayer ! mais elle ne s’effraie pas ! vive la vie vive! vive la vie brusque , la vie folle, la vie rude, la vie incandescente, la vie gueularde, la vie d’une injure proférée, la vie du cri de la bete en chaleur, la vie du cri de la bete mourante, la vie du cri de la bete efarée ! nous gueulons mais la moprt ne bronche pas , elle ne bouge pas, elle ne se déloge pas, elle ne se décèle pas, elle reste sur ces positions de roche, elle reste en place bien campée et nous regarde fixement sans tremblerr devant nos cris de petite bete-mot ou homme- mot de que dalle en cvrai , elle est bien positionnée sur ses guibolles de roche dure, elle est cette mort qui, devant 

nous (devant !) apparaiot pour nous (gouverne) en son apparence de trou borgne, de bouche de vie, d’échancrure à un habit, de chandail nacré-bleuté etc ! nous voyons la mort devant nous , elle nou!s observe, elle ne nous quitte pas des yeux la coquine ou comment on peut dire ? elle nous regharde sans cesse, elle est cet oeil qui ne cesse de nous observer, elle est l’ oeil de roche pleine, cette chose rude devant soi = une ouverture de paroi (boyau ?) qui est là sous nos yeux hagards, qui se loge ici bas sur roche, passage à trépas, oh malheur ! certe pas disons-nous, , car nous ne voulons pas mourir si vite ! nous tenons par trop à la vie de roche (même rude !), nous ne sommes p)as prêt à passer à charge de la sorte = à mourir de notre belle fin de vie de roche , non ! nono ! non! non ! non et non ! car lma vie pour nous = des attraits de roche dure, des attraits de vie racée, bisque de la rage acidulée pour nouys, en pareille roche, et du coup non et non ! nous ne sommes pas d’accoàrd pour devoir mourir si vite fait merdum ! nous ne sommes pâs d’accord pour si vite fait merdum devoir mourir, nous ne sommes pas pour si vite fait, allaer )à lma mort si vite , nous ne sommes pas deux à vouloir si vite passer à trépas, nous ne sommes pas de deux ou trop de deux à vouloir si vite passer à trépas, nous ne sommes pas à vouloir si vite aller à trépas à deux la mort dure, nous si si vite allons à trépas la mort ne la voulons pas, nous si vite la mort et trépas si vite, de la mort la dure ne la voulons pas, nous la mort si vite trépas ne voulons à deux l’aborder, que non ! que non que non que non ! la mort, la mort de roche, ne la voulons pas aborfder tantot, ici bas si vite ! nous ,ne voulons pas de la mort ! nous ne voulons pas de cette chopse termineuse, nous voulons de la vie affreuse peut être , il se peut, et cependant ! car : pour nous, la vie = quelque chjose et non pas rien ! et merdum sur toute la ligne ! nous cherchons la vérité, nous solmmes en quête d’une vérité sur roche dure des ap^p^rêts, nous cherchons une vérité vraie de roche dure, une de ces belles vérités nacrées, bleiutées, acidulées, rapides, élancées, vives et racées etc, qui a du chien et de l’entregent, qui sait y faire calmement, non du tout excitée du bulbe mais posée et reposante : une merveille ! nous l’aimons ! nous cherchons icelle vérité d’une roche pleureuse ou comment ? cette roche des temps rupestres, des temps des cavernes, des temps répartis aux hommes des cavernes de l’histoire ancienne , nous chercghons à) qui mieux mieux pâreille ouverture de roche dure, nous cherchons à comprendre la mort en ces grandes lignes pariétales, ou même frontales, nous cherchons à savoir ce qui est sur roche pour nous, nous cherchons pour nous à savoir ce qui est en roche qui szerait de l’ordre de la vérité du monde , des choses du mùonde, la mort par exemple, ou la vie brusque et vive etc, vie de roche brûlée, etc, nous pensons que nous devons comme prioriser les notions en types d’importance etc, noyus voulons savoir par degrés, et ce sur quoi que nous cherchons le plus en effet concerne principalement et prioritairement la mort ici bas, cette mort de rochge, de roche échancrée, ouverte comme un coquillage, etc, que savons- nous ? de ce coquilage, que savons nous ? nous savons que la mort est borgne comme un trou sans grande profondeur, ou plutot : comme un trou qui «ne traverse pas», voilà le hic ! car ce qui estv ici à dire est cette chose, commùe quoi si le trou ne traverse pas, ne traverse pas la roche, nous oui : nous avons traversé la roche, nous sommes passés, nous avons troué la paroi à 

l’aide de nos pics de roche respectifs (= des mots principalement) mais la mort tintin ! la mport = trou borgne de première ! une tombe, une sorte d’excavation à échelle humaine, quelques pelletées et c’est la fin , misère ! aloprs que dire qui puisse pour le coup nous apprendre quelque chose de surnuméraire ? nous disons «la mort» quand nous pourrions dire autrement, et cependant nous disonsq «la mort» et c’est là oùu le bêat blesse ! car la mort n’est pas « la mort», la chose n’est pas ce que le mot induit en le disant, etc, nous pensons à cette chose de la mort comme à quelque chose d’ouvert devant soi : «une ouverture de vie devant soi», or il n’en est rien ! la mort est une ouverture vite refermée ! il s’agit d’une fausse ouverture de vie vive, une ouverture fausse de vie morte oui ! , ou cvomment décrire ce ca&veau ? nous cherchons à comprendre ce quyi est en roche pour nous, nous cherchons à comprendre ce qui (pour nous) est ainsi ici en roche qui nous mate et nous reluque et nous espionne et ne nous quitte pas des yeux, nous regarde dans le détail à nous mettree presque mal à l’aise ! nous voulons essayer de comp^rendre les choses du monde, ce qu’elles sont pour nous qui allons en roche, à la recherche d’une vérité valable, qui se tienne, qui ait du chien, qyui sache se tenir en société , en chose des temps, en milieu décent, etc, nous sommes deux en ous qyui voulons ainsi cette chose d’une vérité dex temps soutenus, qui voulons pour nbous cette chose vraie qui sache nbous guider, nous cherchons, nous voulons pour nous cette chose d’une vérité qui aille, qui puisse aller, qui puisse convenir, qui puisse nous donner le change etc, nous bvoulons comprendre et sauver de nous ce quyi pezut l’être, nous essayons de nous y retrouver mais ce n’est pas simp^le, car la mort est une entité pleine d’ellez m^emùe et il n’est pas simple de lma détailler et de la décrire sur roche, de la visionner déjà et plus encore de la décrire avec des mots, cela n’est pas si:mple , il fzaut y tater,, il n’est pas facile de comprendre avec des mots derage une chose aussi fuyante que la mort ! certtes non ! et voilà pourqyuoi nous nous attelons à cette tache, de vouloir savoir, de vouloir comp^rezndre , et de voiuloir aller au plus profond de la roche du temps, nbous sommes motivéés grandement, bnous voulons tenir dans la place debout et vivre, noius ne voulons pas mourir, nous voulons tenir sur place dans la place et poursyivre l’aventure de notre vie d’(homme et de femme (simultanément) des cavernes, à pic de percée de roche, à harpons, à flèches, à baton brulé, etc, nous voulons encore et toujours dessiner des betes sur roche, ensemble, en des sortes d’incartades qui sont incantations en lévitations, etc, nbous montons la garde et nous nous élevons dans la hiérarchgie pariétale, nos dessins se gravent à l’envi, nbous sommpes aurochs de prairie et chiens de garde pariétaux, nous sommes auroches des prés et des bois et aussi cheval de cavalcade, marsupilami pour la blaguie etc, nbous sommes deux en soi qui cheminons comme de conserve sur paroi, nous sommpes deiuux en nouys (en soi) qyui parlons ce langage des spghères, un la la la la comme une sorte de musique des confins, une sorte de chant d’azur, etc, nous pleurons nods larmes chzaudes, nous sompmes émus jusqu’aux larmes chaudes, bnous nous blotissons à même la roche, nbous cherchons la vérité des faits mesurés, quels sont ils ? ou qui sont ils ? que sont-ce là qui nous attend en roche, ou qui ? qui sont -ce ? ou comment ? quyi sommes nous ? nous disons «nous» mais qui sommes nous ? nous est il seul en majesté , ou bien plusieurs en minorités ? nous = nous du plus ? ou bien nous = nous du moins ? nous disons que nous sommpes nous ceux qui disent je et se présentent m utuellement personnellement à tour de rôle : je suis je l’homme de la carte dans la manche, ici pour truquer, pour faire accroire par du temps de vie que ma vie est offertye pleine or que tchi bien sûr (on l’a dit) , tintin et milou, rien de tout cela on kle sait bien, on sait cela parfaitement, on n’en est pas dupe, on sait que la vie odfferte dans la vie n’est pas la Vie en soi mais son pendant ou succéedané temporel, et c’est là le hic de l’affaire, ce hic se situe là précisément , c’est ici et pas ailleurs que ce hic se trouve dans toute l’affaire, pas de doute ! je suis je l’homme de la manche, l’homme de la carte dans la manche , hé ! et voilà pourquyoi la mprt est cettye mort de grâce votive, cette mort de pleine confiance, de plainne assurance commùe quoi nous serions fiables et sûrs etc, or que non mais la mort est dupe, non ? on dirait cela ! on dirait que la mort y croit ! que lma mort gobe ! que mort gobe ! que mort absorbe et se met le doigt dans l’oeil , on pourrait le croire ! car i;l swembkleraoit que ce soit le cas, or nbous autres bnous savons la chose et nou!s ne dison,s rien ou si nou!s diçsons nbous disons pardon , etc! nous sommes hommes et femmes des cavernes, nous disons pardon de bonnhe grâce, nhous l’avons amère, nbous en avons plein , nous avons en nous plein, nous en nous nous avons ou en avons plein, plein la chose : le baba ! car m = merdum après tout ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons oas mpourir de sitoôt ! nous voulons vivre longtemps = à ljamais ! nous dison,s que nous voulons d’une vie prolongée à l’infini des infinis géographiques, pâs moins ! nous voulons savoir, nous voulons comprendre, nous voulons en savoir long sur la terre comme au ciel, nous voul;ons savoir des choses, nous voulons tout savoir, nous voulons savoir des choses de la vie sur terre, nbous voulons savoir ce que la vie dit de son propre chef et la mort à l’avbenant, nbous voulons comprendre dans les détzails ce que la mort est pour nous en définitive, qu’est ce que c’esst que cette chose -là ? cette mort de roche dure : qui est elle ? notre but est de connaitree le fiin mot de toute l’affaire : tenants et aboutissants notoires, tout du tout, et pour cela nous nous échangeons (« à toi à moi») des mots de roche de type rupestres comme «auriochs», comme «biouquetins»,, comme «étalons-or», etc, bnous ne sommes pas enm â, nque ou en reste de nous échanger des termes de type «mots-bêtes» et autrecmots de bêtes, et autres mots de roche etc, nous sommes ensemble en nous m^remes des etres de peu (de foi) qui chgerchons non point misère mais La HHJoie attenante à cette rochge des plaisirs de roche, à pareille paroi ornée par des hommes et femmes des cavernes, hommes et fezmmes dégourdis, fins de la chose, durs à l’épreuve, traceurs et traceuses émérites, grands seigneurs et seigneuries grandes, etcx , nous pensons que nous sommes dès lors en mesure de comprtendre un tant soit peu ce qui en roche (en mattrière d’arrt) serait à setramer devant nos yeux, nous parlons de cette chjose devant nous (la bete rossse) mais nous ne sommpes paxs incultes au point d’ignorer que cette bete est un mot bete datant de temps fotrt reculés qui étairnt les temps de la roche endiablée, roche des incantations rupestres, et des lévitations fabuleuses, nous savons par le menu des choses concernant la grotte , nous sommes savants, nous en connaissons un rayon, nous connaissons beaucoup de choses concernant la roche, cette grotte des apprêts, nous savons un ombre incalculable de choses la concernant et nous ne sommes pas encote prêts à lacher du lest ou la bride sur cette question d’une connaissance majeure, d’une connaissance vive etc, nous voulons savoir en nous ce qui est qui voit et dit nous « , qui va là ? ou qui est là plutot ?ou qui y a t il là ? ou qui est là en soi = en nbous , etc, nbous voulons sqavoir qui parle en otre nom : que nouss ? mais qui, «nous» , heein ? nous voulons savoir des choses, nou!s voulons savoir des choses profondes, nous voulons en savoir long, et large aussi, et profond éhgalement, nous avons des ambitions ! qui sommes nou!s = qui va mourir = qui est là devant soi = que ou quoi est la mort = qui suis je = cette chose d’un e sorte de mesure des embruns, cette chose d’une sorte d’embartdée dand le sas des sas de la roche (aurochs de but en blmanc) et nous voilà touchés par la bnande (touché é ou touchés é)-s ?): npous sommes touché (s) : nous nous envolons en séance plènière pour uune embardée à même la roche et sa teraversée de but en blanc (aurochs) pour ainsi dire : aurochs ou rennes, ou chevauix ou bouquetiins, soit des a nimaux de roche primaire (princière») bcomme bnous les aimons ou comme bnou!sa imons loes regarder devant nous, nous sommes deux en nous : nous = deux, deux est le chiffrze, nous sommes = je suis je qui suis je qui suis je qYUI suis je etc, ou commùennt ? nous = je qui est je qui est je qui est je etc ? nous = cette somme d’yeux en nous (qui matent matent, qui ne cessent de matter matter, ou pas ? ) , nou!s cherchon,s cette vérité de ce nous de roche , de roche en,diablée, nbous cherchons une vérité dans la roche du tempds, nbous cherchons un,e de ces vérités de poids qui pèsent lourd dans la balance de notre jugeote ou comment ? nous cherchons une vérité de roche assez costaude v(la vérité) pour nou!s soulager dans nos recherches (prononcées) de connaissance : arguments massue, choc des mots et poids des images ou l’inverse, choc des images et poids loursd dxes mots de la roche= mots-bêtes de paroi du monde, homme-mots de roche dure, etc, nous pensons que nous devons connaitrte des paroles d’incantation à devoir chanter, bnous pensons qu’il serait mioeux b(préférarable) de bien connaitre desq par(ioles de chansons de gare, de garde, etc, nous pensons que les mots en bouche sont des mlots de peu vis à vis de la mort et quye par conséquent nous devons chanter nos paeroles de garde, lesz chanter de front, à même la roche pariétyale, en lévitation, comme l’homme des cavernes le faiosait sur roche, à brûle-pourpoint et muni de son bâton de roche, pour graver à l’envi des béêtes de treaits (etc) etv monter dans les sphères des temps alloués pour sa gouverne, l’homme desw cavernes est l’homme du feu découvert, des pêintures sur paroi de grottes, des incantations votives, des odffrandes sanglantes, des cris giutturaux, des incantations armées de mains appuyées sur roche, etc, un homme des cavernes en soi est une bete qui s’est enkystée en notre sein des seins royaux, nous devons comprendre loin pour combattre la mort qui se profile, nous devons loin aller en roche et trouver le pot aux roses, où exactemen,t ? là-vbas, dans les confins, au fond du trou de roche borgne, dans le sas, et ainsi faisant (gambadant) nous nous retrouvons à chanter de bonnbe grâce les chants pariétaux de la roche orneme,ntée, de cette roche des confins à une vie de roche humaine, etc, nous sommes nacrés nous mêmes, le sang est nacré, le sang blanc (le sperme ? ) est nacré, notre joie (surnuméraire) est aussi comme nacrée = rutila,nte de beauté etc, nous sommes «en hjoie» en nous mêmes = je (je suis) en tant que no!us sommes d’une sorte de partie plurielle en soi (le temps qui passe + la joie + la vie tic taquante + la peine, joie et peine en chien / contrechien, etc) , nbous ne voulobns pas mourir ! nous ne voulopns pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mouyrir ! merde non ! nous ne voulons pas ! nbous ne voulons pas mourir tantôt caer no!us sqommes «jeunes de vie», bnous sommes «verts de vie», nous sommes des V de Vie de rage et hors de questionsz à nos yeux de nous offrir ainsib en patûre ou en héritage ou en holocauste ou en offrande sur roche àqui que ce soit, nbous avons cette chose en nous peu-etrte(ce souci du temps, car nous sommes humains-humaines) mais la chose n’a pas à peser en l’occurrence, nous ne sommes p)as (que ?) des animaux diable ! nous ne sommes pas que ça : dfes betes-mots chargeant sur roche vleur misère, non ! nous sommes autree chose, bnous sommes des sommes ! merdum, c’est dit ! merdum de ta race mère , nous le disons et le redisons, car mùerdum de ta race mère, il s’a git pourt nou!s de comprendre des données, nous solmmes une somme de choses et voilà pôurquoi nous dison,s nous à la place de je , je est une sommité, nouscest une somme = une somme de blé ? nous dison,s pour nous que nous sommes deuxd à dire je en nous, deuxc = nous = nous autres = nous de même = nous la Cghose = nous la déité en ous = cette chose gravée en nous, qui grave à l’envi sur la roche des temps des b$etes d’apport : aurochs à monétiser, ou rennes des remblais, etc, nous voulons savoir beaucoup de choses concernant la moprt, nou!s voulons savcoir le plus possible concernant cette chose de la mort à lm’ oeuvre, ce qu’elle est pour nous, où donc se dirige-t-elle , qui est là en elle ? qui est-elle au hjuste ou au dxemeurant ? nous vcoulons savoir cette chose ce qu’elle est au juste ? une amie pour nous ? une amie très chère ? une sorte d’ennemi tout au contraire ? ami ou ennemie jurée ? qui est -elle pour nous ? une panacée ? une lumiè!ere ? une vibration ? une étincelle ? un courzant cde vie ? une cxhaudière ? un amour ? une livraison ? un repos ? une gouvernance ? un chapeau ? une balance ? un quoi qui saura nous dire une vbérité de roche en bonne et due forme, un quoi ? nous cherchons la vérité dans cette roche des attraits de la vie brève ou comment la vie, comment pour nous est cettye vie de roi et de reine réunids en roche , comment va t elle ? qui va en elle ? qui est qui sur terre ? qui dit la vérité ? où est la vérité ? qui chante le mieux ? qui comprend» le plus ? qui est le plus fin, le plus radical, le plus malin, le plus chenapan, le plus intelligent parmi ceux et celles qui sont gouvernances de tete terrestre ? qui nhous dira ce qui est au juste en cette roche des embruns et des attraits royaux, qui saura nous éclairer de sa lumière ou de sa gfouverne ? nouds ne qsommes pas bien intelligents, nous ne sommes pas bien éclairés, nous cherchons la vérité dans les coins qUand peut-êtete est- elle située ailleurs, ailleurs dans le temps (la musique ?) : nous pensons, et nos pensées fluctuent qui «se chercbent» et qui ont pour nous dees allures de succédanés sur table d’offrande , hnous cherchons à comprendre ce qui est en roche, ce qui se trame sur roche, ce qui surnage, ce qui se présente ici à nos yeux: l’homme des cavernes est donc un animal de choix (= racé), l’homme des cavernes parle b as un lmangage de bete, et haut un langage de tete, l’homme des cavernes a sa faconde, son envie de vivre et cumule ! lo’bhomme des cavernes chante dru son chyant guttural de roche percée (direction : la mort !), l’homme des cavernes est un homme-femme de destiné&e, l’hommùe des cavernes est la femme ouvezrte, l’homme des cavernes est un homme de joie de rage sur paroi (et en lévitation) , l’homme des cavernes enteznd des voiox, l’hommùe des cavernes a un coeur de rave, l’hommùe des cavernes est 3 raves à son chemin ou comment dire : « a «? l’homme des cavernes est une fille de hjoie drue , l’homme des cxavernes absorbe le temps dans sqon anttre (ventre) et sait le recracher fissa sur roche, au pôchoir pour ainsi dire, et voilà la main, dessinée sur roche ! l’homme des cavernes est un animal à sang chaud mais pas sezulemen,t , l’homme des cavernes est un orang-outan, une gazelle, un cheval, un phacochère incidemment, un renne des prés, une chouette chouette etc, l’homme des cavertnes entend mal de près, l’homme dfes cavernes ets l’homme à la t^tete brûlée par la ba,nde, l’homme des cavernes a mal à sa gangue, l’homme des cavernes est (lui aussi) acidyulée (ou aigre doux ? amer ?) , l’homme des cvabverners est l’homme d’un trait de pique feu sur rochge de grotte, l’homme des cavernes aime son procheain comme lui même (dit !), l’hommevdes cavernes a une blessure de bouche à devoir traiter, l’homme des cav ernes à une langue de feu en bvouche, l’homme des cavernes parle peu mais parle bien sa langue de rage, l’homme des cavernes en,tre dans la roche et s’y loge fissa la tete la premùière, l’homme des cavernes aime la vie de la roche dure , l’homme dez cavernes est tout autant un animal à sang blanc égalemen,t, l’homme des cavernes est aussi la femme des ca v e r n e s est aussi l’enfant des cavernes est aussi la bete des cabvzrnes, etc, je sui s un homme des vcavernes flamboyant à la lumière des embruns nacrés, je m’a vance en pays de hjoie, MON NOM s’afficxhe à l’entour, l’art est la chgose en accompagnemùent d’une embardée votive de paroi, hje vais et je viens en roche tourmenté par en moi la plainte de la bete mot, nous(bete et moi) disons ce qui est : le langage et moi, nous (le langage et moi = ma langue et mooi- même)nousnbousa llongeons dans la reoche et nous rtegardxons toutrezxs cesq betess devant nous aller et venir musicalement et trépigner en ryhtme ! nou!s sommes armés en bnous de mots de rocghe traversant, , de mots traversants de roche, nbous sommes équipés (pour la peine) de mots-betes de paroi capables de perc er la roche et d’aller se ficher(dans un m-eme élan) à même le sang de pareille roche ou comment ? le sang de la roche, vraiment ? ou sas ? ce qyui est qui vit et frémit = quoi (en cette roche des tourments humains, en pareille roche des tourments, des tourments de bord de mer) ? etc, nous sommes des sommes dx’êtres vivants vivant sous la m^me bannière d’un soi pariétal : l’homme des cavernes en action (en représentation) se blottit en roche comme l’ooisillon de lma couvée en son nid de roche (anfractuositéà)), nous cherchons une vérité qui pèse comme pèse l(aurochs ou le chevreuil en termes de poids et de présence matériellme a u mopnde, nous chgerchon,s uune vérité qyui puisse nous offrir de quoi nous sustenter pour notre gfouverne animalière ezt pour ce faire à qui sw’adresser ? quel bureau sur la page saura nous parler ? sur la page blanche et sur la plage des embruns de roche : nous p)ar(lons ce langage innné (?) qui nous offre de quoi sustenter un temps la bete (la mort ) devant nous : le langage (1, de charretier, 2, de tribun) qui est le nôtre est ce p)résent surnuméraire que nbous déposons à l’envi (chronologiquement) sur la pierre de rocghe de groote = cette vie de rude dureté, ou de dure rudessse, etc, qui est cvette vie -seuil d’un devant de soi délimité (le temps et l’espace) par un soi(le notre) absorbé, bnous savons ce qui l’en est ici de cette absorption dans le temp)s et dans l’espace clos de’une roche déifiée par un homme ou une femme aurignacien ou cienne, ou maghadalénien ou nienne, etc,, nous chercxhons (tranqyuillement ?) vérités, dues à la roche, ou données par la roche ! nouys voulons trouver des cghoses de poids en cette matière, nbous voulons trouver du lourd menaçant et pàas autre chose, nous voulons pour nous trouver cette cxghose, de ce poids de roche, etc, notre but ici est de trouver sur rochge de la hjoie quyi duure dur, no-tre but ici est cette cgose, de trouver sur roche un peu de laroche, nbous voulons comprendre dans le dur, nous sommes dans le dur et nous vou!lons comprendre dans le dur, nous sommes e»tres des cavernesz, homme-femùe des cvavernes, nous gravons des betes, nbous gravons à l’envi des chevaux par paquets de huit ou plus pârfois, nous parlons une langue d’(offrande = cette chose liée à la roche, cette cghose de laroche des temps, cette chose allouée à la roche des temps, nous voulons comp)rendre ensembvle les données de base de ces temps de roche impartis et pour ce faire : fissa sur la roche ! sur ou sousq, sur et sous , ou dans ! la roche est notre amie chère, nous l’aimons d’un amour entier, nous aimons la roche comme bnous mêmes nous nous aimons, ce n’est pas peu dire ! notre langue est un présent d’offrande pariétal, nous la déposons par cdevers nous sur ce coin de roche du temps alloué à une vie d’homme, nous cherchonds à nous y retrouver poar la bande ezn cette roche de destinée rupestre, princioère (royauté) à memev la roche, nouys cherchons dees choses de poidsq, la langue est l’une d’entre elles, uyne langue en sooi (en nous) est un poids de base indécrottable (= éternel en notre enckave) et c’e poids est à déposer au pied de la roche du temps (où donc loge la mort, pas vrai ?) et c’est cette chose que nbou!s faioson,s de concert dès lors, répondant à cette invcitation princière, nous voulons aller en, roche le plus loin (avancé) possdible , et pour ce faire comment faire ? eh bien , de cette façon, qui consiste à se laisser porter par cette misère dee rage primaire en soi m^$eme et le reste suit de lui m^$zme , comme une pelisse (échancrée) que l’on retire, que l’on déchiquètee du dos de la bete, nouysq cherchons des choses sur reoche dure, ces choses ont un nom : le ciel», ou bien « le miel «, ou bien quoi d’autre ?, nous voulons comp)rendre loin le plus possible en soi, nous voulons en soi (en nous) en com^prendre lourd = bouquetin, buffle, bison qui p!èsent, etc, la lzangue parlée par nous pèse dan,s le sas, la lan,gue parlée par nous, par nous pârlée, est langue pesan,te et à ce titr justifie ceztte sorte en soi d’embardeé votive déployée tantot par la m anche, nbous voulons compren dre ce qui est ici en termes de vérités, que sexpasse)t-il ? qyi a enfin compris ce qui se déroule ?, qui est le roi de la roche ? qui est le roi du monde ? qui cxhante à tue-tete sa chanson de fond de roche ? la mort est elle singulière, unique, person,nalisée, en attente d’un partiçculier? fait elle da ns la dentelle ? ou tout au contraire : de la mopert de masse, mort rouleau compresseur quiu sur son passage rafle sans autre ou plus de distinction que ça , vive la mort tu parles ! une saleté ! une merde ! pute ! connasse de mort ! une putain ! une merdouille ! etc, ou un : un salopard, un con nard, un merdeux, un merdeux ou une merde, etc, nouds nous prononçons de vceztte sorte sur roche et a valisons cet idiome par la bande, bnous disons : l’imprimatur ? ok ! et nous poursuivons sur la lancée qui est cvelle là que nous voulons afficher, ou dont nous voulons nous targuer pzar la bna,nde, nbous grattons la roche et traçons nos bas-reliezfsz, bnous sommes hommes de la préhistoire rupestre, nos envies vont à la roche se placer et se montrer à qui veut ou vcoudra, nbous sommes des betes de hjoie, hommes-bêtes de paroi de roche, hommes betes bete»s, roche dure comme tete dure, le passé estv dépôsé sur ce seuil de porte que est cet espace- temps du monde du vivant, nbous donnons de nous notre temps (= passé) tel qu’il sest incrusté sur terre mère à nottrecpa ssage, nousv voulons comprendre beaucoup de choses en cemonde (tout ? ) en tant qu’homme,et pour quoi cela ? pour remplir (= meubler) l’espace du tem^ps «proposé» = présenté par force etc, la science mais pas seulement, le langage dans son entier est cette chgose déposée dans cet espace-temps de roche dure (les trourments) et nous d’y regarder de près afin de n’en rienn louper, etc, nous voulons donner de bnou!s cette chose d’une sorte de tribut votif (incarné) sur roche du temp)s, à charge (plénière d’un jour pour nous pouvoir en réchapper comme par la bande, à tous et toutes autant que nou!s sqommes, nouys pleurons de concert, bnous sommes tout ennpleurs car nous sommes tristeqw, car nous sommes touchés par en ous des mots de betes, ou mots-beters incarnés qui chercheznt issue à pouvoir emprunter : laquelle ? trou de bouche parait devoir aller , quoi d’autre ? trou de balle ? rien n’est moins sûr ! nousvvoulons savoir lkes choses du monde ce qU’elles sont pour nous dfans les mots, nous voulons combattre dans le sang, nou!s voulons aller sur roche du temps combattre le sang en son fief de bure, oui ? ou pas ? nous sommes engagés dans une lutte à kla vie à la mort avec la mort , et ceztte lutte se prolongera jusqu’à temps qyue nousseronsq vivants, bnous devons colmprendre cette chose d’une sorte d’engouemen,t votif en nbous pour la roche et ses ornements préhistopriques, nnous sommes «devant», bnous sommes entourés mais ce devant pour nous a grande valeur pariétale, nous devons comp^rendre plein de cxhoses concernant la roche, nous devons allerr tres loin (le plus possible) dfans lkes conn,a issa&nces concerna,nt la rochje, mais comment ? et là, voici, qui entre dans le paysage , bambi ! la perle ! le perlou ! la belle ! la princesse ! cette chance! ce nacre ! cette belle lumière des embruns de roche (elle ?) ! et nous de la bader comme des mortz de faim sentimentaux ! nous voyons notre guide devant nous, elle est là pour ça», ell est sur roche devant soi «pour ça», la chose est connue,; ,; n ousz l’adorons et nousq la regardons attentiveme,nt ! nous aimons Bambi la rocxkheuse pour le dire ainsi = l’animal rocheux de référaence = l’animal pariétal de référeznce (avec le chevazl et le cerf voire le bouquetin) et nous d’y aller de notre couplet traditionnezl comme quoi Bambi est notre (une) chance , pour nous autres hommes et f»mmes dersz czavernes mais pas seuylme’ment, et voilà ce qui nous concerne, nous regarde, ce qui nous attend, comment dire ? La bambi nette, ou bambinaïre ! car nbous l’aimons plus qu’il n’en faut et nous la connaisson,s suffisamment pour savoir cela comme quoi nous sommes, pour elle, des amants de choix ou comment dire : des amis rugueux ? nous tombons des nues à même la roche et gravons sou s emprise (rugueuse tout auutzant) des betes -effifgies de pre mière importance à nbos yeux : l’aurochs pèse, le cheval pèse, lm’animal balourd pèse, ppèse de son poids de charge = du pèze ?) , nous voulons de nous mêmes déposer la chose sur roche, faire forte i:mpression mùassive, grave, du poids lourds, de la c aillasse tout autant, du pèze et que ça cra che dru et en fasse des louches et en foute fissa plein la vue : notre programme pour le dire viçte,, et du coup o,n s’intéresse, on s’intéresse à mille choses retombées sur roche (retombvé&es massives) , c’esqt à dire à la vie des bêtes de poids imposant, pas plus , ou ni plus ni plus mpoins en vérité , bnous avons à chercher longte»mps et cre»user, et nous cherchons assidumen,t et creusons qsans sourciller et sans ratés pour a insi dire,; nous aimo,ns cette roche dure aux tourments, la vie de la roche du temps est pleine de tourments (voire pire) de toutes sortes, et nous d’y penser (avec nos mots ancrées) à même la roche : gravure au stylet, dessins de bois brûlé, nous pensons à cette chose dure de la voix des limbes (tout à l’heure), saprésence à nos côtés, ce vif-argent de roche tracée, nous chzrechgon,s notre tracé à nbous, sur roche ou autre lieu d’abord, ou où sinon ? où ça aller chercher la solution à des problèmes d’(instabilité sensuelle ou comment, sensique ? notree but est de stabiliser les termes et dès lors de nous , de nous placer ainsi que nous pouvons, sur cette échelle de la roche temporelle, nous placer de telle sorte que nous soyons dès lors nous-mêmes en réelle capacité de compre ndsre loin et beaucoup, de nous placer en roche de telle sorte que cette chose, l’instabilité des vérités, xdevienne caduc, devienne fautive, ou comment : tomb ât vite fait bien fait à l’eau ? nouys voulons la vériyté la tenir debout, nouys cherchons à faire de vla sorte qUE la vérité pût tenir le choc face à l’adversité, bnous voulons comprtendre beaucoup et parler sur roche un lzangage opératif : que le gnou s’impose ! qUe l’aurochs en imposqe ! que le cheval repose et charge sur roche son élan votif pôsitif ! nous considérons la roche en tant que supoort de chose à dire ! nous disons que nous savons ce qui est ici (en roche du temp)s concernant la pluie et le beau temps des savoirs de l’homme, bnous crions à pl;eine voix notre misère coutuumière ! ho la la comme dit vl’autre : nbous pleurons-chantons- parlons- pleurons etc sur roche d’un seul et même élan, nous crions-chantons- parlons- pleuro,ns ensemvle sur rochge, par le fait d’un dire de percée, qui est dire)-faon de la roche du tempsq = cette cxhose offerte sur rocghe (la langue du soi) qui vient à se loger comme à l’emporte- pièce sur roche, et à nous dès lors de bien fixetr toute la chose (les règles de l’art) et de la (cette cxhose) rendre présentable le plus que nous pouvons , et ce : par la bande, en lévitation, fisza , par des incantations et par des scansions sur rochev (pas de deux) qui font que la roche s’anime et «le fasse» vu de loin, comme de juste ! je regarde à travers ce temps de roche dure déployécv(le temps) , et je comprends les données de base, c’est à dire que je les soupèse et les soupesant je comprends ma douleur» , dans le sens où la roche est dure, qui nous voit porter des charges princières peut-êterc pas mais de fort poids swurnu:méraire c’est un fait, nous avons sur nous des charges de vie, de mulet, d’(âne baté, etc, nhous en avons gros sur kla patate poour ainsi dire, une charge de déménageur, des armoires basques, des charges de poids de rage, des massifs et des tonneaux, desz barriques et des paquebots, etc, ça pèse son poids de taille xxxl , etc, notre but ici est d’allèéger au plus les chargesq, notre but (intention) est cettte chose à cdevoir mettre en place vite , nous devons allèger les charges de blé, bnous devons minimiser un tout radical, nous devons faire avec peu beaucoup et baisser les dépenses, ou voir à baisser les dépenses, et ce le plus vite possibvle c’est à dire sans plus ta rder, car ça urge ! ça va viite ! les dépênses ont t^$ot fait de ga loper sur roche, sur paroi du temps, vive la roche mais sans tourment ce searit parfait ! nous nous blotissons l’un l’autre (l’un dans lk’autre) : nous nbous adulons mutuellement ou simplemen t l’adoration ? la passion ? la rage ? l’engouement ? le ciel ? le plaisir ? la chance ? notre but sur terre est tres ancreé dans la chair dse cette roche dure des temps impartis à tout un chacun, nous devons comprendre ensembvle à nous entraider, à nous filer des coups de main de type rupestre, pâriétaux, frontaux, de cavernes, etc, l’hommes des cavernes est un homme an,cré dans la roche, sa voix est le présent de l’univers, son parler frustre est un pâzrler de roche ou dit «de roche», et bnous le connaiossons mal, bien peu en vérité, bnous ne connaissons de son parler que son aspect, sa carte de visite pour ainsi dire, ce qui de son parler impacte d’emblée : sesq betes atta c h é e s , ses aurochs liés à) ce p)arler qui est parler de basse extractionb, nous cherchons, nous so:mmes avides de chercher longtemps et de trouv er, surtout cela, avides de découvertes , de trouvailles à faire etc, nouis aimons cette roche des embruns pour cela comme quoi nous aimons la roche, nous aimons chercher des choses sur roche, et graver-dessiner des betes de joie (aurochs de vie pleine, cheval frappant, chargeurs de buve !) : nous nous attendrissons contree elle ( la roche) ou comment ? nous sommes ouïe toute , toute ouïe pour elle , la roche, la roche musicale, la céleste, etc, nous voulons comprendre cette cxhose ici d’un attendrissement de roche dure, d’un p)assage en particukllier, d’unev ezntrée de roche à faire, à per cer, etc, nous voul:ons comprendre ensezmbvkle cette cxhose d’un travail à opérer à même laroche du temps, ce travail d’érosion perlière, ce phrasé de rotondité, ce travail de’ perle et d e boule rac»éée, etc, cette chjose ronde est un oeuf, une boul:e de feu votive, cette perle est une biche bel:le de roche à tracer , etc, nous dessinon,s cet attendrissement (attendrissement pariétal) en termes choisis, en traits de roche attendrisz (les traits) ou comment dire ? les mots sont des betes, les betes gravées sont des mots, les mots sont des mots gutturaux, les betes sont des treaits de fortune, les mots sont des roches grav ées, les mots sont gravures de roche perlières, la vie fuse mais ne rentre pas, la cvie est fuselée en roche, vibrante, tres certainement, mais n’entre en rien dans la combiine de fabricvation, les mots sont b etes mots de première instance, les mmots de roche sont desz betes-mots de rage tracée, sont betes- lmots de première vue, sont rages de belle embardée, nous traçons sur roche les données de base, nous sommes hommes et femmes des cavernes , nous donnons, nous offrons, ce que nous donnnons est du parler de roche brutal : oraisons de la roche perlière, nous donnons ensemnle 

les donnéesz de base sur roche, nous donnons ensemble un ensemble perlier de roche dure, ce tracé, nhous voulons donner un ensembvle princier, perlier, de première instance, cette chose xd’une sorte d’embardée native à même la roche dure, nous donnons de nous ce qsui vient à nous par la bande et c’est ainsi que nous nous incrustons à même la roche perlière, nous pleurons, bnous sommes qui pleurons, nous pleurons en roche ces betes de hjoie, bhous gravons dessinons des b etes sur paroi et ce faisan,t pleurons de joie nos chagrins de roche dure temporelle, nouds pleurons ce que nous savons et que swavons nbous ? nous sxavons de la roche du temps ce qui’icelle en elle transbahute à savoir le sang, bnous parlons depuis elle en elle ce qu’elle bnous entraine à devoir formuler nonchalammaeznt sous l’effet en bnous de la bete princière qui nous montec et nhous guide méchamment (ou pazs) de son pas pesant, nous parlons et qui pazrle en nous sinon la 

bete rossse qui nous monte, nous parlons et en nous qui parle , sinon bete rosse de première, celle là qui pointe de sa voix sa rage perlière et nous pousse à graver à l’envi sur roche son minois ou sa silhouette : effigies, tro:mpettes de la renommùée, fame d’abord, etc, nouys parlons ce langage des betes de roche, nous parlons = dépôsons sur roche du temps ce préswent de vie rameuté ou comment dire ? ces betes en raffut, ces tirades, ces tripotées, ces paquets de douze ou de huit ! nous savons de quoi il en retourne, nous parlons à bhon escient : le temps d’un dire est le présent de l’offrande susnommée, ce présent est ce que nous offrons à cette déité de roche transparente, cette viive déité incolore et inodore, cette déité est une transpârence = une invisibilité notoire et cependa nt ? qui paérle sur roche qui nous tend les b ras ? ou pas vraiment ? qui va là pour nbous parler en notre nom ? qui parle sur la place ? qui cxherche qUI ? qui cherche à donner du sens à une vie de roche ? nous chercghons ensemble lers donnhees de base, nous voulons comprendre ensemble : main dans la main, ces donnéezzes de base pariétales, quelles sont elles ? nous cherchons des données fiables, rugueuses maiis fiables ou comment sinon ? qsui puissent nous offrir de quyoi sustenter l;a bezte de charge qui opère à notre place sur roche du temps, bnous cxherchons à co:mprendre cezcquyi est en roche qui nous tend les bras ou tout comme, quoi est ? peut-être s’agit il d’une vie cd’emprunt, d’une économie chiche ? qui croire ? bnous cxherchons à comprendre le plus , à comprtendre plus, à xsavoir le plus, à chercher ce plus de laroche dure, ce qu’il est et où il se loge , bnousq chercghons à comprendre ce que ce plus de roche dure signifie pour nous, nbous voulons savcoir, nous cherchons ensemble, nous sommes deux à chercher cette cxhose d’une sorte de donnée frontale concernant un plus de roche dure, nous voulons comp^rtendxre ensemvlble cce que cette donnée d’un plus de roche dure pourrait etrez et signifier pour nous qui cxhercxhons desz choses, qui sommes à l’affut de mille données brutes, de données de base brutes, etc, bnous sommes chercheurs découvreurs à l’affut, et nous cherchgons ensemble des données de roche qui pussent nous offrir de quoi, en nous, sustenter la bete cde joie, celle là qui cherche à poussesr du bec , en nous, son envie de voir du paysage et de sortir son bec de roche picotaznt, etc, nous voulons comprendre ce qui est ou ce qu(‘il ezn est dee ce lan gage perforant déposé sur roche comme le présent de la bande, nous chezrchons ensemble à comprendre, nous voulons ensembvle co:mpren,dre cette chose ici d’un présent offertt par la bnan,de à une déité de roche dure, et ce présent est langagier (animalier) et se présente comme un succédané de vie vive, c’est àdire pis-aller,; c’est à dire pis-aller 

de roche percée, etc, une offrande au rabais (pour le dire vite) et pour la mort ça fait chier mais le voit elle ? a telle conscience que pour elle l’offra,nde est minable ou comment ? a t elle (la mort) conscience que pour elle il ne s’agvit pas de la bonne offrande ? a tellme conscience (la mort) que c e qui ici est offetrt sur roche (effigies) n’est pas à la hautezur de ses espeéran ces ou comment ? a t elle (la mort) la conscience en elkle de ce fait comme quoi l’offrande déposée par nous (en gros : le langage) est un pis-aller de première et n’a pas la teneur de la vie en vrai ? la mort co:mprend elle cettye cghose de ce fait de roche ? eswt elle mazligne ? est elle malignité ? a t elle quelque chose en elle en tant que comprenurec ? est elle de la comprenure, ou pas vraiment ? est elle fine lame ? a telle de quoi en elle piper chose ? a telle en elle de quoi y piper grand chose ? a telle pour eklle de quoi piper une chose de poids et comprendre loin la petite arnaque terrestre ? que voit elle de nos stratagèmes forcés ? que sait elle cde nos strataagèmes pariétaux ? qui lui parle ? à qui par(le t elle ? à qui la mort s’adresse t elle ? qui parle à qui ? qui me parle ? qui ws’adtresse oà moi ? qui suis je pour parlerr à wqui ? qui parle en moi que je ne suis pas ? suis je moi en totealité ou bien de moi ne suis je que partie minime ou comment ? la mort parle telle en moi ? la moprt est elle en moi qui parle pour moi et de quel droiit ? qui chante en moi quand je chante ? qui en moi chjeante quand je chante ? qsui perle en moi ? qsui perle, qui parle ? qui va là dan,s la soupente et cherche sa voie dans le sang ? je ne suiis pas un animal de race blan,che, je ne suisz pas un animaml velu, je ne suis pas un aniumùal parlant, je ne suyis pas un etre social, je ne suis pas un homme de base, je ne siius pas pas une cxharge de poidsq, je ne suis pas un lan,gage doré, je ne suis pas pas une brute épaisse, ni même une fée du logis, ni même la femme à barbe, ni même une sorte de genre dépoitreenaillé, je suis l’homme des cavernes de céans, MON NOM s’affiche vsur roche comme suit : MON NOM, car je suisq l’homme renversé, dup;liqué, effet miroir sur roche perlière, mon nom est ainsi montré comme une entité doublonnée et c’est ainsi que je vois la chose : vive la vie ! nous disons que nous parlons un lmangage de roche alors disons vive la vie ! car la vie de roche est la belle, la qui bnous plait de longue date principalement et nous le disons sur la rocxhe et le disons ha ut, bnous dison,s la chose haut : mon nom de réserve, ce nom de roche à la dure nacré, cette parole enchanteresse (,?) ou sinon racée ou comment ? que dire du nom dsont on est affublé ? pas grand-chose en vérité ?. beaucoup tout au contraire ? qui suis je pour me présenter et m’offrir à l’ogre ? squi va là vers les embruuns des fins cde roche princière ? je est je qui dit je dans l’ombre d’un nous déployé pour une gouverne ! je dis je qui est ce je de la roche dure des temps d’une vie humaine, je est un je d’emprunt, le je d’une roche allouée, je est je de roche dure, un je de roche dite, un je dit de roche dure, le je de la roche des temps impartis à une vie terrestre de pasdsage, nous tombons des nues, nous sommes de laroche et du cervelet, nous tombons des nues sur le cul, nous sommesq roche, rocher, roc, roc et gravillons, bnous tombons des nues sur la roche dure des tempsalloués à une vcie humaine terrestres, nous parlons à tort et à travers un la,ngage de peu,qui est ce langage de feu la roche princière, notre vie, nbous parlons langue de paroi de grotte : animaux mots qui caracolent, épousent la roche, trompent (ou cherchent à tromper) l’ennemi qui a pour nom (incidemment en notre lazngue ) «mort» : la mort, c’est à dire la gouverne pariétale, ce cxhargeur de rage, etc, la mort a le nom que la langue lui donne , bnous passons de la rocghe à la roche, nbous voulons co:mprendre des données de base et pour cela nous bnous incrustons dans la roche, «nous tombons des nues» dit c ette cxhose d’une incrustation et voilà c e qui nous attend : un je de roche turbulent, une virée de groote, un appetit grandisza nt, une vie d’emprunt, un soulagement de se voir encore vivant, un temps dévcousu mais présent comme étant le présent de l’offrande, une charge entière, poids de faits, un drôle ds’oiseau sur sa branche que cet asticot qui nous mate, qui est il ? mort la blanche ? qui d’autree ce serait sinon ? je parle d’une voix de rage à même la roche, homme des cavernes, fezmmes des cavernes, enfant des caverne, animal de poids des cavernes, homme-femme fdes caverne, homme-ffeemme -enfant des cavernes, hommùe-femme- enfant-animzal des cavezrnes : qui je suis pour parler ainsi ? mon nom nre vous dira rien, il eswt sans importance, MON NOM est ce nom de roche gravée de façon sommaire, effigie de base ra cée,je cherche comme ma destinée dans la roche, il en va de ma gouverne, je suis laminé, je suis touché de plein fouet, MON NOM est le treacé de cette immixtion da,ns une roche dure et aussi le résultat tangible de cette embardée, je vois la chose qui se dessine, je suis dessiné, je vois de près la chose qui se dessine, je suis envahi de treaits de toutes sortes qui saillent de mon moi xd’emprunt pariétal, de mon corps sortent xdes tyraits de rage, l’animal en moi est le sang qui passe, je donne de la voix, je suis lancé 

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29/06/2021 

nous abvons à faire ensemble cette chose d’une sorte d’avancée en roche vers des confins, ces confins sont à nous ou pour nous des fins de vie de roche, fin mot de la roche, fins des fins des roches primaire ou premières, découvertes à faire ensemble, trouvailles mutuelles ou comment dire ce concvert de voix dans le sas des sas ? nous cherchons à percevoir ou à mieux percevoir ce qui est en roche pour nou!s comme offert par la bande dite parioétale = le temps, et pour cela : le la ! là le la = ici même le la offert = cette chose d’une clé (musicale) d’emprunt, pour une éternité dévoilé (dépoitreenaillée ?) qsui serait pour nous l’éternité courante des embruns, cette ouverture en grand d’une sorte de bouche des fées, etc, car les fées président , oui ou non ? nous ne savons pas ! que sais je ? nous ne savons pas, nous ne saviiiiiions pas, nous ignorons, nous ignoriiiiiions, nous devons cvomprendre ensemble ces données de base qui nous sont offertes sur roche , et nous d’y a ller d’une sorte de cadeau (don ou présent) en retour, comme la monnaie rendue de la pièce ou quelque chose de cet ordre, nous poussons ensemble «la porte» et que voit on ? que voyons nous derrière la porte du temps « ? que voyons nous derrière cette porte des temps dévolus ? de la meu ? de la meumeu ? de quoi ou qsuoi ? une sorte de lumière blanche : du nacré ? coquilmlage monde borgne ? quoi voyons nous ? que voir ? que voir de nos qauatre yeux cumulés ? une charge ? chatte ? châle (un ) ? quoi d’auttre ou quoi de plus ? de la meu de rage ? du meu- meu de rage dur ? du qsuoi ? nous sommes à l’affut d’une réponse pour le dire ainsi, nous sommes affutés et à l’affût de savoir ce qui de quoi se trame (existe) en ce sas pariétal de laz roche percée, nous savons des choses concernant la mort, ces choses les voici : la mort est une entité dévolue à des temps passés, la mort est une sorte de donnée de rage, la mort est vive comme l’éclair etc, nous savons ces choses et cependant nous cherchons encore une clé, cette clé est «musicale en diable» dit l’énoncéc et nous le croyons car nous sommes porteurs (ensemble) de cette croyance qui nous est comm 

e soudée ou bien qui nous soude (à toi à moi) dans un même élan de traversée de roche, nous cherchons une issue vibrante, une solution à des problèmes récurrents d’entrée de roche, etc, nous sommes ensemble cette chose immonde, ou pas ? je veux dire : meumeu ! je ne sais pas ! je suis homme des cavernes au sang de bure, je suis cet homme des cavernes religieux, qui cherche une réponse (corporelle) dans le sas de telle ou telle roche ornementée, je suis un homme des caveernes oplein en lui d’une puissance (puissance de feu) animalière (l’aurochs ?) qui le pousse à franchir des obstacles (la roche), traverser icelle et tomber de rage sur ce sas de roche dure-dure, , cet ouvrage, ce trembklant, cette piste, cette zone, cette Chose découvertte, ce dessin sur roche du temps, cette cavalcade ou parade nuptiale ou dé»faut de cuirasse, etc, il (l’homme des cavernes, le magdalénien par exemple ou autre) cherche assidument de quoi comprendre au mieux ce qui ici en roche se trame = la vie et la mort = la Chose, cette chose des rapports de roche, des rencontres amusées frontales, des regroupements, nous cherchons ainsi à deux par lma voie des airs de la lévitation dite p)ariétale, nous creusons (piquons) la roche et entrons et une fois dedans nbous regardons autour de nous et que voit on qui se promène placidement sur roche , que voit on ? des buffles ! dexw bisons ! des chevreuils par zone, des biches à l’envi, du gibier pour la chasse, du bel ornement en cavalcade etc ! nous sommes et restons transis ! nous sommes deux pour penser la chose ensembvle, ce qui est est, ce qui est est notre tribut, ce qui est est déposé sur roche, l’art est cette chose déposée sur roche, ce tremblant, cette vie de base contenue;, non offerte de visu et aussi cette chose comme quoi nous sommes en vie , nous cherchons une chose de choix dans ce sas de roche = un présent de soi qui ne nous engage pas à la vie à la mort mais qui «puisse le faire» assurément un temps, ou pas ça ? autre chose ? nous cherchons une définition à ce mot de art» qui nous occupe depuis le cdébut, nous cherchons à cvomprendre ce dépot sur roche ensemble, cette cxhose de rage posée sur un seuil temporel lié à la roche dure des temps impartyis à une vie, nbous comprenons quye quelque chose a (de fait)à voir avec nos mains «porteuses», cela nous parazit logique, évident, voire certain : nous sommes assurés, nous comprenons, nous sommes munis d’une sorte de comprenure vive, verbeuse, qui donne le la musical d’une roche (dure) du temps, nous comprenons cette chose comme quoi nous offrons le temps passé au temps de la roche, nous donnons de nous le temps sur un devant de szcène etc, et faisa nt cela nous crions notre rage vive (la plaie de bouche), vive à gueuler ! nous sommes transis , nous sommes muunis, nous déposonsq, et du coup l’artiste est celui qui tient le baton (pour se faire battre ?) : l’artistye est cette personne de confiance munie d’une batte ou baton à dessiner sur roche, il dessine à main levée, il est cvelui ci muni de ce baton, tendu comme un arc, il dessine à main levée sous emprise une déité animalière, un trait de majesté, une scansion faite de données de rage (incantation) d»éployée, etc, l’homme neéandertalien ou plus encore la magdalénien ou l’aurignacien zaime la roche, l’épouse tendrement, s’agite près d’elle, se fiche contre (tout contre) et la pénètre fichtre men,t par le sang, la bave, les tourments (les peines) qui pleurent, etc, car les peines ou les tourments pleurent en cet homme leur misère, il est cette chose en cet homme dur et qui va pleurant toute sa misère et cette chose = de la peine, du tourment, et aussi de la rage, du tourment de rage ! nous cherchons des vérités ancrées qui «puiisent le fgaire» pour nous , sur roche et sur paroi ou sur paroi de roche etc, nous voulons savoir ce qui est en pareille roche qui se trame et pour cela nous hurlons à la vie à la mort notre gouverne ! la mort erst une entité pariétyale, une sorte de sas d» de mes de»ux» pour le dire crûment, commùe le sort l’appexlle, etc, nous esswayons de comprendre des données de rage forte, comprendre ce qui est en roche qui nous plaît et nous retient, etc, et pour cela : charger = charger la paroi de toutes ces betes alignées se chevauicxhant en veux-tu en voilà comme des hommes-betes de roche dure, comme b etes-mots de roche dure, rude, rugueuse, froide, pierreuse etc, nous cfherchons ensemble à comprendre des données brutes de rage folle ou forte déplopyée sur roche, et pour ce faire nous nous immisçons dans le temps offert de la grotte, entrons en osmose, entrons en ezlle osmotiquement pour ainsi dire et pleurons sur place des larmesz de bure, dec misère, des méfaits, etc, nouys cherchons des solutions à des problèmes pa riétaux existentiels, nous ne sommes pas au bout de nos recherches, nbous troublons le jus de la roche pour ainsi dire en faisant ainsi , ces desqsins à lmain levée, des tracés juxtaposés, se chevauchant de conserve, voie d’abord surnuméraire pour une sorte d’entrée en matière, et voix de rocxghe musicale pour notre gouverne : nouys parlons à tort et à travers de choses et autres, et ce chant s’inscrit sur roche du temps commee la (possible) clé de rage d’ouverture de paroi, nous cherchons à mieux comprendre vles données de base, ce qui est qui nous ouvre ses bras, c’est quyoi ? c’(est quoi au juste ou en vérité ? qui dit quoi lorsqu’on dit je ? qui saura nou!s renseigner ? nous voulons savoir = toucher la déité de roche dure = caresser ses reins, sa pelisse, son manteau de jais» disait-on ! nous voulons touycher la pelisse ou la peau (dousce ? dure ?) du temps, et pour ce faire nous nous immisçons (présent, offrande) dans le sas des sas temporels de pareille roche de grotte (homme des cavernes) et là, dedans, nous cherchons la voie et la voix pour nous guider jusqyu’’à elle , cette peau de race, ce paquet, ce paquet de muscles racés, cette chose fine tendue comme un arc , comme l’archer comme le quoi ? nous voulons savoir ce que dès lors se tramerait en roche sous nos yeux, une fois nous entrés, déposés, poszés, voire couchés sur roche, quoi pour nous donner le la d’une entrée de roche ? le temps est ce la de roche dure ! nous voulons comprendre quoi donc est ici qui nous scrute cvomme la misère (la merde ?) , quoi ? nous ne savons pas ! nous creusons laz roche à la recherche dela Vérité, la roche est dure de chez dure en tant qsue tellle, nous voulons savoir pourquoi la roche est dure de chez dure, nhous voulons comprendre pourquoi , nous voulons creuser au plus profond de l’eznsemble des savoirs de roche offert par la bande car ici la bandfe est cette sorte d’accumulation d choses « de jhoie», cette sorte d’accumulation centripète de choses rudes quioque vives etc, dites « de joie» = de la joie d’etre sur roche ou d’etre tout court, nous voulons comprendre les données les plus fines et subtiles du monde, nous voulons comprendre dans les profondeurs de lma roche vdure, nous voulons cerner au plus lointain lesv opro fondeurs de pareille roche v(dure) des temps alloués (à l’homme des cavernes) pour sa gouverne = déambulations rterrestres, etc, nous sommes deux (ici) à chercher = elle (la bien nommeée, la belle) et moi (le mal venu, le soc, la peine) , et voilà pourquoi nous nous affichons ensemble de concert, car nous deux ensemble nous formons «lma base» de la roche tremblante, nous sommes deux ici (en jhoie) ‘(en je ?) qui formons la base d’une sorte de tribun cde rage, d’une sorte d’entité royale etc, qui «puisse le faire lonfggtemps» et nous en,chanter par la bande, etc, deux pour cette embardée de race dure,, ou dec roche dure, ou de quoi dur ? nous cherchons ! nous ne voulons pas passer à côté de la chose rude, nbous vouylons déccouvrir ensemble les données révélées de ce pot aux roses pariétal temporel, bnous voulons savoir ce tout ce qu’il est : donnée brute ? brutale ? vive ? vivat de fortune : acclamations ? ou bien une sorte de creuset , de bain, de cupule, etc ? quoi donc ? nous voulons allezr au fin fond de cettye roche des données calées,, nous voulons aller au loin en pareille pierre et creuser à même la roche «la q<uestiopn»,, nous sommes deeux en roche vmain dans la main = entente cordia le = déploiement souterrain, et nous no!sz avançons ensemble ainsi soudés comme des malfrats, nous avançons en roche : nous perlons, nous donnons nos vivres, nos denrées, nous donnons nos perles prtremiè§res, princières, etc, nous donnons ce qUE nous pouvons cde concert et par la bande de précieux ou de plus précieux, nous donnons le plus que nous pouvons donner «qyui puisse le faire» de concert, de conserve, illico presto acheminé comme le colis (vivant) de nos frasques pariétales, frasques-frusques, habits--habitus, offrandes vives du soleil, chzargement de mûle ou de muulet, trombonees, cors, musqique acoustiques et chants des sphères ! nous donnons du plus, du + ou même ce + de la roche due = +, = +, =+, sooit ces + de roche du temps : +++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++ à perpette ! cette chose des parois du monde ! nous donnons tout et plus encore sauf la vie! oui nosfrasques, nos habits ! nous nous mettons nu le +! et cependant nous restrons en vie ! nous ne donnons pas la vie ! nous ne donnons pas la vie en ce qu’elle a de plus précieux = la vie vive d’une vie qui reste en vie ! nous donnons tout le reswte si nécessaire, tout sauf ça = vie de base ! le ça ici est cette vie cardio-basique de la vie, ce ça décrit et nommé est pour nous cette chose racée de base vive, ce tract, non cette chose-rage à savoir ce tic, ce tic et ce tac, ce tic et ce tac, ce tic et ce trac d’un organe vital et voilà ce qui nous occupe en peznsée ici ! nous essayons de ne pas y pertdre le nord ! nous essayons de comp^rendre au mieyux les donn,ées vives sur roche d’apprêt, sur la roche vive dees données offertes : njous sommpes deux = nous sommes ensemble = nous sommes unis = nous sommes soudés = nnous sommes colllész =nous sommes «à la colle» =nous sommes cdeux pour la forme =nous sommes accolés ensemble comme cdeux moitiés = nous no!us aimons = nous baisons = nous sommes vi fs collés de rage = nous sommes ce nombre entier, nbous sommes des moitiés de rage , nous sommes des eznvies nacrées de rage de paroi ! nous voulons comprendre au plus que nous pouvons et au plus profond ! nous essayons de voir loin le plus (la roche) afin de deviner ce qui nous pend au nez à tous et toutes ! quoi ? la mort du petit cheval ? lza mort sûre ? la mort de base ? la mort des tribus des camps ? des chants ? la mort comme sinécure ? la mort rappel ? le chant de la plainte sauvage ? le chant dominical parioéteal ? le chant de force dure ? le chant des embruns et des poussées marines ? le chant chaotique des vivres donnés ? du chant de la vigne ? nous ne savons pas ! nouys voulons comprendre mais pas simple en vérité de comprendre ensemble une destinée particulière, n ous voulons nous posituionner de telle manière que la chose ici du tezmps puisse nou!s apparaitre dans tous sses habitus ou comment dire : apprets ? ou comment ? visages de près ? nousc chezrchons une réponse fiable, nous chercghons une réponse qui puiise «tenir» dans le temps, nous cherchons des données de base qui «puiisent le faire» et tenir un tempsq donné pour la base, ou quoi ? donnée rude pour base rude ? qauoi ? nous avons en nous cette envie communev (partagée) d’aller dans la roche (ornemez,ntée) à la recherche de données brutes qui puissent afficher des choses concernant la vie, nbous diçso,ns que nous savons des choses de la vie mais ces choses nous les divulgons à peine, voire à personne, ne les divyulgons jamais, et pourquyoi cela ? car nous solmmes des etres nocifs ? car nous sommes dees êtres viçfs ? ou des êtres de peu de gouverne ? qyue savons nous ? nous savons quelques petites choses (en intra) que nou!s nous refusons à divulguer trop vite ou quoi ? que savons nous ? nous savons dees choses et ces choses nous les conservons (par-devers nou) tout simplemùent car nous cdevons rester en vie, car nous voulons rester en vie, et divulguer égalerait : le fait de mourir = de donner sqa vie, car ce que nou!s savons mais ne donno,ns pas concerne cette vie qsui en nous bat son allant charnel et nous tient (mine de rien) deboutv : ainsi soit-il ! d’où notrte hésitation (coupable !- à aller plus loin en nos offrandes, forcément ! pas fou pifou ! on le sait ! il est des nôtres et tient bien le verre comme nous autres ou quoi d’autre ? nous nous refusons à : 1, divulguer = donner = donner les données de base, 2 : déployer = déployer ce savcoir cordial, ce tic trac titanesque (une vie de temps) par la bande (ou sur la bande ?), voilà ce qui est, nbous ne voulons pas divulguer = donner terminée, cettye chose en soi d’une vie cordiale tic-taquante , nous noius réservons la chose de pouvoir ne pas donner = ne pas, cette chose, déposer mais : succédanés, faisant- fonction, reprédsentations qui en imposent, qui flashent, qui le fassent, qui en jettent, qui impactent etc = ART DE LA ROCHE DU TEMPS pour votre gouverne forcément ! et quoi de plus ? l’art est ce dévoiement, ce changement, cette direction modifiée, ce détournement, cette offrande à moins, cette offrande vive (frasques et sqaint-frusquin perliers) mais qui n’est pas La Vie telle qu’on loa porte en soi au fin fond de nos organismes,; nbous ne sommes pas donnezurs de ça ! de «ça» qui est en nous le «çàa du sac cordial», etc, nous nous gardons bien de trop donner ! nous conservons pour nous la vie de rocghe dure, nbous nous gardons bien de toucher à notre vie de base en nous qui fait de nous des etres vivants, parlantsq, sautilla n t s comme des cabris et pleurant des trombes , etc, nous a imons la vie de base en nous en,sembvle, car nous sqommes deux de b ase en nbous : oreillette gauche / oreillette droite , ventricule gauchye / ventricule droit, etc, nous ewssayons ensembke de bien cerner ou délimiter cet ensemble de données de rahge a fin de bien comprendre les enjeux vitzaux qui sont nôtres en cette paroi de roche à ornemen,ter, nbous voulonqs au mieux cerner les données liées aux offrandes à déposer sur roche (terre mère) ensemvble (main droite /main gauche) et ce faisant consezrver la vie (la vraie) par devers nous et ne vsurtout pas la donner à cette bouche dejoie devant soi, cette bouche poerlée, cette bouche ouvertye en grand comme un bec dans le nid sur une roche, nousvpensons cela, no!us en sommes là dans nos pen,sées (j’en suis là dans mes pensées) : je cherche : nous cherchons, nous voulons comprendre plyus pourv aller pluys loin en pareille roche, aller profonsd = creusement comme train de vie, etc, nous voulons savoir ce qui est en roche à nous attezndtre en termes de finitude , de finissage, de finalité, de fin, etc, quoi nous attendsrait ou squoi nous attendra ? nous voulons savoir, nous cherchons à co:mprendre, nous parlons en roche nos mots de parois collés à pareille roche, nous parlons une langue dee paroi = ce patois de roche suspect, limité, contredit, ou quyoi ? car ce qui est , en roche, est cette chose e’une langue surajoutée, effigies de betes en tant que, etc, n’est il pas ? nouys dison,s cela, comme quoi notre parler patois de roche = betes-mots du sacre de la plaine, de la roche plaine, etcv, n’eswt-il pas ou : n’est ce pas ? nous cherchons ensemblevdes réponses à des questio ns qui 

fusent sur roche , nousc cherchons ensembkle des réponses de poidfs qui purent le faire , ou pussent kle faire, ou puissèrent le faire ou pourrurent le faire, ou prussent le fazire ou comment grammaticalement parlant (rires sous cape !) ? nous cherchons des mots dans la roche : mots de tous les jours dit on , mais les mots sont tous des mots de tous les jours ou presque , c’est à dire en fonction de qui ça concerne, car tel mot pour moi ne sera pas «de tous les jours» quansd pour quelqun n d’autre ce szera le cas , voilà la chose, et voilà pour nous ce qui est : sur roche, des mots qui sont «mots-anima ux des temp)scvreculés» = des betes grosses dessionées ( 

nous pensons que nous sommes deux à comprendre, nous donnons de nous par la bande, nous sdommes deux à vouyloir ce je de la bande rude, nous posons sur roche les données de base : qui sommes bnous ? que disons nous ? que voulons nous ? que crions nous ? nous avons en nous cette chose d’une voix de base offerte par qui , nous l’ignorons, nous ne savons pas, nous voulons savoir, nous sommes enselmblev pour un jeu de base nuptial, nous sommes offerts sur roche comme des tribuns dee la bande treaçante : qui sommes nous ? nous avons dees perles, des pezrles et des mots, des mots et des choses de peu , à) poser qsur roche = déposer (tazntot) sur un fil, nous pazssons le temps sur la bande, ou comment ? nous sommes ensemble, deux, pour une p)artition de roche musicale, un heureux évè,ezment, une parade, une chose rude, un trait de venin, un tracé de roche, une représentzation coutumièree d’homme des cavernes, nous voulons aller loin le plus en cette roche des embruns nacrées, nous voulons ensemble allert loin e,n eelle, toucher latimbale comme qui dirait, creuser la roche dure, toucher à laz porte du sang ou comment ? nous cherchgons ensemble des choses de rage,, xdes données de base qui purent ou pussentv ou pururent ou ou npuississent ou comment le faire pour qui, car pour qui le faire ? qui de quoi nous rtzgrde ? qui est là qui dit la chose de rage ou comment ? qui peut pour nous nous donner le sens de la marche en vie ? nbous donnons des choses mais pas tout ! nous donnons foultitudesz de choses mais hé hé pas tout du tout de nous , vcar nous ne sommes pas encore fous ! nous ne sommes pas fous ! nous ne sommpes pas vraiment fous ! nous ne sommes pas tout à fzait fous ! nous ne sommes pas fous du tout ! nous ne sommes pas encore vraiment de ces fous de roche perdus qui cherchent misère on dirait, nbous cherchons des choses rudes de vérité mais non point misère pour misère, nous chercghons ensemble ces choses de rage dure, ces choses de roche des temps des cavernes, cette vooie d’accès frontale, cette perle, cette chose entière, cette voix, ce chant des pârois, etc, nou!s sommes deux pour ce faire, deux = la vie princière = la vie riche = lza vie commplète = la vie des humeurs mélangées = la vie des pârois douces= vies douce des parois meubles ou comment ? nous cherchons ensemble à comprendre ce qui est de toute cette affaire rude des parois de roche ornée, avec bouquetins, avec aurochs ou rennes des prés, nou!s voulons comprendre ce qui est ici en roche de ce temps de parois déployé, temps dur de roche dure (etc) et pour cela nous gravitons, nous montons, nous poussons les choses rudes ensemble, nous mettons le coeur à l’ouvrage, nous cherchons issue de conserve afin de comp^rendre au mieux les enjeux pâriétaux qui comptent, qui font de la roche une tombe ou comment ? nous cherchons vif cette chose à deux car nous sommes deux pour la chose, pour comprendre et prendre etc ce qui peut l’etre ensembvle, «toi et moi» pour un chant de roche, nou!s deux cons&-acrées pour une éterbnité de paroi dure, etc, nous voulons comprendre eznsemble cette chose d’une roche dure déplpoyée , cette chose en soi d’une sorte de paroi de roche dure déplisszée comme un tissu de roche, comme tissu d’être etc, et pour cela nous nous invitons-immisçons de concert en cette roche des apprêts, des figures, des tracés, des crinières et des sabots, nous chercghons des vérités de roche à déployyer, figures légendaiores, tracés historiques ou trans-historiques, etc, «qui puissent vle faire», ou pussent, ou puyrent, ou comment ? nous sommes deux qui jouons le jeu, bnous nous affichons de consezrve et cherchgons la roche de conserve et nous nous immisçons pâreillemùent, e,nsemble pour l’éternité ou comùment dire cette chose d’uyne sorte de soudure existentielle ? à toi à moi pour des temps prolongés ! chine ! chaleur ! nous dison,s la chose dument prolongée, nous cherchons les mots (betes) de la roche et nous les consacrons par notre gouvernec : deux est lma v érité, deux est lma chose en soi d’une vérité de nbon aloi, nous disons que nous dit deux = jeu des dires princiers d’une roche des tempsallouée à une vie sur terre, deux = la Chose, et sinon comment ? de»ux = cette Chose en soi d’un rire-tourment consacré par la bnande ! deux est Vérité de roche dure ! deux est cette Vérité de la roche des temps alloués, nbous cherchons la vérité et nous la trouvons au décour d’un pré de roche dure : deux ! car deux est la xchose du temp^s à toucher ensemble, cette peau (pelisse) de betes de roche, nous touchons la peau, nous nouys approchons de la bete rude, nbous nous app^rocjhons d’une bete rude, nue, fine, gagnée, de laroche dfure, rude, perlée, et nous la touchons, nous le frôleons, nbous touchons un peu d’elle (peauou pelisse) et ainsi faisant nous touchons lma timbale du temps, ou comùent ? nous devons comp^rtendre ce qui est, ce qsui ici est qui se joue pour nouds, nous sommes deux en rage des temps octroyés à chercher pelisse (douce ? dure ?) à toucher pour gagner, pour gagn,er la place : s’installer à la droite du pere et pleurer de joie notree misère etc, ou pas ? nbous touchons ! nous sommpes touchés ! njous touchons et nous sommpes touchés ! toucher = être touché ! nous sommes deux : deux est la vérité vraie des temp^s reculés de l’homme des cavernes, deux est cette vérité des temp^sreculés, deux = cette vérité des temps recvulés des hommes des cavernes en lévitation, ancrés, adoubés par lma bande pariétale de la roche dure ornementée, nbous cherchons des dires de jhoie sacréez, nous cherchgons des dires de ces je de roche dure , nous cherchgons dires de joie (je) dans le dur du dur ! nous voulons comprendre ces je à la lumière dees parois ornées, ces jke de roche perlée, cette choàse rude d’une buve, d’un bison, d’une bure, d’un mouflon, d’une buffe, d’un frelon de rochev endiablé , qui est qui ? quel est le nom dont nous sommes affublés tantôt ? nous cherchons ensemble vdes définitions qui pussent le faire pour une gouverne , et voilà ce quii nous occupe grandement le vplus souvent, cette chose ensemble (à mener) qui consiste àç devoir chercher ou à chercher desz sortes de définitions racées pour des notions perlées de roche donnée, n ous nous immiçsçons en roche dans ce but, njous creusons profond cela qui 

devan,t dsoi montre le bout de son soi de roche, nous voulons comprendre et trouver des solutions à des données de roche dure devant soi et pour cela nousv ezntron,s fissa, nous nous immisçons fissa,, nous nous introduisons fissa par la bande à deux, deux est La CVhose, deux est vrai, deux = le v du vrai de la chose dure devant soi = le temps, car voilà ce qui est ici := le temps est une donnée de roche, le temps est une sorte de don ou d’offrande déposé par soi sur la roche, la roche est le tourment, la peine, la souffrance, l’écueil, le temps est par soi d»éposé sur roche, la peine est ainsib affublé d’un nom dxe pâroi qui est le nom que nous portons lorsque nous lévitons, nous cherchons la vérité vraie et ceklkle-ci porte son nom de roche céleste (célèbre ? ) , nous pensons à ce nom pour l’appréhen,der et le trouver tracé sur roche, qsuel est il ? nous cherchons ce nom de roche dure, cette chose e’un devant de soi déployé, quel est ce nom ? le nom est le nom donné à la roche du temps : tourment ? passage ? corridor ? coeur ? coeur peut etre , coeur ? coeur ? coeur ? coeur ? coeur ? coeurv ? coeur ? qui le sait ? qui saiot le nom de ce tourmen,t rocheux, qui le sait ? qui connait ce nom d’un tourmùen,t pariétal induit ? qui veut nous dire cette chose entre quatre yeux ? car deux est le titre de la roche dure ! deux pour une chose à dire ici et cette chose est un dire de joie = de feu, dire dur d’un jour de joie racée nacrée, nous pensons la chose de conserve et la déployons devant nos yeux, le monde devbant soi est le présent que nous donnons (à deuxd) au dieu de la mort avide ! nous donnons de nous ce présent du monde déployé de soi, nous donnons de nous deux (roche) cette chjose d’un tourment de mots et de mots-betes qui plus est, nous sommes deux qui cherchons une vérité de poids dfans la roche = soi ! sous nos yeuxv enfantins ! soous la lumiètre crue des embruns matinauxs, sous le jour du jhour des prairies, des prés et des champs royaux aux cerfs et autres cervidés princiers, etc, nous sommes deux qui recherchons la vérité de roche ou de la roche nue telle qu’elle nous apparait à nous, de concert, sous nos yeux ouverts (grand ouverts) comme ceux des nouveazux nés à la naissance à la maternité, nous pensons que nous sommes assez de deux pour trouver en soi une vérité de bon aloi, en la roche du temps alloué, pour notre gouverne, pour nos envies,les satisfaire etc, nous cherchons ensemvle cette vérité de roche rude, ce tourment du temps déposzé etc, et qsui dépose ? qui a déposé ? je ? ce je de la fable ? ce je du temps déployé ? ces je des temps déployés à squi mieux mùieuxd ? ces je successifs de roche = nous ? tous ces je formant ce nous de la roche des temps ? nbous nous amusons de la chose, car nbous sommes joueurs, nous jouons comme des enfants amusés, nbous nous amusons comme enfants joueurs dans le sang , etc, nous sommpes enfants des roches du temps et à ce titre que faisons nous ? sinon cette chose (entre nous) qui consiste à toucher kl’oiseau dans son nid, bec ouvertt en grand commpour une offra,nde à pouvoir recebvoir etc, nous cherchons cette chose ensembvle, nous ne vcoulons pas défaillir mais tenir, conserver pour soi cette vie donnéec par la bande, cette vie d’emprunt monétaire etc, en soi (tic et tac charmant, qui bat de son allant cordial) et ce faisan,t alkler profond en icelle rochev du temps, creuser sa tombe, toucher la paroi comme un,e timbale de bonne fame, ou de bon aloi, ou de beauté , ou bien de quoi ? nous sommes soumis à une rude éprueve de roche princière perlière, rude et rugueuse, hnous sommes soumis à une épreuve temporaire, notre but est de finir en joie en cette roche animalière des tracés et pour cela : aller ensemble (main, mzain, main , main) jusqu’aiu bout du bout de cette chjose en joie en n ous qui signe ce nous conjugué et conjugal : je + je = jeux, = cette chose d’une sorte de denrée de vie à donner sur roche à une déité, nous cherchons une réponse vive et vifs, la chercvhons vifs, nous autres et vive la réponse, car nous sommes deux à faire cette chose, deux = la Chose, = cette Chose d’une sorte d’emploi, de déploieement, de délpissement, etc, qui ferait de nous des etres entiers (enfin dép^lissés) qui pourraioent donner d’eux mêmes l’image absolue de leur intégrité, mais comùent déplisser ? et où ? sur roche ? dans la vie tourmentée des je multipliés se chevauchan,t ? où donc deployer les temp)s ? nous ne pouvons pas de notre vivant = sur terre, mais peutêtre ailleurs, qui le sait ? n ous voulons compre,ndre loin, aller loin dsans la comp^réhension des choses de base : qui est qui pour notre gouverne ? qui sait squi est qui ? qsui sait qsui sait qsui est qui pour notre gouverne ? nous voulons savoir et trouver des savoirs de roche animaliers pour notre gouverne et ceux là les excposer (sur roche) comme autant d’effigies donnant de nous l’image déployée d’une déité en nous contenbue par la nbande, et, aindsi déployée, nous placer en roche (à deux) de telle mzanière que le dieu des parois nous vit et nous compri^t et bnous absouît, etc, nous chjerchons cela ensemble = cette absolution, ce travail sur soi cvonsidérable et vif, et ce jeté de roche si tant est ou qui plus est ! cazr nous sommes deux à cherchjer ! nous cherchons à deux ! nous cherchons à deux cette vérité de la roche du temps ! qui sommles nous ? qui cherche ? qui suiius je ici qui cherche disant nou!s ? pourquoi ce nous de roche dure ? qui dit nous ? cvombien sont ils à dire nous ? qui dit cette chose, ce nous de pârade, ce volet, cette rudesse ? qui dit nous dit rude ? qui dit nous dit vif ? qui dit no!s dit volontaire ? qui dit nous dit quoi que nous ne savons ou sachions pas ? et que nous recherchons ! car nous recherchobns : nous sommes en quête de la vérité des vtourmernts de roche , nous sommes tous deux (?) en quête d’une vérité solide (une vérité) «qui puisse le fairee «, et cette vérité nouscxembleb bien cachée, cette vérité semble cvachée sous roche ou cvomment sinon, ou où sinon ? sous la roche du temps déployé ! dsous cette roche dez$vant soi d’un temps de parade nuptiale, voyez la parade ! nous captons, nous recevons en nous des choses et autres qui font cette chjose de nous que nous sommes , nous sommes captifs, et capteurs de choses et autres , nbous essayons ensemble de piger des choses rudes de paroi, pas si facile ! nous voulonbs comp^rtendre ensemble, trouver ensemble, des choses de roche, pazrois dures contre parois meubles, ensemble nous voulons comprendre, nous sommes ensezmble à vouloir comprendre , nous voulons ensezmble (à deux) comprendre dans la profondeur, nous avons pour nous à comprendre dans les profo,ndeurs, nbous devons comprendre ensembvlke dans la profondeur, choses et autres, choses vives, vérités racées, etc, nous voulons comprendre ensemble ces choses de roche dure, ces données de base, ce temp^s menacé déployé sur roche, ce train-train dela base rocheusec pour nous quyi gravons des betes (betes-mots) sur la roche des temps déployés, nous voulons comprezndre ensembvle les donhnées rupestres dela vie des temps déployésq, nous voulons ensemble comprendre les temps cde la roche des temps, les déposer sur roche des tourments, des cris, de la haine consumée, des feux de joie et du tremblé de buve, tout cela ! nous donnons de nous cette chose debvanrt nbous, qui est cette chose ici d’une sorte de rudeese, rudoiueme,nt-tournoiement de roche, comment dire ? cette volonté en nous ancrée de vouloir toucher ! toucher la roche ! vif ! vif comme il se doit, et ne plus lambiner mais y aller franco de port sans plus tarder : un tracé sous emprise , un dessin de bête = mots de roche, une bete en nbous tyraçant à m^$eme laroche notre nous de base monetaire, échan,ge de bons procédés, économie paroiétale des embruns, chants de terre mère, donnée pour un retour ! et ainsi faisant nousalloons au plus profond, bnous nous immisçons dans le profond, dans le trou profond d’une roche meuble, suintante, enfin échancrée pour un passage nôtre de nos betes rosses, nous aalons en rochje fissa, nous passons par ainsi cette roche des embruns de lma mort en attente, elle est là qui veille, qui est elle ? qui donc est cette mort qui fait le pied de grue ? qui est elle ? qui donc est la mort de pareille roche enclavée en grotte ? nous pensons que la mort est une bete, nous pensons que la mort est un trou, le trou qui nbous suit, nous pensons que la mort est une entrée dan,s la terre de feu, bnous pe,nsons que la mort est salutaire à bien des égards ! nous pensons qUEe la mort est une double entyrée salutaire à bien des égardsq , bnou!s pensons que la mort est ce trou dans la paroii bdu temps, c’est à dire cette cxhose rude, ce pasdsage étroit, ce boyau dans la cabvberne, etc, nous pensons cette chose ensemble (à deux) comme quoi la mort est une entité princière de première, fiduciaire pour ainsi dire, comment dire ? la richesse m.... ! merdxum ! cette là richesse d’apparaât tu vois ? vois tu cette richesse d’apparât ? de l’apparrition , etc, la vois tu ? nous disons que nouys voyons devant nous le temps déposé, déposé comme une marque (au bureau des choses inventées), bnous disons que nous voulons savoir ce qui est au monde qui, dans chaque recoin, se déroule, etc, nbous voulons comprezndre un tout et pas des bouts, bnous voulons essayer de com^rendre un,, tout et pas du tout des bouts ou choses éparses , séparées, perdus, disséminées, chues ici ou là, nbous non ! nous voulons comprendre ensemble ce qui est pour nous qui parait ici nous regarder vivement, nous voulons esssayer de comprendre ce qui ici semble vivement nous regarder dans le ,blanc des yeux, nous voulons essayer de comp^rendre ensembvle ici ce qsui est qui nous regarde vivement, ce qui en nbous nous sembvle attirer les regards, qu’est ce ? nous voulons comprendre ensemble les pourquoi et les commênt ! qsui dit quoi à la cantonade de la paroi ? qui grimpe aux rideaux de laroche ? qui pzarle pour moi en mloi = en nous = en nous cdeux = pour nous deux = nous deux = nous = je + je =je=je=je=e=je+cettechoseenmoique«nous»avons la jhoie d’appeler de nos veux sur roche, bete fauve sur paroi de grotte (le tourment) et cette bete-je est bete de joie formant ce nous des cumuls, nous voulons edssayer de comprendre ce qui est ici en roche qui nous sied, quyi nous accompâgne, quoi ici est qui dit cette chose rude de la mort-passage ? quyi peut dire ce qui est ici pour nous , de la chose déployée, cette chose déployée, qu’est elle ? quoi est elle ici qui dit ce qui est et nous regarde ou semble nous rezgarder ? nous voulons comprendre beaucoup et encore, et ne rien lâcher de sitoôt et creuser dans les profo,ndeurs de la terre meuble, en cette roche du tourment des temps et des envies de mort et autres finitudes insérées, nous disons «non !», car notre envie ici est de rester envie, nous (je multiplié) avons cette envie en nous de conserver pour nous en ous la vie octroyée, bnous ne voulons pâs DCD, bnous ne voulons en aucune manière trépassserr mais tout le contreaire durer dan,s le dur de la roche dure ^peu-être eh bien tant pis = nous en,caisserons la monnaie, nous en e,ncaisserons le prix financier, nous hjouerons au jeu de celui qyui compte les billets ou de celle pâreillemùen,t qui jhoue la comptable du temps (pour soi) dan,s les avant- temps, nous cherchgonscdees données de base, nous voulons comprendre ce qsui est en roche en termes de dép;loiement frontal parioétal (occipital ?) qsui ewst (ledit déploiement) la chose à comprendre le plus en pareilkle roche, cette chose en déroulé de soi, cette mascarade ? cette cavalcade ? cet attroupement ? ce quoi ? nous nous avançons à pas de charge en roche du temps (= des tourments) et ce faisant nou!s cherchgons l’issue : quelle est elle ? nous cxherchons ensembvle des voies d’acfcès, où sont elles sur terre mère ? nulle part ? trou de bouche près de soi ? entreé des artistesq ? trou de basse-fosse ? hé ! qui sait ? pas nous ! que savons -nous ? notre parole est parole d’homme des cavernes = des treaits sur une roche , nous hgra-vons sur roche des treaits qui sont des mots qui sont des cris qui sont cris qyi sont le cri qui sont cri qui sont la Chose de survenue, nbous disons que nous sommes deux, nous disons que nous sompmes deux et que deux est la vérité, nous avons la faiblesse de dire que deux est la vérité, nous diso,ns que nous sommes deuxs (deux yeux ?) et voilà ce qui est ! nou!s disons que no!us sommes deux feux, deux yeux, deux voeux, deux dieux qui allons sur cette roche de paroi des temp^s, nous entrons en cette paroi fisza latete la première, nous nous introduiosons de concert, nous alloons en roche de concert, bnous nous introduisons enswembleb de concert en roche et nous tentons de repérer ce qui ici (sous nos yeux) se trame de miraculezux en termes de betes de hjoie redoublée, etc, nottre voeu sera exaucé si la peine est jugée légère etc, notre but ici est affiché et concerne nos voeux de.... substitution ? de compréhension par la bande ? d’échange de bons procédés ? de mobnnaie ? etc, nous voulons comp^ren,dre en roche cette économie de transfert ou de transport : cette fummée de roche incantatoire, ces chants guutturaux qui ornent la roche, ces lévitations pariétales vivesq, ces soupirs, ces cris des profondeursq, hurlements de rage, ces rapines, ces offran,des, ces larcins, ces crises etc, nous voulons esxwayer de trouver en roche une verité ce poids conséqUent afin de comprendrte la marcghe du monde , qui fait quoi ? qui commùande les destinées, qui cherche ? qui commande aux destinées du monde de la roche dure ? qui dessine sous mes yeux des betesq de roche ? qui dessine ou grave à ma place ? qiui erst l’homme et qui est la fezmme ? qui parle en nos noms respectifs ? qui porte mon nom ? ou plutot : en moi, qui porte mon nom ? est ce que mon nom est une entité ? est ce que mon nom est un passé ? un passév déposé , un passé brûlé, consumé, l’est-il ? qui sait de quoi , question noms, il en retyourne sur la roche ? nous bvoulons savoir ce qui erst , nous voulons comprendre beaucoup, nous voulons chercher des +, nous voulons chercher le plus que nous pouvons trouver, en roche et dans les cieux, ou bien comment ? nous voulons comp^rendre en vif ce qui est qui ici (vie de rage) se conçoit, s’élabore, se trame, se déploie, se déroule, s’organise, se met sur la place des temps, s’ébroue, nous voulons sqzavoir ce qui de cette vérité de roche nous parait ok, qu’est ce ? qsuoi donc nous parait aller ? qu’est ce qui ici nous semble convenir ? qu’est ce qui ici nous parait aller, con,cernant ctte chose d’une vérité ancrée dans la roche ? le temps est par nous de»pôsé sur la roche = sur la vie ou comment dire ? sur cela qui vibre de hjoie devant soi, cette chose incrustée de la roche, etc, nous sommes ensemble (ce chiffre : deux) pour trouver , nous cherchons une entrée, nous recherchons une entrée fiable, nous cherchons entrée de roche, nous sommes deux qui recherchons une entrée dans la roche consumée du temps ou comment ? nbous sommes dezux et nous cherchons cette entrée pour nous, qui allons ensemble à la recherche d’une entrée de roche fiable = sensée, or pas évident ! nous cherchons dans le langage une entreé de roche où pouvoir se loger et comprendre mais vas y, cherche que tu chercheras, la chose n’est pas du tout-cuit lloin de là ! que faire ? que dire ? que dire ? que faire ? quyoi dire et quoi faire qui eut pu nous donner du mou et nous laissser le temps (à notre gouverne) de piger = rassembler les élémaents éparpillés et du coup comprtendre le tout d’une vie (figure) enfin déployée, c’est àdire de notre naissance à la mort devant,, ce tout déployé , sans plis, repâssé pour aoinsi dire, etc, nous essayons de comp^rendre cette chose ici d’une sorte de déploiement centré qui eut pu nous donner de quoi nous renseigner sur qui on est = qui je suis = qui suis je en ce nous de roche décrit, quyi je suis qui dit nbous comme de juste ? qui en nous suis je, qui de nous siius je le pen,dant ou l’un (?)des composants ? je regarde 

loin devant, je suis homme des entrées de roche , je suis l’homme des cavernes entrant dans la roche, je suis homme d’une entrée à petite foulée, en roche du temps (une éternité) pour un faire , et ce fzaire est un dessin sur rochje, une bete-mots disant la vérité des choses du monde, ce mot dessiné est le mot (le nom) dont l’homme ici présent est affuvblé, il est affublé = encasqué d’un nom de roche = bete mot de roche des tempsq, par exemp^le aurochs mais plein d’autree, l’homme des cavernnes est l’homme du tourment sur roche, l’homme nu du tourmen,t à vif de la roche du temps, car il y a le temps (le présent en offrande) et l’endroit de dépot (la corbeille) qsui est cette chose d’une roche dure, très dure, méga-méga-dure en vérité, zone alpestreev (rupêstre) des tourments et autres vilenies et autres souffran,ces et autres douleurs liées à ma race etc, eh merde ! eh zut ou mèfle plutôt ! car je suis ainsi comme affublé (cxhandail de bure de misère) de ce nom de rage en moi, qui me fait aller sur roche illllico presto tracer à demeure des betes (mots) de poids performants (perforants ?) , ainsi de suite une litanie, et voilà ce qui s’ensuit , de toute l’affaire, ce qui s’ensuit est cette chose ci, cvommme quoi la mort est cette porte close du monde ou le monde clos, comment dire ? la mort est chose borgne, pour nous = close, fermùée, pâs de passage, pas d’issue ou de trouée quyi nous permezttrait de nous faufiler et d’entrer en elle par la bnande (vif : pour savoir) , rien de reien, la mort est borgn e = chose borgne, ou pas ? et la vie est une chose tourme,ntée comme la roche dessinée par lo’homme des cavernesz, je dis jke quand je parle en mon ,nom, or mon nom n’est pas mon nom en soi, mon nom est MON NOM, c’est à dire cettee chose en miroir ou ezffet de miroir, qui fait cette chose comme quoio MON NOM est une effigiev animalière, une figure d’animal de poiods etc, je dis je pour dire je comme quoi je suis, et je dis nous pour dire nou!s comme quoi nous sqommes une tribu, nous sommes pl;usieurs qui alloons sur roche (= au moin,s deux, et d’apres moi : deux) et c’est à deux (la droite et la gauche dans la symetrie du nous) que nous trouvons cette chose d’une voix donnée comme par la bande, nou!s trouvons ensemble (nous = NOUS) cette chose d’une symétrie de parole («ah oui ? où ça ?), danc ce «ça» de la roche aux tourments, «ça» est la vérité vraie d’un tourment animaliezr qui en impose (qui se pose là) il semblerait, il semblerait que «ça» soit ce trourme,n,t animalier de roche, qui serait debout c’est à dire devant nous, qui serait deéposé devant nous, debout, droit, qui serait ce droit dépot sur roche d’un temps calciné formùan,t cette roche rugueuse d’un temps déployé, npus cherchons ensemble une vérité de bonne renommée, nous cherchons bvérité de belle renommùée ensemblec : la trouverons-nous dans la roche ? nous voulons savoir ce qui enj roche nous attend , nous ne savons pas ce qui en roche nous attend, bnous ignorons par le bout ce qui nous attend en pareiklle roche, qu’est-ce qui nous attend en cette ropche des tour=ments, des peines et des souffrances an,crées, nous ignorons ce qui en roche nous tendrait les bras, ce qsui est en roche pour ce nous de nous déployé, nous ne savons pas ce qu’il est ou ce qu’il en est , qui est il ? qu’est ce nous déployé sur roche ? qu’est ce nous sur roche dépliszé comme un vetemùen,t de sacre ? que est cette chose sacrée ? quoi est ce sacre nouvellement né ? que est ce nouveau né de roche ? qu’est il ? que est ce roi neuf , nouveau, sortant desz limbes ? nous ,ne savons pas, et nous rechercghons par lma bande une sorte dfe définition qui pour nous eut pu le faire grave (si possible) et pour cela nous nou!s sommes fissa (direct) placé «à la droite du père (tu vois un peu !) et là nouds prions , c’est à dire que nous dessinons , qui des bouquetins, qui des rennes, qui des cdertfsq, qui des ours, qui des chev aux, qui des mammouths, qui des élans, qui des biches, qui des cerfs royaux oubméga cerf des lieux sacrés, etc, nous marquons notre passage en ce lieu des rois par une représentaztion «qui eut pu le faire sérieux» mais à voir ! pas s^$ur que chose fussse ainsi si fgacile à faire 

rien de moins sûr en vérité ! personne ne sait ! qui le sait ? qui peut dire qu’il le sait ? qui saura dire cette chgose comme quoi la vie ici est cette chose rude et dure de paroi de roche, et le temps est offert (serait) par nous en guise de donnée de poids qui satisfgasse qui on sait dorénavant = qui de droit si vous préférez, nous disons lesq mots animaux de parois, et ce sont nos noms dee roche dure = ces noms du tourment passdager, cette vie de roche brute en tant que vie de souffrances (douleurs) à encaissser cde conserve, nous pensons que nous devons aller en roche longtemps et pleurer les la rmes (toutes) de notre organisme pleinier (cette chose bicéphale à marquer sur roche),; nous pensons que noptre but est de pouvoir enfin trouver en roche cette vérité des te:mpsalloués, ce que est cette vérité des temps impartis, etc, nous donnons le temps nôtre de notre côté et de l’autre le temp^s déployé est un tempsrocheux de représentations disons frauduleueses ou tout comme, bnous pleurons des larmes fauvesz, nousv pleurons nos larmes échues, nous pleurons larmes chues de bonne grâce, nous avons un cortps ambivalent, nbous avons pour nous un corps de pâroi de roche et au delà de nous un corps de senti=ments allégoriques, nébuleux pour ainsi dire, fait de mots soit de mots creux comme des perles à en,filer sur fil de roche de ce temps de la pâroi de l’homme, de cet homme à cran, à crinière, homme-faon, hommùe chevalier ou bien cheval, homme rupestre, hommùe ancien des temps menacés, homme de la préhistoire et des tracés sur paroi de grootte, homme du nom dit comme dans un cri de bete la mort 

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28/06/2021 

nous sommes des êtres de feu, nousc entrons en roche comme en religion, notre corps s’immisce = s’introduit, nous nous avançons de concert, nous nous introduisons main dans la main et passons le cap de la roche dure, nous sommes ensemble cet ensemble vif, nous entrons de concert en cette roche des abris, du temps menacé, des paris, etc, nous sommes ensemble dans la roche dure, nous nous avançons de concert, le temps de roche est temps menacé, nous allons en roche profond,; nous sommes deux pour ce faire, nous sommes deux pour ainsi aller en cette roche des abris, nous sommes insérés, nous sommes dans, nous sommes immisçés, nous sommes pris ainsi en cette roche des temps fou, comme insérés-blottis en elle, immiscés-intyéghrés, nous nous enlaçons, nous somes en cette roche comme en religion : pris-immiscés-insérés-blottis- comme-condamnéss à ainsi se loger en elle, lovés, mis en elle ainsi à deux enlacés, etc, nous sommes en roche intégrés, nous nous avançons dans le temps meurtri de pareille roche des temps, nous portons des noms d’emprunt, notre nom est un nom d’emprunt, nous sommes dans la roche comme deux qui nouus insérons par devers nous, pris à mal ou pris à partie et nous nous insérons de concert au plus profond de pareille roche du temps, noys nous introduidsons fissa en cette roche des embruns de bord de mer, nous sommes dedans deux êtres de feu qui allons gaie- ment amenant la bonne pariole d’un dieu vertueux, nous nous immisçons en cette roche dure ornementée, nous sommes homme-femme des cevaernes, l’homme et la femme, nbous noys intégrons fissa en cette roche des temps qui passent, nous sommes dedans comme deux qui s’insèrent en se lovant-logeant en icelle pour la bonne cause, nous nous insérons en pareille roche du temps ;,, nous sommes en elle deux qyui szommes fous lovés, amoureux transis, oiselets dans leur nid, nous avbançons en roche et nous nous intégrons à pareille roche des temps menacés, etc, nous sommes deux bambis des bois et sous bois, nous sommes chevreuils, betes des bois de la lande, amoureux transis lovés en roche poour la bonne causerie, nous nous avançons en cette roche des temps impartis menacés, nous savons la roche son envie, son envie de rage, l’envie de sa rage, son envie racée de nous voir lovés en elle : nous sommes ses bébés, ses faons de dernière mi- nute ertc, nous nous intégrons en pareille roche des temps impartis alloués à notrte gouverne de bete des bois, nous sommes deux ainsi, nous nous intégrons à la roche, nous sommes deux dedeans à nous intégrer-immiscer fissa en cette roche des paris de rage, des temps fiers, des orages temporels, des hommes et des femmes des cavernes, des aboutissements frontzaux etc, nous nous sommes logés en pareille paroi par la bande et nous y demeurons un temps (alloué) jusqu’à nouvel ordre : nouds sommes faons de roche dure, nous sommes faons de la roche des temps et nous noius promenons en roche, en pareille lande, sur roche, sur le pré de la lande par la bande, nous nous promenons ensemble, faons de roche dure en ce lieu précis d’une sorte d’embardée votive, nous sommes accouplés, nous nous aimons, nous sommes deux en nous qui nous aimons, qui nous montons : lévitons, entrons en roche, immisçons-nous ! allons dans la roche du temps ainsi lévitant, nous devons comprendre cette cgose ici qyui est cette sorte en nous de désir appuyé pour une immixtion du corps entier en cette roche dure des temps impartis, nous devons comprendre cette chose et fissa nous intégrer à pareille poaroi ornée , parmi les betes dessinées de la roche : aurochs et ours des plaines, bouquetin des parois escarpés, lions des plaines, armées de bisons ou de buffles, nous nous intégrons fissa en cette roche, nous sommes deux pour pareille cause temporelle, nbous nous immisçons ainsi en cette roche des embruns de bord de mer, nous sommes deux faons de ta race mère etc, nous avançons, nous gambadons, nous sommes entrés en lévitation, mi hommes mi betes, comme il se doit, nous sommes deux pour ce faire, nous solmes deux à devoir nous immiscer en rioche des temps et fissa s’intégrer aux profondeurs d’icelle : là où le bât blesse, là où ça fait mal peut-être, etc, nous sommes à présent avancés, nous avons tracé, nous sommes loin de l’entrée de roche, dans les embruns, nous voyons la fin:cetterochedure ouvertedevantsoi,cetteéchancrure de paroi meuble, cette sorte de chant langoureux (?) ou comment ? nous nous avançons ! nous sommes devant ! devant la chose qui est cette cghose d’une sorte d’échancrure dans le temps pour deux ! nous noius enlaçons, nous cvopulons, nous nous intégrons l’un l’autre fissa dans la roche en dur, nous sommes de la partie (le jeu) de la roche des temps octroyés, nous sommes deux à nous insérer à Roche du Temps Imparti, cette personne, cette chose, cette voie, ce chandail = veture pour une immixtion de bure = pauvre, menacée, sur un fil, tendance discrète etc, nous nous sommes mis en danger ainsi et nous nous avançons en roche des prés et des sous bois ensemble main dans la main comme deux qui s’aiment (dirait-on) et qui vont en roche à larecherche d’une voix qui saura leur dire le chemin à suivre, les guider de toute éternité si tant est etc, nous sommes sur roche des temps et nous nous intégrons à icelle pour un temps donné par elle, alloons ainsi ! nous allons ainsi , nous sautons (sautillons) en prairie et gagnons la lande, nous nous immisçons dans les profondeurs, cherchant Vérité de Roche la bien nommée, nous la recherchons vaillamment : où donc est elle logée ? où va telle ? que fait elle ? où latrouver ? nbous nous consultons et nous pensons que pareille chose est située plus loin dans les embruns, au fin fond de pareille roche ornée par x hommes et femmes des cavernes, nous devons co:mprendre cette chose ici d’une sorte de paroi votive ornementée, décorée comme sous emprise guerrière (en dsoi) par un homme des cavernes mi-bête (c ghevreuil ?) mi-homme ou mi- femme, car il est ainsi que pareille bete faite homme ou femme grave, dessine à main libre (levée) des sortes d’effigies rupestres de belle tenue, ressemblantes avbec leurs modèles, finement tracés sur la roche, impressionnnante de vérité, etc, nous savons toute cette chose d’une sorte de «véracité de bon aloi» afin de faire croire = accroire que : que cela est vrai mille dieux ! que ! que cela est la vérité vraie de la roche dure ! etc, voilà ce qui est, ce qui ici en roche semble se tramer, etc, il semblerait du bmoins, il nous apparait cette chose ici, comme quoi laroche dure est roche des temps alloués à une vie tzerrestre, à un pasdage, à des amourettes de betes, etc, et que donc ici est cette chose ouverte de paroi = échancrure, à traverser fissa par lma bande ou autrement (comment ?) à deux de préférence car à deux c’est mieux etc, nous pensons que nous devons encore ettoujours creuser cetyte roche dure des apprêts, nous nous devons de creuser la roche, de tracer, de graver et desinner des betes de poids, bnous devons creuser pareeille roche des bois et nous introduire en icelle concomittament = de conservce = ensemble un ensemble = conjointement = conjhoints = ainsi faisant à deux la chose d’une sorte d’immersion (immixtion) brutale, face à face (roche et soi) en pareille grotte : lévitation ! changement d’optique ! transubstantation, transvasement, transfert et transpôrt, trnsbahutement etc , nous nous transbahutons de concert (main + main) et entrons, et là ... mirackle ! une biche des prés nous attend ! en roche ! au coeur de la roche ! une biche de bon aloi ! une sorte de consoeur, une sorte d’amie fidèle ! nous la suivons , nous allons après elle sur son chemin, nous nous blotissons ou nous unissons après elle sur pareil chemin qu’elle dessine au ciel de sa course, ou au ciel dans sa course, etc , nous sommes éblouis, ébahis, baba, transis, étonnés voire subjugués, etc, nous suivons la bambi des prés de la bande, nbous noous ionsérons à son pas de chasse ou comment ? sa parole ? sa voix ? son chant ? son tracé ? son embardée ? nousallonsaprès elle et nous ne la perdons plus de vue, nous ne voulons pluys la perdre de vue, nous voulons la garder pour nous (du regard) et ne pas l’égarer, nous sommes deux de ses fidèles etc, bambi est roche des prés ! nous passons apres elle , nous la suivons, nous la suivons de près, nous ne la quittons pas du regard, nous sommes faons de roche dure après bambi, nous aimons cette bambi des prés, des prés vertts et des bois et autres sous-bois de la roche des temps, nous aimons cette bambi de feu de roche, nous la suivons : 

où va-t-elle ? où nous mène-t-elle ? où veut-elle nous cxon- duire ? nous savons des choses au sujet d’icelle comme quoi elle aime la roche, gambade menu, va devant, va loin, etc, une sorte de bete de roche allouée (la roche) à une sorte de temporalité votive , et Bambi de se glisser en roche comme «dans la vie de tout un chacuun sur terre-mère», etc, nous suivons bambi, nous mener loin en cette roche des prairies offertres de parois, de roche dure, etc, nous nous intégrons à la roche des tempsa lloués à une vie terrestre, il s’agit de sui vre Bambi dans les prés, nous devons la suivre des yeux puis courir après elle et ne plus la perdre : où nouys mène-t-elle ? que noius veut-elle ? quoi veut-elle dire (nous dire) ? nous ne savons pas, nous la suivons, nous sommes faons de roche dure et elle elle est bambi de roche dure , comme nbous, comme nous de roche dure, et nous de la suivre fissa sans la perdre de vue, car nous ne dezvons pas la perdre car nous sommes sou- mis ou comment dire (souymis ?) à elle ! à sa course brute, vive, r&acée, etc ! nous suivons Bambi en cette roche de paroi de grotte, bnous voulons comprendre cette biche en ses soubresautsq, nous voulons comprendre icelle bambinette en ses échappées pa riétales ! qui est elle pour filer (sautiller) ainsi ? nous ne savons pas ! de la roche des temps alloués ? certaineùment ! mais pas seulement : Bambi est une bete de rochge du temps mais ausssi notre amie très chère de la roche dure, notrte invitée ? ou nousautres, invités ? nhous devons aller en roche dure et nous coller aux basques d’icelle bambina des prés alloués ! nous ai:mons Bambi comme la roche, comme nous aimons la roche et aussi comme l’aime la roche (il faut croire) et voilà pourquoi nous ne pouvons plus nous empêcher de suivre icelle du regard, bnous ne pouvons pls ne plus la suivre du regard car nous sommes scotchés à elle et à sa course pour ainsi dire , où nous mène-t-elle ? qui sait ? nous ne savons pas, nous cherchgons parade, bnous cherchonsq ensemblke à comprendre le plus de ce que nous pouvons comprendre de pareille roche habitée par des créatures, nous sommes eznsemble en cette roche des embruns de bord de mer, bnous allons ensemble loin, nous gravitons et gravons, bnous chercghons la vérité du tempsallouée où se loge-t- telle mais voilà : il n’est pas si simple de la dénichezr ! ou est- ekllle ? que fait -elle ? où se loge -t-elle en roche ? qui va là en roche etc ! car : nous aimons la roche, Bambi (la gouverne) et l’ornementation qui va avec = fresques, effigies, gravures, traits, etc, nous aimons la roche ornée par x ou y hommes des cabvaernes en transe, nous voulons comprendre les données les plus subtiles, nous voulons co:mprendre dans la profondeur de la roche les chodses du temps ce qu’elles sont pour nous quyi sommes faons de pareille (icelle) roche meuble (à orner fissa pour la bonne cause) des temps impartis , etc, nous voulobns cerner, piger, prendre pour soi (avec soi) la chose rude ici d’une roche des temps menacés (comme il se doit) etc, et nous introduire vite fait bien fait en cette rocghe échancrée de la roche dure des temps, de pareille roche du temps averti ou quoi ? nous sommes des êtres de rage en rocxhe, vifs l’éclair pour la bonne cause commune , nous devons faire ainsi cette chose rude d’une sorte d’embardée native dans le vif de pareille roche des tempsalloués pâr une déité de roche quelconque, ou pas ? car Bambi nous entraine à elle à nous glisser ensemble «dans la fente», et quoi est elle ? que est cette fente (échancrure en d’autres termmes,, ou fissure) ? quoi est elle ? qu’est-elle ? que est elle ? ou : qui est elle ? que / qui est cette chose ouvertte devant soi comme le temps , que ? qui ? quyoi ? quoi donc est cette chose devant soi, qui s’ouvre fissa au fur et à mesure et semble nous cueillir (accueillir, receuillir) en cours de route après (le passage de ) Bambi , qui ? quyoi ? que ? quand ? comment ? pourquoi, c’est à dire quelles sont donc les raisons qui président à ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas ! nous cherchons avec beaucoup d’en- vie et de sérieux et ds’allant et de motivation de tous les instants ,nous cherchons des choses sur roche, nous cherchons sur roche des choses qui puiissent lele faire» et de ce fait nous indiquer le chemin à suivre, comment y aller , comment faire pour y aller, quel chemin suivre, comment se placer sur poareille route de destinée etc, nous ne voulons pas baisser klagarde : nous voulons savoir ! nous ne sommes pas venus pour rien ! nous voulons savoir, comprendre, emmagasiner des savoirs, repérer, conna^,itre, intégrer, ingurgityer des données commecd’a ucuns des vivres, nous sqommes ainsi placés sur la roche comme suit : les cornesc devant qui percent, le regard porté sur la lande , vers des propfondeursq, le pas vif embrayé, et prêts à bondir et passer la roche : fissa ! colmme d’une sorte d’écran de joie , etc, nous sommes deux pour cela et à deux en a vançons, bnous ne vou;lons pas perdre le fil de ce temps de roche ornée,, nbous nous promenons parmi des betes de parois de grotte (aurochs et bisons, rennes et chevaux) et nbous nous in,filtrons tantôt en pareille roche des temps alloués à une cause, cette cause est celle qui concerne les embruns de roche, les données de roche, etc, noussuivons bambi, nhous sommes ou plutôt nous ne sommes pas peu fiers ! nous suivons la bambine des prés de laroche : LA, et nous nous avançons apresz elle de la vérité deposée , nbous nouys avançons de cette vérité déposée du temps, déposée sur roche (en roche) et qui est donc ce présent du temps octroyé devant (devant soi) comme une sortye de paroi à traverser pour la bonne cause, nous nous intégrons à pàareille roche, bnous nous intégrons à cette roche des abois, des temps vifs, des temps de grave, du pari fou d’entrerr en pareille paroi, etc, nous cherchons ensembkle ici même (roche) le de la = le fin mot dela : vérité de la roche du temps, cette chose, et nous gardons l’espoir qu’un jour en vrai bnous sauronsq ! qui sait ! peut-etre un hjour en swqaurons nous long sur pareille chose des embruns, qui le sait ? bambi ? certainement ! aussi : nous ne la quyittons plus du regard, nous avons compr’is le pot aux roses et kl’importance de Bambi sdans la narration, nous ne sommes pa s (plus) dupes de cette chose, c’est-à-dire d’une sorte de bete du bon dieu ou de qui d’autre , qui se- rait dès lors son agent de liaisqon, une sorte d’envoyée spéciale, etc, sur roche, pour nous a utres, pour les etresq de peu (et de feu !) de la roche = nouqs a u t r e s , des bambis ou des pseudo-bambi des temps, etc, des ressembla,nces tracées à main levcées, ezffigies du temps- qui passent, tracés sous emprise, dessins d’hommes des cavernes des temps pariétaux, etc, nous allons en roche ainsi = à la recherche d’une vérité ! laquelle ? celle qui touche aux données primaires, premières, primitives, natives, etc, nous voulons comprendre le monde du temps imparti de la roche des embruns, qui sommes nous sur terre pour parler ainsi de bnos rezcherches ? des hurluberlus ? des paradsites ? des microbes ? des vieux ? des jeunes ? des absents au monde ? des etres de peu de foi dans la roche ? ou tout au contraire : des êtresq de beaucouop de foi dans la roche ? qui sommes nouq ? des paroles ? des cris ? des etrezs de feu et de rage en soi ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiii ! etres de feu (en nous-mêmes) et de rage folle (sûr !), et nous voilà, nous sommes là, nous sommes entrés dans la roche parmi toutes ces betes près de nous qui paissent quiètement , leur hzerbe de paroi verte, etc, nous nous avan!çons sur cette roche du temps, nous regardons ce qui donc se treame autour de nouys, cesz betes qui paissent (etc), nous n’avons pas peur «d’y aller», de nous initier à laroche , nous nous intégrons à cette vbérité de bon aloi, dite «de bonne fame = renommée», bnous cxhezrchonsz, nous ne sommes pas en reste de chercher que tu chercheras toutes ces vérités, dures, de roche dure, bnous voulons cerner au plus près ce qui setrame sous nos yeux ezn cette rochge des temps alloués à une vie de roche rude, nous pleuronbs (ah bon «) et pleurant nous nous glissons dans lze sillage de bambi la bien ommée, et la bien venue, cxar elle bnous aspire (entraine) de son p)a s d’allant (ou d’é&lan) vers une vérité de grave teznue qyui sera celle là que bnous avons voulu, que nous espérions, que nous attendions de connaitrte : qui est qui en roche ? qui va là merde ! qui ? nous ne savons pzas, nous voulons nous glissezr a u fin fond de cette paroi faite de mots de la lande (de la b ande) qui est celleb là q!’autefois des hommes et femmes des cavernes ornaient puissament lors de belles nuitées incantatoires (etc) : les mêmes, celles là que nous chérissons par notre gouvezrne, parois de la loge du temps, etc, car lme temps se loge en roche comme ailleurs se logent des etres en des nids de roche, etc, bnous savons cette chose comme quoi nous respirons par la bande et vivons deèsq lors en cette roche commùe l’animal ou la plante : les pieds sur terre ! nous savoons cela, nous ne sqommes pas ignares en toutes chosesq, car en vcrai il y a des choses que nous savons, nbous savons un nombre peut-eztre réduyit de choses mais enfin nous savons, nous savons un certain nombre de choses des temps, un p-etit nombtee vraisemblablemùent mais pas si infime en vérité , nous avons des mots en maga sin (en nous m^emes) pour dire cette chose cxomme quoi nous sqommes à la recherche d’une vérité d’imporetance et de belle (nette) envergure, commenjt faire pour s’en approcher ? en piquant du bec sur la roche, percée d’icelle paroi au pic du bec, comment autremen,t ? nous voulons entrer «dans la vérité «, voilà le hic (hic ?) ! nous voulons entrer en cette rocghe des vérités «bonnes à dire», nous voulons com^prendre au plus profond les données du mondec, que faire en, pa reille roche pour enfin sa voir de qUOI il en retourne de toute cette a ffaire de roche avertie et autres parois ornementée par la ban,de langagière de cet homme des cavernes sus-décrit, nous voulons sa voir ce qui est ecxactemment, ce qu’il en retrourne de toute l’affaire, qui est qui ? en vérité : qui de quoi est qui, ou bien : quoi de qui est quoi ? ou quoi ?. bnous ne sqavons pas trout ! (nous ne savons pàas tout ! nous ne savons pas tout loin de là ! nous ne sacvons pas touut hélas ! que savons nouqs ? nous en savons peu en vérité (en définitive !) : nous savons quelques bricoles, nous savopns quelques petites cghoses , mais ezn vérité ezn, définitive que savons-nous ? que savons nous que nous pouvons dire sur roche ? que savons nous que nous pouvons tracer, ou bien dont nous pouvons, ensembkle, tracer la figure , quoi ? bouquetin ? ours des parois ? cheval des champs de course ? bec ? brebis-ouailles ? quoi donc ? nous pensons que nous ne sqommes pas prêts cde savoir, nous sommes même loin de szavoir ce tout, cette chose de la groote enfouie sdans une terre mère de paroles chues, etc, nbous devons comprendre ensembvle (des mots) pour aller plus loin en besogne, et pour ce faire : du bec ! du bec sur la roche ! creuse que tu creuseras ! comment faire autrement ? notre but s’afficxhe en direct , il est inscrit en toutes lettres sur la roche : «recherche assidument une laisse», etc, ca&r nous sommpes betes à joug, nous trimons sur tezrre, en chions grave grave on l’a vu ! etc!, nous devons comprendre fissa un nombre conséqueznt de choses rudesq ici bas (terre mère) et aller ezn roche à la recherche d’une vérité de poids, de celles qui pèsent lourd dans la balance des données de roche, nous chervchons loin et longtemps et pas sûr que nous voulions lacher la main sur pareille chose des embruns ! pas sûr du tout ! car nous cherchons ! nous sommes des cherchzurs de roche, ou de la roche dure, nous cherchons (en mots ! ) la vérité (la vraie) dans la roche dure (le temps) : voyez misère ! pauvres hères que nous sqommes ezn roche, qui chezrchons des vérités bonnes à dire et à graver sous forme de bêtes de hjoie pariétales, bnous voulonsessayer d’entrer en, cette roche par la bande ezt pour cela : le dessin, la gravure, c’’est à dire en résumé- lareprésentation au plusq fidèle des traits de la bêtre, on le voit, nous bnousq essayons, nous ne sommezs sûrs de rien, nbous avons du cxhemein encore (beaucoup) à parcourir, nous -ne devons pâs baisser la garde, nous dehvons aller fissa le plus possible en cette roche à intégrer ense’mble (pour la bonne cause) jusqu’au bout, ce bout qUel est-il ? eh bien ce bout est le bout du bout (comme il se doit) ! c’est-à-dire ? eh bien, il s’agit très exactement du mot de la fin ! et quel est donc le mot dela fin : «fin» ? pâs vraiment ou pas que ! quoi donc alors ? le mot de la fin est cvelui ci : avide ! c’est à dire ? avide (à vide) = avide =qui a faim et soif ! nous cherchons , nous ne sqommes pas en reste de cghercher des vérités, nous voulons chercher ensezmbvle (main, main, main ,main) desq sortes de belles vérités de choix ! de premier choix si possible ? nou!s cherchons , nhous cherchons à même la roche du temps ce qui donc pourrait se tramer en elle en ma tières de données de base fiable, qui est qui ? quyi est le frère de qui ? qui est le parent de qui ? qui veut savoir ? quyi veut toucher latimbale du temps ? moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii dit la bete et à moi de le comp^rendre;, car je suiis moi même mi bete mi homme/femme, je pezux donc essayer de comp^rendre la bete de poids (de roche) près de moi : son pôids imposant, sa placidité, son engouemen,t renouve»lé pour l’herbe desq preész, sa paresse (?), son allant de petits pas de base, je suis homme des cavernes de céans, je suis cezt homme des ca&vernes attendu sur ce chemin qUI mène ou mènezrait loin, et si oui où donc ? où ça ? car en tant que tel (= homme des cavezrnes) jhe me dois de pouvoir savoir ce qUII est ici setramant de la sorte , je cherche vérités de roche, je suis homme des cavernes à la recherche d’une vérité animalière, je suis homme des cavernes, je m’avance en rocxhe», je m’immisce en elle sous lm’emprise x’une bete e,n moi de rage forte (folle) qui va (fissaa) en roche s’immiscer, via ce pic de moi acéré, soit le moi du pic, soit le pic du moi, etc, je vais sur roche de la sorte muni, je vais en ceztte roche du temps comme muni «en moi» d’un pic de percée de roche = une vrille ! une sorte d’échancreur etc, pour immixtion complète et passage en entier de l’autre côté xde la roche, je veux ceztte chose d’une vérité de roche, et pôur ce faire je m’incruste ! je fais le gué ou comment ? le pied de grue ? je m’impla,nte et guette ! je ne lache pas le morceau ! je suis là et bien là (bel et bien) afin de faire cette chosex: ne plus s’en aller et attendre l’arrivée massive d»un «troupeau de vérité de roche», etc, je veux cette chose, savoir et pouvoir ! sa voir de quoi il en retourne (l’envers du décor ) et pouvoir = cette chose, cette chose d’yune sorte en soi de savoir a&gissant, de savoir vif qui pousse à agir et à décider : qui et quoi, quoi et qui ? ou plutôt : qui croire ? et quoi pen,ser ? car voilà ce qu’il en est ici (en roche du temps) qui nous enquiquin e fortement, cette chose d’un vouloir-savoir pas bvraiment rassasié, pas vraiment contentév etc, le savoir en bnous reste sur sa faim et en redemande ! nous cherchonsqa upluslointa in (des choses) et peut-etre n’’st -on pas a sserz vigilants et voyants voire lucides ou même extralucides, non ? nous n,ous avançons en roche, nous nous tenons par la main, nous voulons essayer de comp^rendreles eznjeux vitzaux de cette chose d’une sorte de paroi à graver par la bande pour sa gouverne (la tenir en vie) , nous sommes deux à penser cette chose d’une sorte de drôle (ou pas ?) de vérité nacrée, ou sinon nacrée bleutée ? ou comment autreement ? nous voulons des choses connaiotre en icelle roche ! nous ne voulons pas (pklus) passer à côté : comment s’y prendre ? plonger sa ns la roche, s’»immiscer, passer 1 la tête, puis le reste, ne pas reculer, fr(apper de son poing sur table d’offran,de, etc, nous xcherchons la vérité ! qui est donc attenante à la roche : une déité pour ainsi dire = une sorte de collage de croyance par les mots de la bande ! ou comment cette cxhose ? nous pensons que oui en vérité la vérité est accolée à roche-mot comme la pierre au sol du fond ma rin, qyui la porte pour des tempsz lointainsq, pour des temps immémoriaux, nousq guettons (nous faisons le guet) et ce faisant nous persisqtons = nous restons en vie sur terre-mère (etc) , nous voulons compr 

endre beaucoup de toute cette affgaire, nbous pensons que nous savons des chgoses, nous pensons que nou!s ne sommes pas en reste de savoir un peetit (peut-être) nommbre cde choses mais enfin,; même si petit il n’en existe pas moins et nous pezrmet une première approche des dsonnées de base des choses du temps, les moçts sont accolés à la paroi du temps, les mots de la croyance dure (inébralablme) sont des mots de peu mais qui s’incrustent et gênent aux entournures celle ci qui devant nous nous guette de son oeil de rage folle (la mort, forcément) et nous de bnous glisser dans le sillage (donc) de notrte belle et douce bam bi des prés, elle nous entraine, elle nous montre le chemin ,elle nou!s guide sur pareil v-chemin de vie (destinée)quiesttera cé de roche = animaux de pierre, chantsqc d’oiseauix, parafdesq nuptiales (pareil !) , et voilà pourquoi ,nous en sommes là dans nosc recherches (et non plus loin) : car nous sommes meurtris, touchés au vif, génés aux entournuresq , par en nous un verbe vde peu de foi et cependant foi de l’homme entière, entière foi , de l(hgomme de rage et du sang, son entière foi pâr la bande etc, nous voulons comp^rendre et creuser la roche pour cela, et de fait c’est juste ce qUE nou!s faisons : creuse que tu creuesras ! nous creusons a ssidument , nous voulons aller dans les profondeurs, nous voulons savoir -dans les grandes largeurs, nous ne voulonbs pas lâcher la bete des prés mais tout au contraire la suivre de près, ne plus la ^perdre du regart, courir aprèes elles (qui l’eut cru ?) et se laissezr dès lors embarquer vers un ezndroit de bord de roche terminale : cettye chose d’une finitude, etc ! nous savons cela ! nous n’en sommes pas dupes , nous sa&vons qu’une échéanvce nous attend, nous savons ceettte chose xd’une sorte d’échéance au loin (horiozntale) qui sans le moindre doute nous atteznd (nous attendrait) dans la nuit des temps, et aussi voilà la chose que nous penso,ns, nous pensons cette cghosecomme quoi nous sommes cuits, ko, pas d’attaque, pas faits pour cettye chgose d’une traversée -enjambée vivants cde la roche des temps finale, ou desz temps finaux si ce sont les temps, etc, nou!s cherchons à comprendre ce qu’il en retourne de pareille vérité de roche si tant est ! nous voulons cxomprendsre ainsi armés mais allez donc comprendr’e quelque chose ainsi a rmés ! les mots ne peuvent rien dire de la roche dure, ou si, la seule chose, ils peuvent ou pourraient dire = figurer la roche, ou comment ? dire leur dire d’un dire de roche, ma&is pa s davantage : non ! car quoi, car les mots sont des «acco;lész» de rochge dure, des rajouts blottis, pris dans le vent, etc, nous gravons des betes squr la roche, nous sommeszv ensemblev à graver sur roche des a urochs de belle prestance et autres buffles de compâgnie, bnous nous dezvons de faire cette chose, c’’st à dire de graver encore et toujours ! nous gravons : betes de la roche dure, des auroichs , des bisons, des buffles, des bouquetins, des ours, desq lions, des chgevaux et des rezbnnes, nous sommes hommes et femmes de lapréhistoire, nhous sommes deeux en roche (introduits) pour ce faire (la gravure, le dessin) et en imposer de la sorte = en cracher = cra cher = en ficher (foutre) ^plzin la vue, faire imp^ressionb, faire son impression, impacter comme un mort cde faim impacte l’auditoire avec son cri de famine lancé à la cantonade, etc, nous chezrchons u,ne vérité de bon aloi à se mettre sous la dent, du genre «vérité de la roche des temp)s «, nous voulons aller lkoin en roche et trouver des rzaisons d’y croire = des raisons primâires = premièresq = de base = du temps des naissances etc, nou!s ne voulons pas rester en raxde : qui est qui ezn p)areille roche ? le cheval eswt§-il cheval , c’erst à dire en vrai ? trépignant en ca va l c a 

de ? nou!s ne sacvons pas , nous pen,sons que oui, que en ezffet, l’image ici de la bete est ou sezrait la bete ! peut etre ! no!us ne savons pas, nous espérons d’un jour pouvoir (savoir) mais à c e jou!r que dalle ou presque = des quoi (savons-nous) sinon des «clopinettes» de pa roi du tem)s : l’homme des cavernes est un homme vif, l’homme des cavernes a ime sa tribu, l’hommùe dees cavernes chante sur roche, l’ghomme des ca&vernes enduit son prochain, l’homme des ca vernes pose sa voix (sur quoi ? sur roche !), l’homme des cavernes est a ssi du, ne lache rien, l(‘homme des cavernes est profond, l’homme des cavernes entre en, roche par la bande incantatoire , et là, e, n pareille roche dees temp)sq , il grave grave, il pa rle sévère, il part en des incantations sévères, etc, il est pris piégépar en lui la voix de la bete des roches, cette bete en lui surnumùéraire comme un doigt de plkus à sa propre main, etc, je suis homme des cavernes, je suisc un homme des cavernes des temps anciens, je gravce à l’envi sur roche «mes effigies»;, je ne cè§de pa s, je ne vlâche p
as, je suis concentré à ma tache, jke fais des figures, des betes dxe race», je figure et treace fissa sious emp^rise: qui suis je ? une bete en moi, c’est à dire : la bete en moi ? qui squuisz-je ? un e voix de fausse roche en moi ? q<ui suis-je ? voix de fausset ? qui szuis -je ? une bete des prés ? qui suis je ? une sorte d’otarie ? qyui suisq-je ? un ben êt ? une triple buse ? un con massif ? un connard de ta race de con ? une biche élancée quoiqu’effrayée ? qui suisq-e ? un chien de rue ? un,e sorte de bete à cornes mais laqUEZlle ? kje ne sais, je ne sqais pas qyui je suis, je ne sais pas qui je suis du tout, qui suis-je ici qui cherche une chose rude (ou chercherait) ? qui suisz je en roche et qui suis je hors de la roche ? suis je cet enfant de roche dure ?l’enfant de la roche dure des temps ? suis je cet eznfant ? suis je resté un enfant ? suis je l’enfant en soi qui demeure ezn roche ? qui parle en moi (perle?) ?qui va là ? qui vient nous importuner da&ns le san,g ? je suis l’homme des cavezrnes intégré, je suis un homme-né des cavernes de la roche dure, de et à (roche ou tête dure) ou sinon quoi ? femme des cavernes ? je vais et je viens en roche du temp)s, je cherche une voie d’acces, où vais je ? je suis cette femme-homme dxes temps reculés (temps des bures) et, à ce tiçtre, je m’immisce, je fonce en pareille roche percée, je suis homme-femme cdes cavernes, fezmmes hommes des cavernes, je brise le temps d’un coup de piolet, je rentrte, je suis entré, je suis celui là qui est cellme là qYUI est cette bete aux abois de roche des temps, l’aurochs fuyant, la ga zelle, l’antuilope, le cheval et ses parents , ou ceux là de sa parenté, l’ane ? je suis homme de la roche dure des temps impartis menacés, je vais et je 

viens en roche du temps, MON NOM est un, nom d’emprunt, la roche est du tem)ps impa rtis, le buffle ou le cheval ou le bison,; etc, sont des maitrezs-motsc de la roche et pèsent lourd dans la balance, je vais et je viens en cette roche des temps alloués par la bande, je suis homme des cavernes menacé, je vais et je viens en roche du temps, je suis homme femme des cavernes, je suis en roche dans le sas, je suis cet homme-femme des cavernes au sang de bure, qui va et qui vient, qui cherche vérité de roche dure, je suis homme des embruns, je cherche dansc la roche cette vérité de poids qyui en impose, bete mot de roche dure, maitre-mot qsui va de son poids dans la roche, qui pèse lourd et en fiche des tonnes dans la vue de qui on ne sait, ou alors sait on ? qui est qui en cette roche des parois ? qui parle pour qui ? qui suis je que je ne cobnnais pasd ou ne connaitrait pas ? nous nous ressemblons ! nous sommes pâreils ou pas loin ! nous nous trompôns si nbous pensons que nous ne sommes pas pareils ! nous sommes pareils, armés d’intentions pariétales, nous cherchons l’entrée et nous la cherchon,s avec en roche des mots-betes figurés comme des ezffigies de première, nbous sommes hommes- betes des prés et des sous bois, des bois et des bords de mezr, nous sommes hommùes anciens des temp)s reculés de l’aurignacien : à nous de comprendre cve qui se hjoue, ce qui se trame, ce qui se dessqine, ce qui advient, ce qui transparait, ce qui surnage, ce qui revient de loin, ce qui se montre etc, à nous de le comprtendre ! à nous de nous positionner(en roche) pour le comprtendre ! les mots sont accolés, les mots de roche dure collent à la paroi, les mots décrivent une situation de roche et ce faisant percutent dur (creusent tombeau) et s’incrustent en ta,nt que vérités de poids gravés à l’envi, nous sqommes sûrs de cette chose, nou!s voulo,ns trouver profond et comp^rendre dans les profondeurs de laterre, c’est à dire savoir ce quil en est de toute cette affaire d’identité, de qui est qui jusqu’à nouvel ordre, de parois de roche gravée aux noms des villageois, etc, nous n e voulons pas mourir , nous ne voulonsq pas DCD, nous ne vopulons certes pas (o jamais !) mourir ! mercdum ! car la vie nous capte, nous obnubile encore un temps, nhous tenons à elle, nous voulons durer sur roche, nous tenir en elle pour la vie et ne pas varier de nbotree programme parioé&tal de roche dure, nous tenons à restezr en vie car nous chercghons un nombre conséquent cde connaisqzances à intégrer à notre gouverne, nous cherchonscencore et toujours un nombre con,séquent de connaiszsa,nces à acquérir par la bande langagière d’une roche meuble de pârois de grotte : effigies de bon aloi, représentation à l’identique de betes de poids, défaites de la pensée ou comment ? endormissement du moi ? transe ? faillite de la volonté ancrée et prise (emprise) en soi de son en-soi guidant la menotte ? enfantillage mesuré ? enfantillage dégradant ? enfantillage troublant ? enfantillage prenant ? nou!s nous avançons en cette rocxhe aux embruns de bord de mer et nou!s nous immisçons le plus avant que nous puissio,ns , le plus que nous puyissions savoir ou comment dire ? en pareille roche des te’mps brûlés , nous donnons le temps de pareille brûlure sur table d’offrande et dès lors nous espérons, qu’espérons nous ? nhousq espérons avoir en sqoi pour sqoi de quoi teznir en vie encore et toujhours, et ce ici bas, tertre mère des à -plats de roche, temps déposqés : préseznts sur paroi du monde, pnous sommes enfants-faons de la roche dure, enfants de roche sommes-nous, nous sommes des enfants dits «de roche dure» ou de tete dure «, ou « à loa tete dure « , ou comment ? notre but est à l’a ffiche : nbous ezntrons ! notre vol;onté sur terre cxomme au ciel est de durer et de tenir, de tenir dans la durée de la roche dure : e,nfantsq -faonsq de la roche des prés, qui va et qui vient sur roche, gamba de que tu gambadezras, follemeznt s’incruste en pareille paroi, effigie de bord de mer, aurochs dispa ru, chevreuils de meute, canasson ? nous pensons que bnous devons comprencdre cette chose (ici) de mots qui s’incrustent et fissa colonisent et vous mezttent à ba 

s, et donc à nous dès lors d’en tenir comp^te et d(a
agir en copnséquence ! nou!s devconsq agir a u reg& r d des mots de la roche : bouquztrins de vie, aurochs de roche, cheval de prairie, buffle et rebuffle pour la confrérie etc, nous devons comprendre une chose rude , quyi est celle là que nou!s nommons ainsi duu nom de «bambi la douce mignonne», etc, nous le devons : rudesse (de roche) pour une douceur (de pelisse), le com^prenons nous ? les mots sont betes de poids, p^èse,nt leur pesant d’inanité sensique sinon sonore, un chant de toute beauté (un ma
ssiff langa gier) à déposer sur paeroi de grotte ou table d’ioffrrande, «comme ça : en bloc !» comme un vrac quelconque, dépositions, rachats, misesà plat, cxartes sur tavble etc, nous pensqons qUE cet ensemble langagier de roche (bisons et buffles etc) szort du trou de nou!s (bouche) béant, cette belle bouche d’ouverture ou de grande ouverturelaisqsa nt donc passer des betes qui vite fait trouve»nt à se fiçcher en roche, beele bezte au demezurant car «grosses» de leursq vérités (de betes) qui pèsent, ce» sont des betes-mots, betes mots de roche dure, nous pensons la chose ici , comme quoi la roche est dure qui est faite de mots betes agglutinés au fil des -ères, etc, nous pensqons que nous so:mmes des hères, des meessieurs de petite taille, nous chantons nos chants vaudoux, nous voulons comp^rezndre les données fina les (de la vie sur terre et de la mort incluse), nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir du tout, nouys cxherchons issue à notre volonté, que faire ? qui viendra à nous aider ? qui pourra venir ? qui saura nous dire ? qyui pour nous aider, qyui pour nous dire ? nous pensons qUE le langage est accolé à quelque chose quyi serait comme en du dur de roche, mais quoi ? la mémoire ? le sang ? la paroi du tempsq ? la femme ou l’homme ad djacente ou adjacent , qui ? notre but ainsi défini, déveleloppé», affiché, et placardé, nous pouvons relâ cher ou nous relâcher un temps, voir venir, ne pas nous donner en pa ture de sitot, nous promener dans la lande, etc, la mort aspire à , on le sait, la mort est une sorte d’aspi-quelque chose (aspi-venin ?) ou qzuoi ? nous disons de nous qyue nous sommes deux car dezux est dèjà un nombre, etc, nous voulons comprendre ce qui est ici, en roche, capable (susceptible) de nous informer = nous donner de quoi nbous informer, nous apprendre ou nous former: je suis k’homme de la roche dure , je suis un homme de la préhistoire, le nom qui m’a été donné est du verbe a ccolé, les mots de paroi sont effigies cxar les mots sont des figures représentatives, nous pensons pouvoir «toucher» la ou à la vérioté vraie des temps impartis or oublie ! le temps est i:mpartis ma i s les mots vous désespèrznt, qui ne savent pas hjouer le jeu en vrai de la vérité vraie, nbous restons unis sur roch e (meute, troupea u) mais l’envie est grande en nous de 

quiitter la meute ou le troupeau et zou, via la fe»nte, passer... à trépas ? à quoi , nou!s ne savons pas ! nbous sommes légers ! gros d’un poids de roche (imposance ?) mais légers de base, car faits de fumée, d’envols gvracieuxw, de paroles dignes, etc), nous avons en nous de quoi nous donner à pa reille roche, nous sommes des betes de roche, ou bien mi homme mi bete, betes hybrides, hybrides tout court, nous pleurons sur notre sort, haut et fort, nous crions des cris stridents qui en imposent lourdement sur l’auditoire, bnous sommes «forts en gueule» si le désirons, cela est sûr, nous pouvons brusquer, brusquer un axe pariétal, la paroi, le sas, nous sommes en mesure de pouvoir brusquer la roche au pic de gravure, nous pouvons encore toucher-coucher des betes sur roche, les graver indélébile ou pas loin, vif de chez vive, ou m^me vive de chez vif : croiseme,nt n&acrée pour une sorte de définytion définitive sur ce que c’est que l’art (de la roche a ccésoirement mais pas seulement , nous ma ngeons kla rochye, avalons, pleurons, prenons, ingurgitons depuis cette roche nourriture pour notre acabit, nous vooulonssavoir longtemps et lourd les choses à man,ger pour durer, à manger ou contenir ou cerner ou accepter en nous, etc, par notre (ce) trou de bouche de vie, bec ouvert àla mode lippesque, etc, nous avançons, nous ne vcoulons pasz mourir, nous voulons tebnir, nousq ne voulons pas mourir, les mots sont sur roche des trainées de feu pariétales, nous passons, nous voulons co:mp^rendre, nous voulonsq savoir, nous voulons percuter, nous voulons nous enrichir de pépettes ou comment ? de données brutes ? de szermentsq ? de mots vrais ? de pa roles animales ou animalières vraies ? nous voulons savoir ce qui est ezn roche qui nhous tend les bra s et implore apres nou!s pour notre venue (aarrivée) en elle, gourmande, dévoreuse, mange-homme et mange-femme et mange-feu, restez où vou!s êtes !!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et nhe venez pas nous «casser les couilles» s’il vous pla it, ne nous cherchez pas, ne nous cherchez plus ! laissez nous aller, e,n tant que tels (hommes-femmes des a pprêts), aller sur roche nou!s ba&lader, réfléchir aux données de base, aux embruns, aux vélléités de cheminement dans le sein des seinsq, à cette envcie d’en découdre fissa à même BOUCHe de la Vérité «à la con» ou comùment ? qui sait ? qui sait pourquyoi nbous devons , «à un certain moment» passer par l’invective, l’insulte, la grossièreyté, les mots les plus gras , qui ? nous nous immisçons dans la roche du temps en jurant, lévitant, pleurant, baisabnt, ainsi de suyite (une suyite cavalière) et ce faisant nous cherchons à (comment dire ?) temporiser peut-etre ? nous voulons temporiser : ne pas s’(afficher trop tot comme ceux-celles qui se donnent là vite fait aux p^remières en (comme) pâture ! non ! pa s ça de suite ! attendre un temps conséquent si possible, d’où : incantations, cris à la volé, lévitation comme coupables, gutturales etc,; nous parlons fort , nous hurlons ! nous hurlons = nbous pleurons = nous sommes fichus de chez le fgichu, car la mort aura le fin mot (une évidence langagière, n’est-il pas) et du coup comment faire, c’esty à dire comment fa 

ire pour sortir des mots pour ain si xdire ? nous devons soretir ! nous devons sortir des mots et pour ce faire comment fgaire ?? dormir ? faiblir ? lacher prise ? offrir sa vie en pature, comme des graines aux ^)etits oiseaux ? nous voulons comprendre c e qui est ici qui nous reste à faire, nous voulons savoir quoi faire pour savoir , pour comprendre ce qui est, les données dee bnase := la vie et la mort, le chant et le verbe, la douceur et la rudessse, le chant inaugural et le chant final ou terminal, qui sommes nous sur terre qui aloons sur terre et chantons ? qui chan,te ? qui pârle sur roche ? quii va là oh du tonneau ? je cherche ! je veux de»meurer, je ne veux pas mourir , je ,e veux surtout pas mourior, jee vais mourir , vais-je mourir ? qui peut dire , et certtifier cette chose , comme quoi un de ces jours je vais devoir mourir , qui sait ? nousz p)a rlons à tort et à travers mppour coller au temps et tenir, nos paroles sont tapissezries ou colle ou colle à tapisserie ! nhous collons au temps par le verbe, no!us ne sommes pas chiches d’ignorer cela, bnous savons cette chose et nous l’ecrivons sur roche, sur paroi du monde, cette chose et ce savoir concernant la chose, nbous voulons savoir cette chose pour nou!s et pour nous la conserver, nous sommes des enfants de roche, nbous aimons ceete chose être, nous voulons cette chose être, pourquoi ? parce que nbous l’aimons ! nous vpoulons creuser la roche p^lus avant et plus avant nous immiscer en ez lle et comprendre a u maximum les données du monde, bnous sommes deux : nouys sommes ensemble : nous sommes un ensemble : nous sommes soudés : nous sommes accolés : nhous sommes conbjoints : nous nous tenons (en roche du tem^s) par la main : nous sommes accolés par nos mains soudées, nous sou dons nos mains : nous ne nous lâchgons plus des mains; : nous sommes pris ainsi ensembkle par nos mains collées : nous aimons ces mains collées, bnous sommes de ces mains accolées sur roche, chaque main sur roche est une effigie qui nous ressemble;, nous sommes deux pour une causerie pariétale sur le thème de la mort à l’oeuvre en soi : ses façons, ses façons de faire, ses contrefaçons, etc, je suis l’homme des cavernes vif, qui, en roche (sur paroi) grave son affaire personnelle cde paroles qui s’est enkystée en lui, pour nje plus reâparaitre au hjour de la grotte (vivat) ou comment ? par le biais de fetes votives, de cris de pression,; d’incantation notoires et autre envies forcées, nous cvoulons aller en roche nous blottir à elle, lieu des vérités, et ce faisantt gagner quelques années ou quoi d’autre en vérité ? les mots seraient (contiendraient ?) la vérité ? eswt ce que les mots auraient ou ont ezn magasin (par devers eux) la vérité , doit on chercher la vérité ? qui chezrche cette véerité sus -nommée ? qui veut nous le dire ou expliquer ? qui sur terree sait ? qui sur terre sait, c’est à dire sait vraiment , qui ? qyui sur terre sait ce qu’il en est de la vie et de loa mort pour tout un chacun ? qui connaît les arcanes, les dessousq de c aerte, les choses ancrées à :même la roche ? qui sait ? qsui connait ? qui saura nous parler et nous dire ce qui est ? peutr on avec des mots dire la vérité ? et si non que faire des mots, de ces mots de roche en nous inculqués? qu’en faire ? jes jeter ? mais comment les jeter ? nous a vons des noms de famille ? nous sommes envahis = imprégnés = pris à p)artie = han tés = suturés à la naissance et l’affa 

ire est entendue, etc, nbous sommùes hommùes et femmùes de la préhistoire, nhous voulons co:mprendre ce qui setrame, hnous ne sqavons pas grand chose hormis quezlques petites choses liées à la roche, comme pa r exemple comme quoi nous parlons à tort et à travezrs, comme quoi nous sommes deux en nous accolés (deux moitiées suturéees accolées ) , nou!s avons en nous un savoir de base, un, peu ancien mais peutêtre ezncore est il bienn utile, encore vif, e,ncore nécessaire , nous chervchons une vérité en cettte roche des temps et pour ce faire nous nous immiszçons à même la roche dure des a pparences, c’r’st à dire des betes de rage qui ,represéntées avec ressemblmance d’avec leurs modèlesq) en jetteznt pas mal et semblent pouvoir faire croire q’uil s’agi-t de betes en vrai, nous sommes deux pour pareillles cause, nous sommes deux pour pareille chose à devoir compléter, ou comment ? nous sommes ensemble cet ensemble commun, soudé, qui cherche la vérité (une cause) à travers la roche, nous voulons savoir ce qui ixi tend à se former sur roche à notre contact, qUI est qui en pareille roche ? où est l»’échancrure ? par où passer à la sortie ? où se trouve le trou ? le trou exisqte il une fois pour toutes en un endroi t précis ou bien y a t il des millions et xdes millions de trous sur la terre ferme ? nous cherchons des vérités rudes, nbous nousctenons par la main et nous rechercghons des vérités rudes, dures, compactes, vibrantes, qui puissent nous aider ou guider dans nos recherches, commec pa r exemple cette chose comme quoi le langage est comme une colle de roche, etc, nhotre but en roche est celui -ci : de nousc faire toucher du doigt un certains nombres de vérités -assertions logées dans la rochje, du type marthéma tique : ce qui est est, ce qui n’est pas n’est pas, etc, voilà ce qui est, voilà ce vers quoi nous tendonsq, nbous ne devons pas nous éloigner de cette chose et cette chose nous devons la penser ensezmn 

ble, ma in dans la main, un temps qui est le temps, et parler entre nous (tribu) avec «nos mots» de roche dure = les nôtres, cveux là mêmes dont nous sqo:mmes affublés etc, les mots sont des betes-mots, les betes=mots sont des choses qui sortent de nous (trou de notre bouche) : nous sommes enclins à vcouloir le dire haut et fort (c’e’st à dire dans dees livres en vérité) mais le faut il ? faut il dire haut ce qui est qyui est ? nous disons «pas forcément» et nous poursuivons nos recherc hes sur roche, nous sommes à l’affut d’une découvertte, avons-nous découvert quelque chose d’importance ? sommes nous des savants qui trouvent, c’erst à dire de ces sabvantsz qui en cherc hantv trouvent ? trouvons -nous et si oui quoi donc ? avons nous découvert le pot aux roses ? qu’est ce queC’est que l’art en ce monde ? l’(art est il du lard ? l’art est-i l fiable en ta,nt que tel, c’est à dire : l’art participe t il de cette chose d’un dépot sur roche afin de faire accroire = un mensonge tout co:mp^te fait ! que penser ? nous sommes des etres de peu, nous grimpons (lévitation) et nous deessinnons ces betes reconnues sur roche : ici c’ewst un ours, facile, ici un cheval, facile, ici une antilope, facxile, ici un cheval blessé, facile, ici un ours en tyrain de n,ager (?) , moins facile, etc ? mais à chaque fois on voit à quel point larecherche de lma ressemblance est capitale, est d’importance, nbous pensons à cettye chose comme quoi nous sommes deux pour une recherche à mener au sein de la roche, au fin fond de la roche c’est à dire au plus profo,nds des p^rofondeurs, les mots collent entre eux (foi) et sont indécrotrtables, nous savons cela, comme quoi notre sort est lié au sort du langaghe, c’est une’ évidence» ! les mots sont mots betes de choix = de rage = de race = de prix = de première bourre = d’importance = pis aller de première = chantsq de roche dure pour faire impression (c’est à dire : pour impacter!), nous nous avançons sur ce chemin de la roche dure devant soi, nous nousavançons de cette sorte, nous aimons lma roche et l’embrassons, la chérissonsq, le but qui est le nôtre vient à s’afficher sur roche de la préhistoire, le voici : il s’a git pour nous d’un vouloir-agir, qui est celui là même que nousc espérions, ou esqpérons, ce vouloir-agir de conserve, ensemble ma&in da ns la main, sur roche du temps : main, main , main , main, main, main, etc, nous nous teno,ns ensemble par la main, nous sommes unis ainsi accolés, nous sommes jointés par en nous cette main de raccroc ou de retenue, bnous montons, bnous nous hissons haut sur la roche, le temps est un semblant de vie vive par défgaut(excés) de vie vive, nous pleurons (pleurnichons : pleurnicheries) les larmes du corps, les larmes du corps coulent à flot, inondation ! nous pleurons larmes sur larmesz = des trombes, nous pleurons des hzauteurs de larmes, nous sommes soulevés par nos larmes, nous sommes soulévés vif par nos larmes accumulées, nous pleurons (incantation) à n’en plus finir, nbous sommes prisc d’a ssaut en nbous même par des larmes en veux tu en voilà qui ne cèdent pas et nous voilà hissés à hauteur du temple ou comment ? roche dees roches, sein des seins, unité centrea le, le cailllou ! la roche est dure comme les temps ! nous nou!s intégrons à la roche, nous entrons en elle vivement, quoique placidement = posément, mais enfin dx’un trait vif, saut de carpe et hop : immixtion dans le sein des seins, nous aimons la roche dure des temps impartis, nous sommes deux à vouloir cette xchose , cette chose rude, cette entrée fissa da ns la rochge, cette sorte d’immixtion rupestre de deux corps soudés par la langue

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18/06/2021

nous avons offert de nous cette chose de nous mais point nous ! et voilà où le bât blesse ! oh la betise inénarrable en vérité ! oh voilà la chose à ne pas faire et nouys l’avons faite, nbous sommes impardonnables, nous sommes malheureux dans l’histoire : nous allons mourir un jour mais ce n’est pas ça, nous sommes malheureux = malchanceux car nous ne savions pas, nous sommes nésd de la dernière pluie, nous sommes nés tout à lm’heure et nous voilà comme envahi en  ous par une cohorte de type animalière qui charge, où ? en nous ! et cherche à sortir sa «tête», or comment faire à notre place ? nous portons en nous le ver de la pomme (de la discorde ? ) , nous devons agir mais quoi ? nous devons réagir à un train de vie antérieur à notre gouvern e, nous sommes pris dans le sens du vent par en nous une cohorte-rafale venteuse de ^remière, alors comment ? nous arrivons comme pour ainsi dire après coup et à nous de dire ce qui est, alors même que nous sommes comme  sinon muselés du moins pris à la gorge par la bete en nous (les bêtes) qui renacle, trépigne, tape du pied, s’agace, se dandine, montre sa gêne et son mécontentement et du coup, cherche par tous les moyens à sortir sa «tête» de bete rèche, rude, pas commode, etc, nous devons agir = nous positionner et décider d’une solution : comment faire ? nous avobns trahi la Chose, nous donnons du temps de vie terrestre quand la vie intrinsèque était (très visiblement) attendue ! comment agir ici ? que dire ou faire «qui puisse le faire et donner le change « ? comment faire en ce lieu de rage, ici même, rude paroi, grotte du temps, pierre séculaire, etc , comment ? nous avons notre petite idée mais pas sûr qu’elle soit vraiment adaptée à la situatioon mais enfin peut-être, essayons , déposons tout le saint-frusquin contenu dans nos valises, art de rue et art des embruns, art de vie vive et art du passé de l’homme, nous nous agenouillons en roche (pause) et pleurons (larmes) notre corps vivaznt, notre corps est vivant et pleure = donne, il pleure ses larmes = donne, il pleure pleure = donne, il s’épuise en larmes = donne, donne au dieu de la roche dure des temps impartis, notre corps s’épuise, se vide, offre, offre tout (tout !) ce qu’il peut offrir en termes de données-denrées à pouvoir se mettre sous la dent (pour Bouche de la mort à l’oeuvre) et voilà pour ainsi dire la supercherie initiale, nous disons que nous sommes en vie  et non mort et nous donnons ce dire et ces larmes et tout ce qui s’ensuit mùais oups, erreeur d’aiguillage ou comment ? nous donnons de nous ce qui sort = le verbe + des larmes et auttres liquides (fiel ?) : nous donnons de nous sur roche (table) c e qui xde nous sort aisément et file et se déverse , mais en aucun cas nous ne donnons la vie dans ce qu’elle a intrinséquement de vital, car les larmes ,ne sont pas vitales ou oui mzais indirectement, et les mots non plus ou pareil ? nous devons donner ! nous sommes êtres de vie traversé par des aliments qui entrent et qui sortent = qui doivent sortir sous peine en ce qui nous concerne d’éclater et de mourir, nous sommes en sursis, pêrpétuellement = le Sursis, et comment agir dès lors pour contenter dame ou sieur de lma mort en hErbe ? nous devons agir et décidezr d’un e solution, nous devons agir promptement et décider promptement d’une chose à faire pour «s’en sortirsi possible», etc, comment ? art de rue, art de bateleur,art du magicien, art du pianiste, art des éduqués,art primzaire, art princier, art de la chance, art des confins, art des pieds et des mains, art principe, art de ceux qui peinent à marcher , à aller, à vivre, art des embruns de bords de mer, art maritime, art chagrin, art de la plongée, art des soubassements, art des litanies, art des enveloppements salutaires,art de la mise en route, art des che vaux lâchés dans les prés, art du buffle, du bouquetin, de l’antilopre, de l’aurochs dans laprairie, art des cavernes, art hospitalier, art de la clinique du quartier et de l’hopital général, art des peintures de paeroi, art pris à partie, art de la lande, etc, nous cdevons répondre de quelmque chose avec quelque chose, bnous devons soigner la Chose à notre façon, et ce promptement, nous ne devons pas lacher prise, nous devons poursuivre sur notre lancée nos recherches et les afficher en tête de gondole ou à l’entrée des monastères, ou au dessus des pordches, ou sur le tronc des arbres : chat perdu cherche mémère ou comment ? nous avons perdu quelque chose et ce quelque chose est perdu de cxhez pzeerdu il semblerait ou non ? comment nous y retrouver ? nous voulons dire je mais le je s’enfuit à bride abattue ! comment faire ? et dès lors nous disons nous : que nous sommers là, que nous sommes bien présents, que nous tenons à la vie, que nous voulons garder lkes chose en nous d’une tenue de vie vive consacrée, nouys voul;ons comprendre les données les plus profondes, les plus fines, données de la vie vive en vnous, qui bat son allant de vie à la racine, nouys voulons tenir en vie et dès lors nous offrons de nous «ce qui tombe», et pas davantage, tout ce qui tombe = les mots-betes de première (effigies animalières rupestres) mais aussi des larmes, de l’eau, la sueur, l’ezau de nous = de l’eau, nous donnons notrte eau pour partie, pas toute mzais un peu , eau et matière, déchets, de l’eua et du verbe, etc, nous posons déposons devant nous (le trou) pour la Chose qui se pointe, nous donnons de l’eau et des matières, eau et verbe sur paroi, nous soufflons et crachons, nbous offrons donnons ce que nous pouvons = toute cette chose de nous, sortante à termes ou à échéance , des choses de peu qyui «puissent le faire» pour de bon ou pour de vrai ou tout comme = comme si en effet nous étions «mouru» , hé ! sausf qyuue non ! larmes d’eau donnée = supercherie ou comment ? nous donnons de nouys bezaucoup mais non pôint l’essentiel, et de cela la mort n’est pas dupe qui nous mate, nous reluque, nous zyeute, ne nous perd pas de vue, nbous mire, nous regarde, nous épie : oeil du mùo,nde céleste, oeil du ciel de laterre meuble, oeil de velours ? oeil de crin ? oeil de bois ? oeil de fer ? oeil de nacre ? oeil d’or ? oeil de verre ? oeil de métal à faire fondre dans godet ? oeil de plomb ? = oeil de plomb ? nous ignorons  de qsuoi cet «oeil» est fait, nous nous prosternons et n’osons lever les yeux sur elle , nous nbous prosternons et n’osons lever les yeux sur Elle, nous ne savons p)as qyui elle est, à quoi ressemble-t-elle au juste, que fait elle dans la vie, où loge-t-elle ? que vit-elle ? etc, nous sommes pris au dépourvu, nous sommes pris d’assaut dès notre naissance et nous voilà parti alors même que nous venons juste de soprtir la tete et pas plus, oh misère ! nous voulons comprendre les ressorts secrets et aller loin dans les connaissances, nous voulons comprendre une chose de poids, aurochs-^vérité, et pour ce faire, une solution : la bière ! c’est àdire le cercueil ! c’est à dire le trou pres de dsoi (qui vous suit à la trace comme un toutout) : nous devons comprendre la chose crument c’est à dire par la voie du cru, nous devons comprendre les effets sur soi d’une chose à devoir éjecter de soi, nous sommles traversés et à échéances brèves avons à nouds vider = parler et caguer etc, nous devons comprendre  cette chose comme quoi la vie en nous ne sort pas, et que le don d’emblée ne la concerne pas, ce don que nous faisons sur roche (animùaux dressés, animaux chargeant, animaux de poids) , nous sommes avec en  ous une cohorte animalière, cette cohorte animalière est un poids dont nous avons à nous décharger à termes échus, nous ne devons pas 

y couper  , sous peine d’y passer, etc, nous dev ons donner de nous des choses liqyides essentiellement, des matières molles ou franchement liquides et pour le plus de l’eau, nous avons en nous beaucoup d’eau et cette eau doit sortir de nouys pour partie, et aussi de l’air, eau et air essentiellement, etc, nous donnons notre vie pâssée, nos passés sde roche, nous offrons nos divers passés de roche dure, bnous nous prosternons = nous donnons de nous nos passés de vie morte, etc, tout le tas bien mis, déposés avec soin, etc (art de la dépose) et voilà la chose ! notree vie restant au chaud dans sa loge corporelle un temps, c’est à dire un temps en, sursis, etc, nous devons comptrendre cette cghose d’une vie à vivre seul en soi ou comme seul en soi, ne pas fzaire ainsi que nous soyons «passés» direct mais plutot en sursis, comme suspendiu etc, nous sommes deux en nous (en soi) pour la bonne cause, voilà ce qui est à dire, nous sommes deux en nous-mêmes pour la vcause que voilà, que nous exposons, d’un don de soi à faire sur roche oui mais quoi ? voilà le fait , la chose, la cause de nos tourments, nous posons sur roche des betes de poids, des betes de race princière, nous donnons le mieux, le plus, des +, des + et toujours des +, voilà la chose, la croix sur le mont de lmaroche, les (croix) sur mont de roche :: oui ! oui nous faisons cela ! oui ! oui nous le faisons, oui ! oui oui nous faisons cela ! oui ouio; oui oui ! oui et oui ! , nous faisons cette chosex: croix (des croix) sur paroi de rocghe, sur roche dure des temps alloués, nous faisons cela , nous disons cela, nous disons que nous faisons cela, nous devons déposer des choses ici bas et où ? où le coeur nous dit de faire ! voilà ! et le coeur nous dit de faire là ! c’est à dire tout près, pour ainsi dire si près, pour ainsi dire : où nouys sommes ! nous faisons sous nous le trou , nous avons à faire cette chgose sous nous, trou de balkle, nous diçsons que sous nous nous avons à trouer la terre pour nous , ou comment ? nous sommes betes de rage sur paroi du monde , nous nous prosternons pour la bonne cause surnuméraire et battons des ailes crument ou incidemment = nous alloons ensemble vers des hjours hachés par des tourments qui seront dûs à l’age avancé, etc, nous ne voulons pas mourir et cependant nousq allons mourir, nous n’avons point envie de mourir et cependant oui bnous mourrrrrrrons, nous ne voulons point et cependant oui, un jour, nous mourrrrrrrons, nous passerons de lm’autre côté de la roche des prés, nous irons nous joindre aux aeffigies a nimaélières, au troupeau de buffles -buve , etc, notre envie de tenir en vie résiste encvore et tient le choc des appels de pied, nous ne voulons pas mourir, nous essayons de résister comme on peut, on essaye, on essaie de résiqster comme on le peut, on tente, nouys tentons : nous essayons, nous faisons nottre possible pour tenir le choc et le coup de la mort qui devant nous trépig ne et renâcklle et en fait des tonnes pour nous plaire et nbous attirer dans ses filets, bnous voulons comprendre et aller ainsi au fond des choses de la vie : qui sommes nous qui un jhour ou l’autre mourrrrrrrons ?  qui sommes nous pour qu’un jour ou l’autrev , etc ? car quoi , la mort est où ? elle se pose où ? elle se tient où et comment ? nous cherchons issue, nous cherchons trou, nous cherchons échancrure, nous cherchons fissure, bnous cherchons faille où passer nos mains dx’enfants de laroche : applaudissements, applaudissements et autres vivats, car nous tenons +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++à la vie, nous ne voulons pas mourir, nous tenons ++ à la vie, nouys n,e voulons pas mourir, nous tenons ++, nous tenons +/+ à la vie, nous tenons à elle en nous,n, nous tenons mordicus et nous fazisons nbotre possible pour rester en vie, en roche, parmi les betes dessinées par l’homme en nous dees cavernes ou par en nous, dessinées, les betess, la femme des cavernes, etc, nous tenonns à demeurer, à ne pas chuter ni sombrer, à nous tenir à bonne distance de l’adversité royale, nous voulons tenir bon, nbous voulons tenir ++ comme des morts de faim qui s’accrochent, etc (applaudissements !) car la vie pour nous est un tic tac central qui a démarré bien malgré nous ( nous en tant que gouverne) et dès lors nous sommes «eus», nous sommes piégés, nous sommes pris au piège de la chose en nous qui renacle en veucxx tu en voilà, le tic tac animalier de roche dure ? cette chose ? nous posons sur roche nos betes de poids, celles qui pèsent, bnous les déposons majestueusement = art ! oui ! car nous voulons passer pour des gens racés, qyui jouent le jeu du je et non point du nous en nous memes (en soi) etc : applaudissemùents, et pour ce faire que faisons nous, eh bien nous faisons semblant = mine = des grimaces et autres simagrées )ariétales, o  le  vilain , oh la vilaine ! ce n’est pas joli ! mais si ! regarde bien la beauté du geste, le dépots sur roche, cette ressemblance avec «la vraie vie» , eh oui ! et ainsi disant bnous ezn avançons u,n bon peu sur la voiue quyi nbous mène au verdict de fin de vie, bnouys disons que nous savonbs des choses, nous disons que nous ne sommes pas tout à fait sansq instruction, nous avons du métier, nous avons des provisions en termes de pensées et vies à brûler (temps maudits) à déposer sur r paroi de grotte, bnous disons que nous connaissons pas mal de choses, nous savons des choses concernant la foi, la foi dans le verbe, cette foi intrinsèque et indécrottable, etcc , : si lma vbérité est grammaticale alors laisse moi rire et me tenir les côtes ! réellement, sérieusement, si par aventure cette vérité des choses du monde (en gros : la vie et la moprt) est d’ordre gramma ticale (un ordxre ) alors on a faux et sur toute la ligne ! grave! oublie ! va ! file ! chante ! crie! dit ! va et vient ! soulève ! pleure! offre ! donne de ta voix! ainsi de suite , car en effet, si réellement , sérieusement, la vérité du monde tient à la grammaire d’une langue (celle ci ou celle là) alors on a de quoi fré mir, et se poser bbon nombre de questions , car la vie va en nous hors les mots grammaticaux, comment dire cette cxhose ? en nbous va la vie qui bat, nous avons en nous ce métronome, etc, la vie est une vie de rochge dure, les mpots sont des motsanimaux, nous pensons en termes (rocheux) animaliers et nous arretons là, nous sommes (je suis) hommes et femmes des cav ernes, je vis la vie qui est la mienne sur rocxhe, comme en trannse, surélevé, mis par en haut, monté dru, etc, je suis un homme de la reroche durre, je syuis homme des montées sur roche, je monte et m’accroche , je vais et je viens en elle, je suis l’homme de laroche des temps, je suis un homme secoué par des tourments en dsoi animaliers qui font de moi la risée des prés, je vais et je viens en roche, je suis honteux, je vais sur roche ainsi, hje traverse, je monte, je suis monté, je suis pris à partie, je suis envahi , hje suis monté par la  bete en moi qui me pousse à faire des choix, et  à travcer desz betes de poids sur paroi, je suis sous le joug d’une bete de poids qui me commande et moi d’obtempérer, dxe dire amen de force, sans sourciller, etc (applaudissements) car la bete en moi me monte, me prend sous son aile», me pousse à dire-faire mon faire, etc (applaudsissemnts) et ce un temps qui dure, ce temps de roche «la dure», etc (applaudissementrs) et voilà la chose, nous avons à piger-cerner icelle vite fait, nous posituionner et dire hzaut et fort ce qui nous anime dans la vie, la vie ? ouiiiiii ! peut-être que oui, nous disons cette chose ici comme quoi nous sommes en vie, nous tenons à la vie, nous offrons de nous de petites choses ou expédients à bouche de la mort à l’oeuvre, ainsi de suite, n otre  v      ie est précieuse, nous donnons le change (change) pour la bonne cause (cause) et nbous ne voulonbs pas nousc retourner, nbous offrons de nous cet art de la Chose, nous oofreons cet art de roche dure, cesz aurochs, ces bois de ramures, ces ors de biche, ces bouquetins lancés dans la plaine, ces betes de poids salutaires, etc (applaudissements = main + main + main, etc), nbous voulons cette chose ici , qui est  cette chose ici, comme quoi nous restons en vie ad vitam aeternam ou tout comme (art ?) et ainsi faisant nous nous prosternons et avouons nos méfaits, la tromperie, la supercherie, le pot aux roses, nous disons ce qui est qui est, nbous disons ce qui est, comme quoi nous donnons de nous des choses de peu, ou disons : non pas nous pour le coup mzais de l’eau de nous, et quelques auttres petites choses, nous disons que nous donnons de nous de l’eau (pour partie) et quelques autres choses de ci de là en passant (sur table d’offrande ou sur paroi) et ce faisant nous nous prosternons, faisons allégeance, avouons, bnous disons ce qui est que nous ne faisons pas ou que nous ne donnons pas, quand bien même nous donnons beaucoup mais qUOI ? tout de nous hormis ce nous de vie de nous, hé ! et du coup nous sommes poussés, harponnés, invités, etc, à donner de nous cette vie en nous calfeutrée, et nous de dire non,; que loin de nous cette pensée de nous laissezr aller à donner de nous notre (pour le coup) vie en entier , non et non ! nous  ne voulo,ns pas mourir, nous voulons rester en vie, nous ne voulons pas tenir , nous voulons rester en vie, nous ne voulons pas (encore, merdum !) mourir mùais plutot (au contraire) rester parmi les betes (ces betes) de paroi et meugler ou beugler avec elle, car nous avbonbs pour nous en  nous de quoi, et nous ne gfaisons pas, c’est une chose ! pourquoi ne meuglons ou ne beuglons-nous pas ? mystère ? nous parlons comme des chiffoniers, nous pârlons en veux tu en voilà à tort et à tra vers (vérités ici de la grammatique !) mais quoi ? nous devrions chanter comme l’oiseau fait ! nous devrions chanter de concert , homme et femme soudés pour une déité de choix princierr (princière ? la déité ? ou princier le choix, etc) : nous devons comprendre ce qui estcpour nous, comme quoi nous devons poursuivre fissa sur cette voie de la parole échue, prise à mal, contenue en un sas de roche, etc : bouquetins tintin, ou ce genre de mots-betes de première , billevesées, relachements- applaudissements, prises de bec ! nous donnons de nbous ces chose qui, sortie de nous, meurent, ou pluttot : ces choses quyi, sortie xde nous, ne sont en aucun cas la vie de nousq, mais des effluves, des relents, des soufflesz, des travers, des passages, du passé, du passé par nous et le passé de nous dans la roche, etc (applaudissements) et ainsi faisant nous donnons le change ou tout comme (à) nos yeux du moins) et faisant de la sorte nous pensons que nous fzisons bien, que «ça peut le faire», que possiblemùent «ça le fait», or oublie ! pas du tout ! les larmes ne sont pas la vie (arttendue) ! jamais de la vie ! les larmes ni l’urine, ni la meu, ni les mots, ni le souffle expiré, ni les poils tombés, ni la sueur , ni... etc, car voilà ce que nous faisons et donnons au compte goutte : de nous des bricoles, sur roche, déposés cvomme des biens précieux (reliques) à consezrver sérieusement etc, applkaudsissemùents, nous offrons-déposons des choses de poids sur paroi dxe roche (la préhistoire) et sur table de pierre aux offrandes, nous posons de nous «ce qui tombe «au fur et à mesure», nous posons sur table ou paroi cela même qui de nous tombe ou tombât pendant le temps de vie nôtre, voilà tout, or est ce asserz ? pour bouche de la mort, est ce suffisant et satisfaisant et suffisamment nourrissant ? sûr que non ? d’où son insistance au hjour le jour, d’où son insistance appuyée au quotidien , pour nous embobiner et nous tirer -attirer à elle (la vipère !) , c’est ainsi ! nous donnons de nbous le chjange (mue) mais voilà, la mort absorbe ce qui lui est donnée mais ne s’en repaît pas facielement, elle a toujours faim, elle est un estomac sur patte, une bouche, un ventre, un estomac, etc (ne cxhercxhez pas : ne cherchez plus ce qu’elle serait) : la mort est un estomac (une bouche) en pied, devant soi, trou de roche pour une absorption massive d’un mobile foetal ( le notre) oup la oup, nous savons cela depuis des lustres : trou, trou borgne, trou dans la roche de terre mèree, la mort est un trou, trou de vie de la mooprt à l’oeuvre, elle nous suit des yeux et ne nous lache pas (jamais) cvar elle ne dort pas (jamais) : elle est insomniaqUE ! elle nous suit avec acssiduité, jamais ne nous abandonne du re

gard, elle nous aime on peut le penser, nous l’intéressons ça le fait, etc, nous voulons comprtendre  c  e qui est en jeu ici en cette roche de la préhistoire, nbous sommes montés sur la roche, nous avons grimpé les échelons, nbous allons sur roche endssemble et regardons, nous voulons comprendre ce qui est ezn roche qui se joue en matière de  paroi, de beauté de roche, d’art etc, nous cxherchons à nous y retrouver, nous voulons comprendre ensemble des choses de poids, nous cherchons la Vérité des choses du monde, ce qu’elle est, en quoi elle nous intéresse, etc, nous voulons comprendre u,n maximum, nous ne voulonspas en perdre une miette de tout ce savoir agglutiné sur roche par des hommes-femmes des cavernes, autrefois, et nous de regarder dès lors ces peintures anciennes (si vieilles) comme autant de mots de betes, dits à la volée par des hommes et femmes sous emprise, par des hommes et par des femmes pris dans un filet, nous savons cela, nous pleurons toutes nos larmes  : eau de roche vive, tambour battant, pétara de, chaud devant nouys entrons en roche cahin cahja, etc, nous solmmes en xroche sur paroi, nous sommes entrés, nous sommes dans la roche, nous sommes insérés, nous entrons en pareille roche du temps, nbous passons, nous entrons, nous nous blotissons, nous ,nbous logeons, nous entrons main da,ns la main cahin caha ou comment ? nous dezvons comprendre une foultitude de choses encore concernant la voix (cette voix en nous) qui nous porte (nous trompe ? et nous porte) etc : applaudissements, nous cherchons à trouver, nous chercbhons à dénicher, nous sommes des chercheurs de nids et outre de nids d’oisillonsq, d’oeuf de betes à ailes etc, nous avons à trouver des choses sur roche, en ses interstices, mettons la mai, puis l’autre, et encore l’autre, et encore, mille mains, etc, applaudsissements ! mettons lma main en cet interstice à la recherche d’un nid évezntuel, d’un nid à bete nidicole, etc, nous voulons comprendre ce qyui est en cette roche du monde, nbous voulonbs savoir cette chose ici , d’une sorte de sa voir rocheux, proche de l’homme, son image pour ainsi dire, nouds voulons comprendre des données solides sur quoi nous baser, sur quoi tabler et sur quoi dépôser, nous disons que nous sommes deux pour ce faire et cela étant dit nous nous prosternons fissa à même la roche, nouys pleurons, nous demandons pardon, nous disons que nous sommes fautifs, que nous avons faux, que nous trompons, que nous sommes des faussaires, des hommes trompeursz, des faux-jetons voilà (c’est dit, et ça ne souffre pas d’être contredit!) : nouys sommes faux-jeton de premièere, qui donnons de  nous tout sauf la vie (ouffa !) et donc on a la mort qui fait la gueule forcément et fait son petit chose (cinéma) dans son petit coin ou commez,nt ? non , la mort ne lâche rien , la mort ne lâche pas le morceau, ne lâche jama is, tient toujours son cap (prérogatives) et toujours dès lors de nous mirer de latete aux pieds 24 heures squr 24, du 1er janvier au 31 décembre (c’est un fait) alors voilà, nous savons cela, nous savcons que la mort (une bouche à nourrir) est une drôle de petite chose, la mort est une drôle de chose, la mort est drôle, la mort est bien drôle quyi ouvre son bec en grand comme l’oisilloon, la mort est trou de bouchge à devoir «combler» comme trou de rocghhe ou trou d’aisance ou autrte, il y en a , la mort est bouche de choix, elle est grande ouverte devant nous et chyerche à nous happer, il est un fait czertain ici , que donc la mort cherche à nous hap^per-absorber c’est indubitable, on a pour nous la vie (suspension) mlais la mort rode (pres de nous) commeétant ce treou à venir près de nous, à portée de main dirons-nous, etc, nous savons cela, bnous volulons cxomp^rendre plus plus, +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et aller le plus loin possible, sur lma voie des connzaiossances s’enten,d, car nous avons soif, nbous sommes friands de connaissance, nbouys abvons dees mots en bouche à devoir user, à devoir faire fonctionner, à faire «marcher», etc, et du coup nous disons des choses, et ces choses (par défaut) nous trompent, qui disent ce qu’elles veulent dire et parlent à notre p^lace pour ainsi dire, car pour beauycoup les mots en nous (bouche) parlent à notre place, se prononcent pour nous, sont nos porte paroles , nos corresppondants, nos voix de roche (bouquetins) , c’est un fait, nous sommes parlés autant que nous parlons, nous portons en nous des betes-mots , des mots betes, et aussi des mots betes, idiots, etc, qui tous vont à caracoler sur roche du tempq, les mots naissants (de concert) caracolent et foncent que tu fonceras sur roche au milieu des prés, nous disons que bnous connaissons la chjose, elle est cette chose de roche connue, chose connue de roche nue, de roche dure tout autant, nbous disons qUe nous sqommes «fous» de faire cette cghose, de pleurer sur roche (allégeance) qUAnd la vie est là (en nous) qui trépigne (tic tac animalier) mais ne cède pas à la facilité de se déloger elle m^$eme de nous mêmes, ou de nous autres, car la vie en nous esqt logée, est motrice, est une chose de poids réel (qui pèse sa gourme) etc, la moprt est une bouche de joie brûlante, il s’agit de c ette jhoie des joies brûlante comme pas deux, la hjoie b rûle sa xhandelle mauve, nous pleurons , nous sqommes en p^leurs, nous nous vidons, nbous pissons de partout, de tous les trous que nous avons, trou de roche dure dans le temps, nous avons des trous en nous, nous sommres pour un peu (beaucoup) des tubes avec entrée d’un côté et sortie cdec l’auttre (comme tous les tubes), nous sommes des tubescde raghe, sur roche des temps, a urocxhs-buffles (buve ? buffe ?) qui va, nous allons audssi, mon NOM est le nom de cette chose sur roche deesinée à main levée : animal, et moi de penser pour moi cette chose depuis des lustres, une pensée close mais non passée en vérité, nous penso,ns que nous sommes deux en roche pour penser la chose : elle et moi, c’est à dire elle (la bete) et moi qui suis cet homme des parois mouvantes, des parois meubles à pouvoir (parfoiis et par endroits) treaverser de pied en cap , je deviens la bezte de roche, je me treansforme la roche passée, la roche traversée je me transforme en b  ete de roche gravée pâr un homme de la préhistoire, je suis homme moi-même de la préhistoire, je suis un homme de lma préhistoire, je suis homme  préhistorique, je suis un homme de la préhgistoire, je suis homme préhistorique, homme-homme et femme-femme de la préhistoire et je vais et viens en roche (en elle) comme un qui traverse fissa par la force des cghoses de lui, betes massue, betes poids qui chargent, butent, piquent, trouent et entrent en cohorte (une farandole pour une ribambelle de betes de roche, toutes agglutinées pour la bonne c ause princière ) : j’obtemp^ère, j’obtempère car je suis ainsi qui me doit de faire alklégeance, j’obtempère au pied d’(icelle paroi, ou pl;us loin en ellez (inclus) pour des siécles, je crois en cette chose d’une roche dite éternelle, je veux y croire, je suis homme des temps passés donnés sur roche, je suis homme vif de la roche dure, je suis cet homme  vif des roches temporelles, décorées par la bande , ornée par l’homme, mis en pièces de choix, etc, nous passons sur roche nottre gourme et nous mettons ainsi en popsition de comprtendre  ce qui se trame, nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir , nous (certes non) ne voulons mourir , car à la vie nous tenons trop, nous tenons à la vie comme jamais, nbous sommes accros, nbouys ne voulons pas moiurir, nous voulons rester en vie, nbous tenons très fort à la vie, nboys tenons à la vie très fort, nous tenons tr!ès fort à la vie, bnous tenon,s à  la vie très fort, boys tenons très fort à la vie, noys tenons à la  ie très fort,    bnous tenons très fort à la  vie, nous tenons à la vie très fort, noys tenons très fort à la cvie et nous ne voulons pa sd mourir, jouys tenons à la vie très fgort et nous ne vouloàns opas mourir, nous voulons rester en vie, nboysz voulons conserver lza vie pour nous (en nbous : logée) et ne pas la donner (offrande) de sitot sur roche (ou sur table, ou sur livre etc) : nous ne voulons pas  nous débarrassser de sitot de cette vie en   nous qui nous maintient pour le coup en vie comme un etre de paroi mobile, nous ne voulons pas trépasser, passer seulement, passer la roche pour le coup , et dès lors en cette roche nous positionner de telle sorte que nous puissions encore durer dans le dur de la roche du temps, durer dans le dur, durer dans ce dur de la roche xdure, nous voulons connaitre ce qui nous attend, pouvons-nous savoir, pouvons-nous avec des mots savoir ? nous voulons savoir ! nous voulonbs savoir ce qui est en roche, qui «nous tend les bras» , ce que cela =, quoi ? nous ne savons pas, nous cherchons, nous savons peu, que savons nous ? nous savons que lma mort est une bouche, une bouche qui a faim, rarement rassasiée, nbous savons que la mort est une sorte de bouche c reuse, de trou, de récipient, de trou borgne, etcx, nous pensons que la moprt est un trou borgne fdans la terre, ce trou devant soi où se mettre, ou dans lequelk s’immisqcer en se fauxfilant, etc, la mort est celle là qui se porte devant soi au jhour le jhour, nous devons comp^rendre cette  cxhose pour nous d’une sorte de pâ roi votive qui serait de type animalière, avec betes-mots représentant des sortes xde prières à chaque fois, x prières pour x animaux de représentation, nous essayons de comp^rendre ici même (livres) ce qui est en roche, nous voulonsessayezr de comprendre ou  comment ? nous  nous positionnons en roche comme betes de parois mobiles (à la lumière des torches brandies) , nbous voulons comprendre les données natives, le point de départ, le mot du début, clap de démarrrage etc, quel est le la ? qui va là ? qui est là ? quoi est là ?etc, nous disons que notre but en définitive est là qui est tout à fait visible de  beaucoup et de très loin si l’on y prend garde, je suis je qui dis ce qu’il dit de la paroi du monde, je suis ce je qui parle au nom de beaucoup en moi même, je vais et je viens en roche, je suis cette chose d’une sorte de chaman de roche dure, nous allons en roche du temps , à larecherche de la  érité langagière (animaélière) des embruns, les mots varient squi disent des choses, mais ces choses varient-elles avec les mots des âges ? nous pensons que non... ou que oui plutôt, ou non ?. nous ne savons pas, nbous sommes ig nares, nous ne savonsrien, nous disons entre nous des mots de roche dure à l’emporte pièce, avec plus ou moins de phrasé, de richesse de vocabulaire, etc, nous voulons comprendre et cependant sque co:mprennons-nous sinon presque rien, ou sinon presque rien pasz grand chose, et ce pas grand chose prend toute la place, occupe le terrain comme un troupeau de buffles ou autres bovidés de masse, nous pensons cela, comme quoi les mots font leur chemin de croix dans le temps de leur déroulement et syntaxiquye et grammatical, nous voulons comprendre ce qui est pour nous en roche en termes ici de vérité de bon aloi (grammaticale et syntaxique) et de vérité dite «des profondeurs» qui, elle, va sans verbe (ou comment  alors ? ) à même la roche : bouquetin tintin !, nous cxherchons, nous cgherchons vzaillamment,  nous ne nous arrêtons pas de chercher, nous essayons de déterrer des donnjées à même la terre, comment dire ? osesements ? os ? reliques d’un saint patriarcal ? où aller déterrer ? où ça pouvoir nous rendre en roche afin de cdéterrer des choses anciennes ? mots de roche dure entérrés , mots-betes enterrés de la roche dure des temps alloués, nous cherchons ensemble, armés, desz mots enterrés, qui f(mots entéerrés) sauraient nous instruire, nous donner le la de la déreliction de roche, nous cherchons à nous implanter pour ainsi dire (racine) et demeurer ! nous voulons nous intégrer fissa pour quelques déc ennies et au delà (si possible au de;là, si possible pour toujours) , nous voulons savoir ce qui est en roche en termes de pouvoirs à acquérir par la bande du genre savoirs secrets, pouvoirs magiques, capacités, compétences dite «eéternelles» etc, applaudissements, nous avons cette ambition affichée, c’est à dire que nous disons à qui veut lk’entendre que nous voulons aller, à travers la roche, à la découverte dx’une denrée, d’une sorte xd’ingrédient de poids, qui «puiise le faire» en bouche de lma mort à l’oeuvre, une denrée vive (la plus) comme par excemple une infamie, une turpitude, une obsc énité, une virulence, un e colère, un cri lancé à la cantonade, une furie, un bec, et nous dès lors de nous align er et de chercher à satisfaire l’estomac sur pattttes» que serait (est) la mort, car lma mort n’est jamais rassasié qui troujours plus «demande» des «vivres» etc, nous le voyons bien, nous voyons mourir des etres autour cde nous, et ce sans ceesse, nous savons cela, nbous sommes accouplés : nous savons, accouplons-nous et nous saurons, accoulpez-vous et vous saurez, la chose est enfantine, un bel dire de roi et la chose est comme entériné, un dire du faire, une allégeance sur pa roi (aurochs) et le tour est joué (à l;a crapette, etc ) : nous savons cela, bnous voulons gagner (vaincre) la roche, nous le voulons comme jamais, nbous sommes parés et motivés comme quatre (nous sommes deux) et nous nous enfonçons fissa en rochge du temp^s, et nous ouvrons nos yeux en grand afin de co:mprendre ce qui est qui nous attend en roche du temps, nous voulons comp^rendre pour nous ce qui est en roche qui serait à nous attendre pour l’éternité (ah) et nous voilà, nous nous présentons (déclinons les n oms dont nous sommes affublés) et alloons plkus avant sur ce pré de zone aux chevreuils, biches, aurochs, bidsons, buffles et chevaux, la coupe est pleine il faut la boire, buvons ! nous sacvons que bnouys avons à faire cette chose d’une entrée massive en roche, nous savons que nous avons ensembke à faire cette chose dune sorte (en soi) d’allégeance sur roche, pour dire qyuoi ? implorer  nbotre pardon ? dire excusez-moi je ne voulais pas, c’est plus fort que moi, ça (ce ça) me dépasse, je n’y suis pour rien ou pour pa s grand-chose, je suis sous le joug de ma destinée, je fais ce que je peux avec ces données cde bnase ruypestre, avec ce bagage qui l m’incombe d’avoir à porter, etc», je xsais  ette chose, nous le savonsq, nous pleurons pour en imposer et faire impression et tenter de se tirer dès lors de ce mauvais pas qui est le nôtre depuis toujours,; c’est à dire cdepuis ce jhour qsui nous a vu nzître, que dire à la mort ? qu’on s’excuse, qu’une fois de plus pour ellle ça ne sera pas pour tout de suite comme elle ne cesse d’esp^érer, nous sommes dépassés par en nous le flux qui nous pousse à braire sur roche avec le cerf des bois et sous-bois, nous nous ecxvcusons mais il n’est pas dit que cela sud-ffise, il n’sst pas c ertain que M de Mort soit ok, monsieur ou madame, pas dit que elle ou que lui elle ou il soit contente et content de la  situation telle qu’ezlle secpmrésengte au temp^s présent des présents à déposer sur roche (trou de bure) ici ou là à nos c^$otés, nous cherchons à nous tirer d’affaire et ce n’est pas simple, nous devons nous montrer malins comme des singes, que dire à la mort pour lui faire avaler la pilule ? que dire à monsieur/madame, à ce sieur/dame afin de cela lui faire , que ? quoi ? car dame/sir est un (une ) drôle de coco ! je sais! je vois ! j’imagine, etc (applaudiissdements) , je sais o combien la chose est :loin d’etre simple et aisée à mettre en euvre, je sais la difficulté, l’hommes de cav ernes est un enfant sur pied, l’homme des ca ver nes est l:’enfant sous influence, son verbe est nacrée comme un onguent, comme chr^$eme, je cherche la voie du sang, son parcours-san té en moi même, je saisq  ce qui est   qui m’attend, cette chose rude à passer, à devoir passser, je vais en roche dure aux apprêts de bord de mer, mon coeur bat, il  bat son ryhtme lancinant, métronomique, hautain, il bat sa magie, je suis homme desz cavernes des prairies de roche, je suis un che v reuil, je suis une biche, je suis un vcerf, je suis un bousquetin, un renne, un cheval, je suis un aurochs, un bison, un buffle, un ours, un lion, un bec, une sorte de treacé pariétzal inqiuiétant, un homme cdebout, je suis cet hopmme de mlaroche des temps alloués, je vais et je vien, s en roche dure comme  dans un monastère, un prieuré, une chapelle, une église de paroi, une chaloupe, une arche, un bateau de bois, je suis homme de laterre meuble,; homme-enfant de basse-fosse, hommùe dans le trou de la roche, trou des trous, je vais et je vie,ns à l’intérieur du trou de la roche meuble, je m’avance, je vais en ce sein à la recherche d’une découverte à faire (enfantine) sur paroi et pourquoi pas ? je m’appelle de MON NOM de scène, je vais sur paroi ainsi attifé (de MON NOM de scène) et je vois la bete du temp^s brouter, elle man ge de l’herbe, elle n’(est pas carnassière, etc, je vais en roche ainsi équyipé, attifé, armé, muni v: affublé dx’un nom ! et ce nom est le nom de scène de roche, le mien, il s’agit d’un nom dont on m’a affublé, nom d’emprunt pour a insi dire, j’avance masqué, je suis homme à la voix rapide chevauchant la roche (cavalcade) et hurlant ! à moi lza vie belle ! je le veux ! je veux de la vie belle ! c’est un voeu que je formùule, puis-je ? je voudsrais savoir, je veux savoir et coomprendre, je voudraois savoir pourquyoi (la mort) et comprendre tout le mécanisme, du début de notre vie à la fin de cezllmze)-ci, pourquoi ? comment ? etc, savoir ce qu’il en est de toute l’affakire, je suis homme des cavernes affublé d’un nom -chandail, cela est, et comment dire dès lors que non, non et non, je ne suis pas ce chandail-là ! je nessuis pas cette personne, ne dites pas (à personne) que je est ce chandail-là car il ne l’est pas, je ne suis pas ça, je n’est pas ça, nous ne sommes pas ça (pour rien au mon de) et ainsi disant c’sst comme si ainsi je m’appîtoyai sur mon sort et faisais allégeance en roche, au pied de la FChose de choix, je fais ainsi preuve de modestie, ainsi je fais sur roche preuve de ma bonne foi (j’essaie) : fais-je ainsi preuve de ma modestie (ou de modestie ) ? fais-je ainsi preuve de ma bonne foi ? car que dire à une bouche ouverte en grand comme une gueule (grande gueule ) ? que dire à la geueule du temps pa   riétal = mort , que ? = quoi ? que-quoi dire à  la mort du cru ? que quoi dire à pareille engeance pleinière ? je - ne- veux etc, pas- mourir on l’a compris, on a comp^ris que je (cette entité nacrée) ne voulait pas mourir mais durer dans le dur tant pis, mais durer, or pas dit que «nous» dira de m^$zme, pas du tout sûr qu’un «nous» (dépopsé sur roche) tiendra le la ngage du j,e, et fera son possible ou ferait pour durer, pour pâsser pour celui qui cgherche à durer, la mort est une bouche (très) grande ouverte, elle mange (broute)  ce qui lui passe sous le nez, nous savons czela , la mort est affamée(en permanence) : ventre(antre) surr patte = cavité = trou = gtrou borgne ? nbous vopulons comprendre c e qui est en ce monde de lma rocxhe meuble, fran chement oui ! nous voulons comprendre le + du + du = du + de cette chose nommée «La Roche»,  c e qu’elle est au juste pour nous, à nos yeux ey pas xeulement aux nôtres, aussi aux yeux des auttres, nous voulons savoir beaucoup (tout! ) et pour ce faire nous sommes entrés dans kla roche des vélléitée salutaires en termes d’embardée votive, nbous voulons le + de la vie, donner le + mais pas la vie (pas folle , à notre tour, la guêpe!) car merde;, bnous y tenons (à la  vie) : elle bnous appartient ! la vie nous appartient, la vie nousappartienbt-elle et si non à qui appartient-elle ? à la mort ? merdum ! nooooooooooooooooooooooooooooooioooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon ! nous nee le voulons pas , nous ne voulons pas que ce soit le dit , mertdum ! noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo n ! mertdum ! non de nomm ! car merde merdum : mèfle, zut, trop bête ! nous ne voulons pas que cette cxhose soit le dit, bnous ne voulons pas que cette chose soit dite, passe pour le dit cde vérité ou de la vérité, genre parole d’évangiles, nooooooon , merdum ! nous ne voulons pas que  ette chose soit le xdit !! la vie en nous n’appartient nullement à la mort du levant , nous pensons cettez cghose commùe quoi en  nous la vie (ce tic et ce tac de roche) n’est pas (au sens d’appartenir) à M de la mort en b ran,che de  céans, non ! nous ne  voulons pas de ça, de  ce dit de meu, car non ! la vie n’appartient pas à la mort, ou si ? vérité ? vrai des vérités ? nous ne savons pas, nous vpulons savvoir, et aussi l’art en la matière, etc, que dire de la mort à l’oeuvre, que devons-nous dire d’elle, quoi est elle ? nous voulons sa voir, comprendre et dénicher l’oiseau dans son  nid douillet, que faire ?, nbous voulons savoir, nbous voulons dénicher,; com^pre,dre, trouver UNE V2RIT2 de poids qui puisse»le faire» ad v itam aeternam , mais comment ? nous sommes deux (chargés-) squi voulons savoir ce qui est en la matière : à qui appa rtient la vie ? lavie appartie,nt-elle à quelqu’un ou à quelque chose ? la vie appartient elle à qu!elqu’un ou à quelque chose ? nous voulons savoir, comprebndre, dessiner et graver, trouver, dsébusquer, dénicher le pot aux roses, détroussezr, comprendre vif, al:ler loin dans la compréhension-captation des choses du monde, trouver ! trouver ! trouver! trou-ver! trouver le trou ! trouver le trou ! trou v ! trou le v ! v le trou ! vé le trou ! vois le trou ! vois donc ce trou pour toi, trou des trous etc, nous voulons n ous approcher cde Dame V2riT2, de Sir vérité, ainsi de suite, nous voulons comprendre un + squi serait le + de toute l’affaire : une croix, la croix du bucher ? bnous sommes deux qui vcoulon s comprendre, nous sommes nous deux qui voulons comprendre, nous sommes dezux qui cherchons à comprendre, bnous sommes deux qui voul;ons comp^rendxre, bnous sommes deux à vouloir comp^rendxre, nbous sommes deux qui voulons comprendre,; nous sommes deux quyi cgherchgons le  nid ou les nids de la  vérité emba rquée, nous sommes deuix (ellez et moi) qui cherc hons -ce nid de roche (où est il ?) qsui saurait nous dire (à sa façon) le pourqyuoi de la roche du temps, le pourquoi de la roche des temp^s impartis, ce pourquoi des temps passés déposés sur rochee (table) en guise d’offra,nde de poids («qui le fasse») , hum, pas sûr ! oiseau de la vérité de la roche où es tu ? nbous te recherchons, nous te voulons, bnous voulons de toi, nous voulons de ta présence en  nous et au-delà de nous car nbnous tenons à toi , nous tenons à toi comme à la prunellle de nos yeux, nous tezn ons au bec de roche, nous tenons au bruit du bec sur la roche : percée du pic, nous voulons entrter xans la roche et nous y lover-loger pour la vie, et au delà (si tant ewst) et pour ce faire (fissa) aller à la roche du temps, prendre , saisir, toucher, faire ami ami avec qui avec elle : la paroi des temps = la chose rude = le temps d’une vie donnée, ensuite, un jhour, le moment venu, oui : nous doonerons davantage, peutêtre, certainbement, tout le monde meurt, mais en attezndant nous freinons des 4 fers, nous ne voulons pa sz passeerr l’arme à gzauche, nous tenons à nos abattis, nous tenons à bnotre san té, nous teno,ns à la vie, nous tenons à rester e n   vie, nous voulons rester en vie sur terre ferme et voir encore et toujours les beztes de roche apparaitre sous  ,nos mùains télépîlotées par des betes en nous qui nous gouvernent (transe , insidieusement) et nous dessinons dès lors ces betes de roche dure, ces aurochs de belle prestance, ces bisons musqués, ces antil:opes vi ves,  ces  chevreyils royaux, ces biches brillantes, ces ors, ces reflets, ces brulures, ces feux de paroi, bnous voulons comprendre  ce qui est du monde à la lumière d’une sorte dx’échappée dans les sous-bois, lumière ra sante entre le  tronc des arbres, entre les troncs des différe,ntes essaences,n, etc : applaudissementrsq, nous voulons savoir  le plus que nous pouvons, nous voudrions savoir lev plus possible, tout, tout de la vie, un tout de vie entière, ce que c’est que tout, ce qu’est tout, ce que tout est, etc : appplaudissemnets bissés, et nous de croire en  cette chose par la ba,nde (au pouvoir des mots prononcés sans y penser) et du coup on sait cette chose d’aller loin en cette zone des zmbruns de roche, nous a imons la vie en nous, bnous ne souhaitons en rien devoir ou avoir à ... , etc, non ! nous voulons ! nou voulons ! nous volons, nbous voulons et nous volons ! nous voulons a ller loin en cette roche du temps; qu’sst la mort ? quoi est-elle ? ou est ezlle (le trou près de vous, rappêlez-vous)  etc : applaudissements, je connais cette chose du tempqs imparti octroyé <qUI un jour prend fin, je veux aller en roche vivre, je veucx vivre en roche parmi les betes, je veux vivre en cette roche parioétal:e de l’ours des cavernes, qsui donc ewst l’ours des cavernes ? qui donc est cet ours ? qui est l’ours de céans des cavernes du temps ? suis-je l’ours logé en moi ? ai-je un ours en moi ? ai-je en moi une bete des champsq ? libbellule ? orang-outan ? aurochs ? oiseaub du pzaradis ? buffle ? bison ? antilopê ? cheval ? cerf ? biche ? chamùeau ? chjien ? ours des cavezrnes ? ou lion des cavernesq ? qsu’ai-kje en moi qsui trépigne sévère ? qu’ai-je en mpoi qui cher che à de moi sortir par la b ande ? qu’ai-jhe en moi qui ne va pas de soi et chertche issue pariétale ? chertche à s’exprimer pour se dép^loyer et se dép^loyant avouer = dire ce qui est , qui ou quoi en moi ? je suis un homme des cavernes, je suis un homme fou, je suis homme fou des cvavernes = je suis un homme virgule fou des cavernes, ou bien je suis un homme fou (des cavernes) ou quoi ? une femme des cavernes, une bete des cavernes, un faon des cavernes, une vooiiox des cvaerrnes, un lion rugissant (le soir) des cavernes, un cheval des cavernesz, un enfant des cavernes, un jeu de caverne, une joie cdes cavernes, une lumière en moi des   cavernes ou commùent ? je suis traversé de  but en blanc, je suis à la croisée des chemins, je suis un homme des cvavezrnesz au sa ng royal, je suis cerf dxe roche aux bois   dorés géants, je sautille à qui mieux mieux dans la lande, mon port et mon alluure sont majestueux, mon allure est ma&jeswtueuse, mes ports et allures sont majestueuses, sont majestueux et majestueuses,; mon port est majestueux et mon allure est majestrueuse, et du coup mes ports et allures sont majestueux majestueuses, sont des majesté, sont ceztte majesté de roche attribuée, je veux etre cette roche dure des apprets, je suisq cerf qui va sur roche et cherche des den,rées-données pour s’alimenter, je suis homme des cavernes orneme,ntées, je m’avance en elle à la recherche de x et x vérités à dénicher, si seule:ment ce pouvait etre vrai, si seulement la vie de roche était le réservoir des  vérités de poids, des vérités qui pèsent lourd dans la balance et en imposent gran,dement, ah si je pouvais ! si seuylement j’é&tais à même de savoir et pouvoir dénicher UNE vérité de bord de roche, UNE vérité des embruns dans les lointainsq, le trou borgne (on a compris) est celui qyui nous attend, toutes voies ouvertes pour nous, nous  cherchons avec sériieux une belle et grande vérité mes aïeux «qui puiisse le faire et en jeter un maximùum «, ah si suelement c’était possible ! ah si seulement je pouvais trouver ce quoi dénicher qui le fasse et donn,e le l:a et le change (les deux : le la musical du temps à vivre, et le change à «Mort de mes 2» qui nous intime et nous intimide) , nous voulons comp)rtendre, bnous voulons savoir à tout prix, bnous voulons comp^rendre, nouds voulons à tout prix savoir et co:mprendre  c e qui est en  c ette roche des savoirs nacrés : qui est quoi et quoi est qui ? ou bien : qui est qui et quoi est quoi , nous cherchons dans le roche u,ne sorte  c -de vérité qui pourrait le faire, c’est à dire qui pourrait donner le change à la mort, c’est si:mple, disons que c’est simple à comprendre sinon à réaliser, nous cherchons en roche  , nidée, une vérité «qui puisse le faire», nidée = nich»éée, et pour cela  ous nous imisçons en pareille roche,, et cher chons dan,s tous les coins où pouvoir trouver pâr’eiile vérité  centrea le de poids, que nous pourrions valoriser dès lors , et du coup dépopser sur roche (etc = applaudissements) et voilà mpourquoi  ,ous sommes entrés en cette roche, ce  que nousw  voulons ou désirons, ce qui nous tient à coeur de réaliser, ce qui nous occupe et grandement occupe nos pensées depuis longtemps : dénicher , dénicher, dénicher,; dénicher, dénicher, dénicher et trouver, trouver ,, trouver, trouvczer, trouverr le hic = le trou, vé ! ainsi de suite ! ce trou dans la roche à mes côtés tout frais est mon propre trou de vie vive, à combler un jour ... ou pas ? je cherche une voie d’accès, je suis dans une réflexion massive, rude, pleine, nous devons gravir le mont de v     énus (?) et chercher la grotte, où est elle ? qui sait de quoi il en retourne ? nous cherchons cette chose d’une vérité de chose honteuse mais avéereé, mnous nous sommes in filtrés et nous guettons, nous cherchons dans tous les coins de laroche dure et que trouvons-nous en termes ou en guise ou en fait de vérité ? des betes, de ces betes de roche de parois, des aurochs, des aurochs comme s’il en pleuvait, où sommes nous ? que faisons -nous ? que sommes -nous ? que disons nous ? que dénichons nous ? que désirons nous ? qU»’affichons nous de nous mêmes ? nos noms ? peu -êttre, et zussi : nos envies, nos betes de vie, etc, nos désirs, notre feu, notre foyer, notrte moteur vif, nos penchants preononcés, etc, nous sommes des etres de feu, nous sommes des etres qui sommes le feu, nous portons en  ous des élans de feu, nous portons en  otre sein des penchants vifs, fortement aiguisés, quyi obsèdent, nous avons en n ous de ces pencha,nts vifs et acérées qui nous obsèdent grandement et ce longtemps (une vie dur$-ant ? ) : nous cherchons à savoir pourquoi, ce que c’est que ce feu centreal, qui sommezs nous pour bruler de la sorte ? bouts de bois ? ramuresq ? bouts de quoi ? nous essayons de comp^rendre  ce qui nous arrive en pareille roche, qui saura nous dire ce qui nous arrtive ? qui ? quiiiiii ? qui saura ? qui va là ? squi va savoir ? qui devant soi ? et d’abord pourquoi devant ? autour : autour de nous en cercle, une sorte de paroi, une sorte d’attribut, une sorte d’enclos, une sorte de praiorie, une sorte d’habit, d’habitus, nous sommes entrés à deux dans la paroi du temps, nous nous sommes lovés, nous nous enlaçons, nous sommes nus, nous touchons la timbale du temps, nous sommes deux à toucher la timbale

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17/06/2021

nous sommes entrés en cette roche des temps alloués à une vie terrestre, soudés accolés (nousssommes) et ce faisant allons, nous allons ensemble en pareille roche aux prés verts, aus sous bois et aux embruns de bords de mer, nous sommes accolés soudés à la paroi du temps, nous faisons partie de la paroi du temps, nous sommes les amis de laparoi du temps, amis chers, chevreuils, biches et cerfs, ramures, nous nous avançons dans le préé, nous sommes dans un pré et nous nousavançons en direction d’une sorte de lointain azur, nous voulons comprendre les données dumonde, les arcanes secrètes, les ressorts cachés, tout ce qui est pour nous ici en roche comme identités, nous voyons des betes nous entourer, nous sommes près d’elle, nous sommes deux à nous introduire en pareille paroi d’hommes de la préhistoire, nous nous immisçons en pareille paroi aux identités : noms de betes fortes, aurochs et bisons, nous savopns leurs noms, nous nous avançons près d’elle, nous sommes près d’elle et nous les sentons respirer fort, nous nous avançons près des betes et ce sont betes de belle prestance, massives autant que racées, forte de tête, fortes folles autant que rapide s une fois lancées, nous nous approchons de ces betes de roche, toutes portent un nom surnuméraire, elles nous regardent d’un air de deux airs, elles ne sont poaas en reste de nous regarder comme par en dessous, elles ouvrent leurs mirettes en grand et ne nous lâchent pas du regard, tout en broutant de l’herbe verte des p^rés de la roche, nous somlmes introdyuits, nous nous sommes introduits fissa, nos noms sont inscrits sur roche, ce sont des effigies de betes fortes (folles ?) qui vont et qui viennen,t, nous aimons les bêtes qui vont et qui viennent près de nous, nous voulons savoir les ressorts cachés ce qu’ils sont et en connaitre long et profond sur toute cette affaire de paroi du monde, d’animaux-mots et autres betes-mots de ta race etc, nous sommes motivés poour pareille recherche de fond, notre but est avoué (affiche) et nous convient, nous sommes à la recherche (devant soi) de la vérité du monde, cette chose devant soi d’un monde de joie, de perle, d’embruns et de bouche ouverte aspirante, nous voulons comprendre les ressorts secrets de toute cette affaire de paroi ornementée ou comme décorée (décor) à même la roche, etc : aurochs, bisons, buffles, rennes ou chevaux, bouquetins, lions des cavernes ou ours des cavernes, antilopes etc , nous sommes moptivés, nous ne faiblioro,ns pas, nous irons loin ainsi armés de nos pique-paroi, etc, notre bouche est une plaie, nous sommes secondé (doublés) par en nous la bete de somme qui renâcle en nous, nous sommes comme sous emprise, sous l’emprise d’une bete forte et folle en nous, follement lancée et forte comme un boeuf, etc, qui en nous cherche l’issue afin de s’échapper de nous pour aller se ficher en pareille vparoi de grotte (dessins, gravures) et là s’ébrouer ou trouver à s’ébrouer à qui mieux mieux, nous sommes sous l’emprise forte folle d’une bete forte et fo;lle en nous, et nous voilà qui lévitons de concert, nous montons le long des parois en lévitation, nous sommes main dans la main et lévitons, nous lévitons main dansd la main, nous sommes deux pour ce faire fou et fort ou fol et fort etc, nous sommes main dans main, main main comme deux tourtereraux de la première heure, main main, main main main, main et main, main main main main main main et main, nous grimpons dans les nuages des parois célestes ou quelque chose de cet ordre en grotte, furie et furia, des incantations, des folies, des cris, de tout qui en impose fichtre, etc, nous sommes qui allons ainsi sur roche à la recherche d’une vérité de bon aloi, vérité des vérités qui puisse le faire et nous donner du mou, un allongement de vie, une place où nous dorer, etc, nous sommes mi homme mi bete et nous entrons en roche comme en religion, sous ordre divin, etc, notre but ici n’est pas caché mâeme si tout, en vérité, en effet, est «comme» codé «de la tete aux pieds» ou quelque cvhose d’approchant, etc, nous nous approchons de bouche des prés, cette excavation, ce trou (borgne ?) et nous comprenons que nous avons cette chose pour nous à déchiffrer comme des hiéroglyphes ou comme des signes de kabbale etc, nottre but est de comprendre ce qyui est des choses, à travers un usage «forcé, violenté» des mots ou sinon n violenté bousculé des mots de ta race etc, nous voulons comprendre lles mots de ta race ce qu’ils ont à dire, cela est, cela est cette chose ici d’une vérité cachée ou masquée sous des couches de propos sans sel, etc, nous disons cette chose ici comme quoi nous avons à déchiffrer, sous des couches et des couches de propos sans sel, des sortes de douces ou pas, douces ou pas douces vérités sur la marche du monde : qui est qui, qui fait quoi, quoi est qui , qui est quoi, et surtout (avant toutes choses) à propos des sentimùents qui régulent la vie, sentimens de la fin et de la faim, etc, nous avons à comprendre le monde du temps, nous voulons comprendre le monde des temps impartis, etc, nous devons comprendre ensemble les teneurs, les arcanes, les soubassements, les piliers du temps, etc : que sont donc les piliers du temps ? où devons nous aller en roche pour comprendre ? squi est cet homme des cavernes ci-devant qui trace à main levée des images de betes célestes ? nous cherchons avecv conczentration et un grand sérieux etc, nous ne voulons pas passer à côté, nous voulons comprendre et toucher la vérité dans ses retranchements, nous solmmes deux pour ce faire et nous y allons, n’ayons crainte, allons-y, filons, allons vers pareille bouche des p^rés, cette excavation votive, cet autel de la mort appretée, cet autel de buve, etc, nous voulons comprendre ce que c’est, ce qu’est la mort «devant soi» etc, le présent du monde tracé déposé, nou voulons comprendre ensemble ce que c’est que ce monde de parois de grotte décorée ou ornée par des hommes et par des femmes des cavernes, nbous voulons comprendre ensemble les secrets du monde pariétal et les enjeux qui y sont accrochés, nous ne voulons plus (ou pas) lâcher la garde mais poursuivre sur notrte lanvcée, à la recherche de la vér(ité de céans, de pareille vérité concernant la mort, bouche de la vérité, etc, nous savons des choses, déjà en vérité nous savons car nous avons en nous des betes qui savent et même qui en savent «lourd» , et comment ! car elles sont imposantes, elles sont massives et imposantes drôlement, elles forcent l’admiration, elles pousse,nt de toute leur masse et cherchent à s’extraire de nous par tous les moyens, elles sont «physiques», elles hjouent de leur musculature, elles ne chôment pas en nous, elles pousdsent en nous en direction d’une sortie de bouche et elles la trouvent : plaie, tranchée, etc, nous sommes des etres blessés par, en nous (intérieur de notre etre) une bete de poids qui, poussant sa cvarcasse, arrive à sortir de son trou en nous et se ficher hors, jusqu’au bord de roche, et s’immiscer en roche comme une gravure etc, ainsi de suite, car lorsqu’une bete,ou un conglomérat de betes enlacées , arive (arrivent : les betes) à sortir de nous, lorsqu’un conglomérat de betes parvient à s’extraire de nous par lma bouche, la nbotre, alors on peut dire ou vous pouvez dire qu’un autre ne tardera pas à vouloir sortir et ce ad vitam aeternam, d’où notre colère, etc, notre sentiment de grande colère, et notre douleur zau passage des betes, car la bouche (la notrte) est une plaie, saigne et fait mal au passage des betes du temps ! nous savons cette chose, nous savons cela très bien, nous ne sommes pas ignares tout à fait, nos paroles sont toutes codées devant nous (ouiiiiiii, nous le savons) et cependant nous imprimons notre «façon de voir» en elles, en ces mots de roche dure,en ces litanies de conserve, etc, nous sabvons que ce que nous disons est pour le coup codé, nous savons cela, nous ne sommes pas tout à fait dupes, nous ne sommes pas complètement idiots ou même à la ramasse des temps, nous savons des cghoses (etc = cet etc !) et cependant on voit (on sait) que ce qyi vient sur roche (paroles) est du codé en branche, est codé «de la tete aux pieds « pour ainsi dire, rien qui réellement ne nous «signifie», rien qui puisse nous montrer nous mêmes à nous mêmes déjà, etc, les mots de roche sont cod»éés et renferment leurs codes secrets : que disent ils ? que disent les mopts de la lande ? que disent les mopts-betes dessinés à mêmùe la roche ? en quel nom ou au nom de qui, etc , c’est à dire en vrai : qui parle ? qui parle en roche ?qui s’exprime ici ? qui dit les choses du monde et de  cemonde animalier de roche ? nous ne savons pas mais les mots que nous portons en  nous le savent , nous ne savons pâs, nous ignorons, nous sommes betes de roche, betes comme choux, etc, mais les mots de roche (de parois) savent, eucx, ce qu’il en est et ce quil en coute d’être, etc (applaudissemùents !) : nous savons cela ou du moins le subodorons par la bande, nous essayons de nous approcher par la bande de la vérité du monde et bien évidemment que l’affaire est coton, n’est pas simple, se corse vite fait au contact de la roche à passer, etc, nous devons comprendre ABSOLUMENT les données primaires, premières etc,et pour cela nous nous tenons prêtes en permùanence, sur le qui-vive, debout les morts, é veillés comme pas deux ou si : à deux et même soutenu l’un l’autre par son ombre soeur, etc, nous voulobns comprendre le monde des r êves, des embruns de roche, des mots galvaudés secrets ou cvontenant secrets, des codes floutés ou comment ? embruns maritimes ? bouffée de joie sortant d’une bouche ? haleine fétide de la mort à l’oeuvre ? conjonctures finales ? nous voulons comp^rendre ensemble ce qui est ou ce qui l’en est du monde de la roche des temps alloués et de la mort qui est son corollaire flouté ou comment ? grisé ? nous  cherchgons, nous voulons savoir, nous voulons comp^rendre le monde, nous voulons comp^rendre les choses du monde, nous voulons comprendre les ressorts cachés, les visavges de betes sur roche gravés ou dessinés tantôt à la pointe, hommes des cavernes dites nous ! dites nous tout ! qui etes vous ! que faites vous ! que pensez vous ! quelles sont vos pensées de base ,? que vouylez vous de nous en nous ? où vous logez vous en nous ? etes vous logés en  nous ? où vous logez vous en nous-autres hommes de peu aux sentiments mêlés : qui ? quoi ? que ? comment ? car quoi ? nous sommes des etres de peu de foi or que non : nous sommes des etres qui voulons la chose connzaitre à travers des mots auxquyels nous croyons comme ailleurs des b etes croient, ou même des tribuds humaines croient tout comme , car nous sommes une tribu et plus que ça, nous sommes des betes de foi de rage, nous sommes b etes-mots de race et croyons, à quoi croyons nous ? au sens des mmots en nous, comme en autant de betes qui renâvclent et cherchent à de nous  sortir, ou à sortir de nous, et fissa ! nous sopmmes des qui cherchons dans la roche la vérité, nous en sommes, nbous sommes des qui voulons savoir ++ ce que c’est que cette affaire de vie et de mort ! car la mort nous suit à la trace , ou comment ? on peut, on pourrait dire ainsi, comme quoi la mort nous suit à la trace, ne nous lache pas, la mort est un chien, la mort est un trou de roche on l’a vu, et ce trou est notre trou, etc, il n’y a donc pas un endroit précis (Un) qsui serait situé ici et pas là dans le monde, genre «porte des enfers», passage choiseul, etc, non ! mais mille, mille milliard de trous possibles à meme la roche : trou d’aisance et trou de joie, trou de basse fosse et trou de connaissance de l’au-delà etc, est ce cela ? nous voulons comprendre ce qui est, nous dessinons des rondes et autres sarabandes et pour cela nous lévitons, bnous dessinons (à dessein) des betes de roche, nous voulons comprendre et tenir à distance la moprt, bnous voulons tenir la mort à bonne (suffisamment) distancede nous, nous cherchons à la mort tenir (suffisamment) à bonne distyance, nous cherchons à la mort (suffisamment) bonne distance tenir, nous sommes deux qui chgerchons à) comme tenir ensemble cette mort de rage, nous voulons tenir la mort à bonne distance, à bonne et suffisante distance, à suffisamment bonne distance, à la bonne distance du potier, etc, nbous ne voulons pas nous faire harponner par elle en cinq sec, nous vpoulons tenir la mort de roche à la distance qui nbous plait = qui nous tient en vie encore, encoore un temps, encore un moment que nous cherchons (par la bande) à alloonger au plus que nous pouvons, et ce par des incantations votives et autres pârades chevalines ou ovines sur roche, nous voulons comprendre les choses du temps, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants, nous voulons comprendre   c e qui est, nous voulons comprendre ce qui est en roche qui szetrame, nbous sommes évéillés et comment ! nous voyons la roche à graver , nous voyons les flammes du bucher, nous sommes deux pour tracer des traits sur la paroi du temps, et des mains surnuméraires : main ! mzain ! main ! main ! mazin ! mzain ! main ! main ! main ! main ! mzain ! main ! etc : appplaudissements ! nous créons de toute pièces une «pièce montée» en roche et cette pièce est là pour faire impression (mirage) à qui de droit, nous sommes les enfants-faons de la roche des temps, nous nous sommes introduyits en icelle et nous allons ainsi en elle à la recherche (motivée) d’une vérité de roche qui se tienne = qui le fa sse = qui en jette = qui pûisse en jeter des tonnes = qui puisse en imposer comme aurochs de roche = mots, mots, mots, mots = mains, mains , mains = applaudissements incantatoires afin de rythmer le temps écoulé sauvé, etc ! nous savobns, nous voulons creuser la roche, nous savons des choses et, de ce fait, envisageons de creuser laroche profond, loin, jusqu’au bout du bout, etc, nous voulons loin creuser la roche dure, loin la voulons creuser et nous le faisons au piolet, au piquet, à la serpette, au javelot, à la manche courte, au fifrelin, au pic de rage, à la charge-tittre, au piloté, etc, nous sommes enfants du jeu de ta race ! nous aimons creuser (percer) et creusons (perçons) la roche meuble, nous voulons sdavoir ce que c’est que cette mort de bouche trouble devant soi, qui est elle ? qu’est-elle ? sque nous veut elle ? pourquoi nous suit elle ? etc ! le trou pour faire caca, le trou où nous seropns un jour enterré à jamais, etc, nous avbons pour nous (qui nous suit ou tout comme) cdeux trous , les trous sus nommés nous suivent, sont là, nous regardent pour ainsi dire etc, nous sommes de la bande et la paroi du monde est notre paroi soit notre paroi votive, nous cherchons à comprendre les données du monde animalier à travers cet emploi de mots-betes de roche et placés sur roche, nous voul;ons ainsi essayer ensemble (à deux) de comprendre les données de base du monde dekla vie et de la mort dsur terre, cette chose allouée à un temps nacré dérouulé : le temps de se taire ? nous voulons comprendre ce qui est du monde de ces prés en roche, des embruns secrets, des dessins codés, des mots surnuméraires, des phrasés de destinée, des incantations culcérées, des cris de guerre, des plaintes autoritaires, des poussées de joie salutzaire, des décghets, nous voulons comprendre la maximum et toucher la roche sur nouys ou sous nous, près de nous etc, cette roche fraiche qui nous touche, nous plait, nous intrigue, nous envahit ou comment ? nous prend «sous son aile « ? nous voulons comprendre au plus profond de la roche dure, bnous voulons ensemble comprendre au plus lointzin et au plus profond de la roche dure, nous voul;ons comprendre ensemble zau plus profgond et zussii  au plus lointain de cette rochge dure des temps orné&s, nous sommes deux pour pareille mission d’envergure, et nous nous y tenons car nous sommes remplis de pareille mission qui nous pklait, nous intrigue, nouys donne des ailes, etc, nous aimons chercher les choses dans les choses, prés dans prés, biches dans biches etc, notre but s’affiche en toutes lettres gravées : aurochs des prés, aurochs des prés, aurochs des prés, aurochs des prés, etc, nbous cherchons ensemble à piger-comprendre)savoir -éclairer, nous voulons ensemble piger-comprendre-savoir-éclairer, nous avons ce but, nous voulons sa voir de la mort, ce que c’est que ça, ce que c’est que cette chose de la mort à l’oeuvre en des temps tracés sur paroi, qui est elle et que nous veut elle ? nous avons perdu le lien qui autrefois nous unissait à la rochge du temps, nous avons perdu le lien qui autrefois nous unissait à la roche ou paroi des temps alloués pour une vie de rochje céleste, nous sommes perdus (égarés) et nous cherchons (main dans la main) à nous y retrouver mais la cxhose n’est pas simple, il faut du couerage, faire preuve de courage ou s’armer de, ainsi de suite, et y aller, fisza tete première, à la une à la deux, et entrer en roche comme en religion, ou comme en une sorte de lieu qui serait celui d’une naissance au monde et pour le coup nouys entrons dans la roche comme dans la vie, bnous sommes comme à présent nés (naissants) à une vie neuve, vibrante, fluorée ou comment ? nous cherchons à comprendre les arcanes les plus souterraines ici (le langage de paroi) afin de nous y retrouver pour, plus tard (quand ?) dans la vie (?), nous positionner de bo,nne gr^$ace, quand ? eh bien un jour prochain, pas si loin en vérité, une date là, un endroit de chute, lieu d’aisance pour la vie, etc, nous pensons que cette chose de vouloir sa mort est une chose drôle , nous pensons que cette chose de vouloir connaitre (plutot) l’heure de sa mort est une chose drôle = drôle de chose ici bas, etc, nous pensons que nous sommes deux en nbous-même (bete et moi meme) à guider nos pas sur la lande, où donc aller sinon dans les prés et passés les prés vers les lointains de roche dure,; parois limitrophes, aisances ! nous pensons que nous dezvons creuser le trou de notre destinée future, etc, nouys voulons creuser un trou de roche, nous blottir en lui, nous lover comme des sourisseaux, comme serpentins, etc, nous devons comprendre  ce qui est du monde (de la roche des temps) et la moprt, ce que c’est que cette mort de roche des embruns, nous voulons essayer de comp^rendre ce que c’est que cette roche forte des embruns du monde, ce qu’elle estv en vrai pour des bouquetins dessinés, ce qu’elle est pour des rennes des bois, pour des antilopes naccrées, et sacrées, etc, nous essayons de nous approcher de la vérité des choses dites, dessinées à main levée, etc, et cela au pas de course comme il se doit, nous devons aller loin en roche et creuser ce monde de paroi dure , de paroi des temps qui sont temps de roche offezrte, etc, nous voulons toucher la timbale ! nous avons pour ambition de toucher ou d’arriver à ) toucher la timbale, nous voulons comprendre ce qui est, bnous voulons savoir ce qui est, nous voulons savoir ce qui est, nbous voulons comp^rendre ensemble ce qui est, nous voulons comprendre ensemble ce cqui est, nous voulons toucher ensemble la timbale et comprendre enfin ce qui est, nous voulons ensemble comprendre ce qui est, nous voulons comprendre ensemble ce qui est et toucher ensemble la timbale, nous ensemble voulons comp^rendre, nous ensemble cherchonsv à comprendre ce qui est pour soi, c’est à dire ce qui nous attend, ce qui devant soi est logé : trou de balle ! excavation ! cul de basse fosse ! trou perclus ! trou borgne ! le coquyillmage ou le trou d’aisance («trou du cul du mùonde», on kle dit) et voilà pourquuoi nous nous immisçns en cette zone pariétale des abois, etc, nous voulons savoir et du coup nous nous projetons dans la vie du monde de la roche dure des temps impartis d’une vie terrezstre à tracer sur roche au charbon de bois ou au manganèse etxc : applaudissements incantatoires ! nous nous avançons sur roche, nous nous avançons dans la roche, à même la roche,, en roche, en elle, au coeur du coeur = au swein du sein, au fin fond tracé : chaleur, rougeur, tuméfaction, douyleur ! nous ne sommes pas chiches ! nous y allons ! nous plongeons à la recherche en elle (paroi) de la vérité des vérités concernant la mort (la vie et la mort) qui nous «pend au nez ! nous sommles ainsi immisqcès pour ce faire (cause) et ensemble nous nous projetons, filonss doux, entrons dans la danse du verbe gravé sur la roche dure : rennes cdes bois, aurochs des p)rairies, sarabande, cavalerie ! nous sommes entrés dans la roche, nous sommes entrés dans la roche fissa , nous sqolmmes ezntrés en roche fissa, nous entrons : toc toc ! qui est là ? c’est vmoi ! entre ! et nous voilà en roche comme à l’unisson d’une parole, d’une parole ancestrale, anciennement cri de guerre frontzal, etc, nous nous avançons, nous savons que ce qsui est en roche = la vérité, or la vérité est une et indivisible (c’est mathéma tique) ou tend à l’etre (une et seulement une) or non ! la vérité de roche est dfivisée, elle est ici et là au même moment on dirait, ou où alors ou comment ? car nous sommes friands de découvertes à faire ! nous voulons etree des quyi découvrent ! nous voulons savoir cxe qui est ici, dans ce monde ci de la roche dure, ces prés ou prairies, que sont elles ? ces prairies ces prés que sont ils ? nous ne savons pas, nous cherchons le pourquyoi du monde adjacent, ce qu’il est et ce qu’il n’est pas, cette chose rosse, ce plaisir de paroi, cette lévitation dans les lim mbes, cet attirail de buve (buve ? bure ? buffe ? ou quoi ? ) car la main trace des perles, la main est gagnante (la grande gagnante), la main est vive qui trace au débotté des images de beauté toute chevaline, il s’agit d’un monde né de paroles votives (incantatoires) chantées sur roche : le fil cdu temps sauvé ! or voilà ce que nous voulons ici (nous deux ) : nous sauver de la sorte = plonger = aller =vivre et cela une éternité de temps alloué  : cécité ? jnous cherchons ! nous sommes des chercheurs en herbe, nous sommes ces petits enfants de la croix du monde squi cgerchons le sens de la marche vraie, nous avons ambition (énoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooorme) de chercher ou comment, de trouver, chercher etv trouver ou comment ? énooooooooooooooooooooooooooooooooooorme ambition native = de nazissance , de rester en vie, oh l’ambition ! = de ne pas mourir : vrai !, nous le disons, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas ou plus ?) mourirr, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas (de sitôt) mourir et du coup nous cherchons à vivre le plus longtemps que nous pouvons en roche, nous voulons comprendre les données du monde rosse (de la roche des temps durs alloués) et pour cela nous nous immisçons de concert et cherchons le pot aux roses, ce qu’il est, et squ’est il en vérité en définitive ? nous voulons comp^rendre de la mort, ce que c’est sque çàa ? nous voulons comp^rendre à propos de la mort : ce que c’est que ça, et pour cela nous nous avançons (fissa) en roche perlière, dans le nacre de la mort en vie, coque vide borgne, attrappe-nigzaud, plein feu sur la coque a ttrappe-nigaud, qui nous «tend les bras» (demain) comme à des betes-faons de roche des prés, enfants du temps alloué bernés (les enfants) et nous voilà qui nous chagrinons ainsi, qui sommes chagrin de  cette chose ou à cause d’ellec : trou d’aisance borgne, un trou dans le sable, un trou dans la roche,; une excavation pour se soulager et se vider et se libérer et.... etc, car la vidange est là nécessaire à la jhoie ne l’oublionbs poas ! nous devons (nous nous debvons de) comprendre  ce qui est ici d’un trou de roche borgne, nous le devons, il s’agit de notre devoir à mener à bien, nous nous devons de, et cela = un devoir de première importance, une volonté ancrée, une gageure et un désir, etc, ce besoi n aussi de se porter loin et de déchiffrer : le besoin en nous de décghiffrer,  de trouver, de dénicher, ce besoin enfantin ancré en nbous de dénicher, de trouver, de chercher des choses cachés dans le trou des arbres, derrière la cloture, dans les gouffrsxs et autres batisses laissées pour compte, etc, nous cherchons sur roche un sens de parole vraie ou comment ? des mots de rage qui disent par la bnande ce qu’ils ont à dire hors maitrise, dans une sorte d(‘un abandon forcé à une langue donnée dé roulée comme un tazpis volant volant sur la lande, nous voulonsessayer de comprendre ce qyui est de ce monde de roche dur, de ce monde dur de roche, ou bien de ce monde de roche dure, etc, nous voulons comp^rendre à tout prixd ! nous voulons à tout prix comprendre les choses du mon,de dur, de cette parole de joie eznfouie dans la nasse du temps, etc, notre but (ambition) date de loin, nous ne sommes pas nés d’hier, nbous avons fait du chemin, nous avons dégusté, nous ne sommes pas nés de la cdernière averse, nous sommes gens de roche à graver : aurignaciens, mpagdaléniens ou plus lointainement néanderthaliens ? nous craignons le froid et les fortes chaleurs torrides, nous aimons les grottes et les avens, nous voulons trouver la chose du monde en roche percée = la Chose (du monde) en cette roche des temps passés , nous voulons savoir ce qui ici setrame dans la vie d’une paroi de roche ornemùentée,= cavalcade et féerie , et voilà pourquyoi nous aimons nous entourer de betes de poids sous roche (dans) parce que, parce que la vie, cette vie de roche allouée (cette vie allouée de roche), est de celle que nous voulons, icimême, pour notre gouverne animée, pour cette nôtre gouverne animée par en elle toute une co horte de betes de roche, qui trépignent du sabot, et cherche à trouver (en nous = à travers nous) à se sortir ici de ce «mauvais pas», ou ce ce pas non désiré (au départ) ou de ce pas non voulu non prémédité, etc, fausse joie, etc, nous sommes deux (en nous) quyi voulons la chose pour nous, cette chose rude d’une vie humaine prolongée en ses extrémités (?) etc, nous  voulons aller en roche et en roche vdans les embruns, nbous voulons en roche et dans les embruns allezr loin, notre but (affiché = placardé) est cvlair et net, il s’agit de dire ce qyui est sur roche des temp^s, il s’agit pour nous de nous obliger à dire ce qui est sur roche, notre but est de nous obl:iger -forcer illico presto à dire ce qui est sur roche b(paroi meuble) de grotte des temps, et c’est ainsi que nous traçons figures animalières sur la roche dure (ou meuble selon les endroits) et voilà pourquoi nous traçons, pour quoi nous gravons à l’envi à squi mieux mieusx pareikl:les figures, nous voulons comprendre  cette chose d’une voix traçante en bnous, tranchante, etc, voix de buve de choix, ou de buffe  , etc, et cela, cette voix de bure(ou de buffe , ou de buve) est voix traçante = tranchante,  zip ! une bouche est née quyi p)arlera cdemain sa langue commune, etc, nous cherchons la  érité en rochev : aurochs ! nous voulonbs d’ellepour nottre gouverne, car ,nous sommes faits ainsi que nous avons à vivre une vie d’emprunts pareticuliers, etc : des mots, ou les mots, qui sont ces choses rudes à placer sur roche : animaux-mots de compagnie rupestre, etc, nhous voulons savoir cette chose d’une voiix en nbous qui parlerait le langage de l’âme ou sinon de l’âme du sang, etc (applaudissements !) et pour cela nous nous projetons dans laroche, nous entrons fissa en elle, nbous entrons en roche fissa et nous projetons au pkus loin possible et là (lointains) cherchons (nous cherchons) le trou idoine = qyui sezrait le nôtre : quel est il ? nous voulons comp^renxdre les enjeux de bord de mer, les secrets bien  cachés de la lan de, les mots-betes de paroi, les mots incrustés dans la lave, les betes de race brutes, les orgueils des betes, des hommes cavaliers, des betes de monte, nous vpoulons comprendre les in,stants de roche gravée, les mots de la roche dure, les paroles prononcées par des en,fants de la rage des temps, qui sommes nous sur terre que nous ne sachions ? qui donc sur terre sommes nous qui ne savon,s pas ce que nous serions ? qui va sur terre à la recherche de la vérité ? qui va sur la terre à larecherche d’une vérité ou d’une vérité de roche = dure comme de la pierre = une et non divisible ! qui va là ? squi tzpe à la porte ddu tmps, qui vient là frapper à notre porte ? le cercueil ? la voix votive ? le chandail ? bure ? buve ? buffe ? qui va là ? qui pour nousrenseigner à bon droit , car nous sommes deux à vouloir la chose, qui ? nous ne savcons pas : nous chercho,ns comme des dératés, nous avonsfaim et soif de découverttes rupestres ou auttes mais de découvertes qui puissent vle faire longtemps aux yeux de cette déité de roche (dure) qui nous voit aller e,n roche gambadant, l’esprit léger, qyui est cette Chose, cette personne : cet oeil ? qui va là  ? nous l(ignorons,;  nous voulons comprendre le maximum possibkle de choses mais comment nous y prendre ? nous voudrions et même nou!s serions partant de cxoncert mais comment faire ? squi pour nous dire ce qui est ici en pareille roche représenté ? quoi ici sera ou est représenté en la matière ? animùaux ? mots ? animaux-mots ? paroles ima gées ? effigies ? temppête ? etc, nous ignorons mais quelque chose en nous aurait tendance à vouloir nous dire oui, ce qui est est, ce qui n’est pas n’est pas, et voilà pourquoi nous «savons « ! nhous «savons» des choses de poids : aurochs au pas de charge de la vie courante, nous voulons comp^rendre les donné»es du temps me,n,açé, nous voulons savoir ce qui est en roche pour le temps de lapâroi dure n, soit pour nous, hommes et fe»mmes des cavernes des temps lointzins;, nous sommes hommes et femmes des cavernes des temps très lointzains, des tempqs fous,  des temps nacrés, nous cherchons issue en roche, ce savoir, cette définitioon, nou!s cherchons en roche savoirs de base et défi nition définitives comme il se doit, nous voulons pousser au loin la chose de nos connaissances en la ma tière;, nbous voulons pousser ensemble cette chgose d’une connaisza nce poussée sur la chose , et voilà le but affiché volontairement, dit haut et fort, dit ou prononcé, écrit par la même, etc, nous disons : je qui signifie nous, et nous qui signifie je : entrela cezments, mélange, mixture, mixage, échange de bons procédeqs, etc, notre coeur est à l’ouvrage en sa mixité cardiaque = concomittance des afffects, des verbes délivrés, des paroles du sang, etc: applaudissements saccadés, ryhtmés, et donnés sur roche par la bandez des mains accolées, nous voulons nous approcher d’une raison vraéie de la lande, ce que donc serait cette voix qui parle en moi, en  nous, pour des temps sansq trêve, etc, nous cherchons des choses de rocghe à trouver : nids ? oiseaux de pacotille ? chants d’oiseaux sur la plus haute branche ? chants vernis ? nidicoles ? nous voulons entrer dans la danse du chant des oiseaux, nous voulons ensembvle danser au chant de la rochje nidicole, etc : bec s, becs de rage ! becs de rage enraghée ! bec de bec ! etc, car la roche est dure à percer, il y faut y aller fort ! il ne faut pas faire semblant ! il faut forcer vla roche ! percer roche est une aventure, de percer la roche est une aventure frontale , sûr ! et nous voilà qui cherchons passdage apr!ès notre pic,  nous vouloàns passer ainsi, sur nos devabnts,n et franchir le pas nidicole de ce chant de roche  dure : oisillons du dernier printemps ou déjà l’été , ou de l’été présent déjà en roche des temps, nou!s voulons comprendsre le suivi de roche des données de verbe perchées, nous cherchons sur roche nids de betes de somme ou bie,nn comment ? de somme-sommeil ? no!us allons en cette roche des tourments nouys placer de telle sorte que nous puissions voir les betes de roche de nos propres yeux d’enfants ahuris, ouveerture grande de nos yeux d’enfant, etc, et ce que nous voyons esrtt étonnan,t  = des betes vives, comme des vrraeies, qui semblent charger pour de vrai,  brouter pour de vrai, etres ce présent au monde offert en guise d’aliments à une  vie dfe mort = de ta race brute («la vilaine, la chienne», etc) et ainsi fait = mis ou placé en orbite, nous bvoyons , et ce que nous voyons ne laisse pas de nousq intriguer et de dnous  poser des quesrtions de type premières = des questions de vie ou de mort, ce que nous voyons est vif, va vite, sembkle vrai, bouge comme dans la vie , la vraie de vrai des prés, nous pensons que  des betesq dessiné&esz par l’homme desq c avernes étaient là pour faire croire qu’elles étaient en vrai et pas dessinées, ce genre de réflexions, or qu’en savopns nous ? que savons nous de ce qui est au monde des parois ? nous ne sommes pas (plus ?) homme des cavernes ... ou oui ? encore ? nous sommesc encore ? nous voulons savoir si encore nous sommes hommes et femmes des cavernbes ! d’après vous ? que savons nou!s ? que dire  ?  quoi dire ? notrte but est là qui e’st afffiché sur iune paroi et quyi dit (en ses grandes lignes) cette chose comme quoi notre but sur roche des prés est de trouver des vérités de poids quiu pour le coup le fa sse et nous pezrmezttent d’avancer notre chemin de croix, sur notre chemùin, sur ce chemin de croix tracées à même laroche et à main levée (applaudisseemntsq), ainsi de suite, et du coup pour nous la vcie en paroi noussemble assez correspôndre à une cvie vraie de praieriev ou de sous-bois, et dès lors l’offra,ndee (dessinée) peutv «passer» et «nourrir», etre suffisante un temps donné, ce temps du ddon à) bouche de la mort de roche, etc, je suis homme des cavernes fou, je vais et je viens en cette roche des temps abreuvés, je m’estompe sur roche, m’immisce m’estompant, je me loge fissa incognito ou presque (tout comme ? tout contre ? ) et incognito je m’avance et vais à me placer ... où ça ? à la droite de qui ? qui serait cet hommùe-enfant de roche ancrée (nacrée) des temps alloués à une éternité de paroi de roche : eurejka ! ou alleluyah ! car ici la vie de roche parait correspôndre (ronds de flan) à de la vraie vie de pl;aines vive, on dirait cela, qui dirait cela ? nouqs autre s hommes des boisq, des prés et des  c a v ernes de l’au-delà des temp^s enfouis, car l’au-delà est l’au-delà des temps enfouis, des temps enkysytés, enterrés, etc, je sa is cette chose, je sais cette chose en soi d’un au-delà fait de toutescpièces des temp^s morts offertts, etc, la moprt se nourrit de nos propres passés cumulés formant cette chose d’un appret de bure, cet onguent sentimentazl : ce christ des destinées votives, etc, le temps passé offert en guise de «vie» à nppotrte Chefg de rang, de rang pariétal, ce passé est ce qui fait le chef qui s’en nourrit, qui exciste du fait que ce passé lui est offert par nous qui sommes deux en nous, mi et mi, etc : mimi ! nous savons ! nous devons comprendre au plus, cet enkystement d’un passé de roche dure ! cette litanie absorbée par la roche gloutonne , nbous voulons nous imposezr de la sorte et franchir les paklliers les uns après les aiutres, le pourropns nous ? nous pensons qUE oui, nous pendsons que nous sezrons à même un jour de passer ainsi d’un lieu l’autre par le verbe bien placé, d’où nos recherches prononcées, nos recherches forcées disons, d’’où ce ren,tron en matière de verbe bougé etc, nous tentons forçage, et ce n’est poas gagné ! car lka bete du temps est coriace, rude et dure au contact = durre sur l’homme etc, nbous voulons entrer en la roche du temp^s et comprendre les données et donc voilà, nous aurions affaire à une sorte de «déité de prezmière», chapeautée sur elle par un temps nacré, par une sorte de temps accumulé, etc, comment dire ? nous voulons comprendre la chose : cette chose d’une déité qui serait faite (forme) de ce temps passé offert sur roche, tout ce passé enchevetré qui deviendrait dès lors le dieu du levant ! revoyons cela : le passé, le nôtrte, tout enchevétré, tout mélangé et compâcté, deviendrait une fois donné  , eh bien cette Chose devant, ce poids de ta race dure= la mort de la paroi des temps alloués, nous voulons comprendxre ce qui est de cettye roche des temps alloués et pour cela nous devons vite fait bien fait, nous projeter en abavnt, et tracer ,; dessiner des betes au cordeau, graver à l’envi des betes de taille, betes-mots de ta roche mère tu veux ! betes-mots de rage à ta mère , etc ! je vois de là, je sais ce que c’erst , je ne suis pas dupe : dieu est là ce temps aggloméré , oula ! dieiu ici est cette chose d’une sorte de durée votive enchâssée sur roche de grotte (précieux !) : nous voulons xcomp^rendre ce qui est ici cde cettye rochge de paroi votive, et pour cela nous nous infiltronbs en pareille roche cdes abois, des replis, des saluts, des lmots de ta race sauvée à la barbe (et au nez ?)d’une déité cmenaçante, vibrant couperet, etc, nous voulons comprendre les choses crument, nous voulons crument comp^rendre les choses et nous nous affoalons sur roche dans ce but, qui est but de vouloir des choses pour soi = des motifs de qsatisfaction (jouissance) qui pour nous puissent nous aider à poursuiovre lke chemin en,gagé, etcc, je sais des choses ! je sais mille choses ! je sais des milliers de choses ! je sais des millions de choses ! je sais dses milliers et des milliers de choses ! des millions et des millions de choses ! je sais des choses par millions ! je sais des foultitudes ! en moi la bete qsait xdes foultitudes, voilà la vérité ! la vérité vraie de céans, la belle et la bete en moi pour un savoir fou, je trace bete sur paroi de roche, je suis homme des cavernes au savoir animaliezr, je  trace grave bete de roche, je suis animal moi même, je serais moi même un animal, je serazis un animal moi meme , je swezrais moi -même un animal, je wsezrais moi-même un animal, je serais moi -même une sorte d’animal des prész, je sezraisc moi-même une sorte xd’animal des prés et je hjouirai de courir ezn  v  eucx tu en voilà sur lkes herbes hautes et les galets de bord de riusseau, ou bie,n sur les grèves, je serais la bete des prés, je serais cette bete des prés de la roche des temps et j’irai à jouir du présent comme xde la vie passée, je suis bete de rage forte, je vais et je viens en colère, mon nom est nom d’emprunt, je sa is cette chopse, je veux tracer = filer = foncer = aller vite vers la vérité énoncvée,  je veux tracer chemin de destinée sur la lande aux betes de poids, je suis l’animal dekla lande  , MON NOM est gravé au fronton de la roche dure, je suis un animal, je suis bete-mot tracé sur roche, je suis l’homme cde la rocxhe dure aux betes trea cées, je suis homme des temps vifs, homme de   la préhistoire à l’histoire, homme vif des temps passés agglutinés formant cohorte d’animaux blessés, etc, les betes sont des mots de rochge , mots qui disent kle vrai de cette rocghe des temps morts, nous voulons graver la roche dure et nous nous appretons à faire la chose = cette chose d’un tracé de vie passé,= cohorte = aboutissements = mains de rage ! nous voulons passer ezn elle (roche) par lma tete en premier puis le reste, nous sommes amis = de roche ou de la roche des temps fournisz, nous voulons passer et comprendxre del’auytre côté cxe que c’est que c ette chose déposée sur roche, nous aimons la pierre, nous voulons creuser profond, nous voulons creuser loin et profond, nbous voulons loin crezuser profond, nous voulons loin creuser lka chose de la roche dure et du coup savoir, quoi ? ce que c’est que cette chose dite Chose, qui est elle ? où va t ellme sans lumière ? qaue veut elle ou cherche t elle à nous avouer ? que pouvons nous attezndre d’elle ? que nous dit elle avec ses manies, etc ? nous voulons savcoir, nous voulons savoir, nous voulons savoir, nous voulons savoir des choses sur la chose, nous avons pour ambitiuon de vouloir savoir des choses sur la Chose du tempsa lloué, et c’est cela que nous disons sur roche, que nous traçons comme sur une stèle, nous avons pour ambition de tracer des noms (sur roche) qui (noms) seraient les nôtres peut -etre pas mais du moins kles noms de  ceux qui pour nous importent, à savoir les betes, c’est à dire que nous dessinons « le nom des betrz, chaque représentation, chacune est nom d’une bete précise = l’antilope par exemple, nous voulons comprendre dans la profondeur ce qui ici setrame en surface : effigies de roche pour une figure qui, enracinée, serait celle d’un semblant de dieu de reoche pariétale ou sinon qui d’autre ? l’animalk lui même ? nous voulons nous approcher de l ‘ezxcavation-cavité meuble, où est ezllze ? eh bien à nos côtés, à nos côtés il y a cezt espace de vie brève, ce sas, on peut y aller, filer doux pour comprendre ce qui est, quoi est ? nouys voulons comprendre ensemvble les données , nous voulons comprendre ensembvle les données de roche, les données brutes, les lire de près et nous consulter pour comprendre en vrai  c e qui seterame au sein xde la roche des temp)s effacés, etc, ou des temps mêlées, nbous nbous infiltrons nonchalamment et tentons , tout aussi nonchalants, une approche des données de roche = des cxhevrzeuils, cdes beztes à ramure, à cornes, etc, crinière ma crinière, cette chose d’une bete à attributs frontaux, nous cherchonsq à nous approcher de la bete, nous cherchons incidemment à nous approcher d’elle et pour cela nous nous donnhons la mai, n, nous voulons allezr loin, creuser dans la durée, nous projeter loin au devant, etc, car nous sommes des chercheurs invétéreés qui tentons la chose de front, cette chose d’une traversée des a ppa rences frontales pariétales : roche dure de greotte cachée, etc, nbousvoulons trouver la faille (fissure) en cette roche dure et en  c ette faille ou par elle nous lover en elle, nouys voulons comprendre les rzaisons et autres mùotifs qui présideraient les choses du monde, les pourquoi des comments le monde (etc) et pour ce faire nous filons à toute blinde vers les fonds de roche bleuté n&acré, nous ne restons plus en place, nous nous infiltrons tantôt, nous filons dru ou commùe,nt ? allons par les prés vers la v éerité des roches des temps, nous nous infiltrons concomittament , c’est-à-dire la main dans la :main, nous allons au plus lointain de la roche des temps, nous nous projetons direct vers les lointains, que donc la roche nous apprendra-t-elle sur nous, notre vie , nbotre destinée, nos lendezmains,, etc , que pourra-t-eelle nous dsonner comme infdormations fiables ? la roche connait elle les choses de la vérité ? que sait la roche ? que sait elle que nous ignorons ? sa ura-t-on un hjour le pourquoi des choses, et si oui commeznt ? à l’aide du lmangage articulé ? grammaticvalement ? prière : ne pas me ! de n e pas me faire ... comment dire ! oups ! prière ? alors lma vérité comme ça wserait gra mmaticale ? oups ! rire sous cape ! je m’ébroue, j’ai froid ctout d’un coup ! la vérité serzait grammaticale ? quoi ? kla vérité vraie serait «gramma  ticale» ? je ne peux y penser ! je n’arrive pas à kle croire ! je n’arrive pas à me faire à l’idéee que cla vérité vraie (sur quoi que ce soit) soit ou serait grammaticalz ! ça parait absurde, bete commpe chou!, bete-chou de première et dingue ! ça pzarait idiot ! et cepen,dantv : nous y croyons dur car nous sommes les otages de la vérité» lan,gagière , vérité que nous nous voyons comme contreaints d’avaliser, à laquelle nou!s devons nous conformer , etc, nous sommes des etresv de foi de type «grammaticale» et à ce titre nous croyons, nbous sommes reliogieux, nous sommùes des etres religieux par défaut ou par la bande, du fait que bnous disons des choses qui imposent leur pouvoir d’incantation rupestre, bnous savons ces choses en  nous et les prononb çons à la ca ntona de pour qui veut,; nbous voulons comprendre des données de roche, nous voulons comp^rendre dur  les donnéews de cette sorte de paroi ornemùentée de betrs-mots qui caracolent et selmblent plus vrai que nature à lalumière des torches vives, nbous voulons aller au plus loin possible en roche et toucher la porte (?) la timbale certainement, mais la porte ? nous voulons toucher kla paroi du temps et com^prendre ce passé de soi déposéé, prése,nt en offrande = le divin, comme si le présent déposév ou l’offran,de était la Chose du devant ! commpe si le présent ou l’offrande faite à dieu était dieiu ! oula ! furie ! folie ! furia ! nouba ! calavalcade fleurie ! entrainement, écarts ! prise de parole, etc, nbous voulons ensembvle nous donner le temps, le temps de la réflecxion, et poour cela nous donnons de nous à la roche : temps mêlés de basse vie, choses de peu mais festives, etc, , nous sommùes deux pour une envie de roche dure à traverser, nous tombons d’accord, nous avons à tr cverswezr une roche dure, nous auronsz à traverser une roche dure, njous avons cette roche dure à devoir travzerser, nbous avons pour nous cette cghose dure à devoir traverser, nous avons cette chose pour nous (dure de chez dure) à devoir percer et cfra nchir et de là aller au plus lointain des plus lointains de pareiille zone aux embruns nacrés : pôste de choix là-bas, poporte ? nous voulons comp^rendre : porte ? nous voulons savoir : porte ? nous voulons êtrte éclairés : pôrte, vraiment ? ou quoi d’autre ? nous voulons savoir ce qui est au loin qui nous attend : une vérité ? une déité ? une saleté ? une puanteur ? une merde ? une douceur ? une blancheur ? une noirceur ? billevesées ? sommités = cadors ? nous ne savons pas , nous nous avançons sur roche et traçons de  ce fait le chemin de halage vers la roche du fond , nous aimons cette chose d’une roche dure bleutée à traverser par la bande, nous sommes fins prêtyes pour ce faire, nous nous avançons incidemment, prudemment, volontairezment, gentimen,t, concomittament, ten drement vers cette lueur du fin fond de la roche, nbous nous avançons ensemble encette sorte de paroi aux betrs dessinées pâr l’homme des   c avernes, nous voulons toucher la chose qui est, allons-nous comprendre ou allons-nous rester ignares, betes comme chous, des crétins de l’alpe, etc, car  nous sommes limités il bnous sezmble, vérité grammaticale ! ouf ! comment dire ? que la vbérité des choses du monde soit grammaticale est la supercherie numéro Un de tout du tout de ce que nous savons qui est, mais comment lke dire ? le montrer ? le montrrer = le taire ? le dire sans le dire ? là sezrait la CChose, d’un dire sans dire ? ou pas ? nous nous avançons nonchalamment de la Chose du dire sans dxire, le passé est agglutinés (preésent : offran,de) et sembkle pouvoir en jeter un peu (aux yeux de la Choçse devant) et aindsi nous nbous sommes mis sur un côté, et nous regardons paitre le troupeau de bovidés, nous sommes ensemble à essayer de comprendre des choses du monde et cette chose comme quoi nous sezrions n,antis d’un pouvoir de recherche avérée, d’un pouvoir tranchant de recherche dure, etc, pouvoir de l’homme dur qui tranche et situe, com^mente et tranche pour sa vie,n, etc, nous voulons dsavoir ce que c’est que cette chose rude des devants de roche : dureté naturelle ? maison des prés ? chzpiteau ? nom bati à la volette ? le mien ? le nom de quui ? nbous penson,s que nous avons à devoir nous montrer sur l’herbe et trancher : qui sait et qui ,ne sait pas ? nous voulons comprendre ce qui est en roche qui nous tend les bras, les mains et nous invite délicatement à nous joindre à «lui», mùais qui est il ? qui szait ce que cet homme des cavern es était de sqon temps  : chaman ? ours polaire ? débris de quoi ? débris de la roche ? bout de quoi ? bout mou de roche dure ? ou bien : bout dur de roche molle ? nous voulons connaitre le fin mot, et nous espérons que cette chose, un jour, pour nous, sera effective, nous voulons savoir ce qui erst ici en roche, le pouvoir centreal, les données de base, quelles sqont elles ? nous avons conclu un pâcte acvec la roche : donné notrte temps, donné ce ou ces temp)sq, donnévles temps de roche percée, nous avons ensemble (main dans la main) donné cet ensembvkle de temps affiliés à une cause langagière (animalière) commune : à toi à moi de poussser les choses, les chants, les paroles, etc,  npous voulons savoir ce qui est dans ce qui se trame, l’épaisseur du temps est-elle un,e finitude ? l’épaisseur du temps éest-elle une poussée dentaire ? l’épaisseur du temp^s est-elle une fin en soi ? l’épaisseur du temps est elle une déité (un dieu vif et menaçant ? )? lo’épaisseur du temps est -elle pâriétale, frontale ? l’épa iosseur du temps a-t-elle des ailes, vole-t-elle ? l’épaisseur du temps est-elle printànière , est elle hivernale ,? estivale ? est elle rude ? est-ellme du temps achezvé ? est e lle cette chose du derrière de soi ( temps passé achevé archivé ou pas loin) ? avons nous à comp^rendre dans ce sens ? devons nous nous parer d’habits de f^ête ? devons nous entrer dans la dansze des parois ? devons nous entrer en transe et hurller avec les betes de parois ? devons nous hurler au fond des bois ou des sous-bois avec notre ami le chevreuil ? avec «biche ma Biche», avec qui ? le brame du cerf pour une féerie du mmeilleur tonneau, brame que tu brameras au fin fond des bois de céans, roi-reine affichée, nous y allons : eh bien voilà ce qui nous enchaine à la roche du temps, cette foi liée à un vocable passager, voix d’outre    -mesure dépassant vles bornes d’une roche borgne, le temps offert par nous soigne la mort en l’alimentant et la comble un temps (comme une faim en vérité jamais rassasiée puisque revenant troujours montrer sa figure) , nouss voulons comprendre le plus et le plus loin, nous voulons le plus possible comprendre la cvie, la Chjose, la mort et tout ce qui s’ensyuit, bnous voulons comp^rendre ensemvble  l e plus de la roche dure, ce plus plus de la roche dure, ce p;lus plus plus de la roche dure = cette croix sur un chemin de bure : Christ et son chemin de croix : +,+,+,+,+,+,+,+,, etc (appléudissements !réitéreé): nous avons pour nbous une pique, nous avons pour nous cette pique acérée , prete à l’emploi, et nous nous en sezrvons parfois, perforons la roche, nous possédons pour nous cette sorte de passe-muraille acéré, nous entrons ensemble, nous entrons dans le temps, bnous nous faufilons à l’intérieur du temps, du temps et de son paysage, nous nous promeznons gentiment dans kla lande, nous nous promenons négligemment ou incidemment, gentiment et incidemment en cette rocxhe dure de la vie de bure sur terre, nous faisons profil bas, nous ne voulons  cezrtes pas laramener mais tout au contraire rester discret mais commùent rester discret quand de partout des yeux vous regardent et vous détaille,nt ! pas simmple ! nous tentons quelques pezrcées mais vas-y lk’artistte, chante ! va là bas et chja,nte ! vois là bas, vois la Chose ! que dit elle ? qsue signifie telle ? que veut elle ? qu’est ce qque quoi dit elle ? nous nous ava,nçons d’un pas sûr, nous marchons fermement campé, nous tenons des pieds sur sol plan et alons ainsi à la rencontre d’une dé&ité de roche : la voici ! il s’agit d’un e bete de poids (dessinée) qui s’impose à nous , quelle belle bete « dit la mort, quelle belle bezte depoids, dit elle, il sembvlerait qu’elle soit vraie, dit elle, c’(est donc qu’elle sait ! pas folle la guêzpe ! et nous de faire profil bas, de nous prosterner, de nous agenouiller, de pleurer -implorer le pardon, nous ne pouvons pas donner decemment notre vie tantôt car nous y tenons par la force (de force) et ne pouyvons a gir illico presto, etc, en nous la vie va, lke sang file sa chgose d’allant, le sang est un vent de roche, il va se faufilan,t en nous par mille canaux qui sont des tourments, nous avons pour nous le sang qui file en nous et nous alimente, nous devons alimenter la roche nue, lui donner de quoi, la satisfaire longuement, boucher son trou de roche ouverte (le boucher) et la satisfaire longuemùent, lmui donner de quoi et la sartisfaire, lui donner ce oui de :longue date , cet accord verbal musicazl temporel qui est cve temps mêlé passé déposé par la bande et activé en roche des ezmb runs, nous offrons ce oui de roche dure, cettte chose rude, cette chose graveluese, cette moquerie (superchieri) incommensurable : notre vie passée par la bande, le poids d’une vie temporelle, un tracé, une chose alimentaire, une denrée, des vivrres

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16/06/2021

nous devons ensemble accolés fissa entrer en cette roche des temps impartis et là : trouver, la bete de masse, cette «belle bête» de masse dure, puissante, poussante, dure de chez dure, qui remugle, qui braie, qui va de son allant de bete de trait et charge et en impose grandement sous nos mirettes, nous avons à faire cette chose : insertion-immixtion pour une introduction dands le fil du temps, nous nous introduisons dans ce fil du temps imparti, nous sommes deux à faire ainsi cette chose de vpoids , immixtion pour une introduction dans un fil de temps alloué à une vie, et voilà comment : en nous sezrrant les coudes, nos cvorps, cote à cote (cote à cote) nous allons, nous nous serrons l’un l’autre l’un tout contre l’autre et fissa entrons , et nous nous blotissons à même la roche afin de nous unir en elle, nous traaçons à main levée les images des parois, nous abvons à dessiner des betes de pooids »qui le fassent « et voilà ce que nous faisons, elle et moi, ensemble, nous, nous deux, elle et moi, nous deux ensemble, elle avec moi, moi + elle, ensemble nous traçons, nous tyraçons de concert et à mzain levée des aurochs de compagnie rupestre, elle et mpoi traçons, nous = elle + moi en pareille roche du temps, elle en moi, elle et moi en roche, elle + moi qui allons en roche, immixtion-insertion dans un temps de roche dure ensemble, nous avons ensemble à faire cette chose vite, immixtion pour une introduction conjointe, elle + moi dans une roche de paroi, nous sommes «hommes» de la préjhistoire, nous avons à graver la roche, nous gravons la roche à qyui mieux mioeux à deux, nous avons à deux (elle et moi- à graver le roche fissa et nous faisons cette cghose ensemble, nous gravons que je ghraverai, nous gravons que tu graveras, nous gravonsd de concert des bêtes de forte puissance, vives et racées, qui tiennent bien sur leirs qiatre pattes et nous regardent, tournées à l’unisson, nous épient tantôt, nous regardent d’un air de deux airs, ce sont de «belles bêtes»  de paroi, elles nous épient, elles nous regardent vif, elles ne nous lachent pas du regard, elles sont toutes tourn»ées vers nous qui sommes entreés en ce domaine de la joie du monde  pariétal, nous sommes entrés fissa tete première, nous avons franchi l’obstacle du passaghe rude, nous avons traversé les sen,tiersn,, nous sommes deux accolés, nous sommes accolés nous deux pour pareille aventure des prés et des champs de paroi de roche, nous avons compris cette chose d’une introductuion accolée , nous avons compris cette chose à faire , cette chose douce, à deux, cette immersion ou insertion en roche de la préhistoire, parmi les betes, les embruns, les cotés de roche rugueux, les effluves, etc, nous nous tenons par lamain, elle et moi en moi, nbous deux ensemble pour la vie, pour la vie nous deux ensembkle, elle + moi en pareille roche parmi les betes de prairie qui paissent non chalamment et nous regardent du coin de l’» oeil, nous sommes accolés collés cote à cote pour l’éternité, nous sommes deux moitiés accolées, nous sommes deux qui sqommes accolés, qui sommes collés à) deux ou comment ? nous sommes deux en nous qui nous introduisons en cette roche de paroi du monde, les betes sont là qui nouds regardent, nous sommes nous deux betes de rage, de trait, de colère et d’embarras, nous sommes en nous mêmes deux qui avançons sur ce sentier de traversée rupestre, nous avons à comprendre cette cghose d’une traversée de but en blanvc en cette roche de la préhidstoire, et ce parmi dses betes de paroi : aurochs, rennes, bisons, chevaux, etc, nous avons à comprendre cette chose d’une traversée de paroi à deux = main dans la main en soi, main et main pour soi, main droite et main gauche à soi, cette chose d’une traversée de paroi pour une introduction fissa et tête première dans le film ou dandss le fil du temps, ici même, en roche dure, nous en nous etc, nous devons percer la roche du verbe que nous secrétons, nous nous devons de percer icelle roche de ce verbe en nous  ‘caudal ?) que nous secrétons par devers nous (par défaut ?) comme une glu de roche à percer, ou comment ? nous devons percer la roche du temps , et pour ce faire nous utilisons cette chose en nous qui a un nom, le nom de «queue de verbe», queue ou cauda, unre trompe-h»éélice, ou comment ? cette chose qui de nous traverse la roche, cette chose en dur de chez dur, qui va traversant la roche du temps, la pique que tu piqueras et la traverse, fissa, oups, en elle, nous, nous avons passé la chose, le sentier, cette immersion ou insertion ou introduction ou immixtion est entérinée, nous sommes de kl’autre côté pour cette chose à devoir faire en pareille roche : efffigies ! représentatation de betes de vie, offrandes sur la place, don  de soi vivant, cette chose est à faire tantôt mais comment quand on est né à la vie rupestre et non point mort sur roche, animal déchgu, prince défroqué, grenade ? comment ? nous avons à chercher encore et toujours un bon (grand) nombre de choses en nous et hors de nous, nous avons mille choses à pensezr, chercher, découvrir etc, car nous sommes deux en nous pour pareille cause à défendre illicvo presto, à la vie à la mort pour ainsi dire = instantanément ! nous avons à trouver les mots qui s’imposent et en imposent ! nous devons trouver à deux (en soi) les mopts qui «le font», qui font que nous «en sommes» etc, nous avons à trouver les mots de rocghe dure et de latribu , nous avons à comprendre encore un bon nombre de choses rudes liées au temps impaerti à une vie d’homme (et de femme et d’enfant et de bete etc), nous devons, nous le devons, nous ne devons paslâcher prise, nous devons trouvern, nous devons découvrir ensembke, ctrouver la parade, trouver l’allure pour soi, le train, le bon timing, etc, nous ne sommes pas en reste de chercher ce bon timing-là et nous nous immisçons toujours plus avant en cette roche-zone des embruns, nous devons ensemble (à toi à moi en soi) aller à la pêche des données rupestres, nous devons «gratter» la roche et tracer des représentations animalières «qui le fassent» merveilleusement, qui fassent ainsi que le dieu vivant de la roche, bouche au lointain ou d»des lointains», comprenne ce quil doit comprendre, sache cette chose comme quoi nous donnons de nous le temps de notre vie, déroulé musical verbal d’une vie de roche dure, nous ooffrons sur roche (effigies animalières) cette chose dure, cet impact, cette chose d’une danse cvomme endiablée, une danse votive, une incantation gutturale de roche, ces cris de morveux, ces «cochonneries» dites, en veux tu en voiilà, tout cet attirail de choses vives (le plus) afin de faire accroire et faire passer cette chose d’un don de pâssage, d’une chose découverte et déposée sur roche, etc, nous offrons le temps du «fur « et de la mesure, du fur et à mesure» de nos vies de roche dure, nous dépodsons (art) cette chose sur roche (où exactement ?) et cette chose est là pour faire croire = pour faire semblant quil s’agit du sang quand il n’en est rien (sang bklanc de roche dure) etc, notre but ? le voici ! la roche, le temps, l’offre et la demande, une écomonomie de la vie ! une demande forte, une reponse dure, vivat sur paroi etc ! nottre but ? ici bas la roche gravée, effigies de belle tenue, ressemblance accrue, faisant-fonction, etc, notre  but n’est pas masqué, il s’agit encore et toujours d’un dire puissant de roche des temps, nous disons la bonne avbenture du temps déployé au pied de la roche du tempsq, nous disons la bonne aventure d’un te’mps déployé aupres de ... et là : mystère ! car qyui de quoi existe ici ? qui est là ? qui va là ? qui nous épie de son oeil louche ou pas louche mais qui ? qui nous voit ? qui voit ? est on vu  ? est on vu ici ? est on vu réellement ? qui nous voit ? qui  pour nous voir ? qui va là et nous regarde ou nous regarderait agir ? qui veut de nous pour la vie ? qui veut attenter à notre vie ? qui veut «de la vie» ? la mort ? qui est elle  ? qui donc est la mort ? qui est la mort la bien nommée : celle qui mord , qui ? qui est madame ou monsieur «de la mort en branche « , qui ? nous ne savons pas ! nous subodorons ! nouis ne savons pas qui elle est, qui est là ou qui va là devant soi , et nous de donner nottre temps de vie déroulé, déployé, mis ainsi sur la place couché ou commùent ? car nous devobns ALIMENTER la bouche à foison ! nous le devons, nous nous devons d’ALIMENTER pareille bouche du levant, bouche ouverte de la mort en grand, cette ouverture de oparoi rugueuse, cette bouche grande ouverte, cette «belle béance» de roche, ouverture en en V de la roche des roches, nous pensons ainsi, que nous devons alimenter, que nous avons à faire cette chose, cette chose d’alimùenter, nous pensons qyue nous avons à faire cette cghose ensembvle en soi ou sinon commebnt ? en soi main dans la main ? ou sinon comment ? nous pensons que nous avbons ensemble à faire cette chose ou sinon comment ? nous pensons qu’ensemble nous avons à faire cette chose , d’un don partiel piuusqyu’il s’agit non point de notre vie (l»’entière) mais du temps de vie passé, ce temps déployé sur roche (incantation votive , pientures de betes)) etc, notre but ? ici ! cette chose d’un dépl;oiement de soi dans le temps coupable, le déploiement, déploiuement «coupable» de ne pas offrir davantage etc, nous le savons ! oh la culpabilité ! cette culpabbilité des apprêts, des cris de morveux, des incantations magiques, des lévitations à même la roche (frôlezments) etc, nous sommes (ou nous sentons) coupables de cette chose, de ne pas rendre à césar ce qui appartient à cesar ou quelque chose d’approchant, nous ne rendons pas de sitot (= illico prewsto) ce que donc avons reçu à la naissance (conception) car nous sommes «en vie», nous sommes et avobns «en vie», cette chose, cette chose d’une vie de déploiement (de la copnception à la mort entière) : nous pensons que nous avons à faire ainsi que nous nous maintenons bien accrochés, nous nousq accrochons à la roche du temps et offrons quoi ? le passé meurtri, cette meurtrissure de passé de vie, cette chose affolée, cet embrouillamini de choses «quyi pourraioent le faire et passezr pour» , eh oui ! d’où notre (grande, majeure) culpabilité de façade ! car nous sommes nus, nous nous promenons sur la lande nus, nous sommes «offerts» nus au regard divin de la bouche de roche, ou cette chose, cette chose d’un tracé de roche lointazine: bouche ? échancrure ? tailke ? fissure ? coquyilkllage ? quoi ? nous voulons savoir ce que c’est ! nous voulons savoir ce qui nous attend ! nous voulons savoir ce que c’est que cette chose ! nous voulons savoir  ce que c’est que cette ouVerture en grand de roche dure des temps alloués, pareille fissure en ce tempsq de roche, où ? où est la fissure ? le langage ? ah le langage ? ah bon le langage ? ou sinon quoi ? où ? qui ? quand ? pourqyuoi ? avec qui aller ensemble ? nous solmmes deux, je + je sommes deux comme de bien entendu ici, je  /+ je sommes deux (comlmùe de bien 

entendu) et nous allons ensemble à la recherche d’une vérité de bonaloi , nous voulopns savoir cette chose pour nous d’une chose rude au-devant, chose d’une présence d’ouverture ou bien passage étroit à travers la roche percée, nous devons ensembvle comprendre ce qui est, et pour cela (ensemble = le langage, ce langage du commun des hommes) , ensembkle aller, chercher ensemble, ensemble nous introduire en cette roche ornée par des hommes de la préhistoire, creuser, dessiner des betes, creuser = graver, graver des betes, faire semblant, offrir du semblant de sainteté, etc, nous voulons nous approcher par le verbe (?) d’une vérité massive , laquelle ? celle -là qui concerne la mort qui nous pend au nez ! nous voulons savoir cette chose, ce qu’elle est au juste, nous voulons savoir ce que cette chose de la mort (bouche) nous dit, etc, nous voulons savoir ce que la mprt, la bouche, dit, nous voulons savoir ce que morty de bouche dit, dit pour nous, nous vopulons savoir ce que  bouche de la mort nous dit à nous qui somlmes entrés en cette roche de la préhistoire des temps anciens, des temps piég&éés, nous voulons comprendre beaucoup, aller loin xdans les connaissances, creuser des betes de roche ressemblantes et tenir ainsdi à distance la bouche vorace, cette bouche de la mort glloutonne, jamais rassasiée, toujours «hurlante» à la faim ! nouds voulons comprendre  cette faim de loup fiinale ! cette faim-fin, cette chose rude et dure de la mort en bouche ou comment ? nous avons à comprendre à deux (qui sommes-nousq ? ) cette chose d’une bouche ouverte terminale, cet ultime, etc, qui nous tend «les bras» et nbous interpelle = nous hurle dessus ! oui madfame ! elle gueule fort ! elle geuele putois ! saleté ! on l’écrabouillerait si l’on pouvait ‘-! cette saleté xde larocghe ! cette saleyyté de la mort à l’oeuvre ! putasse ou comment ? cette cochonnerie à vouer aux gémonies ? cette p ute-borgne de première ! nous la détestons ! nouys ne voulons pas de son allant de vie ! nouys ne voulons pas de sa présence en cette roche ! elle pue ! elle sent la charogne ! elle est saleté de fin de vie affamée , oh la salope ! oh garce ! oh la garce ! oh alors ! saleté des saletés ! nous voulons essayer de comprendre cette chose ici de la mport à l’oeuvre en tant que «salope» : que donc signifgie ce mot de «salope» dans notre bouche ? eh bien ce mot signifie que nous la traitons, nous voulons l’atteindre et en même temps la tenir à distavnce, la distance ici est capitale, le gros mot (l’insulte ignominieuse en vérité) a pour vocation de tenir x ou y à disteance en le rabrouant, en kl’intimidant etc, nouys essayons de cette façon de tenir la mort à bonne diçstance , et en même temps nous offrons ce «trop plein» de vie ou de vitalité qyui est le trop plein contenu dans cet effet de langue, dans pareille extrémités de langage dru, etc, nous offrons ce «pl;us» qyi pour nous est le plus que nous pouvons offrir en termes de «vitalité majeure», il s’agit de ça, nous voulons oofrir le plus en termes de vitalité et ça passe par l’usage des extrémes ou des extrémités langagières : insultes vives brûlantes, ignominies proférées, incantation,s débiles ou débilitées, etc, et les effigies animalières fortes, de forte ressembklance comme vraie = les plus grosses betesq ( ce plus) etc, nous chercjhons dès lors à offrir le plus (ce plus) que nous pouvons = plus ! (plus) ! pour notre gouverne, ou disons : à nos yeux ! ce qui pour nbous semble être le plus dont nous soyons capable : nos déchets vifs, nos élongements de vie deployée , etc : temps passé ! temps passé avec présent inclusz ! = présent = présents = dons = donation ! njous sommes en nous deux qui donnons «nos choses» des temps déployész, déroulé d’inteillgence pezrdue, cette chosqeraisonnée de bout en bvout (bloquée) pour une tenue des choses dans ce temps de la roche dure, nous offrons sur un plateau, en,n rocxhe, ou sur table d’oofran,de en pierre, ou par terre sur tapis, des choses rudes, exctrèmes, rugueesesq, etc, squi aient de la voix pour ainsi dire : cri (Christ) en veux tu en voilà ! cette chose sur paroi clouée ! cette chose montée sur roche (lévitation) et creusée gravée ! etc, car nous sommes deeux ! nous sommes deux ! nous sommes deux ! nous sommes deux ! nous sommes cdeux ! nous sommes deux  pour «la bonne cause» (causerie ? ! nous sommes cdeux en nous pour faire cette cghose : langage en commun, fruits de collectivité, langage muri dans les sezrres cd’une ba,nde de gens accolés ? nous voulons comprendre ce qui est, cette chose ici d’un cri guttural sd’homme-bete allongée sur roche ? nous voulons, nous sommes deux qui voulons , nous sommes deux, nous sommes deux qui cgherchons à comprendre   e qui donc se pâsse en,  cette roche des temps offertds, nous sommes deux à chercher à comp^rendre  ce qui donc se passe en cette roche des temps alloués par la bande raide et traçante , quoi ? qui ? qua nd ? queue ?  nous disons que nous voulons szavoir et ce savoir est icvi déployé sur roche : à toucher ! nous voulons comprendre les enjeux, les ressorts, les arcanes, les traverts, les incidents de paroi, les reliefs, les excavations, les fissures, les plis, les embruns, les logiques de roche, ce V de roche du monde, etc, nous ne sommes pas en reste de chercher que tu chercheras ! nous voulons comprendre le pklus et donner le plus, nous offrons ce plus sur roche en termes de déploiuement paréital temporel, nous ne nous cachons plus : nous donnons ! nous offrons ! nous découvrons ! nous déposons au pied ! nous dféroulons ce tapis de bure, ce chandail mal fichu, cette somme, ce tissu d’insanités, ces journées de roche dure, ces saletés (ces meu, etc) à qui veut les cerner, ou sinon  cerner saisir, ou sinon saisir toucher, ou sinon toucher sentir, ou sinon sentir voir, ou sinon voir avaler cfomme le ferait telle bouche la sus nommée, celle-là qui bnous «tend les bras» et «nous regaede « de son oeil de bouche divin, et comment ? eh bien en ouvrant sa «grande gueuyle» si l’en est ! car la mort est une «grande gueule», une gueule de fou, grande gueule s’il en est, et face aux grandes gueules une seule solution : mimétisme, réponse à l’identique : gueule que tu gueuleras ! rien d’autre ! nous devons gueuler plus fort qu’elle et du coup offrir nos insanités naturelles , nos mùerdes en bvranche, nos putasseries votives, nos incantations lascives, nos chieries, nos chéries de buve, etc, nous devons dire et donner les mots gros de ces temps perdus (trépâssés) : nous devons déposer sur roche (où exacytement ?) les mots grossiers qui pour le coup nous constituent du fait que nous sommes envahis par en nous la bete de trait, cette rinbambelle plutôt de betes de trait et de charge, et du coup de nous sortyent à l’envi des betes immondes (cavalières, puissantes, vivantes ou tout comme ) qui sont betes de pplus , bete-plus de roche dure, nbous devons agir ainsi, nous devons renvoyer la pareille, gueuler notre saoul vitazl, pisser à la ré de la mort de bouche, pisser au cul d’icelle, la rembarrer de la sorte avec les mots gras qui de nous sortent via pareille trouée de joue nôttre, ni plus ni moins : ce plus, ce plus plus, ce plus plus plus, ce + , ce ++, ce +++, etc, nous le devons, nous le devons car nous tenons à la vie, art ! art de la roche dure des temps déployés ! art du dire de bure découvert ! artdes choses rudes, poussées en leur extrémités ! art d’un xéploiuement rugueux ! aert d’une dépose sur roche (paroi) d’une sorte de grand + de céans, ce plus de la roche, ce +, ce ++, ce grand + de la roche des temps passés, de ces temps passés p^réhistoriques , bnous poussons lzes «choses de la vie» dans ou à incandescence, dsans l’incandes cence, dans toute leur incandesvence, à incancadescence etc, brûlante-vive, cvette chose ! nous poussons vital ! nous avons compris cette chose comme quoi nous avons à pousser cette vitalité de roche sur roche ou commeznt ? où est «le lieu» ? white cube ? ah peut-être ! nous essayons ensemble (nous tous ?) de comp^renndre ce qui est ici en cette chose d’une sorte de grand déploiement vital de roche, bnous essayons de «piger»  ensembkle et cerner-saisir = toucher la roche dxu temps, et nous donner ainsi «par la bande», nous essayonsc ainsi de comprendre ce qyiu est pour nous qui sommes des betes -hommes rabroués par des voixc x de bouche terminales , nous voulons essayer de répondre, de toucher du doigt et de répondre, de répondsre et de toucher du doigt, nous voulonsrépondre et toucher du doigt, nous voulons cette chose faire ici, faire ainsi quev la mort «recul^at la pute «, : il s’(agit pour nous d’une incantation votive, nous disons «la pute» et ce faisant nous pensons pouvoir de la sorte tenir à distyance la mort , et du coup : nous y allons ! rien n’est assez vif pour elle sinon la vie, alors comment faire ? nous gueuylons comme des putois, nous touchons le fond, nous nous prosternons, nous pissons-chions, nous hurlons à la mort, nous pleurons toutes les larmes de notre corps, nous donnons le plus de nous (qui sort de nous ) que nous pouvons car la chose à «piger» est là précisément, nous devons , ou nous nous devons de, donner, à Mort la Grande Bouche que VOilà, quoi ? tout cela que nous pouvons donner de nous sans devoir mourir, et donc la liste la voici : en premiier notre temps de vie passdé = notre passé, passé-présent puisque le présent est du temps appelé à s’ajouter au tas des choses passées temporelles, donc : 1, le temps (le nôtrte), deux : tou ce qui sort xde nous, larmes, déchets divers, cris, regards appuyés, art, etc, les insuyltes , les insanités accolées à une langue parlée, etc, nous voulons ofrrir le sang, le sa ng blanc, etc,n, nous diso,ns qyue nous voulons donner levplus de nous que nous pouvons, donner tout de nous sauf la vie vive, le tic tac du coeur enfoui, etc, nous disons que nous donnons tout ce qui pour nous relève des possibkles, et les larmes, et le sang (un peu), et le dsperme, et les cris, et le cri, et les poils, et la peau qui pèle, et la meu, et le pipi, et la sueur, et les jérémiades, et les chants hurlés, et la saleté corporelle, et l’eau de n otre corps, la sueur, les cris de la bete en  ous, le pipi de l’homme et de la femme, les onguents et autres apprêts de recouvrement macéré, les objets passés pâr nous et ayant pris un peu de nous, nos paroles proférées, nos paroles chantées- hurlées, nos paro:les d’incantation, nos cris de douleur, ces cris de la douleur, ce quelque chose de la douleur intrinsèque que nous tentons ou tenteriiions ou tenterons ou avons tenté d’exprimer-expurger, le pus, les relents, le vomi, la meu, la peau qui mue, les poils de la bete, la fourrure, la toison, les ailes, les oeufs, les enfants, les bébés sur roche, etc, nous voulons de nous donner à la mort ce que nous pouvons le plus qui provienne de nous, nous donnons nos cris appuyés, nos litanies, nos marchandages, nos mensonges, nbotre vulgarrité, tout de nous, notre imlmaturité, nos chandails, bnous voulons donner à la moprt ce qui sort de nous ou est passé par nous, et l’ensemble = art , ni plus ni moins, ce pklusq ! nous voulons donner ce plus des choses de nous, comme trop^plein qui est  cette chose en nous vitale car qui ne pleure pas ? ou plutot : qui ne chie pas meurt ! qui ne pisse pas, qui ne sue pas, qui ne parle pas ? qui ne parle pas meurt ? qsui ne pense pas ? qui ne brûle pas meurt ? qui ne brûle pas ses calories ? qu’est ce qu’une calorie ? nous voulons tenir en vie, nous voulons tenir en vie ou plutot : lka bete en nous «tient» à la vie ou «est « la vie en  nous , ou comment ? nouysv pensons que la bete en nous (aurochs) est cette vie en bnous, cette vie à offrir au dieiu de la mort = bouche du levant, or la betye en nous est contenuez, tenue, comme close sur elle même en partie ... ou autrement ? nous chercxghonsz à comp^rendre pour nous ce qui est ici qui setrame en  nous, nous cherchons pour nous à comprendre en n ous ce qyi ici serait à setramer par devers nou!s ou à rebours de nous (rebrousse-pooil ?) : nous voulons comprendre (nous deux) ce qyui est, ce qui se trame, ce qui existe,, ce qui se joue sous nos yeux en termes de relachemeznt, de mise à distance, de creusement, d’écart, de distance acquise, de renoncement, de mise à bonne distance etc, par en nbous un quelmque chose tenu à l’écart de bouche de la mort un temps= ce renoncement à mourir de suite , ou comment ? car nous ne voulons pas mourir de suite ! nous voulons tenir ! notrte but (affiché sur affichette) est de touyjours tenir le plus possible (longtemps possible) et ne pas somn$mbrer fissa, tenir à la vie de bete en nous, mots-betezs de roche, mots de roche betes, betise de la roche dure,, ensanglantement, turpitudes, tours de fou de roche, loopings ! notre but = cette chose , cette belle chose de paroi, ces betes de roche, ces chevaux qui foncent, ces bisons racés, ces belles beautés d’an tilopes rêches, ces bouc et ces bouquetins, ces becs, ces dires de bure, ces insanités, ces dires de peu, ces ratés, ces incorrections, ces malenten dus, etcx, notre but ! il s’agit pour nous de  déployer fissa des choses à la queue leu leu, choses des temps à la queue leu leu sur roche, nous avons à faire cette cghose , d’une sorte de déploiement rural (?) , frugal (?) , pariétal, d’une sortye de parole «folle», pleine d’ezlle, rude et dure ou comment ? ici même, lieu d’aisance, etc, il s’agit cde cela ! nous voulons comprendre cette chose ici pour nous, qui est cette chose comme quoi le lieu final, trezmblant, salutiare, vital, et salvateur, est pour nous (homme-bete) ce lieu tantot décrit soit celui-ci  : ce lieu est le lieu de la vie, qui se maintient contre veznts et marées, ce lieu est pour nous le lieu de la vie maintenue contre venbts et marées : white cube encore une fois ? ou bien : lieu d’aisance,  toujours là ?) ? nous devons comprezndre cette chose ici d’une sorte de lieu d’aisance où pouvoir déployer nos dires brutaux, notre temps d’offrande, ce temps musical des embruns de roche : aurochs puissance x (mille ?) etc, nous voulons déployer sur roche (lieu d’aisance) les  chevaux de la cavalcade ! nous voulons en fin déployer sur roche ces chevaux vifsq , furieux (furia) de la cavalcade pariétale et ceci ad vitam aeternam car nous sommes ainsi qui tenons mordicus à la vie de roche, noys tenons tres fort et voulons perdurer ainsi, main dansla main, tete première, vivant sous les vivatsq des bnetes de parois en nbous, transe , transe, transe, transe, transe, transe, transe, transe, transe, treanse, ttra bnse, transe, transe, transe, treanse, treanse, transe, teranse, trea,nse, treanse, trean,se, treanse, teranse, transre, treanse pour la vie entière, ad vitam aeternam si possible (prions) et ainsi faisant (transe) nous gravons, nous dessinons, nous gravons les betes de laroche dure, ces oursq des cavernes, ces sangliers et autres betes des bois, nous ne sommes pas chiches de toujours graver nos choses de rage, nous sommes prêts, nous nous tenons prêtes, nous nous tenons le plus p^rêts possibles pour pouvoir graver et dessiner à main levée ces betes de la préhistoire, car nous sommes des aurignaciens en  ous de la première heure, nous sommes des aurignaciens ou magdaléniens en  ous , qui disons hurlons sur roche  nos méfaits, nos choses laides, nos beautés laides, notre plus de vie déployée comme à l’envi, nos déchets de roche dure, nos sentiments, etc, nous pleurons nos émotions : rougeur, chaleur, tuméfaction , douleur : les signes (4) cardi,naux de toute inflamma tion ! eh bien,  nous voilà ! nous sommes parés ) nous brûlons par les deux bouts ! nous sommes en feu ! nous brûlons vif ! nous brûlons du feu de laroche dure, nou!s brûlons de ce feu contenue en elle, paroi de feu de rage, nous brûlons ! nous avons à comprendre cette chose pour nous , xd’une sorte de feu de rage ardu, ou comment ? le feu est en nous qui nous gouverne, l’animzal de feu, ce voyou, cette chose en nous qui est tintammarree, qui est furie, nous la voulons pouvoir déployer sur roche du temps (déploiement ou déroulé) afin de la montrer,(présenter) à qui de droit : prséenter ou présentifier, etc, car ce don de soi, ce feu de soi larvé ou comment, a droit de cité et est salvateur si tant est, nous l’espérons (ou du moins nous l’espérons) ! nous voulons ! nous sommes à vouloir ! nous vcoulons cette chose faire ici sur roche, qui consisqte à déployer (de nbous = depuis nous) des choses du coeur = sentiments(douleur) etc, sur roche du temps (= déroulé moteur) qui puissenrt (ces choses) nous donner du mou dans la marche c’est à dire du possiblezment vivable, ou comment : du qui nbous tienne à la bonne distan,ce de la chute finale, soit de cette bouche des embruns,, de pareille bouche grande ouverte (grande gueule) de la moprt à l’ oeuvre : alors donc (en réponse de nous) une vie à l’oeuvre, cette xchjose ? nous pênsons que nbous devons poursuivre sur notre lancée et ne pas céder aux injonctions mortifères (néfastes ô combien) de la mort à l’oeuvre,  cette sa leté : nous la détestons, nous devons nous prosterner et la chéerir mais nous la détestons, nous devons lui montrer de l’intéret et comme un amour fou mais nousq kla détestons, nous n’en voulons pas car quoi, nous , ou bien en nous, et si en nous qui ? qui en nouys renackle, trépigne, bat de l’aile ou non : repousse les assauts, etc , qui ? sinon quoi, la bete ou les betes de concezrt, ces betes de voix, ces betes betes, ces lbetes-mots de rage, cette immense colère votive ancrée en nous mêmes, cette joie votive immense ancrée, cet ancrage votif immen,se déployé puisqaue nous sommes dans le temps charmant ? nous devons tenir encore et toujours et ne pas céder aux diverse injhonctions sortie de bouche de la moprt à l’oeuvre, cette pourriture, cette saleté, cette ignominie, cette méchanceté, cette turpitude incarnée ou comment ? la mort est dans le trou, dans le trou des cabinets ? la mort est au trou ,, au trou de laroche ? bnous voulons comprendre, nous nous échinons à vou;loir comprendre,  ou ne sommpes pas en manque ou en reste de vouloir comprendre, nous cherchons des vérités de rocxhe , qui puissent tenir bon, demeurer, se tenir debout etc,; mais il n’est pasd simple de trouver de pareilles choses en celieu de perdition (?) ou oui ? fastoche ? nous parlons : nos mots sont des mopts-betes de paroi (bouqyuetins, aurochs, chevaux) : ils cvaraacvolent sur elle, ils sont de belles betes xde roche , qui vont et viennent incidemment et à qui mieux mieux à même le relief de roche, nouys dessinons, nos mains se posent sur la roche, ce sont des mains du plus sus-cité, nous posons des mains à plat sur la paroi, nous posons à plat nos mains multipliées, nous les déposo,ns comme du courrier, nous dépopsons nos mains à plat ou au plat ou sur le plat de la roche froide, nous sommes nombreux, nous déployons le temps dans ces incarnations (entrefilets) etc : main, main, main , méain, main, main, main , main , etc, à foison, jusqau’à satiété, nous disons nos méfaits de roche (interjections) et nous donnons de nous un peu, de quoio satisfaire un temps o minime nous le xavons ! nous donnons de nbous par devers nous, nous donnons bien malgré nous, nous courons apres les betes de la vie en  ous, nous courons après nous memes, nos vies de rage déposées sont vie par défaut (des défauts) copmme si besoin, ou comment ? nos vies déposées sont des bouts de nou!s déposés, pouvant faire accrooire si tant est, pouvant donner le change si tant est, etc, rien de moins sûr, et puis sur la longueur oublie ! la mort re»viendra à la charge ou revient toujours (un continu) à la charge ! la mort jamais ne lache le morceau ! la mort jamais ne lache lma grappe ! la mort o grand jamùais ne lache la grappe ! la mort jamais o gra nd ne lache le mortceau ! nous sopmmes fichus , nous sommes foutus, nous sommes pris au piège de la mort à l’oeuvtre (petits pas), nous ne nous en tirerons pas de sitott, nbous avons à accepter le couperet final, ceztte chute vive, ce point de chute, etc, nouds devons poursuyivre vaillamment ensemble l’ensemble de nos recherches, nous ne devons pas faiblir mais creuser plus avant encore  les diverses investigations jusqu’alors menéeqs en ce lieu d’aisance p âriétal (ou «petit coin») carr tellle est notrte destinée ou tel notre chemin, telle notre voie, qui est (so nt) d’aller ainsi à la recherche d’une vérité de circonstance, ou d’une vérité au con tenu votif ou comment ? toute vérité est-elle bonne à dire ou non ? toute la vérité, rien que la vérité ? ou comment ? turpitudes ? obscénités ? etc, nous y allons, bnous devo,ns allezr en roche fissa, fissa a ller en roche nous devons ! nous devons pleurer toutes les la rmes de notre corps, tuoute lesq larmes de notre corps devons pleurer ! bnous devons jouir de la vie de roche, de la vie de roche jouir nbous devo,ns ! nous devons graver des betes de poids, des betes de poids bnous devons graver ! nousq devons dessiner des tribus de betes, des tribus de betes dessiner devons, etc, pendulaire, etc, et c’sest ainsi que nous pouvons nbous approcher , à petits pas (pendulaires) de lma Vérité de laroche du temps, ou de Vérité de la roche du temps, cette vérité des roches dures, des parois préhist(oriques, lieu x’a isance, bnous swavons que nous devons nous approcher loe plus possible de la bete de la roche desinée, et la toucher et acqUéurir d’ezlle des pouvoirs sezcrets, nous peznsons qUe nous devons ainsi acquérir des pouvoirs secrets, des pouvoirs à déployer, etc, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nbous ne vopulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir de sitôt, nous de sitot ne voulons pas mourir, nous ne voulons de sitot pas ! nous de szitot ne voulons pas ! nous pas vouloir mourir de sitoyt ! nous pas vouloir de sitot mourir!  de sitot nous pas vouloir mourir, ainsi de syuite ! notree butt est a ffiché (affichette) : de sitot nous mourir pas vouloir ! aindsi fait ou ainsqi dit  : nous avons à nous positionner dans le courant des choses qui passent et nousq lke faisons ; nous de mourir pas vouloir trop tot, ou de sitot, mèfle ! nous tombons dans le panneau des dires de bure, nous le savons, nbousq sommes au jus, nbous sommes les captifs d’une langue commune, langue de p... comme il se dit parfois ici ou là, cxar les mots ont leur incandescence sous roche (oui !) et dès lors cette incandecsence estr une chose capitale, centrale, le foyer, mais oublie que d’aucuns s’en targuent ou quelques isolés, etc, nousv avons à comprendre ce qui est, de ce foyer central du langa ge, eh bien c’erst facile : des rossièretés, ni plu ni moins , des insanités, des mots gros ou gra s, des choses à ne pas prononcer sous peine de se voir puni s par le maitre ou par lamaitressee d’école, ce genre de choses, nous pren,sons que nous devons encore et toujours chercher à comp^rtendre les choses du mo,nde à l’aune delarturpitude native, fraichement éclose, comme sortie de l’oeuf, etc, les lmots du chapeau sont bien beaux, mais les mots natifs (cursifs) sont plus beaux encore, insa nités ! mots de l’énezrgie vcentrale, litanies de mots gras qui tachent, etc, cursi ves, coursives (?) ou quoi ? nous y allons ! le chemin est long qsui nous voit ramer comme pas possible pour aller plus loin vers la vérité des jhoies brutes, des données de roche solides, du genre vérité ma vérité, ou quelque chose de cet ordre-là des choses, nous pensons que nous avons à encore et toujours plus nous positionner en grotte (nous sommes homme et femme des  cavernes) afin de toucher ici la timbale du temp)s,, heureuse présence ! notre but est là affiché sur affichette (comme il se doit) et tient en quelqques mots : nous avons pour ambitiuon de toucher la timbale du temps, ni plus ni moins, notre but est celui-là, il n’est pas si compliqé me sembvle-t-il à bçien comprendre, il est tout con : toucher latimbale, toucher la paroi ornée, toucher la bete votive, toucher la chaleur de bure, toucher de la voix et du sang perlé, toucher la crinière, les muscles, le museau ou le bec, touchezr l’animal de soi, le voir dépoitrenaillé pour soi sur roche du temps, voir la bete et mourir, aller de l’avant loin de la roche du ressentimeznt, aller en roche de l’avant vers un moins de tourment, aller en roche devant vers une joie de tous les instants : courir ! mourir ne pas mais toujours courir ! pas donc mourir mais courir toujours, sur la lande des embruns, le pré aux brebis, le pré joli aux cervidés, biche ma biche, etc, la chanson du temps, etc, nous sommes ensemble en  nous tous en roche pour nous, nous avons pour nous cet ensemble pariétal du temps pour nous «remetree» xde l’a ccvoucxhement, nous de»vons ense’mbvle pour nous en nou!s nous donner du coeur à l’ouvrage intentionnellement les uns les autres, njous devons nous aimezr et aider les uns les autres, bnous nous devons de nous aimer concomitttament les un

s les autres, vive le vivant des rocghes et son troupeau de betes dessinées par l’homme de la préhistoire : nous l’aimons, nous l’avons (le portons) en  nous ! nous sompmes beaux ! nous sommpes vivants ! nous tenons bon ! nous réchappôns ! nou!s faiooisons notre possible pour en réchapper le plus longtemps possible, notre lieu ici (cet entre-deux du monde) est lieu d’aisance comme de coutumes, nous ne voulons pas lacher prise, nous voulons durezr «dans « le temps et ne plus sortir de  ce lieu d’aisance du temps, nous ne voulons plus sortir de ce lieu d(aéisance des temps impartis par la ban,de pour soi, pour tous ceux-là qui sont en    ous comme uune ribambelle, nous disons le mot de ribambelle, nous avons des larmes à devoir couler, etc, les mots sont en ous qui se chevauchent comme des lar(mes betes, betes-larmes de joie rude, etc, nous voulons toucher la timbale du temps et de ses agents, nous voulons toucher la timbale du temps et de l’ensembkle de son personnel , nous voulons toucher la timbale du temps et de l’ensemble de son personnel affilié à pareille czause (des embrunds) et pour cela nous nouds prosternons ici bas : allmégeance, mise au tombeau, paroles votives, capitulation, rentrée, chaleur, etc, nous ne voulons pas mourir et nous le dison,s à notrte façon (art de ligne) ! nous n,e voulons certe pas mourir et dès lors nous le disons «sur toute la ligne» (art), et ce faisant nnous espéron,s pouvoir nous en tirer, tantot, sanstrop de sé&quelles, etc, je suis l’homme des cavernes au ventre plein de victuailles (j’ai mangé») : je suis l’homme à la tete de bete, je suis mi hommùe mi chevreuil aux bois jolis, mon  om est un nom de bete, je suisq mi, mi homme mi chevreuil, et le nom que je porte est aussi mi, mi homme mi chevreuil, nom de bure paer excellence il est aussi un nom composé, à deux tetes pour aibnsi dire, mi homme mi bete, etc, je suis l’homme des cavezrnes enfouies, des cavernes de la roche entière, roche du temps, carrière découverte à même le ciel (à ciel ouvert, etc : a.c.o.) : nous avons à comp^rendre ceztte chose ensemble, cette chose en nous et hors de nous, cette queue de verbe votif, il s’agit de cette chose de nous rapprocher cde bouche de la mort dure, qui est elle,, c’est à dire quoi , car la mort a une de ces geueules ! oh oui ! une de ces gueules ouverte oui ! nous voulons savoir quoi est la mort , nous voulons savoir la mort quoi est, nous voulons ce savoir concernant ce quoi que la mort est, nous voulons en savoir long sur ce quoi que est la mort, nous voulons long savoir sur mort ce qu’est, nous voulons long sur mort savoir ce qu’est, nous long voulons savoir sur ce qu’est mort (la), nhous (la) savoir qu’est-ce que mort est, nous savoir la, ce que mort est, nous le savoir voulons de mort ce qu’est pour nous qui sommes, quoi est pour nou!s la mort ce qu’est, en ce lieu d’aisance pariétal, bnous cxherchons une définition (à la vie, à l’art, à la mort, à l’art : entrelacement, lard), nous voulons comprendre ce qui est du monde, nbous voulons comp^rendre ce qui est du monde, nous voulons comprendre  ce qui est de cemonde rocheux de la mort comme entrelacement notoire, entralardement ou comment stipuler ? nous voulons savoir ce que est la mort qui nous devanceou comment ? saleté des saletész ! pourriture noble ? nous cherchons la vérité dans le sein des seinsq, nous voulons de cette vérité sanctifiée par la ba nde passante du temps de la roche ornementée : tout ça ! nous ne voulons pas périr en la demeure mais contrer la mort de base (bouche) à sa façon : calquer nottre attague sur l’attaque de la mort, art d’une sorte de contre-paroi, de contre-pression, de contre-attaque, etc, et de ce fait nous envisageons la mort (bouche) cxomme choçse à devoir repousser avec nos mains squrnuméraires déposées = art de la contre-marche ou du contrepoint pâriétal, main + main + main + main + main + main + main , etc, = ceztte contre-poussée de roche, va là du pipeau et laisse nous paître ! nous voulons tenir , chasser bouche, son impact, sa présence massive, son antre dépoitrenaillé ou comment est il ? son corsage de vie rabougrie ? sa parlote ? son sussurrement ? qui et commùent est elle ? une mùéchanceté de cghose rabougrie sur elle m^$eme ? nous voulons savoir , notre but n’a pas varié d’une once de rien, nous sommes encore et toujours sur cette même ligne qui nous voit nous tenir à bonne distance si possible de pareiille engeance mortifère, de pareille «bete- bouche»(?) « de cghoix, etc, qui est elle ? eh bien voilà : la mort est un e entité, la mort est comique, la mort est une boucheavec lèvres faites, la mort est une ouverture en grand : la lettre V en gran,d, etc, nous savons toutes ces choses, nous savons à présent (un ta s) beaucoup de choses sur tout cela qui ici nous occupe fortement , grandement, et de ce fait nous pouvons noter noir sur blan,c ces choses à retenir de tout cet ensemble de savoirs collectéscau fur et à mesure, nbous avons pas mal de choses en boutique, bnous sommes sérieux, nous tenons la route, nous ne flanchons pas et poursuyivons sur nottre chemin de halage notrecpromenade assidue, nbous voulons comprendre les choses du monde, les cerner vives et kles montrer à qui de droit dans toute leur plénitude princière mais sa ns les tuer, en toujours les maintenant vivantes comme autantt d’offrandes déposées sur une table dressée à cet effet, nous  ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nbous ne voulons pâs mourir, noyus ne voulons pas mourir, bnous ne voulons poas mouyrir, nbous ne sommes pâs enclins à vouloir mourir, nous ne sommes pas du tout enclins à vouuloir mourir, nous ne sommes pas du tout du tout enclins à bien vouloir nous laisssrmourir, ou bien à nous donner de chic à Dame ou à Sieur de la mort à l’oeuvre, nbous ne voulonbs pas mourir, nbous ne voulons surtout pas mourir, nous ne voulons tant mal que cette choses ou commentdit on ? nous ne voulons pas trépasser, nous ne voulaons rien moins que de trépasser, que de passer l’arme à gzuche, que de passser, nous voulons rien moins que cette cxhose, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons rien moins que de mourir, nous ne voulons pas de la mort, nous cherchgons la mort du regard afin de mieux pouvoir comme l’éloigner de notre champ d’action rupestre, bnous ne voulons pas cde la mort dans les parages, nous ne voulons pas de la mort près de nous, nbous ne voulo,ns pas de la mort à l’oeuvre près de nous, nous voulons la fuir,n nous voulons fuir icelle à grande enjambée, nous ne voulons pas d’elle du tout, nous ne voulons surtout pas d’elle, nous ne voulons pas vde ceztte mort de rocghe annoncée tantôt, nouys la voulons loin c’est à dire loin de nous, nous sommes des betes (mots-betes) qui cxgherchons la vérité des roches du temps et par con séquent sur ce  que c’est que cette mort tanht et tant décriée : qsui est -elle ? qu’est-ce que la mort dont nous ne voulons pas ? je me le demande ! je ne sais pas, je ne sais pas la situer déjà : où est-elle ? où se situe-t-elle ? où erst la mort ,? où donc se situe la mort dans le paysage ? est elle dans le paysage ? où donc ? lieu d’a isance ? bure de vie, bure de hjoie ? où estc la mort en tel paysage deqs ezmbruns ? je ne sais ! je nbe sais que dire, car la mort n’a pas de lieu ou si : tous ? tous les lieux du monde pariétal (et au-delà ?) lui appartiennent, vrai ? nous poussons nos investigations le plus loin possible, bnous ne voulons pzas pqasser à côté d’une révélation éventuelle, bnous voulons cerner au plus p^rès et au plus juste, nous ne voulons pas défaillir et du même coup passer à côté d’une chose vraie, car la vérité nbous obsède, la vérité est notre grande affaire, nous voulons comprendre mille choses au gout de vérité, ou saveurn,, ou comment ? parfum ? notre but est affiché : au parfum ! voilà ce qui est pour nous en tant sque nous sommes des qui voulons cela, de cettye vérité de roche dure, vérité des vérités des la ngues, des paroles échangées à même la roche : bouquetins, mais comment s’y prendre ? eh bien par la bande, aller retour, à toi à moi, ding et dong, ping et pong, ainsi de suite (une suyite de vocables échevélés) : nousv avons à ainsi enfiler des perles sur un fil de crin (qui nhe casse pas) le plus que nous pouvons possible (dans le temps ) = le temps, car nous sommes dee’ux à vouloir combattre les assauts d’une sortye d’entité de roche , cachée (mais où ?) qui a pour nom (divers) : Mort de lza bouyche à cul , Saleté des saletés de merde, Pute borgne de la mort sa&crée, Saleté des saleté accrue, Putre de mes deux de la mort sure,; mort-bouche de la rangée (du fond), mort de mes deux colères, Mort de bouchev sensitive, etc, les noms d’oiseaux ne manquent pas, (la mort est oiseau ? « à bec « ? ) : nous voulons cxomprendre  e qu’elle est, son  om et sa geuele que nous savons grandxe voire méga-ghrande, nous vopulons comp^rtendre ce que est la mort car la mort est, ce que est la mort car la mort est, la mort est, et du coup nous autres (hommes betes entrezlacées en une queuye de verbe) nous voulons savoir = piquer = traverser = trouer = percer de notre pic de roche acéré, rien de moins ! la mort est ...     et là : silence radio sur toutes les fréquences hormis les cris (les cris ?) des animaux ! de sorte que cette cghose, pour njous, a du prix (le cri cdes animaux) et à nous de nous démerder pour comprendre : il y a le cri des animaux et il y a le Christ, et les deux se chevauchent pour former tirade, et queue de perçage (une évidence) et du coup , à nous de nbous placer ainsi que njous le désirons, c’est à dire en cette roche des abois, des ccris de bu-se,  , des cris a nimùaux, etc, la mort est une entrée de grotte c’est une é vidence, la mort telle que nous la disons, ma mort telle que nous disons sur elle, la mort telle que nous en parlons, etc, ezntrée de roche, roche-entrée de grotte de la préhistoire , où ? eh bien pas loin , jamais (lieu d’aisance = trou = ce lieu de l’indispensable à la vie maintenu ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! czela est ainsi, nous l’avons compris tantot  ! nous sommes sûrs de nous : le lieu nous suit ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, cela est ainsi, nous le savons pêrtinnement, le lieu où donc lza mort se trouve est un lieu qui nous suit, il s’agit d’un trou mais d’un trou borgne comme un coquillage : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, et ce trou est trou de vie vive , ouyi ! et du coup nous sommes parés, nous pouvons durer si tant est que nous sachions nous protéger des coups du sort etc etc, car la vie est une affaire qui roule sa bosse ou boule mais pas touyjours, il est bhon de se protéger mùais comment et de quoi , car les dangers affluent ! que ne range t-on pas en boite les dangezrs nombreux et variés qui nous pendent au nez ! nous sommes deux en nous : qui ? eh bien : lui et moi, qui lui ? eh bien : moi et lui ! ainsi de suyite ! nous devons essayer de comprendre ce qyui est ici en roche, à la lumière de cette chosqe là quyi se tramze sous nos yeux, cette cavalcade de chevaux de race, poulains y comp^ris , nous voulons touchezr la timbale du temps, nous voulons toucher la timbale, nous en,visageons cette chose, nous ne voulons pas en déroger mais toujours poursuivre sur notre lancée et aller fissa de l’avant vers le v de la véritéc = l’ouverturte monstree d’une déité déguenilloée ou commùent ? pauvre sur elle ? nous voulons nous approcher d’icelle rude, nous porter près d’elle et la toucher avec nos mains de rochge, main sur main, main multipliées etc, car l’etc des mains nous imposent cette chose d’un vouloir -savoir de paroi, etc, chaque etc = des mains accolées apposées sur roche de grootte à la manière des aurignaciens ou autres magdaléniens ou qsui xd’autres ? nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la trimbale ! nous voulons toucher la timbale, etc : des mùains se greffent sur la roche et disent leur surplus de vie vivce ou de vitalité à la mort à l’oeuvre (la méchante aux traits d’enfer), nous so:mmmes deux qui cherchons, deux qui voulons, deux qui pressons, deux qui dressons le plan xd’une survie en roche pariétale des embruns , animaux-mots de la roche fluide par endroits, incursion possible, chants de la roche et des embruns, nous prenons la peine cde nous introduire et de nous informezr, qui est qui , et qui fait quoi ? notre but (affiché) est de nous présenter à dame de la mùort dans une sorte d’appareil qui nous ressembvle (le plus ) : bouquetin si bouquetrin, cheval si cheval, renne si reznne, antilope si antilope, mammouth si mammouth, ours des cavernes si ours des cav ernes, lion des caverbes si lions des cavernes, autruche ? hibou ? hibou des cavernes ? grue ? grue des cavernes ? chacal ? chacal des cavernes ? cheval des cavernes ? bhison xdes cavernes ? buffle des cavernes ? rennes des cavernes ? grue des prés et des champs ? biche des cavernes et des champs ? grue des prés et des cavernes ? aurochs des préairies et des cavernes ? quel autre animal de compâgbnie ? bu ffle -sanglier ? bison-antiloipe ? cheval-ours des prés ? homme-bete des apprêts ? qui de quoi pôur quyi ou pour qyuoi ? nous devons comprendre  ce qui est ici en cette roche de la paroi dure, qui est qui et qui fait quoi ? que est quyoi ? qui est que ? la mort est  une bouche ouverte, elle susurre, la mort est grande ouverte, la mort pue la mmerde comme un trou d’aisance, la mort est une saleté de première, la mort est devant soi = à nos côtés = derrière = près de nous quand le besoin s’en fait sentir, car nous sommes traversés par des besoins vitaux qui nous poussent à faire (agir) dans le sens d’une délivrance, et où faire cette cghose sinon là, ou là, ou là, ou là, ou là, ou zencore là, ou bien là, ou encore ici, c’est à dire là, à cet endroit précis, sur terre mère, ici tout précisémentou là, ou bien là, ou encore là, ou bien en ce lieu précis pres de soi, etc, chaque etc = mains sur roche (surnuméraires ) = appplzudissements et applaudiissements et applaudissement s  ad vitam aeternam,nous avbons à comprendre la vie à l’aune de la mort et de son trou de bouche ouverte, oups, une sorte de cuve à) merde, oups, etc, gloup ! nous savons cette chose ici comme quyoi   nous avons à) tenir bhon sur roche du temps, inséré, et là, sous les yeux de nos soeurs les betes (pour celles forcément qui on,t des yeux, etc) tenir debout, cote à cote, ce couple de vie vive intégré à une rochhe ornementée par des hommes -femmes des cvavernes, hommes de la hjoie de vivre le temps d’une sorte d’embardeée votive, nous cvourons fissza dans (sur) la lan,de vers des  betes à cornes ou vers des betes à bois, la biche est douce, le chevreuil est élancé, l’aurochs ne tarit pas déloges sur les cezrvidés des prész, nous sommes amis de roche déployée comme un temps nacré, vive l’aurochs de la roche dure, des vivats par dizeaines ! applaudissements ! suite d’apppaludissements, mains surnuméraires déposées (pôsées) sur roche, soufflerie, tracés, pochoirs animaliers, conquêtes, nous alloons à déposer nos choses de roche (art) comme étron sur caillou de roche, ou autres déchets : où ? eh bien dans un trou : excavation ! nous avons à deposer -poser la main sur la roche froide, notre main d’homme mi (mi chevreuil mi homme) et cette main est une main donnée (don) comme applaudissement renouvelé, nous disons la bonne aventure 

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M%ON NOM est gravé sur paroi, bete de somme, animal de cavalcade, offrande, joiussance, etc, je suis monté, je suis allé, je suis entré, je suis allé dedans la roche et je me suis lové en elle (icelle) et je regarde ce qui est qui ici m’entoure, les betes alentour, les betes représentées, les chevaux en nombre, les bisons quiets, les aurochs de compagnie, les antilopes sautillantes, les ours et ourses des cavernes et autres betes de fort poids, je suis homme des cavernes au sens ancien : « qui vit dans les cavernes un temps », je suis homme vif des cavernes enfouies, je trace à main levée des betes de race rosse fauves sur paroi de grotte : elles s’animenr, elles vibrent, elles paraissent vraies, elles semblent etre en vie comme de vraies betes, je suis un homme qui trace des betes sur paroi, en lévitation, la main haute, la main tracée, la main détourée,; je suis un homme des parois de grotte qui va et qui vient en elles, je dessine à main levée lma bete de somme, l’ours, l’aantilopee, etc, je vais sur et dans, je monte, et là hzaut entre, et entrant je perds le nord de ce qui est en moi ce moi de bonne compagnie pour devenir bestial comme ici la nbete de roche, je suis devenu cette bete de roche dure, cette envie de pierre, etc, je suis dur comme elle, je suis raide mort ou tout comme, suis je raide mort ou tout comme ? qui suis je en abrégé ? qui suis je décousu ? je vais en roche dure et me fond en elle comme unecoulée ! MON NOm est celui là tracé à l’encre, à la sueur ? au sang ? au quoi ? qui montre un visage, effigie, donnée de base pour une gouverne animaliè!re et pariétale o combien, je vais en cette roche dure des temps comme un animal dans la preairie, je suis devenu cet animal de prairie, je suis devenu cette bete racée qui file droit, mange herbe, va dans les lointaions à la rrecherche d’une déité (vérité ?) qui «puisse le faire» pour elle , et moi d’aller dans son sillage et de suivre son chemin de près, je suis cet homme des cavernes au sang chaud, je suis (du verbe suivre) la bete de roche dans ses allers et dans ses venues, je la regarde aller loin et vais vers elle : je m’approche fd’ellle, je vais pres d’elle et la touche (arrive à la toucher) du bout des doigts (pelisse) et m’en réjouis , je suis dès lors devenu «le même», même chose, même bete, meme etre, je deviens la bete de roche, je me transforme en bete de roche et dès lors deviens l’effigie de pareille roche des temps durs, des temps ancrés, $je suis l’homme-femme-enfant-animal de roche aux embruns et je vais et viens en pareillme roche à la recherche d’une vérité-déité qui puisse le faire dur», qui puisse convenir, qui puisse aller en, entrer, se loger, s’introduire fissa en pareil antre de feu ou comment ? car je suis touché et je touche : la bete en moi me pèse, je suis cet homme à la bete en lui , qui pèse, pèse lourd son poids de bure, il s’agit de bêtes de poids menaçantes, betes menaçantes de fort poids moléculaires, elles s’imposent à moi, elles sont en moi des betes rosses, qui cherchent à sortir, à de moi sortir fissa par la bande (bouche ?) et dès lors les voilà qui trépignent en moi, je vais et je viens en   cette rochge dure des embruns, je suis homme de peu, va nu pied de la laznde, je tremble devant l’ours des bois, je chasse l’aurochs et autres bisons, je suis le graveur, je suis occiput, je tremble devant l’ours des cavernes devant moi et je le dessine en transe et à main levée, je suis homme d’un train de hjoie en moi quyi me fait léviter et tracer des betes sur roche, je suis cet homme au présent nacré, je suis homme de roche dure , qui est homme de roche meuble pour dessiner, qyui est hommùe dur de roche meuble, et homme meuble de roche dure, homme dur et homme meuble, homme dur et parfois meuble, hommeuble paerfois dur de roche, j, je suis l’homme dur de la roche dure, je suis homme meuble de la roche meuble, je m’immisce, je vais en elle et je jouis d’etre cet homme des cavernes à la main levée traçante, je dessine des aurochs, des bisons, des antilopes de roche, ours des cavernes, ourses des cavernes, ours et ourses des cavernes enfouies, je m’appelle Ours et je dessine l’ours, je m’appelle Bisoon et je dessinec le bison, je m’appelle Antilope et je dessine l’antilope, je m’appelle Aurochs et je dessine l’aurochs ! je suis tremblant ! je suis cet homme juste au tracé précis , qui va et vient en roche du temps et trace à main libre les données rupestres debase , qui suis  -je ? une bete ! où vais je ? dans le ciel de la roche des temps ! que vais-jecdevenir ? une entité divine ! un ciel découvert! une aurore ! un ciel bleu azur, une belle et douce beaiuté douce ! je deviens la bete douce et belle ! je dfeviens cette douceur de biche, beauté de race caprine ou comment ? je suis homme des tourments de roche dure, je suis cet homme aux allures de bure, en lévitation, sur roche puis dans roche, qui s’immisce et s’immisçant se loge et trouve son miel dans la roche aupres de toutes sortes de betes de pré (etc) qui paissent, qui sont quiètes , qui ne bougent pas, qui restent placides là où elles se tiennent, en troupeau de huit (ou plus) , elles sont cdes betes de roche du temps, ces betes de poids qui pâissent et me regardent d’un air de deux airs : qui suis je ? une bete comme vous ? quel est mon nom ? le votree , exactement! que suis je pour vous ? l’ennemi ? l’(ami ? ni l’un ni l’autre ! le semblable ! je suis homme de peu qui entre en roche et se loge en elle près des betes de pareoi (dessinées ou gravées) et là, je me faufile parmi vous (les betes) et me glisse dans les profondeurs, je cherche issue, pa ssage, trouée où pouvoir aller fissa me placer et comprendre , quyoi ? la Chose brute, la donnée de ba se, le soubassement, cette  é   chancrure narrée, cette trouée de bout de monde, ce travail de sape céleste, cette joie de roche, ce travail en des parties rocheueses de destinée, etc, qui va là ? la peine ! qui est là ? la peine ! qui veut dire pour moi le vrai nom de la joie pariétale ? qui ? la peine est celle là que je vois se ghraver sur roche, ilk s’agit d’une peine de joie, une peine dure de joie rude etc, je vais en pareille roche et trouve de qzuoi me sustenter un temps, je suis un homme de roche temporelle et mon  om est un   om à rallonge du genre : «homme des cavernes du sud de la france «, je deviens la bete, je deviens cet homme-bete aux mots-betes sortant de sa bouche ouverte comme une plaoie, je suis un homme quyi va , en roche, à la rencontre de la déité de roche dure : traversons ! soyons cet homme des données ! fusionnons avec bete des prés et allloons brouter l’herbe fraiche ! je deviens cette bete des ^rés pôur ma gouverne, la mort est vaincue, le ciel est haut, les embruns me soulagent, la peine est légère, je suis haut allé pour parler la langue de bure, mon  om ne vous dira rien o combien et c’est un fait à remarquer et dont je dois me réjouir, il s’agit d’une sommité de roche : poum;, la bete rosse qui pose tout son poids sur la balance des temps impartis, il s’agit de cxette bezte -sommité de roche, une bete de paroi ornemùentée, et qui ornemente sinon la bete, elle meme, via cet homme des cavernes pis-aller, ou qui ? je reviens vers elle (la bete) et m’apprete à la toucher du bout des doigts, je suis un homme traversé par des pensées «anciennes» qui se logent en moi comme un animal des prés dans la lande, je deviens à mon tour une bete (ou bete-mot ?) qui va et vient sur roche à la mùanière d’une bete des pres et des bois, je suis homme-bete dur, dur de dur, razide dur, dur de la raideur des prés, de cette raideur des prés qui me rend joyeux comme l’herbe, je vais en roche, je suis sur, je suis dans et je m’immisce en ses profondeurs à la recherche d’une vérité saillante, d’une vérité-déité saillante, mon coeur parle pour moi , qui dit ma misère de bure et cependant ma joie d’etre vif en pareiulle roche, dureté des duretés, je suis homme au chandail troué, capeline, cape rêche, taillis, , treilles , etc, je vais en roche sur paroi des temps, je suis homme de paroi du temps, je suis un homme de la paroi, je suis cet homme de la paroi, je suis cet homme doux de lma paroi dure, j’aimme le temps dur des roches du temps et je m’immisce en pareille zone à la recherche d’une denrée (?) ou d’une donnée (?) ou d’une déité-vérité (?) ou de quoio qui puisse me donner des ailes ? je suis homme cerf aux bois dorés, je suis en roche l’animal des champs, je suis cette biche douce et belle, ce xchandail de bure tout autant, cette cavalcade, ce chant guttural sorti des entrailles de lma vie meuble, je suis holmme-attribut, la queue dressée comme celle d’un ours, mon temps est compté par qui de droit, mon temps est le temps de la roche (nacrée) des borsdsq de mer, je regarde les :lointains et j’essaie de voir au plus précis, au plus près, ce qui advient en pareillez roche des lointazins = ce qui nous attend ! je suis cet homme vif de roche dure et jhe vais sur elle (dans) à la recherchje d’une vérité de bonne renommée, de belle attitude, dure nacrée, soutenue, quyi dure ou durâ t dans le tem^ps, MON NOm s’écrit sur roche ainsi : par la bande, un tracé nacré de bord de roche, douceur-candeur, soulagement, turpitudes, délicatesse, envahissement, trouée de roche, vérité de poids, je suisq cet homme doux de la roche dure puis cet homme dur de la roche douce, etc, je suis ce qui est préswent, je suis Temps de roche augmentée et vais et viens en cette paroi comme un limonadier va sur la place, je cherche issue, parade, entrée en matière, je cherchje une voiioie d’abord où pouvoir m’immiscer fissa sans encombre et là poursuivre sur ma lancée jusqu’au bout du bout des turpitudes (etc), je cherche vérité de roche, vérité dure, sensation, mon coeur est à l’unisson de mes recherches, un soulagement, une virée , une promenade dans lalande, une entrée en matière vive et pointue, je deviens cet animal de roche ornée, je suis bison, je suis cerf, je suis antilope, je suis ours et ourse, lion et lionne, je suisq aurochs, je suis renne, je suis cheval, je suis sanglier, je suis puma, je suis bouquetin et cerf, chevreuil et vache, je suis animal, je suis bete, je suis l’animal aux mots de paroi, je suis cet animal de la paroi dure des tempsq, je suis cette bete en moi <qui cherche à s’extraire par la bande (queue de rat) et trépigne grave et grave sur roche, pour moi, dxes betes de poids qui en imposent, qui va là ? la bete ! qui est là ? la bete ! qui trépigne ? la bete ,! qui jouit  ? la bete ! qui parle à ma place (la place) ? la bete ! qyui veut sortir de moi ? la bete ! qui veut chanter pour :moi ? la bete ! qui pisse ? qla bete! etc, je cherche et voilà le résultat de mes recherches, je suis cet homme qyui cherche que tu chercheras des bvérités de poids qui en jettent (poudre aux yeux ?) le plus possible : déjàet surtout (avant tout) pour moi ! car je veux savoir , je veux tout xsavoir, je veux savoir la véerité des choses, sur les choses, je voudrais savoir, je veux, je cherche à savoir, je veux savoir, je cherche à comprendre, je vaeux ou voudrais savoir, mais pour cezla il faut du temps, rien ne peut se savoir sans temps devant soi pour un déroulement de choses «à exposer» (art) or voilà ce qui est ici, voilà donc ici ce qui est en cette matière : la chose ici à comprendre, eh bien la voici ! nous sommes mourants, nous sommes dxu temps de vie rude, kle temps à dérouler est l’intrus, la peine est pleine, nous allons sur des chemins ardus, nbous sommes deux pour une gouverne personnellme : elle (la b ete) et moi qui vcais et qui viens en c ette roche, comme l’explorateur ou comme l’arpenteur assidu, je suis homme des cavernes au sang chaud, mon nom est animalier, mon nom est écrit sur roche au manganèse ou au charbon dxe bois, je vais en roche et m’immisqcant je trouve ... qsuoi ? la véritéc-déité nacrée, car pour autant que je m’ezn souvieznne la paroi est rude, la paroi est dure, le sang vif dans les vaisseaux, la peine est légère, mon n om est écrit sur les fonds batptismaux, je cherche une issue à des problèmes de donnée rupestre, de donnée de base, je cherche à comp^rendre ce qui est qui  nous attend à tous, qu’est ce que c’est ? je cherche issue en pareille roche du temps, mon n om est élevé comme au  niveau du chapiteau, je cherchje : qui suis je ? une bete ? une bete-mot ? un prix ? une sorte de donnée brute ? un chandail ? je cherche ! dsuis-je l’homme des cavernes au xsang chaud-bouillant, qui arpente les contrées rupestres ? ou bien cet animal de chasse ? ce ours ? cet ours des prés ? je suis homme-faon de rocghe, homme-cerf de céans, je suis homme-biche des temps, homme-ours orangé, qui chante (la) et donne de sa voix de roche aux embruns, je suis ours de rage, homme habité, homme des prés chantés, chant de rage et caressse, ohé du tonneau fais péter ! je cherche une sorte de donnée de base rupestree, de celle qui nous puisse faire faire allégeance tantot et donner du la par lma bande , pouvons nous ? trouverons nousq ? saurons nous ? que saurons nous ? nous voulons comprendre ce qui est dans ce qui se trame, ici et là, et pour cela nous entrons (ensemblke : troupeau, agrégat) en lévitation, nous sommes entrés en lévitation, nous entrons en lévitation, nous sommes hommes de bure en lévitation, nous sommes des hommes de peu, qui entreznt ensemblev (cvonfrérie) en lévitation et dès lors s’immiscent profond, qui suis je pour vous pardonner ? quiq suis je pour aller fissa en  ette roche dure ? qui suis je pour aller en elle et faire ainsi que nous soyons servi ? je tremblke face à l’ours méchant ! je suis homme de peu qui va sur roche et donne son ombre , je dessine, je grave l’animal en pied, nous donnons nos noms, ce sont les noms de la lande, ces noms de roche dure, nous donnons ces noms de roche aux embruns de bord de mer, nous voulons donner des noms de roche, bnous dsonnons ces noms de roche dure et passons, la mort est attribut, la mort est serpentine, va son train radial, la mort est une ouverture -échancrure dans la roche du temps mais où latrouvezr ? nous cherchons la faille dans le temps mais où est elle située ? où donc se situe la faille du temp^s ? où est cette cghose ? où erst donc cette chose ? où est et où se situe cette chose ? jke cherche ! mon nom est le dernier à devoir «monter» car la peine est légère, etc, je dois comp^rendre  cette  chose ici d’une dféfaillance, je dois ici comp^rendre cette chose d’une sorte de défaillance de paroi ou cvomment, défect ? défaut ? dé quoi ? nous entrons en cette roche du temps comme dans un sas, qui nous voit attendre notre tour, etc, je suisq homme des caverbnes soulagé car je suis entré, je suisq en cette roche du temps comme dans un antre abrité, mon  om est gravé au fronton de pâreille roche et donne le la d’un ensemble pariétal musical de roche = le temps, voilà le dire ! il s’agit de cette chose à bien intégrer pour sa gouverne, le sang bout dans les veines, il y a dans les veines, qui bout, du sang chaud de ta race, et c’esdst ainsi que nous culbutons (fissa) la roche du temps aloué, et c’est de la sortye que (ensemble) nous allons au loin , en pareille roche, pour nous approcher de la fin du monde pariétal, de ce monde)-chose rude, trou de rochge ou trou de paroi ou trou de quoi ? nbous pensons que nous devons savoir , et que pour ce faire nouds devons déployer du temps (le temps d’un dire) et c’est :là (à cet endroit précis) que le bat blesse, car le temps ne fait rien à l’affaire ezn  c ette matière, le temps est ce déroulé trompêur faisant accroire : au dieu   de céans que lma vie est offerte (la vraie) et aux hommes : que la vbérité peut dès lors voit le jour en ce déroulé pariétal = temporel, or non ! non sur toute la l:igne, le sezul fait d’avoir à dérouler du temps pousse la cxhose aux oubliettes de la roche, et par cvonséquent : caduc !voilà ce qui est ! nous savons cela ! les oubliettes ! les oubliettes du temps font que la raison sombre à chaqsue pas en roche , et du coup nous devons comp^rezndre une chose ici qui sqerait cette chose comme quoi bnou!s tenons dansq la distance un faisceau de données dures (rudes et brutes) capables un peu d’offrir à qui de droit un peu de vérité de roche (etc) = à nous auttres ! nous qui sommes betes -rois, betes-reines, enfant-faon, cervidés, car voilà ce que nous sommes en ce ba s -monde des cerfs !nous sommes cervidés de roche dure, nous allons par les bois et par les prés, bnous gambadons, nous sqommes montés de bois (ramures) de premier choiçx, nos bois e’n imposent, pèsent leur poids de bois de ramure mais en i:mposent lourd et fort ! nous sommes des cerfs de roche du temps aux bois jolis (dorés) par la bande, nbous sommes qui allons sur roche, nous nous promenon,s, nous devenons homme et l’homme cervidé en cette sorte de va et vient entre d’un côté un animal des prés campant bien sur ses quatre pattes, ert d’un autre coté un homme debout, queue dresseé, à bec de rapace ou tout comme ! ainsi est-ce ici la chose à vcomp^rendre, cet élan en,tre deux etres qui se cxhevauchent» mentalement (?) ou co ncrètement c’’st à dire plutot physiquement, que sais je ! je reviens verts elle (la bete) pour toucher sa peau de bete, je m(appelle Nologips (?) ou sino ncomment ? inversion totale ou comment dire les données de roche ? mon nom ouvert est entreé en matière dans le temps : MON NOM possédant l’ouverture centrale où pouvoir aller à se loger fissa ! je cherche à comprendre ce qui est de  cette roche des prés sages, beaux comme tout, sentant bon, doux et calins ou comment, les prés ? nous disons que nous comp^renons, bnous disons que nou!s voulons un certain nombre pour nous de savoirs de roche, nbous voulons pour nous un certain nombre de savoirs inclus en roche, et pour cela nous nous immiscons dans le temps de Roche Dure à la recherc he de la vérité-déité concernant la roche (la mort ?) et nous voilà qui caracolons ! nous courons à grande enjambées, nous sautons par dessus les ruisseaux de la lande et atteignons les boiis et sous-bois de la roche dure, nous cherchons une vérité de base : la mort , qu’est elle ? que savons nous de la mort ? et dèjà là , sur ces indications, nous comprenons l’écart consiçdérable qui existe entre d’un côté les mots de tribu, et de l’aiutre ce qui sezrait (hors les mots ?!) une réalité vraie de Roche des temps, on voit les enjeux pariétzaux (très bien) se dessiner à traversz lkes mots, nousq  disons que nous sommes deux en  ous (nous) à chercher cette chose qui sezrait, enttre d’une part les mots (=mots-betes) et d’autre part ce trou de la mort innommable ou commùent, que dire hors les mots de la mort sans mot ? nous voulons essayer de nous approcher (art) d’une définition de bon aloi : la mort est une gageure, la mort est trouée blmanche, la mort est une ezntrée dans le vif de la roche du temps, la mort est cette ouverture «travaillée» comme une naissance, loa mort est cette échappée belle de toute beauté ou commeznt ? bnous essayons, pous nous, de comp^rendre ce qui erst ici en cette matière, laz question primaire, nous voulons savoir, nous voulons comp^rendre ezt voir ! qui saura nous indiquer la voie à suivre pour comp^rendre ? qui saura nous indiquer la voie à suivre pour savoir ? qui sait ce qui est qui nous attendrait ? comment faire avec les mots ? les faire taire dans leur jus ? les secouuer comme des cocotiers ? les foutrev à l’estaque ? les balancer pur et dur mais comment ? cvomment éliminer ? comment faire pour éliminer sérieusezment ? comment faire pour décrochezr les mots de leur patère de surdité (face à déité- vérité de la mort à l’oeuvre), comment ? car nous ne sommes pas sweuls en  ous-mêmes, nous sommes plusieurs, et le sang en nous est un courant vif de donné&ess primaierres = des viçsées, desq désirs, des eznvies, des élans, des mises en route, etc, tout ce qui fait de nous des etres en avant, nous voulons faire ainsi que  ce qui est le soit d»’emblée et non point déroulé tout vilainezment dansle temps , l’emblée dxes données nous ijntéresse au plus haut chef, nous avons désir de cette chose d’un embvlée de roche, et non pas de cette (auttre) chose en déroulmé qui nous minimise, nous infériorise, etc, nous voulons de l’emblée de roche, du direct)-live intégral, du consommé vif sur le pouce vif, nous voulons savoir illico npresto = instantané ! et non pas dans ce service d’une sorte ici cde  dé&roulé fugace, oubliettes instantanées dès lors (pour reprendre les mêmes termes) etc, nous voulons comprezndre ce que c’est que cettye chgose d’une voie terrrestre allouée et pour cela nous avons à creuser la roche ezn son swein cvomme des graveurs de pierre ou comme des dessinateurs maritimes ou comment sinon ? sinon quoi ? car la vie en    nous va son chemin de promenade , vers des bouts de rochge (points de vue) qui sont des endroits termina ux, de fin fond  marin, trou de roche borgne, issue close ou sinon comment ? nous voulons comprendre les données les plus enracinées dans la roche et voir ce qui est , derrière par exemple, ou sinon derrière au delà de l’audelà ? non ! derrière la roche ! une autre roche ? derrière la roche  est-il une autre roche ? y a t il derrière la roche ezncore de laroche ? que penser de tout cela ? nous cherchons ensemble en nous à comp^rendre les données brutes ce qu’elles seraient, ce qu’elles sont, ce qu’elles pourraient être, etc, et où logées ? nous  cherchons à comp^rendre ce qui est, nous voulons comprendre ce que c’’st que cettye chose appelée «la mort» , qu’est ezlle ? ou va t on sa nsc lumière etc ? notre but s’affiche ici en toutes lettres pariétales : aurochs = affichette, ni plus ni moins ! notre but est à lire ainsi, comme celui qui concernela vie dans ses retrancheements, qu’est-elle une fois poussée (à fond de cale) dans lkes méandres de la paroi dure , qu’est elle qu’il nous faille savoir, quoi ?nous ne savons pas ! notre but est fdonc de savoir : d’acquérir moultssavoirs en c ette quesrtion ! mais on voit déjà le côté risible du langage en son entier, celui-ci rapporté à «l’idée» (entre parenthèeses) de la mort , on voit l’écart entre d’un côté le langage articulé (la mort : le mot) et «la mort en v rai» si tant est que nous puyissions «nommer» cette cghose lointaine (embruns), et comment dès lors comprendre ce tout parioétal, commùent faire pour nous approcher de cette chose de la mort en roche des temp^s alloués ? nous ne savons pas ! qui ,sait ? comment faire pour savoir ? nous ne savbons pas ! qyui sait et comment savoir ? nous ignorons  ce ou cela que nous voudrions connaitre, nous bne savons pas ce qui est, nous parlons à tort et à travers, nous parlons pour dire une chose et cette chose est une chose raide comme la justice, queue-cauda de verbe dru comme bete rude de prairie ! nous nous afolons ! nous voulons de force ! erreur ! il est p^référable mille fois de laiisser venir à soi la vbérité des vérités ou sinon  d’allert vers elle mais sans y toucher, ! point ainsi ! ma ins surnuméraires ! chapiteaux ! nous ne vouylons pas bru!squer les choses, nous voulons les conserver intactes dans leur jus , affaire de doigté, de doigté dans la prise ou dans la bonne prise, nousca vons envie de comp)rendre les données rupestres commùe autant cde réponses àç des questrions edxistentielles anté diluviennes, les parois recèleznt tant et plus, nous savons que nous voulons savoir  , mais il nous semble ici (à ce stade de la recherche) que les mots obstruent plus qu’autrte chose, et dès lors comment s’y prendre (pour la bvérité) sinon en faisant comme suit : cris de bete et assimilés, sinon comment en vérité ? point x’issue à pareil problème , point de solutiondéfinitive, qui à tous les coups feraient l’affaire, nous pensons en nous des mots de roche dure, mais la mort n’est pas touchable dans les mots, quel

s que soient  ces mots, la mort au monde est intouchable avec des mots (surf) qui ne se laiosse pas décrire «comme il faut» hélas... ou pas, cazr nous ne savons pas !nous ne savonbs pas ce qui est exactement ! nous sommes éca rtés = écartelés , nous avons faim et soif de savoirs, nous vopulons comp^rendre la véreité des sphères de roche, nous ne voulons pas passer à côté, et ainsi faisant nous sommes pa rés (un temps) pour faire figure boonne aux gens, ou sinon quoi ? nous voulons aller loin dans la roche, nottre but le plus affiché est celui d’aller très loin en roche des bois, nous voulons ensemble aller le plus loin possible dan,s la roche, nous cherchons ensemble à aller le plus loin possible dans la roche, nous cherchons à (tous les deux en  nous) aller le plusq loin possible dansloa roche, nous voulons comp^rendre intanta,némeznt = hors du temps = hors des mots car les mots so,nt des sections de temps rébarbatifs ) nous voulons savoir ce qui est ici en cette roche des temps offerts et cela hors les mots qui sont desq choses qui en imposent et intimident et minorisent etc, et cela à dire vrai nous n’en voulons pas, nous voulonsa ller frapper à la porte «des embruns «, ni pklus ni moins ! notre but est très largement affichyé aux quatre coins de la roche du temps : 1n, 2, 3, et 4, en pareille contrée menaçante ! nouys voulonqs aller en pareille roche du temps , à la recherche de la vérité concernant la mort , et voilà pourquoi nous nous agitons de la sorte , nous nous agitons pour nous immiscer , nous sommes en transe, le chemin est rude, la tete première bnous nous immisçon,s, nbous entrons en ce pays ambré, la lumière est de sous-bois, de bois jolis, cerfs et biches auttrres squi gambadent à qui mieux mieux, notrte volonté sur terre est de comp^rendre au plus ce qui est quii va, or les mots induisent et comment induisent ? induisent de folie ,; voilà ! car les mpots induisent leurs propres données rupestres, qui disent des choses mais ces choses nous semblent comme relezver d’une sorte de pis-a ller, offra,nde de seconde main ou de second choiçx, ou pas ? les mots font écran , qui dise,nt des choses mais sont incapabvles de tro

uer» le monde (perçage) et du coup de révéler le pot aux roses, les mots = deux pas en avant, trois pas en arrièrez, et cela avec cette morgue toute professorale liée au te»mps ,nécessaiore pour exposer un dire quel qu’il soit, les mots sont trompeurs qui nous induisent ici ou là sur des chemins de ronde rupestree pas obligzatoirement fiablesq à cent pour cent ! nous cherchons solutions (fines) à des problèmes d’emplacemùeznt : où don,c la vie se loge t-elle ? et où donc la mort se loge-t-elle ? nos questions sont ainsi formuléesq, bnous voulons com^prendre au plus près les choses du monde, nous entron,s ezn roche da,ns ce but : toucher ! car toucher est la solution à nos problèmes de paroles odffertes en guise d’onguent , toucher la peau douce de la bete rosse, sa pelisse reche, sa peau douce ou reche, sa pelisse de bete ccomme en vie, ou presqaue ! notre parole ici est cette parole qui dit cette eznvie de touchezr la bete de roche (bete-mot) : est elle en vie pôur cde vrai ? est ezlle en vie pour de vrai ? est elle en vie ? est elle vie offerte ou bien pis-aller , du genre présent (le temps) alloué ? les mots en bouche caracolent à qyui mieux mieux qui chjerchjent à dire une vérité de poidfs, or que penser des motsz du langage parlé, articulé ? sinon cette chose, comme quoi les mots ne peuvent toucher la paroi bhrute des mots de la terre, mots sur mots ? les mots ne peuvent percer pour eux mêmes, ou si ? nous pensons que les mots sont mots de roche dure, et que la roche (la paroi) est uy,ne douce chose à devoir percer par la bande, et que la bande ici a des liens serréesz avec soeur de roche = mort la belle rude, etc, jnous penson,s que Mort la Belle Rude est celle ci que nbous nous voudrions pouvoir accoster sans se faire rabrouer ou accaparer , est ce possible ? mort la belle est une sorte d’échancrure (chancre ?) dans la marge, cette chose est pour nous primaire, nous pensons que nbous devon,s aller le plus possible loin en roche, nous pensons que nous avons à aller loin, très loin en roche, nous pensons que nous avons à (en roche) allert très loin, le plus loin possible ! nous pen,sons que nous dezvons ezn roche aller très loin et toucher «latimbale» mais qu’est-elle ? latimballe est une chose rude et dure comme roche, eswt -elle ? nous pensons que latimballe est chose rude-dure comme laroche , vive la timbale ! vive cette timbale dite «du temp)s» ! vivat ! nous voulons savoir ce qui nous attend, nous ne savons pas et voudrions savoir, et le plus possible voudrions ! car nous avons faim de savoirs complets, nous ne voulons pasd rester sans savoirs, nouys cherchons à acquérir le plus possible de savoirs , bnous voulons acqauérir le plus possible de savoirs con,cernant la vie après la cvie = la mort, cette mort de rocghe dure, etc, bnous ne sommes pas en manque de questionnements, nous voulons savoir le monde, les embruns, la roche perlée, la beauté des temps, l’échancrure, laroche perlière, le vent dans les allées du temps, hautes sphères et bvasses sphèresq, etc, qu’est ce donc que tout cela ? cet attirail, qsu(‘est-ce ? nous bnous avançons de cette zone de fin fond de roche, chevreuils nous sommes, nos bois sont beaux, trônent, nous sommes nous tous comme en majesté dans ce»ttte roche, l’art est cettechose d’une tentative de restitution, l’(art est cette chose d’un essai pour une avancée, l’art a à voir avec la cxhose pariétale d’une sorte de donnée xe base, l’art est art de bure, de roche dure, de paroi du temps, l’art est un semblanjt de vie rude, brute, directe,; comp)acte et impactante, (à «en ficher plein la vue», vue a u sens large : féerie) : nous pensons que l’art est une chose ghrave , en ce sqens que l’art est pis-aller, affiche ses prétentions haut et fort qui sopnt de ruser, de trompêr «son monde» = la mort (sieur ? miss ? etc, nottre ambition ici est donc celle xde chercher à définir, ou qui consiqte ici dans la recherche d’une sorte de swemblant, de semblzant de déf inition, ou comment ? nous cherchons définition, chose dure, raide, compâcte, brute, qui tienne laroute, le cghoc, etc, devant soi = une définition inébranllable ! voilà tout ! or que voyons-nous se faufiler à l’horizon ? une lueur d’espoir ? une lumière définitive ? même pas ! une sorte de capeline, cxhandail, habit de grippe-sou, bure monacale, une sorte de pis -ller de première, une sorte de dsonné&e rude, frustre, etc, et cela devra faire l’affaire faute cde grives, etc ! nouys pensons que nous devons aionsi comprendre les donn,ées de roche: ces betes massives, ces féeries, ces furia , nous pensons que nous devons aller loin en pâreille roche desq ezmbruns et ne pazs nous arretezr en chemin mais tout le contraire , creuser et encore creuser la roche ! nous sommes en nous , deux, qui allons, qui marchons sur roche, deux pour cette cause d’un semblant d’offran de à offrir, etc, bnous = je voulouns, ou veux, aller loin dans les coinnaisances, récapitulons : la mort est la donnée rude, la mort est une donnée, la mort est don et en teant que tel est à explorer à la loupe pour ainsi dire = à petits pas par le menu , la mort eswt une donnée de base, elle eswt agrippée au temps à vivre (attachée = ligotée) mais ne peut en etre déwtachée, et ne vpe ut en etre détachée car elle tient soudée, collée à la vie de base parioétale, elle s’est comme enracinée dans la terre de la vie de base, alors comment ? hors les murs du monde ? oui, mais où ? y a t il un hors du monde ? où ? où sezrait il ? le langage trompe, qui nbous fait accroire , le langage est trompêur qui semble vouloir dire quelque chose (intelligence) plutot que rien mais au juste le lmangage dit son dire propre, patinagghe, qui percute peu la roche ezn vérité (§au sens classique du terme, c’est à dire en deçade la roche) : le langage ne peut pas aller bien loin et reste à faire du sur place parioétal de roche, cette chose d’une sorte de sur place de roche dure, les pieds sur terre, etc, je vois la CXhose, la mort est une Chose de poids, la mport est éve»ntrée deva nt moi ! rude dure ! mort de  roche =cette cxhose rude devant soi ! nous et je disons, et disant nous actionno,ns des leviers de vérité intégrée , ou comment ? nous disons nos choses de roche à même la roche, nous sommes hommes et femmes des cavernes et c e que nous disons est uyne chose dure à écouter, car nous sommes durs, nbous disons «fuck off» à cette Mort de roche agenouillée, ou sinon disposée comment ? nous avondss foi en la mort, tous nos mots disent cette foi en la mort, tous nos mots (qui sont verrouillés) disent en choeur cette foi (intégrée, intégrale) en cette cxhoçse d’une mort qui serait, soi disant et dès lors (du coup) dans le langage articulé, etc, foi = chose de pa roi, foi = incontournabilité des choses rudes ! la foi est la foi dans les mots ! la foi est lma foi dans les mots immanquablement ! la foi est la foi dans les mots indubitablement ! la foi est kla foi dans les mots intentionn,ellement ou pa s mpais cvela est, cette foi outillée, accompagnée, vive, qui s’agrippe, etc, les mots charrient la foi ! les mots (un ensemble) disent (dit) cette foi dans un e sorte de donnée xde base rude,, donné rude de base intégrée à la roche, nous pe,nsons que nous devons creuser la rochje ici = là = ici-même = là exactement = ce chemin = cette voie = ce tracé = ce conduit =ce boyau =cette reo che et dans cetgte rocxhe ce passage étroit donnant sur une cavité (salle) remplie de poeintures murales , une m:erveille ! nous voulons creuser plus avant dans le langage, aller loin en icelui à la recherche de découvetrtes, pourrons-nousq ? le plus qui comp^te est de participer ! nous  voulons savoir : déterrer, trouver, dételer, creuser pour trouver, dsécouvrir, etc, nous voulons cette chose rude, nous voulons comprendre ce qui est dans ce qui advient en roche du temps, où sommes nou-s ? sommes nous au monde ou hors du monde ? sommes nous dans ou hors ? sommes nous dans la roche en xdur , ou où sinobn ? je mù ‘appellme homme des cavernesz, je vis près des miens dans des casesq mais les cavernes qson,t capitales qui nous offrent pôssibilité d’enttrer en elles et de feter noos butin,s de cxhasse, ou bien de faire des offrandes (réitirées) à des dieux donnés, etc, nou!s voulons aller en roche au fin fond et découvrir des choses de poids si possible, c’est-à-dire des aurochs ou des bisons, bnous devons comprendre les bnases et ensuite affiner les données, et pour cela nous devons entrer en cette roche dure du Temps, le temps nous sauve de la mort «un temps» mais ne va pas loin en  besogne, et lesmots pareils, qui sont comme cul et chemiseavec ce Temps donné sur roche (octroi ?) etc, les mopts sont des betes-motsz à donner sur roche un temps, mais pas sûr que cça puisse tenir dans le temps, nous cherchons à com^prendre les données les plus basiques, les données de rage (rage/colère) etc, et pour ce faire nbous nous immisçons («à la une, à la deux») au coeur d’icelle , sein des seins, nouqs le devonsz, nous devons agir ainsdi, nous decvons com^prendre ce qui est ainsi, nous devons aller dans ce sens, bnous devo,ns com^prendre à aller dans ce sens, nous devons nous prosterner, nous cdevons nous a genouiller et faire allégeance, dire notre :mot de honte, dire tout, dire tout ce que sur le coeur avons, nous devons nous prosterner et avouer l’ensemvle de nos méfaits, nous devons nous a lléger de la sortte, nous devons avouer ce mal dxe rage en nous, notre colère, nos colèresq, les noter sur roche et la chose faite : nous agenouiller et prier, nous dfevons agir de la sorte, nous devons agir dans ce sens et com^prendre, notre but est de tout comprendre, je suis cet homme des cavernes à larecherche , dans la roche dure, d’une vérité de poids, qyui puyisse impacter grave sur nous et pour longtemps, je sui et nous sommes homme et hommes des cavernes, je je suis suis homme homme des des caverbnes cavernes qui s’en va ainsi à travezrs la l:ande , à chercher des betes-mots de rage , qui sachent, etc, je m’appelle du nom de la bete qui en moi trépigne que tu trépign eras comme un fou de roche, en moi est logée la Bete, et cette bete me fait drôl:e qui me pousse à dire ! oh la ! et voilà en moi la bezte de taille, grosse chose massive poussante, elle est rude, grosse et grossière : invective, insanité, pourriture (?) etc, je suis à la rechercxhe d’une v érité de bon aloi, nom nom est le nom inscdrit sur rochev (sous mes yeuxc) et signifie  : «celui-là qui castre le blé « ou comment ? l’épineur ? l’étêteur ? je suis homme de la caverne, mon sang bout au coeur, il s’agit d’aller profo nd en roche, d’ouvbrir ses mirettes, nous cherchons une voie d’accès pour la vérité vraie , cette voie nous ma nque, nous la recherchonscavec assiduité, nous vcherchons cde concert pareille voie où nous pourrions nous faufiler jusqu’au nirvana de la chose rude= le fin fond de la cruche, nous voulons toucher la biche ou le chevreuil et nous rendre comp^te ensemble du degré pôur chacun (chacune des betes) de réalité qui sera le leur, nous touchons leurs bois, bois de majesté et de jhouissance, nous touchons leurs bois dressés : sont ce des c-vrais ? sont ce de vrais bois de roche, de c erfs de roche, de cerfsq-volants, de cerfs de grande puissance ? j’imagine que oui ! je n’ose uimaginer le contrzaire ! un bois est un bois, et du coup : un bea u bois est un beau bois et rien de moins ! je cherche une parade ! je cherche à temporiser (art ?.) à travers la roche : aurochjs, aurochs, aurochs ici, ours, ours en majesté, peau d’ours là, biche et re-biche à cet en,droit, tete d’ours des ca&vezrnes, lions des cavbernes en contrebas, vulve lunaire, choix du roi, cavalcade, chevaux ventripoten,ts, antilopes, autres antilopes, encore des antilopes, cerfs en grace, bois d’abord, douce bete des embruns, etc, les betes sont pour nous les noms de nos gouvernes, les betes sont des mots de belle importance, la paroi du temps est paroi de vie, les betes sont représe,ntées com^me autant d’effgigies nacrées ancrées dans la roche comme en tête : martel ! il s’agfit de données de rage, mots-betes à l’unisson proclamés, etc, je vais et je viens en roche (patins) comme un eztre de peu de foi en son langage ... ou faux ? le contrzire ? j’abuse ! je cherche une voie cendrée, je chezrche un conduit, un logement, une percée fra nche : coudée ! je cherche le repos dans le sang qui bout, la tete première puis le corps entier, mon souci est de comp^rendre les donn,ées du monde, les données cdernières, le ciel est hzaut de roche, l’ours des cavernes se tient prêt à me récupérer si tant est, or que neznni ! je ne veux en aucun cas mourir déchiquqeté par pareille bezte monsqtrueuse, qui fonce et a vite fait de vous écrabouillezr d’un coup de pâtte bien placé, je cherche le mot de lma roche du temps = explicatif, qui sait ou saura nous indsqiquer notre chemin pour plus de douceur, nous voulons savoir, etre, figurer, faire, aller, tenir, bouger, cxréer, contenir, cerner, vcomprendre, pousser les chosescdans le bon wsens de la marche du monde et du temps, mots pour mots, mots sur mots, nous essayons de co:mprendre les cghoses à la lumière de la destinée pariétale et pour ce faire nous envisageons une «descente» en pareilllme roche dure, paroi singulière, entrelacs de betees gravées, échancrure de paroi dure, etc, je veux dire et toucher ensembkle, cela ! et ce dire dès lors serait du toucher de bure intégral ! ce dire nous poussezrait, donnezrait des ai;:les à nos projets ! nous vboulons comprenxdre par le menu, cette chose d’un renvoi de roche vdans les limbes ou pas loin si tan,t est, le mal est inscrit dans la roche, l’homme des cavernes est un hommùe «fou», sa femme est un etre fou de même  ! femme folle et homme fou pour une traversée des limbes de roche ! mon coeur bat la chose dure d’un allaer retour dans lme sang ! je suis cet homme des contrées rupestres, mi-homme mi -bete, je me promène gentimùent parmi les betes fauves de la roche dure des temps alloués à pareille vie terrestek, mon corps tra verse les corps, il s’agit d’une sorte de bénédiction, les mots de la roche sont mots-betes de roche durez, rude à la traversée, compacte, etc, nouds poussons loin nos investigations rupestres car nbous sommes ensemble qui voulons savoir lke plus possible concernant la mort, qu’est ce qsue c’est ? les mots peuvent-ils en parler et si oui comment ? les mùots sont ils à même de pouvoir par(ler, c’est àdire dire en vérité , les mots sont ils à même de pouvoir parler le langage de la vérité des rochesq ? les mots sont-ilds capables de pousssr au l;oin les inveswtigations pariétales ? les mots ont ils xde quoi charger et percer la paroi du monde ? et du cvoup troubler les effluves, et cerner les teneurs ? les mots sont ils fiables, en  ce qui cvoncerne l’ordre de la Vérité mais pas seulement : sont-ils fiables en  vrai pour ce qui est de lma paroi du monde, son authenticité, et la mort a djointe, accolée ? qui sait ce qu’est la mort ? la question se pose t elle , et déjà : peut elle décemment, raisonnablement, intuitivement, intellectyeullement, intelligemment etre posée ? est ce faire preuve d’intelligeznce qUe de dire le mot «mort» quand on sait que la mort est la grande ijnconnue ? fait on preuve d’intellmigezn,ce en parlant d’inconnue ou de grande inconnue, ou même de mort tout court ? a t on pour nous une intellige,nce efficace ? qui sommes nous pour parler de la mort ? qsui sommes nous pour oser parler de la mort ? qui suis je pour oser parler de la mort ? qui je suis pour oser parler de la mort ? qui je suis en vrai pour oser parler de la mort ? qui je suis en vérité pour oser parler de la mort ? qui je suis en vrai ici (roche) pour parler au nom xde tous de la =mort en cette roche sécularisée ? qui je suis qui parle ainsi comme un écervélé ? sommersz no!us tous des écervelés ? ouiiiiiiiikiiiii,n, sans doute aucun ! car nous cdisons «à côté « des choses ! et non point en leur coeur, cvoilà le hicxc ! parlons du (= depuyis) coeur (le) et nous y verrons mieux, ou non ? autrement ? qui peut ou pouurrait  nous renseigner sérieusement et efficacement ? je suis un homme dur de la roche dure des temps durs de lma parole dure des durs sentiments du ciel rude aux accents durs de bonté dure ! mon coeur à l’unissswon (systole et diastole) : nous pensons qUe nbous devons aller en roche des temps sur le grave des parois dde roche , et faisant cette chose nous serons alors les rois (cerfs aux bois) du monde rupestre, des seigneurs, chevereuils adoubés, paroles princières, des sommités, des élus (des huiles) aux accents pointus de lma roche, nous avons pour nous cette  vérité sous cape, nous ne voulons pas dispa raitre, bnous cherchons le salut en ceztte cghose d’une roche meuble (= à pouvoir graver) et cela est cvette chose pour nous d’un savoir ancré, et aussi d’un savoir contenu, nous vouylons cela, nous voulons graver nos noms-effigies sur roche , et donner de nous ainsi un sembvlant dfe vie vive identifiée, voilà ce que nous sommes en vérité, sur roche (paroi) découverte, nos paroles de sainteté, nos mots doux, nos images lacunaires, nous hybridations, nos manques et nos trop-p leins, etc, tout à l’unisson comme dans une (sorte de) salade de choses mélangées, etc, nous n,e voulons pas mourir, nortrree envie n’est pas de mourir, bnous ne voulons pàas mourir, nous ne voulons pas décéder, nbous voulons rester en vie sur roche de grotte,; nous avgons nos batons de bois pour tracer et voilà dès lors ce que nous faisons et cezla de chic, à main levée (libbre) porté par le sang qui bout et dicte, et trace pour nous des contours de bete de choix (premier cghoix) comme : aurochs dees prairies de roche, antilopes aux trait juvéniles, bouquetins  tintin, rennes deds embruns (comme de juste), bisons rois, biche de biche, cerf de cerf aux bois travaillés, cervidés divers, caprins divers, ovins divers, bovins divers, des bovideés et des chevaux en  veux tu en voilà comme en ca$valcade, nous pensons pouvoir  comp^rendre, que comp^rendre ? la vérité ! car elle nous pend au nez , elle est toute proche du langage ! intimidante ? pour un peu, peut-être, nous cherchons à comprendre ce qui est qui esqt, nous cherchons à comprtendre des données dxoubléesz ou redoublées, qui sommes nous ? que voulons nous ? que cherchon,s nous ? qui sommes nous ? que faisons nous l:orsque nous prions ? que disons nous lorsque nous crions et insultons sa wsezigneuirie des pierrres ? nous passons du temps sur la lande, notre pouvoir est affaibli par la ban,de, les mots sortent de notre bouche comme troupeau de betes-mots agglutinés les uns les autres pour une sorte de for çage-pêrçage de paroi de roche, mots-quezeue de rage en bouche percée (plaie) lors d’une rixe interne ou comment ? bnous poussons les mopts ainsi sur la paroi du temps afin de la percer une fois pour toutesx mâis que dalle ! elle ne cvède pas si facilemeznt ! ça glisse dessusq ! rixe pour que dalle ? nous voulons comprendre les données du temps pour cerner l’issue fatale mais comment ? nos mots se logent en roche comme en une sorte d’antre mortifère  ... ou pas ? qsui qsait ce qui eest ? qui peut dire la vérité ? y a t il dans les mots de la vérité ezn brancxhe ou rien du tout, glissement progrssif vers une estocade ? nous voulons savoir ! nous voulons savoir ! merdum ! nous avons cette ambition ! merdum ! nous avons ce désir ! merdxum ! nous ne voulons pas lacher la grape ! merdum dix foios ! notre but est de toujourds tenir bon la grappe ! merdum ! merdum cent fois ! car nous tenons à vivre longtemps / longuement, bnous ne voulons pas trépasser, rien de rien, mais durer, dur de dur, dans la roche grise, belle, assouplie, meuble, mobile, douce et caline (?) oui ! nous voulons aller en pareille roche des temps sourds, des temps durs, nous voulons comp^rendre  ce squi est ici en roche qui nous tend les bras au loin : la mort est une oouverture de roche, la mort est toujours lointaine, mùême proche la mort est toujoiurs lointaine, la mort est un pâravaent, la mort épie, la mort guette, la :=ort voit de son trou borgne bcomme tout, la moprt est une vista de bure, ezlle voit de’puis son trou borgne comme un coquillage : «mort de mes deux» plutot ai-je envie dedire, mort que dalle, etc, je cherchje le sens,; la mort est une douce chose rude, il s’agit de voir au plus lointain les données de base alignées or que sont elles ? je suis homme des cavernes, je vais et je viens en cet antre vide, vers parois ornées etc, je suis un homme des cvavernes, je suis notifié, je suis hommùe nommé, mon nom est un pis-aller de première, je ne vais pas loin et mes mots non plus ne vont pas loin, les mots ne vont pas l;oin, restent accolés pour ainsi dire, sont des :mots de peu, sont mots qui restent à l’étage du peu, les mots ne montentb pas, ne montentv pas haut = ne volent pas haut, les :mots restent en bas , au plus bas étage, au ras des pâqueretttes et ce : pour ainsi dire tout le temps ! car les mots ne percent pas ! restent en carafe ! moulinent ! pauvres mots de bas étages ! les mots de bouchje sortent de mon trou de bouche (perçage, saignement) pour aller fissa se loger en roche, à mêzme la pierre à graver, et s’inscvrivent dès lors (l;es mots) comme autant d’effigies pariétales, effigies de rage, figures terrestres, lacunaires (on l’a dit) qui en imposent un temps, le Tezmps, afin de faire accroire et tromper «son monde», il s’agit d’une sorte de couillonade mise en oeuvre, un chant inaugural pour une tromperie-supercgherie de première : La supercherie, LA Véritable Superc herie, LLa PLus Grande DEes supêrcheries, la supercherie ultime, pleine, rage de rage, comme une a vancée sur le temps de la paroi du temps, un grignotage etc, et qui saura le mieux parler cde la supercherie notoire ? l’aurochs de céans ? la bete de race ? l’ovin ? la petit caprin ? l’ovidé ? l’homonculus ? le singe vif ? le boeuf ? le taureau ? le renn,e des prés agenouillé ? la blanche colombe ? l’hommùe des prés ? la femme cdes prés ? l’animal échevelé ? le blanc-bec ? la sauterelle ? l’organisme invertébré ? le microcéphale ? nous cherchons la vérité dans les embruns, les motifs sont nombreux de satisfaction, qui nous laissent songeurs et béats : la peine est légère (au bout du compte) qui nous pend au nez, ou pas vrai ? nous voulons comprendre loin dans le sang, nbous voulons aller loin en cette roche du preésent offert par l:a bande , notre cadeau suffirea-t-il et si oui combien de temps ? le temps est la grande affaire dépôsée , nous sommes accolés aux :mots comme limaces entre elles, nous sommes collés et comme accolés, etc, nous solmmes accolés et comùme collés ou bien collés ou commùe accolés : aux mots de ta race première! mots d’insultes s’il en est ! élucubrations et insanités ! «gros mots « de l’enfance accouchée ! insultes à agent de trait ! mises au tombeau ! sinécures ! entrelacements morveux, chapitre clos !

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14/06/2021

il est pour mpi cette chopse d’une découverte à faire en roche, il est pour mpoi cette chose d’une sorte de cdécouverte à devoir faire en cette roche des temps impartis à une vie vive , il s’agit de le comprendre = le prendre, trouver pareille entité rocheuse et prendre icelle en son soi de bure, il s’agit de prendre avec soi pareille perle de vie rude, aller sur paroi (aurochs, bisons, cheval) et prendre la perle gravée, vcette chose ronde (toute en rondeur) qui «nous tend les bras», il s’agit de s’avancer ainsi en roche et de trouver ce qui est ici qui semble nous regartder, nous tendre les bra s, se donner, nous faire de l’oeil, nous appeler, nous tirer par la manche ou le coltard, cette chose devant soi, cet attribut pariétal divin, cette chose des temps du dezvant ou du levant, qui est Chose attribuée, nom de roche, prénom de bois, cette chose est une chose dure, rude, brute, rugueuse , pas commode, etc, et se nomme «de la mort de la roche dure «, je suis homme des temps, et mon nom est attribué par la bande, il s’agit d’un n om de poids comme d’une bete de roche dessinée, il s’agirt de voir ce nom à l’aune de la bete de paroi, celke là que nous voyons, que nous dessinons pâr la bande, etc, sous emprise, sous le joug en nous d’une bete surnuméraire, nous sommes les enfants de la roche des temps impartis, nos noms peuvent se lire en toutes «lettres» sur roche, nom de betes grosses pour la plupart, nous disons ce que nous sommes «aussi», nous disons ce que nous sommes tous, nous parlons au nom de tous, nous disons des choses au nom de tous, nous disons ce que n ous sommes au nom de touqs, nous ne sommes pas xseuls à parler en nous memes, nous parlons au nom de tous, nous sommes des porte pâroles, des porte parole d’évangile, nous parlons au n om de tous les notres (tribu, clan, paroisse, paysage), nous disons des choses au nom cde tous les nôtres et nous allons sur roche ainsi munis, comme des betes, cvomme suit : virulent, pleins de vie vive, rabroués, etc, car nous sommes des aurochs de roche, betes massives s’il en est, betes de poids de roche, gravées à l’envi, dépoitrenaillées, vives à vivre, virulentes, etc, je suis un homme des cavernes, je porte un  om et ce nom a à voir avec la bete en moi qyui préside à ma destinée, je suis un homme qui entre dans une roche et cherche en cette reoche à comprendre les tenants et les aboutissanrts d’une vie d’homme entière, c’est à dire du début à la fin  = complète comme un pain d’orge, etc, je suis un homme vqui cherche à comprendre les données du monde ce qu’elles sont, je suis cet homme à la recherche d’une vérité attribuée, il s’agit pour moi d’aller loin en pareille roche des savooirs, nous devons aller loin ensemble, nbous parlons une langue commune, alors nous nous devons d’aller ensembkle, en cette roche des vérités de pôids, vers des lendemùains lumineux, vers des vérités de bonne fame, etc, notre nom est commun, nottre envie est douce de creuser la roche à plusieurs, en transe, à main levée, nous devons comprendre cette chose (pour nous) d’une destinée pariétale à partager, noptre envie est poartagée, nous sommes des qui allons de cvo ncert, je suis homme des parois brutezs, je monte et je descends, je vais ezn roche sous le jhoug, mon nom est un nom de roche dure, le temps est la maison, le temps est cette choserude dev ant soi comme un présent de bon aloi à découvrir fissa par la bande, nous sommes des etres de peu, ottre nom est nom d’emprunt, nous gravitons, nous sommes en roche  ceux qui sont sur roche pour elle, nouys sommes dxoux en elle qui gravons nos noms d’emprunts par mla bande, les gravons dfe concert, nous disons le nom, nous disons ce qui arrive en nous en termes de vocables échus, nous sommes sous l’emprise vive d’une voix de roche dure, qui nous prend d’assaut à gouvernbe et ne nous lâche plus, nouys sommles des êtres de rocghe des temps et nous nous immisçons en  ette roche du levant à la recherche d’une vérité des formes, nous voulons comprendre et savoir, nous ne sommes pas en reswte dez vouloir cela et nous y allons, je sui homme des cavezrnes, je porte un nom, mon nom est inscrit sur la roche, je suis l’homme au nom gra vé, je vais et je viens ezn roche, je suis l’homme au nom gravé par la bande et je vais et viens en roche à la recherche d’une vérité, je suis homme des temps alloués et je vais et viens en cette roche du présent de vie, je dépose, je suis à même de faire ainsi acte de dé&pose sur rocghe d’un présent de vie vive (morte) qui est du passé attribué, qYUi estce passé de roche des temps, je suis homme ouvert, présent, à l’écoute, pris, envahi, submerghé , éca ertelé, et je vais et viens en  ettye roche temporelle du présent de vie : je dépose, mon nom est un nom de dépose (de dépoôt) et se pronons ainsi : aurochs, a , u ,r, o, c h, s, car c’est ainsi que l’on me nomme, c’est ainsi que je suis ici , en roche, gravé par la bande traçante (en mpoi) qui dit ce qu’elle veut dire, qui est cette chose d’une voix d’emprunt, voix de roche dure, dureté vocale des paroiosq, etc, je vais et je viens e,n  cette roche du temps, je suis l’homme des parois du temps, mon nom est inscrit à même la roche ,sous  forme animale, je suis l’homme qui trace son nom animal à même la roche du temps imparti, il s’agit d’un nom d’emprunt, tracé par la bande en soi ou commeznt ? nous disons par lma bande, nous disons que nous sommes ensembloe à chercher le sens de la paroi dutemps, nous disons que nous sommes ensembvle à creuser la roche, graver)-dessiner des betes de poids qui sont noms cd’emprunt, qui sont des noms de roche dure, nous voulons comprezndre cez qyui est qui se trame en cette roche des temps alloués à une vie pleine et entière (de la naissance à la fin de vie), nous voulons comp^rendre ce qui est de pareille destinée, nous voulons comprendre les donné&es natives, les ressorts cachés, les attributs votifs, les pariolres df’incantation, les voeux, les poids nominaux, les cghoses ancrées dans la roche, les dessins de bêtes, les tracés géométriques, les paroles à la volée, les paroles de candeur, les voix d’outre mesure, les cris du christ, le détail de toute kl’affaire pariétale, le détail de tout, nous voulons comprendre ici ce qui est pour nous qui nous attend au coin du bois pour ainsi dire,  nous voulobns comp^rtendre ici ce qui est (ou existe) pour nou!s en tant que nous sommes des eztres qui allons ezn roche à la recherche d’une vérité de bon aloi, nous almlons en roche à la recherc he d’une vérité de bon aloi et de bonne mesure, bnous voulons creuser la roche ensemble (langue commune) et pour cela nous alloons de pair en pareille roche du temps, nous allonsainsi de pair  à) creuser et creusons, nous voulons comprendre, nous sommes deux (ou plus) qui voulons comp^rendre et aller, qui cherchons à faire cette cxhose d’une crevaison, d’uncreusement de roche, d’une entaille dans la reoche etc, afin de «passer outre» et de nous retrouvezr «de l’autre côté», nous voulons ensemble agir et creuser ensemble la roche du temps, nous voulons ensemble (langue d’appoint vcommune) creuser la roche, creuse que tu creuseras la roche ensemble, dur de dur, et travezrser, passer de l’autrte côté, passer ainsi à charge du temps, comme des aurochs de roche, de l’(autre côté = dans le temps de la roche gravée (art de bure) et ainsi fait aller loin en icelle vers la vérité des embruns, des borsd de l’eau, des fetes votives illuminées, etc, une bouche s’ouvre devant nous, je le vois parfaitement bien car je suis évéveillé et bien présent, je vois fdevant moi une bouche qui s’ouvre, il s’agit bien entendu de la bouche dite «de la mort», il s’agit de cette bouche grande ouverte appêlée «bouche de la mort» et moi de laregarder attentivement afin de la décrire pour ma gouverne et pour celle des miens (langue commune ) et voici donc à quoi elle ressemble : il s’agit d’une bouche ouivertte, = toujours ouiverte, il s’agit d’une vraie bouche c’est à dire avec des lèvres, un antre, une obscurité, une cavité, etc, il s’agit d’une bouche géante, ouverte en gfrand devant soi, et qui «appelle» une en,trée de mobile, qui semble nous appeler» par la bnande (comment ?) : nous essayons de com^prendre les choses qui s’offrent à nottre vision, nous voulouns comprendre ce qui setrame sous nos yeux, nous voulons savoir cz qui est qui setrame sous nos yeux (langue commune) et pour ce faire nous creusons la roche (art) à la recherche de la perle (vérité) niichée, ni pklus ni moins, et cette perle porte un nom qui est (sera ? serait ?) le nôtre ou sinon comment ? nous voulons savoir, nous envisageons, nbous cherchons, nous sommes en quête etc, d’un savoir anvcien (antédiluvien) qyi saurait nous dire ce qui l’en est de pareille bouche grande ouverte devant soi : qui ou quoi est elle ? une ca vité sur «rien» (trou borgne) comme un coquillage ? ou quoi d’autre ? une plénitude sansfaille c’est à dire sans réel passage ? de quoi s’agit-il ? nous voyons (je vois) la bouche grande ouverte ! il s’agit cde cette bouche-cavité de roche = entaille de grave, il s’agit pour nous de comp^rendre cette entaille à la lumière de la vérité révélée, nous edssayons de comprendxre ce qyui est ici qui se trame en cette rochge des temps impartisz à une vie ciblée, nous sommes (nous) langue (commune) attribuée (sur roche) pour la vie à vivre : cette langue de prairie, de bois et sous bois, langue des cerfs, des biches, des betes de prés, etc, nous parlons la langue de la voix motrice en nous : cette chose rude (colère) qui exprime sa plénitude, nous parlons une langue surajoutée, notre nom est noté sur paroi, il s’agit d’une figure de bete de roche, nous disons que bnous savons cela et nous le proclamons de vive voix, la mort est une bouche ouverte, la mort est une entrée, la mort est ouverture, la mort est obscurité, la mort est antre (antrale) et se p^rete à etre découvertte par la bbande langagière d’une langue attribuée, nous savons cette chosqe ici comme quoi nous sommes nantis d’une langue «pour tous» qui est cette langue de la vie à passer, à vivre conhjoint, etc, nous disons que nbous sommes dès lors soudeés à pareille langue et c’est ainsi que nous allons en rocghe, soudés à elle, comme deux betes de poids (de rang) qui labourent le chantier, le champ de la destinée, etc, noàtre vie a des a llures de tracé votif, nbous ne sommes pas chichesz de l’ignorer, notre but est affiché, nous sommes oà larecherche de la vérité allouée à paroi du temps, nous sommes plusieurs en nous memes car porteurs d’une langue de choix commùune, langue-appeau, langue-apprêt, langue-oripeau, langue des embruns de bord de mer, langue pariétale o combien, langue de la vie sur roche des temps etc, nous voulons comprendre ce qui est ici , en cette roche des temps impartis, qui nous regartde, nousépie, nous «mate sévère», etc, nous voyons la mort en fa ce : cette bouche d’ouverture grande, cette excavation, ceztte entaéille, ceztte trouée, cette fissure, ce passage, cette grotte, cette cavité, ce trou de rochge, ce trou dans la roche, cette cavité interne à la roche, cette trouée dansd du dur, ceztte chose d’un trou borgne (?) ou sinon borgne comment ? comment est ce trou, ce trou de la moprt à l’oeuvre , commùent ? nousq cherchons à savoir à quoi ressembkle la mort la bien nommée (bien ?) qui serait cette avancvée de cghoix de roche, devant soi, entité pareiétale de bon ou de mauvais aloi, qui sait, qui serait pour nbous une main tendue, secourable, un appel du pied, un coup de main, une sortie possible vers des lendemains encjhanteurs, ou sinon enchanteurs, existants, ou sinon existants rassurants, etc, nous cherchons cette chose ici d’une sorte de compréhension de ce que c’est qsue cette mort de roche devant soi, qui sezrait La Mort de bon (ou de mauvais 

?) aloi, et pour le coup nous creusons le temps du présent alloué , offert, nous offrons le temps que nouqs avons reçu en héritage, nous doonnons le temps à mada me, à ce monsieur, à cette bvouche ouverte, à ces lèvres de joie, etc, bnous eesayons de comp^rendre ici ce qyui est qui serait pour nous la  vérité des choses du monde, en courant comme la vie, en cours de route, avec le temps phrasé de la roche dure, qui va ainsi caracolant, sur cheval fier, sur cheval de roche, nous voulojns comprendre «en passant» ce qui est ainsi ici aussi de pareille roche ouverte comme bouche -mort de bon ou de ma uvais aloi : ce que c’est que la mort, ce que la mort est, pour nous, npour nous tous, pour nou!s qui sommes des eznfants pa rlants, pour   nous qyi sommes enfa nts delatribu du monde, nous voulons comp^rendre ce qui est ici de cette roche des embruns, de cette roche «ouvezrte» à notre immixtion salutaire (?) et pour ce faire nousq creusons, nous creusons de concert cette roche des temps alloués, nous essa yons de comp^rendre en, passantv (course contre la montre) cette chose de lma mort à l oeuvre, ce qu’elle eswt pour nous à l’intérieur de notrte langage vcommun ds’homme d’un clan attribué, nous essayons de nous dépa touiller de cette chose d’une la ngue attribuée pour une gouverne de roche dure quui dure, nous voulons comp^rendre cette chose de la mort viçve, devant soi, qui «tend les bras» (les mains ?) et nous abjure de vouloir «la suivre» ou bien suivre ce sentier de roche vers elle, ce»tte voie d’accès salutaire (?) ou sinon comment ? nous cherchonsz à mettre des mots, à déposer, nous cherchons mots à déposer sur roche (gravures, dessins, etc) et pour ce faire nous entrons en transe, rien cde plus facile : nous sommes portés en nous par une langue, une langue nous porte, noys sommes en nous portés par une langue, cettez languevest attribuée par la bande pâssdante, il s’agiçt d’un troupeau de buffles, etc, nous sommes porteurs-portés et nous avançons en cette roche des embruns à la recherc he d’une vérité de roche dure, qui «le fa sse», qui puisse «le faire», qui puisse nous donner cette chose d’une sorte d’élan votif ou comment ? qui serait pour nous ceztte cxha nce en nous de poursuivre encore et toujours sur la voie du temps de paroi, nous cherchons p)ar la bnande, à travezrs la bande, à travers cette érection de choses, de pârois, etc, sur roche, etc, cette chose d’une sorte de ^parole de vraie  véritée, etc, nous ne voulons pas lâcher de sitot le grappin, nous sommes accrochés (art) à la roche du temps par (via) ce grappin là que nous voyons sortir de notre bouche pour allezr fissa traverser la roche et se loger en c ette autre bouche de roche destemps, qui est Bouche-LMortde la mort à l’oeuvre = celle là qui nous «tend les bras» comme en des épousailles célesqtes, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, bnous ne voulons pas mourir, nous ne sommes pas prêts, nbous ne wsommes pas encore prêtes, nous ne voulopns pas mourir, nous ne voulons poas passer ml’arme à gauche,  ous ne voulons pasz ;mourir tantôt, nous ne voulons ^pas passer l’armev à gauche de sitôt, nous voulons savoir sans voir, nbous cherchons cette chose d’un savoir (la mort) sans la vivre (la voir) etc, nbous v oulons comp^rendre cette chose d’un savoir privé d’un voir ou sinon comment ? d’où le langaghe attribué comme un organe en soi qui sort de soi comme une sorte de queue de rat pariétale , et va à se loger sur roche dire «sa» véreité de savoir tout cru, de savoir nu, etc (sans l’adjonctiopn d’un voir de visu) , nous voulons savoir la mort ce qu’elle est, nous voulons savoir ce que c’e’st que cette chose dont « on « (nous) nous parle (nous pârlons), nous voulons ce savoir associé à un voir de près mais sa ns ezffet sur notte gouverne autre que de connaissance, nous nous approchons d’icelle (La Mort) et nous essayons de voir à) quoi ellez ressemble, bnous voulons savoir à quoi elle ressemble, nous voulons savoir à quoi ressemble la mort, nous voulons savoir ce que c’r’st que la mort,, ce qu’elle ezst, qu’est ce que c’est que cette chose? qu’est ce que c’’rst que cette chose de la mort incluse ? nous voulons comp^rendre et pouvoir décrire, nous voulons la voir sans la subir et du coup nous avons du mal à agir, à faire ainsi que nou!s puissiiiions mettre deezs mots sur icelle «qui nous tznd les bras» comme une amouruese,k ou comme une personne a venante, bienveillante, enrobante, etc, nbous voulons savoir à quoi ressemble la mort, et voilà ce qui à présent (!) nous occupe, cette cxhose d’une volonté fa rouche de com^rendre et de  voir de près afin de décrire au sein du langage commùun les traits de pareille Chose du levant, cette chose du levant qui est cvette cghose du présent de soi déroulé, cette Chose d’un temps alloué, impa rti, déroulé sur roche cxomme ca valcade etc, la mort est une chose rude, elle est ouverture (jusqu’où ?) et cette ouverture est un levant, nous voyons cette bvouche toujours (toujours !) ouverte devant nous, il s’agit de la boucxhe ouverte d’une chose de type entité de roche, nous essayons de co=mprendre cte chose, nous voulons aller loin dansq la compréhension de pareille entité rocheuse, nbous voulons aller loin en, elle, qui est  elle ou quoi est elle ? la mort est une bouche ouverte ! la mort est une bouche bée ! la mort est une boucghe béante ! la mort est une bouche de vie ! la mort est la bouche (embouchure ?) de la vie ! la mort est grande ouverte et grande ouvberture ! la mort est anttre ! la moprt est un intérieur ! la mort est une pièce de vie ! la mort est ce devant de roche dure , ouvert pour la peine, qyui tend «des bras» de forrtunes diversess (selon les etres), la mort est une bouche perlée, la mort est un coquyillage perlier ! la mort est close sur elle m^$eme, la mort ne sort pas de la vie , c’est à dire du langage ! la mort est une entitév nacrée comme de juste ! la mort est une entité na crée comme de bien entendue, comme de juste,; et cxomme il se doit (?), la mort ne nouscregartde pâs (?) ou tout le contreaire ? la mort nous regarde, la mort nous épie, nous suit à la trace (a rt) depuis les débuts, la mort est une entité men,a&çante, la mort est un trou de roche où se lover pour la parade, nbous voulons essayer de comp^rendre en pârlant, ce que c’est que  ette mort de soi, devan

t, sur ce seuil, ici même, nous cherchons : qu’est ce que c’est que cette chose ici dépôsée p^our soi en   ce cxhemin de ronde pariétale , qsuoi donc ? nous voulons savoir ce que la mort est : nous sommeszs qui voulons savoir sans voir ou sinon en voyant mais sans mourir , ce qUI esqt proprezment imposqsible en vérité ! nous chzerchons à comp^rendre la vie pour nous ce qu’elle est et du couop la mort ce qu’elle est aussi de son côté (pendant) : nbous cherchons eznwsembvle dans kle langage (ce commun) ce que est la mort de roche pour soi, pour nous, pour nous autres qui sommes des cghevaux de bois, des buffles tracés à la voléez, des rennes ou des hippopotamùes, etcx, je suis l’homme des cavernesq en transe, l’hommev en transe des cavernes, je cherche une vérité vqui pèse ou pesât dans la balance, bnous voulons sa voir en voyant mais sans mourir etc, nous avons ezn nous cette envie de vouloir savoir, nous avons en nous cette envie de cvoul:oir comprtendre en vie ce que c’est que la mort ! nous voulons d’ici voir ce qui loin làbas se trame et nous attend mais comment ? la mort est entière, un rond,une bouche =une trouée (échancrure) dans la paroi : creusons ! creusons ! creusons ! creusons ! cxrezusons ! creusons ! creusons ! creuysons ! creusons ! creusons ! creusons ! creuso ns ! creusons ! creudsons ! creusons ! creusonsq ! creusons ! cdreusobns ! creusons ! creusons ! creusonds ! cr’uesobns ! cxreusobns ! cr’eusons ! creusons ! cfreuobqns ! creuso,ns ! cr’eusons ! creusons ! creusonsq ! creusons ! creusonqs ! creusqonbs ! crezusons et laissons agir, laisson,sfaire, abandonnons un temps, etc, nous sommes ensemble pour pa reille mission à mener à bien,n, celle là qui con,siste à creusezr encore et toujours la roche du temps alloué (art de roche dure) afin de cette chose faire (mener) qui est celle ci que nous nommons du nom de «rezcherche en roche», de «recherche de paroi rude», etc, je suis un homme des cvavernes, et de  ce fait je vais et je viens dans la roche car je suyis muni de pouvoirs étranges et surnaturels qui me font aller où je veux quand je veux ! je squis un homme desz c a vernes, et du coup j’ntre en transe à main levée et trace, je suis homme des cavernes du sud de la france, je suis cet homme des cav ernes traçant roche (betes de) et gra vant à l’envi ! mon nom est mon nom ! je suis l’homme qui va sur la roche du temps (à la naissance), gra ve que tu graveras, puis meurt (se meurt) à m^$eme la roche terrestre et oup la oup, une sorte de loopîng pour une incursion da&ns la stra tosp)hère parié&takle des embruns, bnous avons franchi le Rubicon et nous voilà nantis de pouvoirs secretsq, occultes, surna turzels (?) ou sinon surnaturezls n,a turels mais d’un genre un peu spécial , il s’agit pour nous de pouvoirs octroyés pa r des voies pa rticulières, etc, nous voulons cxomprtende  ette cghose ici pour nou!s : loa mort, la mort est cette chose ici pour nous qui nous tend les  bras, qyui nous regarde, qyui nous parle (susurre) et nous demande içnstammznt de bien vouloir nous aligner deux par deux et entrezr en elle, comme (exa ctemenht) des écoliezrs ezntrant en classe (rangs droits) , nous pensons cela , nous pensons que nous devon,s aller ainsi en roche , à la rechezrche d’une vérité de bon aloi, de bonne renommée, nousq devons cxomprtendre les données bruteezw, les données données pa&r la b a,nde rude des temps, je suis homme des cavezrnes,n,  la véerité se loge en mon, venttre, je suis homme qui va de guingois en cette roche des temps impartis mais j’entre ! je suis cezt homme aux embruns matutinaux, qui va et vient en cette roche des temps rudes (durs) et va à se loger ainsi, dans un pli de roche, au beau milieu des bêtes de poids , betesq de roche pes a ntes, quyi toutes paissent à l’unisson comme de juste, nous sommes des qui = nous en sommes, nousq sommes des qui cherchons, nou!s faiso,ns partie de ceux qui cherchent ensemble (lan,gue de tribu) et vont ensembvle à tra vers la rocxhe (tete prezmière comme un nouveau né,n  la plupart du temps)  en cette roche des parois du temps, nous chzerchons des vérités rudes (dures) sur le’squelles pouvoir tabler et se poser tangiblemùent, tables ! n,ous-je voulons)-veux aller en roche «voir la mort» pour notre gouverne (la lan  gage en son entier : cette échappée belle) et là (en ce lieu précis) choisir : ou je-nous va is-allons ici ou bien je-nous veux-voulons aller là, etc, je-nous veux-voulons aller ici ou bien je-nous veux-voulons eznsemble (le lman,gage des sqphères) aller là, nous voulons comp^rendre : 1, les arcanesq, 2, le sens exa ct desq mots, car tout n’est pas donné d’entrée de jeu... ou si 

? et si tout eétait donné d’entrée de jeu ? et si tout à la naiossance était donné sans plus de recherche à mener dans le sens de «recherches sur la Chose par les ou la voie de l’intelligence», et si tout était donnéà la naissance en termes de savoir et de connaissance !,; et si tout était donné mais clair et net ?  nous cxhercghons de  nottre côté ce quii est là sous nos yeux mais que les mots cachent , cachent obstinémen,t ! nous voulons comprezndre les arcanes et nbous pensons que la voie de la raison est peut-^$etre une très bonne chosecpour certaines cghoses mais gros doute sur la mort, sur sujet pa reil, gros gros doute ! nous essayons de comp^rendre la mort ce qu’elle est au juste = de visu, à quyoi elle ressemble et voilà pourquoi nous posons toutes ces qUestions à la cantonade et àbrule pourpoint ! la mort = l’entité = la Chose = la vérité sur les prés = la mesure du tempsq = la voix céleste et la voie céleste = le ttribut = la cxhose à vouloir par la bande ou non ? = le ciel = le ventre = la peine = le sang qui court dans nos veines, ou pas ?, nous voulons cxomprendre ensemble (langage commun) ce que c’est que La Mort majuscule, quoi est ce ou qu’est ce ? notre but est affiché sur un ponton, nous voulons voir et sacvoir et si possible sans devoir passer à travers elle et du coup mourir mais en sze tenant prompt à possiblement nous échapper de ses ghriffes, la mort = deux mains tendues vers nous, il y a deux mains devant nous ! la mort cf’est deux mains, une droite et une gauche , en parfaite symétrie comme il se doit ! la mort  = deux mains ouverttes, tendues, prêtes à nous accrochezr, à bnous enlacer, à nous attra pper, à nous entourer, à nous prendre en ellez, vers elle eztc, la mort = deux main,s devant soi, ce temps de roche dure , ce temps qui est ce temps dur des parois de grottes, je suis l’homme des cavezrnesz de lma rochje dure, j’hbite le temps, j’habite l’intérieur du temps, mon langa ge est une issue, je suis l’homme qui pousse la chose au bout de la roche, son canif, et quyi gratte et gratte à faire venir le dessin d’une bete de choix! je suis un homme de la roche dure», mon savoir est le savoir commun à une langue, cette languec est une a rme (un outil) dec perçage deroche, une arme est un outil ? ), etc, je suis homme de la roche du temps, je suis cet homme de roche des temps alloués, je suis cet homme des roches, je suis cet homme de la roche dure des temp)s impartis, je suis cet homme dela roche dure des temp^s impartis à une vie d’homme, je suis un homme des cavzernesz, je vbais et je viens en elles, je m’appelle ainsi que lk’on me nomme , noud s allons en roche à la recherche d’une vé&ité, nous voulons sqavoir le nom de la roche, quel est il ? «La Mort» ? nous l’ignorons ! quel est le peztit nom de la mort à l’oeuvre ? nhous voulons conna ittre le petit nom de la mort à l’oeuvre ! nou!s ne savcons pas quel est il ! quel est le petit (petit ?) nom de la mort à l’ oeuvre, celle là qui nous atte nd «devant» de pied ferme et les bras ouvertts en guise d’amabilité de façade ! qui est là ? qsui va là ? quoi es tu la mort ? que nbous veux tu ? qui es tu ? squi veut tu manger en premier ? nous ne voulons pas de toi ! nouys ne voulons pas te voir de près ou oui mais tu m’as comp^ris ‘ laisse moi tyranquille dans mon coin de roche ! ne me prends pas en ton wsein mais laisse moi aller en roche (dans le temps sauvé)n où bon me semble ! la mort est une entité votive, une grande ouverrture de paroi,, ce V de roche allouée, cette fissure , ce V de crevaison, de creusement, etc, cette croix notifiée sur roche afin de signifier l’endroit précis où donc aller ensemble (langage) s’immiqscer ! la mort est une et indivisible ! la mort est mathématrique ! la mort est un V de roche des temps ! je suis cvelui qui est pour vous celle que je suis pour ezlles ! je ne veucx pasc mourir ! repousson,s la mort de toute nos forces ! repoussons cette chose qui nous tensd les bras ! je n’en veux pas, je ne veux pas d’elle ! la mort ne me plaît pas, ne me tente pas ! elle est mùoche , rugèeuse, saignante, ulcère des bois, varices, sa letés, etc : une meu ! la mort est une saleté ! la mort est prise dans la langue de l’injure traçante, par défaut ! la mort est ...  et ici la langue est en relai en ces extrémités ! voil;à le hic = pot a ux roses ! l’injure est en relai de ce non-sa&voir intégral : «pute borgne» ! je sais cette chose ! je sais tout cela ! les mots de l’injure frappent la paroi (gravebnt) de nos noms d’oiseaux ! injures ! inhjures ! ici injures ! ici mùême  : injures ! nous disons leqs «gros mots « (aurochs) que nous cxonna issons ! nousq en avons pour nous toute une liste ! nous avons pour nbous toute une liste de gros mots ! en nous ! antre ! entre nous ! tribu ! clan! famille ! ezntité communautaire , etc ! nou!s avons pour nous tout un ta s de mots grossiers quyi sont ceux là que nous donnonsv en guise de descriptifs détaillés (!) de ce qu’est la mort pour nous (qui ne la voyons pas) : les mots grossiers sont ce pis-a ller de première = vie incandesceznte = temps brûlés ! voilà ce qui est ! nous disons (je dis) cette chose ici de ce non-savoir remplacé ! nous voulons savoir la mort ce qu’elle est , nous voulons comp^rendre la mort à qyuoi elle resssemble, de quoi s’agfit il ? où trouver des répmonses à pareilles questions ? à l’intérieur de la langue, sinon où ? à l’intérieur de la langue ? où sinon ? je suis un homme des ca&vezrnes, mon nom est nom de roche, la mort est inscrite quelque paert mais où (quelque part mais où) et voilà ce que nous serions à même de vouloir connaittre , nous avons pour nous cette chose, cette chose est ce vouloir, ce vouloir est une gageure, nous cherchons à mêmev la roche creusée, nbous voulons chercher à mùêùme la roche creuse, no!us fouillons , nous pensons que le lan gage humain , porté à inca ndes cence, est comme  un descriptif de  c   e que  ‘est que la mort à l ‘oeuvre , nous voulons essayer de comprenxdre ensemble soit ainsi : munis de notre «pain» de verbe tendu ! nous voulons savoir, nous voulons savoir sans voir, $nous voulons sa voir maisq sans du tout passer l’arme à gauche, nousz voulons savoir ma is sans passer, nous voulons sa voir -voir mais sa ns passer, nous voulopns savoir = voir mais pour  cela sans trépasser ! voiulà la bonne formule ! nos ambitions sont claires et sont tracées à même la roche ! nous avons une a mbituion  qui est celle cde cxonnaitre les tenants et les aboutissa nts du langage pariétal cde la roche du temps, bnous avons à co:mprendre  cette cghose (pour nous) qui est cette cxhose comme quoi nous sqommes (seriions ?) mourants, et pour cela nbous devons passer tete première dans la roche et bne plus reculer , et là regarder : les aurochs, les buffles, les rennes, lers cgheveuils, les biches, les boeufs, les chacals, les bisons, etcx, je suis homme des temps impartis, mon langaghe (imagé ! haut en couleur) est le descriptif «détaillé « cdee ce que c’est que la mort à venir (pour soi) et voilà  ce qu’il est : il est cette chose d’une sorte de brouet sa lace, injurieux, macabrement injhurieux = que des mots c»gros», «gros mots» de la roche des temps , je suis cet homme des temps impaertis et je viens en roche à lka recherche d’une effigie, ezffigie de la mort à l’oeuvre, je suis  homme des ezmbruns nacrés de fonds de mer, je suis l’homme squi ne sort pas mais amplifie la cxhose rude, et la pousse à se montrer dans son attirail de fortune, sa pelisse, sa& peau dx’ombre, eztc, je suiis un homme dees temps donnés, ce tempsc est donné d’un côté et redonné de l’autre , et la vie dans tout ça alors ? eh bien la vie est logée (loge cardiaque) au cxhaud, et se tient à l’écart si possible, des intemp éries, des épreuves  dan,gerexusement mortelles etc, nous ne voulons pas dféfaillir et passezr l’arme à gauche  ! nous ne voulons pâs mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! npousq ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! ! nous ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous voulons rezswter en vie ! nous voulons rester bien en vie ! nous voulons rester bien en vie ! nous voulons rester en, vie !nous ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous ne voulons pas trépasser ! nous tenons à la vie , nous tenons mordicus à la vie ! bnous tenons à la vie mordicus ! nous tenons plus que tout à consezrvcer la vie pour nous ou à part nou!s c’est-à-dire en, nous , à part nous = en nous ! nous ne voulons pas etre a spiré par la boucxhe de lac mort, nous ne vopulons pas être accaparé par les bras ouverts de la mort à l ‘oeuvre , nous tenon,s à rester en vie et du coup nous hurlons à son adresse des insan ités qui sont sur elle les seuls mots que nous pouvons dire faute de renseignements brûleants ! les mots sont ceux là que nous proférons;, et sont mots de peu mais à fort pouvoir iincandescvent d’incantation votive ! mots d’injuresq prinbcipalement : saleté des saleztés ! mochzeté des mochetés ! pourriture des pourritures ! putain des ^)utains ! etc (tout y passe forcément !), ainsi de suite, car la mort est in descri^)tible en vcérité, elle est logée (on pezn,se) et les seuls motsq que nou!s pou!vons «poser» sur elle szont ceux là que je viens de dire, des insa nités, saletés, méchancetéqs, etc, tout le mauvais du verbe exactement ! nous disons cette chose d’un lmangage humain porté à incandes ence en guise de «savoir»octroyé par la bande ou commeznt ? le’s moçts ici sont mots d’injures (= de peu) censés pouvoir dxécrire la mort, la m:ort est à décrire mais comment ? bouche ? trou ? cavité ? grootte ? excaveation ? etc, on cherc heà com^)rendre, on veut cette chose !on veut comprendre ) on veut prendre sans «rendre» ! on ne veut pas «prendre» pour quelqauun que nous neserions pas mais qui sommes nous ? nous ne voulons pas «prendre» pour squi que ce soit d’auttre que nous a& priori , ou du moins : nous ne voulons pas ra masser» pour quezlqu’un d’auttree que nbou!s qui serions pour le coup innocent en cette matière dxont nous pa rlerions, nous essayons de comp^rezndre un enswezmbvle ensemble et évidemment cela est ju!stement cela que nousq chgerchons à vouloir savoir ! nous voulons ensemble (langa ge) comprendre et savoir sans voir = prendre, mains, les yeux fermés prendre xdes mains, au risque d’y laisser des plumes, nous voulons cxomp prendre = prezndre mais non pas dérouiller ! ça non ! ça surtout pas ! pas mourir ! pas mourir ! pas mourir ! pas «prendre» poour quelqu’un d’autre ! nous ne voulons pas «prendre « pour qui sque ce soi t d’autre = nous voulons une justice ! nous voulons comprendre les enjeux qui sont des eznjeux p)ariétaux , nous cherchons à comprtendre les donnéews brutesz, ce qui est qui est, la véerité sur le monde de la mor à l’oeuvre , ce qu’ellme est et en qauoi elle «nouys regarde», quoi est ellme ? bouche ? trou ? lèvres ? sexe ? nous ne savons pas voir car nous nepouvons pas voir car pour voir il faut etre en, or nous ne voulons pas etre en, car pour etre en il faut mourir et si tu meurs que vois-tu ou verras-tu etc ! la chose est coton ! du coton ! du coton de bure ! la bure, le chan,dail ! ne l’oublions pas ! cet habit de bure est la vérité de céans et pour le reste (la mort) difficile de se prononcer car qu’a-t-on vu de visu ? que dalle ! rien ! pâs ça = pas l’once d’une, etc ! je regarde écarq<uillé la vie  qui va , et je comp^rends ce qui est ici qui me rega rde et semble me tendre les bras et me sermonner comme qui dirait ! or merdxum 

! pas de toi ! nous n’en voulons pas ! les mots -injures sont des animaux sortis de notre bouche, les mots-animaux sont des inhjuresq ! les injhurss en bouche sont des animaux , je suis cxet homme des cavernes, je vais et je viens en roche, je suis en roche homme de peu (bure, vilénies) et vais ainsi à la recherche de la vérité sinon des prés des sous bois, et sinon des sous bois des bvois, etc, je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes en pareille rochze, je veux la vérité ! je suis un homme des cavernes et je veux la véreité ! je demand à Mort de rOche (la vérité) et Mort de Roche me répond et me dit : la lettre V, V majuscule ! ah bon dis -je ! oui : ce vV de Vérité est la solution à tes problèmes langagioers, il suffit de le comprendre et le tour est joué ! et comment faire pour kle com^prendre ? pas compliqué : entre en roche ! lévite ! passe la tete et fissa pénètre ! pas plus dur que ça ! j’essaie de piger ! je suis sur un chemin de roche et j’essaie de comp^rendre les choses de la vie comment elles se trament, mon nom est un  nom inscritt sur le regisqtre de l’état civil, ni pklu ni moins, je suis un, homme des cavernes à lac recherche de ce V saillant de Vérités, quel est il ? comment le trouver ? coomment faire pôur le dénicher ? est il un V de ra ge, genre bisque bisque rage , etc ? quel est il et où est il ? les mopts portés à leur incandescence sont des noms d!oiseaux pour ainsi dire ! il s’agit de bien vouloir se mettre cela en tete et d’a va ncer toujours ezt ezncore sur pareil chemin tracé, je regarde le plus possivble mais je ne vois rien de bien notable concernant la mort, elmle est bien ca chée disent les mots, elle ne s’ezn laisse pas comp^ter disent les mots k! les mots parleznt ils ? ou bien est ce les hommes ? qui parle ? that is the qustion toujours !!!! qui pa rle en nous ou en notre nom ? les :mots ? les mots-betes ? les hommùes ? tous les hommùes ? un ensemble comme tribal ? qui est «derrière» ? qui parle pour nousq ? nous ? qui est aux commandes ? nous ne savons pas qui est aux commandes (origines de tout sur terre) : quui ? nous voulons savoir (voir) sans voir (hé !)et pour cela  nous nous accrochons à la roche et dessinons à main levée des betes-mots censés représenter ce que nous sommes au plus preofond de nous , nous dessinonsq des beteqs préhistoriques car nouys sommes préhistoriques : en moi est loghé un homme de la préhistoire, qui est il ? je cherche à cvomprendre-savoir-voir-cerner-saisir la vérité sur l’homme des ca vernes, et sur la paroii ornemùentée, et sur le vlanga ge de la vérité et sur la question de la vie et de la mort, sachant que je ne sais rien mais qui sait ? qui peut dé&cemment et modestemùent setarguer de sa cvoir et de comprendre, etc, nous sommes des enfants de roche, ezn,fantsq de la roche du temps, mo,n cxhant est celui là qui dit son savoir déchu, son peu de savoir vrai, etc, nbous voulonbs dénicher l’oiseau vif da ns son nid de brindi!lles, de mousse, d’herbes diverses, jez suis homme de peu = de bure, qui vais en roche chercher pitance, quelle est zlle ? elle est pitan,ce en termes injurieux, je suis l’homme qui va, ainsi, au plkus profon,d de la roche des temps emmmelés, et là regarde a utour de lui et que voit il ? il voit des betesq-mots (noms de famillme) quisont dessinés ou gra vées et swe preséenteznt comme autant d’ooffrandes déposées sur roche : ce sont xdesq mots, ce sont deqs noms précis (ressemblance , etc) qui sont pour nous des effigies ! je suis l’animal natif, je suis un être de meu, mon langage est obstrué de l’intérieur, mon langage est comme clos dse l’intérieur, comment faire pour en réchapper, comme,nt se sortir de pareil guet-apens, je suis pris dans les filetsz d’une langue déposée, en moi, par la bande, afin de me faire pârler = accvuser des c  rimes dont je ne suis en aucun cas l’auteur ezn vérité or voilà ce qui est en vérité : nous sommes pris, nous sommes saisis, nous passons pour qui ? nous sommes hommes qui allons en roche et qui cherchons, qui cherchons de nous approcher de léa vérité et tout de suite nous voyons que nous sommes pîéghés ! nous sommes pris à l’étau de kla rocghe dure des temps brefsq, nous y passerons comme tout un chacun, nous serons touchés comme le voisin etcx, je veux savoir, je veux sa voir mais sans voir = me bruler les yeux, je voudrais savoir mais pour cela  sanqs me bruler les yeux ! je veux etre en vie ! mon corps veut respirer ! je suis cet hgomme des ca bvezrnes qui tient à la vie et de ce fa it qsue fait il, pour Bouche de la mort ? il la piège ! il offre sess tourments de roche temporelle et fait croire dès lors qu’il s’agit de sa cvie offerte sur table d’offrande tout comme un animal de poids or que nzenni bien entendu, je vais sur la roche et me donne a insi (image) dans le sas, mon etre est un etre de peu, juste en vie, et cela est etc, mon etre est un etre de peu de vie, car je suis cet etre qui v a ou vais en roche se poser et donner de sa voix à des inca ntations, mon nom est «nom», mon nom est «mon nom», je suis un hommev préhistorique, les mots que j’emploie = invectives, les injhures, immondices verbals, grosse grosse salezté, je suis l’homme de la roche des gtemps alloués, je suis cet homme au verbe échu, donné pa r la bande, sorti de bouche-plaie, et allant se ficher sur roche, les mots que jh’emploie sont rudes, il s’agit de mots de peu, ces mots de peu sont des mots rudes, durs, grossiersq, rugueux, bruts de dé&coffrage etc, je suis l’homme l’enfant la fe:mme des cavernes et voit sur rochez &ller et venir les betes, qsui suis-je d’autre au juste que cet homme des cavezrnes encore et toujours quoiqu’édulcoré par ezn moi ce langa ge de main, de main forte ... je ne suis pâs fou ! je ne suis pas fou mais bete ! mon nom signe ma bêtise (et ma vilénie) ! je ne suis pas fou (hélas ?) mais bete (hélas ?) : je vais en roche chercher la bonne parole = d’é&vangile : ce qui est sezrait, et inverswzement, ce qui n’est pas n’est pâs, et rien de plus , mais quoi est au juste ? qui peut dire ce qui est en moi par exemple ? entrailles ? hé ! car pour le reste comment savoir, l’importance de la pensée, etc, j’imagine et subodore, je cherchje et furète, etc, comment savoir ce qui donc m’atteznd en  ceztte  roche des tourments du temp^s, je cherche une phrase qui dirait la chose et m’éclairerait notablement, mai   ette phrase n’advient jama is car zlle est phrase de peu de vérité vraie (conten ant) et du coup vas-y à sa voir, va sa voir de qauoi il en retourne en soi(intérieur) , pêut-être rien ! on subodfore ! on essaie de batir des choses, énoncés divers, pa cotilles, dure mère, élucubra&tions, vérités de poids  ? nous ne savons pas car no!us ne voyons pas, et pour sa voir il est bon (ici du moins) de voir et du coup de se faire «à l’idéee» ou «une ideeé» de ce qui est ici et de ce qui n ‘‘st pa s, je suis l’homme des cavzernes immiscé, , la vérité se loge en roche du temps déroulé», le mal rejoint le bien et s’épousent, il n’y a pas de difféfrence entre ;la bete et moi en cette roche car je suis la bête et la bete est l’homme que je suis, la bete a son contant de mots en elle, elle est riche d’un vocabumlaire de rocghe dure, lm’animal en moi est bete rude qui se tord ezn moi pour sortir de moi (trompette de larenommée) et voilà la roche ornementée, je cherche mon domaine de vérité, la mort est elle un coquillage perlé (perlier) ? qui est qui ? suis je un animal ? est ce que je contiens au fond de moi (?) un anuimal et si oui lequel ? est ce que je suis rezmpli(a u fonde de moi) d’annimaux -mots de rage ? shuis je un charlatan ? un faiseur ? un forma lisqte ? un homme des parois peintes, l’a rchéologue de service» ? le spécialistye ? suisq je une femme ? suis je un enfan,t ? suis je une betez fauve ? suis je en vie ? suis je s&va nt et ce sans le savoir ? suis je un rapace ? une grue ? pute ? un mot plus  gros que la moyenne ? suis je né ? suis je mort ? suis je né a vec handicap ? suis je tordu dans mes désirs, mes enviesq ? vais je aller loin ? qui me dira -donnera la voie à suivre, à emprunter ? mon nom ne dit rien à personne, dit ce rien votif de roche, il s’agit de chose et autres déposées à mù-ême le gris ou le blanc ou l’acajhou ou le jaune beurre dela pa roi, je suis un homme d’élans rocheucx x ou aux divers élans rocheux et me lançant ainsi je me retrouve comme fixéé à jamais à pareille roche du temp)sq, je suisq lm’homme qui voudrait savoir ma is savoir quoi que les mots ne contien,draient pa s ? les motsq sont de’s récipieents qui ne sont pas gros , les mots sont des bols à faible  conte»nance, hje suis l’hommes des temp)s reculés, qui chezrche sa voie, etc, comment faire  ? que dire qyui soit novateur et neuf sur la qustion ? nous sommes hommes-femmes-enfants-animaux des cavernes soudés, nous sommes soudés feemmes-enfants -animaux hommes des cavezrne’s, nouqs voulons savoir = (sa)voir = comprendre = (com)prendre etc : le cri de l’oeuf ! notre eznvie est celle qui consiqste à vouloir savoir : qui est qui ? qyuoi est quoi ? que penser en mots de roche? que penser avec nos :mots de peu ? nou!s ne sommes pas sortis de la meu ! nous sommes encore en plein deda ns, et comment s’en échapper , sé’échapper de pareille roche des temps durs  ? je veux , je ne veux pas : je veux rester en vie, je ne veux pas mourir ! car ma vie est celle d’un hommefemmeenfantanimal de roche, comme un dire fou de paroi ornée, qui serait (ce dire) sorti de bouche-plaie d’un homme de la préhistoire, et moi de l’entoner «derrière» lui ! je suis un hommefemmeenfantanimal de roche dure (le Temps) qui cherche Une vérité (V) qui fut celle là espérée par lui (moi) depuis «la nuit des temps» en moi (= la préhistoire) , mon nom est décliné sdès lors sous toutes les coutures, etc, une affaire qui roule ! je suis homme de roche-temps, animal de compâgnie, sermon sur la butte, je vais et je viens car je parcours les lieuwx à la recherche d’une vérité de poids (pesante = rassura nte) etc, mon corps est offert aux qauatre vents de l:a science (pour une autopsie si besoin) , ainsi va la vie ! je vais sur roche armé de mon sarment de vie (vive) calciné (temps donné) et ainsi fait écoute , quoi? la roche parler ! elle pa rle ici ou là, elle dit ce qu’elle veut dire (admonestation ?) et moi de tendre l’oreille et de teznter de déchiffer ses dires ouvragés ! je suis homme, des c avernes, je des cavernes, homme-enfant, etc: mots de litanie rupestre, mon nom est écrit sur roche sous forme animalière et c’est ainsi que je suis appa ru dans le Temps, car jusque là j’étais inexist ant (non point mort dès lors ... ou oui ?), je me tourne ezn roche, voit la mer au loin, les embrunqs, la roche pezrcée comme une poche damnée, je veux rester près des betes de somme, je veux rester près d’elles et m’immiscer en leur troupeau, je suis homme de rage pariétale temporelle pa rmi des betes ! les betes de roche sont de cezlles que nous aimons, dont nou!s raffolons ! pprions ! sauvons ce qui peut l’etre de l’etre ! mon nom ? la voix ? l’échancrure pa riétale ? un secours ? deux mains ? deux mains tendues ? qui so;mmes no!us pour dire cve qui est ? l’etre est dédoublé pour la forme mais ezn vérité son étant est collé comme parois de roche elles-mêmes soudées forma,nt le Temps imparti à une Vie d’homme, je vois au loin, mon oeil se porte au loin, je vois la roche, je vois cette roche, je vois une roche, il s’agit d’une roche tendre prête à se laisser gra ver, je suis le voyant des terres, monsieur de la voyance accrue,  ou tintin ? j’avance en roche parmi des betes qui toutes pâ issent gentiment et se tienne,nt quiètes, j’essaie de comprendre un tout, mon nom est ce tout

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21/05/2021

nouds parlons à brûle-pourpoint et disons ce qui nous importe le plus et cela qui le plus nous importe est cette chose d’une vérité de roche ... à propos ... d’icelle, suivez mon regard ! cette chose des embruns, cette destinée, cette roche échancrée : cet emblème ? cette solutiio,n buvable ? ce carême ? cette hostie ? ce parler franc ? cette choees ouverte à demi qui serait comme une porte , une fenetre, un passage pour un nouveau monde ? une oubliette ? nous cherchons ensembvle ce que cette chose pourrait etre et nous ne trouvons pas à ce jour, car nous sommes jeunes, éberlués, nous sommes naifs car natifs, etc, notre envie est intacte (de savoir) mais nos pouvoirs en termes de savoir dsont limitéds,, nos connaissances, nous ne savons pas que penser ! nous sommes à demi éveillés ! nous ne comprenons pas le quart de la moitié du centième des phénomènes, nous sommes cernés par des betes qui nous matent, nous sommes tous deux cernés par mille betes autour de nous qui ne cessent de nous regarder, tout autour de nous, nous sommes entourés soit cernés en vérité par mille et mille betes de roche qui sont ces betes-mots qui nous regardent, nous espionnent presque ou sinon ne nous lâchent pas du regard, nous sommes, en cette roche du temps, cernés par des betes de roche squi sont celles là que nous nommons : «mots-)betes», car elles sont ces choses de paroi, qui «disent» leur inquiétude et leur volonté, nous disons ici que nous avons pour nous, devant nous, une sorte de porte d’entrée, éclairée (illuminée), qui est ouverte sur on ne sait quoi qui fu

me ! ouh la voilà ! cette chose est là devant soi, devant nous deux ! nous regardons ! nous avons pour nous cette chose à faire ici bas = en cette roche des apprets, nous disons que cette chose est là pour nous qui nous devons de la mettre en branle = regarder ! voir la mort en face = voir venir icelle sous nos yeux comme deux mains tendus qui nous interpellent ! et que faire ? renoncer à notre vie d’apprets , ? aller vers pareille mort la retrouver, la caliner ? nous ne voulons pas mettre un genou à terre, noys voulons poursuivre, nous voulons aller plus loin sur le tracé de notre vie, nous ne voulons pas flancher au premier coup du sort, nous voulons cerner au mieux les tenants et les a boutissants de toute cette affaire de paroi du monde, de trou dans la roche, d’ecxcavation salutaire, de paroi mzuble, de trou à tangente, de clarté diurne, de fumée sans feu (?) ou sinon comment ? car la porte ici est ouverte sur une clarté vive, il s»agit d’une entrée de roche, dans la roche une entrée claire, il s’agit ici d’une sorte d’entrée vers une sorte de sas qui irait on ne sait où nous mener en lui , nous ne savons pas mais nous écoutons, car de lui monte un son, ou bien descent, car un son provient de cette bouche des apprets ou comment dire , de pareille bouche ouverte en grand comme une sorte de portail, de grande echancrure, de belle ouverture de ciel etc, nous entendons, nous savons cette chose ici, en pare-ille roche, d’une sorte de sonorité suave qui est donc ici pour nous charmer et nous attirer, nous savons que ce son est celui d’un arrière-ban, bnous savons que ce son est le son de l’arrière boutique printanière et vient de loin, de profonsd, du ciel ou de la tere ou d’où ? car il sembleraoit (à première vue) qu’il eut traversé des monceaux de terre ou de comment ? nous ne savons pas et cependant bnous sommes tous deux en recherche active, nous cherchons comme des malheureux que nous sommes, nous cherchons à savoir les choses, nous cherchons à comprendre ce qui est pour nous ici, en ce recoin de la roche dure, pres de cette porte ouverte des embruns, à écvouter pareille musique des fées, des embruns tout comme, des sphères lucides, des appeaux, nous avons pour nous cette chose en nous qui est la possibilté d’écoute attentive de pareille roche et de ses musqiques -interppariétales ou comment sont ellesx ? nous cherchons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi ouverte sur des lendemains : deiux mains qui s’ouvrent pour nous accueillir, deux belle mains ouvertrtes devant soi, une main gauche et une main droite, on voit ici encore une fois que la symétrie est respectée, on voit cette chose d’une symeétrie devant soi parfaite et encore une fois respéctée, nous savons que nous avonbs affaire devant nous à un «objet» de symétrie, calculé, respectée, qui est une sorte de chose à deux volets = un volet gauche et un volet droit, comme une fenetre, comme des bras ouverts, un portail, un vantail ? une chose à deux pans, une chose double = doublé = séparée en deux par le milieu, deux mains qui se tendent et nous invitent à bie,nn vouloir nous glisser à leur suite , ou à bien vouloir nous déposer comme un oisioilloon nidicole, nous sommes des betes de roche à notre tour, nous sommes devenus (hommes des cavernes) des betes cde roche, nous avons subi les assauts du temps pariétal et nous voici devenus des betes à notre tour, sous l’emprise et l’influence en nous de cette bete de paroi massive (,la bete) qui en nous a chargé et nous a fait enttrer en roche comme en religion et nous voici frappant à) la porte du sas, et demander l’absolution pour ainsi dire, voir venir, et que voit on ? nbous voyons cette chose double, ces volets x 2 qui nous regardent, qui sont devant nous comme une porte à deux vantaux qui sw’ouvre à nous, nous cherchons une vérité de roche contenue, nous cherchons en pareille roche une vérité de bon aloi et d’importance, nous voulons savoir ce qui est de cette roche des temps alloués, nous voulons comprendre long et beaucoup et encore plus sur tout ce qui ici nous regarde, nous lorgne, nous mate, nous espionne presque, ne cesse de nous surveiller ou tout comme, nous voulons savoir à quoi ressembke cette chose d’une ezntrée à sonorités, à quoi ressemble-t-elle ? nous voulons savoir ce qyu’il en retourne de pareilles sonorités ? chant de buffle ? chant de bison ? chant de bouquetrin ? brame  du cerf ? brame du rut ? nous voulons comprendre ! nous voulons savoir ! ohé du tonneau ! nous vopulons comprendre et savoir la Chose ! quelle est-elle ? de quoi s’agit il ? où sommes nous ici qui regardons au devant de nous le spectacle des embruns ? nous voulons savoir et comprendre au plus juste ce qui donc ici m^me (paroi du temps) nous regarde à dson tour, car il s’agiit d’yeux de roche dure, il s’agit de regards déposés, d’un regard sur soi, un oeil nous regarde et c’est l’oeil d’une bete de roche, bete fauve ou bete de trait, ou bien la biche de céans, ou bien le chevreuil bambi qiu batifole en veux tu en voilà à même la roche nue, escarpée, massive, tangible du temps, nous disons que nous voulons savoir ce qu’il en est de toute cette chose ici d’une roche des temps impartis et pour ce faire nous courons à qui miuex mieux autour des betes, parmi elles c’est à dire comme elles, nous voulons savoir ce qui est, ce qui respire, ce qui «buffe», ce qui chante, ce qui trépigne, ce qui regarde, ce qui sousque», ce qui tire à elle ou à lui, ce qui implore, ce qui nous aspire, ce qui nous implore, ce qui nous attire, ce qui nous surprend en plein ébats, etc, bnous sommes deux qui nous présentons devant elle (ou lui) et nous déclinons nottre identité : « je suis le cerf des bois», « je suis la biche des prés», « nous sommes les amants de la paroi nacrée, nous nous aimons d’un amour sans borne, notreeamour est un fleuve, une sorte d’embardée native, nous sommes deux qui nous aimons sans ombre, notre amour est embaerdée native et nous donne le temps de nous mettre au parfum de la roche dure, nous sommes ainsi qui venons près de vous nous informer et comprendree ce qui ici se joue en termes de volonté de vérité, ou comment dire cetrte chose d’une sorte ici de découverte ? nous poussons les choses ! noius voulons comprendre aub plus près des choses de la roche, nous ne voulons pas rester sur les bas côtés, nous voulons savoir et comprendre au mieux ce qui est en cette roche qui semble nous appeler, de quoi s’agit il ? nous voulons savoir ce qui donc ici se trame en termes de vérité, de volonté, de vouloir, de vraisemblance, de vérité nue, nous voulons comprendre cette entrée ce qu’elle est au juste pour nous, une entrée dans une roche ? une anfractuosité ? une porte ? un sas ? un trou borgne comme un  coquillzage ? deux mains offertes grande ouvertes ? une vulve humide ? un caillou ? nous ne savobns pas ! nous ,ne savons pas ce quil en est de cette chose ! nous ne savons pas ce qu’il en est de cettye chose ouverte, de cette faille dans le temps de la roche perlière, nous ne savons pas ! nous cherchons ! nous vboulons comprendre ! nous voulons comprendre au mieux les enjeux et les réalité ! nous avons pour ambition de comprendre au mieux les enjeux et les réalités de pareille entrée en cette roche dure des temps impartis à une vie de roche et de damné ou comment ? car nous sommes deux ici, debout, accolés, qui regardons debvant nous, qui n’en loupons pas unev miette, nous suivons des yeux kles embruns qui sortent de la bouche ouverte, ça y va ! ça fume que tu fumeras ! ça n’arrete pas ! nous sommes témoins de cette chose ici (roche) que nous écoutons , et cette chjose vient de loin en elle : éructation ? chant de paroi ? trépignement de bete ? chant des sphères ? acoustique drue ? nous voulons comprendre le plus car nous sommes avides de savoir ce qu’il en retrourne et nous ne voulons pasc lacher la chose de sitot mais tout au contraire ne plus reculer et nous jeter en elle, en  cette bouche des apprets, ou des appeaux, ou des appats , ous des quoi ? qui nous «nargue» ou non ? pas loin ? qui du moins nous regarde avec des yeux langourezux qui semv$blent nous dire de ne plus lazmbiner et de sauter le pas, d’y aller de notre élan, de franchir le paravent ou comment dire ? nous devons comprendre ici : 1, que nouys sommes deux, 2, que nous sommes face à quelque chose qiu ressemble à une ouverture de quelque chose, 3, que nous sommes invités 4,, que nous sommês plus qu’invités, presque poussés voire carrémeznt bousculés ! 5, que la mort est cette chose d’un devant de soi pariétal comme une oeuvre ! que l’art est une sorte de pis-aller de première, ce que l’on avance devant soi à notre place, et voilà !, nous pensons que cette chose est une chose qui se doit d’etre révélée, et que dès lors, dès lors que cette chose serza révélée, alors nous serons soulagés, ou sinon soulagés nous gagnerons dès lors en sérénité ou sinon comment? en joie ? en qsuoi ? car nous sommes deux à espérer ! nous regardons devant nous, nous sommes deux qui regardons devant nous cette chose, cette chose d’une sorte de paroi ouverte = sectionnée, fendue comme une huyittre, nous regartdons, nous pensons que cette chose est douce, nous pensons que nous devons comprendre à deux cette chose de peu qui est ce mot-bete de peu à savoir cette chose rase, qui est cette chose d’un peu qui nous regarde, chose douce ou dure selon les moments, nous pensons que nous avons à comprendre cette chose ici d’une sorte de paroi de roche ornementée qyui nous regarde, bouge avec nous, est betes de somme ou est couverte de bete de somme ou bien se voit couverte ou qui se voit couverte de bete de somme ou de charge (etc) qui sontr NOS betes soit NOs mots-betes de vie donnée ou octroyée par en  nous la bande = cette chose tictaquant la vie, nbous voulons comprendre cette chose en  ous qui résiste, ce qu’elle esst, ce qu’elle signifie, ce à quoi elle se rapporte, qui parle en  ous ? qui s’exprime en nous ? qui dit ce qui est ? qui s’exprime et dit ce qui est de la vie et de la mort en bnous ? sommes nous mortels ? sommes nous des etres de faible pouvoir ? sommes nous des etres forts ? sommles nous des etres durs ? sommes nous des etres soyeucx ? sommes nous des etres attentifs ? sommes nous des etres éclairés ? sommes nous dees etres finis ? sommes nous des etres vifs ? sommes nous des etres langoureux ? sommes  nous des etres amoureux ? sommes nous des etres hjustes ? sommes nous des etres intuitifs ? sommes nous des etres meurtris ? sommes nous des etres à paliers ? sommes nous des etres jeunes ? sommes nous des etres n,aissants ? sommes nous des betes de joie ? sommes nous des betes de peu ? sommes nous des betes de cran ? sommes nous des betes douceuureuses ? sommes nous des betes racées ? sommes nous des bêtes vives ? sommes nous des betes de fond ? sommùes nous des betes de l’au dela pariétal en fond ? sommes nous ces betes de roche qui batifolent, vont et viennent et ne s’arretent plus de s’amuser ? sommes nous de ces betes de hhjoie qui, en roche, ne cessent de batifoler et de s’amuser ? sommes nous des qui nousamusons à batifoler sur roche pour percer icelle d’un coup bien placé? nous cherchons à nous immiscer dans la roche, nous sommes deux (en nous ?) qui cherchgons à (donc) nous immiscer au plusjuste en pareille roche du temps alloué, nous avons franchi des paliers (oui) et nous voulonq aller le plus loin possible, loin de chez loin, en pareille roche des temps, en cette roche dure du temps de la paroi ornementée par x hommes des cavernes avant nous, x + 1 dirons nous, car nous sommes «homme des cavernes» = je suis cet hommùe des vcavernes ou cette femme des cavernes venu ou venue satistfaire en moi cette bete de poids qui renâcle en moi et cher che une issue de moi, qui, bete-mot, bete de roche, cherche, e, n moi, à sortir de moi, soit à sauter le pas et franchir la paroi etc, nous disqons que nous avons à faire ici même cette chose(en roche) de toucher le fond de la grotte et cela fait de remonter ? nous didsons que nous avons à faire en roche une chose, cette chose est dx’importance,   ette chose est d’une importance capitale, cette chose est d’une importance considérable et ne doit pas  être galvaudée, cette chose est d’une importance première, capitale, et en aucun cas ne doit etre maltraitée ou sousestimée, etc, nous disons que voilà ce qyui est ici : la mort est la chose rude des temps, la mort est cette chose rude dezvant soi, la mort est l’oubli de ta race, la mort est calfeutreée dans son réduit de bufe, la mort est une enculée de ta race vive, la mort est pute borgne de ta race vive, il semblerait que chose soiyt ici cette sorte de salope ! il sembklerait ici que cette chose soit ici cette chose ici d’une pute borgne ! salope! oheé du tonneau où es tu ? nous avons besoin de ton aide pour savoir la chose ! nous voulons connaitre les ressorts secrets qui président ! la mort est elle une enculée ? la mort est elle une enfoirée ? la mort est elle une pute borgne ? la mort est elle limpide ? nacrée ? aux couleurs vives ou bien la moprt est elle mal fagotée, débraillée, mall fuichue, mal tenue, mal mise ? nous voulons comprendre les ressorts de ce qui se trame devant nous qui nous attend et cette chose peut on décemment l’espérer ? peut on espérer d’un jour savoir ce qu’il en retrourne ou bien macache nous ne saurons pas, peut on ? peut on savoir aujourdhui des choses ? peut on savoir déjà aujourd hui des choses sur pareille chgose d’une sorte de parois toute fissurée ?  nous avons envie de sa voir ce qui se trame ! nouys voulons savoir ce qui setrame ! nous ne voulonbs paspasser à côté ! nous voulons connaitre les tenants et les abouttissants de pareille chose aux embruns : qui chante devant nouys ? de quoi s’agit il au juste ? d’un chant véritable ? d’un bruit ? du bruit dans la fente ? du bruit de roche vive ? de quoi s’agit il ? nous voulons savoir ce qui est en cette roche des attraits et poour cela nousaavons à nous rapprocher de la fente marquée, tracée dans pareille roche des temps assouvis ! nous nous approchons ensemble : homme et femme de laroche dure, nous sommes les hommes et les femmes de lla roche dure, nous nous tenonspar la main, nous sommes tous les hommes et toutes les femmes (et les hommes et femmes en devenir) de laroche dure : tous et toutes, et nous tous, tous et toutes, main dans la main, formant une ronde, un cercle de feu, nous nous approcheons de cette porte des enjeux, nous nousapprocjhons de cette porte «fole», nous pistons la Chose, nousd ne voulons pas nous arreter en si bon chemin car ,ous avonstrotté beaucoup, nous avons jusque là beaucoup trotté ensembvle, tous et toutes, tous les hommes de laterre et toutesles femmes de laterre, tous les hommùes et toutes les femmes, tous les etres humaine et peut être toute s les betes humaines aussi, etc, nous tous, tous et toutes avons trotté, avonsfait un chemin de fou, ce chemin tracé sur roche (sas des sas) est le chemin de tous les hommes et de toutes les femmes de la création depuis le premier jour du monde imparti, nous nous donnons la main, nous nous donnons la main ouverte, nous nous donnons la mùain droite et la main gaiuche, nous nous donnons les mains, nous nous donnons 1 un-e main, et 2 une autre de part et d’autre, nous sommes binaires, nous sommes à deux volets de roche comme une sorte de doublure en soi de part et d’autrte, nous sommes deux en nous qui donnons nos mains pariétales, droite et gauche, à celui ou celle qui nous accompagne et elle ou lui idem: à tel ou telle qui accompagne, et ain si de suite une humanité entière, nous sommes l’humanité en roche, nous sommes en roche cette humanité plénière, tous et toutes en scène, nous allons de concert, tous les hommes et toutes les femmes, nous tous, nous allons nous tous en cette roche des embruns de bord de mer, nous nous tenons tous et toutes par la main, nos mains respecrtives sont ouvertes, bnous avons les mains ouvertes, nous ouvrons nos mains pour les offrir à tel ou tel congénère, bnous sommpes ensemble tous et toutes un ensemble de hjoie, bnous tous sommes ensembvle cet ensezmble musical de joie binaire, nous allons ensemble sur roche  chanter, nous sommes ensemble qui allons sur roche chanter tous et toutes! nous ensemble sommes qui alloons chanter le chant de la roche des temps ! betes de joie ! betesracées de la joie de l’etre ! nous chantons ensembvle le chant de la roche du temps : des insabnités proféreées ! nous disons ce qui nouys pèse sur le coeur , nous disons à hzaute voix (une humanité ! ) ce qui nous pèse sur le coeur à tous ! nous ne lésinons pas sur les termes choisis en termes de grossiéretés et de vilénies, et de méchancetés gratiutes ou pas car le prix à payer est fort ! nous ne lésinons pas sur les infamies ! nous ne lésino, ns pas pas sur les saletés ! nous ne l»ésinon,s pas sur les puanteurs ! nous ne lésinons pas sur la méchanceté gratuite, fausses vérités, fausses dites, faux dits de la roche, noyus ne voulons pas nous passer des dires ! nous voulons poursuivre ! nous ne sommes pasrassasiés ! nous voulons continuer notree chemin de roche dure ! nous voulons continuer sur notrte voie tracée ! nous ne voulons pas nous arreter en si bon chemin de roche pârcourue! nous voulons savoir les choses du temps = ce qui nous attend, ce qui setrame, ce qui est qui nous regarde zau loin, ce qui est qui s’ouvre à nous comme une bouche, no§us voulons savoir ce qui est en  ous qui cherche à sortir de nous via le verbe prononcé, car il est une chose ou cette chose pour nous qui nous parait, comme quoi quelque chose en nous cherche à sortir de nous via l’action renouvelée, continue, du verbe en nous : dans notre bouche mais passeulement ! des mopts cherchent à sortir de nous, via la bouche mais pas seuylement = des mots-betes ! on sait cette choes à présent, cette chose est à présent entérinée, est comprise, on sait cette chose en nous mêmes de mots-betes de première, et ces mots-betes sont en nous logés (où ?) qui nous gouvernent et cherchent par tous kles moyens àb sortir de nous pour aller se ficher sur roche, pour direct aller à trouver sa loge, etc, noussavons cela ! nous ne sommes pas tout à fait sans savoir certaines choses concernant la vie qyui brûle sa chandelle en  ous, nous ne sommes pas compl,ètement brûlé de l’intérieur,  nous savons des choses, nous savons la bete en soi qui trépigne et veut sortir coute que coute à tout moment, nous ne sommes pas complètement inculte, nous ne sommes pas complètement idiots, nouys ne sommes pas complètement cons, nouysq ne sommes pas complètement bouchés, nous ne sommes opas complètement abrutis, nous ne sommes pas complètement tarés, bnous ne sommes pas complètement crétins, nous n,e sommes pas complètement fous, nbous ne sommes pas complètement racés de la race, nous ne sommes pas complètement diingues ou dingos de ta race ! nous sommes éduqués et connaissons un grand nombre (déjà) de choses importantes comme par exemple le fait (une évidence) comme quoi en bnous ecxiste un animal de poidfs qui est notrte double interne, celui qui nous gouverne, qui gouverne notre vie et nous pousse ici ou là dans nos retranchements pariétaux ou dans les directions qui lui conviennent en fait de directions de type pariétales, nous ne sommes pas complètement abrutis, nous savons dees choses : cette bete en moi qui me mène pâr le bout du nez , qui cherche paroi du temps, qyui cherche pitance en roche dure, qui cherche uun savoir rupestre, une envolée grotesque (?) ou comment dire ;: sur la roche des temps durs , sur pareille roche des temps qui sont durs pour tout le monde y compris pour ceux qui sont ceux là qui se tiennent sur roche à l’écart du bruit, des sabots du temps, des piétinements, des embardées massives et autres coups du sort , nous savons certaines choses et ces choses noussommes tous et toutes à vouloir (devoir !) les chanter sur paroi rocheuse, bnous voulons (nous sommes à vouloir) chanter cette Chose ! nous ne voulons pas rester à part, nous voulons etre compris dans laronde ! nous voulons compter ! nous voulonsfaire partie du nombre ! nous bne voulons pas etre écaetés ! nous ne voulonsmpas etre mis au ban de l’humanité ! nous voulons etre considérés ! nous ne voulobns pas etre mis au ban de la société des gens de lettes, ou des gens de l’ombre, ou des gens des parois de la roche dure ! nous ne voulons pazs etre mis au ban de la soci»été ! nous ne voulons pas etre mis au ban de cette soci»éété des hommes de sang ! nous voulons etree considsérés ! nous voulons pour nous une considération de poids ! nous voulons pour bnous une sorte de consid»ération qui puisse le faire à nos yeux ! nous voulons etre pris en compte , soit : compter ! compter non pas pour du beurre mais en vrai de chez vrai ! nous voulons faire partie du nombhre ! nouds voulons etre pris en considération par la bande ou autrtement mais que ka chose soit ! nous voulons etre considéré comme faisant paertie d’une colllectivité d’»hommes et de fezmmes qui comptent ! qui font nombre ! qui font que le nombre erst ! nous voulons etre de ces hommes ou de ces femmes (enfants ou autres) qui comptent dans lae temps, qui sont incrustés dans le temps de la roche du temps ! nous voulons etre incrustés dans le temps de la roche du temps ! nous voulons comprendre le temps et nous incruster dans le temps et nous déployer dans le temps ! nouys voulonsq que notre nom soit bu ! nous voulons que notre nom soit pris dans le nombre, que nom soit du nombre, que le nom que nous portons fasse partie du nombre, que nom soit du nombre, etc, nous voulons que cette chose soit et nous permette de comprendre les tenants et les aboutissants du mo-nde de la véritén,, nouys voulonsq czette chose ! nouys voulons que notre nom soit pris en compte et ne soit pas abandonné par la roche ornementée du temps mais au contraire qu’ il y figurat longtemps et sans treve, bnous voulons que bnotre nom figure ! que figure notre nom ! que figure nom! que figure soit ! que figure que figure soit ! que cette figure du nom fasse nombre ! que la figure de ce nom de roche fa sse nombre, soit comptée ! que figure de bete de roche fasse nombre ! que cette figure de bete de roche des bois et sous-bois fasse nombre ! nous voulons que bete soit sur roche l’effigie du nom donné, le notrte, et que pareille bete-effigie gravisse les paliers, montât, sautât et se retroouvat à la droite du père, nous voulons la chose, nous voulons nous asseoir à la droite du père, de pere ancestral, cette figure de paroi, cette chose dure, ce palais rocheux qui nous tend les bras, nous avonjs gravi les échelons et nous nous sommes assis à la droite du père et à présent nous onbservons aller et venir ces troupeaux de betes près de nous : ce sont des phacochères, des chevaux, des buffles, dezs bisons, des cerfs, cdes chevreuils, des ours, des mammouths, des rennes, des auroches, etc, et ce sont des mots qui caracolent à n’en plus finir sur la roche des temps alloués à une vie (dure de xchez dure) humainec en diable, nous cherchons la chose dabs le sang, nous ne voulons pas ne pas etre, nous voulons compter pour quelque chose et non pour rien, nous voulons etre considérés comme des hommes ou fzmmes de volonté qui chassent la chose (ctte Chose) dans kle sang, bnous voulons comprendre un tout qui se trame et qui est ce tout de la roche des temps impartis,  nous voulons comprendre un tout mesuré, un tout qui est cette mesure des temps impaertis, en heures et secondes, jour et nuit, catafalques, et voilà ce qui est ici : une chose de grande importance, le sommeil,du juste, etc, nous cherchons, nous ne voulons pas nous arreter de chercher la VChose, nous ne voulons pas stoppêr dans notre élan, nous ne voulons pas nous arreter en si bonne voie car nous tenons le bout de la queue de la chose dure des temps alloués à une vie terrestre à la diable, à la quoi ? nous disons que nous voulons comprendre les enjeux qui sont ceux là qsui président à une destinée de choix, nous voulons comprendre ce qsui est ici, qui préside à une sorte de vie de roche, à) pareille vie de roche alloué à une bete consaxcrée, nous voulons comprendre les enhjeux sur roche d’une telle edstinée votive, nous ne voulons pas nous laisser sezrmonner par une entité qui serait la déité des déités, nous voulons tracer ! nous voulons en avancer ! nous voulons agir de telle sorte que voilà la chose : nous sommes nacrés nous memes, nous sommes bnous mêmes nacrés, nous sommes oints, bnous sommes endyuits, bnous sommes des etres de roche enduits par cette bande en nous quyi nous trtraverse et nous pousse à dire «notre» vérité de roche gravée, nous devons comprendre les données du mal et les reporter (en voix) sur la roche des temps de l’histoire, nous ne voulons pas paraitre pour peu, mzais tout au contraire : nous voulons paraitre pour beaucoup ! nous sommes tous qui chantons à gorge déployée le xsang de la terre, le sang ou le chant ? nous poussons ! nous ne voulons pas etre mal considérés par la Chose des temps pariétaux mais tout kle contraire ! nous voulons etre considérés par eklle ! nous voulons savoir ce qui est en roche qui va, qui fonce pour nous ; aurochs ? noudss avons poour nous cette chose (chance) de pouvoir voir, et ce que nous voyons nous donhe de kla jhoie au coeur,  ette chose est princière, il s’agit d’une couronne de bois de roche sur la tete d’une biche de paroi, nou s disons que nous sommes «vernis», bnous disons que nous sommes heureux de cette cghose en dur, nous disons que nous sommes chanceux, nbous portons sur tete cette chose d’une sorte de couronne et cette sorte de couronne est l’ornement de la paroi des tempsq, nous savons cela, nous l’écrivons en toutes lettrres dsur la roche : bois, bois, bois, bois, bois, bois , ois et cela fait nous agissons, nous sautons, nous traversons le chjamp, nous alloonsq à la rencontre ee la voix qui nous pârle bas, qui nous dit les mots de la roche et nous invite à nous poster plus loin vers les confins et c’est ainsi que nous nous retrouvons, à devoir parler les mots de la roche, les dire haut, fort, à voix scandée, comme litanie de belle roche, comme beautés dures, ou racées, comme envolées, nous disons que nous sommes tous à devoir chanter le sang de la Chose, nous disons ici que tous et toutes, sommes à devoir chantezr (vivre) le cxhant de la roche dex temps impartis alloués octroyés à une vie à la diable , nous disons cela comme quoi nou!s avons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi du monde pariétal, nousz disons que bnous avons pour nous à savoir le pour et le contre d’une telle voie d’abord : d’une telle voie, de pareille voie mena!çante, le pour et le contre, quel est il ? qui nous dira cela ? qui pour nous dire cela ? qui saura nous insdiquer la voie la meilleure à suivre ? qui va savoiir nous dire la voie kla meilleure ? qui va savoir nous dire et nous indiquer par où passer pour toucher la Chose ? qui est qui ? quyi sait les choses ? qui sait ce qui est ? qui connait le nom  vrai  ? quii a cvompris ce qui est ou était pour soi en cette roche des embruns ,? qui peut nous aider à aller de l’avab-nt sans encombre ? qsui peut nous soulager par le rire, le rire ou le dire, qui ? qui pourrzait ? qui sait ce qsui est ? qui sait ce qu’est le dire du temps? quyi peut nous éloigner des tourments du temps ? nous sommes deux (en n ous) qui voulons agir sur la roche et nous lzaissezr porter par le sens des choses , nouds ommes deux en roche quivoulons aller en cette chjose, nous vopulons aller en cette chose d’une sorte de paroi votive, nous voulons ensemble aller en cette chose d’une sorte de paroi du temps qui serait pour bnous la roche des temps alloués, nous voulons comprendre les resxorts cachés qui sont ceux de la paroi du temps et pour ce faire nous allons, nous passons ensemble les chemins de croix et voyons les ames des betes défiler, nous ne voulons pâs passer pour niais, nous voulons passer pour ceux et celles qui en savent long, bnous ne voulons opaspâsser pour des etres de peu mais nous voulons passer pour des qui savent long sur ma question, qui savent beaucoup, qui savent plein, qui saventb lourd, qyui savent l’aurochs et le bison des roches, nouys sommes hommes-femmes des abois, nous sommes hommes et femmes des abords de roche aux abois, nouys voulons sqabvoir coute que coute et pour ce faire nous allonsgaiement à gouverne chanter notre joie de céans, bnotre pouvoir,, nos pouvoirs de roche, nos savoirs, nos savoirs incomplets, nos sentiments, nos drôles de sentiments, nos tourmensts, nos pires tourments, nos chants sacrés, nos tribunes, nos écarts, nos moralités lacunaires, nous voulons comprendre les te,nants et les aboutissants qui sont ceux de roche dure, bnous voulons savoir et comprendre le plus ee la roche du temps, aller loin en elle pour notre gouverne, aller au fin fond des tourments des temps et emmagasiner ce qui peut l’ezttre en termes de joie à agir, à faire, à conjoncturer, etc, nous disons que nous devons aller en cette roche comme deux amaznts quyi se cherchent noise pour le faire, pour un faire à dire, nous disons que nous sommes deux = deux amants qui, nous disons que nous sommes deux, qui sommes amzants, qui allons en roche à la recherche d’une vérité de poids quyi puisse en imposer et nous donner du baume au  coeur, qyui puisse nous donner la  joie d’etre sur roche amants d’icelle, nouys poussons plus loin,; nous voulons comprendre le plus de la roche et tout ce qui s’ensyuit en termes d’ornementation animalière, bnous ne sommes pas suffisamment encore informés et mis au jus de ce qui en ce lieu de roche dure se trame sous nos yeux qui sont grand ouverts pour ce faiire, bnouys ne voulons pas nous laisssrt envahir par l’abattement, nous voulons poursyuivre sur notre chemin et voir davantage, de près, les chodses du temps pariétal qui sont choses ghravées , dessinées, marqués en creux ou en rond de bosse, par des hommes d’autrefois qui sont ces hommes de la préhistoire, dfe l’histoire d’avant l’histoire racontée, nous savons cela, nouys ne vopulons pas passer pour des cr’étins de base, nous vopulons passer pour des non )-crétins, pour des qui savent long, qui per c utent dur, qui cherchent à qsui mieux mieux les notions de base, qui cherchent vif, qui ne s’arretent pas de chercher vif et qui dès lors se posent en bon chercheurs-dénicheurszs de choses devant l’2ternel, nous savons que nous avons à encore et toujours trouver à dénicher, nous ne sommes pas au bout de nos surprises, nous devons poursuivre ! nous devons creuser plus en avant encore la rocghe et graver que tu graves icelle, au plus loin de la grotte, au   plus profond de la roche en elle, au plus loin possibvle de pareille paroi qui nous tend les bras, nous voulons savoir et comp)rendre les enjeux et les dires notifiées sur roche, ce qu’ils désignent, à quoi se rapportent-ils, que signifient-ils que nous ne sachons, que comprendre  à pareils signes gravés ou dessinés sur roche ? bnous voulons déchiffer les hjiéroglyphes de la roche dure, significartions , significartions honteuses, significartions perklières, de quioi s’agit il ? notre coeur bat à l’unisson des significartions, voilà le hic ! nous voulons comprendre lesz arcanes ! nous ne voulons opas ne pas savoir ! mais tout au contraire nous voulons en savoir long sur ceztte cxhose des dessins de la roche enfouie, perlière et princière, etc, notrte envie est toujours là, qui brille de ses feux vifs, qui est nôtre en cela que nbous la conservons en n ous, à l’abri des aléas divers qui sont intempéries et autres méfaits de roche, bnous diso,ns que nous voulon cs comptrendre beaucoup pour savoir beaucoup et agir en conséquence, cvazr pour nous cette chose a de l’importancve, il s’agit pour nous de comprendre  le   pourquyoi des choses en pareille grotte, qui gracve grave ? qui ne gravecpas grave ? qui grave l’aurochs ? qui grave le temps ? qui grave une jument et ses petits ? qui gr’ave le chezval bai de l’histoire ? qsui est qsui sur roche ? qui dessine à mzaioin levée ? qui dessine cette chose d’un ours des cavernes ? qui dessinec l’ourse des cavernes: l’ourse ? elle même ? qui le sait ? nous subodorons des états de treanse et  cela à juste titre car la chose coule de source comme deux plus deux font quatre, nous szavons cela, la transe est native, elle commande de droit, elle est cette choes qui préside et se tient à la base du mobile, et qui se tient à la base de pareil  mobile que nous tous formons à tous, car nous tous sommes ensemble à tous, nous sommes tous ici cet ensembvle de bure, bnous sommes tous et toutes ensembvle (main + main + main + main + main + main $+ main etc, ensemble, pour la chose à faire, nous faisons = bnous marquons, notre empreinte est celle  que nous sommes à faire , nous faisons lza chose enswemble à tous, nbous sommes ainsi, nous faisons ensemble, des mains de tribu, des mains sur la roche, nous les déposon,s, nous sommes soumis à une sorte en  ous de manoeuvre qui bnous fait aller à graver sur roche et à tracer des mainssurnuméraires en veucx tu en vcoilà à même la roche du temps, nous ai:mons les mains votives, mains catatoniques, nous voulons noter notre chant de joie par la bande allouée de larocxhe dure des temps impartis à une vie de roche dure , nous donnons notre sa nfg de joie, bhous marquons la piezrre, mon nom est celui qui se voit, je vois en cette roche la lumière, prenons-en de la graine, mon corps est divin comme une prière et cepezndant voilà ce qu’il advient de pareille prière: elle se meurt sur rocher de buve, nous ne sommes plus en meswure de la sauver : eeele mùeurt, ce qui meurt est cette joie de soi offertte sur roche, il s’agit d’une sorte de joie native, comme une sorte de présent à déposer un temps mùais ce présent fera long feu et tombera dans les oubliettes et voilà ce qui arrive et du coup à nous de revoir le tout et de recommencer l(‘opezréation encore et toujours d’un sauvetage, cette opération de paroi qyui est cette cxjose qui pour nous a de l’importance en cela que nousq axons le tout de nos vies de roche sur l(image prononcée (-grav»ée) censeé nous représentezr, nous ne sommes pas en reste d’agir de la sorte , c’est à dire de peupler la roche de nos noms , espérant de la sorte sauver notre mise, la voir fructifier et tenir dans la durée comme un compte en banque qui sé’élèverait au fil des mois, qui groosirait et nous réjouirait, nous voulons savoir les choses les plus simples les connaitre, connaitre sur roche, savoir loin, toucher au but, comprendre le mal, la douleur, la joie à etre, les embruns lointains, la bouche ouverte, etc, notre but est de creuser dans la profondeur de laroche les données, nous  ne voulons pas passer à côté,, nous voulons sqavoir ce qui est, nous voulons savoir à quoi les choses ressemblent, nous voulons szavoir à quoi ressemùblent ces parois de roche des temp^s : sont elles orneme,ntées par la bande ? ont elles des ressorts secrets à fouiller ? doit on s’enquérir fissa de la chose ? devons nous nous porter loin en elle ? devons nous nous porter loin en cette roche des données primairesc ? devons nous nous déporter un poil et voir ce qui, de biais, semble nous parler ? devonds nous comp^rendre le nom des choses à l’aune de la voix qui les susurree et les porte au jour ? devons nous dire les mots que nous connzissons à voix hzute , puis devons nous les inscrire sous forme animale suur la roche ? incantations ? cantates ? chants de la roche et des soupirs ? distributions de présents xd’offrande? que devons-nous faire ? ou pleurer alors, chanter le pleur de la roche dure au contact, le choc ? le choc des pârois ? nous avons à dire cette chose d’une sortye d’incantzatiion ,  ‘incartade ,nbous dezvons dire une cxhose et cette chose est incartade et incantation ! nous avons à dire-graver une chose qui est cette chose d’une incartade dans l’incantation ! bnous voulons percer la voie d’abord vers un au delà pariéytal salutaire et pour ce faire : incartade et incantation, les choses allant cde pair ! nous voulons aller dans la profondeur longitudinale des choses, notre but est toujours le même, celui là qui nous fzait dire-graver les betes-mots que nous connaissonscmieux que personhe pour les contenir, pour les contenir en nous mêmes, les avoir en creux, en nbou-memes soit en cet antre, en cela en bnous qui est antre ou outre ou ettre ou étant ou ventre, nous voulons dessiner ces betes de roche et de ce fait avouer (à part nous) le pot aux roses qui est cette chose commùe quoi nous ne sommes pas seuls en  ous, nbous ne sommes passeuls à fouailler,  à chercher pitance dans larochje, nous sommes porteurs de bete de roche, nous sommes porteurs en nous d’une ou de plusioeurs betes de roche dure, nous sommes pour nous porteurs de ces betes de roche dure qui vont et qui vgiennent , ornemantant la roche de leurs pas de charge, nous voulons qavoir cecqui est en cette roche des temps donnés, des temps de roche dure comme de la pierre, ces temps sont nos alliés et cependant, nousq sommes «en souffrance» depuis les premiers jours ce notre venue au monde et nous le disons, bnous sommes dans cette soufffrance de la v enue, nous sommes dfans cette souffrrance de cette venue qui est la notre au monde des rois,  n    ous sommes dans cette soufffrance qui nous voit graver la bete des rois sur roche, nous sommes des hommes et des femmes en souffrance, nous pleurons nottre souffrance, nous pleurons notre joie-souffrance de bure et allons par les chemins de la voie du sang, bnous voulons comprendre ces chezmin s et les arpenter comme des animaux que nous sommes aussi, bnous ne voulons pas rester en rade, nous voulons marcher, nous voulons tracer chemin, nbous vopulons avancer, nous voulons etre mus de l’intériuer par uune voix en nous qui nous guide ou guiderait jusqu’aux confinds des temps de la roche, nous voulons connaitre les tourments du temps et les soulager par la bande votive, nous ne voulons pas paraitre cpour des riens de rien, nous voulons paraitre pour des etres de poids, qui importent, qui ont de l’allant, qui sont reconnus à leur juste mesure : taille, poidfs, mots induits, courage et volonté, sens des choses, opportunitesz, etc, nous disons que nous voulons sacvoir ce qui l’en est de toute l’affaire, cette cghose en creux qui se dessine au fil du temps, quellme est elle ? de quoi s’agit il ? a ton besoin d’(elle ? sommes nous assez polis ? abvons nous gagné des suffrages ? sommes nous soutenus ? avons nous pour nous un électorat ? avons nous toutes nos cxhances pour nous ? devons nous nous présenter sur roche d’allant comme des betes-mots de rage, ou bien devons nous poussser le cxhant guttural de cette meme bete en  ous qui pousse «au cul» de la roche (pour ainsi dire) ? que faire ? nous disons : je sui, pour dire «j’aime» et voilà ce qui est sur roche, ce j’aime» est une sortie, une entrée dans laroche et une sortie «de k’autre côté», nous ne devons pas hésiter, nous devons foncer en pareiklle roche des temps à la travzrsée et ce faisant trouver à qui s’adresserv»de l’autree côté» et ce qui est est cette chose susnommée : la chose du sang, cette chose en passe d’aller vers le fond, cettre cxhose est en passe d’aller vers un fond qui est ce fond de la roche du temps, nous voulons aller en elle ainsi et souffler sur elle : parler notrec souffle buccal, nous donner ainsi en offrande : nous ! en tant que nous sommes vivants agissa nts, 

et que dès lors nous consumons nos vivres internes, nhos betes lascives fichées en nos antres, nous disons que nous avons : à donner de nous ces betes de poids qui sont des mots-betes à la retombée, nous disons que ces betes en bnous se transforment, une fois de nous dégagées, et deviennen,t des mots cde rage gravée pour en imposer := choses de rudeur, chosee de roideur, choses dures comme roche, etc, nous disons que nous avons à faire cela ensembkle (main dans la main) en nombre, nous disons que nous avons encore à dire cette chose ici comme quoi nous sommes du nombre et comme quoio nous poussons les cghoses à leurs extrémitées, bnous ne changeons pas de registre, le temps est donné (présenté) sur la roche en tant que don de soi pour la gouverne princ!-ère, nous ne voulons pas tergiverser : notre don est  celui là que nous pouvons donner par deverts nous et nous nou!s excusons d’exister de la sorte = vivant da,ns le dsan,g, nous nous excusons dès lors de ne pouvoir offrir le sang total à cette deéité de la roche nue, nous nous excusons par la bande et par le centre, de cette cxhose ne pouvoir donner, qui est le sang total de destinée rupestre, nous disons notre lamentation, nous ne pouvons pas y couper, nous disons notre choix, nous disons quye nous sompmes deux à trouver la voie dans la roche et à chercher en elle un semblant (sang blanc) de vérité à lzaquelle ensembvle se raccrocher, bnous ne voulons pas périr dans la demeure du seigneur sans un don de soi qui le fasse , et voilà pourquoi nous allons en roche, tete première (kla raison) pour nous donner ainsi, tete première, en roche, nous donner ainsi, donner de soi quelque chose ou ce quelque chose qui compte et fasse pôids dans la balance, du moins un temps, une bete de poids : un gros mot = une incantation, car l’incantation est gorgée d’insultes votiveqs, l’incantation de roche est ainsi perckluse, eelle est cette outre pleine de «gros mopts» qui en imposent fort et impactent dur, nous voulons comprendre loin et dès lors nous nous enchâssons deans la roche  du temps à laz recherche d’une sorte de formule de piété qui saura nous délivrer de laruse , de pareille ruse en nous (bestiale, méchamment bestiale) qui nous use à petit feu tout le long de la vie, nous ne voulons pas mourir ! nous ne vcoulons pas céder ! nous ne voulons pâs trembler ! nous ne voulons pazs rire de nous ! nous ne voulons pas toujours rire de bnous ! nouys ne voulons pas mourir cde rire de nous ! nous  ne voulons pas aller à demeure sans clartés ! nous voulons connzaitre le mot de la fin ! quel est donc le mot de la fin ? nous ne voulons pas céder au premier coup du sort ou du vent qui serait venu à bnous par la bande ! nous voulons choisir en toute conscioen,ce ce que nous voulons pour nous et nottre vie ! nous voulons comprendre les données les plus p^rimaires, les premieres doonnées de roche, les comprendre à l’aune de la puberté, de l’évolution, de la chose en ma rcxhe des tempsq, nous vopulons toucher latimbale de ces temps de roche, et ce dans chose, et ce dans la hjoie de se sentir comme soutenue par la bande traçante du temps, nous voulons aller en roche à la recherche des tourments du temps afin de les comprendre et de les soulager autant que popssible et pour cela n ous nous immisçons à toi à moi ensembvle dans le sang de cette CXhose sus nommée, qui est la vie de roche vive, nous voulons toucher la Chose, nous voulons nous en approcher, nous voulons l’entendre souffler, entendre son souffle à nos côtés, qui est elle ? qu’est elle ? qui est elle pour nous ? qu’est elle en vérité ? qsui est elle en vérité ? qu’est elle pour les cerfs et les biches des présq ? q’est elle pour nousd qui l’aimons par coeur ? qui est elle pour nous qui la regardons se placer pres de nous ? qui est elle pour nous qui la voulons pour nous ? qu’est elle en ce sas des choses du monde ? quyi est elle sous le vent ? qui est elle en nous qui la voulons pour nous ? que pense t elle ? que pense la mort ? que pe,nse la mort en nous ? en nous ou hors de nous ? que pense la mort hors de nous ? que pense la mort de nous ? commùent la mort voit elle les choses de kla vie ? que voit la mort ? que dit lma mort ? que veut la mort ? sque chante la moprt ? que renifle lza mort ? que pue la mort ? que travaille t-elle au corps ? que nous veut elle sur roche du temps ? que va t-elle faire de nos tourments ? que dit elle à la dérobée ? qye chante t-elle dans les allées du temps impaerti ? que v eut elle nous signifier ? ezxsite t-elle pour de vrai ? est elle un mensonge ? un mirage du bois joli ? une beauté nacrée ? un dessous de table ? une rancoeur ? une frayeur ? un chant inaugural ? une douceur ? une densité ? une monsqtruosité ? une relique ? un chandail ? qui est la mort pour nous  ? est elle une donnée suûre sur laquelle pouvoir ta bler pour de vrai ? est elle une chose de peu : bure ? est elle un rien qui se pose là ? est elle ce rien qui se pose là ? est elle un rien qui en impose ? est elle du vide ? est elle un chant de paroi orné par un hommùe ou un e femme des cavernes ? sommes nous en nous des hommes et des femmes des cavberneqs ? a t on en nous le souvenir de cette époque de la  vie humaine ? sommes nous des etres de peu comme hommes de peu de joie déployée ou bien des etres pleins de cette joie massive de l’aurochs? bnous devons cfcomprendre une chose qui est cette chose comme quyoi nous sommes en nous des etres de peu, bnous devons comp^rendre cette chose commùe quoi nous sommes en  nous des etrtes de peu de foi en nous en tant que tels, nous avons en nous cette chose d’une foi qui est une bete qui est un mot qui est une phrase de tete,, nous disons «de tete» ce que nous savons, voilà l(histoire ! nous disons «de tete» ce que nous savons de la Chose des temps, et  cette chose est chose dure en cela que son corps est dur, sa voix est dure, ses habits, son allure, sa présence, tout en elle renvoie à de la dureté de roche : la mort a pour nous l’aspect de la roche, c’est dit ! nous disons que la messe est dite (ce faisant) ! nous disons cette chose ici, comme quyoi nous pensons que la messe est dite, alleluyah! nous penso,ns ici que cette chose est une chose qui en impose mais qui est fuyante, nous pensons que cette chose (Chose) est chose fuyante, est chose difficile à cerner, à d»éécrire, à évoquer par le menu, nous disons que nous devons aller , aller loin en elle pour comprendre ce qu’elle est, nous disons que nouys solmmes deux à savoir, nous disons que nous sommes deux à chercher la voie, bnous disons que nous sommes deux à vouloir comprendre les ressorts du temps, nous disons que nous sommes deux, à vouloir aller loin en cette  cxhose d’une vérité de roche à découvrir comme d’aucuns dénichent des betes, des oiseaux de belle augure, nous voulons savoir ce qui est en cette roche des te:mp^s à nous alloués et ce qu’il dès lors nous incombe de faire en retour, nous ne voulons pas mourir «de t^te», nous ne voulons pas subir les affres de la cxhevauchée pâriétale et nous faire écraser par les sabots des betes de poids qui chargent, nous voulons rester bien en vie, bnous savons cela «de tete», nbous voulons conserver nos droits, nous voulons conserver en  ous ce qui peut l’etre et si possible ce qui fait de nous des etres dx’élan, et d’allant, ou d’allant, d’élan ou d’allant, car nous sommesdeux à vouloir cette chose ici dire , comme quoi nous sommes (nous deux ? tous et toutes ? tous et toutes) des être de poids qui sortent du nid et voletteznt à qui mieux mieux dans les embruns, nbous avons la chance de vivre, on est cette cxhose que nous dép^loyonsdans la roche, nous sommes cette chose de roche dure que nbous affirmons par des betes-mots à meme la paroi, à coups de pierre tailklée, à coups de baton brulé, nbous voulons une effigie de la chose interne, cette chose en nous qui nous gouverne et nous mène par le bout du nez, nous voulons savoir les donnéesq, les avoir et les savoir, les connzaitre de pieds en cap et les dessiner sur rochje pour l’éternité, pour l’éternité les dessiner sur roche et les regarder pour l’éternité, pour l»éternité avoir dezvant soi la bete à regarder, la vie donnée, la présence offerte, cette joie-souffrance animalioère qyui va et qui vient sur roche, qui nous suit du rezgard, qui nous regarde dans le blanc des yeux, nous sommes la Chose à elle donnée, nous sommes la Chose de la bete gravée sur la roche, nous sommes cette Chose d’une vérité prononcée à la cantonade,  cette chose offerte sur roche, sur paroi, au bois brulé , au manganèse, etc, nous voyons la chose s’élever et nous chantons son élévation : mort à la vie morte ! mort à cette vie morte ! nous chantons crions nos élévations ! nousd sommes deux au monde, un sien et un tien, qui chantons la Chose ! hosannah au plus haut des cieux de la roche ! nous sommes deux (en nous ?) qui chantons hissons ! nous chantons hissons la chose ! en incantatations ! nous disons la CChose brutale,  cette Cghose est la Chose brutale, cvouperet, canif, qui vient sur la roche trancher de but en blanc et nous verrouiller cxomme des moins que rien, nous ne voulons pas de cette chose ! notre voix s’élève dans le cxiel , bnous sommes soumis à une cxhose dx’i:portance en nous qui renâcle et cette chose est animalière on le sait : une bete de poids force en nous le verrou dxe la gorge, elle veut prendre l(‘air , déverouilklons-la pour la peine, ezlle est la belle bete de paroi, bientot bete-mot swurnuméraire, xchant choral rocheux, prise de bec pour ainsi dire avec déité en fa ce de crabe, nous voulons comprendre la chose de près, nous voulons chasser cette chose et la poussser loin en ses retran,cxhements, nous ne devons pas lambiner, nous devons pousser fort et loin la chose de roche, nous devons loin et longtemps poussser icelle en ses extrémités car la mort est longue de vie, elle est cette longueur de vie raide, tenace, coriace, dure, qui impose sa gouverne à qui veut l’ezntendre et comment ne pas l’entendre quands on est comme nous munis d’oreilles d’écoute nerveuse, comment ne pas faire ? comment se fermer en soi à une écoute (on voit) obligée , comment ? nous ne savons pas, nous ne savons faire, nous ne pouvons pas, nous ne savons faire cette cghose, cette chose de se prémunir, cvomment donc agir poour se prémunir ? comment faire ainsi que la mùort en soi devienne inaudible ? comment donc agir en soi pour cette chose de se prémuunir de toute écoute malheureuse ? nous voulons comprendre le fin mot de la roche dure, ce que celle ci transbahute en elle en fait de vérités de bon aloi, c’est à dire fiables, sur lesquelles pouvoir tabler, la roche est elle fiable en matière de vérité ? peut on luyi faire confiance ? est elle dure en tout ? est elle belle ? est elle ornementtée selon les canons qui sont d’actualité ? peut on tabler sur une roche du temps adoubée par la gouverne ? sommes nous (nous-mêmes) qui tablons sur elle ? pouvons bnous tabler sur la roche en termes de fiabilité ? sommes nbous des etres nantis ? sommes nbous des etres nantis de choses de poids ? sommes  nous des aurochs ? sommes nous des v... ?

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20/05/2021

nous cherchons une définition , nous sommes deux qui cherchons une définition pour un savoir à acquérir ensemble main dans la main, nous devons comprendre etv trouver ensemble le fin mot de cette chose des confins, pendaison = raison ? qui croire ? nous disons que cette chose des confins est une sorte de donnée, brute, rude, dure, qui est là sur un devant de soi, qui nous tend les bras et nous appelle, que nous dit elle ? elle nous dit de bien vouloir nous avancer fissa, de venir à elle le plus tôt possible, elle nous dit qu’elle nous veut pour la vie, elle nous dit qu’elle veut nous chevaucher, qu’elle nous aime, qu’elle nous veut dedans elle dame de compagnie ou comment car on sent en elle cette chose d’un vouloir de rage, une chose qui est là pour nous comme un tremplin pour une (autre) vie plus harmonieuse pêut-être ou alors plus douce ou comment ? nous disons que nous devons nous avancer et croire en nous, croire en cette chose comme quoi nous sommes ensemble sur une sorte de piste de danse et aussi on danse et aussi on est deux en soi à pester contre la mort à l’oeuvre et comment cela ? en chantant ? en disant ? en pleureant ? en vitupérant ? en croyant ? nous posons nottre main sur elle, elle est devant nous qui nouscregarde, nous avons posé une main sur elle, sur son sang, sur elle en sang , et cette main est cette chose, de nous, qui est cela que nous posons sur elle en sang tandis qu’elle nous regarde, et que nous regardant elle nous intimide, et voilà ce que nous faisons : nous donnons une main que nous posons sur elle, et elle de nous prendre par la main, cette main, et de nous inviter à bien vouloir la suivre, nous suivons, nous disons que nous suivons cette chose, cet être de feu, cette chose douce (dure ?) qui nous entraine et où ça veut-elle nous mener ? où veut-elle aller avec nous à ses côtés ? nous suivons la mort dans son antre, elle nous conduit d’une main, nous avons donné nottre main, elle nous tire à elle avec une main, elle nous prend vers elle en nous tirant ainsi à elle avec sa main, elle est cette main tendu, ces bras donnéds, vcette accolade (?) ou sinon une embrassade (?) ou sinon un baiser (?) ou sinon ce baise-main distingué (?)) ou sinon quoi dont nous rêvions enfant ? nous devons comprendre cette chose, comme quoi nous sommes entrainé au jour le jour par une main hors de soi, qui prend la main de nous donnée qui est le corps de nous donné, donné par la bande, nous voulons comprendre cette main donnée (la nôtrte) au côté de cette main donnée (la sienne) et cette jucxtaposition temporelle des mains forment le temps que nous avons à vivre de concert : nous savons cette chose ici comme quoi le temps est une chose qui se donne en tant que mains, rapprochées l’une de kl’autte, nous avons compris cette chose comme quoi le temps est un rapprochement de mains de femme et d’homme pour l’éternité, une sorte d’accouplaement de mains entre elles, nous savons à présent cette chose comme quoi nous sommes deux en nous pour une sorte d’embrassade, de mise en relation, de rapprochement de parois entre elles, soit une chose ici que nous devons comprendre et soumettre à notre gourverne, on avance dans un tunnel (ou tout comme) entre deux bras de mer, nous sommes ensemble main dans la main,nous sommes deux en nous, nous sommes ensemble main dans la main, nous sommes deux en nous et qui va là dès lors ? qui est squi en cette occurrence ? qui sommes nous qui disons nous et qui disons «main dans la main» en nous ? nous disons que nous sommes nous, que nous sommes deux, que deux est ce nombre juste pour soi, que soi = deux en vérité, que nous sommes pour soi : soi et l’ensembkle de l’humanité, cette chose ici comme quoi nous sommes deux en nous : nous sommes je et nous, nous comprend je et je comprend nous ? nous solmmes deux, qui marchons entre deux bras de mer et qui en avançons fissa vers des vconfins de destinée fatale, nous nous avançons ainsi vers des confins de destinée et cela est cette chose que nous comprenons , comme quoi nous avançons fissa main dans la main avec la mort ! nous avançons main dans la main avec la mort ! est ce la vérité ? faut il penser à cette chose comme à une phrase qui en dit long ? que devons nous penser de cette phrase, que devons nous penser depareille pbhrase sur la mort ? nous disons que nous sommes deux en nouys : la vie et la mort ? ou quoi d’auttre ? nous disons que nous parlons au nom de beaucoup et que ne pouvons nous en empecher ! nous disons que la parole est 1 communautaire car commune et non personnelle au tout départ, et cela a son importance dans la réflexion que nous menon,s sur la question de l’existence ou non de la mort à l’oeuvre , nous disons que cette chose (la parole) est d’abord communautaire soit le fait (l’attribut, l’organe) d’un groupe d’humain en particulioer : une confrérie, un groupuscule, une bande, un clan, une petit comité, une tribu, un groupe d’initiées, etc, cette parole échangée est le lot de tout un groupe en soi, et nous de porter la parole du groupe en notre nom, nous sommes dès lors des porte-parole d’un groupe quon le veuille ou non, nous ne pouvons en échapper, nous ne pouvons nous en échapper ou en réchapper, nous devons concéder cette chose, nous portons la parole de tout un panel de gens qui seraient comme derrièrecxnous et nous de parler en leur nom, nous pazrlons en tant que nous sommes ceux là qui portons une parole sur un devant de soi qui est ce devant de l’entre-deux, entre soi et soi, entre la naissance et la morrt, ou sinon comment ? nous disons que nous devons comprendre cette chose ici d’une sorte de communication i,nnterpersonnelle entre soi et soi, de main à main ou comment ?? nous sommes en nous des qui qui sont , nous sommes en nous mêmes des individus qui portons une parole interpersonnelle de communication spirituelle et voilà pourquoi nous allons sur pareille voie qui mène aux confins, nous voyoons cette chose au loin , cette chose d’une sorte de clarté brumeuse, les confins de destinée rude, nbous voyons ces choses au loin se dessiner et quelles sont elles ? nous voulons comprendre et aller, nous voulons avancer vers pareille clarté et nous loger en elle pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette chose dite «loge» , qui nous tend les bras, nous réclame à corps et à cris , qui est elle ? que nous veut elle ? nous parlons les mots de latribu et ce que nous disons est une parole de beaucoup de monde, nous disons que nous devons comprendre ce qui est ici, en pareille zone aux embruns, qui est qui, où sommes nous, qu’allons nous voir, pourquoi nous déplacer fissa, quelle est la raison de cette embardée rocheuse, qui va là en nous ? l’animal ? nous pensons qu’en nous réside une bete ey que cette bete est une bete de race, une sorte de bete guerrière rageuse, qui cherche en nous issue par la bande (la voix, la bouche) et cela depuis notre naissance,  nous pensons que nous sommes muni ainsi d’une sorte de langue de bouche en nous, qui est dure et pique-pénètre la roche, nous pensons que nous devons comprendre cette chose d’une sorte de paroi en dur à traverser et alors nous serons dans ce sas de l’avant-taire, de cet avant de roche dure, cette chose d’une sorte de paroi qui nous regarde et nous tend les bras, où sommes -nous ? que voyons nous ? que chantons nousq ? qui sommes nous qui poarlons une langue étrangère ? nous parlonbs une langue étrangère et cette langue est juxtzaposition, nous recouvre comme un linge, nous enveloppe, nous fait petit, nous parait grande, plusgrande que nous qui nouis soumettons à sa gouvernecmonumentale, nous disons que nous sommes plusieurs en nous, que nous sommes plein, que nouys solmmes deux au moins ou combien ? car nous sommes envahi en nous par une bete de rage, de race et de rage, qui nous mène vpar le bout du nez, qui nous pousse à nos extrémités et nous font parller sur laroche, nous pousse à parler sur cette roche des embruns de bord de mer, nous parlons et ce que nous disons (nous) est cette chose comme quoi nous sommes situés en cet entre-deux-mers de roche comme des nouveaux-nés dans leur couffins, nous devons comprendre cette chose ici et cela est cette chose comme quoi nous sommes comme des bébés de roche dure, nous sommes comme des bé bés, qui voyons autour de nous s’agiter le monde, et nous (bébés) à nous échiner dès lors, à nous escrimer à tenter de décghiffrer cette cxhose offerte à notre vue, nous voulons comprendree le plus possible les enjeux de cette roche ou roche des temps, nous voulons ensemble comprendre le plus et le plus est cette chose offerte par la bande devant nous : une sorte de moitié, une sorte de moitié d’orange, une sorte d’ame-soeur, de double en pratique, etc, nous voulons essayer de comprendre latrame des choses du monde et notzamment ce qui donc se jouerait en pareille roche concernant la moprt : qu’est elle ,? où nous mène t elle ? que voir en elle ? où se loge t elle ? que fait elle pour nous ? est elle une alliée ? est elle un pis-aller ? que dit elle avec ses bras tendus et ses mains ouvertes ? sommes nous des mains oucvertes ? sommes nous des mains ? que sommes nous ? qui sommes nous qui parlons une langue communautaire , qui sommes nous qui parmlons au nom de tous et de toutes ? où alons nous sur pareil chemin d’un entre-deux-mers ? nous essayons de nous y retrouver en cet antre de roche , mais voilà, la chose n’est pas simple, il fzaut montrer pour soi du courage et de l’entrain, nous devons pour nous mêmes montrer tout un tas cde choses à pareillescmenottes tendue, offertes, ouvertes, vides, nous voulons déposer nos biens sur pareilles menottes de gosse ou comment ? qui est cette personne devant soi ? une enfance grise ? une voix ouverte ? une parole incarnée ? un chapitre d’un livre ouvert à jamais ? nous voulons comprendre et pour cela nous disons ce que nous disons, à savoir que la mort à nos yeux est une sorte d’ouverture dans la roche, cette ouverture est une trappe, pour ainsi dire (un attrappe- mouche ? un attrappe quoi ? ) , nous pensons que nousq devons comprendre «des choses» de choix, squi pèsent, qui sontvlourdes, pour nous, pour notrte gouvernance, et ces choses de poids : penser à les restituer à qui de droit un de ces jours, nous devons comprendre une chose ici qyi est que nous sommes deux en nous à parler, mais qui est l’autre ? l’autre est la voix de la communauté, du cla,n, de la base clanique, de lma bande, nous parlons (je dis je) et ce faisant une communauté parle, parle en moi une communauté, une communauté parle en moi = une tribu, un clan de base parle et dit sa vérité moyen-ageuse, parle de loin, du fin fond d’une histoire de foi, etc, nouys disons que nous sommes mus en nous par une foi quyi est comprise (incluse) dans la langue que nous déployons communautairement de force, nous disons qye cette langue en  ous est comme un organe, n’est pas neutree,; bn’est pas sans influence, n’est pas «n’importe quoi», il s’agit d’une sorte de bras, de main, de trompê, de bras ou de main ou de tro^mpe soit cet organe en nous qui va vers dehors, vers un ecxtériuer du corps, sort, et nous voilà qui proférons (à la cantonade) nos insultes favorites, des mots grossiers, des saletés, etc, envers cette pezrsonne devant soi aux bras ouverts pour nous accueillir ou pour accueillir nos dons, car ici la chose à comprendre est celle ci ,; comme quoi ces bras qui se tendent et s’ouvrent deva nt nous sont des bras qsui réclameznt de nous beaucoup, et nous de leur donner le temps au lieu de nous (nous = nouveaux nés) : nous donnons ce temps-ruban de dépliement langagier animùalier, cette chose offerte est déposée sur ce palier, cette zone franche des mains de la Chjose, nous disons que nou!s déposons (nouveaux-nés)) cette parole déployée qui est du temps donné qyi est du verbe animalier qui est effigies, effigfies de bete-mots, betes-mots de première, nous disons que nous déployons pour nous le temps comme un ruban dans le vent et offrons ce temps vécu par nous aux bras tendus, suffira t il ? aura  t il l’impact voulu ? saura t il soulager les ardeurs de la mort impatiente ? qui est la mort ? où est elle située ? comment en parler avec des mots pareils ? cvomment parler avec des mots pareils qui sont communautaires et passent comme par un sifflet avant de sortir de nous ? commùent faire pour parler sans gêne et direct, directement de nous à vous sans passer par la case «communauté» ? nous disons que nous avons à faire cette chose d’une réflexion, nous disons que nous avons à mener cette chgose d’une réflexion ensembvle, à plusqieurs, en nbous, en notre sein, etc, concernant la mort à l’oeuvre, qu’est elle ? nous pensons que les mots glissent sur elle qui ne permet pas une approche directe livresque ou sinon livresqUe pa rolière, etc, nous dison,s que nous compreznons cettre chose de la morrt qui est ... ces deux bras, la mort est cette chose devant soi qui est deux bras de mer, la mort est cette sorte d’enveloppement binaire, cettte enveloppe binaire, à deux branches où se pendre, la mort est cette chose d’une sorte de doublage enveloppant, la mort est cette chose double, ces deux choses de droite et gauche, ces deux bras que nous voyons tendus devant nous et nous, au lieu «d’y aller» et de nous donner (à la naissance) nous sommes qui allons dépl;oyant nos temps de vies vécues, nous vivons, nous ne sommes pas offerts, nous vivons et dès lors nous offrons le temps-ruban à ces bras de Mort la belle qui nous guette, bnous offrons notre temps vécu de nouveau-né à la vie, nous offrons de nous non point nous direct (en ces bras-là) mais cette chose d’une sorte de ruban de  vie (passé, présent, futur) à ces bras de roche, cette enveloppe, cette doublure, cette antre, cette outre, cette rondeur de bras enveloppant comme accolade, embrassade, prise en elle, ailes, etc, nous pensons que cette chose est réelle qui nous regarde pour ainsi dire et nous réclame, et nous de brzailler (nouveaux-nés) dans le giron de cette mort à l’oeuvre couillée un temps par le temps que nous offrons en attendant ou dans l’attente d’offrir plus, il faut dès lors comprendre cette chose commùe quyoi la mùort est un giron, est cette chjose d’un giron ou giron d’ailes ou ce genre d’enveloppement prairial, nous pensons que la mort est devant nous (derrière) qui est cette chose ouverte comme des b ras (borgne dès lors, cette chose) qui se pointe devant nous (yeux de nous) et nous réclame (voix de buve) et nous appelle avec sa voix de roche musicale, et nous de plonger dès lors en pareil giron à la naissance ma is offrant de nous non point nos corps et ames mais le temps ! le temps que nous déployons sur la lande, syur la lande ici de terre mère, etc, nous sommes avec dezvant nous un giron qui nous attend impatiemment, il s’agit d’une paire d’ailes, et nous de ne pouvoir voir car la chose est masquée par l»espace-temps de destinée qui nous est imparti (droite et gzauche) par la bande langagière animùalière en n ous, nbous voulons comprendre cette chose d’une sorte de paroi double, elle est devant nous comme deux bras tendus (giron) qui est ou qui sont ou forment une accolade borgne, une fin de rocghe = butée , maids cette chose qui se loge devant nous, ou sepose ou se présente, est masqué par l’espace temps animalier, etc, nous ne pouvons accéder dès la naissance à la moprt à l’oeuvre devant soi car nous sommes pris dans les filets du temps-ruban déployé etc, et du coup nous ne savons pas comment fzaire pour comprendre, et  cela d’autant plus que ces mopts que nous avons en bouche nous blessent, nous traversent contree nous-mêmes ou comment expliquer la chose , car la chose avec des mots est dure à expliquer, nous sommes obligés d’employer ces mots contre notre gré et ces mots sont à nous sans plus, ils étaient présents avant notre nzaissance, dons d’une sorte d’env-olée royale, guerrière, pléni ère, de betes, bnous penso,ns que  cette chose ici d’un parler patois est une chose qui co:mpte, nous pensons que nous parlons avec des mots ennemis à soi , et pour cela (cette raison) nous devons veiller à jouer serré et à ne pas tomber dans ce panneau de la roche du temps mais à nous en tenir le plus loin possible si possible, ou comment nou!s y prendre ? nous devons comprendre ensemble cette chose comme quoi nous pazrlons cette sorte de langue étréangère , nous ne sommes plus présents en tant quee tel, nous parlons une langue qui est cette llangue qui surnage temporelle, et nous de la parler comme des enfants, nous parlons cette klangue apprise ezt inculquée par  co eur et ne pouvons plus l’oublier, nous devons comprendre cette chose d’une langue à jamais inculqué en nous, pénétreée, comment dire ? nous avons en n ous une sorte de la ngue ou d’idiome (un patois) qui est donc le support communautaire du chant que les hommes poussent en bravant la roche du temps, cela est sûr, ce patois est chose de poids commùe aurochs ou tribu de chevaux (troupeau) cela aussi est sûr ! et nous ainsi faisons allégeance , nous pzarlons à tort et à travers la langue de poids inculqué et ancrée en bnous comme un organe surnuméraire ! nous disons que nous avons en nous cette chose d’une sortye de langue acquise par la bande venue se loger en nous comme un organe, organe de  -captation rupestrte,; organe-loi, parade, parade rupestre, parade pour paradis, parade de rage car les mots chez nous ont vite fait d’enfler et de s’offrir comme des insultes prononcées à même la roche (rude et dure) du tempsalloué , nous pensons qyue cette chose (pour nous) est essentielle, capitale, première, comme quoio voilà ce qui est , une sorte de mainmise sur une persoonne ou un orga nisme, et cette mainmise est surnuméraire, il s’agit d’un ap^port, d’un conduit extériuer venant jusqu’à nous et nous dès lors d’essayer de comp^trendre ce conduit de roche, cette zone franche devant soi, cet espace bouché, cette bouche borgne, ce trou clos, cette caverne ou grotte de temps ou comment ? devant nous (qui est masq<ué par l’espace temps) il y a un giron, une sorte ce double paroi, il y a cet espace double (droite et gzauche de symùétrie) qui est cet espace formé par la réunion de deux bras tendus, un giron, ce giron est celui de la mort d’accueil, ce giron est le giron de cette chose d’un devant de soi funèbre, nous savons que nouys avons à comprendre ce devant qui est cette attente, cette impatience depuis notre naissance, et nous de nous employer dès lors à offrir du temps en lieu et place de kla vie qui bat en nous, nous donnons l’espace temps d’un temps de vie vécu, et non point notre vie battante,n, soit le coeur de notre organisme, nous cvoulons faire ceztte chose de comprendre les ressorts et pour cela nous bousculons la donne langagière et la poussons dans ses retranchements communautaires le plus que l’on peut à son échelle, bnous tentons cette chose d’une vision, que voit on ?  deux bras de rage ? que voyonsz nous ? nouys voyons dees choses devant nous et ces choses sont des bras,, soit un giron, soit un espace borgne, une enveloppe, et cette enveloppe est le chandail (peut- etrte) susmentionné, qi le sait ? nous sommes deux en nbous qui cherchons à trouver devant nous cet espace de rage funèbtre, ce giron animalier (antre, caverne, tranchée, etc) , nous disons que nous cher chons à faire cette chose d’unec percée ! nousv cherchons à faire cette chose d’une pezrcée dans le tas de laroche dure du temps devant soi, c’st à dire de l’espace-temps devant soi, cette épaisseur latravercer pour y trouver «derrière» des bras (de ux) ;: droite et gauche, tendus, oucverts, donnés pour nous, giron de dame la roche, ou giron de sieur le rocher des embruns, nouds pensons que nous devons piquer pareille roche du temps donné offert, le traverser (espace -temps pariétal, rocheux) et de l’autre côté, voir à s’offrir à ce giron donné ouvertn,, etc, nous devons comprendre cette chose d’une sorte de giron «derrière» la roche, à percer par notre pic de verbe, quel est ce giron$ ? à qyi appartient il ? que faire dès lors ? nous voulons essayer de comprendreau mieux les données de base royale rupestre et cela acquis avancer ! mais commzent ? nous sommes offrandes nous mêmes en tant que tels , nous sommes nous mêmes les présents du temps offert par la bande langa giè§re abnimalière, nous solmmes bnous mêmes les offrandes sur terre donnée, déployée, nous sommes offrandes déposées à la naissancec sur ce sol de terre mère du temps pariétal et à ce titre nous sommes en joie)-souffrance d’allure rageuse, etc, nous nous avançons ainsi, sur roche, sur paroi ornée (bouquetins, ayrochs, antilopes, juments) et ce faisant nous disons ce que bnous sommes : nous sommes des betes soit des betes-mots de rage (douleurs et du coup invectives ) , nous diso,ns ce que nous portons, ce que cela est que d’etre, etc, nousd posons la vie vécue (espace-temps communautaire) dans la balance aux deux plateaux, mais la balance est un giron et ce giron est invisible, il n’est pas visible car l’espacve-temps du monde masque son aproche, son visage de giron double, de giron à deux cotés , comme une balance de mesure, comme un visage en symétrie, etc, nous voyons le monde, comme l’enclave surajhoutée qui est enclave de bords de mer avec paroi de p^rt et d’autre qui délimitent pour nous le tracé du chemin et du coup la voie à suivre coute que coute, nbous parlons une langue chargée, multi-codée, qui nbous échaoppe grandement, apreès laquelle on court désespérement qui sommes pris de court , qui parlons en chemin et ânonnons comme des betes mal débrouillés, etc, nous disons ce qui nous passe croyant bien dire or nous disons mal ! nous disons par la bande et ce que nous disons est du mal venu de base, hélas pour nous ! nous pensons que nous devons comprendre cette chose ici, d’une mort cachée en tant que giron à double co^té , bnous pênsons que nous dezvons voir comme à déposer notre butin de vie vive mais pas tout de syuite, alors quoi ? nous chantournons devant soi la rochge ! nous creusons le temps de la roche du temps, nou!s voyons à dire, nous disons à voir, nous ttraçons sur roche du temps un chantournement, une vrille ! nous sommes avec en nous cette vrille du temps imparti qui est cette chose d’un devant de  soi par la bande et bnous allons ainsi à la recherche d’une solution à un problème, ce problème est celui ci : celui de la ba nde ! celui de lma rage ! celui de l’invective proférée ! celui là qui est cette chose comme qyuoi nous sommes placés sur roche au beau milieu de toute    c ette chose déplacée, nbous essayons de voir ce qui est ici sur roche pour nousd qui eût pu nous aider, nous venir en aide, nbous cherchonsn, nous sommes deux en  nous qui chercho,nds une solituon, qyi tentons cette chose d’une sorte de percée de roche en direct,  c  ette chose est une chose rude, car la chose est dure (la paroi) et pas facile à percuter et travezrser, nous essayons de faire cette chose d’une percée )à même la roche du temps déployé mais cette chose est (plutôt) dure à mettre en pratique car il y faut entrain, entrainement, volonté de fer, soumission à une langue raide (laide ?) etc, il n’estvpas facile du coup  de comprendre les arcanes majeurs de pareille roche du temp)s, etc, la mort est «derrière» l’espace-temps o ctroyé, la mort est cvachée et bnous «enveloppe» derrière « comme une sorte de pâroi qsui de nous ferait le tour , la grotte derrioère (borgne) etc, la gousse ou la housse ? nous pensonsz que nous devons gra tter de notre queue piquante de verbe cette chçse d’un espace-temps alloué à une vie terrestre, nous sommes dezux ainsui q<ui nous promenons sur la lande à la recherche d’une ouverture, quelque part, où pouvoir nous imml!scer ensembloe et fouiller  le centree de la terre, nous voulons essa     yerrc cde comprendre ce qui se trame dezvant nous, c’est à dire autour de nous hors de nous ! nous essayons de comprendre ce qui est de cet espèce de monde alezntour, quoi est ? q(estil ? que dire ? le monde est ce temps dép^loyé (ruban) pour nous un temps (une vie humaine) et ce monde est une paroi, et la paroi doit etre per cée, et pour cela nbous deevons employer notre pic de verbe, nous devons faire ainsi cette chose d’un emploi de pic sur roche, et percer l’icelle au pic déployé, au pic frappé , etc, ouvrir une brèche, entailler et cela fait nous immis cezr en pareeille oparoi et comprendre les arcanes secrets, etc, nous devons entrer dans la roche etvpercer les mystères de l’humanité, nous voulons essayer de comp^rendre les donnéesx qui président à lexistence de ce monde de  rochers, de roches dures, de parois, de bord de mer, d’embruns, de betes de joie, de bisons, de chevaux, de tetes de chevaux, de grossees tetes, etc, nous vouloçns essayer de comprendre cette chose ici pour nouys, d’une sorte de paroi au monde adjacent et commùent percer ladite , nous voulons essayer de comprendre cette chose pour nous d’une sorte de paroi du mondec adjacent (tout autour de nous) qui fut ou est une sorte d’encklave à parole (animalière) proférée comme de l’invective, etc, les mots sortent de notre bouche sous la forme d’un pivert, d’un bec d’entaille, pic de verbe, capable de percer la roche et graver des noms , les nôtres, pour l’éternité ou quelque chose d’approchant, nous pensons que nous devons percer la roche et kla traverser pour comprendre le giron qui nous attend «de l’autre côté», nous voyons la roche ornementée par des hommes des cavernes, ces roches sont «belles à très belles» et nous enchantent, nous donnent de la joie, nous rendent heureux et survoltés, c’est une évidence, nous transportenht, nous soulèveznt, nous font de l’effet et ce au plus haut point de la roche, nous lévitons, nous sqommes en lévitation, notre corps est soulevé, notre corps ne touche plus par terre, et entre no!us et la terre mère il y a cet espace de ciel qui fait de nou!s des etres célestes, nous grimpons à même la roche et gravons n os noms (MON NOM° en majuscule, sur paroi , comme animaux de roche, mots-betes de la première heure de naissance, nous voulons comprendre les données primaires, le chgant choral des premiers momezn,ts, où aller en pareille noce ? où se promener ? sur roche ? en roche ? dans un sas ? où se loger-lover sinon dans un sas ? et ce sas quekl est il ? il eswt le sas de la roche dure ! il est sas de roche des temps, il est ce sas de roche-parois , il est le sas d’un présent offert par la bande et comme déposé au pied de la roche céleste, du chandail ! nous diso,ns cela que nous voulons pour nous pour notre avenir : un chandail ! gousse ! voilà cette chose ! nous l’avons trouvé ! nous avons compris cette chose, l’envelop^pement primaire, le giron comme tricoté, cette chose ici d’une sorte de giron d’apres la roche dure de l’espace-temps pariétal animalier à s-ymértrie , nous essayons cette chose de nous approcher de c ette roche et de comprendre par où passser de l’auttre côté mais tintin ! la chose n’est pas donnée ! le chandail est loin derrière ou alors tout près à écouter derrière la porte ? mal élevé- ? nous essayons de comprendre ce qyui est de cette chose du monde de l’après la roche (temps espace de nous déployé cvomme un présent -offrande déposé sur terre-mère ) , nous voulons comprendre les données et pour cela nous per cutons la roche (pivert) comme des dératés d’icelle motivés, nous y allons, nbous ne lambinons pas, nous poussons la cxhose à son plus haut deghré d’inteznsitécmajoré, etc, nous filons pelote, nous pissons comme vacxhe qui pisse nos p)aroles de roche dure,, nbous voulons cxomprendre le plus que nous pouvons et pour cela aller à ka roche du temps et creuser icelle de notre pic de verbe acéré, bnous voulons comprendre le plus et creuser la roche du temps à) même la pierre dure, nous coller à elle, l’épouser pour ainsi dire, enfoncer la roche, la poussezr, la pénétreer, etc, notre but est clair comme dxe l’eau dxe source, nous devons agir au mieux et trouver des réponses si possible à même la roche, nous voulons comp^rendre cette chose du giron de soi ou de comment la chose devant soi ? une sorte d’enveloppe symétrique = deux= deux quelqUE chose = des bras ? des mains ? deux mùazins ouvertes ? deux mùazins qui devant nous s’ouvrent ? quelles sont elles ? que sont ces mains qui s’ouvreznt devant nous que nous ne sachons voir ? que sont ces mains qyui s’ouvrent devant nous que nous ne savons voir ? que sont cves mains qui s’ouvrent devant nous que nous ne pouvons voir ? que sont ces mains qui s’ouvrentr devant nous que nous ne puissions voir ? que sont ces mains qui s’ouvrent devant nous que nous n’arrivons pas à) voir, du fait de cet espace-temps, imparti, qui obstrue le paysage ! qyue sont c  es mains (2) qui s’ouvrent deva nt nous, que nous ne pouvons voir de nos yeux ? que sont ces main,s au nombre de 2 que nous ne pouvons voir «vraiment» par manque d’yeux ? que sont ces mains qui s’ouvrent devant nous que no!us ne pouvons voir par un manque dx’yeux ? que sont ces mains qyi s’ouvrent devant soi sque nous n’arrivons pqzs à voir par manque de jugeote et d’yeux qui puiissent «le faire» ? que sont ces mots, que sont  c es mots, que sont ces bras, que sont ces bras ? que sont ces bras qui s’ouvrent devant nous tel un giron de la pire espè-cee et que nous sommes bien infoutus de voir de visu, par manque 1, de visibilité , et 2 : d’yeux pour y voir clair et disqtinguer leur forme afin de’ pouvoir l’évoquer (leur forme) en retour, qui sont ou que sont ces mains, ces bvras ouvertsn cettye chose d’un giron «de derrière les fagots» qui serait cette chose en attente, cette base (table) xd’offrande, cette chose offerttee à nous autres où pouvoir déposer nos choses diverses = présents de temps vécu par la bande, nous voulons comprendre ce qui esrt qui nous arrive en pareille roche percée, que dessinonds nous lorsqaue  n ous deessinons des betes de poidsq ? des betes de pôidfs ? des mots ? l’espace-temps d’une sorte d’entité royale ? des mots-betes de prezmière ? des mots de roche dure ? du bétail de rocxhe ? quoi ? un giron ou semblant de ? une corbeille ? une grotte ? deux mains d’approchje ou d’attente ? des mains de parois de roche ? du vent ? du ciel ? du vide ? du plein de chez plein comme dans la vie sur tezrre ?  n                   ous voulons comprendre kles tenantes et les aboutissants de toute l’affaire, doi ton poursuivre sur notre lancée et découvrir le pot aux roses ? que doi ton faire ? que devons nous faire ? poursyuivre ou alors nous arreter ? chercher la voie du monde ailleurs que dans un verbe de parade, c-verbe haut pour l’estrade, mots de la roche royale, hautaune, dure-rude du fait de la pierre -support, que devons nous faire ? tracer ? pêrcer ? tenter cette chose temporelle musica le ? où donc aller en pareille roche ? au plus profond? aux confins de terre mère où la chose (Chose) bout à tout jamais ? le giron ! où donc se trouve le giron : les deyux côtés de la face , où ? nous voulons comprenxdre où donc se trouve ce giron de roche, nous avo,ns pour ambition de comprendre où ce giron là de malheur se trouve , où est il au jusqte ? derrière mais derrière quoi ? le monde ? il n’y a pas de «derrière» au monde, celui ci s’étend à perte de vue, et cet infini en dit long sur ce qui est squi nous attend, et aussi  sur le fzait que la pensée est comme prise de court et ne va pas loin qyui ne comprend pas les arcanes de vie majeurs et porte mal, et porte à faux sur les données du monde = portent faux! nous pensons que l’infini spatial et temporel dit cette chose mieux que tous les mots-animaux de la roche, comme quoi le verbe est pic de percée-de-mystère peut-etre mais ne va pas loin en icelle car il est court (un bec) et se tient en  deça longuement de ce que nous serioons en droit d’attendre de pareille pique, bec ici = pique -verbe, il s’agit d’un pic de perçage de roche, pas facile de percer (la roche) sans lui, le pic-bec est cette chose ici, amenée à traverser la roche du temps, pour comprendre ce qui est, et ce qui est est cette chose semble til d’une sorte d’apogée votive au sein de la roche (une église : un sas) et voilà pourquoi ce giron n’est pas visible hélas ! où donc aller dans l’infini du monde pour trouver où trouver la Chose (chandail ? gousse ? etc) , où donc aller trouver à se loger ? nous avons pour nous cette chose d’une vol:onté affichée (et comment !)  mais ça ne suffit pâs ! nous voulons plus ! nous voulons gravir des échelons dans le domzaine de la  vérité et comprendre loin et longtemps cequi sepasse , et voilà ce que nous récoltons en matière de parade, de choses en cavalcade, d’arboreswence pariétale : une féerie (on l’a dit) qui ne va pas sans nous rappeler des images du passé(enfance) où nous étions double, de ce passé de nous (petite enfance) où nous étions doubvle (doublé de bvure) etc, nous essayons de co,nvoquer ici des images de ce passé , sur roche du temps, swur paroi de groote : des aurochs, et aussi des poulains, et aussi des canards (Saturnin ?) qui sont betyes de joie de l’atteznte, il s’agit pour nous de comprendre une chose lointaine, dans les profondeurs de terre mère, ce qui est qui sezrait ou dépendrait de l’ordre des choses cachées, enfouies, te-nues secrètes : la science des trouvzailles, des recherches assidues, etc, nous voulons essayer de notre côté, et  cela que nous cherchons est affiché, peut prêter à rire ou sourire, il n’empêche que la cxhose est là (l’objet) et l’effort louable o combien du fait de la tena cité démontré dans une recherche menée (tambour battant) en toute honneteté ou sinon comment (si non honnete) ? car la terre est celle (la paroi) qyui nous voit tracer nus, qui nous voit tracer des betes de roche nus, qui nous voit tracer nus des betes de roche = dess noms = des mots-animaux qui sont les noms que nous portons, dont nous sommes affubléspar la bande dans l’atteznte d’autre chose, de plus enveloppant , ou comment ? nous essayons ensembvle (ici un ensemble, un e commun auté, une tribu, une race) de comprendre, de trouver lafiche, de comprendre ce qui est, de trouver parade, etc, nous voulons comprendxre cette chose d’une sorte de paroi «derrière» la paroi , d’une sorte de paroi doublée, de paroi du mondedoublée, nousnous appartenons, bnous sommes entre nous, nous appartenons à une race animalière, nous sommes d’une sorte d’espèce particulière de betes,n, nous voulons essayer de comp)renxdre ce qui est en pareille roche, et d’abord pourquoi la r age, soit la «rage de ta race» et pourquoi cette notion de «race» pour parler de nous ? espèce ? genre ? race, vraiment ? de quoi pazrlons-nous ? nous cherchons des solutions à des probvlèmes de paroi (doublée) du monde , et pour ce faire nous creusons la roche avec , dans la bouche, une pique)-bec au bout d’un bâton, nous voulons essayer de comprendre les données du monde et voir, voir le plus que nous pouvons voir , voir «derrière» si possible, au plus loin, mais où ? le monde est l’infini du monde, voilà ce qui est et que désormais nous avons compris : nous avons désorma is compris cette chose comme quoi sur terre il est peu problable que nous puyissions voir un jour un vrai au-delà, un azrrière-train, un paysage des lointains perdxus, la chose est à préseznt connue de tous et toutes, nous sommes des hommes et des femmes de la préhistoire quyi savons la chose comme quoi le monde du monde est infinité et n’a pas de bord et que par conséquent l’au-delà n’eswt pas de ce monde si tant est qu il fut, et cette chose est énorme, est considérable c’est à dire à considérer, à comprendre sidéralement, etc, nous voulons comprendre sidéralement mais comment ? nous voudrions co:mprendre sidéralement les choses du monde mais comment ? nous sommes ensembleb squi cherchons ensemble et ce que nous cherchons ou recherchons est ce qui nous sidère, est cela ou ressort de cezla qui nous sidère, nous voulons comprendre ce qui nous sidère, et ce hors les murs du monde, hors le monde enclavé finid’autrefois, mais le monde enclavé fini d’autrefois est mort avec dieu , et dès lors nous cherchons ailleurs, nous cherchons ailleurs que dans ce monde pariéto-facial xdes temps impartis, nous cherchons dans un monde autre, dans un nouveau monde, dans le monde nouveau dxe la vie de base, ce monde est le monde des mots-animaux de parade, des mots-betes de la préhistoire, il s’agit d’une chose neuve : unre betye mot se promène sur roche et nous donne le bon tempo pour e-une ma rche soutenue vers de s confins de vérité, nous  voulons essayer de comprendre cette chose (pour nous) liée à des vocables, notre but est de comprendre ce qsui est ici en termes de vocables, de mots prononcés à haute voix en ce sein des seins pariétal : qui parle à travers nous ? le chevreuil ? qui est ce chevreuil ? un mot ? qui parle ces mots ? la haine ? ce soubassement ? le mal cxontenu hybride ? nous cherchons ensemble des réponses aux questio ns que nous nous posons, nous voulobns cxomprendre le plus pôssible, nous voulonqs aller le plus loin pôssible en p)areille roche et ne pas sombrer en chemin sur cette voie de la conn,aissance massive, non point surnaturelle mais tout au contraire naturezlle, nous voulons comprendre et graver nos noms su!r la roche, comme un homme des cvavernes, sous emprise animalière, et ce nom (le notrte, le mien) est celui ci : antenne? allure ? attitude ? prise ? connection ? medium ? chaleur ? quel est il ? quel est ce nom ? quoi est il ? quel est mon nom au juste et au naturel ? prise de terre ? cablage ? cable ? connection de rage ? nous cherchons la voie ! où se trouve la voie ? où donc est la voie ? qu’est elle ? nous voulons savoir ce qu il en découle , nous voulons savoir de tout cela ce qui en découlera et vers quoi les choses diverses nous mènent ? où vont se loger les petites betes ? et les grosses, où vont elles à leur tour ? nouys pensons que nous sommes deux et qu’à deux en soi la chose est plus légère à devoir porter, nous pensons que nous devons agir ensembvle pour nous soulager et que les choses (pour nous) ne pesent pas lourd, ou pas trop lourd, nous voulons que ces choses du monde des ombres ne nous soit pas de sitot cachées mais que nous puissions tout à l’inverse être en mesure de les approcher au plus près un de ces quatre, nbous voulons a pprocher par la bande la chose cachée de la lande, et comment ? par une sorte d’usage effrénée de la langue animale, ce brouet, de la langue pariétale, ces chevaux en cavalcade, etc, notre but est clair comme de l’eau de roche, il est énoncé en toutes lettres, il est afficxhé a&ux quatr coins de la cité, veuillez le consulter avqnt de p^rler mal de notre p^rojet, nhous ne disons pas amen à tout, nous sommes sélectifs et cependant ouverts aux chlamps divers et variés de l’exploration à tout crin et de l’expérimentation en laboratoire, notre preétention est notoire, nous chercghons ou recherchons la lune et ses sattelites, nous e voulons pas rezster en carafe sur lkes bas côtés, nos ambitions sont considérables et sidérales,  nous cherchons à découvrir un certain nombre de tenants de base et d’aboutissants du sommet, nous sommes pleins d’envie, énergie, volonté, coeur, etc pour mener à bien  ce projet que nous souhaitons voir ici se maintenir longtemps car il bnous semble etre ou représenter un projet d’envergure louable, sérieux, capable de porter des fruits, capable de nous propulser sur des devants de scènes humzaines (pas sûr)) mais surtou de nous projeter sur des devants de roche dure, dans cet interface de la découverte, dans la zone intermédiaire entre d’une part la roche d’introduction (cf. le pivert) et d’a utre part et dsans les lointains la roche de resttitution du mobile feotal, nous pensons dès lors que cet entre-dezux p)ariéta l est le lieu précis de dépot de roche, nous pensons dès lors que cet entre-deux-mers est le lieu qui nous voit nous offrir nous-memes en offreande, les mains vides ou les mains pleines peu importe, nous offrons nos mains, nous les montrons, nous montrons nos mains, nous sommes qui ne cessons de montrer nos mains de pureté humaine, etc, nous sommes sans arret en train de montrer nos mains d’homme et de femme des czva&ernes, sur la roche dure du temps, mains surnuméraires scandées à l’unisson accompagnées d’une lévitation, nous lévitons pendant qu’ailleurs sur roche ou rocher des mains se voient détourrées, nous entrons en lévitation : nous montons, nous voulons aller haut, haut le plus, nous voulons grimper, nous grimpo,ns,; nous voulons aller haut le plus et pour ce faire nous grimpons le plus et là nous gravons, nous gravons à même lza roche en dur, nous gravons l’effigie de la bete grossse ; une saleté de mot dur ! une saleté de mot qui fait impression, qui pousse , qui pousse à bas, qui traine la chose au ras du ras des choses du monde : uune insanité, une ocbscénité , la pire des obcxénités, etc , notre but est ainsi affiché sur roche : betes-mots comme autant d’insultes obscènes affichées ! nous disons les gros mots de l’enfance sidérée, nous disons les mots gros de notre enfance-enclave, et ces mots sont scandées et accompagnés, la mort est la chose ouverte d’un devant de soi sidéral lié à l’enfance, nbous voyons la chose à présent : la mort est ce devant dxe soi tel un giron, déployé (qui est ouverture borgne, comme une housse) et voilà la cxghose défalquée ou comment ? nous nous encha ntons mutuekllezment de nos découvertes, nous nous enchantons mutuellement de nos découvertes pariéto-frontalesq, de nos dévcouvettrs p^rintanières sidérales, nous hjouons le jeu, nous poursuivons, nous voulons comprendrexloin et longtemps les ressorts, nous voulons comprendre au plus loin les ressorts et autres arcanes majeurs liés à une Vérité de roche dure, à Vérité de roche du temps, la teneur en elle en termes de tourments, de difficultés, de douleurs etc; ,  otre but est de comprendre les données du :monde dans la profondeur d’une approche pariétale, nous cxherchons les bras de la roche, nous cherchons les bras ouverts dans une roche de temp)s, nous chercghons dans une  roche deux bras ouverts pour notre gouverne, nous chjerchons devant nous deux bras ouvertts, soit des mains ouvertes, nous cherchons devant nous des mainsz ouvertes en réception, nous chezrchons devant nous en réception deux mains qyi xzerai-nt ouvertes pour nous accueuillir comme un nouveau-né, bnous cherchons deva nt nous dsans le temps deux bras, deux main, nous cherchons deux mzains dans le temps qui jouxte le nottre, nbous chezrchons dans le temps du devant deux mains qUI eussent pû nous prendre et nous faire glissezr dans le giron de la mort (borgne) à l ‘oeuvre, nous voulons comprendre cette chose xd’une sorte de paroi (x 2) du monde adjacent , et nous de nous glisser ezntre les deux, et là de rêver à mieux, à un mieux-être pour l’etre, nouys voulons savoir le fin mot d’une histoire vraie, nbous avons cette chose en nous qui est un savoir comme quoi nous cherchons ou chercherions un pot aux roses «intersidéral» : est ce vrai ? nous cherchons une chose de poids: un aurochsdans le sas, nous avons cette envie en  n ous chevillée, qui est l’envie de dénicher la Vérité  des choses dans le sas cde la grotte du temps, en cette zone des passions humaines, nouds voulons savoitr ce qui est, ce qui se trame, où aller, que faire de soi en  c ette zone des embruns, où donc se porter pour comprendre les chosesc du monde adjacent infini, nous voulons essayer de voir ce qui se trame ici «derrière» le sas de cette destinée toute pariétale du monde, nous cherchons une s olution à des problèmes peut-être millénaires et comment arriver (nous !) à nos fins si tant avant nous se sont cassés les dents dessus une fois et une auttre ! ezt cepae,da nt voilà, nous gardons l’espoir pour nous, nouys pensons que rien n’est fait, et que le temp)s nn’apas livré tousq ses secrets et que par conséqueznt nous pouvons encore (pour nous) découvrir des cxhoses de taille et de poids, nous pensons que rien n’est fait et que touyjours à toute époque il y a moyen de débnicxher quelque divinité votive dans le creux de la Vérité, touhjours c’est à dire pour tout le monde c’est à dire pour qui que ce soit, nous avons espoir de bien figurer dans le cjhampionnat, notre désir de Victoires est considérable, nous voulons gagner du terrain, sur nombre de terrainsq, mais pas n’importye comment mais en traçant comme à l’emporte-pièce et à toute berzingue et sans retour sur soi les mots-betes qui s’imposent, ces mots d’animaux de base, nbous ne sommes pas seuls au monde et à ple»in on y arrivera à condition que tout le monde veuille s’y coller et chercher avec nous dans le sens dee la marche active, à brûle-pourpoint, motivé comme jamais, et allannt bon train sur le chemin des vérités, nous avons une ambition démesurée, bnous voulons dénicher des vérités, c’est à dire la vérité en toutes chosesq, bnous voulonbs cxerner au mieux (au plus juste) les tenants et les a boutissants du monde du temps, et comprezndre le chandail, la housse, tout le saint-frusquin de cette imagerie textile du monde des ombres et de l’audelà si tant est qu il soit, nous cherchons en roche du temps ce pour quoi nous sommes là entre deux mers, le pourquoi du comment s’immiscer dans la roche (le rocher) du temps, sur le monticule, etc, nous cherchons fortement et ne lachons rien, nous sommes remontés comme des pendules ! nous avons la rage au coeur ! nous sommes furieux ! bnous sommes ezn furie ! nous sommes rezmontés et injurieux, c’(est à dire que nous jurons, nous ne cessons plus de jurer, nous jurons à tout va et à haute voix, bnous enfilons les perles enttre elles des in jures à qui mieux mieux sur pareille roche, toutes les injures ici sont bhonnes à dire qui peubvent impacter et faire reculer leséchéa nces funestes, nous ,ne voulons pas de la mort pour nous (cette salle d’arrière bal) ; , nous ne voulons pas de cettye déchéance, de cette décrépitude,, cde cette fzaillitte, de cette envolée macabvre, de cette pezrte de re»père, de cette fissure dans la tezrre, bnous voulobns tenir,; bnous ne voulons pa s flancxher et diwsparaitre,  nous voulons tenir dans kle temps de laroche impareti, dans ce temps de roche dure imparti, dans pareil temps impareti de rocxhe dure, nous voulons comprendre ce qui est en cette rocghe des temps, le toucher du doigt comme un présent, comme étant le présent porté en offrande et déposé au pied xde la paroi, l’art est cette cxhose d’un dépôt de roche, au pied d’icelle, dans le temps de la roche dure, etc, nous pensons que l’»art est cette chjose à ffaire pour sau-vezr les meubles, bnous pensons que l’art est cette chose qui fait foi et nombre, qyui s’impose sur la roche, bete-mot qui pousse à fuir, bete-mot qui cgharge et dégoute, bete-mot qui capte ? betye-mot qui agit par la bande ? a rt d’un peu en forme de cri guttural ? a rt d’une sorte de sortie princière ? nous poussons la chose et compreznons que l’(art eswt une chose comme sorte de dépot de roche, nous savons que l’homme des cvavernes est l’homme du dépot, nous savons cette cxhose, comme qsuoi l’homme des cvavernes est cet homùme de peu qui trace sous emprise le nom quil se donne, et ce nom sera «aurochs», sera «bison», serta «phacochère», ou «cheval» etc, il s’offre ainsi, à lui même, le nom qui lui convient ou qui pourrait lui convenir, il porte son nom sur lma roche (gravures) et ce nom e’st un non de pacotille ! il s’agit une fois de plus de voir en ce nom gravé l’effigie d’une bete sacrée, censée pouvoir agir sur l’éternité,  nous regardons les betes près de nous, ces betes paissent gentime,,t, ce sont nos soeurs animales, betes de joie d’etre une betye, nous avons compris le pot aux roses concernant la mort et à présent nous voulons ou voudrions nous coltiner la question du ventre, de l’a ntre, xdu giron en soi, ce que c’est que ce giron,; nous vooulons tenter une nouvelle approche de ce terme de giron,  c e quil contient en lui et en quoi ce mot en dit long sur notre condition d’ettres confrontés un jhour ou l’a utre à la mort, lav mort est cette chose posée devant soi, il s’agit d’une chose borgne (sa ns arrière fond) qui nous regarde en face à face, symétrie parfaite, nous savons cela,  n   ous voulons aller sur rocxhe dans le temps, nous ne voulons pas perdre la mesure des choses, nous voulons comp^rendre ce qpourquoi nous sommes là, nous voulons comprendre cette chose , ce pourquyoi «qyui va là ?» en nous en qUelque sorte, et ce «qui va là ?» s’impose d’autant plus que nous swentons que la chose approche, que la moprt est une donnée vive qui va vite et ne traine jamais outre mesure et où que ce soit, bnous pensons que nous dezvons gravir encore un grand nombre d’échelons avabnt de cvomprndre un ensemble, nous avons en  nous cette pensée d’une approche à mener eznsembvle, à deux, pour plus de visibilité et de lisib ilité, car à deux bien entendu on y voit mieux et on peut mieux en avancer en wse portant conseil, la chose est sûre, bnous en  &vançon s fissa dans le domaine de la connaissa nce, bnous savons cette cghose comme quoi nous sommes en mesure de savoir pourquoi  lkes choses se trament, et commen,t celles ci wse trameznt : chandail de deuxième rideau ? ou comment ? et si la roche des confins était borgne ? ah et si la roche des confins était borgne ? et si la roche dite des confins éteait bel et bien borgne ? et si  cette roche dite des confins était bel et bien borgne comme on dit ? et si cette fameuse roche des confins étazit en vérité» borgne comme tout ? et si  c ette soi disant roche des confins était en effet borgne comme tout ? et si cette roche dite des confins du monde était borgne et sans landemains ? et si la roche était sans lendemain, et si la roche était sans landemain et si la roche était borgn,e = sans eswpoir d’issue de quelque sorte que ce soit ? car onn ne sait pas, on subodore, on a vite fait de tirer des plans sur la comète, on p)arle à lemporte-pièce, on y va de son chapezlet de perle princière, de perles de toutes sortesq, on affabule , on fabule, on rêve, on songe, on est plein d’imagination scientifiqsuement coupables et cependant on te,nte des approches, on fouille ici ou là à toute vitesse, on xw’appuie sur la vitesse pour déhjouer, dénouer, etc, on pense que vitesse = direction accélé&rée vers une vérité de base, on se dit que «la vitesse» est peutetre à mêmùe de nous aider pour repousser les bornes, il est cette chose pour nous qui nait d’une volonté de faire faire reculer les cadenas, etc, notre but ici est inscrit sur roche comme il se doit, nous edssayons de faire cette chose d’une sorte de reculade des données de roche dure, nous voulons essayer de comprendre ce que c’est que cette reculade où et comment, nous sommes en recherche active : peut on comprendre un hjour ce que c’est que : 1, la vie, 2, la mort, 3, l’envie, 4, l’enmort , peut on ? car nous nous aimerions savoir, nbous sommes comme des eznfants gourma,nds qyui cherchent à grignoter quelque chose de sucré, nous avons besoin de notrte lot de vérité quotidien, nous avons en  n ous ce besoin de vérité au quotidien, à un moment ou à un autre, n ous voulons savoir ce quil en est de cette mort, programmée pour tous, où va ton sans lumière ? comment com^prendre la chose borgne ou dite borgne ? quel est le petit nom de la mort à l’oeuvre ? a t elle un  om ? mon nom ? est ce que mon nom est le nom de la mort ? que peut on penser d’elle, du souci que la mort représente pour beaucoup, pour nombre d’entre nous ? est on en mesure avec des mots (un e langue) d’y comprendre quelque chose ? doit on faire preuve d’intelligence ? a t on bon espoir de pouvoir un jour découvrir quelque chose en priorité ? sommes nous des dénicheurs dans l’ame ? l’hmme des caverrnes est il un dénicheur dans l’ame ? a t il en lui l’ame d’un dénicheur ? est il le dénicheur de ces dames ? est il le dénicheur de ces messieurs ? comment comprendre que la mort puisse etre ? et si la mort est où est elle nichée ? sur un arbre ? sur une paroi ? sur une faille ? sur un crâne de nouveau-né ? trou borgne de la mort à l’oeuvre pour chacun, nou!s cherchons le pêne

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19/05/2021

il s’agit pour moi de comprendre cette chose ici d’une sorte de paroi de base à pénétrer fissa, à percer d’un bond d’un seul, etc, ici est cette chose d’une sorte de paroi, de base perlière (princière) et qyui est le temps d’une vie humaine, temps imparti pour u,ne vie d’ensemble, et cela est (la roche) une sorte pour le coup de contre-poids à une sorte de paroi qui flotte, un entre-deux-mers, contrepoids de masse )à cet entre-deux-mers de flottaison, d’incursion , de pénéttration, ici on voit la chgose, on est entre deux vagues redressées et nous avons la roche du temps à percer, nous devons comprendre la chose, nous devons comprendre ce qui est de pareille paroi du monde et, pour ce faire, nous immiscer en pareille roche des prés, des apprets, des appeaux, des appats, etc,n  , nous devons comprendre ensemble ce qui est ainsi qui préside à cette destinée de rage , à pareille destinée prairiale de rage,n, pourquoi s’imlmiscer ? car nous sommes nés ! nous sommes naissants ! nous sommes des enfants ! et l’enfant s’immisce ! l’enfant-roi s’immisce et va de l’avant, son crane luit, il est brillmant comme la roche, on est là surr roche un temps de vie, on avance, on est le chevreuil, et la biche dorée, on est chevreuil de race blanche, on va sur roche porter le nom, notre nom est nom de bnase animalière, je suis la bete de cé&ans, je m’infiltre en pareillme roche et comprends le tourment du temps imparti, je suis la bete du rocher de base, je suis l’animal de latrace, je veux mon cheval, mon cheval tracé, je suis l’animal remonté et plein de fougue pariétale, j’entre en roche ainsi allumé, alarmé, etc, je suis la biche et le chevreuil, je suis le bison rageur, le cheval fou, l’(antilopê degingandée, le mammouth de taille, l’ours de mes cavernes ou l’ourse, ou même le lion ou la lionne des cavernes, l’animùal furieux, l’animal du temps imparti et je vais en roche ainsi accoutré , monté de l’animal sur moi, comme peau de bure seyante, nous allons en rocxhe ainsi «habillés» et voyons les choses qui nous entourent et les saluons, nous sommes fiers , au port dressé, nous paradons, nottrecparler est celui du charretier, nous i nsultons la roche du temp^s, nos noms sont des jurons animaliers, nous ne lésinons pas, nous y allons gaiement, nous proférons des insanités et en rions de bon coeur car nous sommes fous, nous sommes jeunes, nous sommes tendres, nous sommes innocents, bnous sommes dégagés, nous sommes cdépourvus de toute sortes de rancoeur maussade et notre coeur bat à l’unisson des bruits de la roche, des tazpages, du tapage de paroi, des mains qui se marquent, des bruits d’incantation votive aux azlentours, nouys sommes en roche des etres de foi dure, qui pensons que la chose est vraie d’une déité rencontrée sur roche, bnous voulons aller le plus loin possible dans la vérité c’est à dire dans la zone de la vérité, nous voulonsaller le plus possible loin en cette zone de la vérité des choses et pour ce faire nous nous immisçons affublés d’un nom de parade (fiérot) qui nous donne aval comme à la cantonasde, qyui donne aval (ou avalisation) pour (à) notre gouverne sentimantale, et nouys voilà qui chevauchons le temps, qui nous excitons, qui faisons offrande = dépo^ts sur roche de nos munitions langagières = jurons ! nos noms = jurons ! des saletés , des insanités, paroles grossioères, grossièretés, etc, sur paroi de roche de grotte, mon nom gravé est un juron de type animalier, une saleté de premioère, un mot de trop, ce gros mot de base , cette chose de soubassement, cette chose basse du soubassement de l’etre muni, nous parlons ce langage du charretier, nbous dison,s le mot qui nous plait, qui nous amuse, et ce mot (le nom) est juron de la pire espèce, en soubassement de l’etre, comme base d’un allant rocheux sur une sorte de paroi de grotte à orner de dessins furieux, nous disons que nous sommes deux à proférer ainsi ces (dites) insanités , et les deux que nous sommes sont celles ci : sont «nous», cette chose, =parade ! nous sommes deux pour une sorte de parade en roche dure , nous déambulons fièrement la tete haute, nos bois en imposent, nous sommes deux pour une parade de peu ( de feu ?) qui est parade qui se doit de marquer les esprits de laroche et calmer leurs ardeurs né-fastes, nous disons les mots de la bande et ces mots sont des insanités rocheuses, mauvaisetés langagières animales ou animalières, qui l’eut cru ? et cependant telle est la  vérité vraie, celle là qui nous importe , qui est celle là qu’il nous importe de connaitre de fond en comble, de la tete aux pieds etc, bnous sommes deux etres sur roche, accouplés,, elle et moi, pour une entrée en roche dure et connaissance de la vérité, nous nous immisçons conjointement et entrons fissa nous y retrouver, nous vopulons commprendre les ressorts cachés de poareille roche d’entité et pour ce faire nous entrons conjhointement soit main dsans lamain comme «dans la prière « (?) et là, sur le plan dur de la terre de roche, nous allons, nous gravitons en direction de ce trou de la vérité des choses, bouche de la vérité du monde, vers ce que pareil trou a à nous dire, ou aurait à nous dire, vers cette chose d’u n propos de roche du temps : qui suis je en vérité ? suis je un animal ? plusiuers en moi ? squi suis je que je ne saisq pas ? j’aimerais savoir, j’aimerais connaitre les fondements, je voudrais connaitre les soubassements de l’etrte, l’insanité native, le juron protecteur de base, ce juron fusible, cette chose en soi animalière de première, cette chose ancrée au plus profond de l’eytre natif, qui suis je pour ma gouverne ? qui je suis pour elle ? je voudrais savoir ! je voudrais connaitre la  v  érité vraie de la roche , quelle est -elle ? nous ne savons pazs, nous ne savons pas ce qu’elle est, quoi est elle , nous l’ignoronns, nous ne savons pas ce que est la vérité oprofonde des soubassements de l’ettre, ce qu’il y a en nous mêmes, ce qyui donc irait à se loger, nous l’ignorons, nbous voudrions en savoir long mais la poerte nous reste fermée devant nous : trou borgne du temps imparti, fausse joie, enclavve dorée, cette chose ici est une enclave, comme un coquyillage nacré est une enclave c(‘est à dire une fausseté, car point en pareille coquille d’entrée pour une destinée native, il ne peut, en cette coque, y avoir de trou profond, qui puisse nous nous emporter en lui, nous absorber commùe une éponge, nbous sommes blousés, nous ne pouvons pas entrer dans la roche princière, cvar on voit cela devant soi, d’une sorte de donnée, faussée par la bande, un trou calcciné, une sorte d’entré dxe lave, vulcano de destinée maussade, une sorte de trou borgne de la desrtinée qui fait de nous des etrtes blessés, trahis ou comment ? suis je un homme mi homme mi-bête ? suis je double ? suis je doubvlé ? dois je pârler au nom de tous, au nom de tous les miens, au nom de latribu complète, de la confrérie étendue, dois je parler au nom de tous les hommes de la confrérie, et au nom de toutes les betes de la confrérie ? dois je parler au nom de tout un chacun et toujourzs dire nous , car je suis (serais) ce nous en question , dois-je ? car voilà la chose ! nous sommes habités en nous par une (plusieurs?) bete de soubassement, et celle là (ou celles là) sont ou est bete de poids de rage, nous pensons que ces betes en nous ou cette bete en bnous est ou sont razgeuse(s), rage même, sont etres de furie rageuse, n ous pensons, nous voyons les choses ainsi, nous pensons que les choses sont aion,si et se donnent à comp^rendre ainsi, nousz pensons que lesz choses du monde s’articulent ain,si et se laissent comprendre ainsi de notre gouverne, ces choses sont telles que voilà la chose , comme quoi nous nous sentons comme habités de l’intérieur par des betes de bon poids molléculaire d’importance, nbous pensons qu’en nous habitent ou se logent de nombreuses betes de fort poids qui sont betes-mots de rage qui sont soubassement, qui sont sous nous commùe des fondations et nous portent sur ce devant de la roche dure des temps (la passion du christ , etc) et voilà pourquoi ces insanités, cette furia dans l’intensité, cette chose déposée sur roche au fusain, au manganèse, etc := les noms que nous portons comme des gilets, don,t nous sommùes affublés incidemment depuis nottre arrivée au monde : nous penso,ns que le nom est l’animal de roche, une infamie de propos malsain attitré, ou comment décrire la chose ? nous disons cela comme quoio le nom de l’homme des cavbernes est le dessin tracé à main levée , sous empriseou sous influe,nce, et ce dessin est  cette chose dite à haute voix comme une incantation votive : «ne me tue pas ! ne me zigouille pas ! ne m’achève pas ! ne me trahis pas ! ne me crache pas dessus ! ne me truande opas ! laisse moi le temps de la vie basse ! laisse moi donc vivre vie basse de roche et point de tuerie ! «, etc, nous penson,s que nous devons comprendre cette chose ici d’un art de la roche dure, qyui est art du dire salvateur, temps vécu pour sagouvernance, pour sa propre gouvernance, allure et aspect, formes et auttres vilosités, etc, qui sont des dépots sur roche,;, mots de source, chants inauguraux, qui sont chants de base native, qyi sont ces chants inzauguraux de base native, nous parlons un langage de charretier à treavers des betes dessinées sur roche, et ce langage «imagé» est celui là qui sort en cascade de nos trous de bouche saignantqs, nous disons que nous voulons vivre et gueulons la chose à la cantonade ! nous voulons comprendre une chose neuve ici, qui serait la chose à devoir comprendre mordicus, et cette chose ici est u ne chose «espéciale» car nous sommes deux à la porrter en nous, nouys voulons nous deux (ensemble accouplé) comprendre une chose native de la vérité bvraie des choses du monde, nous cherchons ensemble ‘accouplé) cette chose native des choses du monde dela Vérité, le comprenez vous ? me comprenez vous ? nous sommes deux à rechercher, à chercher-creuser ensemble une chose, cette chgose a grand à voir avec la Vérité, nbous cherchons à deux (ensembkle conhjoint) une sorte de vérité vraie concernant le monde frontal = pariétal de laroche du temps imparti à une vie humaine et pour ce faire nous allonds gaiement par la lande, ensemble comme des enfants, nous courons, nous cherchons le pot aux roses, bnous ne sommes pas peu fiers de vivre, nbous disons ce que no!us penson,s, bnous disons ce qui est, bnous disons ce que nous voyons, nous disons des mots de betes fortes, nbous disons que nous sommes deux pour une immersion en cette lande de la roche des temps, nous disons que nous devons poursuivre encore et toujours sur ce chzmin de destinée rageuse, vive, injurieuse envers la mort de bouche trou de la roche du temps, ou quel est son nom ? nous voulons savoir kle fin mot en toutes choses, et cela ici, en roche dure, près des betes qui paissent placidement, près des aurochs poilus et chevelus (?), nous parado,ns, nous la ramenons de principe, nous sommes vivants et par conséquent nous laramenons de priincipe, nous disons des choses de roche, nous ne pouvons pas ne pas dire, nous sommes deux (en  ous) qui allons gaiement poar laroche et nous laramenons comme des ramenards qui doivent se montrer et passer pour, et nous voilà coincés dans un role qui est role de déité, qui est ce role offert par une déité de roche, nous voilà coincés en cette chose d’une chasuble, d’une robe, d’un habit de roche, d’une laine, d’un chandail et d’une gouverne malmlmenée, nous voici pris d’assaut par (en nous) cette chose en  ous qui nous fait parler et dès lors «laramener» comme des malotrus qui veulent se montrer coute que couteet ne pas passer inaperçu et voilà où le bat blesse ! ca r il est cette chose ici qui est qu’un bat bklesse hélas ! er-t cette chose est très lié au fair-t que nous la «ramenons», comme des goujats de la bande, de la lande, de la bande et de la lande, car voilà la chose qui se passe : nous solmmes deux (en nbous mêmes ?) qyui n’hésitons plus à arborer notrte frimousse de destinée, cette tezte altière, couronné, cet enchevetrement  langagier animamlier de rage, ces injhures formelles, ces i nsanités du plus basétage, cette saleté vmerdique ou pire ; ce vomi pour un rendu , ou comment ? car : n,ous avons à donner notre nom sur roche, nbous devons décliner notre identité car la vie de roche maintenue l’exige ! il s’agit de cette chose comme quoi le monde est ron,d comme une pomme, et ce monde rond nous porte bizarrement, nous sommes sur ce mo,nde non à larenverse éttrreangement, nbous tenons debout, nous tenons sur nos deux jambes sans problème et ne lachons pas le contact terrestre, nous somùmes comùme scotchés à la roche du temps impaerti, nous déambulons sur latezrre, nous sommes deux qui déambulons sur terre, iic ou là, nous nous promenons main dsa nsla main pour ainsi dire ou peutretre est ce vrai de vrai, une figure vraie, une main donnée en vrai et déposée dans une main donnée en vrai, qui le sait ? nous voulons savoir ! nous sommes sortis de la grotte, nous sommes nés à la vie, nouys déambulonsdansles champs et dans kls prés, nous regardons paitre les betes cde poids tout autour de nous, nous sommes deux s ur tetrre qui nous regardons dans le blanc des yeux et essayons de comprendre les choses du monde adjacent et que voit on ? nous voyons des choses de poids qyui paissent, et aussi le ciel de la chose, nous disons que nous sommes ensemble pour  pareiklle excursion de base, nous cherchons une vérité dans le’s embruns, nous voulons comprendre ce qui est qui se déroule autour de nous, ces hommes et ces femmes qui sont ils et qui sont elles ? nous voulons comprendre ce qui est autour de nou!s = le nom des choses , suis je un homme de tribu ? suis je ce chasseur de la lande ? suis je un individu à part entière ? suis je un animal ? je suis sorti de matanière pour aller cha sser la betes monstre (ou fauve) ert me voilà à présent qui me mets à courir car une bete a fait iruption dans mon cjhamp de vision, il s’agit d’une groose bete velue, ours des cavernes vreaisembvlablement, je suisq seul dans ce champ fleuri, mon nom est le nom que je grave à meme les roches, il s’agit d’un mot-animal qui désigne un etyre de roche et de champ, à savcoir un homme à savoir moi même, je suis l’animakl représenté,n, mon nom est un nom de bete représe,ntée, le nom de la bete fauve, monstre, qui charge, qui impressionn,e, qui fait de l’effet, qui nous fait peur, que nous cherchons à zigouillezr si possible et sans pour le coup y laisser la peau (la notre) au passage, nous sommes dans les champs qui chassons les betes de charge, nous voulons comprendre ces données champêttres à la lumière (mordorée) du jour baissant, car la nui t est proche, le soleil se coucxhe au loi,ntain, nous sqommes habillés de peau de betes, bnous sommes des etres de la roche dure qui est cette roche de groote enfouie dans un monticule de terre , nous sommes des etrtes de chasse et de promenade, de peche et de ceuillette, bnotre langue est une langue véritablement «espéciale» en  ce sens qyue ce que nou!s disons est troujours imagé et s’incruste (tape l’incruste) sur paroi, sur une paroi d’une grotte (la notre) pour l’occasionb, nous dessinons sous emp^rise, au fond des grottes, des betes de charge c’est à dire des betes depoidfs, des betes qui pèsent leur pesant de viçc tuailles ou d’odfffrandes, nous pensons que la bete et nous ne faisons qu’un en vérité, quand nous sommes en transe,n quand ainsi no!us sommes soulevés nbous devenons la bete en  ous contenue depuis toujours, ceztte bete prend notre mesure, nous infiltre comme une bete espionne, nous infiltre et nous gouverne, et nous voilà pris (prisonnier) dans les rêts ou les filets d’une bete de poids qui, en  nous, a pris les commandes de notre cap, il s’agit dès lors de comprtendre cette chose comme quoi nous sommes tous et toutes des etres soumis à des volontés en bnous animal:es ou animalières, nous parlons cette langue animale qui, nous traversant, va trouver à s’inscrire sur une paroi, sous forme de dessins ou de gravures animùalières, nous parlons une langue tribale, quelques phonèmes gutturaux qui sont comme des cris de bete, ou quelque chose d’approchant, notre parler est un parler frustre, tribal, drol:e en cela que ce parler se laiisee envahir (de l’intérieur) par une emprise animalmière qui le gauchit dès lors sensibvlement en direction d’un parler  «de roche» ou dit « de roche» et ce parler «de roche « ou «dit de roche» est pazrler izmagé, est gracvure à main levée comme sous hypnose, et nous voilà pris à partie c’est à dire pris au sang, comment exp;iquer cette chose ? nousq sommes envahi en nous par des betes qui en nous se forment pour donc construire une sorete de pique verbale, sorte de piquede verbe animale, une sortye de queue ou de trompê, etc, qui, sortant de notrte bouche va direct en direction d’une paroi de grotte et grave ou trace une ezffigie animalmière, un aurochs, un bison, ujn cheval, etc, et cela on peut dire sans réellement notrte consenteme,nt, nous dison,s des choses à haute voix, ces choses sont comme des incantations car elles sont répétees et mille fois réitérées à haute voix parmi nos congénères, nous clamons et ce que nbous clamons ewst cette chose d’une insulte généralisée, d’une sorte de rancoeur de base, rageuse, vraiment sale, un mot qsui en dit long, une sorte de chose dite dans l’insanité d’une langue : nous disons les pires lmots qui soient et cela expres, à dessein, pour en imposqer peutetre, ou sinon pour se décharger d’un trop-plein en nous qui est animaliezr, cette cargaison-cohorte en nous de bete de toutes sortes, de betes de rage surtout, qui ne demandent qu’à crier leur race, etc! et nous d’accorder ce cri en nous à nos vioolons c’est à dire à notrte voix de roche», c’est à dire à notre main, qui , à main levée, subitement et comme par enchantement, trace ce qu’elle doit tra cer, et c e qu’elle trace figure une betye,, figure la bete en  ous contenue (comme par extraordinaire !) et cette bete est un mot, un mot de nottre tribu ou fait partie des mots (imagés comme des hiéroglyphes) de notre tribu, de notre tribu humaine, de sorte que ce mot (imagé) repr»ésente la bete en nbous contenue, qui du mêmùe coup est (représente) cette chose en nous d’une sorte d’identité primaire, voilà ce qui est ! nous gravons et ce faisant nous inscrivons sur roche notre nom qyui est le nom de la bete portée, de cette bete en  nous, qui se cabre et nous donne l’aval ou l’élan pour dessiner à main levée et incidemment ce que cette betye est pour elle, qui un cheval qui une jument, etc, nbous avons l’habitude à présent de faire cette chose (dessiner nos noms) et il est évident que cette chose a pour nous une importance considérable, nous sommesq habitués à présent à dessiner sur roche des b etes de grossse taille, ces betes nous les connaissons et savons les représenter comme desz chefs, nous sommes betes -chefs nous mêmes et pour nous il va sans dire que ces betes -mots que nous portons (dont nous sommes porteurs) ont à nos yeux une imporetance vconsidérablke car elles en imposent de par leur masse, elles sont grosses d’elless, pleines d’elles, cvomme un mot de peu (un juron, une insulte) sera plein de lui et pourra en jeter, pourra de lui-même impacter grandement la personne ou la   ou l’etre visé, nous pensons que les dessins (de ces betes) sur la roche sont 1, des mots, 2, nos noms, 3, des jurons, des obscénités, du parler gras commejamais, des «gros mots» jetés à la cantonade, etc, voilà ce qu’il nous semùble et voilà npourquoi les mots ont pris au fil du temps cette imporetance, jusqu’hà sortir des parois rocheuses, sortir de la grotte et courir les champs pour ainsi dire, nous pensons que bnous devons comlprendre cette chosecxpour nous, c’e’st à d-ire cette chose d’un mot sorti de ses gonds, et ce mot dès lors qu’il s’affranchit se laiisse emporter par la bande et se cristallise en une sorte d’insanité votive, de mot de peu qui en impose  par cette grande vulgarité en lui dont il est porteur, nous pensons que le mot dessiné sur roche est une obscénité de première, un blasphème, un juron tracé, une saleté qui en dit long sur ce que nous fzisons sur roche, homme des cavernes, nous traçons des choses fortes et folles sous emprise, bnous sommes sous le joug en nous d’une bete de poids qui prend la mesure de notre gouverne et nous fait agir par devers nous commùe des etres qsui sont muselés, qui ne peuvent plus se prononcer en quoi que ce soit en leur nom et d’ailleuirs quel est ce nom puisque le nom arboré est cette chose, dessinée sur roche de grotte, cet aurochs ou ce bison, ce chebval de bois, ce renne, ce cerf de la lande etc, nous savons que l’injure dessinée est le nom que nous portons pour nous, ce nom donné par la bande, ce nom d’identité animalière, qui donc est ce nom que nous arborons fièrement et crachons comme des muletiers de premoière, nous avons pour nom une injure ! notre nom est une injure ! MON NOM est injure de «toute beauté «rupestre animalière, cela nous le savons, un nom est 1 : image , 2 : injure , 3, saleté lancée à la fa ce d’une déité, et cette déité est celle là qui veut nottre mort coûte que coûte et pourquoi cela ? pourequoi veut elle notre mortv coute que coute ? car : elle est avide de san,g frais pour sa gouverne ! ezlle doit en permanence recharger ses accus, elle ne peut pas s’en passer;, elle se doit de faire cette chose que d’ailleurs elle n,e contrôle pas, elle est (elle aussi) prise d’assautt en elle par cette cxhose, qui est un devoir , commùe quoi elle doit en permanence se re charger, se remplir de chjoses de vie, c’est à dire de vies, de vies vraies, c’est à dire de la mort des gens du monde, à chaque mort elle recupère vie de base, elle est ainsi qui récupère à chaque fois (pour chaque mort) la vie envolée, et voilà comment elle fait : elle atteznd au coin du bois, ellme mate, elle n’en perd pas une (miette) et le moment venu elle jaillit, elle mord, elle tue et prend du mort ce qui l’intéresse, elle a vite fait de faire sa besogne et ne s’en complait pas ou pas longtemps (ou repaît) car voici à nouveau un nouvel arrivant quiu lui aussi se prête à pareille manoeuvre mortifère, et voilà la mport à nouveau un temps assouvie mais pas pour longtezmùps, elle a vite fait de recommencer et de récidiver son petit manège, elle est facile ! elle a vite fait de comp^rendre ! elle avite fait de sauter sur les occa sions qui seprésentent ! et nous d’eesswayer le plus possible de ne pas larencontrer, de nousq en tenir loin si possible, etc,; nous écrivons sur la roche une insulte qui s’adressse à elle, cette insulte est censée en imposer et lui faire passer la pilule (amère) comme quoi nous reswttons vivants, nous ne voulons pas succomber à ses charmes ou plus simplement (ou bonnement) comme quoi nou!s ne voulons pas passer l’arme à gazuche, notrte but est très éloigné de cette chose, car pour nous ce qui comp^te c’est le temps, c’est à dire ce temps octroyé qui nous permezt ce déroulé frontal et pariétal d’une vie à l ‘oeuvre, nous rechignons à donner de nous plus que le temps vécu d’une vie qyui brûle sa chandelle rouge,,  nous ne voulons pas donner plus que ce feu de hjoie en   ous, c’est à dire ce vécu du quotidien, ces pas sur la lande, ce déroulé longitudinal, etc, nous déposon,s notre barda à mesure que nous avanç!ons-traçons sur terre nottre passage, et ce barda est le présent (temporel) et le présent (ce don) que nous faisons (à notre insu et de force pour ainsi dire) à mesure que nous avançons ezn âge, nous donnons de nous au fur et à mesurez (à la mort-déité) mais non point notre  vie, car nous ne voulons pas mourir encore, nous  ne sommes pas pressész, bnous avons encore à nos yeux un gran,d bou t de chjemin à faire, bnous ne voulons pas céder au premier regard de la mort envers notre gouvern e, nous portons en  ous une bete-mot qui est bete de poids qyi, peut-etre, nous protège des assautss, nous voulons comprendre le plus possibvle de toute l’affaire, ce chamboulzezmeznt en nous d’une sorte d’incarta de animalière qsui force kla place et, sortant par noptte bouche comme d’une pique, va vite trouver à greaver sur un rocher, un roc, son image, soit l’image d’une bete-monstre, grosse et bezlle bete de roche, nous sommes sousq son influence massive, nous ne pouvons faire guère plus ou mieux que d’obtempérer et ne rien dire à kl’encontre cde sa volonté, de la volonté cde cette bete en nous qui nous chevauche, qyui n’hésite pas à nous chevaucher et à nous faire tracezr sur paroi des corps de betes diverses quoique souvent les mêmes = nous ! c’set à dire eux ou elles en nous ! nous sommes porteurs sains en  ous de betes de roche, de ces betes que  ousdessinons sur roche et pour cause ! nous portons en  nou!s ces betes que nou!s deessinons, dessiner ici = vibrer = faire accroire = donner notre nom, etc, car la mort veut la vie ET le nom, la  garce ! la vie vive (le coeur) ne luyi suffit pâs, elle a besoin de plus, de beaucoup plus, et bnous de lui «donner» nottre nom inscrit sur la roche, en sera-t-elle satisdfaite ? saura t-elle saisir cette chose , la comprendre dans sa pr ofondeur de pis-aller ou bien va telle un temps s’en contenter , nous avançons ainsi sur terre mère à la recherche d’une vériyté de poids, une de celles que les philosophes de tout acabit recherchent dans leurs penséesq, nousvoulons connaittre bien sûr les tenants et les aboutissants d(‘une vie humaine et pour vcela  nous essayons de voir les choses «comme elles sont» et de ne surtout pas extrapôlezr ! nous voulons comprendre ce qui est autour de nous qui se trame, c’st àdire «tout» en vérité, et comme,nt comprendre ce tout d’un bloc, car là est la chose à nos yeux , qui nous semble importer le plus, à savoir cette chose comme quoi comprezndre, pour nous, est affaire de bloc de base, bloc ultime, bloc de bloc entier à prezndre, etc, si la vérité du monde est déchiffrable alors pour nous elle le serait en bloc, elle ne serait que déchifrable en bloc, et non pôint defaçon hachée c’est à) dire détaillée ou parcellaire, bnous voulons comprendre les ressorts, les ar canes,, les voir comme autant de trésors à déchiffrer etc, notre but est ici gravé& noir sur blanc, il est si simple, il est facile à bien cerner, il n’est pas compliqué, il est limpide comme une eau de source etc, nous voulons comprendre ce qui est ou  c  e qu’il en est du monde autour de nous, et pour le vcomp^rtendre bnous devons utiliser les mopyens que nous avons pour nous en réserve = les moyens du bord , cela qui pour nous est notre attirail de conqUuête, nous devons comprendre avec ce qui en nous nous sert d’outils pour la compréhension des cvhoses, -c’est à dire : ces mots-betes, ces mots-animaux, ces noms gravés (les notreszx) = des injhures, des gros :mots, saleté de verbe, des mots gras et gros au sens de grossiers, des mots «à ne pazs prononcer «d’ordinaire, des mots chosquants, des mots d’outrage à agent etc, nous savons que ces mots sont un alcooll fort et en imposent grande»ment à qui que ce soit, nous pensons qUE l’injure est à dieu ce que le mot tendre est à l’enfa nt, etc, nouys pensons qUE les choses ici sont à mettree en parralèle, comme quoi le parler doux vers le bébé est vvccette chose à mettte en parallèle avec ce parler dur de charretier à l’adreese de la déité de la roche dure ! nous penso,ns que cvette chose est commùe une sorte d’acquis : le mot au bébé (édulcoré) est le pendant de l’injure salace, lancée à la cantonaade, qui s’(adresse à dieu c’est à dire à ka mort, c’est à dire à cette déité de la mort au travail (à tout instant), nous peznsons que le parler bébé  (a reu) est le parler que nous devons placer sur ce pendant en parallele du juron de base proféré, nous pensons que ce parler bébé est le pendant du parler grossier, voilà cette chose (ici) que bnous avons le pklaisir xde penser, que nous sommes a menés à peznser de co ncert, d’un côté un doux parler bébé ou quelque chose d’approchant et de l’autre l’ibnjure salace, une vilenie de première, la grossierété des groosiéretéesq deéposée sur paroi de grotte en tant que telle :  czette saleté adressées et qui en tant qyue  telle dit la chose comme quoi nous ne voulons pas passser l’arme à gauche : nous hurlons cela comme des enfants récalcitrants qui ne veulent pas d’un médicament, d’un soin quelconque censé les aider ou les soulagezr ou même les sauver ! nous sommes des eznfantqs qui ne voulons pas du médicament de la mort ! nous sommes des enfants qui refusons ce médicament de la mort à l ‘oeuvre ! nous ne voulons pas de ce satané onguent de roche , njous  voulons communiquer cette chose en  ous d’une haine féroce à l’encontre de la mprt à) l’ euvre ! nous ne voulons pas de  c  et onguentt royal censé pouvoir sauver nbotre gouverne à tout jamais et pour cela bnous nouqs débattons; nous regimbons, nous nous débattons comme des forcenés, nous ruons dans les brancards, nous hurlons à la vie à la mort, nous crachons, mordons, injurions, nous crions tout notre soûl ou de tout notre soûl, nous ,ne vou;:ons rien savcoir ! nous ne voulons rien savoir car pour nous tout savoir est comme frelaté et sent son envie de nous rouler dans la farine, nous ne voulons rien savoir de ce   savoir censé nous aider et nous donner du baume au  coeur ou nous soulager à tout jamais de toutes sortes de peine présente (passée ?) ou à venir , bnous ne voulons rien savoir de ce savoir de base qui , en l’occurreznce, pourrait nous induire non pôint en erreur mais en vérité, ou comment signifier pour nous ce refus sans chichi, direct, sans concession , qui nous habite, comme pour ces enfants cette volonté de ne pas se laisser prezndre et soi-disant «soigner» ! nous sommes les enfants de laroche, nous ne voulons pas de l’onguent ou du pansement, bnous rechignons fortement , nous nous débattons comme des forcenés ou comme des damnés, nous voulons fuir pareille engeance ou ce qui à nos yeux d’enfant nous semble revetir les habvits de l’engeance pure, nous ne voulons pas de pareil onguent et nous l’exprimons haut et fort sur roche, nous ne voulonsq pas de cette chose, nous ne voulons pas de pareille chose de voix, nous ne voulons pas de cette voix animale en nbous ou comment dire ? nous voulons dire non ! nous voulons que ce qui sort de nous soit ce non radical (de base) à graver ! nous voulons que ce que nous disons sur roche égala^t le non radical xde l’enfant suspicieux et qui craint l’eau du bain ou le médicament à avaler soi-disant pour son bien, mais ce bien lui parait lointain et ce qu’il voit c’est ce qui s’approche = la prise de force, cette chose à avaler coute que coute etc, nous sommes comme des enfants que l’on condamne, que l’on force, que l’on oblige mordicus quand leur vol:onté n’est pas la nôtre, qui ne veulent pas se laissser faire et qui renaclent et regimbent à se laissser mener pâr le bout du nez, nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas donner notre vie à cette cghose au-devant qui est cette déité d’un devant de porte ! merdum ! merdum et remerdum ! nous crachons noyre gouverne animalière salace sur roche ! merdum ! merdum et remerdum ! saleté des saletés ! pute borgne ! pute et re-pute ! pute borgne et re-pute borgne ! non et non ! non ! non de dieu de non de dieu ! non et non ! non et non et re-non ! non et non ! non et non ! non et non ! non et encore non ! et tous ces non forment une litanie qui est une série de betes de roche , prononcées -tracées , nous écrivons -traçons nos noms cde roche sur la roche, nous disons notre non enfantin a nimalier cde refus d’obéidssance ! nous ne voul:ons pas mourir , nous ne voulons pas mourir sur la croix ou autrement ! nous ne voulons pas concéder cette cghose d’une vie en vie ! bnous ne voulons pas mourir ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je je ! je ! je ! je ! je ! je !je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je! je je je je je je ne veux ! voilà ce que je dis ! je dis ceci que je ne veux, surtout pas, mourir, dans les bras, de cette chose devant moi, qui est cette chose -déité sur un pas de porte , je suis l’homme des cavernes situé, cet homme des cavernes ne veut pas de cette déité pas même l’écouter, il ne veut rien xsavoir, c’est à dire : il ne veut pazs même enten,xdre, et du coup il cherche à se fermer (on dit : comme une huitre) et ne rien entendre, surtout pas, ne pas écouter : surtout ne pas écouter, se fermer à tout propos venant du devant, de ces b ras tendus vers soi censés vous aider, vous offrir la vie rêvée ou « je te sais » qui serait de la hjoie, or ce n’est pas la hjoie pour soi, cela n’est guère cette chose en vérité à nos yeux,nous ne voulons pas de cette cghose cdevant soi, nous tenons à rester en vie et dès lors nous cherchons à consezrver la vie et du coup bnous crachons à la gueule de la déité qui est la Vérité de la roche nue, nous ne voulons rien savoir provenant d’elle ! nous lui pissons à la ré pour ainsi dire, ou voilà du moins le genre de propos que nou!s lui tenons, et cela à dxessein ,  c’eswt à dire exprès, car bnous voulons lafaire fuir, l’importuner, la troubler, l’incommoder, lui parlmer mal et gra s afin de lafaire s’en aller et ne pazs revzenir dse sitôt et il nous semmble dès lors que le coup eswt jouable en agissant xde la sorte, nous pensons que le coup est parfa itement jhouab le, particuylièremeznt ou carrémeznt ou forcezment oupourquoi pashjouable à nos yeux : ne pas tomber dsans le panneau, se tenir sur son quant-à-soi, ne pas tergiverser, se laisssr emporrtter en soi par cette vague animalière en soi de co:mpâgbnie, se laisser en soi emporter par cette va gue animùalière, cet acharnement animalier, ce tribun animùalier,n ce graveur, ce dessinateur animalier en soi, voilà ce que nous faisons car nous réa gissons comme des enfants qui n’ont squ’une confiance relative enversq leurs parents ou envers l’adulte (principalement) qui va cxhercher à le blouser, l’amadouer, pour lui faire avaler son breuvage sentimental, ou comment ? nous so:mmes des enfants face à la mort, et de    ce fait nous crachons sur rocxhe nos gros mots qui signent dès lors notre refus d’obtempérer et cela en notre nom, c’est à dire que notre refus est signé par la =même occasion , et ici le non est le nom;, et cela en miroir pour ainsi dire : MON  NOM est le nom que je porte sur moi comme une capeline animale = une peau de telle ou telle bêzte en partuiculier : un auerocxhs ? un chamois ? une loutre ? une belette ? une pintade ? une ourse ? un ours ? un chevreuil ? une belette ? un cverf ? un ours ? une grive ? un oiseau du paradis ? un mammouth ? un bouquetin ? un chien ?un cheval ? une salamandrez ? une raie manta ? un cghien? un chien de berger ? un ami des prés ? un pivert ? une loutre ? une pintade ? un chjat ? un aurochs ? un cerf de sous bois ? une biche ? un chevreuil ? un bison ? un buffle ? une vache ? un taureau ? un cheval ? un poney ? un oiseau rapace ? je suis lm’animal de ma race, mon nom est noté sur roche, je dis no  à la mort de bouche, mon nom est un non jeté à sa face comme un juron ! je ne «veu» «pas» «mourir» «de» «sitot», je» ne « veux» certe» pas « mourir» de» sitot» car» je « tiens» à» la» vie» mordicusq» etc», je suis un  hoomme des cavernes ou une femme des cav ernes ou un enfant des cav ernes ou un animal des cavernes qui tient mordicus à la vie et ne s’en laisse pas conter outre mesure, je veux aller loin en cette ro che du temp^s et ne pas perdre la face, je ne veux certe pâs perdre la face d-evant la paroi, devant la bouche, cette bouche ouverte de la mort ca r la mort est bouche, la mprt est une bouche, on voit bien combien est bouche  cette :moprt, elle est bouche jusqu’au bout des ongles on dirait cettte chose, comme quyoi la mort est une bouche grande ouverte, on voit ses lèvres, on devin,e l’intérieur de cette bouche, on voit cette bouche devant soi qyui est bouxche d’un devant de soi et ce devant de soi estcette chose qui est là, pour vcous avaler, comme bouche ouverte gobant ce qui se met à sa portée : mouches, ou autres betes jouant dangereusement à s’approcher, nous sommes ainsi qsoumis à ce danger perpétuel, d’une bouche capable à tout moment de nous gober et de une et de deux sa ns tergiverser, et ce sans notre asssentiment ou consentement (forcément !) et voilà ce que nous disons (du coup ) , nous disons : vafanculo»pute à la mort de  bouche, ou à Mort de Bouche, nous disons des insanités car 1 nous voulons offrir du vif de chez vif, et l’insanité injurieuse vous réveille un mort , et 2, car notre refus est inséré en nous, fait partie de nous : vivre est ce refus ici continu de rétrocéder, etc, nous disons cette chose (nous) comme quoi nous devons tenir longtemps et ne pas céder ! nous deevons tenir dans le temps, et du coup nous offrons  ce temps dans lequel nous tenonsq, car nbous tenons au temp^s et dans le temps, nous donnons ce temp^s dévolu, ce temps déroul:é, ce tapis de temps, voilà ce que bnous donnons à cette entité déifiée qui est devant nous, nous injurions, nous disons des mots gras et gros et sales et piteux exprès, ce que nous voulons ici est clair comme de l’(eau de roche, il s’agit d’en foutre plein la vue et rien dxe tel qu’un propos grossier pour impacter et faire accroire à de la vie vive , à du vif de chez vif, et voilà comment de fait déjouer un tour qui s’ann,onçait funeswtement pour vous devant vous ! nous sommes dégourdi = nés ! naittre = déjhouer ! naitre = se tenir dans le creux du temps =doonner =donner du vécu = déjouer = blouser ou gruger la mort ! nous sommùes nés et ce» faisant notree nom s’est inscrit sur la roche du temps comme un refus d’obtempérer ! nous naissons et cette chose dit (décline) son nom de n,aissan ce, voilà la chose classée ! nous pensons que bnous devonsq co:mprendre  cette chose d’u ne sorte de vo:lonté en nous de pousser bébé dans les orties, ce bébé devant, ce bébé de bouche, etc, nous pensons que cette cxhose a son importance et que nous sommes à présent à même de le comprendre , nous devons refuser la mort à venir et souffler touhjours, à plein poumon, le trop plein de vie animale enn  ous, voilà la chose, et aussi pourqqoi nous crachons sur roche des betes ou dessinés ou vgravées, la chose est facile à cerner désormais, il faut voir ainsi, il est bon de voir cette chose auhjourdhui comme quoi nous avons à tracer nos propres noms sur roche (a nimaliers) sous ezmprise,et ce afin de nous tenir, de la mort, à bonne disqtance, du moins un temps, nous devons comprendre cette chose à présent daevant nous, cette chose d’une bezte en nous qui nous aide (en sortant de nous) pour tracer ou nous aide à tracer sa propre effigie de bete de race, ovine, porcine, etc, nous pensons que cette chosed pour nous a de l’importyance, -et que l’image en  ous de la betye est une image prégnante en  ous-mêmes, elle est contenue en  nous dans un sas qui est une outtre contenant la bete et l’être réunis, nous pensons qu’en nous existe une sorte d’antre ou d’outre (une poche) dans laquelle on retrouvev la bete et aussi nottre etre, ces choses jointees, cet accouplaement-enchevetrement qui, sorti de nous sous forme de pique, pourra s’en aller traverser la roche du temps et graver son nom de bete rupestre, il nous semble dès lors que  cette chose ici est à bien comprendre de visu : une bete dessinée représente une donnée de base, il s’agit ici de co:m^prendre cette chose, comme quoi : qui dit bete sur roche dit refus d’obtempérer et vol:onté a ncrée de nommer la chose, ce refus, afin de bien se faire repérer et comprenxdre en son  nom propre, un homme des ca vernes porte un nom, celui de la bezte squi le chevauche, un homme des cavernes porte le nom préciseément de cette bete en lui quil contient ou contenait , et à présent alors ? ou sommesznous ? qui sommes nous ? que contenons nous en nous ? qu’avons nous en nous dans notre outre ? que conservons nous en  ous (où ?) de cet âge lointain de lm’homme des ca vernes ? l’homme des cavernes est-il encore en nous et si oui où ça ? qui sait où donc se loge ou logerait en nous l’homme des cavernes ? et la bete des cavernes alors ? sommes nous envahis en n ous par une sorte d’entité bestiale qui saurait mieux que personnne quel est ou sezrait le nom qui serait le nôttre en vérité ? je veux savoir ! je voudrais savoir mon nom, quel est il ? je veux et voudrais ! je veux-voudrais savoir ! je veux et je voudrais savoir ! je suis homme des cavernes empli d’un savoir de bete de roche, mon nom est celui là qui se lit sur laparoi en termes de gravure ou de dessin à main levée d’une bete des prés ou des bois , je suis l’homme qui marche la tete haute, la ramène assez mais comment ne pas ? je suis un homme de roche et mon corps ewst ainsii entré en icelle pour l’éternité ou non ? qui peut me dire la vérité ? qsui connait la vérité ? la vérité» est-elle de fait contenue dans les mots ? et si non comment s’(en sortir ? comment faire pour s’en sortir ? et que sign ifie «s’en sortir» ? «se tirer d’affaire», «se dégager» ou «se désengager» ? comment faire pour en effezt se tirer d’affaire quand les mots semblent nous tromper et nous induire grave en erreur , comment procéder ? nous voulons nous tirer d’affaire et pour cela nous réfleschissons à comment s’y prendre mais la queswtion reste entière à nos yeux, car il nous semble que les mots ne peuvent paes percer l’hymen de la  vérité, comment le pourraient-)ils ? les mots ne sont pas des aiguilles , si ? comùent faire ? nous pensons que les motrs ne peuvent pâs (jama is) toucher la vérité dans son côté palpable sensible animal, cela nous parait impossible, à nous cette chose nous semble hjuste pas possible et la preuve en est que nous tournons en rond depuis la nuit des tempsq, sans progrès, nous sommews ainsi qui pensons que oui, mais en vérité  la chose n’est pas gagnée, nbous pensons qe oui, parfois, et abusons de l’usage des :mots, mais ezn véreité nous savons que cette chose (xd’une percée) est chose impossible (impossible) à mener à bien, nous ne voulons pas mourir mais comment le dire ? la mort (comme les animaux)- comprend-elle le sens des mots ? quels mots employer pour  ce diire ? en vérité la chose est ainsi : naitre = se positionner dansd la  vie comme «ne donnant pazs» la vie à la naissance, le moment est reportéec , reculé, instamment repoussé par en  nous la vie elle m^$me, et dès lors que nous vivons, un vécu va s’accumulant qui devient prégnant et se présente comme le présent que nous sommes enmn meswure alors exprésssement d’offrir en cadeau (offrande) à cette déité de la mort à venir ou mort à l ‘oeuvre, nous devons comprendre cette chose comme quoi le mot donné sur roche est un présent, ce présent est le présent = le temps vécu, et ce temps vécu est un juron, c’est à dire : un pied de nez enfantin, u ne sorte de blague, de jeu d’enfant faisant sembvlan,t, voilà ce qui est ! l’enfant naissant fait semblant d’etre un don pour la morrt avide or bien sur que non, il n’est pas, ou pas forcément ! l’enfant vivant, l’enfant vivzant de naissance est un pied de nez à la mort vorace, voilà la chose, et son nom est animalier et comme un propos grave (injures à agent) porté ou prononcé à la cvantonnade : furie ou furia, incantatations votives, bri nqueba lement des bras sur la roche avec marques assovcviée (empreintes de main) et musique concordan,te, etc, nous avons à aller en roche ainsi, hommes et femmes des cavernes, afin de tracer cette chose d’un nom alloué par la bande (injure à a gent) et ce nom est une image forte, celle d(une bete (bete-mot) qsui en impose par sa présence (masssive) et son rendu (fort ressemblant) faisant croire à une bete vive , vive donc vraie ! on reve ! on a cette chose, mon nom sur roche, rêvons ! la chose est consacrée , l’homme des cavernes est l’homme au nom consacré, au nom jeté sur roche comme une sorte d’effigie censée représenter telle personne en paerticulier , je portye le nom de la bete qui me seconde, la mort est à son affaire mais la bete en moi me surveille, m’aide, me soutieznt, car sans elle comment ferais-je ? je suius homme-femme de la roche dure des embruns, mon nom est Personne, auusi bien,n, ou tout autrte, mon nom estle nom d’une betye fauve, je suis l’homme à la queue de roche, piquante -traçante, qui va ainsi et vient ainsi à tracer la bete sur la roche nue ou déj-à barbouill»ée, je dessine à main levée, mon nom est une injure proférée, je sais cela, je vois cette chose, comme quyoi ainsi parfois des noms de personne sont ou szeraient des insultes, proférées, balancées, jetées à la face de la mort à l’oeuvre, et cette face alors, à quoi ressemble t elle ? à quoi ou à qui ressemble la mort ? la mort ressemble à de la bouillie , la mort est intestinale, un magma, du pus, de la merde infame, une merde sans nom, une saleté crasse, une merde : une merdouille ou une merde ? plutot une merde, bien sale , bien puante, une sa leté de merde puante qui impa cte, qui nous troue le cul par sa pua nteur et sa misère, nous savonsq cezla, nous savons cette chose rude

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18/05/2021

qui suis je pour aller ici, en pareille clarté lointaine ? qui je suis ici pour aller si loin en pareille clarté des lointains ? car je fais le malin, la roue, le beau ou la belle, je me contorsionne, je me vrille sur moi même, je vais et je viens me vrillant sur moi-même aux abords des prés,n, des champs de luzerne, des embruns de bord de mer, des roches dressées, des clartés lointaines et de Bouche de la vérité, je suis celui-là qui se vrille et se contorsionne aux abors de Bouche, je suis l’homme cerf qui en fait des tonnes aux abords de bouche, le malin qui fait son malin ou son intéressant, c’dsst à dire ce chevreuil de race aux abords du bois, je file en pareille roche à toute vitesse, suivez moi si vous le pouvez, jee suis  cet homme aux abords, soit ce t homme-cerf des abords rupestres, MON NOM est inxscrit en toutes lettres sur cette paroi qui vous fait face et ce nom est facile à lire pour tout un chacun qui sait déchiffrer les images animalières, ce nom est «aurochgs de roche», il s’agit d’un nom ancien , antédiluvien, qui a perduré, qui s’est incrusté dans la roche et a laissé ainsi vivre son tracé de bure, il s’agit d’un mot-bete de première bourre, année primaire (première) qui est cette année de la roche naissante, des premiers tracés de «l’homme sous influence», homme cerf dessinant à mzain levée des betes de rage,, foisonnantes, qui foulent la roche et expriment leur vouloir qui est vouloir-vivre fort, intense, dépourvu de tout sentiment de rancoeur mais pourvu de sentiments comme dégagés d’encombrements perlés, de ces ebncombrements de tete qui sont ceux qui plombent le port et pèsent leur pesant infructueux, ici rien du tout, la tete est légère malgré les bois, la tete est levée malgré la ramure, la tete porte haut son port altier car l’homme est ce cerf inscrit, cette bete de force, cette bete d’apparat, il s’agit de voir en cette chose d’un port animal une sorte de soutien moral, une sorte de soutien de soi par un intérieur animal, ou bien sur soi : peau d’ours ou de cerf, ou d’aurochs ou de bison, , il s’agit de cette chose ici, ds’une bete en soi ou sur soi, qui tient la gouverne, bete-mot en soi qui franchit le pas, je suis l’homme cerf de la roche, je suis cet homme-cerf qui est cet homme de la roche dure des temps et ce cerf des embruns et des clartés lointaines, tout au fond, deuxième rideau, passage vers un au delà pariéral qui reste l’innconnu des grandes eaux, je cherche issue à pareille roche et pour ce faire je m’enfonc e en cette zone des embruns et du nacre de roche, où donc aller en pareille paroi ? où donc se faufiler ? qui suivre sinon soi ? qui croire sinon le cerf de céans, cerf de roche ? squi est qui en cette roche des apprets, appeau, appats, etc,? nous savons que cerf + homme = cette bete-mot qui caracole sur paroi, main levée dessine, chant perlé de la roche dure ! où sont les amis ? où sont les vivres ? où donc se faufiler en pareille roche des temps impartis ? qui pourra me donner la conduite à tenir ? qui saura me donner l’imprimatur , le oui qui s’impose, qui ? nous sommes deux en soi, l’homme et l’animal, ou sinon comment ? nous cherchons à comprendre une vérité de bon aloi qui put nous renseigner sérieusement et longuement sur la marche à syivre ici bas : qui saurait nous donner une mazrche à suivre ? qui saurait nous expliquer ce qui est ici en pareille roche des temps pour un homme cerf comme soi ? qui saurait nous dire ce qui est en cette roche des temps durs, des temps incertains, des aléas, des cxatastrophes, des micro-fissures, etc ? qui est qui pour soi ? qui va là ? qui est l’homme aux bois qui caracole en veux tu en voilà à meme la roche ? nous sommes deux qui caracolons, je suis homme et cerf, je suis homme et sous fifre, ce rien qui va là en pareille paroi comme une effigie, et de quoi ws’agit il ? il s’agit d’un nom, d’un nom de pâroi dure, gravé ou dessiné à main levé par lm’homme de bure, il s’agit de voir cet homme soulevé, pris à partie, chagrin sous cette envolé, qui hurle, qui crialle, qui dit son mal, qui chante sa plaie vive et trace sur roche son allant de bete chevaline, porcine, ovine ou caprine (etc) , il s’agit ici de cet homme-cerf de roche dure, il est beau comme une chose belle, son allant est beau, son tracé est beau, sa faconde est belle, son jeu de paroi et son gravé son beaux comme belles choses de roche, il s’agit de comprendre ici que son allant est l’art de la fugue, sur roche ou sur paroi, peu importe le nom donné à ce support de choix, il est l’homme cerf de roche allouée, il est cet homme cerf de la roche offerte ici, par la bande, à un qui sait tracer la silhouette, gracieuse et gracile, d’une bete-mot de première, homme cerf xes temps anciens, du passage du temps, de ce temps passé offrt sur roche divine, on sait la passion, on voit cette chose ici bas d’un homme des tracés gravés , qui connait son monde et agit de front à dessein et sans recukler, son art est l’art de la roche dure, son art est très-lié à une roche dure, art de roche dure s’il en est, son art est une chose dure de parade, un paradis et une parade, une chose fière, arborescente, qui va de l’avant comme la roue d’un animal, il fait sa parade, il fait parade-paradis de roche et son nom s’inscrit de la sorte en déambulations, circonlocutions, spires et spirales comme le tracé d’une chose chue dans sa chute, on y voit la chose vriller, on sait cette chose d’une sorte de treacé de roche des temps à) même la roche des parois de grotte, de  cavernes, d’aven , de gouffre, on sait le malêtre de l’homme crieur, trraçant effigie, traçant cghoses sur roche dure, en lévitation, pris à partie ou comme secondé par la bande, car la bande ici est cette chose dure du retour, ce retour sur soi, cet écueil, cette roche de parade accolée, ce mur des lamentations, ce corps dressé, cette vague debout, cette bezauté rude des temps durs, ces douleurs de choc, etc, on voit près de soi se dresser la vague, de part et d’autre, et le passage est fait qui nous laisse nous enfoncer en cette mer ouverte, en cette échancrure de paroi de roche, on ava,nce a insi en pareille paroi et on se dirige (le port glabre) vers la fin du fond, fin fond des fins de roche, vers ce final, cette finitude de paroi, ce bord du lointain, cette clarté, cette roche ouverte du fond comme une porte, l’entrée (la sortie ?), le passage outré, la porte vive, la beauté assoupie, le chant choral, la belle envolée , le sommeil du juste, la peine des peines, le sentier, la roche tendre, la clarté lunaire, les embruns, le soir, la beauté oplastique, l’époumonement, le souffle vif, le sein donné, le lait, la caresse , le ciel, l’empreinte du ciel, le vif de la roche ouverte comme une plaie et qui serait là pour nous laisser passer eznsemble (main dans la main ? ) comme deux amoureux (tourtereaux) de la première heure, nous cherchons issue à cette roche des temps fracassés sur parois des tempsn,, nousq cherchons comme, soit issue qui soit, pour nous, comme, soit : comme la mort, mais qui,  qui serait autre que la moprt, qui serait tout autre, nous cherchons cet autrte à la mort dure, nous cherchonsautre que mort dure, -nous sommes qui autre cherchons que ce mort de dure-vie, nous cherchons autre que, et ce autre que est ce autre que mort qui plombe, nous cherchons à trouver auttre chose en roche que ce mort de bouche offerte, ce offert de mort qui est ce bouche de la mort de la paroi du temps, nous voulons aller loin en pareille paroi et comprendre le plus de la roche dure, et savoir ce qui est qui va en nous , qui file en nous, qui vibre en  ous en matière de vive animalité, etc, nous avons ce souci xd’aller toujours plus de l’avant en roche, nous avons pour nous toujours ce souci de faire ainsi que nous sommes ceux et celles qui toujours vont vers ce devant de roche dure des temps impartis et qui dès lors ne se retournent pas, tracent, en avancent grave, sautillent ici ou là et foncent leur chemin de foi, on est de ceux qui foncent leur tracé de foi,, qui filent à toute vitesse et treacent à l’envi leurs repères sur pareille roche du temps, qui saura nous dénicher ? qui verra la beauté du geste ? qui saura trouver en roche ce tracé de  bure ? qui comprendra l’imprimatur accordé par une foi nacrée de la roche des temps alloués ? qui saura percer le mystère et trouver chaussure à son pied ? qui peut aller loin ménageant sa monture, qui ? car nous sommes deux, homme-femme accoulpé, pris à partie, mis en orbite, soulevés, pris ainsi par la  bande d’une roche affolée, nous nous soulevons, nous l»évitons, nous montons sur paroi, contre paroi, nous montons comme deux envolés, nous sommes qui alons sur roche et qui traversons pareille densité, nous sommes deux en pleine action qui lé vitons à même la roche des temps et entrons en  cette roche dure des passions de l’homme transformé en bete, nous cherchons cette chose en nous, qui serait une rancoeur, une attitude mièvre, mais voici la bete en  nous qui vitupère, fulminee, hurle sa rage expressive, et nous poussse à graver sur roche nos désirs de paix, notre envie de permùanence, etc, notre voeu est avoué, nous sommes ceux/celles qui voulons comprendre loin ce qui est sur roche qui se trame et qui nous attend et pour ce faire nous nous accolons à pareille roche et cgherchons  a vec nos moyens (bure et pic) de passer à travers, d’entrer fissa, de pénétrrer pareille roche des temps durs, des temps alourdis, des temps de peine, des temps brûlés, nous xcherchons à traverser cette roche des temps durs, des temps passionn,és, des temps de rage aux dents et de douleurs diverses, nous cherchons à entrer en cette roche du temps offert par la bande à la naissance, qui est qui ? qui fait quoi ? nous naissons à la vie rude pariétale et temporelle, noius sommes enfants naissants à la roche , qui vont et viennent nonchalamment en cette prairie vertte des abords de roche, nous passons ainsi entre deux mers, la mer nous est ouverte, la mer est une issue, il s’agit de voir cette choses en nbous d’une mezr ouverte, d’une mer quyi s’ouvre, d’une mer qui est une ouvertrure, un trou, un passage non entravé par quoi que ce soit, et point de rancoeur, point de recul, point d’hésitation coupable, laisso,ns aller, nous devons passer en  cette roche des embruns tete et corps entier vers issue de roche temporelle : les passions, la rage de l’expression, le sommùeil du juste, le soin à l’enfant et à la mère, à la mère et à l’enfant, nous allons gaiement sur nos chemins de roche du temps à la recherche d’une entrée de roche (une sortie ?) qui serait pour nous ce passage inoui de la roche des temps qui sont temps d’ouverture vers un au-delà pariétyal ancestral de roche meuble, tendtre, soyeuse, fine et élégante, douce et caline comme une bbiche, nous cherchons une chose de roche, entre deux parois, nous cherchons l’ouverture, soit le trou, la chose échancrée, le passdage, la voie d’accès, le moment, et nous de nous congratuler pour nos recherches soutenues, ancrées, continues, aiméesq, soumises, nous voulons comprendre les tenantds et les aboutissants de pareille chose ici qui setrame , à savoir cet entre-deux-mers pareiétal, qyui est cette chose qui est cet endroit de haute lutte pariétale, ce mur des lamentations, des chevaux en cavalcadez, des ours dessionés à main levée, je suyis la femme des cavernes, mon nom est gravée à même la roche comme une bete-mot de première, je regarde passer les betes de roche, mon nom est ce nom dessinée par un e main levée sous emprise (sous le joug) et ce dessin de roche est ce nom porté, comme une sorte de chandail de race, lumière, chandail de lumière, habit vibrant sous les feux de larampe, je vais et je viens en roche ainsi accoutrée, je suis la femme des rochezrrrrrs de roche, je suis femme accoutrée, soutenue, allouée et contenue par une bete d’emprise en moi-même, bete de feu, bete folle, bete enragée, bete suicidaire ? nous poussons ainsi en roche ensemble main dan,sq la main ! et ayyant poussé nou!s entrons, nous sommes entrés, nbous sommes deux qui sommes entrés en cette roche qui est cet espace de destinée qui est espace-temps de roche dure, cette chose d’une roche dure des temps impartis, entre deux vagues dressées qui se tiennent coites à nos côtés, nous passons, notre but est affiché, nous sommes entrés et à nous la sortie prochaaine oui mais où ? car nous ne savons pas qui nous sommes ! sommes nous des cerfs ? des boeufs ? des rongeurs ? des gallinacés ? des ostrogohs ? des hommes à barbe ? des femmes ouvertes ? des chiens ? des chats ? des betesmots de première ? du vent ? qui sommes nouys au justye et de quoi vivons nous ? d’herbe des champs ? de petit gibier ? de fleurs et de fruits ? de choses dures , de choses tendres ? d’amour et d’aeu fraiche ? de   charivari ? nous avons cette chose pour nous qui est celle ci comme quoi nous sommes accouplés en pareille roche , et cela dit nous pouvons comprendre une chose, concernant ceci comme quoi nous sommes, tous deux accouplés en roche, et cette chose est cette chose comme quoi nous sommes deux commùe main dans la main en soi , = entortillement ! nous sommes deux qui sommes entortillés en soi même, cvomme un qsui serait deux, lza droite et la gauche, ou bien la bemlle et la bete en soi, cette chose, une sorte d’entortillement vital, en soi, avec cette cghose pour soi comme quoi nous sommes (tous deux) des etres accvouplés dans une sorte de lacis, d’entrelacs, qui font de nous des etres de choix, des etres choisis par la bande (voilà) qui vont sur roche chercher leur pitance (art de la roche) à même la paroi froide, nous cherchons cette chose et nous trouvons des mots, des betes motsqui caracolent sur pareille roche des temps,; nbous sommes deux en n ous (entortillés, entrelacés, emberlificotés) qui entrons en roche du temps (la passion) poour une incursion-immixtion massive, en pareille roche, de nos corps soudés, nous entrons et voyons la plaine, les champs à pertte de vue, et au lointain ces lumières, ces clartés votives (natives ?), ces entrées de roche (sorties ?) qui nous font de l’oeil, nous pensons que nous sommes insérés comme des betes-mots sur roche de grotte, notre choix est fait, qui est de se loger-lover en pareille roche du temps un temps, puis de chercher à comment faire pour aller trouver l’issue de secours, nous cherchons une chose et cette chgose est une clé, nous cherchons une chose et cette chose xserait une clé de porte d’entrée, une clé musicale, la paroi est devant soi comme une roche dure des temps impartis, la paroi ewst la vague dressée, nous nous avançons torsadés et alons de l’avant dans le temps des façons de faire, nous nous avançons et nous recgherchons (à même la pierre du temps) cette cghose pour nous capitale d’une lettre capitale, cette lettree V en capitale, cette lettre du V majuscule ici ou là, nous la recherchons, où est elle ? où pouvoir latrouver ? qui sait ou pareille lettre se trouve ou se loge, en quel recoin, en quel trou de roche, qui ? nous voulons savoir où trouver ce V de la roche dure, où est le V de la roche dure des tempsq ? colmment faire pour le trouver ? nous cherchons avec assidyuité, courage, énergie, volonté, curiosité, vouloir-être, etc, nous cherchons avec en nous ce vouloir-être incarné comme une bete en soi, fzaite de rage et d’envies vives, voraces, agressives, etc, notre but est de trouver, en roche dyu temps (entre-deux-mers), cette belle ouverture en v de la roche = échancrure, encolure, ouverture, etc, qui fût pour nous le passage de vie vers trépas, qui pour nous fût ceci que nous recherchon,s pour notre gouverne : une bouche de la vérité, une parole «sensée», une parole de poids comme aurochs des prés et des bois, etc, mais où trouver pareille sentence, dans quelle lzangue ? car il semblerait que toutes les langues soient égales ezn nombre et en chiffre, et que dès lors les mots ne peuvent pas suivre quelle que soit la langue parlée, bnous pensons que de brutaliser l’appareil du verbe (l’organe fonctioonel) est une chose qui s’impose à bnotre gouverne, mais on voit la chose, cet écueil de roche devant soi, on connait son monde, on n’est pas complètement brûlé, on voit encore des petites choses et ce qzu’on voit est cette chose d’une sorte devant soi de paroi borgne, glissante, où va l ‘‘oeil sur roche aller et venir, etc, nous solmmes des qui voyons la chgose, l’oeil glisser sur roche et trouver nulle part d’endroit où s’accrocher vraiment pour entrer c’est à dire sortir ! car ici lme trou recherché est sortie de base, il s’agfit de comprendrec ici comme quoi ce trou que nous recherchons ardemment est un trou de sortie et non d’entrée ou bien nous trompîoons-nous ? nous cherchons cette chose en miroir, nous voyons les choses en miroir, nous pensons que visuellement les choses s’imposent en miroir (toutes  ?), nous cherchons de la sorte des chgoses qui seraient comme disposées perpétuellement en miroir, de la naissance à la fin d’une vie, etc, nous voulons comprendre  ce qui est sur roche (terre) à la lumière de la symetrie des choses sur roche, nous voulons ensemble comprendre les choses du monde à l’aune de la symétrie, cette chose ici découverte, cette peau des choses etc, nous voulons comprendre cette chose ici et pour nous d’une sorte de monde doublé, dédoublé pour ainsi dire : droite et gauche pour une gouvernez, et voilà  ce qui se trame en  ous (bouillie) qui est cette chose anbimalière qui cherche issue pour une excursion de première, en roche et sur terre, ou commùeznt ? car la bete en nous est une bete fauve, rageuse, enragée, qui foule au pied, qui remue des masses,; qui est bete-mot sur roche de grotte, influente, masse sur roche bougeant à la lumière des torches, nous sommes des betes-hommes de roche, notere nom est inscrit à main levée, nous aimons déambuler parmi les betes des prairies et des bois cachés, notre nom est un nom animùalier, nous voulons aller en roche des temps commùe en une sorte de prieuré qui serait la maison des tourments soula gész, bnous ne voulons pas mourir de sitôt ! notrte but est afficjhé ! sus à la mort de roche ! merdum à icelle la connne»,! non et re-non ! nous n,e voulons pas connaitrte la mor! nous ne voulons pas de pareille enflure» ! nous n’en voulons pas ! nou!s voulons nouis en tenir loin par la bande et tracer un autre chemin pariétal ! comment faire pour en réchapper ? comment ne pas tomber dans le pâneau ? qui pourra nous donner les sens des chosesq ? qui est qui ? nous voulons  comp^rendrela mort, à l’aune de cette échancrure susnommée, qui est elle ? qu’est-elle ? quoi est donc pareille échancrure des embruns ? nous ne voulons pas a ller loin en cette roche mortelle, maisd longtemps tenir comme sauvés des bords !nous voulon,s a ller en roche dure pour un temps long et nous tenir ainsi en elle main dans la main, cet entrelacemùent, nous voulons tenir en roche, entrelacement, comme deux (ceux) qui voulons rester accvouplés, en parfaite synchronie, etc, et comme la droite et la gauche s’accordent nous accorder, nous voulons tenir bon la roche et ne pas chuter ou tomber en pareille échancrure quyi se présenterait et nous engloutirait, nous ne voulons pas sombrer dans les (?) échancruresq mais rester debout et accolés (l’un l’autre) sur rocher, notre but ainsi est dit hzaut et fort, notre but est affirmé, il est le but affirmé de la roche du temps, pour nous qui en sommes des etres (de peu) de passage, nous disons ce qui pour nous eswt important et  ela est cette chose comme quoi nous sommes ensemble, ici, en cette roche de paroi du monde (ornementée) pour un temps mesuré, temps de vie de l’homme-cerf ou de la femme -cerf, et ce temps a des allures an,imalières tout autant car il s’agit de représentations rupestres, de betes de charge vocale musicale, qui, dans le temps justement, déploient leurs atours (en swymetrie) pour une parade, une salvation, une sorte de prière de rochge à l’adresse d’une déité qui serait cxonsacrée par 1, lzes embruns de bord de mer, 2, les parois du monde vivant, nous essayons de comprendre ainsi les cghoses du monde en pareille roche et pour ce faire il est bonn de se placer eznsembvle en une sorte de place votive, cette placve aux voeux divers, qui est celle aussi de la prière lancvée à des dieux de roche cachés ou bien où sont ils, où sont elles, ces créaturesq ? nous cherchons issue doucve par le chant, nous cherchons une issue douce par la parole, par l’efficience langagière pariétazle , où se placer en pareille roche du temp^s pour sortir la tete et respîrer sans gêne ? où et comment ? car nou!s voulons savoir et poursuivre nos chemins de page, nous voulons comprendre les choses crument, sans chichis, sans tourneboulage intempestifs, directement, crument, chaudement sorties (les choses) de l’oeuf, comment faire ? nous voulons comprtendre ce qui est ici qui setrame, en cette section pariétale du temps déroulé, musicalement, comme une méloppée apprise par coeur, car le coezur ici a son mot à) dire continuellement et sourdement, ou sourdemen,t peut êztre mais en continu car il ne lache pas la mesure du temps qui, qui toujours compte, tapê, vibre, renacle et va de son allant vers Roche aux embruns, va de son allant placide, etc, le coeur est au coeur de l’évènement, nou!s savon,s cette chose de roche , comme quoi la chose est dite ici (paroi) sous forme animùale, ce jet sur pierre = un crachat, un jet «brute», une sorte d’incarta de , un écart de morale, une sorte d’injure rupestre et voilà ce que nous szavons de toute cette affaire, nous creusons à mezme la roche et voulons trouver une chose dure, rude, qui puisse le faire pour l’étternité, une pàarole d’évangile en vérité (voilà le pot aux roses !): une parole d’évangile, une parole a ncrée, une gravureestampillée «à jamais», etc, nous voulons de cette permanen,ce, de cette imposture oui ! car la permanence est illusoire qui nous voit somnbrer corps et ame un de ces quatre immanquablement, car la terre nourricière est tourment, est roche brulante et mobile, engloutissante commùe un trou de roche brulant, un volcan, la lave princière, le tourment fatal de la roche temporelle : rien ne peut y couper, rien ne peut ne pas sombrer en pareille lave, qui de quoi pourraiot en échapper ? tout est appelé à être englouti ! un jour ou un autre ! cela seul qui pourrait sortir de cette chose est cette chose d’une chose qui ne sezrait pas matérielle or quoi ? nous nous essayons à comprendre ce qui est de toutes ces cghoses vibrantes de la vie du verbe, car le verbe esswt cette cghose dure de paroi, gra-vée, quyi marque une sorte de destinée pariétale et donne le la à la roche du temps musical , scandons nos méloppées tardivesq ! chantons notre litanie guerrière ! allons sur lma roche des prés alloués ! sautons la balustrade et courons à grande eznjambée mais commeznt quand le temps-espace est circoncscrit et nous trouble de ses tourmentsq ? notre but (affiché) est celui de se montrer ainsi sur roche le port altier: un chevreuil racé, or commen durer ? comment faire pour durer dansla durée ? nous essayons de comprendre ensemble («à toi à moi») cette chose des tourments liés au temps (au temps des embruns) mais la cghose est compliqué e et ne se prête pas aisément à une inspection assurée, sérieuse, dans le détail, de toutes ses composantes pariétales, or comment savoir sans inspection ? comment pouvoir s’y retrouver ? où poser le pied ? nous devons poser le pied ici ou là et pour cela nous devons inspecter et comprendre le sol, sadureté, sa fiabilité, l’assurance de pouvoir marcher ici, etc, ou là, et pour cela nous devons nous concertezr et parler un langage approprié soit commun, des mots échangés, des paroles de c onfrérie ou de tribu ou de clan ou de famille,; etc, nous sommes deux qui parlons de concert et avançons sur ce chemin de laroche du temps, on voit a u loin des choses bouger, qu’est-ce ? il s’agit de choses dures, de betes-mots sur roche à la lumière des ezmbruns, nous pensons «aurochs» et sont-ce des aurochs ? nous pensons «buffalo», est-ce des «buffalos» ? nous pensons «antilopes» , est ce des antilopes» ? nous cheminons, nous ne sommes pas en reste de faire cette chose d’un cheminemeznt radial à travers lalande , laparoi du monde : ici et là sont des parois de roche brute, il s’agit de murs d’enceinte, vagues dressées d’un entre-deux-mers rocheux, nous abvançons entre ces deux parois, nous nous infiltrons dans la voie = en cette voie d’abord, nous nous infiltrons emnsemble en pareille «venelle», et là nous marchons le port altier, nous «laramenons» de concert et comment autrement ? nous devons a ller ! nous sommes qui devons allmer ! de vie lasse ou pas nous devons ! nous ne sommùes pas dispensés ! nous devons poursuivre sur pareilkle voie nos appfrentissages de parois , nouis devons poursuivre sur pareille voie de roche nbottre propre avancée ghravée, notre chemin de croix, cette volonté de’ y aller pour en découdre ou sinon où ? car bnous sommes engagés sur un chemin tracé qui est borné et que dès lors nous ne sommes pas en mesure de quitter tout à trac de sitot ! nous sommes engagés ! embarrure ! et voilà le pot aux roses soulevé ! nous avons cette chose (chance ?) de pouvoir là en avancer fissa (homme-chgevreuil) sur pareille voie (tracée) de roche du temps, le temps est un tracé d(‘ordre musical, nou!s devons nous adapter à pareiille sonorité des pierres et des parois rupestres, nous sommes deux (le yin et le yang ?) à devoir aller ainsi, sur roche, entre deux vagues redressées, pour une incursion-embarrure de tous kles instant musicaux de pareille roche, nous nouqs avançons ensembvle, nbous cherchons enselmble une voie, nous cherchons ensemble à commùent virer de bord et ne pas se laisser absorber par le tracé de roche animalier, comment ? où se poser ? où donc se réfugier ? où aller outre ? où allmer autre=meznt ? où aller ailleurs ? car le tracé est UN qui nous pousse ainsi à faire le chemin qui est cette lig,ne-tracé unique, univoque, et dès l;ors comment s’y prendre pour en réchapper et prendre la tangente ? quand hélas point de tangente n’est-il pas ? nous avons une volonté en nous (de tous les instants cordiaux) qui est celle de vouloir ainsi «couper la tangente» ou comment ? trouver une autrte voiie d’abord ! mais où quand le chemin est tout tracé et point du tout d’issues de secours, quand le chemin est tout direct tracé : chaud devant ! c’est à dire «droit devant !» et que dès lors nous sommes couillés ! nous sommes couillés ! nous sommes à couille! nous sommes «eus» ! nous nous sommes fait avoir ! nous sommes pris dans les rets d’une sorte d’entité rupestre, les bords sopnt dél:imités, nous sommes dans une sorte de canyon, et de part et d’autres sont ces paerois gigantesques ezt lisses, nous sommes embarqués dans une fuite en avant de rage, et impossibvle d’y couper, pas même en rebroussant chemin car le train est lancé quyi nous emporte ! nous devons nous laiisqszer (pour ainsi dire !) emporter , nous devons (pour ainsi dire, car de choix il n’y a pas en vérité) nous laisser empoerter entre ces deux vagues redressées qui sont nos murailles de chine pariétales, nous nous avan!çons en cette roche, mi homme mi cerf, le corps du bas est celui de lm’homme et celui du haut est celui du cerf, ou inversement, je suis l’homme-femme enfant des roches du temps, habillé en cerf de latete aux pieds ? je regarde les parois du temps, mon corps est dressé sur ses pattes arrière, je suis là sur roche pour un temps donné, ce temps est le don, de part et d’autre, don reçu et don posé (offrande) sur roche, à la dérobée, par nous autres, qui sommes des enfants du temps imparti, nous nous avançons sur pareille roche des temps partagés, le temps est un reçu et un donné, il y a cette chose ici d’une sorte de donnée de base à considérer, comme quoi le temps est ce que nous avons reçu en nous à notre naissance et, depuis lors, ce que nous donnons sur roche des temps à la dérobée, comme bure, comme capeline tombée, laissée pour compte sur la pierre dure, cette cape, ce chandail, cette robe de bure, cette camisole, cette capuche etc, laisszée là sur roche déposée comme une offrande pour une prière, ou pour une requêzte, etc, notre envie ici est dee persister en cette roche aux embruns afin de tenir bon notre gouver ne d’homme et de cerf réunis sous une même égide pariétale temporelle : le vin est tiré buvons-le ! la chose est comme entérinée , la choses est d&marrée, elle ne peut plus revenir en arrière et nous voici emportés ou tout comme vers des lendemains rupestreesq, nous devopns poursuivre vaille que vbaille et coûte que coûte notrte petite route ou ce petit sentier de desti née en,raghée, nous nous devons d’aller ainsi en roche, poursuivre pareille excursion et ne pas flancher, nous devons poursuivre sur roche cette chose d’une sorte d’examen des lieux en présence (cheminb faisa nt) et comprendre : quoi ? ce qui est qui nous attend ? ce qui est qui nous accompagbnne ? au choix ! pour ma pàart le choix est fait , et en v érité les choses se recoupent, car l’allure du sentier nous apprend des choses il semblerait sur sa finalité , n’est il pas vrai ? hum ! que sais je ? que savoir ? que pouvons nous savoir ? qui sait ? qui sait plus ? qui sait tout ?? qui en sa it long ? qui pour nbous dire et nous renseigner ? nous cherchons la perwsonne idoine , qyui est-elke ? qu’elle est )elle ? où la trouver ? en roche ? sur paroi ? dans pareille roche aux embruns ? sous un toit «du moinde» ? quand ? les calendes grecques ? la saint-glinglin ? à la revoyure ? quand trouverons-nous la bonne persopnne bien informée,; car nous commençons à nbous impatienter , nous aimerions comp^rendre, savoir les choses, aller dans le sens des savoirs ancrés, comprendre des ensembles entiers de cxhoses avérées comme estampillées « vraies», nous essayons d’en avancer sur le cxhjemin des vérités ancrées, des vérités vraies, de celles que nous voulons comp^rendre à deux, etc, nous essayon,s de creuser le temps (musical) de la roche, à brûle-pourpoint = au pied levé, à la va comme je te poussse brutal, comme brutal je pousse la chose de force, pensant «libérer» des éécueils, pensant soulever des branches qui, ensembvle meurtrier, se seraient d»éposées en traverts de notre voie d’abord, nbous essayons de tra cer route ici, ensemble, pour l’éternité allouée (si tant est) et pour ce faire nous gravons qui des bouquetrins qui des aurochs sur rochje, soit des betes-mots de première ( primitifs) qui sont des mots de rage et de soif dans la vérité, nos cris sont portés par la roche ! nous hurlons nos destinées (qui son t temporelles, pariétales on le voit , et temporelles, o,n le voit aussi ! on sait cela : comme qsuoi kle temps est l’allié, ou plutot : cvomme quoi le temp)s est entier qui sort de bouche nôtre pôur aller fissa s’incruster vite fait bien fait sur la roche, e,n lévitation, à main levée, pour une gouverne ou de la part d’une gouverne, etc, car le but ici est de creuser la roche pour s’y introduire fissa et s’y loger-lover un temps que l’»on souhaite (art) le plus long possible, et voilà) pôurquoi nous nous affirmons homme-femme de laroche dure, mi humain, mi -fracas pour ainsi dire, nous retomnbbons à la renverse, nous sommes deux (en nous) quyi tombo,ns à la renverse, nbous n,e voulons pas c»éder mais nous tombons à la rencverse, nous sommes deux en rochje qui ne voulons pas cvéder mais pour autant nous tombons ensemble (main dans la mùain =entrelacéés) à la renverse dan,s le temps, et ce faisant nous  voici meurtris par l’épreuve, le temps est tourment, mùusique et tourment, nouds nous eznfon!çons toujours plus avant, en cette roche des tourments notoires, nous ne voulons pas mourir car la mort a quelque chose de surnuméraire ou comment dire ? un plus ajhouté qui n’entre pas dans le cvalcul tel que nous  nous pouvons le compfrendre, avec nos visions d’homme)-cerf des cavernes, alors comment ? nous nouysq disons que cette chose de la mort a quelque chose xde surnuméraire c’est à dire d’extreavagant, or voilà ce qui nous pend au nez semblerait-il ! de l’extrravagance en branche ! cette cxghoses allouée, cette chose consacrée dans les clartés, cette chose d’une sorte de béance crue, sauvage, plutot puante, etc, du pus ? nlous voulons savoir et comment savoir par la ban,de ? comment savoir avec des mots de rage ? commenbt savoir déjà avec des mopts tout court ? n,ous voulons savoir les choses crument et pour cela nous voulons nous serrer les coudes et comprendre conhjointement les choses du monde, cxe qu’elles sont pour nouds = à nos yeux d’homme dédoublé, dx’homme présentant ce visage de la symetrie en toutes choses pourvu qu’elles fussent données à voir, etc, nouys pensons que cela est cette chose d’une sorte d’apparat, para de animale pour une capture, présentation, représentation pariétale, univers complet de sollicitude, nous gravons pour la parade une sorte de chose allouée à une prétention suurnumaeraire : cette chose, cette chose est une chose rude comme la patience, cette chose est une chose rude-dure, dure-rude, rude-dure, dure-rude, comme un jeu, comme un jeu ou comme un exercice de diction, nous devons poursuyivre notre avan,cée, nous devons poursuivre sur notre avbancée, nous devons poursuivre notre randon,née rupestre et comprezndre plus de ce qui est sur roche pour nous qui sommes des enfants des jeux, nous devons comp^rendre au p^lus serré cela qui est pour nous une raison, un motif de pensée, une solution c’est à dire une réponse à une question frelatée (?) ou sinon non ? point du tout frelatée ? car il nous apparait que les questions de fond nous semblent frelatées, ou sont cela ! il nouq apparait à nous comme qyuoi les quesrtions de fond sont formulées acvec des mots qui ne nous inspiren nt pas confiance pklus que ça et voilà pourquoi la chose est comp^lexe , nouds voulons savoir profond mais comment savoir oprofond avec des mots de roche nue, mots-betes visuelsq, mots de roche crue, comment faire ? nos mots sont des betes-mots qui ne vont pas plus loin que ça que nou!s sommes amenés à voir devant soi ! et comment dès lors avancer sur la voie de la ou des connaisance(S) ? nous voulons avancer sur la voie de la connaissance en toutes chgoses, et pour c

ela nous nous engageons dans latourmente, mùais voilà : les mots sont mots-betes de des tinée,, ils ne vont pas loin da,ns la roche, leur poumon est animalier et reste caché (enfoui) en ce sein des seins nôttre qui est ce sein de roche mùeuble en nous ou sinon en nous hors de nous mais meuble pour une immixtion , nous cherchons un savoir accroché, un savoir de tous les instants, et cela est pour nous ainsi cette cbhose de poids que nous aimons, qUE bnous chérissons comme une bete douce et caline, chat-chien, biche ou autre, qui est betye de hjoie temporelle, betye-mot de roche du temps, bnous nous infiltrons à m^$eme la roche entre deux parois et avançons de nos pas... pour aller vers ce là-bas des temps embrumés, qyuooique éclairés par une clarté sourde de’une sorte d’outre-mal de la rocxhe dure : visée ? virée ? vide ? vie ? voyage ? V ? et si V lequel ? vir ? nous ne savonsc pas, nous voulobns savoir , nous ne savons pas c’e’st à dire pas grand chose ,; et nous sommes deux (en soi) à vouloir savoir ce qui est de cvela qui donc nous a tttend au tourn nt du siècle ou comment , à quel moment ? nous voulons savoir ! nous sommes ainsi (deux) qui cherchgons à comprtendre ce qui est de source sûre , nous vkoulons essayer de comp^rendre tout cela qui nouys tend les bras au devant de nbous, sur ce seuil de roche cochère, etc, cela qui donc est ici = devant = vie du temps = cette chose où pouvoir déposer nos menus fretins ou  petits butins, etc, nbous voulons comprendre les données pariétales premières du monde, où se logent les destinées, où se trouve la porte du monde , si porte est ou existe, et si porte existe où elle est , nous cherchons mille réponses à mille questions de source, et cela (ces réponses et cxes questionsz)) est enchevêtrezment interne a nimalier , qui cherche à sourdre de nous via bnotre trou de bouche, en jet, cohorte, sable sur la roche, poussière,  ra chat, etc = tourneboulotage de roche de gré ! nous voulons faire ainsi cette chose d’(une sorte de tourneboulis des données de la roche du temps, nous voulons aller loin dsans les connaissances de base, et comprendxre au plus profond les données pariétales et les enjeux de taille du monde des voix, des ombreqs, du chant, des clartés votivzes ! susurerement à même la roche ! nous voulons savoir ce qui se trame en cette rocxhe des tourments de base langa     giers : ces betes-mots de roche dure, où sont ils logéspour de vrai ? notre b ut est de comprendre les enjeux divers et variés et pour ce faire d’aller à l’encontre de; la déité morcelée ! quelle est elle ? pourquoi morcelée ? qui en elle ? quoi en elle ? est elle une fée des embruns ? une putasse de salope dure des embruns ? une saleté à décrier ? une saleté de pute borgne à dégueuler ? qui est elle ? nous ne voulons pas l’approcher de trop car elle pue la merdxe ! nous ne voulons pas d’elle la suivre de près car elle pue lma merde ! nous ne voulons pas «elle» «suivre» « pres» car» «pue» elle « «la merdaille» : «elle»  ! nous ne sommes pas ainsi qui cherchons à nous approcher d’elle de trop, car nous voulons la tenir à distance plutott , et comment ? en latraitant des mots de rage ! en traitant icelle comme du fretin ! en prononçant à son encxontre des mots détestablesq ! gros mots enfantins ! pipi caque ! bnous ne voulons pas donner à elle de mots trop soignés ! nous voulons rester de ce côté des cghoses rudes mais vives et pas de ce c^oté autre ‘(symétrique) des mots trop lé chés ! nous voulons conserver notre vive volonté d’être ! notre vie estt accrochée et nous voulobns la conservzezr a insi ! nous hjouons avec le feu de la mort à l’ oeuvre ! notre jeu est celui ci , nous sommes enfants -joueurs qui jouons à suivre des yeux là-bas le littoral, la ligne lointaine, mais pas plus loin aller, car plus loin = l’échancrure-embarrure fatale = la mort du petit cheval, or non ! non et non ! ne voulons aller, nous, sur pareille roche nous jeter, nous placer, et chuter ! non et non ! non ne voulons ! nous sqommes accrochés à ce côte-ci de la vie ezn cours et ne voulons pour rien au monde («saleté !») aller au plus lointain de pareille roche, nous sommes des betes et des hommes en creux,; = mi homme mi betye en soi, qui allons sur roche ezntre deux vagues redressées qui sont murs cde charité, dee rage et de cxharité envers    nous autres hommes-betes de céans qui arpentons la place vacante, vers ce loin devant offertt qui est chjemin de vie vive allouée, et qui est ce chemin, asséché pour un tracé, cde ruade animalme en  nous, tracé au bois brûllé sur paroi de roche : bouquetin ,; bouquetin, bouquetin racé, chev al, chevakl, cheval tracé à même l’anfractuopsité, nous sommes homme-cerf, homme-chevreuil, homme-bouquetin, homme dxes parpois animalières, homme cerf préhistorique, notre bouche ouverte est le champ d’une pique de rage, nous cherchons à  n ous libérer de cette chjose (animale) en bnous qui nous envahit et nous pousse à toute extrémité langagière de roche , et de roche dure s’il e, n est, nbous sommes des qui cxhercxhons la rage, dans une expression de paroi, et ce faisant allons ainsi à la recherc he d’une fibre, d’une vie linéaire, fil de soi pour une découverte de poids : cette bete surnuméraire est notre bete de pzaroi , nous voulons comprezndre les données natives, ce qu’ezlles sonht pour nous qui cherchons  les choses natives, basiques, premièresq, etc, nous voulons savoir ce qui nous atteznd,; mais les mots peuvent ils nous dire ? sonbt ils mots du dire roi ? sont ils mots qui peuvent ? qui peuvent ou puissent ? sont ils mots de source sûre, fiable, tenable, etc ? riezn n’est moins sûr ! car les motrs sont betes-mots de roche = des brulots !  qhoi d’autre ? notre but est affiché ici : brulots ! brulots ! brulots ! brulots ! et qsuoi de plus en vérité ? les mots brulent leur charge animzale , les mots de roche (effigies) sont là pour nous qui brûlent de concert (incantation) leur charge animùale musqicale = don du temps vécu = feu de tout bois de roche = feu des bois de la ramure ! = feu ! feu sur toute la ligne de feu ! feu sur la ligne centrale ! calcinée la ligne ! nous cherchons à mieux cern er ce qui est ici qui nous rezgharde , mais commeznt ? notre but est affiché , il est clair, il est d’une netteté sans bavures ! notre choix est fait : nous voulons la chose sans la mort ! nous ne voulons pas cde la mort des roches, cette saleté avérée , nous n’en voulons pâsd outre mesure, et ce que nous voul;ons porte le nom de son destinataire = nologips ? ou bien un autre nom ? chevreuil ? chevzal ? roi-daim ? chevrotin ? riche bete ? nous cherchons le nom de la bete des bois, nous cherchons exactement ce nom d’une bete des  bois qui est cette bete-mot de roche gravée, quel est il ?  nous cherchons ce nom précis, d’une bete en p)articulier, nous chercghons en paerticulier le nom précis d’une bete donnée, quel est le nom précis de cette bete ? nous voulons savoir , nbousq voulons co:mprtenxdre, aller en roche, nbous voulons aller en roche pour savoir, notre but est de savoir, nous vou;lons sa voir la chose de laroche dure br^ulée ce qu’elle est , quel nom a cette chose ? quel est le nom dxe cette cxhose, dfe pareille chose calcinée ? «temps» ? «temps vécu « ? avons nous  cette chose pour nous ? pouvons bnous la comprendre «de près» ?. quel nom poorte t elle ? qui sait ou saura nous dire ? j’(aspire à comprendre une chose et cette chose = un nom, le nom x de la bete mienne, quel est il ? qsuel nom endosser comme toile de bure le charmeur de roche, que nom endosser comme toile de  bure le mar cheur de la roche du temps, quel nom endosser ? «MON NOM», en miroir cde roche ? ce nom là qui brûle  sa haine ? cette cghose là calclcinée ? quel nom en,dos-ser ? chevreuil ? cerf ? bovidé ? boviné ? cerf volant ? bouquetin des bois ? biche de raghe ? cerf des endroits cachés de la la,nde ? cerf brûlant ? brûlot des bois de rage ? haine c entrale ? haine-feu central ? soubassement animalier ? serpentin ? choix du roi en la matière ? ours ? ours des cvavernes dorées ? ourse ? ourse des cavernes vives ? décoration ? choix de roi surnuméraire ? le trou est il borgne de la mort à l ‘oeuvre ? le trou de la roche (issue) est il borgn,e comme le langage ? pâr où passer l’arme à gauche ? par où passe l’(arme ? par où passer l’ame, par où pâsser l’(arme ? par où donc passer une arme ? qui pour dire ? quels bons mots employer ? y a t il des mots p^lus beaux ;que d’autres pour ce  faire , ici beaux = appropriés, y a t-il  ? y a ? y a t il des mots de roche (bouquetins) plus appropriés ou bien l’ensemble est d’ores et dejà calciné dxe base ? nous voulons savoir le nom dont nous sommes affublé comme d’un e cape, chandail, rebuffade, capeline, etc, bure ! bure sur soi ! capeline-bure , et non rebufade, capel:ine et non rebufade, cape du chef de rage , et non rebufade en soi cette capeline sur soi, couvrant les paerties nobles et aussi les autreqs, le cul de ta ra ce ! nous chercghons les mots idoines à probnoncer en roche du temps consacré , nous  cxherchons le mot juste = le nom = mon nom = quoi ?  nous voulons savcoir le nom que nous portons au devant de la mort , et voilà l’(art ici qui se glisse rude !  nous voulons sqavoir quel nom en vérité est là pour nous à donner fissa par la  bande et où l’accrocher, bnousq ne voulonsq pas désqespérer,  bnous voul:ons en avancer, nous sommes soudés comme une main l’autre, bnous sommes soudés et pris dans une sorte d’embrouyillamini animùalier de base (de rage) qui est  c  elui là que nbous avons en notre sein de foi de rage interne = cette enclave en nousq (pré- bouche) qui est cettte cxhose-outre que nous contenons , wque nousq avons en notre sein comme un réservoir de pensées natives, mots de l’antre cachotier, etc, nos mots sont mots-betes de corne piquante, nous avons à percert kla roche de nos pics de race (?) ou rage (?) ou commùênt ? nous chercgons les mots ! les mots sont en nous contenus ! sacs de mots de race -rage de ta race )-rage = insultes alarmes ! chaud devant ! nous pêrçons la roche, nous avons percé la roche, nous perçons la roche, nous avo,ns pêrc é la roche, nous perrçons la roche, nous avons per céklaroche, nous perçons la rochez, nous avons per  c é la roche, nous perçons la roche, bnous avons percé laroche, nous perçons la rocghe, nous avons perc é la roche, nous perçons la roche avec notre pique de bouche de rage, nous perçons munis, nous perçons car nous sommes munis de ce pic de perçage de roche ! nous perçons roche de ce pic de roche ! nous sommes munis (appareillés) d’une sorte en nous de pic salvateur, qui perce larocghe du temps (mots-betes) et le perçant ouvre le champ pour une immixtion)--contrition de premièere, oup la oup, entrons dfans la danse et la sérénade, ouvrons bnous à la musique des parois du temp^s, car la chose est musicale (le temps) et nous porte co:mme effluves pâriétales, nouys sommes DEDANS, nous sommes en ce dedans de la roche du temps, et le nomque nous portons est le nom d’une bete xde taille, peiuetre cheval, peut etre boeuf, peut etre ovin, bovin, ou autre nom dxe bete forte, bnous sommes deux pour la bonne cause = en miroir, attelé, comme betes de joug sous une laniè§re, sous bannière votive, sous un joug de dieu de race dure comme le bâ ton sur la crinière, nous allobns en roche pour nous faire battree, nous allobns en roche pour nous faire battre, allons-nous en roche pour nous faire battre ? qui so:mmes  nous pour aller en roche nouds faire battre et hurler notre misère de bete battue ? qui wo:mmes nous dès lors pour aller en roche nous faire battree et pleuirer de la sorte ceztte chose ici d’une soerte de bezte battue à la vie à) la mort, comme bete-mot animalier de roche dure animùalière (etc) sur parooi préhistorique : magdalénienne ? nous voulonbs savoir et pour ce faire bnous voulons aller latete la première dans le sas des xsas, dans le sein des sein outra&gé,, en cette roche des tourments et des mots grossiers , qui sommes-nous pour nbous compl;aire en pareille roche aux coups donnés ? qui so:mmes nous pour nous immiscer dans ce sein des seins tourmentés, lieu de lma misère, desq coups portés, des mots «gros» proférés etc, qui ? nous dezvons perc er la roche, trouver le mot hjuste pour soi, ce mot qui dit ce que nous so:mmes au juste : cheval  ? crhist ? oint de bure ? franciscain ? pelure ? bure bure ? chandail de maitre-queue ? ouvrier des halles ? palisse -pelisse ? ouvre-boite ? califourche ? squi suis je ? un cheval d’attaque ? une meerde blanche ? un homme-chevreuil ? bouquetin ? boouquetintin ? homme-cerf ? doublure ? homme femme des embruns ? nervure ? nerf ? homme-cri ? homme qui pisse le sa&ng de sa race sur paroi du mon,de souterrain et qui hurle de sa voix de bete sa rage natale ? qui suis je ici pour etre cet homme du par(ler vorace ? qui siuys-je donc pour aller ainsi en roche du temps pisser ma gouverne sale, ce chant xde ta race dure , chant de»s effluves temporalles, musiqu-e des embruns de fin de vie , qui ? je voudrais co,nnaitre enfin cela qui serait MON NOM de tribu, puis je ? je voudrais savoir ce qui est pour moi en cette matière, celle du nom a ttibué pour de vrzai et non pour de faux, je voudrais connaitre le fin mot de ma destinée , à savcoir MON NOM, ce qu’il est, leqUel, quel est il, qyuoi pour moi en la matière, j’aimerais, je voudrais , car je suis l’hommme des  cavernes, affublé xd’un nom animalier, affublé par la bande traçante d’une parité, d’une sorte d’entité royale en pariité, etc, je voudrais co:mprendre les ressorts cachés d’une attribution en toutte pârité : qui dit quoi, qui décide, qui soustrait, qui affirme, qui poussse à tel ou tel retranchement cette bete en moi qui est la bete-mot de la pâroi, qui dit sa gouverne, qui échancre, qui aspire, qui buffe, qui chl:ingue, qui pue la nausée, qui eswt cette forme dev ant qsui semble s’approcher cde nous : homme ? fzmmùe ? enfant ? animzal debout ? vivre ou vipère ? nous cherchons à cxhaque chose des réponses de poids qui le font, nous chezrchons des choses de paroi dure, nous voulons cdu lourd de chez lourd et non pas du léger fretin frelaté qui ne va pas lloin, nous voulons  savoir ce qui est sur roche en tant que nous sommes ou serions en représentation pour une déité ancrée, qui sommes n   ous en tant que tel, qui sommes-nous pour cette déité ancrée ? homme ? ou chevreuil de contenance ? holmme ou bete ? nous pleurons notre misère au mangannèse ! nous pleurons-gravons les betesq-mots qui sont maigres mots nôtres = mon nom, de roche vive, forte chose à montrer vivace comme une  insulte ou comme juron ! nous disons les mots les plus grossiers de notrez sphère langagière animùalière, et c es mots vont à se loger au creux des anfractuosités cde la roche, ces jurons ont des noms de betesq, et ce sont ces noms que nous affichons pour notre gouverne, et ce sont les noms qui suivent : bouquetins, bouquetin, bouquetin, chevreuil, bouquetin, chevreuil, cerf, ours des  cavernes, renne, renne, chevreuil, ours des cavernes, ourse des  c avernes, cheval, bouquetin, bouqutetin-tintin, bouquetin, ours des cav ernes, chevreuil, cerf, cheval, renne, mammouth, chevreuil, bouquetin, renne, ours, bison, aurochs, aurochs, reznne, cheval, bouquetin, bouquetin-tintin, ours des cavernes, renne, aurochs, buffle, anti:lope, antilope, jumeznt, vulve, jument, bouquetin, aurochs, jumeznt, bison, aurochjs, cheval, ours , ours des prés, biche, vchevreuil, cerf géant, cerf, méga cerf le géant des prés, ours des cavernes, chenapan

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17/05/2021

nous touchons la roche et nous nous immisçons, nous devons poursuivre ainsi sur roche ce chemin de bure et, ce faisant, aller loin en pareille contrée temporelle, nous devons comprendre les tenants et les aboutissants de pareille roche du temps qui est, ce devant animalier pariétal qui nous tend les bras car des bras sont tendus, des bras nous sont ouverts et nous recueiillent, il s’agit de bras ouverts c’est à dire d’un giron de dame , de dame ou de sieur, de dame ou de sieur qyui sont ceux-là icvi qui savent et peuvent bnous adjoindre à leur savante compagnie, et que savent ils ? ils savent ce qui est ici ! ils savent ce qui est qui (donc) se trame ici au sein de la roche soit de la roche animalière ! ils en connaissaent lourd ! ils savent ce qyi est qui va et s’en retourne , et va et vient et file au loin, en pareille praoirie des rocs, en cette roche dure, en pareille prairie herbeuse, etc, ils en savent lourd et sauraient nous dire ce qui est ici de cette chose qui est sous nos yeux, le rayon de l’heure, la largeur du temps imparti; etc, nous voyons cet espace ici comme celui qui est pour nous la chose du temps, cet espace-temps est à nous ce qyi est cela que nous cherchons depuis longtemps, nous sommes entrés dans la roche, nouys sommes à l’intériuer de la roche du temps, nous nous sommes immiscés à l’intériuer de la roche du temps et nouoyts nous approcghons des betes de poids qui nous regardent, nous voulons comprendre ce qui est en pareille roche, nous voulons comprendre ce qui est et ce qui se trame en pareille roche du temps et pour cela nous nous sommes immisçés et nous sommes entrés et nous regardons et que voyons nous ? nous voyons des betes de poids et autres betes de foret et de sous-bois, etc, nous voyons des betes rudes, rudes et costaudes, nous voyons qu’il s’agit de betes de poids soit qui pèsent leur poids d’être, leur poids de bel être, il s’agit de comprendre ici cette chose d’une bete de gros calibre, faisant office de gros mot comme pâr la bande ou par la compagnie, il s’agit de ces betes-mots qui , grosses et grasses, sse produisent par la bande, en compagnie, sur roche du temps, betes-(gros)-mots de compagnie, de troupe, de meute , etc, qui sont betes-mots de race animale, etc, nous savons que pareille bete peuivent (pourraient) nous donner le la de ça qui est en cette roche en matière de temps (tempo) de type musique, etc, nous pensons que nous avons ainsi à comprendre cette chose, d’un tempo rythmique des choses de roche, animaux de co:mpagnie, gros mots par la bnande, depots de présenbts au pieds de la roche du temps (en intra) comme délivrances, etc,  nous devons comprendre tout cela à loa lumière d’une identité rocheuse, d’une découvette avérée, d’une solution à un problème, etc, nous devons comprendere les choses du temps paritéal à la lumière des embruns, du pic de la roche, des notes de prairie allègre, nous devons comprendre ce qui est en pareille roche au son des pipeaux de la roche, nous devons comprendre ce qui est en pareille roche du temps au son des flutiaux et autres pipeaux de roche et pour ce faire nous devons nous introduire au plus profond de cette pierre des embruns, de cet entre-deux-mers pariétal et là, dans les profondeurs, ouvrir nos mirettes en grand et ne rien manquer du spectacle des embruns, des clartés, des vols de paille, etc, nous devons comp^rendre ici (en rocghe du temps) ce qui est pour nous qui semble ou semblerait nouès attendre les bras ouverts, mais d’abord que wsont ces bras ? que sont donc ces deux bras ouvertts ? d’où proviennent-ils ? que sont ils en la matière ? que nous veulent-oils ? nous ignorons ce qui est de ces deux bras tendus et raison pour quoi nous cherchons,  raison ici qyui explique ce pourquoi nous sommes en recherche acitive, que devons-nous comprendre nous deux de pareils bras qyui se tendent devant nous, en rocghe du temps, ici même, et semblent vouloir nous ceuyillir tantot illico presto ? et nous de dire : non ! nous n,e voulons pas tomber dans le panneau, nous ne voulons pas tomber à kla renverse de sitoolt, jous disons (par notre nom) ce non du non -vouloir aller, etc, et ce faisan,t nous nous éloignons de pareilkle entité qui semble maugréer dans son coin devant notre refus ou sinnon commùent ? que fait elle ? que fait l’entité dans l’attente ? elle a fort à faire avec ce monde ! elle     n’e’st pas sans travail ! nous cherchons à comprendre ensemble ce qui est de cettye chose d’une dame ou d’un sieur de roche, qui seraient, et l’un et l’autre, ou bien ou l’un ou l’autre, celui là ou celle là qui saurait nous dire ce qui est de pareille rocghe des temps impartis, temps de vie pour une gouverne et une gouvernance d’un mobile personnel, temmps de vie et de mort, temps imparti sur roche, à deux, pour une gouverne de soi en pareille temporalité, nous cherchons (à deux : en soi) cette chose ici d’une sorte de gouvernance temporelle pour soi soit pour son propre allant en roche, nous sommes deux en nbous qui cherchons (la bete et moi ?) des choses du temps à même la roche : qui est qui ? qui écrit ? qui dit quoi sur roche ? qui est donc à l’initiative d’un tracé animalier qui dirait la vbérité et cette vérité quezlle est elle ? qui dit ce qui est ? qui veut dire ce qui est et comment ? nous disons sur roche des noms de betes, nous gravons à l’envi des noms divers qui sont noms de betes (betes-mots) de première, et ces mopts sont des mots de joie, de pure joie, ces mots sont mots de bande et de bandaison, il s’agit d’une chose dure, raide comme la justice et qui est cela que noius voulons pour notre gouverne temporelle, cette chose d’une raideur de base, d’une sorte de tendre raideur de base qui serait cette chose d’un vouloir induit, etc, nous cherchgons en roche des raisons et nous comprenons cette chose comme quoi nous devons aller loin en elle (roche) à la recherche d’une vérité tenue ou contenue en elle-récipient, en cettez roche-récipient qui serait la roche du temps imparti à une vie, et pour cela nous creusons ensemble (un plus un) cette roche dure et ce faisant nousavançons comme dans une mine, et cette mine est bnotre vouloir, notre vouloir-être, ce vouloir de base, cette mine ici est un vouloir de base, celyui là qui nous fait dire «non !» en daonnant notre nom  de roche, nous disons cdette  chose ici comme quoi nous avons à comprendre les motisfs secrets qui président à une vie humaine : pourquoi ? quand ? où ? avec qui ? cvombien ? quan est-ce que ? avec qui aller en roche ? pourquoi aller ebnn roche ? pourquoi comprendre ? pourquoi aller ainsi en cette paroi des choses du monde ? nous essayons de comprendre au plus juste ce qui est mais la chose n’est pqas facile car il nous faut ici beaucoup d’à propos, de vista et de chance aussi, nous devons compren,dre un grand nombre de choses ici en roche et ces choses sont celles là que nous reghardons , qui gambadent dsous nos yeux, ce sont des betes-mots, ce sont ces mots sortis de notrez bouche, de nos yeux, de nos ventres, de nos cuisses, de nos antres, de notre gouverne etc, mots de l’ame et du corps défunt, etc, nous devons aller au loin de pareille roche soit en son swein au plus lointain et comprendre le plus possible, aller en pareille roche au plus loin et comprendre en elle le plus qu il nous soit possible de comprendre de toutes ces choses et autres concernant la roche, nous avons à comprendre gros et grand, ensemble pour l’éternité ou sinon ensemble séparé mais comment ? nous tenant la main ? nous tenant du regard ? alloués ? nous devons rester unis ici  en roche du temps, nouys nous devons ici de rester unis en pâreille roche et aussi : nous devons allezr au loin , embruns nacrés, loisir de buffe, soufflerie animalière, clarté bluffante (ou buffante ? ) , noius devons ensemble (?) comprendre ce qui est ici de cette sorte de contrée lacustre, de ces embruns de bord de mer terminalee, lointaine, ancrée, définitive, pouvant nous induire à une vérité ou sinon commùent ? nous cherchons en roche des mopts, ces mots sont des betes, ces betyes sont des appeaux, ces appeaux sontv pleure-misères de première etc, nous cxherchons cette chose en roche , et cette chose est une chose «folle» en cela que nous savons que pareilles betes-mots sont mots de lma bande, sont mots de confréreie, de compagnie salubre, etc, nous savons que ces mots de roche sont des animaux-appeaux qui cherchent à narguer sieur de la moprt en brandche ou dame de mes (deux) morts de roche du temps, ou comment ? narguant la beauté des choses ? ou comment ? car la mort ici est cette échancrure dans le canevasn, cette trouée en pareille roche du temps, ce trou de balle de la roche dure des temps, etc, la moprt a un visage et ce visage est un face-à-face, ou comment dire cette chose d’une face déroulée dans un temps donné, et nous de dérouler le nôttre à ses pieds, en guise d’offrande, et ce faisant nous la courtcircuitons, nous essayons du moins de la court circuiter à nottre sauce, et comment ? en donnanrt ces choses de base neuves, ce temps au petit bonheur sur la lande, nous offrons de nous ces choses de roche et ces choses sont ainsi qu’elles sont dé&posées sur roche à même l’allée, sur roche du temps à même les allérrs des betes-mots à nos côtés, nous voulons essayer de comprendre cette mort dont on nous parle, ce qu’elle est, ce qui est, cette chjose ici d’une sorte d’échancrure dans une pa roi, de trou donnéc par la bande, de fissure ou faille des temps impartis, cette chjose d’une destinée rupestre qui serait celle-là de la chance allouée, bnousessayons de nous introduire en pareille roche  à deux, ensemble, main dasd kla main, qui donc ? la bete et moi ? la bete en moi ? la bete en moi et moi ? = moi et moi ? mon droit et mon gzauche ? ma droite et ma gauche ? mon moi de droite et mon moi de gauche ? belle et bete ? la belle et la bete ? nous deux ensemble ? qui de qsyuoi lorsque nous disons  » nous « ? qui est qui en nousq ? pourquyoi deux ? qui est ce deux ? quel est ce deux , Quel est donc ce deux de la roche ? qui est donc ce deux de roche en soi ? pourquyoi disons nous «nous» en notre nom ? qiu est ce «nous» ? que devons-nous penser de la roche du temps pour nous , et accessoirement : de la mort à l’oeuvre ? qui est elle ? quoi est elle ? que est elle ? qu’est elle ? qu’est lma mort de roche en vér’ité ? qsuoi est elle ? quyel est son visage ? pouvobns noussavoir ? commùent figurer la chose, comment donc s’y prendre afin de figurer la chose pour nous ? nous devons comprendre une chgose ici et cettye chose ici est celle ci : comme quoi la mort de l’homme est inscrite en roche sous la forme d’une faille dans le temps d’une sorte de mainmise temporelle pariétale, nous  devons comprendre cxette chose ici comme quyoi nous avons agffaire devant nous à une sorte de paroi de roche temporelle (en dur) qui estr celle là qui nous tend les b ras et que nous rezfusons en déclinant nos noms animaliers ! et voilà la chjose ! or ce n’est pas tout ! nous devons comprendre le pourquoi des choses à la lumière d’une sorte de clarté rupestre, clareté vive des embruns de bord de mer, fin fond de roche dure des temps, animakl de compagnie, vivre découvert, etc, nous cherchons à nos immmiscer en pareillme roche et ce ensemble = main dans la main : notre droite et notre gauche  ? nous ? nos deux faces ? nos côtés de roche dure en  n ous ? nous avançons, nous sommes plusieures (en nous ?) , nous nous avançons de la roche du temps à plusieures = main dansla main, nottre mùain a sur elle  cette cxhgose d’un toucher de main extérieur ! nous nous avançons en roche du temps, nous ne sommes jamais sezuls, nous sommes plusieurs, bnous sommes au moins deux, sommes-nous sezuls ? nous nous   abvançons en  ette roche du temps et nous comprenons des choses de la roche ensemble : cette joie de roche ! cette présence en clarté ! cette présence d’exergue en clarté votive, native ! nois nois immisçons tout au fin fond de pareille roche des temps et là nous comprenons que nous avons à trouver des choses dite c»de la vérité» des choses, « , nous comprenon,s que nousq avons à creuser la roche pour comprendre icelle et ses attributs ttemporels, nous nous infiltrons, nous devons nbous infiltrer et aller profond en elle et comprendre des données, et comprendre le fin mot, car le fin mot ici est gravé, il est notifié, il garde trace de lui-même à mêzme laroche du temps, il n’est pasperdu dans les effluves, il n’est pas perdus dans les embruns, il reste sur roche comme la marque d’une destinée de poids,; pesante et tracée par la bande, nous savons cela comme quoi ce treacé marqué est contenu en roche comme une effigie de classe, nous essayons de co:mprendre cette chose ici d’une sorte de gouverne de parooi, qui va sur roche nous guider dans nos recherches et nous indique le cghemin le plus simple, clairesemé, aéré possible, pour nous repéter et comprendre où aller , nous essayons de nous infiltrer dans la rochge  du temps ensemble = main dans la main, nous vouklons ensemblke nous infiltyrer en cette rochge et comprtendre par où passezr, que faire ensemble en pareille roche du temps ? que devons nous fzire ensemblke en cette roche des temps offerts ? l’amour ? la jhoie ? la parole ? agrégat ? agrégation ? multiplkication des pains ? etc, nous cherchgons ! nous sommes deux (ou plusà chercher en cette rocghe du temps et ce afin de comprendre (ebnfin ! ) ce qui est ici d’une chose qui pour nous est cette cghose dure d’un temps offert par la bande, nous devons aller loin en roche et comprendre le plus, ce plus de base , ce plus de roche de base quyi est donc ce plus d’une destinée parioétale (temporelle) offerte, offerte par qui ? nous le recherchons ! nous voulobns comprtendre les choses du monde ce qu’elles sont et pour cela nous avons un plan de bataille, celui ci ici est un plan que nous dépl;oyons devant nous comme une cvarte d’état major, nous déployons devant nous un plan de bataille et ce plan est une cvarte d’état major, nous sommes deux à vouloir com:prendre ensemble des données et pour cela nous nbous indiquons mutuellement ce que nous savons cxhacun de son côté, nous mutualisons nos savoirs de base, nos découvertes, nos données recueillies, nos souffles, nousessqayons de faire ensembvle ceztte chose dfr’une découverte en roche concernant les tenants et les aboutissants de la vie et de la mort terrestre, et pour ce faire il nous a paru évident de devoir nous donner la main et de mutualiser nos gouvernes (gouvernails) respectives, nous devons comprendre ensemble cette chose ici d’une gouvernancve partagée, à toi à moi, à la une et à la deuxd, à la gauche et à la droite, au yin et au ya,ng, etc, nous avons à comp^rendre cette cghose ici qui est que nous sommes deux pour dépasser les termes et aller loin en pareilmle paroi de roche temporelle, c’est à dire par-delà les mots-betes de paroi, ces betes mots de roche prairiale, ces mots-betes qui sont aurochs de roche, aurochs de la roche ou aurochs du roc, etc, nous avons nommé les mots de c ette sorte avec cette chose d’une volonté de les rendre durs ou comment ? nou!s voulons des mots vite dits ! nou!s voulons des  mopts qui claquent de soupir ! rires ! chants ! roc du roc ! aurochs dépourvus de sentiments ! claquezmentds de rocghe contre une autre roche , etc! nous disons cette chose comme quoi nous sommes deux (en nous ?) à vouloir cette chose d’une réponse à une question que nou!s nou!s posons, et cette qestion est celle ci : qui comma nde en nous ? une betye ? le mal ? la foi e,n des mopts de roche ? lma volonté ? la beauté des formes lacustres ? qui ? noius voulons savoir cette cgose pour nou!s car nous sommes deux en nbous à chezrcher la cjhose , nouis voulons savoir pour nous ce qyi est ici en cette rocghe du temps pour nous, et cela qui nous tend les bras et sembvle nous appeler vers elle (elle ou lui ) car nous sommes près d’eklle (ou de lui) qui écoutons, et bnous entendons, bnous captons, nous avons capté, nous sommes sur c ette cxhose ici de roche comme quoi nous avons capté une chgose temporelle sortant de la roche et  cette cghose est un bruit de roche, une sorte de mélopéé susurrée ou affirmée à haute voix, c’est selon, il s’agit d’une sorte de chant de kla roche, et nous d’y aller en retour, de notre appeau de bure animùalier, chant contre chant, etc, nous allons ainsi en roche armés de notrte appeau animalier de paroi rupestre, nous crions = dessinons, sous emprise (de cet animal) une bete-mot-appeau de première, qui enj jette et assourdisse et fasse accroire à un dieu rocheux que ce que nous offrons en tant que tel est bel et bien dela vie en vrai, appeau, qui est donc donnée et déposée sur roche, et non point de la vie en faux, appeau, qui serait dès lors une sorte de moquerie développée ou déployée sur roche, nous disons que nous avconsà ainsi faire cette chgose ici d’une déclinaison d’identité : mon nom, mon nom est nologips pour votre gouverne, j’habite une maison de roche, je suis né en ta rtarie pour vottre gouverne, je suis né ba,ncal en cette tartarie de roche dure (le temps) et depuis lors je vais et je viens en roche, je me promène , je suis celui-là qui va et qui vient sur roche du temps à la rtecherche d’une vérité-perforation, ou d’une perforation-vérité, ou de cela : d’une sorte de perforation à même la roche, qui eût contenu en elle une sorte de vérité de bon aloi, nous (et je en particuklier) sommes tres enclins à voulkoir cette chose découvrir, nous sommes ensemble tresenclins, à cette chose ici, d’une découverte à mener ensembvlke xsur roche, et cette chose est un e chgose dure, raide, tendue, dressée, comme batonnet, comme pic de roche, queue de verbe, excédent etc, cette chose est à prendre ou à laisser, elle percute, elle entte en roche, elle s’immisc e, elle pénètre et va se lover-loger en,, pareille paroi de roche dure (ou tendre := selon) et là se déployer à l’envi et comprendre un cezrtain nombre de données de base, cette chose ici d’une sorte de royauté (de primauté) de roche, sur la roche ou en la roche , nous voulons essayerde comprendrecx une cxhose et cette chose est coton à comprendre à deux ici, car nous sommes ensemble ici pour comprendre ceztte cghose mais ce n’est pas simple, chjacun tirant de son côté (droite et gauche) ou comment ? nous devons nous a pprocher de l a vérité qui serait contenue dans le sas des sas, dans le sein des sein, en pareil antre des confins, en cette loge royale pariétale, en ce bidou de première, le bidou des bidoux,; et là, ici, à cet endroit, au coeur du coeur du coeur, comprendre = prendre, = prendre à vif = prendre ce qui est qui se mo ntre à nous = prendre cette chose dure d’une sorte de donnée de base rupestre, = aurochs ? ou bien bison ? ou bien renne ? ou bvien antilope ? ou bien ours ? ou bien de quel autre animal de provenance ? nous pensons que nous devons co:mprendre ce qui est à la lumière de la chose de p â roi, nous essayons cette chose et crtte chose est une qui est pres de nous comme une paroi dite de roche, nous essayons de comp^rendre cette chose devant nous , d’une sorte de paroi de roche dure qui serait «la Vérité «, et non point le mensonge, il s’agit pour nous de comprendre cette cghose d’une sorte de Vérité Vraie de la roche, contenue en elle par la bande, et qui serait pour nous (un viatique) une donnée de base de compréhension, un ressort, un arcane majeur, un semblant de érité ? ou non : une évrité avec grand V de rage ! on l’a vu , il s’agit pour nous de comprendre cettre Vérité de rage avec les mots de l’homme  ces cavernes, c’est à dire avec des mopts-betes qui sont betes-mots de roche dure, dutemps de la base, des embruns et des confins : nous cherchons une vérité de roche rude, nous cherchons vérité de roche rude, dure, raide, etc, quyi puisse nous giuuider sur le cghemin de la destinée et des embruns de roche lointzaine : jusqu’où aller, que toucher ou ne pas toucher, où mettre les pieds et où pas, etc, nous voulons être secondé par en nous la bete de tra,nse et ce faisant nous chgerchgons à nous immiscer ou infiltreer en pareille roche du temp^s à la recherche de pareille v éritées de roche etc, nous allons en roche zainsi, nous nous infiltronhs en cette roche ainsi, nous voulons ainsi nous infiltrer en pareille roche du temps, nous voulons ensembvle ainsi nous infgiltrer e,n pareille roche du temps et pour ce faire nous devons (nous nous devons d’etre) etre accompagnés ! nous devons etre accompa gnés ! nous bnous devons d’etre accompagnés ! njous devons porter bure de bete, peau d’ours, chandail de bete-mots de roche, nous devpo,ns aller en roche ainsi accoutré = accompagnés, accompagnéspar en nous ou sur no!us cette bete des embruns, appeau ! qui est cette bete en nou!s ou sur nous qyi nous occupe, qsui nous monte, qui nous chevauche, qui occupe notrte gouverne, qui nous occupe au sens où nous sommes occupés par elle et qui nous occupe zau sens où la bete-mot en nous a fait son nid et s’est logé comme dans une  ooutre un liquide de vie ou de joie, je suis l’homme des embruns dee la roche dure, mon nom est celui que vous connaisserz, je vais et je viens sur paroi, mon corps est donnée de rage, je vais en roche soulager mon être de peu,, il s’agit d’un être de vie royale, et de voie royale, etc, je suis l(hommùe à loa queue de rage, il s’agit de voir la chose ainsi que nous le disons, nous deevons comprendre les chgoses ainsi et ne pas nous retourner, nous sommes des etres de joie pariétale et notree hjoie est celle de l’homme et de la femme des cavernesz, nous sommes entrés en ce»tte roche et nou!s voulons comprendre les données de base présidant les destrinéesq, et pour cela nous nous donnons la main, nous nous offrons l’entraide et le secours, le pain et le vin, nous avons à comp^renf-dre long et loin les choses du monde, et les mots de roche semblzent nous aider ou etre là pour nous aider or est-ce le cdas ? nous l’»ignorons ! nous ne savons pas ! nous voulons sa viioir ! nous sommes de»uxd à vouloir ssavoir ! nous cherchons à comprendre ce qui est de ce qui se trame dans le monde mais comment ? comment décoller le v erbe de lka roche dure du temps impaerti ? commùent faire pour de la sorte faire ? car nottre volonté est affichée ici bel et bien et ne souffre d’aucuns commùentaire à faire ! nous disons et ce faisant nous affichons sur roche l’effigie animzalière : cet aurochs de compagnie séculaire, et  e faisa,nt nous donnons nbos noms : MON NOM est donnéc à mon tour, et ce nom est gravé sur de kla pierre dure (ou meuble, selon) afin de faire accroire que, deux points, la chose ici est cette chose d’une vérité de vie offerte (don total) or que nenni ! nous do,nnons quoi, nos nom$s d’identité bestiale, c’eswt comique ! nous donnons nos noms, je donne MOn nom, comme une sorte d’entité de vie belle,  en miroir, droite et gauchye pour une gouverbne, tracé de bure, treacé découpé sur paroi, gauche / droite en vis à vis, gauchge et droite en vis à vis, comme si deux visages de soi étaient déposés sur la roche (la lande) en tant que tels, or que nenni ! la droite et la gzauche ici sont réunies il est vrai mais le visage offert est celui là d’un nom d’une sorte de bande rocheuse et non point celui là ou cet autre de la vie de base cordiale (cardiaque) telle que celle-ci occupe nos corps, etc, nous disons que bnous devons comprendre cette chose  comme quoi nous ne donnons pas notrte vie globale (l’oeuf) mais seulement ces mots de roche dure, ces embruns nacrés, cette évanescence, cette chose enrubannée sur elleb même, ces loopings de roche ambrée ou nacrée ou bleutée = cette forme, cette sorte, ce chandail de vérité vraie, cette monsrtruosité de roche , à savoir cet ours jovial, ce carambolage de bêtes-furia, etc, nous disons nos noms, mon nom est inscrit en miroir comme une sorete d’effigie animale ou animalière de première, et mon nom ainsi est perçu de loin par la gouvernance mortelle , qui croit, qui gobe, qui avale, qui croit que c’est quand ça n’est pas vraiment, la mort elle croit, la mort elle  gobe ! la mort elle avale et déglutit le pot aux roses ou comment, qUel nom donner à pareille vilenie constitutionnelle ? nous cherchons le nom qui concvient, nous sommes en roche à devoir (?) chercher le nom qyui convient, car un nom est donné à chaque chose et nottre vilénie porte «son « nom, qui serait cvelui-là qui lui irait le mieux, le plus, et qui serait commode, etc, nous cxherchons ce mot,; peut etre est-il «couillonnade’» ? ou non ? ou comment ? cette vilénie est en effet une couillonnade, il est exact que cette vilénie est une couillonnade et que notrte présent de txemps offert (la vie telle que vécue) est une couillonade à donner en regard de l’autre vie qui est la vie en soi, nous saévons que cette chose est vraie ! nous pensons que cette cghose est vraie, d’une vie à la ramasse, à la con ou à la noix, comment nou!sc exprimer ? car la vie v raie est la vcie du coeur, or la vie que no!us offrons est un succédané à la vie du coeur ou disons à la vie de notrte coeur, car le coeur de l’animal saigné n’est pas la vie (la nôtre) que nous contenons, nbous restons en vie, et non point en mort, nous donnons du présent sur roche (mots) qui sont du déroulé cadenassé, emberlificoté comme de jusqte, un entrelacement de joiesq, une misère dé»couvertte (une ruche, une usine à gaz temporelle) etc, mais non point la vie en vrai qui est ce battement de base radical (enraciné), nous donnons nos noms marqués, ces mots de betes de roche, ces aurochs -mots de paroi dure,  ette venaison ou autrte chasse de roche, ou commùent dit on ? notrte but est affiché : M%ON NOM ! sur roche du temps, en lieu et place : art ! art de la ruche ! art de la rue ! art de ruche-rue ! art de grave ! art rupestre ! art dit ! art dit les coeurs ! nous dison,s ce qui est ici qui se trame sous nos yeux, et cette chose» est celle-ci, celle d’une sorte d’art de roche qui est art de ruse et aussi : art du dire menteur, ou comment ? nous ne voulons pâs cherchgezr des noises à qui que ce soit maéis nottre intuition sur la question de l’art est celle ci, qui se borne à dire (et redire) comme quoi la cxhose (l’art) est un pis-aller de premiè!re, faute grave en vérité ou tout comme, car ce que bnous ici offrons à Gouverne est pas, n’est pas, ce que Gouverne attend, ou attendait de nou!s ! non ! non non non ! non et non ! ce que Gouverne attendait de nous n’st pas nbottre nom de roche animalier, cette venaison, mais : cette chose autre qui est une chose de vie racée, cette chose tictaquante, ou sinon tictaquante bruissante, ou sinon bruissante chantante depuis l’intérieur ! nous deevons agir et donner, mais quoi ? nbotre vie cordiale ? ccvomment ? car nous sommes nés et avons croissé ! car nous somlmes nés et nous avons gran,di sur roche du temps affyuvblé d’un nom, ce nom est le nom de roche qui, faisant accroitre, bnous sauve (temporellement) la mise, bnous pôrtons nom-bure de base, comme peau de bete inséré e ou e,ncha&ssée, nous avons un nom de roche , aurochs, et ce nom est celui là que nous déposons (présent) aux pieds de la roche du temp^sz (MortBouche des embrusns), nous avons un n,om qyui est le nom que nous déposons, mon Nom de roche est ce depôt de roche sur paroi comme animal-mot du temp^s des cavernes = un pis-allezr de première (de première et forte intensité !) censé faire reculer les écxhéances à proprement par’ler : enfant nous avons grandi de fait da&ns le menwsonfge proféré et à) présent nous sommes comme condamnés à devoir ici donner le temps (ici = sur paroi) à une sorte d’entité de base divine, royale, ou hautaine, qYUI gouverne et chapeaute les destinées, il s’agit dx’une bouche ouverte, une grande et belle bouche ouverte sur la vie de la roche des te»mpsz, il s’agit de cette chose ici xd’une sortye d’entité royale-rocheuse de grave, qui est une sorte de déesse de prairie des temps, qui est ouverture-faille-entrée-fissure-plaie-trou-trouée de roche dure, nousv sa vons cela, ce train de vie dynamique en elle souys forme de mots de roche (aurochs) additionnées comme sur une pique ou sur  c ette pique -broche des enfers, ou comment ? grillade ? nous avons cette chose encore à com^rendre et pour cvela nous devons encore et toujours creuser cette roche des embruns, ce paradis blanc, cette misère en confrérie, ce parler buccal patoisant, ces mots de peu de force et d’envergure, car les motsq ne vont pas loin , qui restent sur roche, en figuration, nous voulobns comp^trendre ce qui est de cette roche des temps dévolus et pour ce faire nous allons à la rencontrte d’une dxéité rocheuse, quyi est déité au train de mots a&gglutinés , a  dditionnés, accumulés en elle, en cette chose d’elle qui est comme une  (autre ?) pique de roche en miroir ! hou là !  on y voit goutte ! lumière ! nous chercghons ! nous cherchons des choses ! nou!s cherchoçns à comprendre  ce qyui est ici d’une roche des temp^s allouée et qui, en tant que telle, pourrait nous donner des raisons de croire en notree bonne étoile, nous voulons savoiir ! nous voulons savoir ce qui est ici d’une roche des prés et des preairies, nous voulons savoir ce qui est ici cd’une sorte de roche dure, rude et raide, qyui serait la roche du temps impaerti et celle-là qu’un xdieu de vie nous a!urait offerte, nous chercghon,s la vérité dans les parages de pareille roche dfes temps alloués , nous cherchons des vérités de bon aloi et qui «puissent le faire grave»! et pour cela nous rega rdons paretout au sein de la roche : inspection générale et rega rds croisés ! nous voulons comprendre c e qui est ici en la matière, si MON NOM est cette chose dite en miroir, comme une effigie, alors que penser ? que dire ? que souffler ? nous disons et nous pensons et soufflons cette chose, comme quyoi bnous sommes desêtres de vie de roche, etres-vies qui allons sur roche chercher pitance, cette pitance a un prix et ce prix n’’est paxs menu, il s’agit de choses chères, il ne s’agit pas de choses bon marché, il s’agit de choses couteuses, squi valent bonbon, qui ne sont pas données, et voilà l’histoire ! nous devons pa yer notre vie sur terre (cet « agrémennt  » !) : nous devo,ns dépôsqer nos armesq (?) ou nos munitions (?) à même la bouche du temps, nous le devons car nous sommes tenus à faire cette chose du fait que nous sommes mourants ! sommes-nous mourants ? qUE dit la nature (= dame nature) ? que dit  cette dame ? ce sieur ?) ? , que dit elle au juste ? nous voulons essayezr de comp^rendre cvette cghose d’une destin,ée mais il semble que cela pour nous ne soit pas donné , et que pour le coup no!us ayons à payer cette cghose au prix fort, celui là même que nou!s refusqons nous-mêmes de vouloir pour nous etc, nous avon,s ici cette chance de pouvoir agir ainsi, de pouvoir dire «non !», «non et non «, cette chance en  nous est un attribut (ou organe) à part entioère pour ainsi dire, nous devons aller ainsi en cette roche ou roche des tempsc avec en bnous cet attribut rupezstre qui impose sa gouverne, son étant et son allant et de ce fait arrive à (bbon an mal an) sauver la mise de nottre propre gouverne vive, nous pensons que nous avons à faire ainsi cette chose  d’un don qui est don de soi pour sauver la mise, nbous pensons en nous :mêmes (au coeur de la roche) cette chgose comme quoi nous avons-aurions à sauver notrte mise temporelle en donnant de soi qwuelque chose, et ce quelque cxghose est «sorte de», mais n’’st pzas la chose, et pourquoi cela ? car : nous n’avons pas le choix ! nous ne pouvobns pas (de base, enfant) choisir ! nous sommes lancés comme une bouée à la mer ! nous ne sommes pas ceux qui avons décidé si oui ou non au tout départ nouis voulions donner cette chose d’un xsembvlant de vie, cette chose d u temps qui va son déreoulé de roche, etc, nous donnons de nous cette chose qui est une chose d’échange avec la mprt de bouche native, etc, nous essayons de comprendre comment se passent les choses, nous sommes deux qyui essayons ‘(en nous mêmes) de comp^rendre cette chose de ce don de soi en offra,nde = le temps de la vie nôtre, et ce temps ici a démarré à la naissance malgré nous qui sommes pris de court c’est )-à dire dépassé et submergé-souymis sous emprise langag!ière qui nous aide ainsi à faire en sorte que la vie en nous restât incluse un temps, en nbous comme en une sorte de loge de vie, etc, et voilà pourquoi nous restons en vie, car la vie en  n  ous perdure dans ce sas de nous qui est ce corps de vie ou corps de vie rude, ca r c a s s e,, noyau, chose-en-chute, etc, nous essayons de comp^r endre  cette choçse ici d’un don de soi qui est ce don moyen, cette tiédeur incandesqcente comment décrire ? ce feu qui brule oui mais non : il ne s’agit pas de vraie vie de base ! il s’agit d’une chose racée ! oui, mais non point de base, au swens où la vie de base (première, primitive) est kla vie cordiale, le tic tac pour ne pas le nommer, et pas du tout cette chose allouée à) la roche, ce bruit de fond be’stial, cette cavalcade, oui on pourrait le croire et s’y tromper , et d’aillezurs il,swemblerait que Mort de Bouche un temps tombe ou tombât dans le panneau, mais ça ne dure pas, la mort cueille un jour ou l’autrte, revieent et comprend et cueille , et nous voilà bernés comme de coutume et comme tous , , comme toutes et tous nous devenons; nouds comprenons que nous a&cvons à comprezndre une chose qyui est une chose liée à kl’enfance et cette chose est celle ci, comme quoi à la naissance («c’est parti !») nous sommes (serions) comme l:ancés sur roche (bouées ?) et que dès lors le choix est fait pour nous qui aurons (aurions) à comprtendre icelui (le choix) maisq comment ? car il s’agit d’un casse-tete ! non point une sinécure mais maldonne et chose ca sse -burne de première en la matière ou comment ? nous voulons savoir , et pour savoir nous cdevons creuser la roche du temps, car il n’y a pas cinquante solutions mais une seule et celkle ci est cette chose de’une sorte de percée à pic, d’une sorte de percvée avec un pic de roche, ce pic de la roche du temps, soit ce pic de bouche trouée pàa r la bande, venant se loger sur roche et transpercer ladite roche d’un coup d’un seul, piqure de paroi et entrée en matière, et ce faéisa&nt nous voilà rois de la roche des temps, animal majheur, hautain , haut des bois de ramure, cerf méga dx’excellence ruprstre, animal choyé» de la lande, effigie de choix pour un pis-aller, à contenir et à conserver par soi m^$eme et par devers nous comme une clé de fa ou de sol, qui serait The Key, cette clé de la base dure du temps pour tous, dure pour tous et temps poour tous, et ce dès la naissance on l’a vu, à notre naissance oup la oup et nous sommes «eus» et nous voilà bien ! nous sommes etres de roche dure (le temps) qui cherchons continuellement à faire pezrdxurer la chose dans le sang, ce tic-ta c royal, le faire tenir encore et toujours et ce jusqu’à temps que «ça puisse le faire» et aller, et nous de nous y coller et cde donner de nous cette cxhose de la «vie» de roche temporelle : mon nom est le nom qui m’a été donné à ma naissance et non point le nom de quelqu’un d’autre ... ou si ? nous voulons comprendre cette chose d’un nom déposé comme un visage placé a insi sur une roche dure, ce visage est en miroir, M%ON nom également quyi réfléchit, nous voulons essayer de comprendre pourquoi cette symétrie fa-ce à la moprt , nous voulobns essdayer de co:mprendree pouyrquoiu à la mort de bouche des temps offrir pareille symétrie faciale , mo  n  om par la bandfe et autres effigies animalesq, pourquoi ? nou!s voulons comp^rendre les tenants et les aboutissants de la chose, ce nom propre de famille est inscrit sur un registre qui est un livre, mais no n point sur ma figure ! mon nOm est celui là que je grave sous ezmprise, je suis l’hommùe des cavernes sous emprise, mon Nom est cette cxhose que je grave grave sous emprise et à qui mieyux mieux sur cette roche (cachée) de caverne de Vieille Terre, nous voulons co:mprezndre u,n certain nombre de données liées à des découvertes et pour cela nous devons aller loin en besopgne et nous coltiner les savoirs de base, c’est à dire les soupêser, et essayer de comprendre le plus possible ce qui est qui se trame incidemment aux alentours de pareille roche du temps impazrti, MON NOM est une entité à part entière, déposée sur roche en miroir, face à roche de la véerité, face à face, en fa ce à face, etc,, on comprtend dès lors cet interfavce situé entre de’ux pa rois, la premièerre est celle de l’introduction par la bande piquante, la deuxième est celle des confins, outragée, qui est cette échancrure de paroi saignante etc, nous nouys situons (ici l’art ?) entre les deux, dans cet espace-temps de roche durez,n , en cet espace-temps de roche la dure, etc, nous voulons comprendre les ressorts secrets qui présidebnt et donneznt le la et pour cvela nous nous enfonçons en pareille roche dans les profondeurs et ne vou:lons pas passer à côté cde ces vérités de  bon aloi conteznues en pareille roche, mais plutot savoir !  nous voulons savoir ! nous voulons comprezndre ce qui est dfe cette chose d’un nom (unj animal) déposé sur roche : complétion, etc, nous disons que nou!s voulons savoir ce qui est qui reste à jamais : le nom ? le non à la mort ? cette chgose d’un non-nom qui est ou sezrait déposé sur roche et sauverait la mise-nôtre un temps, qyui est le temps imparti de la vie avec en nous l’usure programmée et donc la moprt inscrite sur paroi de roche, nous voyulons savpir le fin mot de toute l’histoire et pour ce faire comment faire sinon en scanda nt les noms à même la roche , incantation ! choses gravées ! dessinbs d’aurochs à mpain levées, etc ! nous disons que nousz avons cette cxhose pour nous à comprtendre, cette chose d’un noçm alloué , cette chose d’un nom alloué à la naissance et à redépôser le moment venu sur la roche du temps en tant que présent de poids, qui puisse «le faire» et nous sauvezr un temps soit peu mais tout de même, nous voulons cette chose faire et sacvoir pourquoi,n, nous cherchons à savoir pourquoi mon nom est ce nom a&nimalier de roche = miroir , pourquyoi ? car nous sommes deux (la bete et moi) en moi à vouloir savoir qzui eswt qui, qui fait quoi, le pourquyoi du comment les choses, etc, nous chjerchons à ainsi savoir cette cxhose et cettev cdhose la comprendre au mieux et se l:oger-lover ainsi en roche pour l’éternité, ou sinon pour un temps avéré qui serait allongé pour une gouverne  nôtre  de qualité , etc, nous voulons co:m^prtendre cette cxhose d’une roche dure attitrée qui serait la roche de la notoriété et de la b eautyé réunies, nous voulons comprtendre cette cxghose d’une réunion ici (sur paroi) de la notorioété et de la beauté ou sinon beauté de la belle mesure, du qui en impacte etc, nous disons beauté pour dire c ette chose d’un impact de première classe, etc, et voil;à ce qui est ici d’une chevauchéev fantastique de roche des prés, cette embardée a nimalière, cette prairie où pouvoir paitre mais a ussi foncer, charger, etc, mon nom est soumis à rude épreuve mais se tient debout comme un chef et résiste aux intempéries, nouqs allons en roche à la recherchje  de la ve-érité, nous allons à dfeux en roche ainsi à la recherche de la vérité, nou!s allons ensemble ainsi à la recherche de la vérité vraie de lma roche du temps allou é, nous cherchons une réponse dans les embruns, nouys voulons comp^rendre ce squi est ici d’une chose dure des prés ou prairies, cette chose du temps défini par la bande et qui dès lors contient sa fin prémâchée, prée,nregistyrée, etc, pourquyoi cvela , et pas l-’éternité de bon aloi ? nou!s cherchons des raisons, des clés ! nous voulons savoir pourquoi les choses sont ainsi qu’elles se présentent à nous et pour ce faire nous allons sur roche et crions (créons) nos choses dures, nos épreuves, nos soula gements, nous disons nos mots qui sont des mots-betes xde paroi, nous disons à haute vcoix ces chgoses de roche, incantations, chaleurs et moiteurs sur roche ! bnous voulons comp^rezndre les données de base et pour ce faire aller loin en pareille roche du temps, et de ce fait nous allons en roche comme dans le ventre ou l’antre de telle ou telle bete de pareoi, nous disons cette cghose comme quoi bnous sommùes deux qui allons communautairement en pàareille roche de paroi ornée, nbou!s essayons de comp^rtendre cette cxhosez d’une sorte de présqentation symétrique capitale, la beauté des wcxhoses coriaces, etc, nousv voulons comp^rendre les données telles qu’elles se présentent à nous par la  bande , à savoir en n ous, en nottre gouverne, via le flux sanguin, via le flux animal sa nfguin de gouvernance, via ce flux aniumal sanguin en nous qui cxherxche à conserver la donne et ne va pas au-delà de c ette cxhose d’une sorte d’antre des confins animaliers en soi, roche dure de la roche dure en soi = organisme carcéral en soi, chose encaastrée-cadenassée qui est cette chose du corps pariétal de soi , ossature, armure, etc, pour une contenance continue, pour réservation, enclave-soudure, etc, de ce sa ,ng en nous de royauté, nbous cherchgons une solution à des provlèmes que nous nous posons et qui son,t  ceux là même qui concerne,nt vcette cxhose d’un temps dféployé par la bande en tant que présent alloué par la bande à une dame de compâgnie ou à un monsieur de compagnie rupestre, etc, qyui serait dev n,t (posté)dans l’artttente de notre arrivée les pieds devant, or, voilà cette cghose que l’on peut dire et qui est celle ci comme quoi nbous ne sommes pas préssés !  nous voulons aller à notrte train , nousq voulons conserver la main, conserver cette main, nous voulons concserver la mùain sur  cette chose d’une chose qui est allouée, notre envie ici est de garder la main sur cette cghose de vie allouée, oui oui oui ! nous avons en  nous cette chose qui une en-vie de garder «la main» sur cette cghose de la vie en nbous, de cette vie  en , de cette VIE-En, qui est cette EN-VIE de conserver la main sur cette vie en soi qui gouverne, et  cettye vie ne pas la donner en tant que telle (tic et tac) mais au contraire : xde la conserver par vla bande et par devers soi, et ainsi faisqant de poursuivre ce chemin de destinée qui est le nôtrte (nous le co=mprenons) et ce faisant de garder tete première , tete de roche, tete nue, tete vive, tete ra cée, tete complète pour nous mêmes, nous qui sommes nous = deux , deux en nous pour aller en roche, en pareille roche du temps donné, ce temps de la roche dure, bnous allonbs en roche comme dans la vie , soit armé de notre pic bucca l de réserve, cette chose contondante facilitatrice, nous voulonsessayer dè!s lors de co:mprendre cette chose en nous qui est cette cxhose dune sorte de vie de réservze, comme effluves, comme onguent aussi, en nous c’est à dire à kl’intériuer de cet a ntre qui ewst antre de vie et demort, nous cherchons des vérités de ghrande tenue , qyui puissent nous guider sur un chemin à faire et ce chemin est chemin de ronde, chemin pour une vie de ronde à faire à deux, ezlle et moi, ma douce et moi même, mon aimée, mon amante, ma chère et tendre,n ma dulcinée, mon double majeur, mon ame soeur, ma chose riche rude de paroi de rocxhe = mon amour, ma cha nce, ma cxhose rude et dure de paroi du temps = mon amour, = mon ame, etc, il s’agit d’une sorte dxe double pariétal de roche, une doublure affirmée (un mot bete de roche dure) qYUI est ma doublure pâriétale, mon ima ge, mon image de bete, mon image animalière déposée sur roche et qui sembvle me regarder, me suivre du rega rd dans mes déambulations prairailes, je chezrchje à comprtendre un tout et pour  ce faire je me  loge en p)areille roche et là je rezgharde ce qui est qui setrame a lentour et me donhe le tournis, je vois ce qui est qui file à mes côtés, je sais le nom de l’animal, de cet animal pres cde moi et ce nom est un nom court, bref, racé et ramassé = «cerf «, mot de base racé ramassé, qui est ce mot désignant la bete ra cée de la roche dure des temps impartis, cxerf est le nom de cette bete des embruns : MON nom ramassé et plkaquée sur roche, ce V de ramure, cette cxhose en depôot de bois, ce bois nacré cde la roche des temps alloués, la voicxi dxéposée sur paroi qyui dit MON nom comme en contreba,ndez, par la bande, et dit la chose com^e quoi je suis cet homme des cavernes perpétué, qui va de son pâs long sur pareille roche d’un temps alloué, je vais et je viens en pareille roche des temp^s et me présente à l’avenant : je suis l’homme des vcavernes, je suis aurignacien, MON NOM ne vou dira rien mais me représente et, un temps, sauve ma mine patoisante, je m’appelle d’un nom de ramure, je suis l(‘hommecerf de roche dure, mes bois sont montés sur hauteur de tete comme de bien entendu et de bonne mise, je suis homme cerf de la paroi du temps, je chante-brame mon récit de chose, je suisq bramant-chantant mon doux récit de chose dure, ce savcoir nacré, celui là qui me gouverne, je vais et jke viens sur roche des prés et m’amuse à regardxer les choses, les embruns et cet entre-deux-mers pariétal, je suis hommùe  -cerf de roche dure des temp)s entra vés, je suiisq l’hommùe-cerf de l a roche du temps et je  ais et je viens en elle, comme un chenapan, un coquin cde sort, une sorte de coquin de sort qui irait à me donner une allure, un allant précis de destinée, mon nOOM est celui là que je porte sur moi comme une sorte de parure de choix : ramure de bois en forme de V comme le V de Vérité de choix, etc,  je cherchje à m’immisc er en pareille roche graâce à mes r amures, je cherche à comprendre ce qui est de ce nom donné sur roche,; le pourquoi et le comment, le pour et le conttre, la chose racée (ramure de bois) est-elle  celle là que je sens poussszr en moi quand je m’avance dans la vie de la roche dure, est ce cela ? je cxhercdhe compréhension racée de première bourre ! je veux comprendxre lewx teznants et les aboutissants de pareille ramure ! pourquoi ces bois sont ils sur ma tete ? quel est mon vrai nom ? où pouvoir lire de moi  ce vrai nom ? quel est mon vrai nom ? où est il écrit ? quel est mon vrai nom ? où est il mentionné sur moi ? est il mentionné sur moi ou hors de moi ? quel est MON NOM ? ce V de roche prairiale ? ce V du cerf de la roche ? ramure-a rmure-pa rure dans l’échancrure ? qui sa it ? que savcoir ? où est mon nom é»crit sur moi ? qyui di-t qu’il sait ? qui le sait ? qiu pour le dire ? quel est MOn NOM ? quoi est en cette xchose de ce nom qui sezra octroyé ? je veuxw savoir la vérité de la ramure du cervidé ! je veux connaitre le fin mot et m’en tirer ainsi ! je ne veux pas passer à côté de mon vivant, je veux apprendre le plus pôpssible et comprendre le plyus pôssible et aller le plus loin possible en cette question qyui est lma question des queswtions àç mes yeux, à savoir cette question concernant le nom portépar la bande et non pôint par soi en définitive ! car ici le nom est porté pâ r la bande = par dev ers soi = hors de soi, sur paroi de grotte et voilà le hic de toute l’histoiore : nous allons mourir nu (dénudé- de pareiille chose, ou comment dire, nous mourrons nu = dénudé ! nous ne serons plus accoutré ! chandail ! nous serons mis à nu par qui de quoi de pareille pa roi du temps ? nous allons mourir nu = dénudés car notre ramure  va tomber dans ce domaine pariétal de l’ezffigie gravé (de toute é»ternité ) animalière et  ce faisa nt nous serons groggy, nous serons perdus, nous serons cloués, nous serons jetés aux ghémonies, mis à bas, mis plus bas que terre, comme des damnés ou des refoulés, le voilà ce refoulé, cette damna tion, cette capitulation, nous voilà mis à bas de roche et perdus da ns nos pensqées dx’hommes cdes temps de tete, etc, quand l’hom^me des cavernes était ce cerf royal des cavernes, en lévitation, qui alla it et venait dans le szein des sweins et connaissait la vérité de l’»outre-monde = de la mort de l’homme, cette cxghose ancrée dans un deda ns de roche dure, nous vpoulons avoir cette cxghose d’un fin mot qsui est celui là que nous voulons pour nous comme d’une clé de porte d’entrée, nous voulons comprendre ce quyi est sur roche qui préside et cconduit la troupe des betes gra vées : nom d’emprunt ? nom donn,é ? nom inclus ? nom gravé ? nom de n,aissance ,? nom pour dire non ? nom de charme ? nom de pû..., nom de dieu ? nous ne savons pas ce qu’il en retourne de pareille cghose relative à une sorte d’ondoiement en roche, tournure acidulée qui est cette cxghose d’un noçm anima lmier gravé ou dessiné, et il s’agit du nom de l’animal ezn nous contenu pendant l’»opération d’immixtion-insertion de nous en pareille paroi de grotte, nous portons un nom qui est cette cxghose organique, cet organe pour ainsi dsire, car le xdire (le nom, le verbe) est un organe de prezmière, comme rein ou foie,, etc, et à ce titre se doit d’etre répertorié parmi les différeznts autres organes d’un corps d’homme des cavernes, je suis l’homme quyi trace son  om à la dé&reobbée sur la roche : aurochs de roche, ours de roche, antilopê de roche, bison de roche, buffle de roche, cerf de roche, biche de roche, mammouth de roche, cheval de roche, cheval de rocxhe, cheval de roche, chjeval de rocjhe, cheval de roche = chevaux de roche pour une entité, ces chevaux de roche sont des maitres-mots pour une entité de type déité et  c ette entité est celle là que nous subodorons comme étant bien mise à) notre arrivée = idéa&lemzent placée soit en bout de chaine, tout au fond = à la sortie , à l’endroit des confins nacrés, bleutés, aé»rées, chanteurs, etc, au niveau des ezmbruns de bord de mer, soit en ce fonds marin qui est  le fond de la rochje du temps, cette sqorte d’échancrure à même la roche, cette griffure, cette entaille par des  bois de cerf ou bien par des cornes de bouquetins ou quoi d’autree ? p)ar quyoi d’auttre qui eut pu percer la reoche lointaine et faire appa raitre un peu  de ce jour lovée en elle, l’(outre-passation, l’»outre-)passage , l’outremon,tage, l(outre-vent;,l’outre quoi ? l’outre tout court ? que il y a derrière ? quoi est derrière échancrure due à ramure = à queue de verbe , qauoi derrière échancrure est? car l’échancrure est due à la ramure perçant rocxhe d’un coup (bien) mal p^lacé ! car la roche a été percée par un,e ramure (un bois) de cerf bien placé ! je suis l’homme des bois muni de bois sur le hqaut de ma gouverne ! je suis hommê aux aboiçs qui chanbte sa misère sur roche des grottes ! mon nom est cerf aux bois jolis postés ! je pue de la gueule et du  verbe encha ssé sur roche ! ma voie est toute tracée ! je suis pute-dieu de rage au coeur de ma ra ce volante ! je suis homme des cavernes et femme des cavezrnes accouplés ! je pulse ! je suis le cezrf de la rocxhe du temps et mon nom est «cerf de la roche du temps» dessiné sur roche à main levée par un hom^me-femme des cavezrnes  il y a quelques dizaines de milliers d’années en arrière ! je suis homme des cav ezrnes et cherche à faire advenir à la vie de roche les données verbal:es de cir constan,ce, à savoir : ancestrales, natives, rugueueses, je  cxherche à comprendre les données qui ici président à l’édification d’un nom de roche, cet aurochs de bellle renomùée, qui est il ? que me veut il ? qui regarde t il ? quelle est sa forme ? a t il des yeux pour voir à travers moi ? que voit on à travers moi ? ce fouillis de base ? cette chosex l:aide comme une sorte de bouillie massiv e  ? que voir en soi qui n’est pas de l’âme ? je cherche MONNOM sur la roche : ou peuut il être ? je recxherche encopre et toujours MON NOM en miroir sur la roche et ne le trouve pâs ou pas de sitot alors quoi ? que faire ? que dire qui puisse m’aider dans mes tentatives car il s’agit ici de tentative bel et bien, et non point  de chose de dernière heure, close comme une aile repliée qui serait l’aile fausse d’une bete morte, je veux savoir et co:mprezndre ! je veux savoir ce qui est sur roche qui serait pour moi mon image en tant que telle = cette chose en double ! je chezr che une solution à un p)roblème ! je regarde la roche depûis l’intérieur de la roche : elle est ornementée ! je veux sacvoir ! mon nom est il une image ? que dire de ce nom de roche ? qsui est cet aurochs de paroi ? a t il une gouvernance, est il nanti d’une en lui gouvernance de pa roi ? va til vers moi ? vient il vers les embruns ? où se passe la scè§ne ? va t on mourir ? allons nous mourir ? que dire de la mort à l’oeuvre ? est elle une bvou!che édentée ? une plaie de bouche ? une parole-pic? ou bien la plaie ouverte suite à pareil pic d’incantation-implantatio,nn-pénétration pariétale ? qui saura nous révélzr le pot aux roses et ce avec les motsq de la tribu , qui ? car je suis friand de choses dites avéré&es, et cherche à savoir par tous les moyens, qui sont ceux que la roche me donne, m’octroie, me donne  dee visu; il s’agit de cette cxhose comme quoi je suis une effigie, cette chose comme quoi mon NOm est une ezffigie soit un animal de roxche gravéà même la roche : aurochs de sang, sang cde roche, aurochs-présent, don de roche, a urochs  salutaire, roche diurne, roche du temps éclairé, roche d’un e vie sur tertrre,aurochs majeurs, chants de terre-mère qui sourd ou sort de l’écxhancrure-emparure et vient à nous, caresser nos organismes d’écoute et nous donner de quoi nous complaire un tempsq en  ce lieu de roche dure, nou!s sommes etres cde roche dure, je suis l’homme des cavernes au sang frais, cerf de la roche vive, homme-cerf des confréries animùalières de la roche allouée au temps et je déambule clopin clopant sur pareille «embarure» à la recherche de la vérité concernant le nom de cette xcghose devant soi qui est cette ouverture de pâroi, cette échancrure meuble, ce trait de canif, cette plaie-doublure, ce retrait,, cette chance induite, ce passage pour des pieds devant et le chant qui l’accolmpagne

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7/05/2021

je suis cet homme des cavernes devant soi, je suis cet homme des temps anciens, je vais et je viens en roche, je suis homme des cavernes qui va et vient en roche, mon nom est celui là que je vois s’inscrire sur paroi, mon nom est un nom à rallonge : des chevaux en nombre, il s’agit de comprendre cette chose , comme quoi ce nom (mien) est nom à rallonge (train) du fait que des chevaux en nombre, sur roche, y sont associés, mon nom est celui là qui caracole sur paroi de grotte et semble me regarder, nom de roche du temps, il s’agit de betes-mots, de betes-mots de rage ou bien de betes-mots qui sont là pour la parade = en imposer, donner du fil à retordre, repousser les échéeances, faire diversion, détourner, reculer ou faire reculer, etc, car le nom de roche est là pour pousser ou repousser des choses à des extrémités et ces choses sont pleiniéres, vivaces, coriavces, corrosives et puent la haine et l’aigre et le mal et les peines, nous sacvcons cela comme quoi le nom (sur roche) est celui -là que nous voyons caracoler de plus belle et illuminer la roche de son pas puissant, par sa gouverne (crinièrre) , son allant racé de bete-mots qui va sur roche donner sa faconde, son débit d’eau, son allure, etc, il s’agit d’une chose du temps ici déposée comme un présent du sort, une sorte d’offfrande votive à tiroirs, une sorte de beauté de classe, sur paroi du temps, pour une éternité (ou du moins pour une certaine longueur de temps étirée) et le cheval qui est sur roche nous regarde,; il dit sa phrase, son apport de roche, etc, il est cette bete-mot qui en impose ou du moins tente de, car la bete est belle, elle en jette, elle est celle là que nous aimons voir sur paroi aller et venir car nous aimons ces betes-mots de roche, censées repousser les assauts de la mort, la moert est cette chose dure, ouverte, cette sorte d’échancrure dans la masse ou bien dans la nasse, cette sorte de plaie vive, encore chaude, fumante (embruns ?) qui est devant nous, qui nous fait face, en miroir, qui est une sorte d’ouverture devant nous comme un passage pour une aventure, un passage grand ouvert sur une lumière diffuse, il s’agit d’un trou (dans tous les cas il semblerait) et ce trou nous regarde en profondeur (= à travers nous) ou bien dans les moindres détails extérieurs, car nous sommes vus de pareille sorte par une sorte de quoi, de déité (peut être) qui en sait des louches et ne manque pas pour le coup de nous regarder de fond en comble (intérieur et extérieur ?) et nous observe ainsi, de son coin fumant, et nous de nous présenter ainsi près d’elle, cette mort de bouche, cettre déité qui est comme un trou dans le paysage, mais où peut il y avoir un trou quand le monde est plein ? où donc est logé ce trou décrit et évoqué ? où peut on trouver du trou quand le plein est partout qui ne laisse rien au hasard et comble toutess les issues du monde, car le monde est sans issue, le monde est plein de chez plein dans tous les coins et même ses trous sont borgnes (etc) , de sorte que nulle part nous ne voyons de trous (réels = du vide) dans le paysage, on a beau chercher on ne voit pas, car il n’y en a pas, alors comment faiore pour ce faire, comment faire pour trouver la chose autour de soi, où dsonc trouver une chose pareillev= un trou où passer la tete du cap et le reste du corps, où donc pouvoir trouver cette chose autour de soi ? nous ne savonbs pas , et en vérité nous ne sommes pas pressés de trouver, mais en l’occurrence nous sommes préssés d’en savoir plus sur la question, sur pareille question concernant la mort, car la mort est cette chose qui nous tend les bras, cela bnous le savons, nous l’avons vu, la mort est une chose (une personne ?) qui nous tend les bras, la mort a des bras, la mort a deux bras, on sait  cette chose, on avance pas à pas et la route est longue, le chemin ardu, la mort a deux bras, la mort est munie d’une paire de bras censé pouvoir nous recuiellir à la criée, à la sortie de table, ou comment dit -on : devant nous est cette chose de la mort qui tend deux bras prêts à nous capter, nous attrappêr, nous ceuillir, nous recueillir, nous prendre en son giron etc, la mort est donc munie de bras, au nombre de deux, qui sont devant nous (où ?) pour nous attrapper à la tombée ou à la retombée, nous devons commprendre cette chose comme quooi, la mort est devant (sas) nous, qui sommes face à (face à elle) comme devant un miroir, nous disons que nous devons aller vers elle les yeux ouverts, alors qu’elle : a : les bras, ouverts, et ainsi nous faisons, nous entrons en elle (giron) comme dans une sorte de bouche ou cavité buccale (édentée ?) qui nous goberait comme des mouches, nous sommes faits aoinsi pour entrer en elle, la comprendre, l’explorer, regarder à l’intérieur de l’antre, de la cavité ouverte pour nous, cette roche est ainsi qu’elle peut offrir des ouvertures surnaturelles= qui dépasse lm’entendement ou du moins qui dépasse cet entendement de roche dure traversable, cette chose qui est dure et meuble à la fois, comment est ce possible ? nous nous avançons de cette roche de paroi et guettons la faille, elle arrivera au bon moment, nous sommes là qui lévitons près d’elle, nous guettons la faille, nous sacvons qu’ici ou là sur roche ontrouvera, on a presque trouvé : ici ou là sur roche une faille -interstice ne manquera pas de s’ouvrir à un moment donné et si la faille est là nous nous engouffrons, si faille advient alors c’est à nous de jouer (transe) à s’immiscer, passer la roche, traverser la chose et de se retrouver parmi des biches et autres chevreuils des prés, nous aimons ces biches de roche (dure) du temps, nous voulons comprendre ce rapport de bouche à bouche, nous voulons savoir cette chose ici comme quoi (bouche à bouche) nous sommes acollés à bouche de roche (baiser) qui nous fzait de l’effet, nous attire fort, nous accapare et nous maintient, et nous de traverser la roche ainsi, de passer de l’autre c^oté de pareille roche des prés, nous sommes passés et nous regardons aller et venir des betes de paroi qui sont des mots-betes, mots de rochge dure des temps alloués, nous cherchons sur place où nous déposer, où donc nous poser pour nous y loger , nous sommes qui cherchons l’endroit idoine, nous voulons savoir ce qui est, de cette roche dure des temps et le pourquoi du comment nous en sommes arrivés là, à cxe stade de l’entendement pariétal, et aussi pourquoi nous devons comprendre ce qui est qui se présente devant nous comme deux bras ouverts tendus, un appel de fond, une invitation : devons nous répondre ? devonbs nous nous avancer ? devons nous prendre le risque de dire oui ? que devons nous faire ? pleurer ? faire des simagrés ? jouer au marchand et à la marchande ? filerr en douce : se débiner ? aller dans les embruns nacrés ? chevaucher la bete et foncer vers des cieux nacrés ? qyue faire à ce stade de l’évolution de notre immixtion en paroi de grotte ? la transe ! car la treanse est cette chose quyi emporte et mène au loin vers d’autres rivages, nous avons pour nous cette chose, la transe, qui est chose qui pour nous est d’une très grande importance en cela que la ttranse est rapportée, est une chose qui, sur nous, nous est plkaquée, n’est en rien constitutive, elle vient du dehors, elle n’est pas née en nous comme un déchet, elle n’est pas digérée, la transe est une chosequi, venue de l’extérieur, vient sur nous se plaquer et nous mener par le bout du nez, il ne s’agit pas d’un ressort secret qui viendrait des profondeurs de notre moi, ou de nos entrailles, non, il s’agit d’une chose induite, qui, venant du dehors, nous parasite, se greffe sur nous comme du gui, il s’agit de comprendre cette chose comme quoi ici nous avons à faire ce pas en roche sous une sorte d’influence qui est cette transe jetée ou p;laquée sur nos organismes, nousessqayons ainsi de comprendre cette chose d’une transe odfferte ou qui vient s’offrir à nous et se greffer à nous et vivre en nous comme une plante parasite ou (sinon parasite) qui veut bien saisir l’opportunité de se voir acceuilli sans frais (ni pour l’un ni pour l(autre) sur greffon en l’occurence nous , nous diso,ns ainsi que nous sommes soumis à une destinée qui est celle qui ppourrait s»’’acoquiner sans peine à une transe de tous les diables, nous dison,s ici que la transe est une chose d’envergure, nous «tombons» en transe, nous sommes soumis à cette chose qui sur nous vient s’abattre et nous donner des ailes, nous fait s’envoler sur roche (lévitation suprasensible) et nous coller à la paroi comme dans un baiser (bouche à bouche) et nous de nous coller ainsi, levres sur roche, collés à celle-ci qui ne manque pas de nous engloutir en elle, alors voici ainsi toute cette histoire de paroi de grotte à la lumière (grise ?) de la transe et de la danse, cette chose d’une danse en transe, etc, nous nous enfonçons plus avant en cette roche, nous voulons nous enfoncer profond, nous cherchons cette chose d’une sorte d’incursion d’un soi foetal en roche du temps, par la bande à fond, mis ainsi sur orbite pariétale ou quelque chose de cet acabit, nous sommes entrés dans la paroi dee roche et gravitons en elle parmi des mots-betes qui foncent et autres betes-mots de belle prestance : cerfs majestueux de kla lande, bisons soyeux, buffles racés, chevaux en grand nombzres, antilopes du feu de dieu, aurochs, aurochs, azurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochsn, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, auroches, aurochs, azurochs, aurochs, aurochs, aurochs, les aurochs, car les aurochs,sont nos amis, sont ceux là que nous regardons, sont ces mots-betes que nous lisons sur roche, ces informations, ces dires d’apmplitude, ces dires nacrés (chevelus) qui nous regardent, qui nous importent, etc, nous disons que les aurochs sont pour nous des etres de base animale mais tout autre en plus, il s’agit pour nous de voir cela de près et de comprendre que l(aurochs est donc cet animal de la paroi du temps mais quelque chose d’auttre de surajouté et ce quelque chose d’autre de surajouté est cette chose qui concerne 1, la dé

$éité, 2, les mots de la roche, 3 le sens de la vie, bnous voulobns dès lors essayer de décghiffrer tout cet ensemble (aurochs + aurochs ad vitazm aeternam) à la lumière de la déité contenue en roche, autrement dit : nous cherchons à comprendre ce qui l’en est de la déité à travers les mots de la roche du ttemps, c’est à dire à travers le mot pris en soi comme une bete quyi va et qui vient dans le temps (ou l’espace-temps), nous voulons comprendre cette chose ici d’une sorte de déité qui serait comprise en roche comme ailleurs des betes dessinées (ou gravées) et cela par la bande, prise dans la roche par la bande, etc, nous voulons cerner un certain nombre de points en particulier, nous avons ce besoin de cerner des choses sur roche et ce besoin de déchiffrer et de comprendre ce qui est ou ce qui setrame à travers le mopnde, nous avons en  nous ce besoin de comprendre ce qui est, ce qui existe, ce qui setrame, ce qui sepasse, ce qui advient, ce qui se goupille, ce qui nous arrive, ce qui vient vers nous, ce qui nous entoure, ce qui nous ceinture, ce qui nous guette, ce qui nous attend et ce qyui nous attend au coin du bois, ce qui est sur roche et nous attend tout pareillement, nous voulons savoir et nous cherchons dans tous les sens de  cette roche des raisons, des explications, des solutions, des dires, etc, qui eussent pu nous mettre en piste ou sur la bonne piste ou voie qui nous eut permis de comprendre plus avant soit de devenir savant, car la question est là (aussi) , se situe à cet endroit (aussi) et cet endroit est précis : il s’agit de la question ici soulevée, de celui qui est ou de celui qui n’erst pas savant, il s’agit ici de cette question d’un etre , d’un quidam, de quelqqu’un qui serait savant ou pazs, il s’agit de cela, car nous savons que certains savent, ou disent savoir quand d’autres ne savent pas, il s’afit de se positionner sur la question de celui ou de celle qui sait, ou ne sait pas : savez vous ? que savez vous ? que savez vous que je ne sais pas ? quelle est l’étendue de votre savoir ? quelle est l’étendue de mon savoir ? est ce que je sais «loin» ou pas ? jusqu’où va mon savoir ? que sais je ? que sais je en vérité ? quoi je sais ? quoi sais je ? que sais je en vérité ? quoi sais je au juste ? je me pose en ghomme savant de fait, car mon langage animalier me l’impose, je dis ce qui est qsui vient, je dis des choses betes (mots-betes) qui sont des signes ou comment, dires de savoir, ou comment ? car mon phrasé temporel de roche m’impose pareille chose, je me pose ainsi (en mots-betes) en savant sur roche et je suis prête à m’en excuser mais comment ? le mot dit son savoir de base, et moi d’y aller à sa suite comme un employé formé, je suis cet homme des bois et de la roche dure des temps, qui est l’employé (courant) d’un savoir de base contenu comme par défaut dans le sein du sein langagier animalier et impossible d’y couper ou d’en réchapper car ainsi suis-je qsui me vois p^ris (comme) dans la nasse et ne peut m’en libérer, alors comment faire ? il y a ce parler squi dit son savoir de toutes les manières, ce parler savant (celui-là qui est savant) et cet autre (mais lequel ?) qui ne dit rien de plus que son dire fou, non savant à dire vrai, non posé, non dépposé, pris dans des limbes de vie diffuse, nacrée-bleutée, etc, dans les «rets de cet etc » pour ainsi dire,  etc, et nous d’essayyer ensembkle d’y piper mot, de comprendre, de trouver des solutions à des problèmes cruciaux, à des problèmes qui sont ceux, de fait, de la base et du sommet, à cet ensemble de questions liées au savoir : il y a d’un côté ceux qui savent (et le disent hzaut et fort) et d’un autre ceux qui ne savent pas et qu’ont ils à dire ? or il s’avère que tous et toutes nous disons et, dès lors, nous posons en savant de rocxhe, nous disons et proclamons, nous ne nous embarrassonds pas de faire de la sorte ne rien disant mais tout le contraire : nous affirmons, d’une manière ou d’une autrte, et qu’affirmons-nousq ? notre mis§ère en matière de savoir de toute manière, voilà la chose, et cela est troublant que les choses ainsi sembklent aller pour nous , car sans doute aimerions-nous pouvoir dire ou ne pas dire d’une autre manière mais comment s’y prendxre en vérité, nous l’ignorons, nous sommes savants jusqu’à un certyain point qui signe notre infirmité en matière de savoir de poids, nousq so:mmes des savants de peu, savants de roche brute, nous nous infiltrons à même la roche, nbous voulons traverser le Rubicon de pareille roche du temps alloué et cela «en sachant» mais que savons nous ? peu en définitive et en  v érité, les mots sont savants qui en disent long par eux memes et nous de courir derrière, nous disons que nous comprenons un certain nombre de choses en cette roche (oui) et cependant non : nous sommes peu de chose et nous sommes «justes», c’est à dire que nous sommes un peu «limites» ou comment dire ? notre approche est saluée et cependant fait sourire ! aïe ! alors comment ? nous essayons de nous en sortir à bon compte mais la chose n’est pas si facile ! comment agir et que dire , car nous sommes ainsi ensembvlke en roche qui chercvhons des solutions à des problèmes liés aux savoirs, aux savoirs au pluriel et au savoir au singulier, nous sommes deux qui cherchons des dires depoiids (= qui pèsent dans la balance du xsavoir) et pour cela nous nous penchons sur cette question du savoir donné par la bande : un qui sait pour deux qyu cherchent, etc, nous ne sommes pas en peine de comprendre ce qui est sur roche, nous ne sommes pas en peine de comprendre, de chercher, de cerner, de fouiller, de piger, de vouloir, etc, cela est dit, l’a été à de nombreuses reprises, etc, on sait cette chose, on voit clair, on est là pour cette chose d’une sorte de recherche fouillée, traversante, d’exploration , etc, qui puisse nous donner la joie de comprendre les tenants de l’ensemble et les aboutisssants du tout, cela est vrai et cependant que savons nous ? peu de choses en vérité, nous glissons d’une phrase l’autre comme surfeurs sur vague océanique et nous en sommes fiers, ou sinon fiers arborons mine réjouie, et pourquoi ? car les mots nous drainent (trainent ?) qui nous font parler, dire haut notre verbe racé, magnifier (?) etc les choses d’un dire forcé, et nous de nous en satisfazire obluigatoirement car nous sommes tous qui avons un rang à tenir et ce disant, ou cela étant, comment faire ? nous avons à montrer figure, nbous nous devons de montrer figure et c’erst  ce que nous faisons par force ! et voilà ce qui advient dès lors ! la figure est haute, le verbe posé, assuré, les mots viennent en bouche comme  pâroles d’évangile, etc : toujours ! il n’y a pasd’alternative à lza parole d’évangile, l’a t on bien compris ? il nous est impossible dans la profondeur de nous échapper, on peut jouer à dire des bêtises (au sens enfantin du terme) mais ça fait long feu et le mal (le naturel) revient : la haute tenue de tete, le port droit sur ses deux jambes, les mots caracolant à qui mieux mieux sur des parois de grotte, comme les chevaux lachés dans la lande etc, nous nous figurons ces choses sur roche, car à présent nous sommes dedans, nous voulons essayer de nous y retrouver parmi les aurochs, je suis l’homme des cavernes qui va  sur paroi graver sa misère hautaine, je suis cet homme desq cavernes qui monte, gravit, cherche ainsi à sse laisser porter et lévite le long de la rocghe, muni de son baton de feu, pret à «dire» sur roche sa peine, ses tourments, ses angoisses d’homme foulé, etc, nous disons que nous devons comprendre un certain nombrte de choses à la lumière d’un dit de roche dure, préssés, poussés par la bande (en soi) comme  homme sous emprise, pris à mal ou mis à mal et placé ainsi dans la chose d’une volonté qui le dépâsse, nous gravons sur roche des betes de masse, je suis pris à partie, je siius soulevé, je suis enlevé, je suis hissé haut, je suis hissé   haut comme le grand pavois, je suis mis à mal, je suis tourneboulé, je suis pris d’assaut par une force en moi qui me pousse vers la rocghe du tempset m’indique le chemin à suivre, je suis mis sous l’éteignoir d’une bete en moi qui est cette bete-force qui est cette bete aux abois en moi, qui cherche à sortir de moi et à traverser la roche du temps imparti, je dsuis cetvhomme sous influence,; les mots en moi galopent comme des chevaux de plaine, je suis nu sur roche et me laisse faire par (sur moi) une force d’assaut qui se colle à moi et guide mes pas et mes gestes, je suis un homme sous emprise animalière, mon nom est alloué, il s’agit de cette chosecque je suis ici et qui est cette chose d’une emprise par la bande d’un etre de peu langagier (moi en l’occurence) , il s’agit ici d’(une entreeprise de dissolution et de déréliction : mon corps est envahi comme par une vague, je suis pris entre deux vagues, mon nom est brulé sur la pklace pubvliqque séance tenante, ce nom que je porete (ici) prend feu;, je suis cet homme au pouvoir discret qui se sent envahi par la bande de pied en cap, ma gouverne est animalière (à présent) et les mots de ma bouche sortent comme des crapauds (etc) , je suis homme en lévitation, je surplombe, je vois de haut, hautain et modeste cependant car mon savoir n’est pasgrand, je vois la rocghe de par en dessus et comprend les enjeux ici qui sont de taille et ne manquent pas de me questionner : dois je ou ne dois je pas aller en pareille paroi m’immiscer et toucher le roi ? je ne sais que penser ! je suis cet homme des paroisq de roche, homme aurignacien pour sa gouverne, qui va et qui vient à même la roche car sous influence, car sous cette chose d’une sorte d’influence de tous les instants ! je vais en cette roche comme dans le temps : armé de ma gouverne, mais cette gouverne est une sorte de mainmise animalière de première (de la première heure) qui fait et décide ou décide et fait pour ma pomme à tous instants, et voilà pôurquoi je me se,ns meurtri par moments, je suis hommùe des grottes et des ca vernes préhistoriques, je suis cet homme qui cherche (de son côté) ce qui pourrait etre de cette question ou sur pareille question concernant la roche princière, etc, je cherche, je suis ce chercheur de la première heure et à ce titre je vzais en rocghe muni de mon baton de sage, baton de bois,  fuselage, etc, qui permet la trouée ds’un savoir antique, préhistorique etc, la trouée c’est à dire l’incision ezn pareilles données de roche = ce savoir multi séculaire, vieux de la vieille, comment dit-on ? je cherche, je cherche en amont et en aval, je vais et je viens en roche, hj(ai à faire cette chose en tant que je suis cet homme qiui est , ici, cet hommùe de peu, muni de son baton de feu, qui entre en roche cxomme en prison ou alors comme en religion ou comment ? je suis cet homme du peu de savoir en soi, je suis homme sous emprise vive, celle en lui (sur lui) d’une bete fauve du genre lion, ou bien guépard ou léopa rd ou quoi d’autre ? je vaisq et je viens en roche comme un animal car je suis moi même (devenu) l’animal en question, mon nom est celui dela bete qui me monte ou me chevauche, mon nom est très précisément celui là que je treace incidemment sur la paroi de grotte, cette b ete sur moi a un nom que je «dessine» sur la roche une fois et une autre, sous l’emprise de la bete guideuse, celle là qui tient mon bras et me fait tracer à main levée les traits de sa race, incidemment et bruyament, et vite fait bien fait, etc, je suis un homme des cavernes pris d’assaut par une force e,n lui qui le pousse à gravir le mont de laroche du temps (monticule) et là : voir ! ce qui est qui est ! ce quyi se trame en pareille région des hauteurs ! ce qui est ici qui «me»regarde, car ce qui me regarde a uun eil que je ne saurai voir hélasz, cela est navrant, et  ceopendant je sais,  c’est à dire que mon savoir est contenu dans mon oeil de roche, je sais en cet endroit qu’un oeil (invisible à l»’oeil nu ? ) me regarde, mais où ? je me sens espionné ! je sens sur moi posé un oeil qui se cache ! qui siiys-je pour méritezr ça ? pourquoi moi ? que me veut-on ? qiui me cherc he ? qui est là pour me sermonner ? pourquyoi dois je être puni et pourquoi des dires à mon encontre , qsui sont dires de méchanceté , pourquyoi ? suuis je si mauvais ? suis je si mauvais et à jeter ? dois je être coupé en xdeux ? dois je subir les affres dela torture ? dois-je etre jeté en pature zaux betes voraces de la mort à l ‘oeuvre ? quis suis je vpour mériter ça ? je ne suis que cet homme de peu de savoirs, qui l»a ramène bien assez» à ses yeux, et que s’il pouvzait «il se tairait» mais comment se taiore ? c’est à dire comment se taire à soi-même cxar c’est là qsue le bat blkesse, et dfonc c’est avec cette chose qu’il faut composer obligatoirement puisque les mots caracolent de fait en dehors de moi c’est à dire de ma gouverne c’est à dire par devers moi ou à l’insu de moi ou même contre mon gré s’il en est, etc, je syuis cet homme des cavernes qyui cherche pitan,ce (de vérités) )à même la roche du temps, va t il la trouver ? et pourra t il en faire bon usage ? aura t il le temps pour cela ? saura t il s’en dépatouiller et en tirer profit ? si la vérité sur la mort existe alors que sera t elle que nous pourrions dire ? les mots ca racol;ent de concert depuis lanuit des temps et sont cryptés de faux ressorts et autres arcanes majeures cachées, les mots sont pour nous perlés, comme relebvant d’arcanes secrètes disséminées, etc, il se peut que le langage (une langue) soit comme cryptée, ou codée de part aen part c’est à dire cde toutes parts, il se peut qu’une langue soit codée de part en part, de latete aux pieds pour ainsi dire, il se peut très bien cette chose et c’etcpour cezla que nous ne sommes pas des qui, facilement, se formalisent, car nous savons cela comme quoi une langue cache, recèle, ne dit pas la véerité tout de go ou d’emblée, les mots qui adviennez,nt sont u n pis-aller de prezmière et renvoient à d’autres mots ou souterrains ou surterrains (on ne sait) mais qui sont des mos comme absents du débat tel qu’il se voit proposé d’emblée , sur lande ou paroi, au premier regar : tout est comme codé et crypté, et ce depuis le début eyt comme à notre insu ou pas loin, et voilà pourqyuoi nous insistons, pourquoi cette chose du martèlemùent, nous tapôns comme des brutes sur la roche et faisons un boucan de tous les tonneres et cela à dessein, car nous sommes pris, de force, par en  ous ou sur nous une betye de roche, grosse-grasse (injurieuse) qui nous commande, qui nous dit de faire et nous faisons car nous sommes comme obnubilés, nous n’e,n menons pas large, nous sommes sous le jhoug d’une bete de poids qui dit sans gêne sa gouverne à travers notre batoon (merdeux ?) de bois, et nous d’obtempérer comme il se doit car les motsqui courent en nous (de notre bouyche) ou coulen,t, ne sont poas de nous à proprement paerler maisd d’une bete (de rocghe ou des prés) à travers nous, nous parlons un langage de bete (direct) qsui s’incruste sur paroi au charbon de bois, les mots nôtres sont des effigfies et prennent leur place sur roche dure, nous disons que nous devons graver des choses et autres à l’unisson c’est à dire sous le joug, sous cette emprise massive d’une bete des prés (ovin ? bovin ? ) quiiu nousassaille sur paroi comme une bete lancée ett forte qui voudsrait nous faire parler et dire notre mal «dentaire», notre invalidité, etc, nous sommes sur roche prêt à faire cette chose d’un tracé rupestree significatif, soit donnant le la d’une destinée pariéto-temporelle dec première, mon nom est celui là que je trace sur paroi, reconnaissez-le pour ce quil est, mon nom est ce nom de roche dure, il est nom de roche et du temps, mon nom est nom d’homme des cavernes pris comme de panique par en lui la force bestiale d’une bete de prairie massive et lancée (furie) comme un beau diable et me voilà qui me soumet à pareille furie (folie) sans sourciller, car je suis ravi, au sens du dire rappté, etc, je suis rapté, ravi c’est à dire emporté, je suis soulevé, soupesé, compté, je suis déposé, posé, assoupi sur roche, je suis sous le choc, mon nom est comme une effigie animalière de paroi, je suis un homme fou, qui va à s’en dire sur roche des dires de fou,, qui va fou se dire ainsi sur roche des dires de fou, d’emprise, etc, mon n om est convoçqué et se dessine à la criée votive et comment y couper ? cvar les mots sont fous qui nous traversent de part en part comme des fers de lance , et vohnt à se ficher sur roche et percer icelle pour la dépasser et se loger en elle , chair de roche, ombre sur la plaie, je suis homme de roche dure, en lévitation, je grimpe sur elle, mon nom est un nom d’emprunt, je suis l’homme privé de nom en vérité car mon nom n’est pas écrit sur moi mais sur la roche des temps alloués or la roche n’est pas moi, mais miroir ? miroir ? ou bien ce salut par la bande, cette chose d’un retour de manivelle, etc ? je cherche, je suis en roche pour chercher des choses à cvompre,ndre mais peut -onn ? sque donc les mots peuvent-ils ? quoi donc les mots peuvent-ils nous apprendre ? nous ne savons pasc en vérité ce qui est de ce qui vit, ou comment ?  nous voulons savoir car nous sommes lancés et pour savoir nous avons besoib n de pouvoir, du pouvoir des mots «de vérité» et ces mots de «vérité « sont des betes-moyts, mots-betes et betes en forme cde mot, les premiers seront les derniers, ou bie,n : les derniers seront les premiers , c’est à dire que ces mots, que nous dessinons sur rocxhe, sont ceux là qui disenbt pour le coup les choses à cru, sont ces mots (betes) qui peuveznt signifier et signent pour nous notre identité car hje suis en vérité cet animal représenté, je suis ce bouquetin de la roche, ce renne des prés, cet aurochs codé, cette jument, cette antilope, cet aurochs au pré, cette belle bete des bois (biche ?) qsui caracvole, je suis homme-bete des embruns, qui cherchev à savoir le fin mot sur tout, et, pour cela, je me jette commùe je le fais dans cette bataille d’une rocghe (dure) des temps et je vaisz fissa à la rencontre des chevreuils et autres cervidés aux bois dorés, je suis homme des cavernes, nanti d’un pic de pezrforation salutaire, et ce que je vois est inscrit sur ma rétine, je le sais, je suis cet enfant-faon, ce chevreuil nanti, cette biche allouée, ce cerf de céans, ce chevreuil aux quatre fers, cette bete-mot nacrée i,nscrite sur roche comme une effigie, je suis animal qui vit sa vie d’animal sur rocxhe, je suis un animal qui vit cette chose d’une vie de roche dure, je sui s et je vois en moi, je suis cette bete en moi que je vois tracer des traits, des courbes et des lignes qui se crooisent et s’interpénètrent, se chevaucghent et forment des figures , des treacés animaliers, etc, mon nom est celui de la roche, il s’agit de moi, de mes moi de roche, de plusieurs de mes moi qui sont là, àà se chevaucher de concert dans le brouhaha ici des incantations votives car il est ainsi que des mots, des paroles (des insultes) fusent et ce à haute voix,n ,; quelquefois criées, quelquefois susurrées, etc, les mots de ma bouche sqortent à foison comme une pique (ou une la,nce) sortirait de son fourreau, de sa gaine , etc, et ces mots sont des mots de peu de valeur intrinsèque,  car leur sens est feutreé ou tamisé, passé au tamis de laroche et pèse peu voire très peu, le sens ici est bien présent, se veut d’aurochs, mais au bout du compte on riçsque de faire une mine peu enjouée en définitive , quand les choses se déca n,teront;, car les mots sont betes qui se logent ici entre deux betes, les mots ezn preznnent pour leur grade, ou bien disons que les mots se colorent de cette couleur qui est celle de ces betes (betes de paroi) adjacentes etc, je suis homme des cavernes, je dessine à main levée des betes et ces betes sont des mots, ces :mots sont faits pour en imposer et en jeter et en mettree plein la vue, je suis un homme des cavernes, mon nom est nologips (ou loopings pour les intimes) et je vais et viens sur pareille roche à) la recgherche d’un sembklant de vérité, je veux comprendre, et ce que je  veux comprendre est cette chose d’une vérité allouée à la roche ! oui! oui je le veux ! oui c’est ainsi que je le veux ! oui et oui ! oui je veux cela ! oui oui oui ! car homme je suis (des cavernes) homme je reste ad vitam aeternam, je suis celuyi qui reste ainsi, ou comment ? je suis cet homme des cavernes de paroi, qui va et vient en roche du temps, à la recherche de la véerité cachée de la roche, de cela en roche qui parait caché et que pour le coup je recherche avec assidyité, je m’appelle nologips pour votrte gouverbne et je me plais à me promener sur la lande à larecherche d’une entrée de grotte, d’une boucxche dee la vérité, d’une incxise, d’une faille, etc, par où s’immiscer, mon nom est celui qui s’inscrit à meme la paroi du monde, au su et au vu de tout un chacun, et cela ne va pas sans me chagriner, car à) mon nom est associé le mal de la roche, cette turpitude sans voix, cette chose grave gravée = aurochs ! cette bete représentée (au charbon de bois) est cette vilenie de première et qui est à avouer ou à dire ici , comme un impardon de première ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! jke suis ! je suis ! je suis !  jes syis ! je suis ! je suids ! je suis ! jes suis ! je suisq cet homme impardonnable ! ce fennec ! cet enragé ! je suis l’homme des prés et des bois, qui va de son pas alerte à la recherche d’une bete qui reste à tuer ! et ainsi faisant je deviens cet homme squi serait méchant ! je suis ! je suis cet homme qsui serait méchant et impardonnable, dès lors comment faire ?. patte blman,che ? commùent agir ? en gravant son nom sur la roche : «moi» ? comment faire et comment dire, comment avouer son crime, comment s’y prendre ? nous sommes deux qsui allobns en roche (paroi) à la recgherche d’une vérité de bon aloi qui pourrait nous aider à nous y retrouver, nous avopns chassé et tué, nous sommes couverts de ce  sang animal de latete aux pieds, nous nous recouvrons de cesang animal de latete aux pieds, nous voulons cette chose dire, comme quyoi nous bnous sqommes couverts de la tete aux pieds d’un sang de bete (sang de veau ?) qui est ce sang de roche dure, ce nectar ou cet oonguent, cette chrème ou ce chandail etc, nous pensons à  cette chose comme quyoi nous sommes peu de choses, nous disons-traçons n,otre destinée (nacrée) sur roche du temps et cela seul suffit à nous remmeztrree un tant soit peu en piste, et à relancer ezn nous la machine du tic ta c cordial, nous ne voulons pas sombrer cvorps et ames, nous voulons aller notre chemin de vie dans la lande et ne pas en terminer si vite,notre nom s’inscrit «en toutes lettres « (mots-bêtes) sur la roche du temps qui est la roche de la vérité, le temps se dép^loie avec nous dedans et nous dès lors de nous y déployer de concert : la chose est musicale et se forme au tout venant des choses en trame, nous pensons qUe nous devons comp^rendre ensemble les données et e,nsemble aurons à les reporter, qui sur roche qui sur feuillet, etc, main dans la main avec l’homme des cavernes, car, lorsque vnous didsons nous, nous disons lui (homme des cavernes) et moi, qui suis cet autrte homme des cavernes d’aujourdhui, ce sentimental, ce chagrin, ce gentil gentillet, cet homme de peu de savoirs aux accents meurtriers du fait qu’il est chasseur et chasse son butin, sinon journalier, pluri-mensuel, etc, je suis l’homme du temps pariétal, je peux parler en ce nom car mon nom est connu par la ba nde, je peux dès lors décliner mon identité d’homme des bois et des forets, je suis ce chasseur offert à la lande, je me donne ainsi sur paroi comme un forcené, mo,n nom se grave ou se dessine (au chgarbon de bois) à même larocxhe et me voilà «fait» comme deux ronds de flan, ou comment parler de  cette chose comme quoi mon sang ne fait qu’un tour, puis un autre, puis encore un autre (complet) puis encore et encore et encore une fois : loopîngs de grace dans le ciel de roche, une fiesta, une sorte d’enrubanna ge temporel de la roche dure, un sas de sécurité où pouvoir se dérouler,; une sorte d’enclave à figures, etc! mon nom est donc ce nom qui vcient s’afficher à m^zme la roche du temps de la rage , de l’inhospitalité, de la colère et du dégout, etc, mon nom est associé à une turpitude constitutionnelle à propos de laquelle je dois parler, en tant que je suis l’homme du tourment de roche, en tant que je suis ou szerait cet homme d’un tourment i,nscrit sur roche = ce nom qui est ce nom de la bete-mot, cette incartade ou cet écart (nominal) de prezmière, est-ce cela, cela-même, qui me turlupine ? ce nom cacherait-il quelque autre  nom de plus ou de moins ? je vccherche à sa&voir ! je ne sais pas ! que saéis-je ? mon savoir est étroit, il tient ezn peu de place et ne déborde pâs, il est savoir de peu et ne va pas loin ! mon savoir est un savoir d’homme de peu, homme de peu qui est celui-là m^eme qui signe son  n om à même la roche du temps et pense pouvoir s’en tirer de la sorte, or il n’est pas dit que la chose fut suffisante , et permette de la sorte une salvation ou un salut par la même ... par la même chose ... par la même occasion, il n’est pas dit qsue cvette chose, d’une sorte d’inscription votive, suffise ! pas dit ! et dès lors nous nous interogeons ezt cherchonds des solutions, nous pensons que nous pouvons peut etre envisager une sortie de roche à plusieurs c’est à dire ici avec l’aide des animaux, les animaux peuvent ils nous tirer d’affaire ou nous aider à nous tirer d’affaire ? peut etre, le coup est à tentezr, on peut toujours s’en approcher et te,nter cette chose (qsui sait ? ) et alors nou!s verrons bien si la chose était judicieuse ou pas judisieuse, nous en saurons plus après coup et nous pourrons nous afficher dès lors comme ceux qui, près des animaux, grâce aux a nimaux, avons réussi à sortir la tete du trou, de la grotte, etc, nous verrons,; en attendant nous sommes pris de part en part = sous l’emprise animalière de circonstance, à savoir sous le joug meurtrier (?) de la bezte ezn soi, carc elle peut tuer ! elle peut vous achever ... ou vous sauver, au choix ! les deux sont possibles ! on peut très bien mourir d’un coup de sabvot mal pla&cé, on peut aussi survivre et s’en sortir, si la bete en moi arrive à se deéfaire de ses liens et se flanquer sur roche vcomme une effigie, les deux choses sont possibkles et à considérer, et  ce que nous faisons (pour notre gouverne) est en lien avec ceztte choses duelle, avec d’un coté un risque avéré, et de l’auttre un salut possible par la voie des airs, nous nous avançons ainsi sur roche et nous compreznons le souci, la voix qi parle est voix de bete menaçante (ou pas) mais voix qui ne m’appartient pas, je syuis un homme cdes cavernes doux, au sang de roche sur ma face, au sang de la roche dure, ce sang est celui de la bete du roc, celle là même représe,ntée de pied en cap ici sur paroi , -et qui sezmbkle saigner en vrai, le sang suinte des parois, on dxirait cela, je vois cette chose d’un tracé de roche qui dirait le nom d’une personne ou d’un ensembkle de personne, nbous faisons sur roche ce que nous faiçsons et ce que nous faisons ressort de l’ordre de la sainteté votive, nous donnons (tout nu) tout de nous, sur roche et sur paroi, de nous nous donnons tout,; à cru et à nu, en lévitation, le sexe tendu , homme-bete de la rocghe dure comme un baton, et fouillons en elle afin de l’immiscer, dee la pénéttrer par lka bande et à brule pourpoint, nous entrons en elle (paroi) comme dans un moulin car la fente est faite, la voici mouillure qyui nous aide à nous introduire , à passerla tete, le corps en entier, traversée des apparences pariétales, etc, pres des betes des prés, nous avons comp)ris cette chose d’une sorte de mouillure significative, le trait est tiré, la roche est percée, le pic est fait, il y a  déchirure et passage de virée, nous sommes en cette roche du temps comme en sang , nu et cru, vif et raide, doux ou dur c’est selon, entré en pareille caverne ou comment ? ca r la roche est notre sas pour ainsi dire de décom^pressioon, notre enclacve pariétale de soulagement etc, on y est ici commùe dans une ruche mais apaisé, on chante, nbotre pain est bon et le vin est tiré ! nous chantons ! ohé du bougnat etc ! nous chantons et pissons le trop-plein de boisson ! nous avons à pissezr le surplus de ce vin de roche ! nous sommes ensemble dans la roche et cherchons l’ordre, le conseil, la voix, la destinée, le secret, le ressort, la chose enfouie, cette vérité des vérités qui est la vérité de notre turpitude constitutionnellle, nous voulons comprendre et connaitrec les arcanes de la vérité sur ce mùonde (pariétal) d’un temps alloué à un passage et pour cela nous nous tenons la main, chantons et buvons, nous sommes deux pour nous introduire et pour traverser et pour nous retrouver de l(autre côté, nous nous tenons , nous  ne vopulons pas lâcher, nous sommes homme et femme des caverenes,; bnous sommes des hommes et des femmùes des cavernes et nous portons un nom qui est lié à la caeverne que nous explorons, nous sommes des hommes et nous dsommes des femmesdes cavezrnes, c’est à dire hommes et femmes, homme et femme, nous sommes des hommes et des fezmmes et ces hommes et cesv femmes sont entrés dans la caverne et ont cherchjé comme une voie d’abord, un accès, une saillie où pouvoir déposezr leurs offrandes sacrées, ces choses à déposer sur roche du temps , à poser gentiement ou méchamment, à poser d’une manière (fine) ou d’une autrte manière, bnous sqavons cela : ou gentimeznt à pas mesurés ou méchamment ,(en grondant) , l’esssentiel est ici de pouvoir déposer à même la roche, et c’est ainsi que nous allon,s sur pied en cette roche des temps alloués, nous alloons sur ce chemin de roche brute, dure comme tout et qui nous regarde, nous finte, nous espionne presque : nous sommes deux qui de fait nous immisçons en cette roche suspicieuse, en ce roc étrange et pour le moins coquin qui nousregarde d’un éir de deux airs et ne nous lache plus, qu’avons nous donc fait de si répréhensible ? l’amour ? la Chose ? des betises ? des coquinerioes à notre tour ? du mensonge ? nbous  ne savonsd pzas, nous sommes pris à partie ! nous sommes a ssailli pàar la bande et ne savons commeznt nous en sortir ! qui pour nous aider ? l’aurochs ? la jument ? l’antilope ? le bouquetin ? le renne ? l’ours des caver nesq ? ke cheval ? le cerff ? le mégacerf ? le mammouth ? le bison ? le buffle ? le lion des cavernes ? ou bien quel animal de compagnie ou de prairie, de bois ou de sous-bois ? nous ne savons pas, nous voulons savoir car notre appétit de savoir  est immense, incommensurable en vérité, puisqu’il tient dans les grandes largeurs de cet ensembkle langagier dont nous sommes prisonniers, le savoir de vérité est comme inclus dans ce -kit langagier de base, nous sommes deux qui chgerchons la vérité dans la roche du temps , nous sommes deux qui cherchons des vérités saillantes,, cdurables (des vérités !) et qui puissent nous do,nner l’élan nécessaire à une extraction de cette chose d’une roche des embruns nocifs, qui puissent noussoffrir de quoi nous échapper des embruns nocifs et retourner ou nousq en reztourner fissa au bercail, car nous ne voulons pas passer de sitôt l’a rme à gauvche, nbous tenons à notre vie de base, nous volulons la conserver et chanter nos musiquettes de concert, à toi à moi, le temps qu’il nous plaira, je suis un homme sous emprise, ma voix est faussée (hélium) par en moi le chant guttural  de la bete, ou des betes qui se joignent entre elles, un pa quet, je suis cet homme des cavernes à la voix de faussset (tous les cas de figure) et je me dois cependant de greaver sur roche ce qui est ici qui est que je suis cet homme à la voix aigrelette d’un faussset de roche, oh le fausset ! car oui, je suis cet homme sous emprise à la voix faussée, cela est entendu , cela est une certitude, oui et plutot dfeux fois qu’une, car ma voix est sous l’emprise en moi d’un cri animal (le brame ?) qui me fausse ou me gauchit beaucoup, c’est àdire qui fausse ma voix, la gauchit grandement et qui me fait parler (à tort et à travers, qui p^lus est) comme un galopin âgé de quelqUEZSs années (une grosse poignée) et voilà le hic, je suis cet homme à la voix déforméev par la bande et quyi se voit jugé sur pièces alors même qu’il tente ici et là d’expliquer que cette voix qui sort de lui n’est pas la sienne et que par conséquent il est bien mal venu de se moquer de lui, de le repoussezr, ou plutot de l’identidfier commùe étant l’auteur (vilain) de cette cxhose en soi, car non et non ! l’emprise est réelle et la main est mise sur moi qui ne commande plus à un même degré les choses de ma vie, c’est une certitude, alors merci de ne pas me juger sous ce jour , ce n’est pas mon hjour ! non et non ! combien de fois le dire ?  ce n’est pas mon hjour, ma voix est faussée, mon image ici n’est pas celle que jke précaunise ou préconiserait si seulement je poucvais décider de quelle image, de moi, serait efficiente ou quelle imùage me représentant pourrait  me satisfa ire ! car ma voix ici eswt voix gauchie par la bande  traçante ou passante, cette chose est connue de tou$s, et cependant voilà t-il que l’on contin ue à «me prendre» pour je ne sais quoi  qui n’est pas moi ou loin de moi, ou qui est loin de moi etc, je sais cettez chjose, je sais pertinemment cette chjose et voilà pourquoi je signe, ici, de ce nom d’emprunt animalier qui est le nom de cette bete en moi ou sur moi qui a fait le siège de mon etre des caverneqs, je fais cette cxhose = de signer du nom de la bete, sur roche du temps, à même la piezrre, au chgarbon de poids et de quoi s’agit-il sinon d’une figure animalière ressembvklante au plkus possible, d’une donc de ces figures de paroi de grotte, veau vacche taureau ? ou plus volontieers bouquetin , chevazl ou grand cerf des prés ? car jesuis  cet animal de roche ! jesus est cet animal rocheux de paroi votive,  n  ous savons cela ! à présent nous le savons ,  nous devons comp^rendre cette chose ici, comme quoi la bete a son nom sur roche («MON NOM») qui est celui là que l’homme luyi donne, bnous faisons cette chose ici qui est un transfert : la bzte dessine à ma place et ce qui est sur roche est cette figure, or voici que moi (homme d’aujourdhui) j’arrive , et muni de mon baton merdxeux trace un nom qui est le propre nom de la bete, or la bete ne peut pas trcaer «son  nom», car la bete ne le connait pas, ne l’a pas en ezlke, n’a pas ce nom dans son oeil quand elle a dansq son oeil une imaghe d’elle, image que la bete est à même de pouvoir reprodyuire sur roche, et donc voi;à la chose : un nom n’est pas le fait d’une bete en soi, ou plutot : le nom alloué (le mot-mot) ne sort pas de la boucxhe de la bete en nous car la bete en  nous n’a pas d’autres mots que ceux que nouys gravons sur roche et qsui ne sont pas des motsz à proprement pàarler c’est à dire des mots-mots mais sont des mots-betes, à savoir des figures tracées a nimalières sur rocghe du temps, voilà le hic ici souligné, : ce transfert de compétence avec déperdition considérable, changement complet de paradigme et chute centrale dans lke temps réduit de la roche circonscrite, dommages et ramages, on dirait cela, comme  quoi la roche a ou aurait perxdu gros, car la rocvhe du temps eswt le réceptacle de la vbérité avec un grand v, la roche est la roche du temps renfermant un ensemble (c omplet ?) de vérités vraies, et nbous de tout déformer ! car ma voix est dxéformée et ma pensée et mes dires et mmes allures et mon ima ge etc, quand le tracé animalier de l’homme des cavezrnes était, lui, du direct de roche, du tracé naissant, du vif de roche dure sans embarras autres que ceux d’une main qui eût pu flancher  ! or que nenni ! la chose a été gravé dans les r(‘ègles de l’art , c’est à dire en suivant des instructions techniques, de base, etc, nous avons cette chose pour nous d’un sa voir   acquis comme par la bande, hommes et femmes des cavernes, et ce savoir est rutilant, il brille de mille feux et nous permet de dessiner à main levée des  betes de hoie, betes de roche aux bois, cornes de gazelles, chevaux dansants, nous dessinons ce tout venant animalier de roche et, ce faisant, nous «disons» les noms qui s’imposent et en imposent, nous sqmmes hommes et femmes des cavernes aux sa&voirs discrets, nous sommes tenaillés en nous par une voix qui nous dicte la condyuite à suivre fissqa, sur paroi du temps, sans trainer, vite fait bien fait, sous hypnose, nous sommes les hommes de sa majesté, «nous sommes nous sommes», nous sommes les sujets de sa Majesté, et nbous gravons à souhait des figures de betes, nous sommes ces hpommes gravant effigies et autrees figures de betes fortesz, massives et puissan,tes, nous gravons des betesq de poids, nos noms s’ins c rivent par la bande et sauvent kles meeubles d’une destinée (la nôtre) vouée à dispzaraitre corps et biens or voil;à que de la sorte (dessinant) notre nom (mon nom) se voit gravé sur roche pour l’éternité ou quelque chose d’approchant, comment le masquer ? l:a chose à présent est ce présent (ce don) de l’évidence : nous faisons comme allégfezance ! nouys sommes de»ux qui nommons les rois et reines de céans, ces betes de scènes, ces apôtres, cette chose df’une cène la rge, étendue, votives, dite -à haute voixs comme une incantation, cers betes-mots sont ceux d’une tribu guerrière, cette cjhose d’un tra cé de roche dure, qui est cette cxhose d’une représentationb plenière de roche des tezmps : tous et toutezs à l’appel , tous les animaux de masse,  ceux qyui e,n imposent et nous montent, tous les animaux de la roche sont les animaux qui sont à nous monter ou à nous chevaucher, sont dès lors ceuxv qui sont sur  n ous, qui nous envahisse,nt : sont représentés uniquezment les betes qui sont celles quii sur nous ont cette emprise de nous faire dessiner ces choses sur roche, sont représentés uniquezment l’ensem ble ou les ensembles animaliers  comprenant kles betes qui sur nous ont ici (sur paroi) cette mainmise dont nous témoignons, les autrtes b etes (sans ezmprise) ne sont pas décrites et pour cvause puisque étant des betes n’ayant pas sur n nous cette emprise ou cette maimnise de circonstance, et donc : des aurochs, xdes rzennes, des cerfs et autres cervidés, des rennes des bois, des mammouths, des rhinocéros, des chevaux, des bisons, des bouquetinsq, des buffles, des lions des bois, des ours etc, ne sont représentés (animaux) que ceux-là qui nous chargent et nous font dessiner leurs propres figuresq, si je suis un tigre je dessine un tigre, si je suis un  reznne je dessine un renne , si je suis un ours je dessine un ours, si je suis un aurochs jke dessxine un a urochs, si je suis un phacochère je dessine un phacochère, si s-$je suis un bouquetiuin je dessine un bouquetin, si je suis un mammouthj je dessine un mùammouth, si je suis une antilope jke dessine u ne antti:lope, si je suis  un megacerf je dessine un méga-cerf, si je suis un ours des cavernes jedessine un ours des cavernes, si je suis un cerf volant je dessine un cerf volant, si je suis un lion je dessine un lion, etc, je dessine ce que je suis, je dessinais ce que j’étaies en tant qh’»homme des cavernes, et aujoiuuirdhui je ne peux plus car je ne suis plus cet animal «de compagnie» ou si je le suis je ne le «vois» plusq  c ar je suis hanté ou occupé ou envahi en moi par une sorte de brouet de roche fait de betes-mots qui ne sont plus les betes-mots d’autreefois mais qui sont des mots dits «mots-mots» qui sont ces mots de roche dure, mopts de base édulcorés, motsq de tete tracassée qui sont mots de bouche écervélés, et voi;là le hic, les mots sont ceux de ;la parole dite, des cxxhoses de tete, etc, et non plus seulement (?) ceux de la bete qui présidait, je suiuis cette cvhose que je représente, or voilà que ce que je représeznte n’’st pl;usz moi comme autrefoiçs quand j’étais la bete, or voilà que si je le suis toujours je ne le sais plus ou ne le vois plus car mon espritt ds’est entiché de ces mots-mots qui ont tout bouché et ont obstrué le pasdsage qui était autrefois celui de la bezte et nous voilà bien ! nous sommpes couillé»s ! nous sommpes bernés ! nous voilà bernés ! quel dommage ! nous avons perdu le lien de roche à bete-en-nous !  nbous avons perdu pour paertie ou pour grande paertie ou comment, ce lien qui u nissait la bezte en  nous (qui nous xchevaucxhait) à la rocxhe dure du temps, c’est à dire à la paroi votive, à cette paroi de l’art des cvavernes «,, bnous avons perdxu le fil ou sinon perdu où est il ? où se trouve ce fil ? peut on le retrouver et si oui o=ù ça ? pêut-on retrouver ce fil ? où peut-on retrouver ce fil ? où ce fil se l:oge t-il en  nouqss ? et d’abord ce fil se loge -t-il en nous ? comment faire à présent pour trouver ezn nous ce fil : é chappé ? où se trouve til au juste ? nous  cherchons à retrouver ce fil, à renouer ! nous cherchons à retrouver le fil qui va de la bete en soi à la paroi du temps, retrouver l’image de soi, la figure juste et précise, l’effigie qui soit ressemblante , et pour cela nous grattons la roche, nbous poussons la chan,sonnette sur paroi, nous faisons cve que nous pouvons; : en pure perte ? que cela ? que perte de temps et de soi ? nous cherchons à renouer avec le temps passé et donc avec cette chose d’un lien qui autrefois existait(direct) entre la b ete au fin fond de soi (logée) et la paroioi du temps qui était cette roche dure de grotte, comment s’y prendre ? comment arriver à cette chose, et d’abord sous les mots où trouver la bete ? sous ces mots qui sont les nôtres peut-on relmigieusement ou sciemmùent ou inciddemment ou comment retrouver la bete qui se loge en nous, nous fivcche le grappin dessus etc, nous voulons cette chose, ce que nous voulons est cette chose, ce que nous cherchons, ce que nous espérons, ce après quoi nous courons, etc, nous avons cette ambition, cette ambition est la nôtre, ce que nous voulons a rdemment, cela que nous voulons le plus et apres quoi  nous nouys échinons, etc, cette chose est celle ci , est cette volonté de chercher ensemble, au sein de latribu, une manière printanière, contenue, soutenue, vivante, allègre, de trouver ce fil ténu qui reliait la bete en nous (vie) à la roche xdu temps, amen

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6/05/2021

l’homme ici est devenu cet animal ou cet etre parlant qui a, caché en lui, l’animal (vie) qui (jusque là) présidait aux destinées, l’homme que je suis est celui-ci qui a en lui un animzal = vie mais cet animal est comme caché «derrière», derrière le langage articulé qui m’a de fait été inculqué dès mon plus jeune âge et qui à présent a pris place et ne peut plus etre délogé , or en moi la beete est toujours présente, qui cherche à sortir et se jeter sur roche c’est une évidence, en mon sein réside (encore ?) une bete de masse, une grosse bete d’injure vivace, une grosse et grasse bete de sept lieues , qui cxherche à sortir sa tete bovine ou ovine ou autree (par ma bouche oouverte) en lieu et place d’un langage, langage de tete, de pareil langage (articulé) inculqué dès ma naissance, l’animal (vie) cherche ainsi à sortir sa tete mais comment ? il cherche de toutes ses forces à sortir sa tete ovine, bovine, porcine, caprine ou autre (tête de cervidé ?) et cherchant il outre passe son pouvoir qui est de se loger sans plus de brutalité en mon sein, alors que là, il ( l’animal) bouscule mes entrailles (= l’intérieur) car il renacle et trépigne, il rale et rage, et ce n’est pas sans me poser quelques désagréments, car 

la bzete se sent à l’etroit, la vie-bete est à l’étroit et trépigne en soi, qui voudrait voir le jour venir, voudrait sortir ses bois ou ses cornes ou sa crinière, elle est prise dans un sas organismique qui l’enferme et la tient coincée, elle veut de l’air, elle veut sortir la tete de l’enclos de l’organisme, elle est ainsi en soi (en moi) qui veut sortir de moi et s’en aller brouter de l’herbe ailleurs, dans l’encklave pariétale d’une roche de paroi de grotte souterraine de la préhistoire par exemple, elle cherche à se réveiller, à glisser ses cornes doucement uo brusquement mais quoiqu’il en soit à les sortir coute que coute, car la vie (l’animal) a besoin d’air, de cet air de la roche dure du temps, elle bveut sortir sa tete,  et voir du pays de roche, elle (vie) veut (a envie) de sortir sa tete de ma bouche ouverte, et cela ainsi : pique que tu piqueras, en une sorte de tressage de fibres diverses, ovins, caprins, cervidés, vbovidés etc, qui forment à eux tous cette lance ou pique de verbe à percer, cette lance à percer qui est du verbe-bete racé, qui est censé pouvoir piquer la roche, creuser loin, faire cette chose d’une incursion - immixtion en paroi, etc, cette bete en moi qiu autrefois n’étaiyt pas vraiment gênée par du langage articulé de bouche et de tete, qui autrefois pouvait sans peine se dégager à l’envi de mon organisme et creuser la roche, traverser  ce temps pariétal de la roche ornée, autrefois la bete-vie en soi pouvait naviguer et passer dun corps d’homme ou de femme à une sorte de roche adjacente mais, à présent, voilà la chose, les mots de l’homme sont indécrottables, une maladie chronique, une installation permanente, une occupation séculaire, une prise en otage , etc du langage en soi et voici la vie qui est à l’étroit en tant qu’elle est à présent comme bornée = limitée par des clotures langagières qui sont comme des bornes, des sortes de portes fermées, et la bete-vie ne peut s’echapper comme autrefois elle le pouvait, on voit sa tete qui renacle, on sait cette chose d’une bete-vie en soi qui est masquée et contuse, qui est coincée par des mots en soi qui occupent en grand la place allouée, la place ici est un espace-temps en soi (un déroulé) qui est celui-là même que la bete-vie autrefois occupait pour se lover en soi, en son corps de soi, en ce corps à soi qui est ce corps d’occupation langagière et à présent tintin : la bete-vie est coincée dans un coin et l’espace est pris en moi, en soi, par une langue apprise , inculquée, et impossible à désaprtpprendre, et voilà l’animal à cornes ou à bois en soi comme relogé, recalé, ou comment ? il ne peut plus sortir sa tete, il est pris dans la nasse langafgière et coincé dans ses étirements ou mouvements, portion minus, rangement dans un coin comme un reliquat embryonnaire en notrte organisme, il s’agit d’une bete-vie tic-taquante : coeur ?  la bete-coeur ? qui est donc cet organe animal de race, qui , autrefois, pouvait aller-, venir, gambader = sortir et re venir en des allées-retours passagers et transitoires, quand à présent la chose est devenue plus compliquée voire impossible du fait que la langue en soi occupe la majeure partie de l’espace mental et coince notre bete, l’empêche de sortir sa tete, ses tetes si elles sont plusieurs, leurs tetes de betes de corps, betes-vie de race humaine;, qui ici en moi (= soi) sont celles-là qui font que nous pouvons (pouviiiions) aller sur roche délo ger le v, le v de Vérité des temps mais à présent comment ? car nous sommes envahis en nous pazr une masse langagière qui est animale (aussi) et s’impose sur roche comme animalité de paroi rupestre, mais voilà : ce qui est sur roche n’est pas cette vie-bete incorporée, elle en est l’extraction représentative mais non point la figure ou matrice originelle, car la figgure / matrice originelle est bloquée à quai pour ainsi dire, le passage est obstrué par en nous des verbes,, des phonèmes, du verbe vif , qiu sont cela qui sort de notree bouche et obstrue la place autrefois vacante, mais en vérité autrefois était-elle aussi vacante que ça ? nous ne savons pas, nous cherchons à comprendre ici l’origine et le déroulement des phénomènes et en effet il se peut qu’autefois la place en l’homme des cavernes était vacante ou pas loin de l’etrte, place pour une incursion cordiale animale en soi, ou comment décrire pareille incursion ? car vie-bete en soi est une sorte d’image votive, changeante, qui coupe-tranche la joue de l’homme depuis l’intériuer de son orga nisme, et ce faisant arrive à sorti-r sa (ses ?) tete(s) et graver la roche sous emprise, l’homme ici (sous emprise) étant pris à partie, et voiilà ce qui arrive icii qiui est cette chose comme quoi une bete (vie) en soi a vu sa place rétrécir du fait de l’invasion en soi d’une langue acquise, langue humaine culturelle, qui est devenue dès lors la masse de roche, qui a pris place en nous de manière expônentielle au fil des années, des sièckles; etc, il est juste de comp^rendre cela comme quoi je suis cet homme au verbe haut qui obsrtue passage à bete (en moi) qui voudrait sortir, aller, sortir de moi et aller sur roche se fixer et donner de son etre à la temporalité prairiale , etc, il s’agit de voir cette chose comme quoi en moi réside (résidait ?) la bete des prés , des prés adjacents, des prés de paroi, etc, qui pouvait à loisir sortir de moi et gambader sur roche de grotte et montrer son élan de vie qui rassurait et nourrissait la mort, or à prrésent il n’en est plus ainsi, la faute au langage de base, à la langue-verbe, à ce salamalec , à ce salmigondis, à cette saleté» de langue acquise ou comment la nommer, qui a pris tout ou quasi de cette place, qui a pris ses aises en nous, quasdimeznt la «place» ezntière en nous et a poussé la bete-vie dans un recoin de notre organisme, voilà ce qui est, et du coup la mort vient nous chercher, nous pousse de côté, nous fait du gringue, etc, il faut comprendre cette chose comme quoi autreefois la bete contenue en soi avait de l’espace pour déambuler et pouvait sortir et se poser sur roche afin de satisfaire les envies de vie de la mort à l’oeuvre, aujourd’hui niet, aujourd’hui il en est tout autrement, la mort nous guette, veut sa part de chair vive (de vie tout court) et pas du semblant ou comment ? car,  car il est ainsi que nous voyons que la mort est devant comme une sorte d’affamée qui se  léche ou pourlèche les babines et nous de prier qu’elle ne vienne pas de sitot nous manger tout cru et tout nu alors même que nous nous nous sentons comme pas prets pour nous ainsi laissr dévorer, nous nous sentons verts, nous nous sentons comme des enfants qui ne savent pas aswsez de choses et ne sont pas sûrs de leurs options, nous nous sentons comme encore tendres pour l’opération et pas suffisamment en jambes, alors de grâce (on dit) , s’il vous plait (nous disons) , moonsieur ou madame, nous parlons à brûle-pourpoint, de grace laissz-nous en vie, n’attentez pas à notre vie, laissez nous aller en vie, marcher et courir comme des cabris, merci d’avance, car nous sommes ainsi qui nous sentons jeunes pour l’opération, nous nous sentons vrraiment méga-jeunes et ne voulobns pas aller de sitot de l’auttre coté de la roche ou de l’après roche (deuxième rideau) : certainement que non ! car nous sommes jeunes comme jouvenceaux de roche dure, tendres comme des boyaux, etc, nous cherchons encore voie d’accès en rocxhe pour cette chose d’une sorte de compréhension des paramètres animaux, qui est qui et qui fait quoi , qui porte le verbe, qui a le verbe, où est le verbe, où est la vie trépidante, où se loge en nous le (les ? animaux (animal ? ) , nous voulons en savoir un rayon et voilà notre ambition ici découverte : nous voulons savoir ce qui est entre le verbe de paroi (ces effigies animalières pari»étales) et le verbe de coeur, ce tic tac de base, marquant l’influx vitazl animal en nbous (profondeur des viscères) , nous cherchons à comprendre les enjeux de ^place notamment, cette chose des enjeux ici qui sont ceux d’une vie d’homme-terrestre, nous essayons de voir le pluys possible et le plus loin possible afin de comprendre le plus de toute cette affaire de place en soi, qiu autrefois fut ceci et aujourdhui cela et s’il y a eu des change ments au fil du temps, car la question centrale est là située, il nous semble ici que la question cruciale, centrale, est ici logée, en cette interrogation de roche, à savoir qui : qui a fait cette chose d’une sorte de mainmise, sur soi, de la parole ? qui ou quoi, car on voit cette chose ici, que la parole articulée sous  forme de langage fait de mots, est une chose qui peut etre n’a pas toujours été, et la question pour nous est à ce niveau, se loge en cet endroit qui pour nous est l’endroit qsui est cette chose comme quoi on a d’un côté des mots et de l’autre un battement de coeur, et comment les deux peuvent cohabiter ou bien comment autrefois les deux choses cohabitaient , en xd’autres termes : les hommes anciens (des cavernes) avaient)-ils des mots pour se sartisfaire, aklller en roche, sortir d’eux etc, comment faisaientils ? értaient-ils munids d’un appareil en eux pouvant les faire sortir d’eux , et si oui lequel ? nous cherchons dees reponses à des questions vives, brutes, natives, il s’agit pour nous de comprendre la chose d’une vacuité en l’homme éventuelle, c’e’st à dire d’un contenant qui fut autefois occupé par la bete en vrai, une étrangère, et p;lus tard dans l’Histoire, par des mots de tete indéboulonnables, etait-ce le cas ? a t on eu cette chose présente dans le tezmps ? a t o,n eu cette chose dans le temps d’une sorte, en soi, d’outre, qui pouvait etre rempli par de l’animal ou bien par des mopts ? en d’autres termes : l’homme des cavernes parlait-il un langage en lui ibndéboulonnable comme le notre, ou bien était il porté par la voix de son maitre de vie, à savoir la bete en lui, bete navigante, pouvant sortir de lui et s’offrir en offrande de roche et donner matière à contentement à qui vous savez, peut-on avbancer cette chose (de dire) comme quoi nous avons en nous un espace de vacuité (outre) qui est celui là qui autrefois contenait la bete forte-fauve en soi (dessins sur roche) et à présent ce que nous avons = des mots de paroi, des images-figurines, de formats divers, d’approche plus ou moins rustiques mais enfin voilà ce qui est, cette chose eswt là qui nous regarde, qui est oeil de roche etc, mais où sont les betes en vrai en icelle roche à présent ? où sont elles passées ? où ont elles disparues ? que sont elles devenues ? nous cherchons à comprendre comment faisaient les hommes des cavernes pour communiquer entre euxx ? chantsq ? bruitsq ? signes ? langage gestuel ? prises de bec ? misanthropie ? nous cherchons à savoir, bnouys sommes loin de savoir, bnous voulons savoir mais nous sommes loin de savoir, or notre ambition est d’en savoir long, de comprendre loin, de connaitre plein, de trouver des réponses, de trouver les motsqui conviennent pour savoir ce qui se tramme, etc, nous sommes chercheurs en roche de grotte et cherchons des vérités en  nombre, à numéroter, car nous sommes archivistes et spécialisés dans l’approche pariéto-frontale des choses du monde et voilà ce que nous voulons, nous voulons savoir, nous voulons comprendre cette chose qui est que nous abvons foi en cette parole que nous proférons,  nous voulons comprendre  ette chose comme quoi nous sommes (on le voit) qui avons la foi en cettye chose que nous disons pazr la bande, nous voyons cette chose ici allouée comme quoi nous parlons avec en nous la foi dans les mots que nous employons ou sinon comment ferions nous ? nous ne pourrions pas parler, or nous parlons «par coeur» pour ainsi dire, et les   mots que nous employons sont chargés du sens auquel nous croyons au fur et à mesure (etc) et cela est indubitable, nous sommes à employer des mots auxqueks nous donnonbs (il s’agit d’un don) du crédit et ce à notre insu pour ainsi dire, la chose s’est placée en nous de la sorte au fil du temps, nous portons des mots auxquels nous croyons, auxquels nous donnons du crédit , notre foi en eux, etc, et cette foi est la foi du coeur c’est à dire du par coeur, de l’inoubliable, et la foi du coeur commande et préside aux données de roche et autrefois la foi du coeur était animale, avait les traits d’une bete «de roche», c’est à dire ovin, bovin, caprin, bovidé ou cervidé ou autre, le mammouth, l’aurochs des prés était notrte ami divin, etc, aujourdhui les motsque nous disons sont porteurs de cette foi de coeur qui est animale en soi mais ne se montre plus )à proprement parler sous ce jour tranché, vif et direct de l’animal montré , voyant et devant soi, nous avons en nous la foi en des termes qui sont termes de paroi, nous essayons de comprendre des données de roche sous le jour ici de la foi cordiale, ce tic tac de roche vive, ce tic tac vif de roche dure, etc, nous voulons essayer de comprendre cela que nous sommes, nous essayons de comprendre ce que au juste nous serions en cette roche de la base pariétale des confins et cela est cela comme quoi la foi préside avec aujourdhui du verbe franchement articulé quand autreefois la foi présidait  tambien mais avec des figures-matrices, des betes de roche sorties de soi (chamanisme) qui allait sur roche porter la «bonne parole», ainsi étaiit-il ou en était-il, car la betye sur roche était dépot qui était censé soulager la mort dans ses en,vies (avides) et impulsiuions diverses, nous pensons cette chose ici comme quoi la foi (dans les mots, pour nous = le par coeur) a toujours présidé depuis les origines, chapeauté les choses de roche, nous pensons que cette foi (en des mots , en des betes en soi) a toujours commazndé les choses du monde, et l’homme des cavernes pôrtait en lui cette foi envers des betes en lui comme nous aujourdhui nous portons créddxit aà des mots (des sens) en nous qui font que le langage articulé est devenu ce quil est pour nous aujourdhui : une donnée de base indécrottable avec laquelle faire avec, de gré ou de force, en l’occurence de force, car impossible d’oublier et de se débarrasser, paraeoil langzfge ou de paraeil lan,gage, de pareille langue ou idiome : le pli est pris, eh bien pour lm’homme des cavernes il sepourrait que la chose fut la m^$eme mais non point avec des mots appris par coeur, mais avec des matrices (animales) contenues en soi comme des organes de vie vive à pouvoir extraire de soi et porter à la vue de qui de droit (ezxactement comme des mots), et comment cette chose ? eh bien , nous ne savons pas , nous ign orons ma is le fait est là que la place (l’outree) en l’homme exciste et a existé de tout temps mais sous quelle forme du temps des cavernes, nous l’ignorons,;, nous ne savons p)as, nbous subodorons, nous pensons à des choses que nous disons, nous tirons des plans sur la comète, nous échafaudons des stratagèmes, des architectures mentales, etc, nouys avons envie de savoir ce qui est et ce qui étaitt, nouds voulons comprendre le plus loin possible en cette chose d’un emploi n,atif de la foi en  n ous, car la foi est le point focal on le voit, inutile d’en douter, la foi est le point pile, d’achoppement brusque, nous avons cette chose en  n ous d’une question concernant le foi en quelque chosze, et cette foi en quelque chose est l’outre, voilà ce que c’est, l’outre (l’outrage) est cette foi dont nous parlons, c’est à dire la seule qui ait du pioids c’est à dire la foi de force, la foi conditionnée indéboulonnable en wsoi, c’est à dire un apprentissage (foi inculquée et le pli est p^ris) etc, nous pensons que l’outre en  nous est la foi et l’outre est ce réser voir à dires divers,  à façons de faire diverses, ou à d’autres choses enmmagasinnées par la bande , de force et comme à nottre insu, collage par contiguité, rapprochements de particules, décollage de paroi et encollage dans le sein, prises de positions rupestres, allers et venues entre la roche et soi, la foi est un animal de roche ! qu on se le dise ! la foi est un animal de roche ! c’est à dire un occupant, l(occupant de l’outre en soi,  de l’outre tombe en soi etc, nous voulons comprendre ce qui est de cette foi-outre, de ce foutre-dieu qui nous tend les bras et nous parle son langage de prairie via la figure des betes qui ornent la roche, nous voulons savoir des choses concernant pareille foi de la rochev du temps, pourquyoi et comment, qui préside, qiu dit quoi, comment savoirr, où aller, que faire, que donner, quoi dire, quand finir, où sombrer, avec qui charhger, que dire à l’envi, qu’en penser, que jaillir ? etc, nous disons queb cette chose d’une foi douce d’outre, est une foi qui est logée, qui a une place acquise, indéboulonnable comme une langue, car la foi est cette chose qui est incrustée comme un organe ni ^plus ni moins, et avoir la foi c’est comme avoir un foie ou une jambe, même combat et meme indubitabilité, car la foi en nous a été importée qui se loge en nous à) la manière d’un organe viçtal, car la foi-outre en nous est cet   organe animalier qui a eu contenance animale en sus, ou commùent dire ? qui auteefois avait pour elle (contenance) cette chose animalière de principe actif, aujourdhui moins car les mots ont essaimés qui ont pris la plus grande partie de la place , se sont étendus (étooffés) et ont bougé la bete dans une sorte de coin à l’écart qui la voit se rabougrir et sécher sur pied, les mots s’étzalent en outre, et prennent la place vacante, occupent ce vide, et les betes sont poussées qui se trouvent rangées, mises de biais, comme écartées, troubvlées, etc, il s’agit de cette chose comme quoi la bete en bnous (la vie) est toujours présente mais son effigie a p^ris un coup dans l’aile et ne se montre plus à même échelle, il s’agit de voir cette chose comme quoi une bete préside toujours en nous (notre gouverne et notre gouvernail) mais n’est plus cellec là qui sortait de nous à l’envi (la transe) et allait sur roche sereprése,n ter et parler pour nous à la mort de bouche alentour, la mort est à l’écoute de la foi que nous portons , la mort est toujours à l’écoute, de cette foi contenue en ous (outre)- , et que nouys portons jusque sur la roche, les mots employés sont portés en  nous par on ne sait quoi qui est caché mais qui s’appel:le foi sous nos latiitudes, et cette foi = vie = bete des champs et des prés, = ovins ou cervidés etc, cette foi est logée en nous dans l’outre de notre organisme prairial, de cettee chose en nous qui est du vide, du vide à combler , soit par des   betes , soit par des mots (mots-betes) soit par quoi ? la foi est le terme employé couramment pour nommer cette chose qyui remplit ce vide de l’outre, c’est à dire un c ontenant qui est en nous cette cxhose qui préside = la vie, car la vie en nous est ainsi qu’elle contient cette chose d’une bete fauve qui rugit  et cherche une issue à sa rage, etc, nous vopulons savoir ce qui est ici en matière de langue-bete de roche, ce qui est qui a changé au fil du temps et qui était du verbe animalier, de l’image, de la foi en cette chose d’une image en soi ru gissante ou sinon d’une ima ge d’une prése,nce, d’une rugissante présence en soi, etc, nous voulonbs croire en cette chose d’une sorte de présencec rugissante en  ous qui présiderait à nos activités diverses, nous pensons que nous devobns aller loin en pareille contrée rupestre, creuser au plus profond et ne pas lambiner car le temp^s pressse qui nous pousse vite fait bien fait à bout, au bout, comme des eznfants qui jouent à faire semblant, qui jouent à des jkeux de rue, de branche, de grotte, etc, nous voulons savoir ce qui setrame ici sur pareille quesrtion relative à des données de roche brute, bnous voulonbs savoir ce qui est ici (outre) qui se dessine comme en intra et rejaillti sur rocxhe à la manière d’(un  crachat, d’une jetée, d’un jet de bave, etc, nous essayons, nous vopulons comprendre, car la foi en nous est cela que d’aucuns appelent vie, c’est à dire : le par coeur sensible ou sensitif, cette chose d’une sensibilité naissante à la vie de roche, etc, nous essayons d’akler en ces profondeurs de la pensée dure de la roche dure, nous voulons comprendre loin car notrte ambition est de comprendre les ressorts ou les arcanes les plus souterrains ou souterraines, nous cherchons à savoir ce qyi est qui préside aux destinées rupestres de cet homùmùe des cavernes, que fait il lorsqu’il dessine sur roche des aurochs, et vque pense-t-il à part lui ? nous pensons que la pensée de l’homme des cavernes ets une pensée proche de celle de la bete, mais en vérité nousq n’ensavons rie,n nous subodorons, nbous pensons que la pensée de l’homme des cavernes est une pensée comme marquée par la présence en lui (vitale, il s’agit du coeur) de la bete de somme, de ces betes de somme ou de charge, ou bien de ces betes à bois qui sautent dans les sous-bois, nous penqsons que l’hompe des cvavernes est cet homme qui en lui contenait une pe nséev particulière, faite de données rupestres, cognitives, cventrées sur un point, pênsées offertes sur paroi comme effigies-offrandesq, la pensée de l’homme des cavernes était «alimentée» vpar des phonèmes gutturaux qui mimaient des scènes, nous pensons que l’homme des cavernes explorait le monde à sa façon vive qui voyait en lui aller et venir des betes de poids (qui pèse) et du meme coup en imposent fortement, il s’agit pour nouds de penser la pensée primitive, quelle  pouvait-elle bien   etre ? nous bvoulons penser cettre chose, d’une donc pensée primitive, naissante, neative, naïve, sortant de l’ oeuf, mais quelle est-elle donc ? notre ambition est de comprendre ces données de base, cette chose ici d’une pensée native, naïve, naissante, née de dieu sait où, qui est cette pensée -foi, ou vie-bete allouée, battements du coeur alternatifs, etc, notre but est de com^prendre les choses du monde rocheux à la lumière de la chose brute, naissqante-nzaïve d’une vérité de l’outre,; or cvomment ? en passant en revue les betes de roche ? antilope , renne, cheval, bouquetrin, ours des cavernes, lion des cavernes, cerf, bouquetrin, mammouth, bisions, buffles etc, il s’agit de prononcer les mots de l’outre, il s’agit toujkours de probnoncer cesb mots de l’outre monde animalier qui est ce monde outré (outrageant) qui en jette beaucoup du fait de sa viçtalité native, nous disons dès l:ors que la foi est l’organe des sens, il faut comprendre ici cette chose comme quoi la foi est un organe, un foie pour ainsi dire, logé (outre en soi) qui contient dès lors ce qui convient pour une extraction de soi vers la roche, c’est à dire que la foi en soi est cet organe de poassage d’un corps à un autre, la foi est contenu en  otre organisme comme une chose logée, organiséez, commeznt dire : logée-lovée en nbotre sein d’outre etc, la foi est indécrottable comme la langue car la foi est la foi dans le langage (quon le veuille ou non !) et ne peut etre anéanti comme d’un coup du sort ou autre, la foi est indéboulaonnabkle ! il faut savoir cette chose comme quoi la bete sur roche était cette chose d’équivalence aux mots actuels qui sont mots inculqués indétronables, des içdoles (les voilà !) qyui ne peuvent etre effacées de la carte corporelle car ils sont ou elles sont (idoles) qui sont incrustées cvomme même gravées des matrices, il faut ainsi comprendre cela comme quoi la gravure ici est interne (en soi) et externe (en roche) et communique ! oui ! car l’hommpe des cavernes a (possède) en lui une sorte de matrice de joie, qui lui permet de naviguer depuis son organisme terrestre vers la roche de paroi de grotte et son au delà pariétyal (fait d’embruns, etc), nbous avons compris cette chose comme quoi les mots sont logés à la même ensieigne que les animaux, seulemen,t voilà, les    mots ont peu à peu gagné du galon, pris de plus en plus de place, et la portio n réservée à la bete a peu à peu pris un coup dans l’aile (portioon congrue) ezt voilà la bete qui (en nous aujourdhui) renacle et vitupère et hurle et pleure et crie et insulte et jure ! jure que tu jureras ! jure de chez jure, etc! ,la bete en nous est masqué vpar du verbe de foi, on peut comp^rendre cette chose d’une sorte de bete qui s’est faite petite au fil du temps en  nous (l’outre) et voilà la chose expliqUée ici, commùe quoi le mot de la foi est le fin mot du fiin fond de l’homme (outre) et ce mot autefois navigait (toujours ?) de la terre à la lune pour ainsi dire : de l(organisme humain (cette grotte) au monde pa riétal de la roche dure , de pareille roche du temps qui est roche dure, compacte, éternelle, nous pe nsons que pareille pensée a des racines ici qui sont profondes et restent à   regzarder   de plus près, restent à explorer , à étudier, il sembklerait ici que des racines sont à étudier et cela est très intéressant pour l’avenir de la pensée,  il semblerait que ici des racines ont pris qui seront ultériuerement à étudier de plus près afin de mieux cerner les tenants et les aboutissants de toute cette affaire d’homme des cavernes, d’art pariétal, d’art tout court, car ici l’art est donc ce passage d’un monde l’autre, cet élan de joie entre deux mondes = ce saut, le saut (le passage) est l’art de l’homme des cavernes, si un art existe en soi le voilà : saut d’une bete-vie vers table ou paroi d’offrande, un dieu regarde et apprécie (ou pas) le don déposé, il s’agit ici d’une chose dite «en déposition» qui est censée rester sur place mais pas tout le temps, des allers-retours sont prévus qui verront la chose allerf et venir entre la bouche ouverte de l’homme (chandail ? ) et la bouche ouverte de la mort en roche (chandail ?) , nous chertchons ! le but ici est de comprenxdre les données du monde adjacent, qui ezntoure l’hommen, qui est ou fait cercle, nous voulons connaitre les choses telles que à l’origine elles ont pu advenir et pour cezla nous nous penchons sur des questions rupestres, d’ordre pariétal, questions liées à des allers retours entre la roche préhistorique et le coeur de l’homme outré, ou comment dire ? o n sait cette chose en cxsoi d’une loge (animalière)) censé devoir recueillir  pour sa gouverne une langue maternelle, on a cette chose en nous qui est une outre (pour ainsi dire) capable de recevoir pour kl’eternité de la vie une langue offertte par la bande à lza naissance, cette langue est animalière de constitution, c’est àà dire que cette langue est un animal, une cohorte animale ou animalière pour ainsi dire, qui fait son chemin corporel de développement, comme tout orghane en soi fait pareillement son chemin de vie pen,dan,t la conception  puis laformation  de son etre,   on sait que la langue d’un homme est un bloc de givre, sensible et plein (non creux) et que ce bloc est une masse impressionnante (= qui en jette !) et par conséquent à même d’ettre proposé sur roche à la cantonade (comme une insulte ou un juron) , l(homme des caveernes connaissait en lui cette existyence d’une bete-mot en devenir, bete-mot qui navigaiit d(‘un lieu l$’autre) et pouvait se loger sur rochre (impression) puis retourner fissa au bercail (outre sensible) , nous pensons que cette chose d’un sens -foi en l’hommê était autrefois comme imagé, nous avons ce sentim-ent comme quoi la bete était en nbous qui commandait et faisait pour nous pour ainsi dire (nous étions doublés) quand aujourdhui il semblerait que tout nous incombe et que nous soyons seuls en nous or nous ne sommes pas seuls en nous, nous sommes plusieurs, nous sommes nombreux, nous sommes juxtaposés, nous sommes accolés comlme brebis dans un  troupeau, car nous sommes une somme = un troupeau de betes conjointee, etc, nous savons cette chose comme quyoi la bete en moi est bete de poids qui cxherche à sortir sa tete, bete supérieure du fait de sa masse corporelle, de son entrain vif et de sa ressemblance acv-vec l’hommùe , nous sommes ainsii occupés par en nous une foi qui a pour nom bete de joie, qyui est bete de foi tout autant, et alibi, et chose à offrir, et capitale, etc, cela est cette chose en nous que nous sommes heureux de dire,  cette chose en nous que nous sommes heureux de montrer, cette chose en nous que nouys sommes heureux de poser etc, il s’agit d’une effigie qui représente ici la bete contenue (ou l’une d’entre elles) et cette effigie est forte, rebelle, dure à l’effort, coriace, tient debvout  et résiste aux coups du sort etcx, nous chercghons à comprendre les liens qui peuvent unir les mots-betes d’autrefois (de l’homme dees cavernes) avec cette chose de ce jour qui est donc le verbe de bouche et de tete, nous cherchons à comprendre les liens qui autrefois pouvait lier l’homme des cavernes à sa roche, et aussi les liens qui existent ou existeraieznt entre eux et nous , à savoir entre le mot-bete de cet hommae de l’aurignacien et le verbe de tete sensible (porteur) de l’homme d’aujourdhui, y a t il continuité entre ces deux choses  ? que penser de cette chose ? nous voulons comprendre ce qsui est ici de toute cette chose d’un verbe natif, de mots-animaux de foi, de coeur d’outre, d’outre-coeur de la vie de roche, etc, la chose ici est celle-ci qui nous voit aller et venir en roche comme des betes sur la prairie, armés de nos mots-betes de paroi duure, a rmés de nos mots de roche, de ces mots -vie qui sont ceux là qui nous constituent, nous voulons graver nos noms dans la roche, dans la profondeur, nous avons (portons) des noms qui sont comme ancrés en nous et sont des attributs de vie pariétale et voilà ce qsue nous disons à kla canto nade ,; à l’adresse de la déité) , nous disons : vafanculo salop’», etc, nous disons des mots gros comme des aurochs, ces mots sont des choses de poids, qui font de l’dxeffet, qui jetent l’op^probre etc, nous avons en nous (foi) cette chose du mot gros-gras qui s’impose de soi comme une onde de choc, nous penswons que nous devons aller ainsi en roche porteurs de mots de type insanités, c’est à dire de forte densité en matière d’impression sur une couvée ou sur une déité etc, nous vboulons faire ainsi cette chose en roche : insulte à l’ennemi ! sus à lui ! cet enfoi’ de mes d... qui nous peine fort, nous ne voulons pas de sa gouverne, nous voulons sortir de ce schéma de vie qui est rempli de verbe, nous voulons retrouver ce schéma xd’autrefois qui était celui de l’homme guidé, guidé etb vsecondé, secondé et pris d’assaut, gouvernéc par la bande en lui qui présidait aux destinées de son étant et de son allant en roche sur pa roi  ornée, nous vopulons reveznir au sta de initial et mieux cerner les choses du monde et pour cela nous avons cette chose à devoir comprendre ici et cette chose est celle ci, comme quoi nous devons aller en roche pour savoir, pour nous initier, pour connaitre le fin mot, pour comp^rendre les enjeux et les donnhées de roche dure : qui est qui et qui fait quoi ? voilà la chose ! nous devons nous initier ensemble à ce jeu de la foi en des mots de roche inculqués, qui sont habitants d’un outre cordial (ou d’une outre cordiale) et ce faisant gravir les échelons de la lévitation, monter haut de plus en plus, creuser son conduit, son passage-territoire, etc, no tre but ici est de faire cette chgose d’un treacé cheminal qui irait de là à là , qui serait celui d’une sorte de passage de lieux divins, qui serait ce pâssage d’un lieu corporel cordial à un lieu rupestre pariétal, etc, nous voulons savoir ce qui est qui nous regarde, nous tend les bras, nous voulons savoir des choses, nous voulons comprendre des choses de roche, qui est qui ? qui fait quoi ici ? commùent se blottir dans laroche ? qui peut nous aider ? l’aurochs du roc ? l’(aurochs de paroi ? l’aurochs sorti du sein maternel ? l’aurochs en xsoi logé qui chercxhait issue et l’aura trouvé ? qui peut dé»cemment et simplement nous abnnoncer la couleur ? comment ? par une injure ? un mot gros de l’enfan ce ? qui est qui pour dire des gros mots ? nouys parlons un langage fait de mots qui sont des betes qui sortent de l’antre ou de l’outre (ou de l(autre ? , nous parlons un langage d’initiés, nous ne parlons pas un la,ngage universel, nous pârlons une langue clanique, ce que nous disons nous appartient à quelmques uns, nous ne connaissons pas de langage articulé qyui serait universel, ce que nous connaissons exst une langue d’hommes entre euyx, qui échangent entre eux des notions co nnues par  eux qui sont à l’intérieur du clan et parlent un même langage et celangage est langagfe de foi en soi ,  c’est à dire de foi en son propre langage (sens des mots ezt émotivités liés à ce ou ces sens), l’homme des cavernes est ainsi muni d’un appareil langagier dit animalier car en lui est (existe) une ou  plusieurs betes qui sont à même de sortir physiquement de lui et d’aller en vie se poser sur roche et s’offrir ainsi (à la place de l’homme) comme en holocauste ou disons à cette chose du devant qui hèle et en appelle bruyament à être comblé (car cette chjose est trou, trou de bouche tres certainemùent) , l’homme des cavernes lache de lui des betes renouvelées (cohorte) vivante (encore) sur roche, et ces betes peut-etre sont gobées par une bouche séculaire postée sur la roche comme chè vre sur son monticule, son perchoir, nous disons que nous devons comp^rtendrte une chose encore liée au verbe contenu dans l’hommùe des cavezrnes, quel est ce verbe, de quoi est il fait,n, de quelle foi est il porteur, d’où vient il et où va t il ? est il de l’ordre des verbes ambulants ? nous cherchons cette chose encore entre nous, nous voulpons cvomprendre les données existentielles de base et en avancer sur ce chemin long de la connaissance, nbous  vouloons aller loin et emmagasinner lec plus de données possibles, car on voit cet homme aller et venir sur roche et en elle et à nous de comprendre kles dfonnées présidant cette incursion-immixtionb de l’homme des cavernes, car des mots sont prononcés, desmots sortent de sa bouche , nous savons car nous voyons de sa bouche des mots qui sortent, mots de la foi dans les mots, ou mieux := mots de la foi intrinséèque des mots dans les mots, car la foi ici préside, comme pour nous (tout pareillement), à la différence qu’ici les mots sont des animaux, des betes xde poids qui cxhargent sur roche et en imposent et fopnt figure de vies vives déployées et déposées sur la roche comme sur table et donnent d’eux ou d’elles à qui veut s’en saisir , ou en saisir l’extrème- outrage, etc, nous pensons que cette chose ici , d’un dire outré, outrageant, nocif, risqué, glissé par contrebande etc, est  chose de poids : aurochs ou cheval de roche, ours des cavernes ou ourses des cavernes, nous pensons que l’outre- ventre en nous est une poche liée à la foi en quelque chose d’inculqué de force et qui par conséquent ne se discute pzas, il s’agit pour nous d’une donnée brute, d’une sortye en  ous de donnée de base , qui, en tant que telle, est censée nous éclairer sur ce qu’il en est de cette chose d’un e grotte ornementé&ecpar des hommes des temps ancien,s, hommes ou vfzmmes au demeurant, et e,nfants, qui tous et toutes offre,nt sur roche un apport de poids , soit une pesanteur pariéytale quyi puisse nous en donner des tonnes, en jeter des masses, en faire des louches etc, la chose se situe à cet endroit d’un faire massif qui puiisse appuyer sa gouverne de telle manière qu’une déité en restât baba comme deux ronds de  flan, le but est de jeter sa gourme universelle, ou comment dire , son allant de roche direct, unilatéral, qui charge droit et quelquesoit la déité qui se présenterait, qsui viendrait nous titiller ou titiller l’homme des cavernes, nous avons pour nous la chance de pouvoir énoncer ces choses sur roche et donner à voir et à comprendre, un homme muni dee  son verbe de choix fait son travail de graveur de roche et ce faisant parle à qui de droit, s’adressant à lui de préférence afin de comprendre en lui ce qsui est qui pourrazit etre un dangerr massif et définitidf;, l’homme ici comprend cette chose d’un désir en lui naissant et c’est ainsi qu’il inscrit sa chose sur roche, cette foi-voix en lui eanimale, en lui il y a un animal, il y a en lm’homme des cavernes un animal, l’homme des cavbernes porte en lui ou a en lui un animal, l’homme des cavernes ou même moi, je porte en moi un animal qui est une bete des prés ou des bois, je porte en moi  un animal, cet animal est une bete des prairies, des bois ou sous-bois, je porte un animal en moi et cettte bete en moi est en moi en tant que bete occupant une place vide, je suis cette bete en moi, je suiis cette bete contenue en moi dans un espace dédié, je suis une bete dediée, je suis cette betye en moi qui est dédieé à etre sur roche après avoir transité en m=oi (antre ? outre ? ) et apres avoir occuupé en moi l’espasce (le même ? ))- de la foi, je suis bete de roche, je suis une bete de la roche dure, je suis une beyte du temps, je suis une bete logée dans kl’a ntre intestinal d’un homme des c avernes, outre-passé, outre passage, outremont, outre-vent, outre-carrosse, outre-cargaison, outre-voilure en soi, ou comment ? je suis cette bete en moi qui xcherche à sortir de moi mais qui est elle ? je cxhezrche à comprendre cette cghose d(‘une sorte de bete en moi q<uyi chezrche à sortir de moi mais comment ? c ar les mots s’interposent ! car les mots s’interposent durablmement !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car ici les moçts sont là qui donc (oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) s’interposent de folie pour ainsi dire ! il s’a git de bien ici co:mprendre cette chose, d’une sorte d’interposition des mots de la langue, de pareille langue de tribu, etc, et cette langue de tribu (de pareille tribu) est cette chose qui empêche l’arrivée plainière d’une bete de foi contenue en nous (anttre, outre) et qui chertcxhe  / chercherzait à sortir sa tete, mzis commen,t quand (donc) les mots se placent devant ? nous voulons savoir mais il n’est pas fa cile de savoir, mais enfin nous commençon,s à comprtendre un certain nombre de cxhoses ici concernant ces betes-mots que nos mots empechent de pouvoir montrer ou comment dire, exposer à nbotre gouverne, car ils sont bien là mais ne peuvent advenir, du  cfait de la présenvce grosse et grasse d»’un la,ngage inculqué  en n ous, appris et acquis, qui prend toute la place et gene le mot-bete pour pouvoir venir montrer swa tete, gene le mot-bete dans son ambition ou son désir ou sa volonté ou sa pente de vouloir advenir sur roche (hors notre gouyverne) et parader là pour une déité à contenter, les mots que nouqs avons en bvouche masquent un paysage, ces mots là (ceux que nous contenons et connaissons) font écran et derrioère eux qui grognent il y a les animaux porteurs d’eau au moulin d’un foi en eux mêzmes, etxc,; bnous pensons que les mots que nous disons masquent et cachent des vérités disons animalières, animales de réserve et ces vérités sont logées en nous comme la foi, cette foi qui est le pendant du coeur, etc, car le coeur est l’organe de la foi dans cette chose (en elle) d’une sorte de langage pariétal outral ou comment dire ? des mots betes sont sur roche le pendant d’une foi dans l’homme insérée, foi-bete, foi-vie, qui ssont les fois de l’homme des c avernes dessinant à main levée des betes de poids sur la roche du temps, nous pensqons que l’hgomme des  cav ernes n’a viazt pas pour lui cette sorte d’écran qui gênait aux entournures, nous pensons que l’homme  dees cavernes n’avait pas pour lui de ces choses qui encombrtent la vision et le passage de coeur à roche, comme nous les mots de la tribu, car bnous sommes ainsi qui avons des mots en bvouche et en esp^rit, qui sont mots qui genent et op bstruent passage, or pour nous la quesrtion est ainsi là qui peut se poser, comme quoi les mots font écran et que derrière eux se tient ou se tiendrait un homme des caverbnes en nbous , c’est à dire un homme surmonté, un homme sur lequel viendrait à xse jucher un animal-mot pret à jailklir pour de fait se poser sur roche illico -preswto, nous ppensons  cette chose ici d’unev sorte de mainmise du langage articulé sur une pezrsonne qui serait dès lors cfomme obstruée, ou se verrait dès lors comme obstruée, nous pensons cette chose ici , nous avons cette impression , comme quoi nous sommes obstrué et comme quyoi l’homme des cavernes n e l’aétait pas , et dès lors nous essayons de retrouver un état antériuer mzais comment pûisque les mots se logeznt en interposition et masquent le mot-bete initial de roche, dès lors comment faire ? en saturant ! en forçant la dose ! en creusant ! en poussant dans ses retranchements le dire tribal (la    langue francçàaise de circonstance ) ! en appuyant sur les données brutes ! en brusquant les sentiments ! en chargeant de force ! en cognant la roche ! martèlements ! martèlements ! martèlement moultezs et moultezx fois réitéréeés, prononcés , frappés sur paroi ! etcetera réitérés ! et cela a insi sur paroi du temps comme il se doit ! nous essayons de brusquer la phrase nominale françaiose (langue tribale s’il en est) et ce faisant nous essayons de faire «monter» la trace sur roche (lévitatation) pour la voir se faire , se graver, se dessiner d’elle même et montrer ainsi son contenu en termes de betes de roche = mots-betes de gouverne, et  ce sur paroi du temps qui est paroi douce ou dure (selon) des temps alloués à une vie terrestre, nous poussons ainsi la chose et posons ainsi les choses d’un dire francçaios tribal (un dire de comité) qui serait une langue qui, comme xd’autres lanffgues (toutes ?) masquerait l’arrivée (la survennue) d’une bete sur roche, un aurochs, qui serait ce mot de liaison, pêrmaettant l’approche de la déité (une approche) et uun parler direct, de bouche à bouche, nous pensons que bnous devons aller profond en cette question d’une langue (ici française) tribale masquant un arrière paysage = des mots de roche = des betes qui sont mots de roche = répliques = données-dires sur paroi = raisons votives = chants de roche reznouvelés = chants de cour = chants brutaux assénés comme des coups, nous voulobns comprezndre une chose de roche dép;loyée wsur une durée, nous essayons de comprendre les choses du monde prairial deéployées en roche, via le dessin de l’homme, sur un temps long comme une vie, etc,; nous avons à comprebndre cette chose ici d’une donnée brute langagière animalière , qui serait celle ci qui nous verrait aller et venir d’ici à là = sortir de soi, aller dans les confins, chercher pitance de vbéritéc animale, nous sortirions de nous fissa et grimperions sur roche (transe) afin de toucher latimbale du temps déployé, déifié, qui est ce temps dépourvu de vocables, ou bien ce temps non encombré qui permet l’ins cription de base de la vérité vraie, nous cherchons à dépasser la chose en écran et à nous inscrire sur roche à la manière des enfants, hommes et femmes des cavernes, qui, hors langue, vont et viennent à travers le temps et l’espace d’une roche ouvertte, nous nous immisçonsen pareille roche, armés de notre pic animalier, nous entrons dans kles confins de pareille roche, nous entrons en cette roche, fissa, comme enfants dans un jeu de roche animale, nous nous infiltrons en p)areille roche et gravons à ;l’envi ce qui est en  nous comme une litanie de circonstance,  nous sommes  deeux en nousq qui gravons sur rocjhe NOS noms, nous sommes deux qui gravons en roche ou sur roche  MON NOM  et qui disons cette chose d’une destinée langagière pariétale de concert : moi et moi sur roche en miroir, comme un découpé sensoriel, extériorisé pour la bande et montré sur roche comme interpellé, mis sur roche au parfum, donné-cloué sur pareille roche à une déité de circonstance, dépposé commê une offrande duelle, doublé de charme, cxhant de roche opportun, visée native, trouble sur paroi de roche dure, etc, nous entrons dans la dernière phase, le chemin a duré et touche à sa fin,; l’empreinte est notifié sur roche et va durer le temps qu’il faudra, nous posons les mots sur roche comme betes pôsées sur prairie, le tem=ps dee la roche est un temps de feu royal, de cerfs vigoureux, de betes-mots non saturées de sens, de beautés nacrées dans la lande, je m’enfonce ezn elle comlme dans la chair, MON NOM est rupestre à l’envi, MON NOM est un nom d’emprunt gravé sur paroi comme l’eeffigie d’une bete des temps antérieurs, genre aurochs de prairie, MON  noM est comme une lumière dédoublée, torche face à torche, une chaleur communicative, je vais en roche à larecherche de la  v érité animalière et tombe sur des mots de source dure, chapeautés par la raison de tete, mots de race tribale limitée, circonscrite à un comité, je vbeux savoir ce qui ewst de cette affaire ce vie et de mort alloués à une vie terrezstre , à un séjhour, mais les mots s’interposent fissa qui ne savent pas se taire alors comment faire c’est à dire comment les faire taire ? cvomment faire taire les mots de la ban,de ? cvomment arriver à faire taire les mots de la bande ? en roche ? déposer son miel ? sa façon ? sa mise ? son nom de tribu française? sa recherche éclectique ? son pouvoir nominal ? sa faconde ? son déluge verbal ? son identité prioritaire ? son nom de scène ? son besoi n de prendre l’air de la roche prairiale ? son envie de vies accvumulées, amoncelées, sensiblesq ? son v erbe nacré et bvbleuté ? sa mise en exergue pariétale ? son chandail déposé sur roche ? nous cxherchons des raisons en roche, pres des mbetes dessinées par un etre des cavernes, nouqs  chercxhons des traces gravées, qui nous indfdqiqueraient le chemin à suivre,; nous voulons aller loin en roche du temps et trtrraverser les mondes rocxheux du temps, la main sur la main, ombre sur roche, trouver le pot aux roses, les mots de roche sont des betes-mots non gênés par des mots de vie obscurcie, nous essayopns de comp^rtendxre ce qui est en roche qui se trame ou se tramerait malgré nous et nous entrons en elle via ;la voix de la bete en nous, sa voix (son brame ?) est cette  voie d’abord qui nous permet de pouvoir dès lors nous immiscer dans la roche des temp^s alloués et de nous loger pres d’une déité intemporelle (elle) qui saurait nous donner à jamais ce la musical dxes sphères dont notre gouverne ressent le besoin, nous voulons comprendrxse les données du monde prairial, quel est il ? qui est il ? ou plutot qui préside à ce mode de données rudes? qui est derrière ? nous voulons comprendre, nous voulons savoir, nous voulons nous poser sur roche, nous voulons entrer en elle, nous voulons entrerr dans la rocxhe du temps, nous voulons entrer dans cette roche des temp-s offertts, nbous vopulons percer le voile de la véerité et com^prtenxdre les données prairiales de pareille rocxhe du temps et ensuite nous saurons, nous pourrons parler la langue des chefs de bande, nousserons alors en mesure de l’ouvrir et de prononcezr à notre tour les mopts qui portent et qui tapent juste, alors noussaurons parler, alors noussaurons évoquer les embruns avec des mots qui iront bien, nous saurons parler de belle manière et saurons évoquer justement les données du monde, tout cela car nous serons enfin nantis desq mots de la tribu , mots enfin appris -acquis et conservés par devers nous dans notre gouverne, alors oui ! nous pourrons paerler comme des chiffoniers, commev des charetiers, copmme  des pôissoniers et des pôissonières, comme des chiffoniers et des chifonnières, com:me des tribvuns, comme ces tribuns de la première heure, comme des policierts, comme des dsouaniers, commes des chevealiers de céans, commùe des  cervidés nantis, commme des  bovidés ghraciés, comme des cxhevreuils de roche dure aux bois dorés, nous nous avancerons de  bouche de la mort, nous nous avancerons de ce trou de roche aux vocables sussurés , à moins qu’il ne s’agisse d’une douce mélopée due aux ezmbruns naissants par la bande, nouds  nous approcherons de c

ette bouche susnommée et grande ouverte comme une béance ou comme une plaie et là nous nous infiltrerons en pareil:le cavité de roche, il y fera chaud... ou froid, selon les époque s, ou selon less lieux , nous serons charmés, cerfs de roche dure charmé et comme pris à partie , nous ezntrons en pareille cavité, nous ironscensemble dans le sa s, nous irons de con cert dans pareil antre grand ouvert pour la circonstance, nous allons ensemble en cette roche des temps offerts , à chezrcher pitance, à chercher savoirs, à chercher vérités de roche dure, notre but est a ffiché, il perdure, nousq voulons aller au plus lointain de la roche du temps, aupres des betes de paroi, tout pres d’(elles et de leur souffle chaud, qui sommes-nous qui creusons la roche ? des eznfants ? des cerfs ? des hommes des cavernes ? des betes de rochje ? des enfants du temps ? homme-)femme cdep^loyés ? chants de pârois ? animal de la belle rome ? nous voulons comprendre les raisons de tete qui président aux destinées parieéto- pariétales or comment savoir , commùent arriver à savoir acvec des mots qyui masquent les chemins, la roche et les embruns , nous voulmons comp^trendre les données de base et pour  cela nous avançons sur roche ensemble, main da,ns la main, MON NOM de surface nous le deployons comme un ruban laché dans le vent, nous voulons savoir ce qui est sur roche du temps qui préside et donne le la musical à la bande et pour cela nous nous propulsons comme des ouvriers qui vont fissa se rendre sur chantier afin de creuser, nous essayons de comprendrre -découvrir des données de base, c e qui est qui ne sombre pas mais perdure au fil du temps, la chose qui dure, le foyer central, cette cxhose du dedans de la roche dure, ce noyau, nous cherchons à nous rapprocher de pareil noyau des vérités qui sont vérités affichées et pour cela nous déployons notre ruban de vie avouée, ce nom de la roche du temps est le notre, le mien, le mien aussi bien, MON NOM de paroi de grotte, chant de la roche et du temps, nous nous approchons de la mort, nous voyons la mort, nous savons que nous voyons la mort qui est Celle qui nous tend les bras, Celle ou celle-là, qiu est là en fa ce à face et bouche grande ouverte, mort grande qui pue du bec, qui empeste et nous pourrit notre passage à travers elle, une infection, mort belle mùais une infection (à vomir de plus belle, etc) et  n ous de chercher à comprendre c e ppourquoi cela, ou ce pôurquoi pas cela, en l’occurence ce pourquoi cela, c ette chose d’une sorte d’infection primaire, fétide , corrosive, etc, e,n  pareille bouche de la mort, pourquoi cette chose, une sorte d’infection primaire, première, commandant les données du mùonde, cette sorte d’infection féttride commandant les données du monde et donnée de base, le sommet, la base, les degrés, les chevauchements de données, les volcans, la brulure, le feu, le foyer, la haine, lae chant de lahaine, infection généraliseé en  cet antre buccal de destinée

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5/05/2021

nous nous avançons, nous marchons côte à côte et regardons les alentours bleuté, les embruns, la roche ornementée, la prairie, le pré joli, les animaux de compagnie : buffles et bisons, aurochs et bouquetins, nous sommes dans la roche comme dans la vie et allons fissav à la rebncontre de ces betes-mots qui nous entourent, qui se tiennent quiètes à nos côtés, ce sont les betes-mots déposés par nous en guise d’offrande, betes-mos de rage, betes-mots offerts par la bande et donnés ainsi pour faire accroire ou illusion, nous donnons de nous cette chose ici (sur roche) qui est cette chose d’un vécu (soit du temps passé) que nous déposons sur roche et que nous offrons par la bande à qui de droit, nous donnons ici sur roche des mots-betes , effigies de bon aloi, insultes;, mots gras, qui sont censés représenetr la vie dans ce qu’ezlle a  de plus vivace (etc) or bien sûrt il y a maldonne = la maldonne, on sait cette chose, on croit en notree bon aloi mais il y a maldonne sur toute la ligne, nous blousons à tour de bras, en lévitation et l’esprit embué, nous blousons comme de bien entendu qui de droit, nous trompons la roche ou l’esprit de la roche, offrant de nous non point cette vie vive d’un etre de terre, maids cette chose, à pzart soi, qui est de l’insulte, dite à haute voix, incantation bruyante, hautes chansonnettes, cris de joie déposé sur roche, nous offrons nos + et ce faisant nous pensons que , nous pensons que «ça va le faire» or il est probazble que ça ne pourra, il est fort problable que cela ne peut, que des cris de joie mêlés à des insultes ne le feropnt pas, ne feront pas vraiment tout à fait l’affaire du dieu de la bouche, il se peut que cette affaire tourne au vinaigre et que nos insultes proférées ne puissent convenir tout à fait, nous pensons que des mots-betes sur paroi feront leur petit effet et pourront tromper l’ennemi (la mort) comme il se doit or il semble que cela ne soit pas suffisant et que des mots de tete, des mots déposés, des mots-betes, des mots d’occupation, ne soient pas de taille en regard de ce qu’est la vie en soi( en chacun) c’est à dire un battement éternisé de coeur, il semble que cette chose du battement de coeur demandé (espé

ré) par une déité de roche ne soit pas donné d’emblée, comment dire, notre battement de coeur est c  e battement en soi (cet animal) qui n’est pas d’emblée donné sur paroi, offrande au divin, ce corps mort de nous, cette chose liquidée, il semble que donc cette chose (dun corps de nous mort, coeur fané) soit comme espéré par une déité de roche et nous de donner (oups) le corps «d’un» animal à la place, une effigie, une figure, un tracé fait dans un état second, etc, n,ous donnons cette chose mais cette chose n’erst pas suffiçsante pour la déité, nbous donnons de nous une chose et cette chose ici ne suffçra pas car la déitéc demande plus, elle veut le plus, ce qu’elle désire est ce + de la croix deposé sur roche, ce coprps donné, ce corps en vie donné (mort) comme offrande de poids,; vraie et non pitoyable, nous donnons le plus que nousq pouvobns, ce + de roche en forme de mots, de mots-betes, d’effigies anima lières mais lma vie en nous (cet animal) reste logée à sa bonne place, n’en sort pas, nous donnons de nous cette chose d’une sorte de pis-aller mais cela ne suffit pas, ne va pas, ne convient pas, n’est pas à lahauteur des attentes, nous sommes ainsi deux (en nous-mêmes) qui donnons cette chose d’un mot-bete qui est ce mot bete de paroi, cette figure d’aurochs, et faisan,t cela nous nous persuadons que ce que nous donnons (le vécu) comme à notre insu , pourra subvenir aux besoins de cette déité de roche dure, or que dalle (il wsembleraitr) , on voit cette chose, comme quoi en nous la vie est un animal et que cet animal autrefois avait des libertés qu’aujourdhui il ,’a plus en nous car remplacé en partie ou commùent dire : exprimé ? par des mots-betes, non point remplacé car la vie est là mais elle est secondé ou comment dire, chevauché en nous, par un fluxc verbal (de la vie à la mort) qui est ce flux de roche dure, art rupestre, paroi ornée, qui est là pour faire accroire mais que dalle, cette dalle est morte avant de naître , ou comment ? car ces mots de roche (aurochs) ne sont pas de taille à pouvoir rivaliser avec l’animal en soi (contenu) de vie vive qui est là en gouvernance, fait son petit odffice en nbous, gère et liqyuide etc, et fait ce que vie demande, nous avons (portons) en bnous un animal de compagnie qyui est un animal +, un animal ++, c’est à dire de grosse taille, grosse bete de poids qui pèse, et cet animal est celui là que nous arborons (reprédsentation) sur la paroi du temps: le langage, or ce langage animalier (de forte occupation et incompressible) est un lan,gage 1 ordurier (le + possible opctroyé ou offert) et 2 un langage de tromperie, car la vie n’est pas ce langage, la vie est contenue dans l’organisme auteur mais non point dans la représentation déployée, nous disons que quelque chose est blousé, ne va pas, n’est pas juste, ne convient pas, etvc, c’essdt à dire cette chose comme quoi nous avons une chose ici qui est que nous donnons du pis-aller en veux-tu en voilà, et ce pis-aller n’est pas satisfaisant, ne va pas, ne convient pas, n’est pas ce + attendu pzar une déité de porte (ou de roche) et voilà pourquoi nous pensons que notre compte est bon, façon de dire, que la mort sera pour nous un jour ou l’autre, car on ne peut blouser la mort ad vitam aeternam, un jour vient ou viendra où celle ci nous ceuillera malgré nos incantations, nos + ajoutés sur roche, ces nombreux + de roche etc, oui, un de ces trois matins, cvar mla mort n’est pas folle, elle voit tout et sait tout et comprend qu’il y a maldonne, qu’il y a tromperie, et que nos dessins de roche, nos invectives, nos obscénités, nos cris gutturaux, nos exhortations (= nos +) ne sont pas de taille, malmgré lmeur grande vitallité contenu ou de contenu, certainement, mais la vitalmité d’un temps vécu n’est pas la vie d’un coeur qui bat, il y a un monde entre cette chose et celle là, vitalité d’un vécu temporel (pariétal) et vie d’un battement cordial ne sont pas les memes choses et ne peuvent eztre confondues quand bien même nous voyons que l’animzal en soi ressemb le fort à celui là que nous gravons à mùême la roche, on peut dire même que la ressemblance est frappante ici, bluffante, considérable, car il est ennous cette chose d’une betye qui tient les renes, ici une bete, une bete tient les renes en  ous, nous gouverne, est en nous qui fait de nous un etre double, divisé, ou monté-doublé etc, nous sommes deux en  ous, et ce deuxième (ce larron) en nous est un animal de taille (aurochs) qyui tire les ficelles, tient la barre, coordonne etc, et nous (en lévitationb) de subir ces directives (le temps vé&cu) et nous de suivre les envies, les impulsions, les désirs, les écarts de cette bete en  ous (obligatoirement) dans le temps déployé de la roche dure de chez dure, nous avons en  ous cette chose d’une bete qui gouverne (nous) et nous pousse ici ou là, retranchements, pour sa plus grande joie peut etre, ou du moins à son bon plaisir, nous ne savons pas, et cependant nous savons cette chose en nous d’une bete qui est imposante (= la vie) qui est en  nous comme occupant une sortye de gaine, d’etui, un fourreau, etc, et nous de voir en nous cette chose qui cherche à trouver une issue de bouche (de trouée) or comment ? nous disons qu’en nous une betye est logée qui est la vie bvive (ce + octroyé) et que cette vie octrpoyé (offertte) sera rendu sur roche du temps ou autrement mais comment ? et quand ? car si nous avons été muni d’un train de vie animal en nous un jour (naissancze) par on ne sait qui alors nous comprenons que ce train de vie (cet allant, cette impulsion, ce start, etc) devra eztre remis dans des mains tendues un de ces jours, il nous sembvle à nous que la vie animale en  nous un jour a été visible, a été prégnante et effgective, il nouis semble cette chose comme quoi a<utrefois l’homme des ca vernes voyait en lui cet animal de roche qui était son «ame» de peu, loin des mots de la tribu, ou du moins non encore masqué par ces mots de roche, ces mots-betes en ous qui sont mots de cap, nous voyons cette chose comme quoi des mots au fil du temps ont embué les choses de la vie (animale) en nous, les choses de cette vie vive (très) en nous, les mots ont masqué ce + en nous qui était cette cghose grave, forte, dure, tenace, coriace et continue, or nous voilà na,nti de mots indécrotttables, cette saleté de roche, ces mots sont betes comme choux ou sinon bztes sont qui sont pour faire croire, sont betises = mensonge = tromperies on l’a comp^ris, et cependant en  nouds l’animal est là qui gouverne et chertche sa voie, sa voix et sa voie, il est intériuer (?) et cherche à «parler» son lan,gage (cardiaque) dans le temps, or il semble que cela est une chose qui est difficile à offrir sans mourir, comment dès lors offrir de soi sa vie animale (battements du coeur) sans devoir mourir ? il nous semble que cela est très compliqu»éé et ne peut advenir facilement , et voilà pourquoi l’homme des cavernes que nous sommes donhe (nous donnons) sur roche cet art des parois = cette vie d’emprunt, cette vie simili, ce plus possible, ce + qui est celui là que nous sommes en m esure de donner par la bande des parois de roche, nous offrons à déité ce + de roche, animaux-motsq de prezmière, grosse cghoses débordantes, ce + d’incantation rupestre, ces insultes et ces cris de haine, cette subjugation, ce feu, cette embardée folle, cette folie de roche, etc, le + que nous sommes en mesure d’offrir par nous memes hors battements du coeur, c’est à dire hormis les, car nous ne sommes pâs vraiment chauds (la vie est ainsi) pour céder de sitot et nous donner pour le coup en pâture corps et biens, nous avons en  ous cette chose d’un tic-tac cordial qui est celui là qui maintient la barre (l’animùal) et ce qui meurt est cette chose du vécu, temporel et pariétal (frontal), et ce qui est est cette cxhose comme quoi vivre = mentir = aller = tromper = donner du piteux cvomme nourriture, du peu flambant (nos plus sont des moins), nous donnons nos + mais ceux-ci pour déité de roche sont quoi sinon des moins pour sa gouverne, du pitzeux, du bien piteux en regard de cette vie en nous (l’animal, le vrai) qui n’est pas offert, lla mport souhaite plus et mieux, la mort en veut +, en veut pour sa gouverne, pour le prix, etc, or le prix n’est pas au rendez vous, ou disons que ce qui est offert est cher, trop cher pôur ce que c’est, il y a maldonne et tromperioe, la mort paie cher ce que nous déposons ici à ses pieds ,alors même que cela n’est pas ce qui est visiblement impatiemment attendu pâr elle, nbous offrons cette chose d’une bete dessinée ou greavée mais la mort de bouche attend +, elle  a ttend la vie (la v raie : l’anilal en vrai contenu dans l’homme) et voilà ce qui est dès lors : un homme, privé de la parole drue des temps modernes, voyait en lui, moins masqué, un animal de poids (aurochs) qui tenait la barre et allait de son pas lourds dan s le temps, l’homme des ca vernes n’était pas encore embué complètement par les embruns d’un langage articulé de cap, il pouvait voir en lui la vie, ce fil de vie animalier en lui, il savait qu’en lui résiçdait un animal fort, une trempe, une force animale de beau poids,;, etc, cette bete en lui contenue était son doublke corporel, et lui (lhomme des cavernes) le voyait en lui, le savait comme étant la vie en lui, vcette incarnation, car l’homme des cavernes n’avait pas en lui, pour tromper et affadir l’image de la bete en lui, pour tromper ou troubkler l’eimage de la bete en lui, ces mots de roche, cet ensemble langagier continu et indécrottable qui a pris la place (du mort ?)  en nous, cette chose d’une sorte de paroles obscurcissantes, comment définir pareille chhgose ? nou!s voulons comprendre cette chosev en nous qui estr que la vie est un animal de poids (rocheux) et que ce qui sort de nous par la bouche n’est pas celma que la motrrt attend sur son seuil, la mort attend +, et + est offert à) nos yeux qui ne savent pas que cette cxhose offerte ne convient pas, ou si, nous savons, mais comment s’y prendre autrement ? car nos yeux voient, nos oreilles entendent, etc, oui, nos vies perdurent bon an mal an et ne sont pas offertes sur roche au premier coup d’oeil, comment dire ? nous ooffrons sur roche des simili-vie censées en mettre plein la vue, or il sembvklerait que ce simili de vie (malgré son incandescence à nos yeux) ne soit pazs à la hauteur des attentes et ne fasse pas l’affaire, il sembklerait quye cette chose d’une bete dessinée (ce t art de la roche) ne puisse en aucun cas remplacer la bete en soi contenue, dont le nom est vie, vie au sens d’influx, de start, de battemetnts du coeur, systole/ diastole, etc, il nous semble que cela que nous offrons = ce vécu, ce temps, lze temps pour le dire vite, n’est pas tout à fait égal à cette vie animale demandée, car cette vie nous a été donnéé et c’(est à nous de la restituer mais pas tout de suite ? comment dire ? laps ? pourqyuoi laps ? pour endurer la roche, pour toucher la roche , pour baiser : embrasser la roche ? nous chercho,ns nos dires-animaux à même la roche du temps, nous voulons essa yuer de comp^rendre ce qui se trame ainsi en pareille roche du temps (qui est qui, etc) et pour cela nous ouvrons les yeux et cherchons en roche des in,dices, nous enquêtons comme des détectives, des chercheurs, nous chervchons à notrte façon des solutiopns à des problèmes de vie cxhimique, p)hysique, ou extra-physiques, nous cherchons dan,s lo’extraphysique lanhgagier les mots qyui diront ce qui est au juste cvoncernant la vie en  ous (cordiale, tictaquante) et la mort en roche ou ailleurs, nous essayons de creuser la chose afoin d’en avancer, nous dison,s que la vie est un animal en nous mais que les mots inculqués masquent son image, ou quelque chose d’approchant, nous voulons comprendxre des ressorts, nous avons cette envie en  ous de vouloir comprendrecle + de ce qyi est offert sur roche et ce à lza lumière de latorche des embruns, de pareille clarté de roche, nous essayons de comprendre ce qui est qui donc se trame en pareille roche : des dessins de betes-mots, des mots-betes en guise de dessins squr p)arois de grotte, des betes-mots sur roche du temps, ces betes sont offertyesq dans le temps (vécu) par la bande et cette bande quelle est elle ? nous solmmes vivants, nous sommesz des vivants qui vivons le temps de la roche dure, et ce temps de la roche dure est cette chgose en dur de  c hez dur que nous devons subir, que nous avons à) encaissezr, etc, cvette chose est cette loge, nous sommes logé en roche comme larrons en foire et nous déa mbulmons ainsi en elle (état vsecond) , et voilà ce que nou!s voyons : des cerfs aux bois dorés, lustrés, etc, nous voyons ces cghoses, nous sommes ainsi qui voyons ces choses ensembmble, nous voyons ces cerfs de roche qui vont et qui viennent, nous voulons comprendre ces choses de roche à la lumière d’une vie royale, vraie, hautaine, carrée, qui sache exprimer ce qui est en termes de véritév de roche, de vérité vraies de roche du temps, nouys voulons essayer de comprezndre les ressorts (a rcanes) de ce temps de roche et cela n’est pas facile, ne se donne pas d’emblée, car le temps vbécu (le bvécu) est déploiemùent, déroulé majeur, est un temps -tissu, une bande, etc, et cela est ainsi dit ici cvomme quyoi le temps vécu (l’offrande) est une sorte de bandage, de tissu, de voile, de chandail, de couverture, de plaid déposés sur roche du temps, ou comment exprimezr au mieux lesz choses ici d’un tracé bestial, inhumain, ancré, chaudasse, etc, nous essayons de comp^rendre les données les plus profondes, cela ne se dopnne pas si aisément, nous voulons comprendre le + de la vie de roche ici, sur ce monticule langagier, nottre but est affiché, nous ne disons pas que  n  ous ne cherchons pas car tout le contraire, nous disons que nous cherchons des vérités de poids, aurochs et buffles, notre but est dit, il est affirmé en haut lieu de la roche, il n’est pas caché, il se tient, il est vu, il est ce  dire de roche allouée à une vie entière, bnotre but est de trouver ainsi icib (en roche) les raisons et les motifs qui, de fait, présideraient à une vie sur terre, cette choçse entre deux choses, cet antre deux mers, nous essayons de comp^rendre des données de base, ces données de bnase sont tre diofficiles à) isoler car les choses  ne se dopnnent pas d’eemblée, il erst nécessaire de creuser la chose, nous devons ainsi faire sur roche, avec des mopts-betes, creuser ceklle ci de notree pic de bouche animalier mazis ce n’esyt pas chose si facile en vérité, nous devons creuser dans laprofondeur, nbous a vons à creuser ainsi la roche du temps animal, cette roche ornementée pa r la  bande du temps pasdsant, nous comprenons des choses du temps, et d’auttres choses nous restent opaques, il n’est pasfgacile de s’y retrouver mais neous ne lâchons pas le morceau, la vie en bnous est un animal (voilà l’axiome, l’axe) et cet animal en nous cherche ou chercherait à sortir de nous et cela  par la bouche, par notrte bouche mais comment ? il xwemblezrait que nous ayons en  noous un animal (la vie) qui cherche à sortir, et nous de dessiner cet animal contenu en nous, de le dessiner sur roche comme présent de vie (le temps) offert en offrande, or bien s^$ur que cela ne peut , ne va pas, cela ne convient pas, cela ne peut pas convenir, cela n’est pas à la hauteur des attentes, nous offrons cette chose d’un dessin de  vie vive mais dessin n’est pas (n’égale pas) chose de base, il s’agit d’une sorte de présentation fautive, et cela nous ennuie beaucoup car nous savons que c’est malgré nous, nous insultons la déesse et cependant cela nous dépâsse , car nous sommes séparés, nous somme comme dép^lacés, nous sommes des etres doublés, comment sacvoir, car nous sommes des etres qui ofrons à notre insu ou bien plutot : qui nous offrons à notre insu c’est à dire de gré ou de force, c’esst à dire de force ! nous sommes des etres quyi avons ainsi à comprendre cette cghose du vécu (de la vie pariéto-temporelle) comme d’une chose que nous sommes obligés d’offrir, d’offrir sur paroi, comment a utreement ? nous vivons = nous offrons ce leurre du temps déroulé, du temps passé etc, nous offrons cette chose «cochonne», et cela est perçu ainsi et du coup nous craigno,ns pour nous (le revers de lamédaille ?) , nous avons les foies, nous sommes mourants i,ntrinséquement et nous avons les foies d’en découdre illico presto, par l’effet d’un dieu de roche écartelé, qui dirait «toi» et nous capterait, nous sommesv ainsi ,  : nous cherchons la vérité vraie, nous voulons connaitre celle ci le plus vite possible (avcant de mourir) car nous voulons nous rassurer, nbous voulons savoir les choses du monde et pour cela nous devop,ns nous poser vdes questions à foison, concernant cet ensemvble de choses dites de paroi des temps et aussi concernant cette bete -présidence en nous, cette vie de bon aloi en nous, gardée chaudement («c’est la vie !») et jalousée, nous voulons com^prendre  ce qyi est ici qui se trame et qui est cette chose d’une sorte de maertèlement rythmique incandescent, cette incantation, ce chant répété, ces litanies d’insultes proférées, ces +, ces ++++++, ces ++++++++++ de vie déployée dans le temps pariétal de la roche, ces ++++++++++++ déposés sur roche afin d’intimider peutretre ou bien d’en mettre plein la vue ou  bien afin d’en imposer fissa, ou bien afin d’en jeter, etc, au dieu de la roche ou bien à) qui de droit passant par là, nouys devons agir ainsi et faire cette chose d’une sorte de jetée, d’une sorte de jeter sur roche, et celafait nous haussons le ton, nous sommes gutturaux, nous hzaussons la voix et hurlons notre infamie, nous sommes tomb és à la renverse dans le temps bvécu de la roche et nous savons que cela n’est pas la bonne chose attendue, nous savons que ce que nous donnons (nos +++++ à nous) sont choses de peu pour un,e déité de roche, celle ci attend obligatoirement dabvantage, retour de manivelle non mais retour à lm’envoyeur oui, car, nousq a été donné un hjour la vie (l’animal) et à) nous de vite le rezndre à qui de droit, car ezn nous l’animal transite, ok, mais lequezl ? le lion des cavernes ? l’ours ? l’ourse ? l’aurochs ? le buffle ? le bison ? le cheval . le qbouyquetin ? quel animal de vie (animal = vie) transite en nous ? en chacun de nous ? pourr tous et toutes le même ? peut-être pas, nous savons cela comme quoi nous avo,ns à comprendre un nombrte conséquent de choses à cerner, il est évident que nous sommùes ici envahis de questionnements de tout crin, nous devons comp^rendre  ce qui setrame (nous les hommes et femmes et enfants des cavernes) , nous avo,ns à ainsi comprendre ce qui est de ceztte chose en nous, qui est un animazl-vie, ce battement, cette lueur, ce flux, cette en-vie, cet élan, cette chausse, ou chaudière, cette cxhaloupe, ce chandail, ce qyoi ? cette chance ? nous voulons cerner ici cette «chance» d’aller et venir sur roche et au delà, dans les lieux de perdition native ou encore au cdelà , vers l’infini des plaies, des brulures, des douleurs de rage, l’insulte est au rendez vous qui donne le la et dit le + que l’homme puisse dire, et ce faisant nous espérons nousc en tirer, à bon jeu, à bon escient ou comp^te, nous avons cet espôir en nous de dire cette cxhose, de pouvoir un jhour dire cette chose, cette vérité de la roche, nous sommes remplis d’espoir, nous voulons sa voirr kle fin mot et nous cherchons ensemble  cette chose à travers un la,ngage animalier de base humaine, ce langage humain cooopté, qyi est celui qui est diffus entre les ettresz (entre nous) et voilà pourquoi ce nous, ni plus ni moins, ce nous est celui du partage d’un langage parolier animalier, une langue portée par tous (par bzaucoup au sein d’un groupe limité : qui a des limites) , nous portons en  nous des mots qyui sont ceux d’une sorte de tribu humaine limité, circonscrite (un cercle) et ces mots nous font dire «nous» du fait q’uil s’agit des mots d’un ensembkle de personnes regroupées sous l’etendard commun xd’une langue donnée, nous sommes nés à la même eznseigne de pareille langue chacun, nous parm

lons une langue en commun et cette langue nous permet de creuser la roche et de preésenter des betes de poids qui puissent dire leur pesant (vivace) de vitalité, certainement, et  cependant la vitalité n’est pas la vie, la vitalité est différeznte de la vie, et l’aurochs tremblant sur roche, chargeant ou semvblant charger (dessiné) n’a pas en lui la vie quye l’homme porte en lui comme une pile, ,non, car la vitalité rocheuse existe mais n’est pas semblabkle à celle contenue (lza vie) en cet eztre huymain qui va et qyi vient dans le monde, le vécu est vécu de cette façon-là, le vécu de vie, ce vécu d’une vie, est ce temps déposé en continu au pied de la rocghe divine, nbi plus n,i moins, le vécu est ce qui se donne en déroulé au fur et à mesure que le temp)s (la vie) avance, il s’agit de voir cette chosze comme quoi ici, en roche du temps, ce qui est do nné est cette chose, d’un temps de roche déployé , d»éployé par la bande, il s’agit d’un don de soi qui va de soi, qui sort de soi et ce par la bande : nous sommes nés et dès lors nbous donnons de nous (par la bande) cettye chose du temps déroulé au fur et à mesure que nous avançons dans la vie, nous avançons dans la vie, donnant dès lors le temps vécu en guise d’ offra,nde et ce faisant nous pensons pouvoir nous en tirer = à bon compte c’’st à dire rendre la monnaie de la piè-ce, ou plutot remmetre les clés au proprieaéytaire, or non ! il ne s’agit pas de cette cxhose ! nous avons été muni, nanti, nous avons adopté, nous avons contenu et devons rendre à l’»identique l’animal offert, nous avons à rendre à l’identique l’animal offert à la naissan ce, le rezndre le plus tôt possiblme, donner ce que l’on a reçu en p)artage ou en hérita ge, nous devons rendre la vie offerte à nous à la naissance, il le faut, nous le devons,  nous cdevons remettre les clés au propriétaire et que donnons-nous en fait de clés ? du temps, du rprésent continu, un temps vécu, ce passé présent  ou ce présent du passé, etc, nous offrons sur roche des betes-mots qui ne sont pas les clés du départ, mais une  «foutaise de première» aux yeux de la mort (peutretre , qu’en pense-t-elle ? , nous voulons savoir cette chose car nou!s su bodorons le pot aux roses, nous disons le plus incandescent possible afin de pallier ce  non-retour de chose offerte à) notre naissan ce, notreintention est dite haut et de vive voix, nbous voulons que la chose soit su et entendu, entendu et su par beaucoup ou de b eaucoup, nous teno,ns à cette chose, et voilà ce que nous faisons : nous hurlons les +, nous hurlons à la vie à la mort, dans cet ezntre-deux-mers qui nous voit brûler notrte vie ici, en cette roche dure, br^uler ce qui est ici que nou!s déposons = ce passé, ce temps vécu de la vie que nous nommons la vie mais qui n’est pas la vie cordiale c’est à dire animale , voilà le p^rovblème, bnous donnopn,s peu en définitive quand bien même à nos yeux nous pensons que nous offrons beaucvoup, c’est à dire une incandecesnence ultime, des effets de poids, une cxhance considérable, une prise folle, du lourd de chez lourd, de l’insulte vive la plus, etc, nous pensons cette cghose, comme quoi notre impressqion est telle = telle que, et ainsi faisant nous pênsons ou espérons, espériiions, nous en tirer à bon comp^tee, et faire illusion, et passer entrec les mailles du filet, notre but est de passer entre les mailles du filet, cela est ainsi que nous voulons pour nous, nousd espérons pouvoir ainsi passer entre les mailles du filet et nous tirer d’affaire ainsi, ne pas succomber, et du coup nous faisonsq cvette chose d’une offrande sur roche, offrande de bon a loi, vif poids, etc, mais ce n’est pas gagné car nous sommes ainsi que nous offrons pêu en définitive, oui de l’invective à l’encontre de la mort, de l’insulte salacce, etc, mais estce ok ? est ce suffisant ? la mort attend l’animal, mais non pôint celui là que l’homme des cavernes treace sur la roche à main levée et sous l’emprise en lui d’un animal, voilà ! la mort attend cet animal = celui-là, celui qui guide les pas de l’homme des cavernes, la mort est dans l’arttente d’un don de poids, qui fasse le poids, c’est à dire l’affaire (bon p^rix bon oeil) et cette bete attendue n’est pas un mot-bete (non pas !) mais battement, bzattement vrai, animal corporéifié, cette bete contenue ezn nous, dans notre vive entité ou en (nottre vive ezntité), la mort veut la vie (animale) contenue en nous : la vie nous a été donnée, la mort cherche à la récupérer en bonne et due forme = à l’identique : les clés ! nous avcons cette chose à de»voir penser, cette chose ici d’un désir, d’une volonté de la mort, de récuperer ses billes, etc, comme si la mort avait été à lka naiissa,nce de  la vie nôtre, commùe si la mort avait été à l’origine de la vie en  nous naissante, l’autrice peut-être, etc, nous savons que la vie vécue est une faillitte , finira mal, est une catastrophe, etc, et cependant bnous offrons nos plus beaux atours,, une forme belle» , une sorte de souci formel, une forme fine, afin de faire accroire et charmer, ou comment ? notree forme exctérieure est soignée, elle se présenn,te comme un ecxtérieur de beauté, c’est à dire une symetrie en miroir qui donne le la, qui en jeztte, qui dit ce qu il faut, qui est équilibrée etc, cette chose d’un soi en miroir (gauche/droite) est d’une importance majeure, en cette question d’un aller de vie dans la lande, nous pensons que cette question d’une symetrie corporelle native (en miroir) est considérablement importante, qui dit ce qu’elle dit, à savoir cette chose d’un retour sur soi, d’un serrage, d’une enclave, ds’un tout contenu etc, qui est cette chose que nous sommes deux dès lors à pouvoir déposer sur roche, nous pensons que cela est une chose d’importance, ce cvorps unifié c’est à dire comme réunifié, car le corps comporte des aspects (extérieurs) en miroir, qui font de lui un être uni, remis, quib réflezcghit, etc, nous sommùes eznsemble sur roche et nous dessinons des betes de poids, celles-là qui président à nos destinées, nous dessinons sur roche des betes de poids ressembvlantes lmais en a ucun cas semblables car iol s’agit de représentations rupeswtres et non point d’offrandes saignantesq, au sens où cze qUE mort serait en droit d’attendre n(‘est pas octroyé, n’est pàas réezllement déposé (le temps d’une vie) mais est comme retenu par devers nous en nous, il s’agit de c ette chose comme quoi ce qui est déposé ici (roche) est un temps de vie, une chronologie pour ainsi dire, mais non point la vie en soi, ce tic tac corporel, cet influx de base, et du coup nouys nous sentons coupable un tantinet et nous faisons allégeance, quan,d bien même nous pôrtons le verbe à son incandescence (le +) etque nous insultons (la fidgure de la déité), quand bien même cette chose, il s’avère que nous, nous faisons pour nous cette chgose qui est de l’ordre du pardon, de l’allégeance, comme quoi la croix offerte (ce christ du + de la roche) est tout ce que «la vie véécue» nous permet d’ooffrir par la ban,de, à savoir sur rocher (terre-mère) et pas davantage, nous donnons dfans l’invective, hurlons de tout notre soûl, proféreons dees insaninités, nous pleurons à chaudes larmes, nous en rajoutons, nous jhouns (comme des enfants) à ceux et celles qui en prennent pour leur grade, quib peinent, qui souffrent les pierrres, etc, nouys «jouons» façon de parler car nous sommes soumis et soumises, nous sommes dans le sas de la vie vécue qui est une roche, un entre deux mers pariétal, ce lieu de la grotte, nous cxherchons des vérités en pareil lieu, bnous avons cette soif en    noous de pouvoir étancher notre curiosité en termes de recher che de la  v érité vraie, celkle qui dit ce qui est de ce quyi est, nous voulons connaitre les ressorts secrets et pour cela nous creusons comme des forcenés la roche du temps, nous esxayons de fait de trouver dans la roche des réponses à noçs questions, c’esst à dire à même laroche or commùent ? comment s’y prendre ? que faire ? comment faire ? nous voulons savoir beaucoup et long, notrte but est de découvrir, or ici (cet entre deux mers) il nous sembvle qu il est plus qu’ardu de trouver quoi que ce soit qui soit de l’ordre de la vérité ou réponde de cet ordre, car la bete dessinée est un pis-aller, une vie en simili, il ne s’agit pas de la bete en nous à véritablement parler mais de son effigie ou de sa figure (extrèmement ressemblante il n’y a pas à dire) mais insuffisante, car la mort attend davanta ge, veut la bete en  nous, la vraie , celle qui nous double, qui est sur nou!s, en    nous, qui nous attrape, qui nous chevauche, qui nous seconde et nous gouverne, cette bete de l’incantation, cvette bete de l’hypnose, de la pprise sous emprise, etc, cette bete qui fait le siège ici de notre vouloir pezrsonnel, cette bete aux manettes, etc, le temps offert n’est pas du même ordre et cela la mort  le s&it bien, qui ne s’en laisse pzas comp^ter et qui attend avec impatience un don meilleur, plkus fourni, c’est à dire e,n cxhair et en os et nonn point en rocxhe de paroi de grotte, nous donnons le + pôssible d’une insceandescence, du plus plus de vie vitaliste ou vivace, etc, nous voulons le + pour donner à cette entité qui vgeut de ce + en question, or commen,t nous y prendsre ? la vie en  nous on l’a dit ewt un animal, celui là même qui préside aux gravures et autres dessins produits sur roche, nous avons en nous une sorte de bete de poids qui gronde et  c‘est celle-là exactezment qaue nous reproduisons sur lza roche ou du moins sa figure, son effigie, son allurte, ezt ce à mains levée,, lors de séances votives incantatoires, nouys dessinons (sous ezmprise) ce qu’en  ous la bete (la vie, l’influx de vie) nous fait dessiner à savoir son image, et cela est que nous sommes ainsi comme subjugés de cette chose que nbous faisons, guidé et secondé, doublé par la bande en n ous d’une sorte ce confrérie qui préside et occupe l’espace d’un corps symetrique (miroir), voi!là ce qui est , cette chose d’une sorte de donnée de ba se qui est celle ci, comme quoi nous offrons une chose pour une auttre et que la mort à termes ne sera pl;us dupe ou bien ne l’est-elle pas, ne l’a t elle hjamais été ? nbous faisons cette chose d’un don sur roche, une bete dessinée, celle là que nous portons en  ous, et cette bete dessinée (l’image de la vie) nn’est pas la vie animale e,nn nous qYUI préside aux battements du coeur, la vie en nous continue à vivre et la mort est meurrtrie de ce»tte chose, il y a cette cxhose ici comme quyoi la vie vécue est un dxéroulé pareiétal (la douleur, les plaisirs) qui contient des chodses ezn offrande, des offeandesz dépôsées, etcx, mais jamais en fait d’offr(a&ndes la vie en xwsoi c’est à dire l’animal que nous contenons et qui gouverne, car en nous est logé un animal que le verbe masquee gran,dement, la vie en nous est un animal de poids, augtrefois nous savions le repérezr en nbous, l’apprivoiser , le contenir et kle laisser jaillir de nous (saillllir ?) jusqu’à la défaillean ce, auhjourdhui il en est autremen,t (en pzartie) qui nous voit agir sur roche, avec des mots-betes, des mots-animùaux;, des mots d’accointance qui represe,ntent une vie en intra animale mais s’a&rretent là, car il s ne peuv ent aller plus loin, les mots-betes sw’incrustent (de pied en cap) et ne peuvent plus etre délogés, or que ^penser de cette chose ? il est à penser que cette chose est une chose de grande importance pour penser le monde, nous pensons que cela a une importance considérable et n’est pas à ignorer ou sous-estimer, car on voit cela, comme quoi, les mots gravés sur la roche du temps (ce présent d’un vécu pariétal) donnent dx’eux tres certainement, ne sont pas rien,  mâis en aucun cas ne peuvent remplacer la vie de la  vie contenue elle-même dans le sein des seins = l’animal en soi, car en soi nous portons un animal, en soi règne un animùal, chacxun le sien, j’ai en moi (la vie) caché, un animal, il est présent en moi même , dans mon sqein, comme étant cet eztre donnant et maingtenant l’impuls, j’ai en moi cet animal qui est la vie d’impulse en moi, eureka ! je possède en moi cet animal-impulse et cet animal me dirige, est pour moi kle directeeur, est en moi un directeur de vie, car la bete en moi est une sorte de bete -moteur, ou bete -starter, il s’agit cde ceztte bete-starter ezn moi, qui maintientb en moi ce filet, cette ligne de vie ou de force, je sais cette chose», cette ligne, cette chance, etc, en moi, de pouvoir poursuyivre sur roche et tracezr comme des pis-aller donnant illusion d’une vie offerte (tambour bqattant )quand il n’en est rien, et que cela qui est offert est une sorte de succédané, de copie à l’identique au mieux, de copie de style, etc, mais kjamais o grand jzmais la chgose en soi( kl’animak en moi), car la vie vécue est telle  qu’elle est temporelle et a son dé»rouylé, qui fait d’elle une sorte de chemin de croix (de +++++++) offertes par la ban,de sur paroi du temp)s rocheux, je suis avec en moi unanimal , qui est l’(animal-vie de compâgnie, cette cxhose à moi offerte et que je me dois de rezndre à l’identique (= éttatt) et pas plus ta rd que le plus vite possible, je suis cet homme du temps des douleurs (sur terree) qui se doit de rezndre ce qu’il a rezçu et cela sans plus tarder, mais il est un fait que je suis vivant = une wsorte d’etre entre deux feux, et je me dois de xcomposer avec ce qui est et qui m’entoure, car je suyis un eztre de peu, un qui fait semblkant, qui joue à donner sa vie vive animale, fait le mort sur roche (terre-mère) mais traine ou tarde à vraiment ou réellezmeznt passer l’arme à gauche, la vie faisa nt, car la vie à vivre, est un déroulé qui repousse la morrt aux calendes grecques, ou hjusqu’aux calendres ghrexcques parfois, et alorsz là,, alors là la colère gronde (de la mort) et nous passons là un sale quart d’heure, ou alors comment ? nous sqommes portés par en nous une bête de poids, qyui cherche issue dans le langhage de la paroi, une bete est en  nous qui préfigure, une bete en nous est la vie en n ous , cette vie en  n ous que nous nommons du mot de «vie» alors me^me quil ws’agit en vrai xd’un e bete, nous sqommes logés dans la rocxhe du temps et dessinons des betesq (c’est notre langage) àç même la roche afin de faire ezn sorte que pareilles betes sont un pis-aller ou pas, sont ce quyi peut le faire, a lorsw qu’elles sont (voilà) un pis-aller de première, comment nous y prendre, comment a gir, que dire qyi puisse le faire ? rien ! ou si : ce massif de verbe dans l’intervalle = dans l’attente, nous posons ainsi du verbe animalier sur roche, nous faisons cela et faisant cela nous pensons tres sincèremzent nous en tirer  à bon compte, mùais voilà, en n ous il y a un animal qui ne sort pas, qui reste, qyui est là qui règne dans les profondezurs de la non -vision, il y a e,n nous un animal de poids qui est ezn  nous  notrte pa ratonnezrre, commeznt savoir ? nous avons (j’ai) en nous (en moi) un paratonnerre, une bete de poids , un e bete qui pèsze son bon pôids de bete de gouverne, de gouverne ou de gouvernance, j’ai en moi une bete qui règne et qui est cordia le, je l’eznten d à peine, hje n’ai pzas l’oreille sur moi = sur mon coeur pour pouvoir l’entendre, en moi règne un a nim a l votif, veau ! veautif ? il règne dans mon wsein  , il est présszent depuis la nuit des temps mais peine à sortir de nous à présent que les mots en nous ont pris cette pl;ace (considérable) qui est la leur et qu’auteefois (hommes des cavernes, temps des cavernes) elle n’occupait pas ou pas de cette fa çon , car en l’homme toujours il y a eu cette cxhose d’u ne occupation temporelle, en cet homme que nous sommes, a toujours existé un tampon de verbe (plus ou moins étoffé mais tout de :m^eme) et donc  c ette chose ici d’une donnée animalière langagière qui a dû jouer sur les tenants et les a boutissa&nts d’une question relative à la vie sur terre, nous menons l’enquwête, nous sommes ensembvle qui menons l’enquezte, une enquete relative à la vie sur terre : de quoi il s’agit , qui préside aux destinées, qyui tire les ficelkles, qUEls sont les enjeux et les différents acteurs, qu’en est il d’une possible vérité  vraie des choses du monde , que pêut on penser de la vie en soi , et hors de soi du temps passé à cxhezr her des données, à recueillir et compôsezr un bouquet de données qui serait (le bouquet) un ensemble charnel portant sur lui les chosesq de la  vcie terrestre (compôrtant), nous cherchons des réponses ici ou là, nous voyons  c ela commùe quoi nous cherchons assidument,  nous ne sommes pas au bout de nos peines, nous devons poursuivre, nous sommes conscients du fait que c  ela que nous déposons sur rocxhe  n’eswt pas , à proprement paerlezr, la vie vive attendue et espérée par la mort de bouche, celle-ci attendait davantage et en vérité était en droit d’(attendre davanta ge et  ce dans la mesure où la vie àla na issance était don, pour nous, et ce don est à remmetre à la sortie pour ai nsi dire, don xd’une chose à rendre, par conséquent ce don est un faux don,;n  ‘est pas tout à fait un don mais plutot un leg, ou comment nommer cette chose, un pr^êté ? nous avons à rendre à la sortie ce que nous a vons reçu à l’entreée, quelmque chose de cet ordxre, nous vons reçu lavie et à la sortie nous devons la remettre à qui de droit qui est en droit (donc) de récuperer icelle = ses billes, nous avons reçu la vie en bonne et due forme à la naissan ce et la mort est en droit dès l:ors de retrouvezr ou de récupérer ses billes, nous pensons que cette chose eswt ainsi ici  et que dès lors que nous avons reçu nous devons rezndre, en tous les cas il wsemblerait que cette chose est ainsi formée ou façonnée, et qUe cela que nou!s détenons par la bande depuis le bail de notre naissa nce se doit de se voir rendu à qyui de droit à la toute fin du bail, or la fin du bail est quelque chose de sp^écial, dans la mersure où la mort appelle , elle appelle et elle aspire, elle veut, elle hurle sa chose qui est chose de bon vouloir, la mort aspire,elle est en bout qui aspire en ouvrant ghrand la bouche, elle veut récupérer xsa mise et  cela sans tarder et pourquoi cela ? car elle est radine, car elle ne veut rien laissser passer, elle ne veut riezn p)erdre, car elle a besoin p)our elle de récupérezr sa mise : pour quoi faire ? peut p^$tre pour se renflouer, pour redorer son blason, pôur se reqUInquer ? pour se

 renflouerr en termes d’e monnaies tombantes et trébuchantes ou commùent ? pourquoi la morrt est-elle « sur» nous qui atteznd de nous urgemment la remise des clés :=usicales du temps ou comment ? nous offrons sur roche le temps, le temps ne lui convient pas, cazr elle (lamort)  cela <qu’elle désire n’est pzas tant l;e temps d’une vie vécue (l’art des cavernesw) que cet  animal contenu en nous, cette bete-vie en nous qui est celà qui tient la barre d’un etrte, qyui gouverne (gouvernail) et tient bon la route, la mort a cette vue sur nous et  ne lache pas, elle en a bhesoin pour ezlle, de cette énergie motrice contenue en  nous car ezlle se nourrit de cette énerrhgie pour durer et tenir bon, et nous de lui offrir de  cette  énergie motrice un de ces matins quatre, ou trois, ou un jour proxhain maiçs pour le moment nous ren,âclons à notre façon sur roche car nous tenons mordicus à rester en vie, à conserver celle xci en  nous (cette bete) et du coup, en offrant sur roche des betes -représentation ,; du + incandesqcent, tout ce qui est en nottre pouvoir d’offrir dans le ghenre, et voilà tout, car nous renâclons,;, nous freinons des qauatre fers ou sabots, nous fa isons notre pôssible (à notre insu ou malgré nous pour a insi dire) pour tenir et ,ne pas flancher, nous tenons à la vie c’est à dire à cette bete ezn nous qui préside à notre destinée, nous croisons les doigts et nous eswpérons durer ezncore et rester en c e monde comme  ceux qui gravons et dessinons sur roche des betes imposantes, ddes betezs de poids qui pèsent leur masse, etc,  nous voulons aller loin dans les connaissqances et comp^renxdre les données qui sont celles en jeu en )patreille histoire de paroi rocheuse, d’embruns, d(‘homme desq cavernes, d’entre deux mers, de monnaie de la pièce, de donné pour un rendu etc, car ezn vérité : pourquoi renflouer la mort ? est-elle à la rue ? est-elle exangue ? mùanque t elle de sa ng frais ? de sang tout court ? de quoi manque t-elle ? de qUOI la mort manque t elle ? pôurquoi veut elle de nouws ? pourquoi veut ezlle de cet animal (la vie ) contenu en nous ? pourquoi veut elle de cet aurochs et pourquoi le mot-bete, le mot-a urochs ne lui convient pas tout à fait ? pourqyuoi ne se contente -t-ellre pas des mots-betes de la paroi? que cherche -t-elle à) nous soutirer ? qsue  fait elle de la v ie en n  ous contenue (l’aurochs) à l’heure où nous trépâssons ? pôurquoi a t el;le besoin de retrouver en elle (?) cela même qui nous avait été offertt à notre naissa,nce ? pôurquloi la mort est elle gloutonne , pôurquoi veut elle de notre vie à tous ? qu’en fait elle ? que fait elle de la bete contenue en nous une fois que cezlle -ci (c’est à dire nous par ricochezt) est morte ? que fait- elle de lapeau de l’ours ? que fait la mort de cette chose animale en  nous contenue? pourquoi veut elle notre peau de fa çon aussi urgente ? que chercxhe t elle à nous xdire (ou p)as) en ouvbrant la bouche en grand ? qui ewst elle ? existe t ellle ? que veut elle ? a t ellme faim de nous ? que man bge telle en  nous ou de nous ? que veut elle faire de notre gouverne ? a t ezlle envie de notre animal ? une envie comment, cest à cdire de que»l type ? veut elle attenter à la vie ezn nous de la bêzte en nous contenue? la vie ewst u ne bete conte nue en nous com^me une sorte de tic tac dominical, et musicall, la vie est une chose en  nous qui est :logée en nottre sein et cette vie logée est un animal lové, nous savons cette choseà) p^résent, la vie (kl’animal) en  nous eswt de cell:es qUE la mort attend avec impâtience, la vie en  nous est attendue mordicus par la mort à l’ oeuvre qui est l’entité buccale par ex cellence, celle-là que nous cxherchons tant bien que mal à esquiver en offrant cde nous tout ce que nous pouvons en termes de simili-vie et xd’incandescence (de furie) et cela par des mots-betes sur roche, des insqultes, ders injures, des grossièretés, des betes de charge deszinées à main lezvé&e pa r la ban,de = e,n lévitation p)ar en moi une bete fauve qui charge et déch&rge, il s’agira peutetre d’un lion des roches, ou d’un ours, je vois cette chose ainsi, qui est que nous devons esquiver esquiver le plus, qui est que nous avons à nous protéger autant qye faire xse peut de cette bouche xde la mort à l’oeuvre, gvrande ouverte,  votive, captive, féroce, impatiente, quyi cherche à tous prix à retrouver (récupérer) sa mise initiale et cela pourquoi ? par paresse ? pa r égoisme ? par envie ? par mécxhanceté ? par radinezrie ? car un sou est un  sou, et  ce qui est prêt»é est prêté et se doit de revenir à l’envoyeur, de reztourner dans le giron qui l’a vu naitre , est-ce cela ? je pense cette chose comme quoi nous devons aller en roche cxomprenxdre des cdo,nnées concernant la mort, mais pas seulemeznt, nous devons aller et revenir, aaller et retyourner, faire des allers retours, entrer et sortir, peut etrte , nbous ne savons pas, nous subodorons, nous essayons de com^prendre un chouia, nous voulons comprendtre les choses du temps, de la roche, de la mort, de la vie à moelle, etc, ce qui est ici qui comp^te et est à conserver, etc, je vais a insi à la recherche d’june vérité de bonne mesure car je suis celui ici qui cherche à savoir, je pense à la mort comme à une bouche grande ouverte nous appezlan,t, hurlant l’appel, hurlant ou susurrant mais nous intimant à bien vouloir venir vers elle et plus vite que ça  ! et comment faire pour ne pas succomber à son appel mortifère ? nbous pensons que nous devons savoir cette chose comme <quoi en  ous existe une bete, cette bete il nous est difficile de la toucher ou de la voir , ou de l(appréhender car nous sommes masqués, ou plutôt : le langa ge a rticulé qui est le nôtre aura tendance à masquer un tantinet ou un tant soit pêu la chose, nous devons comprezndre cette chose comme quoi la vie en nous est une bete de gouverne, animal poilu de belle taille, et que dès lors cela que la mort souhaite (vite fait) récupérer est cette betye en nous, cette masse vive et rien d’autre, et squrtout pas ces facs-similés ou ces sortes de, ou ces représqentations qui ornent les parois, que non ! la mort veut son pesan,t à l’identique, en miroir, ce qu’elle a do nné a u debut d’une abveznture humaine le récuperer au centime près, ou au mietton près, car la mort est ainsi fichue qu’elle cherche continuement à retrouver ses billes comme ci devant, elle ne veut rien perdre et ne laissera passer personne, elle a faim, une faim de loup, elle veut sa cargaison de chair fraiche  vive (morte dès lors) pour sa gouverne et pour satisfaire son encvie continuelle, elle ne lâcxhe rien, mais nous nous ren âclons à donner pitance à pareil etre mauvvais car nous sommes eznswemble qui freinons des qua tre fers et essayons de tenir longtemps le plus possible hors de ses griffes, nous offrons ainsi sur roche du temps le présent de la vie active, vécue, présente, etc, le vécu (passé et présent) est cette cxhose déposé par nous au pied de la bouche, nous savons que ceztte chose ne fait p)as le poids mais enfin nous mettons à cela tout ce que nous pouvons, en termes de présences vives, d’incandescvence, de coeur et de sang, de volontész, etc, nous chargeons le bûcher à son mzaximum, nous offrons la tempete, bnous donnons la ruche bruyante , nous faison,s ce don de retour, da ns l’attente ouu dans l’intervalle de cet entre-deux-mers, dans l’attente d’etre dévoré un de ces hjours p^rochains qui nous verra entreer dans cette bouche du demain, des lendemainsb moqueurs, etc, nous essayons de comprendre ce qui est ici qui se trame en cette roche de paroi de grotte ornemezntée et pour cela nous faisons appel à tout ce qui en nous peut nous apporter dxes éléments (étayés) de réponbnses, car nous avons pour ambition de comprendre les tenants et les aboutissants de toute l’affaire, nous voulons comprendre au plus que nous sqommes ca pablesq en jouant des mots, bnous pensons que les mots recèlent des trésors de vérité et dès lorsq nous tentons cette chose, nous eswsa yons à travers eux de trouver des choses, des sortes de petites vérités qui nous en apprendraient beaucoup peut-être sur ce qu’il en est de toute cette affaire d’une destinée buccale, d’une vie en  ous a nimale , c’est à dire de la vie ennous qui est un an imal, l’animal de vie, ou bien l’animal cde la vie cordiale, nous pensons que la vie en nous est un animal qui chercghe à sortir de son enclos cordial, nous pensons que cette chose  en nous, de la vie qyui bat sa mesqure (métronomique), est une bete qui, sortie de nous, devient bete-mot, car il semblerait qu’ici le lien soit serré voire direct, entre cette chose d’une vie en nous qui est comme contenue (moelle), et cette chose sur roche, qui ressemble à s’y méprendre à cette bete contenu en soi, et qui est mot-bete de paroi, effigie ressemblante, mmimésis, mimésis de vie, brulure, incandescence, etc, nous pensons  que nous devons de fait rapprocher ces choses et les comprendre de concert et pour la bonne cause : l’oursq en moi, l’aurochs ou le veau a son pendant, dessiné sur roche, l’ours en moi ou l’ourse en moi (ou les deux ?) a son pendant sur rochje, ou ont leurs pendants sur roche, dessiné(s) ou gravé(s) qui dit , le penda nt, le lien de sang qui unit la vie au dire de la vie, nous pensons cette chose ici comme quoi : un pendant existe entre donc une chose et une auttre ou plutot : que la vie (l(animal) en moi a son pendant de représentation censé jouer le même rôle, ou pâs loin, il semblerait que cette vie en moi contenue soit une bete en vraie (corps et biens) alors mùême que celle qui est dessinée sur roche (et qui lui ressemble) ne pôurra jkamais rezmplacer icelle dans la bouche de la mort à l’oeuvre ou sinon comment ? car je suis cet homme qui contient en lui un moteur de vie animale, c’est à dire la bete qui en moi préside, commande et chapeaute, et cette bete en moi rugit, trépigne, aimerait sortir, aimezrait voir du pâys, etc, et moi de l’en empêcher car je tiens à vivre ma vie d’un ezntre-deux-mers et ne vbeut pas (pas encore) sombrer dans les abysses, je veux dessiner ces aurochjs et faire croire à la mort qu il s’agit de vrais aurochs quand il n’en est rien, je veux dessiner la vie vive (incandesceznce) = des dessins de flammes, quan,d je sais que ces dessins ne sont pas laflamme et cependant, à la lumière des torches de grotte c’est à s’y méprendre, on croirait à de la vie vive (b rûlante) en vrai, qui bouillonne sur paroi de toute son incandescence, etc, je fais ainsi à base d’injures, d’insultes, xde grossiéèretés, de maldonne, 

et espère toucher ainsi la timbale 

et espère ainsi toucher la timbale

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4/04/2021

je xsuis l’homme vif offert sur roche, mi chevreuil mi homme, doublé et double, homme double doublé d’une bete, homme doublé de betes ou d’une bete en soi qui va et vient en pareille roche du temps, une bete est sur mon cdos ou en moi qui me pousse à aller en vie vers une lumière lointaine, en moi une bete pousse  et m’indique le chemin à suivre vers pareils confiins de la roche, en moi est donc cette chose d’une sorte d’aide qui seconde ... sur mon dos ? sur mes épaules ? sur ma tete ? sur mes bras ? où ça ? car je sens en moi la bete qui pousse, qui entraine, qui est cet élan intérieur en moi, cette chose en moi qui respire et fait aller au cdevant de soi vers une destinée de vie à parcourir fissa jusqu’à ces confins qui sont confins de bord de mer, ce nacré perlé de la roche lointaine, la paroi ornementée, ce tracé au charbon , cette chose ici qui attire l’oeil et donne élan supplémentaire, je vais en roche comme doublé en moi (où ça ?) d’une bete des confins, je vais en cette roche avec en moi cettte chose d’une bete de paroi qui me pousse «aux fesswses « poour ainsi dire, qui pousse et me porte loin vers des lointains bleutés qui sont lointains de roche de la vérité, vers des lointains nacrés qui sont lointains dits «de vérité», je suis secondé, je suis redoublé, monté et poussé, je suis cet homme de vie qui est cet homme qui en lui ressent cette chose d’un pouvoir animal qui pousse, car en moi est cette chose d’une bete forte, forte et fauve, qui pousse (vie) et va de l’avant dans un agir de tous les instants, car en moi est la vie = la bete qui est cette bete qui est cette bete qui est cette bete qui va, qqii pousse, seconde apres seconde, etc, cet etc de la vie terrestre avec bete en soi (ouf) qui pousse et donne son la musical de roche afin d’avancer, la bete est en moi qui me pousse à aller devant en roche du temps, déposer mon temps en tant qu il serait ou est cette offrande de vie donnée à qui me regarde de son oeil buccal ou comment désigner ou nommer cette chose ouverte, cette échancrure, cette ouverture de vie dans la vie, cette sorte d’échancrure de vie dans la vie du temps ? je donne mon temps sur la roche aux présebnts, je donne de moi , de ce moi + animal, ce temps de moi, ce temps qui est ce présent, ce temps de vie passée, cette chose d’un passé-baluchon ou baluchon de vie à donner poussé, et poussé par qui sinon en moi par cet animal de compagnie rupestre : ce cheval, ce cheval, cet aurochs, cet aurochs, ce bison ou cet autre bison, etc, je donne mon présent de vie continue, cet élan de vie en moi qui est du temps passé et non point l’animal en moi qui seconde ma vie, seconde après seconde, je ne donne pas mon animal soit mon animal de doublure, je ne donne pas de moi cet animal de vie en moi mais mon temps = mon passé et mon présent, ce temps de choses passées, ce temps de dépots de vie qui est temps de vie mais non point lma vie telle que l’on pourrait la penser et la définir, je suis cet homme mi homme mi bete qui est cet homme en vie vive offrant à la mort, non point sa vie sur billoot comme attendue (peut -etre) par ellle, mais son temps (passé et présent) sur pierre, sur table d’offrande (etc) et, ainsi faisant, s’en excuse à plates coutures, ou comment ? cazr l’homme ici est mi homme mi bete, mi homme et mi bete de vie, il est (je suis) cet animal  caché en soi qui est la vie qui va en soi et pousse son grain quotidien, ses secondes, son temps qui s’échelonne sur paroi , et voilà dès lors le temps déposé sous forme d’ezffigies (animales) de compagnie, la mort est servie, il s’agit de voir ainsi cette cxhose d’une sorte de présent de vie fait à cette entité de la mort à l ‘oeuvre, un présent de vie qui est don de soi en tant que tel = un temps = une chose gravée sur roche, ce temps du dessin de bie,nvenu sur roche, ou bien ce temps d’une sorte d’allér en roche par la voie du sang animal, je vais en  cette roche par le sang donné qYI i est ce sang de la paroi du temps, je vaiçs en roche à la recherche de la vérité  sur ce temps offert à  une entité nommé deéité mais qui serait en vérité une sorte d’échancrure dans un tissu, dans une maille, etc, kje vais en roche ainsi «motivé» par en moi cette bete, qui commande aux destinées vraies, aux chemins de reconnaiossance et me pousse à franchir le temps compme une étape à ne pas sauter, je vais en roche à la recherche d’une sorte de vérité des temps impartis, d’une véerité du temps alloué, et ainsi secondé (par cet animal cde vie en moi) je cherche ici et là des éléments susceptibkles de m’éclairer dans mes recherches, susceptibles de m’offrir ce que je dois ou me dois de mieux comprendre avec ma gouverne, je cherche des motifs, des raisons, des explications, des réponses, des vérités nommées, des mopts de choix, des mopts justes, une justice, etc, qui puiissent m’éclairer sur mon chemin de vie ou chemin de vie vive, et me donner un sens de direction où donc aller en pareille roche aux embnruns nacrés car que faire, où aller, que dire à cette bete de vie en moi ? je vais en cette roche mi homme mi bete et cherche ici et là une entrée et cette entreé (de vérité) est cachée, est masquée, où est elle ? je cherche en  ette roche une échancrure = une fissure = une faille = une musique de bon aloi, un chant des sphères, une poussée de fièvre, une voix qui saurait m’insdiquer la mesure des choses, etc, je suis secondéc en moi par cet animal de roche dure , cette bete-mot allouée qui est cette bete en moi de vie vive (tic et tac en moi) qui va de l’avant toujours et pousse son chant guttural des roches, sa mélopée animale (brame) en moi comme d’un chant de la roche dure en moi, qui serait cet élan en moi de vie vive, etc, je vais en roche et vois cette chose en moi, d’une bete qui me chevauche, qui me seconde, et moi de elle la déposer or il s’agit d’un faux semblant, d’un pis-aller : en moi la vie = la bete en moi, et cette bnbete-vie est à offrir au dieu de la mort, or ce que nous donnons à ce dieu de la mort (qui n’attend que ça : notre mort ezn ooffrande) , ce que nous donnons ce n’est pas à prprprement parler notree véritable bete-vie mais une sorte d’effigie de bete-vie = un semblant tracé ressemblant, comme en vrai, comme ce vrai au plus, mais en vérité rien du tout, un tracé rupestre, un dessin de bete allant fissa swur roche des prés, etc, mais non point en  nous cet animal de vie vive qui est celui-ci qui nous porte en vie, nous pousse en vie, est vie (= des secondes) en nous = le temps ? cette bete en nous est ce temps de vie vive or voilà ce qui est ici que nous offrons : du temps passé et non point le temps vif de la vie vive en no!us animale, cette comman,de animale en nous, ce cap de bete en nous, ce chapeau, ce train avant etc, nous donnons ce temps de nous passé à m^me la roche, nous donnons de nous ce temps d’un passé de roche,ce temps d’une sorte de passé de roche dure mais non point la vie en ce qu’elle a ou en ce qu’elle est pour elle même : ce tic tac cordial, cet é grainement, cette suite vive allouée, etc, ce que nous donnons de nous = un animal tout ressemblant à la vie vive ;mais qui n’est pas de la vie vive mais le temps de la vie vive, or les choses ne sont pas les mêmes, ne sont pas superposables véritab lmemùent, la vie passée (le temps passé) n’est pas la vie vive, il faut distinguer, nous voyons  cette chose cvomme quoi la vie passé n’est pas vie vive mais plutôt passé de vie vive et ce n’zest certes pas la même chose tout à fait et cela nous le xsavons bien qui nous en excusons (plates coutures)- ici, sur roche, sur paroi, à notre façon , et pleurons cette chose d’une excuse adressée à une déité de roche, nous disons que nous ne pouvons pas offrir plus que cette ressemblance accrue, la plus accrue possible, et voilà tout ! qu’offrir d’autre sinon notre vie ? maiss nous ne voulons pas offrir notre vie ! oh non ! nous ne voulons pas offrir de cette vie nôtre, non ! car nous tenons à cette vie la nôtre , oh oui ! nous y tenons grandement, nous sommes qui tenons grandement en  ous à cette vie de nous qui est un animal en  ous, car la vie, en tant que telle (en nous) est un animal, une bete qui est en nous notre gouverne, je suis en moi cette bete qui me gouverne, me seconde seconde après seconde, je suis cvette bete en moi qui est «la vie» qui est ce tic tac cordial de vie en moi et que je subis pour ainsi dire, car la bete en moi vit sa vie qui la fait de fait aller sur roche et parcourir les lieux de vérité nacrész, je suis en moi cette bete des temps a lloués, elle me guide et me donne le la de départ, l’impulsion native, ce chambranle, ce chamboulement, cet instant du top-départ de vie allouée, je suis avec en moi cette bete de joie vive et donnant le départ ou le top-départ d’une vie à vivre, et cet animal-vie en moi est une bete-mot, ou serait cette bete-mot , ou non ? pas vraiment ? bete-mot sur ropche pour faire accroire ? quoi donc ? nou!s cherchons ensemvble (main dans la main) une solution à un problème de type mathéma tique, nous cherchgons ensemble une solution à un probvlème qui est un problème de définition disons cartésiennee et cpomment trouver celle ci,  ette repopnse, cette solution à pareil problème de vie, sinon par le chant, la chose chantée, un élan de voix votive, etc, nous cherchons à comprendre ensemvble (tous, toutes en nous ?) cette chose d’une sorte de réponse offerte à une déité que serait la mort, cette mort nous attendrait impatiemment sur un wseuil qui reste à définir, et nous de lui offrir non point cette vie vive animale (un animal) en nous, ce tic tac cordial de la vie vive, maisq une effigie, un manteau de bure, un  vetement, une cape, un semblant, un pis-aller, une sorte de bete -vie en vrai mais ce n’est pas une bete vie en vrai c’est une bete-mot, une sorte de semblant de vie vive qui est une sorte de bete-mot ou de mot-bete sur la roche (dessiné, gravé) et que nous nous offropns ainsi comme en nous excusant de ne pouvoir en véreité offrir davanta ge car en nous ce n’est pas nous qUI commandons mais la bete en  ous (transe) qyui préside aux destinées humainesz cvar la vérité des choses est celke ci : en nous il y a une bete (la vie) qui préside, et cette vie nous de vons (cest aoinsi) l’offrir à une déité qui est cette forme « de la mort à l ‘oeuvre, et cdette déité a tteznd impatiemment cette chose = cette offrande de nous, ce cadeau, ce présent et c’est bien cette chose dès lors que nous offrons à titre de compensation ou de remplacement : ce présent de la vie temporelle, = ce passé-présent de vie vécu = le vécu et non point la vie, ce vécu et non point  ceztte vie vive animale en  nous, ce vécu est un vécu de roche dure, il s’agit d’un présent alloué offert à qui de droit, nous donnons ce vécu et non point la vie, sur roche, au fusain , au manganèse, ou par la gravure, nous donnons non point la vie mais le vécu, car l’aurochs est du vécu de temps offert sur roche, l’aurochs, le cheval, le bison, le bouquetrin, etc, les animaux-mots sont du vécu ( = temporezl) et la vie vive est consqervée par dev ers nous et cela au grand dam de la mort à l’oeuvre, qui attendaiyt plus, qui voulait davantage, qui pênsait pouvoir compter sur plus, sur de la vie vive encore vibrante animale en soi car en soi est la bete qyui gouverne, nous portons en  ous en continu une bete et cettye bete est cette vie en nous, cette chose tictaquant la vie qui s’égrène, etc, cette chose en nous est animale / animalière, il s’agit d’une bete de gouverne ezn nous, qui est cette bete qui décide, qui veut, qui va, qui cherche, qui est en nous comme un train-a vant, un train directionnel, une charge de vie qui est charge de sens etc, nous portons en nou!s cette bete de vie racée, qui est cette bete appezlée  «la vie» en d’autres lieuixw, nous pensons qu’en nou!s la vie est comme un animal de courtoisie ou de compagnie, qui est notre cap, notre train de direction, nous pensons que cette chose en  nous est appezlée par une déité, la déité mortelle ou comment l’appeler ? à aller fissa & se présenter à cet endreoit de bouche de paroi ouverte pour la peine, nous pensons à part nous que l’animal-vie en nous est appelé, et nous dès lors de ne pas céder à son appel ou alors si, en offrant de nous un wsemblanrt de vie-a nimale = un dessin (ressemblant ô combien !) de roche, cette bete-mot-effigie, cette bete gravée à l’envi et multipliée, nous donnons ce semblant = ce faux semblant, ce sang blanc, ce faux san g de nous qui nou!s tenons à part, encore vivant, sur roche, en lévitation, pris d’assaut en nous poar une bete en nous qui nous chevauchye, nous pousse à faire sur roche son portrait en pied et nous de succomber à cette injonction animale en n ous, qui est cette chose d’une sorte de poussée massive en nous, cette sorte de poussée massive et rude en nous qui ne pouvons pas ne pas nous laisser en,trainer, qui ne pouvons pâs nous réfrener, nous placer en travers, ne pas succomber, nous ne pouvons pas échapper à l’emprise en  nous anima le qui commande a ux destinées, nous ne pouvons pas échappper à cette emprise sur nous, en nous, qui est une injonction animale / animalière en nous, qui est cette chose de la vie vive en nous, ce treacé de vie en nbous, cette ligne de direction, ce tic tac moteur, etc, il s’agfit en nous d’une sorte de «volont»é» animale, qui commande, qui est comme la commande de direction, qui est cela qui préside, qui est cxhef et cheffe, etc, il s’agitbde voir cette vie en nous comme une sorte d’animal en nous, et cet animal préside, il est la vie qui va et se continue sur roche , et nous de dire-écrire notrte malaise, via des mots-betes, via des effçigies = représentations afin de se faire comprendre par la déité susmentionnée, nous voulons nous faire comprendre de pareille déité sus mentionnée, bnous voulons essayer de nous faire comprendre par pareille déité sus mentionnée, c’esst important, il nous semble à) nous que cette chose est d’une grande importance, nous devons nous faire comprendre et montrer de fa!çon c laire (exposée comme il se doit) que cela nous dépasse, que nous serions ok pour nous donner en pâture illico presto mais qu’en n ous la bete préside = la vie, et que d!ès lors ce que nbous donnbons ici sur roche = cette chose d’un semblant de vie vive, une fausse vie = le temps = la paroi du temps = la douleur des temps = la paroi dela douleur des temps = des mots-betes ou mots-animùaux qui sont des effigies spatio-temporelles= du déroulé = du temporel musical = ce la = cette chose des sphères, ce chant = ce chant nuptiall, ce chant cotonneux, cette mélopppée, ce faux semvblant de vie vive comme coeur de vie, etc, nous sommes en nous deux, quyi donnons de nous ce semblant de vie, nous sommes deux en nous quyi donnons comme un sembklant de vie à la roche du temps ou sur roche, nous sommes deux en  nous qui donnons cette cxhose d’un temps imparti qui est du temps présent-passé ou passé-présent et ce présent (offrande)- déposée sur roche (sur paroi de grotte) est le présent que nous offron,s à cette déité de la roche dure des temps, qyi est déité en attente d’un don intégral, d’une vie en vrai pour le coup, un etre de chair et d’os et de vie avec, la mort est une déité qyui attend de nous (impatiemment) notre don de soi ou comment désigner cette chose de la mort pour nous, la nôtre, ceztte mort de nous qUui serait comme offerte fissa (instamment) mais qUI en pratique ne l’est pas , car la vie va qyui est secondé (posséd»éée) par, en elle (?), un animal dxe compagbnie = de roche ? il s’agit pour nous de cette chose d’une sorte en nous de bete aux commandes et nous de nous laisser mener ainsi, du bout du nez pour ainsi dire (pic ? cap ?) et de graver des betes-mots sur roche : nbous donnons ce que nous pouvons; nous ne sommes pas sezuls en nous, nbous donnons ce que nous pouvons, nous ne sommes pas seul en nousq, nbous donons des sortes d’effigies rupestres, des bisons ou des rennes, des chevazux ou des aurochs, et ce sont des mots en vérité= nos noms, mon nom, etc, nous donnons des noms en vérité , qui sont nôtres, mon nom et mon nom et mon nom, etc, nous donnons des noms de betes ressembvlantes, nou!s tra çons des  re-présentations; des effigies, des faux, du faux, du faux sang de vie, du sa,ng mort à la mort qui veut (voudrait : nous le subodorons) du sang vrai de vie, etc, nous essayons de comprendre cette cghose, nous voulons comprendre  cette cghose et ne voulons plus déborder de cela, il est temps pour nous de comprendre c ette chose et de ne plus nous é careter de cela, comme quoi kla vie en nous est un animal et que cet animal est comme «appelé» à mourir = à céder le pas , à stopper sa course en bnous, avec nous, etc, nous savons (ce savioioir !) que nous sommes (nous !?) appelés à céder (concéder) notre course de vie d’allan,t, et pour cela il faudra quye l’animal en soi, en bnous, s’arretêat dans sa course de vie, de vie vive d’allant son chemin, nous savons (!!) , nous savons !!), nous savons  (!!) et ce (ces ) savoirs sont en nous comme des betes fauves qui ru gissent, il y a en nous ce savoir ou ces savoirs, qui rugissent, hurlent, crient, insultent etc, ces savoirs d’insultes sont en  nous et rugissent, grondent, vitupèrent, s’exclament, en rajoutent dans l’invective, vilependent, disent des mots gros et gras, des mots à ne pas dire, ce plus du plus possible dans une expression lzangagière = des gros mots de forte amplitude, nous sommes nanti en nous mêmes de ce savoir de haute vie, de cette chose d’un savoir de haute tenue dans le registre des gros mots et de l’invective adressée à la cantonade, nous sommes munis de ce savoir de haute tenue dans le registre de l’invective et nous voulons à présent comp)rendre ce quyi est en vérité, ce qyui se trame, ce qui se hjoue en pareille roche du temps, nous savons (ce savoir = injure) que la vie est en nous un animal et que cet animal est attendu par une déité qui est celle de la mort, nous savons cette chose commê qyuoi en nous existe un animal (la vie) et cet aanimal est attendu de pied ferme par cette chose devant soi (!) qui est cette bouche (!) deva,nt soi qui est cette ouverture (!) dfevant soi qui est cvetyte chose de la mort à l ‘ oeuvfre, et cette chjose devant soi (là-bas) est nacrée -bleuitée, nous attend, c’e’st à dire qu’elle attend en don la vie offerte, qu’elle attend la vie (la notre) offerte en vrai, ce tic tac de la vie cordiale, voilà ce que loa mort attend, elle attend cette choçse de nous, elle n’atten,d riezn x’auttre, elle ne veut rien d’auttre, et nou!s de donner ce qui ressemble le pluys à de kla vraioe vie animùale : ce dessin-effigie virulent (une invective = un mot vif, dru, cru le plus) et ainsi faisant nous faisons comme pouvons, nous essayons, nous baissons l’échine, que faire ? nous sommes et restons en vie ! et de cela nous avons à nous en excuser, et pour nous en excuser nous devons offrir ce qui en nous ressemble le plus (ou hors de nous) ressemble le plus à de la vraie vie animale = le tracé dans l’invective, l’insulte proférée, d’un animal de fort poids et qui est la vie même pour ainsi dire (la vie même) etc, nous essayons cette chose , d’offrir sorti de nous (soous influence) cette chose d’un treacé animalier, d’un tracé de bete (ce serra des mots pour nous) qyui sezrait insulte (une insulte !) offerte à déité d’un xdezvant de rochye du temps, nouys offrons sur roche l’image d’un temps vécu, ce temps animal vécu mais qui bn’est nullement lza vie vécue en vraie, c’est à dire la vie animale « en live » offerte, non point ! il s’agit de comprendre cette chose ici d’une vie offerte mais qui n’est nullement la vraie vie cordiale (ce coeur) qui est en nous animale, cette bete en nous qui sommes tous et toutes d’une tribu et parlons au nom de la tribu car ma langue est celle d’une tribu et non point la mienne seulement en p)articulier, je parle dsonc au nom des miens , quyi sont ceux qui sont autour de moi ceux qyui p)ar(lent la même langue que moi, etc, je dis cette chose d’une sorte de don en pis-aller, ce pis-aller est cette chose gra vée sur roche, je rezga rde ce qyui est et ce que je voisv est ce pis-aller sur roche allouée, je saids  cette chose d’une sorte de pis-aller sur roche, je sais que cette chose est de cette sorte et que les dessins de pàarois sont des pis-aller offertt par la bande (de l’entre-deux-mers) pour une déité contenue en roche dans le temps, comment savoir ? nous sommes dans la roche du temps insérés et voulons nous en délivrer : que dire ? le temps est cette chose offerte sur roche : défilés de betes fauves, ces fauves de roche font accroire et pour nous parlent pour nous, disent ce qu’ils ont à dire au dieu de la mort, et  c  el a est cette chose commpe quoi nous nous excusons de ne pas offrir la vraie vie de soi, ce tic tac cordial pris en soi, qui est un animal de nature, et nous de donner  ce que nous pouvons en termes d’animaux, et voilà ce que nous faisons : nous dessinons-gravons des betes rugisssantes (l’invective ! l’insulte ! le blasphème) sur roche, nous donnons cette chose sur la roche et cette chose est comme un don accompagné, il s’agit de comprendre cela même que nouys faisons et qui est que nous offrons une chose, une chose en particulier et cette chose est une chose en don qui est du présent ou dfu passé de vie = le temps = le vécu, le vécu ici comme invective, comme insulte proféré, une insulte ! cela est une insulte, car donner son propre vécu de vie à lma placve de sa vie (le coeur qui bat) est pris par nous (?) commùe une insulte ! est pris par qui de droit comme une insulte ! est pris par cette déité de bord de mer, de parois dressées, comme une insuylte ! nous savons, et  ce savoir en nous est cette chose qui nous fragil:ise, qui nous intimide, etc, nous savons que ce que nous donnons frise l’incorrection = est de l’incorrection, est une insulte en regard de l’attente, de ce que la mort attend ou attendrait de nou!s = l’animal en nous et non point cet animal hors de nous ! voilà le pot aux roses ! la mort attend, cette mort du devant attend, la mort du levant attend, nous avons affaire à une mort d’un levant de soi qyui atteznd la vie donnée nôtrte, nous savo,ns que cveztte chose devant soi mais où ? est cette cghose de la mort en attente d’un don, notre don est piteux ! pitoyable ! moquerie ! grotesqIUe ! des effigies de choses ! c’est piteux et misérable ! nous d onnons de nous cette chose pitoyable et la moprt comprend cette chose (peuteetree)- et nous regarde, depuis là-bas, qui offrons le Temps, à la pla ce de la  Vie : nous offrons et ce que nous offrons (en vivant, car vivre = donner, soit donner en continu) c’sest non pas (point) la vie en vraie = l’animal en nous, mais la vie en faux = l’animal hors de nous, car l’animal en nous qui préside nous pousse à inscrire sa propre représentation pour ainsi dire langagfière sur la roche, et nous xd’obtempérer de force, car nbous sommes sous emprise et nous ne pouvoons en découdre, nous sommes sous le hjoug de la vie animale en n ous, de cet animal de vie vive en nous, et ne pouvons contrarier son propre élan de vie en nous, ou sinon  comment : en wse tuant ? haraa -kiri ? holocauste ? nous decvons comprtendre (tous et toutes) ceette chose comme quoi nous devons donner une chose de nous à une deité qui est en attente, nous devons donner à une déité qui est en attente une chose de nous et cette chosex= la vie en nous = la vie animale, cette bete en  ous, et nous de donner quoi ? le Temps, le Temps vécu, ce temps de la vie vécu et non point la Vie en nous animale (cet impuls)  : nous donnons-vivons, nous sommùescqui donnons-vivons, or le don ici attendu n’est pas ce don avec train de vie, mais un autre, la 

mort attend au loin (horizon du savoir) notrte vie en don qui sera ou seraiot un don-mort, un don de vie morte, un donnant-mourant ou comment dé»crrire la cghose, une sorte de don de soi qui est cette vie (dès lors calcinée) de soi offerte, noon point la brulure du temps (ce temps qui se consumme en s’égrénant dans la douleur) mais la vie en vraie, cette vie en soi qui est ce ticx tac en xsoi d’une vie vive qui serait offerte sur table = déposée comme une peau de bete morte encore chaude, la peau en nous de la bezte en nous qui préside et qui eswt la Vie en nous, car en nous la vie est un animal, cela nous le compren ons, la vie en  nous est un animal et cette chose de nous est comprise, est acquise, est sue, nbous savons cette chose en  ous qui est , et cette chose en noys qui est est qUe voilà : nous portons un animùal en nous,n nous sommes porté (?) ou portons (?) en nous (dedans ?) un animal et cet animal est la vie en vraie et nous de «dire» cette chose sur roche mais ce dire est un pis-aller (fac similé ?) qyui n’est pas la chgose en vraie mais sa rezproduction de type langagière (langagier ?) qui n’est pas à proprement parler satisfaisante pour la déité qui nous fait face : devant , non, cette mort--déité, cette déité / mort, la morrt, La Mort, cette chose cd’une bouche ouverte devant soi, cet appel musical, cette «aspiration» etc (nous y reviendrons) n’attend pas de nous un pis-aller et prend notre cadeau déposé sur roche à paroi ornementée (art) pour un pis-aller = une insulte, l’art de roche est une insulte proférée à l’adresse d’une déité de la roche dure, l’art de la roche du temps est comme une insulte prononcée en toutes lettres (communément) à l’adressse, l’encontre, d’une déité qui nous attend, nous disons la  chose animale sur roche, oui, mais il ne s’a git pas de la vie animale en  ous, il  ne s’agit nullement d’une vie animale en nous, non pas, il ne s’agit point d’une vie animale en  nous, que l’on retrouverait sur roche, non pas, non et non ! il s’agit d’un non ! il s’agit d’un non proféré ! nous disons que non et non, nous ne voulons pas ! nous ne voulons pas mourir ! nous disons ce non à la mort ! nous dison,s  «la vie» et donnons le temps = le vécu et cela est mal vu, est pris pour une ignominie, une insulte, une moquerie, un pied de nez, foutaises ! la mort n’attend pas cde nous pareilles foutaises ! la mort attend plus de nous ! la mort attend de nous beaucoup p^lus ! la mort de nous attend beaucoup breaucoup plus ! la mort de nous attend ghrand, fort, imposant, buffant, alloué à roche, etc, aurochs ! mais aurochs en vie et non pas représentatation-effigie, faux = faux sembvklant, pis-aller, mots-betes = mots ! les mots sont des présents de vie sur roche = du vécu par la bande, du vécu de vie égrénée, ce opassage dans le sang, ce passage douloureux, cette traversée du continent, mais en aucun cas la Vie en Vraie de le-----a Vérité du V de la vie Vivante, il ne s’agit en aucuun cxas du V attendu, car la mort arttend ce V avec impatience, ce V de la vie vraie animale en  nous est fortement et impatiemment attendu, mais nous ne pouvons pas aller plus vite que la musique voilà nottre v érité, nous sommes hommes-betes en nous qui ne pouvons point aller plus vite que de coutume = que la musique des sphères pour nous, nous sommes des hommes-animaux quyi sommes souymis à une temporalité de vie vive égrénée qui fait que cela pour nous est tempoorel-musical de base, nous ne pouvons nous échapper fissqa de pareille temporalité, nous avons la corde au cou de la temporalité et nous ne pouvons pas nous en sortir si vite et si facilement, et nous de donner notree corde au cou, cette chose sur paroi, ce tra cé d’un vécu temporel, ce tracé d’un vécu, ce tracé temporel d’un vécu sur roche du temps, nous donnons de nous (sorti) non point ce V de la Vie en nous, mais cette chose qyui ressemble à de la vie, cette chose qui en est comme le déroulé musical, cette musique des embruns, ce clapôtis temporel,  ceztte incantation pariétale pour ainsi dire,  nous donnons dès à présent ce présent vécu = ce poids (lourd : aurochsz) de passé et ce poids est fait de mots (mots -betes) qui péèsent de toute lzeur masse dans la bala nce (deux cupules) et nous font cette cghose à nous, de penser que nous donnons le change ou sorte de,; or que nenni ! que non ! non nous, non nous ne donnons pas ce change là ! nous donnons du Vécu et ce V de vécu ressemble à s’y méprendre au V de la vie, ce v du vécu ressemble fort (à se tromper) au v de vie, or il n’y a ici qu’une ressemblance et non pôint une semblance, il y a ici ressemblant et non pas semblant ou commen,t dire ? ici un V ressemble à un V et fait accroire, mais ezn vérité il y a tromperie, vilenie, marchandage, tromperie d’u tout au tout, on fdait prendre des vessies pour des lanternes, nous ne sommes pas sincères , mais cela en dépit de notrte bon vouloir, de notrte volonté, de notre V à nous qui voudrait mais ne peut car pris dans la nasse spatio temporelle d’une vie de charges musivacales, il s’agit de cette chose comme quoi nous voyons cette chose comme quoi nous sommes cernés de toutes parts et ne pouvons nous dégager si aisément de la nasse temporo-spatiale de la roche dure (de terre-mère) , nous savons (!)  cette chose comme quoi nous offrons du temps et non point la vie, des mots-betes proférés = toute notrte betise, mais comment faire ? comment faire autrement ? puisque nous sommes comme prisonniers d’une nasse du p^résent de vie vivante, nous sommes comme pris par en  nous une chose qui nous fait aller, dan,s le temps d’un déroulé de vie à vivre , comment faire ? nous donnonds de nous cette cghose sur table du temps, cette cxghose est notre V du mot-bete «Vécu» , et ce mot-bete une fois donné nous nous dépêchons d’en donnezr un autre sur roche : incantation, nous martelons, nous y allons d’un martèlement incantatoire ! nous decvons ! nous voulon s rester en vie mais satisfaire (tromper oui !) «notree « monde, comment faire ? nous donnons de nous un v de vérité qui est un v de fausseté en vérité, et cela par devers nous, contre notrte gré vpour ainsi dire, car ce v est un faux v, n’szst pas le v de vie, mais celui de vécu , et cela ne compte pas, cela n’est pas du jeu, cela ne devrait pas compter , etre pris en compte, cezla ne devrait pas etre pris en compte, cezla n,e devrait pas compter , entrer dans le calcul etc, cela ne dezvrait pas peser alors même qu il s’agit de poids, de balance, de masse d’aurochs, de mots-betes pesamment prononcés, de pesanteur dans les mots donnész, de mots p^pesants fortement, mots gros et gras, invectives, insultes, grossièretés parmi les plus immondes et salaces, etc, nous donnons «da ns» l’invective et la turpitude et l’obscènité et cela donnés sur roche est notrte bienfait ou comment dire , notre action de jhoie, notrte offrande bienheureuse, notree soin disons et c’dst dit, notrte écart vers la mort d’un devant de soi, notre pied d’écart, etc, cette très lègère avancée vers, mais qui en vérité est un faux semblant, une mascarade,  une faço,n, une manière (des manières !) d’aller vers sans aller vers = art ! art de la mise en sqcène, art d’agrémeznt etc, qui est simulation temporelle, semblant de vie animale mais par devers nous car nous ne faisons pas exprès, nous sommes ainsi fait que la vie pour ainsi dire nous condyuit à «tromper son monde», nous sommes ainsi fait ou façonné que la vie nous condyuit à tromper, blouser, trompêr ,nbnotrte monde qui est donc ce monde «adjacent», ce monde poroche, qui est ce monde «de la mort à lm’oeuvrte « = MDLMALO, ou ce genre (MMO ?) , nous déposons sur roche ce v par devers nous, c’est à dire pour ainsi dire à notre insu, ou sinon à notre insu de gré ou de force c’est à dire de force, il y a ici quelque chose qui est donné et  cela ici qui est donné l’eswt donné de force, car la vie en soi l’emporte qui nous pousse à offrir de nous un visage de circonstance temporo-spâtiale, et  ce visage nous échappe gra nndement quyi est pris dans le filet (les rets) du temps imparti, nous so:mes des enfants qui déposons le v de vécu sur la table (la paroi) ausx offrandes , et ce v de vécu n’a pour le coup pas été à proprement parler chgoisi par nous, mais par d’autresq que nous dont nous devons mentionner le nom, et le nbom de ces autres que nous est ... nous, c’est à dire xd’autreesq que nous qui étaient avant nous mais font ou faisaient partie de ce nous alloué à un ensemble de vivants (vifs ou morts) qyui sont les vivants terrestres, humains xd’une bande ou d’une confrérie, nous donnons de nous cette chose d’un v de vie brève, temporelle, qspatiale, déroulée, etc, et ce v de vie vécue eswt indépendant (au tout départ) de notre v de volonté, car enfant naissant nous étions groggy, nous ne pouvions pas (si ?) choisir pour soi, ou comment ? car nou!s voilà qui sommes comme dans un train de vie allouée qui est ce train ds’un vécu spatio-temporel que nous ne pouvons pas shunter ou si vite que ça, nous poubvons nous donner la mort (à nous mêmes) mais pas si vite en véeriité ou si ? nous devons donner de nous cette chose sur roche attendue par Mort de Bouche Grtande Ouverte, et cette chose ici d’un v de vie est chose qui se doit d’etre offerte  pour le coup «de boone volonté» or cette chose de ce v de vie ou de vécu, est donnée à nous par la bande xd’une confrérie qui est celle de nos congénères, nous avons en  n ous cette chose d’une sorte de «musicalité» d’instance, qui est cette chose d’une sorte de métronome qui en nous nous guide et bat de son allant de roche dure (les douleurs) et ce faisant trompe «son monde» à savoir la mort, la musique ici cvomme élément de trompeerie, de mascarade à notre insu pour ainsi dire, nous sommes de force (à la naissance du moins et les quelques années qyui suivent) pousszée (de force ) à tromper le monde, c’’st à dire à trompêr la mort, nous sommes forcés par la bande (confrérie) à tromper la mort, car la vie que nous vivons s’agrège en continu pour former cette boule de gras temporel qui forme dès lors l’aurochs-mot de roche, ce dessin d’or nementation pariétale, cet art d’une sorte de ruse forcée, en nous qui en vérité n’en demandiiiions pas tant et aurions aimé d’une vie de vérité, sans faux semblants, franc de collier (francxhe ?) , nous disons sur roche notre trompêrie, nous sommes qui donnons cette cchose, cd’une insulte, grossiéreté, insanité, et cependa nt nous sommes dépité, nouys sommes pris d’assaut, lza chose nous déborde, nous dépasse, est pklus grande et grosse que nbous qui sommes bien fluets à ses côtés, bnous solmmes comme dépassés par la bande, emporté dans un élan de vie salutzaire mais qui nous pousse à mentir sur roche, vivre = mentir ici, vivre ici = mentir, = trompêr son monde = son petit monde de la mort de proximité, nous disons-viivons, ou vivons- disons (collage) et ce faisant bnous offrons des mots -animaux à la place de la vie en nous animale, il y a tromperie sur toute la ligne (= riga) , il y a ici tromperie sur toute la ligne et comment agir sur pareille tromperie quand la tromperie est du temps alloué à une vie qui est la nôtre ! comment faire pour sortir du cercle ? il nbous parait ici comme impossibkle de pouvoir    nous en tirer à bon compte ! nous sav ons (!) que nbous dépopsons des mots de v sur roche et que ces mots de v sont trompeurs, ne sont pas du v vrai, ne sont pas ce v de vie animale attendu mais une sorte de fausseté, du faux sur toute la ligne, faux sang et faux sembvlant : peinture, grimace, fausseté, masque, mascaradde, etc; nous donnons le temps de la vie vécu au fur et à mesure (mesures) à la pkace de ce v de vie vive en nous qui est cet animal contenu en nous qui préside aux comman,des, tient les manettes (nos mains) et fait ce que bon lui sembke à notre place car la place en nous qu’il occupe est nôtre, en verité, ou devrait l’être ou sinon est celle qui ici nnous para it comme étant celle dans laquelle nous logerions ou que aimerions à pouvoir occuper de nous-memes, or il s’avère qsue pareille loge ou place en nous est occupé par une bete en nous qui est bete de vie vive et qui est bete de vcie tenace, or que faire ? notre vie vécue est de celle que nous traçons car elle est temporelle (musicale) et spa tiale (pariétale) et voilà dès lors ce que nous faisons : nous faisons -traçons, nous traçons-faisons : chemin faisant, tracé de bure, chaud devant, betes sur roche, vilenies, incantations, insultes, maertèlements, trompêris, feux de hjoie d’un peu de cette vie od-fferte, etc, ce v offertt est un v de vie vécue temporellement et ce v de vie vécue est offrande sur roche (animaux de rocxhe) et sur pâroi ornementée, nbous dessinons, et cela que nous desinons est une offrande, nous offrons des ezffigies, des représentationbs, des succédanés car il ne s’agfit pas en vérité de vraie beztes de somme ou de poids que nous offrons de nous, nous avons en nous une vraie betye qui s’appelle v = vie, or ici , ce que nous offrons, ce n’est pas cela, loin de là, nous offrons un déroulélé pa riétal, une roche ornementée, un dessin de bete à) la place d’une bete en vraie, cette vie battante en nous, = ce battement en n ous de vie vive, il s’agit ici de comp^rendre  ette chose comme quoi ce que nous offrons ici est cette chose d’june sorte xde succédané de battement : incantatiobns, nous cognons la roche, et de une , et de deux, et de trois, et de quatre, et de cinq, et de six, et de sept, et de huit, et de neuf, et de dix, et de onze, et de douze, et de treixze, et de qua rorze, et de quinze, et de seize, et de dix -sept, et de dix huit et de dix neufg, et de vingt, et de vint et un, et de vingt deux, et de vinfgt trois etc, nous cog nons sur roche, martelons icelle de ba ttues, ce battements, d’ibncabntations, de réitératrions dans la cognée, nous tapons la roche, et de une, et de deuix, et de trois, et de quatre,; et de cinq, et de six, et xde sept, et de huit, et de neuf, et de dix, et de onze, et de douze, et de treiaeize, et de quatorze, et de qUINze, et de seize, et dede dix -sept, et de dix  huit, et de dix neuf, et de vingt, et de vingt et un, et de vingt-deux, et de vingt trois, et de vingte qUa tre, etc, nous cog nons, voulant faire accroire aux battements vital (animal en nous) du coeur quand il ne s’agit que ces temps égrénés sur roche, sur paroi dxe terre mere, il s’agit pour nous de comprenddre  ette chose, de chercher ici cette chjose d’une direction de penséev musicale par la  bande, nous  chcherchons à dire-propnoncer la vbérité d’un v de roche dure, notre but est de cerner au plus près ceztte vérité, comment dire la chose ici xd’une sorte de vérité dure (rude) qui serait tenace comme la vie vraie en n ous animale (b attements) ? nous voulons essayer de nousq approcher de pazreille vérité de roche, de ce v de la vérité qui est le v de l’inVectiV proférée ou quoi d’autre ? le v du vécu ewst ce trompe-la =mort d’une vie alloué par la ban,de , nous sqommes venus, nous avons vécu et vivant nous déposons ce vécu, car la chose est ainsi gou pillée que lorsque nous vivons, vivant nous deposons du v écu sur roche, sur roche du temps, c’est à dire que, en vivant, en étant vivant, par la même occasion, nbous déposons de ce vécu de vie égrénée, sur paroi de grotte, sur pierre du temps, en vivant nous offrons, nous sommes qui donnons de notre vécu au fur et à mesure que nous avançons sur ce cxhemin de vie qui est le bnôtre, nous vivobns et ce faisant nous donnons, nous ne pouvon,s pas faire autrtement car vivre = donner, on ne peut y couper, vivre c’est donner de soi sur roche du temps, or ce que nous donnons n’est pas ce v de la vie vraie (cet a nimazl ezn soi : on verra où) mais un v de substitution (arty) qui est ce v cxde «vie vécue», qui n’esst pas un animal de chair et d’os mais une sorte d’eefigie, de mo,; t, un mot bete, un e bete-mot, ou un mot-bete, etc, qui est là pour «amuser» la ga lerie et lui faire prendre (un temps: la chose n’a qu’un temps) des vessies pour des lanternes, commùent faire ? car, nous sommes nész de parents terreswtres qui ont fait en xsorte (sans le vouloir il semblerait) de nous mettre au monde trompant l’ennemi, nous sommes nés sur terre avec pour nous comme un vécu de déroulé (spatio-temporel) à devoir gérer, et ce déroulé (le vivant) est comme une sorte de présent de vie offert en continu, vivre = offrir sa vie vécue (ce v) en continu, mais ce présent est un pis-aller, ce présent n’est pas ce v attezndu par la mort en personn,e, ce présent (ce don, cette offrznde du temps) est une paubvre cghose, fausseté, sans grande valeur à dire vrai, mais qui semble vraie, qui semvble etre du v en vrai de vraie vie contenue animale (battements du coeur) et voilà ce que nous faisons depuis notrte naissance, nous faisons sembvlant d’offrir à la mort le v de la vraie vie contenue en nous, nous jouons à faire ceux et celles qui donnent ou donneraient leur vrai v de vie vive or que dalle en vérité, jeu de dupe, nous dupons, nous sommes légers, enfantins, bnous sommes enfants de la roche du temps et ce que nous donnons est petite chose en regard de la vie attendue, pas ou point de comparaison possibkles, ce n’est pas la même chose, nous nous efforçons le plus possibvkle de rendxre cette chose la plusressemblante possible , mais il n’en est rien en vérité, nous trompons la mort, nous sommes des tro:mpeurs de mort, nbous scandons, nous tapons sur roche, imitons le ba ttement (saccadé et métronimique) du coeur, bnous dessinon,sq des betes (mots) en, gra,nd sur roche, imposants par leur stature et leur ma hjesté, et cesq betes les faiso ns bouger /charger à la l:umière toute vibrante de nos torches souterrainesz, oui, bnous faisqons noàtre pôssible, nous vitupérons, lév itons, entrons dans un état second, etc, nous devenon,s autre, nous essayons dxe devenir autrement, autre personne, prise et sous emprise, nous hurlons, nous crio$ns la vie brute, le trop^plein, la charge violente, la cvie racée, débridée, le plus que nous pouvons, nous vociférons, bnous insuyltons, nous disopns des gros mots par paquetsz de dix, bnous dison,s ce qui bnous vient en matière de grossioéreté adressées à cette déité de roche vive, etc, nous faisons un ramdam de tous les tonnerees de dieu, nous faisons du bruit, nous entrons en fureur, nous faisons impression, etc, tout ce qui est en  otre pouvoir pour faire penser (un e expérience des limites) que ce que nou!s offrons de nous est réellement ce v de vraie vie anima le en  nous (vrai battezments du coeur) quand il s’agit d’incabntations, de battements des mains, des bois sur la roche, car nous sqommes pris d’assaut, nous sommes enfants qui lévitons sur roche, nous lévitons à m^$eme la roche et nous dessinnons ces betes de vie violente, ces aurochs massifs chargeant, ces betes-mots de vie vive comme si, ces beztes-mots qui sont des mots qui sont des insultes qui sont des infamies et dxes grossiéretés proférées sur le compte de la mort qui nous regarde, nou!s tend les bras, continue à nous tendre les bras malgré nos invectives envers elle, nos insultes salaces, notre parler vif de charetier, de maraicxher, de poissonnier, de gaerçon des halles  ! à la criée ! chandail ! chandail nous portons ! saleté ! «‘ salope de lma mort vibrante ! pute de pute ! putasse de pute basse ! saleté de putasse de pute de la mort de basse ! sale saleté ! puterie de putasse de merde ! mort sa&lope ! mort de mes deux !», etc, nous ne maitrisons plus ! nous ne faisons pas dans la dentelle ! nous y akllons gaiement ! nous tenons à faire accroire ! ce que bnous cxherchons est de faire accroire, dan,s un chjant inaugural, e,n grotte, face à la paroi, en lévitation, de manière à passer pour, nous cxherchons cela, cette chose d’une monstration la plkus vive possdible , la plus marquée possibvle dans le sens d’une sarabande de gra,nde furie, nhous cherchons cette chose et en vérité cette chose est en nous toute tra&cée, qui allons en vie sur des chemins qui sont ceux là même de la sarabande sauf que voilà : au final, c’est à dire au fil du temps, la chose a pris une autre tournure et les choses ont été contrôlées, ont été encadrées, etc, de manière à  c e que ce temps de la vie vécue, le soit, vécu, dx’une manière contrôlée, qui ne soit pas p êrmanemment mani§ère de charretier ou de poissonnier, mais tenue, contenue, de façon )à présenter a utrement, à se présenter, à nous mêmes, autrement , mais pour la mort ? pour ce qui est ici de la mort et de sa bouche grande ouverte ? tout pâreil ! charretier ! maiis caché ? ou comment ? dit autrement ? cvomment ? car nous sommes des eznfants de haute roche, qui dansons et simul:ons, notre vie à vivre est ce jeu de roche dure (les douleurs, les plaisirs) qui est cette roche du temp^s, nous jouons à faire semblant d’etre mort c’est à dire l’animal offert (l’a nimal en nous) offert vivant à cette bouche de la mort à l’oeuvre, nous ffaisons semblant d’ooffrir de nous cet animal de vie, animal de vie vive en soi, la vie comme animal en soi, nous faisons sembvlant de faire cette chose, nous jouons ensemble, nous sommes à jouer ensemble : compagnons du je, compagnons de ce je , du jeu de la première heure, nous essayons de faire c ette chose en roche : de jouer, jhouer ce jeu du je à multiples, ce jeu est le jeu des multiples je composant le nous de la tribu des hommes du temps, nbous jhouons à ainsi simuler, un don de vie, de v de vraie vie, nous hhjouons comme des enfants à simuler un don de vie , vivre = jouer à wsimuler un don de vie vraie, cet animal en nous contenu (= la vie), nous sommes des ezn,fants qui simulons, nbous jhouons à simuler  un don de vie vraie alors même qu’ il n’en est rien, nous faisons semblant, vivre = faire semblant de donner sa vie, quand ce que nous donnons = du temps, c’est à dire des mots, c’est à dire des images cde betes, u ne musique temporelle, nous disons sur roche notre vilénie constitututionnelle et comment autreement ? car la vie temporo-spatioale nous pousse de forcve à mentir , à donner le vécu au dieu de la porte, etc, comment couper à cette chose, comment ne pas tomber dans le panneau du temps pariétal ? il nous eswt impossibvle de ne pas tombner dans le pânneau du temps pariétal ! commùent faire pour en échapper, comment faire pour échapper à ce panneau du temps pariétal et à ne pas offrir pareiilles tromperies constitutionnelles ? commùent faire ? nous sommes enfants qyui allo ns sur roche du temps, dessiner des ... appeaux ? que dire ? nous sommes vivants et du coup vivre ici = mentir, car la vie est mensonge constitutionnel, car la vie eswt un xdéroulé spatio-temporel que l’on subi, et ce déroulé est façon de faire accroire, trompe -la -mort,, etc, à nottre insu ou de force, cette chose, cette chose ici, cette représentatation, cette paroi peinte ou gravée, cette représe ntation animùalière, ce n’est pas l’animal que nou!s avons en  nous, c’ewt son jumeau, sa jumelle, mais point le même ou comment ? effigie ? représentation moqueuse ? c’est quoi ? nous cherchons à comprendre ce que c’est ! nous voulons essayer de comp^rendre ce que c’est, ce v ! quel est il ? qui est il ? que est -il ? quoi est -Il ? v comme  v de vérité ! nous déposons nos armes sur paroi à mesure que nous a vançons dans la vie, à mesure que nous ava nçonsq dans la vie nous déposons notre vécu sur roche, notre vie vécue, nous n,e pouvons y couper, de sorte qUe cela que nous déposons, cezt animal xde paroi (= ce vécu) est une mue de bete, un mot, le nom de la bete = sa mue, son reflet, son double nominal etc, bnous voulons savoir cette cghose et pour cela nous creusons notre penszéee brute, nous creusons la roche (grave) et cherchons à l’intérieur de la paroi, nous voulons co:mprendre  ce qui est ici , ce qui est qui advient pour nous, nous voulons savoir ce qui est et qui advient pour nous, en cette roche de grotte souterraine, pourquoi l’animal en nous nous pousse à dessiner sur roche son image la plus reessemblante ? pourquoi cezt animal de vie en nous est celui là qui écrit son nom ? nous pensons que la bete sur roche (dessinée) esqt un mot désignant la vie en soi animale, car cxhacun a «vie» (la même) en soi, mais chacun porte a nimal qui peut différer, il s’agit de  cette cxhose commùe quoi la vie est la cvie, et cependant la vie = un animal, que chacun pour soi contient en swon sein et qui n’est pas pour le coup le même pour tous, par exemple untel aura pour «vie» en lui un aurochsq, quand tel autre a ura un cxheval, ou un renne, ou un bvouqueztin, par exemple untel aura en lui une antilope, ou une ourse des cavernes, et tel autre aura un ours des cavernes ou un bison, et cette vie en lui, ce battement animal du coeur, aura un visage en lui que la transe sur roche fera ressortir et dès lors l’homme des cavernes ou la famme des cavernes pourra tracer la figure de cet animal et faire penser (à la mort de la bouche du pré) qu’il s’agit en vrai de cet animal, contenu en soi, quand il n’en est rien, tromperie sur toute la ligne, toute une ligne ainsi : mascarade, une vilébnie, une trompêrie de bon aloi car si nous trompons c’est bhien malgré nous pyuisque vivre  = tromper, puisque vivre = tracer de s figures animales faisant accroire, puisque vivre = tromper et ruser a vec l’ennemi qiiu est cette mort de bouche adjacente, nous tro:mpôns la mort en vivant, voilà la chose, vivre, c’est tromper la mort et ce en continu, sur paroi du temps,; espace du temp^s imparti, vivre c’est tromper la mort, alors même que nous soumettons notre phr&asé (de mots-bezttes) sur paroi, pour faire accroire que donc noptre vol:onté est bien réelle, pleine, belle, etc, alors que voilà ce qui est en vérité, un v faux, un faux v, une couillonnade, etc, qui cxhercxhe à satisfaire de soi-même quand en vrai il ws’agit de quoi, d-’une insulte à l’encontre de la mort à ll’oeuvre ! insulte sur toute la ligne centrale ! billevesées ! une couillonna de de première, voilà ce qui est ! l’animal-vie en soi est logé en soi et y reste à tout jamais jusqu’à preuve du contraire, ce peut être un ours, ce peut etre un,e ourse, chacun lotti à sa façon, et vivre = deposer la représentation de cette bete en soi (ours, ourse) sur paroi, c’est à dire sur paroi du temps, nous sommes des enfants qui hjouons à déposer sur roche cette chose contenue en soi et qui est la représentatation pour soi, sous emprise (hypnose )?), d’une bete de corps, massive et forte, et qui est  ce battement du coeur, cette incantation votive, etc, nous chargeons la roche de martèlemeznts réitérées, nous sommes ensembvle à marteler la paroi du temps = marcher, aller et venir, vivre sa vie présente, ce don, ce don continu, métronimyque, sur terre-mère d’un allant de vie véccue qui est un déroulé de -$mots-an imaux générés par la bande, ainsi soit il

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3/05/2021

nous savons cette cghose, ou alors nous (ou je) subodorons (subodore)- cette chose comme quoi les mots en  n ous recèlent cette chose d’un savoir de base intégral et intégré, ce savoir en circulation en nous comme effluve ou flux sanguin en des veines qui sont des canaux, je vois ces betes près de moi et comprends  que ces betes sont des betes-mots de grande importance (= capitale) car ils sont les vecteurs ou les agents d’un savoir de base, intégral = entier, qui est ce savoir qui concerne les choses du monde de la vie et de la mort, nous savons cette chose comme quoi nous sommes porteurs d(un savoir inclus, ce savoir animalier en nous, ces betes-mots de paroi de grotte , et ce savoir fait de betes-mots est un savoir de flux, de sang, de chute dans le temps, d’effluve dans les embruns de telle paroi ou telle autre au fin fond d’une caverne ou d’un aven, il s’agit pour moi (pour nous) d’aller ainsi en roche à la recherche d’une vérité  liée à un fait de vie pariétal, il s’agit pour moi de comprendre  cette chose comme quoi la vie pariétale est celle qyi encore peut livrer des vérités, soit des vérités de bonne tenue, qui encore peut offrir des vues de poids sur des choses justes concernant la vie de prairie pour un cerf, ou de sous-bois ou de bord de mer, etc, nous avons à comprendre  cette chose comme quoi les mots en bouche sont onguent, sont pic de verbe qyui va piquant roche et ce faisant soulage cette plaioe du visage nôtre, cette plaie de nous qui nous défigure mentalement ou physiquement, etc, nous ne savons pas mais nous ressentons cette plaie en nous comme quelque chose d’inhérent à notrte nature = un trou, ici même en joue, un trou de bouche laissant circuler des mots de bouche en veux-tu en voilà, qui sont mots de prairies pariétales, mots de roche dure, mots-betes du temps imparti ou alloué, mots qui masquent l’approche en nous d’une autre entité qyi voudrait connaitre tout autant les joies de la roche du temps, et cette entité en nous porte un nom, et ce nom est connu de beaucoup de betes, de betes-mots de roche mais aussi de betes de nature, de betes gambadant, de betes des prés nacrés, etc, et cette entité en nous est une entité qyui pousse  ainsi, qui veut derechef sa sortie de corps, son jeu, etc, cette entité est une mesure, une drole d’entité de base , mesure pour mesure, une mesure douce ou dure selon, une mesure des temps impartis, un calcul mental, une sorte de mesure alloué à une vie via du  calcul, un découpage, etc, nous pensons que nous avons en nous des mots, qui sont dses mots-betes qui sortent de nous à foison (continuité) et qui, de ce fait, bloquent l’issue de notre bouche ouverte, il sw’agit de ces mots de roche dits «aurochs» pour ainsi dire (ou chevaux, ou bisons, ou rennes, etc) et ces mots de roche dure (ceux du temps donné pour une vie d’homme) sont mots qui bouchent l’accès à cette autre entité en  n ous , qui, comme les mots de pique, voudraiot bien sortir sa propre pique, son pic de perçage s’il en est, etc, et  c ette entité en nous (masquée, cachée, entravée, piégée par l’animal en nous ) est pour ainsi dire sieur ou dame «de la mort de base», ou bien «sieur ou dame de lma mort de bouche «, etc, nous savons cela comme quoi nous sommes des enfants qui essayons de fait de comprendre les teznants et les aboutissants d’une vie humùaine et cela bien sûr n’est pas si simple, car il faut : buter, creuser, franchjir, outrer, pousser, et ne rien contenir, déverser, déposer, et aller de lx’avant fissa en pareille roche du temps, nous essayons dès lors de faire tout cela que nous pouvons, c’estàdire tout cela qui est ou serait en   otre pouvoir , pour comprendre le plus possibkle de tout ce qui est en nous qui nous occupe ou nous hante car oui ! nous sommes pris d’assaut par en nous une cohorte animale qui pousse à sortir de nous via notre bouche ouverte en grand sous pareille poussée brute et brutale de pareille pique (pic, picous) faite de betes enchassées les unes dans les autres et formant cohorte animalière prête à franchir le rubicon de pareille roche du temps, et cela continueellement (= une vie durant = une vie = la vie) et voilà pourquoi la mort est bloquée à demeure et ne peut sortir sa «tete» de morte entité ou comment signifier cet objet (?) , cette chose (?) , ce savoir des fonds, qui veut dire ici son etre de plain-pied, sortir tete du sac, et doubler l’animal de pique, de pique-paroi, la mort veut doubler, passer outre, dépasser la cohorte en nous animalière mais comment peut-elle faire puisqu’elle est comme bloquée dans son propre déroulé de mort, qui cherche à gagner le terrain, la place où se placer, etc, ici l’animal en nous (les mots-betes) bloque un accès, celui de bouche «de la vérité» des mots entre eux, la bouche est bouchée, la place est prise et la mort est blousée, prise au piège animalier d’une cohorte (verbale) de «vérités» , voilà ce qui est, et dès lors la mort reste en carafe, ne peut advenir à la vie, nbe peut prendre la place du lan,gage, qyui est langage articulé par des en nous pouvoirs qui sont pouvoirs de dire des choses, il s’agit pour nous de comprendre cette chose comme quoi en nous la mort est à l’oeuvre, mais tant que la bete en nous (=le mot-bete) est présente, alors la mort ne peut advenir, elle est coincée dans son sas de vie interne à notre univers corporel, la mort ne peut arriver à la vie jusqu’à temps que l’animal en   ous tient la barre et navigue sur roche son embarcation de fortune, il s’agit d’une vérité de poids, c’est--àdire  qui pèse lourd son pesant d’aurochs (mots, mots, mots! ) et son pesant d’aurochs est une somme, et cette somme est une cohorte formant queue  de bouche de sortie, formant queue -pic qui pique la roche du temps (la traverse, cherche à se loger en elle) ou nous (nous avons traversé) via ce trou de roche effectué par en nous cette pique animalière, et nous voici de l’autre c^$oté quand en  ous la mort cherche que tu chercherasz à fzire de même : percer la roche, et traverser icelle vite fait bien fait mais elle ne peut point car elle est couillée par en nous un tazmpon (étouffe-cxhrétrien) qui bouche en nous l’accès à possible sortie de nous (corporel : d’un nous corporel) à pareille entité narquoise , sournoise, cachée dans les profondeurs d’un dedands qui est notre dedanc corporel d’homme des prés et des cavernes, la mort cherche issue en nous mais les mots en nous (par défaut) empêchent pareille issue, et du coup nous dessinons sur roche toutes ces betes de poids en nous, qui forment cohorte, entrelacement, qui forment ce baiser de betes-mots entrelacés et formant pique (verbale) acérée propre à trancgher (percer) la roche du temps imparti, notre but est clair et net et ne souffre pas la moindre contestartion ici bas, il s’agit en véerité d’une volonté en nous (ancrée) de tenir la barre et de ne pas le plus possible lacher prise, ce qui signifie que nous avons à tenir bon via ce phrasé buccal animalier en continu, cet «apprentissage de tribu» quyi est l’ap^prentissage inhérent, cette chose d’un rempliement de soi par des mots de base natif, des mots de langue drue, des mots-betes de paroi (aurochs et autres rennes ou bouquetins) et ces mots en nous (grâce leur soit rendue !) sont mots qui imposent leur pesant de roche et plombent l’accès, le passage à autre entité éventuelle comme par exemple l’entité «jargon de la mort à l’oeuvre» ou comme pâr exemple l’entité »caillou de roche merdeuse», ou tout autre entité voulant à son tour «sortir sa tete du puits», nous pensons qzue nous dzevons comprendre encore un très grand nombre de choses sur ces choses de la vie et de la mort, et pour cezla nous devons creuser les questions une après l’autre et les mesurer, les soupeser, les voir de près, etc, afin de mieux comp^rendre en vrai ce que contiennent p)areilles questions existentielles, car qui dit question dit mots avérés, mots cloués, mots cloués sur la croix de la vie en marche, nbous pensons qyue lles mots dits «de vérité» sont mots fixés, cloués comme des christs en, majesté, et ces mots sont animaliers ou animaux en tant qu ils sont des betes-mots de roche , ces mots sont : bouquetins, aurochs, biçsons, rennes, chevaux,; antilopês, mzammouts, eetc, ce sont des betes gravées ou dessinées sur roche par des hommes des cavernes et ce sont ces mots de betes (mots-betes d’excellence) qui nous permettent de «rester en vie» à ceette place que nous occupons via kl’espace-temps de notre corps en tant qu’organisme de diction sur roche, nous avons à bien comprzndre cette chose ici d’un art qui est l’art du (mal ?) faire sur roche un wsemblant d’inscription de nom , de ce nom d’emprunt qui est notrte nom de passager, de passage, nous pensons que nous devons inscrire sur roche ce nom de famille qui (en tant que tel) nous a été «flanqué» comme chandail (à la va vite) sur les épa ules d’un vendeur à la criée, nouys devons veiller à voir ce qui est qui sort de nos bouches comme autant de tribus de betes amoncelées, qyui sortent de nous en continu (le voilà le flux de conscience) et ce faisant nous maintiennent en  vie et sur vie de roche, nous devons comprendre cette cxghose comme quoi les mots nous contiennent, nous tiennent au contact (sur) de la vie de roche dure, qui est cette vie temporezlle et pariétale d’une existence humaine terrestre, les mots-betes sont de ceux là qui à chaque seconde nbous sauvent la mise : continuité d’un salut de base via des mots appris (mots-véribtés) qyui tiennent un ensemble en vie, le maintiennent droit et permettent ainsi à un homme (je) de pouvoir justement s’affirmer en tant que cet homme est un je parmi des je de roche, un de plus, un parmi d’autres (b eaucoup d’autresq) et non pas un non-je qui lui, en tant que tel, serait de mèche avcec, en soi, cette mort qui cherche issue, sortie, passage de tete en nous, par notre bouche, par ce trou de notre bouche encore ensanglazntée de cette plaie occasionnée par en nous la la la , par en nous la percée comme dentaiore ou comment dire , de cette pique de motrs-betes entrelacés, etc, cetc, etc de base buccal, cette entrelmacement, cet entrelacement de choses et autres de type betes, qui sont (ces betes) des mots de base, mots de la tribu qui est pour nous (cette) tribu d’entourage, mots-betesq de base qyui tronçonnent, qui percutent, nous les brisent, nous plient en deux, nous ouvrent sec, à sec, à cru , en vitesse, par un pic brutal perfgorant et dès lors sort de nous sous forme de vferbe, de ce verbe à roche du temps , qui va à s’enkyster en icelui jusqu’àà preuve du contraire,; via mots-betes de tribu, et ainsi faisant empêche à moprt de bouche, Mort de Bouche, de passer ou d’aller plus loin, nous possédons, en nous, des mots de tribu (humaine) qui sont là en conscience afiin de barrer le chemin à entité mortelle en nous (cette gousse !) qii est cette entité de roche morte , de roche tuée, de roche inopérante, cette chose rude rude comme une pluie qui mouille les os, il s’agit de MOrt la Grande, la dite «Salope», la dite «Putasse», la dite «Putasserie» etc, cette chose nommée par la bande via l’entremise de mots crus quyi sont mots du sexe et de l’insulte (votive) réuunis, bnous avons à nommer la mort ainsi = nous nommons la mort dans l’inhjure = dans le verbe -pic, nous disons desq mots de perçage qyi sont mots d’insulte enversq dame sieur, sieur dame de la mort à l’Oeuvre, il s»’agit de comp^rendre  ette chose, comme quoi la mort est  une chose en nous qui est bloquée, par le fait, en nous, d’un langage articulé qui bouche les issues, kles écoutilles, et empêchent icelle d’advenir en pré, il faut bvien comprendre , bien se mettre en tête cette chose, comme quoi la mort a sortie borgne, elle ne peut trouver issue car les issues sont (toutes) calfeutrées par un langage de treibu (articulé) qui en empechent l’éclosion, la naissance en roche du temps, et cela quant bien même elle «est» sur toutes les lèvres en tant que nom à elle donné, en tant qu’elle est mentionnées sur roche des prés etc, loa mort est choçse en nous inclusqe dans la profondeur, la mort en  ous est cette roche incluse = enfouie dans la profondeur, il s’agit de cette chose en nous, quil est bon de comp^rendre, comme quoi la mort ezn nous est incluse, est enfouie au plus profond de nous mais ne peut se relever de nous (comment dire cette chose ?) du fait que nous parlons, que nous contenons en nous (où ?) duy verbe viçf comme insuylte, comme grossièreté, etc, la lmort est bouchée d’accès = ezmpecheé = entravée, etc, et cela jusqu’à tempsq que nous serons vivants comme de bien dire ! jusqui’à temps que nous serons ainsio animé en nous d’un souffle de pic de betes de roche ! car nous sommes en nous animés d’un pic de verbe qui, sortant de nous, va direct à se loger en  cette roche pariétyale temporelle, cette paroi de grotte où pouvoir dessiner desbetes (mots = noms = insultes = garde fous = prière = viatique) , nous disons cette chose comme quoi nous avons à bien cernezr les enjeux ici qui président, qui sont ceux d’une vie à vivre longuement (déroulé vif) afin de voir aller et venir sur roche nos frères de sa ng en la personne des aurochs de base rocheuse, etc (bisons, buffles, cerfs, bouquetins, etc, etc), nous voyons aller et venir pres de nous des betes, qui sont betes de roche dure, betes dxe roche des temps alloués à vie humaine sur terre ferme, et ces betes sqont des mots qui sont des nboms (les nôtres) qui sont des insultes (des grossièretés et autres insanités) quyi sont des prières (que dieu nbous vienne en aide !) q<ui sont des viatiques soient des envies de rsrester e»n vie, nous parlons ainsi à qui veut ezntendre et disons ce que sur le coeur a vons, je vais en roche parmi des betes qui sont des mots (hurlés ? vociférés ? ... ou assommants ??) , je vais en pareille roche du temps , proférant toute ma misère de mots salace, d’injures à tout va, de mots dits à l’emporte piècesq, de raccourcis vengeurs, d’insanités sans qUEZue ni tête, etc, je suis celui qui profère x vilenies de toutes espèces et un bvon milliers de «gros mots», de mots injurieux et de mots salaces, et ainsi : à l’emporte-pièce, comme de bien entendu = sans précautuions, sans temprérances, etc, «comme ça vient», et ce afin de toujours toujours mzaintenir le flux ravageur, ce flux de roche en soi (mots-betes de circonstance) capable de «tenir la route longtemps» et de «repousser  les a ssa uts du Temps de la Mort à l’oeuvre (en notre sein)» car Mort est là qui cherche, à percer vl’hyme,n de pareille cohorte animale en nous, la mort (Mort) cherche à  traverser pareille étoupe animalière, la percer en elle ezt se faufiler la «coquine», la «cochonne» ? la «peztite «trainée «  ? etc, les mots ne manquent pas qui disent la chose de près, etc, nouys pensons cette chose comme quoi la mort est c ette chose en soi = en nous , qui pousse à vouloir traverser le verbe incantatoire et à aller direct à se ficher sur paroi temporelle, or il ne faut pas, surtout cela (le dire) comme quoi il est préférable, de ne pas laisser la mort gagner du terrain, cvar la mort a vite fait de grign,otter, elle «va bien «, elle n’e’st pas malade, elle est en pleine forme, elle pète la forme de belle saleté d’antre (en nous), elle est une chose qui tient dur en  ous et cherche issue verbal  or comment ? car en nous l’animal (le mot) nous sauve, le gros carnassier, ou le gros et  gras herbivore, qui obstrue en bnous le passa&ge à « Mort de mes... » qui est cette sorte de «sal ...» qui «va bien» (« la p...») pour aller bien, car pour aller bien elle va bien ! elle pete la forme, mais ne peut le montrer en nous car nous sommes en vie grace à l’action, conjuguée (entrelacéz), des betes entre elles en nous : leur fonction, leur calcul, leur puissance, leur majesté, leur grandeur royale, leur force de vie, leur prestance sur rochre (où la ressemblance a son importance majeure) etc, nous possédons en nous cette cohorte de tous les instants qui bouche l’issue (étoupe) et empêeche la mort de vebnir passer sa tete de «sal... de petite puta...» ou comment dire cette «chose» de la mort en  n ous , qui va donc à cher cher à trouer la bouche la no^tre ou a pareille envie : comment ? mort est ce dire de peu qyi pousse, il s’agit d’un dire decpeu qui pousse et cherche à percer, il s’agit de ce dire de peu de poids (lui !) qui cherche à trouer bouche animalière et prendre ses aises en roche du temps or il  ne faut pas : nous devons rewster en vie, malgré les douleurs (la douleur), malgré nos erreurs et  errancesq, etc, nos prises -emprises, etc, nous ne devons pzas céder de terrain à pareille entité ancrée en bnos corps d’hommes d es  avernes, nous devons tenir et les anima ux en  ous sont une gran,de aide, sqont pour nous d’une très grande aide car ils sont massifs (doduus!) et tiennent le choc devant toute pôussée intempestive de la part en nous de cette dame ou de ce sieur dit «de la mort à l’oeuvre», etc, l’animal est un mot de rocghe, il tient la porte (un videur ?) et ne s’en laisse pas conter, il est fort comme un ours, il tient bon la barre et masque l’entrée (la sortie) à qui que ce soit en  nous qui chercherait à passer par nousq (traversée) et à nous percer comme une outre, l’animal en nbous est passé par là qui nous aide à nous maintenbir ven cvie le plus possible c’est à dire le plus longtemps possqible : nous tenosns à rester en vie, nouys n’avons nulllement l’intention de sombrer dans les marécages de la mort à l ‘oeuvre, nous ne voulons pas de la mort, la mort pour nous est cette «saklop...» qui nous fait du tort, cxazr elle cherche en  nous à gagner cette bagarre, contre  l’animal  de pôids des roches     ornemezn,tées, les mots sont des entraves au passage de Mort, en nbous, via la roche du tempsq, bnouys avons en nbous des mots-animaux qui sont comme des obstacles , des entraves, qui poussent bMort à rester à sa place bien cachée en nous, qui est donc cet endroit où la mort reste à l’ombre ainsi (entrailles cachées) etc, nous devons co:mprendre cette cghose comùme quuoi la mort est une chose enfouie, irrégulière, moche aussi  bien au sens où son «visage» est disgracieux du fait qu il ne ressemble à rien = non symaetrique, non disposé comme un visage dit « en miroir», etc, la mort n’a pas un de ces visages qui est comme  celui lçà que nous arborons (de visu)- et montrons à qui vseut sur terre, non ! la mort est disghracieuse, a pris son obus de face, est défigurée, ne parle pas bien, prononce mal les idiomes, et à son contact on en perd le nord vite fait car elle vous arrache à la vie tout ce dont elle est capable ou comment exp^rimer cette chose d’un grignotage contibnu si l’on n’y prend garde ! nous devons aller ainsi en roche (fusain) tenir Mort à distance ! cela est une certitude, comme un plus un fait deux ! oui : la chose est matémathique ! nous avons à tenir (via mots-betes de roche incrustés) la mort à bonne distance (en soi, mais au plus loin de soi en soi ) , nous devons tenir la mort loin ! nous ne dezvons pàas tenir la mort en bvouche ! la mort doit etre tenue à bonne distance et rezjetée cvomme un mal de dents, comme une carrie, comme une blessure de guerres ou comment ? peut on «rejeter» un mal aux dents ? oui !!!! et comment !!!!, car nous sommes armés pour «penser» cette chose comme quoi la douleur par nous est rejetée , ne nous sied pas (lka plupart du temps ou pour la plupart d’entre nous), la grande douleur est refusée par nous en nous = par je , quand un autre je essa ie de comprendre icelle en  nous, qui sembvle «plaquée» sur nous, comme motif a nima lier sur roche de grotte, etcx, nous avons en bnous la Mort à l’’euvtre qui cgherche à pezrcer or l’animal-mot en n ous inculqué empêche pareille sortie, il est bon et juste de souligner cet état de fait, les mots déposés sur roche sont mots inculqués quyil nous est impossible de désaprrendre, et ces mots «de vérités», c’est à dire contena nt les «vérités intrinsèques» (celles là repertoriées dans le dictionnaire des mots) ces mots sqont des mots de type salvateurs, ils nous protègent d’une sorte en nous d’invasionb barbare de la mort à l’euvtre, il nous sembkle ici (à ce stade de nottre enquête) que la moprt est donc bernée en  ous (où% exactement ? that is the question! ) par des mots de betes ou mots-betes de p)aroi (ces dessins a nimaliers ne sont au juste rien de plus) et cet ensemble de mots-betes forme langage de repoussée, langage-repoussoir de przmière, chose ainsi qui est là en termes de ‘entrave à une sorte de sortie buccale (de nous) de dame ou sieur de la mort à l’oeuvre;, maiis des lors où donc est elle située en nous ? où donc loge-t-elle ? que fait elle ? que désire t elle en n ous sinon cette issue il semblerait ? que veut elle en nous, et comment est elle e,ntrée en  ous ? comment faire pour la repousser ? comment faire pour (donc) repousser la mort ? en hurlant nos noms d’emprunt de naissance ? sur roche de grotte ? via des représentations animalièresq ? des «gros mots» de betes de poids ? insanités ? qui pissent comme vache et vont sur pré ou dans loes sous-bois ? qui nous dira ce qu’il en ressort ? nous avons besoin de comprendre cette chose d’une sorte d’entité en soi (de roche ?) qyui cherche à trouver issue et pense pouvoir nous berner via ce pic, animalier, de la première heure ourr comment ? car il est impossibvle (ou tres difficile de soi même) de sortir des rails pour ainsi dire c’e’st à dire : de désapprendre les mots d’une langfue, sa syntaxe etc, comment faire ? une langue est un ancrage quyi prend une place ou plutot occupe cette placve ezn bnous «dévolue» à la mort, et dès lors que nous sommes à même de «parler», c’sest à dire de ne pas pouvoir nous échapper d’une cape (de «cap») langagière, dès lors que nous en sommes «recouvertsq» ou «prisonnier, alors voilà ce qui est : la mort est repoussée, la mort ne peut accéder à kla roche et aux dessins animzaliersn, etc, dès lors que nous sommes affublés (pelisse, chandail, étoffe, couverture de  bure, etc,  c apeli ne) , oui dès lors que nous sommes ainsi comme couverts d’une peau de bete sur nous alors nous sompmes comme protégés de cette mort en  nous (maisq où en bnous ?N) quyi cherche à tracer sa route et sortir de nous comme une malotrue qui veut ou voudrait attenter à notre vie de roche, c’est ainsi que nous voyons les cghoses, nous chercghons à comprendre cela comme quoi les mots entravent la mort, l’empêchent de «passer» ce cap en n ous de la bouyche pleine, nous cxomprenons que cette mort en nous cherche à gag,ner du terrain et à) trouver une issue buccale autant que pariétale (par contiguité) car nous sqommes ainsi collés-accolés à la roche (baiser) et nous sommes ceux là qui «baisons» roche pour la pénétrer et trouver issue en pareille entité pariétale temporelle, entité rocheuse des temps, qui sont temps de salut, de sauvetage, qUand la mort n’e’st pas là pour nouys sauver la mise mais tout au contraire sembvle til  : pour nous défigurer ! car la mort est une entité dé»vastratrice , et non du tout bienvieillante ! où donc la mort en nbous se loge t elle ? dans la mémoire ? peut etre ! dans la plaie de bouche ? dans le coeur ? dans le san g ? dans les veines et auttres a rtères ? da&ns  le souffle des poumons aérés ? dans les jambes ( les «guiboles») ? dans le ventre ? dans le «c...» ? dans le dos ? dans les ailes ? nous ne savons pas en bnous où donc la mort se terre et cela nous enquiquine , car nous a imùerions savcoir (++) car nous sommes friands de savoirs, nous sommes des chercheurs-découvreurs dans l’âme, nous voulons connaîtrte ce qui est ici et ce qui setrame sur pareille question liées aux mots que nous prononçons, ce qu il y a derrière, ce qui se cache en eux , pour nous qui aimons les découverttes, etc, la mort est cette chose en nous que nousq cxherchons à comprendre et pour cela nous posons des mots à brule -pourpoint et nous espionnons, ou comment, nous regardons attentivement, nous observons les données rupestres et que voit -on ? nous voyons cette chose d’une bete dessinée à) main levée, cette bete grosse est un azurochs, il bat sa mesure, il est fort et rude, et rudement bien figuré (c’est à dire que grande est sa ressemblance avec son modèle de la vie en vraie), je dessine un aurochs sur une paroi, les mots sont ceux là qui sortent de ma bouche et trouvent parade sur roche, ainsi de suite sans perte de temps, de sorte que la mort ne peut (en moi, ce faisant = vivant) trouver un accès pour sortir de moi et aller ezn roche à ma place (s’étendre ? s’allonger ? s’ébrouer ?se délasser ? se bronzer ou bronzer ? ) car voilà ce qui est : je suis un homme qui vit une vie sur terre qui est (c ette vie) une sorte d’encklave temporo-spatiale qui contient bien des tourments et cependant se présente à nos yeux d’mhomme et de femme des cavernes comme une sorte de creuset où faire (fabriquer) de l’or, cet or est notre but, notre réconfort, bnous cherchons à fabriquer de l’or, bnous ne voulons pas laisser la p^lace (la place de l’or) à cette mort en nous, à cette chose en nbous qui est cette mort à) l’oeuvre logée, ficelée à nos entrailles, etc, cela est dit ici : la :mort est ficelée à nos entrailles intezstinales (vilainetés visuelles) et nous de l’ignorer (autant que faire se peut) et passer outre en roche, armé de ce  fusain de guerilla, de ce fusain de guerre (contre la mort) qui est arme, arme de salut temporel, nous ne voulons pas que Dame, Sieur La Mort vieznne, ouste ! «du balai cocjhonne !» ! saleté ! pu... de m...», comme on dirait ou comme on disait (autrefois) dans les grottes (il y a qyuzelques milliers d’années en arrière) , nous essayons dee comp^rendre ce qyui se treame ici et pourquoi la mort n’a pas «son « entrée qui aurait été offerte, ou qui lui aurait été offerte par on ne sa it qui de divin (?) qui eut été son mezntor ou alors sqon assisa&nt ? son fguide spirituel ? le gourou de la mort ? la mort est cette chose dite qui est cette cghose d’un dire trompeur, ou comment ? la vie est un tourment pour tout un chacun et  cependant nous y tenons mordicus, et plus encore à celle de nos freres et soeurs de tribus, nous n,e voulons pas sombrer, nous vouylons poursuivre notre chemin car on ne sait en vérité ce qui nous attend,  nou!s ne savons pas ce qui nous attend alors que nous savons de nous certaines choses, comme la doulmeur par exemple, ceztte choqse en n ous qui ressort de phgénomènes de douleur, de difficultés pghysiques etc, car le coprs est une plaie vive, le corps pezut souffrir lesz pierres et dès lors contient la douleur des pierres,  et la mort en nous chercherait à se loger ? ou bien où est elle si ellle est ? le saverz vous ? je cherche où donc peut -etre la mort en  nous serait logée, où donc la mort en  ous serait logée, où pourrait elle se loger en nous , en notre organisme, où est logée la moprt en  nous en nos organismes ? dans un viscère ? dans un membre ? dans le sexe ? da,ns le dosq ? dans le cezrveau ? dans les «mollets , mollets , mollets» ? «words , words, xwords» ? «aurochx , aurochxw, aurochs» ? ou alors où ? nous essayons de comp^ren,dre ce qui ici en cette roche dure du temps se trame ou se tramerait en termes de vie ou de mort à l ‘oeuvrte, que se passe-t-il en pareillze rochje ? la mort = entité intestinale ! il est bon de comprendre  cette chose en nous d’une sorte d’entité rôdeuse de première, qui cherche à no!us p hagociter, nous a ma douer, nou!s leurrer, nous tromper en essayant de s’immiscer en cette queue de verbe buccale , saleté ! saleté dee la mort à l oeuvre en nous ! mais où ? nous cherchon,s où donc en nous la mort pourrait-elle bien trouver à se cacher ? le palais ? la langue ? kla gorge ? l’intérieur desq jouesq ? les sinus ? les narineqs ? où donc ? nous porton,s mots de bouche à cracher sur roche, et ces mots de bouche sont choses dxe peu au reghard de : Sa Majesté la Belle Meunière des prés musicaux,  cette belle et douce meunière enrubannée qUI est notre amie de roche, nous voulons esdsayer de comprendre un certain  noçmbre de données concernant pareiklle entité logée-cachée, qui est-e lle ? que est elle ? pourqyuoi est e lle ? que vient ellez faire dans notrte existenxce-galère .? pour qyuoi kla mort? intérêt ? nous essayons de comprendre, de cdénouer les fils de la pelote et ce n’est guère choses facile, loin de là ! cela n’est pas une» chose très facile à comprezndre, cela, comme quoi c’est grâce à lui,  notre langage humain, articulé inculqué et en vahissant comme une odeur forte, oui, grâce à luii, au parler natif aerticulé et enrégimenté, etc, que nous repouussons comme l’échéance d’une mort inscritgte en  nous (gènes ?) et qui trépigne en nous comme une (autre) bête, nous a v ons bon espôir de pouvoir tenir en vie longtemùps en,core et ne pas vcéder, ne pâs sombrer en roche, tenir noptre place en boànne et due forme pa rmi les betes, les mçts sont des betes comme les autrees, p^ rmi tous ces mots de roche, qui br(outent;,, paissenbt, ou  bien s’ébrouent, ou se secouent pour se dégourdir, nous déposons a&uinsi sur cette roche frontale nos trésors de temps impartis = ce langage vif de pa rois, ces beztex-mots repoussant lesq é&chéa nces funestes, eztc, nouds voulons aller en pareille roche du temps, a rmé d’un savoiur de ba se a cquis or comment savoir ce»tte chose ? qui saurait nous renseigner à bopn escient sur  cette cghose ? notre but est de vouloir savoir ! nous voulons copnnaiotre les données humaines ezt pour c ela nous avons )à croiser les chodses entre elles et faire desrecoupements autant que fa ire se peut : trouver le pot aux roses x et x fois ezt a lors ensuite regrouper ces x et en tirer un genre de conclusion, nous sommes fria,nds dfe cettye chose, nous voulons connaitre les données de cette cgose commùev quoi les mots sont des garde-fous peut etre contre la folie (?) ou plusc surement il semblerait contre la mort, qui est aussi (avzant toutes choses ?) un genre de cfolie peut-$êztre, je ne sais pas, hje dis ce qui est qui me  vient mais en véritév j’ignçre  cette chose, ce savoir, commpe qyuoi la vie est fa ite de mots de roche gravés à m^zme l’anfractuosité, et la mort dès lors eswt coincée (tenaillée)dans un orhghanisme, en tant que chose prise à part ou coincée dans une bulle, je suis un homme des cavernes, je m’appelle Nologips, mais mon vrai nom est§ Personne, je cherche à comp^rendfdre  ce qui est dans ce bas monde qui nous voit aller et venir commùe un troupeau de betes des champs, je chezrche des vérités dans les profondeurs, ou à la surfavce, la profondeur devient surface dè!s que mise à bas eztc, nous (et je) dfisons (dis) ce qui est en pareille roche, la tra me, le Mal absolu, la Douyleur des organes, etc, c’est une chose ainsi qui est cette chose coàmme quoi nous sommes ainsi des hommes et des femmes des cvavezrnes quii cherchopns la vérité ebn toutes cxhoses, cv’est à dire de ces sortes ici de «vérités entre elles», oui, il s’(agit bien de cela, dxe mots qui se pzarlent entre eux pour aindsi dire, et pour le reste alorqsds ? quelle langue parlent les pinsons ? kes crocodi!les ? les orang outang ? les b elettes ? les oies ? les gorilles ? lesz scara bées ? les mou stiques, etc , quelle est donc lezur voix, leur langage vocal ? nous devons essayer de comp^reznxdre le plus que nous pouvons et aussi ne jamais lacher (pas une seconde»)  car la vbérité des roches est à cve prix, nous  devons tenir debout, emmaga siner des forces debout, et marcher continuement jusqU’à temps que nous puidssionbs trouver une lumière da ns lezsw p)rofondeurs, nous voulons a ller le plus loin possible ici (che»mi, de la vérité&) et pour cel a nous croisons les doigts et nous nous immùiusçons au coeur de la paroi, nous nous y logeons comme dans un temple, nbous ghravo,ns des betes de roche (aurochs, etc) et ces betes sont des noms (lesq nôtres ? pas sûr ! ) qui sont des i nsultes (outrancièresq, graveleuses) pron oncées à la cantonade à haute voix, les mots en bouche inculqués nous protègent de la mort dirzcte et repouussent léchéance, je suis homme des cavernesz, j’entre en roche, $mon nom n’est pas attribué ou s’il  l’est il y a maldonne, car il sembvlezrait que cette perspoon e (moi) que je sera i n’est pas celle ci qui donne (décline) son identité à) tout bout de cxhamp (et faussement) car mon nom n’estc pas mon nom «terrien» pour ainsi dsire, je m’appelle oloron et no spigolon, ou alorsq cxomment ? balcon ? savon ,; cannasson , rigodon  ? piston ? couillon ? commen,t ? mon nom est nom de la roche dure, son etre-nom en lui-même est fait de cette chose d’(une vie, vive, qui ghurle son ire ! j’essaie de m’a va ncer en roche comme dans la mer, doucemeznt, à petits bas d’abvord , puis l’heure du plongeon arrivera qUI me vezrra plonger tete la première (fissa) en cette roche pariétale, roche des dessins gravés, ou dessinés, simplement, par pareil homme que je suisq, ce graveur de roche, cet illustrateur, ce cxharmeur, ce marchand de reve, cet australopithèque, ce méridional, ce char(meur de sezrpent, cet olibriuqs ezn roche du temps, dessinant à qui miieux mieux qui des bouquetins, qui des reznnes, il s’agit pour moi de comprendre les ressorts secrets du langages , quels sont ils ? il y a cettez dponnée de naissance = ce bain dans la langue, venant obstruer les pores de tout etre naissa nt (fille ou garàçon) ven ant sur tzerre armé de ce baga ge ou bagage cde guerre (guerilla&) pour ains i dire;, kje voudrais sa voir ce qui est sur roche qui nous atten, je vois la roche comme un temps d’offrande, le temps des offrandes, des pr&ésents, il est bon p)our moi de bien comprendre  ette cxhose et de la respecter, d’y veiller, je veux savoir, qui saura me dire ? je suis un homme des cavernes , et en tant que tel, je me dois de gra ver longtemps et profondément,; et avec opiniatreté, et courage, des betes ezt encore des betes, des betes de gros poids,; qui vont et qui viennent sur paroi en lieu et place de la mort à l ‘oeuvre, c’est§ à dire ezn lieu et plavvce d’une sorte d’ abalndon, car la mort n’est pas cette chose ou personne de confiance, ezlle ruse et trompe son mondeen moi comme ailleurs, je suiis un homme au pouvoir accordé de la parole a rticulée, je vais sur roche a rmé de ce pouvoir animalier, je cherche une réponsze sur la Vérité à même la roche, que penser ? la mort est Une et indivisible tout comme est la (dite) vérité des vérités, je gambade sur roche, je suis un chevreuyil aux bois hjolis, ma ramure ezn impose des louches à qyui veut s’en enquérir, ou s’en rendre compte, je suis cerf de roche, mon nom est Le Grand Cerf de Roche Dure, jhe suis passé maitre dans cet art de percer la roche de mes bois et de déambuler en pareils lieux sans entrave autres que ceux (celles ) liés aux bords ma rins, je suis un chevreuil aux boi!s fleuris, mon nom est Personne, ou Bambi, ou autre (nologips ?) qui me colle au corps comme une sangsue car en vérité : a i je un nom ? ou bçen suiis je né sans nom ? et qui m’a donné un nom si tant est ? j’ignore qui c’est ! je ne suis pas né sous mes yeux ! je n’ai que des raconrta rs (sur ma vie de mes débuts) à) raconter et c’est maigre ! qui est quyi , qui est quoi ? je brule d’envie de savoir d’où proviennent ces choses (en moi) de cette véerité des termes klangagiers, c’est à dire de cet aspect (relevé) de vérité en chaque a cception, qui sait  ce qui estv en  cette matière ? mon n om est donnée de roche (mots-betes) et s’inscruste dans les memoires (pariétales) comme un «gros mot» va s’incrusqtant de même, mon noçm est nbom d’emprunt, nom offertv à la naissance,; mots de betes alloué , qui vient se loçger en moi (où?) comme une  sorte xd’emprise sur moi qui sezrait encore et toujours à vouloir se loger, je veux savoir ce qui m’&ttend, à quoi ressemble lma mort et y a t ildes mots pour dire cvette chçse, ou bien : pas de mot ? des mots de beauté ? des mots d’a rt ?. de l’art ? de  ette choqse dite «art « ? qui sait cette choses ? je cherche des réponses dans ce sas de roche temporel et c’est ainsi quye je vais de l’avant en la roche, comme un bouquetin sur son pic pointu, manquant me ficher en l’air mille fois ma is non, toujhours là qui demande zncore et ezncore des savoirs ou à apprendre des sa voirs: qui est quyi en cuisine ? qui fait quoi ? qyui décide ? qui prépare les petits plats ? qui connait la vérité du globe ? pourquoi des hommes et des femmes des cavernes ensemble en lévitation ? qui veut savoir avec moi ? comment dénicher les choses cachées, avec ce verbe à nous alloué ? qui peut me guider et me donnerun fil à ne pas lâcher ? je cherche une vérité à même la roche, mon coeur vibre à l’unissonb, il s’agit d’une volonté farouche, et impossible pour moi de m’arreter ca&r la vie est l oeuvre, le souffle a nimalier compose sa traîne, son pic de tresse et trace sur rochge et permet l(‘immixtion en icelle d’une comme sorte de prière notée sur un bout de papier inséré vite fait à même la roche (intersitice) , je veux comprebndre cette chose en roche d’un dessin-mot de betes des prés, ce cheval : qui est ce cheval ? est il un nom et si oui de qUI  ? qui peut (pourrait) m’expliquer avec des mots simples, avec des motsq simples de preéférence , qui pourrait me dire tout ? qui saurait me dire tout ? je suis un chevreuil, je suis doté d’une pelisse, j’(ai des bois , c’est àç dire une ramure qui en impose, qui en jette, qui ezn fiche plein la vue, ma beauté naturelle est sans conteste, mon nom ,m’a été offert (donné-br ûlé) à ma naissance par une entité de la roche nommée (l’entité ) : l’Entité, et c’est ainsi que je vais zet que je viezns squr roche, moi chevreuil, gambader, sautillezr, me tr&émoussezr, me dérober aux rzega rds a vant de réapppâraittre, je suis méga-chef de la roche dure des temps impartis, mon nom est un nom d’emprunt, mon sa bot est lourd, ma pelisse est douce, tendre, velouté, je suis une bete belle comme mots de roche sur paroi : ressemblant (le mot) = fulgurant ! mon nom est tempête ? ) ou fulgur (?) ou quoi d’autre ? je «me» cherche un nom sur la roche : au fusain= au baton, je suis cerf de roche du temps, je vais et je vciens dans le temps : loopings, allées et venues, cahin caha, de droite et cde gauche, je trace chemin de randonné&e, je suis  cerf de roche dsure qui va de son allant sur pa reillle roche des temps offerts, quel est mon (vrai) nom ? je l’ignore ! chevreuil ? chien ? chameau ? un nom d’animal mais lequel ? la vérité est animalière ! il s’(agit de creuser (pour soi) la roche deva nt soi et de s’y glisser (vite fzait bien fait) dans un interstice rochezux, et, au dedans d’icelle pa roi, aller et venir ezt ga mbader à sa guise comme l’animal choyé, élu et affirmé, je suis chevreuil-homme, homme-chevreuil de la roche, je suis mi homme mi che vreuil , je cherche en roche une «vérité de base»  sur laquelle m’appuyer, sur laquelle me dresser et faire impression, mes mots de tete sont de roche, sont mots-betes de p^rairie, sont mots  d e la base et du sommet : des monticules à travezrser, je suis cerf Méga le Grand de Roche des Prés et Prairiesq domaniales de pareille pâroi, mon nom;s’écrit à l’encre sympathiquze, au fusain de bois, au manganèse sur pàaroi des hommes des cavezrnesq, j’avance bon train sans une direction donnée qui voit le verbe aller sur roche comme une sorte de tracé d’homme des cvavernes sur paroi de ghrotte, mon nom eswt a insi orné d’une b ete de roche, comme enluminé, comme décoré ou illustré ! je chezrc he une vérité de roche dure, mon nom est  celuyi qui s’inscrit sur la pierre comme gravure sur un mausolée, comme gravure sur une tombe, ou sur pierre tombale du temps, je cherche une ré&ponse à des queswtionnements langagiers animaliers de base et  c’est ainsi que , me posant moultes et moultes queswtions, j’en arrive à  cette conclusion comme quoi les mots en soi obstruent le passage du vent cde la mort qui emporte tout sur son pasdsage, je vois cvette xchose crûment se dessiner au charbon de bois sur roche, sur paroi des hommes, etc, je suis homme des cavezrnes, ou méga cerf le grand, selon les instants et ma lucidité, je cherche à comprenxdre les enjezux qui sont  ceux  de la roche ornée  : pourqyuoi ? qui pârle en paroi ? dans quelle langue ? qui dit quoi ? qui veut parler ? qui veut dire son  nom et se sauver ? le nom sauve t-il la mise ? la vie ? qui veut se sauver ? qui ne veut pas xse sauver ? comment se sa uver ? que faire pour cela ? le nom d’emprunt peut il ,sauver et que sauver ? que de soi sauver ? sa voie ? son  n om ? son =être ? sa foi ? sa voix ? sa tendresse ? sa dureté ? sa souplesse ? sa rigidité ? son charme, s a beauté des prés ? son sens de léquilibre ? sa mise e,n demeure sur rocxhe ? son installation prairiale dite pa riétale ? son éternité temporelle ? son jeu ? son je de cerf ? son je d’homme ? sa crudité ? sa cruauté sur pareoi lisse ? son feu intérieur ? ses laermesc? ses a termoiuements ? quoi d’autre ? je suis megacerf le géant de céans et je veille sur icelles tribus des roches, sur progéniture, sur mes instinxts, je vais sur roche animalière afin de mù’ébrouer, me détendre et savoir ce qui est d’une vie de roche animale : pourquoi, quand et où aller exactement ! vers les embruns ?  vers la vie lointaine des embruns ? où me rendre ? où donc déposer ma vcarcasse rigide le jour venu (si tant est que ce jhour un jour advioenne! )  ? qui sait ? je suis mi homme lmi cerf = un nous ! je suis ce nous qui dit nous le casc échéant : mi homme mi-bête ! je suius je le chevreuil du temps imparti , je vois les choses ici depuyis pareille roche gravée, où suis hje en vérité ? qui est kl’instance ? qui parle pour moi ? qui donne le la ? qui connait les données du je ? qui sait se prononcer et dire les mmots justes ? qyui sait  ce qui est de la  véerité des choses montrées, et de celles qui elles ne sohnt pas montrées , qui ? je cherc he des réponses en roche , pour ma propre gouverne et pour celles de mes des cenda ,nts ! je suis Mé»ga, cerf cde céans , je suis un olibrius mais je suiis un occupant, et dès lors je vois des choses, je vois bien des cghoses se tramer et je pezux témoigner de tout cela que je suis amené à voir de mes propres yeux, je suis un homme-cerf de pa roi de grootte , et c’est ainsui que hje visionne b ien des choses dites «de la véreité du monde», car mes yeux y voient et mon coeur bat, il ws’agiht de ces deux choses ! homme cerf de la roche du temps, mots-betes pour ma gouverne, oriezntation, cheminement, volonté ancrée, cxhemin faisant, comme tout homme-cerf qui se respecte ou comment autrtement ? je vais en roche )à la recherche d’une bvérité qui serait celle-là liée à un savoir a ncré dans la profondeur, je cherche à comprtendre cve quyi est qui se cacherait da ns la roche, et qui en xdirait long sur tout et surtout sur la vie de Mort la Gra nde la Vilaine ou comment la désigner car nos mots sont des beztes, nos betes des mopts, et pas n’importe quoi en matière de mopts maiis il  s’agit ici  de mots dits «grosq», ici, ezn roche, il s’agit de mots dits «gros» ou «gras», qui sont prononcvés à haute voix, les mots des grottesq sont «vgros» comme des injures, des insanités prononcées dans le but de désigner l’entité sous jacente, dite «sous -jacente», qui est celle là qui chezrche à nous ravir,,  ette Chose de la roche dure, cette cxhose qui porte atteinte, qui toujoursc  cherchge pareille finalité définitive, etc, j’(ai nommé Dame-Sieur de la Mort à l ‘oeuvre hélas,  cette «saleté» à ne pas approcher car elle brûle tout ce qu’elle toucxhe ! il s’agit d(‘un feu ou foyer inca ndescebnt,, brûlerie, foyer de brûlerie ! aïe ! ne pas s’en a pprocher sous peine d’y rester à jamais et de suffoquer pour l’éternité ! ou l’inverse : 1 : de suffoquer ,et 2 , d’y rester à ja&mais ! je suis l’homme-cerf des cavernes, je cherche à comprendre ce qui est à l’intérieur du lmangage, cxommeznt y eswt -on ? que voit on , ou qu’y voit on ? qui saurait me rensei gner ? iln ‘ewt pas facile cde s’y retrouver, je cherche avec assiduité, avec volonté, avec un grand sérieux ce qui est qui pourrait nous renseigner sur ce que c’est que  cette chose de la vie accouplée à la mort, comme les cdeux moitiés d’une même et seule entité en miroir : mon nom ? MON NOM ? ou quoi ou comme ? car mon nom eswt cette chose (visuelle, vive, visible, en V) qui est cette chose offerte à la vue comme une Véreité cde bon aloi, de bonne fame, dite-montrée comme une ramure, etc, et c’est ainsi que moi (Homme-Cerf de  céans) je peux en avancer sur ce chezmin xde lma «véreité des choses à dire» : ce V comme un col, comme ramure de  cervidé etc, serait signe distinctif d’une chose de poids en matière de Vérité vraie ! et cela est à souligner ! ce V est  cela même que je vois se desswiner sqous la main qui est mienne et porte le fusain qui trace, ce V est signe kab balistiqsue (un V, comme celuyui du mot Vérité) et signe des temp^s , ce V est le signe de ralliement, signe du temps offert sur pierre tomballe ou table aux odffrandesq, j’offre ce V de Vie comme  vraie, j’offre un V de roche sur pàaroi et fait accroire !  je suisq cet homme-cerf à ramure dorée qui offre le v de sa cvie fausse, mot de joie, emprunt, 

ramure; donnée débridée, découverrture de sqon soi de rage , insulte, ignominie proférée à meme la roche, etc, j’offre un mot «gros» comme une insanité, sur pareille rochje du temps (des présents = des offrandeqs) et cela est ainsi que je (hhgomme-cerf) donne (injuriueusemexnt) à lma mort MON NOM en miroir (ce miroir) qui est cette cxhose d’une xdonnée brute (sans chichi) censée pouvoir AGIR et toucher a u but, qui est celuyi x$de rester en vie, je suis cerf-homme, cerf volant fait homme , je grimpe, je mélève et vais fissa qgravezr squr roche des dso nnées de toutev première importance : mon nom qui est une insulte, mon nom (de toute beauté ? ) qui est une insulte -proférée à l’a dresse de Sa majesté La Pu;;; de mes Deu... qui esEst ! cette Sal.... de Morrt à l’oeuvre, qui va là sur roche me chercher (?) ! je suiids chevreuil, je suis homme, parefois je siuis chevreuil, parfois je sius homme, je suis c e chevreuil du temps, et quezlqUefois je suiis homme du temps, je suiis une sorte de chevreuil nommé (dénommé) , et quelqjuefois je suiis une sorte d’homme des tezmps alloués en roche, je vais et je viens dans la roche, je suiis dans la roche des temps l»’(animal du frai, je suis rocheux l’animal de pâroi, homme de vie dure, mi homme mi bete, cherchant sa vérité vraie à même la piezrre, je cours et volette, je montre et je des cend, car mon nom est neuf comme un nouveau né , comme oeuf de juste éclosion venant de percer, ou cxommùent signifier ma jeunesse de présentation ? je suis mi homme mi chevreuil, mon nom est Brillant de vie riche, je vais en roche comme un  nouveau-né venant au monde : les yeux grand ouverts sur pareille paroi du monde , j(ouvre ghrand les yeux sur le monde, mon monde est celui des embruns, de l’entre-deux-mers, des év&abnesczences pariétales , je regharde tout alentour les betes des pr»és qui broutent et me regardent placidem=ent en retour, mi)homme, mi bete, pour :la gouverne, mo,n tourment, mes recherches, je colle à la roche, je suis cvomme une offrande déposé, mon corps est doublé de celui dela bete en moi, mon corps d’homme naissant est d’emblée doublé de celui e,n moi de  c    ette bete dite «bambesque», qui va comme caracolant son chemin de croix à meme la paroi du temps, je cxherche le V (l’ouVertute) de la vérité, je cgherche avec opiniatreté, avec une grande volonté et je suis plein d’espoirs d’un hjour pouvopir, je le veux, trouver cette cbhose, d’une vérité en vrai, ce V de la chose, qui dira, qui saura me dire, prononcer les mots doux, les mots justes, qui diront le nom, le vrai nom de folie, ce nom xde folie douce, cettye folie-nom qui sera, qui saura, qui pourra, qui révèlera les c hoses associiées, ce V sera le nom des dires «Majeurs», je verrai (mi homme, mi-chevreuil) ce quy’il en eswt en fin de cette cghose devant moi (cet art de la fugue) déposéee, enfin je saurai de quoi il en retourne, ce qui est qui est, ce qui n’est pas qui donc n’sswet pas, la beauté des agréments, la douceur des sentiments, ce velouté temporel charmant, cette etran,geté, cette biche, ce faon, cet enfant naissant, ce petitt être sans pârole, cette chevzuchée dans le temps, cette ma scazrade, cette chaloupe, etc, mi homme , mi chevreuil, j’avance sur roche, mon nom s’(affichera (dès lorss) sur pareille pareoi aux embruns, je galope, je m’arrete, je rezgarde, je scrute l’horizon perlé, je sens lma vague approcher, lma vague d’engloutissement, à moins que ce ne soit qu’un souffle cde rien, une brise, un crachotis, une tout juste offrand respiratoire, un petit rien soufflé comme brise des temps, je vois les lointa ins, je parle une langue tracée, mon cvorps est comme sectionné, il en va de la véerité desq choses, ceelle là que je rezcherche avec assidyuité depuis touj,ours, je suis homme des cvavernes ours des cavernbes cheval des cavernes homme des cvavernes chevreuil des cavernes lion des cavernes homme des cavernes, homme-femme des cavernes pour ma gouverne, homme femme des cavernes pour un sentiment, un mouvement, une per        cée, une trouvaille, une chose à conserver qui est cette chose d’un nom donné qui ezst cette chose d’un nom porté comme une preuve, une vérité de roche, une sorte de vérité qui serait celle là que je rechercherai depuis toujours et qui serait mon nom,  p^rononcé par la bande : ce nom de la ba se rocheuse = MON NOm de paroi

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23/04/2021

je suis l’ami des betes et le présent donné sur roche, je grave à l’envi des représentations de betes fauves, fortes, massives, lourdes, imposantes, je suis l’homme en lévitation qui, en roche, va profond et grave des betes de poids, des betes qui pèsent de tout leurr poids dans la balance du temps imparti, du temps réduit, je suis cet homme au pic verbal de bouche entrant dans pareille roche du temps et gravant des betes massives, effigies, figures, représentations des plus ressemblantes pour en imposer sur roche à qui de droit, montrer la vie massive, et brûlante en elles, des betes de poids sur paroi de grotte, etc, je vais en roche pour la bonnne czause, je suis l’homme des cavernes et des gouffres profonds, quyi cherche vérités en eux, en pareille excavation enfouie profond, je dessine à main levée des betes de poids qui sont lourdes en pareille paroi et imposent leur massif de choix, je dépose (des présents) sur roche du temps et pense, ainsi, m’acquitter à bon droit de cette chose ici d’un don à faire, à Mort de BOuche la grande, Mort de la Bouche ouverte, grande Bouche de la Mort à l euvre etc, cette entité, cette chose en aval, ce trou à l’horizon, cette clarté votive, cet espace-temps absolu qui nous tend ses bras, cette bouche cannibale, cet oeil de vie , de perdrix, cette chose en poste devant soi comme une relique, etc, j(avance armé, je suis l’homme dessinan,t des betes qui sont des apprets, je suis cet homme dessinant des betes-appeausx, des betes trompeuses, je suis l’homme des cavernes dessinant des betes-appeau qui trompent leur monde etc, j’avance ainsi en roche entre deux mers, je m’avance à pas feutrés, je suis l’homme qui avance )à pas feutreés sur pareille roche des apprets, je suis l’homme qui, en roche (inclus) avance à pas feutrés, s’avance, poursuit son chemin vers une sorte de clarté et cher che vérité en roche, au fin fond, pour sa gouverne personnele, vérité de bon aloi qui puisse «le faire», vérité qui soit, à ses yeux, une chose qui compte, qui informe, qui donne du sens, qui en dise long sur les choses du monde, je regarde autour de moi (en roche) ces betes qui paissent, je les vois aller et venir en prairie, qui broutent et me regardent, ce sont des betes de paroi, des betes sur pattes, je les aime d’amour, ce sont les betes dessinées ou grav»ées sur roche et ce sont les miennes pour ainsi dire, betes chassées, betes croisées, betes de roche dure des temps alloués, ce sont des betes proches de moi et de ma gouverne, elles se tiennent quiètes à mes côtés, elles en imposent et font impression, ce sont des appeaux, des betes de poids censées en jeter, et ce qu’elles font pour moi est incommensurable qui (ces betes) me mainteiennent toutes en pareille loge et me poermettent de continuer, sur ma route, vers cette clarté de fond de roche, je suis un homme des cavernes entouré, j’avance à pas mesuré à l’intérieur de la caverne aux buffles et aux chevaux, je suis l’hommùe des cavernes cachées, retirés, contenant gravures et autres dessins d’animaux préhistoriques, je suis l’homme qui va en caverne (fin fond) dessiner des betes de poids, qui sont betes de peu, qui sont betes pour tromper son monde, etc, et moi d’entrer apres elles en cette roche dure, par l’imposition des mains, tete première, en lévitation , nu comme un ver et criant mahaine : j’entre ainsi et me loge en elle, devant moi cette 2^paisseur de poids massif,, ce temps imparti donné, cette chose d’un présent de roche comme offrande déposée, je suis à l’intérieur d’un temps imparti offert et je me loge en lui comme dans une plaie ou comme ailleurs dans une eau calme, je suis en cette roche le bebe nageur, l’homme des eaux, la caricature, le tremblant, je fonce en roche tout penaud et me montre ainsi, montre aux animaux autour de moi cette créature des bois et des sous bois, ce chasseur-cueilleur,  cet homme dessinateur et graveur, cet allumeur de feu, cet homme qui aime les betes, etc, et ainsi faisant j’entre au plus profond de la paroi, à la recherche d’une vérité de bon aloi, un présent, une offrande, on don criard, une obole (?) ou quoi de plus, ou quoi d’autre ? car je vais en roche mmenaçant, armé de mon pic verbal, prêt à hurler magourme, ma folie , mon rire dur, mon emprise, et ma haine de Bouche de la mort à l’oeuvre, j’entre en cette roche ainsi «torturé»», en moi, par des pensées folles, je veux me libérer de pareilles choses en moi, je voudrais me libérer de pareilles pensées de trop et pour cela, je dois m’immiscer au plus profond de pareille roche du temps, aller loin en elle, m’incruster dans ses entrailles et m’y loger un long moment car je sens que des pensées ezn moi m’assaillent (animales) et me gênent aux entournures et mon souhait ici le plus grand est de me libérer de pareilles entraves, de m’en décharger, de m’en délivrer par la bande et sur paroi , mais pour cela, je dois m’immiscer au plus profond des entrailles de laterre, je me dois d’aller loin en elle , jusqu’à l’asphixie si nécessaire ou presque, judsqu’au bout du bout des choses possibles soit humainement possible, j’ai à faire cette chose, je me dois de faire cette chose d’aller en roche au plus profond et de regarder (les yeux grand ouvert) ce qui donc ce trame en pareille loge du temps, ce qui est et qui se trame, ce qui est intégré au temps, ce qui existe au fin fond de cet espace-temps de la roche dure du temps : ouverture ? échancrure ? plaie ? clarté ? saignement ? carambolage de betes entre elles ? cohorte ? quoi ? car ma volonté est celle d’une chose à dire ici , colmme quoi je suis celui qyi veut connaitre les tenants et les ab outissants d’un «tube « de vie vive, cette galerie, ce chenal, cette chose à deux embouchures, etc, je souhaite en connaitrte long et connaittre ce qhi est, à savoir cette chose du bout, du bout de la roche : cette ouverture offerte, est-elle un passage avéré vers un audelà pariétal ? où soommes nous ? cvomment détacher les ombres de leur fond nacré ? qui peut me renseigner ? qui a les mots (les vrais) pour parler et signifier ce qui est en vrai qui nous regarde ? suis je d’un côté de la roche ou bien suis je de l’autre ? de quel côté suis je ? où doiss-je me rendre pour comprendre ? je veux savoir ce qyui est en roche qui setrame, je souhaite en savoir long car je suis cet homme dees cavernes aux ambitions démesurées, qui cherche à  crever la roche de son pic de verbe nacré et va loin en pareille paroi du temps à la recherche de la vérité saillante, dure, tenable, éternelle, solide comme un pieu fiché en terre, je vais en cette roche du temps et je cherche à voir ce qsui existe qui me tend les bras, suis-je un homme ou une femme des cavernes ? suis je un animal musqué ? suis je une bete fauve, lion des cavernes ? suis je un être de peu  ? un etre -sembvlant ? commùent suiis je perçu ? qui me dira quyi suis je en termes identitaires ? qyui peut me dire avec  certitude mon nom de tribu, ? qui sait mon nom, ? quel est mon nom réel, mon nom de base, d’avaant la naissance, d’avant toutes ligneées familiailes ? qui sait ou saurait ou sxaura me dire cette chose, qui pour moi  a une i:mportance considérable, est d’une importance majeure, est d’une très grande importance à mes yeux ? il s’agit pour moi d’une chose capitale, une vraie et durable pensée en moi, cette chose d’un espoir de «reconnaissance» , cette chose d’une envie de savoir qui je sui en termes de nom donné et donné comment , par qui, depuis où , etc, car le nom conditionne la pensée des nombres, le nom est une chose capitale, il est ce qui dit ce qui est aux animaux de la prairie, il est cette chose offerte à trimballer, à conserver, à conduire en des lieux profonds, le nom impose sa marque, sa substance et donne le la musical des sphères (aux sphères ?) et ce faisant, le nom est l’attribut majeur, la chose en exergue, le point central, le pis de la vache etc, nous devons comprendre que ce nom qUE nous portons est le nom donné à un etre de prairie, à une entité campagna rde, etc, ce nom me suit dans les prés, à la chasse à) la sagiae, a la peche, dans toutes mes déambulations terrestres, ce  nom est celui offert par la bande à cet homme des cavernes que je représente : je suis cet homme nommé, j’avance ainsi accoutré, je loge en roche, je monte sur paroi comme  un homme lévitant sous l’effeyt de narcotiques, je m’immisce en roche à travers le trou créé par ma pique, je monte ainsi la paroi et plonge, entre profond, me loge en elle et vois alentour les betes des prés, qui broutent, qui sont quiètes et me regardent d’un air de deux airs comme le font toujours, j’essaie  de comprendre ce qui  est, ce qui se trame ici en roche, dans le temps des apparitions des betes de poids, je cherche à percer les mystères, les secrets bien conservés de la roche des embruns, des clartés nacrées, etc, mon nom s’inscrit sur la roche et me tend les bras, qui suis je ? je ne sais poas, qui suis je en cette rocghe des temps impartis ? je l’ignore , je ne me vois pas ! je syuis cet homme des cavernes affublé xd’un  nom étreanger, je suis cet homme des cavernes affublé d’un  nom d’emprunt, je suis l’homme qui est celui là qui fonce fissa en roche à la recherche d’une vérité de bon aloi, qui puisse le faire, qui puisse en jeter, en imposer, en mettree plein la vue, aveugler tel est le terme, je suis l’homme d’une emprise, celui là qui cherche comme à se libérer de cette emprise en lui animalière en gravant sur roche, qui le bouquetin qui l’anttilope, je vais et je viens en roche et cherche à me loger en elle (confins) afin de comprendre ce qui est et quil m’est donné de comprendre (ce qui existe en pareille loge temporo-spatiale) et le pourquoi je me dois d’aller profond en grotte, au fin fond de l’asphyxie, en cette zone dure des données brutes, etc, je cherche à aller loin en cette roche du temps alloué, je me dois de creuser loin, d’aller dans les profondeurs, d’aller en cette roche dans les profondeurs, je me dois d’aller au plus profon,d et ne pzs lambiner mais fissa aller en roche, m’introcduuire et  graver, dessiner de chic pareilles figures si possible, en pareille paroi nu, lisse, bombée ici ou creusée là, je suis dessinateur-imagier, je grave à l’envi des figures de prairie, de pré, etc, je vais en roche pour cette chose d’une entrée en vérité ou dans la vérité des choses, je v eux savoir ! je veux être au jus ! je veux en savoir long ! je veux etre mis au jus ! je ne veux pas ne pas savoir ! je veux connaitree les données de base de la vie et de la mort des choses, etc, je veux être un homme qui sait, c’est à dire cet homme savant de la roche, muni en lui de ce savoir ‘«intelligent» des hommes xsavants, je suis homme qui sait cette chose du temps imparti offert par la bande à une confrérie humaine, etc, et celaa une importance qui n’est  pas nulle bien au contraire, je suis cet homme quyi est celui là quyi s’avance en paroi à) la recgherche d’un savoir de base et de sommet, d’embouchures (a et b) et cela pour la bonne cause animalière en lui, pour se soulager de ce qui en lui le gêne aux entournurees : qui suis je, qui suis je en roche, quel est mon vrai nom, comment je m’appelle, comment je suis, où je vais ? etc, car je suis cet homme qui trembkle xde questions diverses , de questionnements divers, d’interro gations lancinantes, je suis homme rempli d’interrogations, je suis cet homme qui va en roche à la recherche d’une vérité de roche dure, d’une vérité affichée et qui en dise long et pour cela je vais m’immisçant, je vais en cette roche lafleur au fusil, je suis devenu cet homme de paroi léger, qui monte, s’élève dans les embruns, je veux savoir la vérité, je veux etre pris en compte, je  veux savoir le vrai du faux et connaitre le nom qui m’a été donné pour de vrai, qui suis je en ce bas monde pariétal ? il va sans dire que je ne syuis rien d’auttre que cet homme de peu des cavernbes, je suis l’homme gravant effigies sur pierre, je szuyis l’homme de la voie lactée, nacrée, de la roche aux embruns d’un entre-deux-mers pariétal, j’entre en roche comme dans une église et m’y repose un temps avant d’aller plus loin en cette pierrre (dure) du temps, je suis cet homme ici qui va profond, en rocghe, et trouve à comprendre les raisons ou les motifs qyui poussent à creuser ou à devoir creuser «sa tombe» de mots de roche de la sorte, et ces raisons toutes appartiennent à un temps dévolu à compréhensions, à recherches intellectuelles, c’est à dire à un temps dévolu à la pensée de tête, etc, or ici la chose se distingue en cela que les mots sont des betes et les betes des mots, et que dès lors le temps devient  cette chose d’aspect ou d’allure prairiale, champs à brouter par l’animal en soi qui paisse, qui paît, qui est cette bete placide mangeant de l’herbe à qui mieux mieux, une journée entière, des journées entières, etc, le temps est la paroi, les mots sont des animaux, la vérité est belle musique, le chant de la roche est le nom donné, l’allure est vive d’emblée quyi nous pousse à aller fisqza xd»’un point de roche à un autre plus distancé, je vais en roche et me plaît en roche, je suis homme de peu, affublé d’un n om de peu (chan dail) qyui est nom de con,frérie, et non point nnom divin, ce nom est celui donnéc pa

x de mes congénères et non point le nom donnécpa r une entité supérieure, un o eil de roche, une bete larvée etc, je vais en roche comme un homme des abris, qui se cache en elle pour se protéger de la furie animalière, je vais en  c  ette roche ainsi accoutré, vétu de ma bure de laine, de mon petit chandail de tenue agraire, de mon arme de chasse en bandoulière, etc, je suis homme qui va sur roche et cherche un abri où se loger tranquille et abrité, je suis homme qui va en roche à la recherche d’une vérité vraie, d’une sorte d’entrée en matière, je cherche un accès direct et (cet accès) dans une sorte de concrétion percée, d’i:mmiscure ou de fente en roche, etc, je m’infiltre en roche ainsi, je veux savoir, je veux être cet homme des abris, des roches des temps, des roches -abris des temps impaertis et pour cela je vais au plus profond et cherche des données de base et de sommet qui soient celles-là qyui puiisent me donner la foi en cette chose d’un temps alloué par la b ande animalière en cette zone dure du temps dur de la vie de roche, il est cette chose pour moi que je suis cet homme qui va, squi file et s’incruste et voilà ce quy’il advient ou ce qyui est ici d’une chose neuve à considérer, cette envie en moi d’en découdre avec la bete en moi imposa nte, lourde, pesante, qui me plombe et m’empêche d’aller à ma guise en société, je veux pouvoir me libérer et quitter les embruns na crés de maroche , c’est à dire aller encore un peu plus loin, en cette paroi de roche des temps, vers un avenir prononcé, vers un horizon reculé, vers la roche claire des lointains, mais cela comment ? nous devons filer ainsi en cette rochge , afin de cerner au mieux les données qui sont celles qui président aux destinées, je vais en roche et comprend lkes données natives, les premières pensées, mais au delà, que voir ? qu’y a til à voir au delà de la roche nacrée ? que voir au dezlà des embruns et des cerfs de roche ? qui se pose là ? qui va là ? qui est là ? nous ne savons pâs, nous sommes à cvhercher fissza et avec entrain, nous voulons connaitre ce quyi est en cette roche,  ce qui existe, ce qui setrame en termes de vérité allouée à la roche du temps : qui va là ? qui est là ? quel est le nom de cette Chose d’apres les embruns ? nous ne savons pas et cependant nous sommes, dans ce sas pariétal, aux avant-postes, nous ne sommes pas là pour ne pas comprendre, mais au contraire, nous sommes là en ce lieu pariétal pour comprendre et aller plus loin sur le chemin des vbérités de roche, notre but est celui là qui s’affiche ici, nous sommes des etres de peu (c’est dit) mais qui sommes muni d’un attirail de queue (caudal) verbal, notrte train-avant est un pic de roche, il est ce pic pouvant perforer la roche (le rocherrrrr) du temps, il est pic de roche dure et est cet instrument d’entrée en matière, nous voulons comprendre cette chose pour nous d’une sorte d’entrée en roche de la véerité comme dans un sas qui serait le lieu de toutes les raisons qui président aux destinées du monde, notre but est de «tout» comprendre, mais comment ? car les mots ne suivent pas ! ils restent en jachère, à parrt, comme déchets tombés du nid ! nous sommes etres qui cherchons à savoir cette chose de la vérité des roches, nous sommes desêztres qui cherchonsardemment une vérité  à révéler et  voilà pourquoi nous nous incrustons en  cette paroi de laroche dure, nous voulons cela être ici pour nous, des hommes qui recherchent vaillamment une sorte d’entité de roche logée (l’entité) qyui saurait nous dire ce qui est, et nous donner du coup la conduite à suivre, car que croire ? où aller ? dans quelle direction ? comment faire pour comprendre ce qui est, c’est à dire embrasser ? comment savoir et comment faire pour savoir ? nous avons ces questions pour nous, au chaud, depuis la nuit des temps, nous ne changeons pas de registre, nous voulons savoir cette cvhose d’un savoir de base quyi serait celui-là présidant aux choses de la vie terrestre, notre raison est bornée qui ne sait pas long, notre gouverne est animmalière, notre oeil est vif mais quasi éteint aux données l:ointaines, notre oreille entend ce qyu’elle veut entendre , ainsi de syuite : homme de peu de poids tterrestre, homme limité par ses membres courts, homme des cavernes aux sens ourlés qui vont peu loin sur roche, et sondent peu hélas, alors comment faire ? en lévitant ! drogue des sentiments ! air raréfié ! chaleur et moiteur! chants répétés et gutturaux! adresse royale ! percée de roche pzar la voie des eaux ! tribulations pariétales d’appui ! aspect rageur d’une entrée en matière au pic pointu du verbe de bouche , etc!, je vais en cette roche du temps et en elle me complaît à chercher des choses de poidsq, je vais en c ette rocghe du temps, je suis en elle comme homme des cavernes des temps plus anciens encore, je suis homme des cavernes de laroche des temps plusq anciens encore et cela n’eswst pas rien mais compte de tout sonn poids, dans la balance de la destinée terrestre, je vais en roche comme un chercheur va pour sa recherche, je cherche à mon tour (en pareille paroi des hommes) une raison quyi puisse m’aiguillezr, or ce n’est pas simple, il n’est pas donnéc à tout le monde de trouver , c’est à dire de trouer laroche, de passer latête, de passer de l’autre côté et de l’autre côté cde trouver matière à comprendre les enjeux d’une vie sur terre, je veux comprendre, cela est un cfait, mais comment ? en tambourinant sur la rocghe comme un dérraté ? en cognant la pierre de taille ? en tapant des betes au graveur ? en faisant quelle cxhose ? car je ne sais pas, je ne suis pas cet homme qui sait, je ne sqais pas réellement ce qui est, je suis en retard d’une destiné, j’ai comme qyi dirait «un train de retard» en moi et ce «train» est celui là qui me voit parler avec des mots comme rapportés qui masquent une vérité cachée, je suis cezt homme à trains-arrière qui retardent follement et qui empêchent l’envolée vers la vérité (hélas !) et du coup je reste prisonnier pour ainsi dire d’une sorte d’entrave à vivre sa vie de pensée divine, supérieure, détachée, en altitude, et cela est fort préjudiciable à une bonne marche dans la vie de tous les hjours, cela n’est pas une trè!s bonne chose pour la vie de tous les jours, celaest presque triste, cela l’est (triste) et ô combien ! et comment ! car les mots nous gênent qui masquent la sortie en nous dees animaux, des betes de charge, sus aux mots ! qu’ils s’éloignent et laissent le passdage, pour que des betes aillent et se fichent sur roche à leur guise ! vite ! or voilà que les mots (les nôtres) s’incrustent, s’étaleznt, prennent la place et c’est fort dfommage, fort ! car les mots sont ceux là qui bloquent l’accès ! ils bloquent et bouchent ) ils bouchent la bouche ! merdum ! cela est fort préjudiciable hélas et nous enqyuiqyuinent beaucoup, mais comment faire alors pour shunter la chose et laisser en nous passage grand ouvert pour ce troupeau de betes (de bêtes de poids) en n ous, cohorte animalière, meli-melo, entrelacement, tresse cde mots betes (tres) qui von-t à roche comme à confesse et se logent là pour l’éternité comme les effigies d’un mal perforant, et cela a une importance considérable à nos yeux, cela est chose capitale, nous savons que cela est une chose des plus impôrtantes, ce masquage de l’accès, cette chose d’un bouchage de trou d’accès, cette obturation maladoite (? ou malmencontreuse (?) ou autrement, il n’empêzche que le trou est bel et bien masqué et ne permet pas le passage pour cet anilmal de race en soi , ou pour ces animaux en soi qui sont agglutinés et forment troupeau-pique, chandail ! ils sont là ! ils sont à deux doigts ! chandail ! ils sont ces betes de roche dure , prêtes à bon dir de ma bouche-trou pour rejoindre ici la roche et ses embruns , ! pourquoi chandail ? petite laine ? vetement de bure ? revetement ? tunique ? quoi ? nous cherchons des vérités de roche, nbous ne sommes pas au bout de nottre affaire, le chemin de traçage est long et n ous verra longtemps sans doute encore recherchant des choses et autres en ce lieu de roche temporelle, comment faire ? nous sommes peu de chose, nous entrons tout de guingois dans la roche, nous sommes des etres de peu, et «peu» est maigre, qui entrons en roche par la bande et nous logeons en elle à notree  façon, qui est celle de cet homme des temps anciens = quasiment nu, comme nu ou pas loin, presque tout à fait voire tout à fait, nous entrons en cette roche du temps par  ce biais de la parole forte, des «gros mots» de base, cette chose est avérée (estampille) et nous nous prélassons un temps en pareille loge , car le temps nous le permet qui nous laisse un moment pour nous étirer cvomme animaux des prés avant la course, nous sommes e,n roche comme betes en prés, nous nous regardons dans le blanc des yeux, nous devons aller l;oin en cette roche du temps alloué et nous y allons, nous devon,s aller très loin en cette roche des temps, nous nous devons d’aller très loin en pareille roche et cela est que nous le faisons car nous sommes remontés à dessein, remontés pour allér loin le plus possivble, cela est un fait, notre coeur bat à l’unisson de nos pas qui vont courant la vérité de roche, ou coursant, etc, nous aimons cette roche des embruns, des parois nacrées, nous regharxdons dee près ce qu’il en est , de quoi il en retourne et nous voyons que nous avons affaire à une sorte d’ombre sur la roche, une silhouette se dessinne, un trait, un autre, de quoi s’agit)- il ? il s’agit d’un e ombre portée, celle d’un ours peut etre, derrière nous , ou qui ou quoi ? nous nous enfuyons fissa sans plus demander quoi que ce soit, nous devons fyuir vite fait, nous devons vite fait aller plus loin et nous échapper ! vite ! vite ! vite ! vite ! vite ! car le temps presse , nous presse qui nous fait bouger et remuer « dans la savane, dans les prés et prairies, dans les bois et les sous bois, nous devons fissqa nous éloigner de tout danger pootentiel qui eut pû nous mettre à mal, sus aux dangers ! et sus aux mots qui obstruent comme on l’a vu ! nous devons aller loin en nous via ces mots de rocghe alloués, par eux, en eux, et essayer de secouer le cocotier de cette chose d’une vérité de roche incluse mais laquekle et comment s’y prendre ? par la vitesse de facture ? par la vitesse  d’un dire laché, lancé, jeté à la  face ? nous jetons nos jetons ! par la vitesse de facturation ? comment dire ? nous jeto,ns vite fait nos chose, chandails et autres vêtures, toile de bure, etc, pour nous retrouver comme nus en amont, ou comment dire cette chose d’une sorte de dévêture de soi dans le temps des apparitions pariétales, comment dire ? nous alons avec des mots en bouche quand il serait bon (= judicieux) de s’en d&éfaire, nous aloons avec en bouche toute une cohorte animalière langagière quand il serait bon (= p^référable) de ne pas agir de la sorte et d’entrer en roche armé de son seul baton de bois brulé et, en soi, de cette bete (bete des p^rés) venant à la rescousse vous aider à franchir le pas, léviter, vous perdre dans les fumées, et entrer en cette roche (dure) du temps comme dans une église, un lieu de recuiellement, et là : tracer, tracer des fiigures animalières afin de chasser les mauvais esprits, ces esprits malins qui poussent à la faute, à capitulation et vont sur vous comme des etres de ravalemeznt, preêts à tout pour vous achever, etc, nous avons en nous cette chance pour nous de pouvoir nous exctraire de nous via les mots-betes en nous qui sont ces mots de bec de bouche, de pic à percer, etc, nous sommes sauvés de  cette sorte et ce faisant, car nos mots à nous ne sont pas des mots de tête, mais des mots de betes, et là est toute la différence entre l’homme des cavernes (brut) et l’homme d’aujourdhui (doux) , il est donc cette chose quil fzaut noter comme il se doit, qyui est que  nous ne sommes pass fichés ou fabriqués de la m^$eme étoffe, nous somlmes autres, nous ne sommes pas munis d’un verbe de tete mais d’un verbe vif de per çage de roche, de roche de grotte, nous sommes hommes et femmes des cavernes, femmes et -hommes et enfants des cavernes, femmes , enfants et hommes des cavernes, munis d’un pic de verbe acéré, dur de la pique, dur de dur, etc, capable de percer la roche vite fait et sa ns coup fourré, alors même que l’homme modernen’a que quoi pour lui , pour perçage ? sinon ça : des mots de tete vifs mais ne sortant pas de la sphère ! alors comment ? musicalezment ? c’est une question ! musivcalezment peut-être ou bien sinon  en hjouant les mots de telle sorte que ceux ci, s’accolant entre eux, puissent figurer cette chose d’une queue ou sorte de, car sinon comment ? je suis cet homme des cavernes ambulant, je v ais et je viens en roche et me comp^lait en cette rocghe des ezmbruns, à rechercher des «traxces» de vérité, je vais et je viens, je ne suis pas en reste d’aller et de ven ir, , j’ai mille choses à faire en cette roche, j(ai à faire mille choses en cette rochge (la roche des prés) et pour cela,  je me dois de rester collé à elle, collé-accolé, ne plus la qyuiitter, aller en elle profond, la pénétrer jusdqu’au bout du bout, faire cette cghose d’une comme profonde pénétration de laroche dure, jusqu’au bout du bout, aller au plus loin qu’il me soit possible d’aller et pour cela fissa ! vite fait bien fait ? fissa et de longue durée ? je vais dans la rocxhe )à la rezcherche d’une véritéc profonde, un soulèvement de données, une v érité ancrée, cachée par la bande  et à débnicher comme on déniche un oeuf, je cherche une raison, un motif, etc , qui soient ceux là qui donc m’expliqueraient ce qui est sur roche, qui advient pôur chacun de nou!s, que se passe-t-il sur roche que nous n e sachions pas ? n ous devons penser les choses ensemble, nous devons aller ensemble à la recherche des données de base, du don radical, de ce don de base intégral, de ce don intégral dxe première entrée en  ce monde, etc, notre but est affiché, il n’est pas caché (lui) et nous disons  cela à qui veut l’entendre, nous voulons savoir ce qui se trame en pareille roche aux abois, ou comment ? aux aboiements ? aux bois de cerf ? nous cherchons cette  vérité de roche en c ette pierre dure des parois, où est elle ? qsue nous promet elle ? que dire ici qui puisse aiguiller ? qui a les clés ? les clés muusicales ? les cles de la porte d’entrée ? qui a quoi ? nous cherchons à savoir ensembvkle ce qui nous regarde, nous (elle et moi : la bete en moi et moi) devons comprendre cette chose comme quoi les mots font écran, LES MOTS FONT ECRAN, et ce qui est dit cache quelque chose d’auttre, une vérité de bon aloi peut être ? on l’espère, ou pas de bon aloi, qu’en savons nous ? les mots donnés sur roche (ce présent de vie) cachent quelque chose (toujours) derrière eux, et ce quelque chose a à voir avevvec ... dieu le père ? avec l’animal en nous ?. avec la vérité des temps impartis ? avec quyoi ? nous cherchons des solutions dans le  v erbec or le verbe est un faux allié, l’animal aussi peu t-etre mais autreement, qui est ce dangezr permanent (souvent) qui ne dit rien cde plus que cet état de faitt : ce danger qu’il est et qu’il demeure, nous cherchons en  ous des ra isons quand nous savons qye les raisons (de base) font long feu qui ne tiennent pzas la distan,ce (helas) alorsq comment ? en faisant des figures de betes, en créant (sur roche)  x  effigies qui sont du verbe aussi, qui sont verbe dur sur roche, dur de chez xdur de la roche du temps, de la roche de ce temps, de la roche dure de ce temps donnhé, ce sont betes de roche dure d’un temps donné, efffigies sur roche entrezlacées qui figurent cette vérité de la roche offerte et du temps donné, nous voulons comprendre au mieux les choses  comme elles sont et pour cela aller loin le plus possible, en cette paroi de laroche des temps et c’est cela que nous faisons car nous devons ! nous devons agir de la sorte, nous devons faire cette chose ! nous devons agir ainsi et faire cette chose ensemlbke en roche : dire ce qui est d’une bete grosse, c’est-à-dire dire ce qui est de cet aurochs qui figure une chose autrte, cette chose d’une direction, d’un sens alloué, nous essayons de «piger» la chose cde co ncert, d’aller en roche des temps à la recherche d’une sorte de définition des choses dures, etc, nous devons comp^rendre cette chose ici d’une direction à prendre (donner ?) à bdes figures animalières, etc, que faire ? que dire de plusq ? que figurer sinon le vcheval, l’antilope ou le buffle des prairies ? que figurer d’autre qui puisse pour nous dire des chose de première importance, etc , que dire ? nous disons que nous sommes deux (la bete et moi, ou la belle et moi, c’est à dire en moi elle et moi) à dire ces choses de l’aurochs nacré, du buffle donné, du cheval coursant sur prairie, etc, et ces betes sont pour nous les mots qui comptent : 1,2,3,4, 5, 6,7,8,9,10, ainsi de suyite, il sw’agit d»’une litanie, xd’un ma rtèlement guttural, xd’une cohorte animale, il s’agit de dénombrement, de scansion verbale, d’enchevêtrement dstructuré, de lmartèlements de folie, de coups redoublés à la va comme je te poussdee en rochge, en paroi du temps, ces mots sont des mots-animaux de base (prémissses) qui vont sur roche figurer le MAl, or le mal ici est le mal dentaire (pour dire vite) , est cette sorte de lmal en soi qui plombe et c asse les os, voye z-vous ? il s’agit de cemal inhéreznt à la neature humaine, et ce mal a fort à voir avec celui des animaux de nottre compâgnie, buffkles, bisons, aurocxhs, vchevazux, le mal est la chose directe,, le mal est cette chose d’un martèlement sur roche des groottes, il s’agit d’un dire vif ici, aurochs ! aurochs ! aurochs ou bison ! bison ! qui va (le dire) sur roche à foison, qui va sur roche la coloniser, l’envahir, la hanter comme un mal vous ronge ! je suis cet homme descavernes qui, sur roche, trace, des traits de lmumière, et ces traits sont ceyux qui calment la douleur dentaire» pour ainsi dire, lers v éllé»ités en soi liées à des impacts, à des turbulaences internes en chacun de nos organismes et voilà pourquoi je dessine à main levée et de la sorte des betes monstres, car je suis l’etre d’un mal intérieur qui est à chasser ! ce mal est animal on la compris, ce mal est figuré en nous (hors les mots) de la sorte, en tant qu il est figuré et que sa fifgure en nou (esprit) est animalière, l’animal est ce mot du mal en soi dont on veut dse débarraser fissa, et voilà les incantatrions et tout le barda quyi s’ensuyit, voilà ce que nous disons de cette choçse ici comme quyoi nous sommes des êtres envahis par en nbous un mal wq<ui n’a pqas de mots autres que ceuxw que nous traçons sur roche au charbon de bois, et ces mots sont des grossièretés obligatoirement, des injures proférées, des mots lachés presque malgré soi tant la blessure est vive en soi, le mal profond, la douleur à hurler au fond des grottes, etc, je veux cette chose dire ici , qui est qye le mot-animal est un mot de peu pour nous (à nos yeux) au regard des mots qui devraient être, le mot-animal est un maigre mot à nos yeux qui voulons déposer des gros mots et non des maigrelets,  n ous ne voulons pas offrir maigre mais ghras, cela est d’une très grande importance ici, nous avons l’ambition ici de déposer gras (le plus pôssible) car nos mots à nous (figures animales) se doivent d’impacter le plus possible l’etre de laroche vive, cela doit impacter beaucoup, cela doit en jeter un maximun, un max aussi bien, car nous devons agir dans le sens où nous devons nous protéger des coups du sort et voilà pourquoi nos incantations, ce calcul du temps (grain à compter par la bande) et  cette chose d’une  sorte de virée vers un chemin de vérité, de grande vérité, dans les profondeurs xde la terre qui nous porte, nous soutient, nous permet xd’aller et venir jusqu’au trou de la roche dure, jusdqu’aux parois à orner, etc, nous voulons savoir ce qui est ici qui nous attend en fait de fin de vie, nous voulobns savoir ici ce qui est qui puisse nous offrir une chance de pouvoir comprendre ces données profondes, que peut on comprendsre des données profondes ? que croire ? nous essa-yons de trouver une clé disons musicale aux chosess du monde, nous essayons cette chose : trouver clé qui serait musica le essentiellement, mais comment ? notre but est avoué !  notre désir est celuyi ci, elle (bete ou belle) et moi (enfant-faon) qui est cette chose, d’une recherche dans le temps qui se déroule  , d’une vérité de bon aloi, musicale en diable de préférence, qui pour nous soit la clé, la clé = la solution et l’entrée, la possibilité d’une sorte d’entrée en rocvche et plus que ça , une possibilité d’entrée dans la zone interdite  ou comment dire ? une cléc= une autorisation, la clé ici est cette chose qui sait et peut ouvrir la porte, il s»’agit d’une clé musicale d’ouverture de porte de fin de paroi, nous pensons que cette clé d’ou$verture de porte est , esse,ntiellement, d’ordre musical, et voilà pourquoi nous allons vers cette chose d’une incantation, d’un redoublement desrythmiques, des choses dites («aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! etc), voilà ce qui est ici en termes de données de base rupestres, nous cherchons une clé pour un,e porte, cette clé est musicale, et le porte aussi peut être dès lors ! que savons nousq ? si la porte en effet (du temps) est musicale alors cela signifie que la musique est la porte d’entrée ... de la vérité ? que penser ? si la porte d’entrée des choses de la vie (= des explicationbs ) est musicale alors il sxemblkerait qyue cela signifie que cela est ainsi que nous pensions il n’y a pas si longtpelmps, comme quoi la chose passe ou se doit de passer pâr un tube de vie acéré, aux deux embouchures : flutiau ? eh voilà le pot aux roses  ! voilà la chose ! nous a vons pour  nous ce  flutiau de vie et ce flutiau est cette chose qui permet l’appel (appeau) de la bete des roches, etc, nous sommes ain si qui cherchons des solutions à des problèmes exixtentiels pariétaux, nous ne sommes pas en reste de chercher et nous cherchons assiduyment et chaleureusement et vaillament et avec sérieux toutes ces choses très liéees à la paroi du temps, ,nous sommes à perpétuitévc à larecherche de ces mots de roche bruts qui seraient mots de vérité des choses, or non ! les mots ne vont pas loin, restent à la surfavce du pearler intelligent humain et n’en sortent pas, or la solution (on le voit bien) est ailleurs, sort du naseau ou comment dire ? cette vérité tant rechercheé est vérité hors les mots, hors cette chose des mots de ta race, oui ! les mots ici sont des morts-animaux qui chargent sur rocjhe tout le mal de l’animal , ces mots dit s mots-bêtes sont ceux dont nous sommes affublés en roche poour nottre gouverne, nous devons veiller à les bien notifier sur roche (ressemblance fine) cvar ils en imposent, car ils ont besoin d’etre reconnus, etc, et le plus possible, le mot-bete est le mot quyi sort dses gonds etcx, ce n’est pas ici un mot (le mot-bete) qui reste à demeure dans son bocal ou son entre-deux-mers iontérieur, n  on, le mot-bete est ce mot qsui est sorti des gond s de la tete de raison, il est le mot qui va caracolaht sur la roche, il est ce mot du caracol, de cette chose d’une course sur paroi de pierre, il est le mot qui dit sa cxhose guerrière, etc : sus au mal de larage ! sus au mal des tourments ! sus au mal animal des tourments ! sus à l’entropie ! le mot-bete est mot de roche aussi bien, il sort de la bouche comme une pique, une langue fine, et va trouver accueil en cette roche d’un temps tout entier dévolu à le reconnzaitre en tant que nom, mot et nom, etc, il est pour nouys ainsi ce mot-bete nom des chose, il est le mot de la tribu, dit par elle et montré du doigt, je regarde devant moi les  choses du temps inséré, je suis homme des temps anciens aux yeux ouverts ou fermés, je veux comprtenxdre les données des roches, je veux savoir, comprendre, dire cette chose comme quoi je suis en quete d’une chose d’importance vitale à mes yeux, je suis homme qui sait et qui dit ce quil sait dela rocxhe des temps révolus, le temps est passé sur moi et a laissé de s traces sur ma peau, je suis homme de peu, mon butin est maigre, les mots en moi sont des betes, je   ne sais rien dx’autre dire qyue cela qyui pour moi est cette chose, d’un dire animal de base, mon corps est un corps d’homme racé, je veux savoir ! je veux tout savoir ! mon corps veut savoir ! mon etre est l’etre du sansg en moi quyi cir cule , fait des tours de chauffe (... loopings?) pour aller en roche amusé, pour aller en roche ainsi que je l’envisage, en cette roche dure des temps, ainsi faisant comme j’envisage, en m’amusant comme un enfant rieur, ou comment ? je suius cet homme à la recherche d’une sorte de vérité de roche et c ette vérité de ou des roches serait celle qui me ten les bras et m’appelle, dois je dire oui et y aller ? ou non et rester en place, en cette zone aux embruns, etc, que faire ? je suis l’homme qui voit cette chose devant moi d’une sorte de  vérité nacrée ancrée qui est mon n om de scène (ici : la roche) et qui me tend lesz bras , ses deux bras de mer ou comment dire ? il s’agit pour moi de comprendre cette chose ici d’une importance accordée à un n om d’emprunt, à un don, à une chose qui à moi m’a été donn»ée, et cette chose est ce nom dont je suis affublé et cezla continumznt, dans mon sang pour ainsi dire, etc, cette chose du nom (MON NOM) est capitale sur roche, il s’a git d’une chose capitale, les mots-animaux sont des mots et ces mots sont des noms de bete = des noms d’hommes, etc, les desins sur roche sont des mots de betes = des noms dont les hommes s’affublaient comme d’un chandail, il s’agit très exactement de cette chose ici, en paroi de grotte, et voilà pourquoi ces visages, ces tetes, ces reprises, ces répéttitions, cet exclusif, ce troupeau restreint, etc, je ne suis rien de plus que cet aurocxhs et je le dis, je suisq ce xcheval est je le dis, eainsi de suite, je suis cheval qui va sur roche dire tout le mal que j’ai à etre cheval comme le cheval, je dis cette chgose d’un corps de cheval en moi, j’essaie en moi de dire cette chose et hors de moi, cette chose d’un cheval en moi qui aime les chevaux, mon nom est ce cheval de roche qui, caracolant à qui mieux mieux, désigne cette chose d’uneb vérité de roche éternelle, mon nom est le nom de la roche des temps et s’inscrit sur elle en lettre capitale (hautes en couleur ) : aurochs, aurochs, aurochs ! voilà ce quyi est ! et moi de scander cette chose dans mon quotidien ! à moi de faire cette chose, ici même, cette chose d’un rzapport sur paroi de grotte , je  vais et je viezns en elle (en paroi) et je dis ce que j(ai à dire, et ce que j’ai à dire ici est comme obturé en grande pa rtie par un dire massiif de contre-pression qui m’empêche de pouvoir m’avancer plus avant en roche, je vois cette chose comme quoi en moi s’inscrit un dire de poids qui pèse de tout son étant et m’empêche de creuser plus loin et de lever la tete en roche comme cheval ou aurochs, ou comme antuil:ope ou ours des cavernes, et par con,séquent mon souci premier ici est de faire ainsi que ce qUe «j’ai à dire» vienne incidemment à se voir noté sur la roche et nonn obturé-contenu dans mon organisme de lutte, je veux cette chose d’un phrasé qui irait à se déposer sur roche, sur paroi, qui serait ce phrasé de haute lutte oui, mais qui aurait vaincu et serait sorti de sa gangue corporelle pour fissa a ller rejoindre en roche le troupeau de buffle, cette cavalcade de chezvaux, ou cxes bisons des prés placides, je veuxc cvela ainsi, jez souhaite, je désire cette chose ici, je suis cet homme ici qui pôusse son cri de roche et perce les tympans de cet etre de paroi (enfoui) qui guette les faits et gestes (incvidemment ?) de tout un chacun, mmon envie se lo ge là, est celkle là qui voit mon corps en carafe restter sous la roche et mon esprit fin se loger sur roche, e,n ce train de roche temporelle, parmi les betes mises à prix etc, je suis l’homme des cavernes au sang royal, qui va en roche dire son mal animal, jette sa gourme, tombe le masque, figure la bete et ainsi faisant prononce le nom dont il s’affuble : aurochs ? aurochs ? aurochs ? ou bhien chezval peut etre ? cheval ? je cherche, je suis l’homme à la recherche de son nom en cette roche du temps alloué , quel est mon nom ? « MON NOM » ? quel est le nom qui m’aété donné ? ai je un nom et si oui lequel ? phacochère ? antilope ? bouquetin  ,? aurochs ? ours ? lion ? etc, je cherche à me donner le nom qsui en imposera par la ban,de pa riétale, qui saura me rehausser aux yzux des hommes etc, je veux dire cette chose ici : ce nom de famille, et ce nom s’infiltre dans la roche comme un esprit fin de famille, il s’agit d’un nom de scène (la roche) et ce nom est celui que l’on voit fleurir sur paroi ici ou là (voir les grottes de la pré»histoire) et qui rep^résente qui  des bouquetins, qui des aurochs , etc, ces noms, ces noms sont cveux-làç quidonc représentznt des betes, ce sont (donc) des mots-betes qui sont betes, qui sont ces noms de betes, etc, gros mots de betes etc, il s’agit de cette chose qui est que nous portons «sur» nous des noms de betes (royales) qui sont des gros mots de betes, des mots forts et appuyés, à forte teneur en termes de vitalité et d’impact, ces mots sont des gros mots de roche, animaux-mots de fort poids, grosses betes de la roche des temps = des injures , des insanités proférées au tout venant des hommes de la roche, et au delà, aux etres des bois etc, nous dison,s cette chose comme quoi nous sommes des hommes affublés (chandails !) comme des nouveaux nés qu’on habille vite fait afin qu il nre prenne pas froid, et que l’on nomme illico presto du premier nom qui nous vient à l’esprit (ou pas loin) or ce nom n’est pas le nom wqui convient, le nom qui convient est autre (bien autre) et ne colle pas avec la figure d’homme des cavernes, je suis l’animal que jhe choisis d’ettre, ou bien : je suis cet animal de roche , je suis ce singe ? ce vautour ? ou plutot ce cheval, ce renne, cet aurochs ou ce bison ? je cherche à me nommer de la sorte par un mot qui impactât son auditoire, etc, mon coeur est sur roche, toute ma vie est ainsi sur roche = ma vie d’allaznt ou de l’élan cordial, ma vie ici est ce passé de moi déposé sur paroi comme enluminure, je vais et je viens en roche et vois ce qui est qui me regarde follement et qui est cet oeil de roche dure des temps, cet oeil est dans la chose cet oeil de la vie des morts, cet oeil est cette chose incluse en roche, cette chose ici d’une inclusion dans une roche dure ,  de ce temps des parois des grottes , des parois ornées, des parois gravées, cette chose est celle là que nous voyon,s sur des parois ornemezntées à) l’intérieur de grottes du sud de la fran ce (ou d’ailkleurs) et qui ne manque pas de nous intriguer, nous sommes qui jetons un oeil sur pareille roche aux tourmeznts nominés, nous disons que nous avons, à comprtendre loin pour aller longtemps, nous voulons essayer de nous immiscer en  cette rocxhe de paroi et ce par la bande et armé de notre nom d’emmprunt  comme dx’une pique de perforation, notre nom est cette pique ou ce pic ou ce pig de roche dure, cette bete à percer laroche du temps, nous voulons tenter cette opération de perçage de roche à l’a ide de ce pic en  n ous de perçage, cette cohorte, cette litanie, ces mots  qui s’agglutine,nt, qui forment ronde ou pieu, tresse ou appât, etc, nous eszayons d’entrer en cette paroi à l’aide de  ce pic de bouche verbal contenanant le nom (le nôtre)- dont nous sommes nanti comme d’une selle sur cheval de course, ou comment autrement ? nous avons à faire cette chose, d’une sorte d’entrée dans la masse, et cette chose, lafaire cde cvoncert, belle et bete ensembkle,; pour cezla (cette raison) que nous decvons comprezndre, etc, et pour cette chose, que nous sommes deux à vouloir comprendre, deux en moi ou deux hors de moi mais deux, cette bete des embruns en moi ( lâchée sur roche) et cette belle en moi qui est la Belle, cette chgose musicale des apprets, cette douce chose de moi = incluse , qui est chose musicale des apprets, des postures, des avancements, des mises en place ezn roche, etc, cette chose est pour moi celle qui me sied et me permet d’aller loin dans les compréhensions de genre, il s’agit pour moi xde cette chose (douce) d’une sorte de (ici) mélopeé d’accompagnement salvateur (car temporezl) qiuii aide à tenir les caps, belle et bete ici ont cette chose de pouvoir m’aider, à tenir le capp ou les caps et à ne pas sombrer ou flancher en route, je vois cette chose ainsi ett me permet de rire de la chose ici , car nous sommes ainsi affu blés, que la belle est cette bete et la  bete cette belle en moi enchevértreés, qui pretent (ou poussent plutot) à rire à gorge déployée, je suis l’homme qui rit (de force), qui a le fou rire de paroi et qui est la belle (musique des apprêts) et la bete (des mots-animaux), je vais en cette roche à la recherche en moi d’une belle bete de paroi quyi sera la mienne (mon nom) et saura signifier le mal que je porte, dont je suis gros comme d’une insulte à prof»érer, je suis l’homme du tourment de roche temporel , qui va à confesse sur roche, touche la paroi et creuse, et là, à l’intérieur, voit cet attroupement animalierde fortune, embrouimllazmini langagier fait de choses et d’autrezs (aurochs et buffles des prés, bisons et lions des cavernes) , je vois cettre cxhose et je parle en mon nom qui est le nom de l’animal que «je» me suis choisi sous emprise, sous le joug en moi de la bete, de cette bete en moi qui guide mes pas, chacun la xsienne, belle bete de paroi de groote, douce ou dure selon, qui va sur roche montrer sa superbe et en jette des louches à son monde, je suis l’homme qui en jette des loucxhes par mon nom de bouche percée, je vais sur la roche et crie à l’(encan ou comment mon nom de roche dure comme les temp^s, je regarde autour de moi et vois ces betes aller et venir , me regarder, me lorgnezr, me détailler, et moi de les rezgarder en retour : je vis parmi elles, ce sont mots de roche printanierqs, quyi sont mots de betes de roche, etc, quii me regardent, s’intéressent à) pma gouverrne, je suis l’homme qui jhoue en roche son nom comme d’un va tout, il s’agit ici de voir en ce nom proféré la chose du temps ramassé, qui compte (le temps) comme donnée de base à une réflexion sur la nomination, sur le fait de nommer etc une bete, un homme, u ne tribu, un lieu etc, nhous solmmes qyuuii cherchons des choses de paroi à tra vers les noms dont ceklkes-ci sont affublées, nouscvcherchons des choses en roche, notrte but est de chercher des choses dans la roche, des données de base (noms ?) qui puissent nous aider à comprendre les enjeux, qui seraient cveux d’une roche dure, ou bien les enjeux liés à la roche des temps impartis, nous jouons à chercher fortune, à dénicher des betszes dans les interstices de la roche, à cvaracoler sur paroi comme une meute ou un troupeau de betesz, à dessiner à) main levée des betres de poids qui sont des noms qui donc affublent, à dessiner des treaits , des points, des mains, des tetes, des vulves etc, ce qui est pour nous qui compte à nos yeux, nous dessinons des betesw de roche et ce sont nos noms qui s’affichent et ainsi faisant nous affichons, nos velleités, nos condyites, notrte folie vive, nos incantations majeures, nbotre vie de roche dure, nbous avons en nous cette volonté de dire la vie et cette vie la déposer sur roche à la façon que nous avons de faire cette chose, nous ne voulons pas mourir, njous tenons à vivre, nous ne voulopns pas être happés, nous voulons poursuyivre sure roche notre petite embardée pariétale et ne pas lacher prise, notre sang fait un tour de chauffe en n os veinres, nous sommes ressemblants, nous sommes etrtes quyi nous resswemblons, etres de peu de  la roche dure = aurochs, eet nous marchons entre deux mers, nous nous projetons, nous nous infiltrons dans les lointains, nous cherchons des  vérités massives, controlées,, ,vérifiées, dures-durables etc, qui puissent etre pour nous des aides précieuses dans nos embardées, nous allons sur roche à la rtecherche d’une vie de rocxhe dure, ceette vie à vivre longtemps, nous avons en  nous ce désir de faire ainsi que nous puiissiiions aller au loin main dans la main, la belle et la bete en soi, comme une seule et meme personne lancvée, appelée, qyui va de l’a vant, qui pousse son train vers une sorte dx’horizon nacré dans kles profiondeursq, je cherche une sorte d’entrée ou de porte d’entrée car j’ai la clé et ccette clé est musicale, puisque tezmporelle, le temps ici est cette scansion ou ce maertèlement de laparoi dure, ,; il s’agit d’un présejnt (octroyé par la b ande) offert nacré, sur roche des embruns, ce p^résent de roche, dur à des endriots, meubles àç d’autres, ce présent ancré et nacxré qui est deposeé sur la roche, mot-bete des profondeurs de la paroi du temps, mon nom ici comme un tourment, ce mal perforant qui signe de son nom de rage, qui est nom de la bete en soi, du mal à etre soi (en roche) et à tenir, je suis l’homme des cavernes aux mains surnuméraires, je dessine sur roche des chevaux et des aurochs, je porte un nom, je hjouee, je suis homme hjoueur affublé d’un nom par la bande, et ce à quoi je hjoue porte un nom, ce nom est le nom d’un jeu tres ancien qui consiste à trouer la roche du temps et à s’insérer en elle pour, sinon l’é&tezrnité, du moins la nuit des temps, et ce jeu dès lors s’appelle «de la nui-t des temps», il s’agit d’un jeu de roche brute, le jeu dit (par ailleurs) «de la roche brute de la nuit des temps», il s’agit d’un jeu de roche dure, je suis le joueur, mon nom est ce nom de jhoueur, du nom de ce jeu, je suiis le joueur de la roche des jeux, je joue en roche mon va-tout brutal, ce nom qui est le nom dont je suis affublé depuis la nuit des tempsq, mon nom est nom d’homme des prés, des ruisseaux de roche, des prairies, il est le nom qui m‘a été donné à la naissance par mon père et par ma mère de paroi, je porte ce nom, ce nom me porte, je porte ce nom qui me porte en retour et ainsi de suyite d’une sorte de boucle sur soi mêmme, je porte le nom qui me porte, ce nom est celui qui est sur roche cette représentation anuimalière chevaline, je suisq     l’homme des cavernes affublé d’un nom chevalin qui me porte , je suis l’ho:mme des cavern es affublé d’un nom chevalin qui est ce nom d’emprunt (de naissance ) qui me porte et ainsi étant je porte et suis porté pzar un nom d’empunt, mon nom xde naissance, cette b ete de paroi dee roche, ce trait sur paroi, cette cxhjose gra vée ou dessinée sur roche par cet homme de $laroche dure, je regarde ce mot treacé, ce nom de roche entrelacé, je suis l’homme de laroche dure, je suis celui-là qui trace des mots sur dxes roches du temps et vois ce qui est, qui advient sur roche devant lui, cette chose d’(un nom déroulé par la bnande comme un flux tendu, une queue de bete, un cordage, une pique de voix, du verbe en otage, une sorte de donnée brute quyi, sortant de bouche -trou, cva à trouver en roche son ibncantation massive, je vois cetre xchjose d’un nom devant moi, ce tracé de roche, ce nom est le nom qui m’a été donné à mon arrivée, je trace icelui au charbon de bois, je tra vcve ce nom sur une pazroi et ce nom est celui que je vois aller parmi d’autres noms affublés, ou comment dire ? donnés par la bande par la confrérie

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22/04/2021

je suis le cerf de Roche Dure, le chevreuil nacré, j’avance en cette roche sous les embruns, je suis dans le sas, je suis pris dans cet espace temps du Devant de soi, de ce devant de vie allouée à une gouverne, je suis homme des cavernes / cerf de céans, ce double animalier me monte, caracole en moi, vient en moi (où ça ?), ce doubvle est mon ami de roche, il est l’ami de la roche du temps, il est mon double du sas,  mon image douce, mon ami de la paroi du temps, je suis l’homme des cavernes doublé d’une bete, cette bete est mon image ou à mon image, elle est image dans un sas de paroi durable, elle est cette chose en moi que je vois aller et caracoler ebn pré, prairie, boisc et sous-bois, il s’agi-t d’un etre de peu (bure) qui, en moi, va vers roche,, se fauifile, file, sort de moi pour aller en roche, en paroi du temps, il s’agit de cette chose d’une bete en moi qui caracole pour aller vers roche de grotte, sortir de mon ame ou de mon corps, de mon etre ou de mon nom,, et ainsi, aller se jeter en une sorte d’entité vers une roche du temps imparti qui est l’espace-temps du Devant, de cette zone devant moi, homme des vcavernes, hommev femme des cavernes, qui est zone du devant de la vie donnée, ou plus précisément zone d’un devant de vie , zone d’un devant qui est espace-temps alloué à une vie donnée comme par la bande, et moi de m’y jeter grâce à la bête en moi qui pousse à faire, agir, manoeuvrer, jongler avec les divers éléments de laroche, de Dame Nature, etc, car je suis homme et femme = enfant de cette roche des temps impartis à une vie humaine, car je suis cet homme-femme-enfant de la roche dure = des douleurs tterrestres, des épreuves (etc) alloués à) quiconque nait sur pareille roche du temps alloué (impqarti) par lanbande = la Chose qui va de son élan buccal de base, cette bouche des embruns est bouche de la base et du sommet et il s’agit de voir cela sous l’angle d’une vie à consumer (etc) pour un temps donné, je vzais en roche nonchalamment et m’uy complais prè!s de l’animal, la roche est dure comme tout, je vaisc (en cette roche du temps) et voit venir les betes près de moi qui s’intéresse à moi dieu sait pourquoi, je suis au milieu des betes, je suis cet homme aub millieyu des betes qui viennent près de moi me renifler, me froler, faire ami-ami, etc, et moi de voir en elles des alliés de la roche dure, de ce temps donné à vivre une vie terrestre, je suis cet homme des prés, des sous bois qui va à leur suite à caracoler, à sautiller près d’elle (folie) pour me sentir proche et les prendre pour ami-ami, je regarde ce ciel nacré-bleuté au-dessus de moi, je suis cet homme des parois de bure, l’homme de peu, le condamné, laehomme qui peut peu et qui regarde autour de lui les  betes aller, qui vont et qui viennent, qui sont ces betes de joie que je vois marcher, gambader, caracoler, sautiller à mes côtés et moi de les imiter un tant soit peu afin de me rappprocgher d’elles, de faire ainsi qu’elles me cvonsidèrent et me prennent pour un des leurs, car je suis cvomme elle un enfant-faon de la premi!ère heure, un etre de peu qui sortirait de l’oeuf, qui irait naissanrt sur la butte du temps chercher alliés en cette roche en ces chevreuils de zoone, en ces cerfs de paroi, en ces bicghes de bon aloi, qui sont biches des temps alloués à) une vie sur terre parmi elles, je suis cet homme qui est homme de peu (bure sur moi) qui va à la suite d’un chevreuil des temps, en cette zone -tampon d’un devant de soi existentiel, je sais cette chose d’un devant de soi existenciel à connaitrte, à habiter comme un tourment, zone des douleurs, des choses à prendre et toucher, à toucher et tenir, etc, je vais en cette zone du telmps alloué comme une vbete sur pré, qui est bete des prés et des champs, bovin, ovin, caprin etc, je suis homme-cerf des temps royaux de la roche dure, je caracole à qui mieux mieux sur roche et me complait, à la suite de pareilles betes des prés, à caracoler ou sautiller de folie comme elles, betes fauves-fortes, imposantes de par leur stature et leur maintien, classieuses, belles betes de race belle, douceurs, qui vont xsur roche à caracole, à sautillement, s’en donne à coeur joie, vont et viennent à qui mieux mieux sur paroi du temps et me montre le chemin à suivre, je suis lm’homme-faon de roche dure du temp^salloué et je vais à la suite de pareille bete des prés et des champs, v ers elles, près d’elles, je les suis à lattrace, je vais où elles vont, je ne veux pas etre en reste de cette chose, je veux etre proche d’elles et ne pas les quitter, ne pas m’éloigner de leurs bois et de leurs ramures, de leurs pattes élancés et de leur pelisse nacréee, je suis l’homme des bois de cerf, l’homme aux bois, le chef de ta race, le chef d’une sorte de race belle, race-confrérie, quyi est cette chose d’une sorte de clan ou tribu des temps, belle race aux bois dormants ? belle race aux bois des tourments ? je vais et je viens, je suis la biche en ces caracoles, je veux suivre pareille biche en pareils caracolages ou comment dire ces cabrioles et ces xsauts dans le temps de la paroi dure ? je vais sur roche et suis les betes près de moi qui me montrent la voiie à suivre : chemin de halage ? chemin de vie ? je suis cet homme des temps impartis qui suit cette biche du temps vers ce temps de la roche offerte,= cet espace-temps qui est une Epaisseur, l’Eopaisseur du temps esopace impareti dédié aux douleurs de toutes sortes et autres choses du désir, des épreuves et des tourments sentimentaux, je caracole, je vais sur roche et en elle (épaisseur) pour une approche de la Vérité des choses de la vie et de la mort, je suis cette personne des temps reculés qui s’avance (exprès) à la syuite de ces cervidés de la roche, je suis cete personne des temps reculés et qui va de l’avant, en cette zone (pariétale) du temps-espace, temps espace imparti, temps espace des duretés de la vie, des épreuves (etc) qui forgent et forment, et trainent, et fgont de moi cet homme de traine, ce chevreuil amadoué, cette antilope dressée, cet aurochs des prés qui est le signe de ralliement, cette bete fauve qui renacle et gueule son tourment de bouche, cet ours des cavernes grandiloquent, ces chevaux de przairie qui tous s’accolent pour former le Clan de la prairie verte, je suis parmi des betes bete moi même : le faon ! le faon de la roche du temps ou de l’espace-temps pariétal, faon-enfant (homme-femme) des tourments de roche, dure est la roche, des tourments de cette roche ici des temps offerts par une bande de ... on ne sait quoi sur terre ou dans le ciel, ou bien où ? sous terre ? les embruns ? la mer ? l’entre-deux-mers ? la plzzaine ? je suis homme-faon de la roche du temps et je vais en roche comme à confesse dire ma misère (toute ma misère) de bure et de sang versé pour une amitié de daim, de cerf ou d’aurochs en moi, je syuis hommùe-faon qui saigne de sa plaie de bouche animalière, trou en moi ! trou dans moi ! trou dans mon antre ! trou en ce ventre en moi ou où ? je voudrais savoir ce qu’il en est de cette cghose en moi d’un trou de bouche offert par la bande animalière qyui en moi a percé cet espace de passage de son pic de verbe à immiscer en roche, etc, ou ainsi de suite, car la pique une fois sortie de ma bouche va à piquer la roche et à la transpercer (la roche du temps : l’espace-temps d’une vie à vivre) et dès lors me voici entrainé à sa suite, aspiré-trainé, comme une chose qui prend le vent et s’engouffre à l’unisson, je suis cet homme traversant la roche via ce passage créé par ici la bete dsortie de moi par mon trou de bouche qu’elle vient elle-même de créer de son pic de verbe animalier (mots-effigies sur roche) et me voilà logé à belle enseigne (l’art) en cette roche des temps caverneux, moi-même en tant qu’homme-faon des cavernes, etc, je suis logé à beelle enseigne, belle enseigne de roche, je navigue en pareilles eaux, je suis pris dans la nasse du temps imparti, j’essaie de comprendre icelui et de me rapprocher des biches des prés, je suis homme de  vie à passer, à vivre de près, à user etc, je suis cet homme-faon de laroche des tempsalloués et des temps donnés ou des temps donnés ou des temps impartis , qui va sur roche ou sur prairie courir follement après le troupeau ou le cklan dxes betes voisines, je regarde ce ciel de roche, cet entre-deux-mers qui est celui qui m’a vu naitre à la roche du temps, je vois les alentours rupestres, ces dessins de paroi ornée, cette chose a nimalière fine et travaillée, cette gouvernancve, ce ctravail d’un homme envouté, etc, je vois la chose avec des yeux d’enfant-faon qui est baba devant pareilles représentations aussi vvhressemblantes, aussi concluantes, etc, je suis baba, je suis comme  baba, ebahi et subjugué et n’en reviens pas, et n’en crois pas ses yeux, je suis cet homme des prés qui est homme de la vie à vivre sur terre, en cet espace prairial des tourments de la guerre, du sang versé, des colères diverses, des passions déclarées, des vicisssitudes, des affranchissements , des turpitudes, du mal perforant, de la gaine éventrée, de la chose morte, etc, je suis pris en étau, pris à partie par des evènemeznts de paroi dure, je suis pris par en moi des betes de peu qui gouvernent et me poussent ici ou là à leur gré, je suis pris à partie au nom de quoi ? au nom du nom qui m’a été donné ? hje vais sur roche et essaie de m’y retrouver en pareille confusion des temps alloués , je cherche une solution à des problèmes de roche dure, je suis homme des cavernes envouté, envahi, pris à partie, pris d’assaut, habité ou hanté etc et je vais en roche (espace-temps) comme d’aucunes filent à l’anglaise et plus jamais nous ne les reverrons et moi de même : ce sas eswt l’eswpace de ma mort terrestre, et mon corps à jamais sera, comme porté disparu de la vue, je suis homme-faon de la première heure, et je cherche ici une compréhensiobn de tous les instants de vie à vivre, je suis cet hommefaon qui a vie à vivre ici ‘(paroi) et du coup je suis (du verbe suibvre) les betes qui paisssent, qui en savent vlong j’imagine, qui savent beaucoup, qui peuvent me dire, me donner du grain à moudre pour ma gouverne car elles en connaissent un rayon, elles ne sontv bpas nées de la dernière pluie, elles savent à quoi s’en tenir, elles sont fortes de chez fortes, elles en imposent, elles sont royales, ducales, altières, altesses de ces lieux de roche, elles sont belles comme tout (astres) et en imposent par leur prestance, leur port, leur stature royale, leurs bois de tete, leurs élan de vie dans les prés, leurs regards de fée etc, elkles sont betes de joie vive (art) qui vont sur la roche du temps, comme qui dirait pour mieux nous amadouer, je suis cette bete de joie aidée , qui va sur roche, qui ressemble à d’autres betes de joie de roche, je suis moi même cette bete, je suis avec elles , pres d’elles, cette même bete comme elles aux bois jolis, aux pas élancés, etc, je sautille et cara cole comme elles, je suis elles, c’est à dire cette forme, ce chevreuil de forme, cette chose, c’est à dire cet homme-faon de la roche des prés ambulants, des temps imparetis, des temps-espaces de prairie (de parois) tels qu’ils nous sont alloués, je vais et je viens en roche exactement comme une biche fait car biche-faon (chevreuil) moi même dès à présent , en cette rocghe des temps donnés pour une vie à consumer de bout en bout, je suis l’homme faon de la roche du temps ! je vais et je viens en roche des temps parmi les betes et m’y pose un temps disons incertain (m’y repose) et de là je  vais plus loin, plus loin cvers les embruns de bord de mer, je m’avance, j’en avance fissa vers des lointains rocheux qui me tendent les bras, où suis je ? que faire d’autre que cette chose : aller vers pareille clarté l:ointaine, que faire ? je vais de l’avant, mon a va nt est mon devant de vie vive (ce présent déposé sur roche) et ainsi faisant - j’en avance fissa dans le sens d’une destinée de roche dure (les tourments, les inconvénients) et aussi : je poursuis ma quyête de la v»érité, je regarde à toujours poursuivre cette sorte de rechgerche fine, cette quete soutenue, d’une sorte de vérité, frappée, ancrée sur roche, une sorte de vérité de roche dure, une vérité de belle facture et de bon aloi, une vérité des vérité, etc, je recherche ainsi à m’ancrer ainsi en  cette roche des temps durs, de frappe-dur , etc, en cette roche des temps durs durs à frapper ou marteler au son dela voix qui serait geignante (ou hurlante ? ) , je suis faon de roche dure à marteler, je suis ce faon de roche à marteler, à cogner de choc, etc, je veux c ette chose pour moi qui est de cogner roche à coups redoublés, je veux que cette chose soit et soit pour moi qui m’incruste en roche, m’y blottit, m’y complait, m’y ontroduit par la bande etc, je suis homme de l$

aroche dure, homme)-faon de rochge dure, qyui file ainsi en roche sa pelote tourmentée des temps impartis, je veux gagner du terrain et me porter au loin , au plus lointain depareille roche échancrée, je veux gagner les horizons, atteindre la clarté et regarder, voir, voir en ces clartés des choses, des choses de la vie et aussi des choses de la mort, de ces choses de vie-mort accouuplés, je le veux ! je veux cette chose, et cela mordicus ! je veux / je suis ! je suis / je veux ! merdum ! car cela pour moi est que cette chose est, cette chose à moi donneé! je veux/ je suisq ceztte  chose des temps alloués et c’sest ainsi que je cherche à m’incruster en roche, en cette paroi des temps don nés pour une vie à cvonsumezr ou consommer, à bruler pzar les deux bouts : 1 et 2, ainsi fait, car je suis cet homme-faon de roche offerte en prairie , en bois et sous bois, par la bande, par confrérie, par on ne sait qui, hje veux connaittre toute la  vérité sur cette question posée comme quoi , ou sur pareille question posée ici pour quoi, ou comment dire ? cette question posée est de celles qui taraude et pousse à recghercher ! je vais en roche à la recherche d’une sorte de réponse à) pareille question concernant : la joie du jeu, la peine des plaines, la vie offerte, la mort en regard, les embruns, etc, toutes sortes d’interrogations natives, etc, je cherche, je ne suis pas en manque de questionnements et ces questions en moi caracolent verbeusement comme des betes de cohorte entrela cées, etc, je sais cette chose, je vois ce qui est devant moi et je cherche des réponses à des questionnements comme enfantins dans leur approche et cela esqt une bonne cghose, une chose de choix, une beauté aussi bien, car le faon a ses attrreaits de roche, il caracole à qui mieux mieux, il est près des biches et des cerfs, il chante, il brame, il est vif comme l’éclair, etc, l’homme-faon est une image de roche dure et aussi cette image de roche tendre, les deux car il est double ou doublé de bure, de joie, de beauté racée, de charme acidulée, etc, il est l’homme-faon de roche du temps, qui va caracolant sur roche à la recherc he d’une nourriture à se mettre sous la dent, un présent de vie alloué, une volonté ancré, une aide personnelle personnifiée, etc, son nom est écrit sur rocxhe en toutes lettreess car il porte un nom de scxène (roche) qui en fait un personnage «célèbre» c’està dire célé bré par la gouverne , et cela étant il peut porter fier, porter haut son port, en jeter, en mettre plein la vue, se vanter, s’afficher comme larrons en foire, etc, il s’agit pour Faon de Roche d’aller et venir en pareille paroi près de ses congénères, marcher dignement, en majesté, comme un roi de céans habitant les prés pariétaux royaux, je suis Cerf de Céans nacré, mon nom est celui que vous m’avez donné, je porte haut le port de ma race (classe) , je suis un animal racé, fier, beauté des prés, je vais sur roche du temps latete hzaute, portant hazut lmes bois, faisant figure, allant d’un pas posé, faisant chose d’une sorte d’avancée ducale en pareille roche du temps, mon nom est celui que vous m’avez donnécv= offrande sur roche du temps, temps présent en guise de vie affichée ou comment ? car mojn temps est cet espâce tempsalloué qui est un repaire (zone de prairie) qui est le repaire de la vie vive, et non de la vie morte, la vie morte est ailleurs (où ?) et la vie vive est pâriétale à souhaits, je vais en roche à la recherche de la vérité vraie de laroche des temps et là, je me mets à regarder au loin les choses du monde éclairé, cette zone aux clartés fuyantes, cet horizon sans cesse fuyant, ou reculant,  c ette clarté lointaine qui est celle que je chercxhe à atteindre, à toucher du doigt, je veux cette chose ! volonté ! volonté ancrée ! volonté majeure ! volonté ma ssive ! volonté dure ! volonté capitale en lettres capitales ! je veux cette chose pour moi, à savoir ce savoir ! je veux, je souhaite, jhe désire, cette chose, cette lumière la connaîtte, je souhaite je désire, je veux connaitrte, oh si seulement je pouvais m’en approcher (en tant que faon) et toucher la chose de clarté, cette idole, ce chant des fous,  cette beauté nacrée, vive, charmeuse, douceur, cette beauté douce, ce chant des embruns, cette chance, ce chandail , oh si seulement ! mais comment ? comment faire pour m’en approcher ? comment toucher pareille clarté, cette lumière sortant de pareille cavité ? cvomment faire pour toucher au but sans faiblir, les yeux grand ouverts sur l:’arbre de la vérité, sur ce port altier d’une porte ouverte , crachant ses embruns (fumée ? brume ?) à qui mieux mieux sous mon regard éberlué , comment faire ? comment s’approvccherr ? comment s’avancer = passer kle pas, avancer d’un pas sur le pas, avancer doublement son pas, redoublker son pas, ou doubler son pas, ou sortir de son pas par un pas de plus hors des pas de base ? comment faire pour s’y prendre, comment aller, comment franchir le Rubicon de la clarté naissante, renaissante ? il faudrait pour moi que j’arrive à toucher à ce but qui est : d’aller de l’avant d’(un bond d’un seul qui me verrait sortir de moi pour mieux me retrouver en pareillec zone d’éclaircie, d’éclaircissemnt, etc, je veux ! je veux cette chose ! je veux aller loin en cette roche c’est-à-dire tout au bout, au fin fond, au fond de cette roche où serait déposé e une chose de vie explicative, et cette chose ce serait pour moi la chose , la Chose, qui compte ou comptezrait, je voudrais cela, oh cvomme je le voucdrais ! car je suis ce faon de la première heure (homme-femme rassembklé en genre) qui veut le savoir, quyi veut ce savoir de base, cette chose, cette chose en vrai, en dur, cette donnée de roche temporelle, il (je) veut (veux) cette chose! et moi de faire en sorte que pareille donnée puisse m’aller, puisse me venir, puisse venir vers ma gouverne, s’approcher , oh si seulement la  vérité pou vait s’afficher d’elle-même et venir à moi ! oh si seulement la véritéc pouvbait s’approcher de moi et me donner des ailes, et m’éclairer et éclairer ma gouverne, oh si seulement ! oh si je pouvais, si seulement d’un bond d’un seul je pouvais franchir le pas et meretrouver (vivant) en pareille zone aux ezmbruns, zone des vérités de la roche a llouée à une vie à vivre de conn,cert avec d’autres que :moi, faons fatals, qui sont mes alliés de la rocxhe et comme moi aspirent à connaitte cette vérité de bon aloi contenue en roche du temps;

, nouscherchons, nous sommesq beaucoup, une tripottée, une pléiade, une confrérie, un attroupe ment, une  armée etc, qui chercghons passage et qui voulons savoir, qui cherchons à connaitre le fin mot de pareille clarté de rochev (ces lointains) qui est cette clarté de fin de roche, des lointains charmeurs, des beautés nacrées -bleutées, etc, je cherche cette chose d’une sorte de beauté de base naissante, comme à laracine, ras du ras, ras de la rase, etc, je cherche  cela avec volonté, avec assiduité, à la force du poignet, je cherche assidument et énergiquement (tout à l’énergie) et je veux trouver, je v eux connaitre, je veux savoir, je veux en avancer, je veux aller loin, je veux trouver des choses, découvrir le pot aux roses de la vérité du monde, je suis toute volonté, toute énergie, je suis homme-faon qui va en roche à l’énergie, coup de jarret, coup de boule, ou comment ? je vais en roche soigner mes tourments ? je cherche ! je veux ou voudrais connaitre ce fin mot de la roche des temps ornés, cette paroi, cettte chose dr’une paroi aux buffles tracés etc, je sais que la chose n’est pas aisé et que les mots ont beaucoup de mal à s’en approcher, je sais pertinnement que ces mots de roche (bisons, buffkles) sont peu de choses, représe,ntent peu en vérité, hélas, il me faudrait en savoir plus, avoir pour moi la possibvilité d’en savoirr plus, avoir pour moi cette chose d’une possibilité de compréhension souveraine (souterraine ° ?) mzais comment ? comment faire pour savoir des choses (voir) hors ces mots d’emprunt qui troublaent la vue plus qu’autre chose , colmment faire pour savoir plus, pour y voir loin, pour voir en profondeur, pour comprendre les données, pour recouper des informations qui pourraient nous placer sur une piste, une voie de recherche nouvelle, etc, comment ? je cherche-faon cette cxhose, cette cxhose d’une vérité de roche (le Temps de la mort à l’oeuvre) et cette chose la voir de visu devant moi qui tronerait et me donnerait son aval pour une mienne compréhension du tout au tout, mais comment ? je cherche-faon  c ette chose d’une vérité nacrée et ancrée, voilà ! cette chose est ancrée-nacrée, cela sembvle une évidence, il semblerait que cette schose soit (fut ?) ancrée ET nacrée, les deux choses, et c’sst la bonne direction à prendre dorénavant, pour comprendre de quyoi en cette roche trouée (clarté) il en retourne, et donc prenons ce chemin, alons dans cette direction, essayons de comprendre cette chose d’une chose ancrée et nacrée, chose de la vie offerte ici, qui va dans ce sens d’une échancrure terminale, ou comment dire ? une chose ancrée est une chose sise, et une chose qui serait nacrée est une chose des embruns, une douceur,n une beauté blancxhatre etc, nous essayons de mieux cerner cette chose ensezmble et ce n’est pasfacile de s’entendre, nous essayons ensemble de comprendre pareille donnée à la lumière de nos connaissances juxtaposées or ce n’est pas simple, car la vérité n’est pas simple à approcher, cette vérité concernant la mort, la mort de bouche, ou cette vérité de la bouche du temps, bouchemort accolée, comment dire ? nous pensons que la vérité est vérité accolée , nous avons ceztte intuition en nbous, cvomme quoi la mort = mortbouche accolé, ou bouchemort accolé, etc, nous pensons cette chose à part nous et nous cherchons dans cette direction, comme une chose qui serait doublée, qui contiendraient en hjuxtaposition plusieurs données accolées, monNOM , ancrée et nacrée etc, il wsemblerait, une sorte ainsi de double fond, de double entreée, une entrée et une sortie qui sont tout à la fois sortie chacune et entrée chacune (comme un tube ?) et nous dès lors d’essayer de comprendre ce qu’il en retourne ou bien de quoi il en retourne, nous cherchons cette chose ensembkle ici même, en cette roche du temps ou des temps durs, en de roc des peines, etc, nous sommes tous et toutes , faons de la première heure, à cherchezr des choses en pareille roche, chjose concernant cette donnée d’une sorte de redoublement des parties jhointes, etc, mon nom, etc, on voit que la chose a de l’importance, nacrée-ancrée, on cherche, on est faons-chercheurs, on ne veut pas rester le nez en l’air, on veut s’ancrer dans le paysage et trouver des vérités de roche (cueillette) comme ailleurs des baies , du gibier etc, car la vérité est à cueillir comme baie de roche, etc, je suis ce faon de laroche des temps, qui cherche des baies comme des baies de vérité , à bpropos de tout, ce n’est pasdifficile, car tout m’intrigue et dès lors tout m’intéresse, il s’agit pour moi de comprendre cette chose d’un tout de vie et de mort , qui serait une chose accolé, une sorte d’emprise, de prise, de colle, d’encollage, de collage, de montage, comment dire ? un + un qui ferait un , ou alors comment ? nous voulons connaitre ce qyui est de cette chose d’une vérité de parooi orneme,ntée par des betes dessinées à main levée par un homme ou une femme ou un enfant-faon des cavernes, et cet enfant faon est cet etre de peu (bure) quyi trace sur roche son tourment et s’en remet, à plus fort que lui, à cette bete de masse des prairies, à cet aurochs qui sait et peut guider l’enfant (ce faon) vers desq vérités de roche dures (les vérités) et de roche dure (laroche) car l’aurochs est l’Animal-mot par excellence, il est le Mot de vérité, lui seul wsait guider avec bonheur et intelligence, car l’aurochs est Aurochs-Mot de référence, le doux prince des lieux nacrés--ancrés, il est le Mot de la voix du sang (voix et voie), il est l’Animal de lafa ble, le preneur d’otage, le fieffé instructeur quyi connait les rudiments et sait les poartager, il est cet animal qui vous accompagne et ne vous laisse pas tomber, il est en vous la belle meunière, le salut, la chance, l’ombre portée, l’envahisseur, le chant, le fou, l’accueillant aussi, le fieffé charmeur, il vous pousse à graver et tracer des traits sur roche, il est l(accopmpagnateur delaroche des temps , qui sait vous guider sur paroi comme pezrsonne, il vous donne le la musical de la paroi du temps, car le temps à vivre est musical (scansion) et pariétal (mur du son) et c’est ainsi que l’Animal (l’aurochs) sait faire de vous cet eztre à l’écoute des sphères, des chants sortants, des bruits  d’antre, etc, l’aurochs est un allié de la première heure, il a une importaznce vive, son aide est précieuse, il peut vous aider énormément, son chant en vous franchit les paliers et sortt de vous par ce trou de bouche (perforée) pour aller comme de coutume se ficher sur roche et à son tour de la transpercer et delatraverser et de se retrouver de l’autre côté, coté roche-temps, rochetemps, etc, comme accolé à pareille paroi qui dè!s lors devient (comme de bien entendu) muusicale en diable, et voilà ce qu’il advient, ce qsui devient en roche, ce quyi est qui vient, cette nouveauté comme quoi la roche est du chant en dur, est chant depuis son dur de dur, ou comment exprimer cette chose ici ? car la rocghe est pour nous cette chose-espace, ce temps-espace, cette zon e de vie brute , et voilà qu’à présent cet aurochs de bure nous dit cette chose comme quyoi laroche espace-temps est musicale, c’est à dire «est» la musique des sphères, c’estc à dire cette chose comme quoi roche (roc, paroi) eEST misique des sphères, ou bien comme quoi roche = musique, roche ou roc et musique ou chant dsont une seule et même chose ou entité, et cela est nouveau pour nous, nous n’avio,ns pas cette notion ou du moins pas de façon aussi tranchée, car nous sommes envahis de notions en nous mais pour la plupart  c e sont des notions «non-trzanchées» or ici il en est autrement, la chose est une évidence, roche= musique, ou roc = musique, on le subodorait mais nous ne savions pas que la chose était à ce poin,tv effective eh bien voilà, la chose est dite bel et bien, et par qui ? pzar maitre-queue, par l’Aurochs de lafable, l’Animal majuscule c(est ) à dire l’Anilmal ezn soi par excellence, le prezneur d’otage ou la belle meunière , ou qui ? car l’aurochs est musical en diable, il est le chant des rocherrrrs de base, il se porte loin par la voix, il en impose de son propre chant guttural, portant loin et faisant comme trembler les limbes, il est cet Aurochs des chants bénis, des bontés redoubvlées sur roche, il est aurochs-mot de prezmière naisszance ou commùent? chant de la pklus haute ère, chant des sentiers cachés, chant de plus haute futaie ? il est le chant des temps reculés, ce chant des hauteurs du temps, il est l’aurochs-mot- chant des hauteurs des temps et c’sst pour cezla que nous le respectons au plus haut point, il est l’équivalent anilmal en nous du langage porté qui est le notre cdepuis longtemps, il est cet é&quivalent animalier à une sorte de sabir (patoisant) contenu ezn nous comme un sang de plus, l’aurochs -mot est l’allié ancré, il est ancré et nacré comme un coquillage, il est  ce frère de ran,g de roche dure, il nous permet xde comprendre desz données de base ici , qui seraioent donnés de première bourre (= naissance) et cela est d’une grande ou très grande importance, l’aurochs est notre allié langagier le plussûr et nous le respectons comme nul autre animal des prés car il en impose, il parle un langage articulé fait de phonèmes ancrés qui sont cxdes mots de chasse, de pêche, de cueillette, etc, et c’est ainsi que nous pouvonsnous autres avec lui communiquer, parler de cxhoses et d’autrress;, etc, car l’aurochs est muni en lui d’une gouverne langagière qui en fait pour nous un allié de poids (massif de verbe) bien utile et bien intéressa nt pour nous qui recherchons la ou les vérités en toutes choses, l’aurochs est pour nous un allié tres sûr, un frère, un cvonfrère, une aide, un appui, un soutien musical de tous kles instants dans cette recherche de la vérité vraie des temps de laroche, que peut il (l’aurochs) nous apprendre ? beaucoup en vcérité ! car il en connait long sur beaucoup de choses con cernant la vie de la mort et la mort de la vie, il sqait beaucoup de choses, il en sqait lourd, il sait millecchoses , il en connait un rayon et nous de l’admirer pour cette chose, oh aurochs ami, aide-nous dans nos recherches ! sois pour nous une aide sure , sois pour nous cette aide sur laquelle nous pouvons sans crainte nous tenir ou nousappuyer ! car nous avons besoin de toi, oh aurochs ! nous avons besoin, Aurochs, de ta gouverne épineuse, de ton pic verbal de perçage, nous avons besoin de ton pic de roche acéré ( le pic) pour creuser la roche et passer de l’autre co^t»é, côté ou versant vérité, peux tu nous aider ? nous demandons cette cxhose à l’aurochs des p^rés, nous lui demandons de cette façon, ezn le regardant, il est cet animal fort et racé qui sait naviguer en pareilleparoi temporelle, il est l’animal de la vie à l’oeuvre au sein de laroche du temps, nous sommes dans le temps comme dans une sqorte de roche musicale qui serait pour nous un refuge de vie, antre de vie brute, nous entrons dans la vie comme entrent en paroi des betes gravées par un homme des cavernes, ou par une famme des cavernes, nous sommes homme et femme con comittament en roche = enfant de bure, de misère, etc, et cela nous pousse à chercher des alliés à même cette roche ornementée, qui l’aurochs (on le voit) qui le bouquetin, quyi le rennhe, qui l’éla,, n qui le zébu, qui le mammouth, qui le cheval, qui la jumentt, qui l’antilope, qui le buffle, qyui le bison, qui l’ours des cavernes, qui l’hippoopotalme, qui le phacochère, etc, nous sommes toujours en recherche assidue de vérités animalières, d’alliés dee la première heure ( naissance au monde) etc, car nous sommes des eznfants joueurs, nous jouons à qui mieux mieux à faire ainsi que nous puissionsaller en roche bille en tete, pour comprendree  ce qui est de cette vérité de bon aloi dont on enteznd parler dans les coquyillages etc, nous sommes à l»’écoute du temps pariétal, qiu nous souffle aux oreilles ses paroles d’animal racé, nous pensons aurochs, nous parlonsa urochs, nous communiquons aurochs, etc, cela est ainsi que l’aurochs -mot ou que l’aurochs-langue est pour nousc en nous cet allié très-recherché», nous disons cet allié car l’aurochs est pour nous le frère dela reoche dure, il nous accompâgne continument, de près ou de loin, il est toujourslà comme un frère ou comme un père (etc) et c’est pour cela que nous tenon,s à lui énormément, nous sommes proche de cet etre de paroles incantatoires ou comment ? car le parler aurochs est un parler de roche dure («frappadingue « ?) qui en jette fort, qui sait se faire voir, qui sait se montrer, se faire écouter et se faire entendre, se faire entendrte = capter l’auditoire, et se faire écouter = convaincre et entrainer dans son sillage, c’est à dire tres exactelment ce qu’il fait continument, l’aurochs est l’animal qui sait parler et vous prendre à part lui où bon lui sembleraa bon de se rendre, comme par exemple en fin fond de roche musicale, en ce fin fond de laroche dure, en ce lieu de roche de paroi, en celieu de roche du temps, en cet espace dur de la roche dure des temps alloués, etc, l’aurochs est la bezte destraits dessinés sur paroi, et aussi des points de scansion : trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! où es tu ? où donc trou te trouves tu au fond dee la roche ? et l’aurochs de trouver l’issue, le pot aux roses, le passage idoine, l’endroit qsui sied pour une entreée fissqa dans la matière de pareille roche dure musicale, et nous de le suivree (comme de bien entendu) car nous sommes sûr s de sa gouverne, nous avons toute confiance en lui, nous sommes qsûrs de lui et de son élan, de son allant, de sa volonté, de son désir de nous aider, nous avons en lui (aurochs-mot) toute confiance et c’est les yeux fermés que nous le suivons l( le sommeil ? les rêves ?) et allons après lui dans cette direction d’un fin fond de rocheclaire (éclaircie) qui est cette zone de l’apres vie ou de l’apres quelque chose ou de ce quelque chose qyui serait la vie de roche en ses parties, nous suicvonsq l’aurochs comme notre ombre, nous lo’aimons beaucoup pour cette raison quil est pour nous l’aurochs de la roche adoubé, laurochs adoubé de la roche adoubée, les deux, cette bete de poids pour nous qui envisageons d’aller loin en pareille roche, pour ce faire : trouver la Vérité des choses de paroi, tout comme le feraient c ertains, certaines, historiens ou historiennes par exemple, nous avons pour nous ce désir de suivre l’aurochs en ses tribulationsrupestres, nous pensons q u’aurochs-mot est pour nous une chance pour une survie et dès lors nous nous accrochons (mordicus !) à sa gouverne, à son gouvernaikl de vie dure, de vie allouée, de vie de roche musicale, etc, nouys n e le lâchons pas d’une semelle, nous sommes tout près de lui et ne voulons pas le perdre, nous sommes tout proche et notre souhzait le plus cher est de nous accoler à lui un temps, en vérité un long temps ou un temps long, voire le plus long possible, car la mort du bout nbous effraie et nous ne voulons pas de sitot la connaitre de vive rencontre ou comment dire cette chose d’une sorte de rezncontre (épaisseur) avec pareille  Chose dite «La Mort» quyi serait n^$ottre, qui serait cette Chose de vie a rdente, brûlante,  ce feu, ce brasier, ces flammes qui tendraient à vouloir nous toucgher et nous bb^r^uler fissza comme fétus de paille ou bout s de bois dans l’antre (etc) et nous de dire non ! nouys ne voulons pas de la mort-saleté ! salope, la mort ! nous ne voulons pas de tes flammes de vie morte ! nous ne voulons pas de ta mascarade de vie ! nous ne voulons pas de cette chose d’une sorte d’embardée votive définitive, pute ! nous disons deès lors (grâ ce à l’aurochs) ce qu’avons à dire derechef , nous disons hzaut et fort nos mots d’injures qui sont mots de peu (nous sommes d’accord := bure) mais qui, mots de peu, impactent quand mememe, du fait de leur teneur en termes de vitazlité de bas-étage,, vif langage acidulé, acéré (?), qui va droit devant comme une pique, saleté des Saletés, insultes votives à leur façon et à leur tour, nous aimonsl’aurochs pour cela qu’il nous aide bien pour nouys excprimezr et cracher nottre venin à lk’adresse ou à l’encontre de pareille bete des prés ou de pareille bete de roche ou de pareille bete de joie ou de pareille bete des cieux du devant de vie, ou de pareille bouche ouverte, ou de pareille bouche qui pue la charogne, etc, qui est qui ? qyui est cquoi ? difficile de se prononcer , car nous sommes sous le jhoug d’une entité meznaçante et pesante en  nous quyi nous absorbe un temps, prend  notre gouverne en main et agit dès lors à sa guise en nous, et du coup nous fait chavirer dans le sens que bon luyi semble à elle, pareille entité de la grotte des temps a:lloués, nous subissons, nous sommes sous = dessous pâreille entité, nous ne sommes pas libres de nos mouvements, ni même de nos tourments, ni même de nos paroles, nous sommes soumis à en nous une force de première instance et de première importance qui est celle de l’aurochs des prés en nous, cet aurochs de roche (dessiné à mains levées) qui est cette bete des attreaits, qui connait trè!s bien la musique des sphères et nous sort maintes et maintes fois ( ou continument ? ) sa chanson de roche, son aide argumentére, son couplet, qui est celui ci qui nous voit agir sur roche les yeux fermés, qui nous voit agir ainsi et dessiner sur roche ainsi que nous faisons ensemble = mains dans la main ou comment ? nous cherchons une entreée dans la matière musicale de la vérité des choses du temps, nous cherchons dans la matière du temps , ou de l’espace-temps de la roche du temps, une entrée en matière digne de ce nom (MO?N  NOM° qui puidsse nous donner de quoi nousretourner et comprendre ce qui est de cette chose d’une destinée rupestre, qyui sait ou saurait nous dire ce qui est oou mieux : ce qyu’il en est de lêtre en soi, en  nous ? qui peut ou pourrait nous renseigner avec sérieux, avec pertinence ? qui pourrait nous donner son aide sinon l’aurochs de la fable, dela rocxhe des tzemps? qui d’autrte ? nous pênsons que nous devons agir sur roche en tzant que nous sommes tous et toutes main dans la main des faons dee laroche du temps et du coup écouter pareille entité animale en  ous (l’aurochs du langage articulé) et le suivre dans ses pérégrinations acoustiques de fond de roche, écouter son v erbev tressé, écouter son  verbe dur, élancé, dressé comme un pieu enfoncé, etc, nous devons penser aurochs et parler  aurochs à même la roche et c’est ainsi que nous traçons aurochs sur roche, au charbon de bois, au manganèse, etc, sur la roche de paroi des grottes, ici ou là, en france incidemment, nous traçons desq figures de bêtes, des aurochs tout aussi bienn, des chevaux de cxsavalcade, des bisons busqués, des aurochs ezn veux tu en voilà à meme laroche et gravons à l’unisson avec en nous pareilles voix de guidancce continue, nous tràçons à l’unisson avec pareilkles voix en nous quyi nous guident en contin u pour nous aider à passer le cap (les caps) de la roche du temps imparti à une vie terrestre, humaine, donnée pour comptant, donnée par qui on ne sait, par la bande assurément, nous ne savon,s pas que penser car nous sommes faons de roche et nous sommes petits en regard, des petits de roche dure, ou bien les petits de la roche dure, les faons-enfants de cette sorte de poumon (pariétal) de vie vive, seulemeznt cezla : des êtres ici de petite envergure au final, qui ne savent pas lourd, qui cherchent à grandir dans kle domaine du savoir, etc, nous voulons comp^rendre, nous avons soif de connaiszqance, nous voulons comprendre beaiiucoup et loin,; nous n,e voulons pas rester en carafe sur place et ne rien comp^rendre à rien mais tout au contraire nous voulons savoir ce qui est de toute cette a ffa ire d’une rocxhe du temps (un rocxher) musicale, ou vbien d’un temps des sphères à) écouter de ses deux oreilles, nous sommes des faons qui cherchons des  vérités sur roche du temps : tracés acérés, tracés de bure, chemin faisant, nous chercghons en roche (au pas cvadencé d’une musique allouée)  des donnhées de vérités ancrées, nacrées, riche de laroche, richezsses, duretés, données de roche ruprezstre, etc, nous cherchons assidument, nous cherchons a vec beaucoup d’entrain en cxet intérieur de zone libre, libérée, de roche des temps pariétaux, cet espace où déambuler à sa guise, cet espace-temps limité où cependant pouvoir ddéambuler en toute liberté etc, nous disons que nousq szommes ainsi ensqem ble dans le temps musical de la roche des temps impartis, nous disons que nous sommres ensemble accvol:és comme notions de vie soudées entre elles par la bande musicale des appretsz, nous disons que nous avons dès lors cette chose en nous à devoir comp^rendre, cette chose d’une sorte de paroi de vie soudée, de paroi de vie soudée à la mort, de paroi de vie soudée à cette autre paroi de vie que serait la mort, nous sommes faons-enfants des cavernes, nous sommes des enfants dans une caverne, nous sommes des enfants qui gravitons à l’intérieur d’une caverne et nous nous enfonçons en elle, à la recgherche de la vérité qyui serait contenue dans une langue (donnée) ezn particulier, et cette langue ici est le français, est musicale, est langue déployée dansle temps de son apparition pariétale : litanie, enchainement, vie vive nacrée un rien (!) ampoulée et cependant qui va de son allant d’aurochs en pareille roche de grotte et se dépose là pour la bonne  cause d’une sorte de recherche (dans la profondeur) de savoirs de vie vive, de savoirs dee v érité, nbous nousz enfonçons en cette roche du temps deevant nous, qui est semblant de vie en cela quil s’agit d’un temps donnéc à bouche de la mort en vie, nous donnons ce temps alloué devant nous, sous cette forme ds’un  présent (de  vie) pariétal (la roche) et ce temps est allouéc en nous et pour nous par des beztes de v ie en  ous qui commande et guident, qui sont comme «derrière» nous à nous commander, à nous guider vers nos destinées , chacun son chemin, et nous d’adhérer à pareille entité guideuse, de coller, ds’adhérer colmme collés à pareille bete des prés, à cette bete-mots de rocxhe, nous aloons ainsi comme accolés, nous nous colloons à) pareiklle bete des prés et ne la quittons plus d’une semelle car nous sommes hommes-femmes enfant des cavernes qui colons, nbous colloons au verbe appointé, nous collons les notionbs entre lles, hommefemmeenfant de laroche des temps, nous coloons les lettres entre elles sur roche du temps, nous sommes hommes de la préhistoire qyui colloons les lettres du temps entre elles = à la queue leu leu, nous sommes ainsi desz hommes des cavernes qui faisons cette chose sur roche, d’accoler des sortes de phonèmes gutturaux, betes de roche, animaux-mots de roche des temps, tous collés ou accolés ezntre eucx, cohorte, agglutination, torsade, torsage, etc, comme pic de betes entremêlées, etc, nbous sommesz ainsi hommes et fezmmes quyi agissons de la sorte pour la bonne cxause qui est cette chosec  d’un trouage de roche du temps pour un passage en icelui à fin de trouvages,de trouvaisons, de trouvailles, etc, je suis homme de la caverne  x ou y du temps, je suis homme des cavernes c’est à dire de l(histoire avaant lm’histoire e, c’(est -à dire de l’histoire avant l’écriture de l’histoire or j’écris, quoi ? MON  NOM, et aussi ce nom que je porte, et aussi des mots-mots, qui sont mots-animaucx, et aussi des mots de betes, mots-betes et mots de betes (aurochs-mots de base) etc, et donc on peut penser que je suis aussi dans le passé d’un temps narré, 

et c’est ainsi que les choses sont, qui me voit comme coupé du monde quand il n’en est rien et que je vis encore parmi vous qui me portez en vous comme un souffle de vie continu, une sorte de filament, une file ou cohorte en vous animalière, etc, je suis t(oujours là, je suis la présence en continue d’un filet de vie en  vous qui me portez malgré vous comme souffle de vie alloué», je suis l’homme des  cxavernes du te:mps dee laroche dure trouée, je cherche la vérité des chose da,ns la roche, cette roche est ornementée à cette fin dernière qui est celle de vouloir crever l’abces et cr(acher ma gourme, ma colère, mes quatre vérités, etc ,; à pareille entité de roche dure, à cette bouche «de mes deux» qui me regarde vilainement et cherche on dirait à m’amadouer (via je ne sais quoi de rupestree ? )pour m’ingurgiter et me faire passer de l’autre côté, elle est fine et forte, elle se glisse en moi et revêt mes dires, elle a vite fait (cette entité) de se loger en moi, en mes dires, en mes paroles, etc , pour me faire basculer et cela est ainsi que je (facilement) me fais berner et me faitb avoir de la sorte, avoir et bezrner, car bouche est forte qui a vite fait de me faire parler dans un sens qui n’est pas tout à fait le sens que JE = MOI souhaiterais à dire vrai, Bouche est forte en bouxche, etc, elle a le biais et aussi le chic, elle sait y faire, et je dois veiller à ne pas l’écouter de trop, à m’en tenir à bonne disqtance etc, ce bn’est pas chosefacile, bouche dela Mort à l ‘ OEuvre est fort dégourdie et s’y connaît loin en pareille chose, ezn connait un rayon (des ma sses) et a vite fait de vous faire  chavirer ou retourner ou trembkler, je suis l’homme desq cavernes en roche, je dessine à main levée des b etes de poidfs, ces betes sont des mots de roche dure, ils agissent pour moi et me protègent de bouche de la mort à loeuvre cette chipie, je me tiens dès lors à bonne distance d’icelle qui cherche    à tous les coups à me faire chuter en son sein rupestre mais je ne veux pas l’écouter ni même chuter, et pour cela je grave sur roche MON NOM de roche, mon NOM d’homme des parois, faon fan de l’aurochs de roche des temps, hje gravesur roche des mmots de prezmière arrivée, ba s de casse, mots des premieères loges, bas du bas de la roche dure, je grave et trace ainsi (fusain) des mots-aurochs de protection, ces mots m’accompâgnent dès lors au sein de laroche du temps afin de faire cette chose (pour ma pomme) de mze protéger des assauts du temps ou comment ? du souffle infer nal ? du souffle sortanbt d’une bouche acide ? commùent dire ? je vais en roche ainsi faisant, pic de bouche perçant pareille rochge des temps fous, des temp^s nnacrés = ancrés à pareille (dure) roche musicale, MON NOM est MON NOM, et dès lors j’avance, je syuis faon de roche dure, je vais sur roche me logerc en elle et me coller à pareille paroi comme une sorte de rémora ou autre poisson collé sur poisson de taille ou comment ? je suis le faon de laroche dure musicale des apprets , je vais et je vien s en pareille roche du temps, mon nom s’inscrit sur roche ainsi : aurochs, aurochs, aurochs, aurocvhs, aurochs, aurochs, litanie, ou ainzi : chevbal, cheval, chevakl, cheval, cheval, cxheval, chevla, cheval, tout autant litanie, ou alors ainsi : renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, ou ainsi : bison, bison, bison, bison, bison, bison, bison , bison, bison, bision , bisopn, ou même : bouquertin, bouquetrin, bouquetin , bouquetin, bouquetrin, biouquetin, bouquetin, bouquetin, bopuquertin, bouquetin, bouquietin, ou alors : antilope, antiloipe, antiulope, antilope, antilope, antilopê, antilope, a ntilopê, antilope, antilope, antilope, etc, je vais de ce pâs een roche, via ce trou de paroi quii me voit m’immiscer en elle car je suis muni d’un pic de perçage acéré qui est  c e pic de verbe injurieux capable de percer la pierre, le rocher, le roc, la roche du temps et cxest’ ainsi  que je vais dedans, en cette roche dure, me lover et me logher, je franchis le pas, je saute en ce lieu, je vais fissa trouer, je troue, je suis faon qui joue à ceztte chose d’une entrée dans la matière de la destinée pariéto- temporo -spatiale et là, en cet espace -temps de la muqique des données je vais, je vais et je viens, je joue, je m’amuse des données spatiales et temporo-pariétales, je m’amuse à tout va , je m’amuse aux osselets, au canaevas, à la gourme, au poisson donné, à cherche-parole, au caillou des prés, à la marelle, au tambour battant, à la catastrophe, au crématorium, au coule-petit, au pissadou, au tambour-majhor, à la gamelle, à pince-sans-)rire, au crevant, à la pissouille, à chine-vérité, à la parole-drue, au carafon , à la perle des prés, au pintadeau, à  celui qui penche, à celui ou a celle qui penche que tu pencheras, à la marchande , aux bienfaits des temps zalloués, aux mots de la roche, aux mots de l(aurochs, au mot inséré dans la roche, au présent alloué, au présent donnéc sur table d’offrande, aux betes tuées, au cheval de cord»ée, aux pierrezs précieuses, au chandail, à la joie truffée, au cadavre, au seuil de roche dure, au seuil de roche drue, au parapluie renversé, au pintadeau plumé, à la gousse d’ail, au paratonnerre, à la mise à prix, à l’aurochs, à l‘aurochs de roc, à l’aurochs des rocs, à la cxhance offertte reportée-, à la lyse, à la caille, au violon, au cxhef de tribu, au chef de meute, à ciel perdu, à la pinacothèque, au blé dur, au chapeau, à chinoiserie, au pimpim, au dieu décousu, aux mots collés entre eux, à colle dure, à l’astrakan, à paradis bleu, à la chaloupe, au divan, à cette chose d’une sorte de bise sur le front, à ce t attirail devant soi, à la carmagnole, au furet, au petit poucet, au grand dadais, à la soupente, à touche-pipi, à califourche, à dit-dit perdu, etc, nous hjouons sur roche et traversons le rubicon des temps alloués,  nnous cherchons un appui en cette roche et nous le trouvons chez l’animal, ici l’aurochs, qui nous aide grandement à nous repérer, en cette roche des embruns, entre deucx merrs, à ne pas nous perdre, à trouver notre chemin de roche vers un but ou vers ce but qui est le notre, et qui est  celui d’aller de l’avant et de trouver le pot aux roses, cette chose d’un devant (pariétal) de roche, cette chose l:ogée en pareille paroi comme un dessin de bete ancré, je vais ainsi sur roche à la recherche d’une vérité de bon aloi ancrée, je cherche l’ancrage nacré dans la roche du temps, du côté des clartés natives, je me place ainsi à regarder la roche blanche, éclairée, de belle réception , qui est la roche des gravures animalières, je suis faon de roche / homme des cavernes , qui regarde se tra cer des betes, des betes de poids, sous mes yeux d’enfant ba ba, je vois le tracé qui se dessine à main levée, je suiis cet homme des cavernes pris à part et comme envouté par une bete en lui qui trace à sa guise et à sa place et crée des figures, des betes de poids, des betes de charge belle, des visages ou des tetes de b etes des prés,; des bois, je regha rde les traits se dessiner, je suis à l’affut d’une vé&rité de roche allouée, je cherche, je suiis proche de trouver, la main treace, la main dessine, la main conduit, la main est l’allié, la main est cette pîque, ce pic, cette chose de trouage ou de perçage ou comment ? je suis un faon de roche dure, enfant des cavernes de c e temps ancien des tracés rupestres sous emprise ou comment sinon ? je  m’avance en pareille roche du temps, je joue à qui mieux mieux, à la passerelle, au tribun, à l’écrivain des prés, au canasson roulant, à perce-colère, à la chine ouverte, aux calanques, à pisse-menu, à tourterelle, au pince-mitaine,  )àl a trouille  verte, au dé à coudre, au dé à jouer,n,; au pinson,; à la pigne, au poilu , à ribambelle, au perclus, au malade et au dovcteur, à la docteresse, au pimpom de l’horloge, au secourable, au dirigeable, à la vile infamie, à l’injure, au mot de trop, aux chaises musicales, à l’emporte-pièce, au bonnet, au crachoir, à) la plume de paon, aux fenetres ouvertes, aux portes fermées, au cachet, aux douceurs, au dur de la feuille, au  ventre velu, à la gueuse, au tartiné, à la guenille, au sparadrap, au pinceau lâché, à poil de carotte, à la passagère, au ventru , au bois dormant, au dieu xdes fées, à la chtouille, au pisseur, à misandre, au pis de la vacxhe, au berné, à la mire, au passeur des champqs, à misayre, au poil dormant, au vin de  choix, à la vinaigrette, au pastaga, au chat dur, à la poule faisane, à cloche-pied, à  cacxhe- cache, au pendu, à touche-rapide, à la vive allure, au poinçon, à la rhubarbe et au barbu, à passe-canaille, à passe- voilure, au canapé, au cheval d’(arçon, à passacaille, au vide-bouteille, au prie-dieu, a la messe, au curé et à la curette, au pince-grain, à va-que-j’aille,; au perdu et au pain perdu, au vil de la bouteille, à tombe-canette, à val de vcoix, au pire ennemi, à la mouta rdxe, au vin tiré, à chacal, à bousquetin, à chameau, à cheval, à chevakl dressé, à cheval cambré, à l’aurochs, aux aurochs, aux betes de roche, à la bete du roc, à betes du roc des temps farfelus, à la bete gravée par l’homme des prés, à la bete gravée sur roche, à la bete gra vée sur la roche du temps, à bete de choix et de poids, gravée ou dessinées sur la paroi du temps par un homme ou par un eznfant des cavernes, ou par une femmes doué des cavernes, par un homme doué des cavern es, par un homme ou par une femme ou par un enfant doués des cavernes, par un homme -femme-enfant des cavernes, hommefemmeenfant xdes  cavernes, un tout accolé-serré, un tout engendréh

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21/04/2021

je suis cet homme de lma préhistoire qui, en grotte = en trou = en dedans , va, dessinne, grave = dit ce que bon lui semnble ou lui parait qui puisse aller de préférence dans le sens d’une réponse à une objurgation, il (je) va (vais) en roche dans ce but, je suis en roche (en paroi : infiltré) dans le but avoué de trouver réponse (directe) à une emprise en moi, à une sorte en moi de méchanceté native, qui est méchanceté racée, qui est méchanceté effilée en moi, qui tend à vouloirr m’envahir et me faire sombrer, cette méchanceté est celle de Mort de bouche, de Bouche mMort, de Bouche la Mort, de Mort-Bouche en moi ou où ça  ? où donc ? car mort, Mort de Bouche, est cette personne , en moi, qui cherche à m’envahir pour comme me liquider et moi d’y rétorquer par mes gravures de betes imposantes, fortes à flanquer latrouille, forte-force, à flanquer la trouille, à dame / sieur la mort, au moins cette chose ! car la mort est cette sorte d'entité buccale (ouverte, aspiran,te) qui cgherche à (me) liquider illico presto et moi de résister à tout va, à tout crin, à la va comme je peux sur roche, j’aspire à cela, je veux cette chose, je veux résister et ne pas me laisser engloutir, ou commentt dire cette chose d’une aspiration par la bouche, signée de Mort la bouche devant soi, un peu plus loin que là, cette chose est devant et cependant ne se montre pas alors à moi de lui «parler» (par la bande) , et de lui dire mon point de vue, lui expliquer ma façon de voir = art, cette chose ici qui est que je veux dire ce que je ressens de cette chose d’une aspiration (à venir) buccale, je veux dire-exprimer la chose, sur roche = sur paroi, par des mots de poids, qui en jettent, qui en foutent plein les yeux, qui aient leur petit (ou grand) impact sur la Chose, cette donc Mort de la Bouche Ouverte, ou comment la dénommer ? je suis l’homme qui va ainsi sur roche dessinner des betes qui sont des mots, et ces mots sont des «gros mots» , des insanités, des covcho,nneries, des méchancetés, des injures, des mots grossiers, du parler de charretier ou de poissonier, etc, je trace des mots sur roche et ces mots sont des grossièretés qui sont pour impacter, qui ont ce but en eux, qui sont mots d’impaact pour en jeter ou ficher plein la vue à pareilles entités de bouche, je fais ainsi que cette chose soit et que du coup la morrt recule, nous laissât tranquille un temps, ce temps offert sur roche (ce présent) qu’elle nous le rende de la sorte : en nous laissant déambuler en vie, sur prairie, sur pré, sous bois, dans les sous bois et dans les bois, etc, je cherche ainsi à faire reculer, cette Chose devant moi, là bas, quelque part mais où ? qui est bouche , trou, aven, excavation, entrée etc, je cherchae à trouver les mots assez grossiers et assez imposants, pour en jketer le plus ou au plus que je peux car je suis ainsi constitué que je me dois de faire de la sorte, pour moi et pour mes alliés (les chevreuils ? ) , pour mes congénères quyi sont mes semblables, je me dois d’agir de la sorte, de ne pas lambiner, je me dois d’agir : de décider d’une chose, d’y aller franco de port, et de dessiner ainsi, guidé par en moi la bezte «de résistance», des mots-betes de paroi, des mots dessinés, des dessins de mots, etc, cette litanie animalière en moi qui sort et va en rochge se ficher tantot afin de figurer cette chose d’une sorte de non massif, d’un NON massif, d’un NON géant, qui est le NON à des agissements sournois, à des volontés narquooises de la part de Mort de la bouche du temps, cette Chose là ou où ? qui est cette Chose qui nous nargue, nous reluque, nous mate = oeil ! oeil de la mort ! cet oeil est oeil de la mort de bouche ! oeil dans bouche ? où oeil ? où est l’oeil , en bouche ? nous (je) ne savons (ne sais) pas ! nous ne savons pas et je ne sais pas ! j’ignore ! ignorzance crasse ! hélas ! hélas je ne sais pas ! je voudraios o cvombien savoir mais je ne sais pas ! je ne sais pas où est cet oeil de mort qui nous rehgarde ! où se situe l’oeil ? où est l’oeil ? où donc est l’oeil qui nous regarde ? je ne sais pas ! j’aimerais savoir mais voilà bj’ignore cette chosexc hélas ! j’aimaerais beaucoup savoir mais j’ignore cette chose, où se trouve l’oeil de qui nous regarde dans kle temps de la paroi , où se situe cet oeil qui nous regarde, qui est cet oeil qui (en bouche ?) nous regarde, où est il ? je me demande où donc est  cet oeil ! où peut-il bien etre .? je l’ignore ! j’ai merais beaucoup que quelqu’un me dise, me rensezigne, me donne éléments de savoir, me donne tous les éléments et me donne auusi une réponse claire et nette à la qusetion , cette autre question que je me pose depuis toujours, qui est : pourquoi un trou ? pourquoi une bouche ? pourquoi une cavité ? pourquoi une grotte ? etc, car je suis conscient que le trou a son importance et que l’entrée du trou a son importance, etc, je vois que cela est, comme quoi un trou est quelque chose d’important, et le passage est quelque chose d’important, car la vie est ce temps tracé av ec passages à la clé, je vois cette chose et j’aspire à comprendre mieux ce qui est qui me travaille au quotidien, cette interrogation native en moi qui vais sur paroi, qui trace, qui marque, qui dit des choses, qui trace des betes au fusain et dis ce que j’ai à dire de profond à qui de droit = ne me touchez pas ! ne me tuez pas ! ne me prenez pas ! laissez moi en vie ! ne faites pas cette chose de me kidnapper ! laissez moi où je suis ! ne me faites pas du mal ! ne touchez pas à mon corps, ne touchez pas à mon être , aux deux ! nje ne vuex pas de cette chose pour moi, mon corps dit son non-vouloir, et mes dessins de roche (sous emprise animalière) disent cette chose d’une emprise animalière qui se rebiffe ! je suis par conséquent cet homme qui parle sur roche avec ses mots d’homme (injurieux) et qui parle au nom des animauxx en lui qui forment cohorte : où sont ils ? ils sont en lui, en moi, en mon sein, en ce sein en moi qui contient tout un arsenal, une tripottée de betes de charge = imposantes = massivesx= dures = fortes = force = trouble = quelque chose = imposantes comme pas cdeux, etc, ces betes en moi sont là pour en imposer et faire «reculer» la mort, cette mort qui est cet oeil ou cette bouche ou même les deux mais comment ? bouche ? oeil ? oeil-bouche ? bouche-eil ? bouch’oeil ? comment signifier ? je regarde ces betes sur roche sorties de mes mains et je comprends cette chose en moi d’une sorte d’adéquation main-bouche, main-oeil, main-animal;, main-intérieuer, main-cohorte etc, il y a ici une adéquation (verbale ? caudale ?  ) entre l’animal en moi (ce bovin par exemple) et ma main qui trace des betes sur roche, qui dessine au fusain des betes de poids sur la roche, il y a ici une sorte d’adéquation naturelle (innée) entre en moi cet animal privé de verbe, et moi (homme des cavernes) nouvellement flanqué d’un verbe en bouche , qui est ce verbe dur, cette tige de feu qui trace sur roche, qui grave au pic, etc,; des aurochs et encore des aurochs, l’animal est cet etre en moi quyi dit sa chgose par ma voix , cette voix est mienne ici sur roche et cependant est celle de cet animal en moi qui hurle sa peine, sa douleur, je suis celui qui porte la voix de cette bete en moi racée qui hurle et gémit, et cela est ainsi que je me dois d’agir, de fait, de la sorte, je suis cet homme de la préhistoire qui écrit son n om sur roche et dit ce qu’il a à dire de cette chose, d’une emprise animalière en soi, emprise qui remonte à la surface via des traits tracés à même la roche, et c’est ainsi que je deviens cet animal de roche, ours ou lions des cavernes, à mon tour dès lors de devenir cet animal des pierres, de la roche du temps, du présent offert en guise de donnée rupestre à offrir ici à ce dieu de l’ombre, je regarde ce qui est et qui s’agite sous mes yeux à la lumièe (bougeante) des torches des grottes, cette bete sous mes yeux est «comme» vivante et ce «comme» est la reéponse que je donne (offrande) sur roche, à ce dieu caché (?) de la mort à l’oeuvre, j’offre un «comme» et m’en excuse pl;atement, je pleure d’ainsi trahir ! je pleure toutes les mla rmes de mon corps, je suis cet hommùe des temps reculés qui vient sur roche donner  ce «comme»à une bouche, à un trou, à une fissure, à une entrée, à une excavation, à une cavité, à une sorte de chose en creux qui serait cette chose de la mort à l oeuvre sur terre mere, il me semble ainsi que cette chose est telle que voilà, je suis cet homme qui dit cette chose, «comme», haut et fort ! je gueule mon «comme» ! je hurle (j’hurle) mon «comme» de vie bestiales, je hurle (j’hurle) ce «comme» de vies bestiales, animales, puissantes et imposantes, lourds sabots etc, et cela sur roche (paroi : art) en tant que tels, à savoir : sabots, de betes de poids qui en jettent des masses et trouvent ainsi leur place sur roche dans ce but ! je suis traversé par en moi une pensée, qui est celle de l’animal des prés (qui paisse ? paît ? comment dit-on ?), et cette pensée est celle que j’ai, en moi, à cdonner sur roche, je suis traversé par en moi une pensée de la bete de roche, uune sorte de pensée bestiale de roche, bestiale et même ordurière, je suis cet homme des cavernes traversé par, en lui, une pensée dure, forte, qui ressemble à un aurochs, et cette pens»ée est celle qui me voit aller armé de mon baton , sur roche dessiner, aller sur roche dessiner armé de mon baton de bois brulé, des betes de poids ordurières : des insanités proférées à la cantonade, hurlements, cris de la bete en rut, etc, qui crachent, qui en jettent, qui fassent impression sur l’auditoire, etc, je sais cette chose comme quoi il s’agit ici d’une sorte de crachoir ! d’une sorte d’évènement, de spectacle, de tribune ! je vais en grotte souterraine, me recueillir et cracher ma gourme sur roche et en imposer pazr la bande ! je suis homme-femme-enfant des cavernes diurnes, je vais en roche tete première, m’immisce et trace mon chemin de roche et vais loin, en pareille paroi du temps, et cela dans le but de cracher ma gourme, toute mahaine, tout mon ressac personnel, mes choses du dedans de moi, cette bete en moi, cette animalerie, cette chose dure et forte et acéré comme une pique, dont je me servirais pour franchir le pas de  cette roche, je serais cet homme- femme-enfant en roche qui va, traversant la chose, et se loge en pareille zonee à la recherche de la vérité sur les embruns, sur cette clarté luminescente, etc, je cherche armé et fonce fissa, je suis l’homme (femme-enfant) de la roche, et cherche des données de base à me mettre sous la dent, je ne suis pas en reste de chercher ces choses, je les veux trouver pour moi, je veux des choses pour moi les trouver et m’en gargariser comme d’une lotion médicamenteuse (un onguent, un bienfait , un pansement buccal) car vive est ma douleur de bouche, cette plaie en moi qui me voit parler la chose (à présent) et est donc à double tranchant : 1 je peine à etre ainsi perforé de l’intériuer par une pique animalière, 2, grace à pa reille percée ou perforation je peux dire ma peine à être percé, voilà la chose et ce n’est pas rien, car je suis cet homme déchiré de l’intérieur par en moi toute une cohorte animalière (pic des pics) qui me perce (me fait mal) et m’ayant percé me permet dès lors de dire (prononcer des mots) ma douleur ! oh triste compensation ? ou comment exprimer cette chose de la roche trouée, de la paroi grabvée sinon ? car je suis ici l’homme qui grave, l’homme gra ve, graveleux, qui grave grave ! je suis un homme (des cavernes) graveleux qyui va sur roche graver sa douleur «dentaire», etc, je suis cet homme des cavernes et des gouffres et des excavations = des trous, l’homme des trous, du trou de roche, jhe suis celui là qui est cet homme attaché, qui est cet hommme lié à une ideé (?) d’un trou, à l’idée en soi du trou de la roche, à l’idée d’un trou devant soi, une entrée, un passage temporel et pariétal, et cela a une importance considérable car l’art du faire sur roche est la reponse offerte ici à une sorte de bousculement intérieur, cohorte ici et bouche ailleurs pour une liaison des choses via mon organisme d’homme des cavvernes, je m’explique : on a d’un côté une cohorte animalière en soi (ce pic verbal acéré) et de l’autre une cavité buccale insérée (dans roche), et relier les deux est le travail ici de l’homme des cavernes que je suis, à moi de faire cette chose, à moi de dessiner des betes-mots et d’en imposer , etc, car mon travail ici est celui là qui me voit agir ainsi pour la bonne cause, à moi de jouer, de dire ce qui est de cette affaire pariétale, à moi de dire ici ce qui est de toute cette affaire de paroi ornementée, car la chose n’est pas banale, et le dessin d’un bovidé est plus que le simple dessin d’un bovidé, il semblerait que je fus ou que je sois cellui-ci qui est cet homme d’un destin animalier, il semblerait que cet ensemble langagier de l’homme était autrefois occupé par quelque chose d’autre (toujours en soi) qui ne ressortait pas des mots à) proprement parler mais en était les précurwseurs, les prémisses, etc, il semblaerait que l’homme des cavernes portait en lui une sorte d’intelligence «rupestre» insérée qui faisait de lui cet homme qui lévite, qui monte soulevé sur roche et va à dessiner des betes qui (à leur manière, ou à la manière de cet homme des cavernes) sont des mots ou sortes de, et ainsi  fait)-il, cet homme, sur roche, des mots tracés, des dessins de mots tracés, il fait cette chose, il écrit son nom, il écrit le nom de ses pâ irs, il dit ainsi, il porte ainsi parole en actes imagés, etc, je suis l’homme qui en moi a une cohorte animalière enfouie, et cette cohorte animalière enfouie est une chose d’importance votive, il s’agit pour moi de comprendre cette cghose, cette chose a une méga-importance et pour moi il s’agit de la comprendre, ikl ws’agit pour moi de comprendre )-cerner cette chose en moi , qui existe, qui est cachée (où ?) et qui surnage à des momenrts, et cette chose qui est là est cette chose d’une sorte de mainmise sur moi d’un animal des prés, des champs, des forets, etc, l’animal en moi est prégnant et ne demande qu’à sortir, il veut se dégager de la tourbe en moi, sortir son museau et filer sur roche se glisserr et se déposer, comlme une image de vbérité (vibrante, vivante, à la lumière bougeante des torches des grottes), l’animal en moi est une betes   sous les mots de bouche, il y a en moi cette bete qui gémit, qui hurle, qui dit fort sa peine, qui est pleurante comme un etre de peu écrasé par la ban,de etc, je vois cette bete en moi qui vient sous mes teux se ggraver sur roche, je sais que les mots la contiennent, les mots contiennent la bete, les mots que nous disons con,tiennent la bete de poids ! les mots ici gravés contienbnent cette bete de fort poids moleéculaire, et dfonc en imposent, cra<chent, disent haut, forcent sinon l’admiration du moinsl’(attention car ils sont massifs, un massif langagier de choix (premier choix) qui pousse à etre vu, à etre perçu et revconnu ! je suis l’homme du temps des betes dessinées sur roche, je suis toujours cet homme, je suis encore et toujours l’homme des cavernes avec pic de bouche (animalier) et perçage de paroi de grotte, je suis sur roche, qui lévite et trace, je me meus ainsi à même la paroi et dit ici (sur roche) ce que j’ai à dire, cette chose d’un envoutement d’un homme, je regarde devant moi et vois la roche ornementée, je vois le dessin de l’aurochs, ou du cheval, ou du bison, ou du buffle, etc, je vois ces mots de poids qui sont des mots sales, je vois cette chose et c’est comme si , en moi, je devais m’excuser de cette cxhose qui m’échappe, et je pleure ainsi d’avoir tracé des betes qui sont des mots sales, des insanités, cela s’est fait hors de ma volonté, je n’y suis pour rien pour ainsi dire, les insanités sortent de moi comme des déchets et je m’en exccuse hautement ! je suius désol:é et le dis à la cantonade ! je dis hzaut et fort ma désolation ! je n’y suis pour rien dans l’affaire, je ne suis ici pour rien en cette chose d’un tracé d’insanités qui m’a été comme insufflé de l’intérieur par un envahisseur en moi qui est l’animal dit «de la paroi», il m’a poussé à commettre ce crime dit «de lèse-majesté» et je m’en excuse à) plates coutures, je m’excuse de cette chose, je suis vraiment désolé, je m’excuse profondément, je ne sais comment dire cette chose d’une sorte de regret en moi, d’(avoir été cxhoisi ou tout comme, par en moi cet animal de bouche, ce bovin, ce cervidé, cette masse, ce poids, cette lourdeur, cette insanité de ma race etc, insanités, veuleries, cocvhonneries, mùécghancetés, le Mal en moi qyui est cette chose à devoir et cravcher sur roche et s’en excuser ou comment dire ? je suis celui ci qui dit cette chose sur roche, ce Mal déssiné, cette chose sur paroi comme effigie sur pièce de monnaie , je vais ainsi en roche à) la recherche de la Vérité avec un grand V et je m’en e»xcuse car je suis cet homme qui , devant lui, voit la chose se dessiner malgré lui, je suis un homme (de peu) des cavezr nes, je suis cet homme (§des cavernes) de peu, qui va, dessinant des b etes sur roche, et ce faisant dit (à plates coutures) tout son désolé, son mot d’excuse, sa désola tion, son regret, il dit sa désolation, son manquement, sa peine double, son chemin de roche etc, il est cet homme qui ici sur roche dit la chose d’un chemin de roche (croix) qui est le chemin d’un homme qui se sent comme coupable d’être et de ne pas avoir d»’emblée donné sa vie à cette bouche du devant de soi (art ! art ! azrt ! art! ) qui est bouche de destinée finale, qui est cette cavité buccale grande ouverte devant soi (le temps de laroche) prete à vous gober comme une mouche et moi de lui donner , à cete cavité, en pature, mon  nom , MON NOM, qui est ce nom de base familiaial, cette choserapportée sur moi, ce dessin de roche à tout jamais etc, ce nom est celui qui dit «désolé, mais...», il est le nom qui dit cette chose d’une sorte de regret matiné de choses et autres de type animal rupestres, je vois cette chose devant moi qui est un nom, ce nom est un non, ce non est un animal remonté des limbes , une insanité de bete bestiale = un «‘gros mot», et ce «gros mot» est déposé sur roche comme une sorte d’injure qui tend ou tendrait à dire sa chose d’une sorte de rebuffade ou comment ? je suis l’homme des cavernes ici, qui cherche à comp^rendre les enjeux pâriétaux de lza roche (dure) du temps : quels sont ils, et que veulent ils signifier ? il wsembvklerait que nous ayons affaire à un homme des cavernes «remonté», et cet homme en a gros» sur la pata te pour ainsi dire, cet homme «remonté» en a gros sur le ciboulot et veut se décharger, veut s’alléger de tant de pesan,teur rupestre en lui, il veut cracher sa& gourme ou sa colère, et pour cela : insanités ! insanités patoisantes ! insanités = le Mal ! le mal ici est en lui qui tend à sortir de lui et à se nicher sur roche (paroi) comme ornements ! le mal en lui va sur roche, qui s’inscrire, qui se graver, qui se ... etc, le mal ! ici le mal est cette chose (l’animal) qui sort de la bouche de l’homme et va creuser sa voie sur roche de paroi de grotte, mal ici = ani-mal, etc, cela est ainsi, et lm’homme des cavernes assiste, impuissant, à pareil spectacle «navrant» qui le voit proférer comme à la cxantonade des insanités et des grossioèretés à «pisser de rire» tellement c’est gros, massif, imposant, rupestre, rocheux, lourd de chez lourd, la lourdeur même de l’insanitév méga-grossière, etc = aurochs, aurochs en litanie, chevaux, cheveaux en cavalcade ou horde etc, je suis l’homme des cavernes qui voit cela et n’en démords pas, je suis comme puni de cette chose en moi comme quoi je dis, et disant je pue, ou comment dire, l’animal en moi, cette haleine de chacal (?) etc, ou comment ? je suis un homme-enfant des cavernes et aussi une femme-enfant des cavernes, et je m’en vais en roche dessiner ce qui me vient, qui est du mot-animal de bnase, je suis homme-femme des cavernes = en,fant qui joue à faire comme si = comme, cvomme si nous étions mort s et donnions nos corps froids à pareille bouche de la mort à l’oeuvre, froids ou pas (encore cxhaud brulant peut etre) notre «vie vive» offertte, etc, cette vie en nous hors corps, plutot cette chose, cette vibration en nous de vie offertte à cette bouche de la mort à l ‘oeuvre, nous donnons ainsi cette chose et nous sommes quitte, or non ! nousd ne donnons pas ceete chose ! nous ne sommes pas quitte ! nous donnons un pis-aller oui qui est ce cri guttural de la bete vive, ce cri à la pl;ace, cette voix, ce chant guttural, cette poussée, ce chant fait d’insanités, cette puanteur de plaie qui tourne que tu tourneras au mal perforant et qui pue sa haine, ou comment préciser la chose ? un trou de bouche, saignant, et puant le sa ng et l’infect ? une sorte de chose en soi, qui pue et est le Mal en vue ? je cherche à comprendre ! je suis cet homme-femme-enfant qui recherche ce qui est ici en cette matière d’une puanteur de roche qui est repoussan,te, car le «blème» est là, qui nous voit rechercher sur roche une sorte de repoussoir à la mort ou comment ? un repoussoir de roche , oui ci-fait ! une sorte de repoussoir de roche : insanités proférees sur paroi en termes de bisons de poids etc , des betes toutes bestiales , des injures, des grossièretés et la puanteur qui va avecn,, car le but avoué ici est donc de repousser la chose du devant de soi, la faire reculer de honte, ou de gene, de désagrémeznt, etc, par l’odeur de soi proposée, ou bien par les termes (mots-betes) choisis dans le registre de l’immonde, du sale, du Mal en soi comme animal en soi, de l’insanité, de la salaeté abjecte ou de l’abjection complète, je serais cet homme là qui dit l’abjection pour faire reculer ce dieu de la mort à l’oeuvre sur terre (dans le ciel ?) et celaétant je dirais ce que j’ai à dire pour «sauvezr laface», je dirais ce qui me pèse fort (aurochs) en moi, ces mots de betes en moi, ces betes en moi quelles sont-elles et comment se présentent-elles ? je dirais ce qui est que je suis en moi = envahi par une sorte de tribu animùalière, mais comment ? cherchons ; par cette sorte de, ou : par cela qui est que, ou alorsq : par le fait que cette chose, animale, abbnimalière, soit ... etc , je cherche, je suis l’homme-femme qui cherche, qyui recherche une réponse à cette sorte de question d’une bete en soi, ou de betes en soi, ou de mots-betes en soi, de quoi s»’agit il ? du (seul) langage en soi, fait (entre autres mais en véritéc pour l’eesszeentiel) de mots orduriers ? ou bien réellement en soi se loge une bete quyi serait La Bbête ? ou bien s’agit il de la betise à cornes ? ou bien quoi d’autre ? s’agit il de labetise e,nn soi, qyui serait la gouvernante ? ou bien : le mal, le mal que nous contenons, dont nous sommes porteurs (tous et toutes) et quyi est ou serait l-e mal «bien malgré nous» pour ainsi dire ? est ce cela ? est ce en nous ce mal-anilmal qui règne ? ou bien cette chose qui règne est plutot une sorte de parler-chacal ? de quoi s’agit il ? nous sommes les porteurs de betes en nous qui sont en nous l:ogés comme des mots en bouche, nous sommes porteurs d’insanités, de saletés verbales, noussommes porteurs de saleté à dire pour s’en délivrer car cela pèse lourd et la place manque (en nous) pour toutees les conserver, nous devons nous libérer (par la confession ?) de betes de charge, de toutes cdes betes de poids qui sont en nous le Mal qui ronge et nous fait du tort et nous fait du mal à type de douleur p hysique comme mal de dent ou auttre mal aux articulations ou autre mal, nous sommes soumis à chose douloureuses diverses, nous sommes soumis à moultes choses découlant de la douleur physique matérielle, (os, tete, articulation, ventre, peau, poumons, crane, bouche, jhoue, dents, palais), nous sommes des etres soumis à ders douleurs animalières de toutes sortes (elles n,e manqsuent pas) et cela est, que nous avons du coup à exprimer (cette chose) haut et fort : gueuler notre douleur := le Mal , qyi est l’insanité suprême (royale) qui nbous pousse à etre xdes etres de peu, honteux, qui peinent à se montrer tant leur visage est couvert de sang et preésente mal, des lors comment faire ? l’aurochs ? la bete princière ? certainement ! et nous voilà qui dessinons des betes de roche et qui nous immisçons par lam:ême en cette roche de laroche, en ce sein cdes seins pariétal qui est ce palais du dire,, cette chose belle, ce palais du rire aussi bien, de ce rire nerveux du soulagement ? ou de la confession ? ou du dire débordé ? de la soumission ? etc, nous sommes des etres de paroi qui disons et nous immisçons, nous entrons en roche ainsi comme d’aucuns entrent en religion et nous tout comme en définitive : nous entrons, laroche est une église, un lieu de culte païen, une sorte de lieu où trouver à se loger et dire des insanité»s de haute tenue pariétale = qui forcent la chose (l’admiration ?) à titre de représentations qui sont figures de la vérité à dire, nous cherchons à nous imposer par la bande pariétale et voilà pourquoi nous dessinons ces choses de roche, à brûle-pourpoint, en lévitation, nus ou presque, maigres-décharnés comme tout, nous pissonsde rire aussi bien car la douleur physique est telle que voilà, ce que nous devenons sur roche : des êtres de peu soit de peu de poids moléculaire apres d»écharge, des qui sont comme soulagés un temps (un temps) et vont aibnsi en roche retrouver leurs amitiés animalières comme aurochs ou cerfs ou biches bambis, ou antilopes ou bouquetins, je suis cet homme bouquetin, je suis cet homme-aurochs, je suis l’homme-oiseau ou l’homme-bison, ou l’homme-^renne, je suis un homme envahi par le mal en moi, et ce mal est un animal, je suyis un homme qui en lui contient le Mal et l

e mal prete à rire : à force, il s’agit de comptrendre cette chose en soi comme quoi je suis en moi envahi par le mal <qui est en moi l’animzal de laroche du temps et qui me regarde, me mate en moi-meme comme un oeil divin qui saurait, qui connaitrait toute la vérité sur les choses (au complet) du monde, vie et mort terrestres, etc, je suis envahi en moi par le mal que je tente de maitriser (ou comment dire ?) via le verbe naissant sur roche, ou, sinon maitriser, canaliser, en roche ici, parole de type ani;male, etc, dessins de buffles pour une sorte de prise, de prise de décision, etc, qui serait la mienne à tout jamais : MON NOM, cette chose en forme, ce tracé formel, cette chose dite en une forme qui en fait comme un e  euvre de choix, qui pèse, qui peut en jeter, d’où le jet, je, qui peut : dire sa colère mais du coup  formezlle, améliorée, médiatisée, etc, je regarde ainsi cette chose d(un mal perforzant, mal qyui trouve forme (art) amélliorée wsur roche et du coup peut peut-être être perçu par qui (§de droit) autrement que comme avant ? nous cherchons enszemble en roche (biches et chevreuils) des répônses à nos questions relatives au mal, au mal dentairez, au mal tout court, à ce qui en nous relève du mal, car nouys sommes le mal en nous, nous avon,s ce mal en nous (rongeur) qui est cette chose (une insanité) que nous cherchons à libérer afin de nous en délivrer comme oiseau en cage rendu ou qui serait rendu à sa liberté, noous voulons essayer de comprendre ensembkle ce qui setrame ici depuis le débvut et cela n(est pqasfacile à comprendre, nous devonstrouver des solutionsà des problèmes ardus liés à la presence en soi du mal dentaire, et cela est complkiqué à faire car nous sommes peu de chose en soi ou comment ? peu tout court ? chose de peu ? nous cherchons, nous sommes sur le chemin de larecherche soutenue, nous ne lâchons pas le morceau, nous voulons comprendre loin et l:onggtemps, nous avons le mal en nous qui ronge (la douleur, la maladie douloureuse, puis la mort) et cela a son importance pariétale, il nous semble aionsi que cette chose ici a son importance pa riétale de type dessins, gravures effectuées pour la bonne c ause, qui serait que le mal en nous pousse à sortir de nous et à aller jusqu’à se mettre (se ficher, s’inscrire) sur laroche ou à même laroche, je regarde les dessins, ces betes de poids, et je lis cela avec les yeux d’un homme des cavernes, et ce que je lis est une chose de belle facture, qui en jette prodigieusement, qui impacte de folie, qui est chose peut-être de peu (rase-motte) et cependant qui pèse dans cette balance d’un dire adressé, il semblerait que nous ayons affaire à un dire, lâché sur roche, cxomme une sorte de chose allouée à un semblant de volonté massive, en soi, de se dégager d’une emprise qui est l’emprise (physique) d’une sorte de donnée (malhabile) en soi, donnée liée au Mal : de famille, de race, de tribu, d’espèce etc, cette cxhose comme quoi, en nous, règne la douleur, le mal, la peine, cette chose grossière, à hurler (de rire ?), qui pèse sur nos épaules et passeulement sur nos épaules, tout le corps est mis à l’épreuve, et nous de voir cela comme l’expression de quelque chose en soi, qui serait à libérer de sa gangue et à noter, à graver sur roche = le palais duccal ;, le royaume, le chateau, l’eglise, le lieu de la force et du culte, ce lieu annobli (ennobli ?) qui est ce lieu de la paroi (dure) des temps impartis à une vie terrestre, il s’agit pour nous de comprtendre cela, comme quoi en nous le Ma l règne et sorti de nous (bouche !) il va régner de toute sa superbe, sur la roche (grotte) des parois du monde, et c’esst ainsi que nousn ous délivrons (un temps) de cette emprise en soi, d’une sorte d’animal rongeur, ou bien de cette bete-mot armée de courage, qui va sur roche, creuser sa voie d’accèes, et qui va s’immisqcer en  elle, comme sorte de pénéttrant de la première heure, je vois cette chose pénétrer et je co:mprends la chose, cette chose est le Mal perforant,n, il est l’animal en soi qui pousse, et hurle en sortant , hurle le mal à dire , dit son mal naissant à la roche, dit le mal à cette roche d’un devant de soi temporel = cette paroi, le temps est la paroi, l’insulte le cheval, la voie est libre pour une immixtion de type incarnation, mains sur mains, nous chantons à haute voix notre misère, nous avons (portons) en nous tout le mal de laterre et ce mal nous l’inscrivon,s sous forme animalière sur laroche, sur paroi du monde, nous pouffons, nbous souffrons-pouffons sur roche notre litanie cavalière, nous sqommes hommes-femmes des cavernes qui en nous portons une douleur de base qui nous pousse à graver sur roche l’animzal qui nbous contient,qui nous donne voix, qui est nôtre, qui pousse, qui contient nos gestes, qui les guyide, qui bnous fait agir, qui nous pousse à faire des tetes et des corps de bêtes, qui est «derrière» nous celui-là qui tient et nos bras et  nos mains, qui nous fait graver l’aurochs du mal comme on dirait un mot grossier, à kla cantonade, à haute voix, et nous de prononcer desq mots grossqiers à la cantonade, des insanités, des saletés, qui sont déchets et autres merdes, etc, nous parlons comme nous gravons, nous disons comme nbous gravons, les choses sont les mêmes, nbous disons des insanités car nous sommes en nous porteurs d’insanités verb ales du fait que nous sommes sous le hjoug, en nous, d’une force qui nous pousse à devoir réagir, à devoir sortir de nos gonds, car les gonds sont douloureux qui nouys blessent à mort, qui nous rentreent dans la  chair et nbous font hurler et pour hurler il est préférable de pouvoir le fgaire depuis lors = depyuis ce trou, depuis un trou de bouche permezttanht la chose, et voilà le trou crevé, créé, de bouche saiignante, ce trou de bouche enfin percé nous pouvons hurler-déclamer la douleur que a été cette percée, nous pouvons dire cette chose et hurler icelle sur roche, et c’est cela que nous faisons en dessinant à main levée (lévitation) des betes de poids sur des parois, nous faisqons cette chose ici sur roche, pour dire, pour témoigner, pour se dél;ivrer;, pour impacter, pour en jeter, pour jet, pour je, pour jetage antérieur, ou comment ? nouys avons à comprendre cette chbose en soi du mal dont nous sommes porteurs = les douleurs, et celaa une importance vitale car il en va de notre survcie, nous devons co:mprendre cette chose d’une sorte de douleur en nous qui est celle-là que nous avons, à devoir subir, tenir, controler, canaliser au mieux et pour cela cap sur roc, aloons ensemble, butons la paroi, soumettons nous à pareille immixtion de concert, faisons cette chose d’un dessin sur roche animalier,n, le dessin pâsse par la main, la main est la chose qui tient, et ce qu’elle tient est animalier, eklle brandit sa chgose et cette chose est la mal -animal de roche, il s’agit du mal lié aà la douleurr , il s’(agit de ce mal en soi qui est le mal qui est cette chose en trop qui prend de la place et cette place est grosse, comme un gros mot à proférer du fait que nous y sommes comme obligés, et voil;à le dessin de l’aurochs expliqué ici , comme quoi l’aurochs est ce mal en nous perforant comme une pique une outre, comme un pique-feu perçant une outre remplie, nous sommes cette outre et nous passons outre en gravant la roche, ainsi soit-il ou comment autrement ? car en nous le mal est profond , il est prégnabnt, il est cette chose en  nous qui prend de la place, l’animal en  nous est l:e mal en nous est la douleur en  ous est le sang en n ous est cette chose en  nous, d’un désir de liberté sur paroi degrotte, vivement la vie ! nous disons cette chose comme quoi nous sommes qui donnbons notre douleur (le Mal) sur roche, comme une sorte de présent donné en offran,de, le présent du temps donné en offrande en s’excusant, en disant des motsq d»’excuse et ces mots sont quoi ? insanités ? la cxhose est coton à comprendre, nous voulons comp^rtendre, nbous aspirons à une sorte de compréheoension générale, comment faire ? nous voulons comprendre pourquoi en nous cette chose d’un mal qui ronge et, cela comp^ris, comment faire pour akller en roche et s’y complaire jusqu’à nouvel ordre ? je suis un homme-enfant des cavezrnes hjoueur, jhe joue à qui de quoi, je hjoue à quoi de qui, je joue à des jeux d’enfants, je joue à graver sur roche le tourment d’etre en vie, en,core, et non point mort pour la bonne bouche, jhe joue à celuyi qui et à celle qui, je joue à faire des choses sur roche, insanités, décxhets, saletés, et ce faisant me libère d’un pôids menaçant et qui eut pu porter atteinte à mon intégrité et me faire capoter et en terminer, je joue à) qui mieux mieux, à partie de roche, à celui ou celle qui va loin en roche, à chevreuil rampant, à biche sautant, etc, je joue à mille jeux du je, je hjoue à faire abstraction des choses de la mort à l’oeuvre, je prolonge le temps de mes tourments, je suis perclus, une souffrance, une peine complète, je suis celui qui contient toutes (toutes  ) lesq douleurs, ABSOLUMENT, un ensemvble contenant l’ensembvle des maux de la terre, toutes et toutesq et toutes les douleurs qui sont existantes sur terre, ABSOLUMZENT touteqs, je suis cet homme contenant tout le mal de laterre, je serais cet homme ou un homme, un être, qui contiendrait l’ensemble des douleurs et des maux existants sur lasurfa ce de laterre pour un etre humain, et ainsi étant j(‘irai me jeter (le pourreais-je seul ?) sur pazreille roche de paroi de grotte , seul je ne pourrai en vérité, il me wserait réellemeznt impossible d’y allerf seul et de ce fait je devrais trouver en moi une force qui puisse m’aider, mzais comment ? et voilà la bete en moi qyui me chevauche ou vbien m’infiltre ou comment ? et me permet ce bond en av a nt à même le roc, me permezt l’immixtion de mon etre entier (en entier) da ns la roche, merci la bete, et là : une toute autrte affaire, le mal n’est plus, le mal est diffus, le mal est le dessin animalier, la bete d’excuse, la bete d’appoinbt ? la bete aidante, l’aidant animalier ? je dessine ce qui me permet de ne plus avoir à porter les chaines de l’adversité langagièere ! je dessine cette cxhose en soi animalière : hommages ! et ainsi faisant je suis l’homme qyui comprend la chose, cette cxhose dure, ce mmal absolu, cette sorte de lourdeur de charge animale, je vais en cette rocxhe les pieds dezvant pour ainsi dire et essaie de compreznxdre les eznjeux globaux de pareille chose de paroi, je vais en roche ainsi et me libère de ces mots de roche durs, de ces mots durs de roche allouée à une vie d’(appoiint, je deviens moi même l’animal du mal parler, du mal xdire, etc, de l’inqsanité proclamée etc, je deviens cet animal de roche, cet homme des temps reportés, cet homme du temps impaerti à une vie humaine terrezstre et ce faisant je prie, je suis l’homme d’une sorte de prière animalière, j’essaie de comprendre ce qui ewst cde cette prière, je me laisse aller à formuklezr des incantations qui sont des marttèlemen,ts de lmaroche , qui sont des prières votives, des oparoles d’évangile etc, j’eessaie de comprtendre l’anilmal des roches, effigi-incantation, brûlure et soulabgement d’une brûlure, je vais en  cettez roche du temp)s espace devant soi comme armé ainsi en moi d’une sorte de pic de roche animalier, cet oeil, ce sa ng, ce mal, cette doulezur, cette bévue , ce travail, cette chance ou cette malchance incorporéées, etc, je vais sur roche et je deviens moi-même l’animal représenté,  cet animal est le mal en moi qui cherche issue pâr la bouche ouverte et file fissa se loger sur paroi, il va vite, il est vif de vie vive, il est cette chose en vie comme un mâl du feu de dieu qui vous pousse à devoir lâxcher prise et vous laisser guider en vous, par un pi;:lote automatique du type : guidance pa riétale, soutien moteur, chance dêtre, etc, ikl s’agit pour moi de penser cette cxhose de’une sorte d’immixtionb de roche via des mots qyui sont ceux de : 1, la betise crasse, 2, la mort à l’ oeuvre, 3, la chance, 4 la belkle tenue, je rezgarde ainsi ce qui est produitn,, ce qui ressoprt sur roche en tant qu’efgfigie, et je fais le point, je prends du recul, je me pose et essaie de comprtendre ce quyi advient, ce qui vient à se placer sur roche, qui de quoi , quoi de qui ? quy’y est)-il ici qui va, ou ne va pas ? quoi dire ici qui serait une sorte de véerité desq vérités ? je cherche issue à parole, je cherche trou de boue, trouée de type insanité, je cherche à trouer la roche par l’insanité (pic) proférée, je cxherche ici à trouer larochge du temps via des grossièretész, des insanités («gros mots» comme aurochs sur rocxhe) quyi me permezttraient de comprendre c’est à dire de per cer la roche du temps à jamais;, les mots de roche sont des beztres-mots qui sont betes cvomme cxhoux, c’est à dire qUI sont gros et gras, des betises, des cochonneries, saletés diverses = insa nités etc, et ces motsq (de l’abjection, de l’abject) sonrt ceux qui nous sauven,t, l’avons nous comp^ris ? les mots de l’a bjectio,n sont ceux qui nous sauveznt, l’avons nous compris ? les mots de l’abjection et des turpitudes sont ceux-là (pariétaux animaliers) qui nous sauve,nt la mise (un temps) , l’avons nous compris à juste mesure ? pas sûr ! car les mots sont des betes de cghoix, qui pèsent, qui sont lourdes, les betes, et lourds (grossiers) les mots, nous avons à comprendre encore un nombre considérable de cghoses des parois ou sur la quesrtion des oparois ornementées, et il semble évident que cette chose (la compréhension) n’arrivera pas ou n’adviendra pas pôur nous du jour au lendemain car quyelque chose nous empêche , <qui se fout en travers de nous, et masque, et détourne, et trouble, etc cette choàse d’une sorte de Vérité des chjoses du monde, cxette chose (écran,, lunette) est chose qui va de son élan dxe cvie qyui masque un tout, il s’agit d’une sorte de pzassage, de passé, il s’agit d’une sorte de poids de passé, etc, le passé masque , et plus le passé grossit (aurochs) et plus la chose est masquée, la chose = la Chose, c’est à dire les accents de Vérité, nous devons comp^rendre  cette cghose, comme quoi le passé du temps est un écran qyui masque le présent du temps ou pltuôt : nous devon,s comprtendxre cette chosdec comme quoi ce temps présent donbné en offrrande est chose de peu , est choes maigre, est choes presque honteuse et cependantr voiici cetrte chose offerte, notrte offrande sur roche, tout notrte bien : honte à nous ? nbous devonsfaire cette chose d’une entrée en roche à la force d’(une pîque de verbe acérée (la pique) ou peut etre acéré (le verbe) car le verbe est là (l’animal, le mal) qui dit sa chose d’une sorte de doulezur violente à la criée, nous avons à comprezndre une chose ensemble, cette chose est ramùifiée et va loin se loger ici et là comme des rhizomes sous terre, il s’agit pour nous de comp^rzendre ces données de roche et de les bien cerner ensemble en les projettant sur  la paroi du tempsq, le temps est la donnée de base, et l’espace l’allié, nous voyons cette chose ensemble sous nos yeux se dessiner et il s’agit d’une bete de poids, qui est cet aurochs de laroche dure, l’aurochs aussi est l’(allié, il est le préseént dépôsé sur roche (= au pied) qui est cet ami qui est cens»éé ici nous aider à passer la cghose, à tenir, à ne pas faiblir, l’aurochs et le cheval et le bison et kle bouquetin etc, sont nos alliés dela première heure, ils nous accvompâgn,ent, ils sont ceux qui, sortis de nous, nous font plaisir à etrte ainsi pour nous des alliés de roche, ilsq sont sortis de nous, ils étaient en nous et nous ont quiitté pour aller se loger en roche et nous regarder,  nous avons compris cette chose comme quoi nous ne sommes pas seuls en nous, nous sqommes habité, nouysq sommes pris, nous sommes envahis, nous avons en nous des betes qui sont et quyi sortentv et vont se glisser sur roche incidemment et cela pour nous est une chosecde gran,de i:=pôrtyan,ce et nous en sommes conscients car nous avons incidemment encore toute notre tete, nous sommes chevaliers de la table ronde du temps imparti et nousallons en roche nous blottir parmi les betes (mots-betes) qui so,nt les betes d’un salut rupestrze, merci les betews, car les betes sont nos alliés, nos aides de camp, nous devons comprendre cela comme quoi les betes sont des betes -alliées, qui sont là (certaines) pour nous aider à passer kle cap du mal perclusant ou perforant, nous devons comp^rendre cette cghose comme quoi les betes sont des betes alliés, betes-mots alliées, mots alliées, liées à nous par notre gouverne, et ces mots liésc à notre gouverne (raison) sont alliés de la première heure (naissance) en cela que les mots nousaident à tenir ezn vie dans la vie, il s’agit de mots-étais, temps donnés par la ban,de à une raison consolidée ainsi, qui ira dès lors chercher provisions à comp^réhensions diverses dans lma prairie,  le pré, etc, le monde, le monde est tezl que nous devons comprendre cette chose d’une véerité associée à une paroi de roche, le monde est tel que nous avons à c  erner la chose sous cet angle de la majesté en son royaume, bete de scène, chance et malchance main dansq la main poour ainsi dire,une entité à considérer, je vais en roche armé (muni) de ma pique verbale, je dessine des betes-mots, toute ma betise ixci car il s(agit de choses (dites) grossières, grosses-grasses voire des insanités voire l’abjection, et tout cela pèse dansq la balance o combien et cela pesant libère la chose d’un,e mort inscrite : il semblerait que cette chhose contenue en nous (l’animal le mal) soit chose à déposer sur roche (hurlement, douleur, chacal) afin ici xde dire son tourment (confession, a veu) et de s’en libérer comme par la bande, il s’agit ici d’une délivrance, un a ccouchement, une naissance (une reznaissanxce) qiui sont ou qui est cette chose d’une sortede venue sur roche pour un temps donné, offert, enfin offertt à soi, pariétal et langagier, et qui soit cette chosex pour soi quyi tienne son allant de vie un temps allongé, je regarde le ciel au dessus de moi, je vois ce ciel bleu de roche (bleuté) et je comprends la chose, qui vient à mes côtés dès lors, cette bete des prés est nacrée et se porte près de moi pour me rezgarder, je sais son nom, c’est Chose, je connais sa façon de se bouger sur rocghe, d’(aller et venir, son nom erst Chevreuil, je connais son nom, son nom est Chevreuil de la Roche des Temps Impartis sur Roche, je vois la bete pres de moi, je la connais, je l’ai dejà croisé à de nombreuses reprises, je suis sûr de ça, je crois la connaîtte ilm me semble, ou du moins elle ressemble fort d’aoprès moi à une bete par moi déjà croisé en ces mêmes lieux pariétaux, l’animakllk à bois, à ramure,  cette bete est celle que je connais et qui me connait, me connait elkle ? qui est elle ? que fait elle ? où va t ezklle si vite? où va t on si  vite ? que fait on en entrant dans la roche ? son salut ? sa prière ? une joie d’etre ainsi inséré ? une cxhance pour soi ? la timballe ? que fait on en s’insérant en pareille roche des temps, que faisons -nous en agissant ainsi que  nous faisons ? la cour ? aumone ? l’aumone ? obédience? que faison,s-nous ? amende honorable ? l’amende honorable , cette chose ? que fait on en ezntrant en roche, en paroi : amen,de honorable, est ce cela ? nous sommes ensemble qui allonss en roche, homme-femme des temps impartis, nouys sommes perclus de toutes les ddouleurs du monde, nous sommes nous-mêmes tous les etre humain,s dee laterre et nous sommes pourvus ou perclus de tant et tant de choses douloureuses en nous = toutes (un absolu) les douleurs du monde, nous sommes Tous perclus de Toutes les douleurs, et ainsi étant nousallons en roche aidé par la bete vive en  nous (la pensée ? ) et dans la roche nous nous libérons du joug, de la chose de soumission que nous portons comme des betes de labour le joug, nous bnous délivrons et nous marcxhons sur roche, ezntre deux mers ouvertes qui sobnt des mers de paroi de grotte (internes à pareille roche), le soleil est là qui nous réchauffe en cette roche desx embruns, nous nous prélassons un temps (court) sur la pierre cxhaude, nouqs avo,ns à comprendre une multitude de choses et la chose dès lors est loin xd’etre gagnée car nous sommes loin du compte, nous en sommes très loin, extrèmemùent loin et nous aspirons à nous en rapprocher le plus possible, à nous rapprocher le plus possible de la vérité de cette roche des prés, etc, car nous sommes friands de vérité de bon aloi et de toutesautres vérités qui nous en apprendraioent des tonnes sur cette cxhose d’un se’mblant de vie offert sur roche, art de la ruse ou commeznt ? et pourqyuoi dès lors des insanités, des saletés ? parce que l’insanité en impose et impacte fort ! voilà laraison ! mais alorqs pourqsuoi sur roche ? parce que sur roche  les mots-betes restent, s’impréègnent etc, il s’agit de pôrter atteinte à une sorte d’entité xde roche, il s’a git d’une atteinte portée à une sorte d’entité qUI serait «touchée» et reculerait, ilsemblerait que nous ayons affaire à une sorte d’entitéc royale de grande prestance, chaude et altière, brûl:ante et majestueuse, qyui serait reine, qui serait roi de roche ou sinon dee roche de groote, ou bien dont le royaume serait cette groote, ou bien cettez roche, bref : une sorte d’entité royale, cerf de céans (mégacerf) qui règne sans p)artage sur nos destinées parioétales, je suisq l’homme des cavernes hurlant et vociféerant sa gouverne animalière, son mal perforant, sa misère de bure, et là, en roche, creuse que tu creuseras matombe, ou comment ? tombeau pour une destinée  étirée, allongée, agrandie, qui serait (deviendrait) l’Eternité des temps impartis, une Somme )!, je vais en roche et comprtends les chodses du temps liéesà pareille roche eté»ternelle, ou sinon les cerne d(‘un trait de fusain, je vais sur la roche du temps marquer mon tourment de bure, je suis un homme-femme-enfant des cavernes enfouuies et je chercbhe à comp^rendre les choses du monde = des parois, des betes, des grottes, des esprits malins, du feu de roche, des dieuix divins ou non, des betes en soi qui sortent leur tete et filent fissa sur le devant de soi, je cherche à m’immiscer en roche , à travers la chose , via le mal perforant qui perce, qui va de son étant perforer laroche et offrir cette ouverture de paroi tant attezndsue et espérée, je vais en cette roche des temps à la recherche d’une sorte d’»entité majeure, forte figure, roi-reine des prés , qui puiiisse comprendre mon tourment, qui puisse entendre mes plates excuses, etc, je vais sur roche ainsi et trouve là de quoi satisfaire ma recherche, ou comment ? car je suis ainsi sur roche cet ettre de peu qui trace au fusain sa misère de pensée cxonfuse, je cherche à comme débroussailler les devants, cette sorte dejungle de roche, cet embrouillamini pariétal, je veux débroussailler la roche, le temps et cerner au mieux les tena,nts et les aboutissants mais cela est loin d’etrte chose commode, loin de là, hje m’échine, je suis l’homme des cavernes du temps , qsui va en roche à larecherche d’une vérité, cette chose est une chose dure (durable) et s’inscrit xde la sorte sur paroi , cette cxhose est chose dure-durable et est inscrite sur paroi mais où ? nous solmmes deux qui cherchgons la chose, l’anilmal et moi, moi et l’animal, MON NOM , et cela est ainsi que la chose advient et se pose, sur roche, sur paroi du tempsn, devant soi, sur cette roche des temps impartis, cette cxhose du temps est une chose dure, c’est à dire qui dure, le temps dure et opffre une place à des tourments de type animaliers,  le tempsest une pklace forte, je vais en cette p;lace et je m’(‘ionscris dans la roche en gravant mon nom, ce nom dxonné, allouépar la bande et qui est le nom quyi mereprésente (ressemblance) et me porte en v ue, je vais sur roche armé de mon baton de bois brulé, je poerte un noçm qui est MON NOM, nbous sommes deux (ainsi) qui portons ce n,bopm, MON et NOM, je vais ainsi, je vais en roche, j’entre, je m’inscris, je saigne de la bouche, je suis celui qui va dans la roche pour y trouver cxhose, à dire son tourment, je suis celyui qui ainsi va, en roche, pour dire son tourment de type animal:ier, ce mal perforant en soi, cette plaie qui saigne pour dire = pour laisserr pa sser le dire de la pleia ei qui saigne, ainsi soi til, car cette ouverture en soi (pa ssage) va   de pair avec devant soi l’ouverture de la paroi, la paroi est la porte devant soi, celle là qui s’ouvre à l’ouverture de la bouche (scansion) et elle est cette cxhose devant soi que je suis à voir, que je vois ici, devant tout net, comme cette chose d’un début de vie à vivre sur roche, naissance à la roche, dureté qui va son train de roche, le mal est complet, la peine est pleine, le cxheval en moi renacle et cherche issue, je dois le laisser s’échapper et trouver sur roche (fusain) son tracé de vie vive, grossière, imposante, qui en jette, qui en fiche plein la vue à cet oeil de roche, à celui là qui mate dans leqs coins et ne nouys lacxhe pâsx d’une semelle, je suis le cxheval, je suis le bouquetin des temps, je suis le cerf, je suis l’homme des cavernes, cerf géant aux bois ramifiés, je suis la biche de céans, le roi majeur, je suis Tempête, cerf de céans, roi majeur de laroche dure, hje suis l’animal qui vit sur roche son tourment, pour moi, pour mon salut, je suis cet animal de roche inclusq, qui caracole et parle pour moi

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20/04/2021 

il s’agit pourr moi de comprendre ici ce qui est qui donc se trame, ici quoi est ? quoi ici est ? etc, il s’agit ici pour moi de comprendre les enjeux, ce qui donc se trame et m’attend, je suis entré dans la roche du temps, jev me suis logé-lové en elle et je regazrde passer des betres de poids qui sont des mots-betes de poids , qui sont des injures, des choses criardes, des mots à forte teneur en termes de vitalité, d’impact, etc, soit des mots d’injure, des mots vifs etc, ces aurochs et ces bouquetins, ces rennes, ces bisons, etc, je vois ces betes à mes côtés et je sais ce qu’elles représentent, ce piour quoi elles sont là présentes ressemblantes, je le sais car je suis l’homme des cavbernes, je vais et je viens à même la roche, je suis dans la roche comme chez moi ou pas loin car je connais les lieux parfaitement à présent, je suis cet homme qui , en roche, va déambulant à qui mieux miuex à la recherche d’une vérité qui serait celle dont il a besoin «pour sa gouverne» = un cap, une direction, un tracé, un chenal, un sentier, etc, qui , pour lui, soient cette chose d’un chemin à suivre mordicus, un chemin de vie pour un homme nu comme un nouveau-né, etc, j’avance ainsi en pareille roche à la recherche d’un sentier de vie qui serait le mien, qui serait celui qui me mènerait aux abord de bouche de la mort, qui serait, bouche, celle là qui connaitrait la vérité en toutes choses, car il en est ain si que bouche de la mort connaiot la vérité de toutes les choses existantes et au delà si tant est, il est une évidence ici à mes yeux , comme quoi Bouche de la Mort connait bien des choses en somme, c’est à dire tout, tout de tout, des choses de la vie et de lma mort, et à moi à présent en roche, en cette paroi dec la grotte, de comprendre et de dénicher ce fameux pot aux roses de la vérité, de la vérité avec un grand v, car je suis entré, j’ai franchi le pas, je suis à l’intérieur de la roche, je suids logé à bonne enseigne et je me débats en son sein, je cours et je vole, j’entre en communion avec la roche aux embruns, je me plis en queatre en incantations, je vais et je viens parmi les biches et les chevreuils des prés, je suis l’homme de la roche dure, je volette, je monte et descend, je grave à l»’envi, je trace des traits «de vie» sur roche tendre et file à tout va parmi les betes dures, celles ci qui sont comme de bois, aurochs de compagnie, bisons-buffles de gros poids et masse, etc, ces mots-betes, ces injures vives,  tracées à meme la roche, incantations, injures, un tracé pour une recherche etc, car cela est que je recherche par les traiots cette chose d’une vérité de bon aloi, vérité qui pour moi serait La Vérité, celle là à laqueklle j’aspire depuis longtemps à présent c’est à dire en vérité depuis le jour de ma naissance au monde, il semblerait dès lors que je sois cet homme des grottesqui, hommes des grottes et des avens, cherchât son ombre, son nombre, son homme, quoi donc qui fût pour lui la clé, la chose à trouver, le pot tant évoqué etc, il semblerait en effet que je sois celui ci qui cherchât et cherche encore un la musical d’entrée, une sorte de clé à une porte, allant à telle porte en particulier mais où est la clé ? à quoi ressemble cette clé ? qui a la clé ? que faire pour la traouver ? je vais en roche à la recherche d’une clé» de base musiclae, une clé d’ouverture, clé en la, clé en qsuoi ? je vais en roche arm»é de mon baton traceur (pic de perçage) et cherche en cette roche de paroi ce qui pourrait me renseigner, me donner les données de base, etc, je ne suis pas au bout de mes recherches, je suis en train, je suis comme dans un train de furie ou de furia, je vais en cette roche du temps (ornementée) parmi les betes, à la recherche d’une vérité animzalière , vérité des profondeurs de pareille roche , c’est à dire vérité des profondeurs du temps, je vais et je guette, je suis en roche comme dans une nasse, un étui aussi, un entre-deux-mers etc, qui me voit chercher un sens, un sens de halage ou commeznt ? une direction dans la paroi, etc, je cherche le la en elle, je vais et je viens à la recherche d’une vérité qui soit celle dont j’aurai besoin pour cvomprendre au mieux les enjeux, de parteiile paroi, contenus en elle, je vais en roche armé de mon pique-roche, de ma pique-paroi, etc, je perce, je troue cette roche et m’iummisce en elle et me déploie en elle comme oiseau de belle envergure et là (en telle paroi) je vais à la recherche de la vérié des roches, je recherche une chose de poids, je grave une chose de poids et en recherche une autre, je suis cet homme qui injurie, qui dit des insanités en guise de présents donnés à même la roche du temps et justement, ce temps imparti est ce présent donné, je vais en roche comme un forcené dans sa carrière etc et creuse icelle de mon pic - de -verbe acéré et vas-y ainsi que je creuse fort, injurie, hurle à la mort, etc, lui parle, incantations en roche du temps, en cette roche dure ici et tendre là, je suis un homme des temps anciens et j’entre en paroi comme dans une sorte de meule de foin et en paroi je guette-cherche cette vérité de bon aloi concernzant lma musique des sphères, où est-elle ? ou plutôt : d’où sort-elle ? il semblerait qsue lma musique soit le temps, le temps la musique = des envolées, enrubannages, choses au vent etc, qui disent ce qui est, qui situent les choses, qui soient pour nous des réponses, pour nous auttres hommes et femmes des cavernes, il semblerazit que ce fût cela qyuui est ici en roche, cette chose d’une sorte de paroi votive, de paroi à prendre ainsi en tant qu’elle serait une paroi votive, etc, je suis l’homme des cavernes enjoué, je suiius cet homme à la recherche d’une vérité, une vérité vraie = de bonne renommée, de bonne fame, qui soit celle sur laquelle on puisse compter, un , deux, trois, etxc, et s’appuyer dessus sans crainte de chavirer, je vais en roche ainsi à la recherche d’une réponse à certzaines interrogations qui m’(accompagnent depuis longtemps, depuis le jour de ma naissancxe, et ces interrogations ne laissent pas de m’importuner, de me gêner aux entournures, de me faire du mal, etc, car ainsi je suis cet homme meurtri, ainsi je vais, à même la roche, à la recherche d’une vérité de poids qui le «fasse», qui puisse «le faire» à mes yeux, qui pesât de tout son poids de belle et bonne et rudement solide vérité de roche, je veuc cette chose, je gravite dans la roche, je vais et je viens en elle, je suis l’homme au parler vif (incantatoire, scandé) qui va en roche à la recherche d’une vérité de poidfs, qui fasse l’adffaire, qui soit celle qui puisse aller à nottre entendement, qui puisse m’aller comme une soeur des prés, colmme une allieé de la première heure,  une vérité-chocqui puiisse lme donner du baume au coeur et soulager mes meurtrissures du visage etc, je suis cet homme des grottes et autres cxavernes qui va en roche à la recherche d’une sorte de trouée de type musicale, une béance vivace ou commen t dire cette chose d’une sorte d-’échancrure à vif à m^eme la roche, dans le bleu du ciel de la roche, en cette chose d’une sorte de paroi donnée par la bande, je vais en pareille roche , muni de mon altimètre buccal, à larecherche xd’une chose en pazrticulier qui erst cette chose d’une sorte de vérité de poids (aurochs ? injure ? ) qui puisse «le faire» à mes yeux, qui puiise aller et me convenir, je suis en roche ainsi cet homme de poids plume, ou comment, qui va voletant, oiseau des parois, oiseau-homme du vent de laroche, des allers-retours musicaux dans le temps rocheux des sphères, hommùe-vent, homme-enfant joueur, homme des avens, des grottes cachées, des grottes à) parois ornementées, je grave mon nom sur la roche, MON NOM, et vais et viens, va et vient en pareil lieu de certitude, va et vient en cette roche dure du temps musical pariétal incertain, cette roche aux embruns, roche de la vérité des sphères etc, je vais et je viens en elle , je me promène en elle, entre ces deux bras, entre ces deux bras de mer, bras qui m’acceuille ainsi en son sein musical et me berce ainsi, me donne de quoi avancer volettant, me donne le tournis, me tourneboule, m’inocule une sorte de drogue de vie quyi me donne le tournis et me fait monter en roche comme voletant comme oiseau de roche ou d’aven, je suis dans le vent de laroche , je suis en elle cette chose d’une sorte d’homme pris à part, pris à mal, prisonnier, envahi et priis et dès lors je me mets à dire -graver des insanitéds c’est à dire des choses de fort poids, des choses qui pèsent dans la balance = qui marquent, qui en jettent, qui influent, qui marquent son homme, sa roche, etc, il s’agit de mots dits «gros» en cela qyuils sont «gras», quyils sont grossiers, quils sont des mots de peu mais qiu impactent à mort etc, ces mots sont mots-betes de première bourre, mots des prés et des champs, des bois et sous bois, chevreuils, bouquetins, rnnes, chevaux, mammouths, bisons, buffles, et aurochs, aurocbhs, aurochs, etc, mots de la roche ornementée, mots-betes de naissance etc, qui sont ceux là qui furent prononcé à ma naissance et qu’aujourdhui encore je retiens-retrouve en moi (=en roche) dans le vent d’un entre-deux-mers parioétal, je vais et viens en cette roche, homme des temps anciens, et me balade impunément en cette chose d’un entre-deux-mers musical et pariétal, je suyis cet homme des cavernes qui écoute le chant des sphères, je suis ou serais cet homme des cavernes écoutant le chant des sphères aux embruns, je vais en pareille roche à la recherche d’une vérité de belle envergure, tracé de roche dure, majesté des lieux, vérités de bon aloi à écouter, je suis sur roche celle et celui, celui et celle, qui «ensemble» vont à la recherche d’une sorte de : vérité de base, support, souteien, étai, soubassement, sur quoi viendrait s’ériger «le reste du monde», il est ainsi pour moi cette chose en vue qui serait cette chose entre deux mers qui serait l’endroit d’où sortirait le chant des sp^hères, ce chant assourdi, lancinant, langooureux, rtrompeur, qui serait le temps déroulé, qui serait comme, qui serait exactement, qui serait le Temps, etcx, et nous donnerait une réponse à une question que nous nous posons, et ce chant d’où sortirait il ? il sortirait de cet endroit de folie ! il sortirait de cet endroit-ci , qui serait cet endroit dit «de folie» ! , cet endroit est celui ci : ce trou de roche, cette alcove dans le roc, cette voute ici, ce chenal-passage, cette entrée, ce conduit etc et à nous (à qui ?) de trouver icelui à même la roche des temps, à nous de trouver icelle (alcôve) en son sein de roche, je vais en la paroi à la recherche (assidument) d’une sorte de «vérité de poids» qui soit celle là qui puisse me donner : du coeur à l’ouvrage, un entrain certain, une joie, etc, car je suis cet homme né pour ça : fureter laroche et dénicher le pot aux roses, etcx, car je sezrais cet homme, cet homme des roches à la recherche d’une vérité qui fût celle quyi eût pu me convenir, me convaincre et me convenir, une vérité de type musique, chant choral des embruns de bord de mer, chant unique, chant fleuri, chant sortant de terre comme une fleur, chant de roche inouie et vif, qiiui soit le chant du temps qui va son allant dans le déroulement de  son envergure, chant qui soit pour moi le reflet parfait de la chose tue en d’autres endroits, chant qui fût celui d’un contingent de buffles de roche, d’un troupeau de chevreuils des prés, de betes de roche dure, etc, je vois cette chose devant moi, je m’avance, je suis celui là qui vais en cette roche à larecherche d’une clé qyui eût pu ouvrir une porte de Vérité, je marche en roche parmi les betes représentées, ce sont des mots qui disent la chose, la Chose folle, cette véritév brute qui est vérité d’injure ! chose dures, choses folles, injures, aurochs ! et moi d’aller parmi les betes dessinées ou gravées, de m’y complaire (de m’y plaire) et de naviguer entre elles pour ainsi dire, parmi elles qui sont (placides) à brouter de l’herbe, à déambuler nonchalamment ou bien au contraire, en colère, à charger vers moi, etc, je fais celui qui n’est pas là, or il n’en est rien : je voleettte, je suis là, bel et bien, et me méfie de ces betes fauves-fortes, mots d’injure salaces, appuyées, durs, etc, je suis sur mes gardes, je vais à l’écart un peu et me place de telle sorte que pareilles betes ne puyissent pas me toucher le flanc et me blesser d’un coup de sabot mal placé, je suis un homme des cavernes, je vais en roche armé de ma gouverne animalière, il s’agit d’un pic acéré qwui sort de ma bouche comme un flux tendu, il s’agit d’une torche (?), ou d’une pique, une pique acérée qui est tranchante comme un couperet, pique de verbe, pique sortie de moi par cette plaie qu’elle a tra&acé depuis l’intériuer de mon organisme, et voilà comment j’en suis arrivé à saigner (pisser le sang) à même la paroi du monde ou comment dire ? cette cghose devant moi, ce présent de roche, ces mots-betes enrubannés, ces mots d’inhjures proférés, eh bien tout cela forme ce pis-aller pariétal de roche, pis-aller forcé, pisseux, criard, qui est un mot sale, un mot jeté à la face du monde royal, devant moi qui perce roche de mon pic de roche, mot sale incantatoire comment dire , comment dire cette chose d’une sorte de scansion projeté comme un jet de bave ! cvomment dire cette cxhoses ici ? je vais en roche et soulève le lièvre (essaie) car je suis un homme-chaman, je vais en cette roche à la recgherche d’une sorte de vérité des lieux, de vérité qui puisse m’allouer cette chose d’une sorte de vie en moi qui puiiusse me comme motoriser, ou m’autoriser ? car je veux, je veux faire, aller, bondir, jouir, jouer, crier ma gouverne, franchir les allées, recueillir des vérités de chgoix à même la roche, etc, je suis en roche comme chez moi = dans une demeure de choix, une grotte de belle fame, douce grotte comme abri, etc, qui puisse m’offrir un espace mental pour des incantations de folie de base, il s’agi-t ici à mes yeux de fairae ainsi que je sois cet homme qui sait, comprends et jouit de cette vérité endfin affichée, je suis cet  homme des prés qui sait, qui voit, qui veut, qui comprend, qui fouille, déniche , attrappe, sonde, course, volette, monte, saute, crache, pisse, tombe et se relève etc, je suis cet homme des roches et rocherrrrs, cet homme du roc wagram, de roche dure, de laroche dure du temps, je suis cet homme qui (en roche) comprend» la musique, à savoir ce chant guttural sorti d’on ne sait où, ce chant de larocxhe perlée, ce chant dur qui vient à mes oreilles et veut me bercer et m’ensuquer comme un nouveau né, je suis cvelui là qui comprtend» la roche dite «musicale» = le Temps, ce temps que nous avons à vivre = ce présent de vie continu est nottre cprésent à Lui alloué par nous, à Lui ou à Elle car qui sait quoi, de quoi il en retourne, quui ? je vais en roche et écoute pareille musique, il s’agit d’une sorte de miisique de roche percée, il s’ahgit ici d’une sorte de «bele» musique de roche percée comme un tympan qui le serait ou comment ? nous disons : musique, s’agit il de cela en vérité ? nous disons : musique, mais est ce cela dont il s’agit ici ? n’est-ce pas plutôt un reten,tissemen,t sourd, un écho des limbes ? une sorte de mélopée des embruns na crés ? le chant du vent dans les roches ? le glissement venteux d’un souffle divin ? une respiration ? un souffle a nimé ? de quoi est-il question ? et me voilà qui cherche encore parmi les rocheers, une entrée où m’immiscer comme un chercheur  (ou dénicheur) de nid de paroi, je vais en  cette roche à la recherche d’une sorte de nid de la roche où trouver les oeufs qui seront ceux qui contiendront la bete aimée, ou laquelle ? je vais en roche armé de mon baton de recherche assidue qui est ce baton de roche dure, cette pique vive , qui est pique vive du temps imparti, un ruban lancé, un présent donné, un mot fort comme une saleté proférée, je suis homme-femme-enfant des cavernes et je dis ma  vérité à moi , q<ui est celle que je porte en moi comme un couperet, hje suis cet homme des roches dures d’un temps imparti à une vie entière, une, qui soit cette vie donnée pour une recherche de vérité à travers la roche : je suiis passé, je suis entré en elle, je suis passé à travers elle, j’ai compris, je siuis allé en  elle a insi, par l’entremise de mon pic de verbe animalier, qui est fait de buffles de bon poids et autres aurochs de prairies, pic de verbe animalier qui perce les tympa ns, la roche, le 

qui perce la roche, qui perce comme un forcené la roche du temps, qui perce que tu perceras la roche des temps et essaie dès lors de franchir, d’aller, de passer ainsi, pareille roche du temps alloué, pareille roche d’un temps alloué à une vie en son entier, qyui serait la mienne pour l’éternité, qui serait cet temps-vie de roche à orner pour ma (sa ?) gouvern e , etc, je vais en roche, je suis en elle, j’orne, j’ornemente, je file en elle parmi les mots-betes de la roche et me promène au loin à la recherche d’une vérité qyi serait celle à dénicher comme on le ferait d’un oisillon niché, je vais en cette rocghe du temps , me loge en elle, je suis dedans, je vais en pareille roche comme un forcené forçant la mesure et crevant l(abcès, je suis un homme-femme des cavernes, qui est celui-là  (celle) qui : qyui va vers là bas, loin, ce point, cette lueur, cette musique-lumière éternelle (?) des embruns, je vois au loin cette lumière = temps = musique = lumière = vie à vivre pour soi, en soi, vers elle, etc, je vois cette chose là qui brille et m’illumine pasdsdablement, je vois d’ici cette chose d’une sorte de vive luminzesnce, qui est cette lu:minesvcence des embruns de bord de mer, je suis celui là qui voit cette chose au loin, ce rendu, cette vie, cette lumière, cette chose nacrée aux reflets bleutés, je vois cette chosex au loin et ne la quitte plus des yeux, je ma rche vers el;:e, où est elle en v érité ? est elle atteignabkle ou bien hors d’atteinte ? comment marchezr ? à pas de géant, grandes enjambées ? qui sait cette chose ? où suis je en cette roche ? dans le temps enrubanné ?qui xait cette chose et me dira la vérité qui compte = quyi fait compte ? qui ? je suis homme-femme-enfant desz ca vernes et vais ainsi nonchalamment vezrs une lumière dans la prairie, je m’avance ert vais ainsi les yeux rivés sur pareille luminosité bleutée-nacrée, je suis ainsi le coeur vaillant à la recherche de la v érité vraie des choses du monde, armé demon pic verbal (de folie ? de furie ?) qui est ce pic d’entrée en matière, je vais en pareille roche armé de la sorte et fgonce fissa, vais en elle à fond la cvaisse ou b   ien nonchalamment (selon les instants) et ainsi faisant me rapproche d’elle (icelle lumière) à pas sûrs, vers elle qyi me tend les bras, qui tend des bras, qui a deux bras, qui me tend deux bras, qui ouvre ses bras, deux bras, qui ouvre devant moi (le temps) ses xdeux bras de dame la mort ou comment ? de dame de la mort des cghoses ? dame ou sieur ? mon sieur ? qui ? qui ? qui ? qui , qui? qui ? qui est là ? qui s’approche ? qui va là ? qui va là ? qui est là ? qui  ? squi ? qwui  ? qui ? qui ? qsyi ? quyi ?  qui ? qui ? qui ? qui ? qui va là ? qui vient à marencontre les deux bras ouverts ? oh que je voudrais savoir cette chose , en tant que je suis cet homme, ce barbu chevelu de la roche, ma igre comme un clou, etc, qui marche à son pas vers cette musique de la paroi, qui va ainsi nu ou tout comme, décharné, vivant comme personne, etc, je vais en roche et veux savoir le pot aux roses : qui est qui ? qui fait quoi ? qui peut dire ? où sont les mots ? quels mots peuvent dire ? cvomment dire ? à qui parler ? à qui s’adresser ? doit-on parler ? comment faire pour ne pas parler c’est à dire comment faire pour ne pas déjà à soi même se parler , c’est à dire comment faire pour ne pas etre comme encombré ? qui pourrait m’aider et me rapp^rocher de la bete ? qui a compris cette chose d’un parler de trop, qui prend une place mo nstre et ne dit rien (en vérité) quyi vaille «hors les murs» ? qui ? qui peut ? qui saurait ? qui est là qui puisse ? en paroi ? en roche ? en roche du temps ? en cette roche du temps alloué ? qsui pourrzait ainsi me donner de quoi sartisfaire ma «gouverne» = mon gouvernail interne, mon sens de la chose vraie, etc, qui ? je m’avance en cettye roche du temps et vais loin en elle, je suis un homme aurign,acien à ma façon , qui va et qui vient (va et vient)en  pareille roche du temps, je regarde les alentours, je vais en cette roche à la recherche d’une chose «dure» = de poids, qui soit «fiable» et non «friable», qui puiise convenir à «ma gouverne» animùalière, qiu soit pour moi une sorte de baromètre ou comment ? car je suis l’etre de la roche des temps impartis, alloués, donnés par la bande (murs de la paroi d’un entre-deux-mers), je vais en pareille roche ainsi : debout, dressé, chevelu, nu,(quasi) et je marche décidé ou d’un pas décidé, entre deux bras de mer, je vbais vers ce lointain nacré, je veux aller vers pareil lointain, je veux aller vers ce nacré lointain de pareille roche,  connaitre cette vérité de bon aloi qui serait La qui compte, ce la musical des sphères, des parois du monde etc, je suis un homme de lapréhistoire et je vais en (sur) roche comme emporté par un élan de vie qui est celui qui serait ou me serait comme insufflé pa r en moi des b etes de prairie, buffkles de vie donnée,; qui vont en moi comme soufflant à qui mieux mieux leur souffle épique, cette chose en moi qyui sort de moi et qui porte un nom et ce nom est un verbe de vie allant ainsi vers une destinée rocheuse allouée, vers pâreille paroi de rocghe d’un devant de soi c’est à dire vers ça, ce temps de vie à vivre devant soi, cet espace-temps pariétal (musical) qsui est cvelui dans klequel s’immiuscer par la bande = armé de son couperet temporel, etc, je suis l’homme de la pré-histoire, de cette abvancée dans le temps rocheux, vers une lumiè!re nacrée bleutée, vers pareille lumière du temps, vers cet endroit de fond de roche dure, etc, je suiis comme un animal mais armé d’un couperet verbal sorti cde moi comme une lame qui, acéré, aurait tranché la chair de l’intérieurt pour aller à se ficher sur roche du tempsq, aller ainsi et franchir le pas de la roche dure, fcranchir et s’affranchir ainsi, et filer ainsi, me donnant l’élan  , je vais a insi comme muni et m’(avance, je suis homme de la préhistoire, je suis cet homme des champs rocheux, des grottes cachées, des amitiés animalièerres, etc, je man,ge, boit , h$jouit, je suis armé d’un pic verbal mercdeux, comment dire ? inhjures ! injures ! injures à qui de droit ! injures comme présents de soi déposés à bas , sur roche (offrandes) comme animalières ! injures de forme et de po ids qui pèswent ! injures sur le devant ! injures notifiées sur roche dx’avenant ! injures offertes à l’assemblée et pour l’assermblée ! je dis et disant je prie, et priant je tue ! je dis la chgose qui tue, qui veut cette mort de la mort ! je vais en roche, je me plie en elle, puis je me redresse, je suis debout à présent étiré, redressé comlme un homme des prés, je suis en cettte roche du temps et je regartde devant moi cette chose d’une sorte de luminosité des embruns, je vois «au loin» cettye chose d’une sorte de belle luminosité de la roche dure, au loin = horizon, cette chose au loin est une roche , une roche percée, un trou dans la roche, une chose belle ment nacrée et bleutée comme paroi de coque, de coquille,  de coquillage, une chose lisse, une chose en reflet, doù sort la muisique des sphères, etc, je m’avance ainsi vers ezlle et essaie de voir ainsi en ezlle ce qu il en est de cette musqique dite des sphères ou des profondeursq, je m’avance, j’(essaie d’aller le plkus possible ‘(vite) vers elle mais voilà que la chose n’est pas aisée car à mesure que je m’avancve vers elle, celle-ci recule diraiit on , et du coup je n’y arrive pas, i=mpossible de m’approchezr vraiment et de découvrir le pot aux roses , comment fqaire dès lors ? comment m’y prendre ? j’ignore cela et c’est bien dommage, car la vbérité (on le sait ? ) est la bas, qui nous rega rde, qui nous tend les bras, qui nous appelle, qui nous attire à elle, qui nous intrigue, etc, je vois cette chose devant moi, je  vois cette lumière des embruns, ce trou musicakl, cette bouche ouverte, ce coquillage nacré, ce lisse de paroi, ce reflet bleuté comme un ciel, cette échancrure blanchie, ce trou de verbe etc, cette injure dans un ciel de traine ? quoi d’autre ? je vias en roche ain,si muni d’un pic de verbe animalier (acéré) et là , je trace, je file, cours, va vite, vers pareille trouée dansq le temps mais tintin il m’eswt impossible de comme raccourcir le temps et les distances, de sorte que ce point de mire , même vite, m’échappe pareillement qui va à se loger plus loin toujours à la mesure de mon train de course, de sorte qu ilk ne sert à rien d’aller vite, de courir vers pareil point de mire , puisdque celui ci s’en éloigne à mesure, prend mesure (pour ainsi dire) de mon train et de mon allure , pour aller plus loin encore reculer, se loger, et m’échapper encore et toujhours plus, é»chapper à prise qui sezrait la mienne, etc, je vois cette xchose a in si qui recule et échappe, qui est chose bleue, blanche, bnacrée, irisée , ou mordorée etc, lointaine, lisse il xsemblerait, je vois cette chose au loin, ce reflet de roche, ce trou ? cette trouée ? ce cqoquyillage nacré ? quoi donc ? qui dira ? qui peut s’approchezr et comment, quand l’horizon toujours recule ? qsui peut savoir et saura nous  dire ? qsui est là ? qui va là ? qsui sait ? squi connait la vérité des limbes ? je dessinne à main levée desw betes et ces betes vbont à se loger sur roche comme injures proférées qyui «clament «, qui sont betes de poids lourd, qyui sont buffles, bisons, phacochères, chevaux de labours, de roche, des prés, de course, etc, je dessine à main levée des betes-mots, injures de poids, qui  vont vers pareille bouche ouverte, vers bouche de vérité, verts bouche de la mort vive, vers celle ci que ces mots cherchent à éconduire et repousserr comme forcenés, je dessin,ne sous emprise animalière ces mots-betes de fort poidfs qui en imposent et disent durablement cette vérité de bon aloi à laquelle je donne le la , cettye chose d’un la d’(avancée, je vais vers la roche du temps imparti, je suis un homme de peu, je suis un homme des prairies logées en roche, comme  dans un sas de vérité, je vais en cette paroi du temps armé de mon pic de vezrbe acéré et je hhjoue de ce pic de roche afin x’ezntrter , de pénétrer en pareille roche du temps, afin de savoir et comprendre, trouver une chose de poids en termes de connaissance, car je suis l’homme des parois chercheur qui cherche vif une vérité forte, qui dise ce qui est en vérité, ce qui existe, de la vie et de la mort, et ne nous trompe en rien mais tout au contraire, sache dire sans faux fuyants, sans rouerie, sans ruse, ce qyui est cde cette affaire de vie à vivre terrestres, etc, je vais en roche à la recherche d’une vérité», celle là qsui repousse les échéances, celle là qui est ce ruban xde vie virevoltant et formant figures (art) dans le vent de cet entre-deux-mers dfans lesquel nous nous fazufilons, je suis hommùe qui se faufile entre deux parois de bord de mer, je marche ainsi parmi des coquillages, je suis homme duu  roi, je vais et je viens sur la roche, je suis préhistoriquement flatté d’etrte ainsi adoubé par la roche, par pareille roche aux embruns bleutés, ma chance = ma veine = ma chance de vie pleine = ma veine e^mplie de vie, etc, je m’avance en cette roche ouverte aux embruns et cela parmi ces betesw de prairies que sont les cerfs , les chevreuils, kles biches, je m’avnce à) pas comptyész, je suis squr roche des prés commùe un homme de la vie des roches, je vais sur roche comme hommùe de vie de la roche du pré, comme  naissant à pareilkle vie, je vais ainsi sur pareille roche et me tient a insi, droit comme un i, dsressé , redressé, et je marche ainsi vezrs ce point de destinée na crée qui est ce point de mire , ce reflet bleutév sur la roche, au loin, en vue,ou bien en vue, ce point de reflection, etc, qui m’attire fort et vers la musique natale, qui est celle là même que nousq percevons dès lors que nous entronsen pareille roche, ces percussions, cette douce mélopée, ce chant guttural de la roche, ce chant sorti de nulle part , ou bien d’où au juste ?  car nous ne savons pas le situer exa ctement et nous aimerions savoir ! nous voulons savoir ! nous ! nous voulons savoir doù il nait ! nous nous voulons ! c’est nous, en tant que nous sommes plusieurs à jouer, notre club ou clan, nn otre confrérie ! nous !bnousq sommes ainsi tout un clan qui veut savoir, qui jouopns ensemble à chercher une vérité de roche dans la rochge ! hommes et femmes des cavernes ici ! qui cherchon,s une véritéc en cette roche cdes prés, des prairies de la paroi du tempsq, nous = je /+ je, cherchgons à comprendre cette chose d’une sorte de vérité incxluse (contenue) dans le temps d’une vie rocheuse à vivre , or il n’est pas dit que pareille vérité de roche (injures) existât, car la véerité  nous échappe qui file devant comme un ruban dans le veznt, ce ruban entortillé comme une sorte de musique des apprets, il s’agit dès lors pour moi (nous) de comprtendre qui est qui et qui fait quyoi, et de nous situer ainsi en cette chose d’un e sorte de «sa s de vie» (la roche) où nous cachezr pour nous protéger et rester en vie, nous sommes ainsi tout un groupe qui alloons en pareille rocghe du temps jouer, cherc hezr une vérité de type nichée à dénicher, et ainsi faisant bnous gravissons (ou tout comme) les paliers et en avançons dans l’ordre non pas du mérite mais de la vérité des choses à comp^rtendre, nous nous avançons ensemble, nous sommes qui jhouons ensemble à chgerchezr le pot aux roses, nous sommes plusieures qui cherchons ensemble en c ette roche du temps, njous courons comme des enfa nts agités qui cherchent fortement, nous sommes dans une paroi logés, nous regardonqsautour de nous, nbous regardon,s ce qui est autour de nous, nous sommes ceux et  celles qui cherchgons (hommes et femmes des  ca vzernes) une vérité allouée à la roche, vérité de bonne renommùeé qui fut celle que nous recher chons, qui fut celle là qyui puisse, qui fut  ette vérité qui puisse nous donner le la musical du monde de la préhisqtoire, nous cherchons asssidument cette chose, nouis ne voulons pas lacher le morceau, nouis tenon,s à cette chose mùordicus car nous jlouons en roche à cher cher un e soerte de vérité vraie qui put convenir et nous p;laire et nous donner de quoi  ou sur quoi nous tenir, tenir debout, ne pas flancher, tenir droit sur rocxhe et marcher ou aller durablement afin de tenir, afin d’aller, vers cette lumioè!re aux embruns, vers pâreille lumière d’éternité, je suis l’hommes des  ca vernes armé qui va vers pareille lumière bmleutée vers la vérité, je veux connaittre c eztte vérité et c’eswt ainsi que j’ai décidé de m’approcher d’elle, de pareille luminosité de roche, comme sortant d’une sorte d’échancrure en elle (trou borgne ?) qui est b éan,ce, trou des trous, trou de roche qui serait un trou d’entrée de roche, ou quyoi dx’autre ? je cherche assidument cce qu’il en est et a insi je vais m’approchant, je tourne autour, je vais comme virevoltant pres de cette  béance da,ns le temps mùais où ? où donc est pareille béance da ns le temps ? qui saura dire et me dire où ddo,nc eswt situé , vgéographiqsuement parlant, pareille béancce dans le temps ? squi pour me rensezign,er ? car, homme des cavernes étant, je veux connaitre cvette vérité d»’une roche qui serait percée «dans le temps» , mais où ? où et quand ? qui cde quoi ? pôur quoi faire ? pour qui et quan,d ? je m’azpp^roche de la béance maids la beéa,nce recule ! je m’approche ce cette b»éance dans le temps  mais comment l’atteindre , et ce fa isant je la repousse ! je repousse pareille béance en m’(avançant d’eelle via ces mots de bure (de buffe) que je projette, que je profère comme autant d’insuyltes («va te faire foutree !») sur pâroi : mots-betes s’il en est  ,, qui sont commùe autant de tracés animùaliers censés repôusser l’échéance de la mort à tout jamais,; je dessinne sur paroi des cerfs et autres bisons, je dessdine à) main lezvée et en lévitation des betes de poids qui en jettent un max et font reculer (g^énée ) la mort à l’oeuvre ! je crache ainsi toute ma colère sur roche (figures imposantes animalières) et ce faisa nt essaie d’effrayer la bouche de la mort, ou bouche de la vérité, car il semblerait que les deux soit soeurs, soeurs jumelles, ou commen,t ? je pose ainsi mon ppic sur roche et grave sous emprise, les mots que je connais sont des phonèmes, et des mots-betes, mots-betes a ccoupl:és à des phonèmes gutturaux, je dessine sur laroche , betes-mots de belle lignée, de fort poids pesant, qui poussent en moi et sortent par mon trou de bouche aujourdhui cicatrisé (depuis longtemps à présent) et ce faisa nt je tente de pousser la mort ailleurs, de larepousser assidument, de pousser ou repoussr ses ardeurs car pour moi, homme des cavernes,; il est inconcebvable de penser à cette cxhose (la mort) m’arrivant ou se logea&nt sur moi pour m’éteindre, m’etoufdfer et m’enterrer, hors de question ! car je veux encore, homme des cavernes, poursyuivre sur cette a va ncée de roche, je ne vbeux en aucune manière  passer à trépas et m’»é&teindre en paroi mais tout le ccontraire : je souhaite fortement poursuivre sur ma lancée et tracer des figures animalières et a utre dessin,s pariétaux sur la roche du temps, je veux rester ainsi viv ant sur roche et tenir le coup, droit, dressé, avançant à qui mieux mieux entre deux  bras de mer, et aller ainsi fissa vers une destinée de type nacrée ou bleutée ou lkes cdeux, car là est l;a vérrité, là se loge cette vérité de la roche, là est cette vérité de roche dure, elle est lo gée là, ezlle est celle là qui est la notre en  cela que nous l’espérons, que bnous aspiron,s à la connaitre dans la profondeur, que nousq aspirons à mieux la cerner et la comp^rendre en ses =moindres recoins : nous sommes assidus et férus, nous jhouons le jeu avec bea ucpuop de sérieux, nous aswpirons à savoir plus, le plus possible, en tant quye  n ous sommes qui jouons à l’homme et à la femme des cavernes  tombés en roche et se relevanht pour tracer, sous une emprise animalière, qui des aurochs, qui xdes buffles, nous cherchons des solutions à nos probvlèmes et nous avons encore bon espoir d’y remédier un de ces jours p^rochains et pazs trop tard car pour nous il y a comme un,e sorte cde forme x’urgence à comprendre les ressorts qui sontb les meneurs, les tenants du monde, qui est qui et qui fait quoi ? ce genre de chosesc! car  nous autrezc(hommes et femmes des cavernes) nous voulons ! quoi voulons nous ? que voulons nous ? nous voulons savoir le fin mot, nouys voulons connaitre le fin mot ! nbous voulons sa voir quel est ce fin mot dont on parle ! nous voulons savoir ce qu’il en serait au juste de pareil fin mot de la roche du temps, quel est il ? quel est ce fin mot de la roche ? quoi est il ? qu’est-il ? quel est le fin mot de la roche du temps , ou : quel sera (un jour) ce fin mot dxe la roche du Temps ? nous ne savons pasw, et voilà  ce que nous cherchons (entte auttre) à savoir ce mot, quel est il , et pour qui ? nous cherchon,s ensemble (jeu) à comprtendre et à dénicher ! nous cherchons dansq le jeu ensembvle à comprendre et à débnicher les choses du monde, nous sommes ensemble (un jeu) pour ainsi comprtendre cette chose cx’une sorte de monde autour de nous (pariétal en diable) qui serait le monde percé, cemonde de la perc e dure ou durable = développée = déroulée = le temps, et dè!s lors que nous sommes ensemble à hjouer alors nous comprebnons que le temps -rub an est du verbe alloué, musical, quyi compte sur ciel et nous donne  ce recours (encore) à pouvoir aller sur roche, à pouvoir poursuivre, nous jouons ce jeu de roche, lévitation, emprise, etat second, envahissement, occupation, mainmise sur roche et creuso,ns la roche, a rmé de notre pic à percer icelle, nous entrons dans cette roche comme dans un ciel de traine, nous nous insérons en pareil:le roche «prairiale» et allons (nous allons) gambader , parmi les biches et autres  cervidés, nous sommes associés ici dans un je (jeu) de roche allouée, nous nous associons et formo,ns ce clan  dit «de la roche du temps» que nous formons depuis longtemps à présent , nbous gravitons, nous sommes toute une tribu et nous pârlons un même langage pa riétal qui est celui qui nous voit dessiner des aurochs ou des chevaux sur la paroi, nous pârlons ce langage (injurieux) là , qui nous fait former des figures, eanimaliè!res le plus souvent mais pas seulement abbnimalières, il y a sur roche pour nous (hommes et femmes de la préhistoire) tout un tas de choses à représenter pour notre gouver ne, comme par exemple des mùains néfgatives, ou deqs mains positives :scansion,; martèlement, tapage, mainsq sur roches pôur une virée dan,s la nuit d’un savoir ancezswtral etc, je suis cet homme de roche posant main sur roche de n uit, à la lumière de la torche, dessinant ainsi des ezmpreintes, martelant cette donnée rupestre incantatoire, etc, je suis homme qui martèle, qui pousse à dire, qui cherche à crever l’outtre,(la paroi) à pic réeitérées, je cherche ainsi  cette chose car la vérité est mon dada, mon cheval de troie ou comment ? mon cheval de roche ? j’(aime ! j’aime les chevaux de roche ! je suis ai=man,t de ces chevaux bruts de roche des parois ! je suiisq celui qui va aima,nt ces betes de grotte, ces chevaux (myriades) par pâquets, je suis cet homme qui aime les chevaux de la roche du temps et l’insc rit a insi qu’il le dit sur pareille paroi à ornementer pour sa gourvezrne (en propre) et à cvonsolider par des appositionbs de mains, je rezgarde la pâroi du monde et tente cette approche par la bande du dessin ou de la chose gravée, creusée, je tente de comp^rezndre aik nsi les raisons qui présideraient à une vie la,ncée (furie) dans une arène prairiale, pariétale, avbec début (naissance) et fiin du jeu (mort) comme dansd une Histoire, or non, je n(arrive pas à comprendre, à cer ner les choses liées, à dé nouer les fils de vérité, comment s’y pren,dre ? je voudrais savoir, j(‘aimezraiçs, je suiqs homme des cavernes cherchant un savoir à dénicher en roche du tempsq, ce savoir déployé comme un ruban lâché dans le v ent, etc, que faire ? dessiner l’aurochjs ? une fois de plusq ? le cheval ? mon ami le can asson ! le cheval ? le bison ? le buffle ? betes-injures comme pas deux, effrayantes de par leur puissance ! et a i nsi faisant repousser (effrayé, intimidé ?) l’envahisseur ? le meneur de roche ? cette entité buccale ? ce vecteur ? cet insecte ? cette chose de la mort à l’ oeuvre, soucieuse,; qui est en guet, qui mire, qui mate, etc , larepousser comme «une merde « ? e-tc, nousz cherchons ensemble à travers le jeu de la roche et en tant que nous serions des hommes et des femmes de la préhidstoire, le pot aux roses, nous cherchons ce pôt aux roses des temps incertains, nbous voul;ons comp^rendre et noter les choses sur roche (§gravures ou dessins) afin de laisser trace d’un pareil savgoir ou de pazreilles découvertes, nous sommes ainsi qui recherchons des chosescsur roche, en roche, en sa profondeur pariétale, xdes chodses comme vérités de bonne renommùée, de bon aloi etc, qui puissent nous rendre savants et surtout nous donner des raisons d’y croire,  c’est à dire de cxroire en cette chose d’une sorte de continuation de vie sur terre-mere , sur pareille terre, sur sol de roche dure (temps) et pour longtempsq, nous(je + je + je + nje , etc) allonbs à la rezcherche d’une vérité de roche des temps ;: nous posons des mots sur la roche, ces mots sont des mots-betes (effigies) qui sont des sortes d’in jures gro ssiè§res, des grossioèretés de première bourre, etc, jetées -crachées sur la paroi, dessinées tout autant au charbon de bois, betes de roche massives, buffles -injures, bisons-injhures, aurochs-injuresw etc, capables (étant cen,sées) de repousser, ou pouvoir repousser, etc, car je suis là, homme, je suis là , feemme, je suis là holmme-femme, pour cela qui est que je suis en quête d’une vérité vraie con certna nt la mort !  je veux sa voir ! l’homme des embruns cherche à savoir ! qwui est là ? qyui va là ? l’homme de la préhistoire est un homme qui connait des choses fortes, des choses premières, qui connait des choses cde grande importyance, il sait beaucoup de cghoses concernant la vie en rochge , et à l’intérieur de cceele-ci cette chose d’une bé»ance (bouche ouverte : bailleme,nt ?) qui est cette béance dite « dxe la mort à l oeuvre», et ainsi, cxet homme savant, est l’ohomme que nous espérons xroiser un jour, cet hommeest un savant de la première heure, il est muni en lui d’un bec de pic, sorte de queue verbale sortant de son visage, trompe ? bec ? il est ainsi muni (outillé) de cette chose qui est a cérée, appointée comme une plume, capable de percer ;laroche et y graver une effigie (sur elle) animzalière, l’homme des cavernes est celyui là qui sait de lui même faire ainsi que des mots cde betes (ou «mots-betes») puissenrt sortir (par le trou cde la bouche) et aller direct se ficher sur roche comme des dessins de vie allouée qui iraient à dire des choses, qui auraient pouvoir, qui auraient un pouvoir incantatoire, qui sauraient si gnifier et dès lors agir, agir direct sans échappatoire ! agir je viens ! agir la roche ! agir ainsi dans cette rocjhe ! agir de sorte que ! que pareille bouche restat comme bée, srtupéfaite = baba ! et ne me gobât pas comme une mouche («mouche à merde» ) etc, l’injure ici a pouvoir (aurait) incantatoire , l’injure aurait ce pouvoir et serait ainsi cdéposée sur la rochje comme une sorte de repoussoir, de chose qui pue» et tient à distance par xsa puanteur, qui tient à distance par sa puanteur cette sorte d’entité de roche, mort de roche ou comment ? cette chose en dur, quiparle-appelle  via cette musique en elle des sphères, je veux cette chose savoir , la connaoitrte bien comme tout, comme un tout de vie offert, la connaitre au mieux en tan,t que : homme des cavernes mes deux ? ou non : homme vrai des cavezrnes vraies ? je suis sur rovche à la recherche xd’une vérité qui fasse le poidsq et qui comptât pour moi, cette vbéritécje la subodore, je vois cette chose comme quoi (ou verrait) comme quoi la vie = le temps , et ce tezmps est comme un phrasé musical de type injurieux , qui tiendrait (serait  censé tenir) la mort à bonne distyance, je vois cette chosec ainsi, j’imagine, jhe suis homme des cavernes qui sait et agit en bonne conn aissance, car il est muni ezn lui d’un verbe buccazl qui sait (bien, parfaitement) perc er la roche et trouver matière à s’infliter fissa en icelle, l’hommes des cavernes est celui là qsui connzait la chose d’une sorte de vérité de bon aloi contenue en cette roche ornemen,tée, il est kl’homme qui connait les soubassements pariétaux et qui saurait nous dire, nous instruire, révéler moul;tes et moultes choses concernant la Vérité sur les choses duu temps impartii, ce déroulé, ce ruban, ce phrasé, cette musique mathématique, ce phraseé scandé, ces martèlement rythmùés, cette rythmique du temps impartyi qui est ce repoussoir (cette injure) déployé face à bouche (pariétale) de la mort à l’oeuvre = BMO, je vois cette roche dure, je m’approche, je dessine, je grave, je crache, je souffle, je monte, je suis soulevé car je suis pris d’assaut, je suis e:mporté, je suis contre laroche qui vais dessinant sous emprise, l’emprise est an,imale, animalière ou animale, l’emprise est telle que je ne suis plus à même de pouvoir lutter et dès lors je suis en vahi, pris de a à z, pris d’assaut et compris, pris d’(assaut et cerné de a à z, je suis envahi par en moi un animal de poids censé pouvoir pâr son caractère et sa stature repousser l’assaut de bouche de la mort , je suis pris d’»assaut par un animal censé pouvoir (lui !) repousser les a ssauuts du temps de cette entité dite «mort de bouche», je suis en,vahi  enveloppé, jze suis pris de lm»’intériuer et de moi jaillit en trombe u ne lumière ou comment est-ce, cette chose rude qui va, qui grave, assaut sur paroi ! je grave ! dessine aurochs ! aurochs ! azurochs ! aurochs ! mots ! mots ! mots ! injures sala cesq, je trace, jke dessine une tete de cxheval, puis celle d’un autte cheval, pûis encore une autre ! je trace des tetes, des chevaux sur roche, des chrevreuils, des rebnnes, des mammouths et ce sont auta,nt d’injures -:mots-betes déposés sur roche comme des offrandes de «vie à la manque», car de quoi sq’agit il sinon de vie manquée, de pseudo- vies odffertes, de mots-injures qui sont ce temps dép^loyé en lieu et place de vie vraiee c ordiale ! visages, visages, visages, visages, scansions, visages dans le temps, dans ce temps de la roche dure du temps, déploiement musical du temps d’un phrasé dinjures ! une litanie d’inhjures bestiales,; fortes-fauves, allant sur roche, une cavalcade ! chevaux ! je vais en cette roche armé ainsi  de ce pic de verbe rude , je dessione à main levée des betes, ces betes sont des mots, ces mots sont des injures, ces injures sdont des repoussoirs, ces repoussoirs sont des butées, ces butees sont de la roche dure, cette roche dure est du temps de vie, ce temps de vie est présents c’est à dire offrandes, ces offrandes sont art d’un faire pariétazl, cet art d’un faire pariétal est jugement, j ce jugement est jeu, ce jeu est volonbté, cette volonté est morsure, cette morsure est prise de bec, cvette prise de bec est envoutement, cet encoutement est capitulation, cette capitulation est pregnance, cette prégnabnce eswt envahissement, cet envahissement est cavalcade, cette cavalcade est furia, cette furia est redoublemen,t de coups martelés, ces rzedoublement de coups martelés est allégea nce, cette allégeance est cheval, cxe cheval est bete-mot de la paroi, cette bete-mot de paroi est chapitre, ce chapitre est canal, ce canal est voie d’accès, cette voie d’accèes est trou, ce trou est vie, cette vie est virée, cette virée est accès , cet accès est vie de roche, cette vie de roche est tremblement, ce tremblemen,t est musique, cette musqiue est temps déployé, ce temps déployé est ruban, ce ruban est charme, ce charme est beauté, cette beauté est longueur, cette longueur est survie, cette survie est tendresse, cette tendresse est roche, cette roche est adoubement, cet adoubement est virage, ce virage est volonté ,  cette cvpolonté est chance, cette chance esqt co:lère, cette col:ère est douleur, cette doulezur est une prise, en soi, d’une sorte de bete vorace, venant percezr la joue de l’intéerieur, par un instrument caudal , ou à l’a ide d’un pâreil instrument de perçage comme queue ou comment ? je regarde lap^ aroi et je vois où passer pâreille pique (queue ?) de verbe acéré (injures !) et cela est ceette chose que je cherche : où passer : la pique , afin d’entrter en icelle paroi de roche, où donc trouver par où passer la pique et perc er et du coup entrer ! car homme je suis et femme hje suis et enhfaant je suis qui passent ! car : voilà ce qui est, cette chose ici d’un passage d’un endroit l’autre via la chose d’une percée par la bande (queue buccale ?) qui saura travezrser la paroi du temps ! je troue la paroi, buffles ! aurochs ! bisons ! chevau-x à l’unisson ! je perce ainsi pareille roche, je perc e la roche , je perce et traverswe, et là, côté intérieur, je suis cet homme nu, je suis devenu cet homme nu wqui y va de son pas d’allant vers une lumière, vers une clarrté bleutée, qui marche entre deux bras de mer vers clarté bleuté, vezrs cette étonnante claerté bleutée de fin fond de roche, je suis un homme aurignacien des cavernes et j’entre ezn roche via l’interstice créeé par ma pique verbale, buccale, je traverse la paroi, je suis passé, j’ai traversqé, et à l’intérieur de pareille paroi je chrche cette vérité na issante, cette choses en dur de vérité qui saurait m’indiquer le chemin de la connaissance des sphères,  je cherche un treacé sur roche, je dessine à main levée des betes de poids, j’injurie la mort, la couvre d’injures comme d’une trainée, je lui ficcxhe en p^leine figure des tracés de roche animzaliers et ce faiqsant espère = vit, le temps de la roche dure, etc, je suis l’homme des cavernes qui va, de son devant de soi vibrant, à larencontre de b ouche de la mort nue, je suis homme aurignacien , femme aurignacienne, enfant aurignacien etc, l’enfant ici comme un (le) troisième larron d’une sorte de partie de jeu, jouant à qui trouvera (du clan) la clé musivcale des spghères, je rezgharde au loin les embruns, je suis un homme des temps anciens qui cher che à comptendre lers enjeux vitaux et les ressorts, cxar je dois comp^rendre, car le jeu en vaut la chandelle, car je suis muni en moi même d’une sorte de pouvoir de vie qui est cette chose d’une envie de roche, d’une envie sur roche, etc, d’aller de l’avant, de percer, de trouerr le mùur des désirs, de comprendre, de dessiner à main levéecl’aurochs de lma vérité, l’aurochs de vérité, le chevreuil de vérité, le bison de vérité, le buffle de vérité, l’antilope de v»érité, ces mots betes xde vérités, ces injures proférées et appuyées, ces chevaux de vérités c’est à dire ces troupeaux de vérité, ces biches   -bambis, ces rennes, ces biches de vérités, ces betes qui sont des mots qui sont des injures, ces injures qui sont des repoussoirs, ces repoussoirs qui sont verbe -dur, qui sont pic! cap ! toc!sur roc, qui vont à creuser-perc er pour pouvoir se frayer, une voie d’acces vers la vérité vraie de la roche du temps alloué

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19/04/2021

je suis comme pris ou prisonnier d’une sorte de vent, de souffle sur moi, de boudffée sur moi (bufferie) qui me pousse à graver ou dessiner (fusain) des choses sur roche, qui des betes qui des mains, qui des traits, qui des figures, et c’est ainsi que je me laisse akller à dessiner des traits, des figures, des mains, des morts-betes ou mots-animaux de roche, car ainsi je suis qui me laisse envahir par en moi ce souffle animal qui buffe de tout son allant et me pousse (m’oblige) à tracer sur roche des (sortes de ?) effigies, des sortes de choses étranges , qui sont sdes mots de type images, etc, qui sont pour moi ce parler de la rooche comme révélé, je suis l(homme (la dfemme) qui, en roche, sur roche, parle son allant de vie rare, racée, riche de betes (mots-betes) prononceés comme des injures, je vais en cette roche en tant que je suis cet homme qui va injuriant les etres, qui (fou) va comme traçant sur roche des injures graveleueses, il (je) est (suis) cet homme, je suis il qui va, je suis cet homme qui, injuriant graveuleusement, grossièrement, file sa vie ainsi, la file ainsi qu’il va, dessinant sur la roche, sa pe$lote de vie temporelle, etc, je m’accroche à (ainsi) cette roche des temps alloués ou impartis et file ma puelote de vie (racée) de roche dure, jr dessine des sortes d’aurochs sur la pierre, je suis un homme des cavernes et je dessine sur la roche des sortes de mots qui sont des mots-betes qui (à mes yeux) sont des sortes d’inhures outrancières, grossières, grasses etc, des mots forts (gros mots de la tribu-) qui poueessnt ainsi à dire ce qui est qui résonne en moi, cette chose en moi qui est cette sorte de soufflerie, de bufferie de race en moi, qui pousse en moi , qui soufflea en moi et me fait tracer des mots-injures sur roche : aurochs ! aurochs ! aurochs ! et c’est ainsi que je me vois comme tenu-contenu en pareille paroi à faire-dire toute cette chose d’une sorte de dessin de vie, tracé de vie vive, tracé au fusain (au cgharbon de bois) sur roche des temps, sur cette paroi des temps donnés, etc : cette chose est ce devant de moi, ce devant en face à face et qui me pezrmet d(‘‘entrter en elle via mon pic de roche animalmlier, mon baton «merdeux», mon pic de la roche, mon pic de percée, ce pic de bouche animalier qui va à se ficher en roche, et la troue de par sa superbe et entre en elle, racccccccccccccc, entre , entre en cette roche et s’y dép^loie comme ruban de temps imparti, je suis dans la roche l’être de vie dure de roche, je suis en cette roche cet être de la vie (dure) de la roche des temps impartis et je me déploie en elle, je me (comme) dilate en cette roche des temps où je cours, où je vais ici et là près des betes (les chevreuils, les aurochs), je vais en cette roche en elle vite, je vais en pareille roche vite en elle car je suis cet homme des cavernes sous emprise et qui est guidé par en lui une force qui le pousse à faire et à dire des choses et autres qyui le dépassent grandement, des choses plus fortes et plus grosses que lui, je suis (très largement) dépassé par en moi des forces de vie qui vont loin me pousser dans mes retranchements d’homme des cavernes, des grottes cachées, etc, je suis celui-l;à qui est mené de base par en lui une force souterraine qyui le pousse à injurier sur roche avec des mots-betes, tres betes, ou mots-animaux de la roche des temps alloués, et ces mots-betes ou motsanimaux sont cadeaux royaux, prése nts de vile espèce (injures) qui sonrt ceux lmà même que nous (je ) déposons(dépose) au pied de lma roche du temps, ou commeznt ? car nous sommes dedans,; je suis en la roche cet homme qui est l’homme de la base langagière primaire, cet homme des confins de roche dure, et à ce titre je vais en la roche comme un oiseau va dans le ciel, ou un poisson va en ruisseau, ou une antilope dans la prairie, etc, moi (homme des cavernes dures) vais ici en roche comme un fol qui va de son allant de roche dure (tres) et je perce la chose de mon pic de roche, mon baton de bouche, ce baton de la bouche saignante etc, car je suis troué comme une outre, je suis comme troué de l’intériuer par en moi cette chose piquante, qui perce, qui pousse et troue la joue de ma figure et ainsi elle sort, elle traverse etv trouve à se ficher swur la roche (dure) de pareille paroi de grotte (lascaux ? alta mira ? chauvet ? cosquer ? etc) et là je vais et me déploie (envergure) comme une effluve, je vais en roche armé de mon baton (de joie) dur,, quyi pousse à dire-faire sur paroi le desswin cd’une bete fauve, rude, qui charge, qui en impose, dessin qui est un mot de type injure prononcé à la cantonade et qui dit son pesant d’insanités à l’encontre du temps alloué, de la mort de roche, des etres de peu qui gouvernent, etc, je vais en roche ainsi armé et pousse mon cri (guttural) d’hommes des temps, d’homme fou du temps de la roche, d’homme des temps fous de roche dure, de roche endurcie, de roche dure du temps alloué à un e vie, la mienne, celle ds hommes qui , comme itou, font sur roche des insanités et hurlent chacal leur gouverne comme influencée, je fais ainsi que je dis et dis ainsi que je fais, je suis pris dans une roche de prairie de type pariétal-temporel, et là je m’inscris, comme un oiseau s’inscrit dans un ciel bleu, etc , je vais en cette roche comme oiseau de roche et creuse (treace) mon dessin a nimalier de roche du temps, je sais cette chose d’une sorte de folie en moi, de folie dure, de folie racée, d’injure, etc, quyi est ce mot qui va sur pareoi s»écrire au charbon de bois, et  cette folie en moi est gouvernée par des forces dures animalières, des poussées de rage, des poussées qui font leur carnage, etc, et m’obligent à tracer sur paroi des traits divers, au charbon de bois, au manganèse, etc, qui forment comme une sorte de litanie verbeuse, de type injures proférées à) la cantonade (douleur, chaleur, tuméfaction, rougeur) etc, formant cohorte, formant lance, formant pique de verbe, formant une sorte de baton de roche du temps , baton qui donne le la musical d’un ensemble temporel, baton dur quyi pousse dans la roche et troue icelle de son pic pointu acéré, je vois cette chose enfin ouverte comme une bouche et moi de m’introduire dans la bvouche, de m’y loger et de m’y lover pour ma gfouverne, et là : attendre l’arrivée massive des aurochs de vie éternelle, je regarde (là) passer le troupeau, je suis dans cette roche dure de vie dure, je regarde (assis en tailleur ?) passer le treoupeau des injures de vie dure, ces aurochs, ces aurochs et ces buffles, ces buffles et ces bouquetins, ces bouquetins et ces chevreuils-bambis qui vont et qui viennent pres de moi, je regarde ces betes pres de mpoi et je m’idezntifie à elles car elles sont mes soeurs de la roche des temps alloués à une vie terrezstre faite d’imprévus animaliers, je file en roche à présent, et cherchje à m’immiscer au plus profond d’icelle, dansles embruns, dans ce sas de vie allouée et là, enfin immiscé, je grave vérité de type animalier, je trace à main levée des betes-mots qui sont des injures, injures proférées à l’encontre d’une sorte d’entité de type animalière ou comment ? dieu de roche ? mort de bouche ? chant de la roche ici, quyi pousse son cri de douleur vive ? la plus des plkus vives ? je vais en roche, et y trouve de quoi comprtendre une chose de la vie de race, et trouve en roche une chose de la vie de terre, de vie de la tezrre, etc, je vois cettre cghose qui est celle-ci qui me concerne et me regarde, cette chose rude, cette rude chose dure, dure et rude, qui est celle-ci comme quoi la terre est cette chose musicale temporelle, cet allant de vie racée, racée = étirée, allongée, affilée, effilée, à fil, etc, qui est cette chose que je dois mener par le «bout du nez» à son extrémité, je vais en  c ette roche comme un homme des confins armé de son baton de lutte : injures proférées ! injures p^roférées ! injures lancées à la cantonade vers une entité animalière dite « Mort de Bouche la Gouverne «, et moi, Homme des cavernes (HDC), d’aller ainsi vers elle (bouche de la vérité) comme vers (ou dans) un puits sans fond ou comment ? trou borgne comme une tombe ? peutêtre pas ! peutetre que non ! peutetre que ce n’est pas là que je vais mais ailleurs en ce sein des seins outranciers, je vais dans la profondeur de la roche, à la recherche de l’Animal,  mais cet animal se cacherait, serait l’animal qui se cache et fait tout pour ne pas etre croisé, peutetre, je suis homme des caverbnes à la recherche d’une sorte d’animal de roche dure (celle du temps alloué à une vie) et cet animal est quelque paert ca ché dans la roche et moi d’insulter la roche c’est à dire l’entité, de l’insulter graveleusement («comme une merde») afin de donc percer paroi de mon pic «merdeux» et d’entrer en icelle (paroi) comme dans un livre, je cherchje à) comprendre le pourquoi ce livre et le comment pouvoir accéder à pareille roche des temps en entrant en elle, comment accéder à son fond de vie rude , le dépasser, le prendre ainsi pour soi et forcer la mise etc, cvomment faire pour seretrouver en pareille roche comme qui dirait dans une sorte de bouche echancrée, d’ouverture de vie vive (vive !) etc, je cherche à m’immiscer ainsi secondé par en moi cette chose dite animalière q<yui pousse et me pousse à francxhir ainsi la paroi de roche, entrer et me lover-loger, etc, et me lover-loger comme un serpentin, ruban de vie vive qui se glisse en pareille échancrure et force la main , et foncxe, et va loin, et touche au but, et trouve les aurochs et les chevreuils en cette prairie du temps pariétal, cette zone aux embruns, cet espace intersidéral de la roche du temps, je vais en elle et je vois ces betes aller et venir à mes côtés, je siuis pris en moi d’une sortye de visée, je suis comme pris (en moi) par une sorte de visée, d»’envie, de volonté, de désir, d’affect ou de pulsion qui poussent au cul, qui poussent dur au cul de la raison, qui toutes ou tous poussent au cul de la raison dite «de gouverne» et m’oblige presqUe à tracer sur roche des betes de choix, de poids, racée-élan,cé, fine-élégantes,; etc, betyes de vie, sur roche allouée en tant qu il s’agit d’un espace-temps, pour une virée de dureté, je suis cet homme qui se faufile en cette dureté, qui va son allant de vie riche, enrichie par la bande, en cette espace-temps de vie allouée par une sorte d’entité souffleuse, de type animalière-animale, je vais en elle et je vois en elle cette chose d’une sorte de percée dans lkes lointains, une ouverture, un passage comme une entrée, une sorte d’alcove, un arc, un demi cercle, une voute ? squi sont , qui est, cette cghose du lointain luminescent qui sembkle vouloir m’attirer et

me vcapturer, kje vais sur mon chemin dxe roche rude, je suis homme et femme des cavernes pleines, je suis cet homme et cette femme de la roche pleine dure compacte et en elle je grave en veux tu en voilà des choses de type mots-betes, mots racés comme élancés = projetées = proférées = jetés comme des bouts de chose, des impacts, etc, qyui pôussent à trouer la roche, à creuser etc, je suis un homme des cavernes antédiluviennes, je suis armé d’une sorte de sabir de vie qui est ma pointe, mon pic de vie (de vit ?) qi me pezrmet d’entrer en roche (savane) comme dans un temps qui serait alloué à une sorte de vie (vive) à vivre fissa, ainsi, faisant cela, je me retrouve comme pris dans les filets, les rets de pareille entité cde roche, qui me regarde dans le blanc des yeux et me sermonne , et moi de rétorquer à l’identique et de proférer des choses rudes, des choses dures, des insanités comme grossièretés, je ne veux pas me laisser faire, je veux rétorquer, je suis un homme des cavernes, je ne veux pas me laisser marcher sur les pieds, je suis cet homme ders cavernes avec répondant, je ne suis pas un enfant, et si oui je suis un enfant ce n’est pas pour autant que je vais me laisser faire, je veux rétorquer, je veux gueuler ma gouvertne personnelle, mon pic de vir, 

mon pic ou ma pique de vir et de vie, je veux pouvoir gueuler comme à brûle-pourpoint ma douleur, ma vilenie aussi bien, mon mal, ce mal en moi qui taraude, qui me fait souffrir les pierres, etc, car je suis l’homme pris dans les filets de la méchanceté, cde cette sorte de méchanceté initiale, grave, pleine, forte, massive, buffante, costzaude, riche-roche, qui en moi est cette base de vie vive (sangglante) qui vibre, qui est cette chose de vie vive qui va de son allant pariéto-temporel, je suis pris ainsi, prisonnier d’un filet de vie en moi qui se nomme mécxhanceté, qui est cette méchanceté initiale, de base, constitutionnelle, contrec laquelle je veux luter , ou pouvoir lutter par l’injure proférée sous forme de dessins ou de gravures animalières, car je saisn, je vois, que le mal de la méchanceté (des choses de vie) est là qui prime, qui gouverne, qui a (vite) le dessus, et moi de m’ooppose r à ce mal-douleur en moi, à ce ma l de la douleur en moi qyui me pouqsse)à à) pleurer -rire mon mal de souffrance, ce passage en moi de cette entité douloureuse, je hurle, je hurle à tout va,, je gueulme mon mal cde vie vive comme d’une plaie qui baille à l’envi, je suis cet homme quyi va là en roche du temps et pousse (là) sa gueulante de vie rude, son mal étonné, sa chose de race perlée, etc, qui est cette chose en moi que je contiens commùe qui dirait une xdouleur , commùe cette sorte de grande (massue) chose en moi même, cette chose en moi qui est cette masse, ce poids d’intitiation, cette force de bure, ce train de vie alloué» comme un wagonnet à devoir porter à la force du jarret ou du poignet, je suis un homme dit «des cavernes» car j’appaertiezns à cette période  des temps qui me voit proférer des injures au fin fdond des grottes et cela pour la bonne cause, qui est que je suis pris d’assaut, prisonnier en moi d’une force (douleur) qui m’(assaille et me pousse à hurler sur ‘(et en) roche de vie ma douleur, celle-ci qui en moi me pousse, )à tracer des betes, des treaits sur roche : cette douleur de roche dure, ce tamponnement, cette plaie, cette ouverture sanglante, cette virée, etc, la gueuler sur paroi , en termes d’aurochs, de buffles, de bisons, de betes de poids = arguments-massue qui se doivent d’en jeter des masses, etc, afin de tromper son monde et faire accroire à de la vie offerte en  vrai = sa vie, sa propre vie, alors m^meme que ici il ne s’agit point de cette chose qui serait offezrte mais d’un pis-aller temporel, un éccoulement, une suite de vie rude, une sorte de tracé de vie tempoorel (un p^résent) qui va à l’injure, qui est cette injure dure, cette injure de tous les noms de la terre, cette injure qui est ce verbe alloué par une sorte de percée buccale, ce cri de guerre ! ce cri de douleur qui est cri de guerre pâriétale! et moi ainsi d’aller en roche hurlant gouverne animalière en moi, ce rire-douleur qui assaille et parle pour moi commejamais = comme un animal en moi rugissant sa peine ! il s’agit pour moi de comprendre cette chose d’une sorte en moi de tracé ou de tracé de vie qui pousse à agir dans le sens de la roche à percer! il s’agit pour moi de comprendre cette chose ici d’un treacé de vie à comprendre et à emprunter dans la roche ! la douleur ici est tres liée à cette percée de joue de  vie vive ! il s’agit pour moi (homme-femlme des cavernes) de comprendre cette chose, d’un tracé de vie alloué par la bnande à une sorte d’entité en moi qui pousse à percer de toute sa méchanceté ma joue de vie vive, d’homme vif (= en vie) qui va son chemin de roche dure dans le temps, scande son nom sur roche et cela dans un cri comme de ralliement qui est le cri de sa douleur «dentaire», etc, il hurle à la mort ! je, hurle ! je hurle à la mort ! j’hurle ! je pousse ma gueulante, je suis cet homme-femme des cavernes, qui est cette personne en lévitation et qui va en roche pour tracer des mots qui sont des mots-betes de vie massives, qui sont betes massives de vie rude (celle des temps impartis) car en moi gouverne La Méchanceté, celle là qui fait du mal à ma chair d’homme-femme des temps rudes, je suis envahi par des affects et ceux-là m’incommodent tant, qu’ils me poussent à crier (verbaliser) ma haine-honte attitude de personne comme endolorie pâr la bande, et comment faire-agir autrement qu’en hurlant de tout mon soul, sur roche, ma gouvertne envahie, mon wsens de roche pris à partie , etc, comment agir ? mon nom de roche est nologips , ou bien loopings et c’est (ainsi) que je vais, traçant des betes de poids sur pareille roche des embruns, je suis en cette roche celui qui, en lui, porte La Méchanceté, la Méchanceté primordiale, cette sorte d’entité de roche ou de paroi, qui pousse (en moi) à fzaire le mal et à me faire hurler, gueuler ma misayre, etc, et cela est incommodant et m’oblige à des contorsions langagières de type : dessins sur roc, animaux de grosse taille comme des gros mots prononcés haut et fort devant une communauté postée aux aguets, je pousse ain,si ma haine, ma haine ma misayre, ma honte ma hjaine, ma douyleur dure, ma rude douleur, ma chose en roche, à travers le dessin de betes de gros poids qui sont des gros mots de hurlement de ra ge! je tra&ce ainsiu toute cette misère, cette chose dr’(iune sorte de bienfait fait à ma gouverne, un onguent (chrême de vie) comme un apprêt (une pommade) etc, qyui serait du bienfait sur une plzaie vive, ouverte et sanglante, car il s’agit pour moi de soulager cette douleur en moi de la joue (du je) percée, qui est cette douleur née de l(‘arrivée brusque de la langue en moi, langue pôintue, langue de parole drue, etc, qui a poussé en moi et a entaillé ma joue jusqu’à la percer de son pic acéreé, son pic de vibration, son pic de crevaison, etc, qui a transpercé ma chair et m’a fait du mal à en hurler ma peine à même la roche du temps alloué : je suis cet homme des cavernnes, percé de part en part par un pic de roche rude, qui est pic de vie dure de la roche du temps impaerti, je vais et je viens en roche en lévitation, je suis qui va hurlant sa misayre de vie rude, de type craevaison de roche, etc, et cela en tenant mon propre baton de vie qui va ainsi traçant sur roche des dessins de betes de gros poids, des betes sont là qui font ou forment une ronde, je suis un homme des cavernes de roche dure, ma vie est d’etre ainsi qui va sur la roche et dessin,ne,  je m’appelle ainsi que je suis ici,  je m’a ppelle ainsi que je dis ici sur pareille paroi de roche, je suis cet homme qui y va, de son pas tracé en cette roche dure aux betes dessinées, et ainsi faisant je m’initie, j’entre en roche comme en un lieu de culte, je suis celui qui va en roche comme dans un lieu de (très) hzaute portée et qui regarde ainsi les allées et  venues en ce lieu de betes de massse, je m(appelle nologips et je vais chemin faisant en c ette roche de paroi d’une grotte cachée (enfouie) dans les entrailles de terre-mère, je suis l’homme du tracé de vie pariétal, je vais en roche comme dans une église où crier ma peine de joue, ma douleur de chair vive, en vie, etc, où aller ? sinon : en pareille roche des temps (lieu de prédilection) qui est la roche qui me voit tracer des buffles, des aurochs, des chevaux en pagaille, des antilopes ou des bouquetiins, je vais en  cette roche car mon nom s’inscrit en elle comme un cri qui dit sa douleur de la jhoue percée, cette sorte de douleur dentaire, ceete misayre, etc, je syuis cet homme des cavernes qui va, inscrivant son nom de douleur dentzaire dans la chaior de la roche du temps imparti ou alloué à une vie entière sur terre = la vie de roche dure, etc, qui est vie de peine (car La Méchanceté gouverne) à en pleurer de rire ou bien à en rire de pleurer, ou comment, tant la peine est grosse ! la peine est incommensurable et vous porte comme une solive ! elle est cette peine de base, initiatrice, cettte fondatiopn, ce fondement de soi, cette base rude, qui porte, qui pousse, qui va vers roche, quui pousse )à pousser à son tour sa gueulante de tous les noms d’oiseaux etcx, il s’agit d’une langue (au complet) = un idiome de vie de roche = des mots-betes comme mots-animaux qui sont dses injures, des cris de douleur, un verbe outrancier qui est celui du cri de la douleur d’avoir de l’intérieur eu sa joue percée par La méchanceté en soi qui nous gouverne et cherche à se frayer dès lors un passage adéquat pour aller à se ficher sur la rochge du temps et de là envahir les horizons brumeux ou fangeux, je vois la roche devant moi, comme ce lieu de présen,tatation, de naissance, de diction, de déclaration de naissance, etc, ce lieu de la roche est le lieu des dépots de présents ou d’(offrandes = le temps, ce cri, cette chose hurlée par la bande et qui accompagne cette sorte (dure) d’envahissement douloureux (ou mégadouloureux )de soi par la bete en soi qui est cette bete-pic de roche qui perce et fait «parler» l’homme des cavernes que je suis, je suis l’hgomme des cavernes de la roche dure du temps impearti à une vie entière sur roche et à ce titre je desinne à main levée des betes de roche, qui sont betes de fort poids comme des injures grossières, des grossièretés proférées à la cantonade, haut et fort, puissamment et qui soient audibles,; etc, afin que la communauté des etres autour de moi ait tout loisir de pouvoir m’entendre profé&rer cet ensembvle d’insabbnités, de grossièretyés, de choses ghrasses, de gros mots, de vilebnies (?) etc, et ce pour pouvoir me libérer e,n moi de cette chose d’une sorte de douleurr liéec à une percée en moi dû en moi à quelque chose qui est une pique de vie vive, brusque, perçant d’un coup (bien placé) d’un seul la peau de ma hjoue, de ma bouche-joue, de ma joue (je) devenant bousche pour le coup, etc, car ma joue = ce je qui s’instaure via le prononcé de ce «je de vvie», il est ainsi que disant ma douleur brusquement eh bien je dise le je de la fable par la même, il est évident, il va sans dire qUe disant ma peine je dis je, disant ma peine je dis je, disant pour la première fois  ma peine je suis l’homme qui dès lors dit je et s’en va prononçant ses injhures d’une vie blessée, je suis un homme qui a eu sa joue perc ée un jour et ce de l’intérieur , par La Méchan,ceté en moi, Méchanceté b asique, initiale, etc, qui a poussé en moi et m’a transpercé comme une outre, pour ainsi me faire «gueuyler» ma misayre et ma douleur et ainsi faisant dire je , dire ce je de la fable du temps imparti, ce je de race au sens où ce jeu devient celui qui est ou se voit comme adoubé par soi-même = son  nom, son propre nom comme un nom de race, etc, il va sans dire que je suis cet homme de la voix grêle et qui va gueulant sa peine de roche, de pic intérieur, et ce fgaisant dit sur roche ce quil a à dire en fait dacceptation, de mainmise ou d’emprise etc, je suis un homme des cavernes et en moi exioste cette chose de  ce souvenir d’avior un jour «été transpercé de lm’intériuer par une sorte de pic de verbe , qui était un pic animùalier , qui a donc percé cette sorte de non-encore boucxhe en moi , qui tenait lieu de visage fin, non percé etc, et un jour la pousséec a été telle que je suis été cette chosex : transpercé par un pic en moi = des betes, en cohorte, comme une sorte de tressse, de chose tressée, qui était cette chose tressée animalière, ces aurochs pour ainsi dire en moi, ces «aurochs de Méchanceté» quyi ont percé , troué mahjoue et m’ont tant fait mal que me voilà qui me mit à hurler sa paine (son je de l’insu lte) à tout crin , et disant sa peine danns le cri je suis donc devenu cet etre de la paroi dure, dela grotte souterraine, etc, cet aurignacien dessinant des betes sur roc,, etc, cela 

est tres lié et s’impose ainsi à ma comprenure : je suis un homme des temps anvciens, je suis aurignacien, mon nom s’inscrit sur la roche du temps comme un qui est une sorte de cri suite à un méfait qui me sezrait advenu par la  bande et depuis l’intériuer de la bouche, ou de cela qui encore n’était pas bouche mais cavité sans clarté, etc, je suis unhomme-femme des cavernes du temps alloué, je syuis dans une grotte des tempds anciens, je monte en lévitation, je suis wcelui qui traçsce des figures de type animales à main levée sur une roche, et ce faisant hje vais de l(autre côté, j’entre en roche comme dans un moulin, je suis dans la roche du temps inséré et hurle (injures) mes présents de roche temporelle, mes dépoôts sur paroi dure, je dessine des aurochs , des rennes, des mammouthqs, des antilopesq, des chevaux, des chevreuilsq, des bouiquetins, et j’essaie cde comprtendre pour moi les raisons qui ont pu me pousser à aiinsi aller tracezr suyr roche ce méfait initial, premier en moi, cette percée en moi, cette remontée de bouclier, cet envahissement en moi comme un mal perforant plantaire ma is là il ne s’agit pas de la plante des pieds mais de cet endroit du visage qui est cet endroit de percée, de sortie de soi via des mots qui sont comme des injures que  je vzais à) proférer ainsi, à tout va, lancé, motivé comme personne   , enfin me voilà qui vais en cette roche hurler «ma gouverne» = cette chose en moi qui guide et trace, va et vient, est le chef de ran g, est chef de tribu, etc, je suiis cet homme qui va ainsi en roche chercher à soulager sa peine verbale (nouvellement) et cela par le biais des effigies animales accumulées, scandées comme avec  des mains ou des points, je vais de la sorte «disant» ma peine animalière et veut pouvoir me soulager de la sorte, je tente ainsi de comme m’amadouer ces betesq de roche qui sqortent et vontb  à   xse graver ou vopnt à  etre rep^résentées ainsi  sur pareille roche du temps, je desqsine à main levée ces betes de paroi et ce de la manière si possible la plus ressemblante possible car je veux dire la colère finement, que cesq mots-betes soient facilement identifiables comme autant de mots distincts ayant sens précis,; direction de pensée, etc, les mots-betes sont des :mots à) part entière, chacun est doté d’un sens «lisible» qui en fait des signes communs, partageables, commu n icables, etc, et cela avec pour origine la douleur liée à l’ouverturee de la joue par une sortye de scalpel animalier intérieur, un couperet, un trancxhant, qyi est venu per c er ma joue et m’al libéré de ce mutisme qui (auparavant) était le mien, là : je suis percé, ouvert, échancré, libérée, je dsuis hurlant, vociférant, gueulant ma peine ou ma misèere (misayre) et me voilà qui dessine des aurochs  qui sont les mots du mal sorti de bouche (de joue) , ce mal en soi qui règnait en moi sans pa rtage, car ici l’animal fait mal, wqui perce la hjoue (à plusieurs, emberlificotés) et me pousse à crier ma peine : «je ! je ! je ! je ! je ! je! je ! je !», comme autant de coups jetés du sort, je crie mon je de bure, de buffe, etc, qui est ce je de la douleur ... de la bete blessante, ou non , comment dire ? homme-femme des cavernes j’ai été percé de l’intériuer par toute une ribambelle (cohorte) de betes en moi, qui mont assaillie, qui mont bousculésq jusqu’à prendre ma propre gouveerne et me mener où bon leur semble, ces betes en moi sont le Mal de ba se, il s’agit en soi d’un mal récurrent, une peine (un mal) de tous les instants quine demande qu’à voir le jhour = percer, percer avec pique à vif de perçage animalier, je suis cette chose d’une sorte de percée qui va bon train en roche, qui pousse au cul et va se loger ou à se loger en cette paroi de la grotte cachée, enfouie cachée comme un secret, je m’appelle homme des cavernes et aussi femme des cavernes, je suis cet homme qui va en grotte se soulager car la douleur est telle qu’elle «mérite» pansement-onguenjt, chreme sur un corps nu ou dénudé, etc, je suis l’homme qui est celui qui se loge à même une roche de grotte, hje suis cet homme qui va en roche se loger et dessiner à main levée des tracés animaliers «de toute beauté « (art) pour faire accroire, pour la ressemblancve, pour l’impact, pour en imposer, figure-signifier, etc, je trace ainsi des figures quyi représentent, je suis l’homme-femme des cavernes quyi dit la cxhose animale / injure donnée, je suis cet hommùe-femme, ou cette hommùe-femme des temps reculés , qui donne-)injure sa douleur sur roche animalière, car sa vie du je est ainsi que son nom apparait sur roche et saigne ainsi, pousse à révéler, etc, sous emprise, sous le jhoug ou à la merci d(‘un «vent de folie» en xsoi, comme un vent quyi vient de soi (intérieur) pour aller s’engouffer en roche via un intertstice et là entrer en pareille paroi-mystère comme dans une église, un prieuré, un lieu de culte où se réfugier, je suis envahi en moi par des betes qui me  percent, me font dire je au fur et à mesure de ceettte percée, de cette avancvée dans le perçage, je suis celui qui dessine sur roche des noms de betes dits bbetes-mots qui signifient ce qu’ils représentent, betes de poids en moi qui sont gros -mots de forte poussée, etc, en moi, qui sont des g’ros mots initiaux, l»’enfance du verbe, cette chose primaire, première, qui est cettye chgose d’une poussée (langagière) dans ou à travers cette xdouleur d’un perçaghe de joue = de bouche, une plaie, une brûlure, une blessure, une grande douleur, vive, lanciinante, percforante, à hurler comme à la veillée, à gueuler comme un putois, comme on vous marcherait sur les pieds, etc, à gueulezr comme quand un ou une irait à vous marcher dessus, sur les orteils nus, etc, il s’agit un peu de cette chose et c’est ainsi que nous nous retrouvons comme à devoir hurler sa misère existentielle (ce mal initial, cette cxhose d’exp»érience) en cette roche, en paroi  cachée (obstruée du regard = du premier regard) qui sont, qui est ces dessins, ces tracés, cet animal dessiné, sont ou est cette chose d’une sorte de soulagement-pénitence, de soulagement en rocxhe via ici des mots-betes de grosse taille (les betes) qui sont comme autant d’injures-)pansements, dons de soi pour se soulager, sorties de soi pour une sorte de soulagemeznt-onguent précieux comme eau de pluie, comme rayon de soleil sur un fruit, comme ondée sur un visage, comme bord embrumé de mer cde roche, etc, je suis l’homme-femme des caverness de la roche du temps (ou dx’un temps) antédiluvien,; je vais et je viens en cette roche comme un homme qui est dans son rêve ou rêve dxe hjoie, cherc hant à qui mieux mieux une sortie, une porte de sortie pour une bienveillance à son égard : comment entreer ? comment sortir ? comment traverser ? où donc est le sas ? qui donc me co:mprend avec mes desqsins de beteqw ? compreznd t on à quel point ma main est guidé par la bande ? sait on ce qu’il en retourne ? qui peut comprtendre ce que est ici pour moi cet onguent, ce bienfait ? qui sait cette chose d’un soulagement ^par le don de soi / injhure de vie massive (massue) ? quyi pour me comprtezndre ? je pose des mots et je vois cette chose d’un soulagement par la bande rocheuse d’une sorte de douleur en soi tres lié-e à cette percée (gouverne) animalière en moi, en c ette zone en moi qui voit sortir de  moi (de soi) une pique de verbe dru, cru, qui pousse «au cul» ou comment ? car je suis cet homme qui y va de sa gueulante sur roche du temps et dit ainsi sa peine-misère de joie rude (ce je !) qui est cette joie -souffrrance d’acvoir à parler, sur roche, en termes diwstincts qui puissent «le faire» = signifier des mots : aurochs ici, renne là, antilopê à cet endroit,;, mammouth à cet autrte, et fais ant cela j’invente» un langage précis (le reconnnaiszable, la ressemblance avec le modèle), etc) qui est : le langage de vie de roche, de vie envahie de roche, je suis cet hopmme des cavernes (homme et femme) qui pousse ainsi (cette chosevpzariétale) en direction xd’une sorte de parole dite, ici, sous forme de tracé pierreux, je suis cet homme ici , qui dit son dire, pierreux, de parole drue, crue, qui sont paroles distinguables, comp)rtéhensibles en  cela qu»’elles sont tres liées à la ressemblancve fine avec l’animal gros qui leur sert de modèle (support) et ainsi faisant (=dessinant de groosses betews) je vais dans la profondeur de la roche comme pour me prosterner et conserver en moi ce pouvoir de pouvoir demeurer, de rewstezr viva nt une éternité, etc, je suyis cette personne qui va& là, dans les profondeurs de la roche, à la recherche d’une vérité, homme des cavernes qui est donc cette personne à la recherche d’une vérité de roche, dure et tr&acée (inscrite) de telle manière que la vérité puisse éclater ou éclatât sur le mooment = sur le fil, cette vérité dite «de bon aloi» , qui dit ou dise cette chose comme quoi la vie est cette chose-ci ou cette chose-là et la mort de même, je vois la lumière en fin fond de roche, je suis cet homme décharné et nu, aux cheveux longs, homme)-femme dess embruns de bord de mer, en roche du roc, pris dans la masse, pris en tenaille enttre deux parois (b ras de mer) qui sont celles de la mer qui s’ouvtre dev ant moi et me cxrée un passage (tracé) où pouvoir de ce fait aller de l’avant vers un apport de connaisqzances, je m’(avance, je suis dans laroche xdu temps, mon injure est mon présent de vie soit de vie vive = ce temps -injure proférée = douleurs de vie racée, de vie tracée-nommé»e (Nologips pour ma fortune ! ) et là, en pareille zone aux embrun,s, je pousse pl;us loin (nu, élancé, vu, etc) vers des lendemains qui sont cette luminezsvcence des bords de roche, ce lointain éclairé, ce soleil en roche, ce ciel en paroi,  cette trouée lointaine qu’est-elle ? je re garde la roche et je vois en elle comme une clarté qui m’intrigue et me retient : qu’elle est elle ? j-’ig nore cette chodses, mais j’aspire à comprezndre cette cxgose, à mieux la comprendre, à mieux cerner les tenan,tss et les aboutissants de  ce qui m’arrive en p)areille paroi de grotte, suis je un etre hybride ? syis je mi home mi betye ? mi ange mi démon ? le mal est il en moi ce soubassement xde l’etre ? cette chose mauvaise, cette malédicction en moi, cette mauvaise diction en moi ou commentn ? ce mal (cette douleur) en moi comme un mal perforant pl;antaire ou (ici) buccal ,; qui pousse, à sortir sa pique, à percer la chair (ulcérer) et me ficher dans un état de complète envahiswsement, de complet envahissement, qui fait de moi, cet envahissement, un ettrree rieur de folie, hurleur de sa peine ou commùent dire ? je suis si, que j’en pisse au lit ! je suis si, que j’en hurlerait  ! je suis si, q<ue j’en ris de la douleur d’ettre ! je suis ce «si» qui pisse ici sa vie de roche, qui va pissant sur roche son envie pressante ! je suis ici si envahi par en moi une douleur ou des (douleurs) que j’en ris de bbase sur roche ... ou coment ? injure à l’encontre ? pêrçage de hjoue pour un je de base ./? cri de ralliement ? je pisse ! je prie ! je pétarade ! je gueule mon en,vie pressa,nte ! je suis pris d’assaut ! je suis sous emprise ! je suis envahi ! je suis la bete en moi qui est ici ce morceau de choix / massue, qui pousse sur roche toute sa carcasse et dit l

‘injure-mot de la prairie, ce mot-massue injure à l’encontre ! je suisq l’homme desq cavernes aux élans , aux instincts, aux envies, aux poussées de rire vif, aux poussé&es vives de rire-douleur ! je vais en cette roche ou roche du temps pour dire cette sorte de douleur en moi, de me voir per cé par la cohorte en moi animalière, etc, je suiis celui là qui va sur roche et essaie de comprendre ce qui est e,$

n moi qyui pousse et me déchire et me fait mal et me fait du mal et est ce mal perforant en moi qui se retrouve comme pris d(assaut par en moi une ribambelle / tige animalière de perfvoration, il semblerait que cette chose en moi soit du verbe a nimalier, qui est  ce verbe qui pousse et perce la jhoue et forme bouche-langue précise, douloureuse ô combien, et dès l;ors le je appa rait qui dit sa douleur à rire ou pleurer, qui est celle-là de la perforation à vif, et moi de donner-déposer cette injure sur le pavé, sur roche, sur paroi de don, à moi cette chose d’un don soit d’un don de soi par la bande sur paroi de roche, et ce don (présent) est ce temps de vie (entière) qyui est mien (le temp)s) , mienne (la vie) odffert et offerte à cette entité de la roche, cette bete immonde, ce carnassier, cette sorte de salopêrie cde fond de rocxhe, cette puta sserie de merdeuse de rochge de fond, etc, ici une injure, un e groswsièreté (bison, aurochs, cheval , buffle) afin de faire accroire que cela est cette chose d’une vie en vrai (coeur-poumon) offerte sur roche or non : point encore de coeur-poumons mais cette injure animalière massue, comme un argumzent de choix censé faire ici reculer le mome,nt d’un trépas que l’on redoute méchamment et à tout bout de champ, j’hurle avec les betes, je suiis moi-même cette bezte en moi du fait que je la contiens, que je l’ai en moi qui pêrce ma hhjoue ou bien qui me  c    hevauche comme un cheval de cxourse, ou quoi ? je suis un etre de la rocxhe dure, je suis etre de roche, je suis etre de roche dure comme le temps, je suis etre de roche dure, je vais en roche sur paroi, je vais sur roche me donner  = donner de mon temps, d’etre qui avance et trace effigies au charbon de bois, je suis femme des cavernes, je suis fine, elancée, ra cée, beelle et trace deqs betes ressezmblantes-très car je les aime ainsi qui puissent refléter une vérité vraie, des champs et des prés, commùe on la connait ou comme on en cxonnait, etc, je suis l(‘homme et la femme des temps reculés , qui s’en vont en grotte (fin fond) graver des animaux qUYI  sont des mots grodssiers, des groossièretés de pens»ée-massue, qui puissent dire : «non !», ce non à la mort et ce nom donné, deposé comme celui qui correspond à une sorte de tribu humaine, un nom de «famille» = de tribu, qui est ce non-nom qui désigne ceztte volonté en vrai de rester en vie en ce bas-monde et ne point passer l’arme à gauche ainsi de suite en cette roche des embruns de bord de mer, je suis cet homme de la préhistoire, celyui là qui chezrche à co:mprendre qui je suisq en l’occurence et pour cela à présent il a des mots en bouchje == des betes (cohorte) qui per cent et trouent la roche devant lui, au fur et à mesure quy’il avance (ou que j’avance) dans la vie, il est (je suis) l’homme de cette avancée, matinale, etc, il es t (je suis) l’homme de cette a vancée,  rude (ruade) en roche (accès de colère) qui va (ainsi) son chemin matinal de vie à vivre encore, coute que coute, etc, je grave une antilope, mon nom est insccrit sur la roche , ce «non, je ne veux pas» qui est donc ce refus ba sique, ce non direct (gravé) qui dit son vouloir-vivre en même temps que sa douleur d’etre d’etre tran,spercé dans sa xchair par l’hôte (?) animalier ezn soi , ou qui d’autre ? les mots , ces mots que j’ai en moi, en bvouche, sont des mots  -anim aux à type d’injure (betes-massue) censé faire reculer le moment xdes méfaits, de la mort à l’oeuvre, de sa survenue dans le tempsq méchant etc;, je regarde ce dessin d’aurochs et «lis» le mot «aurochs» qui est le mot qui pour le coup dit «non !», qui dit (grossièrezté) à la mort-bouche d’(aller bien vouloir se faire voir, etc, il s’agit de  cette chose d’une sorte de compréhension-représentatation -persuasion et reculade à mettre en o euvre, je vois les dessins comme autant de mots betes, betes comme chous, qui sont des injures (d’où cette betise de faible teneur en termes de   morbidité, tout le contraire), etc, je vois ce mot soit ce mot-animal devant moi qui est cette sorte d’injure-massue comme argument de poigds pour dire son envie, de rewster en vie, etc, je suyis donc un homme ou cet homme qui tient à la vie du bout de son baton merdeux ou comment autrement ? je veux co:mprendre le plus que je peux, je veux pôursuivre l’aventure d’une vie de roche aux abords ambrés, etc, je veux tenir à cette vie de roche dure et m’y incruster à la vie à la mort , pour ne pas faillir, pour ne pas défaillir et  flancher, je veux poursyuivre ce chemin (aurignacien) de vie pariétale et voir venir les betes assagies tout autour de moi et mieux les comprtendre c’est à dire mieux comp^renxdre lers raisons qUI président ou ont présidés, à nottre folie de roche lumineuse, bure ou brute, cette zone des parois, qui est celle qui nousq offre un chazmp complet de découvezrtes à faire par la bande, en entrant fissa en elle, à la pointe de ce pic de bouche en nous, qU’ est notre (ou nos) douleur(s) mais notre saluut tout aussi bien, car les deux marchent de pair et sont indissoci ables : cette (ou ces ) douleur(s) de rage, et cette joie (ce je naissant) de pouvoir accéder à la roche du temps imparti, je vois en roche ce qui est ici , qui ressemble fortement à un aurochs ou à un ours des cavezrnes ou à un cheval, et cet animal que je vois se dessiner sous moi, sous mamain levée etc, cet animal sort de moi comme l’effusion en soi ou comment dire d’»une sorte de pensée en moi (dure) qui renvoie à la durée (dureté) d’une vie à vivre sur tezrre, je devine ceztte chose en moi, je dessine un aurochs, un lion des cvavernes et comp^rend cette cbhose, comme quoi je suis dans la roche comme dans le temps de vie ou de la vie, et que cela que je dépose ici (charbon de bois) est du présent offert à titre de gage ou commùent ? car je suis pris dans le filet que forme l’animal (les animùaux) en moi et ne peut m’en défaire aisz»ément, hélas ! je suis pris dans ce filet animalier en moi, je suis pris en moi par une sorte de filet animalier, en moi l’animal est présent, présence, temps de vie à aller déposer sur roche en lieu et place de ce b attement du coeur en mmoi, l’animal-massue à la place de mon coeur ou de mes poumons, cette bete qui en mmoi était (pourquoi cela ? parce que mangée ?) et qui à présent doit sortir de moi  , pourquoi ? parce qUE cette bete a grossi ! elle prend en moi trop de place , en moi qui suis cet etre fin quyi ne peut contenir beaucoup en termes d’a nimaux de poids du genre aurochs ou bvuffle, je me doiqs de m’en délivrer, je me dois de faiore cette cxhose de m’en délivrer par des effigies à tracezr sur roche ! je me dois de faire ici cette chose et ne pas agir autrement qu’en faisant cela et le plus ressemblant possible car la ressemblance eswt capitale ! la reewssemblance avec l’animal xdes champps, cette ressemblance conditionne grandement la chose, il s’agit ici de bien cezrner cela = les enjeux de cette rezssemblance, je syuis un homme des cavernes et la ressembklance pour moi a une importance considérable, car un mot porte un sens, il signifie, il montre, et xdit aussi l’imposante massue que représente cette injure animalière, je cherche, j’essaie d’aller loin dan,s cette sorte de comp^réhensio,n cdes éléments ici en prése nce, comment faire ? je suisq l’homme qiu se doit (en tant que tel) d’aller l:oin dans cette recherche animùalière sur roche, des tenants et des aboutissants cd’une vie sur tezrre (en tant que douleurs, souffrances, joie et gaieté, joie-souffrance, gaiteé-douleur) qui font cette chose en fin de course qui est (ccette chose) ce dessin, appliqué dans la ressemblance, reéitéré comme scansions répétés à dessein, comme mains surnuméraires sur roche, ainsi xde suite : le ver est dans la pomme et cherche à en sortir, en soi est le mal (La Méchanceté je dirais) qui est cette chose quyi nous ronge et finit par percer la hjoue de notre etre-chair, je traverse la paroi et dessine sur roche toute une collection de  chevausx à belles crinières dans le vent, je dessinne des aurochs ou aurochs de tribu, des antilopes de prairie, des bisons musqués, des ours de  c avernes, des lions de cavernes, des mammoutrhs, et tout cela = gros mots à qui mieux mieux et à la queue leu leu, mots-betes de la roche dure, mots qui sont xdes mots-injures, des betes-massue qui foutent à mal, qui pôussent, qui en imposent, et font croire ou accrooire des choses à dieeu de bouc he grande ouverte ou à) quelqU’autre divinité de la rochje = La Mort, Madame/Sieur la mort, ou Sieur (Sieur en premier ?) /Madame La mort, car lma mort ici nous rezgarde,, nous voit aller et déambuler en roche comme des chevreuils, que nous sommes (aussi) par la bande, je suis en cette roche celui là que je vois qe je suis en tant qu’etree dessinant à main levé&e des betes qui en i:mposent par leur majesté, leur taille, leur ressemblance, leurs nombre, leurs viva cité ou comment dire : leur aspect de vif à la lumiè!re des torches de grotte, je dessine à main lezvée des betes de poids imposant , ces betes sont des gros mots, des injures salaces, des injures ghraves, gravissimes, qui font du tort, qui blessent etc, qui sont des masses ^-massues, des masses sur un etre qui les recevrait en pleine bouille et ws’en trouverait affecté passablemeznt et duravblement, surtout duravblement, car voilà à qyuoi nous aspirons, à conserv er cet élan de vie en nous qyi est le nôtre, nous voulopns tenir debvout en roche et poursuivre ici notre chemin de vie (chemin pa riétal) de  cette sorte qUe nous faisons depuis le commencement, etc, nous ne voulonbs pas faiblir, nous voulons tenir et aller profond dans la rochre à ladécouvcezrte du pot aux roses, ce qui est en  nous qui dezmeure à jamais, cela : qu’est-ce ? nous sommes des hommes des cavernes quyi allonbs en roche pour com^pren,dre le plus possible de toute cette affaire de dessins  de betes à titre de «vérités-injures-massue», nous (je) sommes (suis) de cette treempe qyui cherchons (cherche) etc, je vais dans la roche dutemps, je suis entouré de betes qsui pa issent paisibvlement, je regarde les embruns, le fond de laroche, les fluorescences, je suis un homme des cvavernes armé de son bâ ton traceur censé figurer des mots-betes comme autant de termes de type animalier qui forment lan,gaghe complet , je dessine ces betes à main levée, en lévitation, porté par un corps en moi de type cohorte animalière, un nuage vrombissant( ?) en moi qui arrive à me soulever de tezrre et me porter sur cette roche du temps et me faire «dire» les mots injurieux qui «disent» le plus de vie vive possible (teneur) afin d’en imposer le plusq possqible, d’en jeter le plus possible en termes de «je», de je groossier, fortement prononcé, de ce je de roche alloouée = cette inhjure, faite à la mort ou comment sinon faite : dite ? ou commen,t ? nous  = je + je ici, ici je dis cette chose de moi comme quoi je est cette chose qui va de l’avant sur rocxhe, et trace à l’avenant son iinjure dite «merdouilleuse» ou comment ? le mot qui porrte enlui le plyus en termes de vitalité = l’injure , le mot grossierr, l’insanité proféreé à vive et nhaute voix, etc, ce mot vif est le mots le plus vif , est le mot qui en impose le plus illico presto , est le mot-injure quyi ressemble le plus à cet aurocxhs ou à ce cheval dessinés à main levée, il qs»’agit ici de ce mot-douleur de roche et qyui dit sa douleur (grosse, grossière) et ce disant rezpousse Boucxhe de la moM%ort, qui croit en un préseznt de vie (de vraie vie) offerte qUA nd il n’en est rien mais au contraire : un temps est donné par la ban,de, une sorte de pis-aller de contrebande, une «merdouille» de durée vive, offerte, donn,ée en écha,nge, qui dit cette chose d’une rezculade mais avec des mots qui en jettent beaucoup, comme le mot «a urochs», ou le mot «mammouth», etc, je suis un homme deqs cvavernes, qui pousse ain si sur roche ou repousse cette chose d’une wsorte de conclusion à une sorte de débat qui ne cesserait d’exister mais quye donc l’homme des cavernes que je suis essaie continuellezmen,t de repousser repousser aux cale,ndes grecques, je fais ainsi cdtte chose d’une recvulade, d’un repoussement, comment dire ? je pousse devant moi cette injure du temps alloué, ce morceau de choix, cette pièce anima le impôsante, je pousse le tout et me tient «derrière», comme qui dirait l’etre sans plus de voix que celle -là et qui va vers sa vie ou son chemin de vie tracée entre deux bras de mers, je vais sur roche (en roche) à la recherche d’une vérité ou vérité de bon aloi, quyi puisse dire (enfin) ce qui est de ce qui nous attend mais cela, avec quels mots pouvoir le dire ? iln’y a pas de mots qui aillent à ce dire ! les mots font défaut qui ne disent rien de ce qui est de cette vérité tant rezcherché , les mots de la base (ces injures) disent ce qui est, et ce qui est est que voilà, nbous allons eztre toutes et tous comme pris )à partie par bouche de la Mort, et nous ne voulonbs pas cette chose, je sais Bouche comme étant cet etre musical , qyui nous regharde ici comme par en dessous ou par en dessus ou autrement mais toujours afin de ne pas nous mânquer, je vois cette chose dezvant moi qui est l’espace-temps d’un e sorte de vérité de bon aloi concernant la vie sur terre, et cette  chose je la veux quyi puisse se voir, c’est à dire etre vue, sur roche, comme s’il s(‘agisszait ou qu’il se fut agi d’une vraie bete de prairie, chargeant sa gouverne et allant fissa wse loger sur roche comme dans un fief, je vois en cette bete (dessinéecx par moi) cet accent de vérité, cette insulte «intimidante» (= le temps) et cette bvérité de bon aloi concernan,t le BVerbe déclamé, cette injure, ce mot «fort» comme un alccool fort etc, je wsuis un homme des cavbernes et aussi je suis une femme des cvavezrnes et aussi je suis un enfant des cavernes et aussi je suis ou serais un animal des cavernes, je vais et je viens dans les champsq de la paroi du temps, mon nom est marqué-dessiné par une sorte d’effigie, mon nom est  ce nom-injure qui pousse à) faire reculer, qyi pousse Mort-Bouche plus loin , un peu plus loin, à peine peut-être, je vois l’entreée de cvette bouche ouverte, cette chose ouverte = cette béan,ce, je vois cette chosqe cd’un e sorte de béance -échancrure devant moi et j’hésite à m’y introduyire, car je veux ne pas, je n,e veux surtout pas ici m^$eme e,ntrer et mourir en pareille bouche , non ! car : je suis cet homme et cette femme et cet animal qui cher che à tenir en cette chose de la vie sur tezrre, hje vois ceette roche du temps eevant moi qui est, de fait, ce présent qui m’est offert ... ou ce prése nt que j’offre moi ? là est la question !

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9/04/2021

l’homme des cavernes est cet homme vide de mots, l’homme des cavernes est un homme vide de mots, ou bien non ? l’homme des cavernes est peut -être un homme vide de mots ou comment ? on a du mal à croire à un homme des cavernes qui serait vide de mots, on a du mal à croire à un qui serait (l’homme des cavernes) vide (complètement) dfe mots comme l’animal, mais l’animal est il vide de mots ? on voit l’animal, on l’imagine vide de mots, on sait l’animal, on sait peut-être l’animal vide de mots, on voit et on sait l’animal peut-etre) vide de mots, on est sur la rive, on aavance, on est sur cette chose d’un enfdroit ouvert, on est sur cette chose d’un endroit ouvert, on est sur cette chose d’un endroit ouvert, on est seuls sur cette chose d’un endrioit ouvert, je vais en cet endroit d’une sorte d’échancrure dans le paysage, je sui s sur ce monticule, mon nom est malotru , malibou ? manitou ? mon nom est Personne, je suis lae maitre de céans de la zone aux embruns, je suis le méga cerf de la prairie des roches, je suis celui qui règne ici, entre deux mers, entre pareilles mers qui sont mes côtés, il s’agit pour moi d’aller et de venir en cet espzace de vie pariétale, j’évolue parmi des bêtes soeurs qui sont soeurs de roche, antilopes, bouquetines, auroches, etc, ce sont  des betes-soeurs de roche , qui sont là à me regarder, elles sont placides et se tiennen,t quiètes, je les aime d’amour et les regzarde à mon tour aller et venir, je suis le mégacerf de la roche, j’habite en cette roche de paroi pour une étérnit»é de temps allouée, je suis cerf de roche de paroi de grotte, je réègne en  ce lieu comme un manitou, malotru ? malibou  ? ou comment ? car je suis géant, de taille et d’importance : je règne sur la place d’un entre-deux-mers rocheuses, sur pareil sol jonché de coqillages, je suis le mégacerf de la roche et je vais et je vioens ainsi sur roche du temps, je regarde les embruns et les coquillages, je m»’avance vers les coqiuillages ,; j’entends leurv musique, leur sonorité, les chant des profondeurs, le chant lascif etc, je suis ce cerf de roche dure, ce cerf ;méga qui zab$avance à pas majestueux et à pas posés sur pareil sol cde roche aux coquillages, je suis celui qui est : dessiné , représen,té , gravé par un homme, je suis ce cerf de la roche ici représenté par un homme et cet homme est l’homme des cavernes, il est cet hommev fou des cavernes de la roche ici, qui est l’homme de cettte chose, d’une transe, d’un envoutement : il est l’homme envoutévpar excelle,nce, homme privé de mots ou tout comme, envahi en lui par quelque chose d’autre que des mots , voilà le pot aux roses ! l’homme des cavbernes (on le sait) est envahi en lui par autre chose que des mots, il possède en lui autre chose qui l’occupe, qui le remplit, qui est ce qyu’il est ou comment ?  l’homme des cavernes est plein en lui de cquelque chose d’auttre que de mots, et ce quelque chose a ici (pour nous chevreuils de représentzation) une  importance considérable, une importance majeure, cela est capital, cela a une imlportance de premier plab

n, vcela a pour nous (chevreuils en représentation) une ilmportance incommensurable car : l’homme des cavernes est cet homme qui est celui qui est envahi par en lui une chose énorme, considérable, de très gros poids dans la balance, une chose magique, énorme comme aurochs et même davantage, l’homme des cavernes possède , est détenteur, a par deverslui, a en son sein, a en lui, en son anttre (cerveau ? coeur ?) une chose considérablement importante à nos yeux de cerfs de la roche (du temps imparti) et cette chose n’est pas faite de mots ou d’un ou d’idiomes au pluriel, cette chose n’est en aucune manière faite de un idiome , ou d’idiomes au pluriel, cette chose est une chose autre, qui reste à cerner avec nottre intelligence sans mots , de cerfs, d’animal de roche (de praireie) , il s’agit en l’homme d’une chose de gouvernance, une pointe fine en lui, une sorte de cohorte ou de litanie mais qui n’est pasfaite de mots à proprement parler, notre homme des cavernes a en lui autre chose que des mots de roche, il est pris à partie en lui par une chose paerticulière qui est  cette chose comme quoi il est l’homme qui contient en lui une gouvernancecanimalière (animale ?) qui le pousse à aller sur roche graver ses betes de temps, ses betes fortes, ces massues etc, il est l’homme de roche ou de la roche dure des temps alloués et en lui possède autre chose que des mots de roche, ou des mots de rocher, il est zenvahi en lui pzar des mots qui sont des mots-animaux qui ne sont pas des mots à proprement parler au sens où nous (ghommes modernes) entendons la chose, ou nous , chevreuils de la roche, entendons la cghose : l’homme desc  acavernes a en lui toute une cohorte de betes accummu kées ou agglutinées qui sont un magma, une bouillie (?) , une sorte de boule vive, ou une pique, une la,n,ce, un baton de bois, etc, en lui, en son antre d’homme envahi, il est porteur de cette gouverne en lui qui n’a pas de mots à proprement parler mais autre chose prenant place, et cettte autre chose est à comprendre, à trouver, déceler, car ici est le mystère (entre autres mystères) de cet homme des cavernes, cette chose en lui qui le gouverne, le fait aller, le fait dessiner, le fait prendre ces batons de bois et au fusain dessiner des aurochs, des rennes, des ours, des chevaux, des lions, des bisons, des mammouths et c, il est  cet homme pour nous du mystère de l’idiome natif, il est pour nous chercheurs et pour nous chevreuils de roche, cet homme qui reste un mystère de l’idiome ou comment dire cette chose d’un mystère lié à la naissance de l’idiome, du langage articulé ? que dit l’homme à ses dfébuts ? comment s’exprime t il ? qi est il ? comment parle t il ? et s’il parle comment est son langage ? fait de quoi ? de verbe ? de quoi en vérité ? car l’homme des cavernes (on le voit) a gouvernance, a en lui cette gouvernance qui le pousse à aller loin en roche graver, dessiner des buffles, des aurochs-mots, etc, il a en lui une sorte de sabir vocal ? a til en lui une sorte de sabir vocal ? qui est il en définitive ? nous ignorons ce qui en sa tete passait ? des intentions nommées ? des mots en toutes lettres ? des bruyits ? des semblants de mots ? des semblances ? des ressemblances ? la solution en effet (peut-être) est à recherchezr dans cette ressemblance magique retrouvée en des représentations rupestres, en effet il se peut que la ou l’une des solutions à notre énigme soit comme contenue en cette ressemblance attitrée ou comment dire, retrouvée, vue, cernée en ces représentations animalières, il se peut en effet que ce soit là, dans la ressemblance d’une représentation avec son modèle dans la vie, que là, en cette ressemblance mimétique ou comment dire, résidât la chose, se logât la chose qui nous importe, il se peut que l’homme des cavernes ait eu en lui une sorte de gouvernance à pa rt lui qui le fît dessiner ressemblant comme jamais ! et cela poour quoi ? pour dire ! pour signifier ! pour dire des choses en particulier , et ces choses = choses de gouverne, etc, il se peut que l’homme des cavernes ait eu en lui une sorte de gouvernance animale, hors les mots grammaticaux et autre verbe de base, etc, hors les mots, une sorte de grognement animal fait de cette chose d’un désir de semblance et de resseemblance, il est possible qiue cet homme des cavernes en lui ait eu ce besoin cette ecxigence, cette chose dure et formée en lui, ce massif,  ce massif ordurier, cette volonté d’en découdre animalière, etc, on ne sait ce que l’homme des cavernes avait en llui en termes de gouverne ou de gouvernance, et cependant en lui transitait ‘(cérébralement) quelque chose de construit, et ce quelque chose à notre avis avait à voir avec la ressembkance mimétique, la semblance paréiétale animalière, etc, il fait sur roche  «ce qu»il dit» à sa façon toute rupestre, toute primitive, etc, il fait pariétalement office, il initie, il transite, il mue, il évolue dans son abpproche d’un llangage de tribu, il est sur le chemin d’un mimétisme considérable et ce faisant il prie, il dit son dire fou de roche dure, il est l’homme qui transpire son envie d’un dire collé, accroché à la roche du temps et ce faisant il est l’homme des embruns, des fonfs de roche, du dur de la roche dure etc, il grave à l’envi, il n’en démord pas, il fait cette chose d’un dessin de roche à comprendre et à «lire» cvomme une partition verbale ou ce genre de choses pariétales, il est l’homme qui dit sa chose avec desmots-betes de roche, dessins de bisons ou de rennes, de chevaux en veux tu en voilà et autrees aurocs, et tout cela est pour lui une sorte de gouvernance hors les mots articulés, il est l’homme de la roche des temps alloués, il est cet homme qui est là pour lui l’homme gouverné par la bande à sa façon, on dirait cela, il semble être cet homme de la roche dure des temps, qui est comme gouverné par la bande en lui , bande d’animaux de prairies, de bois et sous-bois, qui en lui forment uune masse massue, une pesanteur, une boule de feu, etc, propre à aller sur roche se représenter seule pour ainsi dire, il s’agit un peu de ça, il fzaut voir cela comme kla conséquence d’une emprise cérébrale infinie, en cet home fou, pris à partie, envahi, englouti pour ainsi dire , l’homme des cavbernes possède donc en son sein gouvernance hors les mots articulés tesls que nous les connaissons, il est envahi par en lui une sorte d’impulsion massive (forte-folle) qui pousse cet homme à agir «de vie», et cette impulsion massue est celle là que nous voyons à l’ euvre chez des animaux cvomme par exemple l’aurochs, il semble donc que nous ayons affaire à un homme de taille, qui sait se tenir droit, qui a en lui gouvernance particulière qui le pousse à agir à bon escient et à par conséquent tracer des «vocables» sur roche de type art pariétal etc, on voit l’homme des cavernes ainsi, comme celui qui est gouverné en lui par des impuls, par quoi ? par des impulsions de vie, par des diktats de vie en lui, des désirs de vie , etc, qui le font aller et venir, déambuler dans la prairie, etc, il n’est pas cet homme du ressassement langazgier, de la mainmise langagière en lui , ou du moins pas au point qui est le nôtre, pas à ce niveau de ressasaement qui est zaujourdhui le notre, non, l’homme des cavernes est l’etre envahi comme nous le sommes mais par autre chose que ces mots que nous avons en bouche et dans le crane ou ailleurs,  sait -on ? on pense (nous) que l’homme des cavernes possède en son sein coutumier des choses en lui qui ne sont pas des mots comme les nottres, c’est à dire mots de ressassements, mais par des sortes de vocables (peut-etre) animaux (?) , animaliers (?) , qui le pousse à agir par la bande , cela signifie que cet homme sait, comprend, agit, reflechgit aussi autrtement que nous, il ne se pose pas comme nouys, il ne s’appuie pas comme nous sur des mots de base, il n’a pas comme nous en bvouche des notions verbales avérées, il dit peu car son dire est fou, il dit ce que l’etre en lui de la roche dit pour lui et ce dire est cri de bete au sens où il s’agit d’une sorte de semblance avec la bete, de grande semblance etc, de tres tres tres grande sembvklance etc, il semblerait que cet homme des cavernes savait loin et voyait loin, il semblerait que cet homme des cavernes avait en lui des choses à faire remonter sur roche, et ces choses sont sabir à safaçon, sont choses de grande et belle importance, il est l’homme des roches du temps, de la paroi dure, des cvailloux des grottes, des bords de mer, des effluves, du vent dans les branchhes, de la vue longue, etc, il manie la sa gaie à la chasse, il sait naviguer, il est aisé, il est vif l’éclair, il est rusé et cela hors les mots de tete tels que nous en sommes munis, hors ces mots de la tete brute, il est l’homme hors ce genre de mots et par conséquent autre chose existe hors ces mots que nous connaissons : il y a en nous (encore ?) quelque chose qui existe sous» les mots, ou «hors» les mots, etc , en nous est encore, exisqte, vraisembklalement une chose qui était cela qui gouvernzait en lui l’homme des cavernes et cette chose est enfoiue sous une couche de verbe crasseuse, non, ou peut-être, ou comment, car cette chose a peut être encore cours, ou comment dire ? il est juste de chercher en cette chose, il serait peut être juste de chercher en cette chose, d’une sorte de guidance en nous hors les motsarticulés, mais où , et comment ? car nous ignorons ce que cette chose déjà était chez l’homme des cavernes, qu’était cette chose ? quoi était cette chose ? nous ne savons pas ce qui gouvernait en lui qui cependant était gouverné, alors comment en avancer ? il faut comprendre que cet homme des cavernes a en lui une musicalité inhérente à la nature hulmaine temporelle, car qui dit le temps dit le mouvement (moment) qui se déploie et ce déploiement est musical dans la mresure où il se joue sur des paramètres vocaux de base, il est mouvement qui emprunte des voies vocales (physiques) en particulier qui le font cheminer comme une effluve, comme nuage, comme un ruban laché dans le vent : contorsions etc, qui font de cette chose de vie une sorte de forme de vie musicale, etc, on a cet homme «musical» par excekllence et là -on sait que cette donnée (de la musique des sph»ères du temps) est donnée de vbase, est basique ou native, on a la musique qui guide, qui est la vague pour ainsi dire, et cette musique de l’homme (inhérente au temps de l’homme) est porteuse, elle tient les données pour elle, elle est cette vague de l’homme en lui qui porte et va aider à gouverne, il semble que l’homme, cet hommùe, ait eu en lui une sorte de vague temporo-musicale qui lui faisait prendre des chemins de vie da ns la vie (courants de pensée)) qui le guidaient vers tel ouu tel point de mire, l’homme des cavernes porrte gouvernance musicale en lui = déploiement du temps en ruban de vie, sur son devant, dans la roche du temps, etc, il avance a insi comme mû en lui par une sorte de donnée temporo-musicale qui est comme base en lui sur quoi s’appuyer (base de sustentatation pour ainsi dire) , il avance ainsi gouverné en lui par autre chose que des mots de la tribu, car ses mots à lui sont soit rudimentaires, soit inexista,nt à ce stade de l’évolution, l’homme des cavernes n’est pas en train d»de se dire des choses», car il peut encore «se dire des choses» et cependant il «se dit des choses» alors comment comprendre ? «il se dit des choses « oui , au sens où ikl prend des décisions, et peut on prendre des décisions sans mots ? c’est à dire comme un animal quand on est un homme , peut on ? il semblerait que gouvernance en l’homme des cavernes fut cette chose d’une sorte d’empiètement en lui d’un décisif animalier, d’un désicif brusque, direct, sans arrière boutique ou pensée ou train, ce brut de la chose brute, musicale en diable, qui donc faisait sa gouvernance, était-ce ainsi ? on pense à un homme qui en lui n’a pas ce lan,gage continu et contenu tel que nous l’avons en nous aujourd hui, satête est fraiche de mots, il est vide un peu ? est-il vide un peu ? est-il cet homme vide un peu des mots de latribu ? est il vide de mots ou pas ? l’animal est-il vide de mots? très certainement ! et l(homme des cavernes comme l’animal ? peut etre pas, car l’homme des cavernes dessine sur roche, ce que l’animal ne fait pas, autant qu’on sache , et donc l’homme des cavernes est auttre, il est ailleurs et son discours intérieur existe, tres sûrement, son discours intérieur est un discours fou, quyi va son chemin de bure comme sur un e sorte de vague de musique fine, il est l’homme qui se laisse ainsi enrubanné temporellmement par en lui des impulsions (impuls) qui le font saillir, graver, chasser, courir, armer, tuer, manger, coucher, dormir, etc, il est l’hommùe de l’arc tendu en lui comme une sorte de moment-mouvement de grande durée (le temps de la roche) et c’est ainsi que là nous parlerons d’un homme tendu, d’un homme de l’arc, d’un homme des chants tendus, etc, il est cet homme du chant en lui tendu comme un arc, et ce chant jamais ne débande , qui le tient debout à agir et faire x choses de son quotidien (comme un homme xd’aujourd hui, mais comme un homme qui serait privé de parole, ou comment dire ? ), l’holme des ca vernes est lm’homme du chant tendu, il est porteur en  lui d’un ruba n de vie tracée sur roche, il avance au ca spar cas, il est l’homme du voyage, du sang , des effluves, du vrai de roche, de cette tension, du virevolt etc sur parooi de grotte, son nom est inscrit de cette sorte que nous voyons : nom de la chose du temps, il dit comme il pense = mots-betes ou mots de betes, l’homme des  cavernes est cet homme que nous ignorons, dont nous ignorons tout ou presque, car : nous ne savons pas (vraiment) ce quil contenait en son sein brutal d’homme des chazmps, que contenait il de si bhrutal ? que (quoi) l’homme de le caverne a ? en son sein , en son sein qui est cette chose en lui d’une sorte d’antre, de ventrte, etc, il se peut que cet homme fut pour nous l’hoimme du sein, il se peut que cet homme soit pour nous l’hoimme du sein, de l’antre, du ventre, etc, sa chance, son avancement dans la przairie, sa course sur chazmps, son savoir de chasseur émérite, sa vista, son adresse , tou cela sans motsq ? nous peinons à croire cette chose ! alors comment ? avec en lui gouvernance -miiusicale des sphères ? avec ezn lui gouvernance musicale des embruns ? des rives ? des borsds eéchancreés ? quoi ? l’homme ici a en lui (discours) une sorte d’injonction brute, brutale, qui le pousse à faire, et cette injonction n’est pas à proprement parler verbale, alors quelle est-elle ? on cherche, on est chercheurs en préhistoire, on cherche assidument, on ne lache pâs la chose, on cherche f olloement, on est tout à notre affaire de recherche de vérités, nous sommes tout à notre affgaire et nous voulons savoir ce quil en est de toute cette affgaire d’homme des cavernes gouverné, car chacun pour soi a gouvernance, chacun a en soi son langage discursif de gouvernance , et l’hommùe des cavernes alors ? zaussi ? mais lequel ? ruban ? c’est à dire ? eh bien peut etre est il l’homme qui sait ce qyui est du fait qu’en lui transite des ezffluves musicales opportunes, il est l’homme qui est traversé en sa conscience par non pas des mots formés en toutes lettres mais par des visions actives = moments-mouvements qui sont déploiements particuliers (particuliers = musicaux) qui font que le voilà qui sait chasser, graver, aller, mesurer, monter sur échasse ou frapper paroi (scansion) comme un demeuré, il est donc homme qui sait, et ce savoir en lui est non pas «lettré» mais imagé comme un idéogramme ou comment alors ? l’homme desz cavernes est l’homme  de la voie d’accès, il est en lui dépossédé et en même temps il est en lui envahi, et ce jeu de piste en lui («à toi à moi») est capital : il est (homme) envahi possédé, vidé» dépossédeé, il est cette sorte de epersonnhe (créature) à double visage : celui de l’homme le chasseur, celui de la bete le chassé, etc, il est l’homme qui va à la chasse et se loge en roche pareillemeznt, double comme une outre, il est l’homme qui perce la rocxhe de son pic de verbe animalier, de cette chose agglutinée quyi est une sorte de lance à crever lza roche, à percer cette chose de paroi de grotte, il a en lui une sorte de conscience aigue (enrubannée) des choses du monde, il est vif l’éclair le spartiate, fait de choses en lui amoncé»elées comme des images qui sesupezrposent sur un même écran de contrôle, l’homme des cavernes aime la paroi comme roche d’un temps imparti (la vie) et se complait à dessiner sur elle des betes de roche, des bouquetins, des isards, etc, des betes des prés, des cerfs et autres cervidés, il aime dessiner sur paroi ce qui en lui préside aux destinées de sa vie au quotidien,, ni plus ni moins, il dessine sur roche ce que sa gouverne contient en fait de «mots-betes» de la bande , il dessine à main levée des betes de roche, des prés, des sous-bois, etc, il dit cette chose sur la roche dure d’une sorte de pensée de gouvernance qui l’occuperait, serait en lui cette chose en pointe, pique de la pique en lui, de pareille pique en lui, il dit cxe qui lui passe par l’esprit et cela n’est pas du vcerbe à proprement dire mais quoi ? une sorte d’injonction brutale, animale, dure, coriace, vive, envahissante, une sorte de «pensée « des profondeurs, un «idéogramme» ? une pesée ? une chanson ? un chant guttural ? une rengaine ? une scie ? une mélopée ? unec musique des embruns ? en lui une musique en termes de consqcience ? il sembkerait que l’homme des cavernes possédait des choses en lui (en conscience) diiférentes de nos mots à nous d’hommes -faons modernes, et ces choses étai-ent envahissantes suffisamment pour donner impuslsion, ces chosesz relevaient d’un savoir fou, fou en tant que xchose débridée, chose sans frein, etc, il semblerait que cet homme avait en lui des sortes de données vives (vivaces) brutes,(brutales) , qui étaient des sortes de «pensées» sans mots, des «pênseés» hors les mots de la base verbale, alors comment ? comment penser hors des mots ? toute la question est là , se loge là ! toute la question se loge à cet endroit ! comment penser hors les mots de la base verbale d’appoint , ou d’emprunt, cvomment faire ? il semblaerait que notre bonhomme savait cette chose, il savait faire, il avait ce savoir i-ncommensurable, il était d’un niveau élevé, il pouvait aller très loin , porté par la bande enrubannée d’un en lui impact, d’un impact en lui, de cette impulsion en lui, cette chose, qui pouvait agir pour lui, il avait en lui cette chose de gouvernance musicale, cette remontée vive  cérébrale, cet enfoncemeznt des parties, cette chose rude, ce savoir de fou, cette remontade, etc, il est l’homme qui en lui accueille une sorte de remontade des pârties dures, de roche aux embruns, de paroi de grotte, de telle paroi, etc, il accueille en lui cette remontée (cette enguelade pour ainsi dire) qui le pousse à faire telle ou telle chose au quotidien et du quotidien, il est l’homme qui recoit ce «verbe» dur de la roche du temps, ce coup du sort, cette brute épaisse d’une roche des temps impartis, etc, il reçoit des coups (du sort) sous forme d’impacts de vie rude et de remontades, etc, il est aoinsi tourneboulé de cette façon que lui ne sait plus où donner de la tete : sur roche ? impact ? sur paroi de grotte au charbon de bois ? il grave et dessine comme un chef de ra ng, il est le meiulleur de la roche, le plkus qui sait, car sa voix est belle qui chante son sang de reflux , qui chante sa mélopée sur paroi qui vient à s’inscruster ici comme une mélopée des profondeurs de telle ou telle roche des temps, il dessine et grave des betes, il est gouverné en lui par un quelque chose qui est une sorte dec mélopée venu des profondeurs de son antrte, et lui de se laisser guider ainsi, de se laisser faire et monter, il est eznvahi comme une terree l’est par une crue, il est submergé comme un champs sous des averses diluviennes, etc, son chant sort de terre, il est l’homme du chant de la terre mouillée, il est celyui qui marque ses emprezintes , chasse et copule, il est l’homme des saisons du temps rocheux, il p»arle» à sa manière dure , sur la roche, sur paroi, en gravant dse betes, des aureochs de champsq, etc, il donne ain,si à qui mieux mieux de son quant-à-lui pariétal, comment le comprendre ? l’homme des cavernes a en lui une gouverne, cela est une évidence, comme un animal a une gouverne mais pas seulement, car l’animal (lui) ne dessine pas sur des parois de grotte cachée, il n’a pas cet art du faire la bete sur roche, il n’est pas ce dessin,ateur de roche des temps, il ne grave rien sinon ses empreintes dans le sable etc, or ici l’homme grave autre chose que pareilles empreintes, il grave des images, il sq’agit donc d’un homme de l’image, de ce qui est vu et montré sans dires, ou alors  : de ce qui est vu et montré sans un dire «obligé», ou comment le dire ? l’homme des cavernes a une gouvernance de conscience différznte  que chez l’animal, il a cette gouvernance pour lui, et cette gouvernance est motivée par des sortes d’impulsions natives en lui qui «parlent» pour lui, et ces impulsions sont esse,tiellement musicales étrangement, c’est à dire que sa consqcience n’est pas une litanie de mots accumulées comme par la bande mais une sorte de chant cde roche, une sorte de bruit de fond pariétal, une mélopée du fond des â ges au sens où cette mélopée le suit depuis l’enfance, il est envahi par en lui un chant musical, pariétal, envahissa nt comme une flamme, etc, qui le pousse à être ce qu’»il;est sur roche = ce graveur de betes ressemblantes, il est envahi en lui par un chant, une musique, un son de base crucial, etc, et cette mùusique est celle qui le guide au quotidien, colment ? en tant qu’elle s’inscrit dans le temps des mouvements comme des déploiements, il suit sa pente, l’homme des cavernes suit sa pente musicale en lui, il est armé en lui d’un son de base qui est une portée de choses et autres, choses et autreezs que cet homme des cavernes doit comprendre , cerner, et suivre «à la lettre» ou tout comme, car ce chant en lui («chant de la conscience brute») est le chant porteur, le chant d’un portage moteur, etc, il  faut comprendre ici que notre homme des cavernes n’est pas outillé comme nous autres hommes des tmps modernes par une sorte de langage articulé qui lui donnerait du fil à penser, etc, non,; l’hommùe des cavernes est outillé en lui d’un chant, c’est à dire d’une musique vocale, d’une voix en lui qui ne parle pas mais murmure une sorte de mélopée qui est un fond de roche dure, une sorte de belle mélopée de bure, un chandail ? un quoi ? vetement ? revetemen,t ? une couche ? une plume ? on chercxhe ! on sait que ce chant est une sorte d’envahissement rugueux en cet homme de laroche dure , parfois, et d’autresq fois non, non-rugeux, de quoi s’agit il ? on cherche ! on ne sait pas ! on veut savoir ! on veut découvrir le pot aux roses ! u-on veut aller loin le plus en ces recherches de parois de grotte ! l’holme des cavernes a ezn lui une conscience, cela ne fait pas de doute, et cette conscience est pleine d’un quelque chose qui n’est pas du verbe, alors sinon du verbe quoi d’autre ? du tourment ? du tourment de quoi ? du chant ? du chant de quoi et d’où ? l’homme ici (des cavernes et des avens) est cet homme qui, en conscience, possède une base solide, fiable, qui lui permet d’agir en toute quiétude dans la vie, l’homme ici est celui qui a en lui une base solide (hors les mots de base) qui lui donne de quio se comporter intelligemment en son monde de roche, de prés, etc, intezlligemment : ce qui signifie : que, cet homme, cet holmme de la caverne rude, cet homme est muni (outillé) d’un semblant de verbe actif, ce semblan-t de verbe actif n’est pas à proprement parler un verbe, ou du verbe, mais : mé&lopée ! mélopeé active ! chant guttural! chant de la voix interne! chant de roche dure (rude), chant qui vient en lui en continu comme une sorte de ruban de vie déroulé en lui par la bande animalière en lui, et ce ruban est sur sa langue comme une sorte d’intrus, à cracher fissa sur paroi , on voit cet homme outillé» (par en dedans) d’un chant de roche, on le voit quyi grave en transe, on voit cezt homme qui sait sans mots ce qui est sans verbe, il avance ainsi dans sa vie,   il avance dans sa vie comme l’homme des cavernes de la roche dure et rude, il est vif comme l’éclair, il fonce à grandes enjambées, il est porté par les marées ou des marées d’effluves diverses en lui qui font pour lui (agissent) dans le sens de ce qyui doit, de ce quyi se doit, etc,il est l’homme comme porté par kla musiqye des embruns, il est l’homme musivcal par excellence car en lui conscience = musique, des plaines, des bois, des sous-bois, l’homme des cavernes possède en son sein une sorte de mélopée qui décide et joue son jeu à lui, de grand manitou des embruns de roche, il est cet homme ici envahi par le grand manitou musical de la roche du temps alloué à une vie d’homme des cavernes envahi par en lui une sorte de mélopée qui le pousse à vivre ainsi sa viee d’homme des cavernes envahi par en lui une conscience dure (rude) liée à la roche du temps et des temps impartis pour une vie à vivre en grotte, sous influence, sous le charme et l’action votive d’une sorte de belle musique des embruns en lui, qui les reçoit comme des convives (les embruns) et la reçoit (la musique) en tant qu’elle est pour lui cette voix en lui qui admoneste, injurie, gueule sa barbe etc, il semblerait que l’homme ici (des cavernes et aurtres gouffrrszxe de vie) ait à recevoir en lui dees remontrances, de ces sortes d’enguelade chaude, vive, «maison», pour des méfaits de vie qui en lui lui seraient reproché par une bande animalière en lui (betes-mots) qui ne l’entendrait pas de cette oreille, il est ainsi que l’hommes des cavernes a conscience (hors mots) en lui, de choses et autresq liées à sa vie quotidienne et cette consqcience est musicale , et s’inscrit dans une sorte en soi de remontée de bretelle ou comment dire cettre colèrre qui gronde en son sein d’homme des cavernes, qui à son insu gronde, remonte, prend une place monstree et va à sortir de l’homme via ce trou dee bouche effectué à vif par le pic de la roche rude, en soi, comme percée de gencive brutale, ultradouloureuse, vive de chez viçf, etc, nous pensons que l’homme des cavernes ici était en sa groote comme dans un venttre, ikl était pris d’assaut en lui pzar desmots-animaux quyi n’étaient pas des mots à proprement parler mais des sortes de bruits, des sons vocaux, grog,nements (?) ou autres ronflements (?) ou comment ? et cela , ezn conscience, était «porteur», étzait ce qui faisait qu’il agissqait comme un chezf de rang dans sa vie de roche et de champs, il était vif de roche, vif de voix, sacvait chasser la bete des champ, écoutait en lui ce ruban musical xdes sphères qui donnait le la (l(injonction) et lui permettait d’aller et de venir, sur roche du temps, comme une sorte de, de graveur dezvant l’étezrnel, de graveur de betes, degraveur de signes ou de signaux, il est l’homme du chant intérieur (pour le coup) qui agit en fonction, qui agit selon le rite déroulé par ce chant dee laroche des temps, il se laisse porter (en paertie) pa r ce chant voçcal en luii, qui est le chant (ce chant) des parties de roche allouées à la vie, il est portée en lui par une conscience avérée des choses du monde sur ce plan rocheux dee la voix donnée, portant sa mesure ici d’homme agiszant  sur roche, sur paroi de grotte,gravant à qui mieux mieux des betes de poids, etc, l’homme des cavernes est l’homme pour le coup de la roche des temps, il avance ainsi, armé de sa gourme, il est celui qui grave à tout va des noms de choses via des effigies, ces noms (litanie, pour le coup) sont ceux que nous voyons, des sièxcles et des siècles apres leur in,scriuption, ils sont noms de choses de  vie vive, très vive, ils sont mots d’emprunt anima lier pour ainsi dire et donnent le la à cet homme que nous sommes ici à étudier pour comprendre aujourd hui ce qu’il ezn retourne de toute cette affaire pariétale de conscience musicale des parties, nous essayons dès lors de nous figurer cette chose ensemble, comment comprendre ? un homme «penwse» sans langa ge articulé , cette chose est elle possible ? quel est dès lors le lzangage de cet homme ? son lmzangage est «hors-sol» pour ainsi dire, il n’est pasfait de mots verbeux, sa conscience est liée (très) à une sorte en lui de mélopée pôrteuse, un langage fait d’une sorte de coulée en lui de sonorités qui agissent sur lui comme une sorte d’onguent, d’huile de bienfait, d’enveloppement intériuer, une douceur de laine etc, qui fait que cette chose rude en lui (tres) est amoindrie, adooucie par en lui ceette cghose d’une compétencxe, etc, qui lui fait avaler la pilule d’une sorte de ruade en lui à tout crin, qui est rude, rugueuse, douloureuse, alors voilà notre homme des cxavernes, qui s’emploie (via la chose musqicale en lui) à amortir le choc en lui d’une poussée comme gingivaire, d’une douleur, d’une grande (tres) douleur i,ntérieure àà devoir subir, à devoir encaiiszeer en lui et dépasser, l’homme des cavzernes en lui a cette chose d’un pouvoir qui est celui de pouvoir dépasserr cette chose d’une grande douleur en lui qui est la douleur d’une percée dentaire ou comment dire ? comment savoir ? il est l’homme percé cde part en part , et qui se doit d’encaisser pareille percée et comment encaisser sinon par en lui ce chant d’inondation, d’envahissement, d’envoutement , etc, commeznt autreezment ? l’homme des cavernes est percé en lui de part en part (douleur massive) et pour encaisser pareille douleur il se doit de faire cette chose (incommensurable) qyui est de se mettre à l’écoute en continu d’en lui cette musiquette de base = conscience , qui joue dee sa paertition vocale intérieure, qui joue son jeu de base vocal, cette voix juste, fine = un pansement -onguent sur une peau de hjoue meurtrie par la bande (animale) de ce temps de survenue massive, déchiquetage, etc; il est l’homme qui sait de base accueillir en lui cette chose d’une  percée (d’une percée de joue) par un pic de betes en lui remontées comme des pendules et hurlant leur mécontentement, et lui, notre homme (ou notre femme) d’agir à sa façon pour soulzager le mal en lui, ce mal de déchirure, dee percé comme une per c ée de ghencive etc, il essaie de subjuguer, dépâsser, ce mal de joue vif, etc, il essaie de passer outre, il essaie par la pensée, mais sa pensée est une mélopée comme dans le mal, la douleur ,lorsque l’on se met à fredonnerson cxhant de mélopée douce, à douce voix, à basse voix ou à voix basse, pour soi, onguent, pansement, douceur sur une plaie vive, un chandail, un enveloppement soyeux, une compresse musivacale sur un trou de bouche saignant, doyulourezux comme pas deux, à hurler de vivre, etc, il s(agit pour l’homme des cavernes, de comp^rendre cette chose en lui d’une sorte de mélopée de conscience vive, due à l’impact en lui d’un pic de verbe animalier, sorti de son antrte (enceint) et azllant à se ficher sur roche du temps (paroi de grotte) pour se soulager (?) et montrer au monde sa colère, sa belle colère, sa vive colère d’animal blessé etcx, on voit l’homme des cavernes ici muni (attirail) d’une conscience animalière des choses du tempqs, il n’a pas en propre de langage ou plutot de langue comme nous autres, hommes de  ce temps, pouvons avoir, l’homme des cavernes ne possède pas cette chose en lui cd’une sorte de langue élaborée, avec grammaire, syntaxe etc, il ewst muni en lui d’une «mélopeé de  conscience», il pôssède en propre cette chose de’(une sorte de chant guttural, en sourdine (?) qsui est ce cxhant accompagnateur, accompagnateur de douleurs, accompâgnateur en lui de cette douleur en lui qyui le pousse à êtrte cet homme du chant pariétal (betes -mots : aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! là et pas ailleurs, et que chacun entende cette litanie votive, ce chant des effluves, ce cri de roche langoureux ! ) , l’homme dit «aurochs !» et il s’agit d’»une sorte d’injonction votive ! l’homme dit «aurochs» et disant cela il se «dé livre» du mal dentaire, de la hjoue du je, de cette chjose en lui qui est la douleur première, vive de vie, qui pousse l’homme à graver sur roche et à «dire» ainsi sa douleur de base, incommensurable, magnifique (?) ou magnifiquement mortelle ? il sembkle ainsi que notre homme ait à dire cette chose, il nous semble que cet homme (des cavernes = des trous) ait à dire cette chose sur roche, d’une grande douleur dentaire, = de joue, nous pensons que cet homme (des trous) ait cette chose à dire sur roche, cette chose d’une douleur grande (incommensurabvle) concernant la hjoue, ce trou de hjoue, cette faille, cette déchirure, cette trouée, cettte percée comme dentaire qui fout en panique, le feu aux fesses instantanézment, qui fout en vrac, qyui pousse ainsi sa chamade etc, l’homme des cavernes encaisse, il joue sa petite mélopée de roche, sa musique est celle des sphères, il joue sa musique de partition votive à même la roche et ce faisa nt il dit ce qu ‘il a «à dire» , cette chose d’une sorte de douleur dentaire, etc, on dirait cela, l’homme des cavernes est donc cet homme qui pzarle ai nsi de son chant de conscience vive (aigue) qui le pousse à dire sa chose, d’une tres forte douleur à la joue, dezntaire, gingivale, etc = de bouche, il est ainsi qu’il se voit troué de l’intérieur, pezrcé de l’intériuer par une sorte de pique de donnée animalière (animale ?) qui l’entraine ainsi à «dire» sa gourme, sa chance ? son chant  ? qui est le chant de cette chose en soi, d’une conscience des profondeurs, de cette profondeur, en soi, de son antre, et de cette autre profondeur, hors de soi, qui est celle là que l’on perçoit, devant soi, comme un chjemin de vie à emprunter dansla durée, on comprtend cela ainsi, comme quoi cet homme des cavernes a en lui cette conscience hors lesmots, qui est mélopée, chant de base, apprêt, etc, qui vient dire sa chgose d’un méfait de vie, cette percée soudaine, vive, brute et brutale comme mal aux dents, etc, cette percée en lui soudainr, ce pic de percée soudaine, etc, il dessine des bisons sur roche, des rzennes, des aurochs, en transe, à main mevée, il est sous emprise, il est sous l’»emprise d’une sorte de  beauté en lui, de force en son sein, de chose curieuse, d’une doucxble voix qui dit sa chamade, etc, cette voix en lui est double comme le sont : le bien d’un co^té et le mal de l’autre d’une seule chose, ainsi dédoublée en son sein, l’homme des cavernes est cet hommùe dé chiré de l’intérieur, au sens propre (hjoue) comme au sens figuré (chant) car il est cet homme de la roche dure et de la roche douce, il est cet homme de la roche dure du temps, et cet homme des douceurs de  chanvre, il est l’homme qui subit et aussi l’homme qui réagit et s’apaise ou chercxhe cela, cet apaisement des parties brulé»es, etc, il donne en lui ce quil peut donner, il cherche à apaiser en lui cette déchirure-br^lure, ce pic affreux, cette pezrcée folle, cette misère,  ette vive misè!re, ce méchant méfait, etc, il cherche en lui (conscience) à apaiser cette grande douleur dentaire, cette chose en lui du palais et de la langue etc, il est cet homme de roche dure qui encaisse la douleur d’une sorte de perrcée en soi gingivale quii le met à plat et le pousse à sussurer pareille mélopée , en roche, sur le tas, sur roche, des aurochs ! il est l’homme de la petite voix, qui parle «, qui «dit» sa douleur, l’homme des cavernes dit des choses sur roche, à sa manière animalièrez, il n’est pas l’homme en lui d’un flux verbal, car les mots en lui ne sont pas légion (pasxencore) et de ce fait ce qui sort de sa boucxhe n’est pas à proprement parler un parler en  propre, mais un son de chance, une sorte de mélopée doucereuse, censée pouvoir calmer la douleur des betes qui, en soi, ont touché à vif la chair de la hjoue, calmer pareille prise à vif, calmer cette chose ici d’un pic à vif de joue humaine, l’homme des cavernes possède en propre une conscience des parties, il joue sa carte musicale, son «parler « ou «sabir» est une mélopeé de  bure, il «dit»  ce qu’i l «dit» par ce chant de roche induit, cette mélopée de concert, cette cxhose douce censée reposer ladouleur en lui d’une blessure à vif, d’un trait de percée comme une bouche, il est cet homme qui pousse ainsi sa conscience d’être, sur roche, l’homme des dessins et autres gravures de betes, dessins pâriétaux, gravurres au couteau etc, il dessine à main lezcvvée, en lévitation, porté par des betes de poids qui poussent («au cul») leur colère etc, l’homme et la femme des cavernes sont portées par des betes de poifds qui poussent au derrière ett font faire sur roche leurs choses animales en tant qu’effigies, l’homme des cavernes est cet holmme qui dessine à main levée des effigies animalièresq, il est l’homme du chant intérieur car sa conscience est musivcvale avant toutes choses, il est envahi ou comme enva hi en lui par un cha nt de conscience quyi est «développement ondulant», qui est «beauuté»é» du gewste oou comme «beauté-ondoiement» dx’un geste de vie lié à-à ce qui ici entoure pareil mouvement en termes d’effluves, de courants dans un paysa ge, il est ainsi comme porté par en lui ce chant de conscience qui est mélopée , qui est donnée mélodique, etc, et ce chant porteur en luyi en tant que chant de conscience est une sorte d’onguent sur une plaie, il s’agit de  c   ette chose d’un onguent (chrêmee biencfaisante ou bienfaitrice) déposée sur une plzaie de vive vie qui est plzaie de bouche, l’homme est transpercé par une sorte en lui cde pique vive (animale) comme un cri sorti des entrailles, un christ ? e-t  ce cri sorti des entrailles est animalier ! est animal ! est le cri de l’animal  contenu en l’homme, au départ, à ses débuts, ce cri laché sur roche, guttural en diable, etc, l’homme a la bouche perrcée, ou plutot : l’homme a la hjoue perceé et ce perçage formant bouche ouverte, trou de bouche pour un passage, etc, l’home a conscience en lui hors mot mais comme en lui un cxhant qui est cette chose de conscience, il (l’homme des cavernesq) est  l’homme  dee ce pic de verbeanimalier en lui, il a cette conscience en lui de cette chose dite, dure, à encaisser de l’intérieur, il a lui l’homme à encaissser pareille chose rude, cette ruaxde en soi zanimale, ce gueulement,  cette engueulade, ce rudoiement, cette poussée rude, ce «carton», cette poussée dentaire vive et mortelle, cette douleur incommensurable (la pire ), cette douleur de base, ce mùéfait, cette prise de bec, cette pute de...., etc, c’est à dire ce gros mot venant de l’intérieur et pôussant sa vive a&insi, sa vivre, sa vouivre, etc, comme queue de verbe ou bec de verbe ou pic de verbe ou trompe ou comment ? une perche ? un baron ? un bout de bois ? un piquet ? une pique ? un coutea u ? un quyoi , w<qui transperce notre hjoue et font ce trou qui nous rend «malade» de haine et de douloeur mêlées,  car la déchirurze est «mortelle» et nous cloue sur place, nous fiche en l’air, nous soulève, nous porte, nous fout dans le sac, etc, cette déchirure est cette chose qyui nous soulève, nous porte, nous monte, nous fait léviter pour le dire ainsi et graver sur roche etc, nous sommes percés dxe l’intérieur par le Verbe, nous sommes de l’intérieur percé par le Verbe, notre mélopée est lascive, nous geignons comme un nouveau né infecté p)ar en lui la bete, nous geignons et  ce geignement est notre conscxience, notre outil de prise, etc, nous geignons cxomme nouveau né ou nourrisswons, ou bete infexcté, touché, etc, par en lui, en elle, une petite bete mortelle (ou qui peut l’êtrte)-  etc, nous gémissons et ce gémissement prend on dirait la place de notre conscience ou bien est cette conscience hors les mots, les mots étant dépassés ici par la douleur votive, incitatrice, etc, et seule ici la mélopée subsisqte, qyui est chatoiement, qui est à double entrée, qui est chant-beauté de roche , qui est cette cxhose comme en porte-à-faux sur le bien et le mal, chant de la roche en soi , chant lascif, chant en soi de conscience fine , hors les mots de la tribu, chant dx’une pensée fine hors les mots, la pensée d’une donnée de b ase dure, à hurler d’en rire etc, nous sommes les porteurs en nous de c ette chose d’une sorte de poussée dentaire monstrueuse, ou comment sinon ? phénomènale ? ou comment sinon ? fortement méchante ? ou comment sinon ? «connasse» ? etc, les mots manquent, les mots tapent mal, les mots pazssent mal, les mots sont dépassés, les mots suivent mal, les mots sont les mauvais mots, ne sont pas beaux, etc, il semblerait que nous ayons ainsi à comprenxdre cette  chose de la douleur comme la chose capitale en soi = le fond du fond de la conscience hors mots, ce rire -hurlement, cette prise de bec, ce bâton de joie et de peine, ce bec de roche, ce patois, cette injure, ce ciel de paroi, ce dessin d’aurochs, de renne, de cheval, en soi cette douleur comme une massue qui vienxdrait vous ficher sur terre mais qui vous soulève (hors mots) comme une feuille et vous pousse en roche à graverl’a urochs !  et vous donc de graver iicelui, icelle antilope, etc;, le bouquetin, encore le bouqueetin, encore et toujours $le bouquetin , etc, nous cherchons à comp^rtendxre ce qui est ici en cette matière de la conscience sans les mots de la tribu, car la cxonscience n’a pas eu toujours les mots de la tribu pour elle, quoi d’(autre ? ce chant ! cette mélopée en soi, cet encaissemeznt , ni plus ni moins,; comme dans un mal de dent, or de quoi s’agit -il ici ? il s’agit d’un homme ou d’une femme saisi par en eux une sorte de douleur affreuse liée à une sorte de percée de soi de l’intérieur, de sa chair de vie, en soi, par une pique, un pic, un bec, une barre, un baton, une tringle, une sorte de jeton acéré, un jet vif , perçant à vif  la joue (pauvre joue) xde cet homme ou de cette femme, ainsi déchirée, touchés dans sa chair, etc, comme un animal blessé, et cela ici , en cette prairie, en ce pré, en cette grotte, etc, où l’homme et la femme des cvavernes évoluent au quotidie,n-, nous avons affaire ici à des personnes blessées, nous avons affaire ici à des personnes touchées à vif, et dès lors la conscience ici est cette conscience»   «vidéé» qui est cette conscience «brute» qui est cette conceience «enfantine» de donn»ée zjuste, qui est cette conscience native des données justes, hors l’apareil lettré, hors l’appareil raisonnant, ccette conscience (comico-tragique) qui est celle qui reste quand les mots fichent le camp, nous voyons ici cette chose d’un sabir hors sabir, nous sommes témoins ici d’une sorte de sabir en dehors du sabir, nous sommes témoins ici de cette chose qui xserait une sorte de sabir de conscience (mélopé) en dehors d’un appareil réelmllemeznt articulé comme une langue, on essaie de voir, on cherche à comprenxdre, on est sur la bonne voie (qui sait ?) pour com^prendre ou du moins on avance (etc) sur cette voie d’(une recherche par la bande, ou comment dire ? par l’usage frontal ds’une langue poussée, etc, nous cherchons une compréhension des éléments en présence, nous essayons de comprendre ce qui est ici d’une conscieznce des temps premiers ou disons des tempsz très reculés, nbous essayons de comprendxre cette chose, nousessayons de comprendre le plus que nous sommes en mesure de comprendxre avec 1 notre intelligence de très bas étage et 2 avec cette langue portée par nous (inculquée) qui dit ce qu’elle peut à travers nous, nous essayons de toucher du doigt les données de basee, nha tive, premières, initiales, etc, et pour cela nous essayons de nous placer en bonne position, près de l’homme des cavernes entré en lévitatation, etc, et là regarder, écouter, sentir,etc, ce qui se joue en pareille chose d’un homme porté, nous essayons de trouver des réponses dans les mots, nous essayons de trouver réponsesw face à   c ela qui est devant nous comme un baton sec ou pas mais rude (ruade animale) et qui semble receler beaucoup malgré tout, nous essayons de trouvezr les mots qui diront la chose d’un e vérité de choix, forte et folle (peut-être) digne d’un savoir de première importance, je  suis près de cet homme des cavernes, il est de petite taille, son corps est musculeux, il porte baton avec lui, il lévite, il; est emporté par en lui un pouvoir qui le xchapeaute, etc, son être est surprenant, il sembvle me ressembkler mais il est fin, de petite taillke, presque risible et en même temps on voit qu’il eswt entier, qu’il est plein de lui, xd’une chgose en lui qui semble le traverser, il est donc traversable, aisément traversable et c’est cela sa beauté et sa grandeur car on voit un saint, un saint homme, un xsaint homme des roches, il s’agit d’un xsaint homme «de la roche des temps», on le voit, il eswt entré en lévitation sous mes yeux, il est petit, il porte bâton , il dessine, il dessine sur la roche, ils dessinent sur la roche car ils sont plusieurs en même temps, à dessiner sur roche effigies animales, ces betes qyui en eux gouvernent, ils sont gouvernés par en eux ces betes, ils sont en eux gouvernés par des betes fauves fortes, qui sont betes de joie, qui percent en eux et vont à se ficher sur roche et à exister ainsi comme betes d’attrait divin, les betes disent disent à la mort d’aller «se faire foutre» , il s’a git de ça : langage ordurier, parade injurieuse, mots gros de l’enfance, outrage, etc, mots du bout du bout, exp»ériences des limites, foleries, etc, il s’agit d’e cette chose d’une langue in-$vccandescente, non décente, portée à son paroxysme ordurier, etc, et cela est cette chose d’un aurochjs sur roc, cela est cette chose d’une betye dessinée sur roche : aurochs ! et aussi : bisons ! et aussi : rennes ! et aussi ... etc, car les betes de poids sont légion, elles trônent, elles trônent de toute leur superbe, je vois en ces hommes actifs des etres qui sont conduits, qui pouswsent leur faire poussé, qui sont envahis de «pensées» natives comme des couperets de roche, etc, ils sont ces hommes, qui sont en eux comme envahis par des sortes de couperets qui font pour eux des sortes de dessins en creux sur la roche etc, nous voyons ces etres de choix qui font sur roche des dessins de betes, il s’a git de betesq de poids, pesantes, belles betes de poids de charge, l’homme des cavernes a une cxonscience qui n’est pas noptre conscience, sa conscien ce à lui n’est pas notre conscience à nous, sa conscience à lui est ramassée sur elle même et ne s’étale pas sur un espace ou dans un espace langagier précis, sa conscience à lui est ramassée sur elle même comme une douleur dont on ne sort pas, etc, sa conscience à lui est son langage de douleur à lui et non point une langue syntaxique comme nbous avons, il s’agit de données brutes, comme  c elles qui pour nous se forment ou apparaidssent en cas de grande douleur (à en rire etc) , eh bien l’homme des cavernes est cette personne que l’on voit devant soi comme celui qui est porté en lui par un pouvoir qu’il sait accueillir et laisser agir, il (cet homme) sait ezn lui accueillir ce pouvoir agissant sur roche car l’homme des cavernes eswt une cruche, un pot,  un vase, un récipient etc qui se laisse rezmplir à part lui et surtout hors les mots de tribu car il en est (encore ? à jamais ? ) privé, il est cet hommùe des cavernes privé (pour partie ? pour tout ?) de mots de tribu, il est envahi en lui pâr une mélopée native, contigu à sa conscience ou comment dire ? l’homme des cavernes est l’homme du flux de conscience vive hors les mots, comme envahi par, en lui, une musique des sphères ou par musique de paroi, ou tout autre musique contibnue, qui eswt porteuse de vie et d’actions qui poussent à etre , qui poussent à agir sur roche du temps, l’homme des cavernes ewst comme un enfant privé de parole mais pas de conscience, et son sentiment est majeur qqui le fait dessiner sur roche sous emprise, il lévite comme un cerf volant, il est le cxhevreuil ailé de la roche des temps, il porte l’animal en lui qui le pôusse à êztre celui qui sait, qui connbait les tena nts et les aboutissants d’une vie dite «mortelle», l’homme des cavernes parle à la mort directtement, il parle à dame ou sieur la mort par son vezrbe de mots-betes, par son verbe qui n’est pasun vezrbe, par ces mots dits «gros» qui sont comme des injures , qyui sont comme des grossièretés proférées à l’encontre de l’entité «mort» à laquelle il s’adresse sur rocxhe , rocx, rocher de paroi, à laquelle l’homme des cavernes s’adresse crûment comme il sait le faire en conscience , son sang fait le tour de son être, il virevolte, il pousse loin l’injure de vivre, le plus loin qu’il peut, il est cet homme injurieusx de petite taille, aux mots ramassés (mots-betes) qui se love-loge en rroche comme dans un antre, une sorte de capsule spâtio temporelle, il «dit» son «dire» ordurier à l’encontre de la mort, il parle ainsi en toute conscience et sa mélopée est celle d’un enfant, d’un enfant petit, d’un bébé pleurant etc, il parle à la mort cvomme il parle à la rocxhe,  à coups redoublés, scandés, puissants, comme un homme qui sait de quoi il en retourne et ce qu’il est juste et bon de faire pour tenir en vie, etc

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8/04/2021

je suis faon-mot de la roche des temps, je suis le faon de la roche des temps, je suis inséré et je regarde, mes yeux sont ouverts sur le monde qui m’entoure, je suis le faon de la roche des temps, je viois ce qui se trame ici et je vis parmi des betes fauves, hje suis le faon qui vit parmi des betes fauves , des betes massives, des betes de poids et de taille, je suis inséré en cette roche et je vois ces betes près de moi qui sont de beau poids et en impose par la masse de leur corpulence, elles sont betes de fort impacct, elles sont les betes de la roche et en imposent du feu de dieu tant elles sont mqassicves et corpulmentes, je les vois qui vont et viennent près de moi, je vois lmeurs naseauc$

x, leurs cornes, leurs sabots, leurs pattes, leurs crinières, leurs queues, leurs yeiux globuleux et je sais qu’elles me voient en retoour, je suis ce faon-mot de la roche du temps et j’évolue parmi x betes de grosse présence, etc, qui sont celles qui habitent ici, sur roche ou en roche, près de moi qui les regarde qui vont et qui viennent, souffle,nt, meuglent, trépignent, foncent ou chargent ou bien broutent quiètement et ne se soucient pas de mes alleeées et venues à moui qui va et qui vient sur roche, monticule, bec de roche, embruns, je virevolte, je suis faon qui va gaiement à travers les prés et les bois, je saute en veux-tu en voilà et je file fissa d’un côté, de l’autre, par les champs et par les bois et les sous bois, je suis maître de ces lieux placides, je vis maz vie de roche dure en ces contreées temporo-pariétales de la roche des embruns, je suis entre deux mers, je siiis logé à bonne eznseigne, je file fissa vers ces embruns de bord de mer puis je vais au loin vers le coquillage, vers le nacre et la vbvlancheur de nacre, vers ce nacre bleuté, cette blancheur lisse et aussi cette musique qui sort du cornet, cette «bellke», qui est douce mélopée de chance, douce et suave, j’écoute et entend pareille mélopée, je suis le cerf de céans sensible à cette mélopée de la coque blanche, j’avance ainsi sur pareille paroi du temps et vois des betesprès de mpi qui caracolent à qui mieux mieux et se chevauchent, s’intercalent, s’interpénètrent, sont les unes sur les autres, ertc, et moi d’aller furibond ou bien vif l’éclair, aller sur roche, sauter et jouer de son mieux à qui va loin en pareille loge, etc, je suis en ce terrain (zone) comme chez moi, je vais et viens à qui mieux mieux et je me fiche des qu’en dira ton de lma roche, je file fissa sur roche des temps et m’amuse à longer les rives, les parois, les embruns des bords de mer etc, je suis comme dans un couloir de vie, ce couloir qui va de l’avant et fait un tour complet sur lui même (mappemonde) etc, il s’agit pour moi d’aller, courant de la sorte, en ce lieu des temps impartis , alloués, qui sont lieux de destinée, je suis faon-mot incscrit sur roche comme un trait au bout de bois, je suis une sorte de vocable gravé sur paroi par un homme ou une femme des cavernes, je suis ce faon gravé sur roche, je file ainsi en cette paroi qyuii me prend en son sein rocheux, je suis faon qui va de toute sa superbe en cette roche des temps brumeux, vaporeux , etc, j’accompagne les âmes des morts,  ici même, en roche dure, je les guide vers l’échancrure, hje suis ce faon-mot gravé qyui guide l’ame du défunt (?) vers une échancrure, une faille de roche (godet) et là je file, une fois l’ame guidée, je m’en vais, je ne reste pas sur ^place, je laisse l’ame à bon port et à ses affaires de porte ouverte, de blancheur native, de blancheur dea ns les vapeurs et je file c’est-à-dire que je retourne sur mes pas dansants, je reviens à mes amours de virevolts, jke vais et je viens sur roche à qui mieux miuex et ne me soucie plus de rien de l’âme défunte, ellle est au bon endroit, j’ai fait mon boulot, j’ai agi pour la bonne cause, j’ai aaccompagné une vie durant, de lma naissance au feu de joie etc, mon travail est accompli et à présent je peux musarder, m’en donner à pleine dents etc, croquer laz vie à même la roche du temps où je suis inséré, en tant que faon-roi de la première heure, czar je suis ce faon des dépaerts c’est à dire des arrivées en ce monde ci de la roche dure, j’ai vu pointer le bout du nez, j’ai aidé à l’extraction c’est à dire à l’immixtion et depuis j’accompagne jusdqu’au bout du bout et ce faisant je fais mon travail l, mon travail de sape, je ne rechigne pas à cette besogne, j’agis, je suis tout action, jke motorise, je fais cette chose en accompagnemen,t et ne lâche pas le vmorceau de sitot ou jusqu’à nouvel ordre, car tel est mon travauil i ci, mon boulot, mon taf et ma joie, ma chance, etc, car faon je suis qui est là en rocghe du temps (dure et dur : dure roche, dur temps) etc, ), tel je suis (faon) que je me dois de faire en sorte que telle âme d’un défunt de roche soit accompagnée ou comment ? l’ame du vivant ? je regarde les aurochs (frères) et je vais vers eux, leur «parler» : «etes vous mesq frères ? « mais l’aurochs ne sait pas parler, il mange de l’herbe, il va nonchalant son chemin, il est l’animal de roche par excellence, il est  cette bete de la roche dure , qui est sur ses patttes de tout son poids p)ariétal, il me regarde d’un air de deux airs et moi de lui redemander quielque chose: «es tu l’animal de roche par exccellence ? «, il ne répond pas, aussi je m’en vais et reviens à mes amours de sautillages à travers champs, je suis le faon qui file en ces lieux, qui joue à qui mieeux mieux, qui écoute le vent, le bruit des embruns, la musique des sphéères, etc, je suis tout ouie, je suis un faon rocheux qui va son chemin vif sur pareil sentier d’un entre-deux-mers tracé sur roche, parmi des restes marins, bois de cerfs laiossés sur place, coques et coqsuillages, etc, je suis l’animzal qui virevolte parmi des ccadavres de choses, pzarmi x bouts de mille choses délaissées, etc, je suis animal-mot marqué au charbon de bois ou bien gravé sur roche par cet etree des cavernes, le dessinateur, le graveur d’ecxcellence, etc, je suis faon qui fonce et regarde paertout le spectacle des alentours : «venez vers moin, suivesz moi, ne lambinez pas, suivez mon chemin ou ce chemi,n ci que je vous montrte, il s’agit de la voie à suivre, je suis l’animal vif squi montre la voie, venez avec moi et je vous guidezrai, nzee me quittez pas, ne quiitez pas ce cghemin tracé qui est le chemin de votrte vie à) vi vre, il s’agit d’un chemin de vie c’est à dire de toute une vie, je sais cette chose, je vous aide, je vous veux, je vous condyuis, je suis le faon-enfant de la roche dure du temmps et en vous je vais : je vous seconde, je vous pébnètre etc, je suis en vous comme un chancre ou comme une sorte de preneur, ou bien le locataire ou bien le logé de la première heure et je vous articule, je suis ce faon-mot de la première heure et je vous articule de partout, articulations paerlez ! dites ce que bon vous semble à devoir être dit ! ne restze pas en carafe ! dites ce que bon vous semble ! allez y, dite votre bien et votre mal sur terre comme au ciel ! dites -nous tout , ou dites moi tout ! car je suis la faon-guide des temps en vous, près de vous, parmi vous etc, ma plavce est fluctuante, je vais et je viens, mais ne vous lâche pas cd’une semelle, je suis le mot qui est gravé sur roche pzar cet homme des cavernes sus-nommé, et voilà ce que je fgais : je vais en vous et je vous seconde, je suis celui qui est en vous le 2 qui compte, je file à vitesse grand V en vous qui m’adoptez comme une sorte de faconde en vous,      n,aturelle et désordonnée, etc , en vous qui prenez en ce sein de vous cette chose de moi qui est une faconde naturelle (etc) qui  vous ravit, vous comble de joie, vous nourrit, etc, car voilà ce que je suis : un homme , un faon, une femme, un animal, un enfant tout à la fois en vous (faconde) et hors de vous ce  faon de la roche, malotru le faon, malibou le faon, ou ma nitou le faon, ou bambi le  faon, selon les moments, je virevolte et mon nom est celui ci que je prononce différent à chaque fois ou presque (je varie) , je vous aide en vous habitant, je suis en vcous la vie qui va vivante à travers les chzampset les prairies du monde pariétal, je vous envahis, je suis en vous cet envahisseur de première = de lapremière heure et jke regarde en vous ce qui est, je vous ausculte, je matte, je regarde dans la profondeur, je suis corporellement fiché en vous qu- m’a doptez comme une sorte de bienfait larvé ou cvomment dire : enchâssé ? comme rubis sur bague ? ou comment ? je suis une sorte de faon de la première heure, soit un enfa nt, et cet enfant est pour vous en vous jusqu’au bout du bout colmme une présence de type animale, qui serait pour vous le second à la barre, et dès lors vous voici accouplé à (en vous) une sorte de vive présence folle, ce genre de bete de choix (aurochs ? certvidé ?) qui est  cette chose en vous qui pousse à l’action définitive, etc, je suis le faon de la rocghe des temps et je vois loinb en vous, et je suis loin en vous, je vois en vois jusqu’au bout du bout, je suis l’animzal magique, un coup en vous , un coup sur roche dessiné, etc, car mon xnom varie selon les saisons, les heures, les temps impaertis, etc, je m’appelle manitou le grand de ces champs, je suis ghrand cerf devant l’éternel et ne m’en laisse pas compter car je suis géant, grand de chez grand, je vais sur roche et vois toute l’affaire, ce qyui est ici qui importe, en pareille loge, à savoir : le sang, ce sang rouge qui va en vos veines d’homme des cavernes, les yeux, ces yeux qui voient à travers la roche, ce charbonb de bois, ce charbonb de bois qui (bien manipulé par la bande) sait tracer les motsqui en imposent, ce bec, ce bec debrebis ? ce bec de gaz ? ce bec de choicxx ? ce bec de buffe ? ce bec de joie ? ce bec de grande vérité ? ce bec de parade ? ce bec doubleé d’envie ? ce bec de squoi ? quoi est le bec de l’homme des roches , qu’en faire ? nous disons (chevreuils) que ce bec est un museau, une sorte de bouche à corne, défense, couteau, pic de tranchée, pic à vir, etc, nous disons que ce bec est pic est roc est péninsule aussi sec sur roche percée, le monticule, la jetée et les embruns un peu plus loin, et vous voilà qui avez travbersé ce rubicon de la roche dure de cette paroi de fond de grotte, de fiin fond de grotte antédiluvienne, cette grotte du temps des hommes des cavernes, etc, vous voilà parmi les 

betes dessinées, vous figurez, vous etes là parmi toutes ces betes de choix qui font ce qu’azelles ont à faire en pareille roche et vous de même : aller jusqu’au bout du bout d’une vie  meuble, etc, cette vie d’allées et venues en roche, avec nous à vos côtés, en vous, près de vous, qui entrons et sortons de vous ou en vous, etc, nous sommes faon qui entrons en v ous , ou sortons de vous, car nous vous traversons en continu et ce jusqu’au bout du bout, je suis cet homme-faon ou cette femme-faon, ou alors ce faon-faon, ou bien cet enfant-faon qyui gravite, j’enttree et je sors , je fais en vous des alléers et des venues, je suis ce mot-faon en vous qui transite, passe et repasse, en,tre et sors, je vais et je viens ezn vous, comme un (faon) qui traverse vous, qui vous traverse fissa, d’avant en arrière, latéralement, dessus dessous, n’importe où n’importe comment, je sui s faon pûis je suyis vous puis je suis faon puis je suyis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puyis je suis vous, puis je suis faon-enfant en vous, jusqu’à épouser vos contours d’etre des cavernes, homme ou femme ou bete, ou bien l’enfant de la femme-mot, ou bien le faon-enfant de pareille bete des prés, ce chevreuil de bonne renommée qui va sur roche dire la nouvelle, apporter son graoin, dire ce qui est de ce monde des temps, de laroche, des embruns, du sang qui coule dans les veines, etc, je suis faon -faon, ou bien homme- homme, ou bien faon-hommùe, ou bien homme--faon, ou bien femme-homme, ou bie,nn femme-enfant, ou bien faon-femme, ou bien faon-bete, ou bien bzete-mot, ou bien femme-mot, ou bien homme-mot, ou bien chapeau = cap de vie, de cette vie de roche qui est cette vie que nous vivons ici (pariétalement) parmi ces aurochs de bonne compagnie, je vais et je viezns parmi eux, je suis cette chose d’un espace-temps alloué en pareille roche , espace-temps navigateur, qui (faon) va en, va dans, va dedans, va à l’intérieur des etres de roche, ces chevaux en cavalcade, ces rennes busqués, ces antilopes, des betes à bois, ces ours de la caverne ou cxes lions de la caverne, eetc, je suis le faon -enfant qui rode son tourment rocheux à meme la paroi du temps, je vais et je viens à treav ers les etres, qui déambulant, qui broutant, etc, je suis comme fantomatique ou comment ? cet etre qui       v a et qui vient sur roche, en roche, à traversq, qui s’amuse de celaet ne s’arrête pas d’aller fissa à travers la roche du temps imparti à une vie humaine, mon nom est personne, il s’agit pour moi de comprendre une chose dr’envergure ici, à savoir que  cela est , cette musique, une sorte de joie de vivre,un encourabgement, un maintien en soi m^eme d’une sorte de vibration, de vibrato, etc, ce baton de joie en soi (je) comme une vibration qui pousse à)à aller, marcher, aller de l’avant, aller c’est aller de l’ava,nt, sauter les talus, aller fisqza vers son cdevant de vie royal, je pense donc je suis cette chose de la vie de roche, je pense avec des mots de roche, avec quels autres mots puis-je penser ? je suis ce faon des premiers instants, du début d’une vie humaine, en roche (dure) du temps, et je vais et viens en vous qyui etes nés, qui etes celui qyui est né sur roche, en ce terrain du temps imparti, je suis le faon qui vous accompâgne tout du long et vous envahit cvomme un sentiment, je suis cette chose d’un aenvahissement, ou cette sorte de chose qui serait (est) un envahissement par les pieds, la langue, le crane, les mains, les yeux, les genoux, les fesses, le trou de balle ou bien le minou ou n’importe où car je passe pârtou, je suis ce faon qui entre en vous par n’importe quel bout et vous chev auche, vous conduit, vous dirige, vous contient, vous glisse en roche tete première et en roche vous promène fissa parmi des aurochs et autresq rennes ou chevaux deesinés à main levé&e, je vous accompafggne, je vous conduit vers l»’éternitévde la roche dure, je vous aide à entrer en roche comme dans une église, un prieuré, un temple , etc, je suis cete etre volatil et évan escent, ce blanc de bure ou de bufe, ce blanc vif évanecsent luminescent nacré qui vient en vous, jusqu’à vous et vous enveloppe , vous envahit, vous pénètre comme une senteur ou comme une musique, par la douceur, par la bouche, en vous comme une nourriture, un apport de vie capital, etc, je suis en vous cet etre de vie vive quyi vous sied, vous aide à aller fissa en roche et à comprendre les tenants et kles aboutissants de cette choseappelée «la roche des prés», etc, nous sommes chevreuiils-mots en vous quyi nous acceptez, je suis ce chevreuil-mot (en vous) qui gravite , vous interpénètre, vous contient (vous tient), vous donne l’élan nécessaire à votrte survie minute après minute, etc, je suis en vcous cette blancheur «d’âme» adjacente, cette portion rocheuse (pariétale) en vous, je vais et je viens comme un langaghe articulé qyi est en vous cette cbgose qui est vive, qui va, qui va vite, qui file, qui se loge en vous comme un pic  debec à percer, etc, je suis le faon-faon fantomatique en vous qui vous laissez prendre et moi de vous traverswer comme une sorte de chose inouie qui entre n’importe où en vous (vous pénètre) et sort pareillement de n’importe où, car je suis léger comme l’air et plus encore, je traverse la matière, je suis une sorte ce faon de traversée ezt je vous aide à tyraverser la roche dutemps = la paroi de cette grotte, et  cela : en tra nse = avec moi en cvous qui vous permet de passert des caps de passation, ou de passage, cap vers des lieux de vie rocheux intra, il s’agit pour vous de vous laisser guider et la chose agit, il s’agit pour vous de vous laisser seconder et moi-faon je suis qui vous permet de traverser la roche du temps alloué (devant vous) qui est ce espace-temps de vie vive (et non de vie morte, ça viendra) qui eswt l’espace temps de la paroi de l’homme des cavernes, le faon-mot entre et sort à sa guise, il est volatil, il est inter-penétrant à tout moment, il peut traverswer toutes sortes de matières : le corps, la roche, le temps, etyc, rien ne l’e, empêche , car il est cet etre des temps de la roche , cet esprit vif, fou, dur et mou, etyc, cet etre de joie en soi , pour qui l’acceuillera en lui même au sein de son étant de vie, etc, l’etre-faon ici (moi) est cet etre-étant qui va vif se loger n’importe où mais aussi bien en ressort illico pour aller ailleurs se poser, s’installer comme une brume, un brouillard, une nappe, effluv, senteur etcx, il est immatériel, il est ce faon de traversée directe, il vous aide grandement, il pêut facilement (très facilement) vous aider à aller loin en pareille roche de ce temps qui est devant vous le temps de la foi en cette roche, en cette paroi (ornementée) , en cette vie de vive avancée en pareille chose : le vent vous porte, le vent entre deux parois, ce souffle de vie vive, etc, le faon en vous entre et  sort à sa guyise, il ne s’en laisse pas compter, il fait comme il lui plaît, il est libre d’aller et venir et vous aide à faire le pas, à) traverwser, à le suivre, à franchir les obstackles matériels, à entrer tete première dansla roche etc, il est celui qui, vous chevauchant ou vous pénétrant, vous mène par le bout du nez (ce pic, ce cap) et vous permet dès lors, ainsi chevauché (doublé ou redoublé) d’entrer en matière, en cette matière de roche dure qu’est cette paroi de groote de laz préhistoire, il vous introduit pazr sa main mise, car lui en vous fait de vous un peu lui et du même coup vous prenez «comme» son apparrence et entrzrzez en cette roche dure comme dans du beurre (passe- muraille) grace à faon de la première heure, qyui navigue à vue et fait comme il lui plait, il vous aide à franchir le pas et à aller loin en cette roche dure des temps impartis à une vie , il est bon de comprendre cela ainsi : je suis faon, je suis fantomatique , faon tome, faon d’homme, etc, j’entrte en vous par la bande et en vous me loge fissa pour lmieux vous aider à franchir le pas ici ou là, je vous aide à entrer en roche, à tracer des traits, à naviguer, à tenir en vie, à tenir en vie ! je vous aide à tenir en vie ! je vous aide à tenir à la vie, à vous aggripper, à ne pas lâcher prise, à poursuivre cette cghose d’une vie humaine, je suis fgaon-mot le petit faon d’hhomme en vous qui ne vous l^$ache pas de la première à la derbnière heure, je suis faon de la roche douce, ce fzaon de l’homme envahi qui selaisse porter ainsi, ici, par cette chose que je suis sa,ns chose, ou plutot : sans corps autre que ce léger voile immatériel que je fais entrer wpâr moi même en vous, comme une lame indolore , colmmme une injection sans point xde piqûre, etc, je suis le petit fantome, j’en,trte en vous et en vous me loge et vous permet dès lors de traverserv laroche : avec moi, main dans la main pour ainsi dire, car à deuix ainsi nous sommes à même de nous introduire plus facilement, car je lègue un temps mes pouvoirs, don,ne mon éttant à qui veut m’acceuillir en son sein, je suis celui qui vient s’iintroduire en cet homme des cavernes, je le prends en charge, je ptrends les commùandesq, je passe à la barre, je deviens le Chef, le Grand Commùandeur, the Captain, etc, c’est moi !, moi qui va ainsi et fait cette chose, qui va pour accompagner et pezrmettre l’entrée en roche d’une perle humaine, etc , j’aide comme j’aiderai ailleurs aussi bien, ici la perle humaine, ailleurs une perle animale, etc, je suis un faon-fantome, ou faon d’homme, qui aide l’homme- àpénétrer da ns lma matière de la roche et à s’y lover (amour) avec en lui cette joie de type langagière, de type temporo - langagière, un je est né, il est le je, ce je est né, il est enfin né, il est né le je, je est né à la roche, dans la rocxhe je eswt né, je suis né en roche, me voici néenfin, je suis enfin né, je viens de naître en roche  dans le vent, ce vent de ma rocxhe du temps souffle à mes oreilles et forme la musique de flutiauu dont nous parlions préc»édemment, je suisq l’homme de la joie humaib-ne, je vais et jke viens en vous quyi me laisseez faire et vous laissez vous chevaucher comme une bete , etc, je vais en vous, je suis le faon animalier qui poussse en vous comme un be»c qyui c herche issue dans la chair, trou de bouche ! qui va là ? qui me trou la bouche, qyin vca là ? qui va là qui cherche à me trouer, à faire (fabriquer) en moi (joue) un trou qui deviendra ce trou de la parole humaine, qui va là, qui est qui ? qui est là en moi ? cet animal de féerie ? ce petit d’holmme ? cette voix mutante ? cvette voix des profondeurs ? cette voix de dure paroi ? ce chargement massif (aurochs) de roche de la préhistoiree ? un bec vraiment ? un pic vraimeznt idem ? quoi qui pousse en moi à cet e,ndroit ? les mots sorteznt de la bouche, une ribambelle et forme une sorte de musique vive, il s’agit pour moi de comprendre cette chose en moi, qui est ce sang qui afflue, cette denrée, cette pousseé de base qui va fissa en moi me faire former des pensées de cap, je regartde autour de moi car je suis né,n je suis né en tant que «je-suis-n,é», etc, je vois ces choses-aurochs, tribu dure, fâchée (?),; qui pèse, etc, je vois les embruns et le coquillaghe cxdes prés (ce bénitier)), je sais qu’un faon m’atteznd quelque part (en moi ? hors de moi) qui est faon de trabversée, aide de camp, etc, je vais en cette roche du temps et ainsi allant je m’incruste, je me loge incidemment, je suis homme des cavernes, j’ai un nom, mon nom me suit à la trace, il s’agit d’un nom surnuméraire, il est ce qu ‘il est, je suis homme de la roche des temps impaertis, je cherche à) comprtendre ce qui se trame, j’essqaaie de comprendre les tenants et les aboutissants de cette roche des temps donnés, je chercxhe à comprendrec le plusz que je peux car je sais (je vois) que ce qui est ici est une chose de grande importyance votive (native ?) et que par conséquent l’endroit, le lieu, cet esopace-temps de la roche , est un esopace-temps de bgrande importance, une chose de poids, une drole de chose de grande importance à mes yeux d’homme des cavernes ou bien de femme des ca vernes car je suis les deux, je suis l’homme et je suis la femme, je suis l’homme des cavernes et je suis lza femme des cvavernes, car lje suis la bete-mot des cavernes et à ce titre je me dois d’etyre de la sorte, un panel, un ensemble l:exical en son intégralité de boite à mots, ou de fourre-mots, etc, impossible de détailler et de mettre de côté, je suisq la femme aux bois, le cerf fait femme-faon, l’hybridation pariéto-temporelle  = momentanée, je suis le faon-mot de roche , qui est le faon-mot de la vie de l’homme des cavernes en ce lieu de la roche dure (belle) qui est Vie de la vie vive = battements de coeur, car la vie n’est pas seule à etre en vie, la mort aussi est en vie, est ailleurs en vie, etc, il s’agit pour moi de savoir, de comprendre x et x et x et x choses de la vie en cours et de cette mort dfont on parle à tous bouts de chjamp : de quoi il en retourne, qu’est-ce ? que cela est que mort qui est promise ? que est  ce mot et chose ? que ce mot mort est en tant que c’est ? qui quoi est mort ? que qui est ? quoi est qui que ? que cette ? que cette me mort de ? qui la mort est, que est dit à tous bous de champ ? quoi ce est de mort me ? quoi la mort de me est à ? qui que quoi donc où ? qui a qui de la mort de ? de qui la mort est l’ennemi ? qui de quoi la mort meurt ? à qui de quoi la mort est l’aimée ? de qui pour quoi une mort est là ? et porquoi ? et quand  ? quand est la question ! je vais et je viens en roche, je suis entré dans la roche du temps et cela grâce à l’entremise en moi de’un faonfzaon de roche, bete placide (douceur, langueur) qui m’a bien aidé à basculer ce mobile , que je suis icii, que je suis en tant que tel, ce moi-mobile etc, le faon, ce faon -faon (= enfant) a en moi aidé à cette chose d’une traversée de paroi, est «je « est né de la sorte, par cette e,ntrezmise ou grâ ce à elle, à cette entrée en moi, à cette incxursion en moi d’un faon fantomatique (les mots)) qui m’a bien été utile à faire ainsi que je puisse dessiner sur roche des aurochs ou des rennes ou des chevaux en nombre, merci à ce faon-faon de la roche du temps, je suis né à la paroi, je suis entyré la tette la première, je suis né de ce pic de roche  = la percée, je suis entré en roche comme en religion, sous un ordre divin, ordre de la roche dure, partie de laroche meuble, chargement, élan, entrée en matière, percussion, immixtion cvomplète, passdage de l’autre côté, et chute dans le temps de la paroi du temps, cette chose habitée par qui des betes ici , qui des mains là, etc, je suis né à la roche du temps, je syuis passé de l’autre côtéc grâce au faon de la roche dure, il m’a aidé, il,est venu à larescousse et m’a habité le temps de la travezrsée, mertci faon de la roche du temps ! je te suis reconnaiossant, je sais la chose = le mal, ce mal que tut te donnes, etc, pour aider à passer la roche dure, à percer la hjoue, la roche, etc et me portezr loin en pareille temporalité etc, je suisz ar(mé de ce fantome en moi qui guide mes pas, ou sinon qui ou commen,t ? je suis en moi comme habité par un autre moi (deux moi) qui marche pour moi, parle pour moi, mange pour moi, va pour moi, etc, et meurs (?) pour moi mais cette chose (animale) en moi n’est pas moi à dire vrai mais un envahisseur langagier, une bete-mot de première, c’est à dire de lapremière heure, etc, je suis en moi un autre moi, et mon je est ainsi habitévpar ce faon de la roche des temps ou du tempsq, je suisq habité en moi par un autre moi quyi est le moi de lattranse animalière, un chacal ? un chzval ? un dromadaire ? une poule ? un cheval detrait ? un renne ? un aurochjs ? un bison ? une loutre ? une libbelluyle ? une mouche ? un chie,n ? un e pintade ? un bison des prés ? un zébu ? un gnou ? etc, je suis cezlui qui se voit comme en lui habité par une bete des bois ou des preés etc, car les mots en lui sont à l’état naissa nt, et ce qui est en lui = des mots-betes, = des mots-animaux exactement ett  cela est que l’homme des cavernes porte en lui , en son coeur,  c    ette chose animalière , ca r des mots lui manquent vpour «penser» la chose ici, d’une gouverne ezn soi, d’une sorte de gouverne en soi qui serait autonome, qui irait seule (orpheline) son chemin, l’homme des cavernes manquent de ces mopts qui sont les notres pour penser autonomie, pour penser découpage, pour penser singulalarité etc, l’homme des cavernes est l’homme faon des cabvvernes, car il est conscient de porter en lui une prése’nce, et cette présence n’est pas celle des mots tels que nous nou!s les avons en vbouche ou en crâne, non , non-non ! homme, cavernes, a pas, a pas mots pareils, a pas pareils des mots que, a pas mots pareils que, a pas ces mots de je, qui dit ce je, qui disent, qui est ce je -mot dirt, a pas, il a pas, il est ce je que a pas, il sait ce je sans je, il sait présence, il a qui peut, il voit dezvant, ilm est ce je sans le mot je, il est je, il est né à ce je en lui sans ce je de lui en je, sait gouvernance, comprtend gouvernance en lui , mùais sa ns le mot je, et donc il pense sans mots, sans jke, comment penser sans ce je , tout en sachant cette gouvernance, il essaie de voir devant et voit cette chose, cette chose animale, ce sang qui reflue, cette bete-mot de roche, il comprtends   cette bete-mot   de roche, son dire est animalier et de belle   taille et prestance, il est l’homme des cavernes qui suboxdore, qui est dans la cr(é&atioon dx’une langue en dezvenir , d’une langue à introxduiyre ezn soi en lieu et place dez mots-animaux qui soont des mots de gouvernance en soi, des motsqui prennent place en tant que pic de cap, il s’agit de voir ce chemina

ementb, cette  voie, cette chose du devant xde soi, un homme des temps reculés a compris sans mot, comment colmp^rendre sans mot ? comment peut on cvomptrendre lkes choses du monde sans les mots de la tribu de l’homme dit «développé «? disons : de l’hommevd’aujhour dhui , armé de tout un attirail de penseée de cxap, comment faire si l’on en est privé ? ou colmment privé ? l’hommùe des cavernes a des mots pour lui, pour sa gouverne, sa gouverne est animalière, il essaire de comprendre ainsi les chose du monde, il essaie ainsi de comprendre cela qui ici est en rochje pour lui comme une drogue ou comment ? un flux enivrant ? un flux en lui hors lesq motsq ? comment comprendre et savoir à sa place ou de sa place ? il faut essayer, il est hbon d’esssayer de prendre ainsi p^lace en roche et dee comprendre et d’allezr loin le plus, le plus que possible , comprendre dans les profondeurs de la langue , reveznir aux départs, aux commencements, à) ce qui préside», à ce qui guide gouvernance, car gouvernance il y a, la preuve (la vie) depuis le début ! alors commùent ? voyons : je est ce qui est sur roche, je est ce qui, là, sur roche va à l’encontre, je est cette rencvontre avec laroche, moi est cette chose à roche qui est et va, je est cette chose de rocxhe dure, moi est homme de roche dure des temps , qui va rocheux vers des endroits de dureté, moi est faon de roche des temps, mort est là qui attend comme mordorée, je est ce que est ici à la rocxhe, le temps est à dire en roche des abris des betes, je a ici roche temps que, qui est ce, de la roche du temps imparti, je eux-betes va sur, en bete de rage levé! je sais ici ce temps qui est ce temp^s de la roche dure , je (eux) est ce (d’eux) qui estt de roche dure là ! je veux cette roche pour moi, en taznt que la gouverbne de cette en moi peznsée naissante , je essaie de le dire ici à deux sur paroi, cette chose est à dire ici sur roche,  roche de paroi dure, je est cette chose ici d’un dire animal qui creuse et perce, traverse et v a à) se loger en pierre de roche (la paroi de l’homme des caverbnes), je est ce que je est ici (en (dans) cette) qui est ce roi-là en peine de percer la roche et de creuser en cette voie qui va sur champ, donner son-sa, tige dure, son-sa = sa tige, ici est cette chose d’un tracé de sang, je vais en cette chose dure ici qui est cette percée (de la roche en sang) et cette tracversée (d’icelle) pour un temp^s donné donné pa r la bande, je voudrais essayer dès lors de comp^rendre cette cghose ici d’une traversée de la paroi deroche, au fin fond d’une ca verne où pouvoir dessiner des beztes à main levé&e, grace à l’entremise en soi de cette bete de toujours, de cet animal -mot des origines, ce je de gouverne animalier, cette bete de soi, ce sa ng en soi comme une bete en soi qui guide et poussse loin lma chose d’une représentaztion grégaire capitale : un sang vif sur la paroi du temps, pour faire accrooire, etc, l’holmme des cavernes en soi est logé, il porte en lui son sang du lazbeur, de la charhge lourde anilmale,cha rge  du temps à passer en roche, une éternité, je suis ce chant de roche dure, je suis ce chant, cette musique, ce tracé enjolivé, cette rodommontade,,  ce tracé de vie salvateur en moi, qyui parle musicalement la chamade, etc, il s’agit de prendre cette chose en soi, ce chant est en soi cet en-soi du temps à passer en roche dure, il s’agit d’épouser le sang, il s’agit de comprendre avec des mots nouv eaux cette chose d’une drole de cxhose en accompagnement, je vais en rochze armé de ce sang en :^moi qui reflue et m’aide à passer le cap, je suis envahi pazr des flots qui vont en moi m’aider à traverser la rocghe des temps a lloués, je rezntre, je pousse, je suis l’homme des bois qui pousse, je suis cet homme des bois et des sousq bois qui poussee et rentre, poussee le mobile pariétal et entre ainsi en force comme un malotru, je pousse ce je de vie vive, fje suis ce je de vie vive et l’animal, e,n moi, bat de l’aile, etc, je suis cet homme des cavernes qui va loin en pareille roche, je rega rde les embruns, je suis cet homme des cavernes qui en roche va loin musicalement car porté par cette musique des sphères, cartilagineuse quasiment, belle nacrée, etc, qui pôusssee à agir de faàçon douce, dans le sens du pooil, je suis cet  homme (des cavernes)-faon qui va en roche gambader et sa&utiller et se présente devant des betes qui sont des aurochs et des rennes de compâgnie, je suis cet homme-faon qui pousse la porte du temps, le temps est cet ami de roche, il est cette chosee à bien comprendre avec desmots, et le bât blesse (vraiment, conc rètement) lorqsque les mots manquent ou ne sont pasc à la hauteur des choses à dire, il s’agit de bien comprendre cette chose d’un mânque de mots soit de mots cde poids, de mots faisant poids dans la balance, il s’agit de  cerner cette chose ici d’une sorte de pesée directe dans le temps, avec des mots de poids faisant balance, la balance est là qyui porte nos poids (mots) pour contrebalan,cer le poids de la charge = la mort ! car la mort est d’un côté de la balance et lesq mots de l’autre, ces mots-animaux de belle prestance, cesq mots-betes de pazroi cde roche, je suis cette chose que je dis, et je dis cette chose que je suis, et tout cela = mots-betes (effigies rupestres) sur la balance, en contreballance, en cette sorte de contrebalancement de choses et autrtes déposzées sur le plateau de telle bnalancve du temps sur laquelle on voit : cette chose de la mort bientôt à l’oeuvre (ou qui de quoi ? mort de la ? mort qui a, est, et dit ? ce qui est de ce que mort est mais à qui ?) et des mots qui eux disent les, qui sont les mots-betes, eux disent ! ils disent à la mort d’aller se coucher ! ils l’envoient chier ! ils envoient la mort chier ! c’est ainsi que les mots-betes sur paroi de roche font, qui envoient chier lamort ! c’est une évidence ! je vois en  ces xdessins, d’hommes des profon deurs, desq mots-betes censés envoyer la mort pâitre comme betes de somme en prairie, tout pareil ! l’homme des cavernes est cet homme ici qui dit des choses sur la roche, il dessine ce dire dun dit intégral, menaçant, fort de chez fort colmme un tourment, comme une ivresse ou transe ou envahissement de sa fgouverne par un etre en soi qui en vrai n’est pas nommé car les mots manquent, mais qui n’en est pas moins présent bel et bien, qui cependant, hors les mots de latribu, hors ce je de base, existe cependant (gouverbne) comme un,e entité basique direzcte, sorte d’entité chamanesque, animalière, étrangère à soi comme l’animal de paroi, etc, il s’agit ici pour l’homme des cavernes de comprendre (art) cette chose (art) d’un e sorte (art) de scansion en soi (de martèlement) disant cette cghose d’une gouvernance à par t soi = conscientisée par la bande, comme un envahissement (une ivresse) menant lza barque à son propre insu innommé, il s’agfit ici de comprendre  cette chose d’une sorte d’envahissement natif, sans mots de trop, quyi est cette conscience étrange comme une sorte d’ivressse en soi ou d’envahiiseement de sa propre sphère de gouvernance pâr un,e chose qui est une cghose de’un dire animal, ou bien quoi ? lm’homme, la femme, le faon, l’enfant, le troubvle etc, il s’agit ici d’un jeu à plusieurs, qui eest le jeu de base de la foi, qui est ce jeu entre d’un côté les a cteurs du lieu (femme, en,fant, homme, aanimal) et de l(‘autre l’esprit sans mot de la gouvernance (en soi ou hors de soi) , il, est bon de comprendre cette chose ici d’un pazrcours de vie vive en soi , d’un contenu rageur, d’une sorte d’a mplitude dans la pensée, d’une sorte xd’injure constitutive qui serait l’injure suprême, une sorte de «va te faire foutre» scandé sur roche, martelé sans trêve, pâr un homme envahi par en lui une sorte de gouvernance hors lesw mots ou comment dire ? une passion primaire, directe, capitale, massive, orientale etc, qyui prend la mesure du verbe en sa tête, en ses jambes etc (le corps en entier) et va sur roche desssiner ou graver pareilles effigies de betes de poids portant lour-d dan,s labalance, il s’agit ici cde comp^rendre cette chose x’une sorte de contrebalancement direct et efficace un temps , sur roche, au charbon de bois, au manganèse, etc, un hommùe dessine qui bn’a pas les mots de sa gouvernance et sait que gouvernance en lui existe, sait de base, sait car il vit la cghose, cette cxhose d’une gouvernev ou gouvernance en lui malmgré lui, comme un flux massif et sanglant qui irait de lui ou en lui vers  l’ailleurs du devant de lui, ce devant pariétal xd’un temps alloué , et lui de placer des poids sur la ba  lance (= des injhures = desq mots-animaux) qui sont poids de belle massse, pesant loursdd dans la balance comme des i njures de belle force, comme injures les pires,, etc, et cela sur roche dure soit sur roche du temps, car le temps est tel que la roche est dure pour l’homme ou la femme ou pour l’enfant de ces temps anciens, le temps de la roche est celui que l’homme des cavernes dessinaientb pour sa gouverne, l’homme des cavernes dessinaient xdes betes pour sa gouverbne, pour en lui sa gouverne etc, cap de bonne espérance, etc, il essayait ou s’essayait à dessiner fissa, illico presto, à main nues, à main levée, en tyranse, dans l’outyrance de latranse, dans une sorte  d e transe animale, dans la transe-danse dun envoutement de vie, il (l’homme) dit sa chose sur roche = injure, il est homme qui injure dur, il est injure dite homme que, que ça, il homme est injures que ça, sur cette roche de, il homme que est dû, qui a donc cette voix qui est celle que est, son coeur dire, sous emprise de la bête en lui, bête qui est sa gouverne (= je) en l’absence d’un je de gouverne directe, il est l’homme qui dit sa gouverne et cela de cette manière , la sienne en prop^re, avec des mots-animaux qui sont des injures, c’est à dire des «gros mots « qui pèsent lourd dans la balance de latranse, etc, l’homme xdes profondeurs (profondeurs de la grotte) injurie , et ce faisant il pose des mots de roche lourds danslabalance et contrebalance l’»injure de la mort à l’oeuvre, son corps en entier dit la chose en transe, il est l’homme de la profondeur de la langue, ses mots sont couplés à ceux de la roche et représentent ... quoi ? l’éternité ! d’une injure capitale, ce «va te faire foutre» d’origine, ou des premiiers pas , etc, nous pensons que l’homme des cavernes, maniait son verbe de cette manière, au pic de bouche, en transe, à la serpette,, cavalièrezment, brusquement, sur roche, au sang de sa voix, etc, il cracxhe, il émet, il donne, il dépose, il est cet homme qui donne de lui dans lma balance ce dépot de choses dures, critiques, qui sont betes-mots de poids massif , commùe inhjures ou cris de haine etc, son aenvahiisement de gouverne est tel que son etre est dur de la roche dure, tout pareil, son etre est de la roche dure, il est l’homme qui est l’homme d’une sorte de «revve,ndication motrice», comment dire ? il bouge et file direct sur roche des temps impartis, et hurle sa joie )-souffrance, etc,n , il est cet homme qui est comme en prise directe avec les él;émeznts de la roche : homme que est ce qui, que est cet homme qui, qui est-il ? il est  ce home que mort veut, il est ce homme que mort veut de suite ! il ho:mme est ce que la mort veut de suite ! il est homme que mort veut de suite! ho=mme est ce que mort veut de suite ! homme il est que mort le veut là, direct, sur soi de table, est offert le présent à la place ) le don, la chose,  cet art de ruse , etc ! je est cet homme ici que je veux etre : en ! cet homme de mort qui est ici pour etre, ce que mort veut direct, sans étapes, sans stations, sans temps mort, sans pperdre le tempsq ! il est cet homme, qui dit sur roche sonn tourment, et cela haut et fort ! il ne lésine pas ! il veut essayer de comprtendre le plus qu il peut avec ses mots-betes et cela est difficxile car les mots lui manquent grandement qui ne viennent pas dans sa bouche et cette chose a le don de le mettre en rage et de le déboulonner, de le déplacezr, de le bousculer et de de le ficher face contre roche, joue sur paroi, ainsi de suite, l’homme des cavernes est cet homme qui sait (connait) de l’intérieur son problème de gouvernance, il sait (connzait) de l’intérieur son problème de gouvernance et il dit haut et fort ce problème sur paroi, il écrit, il dit sa chose, il d-dit sa cxhose avec ses mots qui sont des mùots-animaux de maintzenance et dezmain il emploiera d’autres mots que ceux là, des mots de bouche durs, des mots durs de bouche, pûis d’autresq encore, moins durs etc, sa voix se forme, le chemin est long , il est l’homme des injures natives, il (l’hommùe des cavernes) est cet homme aux injures jeunes, neuves, aux fraicheurs etc, il dessine ses mots de betes dures, il est dur de la chose dure comme la paroi, il est l’homme qui dit sur roche ce que bon lui semble à) devoir etre, etc, car sa voix se forme peu à peu, sa voix eest sur le chezmin d’une reconnaisance, je va naitre, bientot je sera né au monde et les mots-betes trouveront à) peu à peu s’enkyster en lui comme reliquats, comme des sortes embryonnaires de choses e,nkystées etc, il est l’hommùe des cavernes folles, l’homme dur de la caverne follle, son nom est écrit sur la roche : Le Nom, et c’est ainsi que l’homme des cvavernes existe pour nous, en tant que l’homme qui écrit son nom sur la roche : le peetit de l’homme, le cerf, la biche, l’aurochjs, le boiteux, etc, son nom est celui qui est dit en toutes lettres animalières sur paroi de grotte, au fin fond de celle ci, caché de la masse, etc, il est l’homme qui sait (ou connait) de sa gouvernance une sorte de chose qui est (cette chose) à comprendre (pour lui) avec ses moyens qui sont rudimentaires d’un certain côté et pas du tout de l’autre, de l’autre tout le contraire, il est bon de xsavoir cela, de comprendre cette chose à deux (l’animal et moi) en moi et pour cela de se rapprocher de la paroi ornementée, de voir les dessins, les gravures de prè!s, de comprendre ce qui est ici qui est dessiné et qui représente un poids sur le plateau d’une balance, il est bon de bien mesurer ce qui est ici qui se joue en matière de pesée, de pôids déposé, il est bon de comprendre cette chose ici d’une sorte de pesée de base, basique c’est-^à-dire native = des profondeurs de la base du temps, et cela les yeux ouverts, tout ouvert pour cezla qui est d’importyance, ouvrons grand les yeux sur pareille chose de grande importance, ouvrons les yeux en grand sur cette chose de grande impôrtance et qui dit la chose comme quoi des betes (représentées) sont des poids de charge sur une balance (oui !) car le poids ici a son importance : la fidélité au modèle et la pesanteur de la charge, car deux bisons pesent plus, deux aurochs plus deux rennes , plus deuwx autres rennes, p^lus encore plus, etc, il  s’agit de voir ici cxces choses d’une vie riche enn pesanteur de toutes sortes, il s’agit ici de voir ces choses dures, dites, comme elles le sont, sur roche, pazr des hommes privés de mots ou commùent faisaient ils ? nous essayons dee comp^rendre, d’entrer en pareille roche, nous essayons de nous projeter mais bien évidemmentb lqa chose n’est pas si facile et il est nécessaire pour ce faire cde connaitrte un ghrand nombre de données con cernant ces choses de paroi, de roche, ds’animaux reprzeésentés par des hommùes des cazvernes à une époque où tres certainemùent les mots en bouche manquaient cruellement et ce manque dès lors devait présider et comman,der ce qui arrivzait, ce qui advenait sur roche, on peut penserr que, autrefoisn, les hommùes des cavernes n’avaient pas en eux les mots, les termes adéquats en bouche pour s’exprimer, et cemanque en bouche a ou devait avoir son importance certainement, l’homme alors ne pouvbait pas dire des phrases cvomme nous le vfaisons aujourdhui, et sa cvondition d’homme comme  musekllée devait fortement peser da,ns la balan,ce et jouer des tours ou llui jouer des tours, l’home des cavernes parlait peut etre, nous n,’en savons rien , une sorte de sabir des origines, quelques termes triée sur le volet pour ainsi dire, c  ‘est possible mais ce n’est peut-ettre pas probable car les mots que nous nous connaissons de son époque sont ceux là que nous nous pouvons «lire «(‘(entre guillemets) sur la roche, ces betes, ces mains, ces traits divers,n, ces figures géométriques, ces essais ou cvomment peut on dire, scandés, martelés , serinés, etc, pour qui, pourquoi, et dans quelle mesure ? cela est difficile auhjourdhui à savoir car le temps est passé et a rezcouvert tout cela de son voile de bure qui nous gene beaucoup auijourdhui aux entournures, l’hommùe des cavernes écrivait son nom sur la roche, le nom xd’emprunt, son nom de gouvernance pour ainsi dire, il habitait la paroi du temps et savait en lui qu’une sorte de gouverne présidait mais gouverne à lazquelle ou pour laquelle il lui était difficile de donner un nom précis , par manque de mots en lui, essentiellement, l’homme des cavernes témoigne à sa façon («omar m’a tuer») de ce qui est en lui quyui préside, il dit comme il pêut pour les générations qui peu à peu viendropnt, il dit avec ses moyens, ce qui est pour lui en son coeur ou en son antte, etc, il témoigne du fait que 1, il sait sa gouverne, il sait qu’en lui existe une gouverbne, et 2, cette gouvernbe, par manque de mots, prend les traits de ce qu’il connait en faits de ghouverneurs, et passeulement cela, il dessine exactement ce qui pèse dans une balance divine, il met sur roche ce qu il peut qsu il sait pesant, ce qu il peut qu’il sait que ça pourrait le faire en termes de poids, sur le pl;ateau d’une sorte de balance de vie divine, etc, divine ici = liée à la mort qui guette, etc, ici dieu = la mort, ni plus ni moins, dieu est l’autre nom quon donne à la mort, c’est à dire à cet inconnu des temps à venir, à cet inconnu du lendemain, de l’après, du lointain, c’est à dire de l’espace-temps à venir, etc, dieu ici est l’équivalent de la mort, en termes de mot, il est l’équivalent parfait de ce mot (ou de cette chose) de mort, ou de la mort, dieu = mort à venir, etc, et l’homme des cavernes, lui, a comp^ris (sans mots ? ) cette chose en lui, du fait qu’en lui existe une gouvernance, c’est à dire un cap, un pic, etc, il sait que ce cap en lui est très lié à la mort à l’oeuvre, il sait que si la mort est à l’oeuvre il est nécessaire pour lui de contrebalancer la chose par une oeuvre sorti de lui, pâr cette chose à l’oeuvre en lui, etc, la mort a en elle une chose qui est cette chose que l’homme des cavernes injurie, et ce faisant il dépose comme un présent, et le présent (du temps) ainsi est une injure faite à cette chose de la mort à l’oeuvre, ni plus ni moins, l’hommùe des cavernes dit son dire animalier car il sait que sa gouverne est animalière, qui pèse dans la balance de la vie et de la mort à l’oeuvrre, l’homme des cavernes dit sa chose sur parois, il est vif, il est celui qui sait qu’en lui existe une gouverne, il voit cette chose, il sent cette chose, il cerne avec ses moyens cette chose et ceztte chose est pleine d’une sorte de ressentiment ou de rage ou de co;lère, de colère certainement, et cela apparait dè§s lors sur le plateau de labalance de la vie et de la mort, cela est une évidence, cela est, cezla se présente comme une évidence, il semvblerait que cette chosex ici soit cette chose cd’une sorte d’évidence de balance, une sorte d’évidence sur balance, etc : on a ici affaire à un etre (homme ou femme) doubléxe d’(un faon ou d’une autre bete de roche, qsui , se sachant gouverné, agit sur roche, tout à l’écoute de cette gouverne dont il est portyeur, il semblerait que nous ayons affaire à une sorte d’homme surprzenant, qui est l’homme qui (privé de mots) les inventent sur roche au fur et à mesure que le temps avance dans l’histoire de l’humanité, un homme a éécrit sa chose sur rochje, le témoignage peut-etre de cette violence en lui (quil subissait) de ne pâs pouvoir refuser la bete, cette bête en lui ou quoi d’autre  ? le contraire ? fier, d’arborer la bete ? fort ? il chantait, il se laissait aller ainsi sur roche, dessinait à quimieux mieux sans cesse, en transe tres certaionement, comme un homme lié à la danse, au chant des profondeurs, au bruit que font ensemble les courants en,tre les parois, il écoute et voit, il ressent, il n’est pas en manque de sentiment, etc, l’homme des cavezrnes est un homme riche et profond, il connait foultitude de choses et il sait naviguer dans sa vie comme un etre qyui connait la vie, qui en connait un rayon , il avance en roche comme soulevé par un chan,t de betes menaçantes, il se lèève, il se lève de sa coucxhe, il va ainsi en rocghe , et là il dessine, il grave, des aurochs, des antilopes, des buffles, des bisons, des chevaux, des rennes, ees zébus, des cerfs et autrtes cervidéd$s, ttoutes sortes d’a nimaux des chazmps et des bois , mais étrangzement : pas d’insectes, quasiment pas d’oiseaux, pas de poissons, presque pas de petit gibier, pas cde lapîns par exemple, alors que l’on sait que ceux  ci pullulaient à son épopque, on a retrouvé des centaines d’ossements de petites betes qui étaient des lièvres, des lapins, des renards etc, donc ces betes-là existaient à l’époque de cet homme de la préhistoirte or étrangement jamais ces  betes ne sont pour le coup représentées et ça ne laisse pas de nous intriguer car un lapin est finalement assez facile à representer de façon distincte ou plutot on peut dire qu»’un lazpin se prete volontiezrs pour ainsi dire à etre représenté d’une manière qui soit fid èle au modèle, et reconnaisqszable, tres reconnaissable, or notre homme des cavernes non, en décide autrement , et donc ne représente pas ce petit gibier, on peut donc pênser quil «hierarchise» les représentations, d’une certaine manière, c’est à dire que pour lui , de représenter un bison (ou un cheval) compte (puisqu’il s’y colle, et combien de fois !) alors que de représenter un lapin ou un lièvre ne doit pas avoir à ses yeux la même importance (puisqu’il ne s’y vcolle pas), etc, il sembkle dopn,c que l’homme des cavernes avait en tete (ouù ?) une sorte de classement des betes à représenter ou à oublier  ou à ignorer, à délaisser , il semblerait que :l’homme des cavernes hiérarchisait ce qui était à représenter sur roche et ce qui tres certaionement ne l’était pas, pour des raisons qui restent pour nous à comp^rtendre, en tout cxas voilà : nous avons cet homme, il dessine des bisons ou des rennes, ou des cerfs, et néglige les lapins, pourquoi ? pourquoi fait-il cette chose ? eh bien onpeut penser que cet homme avait sa petite idée derrière latete, et cette idéee derrière latete étzait, comme de bien entendue, ... «derriere sa tete», ou «derrière la tete», à savoir : derrière , et que trouve-t on derrière latete  sinon ... quelqu’un d’autre que soi , quelqu’un qui serait une créature, une bete, un aan imal, un animal de taille, forcément, puisquie «derrière la tête», et donc nous voici en preésence d’une sorte de créature animùale, dans le dos de l’homme des cavernes, qui monte sur lui à vcalifourchon ou cvomment dit-on, sur ses épaules peut etre,, ou cavalièrement, etc, il le chevauchge , il chevauche l’homme des cavernes, et là il le pousse commùe pour ainsi dire dans ses retyranchements les plus enfouis, il le pousse à agir sur roche, à dessiner, etc, lm’homme des cavvzernes est un homùe sous emprise car en lui manque sinon sa gouverne (,non) mais un langage, une langue articulée, une langue articulée lui manque pour parler les choses de savie, et surtout pour parler ou faire parler sa gouverne», car oui ! il sait cette chose : gouverne en lui, il sait cette chose mais ne peut lui prêter des mots par mùanque de mots, et dfonc il agit de cette sorte dont il témoigne, il dit ses dires-animaux avec des mlmots-animaux qui sont lesq mots les mots de son paysage aussi mais pas seulement, il dit les gros mots, les mots massues, les mots qui en imposent lourd dans la balance du temps pariétal, il dit des mots qui sont des betes-mots de poids, qui p^èsent lourd,; et ont de l’impact, l’homme des cavernes connait sa gouverne, et cette gouverne en lui il la sait ou la connait car il est témoin de cette chose, cvomme en man,que d’ettre con 

d’etre emplie, d’etrte comme remplie de mots de 

de mots qui en somme disent ce quils ont à dire, l’homme des cavernes sait que sa gouverne est orpheline, l’homme des cavernes sait que sa gouverne est vide de mots, a besoin d’etre remplie, emplie cvomme une outre, un vase, une amphore, un récipient, une gourde, etc (un pot).

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7/04/2021

j’entend cette musique de la roche , de la blanche porte, j’entend monter cette musique du fin fond de cette roche du temps pariétal, je l’entend qui vient à mes oreilles (oreilles de faon) et il s’agit d’un chant rupestre, guttural, un peu sourd, une sorte de mélopée langoureuse, une sorte de mélodie a minima, un son continu, des sons qui se chevauchent etc, comme  chevauchements sur le dessin d’un homme sur paroi de grotte, je suis ce chevreuil qui entend, je suis ce faon de roche qui entend et fait (un peu) la sourde oreille car ce chant est un chant d’appel, et est là pour inciter les ames des défunts (?) à passer ce cap de la blanche porte, et à s’introduire en icelle, à gagner du terrain ainsi, enttrer par pareille béance blanch;âttre etc, quand pour ma part je me garde bien de succomber à ce pouvoir de la musique , à cette sorte de pouvoir contenu en pareille musique montant (?) ou des cendant (?) de pareille cavité, je me garde car je ne veux, c’est à dire que je ne veux point, non, je ne veux pas alller plus loin, jje suis touché par son chant de roche, je suis évidemment touché par ce chant de la roche et j’en subis les effets directs, de par le fait que je suis aux premières loges et que ce son arrive jusqu’à moi jusqu’à m’envelopper de ses effluves pour ainsi dire : oui, et cependant, je fais en sorte de ne pas me laisser charmer, je fais en sorte de toujours bien me tenir sur mon quant-à-soi, sur mes gardes etc, afin de ne pas succomber aux charmes de « belle» , la Musique, la belle musique des profondeurs de pareille blancheur nacrée, non ! ne veux en aucun cas succomber ! alors oui j’en subi directement  certains effets, qui me font (un peu) chanter « avec elle » , qui me font (un tantinet et comme à regret ?) chanter (un poil) avec elle qui me fait des effets , qui sur moi fait son petit effet, m’influence en partie, etc, cela oui, cela est un fait, et cependant, je fais cette chose, de rester ainsi sur mes gardes, de toujours et encore veiller à ne pazs me laisser emporter par pâreilles sonorités venues des profondeurs, cette langue montante (descendante ?) qui vient direct, en moi, comme un chant qui enrobe, scande, enjolive, tournbeboule etc mon cri de faon de la première heure (etc) , je me garde bien de succomber par trop, et je me tiens dès lors à bonne distance de pareille mélopée ou mélodie ou de pareille langue de  ce chant de la roche du temps, qui vient jusqu’à moi et m’enveloppe, me contient, me prend et cherchev par tous les moyens à s’introduire en moi, en moi-même, et moi de renacler comme bete des prés, et moi de renacler en veux tu en voilà car je ne veux en aucun cas passer l’arme à gauche et plonger en cette cavité blanche de roche : cela non ! à d’autres ! point à moi ddis-je ! etc , car je suis le faon géant qui guide et le guide doit rester le guide, il ne s’agit pas de sortir de ça, de ce schéma-là, si je suis le guide alors je dois rester le guide (de cet homme des cavernes) , je suis ce faon qui va aux portes des enfers (?), je suis ce faon qui pour le coup vous accompagne jusqu’au bout du bout d’une vie terrestre allouée , et ce faisant je suis dans votre coeur celui qui impulse le start, qui donne le clap, etc, je suis, je suis ce faon , je suis je suis, ce faon de la roche, je suis ce faon qui donne son aval, en amont de toute vie de roche, et accompagne le parcours de l’homme et de la dfemme des cavernes jusq’à bon port, je suis homme et ffemme des cavernes, je suis un peu homme et femme des cavernes, etc, car je prends sur moi, j’accompagne collé-serré, je suis attenant, je suis celui qui monte, qui est en, qui enfreind les règles et prend, etc ? ou alors je suis celui qui est monté comme un cheval de course , cheval de prairie qui va loin en pareille zone de paroi et amène son cavalier ou sa cavalière à bon port (bout du bout), qsui est cet endroit blanc en échancrure de paroi, je suis le faon des roches, je suis l’animal accompagnateur (de latranse) et à ce titre je suis roi, roi de pareil endroit de roche dure, un peu roi de cette sorte de royaume ou de palais , la roche, qui est ce palais ou ce royaume des temps alloués à) une vie humaine (terrestre = pariétale ?) , je vais et je viens sur roche, je me promène, je suis dégagé de toutes sortes de pressions malencontreuses, je fais mon chemin, je fais ce que je dois faire, je suis celui qui fait ce quil doit faire, et ce quil doit faire = cette chose d’une sorte de chemin commun (un partage) avec un homme ou avec une femme, un homme rupestre, une feme des cavernes, je fais mon chemin de ronde en cette roche des temps imparetis et j,’attend l’heure de voir se pointer le museau d’une sorte de créature mi bete mi homme (ou pas loin ?), une crreéature «secondée», qui est ou serait cette créature de bord de roche (paroi) venue à ma rencontre, et que je me dois d’accompagner fissa jkusqu’au bout du bout, à savoir jusqu’à cette «blanche porte» aux embruns nacrés (? , ), aux effluves (?), aux musiques des profondeurs, etc, j’accompagne, mon rôle ets celui -là, de devoir accompagner, d’aller à larecontre de ces créatures et d’accompagner celles ci jusqu’au bout du bout de pareille paroi de grotte et cela : parmi d’autres créatures qui sont dessinnées , elles, sur roche, ou gravées, par des hommes ou par des femmes, et qui sont ces betes de masse ou de taille qui , betes fortes, massives, en imposent follement et jouent leur rôle (en quelque s sorte) d’épouvantails (?), je regarde l’homme-bete venu jyusqu’à moi et je lui fais signe de bien vouloir vers moi venir et me suivre, me suivre longtemps si possible, je suis le faon -accompagnateur qui incite (propulse aussi) de cette manière que je fais, à savoir en allant à la rencontre et en faisant des signes, ces signes sont presque codés, il s’agit presque de signes codés du genre kabbale ou comment dire ? mes signes en tant que tels sont des qui sont codés et qui doivent ou se doivent d’$être déchiffrés, ou alors qui se doivent d’être retenus cvomme des qui ne sont surtout pas à ignorer mais tout le contraire, j’émets (de moi même) un certain nombre de signes ou de signaux «kabbalistiques» et ces signaux je me dois de les préciser, de les présenter d’une manière précise, afin de pouvoir dès lors donner à l’Autrte (la créature mi bete mi homme) un semblant de chose sur quoi s’appuyer pour me comprendre et comprezndre $le messaghe contenu en pareil message, je suis ce faon qui émets des signaux de type kabbalistiques, et ce cfaisant hj’avance en prairie comme dans un livre, car chacun de mes pas est signal, chaque pâs que j’esquisse = un signe ou un signal, un signal et vif, un signe de vie etc, je suis le faon tout entier tourné vers cette chose d’un message à délivrer, à délivrer par la bande = en cette zone pariétale des embruns, roche de la préhistoire, art pariétal, art de roche, arts des temps premiers, signes des temps alloués, etc, mon travail est travail de signalétique et tout ce que je fais en pareille roche est codé ! tout est codé ! touts (qu’on se le dise) est codé et presque presque ?) à mon insu ! car je suis le faon «édébordé», je suis le faon «envahi» , je suis le faon «pris à paretie», je suis le faon d’un langage outré qui erst le langage de laroche dure des temps impaertis, cette chose rebelle, ce vif parler de buffe ! cette soufflerie animalière, ces gros gros mots de roche dure comme du caillou, ces coups du sort, ces entraves, ces cassements ! je suis faon qui «parle» un langage de signaux rupestres, je m’envole en pareille roche des temps vers blanche porte, je suis moi-même cette blanche porte des temps alloués, suis je bblanche porte ? ou suis je kabbale ? je suis tout entier tourné vers cette sorte de recherche de messages en moi à délivrer (sonores, visuels, cinesthésiques,; etc) par la bande à ceette créatrure des parois, mi hommùe mi bete, arrivée de par la roche meuble, armé de son pic verbal xde bon aloi, et qui,  une fois entré»éée, va vite se porter vers moi et de me demander (ou pas ? )de la seconder dans sa volonté d’aller loin en ceztte roche et de gravir ainsi la pente (monticule) vers ce bout du bout pariétal, vers ce bout de roche dure aux portes ouvertes , aux (portes ouvertes) ? ou à ? à ... la porte ouverte, à une, pas à deux , ou alors si à deux ? deux portes ouvertes ? côte à côte ? deux portes pour un seul passage, au choix ? nous ignorons, en tant que nous sommes simples chevreuils de  bas étabe, qyoique chef géant, cerf gé»ant , qui va son chemin, altier, et en jette un maximum , de par sa prestance, sa tenue dirigée, son port de tete, son allure de grand seigneur de la lande, sa démarche fine, imposante, appyuyée, légère, etc, je suis ce faon qui «parle» codée en roche et donne des signaux quasi 

subliminaux à cette créature d’immixtion dite «pariétale», cette créature mi chair mi poisson ou comment dit on pour dire cette chose d’une sorte d’hybridation pariétale, cet homme à bec, bout de bois tenu, ce sceptre, cette chose dure à bec de bete,, etc, il s’agirait pour moi de savoir parler ce langage des hommes et dès lors communiquer avec pareilles créatures hybrides (etc) et les comprendre au mieux et moi -même au mieux me faire comprendre, car je suis le faon qui agit, parle, gewsticule, sautille «en codé» à perpétuité et cela car tout ce que je «fais» s’inscrit sur la roche comme un signe, et ce sign e est à déchiffrer pour le coup, car tout signe est à déchgiffrer, et dès lors qu’il s’agit d’un signe qui s’inscrit , dèds lors ce signe est ou sera à déchiffrer en tant que tel, c’est )à dire en tant que signe des embruns, de la roche dure, des passages du vent dans l’entre-deux-mers, etc, il va s’agir de cette chose , d’une sorte de signe kabbalistique, un air de deux airs (eh voilà !) qui là, sur roche, s’impose à la vue, aux sens de cette créature d’immixtion soudaine (au pic an imalier : cohorte de mots-betes) qui vient de rentrer , d’de se placer, ou lover, qui juste vient d’arriver (naitre) en pareille roche pariétale, une sorte d’arrivée des profondeurs du temps, et cette survenue est à considérer comme l’arrivée nouvelle d’une sorte de bébé de la roche dure, un bébé  venu à marencontre,  une créature nouvelle, une sorte de nouveau-né à une vie neuve ou nouvelle, etc, je vois cette créature, je la vois qui pointe son museau à travers la paeroi (elle dessine un arc) et je vais vers ezlle, je l’(aide à pénéttrer la roche, et je m’aggrippe afin de prendre icelle sur mon dos ailé et ainsi fait je vais, m’envolant au sein de la roche (cette enclave), et là je volète, je batifole dans les airs, tourneboule que tu tourneboulezras, et là je vais direction les embruns (l»évitation !) , la porte blanche, la blanche porte, je vais vers pareille porte ouverte, blanche nacrée, vaporeuse : des vapeurs, de la fumée ? de la blmancheur nacrée, une cavité ? qui mène à quoi ? un pis-aller ? une tombe ? un tombeau ? un trou dans laroche ? une porte d’une demeure ? un chemin tracé qui monte (marches )- ? ou bien qui descent (marches) ? qui peut ou pourrzait ou veut ou voudrait nous rebnseigner un tant soit peu ? qui vneut ou voudrait nousz renseigner un peu et nous dire ce qui est ici en cette matière de vie ? qui voudra nous dirre ? car pour ma part je n’en sais pas long en dits-mots, je peux dire par la bande oui, à savoir que mon existence tout entière est dire (mots) qui désignent etc, car mon exisytence est faite de signaux (de signes divers) que je suis à émettre par la bande  c’est à dire à mon insu pour ainsi dire(ou pour ai nsi lmal dire ? ) et ces signaux que j’émeys désignent un certain  nombre de choses des profondeurs (? ) ou sinon des profondeurs, désignent un  certain nombre de choses de surface (?) etc, mais qui restent à déchiffrer par qui de droit ou par qui du savoir, car pour décghiffrer un code il est préfé&rable (obligatoirement) de connaitre pareil code, de savoir décghiffer celui ci dans le moindre de ses recoins, obligatoirement, un code est un code, et tout code a ses secretts quu’il est préférabvle de connaitte si l’on veut savoir ce que pareil code cache, montre par devers lui ou en lui, de caché-masqué etc, un code est codé, un code est masqué, est masque, etc, je suis le faon -masque, je suis tout codé , de par ma constitution première, mon nom mêùme est codé, tout ce que je fais et tout ce que j’entreprend est codé, tout est codé de a à z en moi même ou disons dans tout ce que je suis à même de présenter de visu, et plus encore : aux sens de cette créature des parois, venue à ma rencontre, l’etre hybride, mi ange mi démon ? ou bien mi bec mi baton ? ou bien mi chair mi poisson ? etc, je m’approche et mon approche «dit» des choses à cet auttre de paroi qyui vient d’arriver, et ce que «je» dis  se dit à mon insu obligatoirement car je n’ai pas la main sur tout de moi, tant de choses de moi m’échappent, se disent par défaut (un défaut ?) etc, et de  ce fait, cxe que «je» dis par mon comportement (etc) se dit (en partie ?) à mon insu et cela est à déchiffrer car cela est des signes, ce sont, il s’agit de ces signes de type (quasi) kabbalistiques dx’une sorte d’existence pariétale (ornements) qsui est l’existence d’un faon géant, ou bien ailluers d’un renne ou d’un aurochs, art de la roche, art d’un homme, art d’une femme;, art des parois de grotte, art = façon d’entrter, etc, comme  de bien toujours entendu, il s’agit pour moi de faire ainsi que tout de moi appa raisse en tant que signes codé (kabbale) par la b ande , une chose et une autre codées, tout de moi doit (se doit) d’apparaitre / apparaitre ainsi de cette façon qui se voit comme COD2E  de telle manière que chacun de mes gestes de rocxhe, le moindre , soit considéré en tant qu il masque quelque chose d’autre, qu il dit autre chose, que ce qui est «dit» ou «montré» est le masque d’une chose autre, qui serait «derrière» (derrière ? où ?) et qui xserait dèds lors à déchiffrer de fond en comble,;(combble) etc, je suis ce faon dxe la première heure qui est passeur d’ame et qui agit kabbalistiquement en et sur roche comme par l’entremise d’un langage en soi : pierres de taille ici ou là déposées , qui sont autant de lettres d’une sorte d’alphabet de roche, faits de signes et signzaux divers, provenant de cette bete que je suis pour vous, ce faon en ses simagrées ou autres gesticulations qui sont autant de «pierres» ou de «lettres» cdéposées sur une rétine ou dans le cerveau d’un etre hybride nouvellement promu au rang de ceux qui entrent, qui s’inscrivent en roche, qui naissent à la paroi, qui s’incrustent comme dessins ou gravures d’hommes des cavernes, faon je suis qui montre des facettes, facettes diverses qui sont (toutes) à comprendre à l’aune des embruns de cette roche «fluide» ou tout comme , je vais et je viens sur la roche, je cours sur ezlle comme un dératé, je suis qui va sur roche comme un dératé, j’avance ainsi de monticule à monticule, je vais sur roche ainsi : de monticule en monticule, je suis le faon guideur qui donc amène icelle ou icelui, icelui ou icelle à bon port (ou iceux) et les laisse ainsi aller, dedans porte blanche, sans suite pour moi, car ne veux pas, car je ne veux pas, car pour moi il est hors de questions de vouloir cette chose, d’entrter à leur suyite en pareiille cavité de roche, en cette blancheur, en cette chose d’une sorte de blancheur vaporeuse des limbes, ce secret bien gardé, cette chose douce aux embruns plastiques, cet art d’un faire vivant, cet art d’un aspect limbé, etc, je vois cette porte au devant mais je me garde de m’en approcher de trop , des fois que «quelqu»’un « me pousserait dans le dos, à me fgaire trébucher et tomber en elle, en cette sorte de trou ou de passage, etc, je ne sais que dire de ce passage car en vrai je ne vois pas loin en lui , et ce que je vois se résume à ce que j’en dis là depuis le cdébut, à savoir une porte de grande taille, aux contours imprécis car recouverts ou masqués par des vapeurs blanches : embruns ? vapeurs ? fumées ? je ne sais, mais il s’agit de couleur blanche , comme  souvent il est dit, de cette couleur blanche de la fumée blancjhe ou des vapeurs blanches ou des embruns blancs bleutés, ou blanc nacrés, etc, que dire d’autree ? on dirait qu’il s’agit d’une bouche, avec à l’intérieur ... une marche ? une langue ? le bout d’une languee ? un organe ? le bout d’un organe ? organon ? je n e suis pas à même d’en xdire plus long car je suis court sur patte peut être pas car je suis géant mais court de vue car mes yeux ne s’approchent pas davcantage et restent à bonne disqtance de pareille entrée finalement plutot dangereuse il semblerait, car personne ne revient de là, jamais personne ne ressort pour dire de quoi ikl s’agit, alors fauut il enttrer en cette cavité (à son tour) pour avoir (acquérir) ce savcoir, Le savoire, la vérité, etc, sur ce qui est (existe) à l’intérieur ? que peut il y avoir en cette cavité ? quoi peut il existezr en pareille cavité blanche ? quoi existe derrière ? derière tout court ? qui partout toujours existe derrière ... et ici plus que paertout ailleurs ? je (nous) ne savons (sais) pas, il est bon de dire cette cghose ici, commùe quoio je (nous) ne sais (savons) pas loin, pasprofond, pas large , pas haut, pas bas, etc, sur  c e qui existe ou existerait en pareille roche trouée, en cette roxche dure trouée, en cette béance blanche (etc) qui est ce fond de grotte ou fond de roche dans la grotte, faon je suis qui ne sait pas lourd, qui ne sait pas large et ne sait pas long, etc, alors même que j’aimerais beaucoup en savoir long et large, lourd et profond = des masses, des poids de cghoses, des poids de ces choses, du lourd de chez loursd : bisons ? bisons et aurochs ? aurochs-aurochs-aurochs ? peut-être ! car j’aimerais que ces sacvoirs de poids soient en moi des savoirs indéboulonables, vérités de bon azloi pour une éternité de temps allouée, je voudrtais celza, car faon, car ce faon que je suis ou serais, ce faon parle pour lui , hors moi pour ainsi dire, et ce qu il dit est «signaux» d’une sorte d’arrière-boutique de soi ou commùent dire cette chose de pareils signaux émis ou qui seraient émis comme par la bande = à son presqu’insu ou comment autrement ? car je batifole sur roche, et batifolant je parle et dit ce que «je» a à dire ou quelque chose d’approchant ! jke batifole-parle et émets des signaux de type kabbalisttique : tout ce que je «dis» par mes batifolages est à déchiffrer et à comprendre comme objets cachés (secrets) et enfoius, je ne suis pas ce que je suis, je ne suis pas bambi des prés, je ne suis pas cette chose ou cette créature, je ne suis pas cette créature faonesque en vérité, je ne suis pas le manitou, ni cerf ni cerve, ni cerf géant ni biche aux attraits, ni biche de gré, etc, ne suis pas, je ne suis pas cet homme , je ne suis pas cette femme, je masqu e et j’apparais tel que vous me verrez mais ce que vous verrez ne me ressemble en aucune façon car mon apparence est kabbalistiquement masqué par des apparences trompeuses et les apparences sont toujours trompeuses qui nous font prendre (et dejà avec soi même) des vessies pour des lanternes, or : la douleur, les angoisses, les phobies, les choses et autres qui ont pris la place et vous font souffrir ou souffrance, cela est à considérer à sa juste mesure et de juste prix , etc, nous devons considérer cela comme une chose qui a pris la place en n ous et qui est la croix à devoir porter avec soi jusqu’au bout du bout du chemin de croix et a lors ensuite nous saurons cette chgose, ce poids sur nous, ce que ce poids était , et pour nbous et en définitive : fumée ? blancheur ? effluves ? musiques des attraits ? quoi de pk;us ? nous saurons ce pour qyuoi nous nous sommes mis (faons) martel en tete comme à notre insu et ce deès lors que nous avons franchi le rubicon de la venue en ce monde rocheux d’une paroi dure d’un temps alloué à une vie, nous sommes faons (je suis) et faon demeurons (nous sommes) etc, et tout ce que j’entrepends en cette roche de la grotte est une sorte de signal de guide, une sorte d’injonction, d’appel, etc, or non ! or oui ! que dire ? mlmon corps est à la science, ma main est surnuméraire sur roche, mon ^ame est partie, mon choix est fait de rester faon de roche dure, lové en elle, comme soulagé d’en etre , comme inclus, etc, et cela a une importance, à mes yeux de faon de lza première heure, considérable, a une importance considérable à mes yeux, car je suis le faon -guide des temps, l’enfant du sabir codé, cet animal ou  ce petit animal, cette bete fine racée qui enjambe, volète, fonce, grignote le temps de son encvol de bete ailée, etc, je suis le passeur de roche, je suis roche moi même (en somme) et passeur d’icelle par la bande : suivez moi, ne trainez pas en chemin, suivez moi jusqu’au bout duu bout, venez vzers moi, suivez ce chemin qsue «je» trace pour vous sur cette roche (dure) aux embruns, suivez, suivez ce chemin, suivez ce tracé au sol, mes traces de pas (empreintes -ma rques, empreintes-mots), et là vous allez arriver à une sorte de paroi blanchâtre ( nacre) qui va vous surprendre en  cela que d’elle sortiront des nuages de vapeur d’aeau ou de fumée blanche, je ne sais , et ce sera alors à vous de décider si oui ou non vous ambitionnez d’aller ainsi dedans la chose ou non , ce sera un choix que vous aurez à fqaire : entrer en pareille cavité blanche , ou pas ! voilà toute la question ! un choix cornelien s’il en est ! etc, car ce chgoix nb’est pas facile, cela dans la mesure où personne jamais n’a dit ce qui en était de cette cavité, personne jamais n’est revenu de cet antrte ou  de ce trou, qui est une bouche oui, et après ? mystère ! oh le mystère ! car il y a mystère ! il y a ce mystère ! oh donc un mystère existe ? « il sembklerzait alors, que existe mystère le, de mort la, de Mort de Bouche la, cette bouche MOrt de paroi qui, qui est bouche Mort paroi de», qui est personnification dure d’un objet dit «mort», ou comment ? dur à dire ! dur à penser ! le mystère de la profondeur dans la blanbcheur , ce mystère des profondeurs blanches ! oh peut -etre ! ou alors comment ? car les mots trimballent des notions à même leurs gouvernes et parmi elles celle-ci, qui concerne «le mystère de la mort» le bien nommé, comme si la chose coulait de soi, allait de soi, était une évidence, cx’est à dire comme si la mort (la notrte) et son grand mystère(à nos yeux) allait de soi en tant que notion ! h»é hé ! et si les mots existtaient seulement pour ça , en nous, pour nous faire avaler la piluyle de ce grand «mystèr» de la roche dure ? et si les mots étaient là pour ça , et le faon que je suis le vecteur-passeur-initiateur- trimballeur- acteur, acteur au sens de qui joue un role de composition, ce rôle que j’ai ou aurais à tenir en tant que tel, en tant que je suis cet acteur de la roche, etc, je suis faon de roche dure (le temps) et je vais et je viens (les mots) en tant que bete de paroi (dessins et gravures) dessinées ou gravées par un homme des tempsreculés (l’aurignacien ou kle solutréen ? ) etc, je suis ce faon kabbalistique, cet enfant aux effdets masqués, ceet enfant recouvetrt de bure, etc, mon nom est Personne ou alors est Bambi, ou Malotru ou Mégacerf, etc, mon nom ne rime à rien ! il est ce nom d’emprunt offert par qui de droit mais qui en vérité ne désigne perso,nne en particulier car je suis le faon banal de la roche = le guideur, le guide, le passeur à bon entendeur, l’accompagnateur dx’icelle ou d’iceluyi, le pénétreur, l’entrepreneur, le solidaire, etc, qui pousse une âme qui vive à passer son arme d’un autre cxôté etc, je m’avance ainsi batifolant, ce que je fais est du dire masqué à double titre, du dire mmasqué car ce faire est en fait un dire (premier masque) et deuxièmelment : car ce dire-faire di-t une chose qui n’apparait pas de plein pied, une cjghosze pour une autre (genre : le lapsus freudien) etc, et par conséquent, faon suis-je que je ne suis pas, car vmon corps est à la science et mon âme à qui de droit qui décxghiffre chacun de mes pas et ne parle en aucun cas de mcystère ! car il a la foi en lui-mêeme , foi qui est cette chose de portée humaine parfois mais pas toujours, foi en un mot du mystère de la foi, etc, je suis et ne suis pas ce faon de roche dure et cependant je suis ce faon de roche dure et cependsant je ne suiis pasd  ce faon de roche dure, je suis et je ne suis pas, et voil;à cette chose coton à comprendre, car si je suis je suis, et si je ne suiis pas je ne suis pas ! diantre ! la cghose a l’air parfaite ainsi ! or voilà que  ce que je dis semble etre contredis par en moi une chose autrte (un contreewsens ? une ppilule ? un effroi ? une plainte ? un chant ? une vie ? un trouble ? un carosse ? un roi de céans ? une aubaine ? un bhijou ? eune âme ? un double ? etc) , ce que je sais est en moi ce que je ne sais pas, ou bien le contraire : ce que je ne sais pas est en moi ce que je sais, ou peut-on dire lers choses autrement ? je suis ce faon de laroche du temps, ce guide amical pariétal, qui aime à vous accompagner et à vous aider de la sorte à arriver, etc, jhe suis ce faon de la roche belle (musicale) et à ce tittre je vais et je viens ( kabbalistique) sur roche et sur pré, ou sur roche des prés, et je m’époumone de la sorte, en courant à qui mieux mieux après mes congénères, je suis celyui là qui sait  c ette chose des parois, cette cxhose en creux et en bosse, cet art de roche est manière d’etre, en paroi, comme le nouveau né est dans le ventre de sa mère chère, etc, nous avons pour nbous (faons) cette cxhance de pouvoir aller et venir en roche, comme enfants dans un ventrte de femme, comme fgaon de roche en pareil antre, etc, car nousq sommes logés à la même enseigne que l’enfant porté, nous sommes comme (ou presque) pareille chose de ventre, ce bébé de belle destinée etc, nous disonsque nous ressembmlons beaucoup à cet être de peu qui est l’etre qui va, d’un dedans de roche à un dedans de roche (différent) etc, je suis Manitou le cerf géant, je dsuis le grand Manitou de la roche, je vous seconde (double) et vous condyuit comme à demeure = vers blanche porte, oui ! car : je suis ce grand de chez grand de la roche du Temps, Grand Manitou devant l’Eternel, qui va et quyi vient (alphabet) sur paroi de roche allouée, je vais et je viens et ce faisant je parle ma langue rupestre (ou de paroi) qui est ce sabir enfan,tin dx’un abord marin, cette langue de peu, de fatras à déxchiffrer comme hiéroglyphes égyptiens, etc, mon nom est Manitou le bien heureux en roche, je vais et je viens dx’un monticuule l’autre, et ce fazisant je suis cet homme (?) , cet enfant (?) , cette femme (?) pris en pareille roche comme une inclusion, je suis le faon-enfant à charge directe, ce faon -femme de destinée, ce faon-homme des abords veineux, etc, je suis le faon de la roche du temps, pris à partie par (en lui) une puissance musicale provenant d’un antre ou alors d’un trou ou alors d’une bouche de vie-mort aux abords nacrés, blanche porte des apprêts, etcx, nous (chevreuils) disons que nbous sommes là pour la bonne cause, celle qui nous voit aller sur roche vous accompagnant, vers des lendemains rupestres dessinés, nous disons que le temps est affaire de haute importance, l’affaire des affaires, et que nous sommes à devoir, cette chose, la faire de la sorte, cette chose d’un tracéc à parcourir ensemble, faire cette chose ainsi que bnous faisons = main dans la main pour ainsi dire (homme + bete) et ensemble aller fissa vers 

cette blanche porte des agrès, ou comment signifier ce qsui nous attend ? des lustres ? des années ? des betes à manger ? bétail ? troupeau ? en pareil endroit vaporeux : un troupeau ? un trouypeau de quoi ? effluves ? embruns ? diresq ? chants langoureux ? chants libidineux ? agrès ? quoi d’autre? nous sommes ainsi qui nous donnons (en tant que nous sommes accompagnateurs de la première à la dernière heure) ces mo:ments de joioe, ces instants accumulés, et le tout est cette chose difficile à bien cerner pour nous, c’est-à-dire où les choses cde vie commencent et ou finissent -elles , car cezla est la question du jour ! je suis celui qui voit poindre le bec (museau) de ce pic de verbe animaliezr en roche ... et moi d’y tirer dessus ? et à l’auttre bout que dire ? je vois une blanche porte, je vois une porte blanche , et tout est dit (deux fois ?) que nous ne saxchions ! je vois le bec ici (pic) et là la lumière des sphèresq , et l’en,ttre-deux est un entre-deux-mers, voilèà la chose ! un pic de verbe pointant ici son bec acéré, u ne entrée dans la bvlancheur (musicale) des sphères, et entre les deux ce passage de vie, jonché de copquuillages, aux embruns marins, etc, je suisq ce faon )-passeur de laroche du temps, je ne sais où ça commence au juste (en l’homme  ? pour moi : hors la roche ? transe ?) et où ça finit : porte ? trou ? faille ? cavité ? excavation ? tombeau ? commerce ? idiome ? chaleur ? feu ? chance ? chute ? je ne saurai dire en tant que tel,  c’st àç dire que je suis faon = qui ne parle pas, je ne suyis pas un beau parleur, je suis le faon qui tente de passer meessage, un e sorte d’initiateur de bas-étage ou comment ? mon nom est Manitou, le Grand de ces lieux, je vais en roche et viens, pareillement, à l’encontre ou comme à l a rezncontre d’une âme des prés qui, nbouvellement, sezrait née et serait advenue comme un champignon ou presque, pic de verbe en traversée de roche, un ebnfant est  né à la paroi, et moi (faon) d»’en épouser (?) ici les contours, ou bien de le guider vers l’au-)delà des prés dits «pariétaux», en cet entree-deux marin qui est la voie à empruntezr vers le chemin de destinée, vers un chemin qui va son chemin , ce chemin de menée blanche, etc, nous allons ensembvle vcers pareille porte des rois, il ws’agit d’un royaume où le roi de céans est comme l’bhabitant xde marque, une porte ouverte vers de la blancheur de belle contenance, une porte aux bvlancheurs nacrés comme celles d’un coquilkage, une entrée de coquille ou de coquillage : une oreille ? oh la voilà ! s’agit-il d’une oreille de grande envergure et de grande porteée ? ou seulemrent (et c’est déjà beaucoup) d’une sorte d’immense cvoquille ou d’un immense coquillage déposé et qui est ou serait cela que nous voyons qui est, s

ur cet espasce -temps ... d’un entre-deux-mers ? eh oui ! ah ah voilà ! nous savons la chose ! cette musique qui sortait ! cette blancheur nacré ! cette ouverture (borgne ?) dans le paysage ! hé hé nous avons trouvé, la chgose nous regardait ou semblait faire ainsi qu’elle nous tendait les bras pôur ainsi dire : un coquillage debord de lmer ! hé hé! ho ho ! hi hi ! ha ha ! uh uh ! et voilà le pot aux roses si longtemps cherché ! hé hé ha ha hi hi hu hu ho ho ! voilà ce qui est icxi pour nous : une sorte de coquillage nacré géant , qui dégageait ceztte musique rupestre, dont preovenait cette étrange musique des sphères etc, que penser de  cela ? s’agit-il réelllemeznt de cette chose ici, de ce -coquillage  géantissime ? une cavité oui ! une porte floue ou aux contours blanchatres non précis ? peut-être ! nous avons peut-etre compris cettte chose du coquillage quyi depuis longte:mps nous tendait les bras pour ainsi dsire, était pour nous comme une  pierre dx’achoppement = une sorte d’obstacle de paroi ! ou alors une forme (musicale : un cornet) sur le chemin qiu va sur roche (paroi de grotte) v ers des lointains eznrubannés (on l’a vu) : des lointains qui sur eux mêmes font des tours et forment la sphère, oui , cette chose est cette chose, comme quoi nous sommes sur un cxhezmin peut-être d’un entre-deux-mers, nous sommes ensembvle pour aller plus loin (la vie), moi en tant qu’etre-accompagnateur (signaux) et vous en tant qu’etre double (hybride) qui cherchent la voie, qui voulez comprendre loin etc, c’est à dire la vérité vraie sur les limbes, or en tant que faon-enfant de la roche du temps je peux vous condyuire oui où bon vousq semblera , mais je ne dois ezn aucun cas qyuitter laZone , la Zone est cet endreoit de l’entre-deux-mers pariétal ou roche du temps ou encore paroi des hommes des ca vezr nes, faon je suis icxi (= le méga), faon je dois rester (au charbon de bois) car je suis une oeuvre d’art pour ainsi dire, comme déposé en roche , placé en bonne protection, soulagé -sauvé par la bande etc, je ne dois en aucun cas quiitter la paroi, je suis comme incxlus en elle, je dois agir de cette sorte que ne dois e,n aucun cas quiitter pareil endroit de destinée rocheuse , pariétale, ruperstre, etc, cela est la vie écrite, mon trajet de vie pariétal, etc, faon je suis, faon est mon identité, je suis faon-cerf de la roche dure, faon le ma nitou le grand de céa ns, l’enfant qui jhoue près coquillge, faon je suis comme le manitou de cette plage de l’entre-deux-mers, je joue sur cette plage qui est asséchée, hje joue aux osselets, je suis un faon nacré comme les blés ou comme les embruns, près de moi se trouvent des coquillaghes dont certains xsont gigantesqaues, et, d’eux, sort une musique des sphères, musique sourde, musique des profondeurs d’un conduit incurvé, une musique qui est lancinante, caverneuse aussi, rugueuse, étronnante et envoutante, nous l’écoutons comme un bruit de mer, ressac, retour, rage, rapide musique aux apprêts, etc, nous ezntendons pareiille musique sortant de pareil coquilklage, nous écoutons ensembvkle parteille musique, nous sommes deux qui pensons que pareille musique est le fruit d’une coquille posée sur la roche du temps, nous sommes deux ici (sur paroi) qyi pensons à cette musique comme à celle qsui, sortant d’un coquillage, vous envoute et vous fait chan,celer, quoi est-elle ? chant animal ? rupestre ? vent dans la flute ? quoi est ce bruit, cette musique, ce son de paroi ? je rezgarde, nous regardons à l’intérieur du coquillage, et que voit-on ? du nacxre, de la blancheur, du lisse, un conduit, une sorte d’entrée incurvée comme une piste chantournée, un tourne-boul, une sorte de conduit à suivre et à comprendre, le mysteère de l’intériorité, etc, nous ne savons quoi penser de  cette cavité coquillaire, que penser de pareille cavité coqillaire ? le mal est il à l’intérieur ? ou bienb le bien ? je marche sur une lande, je suis le fa on, je suis ce faon de la lande et près de moi il y a plein de coquillage, je me promène parmi eux, les coquillages sont comme mes frères ou comme des soeurs, je suisq heureusx de déambuler ainsi entre deux mers, je suis à kl’abri des vagues et desz déferlantes, je me tie,ns sur mes gardes cependant, car on ne sait jhamais ce qui pourrait bien adveznir à l’occasion, un tsunami ? une vague plus importante viendrait nous engloutir et c’en serait fini de manitou le faon de laroche, celui là qui préside aux deqstinées d’un homme ou d’une femme des cavernes, hje vais et je viens sur roche, je suis le (grand) cerf de roche dure, mon nom est manitrou le grand ceci, je règne sur la lande rocheuse, je suis pris entre deux feux qui sont des bras cde mer, je navigue ainsi sur mon chemin de vie rupestre, je vais et je viens en pareille roche, et là je suis qui vais ainsi comme à destination c’est à dire vers un coquillage ou vers un autre coquyillage ou vers encore un autre, je ne suis pas peu fier de cette chose, car je suis le pazsseur de ‘ames, le passeur-prewstidigitateur, l’homme)-femme-enfant-faon xde pareille paroi rupestre d’homme des cavernes, j’avance masqué, j’avance ainsi, je suis celui qui émets, qui lance des signaux à la cantonade ou quyi émets des signes précis qui semblent dire une chose, puis une autre, etc, mon corps est émetteur, dit, montre, mon corps de faon est émetteur de tout un tas de signes masqué&s, tronqués, malmenés etc et cependant le trou forme une forme lisse comme biche fine ou comme coqyuillage aussi, jhe syuis cet homme-femme-enfant-faon de lza roche dure des temps ,, ca r la roche des temps est dure, car les temps sont durs qui nous occvasionnent moults désagréments de par le monde» , ces aurochs de charge manquent nous blesser, nous sommes dans la roche comme des larrons et nous nous avançons tout de guingois vers une deestinée rupewstre dont encvore nous ignorons tout, car nous ne savons rien, nous ne savons rien du tout de laroche, etc, notre but est infini ici , cette chose est dite, il est bhon de suivre cxe chemin de vie vive et advienne que pourra cvar que savons nous de cette roche dure en  vériité ? que savons nous de pareille contrée marine asséchée ? qui sait ce qu’il en retourne de cette paroi de roche ornementée ? les betes dessiné&es sont follement (transe) ressemblanrtees et se doivent de l’être obvligatoirezment car il s’agit de mots à bien prononcer pour se faire comprezndre, prémices de mots gutturaux, etc, qui ont le sens de la charge = présents de soi comme une offrande destinée à faire durer sa propre présence au monde, à faire croire à qyui de droit que la vie (terrestre) est ici rendue (comme une â:me) quand il n’en est rien ; pis-aller rupestre, mais pour le coup massif, imposant, comme vif ou vivant à la lueur des torches, menaçeants quasiment, ds!où l’importaznce de la ressemblance , i:mportance double comme on vient de voir car la chose est dite = est sensée = a un sens précis à prononcxer sur roche, etc, nous sommes les chevreuils du temps de la roche, nous sommes chevreuils de ce temps de roche dure, il s’agit pour nous d’aller à demeure ainsi, en cette roche squii est un chez soi pour une vie entière (pour nous) et qui nous contient on dira comme larrons en foire ou pas loin, nous sommes chevreuils d’une ewspèce rare , dite «de ‘liomme dede la femme de l’enfant», homme-femme-enfant-faon de la roche des temps alloués ou impzartris pour une vie complète, avec un début pariétal de roche et une fin en forme de coquille ou de coquillage ou comment sinon ? car la fiin nous échappe fort, nous voulons en sa cvoir plus, nous voulons comprendre des données fiables, les comprendre c’est à dire les ingurcxgiter comme une nourriture de roche, nous voulons savoir ce qui est en cette roche des temps, qui semble un présent déposé (coquyillage) or on ne sait pas, l’art est il ce coquillage «cha ntourné» des prezmières heures dela vie ? ou donc est la vérité ? dans le coquyillmage ? dans l’entre-deux-mers et, en celui-ci, dans ce coquillmage ? poupées russses à jamais ? oh que penser ? nous (faons) pensons que le langage est un «étai de vérité», il est porteur, il offre un étayage de pensée qui vous donne une sorte d’assise motrice, il s’agit à nos yeux d’un pis-aller ou sorte de, car il s’en faut de peu que (par exemple) le mot «mystère» a it des raisons d’etre, il s’en faut de peu à nos yeux que le mot «raison» soit fiable etc, et cependant, pour l’animal, les mots manquent (il sembklerait) et malgré cela il semblerait que l’animal tint sur ses pattes (s’il en est muni) et ne sombre pâs pas ou ne sombraât pas au premier coup du sort ou de  vent entre les parois ! donc : pas ça, alors quoi ? nous cherchons des solutions à des problèmes de roche dure et en vérité nous ne sommes paxs sortyis de l’auberge, nous en sommes même loin, nous ne sommes sortis de rien et d’ailleurs sortira-t-on un jhour de quelque chose ? non ? oui ? qsui peut le direcx? on ne sait pas, voilà ce que nous pouvons dire, or ce «on ne sait pas» est (p;leinement) tout aussi codé que quoi que ce soit d’autre qui serait une réponse pour le coup comme étayée et qui offrît matière à penser-mâ cher la cxhose en question, ce «on ne sait pas» dit son savoir codé , hé hé ! et n’est pas ce rien que l’on penserait, or , faon je suis, qui pense que les mots des betes existent comme (ailleurs) des effigies rupestres, je suis faon, qui contient des mots en moi même, à savoir que je suis mot moi même = le mot, = l’animal en tant que mot lui même  (et pas seulement l’animal représenté ) , l’animazl (‘moi-faon) est un mot pour l’animal, l’animal est luii même le mot xde la chose, tout son etre est verbe, oui , et du coup il «parle» agissant : agir ! or cela est peu su, peu dit, peu compris, peu expl;oré, et cela est dommage car il y a là une voie d’abortd rupeswtre de grande im:portance, en xdehors du fai-t que l’animal «pense», il est  celuyi là qui pense en actes, il agit-dit par la même, son agir est un dire, et son être un mot, un idiome : une langue ? un mot ou des mots, je suis  ce  faon qui va sur la roche du temps, grimpe fissa sur son monticule, et voit au loin les choses du temps d’un 

entre-deux mers aux courants venteux, aux coquillavgesq, au sable clair, etc, ici et là pâisssent des betes de poids, je regarde les abords et guette pic de bouche, bec de per cée, incursion-naissance, on ne sait jamais, et où donc eswt la fin de la roche dure ? je regarde autour de moi et ce que je vois est une sphère, une voute , une ca vité-rotonde etc, où donc est le bec perçant ? de quel côté peut il ou va til advenir ? ne sais pas ! je ne le sais ! ne le sais pas ! ce que je sais est maigre en soi car ce que je sais est : moi qui apparait, en tan,t que je suis ce savoir offert mais sur lequel je n’ai pas de prise directe au sens où ce que je sais je pourrai le dire avec desq mots de bouche, non : ce que je sais des embruns est en moi contenu, comme l’esqt, par exemple, un organe corporel, je suis moii-même les mots que j’emploie en vivant pareille vie de roche, je suis cet animal qui va disant, car je suis faon-mot de la roche des temps, faon-mot ou mot-faon, les deux, je siius cet enfant-faon qui est un mot sur la roche des temps, une inscription «lisible», un sens offert mais quel est il ? cela il n’est pas simple de le découvrir, il y faut donner de soi beaucoup, pour moi faon -enfant comme pour qui que ce soit qui est à la recherche (sur terre) de la vérité ! je suis le faon-animal-mot moi même, je suis ce faon là qui est ce mot là qui dit cette chose d’une vie cachée dans les mots

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6/04/2021

je suis ce cerf de la paroi, ce double animal, qui va pres d’une bouche (claire) de vérité en ce fin fond de roche dure (le Temps) et là je regarde, je fais attention à ne pas m’avancer trop, je me tiens en retrait, j’essaie de ne pas aller trop loin en cette direction d’une bouche (ici ?) grande ouverte, il est n»écessaire de bien faire attention à ne pas aller trop loin , à rester au bord, à ne surtout pas glisser pas même d’une patte, etc, il est important de se tenir droit ainsi , devant pareille bouche grande ouverte, qui «buffe» de toute son haleine, elle est bouche vivace comme une plante, nous (je) sentons (sens) son haleine, son souffle vivant, il s’agit d’une cavité active, il ne s’agit pas d’un trou mort, trou de terre mort comme une sépulture, non, il s’agit d’une entrée blanche, bellement brumeuse, une entreé qyi reflue un souffle vif, doux, à peine perceptible, un souffle qui sembkle provenir d’un lieu en dedans d’elle qui va loin, vers le bas ou vers le haut, et ce souffle ici semble (il semblerait) accompagné par une sorte de petite mélopée à peine prononcée, comme une voie gamine, un petit chant des sphères blanchjes, une sorte d’accompagnement vocal enfantin, ce chant ravit mes oreilles de cerf, mes fines oreilles, je suis le cerf ou le chevreuil de la roche et je vois, j’entend, je subodore mais toujours me tient en deça de pareil passage de fond de roche, cet endroit est un endroit à éviter le plus possible , c’est à dire pour ma part à ne pas franchir : à ne pas dépasser, il est juste pour moi, il me semble meilleur en ce qui me concerne, de rester à part, en amont, en deça, en avant, près mais pas davantage, de pzareil e endroit blanchattre ou de pareille bouche ouverte, car je suis le petit etre aux bois sur la tete, qui vite aurait tendance à vouloir comprendre et par conséquent à m’introduire en pareille cavité blanche, et vivace comme une plannte, or il ne faut pas que je succombe au chant de la roche, au chant venu de pareille exvcavation brumeuse, claire, lumiinesvcente, il est important pour moi de ne pas succomber à parreil appel de lza paert de cet antre grand ouvert , qui est un passage vers un ailleurs blanc, cet ailleurs qui absorbe fissa tout ce qui vient à se placer devant puis dedans, or pour ma part j’évite, je ne le veux pas, je ne veux pâs entrer en pareille cavité, je suis celui qui vient vous chercher hors de la roche pour ainsi dire et vous aide à entrer en elle (en paroi) via la chose ici d’une sorte d’e pic ou pic-de )-verbe guttural, puis, passé l’entrée en matière, je vous conduis cahin caha jusqu’au fin fond de pareille roche de grotte, en elle comme dans un vase, et là on se retrouve ainsi devant la bouche de la vérité des sphères, d’où provient ce chant langoureux, cette m»élopée de bout du monde, etc, vous êtes au parfum, vous voyez cette lumière vive et comprenez que cela est ainsi pour vous comme un appel à franchir le pas mais pas moi, je suis  seulement cet accompagnateur de roche, je suis l’être de paroi, le cerf géant, le roi de céans, qui vous condyuit comme vers un royaume qui serait le mien mais qu’en vérité je ne connais pas plus que ça car j’evite continuement d’entrer en icelui qui vite fait m’aurait gobé depuis belle lurette, je ne veux pas ! je ne veux pas ! je ne veux pas ! je ne veux pas aller en lui ! je ne veux pas m’introduire en lui ! je ne veux pas pâsser le cap ! je ne veux pas aller en son antre ! non et non ! je ne veux pas que l’on (quii ?) me force à aller en lui d’abord, car je suis le chevreuil-passeur -et à ce titre je me dois de rester fidèle à ce poste (ici, paroi) qui me voit accompagner les âmes de ces hommes et de ces dames des cavernes, soit ces hommes et ces femmes de l’audelà de la roche ou de l’en deça, hommes et femmes que je chevauche, que je prends sous mon aile , que j’habite etc afin de les aider (à deux) pour passer le cap de l’immixtion tete première (la raison) en paroi de gtrotte, nous voici passer (je suis le passeur, le guide, l’aide de camp, le bienfaiteur, le second à la barre, etc) et là, en pareille roche aux aurochs (aux mots-animaux) nous nous projetons fissa vers cet endroit de fin de roche, de roc, qui est l’endroit de la douce mélopée de roche, il s’agit d’une sorte de douceur musicale pariétale, uyne de ces douceurs pariétales vive, qui est la mélopée de roche dite «mélopée de roche vive», dite «mélopeé de la rochge vive = vivante «, etc, j’enrttend cette muusique de roche qui sourd de pareille cavité de bouche ouverte, la bouche est l’antre du chant gamin, il s’agit d’un cjhant de roche dure, ici dure, ici coriavce peut être ou bien le chant doux d’une petite perle de vie vive en son intérieur : qui chante ? le perlou ? qui pousse ainsi ce chant de la roche claire ? nous (je) ne xsavons (ne sais) car jez  suis le cerf qui toujours se tient en retrait et se garde bien de trop s’avancer vers pareille cavité, qui est trou (?) ou bien non-trou ? nous ne savons ! je ne sais pas ! je ne sais pas grand chose ! ne me demandez pas car je ne sais pazs ! je ne sais pas grand chose de cette affaire de trou des embruns , ou de trou de fumeterre, ou de fumatière, etc, je suis ce chevreuil de la roche des temps qui aide au passage vif, j’essaie de comprendre sans plus car mon travzail ici est d’aider à passer outree , d’aider les ames des hommes et femmes des cavernes à travezreser cet autre rubicon qui est celui de lola fin de roche, je me place en eux, je les occupe, je me mets en eux, je les habite, je m’inscris en eux et ainsi couplé nous entrons, car à deux c’est mieux, à deux on poeut, il faut etre deux (voilà la chose) et ainsi nous sommes entrés en cette roche, nbous y sommes, nous sommes entrés en cette paroi de grotte parmi cet ensemble de chgoix (animalier) et là (chevreuil je suis) je vous accompagne, je vous seconde, suivez moi, venez avec moi, venez vers moi, ne me lachez plus mais collez vous à moi, attrappez moi où bon vous semble ou bien où vous pourrez, je n’aurai pas mal, je suis un dur à cuire, je suis fort comlme un cerf géant (que je suis par ailleurs !) , je suis le cerf géant de la roche du temps et je vous accompagne en cette paroi de grotte ornementée, je suis là pour vous car je suis votre ami de la roche, accrochez vous à moi n’importe où, tenez vous à ma crinière, à mes cornes ou à mes bois ou à ma queue, etc, tenez bon et ne lachez pas car nous alloons voler ensembvkle en pareille roche-antre aux embruns de bor de mers, nous volons, nous sommes entrés en lévitation, nous sommes dans les airs de la roche dure, nous volons comme des betes ailées, nous sommes sur la roche betes ailées qui allons ainsi, qui volons à qui mieux mieux, nous volons sur roche, nous nous envolons collés l’un à l’auttre, ne lachez pas, tenez vous à moi, je suis le roi de céans, l’animal ailé, le cheval, le cerf, le cheval royal, le cerf géant, je suis Méga le cerf géant de la roche du temps et je suis là pour vous accompagner en roche jusqu’au boutr du bourt, jusqu’au bout d’icelle paroi de grotte, je vais loin en aile ou à pas de géant ou à tire d’aile, etc, car je sais me propulser, je suis vif comme l’éclair, je sais aller loin et franchir la roche fissa pour me pointer en pareille entrée de roche blancjhe, ouverte, cette échancrure dans la roche belle, etc, ce passage outré, cette blancheur à) méloppée,, nous y sommes, je vous ai conduit, je vous ai co nduit ainsi jusqu’à cette entrée de la roche blanche, cette ouverturee-échancrure, ce trou ou cette bouche, cette cavité buccale , ce pâlais de la reine douce, etc, je reste en deça, je suis l’animal de laroche du temps qui aide au poassage, qui propulse (voilà !) et ce faisant qui amène, qui ramène, qui rameute, qui pousse ainsi à aller devant dans la vie (propulseur de vie vive) et qui (ce faisant) vous conduit au devant (sur le seuil ou jusque sur le wseuil) de cette ouverture blanche et belle, douce et musicale, cette échancrure, cette faille, ce trou de vie, cette sorte de vive entrée de roche brumeuse nacrée, ikl s’agit d’un porche enluminée (illuminé ?) , il s’agit d’une sorte de porche aux embruns, de porche clzair, fumeux ? qui est une entrée à votre taille (adaptée) qui est ce passage dans la roche des temps parioétaux (ceux de l’homme et de la femme des cavernes, etc) , il s’agit d’une sorte de passage en front, de porte de vie musicale, une mélopée gamine, une sorte de douce mélopée enfantine sembkle ou semblerait sortir ou provenir de pareille cavité de roche , ici même, en ce lieu de la rochge des temps infinis, une sorte de , d’escalier, des marches, on dirait que ce sont des marches icib qui commencent, qui semblernt démarrer ici, des marches consrtuites par qui et en quelle matière ? il s’agit pour moi (chrevreuil de base) de vous conduire en cet endroit qui est l’endroit idoine pour passer, pour aller xdevant (vivre sa vie à l’infini) et pour cela c’est avec plaisir (de mon côté) que j’agis, car je suis le chevreuil aidant, l’aidant de la roche, le parent, le vif aide de camp, le salvateur, le qui aide à mort, qiu se donne vif (colmme un souffle) pour vous seconder (vous «doubler») et vous aider à entrer en roche de la sorte (ainsi que je le veux !8) afin de vous immiscer en elle en son wsein, et gravir les marches, grimper les marches, grimper tout court, progresser en pareille paroi aux aurochs et autres rennes ou lions (fauves) des cavernes, nous yt sommes, nous sommes (à deux) entrés en  cette roche et c’est à deux toujours que nous progreesons en elle, nous sommes entrés en pareille roche du temps, moi-chevreuil vous porte, moi-chevreuil vous porte sur moi ou comment ? nous allons jusqu’au fond de cette roche aux embruns, dans cet antrte , et cet entre-deux, entre-deux-mers, qui est cette chose pour nous de contenance , qui nous mène à cette ouverture de paroi, cette blanche lumière des sphères, nous y allons, nous nous approchons de cette lumière blanchatre, luminescente ou phosphorescente, nous sommes à l’intérieur, nous sommes à l’intérieur de la paroi, face à «bouche de la mort», cette bouche dite «de la mort» car on pense ici que pareille bouche est comme «mortelle», donc comme une sorte d’entrée vers un au delà dont on ne revient pas, on est devant elle, face, nous sommes devant elle, face, mort de bouche, ou comment ? la bouche de la mort est cette bouche ouverte devant nous, nous pe nsons que pareille bouche contient en elle quelque chose de vivace, dont nous ressentons de l»’extérieur le souffle, on dirait, et aussi on entend ce souffle qui semble une mélopée assez ténue, un brin de voie gamine, un brin gamin de voix acidulé, on dirait cela, il semblerait, on pense, on penserait, on croirzait, on s’imagine, on subodore, on est deux (moi-chevreuil, lui ou elle , homme ou femme des cavernes)- à penser cette même chose en une sorte de sabir commun qui est en nous comme une musique commune, etc, un son de flutiau, ou bien un cri animal mais qui est commun à nos espèces, nous pensons et subodorobns, nous voàyons la blancheur des sphères ici, nous entendons ce souffle gamin musical, et cette entreé de bouche comme formée  de marches à emprunter, ou bien est-ce monticukle ? nous sommes sur un cdevant de paroi blanche trouée qui nous appelle , nouis aspire presque mais pas moi, moi je suis cet animal de la paroi ornementée et je me dois de rester en poste, en place, car mon travail consiste à toujours et encore doubler les ames afin de les faire entrer en cette roche et afin de les conduire bon an mal an jusqu’à ce moment d’une nouvelle entrée (sortie ?) vers pareille «mort» de la roche blanche, ce trou aspirant, cette excavation lumineuse, cette cavité absorbante, cette lumière fluorescente, cette envie qui vous prend, cette chose de’une échancrure, cette mélopée envoutante, ce sens de la visite, cette chose de paroi percée comme des mains, etc, nous voyons cette chose devant nous et nouqs comprenons qu’il s’agit pour nous d’une entrée en matière, je vois cette chose devant moi et je comprends qu il s’agit d’une sorte d’entrée en mùatière pour des hommes et des femmes dec la préhistoire en soi, en soi même, en nous memes etc, nous sommpes deux (le chevreuil et moi) à nous pointer devant pareille roche du temps, je suis porteur en moi de ce chevreuiil des temps impartis, il vit en moi, il m’aide à) traverser le rubicon, je l’(ai en mon sein, je le porte en moi comme une arme de passage et grâce à lui j’entre en pareille rochge du temps, je suis entré et je me prélasse en pareille roche, je suiscomme «doubl   é» d’un cerf» en moi qui est ce cerf de roche tendre, roche de la roche dure, roche tendre de la roche dure, il m’aide follement en son sabir de chevreuil des roches, il est en moi l’aide de camp et me propulse (la vie) comme une fusée en pareille roche, il est pour moi cette sorte d’aidant de vie rocheuse qui aide au passage et permets l’immixtion complète d’un module (le mien) de vie humaine (homme-femme des apprets), je vais et je viens, je suis en roche meuble, je m’immisce commùe une couleuvre, je suis dedans, je m’y complaies, j’entre en elle (roche) et me glisse en son sein et progresse (vais) jusqu’au bout du bout de la roche dure, cette chose, ce sens de la marche, cette direction, ce passage vers ces profondeurs de la roche lointaine (l’horizon) et là me voici, aidé par le cerf de la roche , qui m’aconduit et m’a laissé devant la porte (il a fui, uil craint la lumière et la mélopéez), il a fui, je suis devant cette porte blanche, cette porte blanche est la porte de la mort des etres, il s’agit d’une trouée ou percée ou comment, car les bords de cette entrée ne sont poas visibles tout à fait, masqués qu’ils sont opar une brume, de la brume, une fumée, de la fumée , ou quoi ? qui sort de pareille entrée, de ce poassage blanc, doux, ce coton, cette chose cotonneuse, cette blancheur de bout de bout nacré , etc, il s’agit d’un appel à aller, il semblerait qu’il s’agisse ici d’un appel du pied, à aller loin en pareille roche trouée ou percée par quel pic venant de l’intérieur , nous entrons (jentre ? ) nous sommes qui voulons entrer, je suis, je veux, je voudraios, je suis devant pareillle porte ou bouche de la vérité sur les choses du monde incertain, nous sommes devant pareille bouche et faut il (dois-je ?) entrer ou bien ne pas entrer comme a fait mon ami (mon double) le chevreuil de roche ? dois-je ? ne dois-je pâ s ? dois-je musarder ? danser ? tournebouler ? parler la tourneboule ? dois je parler fissa de concert et faire de la tourneboule langagière de paroi ? faut il occuper cet espace par des mots, fzaut il occuper l’espace de cette blancheur en entrée de roche par de s mots ou des sortes de mots (les moyts-animaux de l’homme des cavernes) ? doit on occuper cette place (blanche, à mélopée) pa r des mots -betes de roche dure (ceux des hommes de la préhistoire) ? doit on fuir l’entrée par des mots-betes pronovncés incidemment à la cantonade ? nous sommes entrés en c ette roche, nous étions secondés en nous par la bete (lk’animal aidant) et cela fait, enfin entrés, nous nous sommes propoulsés entre deux mers jusqu’à cette cghose ici (?) d’une bouche (OÙ ?) de paroi, jusqu’à pareille bouche ouverte engloutissante, cette bouche de roche et bouche ouverte de paroi du monde,, ou non ? nous sommes dans une roche dure, celle d’une grotte de la préhistoire, le c hevreuil géant nous a aidé à nous immiscer, nous l’avons suivi volontierrs car grâce à lui (à son entregent) nous sommes entrés et nous nous sommes lovés en son anttre, en cett antre de roche dure, etc, nous sommes donc en ce sein des seins à la recgherche de cette xchose d’une sorte de bouche de la vérité = qui dit, qui dit les mots de la vérité en toutes choses, et la question que nous nous posons est la suivante : est ce que par hasard ou par extraordinaire la bouche de la vérité (d’où sort toute la vérité) ne sezrait pas celle (la même !) de la mort à l ‘oeuvre ? est ce que bouche de vérité (de vie ?) et bouche de mort ne sont pas une seule et même bouche sur paroi ? qui sait cette chgose ? est ce que la vérité des choses du monde (cette vérité du devant) ne serait pas la vérité de cette mort -bouche, ou comment exprimer cette chose ? est ce que la vérité est un chemin ? est ce que ce chemin est incontournable ? est ce que ce chemin est un pis-aller ? esqt ce que le chemin quotidien de la recherche vaine de la vérité n’est pas cette envie en nous de trouver pareille bouche (de la mort) sur notre passage ? est ce que le chevreuil est en moi la bete de ce passage ? l’aide de camp  ? lle chevreuil aidant ? le cghevreuil de la roche pleine qui est ce chevreuil volant des embruns, est il pour moi l’aide en vérité ? dois je poursyuivre sur pareil sentier de paroi ? qui est au bout ? est ce qu’au bout d’un pareil sentier une chose (une personne ?  ) nous (me ?) attends ? qui attend qui ? nbous sommes deux qui marchgons de pair, nous sommes en nous deux qui marchons de pair, je est double, deux, divisible, la droite et la gauche, deux jazmbes, deux yeux, deux mains, deux hémisphères cerebraux en nous qui marchons (jumelés) et allonsau plus loin possible vers cette blancheur mélodieuse d’un fond de paroi rocheuse, nous sommes trois (elle et moi en moidouble) ou comment dire ou comment compter ? nous sommes trois qui marchons (moi double + cette bete en moi qui me guide, sé opoumone à me guider sur roche) et ainsi allons, nous marchons, nousallons vers cette cavité de fond de roche, ce passage clair, cette clarté provenant d’une forte et belle lumière «derrière «, nous marchons vers elle, le chevreuil veut parler en moi : « je suis le chevreuil de la paroi préhistorique, mon histoire est l’histoire de laroche dure d’une grotte enfouie, cxa chée, à découvrir incidemment un de ces quatre (etc) , je suis un chevreuil, j(ai des bois, je suis vif car je suisq un etre plein de vie en moi, mon corps est agile, je vais vite vous accompagner, jhe veux vite aller à vous accompagner en roche vers le lieu de cette bouche ouverte qui est celkle , et de la vérité (de la roche des temps) et de la mort à l’oeuvre (mort vive, mort vivace, excebntricité), je suis le chevreuil qui veut marcher et vous porter , vous prendre et s’envoler avec vous sur son dos, etc, je veux vous conduire jusqu’(auprès de pareille enttrée de roche, cette entrée (sortie ? ) de roche dure (orneme,ntée) et pour cela montez sur moi, montez moi comme un canasson, n’hésitez pas à monter sur moi, à vousaggripper à  moi, mes bois, etcx, n’hésitez pas à vous tenir fort, à vous accrocher, à) vous a gripper à moi car nous décolloon s en roche, fissa, main levée, nous entrons dans la matière, nous lévitons, nous sommes soulevés par un chevreuil , etc, nous sommes soulevés par ce chevreuil en  ous qUI  cherche à parler en  ous, qui en nous cherche à s’exprimer et que fait il , ilk lévite, il dit cette chose : «je lévite», et cela est dit en toutes lettres sur roche animalière, il est l’animal de la paroi du temps, il xw’agit de voir en lui (chevreuil qui lévite) celui là même qui se tient debout, nousattend, nous guide pour latraversée de la rocghe du tempsz alloué,, il est le chevreuil de la roche du temps précis et il nous conduit vers cette porte ou bien ce passage de fond de roche, il nous amène loin en cettte roche dure et nous présente cette entrée -sortie de roche, cet auttre passa ge-trou où lui ne va plus, ne va pas, ne veut pas aller, il ne veut pas et il s’époumone (la vie) à le dire en nbous : « non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! npn! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non!, je ne veux pas entrer ou aller p^lus loin ! je veux rester en deça ! je ne veux pas passer le cap ! je veux rester en roche avec les aurochs, les rennes, les lions, les ours, les bisons et les chevaux ! je suis le cerf cxde laroche ! je suis le méga-mégacerf dec laroche du temps imparti = pas parti = pas allé !, il est (ce tempsq) celui qui reste, qui ne part pas, qui reste dans la vie de la roche éternelle, ou d’éternité), il est (ce temps) le temps imparti d’une roche dure, je veux restezr en ce temps de la roche dure d’une sorte de paroi du monde, je suis ce chevreuil -passeur qui tient à le rester et ne veut d’aucune façon passer ce cap, de la blancheur vaporeuse, de l’évanescence, de la mélopée fugace, etc, je veux rester en cette roche de la grotte comme l’(animal dessiné ou gravé par l’homme des cavernes, par lafemme des cavernes etc, je veux cette chose, je sens que cette cxhose est une chose à mes yeux qui a de l’importance car chevreuil-passeur je suis (comme Bambvi ?) , chevreuil -passeur je souhaite demeurer, je le veux ainsi, je suis le chevreuil du temps qui passe, cerf du temps, je suis cette bete de la roche, cette bete de roche, cette bete-roche, cette bete-roc, ce bec , etc, je suis cette cxhose ici qui va pour vous accompagner juqssqu’aufond de cette roche de la roche dure des temps incertains, impartis ou comment ? je ne veux pas aller p^lus loin, je suis bien ici, jez  me plais ici, je veux rester ici, ici est mon domaine, ici est mon domaine de joie, ici est ce domaine de la joie de vivre en toute quiétude, ici erst mon fief, mon royaume de vie douce, mon lieu de vie, ici en roche est mon lieu de vie quyiète, etc, je suis ce chevreuil de la vie quyiète, je veux le reswter et ne pas succomnber à l(‘appel de laroche blmanche, évanescente, fluorencesente, blanche de chez blanche, je tiens à la roche de base, à pareille paroi ornée, aux aurochs et autres chevaux de compagnie, je ne veux pas aller plus loin dsans la blancheur, je ne tiens pas à aller plus loin dansla vblancheur, je tiens à m’en tenir (raisonnablement) à distance, car la bouche de la mort vous p^rend et jamais ne vous rend, je connazis toute kl(‘histoire ! la bouche  de la mort vous absorbe, vous prend en elle, elle vous engloutit, elle vous avale, elle vous gobe comme un oeuf et tintin ! milou ! jamais ne vous rejettera, car elle ne rejette personhe, elle prend tout un chacun, elle accepte tout un chacun , tout le monde, tout le monde lui convient il sembkerait, elle ne fait pas kla fine bouche mais tout au contraire ezlkle est tout terrain et ne regarde pas à qui est qui ou qui fait quoio, ou qui a qui, ou qui a quyoi, etc, elle gobe à la volée l’ensemble, le complet, le tout à sa barbe etc, elle ne chipote en rien, elle est tout terrain , elle prend pour elle tout ce qui passe à sa pôrtée et nne rechgifgne en rien sur rien, elle est absorbante,n elle absorbe tout, elle ne fait pas la mijorée ni même ne fait pas la fine gueule etc, bouche de la mort = bouche de la vérité sur toutes choses, il s’agit de voir cette chose et de le comprendre, bouche de la vérité = bouche de loa mort à kl ‘oeuvre, il s’agit de comprtendre (a vec desq mots !) cette cghose, qui est LA cghose, à comprtezndre en roche, il s’agit de comprtenxdre cette cxghose, qui en rocxhe (paroi) est La Chose à bien comprendre, à bien cezrner, à ne pas laisser cde côté, etc, la bouche de la vérité et la bouche de la mort sont unes, sont mêmes choses, sont une et même seule chose de paroi, en cette roche d’une grotte, il est juste et bon de comprtendre cette chose comme qyuoio la bouche de la vérité (ceele par qui passe les mots de vérité) et la bouche de la mort (le passage fluorescent de la roche) sont une et même, sont mêmes, sont les mêmes, sont Une, sontUnes, sont ces cghoses qui se  chevauchgent, sont Mêmes etc, il s’agit pour vous de comprendre cette cxhose de la roche dure , je suis chevreuil qui aide, je suyis le chevreuil qui aide à comptrendre  cette chose facile (?) à co:mprendre (peut-être  ), je suis la bete, le chevreuil de pareille roche aux ezmbruns et hj’essaie de dire à ma façon cette chose d’une roche dure ici et meuble là, ici la dureté des temps d’une vie sur terre (?) et là le côté mou (meuble) de la roche du temps des blancheurs, dela fluorescence, de l’évanescence de la roche belle, du trou, ici le temps qui reste, là le temps qui fuit mais vers où ? nous ne savons pas ! le chevreuil que je suis ignore presqaue tout de ce qui est de l’autre côté : quoi est de lk’autre côté ? quoi est le mort ? quyoi la mort est ? que est Mort de côté autre ? quoi est ce Mort de Bouche -Trou ? quoi Trou est Nom ? quoi le trou dela blancheur nacré évanescente est ? qoiu ce trou de bouche est pour nous qui allons à ses devants fissa (le temps) ? que nous on est ? que on est ? que est on ? qui on est ? qui est on en nousq ? combien sommes - nous en nous ? etc;, je suis le certf xde la parade pariétale, je vais et je viens en rocxhe , je parle malangue maternelle, celle dxu cerf de céans des roches, je voudrazis parler comme l’homme des cavernes et l’hommùe des cavernes cvoudrait parler comme l’aurochs, et l’aurochsc comme le bison et le bison comme le bouquretrin et le bouquetin cvomme le  cheval et le cheval commùe le bec et le bec comme le renne et le renne comme l’oursq des ca vernes et l’ours des cavernes comme le lion des caverb nresz et le lion des cavernes comme le zébu, et le zébu comme le cheval, et le cheval comme le zébu et le zébu comme l’antil:ope et l’antilopê comme le mammouth, et le mammouth comme le cheval etc, je suis ce chevreuil de roche qui indique le chemin à suiuvre et même vous y conduit, je suis cette bête de roche dure, qui cvous conduit jusqu’au bout du bout de la roche, mon nom esqt malibou , ou bien malotru, ou comment ? manitou ? ou bien comment ? je suis nommé, je suys le chevreuil nommé ! je suis bete à nom ! et je vous accompagne («suivez moi !» ) jusqu’au bout du bout de la roche, suivez moi et ne me quittez pas ! je vais vous montrer cette chose d’une sorte dxe’entrée dans le vent de la roche, le souffle de la roche, ici même en cette roche blanche un trou comme une bouche ouverte en grand, qui va vous prendre = vous ava ler fissa («attention à vous !») et ne plus jamais vous relachezr, la b ouche d’un anttre (ogre ?) qui est bouche d’absorption massive ! va vite vers vous ! vous absorbe ! v ! v! v! v! v! v! v! v! v! v! v! v!v v! v! v! vé la chose ! la vois tu ? cette ouVerture ici en cette roche de la préhistoire ! vois tu c ette chose ouverte qui est là pour te gober comme une mouche de la méloppée ! vois tu cette cghose ? ce  opassage en V de roche dure  ! le vois tuu ?  il y a devant soi  (pour toi,        g

homme-femme des cavernes) un passage, ce passage est une entrée, cette entrée est un trou, ce trou est blanc comme un nouveauné de roche blanche, il e’agit d’un trou de bouche, une percée blanche, peau blanche, diapason ! nous (nous les chevreuils passeurs ) voyons cette ouVerture de paroi et nous y conduisons qui veut ou voudra ! nous sommes les chevreuils de la roche du temps et bnous regardons devant nous cette luminescence vive (tres), cette bvlancheur  fumeuse ou fumante ! cette chos e d’une douceur ambiante ! cette chose ambiante de douceur  ! cette douceur de la douceur ! nous (chevreuils) comprenons que cette chose ouverte devant soi est un temps détendu, autre, différent de celui de la roche des te:mps impartis, nous co:mprenons que ce temps de la blancheur nacré est différent de c eluyi de la roche dure ornementée, nous ne voulons pas succomber à sa mélopée lancinante, à ce v scandé d(‘ouverture vive, nous ne vopulons pas succomber à ce v lancinant de l(ouVerture, ce sein, cet antre, cde chemin ! nous voulons persister sur le chemin à nous de roche dure, nous voulons poursyuivre en pareille roche persister, nous voulons nous ancrer en cette roche de paroi dure, celle des temps impartis , et laidsser à d’autres le soin de s’immiscer à travers la porte-bouche d’un temps autre, celui là qyui est celui de cettte évanescence sus- nommée, etc, nous sommes les chevreuils du temps impartis, toute une ribamlbelle belle, qui va et qui vient en roche et vous guide sur le chemin, nous ne voulons pas nous perdre en bouche de la mort mzais bien au contraire rester ici même en c ette roche aux embruns perlés, etc, et ne plus quitter pzareil domaine de joie car cette roche est nôtrte, qyui nousq voit l’aimezr sans faàçç!ons, à mains nues ou comment dire ? nus de betes ! nus comme des betes que nous sommes , intégralement ! reswtant nus ! nous restons / demeurons nus intégralement car nous sommes bêtes et voulons rester betes à jamais , en ce temps infini de la roche ornementée du monde, nous ne voulons pas succomber et passer et devenir homme des cavernes ou femme des cavernes,  : qui passe la porte blanche (blanche-porte) devient homme à mots d’hommes ! qui passe cette porte blanche du bout de laroche devient homme , devient à son tour homme ! et si l’homme passe blanche-porte alors l’homme devient roche, roche dure s’il en est , roche des bois, roche du bois, roche du temps de cette dureté de roche matérielle,; etc, si je (chevreuil) passe le pas, d’entrer en ppareille ouverture en V de la blanche porte, alors je (chevreuil) passe cap et deviens ce je de l’homme des cavern es ou de la femme des cavernes, je deviens autre, c’est à xdire que je perds ma consistance (première ?) d’être, animalier ou animal, pour devenir illico presto (?) cette chose d’une sorte de personne double , mi homme mi bete, qu on  nomme homme mais qui en vérité tient davantage de l’animalité que d’autre chose, ou de l’animal que d’autre chose, que de l’homme-homme à prprement parler, l(homme ewst si proche de l’animal quiiu n’a pas (l’homme) terminé sa mue le coquuin ! il est l’homme de cet entre-deux , qui est proche de la bete (moi-chevreuil) et pas vraiment bete car ses mots à lui le pousse ailleurs et lui font entrevoir des choses folles (folie) en son sein cé»rébral , il (l’holme) pe nse, et pensant se sort dee quelqmqqUe  chose en lui qui est son cerceuil en quelque sorte et cependant il est à cheval, en cet entre-deux qui le voit aller vers des hauteurs de roche, tout en conservant son etre de chair animùale, etc, le chezvreuil que je sui s voit en l’homme («voit» pour ainsi dire) un être incomplet, non terminé, qui a chercghé à faire sa mue langagière (dite «langafgière») mais a chuté en chemin ou commùent dire ? l’homme est pour beazucoup encore un animal, mais en lui existe autree cxhgose qui tient d’une sorte de chose divine ou comment ? qui est autre chose en lui que de la pure animalité corporelle , et cette autre cghose en lui passe par des  caps de dégenesrezcence qui fgont de lui un être à facettes, à facettes et à colorations diverses, etc,je suis le cxhevreuil de la roche, je vois l’homme des cavernes en pleine mutation, il vient d’acquérir en lui des mots de betes, des mots-animaux, il est l’homme-bete par excellence car en lui existent des mopts-betes cde première mouture, des nouvelles, de nouvelles nouvelles en lui, descchoses neuves et ces choses ce sont de droles de motrs-betes, il s’agit en  lui d’une sorte de naissance, des mots viennent à lui via son trou (nouveau) cde bouche, la bouche s’ouvran,t par la bande alors des mots-betes sortent de cette bouche et vont direct se ficher sur laroche du temps ainsi déployé (par la même) et ainsi faisant l’homme commence sa mue , or voilà ce qu il advient (de cette mue) : l’homme parlant (la la la ) semble pouvoir grimper et voler et montezr etc, = sortir d’un soi accroché à la terre, s’envoler comme un aigle, etc, or que voit l’(homme des cavernes ? oui en effet il s’envole car il lévite (entre en lévitation) mais paourqoiui ou commeznt cela ? car (une simple raison) il est se c ondé, aidé, doubvlé, aidé par la betye en lui qyui , sortant de lui, l’entraine dans son sillage et l’aspire dans son vol de bete vive, vivante, qui file vite et emporte sur son passage, aérodynamisme, etc, l’homme de la roche , de la  grotte, l’homme des cavernes est aspiré pazr son «propre» verbe natif,, qui le fait entrer fissa en lévitation et le fait inscrire sur roche (paroi) tous les mots qui sont à présent à sadisposition, c’est à dire ces mots-animazux de b e;lle grosseur, ces :mots enceints d’autreezs mots qui eux m^mes donneront peu à peu naissance à d’(autres motsqui eux mêmes ... etc, cela tout le long de l’histoire de l’humanité etc, les mots-animaux sont des signes (des figures) qui pêu )à peu vont trouver à se déformer pour bn’apparaitre plus que sous formes dxe lettres significatives formant des mots sensés, etc, or à ses débuts l’homme sortait de lui un dsouffle animal (buffée) qyui allait sur roche et s’inscrivait incidemment prodigieusement sur pareille pâroi afin dxe figurer le swens des choses (à ses yeuxc) et son devenir, il (l’homme des cavernes) est celui qui cherche à effectuer une sorte de mue en lui même, a fin  de sortir de sa condition d’homme des c a vernes, il chezrche à muer, à sortir de swa peau d’homme limité, etc, il veut quiiter sa pêau, sa cape, son cap, szon chef, son couvre cxhef, sa tete, toute sa tete, son intelligence de tete, son intellect-cerveau etc, et aller ailleurs sur roxche, elle (la roche) beaucoup plus connezcxtée et centrée, etc, l’homme desq cavernes cherche à entrter en contact avec la bete que je suis en tant que cerf (méga) cde la prairie des temps, car je suis le chef (cap, capitaine) de pareille prairie des temps, j’ensuis le digne chef de file, ca r c’est moi qui vais loin en roche a ccompâgner qui veut jusqu’au bout du bout, jke vais tres tres tres tres loin en cette roche de paroi dee grotte car ... car je suis la bete de céa ns commùe on parle d’un roi de céans, je suis bete La bete qui conduit l’homme (son âme) jusqu’au bout du bout de la roche, de cette roche des temps incezrtains, jusqu’à ce bout de roche dure (ici) en parteille zone aux ezmbruns: je suis le faon, le dousx cerf, je suisq aussi la biche, belle et tencdre créature ailée, je suis le doux gentil affable et prévenant chevreuil de la roche des temps a lloués, et ainsi, je suis l’animal par excellence , de belle compagnie de roche, qui pousse l’humain en ses retranchzements (pariétaux) de bout dxe paroi, de fond, de forme etc, je suis chevr(euil qui vous accompagfne ainsi en roche v ers des lendemains luminescents, suivez moi, prenez mon train, venez à ma suite, venez vers moi, syivez mon train a rrière, ne me l^$achez pâs, venez vers moi et suyivez moi où je vous mène, je suis votre passeur de prairie, j’amène un convoi de a à b, ou bien de a à z, etc, ttoout un alphabet, je suis ce faon de la roche dure et je vous accompâgne (vous autresq hommes en mue) vers blanche pôrte la samaritaine ou commùent exprimer cette chgose d’une sorte de belle parade, cavité ornée, blanche et nacxrée , qui est votrte poorte de vie vive, exp^rès (façonnée) pour vous, qui allez au devant et voulez poursuyivre sur votre lancée d’une mue de type langagière (langagier ?) etc, nouys (chevreuils) pensons (à part nous) que nous avons affaire avec vous à dxes êtres qui sont comme en train xde muer , mzis n’ont pas terminé leur mue, et dès lors ils cherchent par tous les moyens à en dé»coudre et pour cela ils ont besoin d’entrer en roche tezte première et là de trouver le chemin quii mène à cette v érité de bon aloi que d’aucuns espèrent trouver sur sa route, etc, comme d’aucuns espèrent etc trouver sur route ou sur chemin : porte ! porte blanche ! portee ouverte ! porte des portes ! la première porte eswt blanche, ouverte, et laisse passer (une fo;is) une lumièere vive, forte-folle, vaporeuse, qui attire, je -chevreuil voit pareille lumière (en moi : je -chevreuilk) mais trépigne, renacle, fait le forcingh, freine de tout son poids) pour ne pas succomber au passage , pour ne pas entrer en cette chose qui s’ouvre sous nos pas, nos yeux, vie blanche de vie, vie nacrée de vie, etc, en moi la bete renackle,  cette bete non langagière (? ) ou bien cette bete de poids , ce massif corporeel en moi renacle, freine des quatre fers, ne veut pas, et le dit : « je veux pas ! je veux pas ! je veux pas ! je veux pas ! «, etc, la bete en moi dit tout du long de la vie son désaccord animalier, la bete en moi ne veut pas franchir ce pas d’une porte ouverte dans une blancheur fluorescente qui attire et cher che à vous embringuer de force (contre (?) votre gré ) ou non ? ou comment ? suis je consentant ? veux je ? veux je mourir ? la mort est un viol fait à la personne  ! la mort est elle un viol fait à la personne ? nous sommes qui voulons ainsi connaitre le fin mot d’une histoire qui nous voit comme à cheval sur deux cxhoses, qui sont, ces choses, d’un côté la bete (sans mots autres que des mots de betes ) et de l’autre la belle, soit cette blanchzeur de bout de roche dure, cette évanesvcence de paroi, que l’homme des cavernes connaissait dxéjà, je suis le chevreuil de laroche du temps, je suyis en l’homme l’animal de compagnie, je suis en lui jusqu’à preuve du contreaire car lui sans moi ne serait pas en vie (obligatoirelment) et voilà pourquoi je résiste en lui à m»’échapper de lui, ou renacle ou hésite, voilà la raison : car je suis «bien» en lui qui me porte en son sein c’est à dire bien au chaud de sa gouverne intellectuelle, je suis logé en lui commùe dans un sein qyui serait un anttre qui serait une sorte de caverne pour des etres animaliers, je suis le faon de toute l’histoire de l’humanité et en tant que tel je chezrtche à comprendre ce qui est de toute l’histoire de l’humaznité, carr si l’homme a commencé sa mue sur roche (paroi de grotte) avec ces dessins et autres gravurews de betes de roche, si l’hgomme a réellement commencé sa mue à l’ère de cet art rupestre de l’aurignacien (à qsuelque chose près) alors il s’eznsuit que l’homme depuis n’a cessé de quiiter sa peau, sa cape, son cap, son chapeau, lou capel, il cappello, etc, laissant à chaque fois sa cape (sa pensée de roche) aux mains de qui on ne sait pas, qui poursuit cet homme des bois, des cavernes ou comment ? nous sommes chevreuils de la première heure langagière, celle des dessins sur roche par un homme des te:mps anciens, nous sommes les faons ou chevreuils, biches  :  cervidés de ces temps reculés, qui nous voient vouer à cet homme des cavernes un certain respect du à sa porosité, nous voyons cet homme dessiner et graver, il est en lévitation, il veut entrerr dxans la paroi (en elle, comme un ver dans une pomme) et nous de l’aider fissa, gentiment, concrètement, etc, cazr nous avons de qyuoi l’aider en nous : notre gouverne = nos ailes, suivez moi homme des cavernes, venez à moi, vezznez près de moi, montez moi comme un dromadaire (?) ou tout autre bete à chev aucher, montez ! venez ! allez sur moi ! et ne me lachez sous aucun prétexte, car je vais monter, m’envoler dans le haut du ciel et vous amener tout au bvout de ma pa roi du temps, je suis faon de laz première heure, (le) faon-chevreuil de la roche, mon nom est parfois bambi et d’autres fois le manitou car en effet onn peut dire cette chose en vrai comme quoi je suis le grand manitou (= je suis aux manettes ) , je commande,     je suis aux commandes, c’est lui (le faon) qui est aux commandes, ou bien c’est moi , le faon, qui suis aux commandes, qui guide les pas, qui fait naitre en bouche des mots-animaux, qui pousse ainsi cette chose en soi (cet en-soi) en l’homme , cette chose animalièrree ou reloevant d’une animalityé, je poussse, je fais naitrte, je suis l’accoucheur, le faon-accoucheur de mots-bêtes en cet homme des cav ernes, il pôusse s

a cohorte, l’homme des cavernes sort de lui une cohorte animalière par la bouche et cette cohorte anima lière est faite de betes de roche (de poids) qsui, agglutiné»es, forment ce pic d’entrée en matière, il s’agit de cette chose dure, cette chose d’un passage da ns le dur , cette per cée de roche par le pic de bouche et là, laroche enfin paercée, vite, une incursion accompâgnée, et cette incursion se fait de la sorte grace à l’ezntrezmise (forte, folle) d’une sorte d’animalityé en l’homme , animalité dont le nom est cette chose dite ici, ce mal dit du dire, ce nom de chose manqué (le n om) etc,  l’homme entre dans la roche, il ezntre comme à reculons mais il entre (son nom !) et là, il s’ébat, il voit, il comprend c ette chose d’une sorte de monde pariétal comme une sorte de prairie, l’homme ici (des cavernes) compreznd que ce monde intra est celui qui le verra comprendxre un certain nombre de choses de grande (très) importance pour lui : vie, mort, vie de la vie, mort de la mort, etc, l’homm des cavernes est notre ami de roche, nous sommes des faons de la praierie qui cherchons en l’homme son ami xde roche, nous voulons l’(aider dans sa mue (mue) et dès lors nous nous mettons à ses côtés, nous nous zapprochons sans crainte de lui , nous voulons essayer de faire ami-ami avec lui, nous voulons etre lui, entrer en lui, le seconder ou le doubler , noyus voulons eztre pour lyui ce pâsseur de roche auquel on dirait qu il semble prétendre, nous sommes des  chevreuils de roche qui entrons en lui dans latranse et le poussons de toute extrémité dans ses retranchemeznts langagierrs de base (mots-bêtes) et ce faisant, nous l’aidons dans sa mue, nous le secondons, nous vopulons son bien sur roche , en roche, etc, car nous sentons en lui le déteznteur d’une langue de foi que nous aimerions fortement et follement connaître car nous sommers limités nous mêmes en termesq langagierrs, d’où notrte volonté d’aller de l’avant dans cxe domaine et dès lors d’acquérir le plus possible de mots de cet homme-femme-enfant de la roche, car lui -elle-lui sait des choses d’im:portance il xsemblerait, il a un cap qui gouverne en lui et pour lui, ce cap est son capitaine de roche, sa pensée est telle que l’homme (des cavernes ou plus ta rd, l’homme moderne) sait des choses fortes-folles, car les mots en lui sont «fous» quyi caracolent à qui mieux mieux, sans frei,nn d’auvcune sorte, et vont sanstarder se ficher sur pareoi du temps, vont ainsi sur roche trouver un endroit où pouvoir se loger et tenir un temps, nous (chevreuils) aimerions connaiyttre tous ces mots d’un homme, aimerionsapprendre lalangue des hommes, ce parler-chevauchement de roche, cxar en tant que tels (betes) nous ne pouvons pas  pàarler de la sorte et dès lors notre mue à nous ne peut commencer, nous voulons connaitree, parler, utiliser pareil langage articulé, tout comme fait l’homme des roches, nous voudrions, nous serions ravis, or voilà que nous ne pouvons pas car nous ne savons pas comment nous y prendre , nos corps genent semble til , quzn,d celui de l’homme se prête à-ou preterait à une élocution naturelle (naturelle ? )  et voilà ce qui est pour nous, cet échezc,  cette impossibilité native, on dirait, et pour nous qui montrons la voie , cela n’eswt pas heureux, nous ne pluerons pas mais nous sommesq tristes de cette chose, nous aimerions tant pouvoir échanger quelques mots de temps en temps avec cet homme des cavernes ou bien avec «sa» femme, nous ne pouvons pas et c’est bien (réellement) dommage pour nous, nous sommes faons de roche qui ne sav ent pas pazrler le langage des mots-betes (ou des motsc -animaux) de l’homme des ca vernes , quand l’homme des caverbnes , lui, ou elle, la femme des cavernes, savaient graver leur nom animalier (en transe) sur roche , commùe des chefs, ils savent car ezn eux président des betes qui poussent à dire et ces betes qui poussent à dire , c’est ... nous ! nous ! qui poussons ! qsui sommes, qsui en cet homme so:mmes, qui sommes ceux là squi font dire -inscrire sur roche cette vérité première d’une mue de l’homme natif , vers des lendemains illuminés ou bien luminescebnts (ce ghenre de cghoses) , nous sommesq en cet homme ceux et celles (faons mùâzle ou femelles) qui poussent l’homme à cracher sa «gourme» (?) sur roche via ce trou de boucxhe taillé comme à la serpe par toute une cohorte (tranchante) de betes enlacées agglutinées, formant pic de perçage de roche, pic de perce )-roche, etc, ikl s’agit pour nous (faons) de comprezndre cette chose ensemble (en groupe) afin de bien nous rassurer (mutuellement) sur le bien-fondé du regard que chacun porte sur cet holmme des paroisz, des cavernes, c’est à dire de se rassurer chacun sur cette chose d’une sorte de vision que chacun de nous développerait devant pareille créature humaine, et que du coup chacun sache vraiment que ce quil voit ici (en roche) eest vu pareillement par d’autres que lui , comme lui natifs, qsui voient cette chose (tout comme lui) d’un pic de perc e -roche, aiguisé, bien pointu pour l’immisxtion de ce mobile humain (foetal ?) squi va son chemin pariétal à larecherche d’une vérité avec un grand V, vérité des vérités, qui serait contenue dans la roche nue, au fin fond, c’est à dire dans les profondeurs de la terre ou du ciel, soit devant soi, soit sur son devant c’est à dire en son devenir, son présent dee vie alloué dans la proximité de ses proprezs alleées et venues en roche du temps, nous (faons) sommes porteurs en l’homme de xsa parole, porteurs = propûlseurs, et éttant cela nous ne le qyuittons pas depuis la n,uit des tempsz, nous sommes pour l’homme pôrteurs -achemineurs, porteurs et guides ou guideurs, etc, d’une sorte en l’homme (mue) de recherche de la vérité, il est cet homme des cavernes en recherche perpétuelle de vérité et du coup habité pâr cette recherche , et nous, faons, de l’aider dans cette volonté d’aller loin devant, de passer des caps, trouver à redire, ne se satisfaire d’aucune assertions car l’assertion qui cvompte à ses yeux se passent de mots, n’est pas langagière  à proprement pàarler : l’homme des cavernes cherche et troucve, il est comme un animal, il ressembkle à un animal car il porte en lui (frais dispo) un animal de grosse taille (aurochs) qui fonce (pour lui) tete première (wson bélier de charge) et perfore fissa cvette roche du temps imparti , roche qui contient en elle $blanche porte de la véritéavec un grand V, le v de l’ouverture de paroi vers cet au-delà recherché pour durer (mort de bouche, morrt de bouche de la vérité) , nous (faons)  rezgardons cet homme entrer ezn roche, se lover voire s’accoupler, il est l’homme de la droite et de la gauche réunies, il avance à pas comptés sur la roche car il sait compter, il va loin en pareille roche, il est pour nous l’homme qui va loin et va franchir la porte blaznche (pas nous !) , nous voulons comprendre cet homme, que n’a t on pas de mot pour le comprendre ! que n’a t on pas d’idiomes pour le comprrendre bien ! que n a ton pas de langage articulé pour bien le comprendre ! cela est fort dommage et nous gêne aux entournures, car nous serions ravis de pouvoir échanger avec l’homme des cavernes et mener une con,versation, hélas nous ne pouvons, l’homme des cavernes parle sur roche (grave ou dessine) quand pour nous il s’agit d’habiter sa main et son cap, et de le wseconder dans ses actions ou agidssements, car nous sommesw en lui les faons de la transe, nou!s sommes en lui et pour lui faons de bienvenue qui poussons cette cghosesx en lui d’une grande vélocité et de grande fortune, nous sommes en lui ces betes, qui poussent à faire, à l’action d’un faire de roche, et la femme et l’homme des cavernes ainsi obtempèrent et se laissent guyider à qui mieux mieux, car elles et ils ont ce besoin ancré en ezlles ou en eux de vouloir passer des caps de roche, dé’évolutions, etc, de passage de niveaux, etc,  car en eux s’opère (est en train de s’opérer) une mue de grande importance, cxelle qui les voit setransformer en contiçnu, et quitter leurs oripeaux d’hommes et de femmes des cavernes et recvêztir ceux, d’hommes et de femmes aux mots articulés pour laparade, il s’agit pour nous , quyi sommes des faons, de les seconder, d’aider l’homme des cavernes , de nous installer en leurs seins et de les guider à main levée (ce genre de choses) , nous sommes les faons des ères natives, nous sommeqs faons des temps reculés, nous sommes en roche comme chez nous car en vérité la roche est notre antre, notre case, nous sommes faons de la roche dure du temps et nous logeons depuis la nuit des temps en cette roche dure, en pareille roche aux embruns, dans cet antre fou qui nous voit aller et venir sur roche comme des enfants hjouant à se courir zaprès, touche que tu toucheras, nous sommes les chevreui;ls du temps immémorial de roche dure, nous nouys amusons à nous courir après, à nous courser, nous sommes sur des monticules, nous guidons les hommes des cavernes, nous guidons les femmes des cavernes, nous guidons les enfants des cavernes, nous guidons les ours des cavernes et les lions des cavernes ... non, ni les ours ni les lionbs, ils se guident eucx mêmesq, ils sont à cdemeure, ils sont les ours et les lions de  c éans, et nous, faons de la première heure, sommes également les rois de céans en  cette roche des temps anoblis, nous sommes faons rois de roche dure et guidons l’homme-femme des  cavernes, ce gentillet, nous sommes rois de roche, rois de la roche du temps, nous sommes des rois, nous sommes les rois de la roche du temps, ou jouons les rois, nous hjouons aux rois de la roche du temps, aux rois de la paroi, aux rois de pareille paroi de roche et cette paroi est la paroi «des rois de la roche», à savoir ces faons que nous sommes 

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5/04/2021

je suis chevreuil, je suis celui qui va dans les sous bois, je regarde autour de moi, je suis chevreuil dxes temps réduits, des temps inscrits en roche, je vais et je viens, je gambade , en cette roche du temps alloué, je regarde autour decmoi les betes qui sont dessinées par x hommes des cavernes, je suis le chevreuil de la roche (dure) des temps impartis, je saute à qui mieux mieux sur pareille roche et file, au plus lointain que je peux et là je me pose, je suis debout, je suis élancé, je suis sur pareil mo nticule du temps des embruns entre deux mers relevées, je suis majestueux, je suis celui qui doit vous guider en pareille roche des temps, je suis  ce chevreuyil qui est pour vous guider tantot, pour vous mener ou bon lui semble, je suis ce chevreuil de la roche dure du temps et je batifole à qui miiuex mieux afin de vous guider entraîner en cette roche et vous montrer la voie à emprunter, vous devez me suivre, vous devez venir à ma suite et vous laisser guider par moi qui vous montre la lumière : celle ci qui est devant moi, qyi est la lumière sortie de bouche ou «en sortie de  bouche», ce passage large où pouvoir passer ensembvle, pour cela vous devez me syuivre, vous vous devez de vous glisser à ma suite, me suivre vaillamment et ne pas lambiner car je suis le cerf majestueux de la lande du temps imparti et je vous «accompagne» en cette roche, en ce roc des embruns, je suis là en tant que tel pour vous accompagner et vous montrer la voie à suivre coute que coute et vaillmament et vous verrez ce que do,nc est là en pareille bouche (ouverte) des embruns, vous allez le voir, vous e^tes à deux doigts de voir , et par conséquent ne lambinez pas et accrochrez vous à cette sorte en moi de fil , de ficelle, de queue de verbe etc, cette chose sortant de moi , cette sorte de chose filaire (comment m’xprimer ? ) est cette chose en moi que vous devez toucher et saisir et ne plus lacher , ma queue peut etre, etc, car ainsi vous ne me quitterez plus et vous pourrez enttrer à ma suite directement en cette bouche des temps impartis ou bien en cette «bouche de la mort» du temps, ou «de la mort du temps» : « en cette bouche de la mort du temps», il y a cette bouchhe devant nous , et cette bouche est «flanquée» d’un nom qui est celui ci , » «bouche de la mort du temps», il s’agit de cette cghose devant soi qui est cette chose d’une (grande ?) ouverture ou échancrure dans pareil «tissu» de roche dure, ce trou de roche est  cela qui nous attend et que je vous montre : suivez moi, ne me lâchez plus, ayez soin de bien vous accrocher à cette queue que j’ai en bout de moi, et ne lachez pas votre surveillmance, veillez à tenir toujours cette queue de moi quyi vous permets de garder ce lien direct (contenu) avec moi le chevreuil des bois, des roches, des embruns, des temps pierreux, etc, cela est ainsi que vous vous devez de faire apres moi : tenir à ma queue et ne plus la lâcher , et vous jeter ainsi à ma suite vive, nous sautons, nous sautillons sur ce sol d’un entre deux mers asséchées , vers pareille bouche du temps imparti, ou «bouche de la mort», telle que (bouche) nous pouvobns la voir ensemble : nous seommes accrochés ainsi (accolés) pour mieux nous introduire en cette bouche des embruns, je suis le chevreuil qui vous accompagne et vous montre la voie à suivre, je suis majestueux et en impose, je suis le chevreuil aux bois jolis et majestueux, je vais et je viens sur pareille roche et je montre le chemin à suivre, je suis le chevreuil qui montre le chemin, en tournant la tete à des moments, majestueusement, de gauche et de droite (selon) afin de vérifier que je syuis suivi comme il se doit, je fais en sorte que cette personne derrière moi (cet homme des cavernes ou cette femme des cavernes) soit toujours en contract avec moi en se tenant à ma queue, je suis celui qui entraine (traine) apres lui cet homme des cavernes en transe, cet homme en transe ou cette femme en transe, qui font (les deux) le couple qui va (gaiement) en pareille roche du temps, nous nous avançons ainsi (à trois) sur ce chemin de roche, nous sommes dans la roche, parmi quelques dizaines de betes gravées, et nous nous faufilons parmi elles, nous entrons toujours plus avant en cette roche des temps de la mort à l’oeuvre, ou comment désigner pareille bouche des embruns, ce trou dominical, cette voie d’accès bleutée, ce chancre ou cette échancrure ou bien ce chant (?), cette voix venant des profondeurs, ce roulement de tambour, cette parade enluminée, etc, nous entrons tous troiis en cette bouche qui est grande ouverte, je suis le guide-cerf (chevreuil) qui entraine = conduyit à pareille fin bucczale, il fallait quelqu’un pour ce faire et me voici donc en tant que je suis le chevreuil de la grotte préhistorique, je suis méga-grand et en impose, je demande à être suivi (tenez moi la queue !) et je le syuis, par donc pareilles créatures magdaléniennes ou solutréennes (etc) qui sont accrochées à moi c’est à dire à ma queue de chevreuiol qui va dans le vent (fouette) et se présente comme le pompom à attrapper pour sa gouverne  : nous entrons à trois en cette bvbouche de la mort, nous sommes trois qui entrons en pareille bouche de mort, ce trou dans la voilure = ce trou-bouche en pareille roche, dans le bleu du ciel de la roche, nous entrons en ce trou comme des mariés, comme en des épousailles forcées, ou bien comme trois qui «font la paire» (!) ou bien comment ? je suis le chevreuil des bois jolis et aux bois jolis (majesté) qui va royal en son pays de roche aux embruns, je suis inséré dans une roche de prairie, je vais et je viens sur pareil pré et vous invite à bhien vouloir vous accoler à ma suite (ici la colle) et à ne plus vous éloigner de mon attribut caudal, tenez bon la manivelle, ne lâchez d’aucvune manière, tenez à moi et ne lâchez pas, vous allez comprendre et ainsi vous saurez de qyuoi il en retourne en pareille incursion buccale, ou en pareille incursion en cette roche (trouée) de la prairie des betes qui paissent (paisiblement) leur comptant d’herbe à brouter, nous entrons en cette roche dure comme des enfants tenus, nous nous faufilons en cette roche, je suis votre guide-chevreuil qui vous entraine à sqa suite , et bientot je disparaitrai et je vous laisserai zainsi (couple) en cette roche des temps durs , en cette cavité de bouche aérée, etc,  pour l’instant il en va ainsi que je suis celui qui vous entraine à sa suite cavalière, vers pareille bouche du temps fou = celui là qui est devant soi, qui est un temps non encore tracé de viçsu mauis qui cependant est là comme une bouche ouverte, prête à vous gober d’un traiot d’un seul, il s’agit de voir ^pareille bouche ainsi , comme l’ouverture d’une sorte de chose en cavité, une sorte de trou à combler ou bien une sortye de trou à emprunter, nous entrons à trois, nous sommes là, en cette roche du temps, en cette roche de la mort du temps, en ce trou rocheux situé, en pareille cavité de la roche des embruns, et nous nous faufilons en elle car je suis le cerf de céant qui va et qui vient en roche et capte hommes et femmes des cavernes, les entoure de prodigalités afin de les amadouer et de les entrainer à bien vouloir s’accrocher à moi (caudal) pour bien se laisser faire, se laisser porter cvomme des nouveaux-nés (etc) et entrer apres moi en la roche trouée, en ce trou de roche, en pareille bouche, en ce trou de la bouche du temps de la mort sûre, etc, la mort est cette bouche ouverte des temps alloués, il s’agit d’un trou nacré, voire bleuté, qui est un passage, le trou de la roche du temps où passer à deux de préférence, (etc) car il en est ainsi que pour ma paert mon nombre ne compte pas , je suis celui qui entraine (le mulet, le guide) et dès lors je ne compte pas, je ne fais que passer et m’en retourne, je suis ce chevreuil qui aide au passage mais ne compte pas au bout du compte, il s’agit de comprendre cette chose ici cvomme quoi en tant que tel (cerf des bois, cerf aux bois) je ne compte pas en tant que faisant nombre (je ne fais pas nombre) car je suis celui (l’é vanescent ?) qui entraine, qui tire vers lui et à lui un couple d’homme-femme des cavernbes, accroché à moi (la paire) et me suivant de la sorte, jusqu’à l’intérieur de ce bout du monde qu’est cette chose du trou de la bouche ouverte, il s’agit de comprendre cette chose comme quooi oui nous entrons à trois en pareille roche, ou en pareille cavité à même la roche, oui nous sommes trois (une trinité) mais cela n’est pas, czela n’est pas tout à fait ce qui est ici, ici nous sommes trois à entrer mais en v érité je ne compte pas, je suis l’évanescent, le volatil, le bel évanescent, le bel envolé etc, qui saute et sautille (cabri pour ainsi dire) mais n’entrte jamais tout à fait , à se laisser embringuer ou engloutir, comme d’aucuns, subjugués, se voient engloutis par «bouche de la mort des hommes», etc, moi non, moi pas du tout, moi nullement, moi pas çàa pour un sou vaillant, car en tant que chevreuil des embruns je me dois de con server ma place en roche, cette place pour moi qui est celle d’un roi de céant qui préside zaux destinées de ceux et cellkes qui entrent en roche bille en tete, tete première et viennent se loger en elle parmi nous, les betes de la roche dure, etc, nous sommes chevreuils d’un temps imparti et pour ma part je suis le mégacerf qui préside et commande et donne lkes ordres, intimide, etc, je suis le roi de la roche dure, je guide les ames des hommes et des femmes et des enfants entrés en roche, je les amène à bien vouloir aller en cette cavité de roche, je les incite, je les entraine, je règne en maitre de céant et pousse les ames de la roche dure ainsi introduites à bien vouloir aller apres moi («accrochez vous, tenez vous à ma queyue») en cette cavité dite «trou de bouche de la mort du temps des embruns de la roche dure», etc, car en tant que grand cerf manitou de la roche, en tant que tel, je dois montrer (désigner) le bon chemin aux âmes des roches, je suis le guide en tant que tel, je m’appelle le chevreuil, je porte un nom, je ne compte pas pour le décompte car je ne meurs pas, je ne meurs jamais, je place ma tete dans la cavité de «mort la bouche» et la retire aussito^t, pas folle la guêpe, ainsi de suite : je fais attention à ne jamais m’introduire entièrement en ce trou de la mort de bouche, ou trou de bouche de la mort, je fais attention et me tient toujours un peu en amont oou en deça de pareille cavité mortelle, etc, je fais gaffe, je veille zau grain, je suis le c erf xdes bois qui montre ce chemin quil n’emprunte pas tout à fzait, je suis le passeur d’ames ou d»’ames célestes c’est à dire que je prends avec moi (à ma suite) des hommes et femmes des cavernes, je les intime à bien vouloir avec moi aller en roche trouée, etc, cette chose à faire pour eux : je les poussse, je les entraîne, je fais cette chose,  mais cela sans pour autant moi même me glisser complètement en cette ca vité de roche , en ce trou de la fin des ciels, etc, je fais ensorte (bien) de ne pas aller trop loin en pareille cavité temporo-spatio-pariétale, je ne suis pas fou, je ne suis pas un chevreuil fou, j’ai toute ma tête boisée, je suis le cerf ou chevreuil à la tête boisé comme un arbre, je porte l’arbre sur ma tete, je suis roi des lieux p)ariétaux avec arbre de vie sur moi même, ainsi suis je, ainsi cela est en pareille roche du temps, qui me voit entrainer à ma suite (royale) des etres de peu (homme/femmes des cavernes) qui vont ainsi (en transe, non-maitres d’eux mêmes) à ma suite vers un logement -lovement de leurs etre-couple ainsi formé en cette roche (vont) de la bouche ouverte de la mort des temps, nous entrons (ou tout comme) à trois mais eux deux seuls sertont capturés car pour ma part je suis déjà ailmleurs, je vais et je viens sur la lande, je suis le cerf des bois du temps, près aurochs, près bisons ou près phacochères, je m’appelle Mégacerf le grand de ces bois, je suis Roi, je suis Père, je suis CVhef, je suis le Patron de cette sphère aux embruns et je guide tout un chacun vezrs cette chose en fond de roche (vers l’horizon) qui est le trou de la bouche du ciel, cet espace en creux qui est comme un passage flou, dans lequel l’homme et la femme (en couple) des cavernes vont à se loger-lover ensembvle, ensemble vont à se loger-lover en pareille cavité floue, embrumée, étourdissante, etc, nuage dans lequel aller , etc, mais ^pas moi, pas fou, je ne suis pas un chevreuiol fou, je suis le chevreuil non-fou, je suis kle chevreuil qui conserve toute sa tete, qui a toute sa tete pour lui et la conserve ainsi boisée, telle quelle, sans en perdre un bout, etc, je reviens de là (ce nuage cvéleste, zone aux embruns) et vais sur roche gambader, sautiller comme un cabri, avec mes frères er soeurs cervidés etc, je ne me glisse jamais tout à fait en ce trou de rochge embrumé, je ne vais en lui qu’un bref moment et de guingois afin de faire entrer le couple des cavernescmais pas moi, je ne veux pas entrter en ce ctrou embrumé nacré car je suis le passeur de la roche, celui qui mène x ou y (ou : x et y) d’un point à un autre, de cette paroi ornementée à ce fon de roche nacré, etc, je fais ce chemin vers des lendemains de roche, pour des ames, pour des homme-femme des cavernes, je fais «tout» ce chemin qui va de là (paroi) à làç (embruns) et ce n’est pas une petite affaire, car il y faut beaucoup de courage, il faut être foçrt et bien tenir sur ses patttes, il faut pour cela beaucoup d’abnégation, de courage, de volonté, de foi en ces lendemains nacrés, il faut y aller, il ne faut pas lambiner, il faut y croire, il faut ou il y faut des connaissances en  ce qui concerne le ou les chemins à emprunter, les voies d’abord, les entrées en matières, les raccourcis, les entrées en sous bois, etc, il est bon en tant que chevreuil, de connaitre, de savoir, d’etre un brin savant , et ainsi de mieux pouvoir , ou etre plus à même de guider convenablement ou correctement ou à bon escient la cohorte vers son but nacré d’entrée en bouche, il est bon ainsi de faire cette chose du mieux possible et pour moi cela passe pa r des connaissances accrues, nettes, tracées au cordeau, fiables, pleines, etc, afin de pouvoir sans peine amener untel ou unetelle à toute extrémité rocheuse, vers ce trou qui est une bouche quyi est une brume, un passage flouté par des embruns de bord de mers, etc, il s’agit d’une sortye de nuage censé vous absorber et ne plus vous relacher, etc : on voit cette chose fumeuse ou cvomment ? feu ? fumée ? embruns ? nuage ? vapeur ? et l’homme des cavezrnes d’entrer en elle ou en lui, en cet espace -temps nuageux qui est l’espace-temps de la roche  dure des temps alloués, l’hommùe des cxavernes entre et n’en resoort pas ? ou bien enttre et en ressort mais transformé, en quoi ? en chose dure (pierree ?) ou bien en chose meuble (glaise ?) etc, nous (les chevreuils) ne savons pâs tout de cette opératrion mécanique, de cette opération mécanique du divin (devin) etc, nous savons des chgoses en tant que nouys sommes ici de la roche comme de la paertie , et cependant nous ne savons pas tout , quyi nous en remettons à d’autres que nous ici mêmes pour d’autres sujets que nous ignorons ou dont nous ignorons le gros des choses, ou comment : kles tenants et les aboutissants, nous savons des choses concernant la roche du temps (cetrte roche ornementée par moults chevaux en bataille ou autrtes ours ou renhes des cavernes), ou oui il est cette chose avérée comme quoi en effet nous savons des chose (ici en roche) mais pas tout, et noteamment en ce qui concerne le fin fond de la question de cette bouche aux embruns, cette fumée, ces embruns, cette chose -écran, etc, vers quyooi nous tendons, ou qui nous tend ses bras surnuméraires, etc, cet espace -temps de première qui est celui qui attend tout un chacun pris aux filets pour ainsi dire, d’une roche dure des temps (présents, passés, avenirs) : nous savons tous que nous sommes pris, or chacun à dxes degrés divers, chevreuils nous sommes, chevreuyils nous demeurons pour nottre part = nous ne changeons pas = nous restons les mêmes ad vitam aeternam, etc, car nous restons groupés, en cette roche des prés, nous n’en sortons pas, nous ne sortons pas fde nos bois et autre sous bois et autres prairies et autres prés jolis, bnous sommùes ainsi qui nous cantonnons en cette zone rocheuse d’un intra, et ne cherchons pas à nouys immiscer en quuelque trou que ce soit, nous nous en gardons bien, nouys cherchons la durée, nous voulonbs de cette xdurée qui est celle d’un art de durer qui est celle d’un art de durer dans la roche du temps impaerti, cette roche dure des embruns (?) ou bien dezs bords de mer : nous vouluons restezr en vie, bnous sommesz les chevreuils d’un temps accepté et mesuré, nous sommesz chevreuils de forêt quyi allonbs sur roche promener, ainsi de suite, nous nous promenons, nous vaquons à nos occupations coutumièresq, etc, nous montons sur le monticule, nous sommes sur  ce monticuyle comme betes de féerie, et nous guidons qui le veut à bien vouloir s’enchainer à notrte sillage (à queue nôtre) et à nje pas nous l^acher d’une brindille, nous sommes incitateurs, alarmeurs, nous quémandons, nous sommes chevreuils de roche qui vont vers hommes et femmes des cavernes afin de pour le coup lkes inciter à bien vouloir aller vers nous, vers nouys qui sommes incitateurs et entraineurs pour cette chose d’une entrée en roche dure des temps brumeux (fumeux ?) etc, nous ne savons pas : qui de la brume , qui de la fumée ? les deux choses, mais laquelle en vérité ? nous essayons de comprendre mais nous ne sommes que (hélas) des chevreuils de roche dure, rien d’autre ou rien xde plus, et dès lors comment faire pour s’y prendre pour savoir ? nous solmmes des chgevreuils de roche temporelle, nouys sommes un jour entrés en cette roche , roche de grotte (via une entremise), et depuis nous sommes incxluys en  cette roche comme (en tant que) ornements d’homme des caverbnes, nous sommes saisis, et voyons passer kles betes autour de nouys (d’autres que nous) et c’est en cet endroit que nous avons appris à donc accompagner hommes et femmes des cavernes dans leurs gestes (traçant qui l(aurochs qui le renne etc) ùais pas seulement : suiverz-nous homme des cavernbes ! suivez nous jusqu’aux embruns fumeux, jusqu’aux fumées brumeuses, ou comment désigner ce «nuage « mordoré qui est ce tte entrée lointaine céleste de la roche des temps, bouche de la bvérité, bouche dela mort dure (sûre) etc, nous voulons entrainer et passer ainsi, nous nous devons d’entrainer et de passer ainsi des âmes de passage (hommes des cavernes, femmes des cavernes) , nous essayons de faire au moieux cet a ccompagnement pariétal d’hommes et de femmes en transe, jetés de la sorte en roche, qui sont hommes et femmes ennivrés ou comme transformés (déformés) par des chgoses en eux qui les dfroguent, etc, nous sommes les cerfsq de ces lieux nacrés, les chevreuils aux bois durs, aux bois de guerrier, nous traversons les prés ainsi faits, nous sommes beaux et graves, nous marchons drtoit la tete haute, nous sommes rois majestueux de roche, nous montrons kla voie à suivre, mais de quoi s’agit il au juste ? bhrume de mer ? fumée cde terre ? nous ignorons car nous nous gardons bien de nous tenir en deça de cette cghose capitale (définitive) terminale outrée, nous nous gardons bien de ne pas entrer de trop, au rique d’y rester, et par conséquent un sabot seul suffit (y mettre) , pas deux, o jamais, car nous y resterions comme scotchés ou pris à partie ou comment ? engloutis ? oh certainement et cela o grand jamais ne le voulons, nous tenons à notre vie, nous ne voulons pas mourir, nous voulons rester vaillants et droits sur nosq jambes de cerfs annoblis, nous voulons etre en cette roche les passeurs du temps impartis et cela pour dfes ames comme par exemple celles qui concernent hommes de cabvernes et femmes des cavernes, femmes des cavernbes et hommes des cavernes, etc, bnous sqommes chevreuils (cerfs) qui savons des choses, oui, concerna,nt la roche prairiale , oui, lka roche du temps prairial pariétal, c’est exact, nous savons un certain nombre de choses, nous savons que cette roche est dure et meuble à la fois selon les endroits (les points de scansionb) etc, cela nous le savons, mais on voit hélas que nous sommes loin de tout savoir, que bien dses choses encore nous sont inconnhues, nous dépassent = sont plus ghrandes que nous, et ce malgré notre très grande taille de chevreuil géant, de mégacervidé des antres, etc, cela est un fait indubitable indéboulonable, cezla est sûr de chez sûr : nous savons des choses mais nous sommes loin de tout savoir sur ce quil en ressort de pareille roche aux embruns (? ou aux fumées (?) qui est cette chose devant nous , que nous montrons à tout va, qui est ce trou de roche, cette cavité -excavation où aller peut-etre pour savoir comprendre cerner, cela pour l’hommùe et la femùme des cavernes ornementateurs et ornementatrice de roche, nous sommes les chevreyuils de la roche dure, noys gardons les lieux et engageons ceux et celles nouvellement apparues en roche à bioen vouloir se joindre à nous et nous suivre par la bande en ce lieu nacré et bleutéc jusqu’à cet endroit de fin de paroi, ce lieu retiré , cet abord lointain : brume ? embruns ? fumée ? chaleurs ? nous ignorons, nous poussons la chose jusque là, de vous accompagner jusqe sur le devant, un peu au delà mais guère, car nous ne voulons pas traverser, nous introduire, entrer en pareille trouée etc, non pas, nous voulonbs conserver oou nous veilloons à bien conserver notre place, nous veillons à bien conserver cette place que nous avonsen roche, nous voulons conserver pareille place d’initiateurs, de guide, d’accompagnateurs etc, en cette roche oprnemùentée de caverne, nous ne voulobns pas sortir de cette cxhose , de ce rôle dévolu, nous voulons poursuivre ce travail d’accompagnement cd’une amme (ou de deux à la fois) vers des embruns lointains, vers une fumée de roche, vers un trou de bouche fuman,te, cette chose ici ou là en roche, qui est «bouche de la mort» la grande, celle là donjt on parle ici ou là, cette chose en nous, ou comment ? que nous nommons ainsi : bouche de la mort des hommes et des femmes des cavernes «, cela est aindsi que cela est à nos yeux de cerfs et de chevreuils de roche, nous pensons que nous sommes ainsi des chevreuils de la roche dure, des initia teurs-)^passeurs, des etres qui gambadent gaiement sur pareille contrée pariétale et capte les nouveautés, voient (vite fait) qui sont les nbouveausx arerivants etc, les poursuiveznt (plus ou moins) et leur font des signes, comme quoi ils auraient tout intérêt à bhien vouloir les suivre , à bien vouloir nous suivre jusquy’à pas d’heure et jusqu’au bout du bout, car nous sommes des chevreuils du bout du bout, nous sommes les chevreuils qui savons des choses, nous sommes chevreuiils qui savons beaucoup de choses en cela qui est cette chose d’une roche, et cezla compte, nous sommes des chevreiils savants, nous sommes des chevreuils qui savons un grand nombre de choses concernant la roche du temps impartis, sa décoration intérieure, ses abris, ses occupants, ses couleurs, ses climats, etc, nous connaissons la roche ornementée sur le bout des sabots pour ainsi dire et dès lors nous pouvons très bien et très volontiers nous proposer pour répondre à pleins de questions que vous pourriez vous poser ensemble, sur pareille roche du temps , ses tenants et ses aboutissants rupestrezs, temporels, en tant que tels = en tant qu’ornementation de roche, etc, nous sommes à même de pouvoir vous renseigner grandement, et vous donner beaucoup de tuyaux et autres secrets et autres conseils , etc, car nous sommes chevreuils de la première heure, nous sommes nés en roche, nous sommes nés à kl’intérieur de la roche du temps et n’en sommes jamais sortis, nbous aimons parteilkle roc he ornementée et nous nbous promenons en elle à longueur de temps,, sd’année, car nous aimonsgzambader sur pareiklle rochge des temps et découvfrir cet ensembvkle en sqa complétude de préférence mais n’en jamzais sortir cependant, nous y cantoner, y rester liés,  etc, rester en pa reille roche en tant que rois -reines des lieux impartis comme temps alloués pour une vie, nouysq ne voulonbs pas sortir dee kla roche, nous y sommes bien et nous voulons y rester encore et touhjours car nous voulons rester en vie, nhous ne voulons pas ^)asser l’arme à gzauche, nous voulons conserver l’arme à) droite, nousq ne voulonbs pas défaillir, loin de là, carr notre but ici bas en cette rochge est de durer comme laroche (exactement) et ne pasfaiblir, pas ramollir, tenir, tenir bon etc, nous voulons en tant qye chevreuils-passeurs comprendre des données de base qui sont données intitiatiques ou initiatrices, comment dire ? nous voulons comprendre  c e que nous sommes en vérité» : des chevreuyils ? des cerfcvs ? des biches ? cervidés en générakl ? cezrvidés en p)articulier ? qui sommes nous comme betes d’abord, comme betes intitiatrices ? qUel ge,nre de betes sommes nous ? lers mots co:mp^tent pour nous qui en sommes démuunis, nous aimezrions etre pourvus de mots, nou!s voulons conn,aitree les mots de base d’une langue articulée comme par exep^mple le françaix, etc, car, en tant que nousq sommes chevreuils simplement, en tant que cela, nous sommes comme punis (pourqyuoi ?) qui ne sommes pas (point) munis de pareille langue hélas ! car nous aimons les mots de  roche de c et homme, de cette femme, ces mots gutturaux tracés (au chgarbon de bois ...) , nous aimons cesq mots prononcés sur roche, nous kles aimons à la folie, nous aimons ces mots-animaux dont nous faisons partie etc,, nous sommes chevreuils «de la partie» et à ce titre nous donnons le la musical, le point de base, l’injonction, l’él:an vital, le «start» etc à une vie de roche pariétale (ceelle d’un quidam, etc) et ce faisant nous initions, nous poussons dans des retranchements, nouys poussons au passage et à la traversée («nous poussons au cul») etc, car nous sommes programmés en quelque sorte pour ce faire vif, pour pareil faire vif, vivant, vivace, nous sommes les starters d’un bout du monde, celui d’un départ, d’une sorte d’injonction à aller etc, nous sommês chevreuils qui pensons cette chose d’un faire vif à allouer à une vie cde roche incluse, à vie de roche incluse, à vie incluse dans la roche ou bien bnouvellement incluse, nous devons entrer en cette roche dure, en tant que nous sommes des cxhevreuiolsq, qui vont et viennent en elle sans souci, haut la main pour ainsi dire, vifs comme des éclairs, vifs a rgent pour ainsi dire, chevreuiols du temps, chevreyuils de la przairie, chevreuils d’un temps imparti, qui vont sur la lande raccoler (en quelque sorte) et faire du charme afin d’etre suivi ainsi, sur roche déblayée, lavée asséchée, etc, passage royal pour un franchissement de l’obstacle marin et une immersion en cette chose (céleste) d’une cavité de roche, d’une sorte de nuage clair, ou comment ? nous guidons les ames mortes d’hommes des cavernes (hommes/fzmmes) et cela fait nous nous repôsons en notre pré, nous guidons les ames bestialesz de ces hommes en trzanse, hgommes-femmes des cavernesz, montées et ayant franchi, nous sommes les guideurs-passeurs d’hommes-femmes animaux ou animales = animaliers ? animalièrezsw ? nous ne sommes pas genrés, nous sommes unixeswwxes, nous sqommes hermaphrodites, homme et femme accolés, comment dire ou désigner ou signifier la chose ? nous sommes des qui sommes en roche guidés par des choses en elle ou bien comment ? nous sommes chevreuils ! nous sommes chevreuils de roche ! nous sommes kles chevreuils d’une roche vdu temps ! nous sommes chevreuils)-cerfs de roche dure, quyi allons ainsi nous promenant sur pareille praierie inscrite, nous nous promenons et passons des caps montagneux, ou autresq, et ainsi nou!s occupons les lieux quyi sont lieux de roche temporzelle, nous guidons des âmes mortes ou bien mortes-vives ou commeznt,  vies inscrites dans l a roche dure de la mort à lk’oeuvre, de la mort vivante etc, nous sommes chevreuils qui avons ce souci de guider des hommes et des femmes en rochge du temps jusqu’à ces embruns de bord de mer ou bien jusqu’à ces fumées de chose volcanique , qui sait ? nous ne sommes jamais allés assez loin pour en connaitre le fin mot hélas;,, nous cxonnaissons les pourtours et autres alentours (en intra ) mais ce qui se trame en cette cavité lointaine, trouée musicale, chant de la terre meuble, contrée enluminée (illuminée ? ) etc, tout cela nous éch ape grandement et dès lors nous ne sommes pas vraiment en mesure de comprendre et de donner, de comprendre les données de base et de les offrir en partage, nous sommes cerfs de prairies de roche, nous vivons en  continu dans une féerie et nous voyons ce qyi autour de nous se trame, les alentours, etc, mais point au -delà hélas, qui ne nous aventurons guère au delà de ces alentours rocheux qui sont ceux d’une paroi de grotte ‘ ( Chauvet ? lascaux ? alma -terra ? ) , nous restons logés, lovés, collés-accolés, inscrit , etc en cette roche )ou à cette roche , nous ne cherchons pas à nous aventurer plus loin, nous laissons brume et embruns , fumée de fumatière, etc, les laissons sur les bas côtés, et nous nous cantonons à ne pas de préférence franchir ce genre de limites comme tracées par qui on ne sait, en cette roche temporelkle ornementée qui est celle dx’hommes et de fezmmes des temps anciens, nous ne sortons pas de la paroi et n’essayons pas de sortir d’elle, ca r nous y sommes accrochés (coeur) par des xsentiments mais pas seulement, pâr des fils qui nous cousent à pâreille roche ou comment nommer nos sentimen,ts, notre passion, notre envahissement émotif, nbotre coeur de roche inclus, etc ? nous voulons comprenddre ici en tant que nous sommes chevreuils de la roche inscrite, circonscrite, plieine à ras bord de choses et autres, nous voulons savoir ce qyui est en  cette roche pour nous, chevreuils de passage , pour passage, nous gam badons sur roche comme sur un pré, nous sautilmlons et faisons du cha rme , de l oeil, etc, pour faire suivre apres nous, nous essayons de charmer notre petit monde  nacré, etc, nous voulons essayer d’entrainer le plus possible jusqu’à ces abords de roche qui sont des abordss de mer, ou bvien de terre ? nous ignorons ! nous essayons de comp^rendre où mener et comment mener, où mener l’homme des cacvernes en pareille roche , et comment le mener à bien , car nous ne sommes «que» chevreyuils de roche, rien de plus , et nous ne connaissons pas lkes mots de la tribu des hommes entre eux, nouys ne connaissons pas de mots à nous, qui eussent pu nous aider à communiquer avec ces hommes et ces femmes des cavernezs, nous ne sommespas éqyipés de cette sorte, nous en sommes chagrins car nous aurions aimé être équipépa reillement mais voilà, non, nous ne sommesz pas munis d’un éqyipage pariétal, d’un éqyipage demots-animaux comme il eut fallu que nous le fussions, de  cet équipage pariétal animalier dont l’homme des cavernes est muni (lui) , équipage bien utile pour communiquer et échanger des dires entre nbous, entre eztres de même espèce, nous avons desq cris, des grognements, nous faisons des bruits, nous faisons avec notre museau des bruitsq, nous a vons le brame pour nous et nous bramons , nous crions dee tout nottre soûl  cette chose du brame de forêt, nous gueulonbs, nous ouvrons grand notre museau de bete de la roche dure, nous sommes rois et reines de la roche dure, de paroi, nous sommes rois-reines de roche-paroi, nous allons en elle comme chez nous, car nous sommes comme chez nous dans le temps, nous sommes les cerfsq (cer vidés) de la grande parade initiatrice, grands manitous de ces lieux (de roche) saints, il ws’agit dxe comprendre cette cghose, nous sommes les cerfs royzux maitre de ces lieux de roche, nous ne parlons pas de langage articulé mais nous br^$amons, nous poussons le cri de la bete qui n’est pas toujours un cri, qui est parfois une mélopée, nous somms a nimaux de roche dure, qui allons par les prés à la recherche d’un qyidam qui serait perdu et attendrait l’heure d’être accxompagné et guidé vers un endsroit de bord de roche (fin fond, etc) quyi serait l’endroit dela découverte de soi pour soi : qui on est ? qui nouq sommes ? qui voyons nous devant nous ? etc, nous sommes les chevreuils de roche du temps qyui voyons ces hommes-femmes agglutinés, pelotonnés, accouplés, sertis, e,nchassés, etc aller et venir sur cette paroi , entter en elle et s’y lover permannemeznt comme larrons en foire etc, nous aimons regarder ces etres de paroi et leur  faire coucou et leur demander expressement de bien vouloir allezr vers nous qui les guiderons (saurons les guider) à bbon port, nous sommes placés sur roche (monticule) pour ce fraire et il serait beta de ne pas nous suivre qua nd on sait le temps gagné à etre conduit, amené, accompagné jusqu’au point terminus qui est ce point de fin de roche de grotte, car la grotte a une fin , en roche, qui est «fin de roche dure» = bouche de la mort des voeux, nous pensons que nbous devons guider les mobiles (couples) vers pareille bouche à voeux, nous devons car nous sqommes les chevreuils «d’aide au pâssage», et à ce titre nous nous devons de bien faire en wsorte cette cxhose d’un passage en bonne et due forme d’un mobile (couple) allé sur roche (inscrit) pour une acquisition de connaissa nces diverzses concernant la mort mais pas seulement, concernant, aussi, la musique des sphères, les embruns, la roche dure, la mer scindée, les betesz (aurochs ?) de belle contenance, etc, nous sommes les chevreuils qui aidons tel ou tel dans l’a cquisition de ses comp)étences, ou connaiossancesq, il est bon pour nous de comprendre cette chose, d’un homme des cavernes introduits par la bande , il est entré en lévvitation, il a creusé son trou dans la roche avec son propre pic de bec, ou pic de verbe, il est entré cdedans, baton xde bois, tete de rapa ce, a creusé profond et a travezrsé le rubicon de la roche dure; et là, dedans, l’homme des cavernes et la fzemme des  cavernesz, main dans la main, ont cherché a près nouset nous ont trouvé, et nous de lesc accompagner (docilement, paisiblement) versq le fond  de pareille roche, en ce fin fond de roche, versq des embruns ou bien ws’agit il de fumée ? nbous les accompagnons gentiment, doucement, tendrement, amicalement, tout amour , aAmour, etc vers pareille «sortie» de roche (autre bout, comme un intestin ou un corps troué intestinal) car c’(est ainsi que nous faisons , nous les entrainonsq, nous entrainons à notre suite (qui veut)- et ce fai!sant nous initions aux vertus pariétales d’un temps impartis :  c ette chose d’une roche bellement ornemezntée, etc, nous accompagnons-initions-poussons ce mobile de vie («à toi à moi») en  cette roche dure du temps dur, etc, et pour cela nousq gambadons en pareille roche, nous montrons par où passer e,n   nous faisant suivre, nous sommes Amour, Szexe tout autant qui poussons autrui dans ses retranchement (cette chose) et le guidons  (dès lors) vezrs des lieux termina ux, versq lieuy de bzase musical,  vers un lieyu de fin de vie, njous éduquons (?), nous iniçtions, nous montrons, nbous faisons cette chose d’une sorte d’accompa gnement salkvateur (ou salvateur a priori) car nous faisons partyis des chevreuils de vie,  ceux là même qui initient l’homme aurignacien, à savoir dessiner, ou graver sur roche, etc, je suis le chevreuyil, qui est l’animal initiateur-guideur par excellencve, et là où je vais l’homme ira (lhomme de la grotte cachée) , il ira en me suivant, il saura comprendfdre quand il aura vu, maisq qu’y  a t il donc à bien avoir à regarder ici ? je suis le chevreuil de ces dames de la rocxhe dure  et de ces messieurs, je m’avance vers un homme et lui fait signe de bien vouloir s’adjoindre à moi, à me «coller au cul» comme queue caudale , et à ne plus me perdre désorm ais et ainsi tenus (au temps qui passe) se laissezr porter (a til un autre choix ?) où donc bon me wsemblera de le mener, car il incombe à celui qui va, d’aller où bon luyi semble (il sembvlerait), lhomme ainsi est entrainépar moi, je le porte, je porte sur moi , ou pres de moi, ou accrocvhé à) ma quezue, cet hommme , qui se garde bien de me lâcher, je porte pa reille personne derrière moi pour mieux l’amener à bon port, à ce port de bord de roche (de vie ?)) quyi est cette fin en soi , ou fin de non -recevoir , ou comment ? terminus ? terminal ? e,nclave ? nouv elle enclave dans l’enclave ? bouche de la Mort lagrande, la déesse, le roi, la reine , quoi de plus  ou qui de  plus ? je mène ce couple d’homme-femme des cavernes en roche, et là, ainsi insérés, il et elle, vont à chercher (via moi, via l’art ? ) l’endroit idoine où donc trouver à se lover pour coïter, je vois en tant que je suis, et je suis en tant que je vois, car j’ai des yeux pour voir ce genre d’ébats en roche, j’ai des yeux pour voir, aventureux, etcx, je suis le chevreuil de ces dames et de ces messieurs, je vais en roche ainsi gambadant, pour faire en sorte que des hommes et des femmes puissent s’accrocher à quelque chose qui serait de l»’ordre de la véritév a vec un grand V, je suis le chevreuil de la roche, mon travail consiste à accompagner les etres nouvellemùent introdyuits en elle, comme hommes ou femmes des cavernes, à kles accompagner pendant leur séjour en  pàareille roche du temps, et à le s guider à bon port : cette lumière de fond de roche, cet horizon nacré fuyant, ce nuaghe de b rume ou dxe fumée, etc, je suis le guideur, le passeur, l’entraineur, c’est moi qui donne le top-dépa rt de ceztte chose pour a insi dire, je   fa is de mon miezux pour apporter ma pierre à l’édifice de ce monument de roche dure (le Temps avec un gra nd  T) etc, je suis la bete de la roche, celle qui (entre autres betes) mène l’homme à sa finalité rocheuse, à fin de roche aux embruns (?), à fin de roche tout court, l’homme va entrer ezn cette cavité de roche dure et trouver sa chose (esp^érons) en cette ca vité brumeuse ,nous savons, nous sommes les cezrfs qui savons, sur cette cavité brumeuse, des petites choses, nous ne chezrchons pas à nous étaler ou à divulguer, nous disons que nou!s ne sa vons rien de plus (à haute voix) mais en vérité nous savons de petites choses, concerant Bouche de la Mort, que savons nous ? njous savons son nom : «bouche de la mort brute», nous savons que ce nom est particulier (BMB), nous savons que ce nom a une importyance majeure, nous savons que cette bouche est située sa ns l’etre : elle navigue comme un navire ailée, nous savons que Bouche de la mort» brute est une bouche ouverte (jamais fermée) etc, nous savons quelque petitesz chosesq, nous ne sommes pas (en vérité) sa ns rien connaitrte ou savoir de ceztte bouche de la vérité, de cette bouche dez la mort, nous voulons dire ce que nnous savons ou plutot : nous voulons bien dire ce que nous savons, nous autres cerfs des prairies, mais cette chose commeznt (et à qui ?) la dire ? car nous ne sommes pas munis d’une sorte d’appareil langagier qyui nous eut permis d’en avancer fissa sur ce chemin de la connaissance partagée, nous essayons de partager nos conn issances (concernant Dame et Sir la mort ) or non, impossible, Dame ou Lady ? Sieur ou Sir ? impossible de dire à qui que ce soit en intrapariétal comme ailleurs (mais nous ne sortons pas) quoi que ce soit concerna,nt la mort, car (raison priincipale) nous ne savons pas prononcer un traitre mot d’une langue humaine (ppas même l’anglais !), nous sommes limités dan,s nos pouvoirs, et si nous voyons et comprenons les mots-animaux, il n’en est pzas de même avec les mots de latribu de l’homme, de cet homme des cavern es le rusé, le racé, l’ezntrepreneur-dessinateur, nous sommes chevreuils qui ne connzaissons pas de mots à proprement parler, et dès  lors notre intelligence est située en dehors de la sphère langa gière et cela a un e importance considérablme ici (en roche du tempsz) car il est évident qu’une intelligence existe hors kles mots et c’est cette intelligence là que nous avons pour nous chevreuils, cette intelligence en nous est capitale et guide chacun de nos pas, et voil;à l’intelligencxe (en vrai) qui nous importe, et que nous affichons en roche, en allant et venant, en trépignzant ou en wsautillajnt, etc, nous sqommes chevreuils de la roche, notre nom de genre est : chevreuil, ou cerf pezu-etre, ou cervidé , etc, notre nom est celui que nous connaissons pour nous via le brame, etc, nous avcons des pâttes pôur courir et nous courons à qui mieux mieux sur roche du temps, et montrons le cxhemin à suivre vers des trous de roche, ou vers des ezmbruns, à moins que ce ne soit fumées, de roche du temps ? les enfers ? paradis ? quoi d’autre ? une sorte de passa ge purgat(orial ? où sont les femmes ? où sont donc pâssés les hommes ? où vont ils se ficher en pareil nuage defumée, ou alors dans le brouillard humide d’une fin de rocxhe ? qui est qui ? quoi est quoi ? que fait cet homme qui entre en roche à reculons et manque se casser la pipe sur la roche où nous gambadons, que fait il en agissant ainsi, il fait mine de vouuloir mourir d’ezmblée ? dès sa venue au monde ? il s’agit d’une naissance pa r les pieds (on dirait) et nous, chevreuils, de suyivre l’immixtion de pareil mobile, lm’arrivée en rocxhe, etc, la suivre du regard, et aller ainsi en cette roche d’un temps imparti, d’un temps dur de vie humzaine , pour ce mobile, ce mobile, ce mobile se doit (ainsi) d’entrer en roche (temps imparti) où nous serons (voilà) à l’accueuiullir comme il wse doit et à l’accompagner en roche, jusqu’au bout du bout , nous le devons, car nous zommes les cerfsq (cervidés) de la roche du temps, qui avons à) initier le petit d’homme à tout un ta s de choses concernant le temps, la roche, la paroi, loa bete en lui, cette cohorte animale sortant de lui par son trou de bouche, cette queue de verbe allant piquer ici ou là devant, ce temps donné de roche dure, etc, et nous de le guider (ce petit d(‘homme) vers demain, demain et deux mains, celles d’une sorte de divinité cambrée, nacrée, bleutée», colorée comme il se doit afin de l’accueillir sans trop kl’éblouir, mais tout au contraire, en veillant à ce que pareil invité» puisse à son tour progresser en pareille contrée sa ns trop de gêne, en allant de son pas gai ou vif, etc, et ce faisant atteindre ce bout du bout pariétal et là : sauter dans cette sorte de flou ciéleux, etcx, entrer en pareille porte (?) ou bien y plonger deda ns, ou comment ? la chose est coton à définir, nous sopmmles les chevreuyils du temps imparti et nous devcons p^rogresser kle plus loin possible accompagnés par deux, qui sont couple d’homme /femme des cavernes, venez vezrs nous ! suivez nous ! suivez moi ! venez vzers moi ! ne reculez pas ! accompagnez moi tout le long ! je suis un cerfg géa nt , de la race des grands c erfs de la roche et des p)rairies de roche, je m’appelle manitou le grand cerf géant, je suis là pour vous conduire jusqu’au bout du bout, je tiens à vous conduire en toute douceur et avec gentillesse, je ne veux en aucun xcas vous effrayer, je ne veux pas (en aucuun cas) vous effrayer ou vous froissezr ou vous faire mal ou vous intimider ! je veux etre clément ! je veux vous condyuire à bon port et vous amener sain et sauf à cet endroit ! je vous veux près de moi en continu afin de ne pas vous perdre de vue, ou que ce soit vous qui me perdiez de vue, mon nom est ma nitou, le cerf de la rocghe, j’habite la roche depuis toujours, je suis né ici, je suis le gran,d (géant) cerf de la roche dure et je suis là, aéfin de guider les ^$âmes vers leur destinée pariétale, je suis nommé à cet effet, je suis celui qui accompagne les hommes ou femmes, qui accompagne et les hommes et les femmes, qui accompagne les hommes-femmes, les couples en dezntelle  etc, vers ces embvruns nacrés de fin fond de roche, venez vers moi ! suiverz ! prenez la tangente et suiverz ! suivez moi ! ne restez pas enn plan en roche (dans votre petit coin) mzais suivez moi loin (horizon) et vous comprendrez ce qu il en est , nous sommes des chevreuils de roche, nouys devonsq nous donner de la sorte = nous donner ainsi = faire ezn sortye que homme et femme des cva vernes soient accompagnés pour kle passage o combien crucial de bouche de la mort de roche = devant soi, là-ba s : ce nuage de fumée ? de vapeurs ? de quoi s’agit il ? aallons-nous bruler vif se demandent-ils ! je vois cet homme s’avancer vers moi , je suis le cervidé de trait, je vcois cette femme, je vois ce couple attitré, etc, je les somme à bien vouloir me suivre instamment sans plus tarder , et là, ainsi faisant, à s’adjoindre à) la cohorte animalière proc he, à cette queue de verbe animalmier, qsueue pour une introduction en roche, en trou de roche, fumeux-pas fumeux nous ne savons pas, car, si le chevreuil sait des choses il ne sait pas tout, il sait un certain nombre de petites choses mùais non tout hélas , concernant la vie et la mort, etc, le chevreuil (moi) sait, mais ne sait pas tout, j’approche de la mort, de bouche de la mort, et dès lors je sa is des choses, des petitesz choses, rien de massif, juste une ou deux bricoles, comme par exepmle cette chose comme quoi de cette fumée ou vapeur (?) sort un e musique , et cette musique est antédiluvienne, il y a, de ce trou flouté, une musique (belle, charmeuse, doucerezuse) qui en sort, il s’agit de belle musique ou de «belle»  la musique (car son nom est «belle») , il s’agit d’entendre cette chose qui sort de ce trou (et pour cela, inutile d’entrer ou de seintrioduire plus loin) , o,n entend, je suis cerf le grand (dit «Manitou de la Roche») et j’entends cette sonorité toute veloutée, ce velours de sons, cette soie musicale, cette douceur, cette clameur soft, ou comment ? cette clameur toute velouté = de velours = doucereuse, etc, qui sort de «bouche de la mort du temps», j’-entend la clameur musicale des sphères, ce chant guttural souffreteux ? ce chant de la terre profon,de ? cvette musique dite «des quatre coins» ? ce chant de roche dure, ce chant de la roche dure du temps ? cette sorte de mélopéee velouté comme un potage ? cette chose «sortie» ? cette chose «qui en sort «, mais en sort-elle, ou bien est ce unehallucination ? le cerf que je suiis ne sait pas répondre, il lui semble à lui qu il entend vraiment et qu il ne s’agit en auvcune manière d’une sorte dx’hallucination qui lui ferait pren,dre des vessies pour des lanternes, il (moi) écoute-e,ntend, et ce quil écoute-entend ressemble à s’y méprendre à de la vraie sonorité de roche, clinquement sur paroi musicale dure, vapeur et moiteur sont-elles au rendez vous ? qui peut dire ce qui est en pareille cavité ? mais la musique ! cette chose en soi qui grimpe et s’extraie comme  d’une p^laie ! nous sommes des chevreuils de ce bout du monde prairial pariétal, nous sommes des passeurs qui accompâgnons des etres divers vers cet au delà pariétal du temps, nous savons des choses mais ne pouvons réellement communiquer ces choses aux hommes, par manque d’une sorte de langue commune à) pouvoir partager, nous savonsq beaucoup de choses concernant ce monde (ici) de la paroi dure, ses habitants, son climat, sa roche, etc, et nous savons des petites choses concernant ce t au delà de la paroi du temps, pas grand-chose en vérité (car nous évitons d’entrer en pareilles cavités) mais enfin, oui, des choses de pêtites taille, de pêtites choses menues comme par exemple la musique, cette musique qui en sort, qui sort de là, de pareille cavité (ou «bouche de la mort des temps rupewstres»), nous savons ici et là de petites petites choses, notre gouverne de chevreuil est ainsi qu’elle mène, sachant ... quoi ? de petites choses, la musique sortant des embruns (?), ou bien la musique sortant de plus loin mais d’où ? la musique est cette chose qui nous retient, qui nous contient, qui nous maintient extérieur à ce trou de roche aux embruns nacrés, à moins quil ne s’agisse de fumeée de roche dure, feu de lave, mmort  de bvouche chaude ? chaude ou froide ? nous ne savons pas plus loin, nous disons que nous ne savons pas plus loin mais en vérité nous savons des choses, comme par exemple la musique : elle est suave, elle vient d’un dedans, est est gutturale et enveloppe, etc, et donc voilà ce que nous sommes : des betes de roche, des intervenants, intercesseurs, passeurs, accompagnateurs, guide de haute roche, etc, qui aidons quiveut (?) à passer la roche, traverser la mer asséchée et se jeter dans cette lumière, mordorée, qui est la lumière des sphères dites «pariétales», un éclairage de la paroi dure, une sorte de brume larvée ou comment ? le chevreuil (que je suis) manque de mots pour dire la chose, nous entrons en cette mer ouverte vers pareil nuage de bord de roche et là ... un derrière ? quoi ? une ouverturee -échancrure dans les données ? nous sommes chevreuils de paroi de temps, notre but est celuyi de vous accompagner un temps vers un lendemain, nous ne sortons pas de la paroi où nous sommes nés, nous avons chacun notre petrit nom, pour untel ou unetelle ce szera «bambi», pour moi ce sera «manitou» ou ce qui vous plaira, je suis le chevreuil dxe la paroi du temps, nous avançons de concert, suivez moi dans les embruns, suivez moi de près et ne me l^achez pas (la vie) et vous comprendrez dès lorsvotre «douleur», car le chemin ok est ardu mais il est le seul, suivez moi et collez vous à moi, ne me perdez pas de vue, suyivez moi de près, sachez me garder à la vue, touchez ma pelisse (toujours) par le queue si vous le souhaitez, tirez-moi par la queue et accrochez vous, tenez-moi par la queue et accrochez vous à moi ainsi, nous allons décoller ! accrochez vous à ma queue et ne lachez plus car nous décollons, nous montons, nous nbous élevons dans les airs, nous sommes deuix qui bnous élevons de la sorte dans les airs, lécvitation ! je suis votre chevreuil dit «de lévitation», je suis ce chevreuil pour vous d’une lévitation en bonne et due forme et donc ne me lachez pas, tenez vous à moi, ne lachez pas ma queue ou mes bois, tenez bon, je suis chevreuil des bois jolis qui vous emporte dans le vent et vous fait gagner du temps, etc,  je suis le chevreuil du temps de la roche, nous nous approchons du nuage, nous nous approchons de pareil nuage dezvant soi, il s’agit d’un épais br(ouillard : fumée ? nous nous approchons en plein vol et élan, nous sommes deux pour cette chose, nous sommes deux pour aller devant, pour en avancer, perforer, gravir, avancer de cette sorte : en lévitation, à main levée, dan,s les hzauteurs, dans les airs na crés, souffle pur sur une sorte de bete en soi de roche, je suis chevreuil qui offre ici son souffle pur de bete de roche : à qui ? à lhomme-femme des cavernes ? je suis le porteur, l’animzal porteur, le guideur, l’aide, le second, l’assistant déa mbulateur, je suis le chevreuil quyi donc permet cette incursion dans le ciel de roche, pour (un) passage guidé, tenu, contenu, tout du long accompagné, je suis le chevreuil des bois et sous-bois de la roche du temps, des prés et des prairies, mon nom est Manitou le grand car je suis géant, cervidé méga de par ma naissance, je suis le cerf des lieux de base rocheux, je suis ce cerf qui va de son élan rocheux et en lévitatation progresse, je vous porte sur mes ailes, je suis le cerf volant

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26/03/2021

je connais bambi, je crois la connaittre, elle habite l’intérieur d’une caverne, elle loge en ce sein pariétal qui est le sein d’un entre-deux-mers, bambi caracole, elle broute et la voilà qui monte sur son monticule, elle regarde les lointains, elle me fait signe, il semblerait qu’elle fasse un signe avec sa patte gauche, elle regarde attentivement depuis son monticule et elle me fait signe, que veut elle ? que veut elle dire ? que veut elle me dire ? elle est fine, gracile, agile, élancée, se découpe sur un fond de ciel bleuté-nacré, elle me ficxe du regard, elle veut tres sûrement, très certainement me dire une chose en particulier comme par exemple : «suis-moi, viens vers moi, ne reste pas en retrait, viens où je veux te mener, suis moi vers cet horizon de nacre, ton chemin est tout tracé, il s’agit du chemin que tu dois emprunter car tel est ton destin de vie qui fait que ce chemin, ici, est pour toi et seulement pour toi, si tu veux me suivre, enjamber ce monticule, grimper, sautiller peut etre pas (comme moi) mais mettre (pour toi) un pied devant l’auttre, marcher à bon train vers cet endroit quye je te montre, il s’agit de l’horizon, l’horizon est ton chemin ou plutot l’horizon est ton idéal ou bien l’horizon est pour toi le but ou comment dirais tu ? l’horizon est à toi, il s’agit d’une voie d’abord, un chemin tracé pour ta marche à toi, ton tracé pour ainsi dire, il s’agit du tracé au sol pour un homme comme toi ou même du tracé fait exprès pour toi et ce : entre deux vagues ou entre deux murailles de chine, les vois tu ? tu es pres de moi, tu m’as trouvé et à présent tu dois poursuivre ton chemin dans ma foulée, tu te dois de vme suivre vaillamment et surtout de ne pas me perdre de vue, venir sur mes brisées, te raccrocher à mon ombre, à ma silhoutette sur les embruns, tu te dois de ne pas me quitter du regard, ou me perdre cde vue, tu ne dois pas, tu dois me suivre vaillamment et consciencieusement et religieusement et courageusement sur ce chemin qui se dessine devant toi et qui est le chemin que tu dois aborder et prendre car il est pour toi, il est (ce chemin) le tien pour une vie entière car il s’agit en vérité d’un chemin nominatif ou dit «nominatif», oui, ton nom est inscrit, tu peux le lire en toute lettre, il s’agit du nom que tu portes quelque part en toi, vois tu où ? vois tu en toi où ton nom est marqué, vois tu l’endroit en toi où to,n petitnom est marqué , notifié ? vois tu cet endroit en toi où ton nom de famille et où ton prénom sont inscrits ? tete ? queue ? crinière ? où ça ? y a til un endroit en toi où ce nom que tu portes (ou dit porter) est inscrit en toutes lettres ? non ? eh donc ? que fais tu ? tu inscris ce nom quelque part ? et où ? sur ce chemin traceé oppour toi ? à la bonne heure, tu as raison, tu dois inscrire ici ton nom de famille et ton prénom sur ce chemin de vie, que tu vas trouver à ma suite, si d’aventure tu acceptes de me suivre et de ne pas lacher prise mais de toujours me conserver en point de mire jusqu’à temps que tu seras enfin arrivé, où ça? eh bien ici même, sur ce chemin de vie circulaire, car voilà le pot aux roxses (éventé ? ) qui est que ce chemin de vie est circulaire (loopings) en cela que tu avances ici sur un chemin en direction d(‘un horizon qui fiche ou xsemblerait ficher le camp à mesure que tu avances, il s’agiyt d’un horizon fuyant, il s’agit d’un horizon nacré et bleuté qyi tuojourds recule , à jamais, de sorte que toujours tu es à avancer vers lui qui jamais n’est un point final, jamais l’horizon ne se présente comme point final car il recule, et cela permanemment, et voilà ce qui arrive dès lors : tu reviens sempiternellement au point de départ, tour de chauffe, tour du paté de maison, tour de circuit, loopings aussi, etc, tu tournes en rond sur globe (mappemonde ?) , tu ne fais que ça sempiternellement et donc voilà ce qui t’attend : une sorte de tracé,   circulaire, un tournage, tournoiement-ondulation et autres mouvements giratoires, quel mot employer ? tu me suis et dès lors tu te retrouves à ce même endroit que tu quittes, tu me suis et tout de suite (ou bientôt) tu te retrouves en ce même endroit d’où tu viens de partir il y a quelques temps, tu vas faire le tour de cette chose qui est rond comme boule de feu, tu fais cette chose qui s’appelle le tour de la boule de feu car c’est cela que tu fais en étant en vie, et lorsque tu ne seras plus en vie cela voudra dire que le feu t’auras usé poar les pieds et peu à peu consummé et absorbé, il s’agit pour toi dxe comprendre cette chose à présent, comme quoi tu viens à ma suite, et ainsi tu vis ta vie circulaire en peu à peu usant tes swemelles et autres chose  de ton allure, de ta présence, et ainsi peu à peuu la terre de feu t’absorbe, te consume et tu cdeviens cette terre, ou tu vien s nourrir cette terre qui te mange, te grignote à petit feu comme d’une casserole sur le feu, comment dire ? tu fais ce tour du monde (giratoire) et faisant cela (à toutes fins) tu te réduits , tu t’uses, tu te déglingues, tu peu à peu te démontes, te réduit jusqu’à ne plus être que de lma poussière, que poussière qui vient se «noyer» , se perdre dès lors dans la terre de feu qui est sous tes pieds, et tout cela ici même en rochge de grotte c’est à dire à l’intériuer d’une paroi où paissent des betes préhistoriques (ces b isons, ces chevaux, ces antuilopes, etc) et cela tu le sais à présent car tu l’as compris avec ton intellect, avec ta pensée qui est pensée langagière, tu as en toi des mots -betes qui désignent des etres divers qui font que tu comprends (tu prends) en toi une n-ourriture qui te permet de tracer ta route , c’est à dire ton nom dev ant toi, ce nom que tu adoptes pour toi, ce peut être celui qui t’a vu naitte, ce peut être un autre que toi même en cours de route aura choisi, comme tu voudreas, tu marches sur un chemin qui est ce cghemin du boutt du monde, bout qui en vrai n’exciste pas , car la terre est ronde et tous les chemins mènent sur elle indéfiniment sans butée de quoi que ce soit devant soi, sur les côtés oui, tres vite, très vite des butées sur les côtész, puidsque nous avançons entre deux murailles de chine (vagues célestes, mur d’enceinte, entre-deux-mers, etc) cela oui bien sûr on l’a vu, on voit la vague géan,te, on comprend ce conduit, boyau, cette rampe, ce circuit, cette prise, cette embardée sur circuit tracé etc, on kle comprend, on comprend cette chose d’une sorte de promenade sur boule de feu qui peu à peu use et les articulations, et les muscles, et les tendons, et les arthères, et la peau, et la tete, et les pieds et les oreilles, et les yeux, et le cveur, et le cerveau et les mains, et la bouche et la mémoire et le sang et les reins et le foie et les os et les cheveux et les sourcils et les cils et les paupières et les mollets et les jambes et les bras et la cage trhoracique et le pancrées et les ilots de langherans et le canal d’oddi et le sternum et l’estomac et les intestins, le gros et le petit et l’anus et le caecum et le sexe et les fesses et le , et donc voilà, on s’use, on y va tout droit en marchant, on s’use continueelement jusqu’à s’introduire dans cette terre-paroi du monde sous nos pieds qui est une boule de feu en vérité (si on gratte bien) et voilà ce qui arrive : on tourne en rond en diminuant petit à petit jusqu’à aller à se loger en roche de feu sous nos pieds et voilà cvomment la chgose nous apparait, il s’agit que tu comprennes cette chose, avec moi en point de mire, car je suis cette bambi qui permet ici la marche de vie, le comprends tu ? tu te dois (si tant est que tu veuilles) demeurer en vie ici, tu te dois de me suivre, je suis ton point de mire c’est à dire ton starter de vie, le comptrendc tu ? la vie a un starter et ce starter est devant toi (à tes pieds ou disons à pazrtir d’eux), ce starter c’est moi, c’est moi m^eme qui ici pour toi fait office de starter de vie , à partir de toi, de cet endroit devant toi (entre-deux-mers) qui est cet espace du prése nt = du don de soi (art) comme on l’a vu, tu es cette personne qui va sur roche (en elle) et suit cette biche que je suis car cette biche est là pour toi , te donner l’influx (start) pour démarrer ce chemin de randonnée circulzaire à travers la lande etc, tu dois me suivre et ne plus me quitterjusqu’à nouvel ordre, ttu es programmé ainsi , tu es un être programmé et tu dois agir dans ce sens d’une destinée accouplée à un point de mire bambesque, vois tu cela ? vois tu cette cghose ? tu dois faire cette choses avec moi c’est à dire embrayer sur moi = mon sillage, ne plus quitter la voie tracée , aller de l’avant et tourner sur ce globe de la terre de feu jusqu’xà temps pour ainsi dire que le feu terrestre ne t’atteigne, ce quil fera de fait un de ces quatre matins biologiquement, il fera cette chose et toi comme les autres tu passeras et t’enfonceras dans les sables mouvants de la terre de feu sur laquelle tu es né d’une femme, d’un homme aussi, des deux, mais surtout d’une femme qui t’a porté en marchant, en syuivant une autre bambi que moi ou bien étais ce moi ? c’était moi peut etre, en tout cas voilà, tu as cet horizon nacré et bleuté devant toi, mordorée parfois, tu as un horizon de nacre devant toi, tu le suis car tu veux l’atteindre car il te sourit et te charme, il y a cette chose d’un horizon de nacre qui te sourit, et cette chose devant toi est un espace de vie, il s’agit d’un temps-espace de vie pariétale (on est dansla roche, on navigue parmi des aurochs) et cet espace-temps est celui qui se situe ici entre deux mùurailles de chine pour ainsi dire, les cotés sont comme murés, il s’agit de parois immenses latérales, on comprend cela, il s’agit d’un corridor sempiternel, un couloir «de la mort « (?) ou bien dxe la vie , car vie et mort ici sont réunies, on est là entre deux cloisons qui sont gigantesques et masquent le ciel de part et d’autress (boyau x ?) et on avance de cette façon (apres moi) et on est ici sur ce chemin aensemble pour en avancer de concert, on est sur un chemin de vie tracé par ce que toi tu dis etre, disons ce nom, ce nom est tracé de vie, etc, tu avance ainsi et, enn avançzant, tu fais (ou formes) ce chemin de vie qui t’appartient , dans la mesure où il s’agit du nom que tu portes,  tu portes un  nom, tu portes meme deux noms, quelquefois plus, une cohorte (animalière) de noms de famille ou de petits noms voire de surnom, tu avances sur ce chemin de tes noms divers, tu es sur c e chemin de vie qui t’appartient et voilà cxce que tu fais : tu marches et peu à peu t’enfonces comme un etre pris dans des sables mouvants qui peu à peu s’enfonce littéralement et se fait engloutir par la terre de feu car la terre (en définitive) est terre de feu et brûle tout ce qu’elle supporte sur elle, il s’agit d’une incandescence souterraine mais en   vérité pas si loin (voyez lzes volcans) , nous ne sommes jamais loin du feu, on est pas loin du feu, on est proche, nous ne sommes jamais loin du feu, on marche comme sur des braises qui (à petit feu) nous consumme pas à pas , nous ronge (crame) et bientot, nous ne szerons plus qu’un petit tas de cen dre qui va enrichir (fertiliser ?) la terre sous nos pieds,; voilà l(astuce, nbous nous avançons sur terre (espace-temps) en tournant en rond comme ces mobylettes ou ces vélos autour d’un jet d’eau (fontaine) sous un soleil caniculaire, et la mmort est cette chose qui existe ici sous cette forme d’une sorte de dégradation temporelle, d’un mobile de vie organique, qui peu à peu s’introduit en roche pariétale etc, sur terre, en une terre dite de feu qui est la terre mère qui nous a vu naitre un jour lorsque nous sommes sorti nus d’un ventre de femme, tombé peut etre pas mais sorti et revceuilli par deux bras, voilà ce qu il en est, et aujourdhui homme tu dois me suivre, je suis bambi qui te le dit, je suis l’etre qui te guide dans tes péregrinations circulzaires, suis moi et tu iras loin, suis moi et tu tourneras longtemps, suis moi en tant que je suis ta bambi de roche dure, clle du temps qui est dezvant toi comme une sorte d’embrun musical (un embrun ? des embruns ? ),  je suis ta bambina de derrière un monticule, je suis une bambina de dereièreles fagots qui vient à toi pour te faire signe, vois tu le signe ? vois tu de quel signe je veuxc parler ? te poeses tu les bonnes questions ? te poses tu des questions et si oui lesquelles ? es tu quelqu’un qui te pose les bonnes questions et si tel est le cas peux tu nous dire lesquelles  ? es tu quelquun qui se pose des questions à propos de la vie et de la mort et si tel est le cas peux tu nous dire lesquelles  , quelles sont ces questions en particulier ? nous sommes intrigués, nous voulonbs savoir, nous voulons savoir car nousavons des réponses en magasin, nous voulons savoir car très certaineme,nt nous sommes équipé (drôlement) en matière de réponses à ce genre de questions existentielles, par conséquent profite de cette chose comme quoi nous pourrriiooons etre à même de répondre à tes attentes, à tes questions paerticulières, etc, cela se peut, cela peut s’envisager, n’hésites pas, car notre savoir bambinesque est un savoir considérable, qui embrasse la terre entière, qui va loin et longtemps, qui ne s’arrête pas en chemin, il s’agit d’un savoir de géant, le savoir géant de terre mère dont nous sommes les représentants, bambi la dépositaire ou comment dire ? je suis cette bambi qui sait et peut répondre, à la stricte condition de bien vouloir lui poser des questions en toutes letrtres, il suffit de cette chose : de poser une question et la réponse (bambinesque) fuse fuse comme il se doit, il vous suffit ou il te suffit de bien vouloir poser une question en particulier et moi de mon côté vj’ai toutes les réponses en stock, à part moi, en boutique pour ainsi dire, donc n’hésite pas, vas y gaiement ou franco de port, ne lésines pas, ne te gêne pas, oses, fais ce que  dois, n’hésite pas à me poser toutes les questions qui peuvent ou pourraient te passer par la tete, nb’hésite pas à me poser tout type de questions d’ordre existentiel, car : car voilà ce que je suis, je suis bambi qui sait, hje suis devant tooi (regard) cet enfant racé, élancé, gracile, agile, vif, vivant, éduqué, debout, vibrant, bleuté sur les bords, etc, qui va vers cet horizon lointain afin de t’attirer en cette direction d’une vie longue, le comprends tu ? je suisq cet enfant-faon de vie réveé, je suis cet enfant-faon de vie longue, je suis cet enfant- faon devant toi (bambi !!!!!) qui te guide sur ce chemin quyi est donc le tracé de ton nom en toutes lettres (celui là que tu portes pour toi : une croix, etc) , le comprends tu ? tu es cet homme ou femme, homme femme , qui est sur ce chemin de vie, tracé à l’enncre, de ton nom ou nom de courtoisie, le comp^rends tu ? suis moi sur cette route globulaire, ce chemin de vie circulmaire, longtemps, ne me lâche pas, ne t’écarte pas de moi et garde moi en point de mire, je suis ta bambi de roche dure (de chez dur) et du meme coup je suis ta bambi des temps incertains, temps de vie de la vie devant, etc, je suis l’etc de la fable, bambi faon racé (agile, gracile, élancé, narquoise) qui est devant toi comme une main offerte, comprends tu le signe ? il y a devant toi cette chose d’un signne donné par la bande, par une bambina qui est là qui te précède, elle (je) te fait signe avec sa patte gauche, elle te dit (je te dis) de venir vers moi, vers elle, bref, il s’agit de moi, moi bambi, moi la biche des embruns, je te fais ce signe de la patte = je lève la pattte, je lève une patte, je ne lève qu’une patte, la gauche, et ce signe signifie : suis moi, du verbe suivre, suis mon tracé, suis ce que tu es, ou comment signifier ici ce verbe conjuguév à double entrée ? tu dois etre cette chose que je suis = tu dois te conformer au signe que je te figure oou aessaie de te figurer, ce signe est le tracé animùalier d’une bete de roche, ou art (en d(‘autres temps plus récents voire actuekls) , tu dois comp^rendre, comprends tu ? cherches tu à comprterndre ? l’anilmal racé de roche est un ami hospitalier, il est l’animal de l’homme des cavernes, ce signe de la patte gzauche pour ainsi dire, et cela est à comprendre à la lumière d’une sorte de clarté des lointains dorés (mordorés), tu dois me suivre = suis, suis cet anilmal tracé, vois tu cette chose ? ce tracé de bouquetin  ? ce treacé d’aurochs ? ces mots-bêtes , les vois tu ? tu ne dfois pas me perdre en cours de route, tu dois me suivre longuement et loin sur la surface de ce globe (pariétal) de la roche du temps incertain, suis moi, prends moi en point de mire car voilà ce qe je suis pour toi, (en toi ?) un point de mire, une sorte d’effigie, un tracé de roche vif (le tracé) c’est à dire une figure animalière aurignacienne ou autre mais ce genre de figure vive, riche de roche, etc, je suis la patte gauche qui fait signe, qui dit cette chose d’une invitation au voyage (ou pareille invitation) pariétale, j’’avance vers un horizon de nacre, ici le nacre est la lumière mordorée sur des lointains de bout de monde, il est bon pour toi de te joindre à moi (art) et là tu vas comprendre, ta peine (?) ou ta douleur (?) façon de parler mais pas seulement car le voyage est une épreuve de santé (un parcours-santé ?) dans le sens où ton corps de vivant sur la terre va(peu à peu) se détérioorer en cours de route, tu vas en baver, tu vas en chier, tu vas en prendre plein la gueule, tu vas en suer sang et eaux, tu vas souffrir lkes pierres (plus ou moins bien sûr) , tu vas devoir accepter de bouffer des couleuvres etc, tu n’es pas sorti de l’auberge et un jour viendra où tu devras t’enfoncer dans la terre de feu, te faire bruler les pareties du corps les une s après les autrtes et disparaitre du paysage , niet ! une ombre ? pas même ! même pas ! nada ! niente, ras, tu seras absorbé par la terre de feu, le feu de la roche, vulcano de mes deux comment le dire (le juron ici, etc) : cela est une certitude ! voilà une certitude ! voilà une certitude ? tu es sur ce chemin comme celui celle qui va vont sur pareille route tracée par des noms de bouche, et bambi (que je suis) est l’animal-emblème, un point de jonction, une sorte de point de jonction à toutes fins et de proximité, je suis celle là ou celui là (le faon) qui se porte pres de toi , à etre presque touché mais en vrai jamais touché, comprens tu ? cet espace-temps entre toi et moi = la vie, tu ne m’auras pas = tu ne me toucheras pas, tu es à deux doigts mais jamais ne pourras, tu es à deux doigts qui sont la vie pour toi qui es en cette roche en vie, et cette vie (deux doigts) est un espace-temps dit «de première» («de première loge») = la roche, la paroi de l’homme de la préhistoire, j’essaie de comprendre, j’essaie de creuser la roche pour toi, j’essaie de te dire les chodses car je suis en toi par la m^meme, ou comment suis je, où suis je et dans quel état j’erre etc ? co:mprends tu ? comprends tu cette rigolade en roche de paroi ? comprends tu le rire de roche ? estu de ceux ou celles qui rient ? quand rie tu ? quand t’autoorises tu à rire ? est ce autorisation ou d’autorisation qu’il s’agit ? nous nous devons de rire à gorge déployée, je suis ici la bambi des prés qui fait rire la tribu des fées, je regarde au loin les embruns, je suis une biche féerique, je virevolte assidument pour plaire à qui de droit qui cherchera ou pas à m’atteindre du bout des doigts mais que dalle voilà, impoossible de pouvoir me toucher si vite ... ou si ? le jeu est celui ci , je suis l’enfant de la roche (le faon) et voici le jeu : le jeu ws’appelle «touche-touche», il s’agit du jeu le plus vieux du monde, voilà quel est ce jeu de roche ici présenté, il s’agit d’un jeu des prés (de praierie) mais a ussi de sous-bois, nous sommes ensembvle dans un jeu de role qui est ce (donc) jeu de prairie de roche, il s’agit de cejeu de «touche-touche» : ici «touché !», ou bien : «pas touché ! « etc, nous sommes ici ensemble en roche et je suis le faon que tu dois toucher, et cet espace-temps entre nous est l’espace de la vie sur terre, tout bonnement, le comp^rends tu ? tu es cet homme-femme des embruns qui me course pour me toucher tout comme cdans ce jeu d’enfant qui voit l’un chercher l’autrte à vouloir le toucher un tant soit peu qUi compte, il s’agit de cejeu des enfants de la rocxhe du temps, ce jeu a un nom qui est celui de «touche-touche», d’un redoublement en miroir etc, il s’agit d’un jeu antédiluvien, de paroi de grotte, d’hommes des cavernes, etc, je suis bambi qui initie kle jeu (start!) et en tant qu’initiateur/trice je dis ce qui est , ou « touché » ou « pas touché » = « touch » ! « pas touch » ! etc, je suis cette biche , ce faon de la grotte (de la roche) et je vais ainsi mon chemin ailé, sur monticule, sur roche aux coques, aux coquilklages ambrés, etc, je suis un faon du jeu de roche, je suis ce je en toi de roche dure, je suis cette chose en toi qui crée cet espace-temps pour toi, qui est corridor de vie vive, le sais tu ? l’an,imal en toi sort de toi par la bouche et crée pareille voie d’abord de vie, vers des lendemains etc , que pour le coup je sais te désigner par une mienne patte gauche, j’avance a insi sur la roche et j’eesqaie de te dire des choses de la vie sur terre, cxar mon ovbbfjectif est de te dire des choses de poids (qui pèsent leur pesant d’aurochs= de mots à sens désignés, etc) et nonn pas de te laisser dans ta misère animalière (= de fibre de bouche apeurée, esseulée, qui ne trouve pas preneur sur roche, pic de perte, pic perdu  , etc) , je veux etre pour toi la bambi qui sait pour toi, des choses cde la vie saine, brute, qui est cette vie de roche aérée, illuminée, native comme un noucbveau né de bonne facture, je veux te guider sur ton chemin et te montrer les choses qui,nvcomptent , qui ont du poigds, je ne veux pas que tu ne saches pas ce qui compte pour toi, sur ton chemin de destinée votive, etc, vois tu cette chose, en mooi, ce désir ? car je suis bambi de la grace de dieu = une sorte d’envoyée royale, une sorte d’envoyée en cet espace-temps en tant que je suis : paroi d’un certain style, cette «chose»à chercher pour toi à toucher du bout des doigts (la parole, l’espace de la parole, etc) devant toi, mais qui toujours se faufile et échappe à ton emprise, ou comment le dire, file fissa et ne s’en laisse pas co nter ? ou bien : échappe à tes griffes, car jamais ne pourras, ou si ? tu essqaies, tu dois eswsayer ! essaies ! essaie de me toucher ! essaie donc de toucher ma pelisse ! essaie donc d’entrer dns ce jeu (ce je) d’une tentative de touche-touche-pelisse et alorsq peut etre tu auras gagné, quooi ? l’eternité ? la mer allée avec le soleil ? quoi auras-tu gagné , quyoi donc tu auras gagné ? quoi seras pour toi dès lors ? tu es sur un chemin de vie qui est chemin de rage, un chemin où enrager et en baver pour me toucher, et cela est le je de la fable (de la farce), de cette course à devoir faire en ou sur roche (en et sur) car tu es ainsi comme inséré, tu es pris d’assaut, tu es prisonnier d’une paroi préhistorique, tu es pris dans les filets d’une paroi de roche, une sorte de paroi des temps anciens, des temps d’avant le déluge ou de quand ? tu es pris ou prise en cette roche d’une sorte d’anfaractuosité caverneuse du monde et te voilà qui entre en lévitation (sorte de) et te met à dessiner des effigies animalières etc, qui sont des gros mots (jurons) de la plus grasse espèce etc, et ces gros mots (d’enfance) sont des a nimaux , des betes massives (lourdes, lentes ?) qui vont sur roche à larencontre des luminecsences, etc, je suis cette bambi de roche dure ou de la roche dure  , qyi fait signe d’rtre poursuivie, ou plutot qui fait signe de vouloir etre comme poursyuivie = touchée par un doigt ou du bout des doigts et ça comptera : un tiens vaut mieux que deux tu l’auras ? ou bien : un tant soit peu comptera pour plein, il s’agit que le contact soit fait, quand bien même ici (le jeu) il se borne (ce contact) à n’être qu’un rien, ce rien n’est pas rien, qui figure le contact, rocher roche, roche pic, roche roc, roche tete, roche main, roche vie, etc, nous sommes des bambis de roche, qui faisons cette chose (inaugurale)d’une sorte de jeu d’(enfant que nous imaginons ainsi, d’une tentative de contact sur peau ou pelisse de bete par des doigts de vie humaine, il s’agit d’un jeu ancestral, nousessayons de le mettre en pratique en cette roche de paroi rupestre, sous un soleil incandesvcent sur terre mère (= terre de feu = vulcano), nous voulons, en tant que nous sommes des betes de roche , instaurer ce jeu, animalier, d’une sorte de touche -touche des embruns, cours donc après moi et cherche à me toucxher, essaies donc de toucher ma pelisse, essaie donc de comprendre ce qui est ici qui setrame en moi ou en ce monde de roche dure comme le temps, essaie donc d’aller loin en cette roche ou «roche aux embruns», à la poursuite d’un contact «doigt de toi sur peau de moi (pelisse)» et  cette poursuite = espace-temps de vie-je pour un etre de roche de type homme ou femme (homme femme) des cavernes, (ou femme homme : «homme» ici à entendre comme un adjectif, ou «femme» là) , etc, nous sommes des bambis qui montront chemin de vie en nous faisant courser delasorte, comme les enfants du jeu de lafable, nous sommes des biches toutes luminescentes, fluorescntes, etc, nous brilloons de mille feux sur la lande et écxlairons les coquillages épars, nous illuminons les embruns qui dès lors scintillent, nous sommes pris en rocghe du temps deans cette sorte de vie de brute, rude, cinglée, menaçabnte, aride, agraire, maudite, malsaine, une roche du feu de l’enfer, une sorte de «merde» osons le (gros) mot , ‘gros comme buffle, etc) et voyons voir de quoi il en retourne : n,ous sommes pris dans une sorte de chose qui fait que nous sommes nous mêmes devenus comme des bambis de la roche, à notre tour de dire cette chose, car je suis bambi c’est à dire que je suis comme subitement (subretpticement = sans m’en rendre compte) devenu bambi, voici que je suis devenu bambi = un enfant (faon) de roche, et voilà que je cours sur roche à pertdre haleine, je suis cet enfant de roche devenu, cet enfa nt (faon) de la roche du temps, qui c’est qui est ici l’enfant ? eh bien c’est moi qui suis ici l’enfant ! oh la chose, le tourment ! je suis l’enfant qui est ici, cette cxhose d’un tourment de roi ! je regarde au loin et dis : suis mois, suis ma pelisse, joins toi à moi, ne me qyuitte pas des yeux, suis mon tracé sur ce terrain gras de la roche de paroi, tu es là pour ça, tu te dois de me puoursuivree, lea chose est ainsi, la mouche a changé dx’ane comment dit on ? tu es cette personne sur la roche )àà même de pouvoir me suivre etc, la mouche a cxhangé de coche ou comment dit on ? je suis ton point de mire à présent (à  chacun son tour) et voilà ce que tu as à faire à présent à savoir cela,  qui est de me courser -poursuivre vivement dans les embruns, je suis celui et celle  ici que tu cherches à toucher, un tantinet = un tant soit peu s-qui fera l’affaire, à ton tour de me toucher ! je suis la  bambina des prés, je suis cette bambi des prés de la roche, cette bambina si bien nommée en d’autrees lieux, je suis une bambi de la roche du temps et je vais sur roche me poser, m’allonger, me tournebouler pour m’amusezr et plaire, etc, je cherche cette chose d’etre juste touché, d’un seul toc de base, qui est cette cxhose vive d’un jeu vif xd’enfance, touche-)touche de la vie de voie, touche-touche d’une vie de voie d’abord, de voie du sang, etc, cette chose qui est cette chose qui eswt cette cghose qui est cette chose qui est cette chose du san,g qui ne cessae de tournebouler dans mes veines, à toi à moi pour ainsi dire, une remontée de  brtetlles en moi même ou comment ? car je ne suis pas au courant de tout ! car suis je au courant de tout ? car je suis au courant de tout ! je suis au courant de toutc= de toutes lesformes, de tout ce qui sur roche me désigne comme l(animal du bout du monde, des embrunssalés, nacrés, etc, qui sont (forment) l’horizon, celuyi là que nous devons chasser comme un animal de battue, nous allons vers lui qui recule à chacun de nos pas car la terree (la vie) est ronde comme boule, une boule de feu ancestrale (pariétale) , nous allobns sur roche ainsi, sur boule de feu qui est boule de vie sur roche, etc, nous sommes des faons dee la premières heures (bambinous du sang) et nous courons à perdere haleine, car nous sommes deux dans le jeu, nous courons l’un apres lm’autrte à tour de rôle, à toi a moi, nousessayons de comprendre les données de laroche dure, cette roche en une sorte ou d’une sorte xd’espace comme couplé au tempsetc, qui somlmes nous ? des enfants du jeu, du je qui gambade en cet espace-temps d’entre deux parois, on voit cettre chose, cette course, ce temps imparti, cet espace d’une sorte de durée des rois, entre un doigt de vie vive et la pelisselà, à deux pas (surnuméraires) qui va avec, nous jouons à perdre haleine et d’ailleurs viendra un moment où nous perdrons haleine , nous jouons à perdre haleine, nous sommes pris dans le jeu, nous sommes prisonniers de ce je de base pariétal, cette roche est pour nous le QG, il s’agit d’une sorte de jeu enfantin de bois xde rochje entre chevreuils de bon aloi = « à toi à moi», etc, nous nous couronsaprès et nous envahissons les lieux de cette sorte, sous l oeil mzalicieux de ces betes de roche fortes, les betres)  que sont ces aurochs et autres bisons et autees buffgles ou mammouths ou chevaux ou rennes, etc, nous sommes parmi aeux tous, comme larrons en foire qui se coursent à qyui mieux mieux dans une franche rigolade, ou tout comme , ou pas, car le tempsest vicieux qyui nbous détérioore et nous dégrade et nous fzait du tort, nous tord jusqu’à nous faire rendre l’âme : toc,; la voici qui tombe comme coquillkage parmi d’(autres coquillages, l’ame est rendue sur roche = d»posé»e et la voici qui figure ici en bonne place animalière, un dessin de plus sur une roche de prairie, un dessin de plus sur paroi rupestre, d’homme des  c avernes, un dessin de plus, ou gravure, etc, sur une roche pariétyale d’homme des caver nes : il dessine à main levée car il sait y faire et le faire sous emprise, etc, il est pris d’assaut opar en lui la bete qui le mord aux basques, le pousse à afgir vite et bien, il en avance, il est vbif comme l’éclair (vif l’éclair!ç) et fonce fissa en roche (une traversée) parmi les aurochs qui sont des mots-b etes de poids certain, qui donc en imposent (phraséeologiquement) sur telle roche aux embruns ou telles autres aux âmes (caoqyuillages) xdéposées, il (l’animal) est l’animakl donné, l’homme des cavernes a en son sein cet animal quyil s’en vient déposer comme la mer le coquillage, ni plus ni moins, et ce depot est art, est cet art d’un don ou d’une donation effectuée sous la dicttée ou l’injonction en soi (en cet homme) d’une force animale de base, contenue en soi, en son antre, comme un pic de bouche scandant, dee son pic (percussinon), lka roche frontale, il y a en l’homme des cavezrnes une sorte de pic de base (qui est animalier) qui, sortant de sa bouche), va à percer l’hymen de la roche, et par conséquent s’introduire en elle et ladépassser de la sorte jusqu’à se trouver en pareille paroi, parmi les betes paissant, et comme un enfant près à jouer avec ses pairs, les faons élancés, vibrant, les faons aux embruns et les cerfs des bois jolis, nbous regardons et voyons ces faons, nous regardons et voyons ces faonns de roche, de laroche du temps, nous sommes à notre tour ceux qui poursyuivons, nous sommes devcenus ou redevenus ceux qyui poursuivent la bambi des roches du temps, qui est celle ci qui se poste ici, sur ce devanbt de vie nôttre, cxe devant de vie est cet espace de jonction à faire, cet espace d’une sorte de jonction à dessiner, à former, en attente etc : cet espace-temps du jeu de roche nommé (le jeu) : touche-touche, ici comme un redoublement d’une chose de vie vive, un redoublement pour lacréation d’un espace-temps de roche dure, etc, nous courons apres bambi, nhous sommes à sa suite ou poursyuite, qui courons après elle, qui cherchons à kl’atteindrte, à poser sur elle le bout de notrte doigt, sur elle = sur sa pelisse, n’importe où sur elle que ce soit (nimporte où sur elle que ce soit) car nous l’aimons, nous sommes Amour, nous sommes Sentiment, nous sommes Affection pour ellle, nous sommes vifs  comme des éclairs et cherchons à aller vers elle avec tendresse, sympathie, gentillesse, douceur et amabilité, nbous voulons latoucher du bout du doigt («touché !») et pour cela nous courons comme des dératés ou pas loin après elle qui va et qui vien,t sous nos yeux et ne s’arrête plus d’aller et de grimper et de nous échapper, )àà présent nous comprenons, nous compreznons toute l’abventure ou la procédure, nous avons compris cette chose, nous sommes deux à le comprendre, les deux du jke (du jeu ? ) ou du jeu (du je ? ) et ainsi nous alloons, nous alloon s sur roche, bnous allons sur cette roche d’un temps de vie i:mpartyi qui est le temps du jeu = l’espace-temps du jeu et du je, et le jeu et lle je sont ainsi réunis ici comme ailleurs la vie et la mort, nous essayons dès lors de n,ous placer en roche ainsi que nous faisons, à savoir à l’abri de la dégradation qui nbous verra tantôt dépeérir et nous enfoncer peu à peu, nous voulons nous tebnir à kl’abri pour durer  en cette roche pariétale des embruns, nbous sommes des faons de terre-mère, nouys jouons à nous toucher, la mouche et le coche comment dire ? nous jouons à nous courir après,; nous jouons à nous toucher comme font les enfants entre deux mers, nous essayons de nbous toucher à tour de rôle, nous solmmes deux pôur ce jeu d’une sorte de touch-touch de roche, de roch’ pour ainsi dire, etc, nous nous courons après, nous sommes qui allons à tour de rôle l’un apres l’autre etc, et cela faisa nt nous en avançons dans le temps, dans kl’espace-temps infini (une boule de feu) qui nous porte, je suis bambi des prés qui va sur roche et cherche à attirer untel quii veut me toucher , à vouloir $me toucher, je suis cette bambi des prés de roche dure, je suis de cette sorte de bambi des prés de la roche du temps, je ne veux pas baisser la garde, je veux poursuivre mon chemin de ronde (et de roche) quyi est ce chemin semi-circulzaire (?) ou vcomment ? deux moitiés d(‘orange formant l’orange-monde entière, etc, nousessqayons ensemvble de jouer ce jeu, d’un touche-touche sur roche, nous sommes enfants de lka roche qui alloons loin en pareille maison ou comment ? la maison des coursescxeffrénées ? nous sommes en ce lieu de la roche du temps, comme aurochs dans un dessin d’enfant d(homme des cavernes, nous allons sur un chemin (de vie) clos, il est écvident que cette chose est pour nous chose d’importance, il s’agit du poids de la vie (douleur, raison, envie, mort) , nous essayons de comp^rendre tout ce qui ixci setrame pour nous et cela ensemlble, ici même, tous deux, nous tenant la main pour un jeu enfantin etc, nous voulonsessayer de comprendre cette chose ensemble, xd’un jeu cde base pâriétal qui est ou serait  ce jeu de roche rupestre : «à toi à moi et c’esrtt marre , ou non ? comment ? nous courons, nbous nous courronsaprès, elle est bambvi à présent, elle est redevenue bambi et moi celui qui est qui donc lui court ap rès afin de latoucher, en cet aller retour, ce va et vient continuel, = à toi à moi» de laraison de roche, etc, ou des raisons, cette chose d’une sorte de raison contenue en soi, etc, nous voulons ainsi aller sur roche et dérouler nos ames, ou quoi d’autrtes, nous jouons, nouys sommes deux pour ce jeu de dupe ou comment ? nous courons, je cours aptrès elle qui est loin là bas sur tel monticule et me fait des signes, du genre : suis moi, vien,s vers moi, ne me quittes pas du rehgard, ne m’oublies pas, viens à ma suyite, essaie de merattrapper, essaie de venir vers moi, essaie de me toucher, essaies d’etre pres de moi cette bete comme moi (‘qui me ressemblke), essaie d’etre pour moi comme moi, essaie de toucher  ce moi que je suis comme redoublé, essaie de te toucher toi m^eme en  vérité ou comment le dire ? il s’agit cde cette chose ici d’un jeu de dupe ... ou pas loin ? nous courons, bambi est devant qui me fait des signes, qui est elle ? qui est bambi la biche, une biche ? je cherche à l’atteindrte pour larattrapper et toucher (toc) sa pelisse à quelque endroit d’elle que ce soit, à quelqu’endroit d’elle que ce soit, je cherche à latoucher, la toucher la toucher, je cherche à toucher sa pelisse n’importe où sur elle (juste cette chose, o combien brulante en moi! de toucher pelisse, et ce n’importe où : le contact ici prime et l’emporte et brule) , il s’agit pour moi de faire c ette chose (pré-adolesvcente) d(‘un contact léger, d’un toucher de base racé, etc, je cours après bambi des roches, elle est cette bete   de laroche dure dees temps impartis, je cherche à comprendre ce qu’elle est, je cherchje à comprendre ce qu’elle recherche, je cherche à comprendre la bete en elle qui la guide, je cherche à comp^rendre qui est donc bambi pour moi quii pour le coup lui cours après afin d’entrer en contact léger, etc, nous jouons à nous courir apres à tour de role afin de nous toucher, et quand l’un atouché, lx’autre cherche pareillement, à son tour, de toucher l’autre, etc, à toi a moi, va et vient sempiternel, systole-diastole, systole-diastole etc, nous sommes dans le mouvement (pendulaire) d’un jeu infini de la roche des temps, comme des enfants, nous jouons, nous jouons à n’en plus finir, etc, nous sommes dans ce jeu squi est le jeu dit «de ba mvbi desq roches» etc, elle est devant moi qui setreémmousse, je dois ou je me dois de lui courir après mais je fais mine de n’en rien vouloir et de ne pas m’intéresser à elle, de l’ignorer, je la snobe, je suis cet enfant qui est sur roche et va de son pas nonchaland parmi les coquillages éparpillés, dons de soi et autres ames relarguées dans labnature (ou rendues à sa gouverrne, etc) , nous sommes des enfants qui entre nous jouons sur une roche et qui allonsensemlbkle sur paroi comme là les aurochs de la fable de la préhistoire, nous allons sur roche, comme ces betes qui sont dessinées par des hommes de lapréhistoire, nbous allons sur une roche dure ou bien meuble, roche des prés pariétaux, rochge du sang, roche du ven,t entre les parois, le vent va et vient, il tourbillonnne, il s’engoufdfree en ce coridor, il est vif comme l’éclair, bnous jouons à nous courir après , nous avons compris cette chose, nous nous «cherchons», c’est à dire que nous nbous titillons et cela est ain si que les choses sont à la base on croirait, nous nous titillons sempiternellement comme enfants du jeu de la farce, etc, nous jouons à nous courir après, nous nous courons après, nous solmmes in stallés dans un espace-temps qui est celui de la marche du temps de la paroi des grottes, des grottes du sud etc, nous sommes installés ainsi en ce lieu précis, ce sud de prairie etcx, nous nous courons apres comme faons de la roche et de lapremière heure, nous sommes des faons qyui jhouons sur roche, nousessayons de nous toucher à tour de rôle, il n’est pas simple de faire cette chose,detoucher l’autre, nous jouonsà celuyi qui touche ou alors se fait toucher à tour de rôle, nbous jouonsà tour de rôle à celyui ou à celle qui sefait toucher, nous jouons à sefaire toucher à tour de rôlez, nous jouons ensemble (des bambis) à celui qsui touche ou se fait toucher ou le contraire : à celui qui se fait toucher et du coup va devoir à so n tour toucgher son conjoint ou son partenaire (de jeu)  : il s’agit de ce jeu de roche, ancestral, commun, panique, chaud, troubvlant, a=musant, vif, prenant, que l’homme des cavernes connaissait , qui posait sa main surnuméraire sur la roche comme d’une main posée sur pelisse etc, un touche-touche des ancêtres, un jeu d’enfants sur roche du temps, il s’agit de cette chose ronde, ou rondemeznt menée, d’une course courbe, sur roche du temps pariétal (incurvée ? ) etc, sur monde -globe (globo) etc, nous courons et courant nous faisonsle tour de la terre ronde, il n’ya pas de fin à lespace car laterre est ronde et pas de fin au temps car le temps est rond comme la terre, nous avons une chance pour nous qui est celle ci de voul;oir aller ainsi avec le soleil , dans une sorte de (d’art) éternité, comme retrouvée ou comment, en pareille roche du temps imparti, nous essayons de comprendre cette chose, nous la (cette chose) voulons comprendre au plus près d’un toucher sur roche-pelisse ou comment fait cet homme , l’homme des cavernes ,n, car lmhomme des cavernes a de lmongue date compris les enjeux patrioétaux de la roche du temps à vivre , il est fin, il a une intellige,nce en lui qui est logé en un seiin royal (en lui) qui est le sein aux mots-animaux, il porte en lui une charge royale (pesante oui) qui impose sa patte sur roche et dit c e qui doit l’etre et de toute urgence (son «art» en cela), et cela, qui se doit ainsi d’etre dit, concerne sa faconde, sa faàçon gutturale de dire des chosesw tout à trac, son verbe de vie vive comme affiché sur roche etc, l’homme des cavernes a dans le sang uune vive voix qui en imposec gutturalmezment et dit toujours ce qu’elle a à dire et cela est ceci : roche de bois, je suis l’homme des cavernes, je vais et je vien s en roche comme un animal effrayé, je grave sur pierre ( ou dessine) mon portrai, car je suis l:’animal dxe séant, le fou royal ; l’animal xdes prés, l’aurochs à) la vue courte mais prégnante, je suis, homme des caverbnes, envahi-monté par sur moi l’(animal royal dxe la rochje : aurochs ? cerf ou cervidé aux bois nacxrés , Antilope ? au cxhoix ! «, l’homlm e  des cavernes a parlé, il a dit trè!s précisément ce quil avait à dire, il a dit tout court les mots qui en,combvraient sa bouche , il les a crachés, etc, il a dit ce qu il voulait dire, il est un homme tourmen,té car en lui se fomentent des actions de grande violence, il est pris entre des tenailles animales (des crocs) , il est comme wsoumis à des désirs brutaux en lui, il est pris d’assaut et ne peut faire autrement qu’en faisant cette chose d’une sorte de crachat sur roche d’une sorte de magma an,imalier qui, en lui, couve, couvcvait depuis des temps immémoraiiuyx, etc, l’holmme des cavernes porte en lui cette chose d’une sortye de mùagma de roche, fait xde toutes sortes d’animaux de massse, il est pleinde ces sortes de mots, de mots-betes en son sein ou en sa bouche, en son sein puis dans sa bouche, il est l’animal racé par excellence (lui : l’homme) qui va de son chemin de roche en intrapariétal et comme envahi par en lui un courant de vie vive, forte, une sorte d’envie brutale, finale, comment dire ? une envie de vivre, une en,vie prégante, etc, , l’homme dxes cavernes porte en lui cette chose d’une envie prégnante , massive, grosse ou grasse, grossse et grasse, qui est un animùal , un mot-animal) à graver (fixer) sur la roche, il (l(homme des cavernes) ne peut autrement agir qu’en gravant de cette sorte pareille betye contenue en lui, il ne peut en aucune manière faire en sorte de ne pas pouvoir, il est pris d’asdsaut, il y a invasion barbare, il y a invasion d’une bete en son sein qui est cet antrte ezn lui, qui est ce ventre en lui, qui est cette chose en lui d’un trou, qui va de lm’anus à son trou ou à sa plaie de bouche (tube) : nous comprenons toute l’histoire, il y a percée, il y a comme une sorte de perçàaghe en cet homme des roxches, et ce perçage est cette chose qui est cette chose qui est cette choses qui est cette cxhose, à l’infini, d’une traversée des courants pâriétaux d’une roche du temps aux embruns, un homme racé, un hommùe tient cdebout, il est envahi en lui et ne peut couper court en lui en à cette sorte d’invasion d’un animzal de grosse taille, une bete forte, lourde, qui fait peur de par sa puissance cxde frappe, etc, une bezte de roche à graver etc, ce que cet homme fait de force, etc, il est cet homme pris en otage par en lui la bete-mot qui le gouverne, un jour viendrea où l’homme des cavernes se délivrera totalement, se délivrera complètement, un jour vioendra où l’homme des cavezrnes arrivera à complètement se délivrer en lui de cette emprise animale ou aznimalière, il va y arriver, il s’afgit d’une question de tem:ps, il s’agit de cela qui est ici une sorte de question liée au temps, il ws’agit ici d’une sorte de question qui se tient au temps comme à une branche, l’homme des cavernes est cavernzeux mais pas seulement, il est guttural, il est agile, il cfrappe juste, il scande, il sait faire du feu, il est bondisqzant, il sait léviter et lévite à qui mieux mieux près de la paroi, il tient le baton de la fable, il raconte et conte, il sait faire et fait, son nom est celuyi de sa mmère, il chante à tue tete, il est royal, il est aussi la bete qui hurle en lui ce chant de vie blesszée, il est l’homme des prés, des praieries, des sous bois, des monticules, il chasse à la sagaie, il entre dans la roche comme dans une plaie,, s’y incorpore, il rugit comme l’animal, il porte culotte, etc, il est cet homme des parois du temps, et bambi est au loin qui regarde cet homme, il est l’homme de laroche dure, il va loin en pareille roche, il tente des approches de cette sorte de cet 

animal ,   de cette bambi, des approches de cette sorte qu’il connait, à la sagaie, à l’(arc , etc car il est chassuerr, il est le chasseur des bambvis des prés,; attention bambi des prés, l’homme des cavernes est ce chasseur de roche, des roches du  temps, il est ce chasseur de tous les temps de la roche du temps, il sait tuer la bete en lui, la betye de lar$oche dure et aussi la bete hors de lui, il est ce bambi    des bois et des sous-bois en lui et hors de lui (?), il est qui ? il est l’homme ici qui va sur roche à la rencontre ou à kl’encontre d’une bete de porairie, bambi est au loin qui se méfie,$elle pourrait pâtir des l:ubies de cet homme fou, eele setient à bonne distance,; elle ne veut pas mourir d’un trait de sagaie, elle veut (à tout prix!) rester vivante, elle se pklaît en cette roche et compte bieny rester ou demeurer longtmps, elle veut etre cette -vbiche à jamais des embruns nacrés, elle veut demeurer à jamais cette biche des embruns nacrés, elle veut vivre à jamais en cette roche dure du temps qui passe et ne  cède pas = ne meurt pas, car le temps (et le temps-espace aussi bien) ne meurt pâs, et bambvi a cxompris cette chose et veut durezr :longtemps en cette roche douce des temps infinis, elle veut continuer sur sa mlancée et pouvoir bondir ou sautiller sans fin, elle se porte ainsi sur un monticule, l’homme des cavernes voit bambi et veut la tuer pour pouvoir alimenter les siens, etc, il n’est pas en reste de savoir tuer, il tue bien et vite, et bambi va tomber deson monticule, glisser sur une pente, se retrouver le museau dans de l’hgerbe, elle garde l’oeil;,ouvert, mais le sang coule de son museau, elle ne vit plus, elle n’est plus e,n vie, elle est morte c’est à dire qu’elle ne vit plus en elle cdette cghos e d’un tic tac de roche, elle est un coprps rendu au monde matériel de la roche des prés, dela via,nde à) manger etc, la vie a fui ce corps fluide, etc, on pense à une biche morte, on la voit qui saigne etc, le risque est grand de se faire tuer, pour bambi le risque est majeur, il est là prégnant, il est bon pour elle de faire attention, il est bhon pour elle de veiller à ne pas se placer dans le faisceau de chasse de cet homme des cavernes, de seprotéger de ses griffes acérées de prédateur des prés, etc, attention bambi, tu prends des risques, fais bien attention bambi car l’homme des cavernes est un prédateur, il chasse à la sagaie et à l’arc, il chasse bien et il sait tuer, il n’a pâs de senti:ments, il veut s’alimenter, il a compris  la chose, il a cette comprenure affichée , de vouloir tuer pour manger et survivre, vie = survie, vie toujours = survie, vie à tout jamais = survie, vie pour l’éternité = survie, vie sera toujours survie, vie égalera toujours survie et ce pour l’éternité, vie ou survie = survie ou vie, on comprend lza chgose en voyant cet homme, il n’y a plus ou pas à tortiller, on comprend cet homme en tant qu il est celui quyi de toutes les façons se doit de sortir de sa groote et d’aller tuer des betes des prés ou des bois pour s’alimenter, ou pecher, etc, il n’a pâs le choix et nous de mê=me nous devons aussi nous allimenter d’une manière ou d’une autre , etc, et tuer des betes, et sinon des betes des pklantes, tuer, tuer des plantes a uussi  bien , nous devons tuezr , comme cet hommùe des  cavbernes etc, il est cet hommùe devant soi qui effraie bambi avec sa sagaie prête à être projetée en sa direction, bambi a pêur, bambi n’est jamùaios veraiment tout à fait tranqyuille, jamais bambi vraimment n’est tout à fait tout à faiot tran,quille car ezlle se méfie en permanence et garde toujours un oeil en coin, qui regarde les alentours, prospecte, scrute, tient en vigilance constante les données (pariétales) qui s’offrent à elles à mesure qu’elle dxéambule ou se promène dans une prairie, qui plus est à certaines heures du jour etc, elle connait la combine, elle n’est pas née de la dernière pl;uie, elle en connait un rayon, elle connait son hommùe vdes cavernes ou sa fezmme des cavernes, elle sait tres bien (parfaitement) à quoi s’en tenir, elle connait les choses du monde des roches, des rocs, des rochers de paroi, etc, elle va et vien t en cette roche du temps mais jamais tout à fait tranquille car elle se méfie de l’homme des cavernes, elle a une trouille verte (bleue ?) de toute cette affaire éventuelle d’un homme armé, qui viendrait à lui courir après non plus pour la toucher comme dans le jeu mais pour latuer et ce n’est pas la :même histoire (du tout) et du coup elle fonce, file, va fissa vers d’autres horizons et tente d’échapper à l’engeance chevelu des grottes comme elle dirait peut etre, en parlant de l’homme des cavernes le bien outillé en matière de sa gaies, ds»’arcs, de piques, de pics de verbe aussi etc : il jure ! il est plein de ces jurons de bord de bouche saignante etc, car il est lm’homme à la plaie de bouche (aussi) : le chasseur à la sagaie, et l’homme brute au pic perçant de la bvouche nue, etc, bambi voit cet homme qui pour le coup ne jhoue pas mais cherche à latuer, la mort est cette chose qyui est une chgose donnée, il ws’agit pour bambi de comprendre cela à la lumière des embruns dorés, elle ne veut pas perdre la vie, elle veut garder la vie, elle porte en elle lma vie (en elle ou où ?) et ne veut pas la perdre, la vie est une mécanique ? la vie est donc une mécanique ? alors donc, les médecins, les sav a nts, la cvie serait ou ne serait que cette mécanique ? bambi ne peut pas le croire, elle n’a pasde mots à échan,ger, elle est ce faon privé de parole, de l’usage de la parole, elle est ce faon privé de cet usage de pouvoir parler à brûle-pourpôint, ezlle est ce faon de la roche dure des temps et ne sait et ne peut parler à brûle-pourpoint un langage articulé : des mots d’une langue donnée, donnée comme la mort est donnée ou comme le temps est donné en cela quil constitue le présent à déposer dans cet entre-deux-pariétal d’un devant de vie vive, courbe, à arpenter, bambi sait cela et se tient à quelques enca blures des sagaies, elle ne veut pas trouver la mort, seulement les embruns, la musique, la musique des ezmbruns, elle veut pour elle la musique des ezmbruns car elle aime beaucoup cette musqique là, la musique des sphères, des embruns de roche, elle adore cette mùusique et veut passer son temps à l’écouter, elle aime beaucoup la musique pariétale des embruns, cette musique qui va sélevant, qui est envahissante, qui gagne et envahit l’espace-temps de la roche dure, la musique des embruns esqt une nappe, un nuage, elle gagne la sphère c’est à dire cet espace-temps de l’entre-deux-mers à l’intérieur de la paroi du temps, et bambi de lécouter religieusement, sans paroles, bambi sans paroles, bzambi est une bete sabns paroles, elle edst faon, elle est bete privée de parole, elle est un faon, une bete-faon, un enfant de laroche du temps c’est à xdire de ;’espace-temps, de la roche pariétale, de la roche de l’homme aux cheveux hirsutes, etc, bambi se pose sur son monticule et reprend son jeu qui est le jeu sempiternel du touche que tu toucheras, ou du : touche que tu me toucheras, etc, avec son ami le chevreuil des boisq, à eusx deux ils forment un couple formidable, un couple du jeu, de la roche du jeu, à tous les deux ilds forment ce couple des cerfs ou des faons de lma roche du temps, l’un coursant l’autre comlme un dératé, puis l’autree coursant l’un , à chacun son tour, bambi se plzait à etre poursyuivie, ils font ainsi le tour de laterre, ilsqsont sur terre ainsi, quii en font le tour x et x fois sans fatiguer outre mesure» carr ce sont des betes pleines d’énergie,; ils font ce qui les amusent, bambi est sur son monticule, elle regharde les embruns au loin , elle semble me faire signe, et me dire (de sa pattte gauche) vi : viens ! viens me rejooindre, vioens vers moi, suyis moi, ne me quiite pas des yeux, regarde moi bien et ne me perd pâs en chemin, essaie donc de me toucher un tant soi peu qui fera nombre, essaie donc de me razttraopper, je suis la bambi de la roche du temps, suis moi encore et toujours, ne me paume pas en chemin, ne me perd ^pas cde vue, essaie donc de poser un seul doigt sur moi n’importe où, n’importe quel endroit du corps compte, c’est à dire que le corps en son entier, de la tete aux pieds, est surface avérée qui peut faire l’affaire dans tous les cas, touches moi si tu y arrives, touches moi si tu es un homme, touches moi si tu en as, touches moi si tu es capable, touches moi si tu es fort, touches moi si tu as xde quoi, touches moi si tu m’aimes, toouches moi si tu as du cran, touches moi donc si tu en es capable , touches moi si tu es «

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25/03/2021

je regarde la roche ici devant moi, je regarde cette paroi qui me fait face et je me demande comment faire pour pénétrer pareille roche et pour me retrouver, du coup, de l’autre côté, je me pose la questions, je me pose beaucoup de questions, j’aspire à trouver des réponses, j’ai une grande envie de trouver des réponses et si possible à l’intérieur de la paroi car je sais que l’intérieur de la paroi contient un très grand nombre de réponses concernant les tenants et les aboutissants du monde et de la vie, je me doute de cette chose, comme quoi la paroi est une mine pour qui veut comprendre quelque chose du sens de la vie ou sinon du sens de ce que la vie contient en elle en termes de vérités, mais pour cela, pour bien comprendre toutes ces données, il est préférable d’entrer en la roche , de s’y lover dedans, d’entrer fissa en pareille roche pour mieux s’y agglutiner, s’y peletonner, car la roche est comme une capsule, elle peut contenir des êtres, elle est une sorte de capsule temporelle ou spatio-temporelle, à même de pouvoir vous contenir un long temps et là, en cette capsule découvrir un grand nombre de choses très importantes voire essentielles voire capitales, des choses considérabmles, de grandes belles choses vraiment considérables comme par exemple les ressorts secrets qui président à une vie humaine, pas moins, ou par exemple les tenants et les aboutissants d’une vie de roche, d’une vie à l’intérieur de la roche , comme celle d’animaux gravés , d’animaux dessinés par des hommes anciens, etc, la roche est une mine pour qui sait s’y prendre et s’y introduire, il s’agit d’une caverne d’ali baba, ou une roche aux trésors, aux vérités qui toutes sont ici contenues à foison, commen dire ? la roche est le coffre, la roche est une capsule de vie qui contient toutes les données du monde, la roche est une capsule spatio-temporelle qui en elle (en son sein) contient l’ensemble (en entier) des données concernant la vie humaine, la vie animale, etc, une mine d’informations de première main, une foule de choses y sont contenues et il suffit d’entrer en cette roche fissa, tete première, comme un nouveau-né sortant du ventre maternel, et ainsi faisant on a vite fait de se retrouver de l’autre côté de la paroi, parmi toutes ces betes de l’age de la préhistoire, on est parmi ces bêtes comme des enfants qui hjouent à des jeux de leur âge exactement, on est des enfants joueurs parmi des betes qui sont des betes de grosse tzaille, des mastodontes, elles sont mastocs, elles en imposent du feu de dieu, elles sont ventripotentes, elles ne font pas semblant à être, elles pèsent leur bon poids en la matière et nous forcément on regarde ce spectzcle étonnés, avec les yeux grand ouverts, on regarde ces betes avec attention, on n’est pas tout à fait tranquilisé&s non plus car il s’agit de bete dangereuses malgré tout, on xsait qu’il s’agit avant toutes choses de betes très dangereuses, on le voit, on est pas betes nous mêmes, on voit très bien qu’il s’agit de betes grosses, fortes, dures, reveches parfois, qui trépignent, qui ne s’en laissent pas conter, qui en imposent par leur masse dans l’espace, quand elles bougent elles peuvent facilement devenir effrayantes, c’est un fait, il s’agit dès lors pour nous de nous protéger et de ne pas prêter le flanc à ces betes rugueueses, il s’agit de se tenir un peu à l’écart et à l’écart de bien surveiller les allées et les venues de ces betes de poids, ces ours des cavernes et ces bouquetins, ces aurochs et ces bisons, on n’est pas plus rassurés que ça mais enfin on fait attention, on essaie de ne pas se faire piétiner autant que possible, on est dans notre petit coin et on essaie de ne pas se faire trop remarquer par exemple par des mouvements intempestifs, ou par des paroles déplacées, on est sur notre quant à soi, sur le qui vive, comment dire, on veille au grain, on ne veut pas se faire marcher dessus alors on fait bien attention à rester tranquilles dans notre petit coin, on essaie de ne pas la ramener, on essaie de rester vigilants et de ne pas la ramener parmi toutes ces betes de roche, on est au beau milieu = au coeur et forcément l’endroit se prête à comme chercher en lui des réponses de première main concernant les choses de la vie, du monde, de la vie et de la mort, en étant ainsi au milieu, c’est à dire au coeur du coeur, forcément on est tout ouie, on ouvre les yeux en grand, on ne veut pas en perdre une miette, de ce spectacle des embruns lointains, des biches nacrées, des betes fauves, des re  

des re     des       des betes fauves etc, on ne veut surtout rien perdre de tout ce petit manège du coeur du monde, on a bien compris que ce qui ici se passe ou se passait concerne ou concernait une sorte de grande vérité à savoir déchiffrer, on a compris que cette vérité est une vérité de première main c’est à dire capitale, il s’agit ici d’une Vérité Capitale, on voit cela et on le comprend, on est entré dans cette paroi de roche et on regarde les choses qui nous entourent , on compren que les enjeux sontconsidérables qui nous en,trainent à cerner au plus près les données qui s’(offrent à nous, on est pas en reste de cerner toutes ces choses, on veut comprendre le maximum et pour cela il est bon et préférable d’ouvrir les yeux en grand, de s’approcher des betes des prés, d’essayer de les toucher, de les caresser afin de les amadouer, afin d’enter en contact avec elles et là de discuter avec elles de toutes ces choses qui sont liés )à une vérité centrale, à une vérité de bon aloi qui serait au cenntre des débats, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants du monde, nous voulons savoir ce qui est, ce qui se trame, ce qui nous attend dezvant aussi, ce qui est à l’ordre du jour en matière de Vérité à comprendre, et pour ce faire (comprendre) comment s’y prendre, etc, nous voulons comprendre ce qui tout autour de nous sse dessine en matière de betes de roche, qui est cet homme des cavernes pour nous, est il en nous, ou se loge t il, que fait il lorsqu’il dessine à main levée des chevaux en groupe, que fait il lorsquil inscrit sur la paroii le contour de ses mains, que fait il lorsqsqu’il regarde à faire le plus ressemblant possible, qui est il ? nous ne savons pas ou plus qui est cet homme car cet homme est ancie,n et appartient à des temps anciens qui n’ont plus cours, ou alors (s’ils ont court) qui ne sont pas obligatoirement visibles à l’ oeil nu, on sait que cet homme (par exemple) savait dessiner des chevaux comme personne depuis, ou pas loin, on sait par exemple que cet homme des cavernes dessinait comme personne depuis, des chevaux par troupeau, eh bien cet homme qui est il qui faisait cette chose ? pourquyoi dessinait il essentiellement ou prioritairement des animaux ? parce que les animaux sont des mots, des mots-animaux, et que sa façon à lui de s’exprimer passait par ce langage animalier de roche, langage censé pouvoir communiquer une sorte de faconde brute, directe, vive (vivante) à un dieu de roche dure qui en vérité est l’incarnation ruperstre du temps qui s»écoule, l’homme des cavernes savaitparfaitement figurer la bete, il était imbibé en lui d’un pouvoir pariétal qui le poussait à dessiner, à main levée, comme un chef, il était doué pour cette chose, il faisait à main levée des tracés rupestres comme peu ont su faire depuis, etc, l’homme des cavernes est cet homme qui, en lui, contenait un pouvoir animalier qui le poussait à dessiner sur roche des betes fortes, il savait s’y prendre très bien et du coup pouvait figurer ces betes en tant qu’elles se présentaient pour lui comme des effigies, des mots prononcés, des paroles de bienvenue, des mots de contact, etc, il savait dire ainsi ce quil avait en lui, ce qu il avait sur le coeur, il était un homme qui savait beaucoup de choses obligatoirement, car il était imbibé en son sein d’un pouvoir suprême, il était riche d’une sorte en lui de pouvoir suprême qui pouvait l’inciter à dessiner à main levaée des betes de roche qui caracolaient comme des mots dans une phrase, il était fort et doué, il avait ce don et cette force, en lui un don, une force en lui, quelque chose de supreme, il est cet homme du supreme qui sait, qui sait faire, qui sait découvrir, qui sait révéler, il est cvet homme qui comprend beaucoup de choses et pour nous il est important de comprendre cela à la lumière de nos connaissances actuelles, c’est à dire avec des mots de tous les jours , tous les mots sont des lmots de tous les jours, ou sinon avec des mots qui peuvent toucher, qui peuvent s’immmiscer en roche, nous voulons entrer en roche avec des mots capables ou susceptibles de pouvoir s’immiscer tantot, en cette roche du temps, nous essayons tous les jours ou presque, nous voulons essayer de comprendre, nous avons cette ambition de vouloir comprendre les ressorts xsecrets qui cgouvernent c’est)-à-dire qui sont à la base et au sommet de ce monde de la roche dure, nous essayons de nous y retrouver parmi toutes ces betes de roche, nous sommes situés au cveur d’une sortye d’enclave pariétale contenant l’ensembvle des données du monde, nous voyons que noius avobns affaire avec des betes de grosse taille qui sont comme des «gros mots» du temps de l’enfance, ces mots interdits, ces mots à ne pas prononcer en public ni même en privé, etc, nous voyons que cette chose existe en roche et ne manque pas de nous occuper et voilà pourquoi nous pensons qu’il est bon pour nous de gravir des échelons, de monter petit à petit la pente, d’aller loin le plus possible à notre ryhtme, etc, car le chemin est beau qui mérite d’être parcouru dans toutes ses compôsantes, beau chemin n’(allonge jkamais, nous devons comprendre cette chose de ce chemin en roche et voir en lui une raison importante pour ne pas cvéder, ne pasflancher et poursuivre notre route, notre avancée en pareille roche des temps impartis qui sont ceux que nous avons pour nous pour une vie humaine à vivre de bout en bout, nbous sommes deux qui regardons autour de nous ce qui est et qui se passe dans les embruns, nous sommes situés au coeur de la roche, en cette roche pariétale d’une grotte, il est évident que nous devons veiller à ne pas nous perdre, nous devons veiller à comprendre  e qui est autour de nous qui se trame, qui est, qui va son chemin, qui se présente, qui nous accompagne car le temps en accompagnement est une musique, il s’agit de cette musique âpre des bords de paroi, ou alors il s’agit d’un chant guttural provenant de tels confins qui sont ceux de cette roche (dure) du temps, ou bien il s’agit d’une musique prairiale, une musiqye de la roche et des prés ou dees prés de la roche, la musique des données rustiques, etc, nous ne savons pas mais nous entendons cette musique parfaitement car nous écoutons attentivement , nous sommes tout ouie, nous n e voulons pas rater la chose, nous voulons comprendre les enjeux qui sont à la base de pareille vie de roche spatio temporelle, car nous sommes ici en roche en un espace particulier qui est l’espace des depositions (des dons et des aveux) et pour cela nous ne voulons pas louper la moindre chose qui viendrzaiot à nous en tant que spectacle de vie de roche, en tant que toutes choses ici concernant ce même foyer central de la Vérité révélée, il s’agit pour nous de bien cer n er cette chose qui est que nous sommes deux à vouloir comprendre les en jeux , et à deux nous pouvons en avancer et nous loger au plus profond de ce lieu cde la Vérité grande, de la vérité majeure, adfulte, imposante, etc comme aurochs, nous pensons que nous avons à bien cerner un certain nombre de paramètress ici, nous pensons que nous avons à cerner (discerner) un grand nombre ici de paramètres concernan,t la roche (le temps) et cela car nous cherchons (recherchons) toujours à comprendre, à savoir, nous voulons savoir , nous voulons voir, nous voulons cerner au plus près les données rupestres, ces données de première main (négative ? ) qsui sont des portes d’entrée vers des savoirs plus fouillés, plus profonds encore etc, nousessayons de nous immiscer (via l’art de la roche ?) en cette zone dure, forte, de la Vérité des profondeurs, nous essayons de nous placer en  cette zone rocheuse comme à l’intérieur d’un sas pariétal, une sorte d’enclave pastorale, etc, faite de brebis, de cervidés, de buffkles etc, et d’hommes chassant à la sagaie ou bien de femmes chassant à la sagaie nous ne savons pas, nous voulons comprendre tout cela, comprendre pour soi, pour sa gouverne, nous voulons comprendre toutes ces choses pour nous et cela car nous sommes friands de compréhensions diverses concernant les biches et les cerfs mais pas seulement, nous voulons comprendre  ce qui est ici en cette roche, ce savoir contenu, cette chose dure comme un roc et qui est la Vérité grande de la vie -mort enfin réuunie, ou sinon quoi d’axutre ? car nous cherchons encore et toujours ensembkle au plus loin possible des raisons, nous recherchons à tous les deux des raisons, des secrets, des motifs,, des vérités, des assertions qui puissent (pourraient) en imposer à qui de droit, nous ne sommes pas en rest e de chercher pareilles vérités en roche, nous nous acharnons, nous voulons creuser profond et trouver des réponses à des choses , à des questions que nous nous poson,s concernant la vie humaine et la vie animale en  ous car nous sommes envahi (imbibé ?) par en nous une sorte cde liqueur nacrée abnimale, queue de verbe de la première heure, cette chose en nous bleutée qui sort xde notre bouche et fissa en paroi va à se loger tete première comme un  n  ouveau-né, il s’agit pour nous de bien voir à) poser les choses àplat, les unes après les autres, il s’agit pour nous de bien nous situer en pareille roche et de pas flan,cher mais de tenir bon, de rester dressés, de se placer au bon endroit pour mieux comprendre, nous devons nous placer au meilleur endroit qui soit, et ne pas en perdre une goutte (une miette) du spectacle rocheux de la grotte, de ce mouvement pendulaire sur roche, à main levée, ce dessin d’un mordu des lieux, ce dessin  gravé par un homme nu, sous hypnose, imbibé de lui en  cela quil swerait comme pris d’assaut par en lui un autre lui de type bete des prairies, une bete forte, grosse, un pitre, une bete de première allure, élkancée comme pas deux, une sorte en cet homme de massif de roche, un massif sorti de la roche pour y re-rentrer ou comment ? nous voulons comprendre ici ce qui est qui se déroule, nous voulons savoir ce qui se passe en cette roche du temps aux embruns et pour cela nous regartdons attentivement les gestes saccaadés de lm’homme des cavernes, il est fort en thème, il est particulièrement doué et sait parfairetement s’y prenddre pour dessiner, il a un talent considérable, c’est un artiste, il manie le baton du feu de dieu, il manie le galet comme un chef, il est le chef du baton et du galet, il est nu comme un ver, il scande sa présentation, il est vif comme un troupeau lancé en roche, il dessine à main levée et en lévitation des betes de roche qui sont mots de bouche, sortis de  lui , mots de bouche qui (sortis de lui) vont à roche se graver tantot, c’est à dire se déposer, vont à se déposer, ils vont (ces mots) à se déposer sur un bout de roche, ils se retrouvent de la sorte inscrits et marquent un territoire, le «territoire du nom» tel qu’on le nomme, etc, l’homme des cavernes est un homme fort en thème, il connait parfaitement les rudiments du métier, il ne se laisse pa s abattre, il dessine à main lezvée, il est sous influence, il porte en lui une memoire c’est àç dire une intelligence  animale et cette intelligence il sait très bien la mettre à profit dans son coin de grotte, il est fort comme pas cdeux et pour deux car il est fdouble ou doublé en lui par une bete qui , le chevaucheant, le pousse à inscrire des mots-betes sur cette paroi qui lui fait face et dans laquelle nous sommes inszérés, nous savons que pareiklle insertion est risquée car les mots-betes sont des betes fauves (parfois virulentes) quil ne faudra pas perdre de vue mais toujours garderr sous l’oeil, à bonne distance, on sait jamais, on ne peut rien prévoir, la vie est ainsi en roche comme ailleurs qu il nous est impossible de savoir par avance quoi que ce soit, et c’est pour cela que nous nous avançons sur roche à pas comptés et main dans la main  car on ne sait jamais ce qui pourrait arriver qui nous bousculerait et nous piétinerait comme un rien, on sait cela et on  veille au grain, on n’est pas sortis de la dernière pluie, on est lucide, on essaie de l’e^ttre; on tente cette chose , de rester lucide le plus possible et ce n’est pas rien car il y faut une vol;onté farouche, il faut de l’entrain, il faut du courage, il faut xde latenue, il y faut une certaine tenue etc, il est bon de le souligner, il est bon de dire les choses crument et sans plus de tergiversations de quelque sorte que ce soit, nbous devons aller loin en besogne afin de comp^rendre ce qyi est en pareille roche du temps qui est censé nous attendre au tournant : cette  vérité de bon aloi concernant la réunion d’une vie humaine et de c ette autre vie à nos côtés, celle des bêtes de przairie qui paissent gentiment, qui se promènent, ou même qui virevoltent, nous voulons aller asserz loin en toutes ces recherches concernant la roche du temps, nbous voulons allezr loin à deux en toutes ces choses liées au temps d’un art de laroche etc, l’art de la roche est cette chose qui aujourd hui nous concerne au pl;us hzaut degré et en premier lieu ou chef car il s’agit pour nous d’un art de Vérité ou dit « de Vérité», il s’agit pour nous d’un art importantv à) plus d’un titres, il s’agit d’un art qui seprésente à nous comme une vérité sur les choses du monde : ces biches nacrées sont des biches de bienvenue, ce ciel bleuté est un ciel de traine, pret à nous guider dans les embruns vers la terre mère, etc, nous avons ce rapport ici avec des couleurs, des formes, des sons, etc , qui induisent des pensées qui induisent des croyances, qui induisent des données etc, cvomme celles concernant la roche dure, la rooche dure du temps, cette roche des entrés de roche, etc, nous voulons nous infiltrer de cette sorte en elle et en elle aller profond le plus possible, nous voulons aller profond le plus possible en pareille paroi du temps contenant toutes les données (rustiques , pariétales, pastorales, prairiales) du monde, il est bon pour nous de comprendre cette chose entre nous ici, il est bon de nous poser et de comprendre entre nous ce qui est qui se déroule, qui va son cxhemin rupestre etc, et qui nous regarde dan,s le blanc des yeux = bambi, la (le ?) chevreuil-^biche, la biche, le chevreuil, ce bébé de roche, ce faon de la première heure, cet enfant des embruuns , qui semble jouer sur roche comme dans un, pré,; il est sur roche, qui s’amuse à des jeux de son age, et nous nous le voyons de loin qui est tout à son affaire,; le faon de la roche est le produit de cette conjonction spatio-temporelle, avec pour lui ceztte chance d’etre incarné au coeur de la paroi comme une bete-mot de première importance = une vérité, on voit cela de loin, on essaie de comprenxdre les eznjeux mais bien sûr la chose est loin d’être aisée et ne se prête pas facilement à être comme décortiquée ou désossée, il y faut entrain, courage, abnégation, un effacement de soi au profit de l’autre ou des autres,; une bonne dose de franchise etc (si tant est que cela sqoit possible) et en roche nous allons ainsi, à la recherche de ce petit faon qui est le petit de lafable, un homme un jhour entrait dxans une roche à la recherche de la vérité et que trouva til ? une fable ? un faon, un petit du  chevreuil et de dame biche, et ce faon tout petit était le faon des reves, il w’appelait bambi, il était beau comme la lumière, etc, le faon de la fable est le faon des lieux de la vie de rtoche, il est l’animal gracieux par excellence, une beauté solaire, une lumiscence incarnée etc, ce faon est là pour nous montrer pour ainsi dire le chemin à suyivre, où aller pour savoir ce qui est de l’etre, ou ce qyu’il en est de cet etre de vie enfoui, cet être de la roche dure (le temps partagé) qui est cette chose aux embruns bleutés, aux couloeurs mordorés, aux formes lissees etc, nous nous approchons de bambinou, nous nous approchons de ce petit faon de la première heure, nous devons aller loin en  cette roche du temps afin de comprendre pour nous déjà ce qui est en elle qui setrame en matière d’enfance et des rêves, etc, nous voulons essayer de comprendre le plus que nous pouvons comprendre, bnous voulons essayer de comprendre un maximum et pour ce faire nous nous immisçons en roche par la tête (laraison du cap) afin de nous introduire plus facilzement dans la roche meuble du temps, du moins c’est ainsi que nous pensons la chose, nous aspirons à nous introduire plus facilement, à nous immiscer le plus aisément possible, et pour cela nous regardons à deux fois l’état de laroche du temps, où sont les endroits mous ou meubles permettant une perforation facilitée, ou les endroits plus durs à éviter de préférence, nous voulons entrer dans la roche à la recherche de ce faon de roche, ce bébé nacré, ce bébé du temps, cette chgose déposée comme un enfant sur le seuil d’une égl ise, d’un prieueré etc, nous essayons de nous in troduire fissa en c extte roche des depots de roche, en cette roche des dépots comme présents de roche, nous allons en elle à la recherche d’une vérité pour le coup gravée comme celle de l’aurochs ici de bonne mémoire, bnous voulons chevaucher ces betes desskinées, les monter comme cavaliers de la roche, etc, l’homme des cavernes est cet homme en  nous qui nous gouverne, bnous pousse à agir, nous poussse  à faire feu, etc, il est en nous cet homme de la lutte pariétale, il est en nous ce fort en thème généreux qui donne ce qu il sait pour nous faciliter la tâche, de cette incursion manu militari en la roche du temps, l’homme des caver,nes nous seconde, il manie le fusain, il est un homme de première main, il manie le baton et la pierre, il dessine comme un chef de roche, il est le chef sioux de la roche, ou qui d’autre ? il parle a vec des mots de betes sur paroi et ce faisant ilm montre (démontre) sa foi en cette cxhose d’une roche dure habitée par le temps donné en partage, par qui ? par nous qui entrons en cette roche de ce temps donné, nous disons que nous entrons en pareille rocxhe et la chose est vraie (avérée) et s’impose comme vérité de roche dure, ou bien comme vérité en dur de la roche des temps alloués, nous ne voulonbs pas passer à côté de cette chose d’une roche dure allouée pour une imprégnation en soi de la vérité fluide, liquide, incorporante, etc, nous ne voulons pazs passer à côté de pareille vérité de roche dure,; et du coup nous cherchons à nous introduyire fissa (tous et toutes) en cette pierre (tombale ?) comme ver dans une pomme, nous cherchons combines et autres raisons, nous cherchons à savoir, nous nous promùenons sur la lande, cet espace clos entre deux bras de mer, nous allons qui marchons de concert sur ce chemin tracé (ligne) devant soi et qui fait le tour de la terre , comme une sorte de chemin fermé, comme chemin de roche allant sur lui m^me, cette impasse  en bord de roche, etc, nous voulons aller sur roche du temps et cela afin de dénicher ce qui peut l’être, nous sommes associés en cette chose d’une confrérie de bon aloi censée pouvoir nous donner des choses de première main en  e quyi concerne cette vérité de larocxhe dure des temps incertains, nbous voulons nous poser en elle pour, pour le coup, savoir et comp^rendre : trouver le nid, trouver l’oiselet tout amaigri, trouver une couvée ou des oeufs, trouver des vérités à la racine (natives) , etc, nous ne sommes pas en manque d’ambitions de toutes sortes, nous en avons plein la carrioole ou comment dire, nous sommes pôurvus, nous sommes bien équipés, nous avonbs de quoi nous satisfaire sur cette cxhose d’une recherche en  nous décidé, etc, nous voulons nous poster le plus loin possible en roche et trouver lke  nid, nous ne désespérons pas d’y parvenir un jour ou l’autrte car nous sommes mùotivés, jeunes, plein de vie et d’énergie et de curiosité, et armés d’une volonté de fer, etc, nous sommes équipés comme quatre alors que nous deux, nous voulons comprendre le plus de cxghoses possible sur cela qui nous attend devant c’est à dire demain c’est à dire dans la mort, nous voulons aller le plus loin possib le dans la connaissance et pour cela nous allons en roche, percutant icelle avec le haut de notre tete, comme des béliers perc utant la porte d’un royaume, d’un chateau fort, etc, nous entrons en roche ainsi cvomme des etres qui seraien,t en roche pour trouver des choses à comprendre, qui iraient en roche pour trouver à comprendre des choses importantes concernant la vie animale, la vie végétale, les embruns, la forme des choses (toujours surprenante) etc, car nous sommes ébahis c’est à dire plus qu’étonnés de la forme (définitive) que prennenjt les choses tout autour de nous et même les choses de nous, nous sommes vraiment plus que surpris de la  forme des choses, cette chose très intiguante, ou comment dire : plus qu’étonnante, ces formes de tout, cette forme de la main surnuméraire, du chevreuil et de ses bois, de la biche-feaon de la roche, etc, tout nous parait comme ne pouvant pas aller de soi, car que signifie cela , cette expression : «aller de soi» ?  nous voulons enttrer dans la roche ensembvle et en elle comprendre les arcanes d’un monde qui serait inclus dans le monde, c’est à dire un monde doublé, un monde redoublé par des choses rajoutées comme par exemple aurochs, aurochs, aurochs, comme autant de mots de la tribu déposés sur roche comme présents animaliers , plein de vie et d’ardeur, chauds -bouillants de la première heure, etc, nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici qui préside aux destinées, rien de moins, et pour cela nous essayons de nous concerter, et d’entrer en cette roche du temps comme des enfants dans un cercle, ni plus ni moins, nous essayons de nous imlmiscer ainsi et ce faisant nous nous donnons la main pour l’éternité, il semblerait sque la chose soit ainsi et que l’homme et la femme e,n roche ont à faire ainsi ce trajet temporo-spatial , d’une sorte d’embardée à deux, vers des confins bleutés de fin de voie (?) ou de roche, il semblerait que l’homme et la femme en roche ont à faire cette chose ensemble d’une sorte d’embardée manu militari en roche, fissa, tête première, main dans lza main, aux aguets, veillant à ce que tout se passe bien , motivés comme pas deux, dépoitraillés soit (même) nus comme des vers de terre, eztc, l’homme et la femme ont un chemin à faire ensemble en pareille roche, et ce chemin passe par un sang donné sur roche, il s’agit d’une chose dure, d’une chose des profondeurs, il s’agit d’une chose rude, etc, et cela est cette chose que cet homme des cavern es et cette femme des cavernes comprenaient et savaient évoquer entre eux sur la roche : le sang menstruel ? le sang de l’hymen perforé ? le sang de la plaie de bouche ? le sang de la bete tuée ? le sang des veines et des artères d’une bete en soi qui guide ou guiderait (sous hypnose ? ) nottre gouverne ? nous cherchons la vérité-, nous voulons comprenxdre la vérité, nbous voulobns pour nous de cette vérité nacrée et de bonne renommée  qui est la v érité de la nuyit des temp^s : nous cherchons la vérité des vérités, nous sommes ensemble qui recherchons la érité des vérités, nous sommes réunis , nous sommes deux, pour rechercher la v é&rité des vérités de roche, nous voulons cette chose enxsemble, cette chose d’une vérité des vérités à dénicher incidemment au décours d’une promena de sur paroi de roche, nous voulons découvrir le pot aux roses ensemble et pour cela nous nous échinons à comprendre c’sest à dire à dénicher, etc, le petit oiselet gringalet, le faon de la première heure, l’oiseau roitelet de pacotille (? ) ou bien le roitelet sorti cde l oeuf, nous cherchons la petite bete, le xpetit de rien, l’oise let tout maigrelet encore ayant beswoin de sa douce mère, etc, nous cherchons ce peu ou ce petit peu enfoui en roche (cvupule) comme un secret sur un petit papier glissé dans l’interstice d’une sorte de roche-muraille, entre deux pierrees désolidarisées, entre deux briques, entre deux batons etc, nous voulons comp^rendre cette chose  d’une vérité de bon aloi qui est une chose de petite taille et non point cet aurochs de belle prestance, il s’agit pour nous d’aller vers le petit oiseau qui est un roite:let, il s’agit d’aller pour nous vers ce petit oiseau qui est un roitelet qui est ce petit être nommé, il s’agit pour nbous de toucher ce petit roitelet, de le toucher du bout des doigts et de s’apercevoir (de nousaper cevoir) qu il existe en vrai, oh le voici ! oh voici maitre roitelet le Petit ! il est invité ! il est cet être recherché, il est maigre et fluet, il n’est pas gransd d chose et nous suffit en fait de vérité, nous devons faire ainsi de com^prendre cette chose d’un oiselet comme perdu en cette roche du temps, et que nous avons dès lors à trouver pour le soigner, à dénicher non pas pour lui faire du tort mais bien au contraire lui apporter tout le réconfort dont nous sommes capables en conscioence, nous ne voulons pas blesser qui que ce soit, et moins encore le roitelet ou l’oiselet, ce petit de la roche dure, nous voulons l’aider à reprendre son envol, nous voulons l’aider à reprtendre vie , à reprendre sa vie céleste, nacrée, etc, comme oiseau de pa radis, nous cherchons à comprendre ce qui ici pour nous signifie cet envol, ce que cet encvol ici pour nous signifie (p^lutot) car nous sommes sûrs de cette chose, comme quoi l’oiseau déniché est une  vérité céleste, une vérité vvraie de la roche et du ciel de  roche, etc, nous voulons nous approcher de la v érité des choses du :monde et pour cela : passer par ce roitelet blessé, par ce roitelet de bout de roche , qui est cette bete de roche dure, qui va son chemin aérien , qui est cette betes de bout de paroi, de cet entre-deux-mers aux embruns, l’oiseau de la roche du temps, nous avons pour lui beaucoup d’affection,; nous l’aimoons beaucoup car il est chétif et aussi  car il est dçscret,; il est cet oiseau discret qui est  ette bete de paroi de roche qui, pour nous, peut il semblerait nous en apprendxre beaucoup en ce qui concerne les faits et gestes de lamort à l oeuvre, que peut elle dire? que la mort peut elle dire ? quoi la mort est elle capable de dire ? quoi est ce que la mort est capable de dire ? quoi de dire est capable la mort ? quoi en dires diverts la mort est capable ? que de dire mort est ou serait capable ? en quoi la mort a quelque chose à dire ? quoi la mort a t elle à dire ? que dit la mort ? quoi la mort dit ? que dit la mort à nous qui l’écoutons ? quoi dit cette mort de la vie à l oeuvre ? qui est la mort ? que est la mort ? quoi est la mort ? que veut la mort ? qu’y a t il derrière la mort? que dit la mort à nous qui l’écoutons dans les embruns ? que veut mort pour nous ? du bien ? du mal ? que veut nous dire cette mort à travers la roche du temps, car la mort est logée derrière, elle se tient à l’écaert du monde, elle ne fait pas partie du monde, la mort est absente des débatsq, la mort n’est pas là, aucune mort, la mort n’est pas présente ici-bas mais wseulement une sorte de succédan,é de type gisant etc, il est bon de faire cette chose ici d’une reéflexion, concernant la mort à l’oeuvre dans le temps, lm

e temps est la passion prezmière, on connait les tenants et les aboutissants du temps à présent, ou du moins croit-on les connaitre, mais que savons nous en vérité ? la terre est ronde aussi dans le temps (la roche) et sa rondeur ne manque pas de nous troubler , de nous mettre à mal en termes d’intelligence des données ou comment nous exprimer ici ? nous avons à dire xdes choses , ces choses nous voulons les voir notifiées noir sur blanc sur roche, ces choses nous i ncomben,t, il s’agit de savoir c ette chgose, comme quoi la pe nsée de la mort est une pensée morte (mort-née) et cela ensemble (le penser) car nous sommes deux à creuser, nous recherchgon s en roche une vérité de bhonne fame, une  de ces vérités qui puiiussse en imposer, qui puiise situer son homme (sa femme) etc, nous avons des ambitions hautes, nos ambitions sont hautes car nous sommes pleins de nous mêmes (gorgés) et du coup nous nous affichons ici ou là en tant que nous serions des chercheurs de vérité, or il s’(avère que la vérité  vraie n’est   pas de    ce monde, hélas, que la vérité pour exisqter a urait besoin d’être doucblée or il n’e,n est rien,; les chosesx survienbneznt « à la une à la deux» et pltutot « à la une » seule en vérité et du coup disparaissent dans les oubliettes de laterre, nous savopn,s cette chose et voilà ce que nous disons à présent : la véerité est indivisible et éternelle or ici en roche, quoi donc se présenterait en tant quil s’agirait de quelque chose d’éternezl ? nous diso,ns que nous nous avo,ns à nous avancer sur ce cxhemin de l’éternité des choses incrustée (en roche) et ces chosez sont pourr nous comme des oiselets pris dans laroche , son interstice, il s’agit pour nous de cxomprendre pareille dsonnée rupestre et de sw’y cantonnezr afin de creuser plus loin cette réflexion menée déjà depuis longtezmps concernan,nt la peine, la joie, d’une découverte conjuguée, nous cherchons une vérité de bon aloi à l’intérieur de laroche de grotte, en un interstice, en une faille ou fissure, un bout de papierv avec un mot dessus, une sortye de chose allouée par la providence ou bien par qui ? car nous ne savons pas à quoi nous en tenir ! nous ne savons pas qui est qui , et aussi ce qu il en est de cette confrérie de bêtes entre elles, nous ne savons pas le nom de cxette biche ou de ce faon, peut -etre est-)ce bambi , ou peut-être pas ! nousq ne savons paxs qui est cet animal et quel est son nom ? nous voulons savoir qui esxt il, quii est derrière, quoi est derrière et s’il y a quelque chose derrière , nous sommes pris dans le mouvement d’une sorte d’assaut sur roche du temps, nous sqommes en retard (perpétuellement) d’un train de ralloo nge, nous sommes perpétuellezmùent touyjours en reztard d’(un train et cependant nous péroron,s ca r -nous solmmes programmés de cette sorte que nous sommes à avoir à (à devoir) pérorer de force, comme contrain,t par la bande par le paysage ou par le temps qui passe (‘les deux), nous ^pérorons en veux tu en voilà car nous sommes contraints à la ba se, comme bousculés et le feu au derrière à devoir nous exprimer, coute que voute et vaille  que vaille et à l’unisson, à brule ppourpoint, sans plus de recul car il est impossible en vérité de reculer à même la vie où nous sommes jetés lancés et impossible de nous retourner pour juger du ttrajet accompli etc, ou pour le modifier plutôt , cela ne se peut, ne peut pazs être, cela ne peut pas, celaest impossible, et cela nous le savons bvien qui nous échinons à dépasser cet état de fait, en roche mais pas seulement : nous essayons de nous immisc er en roche (ici le roitelet) mais aussi plus loin, en cette zone des ezmbruns, en ce lieu para disiaque aux reflets nacrés-bleutés (pa r exemple) ou bien mordorés, comme une sorte de paysage de fée, ou comment ? paysage d’une vie sur tezrre ? hors de laterre ? où ? nous ne savons pas le situer ! dan,s  les rêves ? nous essayons de situer pareil paysage, nous voulons cette chose poour nous (notre gouverna nce) et cette chose ainsi située , ou dès lors qu’elle le serait , aurait pour nous fière allure et nous motiverait à aller l’exposer à la lumière des embruns ici, ou ailleurs en xd’autres espaces, nous devon,s aller vers elle (lumière blanche ou mordorée, lulmière arc en ciel) car là , vers elle, se situe la vérité de branche, cette vérité attenante, pour oiselet ou pour roitelet, nous cherchons cette vérité de la brancjhe, où donc est-elle cachée ,où la dénicher ? no!us cherchons à dire des choses qui seraient des choses qui comptent et qui en diraient long sur tout ce qyui pour le coup constitue notre vie sur terre, xdes cxhoses de grande importance, qui auraieznt un impact considérable sur l’humanité, nous recherchons, nous fouillons ici ou là, nous sommes deux pour ce faire, nbous menons l’enquête conjointement et sa ns sourciller ou sans débander pour ainsi dire, cela est inscrit ici noir sur blanc dans le protocole, tu ne déba,nderas pas, tu ne lacheras pas le morceau, pas une seconde, tu irasfissa le plus possible : des commandements etc, cela est une chose sûre et qui pèse dans la balance (du temps) comme un présent de bon aloi qui dira cette chose de vive voix, comme quoi nous sommes deux pour lza bonne cause, à chercher des choses, des trouva illes (?) ou des secretsq (? ) ou quoi de plus ? des choses à réveler soit des nids à trousser ? soit oisillons à) dénicher ? de quoi ws’agit il ? nous voulons cette vérité cde roche recherchée la dénicher un hjour prochain et  ce à deux de préférence, car si un plus un égale deux, deux est ce chiffre d’ap^pel entier, compact comme un oeuf, indivisible en roche, et faisant force d’attaque, force majeure comme une soupape, nous voulons aller ainsi en cette partie de roche qui est celle au co ntenu bien plein de choses diverses concern,ant des dires de v ie, vérités diverses, données brutes et sol ides, etc, cela est pour nous cette chose que nous rezcherchons prioritairement, nous recherchons beaucoup de choses et principalement la vérité dite « de la roche pariétale », celkle de la femme, celle de l’homme, celle du faon, nous sommes dans la vie de roche comme dans la vie vive des temps impartis et cette vie de roche est celle que nous travaillons, de concert, en des recherchers menées vivement (tambour battant) à des fins de découverte, nous la travaillons au corps pour ainsi dire, nbous sommes motivés, nous entrons en elle motivés soit secondésq, soit guidés par en  nous (antre) l’homme des   av ernes qui est l’homme des cavernes doublé par un animal des cavernes ainsi de suite (triplé pour le coup), nous cherchons à nous introduire dans la roche avec ennous qui pousse «au cul»la bete des prés, des roches, le mot-animal de fortune («aurochs»), bete de la roche des temps impzartis, nous entrons ainsi en elle et donnons ce la, cette note, ce la musical à la roche, ou bien ce sol, ce sol musical en diable (pareillement) qui déclenche et poussse, entraine et inspire, donne l’aval, donhe le clap, etc, nous dison,s que nous avons à aller ainsi profon,d en pareille roche , nous disons que nous avons ensemble en pareille roche à aller profond et à nous immiscer en son sein comme ver dans une pomme, afin de nous alimenter en vérités dxe bienvenue, vérités de la roche des temps, vérité de survenue brusque etc, car nous aimons la vérité, nous la chérissons comme chéririons un bébé nouveau-né, une boule de vie vive, etc, nous pen sons que cette vérité de roche est u ne sorte de nouveau-né d’incrustation rapide, il s’agit pour nous de comp^rendrte cette chose d’u ne véritév incluse, mise en roche comme en cupule, dans une fissure,, eztc, vérité de bon aloi qui est une sorte de chose de la vie qui va, qui traine sa peine ou sa joie etc dans un temps donn,é, nous passons ainsi sur roche un temps à cvhercher ou rechercher des choses douces ou dures en matière de vérité, la vérité est indivisible, elle existe (si elle existe) à jamais et ne peut (jamais) être contezwstée dès lors : existe t elle à la surface  de la terre ? njous pe,nsons que non car nous pensons qUE nous sommes bernés, nous penson,s que la vérité est un mot de roche et qu’à ce titre il est peut être judicieux (meilleur) de ne pas le déloger de l’endroit où il est , il est peutetre judicieux de ne pas délogeer toute vérité digne de ce nom de l’endroit où l’homme des cavernes l’aura placé dans sa belle remontée de roche, l’homme des caver nes est cet homme des remontées comme il est cet homme des desc entes vertigineueses en roche des temps, il va et vient à mêeme la roche et sait faire ainsi preuve d’ingenuité ou comment dire en cette paroi aux betes gravées, c’est à dire qu il est ingénieux, il est fort en thème, doué de sa cxlasse, fortiche et doux, fortiche et dur, il sait y faire, il est d’un dégourdi et ne peche pas par faineéantise ou commeznt ? il virevol:te ! il n’arrete pas ! il est fonceur ! il va vite son trajet de vie sur roche de grotte et a vite fait de tracer la bete, ses contours, sa pelisse etxc ,car l’homme des cav ernes est un enfant naissant criant sa gouverne animalière, il est l’enfant de la paroi du temps, l’enfant doublé d’un animal de vgrosse taille, l’aurochs, le voici le voilà, l’homme ou la femme des cavernes sont ainsi douvblés chacun (porteurs) d’un petit être de paroi, qui est l^$etre minimal dxe la roche des temps ett à ce titre se présente en tant que bete-mot à graver sur roche (des faons = des enfants) , nhous  voyons à présent tout cela tres bien car nous sommes présents sur place bien placés, et nous écoutons, voyons, entendsons, reluquons les choses qui vont sur roche terminer leur course, il s’agit de révolutions, nous sommes les témoins d’une révolution pêrpétuelle, nous  voulons comp^rendre les choses du monde, nous voulons szavoir, nous sommes dans un entre-deux (roches, plaie, mondes, mers,ou vagues, biches, etc) et dans cet entre-deux nous nous engageons plus avant sur un treacé de vie pezrpétuelle, un ruban de soie, qui fera (fait)- le tour du ca dran, ondulaire ezt co:mment dire circulaire etc, nous fil:ons, nous passons ainsi ce temps de roche comme un animal dans sa prairie, nous passon,s ainsi en cette rocghe et allons loin en pareille paroi vcomme enfants de rois etc, nous gravitons ezt ce vfaisant nous compreznons beaucoup de chose comme quoi nous sommes (habiton,s) le regard que nous porto,ns nous-mêmes sur le mon,de ou bien  nous co:mp^renons que nous avons à aller loin dans cette sorte d’avancée votive quyi, devant nous, à chacun de nos p)as, semble devoir s’ouvrir et nous laissser passer sans nous toucher (l(i,ntouchable de l:’eau fuyante de la mer allée) , nous penson,s que nous devons nous introduire en cette roche dure comme des passants qui vont et qui vienne,nt à la rezchezrche d’une vérité tenace, tenable, tenace et tenable, qui sera cezlle qyui nous verra fiers comme artaban, et capables de la hausser sur table d’offran de ou sur paroi de roche, comme antilope ou bouquetin gravés, comme effigie, nous avons cette chance ici (pour nous) de pouvoir tracer sur tracé notre chemin d’une a vancée rupestre, il s’agit d’un chemin de vie, nouds devons nous en accomoder , faire avec, le souffrir, l’endurer « à la une à la deux», et point final, car la vie est une qui  ne traine pas mais va son chemin continu tout comme un déroulé» perpétuel qui ne lésine pas et ne se tourne pas, il  est le chemin d’un entre-deux-mers qui va vers un devant de soi dès lors déployé comme un ruban de soie, il est bon de comprendre cette chose à deux (elle (?) et moi en moi(?)), il est bon à deux de comprtendre-cerner cette chose d’un e sorte d’enclave (art) de vie dans la vie or quoi ? quoi à dire ? l’art est (serait) cette encklave de vie dans la vie , comme s’il était du coup possible depuyis ici de sortir d’ici ou comment dire ? de doubler la vie dans la vie ! de redoubvler pour ainsi dire ! comme s’il était du coup possible à l’intérieur de la vie de doubler la vie ou de laredoubler ou comment dire ? comme s’il se fut que nous puission,s sortir de la vie sans sortir de la vie (et ce serait l’art ? ) etc, nous cxercghons ici une réponse de poids léger mais qui cependant pût le faire volontiers, nous recgherchons une réponse, un petit quelque choseà se mettre swous la dent en termes de vérité dite (en toutes lettres et dans les mots de latribu, hélas ?) qui eût pu nous donner comme du baume au  coeur, dans nbotre volon té de recherche, en cette volonté qui est la nôtre de vouloir trouver (dén icher) l’oiseau mùaigrelet dans sa cxouche pariétale ou autrte , nous cher chons assidument et nous ne lachons pas le morceau, nous voulons comp^renxdre le plus possible et pour cela n ous decvons nous attacher à dire vite, à dire direzct, à ne pas tromper l’ennemi de la parol:re dite, à faire en sorte que cela (cette cghose d’un dire xrapide) ne vienne e,n aucun cas entraver la marche d’une destinée langagière pariétale de roche, ou bien pariétale de temps, nous savons cela, nous nous efforçons d’aller ainsi en roche ensdemble, à) faire ce chemin ensemble (ou seul ? mais ce n’est pas la même chose ou sérénade), nous pensons que nous devons aller en roche comme dans un temps dit musical, ou dit «musical en diable» car il est ainsi que la roche est dure comme un temps de vie vive, nous voyons cxette roche dezvant nous qui se présente telle une sorte de muraille infranchissable, dureté de ladureté, or raegartdons bien, voyons voir la chose de près et essayons de comp^rendre, il est bon de faire cette chose ensemble, il est judicieux d’agir de concert, car à deux on y voit mieux (à deux yeux ? ), nous nous approchons de la roche, elle est devant nbous comme un lendaemain, nbous passons la main à traverts elle et la main passe, nbous passons une autre main à travezrs elle et la main passe encore, que se passe t il ? il xwse passe que nouscsommes deux à nous tenir par la main, et de ce fait nous avons en nous ainsi  ce pouvoir de pouvoir franchir les obstacles, nous pouvons à deux allezr loin car nous pôuvons à deux faire cette chgose d’une traversée desxapparences rupestres, en tant que nous devenons à deux des francxhisseurs qui vont fissaa et tete première se jeter en roche comme dans la mer, nous voyons cela avec nos yeux, qui sont ceux de l’homme et de la femme des cavernes, nous avançons à pas comptés et entrons dans laroche du temps, nous entrons dans la rocxhe du temps et nous voyons toutes ces chodsescdéployées, devant nous, comme b eztes de charge de roche ou betes de roche de cxharge, nous ava nçons, nous sommes deux qui posons le pied en cet espace-temps d’un entre-deux-mers, car la mer s’ouvre devant nous , nous sentons l’air de son ouverture, nous sentons cet air frais qui nous fouette, et les embruns bleutés qui nous entourent, nous poussons plus loin, nous marchons sur ce terrain , il est bardé de cvoquilla ges etc, nou aimons cette chose d’une promenade à deux sur un terrain n u qui est celui que découvre la mer au fur et à mesure que nous avançons : nous ferons le tour, car la terre est ronde, et du coup que ferons-nous ? nous a:llons revenir sur nos pas, nous allons en ligne directe vers des lendemains de retour sur ses pas, et voilà le pot aux roses, et cependant celaa vec de part et d’autre une muraille, une muraille de chine, un mur de rappel , une sorte de closerie, un mur monté haut de chaque côté et qui scinde les choses, il est ainsi pour nous cette cbhose d’un ruban de vie au devant de soi, et de part et d’a utre des murs de cloisonnement, que doit on penser de cette chose ? nous pensons que nous avons ensemble à  comp^rendre pas mal de données encore concernant la vie ou la vie et la mort réunies sous une même bannière, nous nous tenons par la main comme des amoureux de toujours, nous avons une envie en nous qui est celle cde dénicher encore et toujours et c’est à cette chose à présent (?) que nous nous attelonsq, nous cdevons comprendre les données de base ici, qui sont celles que nous chériissons, qui sont lesq données qui nous importent de devoir comp^rendre, ou «qu il» nous i=mporte (de devoir comp^rendre enxsembvkle) , nous voulonsaller très loin au sein du sein ou dans le sein des seins des découvertes à faire car pour nous il nous semble évident que nous avons pas mal de découvertes à faire, nous devons agir (nous le devons mordicus !) et nous agissons de fait par cette action que nous menons ensqemble sur la lande, nous sommes ensemble pour aller loin en pareille roche du temps, nous ne dezvons pas nous désubnir, nous dezvons pousssr loin cette chansonnetee de la roche dure des te:mp^s incertains et impartis, nous avo,ns à pousser loin toujours pareille chansonnete, nous le devons, cela pour nous est de l’ordre du commandement, nousq  l’avons comp^ris, il est temps de l’avouer (etc)) c’est à dire de le présenter, sur un dzevant de soi nettoyé, etc, nous pensons cette cxhose ici comme quoi nous dezvons nos atteler vite et bien, à cette tâche d’une ré&daction des dix (ou plus ) commandements qui  président pareille emba rdée, nous sommes ensemble pour ce faire et pourquoi ne pas fgqaire ainsi cette chose en roche, directement, comme enfants d’un jeu d’enfant, etc, nous avons à comp^rendre cette chose ici sur paroi, et à dessinezr à main levée (sous emprise ?) des buffles et des bisons de roche, ours des cavernes, lions, rennes,; antilopes, gnous, un perroquet ? nous pôussons loin les recherches de paroi car nous avons à dire des choses concernant cet art de l;a roche qui est l’art de la roche dure, celle du temps, celle de la vie du temps, nous allons en cette vie ensembkle et avons ensemble à comprendre les tenants et les aboutissants d’un lieu de vie autre, tel quil nous appa rait en cette roche où nous sommes logés, lieu de vie intrapiéral mais aussi lieu pour une offrande, le temps en offrande etc, lieu pour un don de soi a minima pour ainsi dire et c’est ainsi que nous disons , nbous disons la chose de guingois peut-être mais enfin nous la disons, car nous nous sentons de la dire dorénava nt ou dxisons que nous nous donnons dorénavant la permission de dire c ette cbose, ce «gros mot» tel que jusque là nous nous interdisions etc, aujourdhui non, aujourdshui nous nous disons : « dis le, dis ce gros mort, dis ce mot d’inhjhure, n’aioes plus peur de dire ce gros motr, ce mot injurieux ou ce juron, vce mot «à la con» ou bhien ce mot merdeux, etc», nous nous disons cette chose, nous n’avons plus peur,, ou disons que nous avons moins peur, nous nous disons cette chose comme quoi nous avons à allezr ainsi en roche cranemeznt, nous nous xdisons cette chose comme quoi nous avons à allerc en roche par le crane et c’est marre ou bien comment, car nous sommes craneurs, nbous nous mùontons du col, nous nous montrons tout court et dè!s lors nous cranons, etc, comme des enfants de la rocxhe dure  (à tete dure) qui vonjt et qUI viennent sur le monticule, font des cabrioles, manquent se tuer cent fois, casse cou de la roche des temps, enfants fous, faons fous, il y a en eux quelque chose de fou, il y a dansq l’enfance une chose folle, perdue à jamais (?) qui est la volonté (crâne) d’aller de l’avant, dans le temps, dans un temps de roche dure, fiers comme artaban, dur de chez dur, aenfant-faon de la roche dure, ils sont betes xde peu qui caracolent sur la roche à la manière des troupeaux de buffl;es ou de phacochères dessinés à main levée pzar l’homme des cva vernes , ou par une femme des cavern es , etc, je regarde cette roche devant moi, je vois les beztes dessinées qui sont betes des prés ou dees so!us-bois, je suiuis là deéjà dsans une après-vie, je suis dans un regard d’une sorte d’après-vie de roche, les hommes dessinezn,t des betyes de roche et cela en transe et sous emprise et cela car ils sont imbibés en eux d’un liquide de vie qui les trouble fort, il s’agit ds’une sorte d’oonguent à forte densité, qui est celui ici dont nous recouvrons les plaies, l’homme des cavernes s’en saisi et s’en recouvre les parties, le corps en entier et il succombe, il est l’homme de la plaie de bouche ouverte, plaie laissant passer cohorte de betes de roche, il se laisse traverser, il est animé et se meut sur roche, en lévitation, peuplé, p^ris à partie, envahi, comme inoculé, pris d’assaut, imbivbé xd’un liquide fort etc, et le voilà qui trace, au baton, des effigies, il sait y faire, il est l’homme doué des cavernes, il a reçu ce don en lui (deposé) et en fait usage malgré lui, il entre ainsi en lévitation et dans la roche, et l’un et l’autre, et n’en sort plus de sitot car il est pris d’assaut par en lui une force vive quyi le tient ainsi en suspension et le fait graver «de mémoire « (?) des beztes de chasse, betes-m,ots de la prairie, antilopes majeures, faons de la tribu des betes à bois, à corn es etc, il trace un chemin, il trace des betes, il avance et franchit le pas, il entre en pareille paroi comme dans un moulin car il est saisi par la transe en lui qui l’invite à franchgir le pas ou qui l(‘initie, il entre en roche comme xdans du beurre : son pouyvoir est fort de pouvoir travezrser la roche et, en roche, d’aller caresser telle ou telle biche des abords, ou bien de sentir les embruns des bors de mer de roche éternelle, il entre en cet ezntre-deux-mers et va loin en elle, en lui (l’entree-deux) pour une a va ncée décidée,gracile, de son etre dur, de son etre de vie dure, il va en roche ainsi, gracile, direct, franchissant la roche en pamoison, franchissant en pamoison la roche dure, il force la roche, il entre de cette manière, il est fort et tape, il grave, il frappe, il cogn e larocxhe et entre ezn elle, il est dansq un état second, il veut treaverser et passer de l’autre côté, armé, armé et outilllé, il veut treaverser laroche tete la première et de ce fait il cogne à toute force, de toutes ses forces, il est decdans comme un coq en pattte, il veut vivre ici cette enjambeée de roche traversée, il ne veut plus en démordre, son sang ne fait qu’un tour, , il ewt fourbu, il est pris en étau, son sang fait le tour de son etre, il est envahi par un sang en lui qui fait le vif de son allant de roche, il en avance ainsi colmme enva hi par un sang en lui quyi le poussse à graver ou dessiner des betes de roche sur paroi de grotte, il est vif comme un éclair, il esqt beau comme un astre, il est doux comme un agneau, il foncve tete beche ou tete première, une sorte d’homme des  cavernes

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24/03/2021

il s’agit d’un chemin pariétal, il s’agit de voir ce chemin, il s’agit ici de voir ce chemin comme celui qui, pour le coup,  va me mener, auprès d’une biche, un chevreuil, un cervidé, à l’intérieur d’une paroi de grotte, iv-ci ou là, un cervidé narquois, une biche vive : une brebis ? une biche aux aguets, une biche fine, elle va et se trémousse et s’abreuve et saute, sautille, et continue au loin pour mieux revenir vers moi, elle me fait des signes, il semblerait qu’elle me fasse des signes, elle semble m’appeler, me dire un mot et quel est ce mot ? je regarde en sa direction et je vois sa silhouette qui se dessine sur le ciel bleuté, il semblerait que ceette biche au loin me fasse signe de bien vouloir me joindre à elle, de la suivre religieusement, de m’inscrire dans son sillage, on voit sa silhouette élancée se dessiner sur paroi bleuté, il sembleraitr que pareille biche des embruns veuille me dire une chose (une seule ?) et cette chose est sur ses lèvres (?) ou son museau : des mots de biche élancée, vive, bleutée, qui va et quii vient dans les lointains et fait mine de me parler, elle a des mots à me dire, a-t-elle des mots à me dire ? qui est-elle pour moi que je regarde, qui est cette biche des embruns qui semble m’attirer vers elle, je cherche à savoir, je cherche en moi un savoir pariétazl ancestral qui pourrait m’aider à comprendre et pour cela je dois me recueillir c’est à dire me centrer (ou recentrer) sur vmoi même = fermer les yeux, en premier lieu fermer les yeux, joindre les mains, joindre les mains comme dans la prière et là ce qui me vient est cette chose comme quoi bambi est une biche fine et vive, qui a quelque chose à me dire (une révélation) à même la roche du temps, et cette chose concerne en moi cette volonté d’aller loin en pareille roche, le plus loin possible, de gravir pour ainsi dire les échelons et me poster au loin, là-bas sur ce monticule d’abord et plus loin encore, au plus possible, le plus loin possible, c’est à dire dans les profondeurs de la terre, ou alors dans les profondeurs de cet horizon aux reflets nacrés ? qui sait cette chose que je dois ? qui sait quelles sont en vérité les profondeurs à cdevoir atteindre ? je cherche une voie d’abord dans laquelle ou par laquelle aller , et cela dans le sillage de cette bambi des prés et prairies, qui est bambi du monticule, la bambina de la przairie aux herbes savoureuses, elle est devant moi et semble me faire un signe avec sa patte gauche, elle me demande une chose, ce qu’elle me demande est un secret, ce qu’elle veut savoir est un secret ou bien quoi d’autre ? il semblerait que pareille biche des lointains, veuille savoir de moi quelque chose, quoi donc ? un n om ? iuun patronyme ? un petit nom ? un surnom ? un prénom ? quoi veut elle ou que veut elle, et pourquoi le veut elle ? il est juste de penser que cette bambina des roches est une bambina des secrets, elle est une bambine de la roche dure, elle s’époumone à force de virevolter , elle est fine et gracile et fonce dans les prés à toute vitesse, elle vba vite car elle est vive, pleine d’allant cde vie, pleine d’énergie pariétale, elle saute et va son chemin de roche comme une follle, elle est lancée comme une bombe, et élancée et fine d’attrait, etc, elle saute et virevolte devant moi, elle me fait signe d’aller vers elle, je vois ses manières, je la vois qui me regarde, elle me montre quelque chose à suivre, à rejoindre devant elle, qu’est-ce ?  elle me montre avec sa patte gauche un endroit où je dois ou devrais me poster, mais quel est cet endroit ? je regarde devant moi et je vois cette bambi des préss qui m’attire vers elle afin de me mener à un endroit en particulier, qui est un endroit de féerie, un endroit bleuté-nacré comme l’intérieur d’une coque ou d’une coqwuille, on dirait un endroit magique, une sorte d’endroit magique où pouvoir se poser pour une éternité, elle sembkle vouloir me dire une chose et cette chose comment m’y prendre pour la comprendre, car je ne connais pas son langage, j’ignore le langage des biches ou autres cervidés, que parlent-ils comme langue ? que parle bambi en ma -tière de langue ? quelle lan,gue en particulier parle bambi ? que me dit elle ? elle parle, son museau dit des choses (il sembvlerait), je vois que son museau bouge comme s’il était en train de prononcer des mots et ces mots quels sont ils ? je suis trop loin pour les entendre, il faudrait que je me rapproche d’elle, que dit elle ? quelle langue parle telle ? la mienne ? hé peut-etre ! qui sait la langue que parle bambi ? qui connait suffisamment les biches et celle-ci en particulier, pour savoir en quelle langue bambi s’exprime ? j’aimerais pouvoir parler avec ellle car  je subodore cette chgose comme quoi elle a ou aurait beaucoup beaucoup de choses à me dire c’est à dire à révéler, à mettre au grand jour, et ces choses j’aimaerias beaucoup beaucoup les conaitre, et pouvoir les coucher noir sur blanc ici ou là, à la lumlière, car il me sembkle que cette bambi des prés est riche de connaissance à propops des choses essentielles de la vie et de la mort, il m’apparait de plus en plus que cette bambi des prés est très riche (en elle même) de savoirs et de connaissances concernant la vie sur terre, dans les airs, dans les roches (en intra) et ces connaissqances il serait bon (pour moi) de pouvoir les atteindre, les cerner, les prendre avec moi, les prendre en moi comme une sorte de nourriture essentielle à un fonctionnement rupestre, il me semble cette chose, comme quoio il est bon de prendre les savoirs des biches avec soi (gibecière) et ces savoirs les mettre à profit noir sur blanc, afin de mieux cerner les tenants et les aboutissants d’une vie terrestre, il est juste , ici, de voir cette    cette chose d’une vie de rocheaux embruns, donnée par la bande, donnée comme par la bande par une sorte de percée cde roche victorieuse, au pic de bouche, etc, cette percée étant une entrée en matière, il est juste, donc, de voir cette chose d’une sorte d’entrée en matière dans la roche qui est roche aux embruns, aucx biches, aux aurochs, la voir comme une continuation de soi, de son parcours de vie mais cette fois ci dans la proximité d’une vérité allouée à une roche dure, cette roche aux paroles écrites, dites, vives, sûres, etc, qui est roche du temps déboulé, roche des biches et des chevreuils, ils vont et ils viennent, ils ne cessent de gambader et de se montrer, ils sont beaux dans les embruns, ils se promènent, je les vois au loin qui fonrt des signes et disent cette chose : «viens vers nous, viens nous rejoindre, nous sommes avec toi, nous sommes avec toi de tout coeur, nous sommes prè!s de tloi, nous ne solmmes pasloin de toi, nous sommes tes amis de coeur, nous sommes des êtres doux, nous ne voulons pas ta mort, nous ne voulobns pas que tu meures, nous voulons que tu restes en vie, nous voulons que tu saches, nous cherchons à te faire comprendre des choses, nous voulons que tu saches une vérité, au moins une et pour cela nous t’invitons à bien vouloir nous suivre instamment, sans plus tarder, comme le vivant que tu es, suis-nous et ne traine pas, viens vers nous et rejoins nous, nous t’aimons comme un frère, nous ne te voulons aucun mal, nous sommes avec toi, nous sommes tes amis de longue date, nous sommes tes amis du temps de ta naissance et même au delà (en deça ) déjà, nous t’aimons beaucoup, nous t’aimons beaucoup beaucoup, nous voulonbs que tu saches enfin la vérité,nous voulons que la véerité te soit dite en toutes lettres, qui tu es et pourquoi tu es, tu es un etre à aimer, tu ne dois pas l’oublier, tu dois savoir la vérité qui te cvoncerne et aussi la vérité qui concerne le temps, les embruns, l’horizon lointain, les lendemains, la musique des sphères, etc, tu dois tout savoir sabns faute, tu dois tout connaitre et tout comprendre et te montrer dès lors informé, tu es un être qui peut et doit comprendre un nombre coinséquent de choses sur terre et dans le ciel, tu dois savoir les choses qui sont celles qui te pendent au nez, qui t’attendent, qui seront tes jours à venir, tu dois savoir et voilà pourquoi nous sommes là pour toi, pour mieux tte guider sur le chemin de la connaissance, nous voulons ton bien, nous ne te voulonbs aucun mal mais bien au contraire, nous sommes ensemble réunis pour te donner tout le bien que nous pouvons, nous voulons te dire des choses que tu dois entendtere, il s’agit de choses très importantes pour toi, des choses même capitales, et tu dois nous écouter, tu ne dois pas t’en aller mais au contreaire rester ici en cette roche, en cette paroi temporelle, te mplacer au mieux afin de bien entendre et écouter toutes ces choses que nous, bambines des prés (en fantines) avaons à te révéler pour toi et pour ta gouverne ou comment dire cette chose, nous avons à te dire des choses à toi et en toi à la p-ersonne qui te gouverne, qui guide tes pas, nous voulons te dire un certain nombre de choses ici (en roche) afin qure tu comprennes au mieux ce qui do nc se passe ici bas en pareille temporalité , nbous nous sommes réunis pour ce faire, nous sommes avec toi tes plus sûrs alliés, nous ne voulobns pas te tromper, ou te mentir mais bien auc contraire nous cherchons à te dire une vérité, toute la vérité sur cette affaire de brebis, d’aurochs, d’ours, de rhinocéros, de bete de joie, de lion, d’ioiselet maigrichon, de chevazux en troupe, etc, nous voulons pour toi dire ici toute la vérité, tout ce qui en la matière nous obsède, nous entrave, toutes ces choses qui sont (en nous) comme des boulets à devoir un jour ou l’autre déposer mais où ? nouys voulons dire ici (à toi) que nous sommes riches de savoirs de toutes sortes et que ces swavoirs nous aimerions en faire profiter une personne, soit une personne comme toi, car tu es en roche comme nous, tu as traversé le rubicon, tu tr’es immiscé parmi nous (et hissé, en nlé vitation) et à présent tu es à même de pouvoir sans peine nous entendre, tu es notre ami commun, tu ers des nôtres, tu es la bete que nous aimons, avec laquelle nous voulons correspondre ici même en cette roche, nous voulons que tu nous comprennes, nous cherchons cette chose à tous et qui est cela comme quoi il serait judiucieux pour toi de bien écouter ce que nous tous ici (en roche du temps) avons à te dire, car nous avons beaucoup à te dire, nous avons un n omnre conséquent de choses à te dire, veux tu les entendre ? veux tu entendre ce que donc ici ensemble nous autres chevreuils et autres cervidés des bois avons à te dire, veux tu savoir ? que veux tu savoirr ? toute la vérité ? es tu prêt à vouloir l’entendre ? qui es tu pour nouys ? tu es notree ami mais es tu un cervidé comme nous autres ? nous ressembvle tu ? es tu de notre confrèrie ? es tu pa rmi nous l’etre des sous bois ? es tu parmi nous un etre bienfaisant ? nous pensons que oui, nous te regardons et nous te surveillons d’un oeil de deux yeux depuis un long moment à présent et nous pensons que tru es pour nous un etre bienfaisqant et doux et plutot gentil et qui ne nous ferait du mal pour rien au monde, ce genre de choses, nous pensons que tru es pour nous un etre doux et tendre, un etre de la douceur dans les sous bois, dans les prés, de la douceur dans les embruns, de cette douceur nacré des bois jolis, etc, nous le pensons, nous pensons que tru es pour nous un etre doux, un etre des prés, une douceur incarnée et que par conséquent nous pouvons certainement te faire confiance et du coup nous avcons l’intention de te parler entre hommes (pour ainsi dire) c’est à dire sérieusement, et franchement c’est à dire en toute franchise c’est à dire sans faux fyuyants, c’est à dire sans se moquer, sans tromper, sans dire des aneries volontairement et qui viendraient pour te blouser oou ttembrouiller, non, notre but ici est de te dire tout de tout ce qui se trame ici en cette rochge des temps impartis, nous abvons aujourdhui 23 mars 2021 compris cette chose en toi comme qyuoi tu es tres certainement une sorte de douvceurr personnalisée, un etre de gentillesse allouée en toi, une sorte de biche ou de chevreuil (bambi) à ta façon et cela pour nous a un prix considérable, c’est à dire que nous pensons que tu es (très) à même de pouvoir comprendre un c ertain nombre de choses ici, en ce lieu de la prairie des biches, des chevreuils,; et aussi des aurochs plus loin et autresx phacochères etc, nous pensons que tu es (en tant que tel : douceur, candeur, etc) tres à même de pouvoir comprendre des choses de première importance concernant la vie et la mort et terrestre et rupestree, et pour cela nous devons te prendre un peu à part et t’expliquer npotre point de vue, nous voulons te dire des choses fortes, des choses qui comptent, nous avons envie de te dire des choses importantes que tu dois pouvoir entendre, et ces choses te les sussurer pour ainsi dire, ici à vioix basse, ici à ton oreille, etc, car nous savons qure tu aimaeras ces choses dites, que ces choses dites seront pour toi comme des révélations inouies alors même que pour nous elles semblent banales ou pas loin de l’etre, nous pensonsque tu es un etre à caliner, et que nous devons veiller à ne pas t’offusquer outre mesure mais te prendre dans le sens du poil et veiller à ce que les dires chuchgotés ou pas, ces dires révélés à ton oreille , ne soient pas pour toi des dires de gêne, etc, mais des choses douces, qui fassent dsu bien et non du mal, des dires comme on les aime quand on aime la douceur, etc, nous le comprenons et du coup nous allons veiller à ce qUe tu puisses prendre de nous, de ce que nous avons à te dire ici (en roche du tmps) le meilleur, le plus doux, que tu puisses dès lors ne garder de nous (ou conserver, ou entendre tout bonnement) que ces choses douces, ces douceurs en matière de révéllations, etc, nous sommes avertis, nous comprenons, nous sommes avertis et nous comprenons ceztte chose comme quoi tu es pour nous cet etre doux et candide et fin et presque féminin qui a cette envie en lui de comprendre, de savoir ce qui de quoi etc existe en pareille roche temporelle, cet endroit de laterre où le temps rejoint l’espace, ou les embruns dans les lointains désignent des lieux de grande importance, nous voulons t’aider à) comprendre, nous cherchons ardemment et assidument cette chose pour toi, nous ne voulons pas que tu sois le triste sire des bois ou des sous bois, le prince déchu, le prince à l’abandon, qui restat sur le c arreau car personne en ces lieux ne lui aurait gentiment dit ce qui se doit de l’etre à propos de l’etre, etc, cela non, nous ne le voulons pas, nous voulons que tu sois informé de ce qui est en ce monde des vivants reclus,; nous cherchons à te dire des choses impoortantes, nous voulobns te dire des choses, des choses capitales, importantes, de bon poids, qui pèsent, qui sont fortes et comme bruyantes, il s’agit pour toi que tu puisses comprendre des choses ici que nous voulons te révéler car tu es à même de les entendre en toute candeur, nous savons cela, nous sommes réunis ici pour toi, c’est à dire que nous nous sommes ici même réunis pour toi, devant toi, à bonne distance, et nous allons te parler du monde des embruns, car voilà ce dont nous voulons te parler, nous allons te dire ce qui est ici de grande importance, nous devons ici te dire ce qui est et qui est de la plus grande importance, il s’agit de révélations concernant le monde des embruns de fond de rochge, ce monde aéré, lumineux et luminescent, ce monde mordoré -doré et bleuté par endroits qui est un au delà pariétazl pôur ain si dire ou sinon un audelà qui est un lointain, ce lointain de la roche dite des temps alloués à des vies rupestres, nous pensons qure tu as à savoir à présent toute la vérité, nous pensons que nous devons à présent connaitre un certain nombre des enjeux qui ici sont à l’oeuvre ou comment dire , nous penspons que tu as l’age (enfin !) requis pour comprendre ici ce qui est qui te concerne au plus haut chef, car tu es candide, tu es doux comme une bichje comme noous pour ainsi dire et c’est à ce titre que nous pensons que nous pouvons te faire confiance un tant soit peu c’est à dire beaucoup beaucoup à nos yyeux car nous ne sommes pas facviles et nous ne donnons pas notre confiance au premiuier venu ou à n’importe qui mais seulement à des êtres choiss(élus pour ainsi dire) en lesquels nous percevons quelque chose comme une assurance sur quoi se baser, nous ne donnons pas notre confiance  commùe ça, nous sommes regardants, nous espionnons un tantinet au préalable et veiullons à (si possible) ne pas nous tromper, nous t’avons suivi à la lettre ou comment dire : on suit, on regzarfde, onb évcoute, on voit, on espionne un peu peutêtre mais pas seulement, on est tout ouie car on se doit de lx’etre car ce que nous savons et que nous cherchons à partager doit tomber dans la bonne oreille, alors oui on espionne un peu mais cela n’est pas de kl’espionnage pour de l’espionnage, non, il s’agit pour nous de se rassurer, de comprendre à qui nous avons affaire ou avec qyui, et du coup, nous voyons si oui ou non la personne élue en roche peut ou ne peut faire l’affairae à nos yeux, voilà ce qui est, voilà ce que nous voulons dire ici avec ce terme d’espionnage car en vcérité ce n’est pas de l’espiuonbage car nous n’avons rien à divulguer à qui que ce soit dx’autre, et ce que nous voyons ou avons vu en ttoi ne sortira pas de notre cercle et en aucun cas ne sera monnayé ou même sqimplement transmis à qui que ce soi, ça ne sort pas, ça ne va pas au delà de nottre cercle, ça reste en  intra-rocheux, coomlme les ezmbruns, les traits de lumières, la luminesvence, les aurochs, les traits de roche, les mains sur la roche, les zébus ou kles antilopes, nous veillons à ce que nous savons ne sorte en aucun cas de l’enceinte, ne soit pas appris de qui que ce soit en dehors de celle ci, et de toi nous avons compris des cxhoses qui donc nous amènent à penser que nous pouvons sans problème aucun te faire confiance et du coup te révéler le pot aux roses, les raisons (nombreuses) qui président à une vie terrestre puis rupestre (le bond en avant) cazr nous sommes sûrs à présent que tu sauras (en tant que tel) faire bon profit de pareils dires, c’est -à dire dde ces dires que nous possédons par devers nous (en tant que chevreuils de roche) et qsui nous pèsent passablement à) présent que nous sommes plus vieux etc, il est temps et même plus que temps à présent d’effectuer une sorte de passa ge de temoins ou comment dit on, de relayer toute lk’information contenue en notre sein, nous devons aller vers toi, nous nous devons d’aller vers toi, nous dfevons tres sincèrement venir vers toi et dire dire dire et dire encore tout cela qui en nous pèse comme aurochs sur roche, comme bisons lourds, pesants, etc, ces bêtes massives sont de lourds secrets pesants, faites ts de mots grossiers, in jures ou jurons, etc, cela a été dit et cela est vrai, nous portons en nous des secrets qui pèsent leur poids conséquent et nous aimerions enfin pouvoir les déposer ici ou là, c’est à dire quelque part, c’est à dire en un lieu sûr, mais pour cela nous devons nous rendre à l’évidence comme quoi nous devons trouver la bonne personne de roche et pas n’importe qui, soit celle (la personne) capable d’écouter et d’entendre, ce qyui est loin d’être donné à tout le monde, nous voulons offrir une vérité de bon aloi mais pour cela nous devons trouver la bonne personne, nous le devons, nous devons trouver la personne de référence, la personne idoine, la personne qui saura accuiellir la chose sans pein,e, etc, et cela est loin d’être évident c’est à dire que cela ne va pas de soi, ou disons que cela n’est pas donné d’embvlée de roche, ou comment ? nous pensons que nous avons à nous décharger d’un savoir , ce savoir est en nous comme une plaie, il serait bon de pouvoir ouvrir cette plaie et de la purger comme on purgerait bébé etc, cela nous apparait comme une évidence, nous voulobns comprendre les ressorts, les données, les chodses, nous voulons comprendre ce qui est chez l’autre devant nous, ce quil contient en matière de douceur, de gentillesse ou d’amabilité, nous voulons comprendre tout cela c’est une évidence, cela est sûr, nous voulons pouvoir nous appuyer sur une personne de poids en cette chose que nous avons en nous ce cdésir de nous appyiuyer sur une personne qui fasse le poids, voilà, et qui dès lors puiise tres facilement acc euillir des données de roche brutes (les données) soit des cchoses de la plus haute importance en ce qui concernec la vie (les raisons !) sur terre, quelles sont ces raisons entre parenthèes ? quelles sont elles ? nous pensons que nous devons à presebnt sortir des parenthèses pour ainsi dire et entrerr en lévitation ou comment nous exprimer ? nous pensons que nous devons dire (te dire) tout et plus encore, de cela qui est, de ce que est ici l’etre de Vie, de ce que l’Etre de Vie est en soi, ici en roche, sur paroi du temps, nous essayons de te le dire (vois tu) mais il n’est pas si facile (en tant que chevreuil) de s’exprimer à nbbrule pourpoint, nous voulonste dire beaucoup beaucoup mais pour cela nous devons trouver en  nous des mots qui conviennent, tous ces mots (cet ensemble) de la tribu dont nous faisons partie, tout cet ensemble de mots les saisir, les saisir à pleines mains comme des présents à donner sur roche en partage, ces mots les saisir et te les offirir ici même en ce roc du temps parioétal qui est le roc (ou roche) des embruns, du trouble dans le vent ou dans le sang, etc, ce roc est pour toi le lieu de poerdition ou de repli mais surtout le lieu où donc la v érité concernant kles fées peut enfin éclater au grand jour nacré de la paroi dure, de cette paroi en dur du temps impaerti pour une vie, nousq voulons dire à toi ici ces choses, nous les voulons dire i-ci à toi, devant toi, sous tes yeux apparaitre et dire ici les mots de la tribu, les prononcer à ton adresse, etc, car nous sommes sûrs que cette cxhose sera déposée en de bonnes main,s pour ainsi dire, ce présent de soi xdansla vie, cette chose temporelle en substance, cxette feuille d’acanthe, ce cerfeuil, ces herbes odorantes, ce bouquet de vivres etc, il s’agit pour nous d’en faire profiter la bonne personne à nos yeux, nous ne voulons pas nous trom^per, nous voulons tomber (!) sur la bonne personne c’sest à dire celle là qui saura ce qui se doit d’etre entendue laa déceler,,  le déceler, tooute cette chose de poids donnée : elle saura l’attrapper, la cueillir , lareceuilklir, la prendre par devers elle sans plus de problème, etc, nous pensonsque tu peux ou même que tu dois être cette personne aux mains ouvertes , prête à recevoir et à prendre pour toi des savoirs de roche, des choses d’ici, embruns révélateurs, données rupestres inaudibles en d’autres endroits mais ici audibles comme jamais, des choses pesantes qui sont cghoses importantes et par leur taille et par leur antre, il s’agit pour nous de comprendre cette chose comme quoi ton antre est à même de re cevoir des données de base pariétale de première main, des choses capitales en capitale, etc, cela nous le pensons, nous pensons que oui, oui nous savons, oui nous pensons que voilà nous avons en toi trouvé ce que nous cherchiiiionsdepuis longtezmps en cette roche du temps (ornementée voire baeriolée) , nouys avons trouvé la bonne personne et du coup voilà ce que nous t’offrons, tout ce savoir en termes de victuailles, toutes ces données à ingurgiter en ton antre ou comment signifier cette choses pour toi en ta langue ? nous sommes tous enemble ((des chevreuil;s) qui voulons offrir des données de base, et ces données nous pesant nous voulonbs nous en débarrrasser mais en vérité pas n’importe comment, nous te donnons  ceezs données de la main à la main, sans autre façon (art) car nous pensons que tru es très à même de les recevoir, nous pensons que nous devons dire ici (a toi) ce qui nous pèse , et ce quyi nous pèse ici a un nom, et ce nom est celui ci : aurochs, il est ce nom pesant parmi tous les noms pesants, il pèse son poids commùe nul autre pour nous, et voilà pourquoi nous disons ce nom et non un autre de mêlme acabit (comme bison ou buffle, par exemple), nous disons aurochs, nous disons que ce mot nous pèse, il est pour nous important de te dire cette chose ici comme quyoi ce mot nous pèse fortement et massivement et aussi comme quoi nous ne voulobns plus de cemot en nous et par conséquent nous cherchons à nous débarraser de lui, à le repoussere de nous (de notre cercle) et du coup à l’extraire, à le dételer à comment dire l’enlever de notrte gouverne  car : car il pèse trop, il écrase, il est mortel voilà, et notre but à nous (affiché) est de ne’ pasz mourir de sitôt, nous ne voulons pas mourir de sitôt, nbous voulons rester en vie, nous voulons poursuivre sur notre lancée, nous voulons aller p^lus loin dans cette vie de bord de vagues etc, toute la muraille, ce chemin de voie d’abord sanguin, ce tracé au sol parmi des coquillages, cette ligne droite quoique courbe etc, nous savons cela, nous le voulons de la sorte, nous voulons aller loin en cette pa roi de roche et ne pas sombrer à cause d’un aurochs d’entrave en nous qui nous empêcherait de progresser gentiment parmi les cvoquillages nacrés et les lointains bleutés, nous voulons poursuivrre notre vie de roche parmi les embruns etc, au beau milieu, et du coup nous voulons nous décharger un tant soit peu de certaines de ces vérités essentielles (existentielles) dont nous sommes porteurs, au titre que nous sommes les rois cde ces lieux de vie rupestre ou pariétaux, nous voulons offrir des secrets, disons les éventer, donner tant de secrets à une personne, et ceette persone on ld’aura choisi ensemble, etc (toi !) , , on aura choisi la personne de con,cert, on aura fait de notre mieux pour choisir cette personne de concert, et cela a pour nous de l’importance, nous sommes ensemble, nous sommes une troupe, un troupeau (confrérie) et l’ensemble a pôur nous une importance majeure en cette affaire d’une livraison de seccrets à éventer et surtout à donner, nous donnons des choses capitales en lettres capitales , nous donnons des cghoses i:mportantes à tous, et c’est «à tous» que nous déposons pour toi cesz choses en termes de raisons, de motifs, de buts peut ettre à) tes pieds, devant toi (ton présent de procximité = vie), c’(est ainsi que nous (à tous) offrons cette chose à tes pieds , cette chose d’une vérité allouée à un moment de vie, cette chose dure de substance, ce corps vif, cette chose de vie vive, etc, nlous pensons que le moment est venu à présent pour nous d’offrir cette chose pesante en nous d’une vérité de bon aloi ma is qui nous entrave (cet aurochs de base) et cette  vérité pourra -tu en faire bon usage ou comment dit on ? nous espérons tous (nous autres chevreuils de paroi) que tu sauras de cette vérité d’aurochs faire bon usage et la comprtendre en fond, dans ses moindres recoins, etc, nbous espérons que cezttte vérité oppour toi sera de bonnne souche, qu’elle saura t’apporter des éléments de bonne réponse à des questionbs que tu gte poses depuis toujours, pour nous il erst important de savoir cette chose comme quoi cela que nous déposons à tes pieds , devant toi, sur le devant de toi qui est l’espace-temps de ta vie humaine, cette chose que nous dépôsons, pour nous il est important de savoir que celle ci te sied, te plait, te fait du bien, emporte ton suffrage, te cvomble comme d’aucuns diraient d’une nourriture de base (les vivres) et cela pour le plus long des momentds possible, nous voulons combler ta joie ou plutot te compbler de joie, nous cherchons à te remplir de joie (de ce je en toi pour ainsi dire) et pour cela nous nous sommes conczertés à tous et avons décidé de déposer à tes pieds cette chose d’un preésent de soi à prendre pour soi, ou bien (dit autrement) un présent de vie pour soi (pour toi) qui puisse combvler de joie ta gouverne, pour nous cela représente beaucoup, pour nous cela a une très grande importance, il s’agit pour nous d’une chose capitale et d’une importance majeure (en, soi) et cette chose importante ou si importante à nos yeux est telle que nous avons voulu la déposer ici, à tes pieds, sur ce devant de vie (avant scène) de concert, c’est àç dire en concertation, c’est à dire à tous, à tous autant que nous sommes réunis ici (en cercle) en tant que chevreuils de prairie de roche, pris dans un sas pariétal ou pris d’assaut dans une sorte de sas (la paroi de la grotte) qui est kl’univers de nos divverses déambulations, de nos allées et venues de base, etc, nous pensdons que ces vivres (?) déposées à tes pieds pourron,t combler ton appetit et te donner du coeur à l’ouvrage, nous pensons que nous avons pour toi cette chose à faire, avons et aviiions, car ce présent à nos yeux est de ceux là qui importent, qu il importe de bien cerner (comprendre) et saisir (à pleines mains ? ) caar nous pensons que le présent en tant que tel (= le cadeau, le don) est cette chose que d’aucuns appelent temps de vie (pour nous aussi) et du coup cette chose (ce secret) que nous offrons est une sorte de «temps de vie» en roche, ou bien de vivre» au sens où le vivre est victuaille (nourriture des embruns) et le verbe en soi, nous aimons penser ensemble (ensemble !) cette chose ici x’un vivre donné comme victuaille et verbe de première main, cette main donnée par ailleurs (§sur roche : soufflée) et du coup nous nous sommes délivrés de cet aurochs de poids surnuméraire ou comment qualifier pareille bete si imposante, si puissqante et prenant tant de place en roche, comment décrire pareille engea ncxe (engeance ?) , comment la décrire en termes langagiers humains soit compréhensibles dans le se,ns du poil ou comment dire ? nous ne savons pas tres bien bnous exprimer en cette l:angue,; bnous ne savons pas parfaitement bien nous faire comprendre en cette langue car nous somlmes étrangers à elle, nous szommes ailleurs, nous habtitons une tout autre langue, nbous ne sommes pas ni franbçais ni belge ni suisse ni malien ni francophone en définitive etc, nous avons un peu de mal avec cette langue mais enfin nous faisons de notre mieux, nous cherchons à nous exprimer du mieux possible, nous voulons comprendre les choses crument en cette langue et ces choses les offrir sur roche comme des hommes des cavernes, nous sommes les chevreuilsq du temps de laroche dure en soi, de la roche dure des temps impartis, nouys sommes checvreyuils (bambinous) de roche, nous crapahuttons à qui mieu mieux sur des monticules rocheucx, nous sommes fiers et rzacés, nous sommes beaux et élancés, nous voulons dire la vérité , toute la vérité, car nous la possédons : nous possédons toute la vérité contebnue en pareille roche du temps car nous sommes aux premùières loges, nous possédons une  grande part du moins, de cette vérité de base rupestre telle que l’homme (l(humain) la recherche ou la subodore eh bien nous autres les chevreuils nous la connaissons,; nous l’aimons et la connaissons, nous la connaissons parce quye nous l’aimons, nous aimons la veérité du temps imparti et du même coup nous la connnaissons de fond en combble, nbous pouvons l’offrir, la partager, c’est à dire que nous sommes en mesure de pouvoir l’offrir et la partager à qui dxe droit qui saura se montrer conciliant, liant, non point obséqyyuieux mais doux et docile et avenant, et beau d’approche etc, nous sommes en mesure d’offrir pareille vérité à un homme ou à une femme ou à un enfant qui saura se montrer avenant, avenante, et doux, douce, et docile, docile, et beau, belle d’approche, avaenants comme pas deux etc, qui saura se montrer sous son meilleur jour, qui saura aussi montrer pattte blanche pour ainsi dire, nous voulonbs offrir la vérité à une personne de confiance, de renommée sans plus, ou disons : pas forcément, mais la personne devra se montrer conciliante, ouverte et non, point bornée, généreuse d’abord, caline pas forcément mais d’une approche ou d’un abord des plus bienveillants etc, car nous sommes accrochés à la notion d’amabilité, nous voulons nous en tenir là, à parreille notion, nous ne voulons pas sortir de là, nous voulons nouys accrocher à des notions comme c  elles d’amagbliité, de gentillesse, de bienviellance, de bonté fran,ciscaine ou autres de même acabit, nous voulons essayer de voir en l’autre (l’humain de laroche, l’homme des cavernes) celui l)à qyui saura se montrer affable et saura accuiellir nos présents comme il se doit : les mains ouvertes, les mains grandes ouvertes, etc, c’szsdt à dire de tout coeur, cx’est à dire comme un enfant roi dsans le sein de sa mre , c’(est à dire comme un enfant roi dans le sein maternel, gorgé, e,nvahi, inondé de joie, nous pensons que cela est ainsi que nous envisageons les choses, nous pensons que cela est cette chose pour nous que nous envisageons à tous (entre nous) et voilà ce que nous disons à qui veut entendre, nous disons que nous voulons offrir la vie en son sein de base ou sinon la vie ce présent en termes de vivre(s) , et voilà pourquoi nous tenons tant à tomber sur la bonne pezrsonne, la personne reconnaissante, nous voulons (nous tenons à ) offrir des présentsnts de roche en ce devant de vie spatio temporel, nous fraternisons, nous nous imposons en tant que freères chevreuils, en tant que bambi soeur etc, car nous voulons apparaitre commùe des alliés de la première heure, ce que nous sommes en  vérité et ce : tous, tous autant que nous sommes, car nous so:mmes (vraiment) l;es allkiés du temps, les compagnons, les enfants de ce temps de laroche dure, de la paroi ornée, ornementée par les hommes de lapréhistoire, nous sommes des chevreuils de roche amoureux du telmps et à ce titre cherchons à faire profiter ici ou là un ou une telle de la roche, qyui saura comprendre (= prendre avec, avec soi) cet amour de la joie du monde des temps impartis, nous voulons aller en pareille roche pour donner à l’homme, àun que nousaurons (avons) choisi, cette joie de vivre en soi, cette joie en soi de vivre, ce vivre en je, cette joie d’un je de vie etc, et cela car nous sommes n ombreux (cercle) qui nhous regroupons sur roche (des chevreuiolsq en veux tu en voilà- et nous parlonss, nous exprimons, nous nous exprimons l’un pour l(autre, nous échangeons nos dire s ou nous nous échangeons nos dires avant de prendre une décision qui concernât une marche à suivre, nous nous enjhoignons et nous concertons et nous décidons ensemble d’une marche à suivre, nous voulons essayer toujours d’agir ainsi et aussi de rester unis, coute que coute, afin de pouvoir décider ensembvle avec sérieux, avec conviction, avec entraide etcx, nous voulons t’offrir cette joie en toi (ce je qui est la vie) et pour cela aller loin ensemble en toi ou comment dire via les mots , via ces mots de la tribu humaine, nous voulons que tru sois en vie touyj,ours sans discontuinuité, nous te voulons voir toujours comme en une sorte d’immortalité rocheuse ou pierrale, comme nous, et pour cela nous cherchons à t’inoculer ou à t’injezcter ce je de contrebande en tes veines et artères de  vie antrale, nous cherchons à aller fort loin en ta gouverne et à t’inoculer ce je de vie (joie) en toi quyi habite l’antre, l’entree deeux mers pour ainsi dire, et cela nous voulons le faire de concert (musivcalement parlant) c’szst à dire via cette musique des embruyns de roche, ici audible, et aussi via cette :musique de force majeure, qui impose son vouloir, qui impose sa présence comme cet aurochs de bonne renommée , qui est l’aurochs pesant de la roche, celui là dfont nous cherchons depuis longtemmps à nouds délivrer, nous voulons essayer d’aller ainsi en toi comme uns qui iraient en roche, cela est dit, nous esswayons de te parler en un idiome avcant toutes choses musical et bienveillant, nous voulonbs essayer de comprtendre ce qyiu se trame devant toi, cette zone de flottaison à cdevoir remplir de présents de bonne souche, tenables, droits, vifs, et  visiblesq, nous déposons dès lors à tes pieds cette chose désirée par toi et par tant, cette chose qui est ce présent de vie alloué, ceztte chose en friche mais si vive et si gracile, cette vie de roche dure comme le temps, cette vie de roche des temps ancestraux du temps des hommes des cavernes etc, nous voulons donner de nous l’aurochs mùaudit ou sinon maudit l’»aurochs qui entrave, nous voulons donner de nous ce maudit aurochs ! cette bete des przairies de roche , cette bete en nous que nous contenons et qui prend la place que nous aimerions réserver à tout autre bete des prés, à betes plus près de notre bon plaisir, etc, cet aurochs est gênant, il pèse en nous, il prend trop de place, il occupe beaucoup beaucoup^trop de place en nous qui aimons l’aurochs de bonne compagnie mais préférons faire place nette afin d’ac ceyuillir incidemment xd’autrtes beters plus à notre gout (erreur de casting), nous voulons savoir et du cvoup nous préférons nous délivrer de cet aurochs de roche en nous, et ce faisant l’offrir à quelqu’un d’(autre que nous qui saura (ce quelqu’un) en faire un meilleur usage ou du moins l’adopter avec davantage de p^laisir ou d’envie que nous, que celle qui en nous était qui ne  convenait plus vraiment à notre gouverne, nous donnons l’a urochs sur un devant (seuil) de vie allouée et ce faisant nous nous délivrons d’une bete massive, forte et grosse (grasse) , chevezlue, forte et chevelue oui, et ce faisant nous nous allégeons, nous devono,ns poids plume pour ai,nsi dire et ouf ! car il y a longtempsc que nous cherchions à nous délivrter de la sworte, à nouds libérer de la sorte et à pouvoir enfin mieux respirer de cette manière désentravée que nous sommes désormais, nous pouvons enfi,n respirer à) plein poumons et souffler, souffler, souffler de toute notre en,vie, etc, de tout coeur, nous pouvons enfin souffkler éperdument et respireer de concert par la mêm, nous nous regardons en cerckle, nous sommes les chevreuils des bois, nous sommes chevreuils de lma première heure, nous sommes chevreuils du bois joli de la vie de roche, nous sommes pris dans les rets d’une paroi du temps mais à présent comme libérés en nous d’un poids d’aurochs qui prenait tant de place en nous que nous ne savions plus comment agir pour bien faire, à présent nous voici libres ou du mmoins lé gers, car  ela est ain dsi que nouys sommes légers, beaucoup plus, et que des lors nous pouvons gambader en roche avec plus de facilités, nous devoeno,ns ,eunes, ou redxeveno,ns jeunes pour ainsi dire, soit légers comme poids plume, nous apprécio,ns, nous aimo ns beaucoup, nous aimons à la folie nous retrouver pareillement légers et enfiin commùe libérés de ce maudit aurochs de roche dure, cet élément figuré du sang ou comment l’appeler autrement ? nous savons à présent que nous sommes libres enfin de pouvoir aller et venir sur roche « à la une à la deux « comme  passants du bout du monde , ici bas la paroi, en paroi, comme passan,ts ou même passantes des embruns, nous savons que cela est pour nous une chose de grande importance, nous sommes les chevreuils du bois de séant, cette rocxhe dure du temps est nôttre, il s’agit de la maintenir en bonne et due forme, de la chouchouter ou comment ? nous voulons cvomprendre cette cxhose ici d’une roche dure à chouchouter ou du moins à surveiller du coin de l’ oeil, car nous comptons sur elle, sur sa mise ou comment dire son maintien, cette sorte de maintien en vie, cette voix, cette voie, cette chjose douce dans le vent de la vie pariétale, nous cherchons à maintenir en vie une chose qui est cette chose dx’une voie d’abord veineux et aussi d’une voix telle que nous l’entendons en cette roche de cet entre-deux pâriétal (mural) , nous essayons de nous confformer à pareille roche musicale, c ‘est à dire que nous essayons de nous loger en cette roche afin d’écouter ce qu icelle aurait à nous dire en termes de musique douce des embruns, en termes de musique des embruns bleutés, etc, nous dsommes chevreuyils qui savons cette chjose et qui des lors nous plaçons en roche à cette fin de comprendre ce qui est exactement quyi nous concerbne en tant que betyes des prés, des prairies, sous bois et autres lieux pariétaux du temps, nous voul;ons donner ce qui nous entrave à x ou y qui saura en faire bon usage, nhous sommes les chevreuyils des temps et nous allons en roche de cette façon que nous faisons soit en  cercle (rond) comme une meute ou troupe opu troup^eau, nbous voulons essayer ensemble cde comprendre cette chose d’un temps imparti à la rochje ou bien cette chose d’un temps impearti à la vie, cette donnée douce d’une roche dure (cela) et pour cela nbous décidonbs d’aller et venir sur la roche dure , armé de nos mots doux et non plus de n,os injures et autres jurons, bnous vopulons comp^rendre ensemble cette chose d’une voix qui nous  dirait ce pour quoi nous sommes :là regroupés en clan (tribu de betes) et ce pour quoi nous alloons vers un homme (toi) qui est celuyi que nous avons choisi ensemble en tant que celui là qui saura entendre la bonne parole de la foi en l’antre, nous passons sur roche un temps infini, nous sommes betes de prairie, nous sommes enfin comme délivrés, nous sommes enfin comme soulagés et délivrés de cetv aurochs en nous qui nous entravait et nous gênait aux entournures, à présent nous pouvons parler à la bonhne franquette sans plus nous soucier de cette charge en nous qui nous incombait, celle de devoir parler (en toutes choses) en son nom (d’aurochs) quand nous aspirions depuis longtemps à parler e,n notre propre nom de cervidé gracile et élanczé, et ce nom (le nôtre) est, est , est comme un nom d’emprunt lié à l’enfance, il est , ce nom, le nom suivant, égale bambi, eh oui ! car nous sommes de cette tribu dfe betes bambesques c’est à dire que tous ( nous autres  chevfreuyils) appartenons à cette tribvu b ambesque de roche, lié à un nom provenant de l’enfance des hommes (eh voilà le pot aux roses ! ) car nous so:mmes tous (chevreuils de praireie pariétales) les descendants de ces petits d’hommes des roches, des cavernes, de ces lieux cachés de la préhistoire, bnous sommes des chevreuils du temp^s, nous sommes dddesz chevreuiils d’un temps imparti lié à la roche des roches, soit cvelle qui nous a vu naitre car nous sommes nés ‘( tous) dans cette même roche du temps, en cette même roche d’un temps incertein, fait de roches dures et de roches meubles selon les endroits, nous sommes nés ici en cette roche du temps de la pâroi douce , ou bien en cette roche du tezmps de la paroi dure, etc, selon le point de chute, et cepênda nt nous sommes vivants bel et bien, bnous ne sommes pas morts en chemin, nous avons tenu et résistés aux aurochs de base, nous nous sommes serrés les cvoudes, nous avons fait front, nous avons combattu l’aurochs en nous et l’avons expulsé manu militarari comme des enfants jouant à la lutte armée, ou comment ? car nous avons oeuvré ensemble pour ce faire militaire, ou guerrier, de vouloir ainsi se délivrer d’une cxharge par trop lourde en nous, cette charge en nous d’un a urochs de roche, dessiné-gravépour ainsi dsire sur paroi de grotte, et voilà comment à présent nous pouvons tout bonnement ou tout simplement nous présen ter ainsi allégés (pôids plume, oiselet) comme des qui sont enfin soulabgés de ne plus porter en eux cette croix de malheur ou sinon cet aurochs de mal heur, cette bete de roche forte, cette bete forte de roche dure (en dur) comme le temps, c ette bete de roche aux embruns, lieu de vie agraire (grégaire °?), où paissent des betes, il est pour nous de la plus haute importance ici de nous exprimer dans ce sens , et de dire ce qui est ici qui nous a soulagé , à savcoir l’expulsion de soi d’un aurochs de roche, cette bete forte aux allures échevelées, ou à l’all ure échevelée, quyi nous encombrait plus que de mesure et nous empechait de parler pour ainsi dire, de parler au petit homme en nous ou comment ? de parler tout court ? nous cherchons à comp^rendre ensemble cette chose d’un pouvoir en nous quyi serait  elui de parler à des etres de peu et privés de la parol:e, nous essayons de comp^rendre cette chose d’un essai en nbous de parole qui serait la parole de tous ceux et celles privés de parole,; nous vopulons essayer de com^prendre cette cxhose, bnous voul:ons essayezr de prendre pour nous cette cchose en notre comprenure de biche des prés, de chevreuils racé, de biche des preaireies alloueées au temps, etc : nous sommes des chevrzeuils qui parlons la langue des roches, celle là connue de l’homme des cavernes , autrefois, et que l’homme (lui) a perdu en chemin mais pas nous, nous penson,s cette chose comme quoi la betye en nous a conservé lme sens de c ette parole des rochezrs,; des rocs de grotte, cette parole gutturale que sortait de lui lm’homme des cavernes, cette même parole-soeur, etc, nous pensons, en tant que chevreuils, cette cxhgose, commme quoi nous sommes outillés de cette chose en nous d’une parole gutturale qui était c elle de l’homme (autreefois) des cavernes et cette pârole la voulons odffrir comme vivres à déposer sur un devant de vie comme  celle dx’un etre en roche, ayant franchi le rubicon de la paroi, et s’ayant mis ainsi swur roche comme bete de prairie, de pré, de sous bois etc , nous voulons donner de nous cette chose de cet animal de pa rolesss en nous, cet aurochs de mots agrégés, accumulés, etc : cet aurochs est fait de mots de betes, il en est rempli, il s’agit d’une masse langagière, il ws’agit ici de comprendre cette masse langagfière pour ce qu’elle est, c’est à dire une masse forte, dure, une grosseur comme une tumeur qui de soi s’extraie par la bande et va à se loger sur roche comme un prsént de vie allouée, nous essayons de comprendre cette chose ensemble, chjevreuils, biches, cervidés de toutes sortes et ovins par la même occasion, nous sommes betes de rochje dessiné&ecpar hommes et femmes des cavernes , et à ce titre nous sommesws comme princes et princesses, roi et reines de ces lieux de rochge dure, nous sommes les chefs de partie, nous donnons l’aurochs , la parole brute, bnous donnons cet aurochs en  ous qui est cette parole en n ous qui est cet engouuement en  nous qui est ce serment en nous qui est cette brise en  ous, qui est ce souffle en  ous, quyi est cette chose en nous qui entra ve ou entravait nottre gouverne, à présent nous voici imberbe ou non : libérés, oui libérés de cette pesanteur, de cette parole de roche dure, de ces mots de betes disgracieux et déshonorants (injures) ou sinon déshonorants quelque peu tortueux comme larrons de foire imbibés ou comment s’exprimer ? car nous sommes légers chevreuils de paroi, enfin libérés (merci !) de cet aurochs de roc qui nous pesait tant et tant et nous empechait  d’ y voir clair ou du moins d’y voir de près voire de loin, nous sommes délivrés et nous pouvons enfin aller et venir en roche comme des enfants qui sont ou serzaient ceux qui tout le temps jouent de leurs présences en roche, jouent à la marelle ou tout autre jeu, il est bon pour nous de penser cette cxghose comme quoi enfin nous ressemblons à des enfants, nous sommes devenus comme des enfants de roche, nous sommes enfin devenus comme ccces enfants de la roche dure , ceux qUI i vont et viennent de concert et s’amusent ensembvle à se courir après, à s’époumoner, à se chercher querelle gezntimen,t (ou pas) bref : à jouer, et cela pour nous est une grande découverte, il s’agit pour nous d’une dévouverte de gra bnde importance car nous comprtenons à présent toute l’affaire, à présent nous avons compris tout ce qui ici nous entravait en cette matière d’un aurochs de base assourdi, ou comment dire  ? d’un aurochs de base assourdissant ? assourdissant plutot qu’assourdi ? nous voyons devant nous cette chose qui est une sorte de prairie , de pré vert où gambader, et cette chose est comme à nous, nous incombe, nous est donnée où poouvoir paitre en toutec liberté, délivrés que nous sommes de cette bete (dite «aurochs») en nous qui nous pesait infiniment et nous empêchaitr de nous exprimer comme s»’excpriment les enfants tels que nouys les cvonnaissons par la bande ou comment autrementv ? nous de-venons nous mêmes des enfants, des faons de base, des faons de la première heure et cherchons notre chemin de roche pariétal, c e chemin de vie vive, non point dure comme tantôt mais douce comme tout, une douce vie de biche ou de faon, une vie de faon comme une envie douce de choses de vie dans la belle douceur d’une vie de roche, nous voulonsessayer de comp^rtendre ensemble (clan) cette chose en nous qui est ce nous de base bambesque et le voilà qyui apparait en fin (apres tant et tant de kilomètres, dallées et venues en cette roche prairiales) et cette apparition est pour nous capitale et tres importante et un gros ou grand changement de paradigme ou de direction, cette chose est pour nous une tres importante chose de la vie,,, il s’agit pour nous d’une sorte de petite révolution, nous changeons de base, nous changeons de base de sustentation pour ainsi dire, bnous bougeons sur nous mêmes, lévitons pour ainsi dire, nous tournons, nous changeons de cap, nous avons compris, nous nous sommes placés autreement sur laroche du temps et nous comp^renons dès lors ce qui à présent seprésente à nous en termes de données de roche printanière etc, le temps ou les te:mps changzent, le temps qu il fait et les temps offerts, toout cela à présent nous apparait en toute justesse et nous nouqs avançons ainsi sur roche comme des eznfants-faons quyi vont sur paroi dessiner des semblables, freres ou soeurs de sang, nous avançons sur roche et comprenons cela que nous devons comprtendre ensemble, cette cghose d’une voix, d’un souffle, xd’un cri guttural ou ca verneux, cette chose qui sourd de terre, de cette terre -trou où nous voyons la chose remuer, cette chose de vie et de mort réunies, nous sommes ensemble, faons de lapremière heure et ce que nous voyons  nous fait froid dans le dos, nous regardons devant nous et nous voyons le feu bruler sa chandelle, cette la ve écumante, ce brulot, ce bucher, cette flamme tremlbklante, et nous entendons cette musique ezn accompâgnement, cette sonorité ronde, creuse, caverneuse, ce chant des entrailles, cette voix assourdie ou bien assourdissante, cette voix qui vien t judsqu’à nos oreilles fines de bichettes, de biche-faons de roche dure, nous nous tenons à l;écvart des lieux de la br^lure, nous essayons de n,e pas tomber dans les flammes, nous voulons nous tenir éloignés de ce foyer de roche dangerezux, de ce dan,gereux foyer de roche, de ce dangereux foyer de la roche du temps, nous allons ailleurs, filons fissqa de toute jhoie et prenons la tangente pour ailleurs aller pôser nos pattes, qyui sur monticule, qui sur roc, et là nous regardonsau loin ce qui se trame en matière de raisons, de xcghoses à découvrir, de secrettz, de pots aux roses, nous alloons ainsi sur roche à toute vitesse car nous sommes vifs, nous jouons, nous voulons comprendre cette roche du temps imparti ce qu’elle signifie ou ce qu’elle représente et pour cela nous cherchgons à nous parler dans une langue qyui puisse nous donner un certain nombre de répopnses de poids, en  bonne et due forme, nous cherchons à corrrespondre, à nous dire des choses, à communiquer dans une sorte d’idiopme commun qui fasse qu’enfin bnous puission,s nous comp^rtendre un tant soit peu en tant que faons de la même esqpèce, nous essayons de nous comprtendre à partir d’une sorte de chose commune, un idiome partagé, etc, cela n’est pazs simple évidemment, nous patinons, nous pataugeons, nhous cherchgons à nous y retrouver au mieyux, nous cherchons à nous comprtendre, à  parler un seul et même langage, celuyi de faons de roche de la première heure, faons d’un tribu de cervidés royaux qui siègent en cette roche des temps entiers comme nombres de haut degrés, nous cherchons ensemble où nouds appuyer pour nous comprtendre et parler le même langage, nous sommes faons de la roche dure des temps royaux, qui sont tempqs qui ne meurent jamùais, nousessayons de nous poster en pareille roche des temps de base et pour cela nous nous poursuivons, nous allons sur roche à toute vitesse, nous sautillons, nous nous suivons au pas, nous courrons, nous nous arretons, nhous sautons, nous chevauchons, nbous allons sur pic et sur roc afin de regarder au loin les embruns, nous sommes devenus les betes du temps de la roche, faons et faon chacun et tous autant que nous sommes en pareille tribu animalière, nous nous avan,çons l’un cde la’autre, nous sommes des faons de roche dure, celle du temps qui est, qui nbous fait, qui est notre joie, notre peine, notree emblème, nous nous avançons l’un de lauttre et cher chons à nous toucher : nous sommes des bambis des prés qui savons des choses ensemble et qui asdpirons à les partager à qui voudra les entendre, nous sommes faons qsui savons des véerités de roche comme des secrets cachjés de la première heure, et ces choses nous voulons les divulguer, les afficher, les montrer, les monter haut, les soulever comme des offrrandses ofderttes à qui de droit en rocxhe voudra les sxaisir et se les accaparer comme des vivres de première nécéssité, nous sommes faon  ous deux qui alloons sur roche (en roche) gravir les sommets (les pics) pour nous retrouver à regartder au loin le feu de laroche, la porte des eznfers, cette ouverture pariétale dans la masse,; ce trou qui est un non trou car le trou est borgn,e qui mène à cet enfer en cul de sac, nous pensons que faons nous sommes et faons restero ns car nous avons passé le cap (le pas) et avons compris ceette chose, ce changement, cette révolution planétaire ou bien, ce courtc ircuitage en forme de retour sur soi via la la roche (l’art ?) du dire vrai, de ce dire de la vérité qui est le dire des embruns, du nacre, des pârois bleutées ornementées, des hommes, femmes des caver nes, des hommes femmes de la préhistoirte, de l’histoire avant l’histoioire, 

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23/03/2021

il me semble évide nt que cette chose d’un nom donné à un être ou à une chose, ou à un animal, etc, est une chose considérable, il me semble évident que cette chose d’un nom donné à un être est d’une importance considérable, on peut ainsi voir cette chgose d’un nom alloué à une bete comme la chose qui importe en tout premier lieu, l’animal représenté sur roche est pourvu d’un nom qui le fixe à pareille roche du temps et le fixant permet une reconnaiossance, il s’agit ici de comprendre cette chose comme quoi un animal de grotte (en représentation) est un mot ajouté sur la paroi du temps telle que l’homme des cavernes se l’imaginait et l’appréhendait, j’entre en roche et je sais que l’homme des cavernes m’y attend (à sa façon : narquoise) et en roche nous devisons, car je sui entré en pareille roche pour cette raison de pouvoitr converser avec des betes reprédsentées, avec pareilles betes du temps de la roche, un homme des cavernes est là qui me regarde dans les yeux et me dit des choses, il me dit de regzarder les bêtes aller et venir, il me parle de la roche dure, de la roche dure du temps, il me parle de mille choses et moi de parler à mon tour et de lui demander son nom et son langage (sa langue) quel est-il, (quelle est -elle ?), je m’avance en roche et je vois toutes ces betes qui m’entourent, qui sont pres de moi, qui ne me blessent pas, qui ne viennent pas charger sur moi, je vois ces betes de roche sur place qui broutent ou déambulant, il s’agit de betes de bon poids qui sont massives et sont des poids sur roche comme des «gros mots» qui seraient prononcés ou proférés par un homme des cavernes, il s’agit de comprendre cette chose d’un gros mot, qui serait prononcé à haute voix (incantation) par un hommùe des cavernes pres de soi, il s’agit de cette chose d’un mot prononcé à -haute voix, et ce mot est un juron, une insulte, «un gros mot» comme disent les parents aux enfants, nous voyons l’homme des cavernes sur roche, en plein travail (en lévitation) qui inscrit son nom (funéraire) sur paroi meuble, et ce faisant il dessine par la même un aurochs ici ou un bouquetin ailleurs, cet homme des cavernes est l’homme de la roche du temps imparti c’est-à-dire du temps alloué à une vie d’hommme, il s’agiyt ici de comprendre cette chose d’un homme qui , en gravanrt une bete sur roche, trace un nom, comme mot-animal de bienvenue, il s’agit ici de comprendre cette chose, d’un homme des cavernes de la préhistoire, qui, de son stylet, de sa pierre , trace, grave, qui un bouquetin, qui un aurochs, qui une cavalqcade de chevaux fous, etc, pour cette cghose d’une sorte de nomination à l»’emporte pièce des betres de roche comme autant de mots adressés à qui de droit, qui pourrait les entendre (ces mots) et les comprendre, on voit cette chose agir ici, en roche, cette chose d’un dessin de bete, d’un tracé animalier, qui aurait soon importance, son utilité pratique, etc, et ne serait pas seulement une sorte d’effigie formelle suspêndue pour la galerie mais tout au contraire un outil de communication brute, une sorte d’outil servant l’homme des cavernes, servant à entrerr en contact, à toucher ici ou là une sorte d’entité de la roche dure, qui serait cette chose d’un dieu de la roche, donnant les bons points et jouant de son pouvoir décisionnaire, je vois en cette roche ainsi cette chose d’une représentzatation d’animal qui serait (représe ntation) le tracé d’un nom gravé, une marque nominative, un je alloué à l’ensemble d’un troupeau etc, une sorte de marque donnée par un hommùe des cavernes à une sorte de donnée langagière interne à lui, une sorte de nom alloué à une bete quil connaît bien, pour la cha sser à) longueur d’année, l’homme des cavernes est en roche comme sont larrons en foire, il connait les arcanes, il navigue en cette roche comme dans un sas de bienvenue, il écrit des noms au charbon de bois, il tente cette approoche animalière langagière et ce n’est pas rien car pour lui il en va de sa vie sur terre, de sa présence en continue, du temps déployé d’une vie offerte, etc, il joue sa chance cranement, il invoque des divinités et s’appuie sur la roche pour cela, il est cet homme des cavernes influencdé, il est l’homme qui voit les choses de la roche aller et venir pres de lui et ce sont des betes de 

charge (de fort poids molléculaire pour ainsi dire) qui vont et viennent à ses côtés, et lui de comprendre cette chose avec ses yeux, ses mains, sa bouche, son corps d’homme trapu qui grave avec force, et creuse sa voix ainsi en roche de grotte, il est bon de comprendre ainsi que cet hommev est un hommùe d’un temps, d’avant la parole articulée, ou bien d’abvant la paerole détachée, car l’homme des cavernes est cet homme qui sait bien de quoi il parle et cependant son langage est un langage démuni, il pârle une langue pauvre, réduite, son trabvail sur roche est grande partie de sa langue de naissance, il évoque des betes par des effigies qui sont des mots qui sont des insultes (des «gros mots») proféréees à l’adresse d’une sorte de divinité de roche, comme par exemple une antilope sacrée, ou un aurochs-dieu de roche, ou un cheval déifié, etc, il est cet hommùe (des cavernes) qui va ainsi, qui file sur roche, qui grave , qui «dit» à sa manière gestuelle et sous influen,ce cette chose en lui qui le bloque, qui l’entrave : ces mots-betes en lui qui se faufilent depuis lui (son antre : son ventre) jusqu’à cette roche en son intérieur, dans des embruns, parmi les bêtes qui broutent, paissent, gambadent, se montent ou se chevauchent sur roche, je vois en vérité pareilles betes dessinées comme allant d’un endroit l’autre, ainsi broutant ou se chevauchjant, jre suis moi-même inséré en cette roche du temps comme un homme des cavernes, il s’agit ici de voir en cet espace de vie rocheuse, une sorte d’enclave de vie brute, où des hommes vivent qui sont ceux qui dessinent à main levée des betes de charge ou de somme (des poids morts ?) et qui vont et viennent incidemment sur roche dsu temps, il s’agit de voir en cette roche une sorte d’enclave de vie brute, nue, perdue, chose qui nous plait, qui représente (pour nous) une sorte de lieu intermédiaire entre deux mondes séparés ainsi, je regarde et je vois la bete aller sur roche, il s’agit de cette bete dite «de roche» qyui est bete de gros poids sur pierrev meuble ou dure, bete qui va de son allant lourdaud et pese de tout son pesant sur la roche du temps : des mots d’homme, des mots prononcés à brûle-pourpoint, qui sont mots de tous les jours, qui sont des mots qui nous plaisent (ou pas) mais qui constiutuent une sorte de phrasé complet et cvompréhensible, l’homme des cavernes nous entend depuis cet endroit (à lui) où il se loge, il est cet homme qui entend nos voix chanter ou proférer mille insultees, il est l’homme des parois de roche, cet ami fidèle en nous, ou bien où ? car nous solmmes nous autres qui le regardons comme dses amis dans le temps de la roche dure, il faut comlprendre cette chose d’un ami en roche, d’une sorte d’amitiéb à travers les âges, etc, qui unie l’homme des cavernes à un homme d’aujourdhuui, à travers l’utilisation d’un idiome commun qui est celui de l’injure proférée, de l’insulte forte, appuyée, massive et grosse (grasse) commùe aurochs de rocjhe, ou buffle , ou phacochère, un homme des cavernes est un hommùe qui iunsulte sur roche une divintié qui est cette divinité qui est en lui cet animal d’emploi de roche, cette bete en lui qui guideses gestes, etc, il conduit son baton sous la houlette d’une betye en lui qui le guide doucement, précisement, confraterlnellement, volontairement, incidemment, cxarrément, etc et lui fait treacer ainsi des silhouettes de betes de charge («gros mots») qui sont des cris, des c ris gutturaux, des insults, des mots groossiers, etc, des mots à charge, ou de charge émotive forte, des mots chargés de sens et de suc et de grossioéreté, etc, car il (l’homme des cavernes) porte en lui cet animal-dieu quii le guide sur roche (lévitation) et le pousse à agir ainsi qu’il le fait , car il est cet homme des parois de roche nu, qui va son allant de sorte de dessinateur à cru sur paroi meuble ou dure d’une roche du temps, il est l’homme qui blesse ainsi, trace, creuse, blesse la roche, lèse (?) ou non mais qui profwère des i nsultes, des mots outreanciers, car l’homme des cavernes ici  (en grotte) est dans cette outrance d’une vie dure, d’une vie de roche dure, il est cet homme qui creuse sa voix ainsi (gutturale ?) et prononce des grossièretés en veux--tu en voilà à qui veut ou voudra les évcouter, je vois en cet homme un lointain ancetre langagier, un ami de longue date en soi, un ami cher, un allié de la première heure, un soutien et un étai lan,gagier de belle et grande importance, il est cet ami lzangagier de roche du temps , qui va son chemin pariétalm parmùi les bêtes dessinées, il est un ami de première importance et il est cet être de la roche dure qui est cette personne de roche pour nouys comme un soutien continu en nous comme une parole, l’homme des cavernes en nous se pose, grignotte notre être, est en nous le profanateur, et aussi le prononciateur d’insultes diverses, nous voyons en lui un homme grave (narquois ?) qui va et vient dsur roche parmi des betes, et nous donne l’aval (en soi) pour dire à la cantonade et à haute et intelligible (o combien) voix le nom grossier des betes de charge ici représentées : aurochs ! aurochs! comme une insulte, etc, il est l’hommùe (des cavernes) qui sait et connait les arcanes et nous pousse (en nouys m^mes) à parler à haute voix et à prononcer des mots cfhoisis, des mots sélectionnés, etc, tout une langue élaborée à partir de mots de charge animaliers qui furent au principal des sortes d’injures et de grossièretés proférées comme à l’emporte pièce sur roche du temps, à main levée, au charbon de bois, en lévitation, je sais cette chose comme quio le mot de base est un cri d’injure et est représenté par une vfigure (l’aurochs ?) animalière, il s’agit pour moi de ne pas oublier cette chose, comme quoi un homme en moi commande qui dit une grossièreyté qui grossièreté va sur roche figurer le nom d’une chgose, il s’agit pour moi de bien comp^rendre  ette chose  et de ne pas la perdre de vue, de ne pas oublier cette chose comme par devers moi, mais tout le contraiore : de l’inclure en bonne place dans ma mémoire, il s’agit pour moi de faire en sorte que cette chose en moi trouvât sa place et ne sombre pas dans les oubliettes de la mémoire, etc,, car il wserait dommage de perdre pareille gtrouvaille, il serait béta et chagrin, il serait dommage d’oublier cettye cghose d’un passé de soi, phénoménal au premier sens du terme, un passé de roche tendue, ce passé de dessinateur, etc, qui est le passé de l’humanité = sde tout un chacun qui prononce des mots avec la bouche, parle un langage articulé (détaché) et dit ainsi ce quil doit dire pour faire sa cghose d’une entrée en roche, il est bon de comprendre cela à la lumière d’un de ces hommes des cavernes figurant sur roche une langue de peu (de quoi ? ) et allant ainsi son petit chememin pa riétal de roche du temps, on voit cet homme allant, et on comprend mieux la chose d’une entreé en roche tete première (la raison qui va sa raison), on comprend cette chose comme quoi un hommùe gravant à main levé et sous influence est un homme qui est sous emprise et ne peut donc s’opposer en lui à une invasion langagière acquise et comme ayuan,t pris une place entière en lui à son insu ou presque, je parle la langue de mes ancêtres, je dis les mots de latribu, je sui s un homm des cavernes (à mon tour) qui prononce des insanités à quyiu veut les entendre,  je suis cet homme qui injurie et ce faisant trace des figures (animalières) ressemblantes de folie, car je suis sou l’emprise d’une force en moi quyi me force ou pousse à agir sur roche ici ou chasser en przairie là, la chose est symétyrique et va ainsi de pair en roche comme ailleurs sur le pré d’une chasse  controlée, je sais cette chose comme quoi un homme des cavernes dessine à main levée et chasse à main levée, il émet des bruits gutturaux avec sa bouche, il est un homme bruyant, il profère des insa&nités, il est graveleux et naerquois, il pue la graisse, etc, et entre en lévitation et nous poussse des milllierts d’années plus tard à) dire des choses par devers nous, sous emprise à notre tour , qui parlons un langage acquis (absolu) indécrottable qui est ce langage ardu d’un temps de roche dévolu à une sorte de vie allouée, il s’agit de voir en cette vie le verbe qui l’accompa gne et tue la bete ici pour la représenter sur roche (paroi) du temps consacré (art) : on voit tout cela, on comprend en grotte les enjeux, on s’avance à pas comptés de ces représen tationsq,; on est cdeux pour une découverte, on s’avance main dans la main et on voit les représentations animalières ici qui figurent ces insanités et autres grossdièretés prononcées à l’encan ou à la cantonade ou à l’emporte pièce ou à brûle pourpoint ou comment ? tout de go ? en veux tu en voilà ? vaille que vaille et coute que coute ? on dit des mots de roche et ce disant on profère des insultes de haute tenue (saveur, teneur) comme mots groosiers de salon, ou comme mots grossiers de chasseurs, etc, je vais sur le pré et crie ma grossièreté, et ce faisant je fais ainsi progresser les acqyuisitions lmangagières en m:oi et dans le temps, je profère des insanités, je dis des mots grossioers, je sui s l’hiomme qui dit sur roche (du temps) les insanités langagières animalières du temps de la roche dure, il s’agit de décripter pareilles choses pariétales, et de fait de les comprendre ici à la lumlière d’un de ces hommes des cavern es des temps anciens, homme velu ou chevelu qui grattait la roche et ghravait son n om via la figure d’une sorte de bete de somme ou de charge censée représenter une insqanité de conserve ou colmment dire ? il (homme) tracve (art) une injure (nom) sur pierre (temps) de roche dure (le sommeil) , il est bon de comprendre cette chose ainsi, et de voir en cet homme des caverbnes mon an,cêtre,  le nôtre, cette personne -relai, ce personnage chevelu qui va sur la praiorie à la chasse et sur la roche à la chasse rtout autant, les chgoses se superposent, il s’agit de comprendre ici cette chose d’une sorte dentreé dans une matière commune, il faut ainsi comprendre icvi cette chose d’une sorte d’entrée commune dans un temps doublé (ici et là) qui est le temps du jhour et de la nuitr de la raison , du lzngage articulé en soi, de qson effigie en propre (animalière) et ainsi on voit les choses s’accumuler ciomme des strates (couches) suerr un sol  de mer, etc, on comprend que les choses verbzales sont en accumulation comme déposées sur une terre meubleou dure, un sol découvert comme une mer qui s’ouvre (inchjallah) devant nous qui nous approchons et à mesiure que nous nous approchons, je sais cette chose de la mer qui s’ouvre sous mes pieds et à chacun de mes pas, on voit cela ici en roche du temps : la terre (mer) est une ouverture-échancrure qui , ici en roche, nous englobe (nous gobe) et nous retient, je m’avance à pas comp^tés sur roche, je vais en cette roche du temps comme un chasseur de betes en prairie, je suis bambi des yeux (on l’a vu) et je cours apres elle , apres la bete qui ici s’ébroue, se roule dans l’herbe, s’abreuve à la rivière, va son chemin sur roche dure vers des lendaemains bleuités ou nacrés, etc, bamlbi est devant moi, comme le mot de la fin serait devant moi, il s’agit de voir en cette bete l’attribut d’un messager, ou bien le tribut , ouy comment auitrement ? car bambi est la bete à comprendre, elle est devany moi cette bete fauve à devoir comprendre instamment (dans la minute) et quil m’est loisible de suyivre du regartd voire à pas comptés (on l’a dit), il est bon pour moi de suivre bambi, de la suivre dans ses tergiversations pariétales, il est juste pour moi de faire en sorte de faire cette chose etc (suivre) et alors je vois en bambi cet animal qui est ce messager qui est cet en,voyé qui est cette ame sueur, qui est ce tribun, qui est cet animal de base, cette effigie, ce dessin de roche, ce mot-bete de soi, cette chose brute et belle (art) de paroi de grotte, je vois en bambi la bete qui va son chemin de roche dans le temps et m’invite à bien vouloiur m’adjoindre à son pas sauteur, je vois en bambi une bete de premier prix, une sorte de premier (première) de la clkasse, une tete, une tete chercheuse ? une sorte de tete, d’intellect, etc, qui est cette chance offerte à moi qui n’y croyait pas, qui ne pensait pas, qui ne pouvait pas espérer, qui ne savait pas, quyi ignorait, qui jamais n’aurait pensé, quyi jamais de la vie n’aurait espéré un jour de pouvoir tomber sur pareille biche des prés et des preairies, ce mot -bête de fortune, de chjance, cette voix dans les embruns (ce brame ?) etc : il s’agit d’une bete de roche dure, une sorte cde bete dure ou bien de bete à) la voix d-ure ? rocaillezuse ? enrouée ? gutturale ? etc, il s’agit d’entendre ce brame qui sourd (sort) de terre et vient ainsi jusqu’à nous nous envelopper , j(‘entends le râle, la clameur, les insanités, les cris en lisse qui sortent de terre mère et font une sorte (forment) de bouquet sensoriel pour une approche des parties illuminées de ce fond de roche de paroi, cette zone aux embruns, cet espace nacré de lma roche du temps où donc nous sommes installés , je vois la biche aller et venir et je lui parle,; je lui demande comment elle va, je lui pose des questions, je la regarde dans le bblanc des yeux, j’essaie de la comprendre en son sabir de bete de roche, de quoi s’agit il ? c’est-à-dire : quelle langue parle-t-elle ? il est important de comprendre cette chosesz pour soi , comme quoi on est ensemble en roche frère et seur de sang malgré nos différences, on est biches ensembkle, on est cette biche, ou : je suis, car la biche en moi est prégnante, elle prend de l’espace, elle occupe en mon for une place non négligeable, on sait que ce bambi en nous est bete de place, il s’agit de ne pas l’oublier et de l’incxorporer à sa mémoire, il faut comprendre cette chose d’une sorte en sqoi de bete gravcile, qui va et vient et me (vous) pousse à proférer icvi ou là à la cantonade (sur roche) des choses grossoères, des mots grossiers, des mots gras, du lourd, du pesan,t sa charge, dsu pesant de paroi (aurochs, etc) c’est-à-dire des mots-animaux de grosse taille commùe bisons, ou buffles, ou phacochères, ou même chebval, ours, ou même lions etc, car il s’agit ici de voir en ces betes des betes de poids comme grossièretés de roche éternelle, il s’aghit de comprendre ici cette chose d’une cdécision à prendre en coincert ou de concert, une décision capitale, celle de vfaire cette chose ensemble ou pas : d’entrer dans larocxhe du temps, dans l’espacfe-temps d’une sorte de sas de bon aloi (art) qyui protège des intempéries langagières et met les choses dans un sens qui est celyui que nous cherchons depuis la nuitr des temps , de voir advenir, un sens qui convient enfin, une sorte de direction à prendre, comprtendre, et ainsi nous so:mmes qui allons vers cette direction ou en direction de, de cette lumière bleutée des embruns ou nacrée de fond de roche, où donc est le fond de la roche ? où se trouve t il et pour qui brille t uil ? car je veux comprendre, savoir, explorer, trouver, dxébnicher, etc le pot aux roses d’une affaire bien engagé depuis cette immixtyion commune en roche du temps, qui saura m’indiquer le chemin à suivre ? bambi ? les lumières bleutées de fond ? le nacre de ce coquillage ? cette mer qui s’ouvre à chacun de mes pas (l’intouchable ) ? qui pourra me dire la voie à syuivre et pour quoi , car je ne sais rien, je veux savoir, je ne sais rien mais $je veux savoir, je ne comprends rien mùais je veux comprendre et dès lors marteler sur roche (incantatoirement) des chgoses à graver (aurochs, buffalo) et aussi cvomprendre cette biche devant moi , son nom qsui est celui lié à une enfance (etc) , cette biche, qui est elle ? pour qui brame t elle ? quel est donc son but en venant vers nous .? pourquoi chante t elle ainsi ce chant de la roche, aux grossièretés acquises, aux mots-grios comme aurochs des prés ou ours des cavernes, pourquoi ? nous cherchons dfepuis longtemps des répônses à toutes ces questions que nous nous posons, nous cherchons un grand nommbre de réponses à un grand nombre (infini) de questions qui sont les nôtrtes depuis le début, depuis le premier jour, nous nous posons un nombre considérable de questions surt mille choses concernbant pareille paroi du temps, et cdes questions nous habiten

t, sont une sorte en n ous d’entrelacs, il sz’agit de prendre la chose avec «philosophie» ert  e pas s’en offusquer outre mesure, il s’agit de prendre les choses de biaids, de ne pas les affronter frontal ou frontalmemùent mais de voir venir et se tenir à bonne distance de ces mots grossiers en nous, qui sont mots de latribu, mots-betes s’il en est, mots de charge de chja sse, etc, nous voyons ces betres de roche comme mots grossiers dans la bouche du chasseur des prés, il s’agit de voir en ces betes-mots des choses de bellze tenue et de fort rendement en matière de vie à vivfre, à conserver, je vois en ces mots-betes une sorte de maintien pour une vie à conserver tout du long (une longueur) et à  voir aller toujours vive colmmme un fil de tenue pariétale, une sorte de fil ou de film etc, je vois cette choàse ici (en roche) comme une nécessité de l’homme des cavernes : ce chant en lui est sorti comme toutr à trac de sa pensée sous emprise et s’est mis éà exister sur roche sous la forme d’une sorte de bete de poids déssinée à main levée, je vois cet hommùe dessiner la bete qu il porete en lui depuis la nuit des temps et qui parle pouir lui, il sq’agit d’une p)a role animalière, d’effigie, de représentation, il s’agit de cette parole d’une sorte d’effigie rupestre, de belle envergure, bien représe,ntée,; d’une ressemblance soignée etc, je vois cette bete squr paroi et je comprends dès lors les enjeux qui sont les signes d’une reflexion à mener tout à trac ensemble en pareille roche du temps ou d’un temps de vie à vivre, il s’agit pour moi de poser les cghoses, les données, sur roche, des présents, des dons à offrir en partage, etc, et cela en cette durée dure d’une vie déployée sur paroi de groote, comme un ruban, un fil, une ligne de vie, etc, qui est cette ligne d’une vie à vivre par devers la bete offerte sur table d’offrande, sur roche en sa paroi, etc, je m’avance ainsi et aborde la roche froide, je plaque ma joue contre pareille roche, il fzait frais, il est cdoux de comprendre des choses avec l’intelligence, j’entre en pareille roche du temps et je m’inscris ^parmi des betes de roche dure, betes de foirail, j’entre et je vois ces betes qyui paissent autour de moi, où donc est la trace de la vérité ? où se situe la vérité sur l’échiqyuier (la prairie) qui s’ouvre à soi ? où donc est ma mer ? où est la mer ouverte (scindée) qui est cette chose en attente ? où ? je cherche devant moi et que vois -je ? oui ! une sorte d’éachancrure dans kle temps où donc me loger (blottir) et me cacher (préserver des coups du sort), je pense à) aller à la suite de cette biche bambi sur son chemin, je me dis que j’aurais beau jreu d’akller la suivre sur pareil chemin de roche du temps, à sa suite = dans son sillage élégant, je vais vetrs elle et je m’accroche ainsi, et essaie de ne plus la perdre de vue, j’essaie d’a ller avec elle , e,n pareiille zone aux embruns, ce cdevant cde soi qui nous tend lkes bras, j’essaie de ne pas l’égarer du regard, elle se porte au loin devant moi, elle est un point de mire, je la vois qui setrémousse sur les herbes du pré et va son chemin direct vers une luymière douce du lointain, elle m’appelle ou semble faire cette chose, elle est eélégante, lelle est gracieuse, gracile (grâce), elle file vite et revient et repart et sautille et dispariat puis reaappârait dans ma ligne de mire, et moi de la suivre du regard, de marcher vers velle , d’aller vers la lumière de vce fond de roche pariétale, vers une lumière bleutée d’une roche tendre (dure ?) qui est celle du temps imparti une vie durant, je m’avance, je vais sur roche vezrts bambi qui me regarde cde loin, je ne veux pas perdre bambi, je ne veux surtout pas perdre bambi du regard, je veux conserver bambi dans mon point de mire, je veux que bambi soit toujours cet animal pour moi en point de mire, j(ai besoin en point de mire de cette bambi qui me  fait signe de la suyivre et de ne pas me disperser, je veux écouter bambi, bambi est gracieuse et m’invite, elle est une biche gracile et fine qui m’invite à bien vouloir ne pas la quitter du regard, et c’est exactement ce que je fais ici en roche du temps, je fais exacvtement ce que cette biche (en moi ?) me dirt de faire, c’estc à dire que je parle mots de la tribu, j’essaie de dire ici les mots qui me viennent cvoncernant bambi, et ces mùots sont  c eux de la tribu qaui m’a vu naitre, je connais bambi depuis longtemps, à vrai dire je connais bambi dfepuis le jour de ma naissance ou pas loin il me sembkle,il me semble que la bivche appelée bambi m’accompagne depuis toujopurs, c’est à dire depuis le jour où je suis né, et cette biche donc est cette acvcvompagnatrice de destinée, une biche douce qui est une bete de roche et bete-mot de roche également, une biche accompagnatrice pour une vie de roche à vivre ici, en cette paroi de grotte, à deux ou en solitaire et c, pzarmi gens de tribu, gens de lettres ou pas gens delettres, etc, je vois ces choses se dessiner devant moi comme animaux sur roche, de ces animùaux qui sont ceux de l’homme des cavernes, je vois ces betes qui sont des betes de paroi sur roche du temps et qui me regardent pertinnement ou qui me regardent précisqément attentivement et me disent des choses conjhointement ou quoi d’autre ? car je vois ce regard de la bete sur moi : bambi ivci ou l’aurochs là, ces deux choses qyui sont co:mpatibles mais séparées, à bonne distance l’une de l’autre, je vois cette chose enfouie en roche : ces rezgardsq sur moi, icvi le regard perlé de biche bambi et là le regard (narquoi ?) d’un animal dur, d’u ne pièce forte, d’une masse, etc, et ces deux reghards sont séparés dans kl’espace temps de la roche, sont ensemble de paroi mzais séparés de fait, et cela est à prenddre en considérationh, il faut comp^rtendre ces deux chodses comme choses séparées en un mùême lieu d’approche, il est bon de prendre cettezcchose ensemble ici, cette chose d’une sorte de sépariration entre d’un côté une bambi douce et d’un autre une bete dure de type aurochs, ou buffgle, ou rhinoczeros, les deux choses dsont dissemblables et si kles deux choses se croisent en pareille roche il est ainsi que ces deux choses sont séparées en temps et en heure et aussi séparées par de la roche de temps interposée entre ces deux mùassifs de roche, entre pareillles choses de paroi, etc, il s’agit de comprendre les enjeux spacio-temporels qui sont ceux ici d’une roche allouée de temps imparti pour une vie à devoir voir à déployer au-devant de soi, on vboit la vie dans un déroulécparoétal, on voitr ce déroulé comme une chgose à l’a ban,don et jetée aux quatre vent des dégradations, a lors même que bambi en roche nous interpelle et nous incvite à bien vouloir la suivre en son antre bleuté ou en son horizon nacré, et nous d’y allezr (ou pas) selon noss envies et aussi selon nos croyancesq, nous allons vers bzambi des prés, ou bien nous n’allons pas vzers bambi des preés, nous sommes deux qui nous dionnons la main ou non, selon l’envie quinous pousse ou non, etc, je suis celui qzui va ou ne va pas bvers bambi, selon l’envie en moi (animaélière) qui me pousse ou me retient, me bouscuyle ou m’entrave, me propuylse ou me sidère (une question d’ordre animalier avant toute chose) et cela en roche ou en cette roche du temps alloué pour une vie à vivre tantot (oup la oup) et sans plus attendre : loopings de ciel de na cre etc, je sais que cela est une chance (chute) xdans le temps quyi est ce temps donné à l’emporte pièce par en soi un animùal de masse qui pousse à agir illico presto et sans plusattendtre, au fil de la vie, en osmose avec ce fil sanguin de vie vive (bouillonnante) sans attente, cxc’est à dire sans temps morts, il fgaut bien comp^rendre cette chose d’une vie de roche à vivre sans temps morts ou plutot : offrons le temps morts de nos vies vécues au fur et à mesure, à ce dieu xd’un horizon de n,acre ou horizon bleuté, offrons lui la vie morte (= le temps) derrière nous et contentons  le de la sorte , qui ? cet te ombre ? ce chjenapan ? cette ordure ? cet enciulé ? nous disons les mots grosssiers de lzatribu et ces mots forgent une langue dure, solide, tenable dans le temps = durable sur longue  durée dure etc, nous prononçons-proférons des insanités à l’encontre d’un dieu-bouche de paroi du temps, qui atte,nd que nous mourrions de bonne grâce;, maidss non ! non et renon! car nous ne voulons pascparetir de si bonne heure qauand la roche déploie son temps d’un devant de soi pariétal, quand pareille roche aux embruns déploie pour soi un temps de déroulé qyui est le temps ‘ds’un art de roche, etc, je sais la chose présente, en ce sein dxes seins, d’un déroulé, rocaillezux comme accent grave, etc, je sais cette chose d’une sorte de déroulé de roche temporelle , ou temporel (le dérouylé) qui est cela  que nous avons à voir et vivre devant nous, ce prolongement sportif dans une sorte de mise au devant, d’entremise, d’inter-roche etc, qui est cela que nous voyons sur ce devant de soi ouvert qui va devant nous, de son échancrure temporo-spatiale ou bien de son ouverture tribale, prairiale, d’une sorte de bambine (bambinette) de la chance, etc, je vois une sorte de bambine (enfantine dès lors) de la chance (brute) d’une sorte de paroi du temps, je vois cette sorte de bambine brute devant moi qui me montre une sorte de chemin à syuivre illico presto, pas de temps à perdre, les mots sont collés entre eux commùe un onguent (la chreme du christ) et dès lors il est bon de com^prendre cette chose d’une survenue animalière en continu (point de temps morts) qui vca son cxhemin de roche, cahin caha, comme vie d’emprunt, comme vie à vivre dans la roche , commùe vie cde grâce sur paroi animalière, je sens la bete qui s’apporoche et cherche à toucher la roche, à pezrcer la paroi, la bete en moi squi cherche à sortir de moi par un trou (nouveau) de bouche et de là sauter en veux tu en voilà en cettez roche de la grotte , et s’immiscer , et se placer ainsi en ce for intérieur d’une roche dure , roche du temps pour une bete logée ou lovée en elle, je sens en moi cette betye de poids qui cherche à s’immiscer, en pareille roche du temps, à fracasser (percer) la paroi et à entrer en pareille zone, eelle cherche, elle cherche un pazssage, une entrée de roche, elle cherche entrée pour une installation en force et ainsi installée elle serait ce mot, dit mot -bvete de roche ou de la roche d’un temps imparti, ce mot dit et gravé par la même ou bien gravé et dit par la même oxcccasion, je sens en moi cet animal qui est la bete de la roche dure, en moi, celle là squi cherche à sortir de moi pour aller se ficher en roche et tracer son nom au charbon de bois, je vois ce nom tracé, il e’agit d’un mot-figure, une sorte de mot de roche, une sorte de mot-animal dxe rocxhe dure, je vois que ce mot erst devant moi comme une effigie à prendre en comp^te et c’est exactement cette chose icui que nous faison,s ensemble (= main da nsla main) entre nous : une marque sur le front de la pierre de taille, cette roche de paroi, cette pierre de tombe ou autre pierre de roche dure etc : gravée avec nos ibnitiales, ou bien gravée de nos noms respectifs, je vois cette chose ici dessinée, qui est un aurochs ou un bison, et ces représentations sont des noms de betes preoférés ainsi, co:mme des insultes proférées à haute voix, commùe jurons donnés, etc, qyui sont mots d’emprunts animaliers, mots qsui viennbent en nous pâr notre bouche ou trou de bouche, sortent en cavalca $de et vont direct et fissa, à se loger sur la roche du temps (insultes proférées) et là se conserver durablmemeznt, je sais cette chosex ici, d’une profession de foi gravée sur roche, il y a ces mots en nous qui sont mots inculqaués par des personnes autour de nous, toute une confrérie (féerie) qyui nous a comme placé au centre des débats et nouys a «permis» d’apprendre tous ces mots de roche (du temps) comme betes à bon dieu ou autres betes-mots de roche dure, etc, nous avons compris des mots et les repôrtons sur roche des temps comme chasseurs qui mettraient comme en exezrgue les trophées de leurs différtentes chasse à la bete cornue ou autre (boisée), nous essaytons de comprendre ce qui donc xse passe en nous qui avons par devers nous en bouche des mots qui sont des betes qui sont betes de taille, boisées ou cornues pour l’essentiel, ou à crinière, etc, la crinière est l’équivalent, du bois ou de la corne chez d’aucuns,; la bezte en soi porte son trophée, je vois cette chgose, de la bete de roche (bois, corne, cribnière, etc) qui est cela que je touche de mes doigts ou pas, mais qui est ce trophée de roche du tempsq (effigie) pour un don de soi à la prairie, d’une sorte d’embrun ou pariétal ou à qui d’où`? je ne sais qui nous attend, les mots sortent de mon trou de bouche, ce sont des mots qui ont en moi tracé un chemin, les mots que j’(ai en bouche et ailleurs en moi sont des mots)-animaux qui cherchent à se loger dans la paroi du temps et dès lors, sortent leur trompê ou leur corne (trophée) et vont à se ficher sur roche (temps) incidemment, pariétaleme,nt pazrlant, mots de latrivbu des hommes entrez eux ( c’eswt son nom) et mots de roche, aussi bien, car ils se lovent illico presto en elle et en épousent le reliezf, les bosses, les creux, etc, je vois cette chose en moi qui sort (emprise) c’est à dire des mots emboutis, forcés à entrer e,n moi, et à présent les voilà qui veulent sortyir (art) cvoute que coute ;: des mots m’ont été inculqués de force , et cette force se retourne et chezrche à faire extraire de moi pareils vocables animaliers ou animaux, d’où l’art de la roche (ou l’art tout court) qui se présente donc en réaction à cette cghose d’une sorte d’intégration en soi (forcée) d’un langage animalier dxe base, on a été forcé, à nous de rendre la pareille en roche ou sur roche, etc, on a subi, on rela rgue ou on relache à la paroi (en paroi) cette sou:mission, on a dû prendre pour soi, on remet le couvert mais dans l’autre sens , et l’(art ici est le reflet de ce retournement à l’envoyeur, de cette remise en circulation, ou bien de ceztte réaction en cxhainne, il s’agit de voir en cette réaction ce pic de verbe (animal) qui est pic à percer la parooi, du temps devant soi, celui là qui s’ouvre comme un e mer à cxhacun de nos pas , je vois cette chose aller , cette chose d’un ruban de vie, clos sur lui même , aller au devant de moi et faire le tour (oup la oup) de la terre, de ce globe devant moi, qui figure le temps imparti, et sur les côtés ces pazrois meubles (meublées ?) de la roche du temps tr$acé», je se,ns à mes cvôtés le souffle animalier pariétal qui est,   ici, ette vie odffezrte sur roche (dons , offrandes) à une sommité de roche dure (dure la roche) comme vagues redressées, ouverture marine, part et autre part de part et xd’autree, etc, ces murs ou ces murailles qui nous prennent en étau et nous poussent à pousser p^lus loin notre chemin tracé , sur ce devant de roche du temps, ce devant  de soi, cet espace ouvert dev ant soi comme mer scindée en deux, espace-temps qui va son allant qcourbe, son allant circulaire, son allant infini tournant sur :ui  meme , loop de looop, etc, et nous montre ainsi l’infini rocheux dxe la mer scindée,, ce deva,nt sans fin allant sur lui même, comme une sorte de boucle sans fin, etc, je vais ainsi sur pareille roche et me place en elle comme une bete cde paroi sur roche, dessinée par un homme des cavernes, j’accumule ainsi les strates temporelles etb ce faisant mme place dans le sillage, cd’une sorte cde bambi en point de mire, d’

une sorte de biche allouée par dieu sait qui qui m’a bbjure à bien vouloir me p^lacer pres d’ellme pour la syuivre sanstardxer, dans ses sauts de puce ou de c arpe (pérégrinationsrurales, prairiales, pariétales) du temps de la roche, et que fais je d’autre sinon cette chose, d’alker ainsui, dans son sil;lage infini, ce sillage circulaire du ou des looopings de roche, ce sillage rond, ce rond cde globe, cette circulareité terresttre (temps-espace) qsui est pour nous comme une sorte de destin de vie à vivre enxwemble (trivbvu) un temps donné (roche) ou offert par la bande,quoi d’autre ? j’avance aibnsi sur ce sentier tracé entre deux mers (pârois de temps gravées) et avançant je fais comme une boucle temporelle (au loin la :lumière, les embruns nacrés) et ce faisant je me place ainsi entre deux paroios redressées, entre deux redressements de choses et autres, entre deux murailles (murals) de vie alentour, etc, je vois ce qui est ici comme une sorte de tracé induit, qui pousse à aller de force , c’estc à dire à répondre sans temps morts, sans trop de tergiverwsation, à un e injonction, je vois la bambvine des prés qui sautille sur son séeant ou sur son cadre ou sur son seuil, je la vois qui me fait signe, elle est devbant moi ce point de mire pariétal animalier, elle est cette biche   de ruban de vie infinie, cette éternité d’un tour complet sur soi même, répété et répété et encore une fois ezt encore, il s’agit de co:=prtendre cette chose, cxd’une destinée rotative, d’une sorte de destin pour soi dans l’infini reproduction d’une sorte de geste rond, cette chose d’une sorte de looping de soi pour soi ou en soi ou devant soi ou comment ? nous ne tergiversons pas, nous sommes en pêrmanence sur la brèche, et la brèche est continue et dès lors sans fin, qui se voit perpétuel;lement tourner sur elle même en tant qu’elle est figure d’un ruban de soie ou de soi (?) sur terre mère, on voit cette chose d’un tracé, circulaire devant soi, avec retour des choses en perp^étuité ou à perpétuité, cette circularité temporo)spatiale debvant soi, le temps de lazroche dure est rond comme une boule , un globe ou la mappemonde, hje connais cette chose et vois cette chose devant moi se présenter comme un infini pariétal, vie ronde, une rotonxde, une sorte de cercle infini qui nous contient et nous montre la vie en tant qu’elle est : close sur elle même, cette closerie etc, je sens en moi l’animal qui gronde et cherc he issue de roche, il est fin prêt, il veut p^rendre son envol (essor) et de ma bouche il;lico presto aller se loger dans  cettre roche opariétal;e de la préhistoire del’homme, de c e temps d’avant le lan,gage ou plutot la langue verbale, il s’avgit ici d’une sorte d’animal trapu (masse) qui veut (voudrait) sortir de moi par bouche interposée (baiser) et de l;à à même la roche dure (ce temps infini, ce ruban doré, cette chose close) ;, il est dès lors impôrtant de co=mp^renxdre cela comme quoi nous so:mmes à la merci en nous  d’une bete de roche (aurochs ? antil:ope ? bouquetin ? ) qui  cherche à s’i:mmiscer, dans un temps donné en offrande, elle cher che issue, elle cherche une entrée, elle cherche quoi ? l’Entrée, ellme chezrche à se placer en pareille paroi du temps, pour essayer de comp^rendre cette chose cd’un e sorte dx’allée et venue masssive, continue, tranquille (quiète) sur roche du temps, comme d’un déroulé de choses sues et vues, etc (parol:es) qui iront toutes en roche comme en phrase, et diront dès lors ces mots de la tribu contenus en son sein pariétal langagier, ce sein de roche dure, quyi est sein d’un espace temps autonome, pris à part,, comme une sorte de charrue de roche, soc de roc, ou comment ? traçant son sillon frontal (mer ouverte) et faisant sa course (révolution) comme bete ddee transit, allant son chemin circulaire et saisonnier, je penswe à l’oiseau, au moineau, à l’hirondelle qui viennent à période se poser en pareille rocxhe, qui périopdioquement reviennent, cezs bêtres «révolutionnaires» qui tous les ans sont là qui reviennent aux m^$emes endroits, etc, je vois la bete quyi cxherche à aller en roche depuis moi, sous l’emprise d’un e langue acquise jusqu’à cet enxdroit cd’un devant ce soi (l’il:lico presto de l’affaire) qui est roche du temps imparti pour une vie à vivre en vase clos, je sais ceztte cghose comme quoi la vie )à vivre est chose close sur elle même, il s’agit d’une encx;lave temporelle et pariétale de laquelle on ne sort pas sinon par le reve, la foi, la chance, l’art et les tendances, je vois que cette chose est durablement inculquée en moi (cette parole d’un dire alloué à la roche) et qu il m’est dfifficile présentement de m’extraire cde pareille roche, de pareill roche dure du temps, de cette roche des mots -betes qui est roc de dureté, de vie à la dure aussi, etc , les deux choses : bambi la douceur personnifiée d’un côté, et l’aurochs à la xdure cde l’autre , et nous au milieu sur c e chemin tracé dans la rotondité d’une révolution de pl;annète, il ‘sagit de cette chose commùe quoi nous sommes cdeux, à devoir com^prendre l’infgini du temps, je regarde les embvruns au loin et je comprends que cette chose, pour nous, touche à l’infini de la révolution, mais de part et d’autre (latéralisés que nouys sommes) sont comme dressées des sortes de parois de rochje, mùurailles de chine, vagues debout comme cdans la bible, murs d’enceinte comm choses de paroi ventrales, etc, nous voyons tout cela avec des yeux ouverts en grand comme c eux d’un enfant naissant, l’enfant naissant ouvre les yeux en grand , réveillé par lkes secousses du mobile se glissant dan,s le bassin, réveillé par ;les secousses cde la progression en sce bassin de mère, du mobile de son petit corps chétif, réveillé, une bonn fois pour toutes, choqué-réveillé ou comment dire ? douché ? par le fait de la naissance en soi c’est à dxire de la progression du mobile foetal dans le conduit que forme mécaniquement le bassin de la mère, puis de la présentation, de l’expulsion de ce mobile, par ce trou vulvaire etc, ça douche ! ça réveille !ç ça ravigogtte ! ça bouge ! ça remue ! ça vous réveille un mort ! et dès lors l’enfant naissant ouvre grand les yeux un temps, avant de s’endormir (ou de se rendormir) durablement, pendant quellques jhours , avant que son transit ne fasse des siennes et le torde de gêne (de douleur ou d’inconfort) et le fasse à nouveau ouvrir en grand les yeux qu il porte sur le monde, il s’agit d’un xsavoir in duit, et les mots-animùaux en nous sont ceux là que nous irons tracezr sur roche (en ce lieu intermédiaire) colmme un art de roche ou du temps (c’est é gal) quyi nous verra aller et v»nir parmi des betes de bon poids, parmi ces betes dessinées par l’hommùe des cavernes, je vois en cela une raison (de tete) naissante : une ouverture pour une fermeture, une sorte d’ouverture devantt soi (où`exactement ?) pour un e fermeture derrière soi, pour une sorte de refermeture, cette chose d’une fermeture dans le dos, je sens en moi ;la présence de l’animal et  cette présence en moi est de celle que je vois venir, en mmon anttre, en cet antre de moi qui est ce ventre , ce ventre entre le trou de la bouche ouverte et l’anus extérieur, cet antre qui contient (de conteznance) les betes de charge c’est à dire les mots-animaux ou bien sin on où se logeraient-ils ailleurs ? tete ? tete crane ? ou où ? car la bete est logée quelque part en nous immanquablement, la tete est quelque part en nous logée et se pose en nous pour sortir de nous et entrer dans le temps, le temps est donc cette roche devant soi qui fait office de muraille, de paroi, de butée, les mots sont des animaux que nous avons ennous , logés quelque part, et ce quelque part se situe peut etre en nos inteswtins, ou bien dans notre ventre ou plus haut en bouyche, nouys ne savons pas (encore) situer ce quelque part, nous ne sommes pas malins, nous ne sommes pas pl;us malins que ça, nous ne sommes pas bien malins, nous ne sommes pas si malins que ça en définitive, njous pensiiiions que nous étiiiio,ns malins mais au b out du compte pas tant que  ça, et commùent faire dès lors avec notre sorte d’intelkligence minimale, à défaut d’intelligence maximale,  ? comment faire avec une bettise en nous dont nous soo:mmes conscientes ? et que signifie cette chose, d’être conscients de ses limites ? que veut dire cette cghose quand on dit qu on est con scient de ses propres limites intellectuelles et qu on voit ou se voit bete, quon voit tres bien le degré de sa betise , peut on dire cette chose? les mots sont des anima ux, les animaux dessinés par les hommes préhistoriques sont des mots, la paroi de la grotte est dure comme de l:a roche c’est entendu et cependant elle est meuble : meuble à des endroits, la paroi de la $grotte eswt meuble ici, dure là, et représente pour nous qui la voyons (découverte) le temps de vie impârti, nous avons cette chance de pouvoir, pour nous, voir (visionner) la roche à m^me sa texture, son grain, sa dureté, etc, je vois biche en elle, en cette roche nous voyons la biche, nous voyons en cette roche une biche, nous voyons une biche (bambi ?) en cette roche et cette biche nous fait de l’ oeil, elle nous invite à bien voul:oir nous adjoindre à sa suite temporelle (pariétale) et c’est exactement cela que nous faisons en éta nt en vie ou en restant en vie, ou -en vivant cette vie qu il nousq a été donné (par qui ou quoi ?) de vivre, nous voul:ons entrer dns cette roche enswemble car eznsemlmvble nous savons que nous serons pris en considération dxavantage ou alors que l’incursion de concert est préférable car nous sommes en force à entrer à deux, etc, je vais sur le monticule où bambi était il y a peu, je me poste sur ce monticule et je regarde les lointains na crés et que vois je ? la bouche (ses lèvres), un e gra nde bouche ouverte, oh la belle bouche ouverte ! elle est bouche d’entrée d’aprèe-vie, elle est le passabge offrt ici (précisément) pour entrer en une autrree vie qui serait celle cd’une après-vbie or rien n’est moins sûr ! leurre !? piège ? qui est «derrière» ? nous penso ns que le monde intrapariétal de la roche aux mots-animaux est un mondfe cl:os sur lui même, on pense cette chose comme quoi ce monde de la paroi nous parait être un monde infini, en cela qu il nous semble révolutionnaire, mais fini en cela qu il tourne « sur lui meme commle une planète, et nulle part d’échappatoire, on pense cela , cette chose, que nous aurions ainsi pour nous c et espace temporel clos colmme une boite dans laquelle nous sezrions logés plus ou moins  confortablmement, je vois cettechose pour moi comme quoi je suis pris dfans une sorte de nasse avec des mots plein la bouche à devoir cracher instamment sur roche, et de tracer des effigies animalières de grande taille, afin de faire avccroire comme quoi nous donnons nottre vie entière (mort) au dieu de la bouche-piège mais que rien du toout , ou plutot si, nous donnons de nous ;le temps (révolutionnaire) passé par dev ezrs nous, ce temps mort qui est la cvie que nous avons vécu, la vie vécue est ce temp^s mort offert en offrande sur paroi de roche, sous cette forme d’animaux-mots de belle vitalité (grande) afin de tromper son monde ( ce monde de la bvouche ouverte, prête à nous gober comme des mouches) , nous avons cette foi ennous, de croire en c ette cghose révolutionnaire dezvant soi : la vie à venir, qui est ruban, voile, infini pariétazl de roche, tour et détour et retour, etc, pour notre mobile, et voil;à ce que je vois ici, cette roche dure du temps qui nous contient en son se’in qui est un vase clos comme une ruche ou comme une roche, il sq’agit de bien comp^rendre cette chose et de ne pas en dévier, de ne pas dévier outre mesure, il est bon de comp^rendre cette chose et de n’en plus dévier du tout dès lors, il faut comprendre, il faut essayer de co:mprendre avec ce que l’on a d’intelligence, il faut essayer de comprendxre chacun avec ses moyens, mais ;lorsque l’on s’aperçoit que pour chacun lrs moyens ne sont pas les mêmes, ou plutot : peu ton s’apercevoir de cette chose, comme quoi chacun aurait ses propres moyen s que l’autre n’aura pas obligatoirement à un  iveau simùilaire, ou comment expliquer cet état de choses ? care l’intellige,nce n’est pas une chose avec des limites graduées, cela n’est pas, l’intelligence est une donnée savonneuse, il s’agit d’une sortye en soi de brouhaha pl;us ou moins audible (le même pour tous) mais quye chacun-chacune ne pourra capter d’une manière qui soit pour tous et toutezxégale, non, la cxgose est autrte, il s’agit d’un brouhaha mental qui fait que des choses sont pensées (organisées) de tezlle ou telle manière en soi et selon les individus, et cette organisation aura pour effet la conscientisation phrasée de choses et autres qsui sont pariétales certainement mais plus encore, prairiales, ou rocheuses, en cela que roche ici = intellecft de vie, ame, ou art, ou commùent ? nous avons une sortie à devoir gérer,  celle des mots-betes, et ces mots-betes les voir sur roche (intellect) comme des signes donnés, offerts, signes avec du sens, etc, et ces mots-betes nous lers voulons voir ensemble en confrérie (phrasé) pour une définition allouée à la roche, une sorte de définition sommaire, rupestre, initiale, de ce que nous cherchons en tant que tel (et en tant qu’homme et femme des cavernes) à vouloir instamment figurer, montrer, dire etc, à quelqu’un (une entité) qui serait ecxtérieur à ce v ase clos, or si le vase est clos , alors l’extérieur est int§ouchable, il nous semble à nous (à moi, à nous deux) que si le vase est clos alors commùent «toucher» ce qui en est e xtérieur, ou ce qui en szerait un extérieur, ou comment ? il y a un infini à devoir penser mais comment penser l’infini pour soi ? il y aurait  cet infini à penser,; à comprendre, mais commùent, car si l’infini est infi ni (ce qu il est par définition) alors où s’arrete la vie ? il y a cette chose à devoir penser ensemble, et cette chose est ici pour nous une gageure (l’art de la chose à faire) et cette gageure, qui a un nom (art) est une sorte de pari sur soi, sur son avenir révolutionnaire, et pariétal : un e sorte de tribut à donner (offrir) àb la personne (ou l’être) qui viendra vers vous vous ouvrir ses bras, car nous sommes sur un chemiun, le chemin est un tracé en cours, ce tracé en cours est une épreuve à devoir subir et franchir, il y a cette épreuve et il y a bambi qui nous tire à elle ou vers elle, ellev insisqte, elle veut nous attirer dxans ses filets, eklle veut nous prendre avec ezlle dans son sillage de vie vive (toujours vive), elle nous veut complet, entier, offert en entier, soit des choses pl;eines etc (vie-mort) ou bien comment veut elle ? la vie est révolutionnzaire en cela que la roche est une rotonde, un vase clos, nous espérons pôuvoir comprendre (un jour) une chose : laquelle ? quyi pourra nous aider ? quyi pourra décemment nous aider pour cette chose ? qui peut ? qui fait ? qui a le pouvoir ? qui a en son pouvoiir de fa ire ou dire une chose dure, qui tienne, qui tienne debout ? nous cherchons dans tous les sens mzais il bn’est pas facile de trouver cette personne, ou c et etre,; il n’est pas aisé de trouvezr cet etre autour de soi, il est difficile de comprendre, de savoir, on voudrait mais cezla n’est pas possible, cela ne se peut pas facilement, il faut croire en sa bonne étoile, il faut espérer, il faut avoir la foi, il faut prendre les choses du bon côté et croire en soi et en l’auttre, son prochain, il est bon de penser les choses du temps à la lumière d’une sorte d’horizon nacré-bleuté aux embruns, cette ligne xd’horizon fuyant, cette révolution en cours de route , cette révolution planétaire, il est bon de  comprendre cette chose d’un e sorte de révolution interne (en la vie) qsui fait que nous sommes ensemble (main dans ma main) sur un chemin qyui tourne en rond alors mêzme qu un jour nous tomberons (dans cette bouche ouverte : tombe) et que pour nous deux (?) le chemin s’arretera mais en vérité le chemin ne s’arrete pas, il s’agit de comprendre c ette chose quici ou là il y a aura un trou pour soi dans la terre, etc, un trou pour une carcasse, un e sorte de trou pour corps défunt, etc, et ce trou nous le voyons comme un non -trou, cvomme de la terre qui viendra nous ensevelir, ou nous effacezr ou  , etc, car la vie va son chemin de ronde, il s’agit d’un chemin pariétal planétaire, rotonde, looopings,, une chance pour soi, une chance redoublmée,, triplée, etc, nous faisons dees boucles, nous sommes en roche comme dans un bateau, une  c aravelle qui va sur l’eau et fait cent fois le tour de la terre ,  cette pelote, une caravelle des temps anciens, une sorte de belle embarcation rustique aux a bordssds, nous avons pour nous cette chance de savoir  et de pouvoirnous immiscer en pareille roche du temps pariétal, en cette roche dure du temps imparti pour une vie révolutionnaire, je regarde les embruns devant moi, je meyts un pied debvant l(autre, je marche sur un chemin tracé qui est celui de cvette mer qui s’ouvre à chacun de mes pas comme un fait exprès, je suis révolutionnaire, je suis sur un chemin de roche et m’enfonce dans un temps de roche, je vais en cette roche comme ver dans une pômme, je suis (serai ?) révolutionnaire en cette chose d’une sorte de capacité acqyise à présent qui est celle cde pouvoir entrer à loisir en pareiille roche du temps et là : me bercer d’illusions, rever, croire en xsa bonne étoile, naviguer, charger avec les buffles et les aurochs ou bien sautiller avec bambi deesx prés ou des prairies, au choix

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22/03/2021

je vois les embruns, je marche sur des pierres au sol, je regarde ce qui se trame en pareille roche du temps et je vois toutes ces bêtes qui devant moi caracolent de concert, je vois toutes ces bêtes aller et venir en sarabande tout autour de moi, et ces bêtes me regardent instammen,t, elles sont fortes, elles ressemblent à des obus, elles foncent direct, elles ne lésinent pas, elles sont comme un bloc qui va vers sa proie (moi «en l’occurence) et ne regardent pas à la dépense, elles sont fortes et foncent droit vers un «moi» de roche inséré, intégré fissa, etc, car je suis ezn roche comme un homme des cavernes était, je suis dans la roche du temps intégré comme homme des vcavernes : en apesanteur, je vais vers des betes de roche qui sont temps présents de pareille paroi du monde et là, en cet endroit de bout du monde, je regarde passer ces betes de poids qui vont et viennent incidemment comme des betes qui occupent un espace circonscrit, espace des allers et des venuees en roche du temps, betes de somme, betes fauves, aurochs de paroi et autres bisons des roches, ours des cavernes et autres chevaux en cavalcade, nous sommes plusieurs, nous regardons ces betes de roche, je vais vers elles imprudemment car elles sont costaudes et pourraient vite fait bien fait m’égratigner, me blesser, voire me tuer d’un coup de sabot mal placé etc, je vais vers des betes de roche à leur encontrte, je m’avance vers elles en pareilles paroi du temps , je sui pris entre deux feux pour ainsi dire, feux qyui sont des mers, mers qui sont des parois latérales (côtés de cette roche, côtés nus de la roche du temps) et là, entrte deux vagues redressées comme des murailles, je déambule, je vais et je viens, je suis inséré, je suis pris comme dans la nasse des embruns dorés, je vois des biches, des chevreuils, des betes fauves, grises, noires sur les lointains, debout, penchées, broutant ou caraacolant à qui mieux mieux, je vois ces betes de roche entre deux mers , qui sont betes du temps, et je m’approche d’elles, je suis pour elles comme un homme des cavernes qui tente, encore une fois , de comprendre ce qyui donc ici se trame en pareille roche, en cet espace-temps de la roche dure, celle des grottes, celles des cavernes des hommes de la préhistoire, j’essaie de m’immiscer en pareille roche en prenant un élan et en fonçant tête première en elle, d’un seul bond, je saute et entre en roche de la sorte, pied et :mainsliés comme pour ainsi dire, une boule en soi qui sort d’ici pour aller là les yeux grand ouverts, j’ai francjhi le pas, je suis entré en cette roche du temps et je me déploie à l’envi en elle qui me voit me déplacer en elle comme une bete, comme animal-mot de la roche des temps impartis, je vois cette chose d’une sorte de brebis ou bien de chèvre ou de biche ou cerf (cervidé ? ovin ?) devant moi , je vois sa pelisse et je n’ai qu’une hâte à présent qui est d’aller toucher cette bete des prés de roche, cette hate en moi porte un nom (art) et ce nom est celui que je transporte avec moi en pareille roche depuis le moment où j’ai comme franchi icelle d’un seul coup de tete, je vois cette chose en soi qui est cette biche (biche ?) de roche, je la vois devant moi qui me regarde et je comprend cela comme quoi nous sommes ensembvle sur terre pour aller ainsi ensemble en roche, je vois la biche devant moi qui parle , qui s’exoprime en son sabir de biche, que dit -elle ? que veut-elle nous dire que nous pourrions comprendre ? je suis cet homme des cavernes qyui essaie à sa façon grotesque (?) de comprendre un mot de ce que pareille biche (biche ?) cherche à me 

me (nous ?) dire ici, sur ou dans roche, en cette prairie des embruns qui est cette zone dezs temps impartis (une vie sur terre) , zone de la vie et de la mort réunies (art) comme roche aux embruns salés, etc, roche des embru ns, roche dure des embruns dees bords de mer ouverte, cette mer qui est la mer qui nous voit nous promen,er sur elle (en elle) comme deux amants qui sont ces amants de la roche dure, ceux qui vont en paroi à la recherche d’une vérité    faisant le poids (poids) dans la balance, nous allons ensemble ainsi en pareille roche du temps impartis, je regarde ces betes de roche autour de nous, elles ne nous lachent pas du regard, elles sont fixés à nous , elles se fixent de cette sorte qu’elles font, à notre présence à leurs côtés, nous allons vers elles car nous sommes aainsi en roche comme deux amants de la pierre dure, de pierre dure du temps imparti quyi correspônd à une vie (en bonne et due forme) sur terre, nous sommes deux qui allons en pareille roche et essayons de mieux comprendre les tenants et les aboutissants d’une vie terrestre de roche dure, je m’avance près de cette biche (biche ?) des temps (du temps) et elle de me regarder incidemment, sans défaillir, sans tourner la tête, en campant wsur ses jambes à la manière d’une sorte de statue des prés, elle me regarde et essaie de me contenir (ainsi) par son regard, c’està dire de me garder tout le temps à bonne distance d’elle, elle veut se protéger, elle veut comprendre ce que je suis pour elle en tant que da nger pôtentiel et si oui ou non je suis un danger, je vois qu’elle ne me quyitte pas des yeux, il s’agit pour moi de bien voir cette chose de visu, de bien répérer ce que pareille bete envisage en me revgardant de la sorrte, veut-elle me troubler comme eau d’un lac ? veut elle me prendre dans ses filets (rets) ? veut elle en découdre avec moi ? veut elle ma mort pariétale ? veut elle ma mort rocheuse, une mort de roche pour un temps réduyit de vie xsur terre ? que veut elle «à proprement parler» ? zque désigne t elle par son regard, son tracé de déambulation sur roc ? que veut elle exprimer que je puisse comprendre et que je puisse ruminer à ma façon ? je ne comprend pas ce que cette bete devant moi essaie de me dire, de me montrer, ou de me faire comprendre; je voudraios savoir ce que pâreille bête essaie instamment de me dire, en  cette roche du temps, mais cela n’est pas favcile, car je suis un être de peu, je ne suis pas fort en thème, je le regrette franchement et cependant les choses sont ainsi que je dois me promener en roche abvec mes carences, et aller ainsi vers une biche d’attrait, celle ci qui me regharde ou bien telle autre qui se trémousse au loin, les oreilles dressées, etc, pour me charmer et m’attirec à elle, je vois ces betes qui se trémoussent, qui caracolent, qui vont et viennent sur roche, je suis entouré de millierts (?) de betes de somme , de rochge, de poids ou pas mais vive, musclées, tenaces, robustes, nerveuses (toutes en nerfs, etc) qui sont ces betes du temps imparti, sorties (pour la plupart ?) de nos trous de bouche comme motss pour un devenir, ce sont des betes de roche dure, elles sont cvostaudes et vont sur roche volontairement, bien campées sur leurs piliers etc, betes de roche du temps imparti incertain ou comment désigner pâreille roche des prés ? nous sommes deux qui faisons ce chemin par(iétal , je vois cette bete devant moi eyt comprend que cette bete est bete de vie rocheuse, cette bete que je dois comprendre pour en avancer et aller plus loin vers les embruns, je vois que cette bete est là devant moi qui essaie  1 de me guider et 2 de mee dire quelque chose mais quoi en vérité ? j’ignotrte tout de ce qu’elle cherche à me dire, que veut elle dire avec son regard, son trépignement, ses sauts de roche, son temps pariétal, ses embruns et cette musique dfe fond qui nous hante , que veut elle dire ? que désigne t elle ? qui est en elle ? que cache t elle ? quoi est caché en elle ? qui de quoi se cache en pareille bete ? nous voulons essayer de comprendre un ensemble de données rupestres de base, ensemble qui expliquerait le pourquoio ou pourquoi des hommes des cavernes ont entrepris pareille représentation sur roche, pourquoi et comment, mais voilà, nous sommes trop fins, trop instruits (?), trop ceci et pas asserz cela pour réelmlement comptrendre les tenants et les aboutissants 1 d’uyune vie sur terre, et 2 de pareilles représentations rupestres, il s’agit pour nous de bien cerner ce qui en pareille roche du temps se joue sous nos yeux de chercheurs et de chercheuses, mais cette chose est ardue, cdar il y faut une persévérence de bon aloi, une ténacité de belle durée, un volontarisme assidu, une entrée en matière  mordue, etc, nous voulons que les choses soient ainsi que nous les désignons, nous voulons que les choses soient ainsi que nous les nommons, etcf, je vais sur roche à la recherche d’une vérité dee roche, je m’avance sur pareille roche à la rechertche d’une vérité de roche, il s’agit pour moi de comprendre cette vérité à la lumière des embruns, d’une mer bleuté qui réflécghit sa belle pelisse aux vagues dorées, je vais vers une mer de roche dure, je suis pris en tenaille par deux (pour ainsi dire) bras de mer, je suius pris dfans les bras de cette mer devant moi qui est une mer ouverte comme une porte sera ouvertte ou comme une fenêtre sera bel et bien ouvezrte sur un pré, un champ, une zone prairiale de recherche ardue, etc, qui sera cette zone aux mille scintillements de vie vive, qui sera zone du temps dévolu, offert, comme une sorte de don en éc hange, il s’agit de le comprendre, de comprendre pareille situation de roche, pour soi, pour plein qui viendraieznt se joindre à cette cohorte que nous formons à tous, que chacun de nous forme à sa façon en s’accolant à un ensemble (grand) de betes  jointes, accolées, tressées entre elles , formant pique (pic) d’entrée en matière, je suis en roche comme cette pique d’entrée dans une matière meuble (ici ) ou d-ure (là), je suis en  ette roche comme une sorte de pic de roche assidu, je suisq en pareille roche comme un homme des cavernes qui va et joue son va-tout pariétal en nune sorte de lévitation rupestre, de belle remontée de roche, etc, je suis en cette rochge du temps comme l’animal dans un champ fleuri de roche temporelle, de paroi de grotte, et c’est à l’intérieure de ce champ que je me permets pour le coup de gambader à ma guise, de tourn ebouler à ma façon toute printanière, à ma façon de bete-homme ou qui suis-je pour aller ainsi, en pareille roche du temps imparti, qui suis je pour ainsi aller et me placer en cette roche comme un osselet dans une main ouverte, qui ? hje vais squr roche, comme va l’enfant sur la pierre (jouer) et cela est une chose qui reste inciddeement à souligner ici ou là sur des parois, sur des affiches, sur des supports propres à recevoir les informations qui co:mptent (qui font le compte) , je m’avance vers la biche , armé de toutes mmles informations de base, et vers elle allant je vois que je suis guidé par en moi comme une sorte de troupeau de betes-mots qui vont en bouche en moi et de ma boucxhe sortent à l’unisson «à la une à la deux» pour aller se ficher sur roche fissa, se ficher fissa sur paroi et ornementer icelle à base d’aurochs ou comment dire ? je vois ces aurochs et ces bisons sortir de ma bouxche et aller fissa se coller sur roche, faiore ainsi, aller sur roche se coller comme des post-it ou comment dire ? des écailles ? nous essayons de comprtendre ce qui se joue sur pareille paroi du temps , et pour cela nous avons besoin d’entrer en roche (de concert de préférence») et en roche xde nous immiscer en son sein secret, au plus intérieure de cet antre qui est l’antre de la vie et de la mort : je vois cette chose qui est une biche devan,t moi, et cette biche est la biche de la vie et de la mort réunies (pour ainsi dire) dans les embruns, parmi d’(autre bêtes de féerie, au milieu des embruns de bord de mezr, parmi d’auttres bêtes de choix qui sont bêtes de féerie, comme aurochs, comme antilopes ou bouquetins, je vois ces betes qui vont et qui viennent sur roche et semblent me faire des signes de bienvenuee (?) ou bien de qiuoi s’agit il ? je vois ces betres sur roche qui sont beters de roche dure, comme betes-mots de roche des temps, qui vont caracolant incidemment à même a paroi, qui vont sur pareille paroi de roche débouler et se tasser, se chevauchger, s’agglutiner, se couvrir, se placer en quinconce ou tête bêche, etc, ces betes sont des betes furieuses, des betes folles, desz betes fortes comme un alcolol fort, il s’agit ce betes massives (un bloc) qui vont sur roche du temps, se déposer et occuper un ensemble spatio-temporel en particulier, celeui d’une vie allouée (,nomiunativement) à tel ou tel être pariétal du temps imparti, d’un temps de roche dure imparti à tel ou tel individu de caverne, d’aven ou de gouffre, il s’agfit de comprendre cela (cet ense’mble) à la lumière des embruns de roche, dans cxet entre-deux pariétal du temps (le passé et le futur en tant que vagues, dressées de part et d’autre d’un tracé de roche) , il s’agit dxe comprendre cette chose d’une ouverture effectuée à même la roche avecque des mots-betes de prrix, de poids (etc) qui sont les mots que nous avons en vbouche (tous) pour nous exprimer, pour correspondre, pour nous communiqer des informations de roche, etc, ces mots de poids (de prix) qui vont sur roche se fixer et traverser icelle incidemment , comme un pic de roche pointu enfoncé dans la chair d’une bete de cghoix, etcx, nous comprenons que cezla a une uimportance ghrandissime (grandissante ?) et que pour nous cette chose est telle que nous sommes à nouveau tous deux insérés en, pareille roche cdes temps, nous sommes nous deux à nouveau insérés , pris en otage, pris et prise, etc, comme deux amants de roche,  deux qui vont à l’intérieur d’un e sorte de cavité (rotonde) qui est celle d’une sorte d’antre qui est celle d’une sorte de ventre de balaine, de panse, de trou où se loger (un trou dans laroche ) ou de trou donné par une sortye -de bete des prés qui désigne, montrte, incite, etc, à nous lover, l’endroit où nous lover, nous agissons, nous sommes deux qui dès lors nous devon,s d’(agir et d’aller en cette roche des temps comme deux amants qui sont des etres qui se rega rdent dans le blanc des yueux, qui foncent en roche, qui se jettent en elle tete première, qui ne lésinent pas sur les moye,ns, qui en ont sous la semelle, qui fracassent, qui percutent, qui perforent la roche du temps et vont à se placer en elle (sur ?) pour se loger ou se lover et se blottir l’un l’autre l’un dansl’autre , je sais que bambi nous regarde, elle est la bete qui regarde les ébats, nous penseons quye ceztte bete de roche devant soi (cette bambinette) est une bete qui regarde avec insistance, qui n’en loupe pas une, qui ne quitte pas des yeux notre mobile, ce mobile que nous formons en nous blotissant l’un l’auttre ou l’un dans l’a utre, nous savons cela comme quoi vcette bhambine est un bambino ou une bambina des roches du temps et que dès lors elle est cette bête-mot de roche (dure) qui comprend beaucoup de choses malgré elle (?) ou tout au contraire : de son pl;ein gré, nous voyons cette bhambine quyi est celle qui sait des choses en grande quantité , pour ne pas dire  : tout, qui sait beaucoup du moins, qui connait beaucoup, qui sait un grand nombre de chgoses sur ce qui se trame sur la terre comme au ciel, elle voit tout de tout car son oeil est large et grand ouvertt comme  cezlui d’un nouveau né, elle en connait un rayon sur tout ce qui existye icxi, à la surface d’une roche spatio-temporelle comme celle ci qui nous voit déambuler sur elle, qui me voit me coller à telle ou telle ame-soeur de roche, etc, cette roche est cette zone pour soi où donc pouvoir se blottir dans les bras d’une sorte d’(ame-soeur de paroi, comme une amie chère (de chair et d’os = physique) qui seraiyt l’amie des embruns, le ou la guide à devoir suivre incidemlment un long temps et à ne jamais quitter ou perdre de vue, nous le savons, cette amie à ne jamais perdre en chemin, nous sommes informés de cette chose qui est à savoir (toujours) , à ne pas oublier, au risque d’y laisser des plumes (la vie) sur roche et de ne plus jamais pouvoir crapahuter en cette roche (pariétale) des temps, au risque de perdre le nord, etc, cvomme on peut le perdre, comme il n’(est pas rare que l’on puisse le perdre, etc, je vois tout cela, la biche et les embruns, la paroi mobile (meuble ?) , les biches de pré, les cervidés comme un orchestre de bonne renommùée, les nuages dans le ciel qui se fait me,naçant, les bisons de roche, les traits au charbon de bois, cette compagnie de paroi, nue et décidée (vol;ontaire) pour aller en pareille roche à la recherche d’une v érité, je suis bambinette, je la suis du regard, je marche après elle, je ne veux pas la perdre de vue, je comprend cette chose ici d’un art des pârois du temps qui est l’art d’une sorte de folie-furie d’(introduction massive, fissa, e,n  roche commùe ailleurs dans une vie autre, ou où ? car je suis, devant la vie ici des embruns, comme devant une donnée de base, informatrice, qui dit sa choselentement pour une dès lors plus grande compréhensuion des choses (des lieux) en présence, pour une compréhendsion plus aisée des choses et des etres en présence en  ette roche pariétale de ce temps d’une vie à vivre via l’(art = l’art d’aller, en roche du temps, graver la pelisse d’icelle ? ou comment s’exprimer  simplement ? car la vie ici (en roche) est une vie de bon aloii, vive mais ferme, dure mais tracée, folle mais tenue sur ses pieds de vie tenace etc, nous voyons cette choses ensemble, je m’(avance d’un pas, elle s’avance d’un pas, nous sommes deux qui nous avançons d’un pas, nous noius avançons et comprenons de concertt beaucoup de chgoses ici (de roche et de temps) car nous sommes deux  qui cherchgons à la bonne fortune du pot des vérités de bon aloi, rustiques en diable, dépoitraillées, délibvreés de tout un ta s de carcans (de carquois ?) les brisant menu, etc, nous voulons nous intégrer à cette paroi de roche (en son sein), comme à l’intérieuer d’une roche dure (celle d’une grotte) un tracé animalier (aurochs ? cheval ? bison ? furie ?) qui sont ou qui est (ce tracé), qui sont (ces mots-animaux) la représentation précise, soignée, d’une vérité temporelle, d’une vérité pariétale ancestrale, d’une sorte cde vérité des roches en tant que vérités du temps imparti, ce temps de la roche dure , temps impaerti pour une vie à vivre de cvoncert (à plusiuers et non en solitaire) sur terre, je vois cela comme une évicdence, poour moi il sz’agit d’une sorte d’évidence à bien capter ensemble (de concert) et à) colporter p^lus loin (toujours plus loin) pour d’autres tribus ou peuplades que la nottre, nousq nousavançons sur roche du temps, armés de charbon de bois, et nous dessinonsq sur la roche qui une antilope qui un chevreuil, je vais sur roche armé de mon bâton et je grave sur la roche , ou dessine, et ainsi faisant je m’incrusqte, kje me loge, je suis comme en une sorte de lévitatation accidentelle (incidente ?) à tracer ici dees mains surnuméraires et là des ours de cabvezrne ou autre lion de ces mêmes cavernes ou grottes de roche, je voisd le lion devant moi, je vois l’ours devant moi, je vois ces betes qui sontr des betes de première main, qui vont sur la roche et nous dévisagent, elles nous regardent en profondeur c’est-à-dire deans la profondeur de laroche dure, elles ne nous quittent pas des yeux, elles sont ces betes à reghard fixe , qui jamais ne lâchent leur «proie» des yeux pour ainsi dire, et je suis la proie, et elle (ma compâgne, mon amie) est la proie car nous sommes liés par un contrat lui-même lié à une recherche qui est la recherche xde la v érité des choses du monde, il s’agit d’une vérité caché&e en roche (en grotte) nous savons cela, je vois en bambi (devant nous) cette bete au contenu fort, qui connait les arcabnes du monde et pourrait me renseigner (nous renseigner) plus facilemeznt que d’aucuns ne sauraiebnt, car elle est la bêtre des lieuxd, elle est l’inbstigatrice ou bien la guide, ou bien cette bête de roche qui va vers les  embruns bleutés d’un fond de vie (fond pariétal), cette lumière mordorée = du fin fond qui est lumière acidulée, qui est une lumière à devoir rejoindre de concert (une tribu entière ? ) et à toucher du doigt pour ainsi dire mais le peut-on ? nous ne savons pas vraiment si en effet nous pouvons ou si au contraire nous ne pouvons pas, nous ne xsavons pas mais nous espérons savoir, nous voulobns savoir des choses, nous voulobns comprendre enxsembvle des choses, nousespérons pouvoir comprendre un jour ensemble des choses qyui seraient pour nous capitales et les bienvenuesz, je vois cette chose devantt moi d’une vérité capitale, comme embruns nacrés, comme ciel de traine mordoré, comme luminosité luminescente à mêzme un horizon lointain, une entrée ? une sortye de point de chute ? qui sait ce qui nou!s attend en fin fond de roche , l’art de la fuyite ? quoi, que je pourrai ici noter (donner) qui serait comme une vérité de poidfs cvomme ailleurs aurochs ou bien zébus, quoi dire ? que dire de pareille roche d’une destinée lumiszcente , lumineuse, quoi dire ou que penser de ces embvruns lointains avec biche dessinée ezn ommbre chinoise ? je vois cette roche devant moi et je comprends que cette roche est cette roche d’une destinée incluse dans la profondeur d’un temps alloué (imparti) pour une vie à vivre de concert (à plusqieursq) autour d’une sorte de foyer central, je comprends que cet ensemble ici de choses est un ensemble dévolu à une vie terrestree, la vie ici est cette chgose que nous comprenons comme étant une sorte d’enclave où pouvoir se loger à plusieurs (toute une tribu) et y trouver des choses, comme des raisons, des motifs, etc, pour croire, pour croire ici en des lendemains enchanteurs (?) ou bien en des lendemains meilleurs , etc, car une tribu sur roche est comme un troupeau de mots-bêtes, de mots-animaux, etc, qui sont mots de roche et mots de parois  jumelés, mots-animaux de bord de mezrs, de bord de mer et de mers, car la mer est les mers car coupée, sectionnéec en elle, tronçonnée comme un gibier, etc, je sais cette chose, je vois et sais cette chose d’une mer ouverte (taillée à la serpe) comme joue ouverte (entaillée) comme bouche à mots-betes ou à mots de betes, ou à betes-mots de rocghe, je vois ces betes qui sonht celles d’un anttre, ds’une panse, celle là qiu me constitue en tant que tel, hje sais que cette roche devant moi est une roche de paroles animalières, de dessins-mots qui sont des dessins qUi veuleznt « dire des choses pour eux mêmes ou pour dieu sait qui, nous voyons cxes mots et ces mots nous voient car il s’agit de bêtes-mots qui trépignent sur la roche (un art) d’un temps dévolu à la représentation terrestre(sur terre) d’un mobile foetal (?) venu du fond des âges (des embruns) et vite reconnu par qui de droit en pareille prairie ou pré , en pareil pré de la roche des temps impartis, par (reconnu) des betes allouées à pareille roche, par ces betes de roche dure, bete de roche et de paroi , ou de paroi, qui vont vers nous (tribu) qui voyons ces betes allker incidemment comme mots dans une phrase comp osée, ou comme mots-betes dans un,e sorte de conduit (de perce-roche) animamlier à même la chose, je sais que ce conduit animalier est  ce condyuit de pique-rocher, de pique-roche, de pique-roc, etc, et cette pique est (tres) à même de nous aider cdans npotre recherche de la vérité trerrestre (de roche ?) et à même de nous seconder dans nos efforts de représentation grégaire, car la chose (l’animal-mot) est en nous (antre) comme un feu follet qui brûle sa flamme (verve ? verbe ? ver ?) et fonce fissa à même la paroi pour une introduction-immixtion de première, pour une entrée en cette matière d’un temps dévolu (imparti ou alloué) à une vie (isolée ? ) entière : je vois que  cette chgose est dite ici et là et ne manque pas de m’intriguer, il y a en elle (en cette donnée) à boire et à man,ger, nous le xsavons, je vois cette chose d’un mot-bete, comme une sorte de pique-rocher (§pic de roche) qui va en paroi se ficher-coller afin de  perforer (fracas) la roche du temps (il s’agit d’un art) qui est cettye roche pariétale des embruns, d’une biche en ombre chinoise, d’une musqique des profondeurs, je vois en bambi (bambine, bambino, bambine) une sorte de parole outrée, ou outrancière , un glissement comme sur une tache de givre, etc, et cette bambine est notree (ma) chance en ce royaume du temps pariétal dévolu, cxar elle nous guide à sa façon (rocambolesque?) d’akller et venir sur roche (incidents, hauts et bas, changements inopinés de cap, etc) et bambi dès lors est une chance (ouverte) pour nous qui la suivons du regard, nous la poursuivons, nous nous glissons à sa syuite et nous ne voulons pas en démordre, je suis celuyi qui suis bambi sans la perdre de vue, en essayant continueellement de ne jamais perdre pareille furie de vue, pareil etre de roche, pareille amie chère, car elle nous montre le chezmin à devoir emprunter de préférence, elle nous incite à bien vouloir la suivre et nous glisser comme dans son sillage cékleste;, elle est forte pour ça, elle sait y faire, et nous de nous enchaîner à son sillage, à sa suite pariétale, car nous sommes accros, nous en voulons, nous sommes motivés comme pas cdeux, etc, qui cherchons ensemble (à deux ?) la chose d’une vérité de roche, une chose solide et bhien campée , reproduisible à l’envi (ronéeotypeé ? ) qui fut cette cghose d’une   vérité de bon aloi et de bonne fame, nous voulons ensemble ceztte chose et c’est la raison pour laquelle nous nous infiltrons en pareille rochge des temps et essayons de poursuivre en  profondeur notre petit bnonhomme de chemin de roche, ce cxhemin x’une vie offerte par la bande , à moi à toi, en pareille roche des prés pariétaux, en cette roche du temps fol, ou du temps de féerie, ce temps fol d’u ne mise en demeure frontale, dure de chez dure, qyui est cette chose d’une incursion à l’intérieur d’une roche des temps offertts par des en,fants (bambini) de fond de roche (de p aroi) de grotte, nous voyons que cette choese est dite en toutes lettres sur des sortes de parois à cet effet (dévolus), nous voyons que c ette chodse icvi est dite ou tout comme sur roche au charbon de bois, au fin fond de grottes ou autres cavernes, nous le voyons ca r nous sommes deux (?) pour voir ensemble pareillec paroi ornementée (rehaussée) pour des raisons qui appartienent à l’histoire de l’humanité : je vois l’histoire s’afficher sur roche comme annonce sur une affichette municipale ou tout autre annonce proclamé séance tenante sur place publique de bon aloi, jhe vois que cette chose (une vérité) est une chose à devoir comprendre à plusieurs, au sein d’une langue allouée (offerte à tribu, etc) qui est cette langue de la roche intra-temporelle du temps de la paroi ornée ou ornementée par un homme ou une femme (un enfant ?) des cavernes, l’enfant dxes cavernes est celui qui sait ce qui est (en pareille roche) quyi nous attend, pourquoi cela ? car il entend mieux que personne cette sorte de musique incantatoire, qui déboule sur roche comme un troupeau ce bisons  déboulant de tout leur soûl, l’enfant comprtend par devers lui (?) lkes enjeux qui guident bambi (bambine ? bambini ? bambino ? bambina ? bambinette ? bambinou ?-) verts des embruns ou vers des len,demains nacrés, l’en,fant icxi est celuyi qui est armé pour comprendre à la manière de, c’est à dire à la mùanière d’un êztre de peu (au figuré) mais qui en sait long (au propre) sur les tenants et les aboutissants d’un monde rocheux, d’un monde terrestre de bienvenue, ce monde qui nous a vu naitre, l’enfant peeut voir ce monde, il a les yeux  grand ouverts, il connait les choses des roches, il en sait long car il est biche et faon de biche lui même et voit loin comme dame la biche etc, il voit tres loin en la roche car ses yeux sont perçantsq comme pic de roche du temps, l’enfant est muni (étayé) et peut dès lors en avanvcezr fissa et grandemement sur la voie des connaissances rupeswtres (pario»étales) de la vie sur terre, nous voyons que cette choses est avérée en haut lieu, comme quoi un enfant sait (en sait long) et peut (dire tout) à condition d’etre équipé (muni) d’un langage de féerie agraire, ou comment dire ? des prés, des prairies, des zones rurales ? il y faut pour luyi un,e bonne dose de volonté, de courage, un entrain de tous les diables et alors oui il pourra se prononcer, l’enfant de larocxhe du temps pourra , et dire et faire sur roche, comme un hommùe des cavernes armé de son baton de roche, dessinan,t toute une bande de cxhevaux en calavlcade, etc, l’enfant dees rocxhes (( cdes bambis ?) saura ornezr pareille groote et cela comme à l’intérieur d’une  capsule temporezlle, armé de son baton de roche, en lévitatation, dessinant pour la bande une armée de cxhevaux animés des mêmes sentiments et pariétaux et temporels, qui sont ceux des mots-animaux de bonne (belle) compagnie rupestre, l’(enfant connait les combines et grave que tu graveras sur la roche (son nom ? «bambi « ?) et ce faisant il ws’uintroduit dans la paroi du temps, il est l’animal petit qyui sait entrer dans le temps et n’en pasd sortir d’un moment, car il est armé en lui d’une pique de roche, ou d’un pique-roche animalier (tro:mpe d’éléphant ? de tapir ? ) et trouant la roche de son pic acicidulé, de son pic aiguisé, il entre en veucx-tu en voilà des mots-animaux en ce sqein des seins, il fait entrer des betes-mots à foison , betes-mots qui seront contenus en roche un temps et formeront cohorte animalière offerte en offra n,de (don de soi) pour une maintenue, un maintien de soi en vie, pour un maintien précis et solide, sur roche, d’une bete dessinée au charbon de bois, l’enfant sur roche sait beauycoup cde choses qui pourraient nous intéresser au plus haut chef, et du coup nous avons envie de le questionner et de lui dema nder exacdtement ce quy il sait de toute cette a ffaire de roche du temps et de temps dur de roche dure, que sait l’enfa nt devant soi, cet en,fant de notre futur de vie, que sait-il ? que sa it il des ezmbruns et des ciels dorés ? que sait l’enfant bambinesque de cet horizon nacré qui est cet horizon de fon de mer pariétale (immixtion , in cursion, pénétration) : que sait il de tout cela ? dites nous ce qui est ici en cette roche, qui ressort d’un ordre précis en cela que cet ordre est preécisément celyui d’une sorte d’e bambi -enfant -bnous, szorti de ma boucxhe (tour) pour aller dans  cette auttre bouche (retrou) qui est cette cavité d’un devant de soi perforé (art de la chose) , et nous (je) de comp^rendre ce qui est qui setrémousse devanht nous comme une sorte de chose offerte (don du ciel mordoré ?) à nous qui sommes devant l’enfant bambinesque  (nous ?)   comme des enfants de bord de mer : jhoueures, or oui et non, je ne suis plus cet enfant que je fus, et : je suis toujours cet enfant que j’ai été en cela que je syuis entré en cette roche à la manière d’un eznfant naissant : fissqa et tete première, ouvrant le col (l’encolure) du passage rocheux, e,ntre deux bras de mer pour ainsi dire, et me retrouvant comme dévolu à regarder ce qui se trame, nommé à cet effget, vccomment dire ? xchargé de cette mission ezn p)articulier, qyi est celle de garder les yeux grand ouverts et de ne pas perdre une miette de tout cela qui se présente sur le devant de la scène, cette cxhose en belle découvezrte, ce travail dde sape dans la Vérité rocheuse, roc de base votive, roc acidulé, roc des vérités de roche dure, roches dures de la vérité, vérités dures d’une roche meuble, etc, nous essayons de nous infiltrer en ce coeur de vérité de bon aloi, en ce sein des seins pariétal, je m’avance légèrement, cx’est à di-re que j’avance un pied sur la roche, je marche à pas cxo:mptés, je suis une personne qui n’apas peur de s’avancer sur un chemin et des chemins il y en a pleins pour tout le monde, ici le chemin que j’emprunte est un chemin qui m’est dévolu, qui est un chemin qui porte mon nom, jk’essaie de suivre ce chemin là et aucun auttre car ce cxhemin là est doté d’un nom qyui est mon nom et qui n’est le nom de pezrsonne d’autre, ce chemin ressemble à une voie tracée comme un chemin de vie allouée, on dirait ce cghemin de destinée tel que nous aurions pu l»’imaginer dans nos rêves, je poursyuis sur ma lancée sur ce chemin en particulier , qui est un chemin tracé à même la rocxhge du temps, je m’enfon,ce dans kles sous bois  ou bien je m’enfonce dans lkes hezrbes hautesz d’un e prairie, je sui sorti nu comme un ver en cette roche des prés temporels, je suis sorti nu mais a ccompagné par (avec moi, quyi me tient la main) une ame chère, une amie de longue date, ma dulcinée, celle là qui ne me lêache pâs d’un iota ou alors est-ce moi qui nhe la lâche pas d’un iota ? d’une semelle, je vais en roche comme dans un ,pré ou paissent des betes comme des aureochs ou des buffles, je vais en ce pré avec à m:es côtés une sorte de dulcinée qui est comme u n e â me-soeur de première importan,ce à mes yeux car je vois en elle une perso,nne-ressource, qui pourra me sweconder le moment venu et pourra me donner dsu coura ge, un  courage de bon aloi, la peche en tout, kl’élan xde poursuivre, le maintien en moi-même de données de belle importance à tout jamais, cette chose en moi d’une volonté ancrée d’aller et de venir en roche incidemment, comme b ete de prairie ou oiseau de colonies, je vais sur roches comme une bete-mot du temps imparti, à savoir que je m’avance ezn elle comme armés d’une cohorte animalière, je vm’a vance en pareille roche comme si j’étais mpii même une sorte de bete de rocxhe, animée d’intentions diversezs, qui va (moi) ou qui vais sur chemein de roche dure (terre mère) à l’intéreiur d’un monde nacré (cellyui de la roche native) et comme poussé par en moi des forces qui donnent à la roche sa couleur et ses motifs, je vais en roche comme l’enfant des bois dorés va au sortir des bois vers prairieenlu:minée ou comment dire, noyée de lumière ? je vais en rocxhe cxomme l’enfant des sous-bois sortant s a mine et entrant ezn prairie rocheuse, en pré vert, à la recherche d’une lumière vive, vers les embruns dorés-nacrés de cetrttte roche des prés enluminée ou comment dire ? riche de l:umières diverses ? riche (enrichie) de mille feux sur elle (prairie) ouverte aux quatre vents ? qui peut nous donner les explications qui s’imposent à présent concernant des dxonnées de base sur  c e qu il en est à ce jour des tenants et des abvoutissants cxoncezrnant la vie sur terre pour des etres commes des aurochs , ou des bisons, ou des phacochères, ou des buffles, ou des chevaux, ou des rhinocéeros et autres mammùouths, etc, qui saura nous révéler des choses de poi$ds , qui pèseront dans la balance de la Vérité ? car je veux (nouys voulons) comprendre les tenants de pareille roche et kles aboutissants de pareille prairie); n, nous voulons essayer de comp^rezndre ensemble un tout et ce trout erst devant nous , qyui nous tend les bras comme une mer ouverte (scindée) et qui nous prend en elle (logés) comme oeufs de couvée, etc, nous le voyons, nous deveno,ns à mesure que nous avançons comme betes-motds de paroi de roche, je sais que tu sais que je sais cette chose d’un e progression de notre mobile au sein de la roche, nous sommes ensemlble pour une immixtion de notre mobile commun, je vais à la rencontre d’une sorte de bete de l:a roche et cette bete est une sorte de mot, ce mot est un animal et cvet animal autrefois viva it en moi comme une sorte d’entité de roche incorporée, incorpôrée en mon antre (ventre) et comme voulant dès lors sortir (ce fut fait) d’(icelui par la bande, queue de verbe perforant la roche (l’hymen) d’un  temps impaerti (contenu) comme dans un,e vie ,ou existence pariétale temporo-spatiale, je vois cette chose (devant moi) qui s’agite et cette chose est un mot-bete (animal-mot) qui va sur roche se lover et trouver parade a u milieu de toutes les bêtes représentées, je suis dans s une sorte d’enclave, je m’avance à petits pas, je mùarche nonchamlammen,t sur du sable de roche, je vois bien qu ici des betes me regardent qui se mettent devant moi comme pour me guider sur le chemin de la foi ou de quoi d’autre ? je vois ceztte bete devant moi , qui cherche à me conduire quelque part en un lieu particulier qyui serait le lieu de la prairie du monde, the prairie pour ainsi dire, devant moi c’est à dire deux mains (demain) ooffrrtes ou ouvertes, deux mains ouvertes, qui veulment me prendre et me mener ailleurs comme qui dirzait d’une sorte de mobile, de bébé des rochges à devoir déposer en lieu sûr car ici nous aurons vite fait de nous faire écraser et de nous retrouver comme raplapla en moins de deux, car ici les betes de taille sont puissantes et bougent vite et n’y vont pas de «mains mortes» mais y vont v de m»ains vivantes» , à toi à moi, dans la przairie, fortes comme tout, puyissantes comme des brutes, échevelées dans leur para de sur roche, au cxharbon de bois comme nous dirions, dessinées par des hommes rugueux et tendres à la fois, avaient ils des mots en ezux ? avaient ils des mots sur leurs lèvres ? étaient ils armés de mots en eux , qui eussent pu les mener à bon port sur roche de la vé&rité des choses ici ba s ? étaient-ils armés de mots sensés en eux ? comment et à qui parlaient ils ? en quel (ou quels au p;luriel ?) idiome ? etaient ils a      rmés d’un idiome en pârticulier, mère des idiomes ou père des idiomes , étaient ils munis d’une langue native, la première des toutes premièrewx  et quelle était celle ci ? je voudrais comprendre cette chose concernant cette langue de hommes e,ntre eux de la préhistoire, avaient ils entre eux qui allait et venait une sorte de langue articulée et formée quyi eût pu leur donner la possibilité de dire des choses dirigées, sensées, szolidement arquées, etc, nous aimerions savoir tout cela à la lumière pariétale des ezmbruns de cet art de roche inclus, nous aimerions comprezndre l’affaire en entier à l’aune de cetyte lumière mordorée des embruns rocheux, lumière vive (vivante) comme une vivre de bord de roche, etc, nous voulons ou aimerions savoir ce qyui est pour nous (pour chacun de nous) de cette vérité de la roche dure, remplie de betes dessinées ou gravées, et cette vérité en quelle langue est elle m=entionnée ? nous voulons savcoir ceztte cxghose ici d’une langue incluse dans la roche, comme une sorte de langue enfantine , faite de dessins de betes en cavalcade, une langue des temps dorés, des temps anciens, primaire d’accrochage, langue votive, native, prisonnière des parois, prise dans la roche aux biches des fées, langue dure (gutturale) aux accents de roche, langue d’un e vérité de temps, de dureté, de beauté, langue des embruns et des roches bleutées, etc, nous voulons appren dre cette langue des origines et la pl;acarder un peu paretout sur ces parois de grotte qui attendent pareille remontée de source, et qsui se met ainsi en devoir de nous acceuillirr ensemble (main da,ns la main ?) munis de nos batons marqueurs ou traceurs, je vois tout cela co:mme s’il s’eétait agi d’une scène de féerie avec biches dorés et chevreuils des prés dans un ciel de grotte lévitant, je vois ces betes qui sont betes de poids mais comme allégés par en eux une force souterraine qui les poussent (mots-betes) à devoir grimper et s’élever sur roche de grotte, sur paroi aux mains tracées, etc, je suiis cela du reghard, je vois toute cette affaire avec des yeux grand ouverts de nouveau-né, je vois cette affaire comme de bien entendu avecques des mots-betes en moi qui ne demandent qu»’’ à sortir incidemment (par trou de ma bouche) et aller de ce pâs se loger en roche comme mots de roche -vérités de bhon aloi, ou comment auttremen,t ? car je vois la scène d’ici, il s’agit d’une scène folle, une sorte de féerie poudrée, qui serait une scène de belle venue en roche, comme un acceuil de bienvenue en pareille roche animalière : je tremble à l’idée de ne pouvoir entrer en p)areille roche orneme,ntée, je désire follement cette chose d’une sorte d’incursion en cette roche du temps alloué pour une vie à) vivree cde concert (elle et moi) comme une éternité de roche, de paroi, de roc à sentiments, de paroi à ornements, je sais que cette chose a une ghrande (tres ) impôrtance aux yeux de tout un chacun sur terre, je sais cette chose de source sûre, je comprend tout à fait cxette chose et cette chose je dois dire que je la cautionne c’est-à-dire que je l’approuve et qsue je la sign e avec ce nom qui depuis toujours est accolé (où ?) à ma persoonne, ce nom tortueux, hybride, mal fichu comme une racine, je sais que cette chose à dire est tres en lien avec la tenue (ou pas) de mon nom en ce pré aux biches, je xsais que ce nom dont je suis affublé à tres ou beaucoup à voir avec cette chose d’un e recherche pariétale de données rupestres, il s’agit en effet d’une chose c apîtale et centrale, ce nom donné est auu centre , au coeur de la roche des grottes, nous voulons cette chose la comprendre mieux à deux, cette cxghose nous à deux la voulons mieux comp^rendre et cela est ici que cette chose pour nous (pour moi) est une chose de poids comme aurochsq surr paroi ornementée, sur roche de grotte, etc, mon nom est cette chose que j’écris sur roche, ce nom chantourné comme loopinxg de roche ou comment dire cette vrille sur pâroi, par qui un homme des cavernes ou qui un homme des grottes,etc,; c ette chose ici du nom de famille et du prénomqui l’(accompagne (nome  cognome, etc) , nous voulons comprendre enwsemble cette chose d’un e sorte xd’incursion, dans la roche du nom de famille pour ainsi dire, et cette chose est d’une importance capitale, ce temps de la roche est un temps d’insertion formelle (notrte, ma formesq (s)), et cela est ainsi que nous nous donnons sur roche comme deux êztres qui voulons comp^rendre ensemble (même nom) la verité contenue en elle ‘(§roche) pour l’éternité, je cherche une so;lution à tel ou telk prollbxème de roche dorée, je chercher une so;lution à une sorte de probvlème à devoir résoudre par la bande, en nous im:misc çant à plusieures (tribu ?) dans roche ou dans une roche de grootte, et là : tra cer le nom de la tribu à laquelle nousaappartenons et ce nom est un nom xce bete c’est à dire un nom-animal comme sorti cde nos entraillezs par la bande, à force d’incantation et de piétinemeznts, de danse de tra n,se etde c ris gutturaux, de mains en ap^pui sur roche, et de martèlements pariétaux, etc, nous dezvons nous immiscer en cette roche du temps et ne plus voir ailleurs à chezr chezr des solutions dee roche induyises, des qui seraient des vérités, des solutions de vérités induyises qui seraient des etres, des formes, etc, au charbon de bois, dessinées, ou bien gravées avec des pierres affutées, etc, nous voulons essayer d’alller tres trezx tres tres tres tres loin en pareille roche des:mots-animaux à la recherche (incidemment ?) de notre patronyme à) tous, nom de roche pour une identification superfétatoire, nous essaypons de co:=prendree cela et de ne pas le pertdre de vue : le nom que je porte est mon nom d’emprunt, il s’agit du nom de mes parents, d’une descendance, et ce nom n’est pas le mien à proprement parler, car mon vrai nom (pour ainsi dire vrai) n’existe nulle part à la surface de la terre mais peutetre dans les profondeurs de la terre, ou bien aillezurs, où ça ? da,ns des embruns nacrés,n ou bien dans des embruns bleutés, ou bien ailleurs encore, ou çà ? car je vois la scène en son entier et je comprend que des choses (en intra) se passent en moi, quoi ? des chamboulements de paradigme ? des mouvements (rotatifs) de destinée ? des incursions massives de mots-betes en bvouche ? quoi se passe en moi qui suborore le pot aux roses ? je l’ignore cmais je cherche de toute ma force à mieux m’introduire en pareille roche des savoirs, parmi toutes ces bêteqs de féerie-confrérie, j’essaie ainsi de mieux comprendre l’ensemble des tenants et des aboutiissants contenues en pareille roche dutemps, l’art ici est cette solution trouvée en chemin, pour une immixtion, introduction de mobile) en roche, ou en, roc, ou dans ce rocher de la belle grotte, etc, nous cherc hons à nous introduire dans les profondeurs de la paroi humide , et ce afin de trouver en cette humidité des vérités tenables (tenaces ?) squi eussent pu nous donnert le la (musical par conséquent) pour une en,trée au co:mplet et en bonne et due forme de notre mobile en c e sein des seins pariétal (divin ?) qui est le sein d’un e mer ouverte (scindée comme une vulve, etc) et cela à la lumière mordorée des ezmbruns de ces bords de mer, je vais et je viens en ezlle comme un dératé de bord de mezr ouverte, chevauchan,t sinon la vague du moins les ezmbruns et me portant dès lors au plus loin possible (vix-sible)- qu il m’est donné de p^pouvoir faire ici, avec mes jambes et avec mes pieds, car je suis membré, je suis l’etre auw quatre membres, et je m’avcance sur roche (rocher) à pied, sur mes deux jambes, je m’avance à pied incidemment sur ce chemin de destinée native à chacun de mes pas, je veux comprenddre les raisons qui président pareil engouement vers un lende»main, vers ce demain de roche dure ici ou moins dure ailleurs, je veux pouvoir m’immiscer en c ette roche du te’mps et ne pas (p;lus ?) reculer et tout aucontreaire y aller franco (franchement) avec pic-mot à l’a bor-dage, etc, car je suis muni (membhré) d’un piquous de roche , amené à etre utilisé par la bande sur c ette chose d’un e sorte xd’hymen de la roche dur (?) ou (?) soup^le selon , c’est à dire selon les endroits ou bien selon les moments , je vais et je vien en cette roche comme l’animal da ns son terrier, je m’immisce en elle et essaie de comprenxdre les enjeux de pareille immixtion en roche, j’essaie de comprendre les choses de  ce point ce vue qui me voit déambuler entre deux bras de :=mers, en cette allée de roche libérée,libérée pour des promenades (?) ou excursions de groupê (?) ou bien en solitaire, vezrs des szmbruns fort éloignés dans ces lointains de roche, je-nous avançons en pareille roche et essayons de compren xdre c e qui est ici en ter:mes de vérité à déterrer ou à déceler (désceller) en pareille roche, qui est qui ? qui est quoi ? qsuoi est quoi ? quoi est qui ? etc, nous ne sommes pas en reste de cette chose : nous poser mille et mille questions à brûle-pourpoint, mille et unes questions sur toute cette affaire des mots-betes logés en p)areille roche du tempsq et ce avec comme intention celle de vouloir savoir : 1, pourquoi ? 2, pourquoi moi ? , et 3, pourquoi ceztte musique (mélop^ée) da ns lees embruns ?;, nous voulons essayer ainsi de nous approcher le plus possible de la v&éeriteé des roches et des rocs, nous voulons et je veux, nous approcher, nous positionner le pl;us près possible de cette bambine des prés wqui nous ressemble beaucxpup car n’est-elle pas nousq (je) en définitive, qui va et qui vient sur prairie ? n’est-elle pas nous, qui allons ainsi sur les prés et sautillo ns comme des enfants joueurs , au soleil levant, etc, nous voulons nous approchezr le plus ^ppoossible de la vérité de cette roche des embruns, nousq voulons à tout prix nous approcher le plus que nous pouvons de cette vé rité des roches du temps, ce nom donné que nous portons est le nom offert en héritage, c’est à dire l’héritage par excellence, il s’agit du nom de qUEelqu’un d’autrte, c’est à dire qu il s’agit du nom de quelqqu’un d’autre que moi en vérité (en définitive) car ce nom existait avant moi et m’a été légué comme une croix (à porter sur roche), il ws’agitt  dès lors d’une «drôl;e» de croix à porter sur roche (dure de cherz dure) et cependant il nous est impossible d’y couper, la croix à pôrter est ancrée en nous com^me :mots-betes ou mots de betes en bvouche , et nouys pouvons bien nbous épou=moner et crier à l’envi que rien n’y fera, je suis celui qui est affublé d’un patronyme donné inciddeemment à ma naissance pa r d’a utres qui moi qui eux aussi;, à leur naissance, se sont vus affublés de pareils patronymes pariétaux, musicaux, etc, nhous savons, nous le savons et cependant nous continuons à cherc her dans ce sens car nous pensons que l’affaire est loin d’ettre résolue et mérite un examen approfondi de tous les instants (le te:mps qui passe ne s’arrete pas) , nous pensons que nous devons poursuivre à deux ou bien seuls, cxhacun dans son coin (?N) nos recherches assidues, nous penson,s que nous devons nous projeter sur la paroi (nom compris) et n’en plus bouger jusdqu’à nouvel ordtre et cela afin de bien cerner ce qui ici (en cette matière du patronyme) se jhoue incidemment ou concxomitta=ment, je veux savoir et elle aussi veut savoir et de c e fait nous sommes deux à vouloir savoir ce qui est ici en matière de ressenti lié à un nom (nom et prénom) en particulier, en quoi le nom porté est il u ne charge (croix) comme un quyi aurait à tenir sur lui une misère, en quoi ce nom porté est-il une plaie (de bouche ?) ou une croix sur son épaule, en quoi ce nom de pa roi (mot-animal) a t il à voir avec le sang qui coule dans nos veines ?; nous ne savons pas mais notre ambition est là intacte , qui cherche à savoir ce qui est qui se joue en cette partie d’un tezmps a ffilié à un p)atronyme, via la roche (= la paroi) d’un temps imparti sur la terre ferme, je co:mprend cette chgose comme quoi je me dois de combler i ci ou là des envies de roche-vérité en moi, et si par extraordinairec j’en arrive à proférer quelqe parole intelligible , il s’agit toujours d’une sorte de cha nce ou de sort, ou comment dire cette effraction, cette sortie de soi, pâr la bouche, d’une boule sinon de feu du moins animalière à la diable, c’est à dire échevelée, mal fringuée pour ainsi dire, et qui (boule-pique) va droit se loger en pareille rocxhe de la vérité, roc de la pa roi dure des temps impartis, impartis =  donhés pour l’insertion à demi-sein (?) d’un patronyme, je vois en  cette choses une sorte de déhanchement, d’entrée de guingois, je vois en c ette immixtion une sorte dx’entrée de guingois qui fait de cette immixtion une ghageure, je vois en pareille immixtion une sorte de repli, une sorte d’incursion lovée, une sorte d’(entrée de guingois (de biais) mal fichue d’un mobile de destinée, il est bon de comprendre cette chose dune sorte d’entrée en matière en roche comme ailleurs une pique dans le feu de la lave, ouencore ailleurs un pic de roche s’enfon çant crument dans la chair d’un temps alloué, nous essa yons de nous immiscer en roche comme fer de lan,ce en un ennemi, il s’agit de pouvoir pour nous aller loin dans le domainne de la vérité et des vérités, il s’agit pour nous de nous en,foncer au plus profond (pariétalement parlant) de ce do=maine des vérités allouées, de ce domaine de toutes ces vérités contenues dans la paroi du temps telle qu’eellle se présente à notrte gouverne, je vois bambi aller sur les devants et nous fair signe : que nous veut-elle ? veut elle notre mort ? veut elle notre vie ? quelle est donc la différence ici entre ce vouloir la mort de quelqU’un , et ce vouloir la vie de quelqU»’(un ? il s’agit pôur nous d’une question de laplus haute importance car ici il en va de notre vie comme de notre mort, les deux choses pouvant nous dobnner (à penser) du fil à retordre, que faire si (par extraordinaire) une bambi des prés venait vers nous nous demander quel est nottre nom de famille, devons nous me,ntir ?parler du pape ? que dire à pareille injonction ? que devrions nous répôndsre à une bambine qui viendrait vers nous et nous deman,derait comment on s’(appelle, ? on dirait : spigolon, et c’est marre, ou bien nologips et ça fera ? ou bien comment ? loopings ?

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12/03/2021

nous sommes ensemble, et nous regardons ensemble cet ensemble de motsanimaux ; nous sommes ensemble et regardons akller pareilles vbêtes de prairie et de sous bois ; nous les regardons tendrement : nous avons un faible pour elles ; nous disons nous deux que nous avons, pour pzareilles bêtes de poids, un faible et même plus que ça ; nous disons que ces betes sont pour nous dees betes capitales ; il s’agit pour nous de betes de premier choix ou de première main ou de toute première importzance ; il s’agit de comprendre cette chose comme quoi ces betes, pour nous, ont une importance de grande tenue, de première main, etc ; il s’agit de comptrendre cette chose comme quoi cet ensemble animalier, fait d’aurochs et autrees bisons, est pour nous d’un e importance majeure : il s’agit d’un  ensemble fort, c’est à dire  massif, qui va de son pas lourd en pareille 

roche et chevauche, etc, la roche ; on voit le troupeau, s’avancer massif et tonitruant ; il s’agit de betes de poids, qui pèse de tout leur pesanrt sur la roche des temps ; nous voyons ces betes et nous comprenons alors que leur présence en ces lieux pariétaux , est d’une importance capitale quant à la $chose d’une sorte de compréhension à acquérir concernant des données du monde : qui est qui , qui est quoi, etc ; nous disons dès lors que la bete «forte», disons «forte», est celle là qui trépigne de tout son poids sur la roche et en avance fissa de cette sorte , telle que voilà ce qu’il adviennt : elle est devant nous, elle nous regarde, elle en impose, elle est cet animal de poids qui en impose et pèse son comptant de données rupestres (à déchgiffrer)  ; nous disons que nous aimons ces betrss de poids et m^reme bnous disons que nous les chérissons car elles sont pour nous de «droles de betes» de roche, celles là qui sont comme desprésents offerts en partage ou en échan

ge d’une vie laissée à sa gouverne , etc ; nous disons que nous devonbs comprendre cette chose d’un partage ou d’un échange de bons proocédés entre l’ homme ici (d’un côté) = le graveutr ou le dessinateur, et de l’autre : le dieu de la mort, c’est à dire la mort , car qui dit dieu dit la mort, et qui dit la moert dit dieu ; nous disons dès lors que nous comptons sur ces betes de roche (ces buffles, ces bidsons) pour nous comme «sauver la mise» ; il s’agit pôur nous de comprendre cette chose ici, d’une salvation d’un mobile, à savoir le notre, au sorteir de la roche, en ce sens qui va d’’ici à  là, c’est à dire de cet espace d’avant scène (roche devant soi) à cet espace d’apres scènes : ces embruns nacrés de fonds de roche ; nous voulons essayer de comprendre un tout , et ce tout le cerner à la lumière d’une incandescence mordorée de roche, aupres de ces betes, qui vont et qui viennent à nos côtés et qui sont betes de grosse (forte) taille et fort poids : des monuments pour une parade ; nous cherchons à comprendre ce qui ici se joue parmi ces betes ; nous avons quelqu’idées sur la question , et ces idées nous souhaitons les mettre à plat sur roche ou ailleursq, car elles nous pèdsent tout autant que betes en roche ; nous avbons quelqu’idées sur la question des betes de paroi de ces hommes de la préhistoire  ; il s’agit de «gros mots» animaux ; il s’agit de langages grossiers, de mots de charretier portés comme à incandescence par des hommes des cavernes en transe: des insultes à l’adresse d’un dieu de la mort  = de la mort ; nous pensons que nous sommes deux à le comprendre et cela est une chose ici qsui pour nous a un-e très grande importance , en cela que nous voyons la mort ici comme insultée de pied en cap par des hommes des cavernes, par des hommes et des femmes qui cherchaient continuellement à faire reculer le moment venu, ce moment de la fin d’un acte, etc ; nous disons que cette chose est essentielle ; que l’insulte est primordiale, et génère l’’ivconographie ; nbous disons que cette chose est d’une très grabnde importance et se doit d’être soulignée ici ou là sur roche ou ailleurs ; nous pensons que cette chose est très importante à nos yeux ; il s’agit d’une chose de première main, d’une chose mise haut, qui est cette chose d’une sorte de moquerie, ou de  blague ou autre, ou comment ? envers dame ou sieur La mort ; nous pensons que l’homme des cavernes riait, saviot faire cette chose, et dessinait dans un grand rire manipulé ; il s’agit d’unre transe des esprits de la bete en lui, qui va pour tromper son monde à savoir la mort, avecques pareilles betes de poids censées pouvoir faire (donc) reculer le moment (ici) de l’échéance (etc)  ; nous parlons de cette chose pour nous, pour notre entendeme,t personnel meais pas seulement : nous divulguons, nousessaimons, nous portons à la  c vitrine, nous portoons à la ville, nous portons au public élargi, nous faisons la promotion, nous diffusons etc ; notre but n’est pas de garder pour nous (à part de nous) l’ensemble des trouvailles gé,nérées par notrte recherche assidue ; notre but est autre et porte le nom que nous lui donnons : art de la recherche en roche ou paroi, parmi des betes de masse ; nousd disons que cette chose est ainsi que nous recherchons en roche des raisons d’y croire (à la mort)  ; il y a ici des nbetes figurées , qui sont des mots-n

bêtes, des injures sacrées ou sacralisées ; nous avons la chance pour nous de pouvoir aller loin sur un chemin de roche et comprendre de visu, parmi les betes ellesc mêmes, à les toucher ou presque, ce qyui ici préside aux destinées des uns et des auttres ; cette sorte de foi dans la mort est une foi en un au delà pariétal de roche, et c’e’st ainsi que nous nous situobns sur l’échiqyier de la pensée du monde, de cette façon , deepuis cette roche, ensemble, main dans la main et à haute et intelligible voix ; nous sommes deux à) pouvoir  dire ici sur roche, des choses  concernant : le monde des fées, du nacre, des bambis crapahuta,nt etc ; nous solmmes ensemble, en pareille paroi du temps, pour ce faire, et nous ne manquons pas l’occasion d»’agir ainsi ; nhouys avons pour nous cette chance de pouvoir aller loin en pareille roche , et de nouys y coller ensemble (nez à nez ? ) pôur une réflexion à mener en intra, parmi tant et tant de bêtes dessinées sur paroi au charbon de bois ; l’homme des cavernes est encore en  ous qui nous guide sur nos pas et semble nous parler (sussurer) à l’oreille, comme quoi nous nous devons d’entrer fissa en cette roche du temps, en cet espace intersidéral de la roche, en ce creux de vie morte ou comment décrire cet espace meuble et dur à la fois, cet étage de vie ou espace de rencontre avec un audelà pariétal de première ? nousdisons que nbous avons encore à comprendre un grand nombre de choses en ce lieu de la roche dure parfois (le plus souvent) et meuble à d’autres (quelquefois)  ; nous essayons de comprendre cette chose ici d’une voix en nbous qui nous parle et nous guide sur un chemin dit «de vie et de combat» ; nous disons cette chose comme quoi nous sommes des enfants des rois de la roche, et que dès lors nous passons le plus clair du temps à jouer à tel ou tel jeu de roche ; nous disons que nous sommes des enfants ici qui jouons en roche leur tribut etc, et aaussi que nous sommes enfants  ici qui nous lovons dans les interstices ; nouys sommes deux (elle et moi) qui allonbs par ces chemins de cvie de roche, à la recherche de  bambi la belle, ou bien d’un troupeau de mots-aurochs ; nous diso,ns que nous sommes deux, c’est à dire elle et moi, c’est à dire elle, mon amante, et moi, son amant, c’est à dire elle qui sezrait une drole de femmme pour moi qui serait le drole, du service pariétal, ou de ce service ; il s’agfit de cette chose en nbous qui est un rire pour le coup  de bonne foi et de bonne fame :  une raison d’y croire dans la joie ; nous disons pour nous que croire en lma moert c’est croire en dieu, et que croire en dieu équivaut à croire en la mort, ou quelque chose de cet ordre là ; nous pensons que cette chose ici est cvapitale et nous concerne voire nous regarde ; quoi ? la mort à nos basques ? ou bien  cette bete devant soi qui nous regarde dans le blanc des yeux et semble bnous interpezller ?  ; nous pensons que dieu = mort, car la mort est déifiée en ce sens que la mort est l’inconnue du temps du devant, cette chose en soi déposé à nos pieds etc ; il est bon de comprendre toute cette affaire de droit divin, de mort de l’ame, de conduite aux abysses, de nacre du ciel etc, selon cette chose d’une sorte de mainmise de la vie sur roche, sur paroi, vis à vis d’un ciel de vie autre, caché par la bande , et qui est ce ciel (différent) de la mort à l ‘oeuvre ; il est juste de voir en ce ciel une sorte de perdition, ou comment ? une sorte de finitude ? il est bon de comprendre des chose, et ces choses les déposer, et cela fait nous allons plus loin derrière la bambi qui nous interppelle et nous incite à bien vouloir nous enschainer à elle (à satraine)  ; nous disons que nous aimons cette chose d’une biche des ^prés qui nous accompagne à sa fgaçon et nous maintient eainsi dans un bon-vpouloir motivé et adoré ; nouys voulonbsfaire cette chose d’un trajet à ses côtés, et nous le faisons car nous sommes comme sous le charme (hypnotique ?) d’un regard de biche ; il est bon d’agir de la sorte et d’aller ainsi son chemin de roche ; il est bon et juste d’ain si aller et d’entrer profond dans la roche du temps, celle là qui est cet espace de vie allouée pour une apres vie de première, ou bien pour un after de vie de roche ; nous pensons que cette chose a dxe l’importance et nouys regartde ; il est bon de le comprendre ensemble, ; soit main dqans la main, car nous sommes main dans la main ;: nous tenons à le rester ; nous sommes main dsans la main et nous tenons à ne pas nous désuunir, à rester accouplé ou accolé ainsi, comme deux enfants qui pour le coup traverseraient ensembvkle une prairie  remplie de betes, de betes de charge, deux qui ne se lacheraient jamais en pareille situation de dangher ; nous sommes entrés e nsembkle dans la paroi ; il s’agit d’un espace de vie autrte, espace autre de vie pariétale, hors la vie,  hors la mort, en cet entre-deux pariétal de roche, qui est l’entredeux de l’art des cavernes etc ; nouys pensons que l’art a à voir avec la question de la roche meuble ou pas meuble ; l’art est mobilier pour ainsi dire, c’est à dire tourne autour de la question du mobilier des roches ; il s’agit de le comprendre ensemble car ensemvle lka cxompréhension prend un autre tour et se porte loin dabvantage, va beaucoup plus loin, car étayée par quatre jambes, quatre bras, deux tetes, deux sexes etc, et donc se présente comme étant beaucoup plus stable et fiable ; nnous pensons que nous devons poursuivre ensemble ces recherc hes (cet ensemblke de recherches) portant sur ces questions liées à l’art, car l’art est, pour ainsi dire, la pierre d’achoppement de toute l’affaire ; où se situe l’art sur l’échiquier mondial des choses du monde ? nous disons : dans cet entre-deux pariétal  ; ok  ; et où se situe l’art en cet entre-deux pariétal ?  ; nous dirons : parmi des betes de poids, des betes lourdes etc ; c’sst ainsi que nous voyons les chgoses ; kl’art a à prendre sa place au milieu des  betes de roche, au milieu d’un trpoupeau de mots-betes pour ainsi dire, de mot caracolant à sa vitesse dans le temps, vitesse de bon rendemeznt, de bon aloi, vitesse ici des profondeurs de laterre meuble d’une roche dure du temps soit du temps imparti sur terre ; il s’agit de comprendre l’art comme étant cette chose de dépôt qui vcient s’interposer entre x  (quoi ?) et y ( qui ?)  ; nous cherchons encore (comme on le voit) des éléments de réponses , mais enfin nous progressons, nous avbançons à notre rythme, nous solmmes sur un chemin qui nous mènera où bon lui semblera et, le chemin fait, alors nous pourrons dire que la chose a été accomplie (d’une certaine manière) et ne reste pas dans la sqouffrance (en souffrance)  ; on voit de fait que l’entre-deux, l’entre-deux pariétyal, est espace des buffkles, des aurochs, et aussi de bambi, et aussi des embruns de bord de mer ; noys comprenons que nous devons agir ainsi que nous le faisons, et cette chose pour nous est d’une importance capitale ; un tiens vaut mieux que deux tu l’auras dit on , et ici ce tiens concerne cette entrée en roche fissa , la tete enn avant, d’un bond d’un seul, en une zone de prédilection, en ce trou de roche assorti, etc ; nouds peznsons que nous avbonsà aller loin, en cette roche du temps, et là, en elle, voir venir les choses = cette biche des embruns ; mais aussi : cette bouche de la mort sévère ; nous pensons que nbous devon,s encore et toujour p^rogresser en pareille rocghe du temps et nous lover en elle, et offrir de nous nos souffles mélangés, communs, et vifs ; nous devons comprendre ici que nous avons à faire encore pas mal de recherches en ce sein des seins paréiétal, et ces recherches les mener , autant que possible, de concert, main dans la main , au beau milieu d’un troupeau de cerfs ; nous pensons ainsqi que la recherche de la  vérité passe (immùanquablemnet) par une immixtion en cette roche du temps, via l’art ; il s’agit de comprendre cette cjhose et dene pas s’en écarter plus quil ne faut ; il est bon de comprendre cela (que nousdisons ici en roche) comme quoi l’(art est ce chemin, intrapariétal, allié à un souffle, quyi va son chemin du rire fou, ou de la plénitude corporelle, etc, en pareille paroi ornementée ; nouys pensons que l’art est cette notion, ce don aloué, ce depot de munitions ou de présents sur roche, etc ; nous pensons à l’art comme à une chose lié au souffle de la vie, et qui (souffle) vient à se voir déposé sur roche (soufflé craché) comme auteefois un homme des cavernes, etc ; l’art est soufflé ; l’art est propulsé car il éoppouse (imma nquablement) les parois mobiles du temps (vagues dressées de part et d’autre, etc)  ; nous disons que l’art dès lors est lié (très) au souffle de vie , ce souffle opccupé par la chose en  nous animamière, ce crachat sur roche ou bien ce pic d’entreé vive en pareille pierre ; nous pensons que nous devons faire cette chose ensemble en pareille roche, à savoir larecherc  he de la vérité sur terre, concerna,nt l’eznsembke des données de roche, des données de paroi céleste, etc ; nous pensons que cela est une bonne chose pour nous (là, en roche) de pouvoir agir dans ce sens d’une immixtion totale de nos corps et autres âmes, etc ; la chose est connue ; nous disons cette chose comme quooi nous sommes témoins de la mort des auttres et que dès lors nous croyons au phénomène de la mort en tant qu’arr^t du coeur, etc, ; ; cela est indubitable, il va sans dire ; et cependant, nous pensons que la mort pour soi est une autre affaire et ne ressembkle pas à celle des autres (et pourtant si ? )  ; nous pensons que la mort en roche est une en-vie de vivre persistante via un art du dépots de presénts et autrees cadeaux, au pied de la bete élue (bambi ?)  ; nbous disons que nous sommes deux pour agir, ainsi que nous le faisons, en pareille roche du temps qui est la roche de tous les tourments et aussi de toutes les joies ; nous disons c ette chose comme quoi nous sqommes ensembvle en pareille roche pour la bonne cause, à savoir pour essayer  , de sauver sa mise (= sa figure, sa mine) en essayant de faire ressemblant le plus possibke et cela au charbon de bois de préférence ; il s’agit de bien se figurer  la chose, comme quoi nous sommes deux qui allons en pareille roche à la recherche de données rupestres de première mpain , utiles ô combien à une compréhension de masse desdits élélements, etc ; nouys regardons la roche en ces lointains, et notre présence en cette roche = l ‘oeuvre ou comnt dire ? car il est bon de voir cette chose ici d’un élément nouveau à souligner,n quyi chercherait à faire jour, à voir le jour venir, etc, à voir sur lui le jour venir ; nous voulons comprendre cette chose d’une voix qui gronde depuis kles ezmbruns (lointains) et semble s’adresser à nous en priorité (vrai ?)  ; nous voyons les embruns au loin et percevons cette voix de roche , gutturale enn diable, et qui swemblevsoudrdre des ez,ntrailles de terre-mèr ; qui est elle ou squoi est elle ou d’où provient elle et à quoi ressembvle t elle ?  ; nous essayons de comp^rendre cette voix ce quil en est exactement ; nous voulons essayer de com^prendre ce qui est (ici) en matière de voix entendue (gutturale : «on entend des voix!») et cette voix l’isoler pour nous, la comprendre en roche comme réponse à une question, mais laquelle ?  ; nous entrons en pareille paroi comme à l’intériuer d’un e é glise vide ; nous sommes deux qui entronsc en pareille église ornementéee  ; la paroi est une églkise ! la paroi de lka grotte et commùe une église ! ; la paroi de l’homme des cavernes est une église , quon se le dise !  ; on voit cvette paroi de grotte en tant qu elle est (serait) une sorte d’église (de branche votive etc) qui serait le lieu de la vie et de la mort regroupée (accoulplész)  ; nous voyons cette chose d’une cvie liée à la mort en cette roche, et cela est une chose à dire haut et fort = l’art ; nous voulons comprenxdre e,n cette roche)église les tenants et les aboutiissqants de pare ille roche creuse, cave ou anttre= église aux fidèles entrés par la bande tete première ; nous essayons de comprendre ce qui est ici en cette roche, sur lze plan de la vérité à découvrir à deux, en roche dure et ezn roche meuble, etc ; les betes-mots sont des betes de charge qui, en tant que telles, peuvent parfaitement peser dans la balance d’un dieu attentif (?) ou pas trop, mais qui attend apres nous et notre coeur, notre organe ; il est bon de soulign er cette chose de temps à autres et de ne pas perdre de vfue comme quoi la vie (et la vérité la concernant) est une et indivisible et comme quoi la mort est pour le coup une donnée comique en cette cghose qu’elle n  ‘existe ici que dans l’espace circonscrit de terre mère (comme su) mais point du trout en cet ezntre-deux pâriétal de roche, bord de mer aussi bien, qui est espace de vie-mort accuouplé ; nous pensons que nous avons à faire ce chemin (vie-mort) ensemble, à la lueur des torches de la fgrotte ; ici nous pensons à cette lumière, comme à une sorte d’enveloppement des  choses du monde ; nous voulons comprendre et respirer, poser et souffler, tenir et aller, sauter et poser son tribut, sa pièce, son etre, sa chance au jeu sur roche comme autant de betes-moots df’emprunt pariétaux (et temporaux, ; temporels ? )  ; nous penso,ns que nou!s avons de fait à deposer cet art, art de la fuite en roche, sur pareille paroi du temps ; lm’art est cette fuite pour le coup de capitaux, vers des paradis fiscaux de première main = cet espace en entre-deux d’une roche dure ici et mùeuble là, offerte au partage des données du monde ; il est juste  de comp^rendre ici les données rezceuillies à travers toutes nos recherches ; il est bon de comprendre ces recherches (réitérées) colmme celles qui pour nous reprédsenteznt quelque chose de capital au sein de nottre vie sur terre  ; nouys essa&yons de piger-comp^rendre ou cerner-saisir ce qui donc ici se trame de la vie et de la mort en roche (paroi de l’homme des cavernes) et bnous tend les bras ; nous essa yons de  nous figurer (une image ) -la chose (une image pour la vérité)  ; de quelle image s’agit il ? de quelle sorte d’image s’agit il ? il va sans dire que la  vérité ne peut etre qu une image , ou sinon quoi ? un mot ? un mot désignant la chose ? ou bien une image de cette chose nommée, et laquezlle quand il n’y en a pas ?  ; nous essqayons de comprendre les chose ici zqqui sont en jeu (sur la bal a nce) et qui pèsent de tout leur poids parioétal ; nous sommes ensembke et essayons de figurer la chose, cette chosze dite «art» par la bande, et cette chose la figurer sur roche à l’aide de mots-animaux ; l’art essentielmlement résulte  de cette offra,nde faite au dieu de la roche, ou dit auttrement : l’art est une chose d’un depôt de soi en offrande sur roche, ; si possible qui en jeztte et en impose comme aurochs ou bison ou cavalcade de chevaux sur roche, comme chevaux de masse, etc, soit ces betes fortes, folles, vives au plus, etc, au plus de leur capacités, etc, et ces betes là sont mots-animaux de référence, des mots qui pêuvent poarfairtement donner le change à condition de pôuvoir tromper aisemeznt son monde à fgorce de ressembvlance, ou à force d’efforts dans la ressemblan,ce avec la bete en vrai, cel ;e qyui court dan,s les prés , avec la bete de paturage ; il est ainsi que nous sommes ensemble (elle et moi) en roche, pour pareille chose d’une sorte de comlpréhension de la chose déposée e,n tant qu il s’agit de l’art, cet art du dépotb de soi sur une paroi de type «temps» ; nbous pensoons que nous deevons poursuivre plus avant cette recherche de définitions  ; nous ne sommes pas loin de trouver ce qyui est ici (en roche) qui se joue en matière d’art, d’art des données de base, d’art du don, d’art en tant que don ou dépot de soi dans le temps, d’un soi de choses et autres,  ; il s’agit ici de comprendre l’art en tant que reculoir ; il faut voir cette chose d’un art)--reculoir, ou comment dire en pzareille pzaroi ? car la chose est aioinsi fice»lée pour nous, il sembkle que la cxhose ici pour nous soit ficelée de tezlle sorte que la bete ezn nbous a vite fait de prendre l’air et de se déposer, dès lors, sur paroi (son nom gravé) et là, aller à son rythme (de croisière) vers les ezmbruns nacrész, etc ; la bete est curiezuse qyui nous troue la vboucche de l(‘intériuer et fissa entre en paroi (enh religion) comme dans une église v(une grootte aux mille éclats)  ; nous voulons en xwavoir long car nous sommes intéressés par la qUestion d’unev reconnaissance (des parties communes) et d’une conn&issance (du reste)  ; il est bon de voir (cvomprendre) les différences ; il est bon de se poser sur roche et du coup de regarder (parfois), attentivement, les chosess en présence : ces aurochjs, ces betres cornues, ces betres chevelues, ces autres betes lascives, ces autres encore betes de charme, ces biches et autrex cerfs aux bois géantissimes ; nous voyons devant nous les chose qui s’agitent, il s’agit de betes des prés ; des cervidés ?  ; nous nous approchons peu à peu de ces betres ; ellkes sont belles (tres) et nous rezgardent sans broncher (sans plus bouger, un temps important)  ; il est évident que cdes betes nous regardent avec une idée derrière la tête ; nous avons cette chance pour nous de pouvoir ainsi allezr vers elles ensemble, sans nous désunir ; il ne faut pas xse désunir, il faut rester soudés, accolés, joints commle mains jointes (dans lka prière) etc ; les  mains sont jointesc dans la prière , et nous de m^$eme, en cette paroi-église du temps de la roche ; nous esswayons de comp^rendre cxette chose d’un pourquoi kes choses, ou d’un comment les choses se tra:ment ; nous voulon s savoir loin cart nous  voyons loin, à l’horizon, les brumes, les embruns, les choses mises ainsi en lumière, ou autres fetes du lointain ; nous voulon s comprendre les choses du temps à la lumière de la fete (votive) des temps incertains ; nous essayons plusieurs solutions ; nous avons un e chance (grande) pour nous, de pouvoir aller en pareil:le roche ensemble, tous les deux soudés comme des mains jhointeezxcdans la prière, et cette chance nbous nous devons de la mesurer à sa juste valeur, car nouys so:mmes riches d’elle et de sa consistance, de cson importance à nos yeux ; nous voulons com^prendre loin les donneées desx roches, au plus loin des horizons nacrés de ce lointain (ajouré) qui nous reghartde, ou qui semmlble ainsi agir envers nous qui marchons vers lui et nous rap^prochjons de la b ete des confinsz ; nous essayons de comprendsre ensembvle ce qui est ,  cet en,semvle jour-nuit, vie-mort de la roche (dure-meuble)  ; nous ne sommes pas au bout de nos surprises, et des découvertes ; il faut poursuivre, nouys nous le devons à ,ous mêmes ; nous devons aller loin sur roche et ne pas flancher en courzs de route, car nbous sommes forts à deux, nous devons l’etre, et du coup tenir bon et poursuivre sur l’allée tracé par la mer retirée ; nous esswayons d’en avancer fissa le plus pôssible dans kles connzaissances, et cela ensemble car ensemble nous sommes plus forts et pouvons  p^lus facilement tenir tete à la bete cornue, à bete cornue, à bete a cornes, etc ; il est bon de voir que cette chose (d’une bete à cornes) est chose de roche, de paroi du temps ; elle et moi allons en cette roche à la rencontre ensemble du temps ; elle et moi sommes sommes a insi en quete d’une sorte de réponse (fiable, se,ns»ée) concernant kles données offerttes ‘(en termes animalier) par la roche ; elle et moi nous promenon,s sur crete de roche , à la lumièrev non d’une p hrase de véritévmmais d’une véritécen pied, mobile et droite ; nous disons que cette cjhose est une bonne chgose de destinée et quje cettye chose est belle, douce et forte, comme biche des embruns qui va sautillant à même la roche du temps (en  veux tu ? en voilà !)  ; nouys dsonnons  ce que nous pouvons sur roche ; nous donnons ce que nbous pouvons en cette roche du temps qui nous voit discuter le bout de gras en matière de coût, de surcoût, ou comment ? car la place est chère ? elle n’sest pas donnée ? on doit la mériter ? la quoi , la vouloir ? l’espérer ? etc ; nous essayons ensemble de comp^rendre cette chose, cette chose d’une sorte en soi de don de cette chose morte (?) en nous ou qui semble morte : l’animal xu temps de l’homme des cxavernes ; en nous un animal existe (existait ?) qui était kl’animal de la transe ; or l(animal de la transe est mort du jour au lendelmzain c’est à dire le jour où celui ci a perforé la joue et a tranché icelle en une bouche -fente de vie vive, qui a dès lors laisssé filer une cohorte (le langage en son entier) de mots-animaux dits mots-betes ; et voilà pourquoi depuis nbous sommes ainsi à la recgherche d’une chose dispa rue de nous, ou presxque disparue ? ou comment dispârue ? que savons nbous de cette cohorte ? est elle toujours envie ? comment se porte t elle et où est elle  ?  ; nous cxherchons dees solutionsz à desprobvlèmes de co horte animalière qui, sortant de noys, a été pour se loger en roche sous  forme iconique : sous la forme imagée d’une bête des prés ou des bois, etc ; nous voyons ces betes de roche sur pa roi, dessinées à main levée, etc, et ces betesnous renvoient à nos chères études ; il sembvkle  cette chose, comme quoi nous nous devons dee regarder devant, les embruns, la mer scindée, la  connazissance du devant de soi, les tenants d’un demain , kles choses qui jonchent le sol ; l’art est ici l’espa ce de transition ; nous pensons que nous avons - à comprendre l’art comme espace-temps de tra,nsition entre quyelque chose et quelque chose d’auttre, ou alors non ? pas cela mais autre chose ? une fete ? une féerie de base ? une cacxhotterie ? etc ; nous avzançons sur chezmin tracé par une mer sqyui s’ouvre )à mesure que nous avabnçnçons dezrrière bambi ; nbous essayons dee toucxher bambi mais elle a vite fait de nous échapper (elle est bondisseuse)  ; il est bon de comprenfdre les choses à la lumière de la roche, ces choses de vie lacunaire, et de mort qui file ; nous essayons de cerner les différentes données du temps imparti et ce faisant de comprendre ce qui se joue, en matière de vie ouverte, de porte ouverte, de bouche ouverte, de piège etc ; il est juste ici de cerner ces choses eznsemnble (pot commun)  ; nous faisons cdela ; nouys faisons cette chose d’une sortie en roche pour une entrée dans un temps d’importan ce majeure ; la vie est cette chose en  nous capable de représentation de mobiles sur roche, etc ; je vois ce qui est qui setrame et le voyant je le nomme par la même, etc ; nous pensons que nous sommes pour la joie de vivre en roche et nous l»’écrivons, cqar le rire (sardonique ?) est la chance des temps, une chance à partager ; nous essayons de voir lkes choses du temps en leur intérieur de paroi ; nous voulons esswayer de voir les choses le plusclairement possible ; nous nous approchons ee la bete, elle nous voit venir vers elle et nous a pprochezr, à la toucher, or (pas folle!) la voilà qui nous échappecvencore (d’un bond d’un seul) et ne se laisse pas toucher ; nous voici gros jean comme devant et tristounet, car nbous voulons toucher (vaille que vaille ? coute que coute ? ) sa pelisse ; car nous sommes des enfants et les enfants touchent, toujours touche et retouche ; il est bon de le comp^rendre aindsi ; il s’agit pour nous de comprendre cvette cxhose en roche advenue , cette biche sautilleuse, broutan,t à qui mieux mieux l(herbe des prairies, la messagère, la conductrice, la guide des lieux ; nous voulons aller loin  derrière elle et aller au fief, au sein de la roche dans le sein des seins (de préférence) car nous sommes des enfants et pzar conséquent curieux comme des enfants c’est à dire férus de secrets et autre trésors, c’sst à dire intrigués et ayant l’ame deesz découvreurs  ; et armés de cette âme du décoouvreur, ou comme ayant l’ame du ou des décxouvreurs ; nous cherchons solution de poids (comme aurochs) à nos problèmes ; quels sont ces preovblèmes ? des problè§mes de vie et de mort (de lassitude ?J d’espérance ? de peine légère ? )-) ; nous voulonsc aaller en roche comme en une sorte de cavité ou de cave aux trésors ; nous voulons trouver desq trésors, des choses cachées depuis la nuit de s temps, des choses des temps passés surnageant à la surface de la nuitr des temps, etc ; nous voulons endsemble trouver une chose nouvelle  ; nous voulons essayer de comp^rendre les enjeux qui sont à la base de nos c(royancesq, et dela main dans lza main ; une femmec est une femme, un homme est un homme, un enfant est un enfant (homme ou femme) etc ; les choses ainsi sont ditezxs (proclamés) à la gaillarde de la vie, qui va fissa son chemin de brute ; il est bon de le co:mprendre et de s’en soucier, comme quoi la vie est une brute (épaissse) qui fait son chemin cahin caha et ne regarde pas apre s vous pour ainsi dire, tant et plus que cette xchose d’une vie allègre et cahotante et peu regardante, cette vie a pour nous l’allure d’un chemin de croix ; voilà pourquoi la roche est tout autre, un e tout autre chose d’abord, etc ; la roche est une autre histoire (pariétale, musicale, etc)  ; il est jhuste et bon de piger la chose (du temps) en c ette roche aux accents bleutés etc ; la chose ici est dite sur paroi, via des animaux dessiné&s , qui sont aurochs, qui sont biches ou bouquetins ou autres betes d’homme des cavernes ; nous savons que nous avons -à faire le chemin eznsemble, loin en roche, sur ce sol d’unemer asséchée ; nous ouvrons  les yeux comme des nouveaux nés ; nous avanço,ns pas à pas ; nous sommes motivéezs ensemble et en avançons, car ensemble nous nous poussons mutuellement à ne pas flancher ; nous nous donnon,s du coeur à l’ouvrage à tour de rôle, etc ; lesz betes des roches sont des betes pour un échange de bon procédé avec le dieu ou la déesse de la mort ; nous pe,nso,ns que la mort est une bouche (ouverte) et que la vie est un chenal  ; ainsi , vie-mort est tube de vie-mort, tube comme un chenal,, ; vcomme une pique etc ; nous essa yons de nous repérer en pareillle roche, et ce faisant de comprendre un tant soit peu ce cqui donc se trame sur la terre mère qui nous a vu naitrte ; nous essayons d’avancer (de nous avancer) loin dans les connaiisance ; nous voulonsz essayer d’en avancer le plus pôssible et le plus possible comprendre les tenants et les about§issants d’une vie à vivre, ; nous sommes seuls devant la paroi )à vouloir entrer , ou non ? nsommes nous nombreux ? il y a foule ? il y aurait foule ?  ; nous ne savons pas au juste , mais nous s avons que nous sommes plusieuurs (en nous déjà) à vouyloir sortir de cet a,ntre d’avant roche, pour entrerrvdans cet autre antre ds’apres roche ; qui l’eut prédit ? qui eut pu l’avoir ^prédit ?  ; nbous cherchons des chjoses de derrièreles fagots, c’est à dire des choses de poids, qui eut (le poids) pesé dans kla b alance ; nous voulons comprendre le plus possible et cela est que nous nous escrimons en ce se ns ; nous voulons savoirbeaucoup pour comprendre beaucoup (nous nnous disons que nous aimerions cette chjose, xd’un sacvoir accumulé, ou de savoirs accumulés, en nous, ezn nottre esprit (tete de vie) afin de mùieux appréhenderr les chodses du monde et de miezux les comprezndre ; nous sommes tous les de»ux qyi avançons sur ce chemin d’une sorte d’entre-deux-mers, et sur ce chemin nous trouvons desq cornes, des peaux de mue, des traces de pas, de pieds de biche ou d’aurochjsz (sabots-) et des boois de cerfs, etc ; des crottes tout du long ?  ; nous voulons en avancer en roche du temps mais tranqyuillemeznt c’est à dire sa ns     bouscula de (intempestive) ni ruade tout à trac, et du coup nous tenir loin des dangezrs ; nous ne sommes pas intrépides, nous nous méfions de cesq  betes de roche et de rochers cxar elles ont vite fait de vous piétiner si des fois kl’envie en elle xse faisait par trop sentir ; nous sommes deux qui nous avançons et tentons le dioable , à savoir que nous sommres deuxd à poser des questions ‘«qui tuent», comme par exemple clle ci : qui a pârlé le premier d»’une déhjection ? qui est le roi des cabinets ? quand doi ton pissser ? qui baise quyi en pareille roche ? qyui broute qui ? le gazon (lk’herbe) de qui ?  ; nous recherchons des choses ici ou là qui eyussent pu nous commbler de

joie ; que faire devant pareille bezte sur pied, qui nbous demande et nous poussse à aller de l’avant ve»rs les lumières vives des lointains ;  nous devonsd comprendre enselmble beaucoup de cghoses, nbous essayons de comp^rendre ensembvkle beaucoup de choses ; nous avons ensemblev à bcomp^rendre beaucoup de choses concernant le temps, les enfants de la grottte, le ciel envahi , etc ; nous voulons découvrir lkes données de laroche à) même laroche (l ;’embrassezr pour ainsi dire)  ; nous voulons comprendre enwemble et nous loger ensembvle en son sein ; nbous voulons entrerr dans la roche e,nsembvkle et ne plus en sortir kjjusqu’à nouvel ordre et cela est ou relève du possible : l’art ? l’aerrt ici comme (en tant que) gageure ? en tant que passage de relai ? en tant qu’interlocuteur de roche ?  ; nous ne sa vons pas mais nous continuons sur notre lancée , et nous regardons tout autour de nous les betes qui paissent ou bien  cxourent dans la prairie ; nous sommes ensemble pour cela : voir et comprendre ; il y az un dieu caché quelque part ? un dieu ou qui ? quyi pour le coup nous parlerait à l’oreille et dirait ce mot mille fois prononcé , ce mot de «mort», la mort, cette mort qui nous attend (attendsrait)  ; les choses à dire sur roche tournent toutes autour de ce mot de «mort», touteszx pour ainsi dire, ikl est évident ici de voir que cette chose de la mort est une sorte d’av venture pâriétale, une aventure des cavernes, et cette aventure en nous a fait son petit chemin jusqu’à se voir sortie par le trou de la bouche (craché) et fichée pour ainsi dire sur roche de grotte ; nous voulons comprendre les tenants et kles aboutissants de pareille roche des temps, comment les choses adviennent dans le temps et pourqyuoi- ; les choses ici ont à voir avezc une langue , un langage artiiculé, uner grammaire, une syntaxe, un vocabuliare donnés, etc ; or pareille langue surfe sur la grève pour ainsi dire ; nhous pe,nsons que cette chose (d(un parole étrangère en soi) est une vchose capitale, à cerner de près , et à ne jamais perdre de vue tout à fait ;  nous pensons que nous devons prendre tout cela (mots-betees en nous) à bras le corps et expulser sur roche de tout notre souffle ; nous voulons essayezr de comprendre les données du monde en pareille roche du temps ; nous voyons ces betes courir près de nous et nous les regardons attentivement, et nous nous demandonsv qui sont elles en vérité ? des envoyés d’une quelconque divinité ? des suppots de satan, ? betes à cornes devant l’éternel ? objhets de monstration ? installation ? bidouilles ?  ; nous cherchons à savoir, nous voulons savoir, nous ne voulons pas rester dans l’ign orance ; nous voulons savoir le plus possible en cette chose concernant lkes choses du monde animalier qui est devant nous comme une peinture rupestre ; nous voulons essayer de comprendre le pourqyuoi des betes ici sur roche figureznt et disent la v érité des temps ; de qUelle vérité s’agit il ? de celle appezlée «art» en d’autres lieux ? « art de la dépopsition salvatrice » ? ou comment autrement ?  ; les mots sontr des betes de roche ; ils sortent de nous qui les excpulsons par la bande sous emprise (hypnose ? transe ?) et ces mots ainsi expulsés deviennent des phonèmes gutturaux (dans un premier temps) puis mélopée de roche (dans un xdeuxième)  ; nhouys disons que nous sommes deux à comprendrte les ressorts secrets de pareille festivités de roche ou de groote ; il en va de notrte probité ; nous disons ce que nous pensons ; nous b-ne cachons pas notre visage  ; si ? obligatoirement ?  ; nous avançonsensembvke ,xszur pareil chemin de destinée ; nous essayons de ne pas nous l^zcher la main mais tout au contraire ensemble de la bien sezrrrer de con cert, et ne plkus lacher prise , soudés, accolés, l’un l’a utre atta chész etc ; nous sommes deux qui sommes collés ; nous sommes deux 

êtres qui sommes collés-accouplés ; coques ?  ; nous disons que nous devons aller endcore en cette roche ensemble à lka recherche ici du pot aux roses concerna nt la mort: qui est elle ? que est elle ? pour qui oeuvre-t-elle ?nous pensons que la mort est cette chose d’une sorte d’e regard lointain (trou ?)  ; nous pensons que cette mort de bouche, ou bouche de mlort, est bouche de vie aussi bhien, et que les choses sont confondues ; nous ne mouurrons pas ; il nous sera impossible de mourir car la mort n’exisqte pas ; la mort n’est pas au programme, lza mort est un mot ; nous sommes placés sur terre dans la vie de telle manière que nous ne pouvons pâs (plus ?) distinguer les tenants et les a boutissants d’icelle sans cxrainte, sans se fourvoyer, etc ; nous essxayons de nbous avancer surr pareil chemin de la connaissance majeure ; nos ambitions sont claires et netttes ; elles sont affichées à l’entre é de la grotte (de l’église)  ; il s’agit d’ambitions majeures également car nous visons le mieux, le plkus etc en termes de savoirs humains ; nous voulons savoir le toout d’une question qui nous taraude ; il s’agit de la question de l’art , et , subséquemment, de celle de la mort ; nous disons que nous voulonc$s comprendre une chose fuyante, or il est impoossible de cxomprendre des choses fuyantes ; il nous est impossible de réellement cerner ce qui est de la vie et de la moert, cxar la chose fuit qui «glisse» sur nous comme sur paroi émoussée ou élimée par  l’érosion ; etc ; nbous voulons comprendre ce qyui est de cette oparoi (son épaisseur par exemple) et pour cela nbous cherchons obstinément à entreerr en elle, tete p^rem ière, fou devant ; nous devons faire enselmble cette chose d’une entrée en roche de colère ; nous voulons essayer d’entrer en pareille roche en étant fou ou comme fou, ou disons comme étant de la famille de ce fou racé, qui va pile pour se fracasser etc, sur paroi dure comme du caillou ; nous ne sommes pas fou à ce degré mais sur les bords, comme agités de l’intérieur par en nous des betes quyi chargvent et ne vont pas tarder )àà montrer leur nez (museau) au hjour de notre jhoue tracée cxomme une  demi lune ; nous portons lkes mots-animzaux en nous ; nous les portons comme charge lourde prête à s’envoler, catapultée par notree souffle, sur roche de grotte (voir lascaux et ses projections de bouche)  ; nous voulons essayer de nous rapprocher le plus possible de la vérité ; où est elle ? où se loge t elle ? nous essayons tout un tas de petites com:bines, afin dx’entrer en ce sein des seins dees ve»rités dites ou montrées (ou montrées-dites) et cela à deux, ; car «à deux c’est mieux» dit-on, voulant signifier l’importance d’une approche couplée (conjugale) des donnéesz du monde ; une femme comprennd, un homme prend ; ou bien est-ce l’inverse ?  ; nous essayons de nous approcher de bambi ; b ambi est notree ami jolie ; elle habite la prairie des temps ; elle vit à l’air libre d’une sorte de paroi du monde , une sorte de roche de vie, etc ; bambvi porte un nom enfantin car ezlle représente (ausssi, en plus du reste) l’enfance, l»’enfance du monde prairial ; bambvi est une bete des confins, qui connait la musiqure des sphères et du même coup la vérité quyi y est liée ; il s’agit de comprezndxre cette biche comme étant la mesxsagère du temps (du temps imparti) à poser dans la balance (table d(‘offr»zande) comme animazux de roche, comme betes de poids déposés (ce présent de soi riche du passé)  ; nous vuolons nous présenter à cette biche, bien mis, ; bien installé aussi, sentant bon le mimosa, etc ;, nous voulons comprendre cette biche des parois et la suivre au loin, où elle souhaiterait visiblement nous amener ; qui est-elle au hjuste ? est elle réellement une biche ? que cxache telle ? qui est elle et que cache telle en elle , sous ses formes lisses et fines, etc ; nous ne savons pas , nous ignorons ce que chacun cache en soi, qui ne dit pas tout, qui ne sait pas tout, qui ne montre pas tout ; nouds regardons cette bete et voyons qu’elle nous regarcde à son tour ; nous demande t elle de l’aide ? que veut elle sigfnifier par son regfard appuyé ? elle est sur son monticule comme une princesse des embruns quiu viendrait nous donner son aval (imprimatur) pour une avanc»ée de notre corps de vie en pàareille roche dure ? ; il est bon de comprenddre cette chose comme quoi bambi est bambi, et nous tout autrte personnage, nhous sommes deux qui cherchons (à la fortune du pot) des réponses fiables, avérées, etc, à ces questions que nous nous posons depuis la nuit des tempsq ; mais comment nous y prendre ? comment comprendre ? avec qyuels mots enfin fia bles ?  ;car les mots ne sont pas fiables qyui nous entrainent sur des pentes savonnzueuses ou autres, ne sont pas fiables pour nous, ne nous donnent pas dsatisfaction tout à fait, et créent des distingos néfasqtes entre gens de même contrée temporo-spatiales ; les mots sont des mots-animaux qui en effet pèsent dan s cette balance du temps impearti, et c’est tant mieux : nous avons à souffrir un peu , ou sinon un peu nous avons (aurions) à souffrir beaucoup, est-ce cela qyui est en jeu (en je ?) ici ?  ; nous voulons essaayer de nous approchger de kla véritév et pour cela d’a tteindre Bambi la bienheureuse, la biche des fées,n l’intrépide,la belle aux jambes fines, etc ; nous voulons nous approcgher d’elle et toucher sa pelisse, son poil de peau, ses muscles tendus, son museau, ses petites oreilles velues ; nous aimons cette bambi des roches dures ;nous aimons ceztte bete des prés, des prairies et des bois ; elleest pour nous cette bete preéférée dont nous parlons souvent ; nous parlons d’elle à qiu veut l’entendre: nous citons son n om ; son nom est celui là qu il nous plait de projeter, de metttre en avant, d(‘isoler commme un substantif de haute tenue, etc ; nous essayons  de voir ce qui est ici, en cette rocghe du temps imparti, en termes de «aert» donné, de don-art, de don en tant qu il s’agit vd’un dépot de chose, etc ; si l’art est une chose alors l’art est une chose déposée ; si l’art est une chosex alors il est bon de se souyvenir toujours que l’art est une chose déposé e sur un sup^port, et que cette chose est comme le mot de la chose, cette chose est animalière et s’inscrit (en transe) sur roche du temps ; il va sans dire que la vie est telle que la mort l’épouse comme une ombre ; nous pensons que bambi est ceztte bete devant nous qui cherche à mieux nbous co,nnnaitre ;, et nous de même avec ezlle ; nous restons dans ses parages, nous ne chercghons pas à nous en éloigner mais bien au contraire ; bnous chercxhons à rester près d’elle ; nbous chercghons à rester près de cette « bambi aux embruns », etc ; car ezlle sait tant et tant de chodses, elle en connait un rayon, elle est «énooooorme» comme on dit et cekla est vrai ; bambi conbnait beaucoup de choses, elle en sait ou connbait un rayon concezrnant une foule de choses sur la vie et sur la mort ; nous aimopns ainsi nous approcher de cette b ambi des abords des vagues, nous nous approchons d’une bambi traçant chemin de vie sur mer asséchée ; les vagues forment deux murs de part et d’autree, et nous ava bçons entre les murs, précédé par cette biche des embrun s, qui est vdevant nous comme cvelle qui essuie les pla&tres ; il est bon de le comprencdre ; elle est celle qui essuie les platres et se porte (dangereusement ? ) aux avant postes ; elle  ne craint rien nbi personne ? nous ne savons pas ; nous ne sommes pas intimes avec elle ; nous ne la connaisqon s pour ainsi dire que de vue ; nbous aimerions la connaitre davantage (bien entendu) mais poour cela il eut fallu etre proche d’elle, la toucher du bout des doigts (enfant) or voilà que tel n’eswt pas le cas ; nous ne l’avons jamais touché (à ce jour)  ; il ne fautr pas désepreérezr ; nous devons rester concentreés et y croire à fond de caissse ; bambi un jhour sera touchée du bout du doigt par nous, comme par des en,fants qui veulent «tout toucher» ; nous dsisons cette chose co:me quoi nous deevons perforerv la roche de ce pic de bouche susnommé ici, de cette pique à per cer la paroi pour mieux aller... toucher notre bambi des prés ? la toucher la toucher ?  ; nous ne savons pas ; nous ne savons pas cette chose ; nous ignorons cette chose ; nbous aimerions savoir mais nous ne savons pas ; njous ne savons )as tout ; nous savons que bambvi est devant nous qui nous fait de l oeil  , et nous d’y courir aprèe mais la voilà qui file de p^lus belle ! oublie que tu la touches un jour ! ou si : pendant son sommeil  ; mais alors vas y la dénicher pendant qu elle dort  ; où dort elle ? où se met e lle pour dormir ? dort elle longtemps ? a quoi pense t elle ? a t elle des pensées ? qu’est donc un cerveau sans pensée , c’est à dire sans langue ? c’est à dire sa ns langue, sans idiome en particuklier ?  ; on a de la peine à penser un cerveau qui ne se dirait pas des choses tout du long ;: on peine à penser à un cerveau qui ne serait pasz le receptacle ou kle générateur d’une langue donné par ses parents ou son entourage à la naissance ; l’homme des cavernes pensait il ? peut on penser sans langue ? de quelle langue pôurrait il s’agir, qui permettrait dès lors une pensée cérébrale ? etc ; nous comprenons que cela est une question capitale: les mots en,n pensée dans la tete des animaux ;, qu’est ce qu’un cerveau sans langue, sans pensée articulée au sein d’un langage ?  ; nhous nous approchons des parois du monde (vagues redressées) et, entre ces vagues que nous longeons de part et dauttre, entre elles : un chemin, celui de bambi la décérébrée ? ou comment ? car elle semble nous guider avec intelligznce , nous accompâgner et plus que ça : nous mener par le bout du nez  ; nous ne vcoulons pas la maljuger ou la méjuger mais tout au contraire etre clair sur elle et comprendre d’elle ce qu’elle veut, cherche, est, présente, fait ; nous sommes deux qyui comprenons que Balmbi est loin d’etre écervelée vmais au contraire : riche de pensées rupestres insérées en elle, riche de pensées de roche, de choses assumées en son etre etc ; nous voyons cette b ete qui est, quyi caracole et file et va sur son monticulke et nous la suivons les yeux fermés ; nous voyons devant nbous cette biche des prés qui est la biche des embruns et de la  éritév dees roches du temps (des rocherrrrs du temps)  ; nous pensons que cette bambi, est une douce personne, une douce créature disons, qui va vers nous et nous regarde, et nous invite et se trémousse et fait preuvev d’amabilité, de sympathie à notrte encontre etc ; nous espérions pouvoir un jour toucher sa pelissse ; nbous voudriiiions cela plus que tout car nous sommes des enfants de roche et de rocxherrrrr comme elle, nous sommes enfants qui cherchons à nous approcher d’un secret bien gzardé -avec l’espoir en nous de l’éventer à jamais et d’en être des lors les heureux inventeurs ou découvreurs ; nous voulons comprendre  c ette chgose d’une vérité des roches et des roche-rs dans les embruns ; nous avons compris que nous ne sommes pas forcément invités par pareille roche (tout le monde n’y figure pas, nb’est il pas ? )or nous sommes de ceux qui insisten,t lourdement et font peser de tout leur poids leur desiderata dans la balanvce et finissent par l’emporter à force de persévérance etc, et nous voici-voilà intégrés ou insérés en pareille paroi de grotte, au milieu des betes représe,ntées, parmi une cohorte animalière de gran de taille et importance ; nouys faisons partie de la troupe ; nous sommes insérées en elle et gravitons à ses côtés ; nous sommes betes nous mêmes ; nous nous présentons comme étant bétes nous memes, et comme voulant aller à la recherche (des forcenés) d’une vérité naturelle (celle là que nous supectons)  ; nous sommes de la pzartie (en roche) nus et vifs comme des betes de prime jeunesse ; nous sommes entrésv comme nus en cette roche du temps imparti et nous nous rendons compte de cela, que nous sommes des eztres comme des betes au milieu des betesq : nus comme elles ; nous sommes entreés dans la paroi du temps ; nous avons du chemi,n à faire ; nous voulons aéller plus loin encore en elle, jusqu’où? eh bien jusqu’au bout ! mais y atil un bout ? un horizon trè!s certainement mais au delà ? et au dezlà de cet audelà ? et ainsi de suite ; nous ne savons pas à quoi nous en tenir mais nous sezrrons les dents carb nous voulons savoir coute que coute, et dès lors nous nous inscrivons encore et toujours dans la durée ; nous voulons sqavoir ce quyi est, de cette chose de la vie en roche parmi moultes betes de massse grossse, etc ; nous savons cette cxhose comme quoi nous nous devons de regarder devant toujours et voir venir à soi ces biches, ces cerfs aux bois gros et dorés, etc, ces betes qui vont et qui viennent ; nous avons à faire un chemin auprès d’elles ; ces betes sont nos accopmpagnatrices ; nous pensons que cela est ainsi que cela doit être en cette roche dure du temps incertain imparti, et en cette roche : une vue sur les lointains, une espéraznce, le jour qui se lève ? nous pensons que nous devons en avancer ensemble grandezm:en,t encore , encore en avancer ensemble pour toucher le fond, pour toucher au but ; nous pensons que nous devons encore, avancer vers bambi et ses freres et soeurs de paysage ; la roche est le temps, bambi est l’emblème du temps ; bambi n’estc pas la menace, b ambi est douce et fine pelisse ; bambi se montre dzevant nous , comme celle qui nous montre le chemin à suivre ; nous avançons sur ce chemin à suivre ; nous avançons sur pareil  chemin à suivre et nous nous plaçons derrière elle et la pistons en permanence afin de ne jamais la perdre de vue car elle va vite, elle a viçte fait de-s’enfuir et de disparaitre ; nous ne voulons pas la perdre ; elle a pour nous une grande importance ; elkle est cérébrée comme étant celle qui connaitr, qui sait, qui voit, qui saurait dire ; il s’agit pour nous d’une bete de charme et de distinction que nous mettons haut dans la hiérarcghie des betes qui sa vent (aurochs notamment)  ; nous la voyons devant nous qui semble nous faire des signes ou coucou avec ses yeux grand ouverts et o combien charmeurs ; nous écoutons la musique des  sphères alentour ; nous sommes deux qui nous tenons, qui ne nous lachons pas, qui faisons corps comme - coquille etc ; nous disons que nous wsommes deux qui ne nous quiitons pas et regardons devant ; nous disons que nous sommes deux qui ne nous quiittons pas , et nous regardons au-devant bambi qui va filant sur monticule et nous invite à nbien vouloir nous glissszer dans son sillage, ce que bien sûr nous faisons de concert, vite fait bien (ou mal ? ) fait, peu importee la façon car ici ce qui compte est cette chose comme quoi nous ne perdons pas le contact ; jamais ; nous ne jzamais devons perdre ledit contact ; jamais nous ne devons ; il est important (tres) de comprendre )à présent  cette chose capitale comme quoi nous ne devons jamais o grand jamais perdre le contact ici avec  bambi, la reine des prés et des prairies ; jamais ; car nous sommes deux, car nous sommes soudés, car nous sommes un ensemble soudés ; car nous sommes cet ensembvle soudé en particulier, car r nous sommes nous deux cet ensemble soudés qui suit du regard cette bambi des prés afin de ne jamais la perdre en chemin, l’égarer ; afin de co:mprendre l’importance ici de ne pas la perdre de vue, car elle est la bambi des prairies de grande renommée q, quyi sait, qui connzait, quyi comprend kles tenants et les aboutiisants de la roche des temps ; elle connazit la musique des sphères, elle en connzait long et aurait long à nous apprendre ; elle est cette bambi des prés qui sait la musique et comprend les mots (animaux) du temps qui passe, qui passe sur roche, qui file fissa, qui s’incruste sur paroi ; elle est bambi l’initiatrice, la biencfaitrice, la douce pelisse ;

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11/03/2021

nous aimons notre bambi de roche ; elle est fine et élancée ; elle s’aproche de nous et fait mine de nous inviter à vouloir la dsuivre ; nous sommes ébaubis ; nous sommes comme dfes enfants surpris et enchantés ; nous voyoons bambi devant nouds et nous comprenons quil s’agit ici d’une bete des prés et des roches pour nous,  pour notre maintien, pour nos envies de progression, pour notre chemin ; nous voyons au loin lres embruns ; bambi est une bete des forets, des bois, des champs, des prés de la grotte ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose comme quoi nous sommes qui avons àffaire à une bete incluse en roche, fine et raceée, à douce pelisse, et cherchant à nous amadouer ; il s’agit ici d’une bete de la roche (dure) du (des) temps ; il s’agit pour nous d’une bete de roche des temps et des embruns, et aussi de la douce musique des roches, et de la voix qui monte de la terre meuble ; il s’agit pour nous ici de bien comprendre les enjeux et d’en avancer sur roche, comme ailleurs sur une prairie, ou ailleurs hors la roche, dans un cham de blé ; nous disons que nous sommes deux (elle et moi) qui aimons cette bambvi de la roche du temps ; nous l’aimons et nous le disons car nous sommes ainsi à vouloir afficher (ici ou là) les sentiments qui nous animent de concert ; nous aimons notre bambi de roche et de mer ; nous sommes deux qui avouons notre intérêt (grandissant) pour telle ou telle biche des embruns, qui saura nous guider sur la voie d’un tracé de vie (etc) et nous montrer la route aux embrruns ; il s’agit d’une route délimitée, de part et d’autre , par des mers debout ; nous pensons que nous devons comprendre cette chose ensemnbble ; il s’agit pour nous de voir clair ou d’y voir clair en pareille chose d’une voie d’abord, délimitée, qui est ce chemein que nous empruntons, à deux, main dans la main, dans ce but affiché de comprendre (enfin) les ressorts qui sont derrière, derrière pareille roche du temps, les ressorts cachés, les tenant secrets qui président à pareille notion, à ce tampts incertain qui est le temps de la roche dure ; nous alons ensemble à la recherche d’un temps implanté ou comment dire, xd’un temps dur de chez dur, d’un temps logé en roche, sorte de magma ou de de lave ou de matière incandecente de paroi, ou comment autrement ?  ; nous cherchons à comprendre ensemble ce qui donc ici se joue en termes de raison , de motifs, de croyances, de secrets etc liées à cette paroi (ornementée) d’une grotte antédiluvienne, d’une de ces grottes ou cavernes des temps anciens qui voyaient des holmes et des femmes en transe graver pareille roche pour l’éternité, pour des vélléités d’éternité ; nous disons que nous sommes des enfants , qui essayons de comprendre (avec leurs petits moyaens) les choses qui se jouent ici, en pareille roche ; nous disons que nous sommes ensembvle qui faisons cette chose en roche, immiscé en elle, main dans la main, afin de comprendre quelque chose de pareille affaire des temps incertains lovés ; lovés en elle comme des betes de roche ; lovés car ils sont des etres de roche , au même titre que ces betes dessinés par des hommes des cavernes, ou des femmes, ou par des enfants qui graveraient à même la roche leurs petits noms ; nouys disons dès lors que nous sommes des enfants de peu qui avons cette envie en nous de graver profond nos noms sur roche , et ainsi de traverser icelle de part e n part , et de nousretrouver derrière elle, pareille roche) et là aller loin, en cette dureté temporelle, vers les embruns lointains qui semblent nous attendre, ou sinon comment ? car nous sommes attirés ; nous sommes attirés par les embruns de ces lointains de roche ; nous sommes tres attirés par pareils embruns de fond de paroi, ces embruns nacrés de la roche des temps, ces lointains bleutés, ces coquillages qui jonchent le sol debvant nos yeux ; nous sommes qui devons comprendre cette chose ensembvle d’une voie à suivre instamment et de concert, parmi ces coquillages du sol, sur ce chemin tracé par une mer scindée en deux, qui nous absorbe en son sein asséché et nous encourage de la sorte à bien vouloir nous placer de cette sorte que nous faisons sur pareil tracé de vie, qui est le tracé d’un chemin à suivre coute que coutte et vaille que vaille ; nous disons <que nous sommes deux à vouloir pareil chemin pour soi, pour sa gouverne, afin de comprendre et cerner ce qui ici se joue en termes de beauté peut ^etre, beauté des embruns et des lointains, mzais surtout en termes de durée de vie, de longueur, de vie à vivre dans sa longueur etc ; car nous voyons , devant nous, qui s’ébroue et s’étire, Bambi des prés , dont la pelisse est comme nacrée, qui est cette chose de la vie des longueurs de roche, etc, qui nous invite à l’imiter de force ou comment dire ? car il est bon pour nous de comprendre cela comme quoi nous cherchons, en  cette paroi des hommes des caver nes (en elle = insérés en elle ), une longueur de vie telle que nous puyisssiiiions e nsembkle voir veniir, c’esst à dire comprendre la finalité, ou bien l’infini de pareille roche du temps, ou bien l’infini d’un lointain ambré ; nous essayons de comprendre ensemble ici ce qyui est pour nous qui nous pend au nez en termes d’infini, de temps ouvert, de roche des temps nacrés, de volonté bambesque affichée, etc ; nous sommes deux qui voulons ici cette chose de concert et qui agissons en elle (en roche) comme pour aller loin en vie (en temps) comme deux animaux célestes des prairies ; nous voulons savoir et aller vers des connaissances ; nous essayons de comprendre ce que nous voyons à la lumière des embruns, de la roche humide, des prés verts, des przairies emplies de cerfs, des coquilles et coquillages jonchant le parterre d’une mer ouverte, scindée comme un fruit ; nous disons ici (sur roche : dessins) que nous sommes deux qui cherchgons (en transe) à figurer le temps donné au dieu de la groottee , etc ; nous sommes deux car nous sommes enchassés, elle et moi (la bete en moi et moi en tant que bete) sur pzareille paroi ; nous disons que nous devons aller ensemble en roche et comprendre ensemble en transe cette chose d’une volonté en nous affichée de vouloir entrer, fissa et tête la première, en pareille roche, dure de chez dure, et de nous immiscer en elle comme ver dans une pomme ; nous disons que nous avons à comprendre pareille immixtion, avec les mots de la tribu, avec des phonèmes, des vocables, et aussi des cris gutturaux, des plaintes et complaintes, des abjurements, etc ; nous disons que nous avons ensemble à creuser profond cette roche du temps, et à nous immiscer en e lle à deux, fissa, main dans la main c’est à dire sans nous désunir ; nous sommes soudés comme un bec fermé sur lyui même ; il s’agit pour nous de «piquer» pareille roche des embruns comme pivert pique, ou comment ? trouer cette paroi ornementée, passer à travers (la traverser ensembkle) et «atterir de l’autre côté, cul nu et tout ébaubi, comme enfant naissant découvrant la vie ; nous disons que cela est ainsi que nous voyons les choses ; nbous disons que pour nous cela est ainsi que nous comprenons les tenants et les aboutissants d’une affaire engagée ici, sur paroi de grotte, par des  hommes des cavernes ; il s’agit de bien comprendre cette chose d’une voie d’abord pour un mobile humain comme fusée dans un ciel de nacre ; nous disons que la chose est telle ici (naccrée) que nous avons du coup à comprendre ensemble le pourquoi et le comment de pareil nacre, sur elle, la couleur, l’irisation, les refleyts, la lumisnescence ; nous avons des choses à comprendre ici, en roche, ensemble, main dans la main  ; nous devons poursuivre dans la connaissance des choses du temps ; il y a des betes autour de nous qui paissent dans des prés de roche ; nous voyons ces betes paitre et s’ébrouer ; nous ne sommes pas peu fiers de figurer en pareille roche comme objets (?) d’ornementation rupestre ; nous disons que nous cherchons à bien comprendre ce qui est qui se joue en pareille paroi de grotte ; l’homme des cavernes est cet homme qui est une bete de roche ; nous disons que nous savons cela depuis la nuit des temps ; nous avons pour nous ce savoir en nous (inclus) qui est le savoir d’enfance d’une roche dure , ou dit autrement : le savoir de roche venant de l’enfance, ou dit autrement : le savoir enfantin d’une roche dure ; nous disons ces chopses main dans la main car il est important pour nous de ne jamais se sépârer, ou pas trop s’éloigner l’un cde l’autre ; notre coulpe marche de concert ; il s’agit d’une sorte de jonction humaine, délibéreé, capitale, et qui est la voie d’abord principale ; nous disonsque nous devons rester unis tout comme les doigts de la main que nous plaquons ensembvle sur roche et que nous détourrons(par exemple)  ; nbous disons que nous sommes deux (ici en paroi) qui cherchons ensemble des raisons d’y croire (en cette roche du temps) , et aussi des vérités natives, premières, dures comme de la pierre, éternelmllles pour ainsi dire ; nous sommes là, nous deux, qui cherchons des vérités de roche, véritée de roche con cernant la vie qui est à vivre, etc, et surtout concernant la mort, qui elle aussi semble (est ?) à vivre comme le reste, ou comme nous vivons la vie ensemble, etc ; nous disons ici (sur roche) que mort = vie, et que vie = mort ; nous comprenons que la vie de la vie est la mort de la mort ; nous disons cette chose ici et nous essayons de voir ensemble ce qui se trame : les lointains ennjeux, les biches nacrées, les coquillages de bord de mer, les ciels aux reflets irisés, les atermoements d’une bete des prész, les chevreuils aux bois jolis, les suintements sur roche, les vagues debout, la apeine, la douleur, les ennuis, les choses à encaissser, etc ; nous voulons essayer de comprendre ces choses cde concert et )à même la paroi dee l’ghgomme des cavernes ; il s’agit d’une compréhension à devoir acquérir ensembvle et à devoir afficher ensemble ; il s’agit pour nous de comprendre le pourquyoi du -comment nous en sommes arrivés là , à) devoir parler les mots de latribu et non plus seulement hurler avec les betes à cornes, ou avec d’autres betes sans cornes, 

etc : pourquoi ? nous ne savons pas les raisons qui font que voilà, nous avons fait cette chose ensemble, vd’une traversée comme langfagière des parois des roches ; les mots sont en  nous, comme des troupeaux de buffles, d’aurochs, de bisons, etc ; les mots en bouche ont poassé le cap et se sont logés en pareille roche d’hommes des cavernes ; il s’ensuit que depuis nous parlons ; depuis lors nous disons des choses, nous nous prononçons ; nous disons des choses depuis ; nous parlons et nous nous prononçons (à l’emporte-pièce ?) à brulle-pourpoint en permanence et partout où l’homme se trouve ; nous disons mille et une choses en permanence et cela est cette chose , aujourdhui, que nous voyons, que nous comprenons ; nous comprenons, nous voyons devant nous, en cette paroi de la roche du temps, devant nous qui s’ouvre une mer asséchée, un tronçon hospitalier, une ri bambelle, c’est à dire un ruban, devant soi comme une voie d’abord qui ferait un tour entier sur elle même ; il s’agit de fait de cette chose de paroi à cerner ensemble et que pour le coup nous cherchons de concert à explorer ici, maintenant, sous les embruns ; nous sommes des quyi comprenons les enjeux pariétaux (subliminaux) de pareille roche du temps ; il en va de notre gouverne (raisonneuse) et de nos envies (de futur nacré)  ; nous passons ainsi d’une chose à l’autre : tel coqyuillage ramassé est une oeuvre de temps déposée ; nous disons que cette chose est une chose tres importante à nos yeux qui sont grand ouverts ; nous pensons que cette chose (ces embruns nacrés) pour nous est une chose capitale ; nous voulons comprendre ce qui ici est à l’oeuvre en pareille roche, en cette roche d’un temps alloué par la vie, et jusqu’où nous pouvons aller en pareille paroi ornementée ; nous disons ensemble, ensemble nous disons ; nous cherchons ensemble, ensemble nous cherchons ; nous voulons ensemble, ebnesemble nous voulons ; nouys sommes deux qui voulons savoir ce qui est en pareilkle roche dure : les tenants et lkes aboutissants de la roche mère, etc ; il s’agit de se positionner de telle façon que la mer asséchée soit pour nous le chemin (chenal) à suivre ; il s’agit d’un savoir à acquérir  ; nous sommes deux pour ce faire, d’un savoir antédiluvien, à acquérir ensemble main dans la main, les doigts croiseé ou entrecroisés, et là, en cette roche meuble, ouverte, avancer à pied sur ce chemin, tracé par la mer ; car nous avons ce chemin à parcourir ; il y a ce chemin de roche à devoir emprunter ensembkle ; il y a devant nous ce chemin ouvert, cette voie d’abord rocheux, ce tracé filant vers des horizons lumineux (à chaque pas renouvelés)  ; nous pensons que ce que nous voyons est du renouvelé d’éterniteé (de toute éternité)  ; nous pensons que la mer est ouverte et nous laisse avancer en elle, nous laisse progresser, et c’est ainsi que nous pouvons comprendre les enjeux, temporaux, pariétaux, ancestreaux, de la roche d’un homme couplé, d’un homme couplé à un autre homme, ou d’une femme pareillement coulpée à une autee fvemme des embruns ; hommes et femmes de cavernes, pris en tant que couple (à chaque fois) qyui va ici son chemin de roche comme sous hypnose, pris dans un lacis mental, secondé et alouées, etc ; nous disons que cela nous arrive aussi ; nous disons que nous (de la mêzme manière) allons sur roche gr-aver, allons graver sur une roche dure , ou dessiner, allons dessiner, sur pareille paroi de grotte, qui des aurochs, qui des bouquetins, qui des armées de chevaux en cavalcade, etc: ; nous voulons essayer de savoir sur cela qui est sous nos yeux, savoir pourquoi sinon comment, savoir pourquoi l’homme et la femme des cavernes aimaient à ce point dessiner des betes ; aimaient-ils vraiment ? ou bien qui en eux aima it ?  ; nous voulons comprendre ici les chose de paroi, nous voulons ici comprendre, ces choses de paroi, ces dessins de mains appuyées, ces points d’incantatation, ces betes dessinées au char bon de bois et qui semblent vitupérer ; ; nous voulons comprendre les chodses qui sur roche se dessinent devant nous à mesure que nous progressonsdans les connaissancesq ; nous solmmes deux en nouys memes  (?) qui voulons comprendre cet ensemble animalier  qui nous fait face ; la bambi des prés, qui est elle ? et cet ensemble (troupeau) de cerfs, de chevreuils, etc? qui sont ces betes ? que sont ces betes ? que sont-elles à nos yeux ?  ; nous voulons savoir et de ce fait nous entrons dans le coeur de pareil paysage rupestre et cherchons l’interstice (une faille d’insertion) où déposer nos corps enfantins, etc ; nouys sommes devenus des etres parlant un langage d’éternité ; nous sommes devenus des étres parlant une sorte de langage dit d’éternité, c’est à dire apelé à durer longtemps, tres longtemps la plupart du temps ; nous essayons de cerner debvant nous ce qui se trame en termes d’éternité des temps, en termes de représentatation animalière comme adjuvants au temps, etc ; nousessayons de nous loger en pzareille paroi tete poremière ; il s’agit d’un saut de carpe (pour ainsi xdire) : le saut de la carpe du temps ; nous disons que nous devons enttrer en roche et nous y loger fissa et mains tenues, car nous devons ensemble affronter les temps incertains, les roches dures, etc ; nous sommes deux qui devons ensemble (de concert) afronter pareille paroi du temps (pic et pic) et entrter en elle pour nous y lmoger (une niche des prés)  ; nous disons que cette chose est vraie, qu il s’agit de la vraie vérité ; nous somlmes en cette roche comme un papillon est dans sa housse ; nous disons que nous debvons ainsi aller ensemble à la recherche d’une vérité de roche dure, une de celles que nous suspectons (dans le verbe) ; il s’agit pour nous de comprendre le pourquoi du comment nous cdevons aller, en cette roche du temps devant soi : un déroulé marin de sable et d’ar gile, une terre nue asséchée, un chenal de vie vive, emprunté»e au préalable par tant et tant de biches et de cerfs avant nous ; nous essayons ensemble  de comprendre ce quyi ici, en termes de v érité à découvrir, est à même de nous contenter, en tant que chercheurs de bon aloi, en,fants de la roche, etc ; nous voulons entrer enselmble dans la roche et nous tenir là un long temps qui swerait celui d’une vie ici de la mort sans fin  ; une vie sans fin d’une mort, une vie sans fin dans la mort ; comment dire ?  ; nous voulons entreprendre pareille odyssée rupestre ensemble et nous loger en cette donc paroie ornementée, comme enfants dans un jeu de cartes, ou comment ?  ; nous devons savoir ce qui est ici qui nous tend les bras, et cela est cette chose ouverte, cette béance de paroi de type mer ouverte en deux, fissure, trou de roche, passage pour un mobile, excavation , cavité de compréhension ; nous som:mes des enfants, qui jouons à entrer dans une roche la tete la première, il s’agit de notre jeu d’enfant, il s’agit pour nouys de comprendre  ce qui donc ici est cette chose qui, pour nous, nous regarde , nous mire, depuis là bas dans les loiintains, cette chose drôle ou triste ou comment, qui va pour se dessiner à mesure que nous avaançons, qui va se desssinant à mesure que nousc avançons, et cette chose des lointains est, pour le coup, un horizon sans fin = renouveléc à chacun de nos pas: nous tournons en ronsd pour ainsi dire, et le devant de nous est aussi le derrière en définitive, ou non ? un endroit de fin de vie, vraiament ? pour une station ici de mobile qui se pose, ou poserait, et serait déposé comme un présent sur une table, un animal qui serait saignant (sanguinolent), etc ; nous pensons que nous devons nous immiscder en pareille roche et tenter de comprendre les choses du temps ensemble, les comp^rendre mieux autant que possible, comprendre de concert les enjeux pariétaux du temps : la vie est une chose dure ; la mort est chose connue depuis la nuirtv des temps, il en va de notrte raison , c’est à dire (aussi) de notrte gouverne, si (des fois ou par mallheur) nous ne trouvons pas à poser le pied sur la roche et trouvons du vide ; il s’agit pour nous de nous infiltrer, dans du dur de chez dur rocheux, et là : regarder passer les choses d’un temps comme miraculeux, ces troupeaux de betes lascives (?) ou ces troupes gendarmées, ces cohortes, ces meutes etc ; il en va de notre santé, de notre raison, de notre gouverne, de notre folie, etc ; il s(agit pour nous de comprendre ce qui ici est pour nous en termes de devoir, de chance, d’espoir, de vie dans la mort et de mort dans la vie ; les mots nous accompagnent comme des troupeaux de buffklesz ou d’aurochs, et sortent de nous par la bouche ouverte, cette excavation, ce trou d’un pic de forage intérieur, cette embardée marine dans les embruns d’une roche habitée ; nous voyons cette roche dezvant nous et cette roche est une chose douce ou dure selon les moments et la géographie ; nous pensons que nous devons comprendre ensemblke les raisons qui ici ont présidé à pareille façon de faire , à cette manière particulière appartenant à un homme des temps anciens, à cette manière de cet homme, à la manière dont cet homme des temps anciens gravait et dessinait ; des betes sur roche sont apparues entre ses mains ; il était couplé (connecté ?) sur lui, en lui, comme monté par une bete en lui ou comment ?  ; sa voix était doublée, son corps était doublé, sa façon de faire était doublée, son avbancement dans la roche, son incursion, le passage, l’immixtion salutaire etc, tout en lui était coupléc ou doublé par une bete en lui quyi l’intimait à agir de la sorte qu’elle souhaitait, etc ; nouds disons que vl’homme est fait ainsi (de telle sorte) que sa forme épouse le sang, que sa forme intériiure épouse le sang tel qu il circule en lui, en ses vaisseaux , un aller -retour, une circulation-rotonde etc ; nous disons que la chose ici est cette chose d’une sorte de rotondité sanguine, d’aller circuylaire sur roche, un circuit fermé, voilà le mot ; nous disons que nous sommes deux à comprendre cette chose, d’un circuit fermé de la roche du temps ; le temps est il clos sur lui même ?  ; nous essayons de comprendre ensemvle et cette chose à devoir comprendre est une chose dure, parfois n,on, mais le plus souvent ; nous voulons en avancer et trouver des réponses au questionsc que nous nous posnosns , et la question d’uncircuit fermé de la roche du temps est la question qui , aujouirsdshui  11 mars 2021, nous saute aux yeux ; nous devons aller loin en cette quesrtion et l’explkorer dans ses moindres recoins ; nous devons chercher avec sérieux et assiduité les réponses en roche, où sont elles pla cées, où sont elles logées, dans quels interstices oudans quyelles fissures, etc ,? ; nous cherchons ; nous chgerchons constamment et nous voulons  fortement savoir ; nous sommes fous de cette chose en nous , qui est un savoir de grande importzance à nos yeux, qui est le savoir que pour le coup nous conservons (enfance) pour comprendre cet ensemble pariétal cde découverte ; nous disons que nous avons à bien si possible nous positionner en pareille roche des temps, et ce positionnement ne pas le galvauder ou même kle sabrer (betement) avec des mots mal employés, par exemple ; nous voulons nous introduire en pareille roche et trouver en elle des choses, des rubans (?), des choses déposées par la bande, des secretts bien ou mal conservés, selon, et aller en elle avec nos petits moyens qui sont ceux de l’enfant qui en nous repose ; il s’agit de comp^rendre ceztte chose en nous, d’un enfant logé en notre sein, d’»un enfant des parois, d’une sorte d’enfant des parois en  n ous, d’une sorte d’enfant en nous de la paroi du temps, etc ; nous essayons de comprendre le plus que nouys pouvons comprendre, ensemblke et ici, et cela nous le faisons pour mieux en avancer au sein des connaissqances rupestres, pariétales etc, afin de manger d u terrazin, de gagner du terrain, d’en avancer disons sur ce tapis de roche ouvert, devant nous, comme un ruban de soie ou comme le ruban d’une sorte de tracé de vie ; nous disons que la voie, ce tracé devant soi, est un chemin comme circulaire (le sang) et que la vie ici est de basculement d’un horizon l’autre (cette rotondité)  ; nous voulons savoir ce qui est quyi préside aux allers retours de pareillle voie, de pareille embardée, etc ; nous voulons comprendre beaucoup de toute cette affaire de bambi swur roche surpl ;ombant nos tetes d’eznfant couronnés ; nous voulons essayer de comprendre cette chose d’un appel du pied  de la part de cette bete devant nous, qui vocifère et nous invite à nous adjoindre à elle  ; que nous veut elle ? que veut elle nou!s dire ? qu’a t elle derière latete ? nous voulons savoir des choses, nous voulobns comprendre, nous voulons aen avancer, nous voulons découvrir, nous voulons trouver, et le pot aux roses de toute l’affaire, et des raisons (costaudes) d’y croire un tantinet (à toute l’affaire)  ; nous ne sommes pas sortis de l(auberge à proprement parler ; nous ne sommes sortis de rien ; nous sommes cernés comme bovidés dans un enclos ; nous sommes pris d’assaut et au piège de la conscience ou de quyoi d’autre ?  ; nous parlons à tort et à travers, et nous nous posons en justiciers ; nous ne sommes pas des justiciers ; nous ne sommes pas des acteurs de la grande justice ; nous voulons essayer de comprenxdre les choses copmme elles se trament et là (en roche) ouvrir grand les yeux et voir loin et longtmps le plus possible ; l’horizon nacré, les embruns, les roches, les rochers, les biches, les vagues, le sol parsemé de choses, l’art d’un dire musical qui serait comme sortant des limbes, etc ; nous voulons savoir ce quyi ici est à l oeuvre en termes de réalité tangible ; nous essayons de voir loin et plus, ; mais comment ? les mots nouszc en empêchent il semblerait ; nous cvoulons voir ensemble cette chose d’une vérité des limbes auréeolées, cette tangibilité latente, ce ciel de nachre à  l’horizon perlé, cette voix qui s’époumone à nous appeler, ainsi de suite en pareille roche ; nous avons à faire cette chose de concert, à aller au devant de cette biche sus nommée qyui donc nouys attend sur son monticule, et attend notre bon vouloir ; nouys demandons grace, nouys demandons la grace de dieiu, nous demandons à dieu d’etre gracié, nous voulons d’un dieu une grace, nous voulons que dieu nous donne grace, ou fasse grace, nous gracie, etc ; nous le répétons à qui veut l’entendre, et Bambi n’est pas en reste pour nousc écouter ; il s’agit pour nous de comprendre ce que nous voulons au juste en termes de savoirs à acquérir : dans quels domaines de prédilection ? où et comment ? avec qui , c’esst à dire aupres de squi ?  ; nous voulons savoir et nous cherchons des choses en roche en ce sens ; là ici, là ou là-bas, pres ou moins pres, ici ou là , là là-bas ou ixic : nous sommes d’attaque ; nous voulons comprendre ; nous cgherchons à comprendre enselmbvle les choses et pour cela, nous devons entrerr en cette roche, nous y loger et nous y reposer un tempsq ;nous devons entrer en pareille roche et essayer de voir au loin ce qui apparaiit en termes de réalités tangibles : des aurochs ? des buffles ? des bisons ? des chevaux ? fdes antilopes ? des ours ? des reznnes ? des lions ? des rhinocérods ? des mammouths ? des betes enragées, des betes dressées pour tuer ? des betes de peu ? des brebis ?  ; nous voulons aller loin en pareille roche de ce temps qui s’ouvre à nous comme mer asséchée filant de son ruban (de soie) infini ; il s’agit de vcomprendre cette chose en nous, d’un passage d’un état l’autre, sous l’emprise d’une bête en nous , quyi tient la barre, qui est à la gouverne, etc: une bete desw embruns, des bords de mer, des effkluves et des lointains ; nous cherchons une issue à des données de genre rupestres, qui (données)  nous seraient octroyés par la bande en tant sque raisons d’y croire (aux choses tangibles) et aussi en tant qu’adoubements de nos mobilesrespectifs ; nous essayons de comprendre ici ce qui est qsui préside aux destinées, aux allers et venues pariétaux ; nous voulons savoir et voir, et que savons nous et que voyons nous ?  ; nous voulons savoir, nous voulons comprendre, nous voulonbs en avancer sur le chemin de la connaissance qui, en réalité, est un chemin dxe vie ; nous voulonsessayer de comprendre en cette vie de rocxhe ce qui est qui serait patent, tangiblke, réel, effectif, à toucher ; nous nous projetons en pareille roche et là (en elle) nous disons les mots que nous portons en nous depuis la nyuit des temps ; nous sommes munis et nous le disons de cette façon et en ce lieu de ... pêrdition ? immixtion ? etc ; nous solmmes entrés à deux dans lma roche ; il y fait un vent frais ; nous regardopns passer les betes à nos cotés, comme vagues redressées, ; etc ; il s’agit pour nous de comprendre ce qui ici en roche se trame, se trame ici en matière de données rupsretres ; nous voulons que les choses soient dites fissa ; nous le désirons instamment ; nous désirons instamment cette chose et nous le disons ici même, en toutes letrres, soit par ce moyezn du dessin de betes, ici en roche et ici en cette contrée comme embrumée, cette zone d’ouverture paréiétale, etc ; nous disons que nous avons à penser les choses de concert ; nhous disons que nous devons faire ainsi ensemble en roche et ne pas nous désunir, ne pas nous lacher les mains mais tout au contraire y aller fissa de notre avancée commune, jointe, etc ; nous avons à comprtendre cette chose d’une connaissance à aller dénicher quelque part en cette roche du temps pariétakl, cette chose quyi serait nichée (prise) dans la roche ; cette chose est une nébulauese ?? est quoi ? nous ne savons pas ; nous disons cela, comme quyoi la roche enferme en elle un temps de latence, une sorte de temps infini enclos, et ce temps est celui qui se présente à soi lorsqqsqu’on se promène en pareille roche allouée ; il s’agit-t d’une compréhension de bon aloi, d’une chance tout autant, pour ceux et celles qui (avec leurs oeuvres ainsi déposées) arrivent à fracturer (percer) laroche et entrer en elle ; il s’agit de se serrer les coudes pêrmannemen,t et ne plus bouger d’un millimètre pendant tout le temps de latraversée (fusée)  ; nous essayons de comp^rendre ewnsemble les choses du temps et ces choseez, nous voulobns les voir à l’oeuvre, ; nous les voulons comme voir à l’oeuvre , comme oeuvre , oeuvre d’art pour ainsi dire = depots sur roche, présents alloués, perfusion de sang, don de soi dans les contrées humides d’une roche dure ou douce selon les moments et les lieux d’immixtion, etc ; la peine est lég ère, le temps imparti, la roche est solide, le vent file entre les parois, les vagues sont hautes, le ciel menaçant, le sang dans les veines ruisselle, bambi est devant qui nous interpelle, etc ; nbous essxayons ensembkle de comprendre les enjeux de toute cette affaire de parois de grotte, d’hommes et de fzemmes des cavernes, d’enfants couronnés qyui vont en rochev présentement, et voient bambi les attendre au loin et leur faire signe ; des vagues, des embruns, des vagues hautes, un chemin sur la roche, un tracé asséché, de part et d’auutres des murs d’eaux, comme buffkes de poids d’assaut, etc ; nouys sommes posés ainsi sur ce sol de roche dure ; laterre est le chemin du monde , le lieu des assauts du temps ; nous regazrdons au devant et nbous voyons cette chose (où ?) se dessiner sous nos  yeux, cette chose ds’un dessin de bete par un homme des temps reculés ; il s’agit pour nous de comprtendre ensemble cette chose d’une destinée quiu nous tend les bras en pareille roche du temps imparti ; imparti par qui ? dieu seul le sait ! ; il s’agit de’un encouragementt à encore et toujours continuer sur notre lancée et ne plus s’arreter en chemin, aller fissa sur roche pour savoir, comprendre, découvrir, etc ; nous voulons savoir, comprendre, découvrir etc ; nous ne voulons rien ds’autre que cela, que cette cxhose d’un savoir de vie qui nous serait donné (le savoir) par une bete devant nous qui elle sauraitr, cette bete, ce dont  il s’agit ici en la matière ; nous devons co:mprendre et aller loin ; nous devons perforer laroche et entrer en elle ; nous devons nous loger en pareille paroi susnommée pour une inserttion de notrte corps entier en pied, ou comment dire : en entier comme dans une tombe ; nous voulons savcoir ce que l’acvenir nous réserve et ne plus trembler mais nous tenir droit et filer en cette roche comme bete (une antilope) sur un pré ; nous devons comprendre cette chose d’une voie d’abord en roche, en paroi, en ce temps dur, en cette ouverture ; nous voulons savoir les raisons et les enjeux, les connaitre mieux, cobnaitree ce qui va devant pour nous, qui est cette chose d’une biche douce, bien dessinée, etc : nous avons compris, nous sommes dela paertie, nous sommes au jus, etc ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir entrer la tête la première en pareillme roche des temps, et nous loger en e’lkle avec (en  nous) desmots-animaux « de compagnie », cette troupe souple, ce pic de bouche, cette cauda fine affutée, ces sens octroyés ; nous essayons de comprendre depuis nous (notre gouverne) jusqu’à elle (la biche) le chemin qyui reste à parcourir ; nous ne sommes pas en reswte de le chercher ou de le rechercher ; nous voulons avancer ainsi sur roche, creuser le silloon, faire cette cghose d’une course à travers le temps de laroche ; nous voul:ons comprendre les choses du telmps à la lumière d’une sorte ici de biche lumineuse, de biche incandescente pour ainsi dire ; nous sommes qui allons vers des lointains dee gran,de profondeur, de belle nature,  horiezons bleutés des embruns ; nous marchons à même lke temps de laroche, comme suspendus en elle (où ?) comme homme en lévitation traçant sur roche un mouflon ou un bouquetin sous emprise ; etc ; nous disons que cette chose est une chose d’importance, une chose donnée par la roche, cette chose d’une suspension comme en lévitation ; nous avons pour nous cette chose , à devoir comprendre de concert (de conserve etc) et cette chose nous sommes deux ici qui la suspectons, qui pensons que celkle ci est réelle, qu’elle existe vraiement en bonne et du$e forme, comme ailleurs des betes paissant sur prairie, etc ; nous pensons que lza chose d’un temps alloué à une ^ame des prés (bambvi ?) est chose tangible, que l’on peut topucher ; peut on latoucher ? peut on dès lors toucher bambi sans danger ?  ; qui est cette bambi des preés ? qui est bambvi en pàareille roche ? qui bambi est en cette roche de prairie, qui nous interpelle longuement et sa$ ns désesqpérer , qui est elle ?  ; nous cherchons ici aussi un certain nombre de réponses, des réponses de bon aloi et grandec renommée ; nbous pensons que la chose se dessine ainsi pour ainsi dire : sous emprise ; nous pensons pour nous que la chose ainsi se dessine , sous emprise, sous le coup d’une bete en  nous qui assène, etc ; nbous pensons que nous sommes sous le joug pour ain si dire d(‘une sorte d’animal des roches, animal furieux, vitupérant et vociférant, en nous = en notre sein perlé, en ce sein de notre intérieur embarqué, etc ; nous voulons comprendre le plus que  nous pouvons ensemble ; ensemble nous voulons comprendre le plus quil nous est ici possible de comprtendre etc ; nous devons faire cette chose d’une sorte de’entrée dans une matière ; nous essayons de faire cette chose d’une sorte d’entrée dans une lmatière et en elle aller loin, et trouver les choses crues, les données natives, les réponses brutes, les volontés ou les vérités de bonne chance, etc ; la terre est ce ciel de roche ; la terre est dure et tena nte ; il faut comprendre cette cghose d’une vérité de la roche dure ; nous voulons com)rendre, et nous allonger un temps (fut-il court) sur pareille roche, sur roche du temps allouév (imparti) etc, car nbous sommes deux en insertion rocheuse à vouloir ainsi, à ainsi vouloir nous pklacer sur roche, sur roche des preés, des prairies, des embruns nacrés, des souhaits et des dépôtsitions ; nous sommes deux qui alloons en pareille roche du temps à larecherche d’une vérité ; nouys solmmes deux qui allons en rocghe du temps , à larecherche d’une vérité de roche ; il s’agit de vérités de bon aloi, de vérité «gentilles», vzenant toutes d’un coeur affable, aima ble, etc ; les vérités, celles que nous recherchons, ont en elle des traits de gentillesse, d’amabilité certaines ; nous pensons à ces chose de la véreoité comme à des choses qui doivent etre pour le coup cons-idéres en tant que pierre de touche ; nous disons quev ces choses de la v»érité vsont pierres de touche à devoir comp^rendre de concert : sont elles pour nouqss ? sont elmles allouées ? sont elles à devoir toucher fissa et plus vite qye ça ?  ; nous sommes sur la voie qui mène aux réponses ; nous sommes tous les deux sur une voie d’abord qui mène à des réponses brutes, crues, nature, pleine de vie, etc ; il s’agit de comprendre cdela (cette chose) à la lumière des embruns et de la destinée (réelle) pariétale , ici ou là, qui se dessinnne sous les doigts de l’homme des cavernes ; il s’agit (encore une fois) d’un retour aux sources du temps ; il s’agit de bien trouver à se loger en pareiklle roche, à kl’écart, cx’est à dire à l’abri d’ébventuelles ruades de betes de charge (ces bhisons, ces aurochs, ; ces buffles)  ; nous voyons cque nous avons aà nous blottir en cette roche, dans un coin ou recoin, et un temps n’en plus bouger ; ne plus bouger mais se faire petit, se faire enfant ainsi, petit de la roche du temps, ce retour sur soi et sa parole brute ou comment ? sortie de où ? de quel soi interne (externe ?) ? ; nous essayons de nous placer en pareillec roche du temps comme à l’intérieur d’une cavitéc préhistorique ; nous voulons nous intégrer au paysage et passer inaperçu ; nbous voulons essayer de nous intégrer à ce paysage przairial pariétal, comme betes figurées, et ne plus bouger (à vie) et restezr ainbsi en bonne compagnie (aurochs, aurovchs, aurochs, etc)  ; notre but est ainsi affiché ici, qui dit son envie de figurer en pareille paroi du temps, parmi les mots-betes et les b etes-mots de la roche ; il s’agit de bien comprendre cette chose , d’une sorte d’immixtion rupestre éternelle ou quelque chose d’approchant : une vérité ancrée,  gracvée sur la roche, nhoir sur blanc, indétronable, indéboulonnable, immoretlle, insérée à kjamais comme une biche dans ce ci’el de traine a&ux embruns ; nous voulons que la chose soit dite et affichée ; nous tenons desx affiches (les) par devers nous et sommes (nous) prets à les coller sur panonceaux ou autres parois d’apport ; notre chance est de pouvoir dire de la sorte cette envie en nous qui nous taraude ; une chance de tous kles instants, une belle et grande chance pour nous offerte, de pouvoir dire haut et fort ce qui en nous gronde comme un piétinement de  betes de masse sur un sol de terre concxret ; nous voulonsessqayer ainsi de comp^rendre znsembkle kles enjeux d’un bord de mer d’une mer déchirée ; notre but est noyé, cest à dire affiché, connu, su, et se présente comme une envie, une vo:lonté, un désir ; nous essayons detrouver des raisons  à des motifs, ou comment ?  ; nouys essqayons de trouver des raisons d’y croire, soit de croire à des motifs qui sont ceux que nous voyons ainsi (devant nous) dessinés à même la pierre de roche ; quii pour comprendre les motifs ?  ; qui sommes nous qui cherchons à (à notre tour) comprendre les motifs ? des connaiisseurs ? des connaisseurs de la première heure ? non pas ! ; des amateurs ? pas même, ou si ?  ; nous devons comprendre ensemble ces choses (ces donnhéesxcde roche) comme autant de vérités de bon aloi, qui seraient des vérités pleines de graces, et qui , vérités pl ;eine de grâce, nous permetraient d’enfin y voir clair davantage, d’y voir enfin, sinon quelque chose de patent, du moins quelque chose de possible ; nhous essayons de toucher la biche (en d’autreezs termes)  ; la toucher, pour se rendre compte de sa vérité ; la toucher, car l’envie en nouys est prégnante qui va dans ce sens ; nous voulons essayer de comprendre cette chose, pour nous,, qyi est chose entière (pleine) comme un oeuf de poule ; nous voulons comprtendre ce squi est ici qui se trame en la m-atière et nous tend kles bras : quisommes nous pour nous prononcer de la sorte sur ici des sujets pour lesquels nos connnaissqa nces sont plus que limités en l’occurrence ? qui sommes no!s pour la ramener ? qui sommes nous pour laramener ? qyui sommes nous pour ramener ainsi bnotrte bouille, bnotre fraise, nbotre gueule ou figure , etc: qui ? ; nous doutons de tout au fur et à mesure de notre a vanc»eé en pareillle roche ; nous avons des doutes, nous en sommes pleins ; nous sommes pleins en nous de ces doutes de roche, incrustés comme des pierres cde grand prix dans une châsse en or ; il s’agit pour nousz de comprendre les données de base qui p^résident à un ezntendement facial, mural, face à nous qui sommes des enfants de la roche du temps, et qui ne quittonbs pas, qui le bouquetin qui l’antilope , de vue ; nous avons cette volonté ancrée en nous, de vouloir poursuivre sur la voie d’une déchirure de paroi (mer ouverte) avec insezrtion de nos deux mobiles corporels par téléportation directe, et de une et de deux, en pareille zone aux embruns ; il s’agit pour nous de comp^rendsre cette chose d’une entrée dans la matière en tant que telle : naissance à la vie pariétale ; nous sommes entrés car nbous sommes sortis, et nous sommes sortis cvar nous sommes entrés, ou quelque chose de cet ordre ; nous donnons desq mots à toutes ces choses ; nous voulons savoir quels sont ces mots donnés ; nous avons de grandes ambitions qui toutes concernent ces donhées dee roche, de paroi, de temps alloué, de termes échus, de finalité, de globalitéc et de rotondité, xd’infini temporzels et de vie à l’abri des ruades du telmps ; nouys voulons essayer de comp^rendre toutr cela qui nous  fait face, et cela ne pas le perdre, mais le conserver, le tenir pour soi, le prendre en son giron et le faire sien, sous une forme animalière de bon aloi comme il se doit ; nous essayons de comp^rendre pour nous cette chose qui serait qsue nous sommes ensemble (ici même) pour aller au loin, découvrir des données de base, et ces donneées les affficher sur roche : hosannah cvomme dans la prière, etc ; nous penwsons que  nous devons ensemble nous blottir, ainsi que nous le faisons, en cette roche du temps, et là: aller loin en elle, donner cet allant de vie vive à notre avancée en roche, toucher les réalkités tangibles du temps (profiter) et courir à perdre haleine sur voie asséchée de mer de roche ; il est bon pour nous de comprendre tout cela ainsi , en nous collant à pareiklle roche des temps ; il est pour nous capital de faire cette chose de concxert , et entrer en pareille roche, en elle à deux, comme des enfants de la peine légère (etc)  ; nous devons entrer en paroi, et nous y loger de concert , et attendre ce qui est ici qui nous regarde, nous suit des yeux et nous cherche, comme deux etres qui seraient à même de se joindre à la cohorte ; une drole de mission ; une sorte d’injonction ; nous voyons en bambi cette révélatrice ; nous voyons en cette bambi celle là qui vient vers nous nous demander à sa façon gracile de nous joindre à elle, à sa syuite, et dee nous enchainer ainsi à son train de vie vive , allant de cet endroit de bord de mer à  c et autre endroit plus lointain, des embruns nacrés et dees ciels dorés ; nous cherchons à la comp^rendre, à comprendre ses envies et en quoi réside son attrait pour pareils horizons dorés ; nous voulons savoir ce quyi en elle résiste (?) ou préside (?) ou est contenu en termes de savoirs concernant les enjeux liéxss à des etais, à des soutiens, à des forces en nous qui nous poussent à tenir debout comme elle (la biche de belle et bonne soutenance, ou contenance)  ; nous disons que nous devons aller en paroi ensemble et toucher la bete en v rai ; la bete est cette bete forte, tenant sur son train de derrière ou parfois de devant, etc ; nous alloons en roche comme enfants dans un cimetière sous les embruns ; le sol est jonché ; la place est occupée par mille objets dépôsés ; il s’agit de choses de belle venue ; il s’agit de belles chgoses appoosées ou posées à même la roche: belles et rebelles choses de prix apposées déposées, etc ; l’art déposé de la manière ; il s’agit de comprendre cette choseici x’une tentative de déposition d’un temps imparti sur roche  meuble (dure ?) de vie ; nous essayons de «piger», et de piéger le sensde lza chose, en cette roche de substitution, etc ; nous essayons de comprendre ensemble ce qui est ici, qui se promène dans les embruns, cette bic he douce aux allures fines, cette bete élancées racée, qui va sur la dune et nous fait du pied, etc ; allons donc la suivre ; allons vers elle ; collons-nous à elle ; faisons comme ci ; faisons le chemin vers elle, soyons fou et filons ; etc ; nous essayons et nous voyons deès lors que cette chose est telle que voilà, nous nous devons d’aller en paroi comme nous le voulons, et le faisons, et cela pour cette raison que nous avons à bien vcomprendre ensembvle un certain nombre de choses concernant la bete, la bete en vadrouille sur l’herbe des prés pariétaux, sur ce sol de roche du temps imparti incertain, etc ; la bete est solide et vive ; elle ne se laisse pas toucher si facilement : elle fuit ; elle est cette bete des boiset des sous bois, que nouysq rezgardons aller de loin, sauter et gesticuler, etc ; il semble que cette chose, d’un toucher à faire sur biche (roche), soit de lk’ordre de l’enfance, reliquat, et vienne ainsi nous éclzairer sur un maintien des choses en soi-meme, de ces choses ancestrales, liées à une histoire (la nottree) et qui est l’histooire de l’humanité en son intégralité ; nhous disons que nous avons à faire ensemble ce chemin de roche, vers les lointains, ces lointzains qui signent (signalent ?) une destinée ; nous voulons nous projeter en cette roche du temps et comprendre cette chose d’une sorte de donnée à fournir à qui de droit quyi se poserait devcant nous comme une porte qui s’ouvre et laisse passage à convoi ; nous parlons car nous ne savons pas nous taire, voilà la question ; nous parlons à brule pourpoint, ,a la cantonade, à l’encan, à lk’emporte pièce, à lka dérobée eztc, car nous ne savons pas (plus) comment faire cette chose d’une chose à dire de concert en pareille roche (paroi) de la pr»hgistoire ; nous essayons de comprendre  cela qui (pour nous) est ici, et qui se nomme : gentillesse, douceur, désiderata affichésur roche comme autant de choses douces, soyeuses, fines etc ; nous voulonsz essayer cde comprendre cette chosee de concert, cette chose d’une douceur de roche et de temps ; qui peut nous explkiquer les teznants et les aboutissants de laroche ? qui pourra nousc expliquec pareilstenants, pareils aboutissants, cette chose qui est là devant nos yeux et quyi porte un nom , qui saura nous donner ce nom .? ; nous voulobns comprendre cette chose et cette chose, nbous voulobns lka déclamer, la faire advenir, l’inciter à nous rejhoindre ou comment ? qui parle ? qui est là ? qui est là en nbous ? qui parle pour nous ? qui est en  nous qui parle ? qui veut ennous prendre la pa role ? etc ; toutes ces questions sqont celles que nous maintenons sur roche, en vie, parmi les betes de charge ghravées et dessinées pa r l’homme des caver,nes, lk’aurignacien, le ma gdalénien ; nous esesayons de nous blottir en cette roche dure, nous voulons essayer de  nous loger en elle via un interstice de paroi ; nous dezvons nous immmiscer ezn pareille roche via la fente dans la pierre ; nous decvcons a ller en elle loin et nous coller à sa roche dure, en cette roche dure, à roche dure de paroi, en elle (la paroi) un temps alloué ; nous avons à comprenxdre cette chose d’une roche ou roche du temps qui irait ainsi à nous doner des éléments possibles de compréhension rupestre, c’ezst à dire des élélments rupeswtres de compréhension native ; nous sommes enfants qui , privés de choses ezn n ous, cgherchons en roche ces choses de prix ; nous voulons faire cette chose, d’une incursion, dans la roche , dans le dur de la roche dure, et cette incursion la documenter ou quelque chose d’approchant sur des parois, a-vec moultes figures gravées etc, comme un homme des cavernes autrefois faisqait , etc ; nous avons à faire ensemble cette choçse d’une sorte d’immixtion, pariétale, vive, faite ensemble, ici documentée sur roche (les dessins des hommes des cavernesl) et ainsi de suite ; nous voulons faire ensemble le pas qui pour le coup nous mènerait à une sorte de passage (ouvert) pour une inscription dans le temps d’une destinée toute déjà tracée ; nous voulonbs ensemvble essayer de comprendre cette chose, et cette chose la projeter (cette compréhension plutot) la projeter sur roche comme autant de points d’ancrage pour un e sorte de raison ezn devenir (un intellect)  ; nbous savons que nous avons à faire sur roche mention de toute cette chose qui , pour nbous, est chose de poidsq ; nous avons cette chose à comprendre, cette chose à suivre des yeux, à suivre instamment ; nous essayons de nous téléporter dans kle temps de la roche dure, de cette paroi aux embruns salés ; la peine est légère qui est encourue ; nous devons faire enwsemble ce pas en avant et entrer ensembkle en pareille roche du temps, en cette roche des temps impartis par un dieu de la vie  native ; nous voulons nous poster dezvant lui et lui demander son avis : doit on afficher tel ou tel résukltat de nos découvertes ? doit on aller fissa sur roche dessinezr ? doit on figurer la bete, lareprésen,ter en pied ? doit on dire les mots de la bande ? doit on figurer l’aurochs, la biche, le chevreuil, le cerf membré, l’antilope souple, la bete des bois ? doit on chercher un endroit en particuylier pour pareille représentation et si oui lequel ? nous solmmesenvahis (add--siégés) de questions de toutes sortes ,  et ces questions, que doit on en penser ? a t on le drooit(le droit ?) de se poser xtoutes ces questions, ;, de poser question, de se poser tant de questions, etc ,?  ; a ton le droit , fait on juste ? nous disons que nous sommes remplis dee qusetions de toute narture en  nous, et cependant : avons nous légitimité à faire de la sorte en tant que tel ?  ; nous disons que nousq nous disons des choses et autres qui (toutes) sont des choses de grande importance (singulièrement) et cependant , qui tombent sous le coup d’une sorte de poussée frontale contre nous, d’une sorte de poussée en contrefort, d’une sorte de frein au développement de notre gouverne ; nous essayons de comprendxre tout  cela qui semble etre (contre nous : cette main contre notre tete)  ; nous essayons de comp^rendre cette chose en facial, cette chose d’une contre-poussseé rupestre faciale ; nous voulons comprendsre , cette cxhose dure, nous voulons comprendre cette chose dure ; on dit : cette chose dure en contre-poussée, et disant cela on avance à ppetits pas en cette roche de la pierre de pazroi ; nous sommes deux qui voulons comprendre cela (cette contreepoussée) en commun, de concert, main dans main comme troujours, car la chose ici quii se dessine est une chgose de première force : une vérité contraire (?) ou une vérité contrariée mais une vérité tout de même ; nbous voulons savoir cette cxhose ce qu’elle est au juste, cette sorte de raison de base, cet étai, ce chassis, cette cxhose de repli pour ainsi dire, d’étayage et de repli ; nous avançons ; nous sommes tous les deux qui pour le coup allons sur ce chemin des connaissances votives, et c’est ainsi que nous trouvons, ici ou là, clairsemées, des vérités de bon aloi à collecter et à fixer incidemment sur roche , comme un homme des cavernes ; nous voyons  cetre cjhose, devant nous, d’une bete à corne ou sans corne, cette bete dessinée par l’homme ancien, et cette bete s’adresse à nous, elle nous interpelle, elle nous regarde dans le blanc des yehux et nous demande de vouloir la syuivre en ses méa ndres pariétaux, et que faire ? plonger la tete la prezmière en  c ette dureté de vie de base ? ou bien, à travers les mots de la bande, charger comme l’animal et fracturer lkes choses rocheuyses, lkes donnhées du roc assourdi, etc ?  ; nous avons choisi ; nous avons compris les raisons ; nbous commençons à cvomprendre les raisons : la mort est au rendez-vous de nos questionnements ; la mort est le mot qui glisse sur la roche ; tous les mots glissent sur la roche et tous lkes mots disent (incidemmeznt) la mort, cette mort impossible à figurer en elmlmle même (cet arret de buse ? cette chose en dépot ? cet attentat sur paroi dure ? cet oiseau ? ce rapace sur paroi ? )  ; nous voulons co:mprebndre et savoir, nbous voulons aller loin dans le savoir ; nbous voulons aller tres loin dans lke savoir commun et partagé qui est celui des mots de la tribu ;, mots-animaux venant glisser (et l’un et kl’autre) sur la roche, sur paroi lisse, poreuse ici ou pas, etc ; l’homme des cavernes est cet homme dur aux épreuves, qyui va son allant sur roche , à la fin de dessiner des betes fortes, des betes d’importance telle qu il sait qu’elles en imposeront de par leur stature et leur ressemblance avec leurs modèles dans la nature ; l’homme des cavernes est cet homme doux-dur, qsqui va sur roche en lévitation ; il est cet homme doux et dur selon les moments, et qui, ; par moments, grimpe dans les ezmbruns, et trace au charbon des figures ; il lévite ; il grimpe ; il monte ; il est en haut et en haut se laissse porter par ezn lui une bete qui touche pour lui la paroi meubkle (dessine ou grave)  ; il est cet homme d’un air de deux airs ; il est cet homme des cavernes au bec qui pique, au bec de betes amonce»élées, au pic de rocher, au grattoir ; il est l’homme du premier jet et c’est marre ; il tombe sur roche et grave de sa vcoix forcée une voie d’abord pour une sorte d’entrée en matière ; il est beau sur roche et fonce fissa vers la chose représentée (l(aurochs ou la 

hjument)  ; il est l’homme des temps de roche, incrusté en elle comme une oppierree sur chasse de bague, etcc ; nous aimons cxet hgomme, nous le chérissons et le bénissons de notre regard ; les mots que nous avons en bouche sont des mots de peu ; nous passons du temps à les compter  ; nous sommes dans la roche insérés, à pouvoir compter les mots de latribu ; bambi est notre animal préféré, elle saute d’une roche l’autre ; nous sommes des hommes,  piégésen roche , qui vont de la sorte à s’immisqcer en pareille temporalitéc prairiale ; nous avons des mots pour dire cette chose d’une sorte de naissqance outrée, forcée par la bnande, à une vie autre, éclairée, éclaircie, plzeine d’attraits, embrumé et nacrée en ses lointzains ; nous voulons savoir ce qu il en retourne de ce nacre et de ce bl-euté des fons marins ; nous cherchons des reéponses de poids à meme la roche, à l’intérieur d’une caverne de la préhistoire, parmi moultes betes d’attaque, comme des aurochs, commes des bisons ou des buffkles ; nous ne sommes pas en reste de nous questionner, et cela nous le faisons parmi toutes ces betes amoncelées voire entortillées qyui forment la pique d’entrée ;

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10/03/2021

nous sommes ensemble qui voyons au loin bambi qui nous regarde ; elle est en fond qui nous regarde et nous fait signe ; il s’agit de cette bambi ou bambi des prés reconnaissable à sa houpe ;l ande ;

il s’agit pour nous d’une bamlbi des prés ; nous voyons pres de nous, aller et venir, les cerfs, les chevreuils, les buffles, les aurochs et les rhinocéros ; il s’agit pour nous d’une sorte de confrérie (animalière) de bon aloi ; nous savons que nouys devons aller vers elle, vers pareilles betes de paroi et comprendre ensemble ce pour quoi (les raisons de tete) pareilles betes sont ici pour nouys des betes de joie ; nouys essayons ensemble de comprendre cette chose ensemble  ; enselmble c’est à dire main dans la main ; ensemble pour l’éternité contenue (de force) en pareille paroi du temmps ; nouys regardons pzasser et repasser pareils troupeaux de betes aupres de nous qui marchons tete levée, la tete première, la tete levée, qui regzardons le ciel, le ciel aux embruns, les vagues dressées, les cretes, les fons de ciel, etc ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir voir au loin les choses se tramant (horizons de nacre) et nous nous avançons ainsi, la tete en proue, la tete première, dressés sur nos pattes arrière, en cet entre-deux pariétal qui nous voit aller en lui comme ver dans une pomme ; nous sommes tous deuc des betes de somme et allons sur pareil sillage de paroi, à la rencontre d’une biche de féerie, celle-là qui saura nous guider instammen,t vers des lendemains ... heureux ? ou comment, mzamlheureux ? nous ignorons ; nous sommes tous deux dans l’incapacité de pouvoir répondre à pareille interrogation existentielle, car nous sommes des enfants non savants ; nous ne sommes pzas des savants de renommé, nous sommes des enfants sans renommée ; nous nev sommes pas des savants qui en imposent lourdement, fortement, considérablement avec leurs connaissances (etc) mais tout au contraire des enfants squi n’en imposent pas, qui se tiennent en retrait de beaucoup de choses, qui sont à part, qui sont loin, qui xsont en dedand deune bulle qui leur appartient ; nous sommes en pareille paroi comme des enfants qui vont et qui viennent et qui voient au loin pareils troupeaux d’animaux de race, de belle carrure, imposant de par leur port et leur démarche etc ; il s’agit de betes de poids qui vont et qui viennent ; il s’agit de belle betes , qui vont sur roche ainsi que nous les pistons (du regard) , vont et viennent et nous observent (ou pas loin) du coin de l’oeil ; nous voyons ces b etes, qui sont (pour nous) betes de somme ... comme nous ?  ; nous les voyons qui sont comme nous des betes de somme (pour ainsi dire) = des betes arquées, dressées, qui sont sur roche comme en une bulle d’enfance, et se tiennent ainsi face à l’immensité (l’infini) d’une sorte (temporelle) de paroi de vie ; nous sommes (nous) qui voyons cette paroi comme une sorte d’enclave enfantine menaçnate (?) et étonnante ; nous voyons ces betes pres de nous et comprenopns parfaitement (ensemble) le danger qu’elles représentaent ; nous savons que pareilles betes sont betes de somme et de poids qui , facilement, pourraient vous atteindre,  vous marcher dessus, et vous astreindre à vous placer ainsi de biais, à l’écart , etc ; nous savpons que pareille betes ou betes de poids, sont à même de vous faire mal, de vous fzaire du mal, de vous chevaucher et de vous éc raser ; il s’agit pour nous d’un dangzr réel et bien là (en paroi) et nous comprenons ici le pourquoi du cvomment il était pour nous important de nbous tenir de biais, un peu à l’écart de la meute ou de la troupe, main dans la main (ne pas se désunir) et les yeux ouverts (bien ouverts)  ; nous savons que nous devons comprendre cette troupe de betes proches, commev troupe venant et allant à même la roche du temps : mots-bêtes ? nous savons que pareille troupe est truope de betes de poids = menace ; nous devons comprendre cette chose d’une sorte de troupeau de poids à proximité (proche de  nous) qui est cette menace de tous les instants (cette épée de damoclès) qui pèse sur nous en pareille roche ; nous sommes nous deux qui devons comprendre cette chose ensemlvle et aller en cette roche comme munis de ce savoior du temps, du temps temporal, du temps pariétzal, etc, qui sont les temps cérébraux de notre immixtion ; nous essaayons de comprendre les choses de la vie à l’aune de  ces betes de paroi (qui en imposent) et cela nous essayons de le fa ire ensemble, ; main dans la main, pour nous, pour notre gouverne et notre gouvernance ; nous aimons ces chgoses de paroi du temps : ces choses devant nous, ces offrandes ; nous regardons loin et voyons bambi qui nous observe du coin de l’oeil ; nouds sommes proche de bambi ; nous la regardons qui nous rehgarde ; elle est fine et élancée ; elle est cette bambi des prés que bnbous aimons, que nous regardons bouger dans lkes lointains ; elle est cvette bnambi qui nous voit venir vers elle et semble s’en réhjouir et nous d’aller ainsi vers une lumière lointaine aux embruns dorés, bnleutés et nacrés ; les couloeurs du fond de paroi ; ces belles couleurs de roche, mordorées, etc ; nous comprenons que nous devons ainsi agir ensemlble et nous porter loin, en pareillle roche, au plus loin que nous pouvons, et ne pas sombrer en chemin, ne pas défaillir, tenir la distance, etc, jusqu’à bon port ; nous sommes deux qui allons ainsi vers des embruns de fond de roche, de paroi, dans un entre-deux pariétal qui est l’entre-deux-mers qui nous voit aller en lui comme passagers d’un temps imparti incertain  ; nous comprenons à présent (enfant que nous sommes) toute la mesure de pareilles choses de roche, ces betes adjacentes, ces parois gravées (ornementées), ces bois de mer, ces horizons, ce bleu de -nacre, ce doré de nacre, ce nbacre tout court, etc ; nous avons enfin compris ce qui ici (en paroi préhistorique) semble se produire sous nos yeux d’enfants, et de quoi s’agit il ? il xs’agit d’une sorte de parole en acte (agir et aller)  ; il s’agit ici d’une sorte de parole en acte (agir ou aller)  ; nous pensons que cela est cette chose ici et nous le disons ; nous pensons que cette chose ici est celle-là qui nous voit avancer sur roche, entre deux vagues redressées, et là, ensemble, gagner du terrain en direction de ces embruns de fond de roche, de paroi, vers une lumière bleutée-nacrée qyui est la lumière (incidemment) des sphères ; nous disons cela ici pour ceux qui nous entendent (bambis ?) et cela dit nous nous portons aupres de toutes ces betes de roche, auprès des zaurochs droles, chevelus, curieux, et cher chons à les toucher du bout des doigts afin de comprendre, ces betes curieuses, de quoi sont-elles faites en v érité, ou plutot : de quoi leur pelisse, leur peau, leur enveloppe, leur dehors est fait ou sont faits ; nous cherchons à comprendre beaucoup de choses ici, et voilà ce qui est (ici en paroi) qui nous retient ; nous cherchons à comprendrte un grand nombre de choses de cette paroi, de pareille roche de contenance (l’art) et pour cela nous sommes entrés en pareille cavité à deux, pour nous tenirr la main, ou plutot pour nous entraider etc, et en avancer ainsi davantagee en matière de connaissance, de savoirs, d’éclaircidssements ; nous voyons des choses ici ou là quyi trainent sur ce fond de mer asséché et dfe quoi s’agit il ? il s’agit de dons posés en offrande, dxes reliques, des choses confectionnées, des dons ou desprésents ; il s’agfit de choses aretistiques (?) : des objets de charme etc ; nous dison s que nous voyons pareils objets, déposés, comme autant de choses déposées à dessein, c’est à dire avec la volonté ctenace de charmer et de blouser ; nous comprenons que cela est une chose étrange, curieuse, dominante, qui nous parle, qui nous interpelle, qui nous retient, qui nous dit des choses, à savoir de nous tenir droit, dx’aller de l’avant, de respirer profondément, de mqarcher la tete relevée, etc ; nous sommes hommes des cavernes qui savont ici figurer la bete de roche, cette bete des embruns, cette bete de foire, douce et dure, etc, selon les moments, cette bete qui en impose et peut faire accroire etc ; nous avons compris et nous le disons comme à la cantonade, ici ou là, sur npotre passage ; nous disons que nous avons comp)ris et que nous devons mpoursuivre pareille avzenture vpariétale à deux (main + main) et ne pas nous désunir, ne pas l^acher prise , etc ; nouys devcons comprendre, que la roche est le temps, la bete les mots, le ciel le tourme,nt, la biche une ame-soeur, et le vent qui s’engouffre entre les parois le souffle de vie matutinal et frais ; nous comprenons cette chose ensembke, il s’agit de vérités arrachées à une roche, de vérités de vérités de vérité de vérités 

il s’agit de vérités arrachées à une roche, il s’agit de mots de poids ; nous allon s en paroi ainsi, comme betes d’un temps marqué, mesuré, et ainsi allons ensemble ; nous disons que nous devons agir ainsi, marcher dans les embruns, ne pas nous retourner, foncer grave, toucher au but qui est celui d’en avancer le plus possible dans kles connaissances ; car ici le but est affiché de longue date,il s’agit de cette volonté qui est la nôtre de toucher bambi , la reine des prés, et de comprendre par ce toucher le sens de la vie, c’est à dire où et  quand, quand et pourquoi, pourquoi et comment, vers quoi ou danq quoi, etc ; nous pensons que les mots que nous affichons sont (immanquabmement) des mots-betes de somme, nous pensons que nous avons ici à comprendre loin les choses du mondeadjacent, ces roches x 2, ces parois de part et d’autre, cet allant tracé, ou cette allée, etc ; nous devons com^prendre tant et ta,nt ensemble, tant de choses ici  ; tant et tant de choses de roche, etc ; nous sommes partis pour et c’est la raison pour laquelle nous allons ensembvle à la recherche d’une vérité de roche de poids , etc, afin de bien cvomprendre ce pourquoi nous sommes là ensemble à chercher la voie, le chemin, l’esplanade, le lieu, la direction, etc ; nous pensons qwue ce tracé, devant soi (cette ligne) , est tracé quyi nous voit aller ensembvle à fond (vite fait) vers des lendemains embrumés, nacrés, etc, ces lieux de l’horizon, ces demains charmeurs, ces attraits lointains etc ; nous voulons comprendre cette chose pour nous, la comprendre main dans la main, main dans la main aller en roche découvrir le pot aux roses, les données de base, les tenants et les aboutissantsz ; nous 

voulons essayer de comp^rendre eznsemble ces choses qui nous occupent fort , et qui constituent le substrat de notre intellect ; nous edssayons d’aller vers des directions renouvezlées en matière de comp^réhension des choses, nouys tentons cela mais nous savons que nous sommes ancrés, nous sommes tenus (cvontenus) et   qu il est difficile ici (en roche) de s’affranchir vite fait bien fait de l’étau des bords de mer ; nous comprenons que nous dezvons comprendre encore mille et une choses ; nous ne sommes pas sortis de l’auberge, cela non ; nous essayons de sortir de l’auberge mais voilà, il y a encore tant et tant à comprendre, des milliers de choses pariétales, tant et tant de betes-mots en attente d’etre compris par nous deux qui ne trainons pas mais allez comprendre tout de go les choses, sans crainte, sans atte,nte, etc ; cela est dur ; ; cela n’est pas aisé ; cela ne se fait pas comme en un tour de pa sse passe, etc ; nous prenons loes chosex à coeur et nous y mettons beaucoup d’envie, mais voilà ce qui est ici à dire concernant cela, cette chose comme quoi le temps se déroule à sa vitesse propre et la musique est celle là qui épouse le temps et permet cette approche (lascive ?) des choses ; nous pensons que nous devons comprendre pareille musique du temps comme une sorte de retour sur soi (l’enfant que nous fumes) et ce retour : à la lumiè!re d’une incandescence (bambi ?)  ; nous esdsayons dès lors de nous libérer de tous carcans , mais il n’est pas simple ou facile d’agir de la sorte et de progresser à vitesse grand v ; le temps en, impose, lourdaud, qui pose ses guibolles nonchalantes, etc, sur paroi de roche, sur pierre d’offrande etc (un brulot ? )  ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir aller ensemble sur ce traeeain de la chose dite, sur pareil terrain des choses dites, avouées ou proclamées (chantées ou sussurées, etc) et cela nbous permet du coup de nous introduire dans le champ de cette chose pariétale qui nous enveloppe (une sorte de musique ancestrale) et, cela, nous le savons, nous savons cette choçse depûis longtmps, depuis la nyit des temps ; nous pensons que nous sommes hommes (femmes) des cavernes ; nous pensons que nous sommes femmes (hommes) cde  cavernes ; nous devons comprezndre cette chose ; nous le devons car il en va de notre destinée sur terre ; nous devons comprendre les choses du monde à la lumière d’une incandescence, d’une incandescence de roche, de paroi subliminale  ; nous avons à co:mprendre cela ensemble, cela ensemble = main dans la main, main dans la main = de concert , et de concert = comme deux enfants jouant- aux osselets sur sol rugueux de mer asséchée (etc)  ; nous disons que nous devons nous confronter à pareils savoirs et aller le plus loin possibld en eux, en ces dires de jooie (de peu ?) qui sont dires de betes en rut (en folie ?) ; nous disons ce que nouys avons tous deux sur le coeur et cela est une chose forte, une chose de grosse tenue, une chose de grande envergure, une sorte de belle présence au sens de grosse présence au monde : un aurochs ; et cela pour nous a une importance considérable, tres tres importante cela va de soi ; nous disons qyue cette chose a une importance considérable à nos yeux, raison pour laquelle nous implorons le dieu des embruns (qsui d’autre ? ) pour nous venir en aide et nous montrer (bazmbi ?) le chemin à suivre ; nous avons cette chose en nous de vouloir aller sur roche, comme dans un lieu de contenance, comme en lieu de contenance pariétale etc ; nous cheminons ; nous essayons de comprendre les tenants et les aboutissants de cette chose appelée paroi, paroi de roche, ou paroi du temps ; nous disons «la paroi du temps» sachant que les parois sont deux, de part et d’autree, et que ces parois nous protègent ou bien nous meznacent , nous ne savons pàas ; nous voulons essayer de comprendre la chose de cette manière que nous faisons mais il n’est pas facile pour nous de déplacer les points de vue et de mieux voir (comprendre) ce qui est et ce qui n’est pas ; les parois sont des murs d’enceinte, etc ; il s’agit d’une compréhendsion à acquérir fissaa à deux dans un entre-deux pariétal, et à cdeux aller plus loin dans le savoir concernbant ce lieu ou lieu de vie de la mort à l’oeuvre, ou comment ?  ; car nous voyons b ambi qui chemine, qui file, qui va son chemin au devant de nous et nous attire comme l’aimant ; nous essayons de piger le tout d’un tout ; nous voulons cerner les choses ensemble et avancer ensemble (main dans la main) sur pareil chemin des compréhensions rupestres, à la gaillarde ; nous allons comme deux qui devons aller ; nous a llons sur chemin de vie pariétal, parmi des betes dessinées par l’homme (la femme ?) des cavernes, et ainsi faisant nous progressons sur le chemin des connaisszan ces, de la connaisqzance des roches ; nous pensons ensemble que nous sommes ceux -là qui vont et qui viennent en paroi comme betres  gravées sous i nfluence ; nous cherchons des raisons pôur croire à cette chose en nous, qui advient subséquemment, qui s’impose à nous depuis longtemps et semble «vraie» «: nous sommes suivis par des fées de roche, nous sommes incités et motivés, etc ; nous essayons de comprendre le pourquoi de toutes ces choses, et ce pourquoi est un pourquoi qui occupe (fortement ) nos pensées ; nous devons pouvoir arriver à donc développer une pensée de base radicale, faite des mots de la roche, en cette paroi du temps propulsé, et cela ensemblr, sous hypnose ou quelque chose d’approchant ; nous voulons comprendxre cela ici qui est  que nous sommes deux qui cherchons des choses à comprendre, des tenants du monde et des aboutissants des choses, etc ; il s’agit d’une recherche, assidue, complémentaire, tenue à la cravache, forte en elle, chargée, etc ; nous ne devons pas lambviner ou même flancher mais tout au contraire y aller de notre puissance ou de toute notrte puissan,ce ; nous devons forcer la donne, les couleurs, les traits de chzaudffe sur roche : tracer au coutelas, à la pierre taillée, au racle, etc ; nous devons comprendre cette chose comme quoi nous devons aller vite en besogne afin de forcer les choses (les verrous le plus possible) et nous installer en pareille «bulle des temps» sur cette plage ou comment, sur pareille plage du temps, sur roche, sur sol caillouteux ou bien herbeux selon les endroits, sur pareil sentier entre deux mers (d’un entre-deux- mers)  ; nous devons comprendre cela comme quoi nous avons à perforer la roche, du museau, du bec, de la tronche, de la queue de bouche, de la trompe, du cor lan goureeux, etc ; cela est ici à dire haut ; nous le disons hzaut ici et le revendiquons : la musique est la mère du temps, elle sort de bouche de la mort et y retourne ,  par des tuyaux qui sont ceux de nos vies imparties ; l’art ici est la manière d’agir sur la brèche ; il s’agit de choses et autres renouvelées déposées aux pieds de cette chose d’un devant de soi pariétal mais aussi praiorial ; il s’agit d’une offrande de vie, faite sur roche (animaux de belle suture) qui (presén ts) sont des chgoses de poids et de  contenance ; nouys disons que nous avons, cette chose à dire ici, comme quoi le présent déposé est une chose de poids qui en impose, à forte contenance, etc ; et cela (on l’a vu) pour faire accvroire , et tromper son monde (alleluyah !)  ; nous pensons que la chose, ici, mérite mille égards ; il s’agit de cvomp^rendre cette chose, comme qsuoi nouqs avons à aller à deux en roche du temps, à la recherche d’une  vérité qui pût aller debout , tenir, et ne pas flancher ; nous essayons de comprendre cette chosqe quyi sezrait comme quyoi nous nous devons de tenir bon coûte que coûte face à cette adversité temporelle musicale, adversité ou pas, mais qui est (serait) cette adversité éventuelle, tutrice de nos mouvements ; nous cherchons en x’autrezs termes des raisons d’y croire ; à quoi ? aux tourments du cviel, aux élans boiteux du fon de roche, aux bambis des prés, aux vagues dressées commes des murs d’enceinte formant couloir ou corridor, etc ; nous voulons savoir ce qui est qui nous retient ; nous voulons essayer de comprendre ce qui va pour nous en pareille roche , pour nous obliger, nous contenir, nous pourrir (?) etc et qui est cela que nous appelons «le temps de la vie» ; nous disons que nous devons comprendre ensemble (homme et femme) les raisons ; nouys devons comprendre ensembvle l$es motifs ; nous ensemble devons comprendre à deux, et les raisons et les motifs , de toute cette affaire de choses nacrées, bleutées, dorées, mordorés, etc de fond de cale ; nous ne comp)renons pas tout ; nous comp^renons certaines choses mais pas tout ; nous sommes ensemble ici en roche pour piger des choses et du coup les notifier (noir sur blanc) ailleursq ; nous faisons des exercices, des mouvements de gymnastiques, des écaerts, des pas, etc, sur roche et cela ici va de concert avec des mouvements de plus grande ampleur qyui sont ceux qui président aux destinée plus précisément pariétales, comme on peut les comp^rendre à la vue de ces gravures ou de ces peintures de paroi ; l’homme est la femme des cavernes ; l’homme des temps est la femme des cavernes ; ou bien : l’homme du temps est la femme des cavernesz, etc ; nouys disons que cela est ainsi que nous pensons : l’homme est la femme des cavernes ; l(‘homme du temps est la femme des lieux ; nous disons que nous devons agir ensemble, et comprendre ces choses du temps comme d’aucuns comp^rennent des choses de lieux adjacentnts ; nous diswons quye cela a une importance considérable à nos yeux et cela est vrai, c ela est ainsi que nous disons, cela est vérifiable, etc ; nous sommes sur ce chemin et nous allons en lui comme sur une voie d’abord naturel, un chenal de grande renomm»ée, passants que nous sommes, sur paroi de roche, sur roche des temps ; nous sommes de’ux qui nous époumonons de la sorte  ; comment faire ? co:mment xdire ?  ; nous cherchons des solutions de première classse pour ainsi dire (volée de bois verts ? )  ; nous cherchons desz choses sur roche, ; qyi puissent (ces choses) nous donner du coeur, nous donner du temps, nous donner de tout ce qui pour nous représente une valeur en termes de prix à la vie, etc ; nous cherchgons endsemble des raisons (entre autres)d’y croire ; qsui verra pour nous ? qui saura pour nous ? qui nous dira ? qui verra le dire figuré sur roche (cet animzal) ?  ; nous ne savons plus que penser car nous sommes touchés au coeur ; nous disons que nous devons poursuivre notre chemin sur roche à deux c’està dire main dan,s la main, et ne pas lambiner, aller fissa, ; nous réconforter à l(‘unisso,ns, et poursuivre ainsi longuement les recherches démarrées tantot ; nous devons comprendre ici que nous sommes deux pour une recher che à mener ensemble  ; nous cdevons comprendre ici que nous sommes deeux (un homme et une femme) pour des recherches à mener en roche, sur paroi de grotte ; nous sommes deux vcar nous sommes tenus ; nous sommes soudés ; ,nous disons tenus pour soudés ; nous disons quye nous devons ensemble aller loin en pareille roche et nous plonger en ellle, en semble, fissqa , comme des nageurs de haute mer ;, comme bébé nageurs , comme des intrépides ; nous disons que nous sommes deux, qui faisons chemin, de concert sur roche meuble et gravitons ainsi ; nous nous approchons des pzarois (ezlles sont deux soit de pzart et d’autre) et voyoons devant, la voie sqyi s’ouvre sous nos pas , il s’agit dx’un déroulé de roche, jonché de choses en offrande (temps passés) quyi sont ici des choses de peu , des choses déposées comme des dons de soi, etc ; il s’agit pour nous de poursyuivre sur ce chemin, ouvert comme une mer ouverte, et sur ce chemin aller au pl ;us loin (profond ?) que nous pouvons, et où ? cela est la question qyui nous taraude , nous fzait du tort ; nous voulons pouvoir répondre à pareiille question mais il n’est pas facile de faire cela car nous ne savons pas de quoi il en retourne et si réellement nous avons ce cxhemin debvant nous qui s’ouvre au fur et à mesure que nous abvançons ; alors voilà ce squi est ; voilà ce que nous pênsons ; voilà la ma rche à suivre pour ainsi dire ; nous avons cette choses à faire ici , et c ette c hose concerne c et élan des betres de roche entre elles, c’est à dire ce mouvement (cette danse) dx’un troupeau de roche (dessiné) qui va son chemin de la sorte : filant à vitesse gran,d v vers des embruns nacrés ; nous voyons r(rtoute cette affaire depuis lm’endroit où nous sommes postész ; la mer s’ouvre devant nous et nous voyonbs lkes vagues se dresdser comme des murs d’enceinte de part et d’autre ; nous pensons que la mer ici est cette chose qui se doit, pour nous , de s’ouvrir ainsi, gueule ouverte devant l’infini ou commeznt autrement ?  ; quels sonts les mots capables de nous renseig,ner ? y a t il des mots capabkles de nous renseigner et si oui lesquels ?  ; nous posons la question ; nous sommes curieux de nature et nous voulons comprendre ce qui est (dans le monde) et ce qui n’est pasd ; npous avons beaucoup de chance pour nous, car nous pouvons nous poser ces questions à même la roche du temps, et il va sans dire que (pour nous) cette chose eswt une chance ; il esxt impôrtant pour nous (à nos yeux) de comprendre cette chgose, comme quyoi lke temps ici est une chose douce en soi, mais qui peut tres bien s’avérer nbéfaste pour beaucoup, si d’avenhture ce temps (pariétal en diable) se voit comme couplé à une sorte de musique des embruns ; voyez ceztte chose couplée, comprenez la chose et subodorez le pot aux roses ; nous sommesdeux quyi dfevons aller sur cve chemin d’une destinée frontale, un infini de bord de mer ou comment dire, czar nous sommes deux qui nous devons de faire cette chose d’un parcours de vie en temps et heures (en paroi) comme font les betes du temps dezs cavernes, ces betes du temps des cavernes que des hommes -femmes dessinaient à main levée sur roche, en des sortees de lévitation ancienne( ancestreales) et cvomme contenus par (en eucx) une divinité de base ; nous disons que cette chose est une chose follle ; lka folie pour nous est cette chose liée à la transe , et non point un additif ou un manque quelconque d’une vie de tous les jours ; fol:ie pour nous = cette chose d’un plus, en matière de comportement sur roche ; nous voulobns que cela soit compris en bonne place ; nous sommes deux qui le voulons (deux en soi)  ; notre place sur la trrerre est une pklace qui se veut ainsi accolée à une roche ; nous cxherchons des cxhoses ainsi liées à des savoirs rupestres ancestraux, savoirs de bonne fame, et savoirs de bonne  chance ; nous dison,s qye cette chose, pôur nous, est un,e chose de grande (tres) importance à tous points cde vue, et que nous avons à cvreuser toutes ces questions de concert, c’est à dire à deux comme à la marelle , au bilboquet, à l»’épervier, ou au roule -barricot ; nous disons que nous sommes commes des enfants de mer agitée, de mer éc hancrée qyui nous laissee ou lmaisserait passsr ensemble (main dans la main) en pareille ouverture ou écxhancrure, et ensembvle gravir la pen te (?) ou bien progresser sur ce chemin plan qyui s’ouvre (s’ouvrirait) à nous, chemin de vie qui a fort à voir av ec une sorte (musicale) de déroulé de choses temporelles (mesures contre mesures, plan de chenal, voies irriguées)  ; nous pensons que nous sommes deux à le comprendre (en nous)  ; et cela est une chance ; car nous devons agir ; nous le devons car nous sommes soumis (par la bande) à faire ainsi q<ue nous soyons de  cette sorte comme des enfants qui jouent dans la lan,de, ou bien quyi s’amusent à chat perché ou bien au béret, ou aux petits chevaux de roche ; nous le disons czar nous le pensons ; nous le pensons car nous sommes soumis ; nous sommes soumis car nous sommes vifs ; nous sommes vifs car nous sqommes en vie et nous sommes en vie car nous dsommes deux qui disons que nous sommes ainsi sous le jhoug (‘en nous) d’une bete de gros poids, de masse évidente, vbete qui en impose et se pose là, en jette beaucoup et fzait du ramdam de tous les diables lorqu’elle prend la peine de bien s’ébrouer, sur roche, ou de bailler, ou de gémir, ou dfe hur(ler son mal, sa douleur, sa chazrge, etc ; jnous disons que pareille bete est pour nous une sorte de beautév dorée venant des profondeurs de la terre , une sorte de chose  déracinée ou comment dire cette chose d’une sorte de beauté qui serait le mal , le mal perclus, le mal qyui sourd de terre et vient vous frotter ou se frotter à vous ; nous devons poursuivre ce chemin de vie  c ar nous sommes des, quyi sommes des ez,nfants ou sont des enfants, des enfants de vie de roche, aux manies d’enfants de la roche dure, etc ; nos paroles vont à se loger sur roche , qui sont des sortes de mots-animzaux, comme déployés sur la pîerre à la pierre taillée ; nous avons pour nous cette c hance de pouvoir comprendre cette chose ensembvle et ne pas la perdre en chemein, ; c’est à dire ce savcoir ; nouys devons faire cette chose ici, qui est de dire (à l’encan) cette façon wque nous avons de faire ce chemin de roche dezvant soi, ainsi parlant, ainsi gesticulznt, à deux (elle et moi) en soi, etc ; car l’homme est la femme de l(homme, et la femme est l’homme de la femme ; noyus disons des lors que nous devons faire, ensemvbkle, ce chemin, afin de comprendre au mieux ce qui est quyi nous attend de fait au tournant ou à lla lueur de cette sorte de torche desprofondeurs ; nous passon s sur ce chemin ap^res la biche et regardons, devant nous, ce qui se dessine et ce qui se dessine a à voir avec un,e sorte de parasite, une sorte d’amibe, ou bien de virus ou comment , une tete chercheuse, un entrepeneur microscopique, une sorte d’animal sournois (encore une fois) qui serait là comme un danger narquois, le danger de la roche instable, etc, qui pourrait (tres bien) éventuellemùent nous pousser à nous faire choir, sur rocher, sur roc de biche, et nous achever comme sur la mear ; et nous avchever comme des riens du tout qui ne sauraient dire hélas leur mécontentements à hqaute voix distincte ; nous disons que la chose est, qyui dit sa chance d’eztre en vie sur roche ; nous voyons ici des choses se dessiner, squi sont choses des embruns et qui nous regardent au loin ; nous devons aller loin en pareille roche de concert car la vérité du monde est comme projetée ; nous pensons cette cxhose comme quoi il y a une vérité, et que cette vérité est celle qui nous importe le plus car elle concerne les mots à dire sur paroi (betes de poids) et ces mots sont des atouts ; nous disons que cela est ainsi qui nous voit rechgercher vaillamment pareille vérité d’atout ; nous voulons cxomprendre beaucoup, et ensemble le voulons ; nous voulons comp^rezndre en grand et savoir le plus, et etre ain si comme éclairés de lm’intériuer ; nouys essayons de comp^rendre ce qui est qyui donc se trame en nbous et devant nous (ce temps de laroche) et pour ce faire nous allonbs fissa tete première, en cette roche de grotte, en pareille dureté de roche, et là, nous chantons, nous hurlons pour ainsi dire, nous sommes deux qui ensemble (de concert) chantoons à tue tete cette chose d’une chansonette des prés (prairiale autant que pa riétal e) et cette chansonnette est c elle là que nous avons apprise ensembvle, autrefois, dans l’enfance, pour nous rassurer et nous tenir chaud à l’heure de la peur dfes choses ; nous disons que cela est cette chose ici que nous devons hurler, ou chanter fort, ce chant guttural, cette plainteou comp^lainte, cette musique aux rebords nacrés, cette musique de la chance brute, cette voix, ce trouble, notre envie de choix ; nous voulons dire cette chose comme quoi, nous devons aller loin en pareille paroi et comprendre ce qui est :là (les bords de roche) tout de suite ; nous voyons les choses qui vont sur roche et se tiennent ainsi, ainsi comme des betes, sur roche ou paroi, et ne trezmblznt pas le moins du mo,nde ; il sz’a git de voir cela cxomme une chance qui nous est offerte ; il s’agit de co:mprendre pareille»sortie», comme une chance octroyée à celui ou celle en soi qui parle pour le coup au nom de la bete ; la bete en  nous est celle-là que nous voyons se dessiner sur roche malgré nous ; la chose est entendue, c’est à cdire que la voix a dit ce sque chacuns pensaient pouvoir enten,dre ; il est bon de soulignezr cela, comme quyoi nous sommes en,semble, pour un dire pariétal animzalier, ensemble = deux ; deux = toi et moi ; toi et :moi = nous ; nous = nous autres ; nous autres = la partie ; la partie = le chemin ; le chemin = lza lumière ; la lumùière = le chjemin ; le chemin = lza lumière ; la lumière = le chemin et nous n’en sortons plus, alors que dire ? que faire ? plonger dans kles embruns nacrés, dans la lave .?  ; plon ger en haute mer et se noyer ?  ; mourir ? mourir ou ne pas mourir ?  ; que dire de ce fait qui est celui peut-être d’un destin de vie ? nous disons cela comme quoi nous avons à perforer la roche (pic de pic) et ensemble nous y introduire fissa tete la première et en,semble aller en pareille prairies  , en pareilles contrées pariétales ; nous voulons comprendre c e qui est ici qui nous regarde ; nous voulopns comp^rendre ici ce qiiui est qui nous voit aller (l oeil de quiui ? bambi ?)  ; nous ma rchon s car nous sommes deux qui aloons en roche, nous promener le long des berges ; nouys ma rchons car nbous sommes deux qui devons ensemble en avancver fissa sur la voie des connaissances concernant une paroi de roche dure ; nous sommes deux qui allons sur ce cxhemin de vie aride (‘sec comme tout) et qui nous tenons ainsi que nous le faisons parla main en p)areille roche du temps ; nous voulons comprendre ensemvble cette rage en nbous (animalière ?) quyi ici nous incite (nous pousse !) àç vouloir creuser dans la roche du temps ... une tombe ? une quoi ?  ; nous voulons connzaitre le temps, lzes choses du temps, les connaitre follement c’est à dire fortement c’est à dire de fond en comblble ou comment dire : à fond ?  ; la peine ici est cette volonté (ancrée) de creuser comme un dératé, et ne ps s’arreter ; il s’agit d’une gageure» ; il est bon de le comprendre ; il xwsuffit de regarder ; il est bon de se placer de telle sorte en roche que la bete trépidante ne puisse jamais vouus atteindre par ma,nque de place poour elle où pa sser  ; nous disons que cela a une importance grande et que le chgoix est fait pour nous : nous irons au bois, nous chanterons à tue tete, nous crierons notre joie d’etre de la sorte adoubés par en nous une bete de roche, et le reste à l’avenant ; nous sommes pétris de cette terre (matière) bestiale en n ous, qui guide nos actions et nou!s soulève (lévitation)  ; nous voyons tout cela comme une sorte de grande chance qyui (bon azn mal abn) nous serait octroyée pzar la vie des roches et des e mbruns ; nous voyons qyue nous avons à fgaire des choses pôur nous , des choses qui seraient des actes en eux m^-emes : choses dites = choses faites ; nous voulons comprezndre cela à la lumière d’une torche a nimalière (ceete lueur) et allezr dans les profondeurs de la terre ainsi munis ou armés ; la chose ici qui compte est la lueur en soi (animalière) qui nous pousse à devoir agir ; il faut comprenbdre la lumière comme sorte de source de vie quyi est source d’envie ; la chose qui comp^te est cette envie en soi quyi pousse ou                                             ou qui propulse, etc ; la vie est vie poropulsée ; la vie de la roche est le lieu de cvettte temporalité nacrée, musicale, quasi consanguine ; il s’agit pour nhous de comprendre tout cela à l’aune de cette hérédité de roche folle ; la chose ici relève d’une sorte de folie massive quyi vous a ccapare (le grappin) et ne vous lache plus un temps assez long (celuyi de la transe)  ; il s’agit d’un bon vouloir, d’un espace en soi ; d’une sorte d’attitude comme vioolentée en dedans de soi, ou commeznt ? une sorte de mesure d’un e nsemnble ; il s’agit pour nous de voir cette chose, comme celle qui (ici) est celle qui nous importe le plus, ce changement, cette rupture, cette immixtion, cette entrée en, matière, cve bouleverse»ment, ce cul par dessus tete, etc ; la chose compte aussi comme une chose de grande impôrtan,ce ; il est ainsi que nous devons aller en roche nous poser sur elle (ezn elle) et comme regarder les yeux fermés, comme rezgarder (les yeux fermés ) les embruns ; sentir sur soi le vent squi s’engouffre entre kles parois ; entre les deux cotés de cette sorte d’échancrure de vie pa riétale ; il s’agit pour nous d’aller ainsi (à br^le -savate) en pareille roche mordorée, en cette roche d’un temps alloué (imparti) quyi est (serait) le temps d’une vie de roche ; nous somm:es en celle ci (roche des prés) comme dans une sorte ici de «bulle» votive, pleine de choses à craquer, défouloir où crier son soul, etc ; nous chantons notre aquiécement ; nous voulmons cxhanter en cette roche notre oui de bonne tenue ; nou ne voulons pas défaillir et nous éteindsre mais à tue tete comme des enfants hurler notre sen,timent de fortune ou bien dx’infortune (c’est selon) à qiu veut l’entendre (à la confrérie)  ; nous sommes eznembvle hommes et femmes des cavernes,  e,n  cette même roche éternelmmle, et nous crions notre ente,ndement, nos motsq-bêtes de la foi en l’etre ; nous disons que nous sommes qui «pleuronbs» notre entendemen,t -aqyuiècement ; nous voulons ainsi aller en cette roche des prés et nous délasser un temps avant d’attaquer à folles enjamb»ées les monts et autres monticules à devoir pour le coup escalader à la suyite de cette bambine des prés ; nous disons que nous devon,s ensemble nous astriendre ainsi, nous poser un temps et ensuite seulement pousser da,ns les embruns afin de soulever unlièvre ou bhien de déniçcher tel ou tel secret bien gardé par les plis du temps ou dans les plis du t»mps ; nous voulons savoir ce qui se trame dans cette (drôl:e) de roche mùeuble ici ou dure là) ; nous voulons essayer de comprendre et pour ce faire  nous pensons à nous poser un peu en bord de roche, nous poser tous deux face à face, et attendre un peu que le temps passe ; nous voulons comprendre cette chose ici d’une pensée de roche à partager, la pensée, en pareille paroi, en cette roche de paroi, et pour cela aller (nous deux) sur ce tas de chjoses et autres qyi jonchent le sol et là : chertcher la chose qui pour nous aura de la valeur ; nous devons faire ainsi, que les choses soient (pour nous) des gageures ; la chose qui compte(ici) est cette croix, sur un sol assé ché, entre deux mers dressées ; nouys pensons à cette croix ; nous voulons openser à cette croix ; la croix est l’emblème ; il s’aghit pour nous de nous immerger (immiscer) en cette sorte de contrée aride, quasi désertique, sinon qu’eelle est (serait ?) jonchée de choses diverses, et ces choses sont des croix ; nous pensons que cela est cette chose ici sque noys voyons, cette chjose déposée comme une offra de, ce temps de vie et non point son (propre) coeur arraché, plutot le temps, posé en offranfde (pas fou) et ce faisant (posant le temps) nous nous astreignons, à devoir dire notre volonté dernière, qui est celle de vouloir rester, encore et toujours, des enfantds du jeu de la terre ;: nous avon s en n ous cette volonté (ancrée) qui nousz pousse à, ainsi, aller en roche, comme nous irions au bois, et dès lors, nous disons que nous sommes parés, que nous avons de quoi (art), et nous faisons mine d’y croire (aux lendezmains qui chantent ou pas) alors même que le temps pour nous est déposé ; nous savons que cette chose en don est l’arret brutal, la chose qui compte, le présent sur la place, le tambour ou le tambourin et son roulement ; nous pensons que nous devons comprendre ici le chant, comme cette chose qyui colle à la vie pariétale, d’une grotte souterraine, bellment ornementée,  du sud de la france ou du nord de l’espagne ou d’ailleurs ; nous sommes deux ensemble qui npenson,s quye nous avons à, de fait,  cvomp^rendre lkes données du monde à la lumière de cvette lueur, en roche des elmbruns, cette phosphoresvcence, etc ;nouds pensons que nous sommes deux, qui avon à faire un chemin sur roche vers on ne sait qui , vers on ne sait quoi, et cependant, une Bambi nous y mène ; nous vsommes deux qui devons de la sorte agir et foncer fissa tete b eche (?) vers la paroi (bélier de roche)  ; la chose est dite ainsi qui nous pendait au nez ; nous ne voulons pas perdre la mesure mais tout au contraikrze aller, en pareille roche, scandant qui son chant perlier, qui sa veine sauvage (etc) à même la roche ; il s’agit d’un chant d’abord, d’une sorte de roucoulemme,nt en vcue d’une escapade ; nous voulons connzitre tout de tout ; l’homme est ainsi fzit qu il dit vouloir connaitre tout de tout et que son dada est la recherche de lza v érité en toutes choses (de la chose juste) or bien sûr que la chose est caduque, elle ne peut exister avec des mots de la tribu, avec pareils mots de tribu humaine  car  , car   la bete en nous est réelle,  et fonce, brûle, rumine, soufdfre, souffle, fracasse, charge, vient en nous (bouche) en trombe ou comme à tombe ouverte ; il s’agit d’une chose qui reste à comprendre patiemment ; nous devon,s comprendre patiemment cette chose colmme qyuoi nouys sommes deux en nous qui chezrtchons de con cert à piger :la cxhose d’un bien-faire le cheminn et d’un mal-faire la charge sur roche ; il s’agit de ces deux cxhoses, ces deux choses sont et doivent ainsi etre configurées sur paroi comme dessins d’un autre temps, représentations animales essaentiellement ; nouds parlons de ces betes comme de betes qui sont pour nous des attributs charnels de fond de gorge et cela est ainsi ; la bete est en moi la cxhose qui compte (la comp^teuse ?) ; il est bon de le cdire ainsi ; nous comp^renons cela , comme qyuoi nous avons à chercher loin et progfond des v érités qyui seraient ancrées et nous pousseraient à devoir révéler à l’encan ou à la cantonade le fruuit de nosc rezcherches actives assidues ; le tien est cette chose de paroi, le mien est cette chjose de pa roi, l’animal ; le tien est cette chose de paroi qui charge ; le mien est cette chose de paroi qyui cxharge tout autant ; et voi ;là comment nous avons affaire à une lutte fraticide entrte deux betes à cornes par exemple (par exepmle des rhinocéros)  ; les b etes en nous ne sont pas sages et ,ne reste,nt pas en placve placidement (loin de là)  ; il faut comprendre cettev chose comme quoi cette bete en moi est celle qui grave sur roche son temps dee paroi céleste ; nhous avons en nous (chacun) une bete de paroi (bison , buffle, renne ou chevreuyil) quyi pousse à vouloir s’échapper de notre trou de bouche (ce conduyit) et de ce trou aller en face, dsans la gueule du loup pour ai nsi dire ; nous cgherchons des sol:utions ensemble et c’est la raison pour la quelle nous sommes ensemble car enswemble nous pouurrron,s trouver plus facilement à force d’entraide, et grâce au fait qsu’à deux les chosews apparaissent avec davantage de clarté sur ezlles ; nous eessayons de nous entraider de la sorte ; nouys devons agir ainsi et vite en roche, car le temps est une donnée fugace parfois, le temps impaerti s’ente,nd ; nous poussons de cette façon le bouchon et azllons de cette fa!çon en cette chose d’une bé»ance qui devant nbous figure une bvouche aux issues fatales ; il est ainsi que nous sommes deux qui comprenons cette cghose ; une issue fatale est une issue qui se finit sous une sorte de consécration comme à rebours ; la chose est comme sue de nous par la bande ; nous espérons nous sortir de ce mauvais pas dans lequel nous nous sommes glissé betement , cette chose dure sur nous ; nous voulons comprezndre en semble cette chose d’une sorte de doonnée fata ;le, et comment ?  ; nous esp^érons en la venue d’une sorte d’aide vers nous, qui puisse éventue ;lement nous reznseign er et nous guider ici sur notre chemin ; nouys ne voulons pas mourir ; nous voulons rester en vie ; nous voulons rester en vie ; nous ne voulons pas mourir ; nous entrelaçons les données rupestresq, ainsi va la vie ; nous disons <que nouys sommes deux pôur nous entraider (en soi) et comprezndre le plus que l’on peut sur ces questions de rotondité d’espace alloué ; nous voulons compren,dre les cxhoses de visu et suivre cette petite bambi des prairies sur ce chezmin musical en diable, chemin de ronde en cette roche du temps imparti ; la bambinette ; bambi est cettte bete qui pour nous est celle que nous attendions ;, car nous espériiiiions en sa venue , comme nous aurions espéré celle du messie ; nous voulons comprtendre pour nous ce quiest qui va et quyi se loge en n ous , ici, au coeur, une bete forte, un e bete pour la peine, uune bete massive et coriace ; la bete en nous a des allures  de ma,nitou, c’est ainsi ; nous pe,nsons que la bete en nous a des allures pro noncxées de grand manitou, ou de grand duc, etc, qui serait, ce manitou, ce duc, une bete de première cclasse : la classe internzationale ; il s’agit de comptendre cette chose pour nous, et cette chose de la divulguer comme il se doit sur lkes réseaux sociaux, ou bien ailleurs, sur roche, a ffichée, comme une annon,ce de spectacle itinérant ; nous sommres deux  qui pensons ceztte chose, et quyi nous echinons à la mettree en pratique le plus possible ; nous sommes deux qui recherc ho,ns (de concert) le pot aus roses ; n ous ne voulons pas périr en chemin mais au contraire, nous voulons continuer, nous voulons poursuivre sur notre lancée et aller loin en pareille roche, nous aventurer dazns les confi,ns, aller au plus p^rofond de pâreilles contréeés , etc (au centre de la terre ou sinon où ?)  ; nous pensons que nous a v-vons à aller ainsi au pluds profond et comp^rzndre» cette chose des profonds, des profondeurs, des entrailles ; les entrzailles de la terre sont feux en fusion ; nous disopns que nous sacvons ce»la depuis longtemps et cep)endant qu’en savons nbous réellmment ?.  ; nous disons que nous xsavons cette chose comme quoi les volcans, le  centre  de la tere, la lave en fusion, etc, sont, et cependant qu’en savons -nous ?  ; nous passons lma tete en premier et seulement apres nous passons les épaules puis le corps en entier, en finissant pâr ;les pieds, et cela une fois fait nous nous retrouvons au beau milieu d’une sorte de cavité temporelle, une cave, une  cavité, une grotte, une sorte d’enclave à l’air libre, à ciel ouvert, etc, et l:à nous hurlons nottre peine, nous la hurlons comme des chiens affamés ou enraghés ou les deux ; nous hurlons nottre venue au monde ; nous sommes ai,ns i qyui hgurlons notre venue au monde ; nous disons cela ense’mble comme quoi nous nous devo,ns de hurler en roche le fait de notrte ^pasdsage la tete en avant ; et cela ensemble  = nous = je + je = la tete ainsi qiu se projete et du coup^ se (comme) d»édouble etc ; nous tentons le diable, c’està dire que nous essayons de comprendxre les tenants et  ;les aboutissants d’un monde infernal, ou bien d’un monde   prairial, ou bien d’un mùonde pariétqal,ou tout autre monde clos sur lui m^$eme ; la chose à) comprendre est celle ci, comme quoi nous nous devons de bien aller en roche à deux et main dans la main  si nous tenons à vouloir comprtendre ce qUi est en roche (e,n matière d’animaux) et ce qui n’est pas ; car les betes sont sorties de nous (trou de noptre bouche) et ressemblzent à s’y méptrendre àç de vraies betes de prairie ; il s’agit de piger ainsi pareille donnée et de la conserver, à pârt soi, au sein de son entendement ou de sa comprenure ;: nous avons aà devoir comptrendre ces choses de paroi à la lumière d’une (petite) lueur de b ase , à la clzarté d’une compréhe nxion, etc ;nous nous avançons en  cette prairie et  nous regardopns aux alentoours les choses qui se trament ou wsemblent le faire, et là que voyons-nous ? nous voyons que des choses advienne,nt, choses de roche, betes ou chosesc éparses, ; il s’agit de dons essentie:llement ; ilk s’agit de choses ocffertes par on ne sait qui )à on ne sait qui ; il s’agit de choses allouées pour ain si dire, et nous : de les voir advenir sous nos pieds à mesure que nous avançons sur pareil sentier ; nous sommes sur une voie qui nous voit a ller vers la voix qui hburle ses jurons de base (lesquels ?) et qsui est cette voix de la «profon deur», cette voix des «profondeurs de la  terre», etc ;   nous devons comprendre cette c hose d’une voix qui vocifère au fin  fond d’une grotte de roche (un monde clos)  ; nous voyons la chose qui va et s’époumo ne, il x’a git d’une bete meutrtrie ,il s’agit peut-être d’une de ces bêtes qui sont meurtries par les fzaits de la vie ; il s’agit pêut-être d’une de  ces bêtes qui, en effet, ont été mezurtries et chantent en bnous , et nous  habiten,t de fond en, comble à desmoments ; nous voulons sacvoir, ces betes, ce qu’elles sont au juste, le nom qu’elles portent et le degré de resse:mblance avec leurs soeur jummelles, celles là de la vie en vraie, cde la vie quyi court dans les champs ou dans les prés ; nous sommes friands de savoirs de toutes swortes ; nous aimons apprendre et collecter le pluys de données possible ; il s’agit pour nous de compre ndre  cette chose, d’u,n xsavoir qui irait profo,nd da ns les entreailles dec la terre, et qui pour nous deux (elle et m:oi) pourrait offrir des données de première main et force à nottre gouverne et à notre jugeotte (enten deme,nt cérébral)  ; nous voulon,s aller loin en  pa reille con trée pariétale voire souterraineb (le fond du fond) et pour ce faire nous nous immisçons (»à la une à la deux») en la roche du temps impârti ; nous voulons aller en elle (roche) en son sein, ; où donc eswt le sein de la roche ? où est le sein fdes seins da&ns le mon de ? devant ? où ? nous ne sav ons pâs  ; sur le côtés ? peutetre ; nous pensons que le chemin du dev ant de soi fait le tour du monde et revient sur ses pas, et que donc -la vérité peut etre serait du côté des c^$otés ou bien où ?  ; nousq peznsons que le chemin de vie qui s’ouvre devant soi est un chemin qui peut-être est cirvculaire en c ela qu il fait un tour (fera it) sur lui même et revient toujours (oui ou non ?) au poin t de départ ; alors la vérité est sur lesq côtés ? ou sinon où ? où va t on si vite jouer &ux osseletsq ?  ; près de nous il y les c^$otés,, c’est à dire les parois ;, c’est à dire les vagues d’une mer ouverte = échancrée = trouée = percée = béante = un passavge = un creux =un trou = un e trouée etc ;  nous entrons ainsi en pareil conduyit et nous v oyons cette chgose deva nt nous qui wserait un ruba,n ou un tracé qui serait une bande faisant un tour sur elle mmême, ou non ? ; nous ne savons pads à quuoi nous en tenir ; nous voulons savoir ce qiui est et qui nous regarde ; la vie en nous eswt une corne d’a bondance ; il eswt bon d’a ;:lezr cde  l’avant et de plonger ainsi en pareille roche xde la préhistoire parmi lesq buffles ou mles aurochs de compagnie ; nous voulonsz savoir ce qui est sur terre qui pôur nous nous semnble «la mort» ; «la mort» pour nous a un visage ou sinon un visage une allure ou sinon une allure un nom, voilkà : la mort a un nom, ce nom alloué, ce nom de «mort» qui reswsemble à s’y méprendre à ce mot de «mot», etc ; il s’abgit de ne pas l:es co,ndfondre ; nous pen,sons que cela ezst ainsi que nous devons, que la chose ici est cvette destinée de base, ce tracé de vie ag-ffecté ou alloué, et ce teracé est devant nous comme un ruban replié sur lui-même, un tour de rein, un tour de poitrine, une bague de la vie terrestre, une  baille, comment dire ? nous voyo ns que des cxhoses sont, qui train ent par terre, des offran,des, ;nous voyon ssur les côtés des choses dresséesq ou redressées comme des barricades, et, devant, un horizon enfariné ; nous pe,nsons que la cxhose ici est telle, que nous devons faire c ette chose e,nsemble d’une sorte de percée à travers une roche des ^prés ; nous avons devant nous une bambi de roche (de rocherts) quyi se trémmousse, s’ébroue, et nous fait des signes ; nous voulons la suivre ; nous voulons suiivre cette bambi ; nous voul:ons compre»ndre cettre bambi qyui nous fait des sign,es mais il nb’estpas simple de se comprendre entre un homme et une bête ; nous (nous = moi + un autre moi( so:mmes a streints à devoir comprendre les données de ba se qUI sont celles d’une vie de fait pariétale (close sur elle m^eme : rub an)  ; nous sommes quyi allons a i,nsi sur cette chose, un petit monticule, un roc en roche, comme bambi, et comme elle nous nous dressons et regardons au loin et que voyons-nous , nous voyons un horizon nacré toujours renouvzel:é, l’horizon enfariné d ‘une vie déconfite de paroi ; nous voyons qu’au loin les ezmbruns nacrés scintillent ; les choses qui jho nchent le sol sont desq biens donnés à des divinité marines, etc ; nous savons cette chose depuis bienn longtemps à présent et nousq voulons ou voudrions aller plus loin dans les connaissa,ces ; qui sont ces serpents qui sifflent sur nos tetes ?  ; nous voulons à présent aller plus loin et trouver des v érités deplus grande allure ou envergure ; la vérioté, celle  là qui nous intéresse, est une vérité nacrée aux  reflets bleutés ; qu’est-elle ?  ; eh bien : un mollussque ? une coquille de mer ? l’interiuer de pareille coquillme ou pâreil coqiullage ?  ; nous voulons savoir ce que  nous ignorons ; nous voudriiions ensemble nous loger en ce coeur de l’ignorance et là apprendre, de cette ig norancve constitutive ; nousq sommes en cettre ignora,nce come à lm(‘intérieur d’une paroi de roche dure ; nous voulons compre,ndre le plus pôssible ce qui est e,n roche qui nous anime et nous tient en vie ; comment fait la vie pour vivre ? comment fait la vie pour conserver la vie ? que de nous, ou quoi de nous , est double ?  ;: qui dit quoi en pareille paroi ? ; l’homme a til la bete en lui ? quoi dit  la fe»mme en lui de la betye ?  ; il est ainsi que nous pensons que nous devcons aller ensemble loin le plus possible, en pareilles roches des temps octroyés, et de les com^prezndsre» (ces roches) à la lumière d’une bête en soi, installkée, qui est bete des prés ou des prairies, qui est  Bambi ; nous cdevons comprendre cette chose ensemble, d’une sorte en nous de bambi dfes p)rés, qui est la bambi qui nousq cxharme, qui nous regarde d’un air de deeux airs, nous subjiugue, nous fait signe de la suivre, elle nous fait de l oeil, elle se trémousssee pour nous attirerv dans ses fil:ets et nous charmer ; il s’agit d’u ne sortye de betye de charme a&ux accents de vérités affichés, en cela que son charme opère cvomme vérité de bnonne renommée ; nous voulons ainsi voir en elle ( B ambi) une biche des prés a&llouée, qui pour nous est celle là que pour le coup nous eswpérions, et la voilà qui nous est octroyée comme par la bande en tant que personne de référz,nce, guide naturel aux attraits pariétaux, biche de la vie «des parois et des roches caves» ; il s’agit de Baémbi la belle aux accents suaves ; vccette (fameuse) bambi des prairoies et dfes pierres de taille ; il semble que cette biche ici pour nous, soit celle là que nous attendions ; nous voyons b ambi courir sur les rochers ; nous voulons le voir de près et le toucher ; nottre eznvie est d’aller la toucher ; nous aimeereions juste latoucher, poser juste un doigt sur elle, comme un enfant veut toucher la bete, vbeut toucher une bete, du bout du doitgt ;: cette envie de toucher est premiè§re et s’impose à notre entezndzment  ; 1 toucher, 2 ne plus toucherf ; nous voyons Baémbi et nous a i=merions pôuvoir la toucher ne serai-vce que du bout du doigt, car nous sommes curieuyx d’elle, et aussi car nous aimons toucher ce qui existe deva nt soi en termes de’a nima ux des roxches ; nous voulons (aimerions) poser un doigt (juste) sur une Bambi, une Bambi xcomme e:lle ; Bambi est une biche drôle, douce, fine, élancée, gracieuse, qui virevolte, qui a des cils :longs, dfes pâtttes menues, qui est pleine d’allan,t, d’énergie, p^laeine de vie ; Bambi est notre amie de la roche-pierre ; nous passons près d’elle et nous voulons (si pôssible) toucher sa pelisse ; nous voulons  toucher, nous aimerions, nous voulonbs pouvoir, nous sommes tout envie, nous sommes nous qyi voulons pour nous, nous sommes nous deux, nous sommes très, nous sommes vraiment, qui avons envie de toucher d’un doigt pareille pelisse, celle de bambi la reine des prés ;

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9/03/2021

nous sommes entrés en roche ensemble, soit de concert, et nous avons compriis bien des choses concernant la vie de la vie, et la mort de la mort ; la terre est plate, le ciel est hzaut, la musique des sphères tenace, la lulmière est bleutée et inonde la paroi des roches ; les betes cararacolennt sur paroi du temps et nous regardent du coin de l oeil ; nous sommes en,trés en paroi du temps et voyons les betes déambuler, en pareil lieu clos, lieu de bord de mer, de lisière etc ; nous penso,ns que nous sommes ensemble pour une cause, qui est  celle de comp^rendre le pourquoi du comment pareilles betes (des cervidés) trottent ainsi ici, en  cette roche, et vont et viennent en pareille przairie ; nous sommes ensemble qui nous demandons pourquoi et comment des cerfs et des biches, sur roche, sur pré, vont et viennent et nous regartdent du coin de l’oeil ; nous ne savons pas (encore du moins) réppondre à pareille question qui nous tarabuste ; nous cgherchons à comprendre beaucoup et profond ; nous sommes ensemble de la sorte qui nbous voit rechgercher à deux des réponses à des questions existentielles concernant la vie de pré de pareille paroi de grotte, la vie praioriale pariétale des cerfs et des biches qui déambulent  ; ces betes sont là, devant nous, à portée de main ou presque ; nous les regardons qui semblent nous faire signe, ou m^eme (peut-être) nous inviter à bien vouloir les suyivre ; pour aller où ? ; ici ou là, en cette roche prairiale musicale ?  ; ou bien au fin fond de cette roche, au fin fond de pareil horizon de nacre , où ?  ; nouus ignorons leurs desseins ; nous ne connaissons pas leurs intentions ; où veulent-elles en venir ?  ; quelles sont leurs intentions ? que veulent -elles pour nous ? qu’ont-elles derière latête ?  ; nous ne savons pas mais nous voulons savoir ; nous ne savons pas cette chose, mais cette chose la voulons connaittre ensemble main dans la main ; nous voulons comprendre les ressorts ici qui président, à pareille invitation de cervidés, à pareille invitation provenant de betes de roche, etc ; qui sont-elles qui nous regardent et paraissent vouloir nous adjoindre à leur déambulation, ou nous inviter à bien vouloir les suivre sur leur chemin, qui sont ces betes de roche élzancées, fines, gracieiuses et vives, qui ? et que sont elles ?  ; nouds voulons dsavoir à qui nous avons affaire ; nous voulons savoir qui est Bambi ici, la bien nommée, qui va et qui vient sur roche des preés, etc ; qui est donc  cette bambi des prés de belle (bonne) renommée sinon cette biche vive, élancée, fine et sautilleuse mentionnée, qui donc est elle, qui va son vchemin (de croix ?) sur roche prairiale et nous fait signe (semble-t-il) de vouloir etre suyivie ou comment dire ? un aaappel du pied ?  ; nous nous ajoutons, nous nous joignons à sa marche ; nous sommes deux qui allons vers une (une ?) bambi des ruisseaux et des herbes de paroi, au coeur de la roche du temps, pres d’elle à presque la toucher, etc ; nous sommes ravis ; nous sommes sous une sorte de coupe de ravissement prairial ; un dôme, etc ; nous cherchons à comprendre Bambi ses intentions, que nous veut elle ?  ; nous ne savons pas ce que pareille bambi des embruns cherche ou chercherait à nous dire , car il xsemble qu’elle chertche ou cherccherait à nous dire quelque chose d’important, et même de capital, mais quoi ?  ; nous essayons de creuser en ce wsens d’une réflexion à mener sur ce sujet d’une Bambi des prés qui nous invite ou nous inviterait et fait ou feraitpour nous (à notrte encontre) un appel du pied ou commùent ? car nous sommes deux à la suivre , elle nous voudrait deux,  ; il semblerait que cette Bambinou veuille cette chose, de faire de la sorte que nous deux ensemble allions (de concert) vers pareille lumière de roche, cette fente lumineuse, cette éclaircie au sein de la paeroi : de l(autre côté, c’est à dire au fond = les lointains , etc ; nouys sommes qui voyons cette lumière des lointains, cette lumière de B ouche-la-mort ou qui d’autrte ?  ; nous voulobns comprendre cette chose qui est là bas et cette autre chose derière nous ; et nous du coup dans cet entre-deux continu pariétal aux embruns et aux betes féeriques, dessinées-gravées, don de soi ou d’un ciel en soi, autopportées, autoproclamés via l’entremise animaliè!re en nous (trou de bouche) et son cordon (filin) de betes entrelacées pour former pique ici de roche dure (ou à roche dure)  ; nous voyons ces choses animalières sous nos yeux (aurochs , aurochs, aurochs) et allons en roche sur les entrefaites de Bambi la biche des prés , qui nous admones te, ou qui nous demande (instamment ?) de bien vouloir la suivre sur son chemin , et c’est azinsi que nous nous retrouvons à suivre une biche, en paroi du temps, dans cet entre-deux pâriétzal de la roche dure, entre deux feux, entre deux voix, entre deux conduitrs, entre deuxc parois, entre deux ; nous voulobns connaiotre un tout pariétal et comprendre ce tout à la lumière d’une biche lumineuse (luminesente) qui viendrait nous irriguer de sa joie de vivre et de sa clarté ; nous voulons savoir ce qui en elle existe ainsi sous cette cforme, d’une lumière naturelle, ou d’une clareté des roches, etc ; ce qui est ici en elle qui nous intéresse : qu’eswt-ce ?  ; nous cherchons à tous les deux, des réponbses à des questions, concernant cette clarté des biches (sortant d’elles : ce jour)  ; nous voulonbs en connaitre long et en avancer ++ dans les connaissances rupestres etc ; l’art ici est dans cet espace de déposition : entre deux feux ou entre deux parois ; nous espérons pouvoir un jour  comp^rendre au plus juste  ette chose ici d’un art des roches , inclus (une incxlusion) comme le présent (l’offrande) fait (faite) à un dieu des roches, ou à une sorte de divinité pariétale, capable pour le coup d’entendre le tout d’un monde des parois et au delà ; nous voulons savoir ce qui ici se ttrame de la soprte en cette roche, et pour cela, nous entrons tete la première et essayons de voir le plus de  tout ce que la vie de roche ici nous propose à la vue ; nous sommes deux qui cherchons à comprendre ces choses ici d’une paroi de roche ; nous voulons savoir de cette Bambi, ce qui pour elle est le plus importyant, de la vie ou de la mort ; nous voulons apprendre d’elle des choses profondes, liées à des questions qui nous paraissent comme essentielles, liées aux choses de la mort sur terre, et à l’audelà de la mort, etc, et il xwembvlerait que bambi soit en mesure de pouvoir nous renseigner ; qYe sait-elle que nous ignorons ?  ; des choses de première main ?  ; il xsemblkerait que c e soit le cas, et que par conséquent nous ayons fort à gagner à la suivre de près et à ne pas la perdre si possible en si bon chemin (le sien)  ; nous pensons que Bambi est pour le coup cette bete que nous aimons ... en nous, en notre antrte, en cette chose en nous de conten ance ; il semble que cela est ainsi que nous le pensons, une bambi en nous, sortant de nous, traversant le rubicon, et allant se poster au plus haut du monticule , en cette paroi rocheuse d’une grotte, et là de nous faire signe de vouloir bien nous adjoindre à son chemin ou sillage ; nous faisons dès lors cette chose et nous la suivons, nous la poursuivons et la suivons ; elle va si vite ! elle fonce (carbure) ! ; elle est vive et svelte, fine et placide, forte et costaude, vive comme l’éclair : une fusée ; nous pensons que  cette bambi des prés, est cette chose ou etre, est cet etre que nous (nous deux) avons à suivre loin sans hésitation : elle nous ravit, elle nous comble de joie, elle nous accapare, elle nous prend avec elle dans son charme, ou de son charme ; elle est balèze ; elle sait y faire et elle nous invcite ainsi en roulant sur roche et sautillant dx’un cap l(‘autre vers des embruns de bord de vagues (dressées pour nous laisser passer)  ; nous comprenons que nous sommes deux qui cdevons aller en pareille roche à la rencontrte cde cette donc bambi des preairies qui sait nous guider et nous accoler à sa suite ; nous pensons que nous devons aller loin avec elle et la swuivre ainsi, mzain dans la main, sur son chemin de destinée à elle ; nous faisons ainsi que nous disons et nous nous adjoignons à elle, à son chemin ou au tracé sur roche (fond de mer) de ce dernier ou de celui ci ; nous pensons que nouys devons comprendre ici un tout pariétal (d’hommes de caverne) et ce tout à la lumière (clarté luminescente) d’une biche (lumineuse, incandescente) des prairies  ; eureka ! la voici qui vient à nous et nous entraine vers Bouche de la mort la grande, l’ouverture-monstre, cette figure, ces dents de devant (qui mordent) , et cette chose d’un regazrd de coin qui sembvle sourciller et nous admonester (et nous injurier)  ; nous voulonbs aller en cette roche de paroi ensemble vers cette bouche ; nous essayons de comprendre en,semble cette bouche, ce qu’elle est au juste : siffleuse ? chanteuse ?  ; nous pensons que oui : la mort chante dans les embruns et crée ce spectaclke d’une féerie de roche allouée ; nous pensons que pareille musique est de celle qui inonde les contrées rupestres et enveloppe (englobe) un tout pariétal animalier ; le chant de la roche est celui de la bete morte, de la mort en ses embruns, ou comment ? un chant de paroi matutinal, une soupleesse, une tendre chose en amont de soi, une douce caresse (un doux effleurement sur pelisse, etc) et nous voici en cette roche comme adoubés par une sorte d’animal à cornes (ou pas) qui nous invite à sa suite et nou!s demande de nous accoupler pour l’occasion , et fissa (plus vite que ça ) ; nous cherchons à comprendre les raisons ici qui président à pareille invitatation ; nous voulon s essayer de comprendre ici le pourquoi une biche des prés en pareilkle roche du temps, cette biche (bambi) en particulier etc: pourquoi bambi ? pourquoi sa pelisse ? pourquoi elle en priorité ou en particulier ? qui est-elle pour nous et nous pour elle ?  ; nous avons ainsi tout un lot de questions à par t nous, auxquelles nous voudrions (aiimerions) trouver des réponses de poids ; nous cherchons un peu partout à l’intérieur de cette roche, ; et nous comprenons que pour nous le chemin est encore long pour une  sorte de compréhension des données de roche (bambinesques ou autres) et nous  voilà qui allons de ce fait «à la pêche» aux questions diverses et aussi aux réponses de roche, à «à la pêche» aux solutions etc ; nous sommes ensemble et nous comprenons que cet accouplement (le notre) influe sur la destinée de notre propre avancée dans les connaissances (cela ne semble pas faire l’ombre d’un doute)  ; nous voulonbs essayer de comprenxdre un tout pariétal à l’aune d’une biche lumineuse (luminescente) qui est bambi la belle (des prés) de bonne renommée, celle-là que nous poursuivons du regard depuis toujours , et qui nous invite instamment à bien vouloir la suivre patiemment sur son propre chemin de fortune (de belle ou grande fortune ? ) ; nous la suivons : elle est belle et grande (elle en jette)  ; elle nous swemble etre (représenter) l’équilibre parfait en opareille roche, une sorte de bete-équilibre, une biche agile etc ; nous pensons que bambi est pour nous la solution à des problèmes de compréhension concernant les données du monde ; kl’art est dans l’entre-deux pariétal (s’y loge et n’en démords pas)  ; nbous avons conscience (nous deux) que la mort est devant soi une bouche ouverte, géante, folle, qui admoneste , hurle sa faconde, sa furie, sa force, sa folie etc ; son etre mal, son etre qui est le mal et qui est l’etre néfaste comme le bourreau, etc ; nous voulons savoir (pour nous) ce que c’est que cette mort d’une vie donnée en offrande , et pôur cela nous nous approchons de bambi la douce ; nous voulons xcomprendre cette bete ensembvkle (nous deux) à cette lumière de roche, sous les embruns et parmi les betes alentour (des aurochs et des chevzaux etc) qui nous regartdent comme par en cdessous et se méfient de nous ; nous savopns que pareille paroi du temps est : musicale en diable (c’est l’expression qui convien) et cette chose, cette musqique des parois, cette musique des sphères souterraines, nouys l’e,ntendfons à mesure que nous descendons en pareillme roche, l’entendons vrombir comme un petit moteur à hélices ou commùent ?  ; nbous eswxayons de comprezndre cette chose ici (en roche) d’une musique spectaculaire, un brin mécanique, scandée et hachée, vrombissant comme chant nuptial d(‘une bete de rase motte, ou quoi ?  ; nous sommes qui voulopns savoir un tout musical, cette chose d’un tout musical la connaitre ici de fond en comble et dès lors pouvoir ensemble (uurgemment) nous appuyer dessus, et aller de la sorte «à la pêche» aux données rupestres, sensibles et profondesq, concernant la roche du temps ; nous voulons savoir beaucoup de choses ; nous essayons de savoir un grand nombre de cxhoses ici, concernant bambi et la musique des parois, bambi et les embruns na

crész, bambi et la mort en cette contrée (rupesttre) etc ; nous ne manquons pas de questions à nous poser ; la chose ici est telle, cette chose d’une sorte de musique provenant d’un antre,  ette cghose est telle (en nous) qu’elle nous effraie un tantinet car elle gronde (vrombit) comme un bvattement d’ailes de frelon ou de grosse guepe, etc ; nous voulons savoir c e qui anime pareille musique des sphères, et pour cela nous nous accolons l(un l’autre (l’un à l’autre) et fornicons (ou disons : coïtons) ensembke sur roche, à même la pierre froide ou bien sur pré vert, tapis pour une incartade rocheuse temporelle et aussi musicale en cela que de la terre des parois sourd ce son qui nous enveloppe dans nos ébats  ; nous coïtons sous l’oeil intrigué d’une betye (aurochs ? cheval ? renne ? élan ? bouquietin ? )  ; npus sommes ensemble ici pour v$-comprendre un grand nombre de choses concernant cette chose d’une paroi de grotte recouverte cde peinturees préhistoriques (dyu temps des cavernes et des aurochs)  ; nous voulons apprendre, emmagasiner, entrer en nous , faire enttrer en  nousn, absorber , digérer etc tout un tas de vrais savoirs de roche: les prendre avec nous = les emporter et les déposer ici ou là, ailleurs, sur des panonceaux informatifs ou en core ailleurs, sur des affiches publicitaires ou autres (etc)  ; nous pensons que la  érité n’a quun visage et ne ment jamais, ne trompe personne et se présente toujours de face, face à soi, sans faux-semblants, sans contrefaçons, etc, et cela en permanence (une permanence éternelle)  ; nbous savons cette chose comme quoi nous devons comprendre ensemble kles données du monde et cela à la clarté (céleste ?) d’une biche de roche : bambiiiii ! qiui est notre bambi, la nôtrte, la belle bambi d’entre toutes, la bambi de toutes les bambis, etc ; nous devons cxomprendre cette chose (en nous) comme quoi nous sommes comme pris en xsandwich à l’intérieur de la paroi du temps ; nous essayons de nous y retrouver ensemvble (main dans la main) et ensembvle aller sur ce chemin, tracé pa r la biche, entre les deux vagues de la mer ouverte, fe ndue, etc ; nous allons ensemble en cette roche des prés, vers notre bambi qui nous interpelle ; elle est vive et nous fait des signes ; nous subodorons le pot aux roses (la mort comme de bien entendu !) ; nous comprenons que nous abvons affa ire à une bete de prairie maligne, fine belette, comment dire ? un trompe-coui ;llon ou comment ?  ; car la mort nous guette, n’estil pas vrai ?  ; ou bien la mort n’est pas la mort lmais une vie de vies, un,e vie parmi des vies ?  ; nous pensons que nous abvons à aller loin, en cette roche bambinesque et nous porter ainsi au plus lointain en vue de pareille roche (abords nacrés et bleutés)  ; nous nous avançons de la paroi et voyons là que nous sqommes comme pris dans une sphère qui nous enveleoppe  ; nous voilà en rocxhe comme dans une outre, une bulle, un sac, une balle de paille, un ballon d’aeu chaude, etc ; la paroi est la couverture ; il semvble que donc nous ayons à comprendre cette chose d’une sorte cde sphère dans la roche(cette bulle) qui est contenance et qui offre des pârois de part et d’autre en permanence , d’où la musique des sphères  ; nous pensons que nou!s dezvons poursuivre patiemment ce chemin de ronde en pareille sphère et ne pas (plus ) lâchezr le morceau, car la chose est d’importance, cxapitale même, et nous berûle les l,èvtres à vouloir être dite ; et cette chose est la suivante : l’art est un entre-deux pariétal ; une sorte d’enclave rupestre, une sphère close sur elle même, une sorte dfe pré cloturé (un eenclos)  ;: nous pe nsons que cette chosde (dénommùée»art») est cloturé de part en part et dès lors permet de faire cette chose d’un tour de son etre ; il est pour nous tres important de pouvoir ainsi faire, ensembvle, à son propos : le tour de la chose (du paté de maison, du monument, de l’arbre, de la chose)  ; il semblerait que nous ayons à devoir ainsi faire le tour de la chose exposée (ce menhir, ce bout de quelque chose comme une branche, un baton, un pieu etc)  ; nous aimons êztre ainsi pris cvomme d’assaut en pzareille roche , et là : aller en elle dans la profondeur afin xd’essayer d’y comprendre ou d’en comp^rendre le fin mot (et le mot de la fin)  ; nous esdxayons de comp^rendre un grand nombre de choses ensemble ; cette chose d’une bambi de roche , prise (insérée) dans la roche ; nous penso,ns ennsemble à commùent fairee pour la libérer, mùais faut-il faire cette chose ?  ; nouys sommes ensemble ici, qui essayons de creuser plus avant toutes ces questions de lit de roche, d’oiseau nichés, de paroi à interstices, de paroi meuble, demains salutaires, de mains négatives apposées, d’accouplement   sur injonction, d’ovoïde parietal, etc ; nous voulons savoir toutes ces cghose, les comp^rndre à la lumière des embruns, à cette lumière luminescente des embruns de roche , ces postillon s, ces gouttelettes, etc ; nous voyons que nous sommes incultes, que peu savons, que nous savons peu (de choses et autresx) en définitive etc, et que nous aimerions (pour nous) que les temps changent ; nous devons aller ainsi v ers des solutions de paroi, de roche ; entrer dans la roche et n’en plus sortir ?  ; mais d’o=ù pouvoir sortir de pareille roche et à  deeux qui plus est ? où donc trouver issue à pareille roche du temps ?  ; la mort ? ; la mort est une échancrure dans une robe ? un bas filé ? quoi ?  ; nous pendsons que nous avons à comprendre cette chose de la mort, à l’aune (la lumière) d’une ouverture en roche, sorte de fissure intrapariétale qui nous permettrait (enfin !) d(‘y voir clair dava,nta ge et de pouvoir nous prononcer ; nous essayons xde comprendre, ce qui eswt ici et ce qui n’est pas, et cela est difficile, car ce quyi est est et ce qiu n’est pas n’est pas, nous sommes d’accord ; et cependanrt bambi qui est... est -elle ?  ; oui et non . qui peut le dire ? qui pour nous confirmer la cxhose ; d’une donc bambi des prés existant en chair et en os («pour de vrai») et non point comme  un,e sorte de mirage, commùe d’u ne sorte de billevesée ou de mireage de la vue, ou comment ? fantomatique ? transparente ? mort-vivante ? morte)--vivante ?  ; nous voulons savoir lres raisons qiiu ont poussé bambi à nous faire signe, et nousq d’y aller franco sans plus d’hésitation , car nous avons confiance en elle et  cela car son élégance et son train poussent à lui fzaire ou dfonner sa confiance, etc ; nous penson,s que nous devons la suivre car nous voyons quil s’agit d’une betye jo:lie, fine et élégante, qui inspire confiance et entreeine dans son sillmage ; nous voyons que nous abvons affaire à une bete fine et vive, drole et nacrée, sautillante, sauvage ce qu’il faut , et cependant qui ne disparait pas  jamais complètement mais reste à portée toujours de vue , de notre vue ; nous aimons bambi qui est la messagère du diable ou qui de quoi ?  ; nous pensons que cette biche est appelée à nous tromper , ou bien non ? une beauté tout à fait fiable ?  ; nous ne savons pqas ; nous cherchons à comprendre les tenants et kles aboutissqantsq de pareille  vie en roche et cela est loin d’être aisé car nous avons du pain sur la planche, beazucoup à penser, une ribambelle de queswtions de toutes sortes qui sont ou qui resten,t e,n nsuspens en permanence ; qui est qui  ; qui fait quoi ; qui est le cousin xde qui ; qui est le parent de quoi ; etc ; nous voulons savoir cette chose (en nous) d’une bambi qui serait cette bete qsui , de loin, nous semble la grace même et de près moins ragouteuse, etc ; nous cherchons des réponses en roche, sur la roche et dsans la reoche (en son sein musical) et cela (ces réponses) nous occupe fort et nous maintient dans l’allure ou dans la marche (vie) quyi sont les notres ; nous vcoulons y comprendre qauelque choses plutot que rien ; nous voulons comprende ce qsui donc est derrière cette drole de bambi des preés : quoi ,? quoi est derrière ? que est la mort qui sezrait derrière ?  ; quoi est elle, depuis cette bzambi et jusqu’à derrière ? quoi mort est en vrai ? qui-quoi est mort en vrai en ce lointain ? que est mort des loinstains qui semble vouloir nous accaparer ? ; qui de quoi est mort grande en pareille roche ?  ;pourquoi quoi mort dit le pas à franchir vers elle ? qui le dit pour elle ? bambi , oui ?  ; nous pensons que nous devons poursuyivre, in,stamment (instant après instant) , cettye marche décidée d’une bambi des prés jolis ; nous essayons dès lors ensemble de nous enchainer pour ain si dire au pas de son trot ou de son allure ; nous aimons cette chose faire-la , ensemvle, ici ou là, et donc co:mprendre ensemble ici ou là ; la cxhose d’une poursuite ou d’un eznchainement de cicrconnstances ; bnous voulons cxomprendre le pourquoi du comment une roche cxontient tant de betes vives et comment pareille roche parvient à inclure également des êtres de pics ou de piques commùe nous le sommes ; la roche est accuiellante qui nous revendique ; il s’agit d’une incursion allouée, une immixtion de mobile, etc ; nous entrons par lma grande porte , ou pas ? la petite ? et sortons par où ? on ne sort pas ! on reste, on est pris dans la masse et dans la nasse, on est fait priisionnier et on y reste (en intra-rocher ou roc) ; nous voulons comprendre ici les raisons qui sont, derrière pâreille biche, de vouloir à tout prix nous intimer à faire ce pas vers elle et la courser jusqu’au fin fond d’un trou cde terre, dsans la boue, la lave en fusion (le cratère) etc ; nouys essayons de comp^rendre les données de base, et là, en cette roche dure, nous lover ensemble, coïter un temps, et regarder passer près de nous les betes de roche, les troupeaux à nos côtés ; nous espérons pouvoir un jour comprendre cette chose d’une parole (forcée) qui dirait une vérité, mais laquelle ? car la  v eérité n’existe pas à la szurface de la terre ;nous sabvons cette chosesw en pareille roche, comme quoi la vérité (sur ou de ou en n’importe quoi) ,n’existe pas sur la surface du globe, ou sinon sous quelle forme ? animale ? hé peut-etre , à tout bien considérer ; nous pensons que la vérité podssdède  des atouts , qui sont cveux d’une tribu animalière, d’une tricbu , d’une meute, d(‘un troupeau, etc ; la vérité a des accents de roche, de pazroi de grotte, et sonne le glas des autres vbérités de peu ou plutot de tout ce qui n’est pas (depuis toujours)  verités de fait (= indéboulonnable : un chat est un chat... ou non ? ) ; nous essayons de nbous introduire en pareille roche et celaà deux, en essayant de fracturer la membrane dure et e,n essayant xd’entrer tete première en pareillme roche de grotte, et  ce»la à deux, accouplés, mis ensemblke, etc, en cette roche des prés ou des prairies (ou des sous-bois)  ; nous voyons que  bambi est devant nous qui nous regarde ; il sembvle que bambi sache nos intentions et copmpren,ne  ;ce pour quoi nous sommes en roche ; on a ce pa rler en nous animalier «qui frappe à la porte» et demande à vouloir sortir coûte que coûte ; que faire ? nous voulons savoir ce qui est de cettye pzaroi du bmonde, où sommes-nous tombés . nous voulons en avancer un maximuym et tenter de comprendre le tout desw chosev à la lumière d’une torche (dun de ces hopmmes des cavernes) par exemple ; ou autre exezpmle : à l’aune d’hn e queu de verbe (qui sort de notre trou de bouche)  ; nous voyons la queue perforer lk’hymen de la roche dure en sa partie mùeuble (nous voyons cela)  ; nous co:mprenons que nous avcons agffaire  à un dro^le de coco en la person,ne ici de pareil pic de betes entre lacées ; nous voyons que nous sommes deux qui chzerchons à désentrelacer pareille pique animalioère en nbous (trou bouche de bete pour ainsi dire)  ; nous ne sqommes pas en reste de nous poser mille et une questions concertnant pareille activité caudale en nous d’un brise-roche de premùière : cauda pour les spécialistes, etc ; nous esxsayons de comp^rendre ensembvle ces données et de ne pas les effacer de notrte gouvern e par inadvertance ou étourderie ; nous avons à beaucoup comprendre encore en ce qui concer ne pareille «cauda» ou pareil pic de roche (pique)  ; nous nous avançons de bamb i, et nous comprenons quye nous avons affaire à une bete de ghrande importance (dans la hiérarchie des b etes entre elles ? ) ; nous nous avançons et voyons cette chose comme quoi nous sommes pour elle une bete comme el:e et en effeft ne sommes-nous pas des betes comme elle ( friande de liberté  dans ses mouvements, belle à croquer avec sa pelisse mordorée etc.) ? ; nous avons chance ici, chance de pouvoir savoir ... quoi ? ce qui eswt en pareille roche avec une bambi toute fine et mince, broutyeuse devant l’éternel, et comme adoubée par kles sphèresq ; nous aimons nous bala der ainsi ezn roche et regardert aux alentours ce qui se joue, en termes de nudité, dx’intégralité, de franchise absolue, de dires divers concernant des données de base concernant la vie qu’il nous reste à vivre (temps donné en lieu et pl ;ace d’un arret cardiaque, etc)  ; nous voulons savoir beaucoup de choses encore , et pour cela nous devons nnous donner la main , et nous tenir fort, et ne jamais vrzaiment tout à fait faib lir mais tout le contraire tenir bon dans la durée et poursuivre squr sa lancée  ce chemin de traverse pariétal, qui va du point a au point b, ou au point c , ou au point d,  ainsi de suite sur roche (animaux -mots) et sur s<table aux offrandes   ; nous avons à comprenxdre cette chose ici d’une table offerte recvouverte, etc ; le mal est ainsi figuré csur roche quil ne se voit pas ; nous allons en roche en nous donnant la main pour conjurer le sort, et nous protéger des coups du sort ausssi, etc ; nous voulons eswsayer de comprendre dans la oprofondeur de la roche ce qui est, et ce qui n’est opas, etc ; nous savonqs que nous devons aller ensemble loin en pareille paroi et là (dans les lointains) regarder au plus profond de la roche, en son antre découvert etc, et comprendre ce qui donc se jhoue en pareille excxavation naturelle ; bambi est l’amie fidèle, la confidente, l’initiatrice, la beauté fatale ; nous voulons comprendre Bambi en pareille roche et aux aborsdds de cette excavation sus mentionnée ; bambi est une et indivisble (la v érité) et à ce titre elle réappazrait tou,jours et encore sous nos yeux, et ne peut disparaitre à tout jamais ; car bambi est adoubée, elle en impose, elle est puyissante, vigoureuse, toute en nerf et toute en muscle ; elle sautilkle dans les embruns, elle est b elle (une réalité)  ; elkle ssem

blee etre une sorte de réalité ambvulante, qui sautille sur rocxhe et se plie à des désirs en ellle, dde liberté , d’affranchisement, etc ; nous voulons ou aimerions voir en bambi la chose chez elle qsui est celle ci : comme quoi elle est légè!re et sait basculer d’un monde l’autre sans problème  : du monde ici bas au monde ici haut (sembvle-t-il)  ; nous esperons que cette donc bambi des prés puisssee un hjour ou l’autre nous indiquer (à jamais) la (bpoonne) voie à syivre afin de ne pazs se trompêr et ne pas atterrir en des endroits de peu, mais tout au contraire, afin de trouver la porte juste, jhuste celle qui nous conviendsrait ou conviendsrait pour notrte gouverne (tres certai nemeznt)  ; nous  voyons en cette bambi une douce femme la  scive ou comment ?  ; nous cherchons des vbérités de roche (à se mettre sous la dent) et bien sûr il n’est pas facile d’en é-débusquer ou d’en dénichezr, car vla vérité se cache toujours, et dès lors que nous la débusquons n’est plus véoiioté, ne peut plus être vérité  ; nouys pensons qUe nouys sommes deux, qui cherchons = recherchons = chassons = voulons voir des vérités sur piedf, dures comme de la roche, indéboulonables etc, sur quoi que ce soit ; nous pensons que nous sommes deux à le vouloir, et dès lores  nous y allons ensemble de notre couplet musical et entonnons la séré n ade en roche, sous l’ oeil de la bete forte, l’aurochs pour ne pas le nommer, ou sous l eiul du bison des roches, de l’ours des cavernes, du renne ou du rhinocéros ; nous voulons toucher à la vérité d’une roche meuble et entrer en elle, et en elle respirer un grand bol d’air et s’immiscer toujours plus avant en cette prairie domaniale, en cette chose dure et non dure à la fois (selon lesmoments ? ) qui est cette paroi de grotte antédiluvieenne, aux tracés épars recouvrant les filtres etc ; bnous essayons de comp^rendre les données de base concernant cette question de l’art, art des parois et art des prés etc ; nhous sommes sûrs quye cela est ainsi que nous voyons : aurochs, et rennes, et chevauxw, etc ; je = nous = je = nous = je = nous ;  n ous co:mprenons que je = l’homme des cavernes = nous = l’homme cdes cavernes + l’animal en lui qui le pousssee et l’induit, et induit et  pousse , ainsi de suite ; nous voulons savoir maids il est difficile de savoir, il y faut une expertise,n, un niveau de comp^étence suffisant, ; etc, et donc pour ce faire il est nécessaire de chercher à deux les données rupeswtres et de le s confronter à nos gouvernes resprrctives ; il eswt ainsi plusd justye d’agir ainsi ; bnous comprenons = nous suivon,s = nous sommes à la suite = nous aprenons avec = nous sqommes avec = nous allons avec = nous sommes pris ; et ainsi faisant nous nous retrouvons à tenter de comp^rendre enwsem nble ce qui est qyuui présiderait pareille incursion massive d’un mobile de belle taille et proportion (un boeuf, une vache) en pazreille roche des temps ; la mer s’est ouverte (scindée) et a créée pâssage pour notre gouvernev ( gouvern ail) et nous voilà sur elle (fond rocheux) qyi gravitons à qui mieux mieuswx sans a iles mais munis ennous d’(une queue de verbe pîquante, et capable de pouvoir trancher et se positionner sans crainte en pareille roche des prés, en cette sorte de roche à fracrrturer vcomme la vitrine vd’une vboutique de change un voleur, etc ; nous essayons dès lors de cerner au plus près lkes données de base de pareille rocxhe gravée, et d’ezn avancer dans les connaissanceqs ; nous xsavons à porésent ce que est mort   la ; ce que mort est la elle ; ce que la mort est elle en vérité ; ce que vérité de la mort est en cette roche d’une groote, ainsi dxe suite ; il s’agit à chaque fois d’une définition allouée, d’une sorte de définition (définitive !) pour une raison à débbnicher à même laroche ; nous voulons en avancer de la dsorte sur paroi et poursuivre un,e aventure folle (quasi ?) de transpercement de paroi pour un e insertion de mobile ; il s’agit pour nous de comprendre ici cve qui est qui esxt, c’est  à dire cette chose en  vrai qsui se presente sous nos yeux squi sont des yeux de nouveaux-^nés pour ainsi dire ; quoi est la mort ? que elle est ? quoi est ceettte chose d’une mort qui est ici la bouche de la  vérité ou pas loin ?  ; nous bvoulons sqavcoir et du coup , voilà ce que nous faisons : nous faiszons pitié ? ou nous faisons banquette ? ou bnous faisons peur à force de chercxher et de laisser-aller ? que dire ?  ; mort est branche d(arbre, et entrée de caverne, et bouche dentée, et pacotille (colifichets)  ; nous ne sqavons ce que eswt la mort en roche, en roche ni même ailleurs ; nous nbous accolons à (tderrière nous) la paroi, et nous essayons de trouver des définitions, ce qui est comique en soi... ou pàas ?  ;: nouys ne sommes pas ensermble pour rire .... ou si ?  ; nous cherchons à compren,dre cdette (nôtre) bambi ici sur roche (elle joue à sauter)  ; nous voulons poursuivre loin en roche et dsans les embruns ; la mer est sage sur les côtés (sur les embouchures) , nous voulons enttrer ensemvbkle et creusert notre silloon ense’mnbe, ensemble aller xde l’avant ; nous essayons de nous plonger en cette pazroi meuble (humidité) et entrer ezn elle et nous y lover comme des mort de faim se loveraient en pareille paroi nourrissante d’une roche à ezffets ; nous donnons ce que nous avon,s : offrandes, et poursuivons sur notre lancée  ; des effests de vivres etc ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir poursuivre longtemps nbotre entrée en la matière en pareille roche, et nbous y allons dè!s lors de plus belle, qui voulons connaitrte les arcanes ou les ressorts et n’en rien louper de pareilles connaissances capitalesq ; nbous nous avançons vers les berges ; nous sommes deux qui tentons une incursion en pareille mer qui s’ouvtre sous nos pas et nous laissse a insi entrer à sec, nous deux, comme deux amants, qui vont d’un pas (de ce pas) en cette béance et là regardent de tout leur soul l’ensemble des données rupestres, cette  c avalcade chevaline, cet agttrouppement (chevauchement) d’ours et de rennes,, etc ; kla mer s’est ouverte sous nos pas et laiswse passer les betes des roches, lk’ensembke des betes des roches par pareille entrée ou pareillme fissure ou opareille ouverture dans paroi de mer (etc) ; nous disons que nous devons aller ensemble loin et ne pas lâcher pareilkle chose en si bon chjemin ; les mots viennent qui disent les choses de roche (via cauda l’animalière, etc)  ; nous comprenons, bnous xsavons comprendre, nous savons aller en roche (coq cauda) etc ; nous disons les mots de la roche dfure, dure et meuble selon les endroits, et ces mots les repôrtons sur paroi du temps , en termes de mots- betes figurant des betesq de roche dure : qui le bouquetin, qui l’antiloppe ; bnous poussons enxembvle pareille insertion  d’un mobile, jusdqu’à kle voir aen vérité co:mme logé en pareille roche,, comme une  bete (un épervier) en son nid douilllet ; le douillet est la cxhose à dire ; il sembvle ici que le douillet de roche soit la chodse à dire (et écrire sevcondairement)  ; nous voulons savoir beaucoup ( beaucoup !) de choses , et ces choses les placer sur roche, qui un cheval, qui une antilope ou u n ours des cavernes ; nous savons cela, le voir de visu, et comprendre = quelle identité pour tel aznimal représenté en pied, etc ; nous c

erchons à nous introduire ainsi en roche et à ne pas flancher en chemin : fissa, tezte la première, armé de notre coq-cauda de brisure, armé jusqu’aux dents pour ain si dire, et ce faisant, nous entrons en pareille roche et nous immisçons de concertt, sous le rezgard (amusé) d’unbe bete de roche : un aurochs ? une buse ? un chevreuil ?  ; nous ne savons pas mettre un nom car nous nev sommesc pas savants ; nous sommes des enfants qui ne savons pas (mettre un nom) mais qui par contre savent dénicher car ils furètent, cherchent dans kles coins, soulèvent ou lévent ici ou là des attributs, des coiffes, des choses de recouvrtements, feuilles ou feuilklets épars, etc, et trouven,t souvent, le pot aaux roses souvent cité, etc, et se posent en inventeurs ou découvreurs etc ; il s’agit de cette vol ;onté en soi (primordiale au sens fort) que préside une tete chercheuse, et qui demande à etre soulignée ici ou là sur des affichettes (par exemple) et reconnue à sa juste mesure ; nous trouvons des choses à ramasserr (mobilier) sur pareille roche du temps découvcerte («mar» allée avec le soleil, vagues redressées comme des piliers, etc)  ; nous voulons essayer de com^prtendre ce qui est en roche, de ces betes représentées (art) par un homme des cavernes  ; kl’art est situé (c’est déjà ça !) et s’adxresse à qsui dxe droit qui verra la chose marquée ; nous voyons cet aret des cavernes (des parois) comme l’art de base (pazr excellence) qui figure une envie, une volonté ancrée, forte comm une figure aimllleurs animalière etc ; nous voyons une figure ici (art)) de type bete de poidfs, qui est cette force cde paroi qui est cette phrase (ce phrasé) proféré à haute voix ; nous savons cette chose d’un art de la rocxhe en tant qu il serait une profession de foi d’un homme des cavernes : chant et contre chant, ou comment dire la chose ? il s’(agit d’un chant nuptial, sur roche, armés de dessins sur paroi, gravures, fanfreluches etc, qui tous (toutes) disent la cxhose, cette chose d’une décision souvera ine, d’une volonté ancrée en soi même, sd’un vouloir complet, entier, durable, de roche, etc, qui dit sa faconde, son raâle, sa force votive, etc, et son sentiement de passage ; nous voulons ensemble comprtendre ici bas ce sentiment de l’homme des c avernes, pour  ;la paroi et pour la pierre et pour la roche, le roc, la dureté-mère ; nous voulons com^prendre ici (sur roche) c e qsui est squi semble aller de soi comme biches dans un e prairie (des mots de roche) mais qui en vérité sont des accrocs sur un tablier de roche cde grotte, accroc ou ghriffures ; nous disons que nous voul:ons savoir et entrer dans le savoir comme en religion , ou comme en une sorte cde chapelle qui serait l’endroit des définitions ; nous espérons tenir ainsi dansq la rochje dure, ensemble et de concert, sur une ligne que l’on s’est choisie et qui est celle d’un vouloir-aller sur pierre, en cette paroi, versv la définition dernière d’un mot qui serait le mot «vie», ou le mot «art», ou le mot «fin», un mot cde trois lettrees («god « ?)  ; nbous disons ainsi , que nous avons ezn nous cette envie de comprendre et du même coup d’accumuler (emmaga siner les savoirqs) et ne rien laissser cde côté : pousser la paro ;:le en ses limites spirituelles ou sinon co:mment ? en ses limites charnelles ?  ; nous poussons la chansonette et poussqant ainsi nous avançons sur un chemin de connaissance naturelles, etc ; nous faisons des pas ; nous faisons preuve d’assiduité, de co:mpétence, d’a ssurance dans la démarche quoique de guingois mais bel et bien tenue en ses parties de roche, etc ; nous disons que nous seo:mmes deux : qui somlmes -nous ? : nous disons depuis longtemps voire depuis toujours que nous sommes deux mzais qui sommes nous au juste ?  ; nous avons encore et toujours la faiblesse de dire que nous sommes deux, mais en bvérité : qui ? qui sommes nous derrière ce nous ? qui est derrière ce nou!s prononcé moultes et moultes fddfois à la volée ? qui pour dire derrière ce nous ? qui se cache ou qui est caché et caché par qui si caché ?  ; nous essayons toujours d’(en avancer dans les reflexions, dan,s les rechezrches cde près, dans les avancées ou comment dire c ette chose d’un e volonté affichée et marquée, de vouloir ensemvle savoir ce quil en est, de c e nous de bbase, réitéré, sans cesse reproduit ou renouvelé  ; qui est  c e nous de c irconstance pariétale ? qui est il qui ne cesse d’(advenir sur roche et de figurer les choses de roc , qsui ?  ; qui peut répondre ?  ; essayons ; nous disons nous pour dir je ; nous disons que nous sdommes deux je ; nous disons que ce nous recouvre un,e notion qui est celle du je rajouté» à un je rajouté à un je ; nous disons quenous sommes un coup^le de je qui se rajoutent ; nous disons que des je (deux) s’ajoutent (se rajoutent  ;:’un a l’autre) et forment ce nousq affiché sur roche ; «nous sommes» dit qsue je + je sont qui forment ce couple d’avancée votive ; je est cette chose qui va s’accoupler à cet autre je (de soi) pour formezr figure, figure animale : un aurochs ou un bison ; le bison (ou l’(aurochs) est la sommes de deuxc je qui s’accxouplent ou xse wsont accouplés en amont de la roche = la transe ; latranse est la raison du nous ; le nous est l’insigne qui dit pour le coup que la transe existe ; le nous ^prononcé à couille (à foison) est cette chose d’une appartenance à un dé bit de transe rupestre, à une force de transe de paroi, ou en paroi ; «nous» dit la transe en cela que latranse est la base ou condtion sine qua non  de la gravure représentative ; nbous passonssur roche et traversons la roche et nous logeons en roche, pour une figurereprésentative : de notre moi en tempsq et heures, d’un (en nous) qui sera  cette cxhose,  recherchée par bouche de la mort la gueuse ; de nous : un = celui qui, en temps et heures, est vie de passage en offranxde ; nous , disons-nous ;, pour dire le pazssa ge (et la fuite) dans le temp^s ; nous voulons savoir loin et longtemps un nombre grandissant de choses, car nbous avons à, tous les deux en nous  , comprendre des chodses, d’une sorte (des lors) de figuration de la bete en n  ous (ce chaman) qui est cette bete, de traçage sur paroi (au silex ?) et de passage en force par la fente d’une insertion ; bnous disons que nous dxevons comp^frenxdre loin et longte:mps des dxon nées qui sont données, de fait, de la ba se du cerveau de l’homme (de la femme idem) ; nous disons que homme et femme (enfanht) ix-ci = cette chose ezn soi d’une parole, qui va de son trac é sur roche et donne le la musical à un en,semble (rroche et te:mps) qyui est la chose à découvrir, en transe, dans le sein des wsein s pariétal ; bnous tombons à la renv erse, et tombant nous posons les jalons d’une possible construction langagière humaine ; nous avons à co:mprendxre ensemble ces jalons et les frapper sur roche comme des appels à vouloior tenir et ne pas mourir , pas de sitot ; nous voulons ensemble aller loin en pareille roche, sc andant xdes vocables (roches des betes) et donnant ensemble (elle et moi : la bete et moi) des offrandes, des tributs, des paroles, des mots-betes, des choses du sang , sur roche à trouer de son pic de  verbe ;  sommes (nous) pour une incursion dans la roche du temps ; nous creusons le  verbe et cela sous le choc d’une perc ée de bouche pariétale ; nous allons en c ette roche ensemble, poussés par en nous cvette force animalee d’un perce-^paroi, d’un pic de paroi de roche, etc ; nous sommes ensemble, qui voulons comprendre loin en pareilllle roche et du même coup nous proétéger d’éventuelles ruades animales de circonstyance ; notre but ici est celui ci, qui nbous voit aller (de l’(av ant) pour gagner du terrain (ou tout comme) sur les connaissances ; notre but est clair comme cde l’eau de source ; il est inscrit en toutes lettres sur x parois au sein de x grottes dan,s le mùonde, ici ou ailleurs, et cve but a fort à voir avec un langage naissant, fait de mots-anima ux,, langage balbutiant sa raison d’ettre au charbon de bois, sous forme animalière, crachée au débottée ou gravé dans la pierrez,etc ; nous essayons de co:mprendre ici cette chose d’une décisuion souveraine en nous, qui nous voit aller et ve n ir à même la roche , et décider de quoi il en ressortirait , pour l’ensemble des personnes composant notre tribu humaine, en  ce qui concerne les attributions nominales, des ob jets de choix effectués,  des objets qui sont pour nous des objets de choix,etc ; quels seront les noms donnés etc ; leur zattributions, etc ;: ici ou là au sein de la roche ; nous ne savons pas  ce squ’(‘il en sera, de c ette chose de roche dure, et pour combien dxe temps dure ; nous cherchons ensemble des solutions , des réponses, nous chezrchons a ssiduement et cela est ainsi que nous voulons savoir ce quii est encore ici pour nous et rezlève de la  v érité (a nimalière) représentée ; nous voulons akller en roche commùe ailleurs : munis de noptre lance, de notre sagaie ; nouys voulons aller en  cette roche du temps commùe aillleurs à la chasse) munis de notre sagaie ; nous sommes deux qui voulons aller ensemble ainsi, sur roche, deux par deux ; nous voulonbs comprendre toutes cxes données de roche dure ou meuble, ces savoirs accumulés au fil des heures, les collecter et :les notifier (noter) sur feuillets mobiles consultables à tout moment ; nous compren on,s que nous sommes deux (deux = un et un) à chercher le mot qui dira la chose : aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs! aurochs ! aurochs!  aurochs! aurochs ! ou bien : bison ! bison ! bison ! bison ! bison ! bison ! bidon ! bison ! bison ! bison ! bison ! bison ! bison ! bison ! sur roche de grotte ; nous pensons que nouys avons à faire abstraction du genre d’animal en nou que nouys portons en nbous, et à déclamer la chose sur roche : cvheval ! cheval ! chev al ! cheval ! ou bien renne ! ou bien bouquetin ! ou bien rhin océrosq ! ou bien des points ou des figures géométriques, des carrés ou des rectangkles ; nous voulons co:mp^rendre le fin mot de tout surterre, et en avancer de cette sorte ensemble, afin d’aller loin en, besogne et au sein de la roche des connaiszances,de cette roche en dur xde l ;a connaissance ; nous pensons que nous devons ainsi entrer en pareille roche ensemble fissa, et noter ce que l’on voit, à savoir bambi l’heureuse, la bienheureuse, la belle bambi cxdes prairies, l’inoubliable, etc ; la bambi du boisjoli ; lma bambvi des roches ; celle que nous approchons de concert à pâs comptés,, en douceur, sous le vent dxe la roche aérée, etc ; nous sommes deux et nous nous ap^prochons de cette biche des preairies nommée Bambi ; il se fait que nous la voyons de près , qui broute à des moments, ou virevolte à) d’autres ; Bzambi porte le nom de wsa confrérie (les bambis)  ; nous pensons que cette bambi des prés est là pour nous guider incidemmeznt sur (tout simplement) le chemin de l:a vie ; le chemin de lza vie eswt (tout bonnement) le chemin du bois joli ; il s’agit d’un chemin de halage, bordant le passage où nous nous engageons entre deux mers ; nous sommes nouds deux qyui allons au loin le pl ;us que nous pouvonsen pareil chemin, ou sur pareil chemin de tracé  de roche ; nous sommes ensemble pour comp^rendre ce qui est ici sur roche squi fait le tra cé d’un chemin de vie, et ce:la qui est est cette chose (de so;l) qui vous guide et vous fait aller un pied devant l’autre  ; cette chose est un tapis, une solive, un passage de pas à pas, etc ; nous pensons que l:a chose est comme cvontenu en son attri bution verbale ; une chose remplit une  chgose qui remplit une chose qui remplit une chose qui se voit ainsi cvomme soulevée par des couches d’insertion en elle, et arrive ainsi à figurer (de pres et de  ;loin) la chose dite, ou bien le dit formel de la chose crue : aurochs ! aurochs ! azurochs ! aurocjs ! qaurochs ! et ain si, la chose est le mot, qui dit le temps passé à vivre l ;a vie toujours vive (un pis-aller pour une attribution lexicale ou verbale : aurochs ! bison ! renne ! bouquetin! etc)  ;: nou!s savons que nous devons, encore et toujours, en avancer sur ce c ghemin tracé, et là : filer fissa vers biche ma biche, qui, au loin, fait signe de nous inviter à embrayer, à suivre son pas ; nous posons le pied sur ce treacé d’un entre-deux-mers dessiné par une entaille effectuée pâ r on n,e sait qsui qui nous laissse ainsuii entrrer dans une sorte cxde domaine de joie, domaine privé, fzait d’embruns et de choses qui jonchent le sol, etc ; nous entrons de concert et rega rdons les alentours ; il s’agit d’un cheminb d’ouverture (d’échancrure) marine ;: une trouée dans une mer houleuse (ou pas) qui va son tracé loin vers des horizons lumineux (luminesvcents)  ; nous solmmes ensmn,blme sur un tracé (un trajet) : ensemble nous allons et suivons la bete, en nous et hors de nous ; le bvete est ennous qyi sort cde nous pour aller loin, wse ficher sur roche (cet écart)  ; nous disons que cet écart est salutaire et nous per=met de «tromper sdon monde» = cette chose devant soi qui nous semble relever dx’une croyance, xd’une foi en des lendezmains enchan,teurs, lumineux, faciles ; nous pensons que nous avons à cvomprendre encore beaucpoup xde chopses sur cette chose d’une paroi des temps impartis ; nous pensons que nous avons à comprendre encore un grand nombre de cbhoses qui relèvent ou relèveraient toutes d’un savoir lié à des pratiques chzamaniques de gravure ou de dessin sur roche ; le savoir ewt une chose à acquérir ensemble (de con cert) en pareille roche du temps ; le temps ici est l’indicateur, l’indice, l’indicateur et le salut ; nous voyons la biche brouter en sa prairie et nous regarder xd’un dr^le d’air : que nous veut-elmlle ?  ; nous allons en pareille roche du temps, toucher (ou tenter de toucher) la bambi des prés afin de mesurer son degré de réalité  ; le mot est la chose des roches, une chose dure ici, une chose meuble là ; le sol est jonché de choses en offrande : bouquetins, aurochs, antilopes, ours, rennes, lions, et aussi des chevaux en pagaille, un oiseau de malheur, une antilopê, une chèvre, une brebis, des certfs et des élans, etc  ; des bois de mue, des coquillages, des choses disparates ; des pierres de taille etc ; nous sommes ici sur roche comme ailleurs sur paroi des dessinants de betyes votives ; nous sommes icii sur ce chemin de roche aérée comme ai:leurs des hommes des cavern es étaient , qui dessionaient à mazin levée des fetes votives, des betes de poids, des betes dures et éla,ncées, des chamaneries de première main, au charbon de bois, en lévitzation, sous les cris et les chants qui montaient des berges ;

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8 /03/2021

nous cherchons  des réponses à cet ensemble de questions ici, en ce lieu d’une ouverture marine, en cet antre fou ou comment dire, en cette brisure, en cette drole d’ouverture folle d’un entre-deux-mers ouvertes pour un passage, le notrte, vers des embruns  ; nous essayons de comprendre les choses du monde à la lumière drole et folle d’une sorte d’échancrure dans la masse ; nous comprenons que nous avons à entrer toujours plus avant en cette masse de mer, qui va s’ouvrant au-devant de nous, qui toujours plus s’uouvre ainsi sous nos yeux ébahis, qui va ainsi comme pour nous offrir son tracé de vie à vivre ; nous comprenons quye nous avons à ainsi entrer dans une vie à vivre tracvée par une mer ouverte ; nous avons compris cette chose , d’une vie comme tracé en nou ?) par une mer ouverte, par une béance, et cette choss est ici une sorte de parole dite qui adjure, interpelle, ou admoneste : un hurlement divin qui vien t des lointains et nous concerne ; nous pensons que nous devons ainsui nous tenir comme dos au mur de la parole dite en  nous, nous appuyer ainsi sur pareille chose murale, ou sur pareille chose en appui de vie ; nous comprenons que nous sommes ensemble ici pour aller en cette chose ouverte plus avant au jour le jour ; il s’agit pour nous d’une sorte de mural, de chose d’appui, etc, qui nous permet de voir aussi, au loin, ce qui est, qui se trame de la sorte que nous le voyobns : des embruns bleutés qui sont des avenirs, qui sont des clartés à venir ; nous cherchons des réponses à des questions qui sont souterraines ; ou bien nous cherchons des réponses comme souterraines , à des questions que nous nous posons ; nous somlmes deux ainsi qui pour le coup essayons d’aller loin en pareille roche du temps et en elle nous glisser main dans la main, en ce passage (tracé) d’une vie à vivre dans une béance ; ici la béance a une importance capitale, elle est cet espace (ou espace-temps) qui s’ouvre à nous (devant = demain) comme deux mains, ou comme une bouche, un trou, une entrée de grotte, une cavité qui semblerait nous aspirer au fur et à mesure que nous progressons vers e lle (cavité) ou bien vers lui (trou, etc)  ; nous cherchons une sorte d’embouchure, ou bien une sorte d’ouverture à même lza roche pariétale d’une grotte, d’un gouffre ; nous sommes des enfants qui cgherchons , dos au mur (de la parole) pour ainsi dire, une sorte de chose en béance, une sorte de passdage ouvert, une déclaration, une déclamation qui sezrait cette béance de foi, de croyance en une bouche ultérieure, en une cavité future etc ; nous voulons comprendre (à coups de marteau et de pic de roche) ce qui est au-devant de nous qui nous interpelle, nous interroge (?) ou nous tend les bras ; qui sommes nous pour aller ainsi en cette roche ouverte, en cette échancrure, dos au mur de la paroi derrière nous?  ; qui sommes nous , qui regardoons au loin les embruns ?  ; nous regardons au loin les embruns ; qui sommes nous pour regarder ainsi cette chose d’un devant de soi qui s’offre (espace-temps) comme une échancrure dans une robe ? qzui sommes nous pour pparler ainsi et en navancer sur ce chemin de croix d’une vie à vivre ?  ; nous disons que nous sommes comme des enfants qui, enfants, en avancent en courant ; nouys disons que n ous sommes comme des enfants qui , en courant, en avancent pas mal et s’enfoncent ensemble en pareille grotte du temps, etc ; nouys disons que nous sommes cdeux qui allons profond en opareille roche trouée, qui nous absorbe et nous contient en elle, et dès lors nous nous retrouvons comme accolés (au dos) à une paroi du temps qui est faite de ces mots de roche , mots-animaux de bouche etc ; nous sommes ainsi qui comprenons que l’art ici est cette cghose d’une échancrure dans un tissu (une robe ? un chandail ? un corsage ? un dessous ? etc)  ; nous voyons au loin se dessiner bambi qyui nous interpelle : elle brame ou bien elle chantonne ?  ; nous voulons comprendre ici (en roche du temps, en roche pariétale du temps) ce qui se joue en termes de biche au devant de nous qui serait cette biche qui nous aspire dans son sillage (le temps et l’espace) et nous entraine ainsi vers lkes embruns ; nous voulons ainsi faire , de donc la suivre ; nous voulons faire ainsi de suivre, de suivre cette bambi ; nbous sommes deux qui essayons de comprendre ici (en roche pariiétale) les enjeux ; nous voulons aller en pareille roche du temps au p^lus profonsd que nous pouvons ensemble aller et là ne pas nous retourner mais tout au vcontraire foncer fissza en elle, vers les lointains de cette mer ouverte devant nous comme échancrure dans tissu de toile  ; nous voulons comprendre ensemble kles choses à la lumière de ceztte chose du dev ant de soi : vie à vivre illico presto, ni une ni deux, à la gaillarde, etc ; nous cherchons à comprendre ces choses, ces embruns tout aussi bien, à notre façon accoulpée ; nous voulons comprendre les données qui sont celles d’une sorte de parole offerte en devanture, travezrsée par une pique, et nous voilà de l’autre côté à nous avancer fissa en cette rochge du temps pariétal, qui est vie à v ivre instamment, au coup par coup, sur sol dur ou meuble, etc, vers cette biche des embruns qui sembvkle (semblerait) nous faire signe ; nous essayons ensemble de comprendre les ressorts de cette invitation, de cette vive invitation ; nous voulons essayer de comprendre quels seraient ici (en roche) des données liées à une sorte d’invitation au voyage ou à traverser ainsi cette mer ouverte, et à prendre ce chemin de destinée ou de voie tracée, etc, par une sorte de divinité, ce chemin tracé par une sorte de créature comme divine, comme adoubée par une biche des prés, une créature des mers, des béances, des vagues-debout ; nous comprenons des choses et nous essayons de les retranscrire ici, à la va comme je te pousse peutetre mais tel est le prix à payer ici, en roche, pour comprendre et noter les queslques données receuillies par la bande ; nous voulons comprendre ensemble ce qui donc ici se trame pour nous (les enjeux du bord de mer) et ces données recueillies les retranscrire sur roche sous une forme ou sous une autre : animaux-mots ou mots-animaux de paroi de grotte ; ; nous pensons que cette chose (mur de mots derrière(?) nous) est une chose d’importnce capitale : une vérité ; la vérité est ce qyui ne souffre aucun ou plutôt aucune contestation ; aucun rejet, etc ; nous pensons que la bvérité ici d’un  bord de mer ( fois deux) ne souffre aucune contestation possible ; nous penseons que cette vérité d’une échancdrure dans un tissu, une sorte de maille etc, devant nous (vie) ne souffre aucune possible contestation qui viendrait enrayer la chose ou la mettre à bas ; la vérité est une et indivisible à jamais, ; il est ainsi que est la bvérité deschoses ; nous pensons pour nous que nous devons croire en cette vérité incluse dans lzes mots (entendons-nous bien : dans tous les mots) et en avancer ainsi, cahin-caha, sur pareil chemin ou pareille voie «de destinée» ; nous disons que nous sommes qui disons des choses, sur des accents de vérité, ou bien avec, avec donc des accents dits «de vérité» contenus (lesdits accents) à lk’intérieur de la langue, celle que chacun porte avec lui (trimballe) et dont il se sert pour percer la roche (pic et pic) pour passer, cfranchir, sauter, outrer etc le passage ; nous devons comprendre cette chose ici (art) comme quoi cette outrance (= ce passdage outre) est une sorte de naissance (de soi pour soi) et que dès lors (à ce titre) il s’agit d’un changement : de (paradigme ? de voie ? de monde adjacent ? d’univers à comprendre ? etc ; nous cherchons  ; nous voulons savoir les ressorts secrets, ce qui est qui se cache ou se trame, et cela ensemble, encore et toujours, soit main dans la main encore et toujours, comme deux qui seraient (sont ?) aspirés par au devant de dsoi (de nous) une soufflerie géan,te, grave, célèbre, enjouée, native, vive, sérieuse qui nous prend en ellle, nous absorbe ou pas loin et nous demande ainsi, de nous accoler à ses lèvres (pour ainsi dire) et à nous laisser faire  ; vaille que vaille ; et ainsi nous voilà meurtris ? peut etre pas mais secoués ; nous avançons sur un chemin de destinée buccale pour ainsi dire : trou ou béance, devant soi , d’une vie à vivre dans l’espace-temps d’une échancrure pariétale , dos au mur (aux mots-animaux de réserve) etc ; nous sommes qui allons cahin caha sur notre lancée ; nous cherchons à comprendre ce qui est ici qui nous regarde devant, cette lumière bleutée des embruns, ce bleu incident, ce bleu accidentel, ce bleu indi go, etc ; nous pensons que cela doit etre, de la sorte, rapportée sur roche par des animaux qui seraient ainsi dessinés ou gravés par des hommes et par des femmes ; par des hommes et par des femmes des cavernes, dessinés, gravés, ces betes, dessinées, gravées, et montrées à la face (!)du monde : au visage qui s’approche etc ; nous pensons que  ette chose existe ici (cet animal gravé) pôur une cause particulière, liée à la vérité d’une roche ouverte, à une bé»ance de vérité, qui serait béance «de la vérité» ; nous pensons que nous cdevons pour le coup aller loin en pareille roche du temps et cela à deux (ensemble pour la vie), deux comme dans deux et deux font quatre ; nous devons comprendre ici que les choses qui donc se trament sous nos yeux sont choses de peu, sont choses menues, fines, sensibles et aussi fragiles: des moineaux ; nous sommes ensemble ici (en roche) pour comprendre cette chose comme quoi ces vérités indéboulonables, sont des sortes de moineaux des roches (nichés) ou des cavités, et fragiles (?) comme moineaux, comme petits volatiles ; nous voulons aller en pareille roche , à la recherche d’une sorte de nichée de petites betes, d’oiseaux des rochers, pic de mar de la roche dure percée ; nous pensons que nous devons de fait aller loin en pareille roche des temps et nous glisser en elle de la sorte, ainsi que nous le faisons, pour comprendre les choses du temps et (ainsi) avancer, tracer, poursuivre, continuer, à graver, à dessiner, etc: avancer sur ce chemin de destinée rupestre ou bien sur cette voie d’abord sanguin, ou bien sur ce chemin dit « de la vérité» qui, devant nous, s’ouvre comme une bouche ; nous devons co:mprendre (art) ensembke ici les données de base , celles qui président à pareille aventure dans les découvertes, dans cet univers nacré des découvertes, nbacré- bleuté ; nous voulons aller loin et ainsipoursuivre sur ce chemin tracé (déjà ?) par on ne sait qui pour soi, (en soi ?) et ainsi nous p^ropulser nous-mêmes, sur cette voie d’un abord sangiun, vif comme la vie ; nous cherchons des réponses à des questions (folles ?) que nous nous posons, car nous sommes adossés à une sorte de muret (de roche ou de paroi) derrière nous, muret ou roche wqui est comme une sorte d’étais (de passé lan,gagier indéboulonnable) en nous, qui nous tient debout (une colonne) et nous permet de n,ous avancer (d’avancer notre mobile) sur une voie tracée ; nous comprenons que ce muret (paroi des temps) est fait de paroles acquuises (des vérités de circonstance) qui nous donnent l’aplomb nécessaire à une sorte d’ avancée en bonne et due forme dans la vie à vivre ; nous pensons que ce «mur de mots-betes» ets un mur de roche(paroi de grotte) et que dès lors nous sommes adossés à une sorte de troupeau de betes dites «de roche ou de paroi», de celles qui ornaient les grottes de la préhistoire etc ; nouys pensons que des betes sont en  ous sous forme de mots-animaux de cvirconstance (un langage vif, outré, de charretier, outrancier, etc)  ; et alors nous sommes ainsi nous deux comme des charretiers quyi jurent par devers eux mêmes, à leur insu pour ainsi dire, etc ; nous avançons sur une voie qui est celle ici de la vérité de la roche ; nous sommes deux qui nous posons ainsi en pareille roche et allons au plus profond que nous pouvons ; nous esswayons de comprendre ensembvle les données qui président à pareille incursion en de la roche dure de chez dure, roche du temps, dure de chez dure, dure comme tout, qui nous laissse enttrer en elle cependant, sous les coups répétées (toc) de notre (de nos) pic(s) de bouche animalier(s)  ; nous voulons entrer dans une roche de paroi de grotte, comme betes desinées par des hommes de la préhistoire = de l’époque d’avant l’histoire, d’avant toute narration parlée (?),  écrite (?) , etc ; nous cherchons une réponse dans la roche ; derrière nous nous avons une chose sur laquelle nous pouvons nous adosserr ; nous avons derrière nous une chose sur laquelle nous pouvons raisonnablement nous adosser, sur laquelle nous pouvons nous appuyer et tenir , c’est-à-dire tenir bon, c’est-à-dire tenir debout etc ; nous sommes adossés à une sorte de mur de mots (indubitables) qui (à nous) permet la station tenue, la station debvout, et cette avancée sur cxhemin de vie (la chose est entendue)  ; nous esdsayons d’aller ainsi loin en pareille roche du temps avec, au dos, ce mur, cette roche, ce roc, cette paroi, ce mur de parolesdites (outrancières : des jurons) qui est cette chose d’impoirtance, cet te chose en dur cde chez dur comme de la pierre ; nouys voulo s cerner ensembvle les donnéexs du monde et avancer = en avancer ; nous ne voulons certtes pas stagner dans une eau croupie pour le dire ainsi, mais plutot voler (de nos propres ailes) et dès lors aller loin en pareille roche , soit en pareille mer (ouverte, séparée) et atteindre la voie cdes embruns, le monticule de bambi lma reine des prés et des prairies ; nouys voulobns essayer de comprendre cette chose dx’une sorte de voie à épouser ensembvle, qui nous mènerait vers une cavité, une échancrure, un trou, une ouverture, une béance, une anfractuosité, une excavation, une trappe, une bouche, une vfissure, un passage de tyravezrsée en roche etc, vers des souterrains ? vers des caves ? vers du volcan ?  ; nous essayons de nous approcher de bambi, de la biche  ici qui se tient fière (élancée) devant nous au loin, sur roche, et nous (ou semble nous) interpelle (interpeller) etc ; nous voyons bambi cdevan,t nous qui semble nous interpeller et nous faire signe de vouloir (de bien vouloir) la suivre longtemps (temps de vie) et jusqu’au bout du bout (bouche ou cavité) qui nous attend ; nous voulon s comprendre c ette chose d’une «prise de parole» en nous par la bande, par une sorte de confrèrie des embruns, dite «des embruns», qui parle en nous («nous») et nous fait dire «bien xdes choses en somme» à la cantonade ; nous disons que nous avons à aller loin en une roche dite «du temps», qui est cette roche «des bvérités pariétales» , qui est devant nous comme une ouverture et derrière nous comme une fermeture langagière (des mots outranciers)  ; nous disons que nous devons entrter en roche et comprendre les choses du monde, ensemble, main dans la main, pour nous aider (mutuellement) à pousser plus loin le niveau de nos connaissances ; nous cherchons ainsi à extraire ensembvle du monde pariétal les vbérités de roche qui s’imposent à notrte gouverne (à notre raison de tete)  ; nous voulons aller loin en pareille roche et creuser ensemble (un déroulé) la roche du temps (la vie à vivre) et aller loin en elle (vulcano) vers les embruns nacrés-bleutés de ces roches lointzaines d’abord ; nous disons que nous sommes deux pour vcomprendre et calculezr ; nous voulobns savoir ensemble ce qui est ici qui se trame là (ce double regard, ou bien cet écart, à deux, dans la roche, à donc regarderr, ici et là, les données rupeswtres)  ; nous disons que nous sommes deux ensemble pour la vérité, que nous sommes deux pour une sorte de recherche de la vérité ; nous disons que nous sommes deux, pour une recherche de vérités, pour une découverte, pour une levée de boucliers ou comment dire , dénichement d’un trait de vérité dans une paroi : ainsi ? ainsi devons-nous dire ?  ; pourquoi ne pas aller en roche ensemble à la recherche de la vérité des embruns, des mers échancrées, des lointains nacrés et des biches (bambis ) sur des monticules dorés , pourquoi ?  ; nous avo,ns à chercher loin des vérités de roche ; la mer s’est ouverte et nous sommes entrés en elle main dsans la main ; les motrs sont des vérités d’étayage (la st§ation debout, l’avancée sur roche, etc) qui sont par ailleurs des collonnes de mots dits betes, ou de mots-animaux de contenance (en nous comme une coul ;ée)  ; nousesswayons de comprezndre un ensemble de données rupestres (pariétales) qui nous fait face et nous montre, qui (ici) une cavalcade, qui (là) une lutte à la vie à la mort de betes à cornes , l’une contre l’autre, etc ; nous cherchons à comprtendre ce qui est (art) pour nous, qui allons fissa en pareille roche, et dessinons un tracé de vie, une marque (au sol) de notre passage (repérage ici pour les temps à venir qyi viendront s’adjoindre àà pareille embardée rocheuse)  ; njous essayons ensemble de comprendre (pister ?) ce quyi est qui se révèle (au fur et à mesure) sous nos yeux ; nous voulons essayer de comprendre ensembkle cette chose d’une sorte d’embardée (massive comme un juron) en paroi de grotte, et cela à xdeux, main dans la main, à la une àla deux, nous entrons fissa tete première en pareille roche , et dès lors  ,nous nous retrouvons comme catapultés en elle, assis sur le cul sur la roche ou sur pré de roche, et là nous sommes , nous sommes étourdis comme enfants naissants: les yeux grand ouvertts nous sommes étourdis par un spectacle devant nous (autour de nous) qui se dessine, comme une sorte de ghrand paysage de la vie et de la mort de destinée ; nous esswayons de comp^rendre ici ce qui est qui se trame sous nos yeux à la manière d’un cinérama, ou cyclorama, ou panorama ? etc ; nous pensons = nous comprenons = nous perc evons = nous pistons = nous injuriobns , qui ? cet oiseau de malheur qui nous tourne autour (charognard ? ) etc ; nous le faisons fuir : nous sommes en vie ! nous ne sommes pas morts au passage ! etc ; nous comprenons que nous devons aller tres loin sur ce chemin «de randonnée terrestre» ou comment signifier cette chose d’un tracé comme déjà balisé à notrte naissa nce , nous ne savons pas ; nous ne savons pas comment signifier ou nommer ou désigner ce tracé de roche de naissance, ou comment? de naissance ou xd’arrivée   ; nous cherchons à poser des mots sur rochge, et ces mots les voulons «costauds»z (des étaisq de roche) pour tenir bien longtemps et nous porter une vie durant ; nbous savons que les mots en nous sont comme des étais quyi portent et voilà pourquoi ces «accents de vérité» en eux toux

s ; nous voulons comprendre ce quyi est en nous qui se trame (et hors de nous) qui nousd ferait penser que nous sommes ensembvle pour léternité alors m^me qu il n’en serait rien, ou bien qui pour nous renseigner ?  ; nous avons une raison en nous qui préside ;, cette raison en nous est du type «folie douce», elle porte un nom, elle est baptisée, et ce nom de baptême est :  «folie du temps»  ; nous abvons ensemble compris cette chose ; nous voulons ensemble aller loin en pareille roche et nous glissser dans cette «peau du monde- pariétal» et là, poudsser plus loin encore et nous poster aux avants-postes pour ainsi dire, sur le monticule de bambi des prés, à sa place (à la même place)  ; nouys voulons nous portyer pl ;us loin et comprendre les enjeux à la lulmière d’une féerie, d’une lumière d’embruns féeriques  ; nous voulons savoir et nous voulons comprendre ensemble, soudés, l’un dans l’autre ou l’un pour l’autre, etc ; nous sommes soudés comme les doigts de la main (des deux mains)  ; nous sommes soudés comme doigts d’une main du tempsq, cette qui nous porte en pareille roche : vers les lointains temporo-faciaux ? vers les lointains bleutés-nacrés ? vers des lointains qui cjhantent ? qui dé-chantent ? que dire ?  ; nousespérons ou nous comptons sur la venue, l’arrivée prochaine (ici) d’un homme qui saura nous dire, un homme, une bête, un être ; une femme devant dsoi ?  ; une béance ?  ; nhous pensons que nous devons de fait nous pooster sur roche comme biche sur un monticule, sur un pic de roc, etc ; il s’agit d’une position à prendre mordicus ensemble, à prendre ensembvkle pour une embarcdée ensemblke ; une vue, une position, une envie, une décision, comment dire ? à prendre, à saisir, à accepter pour soi ou recueikllir, etc ; nous sommes en nous deux qui allons par les prés à la recherche de la vérité des roches du temps (ou cde l’espace-temps) et ensemvble nous pensons que nous saurons comprendre (nous) cette chose d’une sorte d’embardée fissa tête première dans la roche (le roc) de la pierre du temps, de la pierre ici dure et là meuble d’un temps incertain qui est celui de la grotte « des temps anciens » (préhistoriques)  ; nous voulons comprendre les choses du monde, cette vie qui pour le coup déroule son tzapis comme une voie d’abord (sanguin) pour une percfusion, ou pour la perfusion (en vie) d’un mobile (ou sorte de mobile) pâriétzal etc, en roche et sous le v ent squi va de son allant de roche ; nous pensons que nous avons à comprendre ensemble des données qui toutes cfoncernent un temps pariétal de vie, un temps de vie pariétal, quyi est cet espace-tempps de la roche dure (celle des hommes de la préhistoire)  ; nous voulons penser cette chose de la sorte et comp^rendre cette chose à la lumière (ambrée) des embruns dans les lointains de cet espace-temps de bout du monde, de bout devie à vivre, etc ; nous voulons nous enfoncer ensemble en cette paroi, parmi les betes dessinées à ma in levée par des hommes de la préhistoire (des magdaléniens etcxc)  ; nous devons nous immisc er au plus profond de pareille grotte et entrer en elle fissa, la pique au devant pervforant la roche, et créant ce dit passage où donc nous infiltrer par la bande, et de une et de deux, pour nous retrouver ‘-$»de lo’autre côté» comme deux qui se retrouvent ou se retrouveraient cul nbus, culs par dessus tete, assis sur le cul etc, par terre, de lk’autre côté soit en ce pré aux biches et autres cervidés aux bois dorés, etc ; nous nous retrouvons ainsi tout nus, qui devons aller en  ce pré à la suite de ces cervidés de fortune (de bonne foretune)  ; nous deevons nous glisserr ainsi en pareille roche et aller en elle loin, le plus possible, loin en cette roche des prés pour comprendre, cerner leez raisons qui président, ce qui est qui est, ce qui n’est pas qui n’est pas, etc ; nous voulonsessayer de comprendre (une intelligence des parties) ce qui ici est (en pareille roche du temps) et n’est pas, n’est pas indubitablement ; nous essayons de comprendre ce tout à la lumière d’une féerie ders embruns nacrés -bleutés, bord de roche, fond marin, espace-temps d’une vie sur tezrre, accomplissemebnt, destinée , tréacé de vie préalable, alluvions sur paroi de roche aux formes dessinées par des hommes des cavernes, etc ; bnouys sommes ensembke pour (de  la sdorte) nous projeter en cette roche des temps, nous pousser ainsi et comprendre ensemble (dès lors) les raisons qui toutes (les unes après les a utresq) président à pareille embardée pariétale de roche ; nous avcons à decvoir compter les données séparées de cette roche : biches sur prés (cvombien ?) , cerfs et autrees chevreuiols en accomlpagnement (cvombien ? ) ; nous devons nous immiscer en pareille paroi comme des betes dessinées par des hommes des cavernes, c’està dire en transe, en lévitatation, sdans une sorte d’état second ; nous devons nous mêmes atteindre la transe et basculer , et donner de notre  nous-même à la roche, donner noptre feu central fzait de mots animaliererrs,, de mots-betes betes, cons, débiles, mal famés, mal dits, bvredouillés, etc ; notre b ut sx’affiche de la sorte ; nous avons un chemin à faire ensemble, une embardée en roche spatio-temporelle, une virée en pareille durée des temps, en pareille zone aux embruns, aux lointains nacrés ; nous solmmes deux pour ce faire et nous decidons ensemble cette chose d’un faire cvommun, sur roche , sur paroi, main dans la main, comme téléport§és par en bnous une force (puissance animale) surhumaine ou comment, qui nous poussee, nous entraine, nousq flanque, nous contient, nous trimballe, nous soulève, en actes divers, sur paroi de roche ; nous sommes deux en nous q<yi devons comp^rendre pareille embardée animalière, pareille montée en puissance sous l’effet en nous d’une volonté folle qui préside ou présiderait nos actions sur roche (ces treaits précis de repreésentations animalières)  ; nous devons comprendre ensembkle ici ce qui est et ce qui n’est pas, et ne rien lâchezr mais tout au contraire y allezr de son couplet, chantant les données rupestres de l’éternité des temps alloués (par exemple) ou bien donnés par une quoi ? par une bouche ? une bouche ouvertrte ? une bouche à lèvres ?N,? une drôle de bouche ouverte à lèvrees peintes ?  ; nbous ne savbons pas car nous ne sommes pas xsavants car nous ne sommes pas des savants comme sont les philosophes, etc ; ingénieurs des ponts et chaussées, ingénieurs agronomes, ingénieurs de vie et sachants de mort, etc ; nbous ne sommes pas de ces etres qui sont des savants de la broussse ; nous ne sommes pas cde ces savants deb rousse du temps ; nouys ne sommes pasq des sa bvan,ts de bord de mer, des savants des embruns, des zones pariétales, des fond de mer nacrés ou autres (autrement), mais des quyi sa vent peu ou autrement (comme kles enfants)  ; nous voulons essayer de comprendre ainsi les choses du m:onde, «comme des enfants» de la crue qui regardent ensemble aller l’eau de mer, de part et d’auutre, près d’eux, sous les ciels de traine de la roche etc ; nous pensons que cela est cette chose à faire ici, d’une embardée folle de bord de mer ou dee roche (dos au mur pour aibnsi dire) armés de nos mots-animaux de fortune (chacun les siens) et motivés en nous, par, quyi un moteur flambant sa turbine motrice comme une ossature, ou bien qui démontrant son envie par de douces et finexs carreesses dans le sens du poil, de cette pelisse  de bete de  roche, de bete des roches, de bete nommée bambinette, la (dite) bambi des roches du temps ; nousw voulons aller loin , le plus possible, en besogne et comp^renxdre ce qui est ici (ezn paroi du temps grégaire) qui se trame et se joue en termes de roche animalière, aux troupeaux de betes dessinées (massives, fortes, puissantes, belles, reconnaisqsables)  ; nous sommes deux ensemble pour nous introduire en cette roche ou roche des prés du temp^s pariétal aux données mobiles (vents, souffleries, paroles chgucghotées (?), embruns, musiqyes des sphéres, adoubements-) ; nous cherchons ensemble des raisons d’y croire hores les mots ; nous chertchons ensemble hors les mots des rzaisons d’y croire or la chose est (tout bonnement, tout simplement) impossible à faire ; nous devons pensert ensemble les données du monde et les comprendre (les saisir) à la lumière (détaachés des sphères) des embruns et des lointains ; noyus avbons cette chose à nous en nous, qui est cet animal de co:lmpaghgnie du verbe, e,nn nous c’est à dire en cette cxhose en nous, qui ewst cvavité, ou antre, comme cornet , comme un tube , une trouée qui nous traverse, etc ; nous sommes traversé de part en part en nous par un tube concomittant ; nous sommes en nous traversés par une sorte de longue tige (un tube : le tube) qui va, depuis notre bouche à mots, à notre trou du cul de basse fosse (celui de la rooche)  ; nous devons comprendre cette chose ensemble et ainsi aller troués en roche, sur paroi du temps, comme des qui sezrons (sont) traversés de part en pzart en continu par du souffle de vie traversière, par cette chose en nous d’(une sorte de pique de vie transperçante,  qui va à se loger 1 sur roche pour la pénétrer et 2 en roche, en paroi, en une sphère (musicale) aux embruns, en cette cavité (une dent creuse) qui serait un intérieur de bouche (nous y sommes... comme pinocchio, dans la bouche de la bnaleine, ... ou pas ? )  ; nous essayons de piger = cerner :=comprendre = prendre = saisir = faire sien = digérer par un trou dse bouche et plus loin (le tube) les choses (ingrédients) du monde alentour : féerie et cvonfrérie ; nous cherchons des raisons de ou d’y croire ; nous sommes à la recherche de raisons et de comp^réhensions, de données et de savoirs, de cjhoses à emmagasiner en nbotre gouverne pour une abvancée carburée etc ; nous devons aller v ers les embru,ns, pour comp^rendre ; où sont les embruns ? devant ! où sont les devants ? devant ! où snt les embruns de la mer ouverte (en deux) pour nous plaire , où ? devant nous qui mettons (ainsi ) un pied devant l’autre ; nous = je ici comme ai ;lleurs ; nous pensons que je doit ainsi al:lezr, ensemble vers la roche dure de ce temps des vies et des morts données ; nousq pensons que je est cette vchose, d’(un nous découvert sur roche comme bete gravée par cet homme des ca vernes en nous (en je) qui cva son c»chemin (pariétal) de lévitation : il grimpe, il monte, il se monte, il en avance de lka sorte à mêlme la roche dure et va filant doux sa demeure, sa gouverne, sur pareille piere, à creuser (cracher ?) sa gourme (jurons animaliers) pour une perfusionb, pour une immixtion, de son soi de bete, en pareille unité temporelle ; nbous pensons que nous abvons     à nous  infiltrer à sa suite, à nous placer ainsi dans le sillage de cet homme-animalier des temps passés (les notres) et à grav er , le nom de la b ete sur la roche, afin de rendre intelligible celui-ci à un ensemble (tribal) parlant un idiome co:mmun et pouvant dès lors échanger et partager des motrs, dees pghrases, des métadobnnées de base ; nbous prenons ici cette chose avec sérieux et poursuyivons sur notre lancée (en roche) et sur ce terrain d’un pré carré, offert, alloué par ... un xdieu dxe bouche ? pâr qui .?  ; nouys ne sqavons qui préside ; nous ne savons pas qui préside, qui donc est aux manettes, etc ; la vie est cette chose pour nous qyui manque à être révélée ; qui pose kles qyuestions en nous ? qui en nous posze les questions de c e type ?  ; qui ennous pose les questions, toutes ces questions?  ; qui en nousest là (en nous ? hors de nous ?) pour poser des semblants de questions,  etc ? ; qyui c’est qyui pose en nous ces questions philosophiques ? qu’en est il de ces quyestions phil:osophiques ?  ; qui est en nous pour poser ainsi des questions philosop^hioques, dos au mur   , qui ?  ; nous cghertcghons car  n ous ne savons pas ; et nous devons chercher ensemble car la chose pour nous est ainsdi que nous nous p^laisons à chzerrcher ense’mble des réponses sur roche (ou ailleurs) aux questions que nous nous poson,s  ; nous avons un grand n,ombre de questions en nous (ici : antre)) à nous poser, et ces questions nous les inscrivons sur roche (indélébiles ?) afin de les montrer à qui de droit qui saurait les utiliser (les user) àç bon escient ; nous savopns qUe nousq avons en,core beaucoup à compre ndre (de ces temps anciens) et c’est la raison pour laquelle nous allons ainsi, àç deux, sur roche, main dans la ma in , à la rechezrche de la vérité des prés (= bambi, en tant que bete qui nous accompâgne et nous guide sur le chemin)  ; il s’agit d’un parcours de vie àç vivre ; nbous abvons pour nous ce parcours de vie à suivre (un tracé préalable ? un tracé de chose à suivre fissa ?)  ; nous devons comprendre cette chose comme qyuoi bambi est chose qui se doit d’etre suivie ensemble, etre-chose, etc, et cette chose ne pas la perdre de vue ; nous avons une chose ici à devoir comprtendre , et cette chose porte ce nom (doux) de «bambi des prés» pour votre (nottre ) gouverne, une drole de créature rupestre, qui cva et qui vient sur roche, saute ou sautille en veux-^tu en voilà et nous montre le chemin treacé ; nous suivons ce tracé ; il s’agit d’une chose belle, une bete est là qui nous guide : la chose est tres belle, etc ; nous essayons de comprendre cette chose (nous deux) d’un e paroi du temps qui nous incorpore et nbous pousse i nstamment (instant apres instant) à aller pl ;us loin, toujourqs, en elle, vers un fond marin, fond découvert , fond à) découvert comme une mine à ciel ouvert ; nous voulons cerner la vérité du monde à la lumière des embruns, des rayons nacrés d’un soleil de roche : soleil brun, mordoré, vif, qui vient buter sur nos faces burinées ; nous voulons essayer cette chose enselmble , de tenter une approche sensible , de pareille roche des temps : mains sur roche, mains surnuméraires, mains ouvertes, mains négatives et :mains positives, etc ; la vie est vcette cghose d’un devant de soi pariétal , pour un dxépot artisanal pour ainsi dire, de chgoses et autres relevant ds’un art de la fuite, d’un sauve-quyi-peut, etc (une gageure)  ; nousallons sur roche comme nous irions nous enfermer dans une église, un prieuré quelqconque (etc) et là , comme nous irions pleurer -p^rier tout notre soul animalier de perforation rocheuse, d’entreé en la matière (du temps imparti) etc ; le temps est roche dure, l’art est percée rupeswtre, la vie ewst une roche de paroi rupeswtre, soupesée (?), ou soupesée par desw mains de roche, ou comment ?  ; nous voulons comprendre ; la vie est cette roche pariétale devant soi, ouverte comme desbras ou des mains en attente, ou comment ?  ; nous savons qyue le temps est un déroulé de roche en tant quil serait kl’espace du présent à la fois alloué et présenté par soi sur une sorte de paroi de type pierre de tombe ou comment ? nous cherchons = nouscherchons qui et nous cherchons quoi, et dès lors qui de quoi ici setrame et mérite expl ;ications ; nbous voulons aller tres loin en pareilles explkications : la vie est la zone d’un repli ; la mort est une donné musicale ; la mort estune douceur ; la vie est chapeautée pâr les embruns des vagues ouvertes ; nous sommes sûr de notrefait ici, comme quoi la cvie est une menace (pariétale) provenant d’une bete en rage (larage de vie»)  ; nous sommes deux qyui pensons cette chose pour nous, comme quoi la vie est une pa roi, une roche dure, à traverser comme une pierre de paroi (à graver au stylet ? à la pierre taillée ? ... silex ? )  ; nous nous donbnons le temps pour ce faire et gravissons les échgelons de roche (stations, étapes) jusqu’au bout du bout lumineux (le trou de roche)  ; nous voulons savoir ce wqui est, de cettye roche des tempds, car nous voulons savoir ce qui est cde cette embardée (salvatrice ?) en p)areille contrée animalière : il y a des bisons, des cerfs, des gnous, des élans, des rsnnes, cdes ours, des chevaux en ribambelle etc ; cela est cette chose ici que n,ous voyons et que nous comprenons comme des mots d’une même langue connue de c hacun entre nous (d où la ressemblzance)  ;: nous voul:ons aller loin en pareille connzaisszance des donnéesz rupestres et pour cela nous devons perforer la roche de notre pic (piquous) de verbe local, régio n azl, etc : cette donnée familière, cette offrande familiale ; nous voulons savoir ce qui est pour nous qui nous attend sur nos devants (de roche dure) et pour cela, nous nous imposons de cette sorte que nous faisons, armés de nos piques de verbe, en cette roche temporelle d’un devant de soi alloué ; nous creusons la roche, nous entrons en elle, nous cherchons la véerité à même le verbe ainsi remué ; nous voulons aller ensemlble à l’intériuer d’une paroi, elle même à l’intériuer d’une grotte, de ces grottes tel qu il en existe un peupartou dans le monde, grotte de la vie sur terre, anfracrtruyosités natives, etcx ; nous sommes des enfants et en tant que tels, nous devons essayer de comprendre le plus possible de choses concernantb l’ensemble des données rupestres qui s’offrent à nous , c’est-à-dire sous nos yeux ; nous voyons ensemble ce jeu de lumière sur la roche, nous soommes ensemble en pareiille grotte afin de mesurer l:’importance de l:a lumière pour graver ou desxsiner sur roche ; nous voulons ensemble co=mprendre ici, en cette grotte du sud de la Fra,nce, ce qui est représenté, ce qsue l’homme des c avernes cherchait à dessein (tres vraisemblablemen) à representer pour sa gouverne ; il semblerait que l’homme des  c avernes portait en lui vcette volonté de faire ressemblant le plus possible, comme on parle d’un mot dont le sens colle à la chose, ou comment dire ? la chose ici (l’animal représen té) se doit d’tetre «lisible» le plus possible, ;,, cx’est à dire chargé au mieux du sens vou ;lu ; au mieux chargé d’un sens qui se doit dx’tre lisible = clair comme de l’eau de source ou quelqque chose de cet ordre ; bete ressembklante = mot compréhensible = sens de ce mot à plein, etc ; nous avons enfin compris cette chose ici, pour nous, comme quoii le mot ici et la chose là sont contemporains et signent une chose offerte en présent sur roche, signent le présent d’une chose offerte à qui sse présente à son tour, Armé, digne, debout, sur paroi et cvontre paroi, etc ; nous voulons aller dans la roche ensemble et prendre les :mots cvomme des betes de roche qui vont et quyi viennent (temporels) à même le froid de cette pierre de grotte, de pareille pierre tombzale ou quelque chose de cet ordre ou d’approchant ; nous = je multiplié à) l’infini de la roche pariétale  ; je dis nous pour dire un je multipl ;ié, renouvelé et asséné comme coups sur roche (des points de scansion) ) ; je « est une affaire grave : un je masque un je ; nous pensonsz que les «je» s’accumeulent au wein de la roche, comme ai:lleurs des betes au sein d’un troupeau (etc) ; la bete charge sur rocghe et nous (comme) nargue à dessein, nous voyant nus et apeurés ; il s’agit de cette bete de prairie (de prés) qyi cha rge et en impose par sa corpulence ; nous voul:ons sa voir ces choses entre nous, d’une donnée brute des temps via des betes de charge, d’avancée brusque, aux mille dangers (pour nous, pour beaucoup)  ; nous savoçns pas mal de choses à présent, concernant cette chose d’une sorte de donnéeanimalière de la roche du devant de soi (le temps imparti, ; ces temps durs impartis pour chacun)  ; bnous considérons la mort commùe une issue (devant soi), quand elle est cette donnée de bouche, cet antre de bonne renommée ou bi!en connu, qui est cettte chose ouvergte comme une fissure dans une roche (cupules) et qui se voit ainsi employée en tant que réceptacle, de l’ame, de l’eswpritt, de la vie d’un être de roche ; nous (= je + je) sommes vivants en reoche (présents dé posés) et nous en excusons p^l ;atement comme gens civilizés, polis et veilla nt au bon déroul:ement des choses des hommes ; nous voulons nous déplacer en pareille roche à vue de nez peut etre pa s, mais pas à pâs, au coup par coup (à la machette ?) et aller en pareille roche des temps à la syuite de cet animal en  nous ... qui sort de nous ? qui sort xd’où de nous d’abord ? et ensuite s’il en sort, par où et quand y est-il entré, par quel trou par exemple ?  ; nous ne sommes sûrs de rien (si ? )  ; nous ne sommes sûrs de pas grand-chose (non ? oui ? ) ; que et qui devons nous croire ?  ; les mots sont crus ; lesmots  de bouche sont comme cdees choses qui sont crues, quyi sont de fait comme n,aissantes à cru et à nu etc ; nous pên sons que nous devons agir ensemble et aller ensemble loin en pareille roche dxes savoirs du temps : 1, les mots crus, les mots à croire, ou dont il serait juste de croire en leur sens ou comment dire ?  et 2, les mots crus = jurons (par exempkle) tels que nous savons les proférer (àl’encan ? à la vol:ée ? à la volette ? à la cantonade ? à l’emporte-pièce ? etc ; nous so:mmes xsur un cxhemin (drôle) qui mène aux ezmbruns ; les mots = des jurons (tous !?)  ; les mots sont égales à des jurons ; nous pensons que les mots égalen,t ces jurons de forte teneur en termes de grossiéreté (le plus) ;: nous pensons qu’un mot est un jhuron (de base) de type mot-animal qui sort de nous (trou de bouche) et, comme une pique, va à se ficher sur roche et figurer le sens (la bete) dans sa ressemblance la plus ghran,de avec une chose (un  etre) de vérité vraie : passage du temps en roche vers embruns de bord cde mer tranchée, ouverte)  ; nous comptons sur la venue (prochaine) d’une bete de paroi (aurochs ?) qui saura (bete) nous guider sur le chemin que nous avbons ici commencé à suivre ; n ous penswons pour nous qu’un e bete seule (en nous) est fichue (capable) de pouvoir nous informer de la marche à suivre, et du chemin à emprunter ; où aller et vers quoi allezr et comment aller ?  ; à pieds joints ? à pas chasdsés ? à cloche pieds ? en jouant à la marrelle ? sur les mains comme l’antipodiste .?,?  ; nous sommes deux qui cherchons à comprenxdre les choses (ici) du monde pariétal, et ces choses ensemble l ;es voulons pour nous comme gravées en nous comme sur de lapierre ou comme sur de la roche de grotte, etc ; nous ne sommes pas en reste de vouloir cela, cette chose dure (?) ou douce (?) ou comment ? ce savoir, cette dé:licatessse en matière de savoir, etc ; le savoir prime, le savoir est la chose première à vouloir viser ; nous pen,sons que la chose première à vouloir, à devoir viser, est cette chose d’un savoi!r de roche (temporel) , qui est le savoir des choses de la vie et de la mort ; nous vivons le temps qui va sur roche comme une embardée aventureuse, en savane, en przairie, sur prairie, dsans un pré, dans un espace cloturé etc ; nous pensons que nous sommes deux qyui cherchons à comprendre une chose d’(importance, afin de découvrir le secret de la roche, dure ici et meuble là (ce qui ne manque pas de nous in,triguer, on le voit)  ; nous avons cette envie en nous , de voul ;oir aller au plus profond de la roche : une femme est un e fgemme, un homùme est un homme, un enfant eswt un enfant, etc ; un homme vdes cavernes est un homme des cavernes, un enfdant des cavezrnes est un enfant des cavern es, la chose (la messe ?) est dite  ; le bonheur est dans le pré cours-y vite, le bonheur est dans le pré cours-y vite il va passer ; etc ; la chose ici est une chose à bien regarder, à mirer dans le détail,etc ; nous devons aller sur roche de cette manière que nous faison,s, en n ous collanht kl’un l’a utre comme des a(i)mants, et là, en roche (in situ pour ainsi dire) rezgarder de près, les choses du monde alentour, et au loin égaklemeznt, le nacre, le bleu de cobalt, les choses embrumées, la lulmière céleste, la lueur, ce vent qui souffle est une bise, cette lumière est une douceur, des voix s’élèvent ddepuis l’antre des l:ointzains et viennent cghuchoter à noptre oreille : «suis bambi des prés, suis-la cvomme ton ombre» ; nous pensons que nous cdevons poursuivre indéfiniment cette aventure pariétale sur notre l:ancée et n’en plus varier d’un iota, mais tout au contraire filer doux, fissa, à l’abordage d’(une vérité des embruns des roche (etc) vers la vérité assénée ; nous savons que mot = représentation d’une chose des confins ; nous  sa vons que art = manière d’atteindre (pour soi) lesdits confins ; et aussi que la vie sur terre est cette embardée salutaire, cette recherche d’une voie d’abord pour une approche des données (cosmiques ? comiques ?) du monde du jour, du :monde daté qui se présente aux sens de tout un chacun , à sa manière temporelle (spacio temporelle) et temporale (une butée)  ; nous cognons car nous sommes durs de la roche, ou comment dire ? dur à la cognée ? dur de chez dur ? tete dure contre une paroi ? nous cognons dame nature : nous sommesq ; nous pensons que nous avons  à  pour le coup nous imlmiscer tres loin, le plus posswibvle loin, en pa reille roche de  ce temps, devant nous, qui est le temps de la vie et xde la mort en guise d’offrande (le temps) en lieu et place de la vie du coeur quyi bat en nous, et cela le plus l ;ongtemps possible ; une mer s’ouvre sous nos pas, et nous absorbe en contin u cvomme un chemin de traversée (de trav erse ?) qui est chemin de vie et de mort (pour chacun de nous) qui va son tracé ainsi sur roche, vers des embruns ; la mer est échancrée, ouverte comme un fruit ; nous passons en elle et filons doux vers des embruns lointains (nacre, bleuté d’un ciel étoilé) ; nous passons sur ce chemin de vie et allons vers lui ensembvle, vers une lumière de vie aux embruns ; nous aimons cette avancée « pa riétale et y allons ensemble (main +main) poûr une sorte de virée à donc poursuivre ici vaille que vaille ; nous sommes co:me deux amants d’un bout du monde pariétal, et filonbs à travers la roche (fissa) vers ligne lointaine, tracé de pied, commune c  contrée, chahut de roche, etc ; nous sommes des enfants joueurs ; nbous jouons sur roche le va-tout ; nous voulonds sabvoir ce qui pour nous l’emporterait à l’heure dite : notre joie ? notre je ? notre jubilation ? notre jeu ?  ; nous jouons à pierre fendre, au tonneau, à la marelle, au temps salutaire, aux petits chevaux de paroi, à la meule, au salins de mer, à la creuse-dent de la paroi vide, au pas qui va, au galop du galop, à la marchande, au vrai du passage évident, à la pique meule, au troubadour, à l’écrivant du bord de mer, à la chaloupe échouée, aux pinceaux nacrés, à la belette, a l’ours pol ;aire, au para dis, aux doux volontaires, aux crésdits, aux amitiés animalières etc ; notre chan ce est de pouvoir hjouer sur roche notre va-tout matutinal, enfantin, doux comme soierie ; nous voulons nous infiltltrer en pareille roche et aller en elle comme bete sur paroi de grotte ; nous avons ce je en nous qui vibre à l’unisson d’un chahut de betes sur roche, et ce je veut voir le jour, veut naitre à la vie (exister) et sortir la tete comme une pousse de la terre ; nhous cherc hons (par tous les moyens) à faire cette chose xd’un e sorte d’embardée de bord cde roche, vzers des signes, des appels ; nous considérons la biche (bambi) comme un de ces signes (l:umineux) , comme signe dx’appel ; nous cherchons à nous introduire en pareille paroi, parmi les betyes de la prébhistoire,  comme betesq qui vont (iraient) dans le vntre de l:a baleine ; comme autres betes qui iraient dsans un ventre de baleine, ; comme des betes dans un antre(tempsespace) qui est clos (serait) sur lui même comme un ven,tre de balleine (outre, antre) et nous contiendrait comme oiseaux en cage  ; nous pleurons ? nous sommes qui pleurons ; que plueurons nouxs ? notre tristesse  ; laquelle ? cvelle qui nous voit mourants  ; nous avons à comprendxre ensemble ces données diverses (c es dits) à la lumière du temps imparti et «en marchant» pour ainsi dire ; nous voulons nous immiscer en ceztte paroi des hommes descvavernes,   comme nous le faisons (ou le ferions) à l’intériuer d’une cathédrâle, d’une chapelle, d’une église ou d’un temple, d’un prieuré etc ; lieu de croyances diverses (crues) qui sont celles qui nous pendent au nez (au bec) comme (du coup) d’aucuns parleraient de :=mots-betes ou de mots-animaux ; nous sommes ici porteurs de mots en nous, qui sont comme autant d’effigies de grand e rewssemblance, comme autant de portraits crachés (exactement, etc)  ; nous voulons cxomprendre une chose, et c ette chose la divulguér, la mener loin, la montrter à l’assistan ce, la partager, l’accoler sur x parois et autrtes supports, etc ; nous devons comprendre ce qui est et ce qui n’est pas,et cela le présenter à la fa ce (visage ?) du monde : au visage de tout un chacun qyui saurait voir la cghose affic hée, de ses deuxw yeux, avec lucidité s’entend, et avec aussi l’envie d’en découdre : de quoi s’agit il et qui est le meneur ? ; bambi mène a ux embruns mais dans le trou de bouche qui est là ?  ; nous ne savons pas qui nous mène par le bout du nez ; bambi tres certainezment, mais au delà ? il n’y a pas d’au-delà? que savons nous ? qsui sait quoi ? qui sur la queswtion sait ou saurzait quelque chgose ?  ; nous vou ;lons en savoir long mais il n’esxt pas facile de savoir, d’en savoir long, etc ; nous voulmons aller dans le c reux de la paroi et entrer dans cette bouche ou bouche de vie (de mort ?) ouverte de vant nous (ventre de la baleine : tout se tient) et là : observer, pour voir les données diverses à pouvoir recueillir ensemble ; nous voulons co:mprendre ensrmble ce qui est quyi nousq observe ou bien nous ouvre ses bras ou bien nouys appelle ou bien nous axspire ou bien bnous prend par lapeau du cou, du cul, ou comment ? nous voulons a vancer un peu encore afin de pouvoir nous pencher encore et enfin pouvoir voir à l’intérieur de pareil antre devant soi  ce qui donc se trame en matière de chose en attente, de devant de soi qui nous tend les bras ou quoi d’autre ? nous voulons sa voir ;nbous voul:onbs comprendre ; nous cher cbhons à comprendre ; nous cherc bhons à savoir ; nous so:mes remplis de cette chose en nous qui est ce désir,  cette vo:lonté, cettte envie, ce gout, cette obsession, ce travail (sur soi) , c ette cghose en  nous incrustée etc, qui sont (toutes ces choses) un e sorte d’amalgame ou de conglomérat, rep»ésentent (ces choses) une sorte de magma qui sort de notre bouche sous forme animale : une queue (cauda) faite cde bêtes entreléacées formant fiche, formant pique, etc, pour une sorte de per cée des roches en prés’nce et dès lors une compréhgension spatio-temporelle, des choses devant soi = parois ; n,ous voulons comprendre loin cvar nous voulons comprendre longtemps ; nous cherc hons à comprendre loin car nous cherchons (e nsemble) à comprendre longtezmps ; nous voulons en savoir long car nous voulons savoir loin ; savoir loin = aller loin vers ce savoir de fond de mer ou de roche etc  ; la chose à dire est celle ci : comme quoi nous savons que la vie est cette chose pariétale mùusicale de roche de grotte : les embruns nacrés, à la lumière dardée d’un soleil cde roche, et sous la musique (douceureuse) des con trées rupewstres d’une roche dure ; nous penwsons que la chose (de paroi) est telle, que musique des sp^hères et acco ;lades pariétales marchent de concert ; nous peznsons que nous avons à croire en pareille union formelle : musique et chants d’une roche gravée ; nous avons ce savoir en nous immiscé, en tant qsu il s’agit du savoir enfantin qui en n ous perxdure ; nous sommes soumis à une sorte (en nous) de volonté ancrée, qui veut la musique, qui désire le chant (nuptial ?) sur roche des sphères des prés ; nous voulons comprendre ensemble et pousser ensemble loin les connaissances pariétales, les données rupestres d’un devant de vie nuptial, d’une ouverture, nuptiale, de bouche aux embruns ; nous avan!çons et gagnons du terrain pas à pas ; la chose est dite ;

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26/02/2021

nous sommes ensemble qui voyons bambi aller et venir sur roche  ; qui est elle ? est elle une fée des embruns ? et que nous veut elle ? nous l’ignorons ; nous ne savobns pas à quoi nous en tenir ; nous sommes (à présent) entre deux bras de mer, et nous regardons dans les lointains et nous voyons cette lumière des embruns, nacrée, bleutée, sourde, et nous pensons quil serait bon pour nous de poursuivre sur notre lancée et d’en avancer de concert ; nous pensons que nous devons aller ensemble plus avant encore, vers une issue bleuitée, nacvrée, douce et sourde qui semble au loin nous faire de l’oeil ; nous sommes deux qui regzardons pareille lumièrev nacrée et nous nous parlons en roche, nous nous adressons la parole en cette roche de paroi de grotte, et ici, ensembklre, nous allons fissa sur notre voie ouverte, entre deux vagues dressées (les vagues) comme des piquets, sous la lumière des embruns et pres (tout pres en définitive) d’une sorte de bambi des prés de bonne renommée ; nous sommes deux qui regardons, au loin, les embruns et comprenons que nous avons à nous y rendre ensemble, soit main dans la main, une main dans une main, etc, et là bas nous saurons, vraisemblablement, de quoi il en retourne de toute cette agfffaire de vie et de mort sur terre ; nous voulons savoir ce qui nous attend et pour cela nous sommes entrés dans la paroi du temps tete première, et avbons francjhi le rubicon, avons travbersé la paroi céleste, et à présent , parmi toute s ces betes dessinées à même la roche, ces aurochs et ces cerfs des bois, ces ours des cavernes et ces chevaucx, nous nous sommes étendus un temps, nous faisons hzalte et regardons le train animalier comme un spectacle offert par les temps ; nous regardopns ce spectacle d’un train d’animaux paissant, ou caracolant, ou luttant à la vie à la mort, etc ; il s’agit de betes de grosse taille, d’envergure, fortes et trappues pour la plupart ; nous bvoulons comprendre ce qui ici (en roche du temps) se trame et pour cela nous rtegardons ensemble cet ensemble (animalier) sous cet angle, celui de la curiosité et de c  e besoin, en nous, d’en connaitre plus sur cette histoire de vie et de mort terrestre etc ; nous voyons ces betes devant noius et nous pensons qu elles sont celles précisément que nous portions en nous autrefois, en notre bouche close (etc) et à présent nous comprenons, que ces betes sont sorties de nous et caracolent à qui mieux mieux, sur un pareterre fleuri, sur ce sol de roche parioétal : elles broutent, elles paissent, elles se chevauchent, elles s’ébrouent, elles se battent, elles se montent etc ; il s’agit pour nous du spectacle animalier de la roche dure, brute, éclairé par les clartés du fond de mer, etc ; nous pensons que nous avons à pour le coup comprendre tout cela qURe nous voyons à la lueur d’une sorte de torche ou bien de cette lune ici fichée, dans un ciel blmeuté, nacré, luminescent ; nous voulons de fait savoir tout de tout ; nous voulons comprendre les arcanes de la vie, vce qu elle est en vérité  ;: cette notion de vérité, la comprendre, la jauger, la soupeser, en débattre etc, et dès lors nous positionner (nous deux) comme des chercheurs de choses et autress en lien avec la vérité des choses ou du monde ; de quoi s’agit il lorsque nous disons : «de quoi s’agit-il ? « ? ; il s’agit pour nous de comprendre  ette chose du monde via le prisme animalier d’une paroi de grotte (roc) gravée par des homme de la préhistoire ; nous sommes nous m^mes encore et toujours des hommes (et des femmes) de la préhistoire ; nous sommes nous mêmes de ces hommes qui gravaient sur roche des betes féroces (ou pas) à même la pierre, à main lmevée, en lévitation, etc ; nous pensons que nous devons aller comme à la pêche aux données brutes, natives, fiables ; nous essayons de comprendre ensemble ces chodses de données brutes, et cela n’est pas si facile au demeurant car il est nécessaire pour ce faire de comprendre ici le pourquoi du comment ces betes dessinées sont apparues en pareille roche du telmps ; nous ne savons pas à quoi nous en tenir, bnous ne savons pas à quoi nous fier ; nous sommes comme des enfants qui regardons, au loin, paitre telle bete, dans un champ d’herbe grasse, etc ; nous sommes comme des enfants de la preairie ; nous voyons des betes sur champ qui sont celles là que nous connaissons sur des parois de grotte, et ces betes nous les inspectons, nous les reluquons, nous matons leur présence, leur superbe sur roche, et ce faisant nbbous les étudions et com^prenons que nous avobs affaire à des betes vives, fortes, grosses de vie, puissante (balèze) etc, et cela devant nous, sous nos yeux d’enfants jeunes, qui tombvent du nid, qui sortent de l’oeuf et qui s’extasie (ou pas ? ) devant le spectacle de dame nature etc ; nous pensons que nous devons aller ensemble vers ces betes de prairie, vers ces cervidés, les toucher : sont ils des mirages de la vie ? nous ne savons pas à quoi nous en tenir et que penser de ces betes de roche dessinées ; il s’agit pour nous de comprendre cequi donc ici se trame , en cette roche dure du temps, en ce temp^s incertain de la paroi, en cet espace-temps pariétal à contenance ; nouys voulobns en savoir plus et comprendre ce qui est ici en pareille roche du temps et là bas au loin dans les embruns, etc ; nous voulons comprendre ensemble et c’est la raisonb pour laquelle nous sommes ensembvle main dans la main ici, ici même en rochje, nous sommes ensembvle ici même en roche afin d’en avancer fissa dans les connaissances ; nous sommes deux qui voulons comprendre ensemble toutes ces données de base parioétale, ces données natives, brutes, etc, qui peuvent de fait nous apprendre un grand nombre de choses ici bas, sur cet ici bas parioétal de lma roche dure ; nous essayons de comprendre ensemble ce qui est ici en cette paroi en termes de vérité qui tienne debout, intemporelle, définitive, ancrée, affichée, solide, éta yée et qui résiste au temps ; nous voulons savoir car nous sommes friands de savoirs ; nous vouylons savcoir ensemble, car nous sommes friands ensembvle , de savoirs et de connaissances , et cela depuis le début c’est-à-dire depuis le jour de notre venue en ce monde-ci de la paroi du monde, de cette paroi dure du temps imparti ; nous voulons savcoir ce qui est ici pour nous qui nous attend ; nous voulons comprendre ici ce qui est qui nousregarde au loin : cette bambi des prés de bonne renomm»ée, etc ; qui est elle ? que fait elle au loin nous regardantt ? que nous veut elle ? qui est elle pour nous et nous pour elle qui sommes nous ? nous ne savons pas que penser de cette biche des prés devant nous en pareille roche ; nous ne savons pas comment penser et quels mots employer ; nous essayons avec les mots de latribu de la héler, de lui parler doucement, de lui parler à voix soutenue, de lui murmurer des chansonnetttes etc : comment s’y prendre ?  ; nous voulons comprendre ensemble les données qui s’offrent à nous ici même en paroi de roche (animaux-mots) mais il n’est pas aisé d’agir de la sortte ; nous savons que cette affaire est dure, pas simple,, difficile, et pas donnée ; nous cherchons à nous rapprocher de cette bambi des prés de bonne mémoire et renommée et elle nous regarde nous approcher d’elle, elle n’est pas tranquille et se tient prete à bondir et filer fissa à l’autree bout de la paroi ; nous sommes deux en bord de mer ; les vagues se soulèvent et se dressent comme des ours des cavernes, debout, forts, majestueux, et les vagues idem : majestueuses et se dressant comme des ours de caverne, etc ; nous essayons de nous infilter en cet entre-deux marin, entre ces deux vaguees redressées, dressées face à nous ; nous avons l’espace pour passer, nous passons, nous entrons ; à présent nous sommes entrés, nous sommes entre les deux vagues redressées nous laissant passage (conduit, boyau etc) et nous le prenons de conserve et allons déambuler sur pareil sol de fond de mer sec (asséché) qui devient dè!s lors notre voie d’abord, le chemin de vie et de la connaissance des choses ; nous sommes deux pour aller ainsi en cette voie offerte (ouverte) , en cette béance folle, en, cette voie d’accès à quoi, on l’ignore, etc ; nous avançons, nous nous avançons ; nous avançons sur cette voie dela connaissance, nous sommes lancés à présent sur ce chemin particulier qui est celui de la connaissance des choses ; nous vopulons en avancer ezncore plus et frapper aux bonnes portes pour ce faire mais où donc ? où frapper ? à quelle porte ? etc ; nbous ne savons pas à quoi nous en tenir et dès lors nous déambulons sur pareille voie tra cée , qui est chemin de vie pour un destin écrit sur roche, par qui ? par des hommùes de lapàréhistoitre ou par des femmes de la préhistoire, ou même par des zenfants de lapréhistoire, ou bhien enocre par des betes dexla préhistoire en nous, en ce foyer en nous qui a un nom : antre, etc ; nous pensons que cela nous devons le comprendre, c’est à dire comprendre la proximité existante entre l’antre en nous (réceptacle des mots-animaux) et lm’art en nous, ce désir ancré, cette envie d’en découdre, d’en terminer, cette envie de cloture, d’(ouverture pour la fermeture etc ; nouys penson s que nous sommes ainsi accouplés pour une cause partagée, qui est celle d’en découdre avec certaines choses programmées comme par exemple ces dessins de roche, ces dessins de betes grosses, ces betes furieuses, massives, qui chargent, etc ; ces betes sur rochje, nouys savons que celles ci proviennent d’un fond en nous qui est ce fond d’un antre en  nous qui est cet antre en nous qui sert de rampe ou comment dire à un jet (je) de mots-betes sur paroi, au fusain, au manganèse, etc ; nous voulons cette chose(d’un jet) la xccomprendre de visu, en comp^rendre les arcanes ou kles ressorts ; nous voulons comprendre ensembvle cette chose de ce jet de base antrale, etc ; il s’agit de nos entrailles, c’est à dire qu il s’agit d’une parole incarnée (charnelle, etc) qui est une lance, une pique dure, acéree en nous, sortant de dieu sait où (de la bouche ? ) et allant instamment se ficher sur roche à la manière qu’empruntait pour leur gouverne certains hommes des temps a nciens ; nous cherchons par tous lkes moyens à nous délivrer de certaines choses en nous qui obstruent les choses ; il s’agit pour nous de nous délivrer d’un certain magma en nousq, une sorte d’attroupezment de betes-mots en nous, un troupeau adgglutiné, etc, qui ne  demande qu’à voir le jour ; les mots sont des betes-mots en nous dont nous souhaitons la sortie via nottre bouche ouverte et ainsi, les mots sortis, nous serons soulagés un  temps, allégés ... jusqu’a la fois prochaine d’autres mots-betes etc ; nous ne sqommes pas sortis de l’auberge ; nous avons encore et encore à commprendre mille choses concernant cette sortie de mots de nous par un trou de bouche en nous, qui est ce passage pour un jet de choses, en paroi, fiche que tu ficheras, et de là , à travers elle (la paroi) vers des embruns liontains, à la lumière (bleuté) des sphères célestes ; et ainsi faisant (pouffant) nous envoyons nos particules langagières animalières en roche, nous en délivrant un temps par la même, et nous voyons ces betes s’ébrouer et courir, sautiller et brouter ; nous en sommes soulagés un temps (délivrés) et ce pour ensemble pouvoir comprendre le fin mots de toute cette affaire de diable et d’enfer volcanique, de paroi céleste et de betes du bon dieu ou que dire de ces betes fortes, sur roche du magdalénien, sinon cela que nous voyons devant nous, à savoir qu’elles sont ma jestueueses dans leur ressemblance avec la bete en vrai, celle  la de la vraie vie des prés et des bois ; nous savonsq que nous devons comprtendre cette resemblance en tant que telle ; nous savons que nous avons à comprendre cette ressemblance en tant que découlant directement d’une sorte de projection d’un soi à son ima ge ;, ; pour nous il s’agit d’un soi en n ous animalier , qui parle de la sorte sur roche, sorti de nous (en trailles) par la ban,de à savoir par ce trou acté de notre bouche déchirée en deux  c omme une mer ; nous essayo,ns de comprendre cet accolement de chose, cette superposition des données à l’infini ; nous voulons comprendre ce qui ici est du domaine (choisi) de l’art des pârois ou de l’art tout court ; nbous essayons ensemble de nous rap^p^rocher de  cet art des roches et des rochers (rock art) et pour cela nous nous faufilons tete première (comme de bien entendue) en cette roche meuble ici pour nous laisser passer, pour nous accueillir en elle et se refermer apres nous comme un sphincter ; ; nous pensons que nous devons aller loin en pareille roche des connaissances et ainsi allant, nous peletonner en icelle et voir passer le train (irrégulier) des betes chevaucxhant les prés ; nous essayons ensemble de nous rapprocher, de cette bambi près de nous qui caraacole et s’ébroue dans les embruns ; où sommes nousqs ? nous ne le savons pas ; il y a du chemin, il y a uune voie pour nous qui nous tenons la main ; nous ne sqommes pas nés de la dernière pluie , ou si ? nous sommes nés de la dernière pluie ? nous ne savons pas, nous cherchons ; nous essayons de comp^rendre qui ou quoi nous sommes et si cette question a du sens  ; nous penson,s que non, peutetre, en fin oui, enfin que dire ?  ; nous voulons savoir et pour cela nous entrons dans ce sas pariétal d’une roche dans une grotte ; nous somlmes des hommes et des femmes de la préhistopire ; nous cherchons à nous repérer en pareille roche et d’en avancer en elle comme dans un champ, une église, un chemùin de campagne, un terrain vague, une plaine etc ; nous voulons aller loin en connaéissance, loin dans kles connaissqan,ces , et cela en venant buter sur roche pareiétale, du front en premier, poussant et repoussant nos limitees et la paroi du monde, et ce faisant nous y laissons beaucoup d’influx, de vie, etc ; nous faisons en sorte de pouvoir ezntrer dans une roche lumineuse, bleutée, pleine d’elle même en termes de contenu de féerie, etc ; nous cherchons à comprendre  c e qui est devant nous qui se prése,nte en tant que ce présent de vie est un présent offert au pied de la roche dure, au pied de la mer tranchée etc ; il s’agit peut etre de la même chose, nbous l’ihgnorons ; nous chercghons à) comprendre les choses du monde ensemble, à les décxhiffrer du mieux possible (en laboratoire) et ainsi faisant nous nous rapprochons, nous sommes ainsi qui nous rapprochopns nous memes et cela jusqu’à (finir par se prendre l a main et ne plus la qyuittezr : nous sommùes accouplés pour kla bonne cvause : une recherche vde bon aloi (le secxe) en termes de voie d’abord, de chemin de vie, de bvoie à prendre cde concert, de vive randonnée ; nous pensons que nous avons à pour lée coup comprendre eznsemble une chose ici qui est cette béance de parole incluse, cette trouée de lmots en roche, etc ; les mots trouent la roche du temps et laissee apparaitee un fond de vérité vqui est cette cla reté lointaine (de fin de vie) qui est celle (bleutée) d’une mort inscrite à même la pierre ; nous voulons entrer en pareille roche via le trou de bouche effectuée par en nous une poussée anuimalière ; nous voulons comprendre cette poussée et la jauger à la lumière de cette clarté de bord de mer ou d’océan ; nous sommes ici chez nous, en c  ette roche dure ; nous voulons comprendre les ressorts et les secrets de pareille roche de paroi de grotte ; nous voulons comprendre ensembvkle ce qui est ici qui nous guette et nous attend (et nous regarde et ne manque pas de nous faire chuter à l’occasion)  ; njous voulons nous approcher de cette bete fine , cette bambi ; elle porte un nom joli ; nous poensons que nous devons la voir de pres et la toucher un tant soit peu et nous convaincre ainsi faisant quil s’agit pour nous d’une bete jolie, douce, caline, fraiche, vive, nacrée, sautillante, etc, qui peut nous donner l(‘impulse (l’influx) nécessaire à une décisioin à prendre, à un saut à faire, à une sorte de lancé de notre propre mobile commun (conjugal) vers cdes confins de fond de mer (d’horizon nacré)  ; nous vboulons comprendre cette chose ici d’un fond de voie, de mer, de paysage, etc, comme d’un fond commun, lumineux et vif, qui saurait nous offrir une vue sur un lendemain doux, partagé etc, pôur une assemblée ; nbous voulons comp^rendre cette chose en  nous comme étant mentale ou comment ? externe comme une brouette dans un champ de pommes de terre ?  ; nous ne savons que penser et cependant nous pensons ; nous n,ousq disons un grand nom bre de choses ensemble, nous nous partageons un grand nombre de données, nous ne sqommes pasz chiche de partager et nous le faisons instamment c’est à dire que nous nous offrons des baisers, des fleurs, des compliments etc, à toi à moi, pour la bonne cause pariétale ; nhous essayons de comprendre ensemble les ressoorts qui donc présideraient aux destinées du monde, a ux différentes choses régulant la marche du monde etc ; nous essayons de chercher ce qui donc prése-ide etc, et commande, et nous voyons en roche (art) quil s’agit de betes à cornes pour certaines, ou bien toujours de betes des cvhamps et des prairies, des bois et des sous bois etc ; nous pensons que nous avons à comprendre pas mal de choses «entre nous» c’est à dire au sein même de cette confrérie que nousq formons à deux, etc ; nouys voulons comprendre ici (nous y tenons) ce qui donc préside aux destinées du monde, de ce monde de la vie et de la mort, et notre mort alors, de quoi elle est faite, ainsi de suyite ; nous chezrchons des réponses dans la roche, des réponses costaudes pour ainsi dire (dures de chez dures = résistantes aux intempéries ; nous voulons savoir ensemble ce quyi donc préside à la marche globale, ce qui initie, ce qui chapeaute, ce qui gouyverne, ce qui regarde de près en nous même , au plus juste ; nous sommes ensembvle qui voulons cxo:prendre ici toute une ribambelle de choses rustiques, etc, sur le monde ; et pour cela nous entrons en paroi tete première, fissa toute, pour une immixtion d’un mobile (le nôtre : conjugal par essence) et, cela fait, nous voyons cette bnambi des prés qui nous demande à sa façon (printanière) de la syuivre dans kles embruns,  les embruns d’un bord de mer , et là, la mer s’ouvrant cvomme une ruche, de nous inviter à nous glisser entre deux vagues relevé&es comme un couvercle et d’entrter dès lors en cette mer toute asséchée pour nous, ou disons devant nous ; nous entrons car nous y sommes invités ; nous entrons en cette mer ouverte car nous y sommes invités par une sorte de bambi des prés et des prairies ; nous sommes entrés en pâreille ouverture, béaence , etc, et là nous poursuivons notre chemin de croix ; nous comprenons que nous avons à faire encore pas mal de route en,semble , main xdsans la main ; nous ne devons pas flancher, nous devons tenir ; nous deevons comprendre les données offertes sous nos yeux, ce bleuté de roche, ce nacre éétoilé, cette lueur de fond de mer, cet horizon chimérique ou tout comme, ces élancements, ces courbures, ces traits de féerie, ces points de scansion, ces betes, chevauchant la roche du temps ; nous voulons cxomprendre loin pour aller loin en pareille roche , des lors nous déambulons et glissons ainsi sur paroi du monde ; nous essayons de comp^rendre toute l(zaffaire pariétale mentionnée, à la lueur d’une torche ou d’un feeu central ; nous essayons de comprendre ce monde de roche à la lueur ici d’une torche, ou bien d’un feu d’immolation sur table d’offran,de, en roche de grotte etc ; nous sommes qui pensons que nous devons aller fiissa en cette roche et n’en plus sortir ; l’art est une manière comme une autrte d’entreer en matière ; ilk s’agit pour nous d’une facon de faire ensemble ; il s’agit pour nouds d’une façon de courtoisie ; il s’agit pour nous d’une façon folle, une façon qui vise à la folie, à l’outrance, à la déchirure textile etc ; nous essayons d’entrer en matière ainsi : à deux main dsans la main, follement lancée à la conquete d’un trésor à déchiffrer etc ; nous voulons etre ceux et celles là qui vont et qui viennent sur roche et ne cessent pas leur recgherche ; il s’agit de biezn se concentrer sur le motif et de n’en pl ;us dévier d’un rien ou d’un iota, rester concentré, rester fidèle à son objectif de recherche, aller loin pour comprendre loin, etc ; nous sommes qui ensemble recherchons des données de première bourre sur toute ces choses qui sont pour nous des choses de grande importance ; nous devons trouver lesmots en roche sous kles animaux, ces mots qui seraient dès lorsq comme des sésames, des leviers ; nous opensons que nous avons opour nous dees mots d’autorité qui ne pôrtent plus ; nous opensons que nous devons veillezr à comp^rendre  c e qyi est (sous nos yeux) à la lumière d’une sorte de clarté céleste, d’une sorte de lueur bleuté vprovenant des con fins, etc ; njous restopns toujours concentrész, nous recherchons avec sérieux et assiduité, nous sommes fidèles au poste ; nous voulons comprenxdre un  certain nomvbre de choçses concernant cet ensembvke de données agraires, rustique, cha mpêztre etc, qui sont celles relatives aux betes  nacrées sus mentionnées (chevreuils ou cerfs)  ; nous avons à beaucoup pen,ser  en, continu, et )à ne pas lacher la bride d’un fil continu de pensées vives (= vivantes) qui se constitue au fur et à mesure que nous av ançons en âge c’est à dire ici même, entre deux «bras» de mer ; nous essayons de comprendre cette chose en nous d’une décision à p^rendre à deux concernant cette e,ntrée en matière entre deux feux, ou entre deux mers, ou entre deux betes , etc ; nous devons aller loin en cette roche du temps et comprendre le pourquoi nous entrons les mains «pleines» ou tout comme , à savoir munis de munitions qui sont cvomme des pics, ou comme des piques, ou comme des pointes d’entrée en matière ; munitions d’un temps ancien enn nous, d’un tempsq agglutiné en nous et que nous offrons à présent en cet instant de l ‘immis-xtion forcée, sur ce seuil rocheux, en ce palais d’un espace donné ; nous voulons coimp)rendre cette chose de ce don du temps au temps ; nous voulons comprendre cette volonté ancrée en nous (fortement) et qui signifie ou marque ou désigne nottre attitude,  face à la mort, notre attitude de tenue, cette volonté qui est la nôtre de tenir debout comme la vague de la mer tranchée ; nous essayons de nous y retrouver en pareille roche ornementée, parmi des betes de forte taille et de grande ressemblance avec leurs modè§les ; nous essayons de nous y retrouver et de trouver parade en roche, pour comprendre les ressorts, ce qui donc préside aux destinées du monde chacun ; nous sommes deux en nous (elle et moi) et nous avançons de cette sorte que nous faisons (en lévitation) sur ce monde parioétal d’un fonbd de mer ici asséché, d’un fond de monde bleuté, etc ; la biche nous suit du regard, elle est fine et élancée ; elle nous guide da,ns l’au delà d’une sorte de maison close, bruyante, et qui est cette chose qui pour nous renferme les données du mondee ; nous voulons comprendre cette chose en nous et devant nous, qui donc est ce pic de bouche à visée pârioétale ; il s’agit pour nous d’un drole d’engin, ou d’ustensile : un outil . une sarbacane ? non pas mais un pîque-machin pour perforer, pour trouer laroche du temps = des mots ; nous pensons que nous avons à penser cette chose entre nous, d’une sorte d’outil qui sert ou servirait à perforer, une roche dure (meuble par endroit, d’où la perforation ?)  ; nous pensons que nbous avons à ensemble comprendre ce qui ici se met à jour à la lumière des confins de roche, sous l’oeil atrtentif d’une bete (aurochs ? ) qui ne nous lache pas des yeux ; nbous essayons ensemble de comprendre ce qui est ici sous nos yeux qui sembke se tramer pour nous et pour l’ensemble desq hommes des lieux (la terre entière)  ; nous penson,s que nous devons comprendre ici beaucpoup encore, et ne pas lacher du lest mais continuer à léviter et dessiner des betes sur parois de roche ancestrale ; nouys cherchons à comprendre ici la vérité de la roche du temps, ce qu’elle est, ce qu’elle signifie, ce qu’elle cache etc ; nous voulons entrer en roche comme dans une sorte de manoir ou de prieuré, ou comment ? dans une église réformée ? dans un lieu de sainteteé classé ? en une sorte de petite gare de triage ? où ?  ; nous voulons nou immiscer encette roche, comme nous le ferions dans un monastère, ou bien dans un champ de pommes de terre ; nous sommes deucxx qyui entrons en ce champ pour y trouver disséminés des pommes de terre , des tresors potagers, etc ; nous voulons comprendre le fin mot ou le mot de la fin : qu’el est il ?  ; nbous voulons savoir exactement ce qui nous attend et en quoi nous sommes amenés à nous déposer nous mêmes comme présents sur table d’offrrande ; nous voyons ce feu sortant de terre, ces rougeurs incandescentes, ces braises brulantes, ces choses   dangereuses ; nous nous avançons d’un foyer central, un feu de joie d’un clan de biches agraires ; nous voulonsq essa yer de comprendre les données de pareilles festivités ; pourquoi bambi est elle si près du foyer central ? que fait elle ici en ces contrées ? pourquoi chante t elle ? de quoi est elle le nom ? pouvons nous nous fier à quelqu’un  ? à  quyi que ce s oit)   ? ; nous ne savons pas battre la mesure et des lors nous chantons (scandons) comme nous pouvons ; nous voulons essayer de nous y retrouver de concert et e,nnsemble piger ce qui donc ici se trame entre les parties, et cette chose semble etre cette chose comme quoi nous sommes deux à vouloir comp^rendre et nous immiscer dans la roche en fusion, en cette bouche folle, rouge, brulante, chargée de choses diverses à type de données rupestres, etc ; nous comprenons toute cette affaire à la clarté de la roche dure, au rayonnement d’une bambi des prés, aux lueurs des torches portées, etc ; il s’agit pour nous de nous retrouver, en ce lieu d’immixtion éternelle, comme dans un pré où paissent ou paisseraient des betes quietes ; nous pensons que nous devons comprendre des données de base (en ce lieu) avant toutes choses, et ces données de base ont à voir de fait avec celles que nous connaissons lorsqaue nous entrons dans une roche meuble,  celles là que nous excpérimenton,s ou même éprouvons au pasdsage ; il s’agit de bis repetita en chaine (chainette) ,- ;  nous pensons que donc les choses se chevauchent qui sesuperposent comme des chevaux sur roche ; nous avons à comprendre beaucoup et à dire beaucoup avvant d’atteindxre cette vérité de roche visée( la v&erité)  ; nous en sommes très conscients, et nous n’en sommes pas gh^énés car nous sommes motivés et armés de  ce pic de roche insdispensable à une ezntrée fa cilitée (etc)  ; nhotre but est pour le coup clairement éno,ncé en toutes lmettres et tient en quelques mots voire en un seul mot : «art» ; art du paraitree, art de la promeznade, art d’un effort de survie, art de ceux qui pénètrent le sein, art comme lubie, comme incarnation, comme rencontre avec la matière ; art d’un dire refoulé ou jusque là qui semblait refoulé mais qui là revient à la charge comme une furie (de roche) lancée à la poursyuite d’une v érité (de oparoi) qui puisse «le faire» ; nous pensons que cette chose ici est une chose de grande importance, cette furie, cette force à l’oeuvre, etc ; nous pensons que cette chose est pour nous une grande et belle épreuve dans le temps ; il suffit de s’y coller fiçssa et n’en plus démordre : en transe, en chaleur, une danse de bon aloi, un effort de tete, une entrée en matière dure, en une matière dure s’entend, etc ; njous chgerchons à fracturer cette fibre temporelle parioétale d’un devant de vie où déposer des frusques ou des machins, des trucs ou des bidules ou des odffrandes à des divinités réincarnées ; nous pensons que le temps ici (en cette vie) est don , offert à qui ? à qui de droit ! eh voilà ce qui ici se trame à nos yeux ; nous pênsons que le temps (de vie) est don mais comme sorte de pis-aller dxe première etc ; que dire au dieu du temps ? que dire à cette instance pariétale exigente ?  ; nous sommes sur le qui-vive, qui entrons pour nous protéger sinon des betes (chargeantes) de paroi, du moins de cette chose de la vie terrestre qui nous gêne aux entournures et cherche à nous mettre à mal ( à bas, ou plus bas que terre)  ; nous voulons comprendre cela via l’art, cet art de la prairie céleste, cet art qui est cet autre nom  pour ce don de soi à faire = le temps ; nous donnons le temps ; nous offrons le temps ; nous voulons offrir du temps ; le temps est cela m^me que nous offrons ; nous donnons vdu te:mps(le notrte) à cette entité (en nous ? ) qui gouverne et lé gi fère il wsemblezrait ; nous pensons que c’est cela que nous donnons ici , en entrant en pareille roche de grotte : notre temmps (passé, mort) de vie qui sembvle «la vie» mais qui n»’est pas «la vie», et nous  qui nous en excusons, platement (plates excuses), sur roche, sur paroi de roche ; njous e’ssayons ensemble de comprendre ce quyi est de cette vie de roche ; il semblerait cette chose que nous ferions, il sembvlerait que cette chose, de donner le temps à la place de «sa vie» soit donc cette façon que nous avons pour trommper l’ennemi ; lequel ? celui quyi justement voudrait mordicus attentezr à notre vie (le grand liquidateur !)  ; nous avons cette ambition en nbous de vouloir a ller loin en cette direction d’une penseée qui de fait se chevauche elle même, ferme les accès,  pour mieux rebondir tel un serpent de roche, se faufilant ici et ressortant plus loin via un interstice ; nous essayons de comp^rendre ensemble ce qyui est de cette vie pour nous offerte, sur terre, et où va t ellle et comment en parler ? avec des mots de faux ? acvec de l’à peu pres, guttueral autoritza&ire et mal venu ? avec de la merde aux yeux ?  ; comment dire le bien et le mal de la prairie ? comment saturer les dires ? comment déboucher le condyuit et ouvrir les écoutilles (toutes) ?  ; nhous cherchons à comprendre ici même (en cette paroi) ce qui donc se trame pour nous (notre gouverne), en termes d’usage de la parole, en termes de rentre-dedans, en termes de beauté nacrée, en termes de résidus (embryonnaires) en nouys mêmes qui sezrions (comme) de vieux enfants de la balle (du jeu des parois)  ; nous cherchons qui en lévitation qui en transe et qui les deux ; nous cherchons nous deeux à deux les deeux façons de faire ensemble : transe (transe folle) et lévitation (lévitation enjhouée et endiablée)  ; nous voulons connaitre les ressorts et kles secrezts d’un monde parlé mais mal parlé en définitive ou comment ?  ; nous cherchons à nous rapprocher de la vérité des sphères et de sa musique champeztre (pipeau-flutiau et tambourinade)  ; nous espérons en la v enue un jour d’un qui saura (lui) chanter à dessien sur roche une vérité de bonne tenue ; rien de moins sûr ? car la vérité est inapprochable ?  car la vérité nest pas joignable ?  ; nous ne savons pas ; nous ne savons rien ; nous disons cette chosec comme quoi nous ne savons rien ou si peu  ; nous deisons cette chose comme quoi nous espérons beaucoup en l’avenir, nous misons gros sur les mots à venir et cependant nous nous disons aussi que les mots sont en rade le plus souvent , qui ne savent pas décrire la mort (etc)  ; nous essayons de comprendre ici (en ce lieu des hauteurs célestes) ce quyi se trame ; nous nous approchons de bambi la bienfaitrice, l’entremetteuese, la belle des prés, etc ; elle nous regarde assidument ;, il s’agit d’une biche douce, aux couleurs des prés, gracile, vive, sautillante et décidée ; nous voulons comprendre ensemble cet ensembkle de donnéeds animalières de paroi: le pourquoi pareilles gravures etc, ce qui donc ici préside à ces dessins animaliers de roche  ; une envie ? un souhait ? un besoin ? uneb folie ? une furie ? un trop-pleinb ? un amusement des paerties ? uneb volonté farouche ? le pkaisir ? la joie ? l’aisance ? le feu ? la loi ? l’amour des betes de charghe, de prairie, des cavernes ?  ; nous vopulons savoir le pour quoi du comment ces beztes ont apparues, il y a quelques milliers d’années de la sorte, sur roche de grotte etc ; nous sommes des etres qui voulons donnber de nous ( la vie en son tic et tac) mais szans donnezr nos vies pour le coup ou comment dire cette chose comme quoi nous sommes d’accord pour donnezr de notre temps de vie passé, mais point celui qui est cette chose d’une vie intrinsèque, ou comment dire mieux ? ;nous pensons que le temps est le présent offert sur roche, et que la vie est ce qUE nous gardons (conservons) pour nous , ici, en cette paroi dite «de la vie et de la mort des motsbetes ou des mots-animaux» ; nous pensons que nous sommes qui devons aller ensemble, en cette roche du temps, à la recherche d’une sorte de vérité brute et qui tienne le choc de la vie et de la mort ; la véritéc pour nous est la xchose du plus d’importance ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose ici d’une vérité allouée, comprise, dite sur roche et indéboulonnable ; nous pensons que vie passée , passé , ou présent = le temps que nous offrons, de fait, en restant en vie, et à qui l’offrons nous ? au carburateur ?  ; nous cherchons une chose en cette roche qui soit, cette chose, le pe,ndant de ce temps donné par la bande, et ce pendant quel est il sinon celui de l’arty  ; de cet art dont nous recherchons et la définition et plus encore (ou concomittament) laraison d’e»tre ; noys sommes deux pour ce faire : elle et moi ; elle salvatrice, et moi salvateur ; il ws’agit d’un couple d’amis, d’amants, dx’amoureux ; nous tournons autour du pot (de la vé&rité) comme des abeilles aux abords d’une fleur ; nous savons que la  vérité est cette fleur à butiner sur champs fleuri du mois de mars , en pareille paroi de roche, aupres de la biche dorée, roussse, agile ; nous voulons aller en cette roche des prés sous le soleil de ces lueurs lointaines, rechercher une vérité de roche dure, une vbérité dure de chez dure de roche dure etc ; nous cherchons ensemble  cette vérité de bon aloi ; le temps est cela que nous offronscen vie , et non point la vie en ce qu’elle est au juste (le coeur)  ; nous offrons le temps de vie et non nottre coeur , et de cela nous nousexcusons haut et fort (chants gutturaux, et sons de flutiaux ou de pipeaux rustiques)  ; nous sommes deux (toujours! ) pour ce faire, pour comprendre, pour avancer, et cela nous interpelle  ; nouys sommes deux car nous sommes soudés, et cela nous interpelle grandement ; quyi sommes nous , c’sst dire qui en nous deux est qui , ou plutot qui en nbous , en nous deux , sommes nous ? qui en nous cdeux sommes nous chacun (pour le dire autrement) ?.  ; nous pensons que nous = deux (et pas beaucoup plus)  ; nous pensons que ce nous reznferme une notion particulière, celle du doublon, du chevauchement, du double et de la doublure, etc) ; nous pensons que «nous» dit «nous deux» dit «moi + moi» ( ? ) ou bien que ce nous est un nous qui désigne»je» en tantqu’il serait le je généralisé, etc ; nous pensons que  nous devons aller en semble (main dans la main) jouer ensemble (compagnons de jeu) sur ce terre-plain de cette roche dure, en ce lieu pariétal fleuri qui embaume, qui nous permet une sorte de moment de calme entre deux vagues redressées ; nous voulons aller loin encore ensemble et poursuivre nos recherches ensembvle en cette roche d’un temps incertain, dévolu aux biches, aux chevreuils, aux bouquetins ; nous sommes deux ici pour faire cette chose, d’une recherche compllète, pleine, entière, sur  ce thème de la compléétude, de l’entièrèté et de la pl ;énitude de pensée ; nous essayons ensemble de gravir kes échelons les uns après les autres et il n’ezst pas dit (ou sûr) que nous puiissions le faire ici, en cette roche de la nyuyit des temps ; nbous voulons aller loin en pareille roche, comme (de la même façon) nous voulons aller loin en cette chose d’une recherche du mot juste concernant cette chose de l’art ; nous voulons ensemble aller loin en cette chose d’une recherche du mot hjuste sur ce mot de «aerty» qui est le mot élu ; de la même façon que nbous voulons aller ensemble loin en cette roche (du temps) qui est le réceptacle dees véreités ; nbous sommes deux qui cherchons à qcomprendre beaucoup en ce lieu aux biches et autres cervidés ; nous voulons nous poster sur un monticule et regarder au loin, kles embruns, le feu sous la braise, le nid, la bouche du volcan, les lèvres ouvertes de sa bouche ezn feu, en fu rie ; nous avons à entreer en pareille roche en fusion et en elle (ce feu) graver des betes de poids , xdes betes qui en impoosent ; car nous sommes des ma gda léniens, des magdaléniennes ; nous appartenons à cet age des magdaléniens ; nous sommes qui a&ppartenons à cette époque de la préhgistoire et àç ce titre nous pouvons graver sur roche l’ensemble de nos vérités de tête, graver ainsi sur paroi des mots-betes de toute premiè§re importance, car nous sommes deux en lévitation, portée par l’aile de la joie en nbous, qui nous soulève, nous allège, nous contient, nous porte, nous propulse, nous fait avancer et dessiner à main levée les betes et autre figures sur roche ; nous sommes ensemble ces etres soulevés qui gravons (et gravitons) sur roche ; nous sommpes ensemble ces betes de poids qui allons sur roche nous poster (poser) pour dessiner sous influence des paroles animalières comme une musique sortant de terre ; nous voulons savoir le plus de choses possible ; nous voulons savoir encore et toujours mille et une choses ; nous voulons connaitre mille et une choses ; nous voulons savoir ce milliiers de choses adjacentes ; nous voulons y voir clair ; nous cherchons la clareté juste ; nous cherchons une clarté dsur des données de terre ; bnous voulons comp)rendre ce qui est ici qui est cette chose déposée aux pieds de cette roche, de cette mer, de ce bras de mer ; nous pensons que nous devons nous projeter fissaen pareille roche et là cvomp^rendre ensembvle ces resssorts qui seraient dès lors ceux-la même qui commanderaient cet ensembvle mobilier, ce mobile etc en nous qui est ce coeur de vie  vive  à conserver le plus longtemps possible en notre sein ; si possible, etc ; nous le comprenonjsz ; nous chezrchons cette chose ensemble c’est à dire une compréhension fine et fia ble dxes do nnées du monde ; on a des mots pôur désigner mais ces mots nous trompent ; nous avons des mots pour désigner mais ces mots nous trompent instamlment ; nbous voulons savoir tant et tant de choses icxi, en cette région pariétalev du monde, et pour cela nousq nous positionnons de tellez sorte que nous puissiiions etre à m^ême de comprendre au mieux les arcanes, les menus secrets qui sont à la base de pareille  paroi aux mille secrets ; commeznt dire cette chose ? nouus cherchons  ; voilà ; nous sommes des chercheursq de la boratoire ; nous cherchons ensemble, nous so:mmes ensemble qui chezrchons les donnhées de base, les secrets les mieux gardés etc ; nous soulevons le voile, nous regardo,ns, nous tentons des approches vives, nousessayons dee mille manières ; nous sommes soudés dans des recvherches à mener de frront et dans la vitessse ; nousc essayons de comprtendre ensembvle ce qui donc ici se trame en prairie, de quoi s’agit il, eh bienn  il sembvlerait qu il est question ici dx’une vé&rité qui serait cachée ; mais où , où est- elle cachée ? mystère!  ; nous ne savons pas ; nous pensons que nous savons mais non, nous ne savons pas ; nous pensons que nous solmmes ou serions savants mais bien au contreaiere ; nous voudrions l’etre mais hélas non, nous n’en sommes pas, nous ne faiso,ns opas paertie de cette confréerie regroupant sur terre cet en semble de savants de toutes sortes, de savants fous et de savabnts sages, etc ; nous vopulons en savoir lo,ng et pour cela nous sommes entrés ensembkle en ce szin des seins p)arioétal qui est ce sezin de roche, ce sezin de corsage, ce sezin donnéc par une mère à son bvébé etc ; il s’agitr de ceztte chose en nous qui présidec = cette pensée comme quoi la roche (de la grotte ornementée) est le sein des sezins sur terre, l’endroit où notifier nos revendications, nos excuses, notre pardon etc ; il s’agit encore et toujours de dire cette chose comme quoi la pa rolee en nous est une arme de percée, est un pîc de roche utile à ceux et cellescqui souhaite trouer cette rocxhe du temps imparti ; car la vie (la nôtre) a unev durée (dure de chez dure) et par conséqU ent nous coçmp^renons que cette vie ici n’est pasv  immorte’lle, elle prendra fin ; or cela les mots ne savent nhi le dire  niç le décrire, ; ; la mort est cet inconnue du progra mme, ce trou à la ma nque etc ; il s’agit encore une fois, de comprendre les enjeux et de nous tenir loin de cette chose ouverte, en grande impatience apres nous, et qui a pour noçm «dame la mort « ou bien «sieur la mort»’ etc ; nous devons comprtendre ici que nous ne sommes pazs seuls à chercher mais quil existe sur terre beaucoup de monde qui encore et toujhours poursuivent leur recherchec en la matière (la vie et la mort perçues dans latranse»)  ;  nous voulons comprendre ce qui est qui nhous chagrine tant, et pour quoi la douleur, pourquoi les souffrances (lasouffrance») et pourquoi ce mal qui nous occupe quotidiennement ; nous voulons nous approcher de la vérité de laroche et ce  via l’art ; or de quoi s’agit il ?  ; l’art est une donnée de découvertte ; il s’agit d’une façon de faire une emmpreinte, de la con server vvoire de la dupliquer ; nlous devons faire ainsi nos petites emplettes en pareille rocxghe de ce temps donné,, et ces empletes (recherches) les mener de cxoncert, jusqu’à preuve du contraire ; nous devons poousser loin cet ensemble de recherches de lab oratoire, et essayer ensemble de comprndre au mieux la nature des dsonnées et les fondements de celles ci ezn roche ; il y a des animaux de belle stature mais peu d’hommes ou de femmes représe,ntées ; nous avons cette chose ici d’un faire à déposer entre deux bras de mer ; nous avons cette cxhose ici à faire d’un de»pot de soi (quelconque ? ) entre deux bras de mer (ou de vagues redressées ?)  ; nous avons (art) cette chose à faire d’un dépot de soi temporel en cette roche (dure) du temps ; nhous pen,sons que nous devons comprendre cette chosec en,xsemble, comme quoi nous devons allert loin en bvesogne, graver de folie et ne pas lacher la chose de sitot cxar ,nous devons ainsi nous placezr dans la perspective où une vé&rité se fera jour, ici, qyui nous vezrra nous-m^me nous oofrir ainsi ,  soit découvert (nu), à une sorte d’entité toute chevelue (aurochs) qui saurait, cette entité, le fin mot sur tout ; nbous pensons que la bete préside , en nous et hors de nbous ; et que l’en nous est la chose d’un hors de nous ; ou bien (ou mieux) que cet hors de nous est la suite logique ou directe de l’en nous en nous, de l’antre, des entrailles en nous, via ce pic de bouche multi focal ; nous pensons que nous avons à pour le coup penser la mort com^ùe à quelque chgose qui va et vient (de l’intériuer vers l’extériuer) et ne tient jamais ezn pl ;ace ; nous pensons que la mort est une bride qui (par moments) lache du lest et à d’autres moments rien du tout ; la mort pour nous est l’alliée de la roche du tempsz, elle attend l’heure, le temps est son ami mùais elle attend l’heure, le clap xde fin, etc ; il est pour nous cettre chose comme quyoi la mort attend (apres nous) que passion s l’arme (le pic) à gauche et non pas à droite, car la doite est dèjà prise, la place de droite, etc ; nous pênsons que nous deevons penser en termes animalieers ; nous devons penser avec des sortes de mots-betes anima liersq, avec des morts-anima ux ou avec des animaux-mots, ; etc ; la mort commande qui voit tout et comprend tout, alors que ne comprend-t-elle cette chose d’un pis-aller ?  ; il semblerait que nous ayons à comp^rencdre la mort cvomme succédané, ou comment ? car la mort est là qui cherche à nous voler la vie, la notrte, quand de notreb côté nous dsonnons nottre vie à sa gouvertne, nhotre vie c’est à dire le tempsq, c’est à dire non pas notre coeur ; or la mort veut le coeur et non pas le temps ; la mort en nous veut notre coeur (le tic tac du coeujr) et non pas le temps qui esqt une sorte de rabais de vie et nous de nous en, excuser, de nousxexcuser d’etre encore (et toujours) en vie  ; il wsemblerait que nous ayons ainsi à faire cette chose ici (en, roche) qui est de ne pas donner notre coeur et son tic tac de vie à la mort qui rode en pàareille roche, ma is seulement le temps de notre vie, soit le présent ; le  cadeau ici est kle temps présent, qUand la mort a ttendait plus, et plus complet ;nous ne sqavons pas à quoi nous en tenir au juste, mais enfin nous suspecto,ns un certain nomnbre de comportements ici, qui tendraient à prouver que la mort existe pour nous et nous pousse à agir de certaines façons entre nous, dans nos grottes et dans nos ca vezrnes ou nos avens ;nous essayons de comp^rendre beazucoup de choses ici (roche) mais il est difficile avec des mots de nous y retrouver tloujours, car nous sommes iso ;lés en pareille roche, nous sommes seuls à chercher, pazrmi des betes, des choses précieuwses, des trésors de gran,d luxe ou autre, mais toujhours des choses de ghrande valeur ; nous voulons trouver pour nous les réponses à des questioons (nombreuses) que nous nous posons en cette roche de paroi de grotte ; il s’agit à chaque fois de questionsq existentielles liées aux choses de la vie et de la mort ; nous nous posons beaucoup de questions ; nous avon,s beaucoup de questions en maga sin ; nbous n e manquons pas de qauestions à nous poser et cve dxepuis longtemùps, et avant nous bien xdes ghgommes , et bien des femmes ; pourquoi ? car le langage mène la danse, ;, le langage c’st à dire d’un e part le sens (le sens des mots) et d’autres part le chant (cest à dire la musique des sphères)  ; nous écoutons passer kles betes en troupeau, et aussi nous écoutons qui gronde le bruit de ce feu souterrain (ce foyer de vie morte ?) qui est pres de nous comme une bouche en cul de poule (ronde) qui chante ou chantera it en qujelque sorte une mélopée ; nous voulons essayezr de nous y retrouver en ce cxhant, en ce chant de feu ;  nous pen,sons que nous avons en nous encore bezaucoup à chercher, à d»écouvrir, en nous et horss cde nous ; l’(arty cvomme solution de compréhension ; l’arty vcomme terminus donné ici (allouée) et on y touche plus ; un clap de fin ; une parole suspen due$, etc ; un pôint de non retrour et cela pourquoi ? car nous sommes deux qui voulons ezn décxoudre (lâcher du lest) et nous poster loin sur un chemin de ronde paroiétal, parmi des aurochs ou des rennhes ou des bisons ou bien parmi un cxertain nombtre de figures étranges (géométriques) et non à ce jour encore clairement identifiées  ; nous pensons que la transe (?) p^résiderait et toujours préside (d’une c ertaine =maniere) car les mots ont pris la plav ce, ont envahi l’espa ce intérieuir (mental) et guide le monde en cette façon ;  n ous pensons que les mots comme autrefois les animaux nous habitent et mènent le monde un peu à notre in su ; commes autefois les animaux menaient le monde (tout pareil) un peu à nottre insu, car nous étions, hommes des cavzer nes, tenus, bridés, ; contenus et actionnés par en nous des betes qui avaoient sur nous une emprise telle qu’ils (ces :mots-animaucx) ou elles (ces betres) nous menaient ainsi, nous faisaient faire ainsi sur roche, au charbon de bois, qui des effigies de betes fortes, qui dexfigures géomértriques dont le sens aujourdhui nous a écxhappé ; nous pensons que nous sommes ainsi envahi par en nous des mots qui sonbt l’équivalent autrefois de ces mots-animaux contenus en l’homme cdes cav ezrnes ; je suis cet hommùe des ca vern es ; je dessine à) main levée des betes grandioses, des betesq de grande taille et de forte stature ; je regarde  ces betes sur roche et je vois bambi qui déambule sur les prés et qui sautille en veux tu en voilà : que cherche t elle à me dire ?  ; je suis l’animal de la roche dure ; je suis cette bete des prés qui va et vient et nous montre le chemin à suivre ; nous sommes qui allonbs sur ce chemin bleuté et qui espérons 1 : savoir , et 2 : ne pas mourir ; or comment savoir sans en passer par cette mort bleuté qui nous guette d’un air de deux airs et attens apres nous comme un bec qui semble pépier d’avidité ; nous voulons cxomprendre un tout dans sa glob alité et pas seulement quelques-u,nes des parties de ce grand tout ; nous voulons comprendsre parties  et parties, et l’ensemble, le tout complet ; nous voulobns savoir cette cxhose pour nous et aussi cette chose la mentionnezr publiquement afin que chacun puisssee à son gré prendre possession des données receuillies en pareille roche de paroi ; nous ne sommes pas radins ;, nhous voulons offrir, partager, donner l’ensemblke des i nformations en notre possesion concernant ces questions (vives s’il en est ) de vie et de mort ; nous pensons que nous devons continuer gaiement (gaiement) nos re cherches et ne pas lacher la bride, mais tout au contreaire : aller loin en pareille  aventure de pâroi, en pareille chose d’une volonté de recherche soutenue ; nous pensons que nous devopns poursuyivre encore et toujours sur le mode fissaa je n»en démords pas» etcx ; nous continuons des lors nos recherches dans tous les coins ; nous voulons dès lors continuer nos recherches aux cquatre coins de la paroi ; n ous sommes qui voulons cfontinuer aux auatre coins et ne pas lacher la bride ; nous voulons connaitre toute la vérité sur toute certte affaire de vie allouée et de mort blousée, ou tout autrte chose concernant ces dobnnées de base ; nous ne pleurons pas sur notre sort car nous sommes gais comme des pinsons d’ainsi pouvoir aller loin en pareilmle roche du temps impa rti ; bnous considérons cela commùe une chance ; nous avons cette chance de pouvoir aller en roche ainsi , main dsans la main, armé-muni de notre pic de langage avéré (un lan ghage de charretier, etc) et ainsi de pouvoir trouer (creuser) notre tombe langagière en pareille terre-mè!re aux embruns, notre tombe = notre trou pour un passage en lui , à travers lui (un interstice)- vers un audelà pariétal en diable, une sorte de prairie de féerie aux biches et autres chevreuils , et une mer ouverte (en deux comme une noix) quii nous prend sous elle (en quelque sorte) et nous montre le chemin (tracé) à syuivre : fond de mer jonché de chosesc et autreezs au fil du temps (des coquillages mais pas seulement)  ; nous pensons que nous devons nous deux faire des choses avec nos mains et ces choses allezr ainsi (à deux) les déposezr sur c  e chemin tracé entre deux mers  ; nous avons à faire des chgoses et ces choses les poser sur ce chemein dx’entre deux mers, sur ce sol jonché de coquyillages et autrtes rebuts asséchés ; nous voulons savoir ce que  ce trou de bouche dans laterre signifie et c e qu il en est ou serait, aujourdhui, de ce feu central ; nous n e comprenons pas tout de tout hélas ; nous voulons connaitre tout de tout = la vérité en son intégralité constitutionnelle ; il s’agit pour nous d’un choix de vie ; nous allo ns ainsi sur ce chemin d’une sorte d’entre-deux-merws qui est chemin de voie d’abord pour une virée douce, en ce sein sdes seins pariétal, vers les confins ; nous pensons que nous devons ainsi nous placer de  la sorte en pareille roche ; les betes sont là qui, autour de nous, nous regardent ; elles broutent (pour certaines)  ; elles ne nous qyuiittent opas du regard ; nous voulons comprendre ici cette musique qui sourd ou sort de terre (il semblerait) et pour cela ensemble nous devons nous approcher de ce trou (ou béance) d’où provient ou dou proviendrait ce bruit lan,cinant, cette mélopeé, ce son de pipeau  ; qui joue ? l’enfant de la crèche .? l’animalm 

magique ? l’oiseau dans son nid ? le petit animal féerique au bec acéré ? quel est donc ce jhoueur de flute ? qui se cache en lui ? qui pour jouer de l’instrument champetre, rustique, taillé à la serpe etc ? nousq ne savons pas ; nous subodorons ; nous prospectons ; nous ouvrons nbos oreilles en grand et essayons de reconnaitrte  c   e dont il s’(agit : musique des sphères ? oiseau ? oiseau qui pépie dans son nid ? une mélopée jhouée par le vent lui-même traversant un conduit ? nous l’ignorons, et dès lors nous poussons des recherches avides et ne lzâcxhons pas le morceau ;

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25/02/2021

nous sommes tous deux en cette roche de paroi, et nous regardons passer les betes à nos côtés, ces aurochs et ces buffles, ces bisons et ces ours des cavernes ; nousd nous tenons par la main, nous sommes unis, nous regardons ensemblke dans le même sens, nous sommes nus ; nous regzardons ensemble dans le même sens, nous sommes nus vcomme des vers et nous avançons ainsi, en paroi du temps, sur les prés et les prairies ; nous tenons à la vie éternelle, nous la sou

haitons réelle etc ; nous sommes comme deux amants du bord de l’eau de la mer aux embruns ; nous nous tenons par la main et nous avançons sur cette grève du temps imparti (une vie) qui est celle d’un bord

d'une mer aux elmbruns, une mer ouverte, déchirée, aux embruns nacrés ; nous sommes qui regardons au loin notre bambi des prés s’ébrouer ; nous aimons notre bambi des prés et nous la regardons conjointement et simultanément ; nous voyons cette bambi des prés au loin, sur la grève ; elle s’ébroue et elle sautille ; elle est notre bambi des prés et des sous bois ; nous l’aimons conjhointement fortement et le regardons, au loin, qui virevolte et sembvle nous interpeller, nous faire signe ; nous voyons ses gesticulations ; nous nous demandons ce que donc nous ferions mieux de faire à présent que nous la voyons caraacoler en notre direction : que faiore ? aller vers elle : la suivre dans ses pérégrinations rupestres ? ou bien non ?  ; nous essayons de la suivre du regard, nous dsommes tout ouïe pour elle, nous sommes qui l’écoutons bramer dans les embruns ; nous aimons son chant guttural de biche des bois, nous l’aimons comme une soeur, nbous aimons son chant ; nous la regardons qui nous regarde et semble nous faire signe : elle volète, elle volète à qui mieux -lmieux au desssus des vagues, elle est notre bambi du chant des sphères ; elle volete et s’approche de nous dans les airs ; il s’agit pour nous de la syuivre du regard et de ne pas le perdre de vue ; nous sommes pour elles «les amants des berges» etc ; nous voyons son corps fin et élancé, son museau appointé etc, et nous la regardons avec attention , elle est pres de nous qui caracole dans les airs et semble nous tirer vers elle, nous attire et nous tire comme des marionnettes ou comment ?  ; nous sommes qui la regardons de concert et qui la suivons dans ses virevolts ; nous aimons cette bambi de bord de mer ; nous ne savons pazs que penser ; doit on penser à une mer étale du tout au tout ? ou bien à une mer ouverte, fissurée, échancrée, ouverte comme une noix, ouverte comme une porte etc?  ; doit on penser à une mer qui s’ouvre sous nos pas, avec bambi en point de mire ? que penser ? nous essayons de penser cette chose pour nous, pour nous y retrouver et y comprendre quelque chose de toute cette affaire de mer et d’embruns  ; nous essayons de piger = cerner = comprendre = prendre := saisir = prendre contre soi comme un jouet, une peluche, un bébé, une pièce maitresse, une dulcinée , un fruit de la passion, une chose, etc ; nous pensons que nous devons ou devrions  suivre cette bambi céleste dans ses virevolts et entrer en cette mer ouverte, danbs cet entre-deux-vagues -qui sont (les vagues) dreésseés face à nous et laissent dès lors un passage pour nous, pour notre gouverbne ; nous passons par un tel passage et entrons en cet entre-deux-vagues, sur ce fond de mer asséché , empli de choses et autres (art) que nous voyons à nos côtés ; nous comprenopns qu’il s’agit ici de choses importantes aux yeux de tout un chacun (chacun sa chose)  ; nous comprenons que nous avons affqaire à des choses capitales, à des oeuvres de poids, de valeur, c’està dire à des dépots de grande valeur , à des dépots de valeur conséquente, etc ; nous voyons ces choses pres de nous qui sommes entrés dans cet entree-deux-vagues d’une mer ouverte (étale par ailleurs)  ; nous comprenons que nous devons comprendre beaucoup ensembvlke, de toute cette affaire de paroi rocheuse etc, et d’intérieur navcré, nimbé, bleuté, aéré et luminescent ; nous comprenons que nous devons enttrer (loin) en pareille paroi de grotte (parmi les aurochs) et poursuivre dans cette voie jusqu’à cette mer échancrée qui nous fait un passage pour déambuler en elle et déposer qui une oeuvre qui quoi ? une pierre ?  ; nous voyons que nous sommes ainsi sur ce sol dur de chez dur de roche, et là nous avançons ensemble, nous nous tenons la main, nous nous tenonds par la main, nous ne nous lâchons pas, nous nous tenons serré, nous sommes accolés et soudés, nous sommes un enselmbkle (etc)  ; notre but est celui d’aller ainsi en cette roche en profondeur , et là, en  cette roche ouverte, meuble, souple pour nous, trouver le pot aux roses de toute l’affaire (de vie et de mort) et cela ensemble = main dans la main, sous les embruns et les pieds nus à même la rooche  ; il y a des oeuvres, des coquilles, des tronçons de bois, des perles, dxes trésors, des choses diverses déposées au fond de la mer asséchée ; nous comprenons cela comme étant des offrandes (dons) offertes à un dieu, à un deieu marin, à un dieu des embruns, à une lumière des lointains, <à un  horizon stellaire, à une biche volante, à un coucou dans les sphères célestes, un coucou musical, un son de cor, un bruit de flute (etc)  ; nous pensons que nous devons aller ainsi ensemble à l’écoute de ce flûtiau (flûtiau pariétal), à l’écoute de ce son des grèves etc ; nous sommes deux qui voulons comprendre cet art du dépot au pied de soi, pour une entrée en matière, dans cet interstice de paroi du temps, entre ces vagues redressées, sur ce chemin tracé par cette échancrure marine (un entre-deux-seins) ; nous cherchons à) cvomprendre tout cela , et cela nous plait de chercher ensemnbele, de chercher tout court, de chercher à trouver des trésors marins, des perles précieuses, des betes de roche, des gravures magdaléniennes etc ; notre but est de trouver des choses inédites, inconnues et qui soient pour nous deux des sortes de ravissement, des éblouissements ; nousessayons d’aller ainsi ensemble en cette paroi préhistorique ornée, et là découvrir la vérité des sphères célestes, à travers une échancrure de paroi, à travers la roche meuble et cette mer, au loin, évasée, et nous laiisant passer pour déposer nos choses diverses, au pied d’une clarté céleste, au loin, qui va grandissanr à mesure que nous avançons sur ce chaemin tracé (gravé) par cette plaie de roche devant nous ; nous essayons d’aller ensemble loin le plus possible sur pareil sen tier tracé comme à main levé par un homme des cavernes ; nous essayons de comprendre les enjeux de ce  monde ici pariétal, qui est  ce monde que nous voyons devant nous : cette clarté lunaire ? cette clarté céleste, cette douceur brumeuse, cette biche au loin, bambi des pré et des prairies de roche ; nous pensons que nous sommes ainsi, à devoir aller porofonds en  cette roche des prés pariétaux, et là nous placer côte à côte et tenter d’y comprendre quelque chose de cette cxhose d’une mer ouverte, échancrée comme un corsage etc ; nous voulonbs essayer de comprendre un tant soit peu et cette chose la décrire ailleurs, la rapporter comme d’un reportage etc ; nous essayons de comprendre une chose , une vérité céleste, une vérité marine etc, qui serait une vérité de poids (cloué etc) qui nous aiderait à avancer ensembvle, conjointement, conjugagalement, etc, sur cette voie de la destinée pariétale ; nous cherchons ensemble à y voir clair et pour cela nous nous tenons par la main et avançons entre ces deux mers échancrées, ouvertes, qui donnent passage, ;  nous voulons comprendre ici une chose ensemble, une chose d’une douceur de biche ; cette chose serait lovée en ce paysa ge d’embreuns ; nous voulons la voir de visu ; nous voulons comprendre ensemble ; nous sommes ensembvle pour une chose à découvrir dans les embrunds d’un bord de mer aéré, nacrée, soyeuse ; nous voulons nous approcher de cette mer ouverte en deux et passer (traverser) cette béance et aller loin... vers où qui nous tendrait les bras ?  ; nous ne savons pas ; nous ne sa vons pas où mène la béance ; il y a toujours un après ; nous ne comp^renons pas tout ; nous voulons comprendre tout ; nous voulons voir clair ; pourquoi voulons nous y voir clair ? quest ce qui nous pousse (bambi ?) à vouloir y voir clair ? ? bambi sus-citée ? nous ne savons pas ; nous cherchons ensemble (à deux, à plusieurs dès lors) à découvrir ce qui est au loin qui nous attend (qui wse trame) et ne manquera pas (semble-t-il ) d’apparaitre un jour ou un autre (quand ? )  ; nous voulons comprendre ce qui est de toute cette affaire d’une sorte d’incxartade en roche, via un interstice dans la pierre, une entrée brusque (brusquée) en matière, une insezrtion-immixtion frontale etc, et un passage du corps entier, etc, pour une délivrance en roche, un déploiement ailé, etc, et une avancée (de co ncert) en cette roche dure aux dits embruns vers un bord de mer bleuté, venté, etc, quyi soit ce bord de mer échancrée à passage ; nous pensons que nous devons agir ainsi ensembvle et nous peletonner en roche , et donc en avancer ainsi (sexe et couplement) en cette dureté de roche de grotte ; nous pensons que nous devons ainsi en avancer en pareille roche des prés, du temps, dela chance etc ; car nous sommes deux qui cdevons ici nous immiscer, en pareille paroi céleste, parmi les betes dessinées par l’homme des cavernes lui-même ; nous entrons par la petite porte ; nous sommes entrés en cette rocxhe incidemment, avonsfracturé le verrou en quelque sorte ezt nous nous sommes a insi logés (lovés) en pareille roche comme dans un nid ; nous voulons comprendre c  e qui est pour nous qui nous attend aux entournures, ou comment ? au débotté ? au départ de roche ? à l’arriveée des biches embrumées ?  ; nous voulons essayer d’y voir clair le plus possible ici, en cette paroi du monde, et ici aller en elle profond pour trouver (trouver encore et toujours) une solution à des problèmes musicaux (ici le flûtiau)  ; nousd voulons savoir beaucoup de choses, les cerner, les soupeser, comprendre de qyuoi il en retourne, les jauger et les juger, les noter et co nsigner ces choses sur une sorte de carnet de bord, etc ; nous voulons aller loin en cette roche de la vérité et comprendre ce qui est ici, qui se trame, en pareille fete aux embruns, ou fete céleste aux biches veloutées, etc ; nous avons à cerner un grand nombre de paramètres ensemble, les juger et les comprendre à l’aune d’une vérité stellaire, rocheuse, aux embruns magnifiés par une lumière bleutée ; nous vboulons nous rapprocher d’un,e paroi dure et en elle trouver cette faille meuble qui soit pour nous passage pour tete et mobile en son entier ; nous cherchons dans ce dur de roche à passer la tete la première, puis le corps en entier, traverser la pierre et nous retrouver de kl’autre côté où d»époser notre présent (de vie vive), notre temps-présent au monde, en guise d’offran,de qui puisse «le faire» ; nous sommes ensemblke ici qui pour le coup essayons de comprendre ce qui est pôur nous en  cette roche , qui puisse nous octroyer une sorte de vérité clouée, sure d’elle même, tenant debout sur ses deux pieds et ,nnous permettant à notre tour de nous tenir droit comme des piquets ; nous avons besoin de comprendre ce qui est ici en cette drole de roche meuble à des endroits ; nous voulons essayer de le comp^rendre simultan»ément, con comittament, ensemble en synchronie (ou synchrone) etc: en synchronie ou synchrone comprendre ce qui est, qui va son chemin marin, entre deux vagues redressées d’une mer ouverte pour notre gouverne (à tous ? il semblerait)  ; nous essayons ensemble de trouver des solutions à des problèmes, de mesure pariétales, d’entrée en matière, d

e pezrçage de paroi au pic de bouche (le langage de charretier = animalier)  ; nous avons compris des choses au passage (ah ?) et voulons aller loin, tres loin, en cette matière de la vérité livresque (?) pariétale, c’est à dire contenue (qui le serait) dans le langage du charretier ; nous pensons que nous devons nous porter loin le plus possible en pareille roche du temps et ainsi comprendre à faire des dépots de choses (ici ou là sur la mer ouverte aux vagues «gelées»)  ; nous pensons que nous devons de fait agir de concert et comprendre le plus qu il nous est possible, comprendre le plus de choses possible en, pareille zone de repli rocheux : paroi de l’homme des cavernes  ; lévitation, main levaé, les yeux peut-etre ferm:és, la pârole du muet grégaire, ces roucoulements, ces hurlements, ces cris gutturauix, ce charbon de bois sur la roche, cette transe folle, cet engouement, cette furi, cette geste, cet envahissement de soi par des etres, cette chance, ce sa voir ancré, cette folie de roche décorée, cette folie dont l’homme est atteint par devers lui et qui le pousse à notifier sur roche ce que l’animal en lui lui abjure de faire fissa, et d’un «bond» d»un wseul, comme une biche le ferait sur roche ou tout auttre bete des prés ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir comprendre cette chose ici d’un langage fou, perlé, de charretier, minus, qui va sur roche découper des formes, les remplir etc, et faire en sorte qUe pareilles formes animal:es fassent accroire au dieu de la roche (?) à une vie offerte en présent de poids et de taille ; il s’agit d’une méprise ; il s’agit de faux-semblants, et cepêndant il est ainsi que nous restons vivants, du coup, de lza sorte ; nous essayons de comprendre cela ici qui est que nous sommes deux, à trouver des choses qui jonchent le sol de cet entre-deux-mers ; nous cherchons par terre des trésors, à trouver, à dénicher, etc ; nous voulons ceztte chose ensemble faire, à savoir des trésors de roche trouver, et comprendre  ce qui est ici (en paroi préhistorique) qui est ou serait notre bien commun, cette vérité de roche partagée ; nous voulons comprendre ce qyui est ici qui se trame autour de nous, et pour cela nous devons aller, encore et toujours, au plus profons de la roche du temps et piger ce qui est pour nous, en cette occurrence, piger et débrouiller les choses du mal faire et du bien faire sur paroi ; nous spommes ensemble pour cette chose d’une découverte (freudienne ? ) à faire ; nous vopulons comprendre beaucoup en cette zone pariétale de repli grégaire : aurochs, aurochs, aurochs barbus et chevelus ; nous essayopns de trouver des choses pour nous qui pussent le faire, qui pussent nous donner comme du baume au coeur et nous inciter à toujours plus graver sur roche nottre identité d’homme des cavernes ; nous cherchons à trouver des trésors au milieu de rien, au milieu de  ce tout (marin) échancré ; nbous avons ce besoin, en nbous chevillé, de voukloir trouver des solutions à des problèmes langagiers se razpportant à des questions de roche, de mer, d’embruns, d’aurochs, d’homme et de femme des cavernes, de biche stellaire et de ciel na cré ; nous voulons nous porter loin -loin en pareille contrée pariétale, nus et motivés (élancés) comme dans la vie vraie ; nous cherchons à nous porter loin-loin enn pareille contrée printanière, aérée, ventilée, et claire ; nous voulons de la gaité de roche, du printemps aux embruns scintillants ; nous cherchons à nous loger en cette roche ensemble, parmi des betes gravées au silex, et là nous blottir l’un l’autre = l’un dans l’autre (coït = sexe ici) et comprendre dès lors ce qui ici (en cette roche dure) se trame en matière de savoir céleste musical : d’où viennent lkes bruits (?) , les cris (?) , les sons de flutiau ou de tambourins  ; nous ne savons pas ; nous sommes des enfants perdus , qui cherchons notre dévolu(jetons) en cette chose d’une roche dure ici et meuble là ; nous voulons aller loin en pareille roche du temps et cfomprendre le plus possible ce qyui est qui nous attend, et qui nous jauge par la m^me (il semblerait)  ; nous essayons ensemble de nous immiscer dans les profonsdeurs de laterre, mais vivants, pleins de vie et de vigueur, etc ; nous voulons ensemble comprendre beaucoup de ce qui est ici en cette roche des temps, et pour cela nous nous immisçons en elle comme ver dans une pomme, etc ; nous sommes qui cherchons tete première à naître en pareille roche du temps, en cet antre de vie pariétale, aux aurochs, aux rennes ou autres bouquetins gravés ; nous sommes ensemble pour l’éternité ; nous chercho,ns ensemble des choses qui le puyissent faire pour nous, notre gouverne, et cela nous lke faisons de conserve afin de gagner du terrain kle plus possible vers une clarté (stellaiire) de roche ; nous cherchons ensemble à aller loin en pareille roche du temps (le sexe) et ainsi faisant nous nous immisçons en c ette dureté comme des vers (vermissaux) dans un,e pomme, une pomme d’api, dans une pomme de vie ; nbous comprenons que nous devons aller loin pour le coup en pareillme roche de la vérité , et titiller les pattes de notre bambi,  bambi des prairies, cette douceur d’une vie belle, cette grâce éternelle, cette vivacité de tous les instants (vie de  fissse, vie de vibration)  ; nous voulons aller en cette roche au plus loin que nous pouvons ; nbous voulons enemslbre aller le plus loin possible en cette roche ou roche du temps, en cette belle roche de  ce temps hospitalier qui nous accueille les bras ouverts en son sein nacré ; nous voulons comprendre ce qui est ici qui nous tend les bras , et pour cela nous nous logeons tete premiere (présentation) en pareille roche du temps pariétal ; nous comprenons le pot aux roses, il aa à voir avec la vitessee d’exé cution ; il s’agit d’une emprise vive ; nous passons ainsi la tete en premier puis le reste du corps et cela fissa (fisse fisse) et donnons ainsi à nous voir ainsi, pris dans une emprise pariétale de savoirs divers concernant la vie sur roche, la vie vive des embruns et la vie sur paroi dee grotte ; nous cherchons à comprendre ce qui est ici d’une emprise pariétale et pour cela nnousnous logeons, en pareille paroi du temps, en cette roche aux embruns, en  ette zone dure ou tendre d’un bord de paroi de grotte préhistorique , ou dans le ciel na cré d’un fond de mer ouverte ouverte à jamais ; nous essayons dès lors de nous loger en  ette mer, ouverte opour nous, au beau milioeu des objets en don, et, cela, pour une éternitév de conversion ; nous voulons cette chose ensemble la faire pour l’eéretrnité, et là (en paroi) creuser notre sillon en mer ambrée ; nous comprenons que nous devons le plus possible aller loin en pareille paroi, et pour ce faire il est important (à nos yeux) de nous loger en cette roche et de nous y coller, ensemble, main dsans la main ; nous avons à piger (cerner) ces choses de roche  brute, et ces choses les soupezser, les prendre à part, les regarder, les monter au pinacle (?) ou comment ? art ; cela est ici cette chosec que nous recherchons de concert, cette définition ; nous voulobns sa voir ici ce qui est pour nous qui importe avant toutes choses, et cette chose pour nous capitale est ce savoir de roche pariétale, cet aurochs de bon aloi, qui est ce tracé guttural d’une sorte de fond de mer, d’un fond de mer ouverte, etc ; il s’agit d’un bruit de fond, d’un don aussi bien , qui est le don de soi sur paroi meuble permettant le trait gravé, ou le tracé, au fusain ou au baton de manganèse ; nous pensons que celac est ainsi que nous devons compren,dre la vérité d’une paroi d’ordre préhistorique ; nous voulons cette chose (de paroi) la comprendre à la lueur des torches ; nous avons pour nous beaucoup à savoir de toute cette affaire folle, de parois étanches ou pas, de traits gravés ou dessinés en transe, d-’immixtion tete première (la raison) en une pierre de taille de poids, etc ; nous cherchons encore et toujours des issues en termes de compréhensions diverses à emmagasiner pour nottre gouverne ; il s’agit pour nous de nous y retrouver ensembvle (main dans la main) pour une immiixtion conhjointe, soudée (une prise de bec) qyui soit cette cxhose qui pour nous a de l’importance : un art du faire parioétal, l’art du faire ensembvle (mots de la tribu) sur roche du temps ; les mots sont ceux que tous et toutes en notre confrérie nous empl ;oyons (de con cert) afin de pouvoir nous comprendre, c’est à dire écjhanger (à toi )à moi) des dons de données rupestres ; nous avons cette ambition pour nous qui est celle-ci, de vouloir nous échan,ger dees cjhoses et autres à titre de données de poi$ds, magiques, fortes = pesantes, etc ;, qui puissent nous donner comme des ailes et nous poster (porter) plus loin sur cette échelle de vie vive,  tracée (dessinée) à même la roche, et brute ; nouys comprenons que nous devons creuser ensembke une sorte de sillon dans cette roche de terre mère, et entreerr au dedans d’icelle via cet interstice de paroi qui est cette béance marine aussi bien, cette ouverture dans la cxharpente ; nous essayons de nous y retrouver et de comprendre ce qui est qui nous arrive de notre vivant ; de quoi parle  t on lorqsqu on parle ? de quoi sq’agit il lorsqaue nous oparlons ? que pouvonbs nous avcancer en termes de données rupestresq de taille et de poids ? que donnezr à l’autree qui puisse «le fairze» ? nous ne savons pas, nous cherchons (art) et déposons à qui mieiux miuesx dans cet entre-deux-mers (ou vagues) qui nous tend les bras au-devant de nous (ce temps de roche offert)  ; nous essayons ensemble de trouver quelques élémentsd de réponses de poids à même la roche du temps ; il n’est pas facile (pour nous du moins) de nous y retrouver en cette roche, et nous nous teno,ns serré pour ce faire, nous faisons corps, nous essayons de faire corps le plkus possible (droite et gauche) et ainsi faisant nous avançons sur  ce chemin d’ouverture marine, sur ce fond de mer asséché qui nous tend ses bras entre deux vagues redressés comme des boucliers ; nous voulons aller en c ette béance de paroi et là y déposer notre butin (?) , notre chose de poids (?), notre don de soi ; nousq voulons aller ensemble en pareille béance de roche, et comprendre ensemble ce qui est ici qui nous occupe fortement, cette chose d’un don à déposer fissa sur la roche meuble, ou sur cet entre-deux de mer ouverte, sur ce canal ; nbous voulons aller ensemble loin le plus possible sur c , nouys voulons ensemble aller loin le plus possible sur ce tracé de mer ouverte ; sur ce chemin devant, qui nous tend les bras, sur cette voie d’abord, sur ce canal tout à déambuler ; nous voulons essayer de comprendre ici ce qui est qui nous occupe fortement, et ce quii est ici est cette chose d’une confréerie, d’un clan, d’une tribu parlant un même idiome ; il s’agit pour nous de nous infiltrer en pareille paroi du temps et de nous y loger comme da ns une pomme, et là : observer les betes aller, les bisons et les sangliers, les bouquetins et les rhinocéeros, etc ; nous voulons comprendre ici beaucoup (tant et plus) ensemble et aller loin en pareille zone du temps, en cette région aux vérités premières, vraies, natives, complètes et terminales  ; il s(agit de comprendre ici ce qsui donc se trame en mzatière de vérités à jamais ghravées dans la pierre : qui a dit quoi ? et qui a pensé quoi ?  ; njous voulons aller loin et gravir les échelons de la pensée de roche ;,, qui n’est pas cette penseée habituelle de l’homme des bois, des sous bois etc, mais est cette pensée de l’homme de la roche dfure du temps offert ; nous voulons eznsembkle cerner c ela sur la paroi , et cela l’inscrire ailleurs (ponton) à la vue de tout un chacun de préférence ; nous voulons comprendre ici (en rocxhe) les tenantsz et les aboutissants de pareille recherche menée de concert  ; nous sommes deux pour la bonne cause, et à deux nous cherchons à nous y retrouver en roche, en fants de la roche et de la mer ouverte, afin de nous comprendre (idiome en co:mmun) et de nous aimer de la sorte ; nous voulons faire ce pa s en avabnt et marcher sur ce sentier d’une ouverture, d’une béance dans une mer ; nous voulons essayer de nous y retrouver ensemble ici, en ce savoir induit par la pensée de la béance et par la pensée aussi de cette ouverture de roche ; nous voulobns aller loin en cxette chose d’une recherche de raisons, de compréhensions ; nous voulons comprendre loin et profond ; nous sommes motivés pour cette chose à faire de con cert ; nous voulons comprendre ensemble le pourqyuoi des choses et le comment des parois de grotte ; nous avons cette ambition copmmune ; nous sommses unis pour ce faire et nous nous motivons noys mêmes conjointement afin d’en avancer le plus possible sur cette voie d’une compréhension à acquérir en bonne et due forme pour notre gouverne ; , ; nous voulons aller loin en, besogne er cerner au mieux les tenants et lkes aboutissants de pareille roche des temps, etc ; nous avons ce désir partagé, cette chance aussi, cette volonté commune, de vouloir aller loin, en roche, et de toucher bambi sous les embruns : qui elle est, est-elle vraie , est)-elle un,e vue d’esprit et seulement cela  ; nous voulons essayer de nous approcher de ba mbi, et de la toucher un, tant soit peu afin de sa voir qui de quoi et quyoi de quyi, cxar cela nous interpelle grandemen,t ; nous ne savons pas à qyuoi nous en tenir ; nous ignorons ce qu il en est de toute cette affaire de prairie aux embruns nacrés et de biche des bois céleste (stellaire)  ; nous comprenons que nous sommes qui avon,s beaucoup à comprendre ici, en roche, en paroi, en cette beéance de vie, etc ; il s’agit d’un savoir à acquérir comme par la bande, c’est à dire incidemment, au décours d’une entrée en force etc ; nous avons ce sentiment (partagé)- comme quooi nous sommes ensemble ici même (roche) pour une sorte d’«éternité pariétale» de faction ; nous voulons essayer de co:mprendre le plus possible, de ce qui setrame pour nous en pareille roche du temps (une vie impartie) mais il n’est pasfacile de comp^rendre, c’est à dire d’isoler des données de poids, qui puissent ezn imposer à) notre gouverne (gouvernance)  ; nouys cherchons à faire cette chose, à laisser advenir à nous desq choses de poids ou d’importance, comme aurochs des prés, comme cerfs géants aux bois majestueux (dorés par la clarté des roches)  ; nouys voulons comprendre ici ce qui est pour nous en matière de vie allouée, offzerte par une sorte d’entreé en matière pareille (en roche du temps)  ; nous sommesc deux qui voulons aller en   c ette roche comme dans une église où pouvoir prier tout son soûl et espérer, mais de quo i s’agit il pour nous en l’occurrence ? d’une prière pariétale ? dd’une vision du monde vrai à acquérir ? de quoi ws’agit il ?  ; il s’agit pour nous d’une sorte d’embrun sur une mer étale quoique déchirée ; nous avons le sentiment pour nous d’avoir à ainsi aller loin en pareille béance de mer, ce sentiment que nous devons agir, que nous sommes tenus (par quelles mains ?) à aller de l’avant en cette donc béance de mer (de paroi) qui seprésente devant nous à mesure que nous avbançons ; nous devons ensemble nous rendre ici même, en ce lieu de vie (de perdition ?) et gravir les échelons pour ainsi dire (les stations) et aller loin (le plus possible) sur la route ici qui seprése,nte (s’ouvre) à nous quyi nous tenons la main ; voie nuptiiale par excellence, voie d’abord pour une perfusio n (?) de vérités, voie pour une sorte d’entrée en matière (art) dans la vie vraie des embruns, etc ; nous sommes ensemble qui nous tenons ici par la main et comprenons que nous avons à comp^rtendre beaucoup et à contenir beaucoup, à contenir un nombre important de données en nous, etc ; il s’agit d’une cxhose qui est à comprendre à deux, il s’agit d’un rapport de force entre deux partis ; etc ; nous sommes ensembvle qui devons comprendre (cerner, toucher du doigt) ce rapport de force, cette chose en confrontation : à toi à moi ; et pâr conséquent nous devons aller sur ce chemin de mer ensemble, en,semble nous porter au loin le plus, et aller de la sorrte vers une vérité grande ou de bon aloi qui sera celle que nous aurions, pour nous, pour un temps confinant à une éternité ; nous comprenons que nousq sommes deux ici pour ce faire de roche, et cela (cette compréhension) nous la voulons qui puisse etre affichée ici ou là, sur des panonceaux, ou ailleurs (dans des imprimés ) afin que celle ci (cette compréhension d’un tout fermé ou clos sur luyi-même) puisse eztre appréhendée et reconnue par tout un cha cun sur la surfavce de la terre ; nousq pen,sons que nous devons agir ensemble dans ce sens et ne pas nous désunir, dee ne jamais nous désunir ma is tout au contreiare, de rester soudés comme deux bras, deux jambes, deux moitiés d’un même corpsq ; nous avon,s à cerner cette chose ense»mble, ; dx’une destinée pa riétale de concert, une forme à dessiner eznsemble (toi et moi) sur paroi, à main levée, en nsemble pour l’éternité, à main levée au charbon de bois, comme autrefois l’homme des cavernes ; il est pour nous important de comp^rendre ici que nous avons à ensemble tracer des traits sur rocxhe afin de figurer la vie brulante, vive, forte ou force qui en émane et peut faire accroire à une vie donnéé en entier, , or il n’en est rien, nous savons cela ; njous comp^renons que nous devons nous réfugier(via l’art) en cette roche (tendre ou dure, c’est selon) du temps et en cette roche aller à comprendre, aller vers des donné&es qui sont données de compréhension des choses profondes, données profondes de compréhensions des choses profondes, ; nous devons nous réfugier via l’art dans une paeroi de connivence et en elle trouver des trésors (données) de première main (dessins préhistoriques, mains surnuméraires etc)  ; nous pensons que cette chose pour nous est de grande iumportance et que nous avons a aller loin en opareille roche (pariétale) du temps, et ce pour nous y retrouver, en tant que nous sommes (seriions) des etres de destiné&e, dxes etres dessinés aussi bien , etres de peu de foi mais qui accordons crédit à cette bambi des ruisseaux et des forets célestesq etc ; nous essayons de comp^rendre ce qui est ici qui se trame sous nos yeuxd, cet art de sortie de mains, cette chance offerte en ce devant de mer ouverte, etc ; nous avons à comprendre encore mille et mille choses à part de nous, et ces choses les acclimater à nottre ressemblance ; nous ne sommes sûrs de rien et cependant en nous le langage pérore quyi dit à l’emporte pièces sa raison et sa raison d’etre ou quoi d’autre ? son mot de la fin en toutes choses ; or il nb’en est rien ; le langage des sphères est celuyi quyi sourd de terre aux embruns, de cette terre aux embruns célestesq ; il s’agit d’ubn xavoir qui est pour nous le savoir suprezme (le mot de la fin) et ce savoir sup^reme est celui que nous entendsons de concezrt (à deuxd) lorsque nous copulons comme des biches de prairies, comme aurochs de compagnie ; nous voulons comprendre ensembkle ce qui est qui preéside à tout et guide nos mobiles ; nous voulons comprendre cez qui est ici (en roche) qui se trame lorsque assidument et consciemment et volontairement nous copulons de concert, en cette roche de prairie céleste, sous l oeil attentif de la dame des bois, biche bambi de bonne souche, sachant sautiller et sauter en roche, et regardant les alentours d’un air de deux airs ; nous essayons de n,ous congrat(uler et de nous motiver par la même et ce faisant d’en avancer dans les connaissances concernant le tout (globalité) de ce monde prairial pariétal ; nous cherchons dees véritésv premières (natives) secouées ; nous les voulons qui sortent de l ‘oeuf pour ainszi dire ;, sont elles possibles ? nou!s passons de’une chose à l’autree et compléto ns notre collection de dires premiers (encha ssés) comme des qyui cherchons la timbale, le secret caché d’un monde englouti etc ; nous essayons de prendre les choses comme elles seprésentent, en te»rmes de vérités amoncelés, de vérités qui sq’enchainent fissa sur paroi de roche (bisons, bhouquetins, buffles, chevaux, rennes, ours, félins etc)  ; nous sommes sur une lancée quyi nous voit graver encore et toujours sur lk’air de la flute ou du flutiau de la grande parade ; nous pensons que cela, est c ette chose commec quoi nous nous devons ensemble d’aller en pareille roche (immiscés)- à la recherche vd’une vérité (pariétale dès lors, mais aussi musicale, fraiche, printanière, outrée, douce et élancée etc: une chose vive et vivante)  ; nous voulons comprtendre  cette v érité comme s’il s’agissait d’un etre de poids, en chair et en os, une bambi des prés pour aindsi dire et ne pas la nommer ; nous voulons comp^rendre ici cette vér itéc lan,gagière en cela qu’elle szerait de chair et d’os, à approcher fissa, à toucher du bout des doigts pour ne pas l’effrayer et vérifier sa tenabilité en pareille chose, sa tangibilité native, ; sa ten,eur en réalité de bon aloi, etc ; nousq ne sommes pas sortis de l’auberge mais nous sommes motivés ; nous voulons aller en cette roche le plusloin possible et nousapprocher des embruns et comprezndre ce qui est qyui nous attend instamment : quoi est la mort ? de quoi la mort est l’objet ? quoi est cette chose dite d’une mort donnée ? quoi cette :mort a fait fera pour nous ? qui peut nous dire de quoi mort est faite ? que la mort est qui est devant nous ... ou pas ? quoi est à dire de mort qui est devant ? que mort est à dire en paroi ? quoi la mort est pour nous qui allons fissa à naitre ? que mort a pour elle à donner à nous ? quoi la mort a à dire pôur nous qu on ne sait et qu on voudrait savoir ? la mort est cette chose de paroi brute,   ette chose des confins de roche, aub fond (fin fonbd) d’une mer ouverte, défaite, découverte, depoitrenaillée ; nous voulons savoir ce que cette mer oouvertre en deux recèle en termes de mots de vérité vraie, en termes de choses à comprendre pour nous ; nous passo,ns ainsi ensemlblke ce temps d’une découverte de roche en cette même paroi du temps qui est cette roche des ezmbruns ; nous poussons la chansonnette qui nous maintien,t ainsi en cette rocxhe prair(iale d’un e vie sur terre ou bien d’une vie sur mer etc ; nous pensons que nous avons à compre,ndre toute cette affaire à la lumière d’une biche aux yeux vifs et clair, qui vient nous inonder de son rayonnement stellaire, guttural, etc ; nous voulons savoir cette biche ce qu elle est pour nous qUI la voyons aller et venir (bramer) dans les embruns et rayonner pour nous (notre gouverne) afin de gentiment nous éclairer et nous montrer dès lors la voie d’abord à emprunter ensemble pour l’éterbnité (si affinités)  ; nous essayons dee la frôler mais elle est pl ;us que vive et a vite fait de caracoler ou de s’en aller par ailleurs et d’échapper à nos sales pattes ; elle est cette bambi qui est pour nous une bete vive des prész, qui sait la vérité des sph,ères célestes (cette musique gutturale à souhait) qui sort de la roche première et va inondeer l’ensemble du monde ici même, cette zone aux embruns bleuté qui est celle cde la vérité des choses déposées ; nous voulons nous approcher de cette biche fine et élancée, ; et écouter son  brame céleste, guttural à souhait, quii nous enrobe, nous recouvre, nhous contient tout auussi bien et nous retient  ; nous sommes sur notre  lan,cée et nous en avançons fissa ensemble (fils de qui nous sommes ) et allons ainsi, en  cette région de la paroi du temps, à la recherche d’une vérité qui fasse poids et nous en impose ou imposât longtemps ; nous voulons comprendre cette chose d’une vérité de roche, à prendre avec soi comme une denrée ou une donnée à analyser ; nous voulonbs nous racpprocher de cette bambi des roches du temps, sautilleuse en diable, fine et gracile, à la voix (au cri) gutturale, etc ; nous la voulons pour nous la conserver, nous la voulons conserver à portée de reghard pour nous et la regarder notre soûl, la voir aller et déa mbuler tout notre sqoûl etc ; nous pensons que nous devons comprendre cette biche à l’aune d’une renommée (bambi la bien nommée, bambi la biche bien connue) et cette biche vla conserver ainsi, à bonne distyance, dsans sa renommée de biche connue ; nous essayons de voir en elle (en bambi) celle là que d’aucuuns connaissent en cette chose d’une sorte de vérité incarnée, d’aucuns ou certains, ds’une vérit»é de bon aloi, repérée, reconnhue, connue, appréciée et mise sur le devant par nombre d’enfants ; nous voulons essayer de n,ous approcher de cette véritév de type bambesque ou bambinesque , et cette vbérité latoucher du doigt pour ainsi dire, et en swentir les pouvoirs, en retirer ainsi faisant des effluves, des choses de portée magique qui puisse nous offrir de quoi continuer notre chemin d’allant et d’é lan de vie ; des pouvoirs en elle vqui sont (ces pouvoirs) des incitattateurs et cointinuateurs de vie d’allant ; nous pensons que nous devons aller en,sembkle loin (très loin) sur cette voie d’une recherche (obstinée) de la vérité de paroi ; de quoi s’agit-il ?il s’agit d’une vérité de roche, aux allures (graciles) de bambi, ou d’une bambi, et cette vérité de rochje (intemporelle) ) a pour nous à voir avec la vérité céleste des données brutes, qui sortent (sourdent) de la terre meuble et grondissent de leur drole de musique sidéerale, grondissent ou grondent sourdement depuis le trou de terre ou de rocxhe du deva nt, cette chose qui nous atteznd comme une bouche ; nous voulons comprendre beaucoup et comprendre brzaucoup implique une immixtion du mobile (de nous) en son entier ; nous voulonsentrer dans cette matière du temps telle que bambi (ici ou là) nbous la fait miroiter en roche ; nous voulons nous plonger tete prezmière en cette roche du temps et nous retrouver accouplés sur ce sentier de la mer asséché, à déambuler de concert sur pareille voie musicale aux embruns dorés, et là : nous faufiler fissa fissa jusqu’au fin fond de cette ouverture -zechancrure de paroi de type rupestre ; il s’agit pour nous de nous retrouver en nous mêmes et de comprtendre les données secrètes du monde ; nous voulons aller en cette roche comme nous le ferions dans une église : de concert, main dans la main , à la lumière des données célestes, au son nuptial du pipêau des prés (le pâtre entrainant sa suite) etc ; nous voulonsa insi pour nous aller en cette voie ainsi accompagnés ; nous sommes deux qui avançons sur ce chemin de destinée commune et allons ainsi vers la lumière bleutée de la roche de fond de paroi ; nous voulons essayezr de co:mprendre cette chjose (pour nous) qui nous retient et qui est que nouys avons, devant nous, une lumière vive (bleuté) dite «des confins» et cette lumière la comprendre ainsi que nous le voulon,s, à savoir les yeux grand ouvertts comme ceux des nouveaux nés naissant, les yeux ghrand ouverts et les oreilles grandes ouvertes etc, à l’écoute du monde, des pârois, des sons sourds, des bruits de la roche, des voies de brames, des sons gutturaux de fond de grotte, etc ; les entrailles de la terre d’horizon , etc ; nous penson,s que nous devons de fait nous plonger en pàareille rochje comme dxans une sorte de bassin a ux eaux brunes ; nous pensons que nous devons nous introduire, en pareille roche du temps, comme dans une mer qui serait brune, incandescente etc ; nous voyons que nous avons à ensemble comprtendre,  ce foyer de fond de mer, comme une sorte d’entrailles terrestre , ou comment ? un conduit, tuyzau, boyau, passdage, etc, pour une immersion , pour une immixtio n ? pour une entrée dans la matière pariétale de la roche dure (ou souple : selon) de cette voie d’abord b rulante  ; nous allons ain,si ensemble en c e chezmin de ronde (courbe) et traversons les paysages et cherchons l’entrée volvacnique, pour ainsui dire ; nous cherchons en cette roche du temps un endroit où deposer notre baluchon de vie morte (ce temps de la vie vécue , cet ersatz de vie vive, etc) et ce baluchon où donc le depôser sinon ici même sur roche, comme aurochs de bonne compagnie, coomme renne en faux semblan,t de vie à la vive etc ; nou!s voulons comprendre ici ce que nous avons à vouloir comprtendre ; nbous avons cette chose (pour nous) à vouloir comprtendre, qui est que nous sommes en vie, en pareille roche, en tant que nous sommes pris (emprise) par la roche de cette paroi (d’une grotte cdees profondeurs) ; nous sommes ensemble, en cette roche du temps, comme nous le serions (par exemple) au fin fond d’une grotte souterraine, ou bien à l’intériuer d’une église de vie vive ; nous pensons que nous devons de fait, nous toucher ainsi en elle (nous effleurer, nous caresser doucement, nous aimer ainsi ) et là, en pareille vparoi, nous placer de telle sorte que nous puiissions nous projeter fissa en son fond «marin» et comprendre (prendre soin) des arcanes ou les arcanes de cette vie en intérieur de roche ; nous voulons savoir ce qui ici est qui se trame sous nos yeux ; nou!s ne savons pasc toujou!rs à quoi nous en tenir et c’est ainsi que nous envisageons les choses pour nous, de cette façon que nous voyons, de cette façon que nous envisageons de les faire ensemble, ces choses du monde, ces depots, ces oeuvres de peu à déposer sur roche etc, aux pieds des vagues redressées ; nous voulons nous poster ainsi dans ce lieu d’un entre-deux-vagues, et là poursuivre sur notre chemin de voix d’allant, poursuivre ensemble sur cette voie d’abord et aller loin c’est à dire profonds ; nous vou:lons aller loin en pareille roche, loin en pareil entre-deux-vagues, etc et nous approcher incidemment de  ette béance de terre meuble (ici) qsui est cette bouche de feu vif, cette bouche ouverte d’une belle forme, cette bouche en forme d’ouverture-échancrure dans une  sorte de fichu textile, ; etc ; nous voulons comprendre cette chose en wsoi, devant nous, cdette fissure bouillante et brûlanrte, cet enfer de compagnie ; nous cherchons à comprtendrev ici les raisons qui nous motiventv et ce qu il en est pour nous de ppareille bouche ouverte (ce feu sous la braise)  ; nous cherchons u,ne vérité brulante, ou bien : nous cherchiiiions une v érité de poids, brûlante, la voilà  ; nous vouliiiions une  érité chaude et vive comme xdu sand$g chaud et bouillant, la voilà ; nous sommes xservis ; nous sommes entrés dans la paroi du temps, avons fait nos présents, sommes entrés par la bande en pareille roche du temps pour nous poster plus loin sur une berge du temps présent, ici en roche, sur paroi orneme,ntée, et là direct fissa sur ce chemin xds’abord poudreux, asséché, entree deux vagues dressées à nos côteé, pour un bord de précipice ou commùent  volcanique  ; nous avons cette chan,ce pour nous de pouvoir comprendre cette chose d’une voix en nous qui gronde, sort du trou saignant de notre bouche et va fissa à se loger en ce trou bouillant, fiév reux, d’un volcan qui sourd de la tterre meuble ; nous pensons que nous devons poursyuivre ainsi et ne plus l^aacher la chose en  c hjemin , mais toutb au contraire maintenir le train d’abord, et fissa nous coller à la chose, la conduire ainsi sur le ou les devants de cette vie qui s’ouvre comme une fissure, une échancrure etc ; nous sommes ensemble pour cela que nous avons à faire en cette roche de paroi ; nous devons comprenxdre ensemble ceztte cxhose des données de roche à la lumière d’une braise, d’un feu souterrain , de grotte, de prairie, etc ; nous voulons savoir cette chose d’un feu souterrain qui est la voix du monde (gutturale) des embru n s etc ; nous chezrchons une réponse à uner question et cette réponsqe nous la cherchonsen intrapa rieétal, en cettez roche de paroi, en cette pierre dure de terre mère, etc ; nous voulons comprendre ensemvblke et cela est cette chose pour nous que nous cherchons à encore et toujours développer ensemble = de concert, pour une juste appréciation des choses (agglutinées) du monde ; ici les mots sont qui demeurent comme des étais inamovivbles, qui nous donnent mùatière à percer cette roche du temps pour la mieux connaitree et la pénétrer fissaa à deux, et en elle poursui vre toujoursc à deux notre drôle d’aventure patriétale (musicale)  ; nous sommes deux ainsi qui reentrons en cette paroi de préhistoire, en cettte roche ornementée d’une grotte réputée, et ensemvble nous «voyageons» en elle , main dans la main, au beau milieu des betes de roche, des ours de cavernes ou des rennes, pour aller en elle dans les profondeurs et toucher les confins vaporeux puis volcaniques, les confins de braise après les embruns marins ; le trou d’en roche fumeux, ce trou en roche, qsui est cette entrée brûlante (saignante ?, ) , rouge vif, brun dur, brun bouillant d’un enfer de terre, d’une zone de feu (une terre de feu) comme d’une sorte d’entrez en matière, de porte des enfers juteux, etc ; nous allons le plus loin possible en pareille terre de feu qui est cette chose devant nous où deposer nos temps de vie (présentrs) en guise d’offrande : feu contre feu, « fioc contra fioc », ou comment dit on ?  ; nous sommes ainsi qui alloo ns profond  nous bruler les ai ;lles ; il s’agit pour nous de trouvezr des motsq à l’échelle d’une vérité stellaire (céleste ?) de bonne =mesure ;  n

ous pour le coup essayons de grapiller ici ou là des brins de v  érité qui puiiwsent « le faire» à tout kjamais comlme une vérité se devrait de le faire ou ettre ; nous voulons comprendre ce pour quoi nous sommes là, etres de chair et d’os (de douleurs diverses) etc, ; et cela ainsi, ici, dans (en) cette eglise prairiale, paroissiale (?) ou pariétale, en cette roche des temps, parmi les aurocvhs et les rennes et les chevaux ;  nous cherchons la vérité dans les embrunspuis dans les fla:mmes de l’enfer marin (de lma mer desseéchée pour nous laisssr passer)  ; nous sommes entrés dans le temps, le temps est nbotre tourment et notre loge ; nous pensons que nous decvons rester vlongtemps ainsi dans ce temps de l’acceuil rocheux ; nous avons à comp^rendre ici c  ette chose d’une pensée forte, ici même dessinée, en forme de donnée rupestre ; nous voulons comprendre cette pensée (animalière) à la lumière de ce feu de torche infernal ou commentt ? car nous sommes nous mêmes des enfants du feu souterrain, de cette forme de feu qui nous b rûle un peu a&ux encoignures ; nous lévitons ; nous dessinons ; nous sommes pris d’assaut (littéralmement) par une betye monstre en nous qui nous intime, nous oblige, nhous pousse, nous fait agir, etc ; nous sommes sous sa dépendance cé&leste  ; nous sommes soulevés come fétu de paille dans le vent ; nousq sommes légers et nous sommes pris par des mains de betes qui nous soupésent, nous soulèvent ; nous sommes à la merci d’un vent de roche qui, ici, sous nous, souffle sa chose et nous maintient ainsi sous son «aile» , et ainsi faisant nous maintient dans les airs qui nous voient dessina,nt sur roche, qui des buffles, qui des chevaux en bande, qui des aurochs, qui des cergfsq etc ; nous sommes ainsi soulevés et soupesés ; nous sommes des etres soulévész ; nous sommes des hommes et des femmes de la préhistoire qyui tentons ainsi de faire cette chose d’»une e,ntreé sur roche par le trait de roche ; nbous essayons d’entrer en cette roche dure via le tra it de roche ; nous voulons essayer de co:mprendre cette chose pour nous, comme quoi nous sommes sommés ou quasimeznt sommés d’entrer de la sorte en, paroi de grootte, et traverser les couches natives, et creuser ensezmble un sillonjusqu’aux confins de  ette roche dure, cette roche en dur de paroi, et en elle trouver la raison prenm ière, la cause des causes, cette choàse déposée en termes de vérité vraie, cette chose en prise, digne, debout, béante, etc, qui est cette vérité de bon aloi (animalière) qui nous attend au coin « du bois» ; nous voulons comprendre cette affaire de vie et de mort à la lumière d’une sorte d’incidence terreswtre ; nous voulons de fait aller en paroi comme à l’i,ntérieur d’u ne église où donc se logezrait lm’esprit du temps, cet esprit frappeur de gouvernance haute, etc ; nous voyons cette chose devant nous, il s’agit d’une bé»a nce : nous passons la tete ; nous voyons devant nous cette chose et de quoiu s’agit il ? d’une sorte d’in tezrtstice dans lequel il est hjuste ici de se plonger fissa, et ainsi aller à la rechezrche de la «vérité des sphères» ; njous pensons que nous devons forcer l’allure et (par la vitesse ) entrer en cette dureté de roche du temps, et là : faire cela que nous faisons, faire ainsi que des choses dites puissent accuei:lir en leur sein serré des paroles d’éternité pariétale, ou autres dires de bonne tenue dan,s le vent ; nous pensons qU e nous devons aller, dans la profondeur de la roche, rechercher des choses oubliées, dépôsées par on ne sait quyi on ne sait quand, ouevres totales, depots de munition, art du paraitre, deéveloppements langagiers ruraux, pastilles diverses, etc ; nous cherchons ainsi, en ces endroits reculeés, des vérités de bhonne tenue, des mots de fin de ba,nquets, des choses à ne pas dire ou bien des choses déposées par inadvertyance ou comment ?  ; nous voulons depoitrenailler la chose et faire en sorte que, les données recueillies ici ou là enn pareille roche pariétale, puissebnt apporter leur comptant de vbérités à se mettree sous la dent ou autrement ; nous cherchons à comprtendre ici cette choses comme quoi nous plaçons ceette grille d’accueil, ce filtre langagier inondant le trajet, inondant cet ensemble ense mblier, et ce faisant, nous faisons en sorte que pareille grille ou pareil filtree puiisse etre en mesure d’accueuillir des mots de v érité vraie, tangibles, de bonne tenue dans le vent etc ; nous créons des conditions dx’ac cvueil langagières etc ; nous pendsons que nous devons agir de cette sorte, et prendre pour nous ainsi ces données brutes de parois (ces anima ux-mots) afin de les porter au loin , bien plus loin, ; vers les confins où donc la terre brulerait sa mise terrestre, où donc bruleraient des betes marines ou quoi d’(auutre ?  ;nous sommes ensemble sur une roche bambinesqUE aux accents de vé&rité, nous avançons serrés, bras dessus bras dessous ou main dans la main, nous avançons à deux, en couple associé, en associés qui vont sur le devant de vie se poster, bnous avançons à deux, nous sommes deux, nous sommes accouplés, nous nous serrons l’»un contre l’autrte, nous voulons ainsi entrer couplé ou accouplés en pareil:le roche, comme des betes qui se montent incidemment, sans plus de retenue  ; nous essayons d’entrer ainsi en pareille roche du temps et  ici même de nous y loger un temps (déternité) pour comprendre les données terrestres dans leur profondeur et dans leur teneur en termes de  véracité, de tangibilité ; nous sommes ainsi qui déployons notre grille langagière de cette sorte que nous faisons, comme d’un filet de pecheur sur une mer (dans une mer) étale (etc)  à la recherche d’une vérité que nous pourrions pêcher ainsi ensemble (tenant le fi ;lets, de cette sorte que nous faisons : aux quatre coins) ; nous pensons que nous sommes en mesure pêut-être de pouvoir un jour pêcher ainsi un gros pôisson (freudien, ) en diable ou autrement) et  ce poisson le déposezr ainsi sur roche, sur paroi, comme une effigie de bon aloi ; nous voulons comprendre le plus possible de choses de cette roche, ou sur elle, et ensemble (quatre coins) aller vers cette vérité de roche dure, en elle, la trouver comme on déniche une couvée ou comme on découvre le pot aux roses de toute une affaire pôstée en amont, ou comme on soulève un lièvre, ou comme on tombe sur -un coffre-fort remplis de pierres précieuses, ; de colliers en or, de joailleries, etc ; nbous comprenons cette chgose comme quoi nous avons à nous introdyuire en cette roche préhistorique de la grotte x ou y, et en elle tomber sur des perles, ou bien trouver des betes dessinées à main levée ;, des betes de ghrotte = des ours ou bien des chevaux gravés ou dessinés à main levée par un homme (ou une femme) des cavernes, au débotté, soumis à des forces en lui (en elle) qui le ou la pousse à agir ainsi, sur roche, au son des teambourins, des flutes rusttiques ; nous avançons parmi les betes, nous suivons bambi notre guide de toujours, nous regardons les lointains, nbous regardons au loin la lumière bleutée des sphères a érées ; nous compreznons que quelque chose au loin se passe (se trame) et que cette chose est une chose d’envergure, de grande importance: une mer s’ouvre sous nos pas, nous en recevons les embruns sur le visage ; une mer grande comme une ma rée, comme un paysage, comme une :langue etc ; nous pensons que nous devons ensemble suivre ce chemin tracé, cette voie asséchée ; nous allons sur  ce chjemin ensembvle à la recherche d’une vérité avéreé, une vérité en mots-animaux qui nous donnerait (ici) cet élan (vital) pour continuer sur pareil sentier, de cet élan dont nous avons besoin pôur aller et poursuivre ainsi notre chemein commun, notre chemin de destinée co:mmune ; nous vopulons comprendre le fin mot de cette histoire de paroi céleste, d’aurochs des rochers, ; de betes ancrées en pareille roche pour l’éternité, etc ; qui est c e dieu de la roche dure ? qui donc préside auwx destinées du monde marin ? qui est le roi de céan,s ? quel animal royal est de la partie ? que penser des embruns nacrés et des sphéères bleutées ? qsui dit le mot de la fin ? quel est le mot de la fin ? qui préside aux destinées terrestres ? qsui voit tout et entend tout en pareille rocxhe ? qui est bambi ? une soeur de sang ? une beauté des prés fleuris ? la femme ou la femmelle du géant des prés, celuyi aux bois dorés, celui -là qui trône sur les lieux de féerie ? qui est cette bambi desq temps rocheux, des temps incertains, des temps nacrés, des temps pariétaux, qui est elle ?  ; nous somlmes emplis de toutes ces questions en nous, qui sont questions d’homme et de femme des ca  v ernes, et ces questions nous voulons les déployer à) meme la roche, en termes de motrs-animaux, ou de betes-mots, ou de mots-betes, ou de mots-abbimùaux qui p)aradent de concert et viennent figurer un peu de cette vie de nous, d’un temp^s passé en vie, qui ressemble à s’y méprenddre à de la vie en vrai mais en vérité n’en est pas le moins du monde : un trésor d’ingénuité, un pis-aller, un présent posé sur la roche, e,ntre deux bras de mer redressés, pour une sorte de tromperrie initiale d’un cerf de compagnie, ou qui d’autre ? nous avons pour nous cette chance de pouvoir aller à travers la roche voir bambi des prés, lui rendre vvisite et lui  parler du pays ;

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24/02/2021

nous pensons à l’homme des cavernes ; nous pensons à la femme des cavernes ; nous voulobns comprendre les ressorts intimes, secrets, les passages en paroi tete première, les entrées en roche, et cette poursuite sur la lande ou la prairie, et cette arrivée magique en ce sein des seins aux embruns ; nous cherchons à comprendre les choses de paroi qui donc se trament entre elles en cette roche ; nous voulons comprendre le pourrtquoi du comment des choses adviennen,t en paroi (en roche) au beau milieu de toutes ces bêtes dessinées au charbon de bois ; nous comprenons l’homme des cavernes en tant qu il est ce dessinateur, ce graveur sur roche  et cela ensemble (nous le comprenons) , et cela main dans la main ; nous voulons nous poster en cette ouverture d’une mer étale, entre deux langues de vagues, etc, qui pres de nous se dressent, sont ces vagues debout qui c-réent le passage ; nous sommes pres de ces vagues redressées, nous marchons sur cette voie de fond de mer  ; nous sommes entrés en cette chose d’une voie de fond de mer comme asséché ; nous sommes main dans la main et poussons plus loin encore notre visite ; nous voulons comprendre cette chose d’une entreé ensemvble en cette chose d’une mer ouverte (offerte) entre deux vagues redressées ; nous sommes nous deux qui voulons comprendre le fin mot de toute cette affaire et bien évidemment il n’est pas facvile du tout de comprendre ce fin mot, il est m^meme particulièrement difficile de comprendre ce fin mot hélas, hélas car nous sommes avides de compréhensionb, nous sommes comme des morts-de-faim en,n cette chose, en cette matière ; nous sommes comme des morts-de-faim en matière de compréhension, en matière d’intelligence concernant un ensemble de données, etc ; nous voulons activer notre intelligence de vue, et pour cela nous nous associons au wsein d’une sorte de confrérie qui est la confrérie «des embruns» pour aindsi dire ; nous pensons que nous devons allerr le plus loin possible en cette roche de paroi, jusqu’aux embruns et à la mer étale ; jusqu’aux embruns et à la vague redressée ; nous sommes ensemble pour comprendre cette chose d’une vague redressée, à nos côtés, qui est la vague qui nous ouvre le chemin vers une sorte de visite à) prolonger à deux ; nous voulons comprendre les ressorts secrets de pareille visite en mer ; nous comprenons que nous avbons affaire à une vague redressée, debout, qui tient droit ou qui se tient droit, vague debout pour un passage de notre mobile ; nous voulons comprendre cet ensemble de choses de mer, et ensembvle aller loin sur ce chemin en tant que visiteurs d’un certain genre : des hommes et des femmes des prairies, et des gouffres, et des cavernes, etc  ; magdaléniens, aurignaciens, etc ; nous sommes entrés dans une mer par une porte ouverte ; il s’agit pour nous d’une entrée en matière ; nous comp^renons ce qui se trame sous nos yeux, et cela qui se trame est cette chose, d’une béance de paroi, une grande et douce ouverture de mer, une grande ouverture de bouche, une faille dans la paroi ; une transe ici, qui est la transe d’un bord de mer ; nous essayons d’entrer en paroi comme dans une sorte de mer ouverte (qui s’ouvre sous nos pas)  ; nous voyons que nous avançons au sein d’une mer qui s’ouvre au fur et à mesure devant nous et ne nous mouille pas ; nous comprenons cette chose comme quoi nous entrons en un lieu qui s’ouvre poeu à peu , à) mesure que nous progressonsen lui, et jamais ne nous touche (toc) ; non : jamais ! ; jamais nbous ne sommùes touchés (mouillés) par la vague redressée à nos côtés ; nous ne sommes jamais touché -mouuillé par cette vague qui se dresse, comme un jet d’eau dans un bassin, un jet d’aeau comme gelé ; nous co:mp^renons que cette chose est étrange, est belle aussi, est forte de café ou comment dire ?  ; nous savons que nous devons poursuivre sur ce chemein ici trtracé par une «bambi des embruns» ... qui est partie où d’ailleures ? où est elle allé notre bambi de roche ? où donc notre bambi de roche (et de pré) s’en est allé ?  ; nous cherchons à comprendre où bambi a bien pu aller se loger en cet endroit particulier d’une mer ouverte, echancrée ; nous cherchons à comprendre cette chose (d’une sorte de disparition de cette donc bambi des prés et des sous bois)  ; nous cherchons bambi du regard et ne la trouvons pas : où est elle donc passé bambi ? ; nous voulons essayer de comprendre où donc bambi s’en est allé en c   et endroit particulier qui est ce lieu dit «des embruns» etc ; nous cherchons, nous ne sommes pas en reste de chercher, nous cherchons assidument, nous n’arretons pazs de chercher du regard ; où donc bambi s’en est allé ? nous l’ignorons ; nous voulons savoir, nous cherchgons à savoir, nous ne sommes pas en reste de vouloir savoir ; nous voulons comprendre ce pourquoi et ce comment d’une disparition dans les embruns d’une roche de paroi ; nous sommes nous mêmes inclus et nous regardons autour de nous et nous ne trouvons pas, npous ne voyons plus bambi, elle a dispareu ; mais diantre où donc est-elle allé notre petitoune ? où donc bambi est elle-allé en pareille zone aux embruns ?  ; nous comprenons que cette chose est drôle ou sinon drôle , qu’elle est étran,ge, étonnante ; nous comprenons que bambi s’est envolée, volatilisée ou alors comment a-t)-elle pu dispa raitre en si peu de temps ? nous ne comprenons pas comment bambi a pu disparaitre ; nous ne comprenonds pas comment notre bambi des prés a bien pu disparaitree sous nos yeux qui ne la quittaieznt pas d’une semelle pour ainsi dire ; nous voulons comprendre pourquoi et comment ; et pour cela nous regardons à droite et à gauche, devant et derrière, en haut et en bas, et que voyons nousq ? la roche blezutée, la paroi ornementée, les betes dessinées ou gravées, les vagues redressées, les embruns, le ciel, le fond de mer, etc ; nous comprenons que nous sommes des e,nfants qui a llons en cette mer ouverte à la recherche de notre bambi pleine de grâ ce ; nous voulons comprendre lme pourquoi d’un comment a t elle pu , nous essayons de comprendre cette chose d’une sorte de disparition magique ; il s’agit pour nous d’activer l’ensemble des canaux de nos intelligences cumulées ; nous voulons savoir ce qu’il en est, et pour cela nous jouons (ensemble : main dans la main) de notre intelligence ; nous jouons de notre intelligence ensembkle (main dxans la main) et nous avanbçons sur ce chemin ouvert d’une mer qui nous accueille «à bras ouverts» pour ainsi dire et pour nous cela est étonnant, cela est surprenant et ne manque pas de nous interroger ; nous comprenons que nous devons poursyuivre encore et toujours sur ce chemin de destinée frontal, ou bien sur ce chemin frontal d’une destinée pa riétale ; ou comment ? car nous sommes deux qui allons en cette roche fissa nous introduire ; nous sommes deux qui ensemble allons en cette roche de paroi nous lover pour la bonne cause ; nous cherchons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi d’accueil, comme une mer qui nous ouvrirait ses bras pour nous accaparer ; nous comprenons que nous avons affaire à des betes de roche, en n  ous (qui parlent pour nous), et vont à se loger en pareille paroi de grotte, au charbon de bois, sur une mer étale ou comment décrire cette zone de repli, cette certitude aux vagues dressées, etc ? nous savon,s que nous devons fouiller ensemble, plus avant dans les connaissances ; nous sommes deux qui allons ensembvle, en cette paroi de l’homme des cavernes, temporelle et temporale etc ; nous pensons que nous devons agir ensemble et creuser le sillon ensemvble, cette chose d’un tracé de route, etc ; nous pensons que tel est notre voie à tous les deux ; nous poussons cela de cette façon, cette pensée ; nous cherchons à comprendre ensemble à nous poser ici ou là entre deux vagues et là : comprendre les données, c’est-àdire les prendre par devers nous et les observcer à la loupe ou quasiment (etc) et conclure ; quoi ? comme quoi nbous sommes deux en nous mêmes, et aussi comme quoi nous sommes armés d’un pic en nous animalier , qui cherche à sortir de nous de mille manières, etc ; nous savons un certain nombre de cxhoses, nous connaissons le petit nom de cette biche devant nous: c’est bambi ! ... elle est réapparu ! elle a ressuscité pa rol ;e ! il faut croire cette chose d’une sorte de résurrection d’une bambi des prés ! nous pensions qUE bambi avait disparu de la vie pariétale, et à présent la voilà qui resurgit devant nous et qui parade, qui s’ébroue, qui nous regarde pa r en dessous, qui fait la belle et agit de ses charmes, etc ; nous voyons devant nous cette bambi des prés (des roches, des rochers) qui est cette bambi qUE nous suiviiions ensemble pas plus tard que tout à l’heure ; nous sommes ensembvle des etres qui aimons cette bambi de la roche ornementée ; nous voulons cette bambi poour nous = la suivre du regard, la suivre pas à pas, se laisser mener par le bout du nez, avancer ou progresser en la matière, cest à dire en cette matière d’une destinée entre deux va gues redressées ; nous essayons de piger (comprendre, cerner, soupeser) ce qu’il en est de cette bete des roches, en cette mer ouverte, devant nous, qui se dresse et fait mine de vouloir etre suivie par nous ; nous voulons comprendre les ressorts de cette invitation ; nous comprenons que bambi nous fait du cxharme ou bien  ous trompons-nous ? que peznser d’une bambi qui nous ferait du charme et ce afin d’etre suivie ?  ; nous comprenons que cette bamlbvi des prés devant nous est une bambi qui veut etre suivcie ici, entre deuix bras de mers pour ainsi dire, et qui dit suivie dit appréciée, etc ; nous voulonbs la suivre car nous l’aimons ; nous solmmes friands de cette chose, d’une découvertte, d’une découverte d’un secret etc, car nous sommes des en,fants (encore) qui pensons que découverte sur la terre est belle destinée humaine ou quelque chose d’approcxhant ; nbous comprenons, que nous devons encore et toujoures poursuivre sur cette voiie ou dans cette voie qui nous est tracée au-devant de nous (ce trea cé du temps pariétal, cet espace de lumière)  ; nous voulons comprendre l’art ici en tant qu il s’agirait d’une entrée en matière entre deux bras de mer redressés ; nous pensons que nous devons comprezndre ce mot «art» en tant quil s’agirait d’un don de soi sur le chemin, de l(‘entre-deux-vagues de lma mer étale, bleutée, aux embruns, d’une paroi de grotte préhistorique ornementée ; nous pensons que cela est cette chose, pour nous, ici bas, ou ici haut, en paroi du temps, parmi les betes qui sortent de nous, en lévitatation ; nous sommes hommes et fe:mmes en transe qui a llons loin sur ce chemin d’une visite «de courtoisie» dans un entre-deux ; nous pensons que nous devons de fait nous poster ensemble, en roche , pour comprendre les arcanes, le tempds de lza vie sur terre offert en échange d’un sauve-la-v ie etc ; nous pensons qu il nous est nécessaire (art) de faire ainsi que nous compreniiiions ce qui est ici (paroi) qui se trame (temps)  ; nous sommes pârtis pour = nous sommezs nous deux paertis pour ce faire, bien partis en l’occurence, ou disons que nous sommes bien partis pour ; nous penson,s que nous devons poursyuivre sur ce chemin, d’un tracé xde biche , sur ce chemin d’un trac-é de biche dite «bambi» ; nous voulons nous asseoir sur la terre meublke un temps, regarder tout autour de nous l’ensembkle des données de type rupestre, n comprendre un maximum ce qui ici se jouee pour nous, regarder au loin et au près(de près, etc)  ; nous comprenons à présent beaucoup de choses concernant cette question d’un art qui serait ce don de soi sur un devant de soi : la mer est ouverte, le sol  est en effet jonché de choses déposés par les courants ma rins du temps ; nous avons devant nous une mer ouverte = une fissure dans l’espace-temps de la paroi de l’homme des cavezrnes : un interstice, un e cupule, un trou de roche , faille, fissuration, fistule etc ; nous essayons de rassembler en nous mêmes nos pensées, et d’en avancer ainsi ; nous voulons comp^rendre le plus possible de choses concernant cet ensemble de données concernant la question de l’art dans le monde : qui est il ? quoi est il ? pour quellkes raisons est il et dsans quelle mesure peut on le comprendre (le prendre) ?  ;   nous cherchons des réponses à beaucoup de questions que nous nous posons   ;  nous ne sommes pas en 

manque de questions, nous collectionnons les questions, nous sommes pleins (nantis) de questions de toutes sortes en  nous (l ;angage des op^érations) etc ; nous pensons que ces :milliards de questions (philosophiques) sont des gouttelettes d’une mer de roche ; nous pensons que nous devons aller loin en pareille voie d’ouverture, en roche et sur mer ou disons sur ce sol asséché d’unec mer étale ouverte (sectionnée) en son milieu ou commeznt ? car nous sommes sur cette voie, ouverte (offertte), comme dans un sas de randonnée pédestre ou comment dire ?  ; nous essayons de comprendre nous deux ce qu’il en est de cette chose, que nous nous devons de comprendre ensemble, d’une destinée à pieds sur un chemin de randonnée ou autre chemin de balade ou de promenade ; quel est il ? quel est ce chemin ? où va t il ? quel est ce chemin qui semble tracé de main de maitre ? ou pas ? non si bien tr$acé ? que penser de cette échancrure dans le paysage ?  ; nous solmmes ensemble et (assis en tailleur) nous nous posons un grand nombre de questions con,cernant la question du cvhemin de tra vezrsée ; nous pensons que ce chemin est (devant nous) une voie vers l’avenir, vers des temps futurs, qui sont temps pariétaux et temporaux ; nous pensons que nous sommes cezrnés par des paerois de bords de mer, ou comment expliquer pareille chose qui serait comme une sorte de prison, ou bien de contenant, etc ; nous pensons que nous sommes inclus dans une roche ou roche des temps dont nous ne voyons pas vraimeznt l’ensemlble des pârois la délimitant ; nous voulons sa voir un maximum de choses ici, en pareil lieu de mer ouverte, et pour cela nous nous reposons un peu, c’est à dire que nous nous posons un tant soit peu, assis en tailleur, au beau milieu du paysage etc ; nous voulons aller loin en cette roche des temps qui est celle d’un possible encore homme des cavernes en nous ou peut être pas un homme, une femme ? un enfant des cavernes ? que penser ?.  ; nous pensons que nous devons nous accrocher encore et toujours et ne pas flancher : tenir à la vie, mais comment tenir à la vie ? par quel bout teni-r ?  ??   ; nous essayons       de nbous approcher le plus possible cde ce point de mire à l’horizon , de ce point en la personne de bambi, de cette «personne» dite «bambvi des embruns» ; nous sommes ensemble qui voulons comprendre cette bambi à la lumière d’un art du faire allégeance ; nous voulons comprendre le pourquoi bambi est cette bete devant nous qui nous interpelle (etc)  ; nous cherchons cette chose ensemble = main dans la main car 1 l’union on l’a dit fait la force, et 2 car nous sommes unis pour la vie, et pourquoi cela ? car nous sommes soudés ! et pourquoi cela ? car nous nous aimons ! et pourquoi cela ? car nous sommes pres l’un de l’autre, accolés-collés en de nom

breux points de suture etc ; nous pensons que nous devons regarder autour de nous et cela est que nous le pensons ensemble (accolés) en tant que nous sommes unis pour la vie comme deux parties conjointe et se faisant face ; nous pensons que nous devons ensemble voir le chemin de la mer comme celui qui pour le coup nous tend les bras comme un bienfaiteur de l’humanité ; nous voulons essayer de comprendre le plus que nous pouvons et cela ensemble c’està dire conhjointement c’est à dire main dans la main c’est à dire une prière c’est à dire un couple, c’est à dire deux etres accolés comme des mains dans la prières (deux mains)  ; nous pensons que nous dezvons comprendre encore beaucouyp de choses et cela est une évidence à nos yeux, et ces choses les comprendre (les saisir) à la lumière (bleutée) des embruns de la roche du temps, de cette roche multi-focale aux beztes de charge, aux buffles, aux chevaux, aux antilopes, aux bouquetins, aux ours et autres lions des cavezrnes ; nous regardons paitre les betes de s roches, nous les voyons excellement représentées qui vont et viennent sur iune paroi ; nous voyons ces betes aller et venir autour de nous et nous comprenons qu’elles sont nos très chères amies qui vont et qui vciennent et ce autour de nous qui sommes soudés, collés au milieu d’e  lles ; nous voyons ces betes autour de nous qui déa mbulent, et nous de nous poster en bord de mer (paroi) et de rezgarder l’horizon aux bambvis des p)rés etc:  nous pensons que nous devons ensemble rezgarder autour de nous et tenter de comp^rezndre le maximum de choses concernant ces cxhoses de la vie sur terre et de la mort sur terre et audelà ; il y a cette choses de la mort sur terre, et cette autre chose de la mort en dehors de la terre ; où va t on ? nulle part ? comment pensezr cette chose, ? etc ; nous sommes ensemble qui espérons pouvoir un jou!r (art) aller ensezmble au paradis et là retrouver bambi des preés , bambi de l’horizon ;: nous voulons essayer ensembvle de comprendre cette chose d’une bambi qui serzait pour nous cette bete de l’horizon nacré de cette mer étale aux vagues tracées et redressées ; nous voulons sa  v oir pourquoi nous sommùes ensemble des etres de roche ; nous allonbs en cettre paroi comme des betes dessinées par des hommes de ces temps anciens (le magdalénien, etc) qui allaient sur roche tout pareillement à nous mais armés d’un baton brûlé ; nous pensons qUe la transe ici est cette chose de’une destinée qyuui, de fait,  échappe à la raison qui serait la raison raisonneuse des temps ; ,nous pen,sons quye nous devons aller encore et toujours au fin fond de cette pensée en nous qui est ceklle qui concerne la paroi du temps en tant que telle ; nous essayons de nous rapprocher de l’horizon, de cet hori zon nacré, blzeuté, du bord de mer ou du fond de la mer ou comment ? car nous voyons cette chose devant nous , qui est cette mer d’ouverture étanche ; nous voulons comprencdre ce qui est ici devant nous, qui nous tenons serré l’un l’autre, dans nos bras, cvomme qui dirait des amants accolés au milieu d’une foule intriguée ; nous essqayons de comprendre  ces betes tout autour de nous : pourquyoi ces betes syur roche, et non point des etres humains pa r exemple ou si pe»u et si mal «rep^résentés» ?  ; nous essayons de nous poster ainsi en cette paroi parmi des betes et  c ela en fdaisant mine de ne pas y etre, en nous jouant des charges autour de nous, les ignorant par la même, etc ; nous voulons essayer de comprendre cette chose pour nous d’une remontée des betes ezn nous puis d’une sortie d’en nous de ces memes betes pour une giclée de ces betes sur roche et une immixtion de l’ensemble de ces betes en roche, de l’autre côté de cet écran rocheux , à savoir dans la prairie d’une sorte de féerie bambinesque ; nbous pensons que tel est notre destin à présent, que nous nous devons de franchhir des caps, des obstacles divers, et d’aller loin le plus, et xd’alkler le plus possible loin, d’aller loin le plus possible en pareille roche aux embruns salés ; nous voulons comprendre cette chose d’une raison qui dominerait mais ne dirait rien qui (vraiment) vaille un clou de toute cette affaire ; il s’agit pour nous de comprendre les arcanes d’une sorte de chose secrète, tenue comme à l’écart de la tribu, immolée (?), immergée (?) , insérée en roche de paroi de grotte, et cette chose la tenir entre nos mains serrées contree ; nous pensons que nous avons à comprendre cette chose pour nous d’une raison qui ne saurait dire (jamais) le fin mot de rien , mais toujuors graviterait autour du pot aux rosesq ; nhous voulon s essayer de comprendre czla qui est que nous sommes insérés, en pareille roche du temps, qui est pour le coup la roche aux embruns, lza roche de mer ; nous voulons aller loin en elle et franchir encore et encore  les obstacles p âriétaux d’une roche dure, de cette roche dure qui est celle qui nous voit nous insérer fissa comme des morts de faim ; nous voulons comprendre ensembvle cet ensemnble de données rupestres exposées, et pour cela nous avons besoin de nous poser un tant soit peu mais tout de même ; nous devons nous donner ainsi un peu de temps devant nous, un peu de ce temps pariétal aux betes gravéesq, et zainsi sauver la mise un temps c’est à dire comme repousser les échéances ; nous sommes qui devons ain si (en semi-transe) aller de l’avvant (sembvlant de transe ....) et des lors nous poster ainsi, l’un l’autre, sur la ggrève, et regarder les embruns au loin, et cvomprendre les enjeux : k’art est une chose nue, l’art est une chose belle, l’art est une chose vive (vivante), l’art est une chose crue, qui va de l’avanht en roche comme une bete ; nous pensons que nous deevons nous poster ainsi en roche et ne pas faiblir mais tout au contraire en acvancer sur ce cxhemin de la connaissance ; nous voulons comprendre ensembvle les ressorts secrets de pareille roche du temps, qui nous voit ensemble nous positionner en elle comme des morts de faim dans un bvanquet ; nous essayons de  comprendre ce qui est de ce que nous voyons ici, et de quoi il s’agit ; or nous savons bien des choses en somme, nous savons un grand nombre de choses entre nous, nous les soupesons, nous les examinons, nous les regardons a ttentivement : il s’agit de trésors rupestresq ; nous voulons nous approcher de-’iune compréhension globale, compl ète ; nous vcoulons essayer ceztte chose d’une sorte de compréhension globale, qyui sa urait un ensemble et non pôint seuylmemeznt des pareties qui seraien,t commùe déta chées d»)--’une sorte de bloc que formerait cette chose en elle même ; nous cherchons dees solutions à des problèmes liés à une enfance ; nous comprenons que nous devons agir de la sorte et comme combler des manques (trous) de cette sorte  ; nous comprenons que nous devons comme c ombler des failles, ou des trous, ou plutot des manques en cette roche dure d’une grotte du sud de la france, et cela grace ou par une p

approche sensée des données rupestres ; nous cessayons de nous immiscer ensemble en cette roche et faisant cela, nous cessayons de nous introduire en son sein comme da ns une outre ; nous pensons à ce sein comme à une sorte de contenant clos mais qu’»en, sa vons nous au juste ?  ; la pâroi est la mère de tous les vices ? ; nous ne savcons pas ; nous pensons que nous devons apprendre beaucoup encore à propos des choses de la vie et de la mort, et pour cela nous allons dedea,ns la roche c’est à dire à l’intériuer d’une sorte de cavité aux betyes dessinées et aux ezmbruns na crés ; nous essa yonsq de comprendre le plus pour aemmaga siner le plus et en avancer le plus, etc ; nous eessayons de comprendre cette chose d’iune sorte de béartitude dans les formes ; nous essayons de comprendre ensemble cette chose d’une sorte de béatitude au sein de la roche des prés, de la roche aux biches, aux chevreuils, aux bois dorés, aux antilopes, aux bisons et aux aurochs ; il s’agit pour nous d’une sorte de gageure en cette cxhose que nous sommes deux à vouloir comprendre ensemble les raision,s qui donc présideraient à pareillke fête pariétale (une fiesta) pour lkes sièckes des sièckes ; nous voulons  nous approcher de bambi qui file loin, au loin, et nous pousse t(oujours plus a vbant à nous introduire en pareeille roche du temps ou des temps incertains(?), comme si nous deux devions ainsi devvenir des bambis nous memes ou comme si bambi la bien nommée voulait à tous prix fzaire de nous des bambis de souche, de bois, de sous bois comme ezlle ; est ce cela que cherche ou recherche bambi ?  ; nous soupesons ; nous essayons de voir ce quil en est au juste ; nous essayons de nous positionner en roche et sur la questionh, qui n’est pas fgacile en tant que telle, loin de là ; nous essayons de comprendre le plus de toute cette affaire co ncernant bambi et son horizon, la mer béante et ses embruns, le sol pierreux et jonchés de choses diverses en don, etc ; nous avcons devant nous cette béa nce, qui est trou de bouche aussi bien ; nbous essayons de nous rappriocgher de cette chose au loin qui va et vient comme une betye et en vérité il s’agit bel et bien d’une bete qui est, pour nous, cette bambi de roche du temps, ou des prés et prairies, etc ; nous voulons nous en approcher comme nous le ferions d’une vérité insérée dans une roche ; nous voulons nous poster ici (roche) pour l’éternité, à regarder aller bambi et venir bambi, et sautiller de tout son soul sur cette prairie de féerie ; nous l’aimons plus que de cxoutume cvar elle est la grace même, une sorte de marie des roches, douce et caline, tendre et gentille  ; la douceur incarnée, la gentillesse personnalisée, la douceur mêmùe ; nous pensons à cette bambi devant nous comme à cette chose en ouverture temporelkle, située à nos pieds ou pas loin, et qui est ce tempsq déroulé d’une pâroi (dure ??) existentielle ; nous chezrcxhons opar tous les moyens à nous approcher de cette bete de pâroi qui vca eyt qui vient sous nos yeux cvonjoints ; nous essayons cette chose de vouloir ainsi, nous deux, nouys poster à proximité de cette bamlbi des prés sautilleuse ; nous sommes tous les deux sur cette chose d’un vouloir de compréhension pariétale et voilà pourquoi ensemble nous en avançons sur ce chemin d’une sorte de tracé de mer ; nous sommes sur une portion de route capitale pour ainsi dire, en cela que nous tenons la barre et en avançons, fissa, sur chemin de croix et sur tracé de route existentiel ; notre but est là , poartout inscrit, qui est notre «vprogramme commun» ; nous voulons aller loin en cette connaissance des choses d«‘une mer de roche ; nous voulons aller loin en cette mer oubverte et progresser ensemble sur pareil tracé de fond de mer ; la cxhose est entendue ; nous sommes ensembkle en ce lieu pour une remontée de choses en nous (vivaces comme serpentins) quyi viendraient se loger sur roche, ici ou là, jonchant le sol du fond marin à présent découvert ; nbous comprenons que de nous remonte des cohortes animalières sous forme de déchets (?) ou bhien de détritus (? ) ou bioen de rejets(?) etc ; nous devons aller sur ce chemin et comprendre les raisons qui en  ous ont présidé à pareiille transe , et cela nous leb devons ensemble c(‘‘est à dire conbjointement, colmme des mains dans la prière etc ; bnous devons essayer de comprendre le pourquoi nous sommes ainsi comme plongeant dans une roche à lma manière d’un bébé nageur etc ; nous devons franchir lkes étapes les une apres les autres, et ainsi faisant atteindsre des zones de recherche à ce jour (?) inexplorées ; nous voulons de la sorte aller loin en besogne ensembkle et main dans la main activer toute notrte intelligence de tete, et franchir le ca,p de la roche (coup de boule) et dedan,s la roche mater, voir, regarder, visionner, reluquer, obsezrver le jeu guttural des bisons de roche, des buffkles des cavernes, des ours et des fauves ; nous comprenons que nbous avons encore beaucoup de chgoses à explorer ensemble ici même et que dès lors nous sommes looiin du bout, si tant erst que ce bout existat sur terre (ou ai ;leurs)  ; nous cherchons à cfomprendre ce quii nous atteznd (de concert) à l’extrémité (horizon) bambinesque du temps de la roche ; nous ne sommes pas sortis de l’auberge  ; sommes-nous sortis de l(auberge ? non ! et d’abord de quezlle a uberge s’agit-il ? ; nous ne sommes pas en,core sortis de lo’auberge ; nous avons encore un long (très long) chemin à parcourrir ; nous avons encore et touyjours un chmein long à parcourir ici même, en roche du temps, parmi les aurochs, kles mammouths ou les phacochères ; nous aimons bambi car ezlle est notre guide pariétal, qui sait nous guider à mperveille et nous permet de nous plonger ensembvle en cette mer étale (asséchée ?) qyi est cette chose d’un entre-deux-vagues dressées comme des piquets ; nous voulons ainsi comprendre ce qui est ici, de cet entree-deux marin, qu’est-il ?  ; nous essayons de comprendre ce tte chose d’une sorte d’ ouverture dans le temps, ou plutot de ce temps devant soi comme une sorte d’ouverture en bonne et due forme  ; nous voulons nous approcher d’»une sorte de vérité qui sezrait celle de cet entre-deux marin ; de quoi s’agit-il pour nous ?  il s’agit d’une échancrure dans un tissu ; il s’agit d’une faille dessinée ezt à approcher (main dans la main) pour l’intro

duire, nous y introduire, et passer ainsi de l’autre côté, côté»  

roche des embruns ; nous voulons nbous blottir en pareille roche et comp^rendre dès lors l’ensemble des enjeux qui sont ceux qui sont inhérents à pareille pâroi du temps ; nous entrons ainsi par une faille (la comblant un temps au passage) et une fois entrés nous nous a llongeons sur la grève et regardons passerr le train animalier de cette roche ornementée par tant et tant d’hommes et de fe mmesz des cavernes ; nous sommes ainsi munis dee notre pic à percer la roche et voilà pourquoi nousd pouvons ezntreerr en elle et nous y loger ; nous avons pour nous, des choses à comp^rendre en roche ; ces choses, nhous devons essayer de les toucher du bout du doigt, ces bambis dee roche : 1 les comprendre en tant que telles (qui sont-elles ?) et 2 : les touccher un tant vsoit peu, pour en vérifier la tangibilité de nature ; nous sa vons qyue le chemin est long qui mène au fin mot ; nous savons que nous avons encore beaucoup à cerner ensemble enn pareille paroi, et que ce cernage est loin d’etree terminé ; nous comprenons que nous devons a ller fissa en pareille roche, et cela  en cette zone aux embruns marins, aus vagues dressées, au ciel bleuté ; nous voulons nous introduire dan s la roche, comme dans une église, qyui nous contiendrait un temps, et nous soulageraeit de bien des maux qui sont les notres ; nous cherchobns à nouys soula ger en roche, à nous contenir (embrassades) et à nous soulager (repos à même le sol jonché de cette mer ouverte e n  deucx) ; nous voulons aller loin en cette mer béante, voir en elle  ce quil s’y joue, en termes de choses jonchant le sol asséché d’icelle ; nous pensons que nous sommes deux à essayer de comprendre ; nous sommes deux à vouloir comprtendre les enjeux de pareille ouverture (échancrure) en paroi ; nous sommes dezux qui essayons de toucxher bambi la bien venue quyi nous regarde du coin de l’oeil, de loin, depuis son monticule, et nous fait comme sign,e dxe la poursuivre ; nous voulons cette bambi la toucher du bout du doigt et voir ainsi de quoi il en retourne, c’est à dire de quoi bambi est elle faite en vérité  : de vent ? de nacre bleuté ? de nacre aux reflets ou aux effets bleuté ? de quoi est elle faite en v  

érité ? de nacre aux reflets argentés bleutés ? de chair et d’os ?  ; nous ne savons pas (jusqu’à preuve du contraire)  ; nous ignorons tant et tanbt de choses en vérité ; en vérité nous ignorons tant et tant de choses à p)ropos de tout ; nous ne savopns rien ; nous ne savons pas grand chose ; hjous sommeqs démunis ; nous sommes des enbfants de peu ; nous sommes des enfants de peu d’une roche de peu qui contient le monde ; nous sommes commes ces enfants de peu qui vont et qui viennent sur la grève : ils jouent à jouer ; njous comprenons que bnous sommesc ensemble des enfants de peu qui vont et qui viennent sur la plage ou sur la grève en s’amusant à qui mieux mieux ensemble gentiment (ou pas)  ; nous poussons ainsi le vice de vouloir entrer encore et toujours en cette roche du temps pariétal, et ce (encore ezt touyjours) afin de dénicher , de voir à) dé-nicher, qui un nid qui une vérité cachée ; nous voulons etre des qui dsécouvrent des secretds jusqaue là cachés ; nous voulons découvrir des choses pour nous, des choses concernbanht les ressorts secrets qui  régententb ou président à la marche du monde, régenten,t ici bas le monde de la roche dure, et président aux destinées des biches de roche et autres buffles ou aurochs de pierre ; nous pensons ainsi que nous avons à beaucoup comprendre encore entre nous au sqein de la roche du temps ; nous sommes bien entourés, nous sommes même encercxlés pour ainsi dire, pâr desq betes de paroi qui ont des noms que nous connaissons pôur la plupart : chevauxd, bhouquetins, phacochères, ours, rennes, lions, etc ; nous aimons nous situer parmi ces betes et les caresser à l’occasion (dans le sens du poil) et les amadouer aindsi ; nous pensons que bnous devons amadouer la bete afin de la tenir (de nous) à bonne distance c’est à dire à une distan,ce qui nous tienne un tant sqoit peu à l’abri de leurs ruades (on ne sait jamùais)  ; nous pensons que nous devons ain si aller en roche ensembvle, main dans la main, comme deux passe-muraille qyui s’infiltrent , une et deux, une fois pour toutes (?) en pareille roche temporelle, en cette roche dure d’un temps incertain etc ; deux passe-muraille pour une immixtion parmi des betes de przairie ; nous essayons ensemble de comprendre ce quyi donc constityue la trame d’un temps incertain, cet infini parietal (infini ?) qyui serait le lieu de la roche dure , ; nous essayons de nous indfiltrer en ce lioeu de vie dure, en cette roche dure d’un temps défini infini (?) qsui est ce temps marin des embruns ; nous comprenons que nous avons beaucoup de choses à comprendre ; nous essayons dès lors de nous approcher de tant et tant de vérités à cerner au mieux ; nous voulons cette choçsexcpour nou!s, qui serait, de nous allonger un temps sur la grève , sur la berge, sur la plage (etc) d’une mer qui s’ouvre (s’ouvrirait) devant nous, à la mesure de nos pas comptés ; que dire ? nous savons que nous avons de quoi penser la chose en nous, car nousw sommes «cortiqués», nous sommes munis d’un appareil de cxomprenure rupestre etc, et cependant nous savons aussi que la vie de roche est loin d’etre facile à «lire» etc, et que dès lors il nous est difficile de nous y retrouver dabns tout ce fatras de choses et autres qui jonchent ce sol de la mer ouverte (ouverte par qui ?  ; nous voulons (ensemble) nous approcxher d’une (sorte de) vérité de roche antédiluvienne , et cela en ce qui concxerne l’art, l’arty du faire sur paroi tout autant que celuyi qui cooncxerne plus précisement le mobilier trouvé en grootte etc ; nous ne sommes pasz chiches de nous parler abon damlment ; nous avons beaucoup encore à nous dire : nous le devons, car nous devons poursuivre coûte que coûte notre avancée rupestre, et ne pas flan,cher en route, mais tenir bon et se tenir l’un l’autre, c’està dire se relayer ; nous avons à comp^rendre beaucoup et pour cela nous devon,s nous tenir serré l’un à l’autre, faire front ense mlble, faire le dos rond ensembvle etc ; il sudffit de cettte chose entre nous, pour aller de l’avant à chaque fois : tenir, tenir debout, se réconforter, se motiver par la bande etc ; nous voulons tenir longtemps ensembvle en paroi car nous avons compris qu’ici (en ce lieu sacramental) bien des choses de poids advieennent, qui sauronbt nous donner peut être du fil à retordre maids p)asseulemen,t  ; qi sauront nous donner ou nous divulguer des informations de première main, des renseignem’»nts de tout premier ordre sur ces questions (qui nous taraudent) concernant les tenants et l ;es aboutissants des choses du monde ; nbous essayons de nous en tirer ensembvle ainsi, c’est à dire que nous cvherchons à nous plonger en pareille roche comme deuix bébés qui iraient ainsi en ceete eau de roche pariétale se lover pour se sauv er ; nous comprenons cette chose ensembvle et ce à la lumière d’une sorte d’éclaircie venant des lointains (cette lumière, cette lumière bleutée ou nacrée, ou bleutée et nacrée)  ; nous voulons aller loin en icelle (paroi) à larecherche d’une vérité ; les vérités sont toujours cachées et ceklles qyui ne le sont pas ne sont pas (plus ?) des vcérités ; njous comp^renons cette chose, et cependant nbous voulons nous engloutir en cette roche ensemvle et non séparément, car nous voulons toujours progressszr ensemble ezt non séparés ; nous sommes des enfants qui avançons en prairie du temps, près de cette bambi, des rocxhes ou des prés , qui nous guide pâtiemment de ces cils vibrants, ; elle noous intime à bien vouloir la suivre sur son chemin, scabhreux, de roche des temps (ou du temps)  ; scabreux ezn cela, que ce cxhemin est escarpé et remplis d’embûches de toutes sortes : liens du sol, embruns cachottiers, visions parcellaires, etc ; nous voulons nous approcher ensezmble d’une vérité» de la roche du temps et c’est pour cela que nous nous affichons ensemble, ici m^$eme, en cette zone pa riétale de fortune , en cette zone de la douceur ou de la dureté (selon) qui est pour nous une zone de repli, une zone de salut ; nbous voulons aller en cette zone ensemble, pour une étezrnbité de temps à passser ; nous voulons savoir ce qui est ici au dedans d’elle et cela le déclamaer ailleurs si nécessaire ; il s’a git pour nous d’une chance qui nous est donné&e, de pouvoir dire la chose crument, sans trop de peine, etc, devant un parterre, un parterre animalier, dezvant une biche élancée ou même un aurochs des plus chevelus ; nous déclamons à qui veut l’entendre la bonne pa role du chezrcxheur ou de la chercheuse ici de paroi temporelle ; nous dison,s que nous comprenons les eznjeux ezn termes de vie et de mort sur terre ; nous voulons essayer de passer outre les données brutes (pariétalesq) et voir loin le plus possible, loin c’est à dire profdond (entrailles) mais comment ? nous avons cette mer ouverte (tranchée comme une pastèque) et cette mer est celle, qui nous cvontient désormais (en son sein) car elle est asséchée et ouverte (béante) pour n-otre passage ; nous voulons avanvcer fissa ainsi sur ce chezmin sec ; nous voulons essayer a&insi, d’akller au dxevant de nous (art de la paroi) pour comprendre loin = profond = dur = en nous ; nous cherchons des réponses un peu paretout à) la surface de cette roche, et sur cette roche voir (pour nous) des signes de compréhensiobns, des signes tendus et dits «de co:mpréhension» ; nous regardons la roche (autour de nous) avec beaucoup d’attention, nous ne voulons rien perdre de tout cela qui est cette chose d’une offra,nde de données de poids ; nous regardons cette chose parioétale ensemble et comprenons quil s’agit pour nous d’une sorte de paysage à reconstituer ensembvle, en roche, et pour les si»écxles des sièckles (ou pas loin)  ;nous voulons aller loin en cette roche du temps des v érités nues ; les mots sont ceux que nous voyons gravés ou dessinésxcà même la roche ; les mots de la tribu sont ceux là même qui figurent sur une paroi   d’un e grotte souterra ine ; nous essayons de nous apporocher d’une vérité tangible (bambi ?) qui pôurrait nous apporter beaucoup, en termes de connaiswsance névcessaire à une entre é en matière en roche d’une manière telkle que nous puissions ensemlble y voir le plus clair (dégagé) possible et non point d’une manière montrant toute la betise dont nous sommes ou serions pourvus ; car nous deevons de fait aller loin au fin fond d’une paroi de conn&issance ; nous devons a ller tres loin, nous nous devon,s d’aller tres loin, nous sommùes tous deux qui nous devons d’aller tres lmoin ensembvle en pareille paroi «de la vérité» ; nous voulons savoir b eaucoup et comp^rendre les enjeux et, au delà des eznjeux, les raisons qui nous poussebnt à graver sur roche effigies pareilles (animalièresq) et non point la figure humaine ou si peu ; nous donnons (art) ; nous posons le temps présent au pied de la cxhose, qui est cette chose en bord de mer (?) ou bien cette autre en bord de paroi (?)  ; nous co:mp^renons que nous savopns ou comprenons que peu en défintive ; nous ne savons pas grand chose, ;, nous devons aller en cette roche profonde, à la recherche de savoirs de vérité, et pour cela nous employons la méthodse forte, à sa voir l’immixtion (brute) de notre moi en pareille dureté de roche ; nous poussons en vcette dureté et poussant sortons la tete (ou entrons la tete, selon le point de vue) puis le reste du mobile ; nous voulons comprendre beaucoup car nous devons ce faire car nous sommesq des enfants qui hjouons sur roche nos osselets et autres bricoles de jeu ; nous voulonsz aller en   c ette roche du temps ensemble et là nous tenir par  la main comme deux enfants dans la plaine, sur un chemin , etc ; nous sommes deux enfants qui ici nous tenons par la main (ne pas se lâcher) et qui entrent ainsi dans une grotte, dans l’espôir d’y dénicher quelques trésors cachés, etc, et nous voilà qui nous introduisons en pareille paroi ornemen,tée, parmi les beztesz deessinées par des hommùes des cavezrnes, et de là, pour poussserpplus loin en direction d’une béance (marine) d’une sorte d’ouverture ( bras de mer ?) qyui serait sccete sorte d’asséchement de la mer pour un passage huma&in (pédestre) sur elle, sur cette chgose d’une ouverture qui se voit ainsi copmme jonchée de choses et autres, de poissons morts, de coquillages, de bouteilles et autres détritus, de reliques diversesq ; nousvoulonsq aller en cette mer ouverte, comme sur un chemin de campagne ; nbous voulons entrer en cette mer comme dan,s une forêt, ou comme dans une église, etc ; nous sommes deux enfa nts qui nous tenons par la main ; nous sommes deux enfants qui nous tenons par la main et entreons dans cette église marine, qui est cepassage entre deux meers pour ainsi dire, aentre deux vagues etc, qyui est ce lieu des vérités bonnes -à dire, etc ; nous comprenons certaines choses ici à la lumière des embruns, des vagues nacrées, des bors de mer bleutés etc ; nous sqommes deux pour ce faire et nous en avançons, fissa, de cette manière ; nous essayons de comprendre ce qui est ici en matière de vérité, et pour cela nous préféreons nbous loger ensemble (mlain dans la main) un peu à l’écart et comme protéghés par les embruns ; nous nous tenons prêts à fa ir e (peut-être) des découvertes de premiuer ordre, nous ne savons pas ; nous sommes des enfants qyuui essayons ensemble de comp^rendre cette chose, pour nous, qui est que voilà, nous sommes des enfants qui cherchons à faire des découvertes au fin fond d’une grotte antédiluvienhe, et ce parmi des oçssements divers qui joncheznt le sol car le sol est vjonché dj’ossements divers mais pas seulement, le sol est jonché ds’ossements mais pas seulemen,t : il est jonché de détritus divers, mais pas seulement  ; le sol est jonché de détritus divers mais pas seulement car il est aussi recouverts de choses brillantes, nbacrées voire bleutés, qui sont des refletsq peut^$etre, ou quoi d’autre ? des goutteletresq ? des poussières ? de quoi s’agit il ?  ; nous voyons quil s’agit de choses précieuses ; nous comprenons que nous avons affaire ici à un certain nombre de choses (de pierres ?) précieuses et cela nous ravit car nous sommes des eznfants, c’est à) dire des en,fants de ravissement, desq enfants qui comme des enfants sont dans une sorte de ravissement (du moins un temps ?) et n’en sortent pas toujours ; nous essayons de voir devant nous ce qui est (cet art) de ce qui se tra me, et ce à main levé&e, peut ^etrre même en lévitation , etc ; nous sommes des enfants qui cherchons ensemble, à lm’intériuer d’une grotte, à découvrir des trésors cachés qui szeraient des semblants de vérité ; nous voulons nous immiscer ainsi en cet antre pariétzal d’un  temps de vie, et là (en cette chose dure) nous loger et rega rder ; voir quoi ?  ; voir des bestes dessinées par l’homme des ca vernes (par exemple)  ; des betes oudes figures autres, des points, des hachures, des cubes, des re ctangles etc ; il s’agit d’un monde, un monde est représenté, c’est à dire une complkétude et non n point une sorte de petite enclave rupestre ; nous savons que ce qui est représenté sur roche représente une complétude eytnon point simplement une sorte (à part) de collections circon scrite et réduyite ds’un monde étroit ou rétréci ; il s’agit d’une complétude ; il faut voir et comprendre qu ici nous avons a ffaire à une repreésentation totalisante ; il s’agit de comprendre cette chose ici sque ce qui est rezprésenté est à l’image d’un tout donné (en soi, en soi même) par une betee ; nous sommes envahis (pris d’assaut) par en nous une bete qui est celle qui nous tient la main quand nous dessinons ; nous sommes comme pris d’assaut par en nbous une sorte de bete qui (en notre intéerriuer, je souligne) mène la ba rque, ou mène la main ou comment, car la bete en   ous est une bete qui sait, et qui l’affirme hzaut et fort sur roche  ; que sait-elle ? elle sait ce qui préside (ou quoi p^réside) aux destinées  ! elle connait la musique des sphères ! elle sait touyjours à quoi s’en tenir concernant ce squi est posé sur un devant de soi (lart de la pose)  ; nous avon,s pour nous cette chose en nous qui est une bete forte ; il s’agit de faire acces pour elle, sur roche, et lui permettree ici de mieux appréhender les donnéeez rupestres en termes de pierre meuble en plus ou en moins ; nous voulons nous projeter ainsi sur (une) roche de groottte, et entrer en elle jusqu’au plus profond des ezn,trailkles de la terre ; nous voulons enttrer en cette roche dure le plus loin possible et découvrir dès lors ce qui est en elle qui nous est caché : de quoi s’agit-il ? ; notre but est très largement divulgué pa rtout (un peu partout) et des lors, nous savons que les autres savent, comme quoi nos ambitions sont grandes, qui nous font désirer approchezr l’accent (?) de la vérité , ici ou là, et plus justement (vraisemblabvkement) là-bas, au bout du bout, en cet horizon bambinesque ou bambesqUe, ;, etc ; nous voulons aller très loin dans la paroi mais où s’arrêzte - te

lle , nous l’ignorons ; nous voulons en,sembkle entrer en cette paroi comme nous le faisons et là nouys y blottir l’un l’autre et kl’un dans l’autre comme nous le faisons, et voir : voir les embruns sur les lointains nacrés, voir bambi chevaucher les temps pariétaux, voir cette chose devant nous qyui est un aurochs (visiblement) se pourlécher les babines , voir le ciel bleuté de l’entre-deux-vagues (ezntree-deux-mers ?)  ; etc ; nous voulonbs être les spectateurs de cette cxhose devant nous, qui est chose d’une délivrance ; nous pensons que nous avons à pour le coup toucher du doigt (un seul) ce bébé sorti des limbes et comprendre, dès lors, qu il ne s’agit pas d’un mirage (vue d’esprit) mais d’un v  rai bébé, en chair et en os (etc)  ; le bébé c’est lui ; le bébé est cette chose devant soi, qui est cette chose offerte comme le présent ou le présent du temps, offert sur roche (sur paroi) pour lkes sièckles des siécles et incidemment ; cxar nous sa&vons à présent que nous avons a ffaire àune sorte de bébé)--bambi, un petit de rien, qui nous pousse à suivre ses pas, ; etc, lmà-bas, sur la grève (berge ?) et ainsi faisant à entrer toujours plus avant dans le domaine de la vérité des roches ou de la vérité des parois rupestres (etc)  ; nousv a va nçons ainsi ensembvle main dans la main comme deux enfants qui se tiennent et ne se lachent pas ; nous sommes nous deux ensembvle enfants de laroche des temps incertains, qui allons ensemble, vers la vérité des embruns, des biches, des chevreuils nacrés à la lumière des lointains bleutés ; nous voyons passer le train animalier en cette roche des temps passés, nous voulons comprtendre cela qui est ici une sorte de cohorte, passante et tréhbuchante : perçante ; il s’agit pour nous de nous y retrouver dans cet amas de choses et autres jonchant le sol ; (des présents antédilucviens, des restes divers d’offra n,des faites, un temps, au dieu de la roche)  ; nous comprenons que nous sommmes deux, à devoir nous rendxre en ces confins (fin fond) de la vérité, nacrée, etc, d’un fond de mer ou de terre meuble ; nouys essayonbs ensemble de co:mp^rendre ce qui ici (en pâreille roche ornementée) préside aux a llers et venues des betes entre elles ; nous voulons savoir car nous sommes avides de savoirs de toutes sortes concernant les choses du mo nde ; nous voulons ezn avancer le plus possible sur le chemin de la connaissance et pour cela nous bousculons l’ordre éta bli, commençons par la fin , et reculons.... ou pas ? commençons par le commencement et avançons ? nous ne savons pas ; nous esqpérons beaucoup en l’avenir et pensons que seul celui ci saura nous montrer de quoi il en retourne en cette matière d’uune sorte cde fée clochette (tintinabulant) dont le nom sezrait bhambi, et qui, bambi, irait pour nous à la «pêche» aux renseignements de toutes sortes concernant les tenants et lesz aboutissan,ts, d’une délivrance pariétale, d’une naisqzance en roche comme ailleurs, d’une betye fauve ou pas, d’une sorte de betye qui irait fissa, sur roche, nous indiquer le chemùin à suivre (la voie d’abord ou d’engagemeznt)  ; nous sommes ainsi qui cherchons à comprendre loin et profond et si possible à restituer , à montrer haut (et fort ? fortement ? à voix hzaute ?) cette chose découverte ou de découverte : ce présent déposé sur roche du temps, ezntre deux bras de mer ; nous 

essayons de nous positionner au mieux en cette paroi, c’està dire pârmi des betes (comme de bien entendue) et cela dans le but de ne pas y perdre le nord, dans le but de touyjours conservezr un oeil sur le chemin que nous sommes en train de parcourir ensemble ; nous essayons de comprendre toujours où nous sommes, latitude et longitude, ou pas loin, car nous voulons en avancer dans le sens d’une progression notable et non pas dans le sens d’un retour sur soi à l’identique, d’un  retour au même point renouvelé, etc , d’un sur-place ; nous pensons que cela pour nous est preéféraBLZe ;, et que, nous nous devons de bien toujours nous repérer en pareil lieu de vie (et de mort) afin de ne pas nous perdre en chemin mais de toujoursq en avancezr sur la voie ou le chemin de la vvérité c’est à dire de la connaissqa n ce des paerois du monde ; nous devons agir ensembkle et tenir le cap longtemps entrte nous, entre deucx vagues déifiées ou comment dire ? car nous sommes deux (enfants) qui jhouons en bord de mer (ou pas loin) et tentons de comp^rendre beaucoup, sur ce qui se trame (les enjeux)  ; nous voulons aller le plus loin possible en cette roche du temps , et com^prendre en elle ce qui est qui nous attend (demain, aprèe-demain) en termes de bouche, d’oubverture, de béance, de plaie, de fente, de trou, etc ; nous comprenons que le temps de la paroi du monde est très en lien avevc cette béa nce dans la mer du temps ; nous sommes deux qui comprenons cette chose, comme quoi nous sommes ensembvle en pareille roche pour comprendre lkes enjeux qui ici président à une avancée conjointe (jumelle ou jumelée) d’un mobile foeytal, ou autre , en un antre pariétal ; nous avons à naitree ensemble, et celza nous le disons à lza fface du monde , ici mêm, sur la roche dure, comme un homme des paerois anciennes, etc, celui là même qui s’y connaissait un brin en la matière (etc) ; nous poussons ensemble et naisso,ns ensemble en pareille roche du temps pariétal et c’est ainsi que nous entrons tete première (en ce qui nous concerne) dans la pa reoi, c’est ç)à dire dans le temps ; car nous sommes deux (jumelés) pour une insertion du mobile et une délivrance en  c  et antre pariétal de la roche préhistorique ; nous essayons de comp^rendre le plus que nous pouvons de toute cette affaire de paroi de grotte , et pour cela nous nous tenon,s la main et poussons ensqemble pour une immixtion simultanée, concomittante, jumelé et coincidente de nos deux mobiles foetaux tels qUils sont de faits en nous mêmes ; nous pousson,s vers la berge ; nous sommes deux quyi naissons ezn roche comme aurochs ou rennhe gravés ; nous avons une chance inouie de pouvoir ainsi agir et faire cette chjose d’une sorte de poussée cxoncomittante de mùobiles ; nous poussopns ; nous entrons ; nbous poussons de la tete et entrons de la sorte en c ette roche dure, ce palais, cet antre rocheux , vers la mer ambrée, la mer scintillante, etc, qui est ce bord de roche lumineux, nacré de bleu , aux confettis, aux choses et autres qui toutes sont brillantes et embuées ; nous essayons de  nous immiscer eznsemble en cette roche dure de chez dure qui est cettte roche du temps impa rti (une vie) pour une éternité de pensée, etc, qui serait (éternité) une chose dure comme de la roche : une pensée clouée ;

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23/02/2021

nous sommes ensemble qui nous approchons de cette «bambi des prairies» ; nous sommes enesmble qui nous approchons de cette bambi des prairies ; nous sommes ensemble, enfants de la roche, et nous nous approchons de cette (fameuse) bambi des prairies  ; elle broute, elle nous regarde, elle a sur nous un regard de coin, elle est fine et vive ; elle est cette bambi des prés de la roche aux embruns, et c’est elle (ici) que nous voulons toucher, un tant soit peu, afin de vérifier (une fois pour toutes : une bonne fois) sa réalité, sa teneur en termes de réalité, de tangibilté ; nous somlmes tous les deux comme intrigués par la présence, en cette roche, d’une bete ainsi prénommée, et cependant nous savons que bambki est là, sous nos yeux, qui nous regarde d’un drôle d’air (ne nous quitte pas des yeux) et nous intime à la suivre (d’une certaine façon) en caracolant sur la roche  ; elle semble (ainsi caracolant) nous faire signe, et nous inviter à bien vouloir nous adjoindre à elles et cela dans le but de nous faire avancer (en pas) vers des lointains aux embruns bleutés ; nous la suivons  ; nous voulons la suivre ; nous sommes à sa suite et enchainons les pas sur roche, sur prairie, etc, ensem ble main dans la main, nous ne vla perdons pas de vue, nous suivons bnambi à la trace ou bien du coin de l’oeil etc ; nous sommes tres amusés par cette situation de poursuite ou de suite apres bambi des prés ; nous sommes émerveillés (de loin) par sa grâce naturelle, sa vivacité, son élégance etc ; elle en impose ; elle est réellement une bambi pleine de grâce et nous l’aimons beaucpou pour cette raison et pour d’autres raisons : son allure est telle qui’elle nous enchante, nous enrobe de son charme et nous attire dans ses filets ; nous voulons comprendre cette chose d’une bete (telle que bambi) en cette paroi(rupestre) du temps , et pour cela nous nous engageons à sa suite, sur ses eentrefaites, etc, et nous enchainons les pas en sa direction , etc ; nous sommes sur un chemin qui est le chemin de bambi ; nbous sommes sur ce chemin qui est ce drôle de chemin bambinesque de roche, qui est sur roche du temps un chemin de chèvre, de biche, de chevreuil, de bouquetin, de bison , etc : le chemin de l’animal gravé par l’homme des cavernes ; nous sommes pris (coincés) dans la roche du temps et c’est dans cette roche que nous voyons, et que voyons nous ? nous voyons bambi nous intimer de la suivre, avec ses yeux (ses cils longs) elle nous intime, elle nous fait signe, elle nous invite, elle nous pousse, elle nous entreaine, elle nous fait aller ainsi un pas devant l’autre, un pied devant l’autre et ainsi allant nous nous avançons cahin -caha de cette mer bleuté des embruns de roche ; nous avons fait un long chemin en roche à présent, et nous voulons gouter du paysage, nous poser un peu et voir ce qui nous entoure en pareil lieu ; il s’agit d’une roche meuble en son coeur (?)  ; il s’agit pour nous de comprendre la situatio n qui s’offre à nous, et pour cela il est bon (pour nous) de nous tenir la main, de regaerrder les betes sur roche (une meute, une tribu, un troupeau, une troupe) et de nous tenir ainsi, comme à l’écaert et comme à l’abri de passages de betes furieuses (intempestives, etc) qwui pourraient venir nous titiller les guiboles etc ; des lors, il est préférable pour nous de nous tenir à l’abri, à l’écart (un tant soit peu) des grands passages (cavalcade) sur paroi (cette troupe de chevaux en rut) etc ; nous voulons comprendre ce qui est de ce qu’on voit ; nous voulons comprendre ce qui est ici de cette chose d’un convoi animalier de roche : il vient foncer pres de nous, il est ce dessin furieux à même la paroi (au charbon de bois) de l’homme des cavernes ; nous pensons que nous devons nous tenir à l’écart de la furia animalière (on ne sait jamais) et plutot suivre là-bas notre bambi des roches ou des prés, qui nous attend patiemment, qui nous intime, qui a les cils longs qu’elle fait vibrer et qui est cette grâce élancée des embruns des roches, cette grâce de roche élancée, vive, fine, douce, et qui fait le pied de grue sur roche pour nous attirer , ou commen,t ? car nous la voyons qui se trémousse sous nos yeux et semble vouloir nous chaermer ; nous la suivons ; nous cherchons sa figure fine dans les lointains : sa silhouette  ; nous sommes à la suivre et à chercher notre chemin vers ces embruns de bord de mer (pariétale) ; où donc est passé bambi ? nous voulons savoir où elle est passée notre petite biche préféreé des roches ; nous ne savons pas où elle est ; nous l’avons perdu de vue ; où est elle )à présen,t ? que fait elle ? où donc a-t-elle pu se cacher que nous ne puissions plus la suivre du regartd ?  ; nous cherchgons bambi dans les lointains et oui la voilà qui revient, qui seprésente à l’horizon : elle a fait du chemein ; à nous de faire ce chemin après elle, et c’est ce que nous commençons à faire ensembkle, ce chemùin de roche, vers bambi des prés, et cela poour la rejoindre où donc elle souhaite nous amener ; nous voulons comprendre cette chose ensemble et a ller apres bambi sur ce chemin qu’elle trace pour nous dans le temps ; nous avons pour nous ce chemin tracé dans le temps , par cette bambi des roches, par cette biche des prés, qui va et vient et virevolte sous nos yeux et nous attire dans ses filets ; nous la suivons ; nous suivons sa trace ; nous la suivons du regard ; nous la suivons à sa trace, etc ; nous so:=mes sur un chemin qui nous mène aux lointains du temps, et cela est que nous l’empruntons de concert , soit main dans la main, elle et moi, elle ma compagne et moi son compagnon

n, etc ; nous sommes sur un chemin qui mène aux lointains et nous avançons ainsi patiemment (apres bambi) sur ce chemin du temps de la roche ; nous voulons sa voir ce qui est qui nous atteznd dans les l:ointains et pour cela $nous suivons bambi qui est l’initiatrice et notre guide de paroi ; nous bvoyons bambi devant nous (qui setrémousse) qui nous charme de sa grâce naturelle, et nous la suivons avec application, nous sommes de jeunes enfants qui obéissons à son injonction, à son appel ; nous sommes des enfants qui suivons une bambi des prés en roche (du temps) et qui voulons connaitre le pôurquoi des hommes des cavernes autreefois ont figuré des betes sur des roches, et si belles, si gracieuses, si ba mbinesques etc ; nous ne savons que répondre à cette question qui nous taraude ! ; nous voulons savoir des cxhoses sur des choses, c’est-à-dire des choses de poids sur des questions de poids, c’est-à-dire des questions de choses sur d’autres questions de choses ou comment ? nous sommes des en fants de roche et à ce titre nous ne savons pas à quoi nous en tenir ; cjhose ? question ? que penser de la roche gravée ?  ; nous voulons comprendre ce qui est autour de nous (arcanes) et pour cela nous embrayons sur les pas d’une bambi céleste, nacrée, douce, féline (?) ou sinon féline : charmeuse etc ; nous voulons savoir ce qu il en est de cette bambi qui nous attire dans ses fi:ets, et pour cela nous cherchons couûte que coûte à nous en rapprocher le plus possible,ensemble, et ensemble la toucher (toc) pour savoir, pour comprendre, pour se faire une opinion etc ; nous voulons comprendre  cette bambi en tant que telle c’est à dire qui elle est en tant que bete : une fée ? une question ? une allure évanecente ? une perle ? -une beauté fatale ? etc ; nous ne savons pas que penser, nous sommes pezrdus, nous sommes des enfants perdus au sein de la roche ; nous cherchons à nous y retrouver mais il n’est pas simple de s’y retrouver ; nous devons co:mprendre ce qui est ici en pareille roche avec une bambi des prés en point de mire : ce temps devant soi (la vie) est cette chose des embruns de roche, et au loin, cette mer bleutée, ces embvruns de bord de mer, ces vagues fines, cette musique maritime etc ; nous savons qu’une mer est là (là-ba s) qui nous tend ses bras et nous attend avec impatience ; une mer = une bouche ? une mer = une bouche de mort ?  ; une mer = une drôle de bouche ouverte , qui fait son sifflement, qui est ce sifflement (guttureal), cette musique ancrée gutturale à souhait etc ; nous pensons que nous devons entrer ensemble dans la roche comme dans un temps de bord de mer, et nous loger een elle à jamais (conjointement comme des mains dans la prière, etc) et pourcela : fissa, tete devant, à fond la caisse et tete la première etc ; nous devons frapper la roche (au son du tambourin) et graver l’aurochs ou le renne, ou le dessiner à main levée, en lévitation, comme des hommes des cavernes ; nous entrons dans une roche comme dans un temps (dur) dee prairie pariétale , et là (en pareille loge) voyons cette mer aux embruns nacrés, cette eau de jouvence, cette vague vive sur nous, cette plage aérée, ces biches des p^rés qui vont et viennent pour nous entrainezr à leur suite ; bambi ; nous voyons bambi qui caracole et nous donne du regard en coin, cils vibratiles ; nous voulons comprendre cette chosqe ici (en paroi) d’une cohorte animalière sous la main de l’homme des cavernes ; tambourins, flûtiaux ; nous voulonbs comp^rendre cette chose pour nous qui entrons en pareille roche du temps ; nous voulons savoir (à deux) ce que c’est que cette cavalcade sur paroi : sens et significations ; nous voulons swavoir ensemvle comme des chercheurs qui ensemble cherchent en laboratoire ; nous voulons savoir ce qui est ici de cette confrérie animalière ou comment ? car nous voyons tout un ensemble de betes sur roche , figurées, qui sont des betes de bon poids (dans la balance) qui nous regardent de concert et se demandent peut-être si par extraordinaire ou par ha sard nous ne serions pas des betes (comme elles) nous-mêmes ; nous ne savons pas ce que nous sommes ; nbous sommes des enfants qui aimerions grandir en roche et passer ce cap de l’enfance, afin de gagner en puissance, en liberté, en force, en autonomie etc ; nous voulons nous échapper , en cette roche du temps, d’une enfance qui nous colle aux basques comme une sangsue, ou comme une glu ; nous voulons entrer dans la pâroi du temps et sortir la tete en elle et voir bambvi, brouter son herbe des prés ; nbous voulons entrer dans le temps comme dans une grotte d’enfance : aux parois ornemenrées ; et là : chercher des trésors, trouver des choses secrètes ou tenues secrètes jusqu’alors ; nous voulons savoir et comprendre et a ller le plus loin possible dans les connaissances ; nous voul:ons savoir ce qui est ici d’une vie de roche salutaire, pourquoi salutaire, et pourquoi de roche, quand il s’agit pour nous d’un passage étroit à emprunter ou nous immiscer et du coup le franchir afin de nous retrouver de l’autre côté de la paroi du temps, en ce lieu pariétal des embruns de bord de mer ; nous voulons traverser ce passage ensemvble = main dans la main ; la main ici est capitale et représente à elle seule ce mystère réputé, nommé ail:lezurs, que nous tenons pour nous comme une gageure ; nous essayons de nous approcher de bambi des prés afin de lui deman,der si par hasard elle ne saurait pas ce qu il en est de cette question de mùains qui se tiennent, etc ; pour cela, nous devons nous approcher de cette biche prénommée bambi, nous devons nous approcher d’elle, nous devons nous coller à elle, la tenir pour nous comme une confidente, etc ; nous voulons comp^rendre tout un tas de choses qui concernent le fin mot de toute l’histoire (de la vie et de la mort) et du coup nous courons après bambi la bien nommée, qui est notre confidente, qui est celle qui peut tout aussi bien nous informer judiciuesement sur tout un tas de choses concernant le monde pa riétal (en soi) et ses attributs animaliers (aurochs, aurochs, aurochs et bisons, bisons, bidsons , etc)  ; nous voulons etre près d’elle (bambi) et là lui parler doucement (e,n  langage des signes ?) afin de lui dire ce qui donc sur le coeur nous pèse, etc ; tout ce que nous voulons savoir , de la vie et de la mort, qui sur le coeur nous pèse (etc)  ; nous savons bien que bambi est une bete fine, qui comprend beaucoup de choses, qui comprend tout sur tout et peut nous guider en roche vers des embruns de bord de mer ; nous voulons cxomprendre la roche au son du pipeau (flutiau) et pour cela nous nous plaçons en spectateurs attentifs, àl’écart des forts passages, etc, et nous écoutons la musique qui monte des entrailles de dame la terre, etc ; nous voulons écouter cette =musqiqque ensemble ; nous voulons écouter ensemble cette musique ; nbous voulons savoir ce qu’il en est de cette musique des entrai:lles ou du bord de mer ou des deux ? nous voulons savoir ce qu’il en est de cette musique des sphères célestes, ce son du cor, ce son du pipeau, du flûtiau, etc ; nous aimons écouter cette musique de la roche, gutturale, qui sort ou sortirait d’une bouche lointaine ou comment ? la sirène ? la bambinou ? la bouche de la mort ? la porte du paradis ? la beauté na crée des vaguelettes ? nous ne savons pas, nous cherchons comme des morts-de-faim et pour cela nous ouvrons grand nos mirettes et essayons de ne pas en  perdre un e miette, de tout ce speectacle, devant nous, en cavalcade fleurie  ;nous cherchons des raisons, des expl ;ications ; nous sommes qui recherchons assidument des sortes d’explications aux choses du monde et pour ce faire nous préférons (nous devons !) nous tenir la main (elle et moi) en pâreille roche du temps, car les explications advienn,ent sur paroi à qui se donne la mùain conjugalement (ou quelque chose d’approchant) ; il w’agfit de comprendre  c ette chose, comme qU oi une explication fiable (sur n’importe quoi concernant le monde) est une explication passée au tamis de la roche brute ; nous penson,s qUe nous devons cfomprendre ensemble cette chose, d’une explication passée au tamis, et cette explication nous devons voir à la comprendre ensemble et non séparément, c’est à dire au sein d’une langue donnée (à tous) pour un usage partagé et à partager ; nous essayons ensembkle (dès lors) à comprendre cette chose d’ une langue paertagée (entre nous) et quyi, langue) se doit dese loger ici, en paroi temporelle, ici même, en ce creux aux embruns bleuités, etc ; nous pensons qaue nous decvons de fait essayer de comprendre (cerner et saisir) cette chose d’une langue partagée (en tre nous), cette langue d’une compréhension à mener ensemble, ici meme, en pa reille paroi du temps : embruns, chevaux, bambi, cavalcade, mer douce, nacre, aurochs et aussi ces bisons de fortune qui vont sur pré paittre et se reproduire ; nous savons que nous avons à agir ainsi que nous le faisonsq  ; njous avons passeé la tete et à présent nous allons passer le reste de notrte organisme ; nous voulons savoir le pourquyoi des choses langagières, et commùent comprendre  ce qui est qui nous entoure, avec quels mots et ces mots employés comment ; nous voulons savoir auprès de bamlbi la bien nommée (bambine, bambino ?)  ; nous voulons comprendre ce qui est ici d’une situation de vie qui nous voit parler de choses et autres (à tort et à travers ?) sur roche, et cela e nsembvle (confrérie) pour une découverte des lieux pâriétaux à mener de conserve, etc ; nouys essayons de nous représenter la chose à deux : elle va vers la roche et je vais vers la roche, et par la suite nous sa utons (main dans la main) en cette roche et (passe-muraille x 2) nous traversopns la paeroi dure, nous passons à traversq cette dureté, et dès lors nous nous retrouvons de lm’autree côté à parler ensembvkle sous les embruns d’une roche bleutée ; nous essayons de nous y retrouver ensemble : où sommes nous au juste ? sommes nous à l’intériuer de la paroi du temps ? où so:mes nous tombés ? somlmes nous tombés sur terre ? dans la mer ? sur la terre glaise ? sur un animal , à califourchon ?  ; nous ne savonsq pas à quoi nous en tenir ; nous abvons en nous des mots-animaux quui ne demandent qu’à sortir ; nous sommes pétris d’animaux-mots qui, en nbous, poussent au cul» pour ainsi dire, et ne demandent qu’à voir le jour de la grotte ou de la roche tout autour de nous ; et nous de nous lzaisser dès lors perforer de l’intérieur par une pique (langagière) animaliére, qui va (fissa) depuis nos entrailles (ce remugle) vers celles (des en,trailles) de lma roche de paroi  ; embruns, ciel nacré, che vauchements des betes en,tre elles, stalactites et stalagmites, etc ; nous sommes des etres de peu qyui nous acharnon,s en roche du temps, à comprendre (avec des mots partagés) quelque chose de cette affaire ici de temps pariétal et de chevaucxhée animalière ; nous devons regarder au loin notre bambi, qui sembvle nous faire signe ; que nous veut -elle ?  ; elle sembvle vouloir nous attirer dans ses filets , elle sembkle vouloir nous attirer vers elle ; qu’a-t-elle à) nous dire ou à) nous révéler ?  ; que pouvons nous comprendre de la vie et de la mort ?  ; njous cherchons par des chemins ardus (de la connaissance) des façons, et cependant nous nous retrouvons toujours comme transis ou comment ? comme épuisésou vidés (à sec ) ou non ? comment sommes nous une fois livrés en pareille roche ?  ; nous voulons toucher bambi du bout du doigt opour nous rendre comp^te de sa teneur en termes de réalité tangible etc ; nouds devons toucher  b ambi qui est devant nbous cette bete qui nous appelle, qui nous attire, qui njous entraibne, qui nous pousse à, qui nous menace (?) ou comment , car nous sommes des enfants de roche, quyi allons gaiement à la recherche d’une découverte, d’un treésor enfoui, ds’une perle rare, d’un trésor du temps passé, etc ; nous sommes comme des enfanbts  de roche qui allons à la recherche d’une découverte, cxar : nous adorons-adulons 

les découvertesq, nous nous émerveillons vite fait bien fait de tant et tant de choses de paroi ; nous essayons de nous ficher ain si en pareille roche pour comprendre et poser des mots de compréhension , e,ntre nous, sur une paroi, ou sur une feuille de papier etc ; un dessin à main levée, une effigie, une grande ressemblance, un e bete elancée, un troupeau de buffkles ou de rennes, etc ; nous comprenons que nous devons aller loin en cette roche du temps et là-bas, ; dansq les lointains brumeux, nous approcher de cette bambi qui njous entraine vers el ;le , ; et cela ensembvle, c’està dire sans nous désunir, en n ous tenant toujours et encore par la main ; nous devons aller vers b ambi (bambinou, bambino, etc) et la suivre jusqU’où bon lui semblera de nous mener, car elle a sur nous un impact cfonsidérable, qui la regardons avec desq yeux d’enfant ; nous devons comprendre cette chose pour nous, comme quoi bambi est cette bete qyui, devant nous, nous attire vers bouche la grande , ou bien vers mer ouverte, ou bien vers une musique de flûtiau qyi sort (semblke sortir) des entrailles de laterre (?) meuble ; nous essayons de comprendre les lieux à la lumière (bleutée) des embruns de bord de mer ; nous vboulons essayer de comprenxdre les embruns comme prov enant d’une mer de roche venant des entrailles de la terre, ou comment sinon? doù vient la mer située dansq la roche ? nbous ignorons cette chose ; notre but (affiché) est de savoir ; nous voulons comprendre toute cette histoire de nacre et de mer et d’en,trailles et de musique sourde et de flûtiau enfantin, etc ; notre but est affiché en haut lieu et tout le mon de ou presque à présent sait la chose, comme quoi nous sommes ensemble sur le chemin (ce chemin) qui mène 1 à Bambi, et 2 aux embrunsq ; nbous devons marcher à la suite de cette biche des bois (ou du roc des bois) et à sa suite nbous joindre à une sorte de cohorte vive, qui est cette chose d’un couloir, d’un boyau, etc, qui mène à dieu sait quoi de bambinesque, etc ; lres embruns ; nous devons essa yer de comprenxdre au plus possiblme cette vol:onté chez bambi de nbous adjoindre à elle, et de nous entrainezr vers un lieu donné qui est donc celui des ezmbruns ; mais que sont ces lieux en définitive ? sont-ce des lieux de perdition ? à qsui sont ces lieux ? qui vit dan,s les embruns ? qu’en est-il de cette mezr bleutée? que devons nous openser de la mort ? que devons nous penser des mots que nous avons en bouchje ? peuvent ils quelque chose pour nous ? si oui comment ? par le sens dont ils sont porteurs ? oui ou non ? que devons nbous penser de cette xchose d’un mot-anima l qui sortirait de nous (trou de la bouche := plaie) et irait se loger dans un interstice de roche , et là faire écho et traverser la dite roche, vers des ezmbruns de bord de mer, vers des aurochs de p^rairie, vers des habitants de la roche dure ; bnous devons croire en ce que nous voyons, et  c e que nous voyonsq répond à des mots de roche ; nous devons essayer de nous introduire en pareille roche du temps à deux et à deux nous immiscer le plus loin possible afin de comprendre c’est-à-dire cerner (au chzarbon de bois ?) la bete  ici représentée par un homme des cavernesq ;: nous sommes sur un chemin qui nous mène quelque part mais où ? ; nous essayons d’y voir clair ; nbous essayons de voir ce qui est, de cette vie dans la vie (la roche)  ;nous essayons de comprendre le plus de ce que nbous pouvons, de ce que nous voyons, nous essayons le plus que nous pouvons d’y voir le plus possible de la roche et des betes représengtées , dessinées ou gravées, par un homme qui en wsavait long sur les origines ; les origines sont celkles que nous voyons en paroi de grotte ; nos origines sont comme ces betes sur roche : elles sont enfouies à m^$eme la roche ; nous devons cxomprendre  cette chose cxomme qUOII nous sommes deux qui entrons dans une sphère musicale, qui est cette bouche (ou pas?) d’un bord de mer ou comment ?  ; nous nous adressons à cettte bambi comme à une soeur et nous luyi demandonsq notre cxhemin ; où doit on se rendre ? quel chemin emprunter ? où aller à deux ? que faire de cett attirail de bouche que nous trimballons, cette langue donnée, etc ?  ; que devons nous pensezr de cet attirail lan,gagier ? esqt il une cohorte animalière ? est il un pic à perc er ? est il une trompe ? une queue ? cauda ? cauda male ?  ;nous chgerchons une explication (raison) a vec des mots de la tribu (qui est la nbôttre) et ces explications nous intéressent beaucoup en cela que les mots en nous nous sont (ont été) imposé ; des lors, que faire ? où allezr ? que penser ? que toucher du bout des doigts ?  ; nous voyons cette bambi des preés devant nous ,et cette bambi nous la voulons pour nous en tzant qu’elle szerait notre guide de paroi, elle nous in diquezrait la marche à suivre et le cxhemin à prendre, vers des embruns, vers la mer, vers la vé&erité, verts la meort, nous ne savons pas mais nous comprenons que nous avcons affaire, en la personne de bambi, à une initiatrice, un guide de vie, une sorte xde soeur précieuse qui en conna it un bout et sait nous aiguiller sans trop de dommages ; nous la suivons presque les yeux fermés , religieusement, et ainsi faisant nbous en avançons, nous gravitons ; nous sommes des eznfants qui, à l’intériuer d’une caverne ou ds’un gouffre, ou d’une grotte ou d’un aven, etc, nous intoduisons et là recherchons qui une vérité cacachée qui un trésor à dérober (ou dénicher)  ; nous voulobns connaiotre et comprendre, et cela sinon à l’aide de l’intelligen,ce dont nous sommes plus ou moins nantis, sinon avec elle, alors avec cette cxhose en n  ous (animalière à dessein) qui est ce pic en nous qui vient perforer la roche et la travezrsezr comme l(hymen, le film, la fine couche etc ; nous devcons comprendre cela à la lumière des embruns de bord de mer ; nousd devons  nous situer ainsi en cette roche, en ce roc des prés, pour des découvertes (denfants) à mener fissa et comme religieusement : des apparitions ; nbous devons comprendre ici que nous avons affaire à des enfants qui vont sur la roche chercher ce trésor dont ils espèrent la découverte, et ainsi ils sont ces etres de roche qui se font ainsi en elle cette chose de  devenir des etres de roche dure, des etres de roche en dur = tangibles, réels, durs, sol ;ides, étayés, contenus, affirmés etc ; ce paassage d’une roche est le passdage de vie d’une roche, et du coup l’enfant devient à son tour cette bete de paroi qui charge ou qyui va paissant l’herbe dees prairies etc ; nous devons aller ai,nsi en roche pour des découvertes, c’està dire la recherche de la vérité ; qu en est-il de cette vérité ? que devons nous penser de la vérité vvéhiculée à) l’intérieur du langage articulé ?  ; njous connaissons un gra nd nombre de mots et  ces mots nous les avons en bouche (en nbous) sous forme de queue animale ; nous sommes munis d’une queue (cauda) animale en nous, qyui ne deman,de qu’à sortir de nous et piquer la paroi (dure) du temps ; lorsque la dite paroi est piquée, c’est à dire travcersée de paert en poart alors un espace (interstice) est créez , qui nous permet d’entrer ezn pareille roche, par la tête de préférencxe et dès lors, en pareille roche, nous loger-lover pour nous mettre à l’abri et nous poser un temps, le temps de rep^rendre conscience ou nos esprits ; nous sommes à présent à l’intériuer de lka paroi et, ici, nous regardons les troupeaux de b  etes qui vont et qui viennent (charbon de bois ou mangan èse )  ; nous regardons les betes qui caracolent sur roche: elles en imposent, et surtout du fait de leur ressemblabnce avec leurs modèles dans la vie, en prairie ou ailleurs ; nous cherchons à comprendre ce qui est ici en cette matière d’une représentation animalière des choses (globales) cde la vie ; l’animal est la bete des formes ; il s’agit pour nous de comprendre cet animal à la lumière (bleutée) d’une roche des temps, d’uune mer des temps passés, etc ; le temps ici est cette chose (bete ?) qui va et qui vient sur roche et respire l’air des ezmbruns ; nous essa yons (ensemble : nous sommes deux) de nous y retrouver en pareille situation, qui nous voit nbous pencher sur une bete (bambi ?) , vers elle, afin de comprendre sa réalité, afin de comprendre sa forme, afin de cezrner ce qu’il en est de cette bete de paroi qui va et qui vient comme des phonèmes à l’intérieur de la bouche d’un ou d’un e enfa,nt ; nous devons comprezndre cette chose d’une langue imposée, plurielle, portée par beaucoup au sein d’une tribu ou d’une confrérie, et cette langue est animalière ; il semblerait que la chose ainsi fût animalière à l’origine et peu à peu l’animal en soi a grondé (musique !) et a crevé l’abcès ou comment dire ? a crevé le filtre, l’hymen, la paroi, la jhoue humaine, etc pour a ller au mieux se loger en pareille roche du temps, à l’intériuer de ce temps de l’allant pariétal des betes, etc ; nous pensons que nous devons comprendre les choses du monde (la mort) avec des mots-animaux qui sont ceux qui viennentb figurer sur roche la vie dans toute sa splendeur de vie vive, forte, brute, brusque, pleine, copmplète etc ; et cela afin de trompêr l’ennemi ; cela pour cette raison ; cela pour tromper une sorte de monstre , au devant, qui est le monstre (?) des profondeurs de la terre meuble ? ; qui est quoi ?  ; nous cherchons ; nous voulonbs etres ensemble des chercheurs de vérités fiabkles, fortes, qyui teinnent la route, qui tiennent debout, quyi marchent ; nous voulons essayer de nous y retrouver en c ette roche du temps  cxomme dans une demeure où nous serions en connaissance ; comme dans une demeure ou maison ou nbous serioons en pleine connaissance ou de connaissan,cxe ; ou de rezconnaissance etc ; nous essayons de nouys y retrouver zensembvle et du coup de toujoures plus loin aller en pareille roche, toujours plus loin en av ncer a fin de voir, ou d’y voir, de voir clair, d’y voir clair de plus en plus ; nous voulons savoir ce quil en est de cette chose qyui semble promise à chacun et qui est «la mort» ; nous devon,s voir ici que cette cxhose de «la mort» est engloutie dans le paysage (des embruns) et qu il nous est difficil ;e de la repérer pârmi les goutellettes et autre vaguelettes de cette mer bleutée que nous voyons, tout au fond, au fin fond, de cette roche ou roche du temps ; nous sommes qui voulons comprendre les effets de cette mort sur nous : qui elle est et que fait elle ?  ; nous avons à co:mprendre beaucoup ici (bord de mer) en tant que nous sommes des enfants qui rezcherchons avidement et assidument des trésors cachés = des vérités ; où se loge la vérité ? dans le langage articu ;lé ? billevesé !  ; nous comprenons que nous devons en pâsser par là (sens des mots , en plus ou e,n moins) mais que ce passdage obligé est comme un mur de roche (paroi) à traversezr fissa à la recherche d’une entrée de monde autre, ; ou bien à la recherchbe d’une cavité interne, emplie de choses et autrtes (animaux des champs ou autress) et contenant la mer (bleue) aux ezmbruns magiques ; nous avons à comprendre en nousq cette  chgose d’une mer bleutée zaux va gues magiques : elles s’ouvrent, elles s’ouvrent incidemment pour nous laisser passer, de con cert, au son des cors, des cloches, des tazmbourins, des flutes sommaires, rustiques, enfantines ; nous traversons ainsi la roche du temps, et devant nous s’ouvre une mer qui est celle que nous voyons, eznsembvle, ici, en roche, main dsans la main ; nous entrons en elle et et nous la regardons ensembvle assidument ; les vagues tiennent ; elles sont redresséesz, elles tiennent sur leurs positions ; il s’agit de l(ouvetrure d’une mer bleutée, en une roche des temps (du temps) qui nous accueille et nous prend «sous son aile  «  (ses ailes)  ; nous pensons que nous devon,s marcher ainsi en elle (mer ouverte) et aller loin ezn elle et voir ce qui est en elle qui se présente ; les betes nous suivent ?  ; il s’agit pour nous d’une grande premièree et d’une ouverture magique ; la mer s’est ouverte pôur nous (?) et nous entrons en elle  ; nous sommes entrés ; nous so:mmes dans la mer ouverte et nous nous regardons comme médusés et derrière nous une cohorte animalière (cavalcade de cxhevaux, meute de chacals, bisons, bisons, bisons et autres aurochs des prairies du monde)  ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose ensembvle, comme quoi la mer sous nos yezux s’est ouyverte et nous a acceuyilli incidemmen,t comme les siens, les qui vont vers elle sans vergogne etc ; nous pensons que nous devons ainsi poursuyivre ce chemin de mer ou de terre en mer etc, et encore et troujours en avancer, sur la voie de la connaissance, et ce au son du pipeau , du cor, des sirènes, etc ; nous devons comprendre  cettez chose comme quoi nous sommes en elle (mer) comme en paroi, comme en roche : en vie ; nous sommes ce temps offert à dieu (en place et lieu de notre vie en vraie quyi est celle qui nous voit mourant)  ;: nous offronsq à) dieu (à la mort) une sortye d’ersatz de vie à la man,que, ou pl utôt nous offrons un ersatz de vie, soit une vie (en  v érité) à la manque ou à la noix, à ce dieu de la mort qui est ce dieu a,nimalier cde la mort, soit cvette bouche ;-gueule dentée etc ; nous essayons de comprendre ensemble ce qui est ici de cette mer ouverte ; qui dit quoi ? qui fait quoi ? pourquoi et commen,t ? etc ; nous voulons essayer de co:mprendre ce qui est ici de cette mer quis’ouvre de vant nous et nous octroie passdage, à nous deux qui allons ensemble sur les entrefa ites d’une sorte de bichette (bambi ?) qyui nous entraine, nous poussse, nous tire, etc, à sa suite ; il s’agit pour nous d’une chose neuve, fraiche, et fine comme une goutelette, ceette chose est cette vérité ou comment ?  ; nous voulons comprendre ce qui est ici en termes de mer quyi s’ouvre devant nous (et devant bambi qui nous précède) et cette mer ouverte,  cette mer béante, cette béance dans la mer, tenter ensemblke de la mieux comprendre, d’en comprendre les ressorts sec rets ou les arcanes ; nous cherchons la vérité sur tout dans le langage, quand la vérité nb’est pas logée dfans le langage ou plutot dans le sens des mots mais dans le fait (d(‘ouverture) du langage luii même, en cette chose d’une existence à part entière d’une pique-fiche, d’un pic de pa roi, etc, qui est là pour tracezr sa fente, qui est là sur roche pour creuser (trancher) icelle etc ; nous avons c e pic en bouche , ce pic qui perce le temps de laroche dure, et, le temps pezrc é, déposé, alors nous nous retrouvons face à une mer qui s’ouvre (euréka !) devant nous et nous permet  le pâssage, ou bien nous autorise en tant qu’emprunteurs d’(un tel passage ; nous entrons ensemble en cette mer bleue, nous sommes sur un chemin sec (aride) avec de part et d’autres des vagues géantes, redressées comme animal sur pattes ; nous sommes parmi les bzetes dessinées de la roche dure ; nous sommes parmi un groupe (un troupeau) dxe c erviçdés ; nous regardons tout autour de nous ce qui se trame en matière de mezr ouverte et de cervidsés accompagnateurs ; biche ma biche (bambi) est bienn présente et d’autres biches et aussi des cerfs majestueux aux bois dorés, et des chevreuils, et des élans, et des rennes etc,  ;des okapis ?  ; nous voulons comprendre le plus possible et pour cela nous nous fa isons violence, dans la transe,  en lévitation, main levée, dessinant des betes sur roche : des bisons, des buffles, des cxhevaux, des re  nnes, des bouquetins, des ours et des chevaux ou des lions des cavernes, des mammouths, etc ; nous ne sommes pas en reste de modèles car ce sont les nôtres, c’est-à-dire ceux-là même que nous emportons ou portons en notre sein (nous sommes enceints de ces betes de roche : bhisons, rennes, chevreuilsq, etc)  ; nous comp)renons qUe nousq devons ainsi aller ensembvle (elle et moi, et les animaux avec nous) en pareille mer béante ; nous avançons sur un chemin tracé au milieu de la mer , car la mer ouverte laisse doncapparaitre un treacé qui est un chemin d’aller et de venue ; nous prenons ce chemin ; nous ezmpruntons cette voie tracée et nous avançons verts elle ; il y a des animaux (beauxcoup) avec nous ; nous devons avancer sur ce chemin ; nous sommes sommés d’avancer sur ce chemin de terre aride, asséchée ;  ;la mer s’eswt ouverte et nous voyons (devan,t nous) ce chemin se dessiner à même la roche du temps pariétal ; nbous nousc tenons par la main car nous ne sommes pas rassurés et parce que nous ne voulons pas nous perdre ; nous voulons sa voir pourquoi cette béance, pourquoi dans la mer cette béance ; qsui donc pour nous expliquer cettte chose ? quyi viendra nous expliquer le pourquoi du comment une mer (devant soi : le temps) peut bien s’ouvrir et nous laissser aller sur elle ? qui ?  ; nous voulons a ller loin dsan,s les connaissances et bien sûr pour ce faire : creuser, nous retrousszr lkes manches afin de creuser encore et touyjkours et de pl ;us en plus profond, et cela à plusieurs (l’union fait la force) etc ; nous devons comprezndre le plus de choses possibles et ne pas flancher en chemin mais poursuivre sur notre lancée qui nous voit percer la roche du temp)s (le pic de roche ici) et dès lors, traverser, travezrser ladite rocxhe et se retrouver ezn icelle à voir la mer (une mer) qui s’ouvre face à nous quyi en restons baba comme deux ronds de flan ! ; la chose est juste incroyable et prodigieuse (relève du prodige)  ; nbous soiommes (en tants qu’enfants ? ) entrédans la paroi du temps et abvons trouvé, outre des a nimaux (des mots-a n imaux) à foison, outre ceux -ci nous avbons trouvé une mer ouverte dans le paysage, une mer qui s’eswt donc ou verte sous nos yeux, et qui est ce chemin de ronde pour nous qui empruntons la voie ici tracée ; nous sommes des enfants ou come des enfants qui gravitons, ici même, en  c  ette roche d’une mùer béante, etc ; noys aimons nous retrouver en pareille paroi et écouter la chose montante, la voix( ?) gutturale venant de la profondeur de pareille terremère ; nous soiommes qui cherchons à comp^rendre d’où la mer peut elle a dvenir en roche et pourquoi ?  ; nous essayons de creuser cette question ensemble, en paroi ; nous voulons essayer de nous placer ici , en cette roche, de manière à pouvoir comprendre le plus possible sur ce qui s’y trame en tezrmes de cavalcade animalière, en terme d’effigies, en tezrmes de rezprésentations hyper-ressemblantes et fines, ; etc, et aussi en termes de béance bleutée, de mer ouverte pour un passage piétonnier etc ; nous cherchons un grand nombre de réponse’s dans (en ce ) langage, à l’intériuer de cette chose d’un lan,gage de prairie, faits de cohortes animalières ; nous sommes dans cette prairie comme anima ux qyui broutent ; nousq sommes dans cette prairie comme des animaux qui seraient broutant et qui , gentiment ou calmement, vivraient lezur vie pariétale, aux abords des zembruns, a vec, derrière eux, ou à proxilimité, une mer ouverte aux vagues tenues, redressées etc, pour un passage piétonnier etc ; nous pensons à cette mer comme à un passage, copmme à une voie pour une continuatiuon de vie ; nous 

pensons que nous devons poursuivre ainsi sur cette lancée notre route et ne plus (jamais ?) nous arreter ezn chemin, car nous avons soif et faim xde connaissan ces dsiverses, co ncernant l’enesmble mort-vie, ou vie-mort, etc, et cela nous l’avons compris il y a un bon bout de temps en arrière à présent, nous so:mmes informés, nous sommes connectés et nous savons que la voie qui s’ouvre à nous est à emprunter mordicus, il ne faut pas laisser passser ; nous devcons comprendre cette chose comme quoi nous devons prendre ce nouveau chemin qui s’offre (et s’ouvre) à nous car il va nous menner loin, beaucoup p ;lus loin, e,ncore plus loin  ; nous sommes deux et nous marchons(en roche) sur chemin de mer ouverte ;n nous sommes deux qyui marchons sur un sentier tracé, et ce sentier est celui que la mer forme en s’ouvrant devant nous (sous nos pâs ou nos pieds)  ; nous voyons à nos pieds cette  chose d’un tracé ouvert, ; lieu où déposer nos pieds au fur et à mesure qsue nous a vanç!çons ; nous déposons qUI un pied qUI deux pieds, qui quoi d’autre ? l’art ? l’art de faire allégeance ?  ; nous voulons comprezndre t§oute cette a ffazire à la lumière des ezmbruns de bord de mer ; nbous essayons de nous y retrouver ensemvbkle mais ce n’est pas simple ; nous devons comp^rendre cette chose ensemble d’une sorte de bouche, ouverte (comme une mer) qui nbous engloutit, nlous absorbe, nous preznd en elle ; il s’agit pour nous de co=mp^rezndxre  cette  chosequi serait de l(ordre d’une sorte d’engloutiiseme,nt pariétal : l’aurochs en roche, le renne sur paroi ; nous com^prenons cette chose comme quoi l’aurochs ici (en roche) est figuré (de grande ressemblance) par notre homme des cavernes, par cet homme des cavernes susmentionnés (le ma gdalénien ? l’aurignacien ? ) et que des lors l’animalm gravé est celui que la mer autorise par son ouverture ; il semblerait que nous ayons affaire à une sorte de bete des prész, devenue bete des pa rois, ou bien il s’agirait d’une sorte de bete des p^rés devenue cette chose au loin qui vous initie et vous guide (vers mort la bouche de la mer ouverte)  ; il semblerait que nous ayons ici à comprendre cette chose au son du cor, ou au son du flutiau ; nous avons pour nous cette chose, d’un son qui monte (d’où ?) et ce son nous accompâgne, nous permet la scansion des coups portés par une pierre sur pierre à graver ; nous comprenons que l’art est cette chose d’une scansion accompagnatrice et cela dans le but de nous placer, en roche du temps, à la recherche (enfantine) d’un nid de roche, d’un trésor de paroi, etc, à dé»couvrir ; nous voulons allezr tres loin en  cette paroi du temp^s, et lui faire dire (avouer) ce qU’elle a à dire, et pour cela : bhille en tete ; tete première et fissa surtout ou du moins le plus possible, car la vitessse aide bien à passser des caps et à se retrouverc «ailleurs», en une autre rocghe <que précedemment celle de l’eznfance, etc ; en une tout autre roche de paroi, en une roche souple, meuble, laissant possible une immixtion co:mplète (tete, tronc et mrembres) de l(autre côté ; nous pensons que nous devons poursuivre cette sorte d’aventure pariétale jusqu’au bou$t du bout : où peut elle nous menezr ? nous le verrons bien ! ; nous sommes tous les deux friands de ces découvertes à faire sur roche etc, car nous sommes encore (en nous) des sortes d’enfants qui encore et toujours cherchent que tu chercheras, etc ; nous voulons aller en cette roche pariétale vers la mer ouverte (bouche ?) qui serait «ce qui nous attend» en termes d’avenir à viçvre ; nous ne savons pas ; nous cherchons par tous les moyens à savoir, comprendre et sa voir, et pour cela nous nous immisçons en cette roche du temps des mortels (?) ou bie,n en cette roche immortelle (?) des (ou du ) temps ; nous ne compreznons pas touut, nous sommes un b rin limités ; les mots ne vont pas loin qui restent en rade ; nbous voulons comprendsre ces mots en  n ous à la lumière des mots-animaux qui cxhargent sur une pa roi de grotte (ou sur un mur de galerie ?)  ; nous pensons que nous sommes à devoir poursuivre ce chemin entre les va gues ensxemble ; nous co:mp^renons que nous avons à (ensemvkle) poursuivre sur ledit cxhemin aux embruns», qui est le chemin de la mer qui sw’ouvre et laissse passer des personnes, des betes etc ; il s’a git d’une mer haute, un océan ?  ; nous passons ainsi sur ce chemin tracé et l’empruntons ; nous sommes deux qui empruntons ledit chemin (chemin des embruns) qui est ce chezmin, ici, d’une mer qui s’ouvre, à nos pieds, ce chemin comme d’un seuil, comme d’un e zone où déposer nos pieds (nos présents etc) ; nous sommes sur ce cghezmin comme sur un seuil, mais le seuil de quoi ?  ; nous sommes ensemble sur ce chemin, main dans la main, et nous reghardons autour de nous les choses qui vont et qui viennent (des aurochs ?) et qui nous font peur un peu car nous ne voulons pas (pour rien au monbde) nous faire piétiner, cxar nous avons de fait une vie à vivre pariétalement et au delà , au sein de cette mer ouvertte ; au sein pariétal de cette main ouverte ? est elle ou fait elle partie (elle aussi) de cette paroi du temps de la grotte, ou paroi de la grotte du temps ? où la paroi s’arrete t elle ? la mer ouverte est elle partie intégrantee de ladite roche du temps ? où se loge la mort ? où donc sont les dents ? où son t les dents de cette bouche ouvertte ? où sont donc ces dents (de la mer ?) ? que dire ? nbous cherchons réponses (à deux) et cependant nous peinons car n ous ne savcons pas où trouver lkes mots au sein du langage, où sont ils cachés ? da ns qUEl recoin de notre être , etc ; nous pensons que nous sommes sur une voie (ici, en roche) qui est celle qui peut etre nous permezttra un jour prochain l’acquisition de nouvelles connaissances concernant les choses de la vie et de la mort ; nous sommes ensembvke sur un chemin qui est le chemin de la conaissance et de la vérité, c’est à dire de la connaissance de la vérité ou des vérités ; qui sommes nous sur ce cxhemi,

$n tracé à même l’eau de mer ? qui sommesv nous sur ce cxhemin tracé au beau milieu d’une mer bleutée, nacrée, profonde etc ? nous ne sa vons pas q<ui nous so=mmes ; nous szerions heureux de sa voir cela ma is hélas nous ignorons tout ou presque de ou sur cela que nous serions, ensemble ou pris isolément ; nous marchons sur ce cxhemin devenu aride ; la terre est sous nos pieds un seuil de vie à venir et c’est ainsi que nous nous retrouvons ensemble sur un sol pierreux (intrapariétal ? extrapa riétal ?), qui nous acceuyille commùe des pélerins ; nous ma rchons sur ce chemin de compostelle, sur ce chjemin des pélerins ou commen,t ? car qui sait où donc mène ce chjemin de roche, cette voie enntree deux mers (deux va gues ?), qui serait ce chjemin à devoir (coûte que coûte) empruntezr dorénavan,t ; nous devons comprendre cette chose comme quoi nous devons à présent emprunter ce nouveau chemin xd’ouv erture (nouvelle béance dans la béance de la paroi) et continuer aindsi notre route (pariétale ?) en celui ci ou sur celui ci ; le chemin (entre deux mezrs) est celui qui nous a ttendait et bambi le savait , qui nous faiswait signe et s’é&poumonait en brame, et nous faisait eznvie, avec ses cils fins vib ratoires ; nous avons comp^ris et sui vi bambi sur son chemin et son chemin nous a mené, du coup, ici même , en c ette place ou en cette région ou en ce lieu d’un entre-deux , qui est l’entre-deuxs d’une mer à béance, etc ; la mer ewst devant nous ouverte, et nous entrons en elle comme dans une église etc ; nous pensons que nous devon,s continuer ensemble ce chemin on dira pariétal de roche et là, entrer plus ava nt dans la matière, entrer profond, s’immiscer danskles confins, aller très loin en, besogne, aller le plus loin possible en bvesogne et ne pas reculer mais tout au contraire poursuivre encore et toujoursq notre chemin de pro:menade ou de recherche etc ; nous sommes deux enfants qui recherchons des vérités cachées ou qui serra ient cacxhées et que dès lors, les ayant débusqué, nousd pourrions afficher à la face du monde ; et pour cela, nous nous a gitons comme dxe beaux diables afin, ni une ni deuix, d’entrer fissa en pareille paroi de grotte ornementée, et là nous ficher en elle parmi les betes, etc ; et ensuite, une fois fichész, aller plus loin en besogn e et du coup franchir des obstacles, les troupeaux de buffles, les passer ou les dé&pâsser et se retrouvcer audelà de ces betes gravées, sur la mer ; nous devons comprendre cette chose comme quoi la mer est «apres» les betes ; il xw’agit pour nous de comprendre cette chose comme quyoi la mer se situe après les betes gravées ; il y a une mer ouvertee , deux bras de mers pour une mer ouverte (qui nous tend ses bras dès lors)  ; nous essayons encore une fois de comprendre ce qsui se tralme ; nous devons (encore et encore) comp^rendre ce qui (ici : paroi) se trame pour nous, va se tramant, etc, car nous sommesq curieux et aussi friands de savoirs de toutees sortes concernant les choses du monde ; nous voulons comprendre beaucoup et des lors devenir savants ; nous voulons cxomprendre et devenir savants ; le savant est celui qui sait ; le savant est celui qui voit, disqtingue, sait et comprend ou comprend et sait ; sus aux sa vants ? ou bien : vive les sa vants ? nous voulons devenir des savants de ces choses des parois du temps, de ces ouvertures poareiétales oubien de ces fermetures pareiétales, etc, car pârfois la chose est ouverte et d’autres fois la chose est fermée (comme une porte)  ; nbous voulons devenir des savants ; lers savants des roches, etc ; nous voulons aller loin dsansla compréhension xdes chgoses du monde ; nous voulons poursuivre le plus possible nbotre cheminemeznt rocheux au milieu des betes gravées ou dessinées par notre homme des cabvezrnes (ou notrte femme des cabvernes , etc)  ; nous avons cette ambition en nous, qui est de comprendre beaucoup pour devenir beaucoup savants ; nous sommes des enfants (des non savants ?) qui voulons devenir savants, mais des sava nts de grotte, des sa vants de découvertes, de découvertes pariétales (aurochs, etc) et voilà pourquoi nous sommes entrés dans cette ca vcerne , dans l’obscurité, et voilà pourquoi nous avons cherché longuement et dans tous les recoins ce qui donc pouvait se passer ou se tramer ici même, et s’afdficher : aurochs ?  ; nous avons cherché dans de nombreux recoins et nous avons trouvé ! nous avons découvert des peintures pariétales, des chevaux majestueux etc  ; aurochs des prairies ; nous avons trouvé des aurochs de prairie et autres buffles ou bisons ; nous avonsq compris que nous devions continuer ensemble nos recherches a nimalières, et aller loin loin loin loin danqs la roche bleutée des zmbruns ; nous a&imons bambi bleuté e à la lumière de la mer ouverte  ; il s’agit d’une bambi de conniv ence c’est à dire une bhambi qui sait b eaucopup de cxhoses, qui cxomprend beauxcoup, qui emmagasine beaucoup, qui se tien,t toujours au bord de l’eau (ou des eaux) pour des reznseignemencts à aquérir, pour des infos de première main ; nous aimons ceette bambi des prés, qui nous regarde et nous attire dans ses filets et cela pour nous mener où ? à cette mezr qui s’ouvre devqant  n  ous (cette béa nce) et quyi nous «absorbe» etc ; nous avons senti ce»tte chose arriver, ces embruns, ; en nous quelque chose (quoi ?) avait senti p  âsser l’aile du ve,nt ou ce genre de choses ; en nous des sa voirs se sont comme accumulés qui ne demandent qu’à émerger sous le coup d’une poussée en nous de l’animal (la bête) contenu en nous ; nous savons un certain nombtre de choses (en  nous) qui nhe sont pas à la surface mais sont contenues au plus profond de nos entrailles (antre) ou sinon où ? ; car nous solmmes comme des enfants qui sans cesse se posent (nous posons) des questions à tout va, concernant le tout-venant des choses de la vie ; nous essayons de nous y retrouver mais ce n’est pas simple ; nous sommes (d’une certaine manière) des sava nts qui ne savent pas (?) qu ils sont savants et qui chercheznt (!) à le dev enir ! ; nous voulons comprendre cette chose en nous (^pariétale) comme quoi nous saurions ders choses en nous quye nous ignorons en surface ou comment dire cette chose ?  ; nous sommes des enfants qui ezntrons dans une grotte et cherchent ici ou là à faire des découvertes et voilà que ces enfants (nous) trouvent ici ou là des peintures ou des gravures pariétales, à type de betes des présq, reconnaissables et majestueueses, ou à type de bêtes des cavernes ; nous pensons que l’enfant a vu l’animal entreer dans la roche, il l’a vu entrer fissa par une sorte de magie qui a permis une immixtion totale du mobile a nimalier ; l’animal (depuis notre boucxhe) est entré dsans la paroi et s’y est logé pour l’éternité, et là : entrons à notre tour ; entrons en lévitation ; entrons dans la roche ; entropns en transe ; entrons et voyoons ; voyons de quoi il en retourne ; ok : une mer ailée, une mmer qui ouvre ses ailes ou ses bras et vous contient ; nous voyons une mer (en roche, en roche du temps) qui ouvre ses bras et nous prend en son sein (un chemin) en tant que compagnons ou compagnes de la dezrnière heure ; nous voulons savoir t§out ce qu il nous est possible de savoir et si posqsible, ce savoir, ne pas le perdre en  chemin mais tout au contraire le conserver précieusement et précautionneusement par devers-soi ; nous aimons bambi, nous l’avons dit ; nous aimons beaucoup bambvi car bambi nous permet d’y voir plus cla ir, nous entraine à la lumière ; nous cherchons cette biche (toujours) du regard et nous la retrouvons qui se trémousse sur la roche ; elle est sur une roche dure et s’ébroue ; nous voulons la com:p^rendre mieux, parler son lan,gage de biche, etre biche nous-mêmes et aller le plus loin possible ainsi en cet échange que nous espérons ; nous espérons aller loin en un échange biche-homme ou humain qui pourrait nous apportezr beaucoup ; nbous devons aller loin le plus possible sur ce chemin tracé par la biche et au delà, vezrs cette mer qui s’ouvre et laisse pour le coup appa raitre ses entrailles (poissons de fond ? )  ; nous voulons comprezndre le plus possible, apprendre la vérité, parler en locutions ou termes de vérité, et dès lors deveznir savant ; nous voyons que cela ewst ainsi que nous voulons : ces savoirs pour nous, pour nottre gouverne, pour nous repérer dans le temps ; nous cherchons à comp^rendre ensemvbkle (enfants) le pklus et l

e moins de toute cette affaire d’ouverture de la mer et de bvambi nous entrainant à sa suite ; ou plutot : de bambi nous entra inant à sa suite et d’ouverture de la mer y faisant suite ; nous pensons que nous devons troujours suivre bambi, et ne pas la pezrdre de vue -trop longtemps ; nous pensons que nous devons sui vre bambi, la croire sur parole (pour ainsi dire) et nous enchainer à ses pas ; nous avons pour nous bambi qui nous montre le chemin à suivre, et nous le suivons, cahin caha, et so:mmes curieux de voir où donc ce chemin de bambi pourra nous mener ; nous aimons bambi pour cette chose qu elle nous poussse, nous entraine, nous oblige preswque à la suivre, du regard d’abord puis avec nos jambes ; nous la suivons, nous suivons le tracé de son parcvours sur roche ; elle nous montre le chemin à suivre, ce chemin bleuté aux embruns, ce chemin de bord de mer, ce chemin bleuté de bord de mezr ; elle nous montre le chemin à suivre jusqu’à cette mer qui s’ouvre devant nous,  jusqu’à cette mer qui s’ouvre sous nos pas et nous accapare ;

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22/02/2021 

nous cherchons à comprendre ce qyui est ici qui nous impoorte et ce qui ici est qui nous importe = cette chose (des v érités) concernant un monde prairial(aéré et lumineux) qui serait celui de la roche du temps devant soi (la vie devant soi)  ; nous cherchons à comprendre  ette vie (du devant de soi) et cela à la lumière d’une roche de paroi de grotte (aux betes gravées) et c’est ainsi que nous nous retrouvons ensemble (cet ensembkle) pour des connaissances à repérer, pour des recherches à mener en rochge (etc) en cette roche du temps pariétal ; nous voulobns aller loin en elle (en pareille zone) et comp^rendre le plus possible ce qui est de ce monde autour de nous ; nous voulons essayer de comp^rendre le plus pour y voir le plus, ou bien : nous cherchons ensemble à comprendre le plus (prendre par devers nous) pour y voir le plus (c’est à dire le plus loin possible)  ; nous avons cette ambition ; nous sommes pétris d’ambition et c’est la raison pour laquelle nous avançons ensemble, incidemment, vo:ontairement, brusquement en cette paroi aux animaux gravés ou dessinés ; nous cherchons à comprendre le pourqyuoi du comment ces betes ont «atteriies» en pareille roche (sous la main d’un homme des cavernes) et cela nous le vopulons comprendre à la lumière (bleutée) d’une roche du temps qui sezrait celle que nous aimerions retrouver devant nous, qui seraitcelle que d’aucuns verraient dans leur mort (?) ou dans la mort etc ; nous cherchons, et cherchant nous découvrons, quoi ? le pot aux roses ! à savoir cette chose §(musicale en diable) d’une lumière qui nous éblouuit, qui vient sur nous noius recouvrir de sa clarté bleutée, etc ; nous cherchons à comprendre ce qui l’en est ici de pareille lumière musicale (etc) et pour cela nous nous avançons cde cette bete de paroi (gravée ou dessinée) et nous chercghons à la toucher, à la prendre par devers nous (en n ous) , à la caresser si tant est afin de vérifier une bonne fois pour toutes la réalité de sa pelisse etc ; nous pensons que nous avons à comprendre toute l’affaire à travers le prisme (musical) d’une lumière céleste (divine ?) et pour cela nous faisons cette chose qui est que nous essayons de nbous approcher de la bete (la bambi de bonne renomm»ée) qui nous fait face , et c’est pour cela que nous nous approchpons de pare’ille bete bambinesque etc, et que nous cherchons à nous en approcher le plus possible sans l’effrayer ; nous voulons savoir ce qyui est ici en cette paroi d’hommes des cavernes, ce qui l’en est de pareilles gravures ou de pareilles figures animalières et pour cela nous nous appreochons de cette bambi des prés qui nous fait face et nous regarde d’un air intrigué, attentive (dun  oeil) à) nos faits et gestes ; nous pensons que nous devons nous approcher de pareille bambi des preés et comprendre ce qui l’anime en pâreille roche du temps ; nous sommes à l’intérieur d’une roche des temps (ou du temps) et nous voyons broutezr pareilles betes des prés , qui pa issent de concert à même la roche et se présentent à nous nimbées d’une lumière crue, douce ou vive mais bleutée et comme  provenant des lointains de cette pâroi qui nous contient à tous ; njous cherchons à comprendre ce qui est ici qui nous attend en pareille roche ; nous voulons comp^rendre ici ce qui est qui nous attend demain ou plus tard, cette lumière des embruns, cette mer d$bleutée, ceztte chose douce d’une mer lointaine (au plus loin, etc)  ; nous pensons que nous avons à comprendre une chose ici qui est une chose douce comme une vague douce etc, et cette cxhosenous la subodorons depuis cet endroit de roche quinous voit nous approcher d’une bambi des prés ; nous essayons de comp^rendre  ette chose pour nous : nouys sommes des chercheurs ; nous sommes chercheurs de choses vraies, de vérités de roche , etc, et àce titre nous voulons comprendre (ensemble : main dans la main comme des hommes ou femmes de science) ce qui est ici qui se trame etc ;n bnous voulons comprendre ici ce qui se trame en ce monde pariétal desq betes gravées sous nos yeux : l(art est cette chose ici qui sqe présente en tant que conduit, en tant qu’aide, que soutien, qu’accompagnement temporel ; nous vouylons nous approchger d’une bambi des prés via ce chemin rupestre qui nous mène à elle vçia la dureté de la paroi, via cette dureté de pâroi des tempsq ou du temps qui est la durezté des choses du monde soit du monde vif (vivant)  ; nous voyons bambi devant nous : elle caracole ; nous aimons bambi devant nous ; nous aimons cette bnambi des prés, qui va et vient qsous nos regards, qui va et qui file et qui revient et qui sautille ; nous voulons savoir qui elle est au jhuste en tant qUe telle  : une ezffigie ? une figure ?  une présentatation ? une sorte de mondstre pariétal ? une rezlique ? un reliquaire ?  une sorte de beatuté fatale ? une sorte de présence au monde nacré d’un temps affolé des roches ? une bete fauve ?  une sous-bete ? qui est elle ?  ; nous l’ignorons car nous ne sa vbons pas à quoi nous en tenir ; nous voulobns essayer de nous approcher d’ezlle comme nous le ferions ici ou là dans une «vraie» vie, dans une «autre» vie», et pour cela nous nous tenons par la main, nous ne nous lâchons pas la main, nous vouylons aller ensemble sur ce chemin qui mène à cette bambi (douce) des prés ; nous essayons de nous rappreocxher le plus possikble d’elle et de (dun coup vif) toucher sa pelisse de bete (douce) devant nous , avant que cette bete ci ne s’échappe et ne se porte ou portât au loin ; nous sommes deux qUI  voulons la toucher et vérifier qui el:le est en termes de réalité tangible  ; il s’agit pour nous de compren,dre cette chose d’un e bete dev ant soi(gravée) quiest cezt animal de roche antédiluvien comme le bouquetin ou l’aurochs des grottes, et voilà pourquoi nous cherchons à comprendre ensemble cette présence (pa rioétale) d’un monde rocheux ; nous sommes des enfants qui cherchopns à comprtendre les tenants et les aboutissanrts d’une sorte de rébus (pariétal) musical des roches, faits de petites inscriptions (au charbon de bois) etc ; nous cherchons à comprtendre ensemble et pour ce faire nous ne nous lâchons pas la main, nous nous refusons à nous lâcher la main, nous voulons continuer, nous cherchons à poursuivre sur notre lancée, nous sommes entrés dans une roche de grotte et c’est là (en icelle) que nous voulons poursuivre nos recherchges existentielles concernant pareilles betes de roche gravées ou dessinées ; un homme (ou une femme) des cavezrnes est passé pa r là et a gravé une effigie et à présent nous voilà qui nous introduisons à même la roche et qui cherchons à comprendre le pourqyuoi du cxomment nous en sommes arrivés lmà ensqemble, et cela est ce qui désormais (et depuis un long mùoment à présent) nous occupe, ca r nous sommes ensembvle ici (en pareille roche) pour comprendre, pour trouver, pour dénicher, pour cerner, pour saiosir, pour prendre, pour nous octroyer etc un certain nombnre de cxhoses de roche, cxhoses qui pour nous sont comme des ressorts, des traces, des étais, des vérités quitienneznt  debout et le choc, etc, et ce afin d’en avancer (fissa le plus possible) dans nos recherc hes de chercheurs-enfants des embruns, des bois, des sous bois, etc ; n ous voulons comprendre à la lumière des embruns ; nbous cherchons à comprendre à cette lumière (bleutée) de bord de mer et pour cela nous nous tenons ici en pareillle roche près des betes qui paissent paisiblemùe,nt ; il y a des aurochs, des bisons, des buffles, des chevaux qui broutent etc, et nous sommes au beau miloieu de toutes ces betes de paroi, qui nous tenons prêts à les caresser si besoin, si possible,, ensemblke près d’elles, de ces betes de roche qui vont et qui vieznnent sous nos yeux ; nous voulobns compren,drezquleque chose plutôt que rien et voilà pourquoi nous nous immiszçons à même la roche dutemps ; nous nous introduisons en cette roche afin de comprendre ensemble les ressorts secrets qui présideznt à l’élaboration d’un monde pariétal de roche, aux embrubns bleuté et nacré, etc, et cela est qui nous occupe grandemeznt depuis longtemps à présent, car nous tenons à aller loin (le plus possible) en besogne et à nous immiscer en pâreille roche le plus loin possible a fin de comprtendre toujours plus ce qui est de ce qui se trame en cette vie (mortelle) d’un monde de roche rupewstre ; nous esswayons de nous rapprocher de bambvi mais celle ci s’effarouche vjite et file fissa pour se porter plkus loin et par cvonséquent échapper à notrte toucher, à nos mains ensemble qyui s’appreochent d’elle mais non point pour lui faire du mal ou du tort mais juste pour cette chose à faire , qui est celle qui nous voit vouloir vérifier ensemble (=sous témoin) de la réalité de son etre (en chair et en os) sous nos yeux ; qui donc est bambi pour nous, qui nous regarde doucement, qui nous espionnnbe (?) , qui ne nous espionne pâs mais se présente à nous a vec sur ellke cet air de deux airs qui fait que nous nous se,ntons comme incriminés ou comment ?  ; nous cherchons à comprendre  ette bete, ce regard comme par en dessous, cette bete et son drôle de regard posé sur nous qui nous approchons d’elle, etc ; elle est douce, elle est velouté, elle est de velours, elle est fine et élancée, elle ezst la beauté des prés, ; etc ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose, d’une bête des prés qui doucement (= en douceur) nous regarde comme par en desqsous et ne nous espionne pas mais enfin : elle ne nous lache pas de vue, elle fait son possible pour brouter encore et toujours mais pour autant sa ns nous perdre cde vue, des fois qU e nousq serions des malandrins qUI en voudraient à sa vie , à son être, etc ; or bien sûr que non ; nous ne sqommes pas des malandrins qui chercheriiiions à attenter à sa vie de bete de roche, loin de lmà ! ; nous ne sommes pas faits de ce bois-là ou de cette eau-là ; nous essxayons de comprenbxdre un xcezrtain nombre de choses ici (en p)aroi) mais non point pour blesser bambi ou lui faire du tort, mais tout le contraire: nous sommes amour pres d’elle, nous sommes près d’elle tout amour qui nous approchons de sa pelissse, de son etre doux, soyeux, peluche et soirie, etc, et qui voulonbs poser un doigt, une main sur elle et du coup voir» en quoi cette bete est réellement cette bete des temps qui existerait en cette roche ezt ne serait pas uniquemùent cette effigie que d’aucuns préétendent qu’elle szerait, qu’elle ne serait que ; or non car nous «voyons» (touchonsz) la réalité d’unez biche des prés temporels ; nous compreznons que nous avons affaire à une sorte de bête n,acrée, douce, soyeuse, un fruit velouté, qui se pose (pointe) devant nous (le devant de la vie) et ne nous nargue pas non , et ne nous espionne pas deavantage, re-non, mais pour autant : ne nous quitte pas du regard, nous tient à bonne distance à dessein, jete en coin des refgards furtifs pour vérifier nos positions (à bonne distance) etc ; pas folle bambi !  ; elle en connait un rayoon ; elle connait la musique des sphéres (des ezmbrubns ma ritimes etc )  ; il s’agit pour nous dès lors de comprendre ensembkle (nous deux) ce qu’il en est de toute cette affaire de la vie et de loa mort rupestre etc ; nous cherchons à nous porter loin en pâreille roche, vers des connaissances à a cquérir ; nous voulons nous porter le plus loin possible en rocxhe a fin de toucher au loin «la timbale» ; njous voulons comprendre cela q<ui est sous nos yeux (des cavalcades) à la lumière bleutée des embruns de la roche du temps, et pour ce faire nous nous embrassons, nous nous choyons, bnous nous calinons ezn roche et essayons de nous approcher de cette «fée bambi» des embruns qui sautille en veux-)tu en voilà à) qui mieux -mieux en pareille roche d’u ne grotte d’un sud de la france ; nous pensons que nous avons à nous rapprocher de cette «fée bambi» la bien-nommée , et ce afin de porter un doigt (un seul) sur elle («touchée !») et du coup afin de pouvoir dire cette cxhose (à qui veut l’entendre !) comlme quyoi bambi existe bel et bien = en bonne et due forme et n’est pas qu’un mirage ou un fantasme ou un fantome ou une vision éberluée etc, mais elle est de chair et d’os (de pelisse douuce) et est cettye bete des prés de roche qyui nbous indique un chemin à suivre sur pierre, ensemble, main dans la main, à sa suite, vezrts kles ezmbruns d  ‘une mer bleutée ; nous voulons essayer de co:mprtendre cette chose ensemble et voilà pôur quoi nous sommes entrées ensemble en pareille roche du temps ; nouys voulons comprendre les données ici présentes en cette grotte : des aurochs mais pas seulemeznt, car il y a des traits, des points de sca nsion, des figures géométriques, etc ; nous voyons que nous a vons a ffaire à tout un panel de choses représentées en dehors même de toutes ces betes de roche ; nous voyons que nous avons affaire à une sorte de panel étendu, riche en figures de toutes (ou de plyusieurs ) sortes, etcx, et cela nous plaît qui nous intrigue beaucoup ; cela nous ravit qui nous plaît fortement (follement) en pareille roche, car nous sommes des enfants qui recherchgons des trésors cachés, des sortes de réponses à des rébus liés aux choses de la vie ; nous voulons nous porter loin en pareille roche, vers la lumière bleutée, vers les embruns des bords de mùer (?) ou commùent, car nous sommùes intriguésq, nous sommes surpris, nous sqommes inquiets, nous cherchons, nous sommes chercheurs de vérités ; nousq vopulons comprendre le pourquoi du comment des choses en paroi sont advenues de la sorte il y a plusieurs centaines de milliers d’années enn  arrière ; ils’agit pour nous de rezcherches à mener en roche, au fin fond d’une grotte de la préhistoire, et cela ensembblke (tourtereraux) comme deux enfants des bois, perdusq, qui vont vers la lumière crue devant eux et tombent nez à nez avec un animal ma jestueux, sur un animal aux bois dorés, etc ; il s’agit de co=mprendre pour nous ce pourquoi et ce comment de roche ; pourquoi la roche est le temps, pourquoi l’art est la façon que certains utilisent afin de s’immiscer en roche, pourquoi l’art est cette façon d’êtreque certzains ont , qui font irrup^tion en pareille roche dsu temps prairial ; bnous essayons de co:mp^rendre ensemble les raisons qUI présqident à pareille immixtion en roche du temps, via une poussée en rocxhe et fracture (fracture ?) en icelle afin de nous, pouvoir passer en elle, et de l’autre côté ; nous avons cette ambition qui est celle de chercher à nous introcduire (par opoussées) en cette roche du tezmp)s, et de passer en elle ensembvle, dx’un bond vif, et nous retrouver de l’autre côté, comme de bien entendu ; nbous voulons aller en elle ensembvle (en pareille roche) et là nous poster sur le devabnt d’icelle et ga gner du terrain ensembvkle, vifs, à pas affirmés, vers les embruns des betes aux bois, etc ; nous cherfchons desq solutiobns à des problèmes ; nous n,e sommes pas chiches de cette chose en sembvle, qui est que nous cxhezrchons des solutions à des probvlèmesq de paroi , de temps chevalin, de roche aux embruns, de bambi simiesque, de chemin tra cé sur la roche et aussi de musique (sourde) des prairies, ou de pareilles p^rairies en clavées ; nousq chercghons ensemble des raisons, des solutions ; nbous voulons aller loin en cette chose d’une réponse fiable qui serait une vérité inébranlable = une vérité ! ; nous pensons qUE nous devons nous avancer sur ce chemin quuii mène aux embruns et voir le bleu nacrée de cette mer douce, veloutée, tendre, soyeuse, ami

cale, etc, quyi est celle qyui nous «tend les bras» ; nous chertchons à comp^rtendre ensemblke ces choses de roche, et pourquoi les choses animalières dominent en pareille roche ; nousw sommes ensemble qui cherchons des vérités de roche, noius sommes e nwsemble des enfants qui cherchgons à comp^rendre le pl ;us possible de cette chose d’une paroi à travertse»r ^pour rejoindre ensemble (droite et gauche) desw embrunbs de bord de mer etc, au fin fond d’un e paroi de grotte ornementée ; nous voulons comprendre ce qui est ici (en p)a reille grotte) qui préside aux cghoses du temps pa riétal, et c’est la raison pour laquelle nous entrons en elle (en  cette roche ou paroi) et fissa faisons allégeanbce, poursyivonns notrte chemin de roche (de ronde) et allon s le plusq loin possiçble en elle, le plus loin pôssible en cette roche temporelle, vers des ezmbruns nacrés ; nous voulons comprendre ici ce qui est  ; qui est quoi , et quoi est qui ; qui fait quoi, et quoi fait qui , qsui de quoi, et quoi de qyui, qui de qui et quoi de quoi, etc ; les questions fusent ; nbous savons que nous devons aller loin en pareille roche aux interrogatrions temporelles (existentielles)  ; nous nous avançons de con cert, nous sommes deux pour la bopnne cause, ; nous cxherchons ensemble car nous sommes soudés, bnous sommes deux en nous ; nous = deux ; nous voulons essayer de comprendre le plus que nous pouvons et pour cekla nous nous portons en cette roche (art des temps) pour une immicxtion de notre mobile existentiel ; nbous essayons de nous approcher d’un e (d’un    ?) bambi ; bnous nous approchons ensemble d’un ou d’un e bambi des prés , qui nous regva rde d’un drôle vd’air (un air de deux a irs) et ne nous quitte paqs cdes yeux ; nous ne lui voulons a ucxun mal ; nousq cherchons juste une p^rise de contact tactile et ce, afin de nbous rendre com^pte comme quoi bambi est de la vraie bete (en cxhair et ezn os) de sous bois, de foret ou de préirie ; nous solmmes acharnész ; nous ne voulons pas l^$acher :le morceau : la vérité des roches (ou du roc) estce qui nous intéresse le plus en cette roche et c’est pourquoi nous sommes acharnés et y allons enesmble de notrte couplet : nous sommes acharenés, nous chantons nottre acharnemezn,t ; nous voulons co:mprezndre ici ce qui est qyui se tramerait sous nos yeux : qui est bambi ? un etre malfaisant ? un etre bienfaisant ? une turlupinade ? une énigme ? un,e fée des prés ? un magicien des eaux bleutées ? une sorte de monstre marin ? terrien ? qui est donc cette bambi tant n,ommée jhusque là, et qui est cette bete qui va sous nos yeux étonnés dxevant pareille grace au sein d’(un e roche ; nous voulons comprenbdreensemble et afficher les résultats de nos recherches en matière de vé&rités ; nous cxherchons à nous immiscer loin , de pl ;us en plus, loinb le plus en pareille roche du temps et toucxher «la timbale» c’est à dire le pot aux roses, c’est-à-dire la vérité& vraie, crue, nature, véritable des choses du monde pariétal (musical, et tempooral?)  ; nous cherchons à comp re ndre ici ce qyui est de ce monde desq sphères, de ceztte chose d’une sorte de sono rité qui proviendrait de cet endroit lointain (la mort ? le côté bleuté de la =mort ?) et quyi nous donnerait (à jamais) du fil à retorxdre ; nbous voulons essa yer cde nous approcher d’une bête et cette be^te a un nom, qui est «bambi», bambi lk’animatrice, lma bambi des prés qui estr ceklle qui bnous guide vers des vérités rupestres, eztc ; nous cherchons à comprendre pôurquyoio nbous avonsaffaire en roche (=dans le temps) à des êtres pa reils, qui caracolent et nous guyident dans nos deestinées et dans nos élans ; nous essayons de comp^rendre ensembhle ce qui est ici avec cette bambi des prés : pourquoi ? comùent ? quand ? avec qui est elle ? qui pôur nous amener près d’ellme ? quel souffle sur nous nous a urait poussé vers el:le qui broute et caracole ? qui est derrioère nous qui pousse ? qui derrière nous qui pousse ? derreière dans le temps et derrière dans l’espac e  ;nous voulons dénicher la vérité là où elle se loge ; nbous voulons edszaayer de comprendre ensemvble cette chose d’une vérité des rocheqs, des betes antédiluviennes, etc ; nous cherchons le pot aux roses ensemnmble : ensemble c’eswtyà dire de con cert ; nbous voulons nous approcher le plus possible cde la vérité des roches et des p)rés incidemment ou conséqUemment ; bnous ne sqommes pas encore arrivés à destin ation bien évidemment mais nous poursuivons sur notre lancée car nous voulons a ller là-basz a u loin, apresq les biches et apres les cerfs aux bois dorés, apres les bisons et les chevreuils, apres les cheva ux ezt les ours des cacvernes: ; nottre but est avoué ici en roche et se résume en un seul mot (de trois lettres) : art ; il s’agit pour nous de cette cxhose d’une transmission, cd’unee transition, d’une translocation etc d’un mobile vers une lumière ; nous essayons de nous approcher le pluys pôossible de  cette lumière de roche, aux embruns na crés, aux betes dessinés pâr le’homme des c avezrnes ; notre but eswt clairement énoncé partout et se résume en un petitb mot (pêtit mais qui en dit long) et ce petit mot est celuyi de «a ret», l’art du faire semblant, l’artt de la feinte, l’art de la parade, l’art du contrepied, de la foutaise etc ; nous voyons que nous avons affaire à une chose particuliè!re en pâreille roche (concxerbnant les betes) et cette chose est de les approcher pour les toucher (toc) et pour nous rezndre co:mpte de cela comme qyuoi la bete est mastoc en bonne et due forme, colmme qyuoi la bete existe bel et bien et  n’est pas qu’une effigie pour la parade ; nous comprenons à présent bezucoup  de choses concernant ces betes peintes, gravées par des anciens, nous comp^rzenons à présent que nous sommes comme ces hommes, des graveurs-dessinateurs de phonè:mes incompressibles (etc) et qu’à ce titre $nous pouvons nous présenter en tant qu’aurignacxiens nous mêmes, ou magdaléniezns ; nous sommes des enfants de la roche ; hnous cherchons comme enfa nts de rocxhe des nids à dén icher et autres sezcxrets bien gardés ; notre but est clair et net et s’affiche ici en tant qUE tz»l, en tant que raison , ou raison de vivre, etc ; nous voulons co:mprendre le pourquoi du comment ici ba s des choses se pâssent sous nos yeux, choses qui sont comme des rébus à décghiffrer à deux (à toi à moi, ou : toi puis moi, etc) et ces rébus s’offreznt à nbous (notrte gouverne, nottre entendement) comme des cha rades, comme des sortesq de blagues aussi, etc, qui ne manquent pas de nous retenir ; nous regardons au loin ensemble ; il y a la paroi de la grotte, mais aussi il y a la paroi aux ezmbruns (paroi s’i l’on peut dire)  ; nous voulons aller ensemble au fin fond de cette roche du temps qui est la roche que nous connaissons à présent en tant qu’elle se présente devant nous comme chose à fracturer, à percerde son pic de bouche (les morts-an,imaux)  ; nous voulons nous immiscer au plus profons de cette roche dutemps, roche bambiesque pour ain si dire, qui est roche qui nous absorbe comme une é&ponge ; nous sommes ensemble pour comp)rendre les ressorts cachés et  ;:a vérité des sphères ; nous rezgardons au loin et nous voyons une lumière bleue ou bleutée qyui est la lumière des sphères dees eaux musical ;es ; il s’agit de vagues, de ressac ; nous nous approchons de cette mer du temps  ; il s’agit dx’une mer bleuté, aux embruns doux, qui va son allant de vagues réitérées, etc ; nous so:mmes ensembvle en roche qui gravitons, et allons loin en pareiille roche, en pareille roche nous allons loin pour nous porter (donc) pres d’une mer de roche bleutée (la mer bleutée et la roche bleutée par contiguyité)  ; nous nous approchons de cette mer bleue ; nous a vons à nous approcher cde cette mezr bleuté qui est dev ant nousq (au loin) qui nous a ttendait comme une bouche, comme une porte, comme un e en,trée, comme une fissure, commùe une fente etc ; nous essayons en xsemble de comprendre ce qui est ici devant nous (sous nos yeux enfantins) qui va se tramant de la sorte : mer $a ux embrun s, vagues aux vaguelezttes, vagues aux goutelettes, etc

 ;nous essayons de nous poster ainsi le plus en avant pôssible et là nous tenir droit et ne pas flancher, ne pas cambrer, ne pas fléchir et ne pas reculer mais camper sur nos positions ; nbousq devons aller loin en pa reille roche car nous devons nous approcher d’une mer en elle, mer bleutée (aux embruns) s’il en est, mer de la roche du temps pa ssé ; nous devons faire cette chose ensemble et ne pas nous désunir ; le but icvi est de comprendre le plus que nous pouvons ce qYUI  donc se trame en pareille roche (paroi) du temps ; nous devons comprendre ensemble car à deux il est plus facile de faire le point et de se présenter ainsi armés de chosews et autres en nous mêmes, qui puissent (ces choses) nous aider passablement dans nos recher c hes ; nous voulons compre,ndre ce qui estde cette mer souterraine,  en bons chercheurs ou chercheuse que nous sommes ; nous voul:ons comprendre le plus possqible et ce à la lumière d’une torche ou d’un soleil de roche ; nous essayons de co=mprezndre ce qui eswt ici qui se préxsente sous nos yeux d’enfants-chercheurs et dénicheurs de pot aux rosesq ; la vérité ici est cvela que nous recher chons enwsemble: main dans la main, droite et gauche etc ; nous sommes deux pour une bvonne cause ; nous paretons à l’abordage et creusons profond nos recherches ; nous voulons aller en cxette pâroi préhistorique (ornementée) au plus profond que n,ouys pouvbons et, dans les profondeurs, nous la issser portezr par «la vague» des temps pariétaux ; nous sommes deux (en nous) qui compreznons cette chose comme quoi  nous devons aller le plus loin possible à deux en pareille paroi, nous glisser dans les entrailles de cette dernière et là encore plus loin, ;$, creuser la terre gtlaise, la terre meuble, la terre à creuser ; nous voulons comprendre le plus que nous pouvons ensemnle et creuser toujours plus a vant ces terres et ces sools de bie nvenue ; nous voulons aller loin en p)areille roche et comprendre enxsemble les raisons qui poussent l’homme des caver nes à agir de cette façonqui est sa façon et quyi est cette chose d’une sorte de furie ou de folie de la rressemblance, comment dire ?  ; il s’qagit pour nous de nous approcher des raisonsq (bleutées ?) qyui président au geste de cet homme des ca vernes : pourquyoi à main levée ? pourquoi en transe ? pourquoi en lévitant ? pourquoi dxes betes et preszque uniquemen,t cette chose reperésentée ? pourquoi doit il etre ainsi dans une sorte d’état second pour figurer sur paroi de grotte ? que pênser de son élan sur roche du tempqs ? est il ennous troujours ou bhien mort en nous à jama is ? est il encore en  nous logé qelque pa rt ou bien voilà que  cet homme n’est plus, n’existe plus, pas m^$eme en nous, au fin fond de nos artères, dans nos A DN ou npotre mémoire , etc ; nous ne savonqs pas ce quyil en est ; nouys voulons savoir ce qUI est ici pour nous en la matière : qyui est cet homme des cavernes ? qui est il pour nous et nous pour lui ?  ; nous dessinons des betesc à lmain levé&e sur une pàaroi et l:ui pareillement dessine à mùain levée wsur u ne pa roi, seulmeme,t voilà, nottre pa roi n’eswt pas une roche de grotte, il s’agit pour nous d’une sorte de’écran en interface, une sorte d’éc ran intersidéral, qui vient se loger deva nt notre gouverne ezt jkamais ne s’en délogera (de notre vivant ) : nous sommes empêchés, nous sommes masqués, nous sommes pris par des filets autour de nous <qyui nous obstruent les données vraies du monde ; nous ne sommes pas en mesure de voir clair les choses du monde ; nous voulonsessayer  de com^prendre ce qui est ici qui se trame en pareil monde pariétal, cette mer au loin, ces embruns, cette lumière nacrée, ces betes boisés, ces aurochs, ces ours ou lions des cavernes, tous ces points sur roche reznouvelés, cxes traits de jonction, ces cris gutturaux, ces feux mal éteints, ces données rupestres, ces chrêmes ; nous essa yons de toucher bambi du bout du doigt mais celle-ci est prompte à s’enfuir à peine a vons-nousq effleu ré sa pelisse ou bien lk’ombre d’un geste ; nous voulons essayer de com^prendre  ;les choses du mùonde, l’art dans ses réalmités : ce qui est de ceztte chjose et ce qui n’est pas ; l’art est une chose étrange, souterraine, une tentative d’exploration, une volo n té de découvertte via des canaux qyui ne sont pas les canaux de l’intelligencxe phrasée purs et durs, mais plutot une voie de traverse, une entrée en matière tête la première etc ; nous cherchons à comprenxdre un certain nombre de  choses , et ces choses les mùettre à pla t sur nos dev ants «de p orte», ou sur un seuil quelconque : devqant nous ; nous cherchons à dépôser des vérités tangiblesq, du dur de  chez dur en matière de vérité ; nous avançons znsemble sur un c hemin pariétal qui est censé nous menezr loin verts une mezr (?)  créée, velouté, douce, tendre, fine, eztc ; nbous voulons al:ler l:oin en pâreille roche ornementée, voir les animaux brouter ou charger, ou caracoler, mais pa s seulemeznt : les points des vagues, kles richesses perlièresq, kles embrunqs aux cha rmes bleutés, les lointains intérieurs illuminés , etc ; nouws voulons a ller plus loin en,core que nbous le pensions, ou comment dire ? ; nous voulons nous porter-poster en aval le plus possible de l’entrée en roche, gravir, graviter, vieillir en pareil roc  du temps, alker da ns les profondeurs des entrailles du temps et là se posezr et regarder et tentezr d’y pîger ou comprrendre quelque chose, quelque chose de solide à se mettre slous la dent ; nous voulons essayer de cxom^prendre ici (en roche) les enjeux liés aux choses xdu temps: qui fait quoidans le tempsq ? qui est qui dsans le tempsq ? wqui assure dans le temps ? qui va à l’encontre du temps, et quoi va à kl’en contre du temps ?  ; nous voulons savoir ce qui est ici qui nous anime dans nos rezcherches en tant que nous sommes des enfants de la roche pariétale ; nous sommes des znfants qui gravitons en pareille roche du temps pariétal et en tant que tels nous voulons aller loin en besogne et dénicher le plus possivbvle de vérités liées à des secretts de roche, ; de paroi, du temps, etc ; nous sommes des enfants qui nous devons d’aller loin dans la   profondeur de cet audelà de soi qui est cet a vant-scène dezvant nous o

ù pouvoir dénicher des vérités stellaires, des secrets de première main etc ; notre but est là affiché qyui est celui qui nous accompagne dezpuyis le début (naissance) et va  cahin caha son chemin à nos côtés ; nous voulons trouver une réponse à une question ; nous soommes deux qui voulons trouver une réponse à un e questuiion ; nous voulons comprendre les choses du temps du devant (du levant) et ce temps pourquoi est il ce deva nt de nous qui laisson s de nous (de côté) un nombre incroyable de don nées, de choses diversezs sorties de nous, nouys en dépîautaNT colmme d’une mue, d’une peau morte ; nous voulons savoir pourquoi en cxette roche dutemps pariétal (ce futur proche ou de procximité) ily a la m er, les zmbruns salés, l:a lumière nacrée des limbes ; nous voulons essayer de comp^ren,xdre ce qui se trame devant nousq (ce futur de proximité) et pour cela fissa tete première à travers la roche de la grotte ! ; nous sommes des enfants qui tentons un certain nombre  d’approcxhes diverses, nous voulons enttrer dans une roche du temps devant soi ; nous voulons entrer en entier et ensembnle, nous deux, en pareille roche du temps devant soi , ce temps a nimaliezr qui est celui dee la paroi de l’homme des cavernes ; et commùe lui nous lévitonsq := nous entrons dans la transe (danse) ensembv le et a insi, en lévitation, dessinonsq les contours de betes de prairies ou de bois, et ce»la da n,s le but de nous laissser porter pa r en nous l’esprit frappeur a nimazlier, quyi chezrche une issue et la trouve sur roche via notre en,tremise ; nous soommes à la mùerci d’une sorte de courant animalier violen,t en nous et nous nous laissons dè!s lors téléguider par ceztte bete (ce pic) en nous , qui frappe à la porte de laroche, la crève d’un cxoup d’un seul et, traversant rapidement, se trouve aus abords pôsté d’une mer bleutée ; nous voulons tenter ainsi (enfants) cetteapproche pariétale d’un temps à vivre ; il s’agit pour nous d’une gageure» ; nous voulons aller loin en pareille a va,ncée, en cette aventure de paroi, vers une sorte de mer aux embruns qui serait la mer bleutée d’u ne sortye de chant musical ; nous vouylons aller le pl ;us loin pôssivble en ceztte mezr bleutée ; bnotre but est d’a ller tres loin en cette roche, en cxe p aysage, vers la vérité desq loin,tains, puisqu il est ente,ndu que la vérité ici est celle des l:ezndemain,s, du futur proche, du dema in etc ; nous comp^renopns que nous devons faire,  avec cette mer aux embrunsq et à la douce musique (en elle) des vagues qui enswemble (de concert) viennezn,t buter sur nous qui nous postons ensemblke (de concert) aux premières ; nous voulons cette chose, d’une compréhensiondesdonnées du monde pareiétalde roche, nous voulons entrer da ns «la matière du temps» (art) et pour cela, nous poster en pareille roche ornemen,tée de ces temps an,tédiluviens des cavernes aurignaciennes ou autres  ; nous pensons que nous devons aller dans la profobndeur car nous pensons que la vérité des choses du mobnde est dans la porofondeur, est cachée de prime abord et enfouie (pour le commun des mortels) or bien sûr la cxhose n’esst pas si simple et certainement pas a utomatique ; qui dit profondeur dirait chance de trouver ? de troucver la vérité ? billevesées que ce discours là domina nt ?nous pensons que notre approche tete première, en, butée, contre laparoi d’une grotte, est une approche «sensée « , est une approche délibérement pensée etc ; nous cherchons une solution à des prob lè:mes langagiers que nbous nous posons ensemble, ici même, en ces lign es ou bie,n autour d’u e table et au tour d’un verre ou d’une tasse ; nous voulons comprendre enfin ce qui esrt de ce qui nous entoure et qui nous a ttend : ce futur de p)roximité ; npous pensons que ce qui est autour de nous est de la paroi ornementée (animalière en diable) censée figurer le monde à son hjhuste prix or non  : le monde  est monde pariétal à ca chettes ; il sem^bvlerait quil en fût ainsi pour njotre gouverne, et cela ewst a insi que nous nous immiçons, de concert (tete en avant), dans la roche du tempds du devant, et cztte entrée ici en matière (ou art ici) est celle qu’il nous plait et qyu il nous int»éresse xd’expérimùenter ensemble ; nous en,trons par la poerte du temps, et cela est une fa çon, une manière, une technique d’abord ; nous penson,s que nous devons entrer en cette roche -temps tete prez:mière (la raison, l’intelligence) mais cela dans le fracas x’une mise en branle transitoire et cependant puissante ; nous voulons que les  choses soient dites et pèsent dans la ba lance ; nous a vons ceztte chosex pour nous, qui est celle qui nous voit ensemble nous positio n zer en cette roche pariétale comme dans le temps d’une avancée frontale ; nous passons la tete ; nous passons les épaules ; nous passons kle reste cdu corps (passe-muraille) et nouyqs nous reztrouvons dee l’autre côté à compter les betes qui paissent et à voir gambader dess bambis des prés plein le paysage ; nous sommes ensemble dans une hutte pariétale (pour ainsi dire) c’est-à-dire une enclave et celle-ci est celle qui nous contient jusqu’»à preuve du contrairre ; nous nous avançons en pareille roche et nous nous infiltrons ezn elle commeà l’in tériuer d’une grotte a ntédiluvienne (aurignacienne ? magdalénienne ? )  ;: notre but ici est de dire des choses justes, de dire juste, de pa rler juste desw temps pa riétaux ; nous sommes eznsemvble pour comprendre ensemble cette  vérité des choses du mobnde: une paroi de grotte est une paroi du temps, la bete représen tée sur roche est ce mot -animal sorti (sous tension) de notree boucxhe ; l’a rt est l’art du faire-allégeance, ou de faire a llégea n,ce ; il s’agit de représentations animalières ezn diable, et ces rep^résentations sont celles qui ezn disent long sur une véritédes origines au monde ; nous cherchons à nous approcher de la vé&rité ; nous voulons nous approcher de la vérité des choses du monde et pour ce faire nous allons au pl ;us profond de la paroi et là nous regardons ce  qyui se présente et que voyons nous ? nousvoyons des betes qui courrent, des bambis des prés, des chevreuils, des bisons, des élans, des rennes, des chevaux, des antilopes, des bouquetins, des aurochs, et toutes ces betes devant nous nous suivent du regartd nonchala:mment et nous tiennent ainsi à bonne distance (des fois que nous serions des êtres mùalveillants, etc)  ; nous voyons deva nt nous des betes , et ces betes nous les voulons toucher pour notre gouverne, nous voulons ces betes pour notre gouverne (raison raisonneuse) les toucher en vrai (toc) et dès lors pouvoir dire tout à trac cette chose qui njous turlupine, comme quoi bambi erst vivan,te, ; c’est - àdire que bambi existe en cxhair et en os ; nous voulons dire cela ici m^$eme : haut et fort en pareille paroi de grotte  ; vivante ! vivante ! vivante !  ; vive ! vive ! vive ! ; vif ! vif ! vif ! ; etc ; ceette chose d’un «plus» de vie vive ezn cette bete rezprésentée ! ; nous comprenons que nous avons à faire cette chose enselmble c’est à dire ce chemin , ce chemin qui va ou part d’un début de roche pariétale  vers une mer bleutée aux embruns, etc ; nous compreznons ce»la , que nbous devons ensemble aller loin en cette roche du temps présent et creuser notre sillon à même la pierre temporelle, et ce en cette direction d’une mer b leutée qyui serait la mer aux embruns , la mer bleuté des tempds (mùusicaux) des sphères ; nous essayons de nous projeter de la sorte, et aussi de creuser notre (propre) sillon de compréhension pour d’autres connaissqa nces (de choix) à parfaire de concert (puisque nous sommes deux en nou-mêmes : droite et gauche, devant et derrière)  ; nous avons du temps pariétal, une tete raisonneuse, un pic de paroles animalières, u,ne volonté de fer, une raison d’y croire, un,e vitesse d’exécution, et dès lors pourqoi ne pas s’y coller fissa, tete première comme cde bien entendu, et pâs plus tard que tout de suite : allons y  ; almlons en pareille roche à la recher che du trésor perdu (du temps ?) et regardons passer (paître) les betes d’orn,ementation rupestre ; nous sommes deux pour la bonne cause ; nous devons faire ainsi eznsemble en paroi cette cheveuachée de tete, cette embardée dans la matière temporelle etc ; nous devons nous tenir par la main et ne pas (plus) reculer mais tout au con,traire poursuivre toujours plus loin cette chose d’une embardée dans les profondeurs de la pierre ; nous cherchons des sol:utions à des problçèmes d’embardée formelles, à des problèmes d’embardrée àoà même la roche : qyui peut pensezr qu’un picde bouche peut percer dame la roche ? qui pôur pensezr qu’un pic de bouche naturel (à base de betes) soit capable de percer (ni une ni deux) une roche cde grotte soutyerraine ? qui pense à la roche comme à du temps agglutiné ?  ;: qui est pour nous cet homme des cavernes en nous ? et où est il ?  ; nous voulons savoir beaucoup de choses, et nous voulons comp^rendre tout autant, et cela car nous aimons nous poster ici, sur roche, aux avants pôstes pour ainsi dire, et nous lover en pâreille roche une étern ité qui serait ce temps de la compréhension totale, globale, des choses du monde ; il est donc ici un temps qui est temps d’un dezva nt de soi à venir ; nous pen,sons que cette chjose est une cxhose de grande importance ici, ce tezmps qui seprésente à nous comme une porte, ou comme une roche à anfractruosités ; notre vol ;onté est pleine cde cette façon que nous avons de  nous poster (art) en amont, en pareille roche ; nottre volonté est remplie de cette envie que nous portons en  nous ou avec nous de cvomprendre les choses du monde, cellkes qui advienneznt au fur et à mesure ; nous pensons que nous avons à comprendre beé&ucoup des choses du monde e,ncore, car la roche est dure pour nos fronts qui butent ; bnous voulons aller en roche comme dans u,n temps de façons et de manières (arts)  ;: nous voulons trouver des trésors ca chés au sein de la roche (une  ca bverne d’ali baba) et pour cela nous nous tenons proches, ensembvle, main da ns la main, prêts à bondir (ni une ni deux) dans la roche pariétale, comme paasse-muraille d’un nouveau genre ; nous voulons comprendre enxwezmble et c’est la raison pour laquelle nous a llons a in si en pareille paROI de nbotre propre initiative quioque guidés en n

ous par des b etes de rocxhe qui, en nous (pic et repic) poussent «au cul» pour ainsi dire = poussent sda n,s des directions précises : de la terre à la lune, ou dit autrezmentr : de lma bouche au coeur de la roche ; nous cherchons des so ;utiobns à des p^roblèmes d’immixtioon salutaire ; nous voulons trouver des solutions à des problèmles liés à des questionnements liés à des raisons ; nous cher chons dans la roche des sortes de résona ,nces (de la musique atmosphérique) qui puissenbt nous guider ou en trainer sur des chezmin s de traverse ou de travcezrsée ; nous voulons savoir et comprendre le pot aux roses : toutes ces betes dessiné&es par des hommes anciens, ces betes gravées ou dessinées, sont elles encore celles qui président à nos destinées ? nous pensons qUe oui ; nous pe,nson,s qu’en nbous des betes prési dent, qui vont depuyis nous (antre) jusqu’à l’antre (l(autre) de la roche dure du temps ; nous cherchons à nous blottir en pareille roche, nous protégezr,nous glisser à l’abri des emb ardées animalières , en cette roche de paroi qui est roche de paroi du temps, ; nous pen,sons que nous ne sommes pas trop de deux (en nous) pour parfaire cette chose d’une sorte d’entrée en matière p)ariétale  ; le tezmps ici est l’affaire numéro 1, qui nous voit déambuler en roche (en roc) à la recherche d’une vérité dite «de paroi», d’une véerité aux allures de vérité mais pas seulement, d’une vé&rité aux fondements de vérité etc ;  ; nous solmmes qui recherchons les accenbts de  vérité en roche, en profondeur (entrailles) et pour vcela, nous bran,dissons notre pic de bouchje (un pique-paroi) et pêrforons dame la roche afin de plus que vite enttrer en pareille pâroi et y trouver (y dénicher) des trésors d’intelligen,ce (etc)  ; nous voulons de  cette intelligence d’approche et de découvertes, nous voulons trouver-dénicher le fin mot d’une énigme qui (depuis long) ne cesses pas de nous courir dessus ; nous voulons eesayer de co:mprendre ce qui esqt ici qui setrame et va de l’avant dans les embruns ; un e mer pour un e réception, pour une compréhension ; une mer souterraine (sous terre) pour une immersion d’un mobile conjugal etc ; nous voulons savoir ce qu ilen est de pa reiil:le mer (mar) de wsous-terre, etcx, et pour cela nous suivons bambi dans ses pérégrina tions car ezlle mieux que personne connait les arcanes, les passa ges, les chicanes, les boyaux à emprunter de préférznce ; elle (bambi) connait le chemin, ou il (bambi) connait le chemin ; elle ou il connaissent le chemin qi mène à la mùer ‘«(«le chemin de la mùer») et du coup que faisons-nous nous suivons notre bambi bien aimée et ne la perxdons pas de vue , car elle file à une vitessse telle qu il ne nous est pas si simpl:e, ; il ne nous est pâs si simple de la suivre sans la perdre ; il ne nous est pas facvile $de suivre bamb i la pétroleuse car elle file fissa et sautille en veux tu en voilà partout en c ette roche ; elle est vive comme un éclair ; elle fonce à toute vkitesse, ezlle est vive, viva nte, vif éclair et nous tentons vaille que vaille de la suivre sans la perdre afin de pour le coup nous appropchezr de cet endroit où elle veut ou cherchje à n,ous mener : ce bord des emb runs bleutées, tâchetés ; nous comprtenons dès lors que bambi est la coursière, la meneuse, la belle meneuse, ou commen,t ?  ; elle nous guide sur nos pâs tan dis que nous allon s en vie ; elle est celle «en nous» qyui nous permet une avancée, de fait, conséqUEN,TE, en paroi du temps  ; elle est celle qui en,tra î n e ( l’entraineuse’) et qui pousse à en avancer fissa vers un point de mire, ou comment dire ?. ; elle est c ett animal du devant de vie (ce futur dessiné) qui pousse (tire) vers elle , vers la destinée na crée ; elle est bambi de circonstance, cet animal qui devant soi figure la vie vive , la vraie, offerte ezn présent de nacre sur paroi de grotte (et au milieu des inca,ntations de toutses sorttee : gutturales ou pas gutturales)  ; nous pensons que nous devons nous avancer surce chemin d’un e reconnaissance de sentier , via  l:’e,ntremise salutaire d’un coursier (d’un passeur des champs) en la personne de ba mbi des prés (Bambi Déprez) qui est notre ami(e ?) fidèle, ce ou cette intercessrice , etc  ; nous voulons cxomprendre le pourquoi de cette chose du temps à venir (aux portes du monde) et ce temps le comp^renxdre à la lumière (pariétale, musicale) des embruns de roche (une mer)  ; nous voulons nous avancer et toucher le chevreuil ou le cerf aux bois-jolis, ou bambvi la biche bien nommée, etc ; nous sommes pres d’elle et d’eux, au beau mil:ieu des betes d’ornementation rupêstre ; nous nous promenons sur roche comme betes sous la main de l’homme (dessina,nt souss influence) des cavernes ; nous so:=mmes nous

mêmes hommes et femmes et enfa,ntrs descvavernes ; enfants des caverneqs ; nous sommes des enfants qui cherchons des solutions, de repli et de compréhension, dans la rochje ; nous voulons en avancer ghrandement ensemble et pour cela nous nous immisçons la tête la przemière dans la roche et une fois passés nos corps se déplient, se dilatent et reprennent leur formes initiales ; ,nous pensons que nous devons poursuivre en,core et toujours sur notrte lancée car nous sommes sur des rails qui nous poussent (ou nous entra inent) à ne pas baissser les b ras, la garde ; l’(attention portée aux choses du roc: nous pen,sons que nous devons nous projeter cde la sorte en  cette fin de pâysage, de paroi ou de roche ;nous devons poursuivre cette embardée en roche coûte que coûte et ne pas faiblir, rester concentré ezt continuer à grapiller sur ce territoire d’une roche nue, profonde, fiable (tangible), hABitée par des betes de p^raiorie ou de bois, âr des chevreuils, par des élans, par des bouquetins, par des chevreuils et autres a,ntilopes ; les betes ici sont nos tres chères, que n ous adorons -)adulons , depuis nous (pic de bouche) jusqu’à nous (intrapariétal)  ;nous voulons dès lors entrer en p aroi comme dans les ordres et ne plus en sortir sinon chjassé par quelle patrouille (‘en elle) qui nous éjecterait comme des malpropres pôuir telle ou telle raison (méfaits) de nottre pârt ; nous penso,ns que non, ou que oui nous devons a ller loin en pareille roche (entra ille) et chercher la mer szou terra ine (?) ou bien l’univers doré des embruns (?) : qui sait ?  ; nous cherchons à comp^rendre ensemble ce qui pousse ou ce qui entraine : ennous c’est-^à-dire en notre «gouverne»frontale (front) etc ; nous percevons un certain nombre de choses déjà mais enfin il y a beaucuop de choses à comprendre ensembvle, à commencer pâr cette chose d’une biche a nnonciatrice, bienfaitrice, initiatrice et guide pour un,e avancée (conséquente) en roche ; nous voulons comprtendre un tout ; nous voulons savoir ce tout ce qu il est en pâreille paroi ; le temps est ce trout qui nous retient et ne laisse pas de nous interloquer  ; nous voulons que le temps soit pour nous comme une sorte de trésor de roche etc ; il s’agit d’un  trésor de roche dure ; le temps dur d’»une roche dure ;nous geswticulons en roche, nousq nous agitons pour ezffrayer la bête de charge, cet aurochs ou ce buffle qui fulmine ; nous ne voulons pas nous faire pîétiner ; nous voulons rester en vie le plus longtemps possible et rega rder le plus longtemps pôssible le train animalier passer sous nos yeux d’enfants ; nous voulons ce tra in animalier le voir passer devant nos yeux, qui restons comme cois, qui restent comme éberlués (les yeux) qui n’en cxroient mais devant tant et tant de grâcxe et de resssemblance ; l’aurochs dxessiné a tous les airs de l’aurochs en vrai et peut figurer la chose (peut etre) sans mal , la figurer face au dieu de la  p âroi du monde (l’omiscient cheval ? )  ; nous voulons savoir ici pourquoi ce temps imparti inclus dans la roche est le temps animalier par excezllence, et aussi pourquoi l’animal représwenté pâr un homme des cavernes est il touj,ours une somme de tra its de gran,de reessemblan vce avec son modèle ; nous voulons connaitre ce qui est de ces dessins rupestres et pour ce faire nous  ne sommes pâs en reste de poser un grand nombre de qUestions de toutes sortes a u sujet de ces figures, de ces hachures, de ces traits de fuite et autres scancions punctiformesq ; nous sommes très intéressés par cet e,nsembvle pariétal animalier qyui est ensemble musical animalier, musical donc temporel  ; il s’agit pour nous de comprendre cette choses comme quyoi le tezmps de la roche esqt une p^ rtition animalière ; il s’agit pour nousd cde pouvoir nous projetezr nous mêmes a u beau m :ilieu de cet ensembvle (animalier) de parade ; nous pe,nsopns qUEe la bete représentée est la bete qui en nous est présente sous une forme liée à un trou de bouche ; nous pensons que cette bezte sur pâ roi (représentée) est pêut etre la même qui p^réside (instruit) en nbous et nous guide (tra,nse) dans nos faits et gesteqs ; nous voulons croire en cette bete excellement représentée comme en l’effigie d’une autre bete, dont nous sommes ou serions pôrteur-porteuse depuis longtemps (depûis le jour de notre naissance) et qui , en nbous, pousserait «au cul» pour nous faire «sortir» de nous en tan,t qu’etre de malveillance rupestre ; nous sommes ensembvle des etres (des) qui faisons allégeance ainsi et comme pour nous excuser de notre tromperie  ; njous devons aller plus loin en cette roche et là, nous excusezr de tromper le monde, de notrte vilenie à tromper son mon,de, etc ; nous devons comp^rendre cette vilenie et la pourchasser, à coups de traits ou à coup^s de points sur des parois, au fond des grottes, sur la roche dure, sur le roc du temps incertain ; nous devons comprendre ce qui est de cette pâroi (orneme,ntée) en tant que réceptacle de nos pardons et autres parjures ; nous devons poursuivre et compléter, comprendre et soupêzser, et gagner sur le terrain de la connaissa nce en matière pariétale temporelle musicale des embruns ; nous devons ainsi aller loin en paroi pour toucher à cette conna issa n,ce des embruns bleutés, pour se

 rapprocher de la mer des roches ;

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nous voudrions savoir (ensemble) ce que c’est que cette bouche ouverte, là, devant soi, ce temps ouvert, ces mains tout aussi bien, cette é chancrure dans le temps présent etc ; nous ne savons pas ce que c’est que cette béance devant soi qui s’ouvre au fur et à mesure que nous avançons dans la paroi ; nous voyons l’ouvertyure se former, se faire sous nos yeux et nous passons ainsi à travers la roche, muni de notre piolet ou de notre piquet ou de notre pic de bouche , et voilà que la roche s’ouvre sous nos yeux ouverts ; voilà cette bouche ou beance se former ici, en ce temps rocheux etc ; nous pensons que nous devons ainsi nous immiscer en pareille roche du temps, à travers ou par cette béance, ce trou de roche, cette fente ou anfractuosité créée (?) par notre pic de bouche animal (cette pique-mots) etc ; nous devons comprendre cette chose d’une sorte de vbéance devant nous qui est ce trou de roche effectué par de fait notre propre avancée dans ce temps en dur de la paroi du temps ; nous sommes ensemble accolé et nous regardons devant nous et que voyons nous ? nous voyons cette béance-bouche qui s’ouvre et nous engloutit(ou nous aspire ? ) et nous sommes ainsi nous deux à nous faire engloutir (ou aspirer) par une bouche du levant ou du devant, qui est bouche ouverte comme une béance ici dans une roche (anfractuosité) qui est cet interstice de vie pariétalle, etc ; nous devons voir , cette ouverture (borgne ?) ensemble ; nous devons voir cette ouverture ensenmble, et ,nous immiscer en elle , et franchhir, franchir le rubicon, etc, nous le

devons ; nous devons aller très loin dans la roche et comprendre ce qui est ici qui wse passe sous nos yeux d’enfants hagards ; nous voulons comprendre cette chose d’une sorte d’ouverture de paroi (d’un temps d’ouverture , cette chose) sous nos yeux ouverts, et pour le coup nous comprenons que nous avons affaire à une sorte de béance temporelle pariétale à voir ensemble et à comprenddre ensemble ; nous sommes ainsi logés en cette paroi et nous regardons devant nous et nous comprenons que nous sommes pris (prisonniers ?) d’une sorte de bouche sur nous, nous sommes pris prisonniers d’une sorte sur nous de bouche sans dents , qui nous engloutit au fur et à mesure que nous avançons en cette dure roche du temps ; nous pensons que cela est ainsi que cela se forme pour nous comme pour beaucoup certaineùent, ; nouys pensons que lza chose est ainsi pour nous (béance) comme pour beaucoup, tres certainement ; nous sommes deux à penser ainsi et à franchir la roche (la paroi) ensemble, les yeux bien ouverts sur ici cet avenir qui s’offre à nous sous cette forme d’une bouche (béance) ouverte ; nous savons que nous devons aller ainsi, en cet intéerieur de roche, et nous faisons du coup cette chose ensemble c’est à dire en nous tenant de préférence par la main sans jamais (pas une seconde) nous désunir, nous lacher la main , car nbous devons comprendre cela ici (qui est pour nous) , c’est à dire cette chose ici qui est pour nous et qui est que nous devons franchir le rubicon si possible sans dommages etv pour se faire il est bon (judicieux) de se tenir la main et de ne hjamais se désunir ; nous pensons que nous sommes ensemble ainsi et que nous (qui ?) devons aller ensemble en cette roche pariétale, qui est le temps du temps, le temps de la roche du temps ; nous pensons que nous avons ainsi nous deux à franchir pareille barrière et à nous enfoncer (fissa) en cette roche des temps à ve nir, qui estc donc la béance pariétale (rocheuse) du temps ; nous sommes ensemble en cette roche et nous avançons ensemble et nous traversons ensembvle cette paroi et nous gagnons les prés aux betes de masse, ou aux betes des bois ; nous pensons que nous devobns ainsi nous laisser porter par en nous une musique pariétale et du coup nous faisons ceux qui appreécient pareil passage de roche, nous sommes tout ouïe, nous entrons le visage frais, nous nous laissons porter par la vague etc ; nous entrons ; nous passons le rubicon et arrivons en cette roche (dure) des temps et voyons des betes aller et venir sur l’herbe ; nous sommes nus comme des v ers, nous entrons nus en pareille prairie temporelle et nous voyons ces animaux autour de nous et ces animaux nous regardent et ainsi nous faisons tous, à nous regarder attentivement, à nous regarder du coin de l’oeil, à rester sur nos «gardes» ; nous pensons que le temps est cette ouverture pariétale de roche, cette béance de roche de paroi qui s’offre à nous qui traversons la chose fissa, et de une, et de deux, ensemble, d’un seul bond et tetê première ; nous sommes entrés dans mla paroi du temps et nous nous plaisons en pareille roche du temps ; nous somlmes deux pour ceytte inclusion et à deux nous comprenons que nous devons poursuivre loin cette aventure et ne pas nous arreter en si bon chemein mais continuer coûte que- coûte cette immersion dans cette roche bleutée ou nacrée, dans cette sorte d’anfractuosité temporelle qui nous contient, qui nous absorbe, qui nous engloutit, qui nous prend en elle etc ; notre but est clairement affirmé, il s’agit xd’une volonté farouche, x(‘une volonté prononcée, d’un désir absolu ou comment ? d’une grande décision aussi, de celles qu on fait ou formule à deux etc ; nous devons nous laisser porter ainsi par cette chose de paroi, cet engloutissement pierral, etc, qui nous laissse passage et nous permet une immixtion, ici, de nos corps entiers (nus) en roche, via la roche ouverte, en cette fissure temporelle offerte sous nos pics de bouche ; devant ; nous sommes ainsi qui devant avons (devant nos pics) une sorte d(‘ouverture qui se crée au fur et à mesure de nos avancées pariétales et cette ouverture est comme une bouche ouverte (sans dents) qui est comme une fosse (?) ou un trou quelconque dans lequel «plonger» à deux (fissa) comme des nageurs de la première heure ; nous voulons comprendre ce qui se passe ici en cette roche ; nous cherchons à comprendre ici ce qui donc se passee en cettte roche temporelle à ouverture meuble, édentée, fugace et rocheuses ; nous essayons de comprendre tout cela à la lumière bleutée des embruns de roche ; nous essayuons de nous confronter à pareille lumière bleutée, nous nous avançons vers elle ; nous sommes ensemble (nous) qui nbous avançons (art) vers cette chose du devant (du levant) qui est pierre meuble, souple, qui permet ici l’ouverture sous pic (pic de bouche animalier) et qui ainsi nous autorise (nous adopte) en son sein rugueux (?) ou pelucheux (selon) et nous contient de cette sorte en nous ouvranr «ses portes» ; nous cherchons à nous blottir en pareille rugosité ou en pareille douceur de roche, nous cherchons à nous blottir en cette roche dure de paroi ; nous sommes comme betes dessinées par un homme des cavernes ; nous cherchons dans la paroi l’endroit idoine, l’endroit de la douceur d’être etc ; nous cherchons la loge, le recoin , l’abri ; nous sommes qui cherchons ensemble l’endroit qui nous sied le plus et peut le plus nous offrir cette douceur de roche temporelle que nous recherchons depuis le début et qui est à chercher ensemble en roche, qui n’est pas obligatoirement donnée (offerte) d’emblée ; nous devons coomprendre tout cela à la lumière nacrée de la roche dure ; nous ne comprenons pas tout du tout, mais nous comprenons certtzaines choses dont celle ci pcomme q<uoi nous avons à franchir cette chose pariétale ensemble (main + main) et ensemble aller plus loin, aller en cette roche du temps maximal, en cette roche du temps donné, ainsi, offert de plein pied etc ; nous devons comprendre cette chose d’une offrande qui nous est faite , et d’une offrande que nbous faisons, en ous offrant ainsi en roche dure, à deux et main dan la main ; nous sommes deux qui pour le coup entrons en pareille roche du temps et là nous regardons ce qui sepasse et que voyons-nous , nous voyons des biches et des cerfs ; nbous voyons cette féerie de biches et autre cervidés de roche ; nous voulobns comprendre ce qui est ici mais nous avons du mal care nous sommes un peu livrés à nous-mêmes et nous ne savons pas à quel saint se vouer ; nous voulons comprendre cette chose (pour nous) d’une sorte de passage de tete, cette chose d’un passage de tete étroit qui permet une entrée en matière etc ; nous essayons d’entrer ainsi ensemble dans une sorte de paroi de roche et pour ce faire, nous cherchons à nous immiscer en cette roche dure du temps présent qui s’ouvre continuellement à notre approche (pic et pic) et qui nous absorbe-aspire et nous prend ainsi en son sein (antre) pour nous accueillir et nous positionner ainsi (terre meuble ici) en son être de vie nacrée ; nous regardons les yeux grand ouvetts et nous cherchons à comprendre ce qui est ici qui se trame là sous nos yeux ouvertts en grand ; nous sommes des enfants qui nous faisons engloutir ainsi ; nous sommmes de petits êtres (enfantins) quyi nous laissonsainsi porter, par une sorte de vague devant nous ou sous nous etc, qui nous porte ainsi en cette roche dure puis meuble puis en cette béance temporelle qui est ce temps de vie (pariétale) à la diable ; nnous savons que cette cxhose est pour le coup une chose étonnante et aussi, que nous deevons en voir les menus détails pour en tirer les conclusions qui ici s’imposent ; nous devons comprendre cette chose d’une béance, comme quelque chose qui est, pour nous, comme une ouverture des temps ; nous sommes ainsi dans un ensemble temps + roche = roche + paroi = temps + misère ; nous devons comprendre ici que ce temps ouvert est cettye misère d’un passage fou ; nous devons comprendre ici que ce passage est temps de misère un temps pour un sauvetage à venir d’un mobile foetal offert ; nous devons comprendre ici que ce temps du passage est temps dur de naisqzance à un monde ouvert (celui du temps) qui doit nous prendre ou nous accueillir conséquemment et ne pas nousperdre en route ; nous sommes qui tentons cette chose ensemblke et cette chose ici nous voulons la vivre de concxert et sans trop de dommages si possible ou si tant est que cela soit possible c’est à dire en douceur, en toute douceur ; nous voulons aller en cette roche ensemble (main et main ) et ainsi passer la chose d’une tete endfoncée dans une roche dure (misère !) et opasser ainsi, tete et corps en entier (remisère), et aller de l’autre côté de la sorte ensemble (main et main) et ne pas faiblir, tenir le choc de l’onde, et plus loin toujours aller ensemble en cette paroi dure , du temps qui s’ouvre à nouys, sous nos coups réitérés de piolet ou de pic de bouche : mots, mots, mots ; nous pensons que nous devons comprendre ici le tout de ce passage, à la lumiè!re (bleutée, douce, nacrée, soyeuse, ethérée) de la roche (prairiale) aux cerfs dorés ; nous regardons passerainsi le train du monde pariétal ; nous devons ainsi aller loin ensemble en cette chose et nous blottir (misère) en un sein chaleureux de la roche dure ; nous pensons que nous devons aller pour nous blottir en quelque part en ce sein chaleureux de roche dure, et cela main + main ensemble, douceur sur nous, et ensemble aller voir ces betes de prairie, qui se chevauchent, se surperposent, etc sur roche de taille, sur paroi, sur muret de grotte etc ; nous pensons que nous devons comprendre cela ensemble, sous cette lumière douce, à même les temps pariétaux, et cela (cette douceur) la prendre ainsi pour nous comme une offrande faite par des etres (animaux) de compagnie douce, par des betes de courtoisie etc ; nous pensons que no!us devons ensemble, aller loin en cette roche et nous laissser peu à peu aller et voir ce qui est (féerie) qui se trame ici (temps de vie) et qui nous contient ; nous sommes deux (?) qui voulons savoir ; que ou quoi savoir ici , qui serait une information de première bourre ? ; nous cherchons et nous ne trouvons pas obligatoirement ; nous ne savons pas tout ; nous savons peu de choses en vérité et ce que nbous savons nous le savons entre nous, ;, avec des mots qui sont nôtres, qui sont les mots que nous donnons aux choses ; nous posons des mots ainsi ensemble, nous posons ensemble des mots sur des choses qui sont d’alentour et ces mots sont à nous et sont à personne en particulier, ces mots sont à tout le monde et tout le monde peut bien en faire l’usage qu il veut etc ; nous devons comprendre cette chose, comme quoi nous cherchons (qui, nous ? ) à comprendre ensemblre cette chose d’une sorte de paroi quyi s’ouvre devant nous (sous nos pas ? ) et qui nous comprend c’est à dire qyui nous tient en tant que formes venant s’adjoindre à elle ; nous essayons de nous immiscer de concert ; nous voulons ainsi a ller en elle et nous loger en elle afin de mieux cerner ce qui est ici pour nous qui nous tient à coeur ; nous voulons essayer de franchir cette chose d’un passage étroit (misère) sansflancher et ensuite, une fois passés, nous voulons en avancer sur ce chemin de la vérité ; nous avons à franchir ainsi plusieurs étroits passage de vie ; nous devons accéder à cette prairie pariétale des temps et pour cela nous devons passser d’abord lma tête puis le corps en entier, les pieds en dernier etc ; nous voulons comprendre ensembbvkle cette chose d’un passage étroit (sous pic de bouche) qui à nous s’ouvrirait et nous permezttrait de nous faufiler en cette roche prairiale aux cerfs et aux biches dorés sous les embruns ; nous voulons aller le plus loin possible en c ette roche, en cette dureté , chercher la douceur en pareille dureté etc ; il s’agit d’une gageure (on l’a vu) et celle ci nous appartient : où trouver en pareille paroi dure du temps, la douceur que nous aimerions poour nbous ? où trouver en pareille roche, de cette douceur dont nous raffolons ou dont nos corps raffolent ? ; nous sommes comme misérables en notre nudit»é et entrons ainsi (misère) en cette roche temporaelle avec l’espoir de rencontrer ici ou là un peu de cette donc douceur de vie ou de vivre tant escomptée ; nous voulons comprendre ce qui est ici, à loa lumière de la douceur qui serait une douceur prairiale, une douceur velouté de biches etc et non point de l’ours des cavernes ou d’un aurochs chevelus et vif ; nbous voulons allezr loin dans la roche , en cette roche dure , à la recherche ici ou là d’un peu de douceur temporelle ; où donc trouver pareille douceur ? où trouver pareille chose en elle ? ; nous voulon s savoir ce qui est ici qui nous regarde, ce qui se trame, ce qyui se mijote et où donc nous seriioon,s tombés de concert (elle et moi) ; nous voulons savoir ce qui est ici qui nous attend de pied ferme ; nous cgherchons à comp^rendre les tenants et les aboutissants de pareille roche du temps offert ; quels sont ils ? où sont ils visibles ? comment les appréhender ? où sommes nous ? que penser de la vie et de la mort des sphères ? que doit on penser de cette vi-mort qui est celle qui nbous est offerte par une paroi des temps, celle là même que l’homme des cavernes «ornementaiot» en son temps (etc) ; nous pensons que l’homme des cavernes en connnaissait un rayon sur t§oute cette affaire de vie et de mort, et de vie-mort accouplé (coït des temps) et nous sommes ici (en paroi) dans le but de comprendre (cerner, circonscrire) ce que cet homme des cavernes pouvait bien savoir de toute l’affaire ; nous cherchons à savoir ce qui est qui serait, et ce qui est qui ne serait pas ; nous voulons en connaitree (nous aussi) un rayon et pour cela nous allons ensemble (?) nous blottir en pareille roche du temps, nou!s allons ensemble chercher un endroit (point de chute) où déposer notre carcasse (mobile) à l’abri des mauvais coups et autres ruades de betes rossses ; nous cherchons cet endreoit dans la roche dite «prairiale» où paissent les biches ett autres cervidés dorés (nacrés) ; nous cherchons cet endroit dans le dur de la roche m euble ; nous bvoulons comp^rendre pourequoi le temps ici est une sorte d’enclave rocheuse et pourquoi nous nous tenons la main ; de quoii s’agit il ? que doit on penser ? que faire en pareille roche ? que devons nous faire en pareille roche des temps ? où aller ensemble à trouver cette douceur de roche escomptée ? que faire ici et que penser là .? ; nous espérons sur la venue , en, la venue, un jour, un de ces quatre, d’une sorte d’entité (animalière) quyi saurait (enfin !) nous guider en pareille prairie pariétale , mais qiui ? la biche des bois ? le cerf aux bois jolis ? la bete immonde ? le cheval des rois ? la belle antilope racée ? l’aurochjs-aurochs-aurochs ? qui ? ; nous voulons cet être pour nous en cette zone de repli ; nous esopérons en sa venue prochaine ; nous aimerions tant que cette pezrsonne, cet être vint vers nous et nous guid^$at ainsi, en nbous exhortant à sa fgaçon à le suivre cahin caha sur ces chemins pariétaux de roche, en ce lieu nimbé de la biche et du chevreuil ; nous vouloàns comprendre ensemble cette chose d’une sorte de paroi du temps qui serait pour nous la paroi de tous les temps accumuulés ; nous voulons comprebndre ces temps accumeulés comme autant de couches superfposées etc ; lmes betes se chevauchent sur la roche ; nouys vopulons comprendre le temps parioétal comme des temps, comme temps au pluriel, temps pariétzaux à la diable, musicaux et durs comme cde la roche , et cependant meubles parmoments (par endroitrs ?) pour ceux ou celles qui piquent du pic de bouche animalier ou pour d’autre qyi s’enfonceraient de la sorte , la tete en av ant, la tete sur le devant et poussant la roche en force etc ; nous voulons cxomp)rendre un nombtre incalculable de chosexs et pour cela nous nous tenons la main et passonsz la tete ensemble et poussons comme les copains : en force et sans arrets, en force et sans nous arreter etc ; nous deevons comprendre cette chose qui est que nous pâssonsc en force et sans nous désunir (main dans la main : une continyuité pour un continuum de passage, etc) ; nbous sommes deux qui cherchons à nous immisqcer en ette roche du temps et pour ce faire nous allons ensemble, buter la roche, buter cette roche dure afin de la percer de notre piquous etc, et traverser icelle presto afin de voir ce qui donc se trame «de l’autre c^$oté», mais quel est donc ce côté sus nommé ? l(intériuer d’unr roche pleine ? un oeuf ? une prairie ? un antre i ntestinal ? un sous bois ? un meule de foin ? une bouche ? un e béance dans une paroi (interstice bienvenu) ? ; de quoi s’agit)il au juste ? ; nous cherchons à le savoir ; nous voulons connaitre la vbérité et peut elle etre envisagée ? ; nous voulons taper sur roche (toc et toc) et scander cette chgose pour nbous d’une volonté affichée, taper sur roche et faire ainsi que ces à-coups puissent de fait accompâgner telle gravure pariétale ou tel dessin sur roche, d’un hgomme entré en lévitatation et soumis à des fulgurances a nimales en lui qui pour le coup le font (le poussent) à agir ; nous pensons que nous sommes ainsi nous deux qui devons agir en roche et qui devons comprendre cette chose ensemble (nous deux) sur paroi du temps animal ; nous devons aller le plus loin possible en nous mêmes ou bien le p^lus loin possible en pâroi ou bien le plus loin possible en cette danse pariétale etc, quuii erst la dansze de l’homme sous influence ; nous pênsons que nous devons aller très loin en cette paroi temporelle qui est cette béance dans le vif de la roche dure ; nous voulons traverser ainsi cette chose offderte et toucher de l’autre ccôté cette bambinette des prairies nacrées etc ; nous avons compris que nous devons poursuivre cette aventure, de traversée des roches dures, et là, en cette roche traversée, comprendre le fin mot d’une histoire de prairie, de biches et de cerfs qui sont (seraient) nos amis ; nous voulons comprendre une chose pour nous, une chose qui serait capitale pour nottre vie, une chose qui pour nous serait importante, et cette chose tient en un mot , et ce mot tient enquelques lettrees, en trois lettre , ce mot est le mot «art» comme de bienn entendu depuis le début ; nous pensons que l’art est un art de passage vers des zones de vie opareiétales ; noyus pensons que l’art a fort à voir avec le passage de vie à trépas ; nouys pensopn,s que l’art est cette chose que nou!s faisons lmorsque nous traversons le rubicon de la paroi du temps ; nous pensons que l’art est donhé à ceux qui poussent fort, tete en avant, sur la roche prairiale du (des) temps ; nous pensons que l’art est l’art du faire vif sur roche, vif et fort ; nous pensons que l’art est une chose à façonner (de nos deux mainsz) sur roche du temps et qsue ce vif est une chose douce si tant est, animale et nue ; nbous voulons que l’art soit pour nous une donnée brute, un renseignement de première, une vérité hors les mots ou comment dire, une vérité vde contenue globale, etc, une vérité franche et offerte ainsi que nous passons la roche ; nous cherchons à savoir le pourquoi du comment cette chgose appelé «art», et cette chose appelée «art» nous voulons la cerner à la lumière d’une roche dure, d’un dur de roche pariétal ; nous avons compris cette chose comme quoi nous deevons aller très loin en cette recherche menée conjointemznt, à plusieurs, et pour cela nous nous donnons la main et nous ne nous lachons plus une minute, plus une seconde, nbous restons groupés, nous sommes ensemble un ensemble soudé par des mots donnés à notre naissqance ; nous parlons sino n au nom xde tous nous parlons au nom d’une langue donnée à tous , etc ; nouys voulons comprendre cette chose d’une langue offertte ; nous voulons essayer de comprendre cette chose d’une langue odfferte et pour cela nous voulons aller très loin en cette roche du (des) temps donnés, des temps aux embruns, aux fées, aux biches nacrés, aux cerfs royaux campant sur place etc ; nous voulons comprendre tout cela ensemble , main donnée dans main donnée et nous blottir ainsi en c ette roche ornezmentée ou ornée ou décorée etc, qui est la roche de cet homme ancien du temps des grottes et des cavernes d’incantation ; nous sommes nous mêmes qui faiso,ns pareillement des sortes d’iincantation gutturales (lexicales ?) et qui les faisons en roche des temps (du temps) pour la bande ; nbous devons comprendre cette chose, que (comme quoi) nous avons à dire ici ou là (affiches) des choses importantes qui toutes pourraient relever d’un domaine des secrets dui monde ; sque sont les secrets du monde ? y a til des secrets dans le monde ? où sont les secrets dans le monde ? ; nous pensons que la roche du temps pa riétal en recèle (en contient) un bon nombre et cest pour le coup ceux là qui nbous intéressent le plus ; ou quyi nous intéressent à tous et toutes ; car nous sommes nombreux et nombreuses à chercher ainsi en roche ce fameux «pot aux roses» aux données brutes ; nous voulons ensemble trouver des réponses à des questions que nous ne manquons pàas de nous poser ; nbous sommes ^étris de questions et de questionnements ; nous sommes faits d’une matière pleine de questionnements de toutes sortes ; nous voulons savoir coûte que coûte ce qu il en retourne de cette paroi musicale des temps, pourquoiç la musique, de quelle musique s’agit il , où peut on l’entendre, qyui la joue, qyui joue et de quel instrument, qui est qui , qui fait quoi et pourquoi ? ; nous cxherchons à savoir ce qu il en est de cette muysique porteuse, de cette sorte de mathéma tique, de cette sorte de géométrie sonore ou musicale, de c e chant des données bruutes du temps ; nous espérons sur la venue d’une personne un hjour qui saura nbous dire ce qui est , et qui bnous le dxira ainsi en roche, via la roche dure etc, et qui nous apprendra le pourquoi du comment cette musique comme mathématique nous accompagne (nous porte) en cette zone pariétale (rocheuse) du temps ; nous voulons que les choses soient dites et pour cela nbous nou!s positionnons de telle manière que la chose (cette vérité sur les sphères et les tenants et les aboutissants du monde) sera enfin dite en roche , sur roche, comme dessinée ou gravée, et que dès lors nous saurons enfin de qyuoi il en retourne pour tout un chacun qui se hasarderait à vouloir naitre au monde ; il s’agit pour nous d’un chant de baleine ; il s’agit pour nou!s d’un chant «comme» un chant de baleine ; un chant sourd sourd ; un chjant particulier car comme étouffé ; il s’agit d’une sorte de petite voix eztrange, féerique, gutturale et lancinante : ouuuuuhhhh ; il s(‘agit de cette sorte de voix qui monte en cette zone prairiale des temps , et cette voix est celkle que nous entendons lorsque nous passo ns la tete en c ette roche dure pariétale oornementée ; nous voulons entendre cette voix pour nous, pour mieux lza situer dans kl’espace (doù vient-elle ?) et pour mieux la comprentdre ; nous sommes dans une région (du monde pariéta&l) où nous pouvons entendre une petite voix lointaine, lancinante, un ouhhhh de caverne etc, qui nous dit le chemin à suivre et nous guide dans nos faits et gestes ; nous essayons de nous appmrocher de l’endroit exact d’où pourrait provenir pareille voix qyi monte, qui semble monter ; nous pensqons que nous avons affaire à une voix montante, gutturale, douce, caline, tendre, sucrée etc, quyi est la douceur même recherchée, comment la qualifier ? ; nous essayons ensemble de nous approcher, de kl’endroit d’où il nous semble qu’elle pourrait peut-être provenir en cette roche, nous nous approchons de cxet endroit à pas comptés, nous sommes ensembvle qui nous approchons, nbous sqommes deux ( nous nouys comptons : un et deux) et nous allons vers cette voix, vers ce chant guttural, vers cette douceur de chant guttural, qui nous en,chante de sa mélopée etc ; nous allons vers ce chant des sphères , nous nous approchons de ce chant mélodieux et envoûtan,t ; nous voulons comprendre ce qui est ici de ce chant des sphères ; nous ne savons pas que penser de ce cxhant donnée par la terre ou bien par le ciel nimbé du fond de la roche ; nhous essayons de comp^rendre e chant : doù vient il ? quel est il ? comment est il ? qui pour le pousser ? qyui est derrière ? y a til quelqueun ou quelque chose derrière ? qui pourrait nous renseigner ? qui pour nous dire la véreité ? la vérité tient elle dans lkes mots qui sqont les nôtres ? la vérité du chant peut elle contenir, dans les mots qui nous ont été donnés à la naissance ? qui peut nous expliquer pourquoi les mots nous trompent, qui nous font prendre des vessies pour dexs lanternes ? qui peut nous renseigner sur les tenants et les aboutissants de ce chant du monde pariétal ? l’homme des cavernes ? la femme des cavernes ? l’enfant des cavernesq ? la bete des cavernes ? le

lio n, l’ours ? qui ? car nous aimerions en savoir long et comprendre, tout un ensemble de données brutes, de donnéexs, qyi sont celles de la roche dure des temps ; commùênt comprendre d’où provient cette petite voix enchanteresszse des parois ? ; qui peut nous le dire ? ; njous attenbdons celle ou celui qui saura nous dire un hjour cette chose ; nous attendons cette personne, de pied ferrme, en roche, sur paroi ou dans paroi, à deux ou davanta

ge ;, main dans la main, comme un ensemble soudé, comme bec, commme un ensemble monté sur piquet de roche, pic de trouée etc ; nous vopulons comprendre cet ensembkle pariétal animalmier, à la lumière bleutée d’une sorte de prairie, etc, qui serait cette région de roche d’où la voix (le chant nmathématique) proviendrait ; nbous ne sommes sûrs de rien mais il nous semble à nous que nous avons, à peut-être comp^rendre cette chose (mathématique) dx’un chant construit, d’un chant en relief, d’une architecture calculée, qui monte et qui descend, qiu va et qyui vient dans l’espace-temps de la roche ; nous essayons de comp^rendre cette chose en semble ; nous sommes deux ; nous sommes : elle et moi ; » elle» est cette «chose» en moi qui dit «elle», et moi est cette chose en moi qui dit «moi» ; nous sommes deux pour une causerie de roche, de roche animée ; nous pensons ensemblev à cette chose d’une animation de roche dure, une chose en plein, une chose dans un plein total de roche dure, cette roche du temps en dur qui est ce temps plein d’une paroi de grotte ; et cette plénitude, nous la pensons en tant qu’elle serait musicale en diable : remplie en termes de musiques montant et descendant en elle ; nous pensons à laroche comme à une roche pleine, remplie, et remplie de sons, de bruits, de muqsiqURe paré-iétales, de clameurs, etc ; la coupe est pleine vpour ainsi dire ; la voicx est montante puis descendante : il s’agit d’un (ou d’une sorte de) va et vient pariétal, insinué en cette roche de praiorie ; nous pensons que la chose (du temps) est comme un chant de roche, une sorte d’incantation parioétale, un coup donné sur une pierre et x fois renouvezlé ; il s’agit dun bruit mat, qui claque sur la pierre et donne le la musivcal xes sphères ; nous voulons comprendre cet état de fait pariétal ; quel est-il et «pour qui sonne le glas « ? ; nous voulons comp^rendre la chose depuis le cdébut ; nous avons affaire à une paroi de grotte devant nous, qui est cette roche en dur du temps qui passse, qui se déploie «devant nous « (derrière ? ) et qui recèlerzait ou recèle en son xein une musique , dite «chant de la roche» ou «chant de la plainte des roches» etc ; il s’afgit des lors pour nous de comprendre cette cxhose, à la lumière bleuté des sphères ; nous essayons de nous approcher de la bete des lieux ; nous essayons de nous approcher de cette bete sacrée ou nacrée et cette bete la toucher un tant soit peu (la froler suffit) car nous sommes ensemble quyi voulons toujours et encore , encore et toujours, toujours et encore avoir le «coeur» net: est elle en vrai ? est elle une vraie créature de vie, bien vive, pleine (remplie) de vie ? ou bien billevesée ? oou bien pis-aller etc ? ; nous voulons savoir si bambi devant soi est une vraie bambi des prairies ou bien une image comme renouvelée et forte , pour faire «accroire» à qui de droit («à qui de droit») que la chose est fausse, que la chose est forte (pas fausse mais forte : oups) , etc ? ; njous voulons savoir ; nous voulons en avoir le coeur net ; nous voulons savoir ce qyu il en est de cette biche des prés et prairies, en cette zone (région) de roche

où donc monte et descvend ce chant porté (encadré, soulevé) qyui est cette musique (gutturale et nacrée ? ) des sphères ; nous pensons que telle est cette voix ici que nous nous devons ensemble de l’entendre et de la comprendre dans le se,ns où nous devons ensemble nous porter près d’elle c’est à dire de sa source ; la musqique est capitale, car la musique «accompagne» le temps ou bien le constiotue , et le temps esrt la roche des lieux, le temps est roche et ce temp^s-roche est pzarfois ce temps dur, qui nous cingle ; nous pensons que nous deevons chercher et trouver en rocxhe une v érité vdu temps pariétal musical déroulé, et ce temps parioétal musical déroulé est un temps sphérique, rond co:mme la lune, plein de lui (mathé&ma trique) et porteur ; nouys essayons de comprtendre cette chose à la lumière bleutés des embruns ; noys voulons nous rapprocher du lieu de naissance de ce chant na

cré ; dou vient il et qui pour le poussser ? ; nous ne savons pas ; nous essayons de savoir ; nouis essayons de co:mprendre ce qui est ; nous voulons comprendre cette chose d’un chant de la paroi du monde, et ce chant est cela qu il nous plait de mettre en lumière ici, sur page, sur paroi, etc ; nous voulons comprezndre ce qui est ici qui se trame musicalement car nous comprenons à présent que la trame est musicale (icci le pot aux roses) ; oui, à présent, nous comp)renons cette chose, comme quoi la trame du monde est musicale , mathématiquement musicale, c’està dire porteuse (vague) et pleine ; nous voulons comprendre ainsi cette chose d’une musique , des sphères pariétales, cette roche aux rondeurs, ce temps incurvé, ce temps aux reliefs précis , cette chose d’une co:mplainte (misere, misère) qyui serait dès lors cette chose en creux (trou) d(une roche meuble par endroits (où ? ) ; nous voulons trouver cdette chose pour nous et pour la divulh$guer ensuyite au plus ghrand nombre ; nous sommes pour ; nous voulons cette chose faire et à deux la faire pour le plus grand nombre et dès lors afficher le produit de nos découvertes ; nbous voulons aller loin dans la démesure du temps, aller loin ezn pareille démesure (mesure) et dès lors faire ainsi que cette chose découverte ainsi puisse être ainsi affichée haut, sur roche ou ailleurs, et ainsi portée à connaissance ; nous voulons comprendre ce qui est ici des choses du monde ; qui dit quoi ? qui fait quoi ? qui est qui ? qui sommes nous ? etc ; nous essayons de voir ainsi les choses du monde et ces choses nous les voulons voir de visu, en face de nous, proches à e^tre touchées etc, comme biche qui nous donnerait, au contact furtif de sa pelisse, une sorte de la musical pour une sorte de compréhension des choses en présence : qui est qui etc ; nous pensons que la biche ici , et d’une manière générale cet ensembvle animalier de roche, peut nous apporter beaucoup, peut nous donner beaucoup en termes de savoirs humains etc ; nous pensons que nous pouvons beaucoup apprendre au contact de cette biche, des bois, des prairies ; nous pensons que nous pouvons beaucoup aoppprendre, en cette région parioétale du temps, au contact (furtif, ou aussi furtif qu il soit ou fût) de cvette biche des prairies et mùuusicales et pariétales ; nous pendsons cette chose comme quoi nous pen,sons que bambi est une solution, une solution animale (pour nous) parmi d’autres solutions animales, et cette solution pour nous a les yeux de l’amour, ou bhien les yeux de la douceur etc ; nous voulons comprendre cette chose ici d’une douceur de roche avec nos yeux de faons, d’enfants des jeux, avec des yeux qui sont ceux de l’amant etc ; nous pensons que nous devons nous immiscver, en pareille roche duu temps, armés ainsi de sentiments doux, et de bienveillance accrue ; nous voulons entreerr en cette roche avec comme une douceur en nous et une bienveillance à partager ; nous pensons que nous avons à comme donner de nous une part de douceur et une part de bienveillance en tant que dons ou qu’offrtandes à déposer sur roche, table, ou sur paroi ; nbous voulons comprendre tout un tas de choses ensemble ici bas, et ces choses nous voulons les voir aller et venir ou comme aller et venir sur roche, comme nous verrions dans la praierie aller et venir des betes qui brouten,t, vont et viennent, nous regarden,t d’un drôle d’air, etc ; nbous voulons comp^renddre toutes ces choses ainsi, nous voulons les comprendre ensembvle et nous porter loin en cette roche, almler loin en elle afin d’approcher cet ensemble animalier ds’ornementation rupestre ; nous cherchons le contact furtiff ; nbous voulons savoir ce qu il ebn retourne ; nous voulons comprendre ce qui est ici, qui nous dirait la vérité des sphères et des embruns ; qui est qui et quoi est quoi en cette roche ; nous voulons savoir un tout donné et le pourquyoi du comment la sphère, la roche, la paroi, la biche, etc : la ; ce «la» quui est le la qui nous donne un élan, un «allant de soi» pour une entrée en la matière en cette roche dure ; nous voulons comprendre ce «la» qui est ici le la de la sphère, des embruns, de «biche ma biche» etc ; nous voulons essayuer de cfomprendre un tout animalier au son xd’un la animal ou autre de paroi, ; ; nous voulons comprendre cvette chosec ensemblke : de concert ; nous voulons comprendre ce qui est ici, en cette paroi de roche, en tant que «la» musical de la paroi du temps, etc ; nous essayons de nous approcher de la betye doucev (biche) ou de la bete rossse (aurochs ?) et cela nous tient à coeur ; nous cherchons un contact avec l’animal, nous sommes comme lui, armés de mots en nbous qui pour nous sont des mots-animaux... et pour lui ? des mots de furie, de fete, de fol ;ie etc ; nous avons cette chance en nous, de pouvoir «poser» des mots sur une roche et de faire de la sorte que pareille roche s’en trouve dès lors comme «ornementée « par la bande et cela du fait que nous sommes ainsi qui , lévitant ou entrant en lévitation, pouvons ainsi du bout du baton tracer xdes figures ou animalières ou autres, et faire de la xsorte que ces donc figures puissent faire accroire et faire en sorte qUe, pareils animaux gravés ou dessinés fassent croire qu il s’agit de vbrais betes sur roche (allant et venant) et non point de fausses (dessinées pour la para de ou pour lma bonne cause) etc ; nous pensons que nous sommrs deux à) penser cela : elle (elle) et moi (moi) ; etc ; nbous pensons que nbous devons ain si nbous projeter sur roche et foncer dedan,s comme des forczéenés de la chose, de cette cghose en nous qyui aspire à la vérité : quelle est-elle, etc ; nous voulons aller le plus loin podssible en pareille roche , pour comprendre, pour savoir, pour cerner, pour voir, pour saisir etc les différentes facettes de pareille vérité contenue en elle, en cette roche des prés, des praireies, aucx biches nacrées, aux bêtes rossses (peut-être) etc ; nous entrons de concert et entendons la musique de la sphère : la sphère est une bulle de vie (de naissance) ; il s(agit pour nous de cerner cette bulle pariétale et de la comprendre à la lumière d’une religion qUI i serait celle des betes ; les betes ont elles une religion ? oui, elles ont la religiion (pour elles) des sphèrres, cette rteligion d’une musique lman,cinante et enveloppante ; il s(agit opour elles d’une sortye d’accompagnement musical mathématique (géométrique) qyi est pour elles une sorte de mélopée douce, scandée, sur roche et dsans les prés du temps à passserr a insi en cxette région des nombres ; nous pensons que nous deevons ainsi comprendre l’animal, comme un être religieux ou de religionb ; il vit la musique des sphères (des temps ) ou de la sphère (du temps) ; il est l’animal mùusical par excellence : aurochs de première, aurochs, aurochs, aurochs, et bison , bison, bidson, et cheval, chezval, cheval etc ; son corps animal est le mot -animal de paroi ; il est là sur roche pour la bonne cause (préhistorique) et se complait en pareillle roche ; il est nu, il vibre, il est impétueux, il va fort et vite, il rue facilement, il est une note (une touche) de vie sur une partition murale (parioétale) etc ; son corps est le corps de la peine entière, sur la roche, sur le roc, en termes de plénitude pariétale musivcale ; un corps animal pour une mélopée matrhématique, etc ; nous pousso ns mais nouscavançons ; nbous devons nous porter loin et mesurer les distances parcourues ; nous avons les moyens que nous avons ; nouys voulons comprendre loin c’est-à-dire longtemps et dans la profobndeur des ima ges pariétales ; nous sommes armés de ces choses avec nous que sont les mots-bêtes ; nous essayons de nous immiscer de concert et d’e,ntrer en cette roche ou sph ère ? ) musicale, et là, aller en deda

n,s le pl ;us, et trouver des trésors, ou bien des secrets, ou bien des reliques de saints, ou bien des peaux de mue, ou bien quoi d’autres ? ; le sol serait jonché de cghoses et autres, de quoi s’agit il ou s’agirait-il ? ; nous regardons passerfr ici un troupeau de b^etes mass-ives ; il va vite ; nous nous sommesvinstallés (lovés) en cette paroi de roche et nous voulons comprendre la situation telle qu’elle se présente à nos yeux et pour cela nous convoquons tous les a,nimaux de la région , ces buffkles et ces bouquetins, ces aurochs et ces bisons, ; ces ours et ces lions des caver nes, ces autres félins, ces cervidés, ces antilopes, ces mammouths et ces rhinocéros etc ; ils feront nombre (musical) et feront bien sur la partition ; bnous pensons que nous avons pour nous de quoi comprendrte les choses du temps (notre raison) et nous essayons du coup, de nous approcher de ce temps incxarné, de cette bambi des prés qui sautille et nous reggarde en coin tout en broutant de son herbe verte et tendre ; nous cherchons à la compre,nxdre : qui elle est ; bnous pen,sons que cette bambi des prés est le réceptacle de la vérité ; nous pensons que cvette bambi est une sorte de coffre à jouets qui contiendrait l’ensemvble des vérités (musicales) du monde des prés ; le pré est nimbé, le pré est auréolé, il est bleuté et enchjanté ; nous voyons bambi ncomme la bete ici qui peut peut-^rtre nous donner cette douceur tant rtecherché par nous qui voulonbs la douceur pour nottre gouverne et non point de cette dureté vdes temps laborieux, etc ; nous chierchons une douceur ici dfans une biche des prés ; nbous cherchons à nous placer en un lieu de roche doux et non ppoint dur comme souvent ; nous cherchons à nous peletonner comme un chat domestique etc ; nous voulons savoir et comprendre, nous voulons cerner et saisir, et toucher du bout du doigt la (les ? ) réalité ; nous sommes qui voulons trouver ainsi en reoche une v érité dans un coffre et cette vérité se l’approrpier et la dé^pposer, de la sorte que nous faisons, sur paroi (partition) musicale de roche, etc,, car nous sommes ensemble pour ce faire : déclamer ; bnous devons comprendre cette chose, comme qyuoi ensemble nous devonsaller au fin dfond des choses du monde ainsi décrit, ainsi développé devant nos yeux, cette roche devant soi qui est donc le temps qu il nous est, de fait, donné de vivre ; nous cherchons une véritéven roche, vérité de bon aloi pour une découvertte -à faire à deux (elle et moi : hautes autoritée ) ; nous essayons de compren cdre le pourquyoi du comment nous avons cdécidé de travezrser pa rreille paroi de roche, qui et quoi, quoi et qui, etc, et pourquoi nous nous sommes retouvés en son sein comme deux tourteraux qui se retrouvent ainsi à devoir comprendre les données du monde à partir d’une vision bleutée d’une roche ou d’une prairie : pourquyoi ? ; nous voulons nous rtendre compte et de visu et concrètement (au toucher) de lma teneur en vérité ou réalité du monde alentour (celui de la biche) et pour celza nous entrons ensremble, main dans la main, le sourire (de façade ?) sur les lèvres, en sezrrant les fesses au passage car le tuyau ou boyau (?) est fort étroit et le passage non une sinécure, ou non plus une sinécure à dire vrai ; nous pensons que nous deevons avancer aindsi en ce boyau de roche et aller au devant jusqu’à cette «sortie» prairiale aux cervidés ; nous avançons de concert ; nous nous avannçons de cette prairie aux b iches et aux cerfs royaux, nous regardons l’ensemble du décor qui nous environne, il y a du bleu de nacre etc : un ensemble nimbé, poudré, etc ; nous pensons que nous devons aller ainsi à l’intérieur de cette roche ouverte, qui nous a ccueuille, qui nous absorbe comme une bulle, une sphère de contenance ; nous voulons comprendre cette chose et pour cela nous devons nous donnezr la mzain ; nous devons aller le plus loin possible en cette bulle ou sphère etlà nous blottir l’un dans l’autre et attendree l’arrivée de celui ou celle qui saura noius informer sur cette chose musicale en fond qui scande (de sa mathématique) les avancées animalières ; nous pensons que nous sommes deux qui devons ainsi nous placer en pareille roche pour des découvertes à faire ensemble: une chose musicale, un diable des prairies, une biche informatrice, un cerf géant roi de céans, une boouche grande ouvertte sur un au delà pariétal de fol:ie, une bouche-mort grande ouvertte, une vague porteuse, une drole de figure annonciatrice devant nous : une face douce etc ; nous devons comprendxre ces visions et les noter sur roche : bouquetins ; nous avons cette chance de pouvoir noter (en direct ? ) les choses du :=onde : allons- y ! notons les découvert’s ! notons ce qui vien t vers nous nous donner le la sphérique , notons le ou notons-en les noms etc ; car nous sommes armés de pics de bouche pour trouer la roche et de baton de bois pour dessin ezr , ou bien sq’agit il de la mêzme chose mais pris à des âges différents ? nous ne savons pas ; nous poursuivons sur notre lancée ; nous voulons découvrir et aller loin en besogne c ar nous sommes lancés co:mme des projectiles ; nous voulons aller très loin en cette roche des données du monde et essayer de comprendre ce qui est de ce qu’on voit, et de ce convoi (animalier !) ; nous voulons comprendre beaucoup et rapporter un maximunm de choses en surface, si possible (rien, n’est sûr) ; nous avons espoir de pouvoir un jhour remonter à la surface etc tant et tant de choses neuves, qui jusque là croupissait dans les bas fonds cd’une roche de grotte ou allez savoir ; nous sommes ensemble qui voulons ensemvble découvrir le pot auxc roses de pareille paroi du temps ; les dés sont lancés ; nous courons en pareille prairie temporelle pariétale après la bicvcxhe ou le cerf pour les toucher («touché !») et pour nous rassurer ou nous assurer de la réalitéc(tangible) de pareille betes des prés et des bois ; njous courons à) perdre haleine ; nous sommes derrière elles qui courons comme des dératés de la vie à vivre ; nous voulons aller le plus loin possible apres elles et les toucher un tantb soit peu («touché !») comme dfan$s un jeu et cela pour nous assurrer de la réalité tangible de ces betes de féerie etc ;: nous savons que le chemin est encore long qui nous mènera à la réalité des sphères de roche, c’est à dire à la vérité dure de chez dure, à cette vérité tant espérée, etc ; nous cherchons des raisons (en,semble) d’y croire ; que voir et comment voir ? ; nous cherchons des vérités de roche : qui est qui et quoi est quoi ; nous ne savons pas beaucoup de choses à propos du =monde qui nous environne, et nous cherchons à savoir lke plus de cghoses possibles non point tant surr ce qui est (les détails du monde) que sur ce qui nbous attend (les lendemains enchanteurs ou pas) ; nous voulons connaitre le fin mot de toute cette affaire de mots -animaux sur paroi, et de dessins au xcharbon dxe bois (datable) ; nous sommes ensemble en vrai pour cela car nous cherchons coinbjhointement (ici et là ) en nous ten,ant la main comme deux êtres soudés à la vie à la mort par en eucx une sorte de glu affective ou commebnt quyi les lie de force et les maintient comme un haut et un bas de bec sont tenus et rapprochés ; nous disons que nous sommes deux pour une promenade champêtre mais en vérité nous sommes ensembvle pour une découverte pariétale d’envergure nous l’ewspérons ; en vérité nous nous tenons la main et ne nous lachons pas car nous devons franchir un certain ombre de passages ensemble, de rubicons, et voilà pôurquopi nous tenons à nous tenir la main ; ne kjamais lâcher et passer ensemble les écueils et les épreuves temporelles ; nous pensons que nous avons à faire ainsi cette chose, d’une sorte de percée de roche au pic de betes ; nous le faisons ; nous pensons que «derrière» la roche se porte une bete (douce) qui nous atten,d ;, par exempl ;e une biche ou apparen,tée ; nous pe nsons cette chose, et nous espérons que cette bete (portée) sera pour nous notre chance, en matière de vérité, car nous aspirons (follement) à en savoir long sur les enhjeux pariétaux du temps ou à proppos de toute cette affaire de sphère et de musique des sphères etc ; nous sommes tres en demande, bnous sommes en gran,de demande etc, et chezrchons mordicus à comprendre (en scandant les choses) cette chose, d’une sphère aux embruns vitaux etc ; nous voulons essayer de nous rapprocher le plus possible de cette sorte de bambi dex prés , des prairies et des sous bois (et des bois) ; nous voulons luyi courir apres non pas pour l’importuner n i lui faire du mal mais pour la toucher afin de pour le coup réaliser qu»’elle existe bel et bien en bonne et due forme (arty) tellle qu elle peut nous apparaitre (visuellement) à distance , c’est à dirre sans l’avoir jamais touchée ; njous pensons que cette chgose est la chose à faire (toucher) et que cette chose est chose capitale, en p)aroi, en roche, car la biche est féerique, elle est nimbée et lévite dans les embruns comme lévite un homme des cavernes en transe, face à la paroi quil va ornemnmenter ; nouys comprenons bien des choses et essayonsq de les notifier au fur et à meswure dfe l’appariition d’icelles ; nous voulonds en savoir long sur toute l’affaire des sphères et pour cela nous avbons à nous porter (projeter) sur roche, nous devons nous projeter sur roche et traverser le film étroit d’icelui, qui nous mènera dè!s lors à la praiorie aux biches et aux cerfs nimbés de bleu ; nous sommes ensemble en cette paroi de grotte insérés, et nous regardons passer le trai,n (pariétal) du monde animalier de vérité, il s’agit de choses avérées, touchées, dures, compacvtes, réelles, etc ; nous pouvons croire en ces choses de paroi ; les mots portent les croyances, de façon on dira inhérente etc ; nous pensons que nous avons à aller encore plus loin et à trouver en,core d’autres choses en pareille roche : oui une sphère, oui uneb biche, oui bambi, oui bambinette, oui un cerf royal ; oui un e musique, oui une musique des profondeurs, oui nimbus, oui du bleuté et du nacré, oui des aurochjs (un troupeau) oui un cerf royal auxw bois dorés, oui cette musique enchjanteressse quyi est colmmme une méloppée qui sortyirait d’on ne sait où dans les lointains (d’une bouche ?) ; oui une bouche édentée, un trou de folie, oui u ne bouche ouverte qui nous dit de -nous joindre à elle etc et d’entrerr ; nous pensons que nous devons nous tenir à carreau et ne pas preter nos flancs aux ruades animalières évenn,tuelles, car nous sommes menus auprès de pareilles betes ; nous vopulons akllezr loin en cette paroi et pour cela nous devons nous tenir par la main et marcher de co ncert sur laroche ou sur l’herbe des prés et regardert tout autrour de nous les betes qui paissent et semblent nous ignorer ; nous marchons de cette façon et ainsi nous nous avançons d’une biche (une ba mbinette des preés) qsui est près de nous et nous regarde en coin ; elle ne wsemble pas ^$etre efffrzayée, elle ne bouge pas, elle reste campée sur ses pôsitions de bete qui broute de la bonne herbe des prés ; elle se laisse approcher jusqu’à un certain point et hop, arrivé près d’elle elle fiche le camp

et ne se laisse pas approcher dabvantage (pas folle !) et du coup est-elle une vrzaie bicxhe de praireie ? est elle une fausse (unec image de féerie )) ? cela il nous est hélas impsossible dès lors de pouvoir le dire et l’ecrire ; héllas car nous avons envie et besoin de le savoir ; nous aimerions en savoir long sur la réalité effective , tangible, de ces betes représentées ; nous sommùes deux qui voulons savoir cette chose ; eswt ce pour de vrai ou bien est ce p our de faux ? ; qui pour nous le dire ? nous aimezrions que quelqueun ou quelqu’un e un jour vint vers nous et nous dit cette chose tout à trac, de quoi (donc) il en retourne concernant ces betes dessinées, sont elles faites ainsi sur roche pour faire penser (à qui ?) qu’elles sont cde vraies betes majestueuses ? ou bien non ? une ornementation de cicrnonstance ? ; nous voulons savoir et comprendre, cerner et saisir, toucher et percer les mystères de la vie et de la mort soudée ; nous pensons que la mort est une bouche ouverte comme une paroi ; nous sommes s^$urs ou presqUue et nous le disons squr rovcche, nous pensons que cette chose de la mort sur terre est une sorte de dessqin de roche (animalier en diable) et que donc nous avons à comprendre du mieux possible ; nous sommes deux qui nous approchons de pareille roche de grootte comme des enfants ; on voit lesw représentations animalières, il s’agit de sarabandes ; nous nous approchons de la paroi ; la mort est figurée ainsi sur une forme pariétale et nous la voyons, nbouys voyons la forme et entendons lma musique des sphères ; il s’agit d’un bruit , d’un son, d’une clameur, d’un brouhaha, il s’agit d’un cri animal pzeut-être ; nous nous présentons devant la pâroi et nous nous enfonçons en elle comme dans une sorte de grande béance qui , subitement , s’ouvrirait devant nous et nous absorberait dans un seul mouvement de xcapture, d’absorption massi v e ; nous sommes en cette roche comme chez nous ; nouys sommes entrés en elle et nous nous retrouvons ainsi couchés, nus vcomme tout, allongés sur un tapis d’herbe, nous deux, à regarder le train animalier du monde alentour en pareille roche d’absorption ; nous sommes nous deux qui rezgardons les choses aller : biches et bouquetins, aurochs et chevreuils, le vent, la lumière des limbes, la terre bleutée par endroits, les sphères musicales etc ; nous sommes nous deux alloongés en pareille roche des temps, comme des betes au soleil , comme betes au soleil, cfomme betes qui se dorent, comme betes qui absorbent la lumière, comme betes qui se donnent à la lumière d’un soleil, comme betes qui se laissent absorber par la lumière forte et chaude d’un soleil d’apparition inopiné ; nous allons ainsi en roche nous faire bruller par cette douce chalkleur musicale des sphères ; nous solmmmes deux qui nous faisons dorer (brûler) par une (forte) lumière solaire de roche, celle là que nous attendions, celle là que nous espérions par de vers nous au moment de l’immixtion en -cvette roche de pâroi du temps ; nous entrons ensemble et prenons le soleil du temps sur nous , qui nous brule les ail:es, et nous cloue le bec ;

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4/02/2021

il s’agit pour nous (en paroi) de nous laidsser guider par cette sorte de bete voyante, devant nous (cervidé), qui nous reconnait, qui sait qui nous sommes car elle lit en nous comme dans un livre etc ; ielle voit loin en nous, c’est-à-dire qu’elle voit tout de nous : elle y voit loin car elle sait lire à travers un filtre à elle qui, filtre, lui permet de nous comprendre, de tout prendre, de tout savoir, les mille et une choses qui nous constituent ; elle sait voir à travers nous , de son regard de deux airs, de son drôle de regartd, elle ne manque pas de nous regarder, ici même dans les embruns ; la lumière sur elle (ici) est bleutée ; elle caracole sur des rochers ; nous sommes étendus, et regardons les emmbruns gagner sa pelisse, la couvrir tout en délicatessse, la nimber ; nous sommes allongés dans la roche du temps et nous voyons la lumlière b leuté des embruns sur une donc bambi des prés qui sautille en veux-tu en voilà sur la roche ; nous aimons notre bambi caracolant des prés ; elle est belle, comme un astre dans le ciel ; elle nous ravit, elle nous séduit, elle nous enchante, elle nous plaît à la folie, etc ; il s’agit pour nous d’une bete douce et soyeuse, voyante extralucide, et quyi caracole sur la roche, près des cerfs, près des bisons et des buffles de paroi ; nous comprenons que nous sommes comme vus et lus ; nous comprenons que nous sommes lus de fond en comble par une bete , devant nous, qui nous observe du coin de l’oeil, et nous reconnaît partout où nous sommes posés etc, car elle voit tout du tout de la terree et sait tout reconnaitre d’un seul regard car elle est cette voyante extralucide des prés, une bambinette extra-voyante, un cervidé omniscient ou ce genre d’animal ; nous pensons que nous devons comprendre cette cghose (pour nous) comme quoi nous sommes vu (en pzaroi) par un être omniscient appelé bambinou, un enfant, un faon, qui est cet être ici des prés dits «pariétaux» de la roche dans laquelle nous autre (nous) nous nous sommes logés instamment, vite fait bien fait, en sautant (tête première) comme en pareille dureté ; nous pensons que nous devons nous comme positionner ainsi en elle et continuer notre petit bonhomme de chemin (pariétal) dans les embruns, au beau milieu de toutees ces betes ornementant la roche ; nous sommes deux qui ici nous faufilons en cette roche dure et allons ainsi à la découverte de tant et tant de betes de roche ; elles szont pour nous des betes qui voient, qui observent, qui n’en loupent pas une, qui n’espionnen,t pas mais qui sont comme connectées en permanence à une ambiance de roche qui est cette ambiance pariétale et temporelle de la roche dure des temps ; nous avons pour nous cette chance de voir tout cela avec nos yeux ouverts d’enfants éveillés ; nous commençons à mieux y voir mais ce n’est pas gagné d’avance ; nous voulons essayer de comprendre ce que c’esst que cette chose devant nous qui est cet animal, que est cet animal de roche ; qui est-il ? que fait-il quand il nous regarde ? que devons- nous penser de cet être des prés et des bois ? ; il est pour nous cet animal (de roche) adulé (ou simplement abpprécié) qui va pour sautiller sous nos yeux en veux-tu en voilà et se poster sur roche, nacré-bleuté dans la lumière des embruns ; nous comprenon,s dès lors que nous avons affaire à un être particulier, tout particulier, un être qui va sur roche et nous regarde et nous connait de fond en comble ; que penser de cet être des prés ? que devons nous penser de cet être des prés qui nous regarde, qui ne nous quitte pas vraiment jamais des yeux et qui semble nous dire : «suis-moi !» ; il est (cet etre^) un être de roche, un être tout particulier en cela qu’il est inclus dans une sorte de roche de grotte et que nous sommes comme lui (cet être de roche) inclus dans cette même roche de grotte ; nous pensons que nous devons de fait voir les choses ainsi, en paroi préhistorique, au beau milieu de toutes ces betes dessinées à main levée ; nous pensons que nous sommes, comme ces betes dessinées, des faons ou des enfants de la roche dure du temps ; nous essayons ce comprendre tout cela à la lumière (magique) des embruns et ainsi faisant nous nous collons l’un à l’autre (bec) et faisons corps en roche comme des forcenés de la paroi dure, comme des faons d’un dieu qui serait de texture pariétale, etc ; nous cherchons à comprendre au plus près ce qu’il en est, de cette roche aux embruns, aux betes grosses etc, ; il n’est pas simple de s’y retrouver mais bon, nous tentons l’aventure ; nous essayons de comprendre tout ce qui est ici en termes de connaissances à acquérir auprès des betes ; nous essayons de nous y retrouver ensemble en pareille roche et sans nous lâcher de préférence, sans nous lâcher la main , sans nous lâcher d’une semelle etc ; nous devons comprendre ce qui est ici en termes de paroi magique etc ; cela est que nous regardons les choses qui vont sur la roche avec des yeux de faons ou d’enfants ; nous sommes faons- enfants de biche bambi de la roche du temps et nous nous installons à même la paroi du temps pour nous soulager un moment, nous poser quelques instants = souffler ; nous devons aller ainsi plus loin en pareille roche après un petit moment de pause ; nous cherchons à nous poser quelques instants avant de repartir vers kles embruns aux biches, aux cerfs, aux bisons, aux chevreuils, aux cavalcade de chevaux, qaux aurochs ; nous devons comprendre les enjeu$x d’une telle paroi et pour cela nous avons à aller loin en pareille chose, en cette chose d’une grotte, d’une roche, ; il s’agit dpour nous de nous loger à l’abri des coups tordus, sous une lumière douce, sous les embruns, et de regarder le spectacle des betes allant et venant devant nous copmme par extraordinaire ; nous cherchons à acquérir un bon nombre de connaissances relatives à cette paroi du temps, et pour ce faire nous préférons agir de la sorte, après immixtion en roche, à savoir : en nous allongeant à l’abri des coups de sabots, et ainsi (nus et l’un et l’autre) regarder devant nous ce qui se trame en matière de féerie, de magie, d extraordinaire etc ; il s’agit pour nous de comprendre c e qui est pour nous en, pareil lieu de «vie-mort»; il s’agit pour nous de comprendre ce qui est ici en terme de trame ou de relief ; notre but est très largement divulgué aux quatre coins de la terre et ne souffre d’aucuns manquements en la matière : qui veut le saisir peut le faire sans trop de problèmes ; nous pensons que nous devons pour nous faire de la sorte et c’est cela que nous faisons ensemble : nous regardons les biches des prés et nous les suivons dans leurs pérégrinations, leurs ébats, leurs bagarres, leurs luttes, leurs efforts, et leurs danses ; nous pouvons penser ensemble des choses de roche et nous ne manquons pas cde le faire, car tels nous sommes que nous aimons cette chose pariétale qui nous relie et nous soude à pla vie à la mort comme des forcennés dans leur asile etc ; nous poensons que nou!s avons à comprendre-piger des choses de roche, à les comprendre-cerner et à les comprendre saisir ensemble en paroi , comme deux asilaires associés dans leur cellule, qui se prenhent le bec instamment pour une cause ou pour une autre et ensemble force les verrous ; nous pensons que nous sommes ensemble pour l’éternité des temps pariétaux ; nous opensons que nous sommes ensembvle pour une éternité des temps de roche et c’est ainsi que nous envisageons la partie à jouer sur roche, sur paroi, comme faons de la première heure ou même enfants du jeu de l’oie ou de la marelle ; nous essayons de comprendre l’art à la lumière du jeu de l’enfant- faon qui se blottit en roche comme à l’intérieur d’une bulle d’air ; nous pensons que tel est notre destin ici (en roche) que nous sommes amenés à devoir comprendre-piger ou comprendre-cerner une colle du temps, une colle liant les mots pariétaux du temps etc, de façon à ce que, ici, cet ensemble verbal puisse convenir à l’enfant-faon du jeu (que nous sommes) en cette zone de repli rocheuse (ou zone rocheuse du repli) ; nous essayons de nous initier, de comprendre, de voir clair, d’avancer ; la biche est devant nous qui nous regarde ; que faire ? la suivre du regard à notre tour ? tenter une approche ?afin de vérifier sa teneur en termes de réalité ? ; que devons-nous faire nous deux qui jouons dans la prairie comme des enfants , que devons nous faire ? ; nous voyons que nous avons encore beaucoup de choses à) cvomprendre en nous ; il s’agit pour nous de co:mprendre un grand nombre de choses en nous et ces choses nous voulons ensemble qu ‘elles soient dite (figurées) sur roche = des betes gravées ou tout comme ; nous pensons que cela se doit d’être ainsi formulé sur un roc ou sur une pierre etc, et c’est cela que nous faisons ensemble c’està dire main xdans la main en ce lieu magique ou féerique de cette paroi de roche dure, roche du temps, roche des embruns du temps ; nous voulons comprendre cet ensemble (bete + roche) à la lumièrev de l’enfance ou de cette enfance d’un faon ; nous essayons de voir ce qu il en est avec nos yeux de faon-enfant de la prairie mais ce n’est pas simple, il faut du courage (du coeur à l’ouvrage) , il faut de la ténacité, il y faut de la ténacité, du courage, de l’abnégation, une bonne dose d’envie etc ; nous avons à rechercher des choses en paroi, ici bas ; nous tentons l(approche en douceur (comment faire ? ) ; nous essayons plusieurs types de méthodes et pensons d’un jour pouvoir arriver à nos fins en nous collant ainsi, à pareille paroi de grotte, et gravant, gravant, gravant et regravant la bete forte, etc ; nous voulons aller ainsi vers elle, vers son effigie, et toucher icelle du bout du doigrt, et comprendre tout cela du mieux possible, etc ; nous sommes deux qui cxherchons ainsi des raisons ou dese xplications à ce qui se trame ou de ce qui se trame sous nos yeux d’enfants, etc ; nous pensons avec nos mains levées ; nous pensons avec nos yeux fermés , ou ouverts sur des surfaces ; nous pensons avec nos mains qui gravent la roche, dessinent à même le dur de la roche qui des bouquetins, qyui des chevaux, qui des antilopes , qui des aurochs (nous sommes plusieurs, nous sommes deux) ; nous pensons que cette chose pour nous est une chose qui doit être dite ici, sur roche, parmi toutes ces betes dessinées pa r l’homme des cavernes , et ce dire est «art» de paroi brutal, art brutal de paroi dure, art de ceux qui brusquement font irruption et emporte avec eux les embruns ou comment ? ; car nous sommes deux qui nous positionnons, à même la roche, à l’abri des sales coups, sous une lumière bleutée, et qui attendons patiemment l’arrivée massive (tonitruante) d’un troupeau de zébus ou de quoi ? de bisons ? de buffles ? de chevreuils ? de mammoutjhs ? d’aurochs ? ; noius sopmmes dans l’attente de pareil troupeau en roche ; il s’agit pour nous de nous tenir cois et de ne pas étirer les guibolles (pieds devant) pour ne pas les voir se faire piétiner par cette troupe folle lancée sur roche, ce troupeau en foli de roche, etc ; nous gardons les jambes (les guibolles) repliées et nous nous gardons bien de les étirer ; nous voulons essayer de comprendre ce que c’est que cette chose d’une jambe piétinée mais nousq ne sommes pas à) même d’étirer les nôtre , ouh la la que non ; nous ne voulons pas étirer nos jambes, et nous les gardons bien repliées contre nous, nous restons ainsi un temps à l’abri, nous nous serrons les coudes, nous essayons de nous tenir à carreaux, nous cherchons à nous faire petits, à presque disparaitre du champs de vision etc ; nous voulons comprendre les enjeux pariétaux du temps ; nous avons de grandes ambitions et nous les inscrivons à l’ordre du jour (comme de bien entendu) car nous sommes motivés ensemble pour comprendre et situer l’ensembvle de pareils enjeux de roche ; nous cherchons des so ;lutions à des problèmes ici de roche pariétaux et pour ce faire nous nous efforçons d’étirer nos jambes ou de les replier selon les passages de betes (de charge) ou non ; nous essayons de comprtendre les choses en paroi, depuis cet endroit de la roche où nous nous solmmes installés, jambes plus ou moins repliées selon les moments et les passages animaliers (le coup du sabot prohibé) ; nous essayons de co:mp^rendre un maximum de choses ensemblke et nous positionner de la sorte que nul passage animalier ne puisse (jamais) nous piétiner comme de la piétaille etc ; nous cherchons les raisons qui poussent l’homme à croire en sa mort ; nbous ne sommes pas sortis de l’auberge ; nous voulons comprendre les raisions de pareilles croyances et pour cela nous nous logeons à même la paroi, en elle, en son sein, comme deux enfants qui hjoueraient leur jeu d’enfants dans la bulle enfantine q<u ils se xseraient ensemble créée ; nous essayons de tout piger ensemble , et c ela nous occupe fort, car nous sommes exi geants, et nous voulons en avoir le coeur net, c’està dire que nous voulons y voir le plus clair possible si tant est que cela le fût ; nous voulons comp^rendre les choses ensemble c’est-à-dire les repérer dans les embruns, les suivre du regard jusqu’à temps que nous comprenions (toujours ensemble) de quoi il en retourne, ; nous devons comprendre ensemble les choses de paroi et pour cela nous faisons cette cxhose d’une inclusion en pareille roche de grotte (ornemen,tée) et ainsi faisant nous y voyons clair davantage car nous sommes logés en ce coeur de roche si riche en données etc ; nous voulons savoir ce qui est de ce qui se tra me, et cela ensemble, main dans lma main , deux tourteraeaux du dimanche etc, car nous nous aimons de concert en pareille roche (bec et bec) et prenons cette chjose à coeur, de nousc retrouver, de nous sceller, de nous sceller l’un à l’autre (colle) et de faire ainsi que les choses s’en viennent pour nous en pareille roche, ; nbous tentons ainsi des approches de cette bambi sous différentezsx formes, et essayons, ensemble, de nous approcher d’icelle le plus possible, nous tentons ; il n’est pas toujours facile de se rapprocher dx’une biche des prés ; parfois la cxhose est coton ; nous savons que parfois la chose est coton, cela oui, mais nous ne désespérons pas d’un jour parvenir à nos fins, et de pouvoir dès lors nous coller à pareille paeroi du temps et d’écouter ainsi (l’oreille collée) la musique des sphères animales ; nous savons que le cxhemin est long, sera long pour nous ; nous avons compris que ce chemin est long, va l’être encore un moment qui sera très long et qui sera pour nous comme une sinécure ; il s’agit du chemin de vie et de mort dela paroi du temps ; il s’agit pour nous du chemin pariétal de vie et mort de la paroi du temps ; nous voulons sacvoir toutes ces choses pour nou!s et toutes ces choses nous les désirons en ce lieu pariétal de roche comme autant de connaissances concernant kles faits et gesstes d’’une bete, ou bien concerbnant les tenants et les abouutissants d’une charge sur roche , etc ; nous voulons nous poster aux premières, et là voir cce train de roche aller et venir (passer ses embruns) et le voir caracoler de la sorte, sous nos yeux de faons (d’enfants) qyui n’en perdons pas une miette ; nous savons que nous devons poursuivre cette aventure ensemble encore longtelmps et pour ce faire nous ne devons pas nous désunir , nous devons nous serrer les coudes et comprendre le fin mot de tout etc ; notre but est tel que nous devonsfaire cette chose ensemble, d’une réflexion-immixtion en roche de grotte : qui est qui sur la paroi ? qui grave, qui dessine ? ; que devons-nous dire de cette sorte d’art des roches ? ; sommes nous nous -mêmes des artistes de la roche des temps ? ; que penser de cette roche ? sommes npous actifs ou passifs ? que devons nous dire des temps incxertains ? que vpenser d’une roche surdimensionnée ? où va la roche en ses embruns ? que dire du mal de terre ? sommes nous des enfants du limon ? allons nous passer l’arme à gauche ? qsommes nous transi s de peur ? que sommes nous ensemble : une tribu ? un clan, ? une troupe théatrale ? des chevaux ? des zèbres ? des dindons de la farce ? des amulettes ? des enfants ? ; nous chezrchons des réponses à toutes nos questions car nous sommes friands de réponses ; notre but est asffiché ici en tant que tel, et nous nous devons d’allker loin dsansles réflexions ; notre joie est de celle (communicative) qu il est préférable d’afficher sur roche , et du coup c’est ainsi que nbous faisons ensemble : affichons, affichons ensemble cette joie qui nous assaille etc ; nous cherchons ensemble des réponses (ou sorte de) et ces réponses les voulons pour nous, les voulons à nous , comme des biens de type matériels que nous aimerions conserver coûte que coûte par)-devers nous ; nous essayons de comprendre les choses de cette faàçon et ainsi faisons qui nous blotissons l(un l’autre en ous-mêmes en paroi afin de mieux nous poster en icelle et mieux voir venir cet ensembke pariétal animalier de cette roche des temps durs ; nous pensons avec nos mains et nos pieds, comme des bêtes ; nous aimons nous situer ainsi en pareille roche et c’est cela que nous faisons ensemble : cette chose d’une sorte de folie parioétale de roche ; nous essayons de comprendre ce qyui donc se trame en cette roche en matière de folie grégaire et voilà ce que nous trouvons sur notre chemin cette chose d’une tentative (animale) de paerçage, de trouage etc, d’une joue de l’homme quyi fut jusque là comme in- quelque chose, commme intacte et pleine, etc ; et cekla, cette tentative de l’intérieur de notre corps par un animal xdes praiories, est ainsi que nous la comprenons (cette tentative) comme celle découlant d’une volonté animale de nous mettre à) mal en noustraversant (rua des) ; nous essayons dès lors de comprendre tout cela de cette façon et ce n’est pas sim:ple en vérité ; un animal en ous un hjour a troué notre joue indemne kjusque là, c’està dire pleine et non percée, et de ce fait, un trou s’est fait,n , un passage pour une cohorte animalière (treessse, queue de rat ou queue de cheval) et nous voilà bien ! nous sommes perc és ; nous sommes troués de la bouche ; une bouche est née ! qui devient ce passage pour des betes en nbous qui affluent sous formes de vocables désormais et voilà ce que c’est que de se laisser de la sorte perforer ! ; nous devons comprendre ici que nouis sommes victimes d’agiissements animaliers de plusieurs sortes et notamment d’agidssements animaliers «de bouche» ou dits « de bouche» en cela que des bêtes en n ous nous perforent de l’intérioeur, et ce qui autrefois sortait de nos têtes et de nos mains (art pariétal) sort à présent (depuis quelques temps déjà) de notre bouche sous cette forme de vocables déposés ici ou là, ici et là aux quatre coins du monde (affichettes) ; nous avons à comprendre (pour nous) cette chose (bien évcidemment ! ) et c’est ainsi que nous allons sur roche, armés de cette volonté sérieuse, affirmée et adffichée, de compréhension (etc) car nous sommes deux qui nous motivons l’un l’autre, afin dx’en avancer kle plus possible sur la voie que nous avonstracé (pour ainsi dire) pour nous devant nous ; nous voulons savoir cxe qui est de ce qui se trame ici, en cette roche dure, en cette roche dutemps qui estc le temps de la percée, de l’effraction etc ; nous essayons de comprendre cela qyui est ici, sous nos yeux, et cela nous importe grandement car nous sommes deux qui cherchons des réponses (on ne peut plus sérieuese) à des questions posées ici ou là par ces enfants de roche que nous sommes ; nous pensons que cela se doit d’être dit ainsi ici (en roche) et non point n’importe où ; nous devons ainsi faire ensemble ce chemin de ronde pariétal en cette roche dure du temps , et ce chemin fait le mettree à la vue, l’expposer en galerie et le signer comme une oeuvre d’art ; que ne lke faisons nous pas dfavantage ! pourquoi cette chose et non rien comme d’aucuns ? ; nous pensons que cette chose d’un art qui sortirait de notre bouche (sensé», un vocabulaire) est une chose qui serait ainsi que nous sommes à présent comme modifiés de part en part, et commùe secxtionné de la même façon , etc , par en nous une cohorte animalière de mots vibrant ; bnous pensons que nous sommes vcomme sectionné en bnous m^$emes, et dès lors nous avons perdu une chose en nous qui est un savoir-pouvoir de premioère ; il s’agit d’une grosse perte ; on en est là ; il s’agit d’une pezrte considérable, une perte énoooorme et qui nous joue des tours en effet, qui en effet nous joue des tours en cela qu’elle nous tient à l’écart de toute roche temporelle avérée ou affirmée, ; nous devons d!ès ;lors nous immiscer en cette reoche, nous y introduire, nous flanquer en elle, etc ; nous le devons ; nous devons nous placer en elle de telle sorte que cette chose d’une immixtion brusque devienne passage obligé et la voie royale pour une réflexion sur kles tenants et les aboutissants dx’une roche des temps (la notre) ou d’un roc des betes (celui de l’homme des cavernes) ; nouys avons la bouche troué, nbous sommes les êtres à la bouche trouée, etc ; nortre bouche = un trou, et nous parlons comme des forcé$

enés que nous siommes (etc) en cette roche ; nhous parlons comme cdes enfants qui font lreurs emplettes en matière de jeux sur roche ; nous pârlons comme parlent les enfants qui jouent au marchand et à la marchande pour de vrai , etc ; nous sommes qui parlons avec des mots de bouche, qui viennent ainsi se placer ici sur roche dans le temps et sont comme des zeffigies animalièresq ; nous voulons que les mots qui soortent de nbous deviennent comme des gravures de betes ou bien comme des dessins au charbon, de ces betes que nous connaissons, qui sont en nbous cvomme ces reliques de saint, et quui cherchent à toujours plus pezrforer nos joues, perforer nos peaux d’hommes des cavernesou d’hommes des roches ; nous avons cette chose en nous qui est que nous devons comprendre toute cette affaire à la lumière bleutée de la roche et cela ensemvbloe, comme main dans la main = à deux (toi et moi) pour une immixtion certaine, affichée, avérée , effective et csensée de notre mobile whanimal en nous ; nous devons comprendre cette chose de cette immixtion bvrusque, brusquée ; l’animal en soi est une bete qui tente une sortie de nous p)ar un trou cde bouche ; ; nous voulons faire cette chose pour nous ; nous voulons que cette chose pour nous soit faite, soit dite, et soit affirmée vcomme le oui d’un roi de céans qui passerait outre sur certains détails qui ne szeraient pas dansz la ligne mais que le roi ne verrait pas ou chercherait à ne pas voir ; nous voulons aller ain si le plu loin possible et nous poster aux avant-postes en roche ; il s’agit du roi-cerf de la roche aux embruns ; il ferme les yueux, il voit tout mais il ferme vles yeux et il nous dit oui, il nous dit de le rejopindre, d’aller vers lui, de nous rapprocher de lui et nous nous rap^prochons de lui ; bnous voulons aller ainsi près de lui et nous rapprocher de cet etre de paroi, qui va et vient sur roche et nous initie, nous indique le chemin à suivre, nouys pousse à nous placer ainsib dans sa suite royale etc ; nous voulons que ce cerf soit pour nous un cerf de première chance, il erst pour nous important que pareilm cerf royal (géant, méga) soit pouyr nous ce cerf de la chance que nous espérons pour nous ; nous voulons que ce cerf cde la chjance soit là ce cerf que nous attendiiiiions ensemblke mzain dans la main en cette paroi (ornementée) du monde souterrain ; nous voulons que ce cerf soit cet être pariétal pour nous qui puisse nous indiquer le chjemin à suivre en pa reille roche ; nous avons la chance avec nous de pouvoir comprendre pareil cerf royal en cette zone de repli pariétale , et ici le suivre sur son chemin, se glisser après lui et ne plus le perdre de vue : il est le grand cerf de céans, etc, et nous le devons syuivre religieusement pour ainsi dire ; nous avons à faire (dire) cette chose , de cette suite, de cettte chose comme quoi nous sommes à sa suite, etc, car le cerf hgéant est une sorte de divinitéc pour nous qui sommesc enfantins (enfants)- à ses côtédss ;: nous devons le suivre dans les embruns ; nous aimons suivre ce cxerf ainsi, de près, ne pas le lâcher du regard, ; suivre ses pas, se placer dans sa foulée, se mettre ainsi sous son égide etc ; nous passons ainsi un temps à suivre pareille bête majsestueuse ; nous voul:ons poursyuivre ensembkle cette aventure et aller le plus loin possible dans la connaissance des sous bois des roches, etc ; nous voulons aller loin ensemble en pareille roche habitée ; que pouvons-nous penser de ce cerf majestueux ? que devons nous penser de cette bête follement majestueuse cdevant nous ? ; nous essayons de comprendre les enjeux du temps, la peine et la joie de paroi, etc, et pour ce faire nous suivons lke cerf en majesté , quyi va devant nous à pas chasszés, tel le roi des lieux pariétaux ; nous voulons comp^rendre ce quii (ici) xse trame sous nos yeux en matière d’avancée dans les connaissancesz ; l’art est cette chose en treaversé du temps ; il s’agit d’une chose liée à une traversé de paroi ; l’art est cette immixtion de première en cette roche du tempsq, via des mots perforateurs (peut- être) ou bien grâce à cette chose d’un piquous de roche qui irait (va) à se loger en pareille roche pour kl’éternité ; etc ; nous avons à penser à cette chose d’une paroi comme à quelque chose qui (pour nous) est (serait) une donnée précieuse en ce qui con cerne la voie ( du cerf ? ) à suivre à deux ; nous pensons que nous devons faire vite en vbesogn,e, soit ne pas lambiner, forcer le passage, etc, et aller loin en, pareille roche des prés ; nous allons surun chemin particulier qui est le chemin de laprairie du temps, cette douce prairie du temps où paissent kles betes, les betes du temps tout autant, et ces betes sont des animaux- mots, ou des mots-animùaux ; nous pensons que cela est ainsi qui nous voit sortir ces betes de nousq (bouche) à la queue leu leu comme une tressse ; nous voulons que ces mots soient pour nous des betes et des betes de roche ; nous pensons à la roche comme à quelque cjhose que nous aimons à -la folie et pour cela nous nous mettons ensemble a llongés sur roche et regardons ; nous regardons le spectackle animalier de la roche du temps ; nous regardons ce sqpectacle animalier des temps pariétaux, qui sont kles temps impartis, les temp)s rocheux, les temps de la roche dure ; nous voulons nous placer en cette roche de telle manière que le temps ici devienne pour nous de l’embrun, nimbanht des betes graciles ; nous voulons connaître ce moment ; nousq vgoulons savoir un gand nombre de choses et pour cela nous nous faufilonds à lk’çntérieur de la paroi et là nous «fouillons» ici et là, inspectons des lieux du regard, et nous tombons sur biche bambi et son ami le cerf de céans, le mégacerf devant, devant nbous qui parade, et ainsi nous sommes à sa merci ; nous voyons que nous avons ce cerf qyui devant nous parade et noius sommes dès lors comme à sa merci, comment dire ? ; il s’agit pour nous d’une bête immense, forte , et qui vient vers nous, nous inciter à bien vouloir la suivre en cette zone (embrumée) de la roche des temps etc ; nous le suivonsz ; nous suivons ce cerf gigantesque : où va-t-il bien pouvoir nous amener ? que mijhote-t-il ? que veut-il ? où va t-il si majestueusement (pas chassés, pas royzaux !) ; nous le suivons comme de juste et aloons à sa suite vers lui ; nous sommes qui voulons savoitr le fin mot d’une drôle d’histoire de chute en la roche etc ; nous pensons que nous avons à comprezndre encore beaucoup à propos du cerf etc, et nous nous rapprochon,s dee lui jusqu’à le toucher quasimeznt mais non, il se tient toujours un peu en avance ou en avant de nous , de sorte qu’à chaque frois nous sommes coiooincés,, nous sommes piégés, à chaque fois que nous tendobns la main prête à entrer en contact avec la bête eh bien hop, un coup de rein et le toucher n’a pas lieu, ce moment où notre doigt va entrer en contacft avec sa peau oou sa pelisse eh bien ce moment est (hop) reporté car l’animal, dx’un coup léger de rein, échappe à toutes sortedeconta cta vec nous ; nous e’ssayons- maintezsxc et maintes fois d’agir de la sorte mais en vain à chaque fois (un comble !) et tant pis au bout du compte, au bout du compte tant pis, car nous suivons la bête, nous sommes à sa suite, c’est déjà joli ! ; nous voulons comprendre les enjeux d’ici (pariétaux) qui sont en lien avec pareil cerf de céans, nous aimerions comprendre pareils enjeux et pour cela nous nous glissons dans la foulée du cerf : nous suivons pas à pas la bête en roche ; où va-t-elle nous mener ainsi ? ; nous ne le savons pas, nous l’ignorons, maiss nous espérons le savoir un jhour ; nous voulons comprendre les chosesc ainsi que nous les voyons (ce cerf près de cette biche) et nous reswtons ici, en paroi, pour en avancer le plus possible ; nous voulons que des choses soient dites ; nous voulons qUe des choses de lma vie et de la mort terrestre soient dites, montrées, affichées etc, mais on s’aperçoit que cela n’est pas, que cette chose (volonté) n’est pas tout à fait exa ucé à nos yeux, dommage! ; nous voulons savoir mais voilà que les mots ne disent pas tout , et en vérité disent peu ; les mots en vérité disent toujours peu hélas ! ; nous voulons connaitre un maximum, savoir beaucoup, aller loin dans le domaine des connaissances et comment faire pour c ela ici ? ici en cette rochge de paroi de grotte, ici paroi, quyi est celle que nous occupons ensemble, comment faire ? ; notre but ici est tel que nous devons aller (loin) en cette roche, pour des choses à devoir (but) ici comprendre ensemble ; nous chezrchons du regard le cerf ou la biche (bambi) et nous nous avançons vers eux ; nous les voyons qui caracolent sur rocher ; le cerf est géant, la biche racée, ils en imposent ; ils se posent là ; ils sont lmmajestueux ; ils sont dignes d’intéret etc ; leur pelisse est bleutée sous les embrunsz ; ils nous apparaiossent ainsi en fond, dans la lumière douce des prés ; nous chezrchons à) comp)rendre pourquoi pareils cervidés nous regardent et nous (comme) exhortent à devoir nous placer dans leur suite à tous les deux (le roi et la reine) ;: nhous voulon s comprendre cette chose ici = cet état de fait royal ; hnotre envie se loge, en pareille roche, sous la forme d’une volonté tenace de compréhension ; nous voulons en szavoir long et pour cezla nous nous glissons, dans leur suite ou à leur suite, et tentons d’en savoir plkus à leur écoute ; ils sont muets comme des carpes ? parlent-ils ? que disent -ils ? de quoi parlent-ils entre eux ? nous l’ignorons ; nous écoutons le vent qui souffle sur la prairie et nbous écoutons la musique des embrunsq ; le son du cor dans les embruns et le brame dsu cerf (?) et aussi le cxhant de la biche ; nous voulons essayer de comprendre cela à la lumière d’une volonté comme divine ; nous voulons com)rendsre ce brame à la lumière d’une volonté divine ou tout comme : une bouche s’est ouvezrte, a saigné (a pissé le sang) et à présent nous comprenons beaucoup de chodses ; les mots de bouche sont des animaux et les animaux (sur roche) sont des mots de bouche ; renvertsement de paradigme etc ; nous avon,s cxompris en wsemble cette chose comme quoi nous nous devons de nous glissszerr, dans la suite de sieur le cerf ou de dame la biche des bois ; nous nousq glissons dès lors dans leur suite et les suivons re»ligieusement (une procession) où ils nous mènent , et où nhous mènent-ils ? ; ils nous mène,t en cette roche dure vers une sorte de clartté de roche ; nous pensons que biche et cerf sont associés en roche pour ce faire : pour nous amener plus loin à la luymière de la roche (bleuutée) etc ; nous pensons que nous deevons les suivre religieusement et ne pas varier d’un iota du chemin tracé par eux devant nous en cxette roche pariétale ; nous pensons ainsi, que nous devons aller et loin, en pareille roche pariétale ; il est ainsi que nous de vons agir ensemble de la sorte en c ette roche, et suivre ces bêtes quyi vont, squi toutes n ous entraînent à leur suite ; ce que nous faisons ici volontiers, car nbouds sqommes motivés et friands de choses nouvelles (à découvrir ense’mble) ; nous nous adjoignons à eux et nous les suivons de con cert ; nbous nouys joignons àç eux et nous écoutonsv la musique des sphères retentir , il s’agit d’un cor de chasse dans les lointains ; quelque chasseur perrrdu ? ou comment ? ; nous essayons de nous joindre à ces deux bêtes mahjestueuses (biche bambi et géant ou méga cervideé ; nous essayons de comprendre ce qui donc se trame sous nos yeux et ce qui nous attend en pareille roche à leur suite ; il n’est pas facile de le comptrendre ; nous voulons savoir ce que leur figures (effigies) représentent en pareille roche : reine et roi ? qui pour nous le dire ? ; nous ne savons pas ce qu’il en est et nous sommes bien embêtés car nous deevons comprezndre ensembvle et aller ensembvle le plus loin possible en cette chose d’une comme croyance en des cervidés royaux et divinisés etc ; nous n,e savons pas tout ; nous ihgnorons beaucoup de chosesz ; nous ne savons pas le tiers du quart du dizième du tout du monde pariétal hélas mais nous espérons, nous croiyons en nous, n ous avons la foi, nous voulons et c’est beaucoup que cette volonté chevillée à nous, à nos coeurs vaillants ; nous sommes soudés comme des dés qui cvont ainsi ensemble, en cornet, à figurer (tantôt) un chiffre secret , révélateur ; nous voulons xomprebndre un maximum en un minimum de temps et comme par surprise ; nous aimerions comprendre beaucoup en peu cde temps ici (sur roche) afin d’en avancer le plus possible dans kles connaissances ; nous chjerchons à savoir beaucoup (sur les bêtes mais pas seulement) et pour cela nous nous plaçons ainsi que nous faisons , en ce recoin de roche, sous la lumière bleutée des embruns, en elle, comme des dulcinées de première, qyui vont et viennent à la suite d’un couple de cervidész ; nous sommes enfants qui jhouons aux dés, aux ossselets, aux billes, à la marelle, au cxhien errant, au loup et au chasseur, au tric-trac, au béret, au marchand et à la marchande, au docteur etc ; nbous ai=mons nous glisser ainsi près des betes de paroi, près des betes dessinées, et nous adjoindre pour le coup à la fete pariétale (etc) pour une éternité de temps ebnsembkle ; nous pensons ainsi et nous alloons en roche, ainsi équyipés ; nous cherchons une entrée de roche et ceztte entrée nous la voulons pour nous comme une porte ; nous essayonsq ensemble de nous immiscer par cette faille-en,trée (porte ouverte) de la roche devant nous, et une fois entrés nous nous glissons à l ’abri dees coups de sa bots de ces betes de paroi (art premiers) qui nousq chevauchent ou chevaucheraient preswque et nous piétineraient comme tout à trac etc ; nous cherchons à é viter les coups du sort et les coups de sabot ; nous voulonbs resterv intact une éternitéc (ne pas bouger) ; bnous voulons con,aitre la vérité, toute la vérité concernant la roche, le temps, la paroi, le temps, le roc, le temps ; nous voulons qzavoir long et aller loin ; nous voulons savoir beaucoup sur tout ce qui est ici (paroi) de latrame du monde : qui de quoi et quoi de qui , et pour cela il nous apparait que la chose à devoir faire de préférence est celle-là qui nous voit ainsi aller et venir ensemvble sur roche, dans une paroi d’une grotte etc, et ce ensemvble, dans le sud, pour une immixtion ; pour immixtion complète de notre mobile foeatal ; nous pensons que nbous devons (nous nous devonsq) d’agir ainsi, nous devons agir ainsi, nous nous devons d’agir ainsi en cette zone pariétale , et ne pas oou plus bouger, et rester ainsi allongés, et voir venir, pour voir venir ainsi les troupeaux de bêtesq ; nous deevons ne plus bouger et nous devons attendre ainsi ; nous sommes ainsi qui devons attendre ainsi les choses se placer sous nos yeux ghrand ouverts comme ceux des enfants naissants ; nous devons voir ce qui est ici, ce qui se trame sous nos yeuxw ; nous dezvons essa

yer de comprendre ici ce quyi swe trame sous nos yeux d’enfants naissantsq ; nous sommes deux qui regardons cela qui est sous nbos yeux et qui est le spectacle ici d’une féezrie de roche aux embruns ; nous sommes subjuguésn-, nous sommes sous le joug, nous sommes soumis, nous sommes mis sous et nous rega rdons le petit spectacle pariétal qui se joue sous nos yeux d’enfants ébahis ; nous voulons comprendre ce qui est ici et qui se joue ainsi sous nos y eux qui sont grand ouverts devant un spectacle pareil ; nous ne savons que penser de ce spectacle animalier et cependant il nouys pl^$ait beaucoup et nbous essayons de nous m^$emes de n’en pâdss perdxre la moindre miettte etc, car nous en sommes fous, friands, nous en sommes baba devant ; nous essxayons de comprendre pourquoi cette chose , de ces deux enfants bhaba que nous sommes devant ce specxtacle d’animaux des prés qui se positionnent en paroi de cette sorte que nous voyons : pôurquoi ? ;l nous l’ignorons, nous ne savons pas, nous ne savons pas le pourquoi du comment ces betes font ; nous ne savons pas pourquoi mâis nous subodorons le pot aux roses ; nous sommes ainsi ensemble vqui savons et qui ne savons pas : nous savons que le mystère est grand ici d’un cerf et d’une biche de paroi, et nous ne savons pas à quoi nous en tenir en ce qui concerne pareilles betrs ;: nbous voulons cxo:mp^rezndre ensemble, en roche, ce squi esrt, mais la chose est complexe, elle n’est pas donnée d’zmblée ;so:mmes ^nous mortels ? sommes-nous des êtres cde peu qui allons mourir c’est à dire qui allons cesser de vivre cette vie humaine pariétale (de roche) au milieu ces embruns ? nous ne savo ns pas à quoi njous en tenir ; et l’a rt dèsz lors , qu’est-il qui nous rensezignerait ds’un quelque chose qyui serait de lo’ordre d’un e v érité ? ; que penser de cette sorte d’entrée en matière dans la matière ? ; que devons nous penser de cette sorte d’entrée d’un mobile dans une roche et ce mobile a llant tra czer des bêtes (des contours de bêtes) à main levée ; que penser de tout cela ? ; nous ne sa vons pas ; nous subororons et échafaudons des sortes de réponses tracées au charbon de bois ; nous dison s haut (animalier) ce que sur le coeur avons tous (hommes des cavernes) et ce faisant nous implorons la bouche du levant à nous laissser encore un peu vivants sur terre ou bien encore un peu en vie parmi nos congénères ; bnous cherchons à comprenfre un grand njombre de ch- goses ici bas concernant les tenants et les aboutissants du monde et pour cela nous choisissons l’option paroi de grotte, en tan,t qu’art de syuite royale etc ; nous essayons de nous glisser à la suite du cerf et cde la biche des prés, nous nous glissons dans leur foulée et ne les quyittons plus à présent ; nous cdevons savoir ce qyui est qui bnous attend ; nous voulons des mots sur la chose ; nous voulonbs des mots prononcés par des betes de roche , par ces betes de ces rochjes de la préhidstoire ; nous savons que le problème de la bête est le probvlème majeur et qu’à ce titre nous devons chercher à le résoudre avec des moprts si tant est ou autrement si tant n’est pas ; comment pouvons-nous saisir le secret, et s’il est saisssiassable comment nous y prendre ? ; nous nous appretons à suivre le cerf quand cezlui ci cherchezrait (d’un bond d’un seul) à nous semer vite fait ! nous ne savons p)asd comment faire pour nous y prendre ensembvle, par quoi commen,cer, où aller exactement, comment faire et cfomment dire ? ; nbous devons nous glisszer dans une sorte de suite royale de paroi (le roi et la reine !») et ce faisant nous devons comprendre ce qui est ici en tant que la chose serait montrée et affichée en lieu sûr) ;: nous ne sommes pas réellement en rewste de savoir des choses con cernant la vie, mais nous comprenons que pour l’essentiel les cghoses nous sont masqUéesw, or nous pen,sons que non, que tel n’est pas le cas, que mle mystère des choses est un mot de trop, et que les choàses se présengtent d’(elles mêmes, en, bonne et due forme, à prendre ou à laisser telles quelles, etc ; nous pensons que seuls les animaux sont dans le vrai , et cela nous le pensons avec des morts qui sont dans le faux, d’où la contreadiction qui règne à la base de tout notre raisonnement voire de toute raison raisonneuse (etc) ; nous voulons cxomprezndre ce qyui est ici de toute cette affaire de raison, d’immixtion en roche et de passage à travers une roche du temps ; les beteqs foncent sous nos yeux et nous crions à leur passage ; les mots ont pris beaucoup de place ici bas (depuis les oroigines) et nous pensons que l’art (lart de vive vision) est très lié aux mots masqUués, aux mots des prés ; nouys essa&yons de co:mprendre cette chosqe d’un art qui serait cette sorte en soi de gesticulation pàariétale de base, ces sortes de cxhoses animalres sur roche ; il nouys semble à nous que nous sommes comme pris dans

les filets (rets) d’une c ause animale en diable, pariétale à qyi mieux-mieux, qyi va sur roche et trimballe tous les secrets (de lma vie et de la mort) avec ezlle ; les mots sont pis-aller animalier qui fon t passer le temps pour de la vie vraie quand ilds nb’en sont pas , tout comme autrefois l(art de parois des hommes des cavernes poussait «la chansonnette»pourainsidireda ns la direction qui se voyait zainsi, en tant que telle, comme représentation animalière en termes de change donn,é à une sorte de déesse- bouche dexs embruns, ou quelque chose autre de cet ordre -là ; il nous appa rait dès lors que la tresse demots qui sortent de nous (bouche-trou) est l’équibvalent moderne d’une effigie sur roche animalière du temps des hommes des cavernes ; l’art aujouirdhui est passé de la paroi de grotte à la paroi du temps des échanges verbaux ; l’animal d ‘autrefois est le mot (ou le mot-animal) d’a&uhjourdsvhui, nous avons enfin compris cette chose ici comme quoi la bete est le mot, et l’art de la bete l’art des mots, etc ; nous pensons que nous devons dire les choses, et les disant nous en délivrer, or que nenni : la pente nous pousse à dessiner-graver sur roche alors même que les mots de nous sortent de la bouche et disent l’animal outré (la bete de roche) ; nhous poussons la même chanson nette mais cette cfois ci sans lezs cornes ; nous essayons à notre tour de poussserr pareille chansonnete sur roche (une esca rpool e tt e) mais la chosex est dure car la roche est dure, la roche du temps ; nous ne sommes pas en mesure de ne pas nous parler (vivant) à nous mêmes = croyance ; or voilà c e qu ‘il en est : nous gravons-dxessinons encore et toujours sur roche car nos mains ont pris le pli, mais en vérité notre pic de bouche a lâché sa verve (son verbe) sur des rocs de grotte, et les mots ainsi prononcés sont les animaux de l’homme desc avernes ; l’homme des cavernesz est cet homme en nous qui lâche le troupeau de betes-mots par le passage de la bouche (ou joue trouée) dont nouys sqommes munis depuis longtemps, depuyis notre naissa nce ; nous voulons s comprendre la vie, ses enjeux pariétaux, et aussi les raisons qyui président à ce geste dit «art» que nous avons pour nous en nous en réserve ou sinon ezn réserve : tout comme ; nous voulons nous immisc er ezn pareille roche et aller dedans en ses profondeurs à la recherche d’une vérité verbale, or que penser de cette recxherche ?

la rechezrche ici (paroi) n’a du bon que si jamais elle se situe en roche dure et à l’abri des assauts du temp)s-animal, de ses ruades intempestives ; nous avons co:mp^ris une chose ici qui est que nous dezvons poussszer et loin (toujours plus loin) la cxhansonnette pa riétale pôur ainsi dxire, et ne jamais cesser, nottre progression en cette chose, mais de toujouirs creuser et encore creuser afiin dfe nous donner ense’mble une chance, infime fut-elle, de trouver le pôt aux roses ; nous voulons le trouver pour nous , et pour le divulguer en notre nom ; nous voulons ce secret le trouver ici en roche, et ensuite le placarder, etc ; notre but est affiché haut et intelligible ; nous voulons paraitre ! nous voulons paraitre ! et ce faisant (= placardant) nous sommes comme reconnus en tant que frere et soeur de vérité ; nous devons nous poster ici en cette roche au beau milieu des betes de somme ou autre cervidés de paroi ; nous voulons nous afficher parmi des beztes, nous chercxhons à nous afficher parmi des betes de paroiet parmi ellles aller et venir ensemble, c’est-à-dire main dans la main ; nous voulonqs nous afficher parmi les betes de paroi et faire ainsi que nous serions comme elles : dessinés par des hommmes de la préhistoire, ou gravés et ce pour l’éternité ; nous cherchons une survie via la

rd ; nous cherchons une survie via l’aart ; nous cherchons une survie via l’art ders roches, kl’arty des rocs, l’art-pic des rocs de la paroi ; nous voulons cela ; nous voulons cet art des roches ou du roc pour nous , afin de surviv re à une vague sur nous déferlante qui nous entrainerait et nous chevaucherait et bnous collerait à une paroi contre laquelle sur le coup nous saignerions et aurions tres mal ; nous voulons comprendre pourquoi nous avons ainsi compris cette chose et avons comnvoqué ici (paroi) ces bêgtes de roche (bouquetins, chevaux, aurochs, bisons, ours ou f»élins des cavernes etc) : pourquoi ? ; nous cherchons des réponses en roche, ici même, et ces réponses tardent à veznir pensons-nbous, à) moins qu ‘il faille lire entree les lignes, ou comment ? ; nhous voulonsv nous approcher de la vérité vraie ; nous voulons nous approcher de la vérité lisible, de la vérité en mots de latribu, etc ; nous voulons nousq approcher de la bvérité dite, celle là que nous voyons inscrite sur des parois, dan,s des grottes préhistoriques ; nous cherchons à nous approcher de pareille vérité de roche ensembvle, en faisant le pas qui s’impose en pareil cas : sauterie en roche via une sorte de paroi dure qyui est la paroi qui, devant soi, fihgure le temps ; petite swauterie sur roche (à deux c’est mieux») et nous voilà, dans les limbes, parmi les b êtes dessinées au charbon de bois, parmi des cezrvidés royausx, qui trônent sur la place et nous regardent du coin de l ‘oeil ; nous essayons de nous introduire en pareille roche de cette sorte (bond en avant) et dès lors nous voyons que cela est une affaire particvulière en cela que nous sommes main dans la main deux à y aller de la sorte en pareille contrée (féerique) de roche (pa riétale) ; nous voyons tout cela avec des yeux d’enfants songeurs ; nous sommes ensemble pour aller loin ; nous voulons nous sezrrer les coudes pour ce faire ; nous pensons que nous devons agir de la sorte sans tarder et nous porter loin en avant dans le sens inscrit par des biches de paroi sur un sol de pierre ; nous voulons nous porter loin loin ensemble, au plus lointain de cette zone des vérités , si la chose du moins est une chose possible, si du moins la chose est possible pour des comme nous qui allons en roche ensemble, à la recherche du pot aux roses ; nous comprenons ; nous savons cette chose, nous savons que nous devons nous porter plus loin encore en roche, parmi les betes, et pousser la chansonnettte pariétale à fond la caissse ou quelque chose d’aprochant ; nous avons à comprendre les ressorts qui président à pareille aventure terrestre : qui pour quoi, qui de quoi, et quoi pour qui, et qui pour quoi, etcx ; nous essayons ensemble cde compren,dre c ‘està dire de nous «échapper» d’un verbe de substitution ouquelque chose d’approchant ; nous essayons de nous échapper si possible, du verbe envahissant (de l’envahisseur), et de nouds pour le coup loger à l’abri (en rocxhe) de sesq ruades et autres accoups ; nous pensons que nous devons poursuivre notre aventure dans les embruns et ne pas s’en démarquer plus que ça, car nous avons beaucoup à comprendre, nous avons un n ombre incalculable de choses encore à comprendre de ce qui en roche du temps se trame pmour nous qui sommes commùe des betes dessinées par un homme des cavernes ; l’audelà) = les embruns ? ; nbous cherchons àçnous immiscezr en une rochre-pa riétale de survie, qui soit cet art des choses faites, surélevées, mises sur timbale, etc, et présentés à qui de droit sur terre ; nous voulons que nous soyons ainsi comme reconnus ; nous voulons que cette chose fut ainsi q u’elle soit reconnhue par qui un cerf qui une biche dans les embruns ; nous voulons comprendre le mot de la fin et le fin mot d’un e affaire langagière bien mal embarquée diriiiions -nous, car lesq mots occupent l’espace (la surface) que les betes sur paroi a utreefois occupaient seules, ; il nouds semble ainsi que cette chose d’une occupation de surface par un verbe lancinant, et envahissant, est une chose «non naturelle» et que dès lors le train train animalier de roche a bien le droit de rechercher sa voie à travezrs nous, à travers le mobile que nous formons (etc) et des lors à faire irruption (via notre trou cde bouche) sur paroi de grotte, au charbon de bois ; nous pensons que nous devons nous introduire ainsi, en cette roche de grootte des temps, nous devons nous immis cer en eklle durablement via le canal ou les canaux d’un art délivvré de ses effets langagiers ; nous pensons que nouys devons retrouver cet élan de hjoie de l’a vant-langa ge -articulée-période ; nous pensons que nous devons nous glissser en cette rocxhe à deux, comme deux enfants entrant dans une ronde (un rondeau) ; nbous pouvons penser à cette chose d’une avancée en roche dure comme d’une sorte de franchissement à tout jamais d’une «barrière de corail» du temps ; nous poussons la cxhose au p^lus loin que nous pôuvons, nbous ne sommes pas chiches en poussées de toutes sortes car nous sommes jeune (ou pas) et motivés (surtout) pour en avancer le plus que nous pouvons sur ce chezmin de la connaissance intrapariétale,, tel qu il s(‘offre à nous en cette roche, et tel que nous pouvons le rezncvontrer-à deux, ensemble, main dans la main ; nous poussons le bouchon le plus loin possible ; nous ne craignons pas les retours de manivelle ; nous prenons la cxhose à coeur et fonçons à travers la roche, la tête la prezmière, ensemble d’un seul bond, d’un bond d’un seul ensemnble y allons, perforons, ezntrons en roche, regaerdons passer le train du monde a nimalier ; les betes sont toutes là au rendz-vous qui nous regartdent bizarrement, comme indifférezntes à notre survenue brutale ; nous sommes des bêtes nous-mêmes qui nous immisçonqs au milieu d’un troupeau ou d’une meute etc ; nous cherchons à nous confondre à elles et à acquérir leur savoirs de base, ce savoir contenu en elles qui savent sur tou tant et tant de chgoses dont nous aimerions en connaitre les soubassements ; nous voulons comprendre les données contenues en elles, en ces betes, et pour cela n ous confondre parmi elles (mimétisme) comme des betes qui se placent sur des herbes de même couleurs qu’elles, etc ; nous cherchons à nous placer ainsi, au beau milieu ds’un troupeau d’aurochs, revéetus des mêmes attributs que ceux de l’aurochs (l’aurochs ou le cheval, ou le bouquetin ou le renne) ; nous cherchons à nous confondre à pareilles betes de roche et pour cela : tete première, cap sur la roche dure du temps, lévitation intemporelle, mise en place d’un dispositif de traversée de roche en douceur, ivresse des profon sdeurs, assistance tapageuse (coups de batons sur le roc de la paroi) etc ; nous tentons la chose à plusieurs ; le coeur y est ; 

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nous sommes allongés dans la prairie ; nous regardons ces betes nacrées, douces de pelisse, sautant les ruisseaux, cette cavalcade ; nous aimons ces betes des prés et nous les regardons aller et venir dans l’herbe, brouter, se chevaucher, se superposer, aller sur roche et fra,nchir les obstavcles ; cervidés et bovidés ; nous voulons les approcher et vérifier leur véracité ; nous voulons faire cette chose ensemble (main dans la main) et voir en quoi ces betes nacrées, auréolées, nimbés de bleu et de blanc sont des betes en vrai et non point des betes ebn faux ; nous voulons nous rendre compte au toucher et non plus seuleme,nt à la vue, de la teneur en réalité de ces betes de prairie qui vont et viennent, se monten,t, se frottent, gambadent et s’abreuvent à même la paroi (la roche) et vont sautiller plus loin, au plus loin de la roche) ; nous voulons savoir la teneur, conaitre cela, avoir le coeur net ; nous voulons comprendre ce qui est ici de ces betes nacrées, comme nimbées d’une lumière bleue qui les auréolise ; il s’agit de la lumière bleu des limbes de paroi ; nous savons à présent, depuis l’endroit où nous nouds trouvons, que cette lumière (bleue) est celle de la roche dure, la lumière bleue de la roche du temps ; nous entendons le cor sonner de tout son va en cette roche dure bleutée du temps et nous l’écoutons allongés dans l’herbe ; nous sommes tous les deux comme deux amoureux qui prennent leur temps et profitent des effets charmants de la nature autour d’eux ; nouys écoutons ces cors qui sonnent leur musique de pierre ; nous écoutons cette musique de paroi ; cette musique de paroi est de celles que nous aimons beaucuop écouter ensemvble ; nous voulons que cela soit dit quelque part et nous l’inscrivons ici, sur cette pierre de taille, à même la roche de grotte, comme le dessin d’une bete rosse qui charge, corne en avant, et fonce en paroi à la manière d’un rhinocéeros ou d’un buffle ; nous y allons de notre couplet et chantons ensemble au son du cor ; nous sommes nous deux sur l’herbe allongés et regardons cette (ce ?) bambi des bois qui nous regarde : il s’agit de ce bambi des bois sus mentionné, qui va de son allant de roche et nous regarde attentivement (d’un air de deux airs) comme si nous fussions des intrus en pareil endroit pariétal ; il (elle ?) nous regarde attentivement : ne nous qUIitte pas des yeux ; pourquoi ? ; car elle craintb pour elle ; elle a peur ; elle ne sait pas à qui se fier ; elle n’est pas en confiance (ou il) ; nous pensons que nous devons ne pas l’effrayer plus que de coutume, il s’agit pour nouds de ne )âs l’effrayer et de la laisser faire en prairie comme bon lui semble, et de ne pas l’importuner ; elle aime être libre et tranquille et non chahutée par qui que ce soit ; nous pensons que nous devons ainsi faire de la sorte qu’elle soit tranquille , et libérée de tous regards (dérangeants) ; nous pensons que nous devons la quitter des yeux par moments et faire les morts, ou faire comme si, car nous sommes allongés dans l’herbe de pré, et nous pouvons jouer à faire les morts (art) ici même, et cela à deux c’est-à-dire main dans la main ; deux morts allongés sur (dans) roche, qui donc se donnent la main et ne pipent mot, et se tiennent à carreau ensemble, et font miine de ne pas etre ou de ne pas etre (en vrai) en vie, etc ; nous pensopn,s que cela peut avoir son petit effet sur bambi et voilà pourquoio nous agissons de cette façpon , et pourquoi nous tenons à faire en sorte que nous soyons (comme) des morst qui restent en paroi, au coeur de la pierre, allongés-lovés et tranquilles comme jean-baptiste etc ; nous cherchons ainsi à passer inaperçu dans la roche du temps ; nous cherchons de cette façon une issue de roche, une comme sortie de cette roche, une façon pour nous d’y être sans y être etc ; cela bien sûr n’est pas facile à) comprendre ; nous voulons être et ne pas être ; c’est-à-dire que nous voulons $etre de la paretie (paroi de roche) et ne pas en être (issue de secours) ; nous pensons que la chose est ainsi pour nous que c’est mieux ainsi si nous nous allongeons dans l’herbe pareiétale et faisons les morts ; nous sommes ainsi tous deux qui faisons les morts dans cette herbe grasse de cette prairie de pâroi temporelle ; il s’agit d’un art de la feinte ; nous penson,s que l’art a donc à voir avec cette chose d’une feinte faite à quelque chose de (pour le coup) pariétal en diable, et aussi de musical (le son du cor) ; nous sommes nous deux qui pensons que l’atr est cette chose d’une feinte temporelle effeectuée à même la paroi du temps, et qui en impose ou du moins qui chercherait (cherche) à en imposer à cette auditoire bambinesque ou autre (animal) ; nous pensons que nous agissons ainsi que nous le faisons car nous sommes deux qui sommes persuadés de cela comme quoi nous deux avbons à comprendre les ressorts secrets de la roche du temps (paroi des cavernes) et cela afin de pouvoir nous loger subséquemment en pareille loge éternelle, comme dans un pré une bambi tranquille, dégagée, heureuse, sautilleuse, fraiche et toute douceur ; nous avons cet art de la feinte pour nous qui est peut-être en mesure de nous permettre pareille «échappée» verte ; il s’agit pour nous de comprendre cequi est ici pour nous en cette matière d’une «sortie» de roche , d’une sorte de «sortie» de roche par la feinte ; c’est à dire sans sortie ; nous pensons que nous avbons ainsi à comprendre encore pas mal de choses ici bas concernant toutes ces données rupestres d’homme des cavernes, nous essayons d’en avancer (oui) dans les connaissances à acquérir mais il est vrai que ce n’est pas donné d’emblée et que le savoir en paroi est à acquérir, à emmagasiner, etc, à deux si possible et pour l’éternité ; nous savons cela ; nous pensons que nous devons ainsi nous laisser porter par cette vague temporelle pariétale qui nous contient ; nous pensons que cela est bien ; nous pensons que nous devons ainsi nous laisser aller à nous laisser porter par cette vague pariétale qui nous porte et nous contient et nous protège des coups du sort ; le sort = la sortie de roche ; nous pensons que nous ne devons pas sortir de la roche ; nous pensons que nous devons rester en pareille roche du temps (art) et n’en plus sortir jusqu’à nouvel ordre ; nous sommes deux qui pensons ensemble cette chose en cette paroi, au fin fond d’une grotte préhistorique ; nous voulons connaitre les tenants et les aboutissants de pareille roche du temps et aussi pourquoi nous sommes ici allongés, et aussi pourquoi nous aimons être dénudés et regarder ainsi (ici) passer le train animalier (gravé)) du monde ; il xs’agit pour nous d’une gageure (art) qui va vers bambi, quii s’adresse à elle et à toutes ses soeurs de praiorie (cervidés etc) qui l’accompagnent ; nous pensons que bambi peut §(pourrait) nous être d’un grand recours et nous aider dans nos recherches ; nous voulonbs toucher bambi du bout des doigts (d’un doigt) et nous rendre compte dee ce qu’elle est réelle et combien elle l’est, et voir de cette façon dès lors (ou comprendre) ce que bambi est en vérité : cette biche des sous-bois qui gambade en roche pour l’éternité ; nous avons une chance folle de pouvoir nous approcher d’elle en, paroi (bleu nacré, bleu nimbé sur les bois) et nous en profitons à deux cent pour cent car nous sommes aimants de ce nacre, de ce nimmbus, de cette lumière sur des bois de cerfs, et sur les sous-bois où vivent les bambis de roche ; nous compreno,ns que nous avons affaire à une bete gracile qui est cette bete pour nous qure nous adulons car noius aimons nous approcher de ces biches, et de ces cerfs, de preairie, en, leur lumière, aux bois dorés pour les vcervidés mâles, etc ; nous aimons beaucoup ces betes et nous le disons haut et fort sur des affichettes par exemple ou bien en des écrits divers , que nous distribuons au petit bonheur, et que nous publions à l’occasion sur des sites de partage ; nous avons une grande joie en nous (de pouvoir approcher bambi) et du coup nous disons cette joie à qui veut l’entendre ; nous voulons que cette joie soit dite (révélée) à la tribune d’une sorte de paroi du temps, nous le faisons à notre façon, nous cherchons un auditoire pour nos dires, nous sommes ensemble à dire nos choses de grotte à des betes fauves, à des betes rosses ou bien à des betes nimbées et douces ; nous voulons comprendre ce qui est de cette chose dénommée «la vie sur terre» et voilà pourquoi nous nous projetons tête première en pareille paroi du temps (devant soi) car nous avons compris (intelligence de la vue) que nous ne sommes pas seuls en pareil lieu mais que ce lieu est habité, de fait, par des bêtes de féerie ; nous voulons essayer de comprendre (mieux) cette chose, comme quoi nous ne sommes pas se»uls mais nous sommes nombreux à habiter pareilllle roche de grotte : il s’agit d’une ronde, une cavalcade ; il s’agit d’une farandole, une danse à plusieurs, une meute ensemble, une tribu, etc ; nous comprtenons cette chose comme quoi nous ne sommes pas seuls en praiorie, que la chose est claire et nette, que nous sommes qui aimons ici cette chose d’une sorte de clarté nimbée (nacrée) sur des bois ou des cornes de cervidés ; nous sommes dans les sous-bois, le cerf est là à proximité qui nous regarde en biais, ou d’un regard en biais, etc ; nous n’en menons pas large ; nous tentons une approche en toute douceur mais il n’est pas facile de nous approcher du cerf sans l’effrayer ; il craint un peu pour son matricule ; il est beau comme un roi des prés ; il aime aller et venir dans les sous bois, les prairies de ce temps de roche ; il est l’habitant du royaume et va, de son pas gracieux, sur l’herbe nimbée ; il est beau comme un lustre ou bien comment, comme un roi des bois ; il est cet animal qui est devant nous qui a:lons ensemble à la rencontre de la roche dure ; il s’agit pour nous de comprendre ce qui est ici qui peut nous donner de l’élan et de l’allant ; nous cherchons «issue de secours» et le cerf peut-être, ou bien la biche des prés, pourraient nous aider ; on peut le penser ; on le pense ; on veut bien le penser ; on est prêt à nous laisser influencer par pareilles betes gracieuses et dès lors devenir comme elles c’est-à-dire comme auréolés, nimbés et nacrés, etc, en pareille roche (du temps d’accueil) ; nous abvons envie ensemvble de cezla et c’est vers cela que nous nous dirigeons ; nous voulons comprendre cette chose ensemble et cette chose , la voulons pour nous afin de l’afficher (ici ou là) sur des affichettes, ou bhien sur des affiches plus grandes que des affichettes ; nous voulons comprendre ce qui est ici de cette féerie de roche dans le temps ; la chose pour nous est d’une importance capitale et nous y tenons beaucoup (ardemment) car nous sommes en vie en roche alors même que nous pourrions (évidemment) ne pas l’être ; or nous le sommes ; nous le sommes car nous sommes deux (une somme) et qu’à deux en paroi la chose devient davantage possible et réelle, ou comment dire, il s’agit d’une jonction (conjugale en diable) à même de permettre aux deux pâreties de pouvoir enfin allonger ses guiboles en pareille roche des prés - ; nous pensons que nous devons aller ainsi à la recherche de la vérité ; oh elle se masque aisément, ou plutôt : elle a vite fait de se masquer ! ; elle est coquine ! elles est drôle! erlle est vraiment difficile parefois à mzaitriser en roche, et cependant tous les espoirs (pour nous qui sommes motivés ) sont permis d’un jour pouvoir la circonscrire d’un trait d’un sweul (dessin ou gravure) sur roche, en se laissant guider en nous par une bete des prés ou par une bete des bois ; nous cherchons ainsi à prêter notre voix, nos mains, nos yeux, notre esprit (nptre corps en entier) à cette bete en ous qui charge de tout son poids et nous fait nous pencher main levée sur la roche, sur cette paroi, à dessiner des effigies animalières faisqant croire (qui ? ) qu il s’agit de vérités soit de vérités incrustées, de choses en vrai = en cjhair et en os ; nous voulons (tout) comprendre, nous cherchons des compréhensions et cela à deux car nous sommes deux à nous tenir la main et à foncer tête première dans la roche, pic et pic, et ainsi faisqant nous nous retrouvons de l’autree côté d’icelle au milieu des ^prés de roche, et des bêtes de roche (dessinées, gravées, etc) à gambader ou pas, à nous blottir l’un dans l’autre ou pas, à nous allonger ou pas, selon notre humeur et selon les lieux, la manière dont ils sont occupés , habités par des bêtes de paroi ; nbous essayons de comp^rendre cette chose ensemble d’une prairie éternellke (ce pré carré) et cela ensemble car ensemble (le coït) il s’agit d’une autre affaire ; nouys voulons comprendre cette chose d’un art de la roche ou de la paeroi, son utilité, sa teneur en termes de vérité, son importance en termes de chose s vitales, etc ; a t on décidé nous mêmes ou bien est on comme télécommandés par des betes en nous qui ont la gouvern ance de notre mobile (fou) cérébral ? ; nous ignorons encore un nombre incalculable de choses ; nous ne savons pas tout ; nous aimerions fort connaitre tout de tout, or non : nous ne savons pas tout ; nous ne savons pas toutes les choses du monde de la roche ; nous sommes deux pour faire un bec et piquer (pic et pic) cette paroi du monde temporelle ; nous essayo,ns de comprendre ensemble tout ce tralala de la roche dure, celles des douleurs de passage etc, et pour cela, nous sommes munis de notree bec de queue de verbe et avec lui nous perforons cette :membrane pariétale de la roche de la grotte du sud de la france ; nous essayon,s du moins de faire cette chgose (à deux) pour en avancer le plus possible dans nos connaissances ; nous sommes ensemble ainsi pour comprendre, un certain nombre de choses ici pariétales, ici temporelles, ici frontales, ici comme des effets de paroi préhistoriques sur des betes de peu que nous serions ensemble ; nous pensons que nous devons ensemble nous coller à la paroi (la joue) et sentir la fraicheur , et coller l’oreille, et écouter son élan musical etc ; les effets de la paroi sur nous, qui sommes des être (betes) de pêu, des enfants de rien , des enfants des doutes, des perduraisons, etc ; nous pensons que nous avons à comprendre ensemble un grand nombre encore de choses concernant cette chose d’être au monde et cela nous fait de la peine car nous voyons que nous ne sommes pas au bout de nos recherches et qye dès lors il nous faudra beaucoup de temps pour y piper quooi que ce soit de fiable et de tangible ou du moins de cohérent ; nous pensons pour nous que la vie en roche est une vie pleine ; nouys sommes comme soumis en nous à une sorte de mainmise animale qui commande et guide notre mobile ; nous pensons que nous devons comprendre cette chose ; nous devons comprendre cette chose en nbous de cette sorte d’animal de roche (dessiné autrefois par l’homme des cavernes) qui en nous fait ce qu e bon luyi semble : des figures sur parois ; nous avons cette chance pour nous d’être comme habité de l’intérieur par pareilles créatures, qui initie, qui pousse et comman,de ; nous pensons que nous devons nous laissezr comme porter et ne pas cvontrarier (jamais) la bête en nbous (l’aurochs) afin de pouvoir de fait nous laisser aller et tenir ainsi le choc de la rochje ; nous avons à tenir ensemble main dans la main, nous le savons ; nous voulons comprendre le p^lus possible ce qui ici se trame en cette région pariétale du monde ; il s’agit pour nous d’une zone de repli et de secours ; notre envie à nous deux est de tenir le choc (l’onde) et nous laisser guider par en n ous cette bete traçante sur roche : qui un cervidé, qui un bovidé, qui un boviné, qui un capriné etc ; nous pensons que nous solmmes soumis (sous le joug) et devons dès lors fzaire (comme) allégheance et nous laisser guider par en nous la bête qui trace, ainsi, ce que bon lui swemble sur paroi de grotte, car nbous sommes ces hommes et ces femmes (enfants tout autant) des cavernes, qui faisons dès lors all»égeance sur roche et disons amen à la bête en ous qui pousse et troue ; nous pensons que cela est bon de la sorte et c’est ainsi que nous essayons de nous nous placer en pareille situation pariétale ; nous avons à nous loger ici (paroi) pour une éterntité ; nous voulons nous placer ainsi en cette roche ensemble et y aller, de la sorte, sur roche, main dans la main, comme deux tourtereaux que nous sommes ; nous chercghons à pour le coup nous immiscer en pareille paroi temporelle où paissent les betes, en cette lumière ici bleuté ou nacrée , et nimbée ; nous pen,sons que nous dezvons alller loin loin loin loin loin en pareille roche, le plus loi,n possible et ne plus jamais reculer mais tout au contraire avancezr avancer acvancer et creuser creuser creuser la roche pour comprtendre , quoi ? l’éternité de la paroi du temps (qui nous fait face) ; il s’agit d’une gageure ; nouys la voulons connaitre ensembvle et l’usiter en pareille roche, la comprendre ; nous parlons ensemble à batons rompûs autour d’une table et ces questions de l’art nous plaisent beaucoup car il s’agit d’un positionnement en roche tel que nous sommes en mesure de l’éprouver ; nous parlons de choses et d’autres mais surtout autour de cvette question d’un art qui serait une manière qui serait une façon qui serait une attitude qui serait un semblant qui serait un pis- aller qui serait une combine afin de s’échapper des griffes de la mort qui rôde en pareille grotte : eureka, la chose est bien trouvée, il s’agit d’une volonté ; il s’agit pour nous d’une démarche pariétale de concert ; il est nécessaire de voir ainsi que la chose a à être pour nous de cette sorte que nous la voyons ; nous cherchons ensemble des raisons qui de fait nous poussezraient à continuer encore et toujours sur notre chemin de halage ou comment dire cette chose d’un chemin tracé en abord de roche (dessins et gravures) qui serait celui qui nous guiderait ou nous introniserait pour une insertion-immixtion globale (totale) de nos êtres conjugués ; nous pensons que cette chose est, qui va dans le sens d’une entrée en matière, cette chose d’un tracé qui donne le la musical, qui donne l’imprimatur en quelqyue sorte et obtempère, et dit ouii ; nous pensons que nou!s devons p^longer» tete première en pareille roche (roc) et ainsi (passe-muraille) npus laisser porter par «la vague animalme» en nous (ce pic de joue) qui est là pour nous contenir (tenir)- et nous guider dans notre avancée ; il s’agit d’un art de l’immixtion et de la feinte ; une sorte d’art pariétal du jour, qui est pour nous cet art éternel qui nous tient à coeur ; nous ne voul ;onbs plus lâcher la bride ; nous sommes ensemble (l(art idem) pour des temps infinis, et devons tenir ainsi ensemble ; nous devon,s tenir ainsi ensemble c’est-à- dire main dans la main en roche (cet art) et ce faisant nous serons comme sauvés de la noyade ou comment, de , de la déculolttée, de la capitulation, de la destruction , etc ; nous pensons que nous avons à nous positionner de telle manière que cet art de la feinte soit repérée par un dieu de paroi quelconque (le cerf ? roi le cerf ?) et dès lors il verra la vie qui va en roche et pensera que telle est celle-ci que nous l’offrons, direct, à sa gouvernance ; nous pensons dès lors que nous avons à croire en ette chose d’un art pariétal de folie, qui est cet art sous emprise, cette chose dicible ainsi que nous faisons sur roche (à coups de burin) et que cet art est une chose de poids (avancée massive) qui peut à l’occasion (nous l’ésperons) en imposer pazssablement (durablemen,t) à cet etre de prairie ou des prés que nous trouvons à nos vcôtés en pâreille roche ; la chose est aiknsi que nous voyons cette bete, près de nous, qui broute, et nous donne (par la même) ce la musical ou cet imprimatur tant recherché ; nous voulons comprendre cette chose (pour nous) qui serait celle là que nous voulons comprendre: une chose de peu ou une chose mince = une vérité menu, ; légère et cependant de poids = qui pèse dans cette balance duu temps pariétal tel que pour le coup nous le vivons (de concert) en pareille roche ; nous comprenons bien des choses ici même en roche et voulons continuer de ce fait sur ces entrefaites ; nous voulons comprendre le plus ^possible tous ces pourquoi ;: nous voulons essayer de co:mprendre le plus possible cet ensemble de pourquoi et pour cela, nous devons aller loin loin loin loin en besogne, extrèmement loin en pareille roche et en besogne ; nous voulons comp^rendre le plus possible car nbous sommes convaincus que nous sommes à m^$eme de pouvoir comprendre un maximum de choses concernant les tenants et les aboutissants de la vie et de la mort sur terre ; nous pensons que nous devons nous jouer ainsi, de pareils vocables en prairie, et nous approcher de bambi la bienheureuse, etc ; il est une évidence ici qui est, que nous sommes deux à approcher bambi des prés, qui gambade, va, file, saute, boit, et nous regarde instamment comme si nous autres étions contre elle (ennemis) alors même que nous sommes amour, t§out amour encvers elle ou pour elle ; nous nous a pprochons de sa pelisse ; il s’agit de peau de bete ici ; il s’(agit ici d’une peau (soyeuse) de bete, d’une peau quyi peut donner l’influx comme une relique (de saint) qui serait pour nous la bienvenue ; nous aimons cette peau de biche -relique, et le disons à l’encan (à l’emporte-pièce ? ) à même la roche : oyez braves gens, ici la pelisse

de lza biche douce, elle a pour nom Bambi et nouys l’aimons, nous l’aimons de tout coeur, de tout notre coeur, il s’agit d’une biche des prés, elle est nimbée, auréolée, nacrée et doucve comme une pelisse ; nous pensons que nous avons à ici toucher cette bete de peu, la toucher un peu,, la toucher un tant soit peu et ainsi acquérir l’influx, la chgose qui en elle pousse à faire, à agir dans un sens qui va de la vie (le plus) à la vie (le moins), ou l’inverse : de la vie( lemoins) à la vie (le plus) ; nous pensons braves gens que nous avons à ici toucher pour démarrer etc ; il s’agit d’une sorte de starter de type temporel ; nouscomprenons que nous devons agir de la sorte, auprès de cette betye : la toucher du bout des doigts pour 1 se rtendre compte qu’elle existe en vrai dans les embruns (nacrés) de la roche, et 2 qu’elle nous donne le flux féerique, cet influx de base, de départ, ou de démarrage de vie ; nous pensons, que cette bambi a cette utilité pour nous, et que sa pelisse est, pour nous, d’une importance considérable puisque c’est de par elle, ou grâce à) elle, que tous deux (nous deux) pouvons, raisonna blement, nous tenir en vie, en pareille roche du temps ; vie (le plus) et vie (le moins) accordées, pour un franchissement «naturel» de paroi , qui fasse, de nous, des êtres de vie tout court, nés au monde d’une «femme» (?) , d’un faon (?), qui serait cette personhe cde confiance (nimbée) de paroi de roche (de la grotte du repli) ; nous avbançons ainsi sur des chemins ardents ; nous sommes deux qui nous avançons sur des chemins pentus ; nous nous avançons ainsi de pareilles betes de prairie, sur des chemùins ardus, ardents, pentus, qui dsont les chemins de bord de paroi ou de roche, à traverser éventuellezment (tête première) si des fois l’envie vous prend de passer instamment à (comme) la postérité pariétale ; il s’agit d’une sorte d’anfractuosité naturelle (on l’a vu) qui nous sied à merveille en cela que nous sommes «taillés» pour ce faire : ce passage brusque, inopiné, d’un franchissemen,t de paroi etc ; nous pensons que nous devons n,ous «foutre» ainsi en pareille roche du temps et nous laisssr porter de fait pa r la roche ; nouys devons comprendre cette chose ; nous avons, tous deux, à comprendre cette chose, et pour cela, nous nous engageons en paroi via une anfractuosité , naturelle , qui est ce trou de roche inespéré, ce pic de roche devant nous qui passons la tete et nous immisqçons en la pareille, afin de passer ainsi cvomme à trépas ; nous avons ainsi compris cette chose ensemble, cet art de la feinte coutumière , cet art d’un e feinte de pâroi, etc ; la chose est conclue ; nous sommes deuix et la comprenons ; nous faisons dès lors ce franchissement fissa, ensembkle soit main dans la main, et tête première ; et là nous sommes de l’autre côté, et nousd voyons le cerf gambadezr et cela nous plaît car nous aimons les cervidés, les betes en général (pour la plupart) et les cervidés en p)articulier, et les bois de mue ; nous pensons que cvela est bon pour nous de passer ainsi à travers cette paroi du temps ; nou!s pensons que cela est une bonne chose pour nous de nous introduire en cettte région du monde prairial où paissent les bhovins etc ; nous pensons que nous dezvons comprendre une chose ici (en la roche) qui est que nous sommes deux pour une connaissance pariétale musicale ; nous voulons savoir ce qui est ainsi ici de toute cette affaire (grandiloquente ? ) de prairie habitée, de nimbus, de limbes, de nacre bleuté, de déification des betes, etc ; la féerie : qu’en pensezr ensemble ? ; nous voulons penser ensemble (collés) et pour cela nous avons un langage commun (à disposition) qui nous permet de comprendre ce qui l en est du monde alentour (ici ou là ) ; ce langage est langage (en soi) de vérité ; il s’agit de mots-animaux que nous avons en bouche et que nous rejetons sous forme de pique ou de lance de bouche, un pique-roche de première, allzant sur roche, dès lors, afin de piquer icelle durement, durablement ; notre langage (partagea ble) semble vouloir dire des choses sensées , des choses dign es d’etre écoutées (et validées) par une gouver ne comme la nottre, or il s’avère que les mots tombent du ciel comme le reste, et ne nous donnent en rien les réponses que nous attendo ns pour nos questions ou nos interrogations exixtentielles ; nous avons en bouche des mots-animaux qui ne disent rien de bien sérieux ou convainquant concernant la mort (la nôtre) hélas ; que disent les motsq ? que disent les mots ? que disent les mots ? ; nous nous époumonons ; nous sommes saturés ; nous pissons le verbe comme une fontaine et cependsant, qu’en penser ? qu’en conserve t on ? qu’en tire t on comme enseignements salutaires ? ; nous voulons tenter une approche particulière (en toute candeur) mais non ; nous ne savons pas à quel saint nous vouer et cependant, nous ne voulonbs pâs lâchezr la bride, nous voulons poursuyivre (et comment !) sur notre lancée et ne plus nou!s cacher mais nous montrer comme n ous sommes à savoir comme des morts de faim qui gravitent ou gravitons, autour d’un buffet de choix ; nous esswayons de nous positionner en paroi de telle sorte que cette chose pour nous devienne une façon (un art) du fa ire semblance (ressemblan,ce) et faire dès lors accroire (croire) à une vie pleine, forte, entière offerte quand en cvérité il ne s’agit que d’un pis-aller que nous offrons à la gouvernance, pis-a ller pour bouche de la mort devant, une sorte de vie sans la vie (voilà qui est dit : la vie sans la vie, etc) ; nous essayons dès lors de comprendre ensemble cette sorte de positionnemen,t de vie en pareille roche du temps(art) qui pour nous esst cette façon, de nous placer en paroi, auprès d’un bambi broutant, ou d’un cerf géant, etc ; nous voulons comp^rendre les arcanes : quelles sont elles ? ; nhous devons agir dans le sens dx’une révélation, ou d’une compréhension ; nous devons agir dans le sens d’une révéklation à afficher sur roche : bouquetins, chevaux, antilopes, rennes, bisons, félins, buffles, ours ou lions des cavernes, rhinoczéros, mammouthes, etc ; nous pensons aux betes car nous sommes pris d’assaut par elles et le choix est vite fait qui nous est commandé de l»’extérieur, ou d’un intériuer, le nôtre, mais via le canal animalier de la fibre tressée qui sort de nottre bouche ensanglantée ; nous voulons comprendrr tout cela à la lumière (nimbée) de la roche, homme des cavernes ; homme des cavezrnes, nous voulons cxomprendre la lumière, la roche, la paroi, l’animal, l’ours, la jument, la vulve, les choses quyi trainent au pied de la paroi (amulettes ? ) et qui toutes disent, et tous, ce quiil en est de pareille roche, de pareille grotte, de pareilles incantations : pic et pic ; nous pensons à ces roches de grotte car elles sont celles qui nous donnent ce la musical que nous recherchons depuis notre naissance (le cha nt de la roche) ; il est bon pour nous de co:mprendre cette chose d’un chant inhérent qyui guide (animalier) les tracés de paroi ; nous pensons que nous devons tracer ce chant animalier sur roche et que ce chant est conditionné par en n ous la bête qui nous envahit et nous pousse à dire à sa façon toute chantournée le dit d’une roche à dire (à graver) ; nbous pensons que cela est que nous sommes tenus de tracer sur roche (sabre de bois) le tracé de la bete (fauve ?) représentée ; nous avbons b esoin de comptrendre cette chose pour nous, commùe quoi ,nous suivons le relief de la paroi du temps (ce chant) ; nhous pensons que nous sommes tenusz (animaleme,nt ou animalièrement parlant) à suivre le relief et du temps et de l’eswpace (roche) dans notre chant ; et ainsi faisant, nous en avançons fissa (ou pas ?) dans les connaissances ; nous voulons en avancer, follement et fortement, en ces connaissances concernant la roche musicale liée à une langue (son phrasé natif) et que nous chérissons car nous aimons nous laissser porter de la sorte, pâr cette bete en n ous qui est la bete de prairie (de pré) adulée ; nous voulons concevoir ain si ce chant pariétal : cette gravure etc ; nous alloons ainsi le plus loin possible et essayonsq d’en tire r des bénéficves, de type connaissances profondes des profondeurs ; nbous voulons essayer de comprendre c ela que nous voyons ici (betes de paroi) à la lumière de la roche dure, de la roche de paroi de grotte ; que faire et que dire ? cette chose comme quoi nous nous devons d’aller loin en besog ne, et faire cette cxhose ensemble si possible , d’aller loin ; les lointains sont nos amis chers ; njous voulons et l’intelligen-ce des roche et kle savoir buccal de dame $la morrtrt (sioeur ? ; nous voulons cxomprendre pourquoi nous deevons creuser et creuser toujours davantage et toujours plus loin cette affaire ainsi , en roche de prairie ; nous avcons pour nous cet avantage qui est que nous sommes deux, pour nous avancer ainsi, pas à pas, à l’intériuer de la roche du temps (= le temps) ; nous avons pour nous cette chance, de poucvoir ainsi suyivre pas à pas les accidents (temporels) du relief et épouser dès lors la roche, pour des représentations visibles et compréhensibles de betes des champs et des bois ; nous bpensons cette chopse ensemble, la voulons de la sorte ainsi «reproduite», etc ; nous sommes des hommùes et des femmes et des enfants de cro magnon ; nous essayons de passer des caps de pensées ; nous essayons de dilater les caps et du coup de nous porter toujours plus loin sur le chemin de la connaissance ; nous tentons ainsi des approches ; nous vou ;:ons comp^rendre tout cela qui nous entoure au son du clairon = cette chose musicale dite «en diable» ; nous pensons que nous devons nous placer en roche de telle manière que la roche nous donnne ou nous donnât de quoi comprendre icelle dans la profondeur ; entrons au plus profond, entrons en son sein le plus intérieur, entrons dans la roche, en pareille paroi frontale ; peletonnons nous en elle et filons profondd dans la terre mère ; nous avons à creuser et encore creuser et trouver et encore trouver, via ce langage commun (cette trompe et cette tromperie) de quoi alimenter notrte (propre) envie de découvertes ;: nous sommes enfants qyui cherchons «des choses vives» dans la roche, au fin fond d’une grotte préhistorique ; nous sommes des enfants quyi recherchons en un sein de grotte des choses fortes (dures, tenables, d’envergure) qyui puissent nouds donnert les ailes nécessaires à une insertion animalière de concert, à une sorte d’insertioon animalière conjointe (à deux) ; nous voulons aller ainsi ensemble en cette roche profonde et trouver le nid qui convient à notre appetit de recherche etc ; nous voulons cette chose pour nous car nous avons faim et soif de connaissa,nces sur le sujet (cet art caché) ; nous sommes ensemble qui voulons comprendre cette chose , d’un art quui serait une façon de fzaire, des choses de paroi ; des choses d’une paroi, qui serait la nôtre ; nous comprenon,s que la paroi ici représente le temps et que la roche est sa durée, et que la grotte est l’éternité et les animaux les mots d’éternité etc ; nous essayons de tracer à main leveé sur la roche, des figures animalières et des carrés et des rectangles et des points de compôction etc ; nottre souhait dès lors sera exaucé qui nous verra entrer en pareill:le roche aux animaux ; hommes des cavernes, réagissez ! dites-nous à jamais ce que donc vous portez en vous ( coeur) qui puisse nous aider dans notre entreprise (petite) de décoration intérieure ! dites ! et dites le haut et fort afin que nous puisssiiiions l’entendre ; nous avons besoin de votre aide ; pour nous votre aide eswt pl ;us que précieuse ; nous voulonqs que vous soyez pour nous comme des frères et soeurs de sang royal, qui viendrzaient nous porter sur chaise et nous soulever dans la grotte (hosannah) et nous monter-montrer de la sorte à qui veut nous voir él ;evés ainsi ; nous voulons vous connaitre mieux, hommes en nous qui parlons sur roche pour vous, animaux des prés ; njous glissons ; nous sommes sur une pente gliissante, celle qUI mène à la paroi du temps, qyui mène à la roche pariétale dans laquelle s’infiltrer fissa lordsqu’on est un homme (ou une femme) des cavernes ; il suffit pour c ela de se laisser porter mzain dans la main et d’aller ainsi à la découverte des peintures ancestrales ; la peinture est l’onguent ; il sz’(agit dx’un appret ; il s’agit pour nous de cette couche de langage en nous qui recouvre tout de nous (ou presque tout) ; njous essayons de nous débarrrassqer de pareille couche delangahge mais hélas voilà que la chgose n’est pas gfacil e du tout à faire en, paroi ; nbous voulons nous débarrasser de cela mais allez donc vous cdébarrasser de cela ! ; il est difficile parfois de se débarrasser de ce»la qui vous encombre ! ; il est p) arfois bien dur de se dé&barrasserr d’une couche de la ngage en soi (onguent ou vernix) qui macère en vous ou sur vous, vous refroidit perpétuellement, et vous pousse à filer fissa, à travezrs une paroi de grotte (préhistorique)-, pour vous»nettoyer» de pareille chrème génante, exshudante, etc ; nous pouvons penser que nous sommes à la merci en nous d’une bete suante, ou comment ? car nous sommes ensueur , qui mouillons de paretout et nous offrons en roche autant humide, tant et plushumide ou comment ? ; nous suons ; nous exhalons notre humidité naturelle en roche, et hop de passer ainsi, nous passons ainsi cette rocxhe de paroi de grotte, et passant ainsi nous nous nettoyons de cet eznsemb le contenu sur nous, de cette chreme de naissance etc (ce christ) qui est sur nous comme une pelisse etc, pelisse bque nous laissons au pied de la roche de grotte à notre passage ; nous ne voulobns pas de cette peau là, de cette cxrème (chrème)- là car nous voulons (désirons) la nudité totale (l’intégrale) pour pâsser à roche et nous loger-lover en elle ; nous aimons cette nuidité dite «de paroi» et la voulons pour nous dès lors que nous faisons le pas de passer à treépas ou quelque chose d’approchant ; nousq voyons le cerf qui nous regarde ; il est beau comme un astre beau, il est sublime de tenue, il est majestueux comme une bete qui serait royale ; il est le roi de céant en pareiille roche du temps ; nouys voyons le cerf qui nous regarde ; il porte des bois géants qui vont haut dans le ciel, comme les branches (qui dirait) d’un arbre ; nous voulons le suivre sur son chemin ; commùent pôuvons nous le suivre sur son chemin ? commùent pouvons nous le suivre sur son cheminb ?.? vcomment pouvons nous faire pour le suivre sur son chemin ? ; notre désir est là (logé) qui aspîre à vouloir suivre bambi ou le cerf royal sur leur chemin ; nous avons une envie qui est celle de suivre bambi sur son cjhemin royal, ou bien le cerf royzal sur son chjemin royazl ; nous voulons aller sur leurs entrefaites et ne plus les perdre de vue ; nous voulons aller loin dans les connaissances de paroi et pour ce»la nous cherchons à nous immiscer parmi ces betes de prairie qui sont celles que nous voyons (et du coup représentons) le plus souvent ; nous voyons bambi sous n,os yeux ; il -elle est beau-belle ; on veut que bambi soit beau-belle (les deux) ; il nous faut cette chose d’un-une bambi bheau- belle pour nous comme un cerff , une cerf royale (de roi) ; nous voulons que cette ce bambi soit pour nous ce roi de la roche aimée ; nous cherchons un,e connaissance en pareille roche, co:nnaissance qui pour nous fût cette chose recherchée depuis longtemps (depuis le jour de nottre vnue au monde) et qui a pour nom «bambi» ou un pêtit nom de même acabit : il s’agit d’un savoir ancien, un savoir d’un temps tres ancien, remontant loin, loin loin loin loin, en arrière , jusqu’àl’homme de cro-magnon pour ainsi dire ; sazvoiir que nous vopulons comprendre pour nous ; savoirr que nousq voulons comprendre ensembvle pour nous ; car nous avons besoin de ce savoir pour nous ; nous le voulons pour nous car nous avons besoin de ce sa

vvoir pour nous, etc ; nous pensons que nous avons besoin de ce savoir pour nous, pour notre gouverne, pour le cap à suivre, pour notre raison raisonneuse, pour notre profil etc ; nous cherchons à compléter toutes ces données recueillies en chemin par des précisions liées aux savoirs des betes de roche : que savent elles de la vie et de la mort ? ; nbous savcons que nous sommes seuls à pouvoir nommer bambi comme nous le faisons ; nous disons «bambi» car nous sommes ensembvle qui pouvons le dire pour n ous ; nous cherchons une solution dans la prairie, nous la recherchons près des betes qui vont et qui viennent, il y a des bisons, des chevaux, des aurochs, ddes cerfs, etc ; lk’aurochs ici est la bêtye de choix pour comprendre le pourquoi du cvomment la roche nous intègre, nous contient, nous gagne ; nous voulons savoir ce qui est ici d’une roche de contenance : est-elkle pleine colmme un oeuf ? est -elle creuse comme une den t ? ; nous ne savons pas ; nous voudrions savoir mais tintin, nous ignorons beaucoup de choses ; nous ne savons pas tout de tout ; nhous ne savons pas grand-chose et dxu coup nous suppplions la bête en nous de nous révéler un, certain nombre de choses concernant la mort notalmmen,t , sa couleur (bvleutée ? ) sa douceur éventuelle , sa teneur en termes de dureté, etc ; nbous essayons de comprendre le maximum ici en un minimum d’espace-temps ; nous voulons eeswayer de nous loger en cetttte roche de grotte comme animaux d’hommes des cavernes, c’està dire comme l(aurochs, cette bête chevelue qui est notre (v otre) prochain aussi bien ; npoous pensons que nouis devons nous couler ainsi conbtre paroi, en intra, et nous laisser porter par cette vague (effluve) animalière de passage ; la chose est dite qui nous voit nous placer ainsi (cul à cul) en elle (paroi du temps) pour un savoir à acquérir concernant les données (mains tendues) d’un monde du levant ; njous pensons que nous devons nous immis cer en pareille roche du temps pariétazl pour une sorte de compréhension des choses du :monde ,à venir, ; nous espérons en la v enue du christ ; nous avons à nous placer de telle sorte ici (en roche) que donc ici, nous serions bien mis (tournés) pour une sorte de compréheension massive des chodses du monde ; nouys esswayons ; nous tentons l’approche ; la chose a pour nous une importance grandissime et c’est laraison pour laquelle nous voulons que les choses soient dites en haut lieu et de façon distincte et i,ntelligible, et )à haute voix de préférence : à la cantonade ; nous espérons pouvoir un hjour révéler des choses à la face du monde ; des choses de grande importance = des révélations de première importancxe ; il est ainsi que nous serions ravis, d’un jhour pouvoir révéler haut et fort la v é&rité vraie, la chose juste, cette v érité de paroi qui nous fait face et qui représente la vie vive qui va (son train pariétal) afin de donner l’imppression (cinéma total) quil s’agit d’un specxtacle de betes vivantes (pour le coup viv antes) et non point cette féerie de traits au charbon telle que nous pourrionsaujourdhui ensemble le penser, quyi n’avons plus les moyens humains de nous immiscer en roche comme, autrefois, l’homme des cavernes ; nous pensons que nous devons «gravir des échelons» dans la pensée (en, avancer au sqein des cercles) alors même que la xchose d’importance ici est liéec davantage à une élévatiion par une sorte de lévitation d’un mobile humai n (le cylindre sus- mentionné) en grotte, dans les fumées des encens sacrés etc ; nous avons à dire, des choses de grande importance, et ces choses nous les voulons dire à travers cette paroi du temps, et ce relief musical des roches ; nous pensons que njous devons dire, pour nous, des choses liées à une langue (so,n relief) qui i nflue beaucoup (énormémeznt) et permet le dire et ne le permet pas par la même occasion ; il s’agit pour nouds de comprendre cette chose d’un dire qyui suit le relief musical d’un e langue donnée, relief qui influe et permet et ne permet pas la percée frontale ou buccale d’une joue de soi ; nous pensons que tel est ce destin nôtre ; nous pensons que nous devons allzr le plus loin possible en besogne et n e pas nous laissser du tout intimider par la bande mais au contraire poursuivre ce chemin de ronde en son relief musical donné ( et de ba se) tel quil nous apparait au fur et à mesure de notrte avancée en pareille paroi rocheuse ; nbous devons comprendre cela, comme quoi nous sommes deux ici (en cette roche) pour une découverte majeure ; nous devons comp)rendre ici que nous sommes ensemble (tous kles deux) pour faire ensemble cette découverte majeure, liée à une chose en elle qui gravite et qui est cette bête en elle pré,nommée banmbi ; nous avonsz à dire une chose sur paroi = cette bête à dessiner ; cela est capital ; cela nous est comme comman,dé de lm’intérieur ; cela est cette chose en nous qui sort non plus sous la forme ima gée ou figurée de l’homme des cavernes, mais sous cette forme (au relief musical) qui est celle-là qui noudss voit dire des mots et les sortir de notre bouche ; nous pensons et nous disons, quand l’homme des cavernes prenait en son sein et restituait à la force du poignet l’animal tracé ; nous pensons et disons l’animal et nous avons la nostalgie des origines (?) alors même que nous parlons de ce qui nous occupe le plus , et ce que nous disons est du mot-animal de base, ce mot-animal de base en nbous qui a troué la joue et s’est logé ainsi sur les devants, en pique-tresse traçant son chemin pariétal ; etc ; nbous avons des mots pour nous à la place d’un tracé de roche (animalier) et ces mots pour nous sont animaliers tout autant ; la bete est en nbous qui gouverne en nous ; nous pens’on,ns avec des mots qui sont des sortes cde mots-animaux en ous, c’està dire des betes en n ous qui forment une tressse prrête à sortir de notre bouche et voilà ce qui est ici pour nous, en nos temps d’apres la paroi préhisqtorique et au -delà ; nous voulons esswayer decontinuerletra vail de représentation rupestre or bien su^r que la cxhose n’est plus la même ; la transe manque ; la transe s’est déplacée et a envahi à présent (deppuis longtemps) la sphère du langage articulé (celui qui sort de nottre bouche comme par devers nous) ; nou comprenons pas mal à prsént de toute c ette affaire de bouche per cée ; nous vpoulons essayer à présent de comprendre encore davantage et pour ela nous devons nous placer en roche (immiscés dans le coït) afin de percer les secrets (pariétaux) les plus enfouis ; nous devons nous immiscer en des profondeurs de roche encore jamais explorées si possible ; nous aimerrrions beaucoup comp^rendre ainsi les profondeurs ici de la roche pariétale, cette pierre dure du temps, nous y glisser longtemps et regarder, les yeux grand ouverts, le plus possible, ce qui fait la trame des choses du monde, c’est-à-dire en intra, dans les profondeurs de l’intra, etc, afin d’en remonter à la surface des données de première importance, des secrets jamais révélés, des dobnnées de pre=mière bourre, des éléments sacrés qui seraient pour nous comme des c lés (musicales ?) pour ouvrir des coffres, des malles, des armoires, etc ; nous cxherchons à cvomprendre le plus que nous pouvons enswemble à l’intérieur d’une roche de grotte du sud, et pour cela nous nousd logeons main dans la main et nous entrons de force ainsi (tete brusque) en cxette roche animalière de la préhistoire, comme des enfants dans un jeu xd’enfant ; nous voulons aller dans la profobndeur de la roche à la recherche d’une sorte de définition qui serait celle que nous donnerions à quelque chjose qui ressortirait du monde de l’art et de ses dérivés, et cette chose d’une sorte de définition, nous sommes à vouloir la trouver ensemble (conjointement) soit main dans la main pour ainsi dire, et ainsi enesmble la porter à la vue (l’élever au vu et su de tout un chacun) au sein de cette «grotte aux in cantations» ; cxette dxéfinition on l’aurra compris est animalière ; il s’agit d’un nom de bete ; il s’agit d’un mot, et ce mot est le mot «art» ou «aurochsz» ; il s’agit d’un mot-animal ; il s’agit d’une représentation qui est la représentation d’un animal de roche et qui pour nous est cette chose d’un art de paroi, ou d’un art tout court, c’est à dire une façon de faire des formes, des choses, des objets, avec un sens affirmé des formes ;,, etc ; nous voulons avancer sur ce chemin des représentations animalières ; nous voulons essayer le plus podssible d’avancer sur ce chemin des repré»sentations animales ou animalières et ne plus en dévvier ; regardons de près ce qui est et que pour le coup nous ne savons plus voir tant notre oeil est habitué à ce genre de formes ; nhous devons prendre du recul et essayer de comprendre ce qui est en pareiille forme animale ; la chose est ici la suivante, à savoir que la forme présentée est une forme ouvragée avec une esthétique , et cette esthétique est une rondeur, et cette rondeur est animale, est une rondeur de roche, est rondeur de roche etc ; et à présent cette rondeur pour nouds est comme logée ailleurs en nous (sous forme de mots -animaux) qui sortent de nous comme vocables, en tant que tels, et vont à se loger dans les sphères du temps pariétal tel qu il nous apparait, de fait, sous les yeux ; nous avons à cvomprendre une cghose ensemble ; cette chose est un e chose belle et dure : une roche ; cette roche est devant nous comme un pont à traverser ; ce poont est une forme aux rondeurs marquées ; nous plaçons notre tête contre elle et poussons afin de traverser pareille barrière ; nous voulons la traverser ensemble car nous savons que nous devons la traverser en,semble et c ‘est cela que nous voulons ; nous devons fzaire ainsi cette chose ensemble et c’est cela même que nous voulons faire, de concert, cette cxhose d’un e traversée, de roche de grotte ; nous sommes des enfants qui chervchons à traverser une paroi et pour ce faire nous nous aggrippons à celle ci et boum plaçons notre tête en elle tout contre, et là poussons de toute notre force afin d’en si possible franchir l:e seuil et ce afin de voir à nous trouver tout nus, de l’autre côté de pareille paroi, nus et allongés, comme deux ronds de flan, nus et couchés sur une pierre pariétale, etc ; nous voulons compprendre cette chose d’une traversée conjointe : pourquyoi et comment ? ;: nous voulons comprendre cette chose ensemble, d’une sorte de percée (pariétale) à la force du poignet, ou à la force du pic de bouche trouée etc ; nous ne savons pas gra,nd chose de cela qui est que nous sommes passés à travers, mais nousespérons comprendre profond de toute cette affaire et aller le plus possible dans les profondeurs de la terre mère, trouver des pépites (?) ou trouver des trésors à type de seccrets ou de révéklations ; nbotre but est de dire la vérité sur les choses du monde (qui de quoi et quoi de qui) et non point de bâtir des chateaux en Espagne ou autres billevesées (?) ; nous essayons de comprendre ce qui est qui vient vers nous et qui serait cette bambi de grande et belle et bonne renommée ; nous poussons la chose loin et regardonsattentivement les alentours et que voit-on ? uune felmme ? une vulve ? un rectangle ? desq points ? des betes surtout, qui sont celles que nous aimons le pl ;us (manger ?) et qui nous regardent ensemble (de concert), cfomme une meute de chiens nous regardera ient, ou comme un troupeau de brebis nous regarderait, ou comme un troupeau de boeuf nous regarderait ; nous voyons tout cela avec nos yeux d’enfants, avec ces yeux d’enfants qui sont les nôtres en pareille paroi ; nous cherchons des réponses à) des questions que nous nous posons ; nous cherchons à comprendre pourquoi il y a des questions qui appellezraien,t des réponses etc ; les questions n’ont pas de sens qui reposent sur des mots-animaux, qui reposent sur des mots qui sont là comme des animaux des prés, qui sont mots-animaux et qui dès lors ne nous concernent pas au premier chef mais sont là pour la parade, pour cette parade animalière de roche ; les mots sont là en bouche (en notre bouche) pour la parade , pour une parade ou cavalcade animalière, et voilà ce qui est ici sur roche et que nous pouvons voir (percevoir) ensemble ; nous avons compris cette chose ensemble, car nous étions deeux, car nous étions de»ux pour la comp^rendre et c’esst ainsi aujourd hui que nous pouvons du coup avanncer un certain nombre d’assertions concernant la roche , la roche du bien et du mal, grâcve donc à cette façon nôttree que nous avons d’avancer nos mobiles (conjointezment) à travers la paroi de la roche, en nous immisçant de la sorte soit tête la prezmière en elle (cap sur roche) et pâssant ainsi notre ensemble corporel soudé en pareille roche de paroi de grotte ; nous passons ainsi et entro,ns ; il y fait bleuté ; la bete est présente en son pré ; il s’agit d’une bête à corne (cette fois ci) ;il s’agit d’une bête de type bambi dirait-on, et elle nous sui t du reghard ; qu’allons-nous lui dire qu’elle ne sa che déjà ? notre nom ? elle sait ; notre sexe ? elle sait ; nottre douceur ? elle sait ; elle nous connait bien (mieux que notre poche) ; elle co nnait nos petits secrets de con cep^tion et autres secrets d’éducation et autres secretts de maturité ; elle est la bete qui sait et nous connait mieux que personne, ou comme nous notre poche, etc ; elle nous connait comme notre poche etc ; cvomme notree poche nous connait, etc ; elle est la bete qui nous connait depuis toujours, qui a suivi l’ensemvble du trajet, depuyis la conception, notre éducation, notre maturité etc jusqu’à c e jhour, et nous la regardons, devant nous, qui broute et nous reconnait ; elle est cette bête des prés que nous aimons, dont nous aimons voir les déambulations en cette aire intrpatiétale ; nous la regardons de concert, la lumière est bleutée sur elle , de sorte qu’elle nous apparait co:mme nimbée de bleu sur elle ; elle nous apparait comme nimbée de bleu, elle est belle sous cette lumière, elle est vra iment belle et nous laregardons qui se promène, ainsi, sur l’herbe de la prairie ; elle est sublime de beauté bleutée, elle est belle comme un astre, elle nous regarde incidemment et l’on voit à son regard qu’elle en connait long (un rayon) sur nous, notre gouverne, notre gouvernance intériuere ; nous pensons que bambi sait beaucoup de choses (tout ? ) de nous et du coup nous sommes un peu intimidés car nous sommes sous le coup de son regard sur nous, qui est ce regard appuyé, ce rezgard qui sait, qui scrute, qui connait sa bete, qui en sait long, qui en sait un rayon sur nous, qui sait beaucoup de choses qu’elle ne dira pas car elle n’a pas les mots pour ça en elle ; il nous apparait que cette bete sur nous sait tout et cela ne va pas sans nous intimider un tant soit peu car nous sommes vite (facilment) intimidable ; nous avons cette chose pour nous de voir cette b ambi devant nous qui broute et puis nous regarde, et son regard en dit long sur ce qu’elle sait de nous, car elle sait tout ou du moins c’est cela que nous imaginons, que nous nous disons : elle e, n sait un rayon, elle sait beaucoup de choses, elle est informée en haut lieu, elle fait partie d’un réseau étendu, elle a été longtemps mise au courant de tous nos faits et agissements et encore à ce jour ; elle sait tant et tant sur nous que nous voilà comme intimidés et ne sachant plus comment nous comporter et où nous mettre en cette roche pariétale ; elle nous observe du coin de l oeil tout en broutant son herbe, et nous comprenons à son regard qu’elle connait la musique, qu’elle en connait long sur la musique, que pour elle la musique ici n’a plus de secrets, cette drôl ;e de musique ambian,te, ce chant, ce son du cor quiimprègne les lieux de sa mélopée ; elle connait cela, elle est riche de savoirs divers, elle en sait long, elle broute, elle sautille, et tout son être dit l’ensemble de ses connaisqsances ;

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2/02/2021

nous voulobns comprendre ce qui est de toute cette chose devant nous qui va , vient et vitupère ; il s’agit de sarabandes abnimalières vraisemblablement ; nouds voulons comprendre ce que c’est que cette sarabande animalière et c’est la raison pour laquelle nous sommes là, postés aux premoières loges, et la raison qui nous voit ainsi regarder, les yeux grand ouverts, pareil spectacle de buffles, de bisons, de rennes, d’élans, de chevaux, de bouquetins etc ; nous voulons voir et dès lors nous nous postons, en cet endroit hautement stratégique , ici sur roche, main dans la main nous deux , et nous voyons ces betes qui courent sous nos yeux et nous en mettent plein la vue ; nous voyons tout cela d’un oeil alerté ; nous sommes ensemble qui regardons les yeux bien ouverts cet ensemble animalier de roche, ces dessins de betes, ces gravures, ces reliefs etc, qui courent et se chevauchent, se superposent etc, pour faire accroire tant et plus que dfonc il s’agit ici (ici l’art) d’un pis --aller de première ; il s’agit encore ici de ce pis-aller de première ; il s’agit d’un trompe-la-mort de première ; car la mort est dieu ; ou dit autrement : la mort = dieu ; ou dit autreement : la croyance en la mort = la croyance en dieu ; etc ; nous pensons que nous devons ainsi penser les choses de l’art, en tant que ce dernier serait exactement ce quil nous en coûte (à nous) pour nous laisser aller en roche, fissa, tête première (frontal) afin de comprendre ce qui est ici en termes de raisons, de compréhension, de savoirs, de connnaissances etc, concernant la mort, la vie et son corollaire : la mort, etc ; nous sommes persuadés de cette chose, en paroi ; nous pensons que nous devons croire cette chose, en paroi, et celle ci, cette chose, est très exactement cela (art) qui est que nous sommes soumis à une croyance religieuse de type impact, de type impression durable sur motif ; nous essayons de nous extraire ici d’icelle (impression) mais allez donc vous extriare d’icelle ainsi, c’est à dire comme qui rigole, etc, évidemment que non, évidemment que la chose est rudement difficile à) faire, il s’agit d’une ruade, d’un chamboulement, etc, il s’agit de se projeter fissa vers un ailleurs qui n’est pas simple à dessiner au sens de concevoir mentalement déjà , ou physiquement ; nous devons comprendre cette chose de paroi (cet art de la fugue en soi) et cette chose est pas simple, n’est pas si simple à comprendre, à concevoir, à vouloir aussi, car il y faut la volonté, une volonté mêlée d’orgueil peut-être etc ; nous cherchons ensemble à comprendre cette chose, et nous venons buter contre elle ; nouys tentons de poser des mots sur elle (cette chose des embruns) mais ce n’est pas favcile, pas simple du tout, pas du tout aisé, pas simple pour un sou, pas du tout simple comme un sou, etc ; nous pensons que nous devons ensemble nous extraire d’une sorte de main mise qui pèse sur nous (art de la fugue) et pour cela : nous allonger, regarder devant le spectavcle des biches et autres cervidés, écouter la musqique des embruns, ne pas remuer, nous laisser porter par la roche etc ; se mettre au diapason de la roche ornementée, etc ; nous pensons que nous devons ainsi écouter , cette musqique des sph§ères, et ne pas bouger outre mesure, se laisser aller ici, en roche, à se poser ; il s’agit pour nous d’une chose douce, d’une chose de grande douceur, il s’agit pour nous d’une recherche de douceur grande etc ; nous cherchons pour nous (dans la roche ornementée) de cette douceur dont nous avbons besoin, de cette belle et grande douceur de roche, de cette belle douceur des roches etc, dont nous avons besoin ; il s’agit pour nous de dénicher pareille douceur de roche (celle là dont nous avobns besoin) et de la faire nôtre, ou plutôt : de l’adopter, de l’incorporer à nous, etc, afin de nous laisser allaer ainsi, musicalemant pour ainsi dire, et voir devant soi les allers retours, les va et vients de pareilles betes de roche (de grotte) ; nous pensons que nous devons ainsi nous laisser submerger par cette vague de douceur en nous ou sur nous etc, et prendre ainsi comme la tan gente, tangente rocheuse, pariétale, frontale, temporelle etc, qui est cette chose ici d’une présentation d’un soi de roche en roche ; nous pensons que nous devons agir de telle sorte ici que nous fussions pris (par les betes) pour des leurs ; nous voyons cela de cet o eil ; nous penso,ns que nous devons ainsi agir dsans le sens d’un laisser aller intégral, complezt, absolu, et divin , de soi dans la roche = la mort ; car nous sommes ainsi qui pensons cela comme quoi la mort est la roche est le mal est la joie est le dieu de bouche sus mentionné ici même ; nous pensons que nous devons nous mettre ainsi (pour soi) en pareille posture et nous laiisser aller ainsi (allongés et nus) dans la mort ; nous avons compris cette chose de la mort en vie, qui est ce dieu nommé ailleurs, comme une entité en attente d’une vie dobnnée (perpétuellement en attente) et qui se poste aux premières loges du temps, en cette roche pariétale d’hommes des cavernes, ou ailleurs dans ce temps dur de roche dure ; il s’agit de comprendre enfin cette chose comme quoi nbous sommes des qui faisons allégeance ; il s’agit pour nous de comprendre ici qu’il s’agit pour nous de nous placer en pareille loge du temps (pariétale) et nous ainsi laisszer aller à nous donner en vie (.?) ou bien en mort(?) pour un dieu de bouche frontal (?) ou bien pour tout autre entité de roche postéee ; ou bien pour toute autre sorte d’entité postée en pareille loge du temps ; nous sommes ensemble ici qui pour le coup nous donnons de l a sorte à dame paroi ou sieur roc, et, ainsi faisant, nous faisons comme si, comme si nous étions en effet comme des morts vivanrs de première loge (l’art ici) qui se pretent ou prêteraient au jeu du don de vie mais tintin et milou, trompent leur monde il semblerait ; il semblkerait que nous fussions ainsi des «trompeurs de mort de prezmière» ; il semble cette chose ; il nous semble cette chose ici comme quoi nous serions des (comme) trompeur de mort, des (comme) trompeurs de dame ou sieur la mort, etc, ce dieu de la face à venir, des embruns buccaux, etc ; nous pensons que nous devons aller ensemble le plus loin possible ici en cette roche, et nous laissrr aller, à nous allonger les pieds devant, et comp^rendre (cerner, saisir) les enjeux à la lumière de cette sorte de clarté (lunaire) de roche, ces allers et ces venues de cervidés dans cette lumière, etc ; à la clarté de cette sorte de lumière ou lumière de roc, qui nimbe les cerfs et leurs bois scintillants sous la lune du temps, etc ; nous pensons que nous devons comprendre les choses ici à la lumière de ces cervidés, cervidés de paroi (et autres bouquetinbs, et autre bovins) qui nous encerclent, qui nous font face, qui font (sont ?) notre face etc ; nous ne savons pas (plus ?) qui nous sommes ; nous cherchons à comprendre ce qu il en est de toute cette affaire, de cervidés sous la lune etc, et pour cela nous nous allongeons en cette paroi ornementée et nous rergardons passer le train du monde pariétyal ; nous sommes ensembvkle ici qui regardons passer ain si ce train du monde pariétal, ces betes de roche, et nous aimons ces betes, ce train de betes rosses, etc ; nous cherchons à comprendre ; nous voulons xsavoir ; nous faisons cette chose dans ce but (hautement avoué : art) de savoir, de comprendre, de trouver le pot aux roses, etc, car nous sommes friands de vérités de cette sorte, concernant cette chose, en soi, qui est cette mort annoncée ailleurs, en nous et pour nous ; nous voulons comprendre tout cela pour nous, pour notre gouverne, et, cette chose, la présenter ici ou là (art) pour compréhension, pour partage de savoirs etc ; nous comprenons que nous avbons affaire à une chose d’envergure en nous, cette chose est une chose en superposition, les choses sont équicvalentes, les choses sont les mêmes, il s’agit d’un mimétisme etc qui commande, etc ; nous pensons que dieu = lka mort = le souffle (?) = l’envie = la peine etc ; nous essayons ensemble de nous figurer les tenants et les aboutissants rocheux, de telle manière que nous, de fait, puissions y comprendre un tant soit peu nquelque chose de cette affaire ici de paroi céleste ; nous avons pour nous cette chance ici de nous confondre à icelle paroi ornée ; nous voulons aller plus loin dans la démesure ; comment faire pour amller plus loin dans la démesure ? ; nous cherchons des solutions entre nous, nous essayons de trouver en nous ou près de nous des solutions à mettre en oeuvre, à placer sur rocxhe, à présenter à l’auditoire animalier etc, mais la chose n’est pas commode ; nous voulonbs essayer d’aller le plus loin possible en pareille roche, en pareil roc, et pour cela nous nous prosternons en pareille roche ou en pareil roc, allongés fissa, sur paroi, ensemble, main dans la main, face aux bêtes des lieux , qui sont des bovidés, des cervidés, des bovinés, ou parefois des félins pour la plupaert : peu d’oiseaux en défintive (étrandgement ?) ; nous pensons que nous devons comprendre l’attirail, au complet, de pareilles roches de paroi ; nous essayons de nous positionner de telle sorte que donc cette chose (d’une compréhension globvale) puisse advenir, pour nous, à notrfe entendement, en nous = notre esprit,etc ; nous essayons d’y co:mprendre (comme) un traitre mots mais ce n’est pas facvile c ar nous sommes (comme ?) pauvres d’esprit ; nous n’avons pas découvert la lune etc ; nous pensons que nous pouvonbs savoir des choses concerbnant cet art dont nous n,ous rebatons les oreilles et pour cela nous avbons à nous positionner en roche de telle sorte que la chose (l’art) devienne, à nos yeux, comme une sorte de filet de vie, d’(effluve, d’onguent aussi bien venant nous recouvrir de sa douceur de buffle, de bison, d’aurochs, de bouquetiins, de cheval, d’antilope, d’ours des cavernes etc = animalière (ou animale) ; nous pensons que cela est ainsi que les choses sont, et c’est pourquoi nous nous laissons aller ainsi à dire, en paroi, comme nous le faisons, endsemble: une chose apres l’autrte, dans le temps de soon déroulement (la chose) , etc ; nous pensons que nous devons nous présenter ainsi : comme un déroulé de soi dans un temps de roche ; nous pensons que nous avons à nous présenter sur parooi (en) de la sorte = déroulé temporel de son soi de roche posté ; nous voulons comprendre ce qui est de toute l’affaire ; notree but est de comprendre un tout ; nous essayons de comprendre cet ensemble ensemble = un tout pris d’un bloc et regardé ainsi, allongé tout nus, sur roche de paroi orné, main dans lma main comme de bien e,ntendu, etc ; notre but est affiché (avoué) et ne souffre aucun malentendu (d’aucun ?) ; nous voulons comp^rendre ce qui est ici de c e que nous voyons là ; nous pensons que dieu et mort = fifty fifty ? pareille chose ? même combat ? ; nous pensons que cve dieu dxe la moprt devant, est ce dieu tout court, de la vie et de la mort ; nous pensons que penser la moprt en tant que telle (entité) revient à évoquer une divinité comme d’aucuns l’annoncent ou la proposent ici ou là aux quatre coinbs du monde ; nous pensons que les hommes ont (tous) eu cette chose, en eux, depuis toujours, cette chose d’une croyaznce en une fin de vie pour tous = dieu ici , dieu là ; nous devons comprendre l’artrt à la lumière (pariétale) d’un réchzauffement personnel, d’une belle et douce lumière sur soi, qui vient pour réchauffer les coeurs etc ; nous voulons comprendre les choses de la sorte ensemble et par conséquent, nous positionner en pareille l ;oge pariétale, ici même, en roche dure d’hommes des cavernes, et nous laissszr ainsi pousser, bousculer en nous mêmes, ainsi faisant, sur roche dure, afin de ou d’y comprendre (peut-être) un traitre mot, ou bien afin, ensemble, de cerner ici (paroi ornée) les enjeux vitaux qui seraient de mise ; nous pouvonns ainsi découvrir ce pot aux roses de la vie et de la mort (intercha,ngaelbes ?) qui sont ici comme positionée pour nous, notre gouverne, njotre esprit ; nous voulons essayer de trouver quelque chose de vrai, une vérité de tous les instants ; nous somms ensemble pour cela ; nous cherchons ensemble une direction dans le tas pour ainsi dire (la roche) ;: nous voulons cerner au plus près les choses de lma vie sur terre et pour cela nous nous mettons ensemble dans la position (allongée) où les choses viendraient comme pâr enchantement peut-être pas mais pour le moins comme par , comme par magie peut etre pas non plus, alors comment ? ; pousssées en nous par pic de roche animalier ? cette pique en nous qui pousse et tranche (perce, perfore) et va direct à se loger sur roche (les dessins et les gravures pariétales ici , des hommes des cavernes) et ainsi la vérité peut éclater (affiche) au grand jour : il s’agit d’une représentation (art) d’une cxghose de vie (une contenance , un contenu) qui vient depuis nous porteurs, jusquà cette roche en dur de chez dur qui est la roche dure du temps pariétal, du temps devant soi (avenir radieux) etc ; nous voulonbs essayer de comprendre les choses à la lumière de la lune, etc ; nous voulons essayer de piger ou comprendre un quelque chose ici de cette lumière sortie de nous (bouche) et logée en face (pil ;e) sur paroi de roche (ornementée) d’homme des cavernes ; nous essayons de nous figurer quelque chose et ce quelque chose est tout de mêlme un tout petit peu coton à maitriser car il s’agit de notions de haute futaie etc ; nous essayons de nous rapprocher de la v érité ; en cela nous faisons (agissons) comme les copains ; nous voulons comprendre ce qui est du monde ; dire ainsi intelligiblemùent et intelligemment (!) quelque chose de sensé sur cette affaire (globale) de début et de fin de vie pour chacun ; nous essayons de nous placer ainsi dans une position (ensembvle) qui pour nous soit celle (position) qui puisse nous offrir, ici, de quoi visionner (ou pouvoir visionner) un ensemble pariétal (frontal) qui soit pour nous une chance d’y piper un brin de toute l’affaire, de toute cette affaire des enjeux vitaux de paroi, de roche, de roc, de pierre, de dureté etc ; nous pensons que nous devvons comprendre ensemble cet ensembvle de choses agglutinéesq ; les choses sont collées ; les choses sont attenantes, rappelons nous le ; les choses ensemble ici ne sont pas encore ?) décollées mais tiennent enxsemble serrées (les notionsz) ; nous pensons avec nos moyens rudimentaires ; nous pensons avec des moyens (intelligence) qui sont pauvres, rudimentaires, étroits, trompeurs etc ; nous pensons mal car nous pensons étroit, car nos moyens sont rudimentaires, étroits et ne peuvent en a ucun cas embrsseaer le monde larhgement ; ils ne peuvent point embrasser large le monde, car ils sont pauvres, ils sont rudimentaires, ils sont chose de peu (chose au singulier et choses au pluriel) ; ils sont des choses de peu, des moyens de faible pouvoir, ou aux faibles pouvoir ; et chose de peu, car il s’agit de cette chose en nous qui gouverne, cap au sud, cap au nord, cap à l’est , cap à l’ouest, etc, et qui donne l e la en nous qui, pour le coup, en impose beaucoup (à l’auditoire ?) ; nous pensons ainsi ; nous sommes nous deux ainsi qui pensons que ces choses de pouvoirs sont des choses en nous qui sont qui en imposent l’(auditoire animalier, aupres de lui ; nous pensons que ,nous devons co:mprendre une chose puis une autre or il semblerait que non, que cela n’estcpas la bonne méthode ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose en bloc, d’- un bloc qui dirait une vérité dans l’azpproche, etc ; nouys pensons que nous devons aller très loin en pareille compréhension pariétale et nous donner ainsi l’occasion de poursuivre sur cette voie un tracé de vérité animalier mais pas seulement ; où donc est la mort en nouss ? ; où donc se situe en nous la joie de vivre ? ; où donc en nous est la hhjoie d’aller et venir en pareille roche ? ; commùent co:mprendre le tout d’une roche en efffeuillant icelle en paerties distinctes ? ; il semble (pour nous, à nos yeux) que pareille méthode est caduque et ne permet en aucun cas une approche «raisonnable» des éléments en prése,nce ; nous devons penser à toutes ces chopses qui nous regardent en paroi ; nous devons comprendre ces choses ensemble, les penser ensemble, nous voir de la sorte en pareille fête de roche comme deux amants qui soupirent, qui ont de l’amour pour les betes (cervidés, bovinés etc) et vont ainsi à leuur rencontre, en paroi du temps, pour une mainmise de soi en attente, etc ; nous avons à piger (cernerou saisir) une chose ensembvle ; nous devons comprendre ensemble une chose, et cette chose est logée en pareille paroi de roche, auprès des betes, ou bien en elles, en ces représentatations au charbon de bois, en ces gravures au silex etc ; nous pensons que cet art rupestre ou pariétal est l’art des arts car ici l’art est l’art de faire haut et vite une chose de vie, qui est chose de mort ; nous pensons que la gravure ici est une manière non point séparée de vivre la vie pariétale offerte par un animal en nous qui pousse sa voiix pour ainsi dire : son pic ou piquous d’entrée en matière ; nous essayons de pendre ainsi les choses les unes apres les autres, nous essayons de décortiquer un tout, or le tout commande à l’envie (à l’envi ?) et nous force, nous forge et nous force à l’envi (à l’envie ?) en pareille roche ; nous deevons aller ensemble en pareille roche, nous introduire vaillamment et là nous coucher sur pierre froide, nous allonger les pieds raides, nous blottir l’un dans l’autre peut-être, et regarder passer le train du monde a n i m a l i e r qui va, son chemin de ronde pariétal, et file fissa verts les embruns, vers le b leuté des lumières froides, etc, de la roche du roc ; nous pensons que telle est la condition de l’homme, de se voir ainsi allonghés ; or il semble qUe cette chose pariétale en diable est de celle qu’on peut explorer ensemble (main dans la main = la science) ; nous pensons que nous devons comprendre cette chose ensemble et explorer ensemble pareiillles données offertes en paroi : toutes ces betes figurées les comprendre à la lumière (l’aune) d’une musique qui serait des sphères ou des embruns ; nous pouvons nous placer ainsi que nous le faisons car nous sommes deux pour le faire ; seuls : oublie! ; nous penson,s que nous devons nous allonger sur roche, sur la pierre froide, et regarder ainsi cet ensemvbkle pariétal (musical) qui en impose par sa superbe, son allant de vie, sa grâce visuelle, son côté massif et outré, sa grandeur, sa beauté, sa chance etc ; nous voulons savoir beaucoup pour donner beaucoup au dieu de la bouche ; nous pendsons que nous avons à comprendre un grand nombre cde chose avant de paraitre, etc ; nous avons à faire ainsi que nous soyions mis de la sorte en cette position, de pêrsonnes qui sont allongées ensembvle sur roche et ensemble essaient de piper quelquqeu chose de cette affaire, de joie, de peine, d’onguent, de mainmise animalière, de croyance en un dieu total ou tota litaire qui commanderait (il serait «la mort» ?) ; nous cherchons des réponses commùe des enfants cherchent des réponses ; nous vboulonbs comprendre les choses avec des mots et cela n’est cpas donné ou gagné car les mots détaillent quand la vééritéb ne souffre point pareille approche langagière ; il semble que nous fussions ensemble pour pareille recherche à mener en paroi du temps, et cela est affiché un peu paertout sur lkes parois des grottes (lascaux, pair-non-pair, etc) ; nous sommes qui chercvhons ensemble des raisons, des moteurs, des raisons qui poussenbt, quyi influent, qui motivent, quyi entrainent etc, quand la vérité n’est pas en cela qui pousse mais en cela qui tire etc ; il semble que nous touchons là à quelque chose de grave, d’important ; nous pensons que nous devons comprendre la chose en nous qui serait ainsi que nous sommes soumis à une présence (vitale = continuuelle ) en nous qui nous pousssze à toujours plus loin nous insérer en pareille roche des prés, etc ; nous crherchons une raison ; nous cherchons des raisons ; nous voulons aller très loin en pareille roche et nous donner la main pour des découvertes à faire ensemble (à toi à moi) pour l’éternité ; nous voulons comprendre des choses, nous voulons savoir, nous voulons aller dans le feu, nous voulons nous solidariser avec des cervidés de roche (d’homme des cavernes) ; nous voulons nous immisc er au plus profond d’une roche et là nous donner la main afin de comprendre (à plusieurs) ce qu il en est de ce que nous voyons sous nos yeux ; nous avons à comprendre une chose forte, brusque, brute, vive, qui va sur roche vivement (la vie) et pour cela nous nous blotissons (l’un dans l’autre) à l’écart du bruit des betes rosses, etc, nous nous tenons à l’écart un peu de leurs agissements ; la vie déferle ; nous voulons nous tenir à l’écart ; nous sommes ensemble en pareilkle roche et essayons de nous tenir à l’écart de toute ruade intempestive qui eut tôt fait de nous mettre à mal ou en difficulté si tant est ; nous cherchons la vérité des choses en pareille roche de grotte, dans les intérierurs, les profondeurs de la terre, etc, et là (au plus profond) nousq nous escrimon s ou échinons à tracer au charbvon de bois des figures animalières représentatives ; il s’agit d’une force en nous qui poousse ; il s’agit d’une volobnté en nous, qui pousse un bâton de boisq, et trace sur roche ; il s’agit de mots déglutis ; il s’agit d’une sorte de sabir langagier animalier brutal sur roche ; nous pensons que nous sommes en mesure de comprendre à présnt l’affaire au com:plet : les mots sont des choses qui vont de bouche à paroi ; il s’agit d’une chose entendue à présent et qui se doit (maintien) de faire «autorité» , à savoir qu’elle (cette chose) doit «en imposer» sur roche et donner le change ( change) pour l’éternité ; nous pensons que nous devons ainsi (art) comprendre cette chose, d’un don de soi (pour ainsi dire) qui fissa va sur roche de vie et permet l’attente, c’est à dire le report ; l’art en tant qu il s’agit d’un report vital ; il s’agit ici d’un report de vie qui est cette chose pour laquelle nous nous échinons au fond des grottes (en tant qu’homme des cavernes) ; nous essayons a insi de faire cette chose ensembvle (à plusieurs) et voilà ce quil en est pour nous (de notre gouverbne) ; car la chose est politique ici = scientifique ; il s’agit pour nous de comprendre ensemlnble un ensemble de données rupestres ; nous voulons cette chose (ces choses) la (les) comprendre de concert, c’est à dire à plusieurs, à toi à moi,, afin de cerner au mieux au fil du tempslesdonnéespa riétales du temps qui nous contient ; nous voulons savoir à plusieurs ce qu’il en est de toute cette affaire de vie-môrt superposés ou enchevêtrées sur roche ; cela nous tient à coeur ; nous cherchons une réponse di gne de foi ; nous voulons comprendre et savoir, toucher et cerner, saisir et aller dans ce sein des seins pariétal qui sait la vérité ; la vérité (on l’a dit) est une et indivisvisible et du coup ne souffre aucune contestation ; il s’agit pour nous de toucher pareille vérité de loge rupestre ; nous sommes ensemble, et essayons de toucher une v érité semblable (un cervidé ?) qui serait celle (de vérité) qui dirait un ensemble de choses en bloc : tout à trac ; or la vie de roche est une vie rude (dure) en cela que des bêtes foncent et manquent nous piétiner plus souvent qu’à l’ordinaire ; nous voulons comprendre car nous nous proclamon,s «mortels» or qu’en est-il ? ; nous voulons essayer ces choses ensemble et pour cela il est bon de nous positionner de telle sorte qUe nous puissions voir ce qui est de toute cette affaire de cro yance en un dieu lunaire (de la pluie et du beau temps ? ) qui saurait la vérité, qui dirait la vérité, qui commanderait, qui influerait, qui serait le chef de proue de la vérité, qui serait l’autorité de la vérité etc ; voilà qui est dit ; nous pensons que nous avbons une chose à déceler en pareille roche , et cette chose a à voir avec cette sorte d’autoritarisme des hoommes de vérité etc ; nous pensons que nous devons nous tenhir à l’écart des ruades et des coups de cornes, de sabots, de crosse, de baton, etc ; notre szouhait est ainsi formulé ; nous pensons que notre souhait est formulé, il sw’agit d’un souhait écrit, il s’agit d’une écriture sur roche : des petits bâtons, etc ; nous voulons comprendre ces choses d’autorité pa

riétale à la lumière de ces cervidés de roche, du scintillement de leur pelisse sous la lune, etc ; nous vouloçns essayezr ensemble cette chose (d(une compréhension) afin de pour le coup nous projeter fissa en pareille paroi, afin fissa de nous inc lure, en pareille roche , pour une compréhebv-nsion app^rofondie des éléments qui sont en présence ; nous devons comp^rendre ces choses ensembvle (de concert : enchevêtrées) pour les acvppréhender, comme il conviendrait qu ‘elles le fussent ; il s’agit pour nous d’un choix de vie, quand pour l’homme des cavernes il s’agissait d’un élan impérieux salutaire ; il est pour nous cette cghose d’un choix (choix) pour une volonté, or pour l’homme des cavernes (le cro-magnon-) il en allait autrement, qui paraissait se pla cer en roche (en lévitation) comme mû pâr des forces (animales) en lui qui l’incitait (au sens fort) à marquer son empreinte sur roche, en termes d’effigies animalières (sarabande) au son martelé des coups de baton, sur roche, sur roc, au bas de lui, sur ppierre d’abord ; nous voulons savoir ce qui est de toute cette affaire (artistique en diable) de paroi dite ornementée, quand il ne s’agit pas d’un ornement mais d’un habit de bure pariétal, de lumières incxandesventes offertes à la mort ici déifiée ; njous cherchons à comp)rendre ce qui est ici d’une volonté de l’homme desz cavezrnes, de vouloir lma chose crue, offerte ainsi dans toute sa nudité de factyion brute, etc, afin d’en imposer (comme par la bande) auprès de ce dieu (?) de la mort-bouche, qui appelle, qui attire, qui aspire, qui essaie de vous tirer les pieds , le reste, et de vous a valer tout cru (nus) comme une denrée de chair vive (morte) en son antre ; nous poensons que nous sommes à sa merci ; nous voulons commprendre cette penseée ; nous dessinons des bisons, des antilopes, des chevaux, des zèbres, des paroles (?) sur roche, et faisant cela, nous essayons ensemble de comprendre, ce qu il en est de cette affaire de pieds aspirés par cette bouche devant nous , qui serait comme « la mort» personnifiée sur roche du temps ; nous voulons savoir le plus possible de choses ainsi, concernant toutes ces choses dites, et pour cela nous nous plaçons ensemble dans la pezrspective où nous serions plusieures (main dans la main : une chaine) à chercher le pot aux roses ici même, en cette paroi brute de chez brute qui est celle de cet homme des cavernes sus nommé ; nous voulonbs copmprendre la mort annoncée ; nous voulons comprendre c e mot (dabord) qui serait celui donné à une chose quui serait devant comme un danger, comme un animùal (un ours des cavernes) debout, posté devant pour nous achever ou nous mettre à mal et nous tuer d’un coup de griffe ou d’une morsure ; nous cxherc hons à vcomprendre ensemble un grand nombre de vérités qui seraient comme consignées en pareille roche par (autrefois) un homme des cavernes ; nous sommes debout à présent et nous marchons à lk’intérieur du film de la paroi de l’homme des cavernes ; nous nous tenons par la main et nous avançons en pareille paroi, à larecherche d’une vérité à dénicher ; nous essayons de comprendre le mot de la fin (c’est à dire un traitre mot) ; nous voulons essayezr de comprendre un mot , y comprendre un mot, de toute cette affaire (sangllante) de betes à corne contre betes à corne ; nous sommes ainsi qui voulons comprendre une chose ici (paroi) pour notre gouyverne (politique des échanges) et cette chose (animale) la colporter ailleurs, sur d’autres supports pariétaux (le temps) pour une approchepartagée des données du monde (la vie et la mort) ; nhous voulons deécouvrir un ensemble ensemble (block-to-block) et cela , dans un souci, permanent (vie), de faire (au mieux) alleégeance devant dame (sieur) la (le) mort, ; la mort ; cette mort qyui est (comme) notrte gouvernance (gouvernante) animale ; nous la voulons comprendre à l’aune (la lumière) de la roche (temporelle) ; nous donnons de nous (art) le temps de nos vie en cours (ce cours de la vie en train de se faire) ; nous donnons (art) cette chose sous cette forme d’une bete dessinée ou gravée sur roche (autreefois) , aujourcd hui a utrement (misère !) et demain ? ; nous pensons que cela a à voir (cet art) avec la misère des temps actuels qui sont privés de roche de grotte, etc, et qui ne se pretent pas ainsi à des gravures au silex ou autres outils de marquage sur pierre ou sur roc ; nous sommes qui voulons co=mprendre ensemble une situation (pariétale) antédiluvienne, qui serait notre pendant ; qui serait le pendant de quoi aujourd hui, telle est la question ; nousq sommes ainsi qui cherchons enswemble le pendant (animalier ?) à des données de roche antédiluviennes (les données) qui seraient ainsi (ces données) deds recoursq, des soutiens ou des étais pour comprendre un mot fin , un fin mot, de toute une histoir (artistiquement parlant) de vie et de mort sur tezrre ; que faisons noous encore sur terre qui s’apparenteerait ou s’apparentât à pareille gravure sur roche (d’un homme des cavernes) ? ; nous ne savons pas mais nous cherchons ; ah ppeut etre : nous pensons à la mort commùe à une chose avérée, existante, isolée de la vie (à l’écart, à part) et qui décide etc, et cerne ; or l’homme des cavernes, en lieu et p ;lace de ces sortes de pensées macabres, a pour lui le dessin (la ghravure tout autant) sur roche (au fond des grottes) ; il est donc cette chose ainsi d’une raison quyi préside pour nous quand la passion (le feu intérieur) pour lui est première et commande ; il est pour nous unr raison de tête quand pour lui il est un coup de tete, ou comme un coup de tete, sur roche = une butée, au charbon de bois , sous influence, guidé par des betezs en luyi même, etc ; nous pensons que nous devons comprtendre cette chose à l’aune d’(un feu intérieur qui brûle sa chandelle rouge (verte ? ) et va fissa à se loger en pareillees roches (clameur) pour une éternité (parioétale et msuiicale) des données offertes ; il est pour nous cette chose d’une éternité (feu) qui brûle sa vie ou ses vies à même la roche ; nous les voyons ainsi qui vont sur pierre se graver ou se placer (animaux de roche) pour une incision ; nous pensons que cela est de cette sorte, et nous voulons que la chose ainsi soit celle -là que nous espérons pour nous qui voulons comprendre avant de mourir ; la bete dessinée est le pendan-t (antédiluvien) à la croyance (pour nous) en la morrt à venir pour nous ; ici le dessin , là cette croyance en nous : même combat à mener fissza sur roche (dure) du temps ; nous pôussons ainsi cette chose d’une percée ; nous pensons et poussons ainsi cette chose d’une percée (à plusieurs) de la roche du temps pariétal (dès notre venue au monde) et cette pensée -percée la voulons pour nous comme une raison, comme une raison (autoritarisme) qyui saurait et dirait et se positionnerait commùe une sorte de définition (close sur elle m^$eme) des choses du monde, or que nenni, or il n’en est pas a insi, il en est auttrement ; il en est que la mort = l(animal de roche : même combat c’est-à-dire =même crtoyan,ce etc ; la mort pour nous est une croyance ; il semblke cette cxghose ; nous pensons que le mort et la mort sont ainsi de même famille ; nous voulons savoir le poureqyuoi du comment les betes adviendraient sur roche aussi élegamment gra vées ou dessinnées , c’est à dir de cette manière, qui nous les rend si ressemblantes, etc ; nous chezrchons car nous sommes des chercheurs (à l’»intérieur du langage) de vérités, car le langage humain est langage de vérité (ou de pseudo -vérités qui ont l’allure, le maintien , la tenue, la forme de vérités) ; nous essayons dè!s lors de penser l’animal gr&avé comlme une sorte de croyance en soi, de cro yance dure (mordicus) quyi serait accroché à soi par les basques, aux basques, et ne lacherait pas (jamais) sa proie ; nous sommes qui cherchons ensemble des choses de vérités avec desq mots qui diraient icelles excellement, or : il n’en est rien ; la vérité est une et indivisible (une entité que ne comprend pas le langage) ; nous pensons que la mort pôur nous est une certitude à graver sur roche comme auaurochs des temps (préhistoriques) anciens ; nous dessinons à main levée des betes sur rochje, cxar nous sommes nous-mêmes des homùmes des temps anciens (en nous-mêmes) et parce qyue nous sa von,s des choses (au plus profond de nous) que nous devons tenter de faire «remonter» à la surface pariétale de la roche devant soi (qui trône), comme un animal de paroi ; nous voulons savoir toutes ceschoses qui trônent les comprtendre ; nous voulons les co:mprendre toutes, por nous, et savoir le pourquoi du comment ces choses sont ; nous voulons sacvoir ce qui est ici de cette chose d’une sorte de commande céreébrale en nous qui dirait les choses crument et donnezrait tout un ta s d’infos de toutes sortes concernant pareilles données de roches éternelle ; nous voulons savoir ce qu il en est de toute cette recherche sur roche , menée à plusieurs, etc, et qui dirait la vérité vraie ; nous voulons savoir ce qui est ainsi sur roche dessiné au juste, le compren,dre aujourd hui, 2 fé vrier 2021, pour notre gouverne ; il s’agit pour nous d’un vouloir de base, motivé et tendu ; nous chercvhons des vérités de roche (art) quyi soit des vérités quyi pour le coup en disenbt long et non poiint court ; nous voulons comprendre la vie de la roche pariétale (dessinsq de betes préhistoriques) et pour ce faire nous nous donnons la main (à tous) comme des hommes de science (une pa r a

de) ; nous voulons décelert le pot aux roses enesmble (parade) et dès lors en avancer fissa co nséquemment sur le chemin de ronde de la vérité pariétale ; nous voulons comp^rendre les choses crument : dans leur jus ; nous ne voulons pas d’une esthétisation des formes pour une esthétisation des formes mais nous savons que l’esthétisation des formes est comme coulant de source et ne peut être écartée car la vie est telle que cette esthétisation est comme inscrite en elle et ne peut ^$etre mise de côté (=automatique) ; nous pensons que nous devons faire ainsi de faire cette chose devant l’éternel, cette chose d’une forme animalière qui «le fasse» et voilà le tout de cet art de la vie sur terre, de la mort et de la vie sur terre ; nousq devons comprendre cette donnée, comme quoi la forme est donnéec (automatisme) et ne peut ô grand jamais être écaertée (mise de côté ou réduite) ; il est impoissible de réduyire pareille donnée formelle , et de ce fait toute forme est la bienvenue qui figure la croyance (etc) et donne le la musical (pour l’éternité) à des etres de peu ainsi allongés sur roche, ainsi couché face à la bête (la belle) qui pavane, se pavane, s’ébroue, se désaltère, sautille cdevant nous, va son cxhemin de ronde rupestre etc ; nous pensons que tel est notre destin, telle notre voie, etc ; nous croyons en la mort aujourdhui (cette certitude incarnée) comme autrefois l’homme des cavernes dessinait des betes sur roche etc ; la croyance en la mort comme chose sûre s’est substituée en cette forme d’expression nouvelle , ou plutot : la croyance en la mort auhhjourd hui a pris la place à ce qui autrefois allait se loger sur roche ; ce qui autrefois se logeait sur roche s’est substitué aujourd hui en une chose ou forme nouvelkle d’expression , qui est croyance en une mort sûre, etc ; nous cherchons dès lors à co:mprendre pourquoi ce changement, cette chose ; njous essayons à présent en,sembvle (langage commun) à comprtendre cela qui nous arrive, cette croyance en nous qui est la croyance en la mort ; nous croyons que nous sommes mourants, c’est à dire mortel ; nous pensons et nous dison,s que nous sommes mortels et que par conséquent un jour ou l’autre nous allon s mourir ; nous pensons cette chose de la mort ; nous pensons que la mort nous regarde c’est à dire que la mort est notre affaire, notre grande affaire personnelle ; nous pensons (tous !) que la mort est notre très grande affaire personnelle et qu’à ce titre nous pouvons nous exprimer en notrte nom ; nous pensonbs que cette chose d’une mort inscrite en nous, dans le cours de notre vie, et à venir, est la grande affaire sur laquelle nous cdevons pl ;ancher, nous pencher ensemble (ici l’auditoire) et nouys y coller, sur lazquelle nous avons ou devons nous y collezr etc, avons à nous y coller et devons nous y coller ensemble (colle) ; njous devons c’est à dire que tel est notre devoir de vivan,t, d’avoir à ainsi penser la mort comme à quelque chose d’automatique ; il s’agit pour nous d’une chose s ûre ; d’une chose pl ;us que sûre, certaine ; la chose certaine est la chose plus que sûre, etc ; nous sommes ainnsi positionnés dans la vie, que cette chose de la mort (à venir) est une chose pour nous «a vérée» , cest à dire qui ne permet pâs, n’autorise pas le mo indre doute sur elle, qui viendrait la contredire, la mettrait à mal : rien de cela, et cela pour tous ; tous et toutes nous sommes sûrs et suûres de cette chose, c’est àdiire sûrs, mais c’est à dire sûres aussi (tous sûres, et toutes sûrs pour ainsi dire) comme quoi nous sommes mortels, comme quoi nous sommes mortelles, etc, c’est à dire que nous sommes qui allons vers une mort s^ure ; nous allons toutes et tous vers un e mort sûre : xde cela nous sommes suûrs et szûres, de cela nous pouvons parler ; il y a là une chose qui njous occupe, qui est en nous comme une hjantise = une occupation de pensée ; nous sommes ensemblke qui pensons ensemble une même pen,sée, qui est la pensée de la mort sûre ; nous pensons à la mort comme à une mort programmée qui n’est en aucun ca s contournable pour ainsi dire ; la mort pour nous est obligatoirement inscrite sur roche, ne peut pas ne pas être, et fait donc partie de nos croyances, c’est-à-dire de njotre religion à tous ; nous sommes religieux (tous) dans la mesure où nous croyons ; et à quoi c royons-nous sinon à la mort ! nous penson,s (tous) que nous allons mourir et cela, quelque soit la chose à laquelle nous «croyons» pour l’apres mort , ; nous croyons en cette chose d’une mort qui nous attend (on peut dire de pied ferme) devant nous (la chose est située) c’est à dire demain, c’est à dire plus tard, là, plus ava nt dans le te:mps, c’està dire dans le temps ; nous- croyons que la mort nous attend dans le temps : là ; là et pas ailleurs ; nous croyons que la mort nous attend c’est à dire que la mort est comme postée dans le temps et nous guette d

u coin de l oeil et nous regarde aller et venir chacun dans nos vies, jusqu’au moment où justement le moment sera venu pour nous d’en découdre une bonne fois pour toutes, chacun son moment ; voilà en quoi nous croyons ; nous so:mmes sûrs de cette chose ; nous savons, ; nous disons que nous savons cette chose ; nous disons que la mort nous attend au coin du bois, ou que la mort nous atten,d au virage, etc ; nous croyons que la mort est ainsi qui nous attend au tournant ; nous disons cette chose concernant cette mort inscrite en nous, dans notre langage ; nous ne disons pas le contraire ; la mort exisqte pour nous ; et même si nous sommes «croyantsz» («crovcxyyants» à lancienne dirons nouss) , et même si nous sommes «croyants» c’est à dire si nous croyons en une vie (pa radisaique peutetre) apres la vie, il n’empêche que nous pensons à la vie terrestre comme à une vie qui (un jour) s’arretera, et ce jour sera celui gravé» (gravé ! ) sur une pierre (une roche !) c’esst à dire la pierre tombale (la notre) comme autrefois des dessinsrupestres pêut-etre , comme le jour de notre mort ; nous deessinons cette chose d’une date sur une pierre, et cette date est celle de notre mort ; njous sommes ainsi qui pensons que la mort existe et sera un jour inscxrite sur de la pierrre comme une sorte de bas-relief sur paroi dyu temps ; nous avons ainsi cette chose à penser (ruminer) pour nous ; il s’agit d’une chose d’importance ; la mort est (fait figure) notre croyance (fait figure de) ; «njous pensons que nous allons mourir un jour» correspond à cette chose dessinée sur roche un jour par un homme des cavernes ; pouvons nous dire cette chose ? ; «nous pensons que nous allons mourir un jour» , voilà la vérité de notre croyance ; on peut dire voilà une vérité, mais en vérité (hé !) il s’agit d’une croyance, et cette croyance autrefois étaikt inscrite sur roche(par des hommes des cavernes) en, tant q’effigies ; il s’agit pour nous cde co:mprendre cette chose ; il sq’agit pour nous de co:mprendre cette chjose d’une c royance, d’une croyance en la mort, c’edst à dire d’une croyance reliogieuse (comme toute croyance) ; car nous disons que croyance ici est (obligatoirement) une croyance en l’existence de quelque chose ; nous pensons que nous sommes ainsi quyi croyons en l’existence de mille choses et ces mille cxhoses sont comme des effets sur terre d’une chose générale, d’une chosze autre qyui en serait l’instigatrice ; nous pensons que nous devons copmprendre une chose sur terre (mobil:ier) comme répondant à une instigatioons surréelle, ou surnaturelle qui viendrait faire cette chose d’un e emprise, sur roche, sur paroi de grotte ; nous voulons co:=prendre un tout quyi serait surnaturel, mais ce tout ici même, à fleur de roche pour ainsi dire ; nous tentons ain si un certain nombrte d’approches diverses ; nbous esxwayo,ns par divers moyens de nous appmrocher de pareikll:e vgérité de roche (contenue en elle) et il est évident que ce n’est pas gagné d’avance, que la cjhose est compliquée parfois et ne se prête pas toujours à une sorte de co:mp^réhension directe et aisée de ses éléments ; nous essayons de piger, nous tentons de co:mprendxre, nous testons les données rupestres, nous sommes hommes et femmes de science, nous voulonbs en avancer fissa et c onséquemment sur la voie de la connaissance, etc ; nous sommes partis pour ; nous sommes pârtis pour co=mprendre un grand nombre de cchoses de la vie sur terre, et pour co:mprendre il est nécessaire de se mettre à deux (pour le moins) et d’y aller fissa tête première en cxette roche du temps pariétal tel que nous pouvons la trouver ici ou là au fin fond de grottes du sud de la France par exemple , ou ailleurs ; nous avons cette chance pour nous, qui est cellle de pouvoir nous associer (à plusiuers), pour des rechzrches à mener de concert dans le domaine de la connaissancve pariétale, et cela nous sied beaucoup car nous sommes mus ensemble, plein d’ardeurs, c’est à dire pleins d’ardeur et de vol:onté, de joie à s’y coller, et de vol:onté ; nous sommmes ensermble soudés cvomme bec de lièvre, nous cherchons ensemble cette chose ; d’une percée, d’une trouée, d’u ne correction pour une ouverture saine de la bouche, et une diction , et une incision en direction d’une paroi de roche, pour une gravure en bonne et due forme représentant la bete fauve (le félin, le cervidé, le boviné, le bovidé etc) sur roche c’est à dire sur paroi c’est à dire sur roc du temps pariétal ; nous voulons «ouvrir la bouche» et parler en notrte nom ; nous voulons comprtendre et ainsi dire toute la vérité ; nous voulons comprendre la vérité et celle ci la dire haut et fort sur roche : le bison ! l’aurochs ! l’antilope ! le rhinocéros ! la jument ! la bete des bois ! le cerf orné ! la biche dorée ! l’orang -outang ! l’ours des cavernes vociférant à tout va ! ; nous sommes qui croyons en cette chose de la mort, de cette mort de l(homme un jour ou l’autre ; nous voulons comprendre ce qui est qui se trame sous nos yeux (po:litique des donnéesz rupestres) et pour ce faire nous disons : amen ; nous disons que nous croyons cxar nous solommes sûrs de nous ; nous sommes sûrs de cette chose en nous, qui gravite, qui tente une extra ction via ce trou de bouche sus-mentionné ; nous pensons à un pic de bouche, à une pique, un pique- feu, etc ; une arme ; peut-êtyre une arme ; ou un bâton ; peut-êtyre un bâton en nous qui cherche à s’extraire, à sortir sa tete pour ainsi dire, sa pique, son bec de pic de roche etc ; il s’agit de cette chose en nous qui pousse et cherche à sortir (ce mobile feotal, cette carcasse, etc) qui vgeut aller sur roche, qyui veut se loger-lover, qui veut en avancer fissa squr un chemin de ronde pariétal : une cavalcade ; une tressse ; une pique-tresse qui irait ainsi à se loger sur roche figurer la ronde des chevaux de traits, ou bhien une troupe (un troupeau) de buffles, etc ; nous pensons à cette chose, comme quoi nous seriiiiions mortels ; nous pensons que nous sommes mortels et que par con,séquent nous avons à aller loin, ainsi, en cette roche du temps : animaux dès lors de compagnie ; nous devons penser l:’animal (n’importe lequel) comme un aniumal de compagnie terrestre (rupestree) et cependant, nous faisons un choix, nous ne présentons pas tous les a,nimaux, nous présentons des animaux comestibles (déjà) et parmi ceux là queslques uns, pâs tous ; nous cherchons une mesure, nous cherchons l’étalon, etc ; nous avons à mesurer les lieux de recherche, nous passons notre t^te par la fente et la sortons en guise de bienvenue c’est-à-)dire de l’autre côté, coté embruns, côté biches et autres cervidés etc ; nous voulons que toutes ces choses soient dites en haut lieu et soient ainsi inscrites au patrimoine de l’humanité pour ainsi dire (nous chassons les terres royales ; nous courons) ; nous avons pour nous ces choses à voir de près quii sont peintures (art) pariétales ; nos vouloàns les voir du plus près possible et pour cela nous nous rapprochons et inspectons ; nous vou ;:ons co:mprendre le pl ;us pôssible de choses concernant cet art des roches, cet art du faire animalier qsui serait (donc) cette croyance reportéée, qui serait xde l’ordre de la croyance comme pour nous la mort ? ; peu-être ; nous ne savonnqs pas car nous sommes des enfants et comme des enfantds nous sommes incultes, insuffisssament informés ; nous cherchons sur des terres vierges (?) des betes gravées ; nous regardons autour de nous et que voyons nous sinon des chevaux de prairies, des biches bambi, des chèvres, des juments, etc ; nous sommes sur une p)rairie céleste (féerique temporelle) qui nous voit nous balader (main dsans la main) et nous approcher des animaux disséminés etc ; nous tentons une touche (à peine) de la bete (un cervidé) la plus proche ; que faire ? la toucher du bout du doigt ! eeest -elle vraie ? est -elle en chair et en os ? que pensqer d’elle ? ; nous nous a vançons près d’elle ; elle semble plus vraie que nature ; elle broute de l’»h-erbe plus vraie que ,nature ; nous nous avançons d’icelle et allons pour la toucxher à peine (bout du doigt) ; que faire ? que dire ? faire et dire ici se rejoignent(se confondent) en une approche pariétale de la voie d’accès ; nous pensons que nous disons que nous faisons ce geste de toucher bambi du bout du doigtc : est elle vraie ? est elle en vrai ? est elle une v rzaie biche de prairie ou de sous bois ou bien une effigie ? un tracé rupestre rien que ? quoi d’autre que la vie ne nous montre pas ? ; nous pensons que cette bambi ainsi nommée est une biche de féerie et cependant nous pouvons la toucher à l’intériuer de la paroi du temps, où elle se prélasse, où elle virevolte, où elle broute, où elle copule, etc ; la chose est connue ; chacun a son drôle d’emploi du temps ; nous crions parfois notre joie ; parfois nous disons que nous sommes deux à devoir ainsi nous approcgher d’elle, d’il, bambi, la toucher, le toucher, cette «elle» ou cet «il» et ainsi faisant nous faire ainsi nous mêmes devenir idem un /un e bambi des prés, qui virevolte, broute, copule, s’alloonge sur roche ; nous vpoulons comprendre les choses crument et nous les paertager ; nous voulonsaller loin sur le chemin des connaissances ; nous voulons saisir les données (l’ensemvbvlke des données du monde» ) à la source ; nous voulons dévaler la pente à tout va et traverser le film de la paroi de roche et fissa nous adjoindre, aux betes incluse, aux bovidés, aux cervidés, aux félins, etc ;: nous voulons cerner les contours de roche et comprendre ce qu’il en ressort, ce qui est qui est dessiné, quoi donc, etc ; nous voulons savoir ce qui nous attend , ce qui sera pôur nous à l’avenir , c’est à dire : de quoi demain la mort pour nous sera faite : d’animaux de paroi ? de bhetes sauvages qui vont et qui viennent ? de biches lambdas ? de cervidés aux bois dorés ? d’onguents ? d ‘embruns ? de plasticité ? etc ; nous ne savons pas le fin mot mais nous ne désespérons pas de le trouver icvi ou là au décours d’un chemin de ronde sur paroi, ou biezn au débotté d’un e paille de foin, d’une meule de foin ; nous cherchons ; nous voulons comprendre ce qui est de ce que nous voyons en pareille roche ; nous cherchons une vérité de paroi qui fût pour nous une vérité de roche ; nous voulons que tout cela soit dit comme à l’encan, colporté, dit haut et fort sur affichette, dit devant le monde, prononcé distinctement : nos découvertes, le chemin tracé, la voie d’abord développée et plkacée sur roche, cette caavalcade rupestre, cette musique aussi, qui acco=mpagne les animaux dans leurs allers et venues pârieytaucx ; etc ; njous pensons que nous abvons, à choisir des mots pour ce faire, pas n’importe lesquels peut-^tre, mais plutôt les mots de latribu animalière : aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, ou bien : buffles, buffles, buffles, buffles, ou zeencore : cheval, chev al, che val, cheval, car les mots nous accompagnent (nous sidèrent) comme ailleur les animaux ; car les mots nous accompâgnent (nous sidèrent) comme qui dirait des animauxc de roche ;

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1/02/2021

nous voyons bambi, nous voyons bambi, nous sommes qui voyons bambi ; nous sommes ensemble qui voyons bambi se pourlécher et boire l’eau de la rivière ; nous sommes qui voyons bambi se pourlécher et boire l’eau de la rivière ; nous aimons bambi et la voyons, aller et venir, au sein de la paroi, en cette (donc) paroi de grotte antédiluvienne ; nous sommes qui voyons bambi qui va et vient au sein de la roche ; elle se désaltère ; elle est vive et fraiche ; elle nous regarde d’un air de deux airs et file au loin dans les embruns tandis que nous sommes, allongés, l’un contre l’autre, à la syivre du regard ; elle va et vient : elle virevolte ; elle est dans la roche, prise incluse, elle va et vient à l’intérieur de cette roche dure du temps pariétal ; elle est l’amie chère, l’ama,nte du cerf, elle va vite sur les rocs, elle sautille, elle est nottre point de mire ; nous allons vers elle maios elle ne se laisse point approcher si facilement car elle est craintive ; nous cherchons à l’approcher et à la toucher = la frôler, la toucher du bout des doigts ; nous cherchons à la toucher à peine = la frôler afin de pôuvoir dire : elle est en vrai, elle est de chzair et d’os, elle n’est pas un mirage, elle est réelle, elle vit, elle est vivante, elle est vivante pres de nous ; nous essayons de nous approcher d’elle afin de la toucher du bout des doigts afin de bien se rendre compte du fait qu’elle est près de nous bel et bien vivante et non point un mirage dans les embruns de la roche ; nous voulons nous rassurer ou plutot etre bien sûrs que cette (ou ce) bambi des prés de roche (de paroi) est belle et bien vivante sous nos yeux et pas seulement cette apparition rocheuse, fine et élancée , qui virevolte en cette roche parioétla (rtemporelle) ; nous voulons être bien sûr que cette biche (sous nos yeux ébahis) est bien vivante (en chair et en os) et n’est pas de l’air, du vide, une projection, un fantasme ou un fantôme de paroi, etc ; nous pensons que cette biche (bambi) est notre amie de roche, cellke-là qui va et qui vient à l’intérieur de la roche, en cette chose musicale de paroi ; elle est cette bête qui nous regarde (d’un air de deux airs) et va fissaà s’éloigner de nous qui tentons une papproche bienveillzante ; nous cherchons à seulemen,t entrer en contact avec elle ; elle est la biche que nous voyons sous nos yeux et celle -^là que nous tentons gentiment et délicatement d’approcher afin de poser un doigt (un seul) à peine , sur sa pelisse ; nous cherchons nouis deux à toucher à peine cette pelisse de bambi, cette peau lisse et soyeuse, la frôler si possiblke juste afin de bien sentir que nous avons affaire à une biche en vraie et non en faux ; il s’agit pour nous d’une chose très importante, capitale même : nous voulonbs savoir cette chose comme quoi ici en paroi (et main dans la main) nous avons affaire avec une biche (= bambi) qyui est cette biche de paroi de grotte (incluse = une inclusion) qui est réelle, qui est vraie, qui est cet animakl en vrai de chez vrai qui nous regarde incidemment ; elle broute ; ellle vire- volte ; elle va et vient ; elle est notre bambi de roche aimée, notre bambi aimée de roche, celle qui va et qui vient à même la roche, qui boit du ruisseau, qui vire et fait des bonds sous les yeux de son conjoint pour ainsi dire ::Cerf au bois fleuris, etc ; nous pensons que nous devons toucher la pelisse = la toucher du bout du doigt = la frôler pour etre sûr que pareille bete de roche (dessinée par l’homme des cavernes) est bel et bien une bête en vrai qui nous regarde (nous mate) puis ne nous regarde plus (ne nous mate plus) car elle doit sauter, aller et venir, boire et brouter et copuler avec le cerf des embruns ; il s’agit d’une biche en vrai de paroi de roche ornementée ; il s’agit d’un bambi des roches dessiné, qui va sur paroi musicale des temps, et broute en veux-tu en, voilà de l’herbe des prés ; nous regardons et voyons cette biche (et ce cerf) aller dans la roche (embruns) pour une sorte d’embardée de roche, de saut de paroi ; nous pensons que nous devons toucher pelisse de biche ; nous pensons que nous avons à faire à deux une chose capitale (de paroi) et cette chose est un touche-pelisse de roche, un touche-pelisse de paroi des temps, etc, c’est-à-dire un geste de bienveillance, de rassurance, etc ; nous avons à faire ce geste pour nous rassurer ou plutôt pour nous assurer ; nous chercheons à comprendre le pourquoi des choses ici bas (en paroi) et cette chose est là (cette biche ), cette bête, est là pour noius dire cette chose d’un air de deux airs de roche, etc ; il s’agit pour npous de comprendre ce qyui est ici, en paroi de grotte (las c aux, pech merle, pair-non-p)air ou le mas d’azil ou ailleures) , cette cghose d’un touche-pelisse de roche ; nous voyons la roche ornée et nous comprenons la roche ornée ; nous cherchons à comp^rendre ce qui est de cette roche ornée de paroi de grotte, et là (touchant pareille pelisse de biche) nous comprenons ce qui est de cette entrée en matière frontale (pariétale) dans le temps ; nous essayons de (donc) toucher paroi= toucher pelisse = toucher biche (bambi) = toucher terre = toucher cette chose (musicale en diable) qyui nous accompagne dans la traversée (ensemble) des parois du monde, ou des grottes plus justement ; nous cherchons une compréhension concernant l’ensemble des éléments en prése,nce et cette compréhension a un nom , qi est celui que nous donnons à cette bête sous nos yeux ébahis : bambi ; bambvi est le nom de la chose que nous rechercghons ; bambi est le nom dee la bete , en même temp^s que le nom de la chose, cette chose d’une recherche, cette chose musicale de paroi, cet élément constitutif des roches, des pierres, des embruns de roc, etc ; nous voyons à travers la roche aller et venir bambi la biche et Cerf le cerf ; nous essayons de nous en approcher et de comprendre ce qui est en pareille paroi , de l’ordre de la vérité vraie, soit de la réalité tangible, etc ; pour cela nous devons tendre un doigt et nous rapprocher de la pelisse de la bete de roche ; njous voyons que nous avons affaire à une bête de paroi, dessinée ou gravée par nos anciens (nous ? ) et nous comprenpns que nous sommes ensemble (main dsans la main) pour une introduction fissa en roche de nos deeux mobiles frontzaux (foetaux ?) qui vont ainsi, à la découverte d’une biche de roc (surdimensionnée ?) qui serait notre biche bambi, la dénommée, etc ; nous traçons ainsi ensemble, la voie d’un pâssage en roche de paroi, nous traversons ladite roche (mobiles ici comme à travers le dur des temps) et ainsi, frontalement, entrons dans la roche et nous y logeons ensemble (coiït ?) allongés et regardons les b etes brouter , qui sont vraies de vrai jusqu’à p^reuve du contraire ; nous chezrchpons )à les amadouer pour nous en approcher ; nous cherchons à les cajoler, à leur plaire, à ne pas les effrayer, afin de nous en approcher et de les toucher un tant soit peu afin de bien être sûrs que pareilles betes de roche (allant et virevoltant) ne sont point

des mirages musicaux de roche, mais bien de la cxhair vivante, saignante, pleine de vie en elles, débordantes de vitalité, forte et massives, en imposant de par leurs staturev impreiisionante, etc, et dès lors pouvanjt faire accroire à une vie en vraie offerte sur roche et non point seulement en une représentation imagée de faibvle intensité ; nous voulonbs pennser à cette bête des roches comme à une bête en vrai(pulsatile) qui irait ainsi en paroi (en icelle) comme dans la vie la vraie des prairies ; nous cherchons à nous rendre comp^te ensembvle (nous) de la véracité de pareille bambine des prés, qui va sur roche musivcale et souffle le chaud et le froid en buffant de tout son soul de bete de roche ; nous voulobns essayer de comp^rendre ce qui est de cette betye, sa teneur en vitalité etc, car nous avons besoin de le comprendre ; nous devons comprendre ce qui est ici, en pa reil animal de pâroi ; nous sommes entrés dans la paroi du temps ; nous sommes entrés en pareille roche compacte, nous avons traversé ensemble la roche et nous nous retrouvons (comme) de l’autre côté d’icelle à regarder passer le train du monde animalier ; nous voulobns essayer de nous rendre compte de ce qui est en pareille roche musicale et pour cela nous creusons et encore creusons les questions de la véracité des biches et des cerfs, de la vitalité des bisons et des aurochs, etc ; nous sommes ensemblke qui nous intoduisons ; nous sommes ensemble, nous sommes main dsans la main, nous cherchons à nous introduire en pareoi, tête première, au fin fond de la roche du temps, poutr toucher la bete en chair et en os, ou plutot : pour tenter une approche tactile de cette chose devant nous, cet etre de paroi qui virevolte : est il vrai ? est il faux ? est il un mirage ? est il une entité fantomatique ou fantasmartique ? est il une bete de chair ou bien d’embruns ? ; nous voulonbs nous rtendre compte par nous -mêmes de ce qyu’il en est de pareille chose, de tous ces dessins de roche, etc, et pour cela nous choisissons, à deux, l’embardée vélloce en paroi, en paroi dure du temps, tete (front) en poupe etc, afin de bien nous immiscer en pareille matière rocheuse (temporelle) pleine et compacte ; nous cherchons la traversée du temps soit du temps pariétal, et pour cela nous nous donnons la main et refusons (de concert) de nous lacher icelle ici ou là mais toujours en tenue, toujours dans une tenue fixe etc, qui nous permette de nous immiscer (de concert) en pareille paroi musicale du temps, etc ; nous voulons alller le plus loin possible en elle (paroi) afin de pouvoir une fois pour toutes nous donhner à penser une chose lié-e à la véracité (= vitalité) d’une roche dessinée ou ornementée, ou plus justement ornementée ; nous voulons essayer de comprendre cette chose d’une roche dure (cette roche) qui est pour nous comme une sorte d’enclave à données rupestres, à données con cernant la vitalité incluse en pareille bete dessinée pour faire accroire : est ce que la roche est bel et bien vivante ici ? est elle pulsatile ? bat elle comme un coeur (boum, boum, boum) ? est elle une roche battante ? est ellme un coeur ? de quoi s’agit il ? ; nous sommes en recherche de réponses concernant cette chose d’une vie de bete à kl’intériuer de cette bête dessinée sur roche par cet homme ou cette femme des cavernes ; nous sommes nous -mêmes hommes et femmes de cavernes et aussi en,fants des cavernes ; nbous sommes tous (toutes)à chercher en roche la vitalité offerte au dieu de la bouche goulue etc ; nou!s nbe sommes pas en reste de chercher pareille roche battante, etc ; notre plus grand désir ici estr de chercher pareille roche (pulsatile) en cette chose d’une bete dessinée sur roche par des hommes de la préhistoire ; sont ils des betes eux -mêmes ? commùent faisqaient ils pour s’hy prendre et dessiner (quasi dans l’obscurité) betes aussi ressemblantes ? et d’abord pour quoi que des betes (essentiellemùent) et si peu d’humains et pas du tout la flore ? il s’agit pour nous d’un mystère grand qui est celui que nous devons résoudre prioritairement, car il ne manque pas de nous gener aux entournures, de nous agacer, de nous tracasser plutopt, de nous mettre martel en tete, de nous occuper, de nous interrogerk, de nous occuper nuit et jour ;nous cherchons des raisons à ce mystère ; et d’a bord , est ce un mystère en bonne et due forme ? de quoi s’agit il au juste ? il s’agit d’une bête, dessinée à main levée par un homme de cro magnon, il est fort en tracé de bêtes, il est balèze et a vite fait de se laisser ainsi mené par, en lui, cette bete de prairie ou de bois qui pousse du coup à faire sur roche ; la bete est dessinée comme en priorité car en lui est une bete (habite) qui le pousse à agir sur roc, à main levée, les yeux fermés pour ainsi dire, (obnubilé) et ainsi faisant à s’oublier en tant que tel ; l’homme des cavernes est un hpoomme-oiseau, ou un homme-animal pl ;us généralement, quyi va et qui vien (virevolts) en roche, à la recherche d’un plus dev vie (hors la sienne en propre) à offrir à untel qui sezrait cet être de «bouche de mort» ; nous voulons comprendre cette chose, d(un (donc) animal en soi qui pousse et guide (et dessine, et représente, etc) ; il s’agit pour nous d’une chose capitale (de dessin repreésentatif ) ; la chose (du dessin ici) est une chose capitale en cela qu’elle signe l’intéret de l(‘homme des cavernes , pour une

représentation pouvant faire accroire ; il s’agit d’une volonté farouche (acharnée) d’un homme (des cavernes) à faire ainsi que l’animùal représenté, puisse faire penser (sentir) à ce (ou ce) trop-plein de vie recherché par lui ; faire ainsi sentir comme un trop-plein de vie en bete, en cette représentzation pariétale , etc ; l’homme des cavernes dépose ainsi, devant lui, cette chose vive, ce trop-plein de vie, cette fureur de vivre etc, sur roche, et ainsi faisant semble se dégager, momenta&nément du moins (peut-être), des griffes du grand méchant loup de la mort de roche ; nous voulons essayer de piger(comp)rendre, comprendre sciemment) cette chose entre nous (main dans la main) et en eavancer ainsi ensemvble sur ce chemin ardu de la connaissan ce ; nous avons pour cela des mots en réserv»e (magasin) qui nous permettent des échanges (entre nous-) sur le thème ; nous pensons que nous avons à beaucoup éxchanger sur la question ; nou!s devon,s échanger beaucoup sur cette question de cette bête sur roche, censé pouvoir tromper son monde et ce faisant donner un tant soit peu quelque répit à cet homme des cavernes dessina,nt ; il sqemblerait que l’homme des cavernes était un fin dessinateur une fois imbibé ou une fois pris en otage ou une fois habité etc par l’esprit frappeur de la roche, par cette ivresse de roche, par cet élan vif de roche, par cette embardé massive de roche ou de roc ; nouys voulons croire en cet homme des cxavernes comme en celui qui est pour nous l’homme qui sait ; nous cherchonsz à nous rapprocher de savoirs ancestraux, natifs, etc, afin de comprendre ce quyi est de cette p)aroi musicale en diable, qui nous fait face, qui nous absorbe temporellement et ne nous lâche plus de sitôt ; nhous voulons essayer de comp^rendre le pôiurquoi ces choses de paroi (de bêtes) sont, et le pourquoi ces choses de paroi (betes massives) sont dessinées ? ; njotre regard se porte sur pareilkle roche gravée, ornée, etc, et là (enfants) nous voyons bouger (à la lueur de la bougie) les betes alig nées ; nous les regardons se charger, se monter ou s’ébrouer ; cornes contre cornes quelquefois ; nbous voyons ces betes qui vcont et qui viennent , et nous cherchons ensemble à comprtendre les raisons qui les poussent à ainsi faire ezntrte elles, qui les voient se chevcaucher, se superposer comme des feuillets, comme feuillets de placenta ou d’ouvrages imprimés ; nous voulons essayer de comprendre le pourquoi du comment une bete dessinée sur une paroi peut ou pourrait simuler (la vie, la vitalité, le trop-plein de vie»etc) ; nousq n’avons pas à perdre trop de temps etr nous cherchons a ssidument de ce fait ; nous cherchopns dans les embru!ns de la roche musicale, au milieu des prés , des biches qui broutent, des cerfs majestueux, imposants, géants ; nopus cherchons ensembvle à trouver ici oulà des réponses à nos questions concernzant l’intra-pariétal du temps musical, et pour ce faire nous nous allongeons à même la roche (

et pour cela nous nous allongeons à même la roche (main dans la main) et regardons passer le train du monde, un ensemble animalier de paroi, une sorte de c avalcade : biches et cerfs et aussi bisons, rennes (à cornes) , aurochs ou mammouths ou ours des cavernes ; nous voulons cette chose pour nous , d’une compréhension de roche, d’une compréhension aigu de roche, de paroi ; nous voulons pour nous une compréhension fine de cequi se trame en pareille roche du temps ; les betes sont majestueueses

qui nous trezgardent ; nous cherchons des réponses à pareiiles questions concernant des temps pariétaux de roche, et ces réponses nous les recherc hons en intra, en cette roche dure du temps, depuis cette roche dure, allongés ensemble, main donnnée dans une main donnée, ou main tendue vers une main tendue etc, ici et maintenant, en pareille paroi de roche dure, etc ; nous voulons comprendre ainsi les ressorts qui concourent ou président à une immixtion en roche, de la paert d’une bete en nous, traversant la paroi de la joue puis allant pour se loger à même la roche du temps (animalier) musicale en diable, dure comme de la pierre et douce (à la fois) comme de la peau, de la peau de biche ou de bichette (de chevrette) ; nous parlons dès lors depuis cet intérieur pariétal de roche ; nous avons des mots en, n ous qui nous pouyssent à dire en continu les raisons qui président (ou présideraient) or que savons -nous ? ; nous sommes sur une pentte ; nous cherchons à la dévaler et à nous immiscer en roche (lieu des vérités) afin de comprendre au mieux, au plus juste, les raison,s qui seraient celle s ici et maintenant, qui présideraient à ceette chose d’une vérité pulsatile de la roche dure (un coeur qui bat, etc) ; nous ne sommes pa s au bout de nos surprises, nous ne sommes pas au bout des découvertes ; nous ne sqommes pas au bout de faire tant et tant de découvertes ; nous voyons que nous ne sommes pas à la ve’ille dx’en découdre et que dès lors que nous sqommes mortels nous sommes souymis à des rafales en nous de pensées diverses (raisonneuses, etc) qui nous flagelent, qyui nous poussent à sombrer parfois, ou même qui nous feraient vol:ontierrts trébucher t§ete en avant (la tete) ; nous avons compris que cette choseici à deéceler (ce trésor dee paroi) est une chose qui va son chemin de ronde pariétal en cette autre chose d’une sorte de musique des prés ou des prairies, accompagnement scandé qyui dit sa mesure des temps ou du telmps, et qui est cette vie en soi qui va de l’avant dans un élan de générosité rupestre (agraire) ; nous essayons de comp^rendre cette chose, et cette chose est loin xd’etre coton à comprtendre, mùais nous essayons ; nous ne sommes pas en reste d’essayer ; nous voulons comprendre le tout, de ce qyui se passe en pareille roche ornementée ; où sont les hommes des cavernes en pareille roche ? où sont ils aimants ? où sont ils copulant ? où sont ils se reproduisant ? où sont ils s’enfilannt comme des tresses animalièrexs (des meutes) de paroi de grotte ? ; nous ne savons pas quoi croire en cette occurre nce , ; que pouvons nous penser de pareille roche ornée ? que penser de cette chose paour nous d’un art des paerois quyi serait l’art d’un dire anima lier de sauvetage ? ; l’art est ce dire ; il est ce dire animalier de sauvetage (sa uve qui peut !) et pour cela il est cette chose que nous chérissons par devers nous comme un bienfait(un présent) à offrir fissa (avant de mourir) au dieu de la mort ; au dieu dee mort la bouche etc, ou de bouche-mort, etc ; nou!s avons cette chose à penser pour nous, et cette chose la voulons pour nous pour une sorte de compréhension rupestre en nous (esprit fort) qui pensons que nous devons encore et encore prolonger ce débat de roche, cette chose d’un débat en roche, co,ncernant le plus et le moins d’une immixtion conjugale, d’une entrée ensembvle en roche des temps immémoraiaux, etc ; nous sommes deux qui voulons nous immiscer ensemble encore et encore en pareille roche du temps, roche de la belle biche et du beau cerf des prés et prairies ; nous chezrchons bicheztte, bambi, et cerf des p)raieries sous nos yeux : où sont ils passés ? dans la nuit des tempqs ? dans quelques recoins cachés des parois célestesq ? que penser de pareilles betes de roche , ces géantes betes des roches des tempsq ? que devons nous penser de toutes ces betes de paroi et que voir ezn elles ? des betesq de pa roi ? des esprits frappeurqds ? des reliquats embryonnairesq ? des pensées de vie vive ? des restes de choses mortes ? etc ; nous ne sqa vons que peznser de pareilles beteqs ; nous ne savons que penser au sujet de pareilles betes des prés (en p)aroi) et du coup nous nous prosternons de cette sorte que nou!s faisons, à savoir en nous a llongeant en pareille roche animalière, parmi les betes velues, massives, ou poilues, massives, fortes, fortes tetes, chargeant, ou bien restant quyiètes en leurs lieux de roche personnels, etc ; nouys cherchons des solutions à des questions (ou desz procblèmes) intra pariétales de roche, et pour cela nous nous allongeons (fissa) en cette roche (dure) du temps et regartdons passer le treain (de roche) du monde, ainsi dénudés, sur prairie rocheuse, dans kle sein des seins pariétaux qyui nous a bsorbe ; nous chgerchons des réponses (ensemble , nus) à des questions de roche, de roc, de pierre de gouverbne, de parois de roche de grotte,n, etc ; nous voulons essayer de comptrendre pourquoi et comment nbous avons franchi ce cap (ici) d’une iummiuxtion de roche du temps , et pourquoi ensemble , et pourequoi main dsans la ma in (conhjugalement) et pourquoi pas seuls ? ; nous avons en nous cette envie de co:mprendre le pourquoi du comment cette embardé commune ; pourquyoi devons-nous être deux pour ce faire (immixtion) et pas seuls comme précvedemment évoqué ? ; nous ne

savon,sq à ce jour qyuoi ou que répondre à cette qyuewstion d’importance, et nous sommes encore et toujours à) la recher che d’un e réponse en bonne et due forme et qui eût pu nous donner du grain à moudre, ;, or il n’en est rien (encore) à cette heure (comme préceddment dit) et voil:à pourquoi nouis continuons encore et toujours ce chemin xde vie pariétal, qui nous voit nous projeter tête première) en p)aroi de roche etc, et nous (comme) fraca ssqer la binette en e lle (fissa&) à même le roc du dur ; nous voulons comp)rendre ce qui est ici, de cette embardée massive, vive, ds’un corps de bouche (cor) qyui va claironnant son envie d’immixtion en roche, et ainsi faisahnt a meute la troupe en entiezr, c’est à dire : tous les animaux représentés pour faire croire à de la vie vraie ; nous pensonbs qUE notre «art» ici est cette chose d’une sortye d’embardée vive, mastoc pour ainsi dire (des buffles et des aurochs, etc) qui va sur roche s’introduire en icelle afin d’en comme perforer les se crets et de s’y loger pour des siècles des sqiècles ; nous pensons que nous devon,s a ller loin en pa reille roche et comprendre en core et encore cette chose d’un pic de bouche (l’art) qui soit pour nous cette pique ds’une entrée en roche = e,n matière ; et pour cela nous nous engageons ensemble (main dans la ma&in) afin d’entrer à deux (et non seuls) dans cette paroi qui est devant nous cette paroi du temps quyi nous contient ; nous devons aller ainsi en elle, nous loger en elle, aller loin en elle (le plus possible) afin de comprendre laes ressorts, les arcanes, les swecrets de pareille roche : pourquoi des betes essentielklement, et aussic ette ressemblance effarante avec la vraie vie ; nous essayoonds de comprendre un ensemble animalier de roche, un ensemble complet, une sorte de pan el ; nous voulons ensemble ainsi comp^rtendre un ensemble, un panel, une sarabande, un ensemble musical ; nous essayons ensemble de co:m^prendre ici et maintenant en roche, cette chose d’un ensembla

e zanimalier de roche, une sorte de confrérie etc ; nous voulons ensemble essayer de co:mprendre cette chose d’un ensemble animalier (meute, troupeau, panel, etc) qui est cett alentour, cette sarabande, cette cour tout aussi bien , qui nous entoure$ de ces at(ours etc, qui nous fait en cercle la cour ou comment ? ; nous cherchons à comprendre ce qui est ici d’une sa rabande de prairie de roche ; nous cherchons des réponses à même la roche et pour ce faire, nous allons loin en icelle, le plus loinpossible, nbous essayons, nous voulons aller, ainsi, loin en elle (en pareille paroi) afin de comprendxre dsans la profondeur ce qui est de ce qui advient ; nbous ne sqommes pas en reste de nous poser x questions et d’y apportyer des réponses (par la raison) à même la roche ; nous voulonbs essayer de comp^rtendre ce qui est ici de cette sarabande musicale (sonore ) animalière de nos alentours ; nous essayons ensqemble (nous sommes deux) de comprendree cette chose d’une saraba nde animalière, pourquoi et comment vont elles ici, sur roche, dessinées ou gravées, cette sarabande, pourquoi va telle sur roche, et ces betes (dessinnées et gravées) pourquoi vont elles et pourquoi de concert : roche de grotte ; nous cherchons assidument ; pour cela, nous entrons dans la roche via ce pic en nous de roche, ce pic de roche en nous , quyi est pic d’immixtion salutaire, pic d’avancée, d’entrée en matière», pic à) maitriser par en nous un apport bestial, une cohorte, quyi vient comme pour nous donner ou l’impulsion ou l’élan de vie szuffisants à nous faire graver ou dessiner de chic (sans remors) à même la roche ; qui dirige qui ? ; qui est cet hommre cdes cavernes dessinant ou gravant de chic soous zemprise ? il sembklerait qyue cet homme était comme prisonnier en lui dx’u ne force vive qui, e, nson antre, en lui = en son trou de bouche, fomentait l’action qui est l’action de travezrrser 1 la joue, 2 la p)aroi de roche ; nous peznsons que nous devons co:mp^rendre cette cxhose pour nous, d’aller ainsi à grotte, à paroi, qu’aller ainsi est une chose de grande envergure ; nous devons co:mprendre cette chose ici à prsésenbt, comme quoi d’aller ainsi nous immiscer en roche est une chose de grande importance et qui ne manque pas de nous donner matière à pour le coup comprendre les chose (arcanes) de vie et de mort pariétales ; nous voulons essa yer de comprendre le plus de ce qui est ici, ici bas (sous notre regard), et nous nous immisçons, en paroi (entre les bêtes), pour ce fa ire, pôur cerner les tenants et les aboutissants en vérité d’u ne vie tezrrestre ; nous devons comprendre ensemble toutes ces chosesz, nous devons tenter des approches diverzses ezt variées concernant des chjoses cachées ; nous sommes ensemble qui devons nous triturer les méninges si besoin et ainsi aller loin loin loin au plus profond de la pensée (celle qui raisonne ?) pour cerner au plusq hjuste les contours du monde : «qui sommes nous» a t il du swens ? «qui sommes nous «est ce une assertion qui (encore ?) a du wsens pour nous ? ; les betes paissent qui nous rega rdent par en dessous et se posent des questions (?) sur nouss : qui sommes nbous ? qui pour elles sommes nous ? szommes nous pour elles sansq danger ? qui sommes nous pour elles en tant qu’etresz de vie et de mort ? comment nous voient-elles ? comment nous «imaginent-ellesq ? nous imaginons ; nous pensons que ces betesq sont pauvres d’esqprit (peut-etre) mais comment sa voir ? ; nous pensons que nous devons comp^rendre les betes en nous (un pic, un cap , une péninsule, etc) qui, sortant de nous (flèche-) va à se loger en rocxhe, pour un e immixtion-comp^réhension des choses du monde ; nbous voulons essayer de comp^rendre le pourquoi de toutes ces choses qui exisqtent sur paroi : ces traits, ces scansions, ces mains en veux-tu en voilà (positives et négatives) etc ; le vent souffle entre nous en pareille roche, il est froid ; nous so=mmes entrés dans la grotte ; nous pensons que nous devons nbous a ppreochezr d e toutes ces betes et les toucher (art) pour nous assurer de ce qUelles sont en vie, ou l’inverse ; nouys edssayons de compreendre ainsi ce qiu ewt de cette musique desq prés, ce chant monotone, cette voix qui mue et meugle au fur et à mesure de notrte avancée de roc ; nouds essayons de nous approcher de cette bete qui, de nous sortie, est allée se loger en la roche du temps (dureté des temps travers&és continûment) ; nous cherchons ensemble des solutions à desquestionsicixd’emba rdée ; nous voulons des réponses en toutes lettres ; nous cherchons à piger ( comprendre) ensemble (main dans la main) le pourquoi du comment il y a des betes desqsinées et non pôint des fleurs ou cdes arbres ; nous a vançons de concert ezn pareille prairie t emporelle ; nous sommes deux, qui avançons ainsi, en p)areilkle prairie de féezrie ; nous sommes dans les embruns et nous écoutons la musique des sqphèrresz ; nbous voulons tenter une approche tactile : poser juste le bout du doigt pour nous rendre compte ; nous voulons nous rendre compte ; nous cxherchons des soluitionsq à

des problèmes, d’existence terrestre (pariétale) ; nous voulons tenter une aaaaproche pariétale afin de pour le coup nous rassurer ou du moins nous assurer de la bonne santé rupestre, de pareilles betes de roche : sont-elles en vie ? sont-elles vivaces , etc ? ; il semblerait que oui, que le tempsq devant soi est plein de vie et non point la mort de boucxhe tant décrite ; nous essa yons de comp rendre toute l’affaire et la chose n’est pas facile ; il faut (il est ,nécessaire de) se poser ici ou là et regarxder passer le train (le convoi) des betes alentours ; nous essayons de faire cette chose ; nous voulons essayer de co=mprendre ce qui est, ici, de toute cette affaire de roche ; nous cherchons à nous immiscer en pareille roche et pour cela : tête la première, fissa&, main dsans lamain, sans jamais nous désunir, en restant groupé (groupado) et en avant marche ! nous y allons ! nous nous immisçons de concert : la choses est belle semblkerait-il(art, beauté, esthétique, ce geste etc) ; nous poussons loin la cxhansonnezttte et a insi nous espéreons en recuiellir un jour ou l’a utre les subsides ; nbous voulons trouver une vérité dans une meule cde foi!n ; nous sommes comme si nbous voulions découvrir une aihguille dans une meule de pa ille, etc, nous voulons comp)rendre toute cette affaire de paille du temps (rocxhe) et de preésentation (céphalique) en elle : pourquoi et comment, et pour ce fa ire nous nous efforçons xd’employer des mots, ces mots du dict§ionna&ire, etc, et nous essayonsq de formuler ensemble (avec) : des assertions, qui tiennent debout et tiennent la route (cheminemen,t) ; nous ne voulons ^pas nous perdre en chemin ; nous voulons poursuivre cette entrée en pareille roche dans un sens qyui nous verrait nous enfoncer encore et encore en elle (paroi) et jusqu’au fin fond d’icelle si tant est ; nos noms sont gravcés sur la roche ; nous sommes deux à vouloir ainsi, gravezr sur roche nos patronylmes ; nous sommes deux qui cherchons à graver sur roche des noms et ces noms sont nôtres, les nôtres, ils tienneznt la route ; ils sont (ces noms) des noms de maintiezn au présent, c’est-à-dire dans le temps de lo’offrande pa riétale ; nous sommes deux, qui allons ainsi, en pareille roche, nous immiscer fissa&, afin de comprtendxre toujours plus , ou plus avant, les arcanes du monde teresttre ; nous voulons nous donner pour nou!s des raisons, des choses en amont qui pousseraient ; nous voulons pour nous nous donnerd des chgoses qui seraient motrices et nous poussseraient sur la voie de l’»intellligibilté or il semble, qu il soit coton d’agir ainsi et de se (ainsi) positionner face aux roches du temps, et ainsi comprendre pareilles rochesq ; il semblerait que la chose (ici) nhe soit pas simple ; il faut user de nombreux stratagèmes ; les biches nous regardent cd’un regard en coin et nous inquiètent, sont elles encore en vie ? sont -elles devenues mirages ? ; nous nous faufilons à travers un interstice de paroi ; nous nous logeons à cet endroit et nous prions, que les betes (toutes) ne vienne»nt pas nous charger, et nous piétinner comme un rien ; nous ne vpulons pas vraiment nous faire piétiner ; nous tenons à notre vie ; nous offrons nottre vie, nous ooffrrons la vie, etc, oui mais en vérité il ne s’agit pa ds de nottre vie, mais de vies au rabais ; notrre vie nous faisons en sorte de la conserver le plusq possible par de vers nous ;: nous tenons à elle ; nous en so=mmes gourmands etc ; nous cherchons ensezmble des sqolutions en roche, solutions qUI pôuyrraient nous dsonnezr du grain à moudre, desq penszées à mettre en action etc ; nous sommes deux et nous voulonbs reswter de la sorte deux pour des embardéesw de roche ; nous voulobns essayer de cxomp^rendxre ces questions d’où proviennent -elles : de la raison raisonn,ante .? du centree de la terree ? de bambi ou de ceztte bambi des prés ? nous ne savons pas répoon dre )à pareillme question , car nous sommes limités dans nos a&pproches, car nous sommes cxoincés en roche du temps et que les mots que nous portons (que nous a vons en bouche) font long feu ^pour expliquer qUOi que ce soit ; les mots sont trompeursqs, qui nous indsuisent en erreur et nous font prendre desz vessies (parois de roche) pour des lanternes (parois du temps ) ? ou pâs ? que penser de cette vie que nous tenons (entre nos mains) en roche : temps présent ; que penser d’icelle ? nous voulons compren dre, pourquoi nous sommes deux (ensemnble = un ensemble) à l’intérieur de pareille roche , à chercher desq- solutions verbales à cdes pr(oblèmes (disons «problèmes) musicaux pariétaux ; pourquoi ainsi faire ? ; nous sommês, quiessa yons de comp)rendre toutes ceschoses =mises bout à bout cvomme animaux de cava lcade (à hu!e et à dia) ; commùent faire pour comprendre, commùent njous y prendre ? ; nous sommes un peu perdus en p)areille roche dsu temps, car nouqs a vons perdu de vue lkes betes de roche ; nous sommes sur un roc et nous cherchons à nous repérer du miueux possible, et il n(‘est pas facile de se repérer du mieux poossible, car nbous sommes seuls, en cette roche, à tenter de décxhiffrer les énigmes du temps, les secrets qui seraient logés à même cette roche musicale (féerique) des p)arois ; nous comprenons un certain nombre de choses, mais ces choses, les voulons co=mp^renxdre pour nous, afin de sxavoir exaxtement ce quil en est de toute l’aggfaire (bisons, bisons, bisosns, ou aurochs, aurochs, aurochs) ; le temps est l’allié de la roche ; nousq tombons à la renverse en elle et recueillons ou en recueoillons les dividendes etc ; nous sommes tombés à la renverse à l’intérieur de la pa roi et ainsi nous avons chu ; nous sommes tombés dans cette paroi (en elle) à la renverse (pour ainsi dire : à notre naissance») et de ce fait nous nous sommes retrouvés comme des eznfants qui se sont perdus en forêt, ou qui se sezra ient égarés au milieu de nulle part ; nouys cherchonbs àcomprendre latrame des choses p âriétzales : nous écoutons bambi braire, le cerf qui ja ca sse ou commùent ; nous écoutons le braiement ducerf, et le bruit des ruades sur roche ; nous sommes tout ouïe qui écoutons l’ensembvle musical des sphères ; il s’agit d’un morceau de choix, musique de pa roi, accom^pagnement de vie ; nous trezmblons à son écoute, car la chose est belle (un art des pa rois) et nous bouleverse ; il s’agit d’un morceau de choix, une «emba rdée sonore, un ezffort de trea versée, etc ; le cerf et la biche sont dans la forêt, ils se courrent aprè!s ; nous klezs voyons en paroi, qui gambadent et se coure,nt apres (les chaleurs) ; nous voulons essayer cde compre ndre ces cxhaleurs, ces élans chez la bete de paroi ; nous sommes deux qui essayons de comprendre le plus possible de cxhoses, en ce qui con cerne cette roche pariétale immémoriale ; l’homme descavernes aimait la musiqUE e des sphères et allait loin en besogne : il cha ssa it les betes à la sa&gaie ; il semble quil soit, l’homme des cacvernes, pour nous, un être v enus de loin , de très loin (horizon, notre horizon) et qu il soit cet etre qui est un secours, une aide, etc ; nous essayons de nous immiscer en cette roche via l’imposition des mains et la perc»ée du roc p)ar notre pic de bouche a nimalier (ce mal perforant, cette engeance animalière en nous, qui cxhezr(che à sortir son museau et piquer, tra nspéercer la r(oche dure ; un pic pic pour commencer ; à la force du poignet ; pas simple, car la chose est durissime et sur la roche le pic gli!sse ; alors essaéyons par une autre approche ou méthode : tete première et inchallah ! ; nous essa yons ainsi : pic et pic sur roche, et percée de cet hymen rocheux , grâce à notre pic de bouche sus mentionné ; le pic deela bouche est une piqUe-roche ; il s’agit d’une sorte de queue de rat buccale (un e trompe ?) ; une queue de rat buccale, queue de rat entrte guillemet) qui va son allant pa riétal sur roche, qu’elle pezrfore d’un trait d’un seul et va ainsi à traverswer les apparences rocheuses et plus encore : le dur de la pierre millénaire ; pâs simple, pas facile, pas coton ; l’hommes des cavernes sq’y attendait (beaucoup, pleinezment) ; nous moins, qui devons poser des mots, en cxontinu, sur la roche, quand l’homme des cavezrnes posait» des phonèmes et des traits de charbon ou de craie ; nous pensons que nous devons nous immisvcer ensemble et que cette chose a un tres ghrande importance» ; nous pensons que nous devons prolonger encore et encore ce débat et pousser plus loin toujours ceztte esc arpolette verbale , cette queue de rat centripète, etc, qui (et l’une et l’autre) peuvent volontiezrs nbous donner moults éléments de compréhension en ce qui conceernne la vé&rité nue des bords de roche (de vie)) ; la terre est cette rondeur qui nous accuielle pour une (?) vie et aussi une (‘?) mort, mais ... sommes-nous mortels ? sommes-nous qui passeront un jour ou l’autre l’arme à gauche ? pas simple comme affaire bien évidemment ; p)as simple du tout ; car nous sommes en butte à une chosqe paeriétale d’importance, et cette chose eqst le langage, cette ezntité enracinée dans de la terre glèse (hélas .?) ; nous avons pour nous ce langaege enraciné en nbous (cohorte animalière) qui nous pèse ; que pouvons nous faire ? commen,t réagir, face à une invasion barbare en soi,? native et barbare, barbare et na tive ; comment faire pour (ainsi) arriver à comme contre carrezr pareille attaque massive en son etre prop^re, cette bete sans parole en soi, en nous ; il semble évident que nouds devons serrer les fesses et nou!s tenir cois (à carreaux) : oui il semblerait beaucoup que cette chose est ou soit ainsi qu’elle nous regarde , depuis son pic où se percher, et nous conditionne (manipulation) via l’emploi des mots, via l’usage de la parole ; nous sommes piégés (d’une certaine manière) et nous avbançons ainsi ; cahin-caha en paroi, pres des betes quyi tranquillement paissent la prairie : qui sont- e lles ? que nous veulent-elles ? pourquoi ne s’enfuient elles pas à prsént à notre a pproche ? nous ne savons pas mais toujours est-il qu elles nous observent du coi,n de l’ooeiil et que cela est pas mal surprenant pour nous,j, qui pensions plutot rencontreer de l’impassible ou de l’inertie, cde l’impassibilité , du calme, de la q<uiétude, etc ; j’aime et nous a imons les betes des pâ roisq ; j’aime grandemnt et nous qsommes férus de ces betes de pa

roi, et j’espère fort que cette bete devant nous (ces betes de charge etc) sera (seront : ces betes) en mesure de nbous guider, c’est-à)dire de guider nos mains qUI dessinent, nos mains qui gravent ; les betes nous intéressent beaucoup car elles sqont nos etres sezcrest qui enferment en eux (renferment) un nomble consçidérablre de données de vie ; les betes nous regardent et s’intéressent (il semblerait) à nos cas ; nous cherchons des raisons dans leurs regards, c’st à dire des pourquois ; des pourquois c’est-à-dire des r éponses de poids (pesantes, etc) ; nous voulons comp) rendre i ci ba s l’ensemble des phénomènes rémanents et cela est une chose de grande importance à nos yeux car nous voulons savoir (en marchant, en vivant la marche du monde-, ce qui est et cde qui n’est pas etc ; les hommes des cavernes étaient ils des rois comme plus tard nos rois, nos rois d’espagne ou de france ? ; nous ne pouvons pas répondre à cette question ; nous sommes pris par le temps (la patrouille du temps) quyi nous pousse aux feessses et nous intime fissa de nou!s coucher ainsi ;, à plat, les jambes (nues) allon gées devant soi, nus et mis ainsi en posture de protection etc ; la mort guette ; la mort des animaux de roche, la mort des embruns, des traversées ; nous voulons rentrer en pareille paroi afin de retrouver des betes dessinées par un ancien qui avait pour nom quemlque cjhose comme satanas , ou un autre nom (diabolo ?) ? ; nous pestons apres le temps de roche, sa mainmise sur n otregouverne ; nous sommes en transe, montés sur des ressorts, submergés par une vague en nous d’envie et de stupre (il semblaerait) et ainsi envahis nous nous dirigeons doucement en roche (= dans la pierre) comme un foret de bouche, traçant son chemin pariétal de raison ; il est pour nous cette cxhose comme quoi nous essa yons des immixtions de toute sorte ; allons nous parvenir à nos fins ? allons nous tenir bon ? saurons nous nous y retrouver ? que penser du langage autoporté en nous ? que dxire qui n’aille pas dans l’escarcelle d’un temps bestial, buriné, pauvre d’esprit et infécon en définitive ? ; notre envcie est de celles qui

consistent à toujours plus a ller en roche dans les profondeurs , pour y déceler un pot aux roses de deriière les fagots, qui puiissent nous appôrter un se»mblant de connaissancxe partageable en termes langagiers humains , de cette cxonnaissance des profondeurs (des gouffres) qui est celle que nous chérissons en premier chef et après laquelle nous cavalons depuis des lustres ; une chose est celle là qui nous voit chercher dans les abnfractuosité ; une a

utre est celle de’entrer en elles et de se lover dansv la roche ; nous avons cette ambition pour nouds de nous flanquer, en paroi, comme dans un étui (gaine) dee velours, ou commen,t ? ; notre encvie eswt (‘encore ?) intacte et pleine delle même ; nous cherchons à comme nous introduire, da ns la vérité pariétale d’un temp)s incertain pour beaucoup ; nous voulons commùencer par nous immiscer, puis progresser en telle roche et là nous loger pour des temps infinis, dans l’infini du temps de paroi, etc ; nous avons de grandes ambitions, nous sommes pétris d’a mbition ; nous voulons aller en pareille chose aux cerfs, aux bisons, aux cxhevaux etc, et là nous blottir l’un dans l’autre et n’en plus bouger de sitôt (à jamais ?) ; notre but est de faire en sorte que cette cxhose, en fin, soit, d’u ne travezrsée des temps raccourciis (en roche), une éternité ; nous questionnons la roche et la réponse est musicale ; il s’agit d’iunstruments mobiles, fins et siffleurs : nous jhouons vous jhouez ils ou elles jouent, ce ge,nre de méloppée ; nous avons à ainsi comprendre pareille musique à l’aune de de la roche dure (un ta pe-cul etc) qui est la roche temporelle des musiques ou musiques de vie ; nous pensons musique et nous voyons l’enfan,t (?) souffler dans son pipea u (flutiau) ; nous sommezs deux pour comprenddre et deux ^pour avancer en pareille roche ; nous (enfa,ntsq) sommes deux qui allons dans la roche (cervidés) et comprenonsde quoi ilen retour ne : il s’agit des cervidés fleuris aux bois dorés ; idem nos biches hormis les bois ; tout brille ici-bas en roche ; ou en cet ici-basz rocheux ; tout scintille ; il s’agit d’une (sorte de) brûlure des temps, un racornissement, un raccourcissement des durées et dè!s lorsz , le temp)s ainsi ramassé sur lui même, devient cadeau ou présent de vie (à offrir en partage au dieu de la bouche fauve : un tiens donné pour un re ndu à la pareille) ; nous com^pren ons ici qu il s’agit un poil de cet état de fait, etc: ; nous l’avonds compris ; il s’agit d’une gageure ; nous poussons lres investigations et com:preno,ns l’état de fait ; nous poussons : l’escarpolette du temps, les investigations concernant lkes tenants et lesz aboutissants du monde, le bouchon le plus loin possible par moments, la chose en ses retranchezments, le mobile fécal aussi bien, etc ; nous avons fort à faire ; nous cherchons à tenir bon sur la longueur et, pour le coup, à ne jamais flancher outre mesure, et il se peut que cela fuût ainsi , pour nous deux, enn cette zone de paroi de grotte (Mas d’Azil ? Lascaux ou bien pech- merle ?) ; nhous tombons à la renverse cul par dessus tête, en cette donc paroi qui vient à nous loger ici ou là, nous tombons à la renverse ; nous cherchons des sortes d’issues pariétales (anfractuosités) pour des sortes de com^préhensions à acquérir ; nous voulonbs nous poster dès ;lors en cette roche, comme dans une sorte de tour de contrôle sur tout, qui soit ici cette position ou ait cette sorte de poosition d’omniscience pa riét:ale tant décrite ailluers ; notre but se loge ici ; nou devons comprendre tout ; nous avons à tout vcomprendre ensemble de cxette confrérie animalière ou animale et cela est cette chose qui à nos yeux d’enfants subjugués a une importance considérable ; nous but est de franchir à deuxw les passages ; nottre but est de à deux franchir pareils passages du temps et ce faisant de nous loger en ce temps pariétal comme dans une niche, ou quelmque chose y ressemblant : niche, loge, recoin, réduit eetc ; et n’en plus bouger jusqu(‘à nouvel ordre ; nous ne devons plus bouger ; nous devons nous tenir tranquilles et regarder le train des choses autour de nous, le passage du temps sur la roche, dans, en , en intra, etc ; la chose ici est cette connaissance quil nous reste à acquérir, eh bien cette chose nous devons la voir ensemnle (main dans la main) et essayer ensemble de la contrôler depuis l’emplacement sus-mntionné (en roche dure de chez dur) ; nous devons comprendre toutes ces choses temporelles du monde (tel que nous en parlons) à l’aune de la roche dure et de ses r»eprésentations pariétales : tous ces buffles et autres aurochs ; le lien ici est fait entre l’aurochs et donc ce mot du verbe incandescent contenu en notre «nacelle» ; nous passons ce temps pour nous à la recherche de raisons qui pûssent nous donner : et matière à penser, et matière à modeler des yeux et des mains ; notre volonté ici est de chercher toujours plus avant les raisons qui poussent : la chose en ses retranchement (la bete) et le bouchon de la vie humaine un peu loin pour a insi dire ; nous sommes nous deux qui nous serront les coudes et allons e»n roche à la recherche (un bambi ? une bambi ?) d’une clé musicale d’ouverture (à ouverture) temporelle ; notre e nvie se loge ici dans la paroi, en cette sorte de niche de pierre, sous l’oeil à moitié (?) indifférznt, du cervidé de rencontre, de la biche du bois doré, du cerf (sieur le cerf) de fortune ; npus les aimons et les regardons ;nous aimons les suivre du regard ; la verité est cxachée dans les sous- bois ; la vé&rité est une et indivisible ou alors elle n’est pas une vérité ; la vérité a des allures de bovidés ou de cervidés de pa roi de grotte ; courons apres elle et tentons, au vol, et d’une, et de deux, de la cxhevauchezr, de la monter comme un cheval (une jument, etc) et là, allons, filons, traçonbs, per suadons-nous ; car nous avons fort à parier ; nhous avons à cerner dans la profondeur des chose , via un medium comme inopérant ou comment ? si la vérité est une , alors à quoi bon chercher la vérité multiple à travers des vérités rassemblées (un assemblage de couturière») ? ; nous voulons cerner le cerf, la biche, le bison ou l’aurochs comme autant de vérités livresques (axiomes du penseurs local ou régional) etc, qsui soient (ces vérités) toute toujours (encore) bhonnes (à révéler, à tracer sur roche) ; nous voulons poursuivre notre aventure intra pariétale d’immixwtion ; nous sommes tres heureux de cette chose que nous devons fzaire incessamment et qui est de se pourvoir ainsi en cette roche pour un jugement divin» ou disons lié à une vision des choses qui viendraient d’en-bouche-frontale, etc ; nous pensons que nous devons encore et toujours nous acoquiner avec des pensées lièes à des représentations animalières et que ces pensées, outre le fait qu’elles proviennent (proviendraient) de l(homme des cavernes (de son esprit, de sa main), outre cette chose, ces pensées sezraient logées en intra-pariétal, et ce pour se voir reluquer par des betes de type cervidés (bambi pour ne pas la no:mmer) qui en ferait comme pour elles nouuriture de regard (ou denrée) ; nous avons une pensée pour l’animal porteur, et pour cette bicxhe (adulée) quyi va ici (son chemin de ronde) sur une crête, langagière, infinie, ou pas loin de l’être ,: ; nous pensons que nous avons, ensemble, à pousser davantage en icelle paroi pour nous loger en elle, comme da ns une nacelle de nouveau né : à la diable, cocouné, coucouné, etc, sur une couche de douceur bambesque, etc ; la pensée du bhien (du bien- etre) sous des salves de reghards an,imaliers ; notre but est très largement affiché pârtout et ne ressemble en vrai à nul autre : il est ainsi inscrit sur roche (animalière) au pic sanglant de bouche , treacé pour une représentation qUI puisse « le faire» ; nous tombons ainsi en pareille paroi de roche comme à la renverse, à deux, main tenue dans main tenue, et voyons cette bête sous nos yeux : paitre, se dorer la pilule, gambader, chevaucher les petits ruisseaux et autres accidenbts de parcours, ; nous la voyons qui va et vien (vérité) sous une lumière de roche bleutée, nous la voyons aux reflets irisés sur elle, se coucher sur l’herbe et jeter un oeil (deux yeux) sur notre gouverne (notre être) qui est celle d’une tete de factionb, d’une volonté tétière affirmée, etc (bille en tete d’insertion) ; nous voulons savoir cette chose pour nous et cette chose la voulons conna

itre de ci de là à travers des mots (usités, galvaudés ? ) du langage animalier en nous ; nous cherchons des raisons à pointer du doigt et à afficher sur roche, or voilà til pas que la chose est ainsi qui se voit recalée parfois par la dureté (essentiekllement) de la roche ! ; nous savons que nous dezvons poursuivre sur notree lancée , et ne pas rester en ca rafe au pied de la paeroi mais nous introduire au plus profond ; cette introduction a la valeur de l’art (recherché) ; et nous donne le la musical opportun ô comnbien en ce temps de roche dur, en ce temps dur de roche à traverser, en ce temps dur à traverser de roche : en ce temps dur de rochje à traverser ensemwmble, ici même (paroi) pour une action à de fait mener en elle (paroi) pour des siècles des siècles ; nous avons à trouver un biais , une encoche, une faille, un interstice dans une paroi et dedands y flanquer tout notre barda et nous y glisser de même en veux- tu en voilà d’un mobile, et là (dedans) voir venir, voir venir les choses en leur musique ; voir ainsi les choses venir en musique, accompagnement de roche dure, transit, traversée, endurement, introduction à l’unisson, faillite d’un côté de soi et prétentions ailleurs à la hausse, etc ; nous voulons comprendre ce qui est ici d’un temps que nous imaginons comme cellui (d’incarcération) d’une roche où se loger à deux, les pieds devant, comme dans une bière ;

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22/01/2021

nous cherchons ensemble au fin fond d’»une roche, et pour cela nous nous donnons la main, nous ne nous lachons pas, nous agissons de concert, nous restons unis, nous sommes soudés comme un bec, nous sommes ensemble pour une éternité, nous entrons ensemble dans la paroi ornementée et nous regardons ensemble les betes dessinées (plus vraies que nature) aller et venir en roche ; nous essayons de comprendre ce qui se passe en pareil lieu ; nous ne sommes pas au bout de nos surprises ; nous voulonds poursuivre ai nsi sur notre lancée et aller profond en pareille roche, en pareil roc, en pareille pierre de taille, etc, pour une incursion volontaire (délibérée) qui puisse nous offrir de quoi alimenter notre curiosité en fantine ; nous avons des bras et des mains pour nous prendre, pour nous enlacer ; nous sommes nous deux qui regardons ces betes de paroi (des hommes des cavernes) qui sont des objets aussi bien et des preuves ; nous cherchons la vérité de la paroi du temps, sur cette paroi du temps que nous voyons (devant) et que nous regardons avec des yeux d’enfants  ; nous suspectons le pot aux roses, l’alibi, la chose grugée, etc ; nous suspectons un petit quelque chose animalier pas catholique ; il s’agirait pour nous de comprendre ce pourquoi des betes ici (sur paroi) vont et viennent dans leur superbe , et pour cela nous av ons notre petite idée ; nous pensons que cette chose est voulue, que cette chose a été voulue parl’homme des cavernes ; nous sommes qui pensons que cette chose est délibérée, elle a été voulue en d’autres temps par un (plusieurs) homme(s) des cavernes ; il (l’homme des cavernes) a décidé un jour de graver (au pic) des betes (aurochs) à même la roche, dans le but précis de fzaire accroire, au dieu de la moert (à ce dieu de la mort = à cette personne), que le temps offert (en paroi) est de la vie morte = de la nourriture à du bétail ; nous pensons que la vie donnée ainsi, à des représentations «superbes», a pu faire croire au dieu de la mort  = à la mort (ici personnifieé) quy il s’agissait de la vie (morte) qui était offerte ; il semblerait qu il en fut ainsi et c’est cela que nous croyons ensemnble = main dans la main ; le dieu de la mort = la mort ; nous disons dieu pour la personnifier, lui donner une identité qui se rapprocherait de nous, nous disons «la mort» , nous disons pareillemment «le dieu de la mort» , dieu ici à prendre ou comprendre comme ce «personnage « céleste, qui serait devant, qui serait posté devant, qui serait tenu, qui serait posé, qui se logezrait, qui nous attendrait tout devant , comme une bouche ouverte ; nous pensons que mort = bouche (ouverte)  ; nous pensons que la mort est cette bouche devantt nous que nous subodorons, que nous guettons et pour laquelle nous creusons ; nous avons à faiore aionsi allégeance (art) poar voie parioétale (betes) sur paroi, et ce afoiin de nous excuser ou pas loin de ne pas etre (encore) mort et de n’avoir à donner à bouche de la mort , Bouche de la Mort (une entité), autre chose que du temps passé (petite mort) qui est ce temps de roche ornementée ; nous passons ainsi pour des radins que nous ne sommes pas : nous tenons à la vie, nous ne sommes pas pressés d’en découdre ; et aussi nous pensons que nous devons poursuivre notre chemin (pariétal) de cette sorte que nous faisons : en creusant plus avant toutes ces questions rupestres de vie et de mort via l’art ; car ici l’art a son mot à dire ; l’art ici est cette chose (ce pas de côté) qui se refuse à négocier le bout de gras avec cette donc Bouche de la Mort ; pas ça ; il swemble que «art» égalât cette résistance offerte à cette bouche du devant de vie ; pourquoi devant ? car le temps est linéaire (courbe) , progressif et va au-devant comme un fil de soie ; nous avons une chose pour nous à comprendre ici (en paroi) et cette chose est très liée à des questions de vie et de mort ; il s’agit de la question de l’art ; l’art est le dernier rempart avant la capitulation ; il s’agit d’un garde fou ; il s’aggit de cet endroit (de lutte finale) où nous devons ensemble nous poster face à Bouche de la Vérité qui est cett bouche de la mort ; la mort guette e-t nous attend de pied ferme, et nous : nous offrons en regard cette avancée (ou sorte de) pariétale temporelle comme un pis-aller censé nous protéger des ruades (animalières) de cette entité buccale sus mentionnée ; nous ne voulons pas de la mort ; nous ne voulons pas de cette chose ; nous ne voulons pas de cette bouche ; nous ne voulons pas de cette entité ; nous ne voulons pas de cette misère etc, et nous le disons haut et fort sur des parois de grotte, à la criée, à l’encan, au débotté, à brûle-encens etc ; car nous avons en  ous c e pouvoir de dire des choses à travers nous (nos corps) et ce pouvoir nous le devons à cette sorte d’ animal en nous qui pointe et fait irruption sur la roche, en la piquant de son dard pointu, en la perforant d’un trait d’un seul et, entrant  en elle,  il peut tout à loisir à présent se loger en son sein (s’y étendre et s»’y reposer à l’occasion) et voir venir ; nous voyons tout ce petit spectacle sous nos yeux (ébahis) et comprenons à présent, les différents dommains qui nous restentb à explorer ; nous avons pour nous à présent à explorer cet ensemble de données rupestres très liée aux choses de la mort, aux choses de Mort la Bouche, ou de Bouche de Mort etc, car Bouche est cette chose en soi qui est celle que nous regardons devant ; il s’agit à chaque fois d’une ouverture (et d’une fermeture incessamment ou incidemment et concomittament)  ; nous pensons que nous devons aller le plus loin possible en besogne ; nous pensons que nous devons aller le plus loin possible en cette paroi du temps et faire cette chose d’une embardée, à deux, tête première (fissa fissa) au sein de cette (donc) paroi du temps qui est un don offert au «dieu» (enttité ou bouche) de la mort ; nous voyons le temps de la vie comme ce don de soi, permanent (petite mort), qui est censé calmer les ardeurs gloutonnes de Bouche de la Mort ; nous pensons que cette chose est à comprendre ainsi et se doit d’etre considérée, de fait, de la sorte ; nous poussons la chose à son point de non-retour si tant est  ; nous essayons de pousser loin (le plus possible) le bouchon de l’art pour ainsi dire, afin (ainsi) de, pour le coup, nous protéger des écarts de conduite, des incartades, des pas de côtés, des ruades et de la dangerosité des betes de paroi ; nous essayons de nous tenir de préférence un peu à l’écart afin de ne pas incidemment subir de plein fouet les allées-reetours furieux de pareilles betes «superbes» ; nous ne voulons pas finir amoché ; nous voulons finir «entier» et ne pas nbous faire piétiner par un troupeau de betes enragées ou prises de folie, etc ; notre but ici (en roche) est clair comme de l’aeau de source et nous l’énonçons en toutes lettres  ; nouys disons cette chose crûment = avec nos mots ; nos mots valent bien ceux des autres ; nous sommes fria,nds de ces mots affichés sur roche et c’est la raison pour laquellev «nouys y allons» de conserve, afin de pour le coup délimiter le champ de nos propres réflexions et autres investigations pariétales ; nous poussons la chose en paroi, nous voyons ces betes sous nos yeux et nous comprenons que ces betes ont un objet qui est une raison d’etre autrte que purement représentative ou de représentation ; ces betes sont là pour faire accroire, cela est une certitude à) présent que nous savons, nous savons cette chose et l’écrivons : la bete de paroi est une arme de guerre = une arme contre Bouche de la Mort, cette Bouche de la Mort qui se pointe (à tout va) à la poursuyite de chair fraiche,  de chair fraichement mourue pour ainsi dire ; il s’agit d’un charognard, il s’agit d’un charognard qui ne cesse de guetter aprè!s nous qyui passons sur terre, nottre trébuchement, nottre quittus, et voilà la raison pour laquelle l’art ici est cette chose qui s’interpose = ce temps offert, en lieu et place de la vie la vraie ; ce temps en don de soi, art du don qui est cet art (de paroi) des hommes des cavbernes ; nous cherchons des réponses entre nous (au sein d’une langue donnée = offerte, par la fratrie ou la confréeire)  ; nous cxherchons à comprendre ce qui est ici pour nous dans cet ordre pareiétal de devant de vie ; nous avons moultes choses à comprendre encore, à découvrir, à travailler, à voir, et ces chose, nous les voulons ainsi (pour nous) pariétales à souhait, car nous voulons entrer dans la masse animalière, armée de nos propres betes logées en nous mêmes et ainsi faire kla jonction animalière (artistique) qui se doit ; qu il se doit, que nous nous devons de faire ; nous allons loin ainsi pour ce faire ; nous risquons notre vie car nous nous jetons tete première contre la roche et le risque est grand de nous fendre le crane ou d’y laisser des plumes ; nous voulons aller ensemble au fin fond de cette roche (grotte) à la recherche (art) de cette chose du devant de soi, cette chose qui serait comme une bouche ouverte (en regard de la notre) et qui chercherait à nous gober, car mort = Gobe- Mouche, comme de bien entendu, ou comme de surcroit ; nous pensons que Mort = Gobe-mouche et cela est cette chose que nous mentionnons dans nos a-nnales ; nous parlons ainsi de cette chose ensemble ; nous pensons que nous devons ensemble dire toute ces choses ici sur roche (les mentionner gravées) et ne pas les cacher outre mesure, mais tout au contraire les afficher ; notre art ici consiste à dire haut et fort ce que d’aucuns disent tout bas, qui se gardent bien d’en montrer le bout du nez ; nous sommes deux qui décidons ensemble de bnous (pour le coup) montrer de la sorte : haut sur paroi, gravant et dessinant pour la bonne cause (et pour l’ensemble de la confrérie)  ; nous cherchons des solution s à des probvlèmes de bouche ; car mla mort est une bouche, une bouche à contenter ; oui voilà exactement ce qu’il en est de cette chose de la mort : il s’agit en vérité d’une bouchje (dame la bouuche) de la mort, d’une bouche à contenter ; njous cherchons  des données fiables ; nous voulons que ces données apparaissent noir sur blmanc sur une roche et nous faisons cette chose de concert , car bbbouche de la mmmort est cette entité qui nous regarde (nous mate, nous reluque) et ne cesse de nous attendre ; il semble ainsi que bbbouche de la mort soit ceztte chose (cette personne ?) qui cherche à nous faire chuter, ou biien qui attend impatiemment (en trépignant) notre capilotade ; nous voulons comprendre toutes ces chodses, et pour cela nous devons aller tres loin en besogne (besogneux) à la recherche de raisons, de motifs, de moteurs de véerité ; nous voulons comprendre ce qui est de toute cette affaire d’une chose qui serait montrée sous couvert de «beauté»’ (une esthétique, une forme soulignée etc) et qui serait ici cette chose offerte au dieu-bouche du temps impa rti ; ou bien au dieu bouche d’une mort prochaine, etc ; nous essayons de voir ensemvle ainsi ce qu il en découle et le pourquoi du comment ces choses arrivent ; nous voulons essayer de comprendre les ressorts (arcanes) et nous placer ainsi au coeur de la roche à la recherche d’une clé (musicale enn diable ? musicale ? ) qui serait celle là que nous voulons connaitre entre nos mains ; ,nbous ne sommes pas nés de la dern ière pluie ; nous sommes grands à présent et nous pouvons entendre certzaines choses ; nouys sommes grands à présent et nous pouvons entendre certaines choses ; nous pouvons entendre certaines choses dites «de vérité» concernant les enjeux vitaux d’un temps pariétal ; la terre est celle là (paroi) qui nous accueille en son sein un temps, ce temps est à déposer souus forme de présent au pied de la paroi du temps, dite «du temps» et cela fait, nous pouvons dès lors vaquer à nouveau à nos occupartionsfavoritesq ; nouys cherchons à comprendre les choses de vie et de mort qui , ensemble (concert ) seraient représentées sur des paerois de roche anciennes ; nous voyons cette chose devant bnous ; nous voulons la toucher (toc) et nous immis cer en elle (paroi)  ; nous voulons comp^rendre les ressorts qui seraient à présider ou comment dire en icelle ; nous cxherchons dees raisons, des choses explicatives, et ce n’est pas si simple ;il est nécessaire de se présenter à deux au sein de la paroi, et à deux faire allégeance , se prosterner, se mettre à genou devant bbouche de la vvérité, et là, sur cette roche gravée, donner so n présent de vie continue comme s’il s’agissait du feu central, de cette pile en nous qui bat sa mesure etc (coeur)  ; eh bien non ! la mort attendra !  ; il s’agit pour nous de faire en sorte que l’instant fatal fut mis de côté c’est-à-dire poussé au loin = repoussé comme une chose de peu, une chose détestée ou une chose qui ne nous plait plus ; nous cherchons ensemble à figurer la chose sur paroi, animalière à la diable, ou en diable, et voilà pourquoi nous nous présentons de concert et voilà pourquoi nous nous présentons sur roche en portant haut les couleurs animalières de la vie conservée (un temps) par devers nous ; nous voulons savoir les arcanes , les connaitrte, s’y glisser subrepticement à tous les deux et de là, en elles, mater la chose qui serait la cxhose dite, cette chose d’un dire vrai, dx’un xdire de vérité sur toute l’affaire : qui est qui , qui fait quoi, d’où que sommes nous, etc ; nous cxherchons des raisons, des explications, des réponses en mots ou autrement, des éclaircissements su-r des choses dites «de vérité» concernant la mort notamment mais pas sweulement ; toute cette affaire de vie sur terre ; nos vies ; notre place dans le monde ; notre figure ; pourquoi ces formes ; pourqyuoi ces formes ?  ; nous ne comprenons rien à rien et cependant nous essayons de comprendre ; nous ne comprenons rien à toute cette affaire pariétale et ceopendant nous essayons d’y vcomprendre quelque chose de visu ; comment nous disposer (placer ) au sein de la roche ? comment faire (en cette roche) pour nous allonger, c’està dire étirer nos guiboles ? commnent faire en cette paroi antédiluvieznne , pour nous étirer sans dommages ?  ; nous voulons savoir toutes ces choses pour nous déjà et ensuite pour vite fait les répercuter ici ou là sur des feuillets ou bien sur des affichettes ou gravées sur du marbre ou de la pierre , etcx ; nous essayons de comprendre au mieux de quoi il en retourne : nous nous plaçons en paroi de telle sorte que la vie pour nous devienne simple et douce, simple et charmante ; nous voulons essayer de comprendre cette chose d’un art pariétal de roche, pour une forme, pour donner forme à un présent cde vie offert à cette bouche cde vie-mort sus mentionnée ici  ; nous avons à faire des choses ensembvle,  ; ces chose, nous devons les déposer devanrt nous (à nos pieds ?) comme des présents offerts à une entité ; nous pensons que l’art est cette chose en don de soi, ce présent de soi donné (souligné) à bouche de mmmort la bellle, ou bbbouyche de mmmort la gggrande etc ; nbous pensons que nous devons nous présenter ainsi attifé, ou ainsi muni ; nous devons aller ainsi au devant en nous immiscan,t ; nous solmmes ensemble bqui devons nous présenter attifé, muni de présents, au dieu (personnage) de la mort ; nous avons un présent entre nos mains ; nous le tenons et nous le déposons à m^$eme la paroi du temps (animalière) et cela est cette chose que nous pensons, comme quoio nous sommes attifés pour la bonne cause,  (causerie entre nous) qui nous voit nous poster sur la place (roche) un présent de soi entre les mains de dieu le pere tout puyissant des siè§cles des siècles : que penser ?  ; les mots contiennent des choses , les portent , et nous entraine dans des sortes de contrées prairailes qui sont celles de Bambi la biche ou même de Géo Trouvetou le découvreur des pots aux roses ; nous avons des clés, nous avons un la musical, nous connaissons la musique des sphères ; nous poussons la chansonnetette et pensons que nous devons nous projeter le plkus loin possible en cette (donc) paeroi de grotte des temps reculés (aux images gravées) et cela dans le but (affiché) de nous déposer nous-mêmes en don , ou en don du ciel ; nous voulons comprendre les arcanes les plus reculées ; nous cherchons à comprendre  ce qui est de toute cette a ffaire langagière de base ; nous voulons que la -vérité soit prononcée sur roche ; nous cherchon,s àç ce que vérité soit dite haut et fort et que du même coup nous puiisssuion,s comprendre les arcanes de tout ce qui se joue ici (le monde) entre nous et entre parties, entre toutes les parties ; nous cherchons des vérités à laracine, soit à l’intérieur de la paroi-mère, et pour cela nous deevons au préalable nous introduire dans la roche, au c oeur ce celle ci, en sqon centre stratégique (etc) afin de nous loger au plus confotrtable possible (étendre nos pieds) et voir venir ainsi la bete de charge ; nous ne voulons pas y perdre au change, nbous voulons que vie donnée soit compensée (art) par bouche de la mort de m... ; noud ne voulons pas que vie donnée (mort de soi) le soit sans contrepartie (art) pour nous , qui serions ici logés dans une roche sudiste, d(du sud du monde) et cette chose, cette envie en  ous, ous la voulons qui se maintienne dans le temps le plus lopngtemps poossible ; nous voulons d’une contrepartie à cette mort, qui nous guette du coin de l’ oeil et qui nous attend de pied ferme : un o eil et un pied de grue pour une mort affichée sur roche ; nous avons encore du chemin (en roche) à faire ensembvle ; nous savons que  ce chemin ne sera pas fac ile à prendre ett cependant nous devons faire cette choseensembvle car telle est la chose en destinée telle qu elle serait mentionnée pour nous en haut lieu ou quelqUepart sur une affichette, -à une entrée de grotte ou de caverne (par exemple)  ; nous pênsons que nous devons encore et encore creuser cette questiion d’une bouche ouverte devant nous ; l’art est cette reculade, l’art est ce pas de côté qui tend à donner illusiuon (faire) pour une sorte de salut de soi dans la roche ; nous avons cette chose pour nous à graver, nous avons pour nous cette chose à faire (graver sur roche) et telle est cette chose ici, que, pour le coup, nous nous devons de la représenter sur roc, sur paroi de grootte, sous influence (fatale) et comme les yeux fermés ; nous voulons cerner ce qui est ; nous voulons dessiner la bete en  n ous ; nous vopulons cerner cette choses en nous que nous contenons et qui est une bete de type bovin, bovine, qui va son chemin de roche en paroi , sous le trait malin de l’homme des cavernes ; il est bon de mentionner cette choseici comme quoi nous sqommes deux pour ce faire , cette direction que nous prenons, ce pas de côté enchâssé en roche comme une pierre sur sa bague etc ; nous cherchons tout un tas de choses à comprendre en roche ; nous cherchons des choses graves (§gravées) et des choses moins graves (dessinnées ? ) qui fusse,nt pour nous des raisons d’y croire, de croire en une poursyuite, dans ce domaine de vie pariétale que nous occupons  ; nous voulonqs aller loin et pour cela pous pousso,ns le bouchon le plus possible dans la même direction : paroi toute ! pour une embardée de bon aloi ! à la cravache, au pic de roche , au dard pariétal ! allons-y de facto afin d’entrer en icelle réglo et comme sur notre 31  ; nous pensons que la chose est possible à présent que nous avons franchi le cap ; nous pensopns qu’à présent nous pouvons (devons) aller dans la profondeur de la roche , et là s’échiner à dénicher des nids d’oiseaux ou de reptiles (lesquels ?) pour des connaissqances à parfaire concernant la vie sur terre et la mort attenante à elle ; nous poussons ainsi dans des directions ; nous sommes deux pour ce faire , et à deux les choses s’oorganise,nt différemment, dans le wsens où nbous pouvons comprendre cette chose comme quoi nous nous devons d’aller loin en besog ne en paroi, pour trouver des nids de betes fortes ou massives, des aurochs pour ne pas les nommer, et ces aurochs les saluer comme de bien entendu, d’un salut joviazl, frais, dégagé de toute pesanteur inopportune etc : cela pour la bonne cause animalière et pour la bonne cause pariétale ; nous avons à saluer la bete devant nous qui pointe son museau et gambade sur l’herbe verte , il s’agit d’un bvambi des prés ; nous devons comp^rendre ce qui se   trame en pareille zone prairiale d’éternité et pour cela nous nous amusons à aller sur roche enswemble, en ce dedans de roche dure qui est roche d’un temps odffert à bbouche de la vérité ; nbous allons ensemble au p ;lus intérieur possible ; nous gravissons les marches ou les paliers et nous ointrouduisons dans le sein du sein pariétal, cet endroit de toutes les connaisqzances réeunies, ce foyer centreal, cette cavité des données de base, etc ; nous y sommes ; nous so:mmes dans la cavité (dans ce trou plieins de victuailles)  ; nous soilmmes en son sqein ; nous sommes dans le sein des seins et nous voulons comprendre le tout de tout ; nous sommes dans le sein des seinsc à la recherche ds’une explicatioon, rationnelle = pâriétale, qui nous doonaât dès lors  les clés d’une raison, les motifs qui président, ce la, qui est la base et le lancement , cette vérité de bouche initiale ; nouys voulons toucher lke coeur qui bat en pareil endroit, toucher le coeur, touvcher le coeur, toucher ce coeur du temps qui va (son chemin pariétal) sur roche des temps anciens ; l’homme des cavernes est en nous, qui nous guide sur le chemin, et ce depuis toujours ; nous avons en nous des mots qui sont mots-animaux qui chevauchent paroi de grotte à la cavalière ; nous avons en nbous des betes qUI i sortent de nous (trou de bouche) pour entrer dans ce nous divin xd’un devant de soi temporrel (pariétazl)  ; nous voulons savoir ce qui est de cette bouche du devant , laquelle , pourquyoi, quand, depuis quand, avec qui , etc ; notre ambition se loge à l’intérieur de la caverne où nous cherchons à ensemble comprendre le pourquoi du comment ces formes (la vie) en ce monde etc qui nous a vu naitre : toute cette affaire, que les mots nous donnent l’impression dfe pouvoir (sinon co:mpfrendre ) stipuler, ou énoncer, etc ; les mots sont traitres, et cependant nos gardes fous peut-êttre ; nous checxrho,ns à comp^rendre cette affaire en son entier et pour cela nous employons dees mots sensés, des mots qui viennent en vbouche en nous ainsi comme un manchon néceszaire temporel ou momentané ; nous savons cette chose d’un emploi momentané ; nous voulons en comprendre davantage , y comprendre plus et en savoir davantage, à propos de cette place allouée aux mots en  ous : ce manchon dit «de certitude» ; nous voyons que nous avons affaire à une sorte de conduit (boyau de grotte) à devoir remplir coute que coute en nous (il se remplit seul) et ce b oyau de temps (cette roche) est cette chose d’une raison de l’homme sensé, qui est raison envahie par des vocables animaux (de compagnie) pour une bonne cause sus mentio,nnée, celle de la défense de notre mobile, de la maintenue ou du maintien en vie de ce mobile (de  vie) qui est le notre jusqu’à preuve du contraire ; nous savons nous repérer dans cette sorte de jungle en folie ; noud devons faire cette chose, d’un repérage ; nous savons nous situer ici, enc  ette paeroi de grotte ancienne ; nous sommes comme des hommes de cro-magnon ou de néanderthal ; nous sommes comme des hommes des cavernes, nous aimons nous calfeutrer, nous enfermer à l’intérieur de cavités, de grotte, d’anfractuosités, etc, et là : crier notre soûl grégaire !  ; nous avons en nous beaucoup à crier depuis longtemps ; nous avons pour nous beaucoup encore à crier et comment cxrier sinon en ggrotte,  sur paroi de roche, au fusain, au manganèse etc, comme des fous (furieux) que nous sommes enswemble ; nouy essayons de crier ensemble (concert) et ici bas, sur rroche, sur rocher, sur roc de paroi, sur plaque (table) d’offra n de etc ; nbous voulons que notre cri fut entendu jusqu’au fin fond des entrailles de laterre , logé profonds ; qu il montât par la «cheminée « vers les hjauteurds célestes et desciendit par cette autre cheminér de roche, celle-là qyui va bas et creuse loin, dans les profondeurs de terre-mère ; nous crions de concert aub débotté sur roche ; nous sommes pour cette chose, de crier fort ; nous sommes pour, nous sommes ensemble à devoir crier, de concert, en cette grotte cachée (enfouie) dans les profondeurs de la terre ; nous cherchons à faire des choses de nos mains (art) et que ces choses puissent dès lors être déposés sur roche, tout contre (figures animalières) pôur nous disculper et nousc excuser de notre faux bond etc ; nous sommes tous deux en roche comme en prairie, des betes quyi paissent, qui paissons, l’herbe verte et grasse des prés pariétaux ; le ciel au desssus de notre t^te est bleu acier ; la mer esqt loin d’ici ; la roche est dure comme de l’os ; nous plongeons en elle et nous retrouvons de l’autre côté, côté paroi, et de  c e côté nous reghardon,s passer et paitre les biches et les cerfs, qui nbous regardent d’un drôle d’air et se tiennent sur leur garde, des fois que l’envie nous prendrait d’aller vers elles (ces betes) les importuner outre mesure ; nous aimons beaucpuo ces betes pour nous, nous aimons grandement ces betes pour nous, et nous les regzardons qui paissent devant nous, setrémoussent, vont et viennent, se postent devbant et nous matent, se postent sur nos devants et nous matent à mort, comme si nous fussions sortis d’on ne sait où pour elles, des extra-terrestres ?, etc ; nous nous pôsonsc de la sorte à rega rder ces betes fauves ou pas, ces cervidés ou ces bovins, ces bovidés ou ces caprins ; nous aimons les betes plus que tout ; notre amour pour les betes n’a pas de fin ; les betes sont nos amies chères et nous les regardons vivemen,t et précautionneusement au sein de la roche ; l’animal nous rehgarde à son tour et il s’agit dès lors d’un échange, d’un échange de bon aloi et de bons procédés ; bambi la première, qui nous connait pour nous voir souvent, allongés et nus sur roche, comme deux vermisseaux qui font la paire et se promènent toujours ensembvle (accouplés ? )  ; la bete bambi nous regartde du coin de l’oeil, eelle est belle en sa prairie de roche ; ici le temps se déroule sur paroi comme   aiu:lleurs sur des pierres (extérieures) de reliefs  ; nous sommes ensemble à la recherche d’une vérité de roche et de prairie ; la prairie est prise (incluse) dans la roche et nous cherchons en elle des raisons, des solutions, dees solutions à des problèmes et aussi des raisons d’y croire ;,  nous avons pour nous la chance, de pôuvoir formuler un certain nombrev d’assertions positives («je dis, nous disons, etc») et pour cela nnous pouvobdns nous estimer vernis, cazr tout le monde (ici bas) n’a pas en soi (en lui) la possibilité de faire de la sorte pareil cheminement en roche ;: nous sommes vernis et nous le savons ; nous devons tenir la distance pariétale car c’est ainsi dans la longueur (de temps et de paroi) que nous aurons des chances de trouver le pot aux roses de toute l’affzaire ; nous voulons lacher prise ici, en paroi, afin que la main put dès lors se guider ou quasi, comme d’elle même, ou fut guidée par, en elle (en nous), un esprit de guidage caché ; nous sommes ainsi qui,aimerions que les choses se graviissent seules, se gravent seules ou comment, car en nous pointe l’animal de fortune, la bezte de roche au pic traceur ; nous lui faisons place, en nous, pour une occupation des sols, et une mainmise directe, définitive, sur roche et sur sable ; nous pensons qyue la bete en  ous est une bete forte, coriace, dure à l’effort et qui sait ; que sait -elle ?  ; elle connait le mot de la fin ; alors nous lui demandons de grvaer ce mot de façon lisible (déchiffrable) utilisable, et là la bete (en nous) grave le mot «fin» comme un fait exprès, et nous de  n ous montreer passablement déçus car nous nous attendions à auttre chose, à un nom pâr exemple (le n^$otree ?) ou à une effigie (animale ou animalière) ; nous pensiiiio ns que nous seriiiions mieux informés par icelle bête des prés ; nous pensiiiions que pour le coup la vie d’une bambi eut pu nous en  apprendre long sur les arcanes et autre ressorts cachés, et du coup nous voilà déçus, nous le sommes ; grandement déçus car nous nous attendions à bien mieux en l’occurrence et nous restons gros jean, nous sommes b aba (abatus peut etre pas mais surpris, d’une c ertaine manière surpris par cette sorte de ré ponse pariétale, par cvette chose d’un aurochs chargeant sur roche)  ; nous pensons que nous devons continuer ensemble sur notre lancée et ne plus faibvlir -désormaids car les temmps  (le temps) sont (est) compté partout ; nous pensons que nous dezvons essayer ensemble de nous approcher le plus possible de la vérité vraie, celle des bambis des prés sus-nommés, des chevreuils et des bisons, des an,tilopes et des rennes, ; des chevaux de traits et des rhinocéros, des diplodocus et des cerfs ; nous aimons ces betes, nous les aimons en n ous et hors de nous ; en nous = en notre for intériuer ; en nouys = en notre cavité de bouche sa ignante ;  nouys aimons les betes bneaucoup et aussi les regarder paitre ; nous aimons voir paitree les betes et aussi losque’elles chevauchent la campagne etc ; nous aimons cxes betes de fortune, ces betes sur paroi d’homme des cacavernes, car elles opnt beauxcoup à npous apprendre ; nous aimons ces caprins et ces cervidés qui sautillent sur roche, vont et viennent devant nous et nous montre du regard la ma rche à dsuivre : «allez au devant de vous-mêmes !» disqent-elles, et nous de faire cette chose illico presto, et ce d’un bond d’un seul qui nous voit franchir la paroi ; nbous aimons franchir pareille paroi dure,tete première, et nous retrouver exactement (antipode») de l(autre côté, à regarder ensemble passer les chevaux et à essayer au mieux de démêler les fils entortillés ; nbous pensons que notre devoir sur la terre est d’d&arrivezr à démmêler les fils des choses entortillés (les fils) pour nous y retrouver et comp^rendre le fin mot ; nous poussons bien sûr la chose en ses retranchements le plus possible, afin de pour le coup tenter de lui faire cracher le morceau, les choses à connaitre ; les mots posent des questions mais sont ce les bonnes ? est ce que les animaux (se) posent des questions ? nous l’ignorons, nous ne sommes pas bien swavants ; nouys ignorons un nombre incalculable de choses, nous ne savons pas un grand nombre de choses en ce qui concertne les faits et gestes pariétaux de roche mais pire que ça ! ; nousc ne connaissons pas grand chose ; nous conna issons des vocables oui, vocavbles qui nous constituent exactement com:me nous constituen,t les os ou les muscles ; le langage est un organe ; il semblerait que le langage fût organe à part entière, fût cet organe en nbous que nous a ppelons de  ce doux nom de «pic de roche» ; nous cherchons nos mots car ils sont en nous comme des ongles (par exemp ;ke) ou bien comme des cils vibratoires, ou autres ; nous voulons cernezr l’ensemble des donnéesz concernant la marche du monde ; nous sommes deux et nous essayo,ns de comprendre ce qu il en  est dela marche du monde : en paroi(sur roche) et hors paroi (en notre zone la ngagière)  ; nous essayons ensemble de nous approcher vde cette  bambi de prairie ; elle porte le nom de sa caste, de sa tribu : bbbambi ddes prairies ; ellesest pour nous LA bambi de la prairie ; nbous l’aimons d’un amour chaste immodérée ; nous aimons cette bambi comme si (pour nous) ejlle fut donnée par dieu sait qui adfin de nous guider dans ce dédale post-pariétal qui est cette zone de repli animùalier, lan,gagier, de roche dure ; nous la voulons ainsi qui nous puisse guider sur nos chemins de décoouverte langagière : elle trace la ligne à poursyuivre, elle est la «superbe» des environs prairiaux et à ce titre nous l’adorons ; nous voulons la mieux cvonnaitree de l’intérieur : qui se cache en elle ?  ; nous aimeriiions beaucoup savoir cette chgose ;  nous voudrions beaucoup savoir le pourquyoi du comment Bambi a atterri en ce lieu féerique de la roche dure ; comment se fait-il que c ette bambi-là des prés fut ainsi soumise à une vie intra-pariétale d’emblée dee vie  ; il est évident que cette bambi n’a connu de son vivant que cette prairie de roche dure ; il nous semble évident que notre bambi ici n’a connu que cette chose intra-pa riétale en diable, et que dèsz lors elle ne sache pas quyoi penser de la vie extra-pariétale etc ; nous voulons essayer de nous approcxher d’elle pour mieux cpomprendre toutes ces choses concernant la vie terrestre (en paroi par exemp ;e) et aussi pourqiou les formes comme elles sont partout ; nous ne pouvonsw pas nous montrer surpris car  nous sommes «pris» dans la nasse du temps intrapariétal et du coup nous n’avons pas le recul nécessaire pour nous étonner ; nous sommes sur un seul tenant du monde ; nous sommes placés en ce monde sur une sorte de tenant unique , qyui nous empêche de nous prononcer définitivement sur quyoi sque ce soit ; nous porton s (nous sommes portés) sur un tronçon (animalier) langagier et comment faire pour nous échapper de pareille zone d’inclusion ?  ;: les mots nous sont donnés de surcroit et ne nous aident pas beaucoupo pour nous diriger en pareille zone de roche ; les mots en nous nous remplissent (le manchon) obligatoirement et nous font croire en des lendemains meilleurs de la pensée (en des lendemains de la pensée meilleurs) qui nousd poussent à poussser toujoursq plus les réflexions sensées , et ce dans dees directions de plkus en plus affinées, etc ; nous avons envie de connaitre le fin mot en permanence ; l’homme est ainsi pensons-nous qui voudrait toujours (perpétuellement) connaitre le fin mot de tout ; le dernier mot = la vérité ; car le dernier mot est la vérité et la vérité est le dernier mot, car la vérité cloture le débat, clot la zone dédiée ; il s’agit pour nous de comprendre ces choses ensembles et si possible au sein de la paroi de roche ; nous pensons que nous devons aller ains i parmi les mots jetés sur roche (à la queue leu leu comme une meute, un troupeau de betes) et, sur roche, graver ainsi que nous faisons ; nous penseons que nous devons balanvcer ainsi, jeter ainsi, faire ainsi allégeance,, bousculezr ainsi sur roche, un ensemble animalier de fortune et cela, pour nous soulager d’avoir à porter cet ensemble en nous (cette queue ou tresse, animalière, de verbe)  ; nous voulons essayer  de nous dégager, de  nous placer, de nous introduire, de nous glisszer, de nous  dégager de nous -mêmes afin de pouvoir dès lors nous introduire fissa au coeur de l’arène, au coeur de la roche, cette roche des embruns animaklière qui contient les betes  dessinées par l’homme des c  avernes ; nous essayons d’utiliser ainsi n otre pic de roche ; nous essayons de l’utiliser à dessein , et avec ce souci (toujours) de laressemblance a vec la b êtye vraie ; nous chnerchons à tout prix cette ressemblance, elle nous importe beeaucoup ; nous cherchons à faire ressemblant le plus possible et aussi le plus en  vie» possible (vivant possible) afin de tromper l’ennemi ; nous voulons faire cette cxhose d’une sorte de «dictée» de verbe sur roche (toc, toc, toc, toc, toc, )) : ce martèlement, et pour cela nous nous servons d’un instrument (musical et pariétal) que nous portons en  n ous come un organe à part entière, et nous faisons «toc, toc, toc, toc, toc «, musicalement (ce martèlement) sur roche, à l’unisson (nous deux) en accompagnement d’une perforation ; nous aimons  la r(oche à la folie et nous nous engageons sur cette voie d(‘une reconnaisqsance de l’enbnsemble des éléments  ici en présence ; nous voulons prendre pour nous un peu de  cette (sorte de) chaleur de roche, cette chose  martelée, qui devient du feu ; nous voulons alleer au fonds de la roche (= de la paroi) en son centrte, et là marteler pour scander les mouvements réitéreés d’introduction, de passage, etc, dans la pa eroi ; nos betes sont là qui passent d’une bouche l’auttre ; nous voulons ensemble perforer la roche de la sorte et plonger en elle la t^te (la raison) ^p^remière et là nous délasser à qui mieux mieux comme les rois fénéants des lieux ; nous espérons que cvette introduction en paroi nous permetrtra d(y voir plus clair à l’avenir, sur ce qui est qui nous attend devant (?) de pied ferme et la bouche grande ouvertte (bouche d’égoût ?) ; nous pensons que nous devons continuer en,core et toujours sur notre chemin et nous laisser guider par l’animal en nous (caprin ? bovin ? ) qui nous aide grandement dans nos démarches, etc ; nous voulons de fait, que cet animal soit pour nous un allié sûr et ici toujours présent pour nous sevconder si jamais ; cet animal est logé en nous comme un ver dans une pomme (exaxctement)  ; nous espérons grandeme,nt qu il saura pour nous se maintenir (longuement) en vie en notre antre, et pourra longtemps nous guider ici, sur le chemin de la connaissance  ; nous aimons cette bete en  ous qui tient notre main (nos mains) et la (les) poussse à agir sur roche ; nous comprenons à présent toute l’affaire du temps offert etc, du présent de roche, du présent déposés en lieu et place d’une vie fraichement mourue etc (fraichement moulue ? fraichement émoulue ? )  ; nous s pensons que nous devons encore creuser la roche avec notre (satané ? sacré ?) pic de bouche, afin d’aller encore plus loin à l’intériure de celle ci afin de découvrir le pot aux roses en ce qui concerne la vie et la mort telles que les deux choses nous sont présentées au sein du langage ; nous devons dès lors , ce langage, le prendre à rebours, le prendre comme une matière de rebours de soi, et le faire tourner non point à vide mais à plein  ; nous avbons pôur nous cette volonté de faire ainsi ccette chose d’un emploi à plein du langage, à plein sens, afin de lui faire cr(acher comme par cdéfaut un ensemble massi f (animalier en diable) de mots surnageants, de mots comme de betes (de betes de roche) qui viennent ou viendraient occuper les espaces ; nous essayons de faire cette chose, d’un emploi du langage comme par défaut, un brouet quyi puyisse nous donner de quoi alimenter Bouche de la mort de m... ; nous essayons comme nous pouvons ; nous pouvons peu en définitive, insérés comme nous le sommes en cette paroi du monde qui nous voit mourir à petits feux sur roche ou en dehors (plus sûrement en, cdehors)  ; les mots viennent s’agglutiner formant une tige ; la brebis et le bison, le buffle et le phacochère, le cheval et le rennhe, ; etc, en sont (de cette tige) les constituants, et la tige (entortillée sur elle même) ainsi formée de l’intérieur, depuis l’intérieur de notre bouche, cette tige s’en vienjt se cogner (pic et pic) sur la roche dure de telle ou telle paroi de grotte, et grave ; elle grave ses betes ; elle se met à graver x betes massives (ces chevaux et ces phacochères) et ainsi faisant ezklle essa ie de se soustraire d’un e emprise pariétale ; il se peut qu’elle fasse erreur et reproduise même des ezrreeurs passées (du temps passé)  ; nous voyo,nsq la biche, aller sur la lande ; les hommes des c avernes savaient dessiner =mieux que nous ; ils posséda&ient les bons charbons de bois, les bons pigments colorés ; ils dessinaient, le plus souvent à main levée, des betes de forte taille et imposante s par leur stature, alors même qu ils croisaient qUotidiennement des betes petites (auussi bien des vers de terre) et qu ils en mângeaient peut-être ; nous ne savons pas ce qUils mangeaiennt ; des baies très problablement et de la bonne chère ; nous pensons que nous disons le vrai et nous dison,s le faux immanquablement ; nous pensons que nous disons le vrai de la vie sur terre, or que disons nous ? nous disons «notre rapport à la réalité» ; nous pensons que nous pensons or pensons nous ?  ; nous pensons que nous poensons or que pensons nous quand nous pensons que nous pen,sons ?  ; nous pe,nsons que la bete sur paroi est vraie et meugle et charge et est tonitruante,or non ; elle n’est pas une betye en vrai ; elle n’est pas cette berte (mot) de vérité vraie (vie) que nous pensons mais du simili (?), du simili de vérité  (?) ou comment ? ; nous pensons que nous sommes ain si qui employons des mots sensés (entre eux) et ces mots nous les voyons comme faisant paertie prenante (enracinés) avec le réel ; cette chose pour nous est une choses  capitale, car les mots sont là enracinés dans une roche prairail:e, et ne lachent pas (plus , depuis notre naissance») le morceau ; les mots ont un sens qui les rends distincts les uns des autres, et ce sens est enraciné dans la chair du monde, voilà ce qui est  ; et dès lors ce sens est in-quelque chose, et cela, du fait qu il sooit enraciné, mais aussi du fait que son pic (son bec) est à prendre pour cette chose, qu il est ce perce-paroi tant nommé, ce perce roche sus mentionné tant et tant de fois, ce pic de paroi qui va fissa à s’introduire en cavité, en ;... bouche de la vérité ? en bvouche tout court ?  ; nous ignorons les raisons qui poussent ou ont poussé ce pic à entrer dans la roche, et pourquoi uniqemen,t (ou presque) des figures animalières ? ; nous ne savons pas comment nous situer en pareille partie (pour le dire ainsi) et nous nbous allongeons de concert pour écouter le bruit du vent dans les cornes (les bois) du cerfs, ou bien : la musique des alentours, ce la qui gravite, ce sol qui volète,  ce si adouci ; nous passons a insi un temps à écouter la musique des sphéres matinales, ou matutinale ; nous voulons essayer de comprendre toute cette affaire qui se trame de vie et de mort ; nous essayons de comprendre au plus juste, mais iln’est pas aisé de comprendre au mieux toutes ces choses ; nous voulons essayer de co:mprendre au mieux les donnéescmusivccales du monde, toutes ces données qui viennent sussurer à nos oreilles, leur musique de charme ; nous comprenons que nous avons fort à faire et que la chose n’est pas simple ici, cette chose d’une volonté pour nous de nous tenir (le plus possible) à l’abri des ruades, il n’est pas simple de faire ai n si cette chose à deux, de nous tenir à l’écart des rebuffa des etc, et comment aussi, pour faire allégeance en paroi, comment faire , car nous ignorons beaucoup de choses, npoous sommes pauvres en esprit, nous ign oreons presqaue tout, nous ne sommes pas malins ; nous sommesxc pauvres en esprit , nous co:mptons sur Bambi pour nous a ider à franchir des caps de connaissa n ce,  : peut o,n lui faire confiance ?  ; il wsemblerait que oui, nous puissions ; nous essayons d’enttrer en roche tous les deux, de passzser  c e cap (le premier) et une fois passés nn ous espérons croiser Bambi (LA Bambi) sur notre route ; nous aimons Ba mbi car elle (il ?) est là ^pour nous aider à (bel et bien) franchir des caps de connaissance ; nous pensons qu’elle seule pour le moment peut nous seconder et nous donner le la musical ou ce la musical qui nous permezttrrait de nous poser un peu et de pouvoir tenir jusqu’à nouvel ordre sans encombres ; nous pensons que nous devons comme nous soumettre à son jugement , à sa gouverne ; nous aimons Bambi car eklle nous guide perpétuellemùent sur notre chemin ; nous sommes amants de cette Bambi, ou Bambi des prés, qui nous donne ici les explications nécéssaires et nous guide sur la voie toute tracée de la connaissance ; nous le suivons du regard ; nous sommes ensembvkle en cette paroi de grotte , pour une rezcherche pariétale soutenue, de type rocheuse, qui nous verra nous appuyer contre la paroi (une paroi) , tendre l(‘oreille, écouter le la musical d’icelle et tres vite (subitement) nous glisserr en elle (illico prewsto) pour des siècles des siècdles ; nous cherchons ainsi à grimper (entrer) dans le train du monde rocheux, celui là qui nous tend les bras depuis nptre naissance ; nous essayons (via l’art) d’entrezr da ns ce petit train rocheux et pariétal du monde alenntour et y arrive t on ? il semblerait que ... oui ou  non ? nous ne pouvons pas répôndre à cette question qui touche à l’in ntime, ou plutot qsui n’arrive pas à bon escient, ou comment dire, qui est presque dépl&acée, à nos yeux, car la chose (depuis ixci) est un poil gen,ante à formuler ; nous entrons (il semblerait) dans la paroi, comme un passe-muraille enfantin, et nous vcoilà de l’autre côté mais pour combien de temps, cela nous ne pouvons pasd le préciser, pour la simple et bonne raison que nous l(‘ihgnorons, nous ne savons pas, nous ne savons pas à quoi nous en tebnir ; nouys ne savons pas tout, loin de là ; nous pouvons sans honte dire cette cxhose, et avouer notre ignorabnce, 1, et notre degré de bêtise ou d’idiotie , 2 ; nous pensons que nous avons encore fort à faire en ce qui concerne le droit de passage en roche ; nous avons ce droit pour nous mais la chose du passage est bien difficile en mettre en oeuvre, d’où l’i ntérêt d’agir à plusieurs (au moins deux) pour se seconder ; l’union fait la force et donne des ailes ; nous voulons nous introduire au coeur du moteur pour ainsi dire et savoir , c’est à dire accumuler des savoirs, et ce sur tout un tas de choses diverses qui concernent la vie et la   mort, la vie de  la mort, la mort de la vie etc ; car l’embrouillamini est grand ici (massif) qui nouds fait prendre des vessiespour des lanternes ; il y a cxonfusion (souvent) et nous en sommes les premiers surpris ici même, en c ette paroi du temps imparti, ca r, nous voyons bien qzue la roche contient en elle des dsonnées sensibles qui pourraient nous informezr enfin xde ce que c’est que cette cxhose de la mort sur terre, et de la vie pa reil ; or la roche ne pa rle pa sq (hélas)  ; elle ne dit pas ce qu’elle a sur le coeur ; elle se tient coi ; elle est belle ment ornée  de chevaux en parade mais au bout du com)pte que dit-elle en toutes letttres  ? rien, car elle en est incaapable ; elle montre la crinière et le jarret et montrant cela dit elle crinière et jarret ? pour nous oui, mais à l’origine ?  ; il semblerait que l’homme des cavernes aima^t s’entourer (en grotte) de betes peintes, de grossses et belles betes peinte (ou gravées) sur roc ; or que voit on )à travers elleqs ? lza prairie céleste ? la musique personnifiée . ;,la voie à suivre comme chemin de passage entre deux embouchureqs ?  ; nous cherchons des réponses sur roche, comme d’autres aillezurs, dans des boules de cristal p)ar exemple ; nous nous penchons sur pareilles ezffigies et essayons de leur faire dire des choses, ce qu elles contienneznt ou portent en elles ; nous pensons que telle est notre devoir ici bas entre nous (entre frères humains ? )  ; notre devoir est ici de faire en sorte que : nous puissions écouter, au mieux (longtemps), la musique des sphères, et inchallah ; que faire ? nous disons que nous voulons comp^rendre ensemble ;, nous disons que  nous vopulons nous introduire ensemble (de con cert) dans cette roche dite «du temps» ; nous le disons à haute et distincte voix ; nous voulons écouter la musique des parois = contenue en elle, et pour cela nous nous glissons  au sein de laroche, parmi l’ensemble animalier des bêtes qyui paissent ou chargent, et là nous nous allongeons, nous nous prenons par la main, nous sommes nus, nous avons laissé nos affaires en deça de la paroi, nous regardons passser les biches et les cverfs et nous écoutons le bruit amical de la roche dure ; nous écoutons le bruit du vent dans les branches ; nous guettons les betes d’un oeil ;, car nous nous méfions beaucoup de leurs charges, de leurs agissements : elles sont fortes et massives et par conséquent elles sont dangereuses ; nous écoutons la musique en intra-pariétal ; nbous écoutons les bruits de laroche, le bvent dans les herbes ou da,ns les branches ; nbous écoutons les bruyits des betes entre elles ; nous sommes nus, les yeux ouverts, nous voyons les embruns qui nimbent les cerfs (leurs boiçs dorés) et la musique noous et les accvompagne à perpétuité, car elle ne cesse pas, elle est ce cxharme continuel qui agir pour nous comme une donnée fraiche, vive, belle et pleine ; nous pensons ennsemble à ces données de paroi cachée, nous  voulons comprendre les ressorts, et pour cela nous sommes alloongés ; nous écoutons la musique des sphères, elle nous accompâgne, elle ne cesse pas, elle est la présence massive, tendre et acidulée que nous aimons sentir à nos côtés, comme vbiches ou cerfs de prairie ; nous sommes nous deux côte à côte qui écoutons la musique des sphères, qui sommes tout ouïe, qui écoutons la musique des sphères (des pierres) et restons là, entre deux parois, sous le charme, nus et allongés, main dans la main, les yeux ouverts ou les yeux fermés, seuls parmi les betes qui nous observent mais ne viennent pas nous importun,er ; nous regardons bnambi se pourlécher, nous regardons le cerf boire à la fontaine, il a des bois doréd-s, il est beau dans les embruns, la musique scintille, il s’agit du bruit que font les ailes lorque’elles se détachent et volent en des ciels nacrés, il s’agit d’ailes décollées du corps, la musique premièree, la chose est dite, il s’agit de cette musique des sphères premièresq, qui va de son envol majeur vers les embruns de bord de roche ; elle (la musique) est l’allié de la roche, de l’homme des cavernes, et de nous qui l’écoutons à notre tour ; elle est celle que nous attendions de pied ferme ; elle est cette musique des embruns de roche aux cerfs boisés, nous l’écoutons allonghés, nbous sommes nus commes des vers de terre, nous aimons nous allonger et écouter la musique éternelle des sphères, nous voyons Bambi ;

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21/01/2021

nous aimons les biches et les chevreuils ; nous les regardons déambuler dans la prairie et nous sommes heureuxc de les voir ainsi aller et venir ; nous sommes ensemble ici, en paroi, pourt voir passer le train du monde : auroichs, aurochs, bisons, bisons, antilopes, antilopes, rennes, rennes etc ; nous aimons ainsi nous poster ici (en ce lieu du temps) pour regarder déambuler les betes de pzarois, ces betes dessinées autrefois (un bail) par des hommes des cavernes, qui, du bout de leurs batons, traçaient des figures imposantes, voulant donner le change à qui on ne sait, voulant ainsi donner une sorte de change à qui on ne sait vraiment, à qui de droit, à celui ou celle qui serait ainsi à tirer les ficelles , etc ; nous voyons cet homme dessiner comme surélévé devant la paroi, il arme son bras, il trace des traits à main levée, il est en suspension, il lévite ; son bras dessine d’un seul mouvement la ligne ici d’un animal ou le trait plus loin d’une figure étrandge, indéchiffrable (hgéométrique) ; il semblerait qu il agisse les yeux fermés ou tout comme : son corps voit ce qu’il ne voit pas, lui, cet homme, soon corps sait ce qu il ne sait pas, cet homme, pour lui ; or ainsi faisant (sous emprise) , sa main est sûre ; il ne fait pas la moindre faute de marque, il agit directement dans un tracé de grande ressemblance et cela est comme fou en vérité ; il est l’homme de l’art du faire en transe quasi ; il est cet homme qui (en transe, danse) trace des figures, qui sont figures animalières à presque chaque fois, il s’agit à presque chaque coup de ces figures animalières habituelles de fond de grotte : ces aurochs, ces bisons, etc  ; il dessine à main levée guidé par un esprit frappeur en lui , qui guide sa main et l’intime à agir illico presto sur roche, comme les yeux fermés, mais son corps (en entier) voit, son corps est voyant etc ; il est l’instrument voyant par excellence, l’homme des cavvernes ; il est c  et homme qui, dexcellence, pousse sur roche son baton noir et trace les figures qui s’imposent à lui, guidé, mené, poussé, pris, soous l’empriise d’un esprit malin qui est celui de la bete en lui, cette bet qui le checvauche, qui se pose en lui et ne le lâche pas ; il (cet homme des cavernes) est l’artiste qui : cet homme que , etc = cet homme qui et que nous sommes aussi = cet homme qui va, sur paroi du temps, à la recherche d’une vérité an,imalière ; il semble que cela, cet homme, cette sorte d’homme, soit pour nous en nous comme un ancetre de paroi, il semble ou semblerait que cela fut ainsi que cet homme fut, l’ancetre de paroi que nous portons toujours en nous , quelquepart en nous, ici ou là, et qui nous pousse à dire x choses avec lla bouche ouverte, etc ; nous pensons que nous devons de fait creuser en ce sens et essayer de comprendre ce qui est de ce qui se trame en pareille roche du temps ; l’homme des cavernes en nous est présent ; il est celui qui nous pousse à dire, qui pour nous nous donne du fil à retordre en cela que nous sommes perdus en toutes ces questions de roche, de paroi du temps, etc ; d’animaux de prairie en nous, etc ; nouys pensons que nous sommes porteurs : de mille choses en nous hors les viscères ; il semblerait que nous fussions porteurs de mille choses en  ous en dehors des viscères etc ; nous voulons essayer de comprendre ce quil en est, et évidemment que pour nous (à ce stade de nos reéflexions) la chose est loin d’etre facile, à comprendre et à conscientiser ; nous cherchons un peu partout dans des domaines divers, nous cherchons des vérités de roche, des vérités de prairie, des vérités de paroi et il est simple de se rendre compte, que tout cela en la matière n’est pas simple à déchiffrer, loin de là, car nous sommes limités par nos mouvements désordonnés et par un esprit (chagrin) qui n’est pas large et étendu mais étroit, rassemblé, et peu enclins à se déborder lui même ou à déborder de lui-même ; nous voulons connaitre toute la véerité à prpopos de cette paroi du temps qyui est face à nous, cet endroit où déposer notre présent passé, etc ; nous copmprenons toute cette affaire à présent, ou du moins nous en comprenons une partie, celle que cet homme des cavernes sur roche savait présenter excellement avec son bout de torche ou son baton noir ; il est une évidence ici que cet homme était sous emprise , et nous aussi, qui parlons à tort et à travers quoiqu’excellement les mots appris dès notre venue en ce bas monde ; nous sommes des etres qui parlons ce langage particulier in cul qué, et ce langage -animal est l’équivalent langaggier des dessins de parois de l’homme des cavernes, une sorte de réplique des temps modernes à des figures animalières ancestrales ; nous pensons que nous devons comprendre toute ces choses de paroi à la lumière du langage d’aujourdhui, fait de mots-animaux alignés en bouche (queue leu leu) par nous qui sommes comme des répliques de ces hommes anciens ; nous poussons ainsi nos dires comme d’aucuns, autrefois,  poussaient le baton sur roche ; il s’agit de choses très proches, voire équivalzentes ; nous avons pour nous un baton qui sort de notre bouche, et l’homme des cavernes avait lui aussi pour lui un baton à actionner sur paroi, et c’est cela quil faisait pour lui, sur roche dure, au charbon de bois ; nous l’aimons, nous aimons cet homme des cavern es, nous comprenons à présent son désarroi , lorsqu’il marquait sous emprise sur roche des betes (les gravait) alors même que le couperet lui pendait au nez , de se voir meurtri par un esprit des lieux, qui eut vite fait de l’envoyer paitre et de lui offrir cette mort redoutée ; dès lors, pour l’homme des cavernes, il était urgent de tracer excellement le dessin animalier , et de protéger ainsi sa gouverne un temps ; il en était ainsi vraisemblablemen,t ; nous pensons que c’est ai n si que la chose se devait d’etre, autrefois ; il semblerait que la chose autreefois devait etre ainsi, pour cet homme des cavernes que(donc) nous avons en nous (quelque part) qui nous surveille (d’un oeil) een nous, qui nous tient à sa merci d’homme traçant, qui est pour nous un moteur, une présence vibrante, un souffle animal, une douleur et une douceur dans un même élan ; nous pensons que pour le coup, nous sommes «en parti» cet homme des cavernes en  nous ; nouys pensons qu’en nous se loge un «homme-animal des cavernes», cet homme qui guide nos pas vers des endroits rocheux , pariétaux temporels  ; il s’agit pour nous de bien appréhender la chose, pour bien la comprendre, la cerner et ce afin d’y voir plus clair en ce qui concerne toutes ces affaires, d’homme ancien , de magdalénien , etc, qui pleuplaient autrefois les terres de Fran,ce ; il s’agit pour nous de voir à piger la chose brute, telle qu’elle fût un temps sur la surface de la terre : cet art des cavernes, cette chose d’un art des parois, qui est l’art du dire «animal» avec des bouts de bois bnrûlés etc ; nous sommes sensibles à pareilles fêtes de parois ; nous voulons aller ensemble en cet antre hospitalier paréiétal et temporel de la roche , et pour cela nous pensons que nous devons agir à deux, main dans la main de préférence, ensemble soudés pour une cause partagée qui serait celle d’une sorte de vouloir-dire une chose vraie : sur rocher ou roc, sur paroi de type temporelle , temporel, de celles que nous rencontrons ici ou là (le périgord ...) lors de nos déambulations terrestres, au hasard de nos cheminements ; nous pensons que nous sommes comme munis d’un bec de prise, il s’agit d’un manchon, il a un nom, il s’appelle Nologips, ou bien Loopings ; il s’agit de ce nom dont nous sommes chacun affublé et qu’en faire sinon cette chose, d’un pic de rocher, pour une percée vive en cette roche dure d’un temps de paroi divin ; nous pensons que telle est notrte chance et tel est notre devoir, de faire cette chose d’unev sorte de percée en roche ; nous pensons que nous devons percer la roche crument, vivement, avec cette pique de bouche (bec) qui nous a (de fait) été offert à la naissance par un père et une mère penchés sur nous ; nous voulons comp^rendre ce qui est de toute cette affaire, de nom, de chose offerte à la naiisance (ce don) et ce nom est nôtre en cela qu il sort de nottre bouche comme pique (tison) ou pic (bec) qui va vers le roche et la perce vif ; nous pensons que cela est ainsi, et que les choses autrefois étaient ainsi dispôsées sur roche ; nous comprenopns que nous avons beaucoup encore à comprendre, en toutes ces choses de paroi, et c’est la raison pour laquelle nous nous maintenons face à elle (paroi) pour n’en rien louper, de tout ce qui pourrait nous rendre plus encore voyants ou clairvoyants, de tout ce qui (ensemble) pourrait nous offrir de cette clairvoyance tant recherchée depuis longtemps ; nous avons cette pensée du jour , et c’est celle-là que nous disposnons en roche, au beau milieu des betes qui paissent etc ; il s’agit pour nous de nous introduire en cette roche et de ne plus en sortir jusqu’à nouvel ordre ; il s’agit pour nous de rester lovés en son sein et de chercher du regard les betes paissant, chercher leur présence en pareille roche, et chercher leurs regard (animal) si particulier (nous le chérissons)  ; nous voulons dès lors aller très loin dans nos recherches, oh ce n’est pas chose facile nous le savons bien ! nous avons compris cette chose il y a bien longtemps à présent, depuis le début de toute cette affaire ; nous savons cette cxhose depuis bien longtemps, depuis le début, nous avons compris, nous ne sommes pas nés de la dernière pluie ; nous comprenons toute l’affzaire ; nous sommes ensembkle en roche et nous nous offrons la mai n de concert, à toi à moi ; nous sommes soudés pour une réflexion à mener ensemble et conjointement ; nous voulons savoir le fin mot de toute cette histoire de paroi censzée recéler des trésors de vérités concernant la mort, mais est-ce vrai ? peut-on se fier à pareille pâroi lan,gagière animalière ? de quoi s’agit-il ? s’agit-il d’une paroi temporelle en vérité ? ou d’une paroi de mensonges, d’incartades malvenus et de dérobades diverses ?  ; nous ne sa vons pas (plus ?) à quoi nous en tenir  ; que penser de toute l’affaire ? que doit-on penser de toute cette affaire, qui est celle d’un dur de chez dur temporel (et temporal ? )  ; nous ne savons plus que penser de toutes ces affaires de parois rupestres, et pour cause: le langage, le langage est venu un bveau matin s’interposer, et ce langage nous a fait du tort, nous a fait mal, nous a meurtri, nous a fait saigner de la joue-bouche etc, et à présent nous avons cicatrisé mais le souvenir de la blessure en n ous est i,ntact qui perdure jusqu’ici au coeur de la roche, en ce sein des seins temporels pour le coup , ou du moins tel est -il qui nous apparait de l a sorte ; il sembvle donc que ce trou de bouche nôtre, en ce lieu de la face, fut fait par une pique en  nous qui étzait LA pique des temps alloués (dès la naissance) à l’enfant que nous étions ; nous avançons ainsi sur ce chemin de route , vcers une paroi dite «du temps» ou  «des temps» ; nous sommes ensemble qui avançons ainsi main dans lma main et nous rendons au coeur du coeur de cette roche dure du temps  ; la dureté du temps n,’a d’égal que sa rudesse ; nous passons ainsi tete la première en elle et nous nous blotissons en son antre (sein) tout contre, afin de penser les choses de paroi (panser la plaie de bouche tout aussi bien) et nous mettre ainsi en disposition, en attente, sur notre 31 ou comment  ; nous sommes en alerte orange ; nous pensons que nous devons nous tenir tranquilles à l’écart des ruades animalières, nous pensons que nous devons nous tenir serrés et ne pas bouger subitement, point de soubresauts, ni d’écarts de lan,gage, mais une discrétion de bon aloi et à toutes épreuves ; il s’agit de se faire petit ici ; il s’agit ici de se faire petit le plus possible ; il s’agit de disparaitree quasi (du champ de vision) et d’écouter la musique des sphères ; nous sommes d’accord pour penser que nous devons aller le plus loin possible dans cette recherche de la vérité des sphères = la musique des lieux ; nous pensons que telle est notre devoir, que tel il est, que nous devons nous placer de telle sorte que cette chose (ruade) ne vienne en aucun cas nous froler aux pieds et nous amôcher, car nous tenons à rester entier, à ne pas faiblir de sitôt, à ne pas disparaitre tout court, etc ; nous tenons à notre vie, nous sommes accrochés à elle, nous l’agrippons, nous nous agvgrippons à elle comme à une branche ou à un baton de pluie, ou à un baton de charbon noir, etc ; il s’agit pour nous d’une chance , et cette chance nous la jouons (entière) sur paroi de roche antédiluvienne ; nous voulons connaiotre le (et les) fin(s) mot(s) de toute cette affaire de paroi de roche rupestre ; nous parlons entre nous de cette chose et c’est ensuyite que nous dessinons à main levée, ces betes belles, ces belles bêtes, etc, sur des roches adaptées, se prêtant à des sortes de représentzations mi:métiques, etc ; nous sommes plusieurs en n ous qui gravons la pierre et pansons les plaies de bouche ; nouys avons à comp^rendre pas mal de choses de cette paroi temporelle qui jouxte la joue, la nôtre, et pour cela nous parlons (musique) en cadence, sur roche, nos mots de paroi ; nous voulons nous reposer en elle , nous voulons souffler en icelle, e,n cette sorte de paroi donnée qui nous fait face pour nous accueillir en son anttre ; nous voulons comprendre et reconnaitre ; nous voulons comprendre et aller dans les profondeurs de la terre-mère etc ; il s’agit d’une reconnaissance anticipée : je déclare reconnaitre (le cvisage, le dessin des mains, la ligne d’ensemble) de cet eztre cher en tant qu il est mien : j’en suis (serai) l’heureux hgéniteur etc : buffle ou bison, aurochs ou phacochères ; nous pensons que nous sommes ensemble des etres qui faisons des choses sur pazroi du temps, des choses dites, des choses marquées, gravées, desreproductions, des affiches etc ; nous aimons ainsi nous placer en pareille paroi du temps afin de comprendre le pourquoi du comment ces choses animales ont pu arriver sur roc ; nouys essayons de comprendre tout le processus, toute cette affaire est pour nous une grande et temporelle, une grande intemporelle affaire de vie redoubleé, ; il s’agit pour nous de le comprendre ; il s’agit pour nous de comprendre cette chose d’un temps redoublé en paroi ; il s’agit pour nous de comprendre le pourquoi de toute l’affaire , ce pourquoi qui est celui que pour le coup nous chérissons par devers-nous depuis des siècles, ici et là, sous toutes les latitudes ; nous pensons que la chose est telle que voilà , nous sommes isolés en pareille roche ; nous sommes seuls en cette roche du temps pariétal à nous tenir la main, à nous allonger nus, à regarder passer le train du monde animalier = le train animalier du monde, etc ; nous ne sommes pas nombreux: deux ; nous sommes en nouys mêmes deux à parler, deux pour l’ensemble de la confrérie animale en nous : compères divers, compére le buffle ou compère laurochs ; nous pensons que nous devons allezr dans la paroi la tete d’abord, puis les épaules et le reste du corps en suivant ; nouds voulons savoir ce qui est pour nous en pareille roche =  ce qui nous attend ; ;, nous voulons comprendre toute cette  histoire de gouverne en  nous animalière , qui fait quoi, etc, afin de mieux cerner pour nous les enjeux vitaux de toute l’histoire de l’humanité ; nous ne voulons pas en perdre une miette, mais tout le contreaire : nous rassasier de toutes ces vérités de roche = contenues en son sein temporel, qui est le sein divin par excellence en cela qu’il est blotti au centree du roc, en son milieu exactement, au coeur du coeur comme un noyau est dans un fruit ; nous pensons que tel est notre debvoir ; tel est-il qui nous voit entrer dans cette roche dure du temps, à la recherche d’une vérité de bon aloi concernant notre destinée, ses tenants et ses aboutissants ; nous voulons savoir beaucoup, nous cxherchons beaucoup et dans tous les sens, beaucoup de choses concernant ladite vérité des chose de vie ;  nous cherchons à comprendre le tout du tout pour nous, ce quil adviendra de nbous demain ; nous voulons cerner les enjeux vitaux de a à z, et  cela à deux (l’union fait la force) afin de nous placer au mieux en ce sein des seins pariétal, ce sein qui est le sein de terre-mère, s’y placer au :mieux, c’est-à-dire, pour une meilleuire possibilité de captation des etres et des choses de vie, pour une vie douce éternelle ; nous essayons ainsi de comprendre ces choses, de visu (et de vive voix), afin de mieux du coup les incorporer à notre jugeotte , etc ; nous voulons savoir un ensemble et non point des menues pareties ; nous voulons approcher l’ensemvble des phénomènes et non point seulement quelmques menues pareties qui ne seraient pâs suffisantes à nos yeux, car ellles ne combleraient pas notre soif de connaisszance ; nous cherchons à cerner ces données de vie en ce sein pariétal de roche, et pour ce faire nous entrons bille en tête en pareille pareoi, à la découverte donc des éléments (prairiaux) de contenabnce ; nouds allons ainsi à nous lover en elle et à écouter la musique (champêtre) des sphères de paroi ; nous aimons cette musique douce d’intériuer ; nouys l’écoutons tranquillement depuis notre couche ; nous sommes deux en nous à écouter la musique animale des sphères, des parois de grotte, dees parois d’homme des cavernes ; nous pleurons d’émotions, à l’écoute de telle ou telle musique entendues en ppareilles loges ; nous aimons la musique instrumentale des parois de grotte : bisons qui chargent ert frappent du sabot don-daine, aurochs échevelés qui s’ébrouent dans un grand mouvement d’accolade ; nouys pensons que tel est notre devoir ici, que tel est notre devoir : donner à donner, perdre la gouvernance de notre mobile et écouter le train passer des choses (animales) du monde ; nous aimons ces dires plus que tout au monde, il s’agit pour nous de dires magiques, ils sortent d’un endroit perdu , ils sont de retour ; ils reviennent (remontent) en surface et s’imposent comme betes sur une pierre (table) au soleil ; nbous voulons alller zensemble dans la propfondeur du temps de lma roche et nulle part ailleurs ; nous voulonbs aller ensemble si possible en cette profondeur d’un temps de roche animalier ; nous voulons connaitre les ressorts qui président à pareille chose et gouvernent le monde  ; il s’agirait (qui sait ?) d’une entité qui serait aux commandes et guiderait la main de l’homme des cavernes, armé de son baton de pluie, de son baton tout charbonneux ; l’homme des cavernes serait sous le joug (l’emprise) d’une force occulte en lui qui ferait tout le boulot sur roche (dessins précis) avec une finesse, une habileté confondante ; nous aimons ces betes de paroi et nous les voulons, pour nous, en nous, comme appuis (étais) de charge, pour des embardées de vie-vie = de vie vive ; nous voulons en  ous un animal qui pour le coup soit l’animal (cde compagnie) idéal pour notre gouvernail ; nous voulons pour nous un animlal en nous , une bete forte, dure aux épreuves, qui puissent entrer en nous par la bouche (?) ou par le sexe (?) ou par on ne xsaitb ouù et nous coloniser de la sorte, jusqu’à nous pousser à ouvrir le bec pour une échappée belle sur paroi de grotte ; nous pensons que l’animal ici a grand à voir avec ce dieu des lieux pariétaux comme sus-nommés ; nous pensons que  nous devons aller ezncore et toujours plus en profondeur et creuser le temps de la roche comme d’un sol de paroi terrestre ; nous poussons plus loin le désir, ainsi, de creuser, nous le poussons en ses extrémités, vives, vives extrémités, et le voulons fort et tenace ; nous voulons creuser la terre du sol ; nous voulons cxreuser cette terre-mère qui est celle que nous chérissons par devers-nous, comme celle qui nous a vu naîtte ; nous chezrchons à nous immiscer en pâreille roche temporelle  car pour nous il est évident que la terre est toujours là pour nous accueillir de notre vivant ; nous pensons que la roche est la terre, et la terre la roche : il s’agit de’un même lieu de retraite, de repli, de sauvwetage ; nous essayons de comprendre tout cela qui fon,de cette chose d’un lieu de recueil pour des etres fous, embardés, enclavés, pris en otage   ; nous pensons que pareille roche est là pour acceuillir des etres nus, ou dénudés, etc ; nous voyons que cela est ainsi debvant nous, cette roche d’un temps dur, qui est là pour  nous accueillir ensembvle en son antre, et nous de répondre à ses attentes ; nous bvoulons aller en elle et comprendre les ressorts cachés de toute cette affaire, car nous sommes comme persuadés que ces chose , ces ressorts existent en elle ; nous cherchons, nous recherchons assidument ; nous cherchons des réponses à des questions ; nous chezrchons des réponses claires et nettes = des vérités et du coup nousc espérons pouvoir un jour comprendre le tout, de toute cette affaire de roi et de reine, dee betes furieuses, de parois brillantes, de biches menues qui gambadent en vous gardant au coin de l’oeil, etc  ; notre vision semlble ainsi s’élargir à la lumière de la roche dure, à la lumière incluse dans la roche dure ; nous voulons ainsi pouvoir nous déployer en e lle (allongezr nos membres) et nous délasser de la sorte, en baillant, comme des enfa,nts tranquilles ; nous avons ce vouloir-être en nous qui surnage et nous pousse à être ainsi, en paroi, allongés et nus comme des vers, comme des petits vers de prairie ; nous nous allongeons en cette roche (en elle !) comme deux amants de fortune, deux amants qui se retrouvent comme par hasard en un lieu étroit, riche en spectacles de toutes sortes, etc ; nous pouvons penser que cette chose est assurément un dire animalier, un dire-animal qui se loge en bouche et caracole ainsi sur paroi ; nous pouvons nous rapprocher ensemble de la bete devant nous , il s’agit d’une bambi (de plus ?) des prés ou des prairies  ; il s’agit de cet animal (choyé) qui broute sous nos yeux son herbe verte et qui de temps en temps lève les yeux et nous mate longuemùent ou plutot fixement avant de retourner à ses amours ; il s’agit pourr  nous d’une bête belle, forte, racée, comme grise, douce et vive, tendre et menue, élancée, qui est sous nos yeux  comme une donnée brute ; nous pensons que nbous devons (devrions) nous rapprocher d’elle et tenter de la toucher un tant soit peu afin d’en recueillir (au bout des doigts) le pouvoir contenu en elle ; il s’agirait pour nous de nous approcher d’elle et de la toucher, même un peu, ou seulement un peu, et ce faisqant le flux (l’influx) passerait d’elle à moi et me donnerait savoiirs et énergie vive, courage et grande connaissance, etc ; il est évident que bambi est belle, forte et racée ; il est bien évident que cette bête est celle que nous attenndiiions dans nos rêves ; nous voulons de cette bete pour nos rêves ; nous la voulons racée et belle, douce et vive, tezndre et grise etc ; il s’agit pour nous d’une bête de bon aloi, fraiche, vivace, vive, vivante en sa praireie herbeuse ; nous passons près d’elle ; elle nous regarde comme affolée par notre présence, et fait un bond de recul, nous l’avons efffrayé ; elle se tient à bonne disqtan,ce à présent ;elle est belle comme tout ; elle est sublime et nous plait à la folie  ; il s’agit pour nous d’une bête magique, quasi féerique, que nous adorons pour ce qu’elle est pour nous la bete pariétale (temporelle) par excvellence, la bambi xdu temps ; nous pensons que cette bête est pour nous LA bête de paroi, et qu’à ce titre elle mérite beaucoup d’égards et un souci constant de notre part : nous ne devons pas lk’envoyer opaître mais la caliner un tant soit peu, veiller à son bien -être, lui offrir de quoi se sustenter sans peine etc ; il s’agit pour nous de cette bête de prairie parfaite, de cette bete parfaite de oprairie telle que nous en rêvions souvent, espérions en croiser , etc, ici ou là, en paroi de grotte ou ailleurs dans les extérieurs ; nous voulons la connaître mieux, l’approcher, la senbtir (humer) et la toucher afin de comprendre et cerner ; nous savons que bambi est riche d’enseignements concernant kles choses de la vie sur terre ; nous savons pertimment que cette bambi des prairies est riche de beaucoup de choses , elle connaît un grand nombre de chosees d’ici bas, de la paroi et de la roche, elle est férue, calée, savante, pleine dx’elle et pleine du monde ; nous essayons dès lors de nous approcher d’elle mais elle s’effrtaie vite, ce n’est pâs facile ; il nous faut y aller patiemment, tranquillement, doucement, gentiment, calmement, et non soudainement ; nous essayons de comp^rendre ce qu ‘elle est (bambi) au juste, il n’est pasaisé de le savoir ; sa peau ne dit pas tout ; ses yeux ne disent pazs tout ; rien ne dit tout («rien ne dit tout») et cest ainsi que nous ne savons plus (vraiment) comment nous y prendre, pour ainsi faire de la sorte qu’elle puisse se donner à nous pour des enseignements de premier choix et de premier ordre, concerna nt la vie de paroi, la vie temporelle de paroi de roche ; veut-elle s’a pprocher de nous et se laisser toucher ? veut-elle s’approcher de nous et nous donner un nombre conséquents d’infos relzatives au temps de vie sur terre et ailleurs ? car elle elle sait : nous savons (de source sûre) que bambi sait  ;elle sai: elle sait beaucoup de choses, elle est savante, elle connait la musique, elle en est férue, elle vconnaît tres bvien et pourrzait sans doute nous la rejouer si tant est qu’elle sût jouer de kl’instrument des sphères (sait -elle ?)  ; nous nous approchons à pas comptés (à pas de fourmis) près d’elle et essayons de poser une main sur sa pelisse et là, ô miracle ou ô surprise, elle se laissse toucher ainsi, et du coup elle nous offre en ezntier la panoplie de celle ou de celui qui sait sinon la vérité (du monde) en entier, au moins une (vérité) parmi toutes celles existantes ; cette vérité concerne elle, bambi ; cette vérité la concerne elle, notre bambi des prés et des prairies ; il s’agit de sa capacité à aller et venir dans le temps ; il s’agit de cette cghose, comme quoi vivre = aller ; comme mourir = ne pas aller ; nous avons cette pens»ée ezn nous qui nous occupe fort, et cette pensée est née au contact de la pelisse de bambi ; nous voyons cette bambi parmi nous, nous voyons ces pattes sautiller vivementr et reculer ; nous voulons être pour elle des etres bienveillants qui ne lui veulent lpas le moindre mal (ce qui est ) mais le comprend-t-e lle ?  ; pezut-être le comprend-eelle ; il se peut que cela soit, il se peut parfaitement que cette chose soit de la sorte, que savons-nous de cette chose ?  ; nous voulons que bambi soit pour nous la référence, le soutien, lk’informatrice etc, en ce qui concerne kl’ensemblke des choses du monde à dfisposition ; nous voulons que bambi sachât (?) ou sut pour nous un nombre incalculable de choses concernant le monde, et quà son contact (simple contact d’un doigt sur une peau) elle nous fit part de ses sa voirs et de ses pouvoirs ; ce serait ainsi , que nous envisagerions cette chose pour nous, ce serait parfait, nous serions comblés ; nous cherchons des con,naissa ncesq, bnous sommes à la recherche de connaissances, nous essayons d’en trouver ici ou là ezn pârois mais les choses se cachent vite (pourquoi ? pourquoi les mots ne disqent ils pas ds’emblée et une fois pour toutes la vérité, la vérité sur le feu, le foyer du monde ? qui nous répondra ?) ; nous avbançons en pareille paroi comme deux enfants qui vont à jouer dans un champ abandonné ; nous essayons de nous y retrouver parmi toutes ces bêtes rep^résentées et raison de plus pour ne pas nous l^acher la main et pour demeurer collé-serrés ensemble (logés) dans cette paroi de roche dure (roche des temp)s)  ; nous déposons ainsi en elle noos frusques et autres relique (art) et ainsi faisant nous les protégeons de la vindicte ; nous voulons comprendre  le mot de la fin de la fin (?) des hommes, etc, ce mot de fin qui serait le mot de la fin  ; nous pensons à bambi vcomme à une ressource et ce à plusieurs titres  ; ressources car elle sait les choses mieux que quiconsque peut-être, ressource aussi car elle nous abrite, elle nous permet d’entrer en cette roche, à l’abri des méfaits, des intempéries, desq bandits de grand chezmin ; il lui suffit d’uyn regard (un seul) envers nous et nous somme s sauvés ou tout comme  ; il s’agit deès lors pour nous de notre «szauveuse pour l’éternité» ; il s’agit d’une bvête prise par l’étau de c ette roche de vie-vie qui l’encercle ici ,et nous donne à nous bien du fil à retordre  ; bambi est comme prise dans les mailles du filet, mais de quel filet s’agit-il ? il s’agit du filet du temps ; bambi est prise (prisonnière) de ce temps, de ce temps de paroi qui la contient : mais qui contient qui ? « : bbambvi est contenu dans la paroi du temps ; elle est prise en otage, elle ne sqait comment s’échapper, elle n,e sait comment filer et soprtir de ce qui est sans fin = sans cloisonb, sans fermeture ; nous alloon s verts elle car elle sqait des choses, elle connait un grand nombre de choses et peut (si elle le veut) nous renseigner abondamment et noud donner le la  de   la suite (musivcale) qui nous attend ; nous pensons que cette bambi, bambi des prés, est tout à fait à même de nous offrir, gentiment (finement), ce  la  d’entrée en matière ; ce la pour une sorte d’entrée en matière en bonne et due forme, du moins nous l’espérons ; nous essayons de nous approcher de bambi et de la toucher un tant soit peu (comme d’une relique) et ainsi en recueillir par extraordinaire un peu du pouvoir qui est le sien, concernant tant de choses de sur la terre, toutes ces choses terrestres qui sont celles dont nous n’arrivons pas à comprendre un traitree mot il semblerait ; nous pensons que cette bambi est parfaitement à m^-eme de pouvoir nous octroyer tel ou tel pouvoir, tel ou tel savoir des preofondeurs en guise de pouvoir ; nous pensons que bambi est la bonne pezrsonne (idoine) pour nous, et qu’elle est tout à fait capable (en capacité) de nous dooner un gran,d nombre de données concernant la vie sur tezrre et la mort qyui nous attend ; elle est bambi des prés, ; bambi dupré, bambi desprez, bambi du pré-fleuri, bambi duprés, bambi des prairies ou des vertes prairies : qu’elle était verte ma prairie «dit -elle et nous l’écoutons religieusement ; elle est bambi la bienfaitrice, une marie-magdeleine aurignacienne etc ; il est bon pour nous de comprendre cette histoire à la lumière d’une torche des temps anciens (tres anciens) car nos racines vont loin, qui nous pousszent à revenir à de vieilles amours pariétales de roche  : l(homme des cavernes, la paroi ornementée, la roche dure de fond de grotte, lascaux ou le mas d’azil, etc ; nous passons d’une grotte l’autree et dessinons nos choses pour la galerie ; l’art ici a à voir avec cette sorte d’envie soudaine et vive de faire allégeance à telle ou telle bviche (ou antilope) de paroi ; nous voulons nous sentir au mieux en cet antre et pour cezla nous pôsons «la question qui tue» et cette question concerne (on l’aura comp)ris) l’art rupestre ou pariétal ; il s’agit toujours de la même question qui revient sans cesse, une question douce et dure à la fois, car elle est de la roche dure, et dfouce comme une «bambi des prairies» ; nous pensons que cette question, concernant l’art, est LA question du jour (aujourdhui) et qu’à ce titt’re elle mérite bien des égards ; il s’agit de se opencxher sur elle et de voir ce qu’il découle en matière de choses ou souterraines ou cachées ou sous emprise ; il est pour nous cette chose d’une pierre ou d’une roche dure sous emprise, contenant des bambvis en veux tu en voilà (à foison) et cette roche est pour nous la chose qui compte, la question sur cette roche, la question d’une entité de roche contenu en elle, etc ; nous voulons essayer  de comprendre le pourquoi du comment la roche est devenue la roche, bambi bambi, le roc le roc, le rocher le rocher, le vent le vent , qui s’engouffre le matin entre deux p)arois et nous glace les os, ; nous cherchons à même la roche des réponses à fdes questions que nous nous posons ; nous cherchons à même la roche des réponses nourries, riches, pleines d’enseignements, à des questions brutes, sottes, connues, que nous nous posons ici ou là au hasard de nos diverses pérégrinations(en roche ou ailleiurs)  ; noys pensons que nous devons comprendre des choses ; nous pensons encore (la faute au langage articulé) que nous devons comprendre des choses ; nous pensons nous deux, en nous deeux, que nous en sommes encore à devoir comprendrte (avec des mots articulés ! oh la faillitte ! ) des choses ! oh la faillitte de la pensée ! oh la belle faillitte ! car nous sommes deux insérés en pareille roche, ezt voyons tout le ma nège des allmées et des venues de toutes ces bzambis de roche ; il sz’agit de biches menues, fines, trotteuses, qui paissent gentiment de la bonne herbe de praiorie céleste (ou quelque chose d’approchant)  ; nous voyons ces bambis brouter de la bonne herbe de prairie, céleste il swxemblerait, et ce faisant elles nous informent de l’aspect rustique des temp)s à venir ; il s’agit d’un lieu bucolique ; la belle prairie ou la verte prairie : «quelle était verte ma prairie ! « etc ; nous essayons de clarifier l’ensemble des donn,ées acqUuises au contact avec bambi  ; il y en a beaucoup , nouys sommes comme ensevelis (nous croûlons) sous les donn,ées ici recueiullies au contact avec sa peau (pelissze) douce ; nous essayons de trier, clarifier le plusz possible cet ensemble (complet ?) de donnéez rustiques ; il (cet ensemble) concerne la vie telle qu’elle se trame sous nos yeux, et aussi la mort  , qui est la m»mort du petit cheval» ; nous pensons que nous devons comprendtre ensemble (nous deux) les choses qui viennent, qui se posent là, qui se déposent, ;, qui sont comme des pluies, des embruns sur nous ou près de nous, oui, il nous semble que toutes ces chodses qui viennent ainsi , pour nous (gouverne) à nous, ces choses les devons comprendre à lza lumière des torches de ces hommes et de ces femmes et de ces enfants des cavernes, cxar eux savaient s’y prendre avec la vérité, car leur savoir était très lié à la roche ;  nous decvons comprendre cette chose comme quoi l’hommre des cavernes est un homme «fou», qui va fissza dans (à l’intérieur) de la roche, à la recherche d’une vérité fiable : forte tête, dureté, compacticité, pierre de taille ; nous pensons que c»t homme, comprenait mieux que nouys les enjeux temporels de la roche et il savait mieux que personne s’introduyire en elle et fissa dessiner la figure de l’ange, etc ; il était, cet homme, la personne digne idoine , parfaite, pour pareille embardée en roc  de roche ; il était (cet homme volontaire) la bonne personhne pour une embardée sous emprise et comme sous szerment ; nous avons cette chance de pouvoir encoore, des milliers d’année après lui, toucher cette pierre, ce bambi de pierre, etc, et sentir passer en soi (via ce trou de bouche en nous) les effluves, ou sinon les effluves les pouvoirs magiques, de cet homme ancien, les pouvoirs magiques , féeriques de cet homme sous emprise ; nous pensons à lui comme à un homme de grand pouvoir (un chamann) quyi saurait pour nous ce que nous mêmes ne savons ; il s’agit de ce pouvoir en lui de dire ; il s’agit en luyi de ce pouvoir de dire, ou à dire les choses de vie ; nous pensons avec des mots, quand lui pense (pensait) avec des animaux, là est la différence ; il s’agit pour nous d’une dégringolade, d’une chute, d’une faillitte, d’un faux pas qui nous a comme fait basculer cul par dessus tête le nez dans l’herbe et nous a fait saigner à mort betement ; la bete en nous est toujours là mzais ne peut plus «parler» comme autrefois du tempds de l’homme des cavernes  ; hélas : trois fois hélas!  ; car nous ne sommes plus en mesure de parler comme parlait l’homme des ca vernes , avec ses mots animaliers à lui, sur roche, en apesanteur (en lévitatiobn) etc ; nous sommes meurtris de cet état de fait ; nous sourions afin de faire bonne figure mais en vérité nous sommes meurtris et cela depuis bien longtemps à) présent, il y a belle lurette que nous sommes ainsi, et demain n’est pas la veille de nous voir autre, pas la veille de nous voir, ainsi que nous serions, plus joyzeux et plus frais ; pas demain la veille qu’on puisse nous voir, plus frais et vif et plus joyeux et insouciant car le souci est bel et bien là en nous (logé) qui nous fait prendre des vessies pôur des lanternes, la vie pour la mort , et la mort pour la vie ; confusion totale, confusiuon de l’homme moderne etc ; nous cherchons des réponses à des questions de vie ou de mort, de vie et de mor, et ces questionsq nous sommes ici  à nous les poser ensemble, les yeux dans les yeux, pour notre gouverne, en paroi temporelle dure, sous l»’oeil malicieux (?) ou effacé (?) d’une bambi des prés ; nous cherchons une porte d’entreée ; nous cherc hons à comprendre les choses qyui sont ; nous cherchons à comprtendre ensembvle ces chodses, nous essayons de les comprendre au mieux, ; du mieux possible, et pour cela nous entrons de concert, en pareillle paroi de grotte ; nous voulobns savoir tout de tout, et que savons- nous ? peu car nous sommes morts ou tout comme ; ou pas ? ; nous essayons de voir ce qui est de toute l’affaire pariétale ; de quoi s’agit-il ? ; il semblerait que nous fussions nous m^mes des betes des prés et qu’à ce titre nous puisssiiiions bénéficier des attributs habituellement alloués à la biche ou au chevreuil  ; serions-nous biche ou chevreuil nous-mêmes ? qui ou que sommes-nous ? ; nous penso,ns avec des mots d’homme et cependant notre être en entier court (galope) en prairie parmi des betes de prairie ; il s’agit d’une dichotomie axiale, voilà le fait ; il est évident que pareil écartèlement ne peut en aucun cas nous donner la joie ou le sourire qui étaient celle ou celuyi que l’homme des cavernes, aupres des siens, pouvait arborer ; nous sommes pris entre deux feux ; nous sommes prisonnierrs d’un foyer temporel quyi nous égratrigne, qui nous gruge etc ; que devons nous faire dè!s lors pour nous libérer de pareil foyer grugeant ?  ; eh bien peut être cette chose d’une insertion (bille en tête) dans une sorte de paroi de grotte, et pour cela il est préférable de 1 : se donner la main si vous êtes deuxs, et 2 : s’enfoncer fissa en icelle avant de gagner illicvo presto la place allouée par (on ne sait qui ) à votre endroit ; nous pouvons dire des choses, nous pouvons aussi les dessiner, il n’empêche que voilà que cette chose nous arriive, de nous voir de la sorte insérée main dans la main, allongés tout crus sur la berge etc, sur la roche du temps imparti ; nbous voulons comprendre l’ensembvle d-u mécanisme et pour cela il nous a été évident, à nous deux, que nous devions fissa nous introduire en pareille roche du temps, et nous laisser ainsqi aller dans le ssens de cette roche (habité) temporelle, ou spatio-temporelle de grotte de France ; nous pensiiiiion,s bien faire ainsi faisant ; nous acvons pensé que la solution résidait en pareille insertion conjugale en paroi de grotte, et qui pour nous dire le contraire ?  ; car nous voyonsz la bete qui va et qui vient, nous voyons la bete sur paroi (dessinée esxcellement) qui fonce, qyui rugit, qui saute, qui vrombit ou rugit etc ; il s’agit de cette bete en nous que nous portions en  ous, et qui à présent fait klzes beaux jours d’une pareoi de grotte , ici en france , ou bien ailleurs dans le monde ; nouys sommes ainsi qui nous blotissons en pareille roche du temps, à la recherche d’une réponse qui vienndrait comme par magie et nous donnerait du baume au c oeur, or qu’z-en est-il de cette attente, et de ce baume ? nous savons que la bete en nous est là , comme saturée, et cependant où est-elle sous nos yeux ? nulle part, qui puisse nbous dire et nous renseigner sur la marche à suivre pour rester en vie ; nous pensons que la pen,s»ée ne nous aide pas vraiement pour ce faire, si tant est que’elle nous aidât à autre chose (en paroi oou pas)  ; nous sommes deux à le penser ... car nous sommes deux ; nous pensons que nous devonqs aller dans les pro fondeurs de la terre, au plus loin de cette terre mère, si  jamais nous souhaitons ou souhaitiiiions en savoir plus sur les tenants et les aboutissants de pareille aventure terrestre ; nous sommes comme des enfants perdus ; nous faisons mine de savoir, rattrapés par le langage en  ous qui nous hausse du col, or non : surtout ne pas ! il ne faut pasd surtout cela, se hausser ! surtout ne pas, hausser soi même en pareille paroi temporelle! ; il est bon de le comp^rendre incessamment et ainsi aller en besogne plus loin et ailleurs, à la rechzrche du pot aux roses : où est)-il caché ? où se cacxhe-t-il ?  ; nous avons quelques idées sur le sujet mzais elles ne sont pas présentables en l’état ; nousv voulons savoir ce qu’il en est de cette dure paroi de roche, quyi serait le telmps de la vie éternelle, qui sait ?  ; notre envie ici se loge à dessein parmi les betes (de roche) (representées toutes) et du coup nous nous retrouvons à ne pas (jamais) nous lachezr la main en ce sein ; nous nous retrouvons à devoir ne pas nouds lacher la main jamais pour ne pas offusquer (?) ou effrayer la bete devant nous, cette biche des prés qui va, son chemin matutinal à même kla paroi rocheuse ; nous pensons que cette bete a de l’avznir, est notre avenir ; nous pensons que cette bete devant nous est faite probablement pour aller loin ainsi en roche, et pour le coup dans le temps imparti d’une vie terrestre, et même au delà  ; nous pensons que cette biche est taillée pour tenir dans le temps de la roche ; nous voulons le penser de cette sorte et voilà pourquyoi nous nous emballons à l’idée de pouvoir un jour la toucher un tantinet ou un tant soit peu et du même coup en recueillir un pouvoir magique (magnifié) qui serai-t celui de pouvoir durer (de la sorte) en paroi du temp)sq, comme un aurochs sur une roche dessiné ; nous essayons de comprendre ensemble un grand nombre de choses, de celles qui bnous environnent comme de bien entendu mais même au delà, de celles qui vont au delà et débordent le champ lexical pour ainsi dire ; nbous avons des ambitions à la hausse ; nous voulons comp rendre loin et profond ; nous voulons découvrir et cer ner dans la durée ; où sommes nous et que faisons-nous ? que devons-nous pensqer de la roche ornementée ? qu’avons noyus en  nouys qui puisse nous laisser pensert que nous pourrions briguer une immortalité de bon aloi ? pourquoi pensons-nous la chose ? qui pour ne pas le pensern,, et qu’en esqt-il cdes vérrités de bon aloi, pariétales et autres ?  ; nous sommes à la recherche d’un trésor de roche ; nous espérons beaucpuo en la venue aupres de nous de cette bamb bi de prairies (de roche prairiales)  ; nous voulons taper juste , à la bonne porte, ne pas nous tromper, et apprendre , apprendre des biches et des cerfs, jusqu’à plus soif si tan,t est, et ainsi pouvoir aller gaiement en cette paroi qui, devant nous, «s’ouvre» à nous comme la mer é gée ( ?) (ou d’Egypte ?)  ; nous sommes ensemble ici sur une roche pour entrer en elle via l’art ; Vialard serait le nom de cette roche d’insertion ; nous poussons la chose le plus loin possible (on le voit)  ; nous vvoulons cxomprendre ce qui est de ce qui se trame ici, ce qui est de ce qui se treame là, et ne paas (jamais) perdre le sens de cette sorte d’embardée (en vitesse) en roche de grotte  ; pour nous, il est bon de garder le cap, de poursuivre coute que coute (et advienne que pourra) ce chemin ou cette voie d’avanncée pariétale soit d’une sorte de paroi à percer par un pic de bouche, et c’est exactezment cela que nous entreprenons, que nous tentons de faire ensemble avec une pique verbale (un entrelacs de choses dites) qui, sorti du trou de notre bouche, va direct (fissa, fissa) se loger en pareille paroi temporelle, en ce sein d’un dur de chez dur ; nous avonsz à faire cette chose ensembvle et cette chose nous la faisons ainsi que nous le disons: à travers la paroi et jusque dans son wsein ; nous poussons loin les représentations en termes de ressemblance et cela (on l’aura comp^ris) et d’une importancve capitale : il s’agit de faire au plus une betye ressemblante afin de faire accroire à la galerie que cette bete-là est du vif de cxhair vive et pas de la mùorte chair de bete mortte ; il s’agit pour nous de comprendre tout cela qui nous occupe ; nous voulons comprendre toute cette chose pour nous car nous avbon,s un grand besoin (immense) de co:mp^réhension (plus qUe la moyenne ? non pas ! mais ici cela passe pour nous par un besoin urgent de représentations pariétales)  ; nous voulons faire les beaux de paroi, les qui savent les choses rupestres etc, mais en vérité nbous sommes encore et toujours simples chercxheurs, de premèière année pour ainsi dire ; nous n’avons que peu à ce jour de cordes à notre arc ; nous sommes pleins d’envie et ne lâcherons plus la bride de sitôt , cela est une chose, mais pour autant nous qsavons le chemin encore long qu il nous rewste à parcourir, et le nombvre encore de grottes à explorer etc ; nous voulons hgagner des batailles, oui, nous voulons aller loin en besogne (comme des besogneux que nous sommes  , oui, nous voulons découvrir et toujours découvrir des trésors de roche, oui, nous voulons nous immiscer dans une roche meuble (meuble ? ) oui, oui et non , car qui a dit que la roche était meuble ? était-elle meubkle ? parfois peut-etre en effezt , mais voilà une des choses encore que nous ignorons, et sur laquelle à ce jour encore nous ne sommes pas en mesure de nous prononcer sans  le moindre doute ou sans nous excuser de quoi que ce soit ; car il y a encore pas mal (une foultitude) dxe choses à apprendre, en cette sorte de paroi brute ; nous savons que avons encore un grand nombre de choses à devoir pour le coup trouver en cxhemin (sur notre chemin) comme par exemple des noms propres (Vialard ?) comme par eexpmle des vérités de bhon aloi ; comme par exemple des troublmes anciens qui ressurgiraient à notre passage et nous permettraiennt de les conscxientiser davantage et d’en guérir (par exempl ;)  ; ou tant d’autres ; ici les buts sont nombreux, qui nous voient entrer en roche deux par deux (? ) et nous allonger en elle (les pieds devant) pour regarder ensemble ain si passer le train du monde et ne pas en louper une miette ; le monde est le nôtre, qui passe sur llesz devants ; nous voyons des choses folles qui vont (viennent) sous nos yeux, il s’agit d’une féerie native, on l’a dit  ; il sq’agit d’u ne beauté de roche ma culée de boue ; il s’agit d’une biche debout sur une roche et qui ne bouge plus et nous scrute, attentive au moindre de nos mouvemeznts, mais nous reswtons le plus immobile possible, presque sans respirer ; nous tenttons la chosesx : sans respirer : nous faisons le mort ; voilà l’instruction ; nous avons à notre charge beaucoup de griefs, qui pèsent tres justement ou très certaineme,ent, mais pour autant nous tentons notre cxhance, en paroi du temps, pour une insertion qui se tienne et qui du même coup tienne dans le temps ; nous sommes motivés, nous sommes plein d’a llan,t ;, nous sommes des furieux qui voulonbs mordicus toucxher la timballe des temps ou bien l’in verse, des enfants de peu qui s’aamusons ou qui nous amusons à toucher bambi sans l’effrayer outree mesure ;? ; nous voulons comprendre un tout complet et non point des parties de peu, qui nous diront ou nous en apprendront peu en vérité ; nbous chgerchons à nouys lover ebn parteille paroi , pour une recherche de spectacle féerique, pour une recherche de spectacle fou ; nous donnons partout de la tête, nous ne savons plus où regarder tant le spectacle présenté est coloré, fuse de partout, offre mille atours et mille feux ; la biche et le chevreuil nacrés, le bison chargeant, la  jument brossée, l’aurochs survoltés, les rennes, les chevaux en gra,nde bande, les ours des cavernes debout, jurant mille noms, et entrant de concert dans la ronde : l’arche de Noé ; nous voyons toutes ces betes aller , leur chemin de ronde , et nous nous tenons à l’abri le plus possible contre une roche, nous sommes un peu peureux et ne voulons pas preter le flan à l’animal à cornes ; bnous voyons le spectacle de cette chose qui se trame en roche, et ce spectacle nous retient fortement et nous oblige à regarder attentivement le moindre écart des betes, le moindre écarts de betes de betes, à regarder de près, à regaerder  les betes le plus, à ne pas la^cher d$u tout notre surveikllance, à regaerder le plus possible les moindres écarts des betes, le moindre des écarts dans le mouvement général de la troupe en folie, etc ; nous essayons de nous tenir à l’abri de toute éventuelle incartade de la part de ces beytes en furie, ou pas, mais elles varient vite, et nous ne sommes pas rassurés ; nous esswayons de comprendre latrame dfe cette furie du monde pariétal et pour cela nous regardons, attentivement, l’ensemble des mouvements qui guide,nnt la troupe ; nous essayons de njous tenir près à toujours noud déplacer de là où nous sommes , si jamais une bete venait à chuter de sa ronde et tomber sur nous ; nous essayons de piger le plus, comprendre encore, et savoir beaucoup de toute cette affa ire de roche habitée par des esprits frappeurs, par des etres venus d’ailleurs (?) ou bien par des bêtes dessinées à main levée, excellement, par des hommes (ou des fzmmesq) sous emprise très certainement ; nous ne voulons pas trébucher, nous voulons conserver  la mainmise sur nous et aller, en paroi temporelle, où bon nous semble, or il s’avère que la question ne se pose pas en ces termes, la question est débordée de toutes parts et se perd dans les limbes du temps pariétal ; cela est ce qu il faut dire ici, à ce stade de nos reéflexions ; il s’avère ici que la question dsu temps est centrale, et non seulement centrale en esprit, mais qui se loge a u  coeur de la rocxhe, c’est-à-dire au centre du centree du coeur de la roche, de la roche-terre, et cela nous l»’avions senti il y a belle lurette ; nous saviiiions que roche = terre, et que le nom de celleci allait de pair avec la pa roi temporelle ; le nom de roche allait de pair, car il est évident que roche il y a ici qui a pour nom la terre», cela est su ; ce qui kl’est moins c’est ce rapprochement, entre un temps dee vie donné par la bête, et une roche (fut elle la terree) qui en épouserait le relief, ; le temps est une chose brute, qui reste à amadouer par la bande, en paroi ou ailleurs, en paroi tres certainement (voyez l’homme des cavernes) mais pas sweulement : le temps est une enclave, comme une bulle est une enclave ou comme une outre est une enclave ou comme un ventre de brebis ou de vache (panse) est une enclave ; il semble que cette chose, cette chose brute (roche de la terre mère) est une chose à penser ensemble , c’est à dire au moins à deux et plus justemen,t à plusieursq, plus finement, car à plusieurzs nous en saurons plus, car chacun aura des yeux pôur voir (la biche et le cerf) ici ou là, toi ici et moi là, etc, quand deux yeux voient ppeu ;  

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20/01/2021

il est une chose qui à colporter est, et cette chose est là , devant soi, à dire, à énoncer pour la bonne cause en nous animalière, il s’agit d’un colportage de données de vérité, qui se veut fiable, dur pour tenir (dans le temps de la roche dure) et doux au toucher pour une préhension facilitée ; nous aimons pareils colportages de masse : à l’encan, à la criée, dur de dur comme des vérités vraies, et doux de chez doux au toucher ; nous sommes ainsi qui aimons ces dires lâchés et prononcées à l’envi ; nous allons dans les sous bois de la roche dure ; nous cherchons ces bêtes éparpillées et nous les trouvons dans les embruns ; nous sommes bêtes nous-mêmes, nous sommes nous-mêmes de drôles de bétes de sous-bois ; nous voulons comprendre «absolument» ce qu’il en est de cette vie sur terre, ce qui est, le pourquoi du comment ces choses, d’où on vient, où on va, qui est qui, quoi est quoi, et ce qui nous attend à tous les deux, et aussi pour l’ensremble de l’humanité ; ce qui est et ce qui n’est pas pas, et aussi pourquoi les mots ( le langagep) nous permet pareills flottements, pourquoi les mots nous donnent «à penser de ci de là», c’est-à-dire des directions qui changent au gré des personnes, etc : pourquoi ?  ; car nous pensons que les mots ainsi ballottés ne sont pas d’une efficavcité à toutes épreuves ; il nous semble à nous que les mots employés de la sorte ne sont pas d’une efficacité criante et cela pour nous est un peu pénible, et ne manque pas de nous questionner à tout bout de champp  ; nous avons soif de choses vraies ; nous voulons comprendre ce qui est ici, de cette paroi du monde devant nous, la bvérité vraie sur les zonesq pariétales et sur les embruns aux biches et autres cervidés de sous bois ; nous voulons la vérité vraie sur les chose ; nous voulons pour nous cette vérité des sphères, et pour «l’ensemble de lm’humanité» car ce que nous voulons , nous le voulons donner à un ensemble, à cet ensemble de l’humanité, nous le voulons donner de vive voix à un ensemble humein généraliszé ; nous voulons que cette chose d’un ensemmble humain soit informée de toutes ces choses de vérité vraie ; nouys voulons que toutes et chacun, tous et chacune fussent informée de vive voix, à la criée, de ces vérités de parois rocheuses, de parois temporelles, de parois des zarts des parois ; nous avons à découvrir un certain nombre de choses (en grattant la terre ou la roche) et ces choses, une fois découvertres, nous avons à les afficher à la face (!) du monde, car cela est que nous le devons de la sorte ; nous devons agir ainsi = dans ce sens : la vérité est une, inaltérable, durable = dure, elle tiendra le choc, elle est faite pour durer comme de la roche etc, et toute vérité qui flanche n’est pas , n’a jamais été en définitive, une vérité vraie = digne de ce  nom ; nous pensons que nous devons dire des vérités à la criée, les porter haut sur paroi, tout haut en grotte, les lever comme hosannah et ainsi faisantr nous nous adressons à qui de quoi se présente à nous, ici, devanrt, dans la mort oou dans la vie apres cette vie rocheuse ; nous pouvons penser que vie + vie = mort, mais nouys pouvons penser aussi que la vie qui va son allant rocheux (temporel) est déjà cette chose inclue dans la mort ; nous voulons penser que cela est cette chose à dire ici, pour nous d’abord, et pour un ensemble de l’humanité, ou pour l’ensembvle de l’humanité etc, car nous ne voulons pas garder pour nous ces choses mais les offrir, les donner fissa (nous en débarrasser ?) pour la bonne cause ; nous avons fait entre nous ce choix d’un dire à la criée, nous avons fait ce choix il y a peu en définitive, et ce choix à présent nous devons l’assumer et par conséquent le porter au jugemen,t (à la vindicte) public (publique) ici ou là ; nous avons pris une décision et cette décision est à présenter devant soi comme un temps donné de vie et non point la vie en elle même : falsification démoniaque ; nous avons à dire une chose et une autre en cette zone pariétale (dans) où nous sommes logés pour la bonne cause, nous sommes ainsi abrités, nous sommes ainsi à l’abri des ruades du temps , ou pas tout à fait car les betes chargent parfois, mais nous nous sommes lovés de guingois contre une paroi et nous nous tenons cois sur nos gardes ; n ous sommes abrités ; nous sommes deux qui nous tenons comme abrités au coeur de la paroi du temps, comme protégés , et nous regardons passer le train du monde pariétal, cette roche oprairiale qui est cette chose prairiale aux acteurs divers : bisons et phacochères, chevaux et ours dangereux, etc ; nous nous sommes blottis, nous nous sommes mis de biais à l’abri (anfractuosité) à même un bord de roche etc ; notre volonté est grande d’aller ainsi à la découverte de la vérité de poids, grande vérité du monde, vérité indéboulonnable comme toute vérité qui se respecte etc ; nous sommes deux qui voulons connaitre la vérité sur le monde :  donnezv-nous la vérité ! donez-nous toute la vérité, rien que la vérité sur les choses du monde !  ; nous voulons savoir ce qui est ici (en paroi) de ce monde, nous voulons ensemble connaûirtre tout du tout, et ne rien laisser de côté mais tout englober dans notre réflexion ou notre approche ; pourquoi y a t il des mots qui diraient juste et d’autres qui diraient faux, quand il s’agit des mêmes mots ?  ; dès lors : les mots (un ensemble) disent une vérité qui est celle qu’ils portent en tant que tels, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise visions des choses, il y a des mots (tout à trac) qui disent (un ensemble) ensemble (en paroi de grotte) leur prpopre vérité de mots ; nous pensons que l’homme des cavernes portait en lui pareil sqavoir ancré et se prêtait à des séances incantatoires d’écriture pariétale (au charbon de bois par exemple) et se laissait mener ainsi : par le bout du nez ? ou par en lui l’esprit de la grotte,» l’esprit de la grotte» ? oou par en lui-mêeme un animal «de cvompagnie « : l’ours des ^prés ou la biche bambi des sous bois ?  ; nous pen,sons que nous avons pas mal encore de choses ici ou là à comprendre et la chose nous maintient ainsi, accrochée à elle (vérité de paroi) pour des temps longs, qui sont temps d’incantation ; nous cherchons une vérité danbs la roche, et cette vérité nnbous la cherchons ensemble, fisqsa, nus, ou dénudés (?) et nous entrons ainsi dénudés ou nus dans la roche (plongeons) et là nous nous mettons sur un côté et observons passer les betes des prés ; nous nous introduisons dans un dur de roche temporel (à la naissance ?) et ce faisant nous nous retrouvons enclavé, instrumentalisé (le corps et le verbe) et nous devons (soi-disant) c»comprendre» les choses ou des choses de la vie sur terre etc ; il s’agit d’une incartade ; nouys avons à comprendre pareille incartade et pour ce faire passer la tête en roche, main donée à main donnée, et nous retrouver «comme», comme de l’autre côté de cette roche spatio-temporelle de la vie sur terre ; nous sommes dans une optique (nous deux) qui veut que nous soyons comme deux etres étendus nus (logés-lovés) au sein cd’une paroi de roche ; nous sommes nous deux au sein d’une paroi de roche nus étendus pour la bonne cause pariétale, et voilà ce qui nous attend : le passage des betes d u temps, magdaléniennesou bien aurignaciennes à la diable : etc ; nous voulons connaître bien dxes choses de ce temps qui est pour nous un temps dee longue durée (dans notre esprit) et pour cela nous avons décidé de rester allongés de la sorte, main dans la main, et ensemble unis dans une sorte de regard braqué, en direction des biches des prés et des bisons des lointains sous-bois ; nous essayons de voir clair (clarté) le plus possible en  ce lieu de roche, et nous regardons dès lors ensemble l’ensemble du paysage, cet ensemble devant nouys qui se présente à nous dans une forme pariétale en diable, etc ; nous voulons comprendre ce qui est qui est devant : la mort ?  ; nous n,e voyons rien de cet ordre et dès lors nous pensons que la mort n’est pas ; nous sommes qui pensons que la mort n’esxiste pas en ce bas monde, mais seulement (existe) en un monde hors du monde, c’est à dire nulle part, etc ; nous ne savons comment nous retourner ; nous ne savons pas comment nous retourner pour y voir clair, nous tourner de trois quart ou davantage : comment ?  ; nous ne savons pas comment nous y prendre pour nous retourner en c ette loge pariétale, nous sommes comme pris dans de la terre glaise, comme sidéeres, comme emboutis ; nous voulons nous dégager de pareille fange et comment ce faire ? comment faire, comment s’y prendre ?  ; nous ignorons cette chose, nous ignorons cette chose ici, pour nous, qui sommes nus, et qui nous prêtons volontiers au jeu des devinettes, or ici il ne s’agit pas à prpoprement parler d’un jeu de devinettes ; il s’agit d’un e toute autre adffaire que celle qui serait ainsi définie en tant que jeu de société : nenni ; nous ne voulons pas de ce jeu-là ; ce que nous voulons est plus grave ; ce que nous voulkobns est plus essentiel ; ce apres quoi nous gambadons est plus centré sur une chose dure (massive) de vérité, à savoir sur cette chose de la bête (dure) de paroi ; nous sommes centrés sur elle, cette bête dure de opa roi ; nous voulons nous tenir comme centrés sur cette bête de paroi (dessinée) etc ; cela est indubitable ; cela est dur de chez dur pour nous, qui allons par les prés et les champs, à la recherche d’un (une ? ) bambi de bonne souche, ou de bonne lignée, etc, ensemble = main dans la main ; nous cherchons à nous protéger de toutes rebuffades intempestives ; nous sommes tous les deux qui nous tenons par la main et tentons continument de nous protéger de toutes ruades animalières malvenues, etc, qui pourrait nous mettre à mal , nous blesser, nous faire chuter, nous entraîner loin de nos projets de gravitation, etc ; nous avons pour nous à nous tenir serrés ; nous ne voulons paes etre mis sur le côté (bousculés) par une troupe vive et brutales ; nous voulons poursuivre no

s recherches de paroi, notre gravitation, notre chose dite, nos pas comptés ou chassés etc, sur cette lande pariétale à la diable, etc ; tel est notre pro$jet de vie ; nous voulons poursuivre en gravitation, gravement, notrte trajet, etc ; nous voulons que cette chose perdurât et se logeat aoinsi en paroi pour notre maintien en son sein main dans la main  ; nouys sommes deux qui nous tenons ain si, main dans la main, pour des recherches en gravitation pariétales etc, et cela est qui nous occupe fortement depuyis longtemps à présent ; un jour nous sommes nés à la vie, et nous avons compris alors que la paroi du temps était chose dure, à s’y casser les dents ; nous sommes donc ainsi devenus des etres qui se logent en paroi du temps , à deux, pour une cause (discutée, verbalisée : aurochs ) commune, celle d’aller de l’avant continuellement vers un but non encore précisé à cette heure et qui (but) serait celui d’aller loin en perspective ; nous longeons paroi de roche, et allons de cette sorte(dos au mur pour ainsi dire) vers des lmendemains de roche projetés (les lendemains) à deux, ici bas, en un élan de vie vive déployé ; nous sommes qui nous mettons de la sorte en une sorte de chemin de vie vive, il s’agit d’un chemin de vie, et ce chemin de vie nous est octroyé dès notre venue au monde, par père et mère (?) et ainsi octroyé nous allons fissa à la renconttre de la paroi ; nous cherchons des choses ici ou là qui soient pour nous des vérités durables : 1, le langage, 2, la vérité, 3, le ciel bleuté, 4, la roche allouée, 5, la peine et le chagrin des roches ; nous allons par ces chemins pentus, nous escaladons les rochers, nous montons notre cylindre (corps) sur les hauteurs et regardons les choses au lointain, qui se situent aux quatre coins du monde ; nous avons à comprendre beaucoup à ce jour encore de la vérité et nous voilà partis pour ce faire, et cela avec des mots qui seraient ainsi à  employer ensemble (à toi à moi) pour y comprendre quelque chose de cette aventure terrestre ; or voilà que les mots sont battus en bvrèche ! ; il s’agit pour nous d’un pis-aller, et comme d’une expression par la ban,de, à défaut ds’autre chose, à défaut d’un tracé opariétal de buffle, de bouquetin, etc ; notre dire est celui qui, sorti de notre bouche, ferme la marche ; nous pensons que nous avons à comprendre encore bien des choses du monde, encore bien des choses, et ces choses nous voulons que cela soit ainsi que nous puissions les voir : devant soi ; nous sommes tous les deux pour une découverte à faire en intra)-pariétal ; nous avons à faire nous deux une découverte, et celle ci est pour nous une chose d’importance grande, majeure, dure, à conserver par devers soi comme une vérité de bon aloi ; cette découverte à faire concerne cette vérité de la roche du temps ; les mots disent ce qu’ils veulent dire ; nous disons que nous devons aller le plus loin possible au sein d’une paroi et pour ce faire nous devons nous enquérir au préalable du bien etre, du loisir possible, offert par ladite roche des temps : y a-t-il possiblement pour nous l’opportunité ici de s’allonger incidemment en pareille roche du temps, et de s’y prélasser ?  ; sommes-nous bien accueillis ?  ; allons nous l’être ?  ; nous voulons tout sur tout savoir au préalable ; nous sommes ainsi qui nous posons moultes questions copncernant ce temps de roche ; nous voul:ons comprendre ce qui est pour nous, quyi nous attend en des lendemains pariétaux, pour des lendemains de roche dure, à nouys deux, comme une sorte de sortie de  route (embardée) à prendre au mieux ; nous sommes qui devons ensemble nous donner du temps pour la compréhension des choses vives de paroi, et ces choses nous les désirons situées face à nous, bien campées et droites comme des bambis de pré etc ; nouys sommes ensemble ici pour des compréhensions à avoir ou à posséder, nous nous logeons de la sorte en paroi comme dans un hamac qui serait hamac de refkecxion, de recherche, de compréhension et de préhensions des choses de roc ; nous allons ensemble au plus profond ; il s’agit des profondeurs de la terre ; nous cherchons des solutions à des problème de compréhension ; njous voulons nous immiscer au coeur de laroche, où donc déboulent conséquemment des meutes et des troupeaux de betes fauves ; nous voulons comprendre ce qui est au coeur de ce coeur de roche ; nous voulons nous immiscer en ces profondeurs afin de comprendre c e qui donc se trame au plus lointain intériuer du monde de roche ; nous avons à découvrir des choses entre nous , et ces choses entre nous nous devons les placer sous notre oeil de vie vive, encore alerte, afin d’en comprendre les arcanes ; nous devons comprendre ces choses de roche (incurvées) dans les profondeurs de leur etre, nous devons les saisir à la racine  et les prendre à pleines mains pour ainsi dire ; il y a des choses ici qui nous posent qyusetion à nous deux ; il y a ici des choses qui ne manquent pas à tous les deux de nous poser problème ou question et cela est que nous nous en posons pas mal, en ce sein des seins pariétal : nous nous posons un grand nombre de questions , et nous avons dès lors à coimprendre toute cette chose en dur, qui serait le coeur de roche parioétal en vrai, ce coeur en vrai de la paroi du monde ; il s’en faut de peu que nous le croyiiiions ; il se faut de pas grand chose, car nous sommes logés (lovés) au coeur du coeur de la meule, en ce sein du sein pariétal, comme souris en so n fromage, et voyons de là (de cet endroit) passer les troupeaux, les meutes, les troupes, les chhiens, les chevaux ; nous avons à comprendre pas mal encore de choses, en ce qui concerne cette vie sur terre , et cette chose est telle que nous nous devons de nous donner la main pour ce faire et ne plus jamais la lâcher, car nnous sommes deux qui devons ainsi agir pour la bonne cause, pour une cause partagée, qui est celle d’une recherche (gravitationnelle) d’entrée de roche ; nous passons ain si nos tetes respectives en cette fissure ou entaille de roche, et ainsi faisant nous nouys rapprochons du coeur de la roche du temps , lieu des vérités fiables et comme campées sur leurs positions de vérités qui tiennent, qui parent, qui sont pour une éternité et non point fugaces etc ; notre volonté ici est de toujours aller de plus en plus dans une profondeur des choses (pariétales) en diable ; notre volonté ici est d’aller toujours plus loin en pareille roche, aller loin le plus possible en icelle et nous lover en elle : pour comprendre, pour cerner, pour saisir, pour prendre, pour acquérir, pour se remplir etc de choses et autres de la vérité des roches, ou de la vérité de roche ; notre but est lmà quyi nous tend les bras, qyui est celuyi que nous voulons choisir en tant que tel : le but du dire le vrai, le fiable et le (celui) se maintenant ; nous voulons comp^rendre tout ce qui (pour nous) peut nous donner à pour le coup comprendre l’ensemble des données offertes par une paroi dite temporelle ; nous voulons essayer de comprendre ensemble un tout pariétal , et pour cela nous nous disposons en paroi, de telle sorte que nous ayons, pour nous, des possibilités, étendues, pour des prises à bras le corps, à pleines mains, des choses du monde ; nous pensons que nous devons agir de cette façon, en paroi, et pas autrement : en ouvrant les bras en grand, les bras et l’ensemble de notre cylindre etc ; nous devons, njous sommes ainsi qui devons nous ouvrir au plus de ce que nous pouvons, afin d’acquérir le plus possible de données concernant le monde, la paroi du monde et ses vérités ; nous ne savons pas qui nous sommes, nous ne savons pas qyui nous ne sommes pas, nous ne savons pas ce qui nous attend, nous ne savons pas qui est l’autre, nous ne savons pas pourquoi nous sommes là, nous ne savons pasd ce que c’est que la bete, devant nous, qui nous regarde : une bête ? un regard ?  ; nous voulons savoir tout de tout ; nous voulonbs comprendre tout de tout ce qui nous entoure, et cela n’estcpas une chose facile en soi, loin de là, car pour cela il y faut de l’endurance, du courage, une bonne dose d’abnégation, un entrain à toute épreuve, une grande motivation , du coffre, une volonté de fer (farouche) une prise pour soi des choses, qui se viennent poser sur roche tout près dans une sorte de rapidité , etc, qui fait que prise ici = rapt ; nous disons que les choses sont telles que nous, nous nous devons de faire cette chgose de pareoi pour une sorte de compréhension meilleure des données présentes ; nous devons comprendre le panel en son entier : l’ensemble des données de roche, le complet alentour etc ; nous avons à dès lors nous enquérir de tout un tas de choses précises concernant c e monde pariétal offert, ce monde ici bas qui nous promet des betes de chevauchement, etc, et des lors, nous nous mettons en quête, elle et moi, dans cette direction donnée d’une recherche pariétale soutenue ; nous voulons comprendre le monde en ses recoins de roche brute et dure : le temps de la vie sur terre, ce temps déployé ; nous avons à mieux cerner tout un panel et cee n’est certes pas chose aisée, bien au contraire : nous devons étirer nos jambes, nos guiboles, en ce sein des wsein du monde pariétal, nous nous devons, de nous étirer le plus possible et ce n’estcpas facile loin de là, car il fzaut la place pour nous allonger, nous lover-loger en icelle paroi de roche, il nous est nécessaire de gagner un peu de place au fur et à mesure de nos avancées de type percées ; nous devons aller en elle (paroi) au cvompte goutte ou comment, peu à peu gagner du terrain ; nous avons une chose à faire ici, qui est de petit à petit gagner du terrain, peu à peu ou au compte-pas ou compte goutte  ; il s’agit de mmenus progrès à chaque fois ; les choses se placent ; il s’agit d’une sorte de progression fine, douce, en douceur, qui va son chemin par courtes avancées à chaque pas, qui va lentement va loin , et cependant la roche est intacte, elle ne varie pas, elle est plkeine d’elle-même , quoique nous accueillant en son sein de roche ellev ne nous donne pas de son étant de roche à boire ou man,ger, elle ne varie de rien ; elle est celle qui reste compacte malgré nous en son intérieur  ; dès lors, que penser ?  ;: que nous sommes en p^lus ? que nous sommes en elle en moins ?  ; peut-être en moins !  ; nous penso,ns que nous devons aller ensemble en elle pôur comprendre ce qyui est de cette vérité de roche pariétale : il s’agit d’un moins de nous , en cette compacticité de roche dure temporelle : où allons nous ? que faisons nous lorsque nous entrons, tête première, en cette roche du temps déployé ?  ; nous aimeriiions bien un jour ou l’»autre le comprendre une fois pour toutes ; nous ne savons pas vraiment à quoi nous en tenir ; nous ignorons un grand nombre de choses et cela est pour nous comme une petite défaite de la pensée , de notre pensée ; nous aimerions comprendre davantage, aller plus loin dans la compréhension des choses du monde, savoir déceler etc, or nous sommes restreints, nous sommes comme prisonniers de notre betise au sens de frontières de pensée, au sens de barricades etxc ; nous pensons que nous sommes comme barricadés en nous mêmes et que notre pensée n’arrive jamais à véritablement se déployer en entier : par manque de place pqariétale ? ou  bien par défaut de fabrication , du fait dx’un défaut sien ou nôtre de fabrication de cet ensemble «corporel» qui est le notre (le mien) ?  ; nous ignorons quelle est donc la bonne r éponse à pareille question temporelle ; nous avons des choses à prononcer ici (paroi) et ces choses toutes concernentv la vie ces bêtes (ou presque toutes)  ; nous voulons prononcer ici un petit nombre de choses et ces chose , nous voulons les notifier sur roche, ici bas, par devers nous, et ce dans une sorte d’état de grâce ou de transe, une échappée belle etc, de nous ou depuis nous qui nbous laisserions ainsi mener où bon semblerait, où bon lui semblerait, lui = cette chose en soi de guidage, etc ; nous pensons que cette chose pour nous est une chose dure ; nous opensons que cette chose est pour nous chose dure de chez dure et que par conséquent nous devons nous soumettre à pareil guidage de vie, et ce dans( à l’intériuer) de notre bétise langagière cde base, ; nous cherchons un e vérité quyi serait davantage une sorte de paysage que la vérité d’une phrase,  ; nous cherchons quelque chose comme un paysage temporezl, un emnbrun, une fumée douce etc, recouvrant l’ensemble des parties, biches et cerfs inclus, pour des compréhensions de longue durées si possible ; nous avançons ainsi (pas chassés) sur la lande, nous sommes tous les deux qyui ne nous quittons plus, nous voulons nous projeter de cette sorte en son wsein le plus loin possivble et ce n’est certes pas chose aisée ; nottre but est de bousculer cette donhne langagière afin de lui faire cracher son morceau pariétal en diable, pariétal et dur comme cde la roche ; nous voulons faire cracher le sein des sein, lui faire cracher ses données de roche brute, en termesc adéquats, en termes duplicables etc ; faire cette chose d’une embardée au sein de la roche , comme rebu ffade de betes massives ou de betes lourdes en pareille fete ; nous avons à dire des choses ici et là sur des parois ; ces dires tous concernent la vie des betes, ou presque tous ; nous sommùes nous pour agir : elle et moi en moi ; nous sommes tous deux pour une action à mener sur roche ; elle (la bête) et moi (la belle ?) sur roche de grotte ; nous avons à gravber un certain nombre d’animaux des prés et pour cela nous dsommes tous deux (belle et bête) munis de notre pic de lance brute, pic à graver la roche pariétale, pic cde roche ou pic des rocs, ou pic de roc ou pics des roches dures ; nous voulons graver cvette roche (elle et moi) à l’unisson, dans un élan commmun (de gravitation ou gravitationnel) qui soit celui qui nous voit de tete dessinezr la bete que nous accueilloons en nottre propre sein intériuer ; nbous voulons comprendre les choses pour nous ; nous voulons pour nous comprendre les choses ; nous voulons comprendre les choses pour nous et pour celka nous nous devons de dire sur paroi (la bête) le fin mot de toute cette ghghistoire de betes tracées, de mains soufflées, de points martelés, de rondes de nyyuit ; nous avons beaucoup en nous de choses à dire et ces choses nous les voulons dire eznsembvle, de concert, pour une embardée dans la roche, pour une embardée de notre mobile de tenue massive comme aurochs ; nous voulons comprendre ici même le plus possible de choses à cerner ; il s’agit de toutes ces betes de paroi, qui sont comme dans une ronde ; un rondeau ; nous pe,nsons que la chose est musicale ; nous pensons que la chose (la  vérité) est musicakle ; il s’agit de la pensée du jour : ici (paroi) la chose est musicale  ; nous peznsons que cette chose de la vérité incluse en un langage esqt chose muisicale à cent pour cent peutêtre , qui le sait ?  ; nous sommes deux en nous qui avançons en pareille paroi (la belle et la bête ? ) et ce faisant nous gravitons au sens gravitationnel du terme en elle, nous sommes sur une avancée de buffle, ou sur une sorte d’avancée de soi (un lancer) qui ressemble fort à une avancée sur sol , sur paroi, d’un buffle ou d’un bison gravés, par ces hommes des cavernes, par ces hommes qui savaient le pourquoi du comment de cette roche temporelle ; nous essayons d’avabnncer ainsi en paroi : à deux ; nous sommes deux à dessiner ainsi des traits de betes fortes ; il s’agit de ruades pariétazles ; nous sommes nous deux ainsi qui dessinons, de concert, cette chose d’une embardée ou d’un e ruade (esbrouffe, estocade, rebuffade, buffade, etc) : le souffle de la betye forte, une foulée, une avancée sur roche, etc ; nous avons pour nous cette chose à faire = dessiner la bete en soi (en nous) (en moi) qui tend à sortir sa tête ; nous (je) avons (ai) à sortir la tete via bouche de plaie, c’est à dire via cette (en moi) pleaie de bouche, qui saigne sa douleur quasi tauromachique ; nous avons à comprendre pourquoi nous saignons  ; nous devons comprendre  c e pourquoi nous sommes comme en sang ; nous avons à comprendre cepourquoi nous sommes en sang à cet endroit ; nous devons essayer de comprendre ce pourquoi nous sommes en sang ici bas (ici : bouche) et pas ailleurs en paroi ; nous essayons de co:mprendre cette chose du sang qui pisse , qui va de fait son allant brutal dans la paroi du temps (le temps pariétal) ; nous voulons essayer de toucher au but, nous voulons essayer de comprendre cette chose en nous qui serait que nous sommes plusieurs en nous, c’està dire nombreux : une troupe ou un troupeau cde betes en n  ous ; nous disons je pour une raison simple qui est celle là commùe quoi n ,ous refermons apres moi le déluge laporte sur nous qui pissons le sang de la  bete :joue percée par une rebuffade de bete en nous, en je ; nous tentons une approche pariétale ; nous tentons cette approche à deux  (avec la bete en soi)  ; nous comprenons ces cxhoses, comme quoi nous decvons aller loin en pareille paroi remplies de betes, en pareille paroi ornementée par des etres qui, autrefois, dessinaient de grace, main levée, la bete sur roche, pour une éternité de temps pariétal, pour eux et pour le dieu de la paroi du temps ; nous pensons que nous devons ensemble nous permettre de comprendre toutes ces choses et cela n’est pas une chose aussi simple qu’il y parait de prime abord, loin de là ; nous devons nous avancer à pas comptés (chasséqs) sur la lande ; la biche est celle que nousaimons ; il s’agit de bambi cdes prés ; nous l’appelons Bambi Déprez, ou Bambine Dupré, ou Bambi Despré, etc ; nous savons que cette biche est pour nous notre guide en ce lieu prairial ; nous la squivons du regvard ; nous sommes pour elle son etre de suite ; nous voulons savoir ce qui est pour elle et pour nous, et cette chose, nous la voulons dure et droite, dure et compacte ; nous cherchons la  v érité de la praireie  du sein, nous cherchons cette vérité de la prairie en ce sein des seins pariétal ; nous voulons comprendre ces choses ici ensemble (elle la biche, et moi lecerf) et pour cela nous devons aller ensemble loin le plus possible, en  cette paroi de roche dure du temps passsé ; nous offrons ainsi notre gouverne à une entité pariétale de survie, et cette chose offerte est dure comme de la roche et droite comme un i ; il s’agit d’u ne vérité de roche ; il s’agit d’un e sorte de présence (animale) de paroi (aurignacienne ?) qui se loge là comme un poinçon de v éritéb ailleurs (une valeur)  ; nous pensons que cette chose est telle  , que nous nous devons de l’afficher pazrtou aux quatre coins du monde ; nous devons ensemble faire cette chjose ; ensemble nous le devons car nous sommes plusieiurs (en nous) à le vouloir ; nous sommes envahis en nous pqar une meute cde betes fortes  qui pousse ; il s’agit d’un troupeau d’aurochs ; ils sont légion qui poussentv en nous de toute leur force et de tout élan ; nous devons résistezr à leur charhge et la ca naliser sur roche (qui gravant, qui dessinant) le temps d’icelle (transe) et le temps d’icelui (roche)  ; nous avons cette chance pour nous, de pouvoir accueillir pareille embardée massive et brusque , c’est à dire sans chuter, sans faiblir outre mesure, sans tomber à la renverse, en tenant le choc, debout, droit campé sur nos guiboles etc  ; nous sommes costauds et costaudes ; nous tenons bon ; nous tenons au mieux de la charge, etc ; nous avons de quoi tenir en nous ; nbous devons ne pas plier sous les assauts du temps animaliezr en nous mais tout au contraire résister le plus possible, à cette attaque massive en n  ous, comme une furia qui déboule ou déboulerait depuis nootre trou de bouche sanglant, jusqu’à cette paroi de frontqui est face à nous, qui nousc regarde autant que nousq la regardons ; nous avabnçons de concert (l’animal et moi) au son du clairon pour ainsi dire  ; la musique alentour de la roche dure des temps ; le clairon natif ; nous pensons que nous decvons nous tebnir debout et sur notre garde, car la bete est fantasque , qui pêut vite perdrev le nord et charger en notre direction et dès lors nous encorner comme qui rigole ; nbous devons nous méfier de pareille bete bete ; bnous sommes ensemble (elle en moi) qui allons par les prés nous enquérir de la santé de tel ou tel langaghe prairail ; nous voulons comp^rendre les choses du monde des prés ; nous essayons de comprendre toutes ces choses, ce pourquoi le comment, ce comment le pourquoi du monde ; nous avançons dans la prairie à pas chassés co:mptés, et là : nous nous posons, nous faisons halte un court instant afin de regarder dame biche ou sieur cerf aller et venir dans l’herbe ; nous voulons comprendre toutes les données du mo n de, ce qu’elles sont en vérité, ce que ces données pourraient nous offrir en termes de vérité sur la marche du monde alentour = le monde des alezntours ; nous voulons en avancer fissa dans la compréhension (captation) des choses du monde : ce que le monde est, ce que est le monde , etc ; nous voulobns savoir toutes ces choses de concert, , les prendre toutes à l’unisson, en notre sein  cde langa ge, les prendre à bras le corps en nous ou en ce nous qui nous constitue ; en ce sein des seins parioétal que nous occupons par la même etc ; nous voulons savoir coute que coute ce que c’est que ce sein des seins ; nous avons une ambition en nous, qui est celle de chercher coute que coute une réponse à pas mal de questions que nous nous posons en ce lieu xe prairie ou de pré pariétaux = cette zone  franche pour des vérités animalières ; nous poussons le bouchon le plus possible le plus loin possible ensemble = main dans la main (deux mains pour un maintien des choses animales en présence)  ; nous chherchons des solutions dee p^rairie ; nouys pensons qu’une biche ou un cerf peut nous être utiles ; peeuvent ; car ils sont de la preairie du temps ; ils sont ceux qui peuvent, prairialement, nous tirer d’affaire un temp)s ; nouys pensons que nous devons tenir le choc le plus possibvle et autant que possible à deux : elle (la bête) et moi (le bouquetin des lieux, ou non ?)  ; nousd devons comprendre ensembvle l:es cchoses à la racine  = nous dfevons nous loger ensemble dans le sein xdes seins cde la roche, pour une prise des constantes de paroi, pour une prise des constantes de cette paroi qui, devant soi, est c et te ch ose d’une du»érée dure, d’un temps infini qui va se déployant sur la longue durée (musicale) des sphères alenntour ; nous avons à cheminer ensemble de la sorte ;  nou s avons ensemble à cheminer ainsi, de cette manière toute printanière) en prairie, sur l’herbe folle, au milieu des bêtes qui paissent, comme biches ou chevreuils des prés ; nous avons pour nous cette pensée que la prairie propose et que nous disposons en tant que tel, en tant que nous sommes des etres qui allons fissa, en cette paroi rocheuse, comme autrefois l’homme de cro magnon, sur rocxhe, avec des bâtons ; nous poussons la chansonnettte ; car nous sommes de ceux qui pensons que la terre est ronde, la paroi ornementée, les biches célestes, le vent frais sur notre joue blesszée etc ; nous avançons à pas discrets (à petits pas) sur un chemin de vérité rustique )(prairial) comme la musique ; nous allon s ensemble en ce sein des seins pariétal, nous sommes charbgés car nous so=mmes nombreux (cohorte) et nombreux nous déplaçons à pas chassés sur cette lande nimbé de brume bleiutée, verts cette biche de bon aloi, ou ce cerf broutant etc, qui nous regardent simultanémen,t de leurs regard s de biche ou de cerf ou de chevreuil : étonné lassé, étonné la s, étonné beéa t ; nous pensons que nous devons comprendrte toutes ces choses ensemble, les rassembler, en faire un bouquet (ornemental) (parois ornée) pour la bonne cause langagière ; la belle et la bête sont sur un bateau, une barqhue (l(arche) , la belle tombe à l’aeu, qui c’est qui reste ?  ; nous allons ensemble au plus loin que nous pouvons sur pareille roche, comme animaux de co:mpagnie qui se déplacent (en troupeau) sur la prairie ; nous voguons de la sorttee dans l’arche ; nous voguons de la sorte et voyons paitre les betes prairiales du temps : il s’agit d ‘un temps d’emprunt, celui offert un temps par celle ou celui qui tire les ficelles ; nous n’y croyons pas ; nous pensons qUE  nous devons aller le plus loin podssible en besogne (besogneux le plus possible) à la recherche de données de roche dure, costaudes, quyi puissent tenir la distance du temps pariétal imparti ; n ous cherchons des solutions à des probvblèmes cde données rupestres ; nous voulons comprendre ce qui est en pareillme loge des temps ; nouys voulons essayer de comprenxdre ce qui est ici qui puisse nous offrir desq solutions à des problèmes animaliers adjacents ; nous avons à gravir un sommet ; le problème est gravitationnel ; nous devons gravir la roche et graver par la même sur elle l’effigie de la bête logée en notre sein prairial ; nous voulons savoir le fin mot de toute cette histoire de temps offert, déposé, pour une bonne cause (raison) endiablée ; nbous devons co:mprenfdre les données données ; nous a bvons à comprendre toutes ces données dépôsées au pied de la roche pour ainsi dire, ces offrandes (ces vivres) diverses (divers) : ce temps déposé en lieu et place d’une vie humaine, tout cela nous devons le comprendre (prendre le) avec les mots de la tribu, avec les mots que nous avons en magasin (en nous) pour des siècles des ssiècles ; nous devons comprendre toute l’affaire à la lumière de cette clarté de roche incluse, à cette lumière de torche, de roche ornemezntée illuminée etc ; nous avons de quoi nous contenter, nous avons de quoi chercher, nous avons de quoi chercher à déceler en pareille roche éclairée, etc ; nous devons nous pl ;acer dans la position de celui ou de celle qui va ou qui vont ensemble à la recherche d(une so ;lution à des probvlèmes ; ces problèmes sont nombreux qui nous assaillent par la bande en  n o us, via le trou de notre bouche ; nous sommes deux à penser cette chose , comme quoi nous sommes deux à penser cette chose, comme quoi nous sommes deux à pensqer cette chose, comme quoi nous sommùes deux à pe ser cette chose, comme quoi nous sommes deux à penser cette chose : etc ; il y a ici dans cette paroi du monde un lang age pariétal induit , qui ne  laisse pas de venir affleurer ici, sur la roche du temps dépl ;oyé ; il y a ici (paroi) cette chose d’une vérité de bon aloi (biche ma biche) qui est vérité de haute tenue prairiale, de celles que nous aimons (adorons) pour la bonne cause ; nous avons à faire pénitence , sur roche, avec force représentations animalières, et c’est cela exactement que nous faison,s ensemble (de concert) pour des siècles des siècleqs ; nous voulons contribuer à la bonne marche de l’ensemble de la cxhose pariétale ; nous voulons que cet ensemble soit tenu de main de maitre en sa roche ; nbous guettons les données rupestres ; nbous sommùes ensemble main dans la main pour des découverttes de roche dure, à type de données données, déposées, mises sur le devant de la scène comme des victuailles dans un paniezr (d’osier)  ; nous parlons de toutes ces choses qui nous occupent sans jamais mentionner la cxghose pour laquelle à l’origine nous avons décidé de nous rassembler ici, cette chose de mémoire qui est c ette cxhose pariétale en diable et qui porte un nom, ce doux nom de «art» de la paroi du monde) ; nous voulons qaue les choses soient claires et clairement énoncées ; nous voulons que les choses du monde soient déposées (dans un panier ?) au pied de la roche du temps ; l’art est ce panier d’osier ; nous avbons compris cette chose du panier d’osier ; il wsemblerait que nous fussions endfin ceux là qui voulaient comprendre les données , et à prése’nt nous comprenons, nous comprenons vgrave, il n’y a pas à en douter ; nous comprenons plus que grave ; nous sommes toute compréhension pariétale ; nous avons pour nous toute la compréhension du monde, nous voulons lma maintenir en nous vivace le plus possible ; nous sommes deux qui voulons maintenir vivace la chose du temp^s, le plus possible, en sqon panier d’osier ; nous seommes deux quyi voulons le plus possible contenir des choses en des paniers d’osier,en des paniers rtemplis de victuailles diverxwes ; nous voulons ensemble contenir des choses en nous, comme des victuailles en des paniers d’osier déposés ; nous voulons maintenir le temps à deux mains ; nous voulons dessiner des bêtes sur la roche, portés pâr un élan (animal) en nous qui nous»pousse au cul» et nous initie ; nous avons besoin de charbon de bois pour ce faire, dfe charbon pour des tracés de roche à faire en transe, nus et pris d’assaut par ces betes en nous qui nous gouvenrnt (ma gouverne)  ; nous voulons que toutes ces choses fussent dites haut et fort à l’intérieur de la grotte, afin que l’esprit de la grotte du temps l’entendit ou entendit pareille douceurs proférées, ou pareille furies ; nous voulonq que toutes kles chose s soient dites de concert ; nous voulons cette musique des sphères en roche, dans le dur du dur pariétal ; nous cherchons à co:mprendre c e son qui sort (musical) de notre bouche, ce son de flutiau, nouis le voulons pour nous comme une sorte de donnée première de compréhension des choses ; nous voulons voiir, en ce son de flute, la donnée première ; le temps de la paroi du monde est fait (bel et bien) de sons animaux, cette musique (furie) des betes entre elles (troupeau)  ; nous cherchons à découvrir le pot au rose au sein de la roche, ce qui préside à la marche du monde , et ce que nous trouvons (en ce petit panier d’osier) ressemble fort à des données de base musicale ; nous pensons que telle est la ronde des choses sur pareoi que la musique doit (se devait) d’accompagner pareille ronde, doit etre ainsi accompagné par un ensemble musical de roche (etc) ;  ;nous devons comprendre tout cela au son de la musique dite «de roche», car il s’agit bel et bien d’une sorte de musique prairiale, due à des alllers et venus animalières en elle ; nous écoutons, nous entendons, nous sommes ouïe ; nous voulons comp^rendre, il s’agit d’un cri de guerrre ; nous voulobns savoir , nous voulons savoir le p^lus de choses possible ; nous voulons akller le plus loin possible au sqein de la roche, dans le but de rammasser (recuiellir) le plus d’informations possible sur l ;e sujet : la musique au sein de la paroi dxu temps, car elle existe bel et bien qui découle naturellement des grognements et autres rugissements des bêtes entrte elles ; nous voulons entendre pareille musique entre nous, sous roche ; nous voulons (à l’abri du temps) écouter (allongés nus) pareille musique des sphères ; nous voulons comprendre ce qui est de cette chose folle musicale deployée, en ces lieux prairiaux de perdition douce : biches et cerfs en tant qu’accompagnateurs musicaux ; nous voulons faire ensemble cette chose d’une recherche fine, et c’est ainsi que nous allons fissa frnchir le pas, passer la tete, et écouter pareille sarabande ; nous voulons cette chose pour nous ; nous voulons que cette chose d’une sarabande soit pour nous un cadeau du ciel , ou quelque chose d’approchant ; nous voulons de cette musique des sphères pour nous (notre gouver ne) et pour cela, nous décidons de franchir le pas et de nous avancer main dans la main, en cette paroi du temps, à la rechgerche d’une biche des prés à traire, ou bien d’un cerf à caresser doucement pour -ne pas l’eeffrayer, comme un animal dit de compagnie» qyui serait notre ami pour la vie, comme un chien de compagnie, proche de l’homme ; nous cherchons cette chose d’une vérité animalière des temps ; nous penso,ns que lesq betes  président à la marche du monde (encore aujourdhui)  ; nous pensons que les betes (lé zanimo) sont à la base des choses du monde, sont les yeux de dieu ou quelque chose d’approchant ; nous pensons que les betyes président et gouvernent, sont notre gouverne, sont en n  ous notre gouverne, sont nous ; nous pensons que nous devons aller vitee en besogne (le plus vite possibvle ) pour dire la chose, cette chose d’un dire animal en soi : une vrille ; nous pensons qUYe nous devons nous affranchir du temps en collant à pareille paroi de grootte, dessinant : qui des buffles, qui des aurochs, qui des bisons, qui des antilopesq, qui des chevaux, qui des rennes, qui des bouquetins, qui des ours des cavernes etc ; nous portons en nous la mémoire des temps qui sont temps animaliers ; tous les animaux en nous se chevauchent, s’entrmelent et sortent ainsi entrmélés fiissa (une treesse, une mèche, un pic, etc , un tison) qui va direct sur roche comme à la perce, afin de passer la mesure du temps pariétal, et ce d’un treait d’un seul, à la pêche aux «dires de vérité» si tant est, et pour un e station (durée) prolongée le plus possible ; nous pensons que nous devons penserr ainsi , que nous sommes deux en nous à devoir sortir de notre bouche la cohorte, sous forme de bec , ou de tresse, ou de vrille à perc er ; nbous sommes qui devons aller loin en cette roche d’un tezmps animalier (aurig nacien...) et ainsi faisant, nous comprendrons ;  nous comprenons déjà un certain nombre de choses de cette paroi, sur elle, nous comp^renons déjà pas mal de choses ici, en cette zone (pariétale) de bon aloi : cesq biches qui gambadent sont nos alliés, etc ;nous avons à comp^rendre en,core beaucoup de choses en ce qui concerne la paroi du temps, l’activité animale en soi, la vrille de sortie de bouche, la plaie sanglante de la joue percée, le pic de la roche faisant foi, l’animal ornementant la pareoi du temps, le cri musicalk des sphères, la longueur du temps déployé en roche, la peine et la joie de l’homme des cavernes à dessiner des betes fauves, la paroi dure de ce temps des dires pariétaux, etc ; nous sommes bien pa retis pour cela car nous sommes sur une lancée qui ne devrait pas s’arrêter de sitôt si tout va bien ; nous devons gravir lka roche comme en lévitation et graver sur elle comme sous emprise, ; nous devons croire en nbotre bonne étoile et poursuivre encore un peu cette aventure de traçage sur paroi ; nous sommes plusieurs (en nous) à devoir aller ainsi sur roche à la recherche d’une vérité qui puisse renseigner notre gouverne sur la marche à suivre à l’avenir, ou pour lkes temps qui sont à venir ; nous ai:mons les betes pour cette raison première que ce sont les bêtes qui guident ; ce sont elles (les betes de parois) qui nous guident dans nos faits et gestes ; elles peuplent le monde et le conservent en san,té, comme une langue, comme un e langue acquyise à la nbaissance par un petit d’homme ; la bête est écologique avant tout le monde, elle maintient les données pariétales en leur forme de base, et ne chezrche pas le profit pour le profit mais se tient à portée pour des reznseignements de première donne, elle sent ainsi les coups, elle fleure le mystère, elle entend la musique des sphères, elle nous accompagne dans la recherche d’une vérité sur laquellle pouvoir s’appuyer ; ; une bête sur paroi est un signe des temps ; il s’agit de présages ; nous deevons comp^rendre la chjose que voilà : comme quoi la bete est notree allié de bhon aloi et de bonne foi, et un présage ; il s’agit d’un langage ; il s’agit d’un langage de vé&rité ; il s’agit de voir enelle cet allié de paroi (aurignacien) qui va devant nous nous montrer le chemin, s’ébroue à notre contact, se sauv e, revienbt, vit sa vie de bete des prés, et nous donne la mesure (le la) de la compréhension (juste) des choses des roches ; nous pensons que nous devons continuer ainsi (sur notree lancée) à la recherche d’une donnée qui soit donnée de base, forte, conséquente, fiable, de bonne tenue dans kle temps ; nous voulons poursuivre notre aventure ainsi, guidé par la bete en  nous, qui sort de nous via le manchon de bouche, cette treessse ou torsade, ce chignon, cette queue de cheval etc qui va frappant la roche s’inscrire en elle et la traverser de part en part, pour rezjoindre la bambi des prés qui cavale, quyi saute gaiement d’un tronc l’autre, etc, qui va sur l’herbe s’ébrouer, et nous donne la marche à suivre : elle nous dit : «va, file, fou, fait !» et continue son bonhomme de chemin dans lkes sous-bois ; nous sommes qui la regardons gambader, et tentons de suivre ses conseils de bete avertie ; nous allons sur un chemin prairial à la recherchje d’une vérité de roche, d’une vérité qui puyisse nous donner le la de la xchose du monde ; nous pensons que nous devons poursuivrec sur notre lancée, à la recherche ici du la (musical, dès lors) des choses cdu monde ; nous avons pour nous de quoi penser la chose (pariétale) pour l’éternité, et cette éternité serait ou sera musicale autant que pa riétale ; nous voyons bambi debout droite sur la roche, elle nous mate, elle nous reluque, elle nous suit du regard, elle est bambi des prés pour l’éternité ;

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19/01/2020

nous passons la tête ensemble ; ensemble nous passons la tête ; ensemnble nous allons à l’intérieur de la pareoi du temps ; ensemble nous cheminons : ensemble nous faisons passage ; ensemble nous allons à l’intérieur de la paroi du temps : nous cheminons ; nous nous introduisons fissa ; nous nous tenons la main ; nous sommes deux pour une introduction, à l’intérieur de la paroi du temps, de pareille paroi ornée ; nouys entrons ensemble = main dans la main, pour nous allonger en icelle et regarder passer le train des bêtes alentour ; il s’agit de bête de taille (forte taille) qui tout autour de nous vont et viennent en troupeau, ou isolèment, à deux ou trois parfois, etc, des bisons et autres chevaux ; des bouquetins, des isards, des rennes, des chevreuils, des hippopotames etc ; nous aimons beaucoup ces betes et nous nous plaisons à les regarder déambuler dans les prés, dans les sous-bois etc ; nous aimons ces betes devan,t nous, nous voyons ce petit spectacle sous nos yeux et n’en perdons pas une miette : nous aimons ; nous aimons et nous regazrdons les yeiux grand ouverts ; nous aimons ce petrit manège pariétal et nous nous réconfortons à l’idée que ces bêtes nous frôlent peut-être mais ne viennent en aucun cas nous écraser de lzeur sabot là où nous sommes, à savoir à l’abri des intempéries, des écarts, des incartades, etc ; nous sommes logés un peu à lécart des meutes et des troupeaux de betes dessinées ; nous nous tenons en biais, dans un espace de coin, allongés nus, main dans la main, proche de la paroi, loin des coups de sabot etc ; nous sommes tous les cdeux à l’abri des rebuffadfes, nous nous lovons l’un dans l’autre à l’abri de toutes rebufade éventuelle ; nous faisons ainsi tres attention à ne pas provoquer la bête, à ne pas prêter le flan à ses rebufades ou autres ruades, nous faisons bien gaffe à nous tenir quiet, à nous tenir à part, à rester calme dans ce petit coin derrière les fagots etc ; nous ne voulons pas prêter le flan à qiu que ce soit ; nous avons des ambitions qui sont énormes (on dira) et cependant : nous ne voulons pas prêter le flan à l’animal fou, lancé, tonitruant, buffant de tous ses naseaux, qui viendrait charger vers nous, en notre direction, avec nous en point de mire ; nous nre voulons pas sezrvir de point de mire au bison ou au sanglier, nbi même à l’ours des cavernes, ou au lion ; nous nous tenons tranquilles dans un petiyt coin de bord de paroi et nous regardons ainsi (depuis cet endroit-belvédère) le jeu des allers et venues des betes en ce pré de roche ; nouys aimons regarder les betes filer, paitre, se monter, aller et venir, mâcher ou machouiller ou ruminer (pour certaines) etc ; nous regardons le train du monde pariétal ; nous sommes allongés et nus (dénudés à notre entrée en roche) et nus (de la tête au pieds) nous n’en perdons pas une goutte, nous ne perdons rien du petit manège autour de nous, nous regardons le train des choses qui s’en va tout autour de nous qui sommes béats d’admiration devant pareilles formes (élancées, soignées, précises, fines, adaptées)  ; nous cherchons du regard une forme ou une autre (animalière) et nous nous attardons sur une biche ici , ou sur un cerf ou un chevreuil là : nous sommes aux anges, nous raffolons de pareille visions devant soi ; nous adorons les cervidés et les bovidés etc ; ce sont des bêtes toutes majestueuses, qui nous plaisent grandement, nous charment, nous séduisent, etc ; nous nous tenons contre la paeroi (de l’autre côté = à l(‘intérieur de celle-ci ; nbous nous tenons le plyus tranquillement possible, nous aimons ces bêtes qui ruminent, nous les (pour)suivons du regard tout en restants cois ; nous aimons voir ruminer ces bêtes de paroi de grotte ;, elles sont nos chères amies de roche etc  ; nous avons envie de nous implanter en pareil lieu de roche, et nous nous étirons côte à côte, nous baillons de concert, nous nous tenons par l a main, nous sommùes sous le charme de pareilles bêtes autour de nous ; nous logeons à l’intériuer de la paroi du temps animalioère ; nous sommes logés ensemble en cette paroi accueillante, en cette roche dure (mégadure) et nous nous y plaisons, car nous aimons la roche (dure) du temps : nous en raffolons, nous en sommes fous ; nous aimons cette rochee de paroi de grotte ; nous aimons à la folie cette roche de paroi de gouffre, de grotte ou de caverne  ; nous sommes nous mêmes homme et femme de temps tres anciens, sommes nous-même femme et homme de ces temps anciens qui virent naître pareille peuplades logés dans la savane, dans la prairie, etc, et se retrouvant pour des incantations à l’intérieur (fin fond) de grottes ou d’aven ; nous sommes comme ; nous sqommes proches ; nouys nous ressemblons beaucoup, et comme ces gens de ces temps anciens, nous dessinons à main levée sur paroi de roche, nous sommes élevés, nous nous soulevons, nous lévitons, nous nous élevons etc à l’intérieur de telle ou telle grotte, et cela faisant nous sommes sous emprise et treaçons qui de son baton, qui de sa craie etc, des betes de fortes taille (aurochs ?) sur des parois de roche dure ; nous aimons les betes grosses, massives, qui sont tonitruantes, qui vont vers nous de toute leur charge etc ; nouys voulons être nous-mêmes des bêtes massives sur roche, et nous nous immiqsçons ainsi ensemble en ce roc de paroi pour une représen tation de bon aloi : de notre mobile, de notre présence, de notre présent de vie temporel ; nous nous offrons de la sorte : le temps donné de vie en lieu et place de la vie tout court ; nous vpoulons toujours creuser plus avant en cette roche, creuser toujours plus en profondeur et nous loger ainsi (pour des siècles des siècles, amen) en icelle (paroi) en icelui (roc)  ; nous pensons que nous devons nous introduire ainsi (de cette façon) dans pareille paroi de pareille grotte ancienne (antédiluvienne) et nous faisons cette chose ensemble , c’est ainsi que nous voulons, et c’est ainsi que (donc) nous faisopns : allon,gés et nus pour la bonne cause (causerie de roche)  ; nous cherchons à comprendre à comment se mettre, en pareille roche ; nous cherchons ensemble des solutions à pareille interrogations et nous en trouvons enttre nous, parmi des échanges ; nous sommes qui voulons aller très loin en pareille paroi du temps ; nous cherchons des solutions à des problèmes de temps pariétal, de temps de caverne, etc ; nbous cherchons tout un tas de réponses à même la roche du temps, ce dur de roche temporrel, qui est cette chose qui, pour nous, nous intéresse au plus degré ; nous voulons nous positionner au mieux pour comprendre ce qui est et qui advient ; cela est une chose très très importante à nos yeux, et nous allons dans ce sens , dans ce sens de recherche commune, vers des découvertes à faire ensemble (club des cinq ici) et ainsi faisant nous nous retournons sur nous mêmes, nous voyons la progression du mobile, il s’agit d’un accouchement ; nous avons beayucoup de chemin à parcourir encore tous les deux (nottre club des cinq ou notre clan des sept) et nous y allons ainsi, joyeux, verbeux, main dans la main, pour des découvertes à faire ensemble (enfants) à la lumière des torches ; nous cherchons dans la grotte des illustrations, des effigies, des litanies, des présentartions, dse dons, des dépôts, des offrandes, des bêtes de somme etc, qui seraient pour nous un ravissement, un petit miracle, une grande joie intérieure ; nous voulons savoir cette chose d’une bete sur paroi, ce qu’elle est et ce qu’elle représente ; nous voulons savoir ce qu’il en est de toute cette affaire (vérités) de betes sur roche (ces gravures, ces dessins fins)  ; pourquoi ces betes dessinées et comment dessinées et par qui dessinées et pourquoi dessinées etc ; nous savons pas mal de cghoses déjà mais il en reste encore un nombre conséquent à élucider ; les hommes des ca ernes dessinaient à main levée quasi les yeux fermés, car leurs mains étaient soutenus par l’esprit (animalier) du temps, qui est le temps de lma mise en biere, ailleurs, etc ; nous savons comment il procédait , et les raisons de son dessin sur roche (roc) sont les suivantes : il priait, il était ému, il était cvomme ivre, il ne savait plus où il «campait», il regardait sa main courir l’animal sur roche, il dessinait à brûle-pourpoint, sans le souci moindre (en lui) de véracité car sa main sait, sa main fait, elle fait son chemin programmé, il est celui (l’homme des cavernes) qui se borne à suivre les allées et les venues d’une main sous cont r ^le et cette main n’est autree que sa propre main d’hmme en transe, ou d’homme sous influence (lune ?)  ; nous allons ainsi à travers les bois et les prés, à la recherche d’une entrée de grotte à même la paroi du monde etc: le temps est notre ennemi et notre ami mortels ; nous avons une grande chance de pouvoir ici se placer à l’abri des intempéries et des coups de sabot de bête ; nous sommes coincés en ce recoin de terre, sur terre, à l’abri de bien des incartades ou rebufades ; nous aimons bien sûr les bêtes des parois, car ellmes en imposent (en majesté) et se présentent fortes et tétues, fortes et vives, vivaces ; nbous avons pour nous cette chance de pouvoir les regarder cdepuis cet endroit sans pareil que nous occupons allongés et nus, main dans la main, en spectateur (scrutateur) attentifs ; nous voulons comprendre toute la vérité sur ce qui est de ce monde-ci que nous occupon,s sur terre, qu’en est il au juste de ce «mystère» ? et d’abord : y a til à prononcer ce mot (étrange) de «mystère» ?  ; nous pensons que nous pensons mal ; nous pensons que nous ne sa vons pas penser ; nouys pensons que les mots sont traitres (tous)  ;nouys pensons que nous pensons comme des pieds ; nous pensons que nous pensons comme des charlots ; nous pensons que nous pensons à tort et à travers : ce qui nous passe par la tête est particulier, se désagrège, ne peut guère aller bien loin, n’est pas de la lumière sur un monde etc ; nous aiiimeriiionss aller très loin dans la compréhension des choses du monde , oui, mais il y a un hic, celui qui nous voit utiliser les mots de la tribu à dessein ; il y a ce hic, qui est que nous utilisons des mots (d’envahissemen,bt) à dessein, c’est à dire que nous sommes à donner crédit, à donner du crédit = à créditer les mots de la tribu, de sens con firmés, appuyés, nets et sa ns bavure et stables ; or la logique ici préside, qiu veut signifiezr autre chose , à savoir l’aspect non fiable des mots de la tribu, de ces mots qui diseznt des choses (par exemple les l utins, les déesses, le mot «lutin» ou le mot «déesse» etc) : ces mots ainsi prononcés le sont d’une manière (à nous) qui fait que leur teneur en sens est maigre, et que leur stabilité n’est guère complète etc ; nous pensons que nous devons agir et ne plus parler , ; ou bien  : que nous devons parler pour agir, ou bien, : agir en guise de parler etc ; notre assisqe ici est celle du cxheval ou de lm’ours dessinés à même la roche ; les mots que nous epmloyons sont comme un fourre-tout de cxhoses diverses à disposition ; nous pleurons toutes les larmes en notre possession car nous sommes tristes (chagrin) devant la misère de ceux et de celles ici bas qui (ici ou lmà) crèvent la dalle uniformément ; nbous sommes tristes car cette chopse est, ces gens crevant de faim, ici ou ailleursq, et nous de penser que ces ghens vont bientôt mourir, ces gens ne sont pas immortels ; personne ne l’est, ni vous ni moi, ni eux ; nous nous pinçons : nous sommes à l’abri du t(ezmps et nous ne crevons pas la dalle : nbous mangeons à notre faim, nous mangeons de la chair fra^iche, de la bonne carne des grisons, ou de l’aubrac, etc ; notre voeu est de toujours pouvoir manger de ci de là de ci et de ça ; nous aimons manger de la bonne viande rouge ou blanche ; notre but est ai nsi affiché (placards) un peu partou, ici et là ou encore plus loin, ailleurs, très loin ou bien à nos côtés ; nous qsommes deux qui mangeons à même la roche, sur le pouce, nos betes saignantes, au feu du foyer ; nous sommes deux (elle et moi) qui nouys délectons de pareille carne grillée, de pareille viande de l’aubrac, des grisons, etc ; nous sommes vernis ; nous sommes heureux de pouvoir dès lors, nous alimenter ainsi à notre faim, sans coups de fringale inopportuns etc ; nbous sommes proche d’un e biche de roche (à l’intérieur de la dite roche) et nous la regardons dans sa finesse gambader ici ou là à l’intérieur de la paroi du temps ; nous dessinons (main levée surnuméraire)  ; nous aimons ces betes autour de nous, qui nousq matent fixement tandis que nous allons ici ou là nous poser (un peu) en paroi ; nous cherchons une entrée de grotte et lorsque  cette e,ntrée par nous sera , aura été trouvé, nous nous reposerons ensemble (main dans la main) à même la roche froide ; nous lnous plaisons ainsi allongés ; nous cherchons à comprendre la vérité sur ce qui est du monde et nous disons que riezn ne va de soi : rien, car pour aller de soi les choses auraient besoin d’êtrte dupliquées pour ainsi dire : une vérité de monde qu’une même (similaire) vérité du monde confirmerait : doublement ; or il est difficile de penser à une chose sans penser (par ailleurs) que les mots que nouys employons pour parler d’elle (de  cette chose) sont traitres et qu’ils nous induisent en erreur ; une recherche de lma véritév est comme un quart de tour sur soi-m^me , soit peu de progression en vérité , sur toutes définitions éventuelles d’icelle ; nous pensons qUe les mots trom^pent, font illusion : que les mots font illusion , mais n’exwpliquen,t rien : d’où trouveraient ils matière à affirmations , d’où ?  ; nous pensons que les betes des parois sont dessinées par des hommes qui en, connaissaient un rayon sur le sujet ; ils n’étaien,t  pas dupes, loin de  là ; ils en savaient long et lourd ; ils ne sont pas n és de la dernière pluie glaciaire etc ; ce sont des hommes de cro-magnons , qui aimaient comprendre les raisons, où sont les pourquoi, où se cxachent-ils , en quel domaine de repli etc ? ; nous pensons que nous avons ensemble à comprezndre un grand nombre de chgoses de la terre, nous avbons encore et toujours à cvomprendre moultes choses de sur la terre ; nous axvons une envie grande de trouver des choses (en tete de proue) pour la galerie et notre joie d’enfant résolu et comblé ; nous aimons les choses découvertes = les découvertes ; nous aimons les découvezrtes, les trésors à chezrcher pour soi, les enquête minutieuses débouchant sur des pots aux roses ; nous sommes comme des enfants en rechezrche ; nous sommes des enfants qui chercxhons des choàses à même le paysage pariétal, à la recherche d’un trésor explicatif : qui ? quand ? quoi ,? où ? par qui ? pour quoi ? depuis quand ? à partir de où ? depuis la nuit des temps ? depuis la nuit ? quand et pourquoi ?  ; nous chercho,ns tant et tant de rébnponses , et nous ne sommes pas encore rassasiés ; nous sommes encore en demande, car nous nouys interogeons ensemble en pa roi (dans la roche dur e ) et essa yons de nous y retrouver, de trouver le pot aux roses si tant est que celui-ci soit, ici ou là, pour nottre gouverne (gouvernail, etc)  ; nous voulons connaitre le plus possible de cghoses du monde ; il s’avère que les mots en nous (bouche) sont de faux amis ; nous voyons bien qu’en nous les mots (idiomes) sont de faux amis, ne nous reznseignent pas vraiment sur quoi que ce soit de trancesndantal ; les mopts sont du pragmatisme : un chat est un chat, un chien est un chioen, etc ; et non pôint du touut autre, qui dirait ceci : ce que le chien est, en dehors de sa chiennerie pour ain si dire ; nouys avons ce besoin de chercher des choses en caverne ; nous sommùes fringan,ts de découvertes, nous sommes des e,nfants ; nous voulons savoir ce qui est de cette trame du monde , ce qu il en est exactement, pourequoi et comment sommes-nous ici ?  ; comment faire avec les mots (traitres) de la tribu, qui nous trompent, nous déroutent = nous dévient de l’endroit où nous devrons  être à l’avenir etc ; les betes non, n’ont pas de ces choses en elle qui dévient leur  être ; nous pensons que l’être en nbous est trompé et dévié par les mots de la tribu ; alors il y a l’art, cet art des parois (toujours) qui nous rapproche de ce que (réellement) nous pourriiiions être ; ou bien non ?  ; nous ne savons pas répon,dre à cette question ; nous sommes courts = courtets ; nous ne savons quoi dire, de ce qui est, de ce qui n,’est pas ; nous sommes enselmble pris dans un étau , et les mots en nbous surnagent qui tiennent la barre et ne sombrent pas, mais continuent à nager ou surnagher ; les mots en nous surnagent (les traitresq ?) et c’est ainsi que nous nous retreouvons ensemùble , à devoir naviguer à vue de nez, autant que nous pouvons, la fleur au fusil, main dxans la main (ne pa s se désunir !) ; nous regardons les betes de somme ; nous sommes comme dans une sorte d’arche où tous les animaux sont entassés ; l’arche de noé ? ; nous sommes pris entre mille feux qui sont mille yeux ouverts autour de nous à bord de l’arche ; l’arche est le lieu de l’art ; l’art et l’arche, pour une salvatiion, un salut, une aubaine, une dro^le de coiincidence : cette chose entre nous (elle et moi) qui fait que nous nous rencontrons (pile-poil) en un endroit commun précis (précisément) quand tout pouvait (tout bonnement) nous éloigner (déjà) et nous éloigner de pareillle lieu , etc,  ; quand tout (tout le monde = l’ensemble des données terrestres) devaient, auraient dû , nous tenir éloignés l’un de l’autre, eh bien non, le monde est tel (la coincidence) que nous voilà tous deux embarqués comme par extraordinaiore à bord de cette mêmùe arche de noé ; nous sommes ensemble main dans main  , main dans lamain, à bord de l’arche ; l’art à à voir avec l’arche ; nous pensons que l’art a à voir gran,dement avec l’arche ; nous sommes convaincus que l’art des parois (des magdaléniens, des aurignaciens) a grandement à voir avbec l’arche : l’arche de noé ; il s’avère qu ici, en  ette grotte, tout indique cette chose, comme quoi art des parois et arche de noé marchent de concert et se donnent la main ; nous pensons que la chose est : indubitable !nous penson,s que cette chose (art et arche) est ainsi que nous ne pourrons plus en douter, l’art est une chose qui est que nous avons à déposer, dans ce lieu ci (arche), un présent de vie ; l’art est une chose à déposer (présent de vie) dsans ce lieu de l’arche sus mentionnéé ; nous aimons l’arche de noé ; noé est notre ami cher ; noé nous plaît beaucoup et son projet de vie nous ravit ; noé est un être magique (magnifique) et il nous plaît ici de mentionner son nbom et son histoire (antédiluvienne)) de’arche, de parois de grotte comme d’une arche ; il s’agit d’une arche de la préhistoire, nous avbons ici à faire, avec une arche préhistorique, remplie à ras bord (de betesq diverse) et dans laquelle (arche, ou cloison) nous nous immisçons pour la bonne cause ; nous pensons à cette cause ensemble, il s’agit d’un lacis , entrezlacs, lac de verbe, de verbes au pluriel ou plus justement de verbe (v-e-r-b-e) au singulier ; le verbe de la «chanson canonique», etc ; nous pênsons à l’arche de noé et nous sommes rassurés ; nous aimons noé comme nottre ombre (?) ou cvomme une ombre qui sezrait la nôtre  (?) ou comme un frère de sang ; sa cabane est flottante, son coeur immense, il accueille qui veut bien ou presque, il est avenant et plein de générosité : vive noé ! ; nous l’aimons et nous aimons son arche ; l’aert des parois étant l’art des arts, nous pouvons à présent avancer que l’arche de noé est la paroi du tempxs comme sus précisée, cette paroi (cette arche) étant poour elle une sorte de coffre, de cassette, etc, contenant les trésoprs du monde (vies données etc) et les raisons (vérités) qui président ; nous avopns cette chance pour nous, de pouvoir entrezrdans cette arche (pâroi) tête prezmière (penchés) au milieu des troupeaux de bêtes massives (lascaux) etc ; nous aimons la vérité , les preuves, les raisonnements pointilleux sur les choses (secrets) du monde ; nouys voulons savoir, nous aimons toutes ces sagesses intructives et didactiques, concernant le vrai du vrai de l’art des parois des cavernes : que savons-nous ?  ; nous ambitionnons (tous deux) d’entrer en pareille paroi comme dans une arche ; l’arche est notre chance de vie ; nous voulons com)rendre l’ensemble des ressorts secrets qui président et pour cela nous nous serrons les coudes, faisons front ensembvle, faisons corps, et entrons (nous entrons) dans le dur du dur (arche ou paroi) de la roche de paeroi ; nous aimons nous serrer les coudes, nous aimons nous entraider et nous tenir, nous aimons faire corps et nous blottir, nous enchasser etc l’un pour l’autre ou l’un da,ns l’autre ou l’un avec l’autre en paroi ; nous raffolons de cette chose enswemble que nous faisons ici, à même lma roche, en ce lieu de perdition (?) ou en ce lieu d’incarcération (?) ou en ce lieu de repli (de secours) ou de mise à l’abri (?)  ; nous voulons connaitre le pourquoi l’art des parois est-il si représentatif de l’art (ce qu’il peut être) en général ? nous pensons que nous devons ensemble contrôler les choses ici, sur roche, à main levée et dessiner dès lors avec précision l’ensemble des traits liés à tel ou tel animal en particulier , comme le bison, le buffle, l’aurochs, etc ; nous avons chances pour nous, avons des et de la chance, nous sommes vernis, car nous voyons (depuis notre tour de gué) passer les betes (les plus imposantes) sur roche (= art et arche) près de nous qui nous tenons la main (surnuméraire) à même le roc, à même la chose ; nous avons à comprendre toutes ces choses de paroi sous l’angle de l’art et de l’arche (concomittament) et ce que nouys faisons (cette chose brutale, cette entrée fissa en matière) s’y apparente, y ressemble fort ; nous pensons que ce que nous faison,s en termes de rentron est de la mêzme veine que ce que d’autres , en d’autres temps (hommes des cavernes ?) faisaient en grotte ; nbous pleurons sur paroi de roche : pleurons ! ; nous sommes émus par nos découvertes, car il sw’agit ici d’une très grande découverte en cette chose d’un art de pârois (fait de main de maître par des hommes de la préhistoire)  ; nous avons beaucoup encvore de choses à cfomprendre, découvrir, soulever, trier, emmagasioner, dép^loyer, ammasser, prendre, triturer, dessiner sur roche , raison pôur laquelle nous nous tenons là, en cet endroit du dur, ensemble, prêt à bondir de notre cachette, etc, pour une représentation éventuelle à graver (de tel animal) sur paroi ; nous sommes fins prêts ; nous nous tenons en réserve, nous sommes tout prêt s de pouvoir bondir comme un rugissant (des rugissants) sortant de l’ombre et s’acharnant à main levée, au charbon de bois et en lévitation, sur la pierre sèche (ou humide) de telle ou telle paroi profonde ; nous cherchons à comprendre tout cela avec un oeil neuf, vif, aguerri, etc, car nous ne voulons pas passer à côté d’une trouvaille (hum, sensationnelle ?) qui ferait de nous des héros de grotte : Tif et Tondu de la paroi du temps, les Tif et Tondu dee la paroi du monde, etc ;nous sommes acharnés et continuons sur notre lancée à même cette roche dure (le temps) qui est une arche de repli pour des betes comme nous et comme d’autres (bisons ou aurochs, etc)  ; nous y a ;lons gaiement ; nous cherchons une vérité contenue dans le lmangage humain, qui eut dit les choses crûment, et non point de façon détournée ou cachée ; pourquoi les mots ne disentils pas d’emblée et pour chacun la vérité des choses du monde ? pourquoi faut il déployer ? pourq<uoi faut il dérouler ? pourquoi des directions justes, de penser (parait il) et des directions de penser non tout aussi justes (fausses, fourvoiements) ? ; nous voulons comprendre le fin mot de tout , et pour cela nous entron,s dans l’arche = la paroi = la grotte ; nous sommùes en vie ainsi en pierre de roche, et c’est en vie que nous offrons le temps passé par nous sur terre (= âges) à ce dieu de la mort devant ; la mort est devant ; derrière il y a lze passé, et c’est celui-ci que nous offrons en guise de «présent» à cet ^$etre  de la vie devant, en attente ; le passé = ce présent offert, ce temps qui se déroule offert ; nous regardons ici ou là et nbous voyons bien, bien des choses dessinées mais eswsentiellmement des b êtes, et ces betes nous regardeznt à leur tour et semblent se dzema,nder à qui , avec nous, elles ont affaire ; nous pensons que nous sommes deux qui entrons en paroi comme dans une arche : dessiner, et cette ezntrée en matière (dans le temps) est une façon d’y aller, c’est à dire de pousser la charrette, celle de ce temps (de vie) fait d’allant, d’élans divers, etc, pour un,e éternité ; nous sommes deux qui cherchons ensemble des réponses de paroi à des questions de type temporelles ou spatio-temporelles ; nous cherchons des solutions diverses en paroi de roche, concernant la vérité des choses du monde : pourquoi, pourquoi, pourquoi, etc ; un ensemble de pôurquoi pour une réponse pariétale, temporelle, rocheuse, archaique (?) etc ; npotre but n’est pa s caché ; nous nous livrons à (pour ainsi dire) la vindicte publique, nous le savons ; nous sa vons que nous nous livrons à une sorte de jugement salé, vindicte, sur nous qui gravons, de par notrte allure etc, notrte positionnement, notre démarche toute de guingois et notre esprit, notre esprit baladeur (transe) la main tendue ; nous sommes qui marquons de fait sur la roche ; art des roches de parois : toutes ces betes dessinées avec moults détails pour faire vrai(vif, vivant) et faire accroire (tromperie)  ; nous chercho,nsq à comprenxdre cequi bien pourrait se passer en pareille roche qui puisse offusquer un puyblic de grotte : rien ? ; nous sommes dans l’arche et dessqinons des cerfs, chevreuils, biches, antilopes, etc ; nbous sommes à lm’intériuer d’une arche et nous dessinons des betes sur paroi , et ces betes nous regarxdent de guingois, elles nous scrutent, elles ne comprennentv pas ce que nous faisons là et qui sommes-nous, etc, elles sont pleines d’interrogations à notre encontre, elles ne comprennent (ne prennent) rien d’autre que ce que leurs sens veulent bien saisir de ce paysage de roche, de cet alentour où nous sommes pour elles insérés ; qui sommes nous pour elmles ? des etres de peu ? des ombres ? des effeets de vie ? des reflets de leur prpopre xwchemin, etc ?  ; nous continuons en paroi à soupeser l’ensemble des questions qui se présentent à nous en des termes choisqis qui sont ceux d’une tribu qui est celle à laquelle nous appartenons ; nous cherchons à comprendre  c e qui est (du monde) en ce reflet (oculaire) de la bete de paroi ; nous avons des pensées, ces pensées nous appartiennent, elles sont logées en nbous, nous aimons loger des pensées, nous voulons loger des pensées en nous ; où les pensées en nbous se logent-elles ?  ; njous avons des larmes et des pensées, ; nbous nous retrouvons tous deux (nouys deux : elle et moi) accoudés à cette même tablede pensées ; nouys regardons les betes de somme sur pareoi, qui sont celles qui sont desswinées par des hommes anciens (du tempsq des c avezrnes) et pourquoi sont elles si (si ?) ressemblantes ? pourquoi ? parce q uil s’agit de vie masquées, de faussetés censées faire accroire, afin de tromper l’ennemi des temps à venir ; présent offert sur roche en lieu et place de la vie qui bat (et qui dès lors qu’elle serait offerte ne battrait plus ; nous abvons pour nous  : tout un tas de pensées similaires, sur roche, sur roc, en paroi, dans cette arche qui bnous voit entrer en elle (fffraction) par la porte créée par notre opic de bouche sus mentionné (pique-feu de pierre) ; nous allons ensemble à la pêche (dixit) d’infos relatives à ce temps de roche ; nous cherchons la vérité dans la paroi du temps pariétal, du temps rocheux ; nous sommes deux qui nous échinons à faire des recherches (tendues) sur des questionnements (centraux) liés à des dessins de betes ; l’aurochs et le bison, le buffle et le chevval, l’antilope et le renne nous rtegardent, dans la profondeur de la roche : depuis , et dans ; nous pleurons : nos larmes sont des alliés ; nous implorons le dieu de la paroi de nous soustraire à sa mathématique ; nous voulons que la paroi nous conservât en elle comme une sorte de pieerrerie  native, comme une sorte d’amant ou d’amante terrestre, etc ; la taille de la pierre aidant, nous entrons ; nous sommes ; nous sommes entrés à l’intérieur d’u e pierre de taille (de grosse taille) et nous sommes : allongés (nus comme de petits vers) sur la roche, en elle, sous une meute (troupe) folatre de betes fortesq ; nous les regardons qui nous regardent ; nous regardons toutes ces bêtes qui nous regardent, mais nous voient-elles ? oui elles nous voient ; elles nous regardent (leurs yeux tourbnés vers nous) et nous voient car elles s’enfuient au moindre soubresaut de notre part ; nous sommes ensemble sous roche ; nous sommes dans le même sas ; nous sommes d’une même étoffe ; nous pleurons les mêmes larmes (art) en cette roche-arche qui nous sert ici de lieu de repli (abri de vie)  ; nous pensons les mê:mes choses au même instant , nous sommes coordonnés ; nous voyons pâsser les troupeuaux quyi nous parlent du regard et nous disent de nous tenir coi et quiets ; nous pensons à toutes ces betes de prairie qui icvi se pourlèchent, se frôlent, se grattent, se montent, se nettoient, se reniflent, se pr^etent à des jeux ; nous les aimons comme nous aimons toutes sortes de choses sur paroii de grottes : traits iunsignifiants (?), points de suite, figures géometriques div erses, autres rondeurs, autres surfaces, etc ; nous aimons ces choses dessinéews qui sont des énigmes ; nous avons envie de comprtendre beaucoup de choses encore de ce monde qui nous en,toure et allons- nous y arrfiver ici, en  ette zone rocheuse de grotte (arche de paroi pleine de grâce) ? ou bien ailleurs : prairie ? ciels ? pierre des chemins ? bornes ? brouillardqs ? verbes ?  ; nous passons notrte temps en icelle roche à regarder passer le train du monde pariétal : il s’agit d’une poussée  de vie sur roche, sur roc de paroi, sur paroi de grotte  ; il s’agit d’une poussée de vie (attroupement et charge) sur pierre, à titre de représentations de betesq (bestiaire) laissant pensezr à de la vie qui bat sa xchamade ; nous pensons nous reposer un peu (un chouia) en pareille paroi ; nous voulons attendre le déluge ; nous voulons comp^rendre ce qyi est de la vie sur terre ; nous voulons essayer de co:mprendre le tout de ce qui est sur terre, les choses du monde alentour : les qualités ;les choses qui autour de nous font florès et sont légions qui sont pour nous des sortes de choses de vie calfeutréée car, car nous sommes dans la paroi, car nous sommes à l’abri, car nous sommes dans une arche de repli, et par con séquent le monde alentour revêt son tissu de soie douce et tendre ; il s’agit d’une vêture douce, prairie rustique bucolique avec force biches et douce herbe des prés, etc ; nous regardons devant nous et voyons bambi se promener gentiment, parmi les fleurs des prés, et les bisons dans le lointain ; nous aimon,s les betes qui chargent sur paroi ; nous les vénérons comme des dieux de vie, nous sommes fous de pareillesq betes, de ces betes là qui regardent et voient, qui nous regardent et voient en nous leurs frères de sang pour ainsi dire : elles ruminent ; nous aussi nous ruminons, nous aussi sommes des machouilleurs etc ; le temps est la paroi de l’etre ; nous posons nos présents sur la pierre : il s’agit du temps que nous offrons à dieu le pere de l’eternité de la roche du temps de la pierre piquée ; nous pouvons avancer sans honte cette chose, sans honte et sans gêne, sans gene et sans vergogne ; sans souci ; sans crainte ; sans doutes ; etc ; nous sommes ensemble qui posons (déposons) nos frusques sur paroi du temps, toute notre âme, tout notre être en devenir et nous disons : «voici la vie, dieu de la mort !», et là nous trichons, moquerie, il y a tricherie, il y a mùenso nge, il y a abus, il ya betise aussi : celle de croire au fait que notre tour de passe-passe soit crédible, soit jouable etc ; il semblerait pourtant que oui il soit crédible et jouable, qu’il le fût ; nous sommes ravis car nous voulons tenir encore un peu en vie sur terre  : etc ; nous sommes, tous les deux, avec une envie commune , qui est celle de durer encore un peu, si possible ; les chevaux cxaracolent sur paroi de roche et nous restons en vie (en larmes, etc)  ; nous voyons les chevaux qui caracolent, nous les voyons ensemble se vautrer sur l’herbe ( meute) et se relever à l’unisson pour aller au galop reljoindre ici ou là un troupeau de renne ou de bison ; ou de buffle et cde chevreuils etc ; nous sommes ensemble, nous nous tenons par la main, nous marchons dans kles herbes pariétales hautes de cette roche en grotte de france ; nous aimons les grottes et les endroits cachés, secrets, abrités, etc ; nous sommes des enfants qui nous promenons à la recherche d’une entrée de grotte , et ce dans l’espoir d’y trouver un secrets enfouis, un tyrésor caché, une jolie surprise, un mur peint, des gravures de betes, des bouts d’os antédiluviens etc ; nous voulons soulever (lever ?) des lièvres ici ou là sur la terre ferme ; nous sommes atta chjés à la terre (par les pieds) et nous mar cghons côte à co^te sur l’herbe, en direction peut-être de ce trou de terre,  de cette en,trée en roche ci devant, qui nous attend , qui nous tend les bras ; nous entron s à l’unisson à nptre tour ; nous sommes ensezmblke en cettre roche de grotte (en intra) et nous voyons passer les zanimos qui sont des mots (les zanimo sont des mots, les animaux sont des bêtes )  ; nous voyons passer tout un ensemble pariétal qyui va d’un côté puis de l’autre , comme un banc de poisson ferait, etc, et nous de nous a djoindre à pareille fete de paroi ; nous sommes qui longeons laditecvpa roi(depuis l’intérieur d’icelle ; ; nous sommes m=ain dans la main et nous faisons mine de n’y rien comp^rendre , à toute cette affaire de betes fortes, de parois de grotte

, d’éternité etc ; nous voulons essayer de comprendre ce qui est, de cette trame qui semble etre, ici, une sorte de réponse à dses questions qu’ensemble (elle et moi) n,ous nous posons depuis des années ; le temps est une pierre dure ; l’arche est ce lieu du temps ; l’art est lm’entrée en matière, en dehors de cette chose langagière (pique) qui en est comme l’instrument de mesure,  ; ; nous sommes deux qui allons dans la profondeur et qui tombons ainsi en pareille roche (dans) comme à la renverse , et qui nous immisçons dès lors comme un ver dans un,e pomme ; nous entrons dfans cette arche de vie et nous sommes ensembvle à nous y blottir (cvontre paroi) pour nous tenir chaud et à l’abri dees rebuffades animalières ; notre encie ewst reswtée intacte, de nous retrouver ensemble, nus et décidés, blottis, serrés-lovésetc ensembkle (comme des amoureux dee la paroi ou de la roche que nous sommes)  ; nous avons des jambes pour marcher dans la prairie ; nous voyons l’ense’mble des choses (ce paysage) comme un seul tenant de vie pariétale : tout à l’unisson (pour le coup) et cela à l’infini, dans cet infini du temps, qui semble eztre, pour nous, la loi, et l’horizon ; nous sommmes nus comme des vermissaux de prairie (des prés) qui mangeons (ingurgitons : purge) la terre ; nous sommes nus comme des vers de terre amoureux ; amoureux d’une paroi cde groote : langoureux ; nous sommes entrés dans une paroi (dans la roche dure) et depuis la paroi nous regardons passer le train xde vie des betes qui chargent (sous le baton charbonneux de l’homme des c averbnes, qui les dessinent)  ; nous voulons savoir , nous voulonbs creuser plus pour trouver plus ; nous voulons savoir beaucoup de choses, or les choses ne sont pas données (pas toutes) , la preuve : la recherche de la vérité ; ce que l’on recherche n’esqt pas donné d’emblée, et pourquoi cette chose ? ; pourequoi faut il c hercher ? pourquoi les choses (les véreités) ne sont -elles pas d’emblée (§dès la naissance) données ? qu est ce qui est donné dx’emblée, dès la naissance, qU’est ce qui est donné ?  ; est donné des choses, sont données bien des choses ; sont données beaucuop^de choses ; nouys sommes ensembvle à la recherche  de choses quyi semble,nt  ne pas (nous) etre données d’embmlée à la naissance et qui par conséquent réclament réflexion (et du coup : niveaux de réflexion, dddehiérarchie entre les creusements, etc)  ; nouys avons des choses à nous dire ; nous sommes pétris de résol:utions (prises ensemble) et aussi de pensées diverses con cernant la vie par’iétale et les secrets qui en sont attenants, qui sont juxtaposés, qui lui sont attenants ou juxtzaposés ;  nous regardons les bêtes passer près de nous , nous sommes dans une arche de repli (celle de noé)  ; nous voulons aller trèsb loinb dans les réflexions mais il s’avère que les mots nous trompent, qui nous font prendre les vessies pour des lanternes ; et cependant nous continuons sur notre lancée car il nous est impossible de nous arrêter ; il est impossible pour nous de suspendre nos recherches temporelles car nous sommes pris dans une nasse temporelle (justement) qui nous inclut , et cesser les recherches équivaudrait à arrêter de vivre, ou s’arrêter de vivre ; or tel n’est pas nottre souhait ; nous tenons à vivre encore longuement (le plus p ôssible a priori) et ainsi de suite ; nous pensons que nous devons de fait nous coller (ici) à la paroi du temps et essayer d’aller le plus loin possibvle ezn elle, pour acquérir encoreet encore (amoncelés) des savoirs basiques (premiers ?) qui fussent pour nous des réponses à des questions (de nous) que nous nous posons sempiternezlleme,nt ; nous voulons savoir le pourqyuoi   du comment  ; lmes mots posent des questions ; le lmanga ge contient (contiendrait?) des questionnements en son wsein ; nous voulons des réponses nettes et claires comme eau xde source, nous les voulons ici et maintenant : sur paroi de roche ou sur pierre de taille, idem ; nous avons cette envie de connaissan   ce (soif) et cette envie nous tenaille au corps, nbe nous lâche plus, nous retient, contient, maintient, soutient, etc en vie ici bas, en cette zone de réflexion rupestre ;nous aimons toute cette chose devant soi qui est du temps de l’arche, de paroi, temps de pierre et temps de roche ; nous voulons comprendre ce qui est ici, l’existence des betes rocheuses, la vie après la vie, le corps de l’homme et de la femme, le désir amoureux, l’envie, la douleur, le chagrin, la pitié et lkes secousses, les rebuffades, les reculs, les frayeurs, la douleur ; nous pouvons nous glissser ensemble en cette roche dure du temps, et de là comprendre les raisonnements, déceler x raisons qui seraient à la base de tout un tas de compportements pariétaux préhistoriques ; l’homme des  ca vezrnrees est là , en nous, ; qui nous regarde, nous guide, qui nous seconde etc (oui  ? ) ; il est l’homme des cavernes de la roche nue ; il est cet homme des cavernes rocheuses, cet homme rocheux de la caverne pleine, etc ; sa vision est large, s’étend loin ; son oeil est neuf, vif, frais, et voit loin ; il est de la grotte et dee la paroi, de lma roche et de la pluie de roche ; son nom est inscrit sur la roche ; il est l’homme des parois de roche ; il est vif et vigoureux ; il est l’homme des cvavernes et aussi la felmmme des cavernes et aussi l’enfant des caveznes et aussi l’a,nimal (en lui) des cavernes ; il est l’homme-femme-enfant-animal desc  avernes , il est cet ensemble flou, ce jeu de glissements dans les identités etc, qui fait de lui le crayonneur(au charbon de bois) des parois de grotte ; il est le grand manitou du charbon de bois, de la perche, du bec aux parties soudées ; nous l’aimons ; nous regardons cet ahomme-animaml, cette femme-animal, ou cet enfant-bete, dessiner sur roche à main levée ; le cheval galope, le bison galope, l’antilope course, l’ours est entré dans la caverne  et nous voit fringan,t dessin er des betes et des formes ; nous avbons peur des ours des cavernes ; nous sommes vite apeuré par l’ours des cavernes car il est puissant , il est fort, il impressionne, il est vigoureux, il court vite, il fait du bruit, il est aguerri , il est mortel, il est dans une roche en sa demeure, etc ; nous sommes face à luyi (dans cette arche du temps pariétal) et nous cr(aignons pour nous car nous voyons ses crocs acérés, qui ne font pas rire ; nous voyons devant nouys debout l’ours des cavernes, cet être blessant, etc, qui vient à notre rezncontre, pour une raison que nous ignorons sur le moment ; veut il nous dire quelque chose ? a-t-il une question à nous poser ? est)-il enchanté à l’idée de nous rencontrer ? nous ne savons pâs répôndre à chacune de ces questionsz ; nous ignorons le pourquyoi dfu comment l’ours des cavcern es a atterri ici, fa ce à nous, en ce lieu de dépose-minute, de dépot du temps ; nous sommes ignorants , nous ne sommes pas fiers de notre ignorance, non ; nous ne sommes pas du tout fiers de notre ignorance, nous ne sommes pas fiers de savoir si peu concernant si peu ; lo’ours des cavernes est  da  n ,Gereux, il nous impressionne fort, il est fort et massif ; debout il en impose ; nous le craignons comme la gâle, etc ; il s’agit de représentations animalières de paroi, au charbon de bois, qui sont censzées faire illusion (diversion) et nous tenir un temps (de plus) en vie sur roche, sur paroi, sur terre ferme (ouf !) ; nous voulons comprendrece qui est, ce que le mon,de recèle, ce qu’il en est du mon,de du jour, de la nuit, de tout ce qui fait que le monde est (dit) monfde ; nousb avons des mots pour ce faire = pour agir dans le sens de ces recherches de paroi ou sur paroi ; les mots sont  c  ensés être nos alliés, or le sont-ils ? pas toujours ? jamais ? que pensezr des mots que nous avons en bouche ? ; nous voulons savoir ce qui est de toute l’affaire, de toute cette affaire d’ours et d’aurochs ; les mots sont priés (censés) d’etre (etre) nos alliés (amis de toujours) : le sont ils ? nous sommes proche de penser que cela n’est pas tout à fait vrai ; nous ne sommes pas loin de penser que cette chose (susdite) est loin d’être vraie ; les mots ws’interposeraient ils , comme traces de craie ou de charbon de bois sur paroi ? nous ignoron,s ce qu il en est ; nous ne savons pas de quoi il en, retourne ; nous ne savons pas que penser de toute l’affaire ; les mots nous maintienneznt (en raison) dans une tenue forte (debout) et vive (en élans) quyi font de nous, ou fait de nous (tenue) un être survolté, surmené etc, qui est par conséquent foulé aux pieds, qui est mené, comme un,e barque sur un cours d’eau ; nous pensons à toutes ces choses langagières natives, à toutes ces choses natives langagières, cfomme à des choses qui nous survoltent plus qu’autre chose : nous maintiennent debout droi, en vie -vivant = en allants, en élans, en courants de vie etc ; nous avons à trouyver des réponses dan s le mouvement et trouver des réponses dan,s le mouvement est difficvile, est retors ; nous avons à trouver dans le mouvbement du vivant (le nôtre) des choses passsantes (vérités) qui fussent pour nous des réponses à des questionnemùents ; nous aimons les betes passantes, nous les aimons passa ntes ; nous avons besoin de pareilles betes passantes pres de nous ; nous sommes gâté ; nous sommes soulagés ; nous sommes remplis de questions diverses concernant ces betes de paroi passantes, etc, et ces questions nous ne cherchons en rien à les édulcorer, ou à les masquer, ou à les retenir ; nous voulons , ces questions, les énon cer (haut et fort) sur paroi de grotte, à la manière de l’aurignacien ou du magdalénien ,  ; nous avon,s à dire ce qui est qui tremble en nous en matière de choses passantes (via ce trou de bouche en sang)  ; nbous pissons le sang de la bouche, mais nous dessinons sur roche la bete passante, la bouche en sang la dessinons, et gravbons de même pareille effigie (litanie) pour la découverte, la présentation, la mise à plat, la franchise, le déploiement dans toute l’envergure disponbible, en toute envergureou de toute envergure ; dans son envergure la plus étendue , etc ; njous pissons le sang de la  bouche (joue trouéepar ici cette sorte de pic ou pique-feu qui sezrait pique-roc par la meme)  ; nous pissons tout ce san,g et cependant, en transe, rien ne nous arrete, rien ne nous retient en vérité lorsqu’il s’agit de dessiner l’aurochs, le bison, le buffle, le cheval en son armée, etc ; nous sommes accrochés à pareille armada qui va, fissa, sur roche, faire accroire : il s’agit d’un pis-aller, cependant, il marche ; il s’agit d’un leurre, un pis-aller, et cepezndan,t ce leurre marche tres bien wsemble-t-il, puisque nous voyons que la bete est là, dessinée, comme une effigierenouvelée, renouvelée quelques milliers de fois, une effigie pour des temps longs, pour des durées de temps qui s’éternisent, réconfgortent, donnent ce la (musical) des sphères aux hommes (des cvavernes) qui les dessinaient : les entendaient-ils ?  ; nouys avons à penser à tout cela ensemble et c’est ce que nous faisons ; il y a fort à parier qyue ce que nous faisons ensemble = une prière pariétale ; la chose est incertaine et cependant mérite ample réflexion ; nous avbons une chance (infime ?) de notre côté (pour nous) de comprendre quoi, un chouia de ce qui est qui nous environne (prairialement) en cette zone pariétale de roche dure ; il s’agit de vérités anciennes = qui datent ; toutes les vérités qui datent ne sont pluds toujours des vérités, hormis quelques unes, listons-les : il y a cet aurochs réitéré, il y a ce bison dépourvu de jambes, ce dé à coudre animalier ou qu’en estil de cette représentation comme avortée, ce cheval en meute, ce bec sur branche etc ; nous portons avec nous le souvenir complet de ce qui a été en des temps reculés ; nous avons pour nous des choses à devoir penser ensemble : sous le joug, sous emprise, sous la douce lumière des torches, en pamoison ? ; nous devons aller loin (le plus) en cette chose d’une réflexion tendue sur des sujets d’apparence insolublesq ; les mots sont à bannir de pareille lutte avec la bete (en termes de vérités) ; nous avbons à réfléchir à ce que la lutte entre soi et la bete en soi peut bien nous poussser à être, etc ; nous controlons le verbe (gentiment) et cependant comment pouvoir, comment savoir, comment s’y p^rendre pour percer l’hymen de la pareoi dure de la vérité ? ; que faire des mots ? des pics ? des piques ? des becs ? des tocs qui viennent trouuer ici la joue de l’intérieur, ici la paroi de la roche (de l’extériuer) ? ; nous pensons à toutes ces choses qui restent à penser en dehors de tout idiome langagier et va-t-on y arriver ? peut-on arriver à percver les secrets comme paroi de roche ? comme film de vie ? comme voile ou feuillet ?  ; nous avons ghrand à penser encore sur toutes ces choses qui nous tarabustent depuis longtemps, et ces choses, nous avons à les penser depuis l’endroit de la paroi(d’insertion) du temps, car nous sommes pris en tenaille (dans le bec) par une enclave, une sorte de pince de vie pariétale (vie-vie) qui nous touche, nous tient, nous fait souffrir, nous aveugle, nous pousse betement à dire betement ; nous sommes nous deux sur une plage pâriétale temporelle, qui nous délassons en étirant les bras et les jambes dans le creux du roc ; nous dsommes deux (nous) qui faisons ainsi des sortres d’étirements langagiers de roche, pour des compréhensions quasi intuitiv es, sur des thèmes archi-rebattus comme cveux qui concernent les questions de vie donnée offerte, ou de mort à venir sur roche ; les betes sont là qui vont et viennent (la ronde) sous nos yeux d’enfants ébaubis ; nous voulons poursuivre notre aventure de paroi creuse (creuse ? comme une dent ? ) et pour ce faire nous continuons (poursuivons) cette chose, qui estt de creuser toujours plus en avant, ou plus en profondeur , cette terre devant soi qui est de la roche : une prairie de féerie pour des bêtes de f»ééerie ; les voilà qui se diostinguent, elles sont folles, elles volètent (lévitation dans un air bl euté) ; elles se montent sous nos yeux, gambadent à qui mieux mieux, filent à l’anglaise, se coursent entre elles, nous matent un instant (arret sur image) et repartent de plus bnelle en féeriee ; elles nous intriguent grandement, car elles ne porten,t (parfois) pas toujours, sur rien de tangible, sur riezn de concret (concrétion) qui pûissent nous faire accroire que oui elles sont des exisqtences de chair et d’os, comme nous le sommes nous mêmes qui, de l’autree côté pour ainsi dire de la piste, sommes à nous aussi les regarder tout de guingois et nous en méfier comme de la peste ou du choléra car elles sqont rebelles parfois, et pas toujoursq fiables-fiables ; nous avons à nous prémunir ; les mots sont là en notre bouche comme des étais pour des marches en roche, en parois dures, comme sol de terre ferme  ; nous voulons comprendsre les choses qui pour nous autour de nous se passent ; ces choses, nous les voulons (pour nouys) comprendre depuis a jusqu’à z, et ce fissa : dès notre entrée en roche du temps ; nous sommesq nés d’une m ère humaine, son nom est en n ous comme celui du père (le nôtrte) et ce faisant, né de la sorte, nous abvons à) nous agenouiller ou xdu moins à nous allonger en cette «paroi du temps» qui a débuté pour nous à notre naissance = conception ; nous avons à faire encore un peu de chemin pour comprendre les ressorts ; nous avons encore pas mal de chemin à parcourir en roche (rock) pour comprendre (trouver) ce qui est que nous nomons, pour nous  : pot aux roses ; nous voulons (art) nous immiscer (art de paroi) dans cette roche -arche qui est celle qui nous a vu naitre, et ce, muni de tout notre attirail de lutte langagier : nom, prénom, âge et qualités diverses ; nous so=mmes ceux et celles qui savons le poids des mots qui p^èsent en bnous dans la bala nce ; nous sommes (nous) ceux et celles qui comprennent la situation langagière détournée ; nous voulons que les choses soien,t claires car nous sommes ainsi, que nous avons ce besoin de clarté ; nous voulons savoir ce qui est de la vie et de la mort terrestre ; où sommes nous ? que faisons nous ? y sommes nous ? que voulons nous ?  ; njous sommes des enfants de la paroi du temps , cette paroi langagière du temps , qui est celle que nous regardons, devant nous (ce futur proche ou de proximité), et qui nous ouvre en gra,nd sesq anfractuosités (?), ses failles (?), ses fissures(?) ou quoi d’autre en termes d’ouverture en grand ? sa bouche ?.  ; nous voulonbs trouver ici ou là des choses de type trésors ; nous cherchons des malles remplies de bijoux et de choses dorées ; nous voulons trouver le magot temporel, la fortune du temps, la pleine mesure d’allant, la chanson (le chan,t) des sphères, le la dominical, la peine et le chagrin battus, le doux vent de la roche sur notre plaie vive de la joue encore en sang ; nous  cherchons des vérités à n’en plus finir ; nous voulons ces vérités pour nous, qui sommes des betes de paroi et de roche ; nous voulons des vérités criardesq, comme betes de paroi ou betes de roche ; 

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18/01/2021

il est pour nous cette chose d’un savoir ancien, ilest pour nous cette chose d’un savoir, ancien et puissant, d’esprit animalier, que nous cherchons (nous deux) à acquérir, via l’imposition des mains, sur la roche dure orneme,ntée ; noius cherchons ensemble à cvomprendre pourquoi l’homme ancien des cabvernes avait en lui cette chose d’un pouvoir puissant, ou puissamment inoculé en lui, le pouvoir de se laisser guider par le bout du nez pour ainsi dire, par la bete en lui qui le faisait agir sur roche et graver à l’envi des betes massives, fortes, dures, deboiut, majestueueses, et allant leur chemin de ronde à même les reliefs du roc ; nous pensons que nous devons nous tenir la main et ensemble aller preès de cette bête devant nous et la toucher, la toucher tout délicatemmen,t et en saisir ainsi un quelque chose d’elle qui est à cerner, à prendre fissa, à intégrer le plus possible et ce afin de pouvoir, ainsi, aller plus avant dans les connaissances ; nous voulons ensemble essayer de comprendre au mieux les e,njeux pariétaux du temps, et pour cela nous prenons (ensemble) notre courage à deux mùains et y allons de toute notre foi, armé de nottre foi ancrée en nous, qui sommes tous deux munis des pouvoiurs de franchir (ensemble ) la paroi du temps armés ainsi, aller en cette bete de roche : en elle, afin de (donc ) faire cette chose d’une sorte d’inclusion en icelle de roche (dessin) pour une captation et une prise de pouvoirs animaliers ; toucher la bete délicatemment, et cela afin de pouvoir enfin nous munir (nous étoffer) de pmouvoirs dits «de paroi», pouvoirs qui sont ceux que la biche ou le cerf ont pour eux, ici en roche, et qui leur permet d’aller et venir dans le dur du temps sans encombre autre que celles d’une vie de roche : la dureté, la compacticité des temps, etc ; nous pensons que nous devons ainsi aller ensemble et chercher dès lors à comprendre, à cerner les enjeux de paroi, et ce afin d’aller plus avbant (toujours) dans la maitrise, la com:préhjension, la prise etc des choses de place rocheuse ; nous y allons ensemble, car nous sommes deux pour ce faire, et deux est la réponse à pareille situat-ion d’inclusion temporelle ; nous voyons bambi qui court sur les prés, nous la voyons aller et venir et nous sommes fous de cette bete gracile et vive qui nous regarde par mome,nts, doit bien se poser des questions (s’en pose t elle ?)  ; nous sommes deux pour une insertion en paroi de roche à la recherche de bete bambi allant et gesticulant, virevoltant au sein de la roche : touchons sa pelisse et devenons à notre tour des betes de paroi, des betes fines de paroi, de roche, de roc du temps, etc ; à notre tour de devenir ce que nous voyons ; l’homme des cavernes a cerné (en son temps) la chose avec b eaucoup de naturel, retrouvons pareille avpproche des parois et collons-nous y si possible, si tant est que possible soit cette chose pour nous ; nous essayons ensemble et cherchons ensemble des solutions ; nous cherchons des solutions de concert car nous sommes deux à vouloir pareil pouvoir : celui de l’insertion dans la roche dutemps ; nous pensons que nous avons à faire cette chose pour nous, nous essayons de ce fait de faire ainsi que nous soyons ensemble main dans la main auprès de pareille bete de roche, à nous approcher d’elle le plus possible, à nous rapprocher de bambi coureuse sur pré, afin de la toucher pour en receuillir le pouvoir temporel (pariétal) qui nous fera à nottre tour et pour toujoursd devenir bambi à notre tour ; nous pensons que nous devons toucher pareille pelisse de roche, que telle est notre direction ; nous y allons en ce sens et espérons pouvoir agir ainsi ensemble, main dans la main, afgin de passer outre les épreuves des parois (douleur de l’introduction, etc) et nous blottir en elle, détachéés de toute pesanteur, afin de nous placer au mieux pour une insertion douce, douce et feutrée ; nous poussons cette chose à dson paroxysme à savoir que nous entrons bille en tête en paroi du temps, comme deux écervelés et cela fait nous nous retrouvons comme «de l’autre vcôoté» à compter les cerfs, les chevaux ou les rennes de paroi ; nous sommes pris dans une nasse rocheuse et eesayons de comprtendre à commùent faire pour nous en extraire ; nous cher chons une issue à pareille emprise tempoorelle (la chose est dure)  ; nous pen,sons que nous devons ensemble nous positionner de telle façon en roche que pas un animal ne puisse nous venir piétiner (par exemple) sur son passage ; nous essayons de co:p^rendre les arcanes (ressorts) de pareille insertion parioétale, il n’est pas aisé de faire cette chose : nous essayons de voir et de co:mp^rendre ce qui est de cette roche du temps pariétal et pour cela nous avons à nous approcher des betes de parois, celles-là que l’homme des cavernes a (autrefois) dessinées à main levée, commùe un salut à dame roche, ou dame la roche du temps, etc ; il s’agit pour nous de nous introduire fissa à deux en cette chose d’une «roche de compréhension» qui serait le roc des savoirs terrestres ; nous cherchons une solution à nos problèmes, nous voulons une solutionb et pour cela nous nous glissons tete première en une paroi de grotte à la recherche d’une solution qui soit celle qui nous verra commùe consacrés par un dieu pariétyal de roche, ou par ml’animal nous reluquant de son air de deux airs, etc ; la chose (pour nous) est de continuer à toujours plus avant creuser le temps de cette roche ou roche des prés, celle des bambis sautillan,tes et des cerfs boisés ; nous regardons tout cela abvec les yeux grand oucverts de ceux qui sont baba de vant pareil spectacle de vie ; nous les regardons (biches, cerfs et autres betes des parois) avec les yeux de ceux qui ne v  eulent pas en perdre une miette et qui vont ainsi au plus près possible de cet animal rencon,tré ; il s’agit de ne pas l’effrayer ; l’animal est la bneauté de roche, ou la beauté des roches (anfractuosités) et nous devons de fait nous en approcher délicatemment afin de ne pas l’effrayer outre mesure ; nous devons nous approcher de cette bete de paroi et la caresser doucement si possible, et cela en semble, elle (ma tres chere) et moi m^eme qui sommes deux pour la bonne cause (causerie) ; nous y allons ainsi ernsemble afin de comprendre c  e qui est dans toute cette affaire d’un dire de roche, d’un perçage de roche dure par un pic de dire commun(entortillé) qui soit cette chose d’une c  aresse, d’un geste anmical en,vers dame la biche (paroi dure des temps ) ou sieur le cerf (paroi dure de la roche ancienne)  ; nous aimons toutes ces betes regroupées sur roche et ne manquons pas de le dire, il s’agit de litanies ; nous aimons toucher du bout des doigts la pelisse du chevreuil et acvquérir ainsi (absorber) le pouvoir de pareille bete en cette chose d’une immersion-immixtion-insertion-inclusion-intégration de roche ; nous sommes de la pa ertie ; nous ne voulons certes pas fla,ncher et c’est ainsi que nous allons en force, fissa, tete la première, en cette roche dure, cogner icelle pour une introduction de notre mobile commun ; allons allons perçons ; allons allons perçons icelle (paroi) et ne lambinons pas car la vitesse a son importan,ce : d’un trait d’un seul = la continuité assurée ; nous voulons que cette chose d’une introduction en paroi de roche temporelle soit dite et non point cachée, nous la voulons qui soit révélée et connue de qui veut connaîtrte  ; nous voulons que cette chose ici soit dite sur paroi ou sur affichette ou n’importe où mais dite afin que chacun puisse à loisir s’enquérir du bien fondé et de la vérité de notre geste d’insertion  ; nous pensons que c ela a une gran,de importan,ce, cette chose de communiquer (pour nous) le fruit de nos recherches et le bien fondé de cette introduction en paroi du temps ; nous pensons que nous devons agir de la sorte, que tel est notre devoir à tous les deux ; nous pen,sons que nous devons agir ainsi et ne pas flanchezr, ne point flancher, tenir bon coute que coute, tenir la barre, tenir la chose de main ferme etc, tous les deux, à bord de la navette pariétale (roche) nommée temps pour la bonne cause ; nous voulons tenir ainsi le plus longtemps pôssible et nous agitons nos fichus, nos dxraperies, nos chiffons blan,cs, nos habits de peu à même la roche et ce faisant nous signalons notre présence à l’ensemble (groupement) cers bvetes ici représentées par l’homme des cavernes : nous ne voulons  certe pas noyus faire monter dessus et nous faire laminer (écraser) comme une bouse etc ; la chose est connue de tous et toutes à présent : nous avons assez insisté sur  ce point à présent, pour que la xhose sans cela ne fût pas connue, eh bien l’inverse : la cxhose est à présent connue de tous et toutes : nous sommes les en,fants du temps ; nous sommes «comme» les en,fants du temps ; nous cherchons à faire fortune  ; notrte but affiché est clair comme de l’eau de roche et tient en quelqiues mots : bnous aimons passezr ainsi tete la première ensemble à l’intériuer de la paroi du temps et c’est ainsi que nous nous retrouvons tous deux (main dans la main) en elle (paroi) pour un,e immixtion de ce mobile nôtre en icelle dure ; notre but est clair et net ; nous voulons comp^rendre les arcanes et pour cela nous y allons de nottre couplet (pour ainsi dire) concernant lkes bambis de roche et autres cerfs (cervidés) de ces temps anciens ; l(homme de la préhistoire allait de la sorte sur paroi de grotte, a rmé de son bâton tout charbonneux dessiner des betes (esssentiellemùen,t) c’est-à-dire des instruments de perçage ; nous pensons que cette chose est connue de nous à présent et nous pouvosn ainsi développer nos dires d’immixtion en cette roche temporelle, pariétale, du savoir animalioer ; nous pe»nsons que cette chose (immixtion) en rochje est dûe au fait que nous avons poussé ensemble et non séparément : il est bon d’a gir à deux et de cvomprtendre (prendre la tangente) à deux , pour une immixtion efficace, complète, rapide et ne souffrrant pas la moindre ou le moindr retard etc,dans  c  et ordre pariétal de roche, etc ; nous voulons que cette chose soit pour le coup accomplie dans le sens de complète, complètement faite etc, c’est-à-dire entière : corps en,tiers pâssés de l’autre côté et point de restants etc ;nous pensons que nous devons ainsi agir eznsemble et ensemble essayer de comprendre les enjeux, les ressorts, les arcanes, les tiroirs cachés etc de toute l’affaire ; nous avons du temps devant nous pour ce faire et ce temps devant soi est cette paroi de roche (en sorte de main tendue) qui nous prend en elle (en son  sein ou «sous son ai:le) afin de nous protéger des ruades animalières ou des écarts (incartades) de betes de paroi telles que l(homme des cavernes (arty) les a dessinées ; lk’art en la matière est cette façon (apparten,an,ce) d’aller et venir sur roche ; l’art il semblerait ici serait (est) cette façon , qu’a ou avait l’hommùe des cavernes, de faire sur roche son perçage de pâroi (temporelle) avec moultes détails et une grâce de chaque instants (transe)  ; on voit ici à quel point l’art est lié à la roche du temps ; l’art est celui d’aller en roche, pour une immixtion-inclusion, temporelle défintive ou qui se veut telle ; nous pensons que l’art est cette façon (gestuelle) de percer» la roche à mots déployés, et ce dans le but (avoué) de s’allonger en elle (paroi rocheuse) pour un délassement des parties ; nous sommesx dseuxd (elle et moi en moi) à le penser ; nous sommes tous deux (toutes deux ) à le penser = à penser ainsi : nous sommes en soi (en nous) deux quyi sommes à la charge etc ; nous pensons que la chodse est ainsi faite en n ous, cette chose d’un pic de  roche, d’une manière telle que , nous, nous sommes comme dépourvus, déguenillés, dénudés etc en entrée de rocjhe, par icelle roche qui nous frotte» aux entournures à son passage = à son passage perdons toute pudeur (habits,) et entrons nus ; nous e,ntrons nus dans la roche du temps,  ; c’est ainsi que nous faisons ; nous entrons dépourvus , nus, dénudés, nus et dépourvus de toute pudeur déplacée etc en  cette roche du temps pariétal de l’homme des cavernes ; nous avons cet art de faire irruption en roche (via notre t^tete) etc et cet art est nôttre jusqu’à preuve du contraire ; l’art dxure jusqu’à la mort et au delà il n’opère plus , et donc ? et donc nous voilà chagfrin de cette chose (pour nous) comme quoi l’aert est du vivant, et de la mort il n’est en rien ou n’opère plus (semble-t-il) ; quen savopns nous ? nous n’en xsavons rien, !  ; il est une chose que nous savons ici en roche mais en v  érité il ne s’agit pas de la m^$eme chose mais d’un e autre c’est-à-dire d’une chose qui en rien ne concerne cette chose en soi (!) de la mort de roche, etc ; nous avons le besoin en nous d’aklller de l’avant toujours plus en cette roche du temps et c’est cette chose que nous nous efforçons de faire si possioble de concert : elle et moi en moi pour la bonne cause (causerie) d’une introductuion dans la paroi dure des temps anciens (préhistoriques) de cet homme et de cette femme des cabvernes ; nous sommdes prixs ensemble a insi dans une sorte de nasse pariétale et allons (nous allons) ensemble en paroi cher cher à toucher la bete (ce bambi : Bambi) pour en recueillir , accueillir, absorber les effluves féeriques, les pouvoirs nombreux contebnus en pareille carne etc: tout ce tralala de pouvoirs de bete contenus en elle, il est pour nous cette chose que nous le voulons ; nous cherchons à saisir (-= cerner et prendre) une chose animale en p)areille bête à corne et cette chose nous co,ncerne au premier chef (art des pârois de la guerre)  ; nous essayons de prendre pour nous ce qui est ainsi dessiné sur roche : pour nous = pour notre gouverne : orient ; et cela est en nous comme une incitation à commettrree un geste sur roche (art) qui dise cette  vérité d’une emprise animalière sur nous-mêmes ; nous voulons que cette chose soit (enfin) dite haut et fort, afin que tout un chacun puisse s’enquérir de pareille informùation relative au temps de vie sur terre ; nous voulons essa yer de comp^rendre c  ette chose de c e temps mùais il n’est pas aisé de faire cette chose simplement ; il est malaisé de cerner-comprendre les arcanes hélas : chagrin, esprit du chagrin, et du même coup nous nous efforçons de creuser encore et toujours la roche afin 1 : de ne pa s nous désunir et 2 : afin de pigercerner, comprendre-explorer, piger-toucher etc aux arcanes, les arcanes  ; toute notrte volonté ici se résume à , en pareil effort, etc ; nous voulons comprendre les choses du monde, les arcanes et les secrets , car nous sommes des enfants que  les arcanes et les secrets séduisen,t beaucoup : nous sommes à la recherche d’(arcanes et de ressorts cachés à même la roche et voilà pourquoi nous entrons en elle ; notte but est de révéler etc, et ne pas nous désunir : et de ne pas nous désunir ; nous voulons aller le plus loin possible à l’intérieur de cet espace de compréhensiuon des choses ; comme sil (cet espacve) fut en nbous contenu nu ; nous cherchons le pa ssage idoine, l’entrée en matière, le mot de la fin, la découvberte inopportune, etc ; nous voulo,ns com^rezndre ce quil en ressort de toute cette affaire d’entrée conjointe : de quoi s’agit-il ? et pour cela nous nous tenons par la main et nous ne cédons pas ; nous nous tenons pâr la main et ne cédons sur rien de c  e qui est pour nous comme l’essentiel de nbottre mission pariétale, cette introduction fissa tete première pour la bonne cvause : élégies ; il semble qu’ain si nous fassions preuve d’elégies, etc ; il est pour nous cettechose d’une élégies , et cette chose nous kcontient, nous absorbe ; il est pour nous une chose qui est , et cette chose est celle qui nous voit nous placer en roche de la sorte, la tete fichée en première instance, puis le reste du corps , pour un passdage entier (complet) nu du mobile foetal, en ce monde terrestre (pa riétal) des betes de roche ; njous passons ainsi par cet espace dur, de dureté (pariétale) ici même, pour une immixtion en roche (introduction) comme d’une inclusion dans une matière toute de contenance ; nous cherchons à nous fixser ici ensemble, main dans la main : nos deux mains jointes ; nous faison,s ensemble irruption e,n pareil troupeau de betes temporelles, nous sommes de cette partie qui veut que nous soyons «fous» de ces betes chargeant, broutant, etc, à même le p^ré de la roche du temps ; cette chose est pour nous un essentiel ; nous pensons que nous pouvons faire ainsi que la roche nous con,tient et nous absorbe en son sein ; en tous les cas voilà ce qui nous importe à ce stade de l’évolution des données terrestres ; nous  pensons que nous devons aller ainsi rapidfement nous blottir en ce sein des szeins pariétal et de là (là) regarder passer le train animalioer du monde , ce monde alentour d’environnemnt p)rairial, féerie d’un temps de rochev pour une immixtio n conjuguée ; nous allons ensemble dans une grotte, nous marchons côte à côte ; nous sommes deux qui nous introduisons par lma tête à l’intériuer de cette cvaverne et à l’intérieur de cette  caverne à l’(intérieur de la paroi, et à l’int§érieur de la paroi à l’intériuer de la bête en elle : bison, cheval, renne, bouquetin, chevreuil, cerf, ours des cavernes ; labiche est celle là que nouq appelons de ce doux nom de «bambi des prés» ; il s’agit ds’une bete gracile, agile, élancé, fine, sautilleuse, vive, belle, donnée ainsi à voir à nos yeux d’enfants sous le charme ; nous allon s pres d’elle pour nous enquérir de sa santé ; la santé de bambi nous impôrte : la santé avant toute chose et qu’elle (quasiment) en cette approche : commùent va t elle ? comment bouge t elle ? la santé et «rien que» pour ainsi dire et voilà le dire avoué ; il s’agit du dire de la santé des parois ou de paroi ; nous pensopns que ce dire (concernant l’état de la personne) est le dire par excellence et pour ainsi dire qu il se doit de se positionner comme étant le dire par excellence : «comment va ? «, ou « comment ça va ?», ou encore : «comment vas-tu ?» ; nous sommes xdeux à penser que cette chose du v erbe en nous (pic de roche) est cette enquete envers autrui sur son état de guerre = cette chose en lui qui est ( respire) est-elle encore en bon etat de marche sur paeroi (galop etc) ; nous avons ce pouvoir en nous, pouvoir qui est cette chose, comme quoi njous allons fissa, en paroi, afin de pour le coup nous enquérir par le verbe (queue de rat) de cette chose ezn cet autre posté devant nous qui est, cette chose, son degré ou état de santé (impacts divers ?)  ; npous compreno,ns les choses ainsi, nous les comp^renons ainsi, nous comprenons les choses ainsi ; bnous comprenons ainsi kles choses ici, ces parois recouvertes d’effigie : comment alllerz-vous ? comment vas-tu ? comment tu vbas ? commùent vous allez ?  ; nous voulons comprendre le processus en son entier et voilà ce que nous espérons pour nous pour les mois à venir ; nous cherchons une solution à des problèmes (en vérité) de santé ; nous cherchons à comprendre ces choses en nbous (trame) afin xd’aller plus loin (si possible) dans  cette enclave d’une grotte, d’une caverne qui serait le lieu de toutes les vérités comme amoncelées (tas) sur une paroi ; les hommes de la préhiostoire aimaient s’entourer de pareilles bêtes représentées cxar lezur art était celui qui consisqte à «dire» sur roche les choses «comme elles vont» = anima lières, rudes (ruades) etc ; la chose est entendue ; nous sommes e,nsemble  de la partie et nous allons poursuivre sur notre lancée ; nous voulons à tout p)rix poursuivre sur notre lancéez ; nous voulons cerner kles tenants et les aboutissants des choses du monde, nous enquérirpar la même de l’état de santé (pariétal) des betes alentour: vont elles bien ? comment vont elles ? sont elles en santé ? que dire de leur santé ? etc ; nous passons ainsi la tete (passe-muraille) et touchons la tete (de bambi ?) de notre front passé (par exemple) ou de nos mains passées (mortes ?) par exemple , ou autre exemple, etc) ; nous passons une tete dans laroche et voyons le manège (animalier, féerique) du temps de l’autre côté : comment faire pour passer la tete sans décliner, sans faillir, sans défaillir, sans tomber, sans mourir , etcc ?  ; nous ne savons que dire à pareille question rupestre ;nous voulons nous avancer dans le dur de lka roche et pour ce faire nous nous introduisons à deux (elle et moi : moi et elle) pour une immixtion complète (pour le coup) de nods parties communes et respectives , communes respectives à nous deux ici, c’està dire dans le sein des seins ; car nous sommes dans le sein des sezins ; nous sommes immergés, immergés ensemble pour la bonne cause, (causerie ?) dans le sein des seins ;, dancs ce sein qui nous voit nous allonger (art) da ns le bvut de nous détendre et de nous étendre ; nous voulons que lkes choses soient ditees, toutes, comme des enfants qui vgeulent (voudraient) la vérité vraie sur les choses de ce monde pariétal de roche ; nous avons cogné la tête, nous nousq sommes cogné la tête, nbous avons percuté la roche (le rocher) tete prelmière et voilà que nous sommes deux ainsi, nous deux, en paroi, pour cet art du dire les choses comme elles vont (comment) etc ; nous ne voulons pas aller aillmeurs qu’en cet endroit qui pour nous est le sein des seins pariétaux, ce sein qui est le lieu sûr pour un,e immixtion de mobile et aussi l’endroit des représentations salutaires ; nous cherchons le trou dans la roche ; nbous essayons de nous soumettree à icelle roche afin de plus avant aller dedans pour saisir ici et comprendre là les tenants et les aboutissants de pareille roche du temps: biches des p^rés gambadant et cerfs (cervidés mâles) se tenant superbe sur pic de crête ; nous avons une ambitiuon extremement développée, une ambition qui est tres tres poussée en nous, ttrres forte, tresw prononcée , qui est celle là comme quoi nous voulons nous montrer nus le plus possible, c’est-à-dre à carte rabattues, à carte montrée ou découvertes, etc ; nus comme des vermissaux de terree ; nous voulons nous montrer dans notree plus sqimple appareil, le pouvons nous ? ; nous cxherchons e nsemble à nouys montrter dfans notre plus simple appareil , à savoir nus comme des vers, à l’entrée de la roche , laissant par deça (en deça de pareille roche) l’ensemble (aux pieds) de notre «saint-frusquin» de mémoire ; nous voulons cxomprendre l’ensemvbvle (comp^let) des données qui composent le monde alentour = le nôtre (et pas celui de quelqu’un d’autre !)  ; nous bvoulons comprendre avec desmots (alignés bousculés ou interrogés) les choses qui sont : il s’agit d’interroger les mots (et non soi en vérité ) ou plutôt  : il s’agit à travers le filttre d’un soi pariétal conjugal d’interroger les mots d’une langue «donnée» afin de voir ainsi (en elkle) les donhées de roche amoncelées : troupeau de betes pariétales, d’hommes des cavernes, magbdaléniens ou aurignaciens, etc ; nous pensons que nous pouvons nous aventurer de la sorte en ceztte jungle (des mots) que nous sortons (pic) de notre bouche ; nous abvons cette envie en nbous et cettye envie nous tient debout, nous maintient en vie, nousq fait toujours et encore , encore et toujours aller de l’avant coôute que coûte, etc ; cette envie ennous eswt constitutive et nous brûle à cfhaque instants, de tous les instants : brûlure ; nous savons que la roche est dure, le temps se calcinant, l’heure tourna nt etc ; nous voulons aller le plus loin possible en cette roche ornementée pâr des hommùes des cavezr nees et entrons «nus» en elle, «nus» à savoir : dénudés ; et non point nus comme de naissance ?  ; nous entrons dénudés = laissant les frusques nôtrees (saint frusquin) au pied de la paroi du temps ; qyui les retrouvera ? qui retrouvera nos frusques au pied de la paroi ? nous voulons aller le plus loin possible à kl’intérieur de la paroi du temps ; nous voulons aller le plus loin possible en cet antre pariétal censé contenir un grand nombre(incalculable) de trésors de type «vérités sur le monde environnant» ; nous avons autour de nous des betes qui paissent : nous sommes entourés de ces betes féeriques de paeroi de roche et commùent toucher un etre féerique ? comment faire pour s’en approcher sans l’effrayer , et comment faire pour le toucher, toucher sa peau (pelisse) et en prendre pour soi, en saisir une paertie pour soi etc, comment faire ?  ; nous sommes mal informé s et ce depuis la nuit des temps (toujours)  ; nous sommes depuis toujours (nuit des temps) extrèmement mal formés pour la compréhension des choses du monde ; nous ne sommes pas si bien a rmés et outillés, formés pour la compréhension : nbous ne sommes pas tres bien formés et cela nous occupe fort, cette question, comme quoi nbous ne serions pas = à égalikté = et les uns et les autres, tous et toutes bien formés à égalitév pour un creusement en paroi (gravure) des choses de vérités ou des choses de la vérité (compréhensionb)  ; nous av,ons une grande chance pour nous ici, chance de pouvoir nous approchezr de betes comme donc bambi la bien -nommée ; nous devons aller le plus possible loin en cet animal xde paroi, en lui, afin d’en extraire autant que faire cse peut, un peu de son êtrte, de son esprit, ou de son afflux de sang, influx etc ; nous avons de grandes ambitions , et celles ci toutszwes concerbnent bambi dite «bambvi des prés» ; nous voulons aller en cet animal comme dans une poche de temps, une enclave (bulle) à l’intérieur du roc sus-nommé, et pour cela comment nous y prendre ? nous ne savons pas toujours comment nous y prendre à deux, nous ne sa vons pas à deux touyjours comment nous y prendre : comment faire ? comment agir ? comment trouer ? comment percer la joue ? comment dire = s’enquérir de la santé de l’Autrte : comment va t il ? ; dire = s’enquérir de l’état en santé de cet etrte devant soi (pariétal) qui est, ce bison de roche , cet ours ou ce chgeval préhistorique ; nous ne savcons pas tout de tout du monde ; nous ne savons pas toutes les choses et comprenons peu, ; nous devons présenter profils bas coute que coute et ne pas la ramener avec des mots de bouchje autoritaires ; nous devons agir en toute modestie, car nous ne savons rien de lma mort et parce que nbous parlons à tort et à travers ; nous par’lons à tort et à travers alors même que nous pensons parler cla irement et selon un chemin (une voie) tracée à dessein ; or il sembvle évident que la chose non point ne se dérouyle ainsi ; il srmblerait que jamais la chose ne va comme se déroulant de la sorte en vérité, alors même que nous le pensons ; mais comment penser en santé ? comment faire pôur poenser juste , avec pareils mots)-animaux qui chaergent cdepuis nous, sur paroi de roche ; traitsq au vcharbon de bois, bauxite, etc, nous ne savons pas ; nous ne savons pas comment nous y prendre en définitive pour savoir ; nous voulonbs essayer de co:mprendre les choses ici présentes ; nous essayons ‘«nsemble ici de comprendre les tenants et les aboutiissants or non (nenni) ne pouvons et cela un tanttinet nous laisse chjagrin (de mémoiore) en cette roche de paroi ; nous cherchons issue de concert, pour une introduction en bete pariétale, celle là que nous contenions : juste retour des choses d’avant,, etc ; njous voulons aller loin en nous avec des mots, pour avec des mots comprendre les tenants et les abouitiossants (!) du monde alentour , celui de la roche porteuse et celui de la prairie des betes en elle ; nousessayons de comprendre  ce qui est en cette chose d’une roche dure temporelle qUIi sezrait le lit ou nid de notrte mobile ; nous voulons essayer de nous immiscer en cette bête (en elle, en son sein) et pour ce faire nous nous approchons d’elle à pas comptés (mesurés, agraires) afin de pouvoir savoir à comment fgaire p^our enttrer en p)areille bete bambiesque etc ; le temps ici est l’ami des betes ; nous voyons ces betes aller et venir sur pzaroi (ruades quelquefois) et ce spectacle est tel qu il nous en,cjhante grandement, nous donne du plkaisir et des a iles ; nous allons ensemble en  ette paroi du temps afin de prendre en elle pour nous un peu de l’esprit des betes, bambis foix x gambadant dans lanature rocheuse ; nous sommes deux (enfants) qui voulons savoir ce que c’est que cette roche du temps ; nous sommes ainsi que des enfants qui voulons essayer de comprendre exactement ce qu il en reztourne (en retourne) de toutes ces choses d’un temps donné (roche : paroi) devant soi = la vie deva,nt sqoi ; nous voulons essayer dee comprendre ce que c’est que toutes ces choses alentour qui sont choses pour nous, comme outils de compréhension du mon,de , ou pas ?  ; nous avons une ambition considérable, il s’agit d’un vouloir-savoir les choses et cela, avec les mots du langage a rticulé tel qu’il nousq a été inculqué en notre jeune âge, et pour cela nous nous posons en des sortes de chercheurs (de pacotille !) qui vont, fissa, s’introduire (lévitation) dans une paroi (en transe ? ) pour des choses à recueillir ensemble (elle et moi) pour la bonne cause ; nous poussons l’escarpolette du temps (façon de dire , ou de faire, etc)  ; nous sommes deux pour la bonne cause et pour cela nous nous préswentons ; pour cela que nous sommes deux avons à nous présenter : qui est qui  ; nous avons à nous présenter à l’entrée de la rochje : lui c’est lui, elle c’est elle ; ou : moi c’est moi, etc ; il est bon ainsi ds’agfir de la sorte ezn public ; il est judicieux d’agir ainsi , et de nous poser ainsi en roche, ainsi présentés : qui est qui  ; nous sommes chacun une ezntité qui va se mélangeant à auttre, à cette autre entité, chacun une pour un entrelaçement des paerties pour une sorte de pezrcvée de rochje (piquous) à même la roche ; chacun un ; chacun est un, et la somme des parties devient ce pic(entrelaccs ) de roche à même le temps ; nous espérons en cette percée pour une trouée dans la compréhension des chodses et nous ne vouylons pas flancher pour ce faire le mpoins du monde mais tout a u contraire aller e,nsemble le plus loin pôssible en cette paroi de groptte a,ntédiluvienbne  ; njous avons ce shéma en tête ; nous sommes ainsi que nous nous figurons les choses en tete avantb de les voir naitre sous nos yeux d’enfants (pour ainsi dire)  ; nous sommes comme dxes enfants qui découvrons, au sein d’un e grotte (ici) le pot aux roses, et celui ci serait comme un trésor à ne pâr perdre (égarer) en chemin (sur le chemin de retour)  ; nous voulons essayer de comprendre les choses du monde ensemble et voilà pourquoi nous sommes deux, car c’est ensemble (elle et moi en moi) que nous voulo ns nous approcher le plus possible de la  v érité de la paroi (féerie) du temps ; bambi nous regarde : elle est fine et menue, elle est légère et cambrée ; elle nous protège, elle nous regarde fixement et son regard nous permet une chose à bhien cerner, son regard nous donne ce la qui nous protège : il est le la (musical dès lors) de la paroi des temps anciens (tout ce passé comme remonté à la surface du monde)  ; nous devons nous placer de la sorte ensemble en paroi ; nous devons nous placer ensembvle de la sorte en paroi et ne pas nous désunbir jamais (o grand jamais) si nous voulons y cvomprendre goutte = quelqiue cxhose à cet ensemble jour-nuit du monde adjacent à nottre naissance = de ce monde a djacent et ce dès notre naissance ; nousq comptons les betes représentées sur roche ; il s’agit de grande ressemblance ; la bete figurée est l’équivalente d’un mot-animal grossier (un gros mot d’enfants)  ; il s’agit d’une bvete de prairie ou dee bois ; les formes sont fines et précises : l’homme de l’an,cien temps figurait sous emprise et sa main était guidée par la représentation massive en lui (une mine) de l’animal prenant kla direction ici de son mobhile de cap ; il s’agit d’une mainmise complète ; il s’agit en l’occurrence ici (sur parois ) d’une mainmise de la bete sur un homme des cavezrnes ; celui ci est pris dans l’étau de la bvete (les crocs) qui sur lui fait mainmise (la main du temps)  ; nous voyons touts ces cghoses très bien à présent : nous poubvons nous approcher de kla bête figurés (excellement et pour cause) et la ressentir comme vivante (eureka) comme pouvant faire accroire, ou comme pouvant faire cette chose d’une sorte de vie déposée en elle pour le coup et du coup vie, qui pourrait faire penser à qui de droit (dieu et ses lutins) que la vie en cette bete est offerte (= la mort en définitive) pour une donn,ée -offrande sur roche ici ou sur table sa n,glante là ; nous pensons que nous avons ainsi à faire  cette chose, d’un don ; il s’agit d’un don de vie ; il s’agit pour nous de donner la vie à qui de droit : la notre  ; donner la vie = la mort ; c’est à dire : donner une vie ou un semblant genre figure animalière sur paroi) à ce dieu des choses mortelles etc ; nous ne savons pas bien comment nous y prendre pour tenter de clarifier en toute connaissance des causes les données animmalières des parois de grotte ; cklarifiezr l’ensemble des données ; nous essayons  un grand nombre de figures (réitération) mais cela ne va pas de soi sans peine ; nous avons pour nous ces possibilités pour nous qui sont de pouvoir ainsi sur roche graver ou dessiner, tout comme avant nous l’homme des  cavernes, et cependant nous n,e sqommes pas s^$urs de notre coup (faisant cette chose du dessin ou de la gravure)  ; nous doutons (beaucoup) et nous cheminons ensesmble ainsi doutant ; nous cheminons ainsi doutant ensemble ; ensemble ainsi nous cheminons, en roche, en doutant de nous, de ce verbe vif d’incrusqtation rocheuse mais pas seulement  ; nous doutons a ussi dee nos faits et gestes pariétaux : sont ils à même de nous introduire (fissa) en pareille bête de féerie telle que bambi , devan,t nous, nous apparait ?  ; nous aimons les betes de paroi et voulobns comprendre ce qu’elles font là, qui nous regardcent en biais (de biais ou de guingois : toute de guingois) et nous observe dro^lement  ; elles sont curieuses ; elles nous fixent du regard : drôlement, et cela ne va pas sans nous troubler car nous pensons qu’elles pigent bien des choses que, pour le coup, nous ne pensons pas pîger nous mêmes, dès lors comment faire ?  ; comment faire pour comprendre le (les ?) fin(s) mot(s) de toute cette affaire de bête curieuse, de bête à bhon dieu, de paroi décentrée, de roche lisse, de froidure pariétale de con cert, de peine à s’immiscer, de joie et de chagrin, de pierre tombale, d’effgorts de survie à deux, de chants des sirènes, de percée locutro-motrice, de chaines détachées, de roi et de reine des prés en la (les) personne(s) du (des) cervidé (s) : cerf, biche, etc ; nous pensons (follement ?) que nous sommes à la merci d’une bete des p^rés en nous qui nous pousse (a rt) à donner de nous du semblant de vie vive à la p^lace de la mort préfigurée (ou quelque chose de cet ordre religieux)  ; nouspensons en mêlme temps que nous allons : telle est la devise ; la peine est complète qui se voit se  faire au fur et à mesure : en notre sein de destinée, ou bien à l’intérieuir de la paroi du temps (la nôtre)  ; njous sommes en,emble main dsans la main et entrons par la porte du temps pariétal qui est le temps de la voie royale ; nous passons de la sorte ensemble par icelle voie et nous nous retrouvons aupres des betes des preés (déifiées, absolues) qui vont et viennent à nos côtés ; nous les aimons comme nous aimerions nos freres et soeurs de lutte ; nous pensons que nous devons poursuivre l’aventure de la sorte et ce jusqu’à plus soif car il en est ainsi que cela devrait, que  cela sera, si nous ne nous eloignons, de l’un et de l’aurtee, l’un l’autre ; si de nous deux ne nous éloignons, simultanément ou quelque chose dx’approchant : etc ; nous avons à tenir bon ; nous ne devons pas nous éloign,er l’un de l’autre  ; nous sommes un entrelacs de mots-animaux, propre à percer roche devant soi (= le temps) pour une immmersion en icelui ; nous pezrçons (art) pour immersion-immixtion ; nous avons à faire une chose ensemble et cette chose est de pezrcer «la roche du temps» avec des mots, ces mots sont des mots-animaux ; nous devons aller trèès loin en elle (paroi) car en son antre (sein des seins) se loge une vérité ; car si les mots sont porteurs d’eau (?) de vérité alors celui là qui est logé au centre de la roche a, en son fief), le nectar d’iccelle: la contient, ou le contient (nectar)  ; nous avons cette chose à découvrir en cette oparoi du temps, et cette chose est un mot (arty « ?) qui est le mot que nous devons élucider ; le mot = l’énigme ; nous pensons que nous dezvons, dessi,nner la betye à main levée et nous laisser porter par la bete en nous, qui nous guide , qui se «reproduit» en quelque sorte à travers nous : reproduction, représentation, naissance, enge ndrement sur paroi de roche ; les mots sont vecteurs qui disent leurs vérités (pariétales) et se logent illico en cette roche dure d’un temps protégé ; nous allons dans la roche de concert à la recherche d’une clé, d’un la, d’une solution quasi musicale à des problèmes temporels (temporaux ?) de roche à percer, dee roc à traverser, de pierre tombale : quasi la musica ; alors faisons cette chose (musicale ) ensemble et brisons les chaines, entrons en cette sorte de réserve animalière (féerie de biche) pour une immixtion en sa nté, pleine de grâce et d’élan ou d’allant ; nous aimons les mots de bouche expectorés sur rochje du temps salutaire (sauve qui peut) qui est la roche animalière par excellen,ce, la p aroi ornementée par excellence: nous envisageons ensembvle pareille immixtion pour une étezrnité : njous nous allongeons côte à côte et palabrons à l(‘infini à qui miuex mieux pour une immixtion complète de nottre mobile , pieds et mains liés par le verbe déroutant, par un verbe de pic en déroute ; nous allons sur cette brèche ; nous aimons aller ainsi sur cette paroi voir des betes ; ces betes se ^promènent à l’envi autour de nous qui l:es regardons aller et gambader dans l’hezrbe verte ; nous nous allongeons dans le temps ; nous prenons nos aises ; nous sommes ensemble pour une immixtion concomittante et simutltanée de nos mobiles respecti fss entreelacés : un entrelacs animalier cde perforation pariétale ; nous voulons construire ainsi notre futur proche et tout à l’avenant, cette perforation pour une immixtion salutaire , un sauve qui peut adressé ; nous cherchons une vérité qui serait incluse dan,s le langage, une vérité c’est-à-dire cette chose sans le mot, qui serait une présence élucidante ; sans le mot ou contenant l’ensemble (en bloc) des mots existants, c’est à fdire ce massif animalier de perforation ; nhous sommes comme pétrris d’ewspoir ; nous voulons croire en cette chose d’un semblant de vérité sur tout = sur nous (!) et sur la mort (cette vie devant soi ?)  ; nous sommes pétris de désirs qui tous (tous) vont dans ce sezns d’u e recherche obnibulé de vérités , et ce en paroi, sur roche , en des grottes reculées, au fin fon de boyauxx humides (ou pas) , noirs et lugubres (ou pas)  ; nous y allons ainsi ensemble car ensemblre nous sommes plus forts et plus performants ; l’union fait la force des temps etc ;: nbous avons envie ensemble d’aller très loin en bvesogne et voilà la raison pour laquelle nouds préférons nbous tenir par la main, c’està dire ne jamais nous désunir mais tout au contreaire rester sezrrés, serrés-collés comme des vers nus dans une bassine ; nous avons des xdésirs en nous ancrés, nous les vers nus de la bassine (?) du temps ; nous avons en nous un grand nombre de désirs attenants à notre gouverne et ces désirs sont émerge nts qui surnahgent et comma,ndentr souvent (beauxoup) sur paroi, qui sous forme de bison, qui sous forme de cheval, ou tel autre soous une forme hibride, mi homme, mi chacal ou perroquet, etc ; nouds sommes des etres qui allons ensemble dans la parooi nous loger pour trouver à voir de quoi comprendre les tenants et les aboutissants du monde tel qu’il nouds apparait sous nos yeux qYUI i sont comme des yeux d’enfants ébahis ; nous poussons ainsi la cxhose jusqu’à nous présenter sur roche , nus comme des vermissaux dan,s une bassine, à la face de la roche, ou face (face contree face) à la roche ; njous devons : nous so:mmes sommés ; nous devons : nous sommes obligés, par la nuit des temps, à ainsi nous soumettree a ux desiderata en nbous animaliers (le petit veau sous la mère, l’angelot sous forme caprine, etc)  ; nous sommes ainsi qui devons nous soumettre ; nous sommes à devoir nous soumettre ensemble, ici, là, pour une introduction du mobile, et cela main dans la ma in toujours comme de bien entendu, car lesw temps sont in certains, et le mieux est de faire «corps» ou de «faire» corps, accent sur corps ou accent sur faire, au besoin ; et par conséquent, le corps ainsi inséré, nous pouvons nous a llo,nger tendrement et voir venir ; quoi ?  ;l’éternité du temps animalier of course,  (il semblaerait) car nous sommes ain si dispôsés de telle manière sur roche que nous sommes à même de cerner (comprendre et en dessiner le pourtour) les betes des roches ; njousd sommes à même de pouvoir comprendre les données secrètes du monde alentour : l’importance des animaux, les mots qui sont en  n ous comme des piques -feu de paroi ; etc ; nous avons une approche des choses particulière, en cela que nous cherchopns toujours à nous app^rocher le plus possi blme de cet animal devant soi  , c’est à dire de cette sorte de bambi des prés ; nous voulons nous approcher d’elle jusqi!’àla toucher , la frôler si nécessaire ou pour le moins car le moindre (moindre !) contact nous donne un élan de vie pariétal qui nous remet en selle pour un tour (et nous éloigne un peu de dame-)sieur la mort ; nous avons com^pris cettte chose d’un contact utile, fort, décisif = art ; cela nous l’avons compris ; nous voulons aller encore un peu pl ;us loin, sur ce chemin de la compréhension des choses avec des mots, ma is comment faire ? comment s’y prendre ? car les mots nous grugent tous qui tourneznt en rond dans notre bouche (ficelle) et vont fissa et brusqueme,nt, xse loger au-devant de soi (la vie deva nt soi) sur paroi  ; or , qui dit paroi dit temps de recul ; nous y allons de la sorte ensemble et butons, piquons, faisons notre possible pour percer la roche et nous y arrivons car nous sommes soudés ; nous sommes soudés car nous sommes pris par un élan de certitude langagière, etc ; la peine ici concerne cet ezffort de perforation de poaroi temporelle, ainsi de suite ; nousz ne voulons pas lâcher la bride mais tout à lm’inverse nous voulons aller ensembvlme , à bride abbatue, en cette paroi de contenance, paroi des betes (chevaux, jhuments, etc) qui est paroi du temps imparti ; nous voulons continuer sur notre lancée et ne rien abandonner de ce qui fait notre singularité pariétale : nous sommes soudés ; nous sommes soudés comme un bec ; notre approche est linéaire ; notre approche concerne le temps de la roche paariétale , et aussi le temps de cette chose dénommé «art des paroisq» : il semblerait que cet art fût le sseul digne de foi ; nou avançons a insi en cette roche nue , nous même sommes nus comme des vers de p^eche, etc ; nous coïtons ? ; nous ava nçons sur un chemin pen,tu, raide, difficile, concret ; nous avançons sur une  crête et cela est difficile à faire à deux parfois, et parfois non, si chacun veut bien tirer (de grâcve !) dans le même sezns : un entrelacs de perforation pariétale, ou quelque chose d’approchant ; nous aimons nous entourer de ces betes féeriques, voire magiques, ; et le faisons incidemment dès notre entrée frontale en roche dure ; nous croyons en ce que nous faisons, nous glissons ; nous sommes nus et motivés, mus et motivés et dénuydés (nus) par le vent (le souffle) à notre immixtion en paroi : un vent fort vous déshabille inciddemment , immédiatement et en un rien de temps ; nous sommes ainsi nus lorsque nous ezntrons en cette roche praireiale , et là : des biches, des bicches, des biches  ; bambi ; bambi est notre ami (ie ?) cher (chère ?) à tous les deux ; nouys aimons bambi plus que tout ; bambi est vive et aventureuse ; nous aimons ce bambi des prés , qui ose voleter, sauter haut, franchir des fossés, etc ; bambi est une aubaine pour notre gouverne, puisquil s’a git ici d’une bete de secours, de recours, de sauveta ge de vie ; nous voulons ceeet bete (bambinou) pour nous ; njous voulons de cette bete pour nous (bambi) avec nous : dans notre enclave de vie, dans cette sorte d’e nclave de vie sur terre (gibier ? accompagnant ? soeur ? habitus ?)  ; npous sommesq pres d’elle (de cette bete nommée bambi, bambinou pour les intimes)  ; nous sommes à quelques cms d’elle, de la bete-mot, et cette bete nous l’adorons, comme de bien entendu ; nous aimons à la folie cvette bete des pré et des bois ; nous la regardons sous toutes les coutures, nous n’en manquons pas une miette, nous sommes friands d’elle, nous sommes sous le charme de pareille bete folle, de pâreille bete furtive et vive, de sa folie animalière de survie en paroi de grotte ; nous voulons survivre comme elle et dans une folie égale ou similaire à celle de la bête ; nous aimons toutes ces betes folles de survie de roche ; nous sommes deux en nous (entrezlacs) qui perçons (pic) la roche (crac) pour un-e immixtion (zou) en icelle fronta le ; nous aimons beaucoup nous immiscer en elle et aller trouver en elle l’animal sacré (cette septième merveille)  devant nous, afin de toucher (toc, toc) icelui, qui se présente à nous tout aussi nu que nous : un animal de majesté, une bete rayonnante, une biche nimbé ou un cerf, une biche fine, élancée, nacrée, amoureuse du tempsq ; nouys sommes ensemble en la paeroi du temps habitéb par des betes ; temps et paroi habités ; nous sommes ensemble ici pour une décision à prendre concernant la vie sur terre : art ou pas art ? art des parois pour une introduction aupres du roi des lieux,ou point d’art du touut, et point d’introduction, mais est ce juste , tenable ? sensible ? exact ? raisonnable ? sensé ? utile ? misérable ? légitime ?  consacré ? tenant  de la branche et tenant du bec : est ce ?  est ce notre voie ? ou bien cette chose d’une introduxction salutaire à viszée rupestre pour une mainmise de lma bete en nous, retrouvant, par la m^$eme, voix en bnous et voie, pour une décharge frontale : la paroi du temps, lka paroi ornementée dès lors ? ; 

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8/01/2021

l’art est pour nous (nous deux) cette chose à déposer aux pieds de qui de droiit qui nous fait face ; il s’agit d’un endroit de repli ; il s’agit d’un endroit de repli ; l’art ici est une chose qui pour le coup nous apparait comme devant être selectionné ; nous devons nous placer de telle sorte (ici : en paroi) que le gros de la troupe (du troupeau des betes) ne vienne pas nous piétiner incidemment : nous devons vbeiller à ce que donc la troupe ou le troupeau ne vienne pas incidemment nous piétiner au sein de la paroi  ; nous devons veiller à cette chose ici (au sein du sein , ou dans le sein du sein) ; à donc cette chose sus-mentionnée , )à savoir cela qui serait fâcheux : de se faire monter sur le râble etc, car le troupeau est fou et file à grandes enjambées ; nous avons à nous enquérir de cette chose ensemble, à savoir cela concernant la troupe des betes et le comment elles déambulent au sein de la paroi où nous sommes logés ; la pâroi nous accueille en son sein et nous nous faufilons en elle en veillant toujours à ne pas nous faire chevaucher par un troupeau lancé de buffles ou de bisons ou de rennes ou de chevaux ; nous devons veiller toujours à bien nous situer en cette roche, afin de ne pas nous faire laminer par un troupeau, un troupeau d’aurochs aussi bien : ces aurochs de mémoire, qui vont fissa à l’intérieur de la paroi, dessinés excellement par ces hommes de la préhistoire, etc ; nous pensons que nous devons, perpétuellement et sans faiblir , veiller à toujours nous placer (en paroi) de telle façon que le troupeau d’aurochs ne puisse pas nous laminer ou nous piétiner sur son passage ; nous devons à tous les deux veiller à cette chose car la troupe ou le troupeau d’aurochs file à grand train et ne regarde pas sur son passage toujours les obstacles ici possiblement rencontrés ; le troupeau d’aurochs ou de chevaux ou de renne, etc, la meute, etc, ne regarde pas à quoi se présente devant mais fonce betement, d’un bloc, en bloc, sans veiller à ce qui devant lui se pr»ésente, devant donc ce bloc lancé à grande vitesse et de ce fait nous nous mettons sur le côté, nous nous plaçons de bord ou sur un bord afin d’éviter ou d’écarter tout risque de carambolaghe ou d’accrochage : nous veillons ensemble (elle et moi) à ne pas risquer l’accrochage malheureux ; nous sommes ensemble en paroi dans le but de voir (enfin) ce qui se trame en roche du temps et non pas pour nous faire massacrer d’un coup d’un seul par une meute lancée à vive allure, ou par un troupeau chargeant follement son avancée lourde, pesante, pariétale ; nous sommes ainsi tous deux mis de telle manière ici (au sein de la paroi) que nous sommes à l’abri de toute incartade ; nous sommes serrés dans un petit coin et nous nous tenons la main pour ne pas nous perdre en chemin, etc ; nous sommes collés et serrés l’un l’autre et ne lachant pas les betes du regard car il serait triste de se perdre ici alors même que nous sommes ensemblre depuis le début de toute cette affaire de vie en paroi, de betes dessinées par des hommes ou femmes des cavernes, de données rupestres, d’art de la dépose aetc ; nous sommes ensemble ici, pour comprendre le fin mot de tout et cela nous occupe grandement, nous plaît beaucoup tout autant, et nous pousse à agi r dans la roche ; nous prenpons cette chose de roche au sérieux et nous nous allongeons pour voir ; nous prenons cette chose de roche tres au sérieux, depuis le début, et nous nous allongeons sur la pierre, nous sommes nus comme des vers, nous regardons le spectacle inouie des betes fumantes en paroi, qui vont et viennent follement, qui sont des betes de grosse taille , des betes massives s’ill en est ; nous les regardons attentivement car nous sommes très intéressés par elles et par le spectacle inouï qu’elles nous offrent ici, en ce leiu de sanctuaire (pour ainsi dire) ; nous les aimons ; nous aimons les betes qui chargent en paroi ; nous regardons cela avec un in térêt de chaque instant et sans jamais nous désunir car ici (comme ailleurs) l’union fait la force, il s’agit pour nous de ne pas nous lacher la main (jamais !) mais tout au contreaire de tenir bon l’un l’autre soudés, de nous tenir soudés et de ne pas lâcher jamais car le fait d’être deux nous aide beaucoup, nous sauve la mise pour ainsi dire, nous permet déjà cette entrée en paroi et par la suite nous permet de comprendre ici ce qui donc se trame en termes de temps pariétal, de données vives (rupestres) et de douceur ; nous pensons que la douceur ici est celle d’un temps dévolu à des allées et venues animalières ; nous le voyons sous nos yeux et de nos yeux ; nous voyons que la douceur des lieux est propice à une installation (de soi) de longue durée etc ; nous voyons que la douceur ici est centrale et diffuse ses propres machins, ses effluves etc ; nous aimons cette chose comme quoi nous sommes au coeur de la douceur ensemble et cela grâce au fait justement que nous sommes ensemble et soudés ; il s’agit pour nous de comprendre que voilà, nous sommes au coeur de la douceur (ensemble) du temps pariétal, à condition de pour le coup veiller toujours à donc ne pas se faire piétiner par les betes de paroi dites «betes de paroi» tout bonnement ; il s’agit souvent d’aurochs ou de bisons ; nous les voyons déambuler, près de nous, nous voyons ces betes près de nous déambuler et nous nous teno,ns à l’écart afin de ne pas nous faire accrocher ; nous pensons que la douceur du temps ici est de celle qui nous ravit ; nous voulons la mieux connaître et nous laisser porter par elle et pour cela nous noustenons la main, nous sommùes allongés, nous nous aimons, nous coïtons si besoin, nous nous laissons aller en paroi de cette manière qui nous sied et nous émerveille, et ce sous l’ oeil médusé (?), intrigué (?) , innocent (?) des betes alentour qui nous reghardent de leur dr’ole de regard, mi intéressé mi indifférent dirait on ; nous voulons connaitre lma douceur du temps, la belle douceur d’un temps dévolu à des sortes d’embardées de type de longue durée etc mais, toujours, dans une espèce d’ambiance feutrée qui nous sied ; nous cherchons à comprendre ainsi ce qui est au sein de la paroi en la matière ; nous voulons comprendre le fin mot et les arcanes, les comprendre mieux pour nous situer, pour situer notre cheminement dans la marche du monde ; la paroi pour nous est cet endroit (feutré) de repli dsans lequel nous nous allongeons de concert afin d’observer la trame des choses du monde ; nous sommes deux pour cela, nous allons à deux à pareille fête et nous regardons avec circonspection l’ensemble des évènements surgissant sous nos yeux  ; nous regardons ce tout avec beaucoup d’attention car nous devons etre vigilants car un accident est vite arrivé ; nous devons veiller à ne pas nous laisser aller à lacher la surveillance et pour cela l’un et l’autree (à tour de rôle) nous jetons un oeil sur le troupeau ici en action, ce troupeau d’aurochs, ce troupeau de buffles ; nous voulons connaitre le fin mot des choses du monde, ici est l’endroit idoine, et nous regardons les yeux grand ouverts l’ambiancve générale pour ainwsi dire, nous regardons pour ainsi dire les données sensibles, les données de base, la trame, l’ensemble des données de base qui semble constituer cette trame des choses du monde ; nous regardons avbec des yeux grand ouverts cet ensemble, toutes ces choses que la roche recèle depuis toujours et que l’homme des cavernes (le magdalénien , l’aurithracien etc) connaissait par coeur du fait qu il était aux premières (aux premières loges) du temps, il connaissait les arcanes mieux que personne (mieux que nous) et savait s’y prendre avec les animaux du temps etc ; il savait s’y prendre avec les animaux du temps, avec lma paroi, avec les aurochs, avec l$

es mains sur roche, avec le feu ardent de la table aux offrandes, avec l’art contemporain de son époque, avec les fumées, les nuages, les denrées, les femmes et les enfants, avec le sang, la pluis , avec la douceur et la douleurr  ; nous pensons que nous avons affaire en cette personne , avec cette personne, à une personne qui connait «bien des choses en somme» etc ; nous voyons que tout cela nous rapproche d’une vérité, d’une vérité pariétale, et nous applaudissons ensemble des deux mains à pareille possibilité pour nous de connaissance sur le vif ; nous espérons ainsi ensemble découvrir un jour le pot aux roses de toute la trame  ; nous sommes dans la paroi comme deux enfants livrés à eux-mêmes et nous regardons les betes de charge, qui broutent à des moments, foncent brutes à d’autres etc ; nous avons toujours un oeil sur le feu de la chose ; nous ne nous éloignons pas trop de cette chose qui risque ici à tous bouts de champs de s’enflammer et de représenter un vrai danger ; nous sommmes tous les deux main xdans la main , allongés dans notre couche pariétale, dans le sein du sein, comme en lévitation en elle (en cette roche) et nous nous embrassons ici pour la bonne cause : nous sommes accolés pour une connaissance et reconnaissance des lieux de douceur etc ; notrte but ici est de toujours nous accoler pour des connaissances ; nous voulons comprendre et de cefait nous cherchons dans tous les sens, nous guettons, nous nous postons en des llieux précis (de féerie) qui sont ou seraient senszés nous offrir des informations de première main sur toutes ces questions de temps, d’espoir, d’allée et venues animalières etc ; notre intention est clairement affichée, qui est de mieux cerner les chose qui sont choses du monde adjacent : derrière la paroi, et ce en nous introduisant en elle incidemment , par une sorte de plongée tete première, une «plongée « tete première dans la roche ; nous sommes dans la roche comme deux en,fants livrés à eux-mêmes qui vont ainsi à la découverte d’un trésor de roche ; nous cherchons car nous sommes des enfants-chercheurs de trésors de roche, de roc ; nous ne lachons pas la garde ; nous ne lachjons jamais la garde, nous regardons permanemment l’ensemvble du paysage qui nous entoure en cette paroi temporelle ; nous avons toujours un oeil sur cette chose qui nous entoure et qui est ce paysage de paroi, paysage prairial et doux, feutré et musical, de l’intérieur de la roche ; nous avons cette chance de pouvoir comprendre plein de choses ici, foultitude, afin de bien cerner un ensemble donné concernant les tenants et les aboutissants des choses de vie  ; nous essayons de nous approcher toujours davantage de la vérité, et ce n’est pas toujours facile car il y a des obstacles à cette volonté, à cette recherche ; nous essayons toujours de comprendre (toujours plus) les ressorts secrets, les approcher, les soulever ou soupeser, les tenir : tenir les ressorts seccrets, etc, afin de mieux cerner les différents niveaux de vérité contenue en eux ; nous voulons essayer de mieux cerner le tout du monde temporel et cela est une gageure pour nous qsui sommmes inclus dans une paroi (du temps de la préhistoire) et qui cherchons mordicus à comprendre le pourquoi du comment l’art, et le    le comment du pourquoi tout autant, et cette chose du coup nous accapare fort , nous retient, nous obsède, nous pousse à agir ; nous devons agir dans le sens d’une entrée en matière (dans le tas) dans la roche du temps ;: nous avons à faire cette chose et cela est d’une très grande importance, capitale même pour nous qui sommes des enfants chercheurs ; nous avons à découvrir la vérité ici avec des mots prononcés à même la paroi ou au sein de la roche, mots-animaux qui disent bezaucoup de choses sur ce que c’est que ce monde-ci faits cde douceur ici ou de douleur là ; nous comprenons que nous avons beaucoup de choses à comprendre et à déceler ; à desceller tout autant ; nous comprenons que nous avons un nombre incalculable de choses à comprendre en ce lieu de»perdition pariétale» pour ainsi dire, en ce lieu de repli parmi les betes ici antédiluviennes(les aurochs, les dinosaures notzamment, etc)  ; nous sommes des enfants en recherche de vérités bonnes à dire et pour ce faire nous sommes d’abord entrés dans une grotte puis à l’intérieur (par captation) d’une paroi ornementée ; là nous nous sommes allongés et nous avons regardé (nous regardons) les biches des prés ou les troupeaux meuglant des aurochs menaçants, etc, et ce spectacle féerique (feutré, inouï, etc) nous renseigne beaucoup sur la teneur animalière des temps pariétaux, mais pas seulement ; ce spectacle vif fou nous donne le la de l’ensemble musical des sphères ; il nous donne le la pour le reste de tout cet ensemble musical concernant le temps déroulé, déplié , qui est le temps du monde isolé, etc ; nous le penspns ; nous découvrons sous nos yeux un temps particulier fait de biches et d’aurochs vivant ensemble, et ce temps pariétal est celui que nous cherchons à cerner toujours mieux avec les mots de la tribu par excellence, mais pas seulement : nous cherchons à cerner du regard ces choses rupestres ; nous cherchons à chercher du regard, à cerner du regard, ces choses devant soi qui sont ce temps des betes de pré, etc ; nous voulons comprendre ce que c’est que cet espace féerique devant nous, et pour ce faire nous nous allongeons et nous observons les betes ; il s’agit de betes de type temporelles, qui vont et viennent ; elles portent des ,noms (parfois) à coucher dehors, pas toutes, mais certaines, un bon nombre ; nous aimonbs beaucoup les betes de paroi, nous les regardons les yeux grand ouverts et les surveillons par la même (on ne sait jamais des réaction s)  ; nouds sommes ensembkle qui regardons ce spectacle devant nous animalier, qyi se présente à nous comme une féerie sous nos yeux d’enfants crédules etc ; nouys pensons avec les betes devant soi, devant nous, que nouys avons  ici la chose que nous recherchiiiio ns, à savoir le spectacle de la vérité (tangible ?) des chose du monde ; il s’agit d’animaux-mots, qui gravitent, qui sont des amis chers, qui sont des etres de bouche etc ; nous aimons ces betes car nous savons qu’elles peuvent beaucoup nous apprendre concernant l’ensemble musical des données du monde : le temps est une chose douce en soi, si n’était les charges de troupeaux (parfois) tempétueux et intempestifs ; nous aimons la musique des sphères et l’écoutons à l’occasion, en ce lieu pariétazl de roche, à deux, mles yeux ouverts cependant, et les oreilles également de préférence  ; nous sommes des enfants qui écvoutons des choses et d’autres dans le sei n des seins et il s’agit toujours de sortes de braiement ou de gloutonnement ou de bruits animaux divers ; la musique est une musique animallière entièrement ; poule d’eau gloutonnant ou glougloutant etc ; nous sommes enfants qui vibrons au son des musiques de paroi ; nous avons pour nous ce sentiment d’appartenir à une roche, qui est celle d’un temps don né , contenant des betes douces, contenant des biches et des aurochs, des cerfs et des buffles, et tout ce petit monde glougloutant ou braimant etc de concert comme une suite musicale de paroi ; nous aimons ce sentiment d’appartenance ; nous le vouliiiions ; nous espérions beaucoup trouver un jour un endroit paerticulier qui fût pour nous comme une famille et qui de ce fait nous acuiellasse vbolontiers en son sein musical ; nbous aimons beaucoup toute cette ambiance de sp h ère rocheuse, de paroi de temps ou du temps, etc ; nous aimons nous retrouver de la sorte ensemble et ne pas nous lâcher, nous devons faire cette chose ensemble et, pour ce faire, nous sommes entrés dans la roche (effraction ? captation ? présentation ? etc) et là (dans ce sezin des seins) nous mourrons ? non : nous sommes sous le coup pour ainsi dire d’une féerie qui est féerie animalière de dedans de roche ; la mort non mais la vie oui, une vie numéro 2 qui est celle (musicale) des parois de roche, des rocs de temps déroulés ; nous allons à l’intériuer de la roche, nbous sommes (art) à l’intérieur de la roche ; nous sommes à l’intériuer de la roche (art) et nous voyons (de visu) et entendons (de vive vooix) le déroulé du temps ; nouys entendons le déroulé et nous voyons le déroulé ; nous sommes deux qui entendons et voyons (visualisons) le déroulé du temps musical de la roche dure, de cette roche qui est l’habitacle de nos ébats, débats, conversations impudiques ou autres ; nous savons que nous devons nous placer de telle sorte ici (en ce sein) que nulle bête ô grand jamais ne puisse nous toucher (nous blesser) avec son sabot, avec ses sabots, etc ; nous pensons qu il est ou serait pour nous préférable de faire gaffe continuellement, contin uement à toute incartade malencontreuse éventuelle, survenant inopinément au décours d’un passage de betes, à proximité, car la roche est étroite, car la roche est peut etre étroite, est-elle étroite ? nous ne savons pas mesurer les distances ; le temps est comme un infini étroit, une fissure, ou bien une envergure ; nous ne savons que penser des distances et cependant nous nous sommes allon gés sans gêne (dépliés) et nous pouvons nous étirer sans autres contraintes : nous sommes pris dans une roche meuble (?) qui nbous sied, douce et feutré comme une musique des sphères, etc ; nous sommes en elle (en paroi) comme des inclusions ; nbous sommes en paroi comme en une inclusion de la matière ; nous sommes en cette paroi du temps comme à l’intérieur d’une inclusion et nous nous y trouvons ensemble ‘(main dans la main) avec un ravissement qui, pour chacxun, fait plaisir à voir ; nous sommes dans une (sorte de) paroi musicale : bruits de bêtes, préhistoriquement musixcale ; nous avons à découvrir encore un grand nombre de choses, mais enfin noud pouvons nous rendre compte que nous arrivons tout de même à trouver des choses sur notre chemin, des choses dans le sens de décvouvertes inouies qui nous ravissent (nous deux) et nous donnent de la joie de vivre et de l’entrain pour nos recherches ; nous avons besoin d’etre ainsi mus par des chose de découvertes qui vous poussent à poursuivre sur votre lancée et à ne japmais vous arrêter ; nous avons une grande chance pour nous , qui est celle qui nous voit poussés par des choses au derrièeere de nous, chose qui nous poussent (donc) à toujours aller de l’avant en roche et cela nous plaît énormément, nouys ravit, nous emballe à la folie , etcx, car nous sommes en transe de cela, nbous sommes en transe car nous sommes ivres, nous sommes dans une ivresse des profondeurs de la roche qui nous donne cet élan pour nous qui est cet élan de vie vive, en  cette région de la grotte : élan qui nous permet de dessiner à main levée ce qui nous porte, nous soulève ou nous entraine ici, à savoir les traits de l’animal (en nous) de compagnie ; nous sommes pris d’assaut par une sorte d’animal en  nous (nous deux) qui nous accapare, qui prend effet sur nous et pousse pousse nous à faire faire sur roche ; nous faisons ; nous faisons sans trêve ; nous faisons , nous faisons sans trêve ; nous agissons (voilà l’action dont il s’agit)  ; nous agissons sur roche et dessinonns les betes en meute, cxavalcade, troupes sauvages, etc ; le cheval et le renne, l’ours des cavernes et le bison, l’antilope et ml’hipopotame ; nous avons la chan,ce (l’animal en ous) avec nous ; nous sommes chanceux : nous portons en nous la bete à dessiner ; nous avons chance de pouvoir (ainsi) dire chose qui est cette chose d’une transe à vivre pariétalement ; nous évoquons la bête en nous et du coup nous la dessinons à main levée , à br^le pourpoint etc, pour une donc remontée de paroi (lévitation) qui soit d’envergure ; nous aimons la paroi des roches, la paroi de roche animale etc ; nous avons besoin pour nous (nous deucx) de la paroi d’une (ici) roche animalière (animale ?) afin de mieux comprendre le pourquoi du temps déroulé qui s’offre à notre gouverne (le gouvernail)  ; nous avons besoin de comprendre ce qui se passe au sein du temps (temps dérouléé) et pour cela la bête en nous (cohorte) est utile et est capitale , est utile et même capitale en soi, car nous sommes à sa merci , nous sommes des e,nfants comme perdus sans elle, nous devons compter sur elle pour nous aiguillonner plus finement dans nos recherches, etc ; nous comptons sur une bete en nous (biche ma biche ?) pour nous pour le coup poussser de l’avbant (mouvement de la vie qui va) et nous faire tenir debout en paroi (le temps) jusqu’à nouvel ordrte ; nous comptons beaucoup  sur la bete en nous et c  ela est capital à nos yeux ; nous comptons énormément sur la bête en nous et cette chose est très importante à nos yeux car sans la bête en  ous nous ne serions pas là, à pouvoir parler etc ; nous ne sommes pas nés de la dernière pluie, nous connaissons l’existence de la bête en  ous, nous savons qu’en nous se loge la b ête qui est celle qui nous pousse au cul» poour ainsi dire afin que nous puissions de fait aller de l’avant : 1 , dans la vie, et 2, dans la mort pour ainsi dire  ; la mort ici étant cet espace musical de la paroi du temps dit «pariétal»  ; nous pensons que mort et vie sont égales (en symétrie) comme 1 et 1 font deux, nous pensons que les mathématiques ici sont (peut-être) la voix de cette chose en nous, qui gravite (ici le chiffrement du monde) et donc nous sommes parés ou comme parés pour une «embardée» en roche , la tete la première, directement dans le dur de la pierre, coup de boule intrapariétal et transsubstantation ou translocation ou transvfuge d’un mobile (soi : nous deux) en un sein prairial musical pariétal ; nous avons comp)ris que les choses (l’art ) sont ainsi qui nous permezttenbt de passer le cap de la paroi dfu temps ; il s’agit d’une (sorte de) traversée à travers le dur (la dureté : la douleur) du (des) temps ; nous sommes persuadés que le temps ici (ezn paroi) est plusiuers, est comme une musique animale ou animalière : un troupeau chantant ou bruissant de son crépitement animal , bruits de sabots, hennissements, chevauchement, embardées furieuses ou autres fazits et gestes locaux ; nous avons cette possibilité pour nous de comprendre toute cette chose qui serait cela qui se trame en intra (dedans) de la paroi du temps ; nous sommes ravisq ; nous sommes très fiers aussi ; nous sommes ensemble dans le temps de cette sorte de paroi de roche aux betes prairiales, une féerie, et nous poussons plus loin les recherches, nous alooons toujours un peu p^lus loin pour chercher des choses, pour essayer de découvrir des choses folles (dingues) qsui soient icelles pour nous des objets d’étude et de ravissement pluriel ; nous pensons que nous devons ensemble nous coller à cette chose d’une sorte de recherche de tous les instants (pas de trêve) qui soit le moyen précisément trouvé pour toucher la timballe du temps c’est-à-dire d’une vérité (ou sorte de) des sphères ; nous espérons ; nous voulons comprendre l’ensembvle des phénomènes et pour cela nous  avonsd décidé de nous appuyer sur un mot en particulier (ce mot est le mot «art») qui pouvait, qui puisse, qui pourrait nous donnezr (ce mot) des choses en retour en ce qui concerne la vie sur terre (tenants et aboutissants)  ; nous espériiiions que ce mot fût pour nous le la musical d’une approche xdu temps pariétal ; nous pensiiiions que ce mot de «art» représentait on ne peut mieux ce que nous entendons (nous)  par «la» musical, ce que nous nous entensdons par ces termes de «la» musical des sphères = des prés ; un lieu de perdition ? un lieu de conversation ? un lieu pour des biches et des aurochs tout autant  ? ; et voilà pourquoi ce mot de «art» en nous qui nous semble donc pêrmettre bien des trouvailles de type pâriétales (etc) ; nous sommes nous deux face à un e sorte de paroi que nous traversons via l’art, et traversant via l’art nous poussons plus loin les investigations et pouvons nous rendre comp^te de tout cet arsenal présent en termes de betes , ces troupeazux de betes paissant, sur la prairie du temps dit pariétal ; nous sommes comme munis de cette arme (l’art pour nous) permettant cette donc embardée dans le sein cdes seins, et nous voyons paitre bambi, et tant d’autres betes tout autour de nous ; nous  voyons paitre, aller et venir, bouger élégammen,t cette bambi proche de nous, qui parfois jete un oeil sur nous, à l’occasion, puis s’en retourne paitre ; nous aimons cxes biches des prés ; nous sommes aiman,t ces biches des prés ; tous les deux nous aimons cxes biches des prés ; du pré ; nous aimons tous les deux ces biches des prés, du preé et nous les regardons aller et sautiller sur l’herbe verte du pré vert ; nous aimons ces  betes car nous sommes amoureux des biches (de bambi) car elles sont gracieuses et nous ravissent par leur beauté  ; nous les aimons d’amour car nous sommes sous leur charme et nous les écoutons glousser près de nous ; nous aimons bambi et bambi est cette bete de roche qui est l’illustration parfaite d’une chose dite, en partie musical e, en partie nonmusicale ; nous écoutons bambi glousszer (chose musicale) et bambi parler par la m^mee (chose non musicale) et que nous dit elle ? elle nous dit de croire ; e,n quoi ?  ; en cette chose d’une existence ; de quoi ?  ; d’un e drôle d’existence intrapa riétale en diable , une folie de roche, un troupeau préyhistorique d’envergure, une transe de tous les instants, une donnée temporo-spatiale du temp, ou spatio-temporelle des choses du temps ; nous la croyons ; nous pensons que «biche ma biche» esrt coureuse et dingue, et cependant nous voulons la croire, car elle est la beauté des roches ; nous pensons que la biche en elle contient l’information que nous recherchons dans nos pérégrinations diverses ; nous pensons que cette biche de féerie a en elle un grand noombbre (foultitude) d’informations concernant le la musical du monde spatio -temporel (les sphères) et donc nous l’écoutons ; elle est devant nous qui se trémousse dans l’herbe du temps ; elle se trémousse dans les herbes hzautes du temps de la paroi de roche, et là elle fait pipi ou bien elle broute, ou se lèche sa pelissee, ou sautille à qui mieuwx mieux gracieusemennt, ou boit à même le ru de l’eau fraiche ; etc ; nous pensons que bvambi est la solution ; elle peut nous apporter beaucoup, elle peut etre d’un tres grand recours ou secours poour nous qui sommes en demande, bouche bée, bouche grande  ouverte, ahuri, comme bestiou, etc, devant la paroi du temps ; vive bambi et ses frères et soeurs de paroi ! ; nous l’aimons à la folie bambi car nous savons que cet etre ce cxhair gracieux contient en lui l’ensemble des informations qui nous intéresse ; nous devons nos approcher (rapprocher) de bambi et chercher à comprendre en elle ce qui est qui puisse nous informer grandement et volontiers sur un ensembkle de données qu sont celles du temps pariétal tel quil se présente face à nous et qui nous retient , nous capte, nous prend de force pour ainsi dire, car nous sommes à la merci de son emprise, de sa voix, de son chant de sirène etc ; nous sommes deux qui sommes pris qyui pleurons en chambre rupestre etc, et pourquoi pleure-t-on ? nous pleurons en paroi car nous sommes vidés ; nous sommes vidés car nous sommes passés, et nous sommes passés, car nous étions deux pour ce faire (courte échelle) et avons dès lors pu traverser la roche ensemble d’un bond d’un seul et nous retrouver en paroi devant cette bambi pleine de grâce  ; etc ; nous pensons que nous devons aller ainsi ensemble et que cette chose est tres importante en soi et c’est pourquoi  nous ne cessons de le dire (de l’écrire) afin quye la chose soit sue de beaucoup de monde (on ne sait jazmais les réactions, ce qu’elles peuvent donner)  ; nous échafaudons des stratagèmes divers afin de nous approcher sans l’effrayer de  cette biche, appelée bambi par nos soins : s’appelle -t-eele ainsi en  vérité ? nous nous approchons d’elle, nous sommes tout près d’elle à pouvoir la toucher ; nous sommes à une enca blure, à moins d’une encablure et nous essayons de bouger le petit doigt (guè!re plus) dans un premier temps et de là observons sa réaction, et dès lors déjà observons, et que fait -elle elle pisse, ellee se met à faire pipi sous nos yeux ; elle est pleine de grâce ; elle nouss gfait chavirer ; elle est sublime de beauté gracile ; son élan est magnifique ; son bouger superhbe ; sa pelisse lisse etc ; nous l’aimons : nouys en sommes fous ; nous aimons à la folie cette bête des champs et du coup nous essayons de nous approcher d’elle qui contient tant : tant de choses à recueillir, à prendre avec nous, tant de sa voirs ; nous  voulons comprendre le monde, et pour cela nous devons comprendre bambi devant nous ; nous avons une chose à faire ensemble, cette chose passe par un fait qui est que nous devons toucher bambi avec nos deux mains apposées, chacun les siennes , sur sa pelisse (mains positives) et ensuite nous saurons de quoi il en retourne, les tenants et les aboutissants de cette affaire de vie et de mort (?) humaine etc ; la biche est là pour cela, pour nous apprendre , et auussi, nous tentons une approche en toute douceur et lenteur afin de l’approcher sans l’effaroucher et cela n’est pas si facile, il y faut de l’entrainemeznt et quoi qu’il en soit du doigté et avons-nous tou cela en rayon nous deux ? peut-etre que oui en définitive ; peut-être avons-nous ce dont il y a besoin pour nous approcher de bambi et pour la toucher, avec amabilité , douceur et candeur, gentillessse ferveur, et avec une dose de bonheur en  ous à agir ainsi ; nous la touchons ; nous l’avons touché ; nous avons touché bambi , nous l’avons fr^olé dans un premier temps puis nous l’avons touché dans un deuxième ; nous avons touché puis nous avons embrassé gentiment bambi sur le front et bambi n’est pas partie : elle nous a donné  l;es informatioons que nous attensdions ; elle nous a donné toutes les informatrions que nous demandions «à la vie» de nous donner, à savoir toutes celles concernant «la mort» ou ce que d’(aucuns appellent « la mort» ; vive bambi qui nous donne les informations, celles que nous espérions découvrir un jour, toutes ces choses que la vie recèle en son wsein peut-être et que bnambi ici nous donne par la bouche : en nous parlant avec sa voix, de crécelle peut-^tre mais cependant, nous sommes ravis car nous sommes comblés car nous sommes remplis car nous sommes pleins, pleins d’informations = remplis = au jus = informés enfin de ce qu’il en est de cette affaire 1, de l’art, et 2, de la mort, sachant que les deux choses semblkent liées entre elles ; nous pensonsainsi que nous devons poursuivre en paroi ensemble l’ensembkle de nos investigations temporelles, nous pensons que bambi pour nous est un précieux a llié qui peut nous apporter beaucoup en termes de connaissance ; nous pensons que bambi est la bonne personne ( le bo n être) pour cette chose ; nous pensons que nous devons aller plus loin toujours en besogne et chercher dans la profondeur du temps pariétal matière à comprenxdre les tenants et les aboutissants de cette musique des sphères (animalières) : le pourquoi du comment ; nous sommes sûrs que nous devons agir, que nous devons creuser dans un mouvemeznt d’avancée pariétal sans trêve ; nous avons comp^ris que cette faa çon est celle qui convient le mieux pour une recherche de la vérité des choses du monde ; nous comprenons que nous devons agir rapidement et efficvacement si nous voulons aller plus loin dans la compréhension musicale du temps des parois ; nous ne devons plus lambiner mais creuser encore et toujours la roche (creuser : façon de parler) pour mieux appréhender kles données pâriétales, les données animanilièresq, les données qui sont capitales ; nous avons à faire cette chose, d’une embardée dans la roche : t^tete en avant, fracas, fissure, sang (ou pas) passage des épaules, puis du cvorps en son en,tier, présentation, vue sur le monde prairial, vue sur un animal qui semble féerique, etc ; le monde est tel que ,nous devons y croire et comment ne pas y croire quand on en a subi les affres, ou comment dit on ? les inconvénien,ts ? les absurdités ? lesz méchancetés ? la dureté ?  ; nous allons à l’intériuer de la paeroi du temps (biche ma biche) afin de comp^rendre ce qui en soi est à comprendre de cette farandole pariétale, et cela nous plaît beaucoup, car nous sommes motivés (mus) par en nous une volonté très liée à un sentiment d’appartenance à une cause, qui est la cause (en nous) animale : nous portons la bete en nous qui est cette bete «de la volonté, du libre-arbitre, du je» ; or on voit que je n’est pas je mais nous, et ce depuis la nuit des temps ; je  est nous en ce sens que je est monté par une bete, il est accouplé, ou comment dire : surmonté ou doublé etc ; je = nous ici car je est pour le coup accompagné permanemment par en lui un animal de compagnie (peutetre une biche, ou une vache, un boeuf, ou un mouton, ou une brebis, ou un cerf, ou un chevreuil, ou un veau, ou un aurochs, etc)  ; nous sommes à la merci d’une bete en nous qui dit je avec nous et du coup nous sommes deuix à dire je simultanélment, du coup ce je en vérité est un nous de b ase ; nous pensons que ce je que nous disons permanemment est un nous de base, ; du fait que l’animal en nous (l’aurochs ?) parle avec nous : cohorte allant de fait fracasser la roche et s’introduire en elle fissa, comme une embardée ou un embardage d’entrée en ma tière ; nous sommes ensemble accrochés et de ce fait nous disons nous pour dire je et quand nous disons je nous disons nous ou quelque chose de cet ordre ; nous pensons que nous devons aller ensemble au coeur de la roche , y entrer ensemble (avec les animaux ou l’animakll ) ; nous pensons que nous devons entrer en,semble au coeur de la rochje, avec  cet animmal en nous (ce bambi ?) qui est seul ou bien accompagnés par d’autres : une cohorte, en forme de queue, de cauda piquante, perçabnte, en forme de pic de roche pour une percée de la roche dure, un fracas pour entrer en elle etc ; nous avons cette chance avec nous d’être comme secondé par un pic de roche en nous pour ce fracas d’un perçage fou ; nous regardons la biche dans les yeux ; nous voyons la biche devant nous, nous voulobns (vouliiions) la caresser : nous voudriiiionsd la caressszr et apprendre = prendre les données avec soi, prendre l’e nsemble des données contenues en elle qui exst riche de données de toutes sortes concernant la terre, la vie sur terre, le bien et le mal, l’art et ses mystères, la vie et la mort du petit «cheval» ; nous comprenons que nous avons affaire à quelquun (bambi) de très grande importance pôur nous car nous ne sommes pas en reste ou en, manque de nous poser beaucoup de questions et ces questions ne manquent pas de nous tarauder ; nous avons cette chancxe d’avoir, tout proche, bambi près de nous, pour comprendre le bien et le mal ; pour savoir ce qui est ou ce qu’il en est du temps de la roche pleine (prairiale, habitée, accueilllante, verte cdes prés)  ; nouds avons besoin de comp^rtendre et nous tapons aux portes, ici et là, et la porte de bambi nous a été ouverte et c’est uune chance pour nous car nous sommes cfriands d’informations à recueillir , d’informations de toutes sortes concernant les données brutes de la vie sur terre et de la mort également, si tant est que la mort existe (existât)  ; nous pensons pour notre part , que la mort en vérité est un leurre et que la vie se continue encore sous une autre forme : pariétale en diable dirons-nous quand bien même elle serait autre, à savoir prairiale, mais peut-être est-ce la même chose ; bambi nous regarde du coin de l’oeil, elle a deux yeux comme nous ; elle nous ressemble par certains côtés (par exempleles yeux) et moins par dx’autres et cependant elle n’est pas vraiment très éloignée ce ce que nous sommes en vérité, ou du moins en ce qui concerne nottre allure ou notre port physique ; bambi nous est proche dsans le temps et danns l’espace, mais aussi quant aux ressemvblances que nous sommes à même et en mesure de partager ;  nous aimons manger, nous marchons, nous sommes «construits» en symétrie : un côté gauche et un côté droit etc ; nous avons des points de ressemblance nombreux ; nous évoluons de concert dans un même monde prairial qui nous voit aller ezt venir ds’un côté et de l’autre etc grâce aux possibilités qui sont les nôtres (bambi tout pareil) de marcher sur la terre ferme ; nous voulons connaitre le pourquoi du monde (les raisons) et cela par l’intermédiaire ou la médiation d’une bête  ; cette bete a pour nom bambi et nous interpelle : elle nous attire par sa grâce et par sa beauté car elle est belle et pleine de grâce : elle en jette ; nous pensons qUe bambi peut nous apporter beaucoup en termes de connaissance sur les choses de la vie et de la mort et c’est la raison pour laquelle nous nous tenons proche d’elle afin d’entrerr rapidement en contacxt avec elle ; nous avons pour nous bambi de notre côté, nous vboulons la conserver comme amie de nous, de notre couple ; nous pensons que bambi peu-t nous être d’une grande aide pour savoir, pour comp^rendre, pour trouver, pour enquêter, pour détroussezr ou dénicher, pour soulever ou lever des pierres et voir en dessous ce qui donc peut s’y tramer ; nous sommes les enfants de la roche qui déambulons (Zébulon) à même la paroi ; nous avons besoin ensemble de nous retrouver en intrapariétazl pour acquérir un certain nombre de connaissance qui puiissent nous apporter des choses nouvelles en ce qui concerne l’avancée globale (sur terr) des savoirs concernant les grottes, les parois, l’atrt rupestre, l’art, l’art et la manière, le vif du sujet, les embardées, la vie apres la vie ; n ous  voulons comp^rendre et pour cela nous nous tenons la main ; la roche est pleine d’elle m^$eme, il s’agit de féerie contenue en elle, féerie pour une fois douce et feutrée comme la peau d’un e bambi des preés ; nous poursuivons notre enquête au sein de la roche, nous voulons aller le plus loin possicble en elle à la recherche d’une solution à des problèmes de lévitation et de hantise ; nous sommes comme sous le joug d’une emprise et cette emprise porte unnom, ce nom est «vie» depuis lanuit des temps ; nous voulons en wsavoir davantage et pour ce faire nous évaluons l’ensembkle des donnéesz déjà recueillies par nous en pareille roche, et ensyuite nous lesc examinons de concert afin de les trier, de les classer et de les examiner ainsi «nettoyées» ; nous pensons que nous sommes à présent suffisamment armés pour comprendre pas mal de cghoses,, nous avons de quoi ; nous pouvons le dire ;  nous avons de quoi à présent et du coup nous pouvons le dire et que faisons-nous sinon cette chopse d’un dire pariétal de roche, sous les yeux d’une bambi des prés ;  nous aimons bambi comme une soeur des prés ; nous aimons bambii pour ce qu’elle nous donne en termes de savoirs ; l’art est en nous cette cohorte animalière qui, vive, va à piquer, pour le coup, une paroi de roche, afin fissa de l’emboutir et de la poénétrer comme une bite ; nous aimons par:ler crumùent parfois et cela pour la bonne cause : la pique va droit dans le but, elle ne cède pas au passage, elle reste dure et perçante et perçant kl’hymen de la roche elle se retrouve en  ceet espace de sous bois ou de prairie qui est l’espace-temps du dedan,sd  ici du temps pariétal, c’est-à-dire du temps tout court ; nous perforons d’un pic (long) la paroi dfu mon de et comprenon,ns 1 : nottre douleur, et 2 le pourquoi du commùent ; nous avons franchi bien des étapes jusqu’ici et à) présent nous voulons aller plus loin encore dans cette recherche de vérité ; nous sommesq tres remontés ou motivés pour ce faire et nous continuerons encore et toujours sur notre lancée , du moins  tant que nous serons en capacité de faire cette chose  ; bambi est avec nous une alliée précieuse ; l’art a à voir avecv une bambi (un animal) quyi permet à la vie de se permanemment dérouler sous n os yeux en termes de connaissances déroulées ; l’art est cette connaiszaance déroulée en temps et heures, qui permet une entrée e,n matière dans le sei n des seins pariétal ; nous évoquons bambi car bambi est parmi noudss dans le sein des seins pariétal ; nous évoquons des animaux : des chevaux et des aurochs ; nous dessinons des animaux sur la pierre bombée qui en épouserait les traits ; nous dessinons tout un ensemble animalier à main levée, de cette main qui vient frapper la paroi en cadeznce ; nous passons du temps ainsi ; ce temps nous appartient, et recèle pour le coup l’zen semble des données de base concernant la vie sur terre ; nous poussons ainsi plus avant pour nous enquérir ensemble de ce qu’il en ressort de toute cette affaire de paroi du monde et d’entrée en matière ; l’art comme moyen ds’entreerr dsans la martière tezmporelle ou quelque chose d’approchant, comme une cxhose qui vient ou viendrait non pas en sus mais en simultané avec cette emba rdeée dansq roche ; nous pensons ensemblke des choses brutes et ces chgoses les retranscrivons sur roche en termes d’effigie animalière, cet aurochs de mémoire ou bien cet oiseau (ce bec) muni d’une sorte de baton de pluie ; nous sommes des etres qui pensons et ce a vec des sortes de mots-animaux en réserve (cohorte, pic de roche, entrelacs incidentiel) ; nous aimons perforer la roche pour nous retrouver de l’autre côté et comp^rendre ce quil nous reste (beaucoup !) à comprendre = cvcette moisson ; nous avons une chance infime et la jouons de concert, ici même en cette paroi ; nous ne voulons pas défaillir mais n ous voulons tenir (debout) le choc des phrases scandées à même la paroi du temps : ces points réitérées, ces mains négatives, ces chevaux multip^liés, ces orangoutangs, ces ours des cavernes, ces vulves, ces poinçons, ces traits de lumière, ces biches bambi, ces velours, ces soies, ces doucveurs, ces liquides temporels qui nous abreuvent, ces transes, ces épuyisements, ces vidages et vidanges de soi dsans la transe, face contre face ; bnous sommes ainsi qui nous projetons à) l’intériuer du temps de façade = de paro i, et là nous pouvons souffler et nous reprendre, main dans la main, comme deux tourtereaux qui ici faisons chemin commun (chambre commune)  ; nous allons loin dans la roche du temps ; nous avons encore de l’espôir en  nous, celui de trouver qui sait une vérité enfouie qsui serait celle qui ferait de nous des êtres à jamais reconnus, comme ceux qui donc ont franchi le  pasx et sont allés dans la paroi du temps, trouver la pépite ( l’or) du temps pariétal ; nous avons conclu un pacte, entre nous : ce pacte n ous appartient, il est fait de mots-animaux ; notre but est d’aller le plus loin possible en cette paroi et de denicher des choses encore (à ce jour) insoupçonnées ; nous voulons trouver des chose ; nous voulobns trouver des choses dans la paroi ; nous voulobns treouver des choses de parois ; nous voulons creuser la paroi du temps dans le temps, et trouver des choses (des renseignementsq) qui nous soient utiles pour une plus grande compréhension des tenants et desaboutissants du monde tel qu il s’offre à nous en cette terre (sur cette terre)  ; nous sommes mordus, nous ne lacherons pas le morceau ; notre ambition est intacte ; nous voulobns savoir ce qu il en retourne ; nous voulons connaitre le fin mot de toute l’affzaire et ce fin mot nous le subodorons car il ressemble à un mot en trois lettres de nos connaisances ; ce fin mot est le mot de «fin» peut etre ou bien un autre, en trois lettres tout pareil, qui serait le mot «mot» ou commùent ? car l’art est cette chose en nous qui poussse et fait saillie sur roche et perfore ;, il s’agit de mots-animaux et cesz  mots nouys les voulons qui s’en viennent en surface perforer la roche : ni plus ni moins ; nous voulonqs que s’en viennent perforer la roche pareilles bêtes contenues en  ous depuis lza nuit des temps, et ces betes-mots en nous nous les voulons qui perfore nt la roche du temps devant soi (la vie devant) pour une sorte de compréhension, claire et nette (totale, complète), des tenants et des aboutissants de la vcie sur terree : voilà le pourquoi du comment de l’art, cette pique langagière animalière de perforation de roche temporelle ; nous pâssoons ainsi dans la roche , muni de notre pic de bete (une embardée) et là, retrouvons bambi qui est la douceur même (embardée de vie)  ; nous sommes ensembkle accompagnés pazr une biche douce prénommée ba mbi, de mémoire, la bambi des prés, et là nous allons ainsi vers elle pour toucher sqa peau (pelisse) et comprendre tout un tas de choses associées ; nous parlons ensemble de toutes ces choses, ici ou là ; nous voulons comprendre bien sûr toutes ces choses ensemble et non séparément ; nous voulons que cette chose pour nous soit sue et entendue une bonne fois pour toutes ; nous veillons à bien  ous positionner aussi pour cette chose, d’une bonne compréhebnsion et écoute de ce qui est dit et rappôrté par la biche des prés pariétaux ;  nous voulons savoir toutes ces choses ensemble, les entendre ensembkle et les comprendre de concert, car nous sommes soudés comme un bec ; nous aimons les choses les cvomprendre ensemble de concert et faire ensembkle les pas qui s’imposent, sur prairie ou pré pariétaux, au milieu des animaux de roche (effigies des époques de la préhistoire) et ainsi allons-nous qui chevauchons les betes (intrapariétales) au galop, pour aller de fait encore plus loindans la connaissance pariétale du temps qui passe ;  nous avons beaucoup encore à déchiffrer et nous voulons ensemble aller loin dans cette chose car nous sommes motivéés par ennous une volo n té massive, animale, de bien faire cette chose en soi : cette embardée à même la roche et cette sorte de per c ée en elle via la fissure ici créeé par le pic de notre bec ; nous pensons que nous devrions y arriver asserz rapidement et en tous les cas nous espérons que l’embardée ici durera encore un petit moment de manière à pouvoir aller (nous)aencore un  peu plus loin dans les connaissances ou sur ce chemin de la connaissance rupestre ; nous pensons que l’art est un bon allié qyi est cette chose intermédiaire (la seule ?) qyui puisse etre déposée aux pieds de la roche du temps , c’est-à)-dire le présent enrubanné (le ruban en définitive)  ; nous pensons que nous decvons comp^rendre cette chose d’un ruban de soi pour ainsi dire, déposé à même la roche du temps : ruban de type animalier et qui va son chemin (croisade) de pic, qui va (son chemin de pic) en paroi de roche, en roc de grotte ; nous passons a insi d’une chose à l’autre et cela par la transe animale en nous qui nous poussse à agir (arty) dans le sens d’une percée de roche qui est une percée ici du temps imparti ; nous cherchons la vérité dans la paroi ; l’homme des cavernes lui-même a chezrché en son temps la vérité dans la paroi et nous faisons de même ; nous voulons chercher encore et toujours la vérité du monde (ce leurre) à même le temps parioétal dx’une entrée de roche et continuation ;  nous pensons qyue telle est la voie à suivre, le chemin , et cette voie est celle qsu il nous plait de suivre : une introductionb xdans la matière (prairiale) du temps habité ; nous continuons et continuerons sur notree lancée jusqu’à temps que les choses soient claires comme de l’eau de source ; nous voulons poursuivre notrte chemin sur cette lancée qui nous voit caresser une biche au sein d’une pa roi nimbée ; nous continuons sur notre lan,cée au sein d’un e paroi de grotte (antédiluvienne) prête à nous offrir des connaissances sûres, incrustées, dures comme roc, sur les tenants des choses du monde, et leurs aboutissants en termes animaliers ; nous voulons aller le plus loin possible sur ce chemin qui mène à cet aboutissqant animalier ; nous pensons que le bout est habité ; nous espérons trouver quelque chose dans cet antre pariétal, un quelque chose qui nous donnerait sans faute le la musical de toute l’affaire, ce qu il en est de cette affaire (artistique) de perçage de paroi et de lovement en icelle pour l’étezrnité ou pas loin ; nous essayons ensemble de co:mprendre que les mots nous trompent et cepêndant sont ceux ici qui hantent nos bouches comme betes hantent la caverne ; nous sommes perpétuellement agités dans des croyances pariétales qui nous font  de fait dire et penser des choses permanemmen,t alors même que nous voyons que nous sommes portés par des betes qui nous surélévent à même le roc (lévitation) vers de la gravure (à faire) de roche, ou vers cette transe en soi qui pousse à représentation animalière : nous sommes soumis aux faits et gestes d’un langage animalier de paroi dee grotte, et l’homme des ca vernes avant nous, qui savait de quoi tout cela découlait, qui setenait en deça du langage (béni ? maudit ?) articulé, et de  ce fait bénéficiait d’une sorte de vue d’ensemble «nettoyée» sur les choses du monde ;  il (l(homme des cavernes) voyait loin car non entravé par du parler humain articulé on dirait ; nous pensons que nous devons comprendre mieux ici cette cghose ; nous pensons avec des mots que nous devons avec des mots comprendre avec des mots, mieux cette chose, d’un monde apres ou derrière : lmes mots-animaux sont en  ous (en bouche) quyi sortent de nous pour gagner la paroi (montante) et franchir celle ci jusqu’à immixtion complète du mobile ; la chose est sûre et  certaine et ne manque pas de nous troubler ; nous vcoulons aller loin en elle ; nous voulons aller loin dans la roche à la recherche d’une vérité de roche mais aussi de prés verts et de biches douces ; la vérité eswt à ce prix , qsui nous voit nous immiscer (tete première) en cette roche dure, en cette sorte de paroi du monde animalier qui est celle de l’homme des c  avernes, le magdaléniein ou l’aurign acxien ; nous poussons la chose à son maximum (pour nous ) d’intensité et fissa le plus possible allons glaner ici ou là derrière la paroi, ou en elle, quelques fleurs de vérité acidulées, ou bien la vue sur la bete qui broute ou charge ;  nous pensons que nous devons ensemble agir de la sorte et poursyuivre nos recherches ici, en paroi, car c’est ici, au sein de la pa roi du temps, que se cache les données les plus secrètes , si tant est que ce mot de secret (ou de secrètes) ait le moindre sens à nos oreilles ; nous pensons que nous devons poursuivre cette sorte de recherche pariétazle à deux au sein de la roche, car cette rezcherche a du bon, et peut de fait s’avérer fort util:e à l’avenbir à l’heure du décompte, quand viendra le temps (peut-être) de faire le point sur l’ensemble des savoirs acqyis concernant les données du monde ; nous avons du temps devant nous, profitons de cette chose et creusons la paroi  jusqu’à temps qu’elle nous ait délivré l’ensemble de ses secrets ; nous avons devant nous du temps et ce temps pariétal est une aubaine ; la biche est dans le pré qsui nous regarde de son air de deus airs, et qui broute l’ herbe verte  ; son nom est bambi, elle habite le temps et nous sommes ensemble à pouvoir la voir  ;

à pouvoir la voir de concert ;

et nous sommes ensemble à pouvoir la voir aller et venir dans le blanc bleuté de la roche ;

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7/01/2021

nous sommes deux pour une sorte d’insertion-immersion-immixtion de nos mobiles accouplés au sein d’une paroi de roche ornementée et dans le but précis de rejoindre ici la cohorte sus-mentionnée ; nous voulons ain si passer le cap : le cap de la roche ; nous voulons ainsi aller loin en besogne et ne pas xs’arreter en chemin comme des benêts mais poursuivre de fait nos pérégrinations sans honte, sans gêne, sans troublke, sans accroc ; nous voulons que notre insertion se passât du mieux possible et pour cela nous y allons gaiement ensemble à même la roche dure, tête première et comme une percée qui va dedans fouailler le roc, une de ces perces, qui va dedans, qui va fouailler dans le dur, une de ces perces qui fouille et crève l’hymen de la roche : cette perce est celle-là, que nous contenons à deux en nous-mêmes, en notre cavité buccale ; nous voulons que perce-paroi soit estampillée de notre patronyme (à tous les deux) afin de pour le coup laisser la trace (ce faisant) de notre passage de roche ; nous cherchons ainsi, une perce de paroi, un perçage ou perceme nt ; nous voulons connaitre la joie du perçage de roche ; nous voulons que cette chose soit estampillée de nos noms a ccolés et pour cela nous rendons ou rendrons la chose publique un de ces quatre (fatalement) ; nous sommes à  ce point mus et motivés, que nous voulons rendre la chose publique c’est-à-dire l’afficher ici ou là , mais non point avec la prétention de celui ou de ce ;lle qui se targue mais avec la modestie et la discrétion de celui ou de celle qui informe ici la place ; nous cherchons des solutions à nos problèmes publicitaires : il s’agit d’une main mise sur une paroi, une main et une autre, scandant la recherche, scandant cette recherche à introduire, cette recherche ici ou là à même la paroi ; nous voulons que les choses soient dites et affichées publiquement ici ou là, et cela ne coule pas obligatoirement de source hélas mais demande une abnégation et une concentration et un souci et une patience infinis ; nous voulons cette chose pour nous (introduction à la vie pariétale) car nous sommes fous de ces bêtes de poids ou de charge ; nous aimons de folie pareilles bêtes, à commencer par celles ici qui nous font face (féerie) comme les bambis de la fable (de l’histoire)  ; nous cherchons ensemble à nous introduire dans la roche via un  interstice minuscule et cependant bien suffisant, car nous entrons toujours par la petite porte, nous aimons la chose en soi, d’entrer par la petite porte, par la porte cachée ou dérobée etc ; nous filons en douce à travers cette paroi et nous nous retrouvons derrière à regarder passer le train du monde ; nous voulons que toutes ces choses soient dites (ici) en ce lieu de paroi dure (là) pour une raison qui est que nous sommes fous d’elles, de ces betes des prés (par exemple) qui ont de la grâce et qui nous regardxent féeriquement depuis précisément l’endroit du devant dans lequel elles sont positionnés et campent ; elles sont des betes qui campent, et nous nous sommes des êtres qui nous tenons (nus) par la main, sans plus de fioritures ou d’appret, et qui les reghardons nous regarder ; nous cherchons dès lors à les comprendre et à entrer en communication avec elles : nous cherchons à leur parler ; nous voulons une rencontrte ; nous cherchons en elles quelque chose qui serait de l’ordre cde la vérité et pour cela nous avons besoin de passer par des gestes de bienvenues, par des touchers de peau etc ; il semble qu’elles (ces betes) soient pour nous des reflets féeriques de roche , et aussi il semble que ces bêtes aient pour nous beaucoup d’intéret et voilà pourquoi elles nous lorgnent d’un air de xdeux airs, comme elles font souvent ; nous les regardons nous regarder : il s’agit d’un face-à-face pariétal ; nous cherchons des vérités dans leur regard ; nous cherchons tout un tas de vérités dans le regard des bêtes et voilà que nous nous retrouvons à l’intérieur d’»une paroi à regarder des bêtes dans les yeux, à la recherche d’une vérité de roche ; il est bon de comprendre cette chose, comme quoi nous sommes deux à essayer le plus possible de trouver ce qyui existe ici (en paroi) qyui puisse pour le coup nous renseigner sur notre propre avenir en tant qu’êtres habitants de la terre ; nous voulons une vérité massive ; nous voulons la bête ma ssive (aurochs) ou bien le bison massif et ce bison serait (sera) massif comme la vérité souhaitée ; massif et massive, massif le bison ou l’aurochs , et massive la vérité : il s’agit d’une seule et même chose (on dirait cela)  ; or il semble que cette chose d’un bison massif pour une vérité massive égalât cette autre, d’une vérité de bon aloi inclue dans la roche : il semblerait que la vérité de roche soit celle de la bête costaude et que cet ensemble bête + roche soit la vérité de bon aloi ; il wsemblerait que vérité de roche égalât vérité de bête de type aurochs ou bison ou buffle (ce type de bête massive)  ; il s’agit xdonc d’une attaque par le poids en roche : dessins de betes par des traits de bois, dessins de betes massives, vérités criardes ou criantes ; nous pensons que cela est ainsi que nous devonns appreéhender les choses et pas autrement , nous pensons que nous devons appréhender les choses ainsi afin de nous garder de tout commentaire déplacé et injustifié sur la nature de la vérité massive, ou sur la nature de cette vérité que nous disons massive ou comme quoi elle serait ainsi, lourde et mal fagotté ; or pas sûr ; or on voit à quel point le massif ici est plein de grâce et en impose par sa puissance élancée ; la beauté de l’animal est celle que l’on reconnait depuis loin à la ronde ; il semblerait qu il faille reconnaitre cette chose, déjà pour soi mais aussi pour le monde, ce monde des alentours des grottes, ce monde environnant tel qu’il existe aux abords des grottes, des gouffres ou des cavernes ; nous pensons (judicieusement ?) que la terre est ronde pour aussi l’animal et que par conséquent nous cdevons respecter icelui en roche comme en champ ou comme en pré ; nous le coucoounons du regard à notre façon ; nous aimons les bêtes et nous aimons les regarder de p^rès et aussi de loin  au sein de la roche du temps ; le temps icii est la chose en nous qui compte beaucoup et nous aimons compter sur celui ci, ici en roche et là, en pré de nature ; la roche est bellement formée pour accueillir des bêtes dessinées par l’homme des cavernes ; il s’agit de reliefs idoines ; nous avons compris que cette chose, du relief de roche, a une importance considérable et pour ça nous nous excuusons, car la compréhension a (on le sait) quelque chose de détestable, on sait cela ; nous voulons nous excuser et nous le faisons ensemble et nous baissons l’échine pour ce faire ; nous ne voulons pas passer pour des ma lottrus mal intentionnés mal fichus mal tout ; nous voulons nous présenter dans un attirail (arsenal) agréable à la vue et au toucher et fleurant bon la rose et le jasmin ou tout autre parfum délicat et doux ; nous voulons paraitre beaux ; nous voulons nous montrer beaux et présentables = agréables et frais ; lessivés et pomponnés pour la bonne cause pariétale etc ; et ce afin d’entrer, en paroi, frais émoulu et nettoyé de pied en cap : douce insertion d’un mobile jeune ; et nous voilà entrant en elle (paroi) comme des jouvencxeaux de la première pluie sur terre, ou comme des benêts de derrière les fagots ; nous pleurons ; nous sommes échaudés ; nous ne valons pas tripette ; nous pissons à la ré du monde ; nous solmmmes des enfants abandonnés à notre sort, et nous voilà qui entrons fissa tete première dan s ce mon de ici d’un roc de roche pariétal, et ce à deux, et ce main dans la main, comme des forcenés (passe -muraille est tout près)  ; nous ne voulons pas passer pour cela que nous ne sommes pas mais qui ou que sommes-nous en vérité (au juste) ? nous l’ignorons et voilà où le bât blesse et fait mal ; nous ne voulons pas passer pour cela que nous ne sommes pas à nos yeux et pour cela nous renaclons à accepter un certain nombre de paroles d’autorité, ou de diktats, ou de prérequis ; nous voulons apparaitre tel que nous sommes, seulement voilà : il est impossible en ce bas monde d’apparaitre tel que l’on est , la chose est connue ; il est tout bonnement impossible en ce bas monde (ici et là) d’apparaittre tel que l’on est ou tel que l’on serait et pas même à ses propres yeux et pourquoi cela ? car nous sommes blousés, nous sommes détournés, nous sommes détournés de notre voie par en nous un bandit de grand chemin ou par un animal en nous ou par la bête en  nous ou par on ne sait qui en nous qui nous détourne de notre « voie ; nous sommes tous toujours détournés et faussés par en  ous une drôle d’incarnation massive, qui est cette chose en nous que nous appelons à voir de nos voeux les plus chers, à voir devant nous (art) pour une reconnaissance de la chose (en vrai) que nous sommes (que nous serions)  ; nous voulons comprendre toute cette affaire et cela n’est pas chose si aisée hélas (ce serait trop beau) : qui sommes-nous ? dans quel état j’erre ? etc, le couplet, le couplet connu de tous et toutes ; nous cherchons à comprendtre la vérité sur des choses qui n’en sont point parées en définitivec : qui suis je , qu’est-ce, etc, toutes ces choses qui en  nous encombre la place et qui ont pour nom des noms de bêtes = bisons ou buffles etc ; nous cherchons dans tous les sens et ce n’est pas simple, ce n’est certe pas très simple, il faut creuser et creuser longtemps et cela dans une direction (pariétale) donnée de préférence, si l’on veut un tant soit peu se donner toutes les chances de trouver , toutes les chances avec soi pour trouver le pot aux roses de l’identité ; car il s’agit d’un pot aux roses ; il s’aghit du pot aux roses de l’identité ; il s’agit d’une cachotterie etc ; l’animal de paeroi est larepreésentation rupestre d’un soi animal projeté comme une claque et ce sur roche du temps ; nous voyons très bien que la chose est indubitable et aussi nous poursuivons (notre chemin) en ce sens ; nous voyons parfaitement bien que la chose en soi est indubitable et voilà kles raisons qui preésident à nos choix en matière de pérégrinations spatio-temporelles ; nous voulons la vérité sur la vie et la vérité sur la mort, sur ou sous mais la vérité : coute que coute c’est-à-dire quel qu’en soit le prix ; nouys voulons cette vérité pour nous et pour nous cette chose d’une bête en nous qui nous guiderait (on l’espère) justement ici et là sur ce chemin de v érité ; nbous voulons que les choeses soient claires : qui sommles-nous qui allons par les chemins à la recherche d’une entrée de grotte , qui ? nous disons : des garnements, nous disons : des chenapans, nous disons : des enfants de la pluie etc ; or ouyi et non ; le temps ici n’a rien à voir en cette affaire d’entrée ou de sortie de grotte ; il faut voir que nous sommes deux, et pas seuls ; nous ne sommes pas seuls à chercher des entrées de grotte et des entrées de paroi etc, nous sommes deux et qui plus est main dans la main, et cela a une importance considérable ici ; nous sommes deux et le revendiquons haut et fort car la solution à nos problèmes d’insertion de roche passe par cette chose là d’un acoquinement à deux, par cette main donnée à une main donnée etc ; nous voyons que la chose conjugale a une importance con sidérable dans cette affaire de paroi à travezrser comme un passe-mureaille ; nbous voulons passer à travers et rejoindre l’an,imal, mais pour rejoindre l’animal (c’est ainsi) il faut être deux, voilà la condition sine qua non pour un passage en bvonne et due forme ; nous devons passer par une pierre dure tete première et cela est dur, cela est coton, cela n’est pas chose aisée mais tout le contraire ; nous avons à traverser le rubicon de la paroi de grotte et pour ce faire nous crio,ns comme des nouveaux nés portés ; nous sommes qui voulons ainsi, etre i ntégrés à une cloison (paroi) de grotte ornementée afin de comprendre ce qui donc préside aux affaires du monde : le pourquoi du comment, et pour cela nous nous tenons la main, nous ne nous lâchons pas (exactement comme Passe-Muraille avec sa dulcinée à dire vrai)  ; nous pensons que nous devons ensemble agir de la sorte ; nous pensons que nous devons agir de la sorte ensemble et poussezr la chose à son maximum d’intensité du coup pariétale : jusqu’au bout du bout, et ne pas flancher en chemin ; nous devons pousser la chose loin et ne pas jamais flancher sur le chemin qui mène à pareille insertion brutale en paroi de roche de grotte ; nous sommes deux qui poussons à travers la roche : nous ne savons pas qui nous sommes, qui sommes-nous ? nous déclinons notre (une) identité : nom, prénom, âge, natiionalité, sexe, etc, mais en vérité tout cela nous tombe dessus comme une pluie sur des feuilles d’arbres ; nous ne vouliiiions pas de cette pluie sur nous et au contraire nous cherchons à nous mezttre à l’abri de cette pluie qui tombe, qui nous touche, qui touyche nous, comme sont des enfants blessés ou un peu meurtris ou vexés ou pris à mal ; nous ne voulons pas de cette pluis car cette pluis ne nous veut pas (pas forcélment) du bhien hélas toujours ; nous voulons comprendre pourquoi les choses sont ainsi de type pariétales et voilà le fin mot de toute l’histoire à nos yeux d’enfants touchés (par une pluis fine)  ; la pluie ici = lc’identité telle qu’elle vous est collée à vos basques dès la niassance : sexe, hum, nom, rehum, âge, hum hum, nationalité, triple hum etc ; nous ne sommes pas qui nous sommes, mais alors qui sommes nous ? des enfants de parois ; nous allons par les chemins à la recherche d’entrées de grotte, cela est sûr et nous entrons ici ou là (en pareils endroits souterrains) pour nous blottir (le chiffre deux) sur place, incar nés, en paroi du temps, au sein du sein, à même cette roche dure, ce roc dur de la paroi du temps ; nous pensons qyue nous devons agir de cette sorte ; nous voulons agir de cette sorte et pour cela nous devons impéra tivement nous donner (tendre) la main , cela ne fait pas de doute, cela évidemmeznt pas, ne fait le moindre doute ici, cela ne fait évidemment : pas le moindre doute : nous devons ensemble aller fissa à travers la paroi, à travers cette (donc) roche dure du temps devant soi = la vie ; la vie ici a bon dos , qui nous voit aller en elle via un interstice donné, ici dans une paroi, là dans une muraille  ; nous pleurons car nous sommes touchés mais nous allons sécher nos larmes pas plus tard que tout de suite ; nous pleurons car il va sans dire  que, cette chose : que nous nous nous trouvons ainsi, au coeur de la roche, frais émoulus, amoureux transis, au sein du sein, et là nous séchons (essayons de sécher) nos larmes , car ce:la suffit que l’identité, quand nous savons qu il n’en est rien et que la véritév se loge ici dans une incarnation simultanée de type pariétale, «en diable» ; nous savons que nous devons franchir un grand nombre de pas, franchir un grand nombre de passages, nous savons cela, que nous devons franchhir un grand nombre de caps , avant de se jurer, à soi, des dires d’identité, qui puissent satisfaire au mieux notre gouverne ; il va sans dire cette chose, comme quoi nous ne savons pas (toujours pas) qui nous sommes et cependant nous sommes ceci et cela, à nos yeux et aux yeux des autres, aux yeux de tout un chacun ; nous sommes ceci ou cela, ici et là, et voilà le pot aux roses découvert ici : cette chose qui serait d’un ordre parioétal (en diable) pour tout un chacun (comme le reste)  ; nous poussons la charrue et la charette plus loin sur ce chemin du qui on est au juste et sur celui du qui on est pas en vérité, car il n’est pas simple de le savoir  ; qui je suis en vérité = pour qui ; je suis pour x : y, et poour y : x ; or non bien entendu ; je ne suisq rien de tout cela , mais je soufffre souffre quand quand on me déforme disait gombrowicz, alors nous voilà sur la place pleurant notre misère incantatoire ; nous poussons cette charrrettte en cette direction d’une paroi de grotte soutrerrraine ; il s’agit, du coup, de s’y retrouver à deux = main sans la main ; nous devons aller ensemble en elle (la paroi) et faire ici ce bond d’un coup d’un seul et comme des grands, car nous sommes des petits ; nous nre sommes pas seuls au monde à voir ainsi à franchir le pas ou le cap de la paroi du temps : nous sommes nombreux, nous sommes beaucoup ; toute une cohorte, une furie en cavalcade etc, qui va, fissa, à l’intérieur d’une zone donnée qui a pour nom pierre de taille : nous voyons tout cela avec nos yeux de nouveaux-nés etc ; nous sommes deux pour une sorte de bataille pariétale, à savoir celle qui concerne le fait de se loger ou de trouver à se loger en elle , et ce sans accroc ; nous sommes dans la paroi comme dans un pré où paissent lles betes des prés : les biches ; nous serions, nous sommes dans un pré ; nous serions nous sommes dans un pré où paissent des biches, des bambis soyeueses ; nous sommes deux, main dans la main au sein de la roche, et il s’agit alors ou dès lors d’un pré vert, d’un pré où nous voyons cali, ou nous voyons califourcher, ou nous voyons cata cati, ou nous voyons sauter, des biches et des cerfs, se promener, sautiller, aller et venir, sautiller à plus va etc ; nous sommes à l’intériuer de la paroi du temps, et voyons des bambis sautiller à tout va dans l’herbe des prés ; elles sont majestueuese ; elkles nous plaisent énormémzent ; elles nous enchantent littéralement ; elmles sont sublimes de grâce et de beauté ; elles sont magnifiques, elles nous ravissent ; nous les adorons et nous délectons, à les regarder aller et sauter sur l’herbe des p^rés ; elles sont sublimes de majesté et nous plaisent grandement ; elles s’en donnent à coeur joie et cela nous plait à la folie, ou bien de folie, cela nous enchante ; elles sont étonnantes de grâce et de beauté prairiale ; elles nous enchantent nommé ment, elles nous plaisent plus que de coutume : nous sommes accrochés par le regard à leur silhouette des prés tandis quy’elle se promènent sur l’herbe à brouter  ; nous aimons les bambis des prés ; nous voulons rester ensemble dans l’enclave pariétale du temps des prés verts ; nous vboulonbs y rester ensemble (deuxd) pour une chevauchée animalière préhistorique ; notre but est clairement affiché paertout et ne souffre pas ou d’aucuns commentaire qui puiisssent fissa le mettre à mal, car notre but concerne la vie que nous voulons mener ici = sur cette terre qui nous voit déambuler comme des bêtes sur pré ; nous sommes deux pour la bonne cause ; nous allons ensemble au coeur de la roche, et là, nous nous retrouvons (main dans la main) à devoir nous écxarter du flot massif des betes qui chargent en troupeau ou en meute ; nous devons veiller à ne pas nous faire laminer ou piétiner etc ; nous sommes nus comme des bambins qui sortent de l oeuf ; nous sommes nus comme des vers de pomme ; nous naissons nus dans le jus maternel, fait de liquides divers (amniotique mais pas seulement) etr depuis nous nous tenons comme des betes qui sont sur des prés à ma,nger (elles : de l’herb, nous : autre chose)  ; nous pouvons dès lors comprendre alors cette chose comme quoi nous sommes à la merci d’un vent vif de paroi de grotte, il y a fort à parier que nous sommes soumis à des vélléités animalières parfois dangereuses et qui dans  la foulée font bouger (trembler) les lignes ; nous voulons voir la bete de pareoi au calme et non dans la tempête ; nous voyons dans la paroi la bete forte, nous voyons en elle la puissance consummatrice, ou qui va se consumant dans la foulée ; nous la voyons, la bête, sur pied, comme une beauté dure, debout ou sur ses quatre fers, cet ours, ce chevreuil ou ce cheval, etc, il s’agit de nos soeurs et frères de sang : l’antilope et le buffle, la lionne et le renne ; nous voyons que nous ne sommesq pas (jamais) seuls en nous ; nous sommes plusieurs en  nous ; je suis plusieurs en moi-même et c’est laraison pour laquelle jke ne peux raisonnablement plus tout à fait décliner une identité qui fut cellle du «à tout prix» telle que le monde à ma naissance aura volontiers voulu me coller ; je ne suis pas celui que je suis pour moi, ou pour vous ; je ne suis pas celui que je suis pour moi , et je ne suis pas celui que je suis pour vous, et je souffre (les pierres) lorqu’on me déforme (etc : gombrowicz) et du coup je commence à comprendre le malaise ou le pot aux roses : il s’agit d’un pré, inclus dans la roche ; il s’agit d’un espace prairiazl en inclusion ; oh l’espace prairial ! il s’agit d’un espace ici de déambulation, au coeur de la roche dure, et cet esqpace a pour nom : le temps ; le temps est l’espace prairial inclus dans la roche ; il s’agit tout à fait de cette chose, et nous sommes deux ici (en paroi : main dans la main) à le comprendre nommément ; nous voulons savoir ce que recèle la paroi du temps en termes pour le coup de vérités à dire (révéler) ou ne pas dire (garder pour soi ou garder secrètes)  ; la tete première nous entrons = nous entrons dans le monde (le temps pariétal) par la tete = entreée de type céphalique : présentation ; nous nous voulons ainsi en,tran,t, dans une roche pariétale, parmi les betes ; l’homme des cavernes (en lévitation) a vu passer les betes sous ses yeux et les a gravé sur la roche , il était nanti de pouvoirs secrets qui lui permettaient de pouvoir tracer (à main levée) des figures(effigies) de toutes sortes animalières (= des beautés massives de préférance : l’aurochs) et ainsi fzaisant il faisqait accroire et penser à qui de droit que la vie vibrait follement (fortemen,t) sur la roche : don de soi, pour une entité accaparatrice, et cela pour repousser l’instant fatal  ; il va sans dire que la chose est su et de beaucvoup : l’art est cvette chose qui est là censzée pouvoir repousser un instant de la fatalité , cet incontournable  ; il est facile ici de comprendre cette chose comme quoi nous devons nous placer du mieux possible à l’intérieur de la paroi du temps , et ce afin ensemble d’éviter au mieux les incartades et les ruades animalières ; ruades qui en soi ne sont pas dangereuses mais qui, de pr!ès, ou vu de près, font peur, et sont impressionnantes de dureté ; nous ne voulons pas finir piétinés mais nous voulons aller de l’av ant sans etre mâché par des sabots de betes massives ; notre ambition est ainsi bornée, quadrillé»e ; le monde est pour nous un lieu de vie fermé, or qu’en savons nouqs ? que savons nous du monde environnant sinon qu il a un nom et que son  nom est dans un dictionnaire et ce dictionnaire sur une étagère ou sur une table etc ; la pointe ici qui va vers la paroi afin de la percer (un perc-e-paroi de mémoire) a un nom ou porte un n om qui est pour le coup notifié dans ce même dictionnaire : il s’agit d’une pique ou d’une lance (un pic) animal ou animalier etc, ou animalière, etc ; nous pensons à ce pic comme à une cohorte de betes entrelacées qui vient à se ficher sur roche en un fracas de tous les diables, pour une immixtion complète et un passage sans traces laissées, passage de vie à trépas (?) ou de vie à ... vie mais ici vie qui est de type «pariéto-temporallle» ; nous avopns le choix entre l’aurochs et l’aurochs : on le dirait ainsi ; la vie ici et la vie là-bas ; nous avons ce choix et ce choix nous incombe ( à faire) en tant qu’il s’agit d’une décision à prendre à deux et non en solitaire ; habituellement nous sommes deux (généralement) mais pas toujours ; à deux la xchose devient de fait envisageable et de ce fait à deux la chose se fait  ; nous avons un nom (chacun, portons) et ce nom est ghravé sur la pierrree  ;il est cet animal de l’homme des cavernes ; une signa ture pour la bonne cause ; bnous passons ainsi d’une vie l’autre vers une sorte d’animal fou qui nous regarde d’un air de deux airs et semblent nous faire comme des reproches, oui mais lesquels ? ; nous n’avons en verité rien de particulier (§si ?) à nous reprocher, sinon le fait xd’être en vie peut-etre, et encore ; l’animal massif de paroi est un mot du temps ; nous ne voulons pas flancher, nous voulons rester toujours collés à ladite roche, collés ou inclus, ce qui pour nous est la même chose ; nous voulons comprendre un certain nombre de données humaines, ici, en paroi, et pour cela nous pensons quil est du coup préférable pour nous cde nous poster à deux au sein du sein , ou dans le sein du sein , et d’attendre l’arrivée des betes, des betes en troupeau (par exemple) ou une par une (pourquoi pas ) ; nous sommes ensemble car nous avons sign é ce pacte, entre nous, et ce pacte nous engage à nous pointer ensemble ici, au coeurde la roche, et jamais (ou pas trop souvent) seuls, car nous avons une main prise par la main de l’autre, le conjoint ; nous passons ain si à travezrsq la roche et ce faisant nous voyons tres bien que le passage à deux est rendu possivble ; le temps est une muraille ou un muret à traverser= une roche aussi bien ; nous vivons ainsi en roche une vie de bete qui nous guide ou nous téléguide ; il nous faut voir tout cela avec les yeux de ceux et celles  qui comprennent que lka vie est une et indivisible et que la vie apres la vie (?) est tout autant la vie que celle (de vie) avant la vie (la mort) etc ; nous devons comprendre ce s héma de vies  diffrérentes, ou qui seraient sensé différer or qu’en savons nous ? nous ne savons rien sur la question, cette question , que nous retournons comme un gant afin d’en observer toutes les coutures ; nous devons comprendre les choses qui sont comme des phonèmes à l’intérieur d’un espace mental ; les mots sont à nous comme des emprunts qui ont (auraient) pris racine en nous mais où en n ous, cela nous ne le savons pas ; il y a fort à parier que la vie apres la vie est encore la vie et que donc la mort en soi n’existe pas au sens où il s’agit ou s’agirait d’une extinction ; nous pouvons coomprendre  cette chose en,semvble pour la simple et bonne raison qsue nous sommes deux à poser les choses et qu’à deux la vie est tout autre que seul, d’un point de vue pariétal très certainement, mais pas wseulement, d’un point de vue partiétal rocheux temporel mais pas seulmement ; nous voulobns gravir les échelons qui doivent nous mener (un  jour, nous l’espérons) loin au fin fond d’une paroi de temps, qui est la paroi que nous avons choisi d’habiter ensemble, au coeur de la meute ; nous passons du temps ainsi dans le coeur ; le temps est une inclusion ; nous devons voir passer les betes devant nous pour (pour le coup) y voir plus clair sur toute cette (douce) question concernant les choses de la vérité du monde ; nous devo,ns comprezndre un bon millier de choses adjacentes, et dès lors nous posezr à des moments, nous deux, pour faire un point, réfléchir au sens que nous voulons donner à notre vie, à nos destinées, aux chemins empruntés, lesquels et dans quel but conjoint  ; notre en,vie se situe au carrefour d’un c ertain nombre de questions concernant les betes, leurs dessins sur des parois, concxernant l’homme de la préhistoire (du temps des cavernes) en nous : nous cherchons des vérités «à dire» ; ce qui est est, ce qui n’est pas n’est pas, etc ; nous cherchons à comprendre lle pourquoi de certains comments ; ou bien certains pourquoi du comment etc ; nous nous devons d’aller au devant (art) pour une inclusion ; l’art est cette inclusion d’un mobile de soi dans une paroi temporelle, rien de moins ; l’afrt est dfonc immixtion dans une tourbe, une matière, une roche (un roc) qui font de cet art une sorte de chose animale, paissant son carré xde luzerne uo de foin ; nous marchons ainsi sur la tete ensemble : tete contre tete, et ainsi allons par les prés (verts) afin ensemble de nous sustenter ; nous sommes ensem ble un ensemble de données, affichées (sexe, age, nationalité, date cde naissance ou de décés etc), qui fon t de nous des etres classés sur des stèles et qui nous poussent à décliner de nous des choses que nous (nous autres) n’avons pas beaucoup de gout à décliner : etc ; nous ne sommes pas nés de la dernière pluie ; nous sommes des vieux de la vieille ; nous ne sommes pas nés de la dernière pluie et nous sommes des vieux de la vieille, exactement ; nous voulons comprendre des choses, et ces choses les voulons comprendre de concert, en intrapariétal de préférence, et main dans la main ; nous sommes ainsi comme forcés par en nous un élan qui est un animal en nous (qui pointe sa tête) qui va fissa nous foutre à même la paroi collés ;  nous voulons comprendre un grand nomnbre de choses ensemble, et ces choses pour les comprendre nous devons nous coller ensemble ou nous devons , c’est à dire à l’interieur de la roche dure ; nous devons faire cette chose ; d’une immixtion dans une roche dure ; nous devons faire cette chose d’un e immezrsion, immersion-immixtion pour u n acces à de grandes connaissances etc ; les connaikssances vienneznt d’elles-mêmes dès lors que d’aucuuns se collent à la paroi du temps et la traversent fissza la tete  première ; nous avons à faire cette chose ensemble = une embardée, si possible déshabillés, afin d’entreerr nus dans le temps ; nous sommes comme) des enfants qui jhouons à figurer des etres sur rocxhe, comme par exemple des betes, et alors nous figurons de la m^$eme manière et cherchons à comprendre l’art, ici, en tant qu il serait une manière (toute trouvée) de dire des choses animales (à la place de lm’animal) ou bhien une manière de poser des choses au pied d’une roche (le temps) en guise de présent censé donner le change d’une vie, conservée jusqu’à nouvel ordre : etc ; nous positivons ; nous essayons de positiver ; nous essayons de comprendre c  e qui est qui nous attend ; nous n’avons pas tellement envie de passer l’arme à gauche trop vite et nous espérons durer, dans le temps de la paroi de roche, aussi longtemps que possible , ou le plus possible si tant est, car notre but est de durer, dans le temps de roche, afin de comprendre les données rupestres pour ce qu’eklles sont ou seraient pour nous ; nouus cherchons des données fiables en paroi ; nous chezrcxhons des données fiables en paroi à deux ; nous ne cherchons pas à nous désunir ;nous voulons tenir le plus longtemps possible de la sorte ensemble quoique nous sacxhions (pertinemment) que la chose est coton (pas simple) et risque de nous condamner à terme ; nous ne voulons pas flancher de sitôt et pour ce faire (ou ce non -faire) nous légitimons (ou pas) à tour de bras, à la cantonade, comme des procureurs de vie, comme si enfin nous étions nous mêmes décideurs de quoi que ce soit ; nous ne voul:ons pas d’une vie sa ns roche ; le temps est l’affaire , le temps est cette affaire qui occupe nos pensées de base (les pensées qui sont à la base) et, ainsi faisant, le temp)s se déroule et va de son allant rocheux ; nous sommes plusieurs (tres certainement) en  ous et pour autant nous signons d’un paraphe unique et nous répondons à un seul nom etc ; la vie sur terre est une cxhose qui reste à comprendre ensemble (confrérie) d’un point de vue et pâriétal (monacal ?) et temporel ; nous passons du temps à le co:mprendre, que le temps est (donc) la grande affaire (avec la douleur liée au passage)  ; nous pleurons tout ce que nous savons car nous savons que le temps est incertain et que la vie 1 est une vie dure (paroi) pour ceux et celles qui la pratiquent au quotidien (chez soi pariétal)  ; nous poussons le bouchon jusqu’à vouloir comprendre le pourquoi d’un e vie 1 et dune vie 2 ; la chose est incertaine,nous savons de quoi il en retourne, il suffit de se pencher sur la question, nous savons de quoi il en retourne, la vie est incertaine : nouys pleurons , et pourquoi pleurons nous ? parce que  nous sommes tristes, et pourquoi le sommes-nous ? parce que nous sommes des enfantqs  ; et cela dès lors est triste , d’etrte des enfants ? d’une certaine ma nière oui, car nous sommes seuls dansq nottre bulle pariétale et seuls n’est pas toujours aisé à vivre (de vivre seuls)  ; ah bon 

ghhv,nbvcx!  ; 

oui car nous avons à p^rendre des directions, à choisir, quand nous nous aimerions plutôt nous laisser porter par la vague du temps et ainsi soi til, sauf que non , nous ne pouvons faire cette chose décemment ; nous voulons aller plus loin mais nous ne pouvons aller plus loin, nous venons buter contre une ca ge (les ba rreaux) et cela nous rend tristes et nous fait pleurer (d’où ces larmes sur la paroi)  ; nous avons envie de connaitre beaucoup de choses et ce n’est pas toujours facile pour nous car pour connaitre il est préféracble d’etre bien évveillée et pour cela il fazut savoir «ouvrir les mirettes» (lesq écarquyiller) de façon claire et nettte, etc ; nous pensons que nous devons aller ensemble sur un chemin de traverse , pour nous rendre à l’intérieur de cette grotte qui est celle que nous connaissons le mieux car elle se situe à quelques encablures à peine de chez nous, de notre chez nous ; nous entrons dans la grotte, nous sommes à présent à l’intérieur de la grotte et nous regardons les peintures animalières d’icelle et ce que nous voyons nous laisse pantois et ahuris car il s’agit de bêtes majeswtueuses (peintes ou gravées dans une ressemblance extraordinairee ; il s’agit de bêtes qyui sont dessinnées ou gravées avec beaucoup de traits de ressemblance avec lza bête en vrai, ; etc ; nous sommes pantois, sidérés, devant pareilles ressemblances, véracités et vérités graphiques ; nous resto,ns pantois devant tout cela qui nous fait face et nous impressionne grandement ; nous sommes vraiment vraiment vraiment véritablement sidérés par tant de ressembla ce et tant de grâce etc, et là nous nous mettons assis en tailleur face à ces peintures ou face à ces gravures et c’est assis en tailleur que nous disons cette chose comme quoi nouus  sommes sidérés et fortement impressionnés et touchés par ces peintures et autres gravures parié&tales ; l’»homme des cavezrnes 

était un dessinateur éméerite  ; il savait tres bien se débrouiller dans la représent(ation aniumalière ; son trait était assuré, sa palette riche etc ; il était treès fort dans son genre, à manier le fusain, la torche etc, à mettre (placer) ses mains sur la paroi et à souffler dessus le charbon de bois etc ; quel homme sublime qUe cet homme -là devant soi ; nous pensons que l’homme des temps reculés était un homme étonnant de promptitude, étonnant dans ses gestes vifs et déterminés ; il maniait le couteau, la flèche, le charbon comme personne (peut-être) après lui ; il s’agit d’un homme doué pour le dssin en état de transe := il se laisse chevaucher ; son trait est celui de la bête en lui , qui trace pour lui ; son trait est celui de la bête en lui qui le guide (téléguide) sur paroi afin de lui faire faire des figures, des dessins de figure (animalières pour la grande majorité) à main levée, ; en état second = dans un état second, comme enivré des p^rofondeurs (le manque d’o2 dsans les profon deurs entraina nt l’ivresse, ainsi de suite)  ; il s’agit pour nous de co:mprendre que l’art tel que cité plus haut (le mot) est une manière d’aller et venir sur roche (armé d’un bâton de quelque sorttee que ce soit) pour dessi ner la bete con tenue en soi et qui vous guide dans les traits tels quils apparaiseent peu à peu sur le relief (étudié) de la roche ; l’homme des cavernes est un fieffé dessinateur de betes massives, massives comme les vérités (on l’a vu)  ; nous penson s à l’homme des cavern es comme à une personnne simple, un enfant en quelque sorte, cet enfant opporteur de messages comme par défaut ; l’enfant porte des messages, il est le porteur de missives pariétales et ce n’est pas rien ; il est le messager du temps qui s’en vient porter des messages à celyui ou celle qui se poste devant les peintures du temps (aurochs, aurochs, aurochs) pour les goûter en vrai de vrai ; nous y allons ai nsi de notre couplet habituel concernant la roche, le «feu» de la roche  : l’attaque massive des bbêtes qui chargent ;  nous cherchons des vérités da,ns la paroi ; nous voyons que l’art est l’art d’y «y aller» ; nous avons comp^ris cetteccxhose, si tant est que nous avons compris des choses ; nous avons compris cette chose, comme quoi  l’art eswt l’art des parois, que tout art = un art de paroi, c’est-à-dire un art d’inclusion temporelle ; nous opensons qUe l’art esqt toujours un art d’inclusion temporelle et que l’art est cette chose en don du devant de soi : le présent enrubanné ; nous sommes de la partie et de ceux qui pensent que l’ame a à voir avec ce temps présent, ce cadeau de soi etc déposzé à m^$eme la roche ; nous le pensons ; nous xsommes qui pensons que la terre est ronde, le temps facial, la beauté nacrée, la mort incertaine, la douleur co:mplète etc ; nous avons pas mal de cxordes à notre arc que nousq tenons ban dé comme une bite et que parfois nous  sortons de nous à l’occasion pour des chassses au cerf etc, ici, en prairie, au sein de la roche (en son sein) pour des découvertes de bon aloi ; nous fouilllons la terre à la rechezrche ds’ossements ; nous fouillons tout ce que nous pouvons à la recherche d’os ou de trésors (menus) qui de fait nous plaisent : nous  sommes des enfants tombés du ciel et allons ensemble (bras dessus, bras dessous) à la recherche de la vérité, des prés, des grottes, des roches, des bêtes, des énergumènes ; nous pouvons penser avec des mots donnés (comme le mot énergumène ); nous pouvons déposer (art) au pied de qui de droit qui nous regarde fixement d’un air de deux airs (= bambi des prairies)  ;: nous déposons notre cadeau enrub anné qui est ici le présent de soi (temps pâssé) sur une sorte de pierre de roche ; nous le déposons,ns de concert ; nous sommes deux pour la bonne cause (pour la bonne bouche ?) à aller ain si à dépose en roche, c’sst-à-dire à l’intériuer de celle ci , au sein du sein, au milieu des betes qui paissent, à l’in terieur de cette roche pleine qui , cependant, contient  cet espace prairial où la bete peut dé&ambuler sans entrave ; nous aimons ces betes de prairies et de bois (biche ma biche) et nousq les regardons passerr ou paitre avec grand plaisir, depuis cet endroit que nous occupons au sein de la pierre de taill:e ; nous sommes des enfants hjhoueurs ; nous sommes joueurs comme des enfants, nous so:mmes des enfants qui jouent, car nous sommes joueurs comme des enfants ; «comme» est le mot de liaison ici qui nous convient et qu il nous plait de présenter, d’activer, de remuer pour notre gouverne et pour notre plaisir : nous avons ainsi des mots pour nous qui nous plaisent et que nous avons plaisir à remuer ou afficxher ou placer ici ou là ; nous  aimons ainsi déposer des choses au sein dee la roche, e,n son sein , et ces choses sont : le présent (don) que nous donnons de nous (tout ce temps passé pour nous ou par nous) à un devant de soi animalier : cette prairie incluse dans la roche, cette chose (bicxe ma biche) douce en paroi de roc ;nous déposon s ici même dans la féerie le temps qui est ce temps passé qui semble de la vie de vie mais qui en vérité est mort comme une bete morte ; or voilà ce que nous déposons au sein de la roche du temps ; cette chose est dépo

sée au pied d’un (une ?) bambi (quelqUonque) de roche ; nous voyons (nous y voyons) à l’in tériuer de la roche une chose de type un animal de type un bambi  (une ?) qui serait ainsi logé ici à nous attendre ou pas, mais en attente (disons) d’une présence humaine (la notre) qui viendrait à se coller ainsi, par effraction, à une prairie (ou un sembvlant ) de féerie ; nous allons ainsi au sein de la roche à la recherche (la poursuite) d’une féerie an imalière incluse où pouvoir déposer notre pêtit présent (butin) animaliezr peut etre, ; nous ne savons, nous savons certaines choses mais pas tout ; nous touchons la piezrre a vec nos mains (positives  et  négatives)- et ce faisant nous nous immisçons cdans le sein des seins où paissent la biche et le chevreuils et où nous nous voulons déposer notre temps passé en guise de présent pour faire accroire ; voilà l’endroit ; ce pâssdage, ceztte dimensio,n, cettte sorte d’hologramme en 3 D, etc ; nous penseons que le chose est à essayer , ensemble, qui ne tente rien n’a rien, et du coup nous nous y attelons de concert afin de comprtendre ou dee voir à comprendre les tenants et les aboutissants de pareille embardée en roche, par un effet detranse, ou bien du fait d’un e certaine ivressse (des profondeurs) en lévitation et les mains devant, martelant ;  n ous allons, à l’intérieur de la roche, retrouver bambi, que nous aimezrions toucher, délicatement (toc léger), pour nous rendre compte de sa vérité (véracité) dans la p^lace ; nous cherc hons à entrer dans la roche du temps et pour cela, bambi est d’une importance capitale , nous le savons ; nous cherchonsà entrer dan s cette place de bambis, dans cet endroit comme empli de bambis diverses (divers ?)  ; nhous touchons au but ; nous  n e so:mes plkus très loin du b ut ; nous sommes à quelques encablures de ce but et bientôt nous allons pouvoir comprendre le fin mot de toute cette affaire de «biche ma biche», et d’«aurochs, aurochs, aurochs» shakespeariens etc, nous le sa vons  ; il nous suffit ou il nous suffira de garder patience ou d’un peu (un poi l ;) de pâtieznce et de nous poster (nous deeux) au bon endroit à l’intérieur de ladite roche du temps : savoir où se bien placer pour comprezndre de quoi il en retourne ; nous allo ns pousser à l’intérieur et passer le cap ( ;es émpaules pour ainsi dire») et dedans attendre, attendre, atten dre l’arrivée de l’an,imal préhistorique pôur ainsi dire : ce cxheval, ce rhinocéros, ce bison, ce pha cocxhère, cet ours, ce reznn,e, ce  erf ou cette biche aux yeux charmeurs : les cils ! lesq cils de bambi ! et ses yeux de chatte etc ; nous pensons que nous devons serrer les rangs, les vis, ; les fesses , les boulons etc car le gros de la troupe  se pointe (on l’entend d’ici) et ne tardera plus à charger, donc restons groupés, restons bien groupés les enfantsq, afin de bien se tenir à l’abri de la meute, de cette charge qui vient à nous , comme un seul brouet, comme une seule coulé e de lave etc, un vomi massif , une trombe etc ; nous voyons venir la chose depuis loin dans la paroi ; le lieu de la chose est ici (le temps) qui est  ce lieu dur du temps à vivre ; il s’agit encore et toujours d’une sorte de donné fluide (féerique) incluse dans un dur de roche ancestrale (préhistorique pour ainsi dire) qui est ce temps pour nous où pouvoir deéposer notre petit colis enrubann,é et protégé ; nous y allonsainsi ensemble au sein (du sein) afin de comprendre (prendre)  ;: prendre le sein de cette chose, dite «de vérité» (in vino veritas) , dans une ivressse des profon deurs qui nous affole, nous porte à léviter et dessiner la resssemblance la plus gran de avec la bete incluse en  nous qui portons la charge animale, comme une responsabilité (langagière) de tous les instants (sans pause) ici même ; nous portons  la responsabilité d’une charge animal ;ière en  ous , que nous avons dès lors à déposer (art) au pied de la biche féérique intrapariétale appelée ici ou là  bambi pa rfois mais pas toujours («una donna» ?) et ce faisant nous délivrer, de ce poids de mots pesant , et ce faisant avons à comme nous délivrer (ou : nous délivrant) de ce poids (pesant) de mots ingurgités (salaisons) à même la pâroi, alors même que nous n’étions pas encore nés à nous mêmes ; à présent, ici, là, aux pieds de bambi, nous devons : déposer ces mots avalés les recracher comme une gerb e animalière , un vomi (de plumitif) en offrande, cette chose déposée pour une cause commun e, ce donné pour un rendu etc : un échange de bons procédés ;

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6/01/2021

nous sommes ensemble à la recherche d’une vérité et cette vérité ensemble nous l’imaginons (dans notre atelier-laboratoire, au sein de notre temple) comme une porte ouverte sur un au-delà qui ne serait pas une bouche, qui serait et ne serait pas une bouche, comme un au-delà qui serait une sorte de bouche (une cavité) mais pas seulement ; nous imaginons ; nous pensons à une cavité (il s’agit d’une grotte sombre et humide)  ; nous pensons que nous avons à rechercher cette (donc) cavité quelquepart dans la nature, pres de nous ; nous pensons que cette cavité est proche, pres de nous, qu’elle se situe à proximité de nous et qu ‘elle est trouvable : nous pensons que cette cavité est située à quelques centimètres de nous, de notre chez-nous, et qu’elle n’est pas introuvable ; il y a fort à parier que cette cavité (cet au-delà «buccal» en quelque sorte mais pas seulement) est une cavité que nous cherchons assidument depuis pas mal de temps à présent et tous nos espoirs sont permis d’un jhour la découvrir, par là, pas loin, tout près, à proximité, qui nous attendait ; nous voulons savoir de quoi il en retourne et bien sûr cela à deux marche mieux car à deux les efforts se conjuguent pour s’additionner dans lesens d’une recherche volontaire, soutenue et concrète ; nous espérons trouver cette entrée de cavité bient^tot et pour  cela nous nous 

et ppour cela npous nous retrouvons

et pour cela nous nous serrons les coudes, et pour cela nous nous serrons les coudes, nous nous serrons les coudes, pour cela nous nous serrons les coudes, nous voulons nous serrer lesv coudes, et pour cela nous nous retrouvons constamment, nous faisons le point, nous inspectons les alentours, nous sommes en recherche active etc ; nous pensons que nous devonns, ensemble, nous positionner ainsi dans la vie (dans une recherche de cavité) si nous voulons en savoir long sur les tenants et les aboutissants du monde alentour ; nous voulons savoir le pourquoi du comment de tout et pour cela nous devons nous mettre en recherche active et ne pas lâcher la grappe : nous devons aller loin dans la recherche , nous devonds aller le plus loin posssible en recherche, et c’est cette chose que nous faisons  : en laboratoire, au sein de notre temple-laboratoire etcc ; nous pensons que cela est judicieux d’agir de la sorte, que cela est fin et malin d’agir ainsi à deux, ensemble, sous un même toit, etc ; nous aimons les betes de charge figurées sur les parois des grottes, et quelque chose nous dit que ces betes -là sont des betes qui peuvent tres facilement nous en apprendre long sur ce que c’est que l’art, cette entité, et sur ce qu il en est de cette chose dans la vie de tous les jours  ; nous sommes persuadé»s que l’animal est cette chose en nous (bambi) qui est celle qui nous dit ce que nous devons faire de nos vies, le train à mener ; nous pensons que l’art de l’animal en nous est cette chose en nous qui nous pousse à aller de l’avant dans le sens d’une recherche pour le coup de vérité à base de mots et de phrases (sentences) articulées  ; nous avons en nous la bete peinte, celle des parois des grottes, et cette bête en nous est de celle qui guide un mobile (le nôtre) en direction d’une finalité grotesque autant que fatale ; nous aimons ainsi nous placer dans la position du tireur de cartes, ou bien dans la position de celui ou de celle qui tient les fi

celles, or il n’en est rien en vérité : le tout est tenu par une bete de somme ; nous avons en  ous cette bete (fatalité) qui nous interpelle au quotidien, couramment ou constamment : en nous cette bête de somme teneuse, et cette bête de somme teneuse est de celle qui sont dessinnées sur des parois de grotte antédiluvienne comme celles rencontrées à Lascaux par exemple ou ailleurs en France ou dans le monde ; il s’agit dx’une vérité incontournable , que cela qui ici est dit : oui ; et nous devons ensemble comprendre cett chose comme quoi la chose (la tenue animalière) est très liée à un dessin de cavité buccale, etc ; buccale ou autre : une bouche  = un trou ; il s’agit pour le coup de penser le trou comme d’une chose qui recèle ; nous pensons qu’il s’agit pour nous d’un endroit qui dit ici une vérité animalière d’une profondeur insoupçonnée (jusqu’alors) et du coup nous voyons d’un tout auttre oeil cette chose en nous, cette bête en nous qui nous chevcauche (enjambe) etc à même une paroi de grotte etc, pour une cause très liée pour le coup à une fin de vie nôtrte, ou bien à une fin de vie tout court (tout aussi bien celle d’une fleur, d’une plante, d’un nuage etc)  ; notre chemin ici est tracé et il se dirige vers un point d’ancrage à distance : il s’agit d’une ligne de vie pour rire ; notre but est ainsi d’aller vers ce point et de le dépasser à deux pour une embardée au delà des traits et des points de fixation martelés à même la roche : bang, bang, bang, bang, etc  ; nous sommes les témoins (ahuris) de ce martèlement préhistorique ; nous l’aimons  ; nous aimons ce martèlement ; nous aimons en règle générale les maertèlements, nous les adorons, nous aimons beaucoup en règle générale les martèlements et cela nous l’écrivons : nous écrivons ici ou là que nous aimons (en r ègle générale) les martèlements  ; nous aimons cette chose faite, ce martèlement effectué, cette chose sur roche, cette volonté d’accompagnement par des frappes, cette chose d’un martèlement de paroi par des mains de femmes, d’enfants ou d’hommes des cavernes, à la recherche d’une sorte de sonorité de type buccale etc ; notre but ici est aussi de dire ce qui est de cette chose (buccale) de caverne : ces bruits de sabots accompagnés par des martèlements de roche par des hommes des cavernes : femmmes et enfdants et hommes, hommes , enfants et femmes,  femmes , hommes et enfants, etc ; nous pensons que nous sommes tout près de trouver une chose (une découverte) capitale pour  la suite de nbotre propre réflexion sur les choses du monde, et cette chose nous la voulobns dédier à l’animal en nous, cette bête en  ous qui «tire les ficelles»  ; nous aimons chercher et nous espérons trouver ; nous aimons nous placer dans une position de recherche (assis, couché, debbout) et pour cela nous nous donnons la main et y allons ; nous aimons nous p^lacer dans une sorte de situation «d’aise» , qui, situation, puisse nous donner lee change et de l’espoir : l’espoir de trouver à , l’espoir de trouver ici ou là une solution à nos problèmes de pouvoir, une solution ou un remède  ; nous cherchons ici ou là une solution, un remède, une mixture, un quelque chose à avaler (par la bouche)  ; une boisson quelqconque qui soit celle qui du coup nous enivre assez pour nous aider à franchir le pas (le cap) et entrer en transe ensemble, ensemnlbe entrer da ns la transe et monter, gravir les allées, gravir les allées de la roche  ; nous pensons que nous devons aller ainsi vers cette roche à deux, enivrés ou tout comme et nous laisser en nous porter par la bete en nous et dessinner à main levée la bete en nous ; enivrés et montés, chevauchés ; nous pensons que nous devons ainsi nous laisser porter par des betes en  ous qui nous chevauchent comme des cannassons, et nbous poussent à aller sur roche , en elle, en la roche, en elle = en cette dureté, pour dessiner ou graver des figures animalières fines et détaillées, houp la houp, et donner ainsi à voir la bete comme en vrai (faire accroire) sous l’oeil médusé de l’animal ou du petit d’homme ; nous aimons que cette chose soit et nous faisons en sorte qUe ; nous faisons en sorte que, cela soit de la sorte pour nous , et nous nous nous prêtons à ce jeu de la lévitation en roche   malgré nous ; nous sommes hommes et femmes des cavernes ; nous aimons nous dixtinguer ainsi et cela est que nous disons que nous sommmes ces etres mi hommes mi bêtes qui allons (en transe et lévitant) à même la paroi d’un roc de grotte ici ou là (france par exempke) pour dessiner (graver, inscrire) une bete sur roc, la placer sous l’oeil de la bete en nous, de cette bet e en nous qui nous téléguide et nous manipule  ; nous voulons de tout cela à deux ; nous cherchons à deux une fente (buccale ou pas) pour aller dexdans nous y glisser peletonnés et nous serrer les coudes, nous congratuler tout autant, dans les bras de l’un et dans les bras de l’autre  ; nous cherchons à faire tout ce qui en nous nous pousse à etre ces etres de roche ; nous cherchons à faire tout ce qui en nous est ou serait en notre pouvoir pour aller sur roche à la renbcontre de «l’animal de grâce» ; et ainsi nous le faisons ensemble, nous poussons ensemnlble la «porte» vers un au delà fractal, vers un audelà buccal ou comment, vers cet au delà de vie pariétal qui est celelui de la bete dessinée par lm’homme des cavernes ; notre but = notre en,vie = notre vie = notre souhait = notre joie = notre peine = notre gravité ; nous sommes ensemble (main dans la main) pôur al ;ler loin dsans une roche, nous voulons aller tres loin dsans la roche et pour cela nous devons nous donner la main et ne pas lâcher ; surtout ne pas lacher ; nous cherchons ensemble une issue, une fente, une entrée, un trou, un endroit fissuré et c’est ainsi que nous voyons la chose pour nous : une cavité comme un peu une bouche , une bouche de la vérité, une bouche ouverte, etc ;nous pensons que nous devons ainsi ensemble nous unir afin de pousser loin (le plus possible) nos recherches, nos investigations pariétales, etc ; notre but = notre gravité ; nous aimons nous faufiler et qUe faisons-nous d’autre que nous faufiler ? nous ne faisons rien d’autre que cette chose ; nous ne faisons rien de plus : faufilement à travers une paroi de roche et immixtion-inclusion en elle pour l’éternité de la roche dure  ; nous aimons la roche devant nous, nous l’aimons d’amour et ne voulons pour rien au monde l’égarer ou la tenir loin de nous mêmes : nous voulons coller à elle et ne pas la quitter, nous voulons l’aimer de tout notre saoul ; nous voulons que cette roche durât pour nous une éternité et soit pour nous une chose d’importance dans le fil de notre vie ; nous pensons que nous devons aimer cette roche pour une raison qui est la seule que nous entrevoyons ici , à savoir pour la raison que nous sommes deux en elle, accolés, et que nous faisons corps à deux avec elkle ; nous aimons la roche pour une raison, nous aimons la roche pour cette raison que nous sommes deux accolés en elle, insérés et que nous devons rester ainsi allongés en elle : insérés -allongés les pieds devant ; il s’agit de la raison ; il s’agit de comprendre que cela est, qui nous parle, qui nous guide et tient notre main, tire les ficelles, provoque le duel d’avec le roc de pierre de la roche dure de cette sorte de  paroi à peindre ou dessiner ; nous sommes pris dans un étau animalier, qui influe, souffle en nous son élan de vie ; nous sommes prisonniers ou tout comme ,, d’un élan de vie en nous animal ou animalier , et cela est que nous sommes ainsi induits, ou comment dire ?  ; nous sommes informés de l’intérieur = nous sommes formés en dedans, nous sommes formés-déformés en dedans et cela n’est pas rien ; cela est beaucoup ; cela est capital ; nous sommes dans une sorte d’étau animalier en nous (induit) et cela nous pousse à nous positionner sur roche (le dessin, la gravure : l’art en quelque sorte) afin de soulager la forme en nous, cette forme qui «déforme» et pousse au cul pour ainsi dire, et extrait de nous des gestes induits quoique télécommandés par, du coup, la b ete en nous ; nous sommes en transe ; nous sommes de la partie comme télécommandés ; nous sommes pris d’assaut pâr un idiome en nous (prisonnier dudit) qui nous pousse (animalier) à graver sur roche l’effigie,  une monstration de ga lerie ; nous aimons ainsi nous retrouver de la sorte comme pris à la gorge par la bete en  ous, qui nous harcèle (bang, bang, bang) et nous chevauche, nous harcèle et nous pousse à agir dans un sens qui dit que la chose est là comme vive : ce bison vif, cette biche vive, ce cheval vif, cette antilope vive, etc ; nous voulons aller loin de la sorte en besogne à deux, main dans la main, pour une fin heureuse : trait pour trait l’effigie animalière, l’effigie animale, la gravité ; ezt ainsi nous nous retrouvons transis, mort de faim, assoiffés, fatigués, vidés, sous roche ; nous voulons que les choses soient ainsi pour nous qui allons sur roche graver des betes, et ensuite nous nous retrouvons comme vidés de nous par nous, pâr la bete en nous, celle qui téléguide et tire les ficelles (ou des ficelles) de vie ; nous cxherchons à comprendre ce qui donc se trame en n ous , le temps de notre vivant, et dela dans ses rapports avec l’idée ou la chose de l’art, c’est-à-dire de ce que d’aucuns appellent l’art ; nous essayons de comprendre tout cela depuis notre roche ; nous essayons de comprendre  cela qui est ainsi (cette bete en nous) qui existe ; nbous essayons de nous placer dans une perspective de compréhension des divers éleéments en présence et cela n’est pas facile au quotidien car nous sommes tres pris par ailleurs par tout un tas de menus devoirs qui nous incombent ou quil nous incombent de devoir remplir etc ; nous aimons la pierre de roche et la gravonbs ; nous sommes des graveurs et gracveuses (les deux) de pierre de roche : qui dessinant (gravant) un buffle, qui gravant (dessinant) un ours des cxavernes : à qui mieux-mieux  ; nous cherchons en  ous des raisons qui expliqueraient le monde (= en notre sein) or il s’avère que les choses sont à ll’extérieur : écoutons les choses parler car elles parlent ;: écoutons parler les choses, elles chantzent ; écxoutons parler et chanter les choses du monde (le chant du monde) cfar il est, il existe, il se nomme assiduyité, il se nomme excentricité, il se nomme cavité buccale, il se nomme anfractuyosité pariétale , et insérons-nous dans la fente : il y fait frais, il y a de la place, il fait bon s’y retrouver  ; la roche est bonne ; elle est ferme et délicieuse à perforer ; nous cherchons une issue de secours à même la roche, et pourquoi ne pas nous p^longer en elle tete première (cela a son importyancxe) et ainsi nous y retrouver allongés pour l’éternité ; nous avons besoin pour nous de cela, de cette roche pour nous, pour notre gouverne ; nous voulons que cette rocjhe soit pour nous un lieu d’accueil, et maison de repos et site de vie pour une introduction à deux insérés ; nous voulons que la chose soit ainsi ; nbous voulons que la chose de cette insertion soit cette chose d’une sorte d’immixtion «conjugale» : à deux pour une inclusion courante ; à deux pour une inclusion qui puisse nous mettree comme à l’abri des intzempéries ; nous avons ce désir en nous d’aller loin dans ceettte roche et nous essayons de l’assummer, de l’assouvir ; nous voulons que cette chose soit, nous le voulons mordicus ; nous cgherchons à ce que cette chose soit et cela nous le voulons mordicus, nous voulonbs mordicus que cette chose soit et cela nous le disons, nous le chantons pour ainsi dire, nous disons que nous devons ensemble faire cette chose d’une sorte d’ inclusion, ; nbous disons que nous devons coute que coute faire cette chose qui est de ici nous introduire vite fait bien fait, à l’intérieur de la pierre dure, da ns ce dur de pierre pariétale et cela à deux, cxar à deux il est davantage possibkle de s’y retrouver dans le roc, dans cette roche ; à deux c’est plus facile de s(y retrouver en ce roc de paroi de grotte, que seul ; seul c’est plus dur car il est impossible seul de passer le cap de la pierre , c’est à) dire que seul il est impossible de francxhir le pas, de passer le cap, de sauter en cette roche copmme ça, sans plus d’entraide etc ; nous aimons nous donner la main ; nous voulons comprenbdre les choses telles que se tramentpendant la transe ; nous voulons comprendre les choses telles qu’elles se trament pendant la transe ; nous voulons comprendre toute cette affaire ensemvble et c’est ensemble que nous faisons cette chose d’une introduction en paroi de grotte ; nous passons la tete ; les mots en bouche sortent comme une colonne ; il s’agit de pouvoiir ensuyite introduire ladite colonne en cette roche fissurée par le relief accidenté ; nous pâssons la tete ; nous voulons que la colonne passât et la voilà qui passât ; nous voulons passer la colonne et la voilà qui s’introduit (s’immisce) à l’intériuer de la paroi ; il s’agit à présent de comprendre ce qui est de cette introduction active ; nous essayons de comprendre avec des mots ce qu il en est de cette introduction (active) en paroi (d’une colonne anima lièreen sortie de bouche nôtre)  ; nous passons : nous sommes passés ; nous passons à travers la roche ; nous voulons passer à travers elle afin de trouver de fait les mots de vérité qui puissent pour le coup nous éclairer sur ce qu il en est des choses de vie ; nous essayons de comprendre ce qui est ici (en cette roche) et pour cela nous parlons ensemble (de concert) sur ce sujet central )(pour nous) qui est ce sujet de l’art des matières, de l’art en perche etc ; nous pazrlons ensermble de cet art, de la signification pôur nous de l’art en vie ; nous parlons entre nous ; nous parlons entre nous de cette chose d’une signification des choses ; il n’est pas simple de comprendre les choses ; nous essayons de comprendre ce qui est mais cela est loin d’être simple en vcérité et du coup nous nous y collons à deux, nous essayons de comprendre à deux ce qui est et pour cela nous nous serrons les coudes, nous essayons de voir les choses à cru, nous essqayons de voir les choses crûmen,t, dsans leur vérité la plus nus, en roche, en ce roc de roche dure ; les mots nous man,que,nt on dirait ; nbous pensons que nous devons ensemble nous peletonner et faire front ensemblke : ici un bison, là une antilope, ici un chevreuil, là un renne etc ; nous parlons entre nous de cette chose de lart des matières, nous parlonbs entre nous de cette chose d’un art des matières de roche ; l’art est cette chose (déposée) au pied de la bête ; il s’agit d’une action de prestige ; la bete conditionne ; l’art est la fa çon trouvée par l’homme, de s’écarter un peu d’une issue programmée ; il y a dans l’art plusieurs paramètres qui en font comme le feu central d’une vie d’homme ; ce sont paramètre s induits par une bete en  nous ; l’art est momentané mais dureable en cela que la flamme s’éteint mais l’etre est consumé ; nous pênsons que l’ame est pour le coup entière en nous comme une bete en roche et cela nous l’assumons (je) alors même que la bete en  ous tire les ficelles : nous sommes la bete ; l’art est mesquin, il cherche à tromper l’ennemi pour ainsi dire : il est pleutre, il est mauvais, il crie, il vibre sur roche, il n’est pâs humain mais bestial ; l’art est issu d’une bouche de bete et cette bouche est une cavité de frappe ; nous pensons que lq chose est ainsi que la bouche contient la colonne de frappe, la colonne de mots-animaux qui vient (s’en vient) frapper la roche à l’endroit précis de sa faille et du coup: voilà que la colonne s’introduit et prend ses aises en  cette sorte de paroi ; nous aimons nous dire cette chose , nous le faisons ; nous essayons de voir, d’y voir davantage dans le noir ; nous voulons que les choses soient dites entree nous puis gravées sur roche et cela nous occupe fort et nous constitue ; nous sommes faits de cette pate et cette pate (de mots) est celle que nous aimons placer ainsi (en cette roche) en saillie ; nous posons nos mains sur la roche: elle est froide ici et chaude là ; il semblerait que la xchose ainsi nous regard^at par en dessous, d’un air de deux airs : cet animal en nous vibre et cherche à sortir de nous via notre bouche enfin ouverte : vlam sur la paroi et entrée en matière ; nhous voyons tout cela agir sous nos yeux et nous en restons tous deux comme deux ronds de flan car la chose est à peine croyable ; nous pensons que nous devons aller le plus loin possible dan cette paroi et pour cela nous nous prenons la main, nous nous prenons opar la main et nous entrons (d’un bond d’»’un seul) dans cette roche dure, au beau milieu des betes qui paissent ou qui cxhargeznt (selon) et nous voilà au centre d’une féérie ; nous sommes au centre d’une féerie ; nous pensons que nous devons poursuivre sur cette voie ; nous pensons que la chose est ainsi faite ici que nous devons nous projeter vers un futur anima lier fait de biches et de chevreuils autour de nous ; bnous aimons les biches plus que tout, et les chevreuils aussi nous les aimons ; nous aimons les biches (bambi) beaucoup et aussi les ours des cavernes ; les rennes, les bisons et les phacochères ; les aurochs ; nous aimons ces betes et nous les dessinons à main levée, sur la pierre, sur un relief de roche ; nous dessinons ces etres à main levée sur des reliefs de roche préhistoriques ; nous pensons que la pierre est là qui nous aide qui nous permet de graver en douce des betes majestueuses de grand format ; notre but est loin d’etre caché mais tout au contraire il est étalé au grand jour, il se montre, il est présent sur la scxène, il en impose par sa présence massive, grande, vive etc ; le bien est cette chose en  ous qui pousse et nous pousse à agir dans un sens donné par la vie des betes en nbous, la vie et l’avis ; nous allons vzrs la roche et sa utons ; derrière il y a la féerie ; nous aimons sauter ainsi ezt passer de l’autre côté de cette roche dure et c’erst ainsi que s’ouvre à nous cet espace de féerie abbnimazl-ière ; nou avons compris cette chose ensemble ; nous voulons en savoir long et pour cela nous nous serrons les coudes ensembvle et gravons la pierre ; nous sommes ensemble et nous gravons la pîerre ensemvble et pourqyuoi cela , parce que nous sommes unis par la bouche ; nos bouches sont soudées comme des becs fermés  ; nous sommes pris dans une sorte d’emprise ou d’étau qui nous empêcxhe de nous détacher l’un de lm’autre ; nous sommes pris dans de la glu animale ; nbotre but est là inscrit à l’entrée de la grotte : une prise de becs ; notre envie est grande d’aller loin loin en pareille roche et c’est cela que nous faisons ensemblke, que nous voulons ensemnble ; il s’agit d’une chose du quotidien : les mots viennent en bouche en cohorte, un chgant peut être qui tendrait à vouloir dire ; il s’agit du chant de l(homme (son lalala) qui voudrait (pour lui) aller sur le chemin d’un dire (dun mentir) vrai, qui donnerait, pour le coup, le la pour le reste = une vérité qUIi ne soit pas ou pas seulement celle du chant ; nous pensons que la parole est en bouche comme une queue (cauda, caudale) et que cette queue a à aller en paroi, percer l’hymen de la roche dure ; nous pensons que cette queue (cauda) est une queue (pour ainsi dire) de perforation de roche ; nous voulons croire cette chose ; nousq voulons croire à cette chose d’une sorte de perforation de la roche des grottes par, eh bien c ette queue (cauda) qui s’uiintriduit dans la fissure, la cupule, etc, afin d’aller loin loin en besogne au sein de la pierre ; nous cgherchons une compréhension de roche ; nous cherchons cette compréhension depuis kl’endroit où nous nous trouvons ; bnous sommes deux à cchjercher car nous sommes soudés par une sorte de colle ou glue animale qui nous prend de force et nous maintient dans une sorte de captatation, etc, et nous empeche d’agir ou d’aller seul sur la paroi du temps (ou dans)  ; nous chercherons, nous cherchons des choses à l’intériuer de la paroi car cx’est à) l’intérieur de la paroi (du temps) qUe des choses se passent  ; il sembvlerait que c’est à lm’intérieur de la paroi du temps que réside la vérité, il semblerait que c’est à l’intérieur de la pâroi du temps (là) que résiderait (réside) la vérité vraie, le fin mot (introduit) qui donne le la de toute l’affaire ; nous voulons savoir ce qui est et cela nous occupe fort ; nous voulons comprendre le fin mot de toute l’histoire et cela ne manque pas de nous pousser dans nos retranchements ; nous cxherchons assidument et nous en sommes fierrs (d’une certaine manière) et c’est pour cela que nous disons que la recherche, pour nous, est la grande affaire, car nous sommes comme ces enfants qui cherchent un trésor dans une galère, dans une maison abandonnée, ou un hangar désaffectée , etc ; notre but est clair et net ; nous sommes forcés ; nous sommes forcés, forgés par desq betes ezn  ous qui nous pressent à agir sur roche ; nous voulons aller ded ans ivres et fous dessiner la bete (aurochs) à main levée et en (quasi) lévitation ; nous voulobnsq que la chose soit su e de l’ensemble des pârties qui constituent notre tribu ; nous pensons que nous devons nous «mouiller» de la sorte (façon de dire) et voil ;à le but de touttes nos recherches, le pourquoi : nous cherchons car nous sommes comme ivres, ivres ou en transe pour ainsi dire : ivres de vin et comme en transe du fait de cette chose en  nous animalière (qui gravite et meuble)  ; nous pesons dans la balance de tou notre poids de bete massive, dure, lourde, charnue, épaisse, etc) ; nous aimons ainsi nous retrouver dans la paroi, ; main dans la main, à chercher la bete pres de nous, allongés, pétrifiés pour ainsi dire (nous nous resserrons l’un dans l’autre) et comme vidés de nous , des mots en nous ; la terre est profonde ; nous parlons du centre de la terre, depuis là et allons dedans nous afficher ensemble (becs) pôur des prises ou des captures ou des préhensions de chosesq fugaces  ; nous voyons passer des biches diaphanes ; nous aimons tout cela car nous sommes ensemble pour aller en cette roche profonde de grotte ; nous marchons ensemvle à l’intérieur de la paroi et nous nous promenons parmi les betes (cette féerie) et parmi les nuages ; nous aimons nous promener parmi les betes et pârmi les nuagesq ; nous voulons que toute cette affaire soit dite et portée sur le devant (art) sur un panier, sur une tenture, sur un tapis, etc ; il s’agit d’une chose (un art) de prestige  ; il sudfdfit de le sxavoir et la chose est entendue ; l’art est le prestige pâr excellence ; il faut connaitre c ette chose afin de mieux la comprendre et en tenir compte ; la chose ici est cela, que nous ne pouvons pas tout connaitre et tout comprendre, qu une grande ignorrance en nous surnage etc, et du coup nous faisons comme nous pouvons , avec les moyens du bord, calmement, sans swe presser outre mesure, en toute liberté, et en toute décontrea ction ; nous pensons à l’aurochs et nous le voyons devant nous qui apparait (chevelu) ; nous pe,nsons à une antilopê et la voilà qui appa rait également ; nous pensons à bambi et voilà bambi, nous pensons à deux bambis et voilà nos deux bambis (sauteuses) qui viennent vers nous, et ce dans une sorte de brume (nuage) blanchatre ; nous voulons comprendre le monde, le monde tel quil apparait (ici) et pour cela nous faisons corps ; nos becs sont soudés ; il y a en nous une cohorte ; il s’agit d’un cordon animalier, qui tend à percer la joue borgne de notre face et ce depuis notre dedans d’oiseau de nuit, ou depuis notre deda ns d’oiseau de jour ; nous sommes soudeés par le bec, nous sommes soudés de la bouche ; nous sommes prets à éclore à lma vie et pour cela nous appelons en nous la cohorte ezt la cohorte pousse et poussant perce et perçant sort, et sortant pend, et pendant perc e, perce la paroi du temps, et perçant entre, et entrant va à se loger à l’intériuer de la paroi du temps, de cette paroiu de grotte, au beau milieu des troupes de betes : tout un attirail  ; nous allons ainsi ensemble (soudure) vers la bete nimbée et nous voulons la caressser ensemble ; nous voulons la caresser ensemble et du coup nous allons vers elle : da ns cette brume autour d’e lle, ce brouillard, ce nuage blanc ; il y a cette blancheur autour d’elle ; le blanc l’emporte sur tout autre couleur ; le blanc est ici et là et l’emporte, car ici le blanc nimbe la bete qui nous apparait debout (elle tient sur ses guibolles) face à nous et nous regarde ; il est facile (aisé) de la reconnaitre, elle est la beauté de pierre, elle est cette beauté un peu féerique de la vie sur terre ; en cette paroi la biche et le cxhevreuil, les deux, viennen,t vers nous et se laissent toucher par nous qui nbous approcxhons aussi, faisons le pâs, nous nous approchons et la biche aussi et le chevreuil, et du coup nous voilà réunis dans un  cercle (nimbes) qui est ce cercxle bla nc (nuage) que nous aimons et dont nous aimons nous entourer ; nous essayons de toucher les betes sans les effrayer et nous y arrivons plutot pas mal car nous agissons dans la douceur  ; nous aimons ces betes nuageuses (pour ainsi dire ;) ou diaphanes, ethérées ; nous aimons l’ethéré de la situation ici rencontrée ; nous avo ns une chance inouie de pôuvoir ainsi caresser des betes aussi bezlles en pa roi ;, nous aimons cette chose : nous aimons caressser ces betes au sein de la rocxhe, unis pour la vie pres d’elle  ; nos becs raffolent des baisers ; nous aimons ces choses de ^paroi lorsque ces choses de paroi adviennen,t ; nous aimons ces cghoses de paroi et nous alloons à la rencontre d’icelles, à deux, au sein de la roche franchie, et nous nous aimons ainsi regroupés ; nous pensons que nous devons agir ainsi et rester ici, en paroi de roc, accompagnés par des betes des prés ; nous aimons lesq betes des prés, nous cherchons à comprendre cela qui ici se passe à l’intérieur d’une paroi du temps , ; et ce qui s’y passe ressemble fort à) une fé&erie ; nous voulonsq essayer de comprendre ce qyi est , ce que cette choçse est devant nous ; nous voulons essayer de comprendre ce que cette chose de l’art est en vérité, un outil de compréhension des choses peut-être ; nous cherchons ici à bousculler la donne afin de laissszerr s’afficher une sorte de trame, une direction qui puisse pour le coup nous renseigner szur la qualité avérée des choses en présence (via l’art) en termes de vérité comme on le dirait en science ou comme en science on stipulerait ; on peut dire ici que nos recherches ont une visée d’ordre sccientifique avant toutes choses ; il y a ici dans nos recherches une volonté affichée de vouloir atteindre un certain degré de connaissancve via un emploi du langage forcé, bousculé dans le temps, exclusif et sans pause d’aucune sorte (écrit)  ; il sembvle ou semblerait que nousq ayons des lors affaire à une entreprise de type scientifique et point final ; il ne s’agit pas d’une entreeprise « littéraire»entre guillemets pure et dure ; nous sommes à cheval ; la rechercxhe est scientifique, le résultat ou les résultats au passage sont (oblifgatoirepment pour ainsi dire) littéra ires ; ici le littéraire vient comme par défaut d’une recherche avant tout scientifique, de creusement dans le temps (la roche) au pic de bec x 2 ; nous pensons que nous avons à faire une chose , une chose qui soit une choqse forte : un élan ; nous voulons franchir le pas et aller loin dans une approche de type scienntifique ; nous voulons essayer de comprtendre des choses et pour comprebdre des choses il est nécesqzaire de se laissser faire, d’aller loin dans ce laisser-faire ou dans ce lacher -prise et c’est la chose la plus difficile , la cxhose la plus coton ; nous voulons que cette chose puyisse advenir (cette connaissance) au sein de nos recherches p âriétales et nulle part ailleurs car c’est ici que la chose se passse ; nous cherchons avec assiduité ; comment faire pour aller plus loin , telle est la question que nous nous posons car notre volonté est forte (ancrée) d’aller le plus loin possible en paroi (du temps) afin de dégager le plus de renseignements possibles sur toutes ces choses de la vie sur terre : de quoi s’agit-il ,  en quoi la vie sur terrre est- elle surprenante ? pourquyoi cxhercher à comprendre ? qu induisent les mots au sein de notre regard sur le monde ? pourquoi cette affaire de vie sur terre ? nous voulons cxomp^rendre beaucoup et ce avec les mots que nous avons (en nous) en rayon (chacun les siens) et il n’est pas dit que les mots suffisent ou que leur portée soit assez longue pour ce faire ;  nous essayons de nous placer le mieux possible au sein de la paroi , d’a bord pour éviter les embardées (animales) inopinées, ensuite car, en se plaçant judicieusement en elle , en cette pa roi, le regard sur la chose diffère beaucoup, s’élargit si bien placé, et cela change tout ; nous comp^renons que nous devons comprendre ; nous comprenons que nous devons aller ici, dans les profondeurs de la terre du temps ; nous comp^renon s que nous devons aller ici ensemble loin, le plus pôssible, loin dans les profondeurs, loin le plus possible ;, loin tres loin et ce le plus possible si l’on veut comp^rtendre ou y comp^rendre quelque chose de ce tralala du monde ; nous essayons de nous positionner le mieux possible , nous chzerchons l’endroit idoine dans le temps : nos becs s’amusent entre eux ; becs nous avons qui donc s’embrassent ; nous cherchons l’espace où pouvoir nous mettre (allongés) et ne plusq du spectacle en perdre une miettte ; le monde est à nous qui se p^résente sous nos yeux d’enfants tel une féerie animalière (biches, biches) de tous les instants ; nous pensons que nous devons ensemble  a ssister au spectacle (ici) de la féerie ; biche et cerfs ; nous pensons que nous devons assister ensemble à cette féerie des animaux dits «de parois «; nous a vons devant nous des betes dessinées, au charbon de bois pour certaines, et ces betes sont grandioses, sont des betes fabuleuses (= de fable) et nous impressionnent beaucoup ; nous voulons aller loin dans nos recherches et pour ce faire nous voulons nous tenir la main  ; nous voulons aller loin dans toutes nos recherches (intrapariétales) à deux et oour ce faire nous voulons reswter unis et serrés, collés-serrés ensemble, les yeux grand ouverts sur le spectacle offert en ce lieu de féerie rupestre (en ce lieu rupestre de féerie)  ; nous cherchons à dé celer un quelque chose de la vérité du monde et pour ce faire nous nous en     , nous nous introduidons fissa en cette paroi ornementée, à la poursyuite d’une solution (d’un bvreuvage ?) qui aidât la transe ; buvons ! ; nous sommes seuls devant paroi (tribu) et seuls entre nous (tribu) buvons ! pour entrer (mieux) en transe, de ce breuvage des fous ; nous buvons et entrons en transe et nous voici lévitant devant la paroi et au charbon de bois nous dessinons  à main levée les aurochs scandés, aurochs,  aurochs, aurochsq, dans un martèlement de coup de pointe de batons ; nous cherchons la vérité du monde en  c es dessins pariétaux et ne désespérons pas (jamais) de la trouver (la vérité du monde) sur paroi de grotte du temps des cavernes ; nous voulons cxomp^rendre et pour ce faire nous allons cxomme à la pêche aux données de type pariétal:es etc, et ce, a fin de gagner plus avant du terrain sur c  e chjemin (ardu) qui mène aux savoirs, saghements, aux sus, aux sus de vérité etc ; nous sommes ensemble côte à côte dxan s ce but, et nous cherchons main dans la main, nous voulons trouver tout un tas de choses ensembvle à dénicher ; nos becs s’embrassent, nos becs font l’amour pour ainsi dire et se collent l’un l’autrte, s’épousent , se mettent en branle, en branle de vie ; sont becs qui donc se mettent en branle afin de s’épouser au sein de l:a paroi du :mondee (ici) au fin fond de cette grotte qui serait (est ?) la nôtrte : fissa ; s’embrassenbt fissa au sein de la grotte (nos becs) et comprennent ; il s’agit ici d’une compréhension animalière, compréhension animalière qui, pour le coup, passe par une approche, en pâroi, de l’animal, soit de l’animal rencontreé, un renne, un bison, etc ; nous voyons que nous avons affaire à un bvison et ce bison est celui de la fable , il nous interpezlle avec ses (propres) mots de bison et nous deman de (expressément) à soortir, il veut sortir, il veut quitter la paroi ; il nous dit tout cela avec ses mots de bhison qui pa rle (fable)  ; nous pensons que nous deevons aller ensemble dans le sein du sein à la recherche d’une féerie animalière avcec moultes fables à dénicher ici ou là : anfractuosités de la roche ; nous chzerchons ensermble la fable (le mot prononcé) et nous allons vers l’animal dans ce but ; nous allons vers l’animal d ans ce but de  vouloir connaittre, sa voir, ce qu il en esqt exa xtement de la fab le, dxe la féerie ; nous voulons comp^ndre au juste tout cela ; nous voulons au juste comp^rendre cela de cettte féerie a nimalière ; il s’agit pour nou s de co=^prfendre, tout cela qyui se trame, et donc nous voulons (de ce fa it) aller loin à l’intérieur de la paroi du tempsq, à la rechezrche sd’une féerie a nima lière qui puiiwsse nous donner de base un grand nombre d’informations (des données) sur cette question d’un animal de pré, d’une bete des prés venue à notre en,contre, lécher notre paume etc ; nous voulons comprendre le pourquoi du comment cette chose en nous, qui s’appelle bezte et qui veut sortir, qui veut s’échapper ; nous avons des ambitions qui sont fort grandes semble-t-il et pôurquoio ne pas les avouer ezt les pronon cer en public (publiquzment) ? pourquoi ?? car il est mal vu de fa ire ce»tte choqse ? il n’est pas bien vu d’agir ainsi ?  ; nous en avons cure et nous prenons la ta ngente et de ce fait affichons nos dispositions ; nous affichons nos disqpositions sur des affichezttes, sur des affiches, sur des murs à même la brique (tags) etc ; pourquoi ne pas dire ce qui est ; sauf que  c e q ui est ne peut se dire en intégralité ; dès lors ce que l’on ne peut dire il est préférable ne pas le dire etc ; nous avons a insi kl’espoir (en nous) d’allmler tres tres tresq tres tres tres loin au centre de laterre, le plus loin possible à l’intériuer de la tezrre (une tombe) et là, là bas, en cet endroit caché du regard, trouver  la biche, notre bambi ; nous voulons faire cette chose, nous voulons agir ainsi, nhous voulons connaitre profond et les profondeurs, nous voulons encha iner des véerités à des batons, etc ; nous voulons trouvezr des vérités marquantes, définitives (des vérités !) qsui nous aidassent à y voir clair (au centre de la terre) le plus pôssible et nous deux ensemble trouvern-, dénicher, copmprendre, bec à bec ; nhous sommes ensembvlke da ns la roche mis, nous sommes ensembvle mis (installé) dansq cette roche , au fin fond, et là (a:llongés) nous essayons de co:mprendre le pourquoi dfu comment les cxghoses a dviennent, et lesquelles ; nous pensonsq avec lesq mots de la tribus (inculqués)  ; les mots sont sensés nous aider à voir, or que nenni, pour voir nous avons des yeux ; nous pensons que nous dezvons aller le plus possible loin, en cette paroi, et voilà pourqUYOI nous ne lâchons plus la grabppe, cette grappe de vérité, in vino verita s, nous ne voul:ons plus lâxcher la gra ppe, nous voulons gratter loin, aller loin, fran chir des caps, echancrer et ce n’ewt pas chose aisée hélas, il y faut bheaucoup de patience et d’entrainementsq ; nous avons la patience et nous nous entrainons ; nous essayons de cumuler les heures ensemble d’entrainementsq pour ce faire ; il s’agit d’une sorte d’écol:e de pâtience en soi ; une vol:onté de fer aussi ; une grande abnégation et un e sorte de volonté ou de plaiqsir à vouloir s’abr(utir dxans la roche, etc ; nous cxhezrchons (bec, bec,  ec) des raisons d’y croire et de poussser à fond le mobile ici,  le moteur, vers du fin fond de grotte ancestrale ; nos vol ;ontés vont là, se blottir ou lover, en cet endroit de fond de grotte ancienn,e, vieille cde plusieurs milliers d’annéees et c’est ainsi que nous cherchons des vérités : mots de betes entrelacées et sortant de nous (bouche ou bec) vers (en direction de ) la paroi du temps qui est  la paroi tout court d’un e grotte d’espagne ou de france (pour exemple)  ; nous voilà réxduits à devoir xcherchzer dans le temps de la diction les mots des p ârois ; nous avons en  nousq beaucoup (plein :?) de cordes à notre arc (x et x) et nous c herchons assidument (dans tous les sens) des sens à cette féerie animalière du monde terrestre ; notre ambition rejoint notrte but ; la recherche est pleine, vive,, soutenue et ressemble fort à de l’expérience en science desq mots et vocables ; nous sommes soudés ; nous entrons dans une grotte, il y fait frisquet, nous avons froid un tantinet mais pour autant nous ne reculons plus à la lumière de nos torches vives ; nous voyons , gravés sur des parois, des betes etonn,abntes de p^récision et de justessse dsa ns les ressemblances ; nous voyons des mains en nombre, côte à côte dessinées à la manière de pochoirs, à la manière de cxhoses sou fflées comme d’un pôchoir d’enfant ; nous ava nçons un peu plus loin da ns la grotte ; nous sommes looin à présent et l’air nous manque pour respirer convenablezmzent ; le sang nous monte à la tete ; il y a de la chose dans l’air, de l’abruitissement, du vertige etc  ; il y a dans l’air  du manque d’air et nous voilà comme troublé et un peu ensuqué et comme touché par cemanqUE d’air de fond de grotte ; nous entrons en cxonnexion av ec une bete des profobndeur de grotte , on dirait un cheval qui vient à nous ; on dirait  quyi vient à nous un cxheval des profondeurs, on dirait qui vient des profon deurs vers nous une sorte de cheval qui s’approcxhe et vient vers nous nbous cheva ucher pour ainsi dire ; il s’agit d’un cheval ; il s(ahggit ici du chev al des profondeurs, ou ailleurs de l’ours des cavzrnes ; nous sommes comme sous l’ezmprise d’icelui (chezval) sur nous et nous voilà guidé par  c e chezval en n ous (féerie) qui vient nous prendre ici, en saillie, debout (cheval dezbout) nous monter ; nous sommes pris d’ass aut par un xcheval debout qui ici nous monte (saillie) et nous montant nous pousse, et nous poussa nt nous fait le dessiner sur roche (main dans la main) et nous guide dans nos gestes et traits ; nous dessinons ainsi montés ; nhous sommes sous l’emprise (ma nque dx’air) de cette bete en, n ous, qyui nous pousse à graver ou figurer par le dessin, son  allure de xheval de trait, de xheval des champs o u de cxheval desq fées ; njotre but est clair comme de l’eau de source ; notre but est affiché partout ; nous ne masquonsq pasla véerité ; nous disons toute la vérité» ; nous disons ce qui est ; nous disons qUe nous avvons au cxul le canassoon et hurlons avec la bete en n ous qui nbous harnacxhe et nous pousse à dire gras pour marquer le pas et graver ; nous gravons l’effigie animale (ce cheval) sur pierre cde roche et ainsi fait nous tombons de haut, à même le sol, et succom bons des l:ors à cette cxhose d’une sorte de fatigue par l’emprise ; nous aimons ces chevaus de féerie et l ;es dessinons sous emprise (air, air)  ; nous avons pôur  nous cette chose xd’u ne emprise qui nous ceinture, par manque  d’air et absorption de choses massives ; nous buvons à la santé du roi ; nous aimopns cette pinte et l’ingurgitons d’un trait d’un seul ; nous pensons que nous decvons ainsi aller profonsd dans une grotte (une paroi) et graver, des betes et desq betes sur roche ; nous avons conclu ce pacte avec nous mêmes et voilà  ce que nous fa isons ;  nous faisons cette cxhose entre nous et nous, et cette cxhose (ce pacte) nous l’assumons ; nous voulons qUe la chose soit dite sur paroi et c’est cela que nous faisons ensemble dans le sein du sein : nous pleurons car nous sommes vidés et les larmes coulent d’eklles mêmes  ; nous pleurons e nsembvle ceztte féerie  animalière ; nous voulons ensemble la pleurer sur roche , aller au fond de cette roche , de ce roc de grotte pleurer cette cxhose d’une féerie de cervidés, de bovidés nimbés de blanc ; nous voulons aller le plus possible loin en cette roche nimb ée, le plus possible loin en elle afin de trouver matière à savoir, matière à comprendre, etc ; les mots sont là qyui nous dxonnent  ;le la musica l pour une sorte de compréhension sensique des dxonnées xde féerii : moutons (?), pigeons (?), bufflesq, antilopes, dindons (?), ours des caver nes, bnisons, rennes, aurochs, oiseau (?), phacochères, rhinocéros, etc ; nous ne sommes pas seuls aU monde ; le monde eqt peuplé de betes ; il s’agit de betes qui toutes portent un nom précis et ce nom leur appartient ; nous sommesplusieurs, nous pouvons dire  cette chose comme quoi nous sommes plusieurs sur terre ; la vie est ainsi qui se voit peuplé par des cohortes , des hordes de betes, massives pour certaines ; pour d’autres moins ; nous voyons ces b etes au sein de la paroi ; nous sommes entrés dans la paroi et nous voyons toutesz ces betes autour de nousq déambuler , aller et venir, brouter, charger, etc ; nous les a imons comme frères de c ompagnie au sein d’un ordre religieux : pareil ; nous chezrchons à comprendre pourquoli les choses en cette paroi temporelle animali§ère plutôt que rien comme ds’aucuns le pensent parfoios (nousq ? parfois ?)  ; nous nous avançons de bambi ; bambi nous regarde et vibre ; elle fait vibrer ces longs cils de bambi charmeuse ; nous aimons bambi comme une soeur, nous l’aimons fort ; bambi est une soeur pour nous qui l’aimons d’un amour cxhaste ; nous aimons cette bambi de féerie ; nous l’aimons d’un amour chaste ; nous voulons l’aimer ; nous voulons aimer bambvi d’un amour chaste et pour cela nous la regardons dans les yeux et nous n’en perdons pas une miettte ; nous pensons à l’art comme expérience ; l’art pour nous est l’art des expériences, des tentatives de préhension des choses ; art des expérriences avant toutes choses ; nous le voulons ainsi que nous l’énonçons, et c  ela est cette chosecpour nous que nousq appeleons de c  e nom de «bambi», princesse des bois et des prés ; nous voulons trouver la vérité du monde en scandant (tapant du pied) les mots de la tribu, mais hélas les mots viennent ici buter wseulement sur la paroi (animaux gra vés ou dessi nés) et peinent à s’intro duiure, peinent à entrer en icelle car la roche est dure et pour entrer en elle il y faut beaucoup de choses en cumul comme par exemple une bonne dose de courage et d’a bnégation, maisq aussi une bonne dose d’alcool ou alors l’ivresse des profondeurs (apnée ?) qui puiissent dès lors vous aider à franchir le pas, en passe-paroi(passe-muraille) qui va fissa tete premiere en cette roche d’entrée en matière : l’art ici comme la manière d’entrer dans la roche, le type de vrille, de loopings ou autres contorsions qui soient ces façons personnalisées (?) de pouvoir percer la matière ; il s’agit de ce qUI i  est pour nous une manière comme d’une main mise ; il s’agit ici pour nous de jeux de mains (jeux de vilain ?) qui sont pour nous de fait les effzets du manquement en air vital : cette ivressee,  pour une remontée de roche (lévitation) en apesanteur ; nous voyons le roc en relief, ce relief à couvrir df’une figuration ; cette chose xd’une bête fauve  (‘?) ou pas mais qui en impose ; nous la dessqinons à main levée ; nous voulons sacvoir ce qu il en est et pour cela nous sommes qui gravons la pierre dure, nous sommes des graveurs de pierrres dures ; nous cherchons à comprendre le pot ausx roses, à nous approcher de l’animal incriminé en tant qu il serait celui qui est l’auteur du trouble, de la déchirure buccale etc ; nous cherchons la faille dans la paroi, par laquelle nous immiscer, nous et  notre cohorte de bêtes en colonne (pics de roche) sortant de notre bouche, de la joue de nous troué, de cette en nous joue de bouche pezrcé par le pic de la colonne etc ;  nous avons cette chose en nous , de vouloir comp^rendre ce qui est de cette féerie ; nous essayons ensemble de comp^rendre ce qui est de cette féerie ; notre but ici est d’essayer de comprendre ce qui est de cette féerie ; nous voulons nous appro cher davantage encore et ce tous les jours de bambi, la betye des prés et des bois ; nous voulons cela, cxette vérité révélée qui serait celle que jusque là nous ne faisions que subodorer, à présent la voilà qui pour nous se présente, se place devant nous comme un bovidé ou un cervidé alléchant ; nous pensons à ce cervidé ou à ce bovidé alléchant  ; il nous met en appetit ; il nous pezrmet une compréhension des choses buccales : trou de la bouche en colonne de vie qui perce ; nous avons pour nous cette chance grande (inouie) de pouvoir comprendre cette sorte de mécanisme de perçage, de percée de joue par des betes qui, agglutinées, ont permis l’acces (la piqure) via la joue vers une roche dure en vue ; nous aimons la roche dure , assez pour la frapper comme un esqprit ; nous tapons la roche dure et nous nous immisçons en elle comme un ver dans une pomme (pamoison et résurrection en icelle, au beau milieu de la parenthèse, parmi la féerie des biches des bois)  ; nous allons gaiement au sein d’icelle parenthèse à la recherche d’une vérité , de ba zar  peut-être mais qui serait celle qui, ici, nous permerrttrrait (usage) d’aller de l’avant, dans toutes ces recherches actives  de petites ou grandes vérités de vie ; nous poussonsla chose jusqu’à dire cette chose comme quoio  nous aimons les betes à la folie car nous sommes bêtes nous-mêmes, nous aimons de folie, à la folie, dans la folie, etc, ces betes lunaires, nimbées, fines et élan,cées ou tra^pues massives, ces cuirs, ces velours, ces peaux de pêches tendues, ces virevolts et ces sauts de carpe etc ; cela nous charme à la folie comme nous cxharment ces nimbes et ces nuages blancs bleus ; nous aimons cette sorte d’enclave pariétale où nous loger pour nous aimer (nous aimer de concert) ; notre amour ici est cette entrée dans la matière nébuleuse de cette «féerie de paroi de roche» : nous tombons dans le panneau, à genoux, puis nous nous al ;longeons et regardons passer le train des choses : phacochères et hippopotames, buffles et bisons, chevaux et rennes, ours des cav ernes et aurochs, ainsi de suite ;

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5/01/2021 

nous sommes nus comme des vers dans une pomme ; nous aimons nous tenir pâr la main  ; nous aimons nous tenir par la main et nous faisons cette cghose à l’intérieur d’une paroi de grotte du sud de la France, ou nous sommes logés allongés, ou nous sommes posés déposés ; nous sommes mis ainsi : ainsi mis pour la bonne cause, qui est celle d’observer depuis là , afin de mieux cerner les arcanes, tenants et aboutissants des choses du monde intérieur, etc ; c’est-à-dire des choses qui sont pour nous les bases du monde = la trame ; quelle est-elle ? ; nous ne savons pas ce qui est, ce qui réellement se trame à l’intérirur de lka paroi du temps et cependant nous subodorons le pot aux roses, à savoir cette chose devant soi (devant et pas ailleurs)  ; cette chose est une chose douce, un animal doux, une douce bete, un doux petit animal de paroi , de pré ; nous pensons que cela est ainsi , que la bzete en soi est celle de la paroi ;, que la bete en soi (à l’intérieur de soi) est celle la même qui, près de nous, batifole en paroi du temps ; nous pensons que cette bete est une biche des prés, est la biche des prés (bambi) et c’est elle (bambi) qui se jete ici ou là, tout pres de nous, en des sauts vifs, et nous montre le chemin» à suivre ; nous essayons de nous y retrouver ; nous cherchons ensemble les raisons qui préfigurent l’ensemble du truc ; nous cherchons les raisons qui président à cet ensemble appelé le monde» ; nous sommes deux qui cherchont de cette sorte (côte à côte) les raisons , et cela au coeur de la roche (au coeur du monde) et à deux, à deux pour mieux y voir de nos quatre yeux ; quatre yeux pour une vision (des choses) élargie ; nous cherchons ensemble , nous ne nous lâchgons pas ; nous voulons comprendre le vif, le coeur, la trame, les raisons, les choses de la vérité, les arcanes et les motifs, les clés et tout ce que donc bambi cache en son wsein pariétal , en son sein pariétal temporel ; nous espérons beaucoup pouvoir un jour ou l’autre nous trouver en face d’elle (de bambi) afin de lui parler de vive voix, dans un idiome qui, pour le coup, fût compris de nous trois ; nous voulons pouvoir lui adresser la parole, une parole libérée de ses entraves, lachée, libéreé des cadenas etc ; nous espérons = nous fondons beaucoup d’espoir ; nous essayons de comprendre ensemble ce qui donc se trame ici (en ce lieu pariétal rupestre etc)  ; nous voulons comprendre ; nous ne sommes pas venus pour nous amuser (ou si ?) mais au contraire pour comprendre avec sérieux ce qui est de ce quon voit ici (dans la pa reoi du temps) ensemble main dans la main, et que voit - on ? bambi ; bnous sommes charmés = nous sommes séduits = nous sommes pris = nous sommes subjugués = nous sommes ensevelis = nous sommes conditionnés = nous sommes manipulés par des mains gracieuses, par des mains de paroisq de grotte ; or il s’avère que ces mains (positives ou négatives) sont celles de ces hommes et de ces femmes de la préhistoire, quii donc martelaient le temps, sur roche, de cette manière (scansion) adfin de suivre le trépignement saccadé des sabots des betes sur roche ; nous comprenons toute l’affaire à présen t ; il s’agit d’un accompagnement ; il s’agit de l’accompagnement , par les mains, du bruitrs des sabots sur la paroi du temps ; nousq avopns à présent compris toute l’histoire et nous pouvons en faire étalage à présent ; nous avons compris toute l’histoire et noyus pouvons à présent en fdaire le récit parfait ici même, en ce lieu de marques, de traces, en ce lieu de descrpitifs divers, etc ; nous sommes xdeux pour essayer de comprendre le monde , et ce, avec les yeux grand ouvert de ceux qui ne veulent pas enperdre une miette, etc ; notre but est très largement affiché (monstration en galerie) et ne souffre d’aucun commentaire néfa ste, etc ; notre but est très largement affiché en galerie et ne souffre pas le moindre positiuonnement etc, qui ferait de lui (de notre but) un but à la ramasse, etc ; nous pensons que nous devons nous positionner de cette sorte, que nous avbons à nous positionnezr cde cette sorte (allongés dans une paroi) et c’est cette chose que nous faisons ; nous pensons que nous dezvons (avons à) faire cette chose : allongement de soi(x 2) en paroi temporelle, pariétale, pour une sorte de compréhension (initiaqtique ?) des choses du mon de : trame ; notre but est affiché et ne souffre point, ne souffurffrre aucune contestatation ; ne souffre d’aucune contestartion qui aurait pu, qui eut pu mettre icelui (but) en difficulté ou en question ; notre but est clair comme de l’eau de roche ; nous aimons les betes et lkes betes nous le rendent bien, qui s’approchent de nous (ici bambi) et viennent boire ou manger dans le creux de nos mains ; nous aimons ces betes du temps pa riétal car elles sont nos soeurs d’infortune ; elles sont nos amies très chères et il est bon de veiller sur elles comm il semblerait qu’elles veilleznt sur nous ; nous les coucounons du revgard ; notre but est affiché de l:ongue date et ne souffre pas la moindre critique qui viendrait d’ici ou là et serait prononcé par des contestataires mal informés ; nous voulons comprendre ce qui est de cette trame pariétale, Lascaux, ou le Mas d’azil, etc ; nous cherchons à comprendre les choses à deux car nous pensons qu’à deux les choses se présentent mieux, s’offrent davantage à une saisie, etc, et c’est la raison pour laquelle nous sommes accouplés, nous sommes sezrrés et nous nous tenons ainsi, nous nous tenons comme accouplés, ensemble (un ensemble) pour une saisie qui soit en saillie dans la roche ; notre but est clair comme de l’eau de roche ; nous pensons que nous devons comprendre ensemble (à deux) la trame du monde et pour cela nous abvons décidé, d’un commun accord, de nous tenir par la main et de ne plus nous lâcher jusqu’à nouvel ordre du moins, de ne plus jamais nous désunir, de rester collés-accolés et de ne pas flancher dans cette entreprise de compréhension à deux des choses en paroi ; nous voulons aller le plus loin possible dans cette paroi du Mas ou d’ailleurs ; notre but est on ne peut plus clair : il est limpide  ; il tient en un mot ; ce mot comporte trois lettres, il sq’agit d’un mot courant, souvent employé sans trop savoir ce qu’il signifie en définitive ; ce mots est dans notre bouche comme un «gros» mot  ; il s’agit du mot «art» ; l»art» de se mettre à table, l»aert» de plonger des pattes dans de l’aeu bouillante, l’art d’aller au petit coin, l»art» de se promener nu ensemble en ce lieu pariétal fait d’une roche dure, et de dessins faits au fusain, de gravures, de mains apposées ; nous pensons que nous avons encore du chemin à faire ensemble en icelle paroi (temporelle) et voilà pourquioi nous continuons ainsi (de la sorte) à nous tenir la main (positive) et à nous allonger en cette paroi ani:malière ; nous aimons nous allonger ici ; nous voulobns que la chose soit dite et par conséquent nous la disons ensemble , ici même, au creux de la paroi du temps, pres des betes gravées, pres des mains soufflées ; notre ambition est sans borne ; notre but est affiché à l’en,trée de la grotte comme un programme, et n ous respectons les conditions dx’accueil en grotte, nous faisons de la sorte de ne pas (hjjamais) abimer les lieux : nous nous faisons petits ; nous essayons de nous faire minuscules, le plus possible ; nous voulons que toutes ces choses soient dites en haut lieu et que la chose soit carrée, précise, claire et nette, et que n ous ne passions pas pour cela que nous ne sommes pas, nous ne vouyl:ons pas passer pour ce que non nous ne sommes pas, nous ne voulons pas que des choses circulent sur nous deux, choses qui seraient des mensonges ; nous voulons etre bien vus de dieu ou don ne sait qui ; nous continuons à vouloir êytre bien vus (dans l’ensemble : tous)  ; nous continuons (tous) à vouloir être (plus ou moins mais plutot plus que moins) bien vus de tout un chacun etc ; nous avons encore des creoyances ; nous pensons que nous avons encore des croyances , celles ci que nous subodorons, ou que nous soupesons ; ou supposons ; nous pensons que donc il y a encore en nbous un certain nombre de croyances tenaces, comme par exemple celle qui nous voit nous montrer szous un certain jour afin de nous faire passer pour (ceci ou cela : le pour l’emporte sur le descriptif précis de l’allure)  ; nous pensons que nous devons aller ensemble en paroi du temps et (nus) nous coucher dans le roc(rocher) et ne plus bouger : nous faire petit pour nous mettre le moins en danger possible, au vu des meutes circulantes etc, au vu de tout cet arsenal de betes circulant, aupres de nous, en sabots de corne, etc ; npous pensons un certain nombvre cde choses ; nous aimons penser et nous pensons à découvert ; notre positionnement est celui du tireur couché ; nous avons de l’appetit pour les sacvoirs (à emmagasiner, à ingurgiter) qui sont les savoirs pâriétaux de base : dessins sur parois (ou ghravures) etc ; ou bien concernant l’ensemble mobilier des choses trouvées par terre (sur le sol de la grotte ou du gouffre de la préhistoire)  ; nous cherchons par terre, nous cherchons en l’air , sur les côtés (parois ornées) etc, car nous sommes des chercheurs de  vérité, sachant que donc la vérité est une (indivisible) et incontestable : une vérité qui se tient est une vbérité incontestable et : y a t il des vérités incontestables ? si non, alors il n’y a pas de vérités tout court ; nous essayons de nous frayer un chemin dans la paroi du temps mais la chose eswt coton ; nous voulons allezr l ;oin en elle et décvouvrir des vérités qui nous seraient (jusqu’alors) masquées, or y en a -t-il ? nous ne savons pas , nous subodorons le pot aux roses mais en même temps nous ignorons ce qu’il en est de toute cette affaire de paroi et d’homme des cavernes, d’hommes dessinant à main levée des betes massives, etc ; nous pensons à des phénomènes de transe, d’extase, d’ahuriissement ou d’ébahissement enfantin ; nous pensons à des phénomènes de lévitation, à des phénomènes d’emprise animale etc, à des hantises, à des prises de b  ec, à des prises musclées etc ; nous avons des impressions, nous essayons de nous poster au bon endroit mais cela est loin d’êtrte simplie toujours, car il y faut une intelligence bpa rticulière ; il est bon de se poster en un endroit qui soit le bon , afin de comprtendre ce qui est, la trame des choeses devant soi ; ce qui est et ce qui n’est pas ; nous avons cette volonté en nouys, c’est un e évidence, et cependant nous ne pouvopns pas etre à tout coup sûrs de nous, de notre chemin , ou plutot : nous ne pouvons pas jurer à tous les coups que le chemin emprunté par nous, le soit du seul fait de notre chef ; nous essayons de dessiner les contours de la trame pariétale ; nous avons des cartes à jouer ensemble  ; nous essaytons de comprendre ce qui est qui préside aux choses du monde, nous voulons cette chose dé jà pour nous (nous deux) mais pas seulemen,t : nous voulons en faire «pvrofiter» le monde entier pour ainsi dire, et de là cette ambition susmentionnée telle qu’elle a pris racine en nous-^mêmes il y a un certain bail à présent ; nous aimons manger de bonnes choses, c’est une évidence, et aussi nous poster (nus comme des vermisseaux) à l’intérieur de la paroi du temps, soit en ce lieu chargé de betes dessinées : paroi dee grotte de France ou d’ailleurs ; nous avbons des ambitioions (énoooormes) et nous les affichons sans vergogne aucune, sans la monidre gêne, sans honte, sans rougir, sans se montrrer le moins du monde timoré en cette matière ; nous sommes pleins de nous-mêmes et ne reculons devant rien qui eut pu nous faire reculer = changer de chemin  ; que non ; nous avons des prétentions ; nous voulons almler tres tres tres tres loin à l’intériuer de la pâroi, de  ce temps de grotte etc, et pour cela nous faisons (nus ?) le bond qui s’impose = ce bond tête première (bas de casse) à l’intérieur de la roche ; nous faisons ce bond ensembvle, à l’intérieur de la roche, passe-roche à deux tete première, nous y allons ; il s’agit d’une volonté mais cette volonté est comme téléguidée télécommandée etc ; nous essayons (au plus) d’y voir clair dans ce magma (conglomérat) de choses (volontés) diversesq, les provenances, mais a llez donc vous y retrouver en tout cela : la chose n’est pas simple ; il y faut une aide , mais où la trouver (dénicher) ? ; nous ne savons pas mais nous cherchgons ; nous sommes à la recherche de la vérité ; nous cherchons des vérités ; nous ne sommes pas en, reste de chercher des vérités, des choses qui eussent pu nous informer passablement sur la marche du monde : le pourquoi du commeznt ceci et cela a utour de nous (comme de bien entendu) ; notre envie ou désir , notre désir ou notree joie, notre joie ou notre volonté est de creuser toujours davantage en roche , et ce afin de déceler (découvrir) une vérité cachée (un pot aux roses) en son intérieur (antre) de grotte etc : cela est indubitable et nousq occupe fort , car nous sommes motivés ; nous avons ce besoin en nous d’aller deda ns : de foutree la tête première dan s la nasse (la paroi) pour comprendre (savoir) ce qui se cache en elle (derrière) et qui nous est masqué depuis toujours ; comment savoir ? comment s’y prendre pour savoir ?  ; l’art ? oui peut etre l’art, mais lequel ? l’art de se coucher nu dans la roche ? l’art de se grimer pour tromper l’ennemi ? l’art de se souffler dans les b  ronches ? l’art de s’époumoner à qui mieux-mieux ? l’art de s’envoyer en l’air ? l’art de s’épouser et de se collezr l’un l’auttre ? l’art de tomber à la renverse ? l’art de toucher au but ? l’art de perdre l’équilibre ? l’art d’aller de l’avant sans oeillères ? l’art de pousser la chansonette ? l’art de pisser debout contree une murettte (quand on est femme ou qu

and on est homme , etc) ; l’art de pisser assis ? l’art de pisser debout ou assis dans un verre ? etc ; nous avons à décider de quel art nous voulons pour nous  ; nous voulons d’un art qui soit une arme de recherche : un poinçon qui pique la roche, trouve une fente, etc ; nous avons en nous un bvesoin et ce besoin est celui qui va vers une cause ; nous voulons que les choses soient dites, nous voulons que les choses soient dites en haut lieu (?) c’est à dire, c’està dire en ce lieu qui est pariétal en diable ; nous voulons que les choses soient dites en ce lieu qui est de l’ordre pariétal en soi ; et cela pour que tous et toutes puiiiissions faire de la sorte que le monde soit (enfin) lisible, clair, déroulé, ouvert, montré 100 pour cent ; nous voulons cette cghose pour nous, pour comprendre, cerner, pour comprendre ce que c’est que toute cette affaire , trame et ressorts cachés ; car il semblkerait que la vie pariétale recelât des choses cachés (raisons)  ; nous voulons savoir ; notre besoin à nous est logé dans le savoir et passe par une recherche assidue (quotidienne) de laboratoire afin de s’approcher le plus possible de la vérité, de la vérité incontestable ou indubitable : cette chose devant soi, cette paroi, ce don déposé ; or il semblerait que la chose (cette recherche) soit coton  ; cette recherche de vérités ; nous pensons que nous devons nous serrer les coudes , ensemble, et aussi que n,ous avons à aller le plus loin possible à l’intérieur d’une sorte de paroi (comme dans une grotte) qui n’est pas une paroi à proprement parler mais qui y ressemble du fait qu’il s’agit d’une confrontation frontale, quasi murale (un mur) debvant soi = le temps = l’avenir du temps déposé (un don)  ; jnous imaginons toute cette fdaffaire à deux , cxar nous sommes deux et qu’à deux on multiplie par deux les chances de pouvoir trouver un pot aux roses quelque part ; voilà pourquoi nous sommes deux, entre autres raisons ; nous sommes deux car à deux nou nous donnons plus de chances de notre côté, de découvrir ou pour découvrir : pour trouver, pour trouver une chose , cxar il s’agit bien de cette chose que nous recherchons, cette chose en soi qui est cette envie de trouver quelque chose, de découvrir, d’etre cette ou ces personnes qui découvrent une chose cachée depuis toujours : un trésor, une vérité, un dessillement, une pierre ancienne logée, un hiéroglyphe inconnu jusqu’alors , une vérité sur la marcxhe du monde (en don)  ; nous esp^érons en cette chose, d’une découverte via l’arcane pariétale temporelle ; nous mettons toute notre énergie en  ce sens et nous cherchons à aller le plus loin possible en besogne dans ce sens : voilà ce que nous pouvons dire, ce que nous disons ; nous sommes à l’affut d’une vérité de source ; nous nous plaçons de telle façon que nous pourrions ainsi peut-être décvouvrir les ressorts, cachés jkusqu’alors  ; ainsi faisons-nous main dans la main ; la chose est très très très très importante à nos yeux et se doit dx’être dite haut et fort (ici ou là, ; peu importe où, le tout est qu’ezlle soit dite, prononcée, proférée) : nous pensons avec nos mains, et nous introduisons la tete la première notre corps dans la paroi du temps, au beau milieu des rennes, des tribus de betes, des bisons ; bambi nous attend (nous attendait) ) ; nous sommes avec bambi et nous sommes accolés ; nous sommes passés de l’autre côté du temps et voilà pourquoi nous pensons que nous devons poursuivre cette voie d’abord, car , nous voyons b ien que des choses se passenbt (à notre insu ?)  ; nous pensons que nous faisons bien de poursuivre sur notre lancée, car nous sommes les premiers qui sommes témoins que des choses à l’écart du monde se trament, se font, se chevauchent ; nous sommes des témoins de première ligne ; nous chzerchons à comprtendre kle pourquoi pariétal du temps car nous voyons bien que le temps est dur comme de la roche de paroi de grotte ; les betes dessinées sur roche ont quelque chose qui nous intéresse en cette question que leurs traits épousent véritablement (vraisemblablement ?) ceux de cette chose que nous appelons de notre voeu, que nous appelons de tous nos voeux, et qui est ce savoir, ce savoir profond, ce savoir complet ; il semblerait que le dessin de l(homme des cavernes épousât parfaitemznt (à merveille) les traits qui, pour le coup, sont ceux de cette forme, flottante, ici ou là, en ce  bas monde, qui est celle de la vérité du monde ou des choses du monde : le monde est tel que l’homme des cavernes l’a représenté ; le monde est celui des betes qui chargent ; nous sommes au beau milieu ; il s’agit d’un beau milieu ; nous sommes au coeur d’un monde animal de paroi de grotte et nous déambulons en son sein sans même nous en rendre compte plus que ça, ou plus que de coutume ; notrte foi est logée dans un sein précvis : celui-ci, en diable pariétal ; nous le voulons dee la sorte , car nous ne voulons pas nous éloigner de lui : nous voulons d’une insertion (immixtionh)  ; nous abvons ensemble décidé de ce que nous voulons et ce que nous voulons est clair comme de l’eau de source ou de roche : une vérité qui soit bonne à révéler := une révélation  ; or... or voilà ce qu’il en est , de toute cette affaire de biches et de parois et d’arty des cavernes : l’art est une chose unique, déposée aux pieds d’un géant  ; ce géant est la paroi du temps ; ce géant a des antennes un peu p)artout dans la mesure ou ce ghéant n’a pas de fin , il est infini dans le temps comme il est infini dxans l’espace et de ce fait les infinis vont à se confondre ; il s’agit ici d’un géant en don ; le don de soi chevauche ; le don de soi (art) vien,t à chevaucher celui cde cetemps pariétal en diable : il est monté comme sur une table, etc ; nous avons cette chance ici, de pouvoir toucher du dooitgt la vérité vraie sur ce géant qui se présente devant nous comme un don qui nous serait offert comme par méga rde ; nous pensons et le fait de penser (en mots «sensé») nous pousse à dépôser (aux pieds du temps) des tronçons de vérités de base : chevreuils, rennes, bisons, phacochères, chevaux, rhinocéros, antilope, ours des cavernes, etc  ;toute une meute ou toute une cohorte  ; et ce afin de troubler les choses, celles du temps infini qui sétend depuis nous (ici et là) jusqu’à plus soif ; nous avons cette chance pour nous de voir les infinis qui se chevauchent, se confondent etc jusqu’àplus soif pour ainsi parler  ; nbous aimons parler entre nous de toute cette affaire de tronçons ett de mur du temps infini ; la peine est lègère, le temps est compté, la joie est complète, la vie belle et le soleil levant sur ce monde infini de la paroi du temps des cavernes, et ainsi nous pouvonbs mieux cerbner kles tenants et les aboutissants de toute l’affaire ; nous voulons une chose et u ne autre et nous positionnons dans ce but : une chose sue vaut une chose vue ; ou bien une chose vue vaut une chose chue ; ou bien : une chose chue vaut une chose bue ; ou bien : une chose crue vaut une chose lue , etc ; nous le pensons ; nous sommes deux à le penser ; nous voulons que les choses soient ainsi montrées de face, comme vérités tenaces, etc, afin de pouvoir enfin sortir la tete de la nasse et respirer, respirer un grand bol d’air ; nous cherchons de tous les côtés (une battue) afin de comprendre le pourquoi du comment il y a des choses ou il y aurait des choses qui nous sezraient cachées depuis la nuit des temps (depuis toujours) et quelles sont-elles  ; nhous avons en  ous c ette envie de soulever des lièvres ou comment dit on, de soulever, relever ou lever des lièvres ici ou là sur notre chemin de ronde à nous deux du temps de notre vivant, du temps de notrte vivant à telle ou telle époque précise, à telle époque (la notre) ou à telle autre, sachant que nbous appartenons à une époque «donnée» et non à une autre qui serait (par exemple) antérieure à celle que nous connaissons  ; nous voulons aller , au sein de la paroi, près de cette biche, de ce chevreuil, de ce cerf, de ce renne, de ce cheval, de cette vache, de ce mouton, de cette brebis, de cette chèvre etc, toujours plusd près  jusqu’àen épouser les traitss, passant d’un animal à l’autre, d’un cheval (des traits d’un cheval) à une chèvre ou à un renne ; nous voulons épouser les traits pariétaux du temps infini ; nouys les voulons pour nous épouser au mieux, au plus près, accolés, collés, doublant exactement le plus possible qui la chèvre , qui le chevreuil, et passer la rampe ainsi = la rampe du temps pariétal ; est-ce chosecpossible ? pensez-vous que nous p^yuissions (l’art de la perche) passer ainsi, en vérités ? pensez-vous que nous puissions aller comme à demeure au sqein du sein de la paroi, avec notre bambi nationale (internationale) et la joie en nous lovée ? pensez-vous que nous puyiisssuiions nous acoquiner avec pareille bambi , jusqu’àen épouser les formes (sveltes, lisses, fines, fatales) ? ; nous pensons que oui ; nous pensons que le temps est un animal , sur paroi de grotte, qyui nous atteznd = derrière ; nous avons la préteezntion de croire à cette chose, et cette prétention est comme pleine d’ezlle-même et se pose en formules qui se présentent comme des qui sont dédfinitives = des formules saines, des formules données, dees vérités dites ; nous pensons que nous dfevons faire attention à toute cette affaire de formules scandées à l’emporte-p,ièce ; nous devons faire preuve de beaucoup de doigté et faire bien atte ntion à ces «formules saines» qui sont un peu partout comme florissantes, qui seraient des vérités indubitables (fondées sur des croyances etc)  ; nous devons mais comment ? ; nous devons faire tres attentioon car les «formukles saines» font florès et ne manqUent pas, et elles ont des airs de vérités qui charment, elles semblent aller de soi , en toute décontraction ; nous nous tenons sur une cr^ete (nous) et naviguons ainsi à vue de nez ou à vue d’oeil, mais cet oil a des antennes et celles ci se greffent sur une sorte de paroi (enfantine ?) qui est celle d’une grotte ornementée (du temps des cavernes ou de ce type) ; nous pensons que nous devons nous prémunir et nous protéger des paroles d’autorité (formules saines) et pour cela nous devons aller en paroi à la recherche de’une autre parole, d’une autre approche des cxhoses : une approche autre, une parole égale mais différente ou comment ; nous cherchons à l’intérieur de la langue franèçaise une parole de vérité, une parole qui dise les choses en toute clareté, nous tendons (voulobns tendre) vers une clarté de choses dites en vérité ; nous voulons de cette vérité qui tienne (en santé, voilà la cxhose) et nous allons de ce fait en cette direction à deux , pour une approche prochedes choses ; nous pensons que nous devons aller très loin en cette chose et pour cela nous multiplions les approches et toujours dans le sens d’une -dans le sens d’une crevaison, d’un creusement plutôt, d’un creusement dans la roche du temps ; nous voulonbs aller deda ns le temps ; nous devons aller dedans et nous méfier...  ou  bien ne plus (dedans ) nous méfier ??  ; nous devons aller dedans où ne plus nous méfier piusque nous serons dès lors à l’abri, à l’abri de toutes sortes d’estocades ; nous cherchons de ce fait à nous abriter dans la paroi du temps, et  à épouser les contours (langagiers) de pareil abri rocheux, ou quelque chose d’approchant ; nous voulons aller ainsi en cette roche à la recherc he dx’un abri (aussi) qui fût celui qui puisse nous protéger de tout un tas d’estocades possibles au dehors ; les mots sont porteurs de vérités qui leur appartiennent ; nous voulons de la vérité (prose) qui soit pour nous vérité de terrzain : dans la roche ; nous voulons aller vers la vérité de roche et pour cela, nous préférons entrer dans les ordres = la paroi, entrer en elle (cet ordre du monde) pour une captation des forces en présence ; nous cherchons une v érité de paroi ; nous voulonbs aller profond dans cette vérité de paroi profonde = da ns les profondeurs de la terre ; nous avons cette ambition en nous , quyi est celle de creuser profond jusqu’au centre de la terre où nous pourrons, enfin, nous reposer de notre labeur  ; le centre de laterre =  cette tombe qui est ce trou qui est la cachette (le terreau aussi bien) de notrte futur proche : ce temps du devant de soi déposé  ; temps dépôsé pour un soi déposé ; nous parlons de toutes ces cxhoses entre nous, en nous, et de ce fait les mots viennent dx’eux mêmes : nous en sommes les dépositaires : une langue a pprise est une langue qui a fait le pas ; une langue apprise ou acqyuise est une langue qui a pris le pas = le dessus ; une langue acquise est une langue qui a mis le pied, le pas, sur une marche en soi ; démarche en marche etc ; nous avons des certitudes en  nous (qui ont germé) et pour lesquelles nous ne pouvons rien  ; qui peut redresser une certitude acquise ? qui peut en soi redresser le tir ? il est évident que les certitudes d’une langue (les prérequis) szont impossibles à (réellement) modifier dans le sens d’un redressement langagier etc ; nous avons la certitude en nous qUui est certitude qui dit que nous ne pouvons pas redresser le tir ; nous ne pouvons pas redresser le tir en nous d’une langue ayant pris la pklace offertte par nous(nous ?) à notre naisszance  ; qui a en nous permis cette chose, ds’une aspiration par la bouche , qui ? ; nous pensons quil s’agit d’un bambi en n ous, ou sinon d’un bambi d’un goupil, ou sinon d’un goupil d’une autre bete bienveillante finalement , ou pas ? ; nhous pensons que l’enfant , le nouveau-né que nous avons été, a été pris d’assaut, a aspiré, a ouvert grandes les écoutilles , a grand ouvert lkes écoutilles et le voilà à présent qui se débat au sein d’une langue particulière à la recherche de la vérité : à la recherche (en soi) de la vérité du monde ; avec des mots ! avec des mots ! avec des mots !  ; aurochjs, aurochs, aurochs ! que pensezr ? ; nous pensons que les mots sont des choses qui en nous ont pris une place vacante, cette place offerte en nous à la naissance , afin d’accueillir cet ensemble nominaal en n ous, cet ensemble sain de mots qui se tiennen,t  ; cet ensezmble sain ou semblant l(‘etre, de mots qui se tiennent ; nous voyons que tout cela est une chose pârticulière qui tient à un e certaine approche des choses du monde ; nous voyons que la santé ici a une raison d’etre et se pose là ; nous voyons que la santé du corps dans le monde est aussi liée à la «santé» de l’idiome pa rlée etc ; nous voyons que nous devons utiliser les mots dans un sens et un ordre donnés (à la naissance) «en santé» ; notre but n’eswt pas cde nous éloigner de pareil ordre de naissance mais tout le contraire, de cezrner par lui, dans lui, une chose à découvrir qui en soit le noyau dur : cette chose quelle est-elle ? nous l’ignorons ; nous disons toujours que nous l’ignorons, mais l’ignorons -nous tant que ça ? ; nous poussons encore et toujours la cxhansonnette sur la queswtion et c  ependant nous pensons ; nous poussons toujours cette même chansonnette sur la question , comme quoi  nous ne saurions pas les choses de base, les choses de trame pour le dire ainsi ; nous disons toujours que les mots (etc) nous ont été inclus de force en nous (inculqués) or qu’en est-il exactement en vé&rité ? il est à voir que nous sommes nantis ; nous sommes nourris et nantis en santé ; nous sommes élezvés ; nbous sommes en santé élevés , nourris blancxhhgis = soignés ; la vie nous a élevé, blanchi nourri, élevés en santé autant que possivble ; et voilà que nous sommes (donc) porteur en nous d’un idiome en pa rticulier : celui de notre confrérie, de notre caste ; nous sommes porteurs en santé d’un langage donné à nous, pour nous, et dans lequel, en vérité, nous nous débattons (je me débas, tu te débas, il se débaat, etc) ; cela est indubitable ; ceete chose qui nous arrive , est une chose folle en cela que nous sommes comme possédés et nous le sommes : une langue nous possède, et donc nous sommes possédés ; njous sommes pris à la gorge, nous sommes pris d’assaut à la gorge par des animaux ; nous sommes pris en santé par des formules de vérité (croyances indéboulonnables) qui nous mordent au cou et nous tiennent ainsi, crazmponnées ; nous ne pouvons plus nous en échapper : ezn santé ; la peine est entière, la coupe plzeine, le sommeil léger, la joie profonde, le mal enraciné, le désir couplé à une envie de soi, de soi en matière, de soi en une matière qui fût celle que la bete avait pour elle ; nous voulons savoir ce qui est de cette bete en nous ; nousq vou:lobns comprendre ce quil en est en nous de cette bete : arcanes ; notre ambition : la voilà ! ; nous ne sommes pas chichesc en la matière : en matière d’ambition  ; nous voulons toucher à la paroi du temps, et pour ce faire nous alloons fissa nous projeter , tete première, contre elle (les mots) pour creuser creuser creuser en avant marche ; nous voulons = nous désirons = nous chezrchons = nous essayyons = nous voulons savoir ; nootre désir se met ainsi en branle en mots de tous les jours ; nous cherchon s une clarté dans le langage employé , et ce afin de notifier le plus lisiblement possible ce quil nous advient en termes de révélations ou de trouvailles (géo-trouvetout)  ; nous cherchons à dire ce qui est, en termes cvompréhensibles : clartés ; nous voulons essuyer ainsi les pattes ; nous voulons ainsi dérouler les choses en toute clarté prosaïque, ou quelque chose xd’approchant : de la prose en chaque approche, afin de donner le sens nu, sans fioritures, si possible, si tant est que cela soiit possible, etc ; sans contorsions ; or il s’avère que la contorsion est première ? or il s’avère que la conbtyorsion dirait la vérité ? or il s’avère , que la contorsion dirait la vérité ... de la contorsion ? de cela nous pouvons pensezr qyue cela est (indubitablement) or non, cela n’est pas ; la contorsion ne dit pas la vérité de la contorsion ; ou plutôt : la vcontorsion dit peut êtrte sa vérité de contorsion mais pas que ; la contorsion ne dit jamais que cette vcérité, elkle dit toujours autre xchose que sa seule v  érité de contorsion ; et c  ela est que nous sommes en recherche et ds’une v érité et d’une approche de la vérité ; nous avons pour nous tout un ta s  de contorsions possibles en magasin et celle que nous empruntons (à la naissance déjà) est une qui (comme les autres) nous roule dans la farine et nous donne («en santé») les formules définitives (quoi quil en soient de nos réflexions) qui sont celles de sa branche ; nous ne pôuvons pas nous éloigner beaucoup de cxes formules (et ce malgré ici ou là des contorsions langagières recherchées)  ; nous sommes à la solde d’une branche langagière «en santé» qui nous inocule son venin (vaccin) et nous conditionne à jamais comme des benets ; nous avons perdu l e temps de l’approche animale et nous jouons avec des mots de base ; nous avons pour nous une chance (la nôtre) qui est celle de pouvoir aller tete première dans le fil(m) du temps, creusant plus avant , à deux, notre tombe, et ce faisant, nous nous retrouvons parmi des betres qui sont celles de la préhistoire, celles que l’homme ou la femme, ou l’enfant des cavernes dessinaieznt pour faire accroire ; nous y aloons de notre couplet (chjacun) afin de trouver à se loger, où se loger au sein de la roche du temps : cette place en dur qui est la place en nous pour l(‘acquisition d’une langue donnéé»e ; nous avons compris cette chose et cette chose nous la mentionnons comme sur des annales ; nous devons nous tenir prêts à devoir quyitter nos souliers ; nous devons nous tenir prêts à devoir franchir le film serré, étroit, fin, de cette paroi temporelle pariétale etc qui nous sépare de l’animal ; nous devons jouer de concert, avec art ; nottre a rt est celui qui consiste à sauter tete première, en cette paroi du temps, en ce déroulé frontal pariétal qui nbous fait face ; l’art est ce bond (saut, franchissement, plongée)  ; nous poussons ensemble notre carriole afin d’aller plus avant en besogne dans cette direction d’un temps dépassé ou passé, et du coup nous nous retrouvons à devoir figurer parmi des betes comme celles (dessinées sur des parois) de l’hommme de la préhistoire (le magdalénien, ce magdalébnien de mémoire)  ; nous nous acheminons doucement vers cdes sa voirs cde base liés à l’homme de la préhistoire ; nous avons des mots en bvouche (animaux) qui sont de nottre compagnie, et cela depuis tou,ours : les mots nous précèdent, et nous cxhevauchent (saillie) comme des betes fauves, pleines d’envie ; nbous avons envie aussi de pousser la chose en paroi, comme ces betes  : une saillie, et cela dans le but de soulager encore et toujours en nous l’aiguillon qui perce en la matière : ce benet accaparé ; nous pensons que nous devons aller le plus possible loin dans cette paroi du temps devant soi ; nous voulons a ller loin, profond, dedans, de l’autre côté, au fin fond, au plus profond, etc, pour comprtendre, opour clartté, pour vérité, pour savoir, pour connaissance et pour avoir des mots pour nous qui disent enfin ce qui est et ce qui n’est pas : oui / non ; nous voulons aller dans cette direction qui nous verrait proférer (bouche) des vérités accumulé&es en des phrases ou autres formules «en sa nté» or non ( ou oui ?)  ; non pour nous ; nous pe,nsons que nous devons comprendre les choses à tra vers une utilisation et njon point à travers unacquis sensique ou comment dire les choses : nous devons nous positionner près de l’animal et comprebndre sa «parole» à lui : j’ai dit, nous avons dit «parole» et en effet, la parole de l’animal eswt de  celle que nous devons explorer en intrapariétal ; oui car nous sommes sûrs ; oui car nous avons (pour nous, à nous) des certitudes, qui sont celles d’un e caste lan,gagière incidemment mais pas seulement  ; le but est de faire cracher (souffrir) la langue acvquise ; la faire cracher son venin, sa gourme, sa faconde, sa «maitrise» des élémznts, sa haine, sa bêtise et sa traitise en un chemin du dire qui fût pour nous celui d’une bête douce : orgueil de la biche, orgueil du serpent, de la belette, du renard, de la pintade et du pintadeau ; nous cherchons une issue à l’intérieur d’une paroi du verbe : celle là que nous avons pour nous, au-devcant de nous, cvomme une muraille ou comme un muret en une grotte, ou comme une face cacxhée ; nous espérons beaucoup d’avoir un jour la cha nce de pouvoir compter pour nous sur une certitude (une révélation) sur laquelle apposer notrte griffe, notrte paraphe, notre signature = nos noms ; nous pensonbs qUe la chose a de l’avenir, c’est à dire l’a venir que nous lui donnons ; nous poussons en a vant la chose (escarpolette) pour une recherche ;nous sommes deux pour cela ; nous nous sommes trouvés dans ce but de faire cette chose ensembvle, qui sait ? ; nous avons ensembvlke découvert le pot aux roses (ici) de l’intra pariétal  et à préxsent nous devons nbous congratuler et fêter la chose auchampagne et aux petits fours  ; youpi ! nous sommes sur la bonne voie ! ; nous disons que nous sommes ainsi sur une voie qui est la bonne : est ou serait . car nous sommes en recherche de certitudes ; nous cherchons des certitudes, nous sommes à la recher che de certitudes ; nous voulons des certitudes ; nous chezrchons des certitudes ; nous voulons des certitudes et nous cherchons des certitudes ; nous voulons cela et nous cherchons cela : certitudes à tout va ext pourquoi cela (tous) ? parce que : nous en avons besoin en intra = nos mots , notre espace de mots les réclament etc ; nous voulons tous des mots à dire ; nous sommes tous disant ; nous sommes disant et nous a vons dix ans pour ainsi dire (l’age dxe raison dirons-nous)  ; nous nous nous disons que nous sommes disant et aussi que nous avons dix ans pour ainsi dire et que de ce fait nous cherchons à dire des chose et pas n’importe lesquelles : de la prose de la vie de tous les jours (phrases par défaut) ; nous ne nous éloignons jamais beaucoup de la prose du dit de tous les jours, car nous voulons sacvoir ce que donc les mots peuvent nous dire de fondamùental ou de fondateurs ou sur le fonds de la question, ou sur le fond tout court ou sur les fondations ou sur le fondement des chosesq du monde ; nous sommes à la rechezrche , à l’affut ; nbous voulonbs d’un savoir de base ; nous cherchons prosaiquement un déroulé sans fioritures (?) dans une sorte de rendu qui fut celui qui dit sans contorsions etc ; nous chercxhons le  ;parler clair, la ligne de base basiqUe d’un parler qui dit les choses «simplement» à la bonne franquette (sans chanter plus que ça : «ne chante pas», ;, «évite de chanter quand tu parles», etc) ; nous avons cette choses pour nous , de pouvoir parler «sans chanter» pour ainsi dire ou alors on dit que toute parole prononcée est chant est l’affaire est réglée (ce que nous faisons pour notre part)  ; nous ne voulons pas de la lyre ; nous cherchons la chose en clarté = un déroulé de la simplicité des choses montrées sur un devant de soi ; nous peznsons que nous devons, ensemble, dérouler = déplier ; la peine est légè§re et le temps imparti touchera à sa fin et cependant nous sommes deux, main dans la main, à nous parler de choses et d’autres, à la bonne franquette, en toute simplicité, à bâton rompus, e,nn toute amitié de toutes ces choses concernant la question de l’art, qui est la qusestion ici qui nous occupe, la question que nous avons dx’un commun accord déccidé de mettre au centre de nos intérêts, de nos conversations quotidiennes  ; nous sommes d’accord pour dire, nous deux, que cette question de l’art, pour nous, est centrale ; nous pensons que nous avons à comprtendre, sur la question, beaucoup de choses, et que ces choses sont à explorer ensemble, àl’intérieur du domaine de la langue, qui est celle quyi nous possède, etc ; notre ambition ici est grande d’aller à la pêche aux révélations de tout ordre concernant la marche du monde : nous voulons être des qui défrichent, déchiffrent, détaillent, dép^lient prosaïquement les vérités cachées dans les soubassements, les interstices, les anfractuosités, les menus cratères, les points de jonctions etc ; nousq sommes à l’affut de vérités à dire et celles ci , njous le savons à présent, sont animalières et pariétales du fait que l’homme des cavernes est passé par là, laissant son empreinte qui est celle que nous nous devons depuis d’explorer ensemble (la science) dans un but de connaissancxe, dans le but d’élargir toujours plus nos connaissances sur les choses du monde, tenants et aboutissants, infinis des profondeurs, candeur des betes de parois, gentillesse ou bien agressivité de la bête, etc ; nous sommes ensemble sur ce chemin de la connaissance rupestre et cela avec l’ambition de trouver un jour une chose (même in fime) à parapher peut-être mais pas seulement : une chose qui soit une porte ouverte sur un au-delà comme buccal ;

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4/01/2021

nous sommes à l’intérieur d’une roche dure , et nous aimons nous étendre, nous prélasser (?.), nous reposer en elle ; notre but est avoué ainsi ; il s’agit d’un étirement de soi dans la roche, dans le dur du dur pariétal, à deux, main dans la main, pour une cause partagée ; nous sommes nous deux ensemble main dans la main dansq une roche dure, danss une paroi, dans un dur de vie pariétale etc, et nous regardons ainsi cote à cvôte passer les betes pres de nous, passer les aurochs ; nous sommes ensezmble dans un dur de roche à regarder passer des betes près de nous , et ces betes sont des aurochs ou des phacochères (par exemple)  ; nous aimons ainsi ensemble nous étendre dans un dur de roche, nous aimons cvette chose et ne manquons pas (ensemble) d’agir de la sorte , et cela dans le but(avoué) de nous prélasser (d’une certaine manière) au sein (pariétal) d’une roche du temps, et ainsi faisant nous nous tenons prêts pour le saut des betes alentours, pour le saut de betes alentour ; nous sommes prêts pour ce saut à nos côtés ; noous sommes comme deux enfants qui se tiennent prêts pour un saut de betes pres d’eux, pour voir ainsi de près cette chose (allongés) d’un saut (sur soi, par dessus soi) de betes des alentours, de betes connues de soi, reperetoriées, alignées etc ; nous avons une chance inouie de pouvoir ainsi, en restant allongés au sein d’une paroi de roche, voir ainsi, pouvoir ainsi voir, cette chose d’un saut dit animalier ; nous avons cette chance inouie de pouvoir voir ainsi le saut sur nous de l’animal fou ; nous sommes surpris autant que charmé ; nous regardons toutes ces betes qui nbous entourent au sein de kla paroi du temps ; nous les regardons attentivement, nous nous tenons allongés ; nous sommes les allongés de la paroi du temps dur, de cette paroi dure du temps pariétal etc, et ainsi sommes nous qui matons ces betes ; quyi les reluquyons attentivement ; nous aimons ces betes (cervidsés, bovideés) qui sont nôtres, au sens où nous les trouvons proches ; nous les aimons comme elles sont (brouteuses, folles)  ; nous aimons ces betes ensemble , main dans la main, et nous voulons leur parler, les rejoindre dans une parole comme acidulée, tendre, soyeuse, douce envers elles ; notre but est très largement affiché partout et il a un nom et ce nom est un mot et cve mot est lke mot «arty» en cela que ce que nous cherchons à faire ensemble (= main dans la main) est une percée, une trouée, une entrée dans le dur de la roche du temps pariétal = animalier ; nous avons compris à présent que nous avons affaire à des animaux (à dé zanimo) et ces animaux-là sont pour nous une chance, une voie, un gain ; nous pensons que nous devons ainsi nous approcher le plus possiblke de cet animal des parois des grottes ; nous avons comp)ris ici que nous avons affaire à des animaux («dé zanimo») de parois de grottes et non point à des animaux en vrai courant dan,s la nature ; il s’agit pour nous, de toutes ces betes répertoriées de a à z, qui donc toutes porten,t un nom qui les repère etc, il s’agit pour nous de betes nommées (cela a son importance) qui gravitent tout autour de nous et ne mùanquent pas de nous chevaucher moultes fois, de nous enjamber etc, car nous sommes allongés, nous sommes les allongés de la pierre etc ; nous voulmons comprendre de qyuoi il en retourne et c’est la raison pour laquelle nous cherchons issue, ici, de type pariétale etc, de façon à pouvoir comprtendre le fin mot (le mot de la fin) de toute cette histoire de paroi, de bêtes de parois , de betes rupestresq etc ; notre but est affiché comme sur une affiche ou une affichette et ce but (nommé) est notre en cet endroit où nous sommes mis main dsans la main, mis allongés côte à côte, et d’où nous pouvons reluquer, mater , voir le manège (cortège) des betes nimbées, comme auréolées etc, en cette roche du temps qui passe ; nous aimons la roche follement, nous aimons ces betes de roche, nous les aimons follement ; nous aimons ces betes de roche et nous le disons (proclamons) sur des affichettes qui sont placardées aux entrées des grottes et des cavernes ou autres gouffres etc ; notre bvut ici est de comprendre le pourquoi du comment les choses de la vie pariétale adviennent , et c’est la raison pour laquelle nous cherchgons ensemble (main dans la main) à comment nous retourner en cette pierre de roche dure , en cette pierre qui est la pierre (le roc) du temps qui passe pres de nous comme betes majesrtueuses (bois des cerfs, peau de biche) ; nous man,geons ain si des yeux ; nous sommes tout ouïe tout autant ; nouys essayons de comprendre ce qui ici (en chambre d’écho pariétale et animalière) se trame , et pour cela nous devons deviser ensemble sur le sujet, ici ou là, dans notre chez nous temporel ou bien ailleurs dehors (dans la nature qui nous environne) nous avons ensemble à deviser, à parler de toutes ces choses de type dit pariétal ; pariétales, et ces choses nous les soupesons par cdes propos que nous é chjangeons, qui dans nottre chez nous (la cuisine parexemple) ou bien dehors, dans les bois, dans cette nature qui nous en,vironne etc ; nous sommes chgezrcheurs cvomme scientifiques ; nous cherchons scientifiquement des raisons ou desmotifs, des paroles dites , qui seraient des vérités, qui seraient des assertions de vérités ancrées  ; nous cherchons des vérités à même la paroi du temps qyui nous environne, comme deux enfants avides de pêtits (de grands) secrets de grotte ; nous avons cette chose pour nous, de vouloir comp^rtendre ce qui est en cette ^paroi de grotte, ces peintures pariétales qui sont proches, qui sont nos proches ; nousvoulons comprtendre ce qu il en ressort et c’est lma raison pour laquelle nous avons ensemble décidé de nous pencher sur toutes ces questions d’ordre pariétal, sur toutes ces questions liées à la paroi du tamps, dans laquelle nous sommes insérés, et depuis laquelle nouys pouvons reluquer (mirer) ces betes fauves (ou pas) qui nous entourent, qui sont notre entour de roche ; nouys pouvons les toucher, elles ne sont pas effrayées ; elles nous regardent d’un air de deux airs ; elles nous reluquent àleur tour ; elles nous apprécient peut-êtrte ; elles sont pour nous comme des amies de roche, comme des amiies de pierre dure, des amies ou «les amies» de la pierre dure» ; nous les aimons ; nous ne cessons de dire notre amour (de l’afficher)  ; nous ne cessons d’afficher notre amour pour elles ;, de le dire (proclamer) haut ezt fort à l’encxan et à l’entour ; nous chertchons des raisons au sein d’une paroi de roche, et ces raisons nous les chercghons ensemble ainsi, aloongés, main dans la main, proches l’un de l’autre, en une sorte de coït de pierre etc, qui nous permette une vision, ou une approche des choses ici bas (temps et paroi) qyui soit pour nous écla irante, distincte, qui pour nous soit une chose de poids en termes de vérité, ou d’approche de la vérité vraie ; nous comptrenons que nous avons encore pas mal cde choses à rechercher en icelle (paroi de roche) et c’est pourquyoi nous nous accolons (coït) dans le sens d’une entrée en roche ; nous voulons cezrner au plus près ce pôur quoi nous sommes là immiscés, etc ; nous voulons cerner ce qui est ici, ce que sont ici ces betyes a uréolées et nimbées, ces cerfs majestueux, ces biches douces élancées, ces beautés animales de grâce ; nbous les choyons du regard ; nous avons compris ici (dans cette paroi ou noud nous logeons) que ces b etes sont des betes féeriques et qu’à ce titre elles nous regardent d’un air de deux airs et nous soupèsent ainsi, nous jaugent ; nous voulons les mieux comprtendre et nous en approcher au p^lus ; nous voulons les cerner au mieux eyt nous apporocher d’eeles le plus possible afin de pouvoir les toucher avec nos mains (néga tives et positives)  ; nous sommes des enfants qui touchonbs les betes, nous nous en approchonbs à pas feutrés, mesurés, comptés ; nous comptons les pas que nous fazisons sur terre et nous touchons ces betes animalières, ce temps de paroi p)ariétal etc, nous touchons au but, nous louchons sur ezlles ; nous les aimons eyt nous louchons sur elles ; ou bien nous louchons sur elles car nous les aimons ; ou bvien nous les aimons et nous louchons sur elles de ce fait, etc ; nous aimons ces betes (de paroi) comme nous a imons des frères ou des soeurs ; nous aimons ces betes dessinées sur roche, cxar elles swont nos soeurs de parois de temps ; nous aimons cette paroi du temps de la vie des betes ; nous cherchons toutes ces choses ici , en cette roche, afin de mieux cerbner les raisons qui font que nous avons ainsi ensemble (coït) à nous immiscer dans la rochhe (le dur, le douloureux) du temps, du temps d’infortune ; notre bvut (à nous deux) est largement affiché pa rtout où nous allons (notre belle mine) et ai nsi nous pouvons avanvcer comme à découvert, vers cette chose d’une vérité des choses du temps ; nous voulonbs (elle, Anna, et moi) aller ainsi ensemble dans le dur du dur du temps pariétal et nous le faisons car nous y croyons ; notre foi est à cet endroit (logée) et il s’agit de la foi de deux êtres (elle, Anna , et moi) qui allons ensemble à même la roche, introduits, immisxés pour une éternité pariétale ou pour un temps donné cde roche dure ; notre raison eswt là qui nous voit poussant la «porte» du temps pariétal , via la figure (dessinée) animalière, via ces traits de coupe, ces enjambements etc, faits de betes, faits attribués etc, pour une représentation de c  e qui est , de ce quil en est de la cvie rupestre parié tale temporelle etc, dans des grottes, dans des cavernes, dans des gouffres, dans des trous de roche et autres avens ; nbous avons décidé ensemble d’aller à la recherche d’une vérité des choses de la vie et pour ce faire nous avons opté pour une déma rche commune d’immixtion dans le xdur du temps, tetes premières, vzrs un allant animalier de roche : vers des betes r(cervidés, bovidés) qui sont notre cercle de vie temporelle, de vie pariétale en diable ; nous voulons comprendre les ressorts cachés et autres secrets de la roche du tempdss ; notre but est entier, ilest plein de lui ; nous sommes entiers, nous sommes pleins de nous ; nous voulons eessayer de nous allonger dans cette paroi préhistorique où nous pouvons de fait reluquer les betes (aurochs, phacochères etc) dessinées, et cette ambition qui est notre n ous est commune (à elle Anna, ; et à moi) afin de mieux pouvoir aller ensembleen deda n s ; afin de mieux pouvoir ensemble y aller deda ns : en cette roche du temps dure, en cette dureté de roche ancesqtrale ; nous y croyons dxur comme fer (coït) et nous etirons nos jambes (prélassement) en cette dureté de roche animale  ; nous cherchons des amitiés en ces betes alentours, en ces betes à cornes (ou pas) etc ; notre volonté est ainsi desswinée ici, que bnous voulons, avons cette envie, ce besoin, d’étirer nos jambes en cette roche ; nous voulonbs comprendre  c e qui se passe et nous cherchons de toute notre force, avec énergie, de nous approcher de la biche des fées ; nous voulons coûte qUe coûte nous rapprocher (toucher) le plus possible de cetgte bete, de la biche féerique, de cette beauté de biche pariétale ; nous voulobns la toucher avec nos mains (positives et négatives)  ; nous voulonbs toucher la biche féérique pa riétale de la roche dxure du dur de la paroi du temps ; depuis cet endroit où nous sommes logés ; depuis ce creux du temps pariétal où nous étirons nos jambes (guibol:es) afin de nous sentir ensembkle comme le plus à l’aise possible ma in dsans la main ; nbous sommes sous le cha&rme des betes à cornes, à bois etc ; nous sommes c harmés par toutes ces betes qui sont cointenues pres de nous (allongés) dans la paroi du temps ; nous sommes sous le  charme et le joug de toutes ces betes de roche, de toutes ces biches de roche etc ; nous aimons les biches, bambi ; nous cxherchons à nous rapprocher de bambi, des biches des parois du temps et ainsi allongés nous tentons une approche en douce ; en toute douceur et en toute candeur etcx ; notre volonté est ainsi faite, que nous sommes comme pris d’assaut par des sentiments en nous, qUI (sentiments) nous font couler (verser) des larmes sur un corps de biche douce ; nous les aimons (ces corps de biche)  ; nous aimons ces biches et pleurons xd’amour pour elles (nos bambis) qui nous entourent en roche et dans la vie dure des temps hors du roc ; et dans la vie dure du temps du roc ?  ; nous cherchobns ; nous posons les questions à la roche (nos mains appliqué&es) et attendons ; nous avons une soif et une faim de vérité (les dxeux)  ; nousq avons faim et soif de vérités de chose pa riétales ; bnous avons ceztte faim et cette soif de vérité, à propos des choses qui sont pariétales temporelles, qyui sont c  e que nous voyons qui est à nos côtés ; nous cherc hons à comprendre le pourqyuoi xdu comment ces cghoses adviennen,t ; nous esssayons cde comprendre ce qui est de ce quon voit, et ce qu on voit est une biche douce (fine, un bambi de roche) qui nous rega rde d’un a ir de deux airs et nous trouble ; nous cxhezrcghons à comprendre pourquoi le temps de la pa roi du temps est cette chose animalière frontale ; nous essayons ensemble c’est-à-dire main dans la main, à comprendre le pourequoi des biches (des bambis) se logent ainsi (préhistoriquemen) dansd des p arois de grottes, au fond des gouffres, sur de la roche dure, humide ou sèche, mais propre toujours à pouvoir accueillir des traits de furie ; nbous avons compris cette cxhose, comme quoi la furie de l’homme de la préhistoire est telle que son trait a été gravé sous l’effet d’une force en lui de type (la force) animale ; nous sommes à présent sûrs de cette chose ; nous voulons essayer de comprendre, ce pour quoi l’homme, la femme du temps des cavernes et des grottes (etc) avaient en eux cette force (incommensurable) qui donc leur faisait graver (dessiner) pareilles bambis et autres aurochs ; notre ambition n’est pa s vaine, qui a pour projet ou pour motiif, d’aller au p^lyus profond de cette question des biches de roc ; nous voulons ensemble comprendre le pourquoi du comment la féerie des roches, cet art pariétal de b ase, etc, qui font de nbous (féérie et art) des enfants de parois du temps ; nous avons bien compris cette chose et nbous l’affichons en des imprimés ou sur des placards, ou autres affichezs etc ; notre envie de comprendre ensembvle (coït) est une raison parmi celles quyi bnous motivent, nous poussent à aller loin dans une direction donnée par le sens des allers et des venues anima les, anima ux ; nous voulons que la cxhose soit sue ; nous voulobns que soit la cxhose sue ; nbous la voulons qyui soit le plus sue possible, par qui de dreoit ; nous la voulons la chose sue par qui de droit le plus possible ; nous la voulons sue la chose le plus possible pa r qui de droit ; nous voulons que la chose soit (par qui de droit, qui ?) sue le plus possible et c’est la raison pour laquelle nous nous a sseyons ici ou là et déblaterrons ensermble sur cette cxtte chose d’un art des cavernes, d’un art tout court qui serait celui qyui nous fait face et nous voit avec ses yeux de biche ou de cerf (féerie) ; nous comprenosns cette chose comme quoi les animaux qui sont autour de nous sont cveux que nous croisons dans nos reves pariétaux temporaux ; nous avons cette compréhension pour nous, de choses qui sont, de choses qui autour de nous sont, et que nous nommons : phacochères, aurochs, biches, cerfs, ; bovidés divers etc ; nous avons beaucoup de plaisir à rega rder passer les animaux pres de nous, en roche, allongés, les jambes (guibolles) éti rées, etc ; nous pensons que nous avons pour nous une grande chance de pouvoir ainsi étirer nos guibolles dans la roche dure du tempsq pariétal, et nous disons cette cxhose , ensemble, sur des affichettes qui sont pklacardées aux qua tre coins de la cihté, à l’en,trée des grottes ou des gouffres ou ailleurs dans la nature, disséminés ; nous pensons ensemble (nous deux) que nous avons  ce chemin à paercourir ensemble, main dsans la main, dans une roche dure de france, ensembvle dans un roc de dureté, ensemble pour un e approche du bambi soyeux et du cerf boisé amoureux ; nous aimons cesq betes de chair comme nos freres et soeurs, ils sont chezrs à notre coeur ; les betes des parois de roches sont notres autant qUe la paroi ou la roche elle même ; animaux de la préhistoire, en cet a rt dses roches ancestral ; sont nos amis pour une éternité des temps, du dur et du roc, du dur et du montré, du dur en soi et du montré de roc ; etc ; nous aimons ces choses animalières, et ces betes à cornes, à bois, qui nous environnent en cette roche où nous avons ainsi ensemble  pu nous immiscer , d’un saut d’un sweul, main dans la main et nous loger-)lover, avec toutt l’amour du mponde, à même le dur, le montré dur de la roche bestiale ; nous aimons ces betes car elles nous ressemblent et ce qui nous ressemble nous émeut car ce qui nous ressemble est un peu de nous (beaucoup ?) ; nbous cherchons à prononcer des vérités à propos de cette chose qui est que nous sommes des etres de paroi et de roche ; nous voulons proférer des vérités sur affichette, sur mur de grotte etc ; nous cherc honbs des vérités qui soient capables , en, tant que telle, de teznir longtemps et pour cela nous nous immiscons dans une roche de ghrotte en tant que betes (dessinées) qui chargent pour la bonne cause ; nbous voulons aller loin en cette cxhose, d’une immisxion en paroi de grotte ; notre volmolonbté est grande, notre souci premier, notre but affiché, notrte joie entière, notre besoin assouvi en roche, notre bonheur éclatant sur dxes parois de pierre, sur des rocs et sur du dur de e grotte enfouie ; nous sommes deux pour une immiscion coïtale de roche : bambis et cezrfs, aurochs et bisons, phacochères et chevaux sauvages ; nous les aimonbs ; nousq crions ici notre amour pour les betes des champs et pour l’ensemble des betes (créatures), rencontrées ou pas , dsans ces champs qyui nous entourent à la mesure de nos pérégrinations ; vive les betes, que les betes vivent ! ; nous aimons cela (ces betes) car nous sommes proches d’elles en paroi ; notre volonté , en tant que telle, est une volonté a ffichée : nous = je ; ou bien nous disons que nous avons pour nous une chance humaine de pouvoir approcher , en cette paroi dure du temps, de la bete douce ezt soyeuse de la féerie divine ; nous croyons cela en nous mêmes car nous sommes immiscés dans une paroi ; njotre volobnté eswt ainsi celle de vouloir pouvoir ; nous cherchons des vérités tenables dans le temps de la paroi du temps ; nous xcherchons à proférer (énoncer) des vérités tenables longuement à même le dur de la roche dutemps et cela, cette  recherche, n’est pas simple, n’est pas donnée, car ill faut une volonté adjoindre , y adjoindre une volonté de fer, il y faut adjoindre une volonté de tous les instants, une volonté scandée, maertelée sur la pierre, et cela eswt une épreuve positive et négative ; nous avons pour nous une chance quyi est celle de pouvoir maerrteler sur pierrree (point, point, point, etc) notre désir animalier : il s’agit d’un amour réitéré pour un ensemble donné de betes dessinées, qui sont aurochs et phacocbhèresw,bisons et chevaux, buffles et ours des cavernes ; choyons-les autant que possible et pour l’éternité ; nous aimons ces betes ensemble (main dans la main) car ensemble nous pouvons mieux lers a pprocher et du coup les aimer pour ce qu lles sont, à savoir : des regards posés sur des corps allongés ; féerie pour une allure de don ; féérie pour une allure de dons ; nous cherchons cela avec un entra in de tous les instants et nous martelons sur la roche du te=mps, le bonheur ainsi de pouvoir nous approcher du bambi soyeux ; nousq disons ces choses ensemble et nous les gravons sur de la pierre (dure) de grotte (l(art des parois tel quil se trame sous nos yeux d’enfants séduits) ; nous aimons les betyes car elles sont notres ; nhous les calinons du regard, ici et là, au sein (au coeur) de ces grottes rupestres, de ces gouffres de vie vive offerte à des divinités données pour (il semblerait) des moments de renoncements ; nous cherchons de fait toutes ces v érités de roche à même la roche ; nous  ne voulons pas lacher le morceau, nous voulobns continuer sur notre :lancée, nbous voulons comprtendre ce qui est de ce renoncement montré ; nous voulobns essayer de nous approcher du bambi de féérie à même la roche, en nous immisçant dans icelle , ensemble, pour une étezrnité et main dans la ma in comme cdes amoureux transis de jhoie ; notre volonté est grande de nous approchger du bambi féérique de la roche, à même la roche, ensemble, main donnée, pour une immixion salutaire (en un bond) de notre conjointement, de notrte assortiment cumulé dans une roche dure d’accueil ; nous cherchons l’issue qui soit l’entrée ; ensemble nous la recherchopns et nous recherchpons par la même à ne pas faiblir dans le bond ; entrons ensemblke dans cette paroi du temps des animaux qui sont nos amis ; entrons ensemble au sein du sein de cet etre-animal de roche ; l’art est cette chose d’une entrée de soi dans un corps animal de roche ; il s’agit d’une représentation de soi en termes d’animaux , de betes de parois, et cela dan,s une sorte de renoncement à quelque chose qui des lors ne peut plus etre, pour nous, en nous ezfficient ; notrte but est des lors affiché dehors (ici) et n’a plus lieu d’etrte remis au gout du jhour ; nous voulons comprtendre les ressorts et les arcanes, la chose est dite ; nous voulons aller le plus loin possdible au centre de la tezrre ; nous voulons aller tres loin en elle et de ce fait nous cherchons toujours la fente, le trait cde fente à même la pâroi du monde ; nous sommes assis et nous parlons,de tout cela, librement, car nous aimons b eaucoup les conversations qui portent sur de tels sujets de vie ; nous a imons beaucoup lesb conversations menées bon train sur pa reils sujets de vie liés aux choses cde l’art des pa rois ; nous avbons réfléchi ensemble à comment nous y prendre pour enttrer dans ladite âroi du temps, et pour nous nous loger aupres des betes representées ; njous avons trouvé une solution ensemble et celle ci est liée à nottre amour des betes ; nbous pensons qUe nous devons bondir (main dans la main) vers la roche afin d’entter en elle tete première et d’ainsi pouvoir voir au plus pres ce qui s’y trame en termes animaliers ; l’art est cette chose, du bond effectué en pareille paroi, guidé par des ressorts seccrets, poussés par des élans de vie vive etc ; nous imaginons ensemble toutes ces données comme autant de pièces à convicrtion à déposer sur la roche ensem nmble, à déposezr uniformemen,t unilatéralement ; notre but est ainsi de chercher à comprendre ce qui est de cette dépose ; la dépose (art) est cette choses pariétale animale ou animalière que nous choyons, que nous coucounons sur de la pierre , sur une roche, sur une table dure des temps partagés ; nous sommes ensemble pour cela que nous aimons tous dezux ce partage sur table de roche ; notre coup^le ewst celui du partage sur roche, sur table de pierre ou de roc, à même le dur , lke chaud ou le froid, etc ; nous gravitons sur une roche, et voyons ensemble dévaler (les pentes des parois des grottes) toutes ces betes massives, qui toutes ont des yeux pour nous rega rder (ou pas)  ; nous les rezgardons à notrte tour ; nous voulons ces betes, les voir aller dans la roche du temps ; elles sont betes de féerie ;elles sopnt betes qui vcont ensemvble , en charge, vers des directions de choses, vers deslieux de pierre temporelleqs ; nous voulons que toutes ces choses soient dites et affichéesq ; la vérité est une chose dure, intemporelle, dure comme roche, gravée et marquée au poinçon sitant est ; nous voulons de kla vérité car nous en sqommes friands et pârce que nous aimons comprendre, et parce que nous voulons comprtendre ; nous voulonbs comprendre car nous aimons la vérité comme une soeur et qui dit vérité dit roc ; nous disons que la vérité est une, unilatérale, déposeé sur table d’offrande, ou sur le dur de la paroi du temps ; l’homme de lma préhistoire connaissait cela qui en  lui germait et le poussait à graver il semblerait la vérité contenue en lui : unilatérale et dressée comme un i ; nous aimons ces vérités gravées par l’homme de la préhistoire ; ces treaits, ces points ; ces mains ; cesz betes ; notre amour est une chose dure comme la paroi (la paroi de réception) ; nous cherchons une paroi d’accueil (ou de réception) et la voulons amie comme de la soie ou du feutre ; nous tatons le chemin ensemble et entrons ensemble, via la fente, en cette paroi dure de roche, où sont donc deposées les vé&rités animalières qyui nbous charment tant ; notre ambition est totale ; il suffit pour nous de nous peletonner dans une sorte de, peut-être, mouvement commun, de bond en avant dans la roche et houp la houp, dans le coeur du coeur immiscés nbous sommes ; nous sommes entrés ; nous nous allongeons dan,s la roche et voyons toutes ces betesz de féerie nous enjamber à qui mieux mieux et presque sans nous voir, en nous regardant mais presque comme sans nous voir dirait-on ; nous ne sommes pas sûrs de leurs regards à notre endroit ; nous cherchons des reaisons de croire à ce que nous voyons, nous les cherchons dans (en dedans) un continuum, un continuum de traits et de frappes : dans = en dedans, de ce continuum de points martelés sur roche ; points de martè!lement sur une roche dure de grotte, et ces points et autres traits figurent le martèlement de celui et de celle qui cxherchent à s’immiscver dans la paroi, dans la paroi de l:a vérité, c’est-à-dire  de la cvérité animalière ; njous cherchgons ensemble à comprendre c  ette chose d’un art de la véritév animale ou abbnimalière ; nous ne sommes pas en reste de chezrcher et de chercher encore et toujours cette chose ensemble, ici même, sur paroi de grotte, au sein du sein, ezt  cette rechzerche nous tieent à coeur ; notrte volonté est affichée partout (instants de martèlement sur roche) et ne souffre pas le moindre malentendus sur le sujet : nous sqommes mus (motivés) par des forces ezn nous qui nous poussent à fran chir le pas, à entrer dans la roche et à nous immisc er ainsi, allongés, main dans la main, pour ubne compréhension des chgoses en présences : aurochs, aurochs, aurochs,  ; nous passons ainsi de l’extérieur vers cet intérieur de roche dure ; nous voulons de la sorte agir, en cette roche dure, pour compréhension et saisie ; nous sommes deux ici qui voulons, et non pôint seul avzeec soi mêeme ; nous voumlons à deux et c’e’st à deux que nous entrons dans cette (belle) paroi de roche et ce afin de toujoursv mieux arriver à co:mprendre les enjeuyx qui sont ceux de l’art des cavezrn es, et ce depuis la nuit des temps ; nous cherchons car nous avons en nous cette ez,nvie de recvherche folle ; nous avons en nous cette envie de recherche folle et du même coup nous chezrchons,  nous voulons comprendre, nous a pprocher le plus possible cde la vérité teelle qu elle peut sé’énoncer dans l’art des caver nes, et dsansv l’art tout court  ; nous aimons l’art des cavern es ; nous déposons nos choses sur des pierrres ; nous déposons nos choses sur des p arois ; nos choses sont des attributs ; ce sont les choses qui en nous nous gouvertnent ; ce sont ces cxhoses-là que nous déposons sur des pierres de roche, à l’intériuer d’avens ou de gouffres préhistoriques car nous somùmùes les hommes de la préhistoires, et les femmes de lma préhistoires ; un homme de la préhistoire marche dans les prés et vient vers une      une entreée de grotte ; il va vers une entrée ; il s’agit d’un homme cde la préhistroire nu et armé ; son nom est celui que nous donnons ; nous sommùes ensemble dans une roche immiscés et nous attendons l’homme de la préhistoire arriver ; nous l’attendons arriver, nous attendons sa venue, nu, armé, armé d’un bâton pour dessiner )à même la roche, en transe, en lévitation, sorti de ses gonds, mus comme à l’éppreuve pa r un animal en lui qui rugit, qsui crie sa douleur de blessure ; il s’agit de l’homme qui dessine nu et comme muni de pouvoirs en lui qui vgiennent s’adjoindre à son âme ; il est vif, vigoureux, plein d’allan,t, il lévite, il monte dans un cri ; il est ce cri (animal) qui rugit sur le roc de la pa roi du temps ; nous entezndons ce rugissementr et nous en témoignons ici même, pour une compréhension des forces et des faiblessses en présence ; cet homme est dans le ciel cde la grotte élévé, monté, haussé, ca r il lévite car il est en transe, il est transi, il est l’amoureux transi, il est la bete en lui qui rugit et grave ; il est grave la bete en lui ; il est force et faiblesse ; il est cet homme qui ecrit un nom (son nbom) sur un mur de grotte  ; il est un homme qui est un homme fou, qui (en transe) rugit comme une bete fauvee, et note ce cri animal sur pâroi cde grotte a,ncestrale ; l’homme de la préhistoire ets un homme qui use de son corps comme d’un outil de pa ssage : d e la nature à la culture ; nouds allons ainsi sur des chemins qui nous permettent de nous renseigner sur,nles données, qui sont celles offertes par du dur de paroi ancienne ; nous essayons ensemble de cezrner et de saisir quelque chose des rudiments de tous ces savoirs préhistoriques délivrés sur des parois enfouies à l’intérieur de toutes ces grottes bien étonnantes : elles le sont ; nous avons ainsi cette chance xde pouvoir approcher, cettte chose de l’étonnement, du baba de l’enfant bée ; nhotre but est là  ; l’étonnement est chose capitale ; il s’agit de l’étonnement (de base) de l’enfant naissant, de l’enfant à la bouche grande ouverte ; nous cherchons toutes ces choses à dire à travers l’ouverture de la bouche et par le biais de cet étonnement rageur ; notre but est lié (tres) à cet étonnement rageur ; il est celui du nouveau né et du bambi des prés : tout autant : sachopns en mesurer l’importance ; il s’agit d’une chose à partager ; nous ne voulons pas d’une vérité isolée et qui de  c e fait ne serait connue de personne, mais tout au contrairenous voulons d’une v  érité qui fut celle que nous aimerions qu elle fut pour tout un chacun ; notre ambition si tant est, est celle ci  ; nous voulons la vérité sur pareilles biches, ou sur pareils cerfs ; nous voulons de la vérité de roc ; nous cherchons assidument des choses qui puissenbt nous pour le coup donner un élan pour un bond d’immixtion pariétale vif ;à deux, commme de bien entendu ; nous avons le désir en nous de ce bond vif, intrapâriétal et langoureux (coït) ; cette chose est une chose qui est capitale , en cxela que le coït est la chose au monde la plus importante en ce qui con cerne ici la possibilité d’une entrée ou d’une immisxcion dans une roche de paroi de  grotte: il faut cette chose avec soi (cet étonnement de tous les instants) pour entrer ensembvle dans pareille roche de grotte ; ici l’étonnement est capital et l’emporte sur tout autre chose ; nous devons nous montrer «enfant» devant le dur du temps pariétal et cela afin de se donner toutes les chances, pour soi, pour troubler (trouer) la roche des temps, ou lma roche du temps ; cela va sans dire ;nous devons comprendre c ette choses ense’mble : main dans la main ;les mains se chevauchent qui sont dessinées cde concert, lors d’une entrée en roche de l’homme des cavezrnes ; l’homme xdes  ca vernes est joueur autan,t que chjasseur  ; il est puéril et se laisse infiltrer comme l’enfant qu il est, en toute candeur ; et cette in filtration a un nom, et ce njom eswt connu de tous et de cha cvun : il est le nom de la chose folle ; il est nom d’emprunt, nom recueilli ; il est nom qui va comme un gant à une pratique ; nbous parlons de l’art des parois et nous sommes dans le  vrai de la question telle qu elle se pose à tout un chacun sur  la surface du globe terrestre : qui est qui ? ; nous pensons qUe nous sommes nous mêmes qui parlons en bnotre nom, or il n’en est rien, je eswt un autre homme , qui lui même est un autre homme, qui lui mêzme est un autre homme, qui lui même est un aniimal  ; phacochère, bison, brebis, ours, cvheval d’attaque, kangourou, buffle etc ; nous avgons tous vu la bete devant nous et nous en sommes restés baba comme deux ronds de flan ; allons voir de pres ce qu il en est de la paroi du temps et introduisons-nous en icelle, d’un bond d’un seul (kangourou) comme deux mort de faim ; nous aimons la pieerre fatale ; nous sommes à l’intérieur de la roche qui doncv accueille l’ensemble d e cesz betes dessibnées ou gravées par des hommes des te=mps anciens ; recueillonsq nous un insqtant ; notre corps est p^ris da ns la nasse du temps et l’aurochs est là qui nbous enjmabe (chevauchge) ; nou voulons saisir toute la vérité de l’affaire ; nous voulonbs saisqir toute la vérité sur l’affaire qui nous occupe ; nous sommes ensemble pour à présent un, petit bout de temps en cette paroi, et des lors nous devons nous échanger lers dires informatifs afin de profiter à plein des données xd’ensemble receuillies par lm’un et par l ‘autre, et ce afin d’aller plus loin toujours, à l’intérieur des savoirs du monde ; nous sommes pleins et nous voulons nous délivrer de savoirs qui plomb  ent, et ainsi , nous essayons ensemble de nous immiscer à l’intérieur d’une paroi de roche dure, et cela, afin de toucher au but ; le but est le nom ; il nous faut  comprtendre le pourquoi du comment le nom est advenu (sur paroi) alors même que seulsq les animaux avaient jusqu’alors droit d’acces pariétal ; que c’est il passé dans l’intervalle ? njous ignorons beaucoup de choses car nous avons pzerdu beaucoup de cxhoses en chemin, et ces choses (parfois) nous aimerions les retrouver en nous sinon hors de nous ; nous avons des besoins ; nous avons perdu (de nous) bien des choses ; ces choses rezviendront vers nous ou ne reviendront pas, comment sa voir ? ; nous avons perdu bien des choses en cheminb ; nos mains ne sont pas fiables ; marquons sur la roche le nombre de mùains apposées ; nous avons perdus bien des choses depuis le début ; nos mùains ont laché des chose et ces chgoses à p^résent nbous manquent, nous man,quent beaucoup^ ; commùent retrouver la voie qui était la notre a utrefois , lorsque nous étions des  hommes des cavernes ; nous ne savons pas bien comment nous y prendre et cependanrt nous chercghons toujours, nous ne voulons pas  lacher le morceau (la bete) car la bete sa it pour nous, incommensurablement ; il s’agit d’un savoir fou ; il s’agit du savoir animakl qui est un savoir fou ; ce savoir animal est le wseul qui tienne (tint) la route et le seul qui pourrait (puisse) nouys dsonner de quoi nous redresser à l’intérieur de nos rechezrches ; njous cher hons à tra vers une pâroi, et pour ce faire nous nous intro duisons à l’intérieur de celle cxi, grace à des apports de transe (notammen) et du fait d’un coït avec la paroi ; nous sommes fous avec les fous ; c’està dire que nous sommùes commùe les animaux ici représentés sous nos yeux d’enfants ; nous voulons aller tres loin, le plus possible, à l(intériuer et de la grotte d’a bord, et de la paroi ensuite ; nous cherchons issue de secours pour une immixtion de tous les instants (sans faute) de notre mobile humain de base ; nous rentrons de concert, dans un cri unilatéral ; nous sommes entrés ; nous sommes entrés dans pa reille foli suave ; nous sommes entrés dans une roche qui est dure comme de la pierre éternelle ; nous sommes ensemble liés àla pierre et avons à découvrir le pot aux roses ensemble, elle et moi ; pour une approche juste et avérée ; nous gravitonsq ; notre souhait a été formulé ainsi, en amont du bond, en tant qu il est (ce souhait) la preuve de notre sérieux et de toute notre gentillesse d’abord : les animaux sont nos amis, nous ne voulons pâs leur faire xdu mal, nous voulons les c aeresser et les choyer ; il s’agit pour nous d’un e volonté de tous les instants, sans manquements ; notre volonté et notre but sont tres largement affichés partout où n ous opassons, partout où nous posons notre pied ; nous avons des besoins qui sont à combler en paroi de roche et ces besoins nous ressemblent, ils ont la bouille de leurs employeurs, ils sont tout comme nous : suaves ; notre ambition ici , est de gratter le film de la parooi, ce film qui la recouvre comme un givre, et de nous immiscer en cette (donc) paroi comme da ns une sorte de lit d’amour ; nous voulons cxonnaitre le fin mot de toute l’histoire ; nous cherchons la vérité dans la superficialité des choses pariétales en tout premier lieu, puis dans la p^rofondeur de la roche (au sein du sein des betes) en deuxièmùe ;  nous concédons certaines choses pour en cerner d’autres ; nous avons pour nous des choses à donner afin de faire place en nous pour acvceuillir d’autres données , d’autres véreités etc, qui puissent njous offrir en quelque sorte quezlques cvertitudes ; nous pôuvons rezgarder les betes charger pres cde nous, car nous avbons des yeux dx’enfants pour voir ; nous voyons rugir les antil:opes ; nous voyons rugir les lionnes ; nous sommes au milieu des betes dessiné&es, nous sommes ensemble comme faisant partie d’un groupe de betes préhistoriques ; nous les rezgardons avec a ttention ; nous aimons regarder les betes avec attention et nous faisons cela avec sérieux et avec joie car nous aimons, nous aimons les betes, nous aimons ces betes qui sont dessinées à main levée pâr des hommes fous ; nous le savopns ; nous savons cette folie qui est celle (ici) de l’homme des cavezrnes, car l’homme des cavernes est un homme fou ; l’homme des cavernes porte en lui cette folie (féerie) du temps pariétal, faite de cornes et de bois : biches, chevreuils, cerfs ; nous sommes des bambis nous-mêmes et allon s pa r les prés nous susqtenter en herbe verte ; nous sommes nous mêmes des biches des prés ; nous allons par les prés vers des grottes, et dans celles-ci nous dessinons des betes sur la pierre, nous dessinons à mùain levée bete sur pierre  et nous crions avec le feu ; nous sommes des etres qui sommes comme des etres qui prenons en  nous des choses qui nous traversent ; nous passons ; npus sommes des etres qui ezn nous avons des choses qui passent vers des sortes de parois préhistoriques et ainsi nous sommes des hommes et des femmes, quyi dessinons à m^eme la roche, des fééries animalières, et cela dans la tran,se et en lévitation ; nous sommes ensemble immiscés, et nous nous tenons par lma main ; nous sommes un couple (un homme et une femme) et nous sommes comme pris dans une sorte de gangue (une femme et un homme) qui nous encercle et nous retient de tomber : homme et femme ensemble pour une sorte de lévitaztion permanente dans roche, dsans roc, dans paroi, sans grotte, dans bete, dans cheval, bison, buffle, ours, renard, antilope ; nous ne voulons pas nous désunir , aussi nous ne nous lachons pas la main un seul instant ; il s’agit encore et toujours d’instants cumulés et le cumul de tous les instants entrainent l(‘immixtion du couple en roche dure ; notre joie est intacte en cette paroi ; notre ambition est demesurée ; nous nous promenons dans les bois dès que nous en ressentons ensembkle (de concert) le besoin  ; nous gravitons de la sorte aux alen,tours de notre chez nous ; nous chezrchons les betes ; nous cherchons des betes à voir ; nous sommes qui sommes en recherche, et ce depuis le jour (l(instant) de notre venue au monde ; nous sommes tous deux à la recherche d’intstants qui puissent nous offrir des éclaircissements sur tout ce qui peut-être constitue la trame du monde ; nous sommes ainsi chacun comme mû par une volonté d’airain qui est celle de vouloir savoir ce qu il en est de la marche du monde, et cela à travers cvette «féerie animalière pa riétale» qui estv la féérie animalière du dur du temps, ou de la dureté du temps ; le roc est en saillie, et nous lorgne ; enfantsb nous passons près de lui ; nous sommes deux car nous sommes ensemble, comme soudeés par le temps qui nous pousse à agir de la sorte ; nhotre ambition est placardée partout et se nomme «a rt des tuyaux» ou «art des boyaux» ; nous avons la chance de pouvoir ensemble y voir quelque chose, dans le noir de pareille grotte ; nous voyons avec des yeux d’enfant ; notre regard est celui d’un enfant naissant, en toute fraicheur d’advenue récente, etc ; nous ne savons plus commùent faire , nous avons perdu des savoirs, nous ne savons plus comment nous y prendre pour franchir le cap du roc ; nous sommes pris dans la nasse du temps, qui nous absorbe, qui nous catapulte ; nnous voulons y voir cla ir et pour cela nous traçons à même la paroi , des traits et des pôints, etc, en grand nombre ; ,nous ne sommes pas en reste de vouloir comprtendre une bonne fois pour toutes les dfiifférentes raisons qui président à la marche du monde, et pour cela nous avons choisi l’(option «immixtion en pa roi», car il nous a semblé qu’il était judicieux d’ainsi aller ensemble et non isolémez,nt à l’intérieur de la paroi du temps, pa rmi les betes représentées ; nous avons pensé ensemble que la vérité se l:ogeait ainsi au coeur de la roche et nulle part ailleurs ; nous avons eu la faiblesse de penser, que la roche, le roc, la pierre, la grotte recelent une bvéritéb qui est la vérité de l’homme des cavernes : y voyait-il cl air ? oui ; il était l’homme qui  voit clair et distingue le bon fruit de l’ivraie ; nous sommes ses descendants, et avons perdu nombre des savoirs qui étaie,nt les siens, et cela est triste (peut-être) ; nous avons perdus grand nombre de ces savoirs, hélas (hélas ?) car nos :mains ne wsont pas fiables et ne cessent de tomber des choses, à nos pieds ou aux pieds de qui de droit s’impose à notre vue, c’est-à-dire à nos devants ; nous sommes liés par des recherches communes, qui sont recherches de laboratoire ; notre soucvi a quelqUE chose de médieval, d’ancestral ; nous poussons nos recherches loin et esp^érons trouver des pépites, etc ; nous espérons que pour nous la paroi sera salutaire et nous permettra de mieux appréhender les choses du monde ancestral ; les choses sont telles que nous nous voyons comme dan l’obligation d’intégrer la meute, la calvalcad représentée  ; avons nous le choix ? non, nous n’avons pas le choix ; nous sommes encerclés ; nous sommes soumis à la dureté des temps pariétaux ; nous sommses pris dans un étau et celui ci est celui (de fait)qui nous voit naitre bouche bée ;  nous voulons aller vers du vrai , vers de la véerité vraie de pa roi de roche, nous voulons le vrai du pariétal de bête, etc, nous sommes mûs comme des chevaux qui cxhargent ou chargeraient au fond d’une grotte an,tédiluvieenne ; nous sommesq proches, nous sommes proches l’un de l’autre ; nous sommes des proches ; nous sommes proches et l’un et lautre de l’un et de l’autre ; nous sommes comme proches de soi, de chacun ; nous sommes comme des proches l’un envers l’autre, nos propres proches ; mes proches sont ceux là mêmes que je vois courir sur la roche ; mesproches sont des animaux ; il s’agit de betes qui chargent dans le roc et se p)retent à nos  caressses ;nous aimons ces betes commes des soeurs ; nbous sommes ensembvle pour aller ainsi le plus loin possible à l’intérieur de la paroi du monde et ainsi faiqsa nt nous tombons ensemble sur du xdur de roche et sur de l’animal (fouu) en féerie ; nous voyons toutes ces choses s’estomper dans notre vue sur elles , en paroi, en roche : une ewstompe douce des traits relevés, un effacement douceureux des traits en présence, à sa voir   ceux des biches bambis et des cerfs boiszés ; effacvemen,t dans la brume, effacement dans la blancheur de la brume de roche ; nous essayons de ne pas qUIIITTER DU regard ces betes de contes de fée ; nous les pistons ; nous surveillons leurs allers et venues, leurs écarts, leurs ébats, leur dispa ritions ; nousd les aimons beaucoup et pour  cela nous renaclons à les voir disparaitre de notre vue ; le brouillard de roche gagn,e et efface peu à peu les traits distinctifs des betes en présence en pareille loge ; bambi est à l’écart et se voit encore, il ws’agit d’une bete douce ; nous aimons bambi aussi ; nous voulons voir ce bambi encore sous nos yeux ; nous voulons ce ba mbvi encore le voir déambuler dans la roche du temps pariétal ; nous avonbs de l’estime, de l’admiration pour bambi ; bamùbi est notre joie et notre amour, ; nous aimonns beaucoup bambi, qui est l’animal quii nous chevauche (nous enjambe) lorsque nous deux nous tenons allongés à même le sol de la paroi de grotte ; nous regardons aller ezt venir bambi dans la grotte, nous le rega rdons nous regarder mais nous voit il ? ; nous pensons que oui ; l’image eest celle que nous pouvons voir en n ous dans la groote, l’image en nous (du bambi suave) est celle que nous pouvons voir sur les parois des grottes de la préhistoire ; autrement dit : nous sommes porteurs en nous d’images de bambis en tous points conformes à ceux rencontrés dessinés ou gravés sur des parois de grottes d’hommes des cavezrnes ; le bambi est similaire ; il s’a git de betes qui, de fait, sont en nous des images de charge, pesantes, chaudes, logées, et ces images nous les retrouvons sur la pierre des parois des grottes ornementées aux qUatre coin du monde ; nous avons la cxhance ainsi, de porter en nous cette féerie rupestre ; nous avons cette chance de pouvoir porter en nous ceette chose d’une féérie, bambine, bambesque, comme pareillement paroi de grotte contient (porte) l’image de la féérie (animale) du temps des cavernesz ; bnotre féerie à nous se loge en cet espace ouvert en nous qui est celui du temps (pariétal) in filtré ; nous voyons tout cela d’un oeil frai, de l’oeil du nbouveau né ; nous sqommes munisq de sortes de capacités qui nous permezttent toutes sortes de pôssibilités dans le domaine de la captation de xdonnées ou dfe la préhension de savoirs rupestres ; cela est la chance dont nous sommes porteurs ensermble ; cela est une chance à double titre : 1 car nous sommes 2 à en profiter, et 2 car nous pouvons grace à elle (chance) aller à demeure (logé-lové) à l’intérieur de la paroi en dur du temps de lm’»homme des cavernes etc ;  nous avons cette possibilité en nous, de pouvoir (toujours) aller ezt venir à travers le film de la roche, et ce dans une sorte d’abandon à deux d’un soi personnel , de deux «soi» pour ainsi dire, qui, «soi», forment (déforment ?) le couple sauteur ; nous plongeons tete p^rzemière, cela est bon et bond ; nous entrons dans la paroi du temps et, faisant cela, nous nous immisçons ensemble dans le coeur de l’antre pariétal, à savoir la bete, la bete qui est celle (debout, majestueuse, élancée) que nous contenions par devers nous depuis la nuit des temps ; nous contenions zensemble l’animall , c’est à dire à deux ; l’animal est cette chose qui en nous nous contenait en deux, ou deux ; l’animal en nous était (est ?) cette chose qui, dans nous, offrait ce double de «soi» ou ce «soi» x 2, ou comment ?  ; cet animal rezprésenté était ou est pour nous l’aspect en nous de la duplicité des choses terrestres, et dès lors il parle ezn nos deux noms, ou en ces deux noms, en nous, lorsquil parle sur paroi de grotte ; main négative et main positive ; cela est ce que nous voyons ; cela est cette chose que nous voyons ensemble, depuyis cet endroit de la grotte où nous sommes lovés pour le meilleur et pour le pire animalier ; l’animal en nbous eswt la duplicité en nbous, soit l’aspect duel de notre anima mâle et femina ; nous parlons de la paroi comme étant le temps qu il nous est donné de fait d’occuper à deux , en roc ou roche, allongé lové (coït) pour une immixcion verbale, physique , de tous les instants et cela sans manquements ; le train de vie (ou de la vie) nous entreaine dans une pa roi qui est la paroi de deux etres qui , main dans la main, regardent passer pres d’eux les betes rugissantes ; 

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2/10/2020

nous avons pour nous cette chose en nous d’un amour pour cette chose , qu’est cet art des grottes ; il s’agit d(un art du fin fond des chose : de la terre-mère, et du phrasé tel qu’on peut de fait l’imaginer à l’intérieur, sur des parois de roche, ou ailleurs, en extérieur, aux abords des excavations de toutes sortes ; nous aimons particulièrement ces cohortes animalières qui chevauchent les parois en des sortes de cavalcade fort impressionnante ; nous aimons particulièrement les dessins (ou gravures) de bêtes, nous les regardonsd ensemble avec une attention de tous les instants et voyons en ces représentations beaucoup de choses qui nous retiennent et nous intriguent ; nous aimons ces betes de charge devant nous qui sont l’art tel que nous pouvons l’imaginer voire le définir ; nous pensons que l’art (en général) a à voir avec cette donnée animalière rupestre ; nous pensons que l’art est une chose qui a fortement à voir avec cette donnée telle qu ‘elle nous est offerte sur tant et tant de parois de grotte dans le monde ; nous pensons que l’art est avvant toutes choses l’art des cavernes, soit une représentation animalière, une cohorte ; l’art (pour nous = à nos yeux)- est ceytte cohorte posée devant soi, comme un présent, et qui vient s’interposer dès lors entre soi et cet au-delà des choses qui (au-delà ) se maintient dans une zone où la vision ne peut entrer , à savoir la zone de la pierre dure, où la vision ne peut a priori pas entrer, où la vision ne peutpas entrer a priori, et cette zone est la zone de la roche dure, de cet intérieur de paroi du temps, zone dure s’il en est, qui nous attire fort comme un aimant, nous attire tous les deux et nous fait signe ici, en une grotte cachée, à l’abri du chahut du monde ; nous pensons que cela est qui nous attire, cette roche dure contenant cet au delà du monde, cette chose qui serait un au delà du monde matériel et ce : au coeur de la matière ; nous aimons ce coeur de roche et tentons l’impossible pour le pénétrer ensemble ; il s’agit pour nous d’une gageure ; nous voulons faire cela et nous le faisons, nous voulons faire ce bond dans la roche, nous prenons notre élan et hop nous y sommes ; il s’agit pour nous d’un élan de grande importance, car pour nous l’art (cette chose) est la grande affaire, une affaire qui concerne cette chose de lma mort qui rôde (guette ?) aux alentours (au sein du monde)  ; il semble que l’art est (soit) une chose vitale mais comment, cela ? il nous est (encore) difficile de l’appréhender, maiis nouys y travaillons d’arrache-pied et nous espérons fort pouvoir un de ces jours arriver à nos fins ; nous pensons que nous devons creuser ensemble dands le sens d’une immixtion en paroi de roche ; nous avons cette certitude ; l’art pour nous est cet art de l’immixtion dans le dur du temps ; nous sommes à quelque chose près sûr, quasiment sûr, que l’art est cette chose qui est cet appel de la roche, de la paroi = cette transe interne, cette transe générale , qui nous prend dans son giron comme une bienfaitrice ; nous sommes à quelque chose prèds sûrs de cette chose, comme quio l’art est une sorte de donnée de face, de type paroi de temps, qui s’interpose mais fait son appel éperdu afin de nous voir de ce fait bondir (d’un trait d’un seul) en pareille roche dure de la grotte qui nousq accueille ; nous pensons que cette chose est fort importante et que l’art en interposition est celui qui tient dans le temps : en paroi, en ce dur de la paroi du temps , etc ; notre vision est donc celle que nous développons, ensemble, à l’intérieur de la roche ; nous nous sommes allongés et nous pouvons nous rendre compte de cette chose, d’une sorte de cohorte animazlière nous jouxtant (et comment !ç) tandis qu elle pass à nos côtés, fulminant ; nous aimons ces betes fauves, qui vont leur train sans trop se soucier de nos corps nus , allongés en cette paroi froide, allongés et ne bougeant plus d’un iota ; notre but ici est de faire en sorte, que pareille tribu (meute ou troupeau) ne vienne pas nous piétiner comme de la piétaille ; nous voulons rester intacts ; nous ne voulons pas être abimés par des coups de sabots intempestifs ; nous voulons connaitre cette chose d’une vision, depuis l’intérieur de la roche , de ces betes de charge tonitruantes ; nous voulobns savoir ce que la roche contient en termes de profondeurs ; nous cherchons ensemble (= nous) ces profondeurs pour nous, ce fin fond de roche humide, ou froide seulement ; nous cherchons des choses dans l’humide des profondeurs, nous sommes assidus ; nous cherchons avec beaucoup de tenacité et de volonté ces choses des profondeurs, cette profondeur dans la paroi, ce fin fond de roche, nous le voulons ; nous cherchons au plus profond de la roche animalière, au plus profond de cette paroi temporelle ; nous voulons toucher le fond de la roche et voilà pourquoi nous faisons de la sorte ce bond en avant dans la roche du temps ; nous voulons aller profond en elle et chevaucher le temps, le temps pariétal, comme nous le ferions d’une bete : cheval, jument, ane, chameau, etc ; nous aimons cette chose de crever ainsi (pics) la roche du temps qui défile sous nos yeux, et cela depuis longtemps ; nous voulons aller loin en cette chose de’une immixtion, pariétale, rupestre, commune ; notre but ici s’affiche en toutes lettres (néon) sous nos yeux, il s’agit de cette chose d’une volonté (un désir) d’aller azinsi à deux au coeur de la roche du temps, qui est de fait cet endroit que l’art (la bete) habite en meute ; nous passons ainsi du sol de la grotte au coeur de la roche, au beau milieu des betes de charge ; nous passons ainsi de ce sol pierreux de la grotte (osselets) au coeur de la roche : betes qui chargent leur pesant de sens comme (peut-être) des mots de langage, comme mots d’un langage inclus ; nous pensons que nous avons cette chose à faire (ce bond) et que la chose a une signification (quelque part dans cette sphère de la représentation grégaire animalière)  ; nous voulons aller au plus profond de cette paroi et nous immiscer ensemble (soit main dans la main = coït) pour une réflexion dans la profondeur, autour de la question (ici) de l’art des parois, qui est l’art tout court en vérité ; il semblerait cette chose que, en définitive, l’art rupestre (du magdalénien par exemple) soit cet art qui nous occupe depuis le début = l’art tout court, ce substrat ; nous pensons que nous avons affaire à un art ici (de paroi) qui à lui seul résume la situation, à savoir celle qui nous occupe, à savoir cette notion d’un art quyi serait ce bond en avant dans la paroi du temps, qui serait ce présent (offert) au pied d’un domaine ; nous pensons qUE nous devons creusqer toujours davantage cette question ensemble ; jhpous pensons que nous devons aller profond et creuser toujours plus cette paroi, entrer dans les profondeurs et nous y loger le plus longtemps possible (le coït ici)  ; la chose est comme entendue, il s’agit d’une chose qui nous tient à coeur ; nous aimons cette chose pariétale en  cela qu elle nous contient et nous prend en elle ; il s’agit d’une prise ; nous aimons cette prise (emprise) pariétale temporelle et cependant nous n,e sommes pas encore tout à fait sûrs de cette chose, comme quoi lza paroi du temps est ou serait l’allié (l’art) que nous imaginons ; il s’agit d’une réflexion que nous menons ; nous ne sommes sûrs de rien, et cependant nous pérorons à tous bouts de champs, nous y allons gaiement dans la péroraison, car les mots s’y prêtent , qui nous en fichent plein la bouche hélas !, de ces bnetes fauves, de ces meutes ou de ces troupeaux  ; nous savons toutes ces choses : de nous sont sortants des betes, via trou-bouche, en des sortes de ficelles ou cordages (fibres, vrilles, vrillettes) qui sont autant de pic de roche (le temps) pour une incision -insertion ; nous savons toutes ces choses: ces mots en bouche qui sont mots de l’emporte pié-èce, mots définis ou définitifs, ce définitif en nous qui est cette parole d’une autorité inckluse etc ; nous opensons que nous abvons pour le coup mieux à faire que de pérorer comme des benêts, rapportant à la surface la crème des crèmes langagières, nous pensons que notre rôle ici (en paroi) ne relève pas de pareille chose mais plutot se situe autour de la question du temps, tel qu il s’immisce, tel qu il est inclus, etc, en roche ; nous voulons savoir beaucoup de choses et partons à l’abordage (bond) en pareille paroi dure ; nous entrons dans la roche main dans la main, et là nous regardons ce qui se passe ; nous voyons des betes de grosse taille pour la plupart sinon toutes ; il s’agit de betes qui se chevauchent, se superpose nt ; nous les aimons = nous aimons ces betes  -traits qui nous ignorent, qui font leur train sans plus se soucier en vérité de  notre présence ; nous sommes à l’intériuer de la grotte, et à l’intérieur de kla roche (dans le dur), et peut etre à l’intérieur du troupeau et qui sait : à l’intérieur de cette bete en particulier , l’aurochs ; nous cherchons )à comprendre  ce qui se passe à l’intérieur du temps , et ce qu’y s’y passe nous sembvle relever d’une question liée à l’animalité ; nous voulons savoir beaucoup de choses et nous cherchons ainsi des solutions à dees problèmes que nous nous posons, depuis un bail à présent, et ces problèmes tous relèvent de cette question de l’animalité ; nous cherchons au coeur du temps à comprendre ce que c’est que cette chose d’une sorte d’immixtion en iceluyi, en lui, en ce temps pariétal qui nous aimante, nous attire, nous prend dans ou en son sein, nous fait du pied, etc ; nous voulons savoir les ressorts qui président à pareil appel de pied devenant de la paroi du temps ; nous sommùes friands de savoirs ; notre ambitiuon a pour origine cette chose animalière en nous, cette chose en nous d’une bete (un troupeau ?) qui cherche une issue physique (un trou) par où passer le bout de son nez ou museau  ; nous sommes comme occupé de l’intérieur par pareille bete en  nous (la pensée, la parole, le désir, la salive, etc) qui ne demande qu’à sortir de nous ; notre ambition est donc celle ci qui nous voit faire, là, ce bond vers la paroi, afin de pour le coup perforer celle ci de notre pic de bave animalier, bave entre guillemets, et cela fait, nous entrons dans une dimension qUI est celle du temps des parois ; nous savons beaucoup de choses et nous voulons (ces choses) les porter à la lumière, les mener en plein jour, pour susciter une lecture de tout un chacvun qui tomberait sur nos rapports ; la chose est celle ci que nousq cherchons ensemble à produire, à savoir ce rapport de betes pour ainsi dire, pour une deécouverte à) divulguer fissa à qui veut l’entendre, etc ; nous sommes partageurs ; nous voulons faire suivre ; nous comprenons que la paroi du temps est l’affaire numéro 1, et le numéro 2 est la question de l’art, de cet art que nous  voyons, commme lié, attachjé à cette question de la paroi du temps ; nous cherchons deès lors une issue à toute cette affaire de parois et d’art rupestr, ; nous pensons maghdalénien ; nous pensons que nous devons agir ainsi, dans une sorte de pensée (pour ainsi dire) du magdalénien, qui nous irait, finalement (tous les comptes faits), comme un gant, le gant de l’art, le gant = l’enveloppe, la coque, la gousse, le manteau etc: ; l’habit ; nous avons cette chance pour nbous , de comprendre ici le pourquoi du comment nous comprenons toute cette affaire de l’art en tant qu il s’agirait d’une question précise , liée au temps pariétal, à cette notion d’un temps lié (très-lié) à la question de la paroi en dur, , à la question de la paroi d’un temps qui est ou qui serait dur, d’un temps qui ne se laisse pas chevaucher si facilement mais demande une sorte de savoir pour cette chose ; nous savopns qu il s’agit d’un temps très-lié à la question de la paroi, du dur de la roche ; l

a roche est dure , qui ne se laisse pas apprivoiser (chevaucher) comme ça lmais demande une expertise ; nous avons cette chance de notre côté, de savcoir et pouvoir agir et faire ce bond en avant, ce bond qui nous permet ensemble de nous immiscer fissa en pareille roche et dès lors de comprendre ainsi les tenants et les aboutissants liés à pareille paroi ; nous sommes solidaires (tres) en ce sens ; nous nous tenons oar la main ; nous ne nous lachons pas d’une semelle, nous = deux, sommes enwsembkle pour une immixtion sa lutaire en pareille paroi de roche dure, en ce temps du dur de la paroi de roche ; nous sqommes ensemble en icelle (en elle), et fleurons la terre en elle  = la roche, ce roc de terre-mere en elle, ce roc ici qui est le substrat, et le fin fond de ce que nous cherchons à mettre en lumière  ; nous avons de grandes ambitions, nbous les affichons de conserve en placvardant, ici ou là, de ces affichettes tel  qu un cirque de village les placarde, sur x pylones, aux alentours de ledit village ; il est 

pour nous une chance de pouvoir ainsi faire cette chose, de nous annoncer, de nous présenter et de nous allonger en cette paroi, en ce dur de la roche, en ce dur de roche qui est celle que nous connaissons ensemble ; nous allons fissa ainsi, nous allons au sein, nous sommes en dedans de cette roche dure, ; nous sommes immiscés ensemble en elle et nous regartdons autour de nous passer les betes qui chargent et nous regardent d’un air de deux airs : l’aurochs et le bison, le buffle et le phacochère ; nous aimons la bete pprès de nous , nous l’aimons en ce qu elle est pour nous cette chose chargée, cette chose comme un mot chargé de sens, de significations diverses ; nous la regardons pzasser pres de nous ; il s’agit d’une chose massive et forte, qui nous voit et cependant semble nous ignorer ; nous sommes nus comme des vers, nous sommes tous deux allongés pres des betes de charge, ces mots-animaux qui nous regardent «d’un oeil», qui nous regarde mais nous voient -ils  ? ce sont des animaux qui sont pour nous des betes fauves, lourdes de sens, qui paissent terre-mère et nous frolent de leur naseau en pareille roche ; nous sommes à l’intérieur de la roche, et nous espérons y rester un temps pour nous suffisant pour comprendre ce qui ressort de pareille situation temporelle, pariétale, animalière, rocheuse ; le temps ici est pour nous la roche c’est )à dire pour le coup ce dur de roc qui nous contient, nous prend, nous absorbe fissa en son sein comme une matrice ; nous   sommes allongés comme des cadavresq, nous sommes nus comme des  vers et allongés comme des morts qui jonchent ce parterre temporel ; nous y allons ainsi d’un bond d’un seul ensemble, et nous allongeeons ; nous sommes nus ; nous sommes ensemble (= main dans la main) comme adam et eve dans le jardin ; nous passons ainsi du parterre de grotte (ce sol humide) à) cett intérieur de roche dure, qui nous voit nous allonger et écouter le brouhaha en elle (en roche) du fait de  ce piétinemen,t animalier adjacent : il s’agit dee la charge de proximité ; nous voyons tout cela avec nos yeux, nous regardons attenti vement ce qui setrame ; nous essayons de n’en pas perdre une miettte, de ne pas en perdre une miette ; nous sommes ensemble allongés, et nous regardons tout ce qui xse trame autour de nous en cette matière animaliè!re ; nous voyons les betes fumer de leurs naseaux ; nous voyons toutes ces betes fumantes et nous restons cote à cote sans bouger, sur ce sol de paroi de grootte, inclus comme ces betes dessinées ou grav»ées, et nous nous disons que nous faisons pour ainsi dire partie du troupeau tel qu il nous apparait de l(intérieur ; nous sommes inclus dans cette chose d’une roche à betes, à betes de charge, massives et tonitruantes ; nous faisons pour ainsi dire partie du troupeau ; nous sommes pris ensemble dans cette aventure d’une sorte de charge animale, qui va son chemin (de la ghauche vers la droite) et file ainsi sur roche, en paroi, proche de n ous qui sommes nus comme des vermissaux et écoutons ce qui se trame ici, en ce lieu de charge et de dureté pariétale  ; nous aimons : nous disons ; nous disons toutes ces choses ensemble, les lio,ns en un bouquet de verbe pariétal, ce même bouquet qui nous sezrt de pique d’entrée de roche, etc = cette chose en nous , qui est une corne, une vrille, une clé pour ainsi dire, cette clé pour une ouverture de porte ; la paroi est ainsi cette chose verrouillée que nous cherchons à si possible déverouiller afin de pour le coup pouvoir nous immiscer en elle sans plus de souci que celui ici de faire un bond (un seul) à deux en elle ou vers elle ; nous aimons cette chose d’un bond, ici, à effectuer, pour entrer en pareille roche animalière et c’est ainsi que nous faisons, en nous tenant par la main, en ne nous lachant pas, nous voulons agir de cette sorte ensemble ; nous sommes ensemble pour cette raison que nous devons ensemble agir pour un déverouillement de pareille paroi, de pareille paroi temporelle ; nous devons, pour pareille aaction, nous coller ensemble et sauter, faire cette chose, ce bond fissa en avant de soi et entrer ; à deux la chose devient plus facile et permet une immixtion complète ; nous le savons , et nous cherchons dès lors à) nous glisser parmi toutes ces betes dessinées qui nous environnent ; nous pensons ainsi que nous devons aller au plus profond de la pâroi, afin d’y trouver les raisons qui président à la notion du temps tel que peut-être nous pouvons le dessiner pour nous, ici même, sur roc, au charbon de bois ou autrement ; nous sommes en,semble dans ce but ; et ce but est affiché (clameur) haut et fort, comme est affichée une affichette pour (il se peut) un évènement à venir comme le passage d’un cirque par exemple ; nous allons ain si ensemble en pareille paroi et nous essayons de comprendre au mùieux ce que celle ci contient en son sein en matière de sens, de signification animalière ou autres ; nous avons cette chance de pouvoir sauter ensemble, eve, a dam, en pareille paroi qui nous recoit nus comme des vers, qui nous permet la station assise,  ou debout, ou allongée, ou même à quatre pattree comme un buffle etc ; nous cherchons à nous immiscer de la sorte en ces profondeurs, et dès lors nous nous retrouveons ainsi à devoir écouter (de l’intérieur) le bruit de la bête de somme etc ; nous l’écoutons ; nous cherchons la position qui nous convient le mieux, nbous cherchons ensemble cette position ; nous essayons de trouver pareille position ensemble, ici, au sein du sein ; nous essayons de comprendre les tenants et kles aboutissants de cette affaire et cela n’est pas simple, car nous devons, pour cela, nous serrer les coudes, nous faire petits et aller profond par des passages étroits (des conduits) qui nous mène en des lieux qui sont ceux que nous voulons peut-être connaitre lle plus (explorer) pour une connaisqsance del’ensemble des données (pariétales) telles que nous cherchons à (de fait) les regarder ensemble, ou les c onnaitre ensemble (nous deux)  ; il est important de voir cette chose ensemble ; il est capital de voir ensemble cette chose ; nous saurons ainsi ce qu il en est de cette affaire de paroi de roche (arty du dire ici) et de ces betes, qui chargent à nos côtés et nous regardent ds(‘un oeil (semble til)- distrait ; bnous poussons la réflecxion ensemble ici dans le sens d’une pensée de roche ; nous voulons ainsi que si pensée en bnous il y a ici, alors que celle ci soit celle qui nous voit akller fissa au centrte de la terre, à la recherche de cet au delà terrestre , de cet audelà des chose, et encore au delà ; nous voulons comprendre le pourquoi des choses ici bas, la mort et le souffle des betes, la vie viveet les pas des buffkles sur la roche etc ; la forme des cghoses, le substrat, les conditions de la matière, l’appel de bouche-mort etc ; nous voulons savoir beaucoup de choses, nous voulons dé»couvrir un grand nombre de choses autour de nous, nous chertchons à découvrir tout un tas de choses qui nous entourent, toutes ces choses qui nous entourent, nous encerclent et obstruent le passage pour une visio n, pour une immixtion ; nous sommes d’accvord pour ensemble dire cettre chose, et nous la disons en roche ; nous passons ainsi tete première en elle, nous faufilons, et allons ainsi en pareille roche, à la recherche d’une vérité animalière ; nous pouvonbs penser que l’animal est ce mot de trop qui va son chemin pariétal de survenue rupestre et nous regarde ici d’un oeil ;il nous regarde d’un oeil distrait ; il est près de nous qui nous regarde d’un oeil distrait et nous laisse aller, en pareille roche, nous allon ger, nbous blottir, etc ; nous pênsons que nous devons ainsi aller en roche afin de mieux appréhender l’ensemble desq choses ici en présence, concernant et la vie pariétale et la morts des choses terrestres ; nous pensons que nous avons cette chose à faire, et nous la faisons de cette manière (art) que nous envisageons, de cette manière que pour le coup nous développons en pareil lieu, en cette roche dure ; en pareille roche ; notre but est affiché et clamé et ne souffre aucune ou d’aucune sorte de malentendus, du moins à nos yeux ; nous essayons de chercher ainsii des éléments de réponses en intra, au coeur de la pa roi ; nous essayons de comprendre ce qui est, ce quyi se trame ici ; les betes qui sont dessinées (ou gravées) l’ont é»té par des personnnes possiblement en,vahies, priises d’assaut et menées par le bout du nez pour ainsi dire ; nous savons à présent toutes ces choses ; nous essayonds de com^rendre ce qui est au fin fond de la roche du temps , et ce qui est est cette chose d’un art rupestre animalier, fortement ressemblant aux modèles (choisis) de base ; il s’agit de cet art, qui est l’art de la ressemblance à fins de parades ; nous avbons pour nous cette pensée, comme quoi laressemblance est capitale : la notion de ressemblance ; nous pe,nsons que nous devons aller le plus profond possible au sein de  la roche (creuser) et nous immiscver en elle par la bande, à savoir : par le fait du pic, de ce pic que nous faisons ensemble, blottis ; nous cherchons à nous introduire au plus profond de la paroi du temps, au plus profond de la roche, et nous allons ainsi ensermble, allongés, par des trous de roche, par des passages menus, étroits, qui laissent peu de place, qui donne peu en matière de p lace où se faufiler ; nous entrons tout de même en ce sqein des sein pariétal (nous yy sommes) et voyons toutes ces choses , tout cela qui est à voir : ce bison de roche, cet aureochs aux mille odeurs, cette antilope fine, ce chevreuil aux bois d’a rgent, cette multitudes de chevaux ailés et ces licornes, cette féerie a nimalière autour de nous, cet enchantement animal , cet encjhantement ; nous allons ainsi, au p ;lus cxlair de la paroi , au plus intérieur, et comprenons alors qu il s’a git d’une chose entière, pleine, construite, élaborée, pleine d’elle ; il sq’agit d’un coeur ici de roche habitée ; nous comprenons ici que nous avonsq affaire à (semble-t-il) un coeur de roche qui (roche) est habitée par une sorte de cohorte de betes fauves, belles, nettes, debout sur leurs pattes, sublimes, dignes, rousses ou blanches, beiges ou brunes, noires ou grises etc ; nous nous allongeons et les écoutons aller et v enir ;elles sont pour nous dessignes de vie , qui vont à dire ce que nous voulons entendre , à savoir ce quyi est de ce qui se trame ; nous voyons ces betes autour de nous qui vont et viennent et nous voient d’un oeil distrait, nous regarde et nous ignore (pour ainsi dire)  ; nous sommes pris dans la paroi du temps, nous avbons franchi un palier ; nous avons sauté le pas ; nous sommes entrés ensemble et pour ce faire avons szerrés nos cvorps l’un l’autrte et vlam ensemble, fissa, en pareille paroi, pour une immersion, pour une immixtion, pour une insertion cvommune ; nous avons ainsi franchi ce paes et à présent nous pôuvonbs regarder (explorer) la trame : une paroi de temps habitée, une sorte cde jardin aux betes colorées qui brooutent, se baladent ainsi broutant (ou pas) et nous regardant d’un oeil ; nous sommes dans le wsein cdes seins ; nous sommesq entrés en cette chose ici , d’un sein cdes seins qui est celyui que nous subodoriiions depuis longtemùps ; nous sommmes à l’intérieur, nous sommes insérés en lui et nous humons l’endroit, nous en respirons l’air ambiant qui est air que le buffle ou l’antilope, ou le cheval rejettent de concert ; nous avons pour nous cette chance qui est une chute en pareil «sein des seins pariétal» ; nous vouliiions et voilà, nous y sommes inzsérées, nous sommes insérés, nous le voulions et nous le sommes ; nous sommes, en ce sei n des seins, comme adam ou eve en leur eden, nous sommes à lk’intériuer de cet éden animalier qyui n’est autre que cette chose de type paroi, chose pariétale rocheuxse, chose d’une roche de vie inszéré dans un temps animalier ; nous avons une grande chance pour nous, nbous avons pour nous cette chance folle, de pouvoir ainsi aller fissa en pareille paroi de roche animalière : aurocxhs, aurochs, aurochs en bande ; nous aimons ces choses et nous lions ces choses, ces cohortes entre elles : noyus lions-lisons, nous sommes qui lions entre elles ces betes, par une lecture ici même de l’ensemble de ces élements de roche en présen,ce ; nous essayons de comprendre la trame, ici, cette trame, cette chose des profondeurs ; nous voulons essayer de comprendre ce qsui, ici, se trame sous nos yeux, cze qyui ici se trame au fin fond de la matière rocailleuse, rocheuse ; nous avons cette énergie en nous, nous sommes = nous sommes deux (au moins deux), pour ainsi gravir lkes marches, entrer au plus profond de la roche et tomb er des lors sur cet espace animalier d’une sorte de féerie brumeuse ici , ensoleillée là  ; nous pleurons car nous avons en n ous toutes ces larmes à dévezrser un jour, alors pourquoi pas en ce lieu de roche pleine, de jardin brumeux ou au soleil exposé ; nous pensons que nous devons verser un jour les larmes  (celles que nous poddssédons) et  nous faisons ensemble cette chose, nous faisons cette chose ensemble := ici, pour une immersion complète, pour une immixtion de  notre couple-coque, nous essayons ensemble ; nous essayons ensemble ici (ensemble = nous) de faire  cette chose d’une (donc) immezrtsion-immixtion en paroi du temps ; il est bon d’etre deux (nous) pour cela faire ici au mieux ; ilest meilleur temps, il est le meilleur temps ici de faire de la sorte ensembvle : nous = xdeux ; nousd sommes ensemble ici pour faire cette chose, immersion-immixtion- introduction = coït ; nous entro,nns dans la paroi du temps ; nous cherchons à entrer dans la paroi du temps, nous deux, dans un seul élan, en un élan qyui pour le coup nous voit nous immis c er, fissa, en icelle, et là : nous blottir l’un l’autre, nous mettant à lk’abri ensembkle ;  nous blotissant pour ensemble nous mettrte à l’abri d’éventuels coups de sabots ; de ces betes fauves ; déventuels coups de sabots de ces betes d’éden, qui chargent ensemble et vont de fait sur paroi ensemble, charge cavvali!hière, pour une durée x de temps pariétal ; pôur une durée x de roche ; bnous pensons pour nous que la chose à faire est par conséquent la suivante : aller ainsi au plus profond de la roche et tomber ainsi en elle, cvomme deux qui allons ainsi à la découverte de peintures ruperstres, comme deux enfants en grotte, quyi trouvent (découvrent) ensembvle, pour la première fois, un ensemble prodigieux de peintures ou de gravures sur paroi préhistorique ; nous essayons dès lors de nous tenir la main : enfantsq que nous sommes ; nous entrons dans la paroi en nous tenant la main ; n ous entrons en pareille paroi en nous tenant la main, nous essayons cette chose ainsi, nous entrons ainsi en pareille paroi de roche  ; nous nous tenons pâr la main, nous entrons dans laparoi et nous regardons ce quyi est qui se trame tout autour de nous, et là, nous voyons pâitre (?) les mots-animaux, mots-animaux de féeerie ; nous les voyons tout autour de nous qui nous tenons par la main comme des enfants, mine de rien ; nous nous tenons par la main mine de rien et allons ainsi au coeur  de la roche ; nous entrons au plus profond de la roche ; nous entrons au plus profond de pareille roche de temps et dè!s lors nous sommes des enfants de roche ; nous sommes comme les enfants de pareille roche, nous sommes comme des enfantsq qui découvre n t le pot au rose à l’intérieur de la roche, comme des etres enfantins, des hommes et des femmes jeunes, ou même des enfants pour le coup, des enfants de la prairie, qui trouvent un trou ici, dans la terre mère, dans terre-mère) et vont à kl’intérieur, à la découverte de choses rares, de préciosités pâ riétales etc ; nous sommes  nous deux entrés et nous avons trouvés, et ainsi nous sommesq logés à présent en, une paroi qyui nous accuielle, en, son sein , au milieu d’unez sorte de féerie a nimalière : cerfs et chevreuilsq, antilopes et bouquetins etc ; nous voyons toutes ces chodses ensemble (du même oeil ?) et ainsi faisant, nous nous projetons dans le dur de la paroi du temps ; nous nous projetons ensemblke en cette chose du dur de chez dur temporel ; nous comp^renons que nous avons ici cette chose à faire, nous projeter ; nous essayons de comprendre cette chose d’une chose à faire ensemble en cette paroi : le temps est ainsi qui nous absorbe et nbous protège ici, pour une durée longue, pour nous deux, pour nous recueillir en cette enfance de la découverte ; nous essayons ainsi de nous blottir, de faire le dos rond pour ainsi dire ; nous pleurons ; nous avons des larmes à ensemble évacuer en roche : ici même ; nbous avons toutes ces larmes à faire sortir de nous ensembkle ; nous avons e,nn nous beaucoup dee larmes à faire couler sur nos joues, sur nos trous de bouche, en nous et pour nous ; nous avons pour nous beaucoup de larmesz à faire ainsi advenir sur hjoues, sur lèvres, etc ; sur nous ; nous voulons pleurer ; nous cherchons cette chose des larmes les nôtres ; nousq voulons faire c  ette chosec:= npous voulonqs que les larmes s’ensuivent ; nous voulons que larmes s’ensuivent, nous cherchons à faire de la sorte que cette chose des larmes existât ici meme, en paroi, en ce temps de roche dure  ; nousq p ;leurons car nous le voulons ; les larmes (l’art) o,nt une importancde grande à nos yeux ; nos yeux sont embués desxlarmes de l’art, nos yeux sont comme embués de larmmes (l’art) qyui sonr celles (animalièrezs) que d’aucuns (les betes de paroi) nous pretent pour nous, en tant que nous sommes des etres de cxhair qui pleurons ; nous sommes en larmes = nous pleurons des larmes qyui sont des signes ; nous avons cette chance de pouvoir pleurer près des betes-mots qui nous font cercle ; qui, pour nous, sont des cercles de vies vives , qui vibrent, etc ; nous essayons de nous approcher de ces betres ; elles sont beters de somme pour nous = des mots en soi, qui sont ceux que nous avions en bouche, enfants, quand nous apprenions les vocables de la langue (maternelle) qui est celle que (de base) nous acckeuillons ; ceette langue que nous accueillons (un jour) en nous, pour une (sorte de) étezrnité de passdage ; nous voulons comprendre le pourquoi des larmes et le pourquoi de ces mots-betes qui leur correswpondent il sembklerait ; nous essayons de comprendre toute latrame ; nous voulons comprendre latrame et pour cela nous essayons d’entrtezr dans lka paroi du temps avec nos larmes comme onguent, chrème etc ; il s’agit de cette cxhose en nous que nousq secrétons (un art chrémeux) qui nous permet fissa ds’entrer ici en pareille roche ; nousq nous immisçons tete première ; nous entrons en pareille roche tete première, nous essayons d’entrer en elle la tete la première et pour cela nous y allons fissa cde notre bond animalier (animal) en elle qui nous absorbe (comme un mouchoir)  ; nous avons cette cxhose pour nous , de pouvoir a&insi nous laisser absorber par la roche ; nous voulons nous laisser absorbver par cette roche quinous fait face : ce temps présent, cette actualité pa riétale ; nous ai:mo ns cette chose pour nous, nous la développonbs en laboratoire ; nous voyons tout cela ensemble et ensuyite seulement nbous décxidons de la démazrche qui sera la nôtre  ; nous pleurons car nousq avons des larmes en nous qui sommes des enfants qui décxouvrons parois et entrons en ezlles ensemble, main dans la main comme des enfants ; nous voulons comprendre ce qui est de toute l’affaire, et pour cela nous nous introodduisons (adam et eve) à l’interieur de la paroi du temps qiu est paroi en dur du temps (en durées)  ; nous avons des larmes en joie ; nous pleurons la joue percée ; nbous pleurons comme des eznfa nts et entrons dan,s le sein des seins ; nous voulons enttrer dans le sein des seins et, faisant cette chose, nous pleurons, cxar nous sommes meurtris, nous sommes blessés, notre joue saigne ;: noptre joue a été percée de l:’intériuer par ce pic (cette pique) animalier en nous , qui est cette cohorte animalière de cxharge brutale, brute, vive ; nous pensons que nous avons à faire cette chjose ; nous poussons ainsi «la porte» du temps et nous introduyisons main dans la main ensemble ; nous essayons de nous immiscer ensemble dans les profondeurs ; nous essayons de comprendre ce qu il se passe ici , en matière de trame de vie, et pourquoi lk’art est cette chose liée aux larmes ; nous essayons de co:mprendre en quoi l’art (ce que désignons ainsi) est lié aux larmes, aux larmes de l’enfance, etc ; nous pensonsque l’art (dixit) est toujours lié aux larmes des rochjes ; nous pensons que l’art est ce dit lié à la roche humide (mouill»ée) de larmes qui sont celles de ces hommes en tran,se, en,vahis par (chacun) des betes en eux, par des betes fauves qui sont betes qui chjargent et vont fissa (ou pas) leur chemin de roche : de la droite vers la gauche ; nous pensons que nous avons à faire cette chose et cette chose = une chose folle (forte) qui est celle d’aller dans le profond (les profondeurs) du temps ; nous comprenons cette chose que nous devons faire ; nous comprenons tres bien cette chose comme quoi nous avons à faire cette chose : cette chose d’un e alarme (art) pour une immersion ; nous sommes ensemble des en,fants qui avons pour nous des larmes et pleurons ici (en paroi de roche) les larmes qUe nous conteniiiions jusque là ; nous pl ;eurons car nous sommes remplis de larmes ; ces lzarmes sont nos animaux : nos mots-animaux ; volià le hic, ou le pic ; nous avons en  nous des betes qui sont des mots, des mots dits betes» en cette chose qu ils sont «mots-animauxd» devant l’éternel, et pour nous il s’agit de nos larmes, de ces larmes en nous qui tenden t à se verser ici toujours, en cette paroi de temps de la roche, en cette rocheuse paroi de temps ; nous sommes des enfants et à ce titre nous entrons en larmes dans la roche, dans cette roche, en dur, de paroi, qui est le roc du dur des temps, qui est ce dur du temps de la roche ; nbous pensons qUe nous avons ensemble à agir fissa, gra n,dir, sauter le pas, franchir la paroi et tomber ainsi sur une féerie animalière ; nous pensons que nous avons cettev chose à faire ; nous pensons que nous avons des mots-larmes ainsi en nous, pour pallier, pour parader en ce sein des seins ; dans cet antrte qui est l’antre de la bete féerique , du chevreuil aux bois d’or,etc ; nous aimons nous entourer cde ces betes de fées, de cxes betes de conte de fées etc ; nous aimons pârler ainsi, nous nous appliquons à parler ainsi, nous sommes des enfants de roche ; nous allons à l’intérieuer de la roche à la recxherche des betes fauves, des cervidés, des bovidés, etc ; nous aimons toutes ces betes qui nbous encerclent et figuren t ce te=ps pariétal absol u qui est celyui de cette «enfance» en nous , faite xde larmes (art) et de mots-betesà foison ; nous pe,nsons que nous dezvons aller loin, en nbous, et fouiller au plus profond ce quii s’y trame, ce qui mijote, ce qui bout, ce qui est  et ce qUIi en ressort ; nous sommes plein de ces larmes en nous , qUI sont larmes de roche (l’art) en tant que ces larmes suintent, filent sur la hjoue percée qui est la joue («en joue !») de notre visage d’enfant ; de ce visage qui est le visage de l’enfant ici bondissant ; nous y allons (e-n paroi) c ar nous le devons, ca r nous nous devons de faire cette chose ; nous devons agir ainsi en tant que nous sommes ces etres (comme eve, comme adam) qui découcrvrons le pot aux roses ; njous sommes qui avons à faire cette chose ensemble, cve deuil, ce saut, ce bond, cette entrée en matière, cette immmixtion rapide, vive, brute, cette insezrtion rude en paroi dure, etc ; nous voulons comprendre ainsi les choses (d’ici bas) en leur forme et en ce qu elles nous proposent en tant qu ellkes se présentent ainsi ou autrement ; nous voulons a llerda ns cette paroi à la rebncontre de ces buffles ou de ces bouquetins représentés ; nous voulons aller loin en pareille paroi et comprendre ce qui est qui nous regarde, dun oeil en coin, et qui se nomme (par exemple) ruminant ; nous voulons comprendre toutes ces choses pour nous et aller loin en elles, comprendre vite et bien ce qui est cde cette chose pa riétale, cet art lié aux larmes et aux mots-animaux, cet art d’interposition lacrymale (etc)  ; nous nous entretenons de la chose, nous sommes atta blés pour faire cette chose, au milieu de rien, seuls et nus, et nous devisons à bâtons rompus de tout cela (art et larmes : le lien) afin ds’en avancer fissa sur ce chemin de la connaissance rupeswtre, de la connaissance pariétale, de la connaissance de roc ; nous avons des larmes en nous (une e,nfance) qyui sont larmes (art) que nous avons à dééposer ici ou là, en cette paroi temporelle, afin de passer au travers (à travers) et nous loger de fait dans le dur de la roche, afin d’en extraire (pour nous) le substrat sensique ; nous essayons ainsi d’entrer en pareille roche, njous essayons ainsi d’entreer ensemble ici, dans le swezin des sein rocheux , tel que nous finissons par le comprendre ; tel que nous pouvons le comprendre ensemble (à deux = nous)  ; nous avons en  nous cette chance de pouvoir pleurer ensemble ; nous pleurons ; nous avons pour nous cette méga-cxhance de pouvoir pleurer pour nous au sein de la roche du temps ; nous pleurons cette enfance en bnous, qyui est celle faite ainsi , demots -animaux rassemblés en une torche ou sorte de ; de sorte que nous sommes ici ainsi apparaeillés, que nous sommes ainsi comme outillés, a rmés d’une lance, d’un baton, d’un pic de roche, etc, qyui nous permet du coup de pouvoir, grace à lui, nous insérer de fait en pareille roche de grotte ; cela est bien (super) pour nbous, qui pouvons dès lors nous introduire incidemmeznt (d’un saut d’un wseul) en cette roche dure, nous lover, coïter pour la gouverne, et comprendre ; nous aimons cette chose ensemble, ; ce lien entre les parties ; nous essayons de tout relier en paroi et nous essayons de comprendre les liens qui unissaient la paroi rocheuse (le temps) , les larmes (lenfance sans parole) et les mots-animaux (l’art) car il s’agit pour nous d’un e quewstion de sauvetage ; nous avons cette question du sauvetage à (comme) élucider, nous devons agir, ; nousq avons une question précise à élucider et nous ne pouvons pas y couper (hélas ?)  ; nous cherchons dans de multiples directions, nous cherchons deezs r éponses animalières, grégaires, etc , et aussi nous cherchons dans la roche dure (la douleur) et dans le sein des seins (la féerie) ; nous cherchons de partout et continuons de poursuivre ainsi la recherc he  de la boratoire afin de mieux comprendre ce qu il en retourne de pareille affaire pariétale , et pour cela nous nous tenons la main, nous sommes soudés, nous coïtons, nous comprenons les choses de concert etc ; nous ne faiblissomns nullllement dans nos recherches ; nous voulons essayer d’aller le plus loin possible en cette roche du temps qui est cette chose en cercle, tout autour de nous dans le monde, cette chose qui est cette face deva nt nous , ce mur coloré etc ; nous comprenons que les mots sont là comme des outils, des outils de bricolage ou de ja rdinage, et la pâroi l’éden pour des recherchesz menées (ensemble : adam et eve) bon train ; nous fouillons de paretout ; nous essqayons de n ous rapprocher le plus possible du fin fond des choses or, il nous semble, il nous apparait que la chose , en soi, est coton ; nous essayons de comprendre cet en sembles de choses (arcanes) qui fait cercle autour de nous, et qui semble etre comme un paravent, or qui dit paravant dit derrière iceluyi ; qui dit paravznt in duit une notion qui serait celle d’un a rrière, d’un derrière celui-ci etc ; or qui dit que cette chose soit, pourqupoi dire ainsi ? la chose ewst induite par les maitres mots qui nbous gouvernent, et parlent pour nous, désignant l(‘a rrière et les ressorts secrets qui présideraient ; or il semble que les mots sont des mots-animaux qui donc sont  là pour piquer la roche et permettre (avant toutes choses) une immixtion du mobile foeatal (via la pâroi) au sein du monde souterrain ; nous envisageons cette immixtion ; nous sommes deucx pour une imixtion ensemble, soudés ;, dans une sorte de corps à corps (etc) qui puissent bbnous donner l’énergie (l’élan) suffisant a fin de bien passer ce cap de roche sus-nommé ; n ous voulons entrer ensemble et non un par un ; il est impôrtant d’enttrer ensemble, et ce armés, armés de notre pique de mots-animaux commune (en commun)  ; nous piquonbs et perçons et entrons et nous allongeons au sein de la roche ; nous voulons nous introduire loin en elle ; nous dison,s que nous avons en n ous cette ambition (avouée et proclamée) d’aller loin en elle, et de trouver des anfractuosités nouvelles où s’immiscver ensemble, des passdages de tete (et d’épâules) pour des inmmixtion nouvelles, plus en profondeur encore, où trouver des galezries, des cavités etc, pour des découvertes notoires ; nous avons des souhaits que nous formulons sur des affichettes ; nous les écrivons en toutes lettrrees ; il est bon de lire ces lettrees , et des lors de comprendre cette chose en nous d’un désir enfantin de percussion ; nousq avons en  nous mêmes ce cdésir de perforation, de rezco,nnaisance animalière, d’insertion pariétale ; nous aimonbs l’art des cavernes, l’art des hommes de lapréhistoire ; nous aimons beaucoup l’art des hommes de la préhistoire car il eswt celui qui nous fait fac e comme le présent ; il est un art fait de larmes ; nous pensons que transes et larmes vont de pair ; nous pensons qu il n’y as pas de transe sansq larmes ; nous pensons que la transe (du magdalénien) est une transe imbibée de larmes et de grondements animaux (animaliers ?)  ; nous sommesq nous mêmes pris au piège de la roche, et pleurons le dur du roc devant les betes qui, elles, nous regardent du coin de l’oeil et semblent se moquer de notre présence ici en pareille roche ; n ous chezrchons dees réponses, et pour cela nous interrogeons la paroi ; nous lui posons les questions qui nous taraudent, et pour ce faire apposons nos mains sur la roche ; nbous avons deux mains pour parler (extirper le cordon buccal faits de mots-betes, ou mots-animaux, de ces mots-betes qui, en nous, gouverne les avancée et les prises de décisions pariétales)  ; nbous voulonsnous immiscer p^rofondémeznt dans ce temps des betes de roche ; nous essayons d’aller très loin en cette roche ; il n’est pas aisé de faire cette chose ; nous voulons aller tres loin (le plus possible) et pour cela, nous cassons la roche présente (celle qui est là, devant nos yeux) et ainsi fait : nous nbous glissons à l’intériuer et commen!ççons à inspecter les lieux ; nous sommùes commùe des enfants, et comme eux nbous raffo:lons des mystères, des choses de la découverte etc ; nous raffolons des menus secrets, énignmes, club des sept et clan des cinq , etc ; enyd blytton, ; et, ainsi faisant, nous entrons, armé de notre  bagage eznfantin : enid blyton dans notre bagage ; nous allons dedans ; nous allons à l’intériuer de la roche ; nous rentrons dans cette roche dure ; nous entrons dans une roche en dur, elle est la roche du temps ; des gouttes perlent, font ploc ; des gouttes au sein du sein, dans le sein du sein de ce roc de temps  ; nous regardons tout autour de nous ; nous voyons toutes ces cxhoses autour de nous qui sont  des betes à cornes pour certaines ; nous aussi avons notree corne ; nous avons ce pic pour nous qui est pic de perçage de roche , et ce pic est fait d’animaux à corne tout aussi bien ; nous regardons autour de nous ces betes qui sont là et qui elles aussi regardent, regardent en notre direction ; nous essayons de comprendre ce qui est ici, cette ambiance rocheuse dans ce temps de la paroi de grotte  ; nous entrons ensemble dans le  v entre (pour ainsi dire) dee la roche ; il y fait frais et nous sommes nus car nous avons perdus nos frusques au passage, nus comme des vers ; nous voulons aeeler loin, nous voulons poursuivre dans les profondeurs de la cavité nos recherches pariétales ; nous voulons les poursuivre ensemble au plus profond de ce que nous pouvons ; nous entrons dans cette cavité et voyyons le chevreuil (le cerf ?) aux bois dorés ; nous entrons dedanss, de plus en plus ; nous sommes à l’intérieur de la matière-roche ; nous sommes au coeur, dans le sein du sein ; nous cherchons à voir des choses qui puissent nous plaire, nous intéresser, nous rassurer aussi car nous ne sommes pas tout à fait tranquilles, mais enfin nous avançons quand même, sans pour autant nous lacher la main, nous cherchons à voir ce qui pourrait nous sembler ici etre une découverte majeure, du style peintures paritéales d’hommes préhistoriques etc ; nous essayons de nous rapprocher le plus possible du coeur mais où est il ? nous progressons à l’intérieurdee  la paroi mais le coeur se défile, car la roche dure semble infini (sans fin)  ; nous reghardons avec attention, nous progressons à pasfeutrés, nous ne voulons pas effrayer les betes qui bnous entourent ; elles sont en cercle autour de nous comme le présent, comme le présent du temps et du monde ; elles nous encerclent et nous regardent (espionnent ?) d’un air détaché (il wsembklerait détaché) qui nous permet d’avancer lenteme,nt à présent au coeur de la roche, de la pierre de grotte ; nous pleurons nos larmes, qui, vite fait, se déposent sur la roche et sécheznt ; il est ainsi que nous sommes dans une (sorte de) féerie de roche dure, cette  féerie qui est ce temps de vie (le nôtre) dans une durée ; nous pleurons nos larmes chaudes ; nous nous tenons par la main et décidons de ne pas nous désunir ; nous voulons garder pour nous cette union intrapariétale ; nous voulons entrer ainsi dans la roche et ne pas se désunir ; il est bon de ne pas se désunir ici pour nous , qui entrons ensemble (serrés - collés) dans le dur des temps ; de plus en plus (ensemble) dans le dur du roc de ce temps, dit «pariétal» ici ; nous avançons à pas de fourmis à présent ; la roche est de plus en plus dure ; nous piquons ; nous aimons piquer ; nous entrons plus avant dans le dur de la roche grace à cette chose, en nous, qui eswt ce pic d’entrée en matière (les mots)  ; nous avançons ainsi et essayons ensemble de co:mp^rendre (y comprendre) quelque chose à ce que nous voyons ; nous pensons que nous avvons ensemble cette chose à faire : nous introduire dans la matière de la roche, c’est-à-dire dans le temps du roc ; nous pertsistons ; nous voulons aller plus loin, toujours davantage, encore et toujours, et cela : ensemble, comme une fourche qui fouille la terre à la recherche de légumineuses ; nous essayons de comprendre ce qui se passe en pareille roche des temps ; il y fait un air qui nous frole, qui nous touche ; les betes sont autour de nous qui nous regardent de leur drole d’air étonné ; nous les regardons à notre tour ; il s’agit d’une cohorte de betes de grand- taille, comme : rhinocéros, bouquetin, mammouth, ours des c avernes, chevaux, sangliers, bisons, rennes etc ; ils sont présents en, tant que présents pour des offrandesq ; nous savons cela depiius toujours ; nous continuons n otre chemin, dans la roche, avec pres de nous des chevaux en nombre (cavalcade) qui courent à toute vitesse et manquent nous faire tomber, la crinière au vent ; nous pensons que nous devons aller loin dans cette roche ; le temps est notre ghrande affaire, le temps, les larmes, l’art, la roche, le dur, la douleur, les betes, l’enfance, le coït, la pîerre, les betes-mots, les lumières dans la roche qui scintillent ici ou là et nous éclairent , etc ; nous aimons les beztes autour de nous : elles sont droites et fières ; nous disons cette chose comme quoi nous aimons ces betes, ces betes de charge ou de somme, grégaires etc ; nous le disons car nous le pensons, nous le pensons car nous sommes des  betes également, nous sommes tout autant des betes, nous sommes des betes car nous avbons en nous des betes, nous avons des betes au plus profond de nous, et ce depuis toujours ; nous avons eté nous-mêmes bete un hjour (et longtemps) et en avons gardé en nous le souvenir ; nous mangeons, nous xchions, etc, comme des betes , etc ; nous entrons dans la roche dure, nous sommes au coeur (?) cde la roche : ce coeur de roche est plein de lui, de roc, de roche blanche etc ; il semblerait que nous fussions ensemble au coeur de la roche ; il semblerait que nous fussions ensemble en ce sein des seins temporels : le sommes nous ? ; nous avons pres de nous des betes qui nous regardent (cerfs ?) ; nous sommes ensemble, nous pleurons ensemble, nous coulons ces larmes ensemble, qui mùouillent la roche ; les b etes autour de nous nous regardent pleurer ; elles resten

t proches, elles ne s’éliogne, t pas ; elles vaquent à leurs occupations ; un cerf, un autre cervidé, une jument (?) ou licorne (?) , un chevreuil ? un rhinocéros ; nous regardons ces betes autour de nous aller et venir et nous essayons d’entrer en communication avec elle ; comment faire pour leur parler ? comment leur parler ? quel est le langage utilisé par un cervidé ? comment s’exprimer avec un cervidé ? nous ne savons pas (le savons-nous ?) cvomment nous exprimezr avec un cervidé, comment communiquer et échanger des mots ;, nous voulons comprendre, nous cherchons à entrer en contact, au sein de la roche du temps, avec ce cervidé qui nous fait face, cette face à bois, cette face à yeux, qui nous scrute étrangement mais ne pi pe mot ; nous essayons de nous rzapprocher de lui mais il s’éloigne toujours un peu plus à chacun de nos pas ; la roche est dure comme le temps ; le temps est une roche dure ; la grotte est notre refuge ; la paroi recèle ; le certf est gagnant, qui file fissa loin de nous ; il nous suffirait d’entrer plus avant encore et là, de nous blottir contree la  bete, un cerf, un bison, une antilope, un buffle, et entrer en elle par le trou de ses naseaux ;

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1/10/2020

nous avons ainsi cet homme qui dessine sur paroi avec en lui cet amour qui guide le trait ; cet amour est un amour d’homme pour la bete ; il est l’amour qui vient en gorge et sort comme un crachat (un souffle) sur des mains, sur roche, pour une gravure, pour une marque ; il s’agit dès lors d’un dessin qui devient ainsi l’image vivante d’une vérité animalière ; il s’agit dès lors d’une vérité qui vient se ficher ainsi sur la paroi et cette vérité en dit long sur ce qu’était pour l’homme des cavernes cet art du faire, ce souffle sur mains, cette chose en dur devant soi qui est le temps d’une gravure etc ; l’homme des cavernes aime cela et cet amour est grand en lui ; il aime grandement toutes ces choses qu il dessine ; il aime ces betes à la folie et ne manque pas de le proclamer (clameur) haut et fort au sein de la grotte ; il est tout amour pour ces betes de charge du temps ; il est tout amour et le dit à sa façon sur des parois, à l’intérieur des cavernes, il écrit ces chose et ces écrits disent ce qui est de cet amour fou en son sein, en lui comme un grondement ; son amour est immense et se dé^ploie ainsi (au bauxite de manganèse) sur des parois de roche, au fin fond des grottes, cachés, cachés au fond de toutes ces grottes ou entrailles,  ; il s’agit pour lui, de toucher le fond de la terre, d’aller profond en elle, de se recueillir au plus lointain intérieur d’icelles et ensuite de marquer sur roche toute l’étendue de son amour et de son désir ; il est cet homme (magdalénien) qui va ainsi au fin fond des grottes à la recherche d’un endroit de type pariétal où (caché de la cohue) il peut ainsi laisser libre cours à sa passion du trait guidé, du trait animamlier et de la gravure sur roche ; il est un homme qui aime et qui en lui porte cet amour comme un grondement de bete ; il est cet homme qui va loin au plus profond de la grotte (entraille de la terr) et là : il dessine à main levée ces betes qu il connaît pour les avoir chassées ou pourchassées à longueur de temps ; il dessine en transe, nu, et comme pris d’assaut par des b etes en lui qui le gouvernent et l’assiègent ; il dessine ces betes avec beaucoup de précision, et faidsant cela il permet ici lea reconnaissance éternelle ; il est un homme (une femme) qui donne ainsi reconnaissance (précise) à une sorte d’animal ici ou là , et du coup, l’animal vibre sous ses mains qui gravent ou dessinent, il est cet animal (devient) qui ici prend en lui cette sorte d’esprit qui est cet amour ; l’animal ici est une bete de fond de grotte : du fin fond ; il touche le fond ; l’animal ici est cette bete qui touche le fond et va ainsi donner, à cet homme qui dessine, une sorte de chose à etre ; cet animal est une bete d’etre ; il est une bete remplie, pleine, à ras bord, de cet etre en elle qui est l’etre qui permet la vibration en grotte (au fin fond) de cette lueur ; il est (cet animal) l’animal qui vibre à la lueur des torches en fond de groote ; il vibre comme une vie graveé sur roche, il vibre de tout son etre de vie vive ; l’animal dessiné (le phacochère) est un animal qui semble plus vrai que nature à la lueur des torches, en fond de grotte, et de ce fait il permet à l’homme des cavernes de se libérer ainsi de ce trop-plein animalier en lui , de cette chose en trop en lui, qui entrave, qui pèse, qui est en vrai de trop ; nous pensons que nous avons affaire à un homme pris d’assaut ; nous voyoons en lui cette chose animalière en trop, qui le gouverne un temps, l’oblige à main  levée à dessiner sur roche (marquer, tracer) ces betes fauves qui ne cessent de le hanter ; la hantise ici est une chose folle ; il s’agit d’une hantise de type folie ; nous parlons ici d’une hantise de type folie douce, ou du moins douce, en fond de grotte ; nous parlons ici d’une folie qui trace chemin en cet homme (ou en cette femme) des cavernes ; cette folie est en lui comme un animal à cracher fissa pour s’en libérer ; nous pensons que nous avons àffaire à un homme des cavernes fou de cette chose animalière en lui, qui estpic de roche, pic et pic pour une gravure (par exemple) soit une insertion rupestre pour une survie ; nous le pensons car nous voyons que nous avons, devant nous, des betes qui chargent ensemble, groupées, cvontre une sorte de paroi qui les accueille et permet à l’homme la libération, depuis lui, de ces charges de temps qui obstruent et entravent son être (propre) d’homme en vie sur une terre ; il (l’homme) dessine ainsi, à mains levée, l’animal qui charge, et ce faisant désentrave son être profond de cette chose en lui animalière, qui obstrue, qui plombe et pèse en lui, et empêche l’homme de se tenir pret soit de se tenit pret à accueillir en lui ce qui doit venir, ce qyui doit (dune certaine façon) prendre la place ; car en lui une chose doit prendre la place, doit entreer ; cette chose est du verbe ; cette chose qui ‘(en lui) doit entrer est du verbe articulé et de fait, la pique en lui animale est une entrave dont il cxgherche à se libérer, coûte que côute, au fil des années ; il est pris d’assaut par en lui une entrave animlmale, et cette entrave il est nécessaire (en lui) qu il puisse s’en libérer le plus tôt possible et voilà une des ra isons qui préside, dans son geste de graveur ou de dessinateur ; l’art est cette chose d’une sorte de libération (crachat) qui sort de la bouche afin de faire place nette (le plus possible) à ce qui doit par la suite advenir en lui (en l’homme) soit du verbe ; il s’agit des lors d’une é vacuation (vidange) pour un remplissage à venir , de verbbe, de mots qui seront des mots de verbe, des mots qui seront des vocables à part entière et viendront combler ce trou de bouche animallier ; il semble des lors que nbous avons affaire ici à cette chose d’un (nouvel) ordre à venir : les animaux dessinés, sont ceux qui sortent d’une bouche-trou de l’homme des caverne, ceux et cela qui sortent et sortant désentravent et font pour ainsi dire place nette, et permttent, du coup, une nouvelle entrée en l’homme ; une complétude à venir, qui puiisse faire de cet homme un etre de paroles articulées ; il semblerait (donc) que ces betes dessinées, sont des betes qui viennent comme désobstruer l’etre en fond de l’homme des cavernes ; il (cet homme) libère ainsi ce qui obstrue (de type animal, animalier) son fond d’etre, et faisant c ette chose il arrive à faire en lui ce vide necessaire à une sorte de nouveau remplissage de la place et ce par des mots (vocables) intelligibles et permettant des échanges verbaux entre congénères ; on voit que nous avbons affaire ici à un homme entravé qui dès lors cherche à se désentraver et cela au fin fond des grottes ; nous pouvons nous rendre compte de cette chose, de cette chose ici, qui est de l’entrave, qui est de l’obstruction quasi mécanique  ; se vider pour se remplir , et cela : graduellement, au fil du temps ; nous pouvons nous rendre compte de cette chose, comme quoi ces betes dessinées sont les ancetres il semblerait des mots que nous avons en bouche (pas ailmlleurs) ; nous pouvonbs comprendre cette chose et faire le lien ; nous pouvons comprendre cette chose ensemble et faire ce lien entre des betes dessinées (qui occupent en soi une place monstree) et des mots ou vocables en bouche ; le lien est direct, il ne souffre d’aucun à peu près ou d’aucune contestation ; il semble que nous ayons affaire ici à des betes qui sont ou seraient du meta-langage articulé (pour le dire ainsi) qui , langage, va peu à peu dérivzr (dérive) vers de l’articulé de plus en plus, et devenir dès lors cette chose en bouche, cette chose de bouche que l’homme (aujour d’hui) contient en son sein (etre) et ne peut lacher comme ça, ne peut abandonner comme ça, cx’est à dire : dont il est prisonnier ; il est l’homme d’aujourd hui prisonnier de cette chose en lui articulée, qui est du mot-animal à la ba se, du pic de roche animalier, et ce pic en lui il en garde (d’une certaine manière) le souvenir, le souvenir en son sein quyi est l’etre de fin fond de grotte ; nous pensons que nous avons dès lors devant nous (art) des betes qui sont celles qu un homme, un jour (autrefoi), a sorti de lui (bouche ou joue) et a laissé ainsi sur roche, et ce afin de faire place nette, pour (donc) accueillir en lui (petit à petiyt) -les  mots de la tribu humaine ; nous sommes à peu pres sûrs de cette chose ; nous avons gratté longtemps et fini par trouver l’os enterré  ici même, dans ce fond de grotte ; le temps ici est donc cette chose qui est entérrée et permet à l’homme de se sauver ; nous pensons que l’homme ici est un etre qui , un jour (autrefois) a aimé et a dessiné cette chose animalière en lui (obstructive cvomme un caillot) ; il a aimé et a réussi (d’une certaine manière) à se désobstruerr pour faire de kla place ou du vide en lui, afin d’accueillir l’etre langagier, ce fou, cette personne, cette chose en lui, pour les siècles qui viendront ; cette survie, cette reculade ; nous pensons que nous avons ainsi affaire à un etre qui en vient à se libérer de certaines entraves, en lui, qui obstruaient le passage pour un remplissage (en bonne et due forme) de son intérieur (for) de mots et autres vocables etc ; nous le pensons car nous voyons ces betes sur paroi et nous comprenons que ces betes étaient ce que l’homme des cavernes avaiet en bouche en guise de mots ; nous le pensons fortement, nous ne pouvons pas nous arrêter de le penser ; nous sommes prêts à croire à cette chose qui serait cela : que l’homme des cavernes avait (en bouche ! en bouche !) pour tout langage (ou du moins en grande partie) cette chose animalière à graver, cette chose animalière qui est cet art de roche ; nous pensons que nous avons pour nous, devant nous, des dessins et autres gravures qui sont ce que l’homme des cavernes avait en bouche (gros de cette chose)  ; il est, ainsi, cet homme qui crache ; « ’homme qui crache» ; nous voyons cette chose de cet oeil, nous sommes quasiment persuadés de cette chose, comme quoi nous avons pour nous un homme des cavernes «cracheur», qui crache non pas son venin ou sa gourme mais ici (sur roche) son etre animal d’obstruction massive (en lui) et cela afin de libérer (toujours en lui) l’espace nécessaire à une introduction, par la ba nde, de ces mots de tête ici que l’homme subodore en lui depuis longtemps ; mots de tête qui donc vont peu à peu prendre la place laissée vacante et se loger ainsi en l’etre de l’homme, en son fond, fond de grotte humaine tout aussi bien ; nous pensons que nous avons dès lors devant nous un homme que des mots de tete ont peu à peu colonisé comme pareillement le ferait un banc de bactéries, un banc de microbes ; il s’agit d’une (peut-être) colonisation de l’intérieur de l’homme, de la place en lui laissée vacante par des animaux à présent en vadrouille pour ainsi dire ; ces mots (de tete ou de cap) sont venus doon ne sait où (?) coloniser l’interieur (la grotte) de l’homme ; nous avons donc un homme colonisé par un ensemble langagier de tete, ensemble qui est des cendu de la tete où il a eu le temps (au fil des siècles) de mûrir et du coup de se développer comme pareillement un organe se développe dans le sein maternel lors de la gestatio n ; nous pensons que les mots sont nés en l’homme et ont peu à peu pris la place des mots-animaux qui présidaient jusque là  ; les mots-vocables sont venus panser les plaies laissées par l’animal-mot de charge vive, sur joue , sur lèvres etc ; nous avons cette conviction en nous comme quoi nous avons cet homme des cavernes qui , peu à peu, a perdu de lui ces mots-animaux qui se sont logés (sont allés se loger) en paroi de roche de grotte ; la paroi du temps est du dur de mots -animaux tout autant que de la roche dure ; on voit la paroi devant soi comme il semblerait le temps à venir d’une vie d’entrave verbale ; nous voyons ce qui est de la paroi du temps, comme d’une chose qui, pour soi, comble (soulage) et obtrue ; nous le savons ; nous pen,sons à cette chose (de lobbstruction langa gière) comme d’une chose qui a (au fil du temps) gagné sa place en nous au grand dam de ce qui autrefois occupait la place , à savoir la bete grosse ; nous ne sommes pas dupes de cette chose ; nous avons les mots de la conviction pour nous, nous avons les mots de l’affirmation en nous, en résezrve ; nous portons en nbous les mots de conviction, de résolution de problèmes, ds’affirmations diverses, qui sont mots du langage appris , inculqué , dont nous ne pouvons plus nous libérer, sinon comment ? ; les mots-animaux avaient cela de bon qu ils sortaient, du trou-bouche de l’homme, comme une sagaie etc ; ils pouvaient donc etre extirpés ; à présent, l’homme ne peut plus cette chgose et doit se coltiner le verbe à jamais, il est colonisé pour kl’éternité et ne peut aucunement à nouveau (sembkle t il ) faire une place nette en lui pour accuiellir un autre type de langage ou d’outillage etc ; l’homme est contraint ; il est soumis  ; il est pris d’assaut et colobniszé par un verbe qui n’est plus à proprement parler ce langage de type animal qu il a pu connaitre et dont il a gardé en lui (peut-etre) un semblanrt de souvenir ; l’homme n’a plus en lui ces mots-animaux de pique, mais il est porteur en lui de cette chose de type verbe, qui est une obstruction nouvelle, une autre obstruction que celle animalière, mais obstruction tout de même et de celles dont il est difficile (impossible ?) de se d-éfaire ; l’homme xd’aujourdhui crache (art) mais ce qu il crache ne ressemble plus à ce que l’homme des cavernes pouvait, lui, cracher sur paroi, et cela parce que l’homme des cavernes n’avait que cette chose animale en bouche, ne pouvairt cracher que cela, ces betes de charge, ces rhinocéros, ces bufflkes, ces bouquetins  ; ou pour le dire autrement, l’homme des cavernes n’avait pas des mots (vocables) en plus comme nous avons ; nous pouvons sur des parois de grotte tracer, comme l(homme des cavernes, des reliefs de b etes, des figures animalières etc, il n’empeche que (par ailleurs) nous avons en réserve des mots (en bouche) qui sont mots de la tribu et court-circuite les tracés de roche, troublent les opérations etc ; nous sommes à double foyer quand l(‘‘homme des cavernbes était cet homme à foyer simple en lui (single) qui pouvait des lors, laisser libre cours à sa main de tracer des betes, en lé vitation, à main levée, en transe, chaud bouillant de l(intérieur car pris comme d’assaut par une bete en lui qyui pouvait ainsi kle mener comme par le bout du nez,  sur roche , ou dans la roche (inclusion) et l’en sortir, de fait, tout autant ; traversée des apparences ; nous pensons que nous avons affaire à un homme fou, à cet homme fol qui va à travers la paroi et en ressort ; nous voyons parfaitement cette opération se dérouler sous nos yeux, nous avons les yeux pour voir (lorgnettes, lunettes) ce qui ici (sur roche ou dsans roche) se trame , avec icelui (magdalénien) qui trace-crie son grondement sourd de bete de charge sannglante ; il (lhomme des cavernes) aime cette chose animalière et le crie à sa manière sur pa roi de grotte ; nous essayons de comprendre ce qui setrame ici au fin fond des grottes et évidemment nous avons à avancer un certain nombre d’assertions pour les tester , voir ce qu elles contiennent en elles éventuellement,en termes de vérité etc ; les mots disent volontiers (d’eux mêmes pour ainsi dire) un certain nombre de choses ; pour cela il est bon de les laisser s’exprimer, de les coucher à plat pour une expression de vérités éventuelles ; nous avons cette chose en  ous qui est du verbe d’assertion autoritaire (on va dire) car les mots disent, les mots posent des dires qui sont des poids sur une balance ; ils ne font pas dans l’à peu pres, ils sont chargés de sens et imposent d’eux mêmes (soit en vérité en dehors de nousl) leur charge de sens ; nous a vons ainsi à nous libérer de cette chose en nous quii pèse son pesant de betes, de chose et autres, sous forme de vocables ou d’assertions, nous aimeriiions beaucoup faire cette chose de chic, sur paroi, en transe, etc, or il s’avère que la chose n’est pas simple ; nous ne pouvons pasz agir comme l’homme des cavernes agissait ; nous ne sommesx plus en mesure d’agir comme agissait l’homme des cavernes ; notree art est doublé de verbe ; il wsemble que cette chose à présent est quasiment connue, il semblerait à présent que cette chose d’une doublure (d’un doublage, etc) est archi-connue, ou comment , car nous pensons que les mots doublent les animaux qui sortent (incidemment et incognito) encore et toujours (arty) de notre trou de bouche ; il semble cette chose que l’art est pour le coup cet animal en nous qui sort du trou, que nous voulons faire sortir du trou, mais voilà, sortent des mots accompagnateurs, mots de cap qui ont (au fil du temps) envahit l’etre de l’homme terrestre ; nous le pensons car nbous devinons ; nous voyons car nous avons pour nous des instruments de vision ; nous pensons que l’homme crache  (art) sa gourme peut etrte et plus que ça, qu il ne cesse de cracher des betes en vérité, qu il est mêlme ce cracheur de betes en soi, certainement, mais pas seulement ; il y a pour le dire ainsi une sworte de télescopage (vrille, -torsade) entre lkes mots-vocable et les mots-animaux qui sortent de sa bouche ; nous pensons que l’homme d’aujourdhui est celui qui cherche à cracher quelque chose de lui , et ce quelque chose ne doit pas etre (à ses yeux) du seul crachat ; l’homme a encore et toujours en lui ce besoin de cracher des choses par son trou de bouche : une vrille à extraire (pazr les mains) de sa bouche qui est un trou, et là il serait enfin redevenu ce qu il était à l’origine, cet etre de pic de roche ou de pique à roche ; nous pensons que l’homme autrefois avait en son sein (etre) une vrille (torsade) qui de sa bouche s’extrayait en la tirant avec sses mains comme une corde ou comme un cordage ; nous avons cette impression  ; il semblerait que la chose fût ainsi à l’origine ; nous voulons connaitre cette chose, ce tirage sur «cordellette buccale» par les mains duu temps présent etc ; nous avons envie de connaitre cette chose, nous sommes dans cette envie (folie) de connaitre cette chose pour soi ; nous avons en nous (arty) cette envie prégnante, ; grosse, de connaitre cette chose à sortir de soi (bouche) à l’aide des mains ; nous avons une envie folle de faire cette chose tous les jours, tous les jours qui passent, les jours passant, les jours passant nous rapprochant peu à peu d’une issue que nous subodorons en nous mêmes ; nous voulons connaitre cette chose d’une vrille animalière torsadée sortant de notre bouche déformée, et cela en transe, à mains levée, guidé par des esprits en nous, en lévitation ou pas loin ; nous ne sommes plus des hommes et des femmes des cavernes et cependant nous avons conservé en nbous le souvenir de la lévitation, de la transe, de l’esprit animal en nous, etc ; nous cherchons à concilier la chèvre et le chou, tous les penchants ; pouvons-nous concilier en une seule vrille sortanht de la bouche tous les penchants ? pouvons-nous faire cette chose ? pouvons-nous agir dsans ce xse,ns ?  ; nous pensons que oui, que nos penchants (de tout ordre) sont à concilier dans une sorte (sortant de nous) de sortie buccale ; nbous le pensons ; nbous avons envie de connaitre cette chose, cette sorte de chjose buccale en nous, qui sortirait de nous (l’art) et viendrait se loger dans la paroi du temps qui nous fait face (cercle) ; qui nous encercle pour ainsi dire ; oui, nous avons en nous cette envie énorme, grande, cette folle chose d’envergure en  nous , qui nous poussse à créer des choses devant, à dépose ; nous avons envie de faire cette chose devant nous, et cette chose serait reessemblan à ces peintures des cavernes, ressembklerait ; nous espérons qu’un jhour nous arriverons à cette extrémité, avant de mourir ; nous avons cette chose en nous qui est une envie follle, une folle envie defaire ainsi de cette grosseur en nous une boule de feu, une vrille de bouche, une grosseur extraite etc ; nous voulons sortir de nous ce qui obstrue, qui est de trop , afin de faire place nette, afin de pouvoir à nouveau accueillir en soi (sein = etre) cette chose d’une autre teneur, cette chose qui est l’animal de base, le petit chevreuil ou le bouquetin, ou le phacochère ou la biche ou le zébu ou tout autre bete de poids qui viendrait en nous et nous guiderait (à sa manière innée) vcers des lieux de vie qui (enfin) serait comme des hâvres ; nous pensons que nous devons faire (art) cette chose d’une vidange ; nous avons en nous ce désir (il s’agit d’un art) de prendre ainsi le taureau par les cornes et de bousculer les données pariétales en place, afin de faire cette chose d’une vidange, d’un vidage de vesse, etc ; vive le vide, afin de faire place nette, mais comment, cxar les mots sont coriaces qyui ne se laissenbt pas évacuer comme ça, hélas pour nous ; nous espérons pouvoir un jour arriver à cette extrémité ; nous le voulons ; nous le voulons ici m^$eme, en laboratoire ; nous essayons de comprendre ce qui est et ce qui est est en premier lieu animalier ; nous essayons de comprendre cette chose , d’une sorte de vrille animale (animalière) qyi de nous sortirait fissa pour aller se loger-ficher-foutre-coller à une paroi de grotte, paroi temporelle et paroi temporo pariétale ; il s’agit de voûte cranienne et rupestre à la fois ; lkes mots venant cogner l’os et la roche, ou quelque chose d’approchant : nous cherchons ; nous sommes sur des chemins et nousq n e savons pas encore où ceux là nous mènerons , mais pour autant nous persistons dans notre entreprise qui est dx’ordre plus scientifique pour ainsi dire (par l’usage ou l’emploi) que purement littéraire en soi (par exemple littéra ire)  ; nous sommes sur des pistes qui sont des pistes de recherche pure (au sein du langage) et cela afin de trouver ce qs u il en est de  c et art des grottes ancien, de cette chose en cavalcade sur paroi ; notre but n’est en rien de créer des phrases agencées pour une galerie mais de trouver ici ou là des facteurs de savoir rupestree etc, en tant que chercheurs ; nous espérons cette chose et nous avançons sur ce chemin aride de la phrase jusqu’auboutiste délivrée ainsi , sur roche du temps du dire et sur du dur de roche pariétal ; nous sommes ainsi muni, de c e pic de verbe en nous, et ce pic est un pic de roche ; nous gravons ; nous avons face à nous des représentations animalièrezxs  qui datent de l’antéchrist, et nous voulons comprendre ce qui en découle ; nous poursuibvons un certzain nombre de pistes ici , et cette chose est une recherche, une exploration sensibvle de choses de type rupestre carnavalesque ; les betes ici représentent ce qu elles représentent , à savoir des cohues ; nous espérons pouvoir un jour comprendre cette chose ici dessinée, ce bouquetin pour l’exemple : pourquoi sinon comment, comment sinon pourquoi (torsade)  ; nous pensons que nous avons à comprtebndre encore pas mal de choses sur ce que c’est que le langage en nous avant de mourir, nous essayons de comprendre ce que c’est que le langage en  ous (dans notre bouche et aussi au bout des doigts par exemple) avant la mort, car que sont donc ces mots de bouche en regartd de cette fin de vie ici à venir ; la fin (le clap de fin) de vie à venir sera t elle pleine ?  ;nous pensons que nous avons à nous vider (délivrer) de ces mots-bêtes(encore) en nous (qui pour le coup obstruent un peu ce passage de l’etre ) pour une virée sur roche temporelle ; où sont en nbous les mlots animaux ? où sont ils passés ?  ; nous cherchons en  nous, nous cherchons sur la paroi du temps, nous cherchons sur cette sorte de paroi du temps cette chose, nous voulons cette chose, nous cherchons ensemble au sein de notre laboratoire, nous n’en avons pas fini de chercher ; nous n’en avons pas terminé de chercher ces choses en nous (ou en paroi du temps) qui nous occupent  ; nous n’en a vons pas fini de chercher ici ou là (le temps) des choses concernant les betes, ces représentationsrupestres d’holmmes et de femmes des temps anciens : nos congénères ; nous les aimons (ces betes) pour ce qu elles sont := des marques du temps ; nous les aimo,ns aussi pour ce qu elles ne xsont pas : des vocables, ou plus ; nous cherchons à comprendre ce qui sepasse dans le temps de la paroi du temps, de ce temps (en dur de roche) qui nous fait face encore auhjourd hui ; nous avons autour de nous (cercle de vie) ce temps qui est paroi de grotte, qui est cette chose dure du temps qui file, qui nous mène par le bout du nez comme un esprit frappeur ; nous pensons que nous devons aller le plus loin possible dans nos recherches et des lors comprendre ce que c’est que cette cxhose qui est cette chose (animale) devant nous, treesse de vie vive ; nous espérons pouvoir un jour comprendre toutes ces choses en vrille, recourbées sur elles mêmes, etc, que nous voyons devant nos yeux de chezrcheurs tenaces ; nous sommesv ensemble soudés pour une recherche folle, tenace oui, de choses et autres concernant l’art des cavernes en premier chef, et l’art d’aujoudrhui en deuxième chef ; nous subodorons le pot aux roses, à savoir cette chose du temps pariéytal qui serait ce mur en dur de laréalité (dur pour douleur) et qui, en cxercle autour de nous, obstruerait le passage vers une contrée qui resterait pour nous (à jamais) le lieu de la joie à être ; nous pensons que nous sommes entourés de choses et autres qui sont des écrans  ; nous pensons que le monde alentour (en  cercle) est ce temps du cercle ; nous pensons cette chose ici, qui est que nous voyons des choses advenir, qui viennent  sur paroi de roche (grotte, fin fond) et vont se loger de la sorte ; sur des parois, sur des murs, etc ; nous pensons que le temps est paroi ; nous pensons que le temps est paroi de roche dee grotte ; nous pensons que le temps est une paroi et que sur elle viennent se greffer des  etres dessinées par des hommes ou par des femmes des temps anciens, qui vont ainsi comme à délivre (poour ainsi dire) et ce faisant chevauchent la roche, la prenne pour eux, l’envahisse , l(‘occupent etc ; nous sommes sur cela que nous pensons que la chose est, ou se présente ; il s’agit pour nous d’une temporalité particulière, de celles que (ensemble) nous subvodorons comme pouvant exister en dehors du monde (cercle) quyi nous entoure ; le monde est plein comme un oeuf et il n’avance à rien de l’xplorer pour l’explorer, xcar ce qui est, qui nbous tient et nous intrigue, se situe pour ainsi dire en dehors de lui, dans un audelà pariétal xde roche ; il semble que kla chose est telle, que nous sommes amenés (à présent) à chezrcher dans la roche du temps (la douleur du pic) ce que celui ci (le temps) recèle en matière de savoirs de roche , c’est à dire en ce qui concerne la finalité ou la fin du clap de la roche ; nous cherchons ; nbous sommes des chercheurs de finalités pour ainsi dire ; ce que nous cherchons a à voir gran,dement avec la finalité cdes choses terrestres ou mêmes hors de cette chose que nous nommons de ce mot de «monde», car pour nous le monde est un cercle de vie, qui est gvrandiszant, qui est ce qui nous entoure, nous prend dans son giron etc, mais n’est pas ce que pensons que la chose rupestre recèle ; nous essayons (de fait) de percer les mystères et pour cela nous nous plaçons ensemble dans l’orbite temporelle d’une roche antédiluvienne, comment autrement ? ; nous avons dans notre bouche des mots, des vocables, des mots-animaux , et ces mots nous les plaçons sur des parois , au charbon de bois ; il s’agit de tout ce que nous avons en nous à pouvoir extraire  ; nous essayons de faire en sorte que, ces mots-animaux, sous cette forme rupestre, puissent au maximum etre intelligibles ou «lisibles» ; nous nous échinons dans ce sens ; le but ici est de faire en sorte que la chose figurée soit compréhensible, lisible comme un vocable, cest à dire comme un mot ; nous essayons qcette cxhose, de faire de la sorte que la chose figurée représentât de façon claire une chose que mon congénère puisse retrouver en son for ; il s’agit d’un échange de sens ; le bouquetin dessiné ici doit etre reconnu en tant que tel (un bouquetin) par mon congénère et pareil pour tous les autres animaux représentés ; il sz’agit d’un échange de bons procédeés, il s’agit d’échanges verbaux ; nous le pensons ; et cependant, ce qui apparait sur la paroi est limité ; il semble que cela qui apparait sur une paroi de temps, ou de roche, ewst limité en cela que rien d’autre ne filtre que ce qyiu est sur paroi du temps ou de roche, entendu que nous ne sortons pas de la roche (ou du temps)  ; nous sommes enfermés ; la science est l’etude de fait de lafermeture des temps, et njon point de son ouverture, comment poutrrait-elle ?  ; nous cherchons assidument des données r(upestres qui seraient à même de nous mettre de la sorte que (dès lors) nous saurions ce qui est dans ce qui filtre ; nous chertchons dees  éléments de réponses dansla paroi, dsans cet art des temps anciens ; l’art ici entendu comme sortie cde soi, comme extractions de soi de mots-betes, flanqués sur pzaroi, pour un e immersion ou une immixtion dans la roche, dsans le dur (douleur des temps) du temps à vivre jusqu’à sa mort en propre ; nous pensons qure nous dezvons ici chercher dans ce sens, vers des choses tracées ou gravées, pour comprendre ce que c’est que cette mort dont on nous pârle si souvent et dont nous sommes les témoins vivants ; nous parlons entre nous de tout cela autour d’une tabkle, à brule pourpoint et à batons rompus ; nous aimons ces conversations de table ; nous aimons tout autant les converswations sur l’oreiller ; nous avons des pensées qui nous viennent ici ou là et nous aimons nous les échanger, nous ne sommes poas chiches en besogne, nous nous figurons bien des choses ensemble, sous un même toit, et nous les échangeons de conserve avec joie, avec p^laisir, pour des échanges menés grand train etc ; pour des choses que nous voulons (pour tous les deux) voir naitre entre nous et de pouvoir dès lors  ainsi les ficher-coller sur paroi c’est-à-dire devant nous : cercle de vie, c’est -à-dire à l’intérieur du cerc le, contre la pareoi du monde ; nous posons ainsi nos cghoses contre elle oou en elle, et nous espérons que cette chose (de joie et d’engouement) ainsi déposée, ira loin sur le chemin du temps, des savoirs sauvés etc ; les hommes de la préhistoire agissaient ainsi, qui déposaient leur savoirs sur une paroi ou sur une pierre aux offrandes, et de ce fait metteaient tous leurs espoirs dans cette chose d’un dépot de soi pouvant faire accroire ; ils cxherchaient à se sauver ; ils chercxhaient le salut de l’ame, c’est à dire le salut de l’animal en eux, celui qui frappait en eux (points, points, points, points, etc) et qui en eux cherchait une issue temporelle, dure, tenace, quipuisse demeurer vivace ;  npous pensons que la bete en soi est celle que cet homme de la peréhistoire logeait tout autant en lui même , en termes de pseudo-vocables ou méta-mots ; nous le pensonbs ; nous sommes deux à le penser (au moins)  ;  nous cherchons ainsi ensemble en laboratoire des directions pour des découvertes assez fortes, qui puissent nous donner cet élan de vie pour nous et nous faire comprendre où donc avoir à se loger, pour comme l’homme des c avernes nous sauver, nous ficher-coller pour un salut de l’ettrree, de cet etre en nous (animal de compagnie) qui frappe à la porte du temps tel que nous l’éprouvons sur terre (douleurs) et tel que nous l’éprouvons peut-être dans nos rêves (nuits)  ; nous cherchons au fond de nous (fin fond) des choses à amener ici, sur paroi de grotte ; la grotte ici est le fin fond ; il semble que nous ayons à comprendre ici un  certain nombre de choses, et ces choses, que nous ayons ensemble à les placer-loger sur paroi, afin de les sauver (les mettre à l’abri) pour les  garder (vivace) une éternité ; nous cherchons une chose sur paroi ; le temp^s est un cercle cde vie ; nous ne pouvons sortir du cercle avec la (seule) csience ; la science explore le cercle indéfiniment (betement) mais n’en sort pas, de fait, pour savoir ; le savoir en intra ne sort pas du cercle et ne donne rien qui puisse renseigner l’humain sur lateneur, en etre, du cercle etc ; le savoir en intra ne dit rien de p ;us que ce que nous savons (en nous) déjà mais que nous  ne voyons pas de suyite  car pour cela il faut le déploiement (il semblerait ) du temps dans l’espace, et cela , comme de bien entendu , prend «du temps» c’est à dire prend le temps ; la science invariablement s’inscrit dans ce déroulement qui dit sa chose et rien de plus, c’est àdire que la science en vérité ne dit rien (comment pourrait elle ? ) de la lmort qui guette pour chacun de nous, au final ; il wsembklerait que donc la science est petite chose qui ne peut lever les yeux et reste collé au monde -terre comme une sangsue sur une plaie ; nous cherchons à sortir la tete en faisqant la cxhose suivante : pezrcée temporelle de pa roi dee roche de groote  ; notre but est afficxhé et concxerne une raison qui est celle de l(etre de la préhisqtoire, à savoir cette chose d’une découvertte ; nous le voulons de la sorte ; nous voulons nous placer dans cette chose d’(une sorte d’ immixtion en paroi temporelle, gravitationnnelle ; nous eswsayons de nous loger là précisément où la science des détails, du menu, ne peut se loger, qui ne lève pas le bout du nez ; nous essayons de nous ficher où donc l’homme des cavernes (l’homme en transe ou l’homme des transes )allait se ficher armé de sa tressse verbo-pariétales (mots-animaux)  ; nous avons un e ambition démesurée ; nous pensons que nous avons cette ambition en  nous , pour un savoir (ou vers un savoir) massif de type animalier rupestre, qui puisse (ce savoir) nous amener à ensemble percer le cours du temps et, tout en le déployant, nous donner un certain nombre d’indications sur ce qui l’en retourne de la mort sur terre ou en dehors de la vie terrestre ; nous sommes dans cette recherche d’une sorte de vie pariétale qui puisse dire, qui puyisse montrer, qui puisse rensieigner sur c e que c’est que la vie qui meurt et du coup l’autre côté qui serait l’en,vers de la paroi du temps (etc)  ;  nous pensons, et notre pensée est cette chose que nous essayons de faire éclater (pour ainsi dire) sur et da ns la roche c’est à dire le dur de la roche (le compa ct)  ; nous poussons ainsi notre réflexion jusqu’à ce niveau d’immixtion, et nous essayons de co:mprendre ce que pourrioons faire de cette immixtuion en termes de retombées langagières ; nous sommes dans cette chose d’une sorte de réflexion, ensemble, en intra c’est à dire au coeur du monde, pour un savoir à acquérir ici et mainteznant dans une sorte d’inclusion temporelle, d’immixtion folle (la transe ou quelque chose de cet ordre) qui puisse nous offrir de quoi mieux cerner (saisir) les données intrinséque et extrinsèques propres à cette paroi qui nous contient, nous enferme ou nous enfermerait à la fois à l’intérieur du monde (ce cercle) et à l’extérieur de celui ci (paroi de temps en dehors du temps ou quelqUE que chose d’approchant ; nous sommes ainsi soudés à la paroi, comme une antilope, comme un aurochs, comme c e mammouth représenté, et nous comprenons des lors que le temps (pour nous) est la grande a ffaire ; nous comprenons cette chose et nous allons ensemble dans ce sens d’une sorte d’immersion, ou d’immixtion, qui nous poussera vers des savoirs fous (fols) de type considérations sur un au delà du monde ; nous penseons ces choses ensemble et nous nous situons sur cette chose ensemble, sur ce créneau ; nous poussons ensemble ainsi xdes réflexions qui toutes vont dans ce sens, d’une pensée des profondeurs (?) qyui (profondeurs) seraient fonds (fin fonds ) de grotte ; nos ambitions sont clairement a ffichés et ne souffre d’aucunes sortes demalentendus, puisque nous disons (proclamons) haut et fort ici même (le langage articulé des idiomes autoritaires) ce qui nous occupent grandement au fil du temps  ; njous disons ce qui est ici, à savoir la teneur de nos rechercghes ; le temps ici est à comprtendre comme l’allié , comme étant l’allié que nous nous sommes ici choisi ; nous persistons ainsi et tentons de fait des approches pariétalesz, ici ou là, au fin fond des grottes, comme autrefois faisait l’homme préhistorique : au charbon de bois etc ; notre ambition est telle que nous ne voulons pas la mettree sousq silence, nous ne voulonsq pas la masquer, nous voulons dire, afficher (une a ffichette) afin que la chose soit clairement annoncée et dite ici et là, pour une compeéhension claire et nette des volontés qui sont les notres, des désirs qui nous poussent à vouloir ceci ou cela ; nous ne cachons pas nos sentiments, nous proclamons, nous usons de la parol:e qui nous est donnée tout colmpte fait ; nous disons cxe que nous avons sur le coeur ; nous disons haut et fort ce qui nous occupe et nous obsède d’une certaine manière, ; à savoir cette question du temps pariétal et des alentours obstrués du monde en cercxle ; nous poussons la refélexion jhusqu’à ce point où nous pensons que la vie est ainsi qu’eelle vient se loger dans le temps un jour ; nous avons cette idée en n ous que la vie morte n’est pa s la mort mais la fin des douleurs , et quev la vie un jour se logera dans la paroi (la roche) du temps qui lui jamais ne cessera, qui jamais (lui) ne cessera d’aller - son chemin de grève ; nous penwsons que cette chosec peut-être estt azinsi que le temps est cet allié de l’infini xdes choses, il suffit de chevaucher, dès lors, pareille paroi de grootte à la manière du magdalénbiezn (par exemple)  ; la terre est ce cercle fini (infini ?) qui nous tient pour elle un temps (celui de la douleur et du plaisir etc, des jouiissances) puis arrive kl’espace de la paroi, celui qui contient les représentations animalières ; nous cherchgons une v&érité dans la roche, nous sommes eznsemble (main dans la main ) quui recherchons ces sortes de vérités de type «fin fond» pour une découverte qui puisse ici nous donner un élan , une sorrte d’élan de vie vive ; notre but est tel que nous préférons l’avouer : l’aveu est ici incrusté dans ce (ou cette sorte de) déroulé temporel qui est celui de l’homme des c  a vernes, des grottes, des excavations ;  nous alloons ainsi sur ce terrain de la recherche pariétale et l’exprimons ici de  cette manière : nous sommes deux, nous cherchons ensemble ; nous sommes à deux une équyipe (couple) de chercheurs, qui allons dans les sous bois nous aérer et trouver ce souffle qui nous sied pour de fait nous immiscer en pareille paroi de roche ; il y a ces sous-bois proches de notre demeure (qui est un temple) et dès lors nous avons vite fait d’entreer en eux, d’entrer dans la forêt et de nous promener sur ces chemins comme abrités ; nous avons ce plaisir ici de nbous promener dans les bois ; nous cherchons des solutions à des problèmes qui sont ardus et dépassent grandement le cadre des explorations pures et dures de l’art desz cavernes ; nous cherchons large ; l’art nous plait en cela qu il contient un  certain nombvre de réponses à ces problèmes que la vie nous pose ; nous recherchoons des définitions quand les définitions sont dans le dictionnaire, et cvependant : le mot art est un mot qui mérite une exploration pariétale et voilà à quoi (nous deux ensemble) nous nbous attelons , et cela main dans la main car l’immixtion en paroi dure nécessitee une approche couplée , l’exige, nous le xsavons et nous appliquons dès lors ce savoir , nous savons et appliqyons ; nous pouvon-s ainsi dire que cette immixtion temporo pariétale est une immixtion de roche qui est de fait une chose qui sort (grandement) des sentiers battus ; il s’agit d’un parcours qui est celui ici d’unetranse ; il ne suffit pas de dire pour etre, mais le dire est la condition de l’etre ici ; nous nous échino,ns car nous savons que nous devons ici cette chose, nous savons que nous devons ensemble cette chose ici qui est celle d’un savoir de type rupestre ; nous poussons la chose (ainsi) dans ce sens ; nous avons de grandes ambitions (affichette) et ces ambitions nous les revendiquons de manière à ne pas nous mentir nous mêmes (déjà) et du m^$eme coup pour ne pas mentir à autrui ; nous avons l’afficheztte affichée un peu partout, nous revendiquons cette affichette ; nous avons pour nous une affichette que nous affichons un peu partout aux quatre coin de la terre pour ainsi dire, car notre ambition est (évidemment) planétaire (évidemment et conséquemment)  ;  nous aimons agir de la sorte (affichette) car nous voulons agir dans une sorte de transpare nce : le désir qui nous anime eswt un désir fou d’entrer en paroi, est le désir fou qui est d’entrer dans cette paroi quyi nousfait face = la face (animée et animalière) du monde  ; notre but est d’enterrer en (dans) cette face, d’entrer pour nous y loger, la traverser peut eztre pas, mais nous y allonger, nous y calfeuttrer etc afin de voir ici passer ces betes fauves du temps de la vie morte (?) pres de nous ; nous pensons que la chose est faisable, que latranse amènera la chose d’elle-même ; nous pensons que nous avons de fait cette chose à faire et nous faisons dès lors cette chose ensemble, intrapariétale, afin de comprendsre (au mieux) les éléments ici en présencve, concernant la mort : la mort «de bout» ; nous pensons quil faut cette chose faire (à deux) pour y comprendre un quelque chose de la mort du b out ; nous essayons ensemble (art) cette chose (immiuxtion) d’ une entrée en matière (joue) pour une sorte de compréhension des données terrestres : mort de bout de vie ; il nous suffit ainsi de nous prendre par la main et de faire un bond ; la main dans la main est capitale, importe gra,nfdement, est la condition ; nous devons : nous devons agir ; nous devons = nous devons agir car telle est notrte condition sur terre, telle est sur terre notre condition ; nous devons agir et du coup nous faisons ce bond (illico presto) main dans lma main dans la paroi ; dans cette roche qui est cettte roche en dur (la douleur) du temps donné qui est ce présent (en cercle) qui assa ille, qui pousse les mobiles dans des directions diverses ; nous pensons que nous devons ainsi agir dans cette direction, d’une immixtion (insertion) dans une pierre, dans un roc, dans le dur de chez dur de la roche du temps (ce présent offertt pour une éterbnité pour ainsi dire pariétale)  ; nous avançons nos billes ainsi, qui viennent se loger ensemble dans les anfractuosiotés de la roche ; la transe ici ;  nous pensons que nous avons ici cette chosecxà faire et cette chose nous la faisons ensemble car ensemble (1 +1) nous pouvons a gir et faire cette cxhose, d’une insertion paeriétale etc, car l’ensemble ici est la condition, ce fait de s’unir ; nous savons cette chose depuis fort longtemps et en nous réside cette chose d’un attrait pour cette chose d’union physique, en paroi de roche, etc ; nous pensons que nous devons ici nous placer ain si : nus, allongés, main da,ns la main, les yeux ouvertts sur les betes qui passent, nous frolent, nous chevauchent presqUe, manque nous piétiner, ou bien les yeux fermés, accolés, serrés l’un dxans l’autre, le pic de roche en son fourreau chaud, etc ; nous avons ainsi pour nous cette chose possivle (donnée à qui sait la prendre) de pouvoir nous allonger ainsi au coeur de la roche (sein) et ne pas bouger, ne pas s’ébrouer, teznir, ainsi accolés (coït), dans cet espasce en dur qui est ce temps dit pariétal des choses animales ; la paroi est le réceptacle ; il sz’agit de cet endroit de vie où aller se loger pour etre comme pro»tégé des faits de la vie terrestre, au risque d’ettree piétiné poar les sabots des betes ici gravées ou dessinées par les hommes de la préhistoire : buffles, bisons, phacochères, ours des cavernes, antiulopes, zébus, aurochs, lapins, chevreuils, bouquetins, sangliers, marcassins, rhinocéros, mammouths, izarts, etc ; il s’agit encore une fois d’une arche ; il sq’agit ici cde comprendre, que ce qui est (qui advient sur paroi de grotte) est ce qui est ailleurs (sur les plaines etc) : la ressemblance est grande (la fidélité au modèle) et pareille ressemblance a une imporrtance considérable ; le bouquetin est un bouquetin , de la même façon que le mot bouquetrin est le mot bouquetin qui désigne la chose dite bouquetin ; il s’agit encore un e fois d’une place en soi qui est l’endroit où peuvent donc venir se cdéposer un certain nombre d’éléments de vie (comme des mots) et donc, cet espace (en soi) est un trou en même temps qu’une sorte de piquee (corne) de vie ; on peut voir ainsi sur la paroi que cette chose, ce dessin animalier, est un mot-animal qui vient (pour ?) frapper les esprits ; on peut se rendre compte ici que l’animal est cette chose d’un esprit frappeur tout aussi bien ; l’homme préhistorique est armé d’un pic de vie qui lui permet de dessiner ou grav er l’animal (en lui) quyi le guide et porte sa main (à lui) à la roche ; nous savons toutes ces choses en nous, car nous-mêmes sommes tout autant porteurs cd’un pic de  cvie vive qui pareeiilllement peut etre amené à tracer ici et là desq traits ou des points sur une paroi (pour nous : celle du temps que nous avons à vivre) ; nous pensons de cette façon car nous avons nous deux hérité (à la longue) de pensées diverses qui , toutes, ont fini par former une boule (une boule xde feu) que nous cherchons à deux à extraire de notre gorge ; le temps ici est aussi cette boule de feu à extraire ; nous essayons de comprendre ce qui est dans ce qu on voit et pour cela nous y allons enemsble (comme à une chasse) et tentons le saut de la carpe, afin d’entrer ensemble (fissa) au sein du sein de cette roche dure, celle des parois , des grottes, du dur de la roche ; nous sommes partis ainsi , xdans ce saut de carpe, et avons fracassés nos temporalités sur cette roche dure d’une (donc) paroi temporzlle : ensemble ; il nous fallait agir ainsi et nous l’avons fait ; nous avons voulu cette chose ainsi, et c’est ainsi que nous avons franchi ce cap (d’un saut vif) à même la roche, au milieu de toutesq ces betes de la préhistoire ; à présent nous comprenons - bien des choses: la vie est un e chose vive mais qui trompe, en cela qu’elle contient (en son sein) la mort, quand la roche du temps est une chose morte mais qui (en son sein) contient la vie ; nous pen,sons cette chose, que nous devons , pour comprendre kles ressorts, rester allongés nus et ne plus bouger ; nous avons une chose à faire et cette chose est une chose douce : rester cote à côte et ne pas bouger , et regarder à nos côtés passer les betes du temps pariétal : ces aurochs, ces buffles, ces bisons, etc ; nous voulons que cette cxhose soit et c’est ainsi ici que nous agissons de conserve, main dans la main ; nous restons ainsi allongés nus un l:ong moment avant de coïter, avant de nous serrer en coque pour nous protéger de tant de ruades de betes pres de nous : elles passent toujours dans le même sens, de la droite vers la gauche etc ; nous voyons tout cela tres bien, depuyis ce poste que nous occupons dans la roche ; il y a des aurochs, nous pouvons voir des aurochs ; il y a des bisons ; il y a des buffles, il y a des bouquetins, il y a des brebis ou est-ce des chevrezuils ici ?  ; nous voyons passer toutes ces betes qui sont imposa ntesq, majestueuses, belles, droites, fortes, vives, etc : des beautés de bete autant que force vive de la nature ; il suffit pour nous de regarder depuis ce poste que nous occupons au sein de la roche et nous pouvons comprtezndre dès lors le pourquyoi du comment nous sommes ainsi, etres de peu qui allons mourir car nous devonbs donner (rendre) la vie d’où elle vient , où elle vient ; nous devons restituer la vie en nous d’(où elle est issue, où elle est issue, vers cet endroit d où elle est issue ; nous devons tous restituer  la vie (cet élémznt de vif en nous) à qui de droit ; non point nous en tant que tel (notre etre de  chair et d’os) mais ce souffle en nous de vie, cette vibration folle en nous, cette lumière vive la restituer à qui de droit : sur paroi ou sur table ; nous avons cette cxhose à faire, qyui ici est de restituer cette vie en nous (vive luminosité) à) qui de droit ; nous avons reçu (notre corps etc) a reçu la vie, nous avons à la restituer, mais nous renaclons à faire cette chose, car nous avons peur, car la peur est un élément important, nous sommes apeurés, et du coup nous renaclons à rendre ainsi ce qui nous a été donné (prêté ?) à l’entreeé en ce monde ; nous renaclons et essayons du coup par tous les moyens à «tromper l’ennemi», ou à «tromper son monde» en faisant croire que ces betes fauves sur paroi de grotte sont de la vraie vie tonitruante (à la lumière des torches) or que nenni bien entendu : simulacre, et de fait, la mort croit cette chose, peut etre, croit en cette chose de la vie vive (nectar de vie vive) qui serait par ce biais offerte un temps etc ; nous chercxhons à trouver des choses ici ou  ;là et pour cela nous nous glissons de cette sorte que nous faisons en cette paroi de roche dure, en cette chose qui contient de fait des dessins de betes grossses comme par exemple des ours des cavernes ; nouds voulons pôursuivre nos recherches longtemps et du coup essayer au plus de comprendre ce qui se trame au sein cde la roche du temps ; nous nous glissons en son sein et écoutons et regardons, en essayant touj,ours de ne pas nous faire piétiner par le passage fou , fol, tonitruant, des betes de charge : ces buffles et ces bisons ; ils foncent sans trop d’attention pour des etres (comme nous) allongés nus dans la roche (au sein de celle ci) main dans la main ; les betes foncent de la droite vers la gauche et s’éteignent comme des feux folllets dans notrte propre ... imagination ? ou dans nos visions ; nous voyons toutes ces betes folles aller vives comme peut-être des esprits frappeurs, apparitions fantomatiques et autres disparitions subites ; nous aimons ces betes, nous aimons les voir apparaitre puyis disparaitree ; nous sommes nus comme des vers, et nous sommes allongfés, au coeur de la roche, ce roc, cette dureté de pensée en nous, cette dureté pariétale ; nous cherchons des solutions à des problémes induits ici par la vie que nous subissons ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir nous infiltrer au sein d’une pa roi de roche, pour mener à bien ensemble nos enquêtesx animalières et mieux comprendre si possible de quoi (en  cette affaire ) il en retourne pour cvhacun de nous : pourquyoi ces bisons, pourquoi dces buffkles, pourquoi ces chevaux, pourquoi ces ours, pourquoio ces bouquetins d’apparation quasi fantomatiques et de dispa ritions tout ausssi fantomatiques à nos côtés ; nous cherchons allongés des élémentsd cde compréhension, desq éléments ruprestres de comlpréhension, et cela ensemblke, dans le dur de la roche, main dans  la main comme il se doit ; nous cherchons ensemble des sortes d’éléments rupestres de co:mmpréhension, nous sommes des témoins privilégiés car ainsi logés, à beelle enseigne , nous voyons le défilé des betes (ces fantomes) et nous pouvons les observer de près, les sentir souffler et renacler , sentir sur nous le souffle vif sortant de leurs naseaux etc ; nous pouvons étudier ainsi de près la bete et nous faire une idée de ce que cette bete est pour nous, en pareille loge ; nous occupons cet espace dans la roche et cet espace est habité pa r des betes de charge que nous étudions à leur passage vif, quoique un tantinet nébuleux ; nous sommes allongés comme sur une plage, mais ici la plage est la roche du temps, ce temps pariétal en dur, ce temps dur de la roche, de paroi, etc ; njous ne bougeons pas, du moins essayons, et écoutons le tumulte des betes qui passent, et dispâraissent aussitot passées ; nous sommes deux ; 

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nous sommes alloongés et nus (fragilisésq)  ; nous sommes nus au beau milieu de la roche et il n’est pas facile de se protéger, de protéger ses parties, etc, car la bete est fauve et fonce ; il n’est pas simple de se protéger le corps car celui-ci est nu, nu comme un ver, et se prete donc encore plus à etre comme touché à vif : il faut donc se serrer les coudes = se blottir l’un dans l’autre le plus possible = le plus en profondeur poossible et coïter, à l’intérieur de la roche, afin de (ce faisant) pouvoir mettre à l’abri (dans la gaine) les parties fragiles (celles qui dépassent et peuvent dès lors se prêter plus aisément à un coup de cornes ou de sabot)  ; nous coïtons ensemble de la sorte afin de faire en sorte de pouvoir ici même glisser les parties, dans un fourreau qui soit le protecteur d’icelles ; nous voulons nous protéger des (différents) effets du temps qui passe pres de nous en une sorte de déferlante animalière pariétale  ; aussi nous nous blotissons de cette façon et ne montrons plus que nos dos nus, à nous deux (ou de nous deux), qui sommes ici serrés collés, pris englués, pris serrés l’un dans l’autre, serrés fortement dsans les bras l’un de l’autre, afin de former une sorte de coque qui pare des coups (éventuels) des betes gravées etc ; les hommes préhistoriques dessinaient sur des parois des betes (attroupement, calavlcade et chevauchement) pour leur survie, pour essayer de contrer le sort , c’est à dire pour tenter de le tenir (au jour le jour) à distance d’eux le plus possible ; ils avaient cette eznvie en eux de faire en sorte que la mort qui voit voit que ce qu ils donnent est de la vie fraiche pour elle , or bien sûr il n’en est rien , il s’agit de pis-aller ; nous sommes au beau milioeu de ce pis-aller, de cet alleer dans un seukl  sens en roche ; nous nous blottissons l’un dans l’autre  (fourreau ou gaine etc) pour nous protéger des ruades, des piétinements ; nous ne voulons pas nous faire piétiner, nous nous mettons ainsi à l’abri des ruades, des coups de sabots en roche, au sein du roc en dur où nous sommes nus, allongés, lun pres (contre) de lautre : l’un contre l(autre, l’un pres de l’autree, nus comme des vers ; nous voulons ne pas nous faire piétiner ; nous ne voulons pas nous faire écraser par ces betes qui sont dessinées comme vivantes, elles semnlbent vivantes et font accroire ; nous pensons que nous sommes ainsi les yeux ouverts sur l’attroupement qui va de son allant, qui va, dans son mouvement, dans un même sens de ruade, pres de nous,  ; nous sommes au milieu d’icelui, nous pensons que nous sommes au beau milieu d’icelui et qu il faut en permanence jouer serré des coudes pour ne pas se faire écraser par ces betes de somme qui s’écartent au dernier moment et nous fichent à chaque fois une peur de tous les instants, car elles sont nombreuses ; elles y vont, elles chargent fort, elles ne font pas semblant de charger, elles font comme si elles étaient réellement vivantes, follement vivantes, elles le swem$

blent ; il nous semble à nous qu elles sont comme vivantes qui chargent follement pres de nous, or non : ce sont des dessins et des gravures d’hommes des cavernes ; l’art ; et donc il nous apparait que ce que nous craignons n’est pas à craindre réelllement ? il nous appa rait que ces betes ne sont pas de vraioes betes et cepezndanrtt nous les craignons comme de vraies betes, et cela est étrange, cela est curieux et ne manque pas de nous troubler ; nous pensons que cela est curieus , et que cela est étrange en vérité ; toutesz ces betes qui chargent nous frôlent et sont à deux pas de nous piétiner , et cependanrt il s’agit de fausses betes de charge puisqu’il s’agit de gravures sur la roche et de dessins au bauxite de manganèse par exemple  (ou au charbon de bois)  ; alors qu’en penser ?  ; nous pensons que cela est ainsi que ces betes dessinées (plus vraies que nature pour ainsi dire) s’animent à la lueur des torches et semblent plus vraies (vivantes ) que nature ; nous sommes au beau milieu de ces betes de somme ou de charge et nous faisons en sorte (coït : fourreau) de nous protéger des ruades, et cela en roche, au sein du sein ; nous sommes placés de telle sorte que la chose icvi qui prime est cezlle ci : de se prémunir (fourreau : coït) de toute agression malencontreuse de la part d’un rhinocéros par exemple, ou d’un aurochs ; nous ne voulon s pas npous faire piétiner, nous voulons rester inta ct, et nous essayons d’ainsi nous en sortir en nous calfeutrant l’un dansl’autre (coït) , en nous recroquevillant l’un dans l’ao utre ou l’un contre l’autre (coque) , ainsi de suite : il le faut ; nous sommes tenus à cette chose, si tant est que nous voulonbs rester i n tacts, que nous ne voulons pas en finir, que nous tenons à la vie , etc ; nous tenons -à la vie par la roche en dur d’un e grotte, du fait que nous sommes insérés en elle, en cette paroi temporelle de roche, en icelle dure qui nous contient ; nous sommes sis, situés en elle : là en ce point focal du coeur de roche pariétale = le temps ; notre envie ici est de demeurer ; nous ne voulons pas en sortir, nous voulons y rester, nous voulons rester dans la paroi, à l’intérieur d’icelle et faire corps ensemble (protégés) avec elle  ; notre but est affiché (arty) qui dit son eznvie de rester a insi allongés et nus mais protégés dans la paroi du temps qui se déroule, ou qui déroule son ... , son quoi en vérité, son tapis ? sa roche, son assiette, etc ; nous voulons ainsi nous tenir de cette sorte ensembvle sur tapis de roche, à l’intérieur de celui ci, car nouys tenons à rester en vie le plus longtemps possible, etc ; notre but (affiche) est affiché, est clair : il s’agit pour nous de nous tenir le plus possible ainsi collé serrés ensemble en paroi du temps, à l’abri des ruades, à l’abri des coups de pattes, et (nus, de  nbous coller ainsi à la paroi du temps qui est celle d’une grotte de la la préhistoire ; nous pensons que ces hommes (préhistoriques) dessinaient des betes quils cherchaient à rendre les plus pôssible vivantes à loeil extérieur et voilà ^pourquoi pareille exactitudes dansla ressemblance, et cela pour faire accroire etc, pour donner, pour faire don de vie à la place de la leur ; nous peensons que ces hommes, dessinaient en lévitation, dessinaient en des états seconds, ils étaient nombreux, ils lévitaient, ils étaient dans des états seconds, ils lévitaient et dessinaient ainsi en lévitatation, en des états seconds, comme envcahis par des choses animales ou animalières en eux, en transe, dans une sorte de transe ; ils étaient ainsi munis de pics et de choses diverses qui pouvbaient ainsi servir leur cause ; ils dessinaient sur la roche, ils dessinaient avec force exactutide afin de faire accroire à la vie sur roche ; nous pensons cette chose et nous serrons les fesses ensemble ; nous sommes insérés dans la paroi du temps et coïtons, pour nous protéger des coups de sabots au passage des betes ; notre but est affiché (art) sur les parois : il s’agit de nous prémunir de ces betes fauves qui chargent : cela est dit ainsi par des points réitérés, et par des traits idem : réitérés, et par des signes divers (ainsi que par les tracés des mains sur roche) qui nous permettent de parler ainsi à tout ceux et celles qui nous obsezrvent, leur dire notre volonté (notre désir) affichée ici (art des parois) de nous prémunir contre cette chose qui cherche continuellement à nous emporter ; nous voulons dire ici que nous luttons contre, et que les betes dessinées sont, pour le coup, dons de substitution ; sont desz choses offertes à la place de notre vie (à nous mêmes) ou quelque chose de cet ordre (animal) là ; nous sommes tous les deux comme pris ainsi dans la roche (inclusion) et ne bougeons pas d’un millimètre, nous préférons ainsi ; nous ne vou ;lons pas nous faire piétiner, nbous ne voulonbs pas mourir piétinés par des pas , des coups, des sabots des betes, des sabots des buffles, des bisons ; notre but est clair ici cvomme eau de roche : nous coïtons comme pour nous protéger en roche (dur) du temps des coups du sort en nous animaliers ; en nous qui détenons des betes ? en nous ou hors de nous, qui voyons passer des betes pres de nous ; nous sommes pris d’assaut, nous sommes au beau milieu, nous sommes dedans ; nous sommes au beau milieu des betes qui chargent et ne manquent pas de nous froler, au passage, et ces betes d où sortent-elles ? du pinceau (?) des hommes préhistoriques ? de nous (trou-bouche ) ? d’où ? nous ne sqavons pas dou sortent ces betesq  ; il se peut que ces betes sortassent de nous, sortent de notre trou de bouche percée, etc ; nous pensons que nous sommes ainsi comme prisonniers de la paroi de roche ; nous pensons tous kles deux que nous sommes comme pris à paertie et coincés, et comme prisonniers de la paroi, avec ici cet ensemvle animalier qui déferle, depûis ... notrte bouche ! et tout du long de nottre corps, qui déferle, qui fonce, qui vibre etc ; notre but ici est clairement affiché sur la paroi (dessins rupestres) et il s’agit dès lors de nous prémunir des coups du sort (sortie de roche) afin de rester bel et bien en vie ensemble (rester blottis en icelle)  ; notre ambition ne comporte pas de cachotteries ; nous voulons pezrdurer dans la roche, en termes de personnes incluses en icelle, rien de plus ; notre but ici est affiché (art) haut et fort, d’une certaine manière ; nous pouvons cracher sur roche et dessiner des betes, ces betes sortent de notre bouche, nous dessinons ces betes qui sortent et vonbt à se ficher sur une sorte de paroi de grotte et cela pour faire accroire, doù la ressemblance étonnante ; nous pensons à la ressemblance comme à quelque chose qui est capital , essentiel, au centre de nos préoccupations ; nous pensons que la ressemblance poursuivie est tres importante et ne doit pas pas eytre négligée, prise par dessus la jambe, tout le contra ire  ;:: l’art  ; nous avons ezn nous des betes qui chargent, ce sont des betes de grosse taille, elles sortent de nbous par ce trou de perçage de joue et vont courir sur nous et aller ainsi fissa (chargeant) vers la terre reine : la pa roi du temps ; nous les rtegardons filer ; nous ne pouvonsfaire autre chose que cette chose que nous faisons et qui est de les regarder filer sur nous vers le temps pariétal d’icelle (la paroi) en dur de roche de grotte ou de caverne ; il s’agit de nous qui crachons ; il s’agit de nous deux qui crachons des b etes sur paroi, nous sommes en lévitation, nous swommes homme et femme de la préhistoire et nous dessinons des betes qui chargent et font penser (du fait de leur ressemblance) qu il s’agit de vrais animaux sauvages (imposants) et non point de représentation ; nous sommes qua siment certains que  cette chose (de découverte) est capitale, est essentielle , est au coeur de la question qui nous occupe ici, sur paroi de roche de groote, ensemble (à toi à moi pour des discussions interminables)  ;: nous voulons cette chose ainsi, nous cherchons à comprendre ce qui est, ce que c’est que cet art dont on nous rebat les oreilles à longueur de temps, et pour cela  nousq avons monté (créé) un laboratoire, un lieu de recherche, qui noudss permet de mieux nous poser ensemble, à l’écart des bruits du monde, dans le but (affiché par une affichette) de comprendre le ressort secret, de cerner plus en profondeur le ressort qui préside, cette chose qui préside, qui est à la base, qui est la besa de tout ce que nous voyons dessiné sur roche : cette chose de base (coeur) qui bat sur paroi, qui bat son élan sur paroi et donne le la du temps pariétal qui passe, qui fonce, qui obstrue le paysage ; nous pensons que ce laboratoire est une bonne cxhose ; nous avons travaillé (oeuvré) dans ce swens, nous voulons faire cette cghose et du coup nous essayons ensemble, de comprendre en labo ce  qu il en est de toute cette cavalcade sur pierre ; notre ambition est clairement affiché ; l’affiche est l-à placardée un peu paertout dans le village, aux quatre coins ; nbous avons des choses à faire dans ce sens, dans kle sens des découvertes ; nous pensons qUE nous devons aller ensemble p^lus en profondeur dans les recherches de type rupestre et voilà ce que nous faisons ; nous devons agir de cette façon et aller loin ainsi dsans les recherches ; nous devons aller le plusq loin possivble dans les recherches et surtout ne pas nous déxsunir mais tout au contraire rester l’un l’autre collé-serré le plus possible afin de tenir ensemble et de trouver ensemble ; le but est clair , le but affiché est clair comme del’eau de roche etc ; il s’agit de recherches pariétales concernant le temps, kl’art, la loi des choses entre ellles, au sein d’une sorte de communauté de pensée, par exemple préhistorique ; nous pensons que l’homme et la femme de la préhistoire avaient certainement des buts en commun lorsquils dessinaient sur les parois , et que cet art (dit art) étaient un e manière pour eux de conjurer le sort en quelque sorte, une manière à eux de pousser toujours plus loin le moment de la fin, de tenir à distance ce moment le plus possible , en offrant la vie dessinée au lieu de leur propre vie morte par exemple ; nous avons cette idée ezn tete et cette idée ne nbous lache pas car elle est prégnante et imposante sa grosseur ici ; il s’agit d’une affiche, il s’agit une fois encore d’une affiche (ou affichette) qui dit la cxhose (lévènement) comme quoi kles betes qui wsont dessinées le sont par des mains non expertes, le sont par des mains lambdas, sont des choses coulant dse soi, des choses de roche, sont coulées de soi comme eau de source, facilités de chose de lévitation, transe etc, qui font que les betes ici dessinées ont des traits de ressemblance considérables et font penser qu il s’agit (à la lumière remuante des torches) de betes en vrai qui chargent et non point de betes fausses ; il s’agit de fauusseté et dee véracité, il s’agit d»une question qui concerne le vrai et le faux ; l’homme des  cavernes dessinant, le faisait avec cette idée en tete (cap) qui est celle de vouloir (affiche) montrer la vie (art) aux yeux de quiconque porterait regard sur cette paroi de temps au sein de telle ou telle ghrotte ; nous avons cette pens»ée en  ous ; nous avons cette chose de pensée en bnous qui nous obsède : nous sommes envahis (= pleines) sd’une pensée qui est une obsession de pensée, ou une obsession pensée qui prend cette place en nous que des betes de bouche a utrefois (il y a longtemps) occupaient par devers nous ; nous avons ce cap en nous qyui est cap raisonné, qui est cap de raison qui vca son chemin de pensée et laisse de côté les betes, or cela est une drole de façon de faire ; nouys venons de loin, de fort loin sur ce chemin, et les betes autrefoisz nous constituaient qui etaient en nbous comme pics de crève-roche ; nous aviiions en bnous des betes qui nbous gouvernaient et allaient (sortant du trou de bouche) se fichezr (pic et pic) sur la roche du temps pariétal, cela était ainsi, alors qu’aujourdhui la chose n’est plus la meme ; le pic reste mais il ne s’agit plus d’une corne, ou cohorte, ou d’un objet caudal sortant de notre trou de bouche, mais du cap long de notre mobile cranien , qui va se coller ainsi (recherche du dur) à la paroi -roche d’une groote ; le crane (le haut du crane) va chercher le dur de la paroi et colle , et ne lâche pas ; il reste au contact de cette paroi ; il s’agit d’une chose forte, une envie qui nous dépasse, cette envie setraduit ainsi, par cette accolemment de haut de tete à roche dure : rassurance ; nous pensons que nous devons réfléchir ensemble à cette chose comme quoi nous collons le crane à la paroi du temps ; le temp^s est présent qui prend, qui accepte, qui concède ; nous passons ainsi de longs moments contre la paroi du temps, crane au contact (cap de raison) et ainsi faisant nous allons plus loin toujours dans les raisonnements qui nbe mènent à rien en définbitive, piusqu il est entendu que la raison de cap ne pezrce rien, et que la paroi reste dès lors intacte (du temps) qyui ne prend rien par la raison mais seulement par la grace d’un pic de bouche animalier, confer les betes dessinées ou gravées des hommes de la préhistoire ; le fil a été rompu ; que s’est il passé ?  ; il s’est passé cette chose que le fil a cédé cxar il était tenduu à l’extrème ; il a cédé car il était tendu à un point de tension tel, qu il ne pouvait tenir plus longtemps entier ou intract, et dès lors , le fil cédant, la tete est venue se cogner (tete première donc) contre la paroi, par une sorte d’effet rebond qui nous a vu alors nous fracasser (fracas = art) la tete (le crane) contre la roche dure ; nous avons ainsi compris la chose incidemment de la manière la plus concrète quyi soit ; nous avons pigé (compris) que la chose du temps (dure, la chose) est une chose contre laquelle il est préférable de ne pas se cogner, car la douleur est à la clé et la douleurr n’est pas (obligatoirement) du plaisir ou une sinécure ; nous nous sommes cogné la tête contre la paroi du temps (raison de cap) et cela fait mal (la douleur humaine) et ne manque pas de nous obséder ; nous pensons que nous devons réfléchir à cette chose comme quoi nous avbons un jour cogné notre tete de raison sur la paroi du temps et depuis nous avons compris notre douleur de cap en cap ; nous voulons aller plus loin si opossible en icelle compréhension des choses, nous essayons d’aller le plus loin possible en icelle compréhension des choses et pour cela nous usons de notre cap de bouche : oui ; une sorte de cap qui est une sorte de bouche ; nous essayons (travail de laboratoire) ce systhème, ce système qui n’est en rien garanti, qui peutetre ne marchera pas vraiment,  ; nous essayons, qui n’essaie rien n’a rien ; nous essaayons ceete chose, en espérant que celle ci puisse apporter ses fruits un jour ou l’autre, nous pensons que d’agir ainsi (par une sorte de grand écart entre la bouche et le cap de tete) , nous pensons que d’agir ainsi (grand écart) peut rapporter gros en termes de découvertes pariétales , temporelles, etc ; notre but est ainsi affiché d’emblée et ne souffre d’aucune cachotterie ou autres cachotteries d’homlmes de science ; nous pensons que nous devons jouer franc jeu, nous nous posons en chercheurs qui ne masquent pas l’objet de leur recherche ; notre ambition est grande, entière, complète, intégrale, pleine : un oeuf ; il s’agit de comprendre cette chose ; nous devons comprendre ce qui est entre  le cap de tete (la raison) et le pic de bouche (la cohorte animalière en nous)  ; nous sommes à hue et à dia ici et tel est le programme (initial) de nos recherches ; le programme est affiché (affiche, art) et ne souffre aucun malentendu ; nous chezrchons dans une direction quil nous sied de prendre et qui concerne ceztte relation qui existe entre cap de tete et pic de trou-bouche, et ainsi faisant nous espérons grandement pouvoir ytrouver (déceler) des choses de toute première importance dans le domaine des connaissances que nous avons à ce jour sur ce que c’est que cette chose d’un art des cavernes et ce qui sensuit de cette  chose, ce qui s’ensuit de cet art des cavernes, en termes de chevauchement de sutures teemporo-faciales, ou tamporo pariétales etc ; lorsque le mobile foetal vient percuter (ou pas) l’os dur du bassin, la roche, il se cogne contre et du coup il crie sa douleur dès que possible ; les sutures se chevauchent, qyui laiissent au mobile foetal la posssibilité de se szerrer soi, de se rétrécir pour passer la tete, les épaules, et le reste du corps avec le moins d’encombre possible : ce passage ; nous pensons que nous devons y réfléchir ensembkle et comprendre toute cette affaire à la lumière du passage du moment de la naissance (peut ettree) ; nous ne pouvons pas ne pas le dire ; nous sommes tenus à dire les choses ; nous devons nous placer dsans la si tuation où des cghoses peuvent etre ditesz ; nous devons nous placer dans la situation où un grand nombre de choses (tous ces animaux sur roche) doivent (?) ou peuvent etre dites ici, le plus «tout à trac» possible, car cela est ainsi que nouys envisafgeons les choses de la vie rupestre ; nous pensons que nous devonsq aller loin en besogne , et nous bousculer nous mêmes, nous faire violence, afin ici de nouys obliger (tout à tra c) à cracher (sortir de notre trou de bouche) des betes de charge et d’aller les voir ainsi, se ficher szerré contre des parois de bassin-grotte etc de terre-mère ; nous pensons que nous devons agir de la sorte ; nous pensons que nous devons sortir de nous des betes par un trou qui est celui de notre joue (en joue !) trouée et pas seulement via la calotte cranienne (sutures) ; nous pensons que nous devons penser les choses via la bouche et pas uniquement via la calotte (les sutures) ; nous avons cette pensée en nous , qui nous cingle, qui nous foueette ; nous aimons penser cette chose comme quoi nous avons ce chezmin à faire pour comprendsre la question (centrale) de l’a rt, de cet art des cavernes et de l’art tout court ; l(a rt est ce passage du bassin de roche, qui voit  cette cxhose aller ainsi, se coller intègre à la paroi du temps ; nous essayons de comprendre ce quil en retourne et évidezmment que la cxhose à comprtendrte n’est pas si simple ; nous devons aller le plus loin possible en cette cghose de pensée et pour cette raison nous nous tenons collés serrés ensemble (main dans la main = le coït du temps pariétal) ; nous avons ce cxhemin pariétal (temporal) à faire ; nous cherchons à coller ainsi le plkus pôssible à la paroi du temps, le cr(âne oui mais pas seulement : cette trouée via ce pic de langage acquis ; nous voulons cette chose de cette façon faire, et faisons cette chose de cette façon, ensemble, car : nous sommes ensemble soudés, nous collons ;, nous sommes comme soudés par une sorte de mission commune, tenon-mortaise) qui nous voit nous assembler pour une percussion à vif de la roche du temps prése,nt (donné)  ; nous avons cette choseà faire et nous voulobns la mener à terme, et cette cxhose est nôtre, en cela qu elle ne sort pas de notre giron (pierre, roc, roche, etc) qui est le giron de notre propre union temporelle ; nous voulons faire cette chose ensemble, aller nous unir dans cette roche ; notre cap est ainsi collé contre la paroi ; ; nous ne voulonbs pas lachezr la bride mais tout au contraire nous voulons tenir la bride et aller szerré contre le dur de la roche du temps, contre ce dur de roche temporelle ; notre but est clairement a ffiché et ne laisse aucun soupçon de quoi que ce soit quyi concernerait une quelconque ca chotterie qui pourrait  exister ou perdurer = aller ; nous pensons que ce quye nous avons à dire est clair comme de l’eau de roche, il s’agit d’eau de roche ; nous pensons que nous avons àà dire un c  ertain nombre de choses et que ces choses sont telles que : nous devons les dire sur p roi de roche, avecques des betes, avecques des betes de charge le plus possible ;: il s’agit de naissances à chaque fois réitérées qui viennent se chevaucher et former troupeau pour une vision vive offertte, d’offrande ; une offrande telle que avons pour nous à donner ainsi de nous sur paroi, sur roche, dans le temps ; nous avons des choses à donner de nous au fil du temps que nous avons pour nous à vivre : ce fil ; or ce fil a été rompu ; ce fil est le fil des ruptures hélas ; il s’agit d’un fil de rupture, en cela que ce fil sera un hjour rompu par dame ou sieur la mort, et cde ce fait nous cherchons ensemble (coït) à tout prix, à renouer avec ce fil du temps quyi , rompu, nous a mis à l’écart des choses pariétales hélas ; notre but est donc clairezment affiché et ne soudffre d’aucun malentendus sous jacents ; nous disons ce que nous faisons et nous faisons ce que nouds disons : lka chose est carrée ; nous ne voulonbs pas d’(un fil qui se rompt ; nous voulons conserver cet élan de vie animal ; notre ambition (via l’art) est de perdurer dans la paroi du temps, et non pas de nous voir ext, et non pas de nous voir extrait, de nous en voir extraits ; nous vouloons rester collés ainsi , contre le dur de rocxhe, et n’en point sortir jamais si possible et cela est possiblke : via l’art ; donc voilà le programme tel qu il est affiché aux quatre coins de la ville : nbous avons une pensée pour la paroi ehn tant que celle ci est cellez dx’un temps que nous voulons voir perdurer pour nous ; rester ezn vie est la grande affaire- ; nous cxherchons en laboratoire des raisons qui font que mises bout à bout elles puyissent nous offrir cette chose d’une poursuite (fissa) dans le temps de la paroi de notre train de vie rupeswtree etc ; notre champ d’action est étendu : nous avons plusieurs cordes à notre arc pour ainsi agir en amont de la paroi tout autant qu’en aval ; nous voulons essayer de faire en sorte que cette chose (de type pariétal) puisse perdurer dans un temps de roche ; cela est notre grande affaire ; nous avons ce boesoin en nous quyi est que nous devons aller ensemble loin à l’intériuer de la roche de la groote ; nous sommes deux qui voulons aller tres loin au fin fonds d’une roche de paroi de grotte (de caverne) et pour cela nous avançonbs (pas à pas) en nous tenant la main , nous ne nous lachons pas, nous ne voulons pas nous désunir ; nous essayons de rester unis ; nous cherchons l’unité du couple que nous formons ; nous cxherchons à consezrver cette unité de couple (tenon et mortaise) au sens concret du terme, physique , etc ; pour ainsi aller loin dans cette réflexion que nous menons en atelier, en laboratoire, à partir des :mots du lman gage inculqué et ce vers cette (ici) paroi temporelle qui nous fait face (encerclement) et nous donne la vision des choses ; nous pensons et pensant nous allons ainsi dans une profondeur de roche temporelle : dur de dur ; nous ne voulons pas lâcher prise ; nous continuons notre bonhomme de chzmin, et le chemin est long qui nous voit aller vers une roche dure pour nous immisvcer en elle (icelle) afin de nous blottir (collé-serrés) dans cette paroi de temps inaugural ; nous avons lac  hance de lpouvoir agir ainsi ensemble (unis dans la roche) et de pouvoir cherc hert ensemble ders choses cachées, des choses à déceler ; nous essayons de comprendre lke fait, la chose de cette vie à vivre pariétale ; l’os du bassin est la paroi mais pas seulement lui, il y a la grotte ici , ce trou dans la vallée, qui offre un passage, de fait, vers une  cavité ; nous voulons comprendre les ressorts secrets du monde et pour cela, nous avons opté pour un travail «de laboratoire» (atelier de recherche) où nous pouvons glissezr ainsi (tranquillezment) sur des nootions que nouys voulons approfondir non point toujours dans cette espèce de glisszade (surf) sur des mots de tete, mais via des percées temporelles de type temporo-faciales : kle coup de tete contre la paroi à but de perçage et d’ouverture vers de l’au delà pariétal ou rocheux ; celka évidemment peut prêter à rire et cependant il est de notre dezvoir d’agir de la sorte, dans la mesure où nous comprenons que nous devons percer pour savoir et non point seulement glisser (surfer) sur la vague langagière des idiomes acquis ; mais la question cependant reste entière, qui se pose ainsi : commùent percer ? comment trouer ? comment faire un pic et avec quoi ?  ; nous sommes munis d’une sorte de opic en nous ;, d’épine caudale, de pic de bouche, cvomment savoir, caché en nous depuis longtemps, et qu il serait bon de sortir de soi à nouveau afin de se munir d’un instrument fiable, ezfficace, pour trouer la roche (celle du temps) et la roche (celle de la grotte) : gravuure ; notre but est donc ici de sortir le pic de sa loge (art) afin de mener à bien cette action de perçage du temps telle que nous l’entendons de concert ici même, dans notre laboratoire de recherche ; nous cxherchons à sortir de nous le pic de perçage ; où est il en nous ?  ; toutes nos actions se résument en cette chose, d’une recherche en  nous (dans le temps) d’un pic de perçage de paroi du temps, rien d’autre pour ainsi dire ; notre a mbition est immense, nous  le concédons ; notre ambition concerne bien entendu cette rechezrcxhe de pic et aussi cette envie de per c er le temps et du coup de passer au delà de la roche dure (celle des cavernes) pour une immixtion en icelle ; notre ambition est ainsi définie et délimitée qui nous voit nous acharner à trouver quelque part en nous ce pic de percée de roche, ou de perçage de roche, tel qu e nous pourrions enfin ensemble, avec, transpercer la chose dite temporelle du mondee tel que nous sommes à même de le vooir aller, de le voir se dérouler tout autour de nous (encerckle)  ; nhous chezrchons un pic (= art ?) qui soit le pic du perçage du temps , et pic de connaissance pour une sorte de savoir sur les raisons qui donc président à l’élaboration du monde alentour (qui de quoi) ; notre peine là est grande qui nous voit nous escrimer (vaillamant) et aussi développer des outils de rechezrche en nous, via du rentre dedans, via du forçage etc pour une découverte souhaitée par nous et ce dans les meilleurs délais ; nous cherchons et nous voulons ; nous cherchons cette chose en  ous et la voulons pour nous pour perçage de roche, pour le pezrçage de la roche dure, de la paroi de cette grootte où nous sommes entrés ensemble, dsans laquelle nous nous sommes ensemble (main dans la main) introdyuits à la recherche de peintures ou de gravures des temps anciens (préhistoriques)  ; nous aimons les b etes dessinées sur paroi ; kles ghommes préhistoriques nous intriguent, qui dessinaieznt à main levée d’une manière étonnament fidèkles aux modèles qui étaient kles leurs : aurochs ou bisons, buffkles ou bouquetin,s ; nous aimons beaucouyp ces dessins de betes, nbous dessinons ausssqi pour nous des betes pour les mieux comprendre sur paroi ; nous avons en cours pas mal de recherches dans ce domaine des dessins animaliers rupestres ; nous pensons que les hommes des cavernes aimaient dessiner des betes tres certaineme,nt mais que la raison première n’était pas là mais plutot en une sorte ds’élan en eux, une sorte ezn eux d’élan semblait présider, quyi leur faisait lever la main et marquer sur roche des choses presque à leur insu : des traits, des points, des dessins de mains peutetre , quoi d’autres ?  ; bnous sommes quasiment persuadés que kles dessins des mains comme ceux des animaux sur les parois des grottes eétaient le fait de phénomènes d’emprise terrible qyui (des lors) les envahiissaient d’une mabnière telle que leurs lmains deveznaient des instru:ments de pic de roche, des éléments, des instruments de pic sur roche pour une gra vure ici ou un dessin là, de phacochères, de chevaux, d’ours, d’antilopes etc ; nous pensons que les homme des cavernes avaient l’ambition , cette ambition) de vouloir coute que coute graver de la simili-vie sur roche afin de faire accroire et se placer des lors en mode survie ; nous avons des convictionbs ; nous voulons comprendre ce qui sexopasse sur des parois, dans le temps, dans la oparoi du temps qui est celle d’une sorte de déroulxé (surf) langagier de type temporel et pariétal ; nous voulons essayer de percer cette chosze, en y a llant fissa et tambour battant (tambour) pour des découvertes de cxhoqses eznfouies ; le verbe ici est la chose qui compte ^pour un pic de roche de temps ; kles mots possédent leurs raisons (leurs significations ou sens) qui induisent des pensées qui nbe sont pas à négliger mais qUil est bon de teznir à une certaine distance , qui est celle (distance) qui va de la bouche (trou de bouche à pic) à la voute cranieznne (cerveau lent d(homme des cavernes)  ; nous pensons que nous devons coomprendre cette chose, comme qyuoi nous avons en nous encore et toujours ce cerveau lent de l’homme des cavezrnes et que dès lors la solution (à la compréhzension des choses) n’est pa s dans cet usage effréné de la raison de cap, mais dans une sorte de rapport filial (filaire ?) entre d’un côté le crane ou cap de la raison, et d’un  autre le trou de bouche (ici) qui est ce perçage dxe joue par des cohortes de betesq en rut ; nottre souci est donc de marier la chèvre et le chou, pour une entrée en cette matière d’un  temps qui serait le réceptacle de l’au delà des choses du monde ; nous avançons de cette façon dans la compréhension, ou du moins nous essayons cette chose d’avancezr le plus pôssivble dans cette chose (matière) rocxheuse, ou rocailleuse, cette chose rocailleuse du temps du monde ; le temps est la belle a ffaire ; il s’agit d’une affaire qui est celle qui nous pousse à aller en labo rechercher et encore rechercher pour comprtendre, pour tenter, pour tenter des approches de prise en considérations diverszse des élements, des divers et nombreux éléments de vie , tout autour de nous, qui sont éléments de survie ; nous voulons comprendre  ce qui est de toute cette affaire ; nous voulons essayer du moins de comprendre ce qui est de toute cette affaire de temp^s en roche, d’art rupestre etc ; l’art est une chose qui nous intéresse fortement dsans le sens où cette chose nous inclut (inclusion) dans la paroi du temps ; il s’agit d’un rapt ; il s’agit de raptation ; dès lors nous sommes à :même de penser à ce rapt comme à un phénomène de survie, de maintien en vie ; la terre entière est soumise de fait à des va riations diverses, et cependant l’homme partout a en lui (qui gronde) ce pic de verbe, cette pique la ngagière (une cochonnerie) qui lui permet de (comme) trouer le temps c’est à dire la paroi du roc ; il est (cet homme) muni et peut percer si tel est son désir ; il n’est pas en manque de pics ; son pic à lui est robuste et peut transpercer (pour des immixtionbs) toutes sortes de parois de grotte à ornementer ; il est un hopmme (encore et troujours) des cavernes ; il nb’a pas varié d’un iota, ou si peu ; il eswt l’homme des cavernes qui dessine et grave des betes grosses sur la roche et cela en lévitation, en transe, la main guidée, poursuivi par des acteurs en lui qui le guident, pourchassé en lui par cxes betes qui le somment à graver ou dessiner des betes fumantes, fortes, grosses, pleines d’allant et de vie ; lka bete en lui le pousse à «cracher» des betes à qui mieux mieux sur des parois de grotte : l’art est cette affaire, c’est à dire ce crachat (depuis soi) de betes d’inclusion rocheuse, etc ; l(homme des cavernes aimait ainsi graver et dessi,ner sur desq parois (des betes de charge) et ainsi invoquait les dieux de la mort qui rôde ; il ne pouvait agir autreement car il était mû, en lui, par des forces souterraibnes qui le poussaient à dessiner (exp^rè§s) de fa çon ressemblante le plus possible ces betes de charge, de prairie ou de forêt, quil connaisza it parfaitement pour les avoir à pourchasser à longueur d’années ; il était (cet homme des cavernes) cet homme qui grave sous une sorte de dictée en lui  qui le pousse à dire (graver, dessiner) ce que son coeur qui bat a sdécidé ici de dire en ca dence : points, points, points, ou bien des traits ou bien des betes de belle stature, plus vraie quasi que nature ; nou pensons de cette sorte ; nous pensons qu en n ous existe des betes qui ne demandent qu à sortir de nous (trou de bouche ou calotte cranienne) pour dès lors aller fissa sze jeter contre une (donc) paroi de grotte  ; vite fait bien fait ; nous pensons que cela est cette chose que nous recherchons assidument, dans notre laboratoire ; nbous voulons rechercher ces choses (à l’intérieur de la paroi) pour notre gouverne, pour aller ainsi vers des raisons, vers des explications du monde etc ; la terre entière est cette chose que nous suspectons comme étant pour nous cette paroi de roche temporezlle et des lors comment s’y prendre pour percer ?  ; nous avons des piques en nous qui pourraient nous etre utiles ; nous possédons ennous des piques qyui vol ;ontiers pourraient nous rendre service (-grand service) en toute cette affaire temporelle langagière ; le temps ici est cette paroi en dur que nous aimerions percer une bonne fois, or il s’avère que nous ne cessons de glisser dessus, d’etre ainsi transbahutés comme sur une mer porteuse ; nous pensons que cette chose est donc celle qu il est bon de questionner ici, quand bien même nous surferions ensembvle sur une vague qui ne cède pas, qui poursuit immanquablement sa route, et ne nousoffre aucune possibilité de prise de pic, de percée de pique, d’ouverture ou de trans-ouverture possible avec pic de bouche ou corne cde rhinocéros ; nous essayons de comprendre ce qu il en est de cette affaire de perçage du temps, de cette paroi ; nous voulons ainsi faire que la cxhose se présenterait ainsi pour nous : une mer qui s’ouvrirait sous nos injoncxtions (coups de  tete) et nous offrirait la vision tant souhaitée, dune chose du monde à ce jour cachée, cette chose de derrière les fagots du temps ; nous voulons aller le plus loin possibble , non pas devant dans le temps (quoique)  mais le plus loin possible à travers : percer la couche  pariro -rocheuse du temps ou ce qui lui sert de receptacle ; nous avons cette ambition (désir) chevillée à nous , c’est à dire qu il nous est quasi impossible d’y couper, nous sommes des tres-obligés de cette chose du désir, et le pic en nous vibre de vouloir percer le temps , la roche, comme l’homme des cavernbes ; je suis, tu es, nous sommes hommes et femmes des cavernes, et, à ce titre, nous sommes en quete d’une vision ; nous voulons voir ce que c’est que cette chose, qui sembklerait nous attendre quelque part mais où  ; nous voulons savoir ce que c’est que cette chose qui parait-il nous attend où cela ? ; nous pensons qu’une cxhose quelque part nous attend, il semblerait ; nous sommes à penser qu un quelque chose quelque part mais où nous attendrait et cette chose eswt la mort, et cette chose de la mort nous aimerions pouvoir la nommer, la tenir à distance par le nom que nous lyui donnerions nous-mêmes dans le temps ; nous voulons essayer de comprendre cette chose et pour cela nous nous plions en quatre, nous nous acharnons, nous sommes forts de cette chose à faire, nous voulons comprendre  cette chose de la mort, c’est à dire de l’interruption, mais il nous est difficile de comprendre cette xchose, d’une interrup^tion du fil de la vie, car nulle part autour de nous n’existe en vérité cette donc interruptiondu fil de la vie, la coupe est pleine ; nous pensons que nous avons à renverser la coupe dans le temps, mais commeznt s’y prendre pour ce faire ?  ; il est comp^liqué à nos yeux de comprendxre c  e qui est du monde pariétal, nous avançons à pas comptés, nous cherchons avec des mots, nous voulobns trouver ce qui est et pas seulement décorer des grottes ; nous cherchons à faire en sorte que des vérités jaillissent sur parois, qui , vérités, nous donnearient de quoi nous prémunir de pareille finalité , telle que précedemmeznt décrite avec ce mot de « mort» ; nous ne voulons pas mourir, mais comment le dire ? y a t il des façons de dire cette chose, d’une manière qui puiisse etre, de fait, entendue par la mort ? la mort a t elle des oreilles ?  ; nous ne voulonbs pas mourir mais il est difficile de pouvoir, a insi, dire cette chose en toutes lettres , dire ce mo de mort en toutes lettres, invoquer des chosqes etc afin de se tenir le plus ^possible à bonne distance ; la mort nb’est poas ce que l’on croit ; la mort communement n’est pas ce que l’on croit ; la mort («la muerte») n’est pas ce que l’on croit communément ; la mort n’existe pas, la mort n’est opas de ce monde ; la véritable mort au monde n ‘eswt pas de ce mo nde ; les etres meurent (séteignent) mais ne dispa raissent pas et dès lors on peut avancer cette chose comme quoi en ce monde où rien ne se perd , où tout se transforme (Lavoisier) la mort n’est pas de  ce monde, mais d’un autre monde que nous soupçonnons, que nous subodorons, qui est en nous (immanquablement, indubitablement) comme une chose hors du monde, à laquelle nous ne pouvons pas ne pas penser d’une manière ou d’un e autre, or il s’a vère cette chose : comme quoi le monde est plein de lui, mais où donc sont ses limites, limites qui tendraient à démontrer que un hors du monde existezrait, qui ne serait donc pas (plus) le monde mais autre chose que le monde, or , d où nous sommes placés, il nous est impossible d’imaginer un monde hors du monde qui ne serait poas une sorte d’extension du monde ; il nous est impossible d’imaginer (humainemeznt impossible) un hors du monde sinon en pensée de roche ; sinon en cette chose de’une pensée (de type préhiistorique) de roche d’incxlusionb ; nous esswayons de comprendre le pourquoi du comment un monde, et au delà un autre, or non, la solution  n’est pas au delà dans une sorte d’air ethéré qui serait l’exteznsion de cemonde ci, mais dans cemonde ci : inclusion dans la ma tière, inclusion dans cette matière sans fin, sans limites sinon celles du dedans de soi : coeur du coeur qui bat son élan en roc, en roche de paroi de ghrotte ; nous cherchons des solutions à nos soucis de roche, où et commeznt nous introduire en elle, nous sommes à la recherche d’une solution , ou de différentes solutions envisageables ; nous cherchons dans tous les sens, nous avons pour nous cette chose de vouloir chercher dans tous les sens : art, cette donc tentative ds’introduction, cet essai, ceette recherche, cette chose ; une tentative, un essai , un semblant de percée à l’intérieur de laroche en dur d’une paroi temporelle de grotte du sud (sud-ouest) de lafrance ; nous voulons essayer de comprendre ce qui xsepasse eyt comment imaginer une sorte d’au delà au monde ou du monde ; comment s’y prendre ? ; nous cxherchons ensemble c  ar nous sommes unis (deuyx) pour cette affaire ; nous voulons essayer de comprendre ce qui se passe et du coup nous explorons l’ensemble des données quyi nous sont offertes par le langage (le langage articulé) au sein de la roche ; l’aurochs est présent, l’ours est présent, le buffkle est présent, le bouquetin est présenbt, le cheval est présent ;, kle mammouth est présent, l’a ntilope est présentee etc : tous et toutes sont présents (offrandes) faits (faites) au monde de la mort qui r^$ode mais où ? dans un au delà de la matière ? pipeau ! ; nous pensons qu il n’y a pas d’auu delà de la matière, ou à la matière, mais que l’au delà de la mort est dans la matiere, que l’au cdelà de la mort sur terre est inclus (inclusion) dans la matière, dsans la roche où devoir s’immiscer à deux ; il nous semble à nous que nous devons continuer notre bonhomme de cxhemin (pélerinage) sur la voie que nous avons tracée, nous devons continuer pareil chemin ensemble, le poursuivre, aller plus avant ainsi dans la roche et ne plus lâcher prise, se tenir les coudes serrés, introduits, et pousser encore et encore ce cri animal de paroi de roche, au milieu de ses congénères bisons ou phacochères ; nous avons beaucoup de cordes à notre arc ; nous essayons de comprendre ce que c’est que toute cette affaire et pour cela nous n’envisageons pas d’autre solution que celle d’aller à se ficher fissa au centr e du module rocheux, à se ficxher fissa au sein du temps de roche, du temps tel que nous pouvons le décrire pour nous, tel que nous pouvons le ressentir ici, dsans son fief rocheux ; notre ambition est démesurée, c’est à dire qu eklle est à kl’échezlle du temps , un infini conjoncturel ; nbous pensons que nous ssommes à même nous-mêmes de pouvoir entrer dans la roche au milieu des betes qui chargent ; nous avons pour entreer des betes en bouche ; pour entrer dans cette roche dure nous avons de quoi percer icelle et ce que nous avons en la matière est une pique de perçage de type buccal : cohorte animalière, une lance, trompe, une sorte de vrille , vrille à percée de roche, etc ; nous pensons que nous avons de quoi en nous perc er la roche et entrer en elle  ; nous avons en nous des animaux, pour nous joindre aux animaux du temps ; nousz pensons que nous avons en nous des animaux pour nous adljoindre à paraeille cavalcade rupestre, ou du moins il semblerait ; nous sommes en une sorte de monde éclairé qui nous masque l’animal en nous et dans la roche ; à nous (art) de dételer la chose et de la placer, à la vue de tous peut etre, ou du moins en vue ou dans une vue possible de la chose ; il est cette chose (l’art) que nous voyons, en tant qu il s’agit d’un perçage de roche du temps ; l’art est cette chose qui est ce perçage ; nous voulons dire cette chose, comme quoi lke temps ici est la paroi, celle qyui recèle ; il est un temps qui n’a pas de fin, il est temps immémorial et qui est sans fin, et du coup nous nous immisçons en lui grace à nos pouvoirs d’inclusion massive, à deux, via le langage animaliezr qui sort de notre bouche à trou ; ce lang age animalier est une cohorte , qui va bon an mal an son chemin de traverse à travers la roche du temps ; ici la préhistoire ; là l’art d’une percée en bonne et due forme = à deux pour une traversée des temps en douceur et ce malgré la dureté de la roche du roc, de cette roche qui est celle d’une charge (tonitruante) animalière ; nous pensons que nous pouvons, nous tentons et de fait nbous entrons dans la roche = le temps, grace (par lentremise ou l’intermédiaire) des mots-animaux qui sortent (invisibles ?) de nos trous de joue percée par cette pique que ces betes forment, agglutinées toutes qu elles sont en une sorte de pique ou de corne qui tient ensemble et va fissa trouver à se ficher dans la roche dure du temps pariétal tel que le monde dela grotte nous le présente ; nous aimons lesq grottes pour cettte raison, comme quoi elles offrent des parois de temps qyui se peuvent pour nous accueillir, notre pic de roche en elles, et ainsi nous adouber ; nous voulons cela pour nous ; nous cherchons cette chose en nous, afin de la sortir de nous pour aller plus loin la ficher vraiment, en cette donc paroi de grotte cachée ; nous espérons arrtiver à nos fins rapidement ; nous cherchons deepuis un bon moment et nous ne voulons pas lâcher le morceau ; notre envie est pleine, entière, notre envie est encore pleine, notre envie est entière, encore versée en cette chose d’un vouloir ici de perçage, d’un vouloir-per cer paroi dite du temps, afin de nous lover en lui comme une bete dessinée sur roche, par un homme ou par une femme, pour une sorte de longueur de temps qui soit tout aussi pleine, entière, infinie ; nous aimons l’infini du temps de la roche, et aussi l’infini de la roche du temps ;

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29/09/2020

nous cherchons des réponses en laboratoire, l’oeil sur la lorgnette pour ainsi dire : nous cherchons des réponses à des questions qui sont prégnantes, sous jacente, qui ont cette emprise sur nous (dans notre quotidien) qui ne laisse pas de nous envahir, de nous chevaucher ; nous sommes pris par ces questions, nous sommes pris par la question, nous sommes comme prisonnier d’une réflexion, nous sommes sous l’emprise d’une réflexion et par conséquebnt il est pour nous compliqué de s’évader, de sortir, de souffler, de s’extraire de ce débat en nous (ce que c’est que l’art) qui fgait rage, qui roule sa boule en nous, qui nous envahit ; nous sommes pris par des questions en nous qui nous envahissent ; nous sommes envahi ; il y a cette question de l’art qui nous envahit, nous occupe, est en nous comme une plaie, ou comme une ca rie  ; comme une plaie, comme une carie ? nous sommes envahis, nous sommes sous cette chape, cette cape, nous sommes dessous, et étant dessous nous ne voyons pas clair ou aussi clair que nous aimerions : nous voyons ce que nous pouvons, nos yeux sont ouverts et cependant ce que nous voyons est un peu masqué, recouvert, oblitéré, pris d’assaut, occupé etc ; nous cherchons (bien sûr) une compréhension des choses relatives à la question qui nous occup, nous cherchons des choses (des réponses) relativement à cette question d’un art existant, d’un art qui se tienne ou ^plutot : dont la raison d’etre tient le choc, en regard de mille autres activités (essentielles, elles, pour le coup) de l’existence ; l’art est une boule de feu sur la table, ; l’art est ce foyer central qui a pôur nom : présent ; ce cadeau que nous faisons à on ne sait qui (on ne sait plus qui ) à présent au présent ; c’est à dire ce présent de feu comme (en tant que) présent en guise d’offrandee, et ce : afins de se tenir aussi lloin que possible de la porte (au loin ?) qui nous attend = passage de tete ? ; nous cherchons à mieux comprendre de quoi il en retourne et peu à peu (les progrès sont maigres au quotidien) nous gagnons sur la compréhension globale (?) des phénomènes qui sont en jeu ; nous avons envie de comprendre ce qu’est cette boule de feu, cette chaude chose ici posée au devant, sur ce devant au devant de nous deux ; nous deux qui sommes assis en face à face (effet de miroir) à cette table de conversation  ; alors de quoi s’agit il ? ; il semblerait que nous ayons affaire à une boule, à une boule de feu qui est cette chose (incandescente en diable) que nous pouvons voir entre nous dès lors : ce feu ou cette passion logée ici, sur table, sur cette table où nous nous sommes mis ensemble en face à face ; nous aimons nous awsseoir à une table, nous nous regardons, nous sommes ensemble, nous nous parlons, nous communiquons, etc, etcela nous lie  et nous rapproche immanquableme,nt ; la question de l’art pariétal des hommes des cavernes est pour nous la question cen,treale : au milieu ; et nous cherchons (tous les jours) à nous rapprocher de ce que c’est que ce foyer central, cette fusion, cette flamme, etc ; il s’agit du feu du présent qui brû le ; il s’agit de consummation ; nous voyons cette chose entre nous (=devant nous) qui brûle, qui est chaude, qui se consume, etc, il s’agit de combustion, et ce qui se consume = le présent du temps, cette chose d’un moment qui file et brûle sa vie vite , sa vie qui glisse, etc ; nous pensons que nous devons comprendre ce que c’est que ce feu (ou art) d’un présent (cadeau, offrande) qui brûle sa chandelle verte, etc ; nous avons cette chose pour nous de le penser, sa chandelle de vie vive, cette combustion pour des raisons que pour le coup nous recherchons en laboratoire (lorgnette, pupitre)  ; nous sommes tous les deux des sortes (espèces) de chercheurs (chercheuses) de la boratoire, notre objet d’étude (de recherche) est l’art, à savoir que ensemble nous essayons à travers des ex^ériences d’isoler le substrat de cette question, de cette chose que nous questionnons, et ce faisqant nous nous rapprochons de la paroi du temps, nous sommes contre ; nous pensons que la paroi du temp^s recèle bien des trésors rupestres, etxc ; nous sommes quasi convaincus que cette ici paroi du temps recèle bien des trésors et que le jour viendra (incidemment) où nous saurons que  l’art (ce que nous appelons de ce nom entre nous) est logé à cet endroit, inclus (inclusion) dans une paroi (souterraine) de caverne, d’aven, etc ; sur des parois qui sont les supports de dessins de betes (de betes-mots)  ; nous pensons ensemble (dans le blanc des yeux)  ; nous pensons ensemble que l’art ici est à cons»idérer ez,n tant qu il manifeste une propen sion (prop^re à l’homme) de placer au centre de la table (de la pièce, du monde) un feu animal fait de mots gravés qui vont chargeant sur la paroi du temps ; nous le pensons ensemble, en, nous regardant dans le blanc des yeux ; nous espérons en savoir long un jour sur toutes ces questions, nous pensons qu un jhour ou l’autrte l’homme (nous) en saura long sur toutes ces questions  ; l’art est cette cghose, de la vie vive, sortant animale de nous, trou-bouche, et allant se ficher sur ou dans (inclusion) la paroi du temps ; le temps est une paroi,  la paroi est ce qui recèle, le temps est un mur en dur que nous cherchons à contrefaire, à casser d’un coup d’un seul de tete, etc, nous cherchons, en ce temps présent d’une paroi de face, en ce temps pariétal qui nous fait face (figure), une raison, un motif, une chose qui puisse nous dire (révélation) ce qui est de cette chose en soi (art) pour nous qui sommes de ces temps présents, aujourdhui 29 septembre 2020, et qui cherchons à cvomp^rtendre (saisir) ce que c’est que cette affaire en vrai, en vérité ; nous cherchons avec beaucoup d’assuidité et nous ne lachons pas le morceau ; la paroi du temps présent est pleine de mots-animaux qui font que la chgose apparait vivante, tres même vivante, etc ; il se peut que nous cherchions à faire ce pas en avant, vcette recherche, pour y voir plus clair (nous éclairer nous mêmes) et ainsi aller à charge avec toutes ces betes sauvagesde paroi de grotte, comme  ; rhinocérops, mammouth, bison, buffle, ; bouquetrin, cheval, ours, antilope , isard, zébu, etc ; nous sommes avec, nous sommùes avec pour la simple et bonne raison que nous sommes nés (ou comme nés) d’une même matrice : en nous : cé dé z-animo qui gouvernent, qui sont à la barre, qui vont leur chem in  ; nous sommes pétris (pour ainsi dire) de mots-animaux en nous et il va sans dire que ces mots en nous sont à la barre et gouvernent ; nous voulons conna itre la vérité sur toutes ces choses ; nous voulons sa voir ce que c’est que tout cela, cette trame du monde, cette chose d’alentour, cet alentour de vie qui pour nous est le cercle magique, le rond de vie qui nous prend en lui, qui nous capture de son lasso (pour ainsi dire) et qui se présente à nous comme un puits sans fond (une sorte de)  ; nous pensons que nous devons ensemble essayer de comprendre ce qu il en est de cette chose d’une vie terrestre pour nous ; nous voulons edssayer de comprendre ensemble ce qu il en est , ce que lza vcie recèle en termes d’art parioétal, d’art du monde, d’art dit contemporain de nous, etc ; nous avons une chance pour nous , quyi est celle de pouvoir essayer de comprendre ce qui anime les hommes préhistoriques dans leur volonté de graver ou dessiner des buffles, des bisons, des phacochères etc sur de la pierre, à l’abri du monde (des turbulences) au fin fond d’une caverne du sud-ouest ou d’espâgne (etc) ; nous cherchons dans tous les sens, nous essayons de balayer le terrain, noius nouis acharnons à cvomprendre, à tenter, à faire des exp^ériences de laboratoire ; la musique est dans la pareoi le bruit des pattes qui tambourinent et scandent (en joue, en joue , en joue !) leur avancée de charge ; nous avons des raisons pour nous dxe croire au fait que la vie de charge pariétale est tres (intimement) liée à la question de l’art brûlé, de cet art qui brûle son foyer de vie, etc ; nous pensons que nous devons agir de la sorte ensemble : passer tete et bras (épaules) puis le reste du corps suivra ; nous cxherchons (dans la paroi du temps) ce passage des é paules, nous ambitionnons ce passage, nous ambitionnons de vouloir passer tete  / épa ules par le trou effectué dans la  âroi du temps : quel trou ? le trou fait (de fait) par notre pic de bouche ; nous a vons envie de faire cette chose, nous voulonbs essayer ensemble et du coup nous restons proches l’un de l’autre, nous nous serrons les coudes, nous faisons  orps, nous essa yons de comprendre ce que c’est que cette chose ici : ce trou ; où est il ? où est le trou en  cette paroi ? ; le trou est donné par le fait que le mot-animal erst une arme pour percer la roche, et de c  efait nous avons ainsi devant nous un trou qui est le trou de la roche nue ; nous espérons pouvoir aller tres loin ainsi ensemble, fisssa, dans la roche du temps présent (en offrande) et rejoindre ainsi le néandertalien ; ou plutot le magdalénien ? nous espérons ; notre but est affiché paretout , n’est pas caché, nous cherchons cette chose ensemble (main dans la main) maintenant = au temps présent d’une paroi de grotte enfouie ; notre volonté est telle (le désir) que nous sommes là toujours, au poste : pris à partie par la roche dure ? non point mais plutot comme adoubés par la roche en dur (de chez dur) de la paroi du temps ; nous avbons une ambition qui erst énorme, nous ne pouvons pas la ca cher, la mettrre de côté et ne pâs la dire à voix haute, la révvéler, etc ; il s’agit d’une ambition dite «de tete» , à savoir quelle concerne essentiellement des questions de cap, de tete première, etc,ici et là, ici aujourdhiu en 2020, et là autreefois du temps des cavernes : la jonction ; l’ambition est donc considérable ; il s’agit pour le coup d’un désir fou de rezconnaissance : la joue ici percée, laissant passer le «pic» animal , qui vient lui même se ficher (coller-gravezr) dans la pa reoi du temps  ; reconnaissance de ce qui est en fait de représentations (animaux de grande taille, de taille imposante pour la plupart)  ; nous pen,sons que la question de la reconnaissance est capitale, vien,t d’en haut, du feu de vie central en soi, via ce trou de bouche en nous, qui  (trou de la bouche) laisse passer des choses de poids, (mots-animaux) qui direct vont à se ficher sur la paroi du temps soit du temps de reconnaissance : la chose est ainsi ; nous cherchons à aller plus loin dans la comp^réhension des phénomènes en présence, et pour cela nous employons toute notre énergie et toute notre envie, toute notre volonté, toute notre énergie et tous nos talents afin de mieux cerner, ou de cerner au mieux les choses ici en présence : bisons et buffles, bhouquetins et ours ou cheval (?) des ca vernes ; la loi de lma charge préside, qui dicte sa pa role ici sur la roche, ; pour un dire fou, un dire fol, qui se puisse etre rattrappé, écouté, pris (compris) par celui qui voit  (de son oeil de présence infinie) les choses qyui se trament sur  c e sol terrestre, sur cette assiette ; nous sommes sûrs de cette chose: comme quoi lk’assiette est le présent du monde pariétal = le temps ; notre joie ici est de dire cette cxhose à qui veut l’entendre (à -bon entendeur salut)  ; nous espérons pouvoir ainsi aller le plus loin possible ensemble, dans cette chose d’une sorte de compréhension des ékléménts ici en présence ; l’art est craché, l’art est ce crachat (pour ainsi dire)  ; nous évoquions, nous évoquions le cracxhat, nous évoquions les choses qui sortent de nous via ce trou de bouche (de joue percée)  ; nous avons é cvoqué plus haut le trou de la bouche, nous avons évoqué plus haut le pic ; à présent nous pârlons de cette sorte de pâroi piquée qui recèle autant (ou tant et plus) d’éléments de dires animaux, qui sont des él ;éments à fort pouvoir de vie, à forte et vive avancée ; à forte et vive avancée, à fort ou vif avancement, à forte chevauchée, chevauchement  ; nous sommes pres à croire, nous sommes tout pres portés à croire à cette chose , d’un troupeau de betes qui cxhargent ensemble, sur paroi de grotte,  pour une avancé, un chevauchement des sutures, etc, du mobile, ;, etc ; le pasdsage ici est celui du temps, cvomme ailleurs il est celui d’un e naissance au hjour ; nous pensons à la naissance, nous pensons à la reconnaissance, à la renaissance, à l a rzeconnaissance animalière, au fait de pouvoir reconnaitre ce qui est sur roche dessiné : cet auroch ; nous pensons que nous sommes pétris d’aurochs en  nous , qui chargent leur charge de vie et nous propulsent de l’avant, pour une a vancée vers (dans ?) la paroi du temps, telle que nous sommes en mesure de la visionner ensemble (couple de chercheurs dans un laboratoire du sud, sud-ouest, de la France)  ; nous avons de grandes ambitions, nbous n’avons pas l’intention de les cachezr, nous pensons un c ertain nomb re de choses qui ici surnagent et viennent à se montrer  ; nous sommes proches et du coup nous pouvons nous montrer ensemble, et dire ce qu’il en est de nos recherches de laboratoire ; l’art des cavernes recèle un gr(and nombre de trésors, un grand nombre de secrets concernant ce qu il en est de l’art ; nous avons cette cxhance en France, où nous sommes situés, d’où nous sommes, de pouvoir aller visiter des grottes, qui sont donc p^roches de nous, de notre lieu d’habitation ; nous sommes habitants de lieux qui ne sont pas tres éloignés de ceux où se trouvent (nichent) les grottes des temps anciens ; nous sommes voisins de ces temps anciens, de cet age canonique etc ; nous avons des grottes à pôrtée de main pour ain si dire ; nous aimons les grottes, nous aimons les cavités, nous aimons les secrets, nous aimons débusquer, nous employons des mots idoines pour pareil debusquemernt, les mots sont (ont) des formes propres qui sont celles de la débusque, du débusquement, de lma cxhose à débusquer etc ; le mot entraine vers pareille rezcherche en vérités ; il semble que le mot sooit tout entier tourné vers une volonté de veérité, soit complètement tourné de telle manière qu il est (cest à dire intrinsqè§qzuement) recherche cde vérité, or cela est lma queswtion du hjour pour nous et le pain quotidien de nos recherches de laboratoire ; nous cherchons ensemble dans ce sens ; le mot a (porte) en lui la recherche de la vérité, ou le dire de vérité ; disons quil en a la couleur ; il est cette chgose, qui en elle , porte sa croix de vérités faites ; nous pensons que le mot est tourné toujours verts un dire de vérité, et telle est lma croix du mot (qu il a à porter) ; nous pensons ceztte chgose d’une croix ici, et de cette pente ; nous pensons quil est ainsi (existe) au sein du mot, cette propension  à toujours vouloir «se poser» en élélément de vérité ou lié à la vérité ; nous voyons les cghoses ainsi ; le mot : la vérité du mot ; or il nbous apparait à nous , que cette quyestion de la vérité (qui occupe grandement la pla ce) est centrale , ici, au sein de la grotte, en tant qu eklle est ici cette cxhose animale, cette rep^résentation de vérité ; il s’(agit ici d’un lien fort entre le dire et la chose ; il semblerait que le mot avec pente vers la vérité, soit l’équivalent langagier de l’auroch ou du bison gravés sur la paroi par exemple de la grotte magdalénienne, etc ; le pendant ; le mot est comme recherche intrinsèque de vérité : poids, poids considérable en lui, charge (comme charge animalme de troupeau) et croix, comme la croix du christ sur ses épâules ; nous penso,ns que les mots sont «chargés é» de sens comme la paroi est elle même (du temps) le lieu de cette charge a nimalière tonitruante ; nous faison,s le rapprochement ici d’un langage a vec un autre langage ; nous avons des idées ainsi qui se chevauchenht comme des sutrures cra niennes, nous avons de ces idées ici, qui se chevauchent de la sorte, un peu à la manière des morceaux du crâne à) notre naissance  ; il s’agit pôur nous de comprendre le pôurquoi il existe sur parois du temps des représentations si reconnaissabkles, cette fidélité au modwèle animalier etc ; nous avons pas mal d’idées sur la question ; nous avons un grand nombre d’idées sur la question et du coup nous sommes ensemble à échanger ici ou là, autour d’une table, d’un livre, d’un foyer, d’un feu, d’un trou, etc, afin de nous communiquer un certain nombre d’élélemnts à charge, un grand nombre de choses à rassembler et ainsi de pouvoir ensemble tout autant reconstituer le modèle en son entier ; nous voyons cette chose de cette manière, nous sommes proches ; nous sommes proches, nous voyons cette chgose ainsi , à savoir qUue nous avons pôur nous , 1 : des idé&es, 2 des éléments de reconnaiossance ; nous avon,s des idées sur la question qui nous occupe (le poids des :mots) et nous avoons des élémeznts dits «de reconnaissance», à savoir que (seulement) cette chose, peut-être, à savoir : des éléments à charge ; nous avons pour nous des éléments incriminants, des élémemnbts qui nous permettent pour le coup de pouvoir dire : cela est, cela est cette chose, cela est un auroch, cela eswt un bison, cela est un bu ffle, cela est un bouquetin ou un cheval, ou un ours, etc ; ces éléménts en nous comptent énormément et ne sont pas à négliger , en aucune manière : nous pouvons poser ces choses ainsi sur une table : éléménts de reconnaissance, ou instruments de reconnaissa nce ; voilà : instruments de reconnaissa nce ; nous somlmes ensemble et nous voyons toutes ces choses au mur (dessinées)  : ces betesq, et nous pouvons (tres facilement 9 fois sur 10) reconnaittre l’animal dans (en) sa rep^résentation pa riétale  ; et du coup nous avons par ailleurs (?) des mots qui accompagnent la reconnaissance, des mots-animaux, passés au filtre du temps qui les a reformé et moultes fois rereformés , afin de pouvoir , au jour d’aujourd hui, nous permettre une «lecture» de la chose dessinée , en termes (lecture) de charge, ou de charge sensique ; nous sommes proches de ce courant de pen sée, nous nous appuyons (nous deux) sur pareil courant de pensée ; nous pensons que la bete dessinée répond à une peznsée de la bete en soi ; nous pensons que cet auroch est le pendant de la pensée auroch en nous ; nous pensons que nous avons en nous, des éléléments et des in struments de pensée (qui se chevauchent comme des sutures) qui nbous permettent une préhension, une saisie par la comp^réhension en terme de vocables (chargés de sens) qui nous tiennent, qui nous soutiennent, etc ;nous aimons ces betes gravées ou dessinées ; nous aimons ces beztes sur paroi de roche ; nous aimons la roche, le roc, le dur du temps ici, ce dur du temps qui est cette paroi préhistorique, cette assiette d’une vie sur terre etc ; nous pensons que nous avons pour nous une assiette, une paroi, un cercle, du dur, du roc, des betes, des betes en nous, des mots chargés etc, tout cet ensemble d’élémemnts qui constituent la cxhose dite «temps de vie», ou «vie de temps» ; nous aimons les betes des sous bois, nous a vançons à pas mesurés et à pas de loup (quasiment) dan,s la forêt, nous s ommes enesmble qui nous avançons sur ce xchemin (de promenade) en foret ; nous esp^érons dénicher des betes nouvelles ; notre but est de trouver ici ou là des vérités cachées, prises dans la gangue des faits du monde qui nbous encercle ; notre but est tel que nous nous dezvons de l’afficher sans honte , et d’une manière bien visible, afin que tout le monde puissse (tout un chjacun) répezrer la chgose, réperer cette chgose qui nous occupe ; nous voulons aller dans cette for êt et pour cela nous avançons ensemble main dans la main, nous nous projetons ; nous voulons nous projeter ainsi, main dansla main, dans une forêt du sud de la fran,ce, ensemble, fissa,et comp^rendre , le pourquoi du comment des betes existent, ce qu il en est de toute cette affaire de la vie sur terre au milieu des betres ; nous voulons commp^rendre  c e que c’esst que cette hist(oire, et pour cela nous avons acheté un petit temple, un temple en pleine campagne, ou disons dans un petit village cde cvampagne ; nous avons acheeté un temple, et ce temple est nottre labo  , il s’agit d’un lieu de confession, il s’agit d’un a ncien tzmple protestant qui, à présent, nous permet de pouvoir travailler tranquillement à nos menus travaux de recherche ; nous avons un atelier de recherche, il s’agit d’un temple, il s’agit dès lors de notre laboratoire de recherche, il s’agit d’un lieu cde recherches actives, pour nous, dans le sujet ou sur le sujet de cette question de l’art des ca vernes, tel qu il apparait à nos yeux ; nous avons des questions , nous avons des interrogations, nous nous posons des questions, nous regardons les représentations et nous comprenons que les mots (comme les parois des grottes sus mentionnées) sont chargés de sens, et nous mêmes sommes cxha rgés de bétes, et les murs sont chargés etc ; la cxhose est entendue ; les mots sont chargés (gorgés) de sens : la choses est liée à la gorge ; les mots (les vocables) sont chargés de sens, ils sont lourds de sens et ce sens = vérités, ils sont porteurs de vérités, c’est à dire de cette vérité de sens dont ils sont chargés , ainsi de suite ; de sorte que : cette chose , comme quoi de nos trous de bouche (de nos joues percées) tombent, ici, des cohortes de betes (bisons par exemple) qui vont à se ficher sur la paroi du temps, chargement sur roc ; nous voyons très bien cette chose, d’animaux-mots qui vont, direct, se foutre, se ficher-flanquer, se graver (trouver à se graver) sur pâroi du temps, sur pzaroi en dur (roc) du temps ; nous le voyons : nous sommes témoins de cette cxhose ; nous pouvons en témoigner ; nous  pouvons dire cette chose ensemble, comme quoi nous sommes témoins de cette chose d’un foutage( ou d’un flocage) de betes sur roche : la chose pour nous (a nos yeux) est une évidence ; les mots sont gorgés de sens (=vérités du mot) et comment sortir de c  ette affaire, comment se sortir de cette chose ?  ; nous avons pour nous une pensée sur la chose , et cette pensée est celle ci : comme quoi kles mots quyi sont des mots gorgés de sens, sont des mots de vie, des mots de la vie pariétale etc ; il s’agit d’une enfance du mot toujours ; il s’agit§ touyjoursq d’une enfance et ici tout autant : les mots sont gorgés de sens et faire comme si ils n’étaient point gorgés de sens est amusant, est performant, est une grande affaire, esqt une oeuvre de poids et de cxharge, mais ne peu t cvomblker kla pensée de cettez enfa nce en soi qui surnage et tient bon son cap de pensée sensique ; nous avons à perforer la roche, c’est entendu, kl’homme préhistorique a à perforer la roche et c’est trè!s précisément à cette cghose qu il s’emploie, cela ne fait pas de doutes, il s’emploie à cette chose car il porte en lui l’animal de charge : cette vérité de reconnaissance ; il s’agit à chaque fois d’une représentation animalière  ; il s’agit pour le coup à chaque fois d’une représenta tion animalière et cela n’e’st pas peu en termes de pensées de  c ap, ou de penzées de tete à se mettre sous la dent ; nous essayons ds’approchezr au plus près, de nousrapprochezr le plus possible de ceztte paroi ; nous sommes à deux doigts ; nous sommes contre ; nous sommes contre et à présent (le présent) nous sommes dedans : nous sommes logés, nous sommmes lovés a&llongés mains dans la main à l’intérieur de la pa roi, au milieu des betes -vérités, c’est à dire des betes reconnaissables et identifiables : lo’auroch, le bison, le buffle, l’antilope, le bouquetin, le rhinocérosq, le ma mmouth, le cxheval, l’ours etc ; ils sqont près de nous , qui vont leur train animalier de prises d’assaut d’une roche de grotte (fin fond)  ; nous avons pour nous des pensées qui disent des choses, qyui nous parlent, quyi nous avancent xszur le chemin ; ces pensées nous guident, elles sont cxhargées de sens (gorgées) et nous portent un peu plus loin à chaque fois ; nous abvons cette possibilité en nous, de pouvoir penser l’animal représenté en termes de vocable (par exemple) et nous le faisons ; le vocable ici est imagé ou image, d’une bete de charge, qui charge son poids de sens, qui charge sa puyissance ou de toute sa puissan ce sur roc en dur de roche pariétale de grotte sudiste ; notree envie (notre a mbhiti on )est grande : affichons la (placards) aux quatreez coins de la ville, par exemple ; nous pouvons nous rendsre comp^te cette cxhose ou de ceztte chose, comme quoi l’affiche est la chose que nous recherchons (pour partie)  ; l’affiche, c’està dire le désir  ; l’annonce faite à Marie pour ainsi dire ; nous pensons que l’annonce est tout ou beaucoup ; nous pensons que l’homme magdalénien usait tout aussi bien d’affichews ou de sortes d’affiche en gravant lka pierre : il montrait ce qu’adviendrait ; il donnait l’annoncxe, il officiait de cette manière quyi veut que l’annonce d’un fait à venir soit la vérité du mot cha rgé ; le mot (l’annonce) précède la chose  (il semblerait) ici ; nous avons des questions en nous, nous les portons et parfois nous les posons à p^lat sur une feuille (nous les déposons)  ; l’art est ainsi cette chose que nous dépo sons comme un présent au pied du sapin : le père noel serait passé ici, il serait cet etre qui a pour lui le pouvoir (ce pouvoir) de pouvoir d»époser desq offrandes au pied du sapin, soit du monde tel qu il apparait à notre gouverne ;nous avons un e ambition démesurée et nous lm’avouonbs : faute avouée eswt à moitié pa rdonnée ; nous pe nsons que l’animal de charge sur paroi est ce présent au pied du sapin (façon de dire)  ; nous pensons que lm’animal ici est une chose déposée comme un présent de vie, une offrande à la vie (à qui ?) pour un adoucissement des conditions, un prolongement, pour une survie ; nous essayons de nous rapprocher le plus possible de la paroi, le plus possiblke, puis comment faire pour entreer fissa en icelle eznsemble ? eh bien justement, ainsi : ensemble, c’est-^à-dire mzain dans la main ; surtout ne pâs se désunir, rester provches l’un del’autrte et jaillir ensembvle direction la roche ; il semblerait que la solution se situâ t à cet endroit et nulle part ailleurs ; nous voulons connaitre, savoire, comprendre, saisir, appréhender, approcher ensemble le fait vbrai xd’une chevauchée et d’un cxhevauchement pour une naissance à devoir reconnaittre haut et fort ezn tant que telle : reconnnaissance capitale et nécessa ire ; nous voyons toutes ces choses animalièires dessinées sur cette paroi qui nous fait face, nous pouvons parfaitezment reconnaitre de quelles betes il s’agit à) chaque fois, nousq pouvons preswque à coup sûr reconnaitre pour chaque anima l représenté ce qu il en est, qui un auroch, qui un cheval, etc ; la chose est facile à mettre en oeuvre, nous sommes pourvus d’instruments qui nous permettent de pouvoir pour chaque animal poser un nom (identitaire) qyui fait de lui un objet (un etre) reconnu, visualisé en tant que,  tel animal portant tel nom ou tel auttre  ; à tous les coups ou presque ; nous pouvons nous prononcer, nous le faisonsq ; ici un auroch (mot de vérité cxhargée) ; ici un buffle ou un rhinocéeeros là, etc ; nous sommes, ensemble, pour tenter une approche de cette paroi souterraine : il s’agit de peintures animalières (au bauxite de ma nganèse) ici, de gravures là ; nous aimons : lions ; nous aimonsq dire cette cxhose, que nous aimons ; nous aimons le dire haut et fort et le faisons : affichons,nousq l’affichons ; nous affichons nottre reconnaissance animalière sur une affixhette que nous pl ;acardons un peu parrtout aux quatre coins de la ville ; nous affichons nos prétezntions toutautant  ; nouqssaffichons ce désir ezn nous qui e’st le désir de dire ce qui est, ce qui se trame, d’ettree à la hauteur sensique des vocables (la belle a ffaire! !) ; nous sommes chezrcxheurs de vérités à révéler, les mots cha rgent et sont chargés ; cha rgent-ils ou sont ils chargés ? les mots chargent-ils ou son tils chargés ? ; nousavançons à petit pas sur nottre chemin de promenade ; nbous pôussons toujours un peu plus loin le bouchon ; nous poussons le bouvcchon toujours un peu plus loin sur la voie qui est celle des découvertes, ou des recherches de découverttes, etc ; la voie est escarpée ; nous longeons les sous bois ; nous sommes szeuls sur le chemin, personne ; nous marchons bon train à présent vers le centre du village ; nous acvons pris un grand bol d’air ; nous vouliiiions nbous aérer comme il wse doit et nous l’avons fait ; nous aimons les balades (les promenades) en forêt car elles nous réservent toujours moultes surprises, à savoir la découverte cde la faune ou de la flore, la découverte ici ou là, d’une chose précise de la forêt, comme pa r exemple un nid tombé d’un arbre à nos pieds, ou comme un champignon vénéneux (une amanite, une amanite phalloide, etc)  ; nous nous a voncons ainsi sur ce chemin de paroi temporelle et frappons, frappons du pic ou du bec la cxhose (le dur) pour une pezrcée dans le tas,  dans la matière ; nous frappons du bec comme pivert qui sur l’arbre ttac tac, fait son trou, troue ; nous essayons de faire la mêzme chose, nous eesayons (avec des mots) de trouer la paroi du temps afin de voir (un au delà) ce qui se trame, en matière de cxhoses de  vérité ; nous savons que les mots porteurs de vérité,), que les mots, porteurs de cette vérité en eux, qu ils charrient, ne nous seront pas, obligatoirement, d’un grand secours ; les mots sont gorgés de sens et de ce fait induisent le penchant de la parole (allocution) pour la recherche de vérités etc, nous savons que les mots sont sensiqUe et pretent au locuteur cette chose d’une distinction à visée sensique avec recherches (définitives) de vérités vraies ; or nous voyons des betes peintes, des buffkles, des aurochs, et nous pensons que si les mots induisent une approche (vérité quand tu nous tiensz), les images des betes sont un peu dans cette meme voie d’un chargement en soi qui pèse son pesan,t de choses lourdes ; nous pensons que, de fait, mot-vérité induit une pente, une chevauchée xde cap = mot-animal ; mot-vérité égalerait mot-animal en quelque sorte ; le mot est cxhargé de sens, il en est gorgé (plein) et il est difficile dès lors (avec des mots) de faire apparaitree la bete de charge en notre trou de bouche (concrétrion comme une corne cde licorne, ou comme une stalactite etc)  ; nous ne sommes pas dupes de toutes ces choses ; il y a des choses que nous voyons clair malgré la cape (peut-être) qui pourrait  nous en empêcher ; nbous vgoyons cesq mots-animaux, qui sont des images bien reconnaiszables (gorgés de sens ), tout comme nos mots d’hommes d’aujourdhui sont (tout autant) gorgés de sens ; nous pensons que la chose a à voir, et l’écrivons ici sur l’affichette : oyez braves gens, les mots sont gorgés de sens et  les betes renvoient à ce que nous pensons (avec nos mots) qu elles sont ; un bvuffle est reconnaissable et porte ainsi sa vérité de buffle , vérité au sens où un mot induit visiblement une vérité dsans l’approche des choses : immanqua blemen,t ; le buffle esqt un buffle, le ma rcassin est un ma rcassin, le quartanier est un quartanier, le sanglier mâle est un sa nglier mâle, le bison est un bison, le rhinocéros n’est pas un mammouth mais un rhinocéros etc ; nous sommes tres proches de cette pensée de tete et ne pouvons décemment pas nous en détacher si vite hélas ; nous chezrchons des façons de dire les choses du temps pa riétal, nous essayons des lors de nous introduire dans lm’auroch, la bete gravée, etc ; notre but ici est d’entreer ainsi dans pareille bete de charge et de figurezr sur la pâroi du temps, au beau milieu des betes sauvages etc ; notreambition est toute claire et nette et ne souffrte d’aucuns ressorts qui seraient ca chés mais tout le contraire : nous nousq affichons, main dans la main, au pied de la paroi de roche, sous les animaux qui y sont dessi nées, et avec la volonté de pouvoir y comprendre quelque chose , avec cette volonté en nous , de comprendre ce qui est derrière, et si oui ou non il y a un derrière  ; nous pensons quil n’ya pas de derrière ; si les mots ont un sens le mot dieu a un sens, si les mots n ‘ont pas de sens le mot dieu n’a pas de sens : c’eswt la loi du tout ou rien ; si les mots ont un sens et non plus seulement sont  gorgés (ou chargés) de sens alors tous les mots ont un sens (cf le dictionnaire) ; si les mots n’ont pas de sens avéré, alors aucuns n ‘a de sensq ; peu ton dire cette chose ?  ; nous nous sommes projetés sur pareille paroi de grotte et à présent nous sommes pris dans la roche  ; nous sommes contenus ^par pareille roche et il n’estpa s simple de nous en détacher si besoin, car le dur du temps est tenace et vous inclut solidement ... jusqu’à noucvel ordre ; nous avons pour nous des mots en bouche, qui disent des chosqe , c’est à dire qui sont porteurs de vérités définitives en cela qu ils ont un sens précis et indécrottable dans le dictionnaire ; ces mots sont comme xdes betes, ils leur ressemblentv fort, et ont des usages proches ; le mot désigne, le mot-bete aussi désigne : l’auroch ou l’ours ; nous sommes ensembvle sur un chemin de terre à avancer fissa vers le centre du village et une fois celui ci atteint nous pousseronsjhusqu’à chez nous et reviendrons à nos chères études ; nous cherchons le pourequoi du comment le buffke sur cette paroi humide etc ;  nous chezrchonsle pourquoi du comment nous pouvons comprendre la chose qui est dite «art» et ce que ce vocable signifie en définitive  ; nous pensons que ce vocable signifie le feu (la flamme) mis au bucher ; nous pezn,sons qui il s’agit d’u e chose liée au bucher de la vie qui brule (petit à petit) sa chandelle, et pas davantage en définitive ; nous pensons que le feu ici est cette chose que nous suspectons en tant que ce ntre de la terre (de la qustion)  ; nous voyons toutes ces cxhoses de cet oeil-là , nous voulons voir toutes ces choses de cet oeil-là d’une certaine manière, et ainsi nous pouvons nous approcher de la paroi peinte  ; il s’agit d’une fresque ; il s’agit de quelqUE choqse de fort imposant dans son genre et qui nous oimptressionne de par sataille ; nous sommes sûrs de  vcette chose, comme quoi les betes, ici, dessinées par des hommes cde la préhistoire , l’ont étés pour des r(aisons qUI nous semblent massives, majeures, massues, nous pensons que les beztes ici dessinées , l’ont été pour des raisons de tres grande importance, en tant que feu, en tant que brulaison de la vie du cours, du cours de la vie , de ce cours de vie vive, de ce cours de vie qui est, d’une vie vive, le penda nt ; nous pensons que cet art est du feu, censé renvoyer (ce feu) au feu de la vie vraie (celle du coeur qui bat) et que donc cette chose, sur les murs, est ce pendant (ce faisant fonction) de ceztte vie vive du coeur qui ba t en nous ; il nous semble cela, comme quoi l’art ici estune chose qUi se pose, en tant que «faisant fonction» ; il nous apparait cette cxhose, que l’art est du faisant-)fonction» depuiqs la nuuit des temps : cette offrande de vie comme la vraie vie mais qui n’eswt pas la vraie vie mais qui, cependant, peut faire penser, ou croire, peut figurer ou simuuler = simulacre de vie vive (le coeur qui bat)  ; nous sommes à cet endroit dans nos réflexionsq, nousq ne sommes pas à zéro, nous sommes sur un chezmin de peznsée et par défaut ce chemin est sensique et dès lors nous avons pris ensemble le parti cde c ette xchose, cvomme quoi nousq ferons (de fait) avec le volet sensique du langa ge ici articulé (le fin mot ? le mot de la fin ? le fin fond ? )  ; nous sommezs plein d’énezrgie, nous sommes des chercheurs consciencieux ; nbous sommes motivés car nous voulons comprendre ce quiest de ces betes de paroi de roche de grotte ; il semblerait que nous soyons sur une piste, nous suivons icelle depuis quelque temps et nous en a vançons pas mal tout comp^te fait ; nous pensons que nous sommes (ensemble) sur une piste porteuse, nous aimons avancer ainsi ; nous voulons avbancer decette sorte et nous faisons de cette sorte et du coup nous sommes proches ici d’icelle paroi dee roche, et du roc de l’auroch gravé ; nous possédons des mots-betes , nous possédon,s des vocables et sommes en mesure de désigner de quel animal il s’a git : nous pouvons le dire ; il s’agit par exepmle ici d’un cheval de labour ; par exepmle ; nous voyons les cxhoses devant nous et les désignons ; nous pensons qUe cet ours est un ours des cavernes ; nous voyons et donnonsq des noms, et ainsi faisons bon an mal an ; nous sommes ainsi ensemble pour cette chose, nous sommes ensemble ainsi pour cette chose, et nous essayons de co:mprendre ce qui ici se trame et si déjà : de se poser de base la <qUESWtion a un sens (pas sûr)  ; nous essayons de savoir cette chose, nous essayons cde comprendre, et des lors nous en avançons sur notre chemin qui est chemin de découvertes de laboratoire, puisque tel esqt le ca s que nous sommes (tous deux) des chercheurs, des chercheurs et chercheuses de la (presqUe) première heure, qUI chezrchons à d»écouvrir le pot au rose : de quoi s’agit il ici ? sommes -nous ezn présence d’une rep^résentation mystique ? que signiçfie le mot mystique ? doit on se fier au mot ? peut on faire réellement le contraire ? a t on au bout du bout le choix ? qu ezn est il du bout du bout ? que doit on penser du bout du bout ?  ;: nous cherchons des  v érités comme tout un chacun et cependant nous sommes suspicieusq, sceptiques pas sûrs ; nous ne sommes pas sûrs, de cette chose, comme quoi l’auroch est l’auroch , ou plutot comme quoi l’auroch dessiné est l’auroch nommé ; nous avons desz doutes et  ces doutes nous les affichons haut et fort (clameur) sur la place de l’église, nous gueulons la chose : mots, mots, mots, et allons ainsi nhotre chemin ; nous essayons ensemble de nousq questionner ; nous chezrchons cette chose d’un questionnement tout à tracc-, mais qui, qyuoique tout à trac, puisse agir, puisse donner, puisse rendre, puisse faire ou le faire  ; il sq’agit pour nous d’une volonté de fer : nous tenons à creuser, creuser, creuser pour essayer de donc comprendre au plus, ce qui donc se trame ici bas : grotte ou ca verne ; l’aven Armand ; nous nous questionnons beaucoup, à table , par exemple, oui ; nous avons beaucoup dee qusetions dans notre besa ce, nous sommes pezrclus dequestions de toute sorte ; nous sommes pleins d’interrogation s (langagières) de toute sorte quand il serait préférable (souhaitable ?) qUe nous fussions remplis ou perclus d’interrogations anima lières, comme peut-être autrefois l’homme des cavernes ; nous sommes pleins de cette chose (mots sensiques) et nous avons aba ndonné peu à) peu ce sa voir guttural quiétait le nôtre, ce sa voir de gorge ; nhous sommes fichus pour ainsi dire ca r le pli est pris ; dès lors comment faire pour s’en sortir ? nous devons aller sur des chemins, faire promenade, prendre l’air, battre la campagne ; nous devons aller loin sur un chemin de campagne, puis retour et là) : questionnements à tout crin, à tout va, et là : des reéponses se font jour, quyi disent l’a vancée de nos travaux sur rails ; nous comp^renons que l’a nima l (sa représentation ) est de l’ordre du vocable gorgé de sens = l’enfance d’un pa rler en pleine a cvquyisition, nous le comprenons ; nous voulons avancer ainsi sur ce chemin, de la compréhension pariétale an imal: ière ; nous ne sommes sûrs de riezn , et cependant on peut voir <qUe nos dires ne reposent pas sur du non-sûr 100% mais sont soutenus pa r des vocables qui sont mots de cxharge, qui sont animaux de taille, qUIi son t des betesq qui sqont gropsses et imposantes générealement = mots -animaux, et cela comp^te beaucoup à nos yeux ; nous espérons desz lorsq aller de plus en pklyus loin d ns la comp^réhension (et la saisie) du mot «arty» ; cela est notre projet inaugural et des lors nous avons l’intenbtion de nous y tenir ; nous sommes ensemble dans un positioonnement qui nous voit nous tenir la main sur toutes ces questions d’ordre pariétal, sur cette chose d’un ordre qui est un ordre pour le coup particulier (magdalénienb) qui veut que la bete montrée soit bete désignée, et surtout bete reconnaissable sinon nommé, cela : nous ne pouvons pa sz le savoir ; donc on se retrouve ainsi a vec des betesq qui sont fortes, grosses, qui chargent de tout leur pesa nt , et ces betes sont liées à une enfance (cela semble une évidence)  ; nous ne sommes pas encore sûr s de cette cxhosze, mais il semblerait qu ici une enfance (de quelque chose) est à l’oeuvre, est en cours de développement ; l’enfance ici animalière pa ri&étale est une chose qui pèse da ns la béalance ; nous sommes sur cette ligne de pensée, nous sommes en semlble (ici) sur cette ligne (de pensée) et ensemble nous essayons de  creuser toujours un peu plus loin dans ce sens ; notre envie est celle ci, notre souhait, nos prétentio,nns, nos ambitions (démesurées ? )etc. ; nous sommmes pour une avancée, commune , des forces en présence : aurochs, vocables ; npous sommes pour une avancée commune des forces eznn présence : l’auroch autant que la biche, le bison autant que le rhinoceros ; nous aimons (beaucoup) les a nima ux dessinés, nous pensons que ceux ci l’ont été par des mains que le ciel (?) guidait ; sinon le ciel, des nuages, le vent, le rayon du soleil, la lune, le clai$r de lune ? nous sommes des betes de somme nous mêmes et chargeons sur terre ferme nos labours, nos peines ; nous sommes des betes de charge qui allons ainsi fissa nous introduire dsa ns une pa roi de grotte orneme»ntée ; nousq voulons que la chose soit, que l’animal sooit ce vocable sus-mentionné (mot-animal ou mot-bête)  ; nous voulons allmer p^lus loin en besogne et fra nchir des caps, et pour cela nous avons décidé de nous coller à l apa roi le plus possible, et aussi de tenter par nous mêmes (tête première) une incxlusion massive, complète, aboutie (à deux) ; voilà ce qu il en est, de   notre projet initial ; nous voulons (juste)- entrer dsa ns cette paroi, et s’y (nous y) ;lover pour l’éternité (?° ; nous voulons tout simplemeznt cette cxhose que nous affichons : nous portons l’affichette un peu paretout aux quatre coins de la cité, à la boulangerie, chez le fleuriste ou le cxharcutier, à la banque, à la poste, chez le marchands de cycles, au tribunal, au lycée, etc  ; l’affichette est plac ardée, nbous aimons les betes de charge ; nous sommes (nous deux) parmi elles, comme betes dans un tourniquet ; nous sommes des betes, qui allons ainsi pres d’elles nous lovér, et sentir leur souffle c haud sortant de leurs naseaux ; nous sommes proches des betes qui soufflent, qui sont pres de nous ces betesq de somme fortes et pesa ntes ; pour nous il s’a git sd’une question de grande importance  ; lx’art est cette chose qui buffe, qui émet ce souffle sorti des nasea ux ; il s’agit ds’un art soufflé (la ou les m ains positives / négatives) : un art quii permet le souffle, au souffle, d’advenir dans la rocxhe ; l’homme magdalébnien, le préhistorique est ce même souffleur qUI  pousse ainsi la poudre sur une paroi ; nous regardons attentivement  les dessins des animaux, et nous comp^reznons mieux à p résent ce qu il en est, del’a uroch ici ou du bison là-ba s : des vestiges ; nous pensons que l’animal)-mot est vestige, il a servi, il a eu son utilité, comme bougie d’une chandelle ; il ewst aisé de penser cette chose ; nous pôuvons penser cette chose en,semble et il est aisé de le penser , ou de la penser : le mot auroch induit, il a une consonnance, il se maintieznt ; le dessin de l’aurocxh a une utilit»é, il servira encore comme il a servi , mais son pouvoir («évocateur» ) ne se maintiendra pas tout à fait aussi longtezmps que nous pourrions le subodorer, ; le mot est une chose que l’image n’atteint pas à égalité : l’a uroch dessiné a une durée de vie ; nous pâradons ainsi sur paroi de grotte (une fois insérés) et nous en faisons desq louches du coup, car nous sommes insérés et fiers ; nous sommes en cette roche temporelle de l’affichette ; nous pensons que l’affi chette est l’affichette, pas dava nta ge ; ou a lors si oui : une affiche disant l’inclusion d’une bete, en paroi (de roche) de temps (à partir de l’humain grossier et empêtré) ;  nous faisons a insi, nous avançons ainsi : nous sommes à nos claviers et pupitres et nous essayons de comprendre au plus jhuste ce qui se trame, ici bas (le fil)  ; mais comment ? nous ne savons pas comment, nous cherchons des solutions dans beaucoup de doma ines (divers et variés) et il n’est pas facile de savoir où donner de latete, sinon peut -êtreici : dsans la paroi du temps (coup de boule de feu, de cap) ; nous persistons  de fait  )à penser que donc, le feu de latete eswt ce cap de fin dernière, ce cap qui va là son chemin de croix ; nous pensons qUe le chemin de croix = l’immixtion d’un cap dans une roche, dans du dur pariétal,etc ; nous sommes sur ce credo, ou créneau ; nous pensons que le christ aussi figure l’immixtion (à deux) pariéto-rupestre ; nous sommes un peu de cet avis que leschoses sont proches et qu il serait peut^-êtrebon d’aller chercher un peu de cde côté là de la chose, et si possible ensemble, toujours, pour une sorte de reconnaissa nce ici desq éléments en, pr(ésence ; nbous voulons ainsi aller loin (loin) vers un horizon de pensée qui puisse figurer (ou comme figurer) la paroi du magdalénien ; nous voulo,ns ensemble nous positionner ainsi en c  ette chose ici d’une pensée qui  pour le coup allie le christ à l’homme des cavernes, voir de quoi il en retourne, et il n’estpas dit que la chose soit si farfelue en définitive et au demeurant ; nous évoquons ici le christ, nous sommes cette voix, qui de fait évoque sur une paeroi (logé ou lové) pour une éternité de pensée insérée ; nous voyons le bufflke ici et le bison là, l’antilope ici et le rhinocéros là, le cheval ou les chevaux ici et le sanglier là, l’ours des ca vern es ici et le mammouth là  ; nous sommes préssés de savoir de quoi il en retourne et avons bon espoir de poouvoir, un jhour, via les mots du langhage, dire la vérité , la vérité vraie, ce suc logé (de base) da ns sa gousse pa riétale ; nous ne sommes pas loin de penser cette chose , nous voulons que le mot «auroch» deviennhe le fin fond (bout du bout)  ; il s’agit pour nous d’un mot qui en dit lo n g sur ce qUe c’est que la peinture sur pa roi, etc ; le mot auroch, comme le mot bison, comme le mot rhinocérosq, comme le mot cheva l, comme le mot buffle, eztc ; les motzs sont des a nimaux qui sortent de notre bouche (cavalcade, cohorte) pour aller : se loger-lover, ou se loger-ficher, ou se loger-blottir dans une sorte de paroi, des temps immemoriaux , des temps privés décriture, etc ; nous le pensons ; nous le voulons ainsi, nous cherchons cette chose et nous la voulons ainsi, nous la voulons ainsi car nous cherchons, nous sommes des chezrcxheurs et du coup voulons que les choses soient dites en bonne et due forme : auroch pour auroch, antilope pour abntilope ; nous cherchons des choses ainsi à dire : l’auroch des parois, le buffle du roc, etc ; nous a imons les betes , représe,ntées sur ces pa rois, nous les regardons a vec une gra nde hjoie, nbous sqommes très impressqionnés par toutes ces betes , toutes ces représentrations de betes de taille imposante ; nous aimons les betes, nous sortons de nous desq bêtes, nous sortons de pa r notre bouche (trou) de b^$etes qui chargent, qui s’en vont charger sur une paroi d’une grotte, ainsi, sans plus de détours et comme attirées par ladite pa roi ; nous aimons les bêtes ainsi aimantées qui sq’en vont «p a r ader», sur pareille paroi de grotte : cavalca de, attroupement, chevauchement, etc ; nous les voyons qyui se cxheva ucxhent, qui se superposent, nous pensqons que l’art est  l’art de se placer ainsi au coeur de la roche (immixtion) pour une vibration, pour une vibration qui simule celle de la vie (faire a ccroire)  ; nous pensopns que nous devons comp^rendre ces choses ensemble et du coup surtout ne pas se désunir mais tout au contraire essayer de rester proche autant que possible l’»un de l’autre a fin de saisir au besoin la cxhose, l’éventualité, ou l’un ou l’auttre ne pas la louper, et si besoin (ou au besoin) : aller (fissa) dans la roche dure, d’un bond d’un seul, ensembvle pour l’éternité (?) d’une position allon gée  ; nous espérons pôuvoir ainsi sauver quelque chose d’une face nôtre, et aller ainsi,  aau coeur de la pensée du roc ; nous pensons que nous sommes nous-mêmes des bêtes de somme, capables de nous immiscver dans une roche, dans un roc en dur, et ce roc en dur est le temps, ce temps qui encercle et dicte pour le coup ses quatre vérités, ce temps de l’auroch et du mammouth, de l’antilopeet du cheval, ce temps du cheval et de la brebis (de la brebis galeuse) = cette chose (figurée) qui est des points réitérés, des traits align-és superposés etc, des signes de passage (passage de tete... ? en force ?) qui disent ici le vrai d’un temps qui est le temps (pour nous) d’une vie terrestre (insérée)  ;

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28/09/2020

nous avons ce mot avec nous ; nous portons avec nous (contre nous ?) ce mot et ce moptnous suit par là même et nous occupe ; il s’agit d’un petit mot qui prend de la place, sa place est avec nous, contre nous peut etre ou du moins pas loin de nous , nous en tant qu’entité à part entière ; nous aimons cette chose (art) car elle nous semble etre (résumùer) ce qui compte sur la terre, à nos yeux, ce qui rep^résente une chose du foyer central, ce qui rep^résente une chose lié (cadenassée) au foyer cen,tral de la vie sur terre ; nous pensons (nous deuxd) que nous sommes sur terre ainsi liés à cette chose (que nous pouvons appeler art) et cettyechose est une chose qui nous tient à et au coeur ; nous avons de l’estime, de l’engouemen,t, nous avons en nous cet amour (grossissant au fil du temps) pour l’art ou ce ou cela que d’aucun appelent l’art ; il s’agit d’une chose pres de nous, que nous trimballons avec nous (nous deux) et qui des lors nous suit paretout comme un caniche, un toutou etc ; nous aimons l’art comme nous aimerions un petit caniche ou un toutou ; nous aimons cette chose (art) car il s’agit en nous d’un souffle qui va depuis nous jusquà nous ; nous pensons que l’art est déposition depûis nous (notre organisme) d’une chose appelée d’un nom précis (noommée) jusqu’à nous en tant que nous sommes à la fois émetteur et récepteur de cette chose que nous adorons, que nous aimons beaucoup, dont nous raffolons, dont nous pouvons dessiner (plus ou moins !) les contours ici, en écrivant, en parlant autour d’une table, d’un livre, d’un verre ou d’une chope etc ; nous aimons l’art (ce que nous désignons par ce nom) car il s’agit d’un foyer central ; nous aimons cette chose du milieui (table, verre, chope, livre etc ; nous voyons au milieu cette chose, cette chose d’un point focal, cette chgose d’un rond de szerviette des choses du monde,  ; nous voyons cette chose devant nous : livre, rond de serviette, assiette, etc, ce point focal entre nous qui est ce foyer de vie qui vibd-re depuis nous jusqu’à nous qui sommes émetteurs (donc) etrécepteiurs (redonc)  ; nous avons beaucoup de joie, de plaisir en nous, et cette joie (je) en nous est à déposer sur une assiette (un rond ) , ou sur un livre (dans) afin de figurer la chose concrètement, véritablement, pour nous deux déjà ; nous avons ce foyer en,tre nous, comme une chose de vie commune ; nous sommes assis autour d’une table, nous regardons ce foyer de vie et nous parlons et ce que nous disons concerne pour une grande part (large part) cette chose de l’art des parois, de l’art rupestre, de l’art tel qu il nouds apparait au sein du monde, cette cghose d’un foyer de vie qui brule sa chandelle et nous maintient assis autour, et nous maintient assis t§out autour de lui, de ce foyer tel que nous pouvons nous le figurer ensemble ; nous chezrchons à mieux comprendre la chose, nous cherchons une compréhension partagée, nous cherchons ensemble (laboratoire)une sorte de définition de cette chose et voilà pourquoi nous sommes lancés ici, et pourquoi nous allons ensemblke dans des grottes de vie (etc) à) la rechherche d’une image, d’une représentation, d’une vue etc, qui puissent nous donn,er cette chgose (en nous) que nous espérons accuiellir le plus souvent, cette chose que nous souhaitons acceuillir en nous le plus possible, cette chose imagée (une représe,ntation) du foyer de vie ; nous sommes dans une grotte, et nous voyons parfaitement les images ; nous voulo ns croire en elles, nous voulons penser lesdites images en tant qu’elles sezraient pour nous des vues sur un foyer, ici, de vie vive ; nous aimons ces grottes pour cela qu elles nous permettent ici de voir de pres (ensemble) ce foyer de vie vive qui est cette chose déposée du présent de la vie sur terre ; nous sommes sur terre ensemble et vivons de concert ;nous sommes ensemble sur terre et nous vivons ensemble, main da ns lma main, cette chose d’un foyer de vie vive dépôsée sur des parois de grottes antédiluviennes, que nous aimons, que nous apprécions, que nous adorons, que nous portons hauit, que nous portons tres haut, que nous portons au plus haut, que nous élevons le plus possible (bouts de bras)  ; nous sommes dans des grottes (france ou espagne ou aillmeurs) et nous aimons ainsi regarder (visionner) le foyer de vie vive qui s’ébat ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir cette chose voir ensemble (main dans la main) et nous ne manquons pas de faire (ensemble, t§oujours) cette chose de con,cerve (de concert) etc ; notrte but est affiché, il concerne lma vie vive (ou arty, ou rep^résentation) ; il est (ce but) notre raison ; nous cherchons dans des grottes des signes qui nous puissent donner des raisons (des explications tout aussi bien) qsui nous satisfassent : quoi ? quest ce que l’art pour nous, 2020 ? nous cherchons des réponses e,nsemble sur des parois car lma pâroi est une chose (comme l’assiette) qui est centrale (focus) et nous sied ; il s’agit de parois de grottes, ou bien de galeries, ou bien de maison , de demeures, d’habitations diverses ; nous avons une chance pour nous, de pouvoir ainsi trouver en des grottes (sur des parois) des raisons, des choses de raison qui nous puissent offrir des explications sur ce que c’est que la vie sur terre, etc, ce quil nous enn coûte aussi mais pas seulement ; nous pensons que pour le coup nous tenons le bon bout, à condition de main,tenir cette vision (de concert, de conserve) sur une sorte de paroi de vie en cette grotte où nous sommes enesmble assis, debout, face aux pârois et aux représent§ations de betes de somme ; nous les regardons ensemble, il semblerait que cela soit de vraies betes de somme qui chaerrgent etc ; il semblerait que nous ayons de fait devant nous de vraies betes de somme q<ui chargent ; il xsemblerait que nous avons cette chose, cette chgose devant soi, cette chose d’une vie qui charge devan,t soi : ce dépot de vie qui charge, cette assiette, ce livre, ce rond ou cercle etc, dans lequel, livre ou rond dans lequel , ou dans lesquels nous aimons (chzerchons à ) nous immiscer  ; voilà cze que nous cherchons (recherche) à faire le plus (le plus souvent) : cette chose d’une immixcion de nous en nous = en pârois ; nous avons cette façon pour nous et nous essaayons ensemble de nous en sortir ainsi : de nous tirer d’embarras, de nous sauver ; nous voulons que la p a roi devienne ceztte cxhose devant soi, qui nous intègre ; nous aimons cette cghose, la pâ roi, pour cela qu’elle nous intègre cvontinumen,t le temps de nottre vivant ; nous aimons cette chose (la paroi) pour cela que nous sommes comme intégrés à elle (imiscés) et que des lors nous pouvons nous loger (lover) à notre guise en elle, au milieu des animaux, parmi les betes de mla création ; nous sommes deux pour une immersion (immixcion) de nous parmi = parmi moultrsz betes , moultes betes de somme et de foret, etc ; notre but ici est affiché, il vous suffit de regarder, de lire les mots sur l’affiche (l’affichette) et de comprendre ceztte langue entre nous que nous parlons ; nous avons appris cette lan,gue ensemble et nous la pârlons ensemble et nous parlons cette même la,ngue ensemble, nous échangeons ainsi des mots que nous pouvons ainsi tous kles deux comprtendre , saisir, etc ; il s’agit d’un pot commun, un é change rendu possible : langue commune, cette langue qui ainsi nous permet de pouvoir échanger des termes de pârois (etc) par la bande etc ; nous pensons que nous pouvons ainsi (à part) deviser et échanger (nous sommes dans la grrotte) des propôs divers, des propos relatifs aux animaux représentés, etc, propôs qui des lors peuvent signer une entente cordiale (un fil) entre deux personnes sur terre ; nous ^possédons ces termes à échanger pour nous, entre nous ; nous possédons ces termes pour nous, que nous pouvons échanger, que nous pouvons tout aussi bien déposer devant nous sur une assiette, sur une paroi, dan s un cercle ou dans un livre ouvert (ce carré de vie vive)  ; nous regardons ce livre ouvert (la paroi) avec ses diverses bêtes de charge, nous sommes ensemble (elle et moi) qui regardons cette paroi ensemble, main dans la main, etr cette paroi est un mur vivant, betes qui chargent pour un mur de vie face à nous qui allons vers lui (le mur) et vers elles (les betes)  ; nous avons une grand estime (nous vouons) pour ces betes de charge sur parois ; notre ambtion en tant que chercheurs, notre ambition est de décvouvrir, est de trouver, est de trouver des choses, est de cdécvouvrir des pots aux roses, est de déterrer, est de trouver des choses enfouies de la vie sur terre ; nottre ambition à nous deux , est cette chose, cette envie de trouver des choses du monde, des vérités, des représentations en vérité, etc, nous avons cette ambitiuonb ; nous voulons trouver des choses de vérité, notre volonté est à cet endroit, nous voulons trouver, nous aimerions découvrir (ensemble) des choses de la vérité ou de vérité, des choses qui soient une vérité de pa roi, etc ;, une chose qui soit une vérité à échanger et non point seulement des mots (pots) communs ; notre but avoué (affiché) est de trouer= de trouver : trouer-trouver la paroi, trouer la paroi pour trouver en elle (nous) des choses de vérité, des effets, des raisons, des motifs, des choses vives , des vérités vraies etc ; notre but est donc affiché ici en tant que tel , et nous pouvons tres bien ensemble le revendiquer sans honte, nous aimons nous immiscer et nous chercghons ensemble  ceztte chgose d’une sorte d’immixcion en pâroi de grotte ; notre ambition est intacte, elle n’a pas varié d’un iota depuis fort longtemps, et elle concerne noptre vie sur terre, vie en grotte, etc, pour une découverte à deux de choses et autres (liés à l’arty rupestre) qui de fait soient pour nous des découvertes de vie vraie = vive ; npus pensons q<ue nous avbons à pour le coup creuser ensemble toutes ces questions autour d’une table, nous pensons que tel erst nottre ambition, telle est cette ambtion que nous avons par devers nous, et que nous affichons de conserve, en laboratoire, en atezlier, dsans nos coins de retranchezments, dans nos zones de replis, etc ; njous pensons que nbous devons poursuyivre nos rechertches ensemble (cela est une  vérité) et que ces recherches doivent à aller se loger, ont à aller se loger dans une sorte de paroi de vie, au milieu desx betes ; l’art est cette chose d’une vérioté de  vie logée ; l’art est véritab lement cette chgose d’une véroité de vie lovée ou logée au sein d’une paroi ; cette pa roi en question est une paroi de grotte préhistorique, nous envisageons cela ensemble, cette chose, de la regarder e,nsemble (main dans la main) et de kl’amener à visibilité via l’art de montrer les chose (sur paroisq, sur carton, sur platre, etc)  ; nous avons une volonté (une ambition)  ; nous voulons comprendre ce qui est (devant nous) et qui se trame ; quoi se trame, etc ; notre but est de coller au plus pres de ce qui se trame «devant» nous = ce tte chose qui est devant = la paroi du temps, en butée, quoique nous puissions passer la tete (ensemble) et nous immiscer en e lle ; nous nous logeons ainsi ensemble en pareille paroi temporelle, il s’agit d’un lieu de vie rupestre, il s’agit d’une paroi où des betes chargent, etc ; nous nous immisçons en elle, et cette paroi («devant» nous) est le temps que nous avons (devant nous) pour nous en vie, pour nous deux (nous autres) du temps que nous sommes en vie ; nous passons la tete ; nous pâsson,s la tete en pareille paroi temporelle (continûement) et ainsi, il nous semble que nous sommes des etres dfe vie(de vie qui va son train) ensemble : main dans la main avec le temps , ou autre cvompâgnon de vie, ou compagnes ; nous aimons ceztte chose en,semble et de c e fait nous esssayons de comprendre cela (cette chose) qui se tra me devant nous , mais la chose n’est pas aiszée, elle ne se prête pas si facilement à compréhension, ; nous sommes tout ouïe, nous sommes tout écoute, et cependant, nous n’entendons pas forcément le tout dxe ce qui se bruite (dit) p^rès de nousq ; nous chezrchon,s à comp^rebndre ce qui est du monde (=art) et ainsi nous nous postons à cet endroit qui erst l’endroit du temps devant nous : la vie devant soi, etc ; notre envie (ou ambition) , autour de la ta ble, est de comprendre les motifs, les arcanes, les raisons, les raisons obscures, les dessous, les cachotteries, etc, de c  e qui est et qui est devant = là, à nos pieds, au temps présent ; nous sommes de ce temps de pâssage de tete ; nouys sommes d’un temps qui est le temps d’un pâssage en force (?) de soi dans le temps ; nous sommes d’un temps qui est pâssage (de soi) en celui ci ; nbous sommes qui passons la tete la première (raison) dans le trou du monde, et ce trou est le temps, et le temps est la paroi, et la paroi est la forme aux animaux représe,ntés: bisons, ours des ca vernes, antilopes, mammouths, chevaux, brebis, bouquetins plkus que brebis, etc ; il s’agit (comme on l’a dit) dx’une cohorte ; nous pensons que nous passons la tete quelqUe part et que ce quelquepeart (le temps) est pour nous une sorte de grotte à parois, et que ces parois renferment le monde (les anima ux qui nous encerclent) et que ces animaux, ce monde animal, est nottre raison, notrte parole confisquée, etc ; nous avons desq idées sur ces chose, et ces ideées nous les développons (en laboratoire), nous les détaillons , les examinons à la loupe, nous les trimballons, nous les xsecouons, nous les remuons ensembvle en labo, et ainsi nous chercxghons une chose à comprendre, à comp^rtendre une cghose de ce temps qui , devant nous, figure le monde animal, celui là même des temps anciens, tres anciens (préhistoriques)  ; nous voulons savoir et pour cela nous nous ca ssons le , nous nous cassons lma tete, afin de comprendre ; nous essayons de comprendre ce qui est de l’arty sur terre : justification, netteté de peznszée, etc ; nous essayons de comprendre ce qui est de cette chose d’un arty qui serait cette chose à part du monde (?) déposée en lui ...  ; il semblerait que nous ayons besoin de pensezr le monde et l’arty en pârticulier ; kl’art est cette chose devant soi, dépozée à nos pieds, et qui représente quoi ? qui rep^rése,nte la vie donnée à aller ; nous pensons que l’art est une chose dépozée comme le temp^s, ce temps de vie que nous avbons pour nous devant» nousq, que nouys avons «devant» comme une sorte d’enrobage ou d’enrobement (cape) et qui est la vie du monde terrestre (ici)  ;nous poussons nos raisonnements en ce sens (§en laboratoire) et nous verrons bien dès lors ce qu il adviendra (à la longue) de pâreilles pênsées ou hypothèses ; nous ne sommes pa s pressés de savoir, nbous avons le temps pournous, le temp^s fait son travail ; nous ne sommes pas aux pièces, nous avons tout le temps devant nous et nous le prenons comme il vient et comme il se doit pour cdes chercheurs qui (ensemble) cherchent la vérité sur une chose en pa rticulier, et cette chose concernerait l’art et ses dérivés ; nous sommes des chercheurs de laboratoire ; nous ne portons pas de blouse blanche mais nous pourrions ; nous cherchons à nos pupitres, chacun son pupitrte ; nous avons dees travaux de recherche en cours ; nous voulons comprendre ce qui se trame, ce qui est qui est devant (art) pour nous ; notre vision englobe le monde eyt c’est ainsi que nous, nous essayons de compndre ce qui esqt , ce qui entoure, ce qui nous entoure, ce qui fait cercle (art)  ;nous avopns des pensées de cet ordre car nous cherchons avec , pour nous, une ambition qui est celle de comprendre holistiquement (cercle) les cghoses du monde qui nous entoure et cela est notre travail de tous les jours (8 heure / midi, 14 heures  /18 heures etc) : grosso modo ; notre ambition, en tant que chercheurs de laboratoire, est de découvrir les choses qui, devant nous, setrament, viennent à se loger (en parois du temps) et ces choses nous paraissent relever, ici,  du monde animal ; car pour nous l’art est donc tres lié à cette représentation des choses du monde, à cette sorte de présentation du temp^s devant soi, ou à cette tentative ici de re-présentation du temps que nous avons dezvant nous (la vie devant soi) en tant qu’elle est (cette vie) de type animale ; nbous pensons qUe la vie devbant soi est de l’ordrte des animaux, appaertient à cet ordre (religieux) de l’an,imal de grosse taille (il prend de la pla ce : une armoir à glace) ; nous pensons que cette chose d’un temps devant soi à figurer par l’art(l’art comme figure du temps devbant soi) est la chose qui, prévcisément, occupe le monde ; alorsq d’aucuns disent aert, d’autres diront autreme,nt (vie à vivre, ou bien le futur ou l’avenir, etc)  ; nous avons une chose pôur nous à compprendre ici a vec  des morts ; il s’agit d’une chose qui est cette chose d’une vie qui se déroule ; nous la penson,s avec des mots, nous avons deva nt nous les mots qui caracolent comme des chevaux sur la paroi du temps ; nousz pensons que les mots sont des animaux qui ca racolent (ensemble : tribus) sur une paroi, dans une grotte, et l’art est cvette cavalca de ; nous avons une penseé pour nous en nous, et cettye pensée pour nous en nous , appartient à un, ordre qui est l’ordre des choses quyi vont sur parois, sur roc, et qui caracolent comme des chevaux ou des betes massives (mammoutrhs, bisons, etc) qui chargent ; nous pensons que nous avons pour nous, au devant, des mots qui von,t ; nbous pensons  que nous avons pour nous, devant nous, des mots quyi sont des animaux, qui chevauchent, qui caracolent sur pa roi, qui se chevauchent sur parois, qui cinglent ; notrte vision (Anna, moi même) est là : à cet endroit précis qyui dit la chose (l’art) comme une chose qui est devant soi une ouverture de paroi sur un temps animal de vie à vivre (jusqu’à nouvel ordre)  ; nous voyons ces cghoses ensemble aller et venir, noius les rtegardons aller et venir et nous tentons une approche de compréhension, nous cherchons à comprendre ce qui est ici, et ce qui est nous semble relever d’un ordre (animal) de chevauchée et de cavalca de (et de labour)  ; nous pensons que l’ordre animal préside ; nous pensons que les beters qui chargenbt ainsi sur des parois de grottes préhistoriques (ours des cavernes, bisons ou chevaux) sont des etres de chair, des etres chers, des etres de cxhair qui caracolent devant nous : vie vive pour une vie - à poursuivre jusqu’à nottre mort (fin, clap de fin)  ; nous pensons que nous apparetenons à un ordre ; nous pensons que nbousq sommes ensemùble pour une immixion dans une roche et que cette roche est la roche du temps devant soi ; le temps devant soi est la roche, est la paroi, est la feuille, la feuille sur quoi nous pouvons déposer nos représentations (visuelles etc) du monde alentour, qui est le monde qui, en cercle, nous contient ici dans son règne ; nous avons cette vol:onté de comprendre, et cette volonté est une chance que nous arborons (d’une certaine manière) en laboratoire ; nous avons unegrande chance ici, cette chance de pôuvoir visualiser les betes des parois en vrai, au pied de la roche, ensemble, dans une «vraie» grotte temporelle ; nous sommes en vie, et cela est notre chance ; du coup nous en profitons ; nous cherchons à mùieux nous immiscer dans la paroi du temps qui nous fait face (la vie devant soi) et pour ce faire nous usons de mots -animaux, de mots qui sont des animaux de belle taille (et prestance) comme par exemple le bison (mot-animal qui renvoie à une bete forte, massive, vive et sauvage)  ; notrte joie est à son commble , qui nous voit enfin immiscé en cette paroi d’un temp^s animal (vie et mort d’un mobile de vie)  ;: nous voulons ainsi perdurezr ensemble en paroi et ne pas flancher , et pour cela des rep^résentations incessantes (disons fréquentes) sont à développer en grotte, et c’est cette chose tres précisément, que nous tentons (cherchons à ) de développer en laboratoire, à nos claviers ; nous sommes des chzercxheurs qui cherchons des choses à développer sur des questions de vie qui sont fortement liées à cette chose d’un art rupesqtre ; nous voulons comprendre ce qui est , et pour cela, nous nous penchons sur nos claviers, sur nos supports, sur du platre, sur du papier, etc, et nous gravons, nous marquons, nous signons, nous développons des pensées, nous développons notre réflexion sur la question, nous cherchons (recherchons) des choses ensemble, nous recherchons car nous sommes des êtres appelé&s à chezrcher pour trouver ; nous spmmes des qui cherchons des choses de vie comme par exemple cette chose de la vie dfevant, de cette vie (dite vie) que nous avons (aurions) devant soi et qui est cette assiette de vie terrestre (art)  ; nous poussons la chose afin de la mieux cerner enszemble et de la comprtendre pour nous, pour notrte gouverne d’abord, afin de pouvoir ensuite partager icelle aup^res de tout un monde (en cercle) qui serait le monde en soi, le monde du monde ; nous pensons que nous sommes ensemble pour cela, que nous nous sommes bien trouvés ; nous sommes-nous bien trouvés ? pêiut etre, car nous avons des ambitions communes, liées à des questions de recherc he de bvérités ; nos ambitions sont proches ; npotre volonté est telle que nous sommres prêts à faire des kilomètrtes à pied, etc, pour trouver des entrées de grottes, desxtrous, des excavations, des  cavités dans la roche du temps à vivre, mais où ? eh bien voilà ce que nous cherchons ; bnous ne sommes pas en reste cde chercher ces choses ; nous ne sommes pas en reste de cxhercher toutes cesz choses d’une vie devant (art)  ; nos ambitions sont intactes ; nous considérons le monde comme une entité disposée en cercle (grotte) et dont les parois (temporelles) sont les limites à notre préhension ; nous surveillons tout cela d’un oeil aiguisé car nous voulons comprendre ce qui est, du monde (animal) dfu temps devant soi (d’ici à là)  ; nous pensons que nous avons cette chose (a rt) à comp^rendre pour comprendre cvette chose (vie) à saisir ou vivre ; ; nous pensons que nous avons à comprendre ensemble cette chose (de l’art des pa rois) pour comprendre cette autre chose du monde du temps quiil nous reste à vivre (appréhender)  ; nous pensons que nous avons à comprendre cette chose (l’art) pour cela que nous sommes à chercher ensemble une issue pour une immixcion en paroi de grotte, parmi lesq betes (bisons, buffles, ours des cavernes, bouquetins , chevaux) représentés ; nous avons cette volonté affichée, nous nous y tenons dur, nous essayons de faire en sorte que cela soit vrai, effectif, dur de chez dur, etc, ezt que nos pensées se rezjoignent ainsi dans le dur de la paroi du tempsz (roche dure du temps présent)  ; ainsi nous sommes qUI i allons ensemble dans le dur du temps ; le dur du temps est une cxhose qui est devant nous et nous ouvre ses bras, ses portes, etc, pour nous accueuillir au fil du temps ; le temps est cette chose en dur qui nous ouvre ses portes continument, et nous de nous immiscer en lui(en ce temps de vie devant) pour une introduction commune, via les mots-animaux en nous qui cara acolent et cha rgent tout du long sur paroi de roche ; nous pensons que nous avons cette cghose à faire ; nous faisons ensembvle cette chose , et cette cxhose concerne la paroi du temps, pour des repreésentations de choses animales : ca valca de, déboulés, charges, présentatioons, offran,des, arts ; nous évoquons ici (autour d’une table) la question de l’art en tant qu ‘elle serait liée pour nous (même très liée) à la question (de fait) du temps devant soi, du déroulé (charge en continu) d’un temps à vivre devant soi : charge légère, ou charge lourde, massive ; les betes ici représentées , sont des bvetes de charge massive, et sont cela même (art) que nous nous figurons lorsque nous parlons du temps à venir ; l a notion de tezmps à venir est tres liée à) celle d’e la représentation (sur parois de roche) dx’(animaux massifs  ; les betes de charge ou de somme sont préciszément cela même que nous appelons le temps de vie , ou que nous appelons du nom de «vie à vivre», ou du nom de «vie devcant soi» ; nbous sommes encertclés (du temps de notre vie) et le cercle (ou art) est le  présent , dépozé a u pied de ce que pour le coup nous ne pouvons imaginer (autrement) que par c ette chose d’une fin de vie sans fin ; nous chercxhons ensemble à comprendre c ette chose d’une fin sans rep^résentation autrte, que cette représentation rupestre d’une cha rge animalière de conjuration ; notre but est de trouver (trouer ?) cette xcharge dans le temps ; la cxharge est commune ; il s’agit d’une charge animalière et celle ci est ce devant de vie de soi pour soi, cette ouverture (brèche) temporelle «devant soi» (cercle d’art) qui nous héberge, nous protège un temps, d’une issue incomme nsurable ; notre a ffiche est p^laca rdé ici même et situe nos intentions, qui sont premières, primaires, branchées sur le ras du ras d’une pensée liée (tres liée) à la pâroi ; la paroi du temps est en cercle (groptte) et ne se prete pas vraiment  à une»lecture» en continu de type cdébut et fin , mùais à une vision panomaramistique, panoramistique, panorammystrique, panoramistique des choses en cercle tout autour de nous, de nous -qui vivons le monde comme une cloche, etc ; nous pensons que lm’art est la lecture du monde-cloche et cette lecture du monde-cloche (vie devant soi qui va et vient, d’un soi qui va , vient, virevolte, etc) est cette chose que nous recherchons, ou cherchons à développer ensemble (en laboratoire de recherche) le plus pôssible, car nous envisageons les choses du monde (paroi tempôrelle) comme en une sorte de gra nde embrassa de, accolade, etc, qui prendraient le monde d’emblèée en entier ( panorama à 360 degrés ) et cvomprendraient le tout pour le tout ; nous voulons ainsi afficxher nos ambitions de p^rise, d’emprise, de sa isie ; la saisie ici étant ou relevant d’un ordre animam$l : des mots-animaux ; les mots -animaux ici relevant d’un art des parois tres lié (cet art) aux choses du temps, lui même lié au cercle du monde de la vie sur terre ; la mort nulle part ne pouvant (ici bas) montrter son nez en réalités tangibles ; la mort nulle part ici bas ne pouvant s’introduire et montrer son n ez, car nulle part ici bas n’existe le moindre endroit quyi puisse permettte l’acces à la mort telle qu elle puisse exister, c’est à dire en tant que non-etre ; or le non-etre ici bas ne peut exister, car le monde est plein de son etrte, et ne peut loger nulle part le non-etre d’une mort en vie ; d’une mort qui serait non-en-vie (plutot), soit la mort en tant que telle (a-tempôrelle)  ; l’ art ici est cette cxhose, qui cherche à représenter cette chose d’une mort «en vie», or cela ne se peut, ou du moins, lka recher che, la tentative , se peuvent mais point la chose en elle même (mort en vie)  ; il nous semble que la mort est la grande a ffa ire, l’affaire de l’art, qui est l’art du faire à la pl ;ace ; nous pensons (ensemble : main dans la main dxu temps) que le mort est la bgrande affaire ici (paroi du tempsd) qui nous occupe fortement et ne laisse pas de nous intriguer, via les mots-animaux du langaege représentés (sur pa rois de grotte, et ce depuis les  temps les plus an,ciens)  ;: notrte vision ainsi est la rge, et prend en compte l’ensemvble (en cercle) des choses du temps (celui d’un széjour sur tezrre) , et ainsi , nous faisons ensemble cette chose, d’une représentation rupestre pour ainsi dire (paroi du temps) pour une (sorte de) compréhension desq choses liées à une mort incommensurable ; nous essayons de comprendre cette chose de la mort qui serait « en vie» ; nous voulons essayer de comprendre cette chose et pour cela nous implorons le dieu dee la vie animale sur terre, nous essayons de prendre cette chose en compte : les mots-animaux, qui se logent en nous, et caracvol:ent sur paroi du tzmps  ; nous essayons de comprendre cette chose, d’une cxalavcade sur pâroi de roche, et cela n’est point aiszé, nb’est point si aisé, et dema nde moultes rechezrches (a ssidues) en lmaboratoire (temple ou hôtel) et ensemmble : main da ns la main du temps ; le laboratoire est un lieu de vie, pour des recherches menées de concert, tambour ba ttant ; les recherches sont menées de concert et nous occupent foprtement , et ce tous les jours de la sema ine ; nous avpns beaucouop de courage à démontrter, nous ne manquons pas d’entreain, nous sommes motivés ( mus) et aussi : nous allons de l’avant au fil du tezmps, nous grapillons, nous cherchons au plus serré ; nous ne voulons pour rien au monde lachezr p^rise, nous voulons poursuivre notrte a venture autant que possible, nous ne voulons pour rien au monde lâcher lme morceau et voilà pourquoi nous persistons dans nos conversqations de tour de table ; car nous sommes mus ; nous sommes mus car nous sommes «en vie» ; nbous ava nçons sur le cxhemin de nos recherches (en motsd animaux) mus par de ces volontés, ou par la volonté d’y voir plus et mieux, d’y comprendre un quelqUue chose sur ces cxhoses de la vie sur terre : vie et mort d’un mobile humain (ou animal)  ; notre but est affiché à l’entrée du temple, ou de l’hôtel tout autant ; njous n’en faisqons pas secret ; nous ne ca chons pas nos intentions ; nous sommesq pleins de cette chose en nous, qui se nomme : ambition ; nous sommes fa rcis et allons ainsi à la recherche d’une vérité à dégotter, or qyui dit vérité dit trouée , trouée dans la paroi du monde, à même la paroi du temps, or dites-moi cvomment, ditezs-moi la manière (l’art) pour pareille percée, pour pareille trouée au sein du sein ; il nous sembvle à nous , que pa reille percée relève   de l’impossible terrewstre ; il nousq apparait que pa reille percée ne se peut, du temps qui est ce temps de vie ; il nous semble que cette cxhose (d’une trouée ou percée) est tout bonnezment impossible et cela car la per cée de vérité a à voir avec la mort, or la mort n’a pas de place sur terre pour elle ; il nd’y a pas cde place sur terre pour ezlle (la mort) en dehors de son évocation livresqqUe, la nga gière ; la mort n’existe pas sur terre defaçon concrète ; il n’y a pasz de mort squr terre qui tieznne, etc ; la vie ezn cercle (art) est cela qui est vu de visu : le monde, tel qu il est qu’il nous apparait : visions de parois ; la terrre ainsi est le cercle, et§ la mort est hors du cercle , mais l’hors du cercle est incommensurable et abus de langage (il semblerait ?)  ; njous avons des recherches à mener ensemble tambour battant, et  ceszx recxherches nous voulons les mener loin, le plus possible, pour une vision large, agrandie (pour nous) des choses du monde terrestre, du monde disons temporel, quyi est le monde, pour le coup, du cercle animalier (animal et a nimaliezr ?) ; nous voulons comprendre ce qui est de la paroi et des betesq, représqentées ici : bisons, buffles, bouquetins, chevaux des cavernes, ours des cavernes, mammouths etc ; nous aimons les grottes préhistoriques, nous aimons les grottes , les pa rois aux betes, la roche dure du temps où plonger sa tete première comme dans un bain, un bain de roc ou de roche, pour la vie deva nt, cette vie à vivre de concxert (contemporanéité des choses du monde, et ce permanemmen,t)  ; notre ambition esqt ainsi a ffichée que nousq voulons aller ensemble loin dans la comp réhension des cxhoses du monde, et pour cela, nous développons une pensée animalière, faite de mots-animaux de type betes de sommme en nous (en bouche) et que nous amenons ainsi, sur paroi, au devant, pôur une prise en compte panoramique ; nous voulons savoir ; nousq voulons comp^rendre ce qui est de la vie sur terre, de la vie et de la mort sur terre, où donc vont les choses (les betes, les mots) qui meurent au fil du temps ;  nous voulons comp^rendre la trame des choses de la vie, et pour cela nous entrons da ns une grotte  ensemble ; nous nous immisçons au sein de celle ci,, mainn, dans la main du temps, nous glissons la tete, nous sortons pour entrezr, nous entrons pour sortir, nous nous logeons, nous entrons dans unr roche dure , qui est roche du temps de la vie deva nt soi offerte (présent) et cette action s’accompagne d’un ici bruit de fond (art) ou pas, cette action en soi s’accompagne (ou pas) d’une sorte de bruit de fond, qui est cette cxhose dite animalière, qui est de représentation en vif, ou comme qui dirait au vif du vif, de la chose brute et nue d’un animal de forte taille, ca ra colant sur roche et poussant sa misère ainsi au plus haut du haut de sa clameur ; nous sommes témoins de cette cxhose, nous en sommes les spectaateurs assidus ; nouys sommes spectateur et spectatreice auxx premièrresz loges, qui nous tenons aux premièrers loges ; nous aimons toutes ces choses dessinées quireprésentent la vie animale de paroi ; le temps est la pâroi du monde de la vie sur terre, et nous propose ainsi (sur des devants de soi, sur des avancées)des seuils, pour ainsi dire des seuils de vie sur terre (etc) et du coup, ce temps qui ainsi nous propôse, njous dépose, nous pose ainsi sur seuil, ce temps est un cercle, un pourtour, une paroi alentour, contenant lers betes de somme : mots-animaux pour notre gouverne ; nous voulons en avancer dsans cette paroi, ce n’est pas une cxhose aisée, nous voulons en avancer et nous en ava nçons ainsi, bon an mal an, à travers la roche du temps, tete première ; nous avons cette enviede tete, et cette envie de tete nous tient à coeur, nous prend sous son aile, etc ; nous chzerchons à comprendre ce qui se trame , lorqsque nous évoquons cette quyestion d’un art des pa rois, d’un a rt préhistorique, etc, de quoi s ‘a git il, au hjuste ? ; il s’agit d’un art ,1, qui ne dit pas son nom, 2, qui dit ce qu il dit dans un temps donné de ca valca de ;  son dire est ainsi affiché en dur et pour des temps et des temp^s à veznir ; il s’agit d’une incr-ustation dans le temps, un e sorte de mise e,nn demeure, etc, pour une étezrnité quasi, et ce dans une sorte de paroi rocheuse, qui est paroi temporelle en mêmme temps que paroi physique, que paroi en dur ; il s’agit du temps de la vie présente ; il s’agit du temps de vie (devant soi) en dur de chez dur, pour soi même (etres mortels) et pour soi même (etres immortels) : main dans la main du temps déroulé (cxavalcade)  ; nous essayons ainsi des ezntrées en ma tière la ngagière et espérons un jour, de pouvoir trouver, des trous dans la roche (des loges) dans lesquels (trous) ou lesqUelles (trouées dans la roche) seront cachés, seront enfouis de ces messages animaliers qui diseznt la véerité vraie ; nous cherchons a ssidument car nous avons un coeur pôur ça, et voilà le pôt aux roses ; notre coeur dit ce qui est, point final ; cela est qui est ainsi, que notre coeur dit les choses qui sont, qui sont celles que nous recherchons en paroi de grottes (espa gne, france, algérie, afrique du sud, inde, etc) ; nous aimons nous promener dans la forêt à la recherche dx’u ne ezntrée de grotte dans le temps : trouée dans le temps, trouée dans le temps, trouée dans le temps pour un devant de soi, tempôrel, qUI i tienne la route le temps nécessaire (?) à une immersion de soi dans la roche des betes, des betes (art) qui cara colent ; nous pensobns que cela est ainsi que nous devons passer la tete la première (cap) dans la roche du temps (cercle)  ; nous pensons qu il nous est conqseillé et qu il est préféra ble d’agir de la sorte : tete première, vif du vif, nous alllonbs ainsi ; nous pensons que la cxhose pour nous est ainsi (à nos yeux) qUe nous dfevons a gir en nous plongeant la tete la première dans icelle la roche de paroi de grotte, et de ce fait , au milieu des betes de charge figurées : mammouths, aurochs ; isards ou bouquetins, chevaux, ours des cavernes, antilopes, lions, tigres, etc ; notre vie est a insi qui se meut au mil:ieu dxes bêtes, et nous rapprochent dellles jusdqu’à nous loger, de fait, en leur sein : le sein des seins: il nous sembkle que le sein des seins est ainsi ici ce coeur de roche animalier, ou de roche animalière, ce coeur animalier de roche, ou ce coeur de roche animalière, etc : le sein des seins, dans un temps qui est lme temps de la vie devant soi, pour soi (pour chacun) , soit le temps (en  cercle) de la vie à vivre : le temps ici est une pa roi, une paroi dure où plonger sa tete la tete première ; il s’a git d’une pâ roi en dur où plonger sa tete , la tete prezmière ; nous espérons que cela ira le plus longtemps possible (tete première) et nous évoquons les dieux de la roche ici (implorons) pour que tete, tete dure (notre) restat tete dure nottre, car il s’en faut de peu qUe nouqs pâssions, qyue tete première tombions (sur «un os») et passions l’arme à gauche : voilà ce que nous espérons ne pas connaitre trop rapidemmnt ; notre volonté sur terre come au ciel = tenir bon et ne pas lacher (ici le coeur) pour durer dsans la roche du temps pariétal ; nous évoquons ce temps entre nous (entre la poir e et le froma ge) et nous parlons de cette choses ainsi, ensemble, à table, pour une compréhension élargie (à deux) des choses dsu temps ; s’il se fait que le temps est en effet une paroi de grotte (décorée oou ornementée) alors nous sommes encerclés ; le cercle ici est cette chose d’un présent de vie offert, et d’un présent de vie offerte par desq animaux ; nous avons en  ous ces betes, ces betesq sont en  nous qui ve»illent : elles sont proches de nous, elles sont en nous pretes à bondir sur roche, et nous (forcés) de nous laisser faire et de cracher qui une antilope qui un bouquetin sur la pa roi du tempq ; nous chzrchons cette chose en nous d’u ne co: préhension a nimalière langagière , et cela, nous verrons bien où ça (cela) nous mènera : nous n’en sa vons fichtre rien à cette heure : nous verrons  ; kle temps est une paroi au devant, cette chose de devant soi, d’un devant de soi en cezrcle, cette vue panoramique ou panoramystique des choses du monde  ; le panorama et la mystique ici réunis pour une aappréhension (une préhension) globale du monde a lentour : cercle de vie , chacun le sien qui est égal ; nous pensons que le cercle de vie est une cxhose qui est attachée à la notion de temporalité ; nous aimons nous promener dans la forêt, nous nous promenons dansq les sous bois, il commnce à faire frais, il a pl ;u pas mal ces jours derniers, nous aimons cueillir des fraises des boisq, des noix, des cèpes si nous en trouvons, nousq aimons les sous bois habités par des myria des (des milliers) de betesq, cachées de notre vue ; le bois jouxte notre résidence ; le bois est tel quil est tout pres de notre chez nous, et de ce fait il nous estfacile de nous évader de temps à autres de nos rechercxhes a brutiissantes, et de passer à tout autre chose, de prendre un peu d’air de la forêt de temps à autres, ensemble, ma in dans la main, à la recher he xde champignons, de chata ignes, de noix, de fraises des bois, etc, selon les saisons ; nous aimons les noix, le temps des p)arois des grottes, les biches, les cerfs (les surprendre) etc ; nous avançons dansq la forêt, et nous sommes attentifs ; il se peut que la forêt soit l’image du monde en vrai tel qu il serait sil avait pu etre conservé tel quel durant des sièclesq ; nous cherchons à passer la tete  ; le cap ; il sz’agit d’un cap de vie sur terre ; le temps est : ce cercle pariétal, qui nous entoure, nous tient (contient) et nous empêche d’y voir au dela ; que signifie l’expression françaiose (ou autrement) «au-delà» ? nous avons une petite idée sur laqueqstion ; nous voulons croire en l’efficacité du langage ; voulons -nous croire en l’efficacité du langage ?  ; nous essayons de comprendre ce qui est du monde , et du monde pa riétal et du monde intrapariétal, et cela nous occupe grandement  ; nous allons nous promener sur lesq chemins, nous sommes sur des chemins pôur nous promenrr ; nous sommes ensemble et ma in dans la main sur des chemins pour nous promener ; il a beaucoup plku ces jours derniers et du coup tout est infiltré et nous trouvons un, peu partout pa s mal de flaques d’eau qui nous enquiquinent ; nous devons enjamber pour les éviter, et faire de grands pas ; nous aimons beaucoup la forêt et nous nous y promenons souvent , quand le temps nous le permet, car lorsque la pluie est trop forte il n’y a pasde plaisqir à se faire tremper et à se promener ainsi toutt mouillé ; nous préférons lorsque le temps est clément, lorsque le temps se prête à des promenades au sec, ensoleillées  ; nous préféerons le soleil ; le temps des cavernes est comme encore le notre direait-on, si n’était le langage qui a varié ; et ce qui était ou ressortait de mots-animaux, ce qui était autrefois des mots-animaux, découlait, ce qui était ou venait tout droit des mots-animaux (peintures ou gra vures rupestres) est devenu, s’est transqformé (peu-être) au fil du temps, en langue, en un langage a rticulé avec gérondifs etc, et du coup la cxhose s’est cristallisée ainsi et nous a déplacée quelque peu, et du coup nous ne sommes  plus à même de voir clair sur roche, de comprendre la chose du dur de la roche du temps, du devant de soi roc, du devant-roc de soi pour soi, etc  ; le temps file, qui est du dur de roche à fendre, du dur de roche à trouer ; nous cherchons ; nous savons cette chose comme quoi la roche est du dur à frapper, à) trouer, nous voulons cette chose faire, fissa, entrter, se faufiler, entrer dans la roche dure, se faufiler en elle qui est roche du temps en cercle ; nhous le voulons car nous sommes ainsi qui chercxhons le passage, la fissure, le temps ;  nous cherchons fissure, dans la roche nous cherchons fissure ; nous voulons trouver-trouer pareille roche du temps, et trouver fissure en lui, en elle ; notre but est clair comme de l’au de roche ou de source, il s’a git pour le coup de passer la tete (le cap) et de se retrouver où voir enfin la trame des choses de la vie deva nt = ce cercle ; nous cherchons ainsi ensemble à nous immiscer dans la pa roi du te mps ; nous avons pour nous ce souci en permanence et cela est ainsi que nous voulons de concert agir de lasorte et comprendre, comprendre ce qui est, de lla roche (du dur) du temps ; nous le voulons ; nousq voulons à tout prix cette chose, d’une immixcion (ou sorte de) dans la paroi du temps = du temps éternel (?) ou sinon : dans la paroi du temps immémorail  (?) ou sinon : dans la pa roi du temps du devant de soi, de cette sorte de vie devant soi qui se déroule en cercle (tache d’huile plus que déroulé en définitive)  ; le temps est donc cette cxhose en dur du présent, cette tache dhuile etc pres de nous ; nous l’évoquons régulièrement entre nous à table et aussi lors de nos p^romeznades en forêt ; nous évoquyons souvent cette cxhose, d’un e pa roi dure (à s’y casser la tete) à franchhir ; il s’a git dxe  c ette cxhose ; nous avons ceztte cxhose à faire, nous avons à fra nchir le pas et entrer ; nous devons entrter ; nous voulons entrer tete la première et nous loger au sein du sein , dsa nsq le sein du sein ; nous voulons nous loger dans le sein du sein et voir ainsi ce qu il en est de cette vie de la mort morte ailleurs (hors circuit, hors cercle) : l’art  ; l’art de s’immisczer dans la pa roi du temps, de la roche en dur du temp^s pa riétal, avezc nos mots (mots-animaux évolués) qui servent de pic, de pic pour une entrée en force, pour une entrée en force dans le temps ; nous a vons ainsi ce pîc pour nous en nous ; nous piquons le dxur ; nous piquons le dur de la roche ; nous voulons piquer le dur, de la roche de la grotte, et aller à l’intérieur dx’icelle si pôssible fissa, aller en elle fissa si pôssible et nous lover en elle en,semble et comprendre l’a rty ; cette chose d’un art qui est cette manière à soi de se lover dans la pa eroi du temps, pour voir ce qui est de cettye chose appeleé la mort, ou peuetre la mort de la mort ? ; nous nous promenons parce que nous ressentons le besoin de couper un peu avec nos rechercxhes pâriétales ; la rechezrche en soi a du bon mais les promena des en for^$et aussi , et du coup nous essayon,s de jongler, de ma rier les deux choses : d’un côté les recherches de lkaboratoire (sur le dur du temps pariétal par exemple) et d’unautre, les promenades (dans les sous bois qui jouxte le temple, etc) ; nous voyons quelqUefois des biches ; nous voyons toutes sortes de betes a u cours de  nos promen ades, nous pouvons être a menés à tomber sur tout un tas de betees diffé&rentes, sur toutes sortes de betes différentes qui cohabitent en forêt ; des betes de toutes sortes cohabitent ; des betes comme il en existe ici ou là sur des parois de grotte, ou des betes plus petites, quelquefois microscopiques, etc ; il existe dans la forêt toutes sortes de betes qui cohabitent, ça va de la pl uqs grosse à la plus invisibles, à nos yeux , du fait de sa peztitesse ; ça va du cerf géant à la vermine la plus minuscule, ver de champignon et plus pêtit encore ; nous sommes encerclés de bbetes diverses, nous sommes encerclés de b^$etyes de toutes sortes et cela permanemment ; nous vivons au mi:lieu des betes de pa rois et d’autres en,core, qui nous encercxlent, font cercle autour de nous en permane,nce , et ces betes sont de différentes tailles, et présentenht des formes ahurisssantes souvent, incroyabmement diverses ; nous aimons nous promenezr en forêt ; nous nous promenons souvent en forêt , lorqsue le temps le pezrmet , car nouys n’aimons rien moins que d’etre trempés lors de nos promenades en forê  ; nous n’aimons pas spécialement cela ; nous aimons les temps cléments ; le soleil lorquil nous accompâgne ; nous regardons les arbkres, nous regardons les pierres qui joncxhent le sol ; nous aimons regarder les pierres qui jonchent le sol du chemin ; nous voulons ainsi nous promener gentiment sans nous faire inonder par des p ;luies cataclysmiqyues ou diluyviennes ; ce que nous aimons le plus, c’est cela : de nous promener main dans la main, dans la forêt, en scrutant les sous bois à la recherche de choses et autres à découvrir (champignons peut etre mais pas seulement : des betes aussi, etc)  ; ce qui nous intéresse beaucoup c’est cette chose : de nous promener et de trouver des choses, car nous sommes des chercxheurs dans l’âme, et nous n’aimons rien moins qUe de trouver des choses ici en forêt ou ailleurs, par exemple en grotte, par exep:mkle des peintures ou des gravuresq pariétales ; des peintures ou des gracvures faitez par des hommùes p^réhistoriques, par des hommes et par des femmes et peut etre par des enfants du temps de la préhistoire ; les peintures et les gravures du temps de la préhistoire nous en disent long sur ce que nous voulons sa voir mais il n’est pas simple d’ainsi se poser en défricheur de vérités à proppos des choses du monde, il n’estpas simple de comprtendre ce qu il en est de ces peintures des temps anciens ; nous voyons ces signesq, ces mains, ces traits, ces points, et cet ensemble a nimalier qui est récurrent, et si nous essayons de comprendre le pourquoi du comment, alors on s’a perçoit que la chose n’est pas donnée, ne se donne pas xd’emblée, que la chose nécessite réflexion et beaucoup de, que la chose nécessite de beaucoup d’abnégation et d’(attention, que la chose vous oblige à une grande modestie dans votre approche, à beaucoup d’abnégation, etc ; les peintures pariétales ne se donnent pas d’emblée pour ce qu elles sont  ; elles offrent un visaghe, une forme, c’est un fait, mais qu en est-il de cette forme, de ces représentations, etc, cela n’est pas dit en toutes letttres, cela n’est pas mentionnés en toutes lezttres, et cela est ainsi que les mots-animaux, qui sortent de la bouche de l’homme ou de la femme des cavernes, ces mots-animaux ont perduré (en nous) tres certainemez,nent mais voilà, ils ont subi tant et tant de transformations au fil du temps que vas-y y comprendre goutte à présent à propos du présent (don) de soi animal, sur une pa roi (dans une grotte du nord de l’espâgne ou du sud ouest de la france par exemple) ; la cxhose est coton ; la chose a beaucoup évoluée, elle n’a cessé dévoluer au fil des temps et à présent nos mots ne peuvent plus trouer-trouver... ou bien s’ils le peuvent ezncore, la cxhose reste à etre découvertte etc ; il se peut que les mots-animaux d’autrezfois soient encore en nous et ne dxema ndent qu’à sortir de nous ; il se peut tres bien, parfaitement, que le mot-animal (à cracher sur main) soit encore et toujours en vigueur (en vie) en nous, et cela dans nos propfondeurs, auquel cas nous avons encore un petit espoir de voir apparaitre un jour une vérité sur roche, une vérité da ns le dur du temps, qui sait, nous l’esp^érons ; nous voulons que le mot dise, que le mot dise ici son allant d’animal ; nous voulons que le mot employé ce jhour aille dans le sens d’un dire animalier tel quil en existe ici ou là dans des grottes préhistoriques ; nous voulons savoir ce que c’est que ce mot là, qui dit son animalité caché , à travers des dires de cap ; à travers des dires de tete (tete la première) et cela dans le dur de la roche du temps ; donc, acte : cherchons ; fouillons, essayons du moins, ne laissons pas tomber ; fouillons profonbd dans la langue et cela fissa le plus possible (du rentre-dedans pour des découvertes)  ; nous espérons ainsi aller (ensemble) loin et mettre à jour un certain nombrte de choses existantes (sous-jacentes ?) qui seraient ainsi lovées (logées, enfouies) dans la roche ; nous voulons comp^rendre ce qui sepasse ici dans cette roche d’une grotte préhistorique , et cela : tete première, fissa ; nous aimons les sous bois, les antilopes, les fraises des bois, les bouquetins, les isards et les chamois, les pierres, les points, les mains négatives et les ma insz positiveqs ; nous voulons comprendre le plus pôssible et aller le plus loin pôssible en cette chose d’une roche du temps devant soi ; le temps devant soi est un temps de roche dure ; il s’a git de grotte préhistorique et cependant, qui sont toujours et encore «d’actualité» ; nous entrons dans une grotte, nous sommes atta blés autour dx’un livre, le livre est le creuset ; nous sommes assis en cercle autour d’une table aux offrandes ; nous marchons en forêt, nous cherchons où passer la tete ; nous cherchons le trou où pa sser la tete ; ce trou est il, ici, dans la vie que nous vivonbs ? dans le langa ge ? en nous ? bouche ? où trouver le trou dans le monde ?  ; nottre souhait, ainsi formulé, est de trouver (coute que coute) le trou pâ r où passser la tete la prezmière et là se retrouver au milieu dxes betes qui chargent sur pa roi de grotte, tel est notre souhait ; nous voulons a ller le plus loin possible dans la pa roi ; notre but est d’aller le plus loin possible dans la pa roi ; il s’agit pour nous d’aller le plus loin possible dans la paroi du temps ; le temps est la paroi du mopnde ; nous chercghopns car nous sommes des chercheurs, et c’est ainsi que nous nous plaisons à être : des chezrcheursz qui cherchent assidument à s’immiscvzer da,ns la pa roi du temps animalier (de charge rupestre)  ; nous avons en nous cette envie forte ; nous essayonds de nous loger ensemble dan,s ce temps qui est, ici, ce présent de vie à vivre jusqu’à nouvel ordre ; les mots-animùaux sont ezn nous logés depuis toujours, ils sortzent sans se faire remarquer en tant que tels car ils sont transformés, ils ne ressemblent pl ;us guère à ce à quoi ils ressemblaient autrefois ; les mots -animauxw ont cxhangéde forme au fil du temps, et ne ressemble guère plus à des mots-animaux, à p^résent (tel quon peut en vcoir sur des pa rois de grottes préhistoriques) , ma is ils ressemblent à présent à dfes voca blkes détachés de leur contexte pa riétal ; or voilà ce qui (donc) est à retrouver incidamment, urgemment (?) : le mot-animal dans la ga ngue , ce mot an,imal hors de sa gangue, etc, et cela (à nous) nous semble possible, à condition de s’y coller avec beaucoup de coeur et d’envie, à condition de ne pas lacher prise et de tenir  le temps le plus possible, main dans la main, main dans la main avec le temps, avec ce tezmp^s des temps anciens : de type pa riétal et animalier ; l’art est cette volonté, cette affiche ; il s’agit d’un art de l’a ffiche : que cela pour ainsi dire ; nous affichons nos ambitions et l’affiche est l’art, cet art animalier donné transformé, qui vient ainsi sur paeroi de rocxhe , et dit du temps ce qu il en est : un au-devant de soi en cercle, non point le déroulé mais le rond d’assiette, etc ; le temps est en rond autour de nous, ce cercle (art) qui nous obstrue le paysage, d’un certain au delà qyui serait, qui pourrait être : rien de moins sûr ; le temps est cercle, l’audelà du cercle est encore le cercle, etc  ; des animaux pêints ou gravés sur des parois, dans des cavernesq ; il s’agit xd’animaux de grande tailll , commùe par exemple des mammouths, des bisons, des chgevaux, des buffkles, desq bouquetins, des ours (ours des cavernes) etc,  ;il n’ya pôur ainsi dire aucun animal de petites  taille, un oiseau (un hibou, une choueztte ?) ici ou là, mais peu en définitive ; de la bete de somme ou de cxharge ; nous nous promeznons ; il y a des parois  ; le temps est la paroi ; nous avopns un cap à pôursuivre ensemble et ce cap e st de vouloir toujours dava nta ge      s avoir ce qyi est de cette chose pariéta le dessinée, est de toujours chzrcher à savoir ; notre but est une affichette tout aussi bien ; l’art ici est cette affiche, cette prétention, cette ambtion, ce désir , cette volonté, ce mot qui dit son désir ;

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12/06/2020

nous dessinons des betes de poids, des betes qui en imposent ; nous dessinons à main levée à même la paroi, nous dessinons des betes qui chargent ; tonitruantes ; des betes qui foncent et qui pèsent ; nous dessinons ce qui sort de notre bouche ; nous d essinons à main leveé des betes depoids, des betes qui en imposent ; nous dessinonds des betes de charge, des betes qui foncent ; nous dessinons des betes furieuses, des betes qui chargent ; nous dessinons à main leveée des betes de poids, des betes imposantes, lourdes ; des betes qui en imposent sur paroi ; des betes qui font que ça le fait ; nous dessinons des betes de charge ; nous les dessinons à main levée, nous aimons les dessiner ; nous collons à laz paroi ; nous sommes deux côte à côte à dessiner collés à la paroi ; nous dessinons des betes de chzarge, qui foncent, qui sont massives et lourdes ; nous les deessinons à main levée ; nous sommes deux ; nous sommes collés à lza paroi pour les dessiner ; nous faisons corps avec cette paroi, nous faisons corps avbec lmes betes dessinées, nous sommes collés aux betes, à leurs basques ; nous sommes collés au sabots, à la pelisse de ces betes qui chargent sur paroi de grotte, accrochés à elle , qui tonitruent, qui vont fissa dans les brancartds ; nous sommes accolés à pareille paroi de grotte, nous sommes collés à pareille paroi ; nous dessinons à lmain levée des betes massives ; nous aimonsc dessiner à main levée, et nous aimons dessiner des betes massives ; nous aimons les betes massives ; nous aimons les betes qui chargent, qui sont lourdes, qui pèsent, qui en imposent ; nous les dessinons sur des parois de grotte, sur des roxches en extérieur, nous les adulons, nous les montons au pinac le, nous les vénérons, nous les aimons follement, nous crions notre joie à les dessiner et à les aimer de cette manière que nous faisons ; nous aimons ces betes plus que tout et nous le montrons de cette sorte, en les dessinant sur de la roche nue ; nous aimons dessiner desxcbetes de somme et aussi des betes sauvages lourdes, nous dessinons au charbon de bois, nous sommes des hommes et des femmes de la préhistoire ; le dessin a de l’importance, nous dessinons des betes debout, des betes fières, des massifs,  ; nous dessinons à main levée et en lévitation des betes massives, qui semblent plus vraies que nature , ou du moins qui peuvent volontiers faire penser que ces peintures, qu ‘eklles sont peintures qui sont comme de vraies betes ; nous pensons que cela peut etre de la sorte, et que ces peintures peubvent tres bien passer, à la lumière des torches, pour de vraies betes surv pied et non oppoint des représentations figurées à main levée ; nous pensons que ces dessins peuvent tromper (trompe l  oeil) et faire croir à de veraies betes de charge, chevaux,n, bovidés etc ; il se peut que l’on s’y trompat, il se peut que la personne se trompe qui croit que vcela qui est dessiné soit de la vraie nature de bete de charge etc ; il se peut que cette chose d’une croyance erronée soit de mise et trompat son monde et c’est exqavctement ce que nous recherchons en dessinant ces betes, nous cherchons exactement cette chos à faire, à savoir  : à faire en sorte qu’une personne (la nature, un dieu, une divinité, un esprit régnant) piusse croire qu en effet, à la lumière des torches, les betes qui sont dessinées sont vraies, qui bougent et caracolebnt sur pazroi ; on cherche cette chose , à reproduire la vie en v raie, comme une offrande ; un dessin  comme l’offrande ici de betes sur paroi de grottes, comme s’il s’agissait de vraies betes de charge etc, de bonnes betes de taille, imposantes, massivves, qui foncent ensemble ou séparément, des figures sur pieds , posées pour faire nombre, des betes posées sur paroi, déposées ainsi pour faire accroire et faire nombre ; faire nombre devant une divinité ou la nature déifiée, ou bien devant un esprit quelconque etc ; nous pensons que nous faisons cela pour czezla, pour une croyance (erronée) mais qui qui marche, qui le fasse ; nous pensons que c’est ainsi que b-nous devons faire, à savoir tromper, en donnant de cette vie sur pied (dessinée) : fausse vie, un travail  de faussaire etc ; il s’agit de cette chose, du faux poour faire croire à du vrai, à de la vraie vie offerte à la mort, à de la vie en vraie qui serait (illico presto) offerte à la mort qui fauche, qui avale, qui ingurgite, qui prend, qui absorbe, qui rapte etc ; nous pensons que cette chose est celle ci que nous voyons , que nous imaginons  ; nous pensons qu il s’agit de cette chose, comme quoi nous dessinons sur des parois, des betes de somme par exemple et ces b etes eh bien on dirait qu ezklles sont en vrai, que ce sont de vraoies betes vivantes qui buffent de leurs naseaux etc, on dirait qu il s’agit de vraies betes et de vraies vies, de la vie en vrai que nous déposons à nos pieds (sur paroi) := le présent du jour, etc, et ainsi cette chose est , qui le fait, qiiu pâsse pour, qui fait accroire, qui fait criore etc ; il s’agit de fausseté prise pour de la vraie chose de vie vive et, ainsi, le temps fait son effet (le temps = l’animal dessiné) qui nous permet de retarder cette échéance pour nous promise de notre décés ; nous faisons des dessins à dessein ; nous faisons des dessins pour des raisons qui sont carrées et nous paraissent justes ; nous faisons des dessins de betes = de vie vive, comme en vrai, d’où la ressemblance recherchée (des betes avec des vraies)  ; nous pensons que nous pensons juste en pensant cette chose de la ressemblance recherchée ; nous voyons cela de cette manière, nbous pensons ces dessins de cette manière ; il n’y a pzas de fumée sans feu ; nous pensons que ces betes sont sur roche à dessein de figurer la vie (vive) odfferte en offrande au dieu de la mort qui rapte, etc ; nous pensons que l’interlocuteur ici est ce dieu de la mort, cette operrsonne, cette chose qui est là, qui guette, qui est cet énorme chose qui observe de pârtout et qui prend à sa guise, qui absorbe, qui prend dans sa besace ou dans sa gueule, ou son antre etc ; il s’agit d’une béance, il s’agit d’un trou, d’un hole, il s’agit d’une ouverture dans la roche, il s’agit d’une béance dans la roche ; le trou est la mort,le trou est l’au delà de la paroi du monde etc ; il s’agit de cette chose , qui est un trou, qui est une bé»ance quelque part mais où ?  ; nous cxherchons, nous recherchons, nous rerecherchons, nous ne sommes pas en manque de chercher, dfe rechercher,  ; nous cherchons sans cesse ; nous pensons que la mort est quezlque part qui n’en loupe pas une ; nous pensons que la mort est un oeil ; nous pensons que l’oeil sur le monde est tres exactement la mort ; nous pensons que la mort est un oeil qiu voit, qui est ouvert, q<ui n’en loupe pas une ; nous pensons que la mort est tres exactement un oeil qui voit, qui voit tout de son oeil , de son oeil ouvert, un oeil qui voit tout de tout ; nous pensons que la mort est un oeil et aussi un trou ; , est un oeil et aussi une ouverture, dans la paroi du temps, du monde, au présent etc ; nous pensons que la mort est un oeil qui voit, qui est ouvert, qui voit ce qui est, qui voit ce qui se passe dans la grotte etc ; nous penseo,ns que la mort est un oeil ouvert, est un oeil qui voit ce qui se passe dans la grottte, les dessins, les betes vivantes (ou pseudo-vivantes) etc et nous espérons blouser la mort, ruser avec elle et lui faire croire des choses qui en vérité sont fausses ; nous espérons fortement que dame la mort ou sieur la mort nous croit sur parole, sur dessins, sur ces choses que nous ghravons sur roche,   ; nous espérons que dame ou sieur la mort puisse avaler la chose ici sans sourciller et nous donner, de fait, en retour, un peu de temps encore à vivre le présent sur terre-mère ; nous espérons fortement = follement, que cette chose, donnée en retour, le soit, pour nous, etc, sur terre-mère ; nous pensons que nous devons continuer de cette façon , à dessiner et dessiner la vie cforte, pleine, vibrante, exacerbée, etc, pour que la mort ( l’oeil) voit cela d’un bon  oeil et nous laisse en vie encore un peu sur terre-mère ; nous pensons ainsi, nous pensons que cette chose doit eztre ainsi, et que l’oeil de la mort soit blousé etc ; il s’agit d’une ruse humaine, une astuce, un art de l’astuce ; nous pensons que la mort est comme une personne ; là est la chose ; nous imaginons la mort comme nous pzarlerions à une opersoonne, là est la chose en travers, là est le hic, la chose à penser ; nous personnifions ce qui nous attend en fait de fin, car nous sommes qui parlons des l:mots humains pour des humains, et ces mots en nous sont inscrits tant et plus que nous ne pouvons pas ne pas nous pârler ou parler à la cantonade à la mort d’une autre ma,nière qu»’ à des humains ; nous parlons comme nous parlons ; nous ne savons pas parler autreement que de la manière dont nous parlons ; nous parlons comme des humains à des humains, et du coup nous parlons à la mort comme on wse parlerait à soi même ; nous parlons à la mort comme on se parlerait à soi même, nous parlons à la mort comme on se parle à soi même, car on ne connait pas d’autres façons de parler, et du coup la mort devient comme une pezrsonnev pour nous (en nous, en notre parler) et cela pour cette raison que nous parlons à la cantonade, que ce que nous disons est dit avec des mots, ou avec des mots-betes, etc ; nous disons comme nous pouvons et du coup nous disons comme on diraeit à des etres qui nous ressemble, la chose est risible ; nous parlons en l’air à la mort comme si la mort eétait une personne comme nous et cela car nous avons des mots (des mots-betes) en bouche et rein d’autre, et du coup nous sommes ainsi dans notre solitude d’un dire lachée dans une grotte à haute et distincte vvoix : un hurlement de bete blessée, un cri de fauve en furie, un pleurs vifs de bébé a ffamé ou un cri de douleur vive ; nous pleurons et nous hurlons ; la mort est personnifiée pour la simple et bonne raison que nous parlons à la cantonade = nous crions, nous pleurons, nous hurlons, nous dessino ns ; etc ; nous ne sommes pas en reste de montrer des choses qui sortent de nous , mais où donc est léoeil dans le monde, où  est l’oeil dans la pa rooi ? l oeil est dans la pa roi ! lm’oeil est dans la paroi quelque part, l oeuil est quelque part dans la paeroi ; l oeil est quelque part dans la paroi ; l oeil qui voit, il y a quelque part dans la paroi du temps un oeil qui voit les choses du monde et sait si la vie est offerte ou non  ; nous pensons que la mort a un oeil, nous pensonq que la mort a quelque part un oeil qui voit, un oeil qui regarde les choses du monde, nous pensons que la mort a un oeil qui voit les choses du monde , qui voit ce qui est, ce qui est offert (le temps) et qui dispose ainsi : en dispose, ; il s’agit de cette chose, comme quoi la mort a un oeil, qui voit le temps, qui observe, qui prend le temps en lieu et place de la vie (pour sa gouverne : bouche)  ; il semble qu il en soit ainsi , et que les choses se tramassent zainsi : un oeil (la mort) voit le temps et prend icelui pour argent comptant (vie) alors qu il n’en est rien, que le temps n’est pas la vie offerte, la vie morte offerte en offrande sur pierre de taille ; la vie n’est pas le temps, il y a tromperie mais l oeil voit cette chose qui bouge dans la pénombre, ces betes assez grosses et imposantes pour faire accroire (dans le noir de la grotte partiellement 

illuminée) et du coup la mort (l oeil) pense qu il s’agit d’un don en bonne et due forme (sa vie) et du coup il ferme les yeux, la mort ferme les yeux, l oeil se referme (prend) et ne dit rien, et dit oui, et dit  : continuez à vivre ainsi ou ce genre de choses à lm’homme des cavernes ; nous pensons que l’homme des cavernes donnait le temps en offrande et non point sa propre vie, et cela car la vie a un prix à ses yeux : il est pris dans une mécanique terrestre qui fait qu il se doit (intrinséquezment) de mettre un pied devbant l’autre et que par conséquent la vie en lui le pousse à donner du temps en offrande à l oeil de la mort, et non point ses pas, ses pâs sur terre-mère, ou son souffle brut ; il (l homme des cavernes) préfère donner un peu des animaux («cé dé animo» dit il à la mort) et ainsi il s’en sort de la sorte, à moindre frais , etc ; il se dit «sé dé z-animos» ; il dit à la mort ; dit il à la mort ? il se dit : «cé dé z-animo», etc ; nous pensons que l’homme des cavernes dit cela, donne de la vie, donnbe la vie, donne à loeil de lma mort, et dit à sa façon qu il s’agit de betes vivantes offertes au dieu de la mort, àà l oeil de la mort , dans une grotte, au fin fond obscur d’une grotte ; nous pensonqs que loeil qui voit est important pour l homme des cavernes ; il se peut que la parole apprise, cette inculquation de la parole en l’homme , a coupé un peu beaucoup du rapport à l’oeil que lhomme des cavernes avait davantage , nous pensonq que peut etre il y a cette chose, comme quoi ce rapport à un oeil de la mort au quotidien, a été perdu en partie (grande) du fait de la grosseur en nous acquise de ceette chose de parole, cette chose grosse en nous, qui a fait boule de neige, qui est devenue une chose grosse, pleine d’elle même, lourde, lente, etc, cette bete de charge en nous a fait que nous ne parlons plus de la même manière que cet homme des cavernes, et du coup le rapport à l oeil de la mort est différent, nous sommes é:loignés de cette chose, de cet oeil : nous nous sommes éloignés, nous avons mis des mots entre la mort et nous,  et combien de mots ! ; nous avons mids des mots entre la mort et nous, nous débposons des milliers de mots sur la table, nous donnons des mots en pagaille, des millions de mots en offrande ; il s’agit de mots que nous donnons, etc ; et ces mots nous éloignent de la mort, sont censés nous éloigner de la mort, comme les betes dessinées sur des parois par des hommes de la préhistoire ont cette même chose en elles, : d’écarter, de tenir à distance, d’impressionner, de tromper etc ; les mots tiennent à distance la vérité de la mort ; les mots que nous employons sont là pour tenir à distance la lmort, l’oeil de la mort ; nous faisons cette chose : de dessiner, pour tenir à distance ; nous faisons cette chose (de -dessiner des betes sur des parois) pour tenir un temps ( offrande) à distance la mort ; nous pensons (nous deux) que nous faisons ctte chose (de dessiner des betes imposantes, vivantes entre guillemets) pour ruser, pour tromper la mort, et les mots que nousaurons en bouche les siècles et les siècles qui vont suivre iront dans le même sens, avec cet objectif renouvelé de tromper la mort, de tromper l’ennemi  , cet ennemi identifié, personnalisé, et plus ou moinshumanisé car nous ne savons pas voir en dehors de cet oeil humain dont nous sommes nanti ; nous ne savons pas regharder les choses autreement qu avec nos pauvres yeux d’homme des cavernes d’abord (ou un temps) puis d’homme des villes etc comme aujuourd hui nous sommes devenus, avec des mots plein la bouche, etc ; nous parlon,s pour éloigner (tenir à disteance ) la mort  ; de sorte que nous n’en acbvons pas encore terminé de dire ; nous parlonspour tenir à distance la mort ( l oeil) et voilà laraison qui préside à nos actions d’art (et autres occupations salvatrices) etc ; nous posons des mots sur la tzable (des mots-betes) et ces mots son,t des mots qyui sont censés éloigner le mauvais sort etc ; nous faison,s tous cette chjose à part nous, et cela avec des armes misérablement rétreécies en cela qu il s’agit de données humaines et rien de plus ; nous  posons des mots sur paroi, sur table d’offrande, en lévitation , et cela nous permet de penser que la mort (son oeil qui voit) se tient à carreau et nous laiissse tranquille un temps (le temps de l’offrande) et se rassasie de ce temps de bete (offert) en attendant plus ; nous pensons que nous avons à (pour le coup) offrir ces betes-mots sur des parois ( ces images, ces représentations) pour tromper son monde ( l oeil) et continuer de la sorte nottre vie d(‘homme en vie ; nous pensons que les mots que nous employons (da,ns le temps , forcément) sont des repoussoirs ; nous avons des mots-repoussoir plein la bouche, nous les exprimons sur table (livre) ou sur paroi (mur) et aindsi nous pensons qyue nous avons trompé la chose, cette chose devant nous (?) qui nous regarde, qui nous voit avec nos yeux, à travers nos yeux, qui se sert de nos yeux pour voir et qui donc décide, décide si oui ou no n elle (la chose de la mort) nous coupe les vivres (le sifflet) ou non ; nous pensons que les mots que nous employons en bouche, sont des motsque nous intercalons (sur paroi, sur table) pour ruser avbec la mort, la gruger, lui fzaire croire que, or que dalle, nous trompons l’ennemi (cet oeil en nous qui est l’oeil de la mort) et ainsi cont inuons de rester en vie ou continuons notre vie sur terre-mè!re (etc ; nous avons une impression, et cette impression est celle ci ,k à savoir que l’oeil que nous pensons que la mort a, eh bien, cet oeil, on a l’impression qu il s’agit du notre,  que cet oeil de la mort on dirait que c’est à travers nous (notrte propre oeil) qu il arrive à voir , ou quelque chose d’approchant en termes d’impression  ; nous pensons des choses, nous avons des impressions ; l oeil de lma mort est (serait) comme un oeil omniscient ? ou bien comme un oeil à nous ? peut etre comme un oeil à nous , donc qu on peut gruger ? nous ne savons pas ; nous pensons que le temps = mots-betes en nous ; et donc ce que nous mettons enttre nous et la mort c’est tres précisément ce temps qui est fait de betes sur paroi : buffles, rhinocéros, bvisons, chevreuils, bouquetins, etc ; nous penson,s que les betes sont des mots qui sont des repoussoirs de mort ; nous avons cette impression que les betes dessinées sur des pârois, sont des repoussiors de mort, comme les motsqu aujouirdhui nous employons (de gré ou de force) sont des repoussoirs de mort, etc ; laz mort est tenue à distance par le temps de vie que nous possédons, et ce temps de vie (d’être en vie, ou d’étant) est tres précisé ment ce langage de mots-betes ou de mots-animaux que nous mettons sut table (livre) ou sur parois etc, afin de montrer ou dire à la mort que nous avons compris ses besoins en chair viveet que donc nous lui offrons de quoi se sustenter raisonnablement un peu de temps ; nous offrons ainsi la vie (pseudo-vie) à la mort que nous pensons gruger ainsi ; et voilà l’origine, voilà le dépaert de tout ; le démarrage se base ainsi sur une fauuseté , le départ, les prémices ainsi sont basés sur fausseté, sur de la fausseté en brancvche ou en barre ; on peut penser en vérité que les motsque nous employons par devers nous aujour dhui, ces motsque nous avons en bouche sans le vouloir pluqs que  ça etc, eh bien ces mots sont des animaucx, «cé dé zani:mo», que nous mettons entre nous r(?) et la mort devant nous ; on peut p)enser légitimement, que ces mots que nous posons sur roche, sont des animaux offert en offrande ; et donc ce que nous disons dans le monde est adressé abvant toutes choses à un oeil qui voit (à travers le notre ?) et non point à d’(autres personnes en priorité ; nous avons cette impression que ce que nous disons à la canton,ade est une chose qui est cela, que nous faisons acte de repouussement ; que nous repoussons kl’échéance , en parlant, en évvoquant, en, comblant le trou de la bouche avec des mots-betes etxc ; nous avons ce sentiment de tromper, de tromper la mort en personne ; nos yeux voient la mort («voient») ave c leurs limites qui est oculaires, qui sontv oculaires ; les mots «voient» la mort avec des yeux d homme, or la mort de l’homme n’est pas que la mort de l’homme, la mort de l’homme c’est la mort tout court , et la mort tout court c’est la mort des buffkes et des bisons tout aussi bbien (etc)  ; et donc nous pensons que nous voyons bien alors qu il semble évident que nous voyons mal ; ,nous pensons que nous voyons la mort comme elle pourrait etre alors  que ce que nous voyons est réduit à une taille humaine , et c ‘est trèsz précisément cela quyi fait rire, qui est comique ; nous avons une vue parcellaire des choses (puisque réduite à échelle humaine) , or la mort n’est pas opbligatoirement à une échelle huumaine, à échel ;le humaine ; la mort est à) une autre échelle ; la mmort est à une tout autree échelle, il s’agit d’une autre chose , il s’agit d’une chose qu il nous est difficile d’appréhender car nos outils de saisie sont réduits, ne portent pas loin , puiusqu’humains, misérablement ; de sorte que ce que nous pensons de la mort est réducteur et le sera toujours tant que nous resterons à notre échezlle de petits hommes à pattes, à bras, à mains qui se lèvent poour dessiner des chevaux et des bouquetins, etc ; nous avons cette impression que la mort est à une tout autre échelle qu humaine, et que du moment que nous sommes réduyits à une échelle humaine pour nous mêmes, il y a peu de chances raisonnablement pour que n ous puissions y comprendre -piger une chose, une chose quelconque sur cette question de dame ou sieu r la mort quui guette ; nous pensons que nou!s sommes peu,  que nous sommes limités de beaucoup, que noussommes réduits, etc ; nous pensons que nos «yeux» ne portent pas loin, et tout notre effort en vie sur terre est d’essayer de voir plus loin que le bout scvientifique de notre nez ; nous essayons d’y voir loin, mais comment puisqu on ne peut sortir de l’enclkave ; alors nous posons des mots sur la table (des présents, des offrandes, des biens, du bien, des vivres, du vivre, du semblant de vie etc) afin de conjurer le sort (?) ou bien afin de repousser l’échéance de cette mort (?) qui nous atteznd plus loin (? ) c’est à dire devant(?) ; nous pensons que nous devons (les jambes nous portent, et les mains) faire cette chose en nous, pour nous, cette chose en  nous est cette chose que nous sommes amenés à faire : marcher = vivre = continuer à vivre ; et du coup nnous posons nos mots à tout bout de champs, nous les déposons qui sorte de notre bouche (corne d’abondance) , pour 1 combler le trou de nootre bouche (de cette ouverture en  ous) et 2 repousser l’instant fatal ; nous ne voulons pas de la mort ce jour, nous ne voulons pas xde la mort ce jour, je ne veux âs de la mort ce jour ; nous pensons que cette chose se présenbte ainsi : un etre (homme des cavernes) dessine (en lévitation, en transe) des betes sur de la roche de grotte (dans une semi-obscurité) et faisant cela il repousse la mort, il essaie de faire en sorte que voilà : la mort (l oeil qui voit) est comme repoussé (ou comblé , pour l’oeil) par des offrandes sous forme de betes (sur table, ezncore saignantes , ou sur pâroi, plus vraie que nature ; nous pensons que nous voyons jjuste ; nous sommes presque certains de cxes choses, nous sommes comme si nous étions persuadés de certzaines choses, nous pênsons des choses qui semblent etre justes ; nous mettons des mots dans le temps et cesz mots sont des mots -bêtes , des motsanimaux qui sont dépodsés sur un devant de soi, c’est à dire dans le temps prése nt, celuyi que nou «voyons» se dérouler ici-même sous nos yeux ; nous pensons que cela est ainsi et c’est la raison pour laquelle nous pzarlons de cela en ces termes ; nous aimons beaucoup mettree des mots entre la mort et nous, et cela  car nous n’avons pas d’auttre choix que de faire de cette façon ; des lors nous disons que nous aimons, mais tout aussi bien nous pourrions dire que nous faisons par-devers nous, ou par obligation quasi intrinsèque (vitale) etc ; car les mots caracolent en  ous sans nous demander notre avis, et quand bien même ces mots nous demanderaient nottre avis que ce dernier serait formulé avec ces m^mes mots (extérieurs à nous) de la demande, de cette demande en nous : nous sommes piégés, nous sommes inséres, nous sommes pris dans la roche du temps,  cette roche , ce roc, que nous offrons au dieu (?) de la mort en offrande (dans un livre, sur une table, sur un sol, sur un mur etc)  ; nous pensonsque c’est tres exactement cela que nous faisons par moments et pour certai,ns ; ou bien que tous nous faisons d’une manière ou d’une autre  ; nous glissons desmotsdans l’escarcelle, nous posons des présents de mots-betes encore fumants de leur souffle chaud qui sort de nos entrailles humaines ; nous lévitons, nous sommes en lévitation, nous sommes en transe, nous montons, nous allons haut en besogne et nousz dessinons des betes massives (bien visibles et reconnzaissables, à la lumière faible des torches) sur paroi de grotte, nous les dessinons avec du charbon de bois, avec de l’oxyde de manganèse etc ; nous dessinons des mots-betes, et ces mots s’intercalent entree la mort (mais qui est-elle ?) et nous quyi dessinons en lévitation ; nous ne savons pas ce que c’est qye cette mort que nous voyons à l’oeuvre tous les joiurs ; comment la définir ? qu en penser ? comment la voir ? cvomment la penser et la représenbeter  ? les mots peuvent ils ? que pouvons-nous ? nous sommes réduits, nous sommes limités à) n’employer que des outils qui sont bien pauvres et limités dans leur fonction et dès lors comment faire pour évoquer, oparler de, etc, la mort à l’oeuvre sur terre ? nous ne savons pas comment l’évoquer, mais nous pouvons (par des mots du présent) latenir «un temps» (forcémeznt) à distance et c’est treezs exactement ce que nous faisons en étant en vie ; nous faisons cette chosetres précisément, et cela d’abordc sur paroi (homme des cavernes) en lé vitation puis sur des supoorts divers, sur des murs et sur des feuilles, sur des papiers et sur du bois, ; sur du plastique et sur du verre etc,  homme de ces temps du jour ; nous posons des chose sur une table , ces choses sont des offrandes, il s’agit de mots-betes en pagaille, et ces mots-betes sont censés contenir la bete, sont censzés contenir la bete devant ; la mort  = la betye, une bete, ou une autre bete ; nous donnons des betes mortes sur paroi, sur table, en les faisant passer pour des betes vivantes (plein-e de vie fumante) à une bete (grosse) qui serait la bete de la mort, car la mort serait une betye ; nous donnons des mots sur des feuilleys, à la cantonnade, à voix basse en  ous m^mes ou autrement, et ces mots s’adressent à une sorte de sommité, de grosseur, de déité etc, de grosse bête , qui serait en nous , presénce, qui en nous serait cette présence (dans nos yeux et notre bouche) qui voudrait sortir de nous pour se rendre visible de nous, ou quelque cxhose d’approchant ; nous cherchopns des choses en laboratoire et il n’estpas aisé de faire cette chose,  rien de moi ns simplhe ;  n,ous pensons beaucoup de choses en laboratoire (nous deux) et ces choses sont inscrites (répertoriées) sur des fichiers que nous conservons jalousement par devers nous, pour un jour peut etre les rouvrir et voir (à distance) ce qu ils contenaient en matière de vérités dévoilées sur la nature humaine et le monde terrestre tel qu il se vit ; nous sommes dans noptre temple)--atelier-laboratoire, nous cherchons dezs v érités sur le monde terrestre, nous cherchons avec beaucoup d’ardeur, nous cherchons assidument, nous voulons aller loin en besogne, nous ne sommes pas rassasié ; nous avons kle temps d’une vie pour comprendre ce qui nous attend apres la vie ; nbous avons une vie (ce temps qui nous est donné (?)) pour comprendre (cerner ?) ce que c’est que cette chose qyuui nous arrive ; et cette compréhension est censée passer par des vocables, par des mots que nous avonbs en bouche (qui nous ont été donnés ou incuulqués et qui à la base n’étaient pas sp^écialement les notres)  ; bref ; nous avons des mots , des vocables pour, donc, le temps de notree vie, comprendre qUElque chose à quelque chose etc, les mots vont dans ce sens, on pourra dire ce qu on voudra,n n ,, les motstirent touyjours dans le même sebns et des lors vcomment s’y prendrte, comment faire pour s’y prendre si tant est que nous pourrions, si tant est que nous pourrions nous y prendre autrement, comment faire pour comprendre quelque chose à quelqque chose( cest la voie oblighée pour ainsi dire) alors même que les mots que nous avons en bouche nous  trompent, qui ne disent pas la véerité du monde, c’’st à dire la vérité de la mort etc ; nous penson,s que nous pouvons utiliser les mots que nous avbons en bouche, or il  semblerait que ces mmots nous couillent ; il sembklerait fort que ces mots nous grugent ; il semble fort que ces mots nous couillent grave et nous grugent tout autant et cela pour nous est une drôle de choses ; nous pensons que nous avons un temps (celyui de la vie qui est la notre) pour du coup formuler (de force) des paroles censées sur des choses  , obligés ! et cependant, comment faire ? puiisqu il appa raiot que nous n’av ons pas pour nous les mots (les outils) nécessaire à une bonne et juste formulationb des phénomè nes ; les mots nous trompent, ils trompent, ils trompent beaucoup, ils nous grugent, ilsgrugent énormémznt etc ; commenbt faire pour comprtendre, pour saisir ?.  ; nous avons beaucpuo de mal, nous cherchons des solutions en laboratoire et pour ce faire nous faisons des expériences mlanga gières, comlme celmle par exemple qui consiste à écrire de chic, sans se poser la moindre seconde, sans seretrourner le temps d’une sesssion (de 4 heures à chaque fois) etc ; nous penson,s que cette chose peut donner des résultats sur le plan d’une compréhension ou bien sur le plan d’une mmise en lumière d’élements recouverts , ou bien sur le pl ;an de la mise à plats de ces m^$emes élémeznts du soi sous influence ; nous pensons que nous pouvons esswayer (en laboratoire) de trouver des voies d’»abord, des voies de compréhension, qui puissent donner des éclairages sur les choses qui sont en présence sur table ou paroi ; nous sommes des hommes des cavernes, nous mangeons (à quelque chose pres) comme des hommes des ca vernes ; nous man geons à quelque chose près commùe les hommes desz c  avernes ; nous mzangeons et déféquons et tout le tralala à quelque chose près commec les hommes et les fe»lmmes des cavernes ; nous parlons à bride abattue, nous parlons à brule pourpoint, nbous parlons à baton rompus, nous parlons sans bourse délyier etc, des choses de la  vie et de la mort ; nous avcons des mots en  nous comme des organes, comme une voix, comme le sang etc ; ces mots que nous portons comme un organe (ppancréas ou vésicule biliaire, ou foie, etc) , ces mots nous les couchons sur du papier , ou sur un écran, sur un moniteur, et ils sont censés amener leur lot de  v    érité, or il s’avère que les mots que nous employons sont des bêtes, sont des betes ezncore saignantes, fumantes etc ; nous pensopns que lezs mots sont des betyes qui encore saignent sur la tabkle desq offrandes (ce peut etre un livre)  ; nous pensons (nous deux) que ce livre (ou ce mur de galerie) sont des réceptacxles pour des dons de temps de vie, de fausse vvie si tant est mais que ça le fasse à l’oeil de ... cette cxhose ci-devant qui semble nousattendre de pied chef ;  nous pensons que nous avons pour nous un devant qui nous attend : voilà ce que les lmots nous disent ; et quoi d’autres nous disent-ils ? ils nous disent que la mort est en attente et que par conséquent nous sommes des etres (?) en sursie etc ; nous écoutons ; nous pensons que les mots nous disent (nous inculquent oui) des choses, et ce, au fil du temps, et que du coup l’hommecvdes cavernes (qui remonte si loin dsans le temps)) était peutetre un peu moins encombré, farci, pollué, meurtri, envahi de mots que nopus autres à cette date ;: nous nous disons que pour luyi laplace devqait etre autrement dégagée et dès lors plus à même de recevoir une quelqconque vérité sur les choses du monde (vie, mort, tout le tintouin etc)  ; nous nous disons cette chose come quoi peutetree l’homme des cavernes avait l’esprit plus ouvert, moins encombnré que le nottre , avec toutes ces choses qui en nbous se sontv déposées par strates au fil des siècles (danslalangue que nous parlons)  ; opn peut tres bien penser cette chose et du coup on se dit que les mots nous portent ici ou là (comme là) c’est à dire que les mots ont leur vie de  sens en propre (c-ircuits, rhizonmes, conduits, etc : unee tuyauterie) et que nous nous sommes comme des témoins (pris charnellement dans la nasse = traversé dans notrte chair) au beau milieu de toute cette affaire de’une emprise langagière sensique ou qui sembklerait etre charghée de sens avérées, etc ; or il s’avère que la chose n(‘est pas si simple et demande réflexion ; et voilà pourquoi nopus prenons le prisme (ce prisme) d’une exoploration langagière «fissa» et sans retourn,  , pour  comprezndre, pour cerner, pour se placer dans des conditions d’advenue sensique forcée etc, afin de mettre à plat le processus (si tant est que ce la se puiisse) et voir du coup ce qu il en retourne et où cela peut mener sur la longueur ; nous posons ainsi ces motsrepoussoirs, nous les déposons à nos pieds pour ainsi dire ; nous jouons le jeu du présent en offrande et dans le temps, nous sommes dans le temps comme en paroi ;nous sommes dans le temps comme dans une paroi de grotte , et comme un homme des cavernes nous crachons (soufflons) nos mots-betes et dessinons en tra nse des betes de charge, etc ; nous avons du charbon de bois, nouys avons de quoi graver, tracer etc, nous gravons et traçons da ns un e sorte de lévitation de grotte (= portés par des mains : positives et négatives)  ; nous avons pour nous  des mains qui nbous soulèvent (lévitation) et nous permezttent de nous coller à une paroi pour l’ornementer de betes de fort calibbre pour ainsi dire, et surtout de betes qui soient des betes reconnaiissa bles, qu on puisse désigner et nommer avec des mots de bouche ; il s’agit defaire ressemblant, que l’image semble ou sembl^$at la chose ; nous cherchons fdans la vitesssee d’éxécution des semblances de choses vives (de pensée) qui puiisse faire accroire (à dame / sieur la mort) que nous donnons de nous latotalité (e,n pature) quand la veérité est (de fait) que nous donnonsle temps (passé) et rien de pl ;us jusqqu’à) nouvel ordre = couillonnade de première ; nous donnonsq ainsi de nous des mots-betesc , des mots-animaux, des mots qyui passent par nous (nous traversent comme un troupeau du temps de notre vivant ) et cela fait nous croisons les doigts pour ne pas fléchir et rester en vie ;  nbous sommes traversés en nous par un troupeau de beters -motds ; nous sommes presque piétinés, et ce troupeau en nousest censé etre nous ! nous sommes piétinés par un troupeau de bu ffles qui buffent (bouffent, soufflent, etc) en n ous et nous de passerr pour des etres qui buffons, bouffons, soufflons etc du temps de notre vie (avec appelation à la  clé)  ; nous fatiguons, nous souffrons les pierrres etcx ; nous en a-vons notre claque, wseulement voilà, comment le dire ? avec quels mots ? puuisque les mots que nous employons sont justes ceux que nous avons reçu en héritage de ceux là mêmes ou de cela même que nous détestons, ou non, de ceal même que nous ne détestons pas véritablement, mzais enfin il s’agit d’une chose extérieure à nous et que nous ne portons pas forcémeznt dands notrte coeur , dans la lmesure où nous sommes envahi (colonisé) comme nous le serions de quelque virus ou autre élément vivant étranger mais introduit de force da nsnotre organisme : le ténia, le     virus x,  la bactérie y , etc ; nous n’avons pas envcie forczéément de parler ce langage en nous introduit, cette vooix de fausset en nous, etc ;nous -ne voulons pas pa s forcément parler cette voix, nous avons cette  voix en nous, nous a vons en n ous cette voix, nous avons en nous une voix, que nous voyons d’un c ertain oeil ; il se pêut que cette voix ait pris des formes qu entre nous nous avons validé et valorisé ; il se peut (il est) que certtaines intonationsaient été au fil du temps valorisé de force ou de gré, pour le bien-être de la chose, et du coup il se peut que ces motsen  nousaient été formatés, tourneboulés d»’une maniè!re qui en aient fait un langage mis sur un pinacle par certains co^tés etcx ; nous pensons que ce langage a été travailléau fil du temps de manière àà le faire bien voir de la communauté humaine (travail sur laforme afin de faire en sorte qu il soit comme distingué entre nous) et du coup nouds vooyons que les mots employés le sont pour une distinction (ou sorte de) entre nous ; nous pensons cette chose ; nous pensons que nous parlons avec des tournures de distyinction et dx’autres tournures qui elles ne sont pas de distibnxction au sein de la communauté et du coup nous (nopus ? ) sommes écaertés ou bien nous ne sommes pas bien vus car nous n’employons pas les bonnes tournures etc ; il s’agit de tour, de vrille, de tournure, de tra vail au tour etc ; il semble évideznt que ce travail de tour (au fil dees siècles) a formé le langage (la langue ) en des directions qui font que l’apprentiszage est devenu ardus et a mis la pression (dxe plus en plus) sur les etres l’acquiérant ; il nous semblz ainsi que les mots de betesq en  ous sont devenus des choses de distinction , qui nous mettent à mal et trompent notre gouvertne, et nous poussent en des lieux qui ne sont pas (e,n plus ) des lieux de grande vérité ; il s(agit dune occupation de l’esp^rit par un esprit de langue, par Esprit des siècles,  et cela fait que nous sommes sous le joug de cette la,ngue emberlificotée (de distinction) au fil des siècles et cela n’est pas pour nous arrtanger la sauce ; nous pensons que la langue en ous est devebnue une langue matûre à nous mettre en tête, il s’agit d’une langue adulte et dite distinguée à acquérir au fil du temps d(‘un aopprentissa ge d’enfance, et cette langue, devenue cette chose chantournée, est (elle) considérée par la communauté, quand la langue des mots - animaux a pris un coup dans l’aile et ne passe plus pour une distinction honorable mais tout au contraire pour une pauvreté de chose ambulante, tac tac sur terre-plein qui se traine sa misère langagière, ; nous essxayons de compbrendre ce qui est avec les mots d’une distinction séculaire ; nous voyons cette chose comme quoi nous essayons de comp^rtendre le monde avec en poche pour ainsi dire des mots de grzande distinction dite, ou des mots de grand e distinction ou de réputation ; nous essayons de formuler des vér ités ( ?) avec des mots de réputation, avec les mots que nous avons et qui sont mots de réputation, des mots qui ont pignon sur rue, ce genre de mots ; nous avons pour nous des mots en base, ces mots que nous avons ont une certaine distinction de n ature et celle ci nous oblige à un certain standing etc ;, alors même que ces m :ots sont de pauvres choses  , qui semblent se la jouer grave etc, mzais cela est impossible à dire , puisque nous parlons avec  ces m^$emes mots qui nous la mettent ettc ; donc comment faire ? setaire ? impossible en pratique au quotidien, et encore plus aujourd hui où tout le monde est peu ou prou sous le feu de la lampe , etxc  ; faire de la pate -mots ? pas sûr, car il faut le tenir ! on  ne peut faire ceci ici (dans le cadre de l’art ) et celaautrement (dans la vie de tous les jours) : cela n’est pas honnete !, aélorsqquoi ? hé hé : la vitesse, le débord, la chose faite à) la va vite et comme par défaut etc ? on ne sait pas ; on cherche , mais on cxhercxhe en vciteessse et en accumulant les strates etcc et nous verrons au bout du compte ce qui adviendrza, ce qui verra le jhour de cela que nous inscrivons sur tablette, sur table, sur paroi etc  ; tablettezs ; nous pensons que nous avons à faire cette chose d’un verbe d’advenue forcée, comme sous la contrainte, dictée sous contrainte, honte , etc, viol, le viol de nous mêmes par une langue ; mais cela peut il wse dire , le viol est la xclé ! le viol est cette clé qu il nousest restée ? le viol de nous par une langue est il la solution à nos problèmes ? qu avons nous d’autres à présenter que ce viol dont nous sommes l’objet ? voilà ce qu il en est  ; qu avons nous d(‘a utreswà présentezr quue ce viol dont nous sommes l’objet ? et c’est préciseément cela que nous crions (hurlons) sur des parois de grotte, ou bien sur des tablettes, ou vbien sur des tables aux offrandes, nouscrions ce viol de nous par des betes de cha rge , qui nous piétinent et sacca gent en nous  ; ellkes passentv par nous, elles nousq tra-cversent ; elles sont en n ous et noustravezrsent, nous saccagent, nous piétinent, elles sont en  nous qui  nous piétinent, nous travezrsent avec leurs sabots dondaines, avec leurs sabots ; et nous, comment nous en sortir ?  ; comment sortir d’un viol de soi pâr des sa bots dondaines, comment faire ?  ; nous ne savons pas comment faire, comment bbnous y prendre  ; nous ne savcons pas commebnt faire et nous y prendsre poure sortir la tete et comprendre et faire en sorete que la mort qui nousest promise (au sein du langa ge inculquée) ne soit pas la mort ; comment faire pour sortir la tete et se relever de cette chose promise inculquée dont nous avonsété victime en nous comme d’un viol de nous dondaines par des betes-mots qui nous ont chevaucxhé de concezrt, et ce où ça ? dans la paroi du temps (je vous le donne en mille ) = nous sommes couillés, nous sommes baisés, nous sommes foutus, nous sommes enculés etcx ; nous avons cette chose pour nous, de nous faire a voir = foutre = baiser = eznculer par les dires-betes en n ous , qui nous traversent de pied en cap et nbnous le mettent profond dans le cul  = la gorge = cette collonne en n ous qui est cette (en bout) corne ds’abondance (qui crache ses propres perles langagières qui sont des gros mots de betyes sales, de betes putasses sur paroi de grotte)  ; nous voyons tout cela avec nos yeux d’hommes des cav erneswx ; nous  le voyons distinctement ; nous voyons toutes ces choses avec clarté, sous la l:umière des torches que nous avons en grotte ; nous voyons des choses en n ous qui remontent ; nous comprenons ces choses qui remontent à travzers nous ; nopus essayons de nous preter à ce petit jeu des remontées de verbe (de mots-animaux ) en nous ; com:ment s’y prendre autrement quen faisant cela de xcette sorte : laissant faire ainsi en nous remontée pour un e sortie de nous par la bouche , en termes de données de choses à donner, sur paroi de grottes ; et ce sont des betes, des animùauxw, «cé dé zanimo» qui sortent, qui remontent et qui sortent de notre bouche ; il s’agit de betes qui remontent, qui sortent dxe notre trou de bouche perforée ; car notre bouche est (en vérité) un trou de perforatioon, de perforation par une corne en  ous, qui a transpercé notre peau, notre joue, et du coup voilà les mots en n ous qui tombent (à jamais) dans l’escarcelle du temps : vrille , torsiions, pour une figure de style (la langue des siècles) qui est là pour nous couiller menu sur paroi de grotte ou sur table aux offrandes ; nous sommes libérés de cette charhge en nous (qui pesait) et en même temps nous sommes piégés car nous remontons de nous des faux-semblants, ; des choses qui font vraioe (des vérités) mais ne le sont pas , ne sont en rien la vérité, mais seu:lement des faussetés qui ressemvblent à de la vérité ; la vérité est en dehors du monde, dehors ;: la vérité n’est pas de cemonde ; etc ; nous pensonsque les mots entre nous peuevent faire croire que ( ceci cela du monde etc : la science) mais à vrai dir (ici se taire mais c’est impossible, doonc : 

! )- 

en vérité, n ous ne pouvonspasc  connaitre la vérité avec un grand v,  car elle se looge ailleurs qu en  c e monde, elle est logée ailleurs, elke est  ;logée dans un interstice, dans une fente, dans un  trou, dans une chattière etc ; on voit que la chose ne peut etre dite en vérité, que l’acte du dire est le seul qui peutetre pourrait le faire (le dire )  ; le dire ou  le faire, le faire ou le dire, etc ; il semble que nous soyons au coeur de la question, et que cettre question se situâ t exacvtement ici même, en cette chose d’un dire qui le fasse, ou d’un faire qui l:e dise  ; etc ; nouds penxsons qUue ce petit mot d’etc est un mot piégeant, ou bien est le mot (tres exactement) du faire, c’est à dire : qui tait ce qu il dit, ou bien qui dit ce qu il tait (hé hé) etc ; nous avons pour nous cette chose e,n magasin et c  ette chose est ce petit mot de «etc» qui nous sied plutot il semblerait ; il  nous wsemble que ce petit mot de «etc» pourrait nous tirer d’affaire un temps et nous aider dans nos démarches et autres approches de la vérité vraie ; et si la vérité vraie se logeait là, dcans ce petit mot de «etc» ? nous nous posons laqueswtion sur des parois (en tant qhomme des  cacvvezrnes) et sur des écrans de moniteurs (de computer) en tant qu homme des maisons ; nous parlons une l:angue chantournée et distinguée, nous devons la surhjouer ^pour la mettre à distance dans l’«etc» de la fable ; nous devons parler une langue exagéremment chantournée, pour mieux nous en extraire comme d’un «etc» dans une phrase , et cela est une cavalcade de cxhevaux sur des parois de grootte ; chantournons ce que nbous avons à formuler en termesz de cavalcade pariétales ; nous sommes tous deux (c’est à dire Anna et moi) sur la paroi, à même laparoi, dansla paroi, au fin fond de la paroi du tyremps, le voyez-vouws ? nous sommes inclus, nous so:mmes pris dans la paroi du temps et cela, dfans une sorte de façon qui nous a été donné à notrte naissance, il s’agit d’une langue datée et localisée, cette langue est celle (laseul:e, pour moi la seule) que nous connnaissons, pour moi la seule, pas pour Anna, en fin voilà ce qu il en est : nous parlons dans la pâroi, nous parl:ons depuis la paroi ; nous sommes inclus dans une paroi de groote, nous sommes daté et localisé ; nousesswayons de faire coucou depuis cette paroi et comment faire coucou avec autre chose que les mots du coucou que nous avons pour nous, depuis cette paroi d’où nous vous parlons etc: nous sommes pris au piège de notre temps, du temps qui est le notre, de ce temps pariétal qui est le notre etc (nous comptons sur cet «etc») où se loger, où nous^s, essayons de nous loger, etc ; nous essayons de nous loger au sein de laparoi, parmi les betes fumantes ; nous oublions au fur et à mesure plein de chosesz et cepen,dant nous n’oublions pas de tenir (d’entretenir) laflamme (du temps) qui va ainsi, au fil de la plume pour ainsi dire, sur paroi de roche etc ; les betes sont des betesxmots ; la flamme est cette chose en  ous quyi surn,age au fil du temps et qui persiste dans son dire -faire : il s’agit de cette action du  verbe qui va son allant pariétal  ; nous pensons que ce faire est une sol:ution à des problèmes rencontrés ici, qui sont provbvlèmes liés au sens des :mots, aux significations que les mots trimballent avec eux

 ; nouds pensons que ces significations ne pêuvent pas etre bazardées comme ça et que (dune manière vrillée ou d’une autre ) nous nous devons de «faire» avec et c’est cela que nous envisageons de faire 1 sur pa roi , 2 sur écran, afin de parfaire la chose  ; à savoir combler cet hole (cette hole) avec de l’étoupe = des mots-betes qui sont en réserve, des mots que nous avons par devers nous (en réserve) et qui sont là pour colmater le trou du temps, qui sont là pour colmater le laps, le lapsus, le la ps qui nous éloigne ou nous tient à distance de ce que ds’aucuns, dans mille lzangues, appellent la morrt ; nous sommes violés par une langue que nous parlons : nous sommes ennemis à nous m:^$emes et cette chose nous ne sommes pas en mesure de la dire, nous sommes floués, etc ; il s’agit de cette chose qu il reste à faire : combler, boucher ce trou de bouche par des mots, par des betes-mots , en cavalcade sur paroi de roche ou autrement (fissa) sur des écrans ou même sur du papier etc (livres)  ; nous avons cette ambition que nous envisageons (de préférence) de ne pas semer en route, nous voulons continuer notre cxhemin ensemble dans ce swens : nousd devons faire de gré ou de force avec le sens des mots, quand bien mê=me n ous serons floués ; nous ne vou:lons pas lacher le morceau ; nous voulons continuer avec en nousq, qui caracolent, des chevaux en nombre, ils sont beaux et sortent en majesté de notre trou de bouche , et ce faisant le comble etc ; il s’agit d’une corne ds’a bonda nce et aussi d’un e plaie dont nous resse,ntons les effets nocciceptifs ; nousq avons le mal en ces berges de bouche ou d-e trou de bouche ;  nopus sommes blésseés ; nous sommes touch»és dans notre chair ; nous sommes troués de part en part ; nous sommes troués de part en part par une sorte de pique ou de pic ou de corne  ou de cor intériuer qui vient percer la peau et hop, du clairon, qui pousse le son de sa chevauchée (cavalcade) en  ous  qui sommes percés ; nous avonqs un trou ; ce trou est notre bouche ; de cette bouche sortent des vrilles qui sont des entrelacs  de betes qui tombent ; nous voyons ces betyes tomber ; nous sommes submergés et nous laissonsfaire ; la vrille se poursuit sur roche et vien t pour se pl ;acer ainsi (dessins ou gra vures) pour les sièccles des siècles (a priori)  ; nous pensons que nous avons  pour nbous une chance qui est celle ci  : de nous loger -lover au coeur de la roche, il y fait «meilleur» ; nous pensons qu il est bon de se mettre à l’abri (au sein de la roche) des intempéries ; nous pensons que cette chose est une bonne chose ; nous pensons que nous devons agir ainsi et nous laisser porter ainsi par la roche, par le temps pariétal de la roche dure, compacte,n, et qui pour le coup nous soutient cvomme des mains ; nous pensons que nous devons (ensemble) nous laisser porter pâr les mains du tmps rupestre etc ; nous avons bien de la cxhance, nous devons voir les chosesde la roche ainsi et nous laisser guuider, nous laisser porter par une vague, une vague qui est une roche, une roche qui est une vague : il s’agit de mains e,n ombre, elles nous portent à même le temps d laroche et nous soutiennent afin de nous tenir en l’air = en lévitation  ; nous sommes suspendus au temps de la roche et nous dessinons qui des visons, qui des phacochères, qui des buffles, qui des taureaux, qui des bouquetins, qui des chevreuils, qsui des isardsq, qui des rhinocéros, qui des aurochs, qui des zébus, qui des antilopes, qui des biches, qui des hgazelles, qui des mammouths, qui des ours, qui des ours des cavernes, qui des chevaux, qui des licrones, qui des juments, wqui des lions des cavernes, qui des lionnes, qui des singes, qui des betes-mots ; noues alloons au fond de la groote, nous nous tenons par lma main, nous ne voulons pas (p ;lus ? pas) nous désunir ; nous sommes tous les deux à la recherche d’une vbérité existentiellke, nous voulons comprendre ce qui est à partir de là où nous sommes, nous ne cherchons pas de réponses ailllezurs que là où nous nous trouvons, c’est à dire au fin fond de cette grotte dans laquelle nous entrons ou nous sommes entrés ; nous voulons trouver des choses vraies ; nous voulons connaitre la vérité vraie qui est celle qui est hors du temps, car le temps est un pis-a ller et une fauusseté, nous sxavons cela tres bien à présent ; il s’(agit (le temps) d’un présent (un don, une offrande) de faussegté , et du coup nous cherchons ailleures que dans le temps, ou comment faire pour trouver etv pour trouver à deux ? ; nous pensons que nous devons nous unir , nous associer dans une vrille, dans une torsion, si nous voulons trouver le pot aux roses ; nous voulons comprendre ce qui est, ce qui setrame, cve qui existe de base, etc ; nous sommes en,tourés de parois, toutes ne sont pas ornementéesou décorées ; nous avons autour de nous beaucoup de betes ; chaque bete est une bete-mots ; les :mots qur nous avons nous mê:mes en bouche sont tout autant cdes betesxc-mots, sont des mots-anjimqaux ; l’image de cet animal sur la paroi correspond à un mot du dictionnaire, c’est à dire à un mot-animal, ou mot-animaux ; nous pouvons comprendre cette chose désormais ; le temps est un e paroi et la paroi est la figure animalière du temps ; l’animal eswt en nous comme un oeil, mais il est aussi paretout autour de nousc , qui nous regzartde et ne nous quitte pas des yeux ; les animaux nous encercleznt, il s’agit du temps de notre vivant, et ce temp^s est une paroi de grotte antédiluvienne ; l’homme des cavernes nous ressemblent beaucoup (en mieux pourrait-on dire ; en mieux car il n’est pas aussi encombré de styles, divers et variés, comme nous pouvons l’etre ; l’homme des cavernes est lucide, il lévite, il ne parle pas le mêm=e langage (la même langue) que nous  ; il est dans une souffrab-nce qui est grande, du fait que sa bouche est encore à moitié fermée et saigne ; nous voyons le sang tomber de ses lèvres, ce san,g qui pisse est une corne dx’abondance animalière (pleine à ras bord)  ; nous avons hâte de comprendre ce qui, en vérité, setrame sur terre, seulemen,t voilà, nous sommes pris dans la nasse du temps, nous ne savons pas (vivant, toujours vivant) nous en extraire  ; comment faire ? transe ? transe ? transe ? ivresse des profondeurs  ? alcool fort ? tran,se dans le temps ? transe dans la danse ? danse-transedu verbe ourlé ? comment dire et faire en même temps, c’est à dire faire et dire, dire et faire, cela torsadé pour une compréhension des élements de vie et de mort   en présence , nous ne savons pas  ; nous cherchons des solutions dans la forêt qui jouxte le temple ; nousessayons de comprendre au mieux les choses de la vie comme ellessetrament ; nbous sommes pleins de volonté ; nous sommes coriaces et motivés, nous voulonsaller loin en besogne, et cela  : de notre viva nt ; nous ne lacheerons pas le pinceau comme ça, d(‘un coup de cuillère à pot ou autrement, nous tiendrons bon et continuerons sur notre lancée le moment venu : nous nousaimo ns au coeur de la roche, en son sein, allongés, nus et main dans la main ;

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11/06/2020

nous sommes percés de pied en cap ; nous sommes meurtris ; ;nous cherchons la vé»rité de la sagaie en nous ; nous pleurons une vérité, nous sommes ensemble (main dans la main) qui pleurons une vérité, nous pleurons un e vérité de sagaie ; nous sommes main dans la lmain à pleurer une vérité de sagaie, de celles qui sont travzersantes: un trait ; nous pleurons notre peine, notre douleur de sagaie traversante  ; nous sommes touchés, nous sommes percés à l’endroit de la joue, nous sommes trabversés par une lance en nous qui nous troue la joue et forme la bouche qui crache le sang, un filet de sang et des animaux  ; «cé dé sz-animos» qui sortent d’elle, il s’agit de betes grosses ; nous voyons de nous (au coeur de la roche du temps) sortir des betes sanglantes (chaudes) et ces betes sont des betes grosses, «cé dé z-animos» qui pissent le sang, depuis notre bouche ouvertte, il s’agit à présent d’une bouche, une bouche à boucher à l’étoupe, à boucher à «l’étoupe-pansement» ; nous avons un trou de bouche saignant à colmater et nous voulons nous que ces betes (passant par nous) colmatent pareille cavité en nous à leur passage : hole ! hole ! hole! elles passent de folie en poussant -chargeant en direction de la paroi d’en face , s’y loger-ficher (fiche) , s’y loger-ficher (fichtre !)  ; elles y vont ; elles ne sont pas en reste d’y filer -fxficher , de s’y fixer, de s’y blottir etc ; nous les aimons, qui nous soulagent au passage ; nous aimons cette cohorte de passage en n ous, qui buffe en nous ; nous voulons que ces betes nous soulagent à leur passage, au passage en nous, en nous qui sommes ainsi, traversés par une cohorte de betes massives, qui poussent, qui s’extraient de nous via ce trou de bouche ezncore saignant ; nous vboulons ces bestes en nous pour un colmatage, un peu de bonté à) leur passage ; nous aimons ces betes comme tout, nous les aimons comme tout, nous aimons ces betes comme tout, elles nous conviennent à leur passage par nous qui sommes traversés -émus, qui sommes touchés-blottis, qui sommes collés-soudés ensemble (coït) pour un passage animalier en nous, entre les lévres (berges) de notrte bouche (plaie)  ; nous avons cette chance en nous d’etre enfin troués et de pouvoir parler, nous parler, dire ce qui nous pèse (ce poids en nous, qui pousse à parler)  ; nous sommes chanceux de voir de nous tomber ici des betes de charge (peseantes ô combien) qui tombent de nous (de notrte trou de bouche) et qui sont recueillies par la terre en dessous d’elles, terre mere = paroi ; nous sommes des pêtits chanceux qui avons pour nous cette chance de nous voir troués par une sorte de lance animale en  ous, sorte de pique , ou de corne qui, en, nous, s’est mise à pousserr, pousser, pousser, et a réussi )à nous percer la joue et aà travezrser icelle de part en part (celle ci) pour poussser plus loin encore (corne) et piquer la roche de grotte ; nous avonbs des lors en nous ce trou de bouche à poarfaire, à colmater, à remplir de mots -pansements, d’étoupe, à remplir- parfaire, à remplir de mots etc, cde mots-animaux, de mots-betes, de betises aussi bien, de mots de betise, de nmots-betes, de pâte, de plein, de choses et d’autres pour boucher cet orifice ouvert, béant et saignant ; nous sommes ensemble collés et nous aimons nous coller ensembvle, nous serrer ensemble, nous serrer l’un contrte l’autre, nous blottir enselmble, nous toucher, nbous caresser au coeur de la roche du temps, et nos betes en nous sortent pazs à pas et vont se ficher , contre une paroi de grotte : magdalénienne ; nous aimons ; nous avbons ce besoin en nous de nous blottir l’un contre l’autre au sein de la paroi magdalénienne, nous aimons cela follement et nous nous lachons de cette sorte, nous faisons fi de tout ce qui nous entoure hormis des betes de trait qui forcent le passage de la joue et traversent celle ci de part en part : nous sommes touchés -troués ; nous sommes faits ; nous avons été troués et nous regardons le sang pisser sur nos guiboles ; nous voulons aller loin dans la v érité, nous voulons connaittre la vérité dans ses profondeurs, nous pensons q<u il exisete une profondeur ; nous doutons qu il existat une profondeur en quoi que ce soit, nous ne savons pas tout, nous penseons qu il est peu probable qu existe ou qu existat une profondeur de paroi ; nous ne savons pas où se loge la profondeur ; nous cherchons l’endroit où se loge la profondeur, où donc se loge la profondeur au sein de la paroi ?  ; nous ne savons pas exactement où se loge la profondeur et nous aimerions le savoir, nous voudrions savoitr  où se loge la profondeur au sein de la paroi ; nous ne savons pas où se loge la profondeur au sein de la paroi du temps ; nous ne sabvons pas où donc au sein de la paroi du temps se loge (se logerait) cette profondeur sus citée que nous recherchons avidement ; nous aimons cette idée de profondeur dands le temps  : deux mains, deux mains qui se posent sur une paroi , la main droite et la main gauche ; nous pensons que la chose a été ainsi, que deux mains se sont posées sur iuune paroi, attouchement de la paroi, apposition des mains, toucherie de parois gelée, nous pensons que le contact ainsi a été de cette sorte , d’une main sur roche, et d’-une autre sur roche pareillement, côte à côte, deux mains qui se posent et touchent la pierre gelée du fond de la grotte (entrailles)  ; nous pensons que la pierre ainsi a été touché par des mains (deux) d’homme et par deux mains de femme à ses co^tés ; nous aimons penser cette chose dxrole ; nous aimons la penser ainsi, ici, sur paroi de grotte, avec pres de nous qyui passent des betes, des betes qui sont des souffles, des buffées, des bouffées, des airs qui vont ainsi de bouche à paroi comme une chansonnettte ; nous allons nous ficher ensemble au sein de la roche et nous pissons le sang depuis notre bouche trouée, depuis ce trou de bouche en nous nouvellement créé ; nous avons en vie ce trou pour parler et chanter une chansonnette, siffloter un air de paroi, etc ; nbous aimons cette chose en  ous, qui fait ain si que nous pouvons à présent chantonner une chansonette et pisser du sang sur paroi ; nous abvons une bouche, une bouche à boucher de mots, à boucher à l’aide de mots-betes , en nbous, qui attendent ; à l’aide de tous ces mots-betes en nous qui attendent avec impatience de pôuvoir sortir de nous pour pouvoir aller se ficher en face contre une paroi, la paroi du temps, cette vie dans la vie, cette vie en n ous qui meurt petit à petit mais qui ressemble à n’en pas douter quasiment à la vraie vie du tic et tac du coeur en nous ; nous sommes qui piégeons la mort : ces betes-mots trompent l’ennemi ; nous aimons les cracher enfin et nous sauver la mise : la parole est la tige ou fibre ; il s’agit de faire accroire, et le trou de bouche est ainsi qu il permet la sortie en trombe des animaux de vie ou animaux de sauvetage, ou animaux qui trompent etc ; nous pensons que la bete qui sort de nous (souffle, spiritu) est celle là qui trompe la mort et nous maintient, au coeur de la chose, au coeur de cette chose en vie, de cette chose d’etre, etc, encore en vie ; nous pensons que bouche ouvertte = souffle = survie = repoort de lma mort qui est inscriote en nous et qsui n’atte,nd que ça, que nous passions ; or nous ne passons pas d’emblée, il y a c e laps de temps qyui nous protège, qui est ce laps de perceé buccale etc ; lkes mots sortent de notre bouche comme des bouts de chose tombant ; nous avons en  ous des mots-betes qui sont des betes et qui sont des mots, nous pensons que ces mots sont des betes qui chargent et percent la paroi et nous permettent de pouvoir parler et donc de repousser l’épreuve finale, de pousser lza mort au loin, aucx calendes grecques, dansles profondeurs du temps à venir (ces deux mains qui s’offrent , qui sont devant nous en attente, ouveretes, grande ouvertes)  ; nous pleurons car nousq avbons mal ; nous allons pleurer une vie durand ; nous allons pleurer uune vie durant notree misère d’une vie trouée, percée de part en part ; oh cette douleur de la chair transpercée de part en part , par une pique animale, collonne-piquous qui a -troué la joue et a permis cette ouverture (hole) pour une parole, pour une parole-colonne, ou parole en colonne (fibre) etc ; nous avons pensé à cette chose (hole) à parfaire (par-hole) et ainsi aller en vie maintenus ; nbous y allons ; nous pensons qyue nous sommes sauvés un temps, dans le temps, grace au temps rendu possible par une (donc) trouée en  ous (bouche) et un maintien debout, face à kla paroi ; nous avons une paroi devant nous, et cette paroi est à recouvrir de traits, de points, de mains positives , de mains négatives, etc ; nous aimons dessiner sur des parois, giudés par les esprits de la grotte en  ous, qui servons de médiateurs, de mains pour des dessins à parfaire sur le roc et à montrer ainsi, plus vivants que ne le sont en vrai, pour tromper son monde = la mort , etc ; nous pensons que nous sommes vernis, chanceux, avons bien de la chance pour nous, nous abvons cette chance pour nous et nous l’arborons, nous lévitons ; nous sommes entrainés par des forces en ous qui nous rendent légers et nous soulèvent, etc ; nous sommes entrainés de cette sorte, par des esprits en  ous, souffles sauvages, qui nous soulèvent et nous font léviter au sein de la grotte ;,  nous aimons ces etres en nous (ces betes) qui nous soulèvent, nous montent, nous mettent à jhauteur de paroi, nous permettent ainsi de nous coller à la paroi, nous donnent cette possibilité (chance) de coller notre joue blessée à la paroi et de la soulager ainsi, en la plaquant co ntree ici la fraicheur de cette (donc) paroi de grotte ; nous pensons que nous lévitons pour éviter la mort ; nous sommes qui l’évitons de cette façon : dessins sur roche, de betes fauves etc  ; ce sont des antilopes que nous dessinons, ce sont des buffles, des bisons, des bouquetins, nous marquons des traits, des points, nous comptons ; nous sommes en lévitatation et comptons ; nous comptons à la mesure, nous comptons à l’unisson, nous comptons les points de mesure, de scansion , etc ; nous sommes en lévitatation au xsein de la grotte, nous pleurons (crions) notre douleur de joue percée, nouspleurons-crions notre fdouleur de joue percée carr nous avons mal ; nous sommes touchés, nous sommes blessés, nous sommes pris d’assaut ; nbous avons une chance énorme, celle de nous voir ainsi maintenu en vie da,ns la grotte, nous sommes en vie dans la grootte, nous sommes maintenu ; nous avons pour nous des mains qyui nous tiennent, nous soulèvent comme une vague etc ; nous restons en vie un temps grace à elle, grace à cette vague ; nous aimons ainsi êtyre soulévés, soupesés, allégées, nous aimons cette chose d’être soulevé au sein de la grotte et nous de crier et de pleurer (notrte saoul) car nous sommes meiiurtris, nbous sopmmes blessés, nous sommes touchés par la pique en nbous , qui nous a transpercé de part en part, nous a troué et à présent nous pouvons parler (rester en vie un temps) et tenir ain si en, lévitation au coeur de la grotte (sein et coeur)  ; nous pissons le wsa ng, nbous pissons dru (le sang) et nous nous plaquons contre la paroi , nous dessinons des bisons, nous dessinons des betesx: phavcochgères, buffkles, aurochs etc, qui sont tres exactement les betres que nous contenons en nous, soit des betres que nous abvons la possibilité d’ingurgiter, d’e faire entrer en nouys etc ; nous abvons des betes en nbous ; nous sommes nés acvec en nous des betes , des betes alimantaires etc ; nous sommes nés bouche cousue avec en nbous des betes-aliments, et ces betes ont franchi le pas et nous ont troué et nous avons crié et nous crions toujours depuis , nos mots-betes de percée de joue, etc ; nous avons été transpezrcés par une lance animale en nous ; nous avbons été transpercés par une lance animale en nous = dans la bouche ; nous sommes per cés, nous sommes transpercés, nous sommes troués, nous sommes meurtris ; nous sommes mal ; nous sommes la-e mal uiincarné car nous avons mal ; nous crions ce mal , cette douleur, nous sommes des bébés qui crions cette douleur, ce mal en nous, cette chose, cette percée ; nous avons un mal de chien ; nous avons tres mal et nous pleurons (rions) notre mal ; nous avons  cemal  en nous , il est logé à l’endroit de cette cohorte de mots-betes qui sortent de nous (par le trou de bouche) et vont à se ficher, coller, dessiner etc sur paroi : le dessin des betes au magdalénien, Lascaux , etc ; les parois de la préhistoire, etc ; nous aimons cette chose pour nous, cet art des cavernes, nous regardons ces dessins avec beaucoup de plaisir et d’attention ; nous sommes proches dans nos gouts, bnous aimons beaucoup de choses en commùun, à commencer par ces parois ornées du magdalénien, etc ; ces peintures de salles, ces peintures animalières, ces bouquetins, ces chevaux en nombrre, etc ; nous avbons un penchant pour ces peintures, pour ces tracés, pour ce  cxhar bon de bois déposé, etc ; nous aimons avoir les mains sales et les frotter sur une feuille de papier, sur une roche, sur un visage, etc ; nous aimonstremper nos mains : dans la boue, dans l’eau de pluie, dans l’eau de larivière ou dxe la mer etc ; nous salir les mains (remplies)-) et kles apposer sur une paroi de grotte, ou bien sur une roche en extérieur, ou bien sur une feuiuille de pâpier, ou bien sur un corps de femme ou d’homme, etc ; nousavons deux mains à apposer et ces mains nous protègent du méchant qui rode, qui cherche à nous enlever, à nous kidnapper etc ; nous voulons regarder ensemble la paroi et nous tenir ainsi devant celle ci (icelle) main dans la main, nous deux encore, contre la paroi, tout contre, elle et moi,  ; nous nous collons contre la paroi, nous entrons en eklle, nous sommes ensemble ; nous entrons et nous sortons de la paroi, nous nous glissons (faufilons) au sein d’icelle, de celle ci, de pareille paroi de grootte  ; nous aimons les peiintures pochoirs, nous aimons les peinturexw au craché, nous ailmomns les peintures à pleine mainb, au baton etc ; noius aimons ces peintures à) main nues que faisaient les hommes (et les femmes) des cavernes , ou bien : que les femmes du temps des cavernres faisaient (ou les hommes), etc ; nous aimons les peintures d’ani:maux en ces grotte de la préhistoire ; nous avons ce gout en commun, il s’agit d’offrande ; il s’agit de reculade, etc ; nous le voyons, nous comprenons, nbous sommes sûrs, nous voulons ainsi,  nous cherchons des solutiobns, nbous voulons la vérité ; nous aimons cette chose et nous la voulons : la vérité ; la vérité est celle ci que nous trouvons au sein des grottes, da,ns les profondeurs ; la véerité est toujours profonde (?) il semblerait ; il semble que la vbérité soit toujours profonde ; il semblerait que la véritéc fût toujours profonde ; nouds pensons à) la vérité ccomme à une chose des profondeurs, à une chose enfouie et à dénicher, à déterrer, or il n’est pas dit que cela fut vrai ; nous pensons que la vérité est dans ce qui apparait et pas au delà ; nous pensons que la vérité n’est pas caché de notre entendement ; nous pensons que notre entendement est la vérité, nous penspons que l’entendement qui est le nôtre (à chacun ) est la vérité, ; la contient ; nous pensons que l’entendement premier (natif, ras la couenne) est le bonn ; il s’agit d’une chose frolée, une pelisse ; il s’agit d’unec peau ; nous pensons que la peau des choses (pour soi) est la chose en vraie ; il s’agit de se laisser bercer, de se laisser aller en roche, bébé baba devant la paroi : bouche bée (trouée) par la pique du temps, ces mots-betes ( betise) en nous qui franchissent le pas (douleur à jamais) et vont pour se ficher dans la paroi du temps (le cercle de nos alentours de vie sur terre)  ; nous avons des pensées qui sont zainsi logées en  ous mais où ? nous cherchons ; nous sommes des chercheurs de laboratoire, nous cherchons avec assiduité ; nous avons pour nous des choses à dessiner ici, sur des roches (en galerie, dans notre atelier, etc)  ; nous avons deux mains pour nous soulever (lévitation) et ces deux mains = le temps, le temps à venir, le temps qui se déplie, qui va son régime de fausse vie à donner ; etc ; les betes-mots sont sur la paroi (art rupestre)  ; nous pensons qu ils sont ces choses offertes par défaut ; nous le pensons trees fortement ; nous avons des mots (mots-betes) plein la bouche : pour une survenue, pour une percée, pour un franchissement, ;, pour une franchise, pour une aventure pariétale s$-qui se dessine, etc ; nous aimons ensemble nous p^lacer conttrev la paroi du temps (coït) et nous embrasser torsadés (amour) et nous serrer fort l’un contre l(autre (art) et pleurer toutes les larmes de notre corpsc, etc ; nous voulons tenir (droit) dans le temps, et ne pas flancher-subir trop, nous voulons des betes sur des parois (en bouche pour un passage-)colmatage) et sur paroi pour une repoussée ; nous sommes heureux d’etre ainsi tenus (lévitatation) par des mains qui nous portent ; ces mains sont celles du temps le bienheureux ; nous sommes heureux d’ettre te nus par des mains sous nous qui nous font aller comme sur une vague (la vague des mains) et nous maintiennent dans le temps , c’est à dire dans la paroi, c’est à dire en vie, c’est à dire en trompant la mort qui rode (guette, furete, etc)  ; nous avons la bouche ouverte ; d’elle tombent des betes, ce sont des betes-mots ; nous avons la bouche ouverte et nous essayons de comprendre comment les choses se passent en vérité ; nous pensons que les mots ne peuvent pas tenir lka vérité avec leurs significationbs, nous pensons que les mots ne peuvent pas tenir (sens) la vérité, contenir, nous pensons que lkes mots sont impuissants à donner, à) révéler ; nous pensons que les morts sont impuyissants quant à la vérité, cze qu’elle est au juste ; nous sommes persuadés que les mots sont caducs, s’il en est pour nous de savoir ce qu ils contiennent comme sens , comme signification qui diraient le vrai, etc ; les mots (le sens des mots) ne peuvent (ne peut)  ; il n’y a pas moyen ; nous ne pouvons avec des mots (le sens des mots) dire le vrai du vrai des choses du monde ; nous pensons que oui, il y a la science, il y a la science qui décortique etc ; oui , il y a la science, il y a des sciences qui décoretiquent, qui analysent etc ; mais le fin mot n!est pas possible, le fin mot est inapprochable, le fin mot ne peut etre ; une recherche du fin mot est exigée, une recherche du fin mot s’impose etc ; nous pensons qu une recherche du fin mot s’impose toujours, que les mots sont ainsi qu ils poussent à des recherches terminales, des recherches de cloture etc ; assertion = pseudo fin mot ; nous avons pour nous cette pensée ici qui nous guide et nous dit que le fin mot est un mot fini, est un mot mort ; nous pensons que le fin mot ne peut, il ne peut car la bouche est ouverte, infiniment ouverte et crache des mots-betes , les crache à kjamais (du temps de notre vivant)  ; nous peznsons que les mots ne peuventv pas (il semblerait) énoncer la  érité, car il 

$s tournent en rond  et jamais ne percent ; il s’agit des mots que nous contenons ; ils perce nt la joue mais ne per  cent pas au delà ; ils ne percent aucun au delà ; les mots que nous connaissons depuis petit ne percent aucun au delà ; ils ont un jour percé ce trou qui nous sert de bouc-he (les mots-animauxd) mzais pas plus ; ils en sont bien incapables ; les mots qui sortent de notre bouche ne peuvent dire la vérité, ils n’en sont hélas pas capables, ils ne peuvent dire aucune vérité, pas même celle ci que nous énonçons ; en revanche , ils peuvent perccer la joue de figure, cette hjoue de la figure etc, la transpercer de part en part, faire saigner accessoirement (bonjour la douleur) et aller (fissa) se ficher (fichtre) sur paroi du temps = le flux ; nous pensons que nous avons en bouche des mots-animaux qui sezrvent à pour le coup percer la peau (le corps) et point barre sur paroi du temps ; nous aimons ces mots-betes en  ous, nous les faisons sortir par ce trou que nous avbons ; il s’agit de la douleur d’etre ici en, vie , qui nous tarraude, il s’agit de la passion, de cette vie à vivre dans la joie et la peine ; nous avons des mots plein la bouche et ces mots sont des outils de traversée du monde, etc ; nous avonns des mots en  ous , et ces mots sont outils qui nous aident à traverser le monde de part en part = cette peau de nous, et d’aller par la suite sur parois de groote, pour y dessiner des betes fortes, brutes, massives, concrètes, pleines, altières, entières, etc ; nous avons un faible pour ces mots-betes (deszsinés) qui sont des trompe lamort de première etc ; nous les exposons dans des musées, des espaces d’art, des espaces dédiés à l’art, à l’art des cavernes, à l’art contemporain des cavernes de la préhistoitere (le magdalénien , etc)  ; nous aimons ces dessins des hommes des cavernes et nous cherchons la vérité de ces deessins ; nous voulons dessiner à notre tour, nous voulons devenir des artistes de paroi, nous voul ;ons devenir des artistes sur parois de grotte ; nous avons en  nous cette chose, d’aller dessiner sur des roches, sur des feuilles de p^appier, sur des draps , sur de la toile tendue, sur du carton, sur de la matière plastique, sur de la peau humaine etc ; nous sommes des dessinateurs , nous deessinons avec nos mains : en laboratoire ; nous cherchons avec nos mains ; nous cherchons à découvrir kle pot aux roses avec nos mains, nous aimons faire des recherches ; nous aimons énormément faire des recherches, trouver des choses de vérité, les trouver dans la paroi du temps  ; nous cherchons dans tous kles vcoins, nous cherchons assidument, nous cherchons follement, nous sommes fourbus de chercher, nous n’en pouvons plus de chercher des  vérités sur des parois, au sein dxe la roche, etc ; nous cherchons dans tous les coins de la grotte, nous voulons cela,nous voulons ceett chose ; notre but est celui ci , qui consiste à chercher une vérité en surfant sur la vague du temps, c’est à dire des mains de paroi, des mains négatives et positives de paroi ; nous allons ainsi, qui surfons ; nous allons ainsi qui glissons sur des mains (vague sous nous) qui nous soutiennent etc ,-nous maointiennent en vie, le temps nécessaire (un temps)  ; nous sommes ainsi portés par des mains sous nous (en  ous ?) et nous avançons ainsi dans la vie etc  ; nous aimons cettechoses: d’être ainsi porté ; nous aimons pour nous cette chose , d’être portés ainsi par des mains , qui sont des étais, du temps passé ; nous aimons cette chose : d’être ainsi porté par le temps, par des mains tenant à nous, nous maintenant allongé et filant, nous mzaintenant en vie, allongé pour un jet de soi dans le temps qui vient : jet, je ; il s’agit d’un je de vie maintenue ; nous tenons ainsi à la vie, par l’entremise de lmains sousq nous, qui nous font aller (cette chose)  ; nous allons ; nous y allons, bnous allon s, bnous sommes deux à y aller présentement, nous sopmmes tous lkes deux à y aller eznsemble, dans (ici) ce présent du temps en offrande (nous = paroi) et ainsi soit il  ; nous allons ; nous allons dans le temps pariétal ; nous nous insérons ; nous faisons comme nous pouvons ; nous essayons de faire au mieux et cela n’est pas simple ni facile ; nous essayons de faire du :mieux possible, nous essayons de faire du mieux possible cette chose , mais cela (ça) n’est guère (pas) facile en vzérité  ; la vérité est celle là que nous pouvons lire à même une paroi ; il n’ya pas cinquante solutions, et celle qui nous plaît le plus est celle ci, celle qui conswiste à nous loger ensemble danns le flux du temps, c’est à dire dans la paroi, au milieu des betes massives, qui chargeznt, qui pè sent, etc ; la véerité est une chose liée à une ouverture ; la bouche est cette ouverture ; il apparait ainsi que la bouche dit la vérité pariétale, elle dit ce qui est  d’une vérité de paroi, d’une vérité animalière (existentielle) de paroi ; nous pensons que cette chose, d’une vérité pa riétale, est vraie dans tous les cas (= une vérité)  ; nous sommes sûrs de nous ; la peinture du bison est une chose qui pousse la mort à distance, c’estc à dire dame ou sieur (ou les deux)- La mort ; nous sommes pzrsuadés que mla mort est à repoussser fissaa ; nous essayons de comprendre ce qui se passe ; il y a des choses à comprendre en oparoi de groote, nces choses nous plaisent beaucoup et nous aspîrons à kles connaittre ; il n’y a pas de vérités qui tienneznt dans le langage (des vagues, des mains sous nous, etc)  ; aucune vérité ne peut réellezment tenir le coup , au sein du langage, au sein de ce langage déposé en nous cvomme une offrande à notre naissance ; nous sommes seuls dans la paroi au milieu d’un groupe de chevaux, et de quelques bisons ; nous sommes seuls dans une paroi de grotte du sud (fra nce, espagne, etc) et nous nous enlaçons ici, sur roche, une torsade que notre corps, etc ; njous pensons que nous avons raisonb ; nous sommes sûrs de ce que nous disons ; nous avons des certitudes en pahgaille, il s’agit des mots-beters en  nous, que nous délivrons de leur cachette et que nous mettons à la vue du monde de surface ; nous pensons qu il est heureux d’agir de la sorte, il s’agit d’une opération de sauvetage ; nous essayons de comprendre ce qui se passe et pour cela nous employons des mots et ces mots semblent dire des chosesz vraies, or non, ces mots nous trompent énormémebnt ; nous sommes sous le joug, portés par des mains = en sandwixhe dans le temps: la vie, la mort ; nous avons une impression tenace (en nous) qui nous pousse à dire (penser) que nous sommes morts ; que nous sommesmorts pour la vie, que nous sommes comme morts pôur la vie, etc ; nous pensons que la vie en  ous meurt )à petits feu  et que donc nous sommes perpétuellement morts, et pareilleme,nt perpétuellement renaiisqzant grace au temps qui nous repeche constamment etc ; nous avons des choses en  nous qui sont des betes, ces choses en nous sont des betes, sont des animaux, «cé dé z-animo» en nous qyui  gouvernent et foncent fissa hors de nous via ce trou de bouche et le filet (filin, corne d’abondance ) de la parole, de cette parole en nous qui est du comble-trou ; nous avons en  ous des mots pour combler le trou de notre figure ; nous pensons q uil s’agit pour nous d’un trou à boucher, perpétuellemùent et efficacement ; nous pensons qu il ewst h-juste et bon d’agir ainsi ; nous essayons de comprendre ce qui se passe ; nous essayons de nous y retrouvezr à cvhaquev instant ; il n’est pas simple de toutr comprendre et nous sommes en manque de bons étais pour nous y retrouver ici, dans cette grotte froide, humide et peu éclairée ; nous avon-s froid , mais nous sommes à l’abri du vent et dee la pluie ; nous ne nous lachons pas ; nous sommes ensemble pour la vie, nous sommes ensemble pour un bon bout de temps ; nous sommes main dsans la main pour de fait une durée que nous v oulons (aujuordhui) la plus longue possible ; la durée est importante ici car ezlle conditionne larecherche, en cela que nous avons pour nous un laboratoire que nous nous partageons mutuellement ; nous avons un laboratoire que nous nous pzartageons, que nous occupons ensemble, chacun son petit coin ; nous nous aimons et nous partageons ce laboratoire-temple pour des recherches concernant les mots du langage et leurs rapports avec la vérité, 1, et en 2, ce qu il advient de cette v érité une fois celle ci inszérée dans la paroi du temps ; nous sommes remplis d’esqpérance ; nous chantons notre espérance ; nous chantons comme le font les enfants de choeur, les petits enfants à la croix potencée ; nbous sommes ensemble pour la vie, ; nous sommes pour la vie enwembkle ; nous pzensons que nous sommes ensemble pourt toute la vie, nbous avons cette penseé en tete, comme quoi nous serions pêut etre ensemble pour une vie, pour cette vie, dans cette vie, à kl’in,tériuer de celle ci ; nous essayons de comprendre cette chose en  ous, ces motsqui sortent de notre bouche et disent des banalités, qui sont des choses à ficher sur roche, comme des aurochs, ou des bisons ; nous pleurons les larmes de notre misère d’etrtes troués par une corne (une sagaie ? ) qui nous a tracversé de part ezn pzart, qui nous a percé en joue ; qui nous a mis à mal ; nous avons une bouche pour parler (sortir de nous des mots-betes) et cette bouche est à pârfaire (= colmater) avec des mots (-parole) rupestres ; nous sommes ensemble pour kl’éternité, nous pleurons nos lèvres blessés, nous pleurons notre peine-bbetes de somme ; nous avons ce trou en nous qui nbous défigure et nous l’acceptons de cette sorte, comme nous penson,s que c’est un pis-aller que cette chose ici, ce trou en  ous (sagaie) qui (pour le coup) nous fait pisser du sang (incontinent) sur la terre, sur ce sol qui est cet espace , devant nous, de sustentation terrestre ; nous avons cette chose en  nous, ceztte col:onne ; nouys poussons de l’intériuer ; la joue se pezrce ; ça pissse le sang et ça fait mal mais nous pouvons ainsi (en contrpartie) lachezr les betes, les laisser s’enfyiur au-devant, sur paroi de roche ; nous pensons que la chose est ainsi que nous sommes meurtris soit meurtris à vie mais à vie libérés de c e poids qui pesait en   nous (cette bete de somme en  ous, cette pesanteur)  ; nous nous sentonds libérés et nous pouvons aller (à présent) nous promener dans le temps (main dans la mainb)  ; il, est bon d’aller se promener main dansq la main ; nous avons cette impression en nous, comme quoi il est bon d’aller se promener main dans la main ; nous pensons que c ette chose (de promenade main dans la main) s’impose, est rée,lle, est à rechercher, est  pour nous une chose de poids : qui compte son pesant d’or ; nous aimons cxette chose ouverte en  ous,, , qui tombe des mots depuis ce trou, qui tombe des mots-betes (animaux-mots) quyi vont bientot se mettre sur paroi, bois , sur paroi au charbon de bois ; nous cherchons la vérité de la roche du temps ; nous voulons essayer de comprendre ce qui se passe en fait de figures d’animaux ; nous sommes certitude ; nous sommes la certitude (sanglier,  chevreuil, bouquetin, jument)  ; nous aimons ces betes des champs et dees cavernesq ; ces betes grosssesz ; nous aimons des betes grosseesc (de champs, des bois, des cavernes) et nous les regardons avec eznvie car nbous aimerions être pareill à elles ; nous les regzardons aller et vebnir sur lma paroi du tempsz ; nous voulons com^prendre la tra me, nous cherchons avec des mots , mmais il semblerait qsue les mots ne soient pas nos meilleurs alliés, ou alors les mots -maux , c’est à dire les mots-animaux, ceux qui rendent compte du mal au passage, exacxtement, ce-ux qyui rendent compte du mal au passage , au moment de latrouée en joue ; nous pensons que peut-être les mots -betezs peuvent (eux) nous aider à comp^rendre ce qui est, ce que la vie est, car ils s’inscrivent da ns le temps d’une durée de vie pariétale, etc ; nous sommes persuadés que les mots, poussés contre une paroi, sont à même de nous renseigner sur la pauvreté (quantifiable) de nos connaissances ; nous avons cette choses en nous quyi est que nous sommes comme pezrsuadés que nous sommes sur une piste de compréhensiion salutaire, salutaire en cette chose que nous sommes sur la voie qui nous pousse au dezvant d’une paroi qui est paroi du temps en tant que pis-aller, faux-semblant, forme mensongère(falballas, attraitsq, accessoire, charmes, repoussoir de mort etc)  ; nouds pensons qye ces choses en nous qui sortent, à chacun de nos propres battements du coeur, sont des betes-mots (ras la couenne) qui sont ceux là qui aident l’homme, l’homme magdalénien que nous sommes, ou dont nous sommes la somme ;  nous sommes ici quasi persuadés de  cette cxhose : la mort est repoussé par les mots (betes) qui sortent de fait de notre trou de bouche ; il y a là une raison de croire ; nous pensons que les mots-betes (qui sortent de nous) repoussent la mort , ou (du moins) ont en eux cette  volonté etc ; il s’agit d’une chose dont nous sommes sûrs, nous pouvons l’»écrire noir sur blanc sur une feuille (formes diverses)  ; nbous sommes quasiment persuadés que les mots-betes sont des mots qui repousszent la mort, la rejeztent ;, la pousse plus loin , la repousssent au lzarge, ou du moins s’y emploient au quotidien (du jour et de la nuit)  ; nous sommes quasiment (pour ainsi dire) persuadés de c ela, que la mort est sans c  esse repoussée par la chose (pariétale) du temps, qui est ce tro:mpe-la-mort de première, et qui est composé de ces mots-betres que pour le coup nous avons en  nous (sein du sein) et que par là même nous offrons en présents sur paroi de roche, en tant que présent (offrandes) sur oparoi, ; nous sommes ainsi que nous pensoons ici cette chose, cette chose de ce repoussoir etc ; il s’agit d’un e pensée de couple, étayée, profondémeznt ancrée en nous depuis le début (naissance en france, ou naissance en suisse, etc)  ; nous pensons que nous avons raison ; nous campons sur des positions (pieds)  ; nous avons raison, nous sommes construiits sur des fondations qui sont ce sentiment ; nous sopmmes sûrs de certtzaines chodses ; nous sommesa ssurés car nous sommes tenus (debout) et parlons notre langue (ou d’a-utres langues ) sur terre-mère ; nous avons des étayages en nous (§langagier) quyi nous poussent à) parler le langage de laraison («j’ai raison», etc)  ; nous sommes ainsi étayés par des mots (mots-betres) en nous qui nous permetent fde tenir, ainsi logés dans la pa roi (du temps) salvatrice , ou momentanément salvatrice ; nous sommes parés ; npous pouvons afficher nos prétentions ;, , nous pouvons afficher ce que nous voulons en tant que prétentionsà placarder sur un muret, sur une paroi de grotte, ou sur un mur de galerie ; nbous cherchons à com^prtendre ici ce que c’est que cet art dont nous nous rebattons lkes oreilles, eh bien voic i ! : nous sommes xsur le point de cxracher des betes , des mots-betes, et voilà ce qu il en est ; nous sortons de nous (antre) des betes (mots-betes) qui sont comme des insultee s etc, ou bien des propos de louange et d’a:mour fou, ou d’amour fou, nous crions, nous crions notre douleur et notre joie, de pouvoir en fin parler à haute voix et non plus sous cape etc ; nous aimons nous trouver ainsi libérées ; l’art est cette chose qiuu sort de nous, par cette bouche nouvellement créée qui crache de la bete-mot à foison ; l’art est cvette foisoon (qui perce et qui colmate en même temps ?)  ; nous ne savons pas tout, , nous cherchons à acquérir xdes connaissances ici de vie ; la mort est au bout du chemin dit-o,nn, or : la mort est repousséecpar le temps posé en tant qu’offrande  sure une table dite «table aux offrandes» ; nous voyons un peu tout ce qui se trame ; nous pensons que cela est une chose juste, une chose à révéler par des mots lachés en bataille (comme une coiffe)  ; nous avons du plaisir à dire des choses, ici , et à les proposer ainsi, sous le ciel de cette grotte, en lévitatation ; nous lévitons en même tempsq que nous pleurons (crions ? ) ; nous sommes dansla hauteur et regardons la paroi ; njous sommes qyi regardons ainsi cette paroi de roche , et nous dessinosns des aurochs en pagaille, des buffles à couille, des bisons en ribambelle, des antilopes à foison etc ; à foison est le terme juste, ici et là, car nous sommes submergés de mots-betes fiichés, de mots-bvetes enlacés qui forment une fiche, un pic, une pointe, ou une corne aiguisée ; njous avons des mots pour commblerr l’espâce (le trou) creusé, créé ; nous avons des mots pour cvombler le trou (hole) de la parole  ;nous avons des mots  , des mots-betes, des mots-animaux, pour combler ce trou  de roche, ce trou dans la joue, cette chose en  ous qui est cette fente, cette fissure, cet interstice etc, que nous devons boucher coute que coute, et nous le faisons pour nous apaiser (?) ou bien car les mots en nous tonitrueznt à un point tel wqu il nbous eswt impossible de les retenir en  nottre sein (coque, coffre) et donc,    nous voici lachant les fauvesz (perpétuellement) du temps que nous sommes en vie ; les mots pour combler le trou, les mots (la parole) en tant que chose pour un combvlement, pour un remplissage, ou un colmatage etc ; nous voulonsfaire la chose de cette façon et c’est pour cela que nous parlons ainsi, pour colmater , remplir, ou bien la chose se pzasse contre nottre gré (le trou est fait, le pli est pris, la chose coule de source , depuis nous, et sans plus d’intervenntions que !çça de notrte part)  ; nous cherchons des vérités de laboratoire ; nous cherchons des vérités, nous voulons trouvezr des vérités ensemble et nous nous regroupons pour ce faire, nous nous sommes trouvés ; nous pensons que cela eswt une bonne chose à faire ensemble, cette recherche ; nous pensons que kle moment est enfin venu pour comprendre ce qui se passe ; nous pensons que l’heure est venue pour ça ; nous voulons savoir ce que c’est que cette affaire , et nous voyons bien que les mots ne disent opas grand chose sur le fond de lma question qui nous occupe et cela (ça) est tout de même passablmement regrettable ô combien ; nous essayons (de fait) de comp^renfdre avec des mots, mais les mots sont les étais du temps pâriéytakl (mots-betes) qui nous occupeznt, sortent de nous comme une pique à fiche, mais pas dfavantage : art pariétal de mise à distance (de la mort qui rode) et rien de plus ; ce n’’st certe pas avec des mots que nous en saurons davantahge le moment venu ; il se peutque les mots nous amuse nt etc-, il se peut que nous soyons joueurzs et nous amusions etc, il se peut ces choses, mais pour notre part (anna et moi) nous pensons que nous devons cracher les mots de préférence sur des pages et regardefr  ce crachouillis de pres (un jour ou l’autre ) et l’inspecter pour une sorte de lecture des données qui puiisssent «le faire» sur la duréec , à savoir : unre inscription dans la paroi, comme bete qui en impose de par sa corpula,nce ou son élancé animal (grace)  ; nous pensons que nous devons hurler avec lkes loups, point  barre ; nous avons un grand nombre de certitude en ous (ces mots-betes) qui sont à ficher sur roc ; nous aimons nous entourer ainsi de paroi de grotte ; nous poussons la chansonnette sur paroi, cela eswt divin et nous sied ; nous h-jhouons du flutiot pour la ga lerie, pour tromper son monde ; le temps est à nous comme un trompe-la-mort de première : ouffa nous adorons ! ; nous expérimentons nos dires de laboratoire à même la paroi de roche ; il s’en faut de peu que nous soyons nous-memes betezs-mots fichés en roche ; nous allons au plus profond dxe  la superficialité , c’est à dire que nous allons veers ce point de temps à distance = point, point, point, point, poinrt, poinrt , point, pointr, comme par exemple le septième point sus-nommé, etc ; lma vérité des profondeurs est contenue dans ce «etc» temporel ; nous poussonsc la chansonnette sur la balancelle du temps (ou esvcarpolette des donn»ées rupestres) ; nous cherchons (toujours) la plus pure des vérités, mais où donc va t elle se loger ? nous poussons cette chose vers la paroi, nous pouussons notre recherchev de laboratoire et cela n’estc pas une sinécure, il y faut une grande conviction, une abnégation salutaire, de tous les instants, et une volonté farouche ; nous cherchons avec force ; nous voulons connaitre le fin mot de toute cette affaire, et la recherche assidue et contenue et réitérée via les mots de langue est vaine ; nous pensons que l’accumulation de dires est inapte à fournir les raisons de fond à notre enten,dement humain ; en gros (pour cette chose) les mots ne sqservent à rien sinon  pa rader, se la jouer, etc ; nous pensons que l’emploi «sensé «des mots de langue est une betise sans non

m ; nous aimons nous promener dans la forêt ; nous pensons que l’emploi»sensé» des mots de base (de langue, etc) est une chose qui ne marche pas, quyi ne permet pas de savoir, de savoir le fin mot de tout, etc ; il s’agit d’une betise incommensurable de reaison ; il n’est pas possible de poser les mots justesxsur la question (cette, celle là) ; nous avons cette certitude, et du coup o-il est parfois préférable de se taire, de ne pas parler , ou si, mieux : parler pour ne rien dire, si tant est que cela soit possible ; doncx, ces deux solutions, et peut-etree une petite troisième ; à savcoir , 1, ce dont on ne peut parler il faut le taire  , 2 , parler pour ne rien dire (empater kles espaces libres) et 3 , dire par défaut ce qui vien t en bouche immanquablement  , etc ; nous avons des solutions et ces solutions sont celles que nous voyons depuis lors, depuis l’endroit que nous occupons ; nous poussons la chansonnette printtanière,  depuyis ce temple-atelier ddans lequel nous habitons ; les mots sensés ne puevent pas etre rejetés d’un coup de cuillère à pot ; il nous apparait que nous avons à «faire avec» et c’est marre , ou bie-n c’est ainsi que nous allonsven vie, par conséquent , se taire ? comment ? parler pour ne rie,n dire ? par moments ; la solution dès lors pour nous eswt la troisième, prosaique, terre à terre et enchassé en notrte gouverne, nous p^leurons la chute du verbe anilmal, c’est à dire la percée «dentaire» ou quasi deb-ntaire ; nous pleurons les larmes du corps que nous avons pour nous à trimballer pâretout comme un petit cghien à mémère ; nous poussons en nbous et de nous se ffaufile cette chose, cette fibre ; nous avons de quoi remplir ensemble kles espaces pariétaaux, nous remplissons les espaces pariétaux, nous crions, ohé, du bonnet ! ; nous disons dees choses, qui sont celles que nous pouvons dire ici au présent, dans une langue donnnée (donnée à nous) et aussi que nous avons en  bouche ouverte ; nous avonbs un trou de bouche pour une sorte de parole-bete à sortir de nous , à cracherv là, devant, cercle de vie, pour une action de repoussoir (il s’agit de repoussserr la mort, il s(agit de cette chose inscrite en ous)  ; nous aimons cette chose, nous voulons cette chose : repousser ; or il s’avère que la chose se fait toute seule, que nous n’y sommes pour pas grand-chose sinon rien pour aindsi dire ; nous pensons que nous devons laisser agir, laissser faire les mots-betes qui chargent ici comme à perpétuité ; comment s’y prendre autreement ?  ; notree volon,té est ainsi faite, sur la terre comme au ciel, de nous en tenir ici à cette parabole du christ, à cette chose en nous inculquée (inoculeé comme un virus) qui veut que nous soyons contaminé comme à perpétuité et ne pouvons (hélas ?) nous retourner afin de couper court et voir de plus près ce qu il en est de tout, de tout ce qyui est ; nous sommes obligés, c’est à dire les obligés ; nous sommes dan s une sorte de ronde, et nous tournons avec tous ceux qui,comme nous sont pris dans la ronde : tourne que tu tourneras par défaut ; nous pensons de cette façon, nous avons en  nous cette pensée ; nous cherchons une solution d’avenir ; nous tournons comme des chiens  ; nous tournons comme des chiens qui tournent sur eux avant de se lover, de se poser sur un parterre , etc ; nous avons des mots qui sont des betes en  ous, où ? eh bien ici ! là ! à cet endroit précis que je montre ! ; nous poussons la chansonnette sur l’escarpolette et cela suffira pour aujourd hui ; il se peut que cela suufise, et que la vérité si recherchée dans les «profondeurs», se situât préféfrebnciellement dans cette chansonnette sur escarpolette  ; nous cherchons des choses vraies (avéréesw) et peutetre aurons-nous l’opportunitéc un de ces jours de trouver pareille chose devant nous : à nos pîeds ; nous sommes remplis d’espoir et voulons y croire ; les mots sont le soubassement de la raison ; la peine est grande en  ous qui nous voit succomber au charme des mots-betes déposés ; n ous perdons des mots à chaque ouverture de bouche, etc ; il s’agit d’une volonté divinev , si tant est ; nous pouvons nous appuyer sure des questions posées, cela ne prête en rien à conséqUeznce» ; si les mots pêuve,nt blessser, les mots ne peuvent pas trouver la vérité, ils en sont incapables, par manque de chance ; il se peut que nous soyons un peu nerveux à) cette idée, le soyons devenu ; nous perdons patience, nous sommes insérés et nous attendons ; quand saurons-nous le mot des mots, le fiin mot de toute l’histoire ? nous accumulons des données (de type scientifiques) et cepen fdant que voyons-nous se profiler à l’horizon ? pas grand chose ; nous attendons, nous n’a            cvons pas fini d’attendre ; il faut croire que nous n’avons pas fini d’attendre ; nous sommes  blouszés ; lesc mots nous cueillent ; ils sont là qui meublent (blessent, oui)  ; meublent ; nous pensons que cela sera ainsi que nous verrons un jour ^peut etre venir vers nous (en courant) une vérité incarnée, une forme de vérité plaisante, ou siinon plaisante : incarnée de manière à ce que nous tous puissions la reconnnazitre en tant que telle ; nous l’espérons de tout coeur ; nous voulons croire en cette chose, en cet aveznir pour tous ; nous avons la foi : nous croyons : nous pensons que cela est : nous pensons que cela, ce monde, est ; nous ne perdons pas de vue le monde ; nous voulons nous convzaincre non du pire (à venir) mais du meilleur : la santév avant toutes choses ; nous sommes remplis d’eswpoir ; nous en avons à la toque, nous sommes pleins d’espoir en  ous, nous le disons, nous l’affichons ; nous affichons sur nous ces mots que nous avons f(par défaut) en n  ous ; nous les affichons sur nous (figure) ; où se cacher ? où donc pouvons nous nous cacher ? comment se cacher ? il est évideznt que nous ne pouvons faire cette chose ; il semble évident que nous nevpouvonsfaire cette chose en vrai et que les mots en nous caracolent, comme chevaux sur paroi de grottes, et allez donc les arreter (les faire taire) ou les conte-nir dans un enclos, hum, il semble bien que la cxhose ne soit pas commode , et donc voilà ce qui est : lacher de betes-mots dans un temps-espace pariétal  ; nous sommes, nous le voyons, pour ce lacher-là, de betesmots dans paroi ; nous sommes pour, nous sommes engagés ; il va sans dire que nous apppliquons lkes données et nous soumettons à la loi qsui veut que nous allions fissa avec le troupeau  ; nous sommesxv à l’intérieyur de laparooii, nous sommes inclus, nous sommes incarcérés ; nous devons en tenir compte ; nous sommes homme et femme des cavernes, magdaléniens, nous dessinons à main levée à l’aide de charbon de bois par excxemple ; nous dessinons des buffles, par exemple ; nous dessinons des bisons, nous dessinons des phacochères, nous dessinonsq des chevaux, des juments, des poulains ; nous dessinons des mammouths ; nous dessinons des ours, nbous dessin,ons des antilopes, des bouquetins (nombreux) , des isards ; nous dessino,ns des rhinocéros ; nous dessinons des troupeaus entiezrs, quelquefois des scènes de chasse, mais le plus souvent nous dessinons des betes en pied, des betes de belle taille, etc,  ; en gros : nous aimons dessiner des betes qui soont autant de mots (de mots-betes) à cracher par notre trou de bouche -soufflet ; nous dessinons avec la bouche et avec les mains ; nous dessinons avec les mains et avec la bouche (en crachant, soufflant, projetant les pigments) sur paroi de roche, sur paroi de grootte, devant nous, en lévitation, secondés par des esprits forts, qui nous soulèvent instamment et nous ordonnent constamment, nous poussent à dire sur paroi tout le mal que nous avons en nous pour faire ainsi que nousrezstions en vie sur terre-mère ; nous soufflons, nous crachons les betes ; les betes sont en nous qui lévitons au beau milieu de la grotte, nous sommes deux (homme et femme) pour une sorte d’entrée en matière dans une oparoi, nous sommes accolés et nous entrons acco ;lés dans la roche , nous entrons acco ;és, soudés, unis, mariés dans cettte roche , ou roc de grotte ; nous sommes parmi les betes, nous caracolons avec elles avec des mots en bouche, avec des mots qui nous viennent en bouche, e,n mains, en cap, ainsi de suite dans une paroi ; nous sommes pris dans la paroi comme dans la glace, nous sommes au coeur, nous parlons une langue-bete et les mots que nous disons sortent de notre bouche comme une corne d’abondance , comme d’une corne, sont mots qui piquent et gravent, sont ceux-là que nous mettons sur roc pour une gravure de bete en pied ; nous aimons les betes, les mots-betes, les mots en bouche pour une percée et un colmatage de pêrc ée, la chose est ainsi qui se présente ainsii ;

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nous sommes de petits hommes qui grattons la terre ; nous sommes de petits hommes qui grattons dans le détail les choses du monde (>> l;a sciencve) et l’homme des cavernes a en lui l’unité de perception rupestre ; il est beau dans son attirail ; il est inclus ; il ne part pas en cacahuète dans des dires détachés des chose, non : il campe sur des positions rupestres qui , de luui, font un homme (un etre) clairvoyant quand nous nous sommes aveuglés par un monde borgne autour de nous ; nous sommes avbeuglés par ce monde borgne qui est ce monde tel que nous l’appréhendons par les voies de la science (en toutes choses) et l(‘homme en  n ous des cavernes dit non : dit ce quil peut avec sa phrase modifiée (transformée ) par les siècles  ; nbous pensons debout des choses, nous avons dans notre bouche des mots qui ont (peu à peu ?) pris la place des betes-mots ; nous avons en n ous des mots qui ont été changé au fil du temps (des siècles)  ; les mots que nous avons en bouche , ne sont plus les mêmes qu’autreefois, c’est-à-dire du temps des cavernes, car ce sont des mots de cap, des mots qui raisonnent et assignent etc, sont des mots de l’autorité agissante (lourdes , lente)  ; nous pensons comme des malotrus d’etres autoritaires ; nous sommes qui assénons quand il serait préférable (sûrement) de s’immiscer dans une paroi , de s’y blottir (à l’abri des charges animales), et de s’y allonger tout du long pour un temps en suspens ; nous ne sommes pas à même de comprendre ce qui est de cette roche en dur du temps qui s’écoule ; nous pensons de cap et ne comprenons goutte ; nous avons des manques, nous sommes séparés en nous mêmes, et ne lévitons plus par trop de chearges ; nous ne pouvons plus monter en puissance et tenir dans les airs face à des parois  ; nous ne pouvons plus monter en puissance = monter en cette chose en nous qui vibre , vrombit ; nous ne savons plus comment nous y prendre ; nous ne savons plus lé viter comme abeille, comme oiseau, comme mouche, etc ; nous sommes tassés (séparés)  ; nous tenons à terre-mère et ne savons plus nous élever dans les nuées et regarder le ciel depuis nottre (propre) hauteur d’etre léviitant ; nous ne savons que formuler des v  érités autoritaires , nous ne savons pas léviter, nous ne savons plus crier en lévitant, ou pousser le cri de la lévitation ; nous sommes de petits hommes raisonneurs qui assénons nos vérités incluses , toutes ces choses de vérités qui sont des termes auroritaires enchainés les uns aux autres ; nous parlons à tort et à travers avec autorité ; nous sommes flanqués de termes de langue, quand l’homme des cavernes est flanqué d’une langue fixe, qui est ce pic de roche, qui lui permet (en lévitation) de dessiner, à même la paroi haute, sans plus de fatigue ou de gêne, guidé (sa main) par l’animal qu il porte en lui (qui le porte ? )  ; nous voyons cet homme des cavernes dessiner, en lévitation, les yeux ouverts ou fermés, la main assurée, etc, sur des parois lisses ou rugueuses, dans des grottes de france, d’espagne ou d’ailleurs ; nous sommes des hommes qui parlons un langage d’autorité, nous sommes des etres qui pzarlons ce lmangage d’autorité qui nous a été donné aà notre naissance et qui de ce fait fait que nous ne pouvons plus léviter en grotte (ou ailleurs)  ; nous sommes en nous-mêmes séparés (dévcoupés) et nous ne pouvons plus progresser de cette façon que faisaient les hommes et les femmes des cavernes, nous ne pouvons plus nous immiscer dans le verbe, dans le temps d’une paroi de verbe etc ; nous pênsons les chose à froid, nous n,e pensons plus les choses à chzaud ; nous pensons les choses avec les mots d’une raison qui, en nous, a pris la place et ne peut etre délogée ; nous sommees oiccupés par une raison en nous qui a pris la place et ne peut plus etre retiré ; il s’agit d’une langue d’autorité , une langue qui partout affiche son autovrité malhabile, malvenue, malsaine, mauvaise et ina ppropriée ; nous sommes comme parlant avec des mots malappropriés ; nous ne parlons opas bien ; nous parlons mal ; nous parlons avec des mots qui s’affichent, qui se montreent, qui se posent comme mots d’autorité (tous et tout le temps) quan la vérité n’est pas contenue dans ce type de verbe-là tel que nous le véhiculons à notre corps défendant, ou comme de force ; nous ne pouvons comprendre l’homme des cavernes (sa lévitation)  ; nous ne pouvons comprendre la femme des cavernes (sa lévitation) , car nous sommes encloués ; nous ne pouvons comprendre l’homme léger des cavernes, et son flux de bouche, son flux traçant ; il se peut que l’homme des cxsavzernes fut cet homme que nous inventons dans les rêv es, cet homme à trompe, cet homme à corne d’abondance (sortant du visage etc)  ; nous sommes tres férus de cette chose, ici, qui est c e savoir sur un homme ancien, qui peuplait la terre , qui chassant , qui cueillant, et qui allait dans les profondeurs des cavernes dessibner, graver des betes, des mots-betes sur des pârois, des buffles, des bisons, des aurochs, des mammouths, des zébus, des bouquetins, des antilopes, des ours etc ; nous connaiissons cela part coeur ; le coeur est l’organe premier de l’homme des cavernes ; il ne s’agit  p âs du cerveau, il ne s’agit pas du foie, il ne s’agit pas de vésicules ; il s’agi-t du coeur, du coeur et de ses annexes : poumons, bronche, carotide, etc ; nous parlons de cet homme des cavernes comme nous pzarlerions d’une bete près de nous (un scarabé, un lésard, un chat, un renard, un putois, un chevreuil, une hirondelle, une araignée, une poule, un sanglier, une limace, une couleuivre, un singe)  ; nous penso,ns que nous sommes savants, et ce que nous disons est toujours parole d’évangile ; ,nous pensons ceztte chose, nous parlons avec nos mots d’autorité comme paroles d’évangile ; nous en rajoutons ; nous parlons avec cette sorte d’autorité incluse ; nous sommes débordés par cette sorte d’autorité incluse en cette langue en nous enracinée ; comment faire ? il faut léviter ; il est capital à présent d’entrer en lévitation, d’enttrer en osmose avec une paroi,  avec cette paroi du temps ; nous devons (les mots-animaux) entrer  dans le temps (paroi) et léviter en lui ; nous devons l»éviter (comme autrefois l’homme des cavernes) dans le telmps ; nous avons pour nous à léviter dans le temps et rien de moins ; nous le devons, et pour ce faire nous devons nous éloigner autant que possiblle des mots de cap, et nous laisser déborder par le temps d’une diction du faire ; nouds devons nous laisser déborder par un faire dictionnel qui nous pousse (et dans nos retranchements, et à voir venir des choses (des betes) pariétales en diable)  ; nous pouvons, c’eest à dire que nous le pouvons ; nous devons aller le plus loin possible dans cette vision d’une paroi de grotte viscérale, etc ; nous avons en nous des organes qui (chacun) sont (est) des betes (un e bete) à part soi, et cette bete cherche à échapper à nottre gouverne etc, sortir de nous, par la bouche, part le trou de la bouche en nous ; nous devons le comprendre ; nous devons comprendre ce qui est, cette chose en  ous qui est cet animal en nous qui vrombvit, volete et nous fait léviter comme lui en quelques sorte ; nous sommes ainsi lévitant sous la paroi et dessinant de notre pic dde bouche aiguisé pointu pour la gravure  (sur roche) , etc ; nous sommes des hommes des cavernes, nbous ne pa rlons pas ce langage de cap, mais ce langage de passion ; nous aimons léviter et dessiner sur roche ; nous aimons dessiner sur roche et léviter ; nous aimons ces gestes que nous faisons par devers nous, nous dessinons comme soulevés et comme guidés (conduction) par une force (vigueur, puissance) animale en nous ; nous sommes des  etres qui chjargeons sur une paroi, et qui allons à dessiner (ou graver) sur elle , de vigueur, de chance, en puissance, légers, soulevés, etc, par une bete en nous qui tient le tout de nous ; nous sommes tenus par cette bete en  ous, qui est la notre, qui est celle qui nous a choisi, etc ; nous sommes chanceux ; nous pleurons ; nous sommes chanceux d’avoir été élu  (choisi) et nous pleurons cette chose, nous sommes élus , nous sommes émus, nous pleurons, nous sommes soulévés, nous dessinons les yeux embués, nous dessinons des bisons comme jamais et des buffles, et des bouquetins, et une myriade de betes de somme ou de chevaux ; nous aimons dessiner ainsi guidés par une force en nous qui peut (§arrive à ) nous soulever comme une plume, comme d’une plume de poulet ; nous aimons etre soulevé ; nous sommes soulevés ; nous sommes entrés en roche = en lévitation ; nous sommes entrés dans la roche du temps = en lévitation dans le temps ; le temps est le troisième secteur ; nous pensons que le temps est le roc, et nous lévitons à l’intérieur du roc (roche, rocher, etc) sur (dans) paroi de grootte ; nous aimons léviter ; nous voulobns léviter ; ,nous sommes qui voulons léviter dans une paroi de type temps ; le temps est (il semblerait) le troisième secteur de vie , apres la vie et apres la mort ; il y a ainsi des choses qui mériten,t detre dites dans la passion ; nous pleurons d’émotion, nous sommes émus comme jamais, d’ainsi léviter sur paroi (dessinant les buffles) , faisant coprs zavec ladite roche de grotte ; hommes et femmes lévitant (coït) pour une entrée dans la matière pariétale temporelle ; nous avons cette chance en  nous : lé vitation ; apres la  chute depuis cette bouche (trou) de visage et ce rattrapage à la volée par un temps de vie qui nous soulève (chance) et nous sauve des limvbes (en lévitation)  ; nous sommes vernis (vernix)  ; nous sommes sauvés de la noyade dans un temps qui n’est pas le temps, nous avons été sauvés d’une perdition à l’intérieur d’un mauvais temps de charge , etc ; nous avons été recueillis (sur le devant, dans le temps présent) par ce dit temps pariétal de groote, qui peu à peu nouus soulève (nous héberge) et trace pour nous (sur paroi) les mots-betes sus-mention,és ; nous sommes tous les deux (anna et moi) chanceux: de cette chose (lévitation)  ; nous allons faire trois pas en dehors du laboratoire ; nous avons travaillé toute la journée depius pas d’heure et à présent il est peut etre temps d’aller faire un tour et de p^rendre l’air ; nous sommes ensemble main dans la main dans la paroi de la lévitation temporo-spatiale, spatio-temporelle, etc ; nous pârlons ce langage , cette langue ,(autoritaire) de cap et n ,ous en excusant (si tant est que celea puisse être)  ; nous parlons ce langage de cap, de cape ; nous voulons nous en déchzarger par la bande et entrer en immersion (immixtion )pariétale autant que possible, il s’agit de notre voeu le plus cher ; nous allons faire un petit tour dans les bois, empruntant des chemins balisés, faisant une virée dans les contreebasz de cette forêt qui jouxte (quasimen(t) le temple que nous habitons ; nous sommes vernis ; nous avons pour nous une chance et nous pensons que cette c hance est celle précisément que les hommes des caver es en nous  ous ont offerte ; nous avons en  nous des hommes et des fe,mmes des cavernes, et lorsque nous pazrlons ce n’est pas toujours nous qui parlons ; nbous avons en nous des hommes et des femmes des cavernes, et lorsque nous parlons il ne s’agit pas ttoujours d’un parler d’homme actuel, il s’agit parfois d’un parler d’un homme des cavernes, ou d’un e femme des cavernes sur terre (sur la terre ferme)  ; nous avons cette chose poseée devant nous , qui est déposée devant nous : il s’agit de ce présent que l’animal nous offre ; il nouds pose cette chose devant nous : ce cadeau, cefruit de la chasse = le présent sur terre (troisième secteur)  ; l’animal offre à l’homme un présent ; le cadeau de l’animal sur le seuil de notre porte ; nous voul:ons que cette chose soit : une immersion (immixtion) dans la paeroi du temps: cette offrande animalière ; nous pl ;ongeons la tete la   première, nous entrons dans la paroi, nous entrons dans cette roche, nous flanquons notre corps en ce roc en dur qui nous absorbe (temps de la paroi)  ; nous la possédons (la paroi) comme elle nous possède (aller-retour)  ; nous sommes poddssédés et nous possédons (va et vient)  ; nous pleurons et nous rions, nous sommes doubles, il s’agit d’un contact aigu avec une paroi de grotte (d’intérieur de groptte)  ; nous pleurons (chantons)  ; nous sommes émus ; nnous voulons savoir ce quil en est de cette chose temporo-pariétale en n ous qui sommes immiscés, qui nous sommes immiscés ; nous voulons connaitre en vrai la vérité du monde, nous frappons le haut de notre tête sur cette chose, pariétale en diable ; ouffa, nous sommes fous ; nous poussons, nbous poussons en force, nous voulons traverser la roche ; nous voulons aller loin en elle, nous voulons traverser cette roche et voir ce qu il en résulte (de pareille poussée)  ; nous cherchons une vérité (ou deux) de paroi ; il s’agit pour nous d’une question brûlante, xde vie et de mort, nous voulonq qyue cette chose soit ainsi : cruciale, centrale, bbrulante, énorme, etc ; nous chezrchons la vérité dans le langage articulé, quand la paroi nous donnerait plus , en termes de vérités, de choses à déceler, etc ; nous pensons que la paeroi conait la vérité ; nous pensons que l’hommùe ne connait pas la vérité, l’homme est trompé, se trompe et trompe son monbde ; l’homme est à côté de la plaque un temps (celui de  sa vie sur terre) et s-sera au jus le jour venu (quand il sera en terre)  ; nous pensons quev l’homme se trompe toujours, qui ezmploie des mots-betes à la place de se mettree en tete d’entrer dsans la roche et de léviter ; il (lhooomme) est extérieur à la vérité, il fait le malin, il pérore, il assène, il déforme, il fait laroue, il joue à être cet etre ou cet autre, il n’est pas fiable ... car les mots ne sont pas fiables (pas le moindre) et donc il se p^lace ma l dsans le monde, il est mal placé pour parler, ; et cependant il ne peut y couper car il est comme drogué, il est comme pris d’assaut et ne peut se dérober (sortir de sa robe ) ou s’échapper (sortir de  sa c ape = le cap)  ; il est pris au piège et tant pis pour lui qui a rompu avec cette paroi du temps telle que l’homme des cavernes l’a coonu ; peutetre pas «tant pis» mais il n’empêche que cet homme d’aujourdhui (moi) est à la traine de savoir ce qui ce trame en vérité dans une (ou une autre) paroi de grotte ornementée (etc)  ; un homme des cavernes est un homme de savoirs  ; il est cet homme des savoirs inclus ; il est un homme qwui cconnait ce que la roche manigance en termes de vérité sur les choses du monde ; il est (l’hommev des cavbernes) une entité non encore séparée, qui voit dans la paroi l’animal qu il est en lévitant ; nous sommes des betes qui allons dans la pareoi ; nous sommes pris dans la paroi ; nous pouvons dire que nous sommes pris ; nous voulons aller tres loin dans la paroi du temps et nous faisons notre possible pour cela, pour cette chose ; nous voulons aller loin dans une paroi et pour cela nous essayons de nous introduire pour le coup en lévitation (en lévitant) et aussi dans une sorte d’état second qui nous voit hurler avec les betes en nous, qui poussent, poussent, poussent vers une sortie (buccale)  de tete ; nous poussons ; nous sommes qui poussons ; les betes en nous cherchent à trouver cette issue, qui leur permetrtai de franchir le pas (dun bond d’un seul) et d’aller illico à se ficher(tete première) dans cette (ici) paroi en front de face, face à elles, qui est une paroi du temps  ; nous regardonsz cette paroi car il s’agit d’une roche dure ; nous avons cette chance pour nous, et nous en sommes conscients ; nbous cherchopns une faille dans la roche ; nous voulons enttrer en elle, et nous cherchons (pour ce faire) une fissure (faill, interstice, trou, hole) qui puisse nous permettre d’aller en elle (et d’en  sortir à notre guise)) ; nbous voulons aller ainsi loin en elle (lévitation au plus haut des cieux) le temps de l’immixtion, et eznsuite nous redescendons sur le plancher des vaches (terre à terre) ; nous sommes deux, anna et moi, qui allons nous promener sur le planchezr des vaches autour de la maison (atelier -temple-laboratoire de recherche) ; nous nous promenons autour de nottre temple, d’un côté ou de l’auttre ; nous sommes portés par une foi (le langage) qui nous pousse à creuser ce langage et nous pousse à nous immicesr dans le roc de la roche ; nous sommes tous les deux pour une immixtion commune (en concert, de concert)  ; nous voulons enttrer dans une pzaroi ensemble, nous voulons enttrer ensemble dans une paroi ; nous aimons enttrert ensemble dans u e paroi, nous aimons cette chose ensemble, nous l’aimons et nous voulons réiterer la chose x fois sur terre-mère ; nous voulons ou voudr ions : répéter x fois cette chose d’une (donc) immixtion en roche de grotte, par(mi les betes représe,ntées à l’age des cavernes ; nous sommes homme et fezmme de la préhistoire : ce moment sans trace écrite ; nous pouvons comprendre la paroi car nous sommes homme et femme de la preéhistoire ; nous cherchons tzant et tant de cchoses en laboratoire, nous cherchons beaucoup^de choses en laboratoire, nous lévitons ; nbous voulons comprenfdre les ressorts secrets, et nous avons bon espoir d’y arriver un jour, et ce hjhour sera béni ; nous aimons trouver, nous aimons découvrir, nbous cuisinons, nous couchons, nous aimons certaines choses à manger, nous aimons en commùun certaines choses à ma,nger comme certains fruits , les fromaghes, etc ; nous sommes unis pour la vie  car nous sommes insérées dans la paroi du temps, et cette chosec : main dans la main ; la main est la chose qui cvompte le plus, ellec est  l’emblème, elle est la trace sur paroi d’un temps animal qui arrive : l’applaudissement, le tam tam qui appelle l’animal  ; qui le fzait advenir en soi et nous fzait léviter contre la paroi, contre cvette roche à couvrir (recouvrir) au charbon de bois, à l’oxyde de manganèse ; nous lévitons ; anna et moi lévitons ; nous sommes entrés en lévitation ; nous voulons enttrer en, lévitation contre la paroi et nous dessinons ces choses animalières etc, cet animal (ce bison, cet aurochs, ce mùammouth, ce chevazl) sur une paroi qui appelle pâreille advenue graphique ; nous pleurons, nous ne pleurons pas ; nous rions, nous ne rions pas ; nous sommes en lévitation contre une pzaroi de grotte, nous dessinons avec en nous une puissance qui nous guide dans nos gestes et font la chose (l’animal) pour nous ; nous sommes tous deux pris d’assaut par une force (en  ous) qui nous pousse à écrire sur paroi, avec comme langage des mots-animaux, des mots-betes, qui vont à se ficher fissa (illico presto) sur la paroi courbe ; nous pensons que nous devons ensemble aller, nous le faisons : nous faisons cette chose enjsemble ; nous pensons qyue nous devons ensemble laissezr faire les choses en nous et nous laisser surprendre (déborder) par les mots (en transit en  ous) bouche fermée par une cohorte = obturée par un passage (animal ou animalier) en force ;nous sommes unis pour la vie (coque, coït) et nous allons, de cette façon (unité), vers une immisxtion de paroi apres lévitation et entrée directe, oups ; nous pensons que nous devons ensemble agir de la sorte : entrer en elle (la paroi du temps, ce troisième secteur)  ; nous dison,s que les mots ne peuvent pas nou!s suivre où nous voulons (anna et moi) aller ensemble ; il s’agit d’un dire ici à formuler ; nous pensons que les mots (cette langue de france) ne peuvent pas suivre, ils ne peuven,t pas aller (réeellement) où nous voulons aller, c’estc à dire dans un temps qui serait autre que celui là même que nous connaissons (ce temps qui se consume)  ; n ous  voulons connzaitre cette vérité d’un temps (pour nous ) pariétal en diable ; notre volonté est celle ci, qiu nous voiit demander (appel de pied, ou plutot : appel de mains, positives et négatives) une sortie, une entreé, une sortie de ce monde borgne pour une entrée en immixtion de type pariétale ; nous voulons sortir pour entrer ; nous aimerions beaucoup tous les deux aller, illico presto, dans une paroi à l’intérieur d’une grotte ; nous serions tres heureux tous les deux , d’aller dans une paroi nous immiscer, en lévitation et main dans la main ; nous avons le gout ou ce gout commun des parois de grotte ; nous voulons aller loin dans cette  chjose qui pour nous est de première importance ; nous voulonsd aller loin en besogne dans ce sens ; nous ne voulons pas faiblir mais tout au contraire persister encore et toujours pour ne pas flancher et renoncer, mais tout au contraire tenir bon et demander son dû à pareille roche ; nous voulons continuer ensemble notrte promaenade ; nous cherchons des mains surnuméraires ; nous cherchons dees mains en pagaille ; nous cherchons plein cde mains, ici ou là ; nous chezrchons des mains porte-bonheur, des mains d’appel,, etc ; les mùains a pplaudissent, les mains frappent vla paroi, les mains font un bonjour sur roche (x et x fois)  ; nous pensons que la main est capitale, est la tete, est le chef, etc : la cheffe ; nous penso,ns que nous devons regarder nos main,s et ne plus se désunir, rester groupés, rester proche l’un de l’auttre ; nous devons tenir encore et toujours, côte à côte et nevplus jamais nbous lacher car nous deevons poursuivre sur notre lancée et aller fissa dans (à l’intérieur) de la roche ; nous devons nous immiscer ; nous devons entrer tete première ; nous avons une chose à faire, et cette chose est d’enttrer dans roche, dans roc, dans pierre de grotte ; nous voulonsq nous glisser dans la peau d’un anuimal de roche (l’ours ? le lion ?)  ; nous voulons nous immiscer dans la peau (exclusivement) d’un animal de grotte ; nous allons comprendre la chose, nottre douleur, )à faire la chose, de se mettre illico presto dans la peau d’un ours ; nous sommes tous les deux pour faire des rechersches, en matière d’animaux-mots de grotte préhistorique ; nous aimons la préhistoire du monde ; les temps d’avant les écritures, etc ; nous pensons que nous devons poursuivre sur notreelancée et ne pas (p^lus) nous cachezr, mais plutot apparaitre et dire la chose, comme quoi nous sommes pariétaux d’allure et de volonté (anna et moi)  ; nous nevoulons pas en déroger, nous cherchonsc à rester concentrés sur notre tache de lmaboratoire ; nous voulons rester l’un et l’autre  concentrées et ne pas lacher prise dès les premières secousses ou dès les premiers vents -contraires ; nous pensons ensemble cette chose, comme quoi il serait préférable pour nous de continuer sur notrec lancée et dee trouver quelque part sur la paroi un interstice (une faille) par laquelle nous pourrions passer nous deux ensemble (d’un coup d’un seul) dans pareille roche de grootte ; nous voulons cette chose et avons bon espoir de oparvenir à nos fins prochain’ement ; nous sommes pleins d’espoior ;, nous voulons aller tres loin dans la roche (au coeur)  ; nous voulons nous introduire tres loin en elle, le plus loin possible, aller en ezlle le plus loin possible, enson coeur, au coeur de la roche, au beau milieu etc ; le milieu est beau qui se voit pénétrer par un pic de bouche ; il s’agit d’une pique de mots-animaux ; il s’agit d’une pique acérée, il s’agit d’une corne d’abondance = une corne pointu, pour une pzercée, une trouée, un déchirement, une déchirure, une ouverture de bouche avec lèvres encore à vif (saiignante)  ; nous voulons que cette chose soit ainsi, qu elle soit une troué¨e violente et n’en parlons plus, ou tout l’inverse  : en douceur et parlons-en ; nou aimons ceux et celles qui parlent et portent leurs projets d’immixtion à la vue de tout un chacun : pourquoi cacher ?.  ; nous avons en nous l’énergie et le gout pour aller loin en paroi de groote et comprendre (enfin !) le fin mot de toute cette affaire de paroi de betes, etc ; il est bon pour nous de cxomp^rendre pourquoi, ou déjà de nous rendre compte ; nous vivons des temps (en des lieux) borgnes ; la terre est pleine et a horreur du vide ; le vide n’’st point ; nous chrerchons un terrier pour nous, une faille dans terre-mère ; nous cherchons à a ller sous terre, dans la terre = dans la paroi, sous les dessins animaliers etc ; nous aimons deessiner avec nos mains sunuméraires ; nous voulons cette chose ensemble ; nous voulons faire cette chose e»nsemble : dsessiner l’aurochs, sous emprise, pris par une pûissance de taureau (de buffle) en nous, qui savons des choses, qui avons (en nous, en de hors des mots) compris des chosess ; comme par exemple la présence en paroi d’images de betes surnuméraires ; nous nous parlons car nousz aimons nous parler ; nous nous habillons léger, il ne fait pas froid, juste un peu de vent parmoments et encore pas tout le temps ; ,nous sortons main dans la main et allons par les champs et les forêts ; nous regardons les prtites betes (les insqectes) sur le chemin, il y en a plein ; nous pensons au mystère de tout cela et aussi à) la caducité du mot mystère et aussi à la caducité du m ot caducité et aussi à la caducité du langaghe articulé en son entier et aussi à la caducité de cette phrase en soi et du coup nous pensons à l’impossibilité d’envoyer vraiment (réellement) promener sa propre langue , 1, car laxlangue inculquée ne peut pas etre désapprise (sauf cas particuklier et particulièrement rares) et 2 car le langage est a insi qu il ne peut se mordre la queue ; nous avons ces mots en bouche comme autant de betes en nbous, 1 pour le bouquetin, 2 pour l’aurochs, 3 pour le bison, 4 pour levmammouth et c etc, 24 pour le zébu etc ; nous penson,s que nous devons penser de cette façon et ne pas lacher prise mzais poursuivre dans les directions que nous nous sommes donné ou assigné ; nous sommes tous deux des chercheurs de laboratoire qui cgherchons des vérités incluses», c’est à dire des inclusions, c’est à dire des vérités pariéto-temporelle d’inclusion ; nous avons une chance pour nous et nous voulons la saisir ; quand nous sortons du temple nous prenons un grand bol d’air ; ,nous ne voulons pas croupir ; nous ne voulons pas rouiller dans notre coin ; les animaux nous entourent , qsui nous observent, nous craignent, nous regardent d’un sale oeil ; nous avons tout autour de nous une cohorte d’animaux des champs ou des bois, qui nous suivent du regard, qui se méfient de notrecprése nce ; il est impossible de réellement s’étonner de la forme que notte propre corps revet ; il est évident que nous voyons notre corps comme quelque chose de possible et en l’occurrence la chose (nottre corps) est possible : la preuve ; nous sommes des preucves, nous sommes tous et toutes, et chacun à sa façon, des preuves comme quoi nous existons, comme quoi l’homme,n la fzemme existent sur terre ; nous voyons tout cela sous l’angle qui est le nbottre ici, nous voyons toutes ces chopses ainsi : sous cet angle ; nous voyons que le mon de est borgne, <qu il revet des formes incroyables aux quatre coins, et que nous sommes du coup (forme étrange) sous le joug de cette chose qui nous pèse sur les épaulesc (épée de damoclès) etc ; nous sommes sous un joug formel ;: nous avons une forme aussi surprenante à l’oeil que celle d ‘un phasme, d’un e limace, ou d’une hirondelle ; nous sommes pareillement surprenant dans notre forme ; la forme humaine est curieuse, son aspect poiilu à certains endroits et pas à d’autres,  ; ses membres au nombre de deux à chaque fois : deux bras, deux mains, deux jambes etc ; nhous sourions ; nous vcoulons comprendre mieux ce squi est du monde ; nous voulons comprendre ensemble, à l’intérieur du temple-laboratoire, ce qui nous attend : l’orage avec ses éclairs et le tonnezrre ? ou bien une éclaircie la bienvenue ?  ; nous pensons, et cela est une chose ; cela est chose qui se lie avec l’autorité ; nous ne voulons pas paraitre autoritaire ; nous voulons rester courtoisz ; nhous avons à découvrir i-un  certain nombre de tréxsors cachés, de grootes ornementés à ce jour jamais revisité par des hommes autres que ceux des cavernes, etc ; notre but est de découvrir ; nous voulon continuer nos recherches dfans la vie, ma is nobn point à la manière (vraimeznt) des scientifiques (quoique) mais de cette manière qui nous voit entrter en lévitation, lke long de la pâroi peinte ; une femme, un homme, une paroi de temps, des images sur la roche : des reproductions, des semblances etc ; cela que nous préférons est ceete chose qui est de regarder des betes sur des paroisq ; nous comprenons certaines choses concernant l’art pariétal, et l’art tout court aussii ; nous comprenons que l’enjeu est co nsidérable, que les chosec s’inscrivent seules, que la main qui trace est guidé, secouru etc, que les chosees sont ainsi qu elles se doivent d’etre sur paroi : des betes imposantes ; les grottes nous attirent ; nous dessinons sur des parois ; nous entrons en transe en lévitation ; nous sommes à même la pa roi ; nous avons fait suivre le charbonn  dee bois, et nous dessinons l’animal de pied ; nous deessinons, qui l’aurochs, qui le bison femmelle  ; nhous   cherchonstoute la vérité que contiendrait le lkangage ; que ne  nous la donne t il pas d’emblée ? que cache t il dans ses oubliettes , pourquoi kle langage articulée ne donne t il pas la vérrité d’embl»éée ? pourquoi fait il cette non-chose  ? il nous trompe, il nous trahit, il nous ridiculise, il nous infantilise, il nous fait pârler de travers, il nous affuble de choses ou autres dont nous ne voulons pas, il s’impose en force, il serend (le saligaud) inoubliable etc : une saleté qui nous bouffe il semblerait ; nous voulons aller loin dans la compréhension des choses pariétales et nous espérons aller ainsi sur des chemins de vérités fiables, quoiqquy’il ne soit paxs sûr que nous puiissionsz atteindre pareil objectif ; nous sommes ensembkle main dansla main ; nous nous embrassons à même la paroi ; nous n-e tremblons pas à l’hjeure d’entrer dans ladite paroi et cependant nous sommes émus, nous pleurons en vrac, tout de go, tout à trac, toutes les larmesz de nottre corps ; nous ne cessons pas de pleurer ; nous ne cessons plus, nous ne cessons pas, nous ne cessonsc pas de pleurer à l’entreé dans une grotte ; nous ne cessons pas de pleurer au moment d’enttrer dans la grotte ; toutes les larmes de nottre corps : nous nous vidons, vida,nge, etc ; nous pissons les larmes, nous sommes émus, nous sommes touchés, nous sommes retournés, comme retournés ; nous voyons que  nous sommes émus ; nous avons envie de pleurer, nous sommes pleins de larmes en nous, nbous ruiisselons à l’entrée de la grotte , à l’entrée de laparoi du temps etc ;le moment est importan,t, nous sommes soumis à des pressions a nimales en  ous ; nous sommes soumis à de fortes pressions en  ous ; nous aimons ces choses en nous qui sont de type animales comme mots (mots-animaux) ou souffle du museau de bete ; nous avons pour nous une chance quyi est celle de pouvoir creuser sur des questions existentielles de toute première importance, comme par ecxemple la question d la lévitation en grotte ; nous pensons que rien n’’st impowssible et quyil faut voir ; nous voulons savoir ce qu il en est ; nous voulons enttrer en lévitation et nous essayons de faire cette chose en rusant avec nous-même ou bien en passanrt en force ; nous essayons de passsr en force dans la paroi ; nous essayons cette chose d’un passage en force et pour cela nous devons aller fissa et nous jeter bille en tête contre la paroi, dite «pa roi du temps» ; nous essayons ce passage en force, ce matracage à cvoups de mains surnuméraires (positives et négatives)  ; nous essayons de passer en force parmi les betes dessinées, parmi toutes ces betes dessinées ; nous esxsayons de copmprendre commentv les choses arrivent à se composer entre elles et pourquoi nbous sommes ainsi sur terre accoutrés ou flanqués ; nous cherchons des réponses à toutes nos questions concernant les betes dessi,nées sur des pa rois de grotte ; nous cherchons pour nous, pour notre gouverne, choses qui nbous intéressse : le rapport de l’homme des cavernes avec un azrtiste, un art d’aujourd hui etc ; l’art est cette chose que nous percevons sur des parois, sur lkes pa rois du temps ; il s’agit à c-haque fois de mains surajhoutées à l’existant (quand même on ne le voit pas, ou ne le verrait pas)  ; nous pensons que l’arty est du langage (une langue) avorté ; il s’agit pour nous à chaque fois d’une tentativ de formulation verba le avortée, etc ; il s’agiyt pour nous de cela, nous pensons qu il s’agit en vérité de quelque chose d’avorté = des mots, des mots oubliés, etc ; nous pensons que nous  sommes comme hommeset femmes des cavernes, qui poussons la «chansonnettte» sur parois de grotte etc ; il s’agit d’une chansonnette animalière , : transe et compagnie ; nous paradons ; nous faisons la roue comme paon de ferme ; nous sommes en lévitation, nous sommes en l’air ; nous regardons de haut (de nottre superbe) avec (ici) nos  mots -animaux ; nous pouvons voir latrame des choses : la trame des mots dits, la trame des dits -betes ; nous penson,s que l’art est inhéreznt à la natures intrinsèque cde l’homme, nature aboutie ; il s’agit pour lui de se positionner (dans la vie) de telle manière qu en lui advient , adviendra, un certain noçmbr de choses sur parois, sur rochje, sur roc de grotte ; nous allons loin dans la roche : victoire ! ; nous poussons le cri de la victoire : meugleme,nt , beuglement ?  ; nous allons nous promener à la grand e ville, faire des emplettes pour le temple etc ; nous porto,ns le nez hors de la paroi ; le temps est la grande affaire, qui nous voit en offrir «des bouts» au fur et à mesure des demandes, des appels venus de là-bas, loin (?) depuis le lieu d(habitzation de dame ou sieur La mort ; nous aallons à la recherche d’une vérité sur quelque chose que , peut etre, nous saurions, au fond de nous-mêmes ; il se peut même que la vérité du mon,de (vie  / mort) ne soit pas incluse da&ns le langage, des mots, des vocables, mais seulement à apprécier, toucher au coeur de la parooii, ; la paroi est la grande affaire ; nous savons cela ; à présent nous le savons, nous l’avons assez seriné et aussi nous l’avons suffisamment entendu dire ; la paroi est l’affaire du siècle : la fra,nchir ; le monde n’aime pas le vide, et le plein du monde est (disons appartient) au scientifique ; dès lors , que nous reste-til à nous (deux) q<ui ne sommes pas tout à fait (c’est mle moinqs que l’on puisse dire) des sscientifiques ; nous cherchons une vérité que les mots (le sens des mots) ne peuvent nous offrir ; nous avons pour nous une chance ; apres la chute des mots-animaux (rattrap^pés in extre mis) la chance d’habiter ici, ce temple-laboratoire ; nous aimons cette chose d’unev sorte de recher che en laboratoire ; nous essayons d’aller plus loin (toujours) dans la compréhension des choses sur terre: nous voyons que nous sommes comme décalés (par rapport aux animaux par exemple)  ; nous sommes comme décalés car nous sommes des etrees de tete ; nous sommes des etres qsui sopmmes en tete = tout en tezte quasiment ; et nous allons qui nous voyons buter contre la paroi, quan,d il serait plus judicieux de se pooster contree une paroi , et de  se glisser en un interstice (une fissure) à deux , pour une sorte d’entrzée (en matière) coïtale ; nous cherchons l’entrée coïtale ; il se peut que nous la trouvions un de ces jours et nous l’espérons ; nous aimons toute cette histoire de paroi peinte, recouverte, saturée, etc ; ces superpositions graphiques au charbon de bois ; nous sommes artistes nous meêmes, à savoir que nous dessinons aussi des mots-betes à notre manière ; nous cherchons un crayon de bois, nous dessinons wsur cette paroii xde roche ; nous voulons continuer à  cheminer ensemble en forêt ; nous nous promenon,s, nous  paradons sur des chemins qui sont dejà tracés, qui existent depuis longtemps ; nous eessayons de nouveaux chemins par fois, detemps en temps ; nous mangeons des baies sauvzages, des fraises des bois, etc ; nous dessinon,s sur du papier, sur du carton ,nous faisons des choses avec nos mains (peinture, sculpture, etc)  : nous ne sommes pas tout à fait déconnectés ; nous sommes tout à fait connectés ; nous sommes en connexion avec l’esprit de la paroi, avec un esprit de paroi en  nous,nous pensons que nous sommes sous i nfluence, qu en nbous existe un e force d’influence, une force qui nous pousse dqans des directioons particulières, qui sont celles des parois du temps ; il s’agit de directions parieto-temporo-spatiales ; nous essayons de  nous dégourdir les jambes ; nous pensons que nous sommes sous le jhoug d’une force animale (oui !) en nous ; ca r en nous il y a des betes, il y a des animaux, il y a des buffles, des bisons, des chevaux, des phacochères, des mammouths, des antilopes etc ; nous sommes pleins (ras bord)  ; nous sommes remplis de betes en nous, qui sont des mots-betes ou betes-mots, qui font le siège, qui sont dans notre antre (ventre au sens large) etc ; nous pouffons, nous disons ouf ; la bete est sortie de nous et est allée pour se coller à lka paroi au milieu des autres dejà dessinées ; l’art est une chose qui apparait tot dans l’histoire de l’humanité  ; cette chose qui est sur paroi mais pasq seulement ; l’art est une chose qui ici s’impoose à la vue de nous-mêmes qui sommes en transe et qui nousv laissons faire tantôt ; nous voulons cette chose ainsi et nous nous laissons envahir ; nous sommes sousq une emprise telle que nous $ne pouvons pas reculer, et aussi que nous devons gra ver sur roche, nous devons ghraver  sur paroi, des betes qui chargent, de pied, belles carnes au demeurant ; nous a imons ces betes dessinées (mots betes , maux -mots- et nous ne manquons pas de les regarder ensemble, avec attten,tion ; nous aimons ces choses qui sont des merveillles sur paroi du temps ; nous aimons ces betes telles qu elles sont produites, ici ou là, par des hommes ou par des femmes , bien intentionnées il semblerait ; nous avons , portons en nous l’esprit des cavernes ; nous allons loin dans le raisonnement , nous lachons prise, nous laissons pisser la bete en nous : en paroi (sur paroi) et la bete dès lors délivrée se voit rehaussée (au charbon de bois) sur belle paroi ; nous a imons vles pei»nturexs et les sculptures rupestres, les bas reliefs ; lesv sculptures de grotte, les stalaghtites et les stalagmitres, concrétions étonnante, surprenantes, qui nous retiennent, piques, pics, cornes etc ; nous avons en nous cet esprit qui gagne et nous pousse à fissa a ller de l’avant, sur des parois, à dessiner-graver qui des betes, qui des mains, qui des traits, qui des poin,ts ; nousc dessxinons des ribambelles de points, alignés à la queue leu leu ; nous dessino,ns des points qui sont dses piqures ; nous dessinons des traits qui sont des batons de compta ge ; nous parlonsune langue sommaire, crachouilli ; nous sommes sommaire ; nous deessinon,s (avec, pour le coup, beaucoup de métier) tous les animaux (lesq plus gros) que nous connaissons autour de nous, nous aimons dessiner les animzux qui gravitent autour de nous ; nous cherchons à dessiner cela, toutes ces betes qui autour de nous gravitent, nous observent, etc, il y en a beaucoup ; nous sommes encerclés, la nature a horreur du vide ; nous cherchons le vide parfait : ce trou dans la roche (fissure pour de vrai = passage, pour une temporalité différente)  ; nous sommes dans une forêt et nousz cherchons la temporalité différente sus -mentionnée ; nous cherchons une issue, un ^passage, une fissure dans laparoi, un trou de parole, hole dans parole, etc ; nous cherchons à nous glisser ensemble parmi les dessins (les dessins de betes) sur cette paroi de grotte millénaire ; nous voulons trouver cette chose pour nous, notre gouverne (cap, ca p de chance, etc)  : il s’agit pour nous de trouver issue (une issue) à prendre (nous glisser : introduction) pour une chevauchée animalière pariétale ($cavalcade)  ; notre but est simple et est prononcé à haute et distincte voix  ; nous cherchons la bete en paroi, la  prendre pour nous, l’adopter en nous, l’introduire en nous, la poreter comme oprogéniture etc ; nous avons ce but (à deuxd) et nous pensons ici que ce but est notre , en cela qu il nous ressemble  ; il est tel que nous pensons qu il est ; nous l’invitons, c’est à dire que nous invitons l’animal en  nous ; nhous avons en nous un animal, des animaux ; nous pleurons à l’idée de perdre pa reilles enfance animale en  ouus ; nous pleurons en n ous l’enfance animale en  n ous ; nous pôrtons en  nous cette enfance animale et nous la pleurons sur parois de grotte : un point c’est tout ; nous pleurons sur paroi la pertte (chute) del’enfance animzale en  n ous ; nous étions dex betes ; nous fumes des betes ; nous fumes betes ; nous avons été des betes, nous savons, nous avons des souvenirs, l’homme des cavernes avait des souvenirs ; il se souvenait de son temps «bete» ; il se souvieznt dse son etre en tant que bete de somme ou autre : son enfance etc ; il s’agit d’une enfance existentielle, qui date de quelques dizaines de millierts d’années en arrière ; il s’agit d’une enfa ncxe de bêtes, etc ; il s’agit de cette enfance en nous : betes -mots qui tronent, qui sont ceux là que le bébé b&aba en  ous connaissait prioritairement ; nous avons ainsi en nous des betes-mots qui prolifèrent et appelent la mort sur paroi du temps, à venir batailler en son sein exprès, ainsi, à même le roc ; nous pensons nous deux que nous avons en nous la place suffisante pour tenir fortement contre nous cette chose (animalière) de convenance, en nous ou contre nous ; nous pensons que nous sommes outillés, suffisammentb maturés pour aller fissa en paroi de grotte, chevaucher les betes de somme ; nous avons en  ous de quoi ; nous prenons le temps de nous introduire ; nous essayons de piger, de piger-comptrenddre cette introduction coïtale de paroi (le temps à) l’appel)  ; nous avons envie de rire et de pleurer (coït) et, de fait, nous espérons aller un peu plus loin encxore dans cette embardée, ; nous voulons aller profond ; nous cherchons la profondeur des fonds, nous voulons aller dans la o^profondeur xdes mots, des registres temporau$x, temporels, pariétaux etc ; nous fichons ; nous nous glissons dans la roche (coiïtalement)  ; nous aimons ce coït de roche de survenue brève, vive, et se déroul:ant, et se délassant, se glissant dans pâreille temporalité nouvelle ; nous avons pour nous cette pensée (coïtale) en nous ; nous voulons gravir ; nous voulons graver ; nous sommes en lévitation, sur la roche à dessiner, contre elle  ; nous essayons nos pigments soufflés ; nous essayons avec ces pigmentsz, avec cves choses de projectioon, nous voyons toutes ces choses pour nous qui vont pour vs’incruster et pour laisssr la marque d’un dessin de bête en majesté ; il s’agit s’aurochs ici, ou de buffle là := ç a charge ; nous regardons charger ; le vmonde pariétal est une temporalité ; il s’agit de cette chose ancrée dans le temps des survenues animalières ; l’art ici est le dessin du souffle ; il s’ahgit d’art de parois soufflées et portées par l’esprit du dsouffle ; le souffle qui pousse à faire , à frapper des poings, etc ; nous avons cettre chose ezn nbous , qui est le mal fzait, le mal dit , le mal contré, etc qui se liquéfie pour former du souffle à projeter (pigments) sur des pzarois de grotteb , et magnifier le tout primaire, cette saleté en nous devenu beauté (de semblance animalière) , résidus magnifiés sur roc ; njous avons pour nous des betes en nous , qui frr(appent : toc toc ; il s’agit de betes-mots qui ici viennen,t frapper, comme des esprits  ; nous les acceptons comme nôtrtes ; nous les invitons à la table-même des offrandes (les saignon,s) ; nous avons une envie en  n ous, qui est une envie de faire des choses, sur paroi (coïtalezment)  ; nous pissons le sang ; nous voulons nous introduire fissa ; nous ne voulons pas rester en carafe mais nous introduyire incidamment, entre deux fissures, dans cette paroi qui se présente à nous, ici même, en galerie, dans notre atelier (temple-atelier-laboratoire)  ; nous aimons la recherche abnimalière pariétale  ; nous pensopns qUue l’art a toujours à voir avec l’animal des parois ; il s’agit de pis-aller, de trompe-la-mort, et de mots-betes en lieux et place de vocables qui feraient des leurs , qui paraderaient , mzais ne pourraient autrement dire la vérité etc ; les mots-betes sont des betes, des mots et des betes dessinées, qui tronent ; nous voulons (pour nous) creuser dans laroche et trouver en son coeur l’esprit qui préside (il existe, bouche cousue)  ; nous pensons que nous devons si possible aller loin ; nous voulons penser cette chose ; il s’agit de nous laisser porter par la vague que forment pour le coup les mains qui nous soutiennent (maintenant)  ; nous sommes portés par des mains sous nous (le présent du temps) qui nous font progresser (toutes) sur un tracé ; nbous sommes allongés sur une vague qui nous porte (mains surnuméraires  : négatives et positives)  ; il s’agit de mains négatives et de mains positives ; nous sommes allongés dans pareille paroi de grotte et les main,s du temps nous font progresser sur le tracé des chevauchée des betes ; il s(agit des mains du temps (maintzenant etc) et ces mains sont celles que nous apposons, par la même occasion, sur laroche ; mains que nous détourrons etc à même lma paroi  ; nous avons des mzains sous nous qui nous portent, nous soulèvent (lévitation), et ces mains sont cekkles du temps («tout bêtement») en cette chose qu’elles se glissent sous notre mobile et nous extraient (de la sorte) (en paroi) dans une sorte de poursuitee (ou suite temporo-faciale) en grotte, en cette grotte de terre-mère ; nous sommes ainsi portés par en dessous : par le temps du maintenant ; il s’agit d’une vague, une nouvelle vague à chaque fois, qui nous portent, nous fait circuler dans le temps de laparoi de grotte ; nous sommes ainsi portés, nous sommes promenés alloongés etc ; nous sommes ainsi comme sous le jhoug ; nouds deessinons, par lma même occasion : des zébus, dex auroches, des chevaux, des antilopes, des bouquetins, des mammouths, des ours, des rennes, des bisons, des buffles, des chevreuils, des biches, des rhinocéros, des  antilopes etc ; nous aimons les betes en cela qu elles nous protège,nt ; nous sommes portés par des mains temporelles ; nous progressons au rythme d’une chevaucxhée pariétale (cavalcade)  ; nous coïtons en pa roi de roche ; l’amour est cette cxhose qui pisse le sang, qui va dans la rocxhe pisser le sang de veau, de génisse, etc ; nous sommes dans la paroi : logés et lovés, ; nous aimons les betes, les mots-betes et nous pissons le sand de veau, lee sang des offrandes en n ous, au plus profond de nous, dans cettre trouée en nous qui pisse soon sang de bouche percée ; nous allons dans la paroi à la recherche d’une vérité sanglante ; il s’agit d’une percée de bouche ; nous allons dans la paroi à la recher che d’une vérité, qui serait vérité buccale, sanglante, parole donnée, ouverture, trouée , et passage au débotté dune kyrielle d’animaux de grosse taille , taillant sur p^lace la cxhair tendre et filant sur paroi de grootte attenante, s’y frotter pour s’y coller de force ;, et sy ficher à l’unisson d’un crii pousséé ; 

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9/06/2020

nous aimons les roches, les rocs, les pierres ; nous entrons en elle ; nous voulons entrer en cette roche, et nous sentir bien, allongés en elle, collés-soudés en elle  ; nous voulons nous étendre en elle, nbous allonger en elle, nous dilater en elle : grandir ; nous avons beaucoup d’envies en nous, concernant la vie dans la roche, nous sommes pleins d’envie en  ous et nous aimons la roche, nous l’aimons beaucoup, nous sommes fous d’elle, nous voulons en épouser les courbes etc ; nous sommes ensemble au coeur de cette roche et nous nous tenons par la main ; nous ne tenons pas à nous désunir ; nbous voulonbs à tout prix rester soudés et ne pas nous lâcher ; nous avons cette chose à faire : ne pas nous lâcher et rester soudés-collés ensemble, main dans la main, au coeur de cette (donc) paroi du temps que nous aimons (collons) à la folie ; nous aimons-collons à pareille paroi du temps ; nous aimons-colloons à la paroi du temps qui va, qui est ici ce temps pariétal dont nous parliiiions et qui nous convient car il nous soutient comme terre-mère ; nous sommes comme soutenus par du temps pariétal, et ce temps est celui des mopts-animaux ; nous les aimons (les mopts-animaux) et nous crions cette chose (comme quoi nous les aimons) ; nous aimons les mots-animaux ; nous sommes amoureux en nous, au plus profonsdd, nous sommes fous, en nous = en notre profondeur, de ces mots-animaux qui grondent, qui nous poussent à noudss insérer, à nous loger dans la paeroi (en dur) du temps incompressible ; il y a en nous des betes (qui sont boviidés ?) qui poussent et nous poussent ; qui sont en nous à nous pousser dans les bras l’un de l’autre, collés-soudés, qui poussent, qui nous poussent à nous souder-coller pour une entrée (immixtion) dans la paroi du temps ; nous aimons laroche, l’art, la paroi, la roche en dur, l’art des cavernes, les betes dessinées sur pareille roche, nbous les aimons ; nous sommes fous d’amour pour une roche, d’une roche avec sur elles des betes qui chargent, grondent, poussent, sse présentent etc ; nous sommes tous les deux à l’intérieur du roc, allongés-lovés, nous nous aimons, nous sommes dans ce dur de roc qui est cette paroi de grotte ; nous aimons cette chose d’etre a llongé et de nous aimer collé-soudé à pareil roc de grotte (souterrain) ; nous aimons les grottes ornementées, nous voulons aller plus avant à l’intérieur de la paroi du temps ; la paroi du temp^s est un logement pour des amoureux transis, qui sont logés lovés en icelle, qui sont comme logés lovés soudés en elle, nous l’avons pour nous ;nous sommes logés -lovés soudés en elle, dans terre-mère, et nous voyons passer en elle les troupeaux de betes (betes de somme) à nos côtés ; nous sommes ensemble (soudés) (collés) et regardons passer les betes (des betes de somme) de part et d’autrte ; nous ne voulons plus bouger ; nous aimons ces betes de somme, nous aimons ces animaux-mots qui sont ceux que nous avons en bouche (les mêmes) ; nous avons en nous (en bouche) des betes , qui sontb préécisément celles qui sont reproduites sur des parois, à l’intérieur des grottes du temps des cavernes etc ; nous avons les mêmes ; il s’agit (pour ainsi dire) des mêmes animaux que nous portons en n ous (pic de bouche) et que (donc) la paroi de la grotte recèle en elle, etc ; nous avbons en nous (pic de bouche) pareillles betes que donc celles là que nous voyons sur des parois de grotte ornementées ; nous les aimons, nous les possédons, nous en avons, nous aimons-avons, ; nous sommes ain si munis (équipés) de mots-animaux de paroi du temps (terre-mère») et qui de nous (en troupeau de mots) sortent à l’unisson (queue de verbe ? ) pour aller à se ficher direct sur la paroi de cette grotte, pour direct aller à se ficher sur une paroi lisse, ou rugueuse, selon ; nous les aimons (ces betes sorties de nous) ; nous les adorons, nous les bichonons, nous les maintenons, nous les portons, nous les coucounons, nous les présentons etc : il s’agit de choses ainsi aimées que nous déposons sur des parois de temps ; nous déposons (avecque nos mains soudées) ces mots qui sont animaux de somme ; nous posons et déposons ces mots sur des roches, nous les dessinons ensemble ; nous dessinons ces mots-animaux et autre s mains positives etc ; et autre mains négatives etc ; nous avons les mains soudés, nous avons les mains jointes, nous sommes collées, nous sommes hjoints, nous sommes collésxensemble à pareille paroi et cd’est collés ensemble que nous dessinons ces buffles, ces bisons ou ces phacochères ; nous aimons les buffles, les bidsons, les phacochères et bien d’autres animzaux : il s’agit de mots ; les dessins ici sont des mots ; nous paerlons la langue animale ; nous peuplpons les parois de ces mots-animaux qui tonitruent ; nous peuplons ces parois de toutes ces betes qui chevauchent en trombe ; nous les aimons et nous les calinons  ;, pres de nous, nous sommes pres d’elles, de ces betes, nous sommes tout près d’elles, nbous les touchons, nbous toucvhons la pelisse de ces betes, nous touchons le poil, noous sentons leur souffle etc ; nous vivons pres d’elle ; nous sommes au coeur de la pierre ; nous sommes au sein, dans l’antre ; nous sommes dans le sein des sein animal ; nous voulons rester dans la roche soudés, nous tenir là, ne plus en sortir , nous tenir collés et nous aimezr ainsi collés en ce sein de roche dure ; nous sommes logés au coeur du temps pariétal et nous restons ainsi collés-soudés en pareille roche, nous aimons nous tenir allongé en elle ; nous avons les mains soudées, nous avons nos mains collées à la paroi, nos mains restent ainsi (négatives, positives) collées à la paroi ; nos mains à jamais resteront collées-soudées à la paroi, accolées, dessinées -soufflées ; nous avons collé nos mains sur une paroi et nous avons soufflé autour des doigts, et nous avons ainsi effectué, ici, le dessin(contour, pourttour) de ces mains que nous aimons, que nous apposons ; nous avons pour nous des mains à poser sur paroi de grotte, et souffler, et dessiner, et graver, et faire de la sorte que ces choses dessinées , gravées, restassent dans l’éternité, dans un temps de survenue de permanence ; nous aimons ces mains dessinées, et ces betes sur paroi, ces betes gravées, qui vont ainsi comme meuglant, beuglant sur roche près de nous qui sommes allongéd pres d’elles ; nous voulons rester dans la paroi ; nous ne voulons plus la qyuitter ; nous voulons rester unis à cette paroi du temps, cette chose offerte, présentée à Dieu de Mort etc, à la Mort-Dieu, à ce Mort de Dieu, à cette mort de Dieu-la-Mort, etc ; nous voulons cette chose, nous voulons rester dans le temps ; nous parlons dans ce sens (avec nos mots-animaux) afin de nous loger-lover (en amour) dans une paroi qui est du dur d’éternité = La paroi ; nous pensons que nous sommes armés pour nous y loger longtemps ; nous pensons que nous sommes munis (équipés) pour nous y loger et y demeurer longtemps, soudés, main dans la main = mains soudées ; nous voulons rester unis à l’intérieur de la paroi de cette grotte ornementée ; nous aimons ces choses dessinées, cet artt xdes cavernes ; l’art est cette chose que nous aimobns = cette chose parioétale en diable ; nous sqommes incluys ; nous sommes en immersion-inclusion ; nous sommes pris dans l’étau de lma pierre de caverne ; nous sommes en dedans, nous sommes prisonniers, nous saommes dans le temps et aimerions y rester ; nous dessinons des betes sur des parois, nous le faisons régulièrement, rien ne peut nous arrêter ; nous sommes des hommes et des femmes des cavernes ; notre souci est de bien dessiner, de dessiner avec application, consciensiuesemùent, proprement = comme il faut ; notrte envie est de dessiner avec le plus de sérieux possible et de faire des choses qui soient ressemblan,tes le plus possible ; nous sommes des hommes du magdalénien et nous voulmons faire (dessiner) les betes qui sont en nous, qui sont dans nos bouches, car en nous, dans nos bouches, il y a des betes qui chargent, qui sont grosses d’envies de toutes sortes etc ; nous aimons ces betes en nous, et raison de p:lus pour les faire figurer sur des parois de grotte cachjée ; nous gravons avec des stylets de pierre, nous gravons des betes qui rugissent ; nous aimons les pierres, le coeur des pierres, des parois de pierre , roc et rochers de grotte etc ; nous aimons nous coller à une paroi et nous introduire en, elle ; nous aimons elle et moi (ma femme et moi) (elle et moi = nous) nous glisser en elle (paroi) et jaillir ainsi, et jaillir ainsi en elle (elle et moi) , soudés par la main, jzaillir en elle et nous loger en elle, et rester ainsi (soudés-collés) à elle (en elle) pour une durée que nous espérons sinon éternelle disons la plus longue qui se puisse  ; nous aimons cette chose d’une immixtion ; nous voulons rester ainsi dans le temps (la paroi du temps)  ; nous voulons ainsi rester collés ensemvble (soudés) dans pareille paroi, nous voulons rester collés ensemble dans cette roche, dans ce dur de la durée rocheuse, pariétalee ; nous voulons reswter collés en elle ; notre vie , notre envie, nos envies, nos vies , etc, sont comme soudées aux temps pariétal de survenue de grotte ; nous sommes dans un temps de survenue grotesque ; nous sommes , dans un temps de sur^-$venue grotesque, rupestre, etc ; nous sommes dedans ; nbous voulons rester à l’intérieur du temps en offrande, et n’en pas quiiter le coeur, et ne pas en quyiitter le coeur, nous voulons rester sérrées, blottis, au coeur de pareille roche grotesque, de pareille antre rupestre etc ; nous voulons nous loger et resqter ainsi blottis en cet antre préhistorique, avec nos mots, nos mots-animaux qui grondent, s’ébrouent, meuglent et rugissent-mugissen t ; nous ne voulons plus sortir de ce tte roche, nous y sommes bien ; nous ne voulons plus la quitter car nous sommes bien en elle ; nous avons apposé nos main,s sur la roche ; il s’agit de nos mains du temps ; nous avopns posé nos mains et soufflé autour , et donc dessiné des pourtours de mains ; nous voulons ces mains les connserver ainsi dessinées ; nous ne voulons pa les perdre ; nous voulons conserver ces mains sur des parois et ainsi montrer ce qu il en est de ces mains du temps, qui sont mains dessinées pour une introduction, une parade ; nous pensons qu ainsi nous pouvons faire l’appel du pied, les préliminaires ; les mains sont , les mains sont premières, les mains sont qiu viennent en premier sur la roche ; il s’agit de mains d’introduction ; nous pznsons cette chose en semble et nous le disons, comme quoi lkes mains dessinées sont des mains qui viennent en premier, quyi se pôsent sur des roches, qui sont des ap^pels de pieds, qui sont appels, qui sont des bienvenues adressés à d’autres entités de type pariétales ; nous avons ces mains, nous les dessinons, nous avons ces mains pour nous à dessiner sur roche ; nous ne voulons pas les perdre, nous voulons les conserver dessinées, nous faisons le signe de ralliement à la paroi ; nous fzaisons un bonjour à la paroi, nous marquons notre bonhjour, ce signe d’une bienvenue , ce signe de dire la chose comme quoi nous venons vers elle, nous entrons en elle, nbous nous immisçons en elle (paroi du temps) avec des animaux (mots-animaux) comme compagnons d’immixtion ; nous mettons nos main s à plat ; nous posons nos mains sur la paroi à plzat et ainsi nous donnons cette chose d’un vbonjour au dieu de la terre, de la roche ; nous disons que nous sommes là (tous) ; nous disons que la main est le temps, que main = temps compté ; nous voul:ons montrer de nous le visage de la main posée en guise de coucou ; nbous didsons avec nos mains posées que nous aimons (à dire vrai) terre-mère ; une main apposée et dessinée est une main qui s’introduit dans une roche amie ; nous voulonq apposer nos mains sur des pârois de grotte enfouie ; nbous faisons cettevchose à plusieurs, nous nous tenons main dans lza main, nous tenons ain si soudés, nous ne nous lachgons plus et dessinons aionsi, sur parois de grotte ; nou s aimons ainsi dessiner sur paroi de groote, nos mains respectives, ce temps pariétal etc ; la main est le temps ; la main est terre-mère tout autant ; la main dessinée est le signe annonciateur, du troupeau de bete qui charge etc ; la main est le signe ; il s’agit du mot ralliement, appel, attitude d’appel ; nous signons ensemble l’annonce, comme quoi nous ap^pelons le dieu de la bete à venir verts nous , en nous, ; à sortir de nous , et où ? ici ! sur la paroi qui nous fait face ! art! ; nous voulons que le dieu dxe la bete pariétale vint vers nous, se tournat vers nous (en nbous) et nous guidat dans la représentatation (ressemblante) des betes de la préhistoirz ; nous appelons en ap^posanr nos mains ; nous voulons aapeler ainsi (négatif /+ positif)  ; nous cherchons tous les deux comment faire, tous les deux nous cherc hons comment faire, nbous sommes tous les deux à chercher une façon de faire cette chose, d’un appel du pied (et de la ma in)  ; nous cherchons une solution, à comment faire cette chose d’un appel du pied (ou de la main) afin que, pour le coup, la chose vint à nous et sourde, etc , depuis le trou de notre bouche hurlante etc ; vociférationsq, meuglements, beuglements, etc ; mots-animaux ; nous avons en nous le cri (la parole) de l’animal ; nous dessinons des animaux car nous sommes animaux nous mêmes en nous (mots-betes qui giclent, jaillissent de notre bouche) ; je sui un animal du temps des cavernes, kje suis une bete (en moi) du temps des cavernes ; je cherche en moi une issue temporelle (patiè!tale) et espère la trouver tantôt ; nous sommes ensemvble (main soudées) pour une immixtion dan,s la paroi du temps ; nous ne voulons pas quiitter la paroi du temps, nous voulons rester en elle, nous voulons coller à elle ; nous ne voulons pas quitter ka paeroi du temps, nbous voulons restezr collés à elle, en son sein ; nous voulons restezr collés soudés à la pâroi du temps (e nsemble : main négative dans main pôsitive et main positive danns main négative ; nous voulons rester unis à) l’intériuier de la grotte du temps, il s’agit d’un e décision qui concerne la survie : nous voulons ain si, et durer longtemps en paroi ; nous aimonds cette chose, de rester dedans, logés, immiscés ; nous ne voulons pas quitter la paroi du temps, ce présent offert à Dieu de la mort, à dame la mort ou monxsieur, etc ; nous voulons rester collés fichés sur pareille roche, en elle, sur la bete rugissan,t ; nous sommes des betyes de somme, nous sommes des betes qui chzargeons ; nous avons en nous (en bouche) un train de betes agglutinées qui sort filamentairement de la bouche ouvezrte, tige, fibre, filin, fil, trompe, etc ; il s’agit d’une sorte de queue verbale, de tige de mots, de mots -bêtes etc, qui sort (donc) de nous, de cette bouche en nous  ;, comme une sorte de langue, et quyi va direct se ficher (via l’interstice-fente) dans la roche, dans pareille paroi de grotte ; nous voulons nous immiscer grace à nos pics de verbe buccal ; nous voulons entrer dansla paroi aux animaux ; nous voulons nous mettre ainsi en condition afin d»’entrezr dans la paroi des etres, dans cette paroi devant nouys , qui est la pa roi du temps , la paroi du temps des betes en nous, etc ; nous passons ; nous avons une envie qui est celle ici de coïter avec pareille paroi du temps et n’en p^lus ressortir apres introduction, de fait, en son antre ; nous chercvhons l’endroit par lequel nous pouurrrions nous glisser pour ezntreer ; nous sommes ensemble, nbous sommes mari et femme, nous nous aimons, nous aimons nous embrasserr au coeur de la pierre, sous l’afflux des animaux de charge en  ous : bisons mâles et femmelles, aurochs mâle et femelle, antilope m^$ame et femelle ; nousq cherchons une forme au coeur de la pierre, où pouvoir nous étirer et comprendre la chose ainsi enfermée : cette temporalité de la pierre de somme ; nous voulons comprendre la chose ici qui se passe autour de nous et en nous ; nous pensons qu il s’agit d’une charge (en nous)- animalière, peut etre s’agit-il de cette chose ; nous pensons qyue n ous sommes munis d(un appareil de détection ; nous sommes munis d’une sorte d’appareil en nous, de détection d’ondes ; nous pensons que nous sommes équipés (munis) d’appareils de détection animalière et du coup nous savons, nous savons en nous l’importance des betes ici de grossetaille en n ous ; nous avons en nous des animaus de grosse taille, fort, qui charhghent, qui meuglent, qui cherchent à sortir de nous, qyui cherchent à s’enfuir direction la paroi de roche ; nous voulons ainsi, nous voulons ainsi avoir, nous voulons ainsi avoir qui sort de nous ce troupeau et direct, sur la paroi, va à se ficher contre et s’immiscezr pour (disons) l’éternité ou quelque chose d’approchant (pas loin)  ; nous voulons conserver pour nous latrace de ces betes en  nous, qui jusque là étaient en nous ; je suis un e bete : je dessine des b etes, ni plus ni moins ; il s’agit de cette chose naturelle ; j’aime cette chose ^: dessiner des betes, alors qu’est-ce que jhe fais ? je prends ce qu il me faut pour dessiner sur roche, et je m’y colle ; je me lmaisse faire, je me donne, je me laisse guider, piloter ; je me laisse dépasser, je me laisse piloter, guider, dépasser, surpendre etc ; je laisse faire ; je lmaisse en moi la bete dessiner son allure de bete, j’aime etre la bete qui dessine, qui se dessine e,llle m^eme ; j’aime et je suis l’aurochs du dessin ; j’aime et je suis le bison du dessin ; j’aime et je suis l’antilopê du dessin ; j’aime et je suis le buffle du dessin etc ; je suis ce que je dessine ; je dessine ce que je suis ; je suis une gazelle, je suis une antilope, je suis un ours des cavernesz, je suis une bete féroce, je suis un cheval, j’aiume les chevaux qui chargent en troupeau sur paroi ; je suis, je dessine etc ; je suis un cheval qui est sur paroi cet animal de compagnie du coup ^pariétale ; je suis cet animakl, jhe suis cettte bete , je suis en moi cette bete ; je suis cet animal en moi ; je suis moi-même cet animal que je dessi,ne ; je suis l’animzal que je dessin,e et je suis cet animal qui charge sur pâroi ; je dessinee un buffle, un bison, un ours et moi même jhe suis ce buffle dessiné, ce bison ou cet ours ; j’aime les betes qui en moi me guident et deessinent a vec ma main soudée, avec ma main soudée à la sienne, à la main de cette chose en moi quyi me guide dans les traits que je trace sur la paroi ; nous sommes deux ; nous dessinons ensembvle sur parois ; il faut etre deux pour entrer ; il est n écessaire d’etre accompagné d’un animal de compâ gnie de transe, etc ; nous sommes deux (couple) et nous nous i:mmisçons dans la paroi  ; nous aimons etre ainsi accolés soudés et enttrer dans pareille paroi de grotte,  ;nous aimons ensemble nous loger dans pareille pâroi et nous y glisser en son coeur et y rester un temps ; il s’agit d’un coït pâriétal ; nous sommes ensemble dans le dur de la pierre  de grotte  ; nous sommes rupestre n ous mêmes ; nous voulons rester ainsi danslapa roi et n’en plus sorrtir ; nous sommes logés en elle ezt ne voulons pas la quyiiter ; nous sommlmes logés dans la paroi et ne voulons pas en sortir car nous y sommes bien, nous nous y plaisons, nous sommes au chaud, nous sommes entourés de betes qui nous tiennen,t chaud ; nous sommes le présent du temps pariétal ; nous aimons nous retrouver ainsi au coeur de la paroi et entendre et voir autour de nous ces animùaux massifs charger sur paroi ; nous ne voulons pas nous désunir, nous voulons rester unis ; nous chertchons (tous les deux) à rester unis et à ne pas nous désunir au coeur de la paroi ; ce qui nous importe est de rester soudés (collés := main dans la main)  et de ne pas  nous désunir ;sous aucun prétexte ; nous voulons rester ensemble main dans la main ; nous posonsq nos mains sur la roche = nous restons unis , main dans lz main ; nous sommes ensemble au coeur de la paroi, mains négatives dans mains négatives , nous sommezs unisq, nous sommes unisexe ; nous cherchons l’immixtion et la trouvo,ns via l’entremise des mots-animaux qui piquent la roche et permettent l’accès unisexe, en permettent l’accès , et voil ;à comment nous avons  réussi ensemble à nous introduire au coeur de la roche (du roc) ; nous avons eu pour nous un apport, une aide massive,, ce fut bien utile ; nous sommes entrés dans la roche et nous avopns  vu ce qui se tramait, et nous avon,s compris un grand nombre de choses concernant les affaires du monde, le train des choses de la vie sur terre ; nhous sommes concvaincus que les cxhoses sont ainsi qU’elles se devaient d’etre ; nous avons pensé cette chose ; nous sommes occupés (très) par cette peznsée, il s’agit d’une pensée centrale, considérable, sur lzaquelle il serait judicieusx de plancher, etc ; il qs’agit d’u ne pensée-phare et cette pensée est au coeur de toutes nos interrogations existentielles ; si oui ou non les choses sont écrites, etc, ce genree de pensée, cce genre d’assertions ; nous pensons qu il s’agfit d’une question de gr(ande importance, il s’agit pour nous de (certainement) la quezstion des questions ; il semblaerait (so-uvent) au cours des jou rs de tous les jours, que des choses qUI adviennent sont (étaient, fussent) écrites au préalable ; il sembklerait que nous ayons affaire à un temporalité annexe : deux temps, trois mouvements ;, il semblerait que nous avons affaire à un type de temporalité annexe (anneexé ?. ; nous pensons qyue c e que nous vivonbs est fortement conditionné pa r des facteurs que nous ignoron,s grandement, nous sommes (serions) passablement condition,nés, et que, par moments, un bcertain nombre d’évènements de nottre vcie sembvlzeraient a voir été écrit, et c ela est étrange ;nous pensons que parfois des choses qui arrivent n’arrivent pas seule, et trainent avec elles d’autrtes évènements qui sont comme sortiesvde nottre passé  , etc ; nous avons l’impression pa rfois , que les choses se goupillent enttre elles, dans une sorte de sens logique, dans une direction qui est comme déjà écrite, comme tracée en a mont , et cela plus souvent que d’ordinaire ; notree sentiment sur la question, est que la chose peut ettre, est que cette chosepeut-être existe, est que cette chose e»st probable, existe peut être ; il s’agit d’une dsrôle de chose, sur laquelle lesz avis divergent, et que peu de gens , parmi les gens de svcience, croit ; peu de gens croient en cette chose (dans le monde des savants, car pour le reste, nombreux et nombreuses sqont ceux et celles qui croient à une chose de la vie qyui serait écrite avant d’advenire ; nous essayons (en laboratoire : notre temple) de comprendre ce qui sepasse, car nous sommes tres intéressés par ce phénomène et nous aimerioons en sqavoir long szur cette question ; nous voulons connaitre la vérité en toutes chose ; si le bison qui est dessiné est cvelui là même qui tenait le cxharbon de bois etc ; nhous voulons connaittre le fin mot de toute cette affaire de bison et de charbon de bois ; et d’abord pourquoi cette recherche ? pour quoi ceette recherche (cette avancée) quand tout pourrait etre offert tantot, en direct, sans plus de recherche , sa ns plus se casser les dents ; il se pourrait que les mots raisonnés ne soient que peu utiles en cette matière, nous pensons que les mots humzains n e sont guère utiles et que les mots aénimaux (corne, etc) o,nt une autre efficacité, etc ; nous pensons que cette chose de dire avec des mots-animaux en dit long et profond, etc, quand les langues humaines tournent eautour du pot (du pot aux roses) mais sans beaucoup de résultats ; nous essayons ensemble , de comprenbdsre ce qui est squr terre, ce qyui fait que nous sommes sur terre et que nouqs sommes ce qu il nbou parait (déjà physiquement) que nous sommùes ; nbous voulons grandir et dépasser certain,s stades ; nous voulons nous ancrer ; nous voulons trouver ce qui est du monde, nous chezrchons à bien comprendre le monde, ses données  pariétales eztc ; nous cherchons dans la paroi ; nous sommes ensemble à deux à chercher au sein de laparoi ; nous ne comptons pas nous désunir, mais tout le contraire : nous tenir blottis l’un da ns l’autre ; nous voulons rester groupés et nous tenir coi, devant pareille paroi, avant immixtion ; nous aimons lkes paroiis des  grottes car celles ci recèlent de trésors d’ingénuité conjugale, etc ;  nous aimons nous immis cezr dans les parois, main dans la main et comprendre (depuis là) ce qui setrame question vie et mort ;nous essayons de découvrir ce qui se passe, ce n’’st pas facile, nous essayons en cha,ngeant de point de vue, etc ; nous nous aimons pariétalemeznt ; npus avançons pa riétalement) ; nous sommes presque pariétaux nous-mêmes ; nous aimo,ns nous coller à une paroi, et lorsqaue nous nous collons àune paroi, nous snous sentons auttre, nous nous sentons comme des animaux, des betes de pa roi ; nous nous aimons et nous coïtons pariétalezment et cela est§ une bone chose pour nous (au niveau des dévcouvertes par exemple) ; lorsque nous entrons nous essayons de nous creuser un nid douiller, pour nouds deux, pour nous imiscer ; nous cherchons à comprendre ce qui se passe ; nous ne savons pas grand chose de la vie et de lamort ; nous chezrchons à prendre les motrs (les mots -animaux !) par surpriise ; nous voulonsessayer cette chose, cette chose qui est la suivante : commen t fairre poure s’y prendre, pour entrrer dans laparoii des grottes  ;: nous chezrchons et il n’est pas facile de trouverr ; «évidemment nous cherchons assidume,nt, avec volonté, concrètement, et nous regardons la paroi à cet effet ; il n’est pas fa cile de trouvreer l’accès ; il semblerait qu il ne soit pas facile de trouver l’accès dans la roche, ou dans la paroi ; nous pensons paroi du temps, nous pensons à lza paroi du temps ; nous pensons que nous sommes deux chacun pour soi ; nous penson,s que nous sommes double , à chercher à nous immiscer, etc ; nous allons ensemble dans la paroi, main dans la main ; nous essayon,s de nous introduire dans la paroi mais la chose n’est pas simp^le ; nous veillons à nous immiscer ; nous aimons laparoi du temps ; la paroi des grottes ornementées est pa roi du temps ; il y a ou iln’y a pas fissure, et cependant il est bon de trouver cela, fissure de roc, car c’est par elle, via cette fissure, qUe nous entrerons  main da&ns lma main ; nous devons regzarfder avec attention et alors nous voyonsla fissure (interstice) dsans kla pa roi ; nous voulons ainsi ; notrte but est afficxhé ; nous voyons les choses de la sorte ; nous voyons cette paroi comme le support à des ébats de type temporaus-$x ; nous pensons que nous devons entrter pour  durer (laisser de soi)  ; nous sommes a insqi qui voyons cette immixtion dans laparoi du temps, en tant qu’immixtiuon temporelle pour une sorte d’entrée e,n matière conséquente ; nous pensons que pareille immixtion dans kle tempqs est un geste cde salut : main positive levée ou m ain néga tive : un coucou, un salut, tout betement ; nous venons saluer (préliminaires) avant kles ébats sur paroi, les choses d’un coït de type pariétal etc ; nous sommes ensemble et nous dessinons ensemble sur des paroids ; nbous avons ce besoin en nous, et ce’’est  ainsi que nous agissons ; nous ne voulons pas nous désuinir ; il semble préférable de poursuivre sur notre lancée, en paroi de grootte et parmi les betes (mots) dudit troupeau ; nous cherchons une entrée dans la matière, où nous immiscer, par où, en cette matière-pourtour borgne du mon,de ; comment faire pour nouds introduire en pareille matière pariétale ? il n’est pas simple de s’immiscer ; il n’est pas donné à tous le monde de faire cette chose ; il est nécessaire d’etre double , d’etrte suremonté (dépassé) ; il est nécessaire ds’ettre surmonté, d’etre doublé etc ; la chose tieznt en quelques mots squi sont de fait des mots-animaux ; la chose à dire ici, cette chose tient en quelques mots, cette chose, cette envie, cette  volonté,, et cette entrée dans la matière pariétale ; nous sommes deux qui essayons d’eznttrer dans pareille matière en dur (laparoi) mais comment s’y prendre ?  ; nous cherchons, nous recxherchons cette chose en laboratoire ; nous cherchonsc en laboratoire une manière d’entrer en la matière de la paroi, comme faisaient tres certainement autrefois (des milliers d’années en arrioère) les ghommes etv les femmes des cavezrnes ; nous ne savons plus comment nous y prendre , nous ne savons plus comment faire, comment faire ? comment nous y prendre ?  ; nous cherchons une fissure (fente) dansla roche du temps ; et cette fissur a un nom , il s’agit d’un nom doné par l’ homme, il s’agit d’un nom ancien, il s’agit du mot de «hole» ; nous avons donné  ce nom de «hole» a-à la fissure de paroi de grotte ; nous posons les choses de la sorte ; nbous voulons comprendre les choses comme elles se passent ; nous n e voulons pas savoir de travers, nous voulons apprendre juszte, les choses telles qu’elles sont ; nbous voulonsc deexmots fiables ; les mots-animzaux sont-ils fiables ? ces mots qui tirent à hue et à dia, qui sont mots de charge, de la bours ; aucune confiance, car ils tirent à hue et à dia ; ils mentent (ils sont fzaits pour etre (on dirait) mal emlpoyés ; on dirait que lkes mots-animaux ne sont pas fiables en nous, et vont dans tous les sens, et du coup nous chezrchons une porte de sortie pariétale autre ; nous avons dans notre bouche une cohorte de mots-animaux et ces mots tirent à hue et à dia leur torsade et du coup il est compliqué, il s’avcère diffici!le ou comme étant coton cette chose comme quoi les mots n’entreznt pas forcéme,nt dans la paroi du temps, les mots entrent mais voilà, ne sont pas (plus ?) fiables à cent pour cent ; il semblerait que nous ayons à découvrir (en paroi) le pot aux roses (arnaque)  ; nous comprenons ; nous cxherchons au sein de notre association, ; nous recherchons des indices, nous voulons savoir, nbous sommes curiezux de savoir ; nous voulons cxonnaittre ce qui est de cette paroi temporelle ; nous voulons essayer de comprendre un peu , et plus les choses avan,ceznt et moins (visiblement) les cxhoses sont clzaires ; c’est une chose !  ; nous pensons que la paroi du temps est éternelle (train de vie)  ; nous sommes persuadés que le temps va à l’infini et est hors de  nous : il y a l’Histoire ab-vec grand H , et la préhistoire avec un grand P ; nous voulons savoir ce qui est et nous cherchons avec nos petits outils de rec herche , et avec nops méthodes, nos façons ; nous aimons nousd  retrouver ici, devant la pa roi, face à ellle, et saisir la roche, la baiser, la prebndre pour la pé,nétrer , attendre l’heure et son bon vouloir ; nous cherchons à comprendre de quoi il en retourn e ;  nous eswsayons de percer le myst!ère du buffle sur roc ; nous cherchons à cdeux et nousc espérons un jour comp^rezndre ce quyi est, ce que est cet art des parois et en quoi l’art est cette chose nécessaire = ce supp$ortt ; nous voulons comprendre en quoi l’arty est un support pour des choses à dire (montrer) à Dieu La mort (ou autrte entité des rochesq) ; par où passer ? par quoi ? où aller? vers quelle fissure nous rendre ? comment s’introduyire ? comment faire pour s’introduire dans cette paroi du temps ? pêutetre via les mots (les mots-animaux) qui restent  ?  ; peut-être via cette entrmise, des mots-animaux, par cette chose d’u ne percée, pâr kle fait ici de la joue percée par la pique ou le pic du graveur de roche : qui est il ? ; comment faire pour creusert la roche et comp^rendre ce qui est ?  ; nhous paradons come des paons ; nous sommes deux (Ann,a et moi) qui paradons sur parois, squi faisons les beaux sur parois du temps  ; pourquoi parader ? pour trouver la fente, pour trouver la fissure, pour trouver la fente dans lke temps, dans le temps de survenue de type pariéto-frontale : dépassement ; nous pensons que nous devons ensemble pousser loin la choses en paroi : au coeur ; nous cherchons au coeur cde la roche : une vérité, une vérité pâ rolière, langagière, etc ; quelque chose de dit  ; et où cela ? au coeur de lazparoi ! ; nous cherchons des mots fiables, des moots qui diraient le vrai du vrai, et pour cela nous entrons dans la roche (le dur) de la grotte ; comment faire ? les mots humains n(‘y suffisent pas, qui sont girouettes, fzeaux-fuyants et girouettesq ; nous cherchons un verbe solide, le v erbe solide de la vérité ; nous voulons trouvezr ensemble (e,n laboratoiire) le verbe de la vérité ; nous recherchons 1 le verbe de la vérit&é ; nous recherchons 2 le verbe du non-mensonger etc ; la vie en paroi est la vie intemporelle, faite de mots-animaux qui chargent , paradent, sont le présent du temp^s (des mains tout aussi bien) ; le  temps est des mains ; le temps = mains positives et mains n,éghatives = les deux versants, les deux choses, le dedans plein et le dedans vide etc ; et pareillmement le pourtour des mains : un coup en plein , un coup en vide, etc  ; nous voulons trouver une v»éritéc dans la roche ; nous cherchonsà noous immiscer en elle en l’épousant, en eswsayant d’en épouser le relief, les anfractuosités ; nous aimons le relief de  la roche, nous aimons passionn,éme,nt le relief de laroche des grottes , et du coup nous venon,s nous coller à lui et l’épouser comme  une gravure etc ; nous sommes qui nous collonbs à pareille p âroi temporelle comme une gravure sur une mùatière dure ; nous aimons les beztes qui chargent au sein des seins d’un e grotte de lapréhistoire ; il s’agit de ces mots-animaux qui vont et viennent sur parois, qui chargent et meuglzent etc ; il s’agit pour nous de comp^rendre ce qui se trame ; nous  cherchons dans tous kles sens: nous sommes des chercheurs de lavbvoraztoire ; nous voulons comprendre le fin mot de toute cette histoire de préhistoire ; les mots ici son t des animaux sortis de bouche , et les mains représentés sont des entrées (bonjhours) en matière, des coucous sur pierree avant la gravure ou le dessin proprement dit, avant la gravure ou le dessin d’animzaux proprement dit ; nous voyons kles traits sur roche : nous so:mmes amants, nous nous enlaçons, nous nous entortillonsl’un l’autre ; la paroi est le support pour des é bats de type torsadés, etc ; nous gravissons, nous gravons ; nous b-gravissons les étapes  ; nous gravons ; nbous sommes pleins ezn nous de cette chose à souffler sur la roche ; nbous aimo,ns les pein,tureswrupeswtres, les mains accolées, les choses posées sur roc etc, offrandes, cupules, etc ; nous sommes ensembvle en roche (accolés) pour une immixtion tenace, qui vint à tenir dans le temps, un geste de salut à la roche ; nbous pensons qu il s’agit d’un salut à double entrée (assertions) : le salut offert à la roche (un bonjour) et le salut de l’ame , ou le salu de soi, son oeuvtre de fiction ; nous allons dans cette roche a c-vec un eznsemble de mots-animaux en bouche (hole) et nous crachons cxes betes sur pierre, sur cette paroi de grotte : hole pour l’étzernité, ce trou de la bouche en nous, puis ce pic sur roche apresq nous, avec nottre manchon ou poinçon qui sort de notre bouche ; nous voulons reswter collés à cette paroi car nous l’aimons ; ici l’amour est une colle indépassable, indéboulonnable ; iln semble qu ici lm’amour est cette colle indécrottable , etc ; nousw cherchons ce qui peut ou pourrait etre ; nous voulons comprendre les arcanes, nbous voulons trouver une vérité de roche, ; etc ; pas simple ; pas s ûr ; rien n’est simple ; rien n’est à coup sûr ; nous cherchons dans notre petit coin, nous faison,s des recgherches documentées, nous avons du pain sur la planche ; nous sommes tous les deux qui recherchons tout un tas de choses concernant lapréhistoire de l’humanité et pour cela nous avons embarqué avec nous ce mot de «art» car il nous a semblé que ce mot était celui qui , aujourd hgui, dans le monde, est partout présent à un niveau de survenue considérable, et ce à tous les niveaux ; nous avons pensé que ce mot de «art» était le plus à même de cristaliser, autour de luyi , un grand nombre de cxhoses de p^rezmière importance, à cristalliser une foule de dsonnées qui parlent au coeur, qui s’adressee au coeur, qui fouilleznt au coeur : qui fouillent au coeur des cxhoses ; nous avançonqs ainsi avec ce petit (court) mot de trois lettrte (en français) et essayonsq de comprendre ce qui est ; car nous pensons que ce mot de «art» peut parfaitement etre flan-qué (comlme tous) d’uen définition arrêtée ; nous pensons que ce mot de «art» ne s’échappe pas et reste sur place, et se prèete comme les copains à etre défini un pôint c’estr tout, ce genre d’approche ; nous avons pour ce mot un souci particulier, car il s’adresse à beaucoup de monde, pa rce qu il regroupe beaucoup de notions ; ce qui à nous nous intéresse ici est que voilà ce qui est ici, conttre la paroi : ce dessin d’un animal, cet art dès lors, puuisqqu il s’(agit ici d’une choses déposée sur paroi (devant) ave c  une finazlité formelle précise : une vol:onté ; nous pe,nsons que cette volonté préside ;, reste à cpnnaitre les tenants et lesz aboutiissants de c ette volonté  ; aussi nous cherchons, nous sommes mari et femme (ensemble) chercheurs-chercheuses qui cherchons da,ns les parois du temps , l’interstice: où est il ?  ; nouys ne le treouvons pas toujours, nouys ne trouvons pazs facilemnent, nbous cherchons le trou (laps, lapsus, hole) dans le temps qui dse déroule de$vant nous : paroi ; où se loger ? où est le trou ? où est l’oeil  ? où est l’ouverture, la paupière , etc ?  ; nous cherchons depuis des jhours et des jours et nous abvons de la peine pour le coup à trouver pareille fissure ; nbous cherchons de nottre côté et nous espéronstomber rapidement sur une fissure de roche ;: nous chetrchons dans notre propre laboratoire ; nous cherchons une fente, une (?) , un  (?) hole ; une fente, un interstice ; nous sommes à l’affut ; le monde esqt borgne, plein de formes animales étonnantes, de formes de fleurs ou de plantes étonnantees, etc ; nous sommes à la recherche d’une vérité concernant la forme des choses, le nerf, la chose brute ; nous espérons découvrir une vérité comme le sont celles des csientifiques, des savants en laboratoire car nous sommes nous m^$emes dans un labo, àà l’intérieur d’un laboratoire de recherche ; nous avons du pain sur la planche, maids n  ous sommes des travailleurs acharnés, nous sommes achjarnés, nbous travaillons d’(arrache pied pour comprendre ce qui est de  c   ette chose appelée «arty»  ; il s’agit d’une posture animalière, une représentation vivante ; il s’agit d’une posture animalière , faux semvblant pour tromper xson monde ; l’(art est du mot-animmal ; il s’agit dxe mots ; toute représentation parle et dit son mot pl ;us ou moins caché, et plus ou moins repérable ; nbous pâssons ainsi nos yeux, notrte  rezgard, bnous balayons la roche du regard, nous passons uun vcoup doeil, nous passons-balayons sur roche, sur mur de hgalerie, tapissons, etc, voyons les formes rupestres ;, ces dessins, ces gravures etc ; nous balayons du regard ; balayer du regard ; nous cherchons une vérité et cette vérité la faire -nottre, l’avaler, l’ingurgiter etc ; nous comprenons sur la paroi ce que la chose (le bison , par exemple) représente, il s’agit de choses «bien faites» = reconnaissables la plupart du temps ; nous aimons les représentations reconnaissables : ces betes ; ces betes qui sont des mots (toujours) et quels mots ! insultes à agent etc ; nous pensons que nous dezvons voir et toucher ; nous pensons que nous devons toucher ; nous aimons toucher les formes, les comp^rezndre via la main = le temps ; le temps de laparoi est  ;le temps de la vie elle mê=me, dans son infinitude ; nous parlons devant laparoi et de notre bouche sort ce pic de roche, qui, d’un coup vif, trace le museau d’une bete de somme ; d’un trait vif et ainsi de suite : pif, paf ! ; nous aimons ces dessins vifs, vite fait ; vite fait, bien fait ; nous aimo,ns cette paroi de caverne, ces mots-dessins qui nous font face et disent leur douleur de joue percée, ce langage balbutiant etc ; buffle, bhison, phacochère, cheval, bouquetin, isard, veau, etc ; nous chantons à la gloire des b etes sortant de notre trou-bouche et montant (cohorte) vers le ciel de la grotte (amen) ; nous croyons en cette cohorte (ce fil)  ; nous voulons en savoir plus sur toute cette affaire, nous voulons connaitre kle fin mot de tout-e cvette affaire ; nous sommes à l’édcoute des parois ; nous voulons comp^rendre pourquoio nous sommes qui  sortons de nous (nommés) des choses comme sacraliszés par des hommesq ; nous voulons comprendre pourquoi nous sommes qui sacralisons, donnon,s une valeur , et le pourquoi du comment cette «course» à la valorisation, etc  ; nous chezrchonsc le chapeau, nous cherchons la raison ; nous voulons comprendre = nous cherchons une raison, etc ; je ne sais pas ; nous ne savons pas pourquoi nous disons art, et ce que ce mot recouvre au juste en terme de valorisation, et de quête de valorisation ; un métier, nous pleurons ; nous cherchons ; nous voulons comprezndre mieux ce terme («ar»( et pour cela nous nous bousculon s, nous nous faisons violence pour ainsi dire, pour comprendrelesressorts cachés, s’il en est ; je cherche, je souffre, je me plie en deux, je regardee de paertout (laroche) ; je regarde ces peintures d’hommes anciens, -ou de femmes anciennes ; il s’agit de betes, il s’agit de betes grandes ; nous voulons approchezr la vérité de quelque cxhose, la véritév sur quoi que ce soit ; il est indiospensable (pour nous) de comprendre le fin mot de toute cette histoire de mots-)animaux ; il nous semnble que lza chose (en termes de compréhensionet de préhzee,nsion ) s’impose  ; nous faisons (à deux) la roue ; nous faisons les beaux, nous paradons, nouds nous montrons sous nos meiklleurs auspices ; nbous paradons devant la paroi ; nous para dons au sein de la paroi ; nous pâradons tous deux  au sein de la pâroi du tempsq ; nous sommes inclus : inclusion ; nous cxhercho,ns une clé ; nous cherchons la cxlé pour entrer dans pareille paroi de grootte ; nous avons des ambitions qui se situent à des niveaux élévés de compréhensioon ; nous voulons savoir pour quoi ceci ou cela en la matière, nous cherchonsq dans nottre atelier -la boratoire et nous découvrons des choses ; nous découvrons des choses que nous mettons de c^$oté ; nous découvrons de petites choses, nous découvrons sur laparoi du temps, nous cherchons autour de nous ; nous voulons comprendre ce qui est de toute cette histoire,le pourquyoi du comment les mots-betes, la betise, le ras du ras de terre-mère, la roue du paon , etc ; njous sommes sur quelques pistes ; nous avons en nous dexmots que nous trimballons dans nottre baluchon ; nous cherchonsz une vérité qui soit d’airain , c’erst à dire ... une vé&rité ; une vérité pour toujours, c’est à dire une vérité ; une vérité de poids, une vérité qui tienne la route et ne flanche pas (comme non-vérité des lors)  ; notre envie àtous les deux est exactement la lmême et c’e’st ^pour ça (cela) que nous bossons dans le même laboratoire de recherche ; nous sommes branchés sur des recherches qui sont prenantes, nous sommes connectés ; nous avons des recherches en cours, qui concernent l’art, son monde, son nom, etc ; nous essayons de pousser une réflexion qui puiiss e «le faire» en tous lieux et qui puisse apporter de quoi penser à ceux et celles qui eux mêmes sont verséss etc, ; nous pârlons des mots-animaux ; nous sommes ensembvle (dans notre temple) et nous cherchons une vérité fiable = une vérité tout court, car la vérité = la vérité (point barre)-  ; il n’y a pas 50 fa çons, s’il y a 50 et plus de vérités, il n’empêche quun e vérité ets égale à elle m^$eme et se suffit ; nous pensons en laboratoire, avec beaucoup xde tenacité ; notre but est de trouer les choses et de voir de quoi il en retourn,e, commed’une chaussette peut être ;  nous voulons découvrir ce qui est pour nous en cemonde, la mort ? la vie qui est cette chose insaissable etc ; nous reghardons vers la paroi et nous pensons qUe pareille paroi est une chose qui comporte en elle un certain nombre d’explicatiuons ; nous voyons ces choses devant nouds, nous pensons quil s’agit de chosesq déposzées comme par mégharde, il s’(agit de betes figuréeds, de betes à chasser, etc ; il s’agit d’art pariétal, de rock art, et cela est que nous sommes munis d’un pic pour graver les motrs sur des paroios de groote, des mots-an,imaux ; nous avons des mots-animaux plein la bouche  ; bison = eoil ; bouquetin = nez ; chevreuil = menton ; antilopê = paupeière etc ; nous imaginons la scène ; nous pensons que cesq betes sont des gros mots (coït) et qu elles rugissent fortement en grotte ; nous pensons que la grotte eswt probablement une caisse de résonance ; nous mettons des mots sur des choses de grotte, des mots ainsi sont mis et comme déroul:és sur des choses, il s’agit de mots amis, et de faux amis ; les mots ne disent pas la vérité, le contraire est vrai ; nous pensons que les mots nbous blousent ; il faut ruser avec les mots ; le langage (humain) appelle à ruser avec lui, à trouver opa rade , à faire la roue (dune certaine manière) ; nous pensons  que les mlots-animaux sont des roues, pour trom:per son monde (dame ou mister la mort) etc ; la roue est là pour tromper ; nous voyons ces mots-animaux sur des parois de grootte : mots de l’amour (coït) et mos de l’invectitve, etc ; donc : mots-animaux = animaux sur pa roi = insultes à tittre gracieux, à titrte non gracieux, invectives, autres , etc ; je regarde laparoi et je vois quoi, je vois des animaux ; il faut savoir que ces dessins de betes sont des sortes d’équivalennts à nos mots à nous, hommes des temps présents ; nous pensons que ces animaux sont des mots, des mots scvandé, fdes mots chantés tres certainement = vrillés, torsadés , etc  ; du fil  ; il s’agit d’une pensé»e qui est né au contact de lapa roi du temps et qui vaut ce que vaut u,ne pensée au contact de la paroi du temps ; nous imaginons ces chodses ainsi : conta ct = crâ,ne sur paroi froide ; c’est ainsi que nous voyons les choses : des dessins de betes pour des mots de betes , ou des mots-betes ; njous essayons de déchiffreezr pareils hieroglyphes mais c’est coton, c’est périlleux, c’est difficile etc ; la solution n,’est pas donnée d’emblée ou si oui alors nous ne savons pas la voir ou lalire ; nous perdons pied ?  ; nous cherchons des réponses à desz questions  ; l’art est cette chose qui est déposée à nos pieds sur le sol de terre-mère ; il sz’agit d’un dépot de temps ... pour tromper son monde ; laps en attendant ; nous voyons cet art comme un art de paroi dans tous les cas ; et dsans tous les cas (mê’me masqué, et le ^plus souven t masqsqueé) comme un art animaliert ; l’animal (sarezprésentation) est au coeur de la question ; l’animal est ce qui sort de nous (entre et sort ) ; l’animal (du moins, celui qui en imposele plus par sa taille, sa vivacité, sa vélocité etc) est un mot ; , un mo,d’insulte ; nous pensons qUe nous voyons les choses se dessiner sous nos yeuxs ; nous cherchons la vérité de cette vie ; nous essayons ensemble de piger-comprezndre la vérité de ce qui nous aentoure ; nous voulmons comprendre ce qsui nous entoure, ce qu il en est ;-, le pourequoi des chose etc, et pour cela nous avons ce moyen qui nous est donn»é (pâr qui ?) de parler ou d’écrire , etcx ;nous voyons devant nous une paroi, nous voyons devant nous des betes dessinées, il s’agit d’une galerie d’art ; nous sommes ici devant des oeuvcres contemporaines, il s’agit pour nous d’art contemporain, nous cherchons l’(art contemporain, nous cherchons des fgormes, nous voulonstrouver des formes (a-u sens llmarge) wqui nous sorte de l’endroit où nous nous postons d’ordin aire , est ce c ela ? nous cherchons des réponses, c’est à dire que nous cherchons un,e vérité dans le dire ; or il n’est pas dit que le dire recelât obligatiorezment de la vérité en bra nche ; nous ne savons pas ; nous cherchon,s ; la chose ici est que nous cherchons dans le temps de la paroi ; nous essayons de nous inscrire sur elle (en plein) via un coït de type opa riétal et  / ou une lévitation pprèzs d’elle puis en elle ; nous essayons des formules, nous cherchons )à même la terre, nous cherchons dans la terre ; nous voulons comp^rendre ce qui est devant nous : cet écran de mots-animaux qui chargent, hurlent (i n sultes) etc ; nous avcons des betes sou!z nos yeux, nous sommes tous les deux con centrés ; nous sommes assis sur la roche,, à l’intériuer de la grotte ; nous n’en sqortons plus ; nous sommes pié gés, nous parlons de choses et d’autres, nousaimons ces choses dessinzeées cdeva bnt nous, nbous les regardons avec beaucoup d’attention ; nous aimons les mots-betes et les desinonsq sur la pa roi (dans l’in sulte, le pa rler gras du pl ;aisir, l’»invective, ; etc) ; nous pleurons , nous pleurons cette chose perdue qui est une perso,n,nne en n ous, tombé»e de notree bouche, une personne : un anuimal  ; cette  cxhose d’une sorte d’animal de poids etc : taureau, ou vache ; il s’agit d’une bete qui en impose, elle est massive ; nous poussons mlza réflexion jusqu’à penser que cette bete est à l’origine, peut-être, du trou de nottre bouche, cette hole en  nous,, cette fissure, qui dès lors laiisse tomber, laisse choir des mots-betes, laisse aller en une sorte de tige-pic, etc, pour de lagra vure sur roche, etc ; njous avons un pic ; nous avons un piquous ; nous sommes a rmé (munis) d’un pic de rocx ; nous avons à la place de notrte bouche un e sorte de pic qui est l’outil qui (précisément) pêrmet de fait de graver laroche , de graver des betesq de somme ; nous avoçns à la place de la bouche (hole) un pic de paroles, comblant ladite bouche ou trouée ; et ainsi est c ette chose, qui fai-t de notre bouche , un ustensile de compréhension, de gravure dans le temps etc ; nous voulons nous approcher des définitions finales ; nous voulons nous apopprocher de ce quii est , ; de ce que nous voyons sous nos yeux et qui est en vrai devant nous, ce présent déposé à nos pieds, cet animal de poids, cette cxhose animale de fort poids, massive, etc ; le mot animal est celui que nous portons en  n ous dans l’invcective, dans l’amour physique etc ; nous espéro,ns y comp^rendre un jour squelque chose ; nous avons bon espoir d’un jour pouvoir y comprendre quelque chose ; nous avons envie vde pouvoir un  jhour y comprendre quelque cghose ; il est bien évident qu un jour un de ces quatre, nous y verrons clair, du moins nous l’espérons, etc ; il s’agit d’une chose d’impotrtance,une question de vie ou de mort ; nous pensons que la parole vient combler le trou de la bouche (colmatage, pânsement) ; le mot-bete (l’animal sur les parois des grottes de lapréhistoire) vient soignert,vient soigner le trou, vien t boucher, cvient colmater ; le mot-bete vient boucher lec trou de bouche, cette plaie ; le trou de lma bouche est une plaie vive, que remplissent les mots-animaux au passage, avan t d’aller à se ficher sur la paroi de grotte (en face  : sol-mur d’appartenance)  ; nous avons un e drôle d’impression, comme quoi les mots qiui sortent de notre bouche bouche le trou de nottre bouche ; 

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8/06/2020

nous pouvons très bien voir tout cela depuis l’endroit où nous nous situons ; nous sommes ensemble dans un temple ; nous sommes qui acvons pour nous cette chose, de pouvoir aller dans la paroi du temps, de pouvoir nous y glisser, nous y immiscer ; nous sommes ensemble qui pouvons nous introduire dans la paroi ; nous pouvons nous immiscer, nous pouvons nous introduire, nous pouvons entrer dans la paroi du temps, et cela nous le pouvons ensemble, nous pouvons ensemble nous glisser ; nous pouvons ensemble nous immiscer, nous glisser dedans, dans l’antre , dans ce trou du temps ; nous pouvobns ensemble (main dans la main) nous glisser à l’intérieur de la paroi du temps, et pour cela il nous est nécessaire de rester unis ; nous devopns coûte que coûte rester unis, ne pas se départir, ne pas se désunir, rester cote à cote, rester pprovcche, rester au plus près l’iun de l’autre, et franchir le pas à l’unisson, et une et deux et trois, et de une , et de deux , et e trois, et vlam : sur paroi, dedans, en dedans, à l’intérieur, flanqués intégrés ; nous sommes entrés dans la paroi du temps, nous avons franchi le pas ; nous somlmes entrés à l’unisson ; nous sommes dedans et nous pouvons nous parler à batons rompus de choses et autres ; nous sommes logés à l’intérieur et nous pouvons deviser en toute quiétude à présent, car nous avons trouvé notre place, une place qui nous sied, un endroit parfait de contenance ; nous avons trouvé où nous immiscer (loger-lover) sans gêne, sans se tracasser, sans etres mal, sans soucis ; nous sommes dedans (dans la paroi) et de là nous somlmes toud deux à deviser tranquillement sans plus de tracasseries, ni génes, ni soucis ; nous avons trouvé une place parfaite, une place à l’intérieur du roc et nous pouvons nous étendre à notre guise, et nous détendre ; nous aimons la paroi pour cette chose ; notre plaisir est comble ; nous cheminons ensemble, à l’intérieur de la paroi du temps, main dans la main  ; nous progressons, nous nous plaisons énormément dans cette paroi en dur, cette paroi qui nous accueille en son fiief (antre) et nous contient, nous scelle, nous prend «sous son aile» ; nous aimons etre ainsi inclus ‘(inclusions) dans elle ; nous aimons cette inclusion de noudss dans sa roche, dans cette roche en dur, dans ce dur de roche ; nous aimons etre là eensemble , soudés, dans cette paroi en dur de roche, dans cette chose dure du temps qui nous contient et nous permet de nous détendre tout du long ; nous sommes soudés, nous nous aimons , nous sommes soudés comme deux moitiés, nous nous aimons ; nous avons pour nous de pouvoir aller ainsi à l’unisson en, paroi de roche ; notre temps est celui là qui se nomme paroi ; nous avançons parmi les betes de somme ;bovidés, bovinés ; nous aimons les betes, les formes qui chargent en paroi de grotte ; notre but est d’aller fissa de l’avant, et cela main dans la main ; nous voulons aller vite en besogne ensemble et ne pas lambiner en cxhemin : au pas de charge, pour une immixtion de condcert dans pareille paroi de grotte (roc et roche) ; nous aimons nous sentir ainsi inclus ; nous avbons la main donnée à une main, nous donnons la main à une main, nous sommes mains donnée tous deux, nous nous donnons mla main dans pa reille paroi du temps, qui est cette paroi des mains données, mains positives, mains négatives ; nous sommes dans la paroi comme deux époux pour des épousailles pariétales ; nous nous immisçons ; nous aimons la paroi du temps qui nous contient ; nous aimons cette paroi de grotte, nous lépousons, nous sommes logés en elle : il s’agit de notre habitat ; il s’agit d’une maison dans le temps, nous sommes à l’in»térrieur d’une maison du temps, nous sommes en dedans de pareille maison de temps, faite de temps : façonnée ; nous aimons cela, nous nous intégrons, nous sommes qui faisons corps à la paroi du temps  ; nous sommes collés à elle et allons ainsi, ensemble, dans le temps pariétal d’une chevauché»e de betes de sommes, de bovinés, de caprinés, etc ; nous aimons ces betes qui nous portent, nous emportent dans leur élan ; nous les aimons car nous sommes à kl’unisson de leur élan ; nous aimons ces betes de somme ; nous crachons des betes de somme ; nous sommes remplis de pareilles betes en nous (à l’intérieur de notre bouche) et nous les expulsons de nous (via ce trou de bouche) vers un parterre qui est terre-mère parioétale ; nous avons des betes plein la bouche ; nous crachons ces betes par terre ; la terre est l’endroit de recueil, nous crachons sur terre, par terre, ces betes, ces betes que nous contenons, nous les crachons sur la terre,  ous les laissons tomber de nous et trouver (fracas) cet endroit en dur de chez terre-dure, sur le sol cde terre-mère en recueil, et cela est que nous voyons ces betes (fracas) se loger dans la roche, dans la paroi (charbon de bois)  ; nous nous approchons de ces betes et nous pouvons nous parler sans crainte  ; nous les aimons ; nous sommes pleins d’amour pour elles, pour l’ensemble de ces betes dessinées ; nous avons envie de nous faufiler partmi ces betes de charge, car nous les aimons beaucoup et nous trouvons qu’elles nous ressemblent, ou bien estce nous qui leur ressemblons, en tous les cas nous les aprécions beaucoup et nous cherchons par tous les moyens à nous immiscer parmi elles, au coeur de cette chose nommée paroi ; nous avons cette volonté en nous de nous immiscer au coeur de cette sorte de paroi du temps , qui est une paroi dessinée, ou remplie de dessins de betes ; nous les regardons aller de tout leur saoûl, nous reghardons l’ensemblke de ces betes (chevaux, bisdons, rennes, etc) aller ainsi, se présenter sur roche, aller ainsi sur une roche lisse, plus ou moins lisse, etc ; nous suivons tout cela des yeux, nous avons cette chance ici de pouvoi-r suivre tout cela des yeux, ce remue ménage animal, animalier ; notre chance ; nous aimons et cela est nottre chance ; notre chute ; nous aimons et cela est une chute (nôtre) dans le temps de la paroi de grotte, sur laquelle foncent des betes fortes, grosses, grandiose ; nous les aimons et nous nous faufilons parmi elles ; nous sommes nus, nbous aimons nous faufiler, nus, parmi ces betes nues, nbous sommes nues comme elles, nbous sommes tout aussi nus qu’elles, nbous les aimons nus et nous-mêmes nous sommes nus à l’intérieur de cette (donc) paroi de grotte ; nous chargeons tandis qu’zelles chargent ; nous les regardons charger et nous chargeons comme elles ; nous faisons comme elles, nous calquons nos façons sur les leurs, nbous les copions tant que nous pouvons, nous cherchons à leur ressembler le plus possible ; nous voulons etre des betes à notrte tour, nbous cherchons à tout prix à devenir betes comme elles : sur paroi de roche de grootte ; nous voulmons leur ressembler le plus possible et pour cela nous nous adossons à la paroi, nous nous y collons, et nous entrons dans la pa roi, nous en trons avec les mains, avec nos mains, nous entrons via ces mains que nous posons sur la paroi, collés à elle, nous entrons ensemble dans une paroi de grotte via l’imposition des mains sur une paroi froide ; nous posons nos mains et nous entrons, ou bien adossés ?  ; nous cherchons à nous intégrer avec les mains , dans cette paroi de grotte du sud ; nous c-herchons une entrée en matière, nbous voulons comme des meurt-de-faim une entrée en matière et pour cela nous aposons (et non adossons) nos mains sur une paroi de grotte (positif et négatif) et nous entrons en elle (pour la vie) d’uun bond d’un seul ; il s’agit d’un e entrée e,n matière, via les mains ; nous aimons la paroi du temps et nous posons nos mains sur elle ; nous posons nos mains wsur la paroi du temps ; nous posons nos mains positives et nos mains négatives, sur pareille pâroi du temps et nous aimons beeaucoup cela ; il s’agit de quelque chose que nous aimons considérablement et nous ne tardons pas à nous immiscer, à nous intégrer à pareille paroi ; nous aimons cette intégration (immixtion) à l’unisson , pour une découverte du pot aux roses de la vie en train ; nous cherchons à trouver (trouer) les choses, ces choses qui sont, qui ont des formes à hue et à dia autour de nous ; nottre but ici (sur terre) est de nous immiscer dans une paroi de grotte et de découvrir le pot aux roses concernant ladite paroi  ; notre but est clair comme ce l’eaue de source, il n’y a pas de faux semblants, il n’ya pas d’embrouilles, nous avons cette ambition en nous : d’aller de l’avant main dans la main à fond de cale ou de caisse et ainsi fissa plonger la tete la prtemière ou bien les mains en premier, les mains devant, à moins que  ce ne soit tete première, ou les deux : tete et mains tendues, vers ou dans pareille paroi de grotte du sud ; du sud ou bien dx’ailleurs : dans une paroi de grotte ; nous avons cette ambition avec nous ou pour nous ou en nous ou par devers nous ; nous allons fissa nous jeter dans la paroi (la gueule du loup ?) pour une immixtion de notrte tout commun(nous deux maion dans la maion)  ; nous nous enfonçons dans la roche ; pour cela nous aposons nos mùains ; nous faisons cette chose d’apposer nos mains pour entreerr fissa dans une paroi : vlam , d’un bond d’un seul nous entrons ; nous sommes unis et nous entrons des lors à l’unisson, il s’agit d’un haut lieu de savoirs, nous aimons ce dur de la roche ; nous essayons de comp^rendre ce qui se trame, ce qui est ici , à l’intérieur de cvette paroi dessinée, recouvertte de dessins d’animaux, de dessinsau charbon de bois, etc ; nous nous mélangeons, nous nous immisçons, il suffit de poser des mains, ce sont ces mêmes main,s que nous voyons dans le temps de survenue, dans ce temps pariétal de survenue : mains négatives et mains positives du temps présent (etc) ; nous aimons nous enferrer ainsi: dans le dur du temps qui pâsse et file à vitesse grand v ; nous y allons de nottre course la plus v éloce ; notre but est affiché en entrée de grotte (ou de paroi)  ; il est stipulé que nous aimons ; il suffit cde cela pour a ller deda ns, pour franchir le pas et ne plus reculer, nous aimons cette chose et nous la faisons ensemble , nous y allons, nous allons ensemble pariétalement pârlant à l’intérieur du temps qui est cette chose offerte en offrande au dieu de la mort ; le temps est lka chose offerte en offrande au dieu de la mort, et cela au quotidien, minutes apres minutes ; nous ne voulons pas nbous laiisser faire ; nousq voulons nous rebiffer ; nous voulons nous montrer tenaces ; nous voulons nous rebiffer et aller ainsi dans la paroi, contre la mort ; nous ne voulons pas de cette mort inscrite (où ?) et pour cela nous nous rebiffons, nous nous inscrivons (mains) dans la paroi de grotte, dans une paroi de grotte, une paroi du temps, etc ; notre ambition est claire comme de l’eau de source, de rivière ; nous voulons nous immiscer ensemble dans une paroi et cela est une colère en  nous quui ne voulonbs pas de la mort, c’est à dire de cette chose en n ous qui gagne, qui progresse et qui est une charge animale (tonitruante) qui va de son allant  de vie de mort ; nous n’en voulons pas, nous nous rebiffons, nbous essayons de nous rebiffer, de tenir bon conttre ; contre elles, contrte ces betes ici, qui sont (seraient) les betes en nous qui nbous pousseraient à mourir ou à défaillir et chuter dans l’escarcelle (le trou) de la mort ; nous n’en voulons pas ; nous ne voulons pas de ces betes de lma mort en nous, nous les crachons, nous crachons ces betes contenues en nous, nous cherchons à comprtendre ce (cela) qui se passe en  nous et pour cela nous nous collons tete prezmière et mains devant (positives et négatives) dans cette paroi du temps qui est ce cercle de roche tout autour de nous ; notre but, notre envie, notre choix, notre vo ;lonté sur terre, notre ambition, notre désir, nos quatre volontés etc ; nous nous collons (main dans la main, main négative dans main positive) à l’intérieur de cette paroi de grotte, nous avons ce besoin bizaremenjt (étyrangement) de nous coller (la joue) à la paroi et de penser tres fort à une immixtion ou bien par l»’entremise d’une relation coïtale etc ; notre but n’est pas masqué ; nous cherchons une vérité de paroi, c’est à dire une immisxtion ; nous cherchons à nous introduire dans la paroi et pour cela nous avons besoin d’un interstice d’entrée, et l’interstice trouvé, nous nous faufilons par celuyi ci afin xd’atteindre au plus tot le coeur de la rooche, là où donc se tapissent les betes du coeur, les betes dites du coeur, de ce battement cardiaque en roche (en nous) qui bat son tic tac de vie vive (et non point de vie morte à expulser pzar des trous de bouche ; nous cherchons ensemble la vérité ; y a t il une v&érité ?  ; nous la recherchopns ensemble avec beaucoup de sérieux, d’application, avec nos mains contre la roche, avec nos mains du temps appliquées ; nous les posons (aposons) sérieusement, consciencieusement sur une de ces parois de grotte, au plus profond de ces pârois, sur des roches nues ; nous les aposons , comme nous collons nottre front (crane) sur pareille roche ; nous aimons collezr notre crane et nous le faisons régulièrement, avec conscience, avec le sérieux qui sied en ceztte affaire ; Anna et moi nous collons notre crâne sur une paroi de grotte ; nous collons notre front (crane) sur cette paroi (du temps pariétal) et nous aposons nos mùaoiins par ailleurs, nous les collons à la paroi, nous aposons des mains sur parois, nous aposons nos mains sur une paroi ; nous nous ppromenons dans la foret qui jouxte le temple (à quelques mètres pres) ; nous sommes main dans la main et nous nous promenons dans la foret, il fait un temps mitigé, quelques gouttes d’eau par moments ;, mais ces moments ne durent pas ; nous aimons ces moments de promenades enn foret ; nous aimons nous tenir la main ; la main est cette chose qui sert de relais, de point d’ancrage dan,s le temps, nous le savons ; nous sa vons une multitude de choses, nous sommes savants (en nous-mêmes) d’une m!ultitude de choses en nbous (sans même nous en rendre compte) ; nhous voulons cette chose et nous espérons cette chose ; nbous espéron,s comprendre le pourquiooi et le comment les choses se produisent d’une chose et pazs d’une autre etc ; notre volonté est claire ; nous sommes ensemble main dans la main ; la rocghe est dure, la paroi brute, brutale ; nous voulons (nous cherchons : nous recherchons à) nous immiscer, nous recherchons à nous immiscer, nous avons cette volo nté de nous immiscer et nous espérons pouvoir y arriver un de ces quqtre matins, et cela sans plus d’effort que ça, naturellement pour aoinsi dire ; nous aimeriiiions cela beaucoup, nous espérons qu un jouir ou l’auttre, cette chose (dune immixtion massive de notrte mobile) aura lieu ; notree envie est cette envie ; il s’agit pour nous d’une envie massive, qui charge en nous, qui rue en nbous, quyi gronde en bnous ; nous sommes envahis en n ous par une envie massive qui gronde comme un animal ; nous sommes nous mêmes des betes ; nous sommes dans une recherche de laboratoire ; nous cherchons à lk’intérieur dee la paeroi du temps ce qui préside à la vie qui va et qui ne va plus ; nous essayons  de comprendre les choses qui sont, ces choses du temps qui va,, qui file (se faufile) ; il s’agit d’une recherc he de laboàratoire, nous le voyons ainsi, nous voyons cette chose ainsi, nous voyons cette recher che de vérité en tant qu elle se situe au sein d’un laboratoire de recxhgerche active (train de recherche)  ; njous faisons cette chose , d’une recherche active (dans le train du monde qui va)  ; nous avons une ambitiuon en nous, cette volonté, ceztte envie, cet élan en  nous, ce démarrage, cette vie d’allant etc : en nous, mais où en nous ? that is the question ; nous cherchons ensemble où bie,n pourrazit se situer cette chose en nous et nous cherchonsardemmeznt, avec passion, avec coeur, avec sérieux, où donc se loge en nous le pot aux roses : coeur poumon s ? foie ? vésicule biliaire ? chevreuil ? grue ? bison,s ? où cela se loge t il ? dans la tete ? dans la bouche ? dans le sexe ? dans le sa ng ? antilope ? chevreuil, bouquetin , isards ?  ; nous ne savons pas où situer la chose et nous cherchons comme des meurts-de-faim, comme des furieux de lma recherche (pariétale) ; comme des betes, comme des fous, comme des eznfants qui se laissent envahir, qui se lzaissent submerger par des émotions et ne savent se contenir ; nous cherchons pour nous deux , des solutionbs à nos propblèmes pâriétaux, de temps donné en offrande, sur paroi de grotte ; nbous voyons cela comme eau de source ; nous commmençons à comprendre ; nous cherchons une vérité poour nous et cela avec une envie considérablke ; notre ambition (but) est affichée (placardée) partout à l’entrée des grottes etc ; on ne peut nbous en faire un grief, on ne peut nous reprocher de ne pads le dire, lke faire savoir à qui veut, on ne peut nous faire remontrance, nous enguirlander, nbous conspuer , cxar la chose est placardée pour quii vezut bien se donner la peine de se pencher et de voir ce qui (de nous) est mis en avant en pareille pa roi : betes et mains, comme de bien entendu ; nous ne cachons rien ; nous ne cachons pas les choses ; nous les disons haut et fort à qui veut bien les entendre ; nous disons les choses haut et fort (insultes, plaintesz) sur paroi de roche et il suffit de tendre l’oreille pour les entendre, pour entendre nos cris et nos mots ; nous ne nous cachons pas, nous faisons ces choses à découvert ; nous sommes intransigeants ; nous ne cachons rien de nos dires et autres crisetc ; nous disons ce qui est pour nous, ces formes de nous, ces formes étranges de nous (ces diverses formes de nous) : nous les mettons à nu, à cru, à découvertt, sur une paroi de type rupestre etc ; nousd dessinons des animaux, c’est à dire ce qui est en nous qui sort de nous (temps crachés) et va à se loger dans cette roche dezvant nous, ; paroi en dur pour une offrande de (pour ainsi dire) pseudo vie frontale ; nous cherchons ensemble des vérités sur parois ; nous voulons comp^rendre  e qui sexpasse à l’intérieur de la pierre et pour cela nous avons besoin de nous a ccoler ensemble à pareille paroi temporelle ; nous lke fzaisons avec coeur (le coeur importe)  ; il nous faut le coeur, l’élan de vie en n ous (cette bete qyui charge) ; il est pour nous indispensable, d’avoir en nous, pour nous, et le coeur, et lélan, et la peine ; la peine contre la paroi en dur : la paroi de la dureté du tempsq ou des temps à vivre, etc ; coeur, élan, peine etc ; nous fonçonds sur elle (paroi) comme des meurts-de-faim qi trainent leur misère mais foncent tete beche sur pareille paroi de grotte enfouie ; nhous aimons nous glisser dans une paroi ; en vcérité la paroi est c e temps de vie passée offertt en offran,de à mort lagrande qui nous guette au fur et à mesure que nous progressons dans pareille paroi ; nous progressons dans une paroi, nous allons profonds ; nous voulons aller loin en elle, nous cherchons latrame du tempsq ; nousq voulons savoir ce qui sexpasse sur terre et pourquoio nous sommes ce que nous sommes et pourquoi le mondee est ce monde, autour de nous, tel que nous pouvons (chacun pour soi) l’appréhender ; nous cherchons ensemble en laboratoire (un temple) ; notre but est affiché ; nous sommes deux, deux suffisent ; nous cherchons à deux une entré en matière en vérité et pour cela nous parlons entre nous de tout ce qui nous obsède subséquemment dans la vie : le temps d’une paroi de grotte, ce que c’est ; nous  ne sommes pas en reste de chercher des vérités de grotte, et pôur cela nous nous immisçons entre des parois, dans dees interstices, nous nous faisons menus et entrons et depuis là (intérieur de grotte) nous comprenons ; nbous comprenons les choses comme elles sont en pareille roche ; il suffit de sepenchezr vers ezlles : mains de paroi apposées ; il suffit d’apposer et le toure est jhoué, il sw’agit d’un jeu pariétal de survenue extra-temporelle dans le sens où la main dépasse  le temps, où la main est le temps qui file, où chaque main est ce  temps noté qui file son allant sur pa roi de grotte , avec beztes fifgurés etc ; nous le cxomprenons ; nous essayons de mettre à jour les données ;: nous ne voulobns pas nous laisszer emporter pa r le troupeau mais le tenir pour nbous qui pilotons ; nous cherchons desq betes à comme pilotezr dans le temps : sortie dde bouche sensées ; nous cherchons des sorties sensées (de bouche) verts autrui = terre-mère, terre à terre de terre-mère ;: nous voulons comprendre ce qui se passe, et pour cela nous faisqons des pieds et des mains, nous dessinons sur des parois, nous avons en nbous pleins de betes qui ne demandent quà sortir de nous et nous, nous obtempérons, nous la issons passer cesq troupeaux via ce trou de notrte boucxhe ; nous voulons cette chose, nous ne sommes pas en reste de llaisser passer des betes hors de nous, comme autant d’offrandes faites à la mort, données, vers la mort (à son adresse) pour la museler un tant (son cri de bete hurlante en nous)  ; nous voyon,s bien de qyoi il s’agit ici, nous comprenons ce qu il en est, nbous cherchons à comp^rendre ce qui eswt et c ela à l’intérieur du langage-fissa, ce langagefissa qui est le langaghe animalier d’une paroi du temps , d’une paroi du temps à l’oeuvre ; nous cherchgons en laboratoire ; nous essayons de comp^rendre zau plus pres de laracine : rase motte ; notre but est de  nous tenir à cet endroit , ; d’un rase motte, d’un ras du ras, etc ; nous voulonbs cette chose pour nous (notre gouverne) de savoir ce que c’est qUe cette chose en rase motte, significations et perspectives ; nous voulons comprendre ce qUI est et pour cela nous avançons nos billes sur un pareterre de terre ;  nous essayons de comprendre les ressorts ; ppour cela nous sommes deux, nous sommes en couple, nous vivons ensemble sous un même toit ; nous aimons cette chose d’une vie commune, nous sommes nus ; nous sommes ensemble nus, sous un ùmême toit, sous une même bannière, à l’intérieur de nottre temple-laboratoire ; ce qui nouys importe, c’est de comprendre latrame de la paroi ; la chose qui à nos yeux compte le plus, eh bien c’est cette chose, cette trame, cette vérité de derrière les fagots ; nous voulons comprendre ce quil en est de toutes ces choses cachées et mystérieuses ; nous disons lke mot mystérieux en nous mordant kles lèvres (comme souvent)  ; nous sommes unis dans kla vie, nous sommes ensemble et cependantr séparés, dans le sens où nous ne sommes pas (pas toujours) accolés et ne formons pas un e entitéc à part  entière ; nous essayon,s de comprendre en temple-laboratoire ; pour cela nous faisons des expériencxeq ; nous esswayons de brutaliser le temps des parois, etcx ; nous chezrchons une entrée en matière (brute)  ; notre but est brut et brutal ; nous cherchgons brutalement (dans la brutalité du coup de boule) une entre é e,n matière dans le temps ; le temps va son train qui nous emporte pariétalzement ; il s’agit d’un train de mots enfouis, betes de somme qui cxhargent, ; meuglent, etc ; nous aiomons ces betes qui chargent en nous ; nousq voulons ces  betes les faire sortir de nous car elles encombrent et cela fait (expuylsion) nous en façonnons « d’autres en nbous qui , à) leur tour seront expulsées (exprimées) sur terre-mhère (paroi de grotte)  ; nous connaissons la combine ; nous connaissons les tenants et les aboutissants, nousq commençons à comprendre c e qui se trame en, fait de monde alentour : une plénitude ; et le trou là dedans est un trou fictif (?) en cela qu il n’eswt pazs visible concrètement  ; il s’agit d’un trou ; le trou de ce quyi meurt a u fur et à mesure que ça sort ; nous cherchons à nous faire comprenbdre le plus possible et le mieux possible ; la mort est cette chose qui hurle (concrètement, viscérablement ) en nous : un cri animalk ; la vie est c ela qui bat de son battement insituable ; nous considérons la vie cxomme une mort à petits feux ; nous y a llon s ensemble car nous penso,ns qu ensemble la chose (le train) iraa plus vite et atteindra plus vite sa cible ; nous consqidérons kle monde alentour et dsisons sa plénitude et nottre recherche se loge en ce dire (ce trou, cette chose trouée, trouvée dans le flot des choses)  ; nous a vons ceztte chance pour nous , de comprezndre les choses la manière dont elles se trament ; ; pour cela nous nous disons ce que sur le coeur avons ; nhous nous aimons concrètement en pzaroi, à l’intérieur dee la par’oi , et nous ten tons ensemble des rapprochements de choses : la paroi et le temps, la vitesse et la vérité, l’homme et la femme, la pierre dure et la durée de vie, la main et le traiin ; etc ; le train de vie ; etc etc ; nous sommes ensemble encore pour un bon bout de temps, nous ne voulons pas (plus) lacher l’affaire et tout au contraire poursyuivre sur notre route ce chemin de recherche active ; nous ne voulons plus la chezr lagrappe ; nous voulons poursuyivre sur notrelancée, nous voulons aller fissa sur notre lancée ; nous voulons cette chosec : comprendre ce qui est (préside) en nous, dans ce sens d’une chose ezn cours d’évolution etc ; nous nous ressemblon,s ; nous sommes chacun pour soi dans sqon coin de vie incarnée et chacun dans son corps-bulle , qui file fissa vezrs la mort, à savoir laparoi xdu temps pariétal ; nous les aimons (ces betes pariétales) et nous le leur disons avec complaintes ; nous disons ce que nous avons sur le coeur ; nous disons ce qsui est, ce que nous avons qui est sur le coeur, il s’agit de nos émotions, d’un envahissement émotif ezn nbous, qui nous fait chanceler et tomber sur la paroi et nous y ficher comme un bras dans une manche ; nous aimons les choses qui vont vers des fissures de paroi ; nbous avons beaucoup d’(ambitions dans ce sens ; nous sommes deux pour aller jusqu’à cet endroit ; nous ne voulons pas rester à quai, à quai du tempsq, mais tout le contraire  nous ficher à l’intériuer de ce temps des parois de grotte ; nous nous aimons plus que de coutume (en pa roi) ; nous nous logeons à l’étroit et faisons le dos rond pour laisserr passer le nuage sur nous (au dessus de nous ce nua ge) et celafait (une fois passé) nous nous redressons ezt disons à cru ce qui nous pèse sur lke coeur (cela qUI est sensé)  ; cette chose est d’ordre émotif ; il s’agit d’un trop-plein de cxhoses en nbous, en nous qui lachons le controle, qui perdons le controle, qui nous laissons submerger par lesz sens du dire ou des dires, etc ; le sens nous submezrge et nous trompe, nous déforme, nousd trahit etc ; nous sommes ensemble dansq une paroi, la paroi d’une grotte du sud de lafrance ; nous avons bon espoir d’y voir clair rapidement, nous espérons cette chosexmordicus ; nous &aimons beaucoup découvrir des vérités ezt nous avons bon espoir d’a rriver à nos fins un jour prochain, et pour cela nous travaillons beaucoup, à l’intériuer de notre temple-laboratoire, de ce temple qui nous sertt de laboratoire ou d’atetier de recherche et ce depuis quelques mois à présent ; nous aimonsbeaucoup ce temple ; ce tempkle nous plaît beaucoup ; nous aimons nous recueillir dans nos recherches acvtives ; nous aimons beaucpup ces moments de recherche (pariétale) actives, ; nous rechgerchons ensemble la vérité sur toute cette affa ire de vcie pariétale, de mort pariétale etc ; nous cxherchons ensemble dans tous les coins, nhous voulons absolument découvrir, et nous espérons y parvenir un jhour prochain ; nous pensons que nous sommes munis en nous d’une corne d’abondance (qui pisse dru son savoirs de choses ezt autres)  ; nous sommes équyipé en notre trou de bouche de cette tige-torsade de choses, ces chosesq sont des betes ; nous parlons betes ; nousparlonsle la n,gage dit « bétes» ; nous l’avonbs en nbous à un endroit que nous n,’arrivons pas à situer (bouche ?)  ; nous cherchons depuis un bon bout de temps à prése,nt, il y a beelle lurettte que nous recherchon,s cette chose dans le langaghe ; il se peut que la cxhose soit contenue de  ;la sorte dansle langage mais rien de moins sûr ; nous cherchons, à l’intérieur du langage, des choses, qui pourraient nous permmettree de comprendre ce qui est , que nous ne comp^renons pas ; et pour cela, bnous avons besoi,n d’une aide ; cette aide est animalière et passe par le trou de nottre bouche, ce trou en nous qui pezrmet l’offrande du temps ; car le temps est offra,nde, il s’a git d’une offrande faite à la mort, car la mort nous attend de pied ferme, elle n’attend que çàa ; la mort attend que nous donnions de nous plus que le temps , ce temps que nous ooffrons, ce tempsq passé que nous offrons au fur et à mesure que njous vivons ; autrement dit : nous offrons malgré nous une offrande à la mort , mais point notrte vie en son en,tier (ceztte pâlpitation tenue) mais tout cela de nous qUI atrouvé la mort en sortant de notre bouche: la bouche est un trou laéissant pa sser des betes enta&ssées (vrilles) pour allezr se ficher (fiche) dans paroi du temps ; nous essayons de com^prendre tout ce qui se passe ; nous essayons de comp^rezndre l’ensemble des choses qui vont dans le monde (autour de nous) $: les betes n,otamment, les animaux-mots en nous intégrés ezt qui vont (immanquablement) tomber de nous au fur et à mesure : principe du temps qui passe ; nous voulons comp^rendreles choses du monde et pour cela nous brusquons les choses, les penszées ; nous essayons de comprendre ce qui sepasse mais cela n’est pas une sinécure de laboratoire ; nous ne comprenons pas ghreand chose, nous portons des mots en bouche, ce sont des mots de bouche ; nous avons des mots plein la bouche et ces motsv sont des animaux, qui ne tarderont pa s à tomber de nous (falaise) sur laterre ferme (paroi)  ; nous avons un,e ambition (pour nous) qui est celle d’eessayer de comprendre les choses du monde, essayer non pasz de les dépiauter , de les déchiqueter pouren comprendre le «mécanisme» etc, maids plutot essayer de comprzndree le pourqiop un élan, un amoure , un sezns ; l’rigine du monde ; nous sommes ensembvle dans une chambre, cette chambres est laparoi ; nous essayons de comprendre c equi setrame ; nous sommes armés de courage ; nous voulons comp^rendre cette chose, nous voulons comp^rendre ce qui xsextrame en chambre, nus, armés de courage, vers des main,s, vers des mains qui vienneznt à se voir inscrire etc ; nous avons chacun deux mains ; chacun pour soi est muni de deux mains à cinq doioigts ; nous posons nos mains sur la paroi, sur kles draps blancs etc ; la paroi est froide et nos mains sont appliquées, apposées, nous traçons, nous soufflons, nous dessinons ; l’art est une chose ici que la paroi int!ègre pour elle : il s’agit d’une volonté de laparoi elle même, c’est elle qui décidera de quoi il lui plaira ; nous le voulons de cette façon, nous voulons comprendre les choses de cette façon, nous voulons les comprendre ainsi : nous cherchons à comprendre lkes choses de cette façon, nous voulonbs comprendre ensembvle certaines choses de cette façon et pour cela nous frappons à la paroi du tempsq (coup de boule) et apposons nos mains peintes, ou nos mains nues et soufflons ; nous soufflons sur nos mains nues apposées ; n,nous aimon,s ainsi apposer et souffler le pigment coloré sur lamain plaquée sur la pa roi du temps ; le temps est une paroi avec des animaux ; les animaux sorteznt du trou de notre bouche ; les animaux sont en nous qui sortent du trou de notrte bouche ; nous les regardons sortir du trou de nopttre bouche, nous rezgardons tous cxes animaux sortir du trou de noptre bouche, cestte joue percée pâr une pique animalière en nous (corne de licorne)  ; nous pissons de rire ; nous regardons ceztte tige de nous qui sort et va à  se ficher (fiche) sur paroi ; nou avons beaucoup de choses pour nous dans cette chose d’une paroi de temps, dans cette chose pariétale d’un temps qui va de son allant brutal (roc)  ; nous persiston s, nous ne voulons paslacher lme morceau ; nhous coïtons sur paroi de grotte (animaux-mots) et faisant cette cxhose nous nous immisçons dans ce parler en dur (pari»étal) d’une vie der roche ; nous so=mmes deux pour comprendre cette chose ; il est nécessaire de’etre deux pour comprendre cette chose: ; à deux on comprend mieux ce qui se passe et c e qui se trame ; nous avons ceztte chance (chute) de comprendre ce qui se passe (trame) et du coup nous nous sentons beaucoup plus légers et pouvons aller plus loin à l’intérieur de ceztte (donc) paroi de grotte ; la paroi nous accueille avec beaucoup de joie animale, avec beaucoup de joie animalière, avbec cette joie en e lle qui est animale en cela qu’elle est animalière (dessins et gravures)  ; nous nous projetons dans la pâroi comme des meurt-de-faim, nous entrons en elle comme da&ns du beurre, nous pâssons par le truc d’»un interstice, nous passo,ns par le trou (le petit trou) que nous repérons, ; cette cxhose infime, cet interswtice, et  c ela suffit pour nous nous frayer un passaghe ; notre ambition (on le voit) est considérable : il s’agit pour nous de comprendre ce qui sepasse sur terre, et aussi : où trouver un interstice dans kle temps  ; nous  chzec hons en laboratoire car nous sommes des chezrcheurs delaboratoire, nous sommes étiquetés en tant que chercheurs delaboratoire ; nous sommes des cxhercheursz de l ;aboratoire, nous sommes tous les deux des chercheurs / chercheuses de la boratoire ; nous pouvons nous p^résenter en tant que chercheurs / chercheuses de laborartoire ; nous voulons pa sser pour des chercheurs et non point pour des formalistes pour la forme seule etc ; nous chezrchons des formes oui , ; mais comme par défaut, ou par excès ?)  ; nous chezrchons vdes formes oui, nous les recherchons oui, en tant que ces formes (toutes) puissent nous donner des réponses (en tant que telle) sur ce q u il en est de ces parois des hommes des cavernes : bisons, bouquetins, ours des ca vernes, antilopes eztc ; nous chezrchons une chose dans desq cvavernes, ccette chose concxerne une vérité ; nous poussons les mots à la queue leu leu et espérons trouver (ici ou là, au sein des phrasesq) le pot aux roses pariétal ; nous cherchons pazrce que nous aimons chezrcher ; nous cherchons des vérités parce que nous aimons cher chezr des vérités, de ces veétrités qui existent szur paroi de grotte, de ces vérités qui sont des m ots-animaux, des mots-bêtes ; nous avons beaucoup de pa in sur la planche, nous le savons ; nous savonsq que nous avons beaucoup de choses à comprsndre ; nous essayons de nbous placer (en pâroi) de telle sorte (parmi les animaux du troupeau) que nous puissions y voir clair le plus possdible ; nous aimons beaucoup la paroi et nous nous y logeons subrepticement, au décours dx’une embardée animalière (insult, complainte) en nous ; le feu est vif sur latable aux offrandesq et attend son  heure ; nous essayons de comprendre la paroi de la groote, avec ces betes desqsinées ou gravéesq ; la femme est là dan,s cet animal dessiné, il s’agit de cette chose ; nous voyons cet animal, il s’agit d’une antilope, d’une ga zelle, d’une vache, d’une bison ; nous allons à l’intérieur de la paroi (tete première) pour comprendre cela qui sepasse en elle en fait de bison, ou de femmelle bison ; nous aimons nous immiscer dans les parois ; nous chherchons la fente dans la p âroi ; nous avons cette chose en nous, de rechercher des choses importantes, concernant la mort, etc ; nous avons des betes pour nous en bouche ; ces betes en nous (en bouche) nous pèsent : crachons-les devant nous (le présent) et cela sezra cette chose en nous $qui gronde à vie,  ; nous voulons une chose en nous, une chose qui gronde ; la vie est cette chose qui gronde (tagada tagada) sur la terre ferme, du bruit de ses sabots ; nous avons l’oreille plaquée à lapa roi de roche, à la terre mère etc ; nous écoutons le bruit des sabots qui tapent sur le pareterre ; nous écoutons cette vie trépidante, surt paroi deterre-mère : sol-mur ; nous avons pour nbous cette chance ; nous essayons dans beaucoup de sens différeznts ; nous avons un laboratoire de recherche ; il s’agit d’un ancien temple protestant , que nous avons acheté il y a trois an,s et que nous avons &équipé petit à petit ; ce la boratoire nous permet de fgaire des recherches actives à partir du langaghe de vérité, c’est à xdire xdu langage de bvérités (vérités au pluriel)  ; nous sommes tres investis chacun da ns nos recherches, dans ces recherches pariétales, dans ces recherches pariétales que nous menons de concert ; nous cherchons a ssidument, nous aimonsbeaucoup la recherche ; nous sommes des cxhercheurs nés et nous avons de grandes ambitionscdans ce domaine de la rechercxhe pariéto-frontale ; le temps est lagrande affaire dela vie et de la mort ; nous pensons que kle temps est l’affaire laplus importante, nhous le pensons p â rce que nous l’éprouvons dans nos recherches ; nous cherchons en paroi (immixtion) une réponse pa riétale obligatoirementr, et cetyte réponse est animalière ; les motrs qui sortent de nos bouches sont des a n imaux ; nous avons des mots -animaux plei la bouche ; la bvouche est un trou ; un trou est un passage (un espace) pour une tracversé ; nous aimons ce trou, cette tra vezrsée, nous cherchons à l’intériuer de laparoi du temps ce langage bloqué, cerné, achevé dans sa chute ; nous l’aimons cxomme aimons des fruits, de la viande cuite etc ; nous somlmes tres investis et avons la chose pour nous , de trouver à nous comprezndre ; nous enquetons à notre manièer ; nous sommes tous les deux qui enqueto,ns à nottre manière, c’eswt à dire à l’intériuer de la pa roi du tempsq, cette chose, cette c hose qui n’est pas rien, cette chose qui existe, qui est, qui pèse, qui pèse sonpoids ovin ou bovin ; les betes qsont en nous et sortent de nous pour vivre leur vie ; nbous sommes tous les de  ux blottis dans la paroi du t

emps ; nous avgons beaucoup de joie à faire cela ; nous discutons ensemble de toutes ces choses concertnant k’art pariétal ; nous sommes férus en cetyte maytière ; nous ne voulons pasd mourir de sitot, et betes ; nhous voulons mourir sa vants ; nous ne» voulonsz pas trouver la mort en paroi, mais la vie éternelle: ; il s’a git ds’une question d’é-ternité ; nous ne comprenons pas tout mais nous avons desmots pour nous (animaux) à laisser tomber de nous (pour etre recueillis)  ; nous sommes placés en ^pa roi (immiscé) de telle manière que nous sommes au beau milieu des betes ; nous avons en nous desq betes, qui sortent de nous  par la bouche, par ce trou en n ous que constitue la bouche, ce trou de la bouche étant pour le coup un trou dans la joue, un trou fait de l’intérieur ; en effet, un jour, une corne (comme une dent sa gensive) a percé la hjoue et aformé -ce trou que nous a ppelons bouche ; une corne d’a bondance ? une corne de licorne ? de ch 

une corne d’abondan,ce torsadée , etcx ; nous nous sommesretrouvés percés ; nous nous somlmes retrouvésflanqués d’un trou au beau milieu de lafigure, et ce trou a permis l’éva cuation en bonne et due forme de  cxes animaux-mots qui logeaient en nous  ; fibre, tige, torsade, queue de bouche, trompe, etc ; il s’agit de ce mandrin sortant de nous poour a ller se ficher direct en paroi de grotte (sous la forme de dessins ou degravures)  ; il s’(agit d’une affiare p a riétale, il s’agit d’une affaire ancestrale, antédiluvienne etc, qui remontent au temps de l’homme et delafenmme des cavernes ; nous essayons de piger ce qu il en est, mais la chose n’est pas simple ; les mots étaient quoi, les mots étaient des mots animaux ; il w’agissait de mots-animaux, qui peuplaient les parois des grootes or-nées  ; il s’agit de comprendre  cettze chose ; il s’agit d’intégrer cette chose à l’intérieur de nos recxhezrches de la boratoire ; nous sommes deux à vouloir comprendre ; nous ess a  yons de cxomprtendre kle fin mot de toute ces cxhoses pariétales qui nous occupent ; nous essayons de piger-comprendre le fin mot ... à l’intérieur du langage (pâ roi peinte)  ; nous sommres deux qUI cvherchons, entre quatre murs (nottre temple) des réponses à des questions que nous nous posons, assis, attablés, et auxquelles nous nous réferons constamment ; ces questions concernent les betes peintes sur les parois de grottes préhisqtoriques ; nous avons beaucoup d’ambition (comme on opeut le voir) et nous en ava nçons fissa en laboratoire, grace à nos métrhodes de perception des choses etc ; nous sommes équipés, nous sqommes muunis ; nous travaillons assidument ; nous voulons ce travail car nous l’aimons ; nous aimonstravailler dans notre laboratoire temple, et , à certtains moments, mettre le nez dehors un temps, prendre l’air ; nous avons ceztte chance d’habiter au grand air de la campagne, de la presquemontagfne ; nous cxherchons des vérités de parois, qui soient des vérités de roche, qui soient des vérités de roc ou de rocher ; nous sommes des betes nous mêmes, nous nous complaisons en la chose bete ; nous avons des betes en nous qui cherchent à sortir de nous ; nous sommes remplis en nous de betes qui cherchent à sortir de nous ; c’esr -t enfantibn ; la cxhose à comprendre estenfantine ; nous sommes entourés d’animaux, ; des plus petits aux plus gros, et ces animaux sont des mots, des motrs que nous avons en bvouche pour per cer lajoue qui nous empechent d’émezttre des sons pour former des mots : mots-animaux (femelles ?males ? ) qui, sortant de nous, vont illico presto se ficher sur pâroi de groote préhistoriqUEe ; nousc nous tenon,spar la main dans nos promenades ; je latiens par la main, nous avons ce lien pour nous, en paroi, partout ; nous nous tenons pa r la main, nous apprécions de nbous tenir par la main ; nous nous tenons par lamain car nous nous aimons (en paroi, partout où nous pouvons sceller nos mains, nous tenir fortement et s’en nous désunir)  ; notre but est clair et net ; nous habitons un temple ; nous habiytons un temple qui est un laboratiore ; nous cxherchons des vérités dfans kles interstices ; nous coïtons ; nous cxherchons à nous immiscer dansla paroi du temps de l’autre, dansla paroi langagière dela grotte ou de la caverne que constitue l’autree ; nhous coïtonsà même le roc ou la roche ; nous voyons des betes en l’autre (p â $riéta les) et nous essa yons de comprebndre le langage bete, des betes, nous essayon,s dee comprendre ce qui setrame, ce qui est derrière à travers la vision première, à travezrs les apparences déroulées dans un temps de paroi de rocher ; nous voulons connaoitrte toute la vérité sur les chodses ; la femme est dans la paroi ; la femme est prise dansla paroi, elle est dans cette paroi ; la (La ?) femme (femmelle ?) est dans une paroi d’une grotte en ceet chose del’intersticve ou feznte de paroi ; une femme ou une femelle ou une féminité, ou cette chose femme de pa roi en elle, cette sorte de chose femelle, ouverture, interstice etc, typiquement ; nous cherchons cette chose ouverte, cette ouverture humide, etc ;, dans la paroi d’une grotte et logeons dès lors des choses et autresq (mots-animaux ) en pareille fente hummide de paroi de grotte ; le trou (fente) xdans la roche où passer la tete et le reste ; nous cherchons cette cxhose d’un trou (femelle) danslaroche afin de glisser notre pique (corne de licorne) et nous immiscer, etc ; nous avons cette envie en nous : de sauver notre vie , de repousserr le moment de notre mort à un de ces quQ uatre au loin ; nous voulons teznir en vie ; njous donons de nous le passé ; le passé est ce qui meurt de nous à petit feu, mais ce n’est pas nous danslatotalité ; la totalité est cela que nous offrirons à nottre mort (a priori)  ; nous ne so:mmes sûrs de rien ; nous ne sommes sûrs de pas ghrand chose ; nous cherchons la fissure dans la paroi, la cupule, lma chose qui puiisse d’ezlle même conserv ezr des chose de nous données ; nous (je) sommes (suis) ce don ; nous poussons jusquz’à donner (déposer) dans l’escarpolette du temps pariétal ; ceci est vrai ; il s’agit d’un e parol:e d’évangile pour aoinsi dire ; nous avons une vérikté en bouche et cette vérité est animalière (qu’on se le dise !)  ;nous cherchons dees véritézs animzalières, bisons, bouquetins, cheval, buffles, sangliers, antilopes, rthinocéros, ours, lions, isards, etc ; nous cherchons des choses animales ; nous voulons trouver des choses ainsi à même la paroi (sur la surface) et nous immiscer par une fente (de pareille paroi) pour nous y coller et y rester un temps ; nhous avons envie de rester dans une paroi et nous y loger confortablement parmi les betes ; qui nous dira comment faire ?  ; il y faut le temps de l’élocution , il y faut au préalable un trou pour une bouche, etc ; nous regardons (ensemble) lesz parois ; nous avons besoin de paroi, nous recherchons des parois, nbous cherchons des parois ornementées, nbous ne sommes jamais rassasiés car notre faim de paroi est considérable, de parois orneme,ntées s’entend ; nous voulons voir les interstices ; nous voulons nous deux voir les interstices, les fezntesfezmmes de parois de grottes, nousq les a imons, les gouttons, les a pprécions  beaucpou ; nous aimons-apprécions beaucoup les fentezxs (cupules, interstices etc) dans lkes parois des grottes et pour nous cela est une chose (ça) tres importantes dans nos réflexions ; nous en discuton s souvent à la maison (temple) et poosons les choses ainsi: il s’agit pour nous d’une chose importante, nous voulonstenir en vie un laps de temps qui s’éternise si possible ; les betes sont là pour nous porter  : ces betes bovidés, ces betesq bovines etc ; les antilopes, les rhinocvérosq, les chevaux, les buffkles ; nous cherchons, à l’intériuer de la paroi, une vérité intemporelle ... qui n’existe peut etre pas, car nous sommes munis d’une pique , d’un pic en nous (bouche) qui perce les vérités etc ; peut êtree bien ; nous ne savons pas le tout du monde, ses arcanes ; nous  voulons en savoir long et nous travaillons en ce sens ; le laboratoire est celui que nous avons monté ensemvble : pour des rechezrcxhes pqariétales de données ; nous cherchons des vvé&rités logées ; les vérités que nous cherc hons sont des qui sont logées-lovées dans des cupules de parois, ou dans des interstices entre deux bisons ou deux bouquetins dessinés ; nous aimons ,nous loger dans les intezrstices ; nous nous tenons par la main, homme-femme, femme-homme ; nous pensons que les chodses se dessineznt ainsi sur les pa&rois ; que les choses ainsi sont dessinées sur des parois à l’intérieur des grioottes ; nous ne comprenons rien à rien et cela ne manque pas de nous laisser pantois sur roche ; nous c’est à dire elle et moi (toujours et quoi qu il en soit) :nous = je = elle et moi ; nousapprochons, nous nous approchons de la paroi du temps ; il s’agit de mots-animaux sortis de notre bouche (une queue de verbe) et cette queue de verbe est un pic qui vient graver des betes sur des rocheers à l’intérieur des grottes ; nous pensonsq que ce pic est un cap ; nous pensons que ce pic est une tete (fraca s) qui bute, qui bute  sur pierre de grootte ; je regarde tout cela, Anna est a vec mooii ; nous ne nous lachons pas la main ; l’heure est d’importance (grave dansles formes) ; nous pâradons, ; nous faisons la roue comme des paonsq ; nous nous aimons dans la parade, parade rocheuse, parade pa rié»tale : veeertige ; soumiission à la roche ; nous nous infiltrons dans les interstices ; vive la pa roi ! ; nbous aimons ensemble nous loger dans une pareoi ; nous essayons de comprenbdre ce qui sepasse et pour cela nous avons décidé ensemble de nous immiscer à même la paroi frroide, kla roche souterraine ; il s’a git pour nous d’une expé&rience de la boratoire ; nous sommesq férus d’expérience de laboratoire et nous y allons gaiement ; nous nous immisçons, nous esswayons de le faire à l’unissons, d’un bond d’un seul tete première dans la paroi : ploc ; nous entrons dans laparoi et cela est un coït, il s’agit d’une communiion, une communion avec le verbe pour ainsi dire ; il s’agit d’unr communioon avbec une pa roi de grootte et cela eswt une vérité de plus (à ghraver sous forme animale : qui un bison, qui un buffle) ; les betes (dessinées ou gravées) nous impressionneznt beaucoup ;  nous chercxhons des réponses à des questions, et cela se présente sous la forme d’une bete pariétale ; l’(art ; nous pensons que l’art seforme (torsade) à m^me larechezrche sur paroi ; l’art est ce pic entrant, certte vrille perçant ; perçant quoi ? la joue, de l’homme unisexe !  ; nous pensons que la corne de maux animaux (emmaga sinés) a perçé la jooue (je) de l’homme unisexe, et a troué la chose vers une percée seco n daire ?  ; nous cherchons la vérité de toute cette affa ire (homme et femme agglutins )  ; nous les aimons (les pics) ; nous chérissons les pics de roc ; nous voulons ensemble aller à) l’intérieur de la paroi et retrouver de fait cette chose d’un bloc unisexe qui nous plait ; nous aimons chercher cette chose en nous (pique de mots-animaux vrrillés, torsadés) et de cette pique percer la joue pour une ouverture de bouche à motss-animaux ; les animaux viennent à se loger sur un e pa eroi de grottes, njous aimons le coït avbec la paroi ; jnous aimon s c cete chose humide ; nous voulons savoir ce qu il en résulte,,notre bouche -trou a laissé choir ; nous sommes (étionsq ) unisexe avant la chute ? avant la chute dans le tempqdsq ? a bvant la chute des mots-animaux ?. des mots -animaux depûis ce trou de notre bouche ezncore sa ignante et gueulant sa douleure, son mal ; car la cxhose est doulouruese (méga-douloureuse) et pisse le sang ; trou de bouche (plaie) de la personne, qui est cette personne de sexe indifférencié (peut-etre) ; nous voyons tomber de nous des betes, des cohortes ; depuis nous tombent des betes (des cohortes, des lignes, des torsades etc) ; nous penson s que nous sommes percés, que nous sommes des betes percées, des betes qui sommes percées, des betes hommes qui sommes percés (joues) et tombons de nous des filets de sang betes, qui tombons de nous des beztes ; nous sommes des betesz (?) qui tombons de nous des beztes , qui, par terre, sont ramassées par terre-mere en vérité (paroi du temps)  ; terre-mere et paroi du temps sont une même et seule, une seule et même chose (entité) pa riétale  ; nous avons cette pensée en  nous ; nous pensons que nous sommes des betes, qui tombons de nous des betes ; quelle est la vérité en ceztte affaire ? sommes nous unisexesx ? l’arty est il unisexe comme la pique de mots-animaux, qui sort de nous, qui forme cette chose qui va dessinant (des betes) sur parois de grottes, nous ne savons pazs ; nous poussons la chansonette depuis trou-bouche mais cela est-ce la vérité ? y at il possibilité de soretir de nous (trou de la bouche) une vérité quelqconqUIe ? nousq ne savons pas et nous menons l’enquête  ici, en laboratoire ; notre laboratoire ; -c’est à dire ce temple où nous habitons (avons pris nos quartiers) ; cve temple est notrte atelier de fabrication de piques et autres pics pour des percés sur roche (pic et pic) à même la pieerrre froide ; nous sommes remplis d’espoir ; notre recherche concerne l’art pâriétal c’est à dire l’art du temps d’incxlusion ; nous poussons l’escarpolette de l’art pariétal, en laboratoire, pour des avancées  de compréhension et des retombées sur terre-mère amie ; nouqs avons de quoi penser , nous pensons ; nous sommes tres critiques et doutant de beaucoup de choses, ;, mais ce qui nhous interesse le plus (parmi tous nos sujets de recherche) est précisemment cela en nbous qui (étayé pa r la vie) ne semvble pas preter ou se preter au moindre doute ; ne semble pas se preter à la moindre mise en doute (suspicion) qua nt à son bien-fondé ; il y a des choses dont nous disobns que nous doutons etc, mais il y a des choses ancrées en nous (indécrottablees, etc) qui sont tout aussi émergeantes en nous ; nous cherchonsl’éta yé, le solide bâti, nous cherchons les étais, les pi l ;:otis, lesz choses sol:ides  ; nous cherchons ce qui un temps sert d’étai peutetre, peutetre pour un temps, ezt ensuite la chose se pêrd dans les limbes ?  ; nouys passons ainsi le temps (en laboratoire») àchercher des choses (de vérités) de pa roi ; nous essayons de déceler  ce qui persiste dans les dires, et se voit porter ainsi assidument, comme par des mains tendues (leveées) par en dessous et qui maintiennent la tenue et l’avancée (ici) du mobile sur la vague ; les mots s’enchassent qsui sont pour le coup portés par la va gue (humaine) faite de mains tendues en l’air etc ; nous sommes qui ensemble enchassons des motrs-animaux : bison, bouquetin, b uffle, antilope, rhinocéros, cheval, zébu, aurochs, chevreuils, rennes, etc ; nous parlons avec (pour nous) de l’emporte-pièce» anilmalier (mots-trompe) qui sorteznt de nousd et vont piquer paroi de grootes en face (present proche, ou présent + avenir ou futur proche etc ) ; la chance, la chute ; nous pensons (à par t nous) que nous devons ainsi aller, sur les plages du temps, sefaire porter, sur la mer ou l’océean , pare des mains amis, deux mains, puis deuxw mains, puis deux autres mains, puis deux nouvelles mains, ;, puis encore deux nouvelles mains, puis deux mains encore, encore deux mains, encore et encore deux mùains qui nous font progresser commùe, de fait, une vague de mains nous portant allongés etc ; deux mùains ; deux mains ; deux mains  ; deux mains ; deux mains ; deux mains, qui (donc) nous font passer de mains en mains ; nous sommes p  ôrtés par des mains (pariétales, du temps, négatives, positives) comme parune vague, sur terre-mère, vers demain etc ; nous avons pour nous cette chose en nbous, cette pensée que nous sommes portés (il semblerait) par des mains ouvertes (paumes) et comme (mains) d’une vague porteusee (une paroi d’une ca verne ornementée)  ; la ca verne est cette chose qui nous dolnne possibilité d’etrte ainsi ici portéc par le temps et qui nous donne (ce faisant) un peu de répit ; la cxhose est évidence, à) présent : elle se loge commùe une évidence, ezn nottre trou-bouche (retour à l’envoyeur) : nous mangeons la viande cxhassée, nbous crachonsle passé , etc ; nous poussons la chansonnette (chant de plainte) et allons ensemble (en laboratoire) sur l’escarpolette, figurer ; 

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29/05/2020

nous aimons les mains, les arbres, les sous-bois, les livres, la préhistoire, les hommes des cavernes, les peintures pariétales ; nous aimons les bois, les forêts, les oiseaux, les fleurs, les gravvures d’animaux de grosse taille dans les grottes du sud de la france ; nous aimons toutes ces chose dessinées sur paroi : toutes ces betes ; et nous les regardons ébahis ; nous sommes qui regardons des peintures pariétales avec en nous un ébahissement total, une surprise sur nos lèvres, sur notre visage, un étonnement et un ravissement, car nous pensons peut etre à tort que toutes ces peintures ont été faites avant l’avènement de la parole articulé etc ; nous ne savons pazs si cette chose est exacte et cependant nous pensons que cette chose était ainsi et que ces hommes criaient (!) et dessinaient, et lorsqu ils dessinaieznt ce qu ils dessinaient était comme des mots qui entre eux s’articulaient sur des parois, qui s’articulaient entre eux comme les osselets d’une colonne, etc ; nous pensons que ces hommes (des cavernes) étaient brillants, étaient purs, ils étaient comme non touchés encore, non salis encore, non trop salis encore par des couches et des couches de verbe sur eux (pelisse) et ainsi ils pouvaient etre vifs, purs de données, etc, face à la paroi ; ils n’étaient pas envahis de l’intérieur par des sièckles de données supeerposées en eux ; ils étaient comme des émetteurs simples, rudim-entaires et non trop sophisytiqués à cette heure ; peut etre étaient ils ainsi ; nous ne savobns pas ; nous ignorons ; nous nous posons des questions sur le sujet ; nous avons tellement de questions qui nous occupent, en nous, à formuler ; nous sommes remplis de questions sur ce sujet de l’homme des cavernes, que nous imaginons propret comme un nouveau né etc ; cela est il vrai ? nous ignorons beaucouop de choses, nous ne savons pas hgrand chose sur le sujet ; nous devrions nous enquérir (demain ,apres demain, plus tard, un jour ou l’autre) d’informations sérieuses (étayées) sur lma question avant de parler ; et cela pour tout ; or la chose ne se présente pas ainsi tout à fait ; nous pouvons, nous sommes en mesure de parler sansq savoir outre mesure et cela sur la grande majorité des sujets ; la parole précède le savoir ; le savoir est des calendes graecques, le savoir se rapporte au futur de l’apprentissage, la parole (à un moment donné)) répond au présent de la vie, qui va le parler, ; nous pensons ici que les hommes de ces temps antédiluviens avaient tres certainement un langage à eux (mimiques ?) et qu ils devaient communiquer entre eux, se parler d’une manière ou d’une autre ; nous pensons que les hommes des cavernes parlaient entre eux avec un langage à eux, leur patois local de l’époque et ainsi pouvaient correspondre et se comprendre un minimum ; tout comme nous mêmes aujourd’hui, tout comme nous mêmes aujourd’hui, qui avons un parler en commun, nous avons appris (hier, avant hier) les rudiments d’une langue, les gfondamentaux, etc, et nous pouvons dès lors échanger des prpooos à l’intérieur de cette langue, nous sommes parés ; nous avons en nbous un grand lot de mots, de motsanimaux qui ne demandent qu’à sortir de nous, à sauter le pas, à franchir le pas, à sauter dans le vide depuis nous c’està dire depuis la bouche (la notre) ouverte à la vie ; nous sommes outillés, munis, équipés d’une bouche qui s’ouvre et qui se ferme ; nous avons pour nous (et pour ces betes en nous) une bouche (un trou) qui s’ouvre et qui se ferme ; nous sommes des etres ainsi qui nous ouvrons et nous refermons graduekllement, courzamment, comme une huitre, comme des moules etc, comme des fleurs tout aussi bien : ouvert nous sommes et (à d’autres moments) fermés nous sommes ; nous sommes double, nous sommes des etres doubles en cette chose ; nous pouvons ouvrir notre bouche et nous pouvons fermer notre bouche ; nous pouvons ouvrir notre bouche et tout aussi bien la refermer ; nous sommes en mesure d’oucvrir notre bouche , et tout autant de la refermer ; nous avons la capacité d’ouvrir notre bouche (ce trou) et de lme refermer aussi sec si besoin ou si nécessaire ; nous sommes munis d’une bouche , que nous pouvons ttres bien ouvrir ou fermer, les deux, et nous ne manquons pas de le faire régulièrement ; nous somlmles équipés de bouches à ouvrir et à fermer ; nous sommes munis de ce qu il faut en matière de bouche à ouvrir ou à fermer, et cela partout : en forêt, à la campagne, au temple, dans le village, à lépicerie etc ; nous avons (chacun) une bouche et cette bouche est un trou qui nous permet de fait de laisser passer les betes contenues en nous ; nous avons en nous des betes qui sont contenues et ne demandent qu’à sortir de nous ; nous sommes remplis de bêtes de poids, qui ne demandent en vérité (meuglements, beuglements) qu’(à sortir de nous et à franchir le pas et à se voir gravées ou dessinées sur paroi de grotte ; nous sommes équipés d’une bouche à saut, une corne d’abondance, une corne-déversoir ; nous avons (à la place de notre bouche) un dév ersoir à mots-betes (au présent) qui déverse des mots -bêtes, des mots qui meurent, ou des betes qui meurent à mesure qu elles se voient toucher le roc de la paroi de grotte ; nous sommes équpés d’une bouche-déversoir, dune bouche qui est une corne-déversoir, et qui dès lors nous permet de jeter de nous vers l’en face, des mots-betes (ou mlots-animaux) qui vont se greffer (coller) à la paroi en face, celle du présent, ce mur d’offrande etc ; ce sont des mots-bêtes, des betes -mots, des mots-animaux, des animaux-mots ; nous avons en nous (végétatifs ? ) des mots-betes qui renâcklent et cherchent l’issue depuis toujours, depuis leur conception ; ils ne demandent qu’à sortir de nous, à sauter ou franxchir le pas et à se retrouver dès lors sur une paroi dessinés ou gravbés ; ce sont des animaux du temps des cavernes, oui ; ce sont des animaux en nous qui remontent (oui) au temps des cavernes  ; oui ce sont des animaux qui remontent loin, qui viennent de loin, qui viennent d’un temps qui a p^récédé l’arrivée en bouches (les notres) du langage articuléc (avec syntaxe, orthographe, conjugaison etc)  ; nous pensons que nous sommes porteurs de mops-betes, de betes-mots, de mots-animaux ou d’animaux-mots qui remontent au temps des cavernes ; nous avons en nous des reliquats qui datent pour le coup de ce temps des cavernes ; nous sommes pleins de reliquats en nous, qui surnagent, qui restent là, au chaud, en nous, et nous avons pour eux des égards, sans même nous en rendre compte ; nous pensons Anna et moi que nous avons en nous des sortes de reliquats de choses qui remontent à des temps anciens, tres anciens, peutetre  40 000 mille ans en arrière ; nous pensons que nous venons de loin ; venons nous de loin ? et si nous venons de loin, allons nous nous arreter (chacun de son coté) si vite ?  ; nous pensons que qui vient de loin, fatalement (mouvement pendulaire de la vie) ira loin ; nous avons lafaiblesse de penser cette chose, comme quoi : qiui remonte de loin va loin, du fait que la vie offre le pendule, dsu fait que la vie offre une sorte de mouvement pendulaire, du fait que la vie elle lmême est un mouvement pendulzaire et donc si on vient de loin, si nous venons de loin, si nous pensons venir de loin , alors il se peut que par le biais de cette chose pendulaire de la vie, par le biais de ce mouvement symétrique, etc, nous puissions etre amenés à aller loin dans le futur, tout comme dans le passé l’homme des cavernes en nous ; il se peut tres bien que nous soyons ainsi, il se peut que nous soyons ainsi, il y a de forte chance que nous fussion,s ainsi et que chacvun continuat dès lors son chemin de promenade loin, loin devant, vers le milieu des connaissances en toute matière, cxar le liue des connaissances en toute matière est derrière nous mais surtout devant nous et ce pour tout le monde ; nous pensons cette chose, comme quoi le lieu des connaisances (de toutes les connaissances) est plus devant nous (loin, là-)bas) que derrière nous ; nous pensons que le lieu, nous sommes qui pensons que le liue des connaissances (le parc) est plus devant nous (demain) dque derrière nous ; il y a fort à parier cette chose, comme quoi le lieu des connaissances parquées est plus du demain que du hier ; il existe un lieu (parc) aux connaissances diverses, et ce parc (lieu) est situé dans le futur de l’humanité, et donc nous voyons cette chose , comme quoi il ne sert à rien de courir car le futur est toujours plus loin, le futur recule à mesure que nous avançons vers lui : il ne reste pas en place ; nous avons cette pensée pour nous, comme quoi on peut voir cette chose qui est que le futur sans cesse recule et n’est jamais joignable (semblerait-il) ; nous pensons cvette chose (en nous, anna et moi) comme quoi le futur nous échappe sans ceesse et aussi comme quoi le pâssé en nous reste, comme quoi en nous reste du passé de l’homme des cavernes, il y aurait en nbous des reliquats du temps des cavernes ; nous avons le sentiment qu en nous résiste ou reste encore (surnage) des reliquats, des sortes d’ilots , des reliquats qui ressemblznt à des ilots, et ces reliquats surnageraient en nbous, seraient présent en continu, resteraient en nous comme étaayages divers, etc ; nous avons cxette impression qu en nous restent des chose du temps des cavernesn, des hommes des cavezrnes, c’est à dire d’un temps antédiluvien , vieux de peutêtre 40 mille ans et des poussières etc ; cette impression en nous, ou ce sentiment, qu en nous il ya ainsi des reliquats qui sont comme des chose à sortir de nous, à cracher de nous, vers des parois de galerie ou vers un devant de soi (quel qu il soit)  ; nous aimonspenser à ce devant ici dee proximité, qui n’est pas le devant des connaissances ; il s’agit d’un présent ooffert, un présent ensoleillé (lumineusx) qui s’offre à nbous, à nos sens etc ; il s’agit d’un présent lumineux, clair, direct, proche, offert à nous dans le temps de nbotre existence ici sur terre-mère ; nous pensons que ce temps devant est dfu temps de cercle, d’un cercle, il serait le temps d’un cercle, celui qui nous entoure (encercle) du temps de notre vivant, et aussi que cette chose (que nous pensons) que donsc que cette chose, d’une chose qui viendrait de loin, irait loin ; on peut penser que si une chose vient de loin, elle ira tout naturellement poursuivre loin sa route ; il se peut que la chose soit ainsi ; nous pensons que les choses peut etre sont ainsi faites ; nous avons lka faiblesse de penser que les choses sont ainsi et que si des choses remontent à des temps immémoraiux il se peut que nous ayons pour nous dfevant nous encore quelques jours de vie à vivre ici bas ou au delà , ou dans l’au delà, la chose est possible ; la chose est possible ou peut s’entendre, ou peut se comprendre, ou eyttre dite ; nous avons la faiblesse de penser que peut etre en effet, si nous eescendons de l’homme des cavernes, peut-etre remonterons-nous à l’homme des cavernes, ou à son frère dans le futur ; ou à un homme dans le futur qui sera comme son double élaboré, comme une sorte de double des cavernes de ces temps là, de ces temps à venir là ; nous ignorons bien évidemment cette chose, ce qu elle serza ou ne sera pas, nous ne sommes pas bien savants, nbous pensons mal, nous parlons à tort et à travers, nous faisons une expérience de vie, nous vivons dans le langage, nous faisons l’expérience du lmangage, nousfaisons non point une expérience mais l’expérience du lmangage, nous faisons l’expérience du langage à travers une expérience écrite du langage, et nous ne voulons pas etre ramené à une expérience littéraire pure du mlangage, ou disons que nous ne sommes pas en train de rédiger une forme littéraire , ou un roman ou un récit ou un poéème, ou un libellé, mais que nous sommes en train de, en train de jeter sur uune page informatique, des données humaines langagières précipitées, colmme d’une expérience littéraire peut etre, mais plus vraiselmvbvlablement , comme d’une expéreience langagière existentielle et nous nre voulons pas etre ramené à une forme puraement littéraire oou sinon litteraire formatée, nouspensons que nous ne voulobns pas, nous voulons éxchapper à ce formatage littéraire et plutôt dire   notre expérience brusquée, précipitée de la langue que nous avons en nouws, que nous parlons, etc ; nous avons cette lanfgue en nous et nous faisons cet exercice d’un emploi écrit , comme une entrée en matière dans une rocxhe (roc) de grotte ; nous sommes ainsi qui faisons cette expérience, ou ce mouvement d’entrée en matière dans une roche, dans cette roche du temps devant, de ce temps en cercle, de cette chose qui est cercle de temps, etc ; nous allons à l’intérieur de laroche, nous nous enfouissons dans la pierre dure du temps ; cette expérience langagière (informatique) est un coup donnéc à la paroi, ici,  du temps devant soi ; nous pensons que ce coup donné est ce qu il est, il est le résultat d’un mouvement ; nous avons pour nous ce mouvement d’un coup donné à la paroi du temps, et ce mouvement vient de loin , des calendes grecques et de plus loin encore, des hommes des cavernes avec leurs animaux (précipités) sur paroi de grotte ; nous pensons que nous sommes nous mêmes des hommes du temps des cavernes en nous, et que nous avons en ous encore (en notre antrte) des choses animales, des choses animalières, des mots-animaux en réserve et nous avons dès lors cette impression de trop-plein ; nous pensons au trop-plein en nous comme à quelque chose qui vient de loin, peut etre du temps des hommes des cavernes ; nous avons en nous un trop-plein de chjoses animales ; nous avbons des chosex en nous qui remontent à loin, qui remontent à ces temps de l’homme des cavernes, aurignaciens, solutréens, magdaléniens par exemple, et peut-etre à pluds loin encore , néanderthalien etc ; nous sommes presque sûrs de nous, nous avons une foi, nous solmmes acharnés, nous cherchons ; nous sommes tous les deux dans notre laboratoire de recherche et nous avons l’espoir de trouver, en cherchant on peut trouver, qui ne cherche pas ne trouve pas, ou bien peut-on trouver sans chercher ? cela a  t il un sens de dire quon trouve sans réellement chercher quoi que ce soit ? trouver c’est chercher ? chercher c’est trouver ?  ; chercher c’est trouver ; nous pensons pour nous que chercher c’est trouver ; nous avons lafaiblesse de penser que  pour nous chercher c’est trouver ; nbous pensons que chercher quelque chose c’est trouver ou c’est déjà trouver ; chercher c’est trouver ; nous pensons que chercher c’est trouver ; nous pensons cette chose à part nous, et cette chose est cdelle ci , il s’agit de cette chose, comme quoi : chercher c’sest trouver ; chercher c’est déjà trouver, il nous semble à nous que cette chose est vraioe et peut etre  ditee sans gêne, sans trop de gene pour soi ; il bnous semble que nous sommes en mesure tous les deux de dire cette chose à la cantonade à un auditoire (conférennce ?) comme quoi chercher c’est trouver ; nous sommes en mesure de pronop,cer cette chose et du coup nous la prononçons ; nous sommes en mesure de dire cette chose, njous n’avons pas honte (pas trop) de dire cette chose, nous essayons de dire cette chose, nous la disons, nous la déposons, nous la donnons, nous donnons ce dire, il s’agit d’un dire animalier ; trouver cest chercher ? chercher c’est trouver ; chercher des champignons c’est trouver l’air de laforêt, le bon air forestier de la forêt ;  chercher des coquillages sur une plage, c’est trouver de l’air ; chercher des coquillages sur une plage du littoral c’est trouver le bon air iodé du bord de mer, etc ; et l’homme des cavernes en nous existe, nous l’avons trouvé en cherchant de l’air, nous sommes presque sûr de cette chose ; nous sommes quasiment certzain que cette chose est vraie et bien pensée ; nous sommesquasiment certains que l’homme des cavernes existe en core en nous , sous une forme ou une auttre, sous une forme qui nous reste à définir au juste, sous une forme qu il nous reste à définir, à dessiner , mais la cxhose en soi nous parait solide, nous parait tenir sur ses pattes, nous y croyons, nous y croyons dur ; nous solmmes presque sûr de cette chose, nous sommes quasi certzains de cette chose, nous pensons que cette chose est juste, ; nous pensons à cette chose comme à quelque chose de juste et de bien pensée, de bien vue ; nous avons la foi en cette chose, qui nous est venue malgré nbous : qui cherche trouve, etc ; je pense, je pense et je suis, je pense et dès lors je suis, je pense une chose : homme des cavernes, et dès lors je suis : homme des cavernes, en moi même, au plus profond de moi, dans les profondeurs (?) de mon être ; il semblaerait qu ainsi, dans les profondeurs, il apparait qu ainsi nous serions, dans nos profondeurs, des hommes et des femmes des cavernes (les deux ?) ; il semblerait que nous soyons encore et toujours (pour certaines choses ou à certains côtés) des hommes des cavernes ; il est peut etre vrai qyue nous sommes encore , par certains côtés, des hommes dfes cavernes, on peut peut-etre dire cette chose que nous sommes encore par  certzains côtés des hommes des cavernes en nous : les animaux-mots qui sortent de nos trous de bouche et vont se ficher (fiches) sur des murs de galerie ou de galerie d’art ; nous le pensons, nous pensons à cette chose comme à une chose avérée ; nous pensons que cette chose est vraie, nous pensons que nous avons raison ; nous disons que nous avons raison ; nous campons sur nos dires ; nbous disons que nous sommes tétus peut etre et que cela se peut que nous soyons tétu, ou que cela se peut que , en effet, nous soyons tétus, mais il n’empêche que pour nbous la chose est classée (fiche)  ; nous pensons à cette chose comme à une chosqe classée, nous pensons que cette cxhose pour nous est avéreée et nous décidons de continuer dans cette voie de réflexion, quand bien même d’aucuns seraient pzarticulièrement dubitatifs ou le resteraient , à notre égard ; nous avons la foi pour nous ; les mots-animaux sont porteurs de foi ; nous avonsq avec nous lafoi, car les mots-animaux sont porteurs à jamais de foi ; nous avons en nbous une foi de tous les diables, nous avons à part nous une foi qui est imbattable, qui est indéboulonnable car elle tient à la structure du langage, à cette structure du langage inculqué en nous, à cette chose en nous inculquée, en racinée et à jamais indéracinable , ou sin,on à jama is, indéracinable du tepmps de nottre vivant, ou sinon indéracinable  , difficilement déracinable, ou difficilement déracinalbkle du temps que nous sommes ou serons en vie, sur cette terre mère qui nous porte, qui nous tient accrochée à elle ; nous pensons que la chose (la foi en des mots-betes) est indéboulonnable car liié à la structure, en elle lmême , du langage que nous parlons ; la foi est incluse ; il s’agit d’une inclusion ; la foi est cette chose incluse dans le langage ; il y a dans le langage, de la foi qyui est une foi liée à une chose animalière en  ous ; il s’agit de l’animal en nous du temps de l’homme des cavernes, nous en sommes sûrs et nous nousappuyyons sur cette chose comme d’aucuns de la même manière s’appuie sur d’autres mots, sur des motsautrees, sur d’autres notions, sur des notions autres  , etc ; nous pensons que nous avons raison ; nous penwqons que nous pensonsjuste : nous nousappuyyons sur des mots qui sont des pilotis sur une mer instable ; nous pensons que nousavons raison sur pilotis ; nous pensons que nous avons pour nous les pilotis de la raison sur une mer (endessous) instable ; nous pensonsque nous avonsraison, et que nous pensons juste, et que nous pensons comme il faut, et que ce que nous disons est valable : nous marchons toujours (toujours) sur des pilotis ; nous sommes qui marchons sur des échasses, les échjasses de laraison, sur une mer instable etc ; nous marcghons avec le sentiement (?) liée à la foi(?) que nous avons raison et cette foi elle même liée à cette chose (pilotis) liée au langage , à sastructure ; la structure du langage entreaine un sentiment qui est celuyi d’avoir raison ; avoir raison est tres lié au sentiment , au sentiment de la structure, à la structure du langage en soi etc ; il nous apparait que la structure du langage-pilotis indxuit le sentiment de foi en soi ; il semblerait que la structure-pilotis du langage humain articulé induit cette chose en nous qui est de la foi, qui est une foi dans le langage , une foi en cette chosec d’un lmangage de raison ; nous pensons que nous sommes porteurs de temps anciens en  nous, et que ces temps anciens, sont comme des reliquats qui jamais ne disparaitront tout à fait, que ces reliquats se sont donc comme enkystés en nous (quelque part en nous) à jamais, et cela nous le proclamons haut et fort devant nous, sur des affiches , sur des panneaux, sur des tableaux, sur des toiles, sur des pânnonceaux, sur des bristols, sur des bouts de feraiille déposés à même le sol, sur desobjets manufacturés ou liées à la manufacture industrielle ; etc ; nous penson,s que cette chose est avérée et solide comme étai, comme un verbe, un adjectif, ni pluds ni moins ; nous avons une foi e n nous , et c’est celle des adjectifs, des prépositiuons subordonnées, des verbes, des compléments d’objets direct etc ; il semblerait que la foi soit liée (tres liée) à des notions lié au langage, à la langue, etc ; nous sommes quasiment certainsde cette chose, nous en sommes quasiment certain à 99 pour cent ; nous sommes quasiment s ûrs de cette chose, nous sommes pour ainsi dire certzains, nous sommes pour ainsi dire sûrs, nous sommes quasiment sûrs, nous sommesquasiment certains, nous sommes surs et certains, nous sommes certzains et surs, nous sommes sur des échasses ou sur des pilotiset nous marchons (ainsi étayés) sur une mer instable, qui n’a que peu de prise sur nous ; du coup : nous campons sur nos positions, nous tenons debout, homo erectus , qui vont sur la terre ainsi encha ssé, ou ainsi é&tayé de moytsanimaux à cracher (rejeter) continuellement , sur paroi de grotte, sur cimaise, etc ; nous avons cette chose à rejeter (par notre trou de bouche) ; nous avons des betes-mots à sortir de nous comme une chose de trop en  ous ; et ce pour rester en vie, et cela pour rester, pour conserver, pour rester en vie, pour la conserver par devers nous, pour la conserver encore un peu, encore un peu dans le temps, dans le temps dur de la paroi de cette grootte que nous visitons, de fait,  du temps de notre vivant ; nous sommes dans une grotte et nous la visitons du temps de notre vivant ; njous sommes à l’intérieur d’une grotte antédiluvienne ; la grotte que nous visitons est remplie de pêintures pariétales, est ornée de peintures et de gravures pariétales, nous la visitons ensemble, Anna et moi ; nous sommes deux, nous somlmes seuls, nous sommes tous les deux, nous sommes seuls tous les deux , à visiter cette grotte ornementée ; nous pensons qyue cette grotte est un antre ; nous avons la convi-ction que cette grotte a servi autrefois (à des hommes des cavernes) de refuge  funéraire, de refuge où mourir, de refughe où venir trouver la mort, un refuge de mort,, un endroit où trouver ou rencontrer la mort, dame ou sieur la mort, etc ; nous avons cette pensée en visitant la grotte, nous avons une pensée ici qui nous vient et cette pensée nous dit cette chose, comme quoi la mort ici (entre ces parois ornementées) a rencontré plus d’une fois des hommes des cavernes, desc aurignaciens, etc ; il s’agit d’une vérité ; la vérité est contenue dans le langage ; il n’esxiste pas différentes formes de vérité, la vérité n’a quune et seule forme, et cette forme est à rechercher fissa, est à rechercher au sein même du temps, de la paroi du temps des hommes des cavernes ; nous aimons la paeroi du temps car elle recèle mille trésors et pour le coup nous aimons les chasses aux trésors car nous sommes des enfants joueurs, nous sommes joueursc comme des enfants, nous jouons le jeu de la chasse aux trésors, nous aimons le jeu de la cxhasse aux tyrésors, nbous voulons jouer ce jeu en forêt et dansles sous bois qui jouxtent notre temple-laboratoire, et aussi dans les grottes préhistoriques , et aussi dans les mots, dans lalangue etc ; nous sommes tres friands de cette chose, de ce jeu de la chasse aux trésors, nous sommesfans, noussommes amateure ou tres amateurs, nous solmmes tres fans, aficionados, nous aimonsvraiment beaucoup les chassexau trésors dans une langue, nous aimons faire une chasse aux trésords à l’intériure d’une langue, la mettre en charpie et chercher en dedans les trésors qui auraient pu y etre ; nous mettons la chose à plat (dans le temps) et regardons de pres, au fur et à mesure, si des fois, par miracle, par extraordinaire, des trésors n’y seraient pas (qui sait ?) contenus, n’y figureraient pas par hasard, par levcplusgrand des hasards ; nous pensons que les mots-animaux sont comme desq trésors et viennent ici couvrir le monde , le recouvrir comme une bache etc, comme un cache-paupière etc ; nous avons cxe sentimznt pour nous, de nous voir ainsi emporté par un troupeau de mots-animaux, qui va meuglant-beuglant sa charge primaire ; nous avons ce sentimznt en nous , d’etre de la sorte tout emportév par une foi qui est structurellement liée à l’emploi des motsc inculqués et ces mots sont en lien tres értoits avec lesdits mots-animaux de l’homme des cavernes, cela est certain ; je suis sûr ; il y a en nous deesmots qui sont des motsanilmaux datant de l(homme des cavernees, de cela je sui certain ; il y a en  ous des mots-animaux (mots-betes) qui sont en nouds §(où ?) comme des étaisq, comme pilotis ; nous avons des mots en nous (foi) qui tiennent ; nous avons des morts en nous qui sont pour la vie et ne sombreront jamais (si tout va bien)  ; nous avbons en nous des mots-animùaux qui tiennent le choc, quii ne sombrent pas, qui sont solides comme sont solides des étais de maçon , de maçonnerie ; nbous tenons le choc grace à eux, à ces mots-étais, à ces mots de maçon , etc ; nous sommes étayés (foi) et nous projetons nos pigments sur nos mains plaqués à la paroi du roc ; nous avons du pigment plein lma bouche, et ce pigment nous le sprojetons (soufflons) sur la paroi de cette groote que nousvisitons ; annaet moi avons cette chance, de vivre ainsi, contre la paroi, contre cette pîerre dure, ce roc peint, cette peinture animalière : ce troupeau de betes de charge ; nhous adorons nous promener au milieu des betes,nous adorons et craignons un peu mais cela aussi est une chose qui est attenante aub plaisir, au plzisir de nous promenerv ensemble, main dans la main ; nous sommes tous les deux attachés à la paroi du temps et nous voyons toutes ces betes mugir (rugir) ainsi lovées-logées dans ladite paroi qui est en cercle autour de nous, cette chose borgne, cette chose close , que nous reghardons et pour laquelle ou contre laquelle nous cherchons à éppouser les formes, ou pour laquelle nous voulons en épouser les formes ; nous avons ce plaisir, cette chance, cette joie, cette envie en  ous, cette chose en nbous de nous projeter fissa, tete la première (le sens des mots) contre la paroi du temps, et ainsi nous espérons arriver à nos fins = tenir debout dans l’adversité ; nous sommes tous les deux en chemin, nous avons des projets que nous examinons ensembkle, au sein de notrecatelier-klaboratoire ; nous ne voulons pas nous laissszr aller mais tout au contraire nous recentrer ici pour une acvtivité à développert (intense) dans un domaine qui est ce domaione privilégié des recherches pariétales ; nbous cherchons dees choses en paroi ; notre but est de rechercher des choses directement liées à) la paroi du temps, nbous voulons trouver des choses qui seraient liées à la paroi du temps : coller au temps, l’épouser et dès lors «comme» voir de l’autree côtécmais en aveugle : les yeux fermés par la roche ou par le roc ; nous avons cxette ambition, nous sommes tres ambitieux, nous ne sommes pas venus pour rire, nous sommes sérieux, nous sommes concentrés, nous sommes tout entier à notre tache et faisons les choses avec rigueur et sérieux, et avec une envie qui est celle de voir les choses avancer rapidement ; nous aimons la recherche pour elle-même car qui cherche trouve ; chercher = trouver ; nous aimons larecherche pour elle m^meme, car, s’inscrivant dans le temps, elle se suffit, puisque l’inscription dans le temps en fait la valeur pour nous, donne le la, fait que la chose est pour nous un receuils de données pour le coup de première bourre, ; nous aimons cette inscription, ces dessins ; nous cherchons à les reprodyuire indéfiniment sur des rocs ; nbous avons cette chance , de pouvoir voir de pres, ces peintures, ces peintures parioétales, ces aurochs, ces bisons, ces antilopes, ces zébus, ces chevzaux, ces ours des cavernes, ces buffles, cers bisons, ces mammouths, ces rhinocéros, cxes oiseaux à échasses, etc ; nous aimons les bêtes, nous sommes pleins en noud de mots-animaux, qiiu, sortant de nous, tombent dans l’escarcelle du temps paroiétal ; nous avons des convictions, les mots sont solidement ancrés en nous, les mots sont ceux de la foi en eux, en eux m^memes pour ainsi dire et font écran ;ils sont la paroi du temps ; ils sontb l(offrande sur table ou pierre de taille ; ils sont ce qiu est donné et qui est comme ; nous donnons ce comme sur une table , nous l’offrons comme l e présenbt en soi, comme ce présent offert en attendant ; cette chose que nous donnons (des mots-animzux) est une chose intemporelle ; nous sommes des donateurs, des perdeurs, des quyi dononns-perdons ( ‘au fur et à mesure) des motscanimaux qui tombent de nous , c’est à dire de notrte trou de bouche, qui est unevplaie de bouche : avec des berges encore saignantes ; nous aimons ouvrir la bouche et nous soulager pour demeureer, nous avons cette chose à faire malgré nous ;  ;nous avbons malgré nous cette chose à faire (balancier)  ; nous passons beaucoup detemps dans les bois, à nous parler en marchant, main dans la mùain ; nous aimons les bois et les animùaux quyils contiennent, les sous-bois et ce qui est de l’ordre ici d’une végaetation forestière, comme fougère ; de ce qui répond de la végétation des fôrets , comme les fougères, les arbustes, les fleurs de sureau, les bolets, les saint-michel en bord de sentier, les f leurs diverses (marguerites etc)  ; nous aimons nous preomen,ezr au milieu de toutes ces choses, nous nous promenons au milieu de toutes ces choses ; nous aimo,ns nous preomener au milieu de toute cette végé&tation, nous aimons cela beaucoup^, nous aimons beaiucoup cela ; nbous aimons cette chose beaucoup, nous aimons beaucoup cette chose, de nour promener dans une foret main dans la main, pas loin de notrte maison d’ha bitation, de ce temple qui nous sert de maison où dormir, où vivre, un toit ; nous nous promenons dfans les sous bois et nous ramassons desbaies ; nous sommes homme et femme , femme et homme du temps des cavernes et nous dessinons sur des supportds diverts et variés afin de produire (et constituer) une oeuvre liée au temps ; nous avons à faire des choses ainsi : dessiner, graver, etc, sur des parois, des mots-animaux, les fignoler pour les rendre ressemblants le plus possible ; nous avons à dessiner-souffler des betes-mots, sur des parois de grotte, sur des murs en galerie spécialisée, sur des murs de centrte d’art, etc ; nous pensons à cette chose qsue (comme quoi) nous pourrions reprendre encore et toujours un même motif et le décliner sur de multiples supports, en de multipls manières ou de multiples manières, façons, sur des parois de grotte : mains négatives, ou mains positives ; nous voulons avancer dans nos recherches ; les hommes des cavernes nous influencent car ils sont en nous , via les betes -mots, qui nous guident, qui nous poussent, quinnous en,traineznt, d’unevcerttaine manière ; les animaux sont contenus en nouset ils renâckle,nt en nous pour s’échapper, sauter la haie et fuir au loin sur la pa roi du temps ; les betes e nnousexistent, elles sont vraies, nous ne les voyons pas sortyir de nous (de nos trous de bouche) car nous sommes des enfants, qui, pour le coup, passons tout à vcôté des choses sans les disqtinguezr ; nous sommes des enfants qui ensemble passons à côté des choses sans les distinguer plus que ça ; nous sommes des enfants qui passons pres des choses et ne les distinguons pas bien, comme par exemple les animaux-mots, ces betes contenus en nous, ces betes qui sont un langage en  nous, eh bien ces betes lorsqu’elles sortent de nous, lorsqu’elles sortent de noptre bouche, ces betes, malgré le raffut de tous les diables (fracas) qu elles font au passage (un troupeau de betes de somme à fond la caissee !) , eh bien ces betes nous restent invisibles à l’oeil nu et cela car nous sqommes des enfants ; nous voyons peu ; nous ne solmmes pas avancés suffisamment en termes de maturité visuelle etc ; un jouir viendrta où nous verron,s de  nous (notre bouche) tomber les bisons , les buffles, les phacochèresq, les chevaux, les rennes, les antilopes, les ours, les rhinoczeros, etc ; un jouir nous les verrons tomber de nous, lorsque nous ouvrons la bouche ; nous verrons les betes , les mots-betes, tomber de nous et aller se ficher, se ficher-loger, see loger-lover dans la paroi, en elle en plein , l’épouseant ou en en épousant son relief (une sorte de bas  relief pour des épousailles ad vitam aeternam de principê) ; nous essayons à notre tour, nous nous fichons contree (main dans la cmain)  ; nous nous collons à la paroi du temps ; nous sommes porteure en nous d’un quelque chose qui surnage (encore et toujours) du temps de l’homme des cavernes, et ce quelque chose est cette foi en nous, ce pilotis du langage -animaux ; nous aimons ces mlots-animaux gravés, ces mots-betes dessinés, nous pensons quye l’art a à voir avec des représentations-offrandes, en tant qyu elles sont des dons, des dons qui visent à faire accroire et à repousser les limites de son temps de vie sur terre en propre ; la chose estt classée, archivée ; nous pensons qyue nbous sommes nous-mêmes à la veille de graéndes dévcxouvertes rupestres, que nous ne sommes pas au bout de pareilles découvertes pariétales, que nous ne sommes pas au bout de voir desq dévcouverttes pazriétales, de vooir se faire ici ou là des découvertes sur des oparois, de voir des parois peintes etre découvertes, de voir des pzuintures (pariétales) découverttes inopinémzent , par des eznfants, par des quidams, dans le sud de lafrance, en espagne, en afrique, partout da,ns le monde ; nous avons cette chance, de connaitre l’art pariétal , quyi est l’art qui nous retient  le plus , cvar il s’agit d’un art pour le coup habité par des intentions temporo-pâriétales, comme un langage ; nous aimons kles oeuvres ainsi de ces hommes qui , entre eux, se paerlaient peutrerte, et peut etre, qui sait, avec des motsd -animaux, des aurochs, des buffkles, des taureaux, fdes  betyes lourdes ; nous avons une intention quyi est celle de graver des betes dans kle temps, dans  uun temps pariétal de venue sur terre ; nous sommes venus (?) sur terre ; nous sommes sortis du ventre d’une femme ; nous avons grandi comme des plantes dans la campâgne ; nous avons muri, nous nous sommes étoffés ; nous avons chanté et sifflé sur notre chemin ; nous sommes à présent en gaieté d’aller pzar les bois et les sous-bois nous promener ; nous nous promenons ; nous sommesq homme ou femme ; nous parlons un langage qui nous apparetient un temps mais qui n’est pas le notre à propprement parler en vérité ; nos recherches concernent les mots-animaux, un certain déroulé de leur charge, dans un temps donné, pour une auscultation des phénomènes (il s’agit d’une aventure lanngagière)  ;: nous ne voulons pas d’un jugzement pureement littéraire (lié à des notions de bien ou de mal écrire) mais plutot nous montrer , nous afficher, aupres de ceux et celles qyui , penchés sur leur pupitre, étudient les rapports temporels entre des betes  , entre des figures  représentées, de celles ornant les grottes du sud de laftrance (par exemple)  ; nptre a mbition (à nous) est là, elle se situe à cet endroit, regarde dans ce sens, va droit vers cette direction de pensée ; il ne s’agit pas de la composition d’un roman, d’un poème (?) etc ;, mais de la mise à plat langagière de mots-animaux (de mots-betes) sur paroi du temps, car nous sommes en vérité des hommes des cavernes, des hommes et des fzemmes des cavbernres, et de ce fait , nous gravons et dessinons sur des parois, au charbon de bois ixi, à l’oxyde de manganèse là, selon les lieux ; nous sommes des hommes et desz femmes des cavernes, encore et toujours, en nous, qui nous appuyons sur des images, sur des représentartions plus vraies que nature (à la lumière des torches)  ; les images animalières sont des étais, des pieds droits de maçon ; ils sont des pilotis pour tenir en vie, pour tenir encore et toujours en vie ; nous donnons des mots dans le temps pour la chose ; nous donnons le temps quyi est un temps vocal, un temps pariétal vocal (vocalise animalière : rugisseme,nt-mugissement, meuglement-beuglement, comme une musique, la musiqyue des profon,deurs) ; nous avonsc  la conviction que cette chose est avérée, que cette chose existe en vrai en nbous ; noud pensons que les mots sont des étais , sont des mots-animaux, et que donc les dessins dees hommes des cvavernes avaient, en eux, cette chose, cette chose d’un aspect de typee langagier, de type mots ; nous avons une conviction fich»éée ; cette conviction est fichée en ous , comme pédiculée ; nous portons dees mots en nous et ces mots sont des animaucx (« cé dé z-animo») ; nous les choyons, puis les expulsonsau fur et à mesure que nous avançons, que nous avançons dans la vie, que nous marchons sur notre chemin de vie ; il s’agit ni plus ni moins de mots-betes, ou de betes-cmots : ce sont des images, et aussi des sons ; nous les aimons en nous, il s’en crée de nouveaux toutes les secondes, nous les aimopns en nous mais nous les expuklsons en  nous pour faire de laplace, pour pouvoir ezn recueillir, en contenir de nouveaux ; bnous aimons ces mots-animaux ; nous sommes pleins de ces betees-mots en nous et nous lres sortons de nous par la bouche, par notre trou de bouche de milieu de face ; nous les expulsons comme d’aucuns expulsent des mobiles, des etres de pêu, des feotus, etcxc ; ce sont des amas, ce sont des emberlificotages de betres en amas, corne d’abondance, etc ; de noud sort une tige qui est une tige contenant des betes de sommes, des bovidfés etc ; nous sommes munis d’une tige (long bec) qui nouds permet du coup de graver sur pierre (direct)  ; car la pa roi du temps est à graver ; nous gravons ; qui ne grave pasz ? chacun grave à sa façon ; nous gravons chacun sur sa plage horaire du temps pariétal, ou nous écrivons ; nous marquons, nous essayons ensemble de noter des choses sur le roc, et cela pour que cela dure en dur, un temps allongé le plusq possible (un grand écart)  ; nous avons de multiples convixctions, nous avons des mots appris qui nous protègent, qui nous étaayent ; nous parlons les mots-animaux sur des parois et pour cela nous avons besoin de convictions (outils) qui soient en  ous prése,ntes à chaque instabnt et elles le sont , ces convictions le sont (partout et toujours présentes en nous) car elles sont des convictions solideqs, elles sont de la roche de groote (roc)  ; nous parlons aentre nous avec ici des motsanimaux et nous finissons du coup par nouys comprendre un tant soit peu ; nous nous parlonsen face à face ; nous sommes assis ; nous sommes attablés ; nous nous parlons à baton rompu au débotté, de choses et d’autres mais surtout de cette chose qui nous occupe beaucvoup et qui est cela que nous faisons de nous ; nhous parelons de cette chose qui est cette chose comlme quoi nous faisons de nous quelque chose ; nous parlons entre nbous de cela , qui est cette chose ; nous parlons entre nous de cela que nous faisons de nous, nous parlons entre nous, de ce que nous faisons de nous ; nous parlons (entre nous) de ce que chjacun fait de soi, non pas tant de ce qsue chacun fait devant soi, ou de ce que chacun fait cxhez soi etc, mais de ce que chacun fait de soi : voilà le sujet ; que faisons-nous chacun de soi même ? ; que faisons-nous de notre vie (vie = oeuvre ici) ?  ; que fait l’homme des cavernes de sa vie : reconstitution ; que fait donc l’homme (la femme) des cavernes de sa vie ?  ; que faisons-nous ici de nos vies, que faisons-nous chacun (chacun dans son coin) de nos vies ?  ; nous nous posons la question, et en vérité il s’agit de la question à sz-e poser ; il s’agit de la bonne question à se poser ; nous pensons qu il s’agit de la bonne (unique ? ) question à sse poser, celle là qui concxerne cette chose que nous faisons, cette quyestion qui concerne ce que nous faisons de notre vie ; nous faisons des choses oui, nous produisons dees choses oui, nous faisons des choses avec nos mains  , entre autres, nous disons des mots-animaux sur paroi de grottes  , oui, et cependant la question cruciale est celle qui concerne ce que nous faisons de notre vie, de notre ensemble «vie-mort» ; voilà ce à quoi nous pensons, dans notre atelier -laboratoire ; nous pensons que nous devons nous concentrer sur la forme en vrai que nous voulons donner à njotre vie ; noues pensons que nous devons penser à cette chose de type forlmelle ; nous le pensons ainsi ; nous voyons la chose ainsi ; nous pensons que la chose doit etre ainsi, et aussi que nous avons à réfléchir et à à donner, que nous avons -à réfléchir à la forme en vrai que nous voulons pour nous, notre figure etc, et à donner ainsi cette image de nous au quatre vent du monfde (pariétal) alentour ; nous sommes surs de cela ; nous avons pour le coup à dessiner sur des pareois de grotte, ou à graver, ainsi de suite, et ce avec comme objectif (avéré) de laisser ici la marque d’un pic sur le roc du temps  ; nous sommes surs de cette chose ;: nous avançons en âges ; nous avançons dans le temps, car nous creusons ici-même dans la roche ; il y a en nous des mots de betes, ou bien des mots-betes, peut être plus justement des mots-betes ; il s’agit de mots-betes de charge ou de somme, le plus souvent : des buffles, des bisons, des phacochgères, des rhinocéros, des antilopes, xdes bouquetins, des betes imposantes, des betes qui chargeznt, qui en imposent et sembleznt vraies, des betes massives, de fort poids, qui pèsent sur laterre mère, qui ont le sabot lours, qui peinent à démarrer mais lancée ne savent plus s’arreter, taureau de poids lancés dans l’arène (le cercle de la vie et de la mort)  ; nous pensons que nous sommes de taille , et du coup nous faisons cette chose entre nous , pour nous, des affiches, des affichettes, des tracts, des peintures sur paroi, de la belle peinture pariétale pour en imposerr ; nous pensons que cela fait partie de ce que nous voulons développer de nous : cette sortie de bouche, cette échappée de la bouche nottre , etc ; nous avancçons ainsi et nous essayons de comprendre ce qui se trame en nous, la trame  des choses ; njous essayons de comprendre ce qui en nous se trame, nbous essayons de comprezndre cela qui en  nous se trame ; nous essayons des voies d’abord diverses et variéesq, nous parlons pour dégager  de la place en nous, pour libérer de la place en  ous ; nous avons cette chose à faire de nous ; nous pensons que nous devons poursyuivre de cette façon et que le choixd est vite fait, il n’y en a pas cinquante (ni mille) ; il suffit de voir devant soi ces peintures, ces parois de grotte, c’est vite vue ; il n’y as pas cinquante solutions, il s’agit de faire accroire dansle temps ; il s’agit de présenter dfu sembvlant de vie, le plus semblant (ressemvblant du coup) possible et passerz muscade ; nous pensons que c’est ainsi que cela devrait être à l’époque, à l’époque du temps des cavernes, à cette époque des holmmes des cavernes ; nous avons cette penseé ; nous la glissons dans un interstice à même le roc ; nous pensons que cette chose est importante et se doit d’etrev soulignée, et du coup nous le soulignons à même le roc ; nbous aimons la roche, sa dureté, sa froideur apparente, son glacis ; nous aimons nous coller à elle ;  n ous aimo,ns nous coller à une roche et l’épouser, en épouser les contourz, et la pénétreer à jamais ; nous aimons les pârois des roches ; les roches nous plaisent beaoucpoup, nous les pénétrons ; nous sommes munis, de fait, d’outils de pénétration ; nous les choyons ; nous choyo,ns nos outils de pénétration, nous les aimons follement, ils nous plaisent à la folie, nous sommes fous d’eux, de ces outils là que nous plaçons à même la paroi (interstivce) pour la pénétrer et s’y loger-lover à la vie à la mort (= pour l’éternité, ou pas loin)  ;   nous sommes aimants, aimantés, nous nous aimantons ; nous sommes des pics, nous sommes des pics sur roc, des pics sur des rocs de grotte, nous piquons commec piverts ; nous piquons la roche pour la graver, pour grreaver nos mots -animaux ; nous piquons cette roche du temps de nos motsq-animaux en nous, qui renaclent en nous, tapent du sabot, piétinent pour sortir de nous fissa (corne d’abondance et rattrappage en paroi de temps apres chute dans le vide)  ; où est le -vide ? le vide est entre la paroi du temps et nous, qui sommes mourants, autrement dit nulle part ? il n’est pas dit que le vide (en soi) existe ; il n’est pas di-t qu il existat un vide en soi, il n’est pas dit que le vide existe quelque part ; la matière est la matière ; il y a paretout de lamatière, il y a partout (l’aspect borgne) de la terre mère, de laterre à tout bout de champ ; nous pensons que le monde est borgne, qu on peut toujhours en examiner finement l’aspect, il n’en restera pas moins borgnec à  kjamais, c’est à dire sans vide, sans trou, sans interstice où se loger, sinon ici même, en ce temps pâriétal qui nous encercle, nous contient en son sein, sinon où ?  ; il n’ ya pa s dautre trou quen cette chose ici de laparoi du temps ; le trou est ici dans la paroi du temps, cest à dire dans le langage des mots-betes ; nous voyons cette chose ensemble en laboratoire, nous pouvons voir tres bien cettecchose en laboratoire, nous pouvons la voir en laboratoire, nous voyons cela très  bien en laboratroire, en eatelier, dans notre temple ; nous pouvons tres bien voir tout cela dans notre temple-laboratoire, voir cette chose, ce trou du langage pour le dire vite, cette paroi-trou du temps qui file ; nous pensons que c’est dans le temps que nous pouvons trouver de quoi se loger, où se loger, dans quoi se loger ; nous pensons que nous avons tout intéret à nous loger dans la paeroi du temps ; nous sommes comme poussés par la vieà nous loger (tous) dans la paroi du temps ; bnous sommes tous et toutes sur terre comme poussés à nous loger-lover dansla paroi du temps (titillés par un pic de cap) ; nous sommes tous(et toutes) logées à la même enseigne, à savoir celle d’(avoir à faire avec nos vies afin de les sauver (?) dans la paroi du temps (fiche)  ; nous pensons (arty) que nous devons sauver nos vies coute que coute et ce (art) dans la par oi du temps, de cetmps qui est ce présent (offran,de) devant nous, aller-retour ; nous pensons que nous devons du coup coïter avec la pa roi, et l’épouser fissaa ; nous devons épouser fissa la paroi du temps, ce roc en dur, l’épouser fissa pour des épousailles de roi ; nous pensopns que nous devons (de fait) épôuser la paroi du temps et (cela fait) nous serons logés comme des princxes (coque)  ; coq en pattte: ; nous serons ; nous serons logés comme des cocqs ezn patte, dans paroi du temps, dans paroid de grotte préhistorique, dans paroi d’époque (lemagdalénien, le solutréen, laurignacien)  ; nous cherchons dxes choses en laboratoire ; notre mùétier est d’etre des chercheurs de la boratoires, et cela en des matières liées à des choses langagières de paroi ; njous cherchons assiduement, assurément sur des parois de grottes, des marques, des traits, des points, des mains, des mains néégatives et des mains positives, des bufflesz, des bisons, des chevreuyils, des chevaux, des aurochs, des antiulopes, des bouquetoins, des zé&busz, des hibous, des antilopes, etxc ; toutes betes qui sont des mots-betes ; toutes betes qui sont des mots-betes, des betes-mots, des mots-animaux qui tonitruent, sur la terre ferme (ce plancher des vaches) à leur pâssage ; n,ous cherchons ensemble, nous avons des ambitions ; nous nous promenons dans la foret, nous avons des ambitions affichées ; nous voulons poursuivre nos recherches de plain pied, au ras des paquerettezs, dans l’herbe, au ras du sol c’est à dire en rase-motte, trouver-trouer l’interstice dans terre-mère, un intersttice dans laterre, un trou dans laterre, un vide dans cette sorte de p aroi du temps, dans pareille paroi du temps qui est cela qui nous encercle, cette galerie, ce boyau, cette salle  ; cette salle immense où nous voyons charger des betes en troupeau, où njous les voyons (comme) plus vraies que nature à la lumière vive des torches, des feux sur la table aux ooffrandes ; nous sommes ensemble , main dans la main, nous en avançons fissa vers la roche, et hop, pic et pic sur roc, pour -une sorte d'entrée en matière, pour une immixtion dans la pierre , nous nous aimons ;

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28/05/2020 

nous sommes des chercheurs qui cherchons à trouver le pot aux roses, et à (celui-ci) le briser menu (en mille morceaux) afin de savoir ce qu il recèle (peut bien contenir)  ; nous sommes motivés, nous nous serrons les coudes, nous avons relevés nos manches, nous sommes plein d’ardeur et de volonté ; nous sommes à la recherche du pot aux roses ; nous sommes deux (ensemble : main dans la main) à la recherche du pot aux roses  ; le trouverons-nous ? ; nouds bvoulons découvrir quelque chose du monde, nous voulons savoir ce qui se trame et de quoi la trame du monde est faite ; ncomment pouvons nous savoir ? comment savoir de quoi la trame du monde est faite ? comment savoir comment les choses sont advebnues au monde et ce qu il en est de cequi nous entoure, nous sommes à la recherche d’une sorte de chose cachée près de nous(qui voguons et vaquons à nos affaires)  ; de quoi le monde est il l’enfant ?  ; nous chgerchons dans tous les sens, en nous débattant comme de beaux diables (en laboratoire) et nous espérons trouver, nous voulons trouver, trouver c’est trouer, nous voulons trouer la bâche, la tenture-toile, la toile ; nous voulons trouer la toile du monde, l’écran etc ; ce que nous voyons partout autour de nous et qui est borgne ; nous voulons trouer la toile -écran du monde, et savoir de quooi il en retourne ; car le monde (autour de nous) est borgne, il est borgne de partout ; il est ce monde borgne autour de nous comme on parlera de mur borgne : une paroi borgne ; la paroi borgne ; et nous, de notre côté, nous aspirons à découvrir quelque chose autour de nous qui ne soit pas borgne, nous cherchons un oeil ouvert , c’est à dire une ouvertutre, c’est à dire un oeil qui voit, qui nous voit et qui voit vraiment ce qui est en entier ; nous voulons d’un oeil ouvert sur nous, qui nous verrait (enfin), lui, en entier et pas seulement des bouts (morceaux) de nous, - ; une ouverture dans la paroi = un interstice = un oeil ; nous cherchons cela, nous sommes )à la recherche d’un oeil logé-lové dans la paroi ; un oeil qui voit tout de nous et en sait (saurait) pl ;us long que nous memes sur nous , qui au fonsd, ne nous con naissons pas beaucoup, à commencer par nos entraillesx: que savons nous d’elles, par exemple ? ; nous sommes à la recherche de ce oeil -interstice de paroi ; nous cherchons l’interstice dans la pareoi, la fente dans le dur, le trou de roche ou de bouche , c’est à dire le passage pour passer la tete ; nous cherchons où pouvoir (donc) passer notrte tête,n ous cherchons un endroit dans la paeroi où passer la tete, nous voulons passer la tete et nous cherchons un endroit adéquat ; où passer ? où passer la tete ?  ; comment faire, car nous sommes à la recherche et ne trouvons pasoù passer ; nous sommes encore à la recherche, nous cherchons toujours, nous somlmes encore à rechercher un endroit où passer la tête, nous espérons trouver celui-ci rapidement, nous voulons connaitre  le trou où passer, nous voulons découvrir où passer et par quel trou passer, etc ; nous sommes tous les deux en quête d’un trou où passer, une fente suffisamment large dans laquelle nos corps (soudés) passeraient ; ce serait bien ; il le faudrait, car ainsi nous serions à l’abri, nous serio,ns protéhgés de tout, nous serions dans le dur du temps, nous serions soudés dans le mur du temps et pourrions ainsi «voiir venir» les ères défiler ; nous serions, à l’abri des intempéries, portés pâr le troupeau des betes pariétales, par les buffles et les bisons des pierres ; nous serions main dans la main dans la paroi du temps et pourrions nous poser un peu, dès lors, nous pourrions dès lors nous poser ou reposer un tzantinet ensemble ; nous serions mùain dans la main dans la pareoi ; nous serions unis dans ici cette paroi de grotte ; nous serions soudés et unis et pourrions voir ensemble arriver les choses vers nous, le temps et ses ères, les différentes époques, etc ; nous sommes (serioons) lovés ; nous aimons nous retrouver ainsi lovés (enlacés) dans la pareoi, dans la roche en dur, dans la pierre de taille : roc ; nous aimonsw nous trouver ensembvle enlacés, dans cette pierre de paroi de grotte ; nous avons voulu cette chose, nbous l’avons cherché, nous sommes ravis ; nous voulions trouver et nous avons trouvé la grotte ; nous voulions trouver une grotte et nous avons trouvé une grotte, qui nous va à ravir, qui nous convient, qui nous fait du bien ; nous voulonbs le bien pour nous, nous voulons savoir et aussi nous voulons le bien et aussi etre bien vu, c’est à dire vu à cru, tel que nous sommes de pied en cap, c’est à dire tel que nous ne nous connaissons pas vraiment ; nous sommes ravis d’etre ainsi saisis ; nous aimons la pierre de grotte, avec ses fresques animalières, ses aurochs et ses buffles etc ; nous sommes amateurs ; nous avons le gout pour les fresques des temps des cavernes ; nous aimons la peinture du temps des hommes des cavernes, l’art pariétal était il un art ? nous cherchons des peintures rupestres, nous cherchons des betes sur paroi de grotte ; nous aimons à la folie pareille peinture rupestre et nous le disons, sur des affiches, sur des affichettes, dans des écrits (tracts, fascicules etc)  ; nous sommes des chercheurs de peintures rupestres ; nous sommes chercheurs en peinture pariétale préhistoriques ; nous aimons à la folie (plus que tout)) les betes des parois, ces betes dessinées avec science, nous les adorons et nous l’imprimons (dans des livres, sur des affiches placardés sur des parois etc) ; nous sommes très férus (tous les deux) d’art pariétal et voilà pourquoi nous cherchons, sur paroi du temps, les raisons d’etre (du monde), ces choses qui intriguent fort et que nous aimerions élucider un jour ou l’autre ; nous cherchons enselmble à élucider des choses du monde ; ce que le monde recèle en fait de pots aux roses ; nous voulons découvrir quelque chose de caché ; ; notre but ou notre objectif est de découvrir qsuelque chose (du monde) de caché, que personne (!) n’aurait vu avant nous, nbous serions ainsi les premiers à découvrir le pot aux roses ; nous avons bon espoir (à deux) de trouver pazreille découverte, pareille découverte sensationnelle, hou ! ce serait parfait, que nous puissions cette chose, que seulement nous puission,s trouver ensemble une belle découverte comme par exemple une  nouvelle grotte ornementée de fresques antédiluviennes ; nous aimerions beaucopup (vachement) trouver pareille chose, pour nous, pour nous qui sommes férus et passionnés, et aussi pour notre gloriole, et aussi pour notre joie, etc ; nous aimerions cette chose et nous tendons  vers cela, et mettons grand, grande notre énergie dans cette direction : nous vboulons ; notre but est affiché à l’entrée de la grotte, à l’entrée du monde ; le but qui est le nôtre est affiché en grand à l’entrée, vous pouvez lire les lettres ; nous ne cachons rien, tout est noté, tout est écrit sur l’affiche (en gros et en gras)  ; nous avons des ambitions phénoménales et cela ensemble, en rase campagne, main dsans lamain, aux confins de la montagne noire, etc ; nous avons des ambitions de premier plan, car nous sommes à la recherche d’une timbale = du pot aux roses ; nous ne lacherons pas le morceau de sitot ; nous sommes à la recher c he d’un trésor caché, de quelque chose qui serait caché de notre gouverne ou à nottre gouverne ; nous voulons découvrir quelque chose, etre des trouveures, des découvreurs comme d’aucunstrouvent des choses inouies sur la surface de la terre, déchiffreurs de hieroglyphes, ou trouveurs de terre inconnues, d’amériques etc ; ou bien découvreur de l!’inconscient, ou de l’inconscient collectif etc ; cela nous emballe, cela nous plait beaucoup, nous voulons cette chose pour nous et cela via un emploi brusqué de la langue dans le temps de son élocution forcée (forcing) et cela nous plait ainsi, et c’est cela que nous envisageons ici sur paroi de grotte, sur boyau, sur galerie, en galerie, en galerie d’art, en une sorte de galerie d’art ; nous tombons dee nous (troude bouche) des betes-mots qui sont ces mots douxc que nous glissons ensemble dans lkes interstices des parois de grotte ; nous avons tombé de nous (bouche) des mots qui sont ces animaux qui sont dessinés ou gravés sur les pârois des grottes antédiluvieznne ; nous voyons ces mots-animaux devant nous et nous pensons que ces mots (nôtres) sont des animaux vivants, sont ainsi qu on pourrait le croire etc ; à s’y casser les dents ; nbous avons cette ambition et nous l’affichons à l’entrée des grootres (affichettes)  ; nous sommes tres férus, nbous sommes des qui sont trtrès férus de ces affichettes, d’affiches p^lacardés en entrée de grotte ; nous posons aindsi nos affichezttes sur paroi, sur murs, sur des murs de gakerie, sur des pârois ou sur des murs dans des galeries, etc ; l’art est cette chose que nous aimons au sens fgort du terme ou l’amour en nbous, cet amour logé en nous colmme un animal qui passe en trombe etc ; nous aimons cette chose qui nbous vient, qui vient buter en nous, qui vient à demander en nous une sortie, une échappée (une sortie de cape ou de cap) et c’est aionsi que nous laissons filer de nous (via ce trou de bouche) des mots-animaux qui viennent mourir sur paroi, sur paroi de grottes, qui viennent se loger-lover sur des parois de grottes etc, et semblent plus vrai que nature etc ; nous avons en nous cette chose : ce trou ; il permet le passage des mots -animaux ; nous avons en nous cette chose, de l’amour, qui va vite en nous pour une issue animalière, via la bouche, vers le mur des galeries de grotte (parois) ou des galeries d’art (cimaise , etc) , ; nous aimons beaucoup cet art de la chute sur paerois de grotte ; nous pensons que l’art est, de fait, cet élan de sortie, quil est ainsi inscrit en nous (en chacun) comme une sorte de capacité ; nous l’avons en nous logé-lové comme l’amour est lové-logé ; nous aimons ce logement en  nous ; nous portons des betes-mots qui sont motds d’amour (doux ou durs-) que nous affichons (placardons) sur parois de grotte ou sur murs de hgaleries etc ; nous avons ces morts-betes en  nous, qui ne demandent qu’à sortir de nous, et nous de nous laisser faire, trouer, de nous laisser trouer, percer, de nous laissr percer, franchir, de nous laisser franchir , ainsi de suite ; et ainsi, nous sortons de nous (bien malgré nous en vérité) une corne d’abondance ; nous sommes ensembvle ici soudés pour une effraction ; nous aimons cette cassure, brisure, effraction en nous, en notre coque etc ; nous avons la chance ici de nous trouver à deux, pour bosser à nos petites idées d’effraction, de découverte, de recherche en temple, etc ; notre volonté est intacte comme au premier jouir ; nous sommes e nsemble et nous cherchons ensemble ; nous sommes ensembkle = main dans ma main ; nous allons ensemble vers une grotte de notre vconnaisqza nce, nouys y allons dans le but de trouver de nouvelles peuintures d’hommes des cavernes ; nous cherchons ensemble (main dans la lmain) des peintures de ces hommes des cavernes, si anciennes, ces peintures,  primaires, etc ; nous cherchons ce qui est premier, ce qui sort d,e l’ oeuf, ce qui est comme archaïque, etc, ce qui pointe son nez neuf, tout neuf ; nous avbons cette chose en tête, nous évoluons dans ce sens ; notre but est celui-ci et, de fait, nous n’en dérogeons pas, nous y restons bien accrochés, nous y tenons ferme, ensemble, le couvons comme un  nouveau-né ; nous sommes accrochés ; nous ne lkacherons pas le morceau de sitot ; nous voulons continuer sur notre lancée, nous voulons cette chose pour nous deux et nous espérons trouver (un jour ou l’autre) une solution, une issue, un trou, une vérité, un oeil, une denrée , une chose cachée, le fond d’un puis des profondeurs ; nous sommes remontés, nous avons une énergie à tout casser et nous aimerions montrer cela à tout va (sur affichette) à l’ezntrée des grottes, etc ; notre volonté est celle-là que nous affichons ; l’art est cette chose que nousq affichons : cette chose qui sorti de soi va se lover-loger sur paroi ; et cette chose est animalière, il s’agit de mots-animaux c’est à dire de mots avant toute choses ; nous disons qu il s’agit de mots avant toute chose : métalangage ; nous avons le sentiment que l’art (sil en est)) est cette chose contenue en nbous (ssouffle) qui de nous se loge ou love sur paroi ; nous pensons que l’atrrt est cette sorte de sortie de nous ; l’art est la sortie, cette manière que nous avons tous et toutes, cette façon que toutes et tous, cette manière en soi de faire ainsi que des choses sortent , sortassent de nous, via des canaux buccaux etc, et allasssent se ficher lover, ou ficher loger sur des parois de grotte ornée , ornée par la même occasion ; nous pensons que l’art est inhérent à la nature humaine (aaahhh) et est cette chose qui, sorti de nous comme par la bande (corne d’abondance) va trouver à se loger lover ici, dans un trou (fente) de paroi de grotte, nous le pensons fort, nous pensons fort cette chose, nous en sommes presque sûrs, nous n’en, sommes pazs tout à fait sûrs mais presque, et aussi nous le disons haut et fort à qui veut l’entendre, qui sur affiche grandiose (à l’entrée des grottes) , qui sur affichettes plus modestes, en galerie d’art contemporain (par exemple)  ; nous pensons que nous pensons juste (ouh) ; nous pensons que nous pensons bien ; nous pensobns que nous pensons d’une manière raisonnable, que nous pensons d’une manière intelligente , distinguée, pénétrante, etc ; nous sommes pleins de nous, nous sommes remplis ; nous sommes à ras bord ; bnous n’en pouvons plus de nous et dès lors nous nbous voyons dans l’obligation de cracher des betes de nous, depuyis nous, de notre bouche, de ce trou que nous avons au beau milieu de la figure, de cracher des betes de nous ; nous nous voyons dans l’obligation de cracher, de sortir de nous des betes, de sortir des betes de nous, de ces betes genre bovidés ou cervidés etc ; nous les choyons ; nous les chouchoutons en nous ou bien nous les rudoyons, nous les bousculons en nous ; ce sont des mots-betes en nous ; nous pensons que l’art est la sortie de nous de ces betes-mots ; nous pensons que l’art est cette chose en nous, cette bete (bovidé, cervidé) en nous qui demande à sortir de nous, de notre coeur, de ce coeur dans lequel il se love, etc, et ainsi nous ouvrons la bouche pour elle, pour la bete en  nous, pour toute s ces betes en nous (torsade, torsion, corne torsadée etc) que nous laissons filer au-devant de nous comme une pique à dessiner sur ro-c ; nous sommes les pic du roc ; nous sommes des pics de rocs, etc ; nous avons pour nous ces choses en nous ; nous pensons que l’art est cette chose indéboulonnable en nous, qui est ce pic du roc, cette chose en nous qui sort par chantournement (corne torsadée) et vient à grvaver son verbe, son trait sur une affichette, sur une affiche de paroi : euréka ; nous pensons que nous avons trouvé le pot aux roses  ; avons-nous trouvé le pot aux roses ? nous cherchons sans nous arreter, ; nous ne devons pas nous arrteter, nous devons toujours chercher et ne pas baisser les bras ; nous voulons savoir ce qui est, nous cherchons à savoir ce qui est, nous chercvhons à comprendre ce qui est, nous cherchons à savoir ce qui est ; nous avons de grandes ambitions ; l’art est ce chantournement qui part de nous (bouche, ou trou-bouche) pour se finir ainsi sur paroi de grotte (par exemple) ; nous imaginons la chose ainsi ; nous pensons quil s’agit d’un verbe animal, animalier en nbous, ce cri, ce cri dee l’(animal en  ous, cette remontée, cette montée en puissance etc, qui, sortant de nous (via le canal buccal de notrte face) va à se loger-lover à l’intériuer d’unec paroi, via un interstice, et figurer la vie qui va bryuyante, tonitruante ; nous pensons quil s’agit d’un pis-aller vital ; nous pensons qu il s’agit d’un pis-aller vital afin de faire accroire etc, au dieu de la mort en face (?) que nous sommes qui donnons (quelle générosité !) notre vraie vie sur lma balance (la table d’offrande) ; or que tchi ; il n’en est rien ; pas folle la guepe ; nous donnons un pis-a ller, un semblant, de lafauusseté de vie qui «le fait» mais qui n’en estc pas vraiment, mais seulement du temps passé (mort) par nous, via notre trou de bouche perforée par la corne acérée de l’anilmmla (le bovidé, le cervidé etc) en nous  ; de cela nous sommes sûrs ; nous pensons que cette chosex est vraie, voire plus que vraie ; nous pensonsc encxszemble (laboratoire de recherche pariétale) que cela , cette chose est vraie : indubitablement ; car la chose est facile à prouver : la bouche est ouverte, sort une langue, montre ses dents, souffle son halaeine, fait la la lala, parle à tout va, à tort et à travers, ingurgite (mange et boit), avale des couleuvres, respire, respire, inspire et expire etc ; cela se voit ; cela est indubitable : il s’agit d’un parler-vrai ; il s’agit de mots de science, et cependant nous sommes deux à penser que non ; la cghose est un peu différente à nos yeux et nous pensons qu il serait bon de l’afficher ici, en ezntrée de grotte (sur affiche ou affichette) ; nbous pensons qu il serazit bon de dire ici ce qui nous trotte par lmza tete (nous chiffonne) depuis un bon moment maintenant, sur cette question de l’art en tant qu il s’agiraiit de mots animaliers, d’animaux-mots qui sortiraient de notre bouche perforée, etc ; nous avons envie d’en parler, d’en discuter entre nous et audelà de notre cercle   villageois, régional etc ; nous voulons savoir ce qu il en est, nous voulons connaitre la vérité ; nous voulons en savoir long, connaitrec le fin mot sur cette question d’un art de corne d’abondance, cette chosed’unectorsade, etc ; nous voulons savoir ce qsui est de tout cela qui nous préoccupe ; nbous sommes motivés pour en savoir plus et nous sommes prêts, à nous entraider, à nous épauler etc, pour connaitre le fin mot ; où se loge la vérité ? en quel recoin du corps , de l’esprit etc ?  ; nous ignorons beaucoup de choses ; nous disons que nous ignorons beaucoup de choses ; que notre connaissancec est pleine de trous et que -le propre de la connaissance est d’avoir des trous, et des trous paertout qui plus est : une passoire ; le propre de la connqaissance est d’etred pauvre, pauvre passoire , pauvre chose pleine de trous ; nous avons cette chose  à l’esprit et ne dérogeons pas de là ; nous pensons que nbous savons une chose ; nous pensons que nous savons ; nous pensons en nous que nous savons en nous ; nous pensons que nous savons en nous une chose capitale ; nous avons le sentiment que nous savons (en nous) une chose capitale ; nous pênsons que nous avons en nous une connaissance capitale (sur quelque chodse)  ; nous pensons que nous avons en nous une connaissance de haut vol, une connaissa nce primordiale, archaïque, forte, première, principale etc ; nous penqo,ns que nous avons en nous un savoir important, caché-lové ; nous pensons que -bnous savons en nous, au plud  profond de nous, quelque chose de primordial, de profond, de sûr, de vrai, etc ; nous avons cette impression en n ous, nous avons cette chose en  nous et cette chose nous la recherchons, nous la cherchons assidument ; nous voulons trouver cette chose en nous (bestioune) qui est cette bete en  nous (cervidé, bovidé etc) qyui ne delmande qu’à sortir de nous , comme une langue ; nous aimons en nous cette chose qui est tapie ; nous aimons cet amour en nous qui est une bête ; nous l’aimons et le disons sur paroi de roche, en des cavernes ; nous sommes qui affichons nos prétentions, nbos amours ; n

nous ne sommes pas de reste, nous ne sommes pas en reste de l’afficher, nous ne sommes pas en reste d’afficher nos prétentions, nos envies, nous goûts, nos dessins, nos sculptures, nos gravures etc : nous sommes portés ; ,nous vouloons montrer ces chosec à qyui de droit, qui verra notre intéret vital, quiverra lme pourquoi nous dessinons des betes sur paroi etc ; il va comprendre ; il est omniscient et sait l’intégralité des raisons qui président à toute acvtion sur lme monde ; il est omniscient et voit tout de tout, quand nous ne voyons rien de rien, ou plutot quand ce que nous voyons au fond n’est pas sûr, n’est jamais sur, rien de rien n’est sur, nous ne savons jamais à quoi nous en tenir, ou rarement : le chaud et le froid pazr exemple ; il s’agit pour nous de comprendre pourqyoi des betes sont entrées en nous (des boeufs, etc) et veulent en sortir à présent ; pourquoi le trou de la bouche ? ; nous cherchons lkes raisons entre nous, nous faisons des expériences dans le temps ; nous espérons trouver, nous cherchons, nous solmmes assidus dans nos recherches ; pourquoi ce trou de la bouche, pourquoi cette percée ? qsuestion d’étroitesse tres certainement ; le boeuf était à l’étroit, et le rhinocérops, et le cerf, et le vchevreuil ; l(hippoopotame et le mammoputh étaient à l’étroit ; le bouquetin, l’isard, l’antilope, le zébu, etc ; toutesz ces betes contenues en nous trépignaient et n’attendaient que le signal pour s’échapper de nous : sortir de notre cap, sortir via le trou de la bouche, en torsade, en fil de la vierge, en fibre, en trompe de bete, en cor, en corne d’abondance et chuter, et peut etrte être recueillie (art) par les bras (les mains) de quelque charmante fée qui passait par là et nous voilà, et les voilà à présentb sur parois de grotte ; nous avons compris cette chose ; nous cherchopns des rzapprochements entre divers éléments, nous faisons des expériences de rapprochements dans le temps , dans ce temps de la paroi des grottes ; nous avons pour nous cettre chance d’être tranquilles, loin de tout, de l’agitation des grandes  villes et ainsi nous pouvons rester concentrés à notre poste (pupitre) et travailler abondamment sans plus de désagrément ; nous avons cette chance (ici : temple-atelier) d’en avancer fissa, d’en avancer drôlement, avec ardeur, dans nos recherches ; nous nous serrons les coudes et faisons le dos rond ; nbous cherchons assidument des réponse, des réponses à des questions que nous nous posons depuis longtemps (toujours ?)  ; nous sommes tres assidus et motivés et nous y allons et à deux c’est mieux et ainsi va la vie d’un chercheur en vérité (ou d’une chercheuse) ; nous aimons chercher la vérité ; nous voulobns chercher la vérité en tout ; notre but est de chercher la véritév en tout ; nous voulons trouver la vérité ; nous voulons savoir ce qui se passe ; nous voulons connqaitre sans trou, ou bien connaitre le trou par lequel nbous pôurrions nous immiscer puis nous loger -lover puis nous reposer, etc ; nous ne voulons pas de la mort à jamais, nous voulons de la vie à jkamais ; nous voulons une vie lovée, logée dans la roche animùalière ; nous voulons nous immiscer dabns une rocxhe animalière, soit au milieu du troupeau ; nous espérons ; nous voulons trouver ; nbous cherchons ; nous voulonbs trouver cet endroit en roche, qui nous permettrait une immixtion rzapide, sans mal (sans douleur) à deux, car à deux c’est mieux, ainsi de suite dans une suite (cohorte) d’animaux qui chargent (plus vrais que nature)  ; nous voulons en xsavoir lourd ; notre but est d’en savoir lourd ; nbous voulons savoir : ce que c’est que cette chose appelée «arty» ; de quoi s’agit -il ? ; eh bien de cette chose (facile à comprendre) comme quoi nous avons (en tant que nous sommes des etres vivants sur terre) cette aspiration en  nous, qui correspond à un mouvement vital en nbous, une respireation efficiente, et celle ci conditionne les entrées-sortis de betes-mots en nous : l’entrée = l’inspiration et la sortie l’expiration ; eh bien l’art est tres exactezment ce mouvement en nous , de sortie de roche, de paeroi, de murs, etc ; il s’agit d’une chose cardio-pumlmonaire pour ainsi dire, cette chose en nous est cardiaque et pulmonaire, il s’agit d’une bete de somme en nbous, en nous qyui sommes une betye de somme, etc ; nous avons en  nous une betre de somme, nbous avons en otre intériuer, logée en n ous, lovée, une bete, recroquevillée sur elkle même et bientot elle sortira en entier ; il s’agit d’une sorte de boovid»é etc ; nous l’avons en nbous, nous en sommes le contenant ; nous sommes en nous munis et armés, car en nous existe une corne d’abondance, qui est un pic pour un roc ; nous a vons en nous une chose quyi pique, pour percer ; nous avons en nous une chose qui pique la peau, ici même entre nos joues, et transperce celle ci , et forme , crée ce trou de bouche sus mentionnée qui permet la sortie de la bete fauve : corne torsadée à direction d’une paeroi de grotte an,tédiluvie,ne ; nous avons, logée en nous, une corne (pic de roc) qui s'en vient à percer la joue, et filer fiçssa vers paroi de grotte, dessinant des bufflesz, des bisons, des antilopes, des chevreuils, des traits et des points, des mains (positives et négatives) etc ; nous avons en nous cette chose ; ce pic pointu qui est celui de cet amas, amas d’animaux agglutinés en nous, pour une sortie (de nous) en fanfare : fresque animalière ; nous avons en notre bouche un pic quyi est le pic du roc ou de la pierre, à graver, à dessiner ; notre pic est ce graveur de pierre de grotte ; nous cherchons une vérité-pic, nous cherchons la vérité de pic ou du pic, il s’agit pour nous de cette chose, de cette sorte de recherche de la vérité via un pic à graver la roche ; un pic sortant de nous, comme le souffle, comme le verbe, comme la salive, comme le vomi, comme le cri, comme le sang, etc ; nous cherchons ensemble une solution à nos problèmes de recherche ; nous chercho,ns ensemblme une issue, une trouée ; nbous voulons connzaitree pour nous la vérité en entier ; nous sommes gourmands et nous ne man quons pas de toupet, nous sommes friands de vérités, nbous voulons connaittre la v érité sur tout : pic et roc, pic et rocher, pic et pierre, pic et roc ; nous ne voulons pas être en reste, nous chercvhons dans la paroi des grottes une vértité sur laquelle nous appuyer, vérité qui expliquerait à elle seule (!) cette chose de ce monde (ici) de vie ; nous voulons car nous sommes remontés ; nous voulons savoir, via la bouche, via le trou-bouche, ce qu il en est de cette chose en nous, qui cherche à pointer son museau ou à voir le jour (depuis que le jour est là , par la fente intersticielle) ; nous avons une ambition de tous les diables ; nous ne lésinons pas sur lkes ambitions ; nous voulons connzaittre ce qyi est en nous, le tout de nous, le pourqyuoi et le comment ; nous voulons connaitre le tout, le pourquyoi et le comment ce qui est (en nous) existe en nous : animaux-motsqs ? betes lovés cvomme un amour qui ne demande quà grossir ou grandrir ,  ; nous cherchons l’animal en nbous car nous sacvons qu en nous existe un animzal (de type bovidé,, cervidé, etc : de belle taille) et cet animal nous le voulons là, devant nous, comme un présent du temps, comme le présent du temps, cette face, cette figure, cette chose pariétale, cette espèce de forme rugueuse, cette esphèce de forme rude, nous la voulons là : devant nous, comme la preuve que nous existons toutes et tous à jamais ; nous ne voulons pas mourir : chantournons, torsadons et vrillons les cordellettes  ; nous sommes ensemble à vriller des cordelettes de vie, sous un toit ou sous le toit d’un temple, sous ce toit qui est celui de nottre temple, temple-atelier-laboratoire en recherche pariétales ; notrze ambition est grande ; nous avons une grandeambvition ; nous voulons connazitre beaucoup et nous espérons que nous allons y parvenir , et cela le plus rapidement possible ; nous voulons en swavoir long et nous cherchons dans cette direction : pic de roc ; nous voulons aller loin dans la compréhension des phénomènes terrestres, nous voulons en aller  loin , ou aller loin , dans la compréhension des phénomènes de vie et de mort terrestres ; notre envie est celle ci : d’aller loin, de franchir les étapes qui nous mèneraient à une ... connaissance optimale, rien de moins ; nous voulons trouver (pour nous) des vérités natives, à piocher à même laterre, et à rempoter dans des livres de consignations ; nous voulons ainsi trouver des vérités natives à même le sol de terre-mère et nous travaillons ensemble dans ce but ;,nous cherchons dabns cette direction, nous chherchons des interstices de paroi de grotte ; il y a lma grotte (à deux pas) et à l(intérieur de la grotte il y a des fentes où loger nos mots d’amour (betes -mots) comme autant d’offra,ndes de vie vive (amour toujours)  ; nous avons en nous ceztte chance, cette chance en nous de contenir des betes vives , des bovidés, qui ne demandent qut’à sortir de nous (de notre coffre) pour allezr fisza se ficher sur paroi (charbon de bois) et orner la grotte ; nous pensons que l’art est cette chosec, déposée sur paroi de grootte (paroi du temps) et qui orne les alentours (le monde en cercle)  ;le cercle est le monde, le monde est un cercle ; nous pensons (nous deux) que le monde est un cercle orné ; nous pensons que le monde est un mur nborgne, un mur que l’on peut toujours excplorer  ;, mais qui n’en restera pas moins borgne comme devant ; nous pensons q<ue le monde est un mur borgne ; que les mots que nous avons en bouche sont des pis-aller, sont ainsi qu ils sont logés en nous commec des betes de troupeaux, qi rtrépignent à l’idée de sortir de nous, de nottre coffre, etc, ils trépignent, ou elles trépignent (les betes) de vouloir , de volonté, de vouloir sortir, à vouloir sortir de nous , via ce canal (boyau) bucca l , récemment ouvert, par une pique animlale , une pique de verbe, une pique torsadée de vezrbe ; nous pensons que nous devons aller ensemble dans ce sens de recherche ; le csens de la recherche est tout trouvé et il nouds plait à nous de le suivre ainsi, de nous glisser azinsi, de nous immiscer ainsi, de nous introduire ainsi dans cette paroi = dans la roche ; njous avons pour nous cette roche, comme tour, comme face-tour, comme alentour, nous voyons quil s’agit d’un quelque chose qui est borgne comme le monde, et nous voulons donner un oeil à cette chose borgne, c’esswt à dire une ouverturec( ouverture de paupière)  ; car, si la science se penche sur le monde en tant que celui ci sera  borgne quoi qu’ il advienne, l’art (des cavernes) se penche (lui) sur cette chose de créer un semblant de trou, de fente, d’ouverture de paupière : un oeil ; il s’agit  pour nous d’un oeil, qui verrait en entier ce qu il en est du monde ; nous avons cette ambition en  ous et évidemment, nous avons l’intention del’afficher, quelque part, quelqque part où la chose sera visibvle, etc ; nous allons nous promener par les sentiers, tous les jours ou presque, derrière le temple, car derrière le temple il y a la forêt qui nous attend, les animaux de la forêtr, les arbres, les plantes, les cailloux, etc ; nous nous tenons main dans lamain, nous allons ainsi derrière le temple et tout de suite sommes dans la nature, nous nous promenons une heure ou deux ou moins, nous faisons un tour complet, nous changeonsréguliètement de trajets ; nous connzaissons pas mal de trajets différents à présents ; nous en avons expérimentés plusieurs et tous les jours nous changeons ; nous prenons chaque jour un nouveau chemin ; nous cherchons à varier les trajets, à ne pasfaire toujours le même, autant que possible ; nous aimons nous tenir par lma main sur les chemins, nous marcho,ns sur les aiguilles des pins qui forment (aiguilles) un tapis souple ; nbous aimons lestapis souples que forment ces aiguilles, nous aimons marcher sur du velours, sur de la soie ou sur de la laine ; notre plaisir est de marcher une heure, ou deux, ou ne serzait-ce qu une demi-heure pres du temple, pas très loin de lui , puis de rentreer et nous remmetrre à nos petits travaux de recherche ; nous avons des travaux en cours ; nbous sommes sur des travaux de recherche et ces travaux nous accapare beaucoup et ne laissent pas de nous poser beaucoup de questions, seuls (chacun de son côté) ou ensemble ; nous nous posons beaucoup dse questions, seulement voilà : nous mettons en doute toutes ces quyestions, c’estc à dire le fait (brut) de poser des questions ; il nous semble qu il y a là anguille sous roche ; nous ne sommes pas certains que les questions que nous nous posons doivent l’être, doivent être posés sous cette forme d’une quseztion ; la chose est particulière ; nous nous comprenons ; nous avons plusieurs fers au feu ; nbous sommes muunis, équyipés, armés pour chercher ici (temple) des réponses à des quyestions que nous évitons de nous posezr ; nous préférons les réponses sans qyuestion, c’est à dire ici le flot des vérités contenues dans le langage, ce flot (flux) lui donner une direction qui soit celle qui mène du trou de la bouche (pic) à la paroi de grotte (toc, ou roc, ou toc sur roc)  ; nous szommes qui pen,sons que ce que nous decvons ensemble promulguer dans nos recherches doit faire toc toc sur paroi, c’est à dire dans le temps, dans kl’espace (inter-sidéral) du temps ; nous avons cette conviction ; nous pensons (entre nous) que nous devons ici ainsi faire : chercher le toc sur roc ; c’està dire lagravure ; elle et moi : Anna et moi ; nous pensons que nous devons, nous pensons que tel est notre devoir, que le devoir que nous avons est de toujourschercher à faire toc (toc toc) sur la paroi du temps, et que de cette sorte nous aurons la cxhance ensembkle d’y voir clair, ou d’y voir mieux, de  mieux voir le monde (borgne) qui nous entoure ; car le monde est borgne, il est obturé, vous pouvez creuser le plus que vous pourrez que vous n,e trouverez en vérité que du monde borgne et seulement cela ; vous connaitrez plus finemeznt le monde borgne, tres certainement (assurément) mais cela ne sezra jamais que du mondec borgn,e, et rien d’autre , que vous connaitrez finement ou même tres finement, ou même de plus en plus finement ; donc, la solution n’est pas dans l’étude avancée (toujours plus) d’un monde obturé, d’un monde borgne,mais dans l’immixtion (de pied en cap ) de son propre soi dans la paroi du temps ; nous pensons quye ce que nous voulons, ce à quoi nous aspirons, ou ce pour quoi nous aspirons etc, a à voir avec, ici, une immixtion ezn paroi, main dans lamain, via le trou de la bouche et la sortie (le fracas) des betes de somme en  ous vers  une (donc) paroi (de fond de grotte) enfouie ; préhistoire, nous avons ce sentiment en nous lové, et ce sentiment est de l’amour, un azmour de bêtes fauves ; nous a-vons en nous ce sentiment, cette chose lov»ée, qsui nous fait penser que, pour le coup, la solution à apporter à un problème de type paroi borgne (comme celle dxu temps) passe ici par une sorte d'immixtion totale (?) (ou le plus pôssibvle) dans le temps, la paroi du temps ; notree conviction se situe à cet endroit, comme quoi la solution à un problhème de mur borgne , passe par une sorte d'immixtion à kl(‘intériuer dudit mur borgne, et pour ce faire : l’(aerrt ; c’est à dire l’art de se jouer de la dureté, de se jouer de la pierosité de l’édifice ; il s’agit alors d’y aller fissa la tête en avant (présentation céphalique) et de fo ncer ainsi (tete baissée) comme un  bélieer poussant une porte d’entrée ; nnous pensons que la solutionn à une paroi borgne est l’immixtion en ladite paroi, et cela avec les animaux en ous contenues: mots du dictionnaire, bvetes-mots à prononcer dans la paroi du temps = dans le temps ; nous y allons a insi , et cherchons dans cettedirection ; nous faisons notre petit tour de forêt ; nous avons une ambition, nous csommes mùunis de batons de marche (des bouts de bois ramassés) et nous marchons à pas mesurés sur les chemins de terre déjà tracés ; nous regardons sous les feuillages la présence (nous cherchons) éventuelles de champignons, etc ; nous sommes à l’affut, nous croisons des betes ; nous croisons des lésards verts fluoresvcents ; nous croisons parfois des chevreuils ou des biches ; des pivertts, des vers, des oiseaux de toutes sortes etc ; nous nousd promenons main dans la main (A  et moi) et faisons un tour complet , un trajet changaent, un pârcours dans les sous-bois ; nous revenons au bercail, ce bercail est un temple qui nous appaertient, il est un laboratoire de mesures, de recherches, d’entreprises langagières pariétales ; nous cherchons des vérités qui seraient à découvrir dans la paroi du temps des cavernes ; nous cherchons ensermble, de qsuoi nous alimenter en termes de pensées des profondeurs, de pensées à dénicher entre nous ; nous nous questionnons sur la notion de profon,deur ; nous n,e sommes sûrs de rien ; nous cherchons des cghoses qui piussent pour le coup nous entrainer dans des directions neuves de pensée ; nous voulons nous rafraichir l’esprit ; nouys cherchons de la fraicheur en toutes choses (l’été) et de la chaleur en toutes choses (l’hiver) et de la tiédeur à la mi-saison ; nouds aimons la foret, les sous-bois, les prés, la campagne environnante ; nous nous promenons dans la campagne environnante, il nous suffit de mettre le nezdehors et nous y qsommes, et ainsi nous allons à la rencontre des betres de foret ; nous alloons vers ces betres, avec en nbous des betres plus grosse’es, logées en nous deepuis toujours et qui tombvent de nous (corne d’abondance) par une sorte de trop plein, de dégorgement depuis nous (notre intérieur en foui) jusqu’à atteindtre (toc, ou ploc) la paroi du temps qui nous fait face : ce cercle de vie sur terre ; la terre (mere-terre) est borgne et ne do,nne pas d’elle, ici, la vérité que nous souhaiterions qu elle eû t donné, ou qu elle nous donnât ; nous pensons que la terre (cercle de vie) est borgne (hélas ?) et ne peut nous renseifgner en vrai sur rien, sur pas grand chose sinon rien : nous voguons ; nous sommes dans le monde comme des rescapés, nous sommes dans le monde comme des réchappés, etc ; nous cherchons des solutions, nous avons pris des résolutions, nous cherchons des dires qui se tiennent, nbous cherchons des choses dites qui tiennent, nous cherchons la vérité du monde, nous cherchons une vérité pariétale ; nbous ne savons rien de ce squi nous attend, nous ne comprenons rien de ce squi nous arrive, nous nous effarons des formes de toutes choses, nous pzarlons car ne pouvons faire autrement et cela est notre plaie de bouche , notre plaie tout cvourt ; nous sommes perdus, nous sommes égarés, nous restons pantois et bouche bée comme des nouveaux-nés ; nous ne cxompreno,nsrien à rien , ou si, nous comprenons dees petites chose de société c’est à dire entre nous, entre nous qui sommes voisins de vie, etc ; nous ne savons pas ce qui nous attend et ces questions que nous nous posons nous semblent faisandé, tout notre langage, tout ce qui sort de nous, de notree bouche de pensqée, etc, nous apparait comme un poil faisandé hélasz, et du coup nous n’accordons quune foi relative (confiance)à-)) à ce qui sort de nous en lac martière, si tant est que cette chose (de cxroyance ou de confiance relative) ait du sens ; nous sommes ainsi (les yeux ouverts) qui respirons (bouche ouverte) en nous disant des choses qui sont choses qui passentv par nous et vont se loget où ? sur paroi de roche ; sur paroi de grotte ; et voilà  ! ; nous en restons cois ; nous sommes ainsi, danbs notre atelier-temple, cois, et nous faisons ce que nous devons pour continuer le trajet, le trajet qui est celui que nous avons à emprunter pour continuer, pour poursuivre notre aventure de vie, etc ; nous sommes ensemble pour un temps, qui sera celui qu il devra, pour une recherche d’immixtion en paroi, voilà tout ; notre ambition est immense, nous penson,s que cela se doit d’etre de la sorte, car en vérité il s’a git de notre vie et non de celle du voisin , de qui que ce soit ; nous pensons que ce qui est en jeu ici  , c’est notree vie propre ; nous pensons quen jeu ici il y a notre vie en propre, notre propre vie sur terre, sur la terre ; nous pensons que ce qyui est ici (en jeu) c’est cela : cette vie sur terre, cette v ie à vivre un temps, cette vie du temps que nous passons, cette chose à vivre sur terre, ce temps de  vie à vivre et qui est ce temp^s pariétal de vie qui file à toute vitessee ; car la pareoi est ce temps qui file, ce temps qui échappe ; il s’agit ici d’une échappée temporelle et qui dit échappée temporelle (vitesse) dit oparoi du temps et figurines animalières ; nous pensons que la vitesse ici induit la fuite, le glissement en paroi de temps ou du temps ; nbous avons ce sentiment que les choses se goupillent d’une manière qui est que si tu files tu génères ; si tu files tu génères la bete ; la bete quui est bete pariétale, qui est buffle, qui est bouquetin , qui est chevreuil, qui est antilope, qui est chebvalk, qui est ours, qui est renne, qui est bison, qui est zébu, qui est aurochs, qui est phacochère, etc : un troupeau de mots-betes, une pause respiratoire, dans cette paroi temporelle faciale ; nous sommes ensemble, nous vivons ensemble, nous couchons ensemble, nous mangeons ensemble, nous marcxheons ensemble, nous évoluons de concert, nous vaquons à nos recherches sous un même toit, nous avons desq projets communs, nous nous promeno,ns ensemblke, nous nous enlaçons, nous sommes qui allons ensembvle sur la route, dans notre voiture, dans une hyundai, nous roulons cote à) cote, ou pluto  nous roulons ensemble, assis cote à cote dans notre hyundai, nous sommes ensemble ; nous aimons réfléchir ensemble à ce que nous voulons pour notre vie, nous voulons réflechir ensembvle à ce qui nous plairait de vivre ensembvlke dans les bvois, les sous-bois, les for^$ets, les champs de blés, les praieries, les prés, sr les sentiers, sur les routes goudronnées, etc ; nous nous promenons sur des chemins de terre ; nous sommes habillés sommairement, mais nous avons des chaussuresc(pas chères) étanches ; nous ne sommes pas bien riches, nous sommezs habillés pour les occasions, et ces occasions sont des occasions de campagne ou de basse monta gne comme ici ; nous allons nous promener derrière le temple, nbous sortons, nous prenons l’»air, nous parlons avec nos bouches, hnos bouches s’ouvrent et laissent passer des mots ; nousavons une forme (humaine) qui nous intrigue beaucoup, et tout ce que nous vivons nous intrigue beaucoup , car pôur nouds rien ne va de soi disons-nous, quand il est évident que beaucoup de chosesc vont de soi et ne nous demandent pas notre avis (gouverne) pour aller bon train , à commencer par notre corps etc ; et cependant il est vrai que les choses duu monde  ( tout) nous laisseraient  pantois volontiers, si tant est que nous pouvons rester pantois longtemps (toujours)  ; nous sommes vite surprris de tout et aussi nous sommes vite rattrapés par la  vie qyui nous pousse au cul et nous oblige à en avancer coute que coute sur le trajet ; et donc nous obtempérons bon gré ou mal gré, obligatoirement ; nous sommes ainsi , à l’intériuer de notre temple, à opiner du bonnet , à dire amen à la vie, à croire ainsi par devers nous, et à chercher des mots à poser, des fgormes àç donner etc  comme poussés par une force en nous de vie qui nous oblige et qui nous secoue ; nous sommes main dans la main ; nous voulons trouver un secret dans l’interstice de la paroi ; nous  voulons trouver l’interstivce et dans celui ci le secrrt logé-lové ; où est il ?  ; où est l’interstice ? il est cette enclave de temps ?  ; où est donc cet interstice dans lke temps ? où est l’interstice dans lma paroi ? nous cherchons dees solutionsà nos petites problèmes d’immixtion, nous sommes deux à chercher ; nous cherchons dans la paroi du temps , une fente, une ouverture, un enddroit où glissser notre tete et l’enfoncer fissa ; nous cherchons une solution et celle ci n’est pas donnée, il n’est pas facile de latrouver ; nous aimerions fortement latrouver mais hélas il n  ‘est pas pour nous facile de latrouver, ici, ddans la pareoi, à l’intérieur de laparoi du temps ; il n’essdt pas aisé pour nous (même unie) de trouver , mais pour aurtant nous ne lachons pas, nous n’abandonnons pzas les recherches, nous voulons poursuivre les recherches, nous voulons continuer dans notre vooie, dans cette voie que nous nous sommes choisie, pour nous, pour comprendre, pour continuer à comprendre, une voie pour des éclaircissements de type existentiels de préférence ; nbous cherchons des éclaircissements, nous cherchons le jour, la lumière danslaparoi : une fente de lumière, un jour comme une fente (une bouche qui s’entrouve et nous laiisse passer, sortir)  ; nous cherchons une lumière «dans le noir» ; nous cherchons comment faire pour nous immiscer, à travers une paroi dure colmme de laroche ; la paroi du temps est dure comme de la roche ; où donc est le jour dans la paroi du temps ?  ; nous cherchons du jouir, un filet de jour dans la roche, le roc ; nous cherchons un filet ou entrefilet, nous cherchons un filet de clarté ; nous ne désespérons pas de trouver ; nous sommes tres motivés et n’avons pas lke souhait de lacher de sitot ; nous sommes des chercheurs butés ; nous sommes des chercheurs qui ne lachons pas de sitot ce qu ils tiennent ; nous sommes des chercheurs qui ne lachons pas aussitot , sitot, si vite, ce quils tiennent par devers eux à leur pupitre de travail : njous cherchons comme cherchent des scientifiques, mais avec unec méthode qui diffère grtandement de celle employée par les scientifiques : il s’agit de la méthode dite coué, la méthode brute, brutale ; nous y allons ; il s’agit d’unem»éthode qu i va de lm’(avant continuement, qui force le passage, qui fait du rentre-dedans et ne recule jamùais  ; il s’agit de coup de corne pour une percée, pour une ouverture ou l’ouverture d’une bouche, une bouche ouverte pour un passage dx’animaux de roche ; nous laissons passerc les animaux de roche ; nous les faisons passer par le trou de notree bouche, nous faisons passer les animaux groupés (troupeaux) par un trou dee bouche : il s’agit de notre bouche ouverte encore saignante, sanguinolante, saignotante, qui pisse ezncore un peu , ce sang dû à une ezntrée de piquue en notte chair, une piqure de lm(intérieur, une pique interne a piqué la peau et a percé notre visage (un avant, un apres) et ainsi a créé cette chose en nous appelée bouche  ; nous sommes équipés d’une bouche, elle est ce trou de lafigure, cette ouverture, qui nous sert à bien des choses utilesz ; nous avons chacun une bouche (une seule) et autour de notre bouche (à p^roximité) des choses et autres telles que des joues, un nez, des yeux, des oreilles (un peu plus loin) etc ; et encore un peu plus loin des épaules, etc ; et jusqu’au coeur que nous conservons en nous caché, et qui lui est seul comme le nez ou comme le nombril ; nous sommes armés, nousz ressemblonsà quelque chose ; nous ressemblons à un etre à corne, à poiil ; nous resswembl:ons à un animal dressé, debout, un animal à cornes ou à poils, ou les deux, mais debout, qui tient sur ses pattes arrière ; nous cherchons des choses cachées qui pourraient nous etre révélées ; nous cherchons avec assiduité ; nous ne lachons pas le morceau, nous chercho,ns ensemble, car ensemble nous sommes plus forts et pouvons aller plus loin da,ns lesréflexions ;, nous sommes main dans la main, ; nous cuisinons ensemble (parfois)  ; nous avons des ambitions communes ; on peut dire ou parler d’ambitions communes, car nous envisageo,ns beaucoup de choses en commun pour notre vie à venir ; nous envisageons beaucoup de choses en commun comme par exemple l’installeation et l’agencement du temple, comme par exemmple lesc trajets de nos promenades a utour du temple ; nous sommes ensemble main dans la main, nous nous tenons par la main parce que nous nous aimons ainsi ; nous cherchons la main de l’autre, nous la recherchons mutuelklement ; l’art pour nous est une chose qui sort de la bouche, qui passe par ce trou de bouche, qui perfore et va (toc) se loger (ou pas si elle retombe ? ) dans laparoi du temps ; nous envisageons cette chose de l’arty comme un pic sur paroi de grotte, pic detype animalier, pic qui vient toquer à la paroi, pour une immixtion, pour une entrée, une interstition salutaire ; nous pensons que le temps à vivre est de type pariétal ; nbous avons cette impression (tenace) que le temps est du temps de pzaroi, c’est à dire du solide, du compact, du bloc, de la pierre dure, du tape-dur ; nous pensons que nous sommes ensemble pour taper le mur de laroche ; nous pensons que si nous sommes ensemble il y a une raison , et cette raison est celle ci , qui nous voit taper dur ensemble sur paroi de la roche du temps ; nous avons une mission : tape que tu taperas ; nous devonstaper laroche de grotte, et chercher l’entrée en elle, comment se lover en elle (enlacés)  ; nous avons ce souhait pour nous, nbous ne lacherons pas la grappe de sitoot ; nous voulons aller loin en besogne, nous continuerons coute que coute, nous ne fléchirons pas de sitot ; nous sommes munis de ce qu il nous est nécessaire pour toquer la roche et dès lors nous toquerons, le temps qu il faudra, jusqu’à l’obtention du pot aux roses (si tant est) ; de la solution ; de la révélation du hic ; nous cherchons dans cette direction d’une obtention ; nous avons de fait l’ambition commune (partagée) de trouver où est le hic ici : sur la terre nourricière, où est donc le hic de toute cette affaire ; nous faisons le tour du temple, main dsans la main ; où donc se loge (en paroi) le hiic du temps ? nous recherchons assidument où donc le hic du temps (du temps pariétal) pourrait se loger car la pierre est dure, elle fait mal, elle fait mal si l’on s’y cogne ; nous cherchons où se situe le hic du temps, nous cherchons à situer le hic du temps dans le monde ; nous essayons de comprendre ce qui sepasse ou trame dans cette paroi du sud de lafrance, pourquoi ? pourquoi le sud de la france ? pourquoi la paroi ? pourquoi la grotte ? pourquoi des mots-animaux (ou mots-bêtes )  ;? que signifie le mot substantation ?  ; que devons nous penser des parois de grotte orén»ées ? que penser des dessins des hommes des cavezrnes ? que penser de ce qu ils pouvaient penser  ? que donc pôuvaient etre les pensées de ces hommes du temps des cavernes ? les hommes des cavernes parlaient ils ? se parlaient ils ? quelle était lalangue qsu ilsutilisaient en tre eux (pour se comprendre) ? comment faisaient ils pour se comprendre ? que se disaient ils et avec quel langage ? nous avons quelques idées sur la qusetion mais nous ne sommes sûrs de riezn ; nous ne sommes sûrs sur rien ; nous doutons de tout et même de nos doutes ; nous doutons de tout ce qui vient vers nous, nous craignons les betes sauvages, les abeilles ou les guepes nous efffraient, nous sommes comme des betes pour les betesq ; sommes-nous comme des betes pour les betes ? les betes nous voient-elles «comme» nous nous les voyons, comme nous nous voyons les betes ?  ; sommes-nous des betes nous memes, sommes nousfragiles ? allons-nous mourir ? allons-nous mourir à la tache ? ; allons-nous nous mourirr ? ;

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27/05/2020

nous avonbs grande envie de récolter des fruits ; nous cherchons activement des solutions, nous sommes en quête  de réponses, nous voulons accumuler des savoirs, et découvrir à terme le pot aux roses, les raisons secrètes, les trésors (et les ressorts) cachés à première vue ; nous sommes tres motivés et concentrés ; nous mettons tout notre coeur à la recherche de pareille chose à trouver , chez nous, à l’écart du monde ; nous sommes tranquilles, nous sommes béats, nous sommes joviaux, nous sommes timides, nous sommes concentrés sur notree tache ; njous sommes comme mles sept nains de l’histoire, hé ho, hé ho ; nous sommes au boulot, le travail prime, nous chantonnons, nous avons cette envie en  nious , de trouver vaille que vaille, à la pioche : qui à la pioche, qui à la binette, qui au serpolet, qui au rateau ; à gratter la terre, loin, profond, jusqu’à dénicher le lièvre, dénicher le pot aux roses etc ; nous espérons trouver ce qui est qui ne se montre pas d’emblée ; les profondeurs ; que sont les profondeurs, où sont les profondeurs des choses, que sont les profondeurs, où sont elles ?  ; que penser des profondeurs, ous sont donc les profondeurs, que dire de la profondeur des choses ; existe t il une profondeur des chose ?  ; peut on accéder à la preofondeur des choses, cvomment faire pour accéder à la profondeur des choses ? qui dit qu il existe une profondeurs des choses, qui peut me dire qu il existe une profondeur des choses ? qui a dit qu il existait une profondeur des choses ? comment savoir s’il existe une profondeur des choses ? je ne sais pas s’il existe une profondeur des choses ? où donc est la profondeur ? où se situe la proifondeur ? peut on avoir accès à la profondeur ? comment avoir accès à la profondeur ? que penser de la profondeur ? la profondeur existe t elle ? y a t il de la profondeur ? que dire de la profondeur ? existe til une p-profondeur qui tienne dans le temps ? ce qui est profons peut il devenir superficiel ? ce qui est en profondeur, ce qui est enfoui dans les profondeurs, peut on le faire venir en surface , et si oui que devient il ? superficie , superficialité, peau des choses , etc ? nous ne savons pâs quoi penser de cette chose des profondeurs car en effet le profondd une fois «monté»en surface perds son cxaracatère ou aspect de profondeur pour devenir de la peau de chose, épiderme etc ; nous ne savons que dire des profondeurs en tout , en toute chose, nous sommes desc chercheurs de laboratoire qui cherchons dans la profondeur de ce qui n’est pas visible d’emblée (ou à l’oeil nu)  ; notre but est de soulever un lièvre ou deux à deux ; nous avons grand faim et nous avons grand soif de soulever la motte, la motte de terre, et de voir dessous lma trame du monde  ; ras la touffe ; ras lma touffe d’herbe ; soulver un couvercle, opercule, motte, gazon, herbe folle etc, et re garder ce qui dessous, dedeans, derrière, dessus, = au delà , se tra me que jusque -là nous ne connaissio,ns pas (du monde) ; nous cherchons à deux, main dans la main, comme deux amourereux, qui faisons allégeance face à la paroi ; nous sommes assidus, nous sommes au travail dès potron-minet, nous ne renaclons pas à la tache car la tache nous passionne ; nous avons besoin de travailler à nos recherches quotidiennement ; la vérité est la durée des choses ; nous pensons que cette vérité, que nousq cherchons, est dans la durée, dans la dureté du temps qui reste à vivre, etc ; nous pensons pour nous que le pot aux roese est caché dans le temps et c’est la raison pour laquelle noius allons (et faisons) fissa, dans le sens de la course, afin d’aller vite en besogne vers des lendemùains que nous espérons de fait voir chanter, en laboratoire d’abord, d’abord en laboratoire ; nous aimons ainsi nous placer dans une perspective de chant de trouvaille ; nous voulons nous positionner ainsi dsans le champ d’une trouvaille à dénicher, concernant la vie des parois, le temps à venir (le temps pariétal) , la vie pariétale du temps à venir et du temps présent ; nous avons plusieurs fers au chaud et nous travaillonbs d’arrache -pied pour dénicher un petiyt quelque chose d’extra-ordinaire, un petit machin de derrière les fagots, qui soit une découverte sensationnelle (de laboratoire)  ; nous avons ghrand faim, grand soif de découverte sensationnelle ; notre but est affiché en grand : ici recherche de sensationnel ; nous affichons nos prérogatives, nos vélléitées, nos ambitions et nos prétentions (et notre vanité)  ; nous disons fort notre faim de loup ; nous disons haut notre soif de découverte magistrales, sensationnelles, grandes (grandissimes) etc ; nous n’avons pas froid aux yeux et nous y allons, nous ne sommes plus timides, ou si nous sommes timides nous faisons de la sorte que la chose ne soit pas voyante outre mes ure ; nous cherchons des solutions de haut niveau, de calibre supériuer, mais cela : ras la motte de terre, c’est à dire avec des moyens tout ce qu il y a de terre à terre ; nous sommes munis (nous nous sommes munis) d’une méthodologie cartésienne de première bourre , nous sommes parés ; nous connaissons mille secrets de recherche, nous connzaissons mille secrets, combines, de recherche ou pour la recherche ; nous connaissons bien des combines de recherche, de chercheurs, nous avons pour nous mille combines de chercheurs et de chercheuses patentées, nous avons pour nous mille combine de recherche, de recherche motivée, de recherche sérieuse ; nous sommes munis, nous sommes armés, nous avons des armes, nous avons de quoi, nous connaissons les rudiments, nous connaissons beaucoup beaucoup de combines bien pratiques dans nos professions ; nous sommes dégourdis, et à deux il est plus facile «d’y aller» que lorsqu on est seul, à devoir  se dépatouiller dans une jungle ; ,nous aimons chercher les secrets cachés où il se trouve ; il s’agit de bien s’organiser d’emblée (dès le départ)  ; il faut de l’organisation, de la précision, il faut de l’entrain, de la régularité, il faut s’entendre, il faut savoir se faire petit, il faut savoir s’effacer derrière larecherche, le motif de la recherche ; il est important (capital) d’être assidu à la tache, de tenir bon au quotidien, et de ne pas flancher dxans les virages ; nous aimons nous mettree à la tache ; nous cherchons une solution au problème de l’art, au problème que nous pose le mot «art» ; nous cherchons le pourquoi du comment aujourd’hui ce mot ; nous avons ce mot en bouche ; il s’agit d’un mot-abnimal, comme tous les mots ; il ne déroge pas , il ne sort pas du lot ; il s’agit d’un mot-animal, il ne déroge pas au troupeau, il est semblable à tous les autres mots du dictionnaiore ; lui comme les autres : il a un sens écrit, noté, page x du dictionnaire ; nous cherchons ce qui est derrière le mot-animal ; ce qui se cache dans la paroi ; ce que recèle la paroi du temps ; ce quil en est de cette chose nommée art ; à quoi l’art correspond il ? de quoi le mot art est-il le nom ? il s’agit d’un travail de recherche dans les profondeurs de la terre : voyage au centree de la terre ; nous cherchons assidument ; nous somme ensemble et nous cherchons des lors ensemble ; quoi cela peut il etre, cette chose ?  ; nous aimerions beaucoup toucher au but et trouver une définition, car toucher au but = donner une définition aux autres, leur donner une définition, donner à nos enfants une définition, dolmmer aux enfants un axiome, une définition de dictionnaire, de scientifique ; il y a maldonne ; nous ne cherchons pas à donner une définition de dictionnaire, non ! nous cherchons à trouver ce qui se cache, derrière terre-mère ; voilà tout ou voilà le tou de nos recherches actuelles ; nous bne cherchons pas à dire, pour les génbérations qui vont suivre, ce qui est de ce qui est, mais nous cherchons à voir ce qui est ; ce qui se cache sous l’étant du monde ; derrière les choses y a til des choses cachées (profondes, profondeurs) et si oui comment faire pour les débusquer sans les froisser, sans les déchirer, les aveugler, les couper menu, les briser grave, etc ? ; nous ne sommes sûrs de rien ; nous allons de découverte en découverte, bnous allonds d’étude en étude, nous alloons d’une chose à l’autre, nous allons d’une vérité l’autre dans nos rêves ; noyus sommes réveurs doux et douces personnes chercheuses, cherchant cette chose d’une vérité fiable, sur laquelle nous pouvons, nous pourrions batir ; fondations ; nous sommes à la recherche ici de fondations de vérité tangibles et fiables (sécure)  ; nous ne bvoulons pas construire pour le coup sur du mou de la chique, mais tout au contraire nous voulons construire ici sur du costaud des épinettes ; notre but ultime n’est en rien la définition du dictionnaire etc, mais ce que nous cherchons, ce après quoi nous courrons comme des lapins, est cette chose d’une découvertte, in situ (dans le temps d’un déroulé de type pariétal) d’un trou de bouche dans la joue ; nous cherchons le trou, et le comblement de ce trou par un pansement d’étoupe verbal, de type cordelette torsadée , faiite de betes entrelacées ; nous cherchons dans cette direction, nous cherchons une direction dans ce sens = dans le sens ; nous ne cherchons pas de direction dans le non-sens, mais plutot (au contraire) nous cherchons notre direction dans le sens ;notre ambition est claire et nette ; nous voulons du sens ; nous ne cherchons pas du côté du non-sens mais bien au contraire, d u côté du sens, car c’est ainsi qu il nous semble que cela (la chose) est honnête et se doit ainsid’être pour nous, dans une vision des choses qui (vision) tienne compte de l’ensemble des pâramètres langagiers (pariétaux)  ; nous sommes là) ; nous nous posons là ; nous cherchons à cet endroit ; nous nous situons exactement à cet emplacement et c’est dès lors depuis celui-ci que nous nous acharnons dans nos recherches ; nous voulobns la vérité ; nous voulons dénicher, déterrer, débusquer etc ; sortir le truc de sa cachette de machin,, etc ; nous voulons sortir le truc de sa cachette ou de son terrier ; nous sommesc deux (elle et moi) à le vouloir, et, pour cette chose, il est cpréférable d’etre deux, tres surement ; nous avons compris cette chose, nous comprenons des à prése nt cette chose, nous ne tombons pas de l’arbre ; nous sommesc avertis (aguerris) et nous pigeons des choses, nous comprenons des choses, nous savons ce qui est qui se trame et cela est cette chose, comme quoi, derrière les choses du monde, il y a d’autress choses du monde et ainsi de syuite (à l’infini) et dès lors à quoi bon creuser (puérilement) le monde ? puisque le monde cache le monde, le train un train, comme sur les panneaux ; le monde cachec mle monde ; mais le monde en lui même que cache til d’autre ? eh bien .... rien semble t il ! ; or non ; il n’y a pas rien, il y a , encore et toujours, le monde = la chose ainsi qyiu bse loge dedans dessus ou derrière le monde, à savoir encore et toujours le monde etc ; etc, etc ; nous avons cvompris la chose, et ce que nbous cherchons dès lors est , ou plutot se situe , hors du monde des sentiers battus ... ou non battus ; ce que nous cherchons   ne répond pas du monde des sentiers, il répond du monde des vrilles de bouche, connectée, attacjhée à joue trouée ; nous cherchons des betes de somme, nous cherchons en  ous des betes de somme reliées à nous via un cordon qui file de la bouche, de notre cavité buccale ainsi comblée (obturée) par une tige (donc) que nous appelons vrille et qui ici est cette chose de percée, qui va cogner la pareoi du temps ; njotre but est de coller au temps, de nbous afficher collés au temps ; affichons, affiche sur paroi, sur mur, cela (cet animal gravé ou dessiné) est une affiche  ; haut et fort ; nous hurlons, nous gueulons, nous parlons haut, nous vitupérons, nous sommes des grandes gueules dans lm’invective et le parler haut, nous ne lésinons pâs, nous y allons, nbous nous faisons entendre, nbous meuglons, nous beuglons, nous rugisson,s ;, nous mugissons, nous avons plein la bouche (cohorte) de ces betes fauves à fort bruit, à fort cri, à fort bruissement ; nous aimons ainsi afficher ; nous affichgons notre superbe d’animal massif, d’animal de labours racés ; nous sommes de «belles» bêtes ; nous pesons cher ; nous pesons bon poids ; nous pesons ce que nous devons pour en imposer dans le pas, dans le pas de nos sabots qui tappent terre-mère ; nous sommes des bvetes de race ; nous voulons etre ces betes là et cela nous tient à coeur ; nous ne sommes pas rien, nous sommes ces betes qui nous chevauchent, qui nous hantent, qui sont en  ous, qui occupent la place où nous sommes  : pile-poil ; nous cherchons des solutions à des problèmes et ces solutions nous les cherchons (en laboratoire) dans le temps de  ce déroulé pariétal de grotte ; les grottes pour nous sont des an,tres à paroi de temps ; nous avons ce besoin de chercher des antres ; nous cherchons des antres, nous cherchgons entre, nous cherchons entre les mots de la paroi, nous cherchons entre les mots-animaux latrame, mais où donc ?  ; nous cherchons entrez les mots, quelque chose, qui puisse nous dire ce qui est de  vce qui nous attend ; nous cherchons des solutions, des réponses entre les mots-animaux dessinés sur la paroi des grottes ; nous cherchons assidument ce qui se loge dans les interstices : entre ; nous voulons nous immmiscer entre, et cela se fait aisément par les mots sensés, qui peuvent de fait se loger aisément, entre, via le temps, via la chose du temps dit «le dit temps pariétal», et ainsi logés, les mots-animaux survivent dès lors dans le savoir des choses du tempsq ; nous cherchons une façon ensemble de nous immiscer dans la pareoi du temps ; bvoilà ce qui ewst ; nous cherchons ensemble à nous immiscer dans lapâroi du temps, d’une manière ou d’une autre, et là, nous avisons ; nous savons, là nous pouvons ; là nous sommes ; etc ; nous chertchons dans la paroi ce qui est qui fait que nous sommes (betes de somme)  ; nous le cherchons à deux , dans un temple  sécularisé, qui est notre laborartoire de recherche temporo-pariétale ; nous somlmes deux ; nous cherchons à deux ; à deux c’eswt mieux ; nous aimons etre deux ; à deux on se tientb la main ; à deux on sé’épaule ; à deux on se soutient ; à deux on arrive plus facilement à ses fins ; on y voit mieux, on multiplie les chances pour soi, etc ; il suffit de peu : deux  ; deux c’est suffisant, et même conseillé ; nous sommes deux pour l’éternitéet nous sommes deux dedans la paeroi de roche ; noius avons trouvéc par où passer (nous immiscer) et du coup nous sommes logés à la même enseigne, qui est celle d’une (donc) paroi de grotte ornée ; nous aimons les peintures pariétales préhistoriquese ; il s’agit de ce que nous préférons, nous préférons les peintures pariétales préhistopriques à mille choses dessinés , ouvragés depuis (e,n la matière) ; ce que nous préférons c’est cela qui ne dit pas tout ; nous aimons les peintures ancestreales (préhistoriqiues) magdaléenennes, etc, pourquoi ? parce qu elles renferment en elles, parce qu’elles contiennent en elles (enfermé) un secxret de vie ; les peintures de l’ère magdaléenniene, srenferment en elles un secret de vie, un secrett des profondeurs, une chose enfouie dans l’hiistoire et le coeur de l’humanité ; nles peuintures magdaléniennes sont des secrets, renfermejnt, sont porofondes, sonr des profondeurs, donnent une vision d’un profondeur perdue, etc ; nous cherchons à retrouver  ici cette profondeur perdue, oui, en toute bonne foi, tout bien tout honneur, nous cherchons avec humilité, ras la motte de terre, nous cherchons avec nos petits moyens, nous cherchons le plus avec le moins ; nous chertchons à rapprocher (en laboratoire) le plus avec le moins, le pôle + avec le pôle - ; nous faisons cette chose (physique ou physico-pariétale) d’approcher + et - et voir dès lors ce qu il advient de cette chose ; nous cherchons le plus avec le moins ; nous voulons des choses pour nous, enfermant un secret du monde ; nous cherchons des oeuvres qui soient pour le coup des coffres à trésors, nous cherchons des coffres, des lieux de coffre, des lieux qui soient coffres à trésors cachjés ; nous voulons des choses qui ne disent pas , des choses qui disent ce qu ielles ne disent pas ; nous cherchons des choses qui soient des choses des preofondeurs du monde ; des visions de l’au delà ? des visions de l’en deçà ? des visions du dedans de soi ? des visions du derrière des choses du monde ? nous cherchons à deux car «à deux c’est mieux» ; nous cherchons les codes ; nous cherchons à trouver, à dételer, déterrer, débbusquer, découvrir la peau du monde, à trouver par delà l’enveloppe, ou comment ? nous cherchons dans le temps ce qui est caché qui ne dit pads son nom ; nous cherchons dans le temps de la paroi, ce qui est caché, ces betes qui chargent, et qui est la solution , la réponse à une question que nous nous posons ; nous cherchons une réponse à une question que nous nous posons, et cette réponse est vde l’animal dessiné, est dub mot-animal de paroi, est de l’animal de caverne comlme ours dessiné, ou lion dessiné, ou bison, phacochère, chevreuil, buffle, cheval, reznne, bouquetin etc ; notre but est affiché sur une affiche ; cette affiche est une affiche sur laquelle sont dessinés (entre autres) des taureaux ; nousaimons les affiches, nous sommes tres amoureux des affiches de taureaux etc ; nous avons le gout des affiches, hnous avons pour ambition de faire des affiches, nous sommes nous deux avec pour nous ce gout partagé des affiches, des affiches à coller à des parois, à des murs etc ; affiches pliées, dépliées, avec des animaux dessusq etc ; nous aimons ces affiches dépliées et collées sur des paerois, sur des murs, nous les apprécions, nous en sommes fans ; nous sommes fans de ces affiches pliées, puis dépliéeset collées sur un mur, comme cela vient, avec entrain, avec une brosse etc ; nous aimons les affiches avec desq animaux dessus ; notre gout à tous les deux va aux affiches etc ; nous aimons beaucoup cela, nous aimons beaucoup les animauxcx sur les parois des grottes ; notre gout commun va aux animaux sur les pareois de s grottes ; notre gout en commun va aux mots-animaux etc, et c’est la raison pour laquelle nous nous aimons, et nous vivons ensemble et cherchonbs dees vérités ensemble etc ; sous le vmême toit ; sous ce toit de temple, de laboratoire, d’atelier de recherche etc ; il est ce temple qui nous réunit pour une recherche commune ; nbous voulons ce temple pour nous en tant que laboratoire, en tant que labo de recherchev pariétale, de recherche pariéto-langagière ; nous sommes (nous deux) unis dans ce sens, nous l’affichons (pli, dépli) et le disons ainsi : sur la paroi d’une grpotte (temporelle) du sud de la France, aux confins d’une montagne de faible altitude ; nous sommes ensemble à cxhercher ces choses, cesz mots-animaux, ces raisons, ces choses de  vie et de mort ; nous voulons comprendre mais cela n,’est pas facile, et des lors nous poursuivons (dans le temps) la recherche ici, sur des mots-animaux qui chargent, qui nous emportent, qui nous entraineznt ; nous sommes de fait ballottés sur leur cuir ; nous sommes ballottés d’un animal l’autre (du troupeau en furie) sur le cuir de ceux là qui nous portent ainsi ; nous les aimons ; l’amour (laterre) ici est capital ; nous sommes attenants, nous avons les pieds au plancher , et le crane contre la paroi : nous aimons de pied en cap etc ; l’amour ici est cette chose qui a trait à une emprise matérielle ; nous savonbs cela ; nous savons ce qui est de cette chose de l’amour sur terre ; njous savons ce qui est de cette chose et nous l(affichons : buffke,  bison, renne, antilope ou bouquetin ; nous disons ce qui est de cet amour terrestre, il est un amour matériel, un rapprochement de pareties, pour une formation concrète, sensicble, odorezante, des paerties entre elles, et le collage des paerties formant la donne coquière permet (lui) d’aller à deux ainsi accolé en une paroi de grotte rocheuse ; nous sommes qui allons à deux en une paroi de grotte rocheuse, en une paroi de grotte, dans , à l’intérioeur d

‘une paroi , de la roche d’unec paroi, à l’intérieur d’une grotte ; nous aimons nous immiscer à l’intériuer des parois de grotte, entre les animaux quui y sont dessinés ;: nous aimons nbous immiscer entre les animaux-mots, nous aimons nnous glisser entre eux et comprendre ce qui estv , ce que la vie nous offre ici (là) en tant que réponse aux questions qui sont les nôtres ; nous sommes pétris de questions, nous sommesc remplis, nous sommes plein, nous n’en pouvons mais, nous n’en pouvons plus, nous sommes ras bord, nous sommes archi-pleins et nous aimerions en découdre, que lma «jhoue» se troue et laisse passzer ; que joue (je) se troue et laisszât passer le fleuve animalier, ce cordon torsadé buffant (bisons, buffles, aurochs, etc)  ; notre but est ici logé ; il s’ap^puie de fait sur une connaissance avérée des données pariétales du temps ; nous sommes deux à le vérifier et ce n’est pas de trop ; nous voulons comprendre le ressort secret du langage des mots-animaux ; nous voulons comprendre lesraisons cachées etc et pour cela «nous y allo,ns», de conserve, en paroi, dans le sens de la marche du troupeau des betes buffantes ; nous sommes logés à bonne enseigne pour y voir plus clair ; nbous voulons de ce savoir ancesqtral (préhistorique) pour nous ; nous voulons de cette chose ancestrale et ainsi nous saurons, nous voulons savoir ; nous avons en nous cette encvie ou soif de connaisszance et voulons connazitre, ce qsui est du monde, de la vie, des chose de l’au delà, etc ; nous sommes préssés de comprendre et c’est la raison pour laquelle nous chevauchons les betes de somme , qui foncent sur paroi du tezmps, qui à l’oxyde de manga n èse, qui au charbon de bois etc, ; nous voulons charger avec les betes la paroi du temps ; nous essayons d’ouvrir grand les yeux et aussi nous essayons de comprendre les choses qui sexpassenbt sous nos yeux ; nous voulons essayer de comprendre ce qu il se passe au sein de  e trouvpeau de betes dessinées ; nous cherchons à comprendre ce qu il se passe au sein de ce troupeau de bovidés qui vont chargeant (de kl’avant) ensemble vers leur destinée : quelle est -elle ? ; nous cherchons des vérités de parois ; notre ambition est écrite en toutes lettres sur l’affiche ou l’affichette ; nous avons de grandes ambitions, nous avons des ambitions démesuérees ; nous sommes pétris d’ambitions ; nous en avons ras la couenne, nous sommes perclus, nous somms imbus, nous sommes pleins, nous sommes emplis, nous sommes remplis, nous en sommes écoeurants , de toute cette ambition en nousaccumulée, nous sommes écoeurant ; nous sommes écoeurant de cette chose en nous accumul»ée, nous sommes écoeurant pour beaucoup et on le comp^rend ; nos ambitions sont affichées en grand jusqu à l’écoeurement ; nous en sommes désolés, nous sommes désolés de cette chose, nous sommes vraiment gênés, nous sommes ennuyées ; nous ne voulons pas dépareiller ; nous voulons nous immiscer dans le troupeau ; nous sommes betes comme vous les betes ; nous sommes aussi betes que vous autrees betes de paroi ; nous sommes tout autant betes que  betes de charge sur paroi de grotte et cependant nous sommes là, devant la p âroi, qui cgherchons l’interstice etc, pour nous adljoindre à pareille furie pariétale ; nous voulons ressembler auyx beztes dessinées  ; nous cvoulons nous introduire dans cette paroi temporelle et meugler avec les meuglants, beugler avec les beuglants, rugir avec les rugissants, mugir avec les mugissants, et ruminer avec les ruminants ; nous solmmes de la même espèce huamine ; nous solmmes humains de m^$eme espèce ; bnous man,geons de lm’herbe, nous mangeons le foin, nous mangeons de l’herbe fraiche ou fanée ; nous sommes bovidés de même espèce, bnous aimons les herbes des prés  ; nous vivons dans les bois, dans les bois et dans les sous-bois, bnous vivons sur lkes champs, nous mangeons des baies, nous sommes des chevreuils, des biches, cervidés ; noius aimons les mots-animaux que nous avons en  nous, nous en avons plien la bouche ; nous aimons les motsc -animaux qui sont en nous, nous avons la bvouche pleine ; nous avons la bouche pleine d’animaux (= de mots -animaux) et du coup nous les tombons en ribambelle (ruban) lorsque nous ouvrons la bouche (pour parler, manger, respirer, bailler, etc, embrasser, etc) ; nous sommes pétris de bêtes en nous ; perclus de douleurs d’origine terrestre ; nous sommes faits comme des rats, nbous sommes faits, nous sommes façonnés, nous sommes agencés, construits (bébés que nous sommes) comme au premier jour ; dès le premier jour ; nous sommes faits de mille choses en nous dont des animaux de poids ; nous pesons le poids du bovin en nous, qui parlons ; nous pzarlons et ce faisant expulsons par le trou de la bouche tant et tant de betes à cornes etc ; nous solmmes pétris de beters à cornes ; nous marchgons avec elles en  n ous ; njous avons un trou qui est la bouche, et ce trou avant n’exwistait pas pour nous ; avant le trou n’existait opas, il a été créée par une tige animalière en nous, qui a percé la peau (transpercé) et a permis (?) ou occasionné lza perte (la chute) des betes en nous (cointenues en nous) dans kle temps de la paroi terrestre (en dur)  ; nous avons a insi perdus beaucoup de betes ; nous avons perdus de nottre ouyverture de bouche de nombreuses betes de somme ; elles sont tombées de nous, de ce trou entre les joues ; elles ont chu, elles ont chuté pour seretrouver sur un parterre en dur (sol-mur de terre-mère) quyi est cette chose qui nous tient debout, qui nous soupèse, qui nous conserve, qui nous sauve ; nous avons chu ; les betes ont chu, ellles sont tombées de nous à nos pieds : offrandes ; et depuis nous ruminons comme betes de somme ; nous ruminons tout ce que nous savons : tout nottre savoir, tout ce sqavoir langagier humain, toute cette chose langagière de raidson, de cap, d’extrémité céphallique ; nous somlmes desruminants ; nous rumino,ns depuyis lors et depuis lors nous sommes troués, nous avons ce trou de bouche qui perd ; nous avons en nous cette fuite de capitaux, cette embardéec langagière inarretable en  ous, cette course-poursuite apres le temps etc ; depuis lors, depuis la percée de la peau buccale ; nous sommes qui perdons ainsi, comme un lavabo ; nous perdons des mot- animaux, nous les perdons sur la paroi du temps, nous sommes vernis ; nous pourrions les perdre à jzamais, dans le noir de la nuit des espaces sidéraux, mais non ; nous avons terre-mère pour nous rattrapper au vol et nous sauver ; nous avons des mots pleins la bouche (tous ou presque) et ces mots tombent de nos bouches en cordelette torsadée, il s’agit de betes de somme emberlificotées , qui forme une é pée, une sorte de pointe de licorne ou de rhinocéros, à moinsqu il ne s’a fvgisse d’une sortye de corne d’abondance etc ; nous sommes ainsi muni, monté, membré, etc, d’une corne pour nous (faite de mots-animaux) qsui part de nous (visage) et se dresse devant nous (paroi) ; il s’agit d’une seule et même chose en v érité ; notre corne (d’abondance) est la paroi de la grotte, la paroi ornée ; njous pensons qu il s’agit d’une seule et même chose ; nous pensons (entre nous, à l’intériuer de notre laboratoire) qu il s’agit ici d’une seule et même chose : corne d’abondance (remplie pour le coup de betes de somme) et paroi de grotte (ornée de chevaux ou de bovidés etc)  ; nous avons ce sentiment en nous qu il s’agit d’une seule et mêlme chose et du coup njous l’imprimons, nous le disons de vive voix, nous n’hésitons pas à le dire ici ou là ; ,nous sommes ensemble (accolés) pour des recherches de type parioétales, de grotte anciennes, nous cherchons des vzérités sur paroi ornée, etc ; notre recherche concerne esssen,tiellement la question de l’ettre sur paroi de grotte, ce que c’est que de figurer dans les interstices etc ; il s’agit d’une recherche passionnante, tres env ahissante et quii ne laisse pas de nous accaparer ici tous kles deux (une chan,ce que nous soyons, tous deux, investis par les mêmes choses)  ; nous essayons de nous immiscer au sein de la paroi, la chose peut se faire avec des mots et dans le temps ; notre but ici est de nous introduire sans difficuyltés ; nous voulons fazire ezn sorte que la chose soit aisée et puisse se faire sans trop de problèmes ; nous cherchons (pour cela) une issue, une entreé de roche, interstice, fen,te, passage ; nous cherchons au plus près par où nous introduire et nous ne lachons pas de vue la paroi (la pâroi du temps)  ; nous pouvons fermer les yeux et y aller au toucher ; nous pouvons même nous endormir et trouver par le co,ntact, entre nous (chair) et elle (roche), par où la chose (la jonction, l’immixtion) pourrait advenir ; nous avons les pieds sur terre ; nous sommes pédiculés ; nous avons les pieds sur terre, nous gardons le contact avec la terre-mère nourricière ; nous voulons de fait aller loin en roche, loin à l’intérieur de pareille roche ; njous cherchons une immixtion totale du corpus ; nous cherchons à nous introsduire main dans la main au plus profond de la paroi de roche , au plus p^rofond de cette (donc) paroi temporo-spatiale qui nous fait face ; nous voulons ensemble nous gklisser à l(‘‘intérieur de la paroi du temps et, pour cela, nous ouvrons (perforons) la bouche (un trou dans la bouche)  ; njous sommes pleins de betes en nous, qui ne demandent (?) qu’à sortir de nous ; qui meuglent, qui veulent meugler, en plein air, sur paroi de grotte ; nous sommes remplis (ras bord) de betes de somme (nous sommes) et nous chargeons (ainsi remplis) sur pareoi de grotte, nous y allons ; nous sommes des betes de somme qui ainsi allons sur des parois pour faire iillusion,  faire accroire, s’afficher en tant que tel (en tant que bete vivante) quand il ne s’agit que de rep^résentation ; nous y allons avec ezlles (ici, dans la paroi du temps) et grâce à elles : elles nous portent ; nous sommes portés ; sommes nous portés ? nous aimons les betes de somme ; nous essayons de comprendre qui elles sont ; notre bouche est une ouverture créée par elles , qui ont chargé, et oint transpercé  notre jhoue et ont ouvert une voiie d’abord (la voix) en piquant de leur pointe de corne, de leur pique de bout ; nous sommes percés ; nous sommes transpercés et nous alloonbs ainsi, dsans la vie, pêrdant nos betes-mots incompressibles ; nous-mêmes les tombons de nous à mesure que nous avançons sur le sentier de notre destinée, qui est destinée respiratoire un tezmps ; nous respirons et c’est en respireant que nous tombons des betes , des betes -mots ; nous sommes dépités ; nous parlons le langage de la corne, de la corne d’abondance ; il sagit d’un puits san s fon, point d’aphasie ; nous parlons sans ceesse et sans cesse perdxons du lest, de ce lest animalier qui pèse un âne mort ; ces mots (d’ailleurs) sont des betes mortes en nous ; il s’agit dee mots morts ; nous tombons de nous (sur paroi de grottes) des animaux morts ; des mots-animaux qui sont autant ds’animaux morts ; nous tombo,ns de nous la mort de la vie, une petite mort de type égrenage ; les minutes de petite mort, ou de prtite  vie selon l’endroit où l’on seplace ; il s’agit de mots qui sont des animaux, ; , mais des animaux qui sont morts ; ils sontb morts en nous , lorsqUE  njous ouvrons la bouchee (pour respirer etc)  ; il s’agit de betes mortes avant de naitre sur paroi, et cependant elles semblkent 1 plus vrai que nature et 2 encore vivantes ; nous les dessinons au pochoir, à main levé etc ; nous aimons dessiner des betes sur des parois, nbous cherchonqs en ezlle une vérité sur ce que c’est que cette vie que nous vivons sur terre-mère ; notre destinée est tracée ; nous dessinons des betes, celles là même qui tombent de nous (à nos pieds) et qui sont (de fait) betes de somme à ramasser et à greffer sur parois de grotte ; nous avons en nous (dans la bouche) des betes de somme à dessiner ; nous aimons le dessin, nous aimons dessiner des betes, nousaimonds tenir du charbon de bois dans la main et dessiner sur une roche une bete qui charge ; nous aimons énormément dessiner des betes sur des parois, nous avons l’habitude de le faire ; nous nous appliquons, sachant que le but ici est de faire ressemblant le plus possivble, c’est à dire vivantv le plus possible afin dec faire croire en dela vraie vie en ces betes (de mots) en vérité mortes ; njous sommes zainsi outillés que nous faisons ici cette chose d’un mensonge malgré nous dans la mesure où nous faisons le choix, autant que faire se peut , de rester en vie ; rester en vie équivaut à tricher avec la mort, nhi plus ni moins (qu on l’écrive!) ; n,ous disons que nous avons en nous du verbe (cordon omnbilical) qui nous lie à la paroi du temps, il s’agit d’une chose morte (mort-née disons) que nous portons au devant de nous comme une offrande (un présent) de temps ; nous avons des mots morts plein la bouche  ; ou dit autrement : les mots morts ne sont ni morts ni vivants, les mots sont des animaux morts, les mots sont avant tout des animaux morts ; il est ainsi que les mots sont des animaux que nous gravons ; il s’agit de betes gra-vées ou dessinées sur paroi, ou bien des choses vocales que nous expulsons (exp^rimons) pa r le trou de notre bouche ; cette bouche en nous qui est une écxhancrure : cette fente, ce coup de couteau ou ce coup de corne ; nous sommes pétris de mots - animaux en nous et nous essayons de ne pas les perdre en chemin et pour cela nous restons (sommes) en vie ;la vie (pâr défaut) fait tout le boulot ; nous sommesc en vie ici dans le temps, grace au fait que nous offrons, à sieur la mort, à sieur la mort ou à dame la mort (ce couple) un peu de nous , à savoir cette petite vie du temps pariétal ; cette petite vie pariétale animzalière  ; ce semblant de vie à la torche ; etc ; nous faisons la chose presque malgré nous, car nous sommes  vivants, et en tant que tel nous sommes inscrits (immiscés) dans la paroi du temps qui passe, qui éghrène ses minutes, etc ; nous sommes ainsi comme pris d’assaut : et par la vie, et par les mots ; nous avons été pris d’assaut à la naissance, et par les mots, et par la vie en nous, et que faire ? devons-nous nous suicider ? nous tuer ? nous faire passer de lm’autre côté, ce côté dont nous ignorons tout jusquàson bien -fondé évz»ntuel ? ; nous ne savons pas commeznt vfaire ou nous y prendre pour comprendre (saisir) ce qui est du monde qui nous environne ; il y a tous ces animaux sur terre ; les animaux nous obsèdent ; les animaux (leur diversité formelle) nous fait réfléchir ; nous voulons cxomp^rendre aussi ce qu il en est, de ces vies sur terre d’animaux si différents les uns des autres, et nousz au milieu ! ; cela est étrange, peut-on dire cette chjose ?  ;: nous penson s à part nous que la vie n’est pas exactement ce que nous croyons qu elle est ; la vie n’est pas cette chose desqcriptible avec des mots rationnalisés ; nous pen,sons que la vie est tout autre chose et ne s’inscrit pâ s dans la vérité du langage articulé ; nous avonsl(‘impression que cette vie que nous vivons, n’est pas réellezment approchablepar les mots du langage que nous connaissons (chacun le sien)  ; il nous semble ceztte chose, que les mots ne peuvent aller loin ; que l’intelligence (degrés) ne peut aller loin ; il nous semble que l’intelligence et ses degrés n’est pasde taille à percer le mystère pour le coup de l’existencxe du monde ; il nous semble que les mots ne peuvent pas aller jusquà comprendre (saisir) le monde et en restent tres loin en deça betement ; il nous semble que l’intelligznce ici est de la betise, et la betise de l’intelligence , comment autrement ?  ; nous cherchons une solution ; nous avons cette chance d’habiter un temple en bordure de forêt ; nous avons cette grande chance cd’habiter un temple (labo) en bordure d’une foret agréable ; nous nous promenons dans la forêt et  écoutons les bruits divers, qui nous troublent, qui nous lmaissent pantois car ils sont divers, nous ne connzaissons pas en vérité tous les briiuts de la forêrtrt ; il y a beaucoup de betes cachéesq, qui derrière une fougère ou une ronce, qui derrière un rocher ou un arbre ; nous aimons cependant nous sentir entourés de betes, car nous avons en  nous des betyes qui sont leurs soeurs en termes de vocables à tomber de la bouche (pântois)  ; nbous aimons les animaux, nous dessinons des abnimaux, nous avons cette fringale de vouloir dessiner à tout bout de champ , des betes , des betes de taille plus ou moins grande etc ; nous les dessinons sur paroi de roche ; nous essayons de cvomprendre en forçant kles traits, bnous essayons de faire ressemblant autant que possible ; il est capitzal pôur nous , cette chose, cette chose pour nous est capitale, il nous apparait pour nous (à nos yeux) que cette chose, ici, de dire, est capitale, colmme quoi nous sommes encerclés de betes, partout où nous sommes, qui nous observent et la plupart du temps nous fuient, nous craignent, et à juste titre car nous sommes prédateurs, nous sommersxpour ces betes des prédateurs ; les b betes ne sont pas sottes pour tout ; les betes ont comp^ris au fil des temps qu il était préférable de nous éviter, de se tenir (pour elle) loin de nous qui sommes à leurs yeux des dangers ambulan tsq ; nous sommes des dangers ; nous oublio,ns (?) que nous sommes pour les betes des dangers ; nous sommes pour les animaux des dangers en acte ; nous pouvonstuer même malgré nous , par exemple en posant le piedcpar terre,  ; nous sommes dangereux et peu fiables ; les betes nous craignent (quasiment toutes) mais comme (peut-être) elles se craignze,nt entre elles, pour la plupart ; nous avons en ous des betes qui nous c raignent, nous les crachons, nous crachons ces betes, nous les sortons de nos poumons etc, nous crachons des betes en veux tu en voilà ; nouds avons des betes en nous ; nous les crachons sur les parois, nous crachons sur des parois, nous crachons du pigment  sur des parois et dessinons des betres ; nous crachons des b etes sur des oparois et ainsi faisant nous dessinons des mains négatives par exemple ; nous dessinons des antilopês sur les parois et eklles semblent plus vraies que na rture ; nous crachon,s et ce faisant dessinons au pochoir nos mains négatives ; nous aimons ces chose et les menons à terme en laboratoire ; notre laboraztoire est tout équipé et ne manque de rien pour mener à terme nos rezcherches, ou mener à bien nos recherches ; à terme peut etre pas mais à bien nous l’esp^érons car nous avons la foi, nous croyons en ce que nous faisons, nous sommes plein d’énezrgie et de motivation, nous aimons nous immiscer dsans lapareoi à la recherche d’une solution à un ou des problèmes posés devant nous, comme qui dirait à nos piedss, ou mieux , repêchéss, ici, sur la paroi d’une grotte préhistorique ; nous avons cette foi en nous qui nous guide , et qui pour ainsi dire n’est en rien de notre ressort , mais plutot du ressort de la vie en nous : cette vie de betes buffantes, bouffant ; nous avons cette foi en bnous qui est ce souffle en nous, et aussi ces mots en bnous (qui croient en eux-mêmes pour ainsi dire)  ; njous sommes perclus de douleurs de toutes sortes (mal fichus) et cependant nous sommes tout amour ; ici en nous l’amour est cette chose en  ous qyui fonctionne comme sur des roulettrezs et va où le vent la porte ; nous pensons que l’amour en nous est une chevauchée qui nous échappe par la bouche ou mieux : par ce trou (beéance) de la bouche en nous ; l’amour est ce qui en nous transite par une sorte de plaie avec berges  (comme toute plaie)  ; nous sommes qui aimons ici cette chose qui transite en  ous par une plaie encore mal cicatrisée ; nousc pensons que cette chose de l’amour en nous est un feu qui brule sa flamme, en bouche, en notre bouche qui est cette plaie encore saignante ; là est l’emplacement de l’amour, dans ctte chevauchée incontrolable en nous d’une cohorte, d’animaux de labours, lancés fissa vers la paroi du temps en face ; cet amour en nous que nous portons ici malgré nous ; nous sommes ravagés, nous sommes envahis par un élan qui (tonitruant sur terre de labours) va son chemin de force vive, vers paroi de grott en réception ; l’amour logédan,s la paroi ; nous pensons que les images d’animaux sur les paerois des grottes de ces temps immémoraiux sont des mots d’amour natif ; nous avons dit d’amour, nous pourrions dire de haine native ; il s’agit d’ébullition, dans un sens ou dans un auttre ; la chose bout ; il s’agit là de flamme à haute incandesvence ; il s’agit de haute ibncandescvence ; il s’agit du feu en soi qui brule, et chasse les buffles , les bisons, les bouquetins, les chevreuils, les antilopes, les isardsq, les vaches, les taureaux, les rhinocéros, les aurochs, les zébus, les bouquetins, les ours des cavernes, les rennes, etc ; « cé dé z-animo » ; nous pensons que cet amour en nous (cet élan vers la paroi du temps) est un amour de coque, coquier, qui va son allant pariétal pour une reconquhête pariétale temporezlle des cxhoses adbvenues, pour un collage à vif (à chaud) sur paroi du temps, avec une amie chère ou un ami cher, pour une vibration liée de fait au raffut des betes (de somme) chargeant tout leur soul sur paroi de roche ; nous aimons ; nous disons que nous aimons ; ces mots sont ceux de la plaie buccale, qui dit sa douleur et sa joie concomittante ; nous pleurons et rions concomittament (paroi de l’amour)  ; nous sommes ainsi qui rions et pleurons concomitta,n,ent sur paroi du tezmps (accolés)  ; njous avons en  ous cette charge (charge de l’amour) quyi est à accoler (de fait) sur une paeroi (d’une grootte ou d’une cacverne) ; nous aimons ainsi nous accoler à pareille poaroi ancienne ; nous nous accolons au temps, nous collons au temps via l’amour des mots-animaux qui ici nous animent ; nous sommes ainsi amenés à nous coller à la paroi du temps, qui est la paroi de la grotte préhistorique où nous pouvons ensemble voir des betes (de somme) qui se cxhevauchent, et entre ces betes il y a nous qui (incandescents ici du fait donc des  mots-animauxqui sont mots de forte intensité) nous mettons ainsi au diapason (ou à l’unisson) du troupeau qui passe ici en allants ou en allers de type paroi ; nous sommes donc accolés à la paroi via l’emploi (la chute) de mots-zanimaux en nbous ; il s’a gfit de mots incandescents (chaleur, rougeur, tuméfaction , douleur)  ; nous avons en nous des mots-animaux qui nous brulent les lèvres au passage ; ils viennbent de loin : feu central ; d’où viennent ils ? ils viennent en  ous d’un feu centreal ; et ce feu où est il ? il est en nous au plus profond de nous, il vient des profeondeurs de nous  ; et où sont ces profondeurs ? ces profondeurs sont lovées en nous, elmles sont pliées en nous , enroulés en nous ; où ça ? en ous c’est à dire en notre antre, dans  cet antrte en  ous, dans cette choseen nous que nous appelons «antre» ; de quoi s’(agit il, en fait d’antre ?  ; il s’agit de l’antre que nous avons au plus profnd de nous, il s’agit d’une loge, d’une cavité, comme une grotte, un aven ; ok il sagit d’une cavité, mais de quelle cavité s’agit il ? il s’agit d’une cavité vbuccale  ; ah bon !  ; oui, il s’agit dune  cavité buccale, qui un jour a eu ou a vu le jour entrer en elle, le jour extérieur, le jour du soleil extérieur ; car jusque là la cavité en nous était complètement fermé, comme lintérieur d’un oeuf ; nous avons ainsi été percé et depuis nous aimons ; c’est à dire que depius cette percée au dedand de nous, nous avons sorti de nous foultitude de mots-animaux de grande incandescence  pariétale et par conséquent, cette foultitude (en tas) a hgénéré ici cette chose en n ous , cet amas en nous qui est pour le coup cet amour accumulatif ; car l’amour est accumululation, il est une accumuklulation de betes parioétzales en nous ; ramassis, tas, amas, superpositions etxc  ; il y faut le nombnre, il y faut le tas en soi ; l’amour ici est l’accumulation de betes de chjarge ou de somme en soi, un bon tas pour une effervesence et une sorte de sortie piquante (loopings) vers la paroi du temps d’advenue ; nous croyons en cet amour de corne d’abondance, de trop-plein ; nbous croyons en l’amour trop plein , qui se vidange ainsi en corne d’abondance sur paroi de roche ; nous aimons l’amour-tas ; nous aimons cette chose d’un amour qui est amas de betes, de mots-betes sur paroi (mur) de galerie-boyaux ; nous avons pour nous cet amour en nbous qui est amas de mots-animaux ; nous les voyons tomber de nbous (trou bouche) et se loger-lover sur paroi de grotte illico presto ; ou pas ?  ; nous pensons que les mots sont des animaux que nous portons, que nous avons en nous, dont nous sommùes ou serions détenteurs depuis toujours, disons depuyis le premier jour (le jour de notree naissancxe au monde des vivants, de ceux qui respirent à l’air libre) ou bien depuis le premier jour (celui de notre conception dans l’antre maternel, privé d’air et de lumièeere) ; nous pensons ainsi que l’amour est entassement de betes en  nous ; les betes s’entassent (respiration) et tombent de nous (bouche) par un trou qui n’est pas pas originel mais qui est secondaire à , en nous , une poussée forte, piquante, br)ûlante, due à cette corne d’abondance en nous (sus-mentionnée ) qui a fait pression et a réussi à faire céder (transpercer) la joue du visage, cette joue unique qui nous tenait lieu de «baillon», sorte de baillon naturel, que nous avions en lieu et place de la bouche (plaie de bouche) ; nous avons en nous des betyes (mots morts) qui tombent une à une sur paroi de roche = terre-mère, le plancher des vacxhes ; nous disons le plancher des vaches ; njous avons cette chose incandesvsente en  ous, qui va son chemin de pique frontale, de paroi dee rocx, etc ; et qui ainsi nbous libère d’une cxharge ; l’amour ici comme libération par accumulartion et deversion, d’un trop-plein animalier , sur paroi de grootte, au charbon de bois ou au bauxite de manganèdse etc ; nous avons pour nous cette chose chaude en nous , chaude brûlante, chaud devant ; nous sommes cette chose chaude en nous, animaux vibrants qui tombent de haut (notre bouche) pour un fracas ; nous avons des animauwx en nous et nous cherchons à) pour le coup les expulser de nous car ils pèsen-t, et comment faire cette chose sinon en selaissant ainsi (par défaut) transpercer la joiue (le je) pour une sorte de libération bienfaittrrice (un salut) qui est une sorte de mort en mots, sur pâroi de grotte et sur parois de galeries ; njous avons ces mots qui sortent de nous (mots d’amour) et vont pour se lover , en paroi, entre des interstices de roche, comme billets doux dans la paroi ou le mur de l’amour ;  ,  ou de lamour des pierres ; de l’amour du froid de la pierre, de l’amour du froid de la pierre (dure) du temp^s ; nous avons en  ous des mots doux, des mots durs, des mots qui sont des animaux que nous tombons de nous à l’ouverture de la bouche, et ces mots -animaux meurent, en tombant de nous, sur boyaux de galerie, sur parois de grootte, etc ; nous aimons d’amour les mots doux logés dans la fente ; nous aimons de joie les mots d’amouranimaliers logés-lovés dans l’intersytivce d’une paroi ; amourv logés ; nous pensons almour logé ; nous pensons et brulons cet amour logé dans la paroi du temps, immisçons cet amour de mots-animaux ; nous avons en nous cette chose animalière à logerr fissza (par défaut) dans une paroi ; la chose nous échappe (sort de notre cap)  ; nous sommes à donc loger ainsi des mots, soit des mots doux animaliers, entre les interstivces des parois de roche ; il s’agit de mots doux animaliers, il s’agit de mots-animaux ; nous les glissons da,ns laparoi du temps ; nous apportons notre pierre à l’édifice pariétal, cette pierre froide, ce feu devenu pierre froide, cette chose de trnsformation pariétale ; nous aimons et cet amour vient à se loger dans les plis du temps pariétal ; nous aimons les plis et les replis ; nous poussons la chose vers une entrée en roche brusquée ; nous la poussons avec deux mains, aux deux mains, à deux mains, nous poussons fort et essayons (avec nos mains) de faire entrer la chose (le mot doux animalier) à travers la fente (intertstice) de la paroi qui est paeroi dite temporelle ; nous poussons le bouchon loin, nous poussons la chose loin ; nous voulons pousser loin lza chose, mobile foetal ; etc ; nous sommes à l’intérieur de l’antrte et noustenton,s cette chose ultime ; nous poussons le bouchon un peu loin à dessien, car nous voulons, de nous, expulser la bete brulante (incandescente comme une insulte, comme un mot gros, gras, un gros mot du temps de l’enfan,ce)  ; nous poussons pour faire sortir, par un trou (ou sorte de) qui n’est pas là , que nous cherchons à faire (parfaire) en poussant,n, nous sommes à l’intériuer de l’antrte, nous poussons, les mots-animùaux poussent en nous, ces betes, ces bestious, ces animaux-motsqui chargent de leur corne d’abondance et finissent par trouer la jouie (je, jeu) de la bouche, la hjouie pour une bouche, une bouche d’aération enfin , et voilà que tombe de nous, que tombent ces choses encxhevetrées, choses entrelacées en une vrille unique, comme corne de licorne etc ; la licorne a percé la jhoue de l’enfant qui (dès lors) perd un à un ses zanimos chéris ; amour des betes volatilisés et venant se coller à la paroi des hommes des cavernesz ; nous brulons et aussi sec : refroidissement sur la pierre de roche (?)  ; nou avons en nbous ces betes , ces mots-betes, ces mots de lamour qui brule et sort bruissament (furie) vers une sorte de paroi de roche temporelle ; nous sommes ainsi qui portons en nous des betes de somme  qui vont à se loger ensemble dans les interstices d’une sorte de paroi de roche, qui vont ainsi à se lover, qui ainsi vont à sz-e lover sur elles memes, dans la roche dure ici d’une paroi de grotte ; qui vont ainsi à se loger-lover, dans la pa roi froide d’une pierre de grootte enfouie ; nous aimons les mots-animaux incandesvcetns (insultes, gros mots) et nous les proférons ici  sur paroi, da,ns les interstices du temps, dans les enclaves, dans les fentes et les replis du temps ; ce sont des mots d’amour brulants, des mots-betes qui vont au fracas sur parois de roche, sur paroi du temps pariétal ; sur paroi d’un temps qui est le temps en dur d’une paroi de grotte souterraine ; nous sommes sous la terre mère, nous sommes de fait sous cette terre-mère qui est celle qui nous porte ; njous sommes - sous de la terre ; nousq sommes sous une motte de terre ; nous sommes sous une brindille, une herbe, sous la fleur, sous l’insecte , sous le ver de terre, nous sommes sous les animaux qui peuplent les herbes ; nous sommes lovés ;s

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26/05/2020

où sont les animaux en nous ? nous ne savons pas les situer, nous pensons à eux mais nous ne savons pas où les situer en nous, où donc peuvent ils se loger en nous ? nous ne savons pas, nous ne savons pas grand-chose, nous ignorons, nous sommes dans l’ignorance crasse, nous ignorons tout ou partie du tout concernant la bête, les bêtes qui , en nous, tonitruent ; nous ne savons rien ou sinon rien nous ne savons pas grand-chose à propos de ces betes en nous qui chevauchent notre … quoi ? notre etre, notre ame, notre esprit, notre moi, nottre pensée ou notre esprit, etc ; que savons nous de l’etre qui cxhevauche nous ? que savons nous de l’etre qui chevauche notre esprit ? nous ne savons pas grand-chose de lm’etre qui nous chevauche  ; oh que nous aimerions en savoir davantage, connaître la bête, mais hélas il est ainsi que nous ne savons pas grand-chose sur elle, la bête, ou lui, l’animal en nous, quelquepeart en nous, quelque part situé en nous, on ne sait pas où ; où donc est logé en nous cette chose de poids , tonitruante, qui nous chevauche, où elle est ? où donc se situe en nous (dans nous) cette chose, ce poids, ce souffle qui sort de nos bouches trouées (de nos trous de bouche) ? nous ignorons tout de tout la concernant (la chose), nous ne connaissons pas même son nom, son petit nom ; nous sommes jeunes ; nous sommes petits, nous sommes tout petits ; nous sommes des etres d’enfance, de l’enfance, des enfants ou enfantins, tout jeunes et frêles ; que savons nous de la vie qui vient, qui nous remplit d’air et d’art ? nous sommes chantournéds par des mains de sage-femme ; nous sommes sous la main d’une femme, une experte femme en rotation de crane, etc ; la sage-femme est ce devant de nous qui venons au monde (ce peut être un homme) et nous humons l’odeur du monde, le fumet ; nous sommes sortants ; nous sommes ainsi venant au monde, entre deux cuisses, sous la main d’une femme ssage = sage de savoirs ; nous sommes des enfants qui ici nous remplissons, qui humons le monde en se remplissant d’air, d’art, de tout ce qui fait le monde rotatif ; nous sommes entre deux cuisses, qui venons au monde sous la main experte d’une femme sage qui nous tourne dans le bon sens giratoire d’une venue en bonne et due forme : pour la vie ; nous sommes ici sous les mains ; nous sommes sous la main, nous sommes sous deux mains ; deux mains nous soupèsent ; nous sommes de bon poids ; deux mains de femme nous soupèsent (ce peut etre celles d’un homme) ; nous sommes venus, nous sommes ici aux yeux écartés qui voient le monde en sa lumière vive ; nous aimons voir ainsi le monde ouvert ; nous sommes sortis ; nous aimons sortir et nous promener, aller par les sentiers, par les bois, les sous-bois, les forêts, les champs de blé, etc ; nous sommes ainsi qui aimons cette chose, nous promener par les sentiers des bois, par les chemins derrière le temple ; nous sommes enfants entre deux cuisses de femme, et nous avons en nous , quelque paert, une cohorte d’animaux de somme, qui sont en nous comme une ruade, qui aspirent à sortir de nous par là même, par la même occasion, celle de notre venue au monde ; nous crachons des bêtes, nous sommes à cracher, nous crachons des bêtes de somme ; nous avons plein la bouche de ces bêtes qui, en nous, aspirent à sortir en flèche, en tige, en lance, en filet , en torsade : art ; notre souci (à la naissance) est de nous libérer de pareille furia en nous ; nous sommes ainsi (ici) dsans une colère monstre, nous sommes enfants en colère, nous sommes d’emblée, d’emblée de jeu, des enfants en colère, nous sommes d’emblée des enfants qui montrent leur colère en eucx, sous forme d’animaux pesants ; nouscavons dans notre bouche, quelque part dans notre bouche, des betes qui meugle,nt ; où sont en nous les betes qui meuglent ? nous avons en nous des betes qui meuglent et nous ne savons pas les situer , ous sont elles ?  ; où sont en nous les betes meuglantes, ous sont elles ? elles rugissent en nous, elles sont en nous qui hurlent, qui chevauchent, tonitruantes, fortes et massives b^etes de somme, nous savons que nous sommes remplis de ces betes en nous ; nous savonbs cette chose, et que savons nous d’autre ? nous ne savons pas grand chose ; nous ne savons pas grand chose de ces bêtes en nous, nous sommes dans une ignorance crasse, nous sommes des ignoran,ts, nous sommes dans une ignorance effrayante ; nous aimerions en savoir beaucoup plus mais comment en savoir beaucoup plus, comment faire pour cette chose, pour en savoir long ? dites-nous comment nous pourrions faire , nous voulons savoir, nous voulons connaitre la vérité, nous aimerions connaitre la vérité, toute la vérité qui soit, sur ces bêtes, sur la furie en nous, la colère à la naissance, la colère en nous maintenue, ce souffle de colère (animale) en nous : sont ils dans nos poumons ? dans les alvéoles ? dans les bronches ? au niveau des échanges gazeux ? où sont les betes ? où en nous sont logées les betes qui meuglent ? nous ne savons pas où les situer, et cette bete en nous est cette chose dénommée «art» , par d’aucuns (il semblerait) ; cette chose en nous (la bête meuglante ou beuglante) est l’art que nous rec herchons = cette aspiration, cette expiration, cette inspiration, cette expiration, cette aspiration par lma bouche ouverte (trouée) et l’air entrant remplit nos poumons qui se chargent = la bête et la bete ainsi composée (art) se voit rejeéteé (fissa) par le tube qui mène (le boyau) à la sortie de cette grotte ici enfouie ; nous sommes hommes des cavernes ; nous crachons des aurochs ; nous avons aurochs plein la bouche, qui, s’ouvrant (enfin) à la naissance, crache ses «poumons», crache les betes toutes en cohorte torsadée, crache les betes accrochées entre elles, ce troupeau qui charge ; nous sommes ainsi sommés ; nous avons en nous (je ai en moi) cette chose, ce poids de charge  ; où ? eh bien la réponse est là : dans nos poumons ; nous sommes comme charhgés de cette sorte d’animaux en nous, qui vont le chemin d’une sortie de grotte sur parois  ; nous sommes grottes nous-mêmes ; nous sommes pris de cette sorte que allons ainsi, par les bois, nous deux, main dans la main, nous sommes dans les bois main dans la main, et nous sommes (ici) entourés de betes qui nous épient, de betes petites et grosses, nous marchons et écrasons des betes, nous sommes encerclés ; des betes sont en  ous et hors de nous, partout ; nous vivons continuellement encerclés , sous les dangers, sous le danger de se faire attaquer, dans le danger, nous vivons continuellement dans le danger, sous ou dans le danger, ce danger, de se faire attaquert par des betes , petites ou grandes ; nous ne sommesjamais tranquilles ; nous ne sommes à l’abri de rien  nous promenant dans la forêt ; nous nous promenons dans une forêt (ou ailleurs) et nous ne sommes à l’abri de rien ; nous ne sommes à l’abri de rien dsans une forêt, un sous-bois, etc, n’importe où sur la surface de la terre, n’importe où au monde ; nous ne sommes pas à l’abri, les animaucx, des animaux, nous encerclent : elle et moi ; nous (de base) = elle et moi ; elle au sens et moi au sens que les deux forment un nous qui serait un nous qui serait de type universel ; un nous qui serait ce nous général, un nous général de type qui serait, de type qui serait de type universel = général ; nous formons à nous deux un couple encer clé ; le cercle, ce rond, autour de nous, ce rond tout autour de nous, qui sommes deux pour un ; deux moitiés pour une entité (coque) complète ; nous sommes main dans la main = coque, pour aller dans la paeroi du temps, nous y immiscer ; nous sommes cette chose entière (collée) pour aller ; la paeroi est cette chose que nous habitons ensemble (je-nous, à deux) dsans le monde, et ce depuis notre venue au monde, depuis les mains ouvertes de la sage-femme ; nous aimons beaucoup nous promener dans les bois ; nous sommes encerclés de bêtes petites ou grosses ; nous nous baladons gentiment (main dans la main) et humons le bon air de la campagne ; nous avons de bonnes chaussures de marche ; il y a des aurochs, des antilopes, des buffles, des mammouths etc, qui nous guettent, nous sommes entrés en lévitation, nous sommes envahis par des pensées animalières, et du coup nous nous mettons au diapason de ces troupeaux de betes sur paroi, qui chargent et meuglent et beuglent et frappent ; nous aimons (manger) les bêtes ; nous mangeons, nous respirons, nous sommes main dans la main en lévitation, au sein de cette grotte, en son sein = antrte, nous sommes deux pour une forme  ; nous sommes nous deux pour une forme, une formùe animùale, une sorte de forme animale, nous sommes deux (nous devons etre deux) pour la création d’une forme animale coquière ; nous sommes deux qui formons ainsi une «coque», c’est àdire une entité (animale) de paroi ; nous pouvons entrer ; nous sommes collés, nous collons à lma paeroi du temps, nous sommes accolés à la pareoi du temps, cette mort à petit feu : inspire, expire ; nous sommes tous les deux (homme / femme) cette coque qui respire (un bol d’air pour l’éternité) et va de l’avant, dsans les sous-bois, se promener gentiment, accolés ; nous sommes ainsi qui entrons par les pieds, par le crane, dans cette paroi du temps qui est c emonde environnan,t de la naissance : les deux mains de la sage-femme ; nous poussons le cri de lma venue au monde sous la fessée de lobstétricienne, nous poussons le cri de naissance et chargeons nos poumons de betes sauvages, fauves, rennes et antilopes, bouquetins, bufffle, buffles surtout ; des bovidés surtout ; nous les intégrons à nos échanges et la chose est ainsi lancé dans ce monde ; nous sommes à la recherche d’une vérité (bon sang de bois !) et cela depuis la toute première ligne, nous cherchons une vérité de laboratoire ; nous cherchons vérité de laboratoire, nous cherchons une vbérité de labo ; nous cherchons (coque) une vérité de laboratoire nous deux ; nous sommes à larecherche d’une vérité de laboratoire, nous sommes nous deux à la recherche d’une vérité de laboratoire, nbous voulons la vérité ; nous exigeons la vérité ; nous voulons connaitre lma vérité et pour cela nous aspirons, nous prenons de l’air, nous prenons un grand bol d’air, et recrachons, ; rejetons une partie, non point tout mais paertie de l’air aspiré, inspiré, nous rejetons, nous faisons sortir de nous l’aurochs, le buffle, l’antilope des parois du temps ; le temps est faits de mains, de mains ouvertes, de choses ainsi qui sont formes d’accueil, pour des betes qui chargent et tonitruent  (ruent) dans les brancards ; nous aimons manger de la viande rouge ; nous avons de la viande plein la bouche (rouge)  ; nous aimons croquer , macher, casser avec les dents, nous sommes dentés ; nous sommes des etres à dents ; nous mangeons de cette viande rouge, de cette viande de buffle ; nous mangeons la viande rouge (carnassiers)  ; nous aimons manger de la viande rouge ; nous somlmes des carnassiers, nous sommes des etres qui ma,ngeons la viande animale, nous mangeons nos frères ou nos amies, ou nos soeurs les betes ; nous mangeons nos soeurs anuimales, nos freres animaux, nous croquons leur chair, nous sommes dans la paeroi du temps, qui mangeons les zanimo, les mots-animaux, nous mangeons les mots-animaux, nous les ingurgitons en paroi de grotte, nbous sommes dans la grotte et mangeons la bete-mots que nous avons en bouche : air ; nous l’avalons = la prenons en bouche ; air ? ; nous sommes à manger de l’air ; nous sommes dans la roche, nous sommes deux dans cette roche dure, et nous allons ainsi, en son antree, nous parler de choses et d’auttres, avec, en bouche, de cet air du monde natif ; nous aimons cette viande animale rouge chassée ; nous avons des noms, nous avons des petits noms, nous sommes ensemble dans la roche ; nous nous appelons avec nos petits noms rexspectifs ; nous aimons cette chose, de nous appeler, avec des noms qui sont nos petits noms à tous les deux ; nous aimons nous immiscer dsans la paroi du temps ; noptre amour est constitutif ; notre amour est de fait une intégration de naissance, notre amour est végétatif, il est de base en nous comme le cri de l’animal, le meuglement, le rugissement, le braiezment, le miaulement, le hululement, ou l’aboiement ; nous aimons les grottes ornées, nous aimons l’art des parois ; cet art est en nous en tant que nous sommes nés, un jour, entre deux cuisses, dans les mains ouvertes d’une femme (une sage-fezmme) à la retombée ; nous sommes nés d’une femme et recueilli (ici) dans les bras (mains) d’une femme : entre deux femmes ; nous sommes nés entre deux femmes qui nous ont sauvés ; nous avons été sauvé ainsi (dune chute par terre) par deux femmes , entre elles, sous les mains ou sur les mains, dessus les mains, les mains étaietnt sous nous, nous tenaient ; la main ici est la chose, elle porte le mobile, il sq’agit de la main d’un être femme ; il s’agit d’une femme (ce peut etre un homme) ; nous sommes nés entre deux femmes, deux qui forment une paire, qui sont des mains, qui sont parois, qui sont temporelles : des mains de parois tempporelle ; nous sommes ainsi venus au monde entre des mains de parois de grotte, mains négatives et mains positives ; nous aimons manger cette viande rouge chassée, et nous aimons (aussi) marcher dans les bois, nous sommes encerclés ; où en nous sont (donc) les betes de somme ? où se logent elles ? nous aimons la viande rouge et nous nous sentons encerclés ; où donc en nous est la viande rouge ? nous sommes dans des sous-bois aux abords du temple (de notre donc laboratoire de rechjerche sophistiquées) ; nous cherchons en sous-bois, nous cherchgons en laboratoire ; où sont donc ces choses dites « animaux », que nous portons en bouche (plein la) et que nous exprimons, pulsons, expulsons  grraaa, d’un coup d’un seul ? d’un coup d’un seul réitéré ! ; nous avons dans la bouche de lma viande rouge de sanglier, de la vian,de rouge de bovidé ; nous l’expulsons, nous la rejetons à chaque expiration, d’un coup ds’un seul à chaque expiration, nous crachons noos poumons ; nous crachons ensemble nos poumons ; nous sommes deux, main dans la main , à cracher nos poumons = ces betes en nous, ces betes de somme, de sommeil, de calcul, d’etre, etc ? nous avons des betes en nous et en dehors de nous ; en dehors de nous nous sommes encerclés ; le monde alentour est un cercle, ici la notion de cercle ; nous cherchopns (en laboratoire-temple) une chose de vérité ; nous sommes à la recherche d’une vérité concernant la vie terrestre, la vie sur terre, la vie terre-à-terre, une vérité animalière, une vérité avérée, une vérité vraie : la vérité ; nous voulons savoir ce que c’est que toute cette histoire de vie sur terre et de mort on ne sait où ; nous voulons savoir ce que c’est que toute cette histoire de vie, sur la terre ferme (ras la motte), et sa soeur la mort, cette soeur ailleurs mais où ? on ne le sait ; nous voulons connaitre (nous deux) la vérité cde toute cette histoire de vie et de mort pour nous, qui nous attend au coin du bois ; nous ne voulons pas mourir idiots ; nous sommes idiots car nous ne savons pas ; nous avons un role à tenir , nous avons ce role pour nous, de l’idiot quui ne sqait pas, qui ne sait de quoi la mort est faite (etc) et ce role, ce role est il, est il un vrai role à tenir ? est-ce un role ? nous sommes pour le coup dans la position de celui qui sait … mais qui ne sait pas, battements ; nous sommes vdans la position de celui qui sait (la mort) mzais qui ne sait pas (la mort) et cela est inconfortable ; nous allons par derrière (main dans la main) nous promener, nous cherchons des solutions à nos problèmes ; nous cherchjons des réponses à nos questions ; nous mettons en doute nos questions, nous mettons en doute nos questions et nous mettons en doute le fait de poser des questions, nous mettons en doute etc, nous mettons en doute le moindre mot mais voilà, cela n’a pas de sens de mettre en doute le moindre mot car on ne sort pas ; on ne peut réellement mettre en doute le moindre mot car ce szerait comme si ici nous disions que nous marchions, en vérité, sans les jambes, dans la forêt, les sous-bois, lers champs, les senbtiers, et cela ne rime à rien de dire ainsi, de parler ainsi ; le doute total est impossible, il y a cette chose en nous acquise , qui maintient le cap (la tete) des choses dites, impossible d’y couper ; on peut faire mine, mais en vérité on ne peut couper, il est impossible de couper court le cordon qui nous relie à cette chose pulsatile et pulmonaire, il s’en faut de peu ; nous sommes attachés au sens des mots et ne pouvons couper court à notre guise, non ; nous ne pouvons couper court à notre guise, cela n’est pas quelmque chose de pôssible, de juste = de possible, de vrai, de faisable, non ; nous ne pou-vons, nous ne pouvons pas ; nous sommes ici pris dans les filets du langage (cette langue, ce patois) tel qu il nous a été inculqué (enfoncé) en nous dès la naissance, et peut etre m^$eme avant ; les mots sont la paroi du temps, nous sommes remplis de mots-animaux, il s’agfit en nous d’un inspire-expire fracassant ; nous avons en nous des buffles, des bisons, des biovidés ; nous avons des bovidés en nouis , qui chargent dès lors que nous ouvcrons ce trou de la bouche en nous, qui est cette ouverture des entrailles de terre-mère, etc ; le langage en nous est une terre-mère ; nous sommes touch»és, nous solmmes touchés par une lance, nous sommes bléssés, nous allons mourir transpercés, nous avons été chassé et nous allons mourir ; nous sommes hors (en dehors) de la paeroi ; hors la paroi ; nous sommes en dehors de la pareoi , fra-gilisés ;: nous sommes en dehors de la paroi fragilisés ; nous aimons la viande rouge, nous sommes chasseurs-cueilleurs ; nous cueillons des baies sauvages, nous chassons des rennes, des antilopes , chevreuils, etc ; nous pêchopns ; nous mùangeons, nous avons à manger, nous avons à nous sustenter, nous tuons des betes et des p^lantes, nous tuons des betes sauvaghes etc ; nous aimons nous tenir pâr la main, nous sommes dans le temps pâriétal insérés, via cette corde (cordon) lan,gagière, faite (pour le coup) de vocables-animùaux ; nous tenons à la paroi du temps, nous soufflons ; aspiratioon ; nous avons soif et faim ; inspiration, expiration ; nous mangeons ; nous sommes tous les deux qui sommes des chercheurs en laboratoire ; notree laboratoire est situé en rase campagne, aux confins d’une montagne de faible altitude, il s’agit de la montagne noire, dans le haut languedoc ; nous aimons ce coin et nous y demeurons ; nous y demeurons et nous l’aimons ; nous aimons ce coin de montagne, de basse montagne, nbous aimons sa verdure, son aspect champêtre etc ; nous sommes qui habitons un temple sécularisé, renové, etc ; cela (ce temple) est notre atezlier -laboratoire de recherche active ; nous cherchons des vbérités ; nous cherchons la vérité ; notre but est de chercher la vbérité, la vérité est cela que nous cherchons ardemment ; nous avons axé nos recherches (toutes) sur ce point focal de la vérité en ce bas monde ; nous avons axé nos recherches sur la vérité = le problème , la qusetion, ce lièvre, cette chose, ce point à lhorizon , etc, de la vérité , de cette vérité que contiendrait le langage ; le langage contient il la vérité ?  ; nous avons axé toutes nos recherchezs de laboratoire, toutes nos recherches d’atelier, sur la vérité, ce qu il en est,  ce qu elle est, ce que ce mot signifie mais pas seulement, car les mots ne sont pas (pour nous) isolés des choses qqu ils nomment ; nous cherchons la vérité du monde pariétal, c’est à dire du temps ; cette vérité du temps dans le temps, nous la recherchons ; nous recherchons (en tant que chercheurs) la vérité du temps dans le temps ; nous cherchons la vérité du temps ici , dans le temps pariétal qui nous fait face ; nous sommes face à la paroi ; nous recherchons la vérité de la paroi, nous avons des mots pour nous ; nous avons pour nous des mots pour cela, nous cherchons des choses en paroi, qui seraient des vérités temporo-spatiales ; nous sommes des chercheurs de vérités en mots, en mots certainement sauf que les mots font faux bond, alors comment faire en mots ?  laréponse : les mots-animaux ; «cé dé zanimo» ; les mots-abnimzaux sont des animaux ras la terre, la terre mère ; rehgardez la terre mère, couchez vous et  voyez le sabot, à même le sol poussiéreux de terre-mère ; nous sommes allongés sur la terre, pâr terre, nous voyons passer à nos côtés les buffkles , les bisons ; les sabots c’est beau ; nous voyons passer ainsi, de part et d’autres, en paroi, ces sabots de betes de somme, ces betes de paroi , ces betes des  hommes anciens, magdaléniens, nous voyons passer de part et d’autres ces betes qui mugissent aupres de nous, rugissent, meuglent, tapent de pattes ; nous sommes allongés, idiots, allongés nus, à même le parterre ; nous voyons passer les buffles ; nous sommes ignares ; nous sommes bétassous  ; comment faire pour etre bete ? comment faire pour etre bete ? je veux etre bete, mais comment m’y prendre ? comment faire pôur etre vraiment bete, igna re, sans savoirs, sans mots de trop ? nous ne savons pas comment nous y prendre ; nous aimerions savoir comment nous y prendre pour etre bete, mais nous ne savons pas comment nous y prendre ; nous aimerions tellement savoir comment nous y prendre pour etre bête seulement voilà , nous ne savons pas comment nous y prendre, nous sommes idiots, nous sommes idiopts mais pas suffisamment pour savoir ; nous aimerions etre encore plus idiots qu idiots, de façon à comprendre comment faire pour savoir sans savoir ; etc ; nous cherchpons des vérités de laboratoire = scientifiques ; les vérités que nous cherchons sont et ne sont pas dans laes mots ; elles sont dsans les mots car les mots ne peuvent etre désappris de nous, et elles ne sont pas dans lmes mots car il s’agit de mots-animaux qui ne sont pas des mots comme on les rencvontre dans le dictionnaire, mais des betes de respiration (inspiration, expiration) telles qu on peut en trouver au coeur des échanges gazeux, etc ; il s’agit de mots de peu , mais qui sont pour la vie une sécurité, un soutien, l’étai de vie, une colère aussi , mais cette colère : pour la bonne cause, celle de rester en vie le plus possible, le plus longtemps possible, sur terre-mère ; nous avons dans notre bouche des vérités de type mots-animaux ; nous les recrachons ; nous crachons des betes par cordon ; nous sommes reliés ainsi, nous avons de nous (qui sort) un cordon de betes, un cordon animalier, une tige, torsade, un filin, un cordon de fibres etc, qui sort de notre trou de bouche et le comnble par la même occasion, et ainsi nous allons en vie ;  nous sommes deuux, qui cherchons, en laboratoire, le sens, le but, l’objectif, cette voie qyui s’ouvre devant nous ; il s’agit d’une paroi dans une grotte ; nos mots sont des mots-animaux qui  chargent tout de go à la sortie de nos bouches ; nous parlons et ce faisant chargeons, et expûlsons des betyes de nous ; jnous sommes nous deux chercheurs en  (sortes de) vérités pariétales ; nous sommes tous les deux des chercheurs en vérités quui seraient contenus dans la paroi du temps ; nous avons bon espoir de trouver ici des choses définitivesz ; nous cherchons à en avancer dans nos prospections de vérités, dans nos recherches attentives dans le temps, dans la paroi du temps ; nous sommes tous les deux (coque) homme et femme, et cherchons ensemble une vérité qui serait contenue dans le langage défilant, comme dans une (sorte de) caverne secrète renfermant mille et un trésor ; nous avons faim ; nous sommes des chercheurs en (sortes de) vérités parioétales, notre but est affiché ; nous ne nous cachons pas, nous affichons nos prétentions ; nous avons un programme de recherche et notre programme est affiché ; nous cherchopns la vbérité du monde ; nous sommes à la recherche d’une vérité  ; d’une forme ? d’une forme et d’une bvérité ; d’une forme de vérité ? d’une forme de vérité et d’une vérité à propos dees formes ; nous cherchons la signifgication d’un mot rapporté à une chose, ce mot est le mot «art» qui (pour nbous ) correspond (la chose) à une chose sortie de bouche ; le mot dit la chose qui sort de la bouche ; l’art est la chose qui sort de la bouchev: aurochs ; nous savons àb présent que cette chose que nous appeloons ensemble «art» concerne vl’aurochs , cette bete trappue qui sort du trou de notre bouche, du trou que la bete a fait en poussant contre la paroi que forme notre joue (depuis l’intériuer de notre cavité buccale, depuis le dedans de cette cavitévbuccale que donc nous avons  pour nous, depuis le dedans de cette cavité buccale enn  ous)  ; nous pleurons ; nous avons eu mal ; nous savons , à présent nous le savons, qu une percée d’aurochs, de bison, de buffle, ça fait mal, ça fait pleurer de douleur, ce n’e’stc pas unev sin,écure ; à présentb nous sommes au parfum de l’aurochs ; nous avons mis cette chose (ce pansement) sur notre plaie pour nous soulager ; nbous avons posé un linge sur la plaie de bouche ; la bouche saigne ; l’aurochs est soreti d’en,tre «nods lèvres» ; jous sommes meurtris ; nous pleurons ; nous avons mal ; cela fait mal ; cela fait du mal: ; cela nbe fait pas du bien ; il s’agit de la douleur ; nous avons mal un peu  ; nous avons un peu mal ; nous avons beaucoup mal, nousq avons mal ; la douleur est réelle ; il ne s’agit pas de semblant mais de vrai douleur et de vcrai sang qui pisse de nous, de ce trou de bouche à aurochs, à buffkle, à bison ; nous sommes troués ; nous laissons filer (par nos bouches) des buffkles et des aurochs et des sangliers ; l’art est cette chose d’une trouée de bouche, est cette chose d’une  vrille qui (de nos bouches ou trous de bouche) file sur vle deva,nt, vers paroi du temps ; il ne s’agit pas d’autre chose ; nous sommes ainsi troué pour l’éternité d’une pa roi de temps, devant nous, face à notre vue (nous avons les yeux grand ouverts , comme à la naissance : le choc) ; nous pleurons de douleur et rions d’etre délivrés ; nous sommes doubles ; nous sommes quyi pleurons d’etre déchirés de l’intérieur, et rions d’etre délivré de l’intérieur ; de l’intériuer vers lm’extérieur ; nous sommes double ; nous pleurons et nous rions dans le même temps pariétakl, et l’art ici est cette façon , cette chose d’un rire-pleur de paroi ; nous essuyons nos larmes, nous nous tenons par la main, nous nous respectons (nous nous adressons la parole) et nous marchons ; nous avons des bras (et des mains au bout des bras) et des jambes ; nous avons au bout des bras des mains (et nous avons des jambes, qui touchent terre) ; notre vie est une vie active ; nos bras nous aident à porter des choses, des fruits, des bêtes ; nous avons deux bras, une tete, deux jambes, un coorpps (buste) et des cheveux, des yeux, un nerz , des oreilles, une bouche qui rit , qui rigole, qui s’esclaffe ou non ; un trou de bouche, le trou (le trait) de la bouche : pour parler et manger (ingurgiter) et aussi respirer (par la bouche) et autres a ctions ; nous avons des trous un peu partout mais surtout au niveau de la tete ; nous sommes a rmés, munis, équyipés ou achalandés ; nbous aimons parler de choses et autres ; nous aimons discuter entre nous , de lm’art par exemple, des artistes, de certaineezs choses d’artistes, etc ; nous discutons parfois (de temps en temps) sur des travaux d’artistes français ou étréangers ; nous regardons pârfois des travaux, sur internet, dans des livres, nous avons plein de livres, nous regardons des images, nous  voyons des choses faites par des artistes  ; des formes, des images, des objets etc ; des assemblages, des manipulations ; des mots-animaux, des beters de somme ; nous regardons ces choses et nous disons oui ou non, ou oui-non, ou un petit oui, ou un petit non, etc ; nous classons ? nous distinguons ? nous approuvons ou désappprouvons ? nous disons notre intéret ?  ; nous parlons à baton rompus, nous échangeons dees propos, nous regardons des vidéeo, nous regardons des livres ; des travzaux d’artistes, des choses créées, des choses déposées sur la paroi du temps, des montages animaliers de base, des montages de base, des choses créées de toutes pièces, des installations sur pareterre fleuri, sur parterre de terre battue, sur sol de craie, de roche etc ; nous regardons ce qui se présente = le présent-offrande d’une chose animalière tombée de la bouche, de ce trou de bouche en quelqu un : une personne, une entité, une coque ; nbous aimons ces choses déposées à nos pieds, et ces choses sont des betes de sommexc, des bisons et des phacochères ; sont des antilopees, des brebis, des isards ou des bouquetins ; des ours des cavernes, ou bvien des lions des cavernes ; nous voyons les objets, les oeuvres tombées, tombées ici depuis cet endroit (en haut) du trou de lma bouche ; la chose exposée a chu de la bouche : aurochs-art ; car la cxhose a vrillé dans sa chute, et qui dit vrille dit vie et art ; il s’agit de l’art de la vrille ; la bete a chu, elle s’est retrouvé au sol, elle est poszée à même la terre, il s’agit d’une oeuvre d’offrande, une disposition salutaire à visée ; il s’agit d’une chose tombée ; l’art comme retombée ; il s(agit de cette chose qui, tombée de trou-bouche- , se voit recueillie par terre-mère et montée au pinacle ; il s’agit d’une chose qui a chu d’entre des mains et à présent le temps-offrande est là quyi fait pour ainsi dire sienne cette chose tombée, du cul de bouche, etc ; nous sommes des cherchezurs en chgoses tombées, en mots-animaux de retombée soit de retombée pariétale (la chute) ; nous aimons faire ensemble des recherches dans la campagne, nous a vons notre propre laboratoire high-tech ; nous sommes perdus, dans la cvampâgne, dans un petit village de basse montagne, dans un petit village à 600 mètres d’altitude (ou un peu plus) et nous cherchons des retombées rupestres ; nous cherchons activement des retombées de type pariétales, temporelles, animalières, en tant qu il s’agit d’art des parois du temps ; il s’agit de l’art des parois du temp^s ; nous avons trouvé ,  nous pensons que nous avons trouvé, nous allon s de vérité en vérités ; nous alloons d’une vérité (assertion) à une autre ; nous parlons et parler consiste à enchainer des «vérités» kles unes aux autres ; notree parole (scientifique à la diable) est une parole dite «de vérité» en cela qu une assertion (n(‘importe laquelle) se présente sous la forme (éternellement) d’une vérité assé&neé ; il s’agit de paroles d’assertions, de paroles de vérités, de paroles massives, de boeufs, d’aurochs artistiquement chantournées dans leur chute ; il s’agfit d’assertion,s massives (ploc) qyui imposent leurs dires comme (de fait) vérités assénées ; il ya des parfums de vaérités et ces parfums accompafgneznt les dires qui sortent , qui tombent, de nos trous de bouche, comme buffles de lafalaise ; nous sommes ainsi faits que nos paroles tombent et se vrillent dans leur chute ; et se vrillent = art ; nous avons en nous des mots-animaux qiui, tombant du trou de notrte bouche, forment des torsades (barrocco) qui forment elles même cette chose appelée art ; il s’agit d’un art (dès lors) de retombée, soit de retombée pariétale, d’un arty animalier de retombée (de fait) pariétale (sur terre-mère)  ; l’art est dit art car il est cette chose qui s’arrrache de la bouche et tombe ici sur un devant (parterre) de terre ; nous avons de nous, s’arrachant, une portion de nous qui est aurochs de chute ; nous avons en ous des betes ; nous avons en  ous des betres qui tombent de nous ; l’(art est cette chose, nous avons trouvé ; nous cherchons ce que c’est que l’art et nous trouvons, en la personne de l’aurochs, du bison qui tombe de la falaise et, ce faisant, fait des vrilles, vrille sur lui même, tombe, tombe, tombe en vrillant, loopings, etc , et se rama sse , et ce ramassis, ici, est le résultat d’une chute (depuis la bouche, le trou à pzarole , nbnotamment) et s’appelle art ; il a art pour nom ; cette chose (are) est un ramassis sorti d’un trou (de bouche à parole) ; il est ce qui est sorti ; il est (l’art) ce qui est sorti et a chuté ; il est (l’art) ce qui est tombé, ce qui est tombé ou a chuté d’une bouche à parole, d’un trou de bouche (joue) à parole ; nous avons chacun notre trou de bouche à parole , c’est-à-dire à créer des phrases a nimales ; nous sommes remplis de ces betes en nous, betes de somme, qui tombent, comme  bison d’une falaise, aux amériques ; nous avons en nous des betes de somme quii tombent et ce faisant créent des volutes, vrilles, torszades, etc qui sont autan,t de gestes « d’art » de la retombée rupestre ; art de retombée toujours ; nous avons en nous, qui tombent, des betes ; nous avons en nbous des betes qui tombent et ce faisant font ce que nous nous nommns,  de ce mot court de «art» ; l’art des parois ; l’art est celui de la paroi du temps ; l’art de la paroi du temps ; l’art est l’art des parois du temps ; l’art des parois ; les parois de l’art ; l’arty (les images) des parois du temps, des images sur des images ; une image pour faire semblant que la vie est là, vraie de vraie, sur paroi, qui agite sa (sorte de) pulsation éternelle ; nous sommes d’accord sur cette question, d’une image de sembvlance, et que donc l’art est uune image de semblance, dans un sens d’un plus de vie allouée à (pour le coup) une paroi de roche ; nous sommes d’accord pour (en laboratoire d’expérimentations) affirmer cette chose (ou kl’avancer, ou plus prudemment l’avancer) comme quoi l’art est art de semblance, ou plutot : comme quoi l’art (en son entier, en sa ma sse de charge animalière) est semblance de vie ; a une vmission , et cette mission est de rehaut ; il s’agit d’une chose de rehaut, en ce qui est la vie ; il s’agit d’une chose d’un rehaut de vie, par ressemblance et jeux dee lumière : cinéma ; comme au cinéma ; le cinéma comme csemblance, etc, et rehaut, ressaut, etc, sortie de lanterne, de la flamme qui danse, ou sous la flmamme qui danse ; nous ai:mon,s le cinéma des betes sur paroi, qui cha rgent (semblant) = du sembvlant, du semblant pour tromperr la mort ; il s’agit d’un semblant de betes, il ne s’agit pas de vraies betes, il s’a fgit de beters ressemblantes (1) et de semblant de vie (animùale) (2) ; nous voyons, qui sortent de nous (par le trou de notre bouche), ce semblant de vie qui n’est que de la , de la mort à petit feu ; nous voyons cette chose anuimale (morte) qui de nous va se loger sur la paroi du temps ; nous sommes qui avons (quyi sort de nous) des betes mortes en nous, mais qui semble,nt bien vivantes à la lumière ; nous avons des betes qui , de nos trous de bouche, tombent et sont comme recueillies (sur la paroi du temps : chute dans lke temps) et cela est cet art de la semblance, cette semblance (ressemblan,te) est cet art des parois ; elle est ici cet art des parois ; elle est ici cet art pariétal ; elle est ici cette chose pariétale temporelle, qui vieznt buter et s’inscrire ; nous aimons c es inscription,s temporelles ; nous voulons de celles ci, nous voulons d’aelles sur des paroisq, sur parois du temps éternel (?) , sur un e pâroi, sur un mur, sur la terre ferme, sur le ferme de la terre rase, sur la terre terre-à-terre rase, sur vla paroi, sur le mur, sur le mur d’une gajlerie, sur un mur-boyau de galerie d’art ; nous disons art pour dire vie ; il s’agit d’un semblant de vie offerte ; il s’agfit de semnblant de vie odfferte à dame ou sieur la mort, il s’agit de ce rehaut de fausse vie, etc, emberlificotage, embrouillage, poudre aux yeux de la mort, qui n’y voit goutte des lors et absout ; l’art de la tromperie, du camouflage pariétal etc ; nous gagnons dès lors sur le temps qu il nous resterait à vivre ensemble, sur terre, à chasser des buffles, des bisons, -à cueillir des herbes, des fruits ou des baies ; ,nous aimons la vie en ce qu elle nous tient ici collée à la paroi du temps, soit du temps salvateur ; nous aoimons les baies et les fruiots de laboratoire ; nous sommes assis à notre poste de travail , à l’intériuer du temple, et nous travaillons, chacun ses recherches, à une recherche centrale, à une recherche commune , qui est recherche de la vérité des choses de vie ; nous avons un travail de vie à mener ; nous ne voulons pas en dévier ; nous cherchons lma v érité des mots avec ou via la vitesse et la promptitude d’exécution, afin de bousculer les betes du troupeau et leur faire dire du coup leur dernier mot si tant est ; nous voulons la vb»érité pour nous ; nous cherchons dees v érités de laboratoire, à dessiner ou graver sur des pa rois de grotte buccale ; nous cherchons la vérité sur la paroi de grotte ; nous nous sommes levés ce matin  avec comme idée direcrterice de chercher des vérités sur des parois, à l’int»érieur de grottes, afin de pouvoir , ensemble, comprendre mieux ce qui se joue à l’intériuer des joues, dans la cavité buccale : cette perforation par poussée, qui est cette échancrure sus-mentionnée, échancrure généérée par la percée bbrute, brusque, brusquée, d’une pointe animale, de la pointe animalière, de la tete animal:ière de bout de percée, de bout de vrille ; la pointe perçante d’une vrille (cohorte) animale ou animalière ; animale en vie, animalière en psuedo-vie = en mort ; nous avons en n ous ces mots-animaux qui sont des morts animaux, car ils sont de la pseudo-vie animale, qui va tonitruante pour faire son petit effet de vie vraie mais il n’en est rien ; nous avons des  betes mortes (vrille) en nous, qui sont des mots-a nimaux, des animaux morts ; les mots sont des morts, des betres mortes, qui de nos bouches sortent (tombennt) et sont comme recueillies (l’art) dans leur chute (dans le temps ) par laparoi dure, le roc ou la roche, de ce temps de survenue rupestre ; nous aimons ce qui tombede nous, nous sommes épris ; nous sommes épris de cette chose qiu, de nous (notre trou de bouche) tombe sur paroi de roche, tombe ici sur terre-mère, c’est à dire sur paroi de roche ; ici la mort des animaux ; les mots qui sont des betes mortes: les mots et les morts ; nous sommes avec en nous la mort qui sort et qui (vrillée dans sachute) ressemble ici à la vie en vrai ; nous couillonnons ; nous mangeo,ns de la viande rouge ; nous tuons des animaux ; la question animmale est le noeud du problème en art ; la question animale (animalière : dans sa représentation, dans sa nouvelle présentatation , re-présentatation) est au coeur de la queswtion de lk’art ; la question animalière (de la re-présentation-expulsion) est au coeur de la question de l’art ; la qusetion animalière est celle qui concerne la présentation réitérée, la présentatation, sur roche, d’une «image»animùale ici comme pour faire accroire à une bete en vrai, une vraie bete sur paroi, quand il ne s’agit que (en vérité) de sa re-présentation (temporelle) sur paroi de roche, et non point de la vie ou de la vie en vraie ; mort, ou petite vie, ou bien : vie, ou petite mort ? ; nous hésitons continuellement, ou bien souvent, ou plus souvent quà nottre tour etc ; la vie et lma mort dans un même panier,  à remuer ; nous savons à présent ce qu il en est, de ces mots-animaux en  ous ; nous y voyons mieux ; nous comprenons dès lors lo’enjolivement (larty) ; l’art en tant que pis-alller pour faire semblant : enjoilvement pour une sorte de simulation de vie ; nous avons compris cette chose, nous comprenons cette chose, nous cherchopns à compfrendre cette chose, nous sommes versés, nous sommes penchés, nous chercho,ns dans une direction, nous cherchons en vérité dans une direction en particulier ; nous voulmons comprendre une vérité (notamment) qui est celle qui concern e le fait de l’art : ses tenants et ses aboutissants, la question de la chose dite «art», et donc nous cherchons vaillamment, du côté de l’(art pariétazl, des réponses, des réponses à nos questions ; nous essayons ensemble de voir ce qui est ; nous avons nos microscopes de chercheures et nos logiciles d’ordinateurs ; nbous cherchons avec beaucoup de sérieux, nous pensons à l’avenir de nos recherches (des recherches pariétales), aux savoirs de demain, à ce qu i adviendra demain en termes de savoirs nouveaux ; nous nous projettons ensemble dans un futur p^roche et (aussi bien) dans un futur lointain ; nous sommes pleins d’envie, d’envies de co,nnaitre etc, de creuser en des savoirs concernant la préhistoire ici des représentations animalières etc ; nous sommes pleins de joie ; nous hurlons (gueulons) notre joie à la cantonade ; nous aimons hurler de joie ; nous voulons hurler de joie ; nous voulons montrer notre joie de vivre ; nous voulons montrer notre animalité dde semblance, nos charges, nos ruades et la furia de notre avancée dans la vie ou de notre avancée en âge ; nous sommes nous mêmes comme desq betes qui chargent et foncent sur pareoi de grotte ; nous sommes des animaux ; nous avons en bouche des mots-animaux ; nous cherchons à nous y retrouver ; il n’est pas facile de s’y retrouver ; nous chercho,ns un e véritév animale ou animalière (animale ? ou animalière ?) et cela n’est pas simple ; il faut se recentrer, il faut sezrrer lers boulons, il faut se rassembler en soi même et ne pas s’éparpîller ; il n’est pas facile (en soi) de se recentrer et cependant il est nécessaire de faire cette chose, pour y voir plus clair , pour cerner mieux, pour comprendre davantage ce qui se trame : vie, mort, et langage animalier etc ; ce qui est et qui est de fait de cet ordre animalier ; ce qui est et qui ressort ici de cet ordre ; ce qui est qui ressort ici de l(‘ordre animalier, comme il en existe d’autrtes (ordres) de par le monde ; jnous avons une recherche en cours, notre recherche est lié à un ordre, celui des templiers, des animaux des temples, des mots-aniùaux en temple, en temple-laboratoire ; il s’agit pour le coup d’un ancien temple, qui date des années quarante, d’(apres guerre, il a été consrtuit par les gens du village, qui tous ont contribué à sa construction, il s’agit d’un temple construit apres guerre par certtains habitants du village (le maçon, le charpentier, le menuisier, l’électricien, , etc) de confession prostestante, qui ont oeuvré bénévolement soit à titre gracieux, pour l’élaboration , l’érection du batimen,t, la construction du tempps , 

du temple ; pour l a construction du temple ou du temps , du temple = de ce temple -temps, de ces parois, de cette chose-laboratoire ; nous habitons un temple du temps ; nous sommes les propriétaires ; nous avons acheté un temple ; ce temple a été construit par des gens du village, des protestants, des gens qui avaient besoin de ce temple dans leur village ; ce temple appartenait aux prostestants dee la vallée ; ce temple nous a été vendu par la communauté de la vallée ; nous avons acxhezté ce temple et l’avons rénové pour en faire un laboratoire de rechercherche temporelle ; nous avons (à deux) rénové ce temple (avec aussi l’aide d’un ou deux ou trois artisans du coin) et nous l’habitons en tant qu il est ici notre toit, nous mangeons, couchjons, etc, en lui ; en son intérieur ; nous aimons ce temple car il nous permet de faire des recherches tezmporelles pariétales ; nous aimons notre temple en cela qwu‘il nous permet de chercher des vérités sur la paroi du temps, parpaings ; nous cherchons dans le parpaings, dans la roche dure de la grotte, dans le dur de terre-mère, ce taire en  ous , en ce monde, que nous affichons à l’intérieur d’un verbe sensé, d’un verbe dirigé vers la recherche (incluse en lui) de la vérité ; le verbe en tant qu’outil (par défaut) d’une recherche de la véritéc : nous y allons = nous ne faisons pas semblant d’y aller = nous faisons sembla,nt de donner notrte vie en faisant ainsi que nous y allons sur paroi, qui dessinant , qui gravant etc ; nous avons le coup ; nous sommes idiots ; nous cherchons ; nous cherchons via l’idiotie mais ce n’est pas choses facile ; nous cherchons avec l’idiotie d’un verbe brusquée ; nous voulons trouver une vérité (comme un philosophe) et pour cela nous venons buter (de front) contre ici-même la paroi de grootte temporelle du langage de tete de ladite (donc) paroi du temps, du langage animalier de la paroi du ttemps, etc ; nous aimons nos choses verbaklzes chues ; knous nous aplliquons da,ns la verbalisation des choses chues ; nous voulons de ces choses sur parois du temps ; nous avons l’espoir de voir ces choses se graver ou se dessiner, sur des parois de roche éternelle (éternelle ?) ; nous sommes farcis d’espoir ; nous sommes un peu fous ; nous sommes un peu toqués ; nous sommes un peu toc-toc ; nous touchons à la paroi par une folie qui est la folie (toc toc) de la butée ici contre une roche de grotte ; nous disons (et faisons dans le même élan) toc toc ; nous faisons-disons toc toc contree la paroi du temps ; nous aimons la roche, le temple, la fo^ret, le roc, les bêtes, les bêtes de somme, le cercle de vie terrestre, terre-mère, le toit, le ciel, la motte, l’herbe, les sabots des aurochs et des buffles ; nous aimons les antilopes, le repos , la meute, la cohorte, laribambelle, nous aimons la paroi du temps, qui nous sauve la mise, nous l’enjolivons pour trompreer son monde ; nous aimons le sang de la hgénisse ; nous aimons le sang de veau ; nous pleurons notree peine et notre douleur ; nous pleurons toutes nos larmes, nous baignons dans les larmes ; il s’agit de larmes facctices, nous sommes ici dans notre laboratroire de recherche ; la recherche est importante, il s’agit d’une chose ttes importante à nos yeux ; la recherche préside ; nous avons décidé ensembvle de cette chose et nous essayons de nous y tenir ; j’ai décidé (de moi-même) un certtain nombre de choses et du coup j’essaie de m’y tenir le plus possible, de me gendarmer afin de ne pas dévier de la route ou du chemin que je me suis tracé ; je veux ainsi ; nous le voulons ainsi ; nous voulons ne pas dévier ; nous ne voulons pas dévier, nous voulons rester concentrés sur nos recherches, nous voulons rester concentrés sur nos recherches de vérités ; il y a des vérités en chaque mots, et nous voulons comprendre cela de pres, dans notre temple devenu pour l’occasion laboratoire de recherche en vérités ; notree caverne, ou notre antre ; nous sommes dedans, accolés, nous cherchons une issue ou un interstice ; nous cherchons une issue, une fente, une trouée, un pa ssage, un interstice, etc ; nous sommes à l’affut, nous avons une ambition démesurée, ; nous sommes pétris d’ambition ; nous ne lacherons pas le morceau ; nbous avons les cartes en maiin ; nous fouillons de toutes nos forces, dans la terre, dans la paroi (la roche) à la recherche de la vérité sur terre, de la terre, de terre-mère, de la vérité de terre-mère, et cette recherche est faite de mots-animaux qui sontb pour le coup enjolivements pour faireaccroire : trompe-la-mort ; l’art (l’enjolivements des mots morts, etc) est un trompe-la-mort de première, l’enjolivement ici du fait de la chute (vrilles) da,ns le temps= enjol ;ivement par défauts ; il s’agit (toujours) dun enjolivezment (ou sorte de) par défaut ; nous cherchons le trou dans la paille ; nous cherchons un trou en tant qsue passa ge pour une recherche de vérité ; la vérité vaine, le mot vain de vérité, les mots vains, les mots morts comme offra,nde d’enjolivezmùent etc ; nous cherchons ensemble car n ous sommes deux sous un même toit templier ; nous cherchons ensemble, sous un même toit, les mots qui seraient mots de vérité, or nous voyons bien que ces mots ne sont pas donnés ; ces mots sont à trouver ? ces mots sont à trouver loin, par l’intelligence, là-bas ? il nous en couterait ; nous pensons que lesq mots sont à déplier ou dérouler, nous pensons que le déroulé (oui) s’impose , et cela dans la betise ou l’intelligence, il s’agit d’une même planche : la betise de l’intelligence, l’intelligence de la betise , m$ême brouet ; il s’agit pour nous de dérouler lapeau de bete animalière sortant de notre trou de bouche (une la,ngue comme un serpentin, à dérouler, youhou !) ; nous aimons ce déroulé de laboratoire ; nous sommes à la recherche de la vérité, nous sommes en quete de vérité ; nous cherchons la vbérité ; nous recherchons la vérité ; nous sommes plusieures (deux) à chercher ou rechercher une vér(ité, à chercher la vérité, à chercher vérité ; nous sommes ensemble, nous sommes main dans la main, à chercher-rechercherla/une vérité sur terre, à propos de cette terre qui nous porte : sol-mur ; nous sommes contre ; nous habitons un temple-monde borgne comme le mur ou la paroi ; le monde est borgne, le monde il est borgne ; nous sommes des chercheurs en monde borgne qui espéèrent (ou espérons) trouver en ce monde borgne, via les mots bousculés ou prsssé den démordre, un tour = un oeil = une ouverture de paupière ;, etc ; nous cherchons-recherchons ; le temple est un laboratoire de recherche pariétale ; nous avonns le toupet de dire labo, de parler de recherche, de scvience et de savoirs, nous y alllons un peu fort là, et cela, nous le faisons expres, nous voulons cela, nbous voulons afficher nos prétentions ou nos ambitions et pourquoi cela ? pour enjoliver et faire accroire, à dame la mort (ou sieur), que nous donnondss notrte vie à elle, à ses dents pointues ; nous voulons faire croire (via ce temps de paroi donné etc, = les mots-animausx) que nous donnons en vrai notre vie dans l’escarcelle , or que dalle ; vanité des vanités, faux-semblants, fausse dents, etc ; cela est ainsi que nous faisons à deux : nous leurrons ; nous leurrons et lévitons ; nous sommes malins, nbous sommes futés, nous sommes dégourdis, nous avons appris à le devenir en naissant ; nous sommes tombés dans le temps ; la paroi du temps nous a acceuiillie les mmains ouvertstes (mains négatives, mains positives) et depuis nous essayons de nous loger ad vitam aeternam en elle, en cette sorte de paroi de la durée intemporelle ; nous cherchons et nous recherchons et encore ; nous sommes pétris d’ambitions ; nous sommesw pétris et farcis d’ambitions ; nous voulons poursuyivre (ou poursuivre sur) le tracé initial , celui que nous a vons  pour nous dessiné à notre naissqance, nous avons grandi avec l’apprezntiisage d’une langue ; nous évoquons la naissance ; nous avons grandi et nous sommes devenus chercheurs en vérités ; nous cherchons des véritész là où nous sommes ; nous cherchons des vérités qui ont trait ici à la vie sur terre ; nous cherchons la véritév du lmonde et ce que l’art veut dire et en qyuoi l’art est consubstanciel à cette vie que nous vivons ensembvle … ou pas consubstanciel ? ; notre volonté est affiché ici par défaut ; nous ne contrôlons pas tous nos dires, ils nous viennent en bouche, ils occupent la place des betesq, ils sont betesq eux -mêmes, nbous le savons ; notre bouche est pleine d’aurochs ; nous enjolivons la fuite (la fibre en fuite) depuis ce trou en nbous de bouche, cette fuite ici de bouche vers paroi du temps ; nous sommes friands de ces choses dites (sortantes) vers paroi du temps : il s’agit de mots-animaux, de betes de sommesq, de mots de cxharge, de betes fauves, fortes, qui foncent de tout leur allant sur cette (donc) paroi que nous regardonds, que nous gardons pour nous ; pour nous immiscer ; pour nous nous y immiscer ; nous avons besoin de ce coït sur roc ; nous avons en nous ce besoin d’un coït en roche dure, en roche d’éternité, en roche du temps passé ; nous nous intégrons (ensemble : coït) à cette paroi temporelle et ce faisant, nous alloons comme nous joindre à un troupeau de betes en furie ; nous a imons la vie ; nous sommes dans cette chose pareiétale (coït) soudés à elle et collés-soudés entre nous ; nous aimons la vie, ; nous sommes qui aimons la vie pa riéytale, celle du temps sauvé, etc ; nous avons notre laboratoire à la lisière de la forêt ; nous allons nous promener quotidiennement (quasiment) pour nous dégourdir les jambes 1, et 2 pour chercher des choses, des secxrets, des dévccouverttes ; nous sommes des enfants ; nous pleurons nos émotions, nous pleurons ce qui nous submer

 ; nous sommes des enfantsq qui pleurons ce qui nous submerg ; nous avons les larmes faciles ; nous avons la larme au coin de l’oeil ; nous avons les yeux plzeein de larmes ; nous pleurons (et rions) facilement ; nbous avons de la difficulté à nous contenir ; nous sommes vite submergés = émotifs, et cela bn’est pas une bonne cghose dans la vie ; nous sommes vite envahis par les émotions, nous sommes vite remplis de larmes, nous sommes vite submergés et vite pleurons, pour un oui ou pour un non ; nous sommes émotifs ; nous voyons les peintures pariétales comme des larmesz, commeles larmes d’une émotion, comme le cri de la bete chue, etc, commùe une chute ; nous voyons les mots-animùaux commùe autant de chutes dans le temps de lapa roi ;  nous sommes des enfants, nous sommes de petits enfants ; nous parlons avec des mots d’enfants, nous échangeons des mots d’enfant ; nous sommes des enfants jeunes ; nous sorrtons de l’oeuf pour ainsi dire, nous sommes tout jeunes et penauds ; nous sommes des petits et nous sommes émus et vite nous rougissopns, et vite nous sommes envahis par des émotions, ^par les émotions ; nous avons vite fait d’être envahis par des émotions , par les émotions, par les dessins, ces dessins de betes, pâr ces betes en nous, par de s émotions en nous comme des betes, par des émotions qui sont en n ous comme des betes sortantes, par des émotions qui (en nous) sortent comme des betes , de notre trou de bouche, de nous qui regardons les yeucxx mouillés de larmes les parois des hommes du temps des cavernes ; nous somms babas, nous sommes bébécn ,,nbous sommes bébés béa ba baba ; nous sommes bébé baba ; nous sommes faits ; nous sommes munis ; nous sommes construits, nous sommes agencés de telle sorte que (voilà) nous sommes des bébés babas ;

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25/05/2020

nous cherchons à savoir des choses concernant le monde tel qu il peut nous apparaitre devant nos yeux, et plus largement à nos sens, nous sommes friands de réponses, nous avons faim ; nous mangeons, nous avons faim et nous aimeriiiions beaucoup savoir ce qu il en est du monde, de ce monde devant nous, de ce monde tel quil nous est donné de le reppérer, de le regarder, etc ; nous sommes nous deux (notre couple) tres intéressé par cette chose dite pariétale, et notre souci premier, à table, en dehors de manger (etc) est de parler, et de parler de quoi ? eh bien d’art des cavernes, nous parlons = nous parlons de l’art des cavernes ; notre souci premier à table est de nous alimenter tres certainement, mais pas seulement ; notre sou-ci premier , lorsque nous sommes assis à une table, à une table conversationnelle , est de nous parler de choses et autres et surtout de cet art pariétal qui nous intéresse grandement à tous les deux : oui, de manger de bonnes choses et de pzarler d’art, de parler d’art contemporain, de paerler d’art pariétal, etc ; nous sommes tres intéressés tous les deux par l’art en général et l’art pariétal en particulier ; l’art pariétal est l’art le plus important qui soit car il donne le la de tout ce q<ui suivra en la matière : il s’agit d’un art de paroi et donc d’un art de face, d’ubn art qui vous regarde ; il s’agit de cet art qui est face à vous et qui vous regarde, il s’agit d’un art qui est là, donné, offrande, face, et qui vous mate, et qui est cette chose en dur qui vous attire fortement, qui est cette chose qui est un présent (un temps) donné pour la vie, une chose offerte à qui s’en approche ; nous sommes tous les deux , à deux, tres intéressés, nous nous regardons dans les yeux, nous sommes très intéressés tous les deux ; nous nous tenons par la main, nous ne voulons pas nous désunir ; nous avons compris cette chose comme quoi l’essentiel (dans l’art parioétal) est de  ne pas se désunir ; il y a cette chose qui est capitale (dans l’art des paerois) et cette chose est celle ci : ne jamais se désunir ! il ne le faut pas, il ne faut pas se lacher, pas même un court instant, il est important de rester uni, il est capital de bien rester soudés l’un à l’auttre (dans l’art pariétal) et de ne pas lacher la main de son conjoint : cela est une chose tres importante, à ne pas oublier, à ne pas sous-estimer ; nous nous tenons par la main, nous nze nous lachons pas, nous sommes unis pour la vie, en pa roi, en roche  ; nous sommes à l’intériuer de la roche (terre-mere) pour la vie, et pour la mort nous serons ailleurs ; nous sommes dans une vie rocheuse et la mort est un auttre espace -temps, tres certainement ; nous pensons que la mort est dans un autre espace-temps tres certainement, et de noptre côté» nous sommes (en paroi) en vie, et nous sommes inclus dans la paeroi, et vcela main dans la main ; nous cherchons à comprendre ce (cela) qui se passe, il n’est pas facile de le comprendre, et nous travaillons d’arrache-pied pour nous y retrouver, pour comprtendre un traitre mot ou le moindre mot ou quoi q<ue ce soit de cette afffaire de roche, de terre-mère, de mort hors la vie, d’espace-temps de la mort, appartenant à la mort, etc ; nous sommes tous les deux des chercheurs ; nous essayons ensemble de comprendre ; pour cela nous faisons des expériences, nous essayons de faire des expériences de laboratoire ; nos expériences sontt liées au temps, il s’agit à chaque fois d’entrées en matière, nous cherchons dans une matière (une matière verbale ici) une possibilité de se trouver, une possibilité de trouver, unre possibilité de trouvaille, ou de découvertte, car nous sommes des chercheurs (de laboratoire) à qui rien ne plait davantage que les découvertes ou les trouvailles, en grotte, en caverne, en caverne d’ali baba, etc ; nous sommes (encore) des enfants qui nous intéressons beaucoup aux découverttes de toutes sortes, nbous sommes des chercheurs de choses cachéees, de choses enfouies, de choses qui sont à chgercher par chercheurs ou chercheuses motivé(e)s etc ; nous cherchpons e,nsemble des choses et ces chose sont comme à portée cde mains, nos mains, nos mains qui ne se lachent pas, et voilà l’astuce ici, au coeur de nos recherches ! l’astuce est celle ici qui nbous voit nous tenir la main pour accuiellir des découvcertes pariétales : nous sommes unis ; il estv important de rester unis, de se serrer les coudes aussi (dans la recherche) ; et d’avancer de cette façon, main dans la main , est une chose importante en cette matière, en cette chose de la recherche en paroi de grotte ; nous sommes à l’intérieur d’une grotte, main dans la main ; il y a deux mains : la sienne et la mienne et elles se tiennent ; nous sommes tous les deux unis pour la vie dans cette grotte, et nous essayons de voir ou de comp^rendre, de comprendre ou de voir ici, en ce lieu, de quoi il en retourne et cela est une évidence pour nous, cela est cette évidence (à nos yeux) , cela est comme une évidence que pareoi = vie ; nous sommes en semble ici en vie, nous sommes ici ensemble en vie, bnous sommes en vie ensemble ici, nous sommes en vie ici ensemble ; ensemble en vie ici nous sommes, ensemble ici sommes vie en nous  ; nous en vie vsommes ensemble ici ; nous ici en ensemble sommes vie, etc ; nous comprebnons, il y a une chose ici qui est capitale ; nous aessayons de comprendre, jnous comprenons ; il y a une chose ici , qui est une chose capitale et nous cherchons laquelle, car nous sommes des chercheurs de laboratoire, nous faisons nos expéreinces langagières, nous faisons des expériences à l’intériuer de cette grotte qui nous accueille ; nous sommes deux, nous sommes à deux unis pour la vie c’est à dire à l’intériuer de cette vie, ici, alentour (autour de nous, nous y compris) ; nous sommes ensemble et aussi un ensemble dans une grotte qui est une cavité (une plaie) dans laquelle nous sommes nous tenant la mai,nn ; la main a ceci de pârticulier qu’elle signe le temps ; nous les regardons (nos mains) et nous lkes appliqyuons sur les parois qui sont celles qui sont devant nous ; nous faisons ainsi que nos mains laissassent des traces, des empreintes ; nous posons nos mains sur les parois des grottes du temps ; nous aimons poser nos mains (droite et gauche) sur les parois des grottes du temps, bnous aimons déposer nos mains sur toutes ces pareois de grotte, sur toutes ces paerois des grottes du temps, des grottes qui sont cavités buccales, qui sont échancrure, trouée, trou de bouche, plaie, plaiie de jhoue trouée etc ; nous cherchons la solution à notre rébus et cela nous occupe fortement et grandement à l’intérieur de notre  temple-laboratoire, nous sommes très intéressés par tout cela, par toutes ceqs questions qui appellent des réponses, nous sommes fans ; nous sommes très intéressés par une foultitude de questions relatives à l’art pariétal, aux cavités, aux plaies, au sang, aux pansements, au trou de la bouche cde la vérité etc ; nous cherchons avec beaucoup de coeur , à comprendre ezt à trouver ; nous cherchons vaillament car nous sommes vaillants, nous ne reculons pas devant les efforts et nous pouvons aller jusqu’au plus profond (en nous) de notrte capacité, de nos capacités à endurer les choses, à faire ; nous cherchons sur des chemins ardus ; nous nous tenons sur des pointes ; nous allons jusqu’a u bout de ce que nous pouvons, nous allons loin en nous, la fatigue, etc, nous cherchons jusqu’à lafatigue , etc, les choses cachées (enfouise, masquées) ; nous cherchons les choses sous nous ou devant ou derrière nous , ou au dessus de nous ou en nbous = la matière, et cela nous intrigue car : nous sommes comme ne pouvant sortir de cette caverne etc ; nous sommes comme ne pouvant comprendre car nous sommes comme piégés, et aussi car nous sommes pris à partie , ou juge et paretie ; nous aimons les fruits murs, etc, les fleurs, les animaux lorsquils sont doux (au toucher, à loeil, etc) : oui, et cependant, ce monde qui nous enveloppe , et dont nous faisons paretie, ce monde est tel que nous subodorons le pot aux roses ; nhous ne sommes pas des chercheurs pour rien ; nous utilisons les outils qui sont en notre possession ; nous avons l’outil du langa ge, nous l’utilisons ; nous faisons comme nous pouvons avec les outils du bord ; nous faisons (nos rec herches) avec les maigres outils qui sont en noptre possession, nous ne sommes pâs riche en outil ; à quoi bhon creuser la terre quand ce qu il faudrait c’est de passer la terre = la travezrsezr, etc ; nous avons cette croyance en nous, comme quoi il y a des traversées possibles, et cette croyance en nous est ineffaçable ; nbous sommes tous les deux (main dans la main) pour une expérience des limites en laborartoire, nous pensons qu il est bon de bousculer (dans le temps) les choses et ainsi de mettre à plat les animaux, ces etres en nbous qui grondent et qui chargent, et pour cela nous nous préparons, nous nous tenons, nous faisons corps, nbous faisons en sorte d’être deux, ou à deux : nous deux ; nous faisons en sorte de rester unis face aux betes en nous, nous faisons en sorte que les bêtes en nous restassent bien au cxhaud (en notre antre) avant de déferler par le trou de nos bouches , etc ; nous aimons ouvrir la bouche et laissref passer ; notre vie est une ouverture de bouche ; il va sans dire , que donc notre vie (à tous les deux) est une ouverture (en grand) de bouche à vif ; nous aimons ouvrir la bouche ; notre but avoué (en laboratoire) est d’ouvrir (un tant soit peu) notre bouche aux animaux ; nous ouvrons notre bouche pour kles animaux, nous laissons passer les animaux,, par notre bouche, tous les deux ; nous ouvrons le plus possible notre bouche et nous laissons passer les animaux, nous sommes en couple, nous nous tenons par la main, nous nous aimons, nous sommes accolés, nous faisons corps, nous sommes soudés, nous sommes l’un à l’autrte, comme une entité et nous cherchons ensemble ainsi (en notrte laboratoire) à franchir des étapes, à franchir (dépasser) des seuils, etc ; nous cherchons en nous collant l’un à l’autre azfin de faire front et de buter, de taper paroi, de taper du front paroi, de taper paroi du bassin, etc ; nous tapons contre, nous tapons contre paroi, nous tapons contre une pareoi ensemblke, nous sommes accolés pour taper ensemble conttre une paroi, nous sommes proches (collés) pour venir buter contre une paroi, contre la paroi, contre cette paroi, contre celle-là (de paroi) qui est celle qui nous fait face une vie durant ; nous voyons la vie à vivre comme une sorte de paroi qui serait notre reflet et qui pour le coup viendrait toujours se positionner autour de nous, nous suivant partout ; nous voulons com^prezndre avec des mots et c’est ainsi que nous tentons des ecxpériences langagières, afin de franchir des étapes, des seuils de compréhension pariétale ; nous sommes des chercheurs avec en nous des mots qui sont des mots porteurs de sens, et ces mots nous esswayons de les poussefr dans leurs retranchementsz (?) et ainsi de voir (?) ce qu il en résulte, de voir en laboratoire ce qu il en ressort, de pareille pressurisation , de pareil pressage, etc ; nous cherchons ensemble parce que cette chose déjà dite, comme quoi ensemble on va plus loin , etc ; nous avons ensemble une ambition qui est cvelle (scientifique pour ainsi dire) de pousser la chose au plus que nous lke pouvons, de pousser le mobile au plus loin possible, cette chgose répéétée, cette vivacité de recherche commune (pâriétale) etc, nous la voulons pousserr   loin ; nous chertchons à la pousser loin ; nous cherchons à pousser loin cette chose, cette recherche de laboratoire, cet exercice, etc, afin de voir ce qu il en ressort (ressortira) de pareille poussée loin dans les orties, etc ; nous cherchons ensemble , nous avons des ambitions communes, nbous voulons connaoitre le fin mot de ce qu il en est de ce monde que nous vibvons ; nous cherchons de notre côté, nous nous disons que cette chose (du monde) est assez bluffante en soi, et que rien ne va de soi ; or il apparait quil est en vérité impossible d’affirmer pâreille sentence ; il est évident que si rien , que si rien du tout , du grand tout, ne va de soi (ce qui semble etre) alors comment dire (affirmer) cette chose, comment l’affirmer c’est à dire faire comme si cette affirmation allait de soi, etc ; il semble qu il soit impossible d’affirmer quoi que ce soit, or cette phrase (ici) est une affirmation, on n’en sort pas ; le la,ngage est affirmatif, héla s ? ; le langage est une affirmation dans les termes, or il s’avère que cvela n’est pas fameux, et que les mots affirmatifs ne puissent aller bien loin dan,s la compréhension supériuere (?) du monde que nous vivons ; nouys sommes deux (ici : paroi) à le penbsezr ; nous sommes tous les deux (mùa femme et mpoi) à penser que cette chose de l’affirmation langafgière prete à rire (et à pleurer) ; nous pleurons, nous rions, nous pleurons et nous rions conjointement car nous sommes deux ; nous nous aimons conhjointement car nbous sommes deux ; et de la même manière  nous couchons ensemble conjointezment, et parlons de choses et d’autres à table, au lit, en parois, etc, conjointement, c’est-à-dire main dans la main ; lka table est une soltuion, la paroi en est une autre, ou bien s’agit il d’une sezule et m^$eme chose ? sol-mur ? ; nous sommes très intéressés (ensemble) par cette cxhose appelée art depuis longtemps ; l’art pour nous est une ouverture de la b ouche (la plaie) pour prendre (reprendre ) son souffle ; pour nous , l’art a à voir avec la bouche et cette ouverturede la joue, cette plaie en ce milieu de  face (visage à trou) etc ; nous cherchons ainsi des défininitions à ce que l’art pourrait être pour nous, en général ; nous cherchons en laboratoire , des définitions soit des axiomes mathématiques, nous cherchons à comprendre: ce que c’est que l’art en soi, pour nous ; nous cherchons des solutiuons à des problèmes, à des préaambules, etc ; notre souci premier est de comprendre, et de mettre des mots sur des choses ; nous avons en  ous des mots (qui sortent, caracacolent, de nottre bouche) et ces mots sont des animaux, soit des images pariétales : images de ceztte paroi qui est ici celle qui nous environne de paert et d’autre ; nous sortons des animaux de nos bouches, et ces animaux viennent ainsi , dans le monde, se déposer, comme des retombées de choses et d’autres d’une corne d’abondance ; cela est l’art , tel que nous pensons que cela est ou existe ; le monbde est parcellé ; jnous ouvrons bouche, nous parlons (la la la) et de nos bouches ouvertes (gageure) tombent des betes, des betes lourdes, des betes qui pesent, qui sont massives, qui font mal ; ces betes sont ce que nous désignons ici bas (entre nous) par cette appelation (art) que nous ne cessons plus de convoquer à tout bout de champ ; nous aimons convoquer pareille appelation (art) à tout bout fde champ ; nous aimons ouvrir la bouche et laisser passer ; nous ne pouvons nous retenir et tel est notre destin , de toujours avoir cette bouche ouverte, cette bouche à mots -animaux ; nous p^zarlons (bla bla bla) et chaque bla est un animal sortant de dieu sait où en nous (de quel antre ?  et va son chemin par terre = sur paroi = sur paroi du temps tel quil sé’égrène (petite mort) ; nous aimonsfaire sortir de n,ous tout un tas de choses (forcément, forcé, forçage en nous) et ces choses nous -ne pouvons deonc les retenir longtemps en nbous : transit ; nous avons besoin de faire en sorte que les choses en nous circulassent et ne restassent pas (ou pas trop longtmps) en attente d’eztre expulséees ; nous sommes des etres à transit de matières en nous : bonne circulation ; nous crachons (façon de parler) des betes par la bouche, nous crachons = par( la bouche, des betes betes ; nous sommes betes ; nous envisageons de comp^rendre au mioeux ce qui se trame dezrrière, derrière la q<uestion de ce qui est appelé depuis longtemps de ce nom, « art », de cette dénomination ; nous essayons de nous approcher au plus que nous pouvons, nous cherchgons à nous approcher le plus que nous le pouvons, de cette chose que nous appelons avec ce mot de art, avec cette chose ; ce mot art, cette chose d’un mot, d’une appelation, d’une dénomination ; nous cherchons nous deux (ensemble, main dans la main, en laboratoire, unis pour la vie dans la vie) à comprendre ce que c’est que l’art et pourquoi ce mot perdure, etc ; notre travail consiste à  pousser les choses ici, en temple-laboratroire ; nous voulons comprendre et cerner, saisir et pousser lza chgose, isoler pour rafraichir etc, cette chose de l’arty, ctte chose dite art, cette chose qui est appelée, cette cghose à nom, etc ; nous voulons, nous creusons au quoptidien, et nouis espéreons pouvoir à terme comprendre exactement de quoi il en retourne : affirlmmativement ; nous avons ainsi cette volonté en nous, qui est la volonté qui préside à toute recherche scientifique (ou pariéto-scientifique) qui setienne un peu , ou un tant qsoit peuu ; nous sommes tres motivés et nous avons bon espoir d’un jour pouvoir affirmer des cghoses sans tremblker, avec les mots de la tribu humaine (littéraire ou pas, il s’agit de mots toujours les mêlmes, pour les uns et pour les autres , fgrosso modo) ; nous avons pour ambition de co:mprendre cette chose ; d’un art qui serait ras les lèvres de la bouche : berges ; nous pleurons parfois, et rions de même ; njous sommes habitants d’un petit villagee du sud de la france, nous sommes un peu isolés car ce village est un peu à l’écart des grandes artères, etc ; nous habitons dans un temple ; nous sommes comme des templiers ; nous hjabitonts dans un ancien temple protestant , aux confins de la monta gne noire, et nous avons fait de c e temple un atelier de recherche, un laboratoire pour ainsi dire, pour des recherches temporo-pariétalesz, pour des recherches langagières autour d’un mot que nous considérons comme celui ici qui regroupe le plus l’ensemble des choses qui (au monde) nous intéresse le pluys, et ce mot est le mot «art» ; il s’agit du mot «art» ; nous avons chgoisi ce mot, car ce mot nous brule les lèvres, et nous pensons que de ce fait, il mérite d’etre placé au centre du débat qui se fait jour (trou) en nous ; nous avons décidé cela ebnsemble, nbous avon,s ensembvle décidé cela ; de p^lacer ensemble cve mot de «aret» au centre du débat, au centre des questions, au milieu du troupeau qui charge en bnous (mots-animaux) et sort de par ce trou de bouche (plaie) en nbous , pour aller fracas ; nous avons pour nous une chance d’avoir cet outil 1 du langage et cet autrte 2 d’un laboratoire, etc ; il s’agit d’une chance, car tout le monde n’(a pas cette chance 1 et cette chance 2 ; nous pleurons paerfois , et d’autres fois nous rions (dans notre laboratoire-temple) et ainsi nous recherchgons cela, à trouver les mots qui désignent ; njous sommes tous les deux à l’heure (assidus) à notre poste de travail , et cela tous les jours de la semaine, et nous passons ainsi beaucoup de temps à essayer de forcer les dires (dans une approche de type fissa) opour «voir», pour comprendre et metter à jouir (si possible), pour essayer, pour essayer de soulever des lièvres, lièvres de gharenne, lièvres cachés ; ici et maintenant = dans le temps présent = dans kle temps-offrande = en cette paroi , ce qu elle est ; car la pareoi du temps est infranchissable de notre vivant (vous pouvez toujours courir ou vous y atteler) ; la paroi du temps est close, elle est infranchissable de nottre vivant, il est impossible de la traverser du temps de nopttre vivant (pour ainsi dire)  ; nous voudrions, mais il s’avère que la cghose est impossible, et cependant nous poussons, pousson,s, poussons, pour faire céder, pour faire lacher, que les mlots cédassent etc, mais rien à) faire, cela va rtoujours ainsi sur une glisse, sur un chose qui est une cghose qui est une chgose qui ressemble à un morceau de chair, à un morceau de peau, à une pelure et à un baillon ; nous voulons mais ne pouvons ; nous glissons sur le sens des mots ou bien nous glissons via des mots qui ont un sqens bien accroché à eux, ou bvien : via ces mots du lazngage articulé sensique etc ; njous voulons comp^rendre de quoi il en ressort mais comment s’y prendre «voilà la questiopn», «cela est la qusetion «, ceci est la question», « c’est la question», c’est toute la question», voici ce qu il en est de tout cela», etc ; nous cherchons ensembvle à comprendre ce mot de «art», cette chose de ce motr ; njous eesayons avec beaucoup de coeur, nouys nouis accouplons pour une recherche sérieuse et tenue, maintenue, rigoureuse, motivée, et qui puisse «le faire» longtemps : une affirmation ; or il s’avère que la chose en wsoi(d’une définiftion  qui puisse «le faire» sur la longueur) n’est pas de l’ordrte des choses possibles, des choses qui sepeuvent ou puissent longtemps ou qui peuvent longtemps tenir, qui puissent tenir debout un long temp)s etc ; le mot «art» est celui là que nous mettons au centre, point focal, et cela exp^rès, expres pour comprtendre, pour tourner autour d’une compréhension de type torsade, etc ; nous pleurons parfois et d’autres fois nous rions ; nous habitons notre temple de recherche ; nous cherchons un nom pour notre association ; nous cherchons assidument et nous espérons trouver cela bvientot car la chgose urge , ou disons : il est bon de trouver un nom (rapidement) à un enfant (un nouveau-né) pour le placer sur de bons (?) rails d’emblée, ou disons : pour ne pas laisser ce nouveau né sans nom, dans un vide nominal trop long, qiui pourrait vite s’avérer néfaste, à son développement, à sa vie, etc ; nous cxherchons un nom qui puisse «aller» ici dans le temps : coller au temps ; un nom de maison», qui puiisse coller au temps et tenir long-temps ainsi collé ; nous cherchons, nous avons quelques idées lmais à ce jour nous n’avons pas (pas réussi) à trancher ; nous avons quelques idéesq, nous avons quelques mots par cdevers nous, nous avons dees idées, nous avons des possibilités, nous avons des éventualités, nous avons des réflexiuons, nous avons des recherches etc ; nous sommes armés de mots et avec ces mots nous essayons de composqer un titre, une appelation nominale, etc ; nous avons le souci de trouver un nom pour notre petite association en matière de recherche centrée sur ce mot de «art» tel que nous pouvons le croiser un peu paretout à présent sur terre ; nous cherchons une appelation qui durat dans le temps, qui put durer, qui puiiusse aller ainsi longtemps et teznir = tenir debout ; nous avons des idées : « le temple », « les choses du temple », « le centre templier », « le centre des étusdes pariétales », « le centre d’études pariétales », « le centre desé études qui sont pariétales », ou même « centre des études de type qui sont pariétales », nous chgerchons, nous ,n’avons à cette heure pas trouvé encore chaussure à nottre pied ; nous cherchons toujouirs la chaussure, nous la voulons, nous cherchons une chaussure ; « le temple » ? « la paroi » ? « le centre pa riétal d’études diverses » ? nous cherchons le mot, la définition, le fin mot, le mot de lma fin : de la fin des choses pensées ?  ; nous cherchons ou chercherions le mot de cloture ? nous cherchons ou chercherions à cloturer la pensée ? qui cherc he à cloturer la pensée ? pour qsuoi kle langage est il (serait-il) un outil de cloture ? pourquoi le langage humain articulé est il (serait-il) un outil de cloture (fin mot) en chacune de ses assertions ? quelle phrase n’est pas  cloture ? existe t il des phrases qui ne soient pas pa s des clotures en elles mêmes ? existe-t-il des phrases qui ne se présentassent pas comme des clotures (fins mots) en elles mêmes ? nous cherchons ici, au labo, dans le temple, nbous cherchons des choses à dire à ce sujet, nhous sommes motivés ;nous vboulons compre ndre, nous voulons aller loin en besogne, bnous voulons aller loin dans la compréhension des choses, nous voulons toucher latimballe ; nous sommes motivés, c’est à dire que nous sommes deux à nous tenir la main da ns un but précis, et ce but est celui-ci : celui de trouver apres recherche ; il s’agit du but de tout cherc heur qui xse respecte ; nous cherchons ensemble une définition des choses, celle ci est cette chose dont nous parlonslorsque nous évoquons cette chose du fin mot ; nous cherchons une défintion du monde ; un scientifique cherche une définition dub monde, tout scientifique cherche à définir le monde, un scioentifique est une personne qui cherche à définir le monde avec les mots de dsa tribu ; un homme chercheurs (un scientifique) cherche avec des mots, avec les mots de sa tribu ; il fait des expériences de laboratoire en usant ou s’appuyant sur des mots, ou en s’aidant de mots qui sont les mots de sa classe d’age, de son temps, de sa tribu etc, il n’en sort pasq ; et avec ces mots, il essaie de composqer son poème pour ainsi dire = son a xiome scientifque etc ; il fait ce qu il peut mais il n’en sort pa s, et que voit il ? il voit la paroi, qui est un mur borgn e ; il bute, quoi d’autre ? que peut il faire d’autre, le scientifique , que cette chose ?il est celui qui vient cogner contre la paeroi borgne d’un monde environnant, de ce monde environna,nnt, de cette chose autour de nous avec nbous dedans  ; car nous sommes dans le monde ; nous n,e sommes pas hors du monde ; les mots que nous employons semblent provenir d’un hors-monde or non, que tchi, nous sommes dans ce monde quyi nous environne et les mots que nous sortons de notre bouche le sont tout autant ; nous avons ainsi cette chose en nous, cette croyance en nous , ccette chose en nous logée, cet espace, cette chose d’une croyance en un a spect du langage qui sembvlerait échapper à la matérialité ddu monde environnante ; or non ; ou comment ? ; il sembklerait quye les mots («art») qyue nous prononçons (sortons de nos bouches) échappassent à une chose du monde qui sezrait cette matérialité consqtitutive et globale ; nous pensons des choses dans nos têtes, nous parlons a-vec réflexion, nous pensonsq, et cela semble «sortir» or cela ne sort pas beaucoup, car cela reste inclus, comme vents et marées ; nous pensons que les mots sont comme découpés et fonctionnent à part du monde, or les mots ne sont pas découpés et ne fonctiuonnent pas à part du monde, les mots ne sont pas découpés et ne fonctionnent en rien (?) à part de ce monde qsui nous environne (pa roi)  ; nous pleurons, nous avons des émotions, nous avons des sentiments, nous sommes des etres émotifs (p^lus ou moins) et nous pensons des choses (dans nos têtes) qui parfois nous fontb pleurer nous-mêmes ; nous sommes vite gagnés par kles émotions, et avec cela nous chercghons des dé&fintions qui pourraient «le faire» or évidemment que les chgoses ne sont pas simples, nous sommes bousculés par le temps et sommés de nbous prononcer, et à l’intérieur de cette sommation nouds pouvons faire mine de choisir (de parler ainsi, ou de paerler autremeznt, etc) ; nous pleurons pâ rfois aussi quand nous avons mal quelque part ; nous pleurons ou nous rions parfois (les nerfs qui lachent)  ; nous sommes parfois malheureux et pleurons sur notre sort, parfois cela est ainsi ; nous avons pârfois beaucoup de peine et dès lors nous coulons (tombons) des larmes pa r terre, sur laparoi (sol-mur) et irriguons ;: nous sommesqUElquefois tristes de certaines chgoses qsui nous arrivent et alors nous pleurons  car nous sommes émus et ne pouvonsc retenir nos larmes ; nous avons parfois de la peine et de ce fait nous nous mettons à pleurer et nous irriguons, nous muoillons le sol de terre-mère, etc ; les émotio,ns nous gagneznt parfois, npous sommes pârfois ainsi, gagnés par des émotions massives, massives  comme aurochs, comme une insulte entre nos léèvres, etc ; la plaie de la bouche est une douleur, mais pas elle seulement, il y en a d’autres ; il y a d’autres plaies, il y a la douleur dentaire, il y a la douleur aux areticulaztions, et aussi le mal qui vous ronge quand vous etes mal (mal situé) dans votrte vie et que vous ne savez plus où vous mettre pour etre bien ; nous avons ainsi parfois pour nous notre lot (de douleurs en tous genres)  ; nous pleurons parfois car nous sommes émus ou bien de fatigue , ou du fait d’une douleur, ou parfois car l’oeil nous pique, etc ; mille raisons ; et cela est que nous disons des choses (en médecine) sur ces chosees lacrymales, or la vérité est azilleurs que dans ces cghoses quyi sont ou qUIi seprésentent en tant qu’elles seraient des onguents, des pommades (chrèmes, christs)-  ; nous pleurons et avons mal parfois ezt cela est cvette chose en n ous , que nous disons pour nous, comme quoi nous sommes entre nous : choyons-nous car n ,ous sommes perclus de douleurs terrestres (dites terrestres) ; nous pouvons utiliser l’outil du langage pour cela, sans aller chercher plus loin,, sans aller chercher pour ce langage un endroit ou un lieu lointain où il pourrait aller aussi se loger, en plus de cet emploi (médical ou médicinal) de tous les jours ; nous avons du pain sur la planche, en matière de recherche pariéto-faciale, fronto-pariétale ou occipito-temporale ou temporelle ; npous avons beaucoup à faire ; nous croulons sous les v erbes, sous les assertions, les mots de toutes sortes, nous sommes submezrgés, nous sommes envahis et nous essayons de nouys y retrouver autant que possible, et cela n’est pas facile ; nbous tentons ; nous faisons beaucoup d’expériences dans un sensq qu i est toujours le même , à savoir au fil du temps q<ui va : petite mort, qui fait son effet et trompe «son monde» ; nous nous aimons comme s’aiment deux betes ; nous cherchons des issues à des problèmes de défintion et d’appelation ;, le mot «art» est un mot comme un autree, tous les mots se valent, chaque mot a sa définition du dictionnaire, mais aussi son histoire de vie avec ses changements de cap etc ; nous cherchons à définir un mot ici, et ce mot est cvelui de «art» car ce mot nous parait plus que jamais comme étant au c entre de tout, oui, il nous appa rrait , que ce mot de «art» est central, au hjour d’aujhourd’hui, est au milieu de tout ce qui est, de la vie et de la mort, au centre ce point focal, cette chose qyui est comme une borne ; parfois nous pleurons ; parfois nous rions ; parfois nous pleurons car nous cherchons en vain, car le mot»art» est un mot pour le coup difficile à définir et qui sexprésente comme le mot un peu à part (aujourdhui) par excellence  ; nous aimons cherc her des choses sur des choses ; nous avons  beaucoup d’ambitions et nous ne nous en cacghons pas, pas du tout ; nous sommes pétris d’ambitions, et ce depuis le début, et il va sans dire que nous ne nous cachons pas de c ette chose, mais bien au contraire, nous cherchopns par touds kles moyens à en faire part à qui veut, à qui s’intéresse à la recherche, à cette recherche qui nous occupe et qui est une recherche de type pariétale , ou bien detype rupestre ; nous ne nous cachons pas, nous nous tenons simplement (un peu) à kl’écart du grand monde , ou du monde tout court, car nous avons malgré tout pas mal de pain sur la planche en la matière ; njous avons ce gout pour larecherche, nous aimons tourner autour d’un pot, d’un pot aux roses, etc ; tourner autour du pot, tourn,er autour d’un pot, etc, cela nous plait grande»ment et du coup nous nous y collons au quotidien (sans plus faire de vagues que ça) et cela, au sein de notre petite association du temple, celle là que nous avons créé de toutes pièces ensemsemble, dans lke but de défricher le terrain du vberbe, de ce qui se présent e à nous en tant que verbe ; devant nous : friche, et sous lafriche , sous la paroi, sous la tenture, sous latoile, sous le mur, etc, ce ciel devant soi, quui est ce mur ou cette chose (etre) borgne etc, tout cela, toute cette chose du derrière des choses, etc, cela est tres exactement ce qui nbous attire et nous intéressse ; la paroi, le mur, la terre-mère borgne ; etudions le borgne (la science) et cela fa it que verrons nous ? les miettes du monde émietté et rien de plkus en vérité(s) ; nous avons  compris que le mot «art» est celui là même qu il fallait (il le fallait, au sens fort) explorer, comme d’aucuns glissent au fil du temps (vieillisszent) en cherchjant des clés musicales ou des portes d’entrées ; nous sommesc ensemble dans un but qui est un but de recherche active (dans le sens du bois) ; « nous aimons la recherche pour la recherche » , rezvient à dire : «nous vivons» ; dire que nous aimons la recherche pour la rechercxhe, ou que l’on aime larecherche pour larecherche équivaut à dire qu on vit, que nous sommes ou que l’on est en vie ; voilà ce qu il en ressort, voilà ce qu il nous apparait ici, nous avons ces recherches en cours et nous trouvons des choses ici ou là sur le chemin de nps recherches ; nous sommes parfois ainsi récompensés ; nous pensons que les choses qui se font (à part nous)  en nous, nous pensons que tout ce qui transite par nous est cvomme qui dirait cette chose du chantournement artistico-pariétal tel qu on peut en voir des extraits sur paroi de grottes ; nous sommes tres surs de ces choses et nous les gravons noir sur blanc ; nous sommres tres sûrs de certzainre choses qsui nous apparaissent et des lors nous disons ces choses avec nos mots, ; or il s’avère que noos mots ne sont pas fiables ; le lan,gage humain articulé en son entier ne nous apparait cocomme bn’étant pas fiable, ou nous apparait plutôt (en vérité) comme n’étant pas fiable, comme n’étant pas fiable à cent pour cent, et disqant cela nous fgaisons fausse route également , ainsi de suite ; il s’agit des lors d’une suite d’enchainements pariétaux -fronto- temporelks ; il s’agit ici d’une suite, d’unec poursuite, d’un enbchainement emberlificoté, etc, une sorte de ribambelle de mots enchassés , qui vont leur chemin frontal, de butée, de contrement ; nous allonsq ensembvle en paroi nous glisserrt acvec des mots, car il n’y a rien de plus simple à faire peut-être que ça, cette chose ; aller en paroi, s’immiscer dans la roche dure,  ; il faut pour cela user des mots que l’on a en réserve en tant qu’être langagier terrestre ; nous avons pour nous deszxmots d’immixtion, point à la ligne ; nous avons pour nous, pour nous immiscver dans la rocxhe dure , des mots-animaux, des mots que nous pouvons pour le coup gracver da ns les grottes ; nous sommes dans une grotte, nous sommes avec les yeux ouvertts dabns une grotte, et tous les sens aiguisés, etc, ; nous ssommes dans une grotte, nous avons kles yeux ouverts, et tous nos sens sont  aiguisés ou affutés, passés à la meule sensibvle ou du sensible ; nous pensons <que nous sommes insérés dans un espace-temps (ici) avec finitude, nous étudionds de près (en tant que scientifique) cet espace-temps, cet espace-temps pariétal ; nous cherchons une issue c’est à dire une sortie , c’est à dire un trou (passage) qyui serait celui d’un audelà du monde des scientifiques, du monde à approche scientifique ; où est le trou ? où donc est le trou ? nous chgertchons un trou dans la tenture, dans lke ciel, dans la terre, dans le corps, un trou où pouvoir s’immiscer voire se loger, mzais ce trou nous ne le trouvons nulle part ! dans le corps de l’autre ? non ; dans laterre mère ? non ;  dans le lmangage ? non ; dans le ciel ? non ; etc ; le trou n’existe pâs, il n’ya pas de trou qui soit réellement un trou, un vide complet; il y a des excvavations, il y a des cavités, il y a des collections de pus en ca vité , etc, mais un trou qui fût un trou videcomme un passage, nenni ; nous n’avons pour notre part pas trouvé ; nous cherchons assidument, dans la paroi du telmps, une chose (lapsus) quyi fut pour nous une révélation d’une chose existante quelque part, lapsus ; nous cherchons assidument et    quotidiennement, nous sommes deux ; nous avons des noms allou»és ou attribués, à nous attribués ; les noms que nous portons ne sont pas marqués sur nous, nous disons que nottre nom est untel , or nous pourrions mentir sans trop de difficultés, dans la mesure où le nom de la personne est extérieur (semble til au premier abord) à la personne,or : le nom est il extérieur à la chose ? aindsi de suite ; nous avons deqs motifs de recherche ;, nous cherchjons à partir de motifs, nous cherchons des choses à partir de mots, de noms alloués ou attribués, et ces choses que nous cherchons nous les recherchons en,semble, nous nous tenons par lma main pour les chercher, nous ne nous lachons pas ou pas longtemps, njous restons soudés, nous restons proches tout le temps ; nous avons des ambitions, en nous, qui sont gran dfes ; njous chertchons ce qui pourrait etrte pour nous reznseigner, sur la signification du monde, de la vie et de lma mort pour nous ; nouys essa yons des choses, nous faisons des expériences, nous sommes ensemble pour faire des expériences et ces expériences nous les menons de concert ; nous menons des expériences de conserrve, de concert, c’est-)à-dire ensemble) conjointement ; njous allons ensemble vers des directionbs qui se recoupeznt ; nousessayonsc d’aller ensemble verts des directions qui soient les plus proches possibvles, car notre but (objectif) est le même pour chacun de nous ; à savoir la recherche de la vérité, car le langage en lui m^me est rechezrche perpétuelle de vérités, il n’y a pas de langage qui ne fut autrte chose (ou ne soit) qu’»une recherche à perpétuité de la vérité des choses ; nous sommes sûrs de nous ; nous sommes porteurs de vérité ; ce qU e nous disons est vrai, nous affirmons, ce que nous affirmons est la vérité vraie, la plus pure des vérités ; nous disons la véerité, toute la vérité lorsque nous disons que les mots sont des véghgicules de vérité, de mensonge et dee  érité ; les mots charrieznt des vérités, tendent vers une sorte de dire total (complet) de vérité, qui vienne comme clouer le bec ; toute philosocqphie (tout usage du lmangage) est une façon de clouage de bec, de cloturement , etc ; parler = clouer le bec (tentative) ; « parler ou clouer le bec » ; nous sommes ainsi , nouds deux, qui cherchons à voir ce que pareille cloture de bec, ou clouage ou fermezturee (forcé) de bec, recèle en tant que choses qui seraient à donc comprtendre par l’intelligence, ou même autrement : par la betise ; sauf que la betyise est sur la même voie que l’intelligznce, la betise est la première mzarche de l’intelligence, la betyise est du même tonneau que l’intelligence, alors non ; peutetre e st il préférable de sortir de ce tonneau, oui, je veux bie,n, mais dites-moi alors comment faire ? ; nous sommes dans ce tonneau, les mots nous trompênt, nousq croyons dire des choses a vé&rées et fortes, nous sommes floués, nous sommes pris comme dans une n assee ; nous cherchgons une issue de type trou dans la chaussette, c’est-à-dire : dans la chaussette du temps ; nous sommes tous les deux qui cherchons car nous sommes des chercheurs, et nous cherchons quoi ? nous cherchons la vérité ; la vérité de quoi ? la vérité sur ce qui nous entoure, ce bain du monde, ce bain dans lequel nous baignons, etc ; nous avon,s cette soif de vérités en nous, malgré nous, et voilà ce quil en est du langage, des mots qui sont dans nos bouches comme des animaux en cage ; nous voulons comprendre cces sortes d'animaux qui sont en n ous, ce qu il en est trees exactement, et pour cela nous nous sezrvons de ces mêmes mots-animaux qui transitent en nous, donc c’est difficile ; c’est comp^liqué ; la chose nous parait un poil  biscornue ; nous nous sentons un peu mal à l’aise avec ces mots dans nos bouches, ces mots que nbous nous voyons contraints de cracher, de sortir de nous par la bouche en les crachant ; nous nous voyons dans l’obligation de devoir cracher ces mots-animaux et cela car nous en avons plein la bouche, nous en produisons sans cesse, nous sommes des machiines à produire des mots et ces mots il nous est nécessaire (transit de santé) ds’en faire une chose, de faire d’eux un quelque chose, et ce quelque cxhose est (pour le coup) cette recherche de vérité ; cette recherche de la vbérité avec des mots, ou via les mots, ou à l’intérieur de cette sphère des mots ; mon nom est ainsi qu il deésigne ce chantournement d’une naissa nce, de ce moment de la venue au monde ; le chantournement est l’autrte mot  pour «aret», cette même chose, cette aéppelation proche ; on peut dire «aret», on peut aussi dire «chantournement» ou «vrille», cela est la même cxhose ; njous pensons que l’art est lié à la vie, nb’est pas sépâré de la vie ; l’art (chantournemen) passe par les mains, et cette chose (passant par les mains) est liée (tres liée) au souffle, au trou de la bb ouche dans lequel ou par lequel transite le souffle ; nous a vons cette cxhose pour nous, qui est que nous pensons des choses avec des mots qui sont en nous, et ces choses sont des animaucx, des ours des cavernes, des buffles, qui sortent de nous ainsi tzandis que nous pârlons (bien obligés)  ; ce sont des betes de type de celles que nous voyons ici, sur paroi , en des grottes enfouuiiues ; nous aimons kles phacochères, nous aimons les buffles et les chevaux ; njous cherchons à aimer buffle et cheval, et antilope et phacochère etc ; nous aimons et j’aime, hje suis celui qui aime les betes, lesz chevaux, les antilopes, les bouquetins, les animaux ; je regarde la paroi, je sui s à l’intériiuer de la grootte, je sui rentré ce matin à l’intérieur de la grotte ; et tout autour de moi il y a des betes qui chargent, qui foncebnt, qui sont vives, qui bougent à la lumière des torches ;  je regarde les pa rois ; je suis cet homme àç l’intérieur ; nous sommes ensemùblke qui regardons les parois ; je regarde ces parois ou sont dessinés des betes fauves ; nous regardons ces parois où sont dessinées desq betes fauves, des bouquetins, des aurochs, des rennes etc ; nous regardons ensemble = je regarde ; nous pleurons = je pleure ; nous parlons = je parle ; nous embvrassons la paroi de roche ; njous sommes ensembkle contre une paeroi et nous cherchons à l’embrassser, à coïter avec elle : à la pénétrer via les mots , la paroi du temps ; nous cgherchons, jhe cherche, je cherche, nous cherchons ; nous sommes sur la crête du verbe ; nous nous tenons sur la crête du verbe ; nous essayons de nous tenir debout sur cette crete du verbe, nous essayons kle pklus possible, de nous tenir de$bout sur cette crête du verbe tel q<u il nous a été inculqué dans nottre prime enfance ; nous cherchoons à nous trenir lkà , dans nos recherches, sur cette crêtre ; nous cxherchons à tenir debout sur cette crête, sur cette crête verbale, pariéto-verbale ; il s’agit de la crête du tempqs pariétal, ou bien  de la crete pariétale du temps verbal ; ou du verbe temporel, etc ; nous nous tenons à cet endroit, assis à notrte bureau , allantr de la sorte en labo, pour des recherchess temporo-faciales, ou spacio-tempor lles ; nous cxherchons assidument des réponses dans kle langa ge mais, cette chose , en y allant crûment, frontal, vers une vérité des choses dites, vers une vérité ici dans le dire etc ; nous sommes pleins d’espoir, nous voulons cette chose avec une grande conviction en nous, nous chertchon,s la vbérité sur cette terre mère, nous sommes à la recherche d’une vérité de crête ; cela n’est pas simple, il n’est pasfacile de la trouver ; nous cherchons quelqURe chose d’animalier de préférzence, nous sommesc quasi sûrs de cette chose (animalière ? animale ?) en nous : nous pensons que vbéritablement nous sommes pleins de ces mots-animaux en nous (où exactement, cela nous ne le savopns p)as, mais nous pensons qU en nous il y a des betes qsui sommeillent, en nous c’est à dire en nos mots de crevaison buccale ; il y a pour nous une chose, cette chose est cette choses que nous pensons, nous disons des mots sensés, nous posons des mots de vérités sur les choses ; nous ne sommes pas des qui, par extreaordinaire, pàar leraient à tort et à tyravers à tout bout de champ ; heureux ceux là qui sont dégagés ; jnous : non! ; nous ne sqommes pas déga gés, nous sommes partie prenante ; nousq devons montrer patee blanche ; nous devons montrer patte blanche et aller ainsi, artistiquement, scientifiquement, formellemnt, rustiquement, solitairement à deux, ainsi de suite : une ribambelle d’(aedverbes pour une explication qui setienne ; nous pensons avec des mots, nbous avons en nousd des mots que nous déposons (animaux) sur des parois de grotte = le temps de la vie terrestre ; nous sommes tous les deux unis pour la vie et cherchons ensemble un petit nom pour notre association ; nous sommes tous les deux qui cherchons un petit nom pour une association de type centre de recherchje ; nous sommes à la tete d’un centre de recherche bucco-pariétale ; nous cherchons un mot , un nom, ou quelques mots (une suite,) a fin de pouvoir ainsi ba ptiser notre association et l’affubler du vocable qui lui aille comme un gant, seyant, etc ; nous cherchons le bon mot ; nous avons soif de vérité ; nous avons faim de vérité ; nous avons soif et nous avons faim de vérité ; hous cherchons un trou ici ou là mais il wemblerait que npus ne puissiiiions pas arriver à nos fins du temps de notrre vivant ; nou voulons trouver ici les yeux ouverts et bouche bée ; nous cherchhons une vérité de bouche bée ; notre envie, notre souhait, noptre désir, notre volontré, notre ambition, notrte pente, nos obligations, notre vie, etc ; et ensyuite peut etre la mort viendra, qui nous raptera, qui nous prendra dans ses filets (rets) et nous raptera ; nous serons a bsent au monde ; nous ne serons plus en vie, nous seronsc en mort ; nous ne serons plus comme faisant paertie de la vie sur terre, nbous serons comme faisant partie de la :mort sur terrre , et voilà le pot aux roses, subrpeticemment ; nous sommes blousés, nous sommes raptés (nous serons)  ; en attendant, voilà ce que nous pouvons faire : au fil du temps, coller au temps, à la paroi du temps, s’y aggripper enesmble et ne pas lacher, et tezbnir ainsi le plus longtemps possible ; nous habitons une petite maison aux a bords d’une montagne, en fait de petite maison il s’agit d’un temple, ou d’un ancien temple, d’un ancien temple protestant de montagne ;: nous nous promenons autour du temple ; il y a beaucoup de chemins alentours qui sont âraticables et nous ne manquons pa s beaucoup de hjours à faire notre promenade ; nous nous promenons sur des chemins cde terre le plus souvent, la terre craquèle au soleil ; nous aimons marcher à même la terre, les mottes de terre, etc ; nous nous promenons main dans la main, nous faisons notre petit tour quotidien ; je prends sa main, je regarde les champs à perte de vue, la région est belle, nous sommes unis, nous ma rcghons à même laterre ; nous sommes e,nsembkle pour la vie, nous dison,s cette chose comme quoi nous sommes ensemble pourla vie, nous aimons la vie, nbous aimons la terre, les champs, nous aimopns nous tebnir par la main, nous aimons les vrilles de la vie, les trous dans le langage pa riétal ; nous cherchons des interstices ; nous cherchons parois temporelle à interstices si possible ; notre espoir est grand d’enb trouver ; ah si seulementb  nous pouvions trouver une paroi à interstices, nous cherchons l’interstice de la pareoi du temps, cette chose en creux, ce trou de bouche, cette plaie qui saignotte encore, cette fente d’un coup d’un seul (chlac  !) ; nous sommes main dans la main (deux mains) et nous nous immisçons dans la paroi (entre les betes) et ainsi nbous sommes comme de la partie ; nous sommes ainsi main + main = deux mains : ensembvle ; nous avons besoinb ainsi de cette chose ;, de nous tzenir ainsi ; deux mainqs, ces deux mains qui sont une seul entité, une seule et simple entité, qui sont la coque ; sa main avec la mienne forment la coque ; sa main + ma main , ensemble, ; forment coque, coquille, noix, etc  ; le coït ; nous l’aimons, bnous figurons ; nous avons besoin de la paroi ; la oparoi est indisqpensable fdans notre petite histoire ou aventure ; sa ns paroi il n’y a p)as d’aven,ture, la paroi est nécessaire (au sens fort) ; nous avons besoin ds’une pa roi ; nous sommes unis par nos ma ins qui ne se la chent pas et c’est ainsi que nous allons ensemble, à destination  d’une pâroi de grotte, nous y immiscer subséquemment ; la chose est pariétale, nous suffoquons ; nous entrons (par le verbe) dans la paroi ; le verbe est la pique, la lance, qui perce la roche ; une pezrcée ; nous sommes à l’intérieur de ce roc, de cette pierrre dure ; nous sommes dans le temps de la durée dure ; nous esssayons d’avancezr ain si dans le temps de la pierre dure, de la roche âriéto-frontale ; nous aimonsq, nbous aimons la roche, le rocher, le crane, la douceur des mains négatives ; nous nous postons ensemble  a ux premières, nbous sommes aux avant poste ; nous faisonsq ce que nous pouvons pour ne pas flancvcher et tout au contraire poursuivre sure notre lancée et a ller le plus loin possible en paroi ; la paroi est notre alliée car ezklle fait patieznter dame la mort, car elle fait patienter sieur la mort,, etc ; la pareoi du temps est cette chose dure , animalière, qui charge, qui rugit en nbous et déferle ; nous pensons «la déferlante », nous pensons ainsi, nous aimons cesq animaux en nous qui chargent, nous aimons en nous cette cha rge, ce rentron, cette furia ; la chose est furieuse, animalière, chargeant, la chose eswt vive, est une furie en nous, qui transite en nous et sort de par nottre bouche percée ; la bouche en nous est l’espace de l’art ; la bouche est la cavité (spirituelle) de l’art qui transite (de gré non, de force oui) en nou, depiuis que nous sommes nés, etc ; nouys pensons la mort, nous vivons la vie ; nous vivons la mort, nous pensons la vie, et cela  : avec une ribamblelle de mots-animaux , « cé dé zanimo » ; nous pleurons, nous sommes émotifs ; nous avons en nbous des mots qui chargent, qui pèsent, qui sont une charge etc, à laquelle il nous est impossible de ne pas nous soumetttre (jhoug) car nous sommes bêtes de sommec : une somme animalière, un sommeil animùalier, etc ; le verbe etre : sommes ; nous pensons que nous sommes une somme sur terre-mere ; nous pensons q<ue nous allons de fait vers la mort en vie, en vie vers la mort ; or non : jnous sommes dans la mort en vie et a llons dans la vie en lmort, etc ; nous chezrchons en vérité des vérités langagières puisque le langage humain articulé est cvette chose de vérité (en soi) ; nous avons besqoin en nous , de poser des  mots de vérités sut tout, tout ce qui nous ezn,toure, nous ne pouvons y couper ; nous avons des mots en nous qui transitent et ces mots ont desfinalités précises, ou disons ont des directions (sens) qui les cantonnent, qui les plaquent, qui les modulent, qui les forment etc ; elle et moi sommes à la recherche d’un trou dsans l’épaisseur de la paroi buccale : où ? ; nous n’a cvons pas finii de chercher ; nous sommes pleins d’espôir, je suis plein d’espoir, je sui présen,t, je cherche une solution (nue) au sein du langage articulé ; je regarde les pareois qui sont ornées, je respire l’air de la grotte,n, je suis à l’intériuer d’une grotte profonde et je cherche une compréhension à travezrs l’emploi de mots pariétaux, c’esr-à-dire d’animaux de fort poids pour la plupart ; je vais à lintérieur de la grotte, nous allons à l’intériuer de la grotte, nous sommesq plusqieurs, nous sommes tous, nous sommes (deux) tous les hommes (tous les hommes, toutes les femmes), nous sommùes deux c’est à dire que nous sommes complets, car le « nous » signe la complétude, le couple en tant quil s’agit en soi d’une condition dou ble du monde des hommes  ; je = nous : homme et fezmme, l’ensembvle de la condition ; nhous nous plaquons à la paroi du temps avec les mots (brusqués) de tous les jours, et cette chose est npotre (propre) expérience ; nous ne recherchgons pas la notoriété mais nous recherchons la tranquillité , et aussi d’en avancer fissa vers des lendemains qui chantent ; nous cherchons une vérité ; la vérité est notre chemin , notre objectif, nous ne lachons pas, nous poursuivons, nous avons du pein sur la plzanche  ; deux mains = demain ; nous sommes ensemble et nous gracvissons la pente légère, notre promaenade a lieu pres de notre domicile, car si nhous sortons de notre maison nous voyons au fon le sentier quyi mène à la forêt ; nous habitons cette maison et cette maison est aussi (en plus d’etre notre maison) notre laboratoire de recherche : « laboratoire de recherche pariétales », « laboratoire de rezcherche pariéto-frontales » ; « laboratoire de recherche templière » ; « le templier », « le temple », « le laboratoire du temple » ; « le temple-labo » ; « le labotemple » ;, « labotemple » ; « temple-laboratoire » ; « le laboratoire » ; « le temple &labo » ; « temple & labo de la montagne noire » ; « le laboratoire du temple » ; etc ;, nous cherchons ; nous cherchons iun nom, le nom ; nous sommes à larezcherche d’un nom ; un patronyme ; nous sommes tous kles deux à la recherche d’un nom quyi puiisse nous ravir, qui soit celui là qui irait trees bien à notre association, maison, labo, etc ; notree but est cezlui-ci, de trouver le nom, le mot, le fin mot, la fin ,une finalité, une cloture, une fermeture : ouvrir la bouche, fermer la bouche, et respierer le grand air de la montragne et de la campagnec : bouquetins, aurochs, antilopes, rennes, vaches, boeufs, taureaux, mammouths, isards, hippopotames, lapins ; etc ; nous les connaissons ; il s’agit des mots de bouche, pansements ; nous aimons les betes à cra c hezr ; nous les avons dans la bouche, nous en avons plein la bouche, notre bouche est pleine de betes, nous voulons cracher les betes, il s’agit de mots-animaux, dans les mains (les deux mains) du temps ; le temps montre tes mains, maintenant ; le temps veux-tu montrer tes mains dès à prése,nt, nous avons un cadeau à te fgaire le temps, et ce cadeau « cé dé zanimo » ; nji plu ni moins ; il s’agit (le temps) ds’animaux-mots que nous avonsq en bvouche, comme du sang qui coulerait d’une plaie ouverte, et il s(agit bien en l’occurrence d’une plaie ouverte, ici même, là, à cet endroit qui est celui que nous avons au beau milieu de lafigure , sous les narines, aub dessus du menton, entre les deux joues : oups ! ; et une bouche, une !  ; c’est ainsi que nous imaginons la chose, nous l’imaginons comme ainsi, nous sommes troués, nous saignons le sang de la génisse et de l’agneau, nous saignons de la bouche, les mots-animaux tombent dans lk’escarcelle = la paroi du temps d’une vie (en propre) sur terre: je-nous ; nous espérons ainsi avoir de quoi afin de pour le coup trouver ici de quoi satisfaire la curiosité qui est la notre en cette question des chosesq terrestres ; où sommes nous ? nous sommes dans une paroi , nous sommes à l’intérieur de la paroi, au milieu d’un troupeau de betes qui vocifèreznt ; nous sommes pris dans le mouvement ; nous sommes emportés et les mots qui sortent de nous vont comme se fracasser, vont buter, vont se fdracasser sur roche, les mots-animaux sont en nous des betes de somme, nous sommes nous-mêmes betes de somme dans la bouche de tel ou tel animal quyi nous a ainsi, qui nous porte ainsi, qui nous transporte pariétalement dans sa bouche, sous le palais, comme mots à cracher ici ou là subséquemment ; nous sommes portés comme nous mêmes nous portons, nous sommes dans une cavité, nbous cherchons un trou, une sortie sans mal ; nous cherchons ce que nous pouyvons ezn matière de sortie sans plus de mal que ça mais plutôt en douceur, une chute en toute douceur depuis la bouche ouverte d’on ne sait qui ; notre but ainsi n’est pas masqué ; nous cherchons une voix de vérité ; des paroles de vbérité, des paroles qui disent la mort, la vie etc ; des paroles qui nous instruisent ; njous ne sommes pâs chauds à l’idée de mouvrir, et aussi : nous sommes tresx intrigués par la forme de tout sur terre, à commen,cer opar nous mêmes, njous sommes intrigués par les formes des choses ; nous voulons savoir, nous voulons en savoir long, nous nous tenons par la main, nous voulons comprendre ce qui est de l’etre vivant que nous sommes, ce que nous avons comme perspective, et faire sauter les verrous ; nous ne voulons pas d’une mort qui survieenne tout à trac mais nous voulons d’une mort qui nous dise (comment ?) ce que c’est que cette chose qu’elle repreésente, ce qui nous atteznd ; nous sommes qui faisons des choses ainsi, qui demandons, qui parlons avec les mots de tout le monde, pour des choses précvises et sensées, et aussi nous crions à la naissance, nos poumons doivent se remplir d’air, nos poumons (les deux) doivent se remplir d’air (d’(art) ;nos poumons ont àç se remplir d’air (dart ?)  ; nos poumons ont à voir avec ce que nous appeelons (ici ou là ) «l‘art» car le poumon est lma cxhambre de treansit, le lieu des échanges vitzaux, et l’art , sil est, se doit , là, de se glisserr au passage ; s’il est dans les pârages, en tant quil est ces animaux en nous, en tant que l’art est l’animal en nous qui loge en cet endroit que nous cherchons, que nous recherchons, que nous ne cessons pas de chercher ; où peut il etre en  nou ? où se loge l’animal en nous ? où peut il bien etre, nom d’une pipe! nous cherchons, nous chertchons, nous sommes des chercheurs, nouds sommes chercheur et chercheuse, nbous avons deux mains, nous nous prenons par la main, nous ne savons pas d’où viennent en nbous les animaux qui frrappent à la porte (bouche) en, nbous , pêutre etre viennent ils du souffle ? arty ? esprit ? la cghose est à rechercher à même la terre, dansq le ras du ras des mots terre à terre, tres certainbemen t ; la chose est à rechercher dans le ras du ras du terre à terre de la chose bete, de la chose bestioune, de ce qui est au ras du ras du terre à terre de terre-mère, nôtre ;

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15/05/2020

il est évident à présent que la paroi du temps est l’allié le plus sûr que nous pouvobns avoir à nos côtés ; nous sommes entrés dans cette grotte, il fait frais ; il est bien évident à présent que la paroi du temps est un allié ; nous avançons vers elle, nous l’aimons, nous en sommes babas ; nous regardons  vers elle et nous nous prosternons ; la paroi du temps est un allié sûr, et nous l’aimons, et nous la vénérons : nous en sommes babas ; il s’agit d’unev fresque, une ribambelle d’animaux de grande taille ; il n’e s’agit pas de petits animaux, il s’agit (à chaque fois) d’animaux massifs et qui chargent, qui arrivent ou déboulent en trombe ; ils s’agit à chaque fois de grosses betes, elles sont imposantes et nous nous prosternons, ici, à leurs pieds ; nous les aimons, nous les aimons d’amour, nous les ingurgitons, nous les mangeons et nous les déféquons ; nous sommes des mangeurs de betes massives, nous sommes des mangeurs de betes qui, ici, chargent sur pzaroi, et nous aimons ces betes à la folie et jusqu’à la folie : nous sommes en transe, nous hurlons avec le troupeau, nous sommes en transe main dans la main ; nous chargeons au milieu d’elles, nous aimons les betes de charge, qui foncent, qui font des ravages, qui piétine les herbes des champs ; nous sommes des betes de charge avec elles, au milioeu d’elles, nous nous sentons bien au milieu d’elles, ; nous sommes comme elles, nous voulons etre cvomme elles et nous nous immisçons dans la paroi, c’est-à dire dans la roche dure, dans cette roche en dur qui nous accueille dans son fief, qui est un antre, qui est une caverne en soi, une ouverture et une fermeture ; nous sommes dans ; nous sommes à l’intériuer de la roche dure, de ce roc qui charge en furie, qui va fissa vers un champs de blé ou d’orge à piétiner ; nous sommes dans ce troupeau de betes, à charger avec elles, à charger à leurs côtés ; nous sommes insérés, nous sommes pris, nous sommes pris dans les rets du langage appris ; nous parlons une langue insérée en nous et il est impossible à présent pour nous de désapprendre cette chose en nous qui est tonitruante, qui charge, qui va de l’avant et occupe les espaces ; nous sommes pris par une langue bestiale en  ous ; nous sommes perios en nous par une langue bestiale, brutlae, qui charge, qui meugle, qui beugle, qui rugit, qui mugit ; nous sommes faits prisonniers, nous voguons ainsi au mùilieu d’un troupeau de betes brutalres, fortes, pleines de vie, chargeant, allan-t de l’avant en meuglant toute leur santé de vie buffante ; nous aimons ces betes en nous, nous sommes faits comme prisonniers de ces betes en nous et ces betes tentent une sorrtie de nous, elles cherchent à sortir de nous, nous avons en nous des betes buffantes qui (ensemble) chercheraient une sortie : à sortir de nous par la bouche  ; trouée ; nous sommes ainsi comme déchirs et nous laissons passer de nous des betes, nous laissons sortir de nous des betes qui chargent, cela est le temps, cela est une charge de temps en nous, ce temps en nous qui est fait de ces mots de langues diverses (chacun la sienne) dont nous sommes prisonniers ; nous aimons les mots de charge : les mots gras, les insultes, les mots à forte teneur sen suelle etc ; nous les chérissons comme des petits veaux ; nous sommes amoureux de betes de charge, nous sommes qui aimons d’amour des betes en nous, qui chargent et meuglent, et disent un élan de charge en nous, pour un passage hors de nous ; nous aimons ces betes en nous qui sont des bêtes pariérales en  ous, qui sont en nous des bêtes parioétales, vive elles ! ; que cela soit qu elles puissent enfin sortir de nous, qu elles le puissent pzar ici, par ce trou de bouche enfin fait, par ce trou de bou-che enfin effeectué, par cette ouverture de bouche longtemps attendue ; nous avions hate d’y arriver et à présent la chose est zeffective, nous l’avons, notre trou de bouche : nous l’avons, nous le détenons, nous sommes troués, nous le sommes enfin, la chose est faite, ouf pour cette bouche, ouf pour elle que nous attendions mordicus ; nous voulions de cette bouche en n ous, pour nous, car en nous les betes chargeaient, eklles hurlaient, ellez vovciféraient, et à prése nt nous sommes libérés de cette chose : de ce poids en nous, de ces betes fauves, vibrantes en nous, de cette épaisseur en nous qui pesait sa charge, qui nous encombraient ; à présent nous pouvons marcher libérés et plus lmégers, nous sommes enfin libérés de cette chose en nous qui nous encombraiet beaucoup, et nous pouvons marcher la tete haute, redressés, enfin droit comme des piquets, dans les champs et dans les bois, à la recherche de betes à chasser , etc ; nous sommes le-ibérés en nous du poids des mots en nous, nous pouvons les expulser (exprimer) de nous = les dire (donc) par la bouche, les sortir de par la bouche, en direction de ce qui nous fait face : la paroi du temps ?  ; nous cherchons (pour le coup) à nous libérer (en nous) de cette masse en nous, nous cherchons à nous libérer en nous de toute cette chearge de betes en, nous qui nous pèse ; nous sommes envahis ; nous sommes piétinés ;nous sommes porteurs-porteuses de vérités, par le biais de mots qui chargent et sortent de nous betement par la voie buccale de préférence, ; nous aimons ces mots et nous les formulons à l’envi ; nous aimons parler , nous parler, échanger des mots entre nous, nous avons la chance de pouvoir de nous sortir des vocables à l’envi, à l’encan, à la cantonade etc ; nous sommes porteurs ; nous avons ce poids, nous sommes pris dans les rets de langues en nous qui nous pèsent fort et sont pour nous un poids de betes mugissantes et beuglantes, ou rugissantes et meuglantes ; nous les aimons et les mangeons, après les avoir chassé ; nous aimons la viande des betes et nous la mangeons, apres l’avoir cuite au feu de bois ; nous sommes hommes et femmes des cavernes, nous avons des noms ; nous entrons dans des grottes cachées, et nous implorons le dieu du temps, de nous laisser en vie -un moment, un moment de plus, encore un temps, pour nous et pour notre progeéniture ; nous implorons le dieu de la roche, du roc, de la pierrre, c’est à dire du dur, du dur de chez dur, de la terre mère nourricière, etc, dub monde physique, nous sommes plein d’abnégation, nous faisons notre mea culpa ; nous disons tout ce que nous avons sur kle coeur et cela sur paroi, sur paroi de grotte etc ; nous sommes pris par la folie de ces parois qui dansent, à la lumière des torches que nous brandissons ; nous sommes pris de folie rupestre ; nous essayons de graver la bete à même la pierre, de la dessiner à même la roche, qui avec du bois brûlé , qui avec de l’oxyde de manganèse ; nous faisons des choses précises, nous respectons les anfractuosités, nous épousons le relief de la paroi qui s’offre à nous, nous sommes tres attentif aux reliefs, nous suivons d’insttinct nos envies et nous dessinons à main levée avec beaucoup de coeur, avec le coeur qui est cette chose en n ous que nous offrons (saignant) en offrande par ailleures, sur table d’offrande ; nous sommes soulevés et nous offrons ; nous sommes emportés et nous offrons  des choses sur table, et ces choses saignent, elles pissent du sang ; nous aimons le sabng que nous offrons, et nous dessinons sur la paroi le bison et le phacochère, le mammoputh et l’antilope ; nous aimons en nous les animaux qui chargent dans ,otre crâne, sous notre crane etc ; nous aimons les betes en nous qui sont des mots en nous, et ces mots viennent à se loger sur la paroi du temps et c’est ainsi que faisons allégeance, que faisons cette chose avec abnégation ; nous voulons etre ici considérée comme survivants en grotte, et pris ainsi pour cette chose que nous voulons etre : des qui restent en vie, qui sont choisis comme pouvant l’etre par ce saigneurs qui voit pisser le sang du temps sur cette table en opierre sous nous qui montons, qui sommes soulevés, qui sommes lévitant en cette grotte aux murs (parois) ornementées ; nous aimons cette chose d’aller, ainsi soulevés, et montant , et nous élevant, au dessus de la table aux offrandes ; nous avons des mots plein la bouche : animaux ; nous nous parlons à tous les deux de ce qui nous retient, elle et moi, pour un échange fructueux sur les sujets qui sont pour nous ceux que nous aimons, que nous avons (de fait) l’habitude d’aborder ensemble : l’art, la vie, la nourriture, le corps, la douleur, le miel ; nous sommes friands de choses concernant certaines approches dites artistico-pariétales, nous cherchons la vérité, nous sommes en quête d’une vérité pâriétale et nous avbons pour le coup bon espoir de soulever un lièvre un de ces hhours prochains, en grotte, en caverne, ou bien dans notre espace templier  laboratoire ; dans cet espace dédié à la recherche de la vérité ; nous espérons trouver en lui, en ce lieu de culte sécularisé, une opossibilité pour une découvertte ensemble («à deux c’est mieux») qui puisse nous donner les ailes que nous attendons, de pied ferme, de puis lmongtemps, pour nous deeux, pour nous qui cherchons comme cherchent des chercheurs ( patentés) de laboratoire ; nous sommes agréées, nous cherchons des choses de la vérité, telle que nous pouvons l’’observer dans nos petits travbaux pariétaux de recherche active, intense, motivée, et commune (mises en commun) ; nous sommes nbous deux pour une découverte, nous cherchons des choses cachées, et cela, avec le regard des enfants qui cherchaent dans les fourrés, dans des maisons abandonnées , etc, des trésors, des mervaeilles ou des reliques ; njous sommes nous-mêmes des enfants qui cherchons reliques et trésors , à même la terre, à mêùme les bois ou les sous bois ; nous aimons beaucoup nous promener dans les sous bois et dans les champs et nous allons souvent ainsi, à la découvettre de nouveaux chemins autour de la maison, c’est à dire autour de ce temple qui est le notre et qui est notrte (propre) lieu de travail assidu, dans ces domaines de recherche que sont : l’espace mental pariétal des grottes du sud de la france, etc ; nous sommes ensemble et cherchons ensemble ; nous sommes chacun dans notre coin (au sein de notre églis) et cependant nnous travaillons de concert, car nous sommes réunis  par un même toit qui veille sur nous ; nous cherchons une vérité dans le temps, nous cherchons dans le temps (la paroi du temps) une vérité, une vérité avec un v grand, une vérité qui puisse nous aider, ensemble, à comprtendre (= prendre) la vie que nous menons depuis le premier jour, cette vie, qui file bon train et se calque (elle même) sur une (donc) paroi de grotte (animaux gravés ou dessinés) à même la roche, épousant le relief de celle ci ; nous cherchons des calques tout autzant, nous sommes à la rechercxhe (en laboratoire) de calques, de choses qui pourraient venir par dessus la paeroi du temps, se déposer ainsi, comme ci, et nous permettre une reprise en main du dessin d’une vie qui va bon train, vers un futur proche pariétal  ; nous v-cherchons une réplique ; nous sommes chercheurs et chercheuse, nous cherchons des vérités à même le temps, nous cherchons des vérités quii seraient à portée de mains ; nous avons espoir de trouver (chrez nous, dans notre temple-laboratoire) des vérités de poids (masse animale) qui seraient des moyts posés , posés sur une paroi ; nous sommes des chercheurs qui avons bon espoir de trouver des choses sur des pàarois, celle du temps pariétal, celle du temps tel qu il se déroule avec ses anfractuosités ; nous sommes des chercheurs qui aimons chercher des vérités de poids, indéboulonnabkles ou indéracinables (etc) pour nous, en nous, dans notre intérieur, pour notre intériuer, et  ela ensemble : 1+1 = 2 ; nous cherchons des vérités puissqantes, qui chargent la mule ou qui soient mules, qui soient du bétail de charge, qui soient des betes de somme massives, montantes, qui piussent tirer la charrue, qui soient fortes, costaudes, plieines d’elles mêmes ; nous aimons ces betes ici qui montent en nous, pour aller vers une issue buccale, nous les aimons comme aimons notre progéniture ; nous aimons les mots en nous comme nous aimons ce qui sort de nous par voie naturelle ; nous les aimons comme des enfants joueurs ; nous aimons ces mots qui sortent, qui sont animaux de poids (grosses bêtes qui montent, qui montent etc) eyt qui sortant de nous filent au-devant en une sorte de trainée ou pique donnée, qui va son trait comme trompe ou bec ; nous cherchons des solutions en laboratoire, pour des conclusions animalière s et pariétales, nous cherchons ce qui doit venir, ce qui doit etree en matière de vrille (en mots) sortant de nous (la bouche) pour aller devant (=le temps) vers une mort sure ; nous chgercxhons ensemble les mots, le temps pariétal, nous sommes ensemble, nous faisons corps : il faut etre deux, condition sine qu-a non à toute recherche ; à une recherche se fixant sur la question du temps, de ce temps de vie à vivre par défaut ; nous cherchons des solutions (langagières) de type pariétal, eet aussi nous a vons bobn espoir de pouvoir un joiu r trouver ce qu il en est, du temps de la vie terrestre etc (la vie et la mo rt liées)  ; nous sommes vivants sur terre et à ce titre nous souffrons pareillement ce que souffrrent tout vivant, nous cherchons dans cette souffrance quelque chose en nous qui pourrait la soulager, nous cherchons des médecines, des remèdes en nous ; nous avons des choses en nous, nous avons bien quelques petiotes choses en nous (qui meuglent leur bêtise) mais cela est pauvre et ne constitue pas une médecine suffisante pour nous soulager suffisamment et nous sauver de la mort qui est cela (en tant que maladie) qui nous harcèle et nous lance le plus, qui nous houspille le plus ; nous ne voulons pas de la mort sur tertre , et nous lévvitons ; nous cherchons par tous les moyens à l’é viter, et à léviter tout aussi bien ; notre médecine est sommaire, elle tient en quelques vocables ; nous sommes seuls dans notre temple ; notre but est celui de tout chercheur qui se respecte : la recherche vde lma vérité dans les profondeurs ; nous sommes assidus et avons le coeur à l’ouvrage, ou plutot mettons du coeur à l’ouvrage, tout notre co eur ; nous aimons cela, nous voulons cela, cette recherche, la poursuyivre ensemnmble car « à deux c’est mieux» et nous aimons cela à la folie c’est à xdire ghjusqu’à la folie ; nous voulons aller loin en besogne c’est à dire dans le temps qui est ici ce temps pariétal qui nous fait face pour aoi,nsi dire : il est notre assiette de sustentation et notre paroi-paysage ; nous aimons les paysages devant nous, nous disons qu il s’agit de paysages magnifiques, de beautés de paysages offerts à notre vue, nous nous inclinons devant eux, devant parois de grottes, nous mettons un genou (ou deux, ou tyroids ou quatre) à terre, car nous sommes impressionnés, nous sommes ébahis, nous sommes comme imptressinonné et ahuris, ou ébahis, ahuris et ébahis = babas par tant de beauté devant nous : cette assiette de sustentatation qui nous maintient (?) en vie et qui nous soutient dans la vioe  ; nous aimons cette (bnotre) assiette), et nous alloons ainsi vers des parois de grotte, qui s’offrent à nous, à notre gouverne, qui offrent des fresques, des bêtes mugissqantes, des points, des hachures, des mains négatives et des mains positives ; nous aimons les parois des grottes, nous cherchons des solutions à nos problèmes mathématiques pariétaux : ce temps qui s’écoule (s’égrène) en chiffre  (minutes) et qui nous regarde, qui nous voit, depuis son antre, depuis son roc, qui observe nos ébats et nos débats ; nous aimons ces roches pêintes et nous ambitionnons de les voir notre = de nous immiscer en elles fissa (d’un bond d’un seul) afin de nous rejoindre en elles, et de communier de cette sorte dans la vérité (dure) de leur propre pierrosité ; nous aimons les roches pour ce qu elles sont des vérités qui durent ; nous cgherchons des vérités qsui durent : nous sommes chercheurs ; et notre envcie ici est de trouver, de découvrir, de lever (soulever) un lièvre ici ou là etc, nous sommes tres friands des lièvres soulevés, nous sommes tres accros, nous aimons de folie = à la folie, nous aimons beaucoup, intensément, ces lièvres, ces betes, les animaux-mots que nous traçons à mlême la paroi du temps ; nous aimons les mots- animùaux, et de fait nous les gravons sur des parois de type temporelle, etc ; cela est ce que nous aimons et ce que nous fzaisons ensemble dans notre atelier : nous dessinons des animaux ; nous dessinons des betes de somme ; des betes (couples) de somme à charrue etc ; nous sommes des peintres et des chercheurs, qui cherchent à dessiner )(peindre, graver) des betes imposantes sur parois de grotte etc : cela est cela qui nous intéresse, cela est cela que nous aimons faire : sur paroi mais pas seulement ; le temps ici est cette chose qui rugit en nous, qui meugle ; nous aimons en nbous cette trouée de bouche et du coup cette échappée fibreuse, cette sorte d'élancé depûis la joue, cette sorte de chair -joue trouée par un cortège d’animaux lancés ; nous sommes ainsi troués, et nous avançons ainsi troués sur des chemisns de prome,nade (en sous bois ou à travers champs)  ; nous chgercvjhons une vérité dans le la ngage animal de la paroi du temps, de cette roche dure, qui épouse les formes bestiales, ces formes que nous regardons et que nous envions, car nous mêmes aimerions follmement etre betes de somme ou de charge comme celles ci que nous avons devant (sous) les yeux, ou nos yeux ; nous chargeons avec elles ; nous portons des choses sur nous, nous sommes sous, nous portons des choses sur nous, nous sommes dessous, nous portons des charges, nous sommes pris dans les rets d’une lmanguev (un patois local) qui nous phagocite, qui est en  ous vcomme une carne etc, e t nous l’aimons aussi, nous le chériissons, nbous le maintenons via le temps de son apparition sur paroi de grotte, nous sommes ambigus ; nous cherchons des solutions à nos problémes qui concernentb la venue (un jour ou l(autre) d’un quelqu un ou de quelque chose qui saura nous dire (pariétalement) ce qu il en ressort de toute cette histoire de vie et de mort terrestre ; njous cherchons cette chose avec des mots, il semblerait que cette chose ne soit pas possible ou plutot il xsemblerait quil ne soit pas poissible vraiment de trouver pareille chose ghrace aux mopts que nous avons en bouche, car les morts que nous avbons en bouche sont des betes, sont des animaux, cdeux là même qui sont dessinés dans les grottes, sur paroi dure etc ; nous avons une envie et cette envie concerne des vérités, nous notons les choses sur paroi (mots-animùauxd) et cela dit des choses , effectivement ; cela dit effectivement des choses ; cela dit en effet, effectivement, bvien des choses en somme, nous en sommes sûrs, nous sommes sûrs de cette chose, comme quoi les betes représentées sur les parois des grotte anciennes sont des mots (vocables vociférés) qui nous parlent, qui sont mots de furie, de sarabande, de furia ; nous aimons les mots-animaux mais ils ne nous suffisent pas (m»édecine) pour nous soulager de cette souffrance de poids que nous avbons sur nous qui pèse, qui nous plombe ; nous aimons les vocabkles hurleurs («ça oui!») mais en rien il ne peuvent suffire, ils ne peuvent etre assez, pour nous qui souffrons, qui allons de souffrance en souffrance, etc, nous voyons en effet cette chose clairement à présent, cvomme quoi les mots (les vocabkles hurleurs) ne suffisent pas , ne peuvent soigner ou guérir noptre soif, notre souffrance (apaiser) , la faire chuter ; nous sommes au regret ; nous aimons les mots mais hélas les mopts, les mots-animaux en nous, ne peuventb suffire,, en tant que médecine, ils ne sont point de taille, malgré le fait ici que la taille des mots-animaux soigt grande sur paroi de grotte, eh bien malgré cela les mlots (les mots-animaux) ne sont pas de taille assez grande pour sauver la mise = la nôtrte, car nous allons de pis en pis à mesure que nous avançons dans l’age etc ; la mort est au bout ; nous disons souvent que vla mort est au bout ; nous cherchons ce bout quelque pert, où est il ? ; nous sommes chercheur et chercheuse, elle est la chercheuse en temple, elle est cette chercheuse dans un temple, et de mon vcôté je suis ce chercheur en temple = je suis un chercheur qui cherche dans un temple, qui cherchev une solution à un problème mathématique : 1 +1 = 2 ? ; nous cherchons des choses entre nous, de type choses mathélmatiques, calculs basiques, choses basiques, choses primaires, ras de ras ;la chose en soi qui ne va pas loin et reste là, aux pieds ; nous chertchonsc des choses aux pieds, des choses qui puissent aller pour nous , afin de nous révéler cette (ces) vérité que nous cherchons en temple -artelier depuis le début, et qui pourraioent tout aussi bien s’appeler médecine ; nous cherchons des médecines pariéto-marthématico-temporelle et nous gardons l’espoir entier de les trouver subséquemment subrepticement (?) un jouir ou l’autre, ou sinon subrepticement : subséquemment, un de ces quatrte, en atelier, en ce temple sécularisé qyui nous sert d’atelier et de laboratoire de recherche pariétzale ; nous chgerchons ensemble une médecine, c’estr à dire une chose sûre, un onguen,t, une pommade à mettre sur le temps qu il nous reste à vivre, nous cherchons une vérité dans ces mots (patois) animamliers ; nous avons bon espoir (foi) de trouver pareille chose dans le temps, caché dans le temps, quelque part en cette chose pariétale sustentatoire du temps qui s’écoule au gré des betes fauves, de ces betes fortes qui chargent, qui mugissent de tout leur soul bestial ; elles foncent, elles sontv tonitruantes, elles foncent à toute allure, elles sont fortes et vont fissa vers nous qui les regardons comme des enfants qui restons scotchés face à une furia (de betes fauves) pareille ; nous cherchons des solutions à nosd morpblèmes de vie appelée à devoir cesser ; cela est un souci, il s’agit d’une vérité en dur : une roche, une pareoi, iun roc, une pierre de taille, etc: ; la mort au bout est une pierre de taille, il nous apparait cette chose, il est dit cette chose, on dit, il y a ce on dit, que la mort au bout (?) est comme : une pierre de taille, c’esst à dire dur comme elle , c’est à dire qu elle est en dur, c’’st à dire que  cela (la mort) est une vérité de type pariétale, or que doit on penser, qu en penser ? que devons nous en penser ensemble ?  ; nous avons pour nous des pensées en  ous, des mots de peu, un lmangage ras la couenne, une sorte de patois-sabir fruste et pas tres avancé en matière de réflexions, etc ; nous sommes artmés mais mal armés ; notre pârler est un parler  bousculé (mots-animaux)  ; nous ne sommes pas riches ; nous sommes pauvres ; nous n’avons pas grand chose pour nous en matière de matière grise à mettre sur le devant = à exposer en galerie ou ailleurs , en tant qu’art de dire, de faire, d’aller etc ; nous sommes de piteux artistes de rue, nous sommes piteux et n’avons que peu à rétorquer ou à échanger à la pplace ; nous voulons connaitre la vérité de la roche, nous savons quen elle , qu en sa dureté existe une chose que l’on nommev : la mort ; nous le savons, nous avobns compris cette chose depuis longtemps (en nous, hors vocables)  ; nous avons compris cette chose depuis longtemps et nous nous excusons d’avance, ici, sur table, sur paeroi, en galerie , etc ; nous nous excusons de cette chosec follement, par des transes (sarabandes) sur paroi de grotte etc ; nous avons des mots plein la bouche oui mais il s’agit de mots-animaux et nous ne sommes pas sûrs que cela suffise ; il nous semnble que non ; nbous avons en nous des mots (toout un attirail : une langue) et cela est en nous comme une plaie de bouche : mots-animaux qui ont percé la joue , ont travzersé la peau (hé, la médecine ! ohé !) et ontt fui, en une sorte de pique ou lance affichée ; nous sommes meurtris, nous sommes blessés, nous sommes troués, kje suis troué ; nous sommes nous deux troués et nous allons ainsi troués, et de nous tombent des animaux, de nos bouches, de nods bouches tombent des animaux ; il s’agit d’animaux de labours pour l’essentiel, ils chutent, ils tombent en formant cortège, cohorte, fresque, etc, dans une sorte de forme en vrille (torsad»ée pour ainsi dire) comme est la corne xd’une  licorne (?) ; nous sommes ainsi, qyui p^zarlons à tort et à travers, car les mots que nous avons en bouche ne sont pas canalisés comme le sont tres surement les mots des animaux, les mots c’est à dire : leurlan,gage ; nos mots tombent n’importe commeznt de nos bouches , les mots de nos bouches tombent en grappe, disons que les mots de nos bouches ne tombent pas tout à fait n’importe comment puisqu ils tombent en grappe, en corne d’abondance etc, oui, et cependant ils ne sont pasz tenus (contenus) comme le sont ceux (les mots = le langage) des animaux (ici-même) de la création ; et cela car nous avons en nbous des mots qui pour le coup tirent à hue et à dia comme betes de somme sous un jhoug (il semblerait)  ; nous avons en nous un verbe à double entrée : deux entrées pour une sortie ; nous avons en  ous une langue bifide ; nous avons en nous cette langue (ce patois) dont nous sommes porteurs, et qui nous fait dire bien des choses et d’autres, choses et autres qyui s’en vont subséquelmment par notre bouche à larencontre d’une oreille humaine (par exemple) qu i écouterait le tout, et trierait à sa façon (le bon grain xde l(‘ivraie)  ; nous sommes des chercheurs-chercheuses de laboratoire quui cherchons ensemble des choses de vérité, à l’intériuer du langage, et cela n’est padsdonné, car le lmangage est pour ainsi dire double (une langue bifide) tirant à hue et à dia follmement, et s’embourbanbt facile ment dans une sorte de ciel (?) étoilé ; nous avons des choses en nous qui sont des mots-animaux, et ces chodses nous pèsent beaucoup et lorsque ces choses tombent de nous, via le trou de notre bouche (passage forcé) alors nous les voyons s’agglutiner en une sorte de corne, de corne d’abondance ou de rhinocéros, une lance, une pique d’espadon etc, cela est ainsi que cela sort, que cela sort de nous qui ouvrons (de ce fait) la bouche pour dire des mots la la la, ou chanter des mots, la la lal, etc, et ce faisant nous nous trompons nbous-mêrmes, car ces motrs ne sont pas que des morts de vérités (un chat est un chat) mais aussi des mots de mensonges , hélas (un chat n’est pas un chat) et des lors comment s’y prendre ? chanter ? chanter le chat qui n’est pas un chat ? ou bien se borner au langage de la science opure et dure : «un chat est  un chat», comme un axiome mathématique ? comment faire ? nous pensons (à part nous) que nous devons agir de la sorte, que la solution à ce problème cornelien est ainsi qyue nous devons alller avec le temps ; que nous devons aller avec le flux, avec le sang, nous laissser porter par défaut par le flux langagier sensé le plus, qui vient à nous, qui nous envahit et sort ainsi (tete la première) ras la couenne ; nous cherchons de ce fait une solution ras la couenne, ras la terre mère, au ras du ras des lèvres, etc : ce qui vient comme par défaut, l’incontenable etc, qui sourd d’une bouche comme corne (vrillée, ainsi va la  vie) d’abandonce ; nous sommes ainsi nous deux (elle et moi) au sein de notre laboratoire de recherche, nbous posons les ja lons pour une recherche-étude d’envergure (pariétale) à venir : nous sommes deux, nous devons nous serrer les coudes à deux, etc ; nous sommescenszemble et nous devons agir (penser, réfléchir et graver) ensemble ; le but de notre étude conncerne ici la vie de la vérité, concerne une vie en vérité, ou la vérité en vie, ou vie des vérités etc, nous savons cela ; nous cherchons de fait la vérité vraie quyi viendrait vers nous et se graverait quasi seule (sur paroi) comme par enchantement ; nous avons décidé ensemble d’aller ainsi vers cette paroi et cette décision a été mùûrement réfléchie entre nous  ; nous avons beaucoup réfléchi et à) présent nous nous lançons, nous créons notree socié»té, notre  petite société de recherche ou d’études pariétales ; nous créons (allons créer) notre petite société d’études, nous sommes armés, nous avbons réunis les denniers nécessaires pour démarrer et l’affaire est imminente, nbous sommes quasiment parés, nous allons y aller ensembkle, nous allons nous imposer  ; nous cherchons encore un nom à notre sociétév , puisqu il faut un nom) et nous espérons   dès lors le trouver rapidement, le plus tot possible, et surtout nous espérons trouver un nom ici, qui le «fasse», qui cconvienne, qui soit adéquat, qui puiissee «le faire», qui puisse a ller à notre société, elle s’appellaerait (par exemple) le temple, ou bien le centre d’études du temple, ou bien , centre d’études pariéto-faciales ; ou bien le centre dees études pariétales, ou bien le centre poirovincxial des études pariétales, ou bien le centre d’études pariéto -temporo-faciale ou frontales ; ou bien le front ; ou bien le face ; ou bien le temple facial ; ou bien le temple paroissial des étudesz facio- pariétales etc ; nous cherchons ; à cette heure nous cherchons toujours, nous devons trouver pour le bapteme, un nom qui convieznne à notre (petiytt ) bureau xd’études facio ou temporo pariétales : nous trouverons ; nous chertchons assidument ; nous n’avons pas fini de chercher ; nous avons bon espoir (la foi) de trouver (un de ces quatre matins) le nom qui convient, le nom qui collera à notre projet d’études ; nous sommes des sortes de chercheurs, nous nous pendchons sur nos mains et les regardons et de ce fait nous pouvons les étudier en tant qu outils de mesure , de calcul, de dde mesure,,n

de calcul etc,  ; nous sommes des chercheurs avec des mains, nos mains nous aident dans nos calculs, nous avons des mains pour chercher, pour débiobnicher, pour soulever le lièvre contenu (caché) ici ou là , dans une (sorte de) paroi de type temporelle ; nbous chertchons assidument le lièvre caché, nous essayons ensemble de lza débusquer, nous cherchons le lièvre à débusquer soit à débusquer de son antre, de son terrier, nous le cherchons ttous les deux à notrte faço n ,nous sommes mari et femme, nous sommes deux ;, nbou!s sommes ensemble pour une recherche de lièvres cachés et cela est un but comme un autre : un but d’o rdrte pariéto-facial et scientifico-pariétal ; nous sommes ensemble pour une recherche qui se doit de se loger dsans une sorte de paroi de grottte, et qui doit aller looin en besogne, loin dans le temps ; nous cherchons ensemble à nousd immiscer dans le temps, et pour cela nous voulons créer notre petite société rurale de recher che pariétale ; nous sommes artmés, nous avons les deniers (le nerf de la guerre)  ; nous voulons dénicher des lièvres = des vérités premières = natives = ras la couenne = ras la motte ; nous avons des projets de recherche, nous avons quelque s preoijets de recherche, ils concernent kles questions qui sont celles (pariétales) que posent les betes peintes, représentées, grave»ées etc, sur des pareois de groottes ; nous cherchons des issues, nous cherchons desz choses à dire qui soient pertinentes sur la question = des trouvailles, desz découverttes ; njous voulons trouver dans les profondeurs, nous voulons dénicher, nous voulons trouver soous terre, loin, nous voulons aller loin, nous voulons trouver le lointain caché, nous cherchons des révélations, des nouveautés, des vérités neuves, des révélations de type lièvres etc ; nous aimons les lièvres, nous aimons ce qui se cache eyt qu il faut trouver (rébus) ; nous ai:mo,ns chercher dans les grottes des nouveautés, des dessins animalmiers enciiore jamais découverts ou a priori du moins, enciore jamais trouvés par qui que ce soit ; nous cher chons cela avec assiduité, nous aimons etreassidusz, nous voulons aller loin en besogne et trouver, dans les mots qye nous employons, la vérité cachée : où est elle, que dit elle, que fait elle ? etc ; notre ambition : notre ambition est celle  ;-là, qui vise à trouver sur les parois du temps, une vérité gravée comme marque sur la pierre dure ; nous cxherchons une vérité qui dure ; nous voulons cette cxhose, d’un e vérité qui soit du dur pour nous , qui ainsi de la sorte pourrions nous poser dessus, nous asseoir dessus, tenir, tenir debout encore lmongtemps , etc ; la recherche de la vérité est belle, nous l’aimons ; la recherche d’une vérité estc l’affaire qui nous ovccupe le plus et nous sommes deux , nous sommes deux à être embringués dans cette aventure (pour le meiulleur et pour le pire ? ) ; ,nous sommes deux et nous cxherchonds un trou de vérité , un passage ; le passage est l’affaire, estc la grande affaire de la science, et ceux à tous niveaux et dsans tous les domaines de recherche ; la voie à suivre est un passage, est le passage de la bouche, ce trou en nbous (en nos joues, ou entre nos joues) libérateur ; nous cherchons un trou -vérité, et nous espérons le trouver ici, au seinn de nos recherches de laboratoire ; à deux on devrait pouvoir ; les études de laboratoire nous plaisent, et nous poursuivons notre chemin ds’études pariétales ainsi, en allant à hue et à dia avec les mots que nous avons pour nous en réserve ; les mots sont des mots-animaux pour la plupart ; il s’agit de mots-animzaux, c’est à dire de mots parieétaux, et ces mots nous font face, ils sont  ce qui nous en répond (de lma vie à vivre)  ; nous sommes chargés (en nbous) de mots-animùaux qui pèsent et bienheureux celui qui saura nous en libérer, njous soulager depâreille charge, celuyi là sera le sauveur, le troueur de joues et le sauveur par la m^$eme ; nous voulons aller vers celui ci et nous libérer (enfin) de pareille charge qui pèse sur nous, sur nos épaules de betres de somme (joug, je)  ; nous disons que nous sommes deux, pour nous soulager , et nous sommes deux pour nous soulager : nous nous aimons, nbous allons par les chemins de xcampagnenous promener, chercher des baies et§c, marcher en plein air, au bon air, cxhercher le souffle nécessaire à la poursuite de notre aventure (commùune) en recherche temporo-spatiales etc ; nous sommes armés  ; nos armes sont nos mots, qui sont des betes (betes) et qui chargent (tonitruantes) sur paroi de roche : sur le temps de leur actualité ; nous aimons les betes qui chargent et nous l’i=mprimons ; nous aimons cela qui est ici des betes qui vont ainsi qui s’accumulant, qui s’agglutinant, afin de former la masse ; njous sommes ainsi ensemble, et nous aimons cette chose, de chercher des mots à prononcer , pour une recherche de vérité , et ce sur la paroi du temps, qui est hors-vie de la mort à l’  oeuvre, qui est hors circuit pour ainsi dire, en cela que la paroi du temps échappe à la mort, à cette chose en bout de bout qui hèle à tout va, à tout crin, pour nous embobiner de concert et nous prier de nbous joindre à elle fissa ; à nous de tenir bon à la paroi pour nous tennir loin, du coup, de pareille voie vociférante ; nous sommes motivésn, nous nous aggripppons, nous collons à la paroi, nous nous collons à la paeroi dans l’idée de faire corps (le plus possible) avec elle et dès lors tebnir debout (en vie ) ainsi le plus longtemps possible , et aussi échapper aux quolibetyes de dame ou sieur la mort (ce couple) qui est devant nous comme une échancrure dans un tissu ; njous voulons connaitre le fin mot, ce mot de la fin, ce mot de vérité, cette chose qui est chose à déterrer, comme un lièvre, comme un animal à terrier etc ; nous cherchons cette chose à déterrer , nous la recherchons au sein de notre atelier  laboratoire temple etc rural et à l’écart des bruits du monde, nous la recherchons ensemble, car ensemble nous pensons pouvoir y arriver, en nous serrant les coudes, en essayant de faire front et corps ensemble, en se serrant ici l’un à l’autre , coque, coquille, coït, etc, pour une connaisazn,ce (pariétale) avancée ; notre but estv ainsi qu il se dessine de cette façon, quil se découvre de c ette manière ; nous avons un but, une voie à suivre, notre but est cette chose, ce corps à corps pour une connaisszance de la  vérité de type paritale, de type frontale etc ; nous cherchons en laboratoire et ce que nous trouvons est ce que nous trouvons et ne souffre pas de jugemùents de type artistiques en soi, car ce que nous trouvons est archéologiques, c’est à dire que cela que nous trrouvons suit une logique, ou mieux : s’inscrit dans une logique de type archaïque et ne souffre opas des lors de jugements qui se porteraient sur une quelconquue teneur ou pas de type esthéticvo- parietales ; nous avons pour nous l’archaïque, et la logique, et l’esthétique (dès  lors) vient apres et ne doit en aucune manière interférer plus que de coutume ; notre ambittion ici relève de choses archaïques le plus possible ; njous nouys inscrivon,s dans le courant des rechercghes de type archaïques et cela nous plaît ainsi, c’est ainsi que les choses (pour nous deux) nous plaisent et nous retiennent ; les choses qsui sont archaïques sont de celles qui nous plaisent et nous tentons (au quotidien) de les faire remonter à la surface de nos pensées et au sein de nos recherches ; nous aimons l’archaïsme en tout ; vive l’archaisme en tout ; vivons coll»é à  l’archaïsme comme d’aucuns vivent collés à des parois de grotte ; nous aimons l’archaïsme dans la recherche et la recherche des archaïsmes, et nous pouvons des lors nous afficher ici en tant que chercheurs et chercheuses d’archai smes, pensant ainsi pouvoir lever des «lièvres de v érités» ; ou dit plus justementv peutetrre : nous aimons les archjaïsmes (et les cu ltivons via la vitesse d’interventions) pour ce quils contiennent ou semvble nt contenir (de ce fait) des vbérités tangibles, sur lesquelles s’appuyer ; nous penson,s cela, nous subodorons, nous nous appuyons sur du rase motte, sur la betise, sur le plus du plus bas qui soit en matière d’intelligence, et du coup sur ce qui est réflexe, sur ce qui vient dans la foulé, sur ce qui est entrainé furioeusement par le mouvement de la chzarge des mots-animaux sur paroi etxc ; nous aimons l’archaïsme, les reflexes primairs, les choses natives, les choses qsui sourdent ainsi bousculés, comment faire ?  ; nous nous inscricvons dans une sorte de logique pariétale d’apparition archaïque et de  vérité primaire ; nous cherchons la vérité du monde , et cette vérité (d’ordre scientifique) nous la recherchons à travcers un archaïsme dictionnel ; il nous p^lait de le dire ainsi, et de l’afficher ; nous faisons ce choix, nous le faisons comme par défaut, à savoir que ce choisx s’inscrit ici en nous comme par défaut, c’est à dire qu il ne s’agit pas d’un choixdx, qu il ne s’agit pas véritablement d’un parti pris, mais d’un pârti qui nous a pris et que pour le coup nous suivons à la lettre faute de pouvoir nous en extraire ; notre parti ici est celui qui nous voit envahi et cracheurs de betes (betes) vocales, par écrit ou à loral, à l’écrit puisqu’à l’oral ; c’est à dire que la chose (ce parti à notre insu) existe à l’oral , existe bel et biehn à l’a-oral, et des lors il est légitime (il coule de source) que ce paerti en nous (ces betes) puevent bien jailllir (sourdre, tonitruer) sur iune feuille,, dans un livre, sur la page blanche , la paroi etc, puisque la chose existe en soi comme pierre de taille, comme pierre dure, et comme pierre (pêrmanente) d’achoppement, comme pierre en nous (permanente) de’achoppement ; njous agissons comme pâr défaut, ou par dégorgement, et pazr conséquent il ne s’agit en rien d’un parti pris de type cérébral pur , du style choix  de vie , etc ; il s’agit d’une recherche pâr débord, et de fait cette recherche vient s’inscrire ici dans le courant dit des recherches archaïques, logico-archaïques, etc ; c’est ici que nous sommes et plantons notre drapeau, etc,  ; ; nous sommes ici (temple) muni d’un drapeau, que nous hissonshaut sur le mat de notre misère ; nous hissonshaut le drtapeau, haut le drtapeau, le hissons haut sur le mat de  misaine, etc ; nous sommes dans un ateliervpour des recherches, sur le coté archaïque des mots-animaux ders parois de roche, et nous avançons de concert, vers des chemins qui doivent pour le coup nous mener loin (tel est le but que nous nous fixons) sur la voie d’une vérité rupestre ; nous voulons trouver la vérité du monde , du mondec pariétal, du monde rupestre, et nous nous attelons à la tache ensemble au quotidien, il s’agit de notre travzail, de notre vie, , de la vie que nous avons choisi, de ce choix de vie en nbous, au sein de ce temple , de ce (donc) laboratoire rural de recherche active (archaïsante, archaïque , ou liée à l’archaïsme ou aux choses archzaïques)  ; nouds chezrchons, à trvaerrs ce qui vient (tombe) par défaut (débord ou reggorgemnt), ce qu ilk en est de lma vérité primitive ; nous avons ce but en vue ; la vue est celle qui nous laissee l(‘opportunité de pouvoir étudier de fait les parois des hommes des cavernes ; nous cherchons sur celles ci des signes qui pourraioent nous renforcer ensemble dans l’idée (ici) que ces betyes dessinées ou gravé»es étaient des sortes d’embryon s de mots ; des mots-animaux en quelque sorte ; et que ces mots-animaux sont encore en  n ous, qui poussent leur charge en  ous, qui sont tonitruants en n ous qui faisons la part des choses, qyui faisons des parts, qyui faisons des fioles, qui faisons le tri, qui essayons de faire le tri : d’un côté  les mots de la science, d’un autre les mots de la foi, de l’insulte, de la jouiddssance  = le cri ; il y aurait donc cette chose : dun côté les motts pôsés à plat, czensés nous éclairer le chemin à suivre sur tertre, dans cette vie à vivre ici bas, champs, cultures, xsous bois, bois et forêts, etc, et la ville, la grande ville etc ; il y aurait cette chose d’un côté, ce langage à plat déposé , fiables, concentrés, etc autour de choses raisonnables et raisonnées, etc ; et d’un autre , une ribambelle de betes de charge, qui vocifèrent sur paroi de grotte en  ous , c’est à dire dans le temps ; mots-animaux qui vont hurlant et vociférant leur miosère de souffran,ce et de jouiissance ; ces mots sont ceux que nous prononçons dans la jouissance, la foi, sur parois, sur la paroi du temps qui s’écoule, etc ; ce sont des mots-betes, des mots perrdus, des mots qui s»’élévent, qui sortent des gonds du langage ou de la langue et filent leur train fou verts des destinées improbables etc ; njous sommes ainsi écartetélés et vociférons à qui mieux mieux dans  nos cavernes, aven armand et autre ; nous sommes ainsi, nous disons ainsi ; nous avons pour nbous deux voies, des voies qui s’entremelent et forment une lance, un e corne dx’abondance ; nouys sommes ainsi munis d’une corne d’abondance en nous, qui sort de notre bnouche (de l’endroit où notre bouvche est située) et file (direct) sur le devant (pariétal) de notre survie ; nous sommes munis ; nous sommes pris d’assaut, notre paerti est celui ici, qui nous voit mettre un oppied devant l’autre (de force) ; nous n’avons pas d’(autree pareti ; nous sdommes qui allons ainsi avezc qyui sort de nous une sorte de corne (filaire) qui va son allant pariétal qui vocifère ; la paroi est notre corne ! la pa roi est notre corne ! qu on se le xdise ! la paroi des grottes, la paroi ornementée est cette chose en nbous qyui sort de notree «endroit de bouche» et se colle de la sorte pour l’éternité de la pierre de roche, etc ; nous sommes (ainsi) collés par le verbe (en nbous : parlé hautement ou sussurré ou dit de manière mentale etc) , et ce verbe est à présent collé au présent de la roche, comme un présent offert à nos pieds, aux pieds qui nous voient fouler terre mère et aller, ainsi vivantt la vie conserve»ée ; njous crions : nous vivons ; nous sommes ce cri en nous qui vocifère et va son allan,t de vie conservée ; njous avançons de la sorte, nous cherchons car nous sommes (avant toutes choses) des chercheures, des chasseurs-ceiulleurs chercheurts de vérités dites, dures = fiables = sur lesquelles pouvoir se poser, faire reposer ce que nous-mêmes construisons en termes de vie à venir (à vivre)  ; nous sommes des chercheurs-chercheuses de laboratoire ; nous avons ce but affiché, cette chjose en  nous, cette violonté de faire sourdre (si possible) et advenir des chodses sur paroi, sur une pâroi, sur paroi du temps etc ; nhotre ambbition est pour le coup légitimée par la chose en soi qui est que la chose déborde de soi, ici bas, et ne peut etre reéllement ou concrètement retenue, et si oui comment ? que la chose nous soit dite ! ; nous aspirons ainsi à d»écouvrir ensemble le (les ? ) pot(s) aux roses : le hic ; où est il ? à quel endroit se situe -t-il ? nous igfnorons vcela, nous cherchons, nbous chercghons en laboratoire, nous cherchons en for^et, ;,, nous cherchons comme nous pouvons mais avec m»éthode, nous cherchons avec une méthode (une méthodologie) ; nous sommes armés de méthodes, nous sommes équipés et nous cherchons ensemùbvle avec une méthode ici éprouvée (éprouvante ? et éprouv»ée, ou seulement éprouvée ?N nous cherchons la vérité du sentier et du terrier ; nous soçmmes (main dans la ma in) qui cherchons la vérité, du sentier, du terrier, de la terre mère, etc, de lassiette de sustentation qui nous voit tenir debout, face à face, avec une paroi, avec la op^paroi du temps ; la paroi du temps nous fait-elle face ? ou bien est elle cette cxhose qui remonte,(sol-mur) attenante à terre mère ? nous avons la faiblesse , nous inclinons, nous avons pour nous cette inclinaison de penseé, nous avons la faiblesse de penser c ette cchose ainsi, c ette chose qui ne laisse pas de nous préoccuper depuis longtemps, cette chose de la paroi attenante (le prolongement) à terre mère : son prolongement, sa suite rupestre, sa suite ou continuité pa riétale  ; nous cherchons un peu dans le sens d’une c ontinyuité ; nous cherchons dans le se,ns d’une poursuite de laterre mère en paroi rupestre ; nous incli,nonds , nous nous inclinons, nous inclinons notre pensée, nbous allons en inclinant notre pensée dans ce sens , dans le sens d’une continuyité de relation ; et des lors la pâroi du temps est la terre mère , et des lors nousq faisons parti de la paroi, ou comment penser la chose ?  ; nous sommesw insérés, nous so:mmes pris, nous sommes inclus, nous sommes dedans, nous sommes à l’intérieur de la paroi , collés contre, collés serrés, commùe dessinés -gravés etc ; nous faisons a llégeance ; nous sommes commes adhérant à une paroi du temp^s d’une vie sur terre à passer (jouiissance / souffrance) parmi la cohorte (le troupeau) des mots-animaux qui nous environnnent, qui nous font ; nbous sommes chercheurs et chercheuses de vérités animales ; et ce à l’intérioeur de notre temple,  de ce temp^lqe qui nous sert (ici) de laboratoire de recherche : 

les «sols-murs» de Louis Cane ; nous cherchons des choses, nous rechjerchons des choses parmi celles qui nbous sont ici proposées à la vue, des raisons (ratio) qui puissent nous guider sur la voie d»’une (sorte de) vérité pariétale ; njous re cherchons des vérités qui puissent aller et convenir, soit scientifiques : agréées, adoubées ; nous avons unre recherche ensemble à mener ; nous avons une recherche à faire a ller , en des directions «qui puissent le faire» ; nous cherchons ardemment, nous allons par des chemins de ronce, nous n’avons pas peur de nous y aventurer ensembvle et cela pour un bien commun (le notre) qui est cette chose de vouloir trouver, coute que coute, comme des benets qui s’évertuent, se mettent aen quatre (se plient) afin de pour le coup trouver la chose (la vérité-trou) qui pourra «le faire» = faire » le, c’est à dire faire le moment ; faire le temps ; nous cherchons cette aventure dans les ronces, nous n’avonds pas froid aux yeux et nous y allonsgaiement, nous poussons le bouchon le plus loin possible, nous faisons cette exp»éreince ‘-(scientifisque) de pousser le bouchon le plus loin possible et alors nous verrons ce  que nous verrons, nous poussons le bouchon, nous faisons cette expérience (scientifique en dioable) de pousser le bouchon (du verbe) le plus loin possible (qu il nous est possible ) afin de comprendxre au mieux, ce quil en ressoprt de cette expéreince des limites, de cette chose expérimentale , d’une sorte d’embardée sur paroi de grotte, etc, cette chose d’une sorte d'envolé au creux d’une cvaverne humide, etc ; nous voulons pousser le bouchon le plus loin possible, ensemble, à deux, en laboratoire, colmme ressortant d’un e expérience des limites, dans l’ewspoir d’en retirer une sorte de profit scientifique, en termes de savoirs, de connaiszan,ce, sinon langagières, du moins parieto-sensibles : les «sols-murs» de terre-mère, etc: ; nous avons une ambition considérable et ne la cachons pas car nous ne savcons pazs cacher nos ambitions ; notrte but est affiché, pârtout, sur les murs ; il est attenant à la paroi du temps ; il est mis aindsi en exergue, il n’est pas cacaché ; il eswxiste en tant qu axiome, en tant que méthode, etc ; nous avons notre méthode et du coup n,nous l’affichons de maniè!re à ce que les choses ici soient claires  : notre but  ;, sil est livresque, n’est pas )à prporpement parler un but «littéraire», il s’en faut de peu ; notre but ou notre ambition est scientifique, eb-n cette chose que nous consignons les minutes de nos recherchesz pariétales ; nous ne sommes pas chiches de les conserver pâerr devers soi sans les paertager ; nous cherchons et adoubons le partage de données, la complète ou qasi complète transparence, ou sinon transpare,nce : la complète ou quasi complète offrande ; nous avonc cette  chance de pouvoir aujourdhui partager, avec p^lus  de facilité qu autrefois , et surtout à faible coût, et des lors nous y allons, nbous ne sommes pas chiches, njous offrons ainsi le friut de nos travazux, nous les impirimons noir sur blanc et les offrons à la vente ensemble à faible coût ; nous avons des recherches à mener, nous aimons mener des recherches ; nous sommes partie prenantes : sols-murs qui sont lae quotidien de notre vie sur terre, sur terre mère ; notre but est affiché, sur paroi, sur toile, etc ; notre but est affiché, sur paroi, sur feuillet, sur des carrnets, s-ur des murs etc, nous ne nous cachons pas, nous avons des prétentions de haut vol, nous sommes imbus, nous sommes remplis, nbous sommes pleins, nous sommes à ras bord en nous de betyes de sommes qui (en nous) vocifèrent, elles y vont «, elles ne sont pas en reste de vopciférer, elles sont bruyantes, elles hurlent à la vie à la mort : il s’agit de mlots-animaux en nous : prétentions de hjaut vol, insultes, choses dites crues, mots des ébats, expériences des limites, animzaux qui charghent, betes de so:mmes qui se plaignent et hurlent le poids desz choses sur elles, mots des jouissances ultimes diverses, etc ; nous aimons kles mots chargés de suc, nous aimons les mots pleins de vie brutes, nous aimons les mots de la haine et de l’amour, de lahaine de la miszère, de la douleur , du mal en soi qui vous ronge etc ; nous sommes ainsi qui proférons les choses ici poussées pâr un dedans en nous qui charge, et cette chose du dedans est 1, pariétale, et 2, animalière ; nous le savons ; nous sommes ainsi ; nous savons des choses en nous car en n ous existe un savoir qui nous poussee (une étoile si vous préférez) et qui nous contient (astreint) vers des dirctsions qui soont des direcxtions de fuite, vers des lieuxx cde fuite ; nous allons vers des lendemains ; nous sommes mains ; nous sommes des mains  et ce permùanemment ; nous sommes équipés (alourdis) et nous poussons notre mobile ainsi vers des sortes de voies qui sont des voies d’abortd, des voies de garaghe aussi : sur paroi, sur roche, sur roc, sur pierre, sur du dur de la dureté pariétale en elle-même etc ; nous sommes ainsi : nous cherchons des directions qui aillent le plus possible vers le dur en soi, vers ce qui reste, ce qui pêut demeurer en son état de dureté le plus mlongtemps possible, et l’art est cette chose, cette survie, la science en son continuum, et l’art, en son discontinuum ; nous pensons ainsi que nous poubvonsd tressser les choses entre elles, sur paroi du temps ; nous avons un espoir, nous essayons de croire, notre volonté est ainsi faite, nbous avons cette chance pour nous de travaiiller ensemble au sein d’un temple -laboratoire où nous pouvons sans crzainte (sans honte) expérimenter à tout va et ainsi accumuler des diires, des choses dites, des lignes, des traits et des points, des betes de charge , des bousquetins, des rhinoc»éros, des an,tilopes, des chevaux, desz che-vreuiols, xdes mammauths, des sangliers, des hippopotames, des girafes, des biches, des isards, des bisons, des buffles, des vaches, des taureaux, des anes, des lions des cavernes et des ours des cavernes, etc ; toute une ribambelle d’animaux-mots, qui sont ceux qui de fait nous sortent de la bouche et vienneznt rugir ou mugir sur paroi ; nous les dessinons a vec la bouche ; la bouche est le trou de la sortie des betes, le opassage animalier, nous le tenons comme à disposition, nous sommes sous le joug et n’avons d(autre parti-pris que de laisser allert les betesxcqaux cxhamps , via un passage buccal tempoerl ; nous n’avons point d’(alternatiive, et faisons la chose ainsi, en notre atelier, sous un toit commun, cette chose d’une reembardée qui dit sa maturité telle qu elle se montre , telle quelle apparait, qui dit la chose de son point de vue, qiu dit la chose pariétale de cette sorte que nous pensons , ou comme nous pensons, comme nous sommes muni, habillé, cvomme nous sommes frippé, fringués, etc : avec nos chapeaux ; avec les chzapeaux que nous portons sur le haut de nos cabesses ;

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14/05/2020

nous cherchons la vérité, notre but ici est une recherche de la vérité pariétale, de cette vérité que renferme la pareoi, et nous y travaillons assidument à deux, nous cherrchons une entrée dans la paeoi, nous cherchons une entrée c’’sst à dire une fissure ou bien un interstice, un trou dans la roche, afin de pouvoir -nous y glisser subreptcicement ; nous sommes à la recherche d’une entrée dans la paroi ; nous cherchons une entrée dans une paroi ; nous cherchons avec sérieux, avec assiduité, avec conviction une entrée possible dans une paroi de grotte ; nous cherchons quelque chose de l’ordre d’une fissure ; notre but est de trouver comment faire pour s’immiscer dans une paroi de grotte, au milieu des animùaux qui chargent en cavalcade ; notre but ici est de trouver un endroit de vérité , qui puisse nous loger, qui puisse nous accueillir ensemble (main dans la main : une coque) en son sein ; notre but ou notre objectif , est d’entrer ensemble dans cette paroi de grotte, et il n’est pas facile de faire cette chose de but en blanc, nous devons nous appreocher, nous coller à la paroi, nous coller à elle et avoir le courage nécessaire, le courage et le coeur, le courage suffisant , la force aussi ; nous sommes tous les deux au pied de la paroi et nous espérons pouvoir franchirv le pas d’un bond d’un xseul, ou bien tete la première, ou bien en transe, ou bien par le biais de la pensée, ou bien en appliquant nos mains sur la roche ; nous cherchons une solution à notre problème et avons bon espoir d’arriver à nos fins, en tout cas nous y croyons fort, nous sommes armés de courage, nous nous sommes armés du courage nécessaire à cette chose, de pouvoir entrer dans une paroi recouverte de peintures ancestrales, de peintures et de gravures de ces temps anciens de la préhistoire ; nous cherchons à comment entrer ; nous cherchons à comment faire pour entrer et nous abvons l’espoir en nous d’y arriver ; nous collons à la paroi, nous nous collonqs à la paroi et nous respirons, et nous fermons les yeux, et nous essayons de ne plus penser à rien mais ce n’est opas simple ; il y faut une technique ; il s’agit d’une technique, il s’agit d’une méthode, il s’agit de savoir comment faire à l’aide d’une technique, il s’agit de savoir comment s’y prendre via une technique d’approche de paroi, technique qui n’est pas donnée d’emblée et qu il s’avère utile d’acquérir, de comprendre , de faire siennne, il s’agit d’une technique d’entrée qu il est bon de connaitrte avant de vouloir entrer dans une paroi de grotte ; il est préférable de connaitre la technique, si des fois une envie, une envie vous prend subséquemment, de vouloir entrer dans une sorte de paroi (mur) de grotte alors il est préférable d’en connaitre le mode d’entrée, la façon dont vous pourriez faire pour ce faire ; il n’est pas facile, il n’est pas simple, non , il n’est pas pas aisé, d’entrer de but en blanc, dans une paroi ornementée, cela nécessite une technique et une mùéthode ; il est bon de les connaitre, la technique est pointue, la méthode est rigoureuse ; nous devons l’acquérir ensemble et c’est ainsi que nous allons de ce pas, tres certainement, chercher à acquérir cette technique , et cette méthode d’approche, d’entrée, de , cette méthode d’approche, d’entrée, pour une immiscion, une immersion, une façon de se glisser ainsi ensemble dans pareille roche et voir alors ce qu il en est de celle ci et de la vérité contenue en elle ; nous avons cet objetcitf de v»éérité, nous avons un objectif qui est un objectif de vérité, il nous tient à coeur, il est le nôtre ; nous cherchons à comprendre ce qu il en est de cette paroi de grotte et bien évidemment que la chose n’est pas aisée, il faut travailler la chose, iil est nécessaire de s’y coller avec application, il est important de bien comprendre c  e qu il se passe en pareille roche de grotte ; nous ne sommes pas à l’abri de nous voir piégés, nous ne sommes pas à l’abri de nous voir piétinnés par des buffles (une cohorte) et c’est pour cela que nous devons acquérir au moins les rudiments de la technique d’entrée en paroi n»écessaire s afin de ne pas trop vite, ou pas du tout , se faire piétinner par des bisons, une ribambelle, ou des buffles, une cohorte, ou des chevaux, une meute, etc ; nous ne sommes pas à l’abri de nous faire piétinner par une meute de chacals, par un troupeau de bovidés etc ; nous sommes légers, nous ne somlmes pas des boovidés, quoioque nous ayons en nous (quelquepeart logés) des beters de somme qui , betes, ne demandent qu à sortir de nous par nos bouches, c’est à dire par un trou ; or nous aussi nous cherchons, nous cherchons le trou, le trou de la roche, comment faire pour nous coller à pareille roche, nous aussi nous cherchons, nous avons envie d’entrter dans la roche ; nous avobns en nous cette envie d’entrer dans la roche , et nous cherchons l’issue, ou disons le trou, le passage, l’entrée, le conduit, louverture etc, qui nous permettrait de pouvoir passer, comme exactement la bete de somme cvontenue en  ous arrive à passer par ce trou qu elle a fait (de l’intérieur) dans notre bouche, ou à l’endroit de notre bouche, en nous, dans notre joue ; nous sommes à la recherche d’un endroit qui nous permetrait de pouvoir percer ; nous avons cette envie en  ous de passer , de percer la paroi, de traverser, de passer de l’autre côté (?) peut etre pas mais déjà dedans, dans la chair de lma roche, dans cette dureté de roche présente, qui est la durée du temps de vie ; nous cherchons à nou s loger ici dans une durée (dureté) de temps, nous cherchons à nous immiscer dans cette chose devant nous , qui est un temps qui se déroule éternellement, qui est le temps de la paroi, qui est ce temps pariétal en soi que nous aimerions occupéer, que nous aimerions comprendre, et dans lequel nous aimerions nous immiscer, nbous cherchons cette chose ; nbous voulons aller plus loin dans la paroi, à la recherche d’une vérité, car nous subodorons le pot aux roses, à savoir que la vérité serait (est) coontenue dans la paroi (gravée) de la grotte, dans une paroi décorée, dans une de ces parois peintes du sud de la france par exemple, ou du nord de l’espagne ; nous subororons le pot aux roses ; nous nous posons beaucoup de questions et nous attendons les réponbses, nous sommes à l’affut de connaitrte ce qu il en retourne sur toutes ces questions concernant l’art parioétal préhistorique ; nous sommes tres intéressé par cet art , et nous n’hesitons pas à le proclmamer, à le dire auroutr de nous, à l’afficher haut et fort sur le devant de notre église sécularisée ; nous cherchons la vérité de la paroi et dans la paroi ; que signifie le mot vérité, nous sommes persuadés que la paroi rendferme une vérité et cette vérité nous cherchons ce qu elle peut etre, ce qu elle est pour nous, ce qu elle est en définitive, ce que lma paroi a à nous dire : nous cherchons cela, ce que la paroi de la grotte a à nous dire en tant que vérités acquisesq, précises, sur les choses de la vie, de la mort, de la durée, de la dureté de la roche ; nous sommes ensemble (nous deux) pour une recherche de vérité dans la paroi, ou pour une recherche de  vérité pariétale, nous sommes esnsemble pour cette chose d’une recherche de la vérité dans la roche et nous avons bon espoir de découvrir un jour ou l’autree le pot aux roses car nous sommes remontés, nous sommes armés, nous sommes courageux, nous sommes plein d’entrain et de volonté, nous irons au bout et nous saurons ; car nous voulons savoir, nous voulons acquérir un savoir, notre but est l’acquisition d’un savoir su-r cette question de la vérité et nous allons vers lui, vezrs le savoir, ensemble, main dans la main , dans notre laboratoire de recherche ; notre but est la découverte ; nous voulons découvrir quelque chose ; nous voulons trouver quelque chose comme un trésor dans une caverne ; nous voulonsq aller plus loin dans la connaissan,ce et trouver le pot aux roses qui fera de nous deux etres ravis, charmés, soulagés et heureux d’avoir découvertt une chose , une infime partie du grand tout de la vérité avec un grand v ; nous cherchons ce v de vérité dans la roche, nous le voulons, nous voulons ce v de vérité, cette approche de la vérité , cette chose contenue en elle ; nous voulonbs trouver ensemble ce que c’est que la vérité de la roche pariétale , souterraine, gravée ou peinte, magdaléenne, etc ; nous sommes friands de vérités ; nous voulons aler jusque là et nous avons l’espôir d’y arriver, nous voulons aller jusque là et nous allons y arriver ensemble, c’est ensemble (main dans la main, je souligne) que nous allons pouvoir , et seulement ensemble : coque sur un chemin, sur un chemin de connaisqsance, une voie de la science etc ; car notre but est scientifique, il est une recherche de savoir et des lors il est scientifique et cependant il a une forme, il se présente d’une manière qui en fait (obligatoirement) un objet de type artistique tout aussi bien ; car notre volonté de vérité ou notree souci de vérité, ou ce souci que nous avbons pour une découverte, pour une découverte à deux d’une vérité pariétale, ce souci de vérité est un souci majeur, et le souci qui nous guide au premier chef, il est le souci qui domine, il est ce souci qui est premier, en tete de liste, en proue de navire etc ; il est le souci premier, il est le premier de nos soucis , il est (ce souci du sebns) ce qui nous domine, ce qui domine notre pensée, ce qui est le fil conducteur de celle ci, de nos recherches de laboratoire ; nous voulons comprendre, nous cherchons à travers des sens, des significations, des pensées ecxplorées, ce qui pourrait etre , sur cette question d’unev peinture parioétale, et sur cette autrte question d’une immertsion , d’une immixion dans une paroi de groote dure, dans une paroi dure de grotte du sud de la frtance par exemple  ; notre but est avoué, nous glissons sur le langage comme sur une sorte de patinoire , à la rechertche d’un trou de passage, et ce trou nous avons bon espoir de le trouver un jour ; , ; nouds voulons trouver ce trou ; nous sommes deux à le vouloir, à deux on  y arrivera, car c’est à deux qu on y arrive, on ne peut qu’bà deux, on ne peut y arriver qu’à deux, on ne peut arriver à cette chose qu,à deux et c’est ainsi que nous voulonbs faire et c’e’st pour cette raison que nous sommes deux à chercher cette chose (à l’intérieur de notrte laboratoire) et ce au quotidien : dans le temps ; nous cherchons assidument cette chose, nbous avons le sens des mots avec nous sur quoi nous appuyer ou nous reposer, nous allons ainsi à la recherche d’une vérité qui serait un trou, un trou dans la nappe pariétale du temps qui est le temps de vie, qui est ce temps que nous connaiissons ; nbous cherchons à nous rapporocher d’une vérité qui s’e placerait sur un devant de nous, nous sommes nous deux en recherche d’une vérité qui serait placée quelque part au devant de nous, c’est à dire à proximité, devant , où  ? on ne sait pas , mais nous gardons l’espoir de trouver pareill trésor de caverne , ou pareille peinture rupestre d’homme des cavernes ; notree laboratoire est situé sur un talus, il est un ancien temple protestant, il est orné d’une croix sur le porche, il est assez grand pour y travailler à notre guise ; nous chertchons ce trou devant nous ; nouscherchons une vérité quyi viendrait nous faire un petit coucou à tous les deux mais nous avons du mal, nous cherchons d’arrache pied et la chose (à trouver) n’est pas facile, njotre espoir est grand, notre envie est immense, nous sommes tres motivéds, nous voulons connaitre la vérité et il, nous semble que la vérité n’est pas contenue dans le langage, que les mots ne peuvent l’atteindre, il nous semble que cette chose de la vérité pariétale est en dehors du langage, se loge en dehors, et c’est une chose sur laquelle nous avons à nous pencher ; nous cherchons à l’intérieur du langage une issue, une issue qui serait une sorte de faille (intertsitice) dans laquelle s’immiscer ensemble (ensemble) ; nous y croyons ; nous avon,ds des convictions ; nbous avons de nombreuses convictions, nous sommees pétris de convictions, et ces convictions nous portent, nous soutiennent, nous tiennent debout, un mot (le sens que nous donnons à un mot , un mot pris au hasard) est une conviction, il s’agit de cxette chose, il s’agit d’un étai, d’un pilotis ; nous sommes pétris de conviction s en nous et nous voulons ensemble faire usage de ces convictions afiin de gagner du terrain sur cette vérité que nous recherchons et que nous subodorons comme logée dans une oparoi de grotte préhistorique ; nous sommes persuadés, nous sommes sûrs, nous sommes convaincus, nous avons des convictions, nous ne sommes pas des chiques molles sans tuteurs en nous, tuteurs de type langages articulés et comportant des significations précises inculquées et qui nous permezttent de nous orienter sur la patinoire : droite et gauche (sur les cotés) , devant derrière , etc ; nous sommes tous deux des chercheurs de vérités et nous voulons arriver à nos fins, et c’est la raison pour laquelle nous avons acheter cette église à flan de montagne (quasiment) pour en faire, un peu à l’écart, un lieu de haute recherche scientifique (et accessoioirezment littéraire ou aretistique) mais cela n’est pas notre objectif premier ; njous cherchons une vérité sur cette chose, de la paroi, sur cette chose d’une paroi de grotte ; nous aurons un jour le coeur net sur la question, cela ne fait aucun doute, car à force de chertcher nous finirons par trouver, nous cgherchons pour cette raison, nous chrtertchons avec la volonté en nous de trouver un jour ou l’autre kle pourqyuoi du comment ces peintures sur paroi, et ce qu il en est pour nous d’une paroi de type temporelle, nous chertchons ; il s’agit pour nous d’une question de la plus haute importance ; nous voulons connaitre le fin mot ; nous cherchons à connaitre le fin mot et un jour peut -être nous saurons et alors nous pourrons colporter la bonne nouvelle, notre but est clair, nous sommes des chercheurs en science de la vérité de type pariéto^-temporo-rupestre ; nous y allons fort mais nous pensons que c’est ainsi que nous devons aller, nous sommes unis dans cette chose, d’une recherchev obstinée, courageuse, motivée, ardente, pleine, calibrée, d’une vérité pariétale temporelle ; nous cherchons le trou où passer, pour renaitree ; nous cherchons un trou pour passer à deux ; nous voulon passer à deux et ce depuis le début, nous pensons qu’à deux c’est mieux ; nous sommes persuadés, nous avons des convictionbs (des mots en nous), nous sommes sûrs de chez sûrsd, nous y allons la fleur au fusil de la conviction, nous sommes armés comme quatre, a fin de découvrir(soulever, ouvrir, échancrer) le pot aux roses, le tablier, la nappe etc ; nous sommes armés comme qua tre (mains) et nous cherchons ainsi (à quatre mains) ce que nous voulons trouver ensembvle, sur cette question, et sur d’autres questions concernant (notamment) la mort ; nous sommes armés jusqu’aux dents, nous sommes des chercheurs nantis d’outils diverts et variés devant nous aider pour une rexcherche de la vbérité pariétale en bonne et due forme, etc ; nous avons des ouitls pour nous, des logiciels, des livres en pagaille, etc, des stylos, des carnets, des outils de toutes sortes, etc ; nous voulons arriver à nos fins, nous voulons savoir et acquérir ce savooir rupestre etc ; notre but ici est  de connaitre ce qui est, ce qui se trame, ce qui est que nous ne voyons pas de prime abord, ou si ? ce que nous voyons de prime abord ? ce que nous voyons en face de nous, sans aller chercher plus loin ? la paroi ? la paroi telle qu elle s’offre à nous ? une connzaissance immédiate ? de quoio s’agit il ? nous sommes pris dans les rets d’une raisoon qui argumente en nous alors même que nous espérions tyrouver une connaiszan,ce plus directe, une manière instantanée de prise en considération , et du coup, une manière d’app^rocher les choses à cru, betement, le nez collé contre la roche ; nous voulons connazitre une vérité de roche, une vérité au nez collé, une vérité qui soit instantannée, etc ; nous chertchons cette vérité sur un e paroi et au coeur de la roche, partout dans la grotte ; nous cherchons ensemble où et comment trouver une véerité qyui se logerait quelque part en c ette cavalcade d’animaux chargeant ici-même sur paroi de grotte ; nous sommes comme desc enfants qui avons trouvé une mervveille de rien sur le sol, qui prenons la mercveille de rien pour une sorte de trésor qui n’aurait pas de prix, qui serait des plus préciuex, nous aimons trouver par terre, nous aimons les découverttes, et les menus vols ou larcins de choses de nature par exemple, sur les chemins : un petit caillou, un scarabée mort et retourné sur sa carapace ; nous cherchons de menus trésors ensemble ; nous sommes deux pour une recherche de vérités quelque part sur une place, sur une paeroi, sur une pierre, etc, en place ; nous y allons, nous cherchonsà deux parce qu’à deux c’est beaucoup plus facile d’arriver à quelque chose qu ‘à un , à deux on a beaucoup plus de facilités pour y arrivezr, tout seul c’est beaucoup plus difficile, et aussi beaucoup plus ingrat, tout  seul il faut beaucoup de volonté, il faut avoirt beaucoup de volonté, il y faut de lm’abnégation, tout seul il est impoertant d’avoir beaucoup de volonté car les choses ne se font pas toutes seules ; tout seul dans une recherche (quelle qu elle soit) c’est beaucoup plus ardu parce qu on perd vite pied, on a vite fait de se laissser aller et d’abandonner aux premières difficultés alors qu a deux c’est beaucoup pluds facile car à deux on peut se soutenir , s’entraider, se motiver, quand un des deux flanche l’autre prend le relai etc ; à deux c’est beaucoup plus simple et beaucoup p^lus agréable du coup, c’est aussi à deux beaucoup plus ageéable, on arrive mieux à ses fins ; on peut allert plus loin, on peut essayer d’aller beaucoup plus loin à deux, il s’agit de cette chose, il s’agit d’aller plus loin, de creuser au plus qu on peut afin de trouver cette chose que nous recherchons, car nous recherchons une chose, depuis le début nous sommes à la recherche d’une chose, cette chose nous tient à coeur, cette chose a pour nous une importance considérable, nous cherchons une chose au sein dxes mots, il s’agit d’une réponse à une question, il s’agit de trouver une réponse à l’intérieur de la pareoi, de la paroi temporo-langagière du monde qui nous entourre, nous cherchons une réponse , et cette réponse, nous sommes ensemble (cote à côte et main dans la main) à y courir apres pour ainsi dire, et pour cela nous nous sommes equipés  comme il le fallait ; nous avons trouvé de quoi, un temple à flanc de montagne (la montagne noire) et ce temple nous sert de laboratoire de recherche active ; nous cherchons activement une réponse à cette question que nous nous posons, concernant la vie pariétale, la paroi : faut il se coller à la paroi ? est-on colléc à la paroi ? qu en est il,de laparoi ? que devons nous penser de cette paroi qu ‘est le monde et nous avec,, car nous collons, nous sommes qui adhérons, nous sommes inclus, et comment faire des lors pour parler de choses que... comment faire pour nous «détacher» ? nous sommes collés par le haut du crane ; il va sans dire que la chose est à présent connue et entérinée, elle ne fait pluds le moindre doute, il n’y a plus le moindree doute, il n’y a plus du tout à présent le moindre doutecà avoir sur cette chose, comme quoi le crane colle à lma paroi, il s’agit dx’une chose acquise ; nous sommes collés par le crane, pâr les pieds à terre mere et par le crane à la pâroi ; c’est à dire que : nous sommes collés à terre mère (qui contient la paroi) par les pieds et par le crane : les deux, voiilà le hic, ou voilà le pot aux roses ; njous avons ces deux points d’attache : 1, le cranee, et 2 les pieds ; les pieds touchent le sol, mais il faut voir que le sol se continue pour faire le mur ou la paroi, le sol se continue pour devenir paroi ou mur etc ; nous sommes ainsi tenus par les pieds (soutenus) et pas la paroi du temps sur laquelle vient buter nootre v crane, notre intelligzen,ce langagière, nbotre raison : chef, cap, crane , etc ; nous sommes tenus par les pieds et par le cap , et du coup nous allons de l’avant (temporellemnt) sur un chemin, sur un sentier qui mène à un sous bois , qui encercle le village de campagne dans lequel nous habitons et qui est (à présent) notre quartier retiré, notre quartier général de recherche ardente ; nous avons des pieds et des mains, et aussi une tete collée (scotchée) à la paroi du temps ; nous sommes tenus de partout et dès lors il est difficile (seul du moins) de se décoller et de franchir le pas qui nbous mène à la véritév avec un grand v ; il est beauvcoup plus difficile tout seul , de francjhir le pas qui vous mène à une vérité ou à la vérité vraie, c’est à dire à la vérité -trou, celle avec un grand v ; il est plus dur, plus ardu, plus compliqué, plus dur de franchir un pas seul, en étant seul, c’est beaucoup beuacoup plus dur, à deux c’est mieux, à deux les choses sont§ bnreaucoup plus faciles, il,es t beaucoup plus facile d’y aller à deux (dans la paeroi) que seul ; seul c’est dur ; seul c’est pas évident ; seul vas-y ; seul accroche toi ; seul c’est pas une sinécure ; seul c’est un truc ; seul c’est costaud ; seul c’est un truc de ouf ; seul vazs-y y arriver, ce n’estc pas facile, azlors qu ,à deux déjà la chose n’est plus la même, on fait corps (armé) et on avance fissa plus surement, avec des convictions, avec des étais, avec des soutiens, avec un socle de données , de choses qui permettent une avancée affiché, avec un entrain motivé, avec un élan soutenu, avec une volonté plus affirmée ; nous avons cette chance (en laboratoire) xd’etre deux, nous avopns cette chance ici , dans notre laboratoire de recherche, d’etre deux ; a deux c’est mieux ; a deux on peut voir venir plus volontiers et chercher des sol utions, cherc her des issuesc, des réponses avec davantage de motivation cxar l’un motive l’auttre et l(auyttree motive l’un sans plus de peine, etc ; nous avons cette chance d’etre deux, il s’agit d’une véritable chance, bien en place, entrte nous , qui nous aide à voir venir les vérités scientifques éventuelles, qsui pourraient nous tomber desssus, qui pourraient advenir , devant nous, tandis que nous chertchons , chjacun sa merde, à notre poste de travail, ttous les jours, et que nous sommes ensemble sous un même toit pour une recherche qui serait commune, mais séparée au préalable, car nous avons à chercher chacun pour soi , dans so,n petit coin, chacun sa merde ? ) avant de pour le coup nous retrouver pour des mises en, commun et un point à faire sur paroi de grotte ; nous sommes ensemble pour une recherche et des points à -faire sur -parois, sur des planches, sur des feuilles, sur des toiles, sur des carnets, ; etc ; nous avons des ambitions communes ; nos ambitions se rehjoigneznt ici, dancs cette recherche, dans cette poursuite, nous recherchons chacun son coin,  chacvun sa place, en commun des choses , car nous avons des moments où nous pouvons nous regtrouver, où nous nous retrouvons etvéchangeons, sur des sujets divers, qui nous plaisent à tous les deux, ders sujets vcomme ceux qui concernent ces questions de paroi et de grootes bancestrales etc ; nous avons dees choses à nous dire ; nous nous disons des choses ,en secetre ; nous avons des choses à nous dfire ensemble, en secetre, à paert, nous avons notre intimité de chercheur et de chercheuse ; nous sommes ensemble oui mais chacun a son domaine de rechjerche, chacun loge à part dans l’atelier, chacun a son coin à part et ses intérets en propre, ses travaux menés pour soi d’abord , etc ; et c’est seulement dans un deuxième temps que nous voyons ensemble ce qu il en ressort des travaux de l’un et des travaiuux de l’autrte : nous cherchons séparés d’abord, puis mise à plat des découvertes, et mise en un ensemble cohérent des choses séparées , pour une forme, pour une forme-c-oque, qui puisse nous faire avancer sur le chemin (ardu) de la vérité parioeto- frontale ; nous aimons questionner la paeoi, chacun dans sqon coin, et c’est alors que nous trouvons des choçses (et l’un et l’autre) à mettre en commun par la suite,, , dans une sorte de forme coque, d’oeuf , de couple, etc, quyi puisse nous donner des assurancesou des garanties sur le bien fondé de notre recherche ou du choix que nous avons fait de faire cela, de chercher apres cela, de chercher sur une piste en particulier et sur cette opiste en pearticulier qui est celle de la vooie de vérité rupestre etc ; nous sommes tres heureux dq’etre deux pour cette chose, pôur trouver, pour d»écouvrir, pour soulever, pour entreer dans la paroi et chertcher des indices de vérité ; nous sommes heureux de pouvoir aller ensemble, nous cherchons des choses ensemble, chacun dans son coin, mais cela, pour mieux trouver par la suite de nouvelles pistes de recherche ensemble ; nous sommes ensemble dans la roche, la roche est le temps de la vie, la vie nous p^lait en tan t qu elle devient notre objet d’études ; la voie ici choisie est celle de la science via une sorte d'emploi abusé, poussif, brusqué du lmangage et ce dans le temps, dans une sorte de temps qui serait un temps athlétique, sportif, tenu de main de maitrte , tenu à la cravache, ; nous avons des raisons d’y croire, nous voulons aller loin en besogne et nous faisons de la sorte de nous y coller, de nous y tenir le plus possible, dans notre atelier, motivés, se soutenant l’un l’autre etc ; notree vbut est d’avancer sur un chemin, sur une piste de réfglexion , concernant les sujets sus mentionnés qui sont ceux qui nous occupent au plus profond et jusque dans nos reves, à savoir cette recherche d’une vérité arrêtée ; nous cherchons ce que cette véritéc pourrzait etre, nbous ne sommes pas s ûrs du tout de ce que l’on dit avec des mots sensés et des lors, nbous cherchons une méthode en même temps que nous cherchons une technique ; nous voulons y aller profonsd et trouver ce qu il en est de pareille paroi devant soi ; notre but est de crever la chose à coup de canif ou autrement mais de crever la chose réellement , et cela nous occupe quotidiennement quasiment et ne laisse pas de nous tourmenter, car comment s’y prendre ?  ; nous cherchons car nous sommes des chercheurs ; notre emploi du lmangage est motivé par des soucis d’ordre scirentrifioques en  ela qu ils s’inscrivent dans une recherche, et dans une recherche vmotivé, méthodique, sérieuse, et soutenue par des convictions ; nous avons pour nous le passé des mots ; nous avons pour nous le passé d u temps qui est le nôtrte ; nous avons pour nous un corps, chacun le sien : un corps de femme, un corps d’hommùe : les deux ; et celea (cet ensemble) nous permet de mieux avancer dans nos recherches ; nous voulons avancer dans toutes nos recherchezsxcet c’est pour cela que nous avons chois i d’une certaine manière, de nous isoler un peu sinon de nous retirer, à la campagne, dans le calme de la vie rurale ; nous avons fazit ce chgoix en c onnaissance de cause ; nous avons décidé cette chose ensemble et depuis nous nous y tenons ; nous sommes ensemble sous un même toit et nous cherchons séparéement («chacun sa merde») pour trouver de quoi nous sustenter en matière dfe vérité à dé-nicher, en, matière de véreité vraie qui serait celle qyui nous conviendrait le moment venu : nous sommes séparwèes, oui, nous sommes deux, oui, nnous ne sommes pas un à souffrir les mêmes souffrances, oui, nous sommes deux , avec chacun sa propre souffrfrance de chercheur ou de chercheuse à endurer, cela aussi, et cependant nous allons faire corps à même la paroi du temps, sur cette roche, à l’intérieur de cette roche, oui nous allons, nous ferons, oui il s’agit de ctte chose, oui et oui car nous avons lma conviction ici que la chose est pôssible : d’entrer dans la roche, de trouver le trou, de trouver ce trou de vérité qui sqortirait de tout un ensemble de nappe ou de plan, de surface plane, de tout un en,semble sur lequel nous glissons deopuis la nuit des temps, et là, le trou se présente, ce trou-vérité etc, qui nous accueille et nous loge en son antre, en, xson sein pariétal et temporel ; nous sommes tous les deux les deux co^tés, nous sommes deux et deux ou à deux nous allons ; nous allons dedans, nous entrons ; nnous sommes tous les deux (les chercheurs du bois) qui alloons dedans (la roche) à la recherche d’une vooie d’abord pour une vérité qui serait celle d’un lman,gage pariétal en soi ; nous cherchons cette issue ensemble, nous sommes à présent soudés, nous sommes deux, nous sommes l’hommùe et la femme, nous sommes ensemble soudés collés serrés dans cette roche dure d’un temps qui s’éternise en roche, etc ; nous cherchons cela et à deux la chose est plus facile ; nous sommes soudés à la paroi de la grotte, nous voulons rentrer dedand parce que voilà ce que nous savons (de nos recherches,  grace à nos recherches de laboratoire : nous savons que le pied et lma main et le hzaut du crane etc, sont soudés ; il y a des traits de soudure, de jonction ; les membres suscités sont soudés entre eux , c’esst à dire : les deux cranes (celui de l’homme et celui de la fgemme), les quatre pieds , ert les quatre mains ; nous sommesz dans cette paroi de grotte comme soudés ensemble par ce bruit des betes qui chargent ; nous sommes serrés , nous sommes collés ; la colle est le verbe ; le vent souffle à nos oreilles, ce vent déplacé par un trou peau qui file et meugle , qui file fissa et meugle avec force, nous sommes soudés sur une roche, en roche, nous sommes rochers nous mêmes, nous sommes pris dans la tenaille, nous sommes insérées et prisonniers, nous sommes au coeur du troupeau des mots-animaux et ne pouvons nous en délivrer ; nous avons bien sûr des ambitions comme nous avons bien  sûr des convictions, nous avons l’intention d’aller loin avec  ce troupeau ; nous avopns cette ambition de nous porter le plus loin possible (en longueur de temps) avec ce troupeau qui déferle, noptre but est affiché et concerne la véritéc avec un grand v, c’est à dire que notre but affiché est celeui de creuser, d’aller creuser profond (comme toujours) au sein de la roche du temps, en son sein natif, voire naif ; nous cherchons le rase motte ; nous chertchons (chacun sa m...) de notre côté, des raisons qui seraient, des raisons qui pourraient nous donner l’élan nécessaire à une bonne poursuite de la vérité , bonne et motivée, sur un chemin d’ordre pariétal, sur ce chemin d’ordre pariétal et temporal ; nous communiquons ensemble ; nbous mettons nos trouv ailles en commun, nous cherchons à mettre en commun lc’ensemble de nos trouveailles et pour  e faire nous avons ce labo de recherche, ce labo de recherche pariétale, ce lavboratoire de recherche parioétale etc, qui nous tient à coeur , et que nous menons ensemblke avec conviction et avec aussi beaucoup de volonté (paretagée) ; nous y allons ensemble sans sourciller ; oui chacun sa merde dans son coin mais en, l’occurrence nous sommes ensemble et ensemble nous essayons (malgré cette séparation physiqye entre nous) de nous seconder , de nous soulager mùutuellement (autant qsue faire se peut) ; les corps séparés (cette coque ouverte) souffrent certainement , souffrent chacun de son coté, etc, oui, cette souffrance de l’auttree, cette souffrance incommunivacable de l’autre, tres surement, il n’ y a pas lieu d’en douter (pourquoi en douter ? ) et cependant la coque est là dans la paroi du temps, dans cette choses d’une sorte de paroi du temps ; nous sommes ensemble dans notre temple-laboratoire ; nous cherchons chacun de notre coté, chacun a sa souffrance à porter ; nous cherchons chacun de son coté et cxhacun a sa souffrance à porter, à endurer, à prendre, à avoir sur soi, à  devoir faire avec, à etc, car cela est , que nous sommes séparés de corps et cependant nous formons un couple de chercheurs en vérité, chercheurs, chercheuses en vérités de toutes sortes , mais surtout en véérités de type pariétales, etc ; nous cherchons des vbérités qui soient des outils, pour nous, pour des missions , pour des passages, pour des immersions etc ; nous avbons envie d’aller loin dans le temps et pour cela nous avons besoin de comprendre de pres les mécanismes de la durée ; nous sommes persuadés que des vérités adviendront devant nous, devant nos yeux, un jour ou un autre, car nous avons foi en la scvience, nous avons foi en  ous, nous avons foi en ce qui estvdevant nous, nous ne voulons pas lacher le morceau mais bien au contraire, continuer-poursuivere sur notre voie et toujours aller de l’avant , dans l’ewspoir qu une vérité un jour se fera jour ici même, au coeur du débat, de cette chose pariétale en nous, que nous trimballons comme betes de charge (de somme) qui avbance de son pas à elle : motivé, mou, motivé et allant mollement son chemin de croix  ; nous sommes des betes de somme ; njous sommes des beztes qui faisons chemin (mollement) sur une voiie d’abord vers une vérité ; nous avons envie que les choses avansàasssent plus vite, notre volonté est liée à la vitesse ; nous voulons de la vitesse pour nous,pour notre gouverne, nous voulons la vitesse avec un grand v pour nous, pour l’ensemble de nos recherches ; la vitesse ici est vcapitale, elle conditionne en même temps qu elle entraine à dire, à montrer, à metttre à jour ; il s’agit d’un entrain, d’un train de choses dite, il s’agit d’aller fissa vers devant, verts ce devant de soi , vers cette chose à révéler le plus tot possible : ce pot aux roses, qui est ce devant pariétal de soi , ce monde alentour (bouché) , cette chose en cercle de vision, cette choese qui nous emprisonne ; njous sommes ici bas comme sur un monticule, et nous regardons autour de ,bnous le paysage, et nous disons qu il s’agit d’un paysage, nous ne disons pas qu il ne s’afgfit pas xd’un pâysage, nous paerlons de paysage, nous sommes sûrs de nous, nbous sommes s^urs de cette chose comme quoi il s’agtit d’un paysage, nous n’avons pas le moindre doute là-dessus, nous sommes sûrs de nous : un paysage, ce que nous appelons en bon français pâysage, ce que nous appelons dans notre patois ou dans notre langue un paysage, nous le regardons, nous nous disons que ce paysage est étrange (?) ou bien que ce paysage est curieux (?°, ou bioen que cette affaire (dun monde) est uine chose curieuse, est une drôle de chose qui prete à rire (?) ou à pleurer ?,) peuterte, ou comment pouvons nous dire ? nbous ne sa vons pas comment dire, ou alors nous disons : quel beau paysage ; nous disons quelquefois quel beau paysage» ; il nous arrive paerfois de dire «oh le beau paysage», cela oui, il  nous arrive de le dire quelquefois, cette chose, ce pâysage, de le trouver beau et de le dire ; nous sommes qui parfois disons du paysage qu il est beau et il s’agit d’un glissement sur paroi de grotte ; nous glissons sur la paroi ; nous avons cette chose en nous qui est une capacité, et cette capacité est une qui consiste à pouvoir glisser sur roche, sur paysage etc ; sur la pierre nue de la paroi ; nous sommes des chercheurs en vérités pariétales et c’est pour cela (cette raison) que nous essayons de nous immiscer à l(‘(‘intériuer de celle ci (de cette paroi) afin d’y dénicher la chose qui nous tarabuste et nous turlupine et nous inquiète et nous occupe depuis toujours, à savoir : le qpôurquoi du comment ces betrs en nous, ces betess en nous autres , humains de peu ; nous cherchons à comprendre ce qyui est des vbetes en nous qui sommes betessw ; nous cherchons des choses de cet ordre, nous voulons trouver des solutions, des solutions à nos problèmes de  betes ; nous ne savons pas trop ncomment faire car nous sommes betes mais enfin nous essayons malgré tout de nous débrouiller au mieux, nous essayons de trouver des solutions à nos pêtits soucis de chercheurs et de chercheuses qui cxherchons assidument, qui cherchons sans cesse, ou souvent, vers , qui cherchons assidument, qui cherchons avec beaucoup de courage, avec une volonté affichée et de tous les instants, car nous voulons trouver cette chose, nous voulons latrouver pour nous, nous voulons le trouver le plus tot possible ; nous voulons trouver cette chose, cette vérité ; nous sommes ensemble , qui vivons ensemble sous ce même toit, nous travaillons cote à cote, nous travaillons avec assiduité et avec une volonté farouche, la volonté de trouver une vérité en route, sur une paroi de grotte, ou même à l’intérieur de laroche, nous sommes unis dans ce but qui est un but d’ordrte scientifique avant tout ; nous voulons nous placer ainsi, dans cet ordrte scientifique, nous voulons nous faire connaiotre comme des chercheurs qui cxherchent des vérités cachés dans les profondeurs, mais en ce qui nous concerne, les profondeurs en question (à nos yeux) se logent dans le temps, se logent en surface du temps, sont des qui se logent à la surface, au ras du ras du temps pariétal, au ras du ras de la roche peinte, etc ; nous avons cette pens»ée en n ous, comme quoi les vérités sont toujours profondfes , peut etre, oui certainement ; comme quoi les vérités sont toujours profondes, cachées, etc, peut-etre, ou bien que les vaérités sont en superficie déposées ; sont tout pres de nous = à nos pieds, au ras du ras, et que du coup , ce que nous voyons est la vérité vraie et la solution , c’est à dire la paroi nue, etc ; nous chercxhons à comprendre le pourquoi les choses ainsi sont proches en vérité, nous cherchons à comprendre comment faire pour nous immiscer dans lka vérité de la roche, dans la vérité pariétale du monde ; comment fairee ? que faire ? la doubler (art) ? c’est à dire la masquer, voire la masquer de fond en comble ? obturer avec de l’art : peiinture, recouvrement divers, etc ? nous cherc hons une solution à notre problème, qui est ce problème qui est celui de de voir agir sur le monde : car nous sommes en marche d’allant, et cela est que nous nous devons dee faire, de concevoir, ds’agir de nos mains et nos pieds etc ; njous devons agir de notre vivant ; npotre action doit etre , doit etree déroulée ou déployée du fait que nous sommes vivants ; nous devons agir, nous nous devons d’agir, nbous devons aller, nous devons tenir , nous devons tenir debout et nous activer pour nous sustenter, nous avons cette chose à faire, cette chose à développer, et nous voyons que le sens des mots a déformé la pensée de l’homme, le sens, les significartions de laraison, ou nées de la raison, ont dép^lacé les choses au fil du temps, et voici l’homme des cavernes en nous enseveli par des mots sensés, par des mots avec des directions en termes de significations etc ; les mots ont tout enseveli ; les mots ont gachés les choses d’ordre pariétales ; lers mots ont obturés, ont fermeés et bouchonnés les trouds de  vérités, celles (profondes ? ) de ces hommes des cavernes, et qui s’appuyaient sur un savoir de type animzal, sur le savoir animal en eux, en ces hommes qui allaient aindsi, sur roche, sur paroi, avec pour le coup des savoirs animùaux en eux, animaux-animaliers ; la raison, les mots de la raison, laraison avec ses mots sensés, a obturé un jour toutes les issues pôssibles parioétales et à présent nous voyons les choses, les paysages, les paysages par exemple, comme sépârées de nousq, comme lointaine chose à penser, commev chose lointaine à discuter, comme chose sur laquelle on peut raisonnablement poser des mots, sur laquelle on peut raisonna lementt poser des mots sensés, etc ; nous voyons cette c chose, nous la voyons de nos yeux d’enfants qui regardent laparoi ou laroche d’une grotte ornementée, mais pour autant , cette chose (des mots de laraison posés) ne nous satisfait pas vraiment, et nous aspirons à une autre approche, nous aspirons à une approche tout autre, une approche enfantine davantage, une approche au ras des choses, une approche candide presque ; notre approche est scientifique ; il s’agit d’une approche enfantine ; nous nous plaçon,s à la racine des choses naissantesq ; nous nous plaçons à ce niveau de basse zone, de ras la motte des choses naissantes, natives ; nous sommes au départ de laphrase et l’arrivée laisse à désirer, l’arrivée peu tettre laisse à désirer, il est possible que cette arrivée de phrase que nous déployons depuis laracine, laisse ou laissat à désirer, cela se peut, cela est v  raisemblable, tres certainement, il se peut que oui ; nous formons des phrases part défaut car nous ne pouvons agir autrtelment, et par conséquent nous jhouons le jeu, nbous acceptons de jouer le jeu pour le dire ainsi c’est à dire improprement ; car nous n’avons pas le choix de faire autrement en vérité ; nous jouons un jeu que nous portons en nous, qui nous a été offertt et dont nous ne pouvons pas nous séparer comme ça ; et des lors nous sommes obligés (la force des choses) de jouer le jeu des mots sensés, et nous jouons le jeu, mzais nous le hjouons comme par défaut, puisque nous ne pouvons pas faire autreement, nous le hjouonsau ras des choses naissantesz, nous jouons le jeu des mots sensés à laracine , et du coup nous espérons ‘(ainsi faisant) soulevcer un lièvre un jour ou l’autre  car nous sommes bien placés pensons-nous ; nous sommes allongés sur le sol de terrte-mère, et nous regardons kles choses à la racine, et du coup peut ettre verrons nous pâsser un lièvre (ou un troupeau d’aurochs ? )  ; nous nous sommes mis à cet endroit, nous nous sommes allongés âr terre et de là nous observons le passage pariétal des troupeaux de betes de sommes, ou de chevaux ; nous sommes aloongés sur la terrte ferme, le plancher des vaches, nous sommes allongés sur le plancher des vaches et nous écoutons le grondement du bruit des sabots des betes qui chargent et s’approchent dangeureusement ? )) de nous quyi ne bougeons pas, qui sommes sommés, qyui sommes pris au piège de cette chose, d’etrec là, comme obligés, comme par défaut etc ; nous sommes cheurcheurs de vérités de ras de sol sensé, ou bien de ces vérités ras la touffe d’herbe, rasla touffette ; nous sommes au ras du rasd du ras du ras de la touffe d’herbe et de là nous essayons de comprendsre, de savoir, de voir, ce qui pêut bien êttre de toute cette affaire de monde créé, de monde vivant, d’hommes et de femmes, de vioe et de mort etc ; ce qu il en reésulte, ce qui est qui puiise etre vu de si pres, ou bien de si loin , ou bien autreement, car nous sommes placés d’une façon qui est difficile à désigner : sommes nous pres ainsi placés ? ou bien sommes nous loin ? sommes nous pres ou bien sommes nous loin, de cette vérité que nous recherchons ardemment, sopmmes nous en loin, ou bien sommes  nous-en pres ? nous ne savons pas nous prpoononcer ; nous avons l’impression d’en etyre loin car nous sommes betassous, et en même temps nous avons l’impression d’en etyre pres pour lamême raison, que nous sommes betyres ; comment savoir ? comment dire ?  ; nous sommes des chercheurs qui travbaillons (§d’une certaine manière) à même la betise, à même le ras du ras des rases mottes ; nous sommes des chercheurs de vérités rases, de vérités ras la motte dec terrre, etc ; il se’ peut tres bien que nous fussions des chercheurs piteux ;que nous fu!ssions des chercheurs de peu de foi, des chercheurs qui ne sont vpas bien achalandés en matière de pensée de fonds etcc ; il se peut que nous fussions betes et mal nourris, en matière de matière grise ;, et qye des lors nousne fussionsqpoas d’un grand secours pour y voir clair, pour une pensée de bgrande luminosité, ce genre de pensée vive et portant loin ; il se peut que notre pensée ne portat pas loin, ou si ?  ; nous ne savons pas nous preononcer, njous oscillons, nous oscillons sans ceeswsse, nous manquons de confiance en nous, nous oscillons souvent, njous pensons parfois que nous sommes des qui voyons des choses (ras la motte) et d’autres fois nous pensons que nottre pensée (c-vision) ne vapas bien loin et reste scotchée à laterre mère (c’est à dire à la paroi de grottes) ; nous oscillons  ; nous pensons paerfois une chose , et parfois une autre ; nous pensons parfois que de coller à la paroi est une bonne chose (éternité de ladite paeoi) et d’autres fois nous pensons que ladite paroi du temps-paysage nous aveugle fortement ; donc pârfois nous pensons que collé c’est mieux et d’autres fois nous pênsons que collé c’e’st pire ; nousq oscillons ; nous voulons savoir, nous cherchons un sacvoir, nous sommes enquête d’un savoir, et ce savoir comment le trouver ? pâr les arcanes d’une intellifgezn,ce langagière ? d’une cousre-poursuite langagière ? ou bien par la voie d’un colle que tu colleras à laterre nourricière : ras la touffe, comment faire ? nous ne sa vons pas ; ,ous cherchons avec un temprérament affiché ; nous cherchons avec la vitesse ; nous xcherchons en collant au sens, à un cerztain sens (du moins) quyi est celui d’une immatuirté du sens , du sens pris sinon à la racine ddu moins ras latouffe le plus possible ; natif oui, si possible, oui à la racine si possible, le plus possible ; nous cherchons une vérité native, uine de celles qui poussent ainsi, sur laterre ferme, sur cette terre qui nous soutient en tant que nous sommes des hommes et donc des hommes qui tiennent debout, qui se lèvent de leur couche et qui pazrlment un langage articulé ; nous sommes des hommes qui parlons un langage de raison, un langage articulé, et cepen dant nous sommes séparés en nous, cxar il y a en ous une frange de nous qui parle autrtement, qui pousse le verbe en dees endroits qu un animal ne ferait pas je pense (si des fois son phrasé à lui était semblable à celui, raisonnable, hque nous possédons)  ; nous sommes séparés en nous-mlêlmes, du fait que les mots en nous tirent à hue et à dia : labours, hjoug, betyes de somme sur un champ) de terre ferme ; nous sommes séparés et ce que nous disons  va dan,s deux directions, pensoins-nous  : une première qui reste collée (§pragmatiquement) aux choses vraies, c’est à dire aux choses que la science peurt approcher (mresurer, comprendre etc) et une seconde, qui est cette chose comme quoi les mots peuvent se preter à toout un tas d’auttres usages (hors pragmatisme de la sciencxe) , usages de débords, et quyi sont aussi des choses que l’homme peut aborder scientifiquement, que l(homme peut étudier scientifiquement ; nous avobns pour nous des mots de débords ; les mots de déborfds sont en nbous, sont mots qui nous rapprochent d’un quelque chose qui n’estc pas nous , qui nousrapprochent peut etre d’un quelque chose qui n’est pas nous, qui peut ^tre nousrapprocheraient d’un quelque chose qui n’est pas nous ; nous somes sépârés en nous en deux ; c’est à dire que notre langage en nous est séparé en deux ; nous voulons faire la jonction, nous chherchonsà effectuer en nous (ou hors de nous ? sur parois du temps ? sur paroi cde grotte ? ) la hjhonction de ces deux langages, ou de ces deux moitiés de langage ; nous cherchons à faire sur paroi cette jonction des deux parties , et cela pour n’en faire qu une au bout du compte, et cette jonction a à voir avec le couple (homme/ femme) que nous formùons  ; sachant que l’homme peut etre lafemme et lafemme l’homme: ; nous cherchons à rétablir sur roche une s&épâration de choses en nous, qui est facheuse, qui ne doit pas ettree, qui n’a pas lieu d’ettre etc ; nous cherchons une vérité pariétale et cette vérité est liée à une séparation de base , en termes langagièree,k, en termes de mots ou d’ensemble de mots séparés ; car on s’aperçoit que les mots entre eux sont séparés, qui permettent des emplois divers quand l’animal n’a qu un cri, qu un seul langage pour ainsi dire ; nous avons plusieurs langages (deux pour le moins)  ; nous sommes munis de deux lmangages (disons deux) : un premier qui est celui de la science (qui est borné en cela qu il se borne à décrire des faits avérés, il mesure, il compare, il décrit pragmatiquement) , et un deuxième langage, qui est par exemple le langage du mensonge, de larouerie, qui est le langage de c e quyi prete à confusion, de ce qui demande à être cru sur parole, c’est à dire en soi, en dehors des faits , par exemple le langage de lareligion ; voilà en quoi notre langage est séparé , voire écartelé, au rebours tresws certainement du langage animal qui lui ne semble pas tirer à hue et à dia mais bien au contraire aller dans un seul et même sens ; nous sommes parv conséquent des chercheurs de sens, de diorection, de direction unifiée ; voilà ce que nous sommes en fait de chercheurs ; nous sommes des chercheurs de sens ou de direction unifiée et pour cela nous avons un outil : la paroi du temps, il n’yeen a pas d’auutre ; l’outil d’unification que nous avons pour nous est celui ci qui nous fait face, qui est notre quotidien de laboratoire, à savoir l’outil de la paroi du temps, cxette (donc) pâroi qui contient des betes de  x-$charge, qui contieznt en elle m^$eme des betes de type buffle ou bison (ou aurochs ou phacovchères)  ; noius sommes donc trtes heurezuxs, tres heureux, nous sommes donc tout à notre tache d’aller ainsi, à la recherche d’un sens unifié, d’un sensretrouvé unifié, d’un langage qui a , un jour, été séparé et mené ainsi, en double file, pour des recherches , pour des objectifs, pour des vues qui n’étaient pas ou ne sont pas wsatisfaisantes tout à fait ; nous cherchons à unifier la chose, et cela : sur paroi, au sein d’une paroi ; nous sommes des chercheurs en unification, ou d’unités, nous cherchons une vérité unifiée ; nous sommes des chercheurtsqui cxherchont à unifier deux choses qui sont s&éparées : une première chose et une deuxième , les deux ; nous cherchons à unifier deux choses qui sont à ce jour séparées et la chose n’est pas facile, nous sommes deuixd, nous allons à hue et à dia et du coup la chose n’e’st pas facile , car nous nous sentons écartelés, et ce sentiment n’est pas agréable ; nous voulons essayer au mieux l’unification, nousessayons de la faire ainsi  ;: en nous logeant à) la racine, en nous logeant au plus pres de terrtree mère, du taire aussi bien , en nous logeant tout aupres des choses natives, des choses n,aissantes, du bébé baba  ; nbous essayons d’unifier de base ; nous cherchons , nous cherchons à même la terre nue, au ras du sol, sans aller chercher plus loin que la racine, qu à partir de là, nous essayons à cet endsroit ; nous essayons à la racine, au ras des choses qui naissent, au ras des choses qui sortent le nez, qui juste sont qui sortent le museau, à cet endroit natif, de choses natives, à cet endroit des choses natives, comme par défaut, car où donc ailleurs aller pour nous loger, pour nous loger afin d’unifier ? nous avons cette chose qui est que nous sommes ainsi unifiés avec en nous toutes les composantes convoquées ; nous voyons les choses de la sorte, nous pensons qu il est juste (en tant que chercheurs enfants) de nous placer ainsi en début de poussée, en tout début de sortie dxe terre, en juste ce début de sortie de terre  mère , et que donc     , de nous placer ici , peut ^$etre une bonne cxhose d’un point de vue méthodologique et technique, d’une part car la chose est rendue possible (par le temps et par la vitesse dans le temps) et d’autre part car la chose ainsi défendue ou lza chose ainsi protégée ou la chose ainsi posée, lka chose ainsi déposée, la chose ainsi posée nous apparait ou nous parait etre la seule, peutetre la seule qui se puiissse tenir raisonnablzmentdans la durée ; nous pensons que de nous placer ras la touffe, tout pres des choses n,atives, ou plutot tout pres des choses au moment de leur naissance, est la chose qui , faute de mieux, peut convenir à une recherche pour le coup scientifiquement menée sur paroi de roche, sur paroi temporelle de roche, en grotte de vie ou en caverne ; nous pensons que les mots séparés ont une chjance d’(etre réunis dansla betise animalière des pârois de grooote ; nous pensons pour nous que le primitif est à élire ; que la cghose primaire est à choyer ; que la betise basique native est une bonne chose à explorer, comme grootte souterraine ou autre caverne, ou autre gouffre danslaterre mère qui est notre mere nourricière ; nous pensonsque les mots séparés sont une calamité , pour une paroi temporelle, pour un troupeuau de betes chargeant, pour uin bébé naissant, etc ; nous avons pour nous cette vision des choses partagées, cela nous occupe, cela nous joint, cela nous rehjoint ou nouds lie, cela eswt un fond de pens»ée qui est un lien à une paroi qui est celle du temps ; cettte chose nous relie à la oparoi du tremps, nous pensons ainsi et nousq voulons poursuivre nos recherches ici, dans cette voie qui est celle (donc) de lo’unification des paerties séparées : dans le langage, dans le couple, homme-felmme, etc ; nous pensons que le (ici) paerti pris pariétal est (de fait) la solution à nos problèmes de  croyances, etc, et que du coup, la paroi est un allié, ou une alliée de choix, nottre meilluere alliée tres certainement ;

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13/05/2020

nous sommes tous deux à la recherche de travers (à travers le monde) qui (travers) pourraient nous aider à voir clair les états du monde ; nous sommes l’un et l’autee à la recherche de travers, de trouées, qui puissent nous aider à franchir un pas et entrer (enfin) dands une cavité qui serait celle qui échapperait à l’univers du monde ; ici ou là nous sommes à la recherched’une cavité (un travers, une trouée) qui nous permetrrait de franchir le pas = d’entrer ; nous sommes tous deux )à la recherche d’une cavité, une grotte, une excavation ; nous travaillons de concert (coque) en laboratoire et nous recherchons ardemment pareille entrée de grotte à travers les champs, les collines, les bois etc ; nous cherchons autour de la maison ; nous faisons le tour de la maison et nous cherchons, nous cherrchons avec beaucoup d’application, nous solmmes chercheurs(et l’un et l’autre) dans des domaines qui se rejoignent par certains côtés, nous sommes chacun dans son domaine des chercheurs de vérité ; de quelles vérités s’agit -il ? ; eh bien il s’agit de ces vérités que nous pouvons rencontrer dans les profondeurs, ; nous sommes à la recherche de vérités (d’axiomes) qui peuvent etre trouvés (rencontrés) dans des cavités, dans des excavations, dans des trous, dans des cavernes, dans des grottes avec tuyaux et galeries aux parois ornementées ; nous cherchons depuis des lustres ; nous sommes tous deux à la recherche de vérités qui seraient gravées sur de la pierre, sur du dur, et qui nous donneraient des ailes, qui nous offriraient des semblants d’assurance pour nous envoler vers d’autres sphères ; nous aimons nous envoler et disparaitre, nous envoler et disparaitre vers d’autres sphères ; nous aimons beaucoup (tous les deux) les excavations aux vérités, et nous les recherchons avec beaucouop d’entrain et de sérieux ; nous les aimons comme on aime sa progéniture, nous aimons les vérités des grottes et des cavernes, les véritésvieillles de plusiuers dizaines de milliers d’années ; nous aimons les trouver opeintes sur parois de grottes ; nous nous approchons desdites parois et nous embrassons lesdites parois, nous nous y collons conttre (joues, visages) et sentons la fraicheur sur nous, le passage de cette fraicheur et tous ces animaux qui chargent sur la roche ou à même la roxche ; nous aimons beaucoup les animaux des roches, nous aimons d’amour beaucoup ces betes de roche et aspirons nous-mêmes à devenir pareillezment bêtes de roche incluses, betes incluses dans la roche des parois des grottes, sous terre, sous cette terre qui nous porte, qui est notree soutien de vie, notre zone d’assise, d’assiette, de susqtentation, de tenue debout, de tenue droite ; nous aimons la terre qui nous porte et nous aimons les grottes qui nous accueiellent, car nous sommes amoureux de toutes ces choses saines, dures, solides, qui sont sdes soutiens pour nos corps debout et notre entendement ; nous les aimons comme on aime ses enfants (progéniture) et comme on aime le vent ou la pluie, ou le soleil ; nous avons pour nous cette chance de pouvoir aimer ; nous sommes des chanceux chercheurs, qui pouvons aimer en grotte des peintures pariétales découvertes ; nous les aimons chercheurs comme aimons pour nous des enfants de nous qui seraient notre préogéniture ici, dans une cavité, dans un trou, une grotte ; nous sommes ici contre cette p aroi de vérité et nous écoutons ce q<ue cette parois a à nous révéler comme entendement ; nous l’écoutons meugler , nous écoutons les betes rugir, les passages des sabots sur la roche, et la vbérité des profondeurs ; la vérité des profondeurs est à la surface des choses ; voyons la surface des choses ; nous écoutons la roche et comprenons la roche à travers ce que le roc, le dur, la roche, la paroi, nous disent, nous dit, ce que dit la roche, ce que pareille roche a à nous dire, à nous révéler comme vérité d’entendement : nous aimons les vérités comme nous aimons notre progéniture, les secrets, les choses cachées à la vue et qui brusquement, comme par magie, nous sont révélées à notre vue, à notre figure ; nous sopmmes des chercheurs de vérités révélées, nous attendons de découvrir- des vérités, des choses cachées sous la roche et qui d’un coup (art ?) nous serait révélées ; nous cherchons la vérité, c’est à dire que nous rechertchons des vérités cachées, dans les profondeurs ( de tou ce que vous voulez : peau, mots ;, pensée, terre, ciel, nature, animaux etc)  ; nous les recherchons (ces vérités) sous la peau, dans le roc, sous les nuages, à travers les arbres , dans les rêves et dans les pensées ; nous sommes des chercheurs de vérités fiables, de vérités vraies, de vraies vérités solides, étayées, qui puissent nous porter, nous donner une vue d’ensemble sur ce qu il en est de la chose (devant) qui nous attend : nous voyons devant la vie tonitruante de la paroi, et nous savons devant la chose qui nous attend, et les deux choses se confondent (vie et mort dans une même coque) et cette chose (cet ensemble) nous fait face, est ce qui se présente, à savoir le temps ; nous sommes sous une chose qui s’appelle temps de vie et de mort, nous sommes ensemble dans une grotte et c’est dans une grotte que nous retrouvons ce temps de vie-mort figuré, dessiné au charbon de bois , ou à l’oxyde de manganèse, c’est ici que nous pouvons (nous sommes chercheurs) trouver de quoi étancher, ensemble, notrte soif de connaissance ; nous aimons étancher notre soif de connaissance, nbous allons au fin fond de cette caverne, de cettye cavité, de cette cave , étancher nottre soif de connaissan,ce, nous aimons nous étancher, boire nbotre soul, et nous jeter contre paroi dure, nous immiscer dans icelle et nnbous retrouver (coque) en son intérieur habité, habité par des buffles, des bidsons, des aurochs, des chevaux, des rhinocéros, des chevaux, des ours, des rennes, des bouquetins, des mammouths etc ; nous sommes à présent dans la roche, nous sommes dedans, nous sommes entrés dans la roche ; nous sommes avec tous ces animaux de grotte, nous sommes logés à l’intérieur de ce troupeau vociférantet hurlant ; tout cela nous envahit, ces cris de betes n,ous assourdissenr, nous tremblons, les cris sont affreux, la charge est tonitruante, nous flagellons, nous nous tenons l’un en l’autre, l’un dans l’autrte, l’un contre l’autre, nous faisons corps et coque ; nous sommes serrés l’un à l’autre et voyons ainsi passer de part et d’autres cette furia de betes en délire, qui charge, qui file à nos côtés, en poussant des cris de betes fauves, des lions, des buffles, des bisons, des auroches, des rhinocéros , des ours des cavernes, des rennes, des antilopes etc ; nous sommes au beau milieu et nous sommes nus comme des vers, blottis l’un à l’autre, collés serrés, nous faisons corps dans notre coque au milieu de ce troupeau en mouvement, de cette furie ou furia, etc  ; nous sommes collés l’un à l’autre, nous sommes blottis et nous entendons et voyons passer le convoi ; notre travail est un travail de laboratoire, ce que nous faisons au quotidien c’est de chercher des choses , des secrets, des vérités, du fiable et du qui tienne sur ses guiboles ; notre but est de trouver des choses qui tiennent (se tiennent) debout, droites, qui puissent etre des étais, des appuiis solides, des sortes d’étayages pour kla pensée, etc ; nous sommes chacun des chercheurs de vérités solides ; notre but, en laboratoire, est de rechercher des vérités solides, fiables, des étais ou des étayages ; nous sommes sur des pistes de recherche dans des domaines qui concernent essentiellement la poursuite de vérités solides, avérées, cvoncrètes, étayées et reproductibles ; notre but est de recherche de vérités ; notre but (affiché) est la recherche d’une vérité quiu puiiss convenir et sur laquelle pouvoir s’appuyer raisonnablement et concrètement , et pour cela nous descendons dans les profondeurs : de la matière ; de la terre, de la pensée, dans les profondeurs des rêves, des cellules, etc ; notre volonté est d’aller loin dans les choses, et de ne pas nous arreter au superficiel, aux surfacves, auxd peaux, etc ; notre volonté est de creuser profond (en profondeur) des cavités (grottes) et voir, voir au dedans, mirer, voir et noter, voir et comprendre, voir et revenir ; nous avopns ainsi des pistes ; nous cherchons des vérités sur des pistes, nous cherchons à révéler, comprendre en intellige,nce, nbous cherchons , via une intelligence à l’oeuvre, à comprendre la ou lkes vérités des parois peintes, la vérité du buffle reproduit sur paroi de pierre ; nous cherchons à comprendre dans la profondeur de la roche et de c e fait, nous nous immisçons à même la roche et, à l’intérieur de ladite, de lma roche accueillante et du troupeau attenant à pareille concrétion physique ; nous sommes à l’intérieur de la roche et nous chertchons le hic ; nous avons des pistes de réflexion, nous essayons de comprendre ce qu il en est de la vérité des choses ; notre but est un but qui vise la vérité des choses (sous un cr^$ane, sous la peau, sous un mot, sous une motte de terre, sous un ciel c’est à dire au delà des nuages et des rayons de soleil ; nous sommes à la recherche de vérités étayées ; nous aimons chercher et découvgrir : comme des enfants nous aimons ; nous aimons et découvrir et chercher, et chertcher et découvrir et cela comme des enfants, comme des enfants nous aimons ; nous aimons comme des enfants : et découvrir et chercher ; nous aimons et chercher et découvrir comme les enfants ; les enfants aiment les secrets, les trésors cachés, les cavbernes, les plis secrets, les recoins, les pièces nombreuses, les maisons aux multiples cachzettes etcx ; l’enfant est joueur ; nous sommpes des chercheurs joueurs qui aimons tout autant les cachettes ou dénicher des vérités scientifiquement étayées ; nous sommes des scientifiques affichés ; nous nous présentons en tant que chercheurs en science et notre travail consiste à trouver la vérité sur les chose ; sur ces choses du monde qui nous entoure : nous nous sommes prids au jeu, de ces choses rellayées par un langage de vaérité, nbous nous sommes pris au jeu de cette chose ; nous avons décidé de nous prendre au jeu (ensemble) et nous le faisons, et cela : en laboratoire, à notre poste de scientifique ; notre volonté (notrte travail) est scientifique , puisquil tourne autour de cette chose, d’une (donc) recherche étayée de savoirs, de connaissances, autour de la question de cette chose, que est la vérité du monde (de notre vivant)  ; nous cherchons ce que est la vérité du monde (de notrte vivant)  ; nous sommes chhacun de son côté à la recherche de ce que est donc cette chose, de la vérité des choses qui nous environnent, et cette vér’ité (du vivant) nous la recherchons dans la profondeur, car la science est la science des profondeurs ; la science burine dans la profondeur ; la science telle que nous la concevons , burine, rapièce, traficote, se penche sur les profondeurs des choses qui nous environn$e nt ; nous sommes ainsi tous deuxd, des qui recherchons avec ardeur (et candeur), avec entrain (et douceur), avec volonté (et gentillesse) sur des choses qui nous environnent, qui son,t là tout près, autour de nous, en cette encklave de vie nôtre, en cette chose d’une enclavve dans laquelle nous évoluons de notte vivant), et ainsi, nbous allons matinalement qoutidiennement volontairement et gentiment nous asseoir à notrte place, en laboratoire, pour poursuivre nos recherches et nos travaux sur ces questions liées aux choses de la vie et de la mort sur terre ; puisquil semblerait qu il en est ainsi, que nous sommes appelés (hé  !) à mourir un jour prochain : tous ; nous sommes tous appelés un jour proxchain à devoir mourir et du coup, nous chertchons ce qui peut donc se loger ici, dans le temps, sous nous, dans cette chose d’un temps déroulé, ce qui donc peut peut etre nous etre comme révélé à trvavers cela que nous remuons comme des enfants, à même la terre, le sol, l’herbe ; nous poursuivons nos recherches en surface, mais cette surface est la peau du monde, et en tant que telle recèle bien des «porofondeurs» peutreerte, c’est du moins ce à quoi nous nous attelons, nous sommes attelés car nous sommes betes, nous sommes des betes attelées, nous sommes des betes de sommes, nous sommes attelés à un joug, qui est celyi que nous portons ensemble , depuis le début = depuis notre naissance, notre venue au monde, nbous sommmes attelés et nous recherchons des vérités de rase motte, de surface, de glissade etc ; car nous aimons glisser et aller ainsi porté par le temps, à la recherche de ces vérités de scientifiques ou de philosophes ; nbotre but est affiché (en grand, voire hurlé)  ; nous nous promenons dans la forêt ; notre but est grand affiché, il suffit de lire les lettres, l’intitulé et nous comprenons, et vous comprenez, vous comprendrez, vous aurez vite fait de cerner la chose que nous recherchons, de comprendre ce à quio nous nous attelons quotidiennement, sérieusement et volontairement ensembvle (mari et femme : coque)  ; nous aimons nous atteler, nous sommes des betes de somme sous le même joug , car nous sommes ensemble (formons) une coque, qui est celle que nous aimons, que nous chériisons, à laquelle nous aspirons, notre chance et notre salut ; nous cherchons des révéklations de caverne ; notre volonté est de montrer (afficher) des vérités : sur la mort etc ; notre but est de crevaison de mondes, notre but est de crever la toile du monde , et du coup de pouvoir comprendre (voir) les choses existan,tes, les choses vraies, ce que c’est que toute l’histoire depuis le début : njous chertchons avec assiduité , tous les jours à notree poste de travail, à l’intérieur de notrte temple-laboratoire de recherche dans la profondeur ou en surface ; nous cherchons ; nous nous demandons ce qui serait mieux, ce qui serait le mieux de fazire, ce qui de faire serait le mieux à présent, qu’est ce que c’est qui serait, qui serait le mieux à présent, concernant laes choses, dans la profondeur, dans la profondeur ou bien en surface ; le mieux serait quoi ?  ; nous cherchons ; nous cherchons des réponses dans les réponses , et aussi dans les questions ; nous sommes à la recherche de réponses, de questions aussi bien, de questions qui vien,draient se loger (nicher) au milieu du troupeau (tonitruant) des réponses de toutes sortes : buffles, bisons, phacochères, antilopes, bouquetins, chevreuils, mammouths, etc ; nous sommes en recherche avides ; nous sommes avides en recherche ; nous cherchons de ces vérités bonnes à dire, concernant ce qu il en est des choses natives, premières du monde, de l’homme etcc ; notre ambition est claire et nette ; nous avons la chance ou le toupet , la volonté, le bonheur d’aetre (de nous afficher) en tant que, en tant que nous sommes des chercheurs de vérités : de surface et de profondeur, peut etre kles deux ; nous avons un but qui est celui de nous asseoir et de travailler les questions et les réponses, et c ‘est cela que nous faisons, à quoi nous nous attelons ensemble (joug, jeu, jouet, etc)  ; nous sommes assidus, bnous allons d’un bon pied au travail (à notre poste), nous avons de l’entrain, nous avons le coeur, nbous sommes ravis de notre situation de chercheurs en science ; nous sommes ravis de cette situationb qui nous voit etrte des qui recherchobns (en science et en esprtit) des vérités bonnes à dire, des révélations à haut pouvoir de dire, etc ; nous sommes qui recherchons des choses de haut niveau au sein dxu dire, notree but est du tres haut niveau, est de tres haut niveau, est de nous loger à un tres haut niveau, est de bnous placer au plus haut niveau dans le registre des dires en science (en esprit) et ainsi de mieux comprendre, de cerner au plus juste, ce qu il en est de la vérité ici bas ; cve que c’est que cette chose d’une vérité des chosees, et aussi ce qu il en est de l’existence en nous de croyances diverses, c’est à dire de cet espace en nous (cavité, carie) d’une croyance,, de cet espace en nous qui contient la croyance en, une chose nommée au-delà etc ; nous chertchons la cavité, la comprendre, la trouver pour la comprendre , la cerner ; nous sommes en recherche de cavité, de cette cavité en nous qui contient cette chose que ne contient pas l’animal vraisemblablement : cette perspective en nous, qui existe , et qui fausse les données ; nbous cherchons des choses en nous, et ces choses sont parois, sont parois utérines en n ous, la paroi du monde = sa surface, au toucher, à la vue , aux sens, donnée ; nous la recherchons , cette cavité , pour la paroi ; nous cherchons à nous coller ici à la paeroi de la cavité et cela ensemble (cote à cote) car le cote à cote est primordial, il est capital, il est premier, il doit l’etre ; il est cette chose qui fait que nous pouvobns aller, contre la paroi du monde = contre le temps, c’est à dire collé au temps, c’est à dire aux mots, c’est à dire à la paroi du monde qui nous environne ; nous chertchons la vérité de type pariétale, et nous colloons nos lèvres, ou nos joues, ou notre visage, contre la paroi de rocheen dur ; ; nous collons, nbous sommes collés, nous nous collons, nous sommes collés à la paroi et nous essayons (ainsi adhérents) de mieux comprendre ce qu il en est de cette cavité utérine, de cette grotte sous terraine, de cette trouée dans la roche etc ; notree but n’est pas sorcier et se prete volontiers à etre compris par quiconque ou presque ; nous sommes clairs comme eau de roche dans nos objectifs de rechertche ; nous sommes (dans nos objectifs) clairs et nets comme de l’aeu de roche , nous ne tergivcersons pas, nbous nee tortilloons pas du cul pour chier droit, nous sommes directs, nous sommes natures, nous sommes sains comme des campagnards élevés au grand air des prés et des bois ; nous sommes simples, simplets, nous ne sommes pas futés, nbousn ne sommes pas savantdss, nous sommes au ras des paquerettes et cependant nous vboulons aller profond, nous voulons aller loin, loin sur la surface (de glisse temporelle) ou profond dans la matière des mots de la langue inculquée en racinée ; notre but est double : 1 : le temps, 2 : la langue , et pour cela : fissa sur des mots, haro sur le baudet, fissa sur les mots ; nous y allons à deux, et voyopns les peintures pa riétales , sur les murs, sur les mùurs des salles d’exposition ; nous croyons qu en nbous existe une cavité qyui contient quelque chose d’animalier, et cette cavité se loge quelque part en nous, nous y croyons, et du coup nous cherchons comme des meurt de faim, nous recherc hons avidement, xcar la cavité est peut etre stomacale, ou intestinale etc ; nous pensons : le ventree, le ventre qui serait l’antre, le ve,ntre qui serait cet antre quye nous recherchons ; nous sommes un peu perdus car nous sommes des chercheurs et les chercheurs sont souvent un peu perdus puisquils cherchent à s’y retrouver, et du coup nous aussi nous sommes un peu perdus et nous cherchons à nous y retrouver ; nous chrerchons une issue ; nous sommes tous les deux à la recherche d’une issue, nous voyons bien que devant nous (ce présent) se loge une paroi de type temporelle , et nous dedans : devant et dedans, là est le hic ; nous sommes ainsi qui nous demandons ce qu il en est de cette chose, comme quoi nous serions et dedans la paeroi (collé serrés) et devant la paroi : le temps qui défile et dont nous voyons tomber les secondes et les minutes depuis lui, sa queue de rat ; nous sommes perdus car nous sommes dez chercheurs de laborartoire , qui faisons des expéreinces sur le vif, sur le déroulé langfagier ; nous essayons de nous y retrouver et pour cela nous avons notre méthode et cette méthode est capitale, elle ewt essen,tielle au bon déroulelment des recherches ; notre méthode est tres importante et tient en quelques mots ; notre m»éthode tient en juste quelqueqs mots et elle est unee mùéthode à suivre scrupulezusement ou sinon gare ! nous disons : notre méthode, nous disons la méthode, celkle là qui est la nôtre, notre méthode de travail, cette chose de laboratoire, eh bien la voici : fissa ; ne pas reculer, chercher à touyjoursxaller de l’avant, ne pas trainer, avancer fissa sans se retourner et ne pas lacher prise (jamais) et cela est qui est notre méthodse à jamais : dans le droit fil du temps qui file sa pelote aimée ; nous y allons ; nous sommes de sortie ; nous croyons en ce que nous sommes des qui recherchgons des choses à traverts le fil d’une pensée (?) en acte, nous y allons : dans un train de déroulé qui est ce train que pour le coup nous adpotons (ouvertement) pour notre chevauchée pariétale (au sein des betes, du troupeau des betes entre elles)  ; nous sommes ici dans un troupeau (à l’intérieur) et nous sommes portés par lui , à demeure, ici ou là, vers des enfdroits que nous ne connaissons ni d eve ni d’adam ; notree but est clair et net et s’appuie (comme on l’a vu) sur une méthode ; njotre but est carré, il estr clkair et net comme de l’eau de roche (pariétale) et nous sommes ensemble (mari et femme) au travail, à notte pupitre, nous bossons dur (dur sur roche) et allons de découverttes en découvertes à travers le dire, à travers la roche, etc ; nous cherchons à nous montrer (mutuerellement) le fruit de nos recherches, d nos travaux de recherche ; tout ce qui transite a sa raison d’etre, tel est notte axiome ; et c’est ainsi que nous pensons que nous deevons poursyuivre nbotre route ou chemin de recherche active ; nous ne devons pas flancher mais tout au contraire continuer notre recherche, nbe jamais abandonner mais tout au contraire continuer à creuser dans le temps , dans lles dires, etc, à travers les dires dans le temps (fissa) la chose ici qui nous importe ; cette chose qui est cette chose comme quoi nous aimons la chose ; nous y allons, nous sommes ensemble pour y aller ainsi, en elle : à même la roche ; dedans ; en elle = dans son etre, en elle = à l’intérieur d’elle, de cette chose dure, infranchissqable au premiier abord ; nous croyons pouvoir (nous) traverser la roche du monde : à travers ; ce travers, cette chose en dur est à traverser un jour ou l’autre (la mort) et nous y travaillons ardemment: la roche est la mort ; la roche est le lieu de la mort ; la roche est le lieu ; la roche est ce lieu de l’au delà ; lza roche (la terre) est la mort, est le royaume de la mort ; il y a lma roche en tant que royaume de la mort, il y a la roche en tant que c’est le royaume de cette mort qui nous guette ; il y a à traverser quelque chose ; mourir est une treaversée physique, nous avons à traverser concrètement la roche (la mort) comme ^passe muraille a traversé le mur de sa cxhambre et nous de m^$eme, avons à tyraverser la roche, le roc, la paroi du monde, nous devons, nous avons à traverser lma paroi utérine du monde, il y a à traverser cette chose, nous le devons, bnous cherchons le trou du passage ; il y a fiorcément quelque part un trou ; il y a forcément quelque part un trou pour un passage et ce trou nous le cherchons en laboratoire, nous glissons sur kle langage et dsans le temps d’un déroulé (‘pariétal) du monde, nous glissons ainsi avec des mots en nous (inculqués, ancrés, lestés) et ainsi nous allons à la recherche (caverneuse) d’une trouée, une plaie, une échancrure, une bouche, une ouverture, un trou de passage, qui serait le trou ; le trou de la mort ; nous le recherchons ; nous chertchons le trou de la mort ; nous cherchons la vérité, bnous cherchons une vérité, nbous cherchons la vérité en ce bas monde ; nous cherchons une vérité à dire , et cette vérité serait celle d’une trouée, d’un passage, d’une échancrure, d’une trouée pour nous, que nous puissions passer à travzrs la roche du monde et aller au milieu des betes furieuses , qui vibrent à la lumière des torches, qui s’ébrouent et meuglent : nous aimons  ; l’amour, le coït ; nous aimons la chose et alloons gzaiement, nous allons gaiement dans la roche et allons gaiement à travezrs la roche, le roc ; nous traversons, nous sommes ensemble ; nlous essayons de chercher le trou du passdage dans la roche afin de pouvoir nous y loger ensemble (coque) et main dans la main, nous y loger ensemble main dans la main ; nous avons cette ambition pour nous , qui est de nous loger ensemble dans la roche et d’akller profond, et d’allert loin, et de cerner les choses, et de passer ainsi à travers la chose( via l’amour de la chose) et de là , y voir, y voir assidument ; nous cherchons les choses à voir en roche ; notre amlbition est de trouver (en tant que chercheurs) des choses à grzatter, nous avons pour ambition de trouver des choses à gratter au niveau des vérités de roche et nous espérons y arriver prochainrement, cxar nous sommes sur la bonne piste ; notre ambition (nous l’avons dit) est celle ci : nous cherchons une vérité ; nous cherchons une vérité qui serait un passage ; nous cherchons une vérité qui serait le trou, qui serait une issue, une sortie etc ; notre volonté est celle ci et les mots la disent pour nous, nous sommes sous le joug des mots qui disent vpour nous la vérité d’un passage à trouver ; nous sommes sous le joug des mots qui parlent pour nous et disent ce qu ils veulent dire ; nous sommes sous le joug d’une vérité en mots qui disent ce qu ils veulent dire concernant la vérité du trou, du trou de la mort sur terre, ; quelle est elle, et quel est il (le trou) ? ; nous cherchons ; car ce que nous cherchons est le trou du monde ; ce que nous recherchons est comme un trou dans le monde = un passage et il est bien entendu que cette cxhose nécessite une méthode, un pupitre, des horaires, de s’astreindre à une volonté farouche, etc ; il va sans dire , que cette chose, cette volonté de trouver le trou qui mène à cet ailleurs que colporte le langage, cette chosec (trouée au sein du monde) est une chose qui nous tient à coeur : nous l’aimons («nous l’aimons» : c'est codé ?)  ; nous aimons, nous l’aimons ; nous sommes ensemble et ,nous rechertchons ensemble un trou à la surface du monde-langage, il s’agit d’une surface temporelle et cette surface (peut etre) contient quelque part un trou , et voilà ce que nous recherchons, nous chertchons le trou dans cette nappe langagière ; nous cherchons le trou de la vérité ; il s’agit d’une nappe de sens, et à trvzaerrs celui ci, ou celle ci (nappe) se loge à un endriooit (où ?) un trou, un passage, mais où donc ? ; notre but est affiché, il s’agit d’une recherche , dsans le temps de la dictée, d’un trou de vérité ; nous cherchons un trou à la surface, doù la betise de surface etc, nous cherchons un trou à la surface de la nappe etc, et c’esrt cela que nous avons en vue, pour nous, pour notrte couple (coque) , cela que n,ous voulons comprendre au mieux et au plus juste, ou au plus juste ; nous sommes dans un atelier -laboratoire de recherche, il nous appartient, il sq’agit d’un temple, une église protestante, il s’agit d’un temple sécularisé , que nous avons acheté avec nos deniers, et vqui à présent est cette chose, ce laboratroire- atelier de recherche pariétales ; nous cherchons des véreités-trous de passage  à la surface d’une napppe ; nous cherchons un trou de  éritév et ce trou est à la base, est basique, il s’agit de quelque chose quui dépend de la masse animale en  ous ; il s’agit d’une chose qui est en nous de l’animal de somme, c’est obligé ; nous avons en nous un animal de somme, il semblerait ; nous avpons en nous un a namlia de charge, une bete de troupêau, un bovidé, nbous l’aimons ; jnous pensons que ce «nous l’aimons» est codé ; nous cherchons les mots de la sortie de nappe, mais est-ce des mots, ou bien un trou (un taire) dsans les mots ?  ; nous cherchons à la surface (la betise, les animaux en rase mott) des choses qui seraient des trous ou un, un seul trou pour nous, pour chacun ,pour notre gouverne à chacun, ; nous cherchons à troueer la surface, à faire un trou ; où serait ce trou alors, à la surface de la nappe parolière pariétale , où serait ce trou ?  ; nous sommes qui recherchons ensemble (dans un temple devenu un atelier-laboratoire de travail) cette chose, nous cherchgons ensemble une chose ; nous sommes ensemble pour chercher, nous sommes sous le même toit pour chercher, pour trouver, pour alller glissant sur une nappe )à la rrecherche d’un trou de nappe (un silence ?) ou un trou de vérité, un trou à l’intériuer de la roche, une excavationb , un interstice, un passage etc ; nous cgherchons un passage, une fente, un trou utérin, une bouche, un sexe ouvert, une trouée de bouche blessée etc, à forcer le passage,butée, à forcer le passage, un troupeau, à forcer en poussant , le passage, la trouée, le trou, venir buter, pousser dur afin de passer la tete, et sortir de cdette caverne aquatioquee etc ; nous cherchons ainsi à naitrte à une vie nouvelle (de vérité ) et cela en glissant parioétalemeznt sur la roche temporelle langagière betassoune (de surface) à la recherche d’un passage qui convienne afin de travezrser le monde ici bas, lma terre nourricière, traverser physiquement, corporeellemnet lma paroi comme un passe muraille avéré ; nous cherchons à trvaerser la paroi que nous avbons devant nous, cette paroi que nous appelons le mur du temps, et qyui est faitee de mots inculqués indéracinables, etc ; njous sommes certains que nous arriverons un jour (en laboreatoire)à à trouver une issue, un passage, c’est à xdire une vérité -trou qui sera celle qui nous permettra de passer la tête, et de voir ; car que voyons nous ? mla peau des chgoses, décorum, ou même : décoration d’intérieur de cavité, et quelle et pour quel but xvcette décoration ?  ; nous cherchons à comprendre ; nous cherchons uine comprtéhension concernant la question de l’art des parois et subséquemment de l’art tout vcourt, c’est à dire ce que nous appelons art encore aujourd hui (la notion de l’art aujourd’hui) ; nous avons quelques idées sure la question, nous les évoquons ici ou là, nous les déployons (ici ou là) et ce faisant nous nous positionnons dans nos recherches ; nous nous positionnons en tant que nous sommes des chercheurs de vérités (de  trous)  ; nous sommes des chercheurs de vérités, nous sommes des chercheurs de trous de véritésn, c’’st à xdire de trous dans la nappe langagière (pariétale) = la paroi ; nous avons pour ambtition celle ci, qui est de trouver un trou, une trouée de bouche, dans la nappe pariétale du langage déployé articulé pariétal temporel ; nous cherchons ensemblev (coque) une chose ainsi ; care nous sommes des chercheurs concentrés et au travail , nous ne lambinons pas, nous sommes de gros bosseurs, nous passons de nombreuses heures à essayer de comprendre le processus, nous essayons de nous rapprochert le plus possible de ce trou dont nous parlons (où est il ?) ; nous cherchons dans la masse pariétale c(le troupeau de mots) cet espace (intestice, fente) dans lequel nous immiscer ensemble : où est il ?  ; nous le recherchons assidument, nous sommes à la tache, nous nous tenons, nous nous y tenons, nous ne lachons pas le morceau, nous voulonbs découvrir le pot aux roses, nous voulons trouver ce qu il en est de ce trou à la surface de la masse langagière etc, des sens des mopts etcxc ; nousavons une volonté de fer ; nous cherchons depûis noptre atelier de recherche ; nous sommùes à l’intériuer de notre atelier laboratoire de recherche, c’est ici que nous travailloobns chacun de notre côté ; on peut voir que chacun a son propre poste de travalil ; c’est ici que nous travaillobns de concxert, quoique chacun ait son propre coin de travail où pouvoir s’isoler pour se concentreer, ne pas s’éparpiller, chacun son recoin, son poste ; il s’agit d’un ancien temple reconverti en laboratoire de recherche temporo spatiale, temporopariétale etc ; il s’agit d’un laboratoire dans leqyuel nous essayons des chose, nous tentons, nous fazisons des essais, nous expérimentons des choses chacun les siennes, nous testons,  nous sommes qui testons des choses à la recherche d’une chose qyui serait un trou, un passage, au sein du troupeau pariétal : une fente, un interstice où pouvoir noud immiscer afin d’entrerr nous m^$emes au sein de laroche, de cette paroi porteuse d’animaux de charge etc ; nous sommes ensemble (nous vivons ensemble) pour trouver ainsi cette chose , d’un passage-trou (dans la nappe verbale) qui soit le passage, physique, concret, permettant d’entrer ou l’entrée du mobile foetal que nous formons (coque) à nous deux, ici même dans notre atelier, et que nous (de fait) voulonbs tenir ainsi (entre les mains du temps) ju!squ au jour de la découverte, de la découvertte du passage et des peintures pâriétales ; nous avons beaucoup d’eswpoir, nous espéronsgrandement, nous sommes plein d’espôir, de cet espoir qui serait ou qui est celui que nous tenons entre nos mains, que nous aurions entre nos mains, que nousaurions (qui sait ? ) e,ntre nos mains : cet espoir en nous, ce coeur, cette foi, cet espoir-foi plus que cet espoir, nous sommes avide ;: nous voulons, nous serions ravi, nous espérons, nous sommes plein d’espoir et avide ; nous cherchons en nous (parietalezment pour ainsi dire) un passage concret qui soit celui qui pour le coup nous permettraiot d’aller ensemble de l’autre côté de la paroi du monde (roche) ; cela est ce que nous cherchons à notre pôste (chacun) ; cela est cette chose ici (atelier -temple) qye nous (nous deeux) recherchons avidement et assidument (volontairement) au quotidien (a ssis sagement à notre pupitre) dans le but de dénicher la chose et de trouver le trou d’une entréesortie qui nous plaise, qui nous plaidse à tous les deux ; nous sommes ensemble (nous vivons ensemble) en tant que chercheurs ; notre travail consiste à chercher un trou, un trou de paroi (fente, interstice, entrée de galerie etc) ; notre travail consisqte à trouver une galerie qui soit le tuyau qui nous mène ailleurs, ou bien ce tuyau de grotte, ce tuyau squi nous conduirait via une galerie à une salle qui (salle) nous mènerait à son tour via une nouvelle galerie ou un nouvceau tuyau à une sortie de grotte (ouf) ; nous avons souffert ; nous avons cherché le trou , nous cherchons le trou, nous cherchons un taire ; nous sommes enbsemble (couple en coque) pour une trouvaille, dun trou qui vaille, qui aille et qui vaille le coup, le coup de cutter, dans la nappe parolière ou langagière pariétale temporelle : déplièé déployée dans la durée en dur du temps pariétal de la grotte du sud dans laquelle nous exerçons notre savoir, dans laquelle nous nous exerçons à deéployer ou à mettre àà contribution notre savoir , ou l’ensemble de nos savoirs en ce qui concerne l’art des cavernes ; et donc nous disons que l’art est cette chose (dès lors) que nous voyons naitre (en chacun ? ) à travzeers des exoppressions de soi, des manifestations de soi, dans le but de montrer des choses au monde, des choses quyi seraient des choses en butée, des choses de contact, ou relevant du contact contre parois etc ; l’art comme butée, comme contact, comme écrasement de contact, sur paroi (langagière et temporelle) du monde alentour, du monde qui nous environne : le tout ; jnous pouvons comp^rendre ainsi cette chosze, d’un monde qui serait la chose, cette chose à décorer ou recouvrir, ou sur laquelle nous serions ameznés à dép^loyer des chosess (des couleurs, des matières, des objets etc) à même la surface desdites choses de présentation ; nous sommes ensemble et décorons à notrte façon, c’est à dire que nous tapissons l’espace du monde ; nous tapissons l’espace du monde  c’est à dire que nous recouvrons dee matières l’espace du monde, nous le recouvrons comme d’un onguent, nous nappons, nous étalondss notre chrême sur cette surface (pariétale) du monde (langafgière en vérité) et cela fait nous nous reposons, nous nous reposons dans nos abris, alors même que le troupeau gronde , qui se lève en furie et charge qsur les parois ; nous recouvrons les parois du monde et ainsi nous masquons, nous bouchons les trous, nous sommes qui bouchons les trous du monde, nous sommes comme bouche trous du monde, nous boucjhons les interstices, nous bouchons les fentes : bouche trou ; nous sommes des bouche trous : nous bouchons les trous du monde et nous sommes des trous nous m^me (via ce trou de la bouche) qui parlons la la la nos langages de vérités glissantes etc ; jnous avons pour nous les mots en bouche comme bouche trous (?) ou bien nous avons en  nous un trou à boucher par des mots, ou bien nous bouchons lkes trous  éventuels du monde quii nous environne ; en tous les cas ce qui est sûr c’est cela qiue nous avons dit, comme quoi nbous recouvrons de matière (de peinture par exemplke) la surface de la terre, et cela afin de masquer, de recouvrir de choses et autres les trous (les cavités, les pores) éventuels de terre mère nourricière, de boucher ; nous sommes ensemble, nbous nous tenons la main ensembvle, nous sommes cote à côte, nous sommes mari et femme, nous sommes époux et épouse, nous sommes chercheur et chercheuse, chercheuse et chercheur, nous sommes chacun dans son coin au travail, à la recherche d’une vérité qui serait un trou de langage (lapsus)  ; nous avons foi en cette chose d’une vérité qui serait contenue au sein du langage, nous recherchons icelle avec beaucoup d’assiduité, nous glissons sur les surfaces, n ous cherchons le trou dans la glace, nous patinons, nous sommes mari et femme, nous écoutons mugir rugir meugler beugler les betes en nous, qui chargent, qui foncent, qui défoncent, qui trouent, qui nous font le trou de la bouche par lequel passera ou passe cette queue de rat langagière  : une pique, un piquous, une lance qui va trouant à son tour le monde environnant, ce monde enclave (de vie) quyi est notre monde incommensurablemnt détonant, ou incroyablement alarmant, ou indubitablement surprenant etc : adverbe + adjectif quelconque ; nous tenons à ainsi essayer de saisir ce qui est autour de nous, cet esopace-temps indubitablement  surprtenant en nous et autour de nous, autour de nous : cet espasce -temps qui est un mur ou une paroi sensible, dure, douloureuse ; nous ccherchons en lmaboratoire ; nous cherchons des choses  en laboratoire, et ces choses nous les recherchons avec des mots que nous agitons deevant nous (dans le temps) afin de voir ce qu ils charrient comme terre, afin de voir ce que ces mottes langagières charrient avec zelle (à épousseter au fur et à mesure) et ainsi nous rendre à l’évidence, comme quoi nous sommes ainsi en recherche (en quête) d’une chose naturelle et concrète, un trou dans la nappe ; nous époussetons les mottes de nos ras de motte ; nous époussetons les mottes d’herbe, etc, et voyons ce qu il nouss reste en mains ; nous essayons de voir depuis nottre base de travail en ras de mottes ; nous essayons de comprendre ce qui est, ce qui résiste à l’époussetage de la motte temporezlle langagière pariétale ; nous travaillobns de concert, nous essayons de comprendrte et d’aller loin, dsans lke temps sinon dans l’eswpace du langage qui est une nappe de sens divers sur laquelle nous glissons à la recherche d’un passage-vérité qui soit pour nous cette issue fiable dans laquelle nous pourrions nous immiscver (ensemble ? ) à l’heure de nottre mort (?) ou  bien à l’heure de notree extincttuion (?) ;nous cherchons ensemble un e voie d’(abord dan,s le monde, afin de pouvoir enfin nous immiscer en lui, dedans la chose qui est matérielle, dans la roche, en deda ns de celle ci, en cette dureté de chose pariétale remplie de betes qui chargent ; nous avons envcie ensemble de continuer nos recherches à domicile, nous ne cherchgons pas plus que ça à etre connu d’un milieu, car le milieu n’est pas obligatoirement ce quil nous intéresse d’approcher mais davantage la vérité, il nous interesse plus (davantage) de nous rapprocher , ici ou là ? )) d’une vbéritéc qui serait une vbérité-trou de nappe ; notree ambition n’estc pas d’apparaitre au sein d’un milieu (panier de crabes obligatoirezment) mais de poursuivre sur notre voie qui est de recherche (en laboratoire) à treavers une (donc) poussée langagière, qui serait comme une charge dans le temps, pour une découvettre, qui elle-m^$eme serait un taire verbal, un taire dans le verbe déployé, une sorte de taire (terre) en soi qui serait logé dans le taire d’un verbal sur lequel nous serions à patiner des heures et des heurees, à la recherche (de laboratoire) d’un trou bouche, d’un trou- trouée, etc, où nous pourrions nous immiscver subséquemment, ou pariétztalement ; et pariétalement ; nous cherchons, nous cherchons dans notre coin ; nous avons une ambition , nous avons des ambitions ; nous cherchons ainsi une chose et cette chose est notre ambition , mais cette ambition se passe des paniers de crabe, nous cherchons dans notre coin, nous avons une ambition et cette ambition se passera (a priori) du panier de cdfravbbes, car nous sommes desz chertcheurs en laboratoire ; nous voulons en avancer dans la recherche, nous voulonbs pousser plus loin toujours l’escarpolette ; nous avons dees ambitions hautes, mais qui ne cvoncernent en rien ce qui pourrait etre pour nous un frein à nos explorations pariétales, nos ambitions ne sont pas tournées vers ceux et celles qui pourraioent s'avérer etre plus que de coutumes , ou plus qu autre chosee, colmme freins à une chevauchée (la notre) sur paroi de grotte, donc voil ;à ce qu il en est, de nos décisions de couple, de npos décisions ensemble, de ce qui est pour nous l’essentiel ou la base de notre credo , ou de notre base, ou de nos volontés en matière d’art oude recherche en art ; njos idées ; nous voulons, nous voulons cette chose ainsi et nous ttravailloons dans ce sens au quotidien, et ce à l’intériuer de notre atelier-laboratoire de recherche ; nous voulons continuer nos recherches pariétales ; notre volonté se situe ici, et nous cherchons à poursuivre sur la voie que nous nous sommes tracé des le début, lorsqeue nbous avons pris la décision de travailler de concert (chacun dans son coin)- à une recherche dez vérités, de vérités logées, de vérités nich»ées etc ; jnotre but a été affiché d’emblée de jeu ; nous n’avons pâds tergiversé longtemps ; nous nous sommes affichés d’emblée avec nos prétentions artistiques ; nous avons d’emblée a ffichezr nos prétentions en matière d»art des cavernes, en matière d’art pariétal : nous avons cherché d’emblée à occuper les mursdu monde autour de nous de chosesq et autres masquant la paroi le plus souvent, ou bouchzant les trous de la paroi, ou bien épou sant ladite paroi afin de nous lier à elle ; nous vouliiiions nous lier à elle, nous vouloiions faire corps avec elle, nous éytions remonté pour nous lier à elle le plus possible : l’épouser dansc ses anfractosistéeés ; nous étions rezmontés pour cela, bnous ne vouliiiions pas nous défiler, mais tout au contraire, bnous vouliiiions nbous coller à mort à cette paroi du monde environnant ; nous sommes collés ; nous sommes colllés à la paroi terre ; et nous cherchons à nous décoller de la paroi terre mais cela sa n,s avoir à passser de kl’autre côté obligatoirement (obligé) mais avec l’art peuteere d’un dire qui serait non attenaant, qui serait comme détaché du monde ; or il s’avère que le dire n’est en rien détaché du monde ; on veut accroire, on voudrait, on veut croire en un dire détaché du monde, en un dire quui sserait détaché des choses «bassement» matérielle du monde, on veut croire en un dire détaché de la paroi du monde or non, il n’en est rien , il est inséré à la paroi (animalité des repreésentations pariétales langagières)  ; il adhère à la paroi de terre mère, il n’en est pas détaché ; il est attenant ; le verbe colle, etc, à la paroi de terre mhère (représentationsz animalières) ; et il impossible (?) de trouver à s’en détacher si vite, ou comment ?  ;: nous cherchons à njous décoller, pour passer autrezment, sans avoir à passer l’arme à gauche etc, via le sens des mots qui nous fait accroire, mais il n’en est rien, dans la mesure où les mots (abnimaux) adhèrent à la paroi du monde en dur (chose matérielle)  ; nous cherchons ce décollement ? nous cherchons peut etre à nous décoller de la pareoi, nous sommes tous kles deux peut etre qui cherchons à nousq décoller de la paroi ? ou bien tout au vcontraire à nous coller à la paroi ? nous cxherchons ; nous cherchons cette ccxhose : de savoir si oui ou non nous colloons à la paroi ; collons-nous ou non à la paroi ? sommes nous sûrs de coller à la paroi ou bien ne sommes-nous pas sûrs de faire cette chose, de coller à la paroi du monde ; nous pensons que nous ne colloobns pas (tout à fait) à la paroi du monde alors que peut-être nous collons à la paroi du monde, et ds’ailleurs très certainemeznt nous colloons à lza paroi du monde, nous ne savons pas ; njous croyons que nous ne colons pas tout à fait à la paroi du mmonde , que nous en sommes détaché par laraison, et que nous pouvons des lors parler de tout et de rien ainsi dég&agés, comme nantis d’un pouvoir hautain (a-par exemple vis à vis des animaux) qui ferait de nous des êttres décollés pour de b on, et donc capâbles de nous véhiculer ainsi (dans le monde) comme en une sorte de lévitatation langagière or non, peut etre ; or il se peut que cela ne soit pas ainsi en vérité ; d»’’abord, la question des animaux, qui eux sont collés à la paroi du monde (il sembvklerait)  ; les animaux sont collés à la paroi du monde, les animaux seraient collés à la paroi du monde  ; nous disons : les animaus sont / seraient collés à lazparoi du monde ; alors que nous moins  ; pédiculés mais à tête libre (hors monde) or que tchi pêut etre ; il semblerait que nous fussions ainsi (par latete, la rraison, lme haut de notre mobile etc) libéré ou cvomme détachée pour une pâertie, des choses matérielles en vironna ntes, et que donc nous fassions comme si, comme si nous étions en dehors du monde, en dehors de la grotte, hors parois etc, comme si nous étions nanti d’un pouvoir supreme de réflexiion, de réflechissement, de re-fléchissement etc, à partir d’un socle sur terre pédiculé (socle de souffrance et d’endurement divers et avérés) ; nouys pensons croyons, nous croyons pensons ; nous nous estimons comme d&étachés de la paroi, or il n’est pas dit que cela sooiit ; nous pensons que nous solmmes détachés de la parois or rien ne dit que nous sommes ainsi, et peut etre même sommes nbousq nantis en  nous de betesfureiuses qui vont  de l’avant vers une destinée buccale etc, nous ne savons pas ; nous pensons que nous sommes détachés de toutes parois et peutetre que c’est l’inverse qui se passe et que donc nous sommes collés scotchés à ladite paroi et que du coup nous n’y voyons goutte, que du coup nous ne voyons pas grand chose des choses du monde, ou plutot des chose du hors monde etc, alors que peut etre en collant à la paroi il se peut que la chose ne soit pas celle là ; il se peut que de coller à la paroi («betement» = comme une bete) nous permette de comprtendre mieusx des choses quni sont (seraient) hors monde, qui sait ?  ; comme si d’épouser la pareoi du monde, comme le ferait des animaiux ou les animùaux, nous permettait de mieux comprendre ou de voir ce qui setrame , la trame, ou bien de l’autre «côté» de la trame, etc ; nous pensons que de coller au mur est une chose qui peutetre est profitable (art) et permet une vision de  ce qui est derrière ? pasd sûr du tout, mais plutot de faire ainsi que la chose (la paroi) soit tapissée, soit recouverte, soit épousée d’une certaine manière et cela fait, il se peut dès lors que lépoousaille perdurât, ou que les épousailles perdurassent de la sorte ; nous pensons collés ; nous allons collés, noius parlons collés, noius bougeons collés, noius sommes des etres qui parlons collés ou comme collés à la paroi du monde ; nbous pensons collés à la paroi du monde, hnous sommes qui pensons collésxà la paroi du monde , de terre mè!re ; nous faisons des recherches dans ce domaine, nous essayons de faire des recherches dans ce dopmaine en nous donnant la main (au sein d’un couple) ; notre ambition (but, volonté) est de creuser un trou dans la nappe (surface) pariétale du temps, afinbn de passer latete et de naitre (ne plus etre ?) à une autre vie hors monde, hors monde d’ici, et cela dit, nous ne disons rien de plus que cvette chose que nous faisons en épouseant la paroi de la caverne ; notre but ici est de faire épousailles ; il n’y a rien de plus pour nous ici que cette chose de faire, cette chose d’un sortye d’épousailles avec le temps de ce qui vient sur paroi en termes de mots-animaux : «sé dé z-animo» qui sont présents, qui sont les opffrandes du temps qui égrène (égrènerait) son chapelet (pariétal) depuis l’aube de l’humanité ; la recherche est vaine, qui se borne à penser détaché quand la vérité est pariétale , c’est à dire collée serré et incluse comlme une folie (furia) de bete chargeant sur pazroi de grotte (quelque part au monde)  ; nous pensons ainsi (chertxcheurs) que nous devons coller à la pâreoi du sens, que nous devons comme adhérer à la pâroi du sens, non pôint comme à une matière que nous aurions p^laisir (?) à déployer sur une surface, mais comme recherche éventuelle (glissement à perpétuité ?) d’une idssue -à type de troué ou échancrure dans  la toile, ou fente à même latoile ou la paroi ici , puisqu il s’agit ici de la terre mère, sooit : à même le sol, sur la base et à même la base = au ras du ras du ras des mottes de terrre ; nous nous plaçons là où nous avons pour le coup affaire à du sens (indéracinnable) mais dès lors : à la base = à la racine, placés de la sorte, nous pensons (collés serrés) pouvoir ainsi voir une chose ici advenir, qui serait une chose comme une trouée dans laterre mère (une trombe ?) qui serait un trou (enfin ) de vérité, ; nous glissons, nbous nappons paroi mais glissons sur elle, nous cherchons cvomme des dératés sur une surface plan,e , temporelle, de paroi de grootte  ; et cela au sein de notre temple, dans notre village de rase cvampagne, au pied d’une montagne, pres des bois et des forêts, à proximités des champs et des animaux dans les champs ; nous sommes nantis du pouvoir qyui est pouvoir de fgaire en sorte que les mots qui sortent de nos bouches à tous ait un sens précis : qui désigne, qui situe, qui donne des directives (par exemple) ; njous sommes ainsi nantis et cependant nos recherches plutot vont dans une direction qui n’est pas tout à fait celle qui cherche à donner du sens pour donner du sens ; non ; njous, njous pensons, nous sommes deux qui pensons, ici nous sommes deux, mais en vérité nous sommes peu-être plus no=mbrteux , qui pensons cette même chose, colmme quoi il est important, ici, dans le temps, de faire cette chose, d’une sorte de déploiement, verbal-pariétal, de mots-animaux ; les mots sont des animaux qui grondent en nbous leur colère ; les mots sont en nous des animaux en colère ; les mots en nbous sont des animaux qui grondent, meuglent et beuglent ; en nous les animaux beuglent, meuglent, rugissent et nous le savons ; nous savons que nous sommes habités comme paroi de grotte, en nous, par des betes qui sont en colère et plus vraies que nature, à la lumière de notree pensée ; nous savons, nous cherchons ; nous savons qu en nous rugissent et beuglent-meuglent des betes de sommes (par exemple) , comme bisons ou buffles, aurochs ou chevaux , et nous marchons ainsi (pédiculés) avec en nous des betes en colère ; nous sommes nantis de betes en colère (en nous) et nous marchons dans la vie en donnant des avis qui sont des choses qui se collent aux parois du monde, carr ce sont des animaux , comme dans les grottes des temps anciens ; les hommùes du temps des cavernes parlaient avec des animaux et nous parlons aussi avec des animaux, et ces animaux sortent de nos bouches, ce sont animaux de sommes, ils sortent de notre bouche (tous) pour aller se coller à la paroi du monde (terre m ère ou roche éternllele) et rester ainsi dans le tezmps, dans un temps de survenue en déroulé, en cxharge épique, en butée, en fracas et en furie ou furia ; nous sommes des hommes et des femmes qui avons dans notree bouche un fracas animalier (colère) qui va pour se jeter et se graver sur des parois de grotte, et nous , de notree côté, njous deux, elle et moi, ma femme et moi, nbous allons de cette même manière nous coller à la paroi du monde, via ces mots-animaux que nous sortons de nous, et qui sont en vérité des mots de la colère, de la pklainte ou de la colère, c’estc à dire des insultes ; njous allons nous deux (coque) vers l’insulte, vers le mot de l’insulte proférée ; nous nous parlons gras dans nos ébats ; nous sommes animaux de somme sur parooi, homme et femme confondus en une coque (temporo pariétale) d’advenue rupestre et d’étendue langagière pour un temps indé»fini ; nous croyons que nous pouvons ainsi tenir longtemps collés, nous pensons que nous pouvons aiinsi tenir longtemps soudés à cette paroi du monde, aux sens des mots de tête, à cette chose temporo-spatiale qui est la paroi sur laquelle nos mots-animaux se gravent au fur et à mesure que nous avançons en âge ; nous gravons nos noms ; nous... ;

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12/05/2020

nous sommes des chercheurs de formes (tous et toutes) pour nous mêmes , et cela fait que nous sommes laes artistes (tous et toutes) de nous mêmes et que des lors nous n’avons pas d’autre choix sur terre que d’aller ainsi à la recherche, ou pour une saisie, ou dans un but précis etc liés à la forme de soi ou que soi (son soi) arbore à la face des autres, tous et toutes ; nous avons pour nous cette chose comme quoi nous devons au jour le jour (joug) travailler (charrue à tirer) notre forme en tant que nous solmmes en vie, sur terre (rase motte) et allant par les chemins qui peuvent etre (pour soi) des couloirs (de simples couloirs) de batisse, de maison, de lieux divers intérieurs etc ; nous sommes qui devons ainsi nous travailler soi (ou nous mêlmes) notre forme de présentation au monde, avec nos deux mains, etc ; nous sommes qui devons chercher ainsi à nous donner nous-mêmes une forme , à faire en sorte que cette forme que nous avons est celle que nous aimerions pouvoir revetir ou bien que cette foerme que nous arborons collat à la paroi de celle que nous aimùezrions, mais quelle est elle ?  ; nous cherchons (art) cette chose que nous voulons pour nous en tant que forme de notre etre de présentation dans lee monde (deja pour nous , c’est à dire pour nos yeux) ; nous sommes chercheurs ; notre travail est un travzail de recherche ; notre travail ou notre soucii dans la vie (aert) est un souci ou un travail liés à la recherche d’une forme, d’une sorte de présentation = de naissance, de venue au monde etc ; notre souci est de réussir ce passage d’un monde à un autre ; il s’agit de ce souci de passage ; nous sommes qui devons réussirtr ce paqsssage et nous essayons de faire de la sorte qu il soit réussi, qu il puisse adveni r sans encombre ; nous sommmes soucieux de cette chose car nous sommes des chercheurs, et qui n’est pas un chercheurs ? regardons ce qu ‘est un chercheur : un chercheur est une personne xqui cherche quelque chose, qui est à kla rechertche de quelque chose dans sa vie ; qui cherche un quelque chose (une intrigue) et pour cela il furete ici ou là = expérience, car une expérience est toujours cette chose de furtage, de cherchage à droite à gauche, de furetage dans les coins ou dans les recoins de la vie ; nous cherchons des choses dans des coins ; dans des endroits cachés ou sinon cachés qui puissent erenfermer des choses dignes d’etre trouvées etc ; nous sommes des chercheurs qui faisons des expériences, dans le but de trouver des choses et voilà ce qu il nous importe de faire  ; non tant que ça à trouver une solution à un problème (oui bien sur, mais pas seulement : il y a tout ce processus de la recherche qui nous interesse, tout ce mouvement et tout ce travail de recherche, d’expériences, de ratages peuty-etre , mais il faut louper pour trouver un jhour (peu t etre)  ; pour trouver une solution en laboratoire il est important de faire des expériences, c’est à dire de multiplier les expériences, de les accumuler, d’aller d’un coté et de l’autre et tant pis si c’est idiot , ce qui importe c’est de chercher sans ceesse, afin de décanter les choses, les affiner, les rassembler ou les recentrer et miezux cerner de quoi il s’agit dans notre recherche et du coup de se donner les chances de trouver une issue à la question de dépârt, ou au problème qui présidait ici même la recherche ou à un autre problème survenu sur le chemin de la recherche etc ; nous sommes tous des travailleurs de laboratoire, sacjhant que la vie à vivre est le laboratoire et que l’objet de notre recherche nous concerne au premier chef : nous nous promenons dans les sous bois et nous cherchons quelqque choose , que cherchons nous ?  ; nous cherchons toujours quelque chose mais quoi ? que cherchons nous sans le savoir ? nous sommes des etres qui sommes à la recherche de quelque chose et ce depuis l’aube de l’humanité , sauf que voilà, nous ne swavons pas de quoi nous sommes en quête ; nous ne savons pas de quoio nous sommes en quête et cependant nous sommes en quête d’une chose (une forme), forcément une forme) ; bnous sommes en quête d’une forme, d’uner cghose, nous ne savons pas laquelle et cependant la quête est là toujours présente en nous, en chacun, et cette quête est liée à nous comme la prunelle à nos yeux etc ; nous sommes liés à n,otre quête de forme, cvomme à une paroiu de grotte, et cela est la betise incommensurable qui nous goouverne (de tete)  ; nous sommes liés à cette chose en nous qui est une quête bete = au ras des paquerettes ; nous tous sommes liés à cette chose d’une betise de rase motte et incommensurable qui nous gouverne (depuis notre teteet depuis des siècles) et nous cherchons cette chose pour nous (une quête) d’une forme devant nous , d’une forme qui soit nous en mieux : le bien et le mal etre ; nous cherchons une sorte (chacun) de bien etre et cela est une recherche de fgorme pour soi, de forme adéquate, cela est une sorte de forme de soi en mieux définitivement et cela pour apparaitrte (à soi) en tant que beauté , en tant que bien, en tant que bonus, etc ; nous cherchons le bien à voir ; nous cherchons le bien et le plus à voir (en galerie) ; njous cherchons des choses rehaussées, des choses valorisées daevant nous : nous en mieux ; nous cherchons des choses en positif, des mains positives, et des mains négatives positivéesetc ; nous cherchons sur les parois des ghrottes des choses qui se puissent etre pour nous de la beauté-bonus,  de la beauté-bien, du rehaussé de galeristes ; nous sommes sans cesse (sans cesse = de notre vivant) à la recherche d’un bonus de galeriste, d’un bonus qui puisse nous donner de quoi nous alimenter un temps en formes diverses rehausszées , formes qui puisse,t «le faire»un temps et ensuite viendra un temps autre (nouveau) qui à son tour devra «le faire» pour nous sustenter de la même manière que précédemment la chose ; nous disons que nous cherchons des choses, à prendre avec nous, des images, des mots, des choses imatérielles peut ettree, des choses à acquérir par nos sens et non par nos mùains sinon moyennant argent ou finances ; nous prenopns avec les sens, mais pour prendre avec les mains il faut y mettre un peu d’argent, c’est à dire sur la table ; mains + table = argent comptant, biffetons, ou oseille ; il est ainsi que nous voyons que nous pouvons de fait appreocher les oeuvres mais ne point toucher ou alors tu payes ; pour toucher il faut payer ; si tu veux toucher tu payes ; si ton envie est de toucher, si tu es en manque d’avoir à toucher, de corps, de chose à toucher, alors eh bé tu craches l’oseille, etc ; il s’agit ici de ce rapport touche-touche / argent ou oseille ; nous disons l(‘oseille ou la fraiche ; nous nnbous promenons à la recherche d’un coprps à toucher, ou seulement à humer ?  ; nous aimons ces promenades en forêts et npus en faisons régulièrement : pour s’oxygé»ner les poumons et aussi pour parler de choses et d’autres à bâtons rompus , etc, entre nous, à propops des choses de l’art par edxemple ; nous sommes des chercheurs dee laboratoire et publions l’intégralité q<b(?) de nos recherches, de nos travaux de recherches (enquêtes, etc)  ; nous publions des annales, un bulletin, des choses ainsi qui sont des répertoires ou mémoires aussi, et qui permettent du coup de suivre un cheminement, une voie de recherc he, le tracé, les écueils, etc, d’une recherche qui peut etre n’aboutira à rien de bien terrible au bout du comp)te, mais cela n’importe guère en vérité, puisque nous aurons vécu, nous aurons tracé une voie, nous aurons été jusque là ou jusqu’ici, et ce chemin aura la valeur d’une vie etc ; nous sommes qui pensons que ce que nous faisons en vivant est comme un travail continu de recherche de laboratoire ; il s’agit de cette chose que nous faisons en vie, que nous faisons lorsque nous vivons, et ce travail a une finalité secondaire, celle de trouver le pot aux roses peutertee, oui, peut etre, oui le pot aux roses ; nous cherchons un pot aux roeses ; nous sommes à la recgherche de ce oppot aux roses, de notre vivant, qui serait « la mort» vue par le vivant ; qui serait la mort vue dans la sphéère (le laboratoire) de la vie, de l’enclave «vie» ; nous cherchons une chose qui est une forme et cette forme est nous en mieux , nous devant, nous en face de nous mais du coup en mieux (main positive et main négative , etc) et, cette forme , qu elle ne fût point notre cadavre mais celui ou celle, celle (la forme) que nous aimerions pour nous du temps de notre mort, etc ; nous recherchons une entrée de grotte, et une sortie de grotte ; nous recherc hons une entrée dans la roche et pour cela (ou dans le roc) et pour cela nous y allons à deux, main dans la main (coque) et plongeons à même lme dur de chez dur de la rpierre, de la roche, pour une entrée en fanfare à deux dans du dur accueillant, un troupeau de betes meuglantes (parmi) , et nous nous mêlons à l’affreux cortège buffant ; nous sommes de la paretie, nous voulons etre aussi betes que des betes, notree souci est dans cette sphère (se loge) de la betise des betes ; nous cherchons la même ; nous cherchons la même betise que celle des bvbetes ; nous cherchons cette animalité qui est l’autre nonm de la betise (?) ou bestialité alors ? nous cherchons ; nous cherchons des entrées de grottes, nousd faisons (tous) nos exprériences, nous sommes tous dans des laboratoiure de vie ; la différtence entre un laboratoire de recherche scientifioque et une vie (de qui que ce soit) est nulle : il n’y en a pas ;, et de ce fait, nous sommes tous des chercheurs-chercheuses de laboratoires, et bnous faisons nos expéreinecs du temps de notre vivant, et ces expériences s’avèrent productives ou pas, s’avèrent profitables ou pas , etc, cela importe peutetre mais pas tant que cela car nous avons à chercher c’’st à dire tenter, tester, essayer , exp^érimenter etc comme un scientifique et dès lors le résultat de ces expérieznces est important mais ne préjuge en rien du résultat final qui sera celui de la découverte, ; ah la découverte ; nous chgerchons, nous cherchons une découverte ; nous cherchons découverte ; nous cherchons-découverte ; nous cherchonsdécouverte ; nous cherchons découvertons ; nous cherchons la découverte d’une chose, pour soi, qui soit une chose de choix ; nous aimons chercher les chosees et nous eswsayons cela, de chercher pour nous des choses en laboratoire de découverte, car c’est de cela qu il s’agit : de découvcertte de lavboratoire, sacjhant que le laboratoire ici est la vie que nous avons à vivre ; nous nous mettons dans cette chose d’un laboratoire d’eessai divers ; nous sommes qui sommes dans ; nous sommes dans la vie comme dans un laboratoire et nous rechertchons, nous sommes (tous) en quête, et cette quête (ou art) est notrte affaire à tous ; car il s’agit d’une manière, d’une façon, d’une main, d’une forme de recherche en soi, et c’est cela que nous regardons et dont nous sommes les témoins ; il y a une recherche (a t elle un nom pour tout un chacun ? pas sûr) et cette quête ou  cette recherche est ce chemin de vie (artistique) qui nous est montré et qui nous retient ou que nous retenons ; nous cherchons un chemin de quête, à) voir en galerie ; nous sommes des chertcheurs dans nos laboratoires de vie et nous regartdons les états de nos recherche, les stades, les différents stades, etc, et nos jugements ne sont pas ceux que nous pourrions formuler ailleurs, par exemple dans des vies où le bien et le mal concernent les formes en elles mêrmes et non point comme ici les avancées ou les écarts ou les embaerrdées, etc ; notre chemin de recherche est celui qui est le fil de la vie à vivre ; notree cghemin de recherche (ou art ici) concerne le fil de ce que nous avbons (tous) à vivre de notre vivant, il s’agit d’un chemin d’enclave, et qui n’a pas d’entrée  vers cette chose dénommée « la mort» ; nous cherchons des entrées de grotte et ces entrées sont des entrées borgnes (en galerie), à savoir que ce que nous voyons devant nous en galerie est obturé, est borgne, est fenetre borgne sur l’au delà de cette chose ; nous voyons partout des choses borgnes, nous ne pouvons voir que des choses borgnesz hélasz ; nous cherchons des entrées mais il est compliquéde trouver pareille entrées quand les trous sont obturés et que nous avbons affaire à des entrées borgnes, à des ouvertures bouchées, etc(en galerie ou en d’autres lieux où des choses d’art, des objets ou des montages etc, sont exposés)  ; nous sommes ensemble, nous cherchons beaucoup de chgoses ensemble, nous cherchons beaucoup de choses tous les deux, nous ne sommes pas en rreste de chercher, notrtetravail est un travail de laboratoire, nous cherchons des choses pour nous, pour comprendre, et notre façon est une façon qui s’apparente à un travail,  de laboratoire ; nous chgherchons des solutionbs à des problèmes, nous cherchgons qupotidiennement des solutions à des problèmes de laboratoire ; notre envie se situe à ce niveau et c’est à ce niveau que nous cherchons à nous situer, sachant que nous aimons lma recherche pour la recherche, c’est à dire la vie pour la vie : la vie pour elle même ; nous aimons beaucoup la vie pour elle lmême, nous aimons faire des recherches (mener des projets de recherche etc) et aussi faire des découvertes : découvrir le pot aux roses ; notee but est affiché, il est clair ; nous cherchons ; nous sommes des chercheurs, nous voulons monttrer les étapes de notre recherche et cela est notre but , c’est à dir e que de montrer les états de nos recherches c’est déjà beaucoup ; c’est important ; c’est intéressant ; nous mettons à plat les états ; nous mettons à plat les avancées, le tracé, le cheminement, le tracé du chemin et cela est important, cela suffit, cela dit ce que cela veut dire, à savoir que rien n’est fini jzamais, et que mettre un point final c’est se leurrer etc, est-ce cela que cela signifie ? ; nous pensons qu il y a un peu de cela mais nous n’enj sommesq pas sûrs à cent pour cent ; nous ne sommes sûrs de rien ; nous chercghons à dire que nous ne sommes sûrs de rien mais cela est une certtitude or ce que nous cherchons à dire n’est pas une certitude (ou des certitudes) car on le redit, que si on dit qu on est sûr de rien, on dit qu on est sûr de ça (de rien) or non ; nous , ce que nous cherchons à dire (en laboratoire) est cette chose comme quoi nous ne sommes sûrs de rien et pas même de n’être su ^rs de rien, sauf que cette chose, comment la dire ? cvommùent faire pour la dire ? et voilà le b-ut de notre recherche ? nous ne sommes sûrs de rien ? ; voilà peut etre la solution ? est ce que la question posée ou une question posée à la cantonade est une manière d’affirmation autoritzaire etc ? nous ne savons pas,nous ignorons ce qu il en est sur cette question, nous sommes betes, nous ne sommes pas bien malins ; nous ne sommes pas tres forts ; nous ne sommes pas tres dégourdis en cette matière, nous ne sommes pas tres dégourdis en matière de matière grises ; nous sommes plutot assez limités dans nos prérogatives et notre esprit ne dépasse pas un certain seuil d’intelligence qui n’’est pas bien haut, qui se loge en des étages de basse tenue, ras la motte pour ainsi dire : à même la paroi des grottes, collés contre (le museau ou le nez sur la truffe, ici la paeroi) ; nous collons à la vie comme colle une mouche à une vittre, ou image de buffle sur paroi de caverne etc ; nous sommes qui coloons au devant de nous présenté = ces deux mains de rattrapage ou d’attrapage, qui sont donc les mains de la sage femme de notre temps, de ce temps du devant qui nous accueille et nous prend avec luui pour une vie ; nous solmmes tous , nous sommes toutes ; nous sommes dans un laboratoire de recherche et nous sommes les chercheurs et les chercheuuses qui chercghons ou recherchons des choses pour nouds de notre vivant ; la mention de notre vivant» est importante ; nous sommes nous deux (tous les deux) des chercheurs et des chercheuses ; nous sommes tous les deux et chertcheurs et chertcheuses ; nous sommes dans cette chose en n ous que nous avons, qui est de chercher toujours plus avant cette chose de recherche de laboratoire qui est : cette chose, en  nous, animale-pariétale ; nous l’avons en nous, collée adhérente ; nous sommes l’homme et la femme collés ; njous cherchons à faire cette chose en nous, laboratoire d’une vie à vivre d’un point à un autrte ; nous sommes à l’intérieur de kl’enclave-vie pensons-nous ; nous agissons commùe si nous étions à l’intérieur de l’enclave ou d’une enclave-vie ou dénommée vie ; nous faisons comme si nous étions à l’intérieur d’une enclave que serait la vie en elle même = un laboratoire ; faisons comme si ; nous faisons, nous faisons nous deux, ensemble, main dans la main, une coque, homme et femme, femme et homme, une coque, et nous travaillons sous une même égide, égide que nous désignons commùe un intérieur  ou comme étant une wsorte de laboratoire de recherche, et voilà la chose qui nous intéressec: les états , les stadesq ; les avancées, les embardés, etc, des recherches qui sont les noptres , à savoir : un trahjet de viçe ; sans plus de dé

sans autre jugements définitifs, sans plus de jugements qui trient et rejettent, etc ; ici peu de rejet en soi car tous les états nous intéressent en cela qu ils offrent des pistes de recherche annexes ou deréflexions annexes etx ; ill pleut, il fait de la pluie, il pleut sans cesse, et nous nous sommes à l’intérieur de notre antre qui est ce laboratoire de recherche artistique , c’est à dire concernant des buts ou des finalités incertaines ; nous ne savons pas au juste ce que nous cherchopns ou recherchons et cest cela même que nous cherchons à savoir ou recherchons à connzaitre, et ce de notre vcivant ; nous cherchons de notre vivant à savoir ce qu il en est ; ou bien : njous cherchons ou recherchons ce que nous cherchons ou recherchons et cela est l’oeuvre c’est à dire un état ; c’est à dire un «ekta» ; njous cherchons des choses de notre vivant, depuis l’intéerieur(laboratoire) de notre vivant , et tous les stades de nos recherches nous intéressent, sont utiles (des marches) et ne sont pas à néégliger ; nous voulobns comprendre ce qui est depuis ici, c’est à dire depuis un lieu qui est celui qui permet une recherche ; nous sommes des chercheurs (art) quyi essayons de comprendre ce que nous faisons lorsque nous sommes en quête d’un savoir, et cela nous essayons de le comprendre à deux, nous deux, sous un mêmle toit qui est le toit du laboratoire de recherche sur les quêtes et leur finalité , etc ; nous cherchons des mots à poser, mais qui ne soient point des mots de type «défintifs» or le mot posé a en lui quelque chose de définitif par essence, et donc nous sommes bvien embêtés (betes) qui sommes pris au piège, et de ce piège comment se libérer ? nous cxherchons, tel est notre projet de recherche, nous essayons de nous libérer de cette cghose langagière en vahissante, de cet envahissement dde sens d’autorité en nous , alors même que nous voudrions (?) ,nous en libérer ou ne pas en etre les depositaires etc (?) ; nous ne savons pas , nous ne savons pas si nous savons ou pas, etc, il est dicfficile de s’exprimer sansfairepreuve d’autorité, il est vraiment tres difficile de s’exprimer sans faire preuve d’aurorité et c’est cela sur lequel notre enqu ;ête sepose, sur quoi se pose notre enquête, il s’agit de cela, de cette question qui est au coeur de notre projet, de nos réflexions, nous voulons ou bien nous cherchons à comprendre comment s’y prendre afin -de pouvoir évoquer un sujet sans phrases définitives, sans p hrases de fin de paertie, nous ne sommes pas tres malins heureusement, nous avons nos chances, via ce biais de kla betise, nous pensonsq ainsi ; nous nous disons que par kle biais dee la betise, de la phrase ou du phr&asé natif (ras des paquerettes) nous aurons peut etre une chance pour nous (de notre coté) pour aller devant , au plus du devant, dans les recherches de laboratoire, celles que nous menons tandi-s que dehors il pleut ou qu il fait un soleil de feu ; nous sommes enfermés mais nous sommes qui cherchons des issues et ces issues sont des pièces à conviction ; il s’agit d’un travail derecherche et o il est à considérer en tant que tel ; nous sommes qui chertchons cette chose, ; nous cherchons cette chose qui est de montrer les états de nos recherches ; et sur quoi portent nos recherches ? eh bien nos recherches portent sur cela que nous cherchons sur quoi portent nos recherches ; nous sommes en quête d’une chose que lma vie en nous recèle et c’est cette chose (cette inconnue) que nbous recherchgons ou sur laquelle pôrtent nos rechertches ; nous cherchons des mots à mettre sur la chose, cette chose est fuyante comme le temps, comme la pluis, etc ; nous sommes des chercheurs et des chercheuses de laboratoire et nous sommes qyui usinons ou travaillons ainsi, , ;à notrte poste pour l(un et pour l’autre, nous sommes assidus ; nous pointons ; nous avons un travail de recherche à faire ; nous numérotons les états de nos divers travaux de recherche ; nous classons ; nous voulonsfaire apparaitre les états successifs et c’est cela que nous montrons, ces états ;nous montrons cela ; nous avons à montrer ces choses les unes apres les autres et ces choses sont à voir comme des états d’une chose en cours bien sûr ; nous allons vers un point qui n’est pas connu de nous encore et il se peut que le final soit tresw différent du ou des commencements ; notre recherche s’inscrit dans une recherche globale de souffle , de nourriture, etc  , pour  rester en vie : il s’agit ds’un reflet de choses à vivre en nous, il s’agit d’une chose en nbous qui est un reflet, qui est bete comme chou, qui est de la chose dite afin de creuser plus avant le temps des dires à mener pour une issue que nous ignorons ou dont nous ignorons les traits ou la forme qu elle revetira ; nous n’avons ps d’autre ambition que celkle de montrer les états de nos recherchesq ; njous avons à) montrer les états de nos recherches ; nous cherchons des choses en laboratoire et ce laboratoire est notre lieu de vie autant que notree lieu de travaiul ; ici vie et travail se chevauchent ; nous sommes ensemble, sous un même toit, nous cherchons des choses, nous sommes à la recherche de choses qui sont des qui nbous disent la vérité sur la vie , la mort etc ; évidemment que cela n’est pas la chose la plus simple à rechercher , évidemment que nous sommes un peu givrés peutetre mais il n’empêche que nous sommes assidus et que nous nous tenons à la tache, njous sommes présents, nous sommes aux prtemières loges à l’heure et nous continuons sans sourciller nos recherches en la matière ; nous sommes peutetre givrés mais nous sommes à l’heure ; nous sommes des chercheurs et des chercheuses à l’heure ; nous ne sommes pas en retard ; nous tracvaillons d’arrache pied pour comprendre ce qu il en retourne et nous sommes donc assidus et concxentrés sur notre tache ; nous voulons en avancer et nous porter toujours plus loin cxar nous sommes impatients de nature, nous sommes pressés, nous voulons connaitre sinon l’issue du moins plus loin, ce qu il en sera : à force ; car là on voit que la chose est un tour de force et que nous verrons demain , apres demain, naitre des choses ici , que nous aimerions dejà connaitre mais il est ainsi que nous devobns ne pas sauter d’étapes ; la question d’ailleurs ne se pose pas , ; puisqu il est en vérité impossible de sauter des étapes puisqu il s’agit de la vie qui va et que par conséquent il est impossible de sauter des âges, on doit les passer tous cvomme autant d’étapes à vivre ; nous cherchgons à creuser ainsi en laboratooire, nous avons notre propre local, il s’agit d’un abncien temple, il nb’est plus un temple mais encore nous disons le temple , il y a enncore la croix dessus à l’entrée (porche) cimentée ; il s’agit d’un batiment en dur (parpaings) qui date d’apres guerre et que nous avons remis en état et aménagé afin de créer un atelier -laboratoire de recherche ; notre recherche est scientifique en même temps qu aretistique ; nous avons des ambitions qui sont à la fois scientifiques et artistiques ; nous avons des ambitions affichées et ces ambitions qui sont adfiché es concernent à la fois l’aspect scientifique de recherche de sa voirs et l’aspect artistiques dans le sens où nous mettons au propre ces recherches et les exposons à la face du monde (en galerie ou pour la galerie)  ; njotre but est double, ; il concerne aussi bien l’aspect scientifique d’une recherche, quelle que soit cette recherche, et l’aspect artistique lié à la forme de la recherche susnommée ; nos recherches portent sur des choses qui sont à vzenir, qui tiennent au temps à venirt, qui sopnt des chose qui sont déposés devant, sur paroi, sur roc ou roche ; nous savons que ces choses sont dessinées au charbon de bois ou le plus souvent à l’oxyde de manganèse ; nous sommes tres friands de toutes ces formes qui nous intéressent en cela qu elles contiennent un mystère ; le mystère est premier ; il y faut une part de mystère ; il est important pour nous que la chose en soi déposée sur le de’vant fut remplie (emplie) d’un mystère avéré, d’un mystère affiché ; car , cela nous plait ainsi, car, nous sommes des en,fants qui aimons cettye chose , de trouver paertout du mystère comme dans les grottes (entrailles) ; nous aimons cette chose et nous veillons à ce que cette chose soit partout présente, nous cherchons cette chose paertout où nous le pouvonbs car pour nous il est important de bien faire ressortir ce fait comme quoi le monde qui nous entoure et nous avec sommes un grand point d’interrogation ; nous sommes le point d’interrogation et tout ce qui nous entoure idem ; nous somlmes dans le point d’interrogation, nous sommes à l’intérieur du point d’interrogation et tout ce qui nous entoure idem, qui fait pâertie porenante trébuchante idem, de cet immense (à l’échelle de l’univers) point d’interrogation ; nous essayons de comprendre comme nous pouvons, nous essayop,ns de savoir ce que nous pouvons, nous eswsayons de vivre ainsi notre vie de laborartoire : nous essayons d’(accompagner le temps qui va et de laissser des traces de son passage etc ; cela est notre recherche, à sabvoir (notre recherche de la boratoire)  ,  à savoir : cette chose que nous recherchons est cetyte chose d’accompagnement, ncette chose d’accfompagnezment du temps qui se déroule en n ous, par nous ou contre nous etc, et cela dans le butt de mettte à plat un certain nombre de choses contenues en nous, de les faire sourdre afin de trouver des trésors de type caverneux, de type de ceux rencontrés dans les entrailles de la terre : vestiges immaculés d’un passé englouti en nous ancien ; nous sommes des qyui cherchons des vestiges , et cfela en accompagnzant le temps  ; autreement dit nous cherchons par l’accvompagnement (le forçage) du temps à mettre à jour des choses contenues en lui ; nous cvherchons à) faire sortir (de latanière du temps, en kl’accompagnant, en nous coolllant à lui, à cette paroi)n  ; nous cherchons, nous essayons ainsi nous collant à lui à faire sourdre, à faire remonter des choses, à faire apparaitree des choses contenues en lui et qui seraient comme des trésors, des choses qui seraient comme des découvertes scientifiques, des découvertes qui «le fassent» et nous comblassent de joie (nous deux = tous les deux) ; nous cherchons ainsi à faire sourdre des choses cachées dansq les profondeurs des grottes en nous ; nous aimons les profondeurs : de la terre, du ciel, de tout, de nous idem ; nous aimons aimer ; nous aimons les profondeurs et nous disons que nous aimons les oprofondeurs , les puits, les grottes, les entrailles de la terre et du corps humain, les intérieurs, les loges, les abris, les coins retranchés, les cavernesz d’ali baba, les bébés, les secrets, les découvertes scientiques, etc ; nous sommes tres gourmands et nous sommes tres friands et c’est cela que nous souhaitons mettre en avant dans nos petits travaux de recherche scientiques ou aretistiques  ; cela est que nous aimons cela : mettrte en avant (sur le devant ) au propre (présenté ), des choses que nous façonnons dans notre atelier -)laboratoire d’essais et de recherches artistico-scientifiques ; nous aimons aimer cela et le marquons d’une pierre blanche datée ; njous traçons des traits et des points sur la roche, nhous sommes des hommes et des femmes du temps des cavernes, nous aimons tracer des marques diverse sur les parois de ces cav ernes que nous aimons comme nous aimons l’intérieur de la bouche (baiser donné) ou comme nous aimons les cavités ; nous sommes à l’intérieur d’une grotte, il pleut au dezhors, nous sommes à l’abri et nous regardons les dessins d’animaux qui ont été faits sur les paerois , autrezfois, par des hommes dégourdis, il semblerait dégourdis ; il semblerait que ces hommes dessinateurs d’autrefois , furent des qui étaient drôlement dé gourdis et fins, quand on voit l’exacttiude et la grâce de leurs dessins, la chose est bluffante, nbous en restons cois et sans voix, nous en restons cois et bouche bée, nbous en restons cois tout court ; nous sommes tres étonnés par l’exactitude et la grâce de cesz animaux sur parois, on dirait des vrais ; il s’agit de dons ; nous sommes scotchés, nous avons les guibolles qui tremvblent ; nous aimonsaimer, nous aimons marcher sous la pluyie fi,ne, nous promener dans lezs sous bois plus ou moins abrités par les branches des chataigners et des épineux ; nous nbous promenons quotidiennement quasi et cela nous plait ainsi et pour autant nous ne lambinons pas au travail : nos projets sont carrés, notre temple est notre lieu de recherche, nous faisons des essais d’écriture et de scripture scientifico-pariétaux ; nous sommes chercheurs ou chercheuses , njous sommes chercheuse ou chercheur ; nous cherchons dans lezsq sous bois, bnous cherchons en laboratoire, nous veillons à) chercher avec sérieux et une méthode d’approche ; la méthode est principale ; nous aimons les sous bois ; nous cxherchons des champignons dans les sous bois à la bonne sqaison et en laboratoire nous cherchgons à faire remonter des choses du temps que nous accompagnons de concert ; nous cherchons à faire remonter des chjoses depuis les entrailles du temps pariétal ; nous cherchons à faire remonter tout un tas fde choses qui sont comme des trésors auxquels nous attachons une grande importance ; notre but est scientifque ; notre but est notre recherche ; nous aimons larecherche pour la recherche et c’est ce’la que nous faisons car nous sommes enclavés et ne pouvons sortir la tete en vie de la vie, puisque sortir la tete de la vie ce n’est plus rester (pour le coup) en vie mais sortir et cela n’est pas une bonne chose pour nous, pour notre recherche ; mourir met un terme aux recherches hélas ; ce quil faudrait ce szerait de pouvoir sortir latete , regarder vite fait, et re-rentrer la tete mzais oublie, cela n’est guère possible hélas, nbous raffolerions de cette chose mais héla s (trois fois hélas) cette cxhose est impossible, elle n’est pas possible hjélas (quatre fois hélas) et c’’est bien dommage, et donc, ce que nous faisons se borne aux parois de notre grotte : animaux betes et mécxhants , qui chargent dans le temps de leur apparition nominales etc , car ils sont reconnaiiqsables, car ils ont un nom pour nous qui connaissons kles noms des animaux tesl que kle bison, le rhinocéros, l’hippoooptame, le chevreuil, l’antilope, le bouquetin, le mammoutu, le zébu, le renne, etc ; le sa nglier, le cheval,  l’aurochs, etc ; nous savopns les noms, nous avons donné (appris) un nom à chacun ; nous aimons les betyes et aimerions etre «betyes» comme elles, à savoir etre une bete nous même ou comme une  betye (dans cettev clarté que nous subodoropns) et betes comme elles, à savoir riche d’une intelligence bete, riche d’une chose qui serait cette intelligzence en-ccastrée etc, en la betye, et qui nous semble bien plus efficace et adaptée ; njous aimerions etre nous mêmes betes, ras la croute terrestre, le peuple de l’herbe etc ; nous sommpes des etres qui solmmes ainsi qui réfléchissons betement et nous faisons des recherches de laboratoire , des recherches sur le temps des choses qui adviennent, en ou dans dees formes propres, ou en des formes que nous cherchonsà mettre au propre, propre comme le nouveau né qui nait dans la fange de sa mère et que l’auxiliaire de la sage femme ou la sage fgemme elle-même ou le père ou qui que ce soit astiquera rapidement dès sa venue au monde afin de pouvoir le présenter nettoyé à la fgace du monde (la toilette) ; (hé : les éditions ainsi dénommées «de la toilette» !) ; nous cherchons à montrer des chose de nous, de nos recherches, comme font des scioentifiques, comme font des ghens de laboratoires, un laboratoire, un lieu de recherche ; nous sommes ensemble et nous recherchons des choses du temps (qui seraient contenues en lui) et ces choses ne sont pas faciles à fairec rezmonter, pour cela il est nécessaire del’accompagner (le temps) dans son défiolé pâriétal, et pour cela nous avons pour nous notre atelier (notrte laboratoire) qui de fait nous permet de développer des phases de rechjerche, des embardés, des sorrttes d’embardés comme défilés de betes etc ; nous sommes tous les deux cote à cote et notree souci est de trouver à deux des entrées, des ezntrées ou des sorties : des passages, des trous, voilà des trous , njous cherchons des trous ; nous sommes dans la recherche et ce que nous cherchons ce sont dees trous, des trousz noirs et nous essayons dee ce fait de reproduire en laboratoire de faux trtrous (ou de vrais trous)  ?) afin de kles étudier en détails et de mieux cerner (approcher) le mécanisme de leur survenue temporelle pariétalec : tout un programme ; nous sommes des chercheurs (mari et femme) et nous travaillons ensemble afin de mettre à jour des mécanismes temporaels de survenue aub monde, de chodses enfouies (soi-disant) dans les entrailles (de la terre, du temps, du corps, de lka pensée etc) ; notre but est scientifique et s’inscrit dans une recherche plus globale de remontée de choses enfouies (dans le temps, dans le corps, dans la pensée, dans les reves, dans les objets, dans la roche, dans la bete etc) ; nous cherchons à faire remonter des choses en surface mais tout chercheurt cherche à faire remonter des choses en surface ; tout chercheur cherche à faire remonter des choses  en surface, à isoler, à faire sourdre, à déterrer comme patate dans un champ, etc ; un chercheur isole ; un chercheur contient à l’écart ; un chercheur fair remonter depuis les tréfonfds ; un véritable chercheur fait remonter des choses depuis un intérieuir caverneux, soit cvelui de lma pens»ée, de lm’enfance, du passé (= de l’enfance) , du temps, des grottes, etc ; il s’agit à chaque fois d’une puisée dans quelque chose, à chaque fois il s’agit d’une puyisée dans une chose qui nous entoure et cette puisée nous la mettons aub propre un temps, nous montrons, nous faisons mine de montrer ces choses remontées avant d’en tirer d’autres ; il y a ces deux temps : remonter et sauver ; il dfaut remonter et il faut sauver kle fruit de cette remontée ; ce salut nécessite une forme et cette forme est obligatoire, si l’on veut sauver la chose remontée, et il se trouve que la forme du sauvetage est l’oeuvre, devient  cette oeuvre que nous exposons en galerie, pour une monstration publique ; il s’agit dès lors d’un sauvetae ge e-n seau ; il sagit de pouvoir conserver  kl’(eau du puits remontée dans un seau ou une barrique de retenue ; il faut remonter et retenir ce que nous (ou l’on) remontons ou ce que l’on remonte, cela, il faut le bien sauvegharder à part de soi, à part du puits ; il est important de bien (toute) sauvegarder l’areu du puits qui a été remontée à bout de bras ; c’est important en l’occurrence ; il est ilmportant, en l’occurrence, de bien sauvegarder, en baril , en fut, en bonbonne , en  barrique, en bidon, en seau, l’aeu remontée du puits et dès lors le seau, la barrique ou le bison est cette forme de présentation possible, peu importe, njous avons l’eau squi est remontée du puits, à montrer via une sorte de présentation à un public interessé par l’eau du puits, etc ; nous cherchons ensemble à soulever , à déterrer, à faire remonter etc, et cela avec cette méthode qui est la nbotre, et qui concerne une sorte d’accompagnement, qui est une sorte d’accompagnement du temps , dans son déroulé de survenue (pariétale) en cavalcade : les chevaux, cette furia, cette charge sur paroi, sur cette oparoi de temps qui est notrte paroi de temps, nous cherchons et nous trouvons ici, qui de l’eau , qui des chevaux, qui des secrets enfouis dans les atomes de lma matière etc ; les choses enfouies nous inté»ressent beaucoup (les champi-gnons sous les ronces tout autant, au pieds des chataigners)  ; njous cherchons à faire remonter des choses depûis la racine et même p^lus en profondeurs, et pour cela nous adoptons la méthode qui cvonsiste à se coucher par terre, au ras de la motte, et alors de regarder ce qui advienbt, la poussée sous nos yeux de ces jeunes pousses qui sortent (sourdent) de terre, ; ras la motte, etc ; njous sommes des chercheurs de laboratoire, nous cherchons des choses natives, nous c herchonsz à travers des choses (survenues temporo-pariétales) natives et nous laissons faire (sourdre) ce qui doit sourdre et les résultats de ces enquêtes, les friuts dee ceezremontées sont à respecter en tant que telles, et sont à détailler pour ce qu elles sont dxes remontées d’entrailles et d’entailles dans le temps ; nous cherchons ensemble, nous dsommes cote à cote, nous habitons sous le même toit, nous cherchons en laboratoire, et ce laboratoire est le notre, nous cherchons des choses enfouies, nous recherchons des choees ehnfouies, nous cherchons àà tyravers des remontées et c’est ainsi que nous voulons aller eznsemble dans une recherche, nous voulons  a vancer ensemble, ainsi, vers des découvertes pariétales ; notre ambition se loge à cet endroit, en cette volonté de faire remonter des choses depûis le dedans de qsuelque chose, vers un dehors représenté, vers un dehors auquel ensemble nous donnons ou donnerons une forme au propre , et ce, afin de pouvoir présenter proprement (décemment) le fruit de nos (propres) remontées temporelles et pariétales, etc ; notre but est clairement affiché et concerne une recherche qui est à la fois scientifique (avant tout ) et artistique (esthétique) en cela que le nouveau-né est lavé et langé avant d’etre présenté -à la face du monde pour de vrai ; car jusque là il était encore dans sa fange etc, dans les bras de sa mère ou de son  père ou de la sage femme ou de quelqu un d’autre à l’écart ; il était entre soi ; il était jusque là comme entre soi et à présent (lavé et présentable) il est présenté à la fa ce du monde etc ; on peut penser un peu de cette façon et en avanvcser ainsi, vers des parois aussi, vers des parois de galerie aussi, on peut avancer, nous cherchons, nous sommes en recherche, nous sommes à larecherche, nous sommes des chercheurs qui allons à larecherche de  ; njotre but est affichjéc : caracolons ainsi vers une finalité qui  peut etyre n’(advioendra jamais, car nous sommes encl&avés etc ; nous cherchons à faire sourdre des choses depuis des intérieurs, nbous essayons de faire remonter des choses depuis des intériuers, c’est à dire des entrailles, et il y a ce moment de survenue au monde , et ce moment est un moment délicat, où nous devons veiller à sauvegarder coute que coute le fruit de ces entrailles, le fruit de cette remontée des entraillles ; njous deevons veiller à faire cette chose appelée sauvegarde ;  chqaue chose ici est une sauvegarde ;  nbous sauveghardons des choses qui adviennent et ces choses ainsi sauvées (mises en forme propre comme un nouveau né) sont-t des choses qui sont des étapes dans un flot ou flux de recherche générale en laboratoire ; dehors il pleut ; nous sommes servis , en matière de pluie ; nous sommes servis, en matièrre de pluie nous sommes servis ; il pleut dehors mais dedans nous faisons remonter une eau depuis les profondeurs de la terre ; njous essayons d’aller profond dans la terre ; nous eessayons d’aller loin et pas seulement de gratouiller la terre , mais d’aller loin  et profond si podssible ; noptree but est affiché à l’entrée où nous avons marqué «laboratoire de recherche en propfonfdeur» ; notre bute est d’al:ler chercher en profondeur, seulemelnt , la profondeur fait fauucx bond ; nous avons l’impression que la pêerofondeur fait faux bond et que nous glissons sur du supertficiel permaneeemmment hélas ; notre but est d’aller chercher loin et nous trouvons proche : ras de terre ; alors nous changeons notre fusil d’épaule et nous disons que notre but est (dès lors) de gratter la superficie, de voir cette superficie pour ce qu elle est, pour ce qu elle offre sur la durée etc, et d’abandonner ce qui va  (soi disant) chercher loin ; notre but affiché est celui ci , qui concerne la rase motte, la superficie, le , le rase motte de superficie ; notre but est de gratter ce qui surnage dans le temps et dee v oir ainsi, dans cette apparition de survenue directe , ce qui donc surnage à nos yeux, ce qui apparait superficiellement à  la surface, ce qu il advien t au fil du temps et peute etre des lors en apprendrons-nous profond de regarder ainsi en surface ? nous ne savons pas , nous cherchons à comprendre ce qui est , ce qui et ou ce qu il en est du temps, de ce temps qui est temps de survenue ici p)ariétale : un mur, un mur da ns une galerie, un mur ou un sol, c’est à dire le plancher des vaches, la terre mère nourricière etxc, ce monde alentour, qui est notre zone de sustentation bienfaitrice, celle qui nous soutient tout betement, qui est notre salut, qui est tout autanht sauvegarde, soutien et salut ; notree but, ici, est de poursuivre un chjemin, en notant chaque ou chacune des étapes de ce chemin du sceau de son emplavcement (pariétal) dans le tout d’une caverne ou d’une grotte existentielle ; il faut voir à conserver et classer, noter etc, les différentes étapes, les conserver pour soi, les mettre à l’abri classées (au propre) afin de pouvoir les conserver à éventuellement pouvoir se prêter à etre consulté si besoin ; notre ambition, notree but, notere  envie, notre volonté sur la terre, ; notre désir, notre travail, noptre recherche, notre clé ; nous avons pour nous une clé, que n,ous déposons sur un coussin, ou sous le tapis à lentrée etc ; nous sommes ensemble et entrons de concert (de conserve) à même (dans) la paroi, et nous nous mêlons au troupeau vivant, à ce trou peau qui charge en  vie, à ce troupeau qui va de l’avant da ns la vie ; nous sommes insérés, nous sommes au coeur ; nous sommes dedan,s et nous ne pouvons pas nous en extraire car le troupeau porte, il nous porte, il bnous entraine, bnous sommes sous le joug ; un couple de betes de somme sous uyn même hjoug de tenue ensemble ; nous avançons de concxert, de conserve, ensemble, syndactylie ; nous aimons aimer cette chose d’une rcherche en laboratoire sous un même toit: ; nous recherchons dees choses à faire remonter, à faire sourdre, etc, jardinage ; nous avons ce potager à mener, etc ; njotre but est avoué et concerbne la rexcherche en laboratoire , et il se trouve que notre laboratoire est (à la base) ou était un temp^le ; on peut dire est car la croix (à l’entrée, au dessus du porche) n’a pas été retirée, elle trone toujours, elle est en ciment et fixée au mur au dessus du porche ; il s’agit d’unn (ancien) temple ; il est situé aux abords de la montagne noire et il eswt notre atelier-laboratoire de recherche temporo-pariétale etc ; il s’agit du nnotre, il est situé, il est e,n campagne, nous aimons l’aimer, nous y dormons, nous y mangeons, nous y travaillons ; nous sommes, chercheur et chercheuse, mari et femme et en avançons fissa da ns nos recherches et espérons  à terme pouvoir présenter le fruit de nos rechertches aux bnonnes ames intéressées 

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11/05/2020

nous essayons à deux de nous présenter face à la paroi, nous avons ce désir à tous les deux , de nous présenter face à une paroi qui est la paroi de la vie sur terre, nous avons tous deux cette envie et cette chose en nous , de nous présenter face à cette paroi qui est la paroi de la vie terrestre, nous sommes deux qui avons cette envie et nous essayons de l’écouter en nous, d»’écouter en nous cette chose qui insuffle en nous un élan de vie parioétal, ou un élan de vie pour une paroi vers elle, une envie en nous qui est à se loger pour une envie d’aller vers elle, à savoir vers cette paroi du devant de cette vie, qui est celle ici qui s’ouvre à nous à mesure que nous avançons en âge ; nous faisons ce chemin ensemblre , pour une virée ou une embardée vers une paroi , une de celles que la vie autorise à chacun, à chacun sa propre âroi, chacun a sa propre paroi et nous nous avons la notrte et c’est ainsi que nous pouvons nous rendre à son chevet pour ainsi dire, ou à ses pieds pour dire autrement , car la paroi est sur le devant, comme table, comme lit, comme élément de butée et de pause ; il s’agit d’une paroi en dur, en durée, une paroi qui permet cette buteeé en contralller, qui permùet de se placer contre, cvontre une avancée qui est nottre avancvée , il s’agit d’une paroi en contre-butée ; cette paroi est celle que nous rechertchions, nous étions tous deux à rechercher pareille paroi et nous sommes heureux de l’avoir trouvé pour nous car nous avons besoin de pareille paroi et nous ne voudrions pas, ou  nous ne voulions pas passer à côté de pareille chose devant nous, qui représente cette vie que nous avons à avaler, à engluotir en nous , comme éléments alimantaire, comme nourriture ; nous l’avons pourr nous devant nous (paroi) qui se présente en tant qu’aliment, en, tant qu il s’agit de quelque chose à engloutir oesophagiquemen,t ; nous sommes nous deux (elle et moi) sur ce chemin d’une prise alimaentaire pariétale et c’est ainsi que nous nous affichons, que nous nous montrons nous deux, l’un pour l’autre, dans cette chose d’une monstration alimentaiore, dans cette chose d’un engloutisseùment de denrées en nous, de vivres en nous, qui passent par nous (bouche) et descendent en nous pour nous sustenter et nous tenir debout face à face et face à telle ou telle paroi de vie ; nous sommes tous les deux en face à) face, attablés, nous parlons de mille choses ensemble car nous aimons parler de mille choses ensemble, nous sommes tres friands de cette chose, de nous échanger, de nous donner la réplique, de mùener à bien des conversations de longue durée sur des sujets qui nous plaisent comme par exemple ceux qui ont attrait à ce que pour nous l’art représente, à ce qu il en est pour nous de l’art, ce que nous mettons sous cette appelation et la mùanière dont nous concevons cette chose, cet élan de vie etc ; l’art pour nous revêt une grande importnce, nous aimons parler d’art, nous parlons souvent de l’art ou d’arty entre nous, nous habitons un petit village, nous sommes attablés pârfois, et nous échangeons des idées sur toutes ces questions qui sont au coeur de nos réflexions, de nos envies, de notre squotidien partagé, de nos interrogations existentielles ; nous parlons régulièrement )à propos de l’art et c’est vrai qu il s’agit d’un sujet qui nous occupe beaucoup au quotidien, en plus du reste, en plus des choses plus terre à terre a priori, etc, nous avbons beaucoup de conversations sur ce sujet ou sur le sujet, et nous aimons beaucvoup échanger des idées sur tout ça, sur ces soucis de l’art, de l’art des pârois tout aussi bien, de lm’art des premiers hommes il y a des ùmilliers d’années ; nous aimons échanger des idées sur tout ces sujets et ainsi arriver à dégager des pistes de réflexions, des données, des choses à déveleopper ensemble etc, à table, au lit, entre quatre murs (ceux de notre temple) ou bien à l’extérieur lors de nos balades quasi quotidiennes, en campagne, par les chemins à travers les champs ou les bois ; l’art pôur nous est avant tout un art des parois ; il vba sans dire que pour nous qui sommes deux, l’arty est avant tout un arty qui concerne la chose dite pariétale, la chose -paroi, cette paroi qui est le devant de la vie car la vie a un devant ; le devant de la vioe est lma table ou le lit, le devant de la vie est la table ou le lit mais pas seulement la table ou le lit, le devant de la vie est la table ou le lit mais pas seulement ; le devant de la vioe est lma table ou le lit tres certaionement mais pas seulement : il s’agit de lma pâroi ; cette pâroi est celle qui se met en face, qui vient face à soi (à nous) s’interposer , se placer enttre une choese qui est cachée et nouis qui sommes debouit ; nous regardons lma paroi du monde et ce regard se loge alors dans une chose que nous désignons de ce mot de «art» qui est donc (cette chose) le regard porté sur la âroi ; ce regartd porté sur paroi est cette chose que nous appelons ensemble art, c’est à dire que nous pouvons voir ensemble (nous deux) des choses devant nous, soit des choses pariétales, et ces choses devaznt nous (parioétales) sont la vie qui est ce devbant, cxette chose qui ici se présente à nous (offrande) qyui allons par les chemins ; nous voyons donc ces choses , et ces choses ainsi rendues visibles (sensibles) nous les touchons, nous mùettons la main dessusus, nous les sentons, nous les faisons notres ainsi pour ainsi dire et ayant fait cette chose nous pouvons en discuter ensemble et essayer de déghager ensemble des notions, des idées, des réflexions sur le sujet ; nous tentons des discussions, n,ous tentons des réflexions, nous tentons des hypothèses, nous tentons : nous subodorons le pôt aux roses, nous tentons des idées, nous tentons des choses dans ce dop=maine qui est celui des idées concernaznt la chose , soit celle qsui nous occupe quotidiennement et qui est cette question de l’art, de lm’art de lma paroi du monde ou de la vie du monde ; notre vie (à nous deux) est vie pariétale, nous sommes ainsi que nous pensons cette chose comme quoio la vie pour nous est une vie que nous imaginons comme un espace tpariétazl de vie, et c’est ainsi que nous nous mùouvons à l’intérieur de cet espace (à deux) pour une réflexion à) mener ensemble sur la question, sur cette question d’un art étéernellement pariétal ; nous subororons le pot auxd roses, nous pensons que nous puorrions en savoir long ensemble, en nous quystionnant au lit, à table, sur les chemins etc, en essayant de nous croiser le fer, en s’essayant à des discussions endiablées, en essayant de nous croiser, de croiser nos pensées, nos jambes, nos coprtps enlacés etc, afin d’arriver à des cvonclusions, à des semblants de conclusuion, ou à des embryons de conclusions sur cette qsuestion ; l’art est ainsi une chose qui est entrecroisement de guiboles, qui est enlacement ou entortillement, qui est mélange tres certainement et cela à visée pâriétale, et cela à visée pariétale dans la mesure où la vie se p^résente comme une sorte (à nous) de devanture, comme une paroi pour ainsi dire, une roche, en dur, en dur de dur, et nous fiche conttre, et nous fout contre elle pour le dire ainsi etc ;nous nous retrouvons blottis ; nous nous retrouvons comme blottis contre elle (entrelacements) et nous aessayons de nous y retrouver autant que possible et autant que faire se peut ensemble afin de comprendre au mieux les enjeux de vie qui se présentent à notre gouverne, pour une vision élargie des choses en présence, des choses de l’art, de cet art qui est cette chose d’une sorte de présentation naturelle, naissante, etc ; nous voyons lm’art comme une naissance ; nous pensons que l’art est une naissance avec présentation ; nous pensons nous deux, par les chemins, à table, au lit , etc, que l’art est une naissance avec type de présentation, etc ; ici la présentation est le chantournement, le lien vrillé, le cordon tout aussi bien etc ; nous voyons la chose de l’art comme une naissance avec une présen,tation qui peut varier à chaque naissance et qui varie à chaque naissance, certe, mais qui est à chaque nazissance une sorte d’arrivée qui à chaque naissance est une retombée ; l’arty cvomme retombée ; il sembleraiot pour nous que l’arty ressemblat de pres ou de loin à une retombée, à une chose qui, sorti de dieu sait où, va dans le monde bu-ter, va pour buter dans un monde qui est ce monde-ci, va pour se coller ainsi à ce monde-ci qui est d’ordre pariétal, qui est ce monde d’ordre pariétal qui s’ouvre à nous au moment où nous sortons du ven,tre de notre mère ; nouys sortons d’un ventre ; nous sortons d’un ventre de femme et nous venons nous cvogner à paroi du monde, et nous sommes qui venons nous coller-cogner à une paroi qui est en dur comme de la roche et cela est de la roche, c’est, cela est du roc, c’est, cela est du dur de chez dur d’emblée et pour nous , l’(art est cette choses en dur que nous habitons d’une manière tellle que nous essayons de l’habiter ainsi que nous pensons pouvoir le faire à deux, de cette manière qui est que nous sommes ensemble (entrelacés) pour une vision nette, pour une mégavision, pour une exageération des choses afin de ces choses les pôuvoir ensemlble au mieux les visualiser  , les reluquer pour mieux les comprendre, les prendre, les saisir , saisir cette réalité en dur en nous, afin de mieux quoi ? la mettre en nous comme denrée de vie, à savoir alimùent, élément d’alimentation, élement de vioe sustentatoire ; nous vcoyons l’art (la question de l’arty) à ccet endroit ; nous pensons que l’arty a beaucoup à voir avec la rt des paerois, ou dit autrement nous pensons que l’art a toujours un lien fort avec lm’art qui était celui ders parois, des premiers hommes, des hommes d’il y a bien longtemps, qui sont en nous ou survivent en nous, ces hommes qui, autrefois, dessinaient et gracvaient des betes sur des parois et offraient ainsi des images de présentations au monde, de n,aissance rupestre au monde, de naissance s animalières ; nous aimons beaucoup ensemble regarder des videos sur ces grottes, sur ces intérieurs de grotte ; njous aimons beaucpoup les intérieurs de grotte, nous aimons beaucoup l’intériuer des grottes ornementées, nous avons beaucoup de joie, de p ;laisir et d’intéret à visiter des groottes ornemenétes ou ne serait-ce qu’à regarder dfes films sur ces questions, sur ces sujets de présentations pariétales animalières, ou de présentatations animalières sur paroi, sur roc, sur rocher, sur roche ; notre gout à tous les deux va dans ce sens, va dans c ette direction, se loge à cet endroit, nous pousse à réfléchir dans ce sens, est notre gout pour des questions relatives à la présentation, à cette présentation des choses du monde, en, ce devant offert (ou devanture) etc ; nous avons les mêmes centres d’intéeret, nous aimons (pour nombre d’entre elles) les mêmes choses et c’est une chose très importante (cela) ds’avoir des gouts en commun et de refléchir à des choses proches : 1, pour en avancer dans nos rtéflexions en propre, pour pouvoir avoir de quoi creuser, pour avoir de quoi pour soi pouvoir creuser sur des questions, pour plus avant avoir pour soi de quoi crteuser , etc ; cela est d’une grande importance, cela est important d’ainsi avoir du répondant et du coup : l’imporetance d’etre deux au moins, dx 'etre au moins deux pour pouvoir échanger et creuser avec en face de soi une personne capable de te renvoyer la balle etc ; cette chose ; et la deuxième chose, est cett e cxhose qu’à deux il deviaent possible de s’entrelacer, de se contourner-chantourner ensembvle et créer de la fibre, de la vrille etc, une fibre-vrille qui est une sorte de filin , détoffe, etc, un tissu d’enchevetremùentes ou d’entortillements de «guiboles» qui du coup permetten,t aussi une penseé des choses, une sorte de pensée en sorte de tissu de chose, en forme de tissu, de fil, de cordeou de cordage etc : une vrille ; et du coup, ainsi munis ou armés, nous pouvons discuter ensemvble sur ces sujets qui concernent l’art et nous le faisons car nous aimons ça, nous nous régalons de discuter à propos de l’atrt pareiétal, de l’art des cavernes, dont nous pensons, ou pour leqquel nous pensons que l’art actuel (l’art qui est celui du temps de notre vie) , nous pensons que l’art actuel, l’art du jour, l’(arrt qui est celui qui nait à chaque instant quelquepaert, qyuelque part en un point du monde, à chaque sevconde, etc, cet art pour nous (nous pensons) a toujours à voir avec celui des premiers hommes du temps des cavernes, nous pensons elle et moi que l’art est un art pariétal ; que l’art est toujours (depuis les origines) un art pariétal, qu il n’y a pas d’autre voie que ceklle là, et que tous les artys sont des artys pâriétaux (d’enchevetrements, de vrilles, etc) ; nous pensons que l’art est de l’art pariétal toujours ; nous pensons que l’art est toujouirs de l’art pariétal et que nous ne sortons pas de là, qsu 'on en sort pas, et que la vie est la paroi , le temps de cette chgose à vivre, à iingurgiter, etc ; la paroi prime ; la pâroi est cettye chose que n,ous avons devant nous, que tout le monde a devant soi, il y a cette pâeroi devbant nous, cette paroi est la paeroi de la vie, il y a cette paroi devant nous à chacuun , pour chacun une paroi, nous avons chacun une paroi et à deux aussi nous avons une pareoi, nous essayons d’aller ainsi buter contre à deux, coque, chantourenements, enchevetrements, entrecroisement ou enlacements des guiboles, à table , au lit, etc, pour une percée de roche de type paroi (pariétale) et une compréhensdion ders choses rudes ; nous perçons avec nos jambes ; nous voulons comprendre ce qui est de cette vie sur terre ensemble, nous voul ;ons essayer de cvomprendre ce qu il en est de cdette vie sur terre, nous cherchons à y voir clair le plus possible, à comprendre ce que c’est que cette vie sur terre, ce qu il en est et que nous avons du mal à comprendre ; nous aimerions comprendrte ce que c’est que cette vie sur terre et nous avons beaucouip de questions en  nous qui nous taraudent sur tous ces sujets , de la vie et de lma mort, des représentations animalières, des parois gravées, etc ; nouys nouys posons beaucoup de questions, nous ne sommes pas chiches de nous en poser car nous sommes les yeux ouverts sur une paroi qui ne manque pas de nous interroger sur le sens des choses ; nous ne comprenons pas comment cela est possible d’etre en vie avec des guibolles et marcher sur de laterre ferme et cela dans le temps et quii plus est main dans la main (entrelacements et pénétrations diverses)  ; nous ne comprenons pâs de quoi il en retourne et nous, nous voulons comprezndre : hacher, cabrer, remplir des cadres, compulser des données, et voir les parois du monde, cxes devantures, ces virtines, ces roches ; nous sommes sur la même longueur d’onde ; nous sommes tous les deux sur la même longueur d’onde, c’est notre chance, nous pouvons nous entrcroiser les fers, les quatre fers et essayer d’avancer dans nos réflexions, en croisant ainsi les fers (les guiboles tout autant) mzais pas seulement : en y allant franco, en butée, en franche butée, en collage ; nous y allons comme en s’y collant, en s’y agglutinant contre etc ; tous les deux ; nous aimons nous coller contre la pareoi pour mieux ressentir celle ci (l’écouter aussi) et comp^rendre mieux ce qu il en est de pareille butée de v ie ; l’art pariétal est le premier et le dernier des arts ; entendons nous bien, il est le premier (l’animal avant toutes c  hoses) et le dernier car tout ce qui est fait sur terre encore aujourd hui en tant que choses relavant de l’art ou de ce qui serait ainsi dénommé, ; ou de ce qui est ainsi dénommé, tout ce qui existe sur la terre en tant que ce»la est désigné par ce vocable (art) est la continuation ou la répétition sous d’autres foemes (toujouirs renouvelées pour tromper son monde) de l’art des cavernes, de cet art animalier qui orne nos grottes ; l’art des cvavernes est le premier et le dernier des arts ; nous avons compris cette chose cdepuis longtemps et nous la colportons à l’envi, qui surr kles marchés, qui sur kles foires d’art cvontemporain, à bâle, à kassel, à paris ou à los angeles, etc ; nous avons compris cette chose tous les deux il y a belle lurette et nous sommes firers de l’avoir compris et du coup nopus lke fetons : njous fetons cette compréhensuion comme on fete un anniverswaire ; nous avons compris cette chose (art pariétal = art) et nous colportons comme des charretiers de l’ancien temps, cette chose comme quoi rien de neuf ne nait mais cette chose qui est là naissante (cet art) est la reprise à jamais de l’art des cavernes ; nous pensons que l’art des cavernes est le premier cvertainement mais aussi le dernier des arts de monstration : il s’agit de figures animalières, censées trompr son monde, senser représenter la vie dans ce quelle a de plus rugueux , rocheux, dur de la cabesse ; nous avons cette idée (elle et moi) comme quiioi nous solmmes comme ces hommes étaient, ces hommes de lma préhistoire) armés ou munis pour aller affronter en dur cette chose d’une paroi qui s’offre devant nous : durée de vie ; notre envie à tous les deux est d’échanger sur la question, et de mieux comprendre les ressorts qui sont à la base, qui sont ceuux de cette chose dite «art» et qui n’(est autre que cette chose pariétale en dur, en dur de cabesse, etc, quand ça cogne ça fait mal ; nous sommes ensembnmbkle sur une longueur d’(onde en commun, qui nous voit comprendre mieux ensembvle le choc pariétal de la naissance : contre le bassin de maman ; nous avons compris cette chose il y a longtemps, nous sommes fiers (arborons fireté) depuislongtemps de cxette chose, cette chose nous la colportons sur les marchés, à l’en,can, nous hélons la chose («oyez bnraves gens») , nous n’avons pas peur d’etre ridicules si besoin, ou si jamais, nous n’avons pas peur de passer pour des etyres benets ou timides, ou couillons, ou bien betesq ; nous n’avons pas peur de passer pour des etres de peu et nous y allonbs d’un «oyerz» qui en dit long sur ce que c’est que l’art (que l’art contemporain tout aussi bien) , etc ; nous oyons, nous osons oyer, etc ; notre plaisir, ce plaisir, nous disons ce que nous avons sur le coeur, rien de ce que nous avons sur le coeur ne doit rerster à quyai ; il est importanbt de faire cette chose ou en sorte que, ce qui est, ce qui sur le coeur est qui reste et s’implante, eh bien cela, cette chose qui reste comme en travers, qui vous gêne aux entournures, disons plutot toutes ces choses ainsi qui sont commùe de traviole, eh bien  : il est important que ces chosqes ne restassent pas de cettye sorte (en travers) ert tombassent dans l’es c arcelle ou contre la paroi : le bassin , du bassin , ce ploc de la chose chue, cette chose chue qui est naissance pa riétale à visée éterneele ; à visée dune soorte de prolongement qui va ; àvec cette visée d’une sorte de prolongement dans la durée et la dureté pariétale etc ; choc ou trauma(contre paroi) qui fait que nous sommes ensemble à réflécghir à cette queqstion de c  e que l’art est pour nous ou nb’est pas ; ce que nous faisons, ce que nous avons envie de faire et de comprebndre ; nous voulons comprendre et savoir comment s’y prendre ou nous y prendre dans la vie : les choix à faire etc, pour mieux cerner les composantes, les données, les denrées etc ; ce que nous envisageons à nous glisser en nous, par le bec, toutes ces choses (aret) que nous  voyons ici ou là, et dont nous didsons qu il s’agit à chaque fois d’art par(iétal, d’un art des cavernes, des roches, d’un art du roc, qui est l’art qui est une sorte de trompe-la-moprt etc ; toutes ces choses sur lesquelles nous échangeons dans la semaine, et le dimanche, repos, jour du seigneur, jour solaire d’une promenade justement : si de fait le soleil nous permet cette chose d’unec promenade derrière le temple quye nous habitons, derrière lle temple soit dans les forets, à travers les champs, sur ces chemins de terre ; nous réfléchissons à toutes ces choses qui nous occupent beaucoup,, nous voulons réfléchir à toutes ces choses qui sont prégnantes, il s’agit d’une réflexion de fond concernant l’importaznce de la vie sur terre, l’importzance que la vie sur terre revet à nos yeux, pour nous qui sommes ensembvle et qui vivons maritalement ensemble et couchons ensembkle etc ; nous sommes ensemble réunis, sous un même drap, etc, et nous nous échangeons bien des choses en entrecroisement de données divertses, et cela forme une sorte de pique, de lance, de vrilles, etc, afin de pouvoir avec (si possible) percer le voile de la paroi ou ddu roc ou de la roche devant nous, qui devant nous se présente en dur (la réalit é) pour mieux nous tromper ; nous sommes ensemble et vivons ensemble ainsi et faisons descchoses ensemble (raisonnablement)  ; nous habitons un petit village du sud de la france, notre intéret pour les parois est grand, nous aimons déblatéerer sur toutes ces quesqtions concernant l’art des cavernes ; njous pensons que les animaux président ; que la base dfe ce que l’on nomme «aryt contemporain» est pariéétale et animalkière ; nous pensons que la base est ainsi faite, ds’animaux de charge, ces betes féroces qui vont bruissament contre un ennemi, contre une pâroi, contre unennemi à combattre en dur ; nous aimons passionément l’art rupestre, et nos conversations essentiellement tournent autour de ces questions et de ce que l’art pariétal aujouird hui encore peut nous apporter en termes de réflexions existyentielles ou ayant trait à l’existence de lk’homme (§et des animaux) sur terre, car nous sommes cernés, entourés de milliartds de betes tout autoutr de nous ; nous vivons parmi des animaux innombrablles, nous sommes entouérés (ô combien) d’(animaux de toutes sortes et de toutesrtailles ; nous aimons cette réflexion, nous aimons l’art, la quyestion de l’art est pour nous centrale : ezlle est au coeur de nos tourments, de nos réflexions et de nos convertsations, car l’art des paerois s’adreesse au coeur de cette chose (cet etre) qui est toujouirs là le même à proximité, et cet etre est animalier ; il s’agit d’un etre qui est cette chose, que nous voyons, que nous subodorons ou que nous ressentons (selon lkes personnes), et cet etre est l’etre supreme, celui là même qiu nous voit faire de l’art, car l’art s’adresse à l’etre supreme, qui est celui là que nous voyons (pour certtains) ou ressentons ou subodorons (pour d’autres)  ; cet etre supreme est présent paretout et voit tout  : il s’agit de l’(animal ; il s’agit de l’animal en nous et en dehors de nous, car il y a en nous un ani=mal comme il y a paertout des animauxd, la chose ne fait pas de doute ; nous avons compris ; nous avboncs compris cette chose et nous y souscrivons ensemble, qui (pour elle) sur les foires d’art contemporain , qui pour moi à l’encan, en des écrits provoqués et brutalisés ou brusqués, plutot bruusdqués ; nous avopns ensemble compris cette cxhose dont nous solmmes fiers et cette chose est cette chose d’un art pariétal éternel : de toute éternité pour le dire autrtement, d’un art pariétal ou des cavernes, qui se prolonge dfe toute éternité dans les vies de tout un chacun, de tous et de toutes ; nous voyons ainsi l’arty des cavernes, comme celui qui seprolonge dans la durée : qui colle au temps ; voilà le collage ; nous voyons cette cghose pour nous d’un art des cavernersz qui vient nous flanquer de la sorte , pour ainsi dire, contre la paroi du temps, cette choses qui s’égrène à pas comptés, à mesure que nous acvançons en âge, et qui est paroi, qui est mur, qui est roche roc, qui est cette chose devant nous que nous traversons de n,otre vivant ; l’art est des lors lma travbersée de cette chosecpariétale, de cettecfvhose murale, de cvette chose des cavernes ; nous avgons compris et cerné le pot aux roses,nous serons moins betes dorénavant ; ah cette joie pour nous ce soir , de nous coucher et de nous endormir ainsi soulagés, de nous allonger de cette sorte en pareille connaissan,ce, nous allons pouvoir souffler (à deux) sur notre couche, ainsi perché»s étendus à plat, nous allons pouvoir souffler de cette chose , et nous en reparler sur l’(oreiller, et nous dire tout ce qui pour nous relève de cettedécouverte (pour nous) capitale, capitale en ce que cette chose pariétale en nous, ennos vies, est une chose à jama is reconductible  ; par voie maternelle (le bassin, etc) mais a ussi par voie parioétale : l’effigie animalière dessinée ou gravée sur roche ; la présentation ici est double : offrande à la vie dans les deux cas ; nous avons compris cette cghose, nous seropns moins betyes désqormais, au momeznt de quitter lers lieux, ou de débarrasser le planvccher, au choix ; nous sommes enzeesmbvle pour ainsi pouvoir échanger entre nous des propos diverts et variés sur des sujets divers et variés tout autant, mais qui tous revetent pour nous un interet tres grand, un tres grand intertet , dans la mesure où ce qui est devant (la paroi du tempds) est le support de l’art tel que nous l’entendons ou le comp^renons ensemble ; l’art est cette chose (opariétale) qui s’opposoe à nous en tant que roche en dur (temporelle) qui est une choes à dfevoir cogner, à devoir aller buter etc, afin de laisser ou d’y laisser des marques sinon éternelles du moins à visée d’éternité wsi tant est que la chose puisse ainsi etre formulée ; nous dessinons car nous aimons dessiner, l’amour ici entre en ligne de compte, il y a cet amour (premier) pour une chose, et cet amour préside, est au coeur, est central, est le foyer etc, qui préside auxx destinées graphiques ; nous disons : amour, nous disons ce mot, nous disons amour pour dire élan ou pour dire jetée, ou jet, encore mieux «jet» ; nous prono nçons des motds qui (tous) sont des mots que nous avons en bvouche souvent pour ce qui est de désigner l’arty, cette chose de l’art (art pa riétal) qui est notre ghrande affaire, car l’art est notre grande affaire ; nousessayons ensemble de co:mprendre ce que c’e’st que d’être en vie sur terre, toutes ces questions , et il se peut que les questions soient mal posées et que de la sorte nous soyons bernés, oui, il se peut tout à fait que nos questions(et l’ensemble de nos réflexions suur les choses de «derrière») soient mal posées et que nous soyons (depuis le début) floués ou bernés, il erst tres probable que cela est de cette sorte, que donc nous utilisiiiions un langage , des mots de manière erronée, d’une manière (surnaturelle) qui nb’a pas de sens avéré etc, oui tres certainemeznt, et que donc nous soyons betes, et que donc nous soyons au rang des betes, de ceux qui sont betes (pauvres en esprit) , eh bien ceztte chose (d’un emploi faussé du langage verbal) est une chose capitale (de la tete) qui se doit ds’etre reconnu et bien compris ; à savoir cette chose , comme quoi cet usage malvenu est capital, doit etrte, doit ou se doit de persister sur teerrre ; kla betise est  cette chose animalière qui poréside aux destinées du monde ; la betise en nousd doit etrte reconnue et choyée ; il ne faut poas cherchezr à eztrte intellifgent mais bien au contraire il faut cvontinuer à etyre bete afin de nous loger aupres (à la droite) des beters ; les betes sont nos aémis ; nous avons des amis sur terre et ces amis sont des betes ; il ne faut pad séloigfner dee la qusetionb des betes, car celle ci est centreale et doit etyre au coeur de toutes discussiobns ou conversa&tions au sujet de lart ; car l’art est anuimalier avant toutes chgoses ; l’art est l’art animalier ; l’aret est avant tout un art animalier: historiquement mais passeulement ; derrière toute forme d’art (chantournement, vrille , fibrilles etc) il y a de l’animal) il y a un animal qui lance sa corne, sa trompe, son bec, son museau etc, ce qui part de cet ezndroit du visage  (entre les deux xyeux) et qui fiche aussi sec son allant dans le cours du temps ; il y a troujours cette chose devant, cette chose qui va, de soi, vers le monde pariétal, qiu l’épousant, qui l’embrassant etc ; nous so:mmes munis et nous sommres armés d’une tige, d’une cghose, qui part de nous (grosso modo d'entre les deux yeux) et qui file buter le devant pariétal des choses du monde, de la vie sur terre qui est cette vie pariétale de butée ; de butée contre, d’aller contre, etc ; il s’agit du sens des réalités, ou du cours des réalités, de ce qui est pour nous cette choses des réalités ressenties, senties, actés, éprouvées etc ; elle et moi nous connaissons cesz chose (pariétalesq) qui nous environnent de notre vivant : nous vivons à une époque donnée , en un lieu donné, des situations données qui sont toutes d’origine pa riétales : nous sommes benets, nous sommes bestiou ; notre sentiment eswt que nous sommes voués à devoir buter de notre vivant (à chaque secxonde) contre la dite paroi du temps, des choses du monde (en dur) qyui sont temporelles et nous font du tort au fur et à mesure que nous avançons : sur le chemin et en age ; njotre sentiment est que nous sommes mourants ; notre sentiment nous porte à penser que nous sommes appelés à disparaitre, et cela en nous , en notre organisme ; nous sommes scerclés par des animaux, encverclés, et nous pensons que nous sommes mourants, nbous nous disons cette chose comme quoi nous sommes appelés à mourir un jour et cela nous troubvle (en nous)  et nous pousse à agir : aller de kl’a vant sur un cxhemin ; le chemin est une chose tres importante et que nous devons bien conserver en  ous, en esprit, à notre esprit, car le chemin est tout : il est cette cxhose qui va lorsque nous allons ; il s’agit de lo’art des ca vernes, ils’agit d’un art dit animalier et cet arty est une façon, est une façon de tourner les choses ; l’art des tournure ; il bn’y a pas d’arty sans tournure ; la tournure guide et permet la naissan,ce (présentation) de l’art ; vrille ; nous voyons les mains (les deux mains) qui prennent, qui comprennent, qui attrappent, qui prennent le mobile, qui saisissent, les deux mùains du futur proche (de la sage femme) qui saisissen,t cette chose qui vien t à naitre et font faire à cette cxhose un tour ou pas ou deux oucomment de l’ordre d»’une vrille le plus souvent, et ainsi soit il, et ainsi il est né, etc, de sorte que ceztte chose d’une naissance est une chose d’une sorte de prédsentation a u monde: podalique, par les pieds, tranverse : de travers, ou  céphalique, par latete etc ; nous disons céphalique, nous pourrions dire par la tete = cranienne etc ; nous disons cette chose ensembvle (en choeur) comme quoi kl’art est une présentatation pariétakle etc ; nous en sommes persuadés, nous sommes tous kles deux persuadés que kles mots nous trompent et que nous sommes (à présent) bien mal fichus pour nous prononcer et prendre partie, et nous ranger de tel ou tel bord etc, car les mots nous trompent, qui nous font voir des vessies pour des lanternes ; donc à porésent comment allons nous faire , pour nous y retrouver, pour comprendre kles choses, pour nous y coller (à la paroi) sans trop de souffrances etc ; nous disons qUe nbous sommes des etres mourants et de cela nous en sommes persuadés ; njous disons comme cxhose a cquise, cette chose de la mort : comme quoi nous sommes mourants, commùe quoi nous sommes appelés à devoir mourir (débarrasser le plancher, dispa raitree : ne plus etrte là) ; nous disons à l’encan (?) ou à qui veut l’entendre (nous) que nous sommes des créatures appelées à mourir , c’est à dire à ne plus etre ? ou bien à ne plus existezr ? à ne pluys exister, sur la surface de la terre, en tant que vivant ; nous sommes sûrs de cette chose, comme quoi nous allons devenir des morts, des corps inetres, sans vie : nous le voyonsautour de nous et il n’existe pas sur terre de raisons qui pourraient pour nous nous donner une autre issue que celle là qque nous observons chez kles autrtes , au fur et à mesure que nous avançons dans la vie ; donc oui nous en sommes persuadés, notre main à couper etc ; de cela nous disonsq qU il n’y a pas de doutequi tiennent ; nous allon s mourir, nous sommes mortels ; nous sommes des etres et mourant (nous mourons à petit feu) et mortel : dans la mesure où l’etre de chair un jour cesse ou cessera de respîrer et le coeur de battre ; pour le reste nous n’en savons rien (letre, l’éventuelle continuité de l’ettre ...) ; nous disons ainsi cette chose comme quoi nous sommes persuadés que nous sommes mortels, ou bien nous essayons de ce faire, de nous en persuader sans ceesse ; nous nous accrochons à cette branche du mortel ; nous nous accrochons à cette chose, comme quoi nous ne fero,ns pas de vieux os ; nous essayons de comprendre ce qui sex passe et ezn effet nous pouvons voir que cette chose existe, que nous disons que nous sommes des etres mortels, des personnes qui sont ou sommes mortelles , sont moretelles ; nous sommes mortels, nbous a llons mourir un jour ; un jour je serai mort, un jour ou l’auttre nous sezrons morts ; un jour je serai mort pour les autres ; je sezrai mort pour les autres restant sur terre ; pour ceux et celles qui restent, qui demeurent zainsi en vie ; pour ceux-là je serai mort ; et pou les morts alors ? qu en sezra t il ? serai je alors mort pour lesmorts ?  ; kje serai un parmi d’autres, je sezrai peutetre parmi eux en tant que je ferai paretie de leur communauté de morts jamais (?) revenus (nouys dire, nous dire ce qu il en est , etc.) ; nous croyons mordicus à lka mort, à la morty sur terre , à ceete mort sur la terre, de cela nous sommes s ûrs , mais qu’arrive ra til par la suite à notre esprit etc ? de cela nous ne savons rien, autrement dit : nous sommes betes de cette chose ; notre intelligence s’arrete là , c’est à dire au plus important ; autrement dit nous pouvons dire que nous sommes plutot betes autant que nous sommes, pouvobns nous dire cette chose ? nos savoirs sont piteux, nos connaisqqzances ne vontt pas loin, nous sommes mortels, bnous allons mourir un jour, nous sommes condamnés (c'est ainsi que nous kle voyons ou le pensons) ; nous nous parlonsa ainsi (nous deux) sur ce sujet de la mort , de la mort qui nous guettepour un jour ou l’autre nbous rapter ; njous devisons, nous discutopns à propôs de la mort, et cette discussion estl’art des cavernes, il s’agit d’un e chose quis’en rzapproche : nous sommes mortels ;, mais disant cela nous disons  : nous sommes bel et bien vivants ; le bel et le bien ici a son importa nce car le bel et le bien concerne l’art que nous essayons de définir depuis le début, depuis notre naissance ; une vrille, une vrille torsadée, un chantournement de naissance : les deux mains de la sage femme  ; ce futur de proximité ; njous sommes nés de mains qui nous ont fait (plus ou moins ) pivoter pôur nous aider (ainsi vrillant) à nous dégager de l’antre dela maman ; nous sommes nés vrillant et nous avons poursuivi la vrille tout le temps de notre vie pâssée jusdqu’à ce jouir qui nous voit parler de la vie vrille et de la mort qui coupe le jus, la sève, la vive alimentation  ; nous sommes deux et nous discutons attablés, nous discutons sur des sujets aussi divzers que l’art ou l’alimentation, etc ; nous avonsfaim de savoirs et faim tout court car notre vie sur terre est ainsi faite que nous sommes dans l’obligation (ou non ?) de nous sustenter pôur ne pas défaillir et mourir ; manger pour rester en vie ; nous discutons entre nous de c ertains artistes, sans trop savoir ; nbous évoquons des oeuvres, nous pârlons de certains a rtistes internationaux etc ; l’art nous plait car il est cvette chose qui njous pousse contre : paroi, paroi temporelle ; la vie continue ; nous pensons qUe la vie continue juqssu’à temps qUE cela cesse et que nous soyons mort à la vie tertrestre : ouf, car cela était lourd et pénible , iune charge, une somme de choses, etc , et notte grand souci est un enlèvement des charges, ou bien un allègement, nous sommes croûlants sous les dettes, etc ; nous voulons savoir ; nous voulobns savoir à quelle sauce nous allonsetre mangés car nous ignorons cela car nos connaissances sont risibles, elles sont piètres ;: notre szavoir (concernant la mort) est tout autant risible, comique, à s’en tenir kles côtes ; nous en discutons souvent, nous nous tenons par la main ; nous voulons comprezndre ce que c’est que la vie sur terre et cela nous voulons le cvomprendxre du temps de notre vivant ; nous avons beaucoup d’ambitions, comme vous pouvez le voir, nous ne sommes pas en manque d’ambition et pour cela nous sommes tous les deux (tous deux) pareil, nous nous ressemblons bea ucoup sur cette question, nous avons beaucuop de points en commun, nous nous sommes bien trouvés, nous sommes proches ; nos ambitions se ressemblen,t, nous avons tous les deux beaucoup de gouts en commun par exemple, nous aimons beaucoup de choses en cvommun et c’est une chance dans un couple de voir les choses de mùanière similaire ou du moins par le même bout de la lorgnette, çaz aide beaucoup ; nous sommes tres p^roches et nous pouvons échanger sur beaucoup de choses qui nous intéressent à tous les deux, comme pâr exemple à proppos de l’art, de ce que c’est que l’art etc, toutes ces questions concernant l’art, la mort, les parois, les grottes, le bassin en tant que passage, une naissance en tant que présentation qui demande des savoirs ou qui appelent des savoirs, ceux là même dont fait preuve la sage femme , qui chantourne (torsade) à sa façon et pourrait presque etre désigné comme une aertiste de la vrille , du chantournement , etc, au même titree que nombre d’aretistes sur terre ; nous aimons beaucoup ainsi nous entreteznir sur toutes ces questions de vrille, car la vrille à la nzaissance est une chose tresq importante ett qui condsitionne beaucoup les choses qui suivront pour les uns et pour les autress ; une sage femme est une femme sage, à savoir qui sait ; et que sait elle ? elle sait beaucoup de choses ; elle connait les différezntes présentations de venue au monde, et elle accompagne l’arrivée (en vrille ) wsi nécessaire, voire elle conduit le moibile foetal à destination : loopings ; elle n’est pas en reste de connaitre bien des choses sur la q<uestion ; uelle mùanuevre, elle condyiut, elle guide etc ; haptonomie ; elle est dégourdie, elle y va franco, elle n’est pas timide dans sa gestuelle, ; elle vrille, elle accompagne le mobile et lui permet un attaeriisage en douceur si possible, en toute douceur si la cxhose, de fait, se pêut ainsi ; elle fait en sorte que la chose vienne de la sorte, et ne tombat pas par terre, dans la cuvette ; elle a les mains dans l’urine, les eaux, le caca, le san-g etc ; elle n’est pas bégueule, elle y va ; elle n’a pas froid aux yeux, elle n’est pas gna-gna, elle en veut, elle est puissante, elle agit, elle est consciente de ce qui se passe sous ses yeux et prend des décisionss ; c’est une chose ; ce n’est pas rien ; la mort nous attend ; nous sommes persuadés de certaines choses ; une sage femme sait des choses ; la mort est inscrite au patrimoine de lm’humanité, nous sortons du ventre d’une femme, dans les eaux et le reste ; nous sortons d’un ven,tre (?) qui s’(ouvre ou bien d’entre des guibolles ; nous sortons de cet antre là que la sage femme connait bien qui nous accompa gne, pour un atteriisage en douceur si possible le plus possible, sur la terre ferme, retenu, attrappé par deux mains fermes, fermeture, ouverture puis fermeture etc ; nous discutons de tout cela et nous voyons qu il y a à cet endroit une réflexion à) mener qui rejoint toutes ces questions que nous nous posons ensembvle, con,cernant la chose de l’art des parois ; la parois est ce qui est devant et qui est dur (la vie terrestre temporelle) ; voilà ce qu il en est de la pârioi ; et cettye paroi nous vboulons lma doubler, la recouvrir, ou la masquer, ou la maquiller ; maquillage, masque, doublure, recouvrement etc, de choses diverse ; nous pensons que lma chose à fzire est cette chose que nous voyons ici ou là chez cezrtains artistes : une action sur la paroi du monde, sur cette paroi au devant de nous , cette chose qui démarre à la naissancde dans les deux mains ou avec les deiux mains de la sage femme ; nous avons une idéee derrière la tête ; nous pen,son,s (je ^pense, nous pensons) que la mort est indéboulonalble en nous (en notre pensée) et que cette chose nous tient à la paroi de la vie temporelle terrtestre et c’est cela que nous disons sans ceesse, en quoi faisant ? eh bien en fa isant des choses avec nops deux mùains, et ces choses nous les déposons, et cela est lm’art des cavernes ; notre but est affiché ; nous pensons que nouys pouvons tres bien continuer à dessiner des animaux de grande charge (etc) car quoi que nous dessinions cela revient toujours à cette chose au bout du compte, à cettte chose pariétale en diable ; elle et moi pensons ensemble (main dans la main) que l’entortillement des fils est roi ; nous avançons nos pions de cette façon (sur l’échiquyier) de telle sorte que notre pensée se situe exactement là où nous subodorons le pot aux roses concernant cette chose de la vie et de la mort  ; la mort est la vie, la vie est la mort ; la mort = la vie ; la vie = la mort ; nous pênsons ensembvle (coque) qu il y a quelque cghose à penser de ce côté là ; nous sommes quasi convaincu que les choses se déroulent d’une manière enchevétrée et des lors la vie et la mort sont entortillées comme des guiboles dans l’amour ou bien comme les fils d’un cordon ; nous pensons que les choses sont vrillés et animalières, nous pen sons qUe l’animùal est là en nous qui préside et chapeaute : il est le roi de céans ; notre roi ; entrezz le roi ; nous pensons que la vie et lma mort sont une seule et même chgose et de cela nous sommes convaincus et nous le claironnons comme ou en tant que vérité d’airain, en tant qu’acquisqtion pour l’éternité ; la vérité est toujnoursq éternellle ; il n’y a pas de vérités autrezment qu’éternelles, or la vie se vrille sur elle même, tout tourne, tout suit des courbes et autres rotations ; des lors la vérité se vrille aussi etc, jusqu’à se mordre la qUeue pour ainsi dire ; nous essayons de comprendre les choses et bien sur que cela n’est pas toujours tres facile, avec des mots d’autant plus, qui ont vite fait (les saletés) de nous induire en erreur ; et d’ailleurs peut etre toujours en erreur ,  ; nous ne sommes pas nés de la dernière pluie et nous savopns pertinamment que les mots du lmangage nous trompent beaucoup (grandement) pour ne pas dire tout le temps, et que par conséquent oui ils nous permettent de nous repérer sur terre et d’en avancer dans cette «galère» qu ‘est la vie qui est vie à devoir souffrir etc, oui les mots comme véhicules de vérités d’ordre pratico-pratiques (entre nous ce patois techniques) mais pour le reste, pour ce qui est du reste, les mots ont une autre fonction, et cette fonction concerne la vie et la mort enlacéeou enchevetrée ; il s’agit d’une vrille qui sort de nous cvomme ver filaire d’une guibole ; nous y allons ; nous ne sommes pas bégueule ; un museau, une trompe, une pique, un cap, une sorte de filin, un fil, un ruban, une langue d’on ne sait quoi, sortant de notre bouche ou étant logé à la pla ce de noptre bvouche , et cette chose venant buter contre la paroi, à l’intérieur d’une grotte pa re exemple ; nous pensqons que vie = mort, et mort = vie, et vboilà pourquoi nous avons tendance à nous mélanger les pinceaux, les guibolles etc ; nous sommes ensemble, c’est à dire que nous vivons ensembvle, depuis il y a maintenant un certain nombre d’années ; nous vivons sous un même toit qui est le toit de ce temple qui est notre demaeure ou abri ; nous travaillons à comp^rendre ce que c’est que l’art dans la vie, comment il est possible d’a ppréhender ceztte chose et comment il est possible de s’y retrouver ; nous cherchons à comprendre ce qui se trame, ce qui est, ce qui nous apparait, avec des mots , avec des mots en bouche, avec des mots qui sortent de nous c’est à dire de ,otrte bouche ; nous lisons peu par manque de temps mais nous parlons, nous parlonsune langue apprise, cette langue nous appaertient dans la mesure où elle est en nous comme un organe corporel ; les mots sortent en vrille et filent doux leur train de croisière à destination d’une oreille  humaine (pa r exemple) ; nous vivons sous un même toit qui est ce toit qui nous protège des intempéries ; notre maison (à ce jour) est un temple, c’est à dire un lieu de culte, et qui plus est un lieu de culte protestant, ou plutot ce qui autrefois était un lieu de culte protestant ; aujourdhui bien sur plus du tout car nous n’oofficiobns point nous deux, et ne faisons non plus de messe ou autre veillées religieuses ; nous sommes des qui vivons sous le toit d’un temple en petite campagne etc, d’un petit vila ge en campagne, en rase campagne et la chose s’arrete là : nous pênsons que vie = mort , et mort = vie et que nous sommes blousés par le langage verbal, par le verbe ; les mots sont en nous qui njous permettent de batir , chasser, ou prendre une direction, mais jamais de la vie pour autre chose qu une chose pragmatrique et raisonnable ; or il s’avère que le train des mots nous portent ailkleurs tres volontirers et nous fait sortir des rails sans ceesse (tres souvent) , c’e’st donc qu il y a uneraison à ça , et cette raison nous la connaissons, elle est pariétale, elle ne sort pas de la paroi, elle esqt lma parloi ; elle est l’animal contenu ; elle est c ette chose de cet animal contenu dans une paeroi qui est la pa roi du temps de notre vivant : cette chose, c eyte chose que les mots (sortis de leurs gongds pragmatiques) épousent ; il s’agit d’épousaille  temporo- pariétales, ou pariéto-temporelle, etc ; et c’est ainsqi que nous sommes fiers d’annoncer la chose, la naissance de cet etrte, l’accouchement a eu lieu, la présentza tion fut  eutocique et sans douleur , ni pour la maman ni pour l’enfant ; nous voyons l’enfant (le bébé baba) dont nous sommes fiers, nous tournons sur nous mêmes (loopings) pour feter cet événement heureux, cul par dessus tete ; nous nous ezmbrassons de joie et crions notre contentement, comme quoi kl’enfant est né complet et semble aller du mieux possible , c’est déjà ça ; nous nous embvra ssons pour marquer le coup, l’enfant est dans son couffin et il dort à présent et nous sommes soulagés (grandement soulagés)  ; nous abvons aimé ce moment ; njous aimons ce doux moment ou dur moment (?) selon les situations, de la naissance dun etre, ce moment que nous espérons doux toujours, nous aimons ce doux ou dit doux moment, car le moment ici est un moment de brute, la naissa nce est une descente ;etc, et peut etre m^eme marque, à jamais, etc ; donc doux peutrerte ou dur peuterte , il ,n’(empêche que pour nous la question de la vrille en art et ailleures est importante , est cvapitale, et nous nous demandons quels sonbt kles liens qui unissent ou réunissent les deux faces d’une même chose à savoir cette chose de la vie et de la mort ensemble : cette coque, cette coquille ; où est le lien ? où estle lien qi unit la vie de la mort ? comment cette chose , d’une vie-mort insépa rable, est elle possible ? pa r quel lien cela tient il, où cette chose tient elle ? ; nottre ambition est affichée, nous travaillons sur des questions de haute volée et nous cherchons à crever non point l’abcès (quoique) mais la toile, cet écran pâriétal etc, qui est ce masque , maquilla ge, couverture, etc qui empêche la viswion nette, la vraie chose d’apparaitre, sous nos yeux ; nous avons envie de voir cvomment les choseqs entre elles se trament et pour cela, nous y allons à la pioche comme des benets, et même : en assumant le coté benet, en se disan,t que peutertre ainsi (à la pioche, comme des cons) peutre a t on  une chance de perccer quelque chose du mysterede la toile pariétale aux animaux de cha rge  ;  nous y allons un peu fort mais enfin nous prensons que cela pourrait peutetr nous ouvrir des portes sur la veérité des choses, que d’agir ainsi, que df’agir ainsi est finalement une choses pas forcément mauvaise en soi, dans kla mesure où nous essayons de toujours tenir le fil d’une pensée qui wse veut profonde, qui se veut étayée par des choses qui relèvent du sens, ou du moins d’un sens qui, quoique malmené ici ou là, n’en demeure pas moins cet allié sur lkequel nous cherchonstoujours (elle et moi) à nous reposer, malgré le fgait que nous voyons tres bien à quel point le langage de la vie courante (en vérité le seul qui soit fiable) nous trompe beaucoup dès lors que nous cherchnons à ici l’utiliser dans un but tout autre , qui est ou serait  celui qui con cxerne des questions (coque) de vie et de mort, des question s qui se rapportent à cette entité soulevée ici de la vie-mort (coque) qui serait une seule et même chose, une chose soudée, : gémellité ? une chose qui serait soudée par... eh bien peut etre ce langage des parois d’abord, puis pêu à peu, vrille aidant, ce langage vertbal en nos trous de bouche ou de hjoue percée, on peut l’appeler comme l’on veut, on peut dire la bouche, on peut dire la joue percé, on peut aussi dire le trou de la bouche ou bien la cavité etc, ; la grotte ; nous avons ainsi beaucvoup de converqsations entre nous sur tous ces sujets, nous ne lambinons pas sur les -conversations, nous avons du plaisir à converser ensemble et nous ne manquons pas une occasion temporo-spatiale de faire cela (ç!a) entre nous, pour nous : cette chose ; nous aimons parler, mettree des mots, déposer des mots dans les interstices ; nous aimons beaucoup glisser des mots dans les interstices  et c’estla raison pour laquelllre nous n’hésitons pas longtemps pour ce faire et aussi pourquoi nous sommes unis et aussi si proches ; nous n’avons pas à nous hjustifier et cependant noys disons haut et fort que pour nous les mots du langage articulé verbal sont des mots de tous les jours et servent essentiellement en tant que manoeuvres , en tant que mesures ou modèles ou guide d’emploi, mais que les mots ont vite fait de glisser, d’aller se percher ailleurs (pourquoi cette chose ?) et cela en depit de nous ; nous ne sommes plus cpoupables de cette chose ; nous ne sommes pas responsables de ces glissements, certainbement pas ; les mots sont nos amis (guide d’emploi, instructions etc) et nos ennemis : ils nous trompent sans ceesse des lors que nous les apprenons pour des emplois dits philosophiques ou religieux etc ; nous sommes blousés, nous suivons les insqtructions de montage ou la recette de la crepe (dentelle), cela oui, mais pour le reste nous sommes blousés mais  nous ne sommes pas dupes quoique ne puissions formukler exactement ce que nous aimerions pouvoir formuler, car pour ce faire il nous faudrait etre des animaux, muni d’un langage animal qui ne sort pas des clous et reste à sa place gentiment, on voit bien que pour nous cde n’est pas le cas, et que les mots (sortis de leurs gonds ou de leurs rails) sont des saletés dont nous avons besoin tres certainement mais enfin saletés tout de même ; nous aimerions que les choses fussent autrement, que les choses fudssent différemment et que le langage fut cghose fiable et sur laquelle pouvoir compter ; nous sommes grandement déçu, nous en discutons entre nous, nous ezn discutiiions entre nous, cela ne fait pas de doute : la mort et la vie (coque) sont une seule et même chose et cette chose porte un nom (je vous le donne en mille) : paroi ; cette chose pariétale devant nous (espace-temps de substityuition) qui trone, nous appelle , et que nous baillonnnons (de grâce !») de nos oeuvres ;

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1/05/2020

l’homme des cavernes dessinait à main levée , guidé par les esprits des grottes ; que sont les esprits des grottes ?  ; les esprits des grottes sont des amis proches, sont des proches, sont des présences, sont des envies, sont des entités, sont menaçaant, sont des etres qui menace permanemment l’homme des cavernes, sont des amis durs, hurlant, vociférant ; l»’ homme des cavernes les écoute, en lui, tandis que sa main dessine sur les parois lisse les betes de charge, les ours et les bouquetins ; il aime énormément dessiner et ne se gêne pas pour ce faire à même la roche, à l’abri de tout au sein des cavernes, à l’abri du vent, des pliues, à l’abri des betes sauvages, à l’abri de beaucoup de choses sinon de tout, il aime dessiner et se laisse porter par l’esprit des grottes ; son envie est entière de se laisser faire ainsi, de se laisser guider par un esprit en lui qui se loge dans sa main, son bras etc, il se laisse manipuler, il est manipulé, il est pris à partie, l’esprit de la roche (du roc) est cet esprit qui manipule, est une main qui est (en cet homme des cavernes) un soutien (un guide spirituel, une chance) pour l’amener de fait àdes fins rupestres, à type de gravures, de dessin, de hachures etc ; il semble que l’sprit des roches, est là pour cet homme comme un attribut, une chose déclamée en lui : un hurlement, un cri, un hurlement qui hurle dans la main de l’homme qui dessine sur parois, sur roche ; il s’agit d’un dessin de roche ; l’homme des cavernes est celui qui (donc) se laisse aller et reçoit en lui (dans sa main) ce hurlement de vie qui pousse à faire ; qui pousse à faire des traits, des cercles, des carrés, des points, etc  ; une main qui est l’esprit ; la main du temps qui pousse l’homme des cavernes à ainsi dessiner ce qui vient en lui guidé par la main de l’esprit du roc, des roches, des grottes en lui, homme des cavernes vivifié ; il est ainsi que cet homme est comme vivifié par un cri en lui, un hurlement dedans son corps, un cri qui rugit en lui et le vivifie, et le pousse à agir ; agir est la grande affaire et kl’homme des cavernes agit , il dessine à main levée, il crie avec le cri en lui ; il écrit il crie ; il crie ce cri en lui, qui est un appel, une source, qui est une voix, un cri puissant comme celui d'un animal qui fait son poids de belle bete de somme , ou de gros gibier des bois ; l’homme des cavernesq est un chasseur né, il aimme tuer des b etes sauvages et les tue à la sagaie et au propulseur  ; il est fort, il est musclé et il sait se servir d’une arme pour tuer, et il ramène le gibier sur un baton porté à deux )à dos ; 

il est ce chasseur né que vooilà, il est ce chasseur né que nous voyons, iles t ce ^$chasseur né

l’homme des cavernes est un chasseur né, il aime tuer des betes sauvages et les ramener au bercail ; il aime tuer des ours des cavernes, des sangliers, des bisons, des rennes ; il aime tuer des rennes, des sangliers, des ours ou des chevqaux ; il tue pour manger ; il tue pour se sustenter autnt que possible ; il tue l’animal à regret ? a t il des remorsds ? l ‘homme des cavernes connzaissait-il le remord ? savait il ce que c’est que le remords ? il semblerait que l(homme des cavernes tuait et ensuite pleurait la mort des betes, il semblerait que l’homme des cavernes connaissait les larmes ; qu étaeient donc les larmes au temps des cavernes ? il semblerait , que des larmes coulaient sur ses joues, il pleurait, il pleurait haut et fort, il avait des émotions : l’homme des cavernes est émotif, il n’est pas un dur à cuire, il est émotif, il s’empourpre vite, il est vite envahi, il est une éponge, il reçoit les cris en lui de l’esprit des roches ; il reçoit avec beaucoup d’envie ; il est un homme, qui se laiisse vite imbiber et reçàoit tres facilement cet esprit des roches en lui, qui lui dit de dessiner comme ci ou comme ça ; il est cet homme qui reçoit et se laisse ainsi influencer par un souffle (un cri ) en lui, qui lui hurle (physiquement) ce que sa main doit dessiner, comme trait, comme hachures, etc: les détails d’un dessin animalier ; l’homme des cavernes est un chasseur né mais il est émotif, il pleure, il a les larmes faciles, il est une éponge, l’homme des cavernes est une éponge qui absorbe les esprits en lui et hop, il les retranscrit aussitot ou aussi sec sur une paroi à l’intérieur ou à l’extérieur des grottes ; une éponge qui absorbe (oups) et rejette (re-oups) aussi sec l’absorbât en lui, provenant des esprits : il s’agit d’une absorption et d’un rejet : jet sur pierre ; il s’agit d’une chose en lui qui s’infiltre par absorption de type spongieux, spongieuse, et ensuite nous abvons ce jet de soi, qui sort fissa, qui va sur parois, se graver ou se dessiner au charbon de bois ou autrement, mais toujours avec une précision (dans les représentations) assez bluffante, confondante, une précision hallucinante etc ; nous voyons tout cela sous nos yeux et nous y croyons : il s’agit bel et bien d’une technique dite «technique à l’éponge», qui est celle qui consiste à se laisser pour le coup imbiber par un esprit liquide et de le rejeter tout aussi sec sur paroi lisse, comme ailleurs une figure qui serait comme projetée telle quelle par un projecteur de cinéma ; nous la voyons se glisser ainsi devant nous et prendre sa place au sein d’un cortège ici de bete de fort poids, il s’agit d’une bete grosseee ; une groosse bete ; une grosse bete charge et fonsce sur la paroi, sous la main cde l’homme des cavernes, ici l’artiste : le dessinateur ou le graveur ; il y a cet homme des cavernees qui dessine, envahi par l’esprit des roches ; il y l’esprit des roches, qui est une main qii porte la charge et maintient la flamme, le feu, la vie en cet homme des cavernes dessinant sur roc une bete fauve, ; il s’agit d’un animal de grosse taille ; nous aimons ces betes furieuses et les reghardons avec attention ; l’esprit des cavernes, dans le corps de l’homme des cavernes, agit ; il s’agit de comprendre cette action qui va en lui (homme des cavernes) son chemein qui va dessinant ou gravant des betes ; l’homme des cavernes est ce chasseur né, émotif, qui pleure pour peu et dessine comme un chef dessinateur car il a en lui un cri spirituel qui le pousse à faire ; il est un homme vif qui dessine vif, un émotif, un homme imbibé et on voit ce qui se passe ici , à savoir que nous avons cet homme qui est imbibé comme une éponge et du coup il éc rit des choses sur la roche, des traits étonnants, énigmatiques pour l’entendement , qui sont des marques chuchotées d’abord, puids hurlées ensuite, en lui, des marques en lui même : des impacts en lui lmême, des coups assénés en lui m^me par un esprit frappeur en lui même ; en lui même c’est à dire dans son corps : bras , avant bras , main etc  ; les doigts sont de l’affaire, et les mains tiennznt la torche ou la baton pour un dessin précis qui se veut du coup le plus ressemblant possible ; nous avons affaire à un dessinateur précis, imbibé, pris à partie, hurlant hurlé, hurlant et en lui comme hurlé , comme pris en charge etc ; il y a ici un homme des cavernes qui nous ressemble fort (physiquement) et à qui nous ressemblons fort tout autant ; quelle langue parle t il ? de quoi est il question en ce qui concerne sa langue ? on ne sait pas tout et la vbérité apparaitra petit à petit ; les hommes des cavernes on le sait ne nous disent pas tout, loin de là et quoi que nous sachions sur eux le mystère est encore grand qui les nimbe à nos yeux d(hommes de ces temps qui nous voient rechercher à) l’intérieur des grottes (et à l’extérieur : aux abords) des réponses, des solutions, des indices, des secrets enfin éventés ; car nous cherchons avec beaucoup de sérieux et un grand engagement des réponses ; notre volonté est de savoir, est toujours de vouloir savoir, de connaitre dans la profondeur ce qu il en est d’un homme pareil , qui vivait de chasse et de cueillette, d’amour et d’eau fraiche, quoi de plus ?  ; l(‘homme des cavernes habitait à l’extérieur des grottes et mangeait à sa faim car à l’époque le gibier ne manquait pas mais au contraire pullulait, l’homme des cavernes chasse comme un chef et aussi dessine comme un chef : il est tres adroit à la chasse (précis) et tout aussi adroit pour dessiner ou graver des betes sur des parois lisse , propre, faite pour des sortes de dessins léchés, soignés, et motivés ; nous aimons ces hommes des cavernes et ces femmes des cavernes comme des frères et soeurs, nous les regardons déambuler dans ces grottes, habillés de poeaus de betes, ou nus comme des vers ; ils sont beaux ; ils sont debout ; ils vocifèrent ; ils dessinent en transe ; ilds sont fous, dessinent en folie, sont happés, sont téle guidés par des esprits qui hurlent (en eux) des mots doux, des lmots de forte violence, de brutalité, ils dessinent cette charge en eux qui pousse à agir sur roche ; les hommes des cavernres sont nos freres et soeurs ; il s’agit de personnes qui, de fait, nous ressemblent beaucoup, car nous sommes physiquement proches ; nous parlons nos idiomes ici, à nos époques, et eux parlent leurs idiomes là bas, à leurs épooques ; il semblerait que les deux choses soient , mais cela, nous ne pouvons en etre sûr à cent pour cent ; nous faisons comme eux des dessins, nous faisons des choses avec nos mains, nous avons des mains pour faire ; il s’agit de revenir aux mains négatives et aux mains positives et comprendre ce qui ici se jhoue avec ces mains que nous avons, et que les hommes des cavernes ont , ou avbaient ; ils ont car ils sont , hommes des cavernes, en nous qui faisons comme eux depuis la nuit des temps, des gestes qui viennent d’eux ; nous sommes hommùes des cvavernes et en nous perdurent des gestes qui étaient les leurs, lesquels ? ceux que nous faisons quand nous allons chasser le sanglier, ces gestes que nous faisons quand nous allumons du bois, un feu, ces gestes que nous faisons quand nous hurlons, ces gestes que nous faisons quand nous nous déshabillons, ces gestes que nous faisons quand nous nous redressons de notre position couchée ou assise etc ; nous sommes comme eux et avons hérité de beaucoup de gestes d’eux, il va sans dire cette chose, que donc, les hommes des cavernes, sont nos fresres et nos ascendants tres chers ; ils sont comme nous et nous sommes comme eux ; ils dessinent des chevaux en transe : ils dessinent en transe des chevaux, mais aussi (oui) dessinent des chevaux en transe etc ; ce sont des hommes imbibés ; il s’agit de transe en grotte profonde ; nous les voyons faire d’ici et nous comprenons tres bien les raisons qui les poussent à agir, il s’agit de raisons profondes, en eux, qui sont envahis, qui sont comme pris à la gorge ; il s’agit d’un envahissement d(‘un corps par des cris qui coureznt dans un organisme (pour le coup) de réception ; l’homme des cavernes est cet organisme et se laisse infiltrer comme une éponge car il est souple, clair, comme une chair tendre, et le cri le traverse comme dans du beurre etc : il se laidsse aller ; son esprit (d'homme des cavernes) est vite absorbé et remplacé, par celui d’un roc ; il est vite influencé (influençable o combien) et des lors il est naturel que sa main ait vite fait de tracer des traits sur roche et de dessiner des betes avec ici cette précision confondante : il s’agit d’un téléguidage, il s’agit d’une main tenant cellke de l’homme qui dessine etc ; l’homme des caverne est une éponge ; il se laisse imbiber, il se laisse faire et guider ; nous sommes témoin de cette chose, qui est comme une passation, nous voyons cela de notre place, éloignés dans le temps (de cet homme des cavernes) et cependant nous sommes proches des parois, ici dans la grotte, nous sommes sous son trait ; nous devinons ; nous voyons avec beaucoup d’acuité, notre regard est aiguisé ; nous sommes lucide, éclairé et aux aguets ; nous ne voulobns pas en perdre une miette ; nous voulons comprendre les choses de cet homme dessinateur et c’est la raison pour laquelle nous restons assis sur roche, à l’intérieure de la grootte, et la raison pour quoi ensemble nous restons à surveiller ce qui se trame ici, sur ces pareois qui sont devant nous ; nous ne voulons rien rater, nous -observons avec assiduité ; nous vboulons voir ; nous voulons etre témoin de ce qui se passe sur ces parois et  comment les choses sont arrivées à) l’époque ; nous voulons etre spectateur de ceztte afffaire mystérieuse : y a t il acte télégiudé ? y a t il des actes ainsi motivés par des forces venant de la roche ? nous voulons comprendre de près ce qu il en est et c’esst pourquyoi nous préférons attendre assis, sur le sol de cette grootte ; et pour le coup ne pas bouger de là tant que rien ne sera advenu ; nous sommes tétus ; nous ne varierons pas dans nos souhaits  ; notre volonté est de comprendre ce qui se trame en toutes ces questions, dee paroi, de peintures pariétales, d’homme des cavernes sous emprise, de bûcher etc ; nous restons sur placve jusqu à nouvel ordre ; nous voulons y voir clair, nous voulonds savoir de quoi il en retourne et nous finirons bien par savoir, nous ne sommes pas plus betes que la moyenne, nous aurons vite fzait de comprendre ce qui est, si nous voyons l’esprit de la grotte envahir l’homme des cavernes alors il nous semble que nous devrions etre à même de le deviner, sinon de le voir de visu, au moins de deviner que nous avons affaire à un homme envahi, à un homme soue empprise, etc ; la chose devrait bien nous apparaitre ; c’erst pourquoi nous restons là, assis, bien sagement, dans l’attente d’une sorte de vision ou d’un spectacle ; la grotte est un antre, un sein, une maison, une é glise ou un temple ; nous sommes à l’intériuer du temple ; nous dessinons ave  ce t homme, nous serons avec cet homme, nous serion, nous sommes en lui ; nous sommes cet homme ; nous sommes à l’intériuer de son temple et nous deesinons des betes fortes, puissantes, des charges de betes sur roc, sur roche, sur rocher, etc ; nous sommes des hommes des cavernres et nous voulons nous délivrer , nous libérer de quelque chose, nous voulons nous libérer de cette chose en n ous qui obstrue et c’eest cela que nouds faisons, nous allons ainsi dessinant, pour nous libérer de cette chose en  ous qui obstrue et qui est l’animal ; l’animal obsrtue, empeche, gene, et manque nous ficher à tterre, alors il est préférable (vital) de le dessiner pour s’e,n libérer ; dessinons cet animal, faisons cette chose d’un dessin avvec un crayon, un baton ; nous dessinons cet animal avec un crayon, un bzaton de bois ; nous sommes cett animal, cet homme des cavernes contenant un animal ; nous contenons en nbous bien des etres, quelques centaines et ces etres  nous voulons les faire sortir de nous ou pas ; il y a en nous des etres qui ont pris de la place c’est une évidence ; nous ne sommes pas tout seuls en nous ; nous sommes nombreux en nous ; nous avons beaucoup de monde en nous, nous sommes chargés, nous avons pour nous une charge à devoir porter ; nous voulons ainsi nous libérer de certaines choses en n ous qui nous obstruent et ces choses les déposer devant nous comme des offrandes faites à quelques divinités des lieux ; nous sommes exactement pareil à l’homme des cavernes: rien n’a chan,gé, rien ne change ; nous nous libérons de certaines entraves en nous qui nous empechaient d’avancer ; nous ne voulons pas nous laisser piétiner et préferons dessiner cet animal qui charge en nous et nous bouscule dansles preofondeurs de notree etre ; nous voulons aller vite et bien sur paroi, dessiner cette chose en nous, nous en libérer avec précision afin de bien comprendre cette chose , comme quoi cet animal en nous (celui là précisément) est sorti de nous : d’où l’importance de la précision ; il nous chevauchait et nous mettait en danger et bien le voilà fixé sur paroi : celui ci et pas un autrte ; jusqu’au prochain : oui : ainsi de suite, jusqu’au prochain animal qui, de la même façon, fera en nous obstruction et nous empechera aux entournures  (gênera) et alors nous devrons pareillement nous en libérer sous emprise et le laisser advenir ou afleurer sur paroi de grotte etc ; une litanie ; nous sommes les victimes, les vecteurs, les tuyaux ; nous essayons de mieux comprendre ce quil en est mais il est vrai que tout cela n’est pas toujours d’un acces facile, et que nous devons, de fait, etre bien concentrés et auusi bien en place, assis au bon endroit, pour voir le petit spectacle d’un éventuel homme des cavernes qui pourrait venir ici, sous nos yeux, tracer un bison, tracer un bouquetin , dans une sorte de transe affolé qui le téléguide comme une poupée, comme un jouet ; nous allons essayer de mieux comp^rendre toute cette affaire, et de nous laisser par là même convaincre, nous laisser par là même imbiber nous mêmes ; nous avons pour nous cette chose que nous sommes deux, et qu’à deux les choses sont différentes,l’un est témoin de l’autre et peut rassurer , assurer, etc ; il s’agit d’une dyade ; une coque,  ; nous essayons à deux de comprendre mieux les choses qui se trament et pourquoi l’art, de quoi il en est, de quoi il en ressort, quoi est vecteur, pourquoi des charges, qui dessine, pourquoi le dessin pariétal etc, nous avons beaucoup d’ambition ; nous ne sommes pas en manque d’etre des ambitieux qui cherchont à comprendre et par conséquent développper toute une réflexion autour de la question de l’art ; l’art est il nécessaire ?  ; est il vital ? a t il une raison d’ être ? qu en est il de sa raison d’être ? a quoi sert il ? de quoi en retourn,e t il ? qu en est il de l’art parioétal ? que devons nous penser de l’art pariétal ? est il nécessair (létait il ?) , de quoi eétait il le fruit ? qui poussait à pareil échafaudage ? qui était derrière ? pour quoio l’homme des cavernes n’a t il peint quasiment que des animaux, pendant combien, dix mille ans ? c’est quoi cette affaire, aindsi de suite  ; nous avons litanie, foule, foultitude et cohorte (ribambelle) de questions à part nous et par conséquent de réponses à découvrir, à échafauder etc ; nous sommes sur le qui vive et le pied de guerre ; nous ne lacherons pas le morceau ; nous voulons connzaitre le fin mot de toute cette affaire et nous le connnaitrons un jour ; il nous semble évident que la chose un jour sera élucidée et que nous y verrons clair comme dans eau de source etc ; nous voulons savoir ce qu il en est et nous le saurons ; les hommes des cavernes sont en  nous , qui guettent, qui surnagent, qui élaborent pour nous ; il y a en nous un homme des cavernes , un chasseur né et un dessinateur sur paeroi rocheuse ; la paroi est le temps, ,le dessin est ce tracé du temps, qui va d’un point à un autre : dynamisme ; il semblerait que l’animal en nous soit aussi une obstruction dont il est vital de se libérer ; le mal en nbous est une plaie : celle ,de la joue transpercée par unec ruade (un troupeau qui charge) animalière ; nous sommes envahis de pied en cap ; la cgrotte est le temple ; le ciel est par dessus une voie céleste pour une embardée mortuaire ; nous cherchons des vérités épiques ; nous cherchons des v érités qui puissent nous doonner des assurances et une certaine stabilité, nous cherchons des véritésc quii puissent nous aider à comprendre ce qui est autour de nous : ces betes qui chargent plus vraies que nature, nous les admirons ; nous ne sommes pas en reste de les admirer ; njous cherchons en elle une solution, nous cherchons quelques réponses, nous sommes gourmands et nous sommes patients, nous attendrons le moment venu ou opportun , nous verrons bien ce qu il en est de toute cette afffaire dee paroi un jour ou l’autre et alors nous serons heureux, nous rayonneronsc de joie, nous serons tout enluminé, ou iilluminés, ou éclairé d’un éclairage vif, blanc, et propre à nous mettre en joie , pour une vie nouvelle ; nous sommes heureux de ces choses pariétales qui nous arrivent, nous voulons vraiament aller loin dans la compréhension des choses et c’est ainsi que nous envisageons la vie sur terre désormais : en chercheur ceiiulleur de vérités (ici ou là sur paroi) ; nous avons de l’ambition, des idées, et le coeur ; le coeur est essentiel, le coeur ne faiblira pas (nous l’espérons)  ; nous voulons aller plus loin dans la compréhension et pour cela nous ferons beaucoup, nous ferons longtemps surtout , si l’on peut aller loin en temps nous ferons cela, nous ferons longtemps si possible, si tant est que nous puissio,ns tenir encore dans le temps longtemps, nous le ferons, nous essaierons de tenir longtemps, nous allons essayer de tenir longtemps le plus possible et à force alors peut-être nous arriverons à quelque chose ; tel est notre envie ; notre envie se nomme ainsi, cettte chose d’un trajet vers iune connaissance ; cherchons nous à acquyérir une connaissance ? que cherchons nous ? nous cherchons à acquérir une connaissance, nous cherchons à acvquérir un savoir et ce savoir est celuyi qui est lié à un au-delà, à une poursuyite de vie, à un futur, à une finalité, à une  o ption ; cvette opption se nomme mort ; nous ne savons pas ce qu il en est et nous ne savons pas ce que nous devons ou pouvons penser de la vie sur terre ; de quoi s’agit il ? pourquoi ne suis je pas un sanglier ? suis je un sanglier ?  ; nous cherchons à nous débrouiller , à nous dé-nouer etc ; nous -ne comprenons pas tout, loin de là ; notre bouche est pleine de phrases sensées et nous de nous poser mille questiopns avec ces vocables, alors même que nous savons que cela est sujets à bien des controverzes internes ; nous savons que les mots nous truquent beraucoup (il sembleraiot) et cepandant nous continuons (bien obvligés) à construiree des phrases sensées, mais comment faire ? ; nous sommes deux qui sommes assis ; nous pouvons nous embrasser (coque) et aller nous jeter ici sur la paroi qui nous fait face, sur laquelle sont donc dessinées des betes de charge, qui chargent : de charge ou bien qui chargent ; nous sommes tous les deux et nous nous posons des questions et ces questions sont des betes (elles sont betes) et du coup nous devons les laisser sortir de l’enclos, les libérer et leur donner la vie sauve sur paerois de grotte ; nous sommes ainsi asssi, et nouys regardons ces betes aller sur pazrois de grioote  ; nous sommes betes ; nous sommes tres encombrés de tant de choses obstructives, de l’ordre de la raison mais pas seulement ; la bete ici représente l’espreit bete en nbous, cette betise constitutive en nous, dont nous fatiguons un peu et que nous aimerions envoyer balader une bonne fois pour toutes ; nous faisons de notrte mieux pour iouvrir la bouche et laisser passer  c e troupeau qui chargeait et hurlait en n ous et voilà le troupeau qui sort et file fissa au devant : ruade et estopcade sur une paroi  ; choc ; ploc ; nous avons des animaux en nous, ce sont des betes qui sont nous, qui sont notre etre, qui sont notre for intéreziur et qui (ne) demandent (qu ) à voir le jour à l'extérieur ; elles sortent en vrille, elles sont puissantes commes des taureaux, ce sont des taureaux ; il s’agit de méchantes betes de charge qui chargent et sortent fissa en troupeau et zou dans la paeroi : direct ; point de détour, et que, que des betes, que ça ; nous les admirons ; njous sommes tres admiratifs devant pareille puissance bestiale quyi -fonce et se dessine ainsi sur des morceaux de roche de paeroi de grotte enfouie ; jnous regardons tout cela avec beaucoup d’attention car nous ne voulons pas en loupeer une miette ; nous sommes tres intrigués et nous cherchons des vérités ; le langage articulé humain nous pousse ainsi à rechercher des vérités sur ces pazrois de roche ; nous avbons en nous cette volonté tenace (acharnée) xde chercher à savioir qui de quoi ; notre encvie de savoir est gighantesque et ne s’arrête pas aux parois des grottes ; notre envie de savoir va loin ; il s’agit d’une envie profonde, ancrée en nous depuis notre enfance, une volonté de découvrir le pot aux roses de la vie ; nous sommes deux à présent et à deux il y a plus de chance tres certtainement de pouvoir trouver ; de pouvoir découvrir des secrets ici ou là sur terre ; y a til un espoir ? avons nous une chance de savoir ce qui peut etre sur la terre, ce qui nbous attend ?  ; avons nous espoir de savoir ? nous cherchons betement ; la betise est constitutionnelle en cela que nbous sommes des betes qui ici chargeons ; nous sommes des betes de somme qui allons ai nsi deux par deux la plupart du temps, l’un guidant l’autre sous le joug commun ; nous allons ainsi sur un chemin à la recherche d’une vérité mais en fait de vérité nous sommes farcis d’une boule de betise en nous, farce constitutiopnnelle ou constitutive etc, qui fait de nous des etres farcis, des etres betes, des betes de somme etc ; notree vie est ainszi qui se déroule betement ; la betise est à prendre en compte ici, elle est centerale : le temps fuit, l’enfant est porté (téléguidé) jusqu’à loin dans la vie, sur un bovidé ou -sur tout autre bete, qui puiissee porter ; nous sommes enfants qui sommes portés sur des bovidés de notre vivant ; nous sommes ainsi transbahutés d’un point à un auttre (soi-disant) et nous de le croire, comment y couper ? ; nous ne pouvons pas nous échapper d’un certain discours en nous , qui nous pousse à dire des choses et d’(autres avec du sens, avec un sens, avec ce sens que d’aucuns nous ont inculqués alors même que nous voyons parfaitement bien que nous sommes portés, par des betes, par une bestialité (?) ou une betise  constitutionnelle, c’est un fait ; nous devons en convenir ; je suii s d(une betise crasse en cette chose que je suis (pour ma part) bete = une bete ; je suis une bete, tu es une betye, il est ou elle est une bete, nbous sommes des betes, vous etes des betes, ils ou aelles sont des betes, nous sommes des betes en  ous et ces betes sortent de nous par la bouche,  formant vrille, torsade caudale (ce genre) sortant d’entre nos lèvres pour ainsi dire, et cet ensemble disons caudal de betes agglutinées, collées les unes a ux autre, entortillées etc, cet ensemble est une pique , un baton , qui vien pour dessiner cet animal à dessiner, sur une paroi, sur une paroi à l’intériuer d’une grotte du sud fde lafrance par exemple, ou en espa gne etc etc ; nous sommes des etres qui parlons portés ; nous parlonbs portés et ce que nous disons sort ; nous disons des choses betes ; notre betise huùmaine est pleine de trous , il s’agit de trous de bouche ; nous abvons ce trou en guise de bouche et ce trou est notre trou qui nous permet ainsi de laisser échapper la betise, la bestialité, ces betes contenues en nous et que nous dessinons sur des pârois à l’intériuer des grottes ; l’art contempoeain est contemporeain de cescgrottrs, il s’agit de pièces qui viennent répondre à l’injonction en soi d’un hurlement ici de vie vive, gueularde, puissamment vivace etc : une charge ; l’art contemporain est celui que nous trouvons paretout où une bouche s’ouvre (une plaie) qui laisse pour le coup passer ensemble des troupeaux de betes toutes de groosse taille : bisons, chevreuils, él&éphants ou mammouths, bouquetins, chevaux, rennes , ours etc  ; les betes sont légion ; il y a aiinsi de l’art (cointemporain) paretout où passent les betes, la betise, ce troupêau de vaches folles etc ; qui va son chemin d’ap artir de cette bouche nottre et jusqu’au devant pariétal de soi ; le devant (le futur proche) est pariétal ; il est un futur qui se v eut pariétal ; nous cognonds ; nous sommes le nez dessus ; la bete est sortie de nous et tout de suite est venue buter contre laparoi et se représenter ainsi ; nous sommes avec une bouche qui s’ouvre et laisse sortir des betes, des animaux , des betes fortes qui poussent et arricveznt par la force et la puissance à percerb la hjoue centreale et à sortir la tete au grand jour, à la lumlière des torches, des torches électriques etc ; = à la lumière ; nous les aimons, nous aiimons nos betes, njotre betise nous l’aimons ; nouds cherchons avbec enthousiasme, nbous cherchons avec une piuiissance en nous qui nous fait lever des écrous et foncer ; des verrousz, et foncer ; nous sommes vifs et motivés et des lors nous y allons avec beaucoup d’envie et de foi ; nous croyons aux sens des mots et celza n’est pas de l’ordre du choix ; la foi n’est pas un choix ; les mots en nous sont là pour en attester ; les mots sont en n ous point barre et impossible de les déloger , et voilà la foi !  il s’agit de cette foi-là ! il ne s’agit pas d’autre chose ; lesmots en nous attestent d’une foi que nous avons ezn nbous et qui est cette foi quui se passe  de choix etc ; nous croyons aux mopts que nous prononçons à la va vitee ; notree tete pensante y croit raisonnablement ; nous sommezs deux qui nous tenons la main poure aller loin ensemble, sur parois de grotte de preédférence ; nous cherchons une sortie de grootte à prése nt, et ce n’est pas facile (dans l’obscurrité) pour se répérer, il n’est jamaids facile de se réperer, la grotte est étourdissante, nous sommes un peu sonnés et du coup nous avons un peu de mal pour nous repérer, nous sommes ainsi un peu étourdis par l’ambiance (l(a’ir ambiant) de la grotte, nous allons chercher un peu d’air frais dehors , car à l’intéreiur l’air n’est pas tres frais, il est un peu qui ensuque et étourdit et du coup nous sommes un peu étourdis tous les deux ; nous sortons de la grotte main dans la main ; nous alloons nous promener un peu par les chemins, il s’agit de prendre une respiration ample, de bien ouvrir sa cage thoracvique , d’inspirer avec calme, de reprendre ses esprits  ; où eétaient ils paertis ?  ; ses propres esprits quand celui de la grotte est resté là bas, sur la paroi ; kl’esprit de la grotte jamais ne sort dela cgrotte ; l’esprit de laroche jamais n,re sort de la roche ; et l’espreit de la bete morte jamais ne sort de la bete morte ; ce qui sort c’est cette choses que nous disons : cette betise perpétuelle, cette litanie  ; voilà ce q ui sort, parce que pour le reste tout reste en place au niveau des esprits ; les esprits de la grotte reste dans la grotte où ils sont niochés ; l’esprit de la grotte est dans la paroi (par exemple) et s’y complait ; et quand l’homme des cavernes dessine il prend sur lui cet esprit des grottes comme une cape sur les épaules etc ; et se laisse ainsi envahir par cette chosequi lui arrive comme un mal au venttre et alorsq il xse met furueisement à dessiner dessin er dessiner, et c’st ainsi qu aujourd hui encore nous pouvons découvrir tous les jours, à travers le monde, de nouvelles oeuvres pariétales effectuées par des hommes des cavernes ; peutetre pas tous kles jours mais régulièrement, car le vivier de ces peintures à travers le monde est loin d’etre à sec ; il y aura toujours de  nouvelles découverttes, il y aura toujours de nouvezlles peintures rupestres à découvrir à travers le monde, car il y aura  toujours de noucvvelles grottes découvertes car nous sommes loin de toutes kles connaitre c’est une évidencde ; l’esprit de la grotte reste dans la grotte et n’en sort pasq, il vient coloniser, phahgociter celui de l’hopmme des cavernes lorsquil dessine, l’esprit des grottes est un envahisseur ; l’homme des cavernes ainsi se laisse en vahir et perd son esprit (ou ses esprits) qui va ou vont à se loger ailleurs le temps de latranse ; où ?  ; eh bien ailleurs en lui : ventre ? peut etrte, c’est possible, etc ; l’esprit de la grotte vient en l’hjomme à taravers la roche touchée, il s’agit ici d’iuun passage de pouvoir ou d’une passation de pouvoirs via la roche, le roc, qui sert de relai, de support etc ; à cette passation spirituelle etc ; nous voyons tout cela avec nos yeux ; nous voulons ; notre ambition est clairement affichée et ne trompecpersonne, notre ambittion est de trouver (trouer) un passage dans cette paroi et du coup ou du m^eme coup de nous y faufiler tous deeux (main dans la ma in) afin de nous incorporer à pareille fresque rupestre etc ; ce genre d’ambition à deux ; nous avons pour ambition de nous incorporer à pareiklle paroi ; nous voulons faire cette chose, nous avons cette envie en  ous ; nous voulons aller deda ns cette paroi, au dedans de cette paroi, nous voulons aller loin dans cette paeroi et faire en sorte, que  n,ous pûissionsz ainsi incorporés y comprendre quelque chose, à cette histoire humaine d’homme des cavernes etc ; nous ne sommes pas plus betes que la moye,nnne ; c’est à dire que oui nous sommes betes (des betres) mais exactement comme chacun de nous, d’entre nous,, l’est au même titre ; nous sommes des betes de somme, sous un joug ; nous sommes tres betes,n , noussommes peu malins ; nousfaisons les malins avec les mots mais ous ne sommes pas tres mlalins ; nous faisons des simagrés avec les mots que nous avons en bouche et faisons les malins pour paraitre, mais en vaérité nous sommes en vérité pas très malin , ; loin de là  ; nous sommes légers, nous sommes peub malins, nous sommes betassous etc ; notre intelligence est piuissante pour certaines choses concernant la vie domestique et la science des choses visibles etc, mais pour ce qui est des vraies définitions et autre choses de la mort et de la vie, nous nous posons là, et cela depuis longtemps ; nous la ramenons mais vreaiment, nous ne devrions pas, nous ne sommes pas bien futes-futes tout compte fait ; alors oui nous laramenons mais c’en est risible, toutes ces postures etc, que nous prenons, pour entrer en groote ou tout autre chose, toutes ces postures et toutes ces poses etc ; nous sommes très limité en matière de matière grise et nos pouvoirs ne vont pas loin ; nous supputons avec les mots de latribu et nous traçons des plans sur la comète, cela est podssible mais cela ne nous avance guère ; nous sommes deux , main dans la main, ; nous formons la coque ou coquille ; nous formo,ns la coque ou coquyille (nous sommes deux) et nous avançons, ainsi sépa rés, cote à cote, sur l’eau qui file , le ruisseuau, ce mince ruisseau ; nous sommes eznsemvkle main danbs la ma in avec le temps ; nos ambitions au moins sopnt clairement affichées, elles concernent des savcoirs à découcvrir ici à travers une activité prenante, qui vous pousse sans cesse à lafaute mais voilà : qui ne tente rien n’a rien , et par conséquent tant pis pour les fautes, le prinxipal ici est d’avancer et de trouver ensemble des raisons d’y croire encore et toujours : avancer ; nous sommes qui avançons sur un chemin nouveau, qui nous mène ailleurs, qui nous promet la lune ;, qui est neuf, qui est lumineux ; nous sommes dans une grotte au frais  ; nous allons dedans plus avant ; la grotte est-elle la bouche ? ; nous faisons dees pas sur la roche, njous alloons vers une pareoi, nous aimerions peut-être dessiner, essayer du moins, avec du charbon de bois par exemple ; nous sommes tous les deux qui nous tenon,s par la main ; nous ne lacherons pas ; nous alloons tenir le plus possibkle et peut etre y arriveerons nous : à con,na itree le fin mot de l»homme des cavernes : pazrlait -il ? savait il parler ? avait il une langue pour s’exprimer ? savait il se faire comprendrte avec le langage, avec un langage ? savait il se faire comprendre de ses pairs etc, où en était il ? que savait il et que voyait il ?  ; l’homme des cacvernes contenait en lui une parole animè-aalioère ; il s’agit d’une torsade, une vrille ou autre apparition de type caudal dans sa boucxhe, et cela lui permaettait de s’expvrimer ici au milieu de ses congénères ; l’homme des cavernes avait en lui  ; en lieu et place de labouche, une sorte de bec, de tromp^e, dee filin ou auttre filaire etc, qui lui permettait de pépier, de graver, de tracer  des betes sur des parois peutertte, ou alors de parler sous une forme différente de lanotre : avec des cris entrcroisés de mots ; il est l’hgomme des cavernes s’exprimant, par des entrecroisements, par des vrilles, des looopings etxc ; il est cet homme qui s’exprime par des phrases, melées de cris ou de hurlements ; il semblerait que l’homme des cavernes ait eu très tot  dans l’histoire  ; , au fil des siècles, une possibilité de s’exprimer par des vocables animaliers ; il y a des recherches quyi vont dans ce sens ; on connaitb  des animaux qui parlent un langage, qui parait areticulé et sensé ; eh bien l’hommùe de né»andertal xdéjà, et celui (l(hom sapiens) qui suivra cet homme de né&ndertal, ces hommes et ces femmes connaissaient pour eux des mots ou des sortes de mots sortis de la bouche ; ils connaissaient des mots-animaux ; ils avaient des animaux-mots en bouche, qui poussaient comme des racinesetc ; il y a en l’hommùe des mots-animaux, ça pousse ; l’ homme est ainsi qu il a en lui (encore aujourd hui) des betres qui poussent, des betes betres et nous sommes comme elles : betes sur toute laligne de bouche ; nous sommes des betes en nous, nous portons des betes en nous, et nous sommes plutot betassou pour nous ou en nous, qui parlons avec des mots sensés, inventons mille chose, mais sur l’essentiel (la vie et la mort) nous sommes comme des en,fants : ,nous nous posons des queswtio,ns ou bien nous posons des questions à l’adulte et l’adulte à qui ?  ; à qui l’adulte peut il poser des questions ? qui peut il avoir comme répondant ou interlocuteur ?  ; nous sommes tous les deux et nous pouvons ensemble nous parler, je lui parle de la pluie et du beau temps ; elle sourit ; elle comprend les mots que j’ai en bouche comme des betes ; eklle comprend  ces mots -betes qui sont dans ma bouche et elles les soupèsent et elle y répond si nécessaire ; elle connait beaucoup de mots ; elle en connait un grand nombre, elle connait beaucoup de mots qui sont dans ma bouche, elle les entend, elle les prend avec elle, elle fait, avec, des torsades et autres vrilles, qu elle va insérer dans une fente ou dansuninterstice d’une sorte de paroi de grotte : elle fait cette chose là ; elle a un certain style pour agir ainsi, elle sait le faire ; elle avance ainsi dsans la vie , en fichant des vrilles dans la paeroi ; elle est ainsi à faire cette chose dfans une paroi ; nous sommes ainsi, qui glissons des choses dans les intezrstices, et eessayons de comprendre les choses du monde mais comment nous y prendre qauand l’esxpace est obturé, rempli, bloqué etc ; nous savons cela ; nous voyons l’opacité des choses, cette chose d’un monde rempli à rabord et que rien ne peut déchirer ; il sembmlerait que de vouloir décxhirer le monde soit une betise encore plus ghrosse que toutes les autresbetises dejà que nbous avons de nous sorti par la bouche au fil des annzees (derrière nous) et dieu sait s’il y en a eu : des paquets entiers, des trompes, des vrilles, des torsades, des queues, des filins, des fils torsadés eztc ; nous en sommes fatigués, nous regardons devant nous, assis, nouis nouis posons un peu, avant de nous relever et continuer notre chemin ; nous cherchons à découvrir les choses de la vie , ce qu elles sont au juste ; mais au juste, cpoomment faire cette chose ? en fermant les yeux ?  ; commùent découvrir (de notre vivant) le pot aux roses , à savoir la motrrt , qu en est il ?  ;nous aimerions comprendre davantage de choses et nous placer sur un rezgistre d’autorité ; afficher lesz choses sûres et il y en a  ; p)ar exemmple concernant ce voile de la vérité, de laréalité ; concernant ce voile dees choses vraiis et des choses réelles ; les choses réelles sont-elles vraies ? les choses réelles sont ceklles qui sont observables, quantifiables,  vérifiables = fiables, digne de foi, de la foi en ce langage de la foi qui est ce langage (en nous) tout court, celui que nous connaissons, chacun, chjacun sa langue etc ; les choses réelles sont sous n,os yeux et se pretent volontiers à une exploration sans fin ;,, betassoune, enn  cela qu elle est infini et jaâmais ne nous fera avancer vraiment sur la voie d’un savoir premier, ; nous creusons avec les mots que nous avons, des questions qui toutes ré lèvent d’un hypôthétique savoir premier, nous creusons des savoirs annexes , qui concernentv les choses du monde réel c’est àà dire du monde qui nous enbtoure etc ; alors que la réalité ou pluto la vérité, alors que la vérité est autre chose, elle est ce qui est de toute éternité, elle est ce qui excède les pareois du monde ou de la grotte, elle est d’ordre spirituel en cette chose qu elle s’occupe des questions qui fachent les svcientifiques  qui ,eux, ont le nez dans le guidon de la réalité des choses, qui , eux, ont le nez, latruffe, lee museau, dans le cammbouis des choses réelles , la terre-mère nourricière etc ; njous rêvons aux hommes des cavernes ; nous cherchons des vérités, nous cherchons à sortir la tête , nous cherchons issue et pour le coup nous essayons ensemble de gratter ici ou là sur laparois mais rien n’y fait  ; nous ne sortons pas ; nous pensonsc des choses qui ne sortent pas ; nous espérons nous mettre ensemble en position d’attrappage de choses nouvelles, puissantes et éclairantesxmais rien n’est sûr ; commentv pouvons nous faire pour nous y retrouver et apprendre des choses ?  ; nous essayons en forçant des barragesz mais qu est ce qui est forcé au juste ?  ; il n’est pas aisé de forcer et de mettre à plat ; nous cherchons dans un passé le plus ancien possible afin de faire de la place en  ous avec des choses pauvretttes et ainsi s’appuyer (nous appuyer) sur du rudimentaire qui permette une approche dég&agée ou simplifié des phénomènes, mais rien de moins sûr, nous sommes ensemble (elle et moi) dansla grootte, pour une a pproche, nettoyée, simpliféié, réduyite à quelques élé ments de tenue droite, des choses du monde ; nous sommes ensemble et avons ainsi un monde simpliifié pour nous , ou comme simplifié, auquelk s’accrocher, afin de nous porter nous mêmes plus loin sur le cheminb de la connaisszance ; nous avo,ns des ambitions artistiques ; nous voulons créer des formes ; jnos mains , jnotre esprit, nous y allon s ; nous voulons créer des formes qui soient formes qui peermettent (pour nous) de trouver des choses, de découvrir, de creuser ; nous avons des espoirs ; nous fondons, nous fondons espoir, nous avons des ambitions et ces ambitions nous sont chères car nous avons comme objectifs avoués de créer des formes, des formes qui soient des outils de penser le monde, des outils de penser le monde qui nouds environne ; nous chezrchons à nous créer un outil de penserr et cet outil le faire tourner et tourner afin de voi-r ce que celui ci , ainsi tournant, pourrait nous amener à découvrir du monde ; ce que nous voulons créer ce sont des machiin es, des outils pour des découvertes, des machines faites de choses, d’objets, de mots etc ; mzachines qui puisse nous aider (ce faisant) à découvrir des choses du mo nde de kla vie et de la mort ; de quelles machines s’agit il ? nous cherchons à fabriquer en faisant des choses (artistiques) des machines, nous cherchons à créer et ce faisant, nous sommes qui cherchons à fabriquer des sortes d'outils de pensée; nous voulons trouver (ensemble) des outils (arty) qui puidssent nous permettre de trouver (à travers) des secrets, à propos du monde qui ici nous environne ou no,n : nous cherchonsà élaborer des oeuvres, qui soient des outils dee penser la vie et la mort ; des vrilles, qui puissent percer ces choses de lma vie et de la mort ; ces choses concxernant la vie et concxernant la mort ; nous cherchhons à comprendre et percer le voile ; nous voulons percer le voile, nous voulons percer le rideau, la tenture, la toile, le tableau, la feuille de papier du monde, et aussi la paroi, la paroi de grotte, la paroii du monde et voir toutes ces choses à nu  ; nous avons une ambition démesuurée et c’’st cela que nous voulons afficher, sur le cdevant de la façade ou sur le devant de la devanture ; njotre ambition est sans borne ; elle est considérable, elle a une portée large, elle est considérablement massive et large ; nous sommes pétris d’ambition et cela nous pousse à faire des oeuvres qui puisseent pour le coup servir de filtre ou de prisme ; nous voulons aller loin dsans la connaissza nce,nous voulons des outils d’exploration du monde et ce sur la longueur ; nous voulons nous tenir par la mai n longtemps et aller le plus loin podssible dans la compréhension de c e qui est, mais de ce qui est non  pas sous nos yeux vraiament mzais de ce qui est vraiument si nous fermons les yeux et des lors voyons , etc ; nous essayons de voiir ici ce qui est , qui erst et pour l’homme des cavernes (filtre parfait ? ) et pour l’homme que nous sommes ; nous essayons de percer la joue, nous essayons de tracer des betes sur des parois ; nbous essayons de parler avec ces mots-animaux sus-nommés ; nous voulonsaller plus loin encore et percer le voile ; nous cherchons à trouver des mots qui diraient des choses sur la vérité du monde ; nous nous tenons par la main fortement et avons l’ambition d’aller loin en besogne afin de comprendre ce qui donc se trame autour de nous,, dan,s ce monde, qui est celui de la grootte, et dans ce monde qui est celui de laterre ; njous nous activons dans ce sens  ; nous essayons de nous tenir debout et nous donnons de nbous le plus que nous pouvons : c’e’st à dire du passé ; nous donnons le plus, de notre passé, possible, c’est à dire de temps ou de notre temps, ou de nos temps possible ; ce que nous donnons c’est toujours du temps, ce que nous exposons sur le devant ; nous donnons notre temps, nous l’exposons sur le devant ; et c’est ce devant qui est filtre, qui est prisme ; nous exposons notre temps passé (du temps) devant nous, prisme, ; prisme ou filtre : pour une visionb ? pour un présent fait au monde des esprits des rocxhes ?  ; etc ; nous ne sabvons pas ; notre but ‘(artistique ? ) ici , est d’aller de l’avant, dans le train du monde, et de laisser le temps derrière nbous (les oeuvres) sur notre chemin , en gardant le cap des choses à révéler, soulever etc de ce qqui advient, au fur et à mesure que nous avançons ensemble dans ce train (à l’intérieur) qui est censé de fait nous mener ici d’un point à un autrte, mais en vérité rien n’est moinssûr ; nous avons déposé  nos bagages et nous attendons : que le train veuille démarrer  ?  ;: nous sommes des dessinateurs sur paroi et ce ou cela que nous dessino,ns (ces betes) a à voir avec ce que nous avons, pour nous, en bouche : mots, mots-animaux ; nous sommessûrs de cette chosec, à présent ; les animaux sont rois ; nousq sommes sûrs, à présent, de cette chose, comme quoio les animaux sont rois et gouverneznt depuis ici leur fief qui serait en  ous, dans notre antre (ventre ?) par exemple ; npous avons mangé de la viande, du poisson, ingurgitév pourr nous sustenter et à présent : nbous devons rendre des comptes ? nous essayons de revenir aux origines (de l’humanité, des mots) pour percer la joue et faire une bouche, à l»’aendroit de c ette crevure ; njous pensons qu en revenant aux prtemièresq heures del’humanité, au babil, au bébé, aux hommes des cavernes, etc, nous allons pouvoir trouvrer où donc se loge la vérité sur ce que c’est en vrai que ce que nous vivons ; nous pensons (nous deux : coque) que de rezvenir aux premières pages du livre, nousaidera pour comprendre le tout de ce livre et notamment la fin de  ce livre ; nous nous portons de nous  mêmes vers des origines ; nous avons en nous cette chose d’une pente qui nous mène aux hommes des cavernes ; nous cherchons la pente en nous quasiment malgré nous et celle ci nous mène là, vers l’homme et la femme des cavernes, vers les peintures rupestres et vers les parois ; la paroi encore et toujnours , qui est celle sur laquelle nous venons buter ; nous cherchons une sorte d'issue (une trouée de bouche) et pour celac que faisons nousq ? de l’art des parois, de l’art pariétal, c’est à dire cette tentative de percée par des mots-animaux ; nous cherchons à) percer à l’aide de mots-animaux la paeroi de roc, de roche ; nous avons une ambition énorme ; notre ambition dépasse les bornes ; il s’agit d’une tres tres grande ambition ; il s(agit d’une grandissime ambition rupestre ; elle vient se cogner aux parois ; notrea ambition (artistique) est une de  celles qui constamment et violem:ent viennent se cogner aus parrois des grottes et d’ailleurs ; il s’agit d’une de ces ambitions considérablement ample (artistique) qui vient constamment se cogn er (coller) aux parois des grottes ; art pariératl ttoujours, qui voit l’artiste (l’homme ou la femme des cavernes) se cogner (ploc) à la paroi du monfde, via des animaux-tampons, sorte de métalangage inouï qui permet ou pertmettrait des échanges entre des mondes ; nous nous collons à la paroi du monde ; njous sommes contre une paroi, cette paroi nous fait face, nous voulons percer la jou (bahjoue ?) du monde de la grotte qui est une bouche avec en son milieu une langue rosée ; nous voulons crever, crevure, percer, perrçage, une joue, bajoue, de bouche, de grotte, pour une échappée, sauvetage ou salut)p, de ce monde ci  , groote ou caverne, qui nous opoppprime , ou pas, mais nous conditionne beaucoup et nous empeche de nous libérer de ses crocs ; il s’agit d’une embardée contre paroi , avec animaux (troupeau) qui vont de l’avant et meuglent leur douleur à même la roche ; njous pensons de cette sorte, notre pensée est ainsi vrillée qui va chercher loin des appuis, deans des sortes de prémivces humanitaires ou humains, simplemrent humains, qui pourraient nous donner des raisons d’y croire ou de croire en une vérité avérée, en une vérité qui l’emportezrait sur toutes , qui serait fiable , sur laquelle tabler, s’appuyer, tenir droit, tenir et marcher fissa, et marcher dans une marche qui soit droite, qui soit appuyée, qui soit une marche droite vers un but précis qui swerait de vérité ; nous voulons aller verts la vérité, toute notree ambition se loge là dans cette recherche de vérité, d’allant, vers une veérité qui de fait nous donnerait les ailes suffisantes pour voler vers une destinée qui serait véritablement la notre en propre, et sans encombre ; nous cherchons à déchierer le voile de la mariée et à compfrendre des lors ce qui se joue sous pareille tenture, voilure, paroi, etc ; notre volonté est celle ci (artistique en diable) , de nous projeter ensemble (main dans la main, coque) sur une paroi de grottee, une roche lisse, une lisse roche, une roche lisse ou une riche losse, etc, afin de comprendre , depuis l’intéreiur de la roche lisse, ce qu il en découle, ce qu il en est de cette vie ici et maintenant, avant de passer à trépas ;, nous cherchons des choses à travers une roche lisse, nous cherchons des choses à travers une lisse roche , et cela pour mlieux comprendre les choses qui sont celles de la vie terrestre, pour humain, au milieu des betesc qui chargent, au milieu de toute cette affaire beuglante etc ; notre but ici (art) est de faire (art) des choses (art) avec nos mains (art), choses qui puisseent des lors nous permettre, dx’aller plus avant dans la roche et mieux nous mettre ainsi en re lation avec des esp^rits, et mieux nous mettre, nous metrtre mieux ainsi en une relation, nous mettre ainsi mieuxc en une relation, nous poser ou mettre en relation et cela mieux ainsi faisant (en roche) avec les esprits (de ladite roche) ; ainsi faisant, permettre pour nous, une entrée en relatioon (en roche) avec des esprits, une entrée qui soit meilleure, qui soit formulée, qui soit précise via des représentatatioons fidèles (ressemblantes ) d’animaux pesants leur poids conséquents ; nous cherchons une entrée en matière, avec des esprits, ces esprits de la roche ; notre volonté ou notre ambition est celle ci : d’entrer en relation avec des esp^rits qui nous guideraient sur une voie qui serait celle (enfin , hors des mots) de la vérité ; nous voulons nous recentrer ; nous cherchons à nous recentrer ; notre ambition est de trouver le centre ; où donc est le cxentre ? où se trouve donc le centre ? nous ne voulmons pas nous éparpiller mais nous voulons trouver le centre, nous recentrer, rester proche du centree, des choses importantes, des choses essentielles, du centre desq choses du monde; le centre du monde , où se trouve le centre du monde ? quel est le centrte du monde ? où donc est il et que fait il ? qu ‘est il et que dit il etc ?  ; telles sont nos interrogations premières et natives ;

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30/04/2020

la paroi nous accueille comme elle sait le faire : elle nous enveloppe de ses animaux, dessinées au charbon de bois ; nous les aimons beaucoup, nous les caressons au passage , buffle et bidsons, bouquretins et chevaux, nous sommes dans notre élément car nous sommes des betes nous-mêmes, des bêtes de somme ; nous sommes de vrais animaux de parois et c’est ainsi que nous nous retrouvons comme qui dirait chez nous au milieu de toutes ces betes qui ruent et chargent, et se montrent vives, tonitruantes, et puissantes ; il faut les aimer beaucoup pour les accepter et nous avons cette chose ou chance en nous qui est que nous les aimons beaucoup et que nous avons beaucoup de plaisir à les retrouver et à nous retrouver au milieu d’elles, nous aimons les bisons, les phacochères, les élephants, les mammouths, les ours, les sangliers, les chevreuils etc, tout ce gros gibier nous plîat beaucoup et nous sommres fiers d’avoir ainsi pu nous retrouver parmi toutes ces betes pariétales , nous immiscer ainsi en ces parois (pzar des fentes) et nous blottir (main dans la main) contre la peliisse de certaines betes au poil caressant ; nous sommes toujours main dans la main, nous ne nous lachons pas ; nous nous tenons tres fort car il est important ici de ne pas se lacher, il en va de notre survie à tous les deux ;  ; nous nous immisçons avec grand plaisir et nous nous collons à ces betes qui nous font forte impression ; la nudité ici est une chose qui s’avère (à nos yeux) comme indispensable , tres importante également, car il est capital d’y aller nu, de se jeter vcontree une paroi en sa nudité complète, en grande et complète nudité afin de ressentir à son contact, au contact de la paroi, tout ce que celle ci peut vous transmettre en fait d’énergie ; il est très important de se dénuder pour aller au contact d’une paroi, et de se coller au plus près sur celle ci, afin d’en bien recueillir au contact tout ce qu en terme d’énergie ladite paroi peut etre à) même de vous octroyer ; une paroi a beauvcoup de chose à transmettre ; une paroi est quelque chose de très riche, elle contient un grand nombre de choses en elle qui peuvent (pour vous) vous amener un nombre conséquent de bienfaits ; il s’agit aussi d’oligo-éléments mais pas seulement, il s’agit de ressources de types spirites, uil s’agit de choses d’une grande profondeur spirituelle etc ; une paroi est une amie tres précieuse pour tous ceux et celles qui savent ou sauront comment l’aborder et c’est sûr que la nudité intégrale ici (de contact) à son importance et n’est pas à négliger  ; nous nous collons contre le plus possible, et nous respirons profondément ; nous sommes de grands amateurs (nous deux) de respirations profondes, nous respirons souvent ainsi, en prenant le temps de bien nous décontracter au préalable et ensuite d’aspirer, profondément, l’air ambiant (si possible pas trop pollué de choses chimiques ) et ensuite d’expirer cet air avec une patience, avec un savoir, une attention et une concentration optimales ; nous aimons respirer avec concentration, avec attention ; nous respiropns tous les deux côte à côte et nous aimons cette chose de nous retrouver, à des moments de la journée, pour nous accoler et respirer de consert afin de caler nos respirations sur un seul et même tempo, et ainsi nous retrouver dans une bulle (une coque) commune, du moins un certain temps, quelques instants qui se comptent en minutes, et ensuite nous pouvons nous embrasser à même la paeroi, nous pouvons même coïter à même cette paroi qui nous contient comme un lit nous contiendrait, un lit ami, car les lits sont des amis, les lits sont des amis chers depuis nottre en,fance, les lits depuis toujours sont nos amis chers, tres chers ; les lits sont de vrais et beaux amis ; il n’y a pas de meilleur ami qu un lit, une table est une a:mie, une chaise aussi, mais un lit est un ami formidable et nous l’aimons beaucoup, nous aimons beaucoup notte lit, et aussi cette paroi de grotte, ces peintures animalières, ces betes formidablement ressemblantes à dessein ; il s’agit d’une volonté de l’artiste ; l’artiste est celui qui tient le barton et trace au charbon (ou autre ma,nganèse, ou autrement)le dessin de l’animal qu il aura choisi, ou que quelqu’un ou quelque chose aura choisi en lui ; nous aimons ces betes dessinées, nous aimons les regarder et ne pas les quiitter des yeux plus de temps quil n’en faut afin de bien les garder en mémoiree ; oui l’artiste est celui qui trace avec du charbon ou autrement des betes ici sur des parois, il fait ça tres bien, il est fpormidablemeznt doué , il s’agit d’un don, il a en lui une chose donnée par quelqu un ou quelque chose, il est soutenu, il est accompagné dans son geste de peindre, de graver des betes etc ; il est évident que sa main est guidée ; il semble évident que sa main ne trace pas seule , il y a derrière elle quelque chose ou quelqq’un qui la guide, qui la soutient, qui lui permet de tracer avec facilité et de manière tres ressemblante des animaux qui sont les animaux que cet homme des cavernes connait tres bien pour les chasser tout au long de l’année ; sa main est guidée, sa main est portée, il est en transe, il ne sait pas ce quil fait ou bien il sait ce qu il fait mais ce qu il fait l’absorbe complètement : il est nu de lui mais plein de l’autre ; il est comme nu (sur le plan de son identité en propre) et envahi de pied en cap de cet autre en lui qui le phagocite , prend toute la place et décide pour lui où poser sa main lorsqu’il dessine, klorsqu’il trace des chose sur la paroi, des courbes, des hachures, des points, des motifs en particuliers, et donc toutes ces betes magnifiques ; en lui existe cette main du temps , qui le guide dans ses gestes de dessinateur ; en lui il y a cette main qui le soutient, qui le tient, qui tient sa main à lui, ces deux mains qui tracent etc ; on voit parfaitement la scène : nous pouvons sans souci nous représenter cette scène, il est très important de pouvoir se représenter toutes les scènes qui nous viennent en tête , il est capital de pouvoir visualiser toutes ces scènes afin de mieux comprendre ici, en ces cavernes, ce qui se joue avec ces hommes préhistoriques qui par ailleurs sont nos frères, sont nos aïeuls tres précieux, d’autant qu ils sont d’un temps antérieur à celui de la parole écrite sinon parlée, bref ; nous les aimons ; nous aimons ces etres de la préhistoire ; nous avons beaucoup d’amituié pour eux, de considération, nous les apprécions à leur juste valeur qui est tres grande, nous espérons savoir ou pouvoir les apprécier à leur juste valeur car leur valeur est imminaense ; ils furent (ils sont) de très grands artistes (les meilleurs au monde) et ils nous impressionnent beaucoup avec leur charbon de bois et autrtes outils pour dessiner ;lils étaietnt tres forts , ils le sont encore ; ils dessinent avec beaucoup de grâce, avec beaucoup de finesse , des choses qui sontv tres précises, tres fines, tres bien vues et conçues, on peut apprécier la beauté et la finesse, la clarté et la grâce, la puissan,ce et la richesse de ces fresques devant nous, à nos pieds, proposées à notre champ de vision ; nous aimons aparticulièrement les animaux de forte taille, de gros poids et de belle armature ; nous aimons les mains aussi : négatives et positives ; nous avons beaucoup de plaisir à voir ces mains multipliés sur ces parois, nous avons un grand plaisir a voir toutes ces mains sur toutes ces parois de grotte, on en dénombre beaucoup, ces mains sont des mains spirites, sont les mains du temps qui contient (qui tient) la main de l’artiste, ici reproduite à dessein, en guise d’offrande au temps ou au dieu temps qui préside comme un souverain ; il s’agit de mains qui sont derrière, derrière la tenture , derrière les chodses essentielles , ces choses qui sont les moteurs, qui entrainent, qui donnent l’impulsion de vie etc ; la main esrt derrière, qui tient la vie du présent offert en offrande sur table, tableau, sol, toile, etc ; peu importe le support car la main est là qui est souveraine et tient la main de l’artiste à l’ oeuvre, au travail, de l’artiste qui est  nu et se donne ainsi pour la bonne cause qui est la cause de cet animal représenté, celui là qu il aura choisi ou qu une main pour lui aura choisi ; le peintre ici est nu : dénudé et habillé : rhabillé, de pied en cap , pour l’occasion, en habit de fête ; il s’agit d’un accoutrement ; il s’agit de peausx de betes posées à même ses épaules et son dos ; l’artiste ici est grimé, il est peint lui même avant de piendre ; il est maquillé et se présente ainsi grimé devant la paroi, et là une main négative le prend par la main et la main négative le pousse à agir , à dessiner sur la paroi qui un buffle, qui un bison, qui un bouqueetin, qui une antilope etc, et cela avec le plus d ressemblance possible car cette chose de la ressemblance est une chose tres importante ; la ressemblance ici est la chose la plus importante, elle est celle qui l’emporte haut la main ; il s’agit d’une chose qui est capitale, la plus haute, la plus importante ici , pour cet homme des caver nes ; il est capital à ses yeux que l’on puisse reconnaitrte l’animal qui erst reproduit car il est important que cet animal puisse apparaitre comme étant vivant, comme étant un présent de vie et non point de mort ; il est capital que cet animal représenté puisse apparaitre comme étant un animal doué de pouvoir, un animal vivant ou qui semnle tel le plus possible ; la lumlière aidant, la flamme des torches faisant vaciller les images des parois, vaciller-vibrer ces images, ces animaux ; cette chose est tres importante ; on peut voir que l’homme des cavernes est un artiste (un dessinateur) appliqué et qu il sait faire attention, il est collé à la paroi, son sexe est contre la paroi, il est collé à cette paroi sur laquelle il inscrit ses marques, ces traits, ces courbes, etc, pour figurer au mieux ce que la main spirite a choisi pour lui ; il est tres animé ainsi par une main, qui sait ce qu elle fait « les yeux fermés» ; nous voyons cet artiste à l’oeuvre à présent, il dessine avec une sûreté de tous les instants, il eswt très doué, il en impose, il est tres secouru et secondé ; une main est pour lui la main ; il est dans un rapport étroit avec une main, secourable et charitable, il se laisse porter par une main en lui qui porte sa main à lui, et cettte chose est impressionnante vue de l’extérieur ; il est aspiré ; il est soutenu ; il est secondé ; il est administré ; il est sous le joug ; il est sous le joug du temps qui agit pour lui et le pousse ainsi à déployer ses ailes et graver la roche, il est sous le joug du temps présent qui est sous lui, en lui, sur lui, partout autour ou dans, le temps l’enveloppe de pied en cap et notre homme des cavernes des lors de se laisser guider par cette main en lui qui est cette main du temps qui file fissa, son déroulé , son allant, sa voiture ; il est (ce temps) la main qui tient ; et cette main se retrouve, ici, sur parooi, en positif ou en négatif, cette main se retrouve ici ou là (un peu paretout) sur des parois de grotte, dessinée en positif ou en négatif ; il s’agit de la main du temps, de cette main qui tient le mobile humain et lui permet d’aller (vivant) de l’avant le temps nécessaire : un certzain temps ; nous aimons ces mains et négatives et positives ; nous sommes friands de mains ; nous raffolons dees mains peintes, des mains reproduites sur des parois ; nous aimons les projections de peinture, ; nous aimons beaucoup ces projections au souffle, au souffler, à la bouche, au crachat de peinture sur une main , et la trace qui en résulte ; nous aimons àla folie ces peintures de main sur des parois de grotte, nous aimons ces projections de peintures, nous aimons que ces mains soient des projections de type crachat ; le crachat de peinture ici nous impressionne beaucoup et nous charme et aussi nous ravit  ; il s’agit de peinture projetée sur une main plaquée contre une paroi de griotte : l’homme des cavernes (qui peut etre une femme, un enfant) prend dans sa bouche du pigmen,t liquide et projete en crachant ce pigment sur une paroi, sur sa main , et le tour est joué ; il s’agit d’une main négative ; il crache le pigment par une sorte de projection buccale etc ; il est dans une preojection de pigment sur paroi, il est dans une technique de projection et cela nous intéresse beaucoup, nous nous intéressons beaucoup aux projections, aux renvois, aus plaquages, au collages contre des supports etc : tout ce qui sortant d’un endroit ou d’un lieu se voit projeté illico presto sur un support , quel que soit ce support ; nous nous intéressons beaucoup à ces techniques de projection ; le crachat nous plait, le crachat de pigment sur une main collée au mur, à la paroi de la grotte ; le crachat d’une couleur ainsi propuléseé ; nous aimons la paeinture au pistolet, à l’aérographe,  nous aimons le barbouillage à lé’aérograpnhe, les couloeurs ainsi propulsées nous plzaisent beaucoup, nous aimons les voir sortir du pistolet pour être preojetée sur des supports divers, sur des supp^rots qui peuvent être tde tout type, des supports de type anfractuosuités ti-out aussi bien ; nous apprécions beaucoup ce genre de propulsion colorée sur des parois, sur tout type de parois ; nous guettons les découvertes, nous guettons ces mains sur des parois, nous cherchons ces mains paretou dans les grottes, nous aimons les grottes pour les mzains qu elles cvontiennent sur leurs parois, il y en a beaucoup ; les mains sont tres appréciées de nous et de beaucoup d’autres êrsonnes en plus de nous et à juste titre, car elles sont formidables et renseignent bien de la taille de ces hommes des cavernes (femmmes, enfants) et nous les rendent plus proches de nous, les font vivre à nos côtés d’une manière étonnante ; les hommes des cavernes sont nos frères, nous les adorons comme nous adorons les mains qui viennent se poser comme des papillons sur des parois de grotte etc ; les hommes et les femmes et les enfants des cavernes sont nos freres de sang, nous venons d’eux, ils sont nos chers ainés, ils nous plaisent en tant que tel, nous aimons les retrouver dans ces dessins tracés sur des parois lisses ; nous aimons ces hommes des cavernee, nous les adorons, nous le disons sans ceesse, nous ne voulons pas faiblir dans notre admiration, nous voulons etre proches d’eux, les connaîtrte le plus possible, et comprendre le plus possible ce quyi diantre pouvait donc les animer lorsquils dessinaien,t des betes, et aussi ces mains, ces mains négatives et ces mains positives ; nous aimons ces mains, ces projections, ces crachats, ces souffles, ou ces souffleries, nous aimons la peinture projetée sur des parois de grotte, les pochoirs nous plaisent ; le pochoir en règle générale ; nous adorons le pochoir ; nous adorons les pochoirs, les pochoirs de n’importe quoi ; nous aimons le pochoir, nous adorons tout ce qui ressemvble de pres ou de loin à du pochoir, cela bnous plaît beaucoup et nous-mêmes en confectionnons à temps perdus ; il s’agit du temps placé ici sur un coin de parois de grotte ; il s’agit d’une amin tenant le temps etc : cela est la solution à notre reébus ; nous avons trouvé la solution , celle que nous cherchions depius des lustres maintenant ; il s’agit du temps, il s’agit de main du temps, de la main du temps qui porte à bou-t de bras (de main) les choses de la vie de l’homme des cavernes, de l’homme tout court ; le temps porte, il s»’agit de main ; la main porte et guide, c’est elle qui trace kles betes, ces dessins au chgarbon de bois ou au manganèse etc ; nous les admirons, comme nous admirons les projections de type propulsion de type crachat, crachouillis, crachure, à l’aérographe ou à la bouche etc : nous sommes tres amateurs ; notre plaisir ici est de regarder ces mains et de les comprendre pour ce qu elles sont ; il ne faut pas les négliger, les mains accompagnent les animaux, il ne s’agit pas de choses séparées ; les mains accompagnent les animaux ici en cela que ces mains sont les mains du temps qui tiennent les mainsv des dessinateurs etc  ; ces mains négatives (ou positives : coque) sont kles mains du temps, sont les mains du temps qui tient les mains de l’aretiste dessinateur ; l’artitste dessinateur est conduit, tenu, guidé, chapêauté et capé ; il est l(homme des cavernes grim, habillé à la manière festives qui convient, il dessine habité ainsi par une puiissance en lui qui le pousse à tracer les traits qui s’imposent à cet espreit de guidage en lui ; l’homme des cavernes est secondzé par la main du temps ; le temps est le présent, le cadeau , le don offert etc, et l’homme des cavernes ici reçoit ce don et le met à profit par la voie de ces dessins qu il trace à main levée pour une représentation de la vie la plus ressemblabnte possible , afin de faire accroire qu il sw’agit de lui, de lui homme des cavernesz, qui est là représenté, présenté, offert, etc : ce présent, ce temps = cette mzain ; une main ; une main et une autre ; l’homme des cacvvernes est là présent en tant que la vie qui est en lui passe un peu (le passé de l’animal) dans la représentation de l’animal : il dessinec la vie car l’homme des cavernes a besoin de dessiner la vie ; l’homme des cavernes a besoin (pour rester en vie) de dessiner la vie sur des parois, la vie la plus en vie qu il puisse tracer et c’est c-ela même qu il dessine, et voilà pourquoi on trouve peu de représentation humaine , de la la silhouette humaine , sur les parois des grottes, car en  vérité, ce que lm’homme des cavernes dessi,ne, est tres exactement la vie dans de qu elle a (à ses yeux) de plus vivante si l(on peurt dire ; l’homme des cavernes dessine la vie vive, le plus vif de la vie qui soit, etc, afin de faire accroire qu ainsi il offre sa propre vie etc, quand il n’en est rien  ; il s’excuse, l’homme des cavernes se plie en ecxuse, se confond,  fond en excuses vives, à genoux etc, pour ces mêmes raisonsq : se confond ; il disparait derrière ces dessins de betes , qu il trace lui même comme guidé par la main d u temps, de cette chose morte  (le temps) qui ressemble le plus à la vie : cet animal du temps, cette bete du temps, etc ; l’homme des cavernes est guidé par la main du temps, celle là même qu il représente (en négatif et en pôsitif) sur les parois , au pochoir, avec du crachat pigmenté, etc ; l’homme des cavernes est celui là qui crache du pigment : positif et négatif, la coque entière, les mains l’une sur l’autre, ou l’une contrte l’autre en forme de noix etc ; il semble que la noix ici a son importance ; jnous cherchonds ; nous sommes à la recherche d’une vérité concernant cet homme que nous sommes , et cela avec les mots de latribu ( des temps actuels), cette langue que nous connaissons, ce patois parlé par plein de gens jusqu’à mzaintenant mais qu en sera t il dans quelques siècles etc ? nous n’en savons rien ; nous cherchons avec les mots (et la raison qui les guide ou les acvcompagne etc)) que nousavons en bouche, nous les amenons sur le devant en les forçant un tant soit peu, afin de leur faire (en noix) cracher leur pighment coloré sur paroi et dire enfin ce qu il en est de cette histoire (préhistoire) humaine du temps des cavernres = le nôttre ; nous cherchons (nous deux ensemble) à comprendre ce qui est, ce qui se trame, -ce que l’on peut comprendre de la vie qui est cette chose qui nous constitue en tant qyue nous sommes vivants sur une terre mère etc ; jnotre but (à tous les deux) est de comprendre ce qu il en ressort de toute cette aventure terrestres, de vie et de mlort, etc ; pourquoi cette coque de noi$x, que vient elle faire ici ? qu en est il de cette coque etc ; nous cherchons des réponses à même (à fleur) du langage, à même le langage, à fleur de mots, juste à ce niveau où le sens des mots vient naittre (à la lisière) comme par défaut : nous cherchons à nous placer ici, à la fleur des mots naissants, en cet endroit des sens qui affleurent comme par défauts, que nous accueillons sur paroi, sur toile ou sur page, afin de trouver la chose générale squi présiderait , en dehors des micro-sens particuliers pour lesquels notre cvonfiance reste limi tée (si tant est que nous puissio,ns dire cette chose ... et nous pouvons la dire !) ; nous cherchons ; nousvherchons une chose à dire ; notre but est de chercher une chose à voir ; notre but est une chose que nous recherchons, -que nous cherchons (ensemble) à découvrir, à trouver ; nous avons un but commun et ce but est celui de découvrir quelque chose de ce qui est et  c e quelque chose nous essayons de le mettre à jour via les mots de ce langage qui nous a été inculqué à la naissance et via le prisme de la paroi des hommes des cavernes ; via le prisme de cette paroi, des hommes des cavernes, avec ces dessins d’animaux, ces petits signes inexpliqués (cers figures ghéométriques) et ces mains, tracées au crachoir, au crachat, au soufflet, au souffle etc  ; projections que nous retrouvons ailleurs, avec des peintures (à l’emporte pièce) sur diferents ou divers supports, à laéroghraphe, ailleurs dans le monde, sur des objets qui peuvent etre tout et n’importe quoi ; nous aimons les projections, nous les recherchons ; nous aimons ces choses, cers projections et nous les rechgerchons paertout dans le monde  ; ces mains, ces betes, ces betes , cesz mains ; nous sommes épris et nous le disons sans gêne, sans la moindre honte, nous le chantons même, nous n’hésitons pas à le dire haut et fort ; nous sommes épris, nous aimons beaucoup cers choses prohjetées, ces diverse projections de peintures ou de pigments (colorés) sur des parois, sur des suppotrts naturels etc ; des projections au pistolet, sur du sable, sur ce qui se trouve devant soi, sur n’importe quio qui se trouvera devant soi, nous aimons ces projections furieuses de couleur vive , sur des batiments, des arbres, des murs, des pieces divers, des objets divers etc : cela nous intéresse beaucoup et nous le disons, nous n’hésitons pas à le dire et cela avec les mots qui affleurentr, avec la fleur des mots qui sourd de notre bouche, qui passe ainsi par un souffle, en lien avec une mai n : le souffle de lma main etc ; sur paroi de roche ; cette main qui est celle du temps qui affleure et fait mine de représenter la vie la grande alors même qu il n’en est rien mais qui le sait ? ; nous cherchons à faire sourdre quelque chose à travers des mots (idfiomes, patois) qui affleurent ; nous cherchons ensemble ; nous regardons toutes ces projections, nous les regardons ensemble et nous essayons ensemble de comprendre, de quoi il en ressort, ou de quoi il en est, ou de quoi il en découle, ou quoi en découle, en sort ou en est ; cette affaire, quoi penser ? ; nous ne savons pas trop quoi penser de cette affzaire, et cependant nous continuons à creuser , à tracer notre petit bonhomme de chemin, à le faire sourdre par la voix, par la main qui trace sur paroi de roche ; les mots ici affleurent sous unev sorte de forme animale ou animalioère qui depuis la nuirt des temps a toujours été la forme archaïque des mopts ; les mots sont d»’abord et avant tout des animaux, des betes ; nous soufflon,s des 

betes, nous crachons des betes, ce qui sort de nous, de notre bouche, c’estde  la bete, ce n’est rien d’auttre qye cela au départ, au tout d»ébut de l’humanité, aux temps anciens, etc ; nous parlions en crachant des betes, ou bien , ce qui sortait de nbotre bouche, était béte, était idiot, etait tres iditotdss, devait l’etre, devait etree bete, cela est tres important ; la betise ici est capitale, cela doit etre, cela se doit d’etre ainsi à fleur de mots et cela doit ainsi laisser apparaitre un schéma global (au fil du temps) de la trame entière, de ce qui doit etre ici révélé ; nous cherchons des lors cette bete à l’action, en action, dans le dire bete, qui puisse nous domnner de quoi comprendre, cerner, contourner, isoler des données qui puidssent de fait nous rtenseigner sur ce que c’est que cette histoire de vie sur la terre ; n’ayons pas peur des grands mots ; tous les mots sont grands : tous les mots sont grands, comment ne pas avoi r peur ? en les rapetissant ? en se mettant au ras des paquerettes etc et en les regardant de bas, du bas, à la racine, natif- naïf etc, afin de pour le coup laisser venir à soi ce qui se doit de pouvoir venir, etc ; nous essayons de nous placver ainsi à la racine et ainsi, nous espérons que des choses voont arriver ; nous prenons cette cible (?) , de la question de l’art etc, pour voir venir, nous voulons prendre cette cible (la question de l’art) comme piererre de taille etc sur laqurlle nous sommes ainsi, qui déposons ce temps (déroulé) des phrases qui se contaminent les unes les autres, dans une sorte de défruichement continu, qui ne cè!de pas, et qui va son chemin comme un sezrpentin ; nous sommes tous les deucx (elle et moi) sur une sorte de longueur qui nous permet ensemble de laisser venir, les vchoses natives , comme des enfants, dans leur naiveté (?) première, dans cette sorte de candeur docile, dans cette sorte de douceur caline etc qui pourraioent nous donner ici même de bonnes nouvelles sur tout cela qui nous intéresse : l’art comme expérience etc ; nous ne voulons pas nous désunir , aussi , nous cvontinuons à poser nos mains sur les parois et à en dessiner des contours, les contours ; nous ne voulons surtout pas nous désunir ; nous cherchons à nous coller à la pareoi d’une manière ou d’une auttre ; nous cherchons à nous agripper, et à nous immiscer, à entrer au coeur de cvette roche, dans son antre, etc, et à nous y loger comme bete de somme vive ; nous ne voulons pas disparaitre de sitot ; npus voulons poursuivre sur notre chemin notree chemin ; nous voulons poursuivre le chemin ; nous ne voulons pas capituler trop vite mais rester en vie encore, comprendre, comment comprendre ? nous essayons de cvomprendre ; nous ne comprenons pas tout ; nous ne comprenons pas grand-chose ; nous ne comprenons p as beaucoup de choses ; il y a cette chose en nous que nous nommons du mot de mystère des choses  ; nous ne voulons pas capituler ; nouds voulons poursuivre cette aventure, nous ne voulons pas céder, nous voulons continuer à pouvoir faire des mains sur des parois de grotte ; nous sommes hommes et femmes des cavernes ; comment faire pour trouver ce qui se trame ?  ; comment faire avec des mots, pour comprendre ? comment prendre les mots pour comprendre ?  ; la quesrtion est celle ci, ici, qui cherche à cerner la manière la plus efficace qui serait, pour cvomprendre à la racine, ce qui se trame au sein du monde que nous vivons, ces choses de la vie et de la mort en dehors de ce que ces mots véhiculent comme sens  au pied de la lettre ; nous cherchons à nous éloigner du sens particulier (des vocables) et de voir à la racine ce qui sourd de terre, hors le sens pur et dur des mots de tete, en se tenant au niveau du sens (bien evidelmment) mais à la racine et non plus au niveau cdu cap, de la cime, de la tete pensente etc ; nous nous plaçons à cett endroit de laracvine et du ras de terre, etc, afin de (pour le coup) laisser venir ici les petits enfants (jeune pousse) du sens des choses sur terre ; nous essayons ainsi, via la vitesse d’exévcution , et ce afin de faire de force sauter les verrous, si tzant est qu on puidsse ensemble ici cette chose ; nous tentons ; nous essayons de comp^rendre et de faire de force sauter les verrous, en exeécutant à la va vite, à) la six quatre deux, ; pour tenetrer le diable du sens des choses humaines sur terre, pour essayer  , de la sorte, de faire advenir, sur paroi de grotte, le sens des données humaines : etc ; nous sommes ensemble, qui nous tenons par la main ; nous avons une idée en tête ; nous cherchons des réponses à ce qui nous occupe et ne laisse pas de nous intriguer ; nous cherchons à faire monter (sourdre) des données ; notre but est affiché haut et grand ; notree bhut n’est pas masqué : nous jouons le jeu ; nous ne nous défilons pas ;  ; npus prenopns les mots pour ce qu ils sont et jounbs le jeu ; nous ne faisons pas semblan,t ; nous agissons avec le sens des mots en bandoulière ; nous nous affichons ainsi avec le sens des mots conservés afin de voir ce que le sens des mots, pris à même laterre, peut bien nous donner comme  fruits ou comme données qui poourraient nous rensieigner au mieux ou au plus sur cette chose de la vie que nous vivons ; jnous essayons d’agiter les mots (leurs senbs) à travers des prismes (lart) qyui piussent nous permettre d’en extraire une liqueur, un vin , qui nous offrireait de quoi livrer des choses de la vie et de la mort , des choses qui seraient fiables : solides, costaudes, coques ; nous donnons ainsi beaucoup de nous pour cette chose que nous maintenons à la  force du jarret ; nous ne lésinons pas, nous ne faisons pas semblzant, nous sommes tres assidus et nous poursuivons sur notre lancée sans sourciller car nous avons soif de connaissance ; nous avons une confiance tres limitée en cette chose du sens des mots et cepoendant nous ne pouvons pas les envoyer valdinguer comme ça car ils contiennent des choses, en eux, que nous voyons cvomme étant premières, et ainsi, nous avons pris pour nous ce paertie , de ne pas envoyer bouler le sens des mots mzais tout au contraire, de le conserver comme un fil qui court, afin de mener à bien cette tache que nous nous sommes fixée et qui est de mettre des choses sur table : temps présent, mains positives et mains négatives, mots-animaux qui sortent tout à trac de nottre bouche , ce salut comme un salut de type bonjour, et ce salut comme un salut de type sauvetage ; nous avons un amour immense pour les sauvetagesz, nous avons en nous, un amour immense, considérable et contagieux , pour le sens des mots pris à la racine, à la base, sur le tapis d’herbe verte ; nous croyons pouvoir enfin savoir en nous collabnt de la sorte à cette paroi sur laquelle figure un grand nombre de betes, de toutes sortes pêutetre pas, car il s’agit pour l’essentiel de gros gibier, genre phacvodchère, aurochs, hioppooppotames, sangliers, chevreuils, rhinocéeors, chevalk etc ; les beters sortent (betyes) de notre bouche  ; il faut betifier, ou didsons : il faut tracer et tant pis si c’est betye, si le trac»é est bete ; il est important, il est tres important de tracer, et ensuite : tant pis si c’est bete, si ce qui sort ici ou là, au décours, est bete , car il est important que cela soit de la sorte ; nous deevons faire cette chose zainsi : cracher , souffler, extraire de nous : des betes ; des choses betes et des betes, ces choses conjointes etc ; nous devons nous rassembler et cracher nos pîgments sur des supports qui peuvent etre beaucoup de choses : des angles de rue, desz angles de pièces (chambre à coucher, séjours, cabinet de toilette, garage pour la voiture, caravane (intérieur de caravane, etc)  ; nous avons le choix ; nous avons beaucoup de choses pour nous à disposition  ; nous pouvons nous amuser comme des eznfants et taguer laterre entière, et la terre entière ainsi taguée deviendrait une gigantesqaue salle d’exposition (darty contemporain) et dès lors nous serions nous mêmes comme étant des nmorceaux de l oeuvre ; la terre entière taguée devienderait une immense et colossale et gigantesque et considérable et totalisatrice et globalisante et kolodssale etc salle d’exposition planétaire : expabnsion, colonisation, ; invasion barbare etxc, de peintures craiardes etc, sur tout et sur rien quyi deviendraient (ce tout et ce rien) des oeuvres, de l’art etc, soit de l’intouchabkle, du qui ne doit plus servir à sa fonction première ? ou alors de l’architecture globale ? de celle là (artchitecture) qyuui se prête à) une occupation personnelle et permet le toucher des mains et des pieds etc?  ; il est pour nous raisonnable de penser la chose avec des mots sensés car nous devons continuellement nous positionner (la v ie le demande) et donc nous voilà (encore une fois) à p-sdevoir poser des mots qui situent et donnent un positionnemùent politique etc ; nous sommes complètement submergés, nous sommes complètement envahis ou disons recouvert nous mêmes de peinture criardes et il n’est pas facile de sortir latete et de dire notre point de vie car notre point de vue est embué, il est masqué, notre regard est couvert de peinture, il est bouché, il est masqué, bouche et masque ici , et du coup , difficile pour nous pour nous prononcer ; donc nouds faisons comme nous pouvons ; nous essayons de faire au mieux mais il est évident que ce nb’st pas une chosefacile pour nous qui sommes recouvert de peinture (au pistolet) c’est à dire pour nous qui faisons partie de l oe uvre ; il est difficile pour nous dee nous prononcer, nous sommes recouvert, nous nageons dans la peinture, nbous évoluons au mlmmilieu des couleurs qui nous ont été donnéepâr projection au pistolet ; difficile de nbous en bextraire et de nous prononcer ; il est difficile pour nous de nous pronnoncer sur toutzs ces questions qui concernent l’art et ce qu il en est de l’(art ; il est difficile pour nous de nous prononcer sur les raisons, les motifs les racines etc, qui président, qui sont, qiu commandent, etc ; nous essayons dee comprezndre l’art, ce quye c’est, le bien fondé de cettee chose, et ce au plus juste et au plus profond mais il s’avère que cettec chjsoex est difficile à cerner ; il n’est pas a isé de comprendre cette chose ; il semblerait que cette chose ait un but avoué, il semblerait que le dessin comme la musique des temps premiers aient eu un bvut (des buts ) précis qyuib dépassaient de loin leur aspects de type visuel ouou auditifs purs, etc ; nous pensons que l’aspect visuel en tanrtt que tel a une impotrtance tres certainement mzais dans un sens que nous avons encore du mal à comprtendre et pareillement pour la musique tres certainement ; la beauté en elle même n’a pas de sens tres certainemenbt, nous nous disons pour nous que cette chose dessinée avec grace a sans doute eu du sens à un moment et que ce sens s’est operdu en cours de route et des lors nous pensons que cette grace dans les traits avait sa raison d’etrexcpour  elle même, c’est à dire pour un oeil qiu ne verrait que cette chose de la grace, or que non ; or non ; il est évident que la grace ici avait une visée autre que sa seule présence en tant que telle ; la grace eétait plus que la grace et du coup , nous cherchons de quoi il en retourne ; la grace a de tout te:mps été plkus que la grace, sauf peutetre en nos temps modernes etc, ou la grace en tant que telle est devenue une valeur en soi, déconnectée de la fonction qui présidait ou bien alors, si fonction a été  conservée, celle ci s’est logée ailleures et certainelmment alors dans un sysqtème marchand, celui qui préside à une esthétique des temps marchands etxc, nous ne savons pas ; nous sommes continuellemen,t en quete d’un savoir sur la question et à ce jour nous ignorons de quoi il en retourne, nous voyons dees choses passer sous nos yeux, dont nous disons que ces chose sont belles, dont nous disons que cela est beau, cesz choses qui passent sous nous yeuix nous les trouvons (et nous disons) belles etc ; nous disons cette chose ; notre sens de la beautéc ou d’une esthétique etc ; nous disons que cela est beau ou que cette chose est belle, nous approuvons et aquiesçons decvant des formesq, nous approuvons des formes ; nous aquiésçons, bnous faisons une moue d’approbation ; njous disons oui à des formesq, nous disons oui à des esthétiques c’est à dire à des formes, et non à d’autres ; nous sommes dans ce oui non par rapport à des formesq, à des exsthétiques, etc ; nous disons oui et nous disons non ; nous conservon,s ou nous écartons, et cela selon des critères qui sont des critères formels pôur la plupart  ; oui ou non devant des formes, etc ; ou comment ? ; nous disons oui ou nous disons non , et cela régulièrement, pour ne pas dire continuellement, face à tout : la beauté des felmmes, des maisons, deso bjets, des situations, des lieux, des oeuvres etc ; rien qui ne s’échappe des fourches caudines ; nous disons oui non, oui non, oui non, uoi non , uoi non en permanence, ou disons : nous sommes continuellement dans un rapport au monde qui est ce rapport binaire du oui-non ; nous trouvons belle des femmres ou beaux des hommes etc , et cela est qui l’emporte haut la main au quotidien , et nous fait avancer vers, ou bien reculer ; cela existe ; nous sommes aindsi, ou  nous ne sommes ainsi ?  ; nous sommes pour la plupart, ou non nous ne sommes pas ainsi ? ; il nous semble que pour le plus grand nombre nous sommes ainsi, nous sommes nombreux à etre ainsi ; nous trions ; nous faisop,ns des trtris ; nous prenons ou nous laissonsetc ; cela est souvent de cette façon que les choses sonbt sur terre à l’ére moderne ou à l’ère contemporaine et nous en sommes les témoins aub mieux au quotidien , sinon les acteurs ; nous trions betement les choses car nous sommes betes nous mêmes ; nous sommes qui faisons le tri , et nous disons oui ou non, nous disons parfois oui, et parfois nous disons non ; et du coup nous faisons des choix, et faisant des choix nous faisons dees heureux et des malheureux ; nous aimerions prendre tout le monde mais voilà nous manquons de place pour ce faire : il est impossible dans le monde de prendre le monde ; il est impossible de prendre le monde entier dans le monde entier ; nous ne pouvons pas déposer le monde entier dans le monde entier ; commùent faire pour déta cher en entier le monde pour le déposer en entier sur un piédestal qui du coup serait où ? piuiusque c’est le monde entier qui serait des lors piédestalisé ! ; il est impossible, de notre vivant, de sauver le monde entier car il est impossdible, de noptre vivant, de prendre en entier le monde à part car pour cela il faudrait etre extérieur au monde , or non ; nousq ne sommes pas extérieur au monde mais nous sommes dans le monde, inséré ezt donc nous ne pouvons agir ainsi en prenant le monde entier (atlas) et en le sauvant de cette sorte  ;il est impossible d’agir de la sorte car nous ne pouvons nous transformer en atlas qui  prendrait le monde en entier à bras kle corps ; il est impossible pour nous de faire cette chose ; impossible d’agir ainsi ; ce serait chouette sans doute (pas sûr ) mais c’est impossible ; nous vboyons des lors des choses qui nous apparaissent comlme belles  (des choses, desz personnes etc) wselonb des critères que nous noudss fixons nous mêmes (à certaines époques, etc) et cette chose en nous est difficile à bouger : cesz ccritères, ils ont la vie dure : ils durent et ils sont en dur, en costaud ; nous voyons des choses, et voilà que ces choses nous les trouvons belles ou pas belles, et tels sont nos critrères premierts (pârfois) ; or bien sûr cela n’est pas convaincants et suffisant, et cependant cela compte en dernier ressort (tuoujours ou presque toujours)  ; nous nous créons ainsi des barrières, nous ne sommes pas chiches en barrière, nous dessinons des betes, des chevaux des antilopes sur parois, et nottre souci n’est pas de faire jolis  ou gracieux pour faire jolis ou gracieux, notrte souci est de faire ressemblants, de faire que ce soiit ainsi : le plus ressemblants possibles, afin de fairecxcroire que ces betes dessinés sont vraies : mimétisme etc ; afin de faire pensqer cette chose d’un mimétisme ; notre souci est de faire gracieux comme en vrai, comme sont les choses (les betes) dans la vra ie vie, afin de faire accroire à qui veut (au dieu cde la mort) que ces betes dessinées ne sont pas des betes dessinées mais sont de vrai betes à qui (de fait) nous donnons la vie  ; ok nous tuons d’un coté (pour garder , conserver la notre de vie , et poour cela nbous nous excusons de reswter en vie) , ok nous tuons d’un côté, mais nous donnons la vie de l’autre, la vie vive, et ce le plus que nous pouvons, et voilà laraison qui préside à cette acxtivité de représentartions animalière pa riétale ; ok nous tuons mais nous ne faisons pas que cette chose immonde, nous donnons la vie à ces betes, nous leur redonnons la vie, nous donnons la vie à decx betes quand ailleurs nous donnons la mor t à des beteqs ; nous sommes ces deux choses, nous sommes doubles ; nous tuons et nous donnons le-a vie ; nous retirons la v ie à des betes et nous donnons la vie à d’auutrezs betes (en gros  : lees mêmes) etc ; nous ai:mons donner ainsi cette vie (cette ressembvlance du coup) sur des parois au fin fon de grottes enfouies ; njous donnons ; nous aimons donner la vie ainsi et faire accroire, et pour cela nous avons besoin de donner dans la ressemblance et dans lagrâce naturelle car les betes sont « belles « à voir, c’est à) dire pleine s de grace etc ; nous sommes ainsi dans ces quesrtions de bgrace et de ressemblance avec un bvut qui est celui de nous excuser par la présente de rewster en vie, c’est à dire par le présennt, c’est à dire par cette offrande que nousqfaisons, du temps de la vie sur terre, -de ce déroulé temporel qUi est une petite mort en continu, ou bien une petite vie , selon l’angle sou lequel nous nous plaçonbs ; nous avons en nous ce besoin de figurezr la bete en  nous, la b etye morte en  ous, la bete consommée et qui préside en  ous , que nous contenons : la figure dans toute sa grace de vie, et cela sur des pareois de grotte ; et ainsi faisant nous faisons allégeance et nous essayons de gagner les bonnes graces 

etc, nous faiosons ainsi pour gagner les bonnes graces de dame ou sieur la mort ; nous essayons ainsi , de nous en tirer à bon co:mpte  ; nous offrons le temps perdu, le temps mort de la vie en cours, ce décompte, cette chose qui va son chemin de décompte et qui semble etre de la vcie en vraie quand il ne s’agit que de la mort qui à) petit feu, avance son train (de vie) qui se consume , qui va, ainsi, pas à pas, se consumùant ; nous somms betes ; nous dessinons les beztes que nouys sommes ; nous dessinons en nbous ce que nous sommeset nous sommes des betes et alors nous dessinons des betes ; nous dessinons ce qui pour nous est la valeur supreme et cela est cvette chose  des betse, ni plusq ni moibns, ou si : des mainsq ; nous dessinons des mains ; et aussi   , des poinbts, des treaits, desx figures ici ou là ;  mais pour l’essentiel ce que nous dessinons ce sont des betes qui chargent ; les betes qui chjargent qsont en nous, nous sommes qui contenopns au fond dee nous des betes, au plus progfond nous avons des betes, on devrait poucvoir lesw retrouver ; nous vcontenons au plus profond de nous des betes de type betye de somme, de type bison par exemple, ou cheval ; je suis un cheval , je suis un bison, je suis un taureau qui rue, je suis un cxhevreuil ou un bouquetin ; je suis une antilope ; je suis une vache, un aurochs ; je suis un mammouth ; je suis un ours des cavernes ; je suis un lion des cavernes ; je suis un hippopotame, un rhinocérods, un phacochère ; je suis un animal dsu fond des âfges et un homme des cavernes renfermant un animal du fond des âges ; je suis un enfant préhistorique ; je suis une felmme du temps des cavernes ; je contiens en moi touds les âges et de toutes les époques, j’ai en moi du sa ng préhistorique et des pensées préhistoriques ; en   moi résiste un etre des temps anciens, dxetous les temps anciens ; je suis un homme des temps anciens et contient en moi du sang, des informations, des parol:es ou des cris, des pensées, des rêves, des pulsions etc de l’homme des cavernes, et tres certainement l’homme des cavernes est mon frère, je lui ressemble et il me ressemble ; je crois en l’homme des cavern es ; j’ai en moi des mots pour y croire ; les mots que je possède sont mots de croyzance et de foi ; ils contiennent en eux la foi comme je contiens en moi le moi de l’homme des cavernes ; je parle mais qui parle en moi , l’homme des cavernes ? qui est cvelui ou celle (ou qui d’autre ?) qyui parle en moi ? qui suis je ? puis je me poser cette question ? est ce que cette question a du sens ? est ce que les mots (tout compte faits : la science dans son ensemble ) a du sens ? est ce que les mots (tous les comptes de la science faits, ou  tous les comptes faits ou tout compte fai-t, de la sciencxe), est ce que les mots ont un sens et si oui lequel ?  ; nous pensons que les mots (tout comptes faits) ont un sens et ce sens eswt celui que nous voyons à l’ oeuvtrte dfans ces grottes aux parois peintees, recouverttes d’animaux superbes ; nous pensons que oui ; nous nous disons que les mots (hors la science) ont encore un sens, et ce sens est retrouvable à l’infini sur des parois de grottses ; nous avons pour nousq la faiblesse (cette faiblesse) de penser que les mots (hors science) conservent un sens, ou acquièrent un sens, un sens surnuméraire, et celui ci est identifiable sur paroi de grotte : il s’(agit de mots-animaux, ; ; «sé» dé zanimos» et voilà, il s’agit de c ela ; les mots-animaux existent, ils sont dessinés par des hommes sur des parois, ce sont  les animaux que desz hommes des cavernes, il y a quelques milliers d’années en arrière, ont dessiné à ma in levée, guidé par des mains, par des mùains positives et par des mains mnégatives ; nous pensons que des homes et des femmes du temps des cabvernes ont faits des représentatations de mots-animaux, un lmangage, du temps inscrit, des chodses qui leur ont permis de croire en une poursyuite de la vie sur terre, pour eux mêmes, de la vie temporelle ; il s’agit de représentations de choses en vie ; il s’agit de figures an,imùales, de boeufs, de bisons, de gros gibiers cvontenus en soi et qui sur paroi se mettent à charger à lalumière des torches brandies par ces hommes et par ces femmes du temps des cavernes ; nous les aimons ; nous aimons leur parler , leur donner des choses par delà le temps, des choses à voir  ; nous contiinuons leur oeuvre ; nous continuons les activités qu ils ont inventé ; nous parlonbs à ces hommes et à ces femmes par delà le temps ; nous cvontinuons à parler à des hommes et à des femmes avec ce qui nous semble (mais rien n’sst moins sur) etre leur langage ; c’est à dire un langage qui serait privé des mots, ou comme si les hommes du temps des cavernes avaient vécu sans mots, dans un temps où les mots n’existaient pas, ce que nous ignorons à dire vrai ; nous faisons toujours et enncore comme si nous étions des hommes et des femmes du temps des cavernes, à savioor privés de mots, delangage articulés, de véritable langage articuylé ; nous faisons (dans  des galereries, sur des scènes dites artistiques) comme si encore et toujours nous faisions partie de l’âge des acavernes et étions nous mêmes hommes ou femmes du temps des  cxavernes ; nous faisons comme si les motrs n’existaient pas, ou comme si les mots étaient séparés, étaient séparés des images etc ; il semblerait que nous fassions comme si les hommes des cavernes avaient été privés de mots , de véritables mots articulés et fixés, et comme si nous nous étions aussi (encore) gens des cavezrnes ;  nous faisons cette chose, et nous faisons cette chose en galerie, ou bien en des lieux appropriés à cela ; nous sommes des artistes , c’est à dire des qui faisons de l’art, c’est à dire, des qui créons des choses qui sont regardées comme étant de l’art et cela par les autorités de l’(art, car il existe une haute autorité de l’arty ou des choses de l’art, cela est certain ; nbous sommes comme des artistes du temps des cavernes, nous nous affichons en tant que tel  ; l’artiste est celui qui fait de l’art cvomme d’autrezs font du platre ou du boudin ; il s’agit d’une activité pareticulière, qui n’a rien à voir en vérité avec labeauté en soi mais a beaucoup àç voir avec la grace et la vie contenue, avec (de fait) lagrace des formes, et la vie contenue ou véhiculée par ces formes ; l’art ici comme étant le pendant à la vie que nous avons en nous et que nous abandonnerons un jour, à l’heure de notre mort ; l’arty ici est la petite mort, c’e’st à dire celle du temps (le temps de la vie) qui se consume en  nous à petit feu ; donc : acte ; l’art ici comme petit feu, comme offrande sur table, comme animal de poids représenté ici sur paroi  ; dans tous les cas il s’agit d’un présent, c’est à dire d’une présence, d’une qui puiisse lke faire et nous permette de (de notre côté) reswter le plus longtemps en vie possible ; une sorte de preté pour un rendu, ou de pis-aller, ou d’ersatz de vie -mort la grande (etc) ; il s’agit d’une offran,de, du charbon de bois en offrande... en attendant mieux ; njous ne sommes pas pressés de mourir et de cela nous nous en excusons au dieu de la mort ;  nous ne sommes pas pressés de mourir et pour nous excuser de cette chose nous offrons ce qui nous semble (à nos yeu) représentezr le plus la vie qui bat, c’est à dire la vie portée à son paroxysme , à savoir : des images d’animaux de gros se taille, représe,nntés, comme en vrai (ressemblance), sur paroisq au fond des grottes, etc, et zaussi lesq cris qui sont hurlements, etc  ; des offrandes : du sang, etc: nous offrons etc ; nous sommes qui offrons etc ; et tout ce qui s’ensyuit, car nous voulonsrester en vie : nous mangeons pour reester en vie ; nous voulons conserver par devers nous (en tant que nous sommes ensemble une communauteé), nous voulons conserver la vie communautaire, nbous cherc hons à conserver la vie, aussi en nous dédoublzant, en nous reproduisant comlme animaux sur paroi de roches, etc, etc, etc ; nous sommes des qui faiso,nsq allégeance sur paroi de roches et nous offrons des lors tout c e qui pour nous représqente la vie dans ses retranchements les plus paroxystiques possibles : du feu de vie, du feu vif, du mouvement vif, de la vie brute, rude, ruades et sentiments exarcerbés du genre la passion ;

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29/04/2020

nous sommes deux ; nos mains sont jointes, nos mains se tiennent ensemble , pour une avanc»é en grotte ornementée à fresques pariétales ; nous sommes ensemble au sein de la grotte, nous sommes qui (tous deux) avançons à pas comptés au sein de cette grotte ornementée ; nous sommes tous les deux et seuls ; nous sommes seuldss tous les deux au sein de cette grotte ornementée, et nous avançons lmain dans la main , nous ne voulons pas nous lacher ; nous ne tenons pas à nnous lacher ; nous ne voulons pas nous lâcher la main et chacun serre fort la main de l’autre, du conjoint, de celui ou de celle qui vous accompagne ; nous sommes tous les deux comme des accompagnateurs de l’un ou de l’autre : nous nous accompagnons au sein d’une grotte ; nous sommes ensemble la main dans la main pour une avancée dans une grotte ornementée où le moindre bruit (de pas ou autre) résonne , nous avançons dans ce silence de cathédrale ; nous sommes dans une cathédrale, nous ne sommes pas dans une cathédrale : nous sommes dans une grotte, une bgrotte qui est toute ornementée de peintures et de gravures ; nous les regardons main dans la main ; nous ne mnous lâchons pas la main ; il ne faut pas lacher la main mais tout le contraire , la maintenir fermement afin de faire corps ensemble pourr une avancée vers une paroi ; nous nous avançons vers une paroi, nous sommes tenus, nous sommes qui tous deux nous tenons par la main ; nous tenons ; nous nous tenons par la main, nous sommes soudés par une prise en main de l’un et de l’autre et nous ne lâchons pas, nous allons verrs la paroi ; nous nous abvançons vers cette paroi qui est devant nous ; il s’agiyt d’une paroi ornementée ; il s’agit de cette paroi en particulier sur laquelle sont figurés un grand nombre d’animaux qui se font suite en un grand tableau qiu ressemble à une fresque ; nous regardons les animaux au-dessus de nous, de nos tetes ; nos mains sont tenues entre elles ; les doigts, nos doigts, sont intercroisés ; nous nous projetons , nous nous avançons toujours pplus de cette paroi peinte, de ces bêtes ; nous nous projetons, nous nous avançons toujours un peu plus , d’un peu plus près de toutes ces bêtes peintes, elles sont nombreuses, elles sont imposantes, elles en jettent, elles font impression, elles semblent vivantes, elles sont vivantes ?(?) , on dirait qu’elles sont vivantes, sont elles vivantes, on dirait qu elles sont vivantes, elles semblent vivantes ; elles bougent, on dirait qu elles bougent ; bougent elles ? on dirait qu elles sont vivantes sous nos yeux ; nous les regardeons main dans la main ; nous nous tenons main dans la main, nous ne tenons pas à nous lacher ; nous tenons à nous tenir  ; nous tenons à nous tenir l’un à l’autre avec la main, nous tenons à rester ainsi main dans la main sous cette paroi, au pied de cette paroi ; nous tenons à nous tenir par cette main , au pied de cette paroi, sous cette lumière, sous une lulmiè!re qui semble faire des betes des betes vivantes, du fait de la flamme qui bouge, il semblerait que nous ayons affaire à des betes encore vivantes, à des betes qui seraient vivantes, à des betes qui rugissent devant nous ; nous sommes debout au pied de la paroi ; nous sommes qui allons au pied pour regarder ; nous sommes qui allons au pied de cette paroi pour regarder de près ces betes, ces betes fauves, ces fauves, cess bisons, ces lions, ces phacochères etc ; nous sommes main dans ma main ; nous nous tenons l’un à l’autre, il ne faut pas se lacher ; ; il est bon de ne pas se lacher à présent, il est bon de rester soudés, il est préférable de rester soudés et de ne pas se lacher ; restons soudés et ne lachons pas ; soyons soudés et ne lachons pas ; nous devons nbous tenir par la main l’un l’autre et surtout ne plus se lacher car la chose est d’importance, nous allons y aller ; allons-y ; nous devons nous tenir encore et toujours par la main et ne pas lacher ; nous devons encore et toujours nous tenir par la main , nous allons y aller ; nous devons y aller, vers cette paroi peinte, vers ces betes pientes, ces carnassiers, ces betes imposantes, ce gibier, ces betes meuglantes et tonitruiantes ; nous nous tenons mzain dans la main au pied de la paroi aux animaux ; nous sommes comme eucx ; nous nous tenons main dans la main pour faire corps et coque ; nous sommes chacun une moitié de coque, nous sommes comme deux moitiés et nous nous tenons comme deux moitiés, par la main , cote à cote, nous nous tenons ensemble, nous faisonbs corps, nbous essayons de ne pas nous lâcher, de ne surtout pas lacher ; nouds nous tenons, nous sommes des coques, nous sommes coque, nous nous nous tenons ; nous sommes des coques ou une coque ; n,ous sommes à tous les deux comme une coque soudée, une coque faite de deux cotes rapprochés au pied d’une paroi de grotte ; nous sommes des cotés de coque, et nous sommes au pied d’une paroi peinte, avec plein de betes vivantes, qui rugissent , meuglent, chargent, s’ébrouent etc ; nous tenons ; nous nous tenons par la main ; le troupeau passe ; nous sommes une coque ; nous nous tenons par une main, chacun sa main, nous tenons chacun par une main et cxhacun sa main de tenue ; nous sommes ensembvle  et nous sommes au pied de cette pareoi, peinte , qui est la pâroi du troupeau quui charge ; nous y allons : allons y ; nous sommes des betes de somme ; nous y allons ; nous sommes qui sommes des betes de somme ; nous y allons ensemble, nbous nous tenons par la main ; nous voulons y aller ensemble ; ; nous voulons y aller la main ainsi tenue par son conjoint qui ne lache pas et vous serre fort, et n’a pâs l’intention de céder, ni de s’en aller ; nous tenons bon ; nous tenons ensembvle : une cqoque ; nous sommes une coque de betes de somme ; nous sommes ensemble une coque de betes de somme sur paroi de grotte : y allons ; nous ne sommes pas des etres perdus, nbous savons parfaitezment où nous sommes, nbous sommes dans une grotte et nous nous projetons sur une paeroi , comme betes de somme ; sommes coque, nous coquons ; nous sommes une coqUue, nous coquons sur une paroi de grotte, nous la coquons, nbous sommes ensemble qui coquons la paroi ici, de cette grotte en paerticulier ; nous y sommes en betes de somme : main dans la main ; chevauchons ; nous sommes qiui ensemble nous glissons ainsi parmi les betes du troupeau, nbous nous glissons ainsi parmi les betes du troupeau qui rue dans les brancards ici de cette paroi (de cette grotte) ; nous sommes deans et nous meuglons ; nous meuglons à tout va, nous sommes entrés dans la grotte et dans la meute, et dans le troupêau ; nous sommes de la partie ; nous so:mmes insérés, nous sommes inclus, nous sommes intégrés, nous sommes pris, nous sommes sous le joug, nous sommes des sujets qui sommes pris ou sous le joug d’un troupeau de betes qui (pour le coup) chargent vivement ; nous sommes nous mlêmes des bêtes qui (pour le coup) chargeons tout aussi vivement : sur paroi de grottes ; nous y allons ; nous ne sommes pas perdus, nbous savons où nous sommes, et nous ne nous lachons jzamais la main, il ne faut pas se lacher la main ; la main doit etre maintenue, il est tres important que cette chose soit, à savoir ce maintien d’une main de soi dans celle de l’autre, il ne faut surtout pas se lacher, lacher la main ; ne pas la lacher mais la maintenir comm e il faut afin de se coller ensemble comme il faut à pareille paroi de grotte ; nous devons nous tenir par la main pourr pouvoir nous intégrer fissa dan s la paroi, dans cette paroi en particulier, qui est ceklle sur laquelle sont visibles tous ces animaux qui rugissent et chargent à l’unisson ; nous pouvonbs nous y coller ; nous nous y collons ; nous sommes collés ; nous sommes i,ntégrés, nous ne devons pas flancher mais tout au contraire tenir bon et du coup nous projeter fissa sur paroi oup, et ne pas lacher, surtaout tenir, surtout ne pas lacher la main de l’autre ; nous devons nous tenir par la main et ne pas nous lacher, nous devons nous tenir par la main (elle et moi) et surtout ne pas lacher, résister, s’agripper, se serrer l’un l’autre, faire corps = coquue , et tenir -tenir afin d’aller ainsi plus loin ou plus avant dsa ns la paroi de cette grotte-monde ; allons-y ; nous  nous collons à la paroi de cette grotte-monde et c’est ainsi que nous faisonsq : sans nous déxsunir ; faisons corps, à l’unisson, avec les betyes fauves, avec ce troupeau, cette charge lourde, cette vie meuglante et forte ; nous nous mêlons à ce troupeau de betes, nous sommes dedans le troupeau et nous chargeons avec le troupeau et nous nous insérons plus avant, encore plkus avant, nous y allons encore et encore, nous gagnons ainsi encore davantage de terrain en cette grotte monde , dans cette paroi et danns ce troupeau de fetes monstres ;  nous sommes dedans le troupeau et nous nous tenons toujours par la main ; nous sommes à l’intérieur de ce troupeau et nous nous tenons toujours et encore par la mai n l’un lo’autre et cette chose a de l’importance ici, cette chose est capitale : nous devons ne ps nous lâvcher et ne pas nous désunir mais rester collés ensemble par la main, la colle aux doigts, nous devons nous tenir ainsi par cette main que nous colons à celle de son conjoint, de son alter ego ou bien de son amour ou bien de son ame soeuur etc ; nous devons tenir coute que coute main dans la main , car cela est capital ici, sur paroi de grotte, dans troupeau de betes qui chargent ; surtout ne pas se désunir et tenir au présent par une main tenant ; nous le dfevons, nous ne dfevons pas lacher, nous devons nous mpaintenir présents , l’un pour l’autre, tout le long, tout le temps que nous sommes insérés dans ce temps de charghe vbvsetialec : nous sommes des betes de charge et de somme ; nous y alllons ensemble , furie, troupeau, à l’abordage de cdette (donc) paroi de grotte, cette chose, cette charge ensembvle, cette main dans cette main : demain:  ; nous y allons vers cette chose d’un demain de charge légère, ou bien d’un demain de charge mortelle, ou bien d’un demain de charge perdue ; nous ne sommes pas perdus mais nous y allons ensemble, ici,  sur pâroi, vers une perdition des mains qui tiennent (présentement) mais sont à même de céder demain ;, bzetement, du fait du troupeau qui nous rue dessus, etc ; nous y sommes en plein c’est à dire au coeur, et nous sommes pris dans la ma sse et la nasse ; nous sommes prisonniers de la charge forte, de la ruade ; nous sommes insérés et nous sommes ensemble (coque de noix) pour une ruade de betes sur paroi de grotte ; la coque de la noix, la jolie coque de noix ; nous y allons ensemble, nous sommes dans une nasse, nous sommes pris ensemble et nous y allons de cette façon : au coeur du troupeau qui fonce eytt chzarge avec violence (vie) et vigueur(force) ; nous sommes sommés d’y aller avec, car nous sommes portés par la masse qui nous emporte comme une vague, une sorte de vague puissante, nous sommes emportés, nous sommes pris, allons-y ; nous sommes pris par des betes fortes qui nous emportent sur leur passage, comme un torrent, une vague forte, nous sommes arrtachés au temps, nous faisons corps (coque) un temps jusque là ; nous ne voulons pas npous désunir vcar nous désunir c»’est mourir ; nous voulons rester soudés comme nous le sommes, main dans la main, et c’est tout ; nous ne voulons pas nous détacher l’un de l’autre mais tout au contreaire rester soudés par nos mains collées entre elles ; nos mains sont collées entre elles ; la colle les maintient l’une dans l’autre ; nous avons deux mains pour nous tenir ensemnmle, dands cette aventure de paroi de bgrotte et d’insertion, et d’intégratrion pariétale ; nous ne sommes pas perdus, nous savons tres bien où nous sommes, nous sommes au coeur , d’un troupeau de cavallerie, d’un troupeau de bovidés etc, nous sommes intégrés, nous y sommes au coeur, nous sommes pris d’assaut ; nous ne pouvons pas résister : nous avons été raptés au passage du troupeau par ces betes fortes, grossses, massives, puissantes, musclées etc ; il s’agit de poids, il s’agit de pûissance, il s’agit de venue massive, d’(attaque brutale etc ; nous ne devons pas nous désuunir, nous devons nous tenir soudés par la main que nous donnons à l’autrte,  à ce conjhoint qui nous accompâgne, qui est notrte élu de coeur (par exemple) ; nous nous tenons encore et troujours par la main et nous ne voulons pas nous lacher car nbous avons à fzire cette chose e,nsemble de nous insérer au coeur de cette charge qui (violemment) nous pousse à aller contre notre gré pour ainsi dire vers cet endroit devant qui est cette chose dont nous parlons lorsque nous disons ce mot de mort ; nous ne voulons pas noud  lmacher, ; nous sommes une coque de noix, nous sommes une chose fendue, nous sommes une coque de noisx -a nous deux : nous sommes deux pour une coque, pour une chose, pour cette chose que nous sommes qui allons, qui nous en allons emporté ; nous y allons ainsi emportés par cette vague de massive attaque bestiale sur paroi de grotte ; nous ne pouvons pas refuser , nous ne sommes pas en mesure de nous extra ire, il n’y a pas d’alternative, il n’y a aucune alternative à cet te chose d’une ruade qui nous emporte et nous porte ainsi jusqu au bout du bout de cette chose qui est ici un élan bestial : une horde, une meute, un troupeau, un escadron, une entrée en matière ; nous ne pouvons pas nous extraire de cette chose comme q<ui couillonne hélas , mais devons nous intégrer et trouver une place dans ce (donc) troupeau de veaux, de boeufs, de vaches, de taureau, etc ; nous devons faire une pla ce pour chacun, noius noius devons de nbous faire une petite place chacun au coeur du troupea u, nous nous devons de nous faire une petite place chacun au coeur de ce troupeau qui charge vers l’endroit de notre mort, de notre fin, de la fin de la paroi, de cette fin de pareoi de grotte, où s’arrete elle ? jusqu où va t elle ?  ; nous ne savons pas où cela nous mène mais nous y allons tout de même car voilà la chose , cette chose est : que nous sommes raptés au passdage, main dan,s la main, nous sommes p^ris par un torrent bestial qui nous rapte , emporte , au passage : nous emporte, nous prend de force, nous prend au passage et nous porte ainsi jusqu’au bout du bout de ceette (pour le coup) paroi de grotte  , de cette (pour le coup) paroi de grotte  ici ; de cette grotte ici qui est la notre, de cette ici (pour le coup) grotte notre, de cette grotte ici la notre, de cette ici  grotte la notre jusqué’à nouvel ordrte ; nous sommes emportés, par cette marrée, cette masse de bovidés, cette charge de cavalerie, ce troupeau qui charge etc ; nous sommes pris de force et ne pouvons nous en extraire si facilement, nous sommes qui sommes des betes de sommes, avec des betes de somme ; nous ne pouvons pas y cvouper et des lors nous devons nous intégrer du mieucx possible à cette chose qui est un ensemble cde betes massives entre elles, de betes qui pesent leutrr bonpn poids de chjarge etc, et qui nous prennent sur leur passage, nous ne pouvons pas y couper ; nous devons nous soumettre à cette chose et accepetrer le joug que le troupeau nous met au passage ; nous devons accepêtrer ce joug et nous soumettre à cette chose, nous sommes qui nouds tenons main dans la main, nous nous tenons main dans la main, nous nous tenons main dans la main et devons accepter le joug que la vie d’un troupeau nous glisse sur les épaules, nous sommes betes de somme, nous devons obtempérer et accepetrer la charge et aller devant, vers cette fin de paroi de grotte, cette fin de grotte, ou cette fin de paroi, cette chose devant soi , qui est cette chose pariétale, qui est cette chose murale, cette ébauche, ce dessin, cette litanie, ce chevauchement étourdi, ce chantournement au baton brûlé, cette gravure animalière, cette représentation fidèle etc : nous sommes pris, nous sommes compris ; nous devons obtempérer et dire oui en nous tenant la main : mariage à l’unisson, en cxathédrale, pour les sièclkes des siècles, une coque pleine, fendue, comprise, admise, prise, charmée et menacée car la mort appreoche, la mort est proche ; il nous suffit de dire oui, sur paroi de grotte ; nous sommes qui allons avec un troupeau ; nous nous c hargerons invcolontairement bd’une charge , d’une peine ; nous sommes dans un troupeau de betes massives ; nous sommes dans une sorte de chose massive qui se rue sur nous et nous emporte, comment faire ? ; nous devons obtempérer, nous devons dire oui, nous ne devons pas nous lacher la main, nous devopns tenir dans le temps ; nous devons nous maintenir soudé (collés) dans le temps, ne nous lâchons pas, tenons bon ; soyons enseemble longtemps, prenons des décisions, allons de l’avant, faisons fi des inconvénients qui voudraient nous empecher de progresser (fissa) vers notre port d’attache , qui est (port d’attache) ce devant dde soi bestial ; nous devons admettree l’existence d’animaucx de charge en  ous ; nous sommes nantis de betes de somme, et sommes nous mêmes des betes de somme ; nous nous dirigeons ensembvle vers demain et cela a son importance ; nous sommes enesmble main dans la main, nous nous dirigeons vers des betes de somme ; njous nous dirigeons vers des betes de somme, nous sommes nous mêms des betes de somme, et nous nous diriigeons ainsi, sous le joug, sujets de sa majesté, vers demain, vers des betes lourdes qui nous sont comme des choses qui nous portent sur leur passage ; nous devons leur dire oui(amen) et poursuivre ainsi emportés, main dans la main, serrés, collés l’un à lautre au sein de notre coque etc ; nous ne devons pas nous désunir, mais rrester groupés, rester collés, nous devons agir de cette façon et avancer ainsi sur ce chemin tracé ici sur paroi de grotte : au baton de bois brûlé ; nous sommes ensemble dessinés, nous sommes des betes de somme, des betes de grosse taille, de bon poids, des betes puissantes et massives ; nous devons continuer notre chemin, nous ne devons pas lacher en cours de route, nous sommes main dans la main sur paeroi de grotte, pour une avancée massive, en lieu et en heure, vers un but précis qui est une fin de paroi de grotte (où ça ?) ; nous y allons, mais où donc .? ; nous sommes dans le troupeau au milieu et nous nous laissons porter par l’élan du temps qui va son chemi,n xd’allant de l(avant, nous sommes qui devons ainsi obtempérer et dire amen à pareille embardée ; il faut savoir que nous sommes main dans la main ; nous essayons de comprendre ce qyu il en est ; nous ne savions pas que nous seriions nous deux prisq d’assaut de la sorte ; cela ne nous gêne pas outre mesure car nous sommes mzain dans la main ; nous avons un petit bout de chemin à faire, ce chemein est devant nous qui nous tend les bras et nous nous engouffrons en lui ; nous sommes soudés au niveau des mains, nous avons les mains collées entre elles ; nos doigts mêmes sont soudés, il s’agit d’une colle qui est une colle rupestre, nous sommes des enfants ; nous ne débandons pas et allons ainsi de l’avant pour une fin de bout de grotte (de paroi)  ; nous aimons nous tenir par la main, nous sommes ensemble et nous nous tenons fermement par la main ; nous sommes des enfants qui nous faufilons ainsi, en grotte, parmi les chevaux, les bisons, les buffles etc qui sont dessinés au dessus de nos tetes ; nous n’avons pas envie de sortir de cette grotte car nous sommes bien, nous nous senbtons bien, nous sommes bien mis, nous nous sommes logés à bon droit au milieu du troupeau et nous nous laissons portés un temps ; nous aimons les betes qui chargent ; nous les aimons d’amoutr, nous sommes même tout amour pour les betes de somme ou de charge, pour les chevaux et les bisons, les rennes et les bouquetins, nous sommes fou d’amour pour les antilopes et les chevqaux, les bouquetins et les rhinocéros ; nous les aimons d’amour, nous les embrassons, nous les prenons parmi nous, nous les cajolons, nous les caressons ; cela est bien pour nous, qui aimons les betes ; nous ne voulons pas nous en détacher de sitot ; nous voulons rester dans cette grotte et aller ainsi au milieu des betes à bnon port ; le port est encore loin peu tetre, nous ne voulons pas mourir, nous voulons rester en vie : nous offrons des betes vivantes, la vie en pleine forme de ces betes (fortes) qui chargent, de toute leur puissance de vie ; nous sommes ainsi, qui nous donnons à ces betres de somme, nous nous donnons à ces betes de chazrge, nous sommres betes de charge et de somme nous mlême ; nous avançons sur le chemin (ici pariétal) qui est celui qui mène à bon port  ; nous sommes tous les deux main dans la main, nous ne voulons pas céder et nous désunir, non  ; nous ne voulons pas nous désunir, certe pas ; ce que nous voulons c’est de rester main dans la main et tenir le coup le temps qu il faut ; nous voulons resterensemble unis et tenir encore et toujours le temps qu il nous faudra pour comprendre et décider, pour cerner et choisir, pour décider de ce que nous voulons pour l’avenir etc  ; nous sommes des betes de somme ; nous sommes des betes qui allons, par les champs, par les chemins de terre ; nous devons aller par des chemins et nous faisons cette embardée commune avec des betes pariétales qui nous entrainent dans leur élan et sur leur passage ; nous avons deucxx mains, nous avons deux yeiux, nous sommes de charge, nbous sommes pris au passdage d’un troupeau de bovidés ; nous sommes emporetés par une vague, nous devons nous en sortir seuls mais comment et par quel bout s’y prendre pour commencer ? car : où est le bout ?  ; nous ne comprenons pas tout ; nous essayons de comprendre ce qui se passe ; comment faire pour comprendre ce qui sexpasse  ?  ; nous ne savons pas comment nous y prendre, comment pouvonbs nous faire pour nous y retrouver ? comment faire pour y piper quelque chose ? ; cela n’est pas facile ; nous cherchons ici avec des mots comme à rebrousse poil, mais même ainsi (si tant est que cela puisse) ce n’eest pas faci!le ; nous essayons, bnous tentons, bnous faison,s une expérience, nous testons des choses ain si , à rebrousse poil, comment faire ?  ; nous voulons essayer des choses, nous voulons tenter, tester, nous voulons trouver des combines, nous cherchons des combines, allez donc chercher et trouver des combines ; nous sommes comme persdus ? nous sommes comme perdus dans nbos combines ?  ; nous cherchons à comprendre quelque chose de ce qui se passe ici (le monde) et ce n’est pas simple car les mots (vidsiblement) ne nous aident pas beaucoup , ou si ? ; nous essayons avbec des mots mais ce n’est pas facile ; les mots sont la base ; les mots sont en nous comme un organe (?) : une langue ? une langue qui sort de la bouche ? ; peut-êztre ; peut-être qsue oui, il se peut ; il se pourrait, qu ‘en savons nous ? qui sait ? qui sait des choses ? qui sait ou en sait plus sur les questions qui fachent ? qui sait de quoi il en retourne, et ce qu il sait , celuyi ci, ou saurait, comment le sait il, ou plutot : dans qUel langage le sait il ? avec les mots qui sont ceux de sa langue ? que sait il de plus ? qui sait davantage ?   ; hy a t il au monde quelqu un qui en sait davantage, sur tout et sur rien, sur les choses de la vie, etc ? est ce que cette personne existe vraiment ? comment se connecter ? comment savoir ? comment y voir clair et profond et comprendre la mort etc, comment faire pôur savoir de quioi il en retourne, nous ne savons pas, nous ne savons pas commrent faire pour savoir ce qu il en est des choses de la vie et tout ce qui s’ensuit alors voilà ce que nous faisons  ; nous essayons (avec n,os mains) de creuser un trou quelque peart et de voir ce que ce trou amène comme solution à notre problème ; il se peut qu un trou quelque part permette d’yu voir plus clair, par son biais ; il se peut que de trouer la terre quelque part, la toile, le papier, etc, la pa reoi de la grotte, puiissse nous donner ici une vue, sur l’au delà de cette paroi, de ce papier, de cette toile etc, peutetre ; peut être pas ; on ne sait pas ; on cherche ; on glisse sur les parois lisses, on chezrche à nous glisser dans les interstices, dans les menus fentes de ceztte paroi, nous cherchons à nous immiscer , nous cherchons à e,ntrer dans la paroi et ce, d’une manière ou d’une autre ; nous cherchons à nous glisser (immiscer) dans un interstice de parois de grotte mais la chose n’eest pas facile, car la place man-que, nous sommes trop gros, trops massifs, tonitruant comme des boeufsq, allez donc vous immiscer ! ; nous cher chons à comprenfdre, à cerner, à toucher du doigt ; cerner avec des cernes, comprendre avec des prises, et ainsi aller plus loin si possible, nous immiscer, nous glisser, nbous voulons cette chose, nous cherchons à crever la chose, à passer outre, etc mais ça glisse, ça fuse, c’est glissant comme paroi de roche, lisse et glissant ; comment pouvons nousz faire, pour aller ainsi plus loin dans la compréhension des phénomènes existentiels ? nous aimerions être guidés ; nous aimerions en savoir davantage et pour cela nous avons cette option, pour nous : de créer des choses de prix ? de créer des choses avec nos dix doigts ?  ; nous ne savons pas, nous peignons la girafe, nous faisons ce que nous pouvons, n ous dessinons sur des parois, nous écrivons des noms, des mots, des signes, nous ghravons etc ; nous essayons de voir clair mais doit-on ? devons nous y voir clair ? est ce que c’est utile, sachant qu un jour nous allons mourir et là nous saurons  ; saurons nous ? en saurons nous davantage dans la mort ?  ;et si les mots nous trompaient depuyis le début ? il se peut que les mots nous trompent depiuis le début et si tel est le cas copmment faire pour ensemble s’en tirer d’affaire, ou comment faire pôur se tirer d’affaire, ou comment faire pour s’en sortir ? nous sommes prisz aupiège du langage , de la langue inculquée de force ; nous sommes pris et prisonnier d’une langue apprise  ; et si depuis le début (age des cavernes) les mots étaient nos ennemis ? nous trompaient ? nous menaient par le bout du nez pour nous apporter on ne sait où puisque (de toute façon) ce qui nous attend n’a pas (pour nous, de notre vivant) de mots pour lui, etc ; nous sommes pris ; nous aimezrions savoir comment faire pour s’en tirer sachjant qURe lesq mots abusent de nous  ; comment faire ? ; dessiner des buffles, des bidsons, des phacochères, des chevaux, des ours ? ; il s’agit de cela peut-être ou peut -^$etre pas ; nous cherchons une solutiuon et où ? dans le la ngage forcément ! puisque nous ne pouvons pas nous en extraire, nousq en échapper si facilement, ou comment ? nous cherchons une solutiuon parmi les mots que nous avons (pour nous) en réserve ; nous cherchons une façon de crever le voile etc ; cfopmment nous y prendre ? ; nous savonbs que la chose est casse pipe, casse gueule, que la chose n’’st pas facile, ce n’est pas facile, nbous ne sommes pas sorti de l’auberge ; nous sommes dans une auberge et nous ne sommes pas sorti de l’auberge etr cependantb nous avons bon espoir d’y arriver d’une manière ou d’une autre, ou du moins nous l’espérons ; nous voulons y arriver, nous voulons arriver à quelque chose, nous voulons arriver à bon port et cela à bon prix ; nous voulons arriver à bon port, avec une compréheznsion des choses en présence, nbous voulons xarriver à cerner (poser des cernes ) et comprendre (prendre avec soi : dans ses bras) les choses squi s’offrent à nous du temps de notre vivant ; il semblerait que les mots soient de fzaux amis, mais chuchotons le : il semblerait que les mopts soient de faux amis et squ ils soient là dabvantage pour nous leurrer qu’autre chose , ou comment sinon ?  ; c’est franchezment l’impression que nous avons et cependant nous les utilisons ghaiement comme si de rie,n n’était  ; forcément (hélas) puisqu ils swont en nous incrustés, sertis ; nous sommes fichus ; nous sommes envahis, nous sommes sous l’emprise, une emprise de laquelle il est imppssible (de notrte vivant ) de se défaire facilement et si oui commùent ? la folie ? n’est pas fou qui veut cvomme disait le philosophe etc ; nous cherchons, nbous cherchons une solution , et cette solution nous la cherchons  dynamiquement, c’est à dire en marchant, nous cherchons une solution du temps de notte vivant, mais où la trouver ? en envoyant balader les mots ? en faisant de la peiunturlure à la place d’employer desmots, de la peinture et autres genres assimilées etc ? mais c’est impossible ainsi, il est iumpossible ici de s’échapper des mots, quand bien même la peinture et autres genre assimililés ; car la peinture est pleine des mots que le peintre contient à part lui, et du coup ne trompe pertsonne ; nous ne savons pas comment nous y prendre , et en plus, ce faisant, nbous continuons à parler eet à se prononcer sur tel et tel sujet en disant nous, en disant je, etc, et voilà l’embrouille , voilà cette chose comme quoi nous sommes piégés par nous mêmes : notre propre ennemi en définitive ; nous sommes à nous mêmes (de ce fzait, ou par le fait du langage qui est en  ous cet ennemi) ennemi à nous mêmes et cela est une chose qu il est bon de prendre avec soi (de son côté) et de poser sur table ; et là, de regarder quoi faire, de voir à quoi faire de c ette chose en soi, ou pour soi, de cette chose en soi indécrottable ; il s’agit (dès lors) de trouver une combine pour s’extraire, mais comment s’extraire ? en collant au plus possible ? en, collant à la paroi ? en venant buter contre la paroi ? carrément, vertement, immaturément, comme cça vient ? tel que cela vient ou sort de nous ?  ; comment faire ?  ; nous cherchons une solution à notre problème et noudss finirons bien un jour par la trouver, nous avons bon espoir de trouver un jour ou l’autre une solution, à ce problème centreal, en tous cas à ce problème qui nous semble centreal en ce qui concerne la vie, la vie en société, la vie tout court ; ce qu il en est de cette chose ici , d’un langage en nbous qui est (il semblerait) la langue de l’ennemi : nous vivonsv ainsi  avec lui, nbous vivons au quotidien avec en  ous notre pire ennemi d’une certaine manière ; il semblerait que nous vivions sur terre avec en nous (sous la forme du langage) d’une certzaine vmanière notre pire eznnemi ; comment se débarrasser de son pire enbnemi ? impossible ? ou bien : doit on se débarrasser de son pire ennemi ? si le pire est en soi , doit onn se débarrasser du pire et si oui comment ? avez vous une idéee ? comment pouvons nous nous débarrasser  en n ous de notre pire ennemi qui siège ou siègerait (au beau milieu de nous) comme un pacha siège sur sa couche ! «ouste le pacha» ! nous aimerions, nous raffolerions de ceette chose, de dire cette chose, de dire «ouste», ici, au pacha, de lui dire «ouste le pacha» ; on aimerait ; on voudrait ; on aimerait follement ou férocement ; on aimeriat beaucoup, on serait méga-heureux de pouvoir bousculer ainsi un tant soit peu les mots que nous acvvons en bouche, pour casser la chose, pour casser un tant soit pêu cette chose d’un langage en nous qui est notre ennemi, qui nous retourne, comme une merde, une chose de peu  ; qui nous retourne à son a vantage, et peu en vérité à notrte a v anta ge ; ou bien : le déloger ?  ; comment ? la folie ? n’est pas fou qui veut ! la drogue ? lzaquelle ? la caverne ? hé peut -etre ! ; et ainsi nous voivci dedans : main dans la main  ; nous y allons, nbous sommes dedans, nbous sommes dans une grotte du sud de la france ou du nord de l’espagne et nous cherchons une solution à notre petit problème des mots inculqués et qui sont comme qui dirait nos propres ennemis ; nous cherchon,s main dans la main une solution à cet envahissement des mots en nous et cette solution nous venons la chercher ici, en cette grotte, sur des parois peintes etc ; il swemblerait qu il y ait ici (art) (art pariétal) une solution envisageable, une possibilité de sortie, une solution à nos petits soucisq, une possibilité d’extraction etc ; nous cherchons ensemble et avons bon espoir de trouver un petitquelque chose ici : une idée ? une pensée ? une transe ? un dessin ? de l’art en branchje etc ?  ; comment allons nous procéder ? y a t il un protocole à obsezrver ? dites nous comment nous y prendre ? comment faire pour sauver sa vie ? que signifie sauver sa vie, les termes «sauver- sa- vie « ? nous aimerions savoir comment nous y prendre et pour cela nous nous approchons d’une paroi lisse ; nous sommes à présent tout près de la paroi ; nous sommes à un rien de cette paroi ; que nous dit elle ? elle ne paerle pas !que faire ? la toucher ; nous la touchons, nous apposons nos mains et nousq dessinons des mains né gatives (en les cernant de noir) et des mains positives etc ; nous sommes ainsi qui faisons des mains, des mains positives et des mains négatives, etc ; ces mains tiennneznt à la paroi du temps, et devieennent ce temps qiu est celui de fait de nos vies sur terre ; nous voyons ces mains dessinées et nous cherchons à voir ce qu il en est, de toutes ces mains dessinées, toutes ces mains dessinées que sont elles ?les minutes du temps qui s’écoule, bruyant ? nous ne savons pas comment nous extraire de cette chose en nous ma ssive (une bete de poids) qu est le langage en  ous ; il faut bien comprendre cette chose, que le langage en  ous, est une bete de poids, est une masse, il s’agit d’un buffle en  ous ; voyez un buffle, et considérez à présent en vous cette masse du langage  ; il y a en nous uneb bete grosse, un buffle, un bison etc, qui est là qui écoiute, qui vibre, qui suit tout des yeux, de ses yeux à lui ; nous sommes ainsi envahi ; il s’agit d’une occupation de fond en comble ou du moins massive en nous : ; un bon morceau, un poulet, une charpente, des abattis, etcx  ; une chose de poids et d’impotrtance ; cette bete en nous il s’agit de la foutre à mal, de lui faire cracher son souffle, ou comment faire ? elle est en nous comme un cancer et (aussi) nous devons faire avec ; nous devons faire ici avec ces mots en nous (qui njous trompent et a busent de n ous, de notre patience)  ; le langage et aussi le reste des apparences, trompés nous sommes etc ; nous cherchons en glissant sur les parois des roches ? nous glissons sur des parois ; nous essayons mille stratagèmes, nous essayons à deux (main dans la main) mille stratagèmes et ce n’’st pas facile de s’y retrouver, de trouverr un moyen qui puisse etre cvelui qui, de fait, nous comblera, dans cette recherc he d’une sorte de sortie pour un salut ; un salut de quoi ? de l’ame ? un salut pour quyoi faire ? pourv rester ? pour rester sur terre ? etc ; nous avons pour nous le temps et ce temps qui se consu:me on peut t§oujours l’accompagner, chanter de concert avec lui, comme on sait le faire ou comme on peut le faire, et cet accompâgnemùent dès lors devientr l’oeuvre d’art, dezvient une chose étiquetée «art» peut être, il se peut que oui ; nous sommes tous les deux (elle et moi) mains dans la main, et nous n’avons pas kl’intention de nbous désunir de sitôt ; nous nous collons à la paroi lisse ; nous l’épousons ; nous épousons la paroi du temps ; nous cherchons à coller au plus près à la paroi du temps ; voilà ce que nous faisons ; voilà ce que nous chertchons à faire et que faire d’autre sinonb ? nous ne voyons pas ce que nous pourrions faire d’autre ? nous collons nos joues , la plante des pieds,  la paume des mains, nos lèvres, nos sexes , etc, à la paroi du temps et cela nous convientt un temps ; nous crhercxhons à coller )à la paroi du temps (du langage) et aindsi nous nous retrouvons comme faisant corps avec des animaux : décalque ; nbous sommes pareils = nos mots sont des animaux, nos mots so,nt des betes de somme ; njous sommes collés à la paeroi en grotte, à paroi d’animzaux etc, et nous éppousons le temps, nous épousons les formes du temps ; nous épousons le relief du temps, les infractuosités du temps qui est celui que nous vivons en propre : chacun pour soi ; nous épousons le relief de la paroi= le relief du temps vécu, etc ; nous ne pouvons rien faire d’autre il semblerait ; nous faisons comme nous pouvons, nous cherchons à épouser le relief, les anfractuosités des parois, du temps, des parois peintes, du temps qui est ce passdage en nous d’un troupeau, ; et ce troupeau est le langage c’’st à dire de la bete bestiale et massive en  nous : roulement de tambour ; nous essayons une sortie, nous essayons comme nous pouvons de coller au temps car que pouvons nous faire d’auutre ? nous essayons de faire comme nous pouvobns, nous essayons de faire au mieux, nous essayons de coller au temps et peutetre qui sait allons-nous y arriver : à force ; il semblerait qu il n’y ait pas cinquante solutions, et celle ci nous convienbt : de coller au temps via le glissement sur paroi de grotte ; nous faisons de notre mmieux, nbous nous enfonçons dans la roche, cdans une mini fente, nbous nous y loge’ons, nous ve’nons habiter la paroi ; nous cherchons à  ha-biter ladite paroi car elle nous plait, nous convient grandement, nous l’aimons et la voulons pour nous, exclusivement quasiment, nous la voulons pour nous qui l’aimons beaucoup ; nous voulons la prendre avec nous, la faire nôtre comme elle nous a fait sienne ; un prêté pour un rendu, ainsi de suite ; nous glissons sur une paroi de grotte, nous sommes des betes de somme en nous, qui avons en  ous un langage, cette bete de somme ; il s’agit des mots de la tribu, des mots en troupeau, en meute,, en cohorte ; nous sommes plein en nous de cesz mots qui font le siège de notre prairie ; il est imposdsible (,?) de les extraire de nottre prairie, comment fair ?  ; nous les avbons en  ous qui ne demandent qu’à sortir de nous, par la bouche : un serpentin : vrille et oups ça tombe par terre, ça file, ça s’éfile etc ; ce sont des betes formant trompe, ou que sais je  ; il s’agit de betes en nous qui sortent de nous et vont à se loger sur une (donc) paroi de grottee par exemple, ou bien sur une roche, à l’extérieur de la grotte ; nous essayons de comprendre ce qyuyiui se trame dans le monde et nous avons en nous l’impression teznace, que les mlots du lan,gage (en vérité) nous desservevplus qu il ne nous aide ; nous sommes ou nous en szommes tristes (attérées)- hélas ; nous sommes bien tristes de cette chose, nous aimerions pouvoir passer outtre ; nous aimerions pouvoir nous échapper de cette chose du langage , qui, pour le coup, nouds s fait croire een des billevesées et c’est bien dommage  ; les mots sont nos ebnnemis (neuf fois sur dix ou peut-être davantage ; les mots nous trmopent ; ce sont des ennemis coriaces, accrochés comme des meurt-de-faimà notre gouverne (cap = tete): ; nous sommes pris au piège d’un troupeau sur notre passage, troupeau wqui nous engluotit et nous empêche la moindre sortie, et nous entraine avbec lui de ghré ou de force» : que faire ? allezr à rebroussee-troupeau ? ouffff ! aller à l’encontre du troupeau , le frapper ?  hum ! aller dans le sens du troupeau, de son élan de charge  ? peut etre  ; aller de plus en plus sur les bords, da,ns l’espoir d’une sortie possible etc ? peut -être mais rien  n’est moins sûr car le troupeau est fort qui vous charrie fissa et avec, pour vous, peu de temps pour vous retourner,, pour vous collert à son bord etc ; ce n’e’st pas facile de s’extraire et pour aibnsi dire il est quasi iumpissible (?) de s’extreaire du troupeau ; ilo est certainement quasiment iumpossible de s’extraire du langage, des mots en n ous qui nous pousse à aller d’un bout d’une phrase à) une autre etc ; sauf que la chose est quelquefois mal fichue pour vous votre gouverne ; nous sommes embarqués, nous sommes pris par la furie ghrégaire etc, et comment pouvons nous faire pour aller contre le courant ? ; aller co,ntre le courant, voici l’idée-maîtreeese , qu il serait réellement souhaitable de souligner fortement ; nous essayons pàar tous les moyens d’akller contre, d’aller contre le courant, dans le temps, en direct, etc, d’aller à rebroudsdse poil, rétro-pédalage etc si l’on pouvait ; il est pour nous une chosqe à laquellev nous tenons et c’erst cela (elle et moi ) : rétropédalage ; nous devons ; nous voulons ; nous sommes qui voulons cette chose ; ah si seulement nous pouvions faire sans les mots, de cette intelligence de c ap, de tete, qui est une intezlligence surtout de tete, quand tout le corps (voir les animaux) doit parler, il semblerait ; nous voulons coller à la paroi du tezmps et faire parler , de cette fa&çon, l’animal en nous, l’animal qui en soi-m^’eme occupe toute la place : pacha ; nous aimerions beaucoup ainsi faire et aller ainsi ;  nous sommes qui allons ainsi en collant, main dans la main, nous sommes main dans la main ; nous voulons aller main dansla main dabns cette pareoi qui est devant nous dans cette grotte qui est notte grotte ; nous avons des betes ezn  nous qui ne demandent qu’à sortir de nous : par la bouche, et du coup c’est un bec, une trompe, une langue que sais-je qui sort de cette bouche , il s’agit de quelque chose qui nous appparaît comme torsa&de, un enchevetrements filaire, une tige torsadée, une sorte de vrille etc, qui sortirait de notree bouche et serait  atte,nante à nous, comme un museau , un bec ou une langue ; on ne sait pas ; pâs bien ccompris encore de quoi il en retour ne ; nous avons pour nous cette chose en vrille (volte -face, volute, loopin gs, etc) en nous qui sort, en nous qsui sort par notre bouche ouverte ou commùent ?  ; nous avons en nous une sorte de vrille , qui sort ou sortirait de nous par le trou (effectué) de notre bouchje ; ce trou qui autrefois n’était pas mpais qui aujourd hui eswt ; il s’agit dès lors d’une trouée, d’une déchirure, d’une plaie, exa&ctement, et exactement en cet aendroit au beau milieu, sous le nez, ploc, une percvée , et le tour est joué ; nous avons dit ploc ; il semblerait que les choses se tramèrent ainsi, il y a bien longtemp)s, nous n’étions pas nés, il y a en arrière quelques milliers cd’années, plusieurs dizaines de milliers ; et depuis ce temps nous parlons car jusque là nous avions la bouche bouchée à l’étoupe ou à) auttre chose ; nous avions autrefois (il semblerait) la bouche bouchée, obturée, obtuse, fermée etc : une joue centrale et aujourd hui (c’est à dire depuis quelques dizaines de milliers d’années) la bouche est grande ouverte et peut parler,  elle peut dire ce qu elle a envie, elle peut lacher des betes, j jusque là non, ezt du coup les betes essayaient de passsr ailleurs, autrement ; elles essayaient co:mme elles opouvaient, elles étaient en masse, e lles étaient nombreuses ;, une brigade, un troupeau bruyant, frappant, cognant à la porte ; un troupeau de bovidés cognant bruyamment à la porte de la bouche humaine   ; jusqu’au jour où patatras la bouche s’est fendue en deux et des mots sont sortis qui furent accueillis bizarrement à leur sortie : car les animaux sont des mots, et les -mots sont des animaux, et l’accueil se fit sur parois de roche, voilà toute létran,geté de l’affaire ; les mots )-animaux vinrent se coller (se mettre, se ficher) sur parois de grotte ; il est ainsi que des mots -animaux vinrent des lors à se flanquer ainsi sur des parois de grotte : vlam, et de un, vlam, et de deux, vlam ; et de troisz... etc, toute une ribambaellle de mots gros, de gros mots qui seuls ont su trouer la bouche comme on troue un cul etc ; il semblerait mais en véritévnous ne sommes sûrs de rien, nous pensons qu il en est ainsi mais nous ne savons pas comment les choses ont pu arriver en des temps si eéloignés de nous ; nous sommes des cxhercheurs, nous sommesq des chercheurs en  herbe et en verbe ; notre mission ici, nottre travail, notre volon té, notre plaisir, notre pente ici est celle ci : de chercher une trouée quelque part sur cette toile, cette pâroi, cette feuille, ce support, nous cherchons le trou, de passer la main, la main négative ou la main positive, glisser cette mzain à traverts la paeoi, faire cette chose et creuser, trav erser, le passe -muraille etc ; nous avons cette ambition, nous voulons cette chose, nous cherchons cette  chose, ce searit supeer si nous pouvions ainsi découvrir une chose (le pot aux roses) et comp^rendre ce qui se trame au se’in de l’existence, ce qui est, à revbrousse-poil ; comment faire du rebrousse poil, ou du rétropédalage etc ; nous voulons traverser et cvomprendre, main dxans la main ; il y a des fentees dans la paroi, nous aimons  les fezntes, lesv trous, les trouées, les failles, lesz portes, les passages ; nous sommes nous deux qui cherchons des failles, pour nous y loger un temps et ce tezmps est tout bonnement le temps de notre vie, ce temps de nottre vivant, nouds voyons les choses ainsi ; nous sommes main danns lma main ; il y a des mains négatives et des mains positives ; l’air s’engouffre dans la grotte ; le feu tient sur la table aux offran,des, nous nous appuyons contre la paroi ; le vent glisse sur les parois et les animaux chargent contre le vent ; on aime l’intérieur des grottes, des cavver nes, ça nous é&moustille ; le temps est une paroi ; la mmer est loin ; le temps est cette paroi sur laquelle nous nous appyuyons, nous avons pour ambition de nous glisser à l’(intérieur de ladite paroi et de nous immiscer en elle (l’épouser, faire corps) afin de deve nir paroi (verbe) nous -mêmes ; notre envie et notre ambition se situent àà cet endroit, nous cherchons de cette façon , pour notte salut peut ettre ou bien pour nous protéger, ce qui revient au même peut -etrte ; nous aimons les parois, nous sommes des amoureux de paroios, nous sommes qui adorons les parois ; chaque parois de grotte décorée, ornementée, nous intrigue fort et nous avon,s fort envie  de s avoir ce qsui s’est joué ici autrefois : le pourquoi du commment ; nous voyons devant nous des betes dessinées ; il s’agit d’un métalangage, il s’a fgit d’ornementation langagière, sûr de sûr ou sûr de chez sîur ; coloons nos hjoues aux parois ; essayons cette chose ; les joues sont celles que nous arborons les uns pour kles autres, il s’agit de joues fendues ; nous apposonsv les joues , nous apposons les mains, nbous apposons et détourons , les mains maids pas dseulement les mains : le coprps ; ce buffle, ce gibier qui en impose ; nous mangeons de l’animzakl, nbous mangeons le fruit de notre ceuillette ; les animaux sonrt en n ous ; nous sommes des animaux ; nous so:mmes des animaux massifs, lourds, bruyants, qui allons de l’avant pessamment ; nous portons cette charge en nous = l’animal de charge, ni plus ni moins ; notre envie est de comprendre cvette chose , avec nbos bras, avec nos mains, avec notre corps en entier ? et pas seulement avec nottre intelligence de tete ; la tete est belle, belle chose, elle chapeaute, eele trone, elle estv la première et en première ligne et cepêndant on voit bien qu elle n ‘est pas la seule à devoir etre mise en ecxergue, etc ;  nous devons compren dre kles choses du monde (ce qui se trame) à travers un certain usage du langage , des mots, et  cet usage est dynamique, forcé, brute, bete, bestial, un usage en rentree-dxedans = e n paroi ; il s’avgit d’une butée, d’un élan ou mouvement de butée contre ; certainement, tres certainemeznt, tres surement ; il semblerait que nous ayons ici une histoire de butée, d’entreé en mâtière par la butée, par une sorte de rentre -dedans qui en fait le prix (il semblerait) ; nous sqommes ensemble, nous cherchons à comprendre ces imagsepariétales en nous disabnt que celles ci pourraient nous en apprendre lourd sur ce que c’est que ce monde que nous vivoons : il semblerait que  ;les mots nous trompent et  nous permezttent pas mal de cchoses n,éfastes ou mauvaises, comme par exe^mple d’extrapoler etc ; notre souci maheur est de nous introduire dans le temps de la paroi, de nous immiscer au sein du lazngage -pa roi, gdu langage-laboour, du langage-bete, etc ; au sein du troupeau : dans la masse ; isolés, cachés, pris, insérés etc ; pour vivre heureux vivons cachés, etc ; nous avon,s une eznvie prioritaire ; nous chezrchons à trouver ; nous trouvons des mots qui glissent de la sorte sur une sorte de paroi qui est celle du temps : ça glisse, ça nage ou surnage dessus ; nous faisons comme nous pouvons, nous edssayons de  faire au mieux, nous s ommes motivés ensemnble poure agir -ensemble et percer, creuser, trouer, la chose, le temp)s, la paroi, ce langage decvant nousq, qui s’ouvre devant  n ous comme un passage dans une roche ; notre souci autant que nbotre ambition: ; la paroi cde la roche est nue et lisse et se prête t§out à fait à un dessin , à une gravure etc ; le dessin de l’animal cde poids, le dxessin d’une ghracvure ; nous sommes deux et nous nous immisçons de la sorte dans un interstice ; il sudffit de chercher et nous trouvons, l(interstice du langage , ici, sur cette paroi de grotte ; la vhgrotte est un antre ; nous allon s deda ns : l’antre, la grotte, la pareoi dans lka grottte, le langage : ; perforer ledit lzangage : est ce possible ? co=mment preerforer ou arriver à perforer ledit langage ? il semble imperforable ; j’avance ainsi, je me glisse ainsi, je m’immisce ainsi, hj’essaie d’entrer dans la paroi ; la paroi est mon amie,  je glisse dedans, je me glisse à l’intériuer ; je vois dans la roche ce qui se passe ; je perçois tres bien à l’intériuer de la roche ce qui semble se tramer ; la roche est ma mie ; je suis l’amoureux de la roche ; il semble que la roche ici soit mon amie et mon amoureuse ; le coït ici ; nous som:mesz desamoureux, nous nous embrassons ; j’essqaie d’épousert la roche de fond en comble, c’est à dire : que mon corps de fond en comble (en entier) puisse épouser la roche et s’y glisser et s’y perdre presque ; nous ne sommes pas perdu car nos mains se tiiennent : c’est cvela qui est important, de toujours garder le lien avec la main tendue, avec la main donnée, acev cette main négative ou pôsitive ; nous devons pour nous gharder le contact, en permanence, nous  devons ne pas flancher et toujours garder le contact ; nous devons toujours gzarder le contact de la main dans la main de l’autre ; j’avance ; je me glisse dans la fente de la roche, il s’agit d’une roche parièétale et cette roche est peinte ; on voit les peintures sure elle : il s’agit d’animzaux de prairies, des prés ; n,ous les  voyons, nous voyons des betes, ces choses peintes qui chargent bruyamment, le souffle est fort, ça b uffe, ça en jette etc ; nous sommes nous-mêmes des betes de somme dessinées sur des paerois de grotte ; je wsuis et nous sommes des betes de somme ; nous sommes ensemble et nous nous tenons main dans la main ; nous esdsayons de nous y retrouver etb de  omprendre les choses qui arrivent dans la vie, comment toutes ces chosesw sont possibles, ces images, ces ruades, ces prétentions etc ; comment tout cela peut tenir debout, comment toutes les choses du monde peuvent ainsi tebnir entre elles : où et comment ; nous regardons autour de nous, il n’y a que de la  roche, des dessins sur rocxhe : des bisons et des antilopes ; nous nous tenons par lac main, nous ne voulons pas nous lacher, les mains sont sur les pareois , elles sont dessinées sur les poaerois, on peut deviner ,à qui sont ces mains cvar toutes n’ont pas la même taille : s’agit il de mains d’enfants ? s’agit il xde mains a dultes ? s’(agit il des griffes (des coups de griffes) d’un ours des cavernes ? qui donc est passé par là ? qui a apposé xsa main et pourquoi ? qui est cette personne et que fai-t elle en faisant cela ? nous apposons nos mains sur la paroi et la détourons et faisant cela nous laissons la marque de notre passage , tous = chacun ; nous sommes passés, nous sommes ce passé ; ce passé en forme de main, ce temps passé en forme de main ; nous so:mmes le temps de la main ; la main est le temps ; il y a le temps que forme la main ; nous comptons le tepmps pâr la main apposée ; le temps se compte en main et ce de tout temps ; le -tempsq se compte en mains apposéesxc: calendrier ; comp tage du temps par des mains apposées et dessinées (détourées) sur paroi ; il s’(agit d’un comptage, nhous comptons pazr des mainsle temps passé, à venir etc ; le comptage se fait par le biais des mains apposées etc ; main tenant et demain etc ; nous apposons les mains du temps, du présent offertt , tenu, au creux des mains positives etc, ; positif et négatif : le jouir et la nuit du temps comptabilisés etc ; le joiur et la nuit, avers et endroits ; endroite et envers, jour et nuit, tic tac, etc, le co:mptage du temps par le biais des mains apposées ; etc ; il s’agit du comptage (décompte) du temps sur des parois de groote = la paroi du temps ; nous cvomptons le temps, apposons nos mains, faisons allégeance ;

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28/04/2020 

nous avons pour nous le gout du dessin ; nous sommes tres amateurs de cette chose à faire (sur papier, sur supports divers) qui est de dessiner des choses de type animal, de type gros gibier ; nous sommes nous mêmes tres amateurs de cette chose, de cette chose qui est de se mettre à table et de dessiner ; nous aimons tous deux beaucoup le dessin ; nous nous asseyons et nous dessinons tout ce qui nous vient, nous aimons cela, nous avons beaucoup d’amour en nous pour cette chose, le dessin est une chose qui nous plait beaucoup et que nous fzaisons volontiers , à temps perdu, par gout déjà, et aussi car nous zaimons beaucoup le rendu du dessin, cette chose façonnée qui à nos yeux représente beaucoup ; nous avons un réel plaisir à façonner des choses avec nos mains, avec ces mains qui sont devqnt nous comme des outils, qui sont pretes à l’emploi pour ainsi dire, nous aimons nos mains à la folie et nous nous en servons volontiers, pour dessiner, pour par exemple dessiner c’est à dire tracer des volutes, des tortellini, des embrouillamini divers (devant nous) qui puissent nous charmer, nous conduire à des endroits de nous inexplorés etc ; nous aimons cela : chercher en nous des zones encore (à ce jour) inexplorées ; nous aimons beaucoup les zones inexplorées et nous ne manquons pas de les rechercher en nous, via le dessin par exemple, ou par d’autres voies si besoin, et de nous soulever ainsi (lévitation) pour savoir et connaitre de nous ce qu il en est dans une profondeur ou une richesse, dans une profondeur certaine, dans un endroit de nous que nous ignorons, en nous cette chose, cette chose en nous ; nous essayons de compprendre (via l’art) ce qui peut-être est en nous qui sommeille et qui est ce que nous sommes en vrai ; nous cherchons à soulever le voile, à lever les choses qui masquent, nous cherchons à soulever et lever ce qui peut l’etre, nous ne sommes pas chiches de cette chose et c’est régulièrement que nous nous retrouvons pour donc soulever le voile et comprendre mieux ce qu il en est (par en dessous) de ce que nous sommes en fait d’etre et aussi de ce qui éventuellement pourrait nous attendre un de ces jours, c’est à dire  : de quoi s’agit il lorsque d’aucuns évoquent la mort pour chacun ?  ; nous dessinons ce qui nous vien t avec nos mains, nous dessinons avec nos mains ce qui nous vient ; nous ne sommes pas chiches de nous réfrener et dessinons volontiers sur papier ce qui nous passe par les mains, la tete ou le coorps, nous dessinons volontiers des volutes, des choses vrillées, des chantournements divers et variés, qui occupent notre pensée autant que nos main,s dessinantes ; nous avons le gout pour cette chose à faire , qui est du dessin sur papier ou sur carton,, ou sur tout autre support qui puisse etre à même de recueuillir des traits et des points par nous dessinés ; nous dessinons des points à la queue leu leu, nous aimons beaucoup dessin,er des points à la queue leu leu ; nous aimons à la folie dessiner des points à la queue kleu leu et nous ne manquons pas les occasions qui se présentent pour nous y coller, pour nous obliger quasiment, wà faire cette chose qui est donc de dessiner des points sur roche ou sur paroi, sur papier ou sur carton, à) la queue leu leu, comme ça nous vient ; nous ne manquons pas les occasions qui se présentent, de donc dessiner ainsi, des points, des traits, des volutes, des plis, des betes de somme ; nous sommes tres friands de ces choses dessinées ; nous aimonds dessiner des betes, nous dessinons tres facilement des betes sauvages, des chacals, des bouquetins ou des aurocghs, nous aimons les représentations animalières et nous en faisons souvent entre nous, nous ne sommes pas en manque de faire ces choses sur paroi de roche, de grottes, ici ou là dans des cavernes, les animaux ne manquent pas ; nous aimons les animaux dessinés, plus vrais que nature, nous ne sommes pas en reste de les dessiner plus vrai que nature, vibrant, vrillant les volutes de leur souffle, de leur buée, de ce qui sort de leurs naseaux encore chauds ; nous dessinons ce qui est qui est devant nous, à savoir des naseaux fumants ; nous aimons beaucoup dessiner, graver etc, des animaux sur des parois, sur des murs, sur des feuilles et autres suppotrs, sur des bouts de n»’’importe quoi qui se prête à cette chose de desiiner ; nous prenons du charbon de bois (par exempl ;e) et nous dessinons à main levée des choses de type an imal, et nous nous régalons de cette chose, nous aimons vraiment beaucoup, tout notre amour va là, dans ces représentations animalioères, il s’agit d’un amour fou ; nous ne manquons pas d’aimer ainsi dessiner des betes sur des parois, à l’intériuer des grottes, des cavernes, nous sommes férus de cette chose et nous, de dessiner et de dessiner des betes autant que nous pouvons, autant de fois que nous le pouvons, car nous aimons et dessiner et les animaux que nous représentons, ce sont nos etres tres chers ; ils sont chers à nos yeucx, ils n’ont pas de prix, ils représentent beaucoup pour nous, ils ne sont pas rien ; leur valeur à nos yeux est considérable, ils s’agit pour nous de dieux vivants quasiment ; nous les respectons énormément et nous les regardons avec une immense piété et nous nous prosternons devant euux, nous laes aimons à la folie, nous crio,ns notre amour pour eux, nous nous insultons nous-mêmes devant eux, nous nous traitons de tous les noms devant eux, nous nous traitons de tous les noms devant eux car nous, à nos yreux, nous ne sommes rien, nous ne sommes pas grand chose, nous ne représenton,s pas grand chose, nous ne sommes rien ou pas grand chose et pour nous eux sont beaucoup, à nos yeux ces betes, ces animaux de grosse taille, sont beaucoup ; ils sont quelque chose , représente quelque chose de considérable à nos yeux, ilds sont énormes, ils sont gros, ils représentent quelque chose d’énorme, de tres fort, de puissants, une énergie vive, une vie quasi, une vie sur roche, nous les adorons, ;, nous les aimons à la folie et nous les dessinons, avec un amour fou, avec une volonté forte, avec un entrain assuré, avec une joie sans borne, avec un gout prononcé», avec des cris de joie et des hurlemen,ts bestiaux, nous aimons les représenter plus vivants que nature, nous tentons cette chose au quotidien , qui est de les représenter plus vrais que nature : cela est une chose importante, il s’agit là d’une chose tres importante ; nous aimons les parois, les charbons de bois, les betes, les grottes, l’esprit de la grotte, le vent qui s’engouffre et fait vaciller la flamme des torches et s’ébrouer les betes sur les parois tout autour de nous ; nous aimons toucher les betes sur les parois : les dessiner et les toucher ; les poser ainsi à plat sur roche, par des traits, des courbes, des hachures, des points bien ciblés ; nous dessinons les points de scansion ; nous dessinons les trait hachurés qui sont des traits de fuite, des traits d’appel, des traits venus de nous mais qui sortent comme des cris ; nous dessinons les cris ici, là, près des betes, nous scandons ainsi ici les hurlements proférés et nous espérons ainsi pouvoir durer vivant encore longtemps sur cette terre qui nous voit chasser et aller vers les bois, les champs, les prés, à la recherche de quoi ici même se sustenter ; nous aimons les betes : les mangher et les dessiner ; nortreamour va vers l’animal ; nortre chose de l’amour est une chose qui se plait à faire sur roche des gravures ou des dessins de betes ; nous les aimons beaucoup et même nous les  vénérons, nous sommes tous deux qui les vénérons ; nous savons cette chose en nous, nous aimons cette chose en  n ous : ces animaux contenus en n ous, nous les aimons plus que de coutume car ils sont en nous ; nous les conservons ou les abritons en n ous depuis toujours, nous sommes nous-mêmes des betes, nous sommes ces betes de somme, ces betes de charge, nous sommes (en nous)- ces betes fortes, de grande puissance, imposantes, vraies, furieuses, fougueuses, vives , vivantes et c’est de cette vie que nous voulons ici ou là (sur paroi) faire en sorte qu’elle puisse apparaitre à l’oeil, nous avons cette envie en nous, nous avons en nous cette envie de faire cette chose, de faire ainsi que cette vie animale en nous, apparaisse ici ou là sur des parois, et puisse «le faire», et puisse  faire cette chose , que l’on puisse y croire, s’y casser le nez ou les dents ; plus vraies que nature ! ; nous aimons les betes en nous, nous hurlons ce cri de bete en n ous, nous dessinons ces cris de betes en nous, nous traçons ces cris de betes en  nous ; nous ne sommes pas en reste car nous ne sommùes pas des restes ; nous comp^tons au même titre que des animaux, à cerzrtaines conditions, lesquelles ? eh bien à condition que nous hurlions avec ces animaux et les représentions plus vrais que nature, qui sur des parois de grotte, qui sur des roches extérieures aux grottes etc ; ici la représentation pour faire accroire, nous aimons ces représentations, nous aimons dessiner des betes avec nos mains, avec des batons, avec du charbon, avec du bois brulé, avec de la pierre etc ; nous dessinons , nous représentons, ; car nous avons besoin de 

dedessiner des betes méchantes ou costaudes ; nous dessinons des betes sur des parois car bbnous avons besoin en  nous de sortir cette chose de nous et de la proposer à nos regards ; njous avbons des animaux en n ous à sortir de nous et à déposer sur ders parois de grottes, de caverne ; nous aimons déposer des animaux sur des tables d’offrande et aussi sur des supports de type roc ou roche, des betes fulgurantes et imposantes, nous les dessinons avec passion ; nous dessinons des choses avec nos mains et ces chose sont des betes fauves, nous dessinons ces betes pour nous, pour lkes yeux, pour les coeurs ; nous dessinons ces betes sur des murs dans des galeries, en exposition ouverte, nous exposons ainsi le fruit de nos divers travaux de recherche, ces betes qui chargent, qui vont puissamment à la charge, nous les adorons ; nous ne voulons pas les maltraiter mais tout au contraire nous voulons les bientraiter ; nous aimons les animaux sur les parois, nous sommes tous les deux, elle et moi, qui aimons les animaux sur les parois des grottes, nous les embrasson,s fougeusement, ; nous embrassons ces betes, nous les aimons physiquement, nous aimons le contact de la roche, nous nous coloons à cette paroi devant nous, nous sommes amoureux de ces parois de grotte et nous nous y collons nus, souvent, tres volontiers, car nous aimons ces betes féroces, ces betes qui chargent, qui sont fortes, qui vont de l’avant, qui semblent vraies c’est à dire bien vivantes pour faire accroire ; nous aimons charnellement ces betes de somme : nous en mangeons, nous aimons ces betes de somme et e,n mangeons volontiers car nous sommes des etres carnassiers qui man,geons volontiers la viande cuite des betes de somme ; nous aimons cette chose manger et le faisons plus que de coutume, et cette chose (de manger de la viande) est une chose qui nous consqtitue en tant que nous sommes des etres humains qui allons par les prés et les forêts à la recherche de betes à chasser : tuer et à ramener au bercail, sous tente, etc ; nous aimons les animaux qiui sont comestibles ; nous mangeons de la viande ; nous dessinons les animaux comestibles ; nous dessinons sur des parois de grotte des animaux comestibles ; , nous aimons dessiner avec des torches, avec des batons, à bout de bras ; le dessin animalier est n otree dada, nous nous y adonnons tant et p^lus et nous aimons les représentations animalières plus que tout ; nous aimons plus que tout dessi ner des animaux ; nous mettons les animaux tres haut, nous vouons un culte pour les animaux ; les animaux sont les maitres et les dieux, les gros surtout ; nous adorons les gros animaux des champs, des forêts, des cavernes ; nous aimons beaucpoup kles animaux , les gros surtout, nous les adorons, nbous les vénérons ; nous ne sommes pas en reste de les adorer et de les vénérer ; nous sommes épris, nbous sommes priis, nous sommes sous le joug, nous sommes comme sous le jhoug ; nous aimons les animaux plus que tout, ce sont nos amis tres chers, ils nous protègent, ils nous secourent, ils nous p^rotègent de lafamine, de la mort, de l’ensevelissement ; nous les adorons et nous les dessinons au fusain, à l’huile, sur des roches, sur des murs, sur des supports, sur des toiles, nous les dessinons ressemblants, nous cherchons la ressemblance la plus criarde : hurlements de part et d’autres, incandescence et outrance ; nous les dessinons avec ce qui convient pour ce faire et c’est ainsi que nous utilisons de la charbonille ppur ainsi dire et c’’st abvec cette charbonille (entre autres) que nous traçons à main levée des betes (des betes fauves) sur des rocs, nous les dessinons avec une grande application ; nous nous appliquons beaucoup car notre but est de faire ces betes dessinées les plus ressemblanttes possible car  il est important que cette chose soit de cette sorte, les fauves, les betes,  doivent etre ressemblantes le plus possible, nous savons pourquoi, nous les dessinons le plus possible ressemblantes et nous savons parfaitement pourquoi nous cherchons cela, cette ressemblance, cette ressemblance la p^lus criarde, lea plus gueulante, la plus marquée, nous aimons cela : cette ressemblance ; nous cherchons la ressemblance avec la vie vraie, la plus grande, la plus marquée ; nous aimons la ressemblance pour cette raison que nous avons besoin de cette ressemblance, elle est capitale, elle gouverne, elle est importante au plus haut point, elle préside, elle commande, elle est première et primaire ; ici la ressembvlance recherchée l’est, car elkle elle préside, car c’est ebnlle (la ressemblance) qui préside, chapeaute, gouverne etc : la tete ; elle se situe au niveau de la tete, c’est àç dire du mental ; elle gouverne car elle est de tete ; elle préside car elle est à la tete, etc ; il s’agit d’une chose mentale : espreit, ou d’esprit ; nous savons cette chose que nous voyons et que nous faisons ; nous dessinons avec beaucoup de joie et d’entrain des betes grosses sur des parois, nous remplissons des murs entiers, nous faisons des panneaux complets, nous remplissons sans frein des parois , des tronçons, des pans entiers avec nos betes, qui chargent, qui président, qui gouvernent, qui so,nt en  ous notre gouvernail car en nous il y a des betes, il y a des betes en  nous ; nous sommes pétris de betes en nous ; nous sommes pétris de betres en nous ; nous sommes nous m^$emes des betyes ; nous ne sommes rien dx’autres (au fond) que des bnetes réincarnées, ou beters remises en forme autre, que betes retrouvées à perpeétuité etc ; nous aimons dessiner des betes sur des parois car nous les aimons, nbous les adorons, elles sont nos tres cheres, nous les vénérons aub plus haut point, nous savons ce qu elles sont pour nous, nbous voyons pour nous l’importance qu elle revetent, il ne s’agit pas de rien, il s’agit de choses de la toute première importance pour nous, pour nottre salut ou notre survie etc ; nous sommes cezs betes que nous dsessiinons, c’est nous, ce sont nous, ces betes sont nous, nous sommes ces betees ; nous sommes ces betes, ces betes sont nous, nous ne sommes rien d’autres que celaz, que cette chose que nous dessinons, nous sommes des betes ; nous sommes betes, nous sommes crétins, nous sommes des betes betes, nous crions cette chose haut et fort comme quoio nous sommes des vbetes betes, nous crions haut et fort cette chose comme quoi nous sommes vraiment, véritablement, betes comme choux ; nous ne sommes pas intelligents ; nous sommes idiots et nous le disons ; nous voulons etres des betes, comme elles, comme celles que nous dessinons, nous aimerions beaucoup etre comme elles et nous les dessinons avec beaucoup d’application et ce afin de les rendre les plbus ressemblan,tes possible (évidemment)  ; nous essayons de les rendre si possible tres ressemblantes cvar nous les aimons et nous voulons les montrer vivantes, faire accroire, à la lumière vacillante des flammmes, que ces betes chargent et vivent pour de vrai : un cirque, une ménagerie ;, iun troupeau qui rue, etc ; nous espérons ainsi tromper un tant soit peu notre petit monde et donc , par ce faire, faire accroire à du vrai gibier qui va et charge ; il sembkerait qsue nous fassions ainsi, du moins c’esrt ainsi que nous le pensons ; nous dessinons avec beaucoup de plaisir et d’envie, nbous dessinons volontiers, il s’aGit d’une chose que nous aimons faire (beaucoup) et que nous faisons à l’occasion  ; le dessin est une chose assez basique, presque de l’enfance, nous dessinons aujourd hui comme nouds le faisions étant enfant , nous retrouvons ce même gout pour le dessin, le même que lorsque nous étions jeunes, enfants, nous aimions beaucvoup cela, nbous pouvion,s passer des heures à dessinerv autrefois, du temps de notre enfance, c’était chou, c’était chouette, c’était super, c’était vraiment super et super plaisant, des heures entières à dessiner de s choses : des bonhommes, des bonhommes, des bonhommes, des bonnes femmes, des bons hommes, des prés avec des zarbres, des maisons et des bonhommes, papa et maman et la fratrie, etc ;  et des animaux mais d’abord des bonhommes, la figure humaine, de pied en cap, à notre façon, tous les enfants font cette chosex: de se dessiner soi même ; tous les etres humains du temps de leur enfance commencent par cette chose, de se dessiner eux mêmes en tant qu etre appartenant au genre humain, et non pas des aurochs ou des chevaux, ou des xbuffles ou des bisons ; cela est curieux ; cela ne manque pas cde nous intriguer, cette chose sur parois, que les hommes des cavernes, du temps des cavernes, faisaient en priorité et quasi de manière exclusive ! cela est bien étrange et curieux, cela ne manque pas de nous intriguer, il va sans dire que cette chose est assez étonnante et nous questionne beaucoup ; nous sommes tres intrigués ;, nous dessinons des animaux sur les parois et peu ou pas de figures humaines (papa et maman pa r exemple) ; il semblerait qu il y ait là quelque chose à penser en profondeur ; il semblerait que nous ayons là de quoi penser dans la profondeur et du coup : que devons nous penser de cette chose ? quoi penser de cette chose ? il est étonnzant que, en effet, nous ne trouvions papas d’images de personnes, de swilhouettes humaines, peu de cette chose, sur parois de grotte , et cela pour quoi ? p)oiurquoi est ce que nous ne trouvons quasiment jamais de représentations de l’ettre humain (ni à caractere sexule, ni autrement) sur les ârois des grottes ? pour quoi est ce que nous ne trouvons pas ou si peu de représentations d’etres humains sur les parois des grottes ? car les dessins de ces betes sont des maux, sont des mots inculqués et que l’homme des cavernes a en lui et dont il ne peut se défaire, il sembleraiot qsue ces choses des betes, ces dessins de betes, soient des mots en vérité, des mots à la place de vrais mots tels qu ils arriveront du coup à sa bouche des millierts d’années plus tard  ; méta-mots ou prémots etc ; il semblerait que l»image ici de l’animal ait une sorte de fonction graphique à visée langagière etc, ou bien comme n,t ? ce vacillement qui rend la chose (la bete)) plus vraie que n,ature ?  ; nous cherchons ; les mots sont là sur des parois, il s’agit de choses qui se superposent, de choses en superposition ; il s’agit de betes plus veraies que nature, resselmblantes, nous cherchons à faire ressemblant, il s’agit d’une recherche de ressemblance : capitale = mentale ; nous sommes ainsi qui recherchgons à faire ressemblant le plus possible ; nous nous asseyons sur le sol, dans cette grotte, bnous sommes tous les deux et perdsonne pour nous embeter ou nous enquiquiner car nous sommùes loin de tout sinon au bout du monde ; nous pouvons discuter de ce que l’on veut sans crainte d’etrte ni dérangé ni écouté ni quoi que ce soitt dx’autre et c’est ainsi que nous discutons entre nous, nous parlons de ce qyui nous intéresse le plus, nous parlons entre nous de ces choses dessinées sur ces parois ; nous nous sommes assis en tailleur par terre , à l’intérieur de la grotte, nous avons des choses à nous dire concernant ces greottes, nous sommes assis en tailleur et de là, de l’endroit où nous sommes assis, nbous regardons au dessus de nous ces troupeuax de betes et bien évidemment, nous nous posons des questions sur le pourquyoi ces betes ici et non point l’image de la silhouette humaine, de l’homme sur pied (par exemple) etc, on se demande ; on se pose beaucoup de questions, on est plein de questions ; on en a plein, on a mille questions, on est farci de questions ; cela aussi est une chose tres curieues, cette chose oui comme quoi nous sommes farcis de questions, nous sommes pétris de questions, nous sommes tout entier pétri de questions, concernant mille et une chose, cela est tres curieux si l’on y songe, toutes ces questions ; nous essayons de comprendre ce qu i se passe ici, avec toutes ces quyestions ; nous cghherchons à comprendre ce qui ici se passe avec toutes ces questions en nous, qui semblent nous constituer, qui sembleznt eztre à la base de ce que nous sommes, à savoir (il semblerait) des questions ambulantes ; des tetes questionneuses ambvulantes et cela est tres etrange, est tres curieux et presque risible ; nous nous questrionnons sans ceess quand il semble évident qsue cela n’est pas la voie à suivre et que les réponses à nos questions ne sont pas au bout de la question ou à la fin de la question (cf’est à dire de la phrase) mais ailmleurs : au début peutetre ; il sremble évident que les réponses à nos questions ne soient pas au bout de ces questions là, ni même au bout d’autres questions que celle s là, mais ailleurs, à l’autre bout, soit au commencement, dans cette zone de l’avant qustion, de la pré histoire ; nous pensons toujours que les réponses se situent là bas, au loin, soit au bout des questions, au bous dans le tempsq, là bas, un peu plus loin, ; au bout des phrases, soit au bout du temps, au bout des temps (si l’on cumule toutes les questions) et peutetre se trompe t on et ne voit-on pas, ou ne voyons nous pas, ou non ne voyons, peutre etre en efeeft ne se rend-on pas compte de cette chose comme quoio les réponses à nos questions ne sont pas au bout du bout du bout , là bas, au loin dans le temps, mais dans le présebnt squi s’impose à nous : offrande, animal des pâ rois, cris ici qui accompagne la venue de la bete de somme qui charge et s’ébroue ; nous ne sommùes pâs en reste de comprendre cette chose comme quoi qui dit question dit temps de la diction (de ladite question) et par conséquent : la réponse est ce qui est au loin dans le temps , demain, plus tard, ce futur de la question , etc ; il est évident que ce schéma est caduque et cela depuis toujours, et que cette chose est sabns fin et peut bien operdurer des siècles et des siècles ; il est évident que ces mots de tete humain,es sont inefficaces, il va sans dire que ces mots n’iront pas loin , ou plutot iront loin mais ne diront rien de plus que ce qui est déjà comme sous nos yeux une vbérité solide comme du roc, de la roche pariétale etc ; nous chzerchons des vérités de roche, et cela en dehors d’un questionnemen,t qui s’étale ; nous cherchons des v»éérités de roche pariétazle ; nous les cherchons ensemble, nbous sommes assis, nous sommes qui regardons (de notre poste) ces paeroisq autour de nous et en ezffet, nous comprenons qu il s’agit ici d’une chose qui déborde et va son c hemin obstiné et forcé ; le forçage ici est massif et concluant, il y a eu forçage, cela ne fait plus de doute, nous le voyons sous nos yeux et nous en convenons enqsemble ; nous sommes soudés, nous sommes d’accord sur cette chose, nous sommes nus, nous sommes d’accord sur cette chose que nous voyons ici , qu ici sous nos yeux, il y a , nous vo yons, des betes quui chargent, qui pèsent lezur poids, leur charge : qui en imposent en tant que paroles de poids, en tant que cela dit des choses de la vie forte, massive, qui vibre de toute sa vitalité en elle ; nous sommes d’accord pour en con,venir,  nous sommes d’accord pour signer ensemble cvette chose (elle et moi) comme quioio il s’agit ici d’un troupeau de betes vivantesz, qui foncent, qui sont un bloc, qui pèsent, qui chargent, qui sont un poids, qui pèdsent leur poids, leur poids dans la balance ; il s’agit ici d’un pôids devant nous, une chape, une chose lourde, une épaisseur, une lourdeur offerte à la vue et non point du léger léger qui s’envole d’un souffle d’un seul, qui filerait au premmier coup de vent engouffré ; non point ; nous voyons le lourd, ; nous voyons le poids de l’ensemble, cette pesanteur de propos ; ça compte, ça pèse, ça le fait, ça occupe l’espacve, ça charge, ça rugitç, ça rue dans les b rancardsq, ç ça fait son effet, ça comble, ça remplit, ça fait sopn office et ça fait office, c’est pesant, c’est vivant, ça s’é broue, ça ronfle etc ; ce n’est pas de la pacotille ; c’est du lourd de chez loursd ; ce n’est pas de la mirguette, c’est du costaud des épinettes et ça le fait comme de vrai , et cette chose est capitale , cette chose est tres importante, cette chose est capitale dans le sens où il semble qu il soit important ici que ça le fasse ; il semble q<uil soit tres important ici que la chose montrée (cet animal) puiiisse le faire comme env  rai ; nous voyons cela depuis l’endroit où nous sommes assis ; nous sommes assis en tailleur et nous regardons autour de nous tout ce qui se trame, nous cherchons des ré ponses à des questions, nous cherchons des réponses au bout de la phrase, de cette phrase qu est la question que nous nous posons ; nous pensons que ces betes sont une sorte de métalangage et disent des choses concernant la vie, et tres certainement aussi la «chose sexuelle», xqu en savons -nous ? ;: nous ignorons beaucoup de choses, nous ne savons pas, nous ignorons tout, nous cherchons des réponses à des qyuestions ; nous essayons de comprendre entree nous et cela avec des mots que nous échangeons, avec un langage ; nous voyons bien au quotidien que nous ne savons pas grand chose ; ce que nous savons ou rien c’est kif kif ; alors bien sur il existe des spécialistes en tout mais même eux, leur savoir ce n’est pas grand chose au regard de tout ce que nous ignorons de la vie et deela mort, ou de ce que nous appelons ainsi etc ; nous vboyons parfaitement que nous sommes ignorant, que nous sommes bouche bée, qsue nous ne savons pas grand chose, nous voyons tres bien que le peu que nous savons ou rien c’est kif kif bourricaud, c’est peanuts ; nous ignorons quasiment tout sur tout, nous ne sommes pas fichu de comprendre un traitre mot sur ce qui nous entoure et en plus nbous faisons comme si, comme si non, nous savions, etc ; car les mots nous entrainaent à faire cela, à nous montrer comme si nous savions, comme si nous avions en  ous, dans notre besace (etc), des vérités à foison ; la vérité des mots nous pousse à donc les employer comme si en ezffet nous savions des choses sur tout ; la vbérité ou la forme des mots, du lmangage, nous pousse à parler comme si nous savions, comme si nous avions en toutes choses des certitudes, c’est une chose !ç c’erst quelque chose! ; nous avons un langage en  nous qui nous fait dire des choses et d’autres qu en vérité nous ne cautionnons pas tant que ça mais comment faire, comment faire pour s’extraire des débats et ne pas crier avec les loups ?  ; car notre impression (celle qui surnage en nous en permanence ou en priorité ) est celle ci : comme quoi nous avons (ou aurions) cette impression en nous de parler une lan,gue forcée, ou bien : de parler forcés une langue ; nous disons des chodses mais ces choses nous les regrettons sitot dites, et cela car nous sommes poussés à dire (j’allais dire dans kles orties, ou dans les orties du dire) ; nous parlons et ce faisant nous proférons (nous faisons preuve d’autorité) or vboilà ce qu il en est : nous ne savons rien, ce sont les mots qui font qsue nous disons des choses qui semblent avérées, or non ; nous disons des choses car nous ne pouvons pas nous extraire de cette chose comme quoi les motrs en nous font chemin, font cavalcade, font troupeau qui meugle etcv : des betes de somme, ou bien des bois , des forets etc ; nous parlons a-vec un langage «d»(‘autorité»or en fait d’autorité nous nous posons là et ce depuis belle lurette tres certainement ; les mots nous baisent, les mots nous baisent, les mots nous baisent ; et comment dire cette chose avec des mots ? comment faire pour s’extraire ? eh bien, regardons les uimages des hpoommes d’avant les mots , des hommes qui se sont (peu etre ? ) tenus ainsi hors des mots, car pas encore envaghis ? peutertr ? cela a t il été ? y a t il eu un moment dans l’histoire dfe l’humanité, un moment sans mots, un moment sans paroles ? est ce que cette choes a existé ? en est on sur ? qsu en savons nouqs ? y a t il eu un moment (la préhistoire ?) dans lequel l’homme était privé de l’usage de la parole ? l’enfance oui certtainement et encore que l’enfance cotoyait l’age adulte et était donc dans un bain quotidien de mots du langage, de la langue, etc ; un moment dans l’histoiire sans paroles ? est-ce que cette chose a existé ? et des lors . et alors .? ce 

ces moments, ces moments qui furent, qui peut etre furent, qu epenser de cette chose ? ces moments, ces moments qui fdurent peut-être, qu en penser, que penser d’eux ? ont ils rtéellement existé et cela de fond en comble : zéro mots, pas le moindre , pas même un embryon de mot, est ce que cela a existé dans lk’histoire de l’humanité ? nouys nouys posons la question et nous essayons de nous figurer (imaginer) la chose, si la chose a existé ; nous essayons de nous reporter à cet âge d’une vie sans mot, d’une vie qui fut sans mot, privé de langue, d’idiome verbal ; nous essayon,s de nous imaginer ; ils ne pa rlaient pas, ou du moin s ils n’avaient pas de mots, ils ne connaissaient pas de mots, ils n’avaient pour eux que les dessins de ces animaux, quasiment que des animaux etc ; en est on sur ? qu ezn savons nous ? nous pensons qu ils étaient privés de mots mais nous n’en swavons rien, ils avbaient peut etre des mots, des semblannts de mopts et comment ? et imagiinons cinq minutes que nous sommes cvomme eux, que nous sommes privés de mlots, ouvrons les yeux en grand, regardons devant, ouvrons grand les yeux sur ce qui se passe devant : voilà le réflexe , l’archaïque ré flexe que nous présentons, que nous nous présentons ; nous nous présentons à nous mêmes cette chose d’une sorte d’ouverture, en grand, de nos yeux, et ce sur ce squi se passe devant nous, et de quoi s’agit il ? d’un danger éventuel et potentiel ; du danger que sezrait l’arrivée impromptue et fulgurante d’une fete fondant sur nous ; ouvrons grand les yeux et voilà ce que nouys voyons ; donc en résumé nous pouvons dire cette chose comme quoi, si nous essayons ici même de nous mettre dans la peau (si l’on peut dire) d’un homme des cavernes , c’’est à dire d’un homme qui aurait été (vécu) à l’écart de tout réel langage verbal, si l’on essaie d’imaginer pour nous la chose, alors que fait-on sinon d’ouvrir lkes yeux en grand devant nous : l’animal qui charge, ce danger potentiel de l’ours des cavernes, du lion des cavernes, ce danger de survenue i,nopinée etc ; njous voyons des animaux, nous abvons en n ous des animaux, nous sommes sur le passage d’un troupeau (en n ous) perpétuel et nous violà sonné», nous voilà comme submergés par des mots en nous , qui nous font dire des chose, nous poser des queswtions etc, comme si la chose était naturelle (de se poser des questions) ; comme si dans la nature étaient des questions, comme si dazns la nature il y avait des questions, comme si dans la nature il y avait des qyestions et des réponses : ces deux choses, ces deux choses au sein du langeage ; comme si le langage était au plus profond des questions ou xdes formes-quyestio s et des formes-réponses, et le tout formant un langage, le langage verbal ou dit articulé ; cette chose en lui : deux coques ; il y aurait ainsi cette chose d’un langage à deux coques : articulé, en questions et en réponses ; questions-réponses pour cette chose, d’un langage verbal, d’un langage articulé, et ce quelque part dans la nature : cap, capitulation ; nous sommes nanti d’un appareil verbal en nous, cet appareil est une coque (de questions et de réponses : droite et gauche etc) et cette coque est née peu à peu (une noix) dans notre crane , a grossi et s’est développé ainsi en ce milieu ; nous avons en nous cette coque (non tout à fait fiable ou comment dire ? naturelle mais qui tourne sur elle même : vrille) ; nous sommes nantis ; nous n’avons peutêtre pas toujours eu cette chose à ce point de développement en  ous ; nous n,’avons peutretre pas toujours eu en  ous c ette cxhose aussi développé et alors comment faisions nous ? que faisions nous dees lors ? comment faision s nouys pour nous comprendre ? qu étions nous ? que faisions nouss ? où etions nouys et qeulles étaieent nos visions du monde ? ; nou n’avio,ns pas pour nous cette chose d’un savoir qui fut le savoir qui en impose , et cependant nous cueuiilliiiiions, nous cha ssiiiions intelligemment, nous étions intelligents  ; peut on etre intelligent sans langue articuleée etc ? ; nous étions intezllige,nts, nous étions les yeux ouverts ; nous étions forts intelligents, fort et in,telligent ; - nous savions beaucoup de choses, mais les animaux sa vent beaucoup de choses ; sont ils moins in,telligents que nous ? que savons nous de la vie et de la mort ?  ; que savons nous de tout ? ; que savons nous dee lma vie et de la mort, et dejkà ces mots, vous m’avez compris , seulement voilà, impossible de s’en débarrasser, impossible de les envoyer lourder (comme bison ou buffle sur paroi de grotte) ; impossdible de les envoyer promener, impossible de les mettre de côté, de les envoyer bouler, de les foutre en l’air, de s’en débarrasser oui : cette chose est impoossible à présent : ça a pris comme du chiendent ; c’est incrustyé en nous, c’est incxulqué, ça a pris toute la place, ça a gagné, les mots ont gagné, ont en,vahi, ont proliféré comme du chiendent ; les mots en  nous sont inoubliables, hélas ?  ; nous ne xsavons quoi penser avec ces mots, que faire de ces mots que nous trimballons de gré ou dee force ; je dirai de force, mais avec cette impression qu ils donnent (à ce jour) d’etre de gré pour nous, ou d’aller pour nous comme de gré ; nous sommes env ahis par des questions-réponses (coques) en  nous qui prolifèrent (mauvaise herbe) mais il est à présent pour nous impssible de  désherber cette place en nous, comment faiore ? ; nous sommes comme pris en tenaille entre les dehux cotés de cette coque cérébrale ou va t en savoir de quoi il en retourne ! ; nous sommes pris en étau, dans létau, à l’étau ; nous sommes envahis et en nous il y a ces questions et ces réponses de l’intelligence humaine , qui est cette machine cérébrale qui semble aller pour une voyance vers la clarté, qui semble montrer une volonté d’aller vers une claerté, une décantatation, un tri, pour une vaéritév illumin ée, etc, un éclairage ! il semblerait , que l»’intelligen,ce céréb rale de l’homme, ait cette volonté d’aller vers la clarté, vers un éclaircissement des choses etc !  ; il semblerait cette chose, et que voyons nous ? que nous sommes b ien avancés ! que la vie la mort tutti quanti , que la mort, que la mort est toujours la grande inconnue, et que de dire cela est une betise grosse : un bison, un buffle ; que ces dires n’ont pas de sens autres que de figurer la grioosseur verbale : ours des cavernres ; comment faire pour nous exprimer à bon escient quand il est impssible (pas même là, ici) de s’ecxprimer à bon escient, ou oui, pour dire son chelmin , la droite ou la gauche, c’est à dire la science des itinéraires etc, mais ... la mort par exempl ;e, etc ; nous sommes ignares et nous allons toujours plus loin, avec les mots de l’intelligence, pensant que la vérité est au loin, est devant, est là bas, est au bous de la phrase ou quoi ?  ; nous allons loin ? nous n’allons pas loin ; nous sommes pris d’assault ; njous nous disons des choses sur ces (donc) parois de grotte, nous échangeons des vocables, nous voyons avec nos yeux et des mots accompagnent de fait nos visions ; et si nous essayions de voir sans qUe des mots accompagnassent nos visiions , sauf que cela à présenbt est impoissible  (hélas ?) ; nous ne pouvopns plus nous extraire ; vcomment faire ? ; nous ne pouvons plus nous extraire et nous aimerions tout de même le communiquer (cela) pour nous faire bien voir (clarté) de nottre entourage, et voilà comment on acquyiert cette autorité qui est le propre du langage articulé (= verbal) à son insu, ou quasiment à son insu, et voilà vcomment, du coup, nous sommes floués ; pourquoi faut il toujours que nous soyons floués ?  ; pourquoi faut il toujours que nous soyons floués , floués par les mots : les floués ? pourquoi faut il que nous fussions floués pezrmanemment par le langage articulé : lke verbe : les mots d’une langue, quelle que soit la langue ? ; cela est une chose étrange ; nous aimerions savoir de quoi il en retourn e, et ce qui préside ici, à la base donc de ce camouflet ; nous avons envie de connaittre la vérité, la vérité sur tout, mais la question est elle bien poséee ? quest ce que c’est qu une question bien posée ?  ; que devons nous faire ?  ; njous sommes floués, et nous n,e pouvons nous taire ; ou oui nous pouvonbs nous taire aux autres, tres certainemeznt, mais pas à nous mêmes et en l’occurrence ici c’est en nous-m^$emes que la chose urge (il nous semble) ; il nous apparait cette chose comm quoi la chose urge : de savoir ici , comment poser des questions, cvomment et lesquelles , etc ; nous sommes pressés, nous njous faisons un monde, nous sommes pressés ; nous sommes fous, nous sommes pressés, nous sommes fous ; nous sommes assis dans une grotte, nous regardons au dessus de nous la cavalcade des animaux, nous sommes babasd ; nous sommes assis et nous sommes babas ; nous ne voulons pas (certes) mourir idiots, alors comment pouvonbs nous faire ? nous ne voulobns pas mourir idiots, nous ne voulons pas partir da,ns l’audelà des corps, du monde physique, aussi idiots que nous le sommes en ce monde même, en ce même monde ici qiui est physique (et non métaphisique) ; ce genre de choses ? ; nous ne voulonsc pa s mourir idiots, vraiement, vraiement cvette chose, qui serait, qui est ? ; nous avons pour nous des mots, du verbe, dont nous nous servons avec efficacité (tous les jours) pour vivre en société et cependant nous voyons que quelque chose ne tourne pas rond, que nous sommes grimés, que nous sommes sapés (da,nns tous les cas) comme des as de piques, et que nous ne savons pas grand chose de ce qui est qui nous attend, etc ; la misère hjumaine, cette humanité de miosère etc, quioque nous ayons (pour certain) à manger à notre faim, qui plu s est des choses fines (de gourmets) et que nous cxherchons ou recherchons avec plaisir dans des magasins , dans des supermarchés ou sur des marchés de village ou de quartiers ; nous aimopns manger de bonnes cvhoses, gourmets et gourmandfs ; bref ; nous sommes assis dans une grotte à échanger (betement ?) des mots sur c e que nous voyons devant nous, à savoir une cohorte d’animaux de grooosse taille : il s’agit de choses imposantes : des autorités, des choses qui sembvlent vivantes à la lumière des torches etc ; il semble qu ici ont eu lieu des céréomonies disons religieuses , à titre d’incantation : toc, toc, toc, toc, toc, toc , toc, etc., nous e,n sommes opresque sûrs, nous mangeons à notre faim, nous aimons les bonnes choses : le bon fromage, les bons légumes du jardin, la bonne viande rouge ou blanche du petit oproducteur du coin etc ; nous sommes dfans une foret, ou bien nous sommes dans une cuisine, ou bien, nous sommes dans une grotte, ou bien nous sommes sur un pré, allongés, ou bien nous dessinons ou bien  ous peignons sur toile ; n,ous créons avec nos mains (?) ou bien nous créons sans nos mains ; nous peignons avec des pigments naturels ; nous dessinons avec des pigments chimiques ; nous peignons ou barbouillons avec de la peinture chimique en diable (du magasin de bricolage d’a coté) ; nous barbouillons la terre entière ainsi, avec de la couleur qui est corrosive, avec des couleurs nocives pour la santé, nous passons  de la couleur pârtout, nous aimons ainsi barbouiller le monde, le couvrir de nos couleurs, nous aimons barbouiller lza terre entière avec nos couleurs ;voilà ce à quoi nous aspirons : à barbouiller la terre entière de nos couleurs chimiques nocives pour la santé ; nous aimons barbouiller car nous aimons napper, nous aimons napper , nous aimons ensevelir, nbous aimons couvrir, nous aimons recouvrir comme d’un drap etc, nous aimons recvouvrir comme d’un linceul le monde entier : mort le monde ; nous aimons recouvrir le monde, le noyer ou l’ensevelir : un monde englouti, un monde disparu  ; engloutissement, ensevelissement, disparitioon et consorts ; nous sommes tres amoureusx de ces choses à faire , de ces pein,tures à user, etc ;: nous aimons beaucoup recouvrir le monde de peinture de toutes les cvouleurs, en foutre paretout, s’en mettre jusque là, engloutir le monde de peintures bariolées, en foutre jusqu’a p^lus soif et que la terre entière en soit recoucverte et qu ainsi tout soit sauvé, d’une certtaine manière sauvée, par la peinture, pazr une esthétique surajoutée (quyoi qu elle fut) etc ; il semblerait que la chose soit ainsi , que nous disions que cette chose, ceztte chose d’un bariolement ou bariolage des choses = du monde, cette chose soit celle ci comme quoi : il nous semble que le fait de peindre le monde (sur lui) est un acte de salut, de sauvetage , sur un p ;lan disons exthétique, en même temps qu il est un acte de crevure, de crevaison du monde, de viol, de crachat etc sur le monde, du monde, etc, puisquil rend ce mon,de kaputt ; il semblaeriet quil y ait cette chose: d’un côté un salut, et d’un autre un meurtre, ou ce genre de choses ; bref ; nous peznsons qu ainsi la couleur déposée , sur une surface, est un acte de salut ; sur une surface à part du monde, car sur une surface du monde il s’agit d’un meurtre ou ce ghenre de chose : un acte qui fait que la chose peinte (prise dans le monde) devient des lors inutilisable (on va dire) et du coup sa fonction se meurt, sa fonction ne peut plus ettre, il se peut ; il sxe peut qu une fois pêinte , couverte de peinture , alors la chose ainsi recouvette ne puisse plus etre utilisable et du coup la chose meurt en tant que telle , et nait à une nouvelle vie  (éternelle) qui est celle de la vie de l’art, de l’art , ou ce genre de choses ; si la chose est recouverte de peinture (dans la vie) alors il y a de forte chance qu elle devienne inopérationnelle etc ; il y a des choances qu une chose peinte (recouverte au pistolet par exemple) dans la vie, du monde exty»érieur etc, il y a des chjances que cette chose decvienne de ce fait inopérationnelle, impossible à utiliser à nouveau, etc ; et cest ainsi que nait l’art ? par le fait que la chose devient autre chose, par le fait qu une couche de peinture ici retire à un objet lambda sa fonction première, qui du coup acvquyiert une valeur quiu en fait un objet à part , à protéger, à conserver intact le pluds possible au fil du temps, au fil d’un temps dees lors qui se veut éternel ; il semblerait que nous ayons affaire à une couche de peinture salvatrice d’un co^té et meurtrière d’un autrte ; et donc ? et donc on se retrouve privé d’un objet dont la fonction, au quotidien, nous était bien utile ; nous nous retrouvons tout cons car privés des lors d’un objet qui a subi les affres ou les écarts ou je ne sais comment dire cette cxhose de l’artiste, l’objet peinturluré a été recouvert de peinture et du coup est devenu i nopeérationnel, impossible à reutilkiser tel quel , pour sa fonction première, et du coup nous voilà groggy, nous voilà couillonnés, nous sommes blousés etc ; nous avioons un ordinateur pour nous (un seul) et la peinture jetée par dessus l’a crevé et à présent nous n’avons plus d’ordinateur pour nous, ça fait chier ; quzand l’artiste (il ou elle) s’est (pour le coup) bien gardé de couvrir son ordi à lui ou à elle de peintures fraiche, coloreée, cxhimique, vive ; qui rend ; nous sommes blousés, l’ordi est foutu, en tant qu objet fonctionnel , mais il a cquyiert une valeur (souvent bien supérieure) en tant qu objet d’art, alors peut etre que la chose n’est pas si négative tout les comptes faits et faisons-les ; nous pensons que les peintures, que nous poubvons trouver à l’intériuer des cavernres, sont des peintures effeectués par des personnes qui avaient en tête une volonté de recouvrir la roche avec un but bien précis et ce but nous le cherchons ; nous ne voulons pas le perdre de vue, nous avons un but précis quant à nous qui est de rtechercher le pourquoi du comment des hommes et des femmes préhistoriques ont été à l’intérieur de grottes pour y dessiner ou graver des animaux de grosses taille et rien d’auutre ou quasiment reien dx’autre ; la chose est suffisamment bizarre ou étrange à nos yeux pour que nous voulions nous arreter un peu , nous deux, ma femme et moi, sur la questions, et c’est ce sque nous faisons ici, en cet espace qui nous est donné par la grace du ciel, ou je ne sais comment, mais en tous les cas on peut s’aper cevoir facielement que ces betes se chevaucvhent souvent entrte elles, quil y a là comme un jeuu  (souvent, pas toujours) de superpositions, entre lkes figures représentées, et ce jeu nous retient beaucoup, ma femme et moi, xcar nous avons l’impression que parfois les hgommes pré historiques dessinaient des animaux sur les parois, sans égard pour des peintures précedemment faites sur ces mêmes parois, comme s’ils ne les avaient pas vues en dessinant, ou en en dessinant (par dessus) de nouvelles et cela nous intrigue beaucoup et du coup on sepose pas mal xde questions ; nous avons pour nous pas mal xde questions à nous poser concernant toute cette affaire ; nous avons pas mal cde questions à nous poser aussi concernant cette cxhose d’une peinture sur le motif, directement dessus, quoi penser de cette chose qui en impose, qui est plaisante, qui est belle en cela que ça colorie des choses du monde et ça impressionne au sens premier du terme, nous voyons cela du coup d’un bon oeil, d’une certtaine manière, cela nous charme, nous p^lait, ça le fait, ça en impose, ça en jette, etc, ce genre d’expression est tres bien pour distinguer les oeuvreds devant soi, les oeuvres qui seprésentent sur le devant d’une scène ; nous voyons cette peinture qui recouvre des murs, des arbres, des lieux entiers et quyi du coup^rend ces enffdroits à partir de là impossible à de nouveau toucher ou habiter ou prendre etc, souvent mais pas toujours, nous essayons de nous approchezr des parois, et quelque xhose en nous nous dit de ne pas le faire, et de laisser les choses en l’état : «ne touche pas» ; nous n’(irons pas touchezr ; nous ne toucherons pas les parois ; nous nre voulons pas toucher lmes pareois, nous ne toucherons pas les parois, nous ne sommes pas des toucheurs de parois, nous respectons : nous sommes tout respect ; njous ne sommes pas des fracassuers, des déchirueres, des esqUInteurs, des déboulonneurs, des abimeurs ; njous voulons nous en tenir à ce que nous voyons et ne pas aller plus loin ; nous voulons rester loin ou disons loin, nous voulons nous nous tenir à distance ; nous voulons nous tenir à bonne distance, nous ne sommes pas des escamoteurs ; nous sommes des qui voulons respecter les distances et nbe pas nous approcher trop pres pôur ne pas abimer : restons à distance, tenons nous à bonne distance, soyons sage, obtempérons, soyons sage comme des images ; sages comme des images ? ; nous ne voulons pas abimer les images, nous voulons les regarder à bonne distance et là nous essayopns d’y voir le plus clair possible, et que penser de cette histoire de vie ou de mort ? nous avons pour  nous des mots pour penser : nous avons pour nous des vocables etr du temps pour dérouler des phrases ; nous pensons que cela a de l’effet et peut gagner ; nous pensons des choses entre nous et n’avons pas hponte de les exposer et cela est une chose aussi qui impressionne : cette absence ce vergogn e etc ; il y a ainsi des personnes , ou des moments, ou des personnes ou des momments, sont ainsi, que des mots sont dits sans verghogne etc ; nous pensons que les mlots peuvent etre de fait déployés dans le temps, que le temps est du verbe déployé, que le temps est de la vie morte, et de la vie morte et de la vie dite : de la vie déployée dite , et morte du fait que le temps se déploit etc ; nous pensons que les mots sont de la vie morte, et la vie motrte est celle de ces animaux tués à la chassex: mille excuses ; nous pensons ainsi que la vie morte eswt celle de ces animaux que nous tuons, avons tué, continuons à tuer à la chasse (nous sommes chasseurs) et les mots sont ce temps passé à les dire et ce temps est mort comme un animal est mort à la chasse : chasse aux mots ? ; nous pensons que les mots (sur les parois ici) sont des images d’animaux tués, ou sin on tués : d’animaux loursds qui cxhargent et en imposent  ; nous les voyons depuis en bas, ils trônent au-dessus de nous ; nous aimons manger de la viande ; njous aimons manger de cette vbiande de bo euf ; nous mangeons de la bonne carne de bovidé, cuite à la braise,nous l’aimons ; nous sommes carnassiers, nbous aimons la bonne carne ; nous voulons connaitre la véritév mais peut on l’approcher avec les mots qui servent à dire «passe moi le sel» ou bien à dire le meilleur chemin pour aller ici ou pour aller là ? ; nous ne comprenons pas tout et pourquoi ne comprenons nous pas tout ? et pourquyoi puorquyoi etc, comme les enfants ? ; nous nous posons beaucoup de questions, nbous sommes envahis de quswetions, nous avons des questions en pagaille pâr devers nous et nous aimeriiions avoirt des réponsesz ; nous aimons les réponses ; nous regardons les répobnses au dessus de nous, qui trônent sur la paroi : cette ribambelle de betes qui sont alignées, qui se chevaucheznt etc ; nous voyons ces betes, comme des réponses en acte, en images : il s’agit d’images autoerisées, ou que l’homme s’est autoreisée, seuls les animaux ; seuls les aurochss ; les aurochs seuls ; les chevaux seuls ; seuls les bisons ; les buffles et les antilopes, les chevreuils et les rhinocéros, seuls ; point de nuages, de soleils, de lunes, de plantes, ou d’humains (ou quasiment point) et cela poureqyoi ? parce que l’animal con tient le tout, parce qu il y a des interdits, parce qu il y a des choses qui adviennent sous l’emprise de ces betes qui sont dessinées ; le petit de l’homme dessine l’homme ; la bete dessine la bete ; il s’agit de dessins faits par des betes et le tour est joué ; il ne s’agit quye de cela, de betes dessinant des betes ; il s’agit (on le voit) de betes qui ici se dessinent elles mêmes et voilà pourquoi la rep^résentation de betes, domine tres largement sur tout autre re^présentation, la chose est claire, limpide, coule de soi, ou de source ; nous voyons ici dxes dessins effectués par des animaux, il s’agit de représentations animzanlières effectuées par des animaux eux mêmes, on voit bien que seuls des animùaux seraient à m^$eme de se dessiner eux mêmes, car la tendance pour un homme ou un petit d’homme est de se dessin,er lui-m^$eme : cela semble etre la pure logique or non ; cvela n’’est pas ainsi que cela se passe et c’est tres étonnant si l’on y songe ; nous cherchons essentiellmement à comprendre ce qu il se passe sur ces paroiss ; bien sûr nous aimerions en sa voir long mais hélasz, pour l’instant, ce n’estpas le cas ; nous regardons ces dessins de betes, de betes en tant qu elles sont représentées (et comment !) et de betes en tant qu il s’agit de l’oeuvrte des betes elles-mêmes ; il va de soi, nous semble t il , que la représentation primaire est celle qui concern l’image de soi , en tant que soi est un ettree humain, or ici (à l’intérieur de ces grottes) rien de tout cela mais plutot des images ou repr»éswentations de betes de gros format ; cela est étrange ; cela nous semble étrange, cela nous laisse pantois ; et cependfant nous cherchons en  nous des explications qui pourraient (peu ou parties) , tout ou partie) nous aider à résoudre ce mystère, ce mystère étrange ; nous cherchons en  ous, dandss nous, en notre for ; nous essayons de trouver en  ous déjà, de la matière, quelque chose qui puiisse le faire ; nous cher chons avec beaucoup de volonté, et ce que nous remontons à la surface ne nous parait pas etre d’une tres grande utilité à prremière vue ; n,ous remobntons quoi ? nous remontons des signes cabalistiques ; ok  ; nous remopntons des choses gr’iffonnées sur roche : grigris ? ; ok ; nous remontons deds paroles prononcées par des sq cientifiques spécialisés  ; ok ; njous remontons des images mentales, dess queues de verbe, des tiges extrabuccales : trompes ? becs ?  ; que penser de tout cela ? ; nous alignons des phnrases et des phrases dans ce but, de trouver des solutions à nos problèmes , c’est à dir : de trouver des réponses à nos questiobs ou à ces questions qui nous tarabustent ; nous voulons aller plus loin , c’est à dire nous voulons aller plus loin dans le temps, comme si le savoir était situé plus loin dans le temps (da,ns la mort ?) !  ; eh oui il y a semble t il un peu de ça ! ; nous cherchons à nous projeter ; nous voulons savoir, et ce savoir nous le cherchons dans le temps du déroulé verbzal etc , c’est à dire là bas , c’est à dire dabns la mort : tout savoir est une projection dans la mort etc ; tout savoir recherché est une projection de soi dans la mort, la mort squi est le savoir supreme ; et cela en mot, en vocables, en verbe ; tout sabvoir (ou recherche de savoire mais il s’agit de la m^$eme chose) est une projection de soi dans la mort et cela fait suer, cela fait suer beaucoup ; nous ne voulons pas de la mort, qu on se le dise ; ce que nous voulons par dessus tout eh bien cx’est la vie ; njous voulons garder la vie pour nous ; nous ne voulons pas de cette mort promise, de cette terre preomise ; njous voulons conserver pour nous et en  ous la vie ; et pour cela nous cherchons des savoirs, nous recherchons des savoirs ici ou là ; nousq sommes en quete de savoirs ; notre recherche première est la recherche de savoirs ; mais cela est conb ; cela est tres coin ; car les savoires se logent tous au même endroit, il n’y a qu un endroit où trouver des savoirs, à savoir le savoir suprême et ce savoioir supreme , le plus importaznt de tous les savoirs, ce savoir se loge dans la moert, il est le savoir de la mort ; alors, à quoi bon creuser sa tombe dfans des savoirs, puisqu il est évident que le savoir su^preme nous est interxdit , ou plutot : nous est interdit de notre vivant, donc il est parfairtement intuile et coon d’almllert en quete de savoirs, et de savoirs supreme , sur terre, c’est à dire du temps de notree  vivant ; nous sommes vivant sur terre, nous tenons debout sur la terre ferme et ce savoir est intuile, ce savoir n’a pas de raison d’etre et cependant ce savoir existe, pourquoi ? parce que ce savoir est contenu dans le la,ngage, et le langage est du temps, du temps passé à dérouler des phrases, des strophes entières de phrases, et ces strophes ou trances sont du temps passé c’est à dire de la mort, et voilà pourquoi le savoir sup^reme est logé dans la mort, et voilà pourquoi nous faisons erreuer, nous faisons mauvais chemin , pourquoi ?  ; parce que la mort qsui nous attend n’est pasd la mort du temps, parce que la grande mort (disons le point final) n’est pas lea mort du temps, qui est de la mort tres certainemz»nt mais à petit feu ; il s’agit d’une mort qui eswt du petit feu de mort, de la consume comme on dit, mais point du tout la belle mort, la belle et grande mort qui nous attend au bout ; il ne s’agit pas de la même mort, loin de là ; la mort du temps à petit feu (sous nos semelles) n’est pas la même mort que celle qui nbi-ous fait coucou en nous, qui dit en  ous son nom, qui est cette garce (disons le ) en nous, qui nous interpelle ; il ne s’agit pas de la même mort  ; ou disons que oui il s’agit de la mort qui peu à peu en nous nous dit son nom et se consume tous les jours un peu, ou bien nous interpelle, tous les jours un peu pl ;us, oui ; oui la vie qui se consume , ici appelée lma mort ; oui la vie  /la mort quyi se consume, nous confondons ! et à juste titre, ca r il s’agit d’une chose à deux faces ; oui la vie / la mort se consume et cependant, il y a cette autre mort, ou cette mort définitive, cette brute, cette bete fauve, ce bison, cette vavache, ce bovidé, ce mammouth qui se loge devant, au bout de laphrase, de la stance  ; voilà l(histoire ; nous cherchons des savoirs dans quelque chose qui se meurt, et le véritable savoir est inatteignable : il es cette chose peinte sur des parois, dans dexgrottes ? est ce cela ?  ; njous cherchons des savoirs avec des mots qui se consument et tombvent d’eux mêmes (cendres) quand le savoir est celui de mort la grande et non pôint la petite ; nous cherchons à connaitre ici des savoirs sur ce que c’dsst que cette chose que nous avons à vivre de notre vivant, nous voulons sa voir ce qui est, ce qui se trame, nous cherchons à travers des mots, et ces mots sont les mots du passé, ils existent en tant que vesti ges, ils sont choses mortes à offrir à la mort (la grande) comme pis-aller, comme sembvlances : semblances de vie c’’est à dire de saviooir ; nous offrons des chopses qui sont pour le coup des trompes-la mort, nous sommes malins et futés, ou plutot nous nous croyons malins et futés alors même que nous ne sommes pas tres malins et trs futés puisque nous sommes en vie, c’est à dire loin du savoir supreme, nous faisons semblan t d’etree des malins, des qui tiennent tete (tout en tete) mais nous ne sommes pas tres (aussi) malins et futés ((: que ça) ; nous sommes déficients ; nous sommes benets ; nous sommes limités, nous sommes petits ; nous sommes des bambins qui ouvront une bouche pour un,e becquée ;

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27/04/2020

nous avons pas mal de points en commun et du coup c’est agréable de pouvoir ensemble s’attabler et discuter de choses et autres a baton rompus et tranquillement, sans sourciller, sans se mettre martel en tete, sans peine, sans honte, sans crainte , sans frein etc ; nous nous sentons libre d’évoquer ce qui nous fait plaisir en matière de sujets, et nous le faisons cote à cote, ici dans notree cuisine ou ailleurs, ou en dehors de notre domicile ; nous aimons beaucoup échanger entre nous, que ce soit ici au sein de notree cuisine ou bien à l’éextérieur de la maison, de noptre domicile, sur les chemins qui jouxtent notre habitation , ou ailleurs encore : dfans les grottes etc ; nous avons beaucpou de plaisir à nous échanger des bons mots ou bien des pans entier de phrases juxtaposées et cela dans un but conversationnel précis, ou bien des blagues, des historiettes, des petites choses dites à la volée ou à la volette, ou bien des propos plus ambitieux de type philodsophiques, ou religieux ; nous ne sommes pas en reste de nous échanger (à toi à moi) des p^riopos de toutes sortes, des plus futiles ou badins au plus profonds ou sé»rieux : il s’agit de notre quotidien ; nous avbons une réelle propension à faire ainsi tous lkes deux autant de fois que le quotidien nous le permet et nous ne manquons jamais une occasion de nous poserr ensemble, ici ou là, à un endroit précis, pour échanger , nous dire des choses à tous les deux, nous poser ici ou là pour creuser des pensées de toutes sortes, pour creuser dans la profondeur, pour avancer sur des chemins de connaissance partagées ; nous avons cette chance pour nous de nous etre bien trouvé sur ce point et de pouvoir é»changer librement des idées sur tout un tas de sujets qui nous occupent, qui sont e nous, qui sont nostre quotidien de pensée, qui peuvent etre considéréé comme le quotidien de notre pensée ; nous sommes proches ; nous pensons beaucoup de cghoses en commun, nous aimons beaucoup essayer de croiser le fer de nos pensées et voir des lors ce que pareil croisement peut nous amener sur le plan de la réflexion à propos des choses du monde, et du monde des grottes (de l’art pariétal) en particulier, nous travaillons tous deux à cette chose, d’une recherche de vérités, concernant cette autrte chose nommée art pariétal, art qui occupe grandement nos pensées et nos réflexions à tous les deux ; nous avons à chercher, nous sommes sur des pistes ; njous ne sommes pas en reste de nous intéreseer à cet art , qui nous apparait comme étant cellui (de tous les arts) qui peut le plus nous amener à comp^rendre des choses concernant le monde : ce qu il est depuis les origines, etc ; nous ne sommes pas en reste de comprendre cette chose comme quoi l’art des cavernes est de loin celui qui peut le plus, et nous donner le plus, et nous intéresser le plus ; nous cheminons ensemble depuis à présent un bon bout de temps, et nous nous posons pas mal de questions sur toutes ces choses concernant les grottes, les parois, l’atrt des grottes, les peintures au charbon de bois, au manganèse etc, les gravures, les betes sauvages etc ; nous avons vraiment un gout commun pour ce genre de qusetionnrements, pour ce genre de choses à élucider, pour ces recherches spécialisées dans l’art des pârois et il va sands dire que celui ci est de loin celui qui nous charme le plus parmi tous les arts rencontrés (par nous) dans l’histoire des arts, nous avbons une facilité ici du fait de l’intéret, que nous portons à l’art des pârois ; nous avons cette facvilité en nous, cette chance, cet intéret, cette propension ou cette pente, cet avenant ou ce coté en nous qui nous fait aller chacun l’un vers l’autre sur pareils sujets en commun, nous avpns reéellement cette chance de pouvoir aller ensemble à l’intériuer d’une grotte, y trouver des pa rois, des pientures ancestrales, dses choses réellement inouie que nous regardons ensemble et sur lesquelles nous pouvons échanger librement un grand nombre de priopos de toutes sortes  ; nous ne sommes pas chiches de propos de toutes sortes : des plus beta au plus intellos (in,tellos façon de dire, car nous avons nos limites, nous sommes limités comme tout un chacvun l’est et hélas, car nous aimerions etre des etres à cran ouvert, à pensées montante (sortante) etc , et ce n’est hélas pas le cas, ni pour l’un ni pour l’autre de nous deux ; nous sommes fermés , clos sur nous mêmes et notre intelligence bute contre ses limites craniennes, hélas, trois fois hélas ; pour elle comme pour moi ; nous aimerions tant pouvoir nous libérer de notre boite cranienne et sortir de nous pour penser sans limites (fusées) mais hélas (trois fois hélas) ce nest guère le cas, disons que nousq ne poouvons pas sortir de nous et penser au delà , sans frtein, sans anicroche ; nous pênsons coincvé et allonbs dans les grottes avec nos pensées coincées et c’est bien dommage, mais enfin nous essayons tout de même de faire face et de comprendre au mieux les enjeux : ce qui se jouie sous nos yeux et notamment en ce qui concerne les parois, les peintures (ou gravures) sur parois ; nous les regardons attentivement ; nous aessayons de les mieux cerner à tous les deux et nous en parlons librement ; nous les évoquons à la lumière de nos torches électriques, nous nous approchons des parois, nous sommes tous les deux seuls face à des peintures (au charbon de bois ou au manganèse etc) qui sont des merveilles, qui sont de grand format, qui nous regardent, qui s’ébrouent, qui sont pour nous des cxhoses de grande importance ; nous sommes donc au pied de pareilles peintures ruperstres, au pied des betes qui chargent ou s’ébrouent ; nous les regardxons avec un soin de tous les instants, nous les regardons avecv une attention toujours présente, toujours là, et pour l’un et pour l’autrte, nous nous tenons par lma main ; la chose a une importance considérable, nous voyons ces choses (ces peintures d’animaux) comme ayant pour nous une importance considérable, nous ne sommes pas en reste de le voir et de le savoir ; nous vboyons ces animaux avec nos yeux de personnes coincées ou limitées par des carcans d’ordre disons intel:lectuels et pour nous il s’agit dx’une misère, d’une limitation bien triste et fort ennuyeuse, car nous aimerions pouvoir sortir de nous (fusées de la boite cranienne) et venir adhérer (§biien sûr) aux parois qui nous font face, et c ela ensemblme ; nous aurions beaucoup de plaisir à pouvoir agir de cette façon et des lors bénéficier de pareille projection de soi sur parois, et cela ensemble, tous les deux, cotree à cote, debout, au pied des betes qui chargent, qui sébrouent, qui hurlent etc, et nous de nous coller ensemble à pareille parois chargéeds de tant de betes fortes, massives, et hurlantes ; nous collons à la paroi ; nous avons ensemble ce gout de nous coller à la paroi et de nous y tenir ainsi ensemble ; nous avbons un gout prononcvé, et ce gout prononcé est celui qui nous voit nous coller ensemble à une paroi de grotte, à une paroi de grotte aux peintures préhistoriques etc : cela est cette chose à laquelle nous nous adonnons ensemble et c’eswt aussi pour nous deux un vrai plaisir de nous coller de cette façon à une paroi pareille car pour nous la paroi des grottes a une tres grande importance dans notre vie, dans notre pensée, nous aimonsbeaucoup venir coller (buter) notre pensée à pareille paroi, qui est pour nous une fin et un commencement ; nousq aimons énormément nous coller à pareille pâroi enselmble et c’est cette chose que nous faisons en nous donnant la main : main dans la main ; la main donnée à son conjoint est une main qui ne lache pas, est une main sure, fiable, une prése, nce en continue en même telmps qu un soutien de tous les instants ; nous collonbs notrte crane (le haut de celui ci) à la paroi et ainsi faisant nbous pouvons continuer bnos recherches, les approfondir et comprendre plus avant ce qui se joue (les enjeux) avec pareilles parois de grotte, avec pareilles peintures pariétales etc ; nous avpons collé nos cranes , nos joues, nos figures, nos visages, et aussi nos torses, nos dos, nos jambes (nos guiboles) etc contre la paroi mais cela sans jamais nous lacher ne serait-ce qu une minute (une seconde) car la chose a swon impoortance : nous devons en permanence conserver le fil de cette relation maintenu en tant que continuum permettant une en,trée en matière, une véritable entrée, qui puisse apporter des fruits, des données, etc, en ce qui concerne nos sujets d’études ici ; ici = en grotte ; nous cherchons des vérités de la même manière que des enfants cherchent des vérités ; nous essayons de nous rapprocher le plus possible d’une vérité qui serait contenue sur ces parois de grottes, nous essayons de nous en appreocher le plus possible et pour cezla nous veno,ns eensemble coller nos coorps (nos cranes, j’insiste) sur parois, sur peinytures, sur roche, et ce afin de nous brancher directement sur cette matière et sur la chose importante ici qui est que la roche est nue, peinte dxans sa nudité de roche dure etc ; nous nous collons (en d’autres termes) à de la roche nue et dure (fiable) ; nous colons nos hauts de tete (cap) sur ces pârois, nous venons chercher la dureté de sa roche peinte, nous venons épouser son relief, ou du moins nous essayonss de l’épouser au mieux, et cela en nous ouvrant (boite cranienne) le plus possible (cap sur) et allanbt ainsi à la rencontre d’une paroi dure, froide, nue, et peinte de choses animalières le plus ; nous sommes tous les deux main dans la main et nous allons a insi contre une pâroi de grotte apposer nos cranes ouiverts, nos mains ouvertes, nos bras et nos guibolles ; nous ne voulons pas nous tenir loin mais tout au contraire notre envie est tout le temps de venir coller au mieux (épousailles) au relief dela paroi peinte et nous colller ainsi signifie que nous voulonds collmer au plus possible aux corps des animaux lourds, massifs, et qui chargent sur paroi de roches, parfois entre eux, etc ; nous nous blotiissons ; nous sommes collés à des parois, la paroi de la grotte nous intrigue beaucoup ; nous aimons particulièrement disqcuter entre nous de ces questions concernant les parois des grottes et nous le faisons tres souvent entre nous ; dans la cuisine, dans le salon, dans les toilettes, dans la chambre etc, ou bien à l’extérieur dela maison (du temple) sur les chemins, dans les prés, dans les bois etc ; njous discutons de ces questions ensemble car nous nous posons beaiucoup de questruions et ces questions ne sont pas vaines, elles concernent des sujets à fort potentiel existentiel ou comment nous exprimer , il y a là des questions qui sont essentielles et quasiment (en l’état actuel des possibilités de pensées réflexives, humaines, des pensées humaines de type réflexives, etc, en l’aétat, il y a là des choses qui nous apparaissent comme incontournables : pierre d’achoppement ; nous trébuchons sans cesse sur de la pensée humaine ;sur de la réflexion humaine dont il est quasiment impossible de s’extraire, et des lors nous vboyons que nous sommes comme encerclés ensemble au sein d’une pensée qui ne peut réellement sortir d’elle même pour y voir plus clair sur toutes ces choses qui nous occupent, ou comment nous expriimer ?  ; les parois des grottes sont (il semblerait) nos amies pour la vie ; les parois des grottes rupestres, les peintures pariétales, les animaux qui chargent : des rhinocéros, des bisons, des aurochs, des antilopes, des mammouths, des ours etxc, toute ces betes chargent ; il s’agit ici de betes de poi ds ; il s’agit de troupeau massif ; il n’y a pas (ou opeu) de petites betes représentées, il n’y a que tres peu de betes de petite taille ici, dessinées ou gravées sur ces parois ; nous pouvons nous rendre à l’évidence quil n’y a pas ici de betes de petites taille qui soient dessinées, il n’y a que du massif, du poids, du qui pèse lourd etc, qui en impose, qui charge, qui est charge, qui en impose le plkus possible et cela a son importance : il s’agit de charge, il s’agit de massif et il s’(agit de poids dans la balance  ; nopus collonbs nos membres, nos sexes, nos ueyx, nos cran es contre la paroi, car noyus sommes des enfants et en tant que tels nous venons nous coller aux parois, aux parois des roches etc ; nous sommes des enfants (nous deux) qui venons nous coller aux parois des roches, nous venons apposer nos mains, et le haut de notre tete (cap) contre la paroi : la bete meuglante, hurlant sa charge, vibrante à la lumiè!re des torches, comme vivante ; nous nous collons à pa reille bete  ; la vérité ici est dans ce collage, cette chose d’aller ensemble (elle et moi : nous) contre une paroi de roche, nous coller à elle , le plus possible (épousailles des formes) et ainsi fait de nous tenir contre le plus longtemps possible(ainsi pl ;aqués) et ne plus en décoller pendant un moment, ne p^lus nous en décoller le plus que nous pouvobns (en terme de temps), y tenir ici ainsi le plus possible et toujours main dans la main ; notre souhzait se loge à cet endroit, dans cette volonté de nous plaquer de cette façon contre une roche, contre une paroi en dur, lk’épouser ennsemble, nous épouser à elle, nous coller à elle en épousailles etxc, nous avons en nouds cette cvolonté de nous plaquer ensemble contre pa reille paroi de grotte et son art pa riétal, nous avons en n ous-même cette volonté de nous collmer, à une paroi de grioootee, paroi peinte (un animal de belle taille) et ainbsi : tous les trois, ainsi réunis, de participer à des épousailles de formes etc, de nous flanquer ainsi en des épousailles communes qui feraient de nous des etres liés à la vie à la mort etc ; nous a vons cette chose qui nous occupe et qui est cette chose d’une noce ; nous avons ce souci commun et ce souci ici est celeui de nous collmer à une oparoi de grotte, contre une image dessinée et pas n’importe quelle image mais celle d’une bezte de forte taille, massive, qui charge, qui pèse et en impose à qui de droit etc, et ainsi fdaisant, nous collant toous deux à pareille bete, njous allons ainsi ensemble à la charge, njous y allons portés, nous pouvons nous associer , nous unir, nous fondre, et passerr de l’autre côté de la roche, de lma bete fauve, de l’ours des cavernes, etc ; nous sommes mariés ; nous sommes ensemble ainsi qui faisons corps avec la paroi et prenons en nos caps ce qui doit etre pris pour une meilleure compréhension des enjeux ; nous sommes ensemble plaqués (  flanqués contre, vlam) et allons ainsi épousant le relief de la grotte vers des extrémités de pensées fortes, massives, envahissantes, pleines d’elles mêmes ; nous essayons d’ainsi franchir des paliers, la chose n’est pas simple, il y faut une grande volonté et une gran,de abnégation, ce n’estpa s gagné, ce n’est certes pas gagné ni même la chose la plus aisée, nous faisons du mieux pour coller ainsi à pareille paroi, nous faisons du mieux possible et cela bien sûr sans nous lâcher la main, en essayant de toujours maintenir le contact ; njous voulons faire au mieux ; nous voulonsfaire du mieux possible, et ensemble de prédférence, commhunement ou communautairement ou comment ? ; njous voulons y aller ensemmble (à paroi pour ainsi dire) et pour cela nous préférons nous tenir par la main, afin de ne pas perdre le fil, le fil du lien , le lien d’une présence jamais perdue etc ; nous tenons ici par nos mains soudées ; nous ne nous lachons pas d’une semelle ou comment dire , nous tenons, nous sommes ensemble accolés et nous tenosn, nous sommes tenons et mortaise, nous teznosn comme tiennent tenons et mortaise (ébenisterie) et c’est ainsi que nous pouvons de fait adhérer à pareille paroi pein,te, à pareil animal chargeant, à poareille roche lisse, etc ; en tenon-mortaisant la chose ou bien en nous blottissant l’un dans l’autre (coït) pour une sorte de penetration placable etc ; nous sommes ainsi qiu nous appliquons à coller à une paroi qyui est une praroi existentielle, qui est une paroiu des choses du monde, une paroi quyi est une paroi de vie, etc ; nous cvollonsaux images, nous venons buter contre les images, nous venons contre, nous venons buter cvontre des images animlalières et cela en coïtant contre elles sur paroi peintes, sur parois en dur : contree le temps ; nous sommes tous les deux assis , attablés, nous discutons ensemble de toutes ces choses qui nous obsèdent et nous voyons qu il s’agit de chjoses profondes (?) qui concernent le pourquoi des parois peintes des grottes dela préhistoire ; nous cherchons à comprendre ce qui setrame et pour cela nouysq avons pris le parti de ne pas nous lâcher kla main : un fil ; une chose filaire, une chose du lien , d’un lien tenu, cablage ; nous tenosns par un fil  ensemble et nous allons de cette façon contre une paroi qui est une paroi de temps (du temps) et contre elle (coïtant) n ous collons ; nous nous collons contre, nous chzechons à nous vcoller copntre et àà adhérer du mieux possible afin de ne pas nous désunir ; nous avons cette chose pour nous d’une volonté de coller ; nous ne voulons pas lâcher et pour cela nous nous tenons et mortaise  ou mortaisons serrés ensemble, corps à corps, coït, afoiin de pôuvoir ainsi adhérer à la paroi (peinte) du temps = à la paroi animalière du temps ; nous cherchons àa gir sur elle, nous cherchons à -adhérer le plus possible et un temps suffisant, ou du moins lke temps qu il nous sera possible ou loisible de teznir contrte, le plus long possible, le plus longtemps en vie possible, le plus possible ici en longueur, la plus longue des vies qui se puisse, etc ; notre ambition, sur le plan artistique, est de durer, de ne pasfaire long feu etc, de faire long feu plutot ou commeznt dit on ? notre ambition à tous les deux est de coller au temps , de coller pour longtemps, tenir à la vie pariétale des betes qui chargent, ces choses, de tenir longtemps, à cette bete de somme , à cet animal représenbté sous nops yeux et qui est une vache, un cxheval ou un auroch, ou un lion des cavernes, ou un ours des cavernes etc ; il y a cette chose pour nous, cette chose comme quoi nous tenobns à conserver la vie le plus longtemps possible et nos dessins vont dans ce sens (nos oeuvres) ; nous avons cette volonté en  nous , et nous ensemble, main dan,sla main (etc) de tenir longftemps ainsi accolés à la paroi du temps, dans une sorte de coït de type animalmier, vif, ardu, concret, et tenu ; nous aimons ; nous aesesayons ensemble de le pklus possible adhérer à une pareoi peinte de grotte, une paroi de grotte ancesqtrale etc, de cellkes que nous connaissopns comme étant desz antres, des zones de grand replieement chamanique etc ; nous avons en nous une grande vol:onté , qui est une vo:lonté de tous les instants et ceklle ci est de coller au fil du temps, à une suite filaire du temps, en coïtant avec icelle et sansjamais nous désunir d’elle car elle ezst la vie dxu temps qui ne cède pas, qui est paroi en dur, qui charge, qui est forte de ses animaux de poids ou de somme (une somme) ; nous allons ensemble (unis) contre une paroi, nous coller à elle, nous ratatiner contre elle, nous sommes attachés ensemble, nous nous collons l’un à l’autre et ici laccolle a une importance capitale : de tete ; nous cvolloons par la tete contre la paroi, nos cranes collent contre lmapa roi, cela semble curieux mais la chose est ainsi que tous deux nous collons par le haut du crane (cap) contre ladite paroi de la grotte ; nous collons par la tete, les mots dansla tete, les pensées profondes, le bain de langage (cette soupe) dans notre crane et c’est de cette fazçon que nous pouvons coller contre ladite paroi car les mots sont la colle : les mots des pensées diverssz, cet embrouillamini de pensées en nbous ; tout cela fait adhé»rence ; tout cela (ces mots qui czaracvolent en nous) font la penszée-colle, cette chose qui vient adhérer à la paroi, s’y coller, s’y blottir, s’y rendre, s’y acheminer, s’y prendre comme dansun filet , s’y poser, s’y reposer etc ; nous sommes ensemble qui venons nous coller à une aropi et cette paroi est celle qui nous prend contre elle et nous épouse , à moins que tout au contriare ce soit nous qui l’épousions en nbous plaquant contre elle , car nous l’aimons ; nous aimons nbous accoler ensemble , contre laparoi du temps ; nous vboulons nous accoler ensemble et c’est cette chose que nous faisons ; nous n’avons plus peur de faire cette chose et nous la faisons ; nous ne voulons pas céder et lacher prise mais tout au contraire nous voulonbs durer dansle tempds ; nous ne voulons pas céder , nous vou ;lonstebnir, nbous voulons durer dans le temps, nous voulobns continuer ensemble, main dans la main, contre lapa eroi du temps, contre la paroi animalière du temps, njoyus vboulons continuer à croitre en cette pareoi c’est à dire en la dureté et la force et la robustezsse de cette paroi : qu elle tienne longtemps ; nous voulons d’une tenue éternelle ou quelque chose d’approchant pour notre gouverne ici à tous les deux ; nous voulons tenir le plus longtemps possible contre laparoi et que cette paroi (des mots du langage, du temps animalier, etc) tienne bon, tienne dur, tienne debout, tienne à mort etc ; nous voyons en discutant entre nous les choses ; la paroile entre nous est la colle, il s’agit de cette colle qui vient, ici, nous permettre une adhésion , un collage de nous contre, qui permet (à nous) de coller-adhérer tout conttre afin de tenir ; les mots (de type animalmiers) sont charges qui permettent l’adhésion au temps ; nous avons à échanger des mots entre nous : cette chose est capitale (tete) ; il s’agit de cette chosex qyue nous avons, de cette choses que nous avons à fgaire, nous avons à faire cette chose, il semblerzit qu il soit important que nous ayons à faire cette chose et que nous la fa ssions ; il se’mble qu il est important , qu il soiit importabnt, de cette chose faire ; il semblerait que pour nous humains (tenons et mortaises) il soit important (cap, capital) d’agir de la sorte : parlant entre nous ; il sembklerait qu il soiit important pour nous (tenons et mortaise) d’agir de lma sorte et donc de parler entre nous, de générer entre nous de la parole continue, de ne pas lacher kle fil de la parole (jamais) ; il semblerait qu il soye important, pour nous tous (humainsz), de ne jamais rompre avecle fil qui nous lie les uns aux autre via la parole, ce fil de la parole, il semblerait qu il soiit important (capital) de nejamais rompre le fil qui nousrelient les uns aux autres via la parole : le coït animalier, cette charge ; nous allons contre une paroi, kl’animal est en nous, nous nous tenons pare la main (tenons et mortaises) et allons nous coller contre elle, contre la paroi en dur : cette roche dure etc ; nous a dhérons : nous sommes collés, nous sommes des betes dures et fortes, nous sommes éternellement durs et forts, dures et fortes : roches pour toujours, roche de l’amour des rocs ; nous collons, nous adhérons, nous sommes amour ; les roches animalières sont les mots animaliers (par collage) et les mots animaliers sont le temps animalier (ou anuimazl) , tout autant ; du temps animal, de l’animal en nous qui nous collons à la paroi et cela faisa nt nous durons en dur contre une roche dure gravée ou peinte : animaux de la tête aux pieds ; nous sommes des animaux qui collons à laparoi du temps, nous sommes qui allons de cette façon vers la grotte ; nous marchons à travers le paysa ge et nous nous rapprochons de cette grotte que nous connaissons à cause de ses fresques animalières, des cohortes, des cavalcades, des ribambelles, etc ;: nous sommes ensemble, c’est à dire que nous sommes main dans la main, le lien (les mots) se fait aindsi , passant ; nous nous teno,ns par une main, nous ne nous lachons pas d’une semelle, nous sommes accolés par un lien fort et animalier qui est celui des mots de la tribu, les mots (des animzaux) de notre tribu, quyi nous permettent ainsi ensemble de coller au temps et par conséquent de vivre etc, d’aller ensemble dans la vie sans trébucher trop précipitamment et passe r l’arme à gauche ; notree vouloir se situe à ce niveau, il est ici de vouloir poursuivre cette avzebnture d’une vie terrestre ; nous esswayons ensemble de comprendre ici ce qu il en est mais évidemmzent quye la chose n’est pas tres facile et surtout n’est pas donné d’emblée à trvares les mots du langage raisonné, car ces mots (du langage raisonné) poussent lkes choses de la vérité aux calendes grecques ; les mots raisonnés (raisonneurs, les mots delaraison) envidsagent les vérités comme toujours relevant des choses à venir : demain, plus loin, plus en profondeur, reports ; or non ; la vérité est une et directe et se loge ici et maintennant sous nos yeux babas de surprise ; nous connaissons les choses du temps, il s’agit de peinttures rupestres et pourquoi des animaux et non pas des scènes de coït humain par exemple, ou de corps humain avec a ttributs etx , ?  ; eh bien pour cette raison que le coït est l’acte ici du dessin rupestre ! ; il s’agit de l’acte ; nous avbons affaire ici à un acte de type coïtal qui est c ette chose d’un plaquage de soi contre laroche, des mots dela tribu ( ce fil intergénérationnel) qui est le vecteur ; nous nous collons ainsqi coïtaznt sur paroi de roche , sur bete de somme, avec ces mots que, ensemble, nous conservons comme fil commun, fil des génératiopns etc, et cela ( tout cela réunis sous une même ensiegne) permet cette chose, d’une durée de vie prolongée, etc ; l’animal est le mot est le temps est le coït est le chemin est la roche est l’amour ou le collage est le collage ou l’amour est la prise est la chute ets la chance est la joie est le verbe est la vie d’allant sur la terre mère ; nous chaqssons ensemble desz betes, jnous parlons ensmeble, nous disons des choses ensembvle qui maintiennent en vie la vie du verbe c’est à dire l’animal (les animaux) en nous (sur paroi du temps) qyui sont ceux là même que nous rencontrons sur ces parois de grottes ; nous pôrtons en nos mots des betes qui chargent, qui portent, qui chargent et sont charge, elles portent = des bêtes de somme ; et c’est ainsi que nous sommes nous mêmes des bêztes de somme, nous chargeons, nous allons dans les bois, dans les champs ; njous allons ense’mble : nous sommes deux ; nous sommes qui allons ainsi (le coït) opar les champs et par les bois, nous allons ainsi part les champs, nous allons a insi part les bois, nous coïtons, nous nous enfonçons ainsi dans les bois et dansles chazmps ; nous sommes ensemble, et allons ensemblke nous coller à une paroi de grotte ; njous nous collonsà une paroi de grotte , nous sommes collés gvrace à cette chose en fil (intergénérationnel) du langage échangé au fil du temps : ce fil ; nous connaissons tous cette chsoe : ce fil, il est le langage qui nous occupe, qui est en nous l’occupant des lieux : des animaux qui vont et viennent en nous tandis que nous vivons, et ces animaux sont tres précisélmeznt ceux que nous pouvons ensemble rtetrouver sur des paerois de grottes, ici ou là à travers le monde ; il est assez facile de comprendre cette chose, ds’un fil cvontinu, le fil du temps langagier ; ce fil nous relie tous les uns aux autres, il s’agit d’un fil qui ne rompt pas, qui est pour le coup un fil de tenue entre les individus ou les divers individus d’une même tribu ; nous connaissons tous ce fil quyi relient les hommes entre eux , au fil du temps, et ce fil du temps est fait des mots que nouys nous échangeons les uns les autres au fil du temps (des générations, des époques) et ainsi faisant une langue se propage et résiste à l’usure du temps ou au couperet du temps ; nous la faisons vivre, et que faisons-nous vivre ce faisant ? les animaux : nous les nourrissons en parlant communautaiurement ; nous faisons vivre tout un troupeau qui est celyui que nous recvonnaissons sur les parois des grottes et qui est aussi celui qui nous consqtitue langagièrement parlant en cette chose que nous sommes des etres parlants qui parlons la langue animale, celle là qui contient en elle des betes de somme ou autres de belle taille, qui puissent porter etc, charge conséquente ; nous parelons et ces paroles qui sortent de nous sont de la colle d’(animal du temps sur paroi : nous collons = nous tenosn en vie = coït ; nous essayons de comprendsre comment les choses se trament et évidemment que pour cela nousq avons besoin de passer pa r un emploi dès lors du langage, dela langue que nous connaissons, nous ne pouvons pas faire autrement ; nous sommes tenus à elle, nous sommes collés à ezlle, nous adhérons à cette langue communautaire, à ces mots communs etc ; ces mots sont la colle qui nous tient à la paroi du temps ; nous sommes ces animaux collés ainsi à la paroi du temps : coït ; nous sommes qui collons ensemble (une communauté ?) à la paroi du temps, du temps qui va loin, qui est en dur dans une durée longue, qui ne cède pas si facvilement : filaire ; nous connaissons tous (tous ?) une langue (au moins une languee) qui est un fil intergé»nérationnel ; ce fil est un lien qui nous lie ensemble les uns les autres ; ce fil est aussi une colle en cela qu il nous maintient accolé à une durée de vie temporelle ; etc ; nous sommes collés ou accolés à un temps de vie et ce temps est fait de ces mots que nous échangeons entre nous, depuis longempts, au sein d’une communautés de vivants donnés  ; ces mots échangés sont des betes de somme , pour ainsi dire ; en tous les cas ces betes sont des animaux, il est important de conserver ce fil (ce lien , et par conséquent ces animaux) en vie ; le plus possible cela ; nous les dessino,ns sur paroi de roche, de grotte rocheuse ; nous les dessiinons sur du dur,  sur de la pierre, sur du roc ; nous teznons à ces mots , à ces animaux, à cette chose en cohorte et qui en impose, il s’agit de dons ; njous tenons à cette chose d’un art pariétal qui est un art du don de soi ; nous comptons sur les doigts de nos mainsq, ; nbous comptons les jours, le temps qui s’écoule, les mots qui passent de bouche en bouche : troupeaux de mots qui aboulent, qui déboulent, boules des temps rupestres, etc ; nous chargeons la mule, nous sommesq chargés de présents, hjous sommes pleins de cette chose en nous qui est animale, qui est bovine , qui est caprine, qui est canine etc (?), qui est un fil du temps ou des temps animaliers en nous ; nous nous tenons par la main, nous nouds tenons opar la main, nous alliions part les champs, nous marchions c^te à cote en nbous tenant par la main ; nous allions d’un endroit à un autre et nous nous parlions en chemin et nous nous disions des choses cvoncernant c et arty des cavernes ; nous avions beaicoup de choses à njous dire : nous nous parlionsd des chosesq du temps, du fil, de ce lien entre les ghénérations via la langue apprise, cette langue en nous (indéboulonnable) qui nous sert cde colle enttre nous pour une é&adhérence (coït) à la paroi du temps: ces mots, ces animaux en nbous ; nhous pa rlons une langue qui est une langue-fil, filaire, qui est un lien entre les etresz d’une même tribu et ce langage communautaire est celui qui nous lient incommensurablement au temps, au temps à vivre, à brûler ; nous marchons ensemble (elle et moi) sur un chemin et cela main dsans la main et ce vchemin nous mène à une paroi de type rupestre ; njous sommes sous le charme d’une roche peinte, nous cherchons une vérité qui ne soit pas du lointain, du demain, une vérité qui ne soit pas du report, qui ne soit pas  ;là bas, ou distante et à conquérir par une pensée en acte ou en marche ; njous cvherchons la vérité présente du collage au temps, adhérence, etc ; nous cherchons la vérité collée au temps  ; nous cherchons un collage au temps qyui soit vérité par collage, vérité-collage en direct live, via les mots filairesq, eznfilés, communautaire (étymologie ? ; nous cherchons une sorte de vérité collée adhérente ; nous cherchons ensemble (car nous sqommes deux , au moins deux) une vérité collage ou adhérence, un collage temporal, un collage temporel, une chose qui se puisse aller ainsi en direct live, dans ce fil ici qui va son cxhemin en prise directe et ne reporte rien  ; est ce possible -? ; nous aimons coller : tenons et mortaises, et nous sauver ainsi sur parois, via les animaux qui sortent de nos bouches, de nos mains ; nous avons cette chose pour nous , de nous tenir contre, de coller aux parois, aux murs, au dur, à ce qui tienbt, à ce qui contient et permet le passage, la durée, la prise dans un temps qui se poursuit : en galerie  ; nous y allons ensemble : une communauté ; il s’agit d’un grpoupe d’insdividus qui vont ensermble sur des pa rois et ainsi collés les uns contre les autres (agglutinées) ils peuven voir venir et résister aux méfaits du temps ; le langage commun est une collr ; la paroi de la grotte est le temps ; la bouche est le trou de sortie ; kles mots sont le fil tenu du temps, fil qui ne cède opas et maintient le tout dansle temps ; le temps est de parole maintzenue ; le temps est parole animalière ; les mots sont des animaux ; les paroles sont du temps ; les mots sont des betes de somme ; les mots sont des betes ; les mots sortent de n,os bouches en ca racolant comme un trou-peau de betes de somme qui sort en fanfa re ; nos mots sont troupeaux, de type filmaire : queue, tropmpe, bec ou fibre etc ; nous avons en nous un troupeau de mots, et ces mots (communautairesq) sont des animaux lachés, des fils de betes filantes, allantes, qui vont leur chemin sur parois de roche (le temps) ; nnbous coïtons ensemble, elle et moi, sur parois de roches : animaux gravés ou dessinés au charbon de bois brulé ; nous colloons ; nous nous colons à une paroi de grotte, nhous nous pl ;aquons (nus) contree ladite paroi et faisons corps avec elle et notrte corps (animal) se dessine contre elle, sereproduit, est ainsi gravé, ; nous sommes a ccolé ; noustezno,ns deboout contree cette paroi qui nous enregistre et nous aime ; il s’agit d’une paroi animalière d’amour fou, d’amour jeté, d’amourplaqué contre, nous nous agripppons à elle, nous invoquons tout un tas de bete fauve, féroce et fortes ; nous les portons avec nous via un apprentissage communautaire car la voie que nous emprunto,ns, la voix que nous prenons est communautaire  ; il s’agit de la voix de tous : nous parlons au nonm des autres, en notre nom et au nom des autres via cvette langue que nousq avons pour nous en nouset qui est une queue (caudale) ou un bec  ; nous cherchons dans ce bec accolé une vérité des choses mais non point des choses qui sont reports ; nous cherchons une vérité par un accolement au temps qui est du fil de bobine ; nous szommes tous les deux cvollés à cette paroi et c’est ainsi que nous essayons ensemble de trouver des vérités cachés qui seraient des vérités animalières car il semblerait qsue la vérité soit animalière ; nous sommes ensemblke, nous cherchons une vérité, nous nous colloons à une paroi, nous cherchons une adhérence ; la chose nous semble limpide ; nous nous acharnons, nous cherchons une vérité sur une paroi, njous avons cet espoir de trouver une vérité sur une paroi, sur une roche, quelque chose de fiable et d’indéboulonable ; quelque chose qui se tienne et tienne, qui setienne dans le temps : un rocher, du dur pour une durée, une pierre, un roc, une vérité rocheuse etc ; nous espérons, nhous croyons que cela est possible et que cel$a se puisse durer et ne pas mourir : une langue ? un e queue ? une tige caudale ? une langue animalière sortant de nous, de  nos bouches , elle et moi, de nos bouches respectives, de nos trous de bouche à tous les deux : une tige à croiser, à croiser ensemble, entortillamini ensemble , vrilles ensemble, e,ntrortillements de choses caudales (?) sortant de nos bouches recpectives, elle et moi, mon ame soeur etc ; il s’agit d’un entortillements cvommuns, communion, etc, qui peermette une chose de tenue rupestre, charbon de bois, dessin sur parois, rhinocéeros, bison, buffle, antilope, kangourous etxc  ; ou ours ou lion des cavernes, sortant de nos bouches, réunion de fibres langagières, entortillements des fils, pour une chose commune de durée longue le plus possible : nous parlons ensemble ; nous nous échangeons des termes et ce faisant faisons durer la langue longue : fils et fibrres ; pour une longue durée de vie si possible, de cvette langue (ces mots) animalière (anima-liers ) : entortillamini opu entrelaccs de mots insérés dans la roche : betesq ; nous coïtons, nous sommes emmelées, nous nous aimons emmelés, nous sommes emmelés (guiboles, bras, levres) etcc ) pour une vrille de vie rupsetre , pariétale  ; nous nous emmelons les pinceaux, nous nous aimons de cette sorte que nous nouseemmelonsles pinceaux et les torches rupestres etc ; nous dessinons car nous szommes des enfantsq à l’échelle des temps, nous dessinons des betes, nous faisons des points, nous renouvelons et renouvezlons sur roche des points noirs, des pointd de couleur (rouges, incarnats, ocres etc) ; nous faisons dees points et ces points sont des marques renouvéleées et agglutinées, et cet agglutinement est l’agglutinement des tempsquyi passent, vibrent, tempos, rythmes saccadésdé, coups assénés, coques ; nous percutonsz, nous so:mmes qui faisons des pertcussions sur oparoi du temps, coups assénés, percussions rythmiques du temps qui file son fil davancée collée ; nous collonsau temps nos betes scan dées, nous les accompagnons d’insultes proférés, de cris sexuels, de coups portés, de coups sur parois de roches : toc, toc, toc, toc, toc, toc, toc, toc, toc, toc, touché ; nous touchons à la paroi par coups renouvelés, nous dessinons des buffles, des phacocxhères, des aurochs, des lièvres, des hibous, des betes chargeantes , des chevaux, des troupeaux entiers  ; : toc, toc, toc, toc, toc, toc, toute une suite, une ribambelle, une cohorte, une série de poins t scandés à l’unisson des betes advenues, des  betes venues qui chargent, qui refluent, qui somment, qui sont sommation , qui sont des sommes, etc ; nous marquons les coups assén és sur des parois de grottee ; nous marquons les coups répétés, les choses faites ainsi par des etres qui dessinent des betes sur des rochers ; nous a&imons ces mots de betes en nous quyi se traduisent par des ressemblances folles, des betes fortes, des points, des carrés, des cercles, des figures, des visages, des semblances de visages humains, des points de scansions etc, pour des visages, pour des traits humains, en acco:mpagnement de pareilles fresques, des traits ou des points de rythmiques etc, sortis de nbous, pris pour nous, prises, concrétiopns, des traits ou des points ou des marques ou de s figures ici ou là parmi le s betes, des traits ou des points qui sont des svcansions , des accompa gnements rythmiques, des choses ezn accompagnements bruts, frustres, etc ; il s’agit de choses ezn accompagnements ni pl ;us ni mopibnsq: des notes d’accompagnzements, des notes prises, deqs petites choses de type à-coups, il semblerait ; nous parlonsà haute voix = nous crions, nous tapons, nous cognons l ;es pareois, nous nbous collons nus ausx parois des grottesq ; nous sommes sortis tous les deux et nous avons pris ici le chemin de promenade qui mène aux grottes enfouies ; njous nous sommes promenés un temps et c’est au décours d’une promenade que nous avons ensembkle trouvé cette entrée eznfouie, cette entrée ou ce passage de la grotte, cette ezntrée de grotte : ce passage ; nous avons découvert cette chose ensemble, nous avons ensemble découvert le passage quyi mène à la grotte, à la cavité ; njous avons découvert ensemble et main dans ma man ; nous étions main dans la main, nous étioons main dans la main et avons découvert cettez cghose ensemblbe , cx’est à dire  cette grotte et ces animaux peints sur la roche, sur les paroids ; il sq’agit de mots communautaires, la chose ne fait pasd de doute ; il s(agit d’un fil, dx’un fil qui est le fil du tempsq ; il s’agit de données colmmunes et communautairesq, il s’agit du ffil commun ou mis en commun , de mise en commun, de fils torsadés, de torsade, de torsion et de chantournements de fils entre eux, qui sont des  choses torsadées, mises en commun,  ; il s’a git de torsadeqs ; il s’agit de v rilles ; il s’agit d’étoupe ; il s’agit de choses communiées ou en communion, ou en communication etc  ; il s’agit de chosesq (de fibres) mises ensemble, une fibre, une vrille, une torsade faites de pl ;usieurs fibres, ou vrilles ou torsa des etc ; nous mettons ensemble (vrillons) nos langages , nos mots, nos animaux, nous les encerclons ou en quelque chose-ons pour une sorte de ribambelle graphique ; nous collonq à la paroi en nous emmelant de la sorte : vrillles, torsiionsq, etc sur nous mêmees et en nous mezmes pour une sortie de la sorte (de nous) vers une entrée (de la sorte) en roche ou sur roche : nous faisons ensemble cette chose qui est scandé (dan$s le fil du temps) et tamponnés ainsi, tamponnée jusquà plus soif etc, en grotte, sous le feu des torches, etc ; le sangh coul ;e, et sèchera ; il est le sang qyui coul entre les betes, qui pisse entre les images de betes ; il s’agit du sang qui pisse de la bete en nous : nous sommes pl ;usieures et nous entreemelons nos fils et nous formons filin qui est cette cxhose de tout étezrnité quye nous laissons pa r devers nous sur des poa rois de grotte ou de roche : intérieur $ou extérieur ; nous faisons des choses à la paroi et nous faisons a in si ces choses avec des graveurs, avec des torches, avec des morcxeauc de roche etc ; nous nousq appliquons, et nous nous appliquons  contre, les deux : nous nous ap^pliquons en faisant attention et nous nous appl ;iquonbs c’est à dire  : n,ous nousaccolons , nous collons à paroi, nous cherchons une éadhérence, une ou des épousailles, nous cherchons à épouserle temps, via les motrs qui en nous sont colle etc ; nous sommesw des betes de sommes ; nous pa erlons une langue étrangère et étrange ; nous nous parelons entre nous pour faire perdurer la langue, pour lafaire aller par le chemin ;, bec de langue, bec de prairie ; nous poursuivons ainsi cette chose d’aller de l’avbant en parlant la langue (l’organe tout aussi bien) afin de faire perdurer pareil organe dansle temps : il s’agit de faire de soi (par le trou de bouche) sorrtir l’animal de somme ainsi enferermé, il s’agit de faire de soi soortir la bete incluse, cette bete de so:mme que nous sommes et sommo,ns ; nous l’avons , alors nous la faisons sortir : point, point, point, point, point, poinrt, pointr, point ; jnous cherchons à faire sortyir lma bete sur paroi (coït) du te’mps des roches, des rocs, de la pierre dure qui dure, qui va dans le temps, qui vit du temps de son étant de pierre persista nte etc ; nous sortons de nous (via le trou de la bouche) ce filiin de voix  (de mots) qui est entrelacs de choses aninimalières ; il s’agit de betes ; il s(agit de ces choses de betes qui sortent : troupeaux pour un filin (fibres) en entrelacs, ou entrela cements, lacets,   en tortillamini ou entrlacs par entralacemenbts, etc ; il semble : vrilles, vrillages, vrillaisons, fibraisons, fibrages, torsions, contorsions, contorsionnements, torsades etc : chantournements pour un accolement sur roche du temps : une durée ; njous discutons ensemble de toutes ces choses, nous sommes proches l’un de l’autre, nous prenons le petit chemin derrière le temp^le et allons vers la forêt ; il y a des crottes de betes sur le sol, il y a des herbes et des mottes de terre ; nous essayons de coller à cette paroi du temps devant nous et pourr ce faire nous torsadons nos dires entre eux, et ainsi maintenons le cap pour un appui contree, pour une butée qui fasse le coup, qui scande ; njous collons ensemble nos dires et formons filin qui va à la rencontre de la roche dure, de la roche pariétale, et nous dessinons ensemble (coït) le rhinocéros et l’antilope, le buffle et le bison, l’ours des cavetrnes et le lion, l’auroch et le chevakllk, le bouquetin et la vacxhe ou le boeuf etc ; nous adorons cette chose (adoration) ; nous aimons cette cxhose : beaucoup (amour) ; njous continuons à ainsi aller sur notre chemin de grotte (boyau) et faisons ainsi ce chemin main dansla main jusdqU’à laparoi en dur : choc : vlam : coup : toc ; nous nbous sommes cognés, cela ne fait pas du bien, nous nous sommes faits mal ;, nous avons saignés et hurlés, nous avons c rié notre douleur, nous avons dit en terme gras (e,n insultes et en insa nités) notre douleur et cela du fait de la rage ou de la colère en nous  ; nous avons parlé gras car nous avons eu mal et  : nous parlons gras car nous avons mal ; nous utilisons les termes salaces et injurieux car nouds collons à la paroi du temps : point sur roche, point sur roche, point sur roche, point sur roche, point sur roccxhe, poin t sur roche, aionsi de suite  ; nos mots sont des animaux de forte charge = mots forts tout autant, comme alcool fort, mots forts comme insanités etc ; nos mots sont des animaux de grosse charge, ils sont des insultes et auttres insanités de forte tenue etc ; équivalence ; nous chargeons : insulte du temps d isgracieux en nous (qui nous cvonsume à petit feu) ; il s’agit d’insanités en nous qui sont les équivlences , traits pour traitzs, point à point, des mots - animaux en nous, d’(animaux de forte charge en nous, des animaux ; il s’agit de gros gibier et de gros mots ; il s’agit de gros mots et de gros animaux, tout betement, tout bonnement ; gros ; nous disons gros cxar nous en avons gros sur le coeur ; tout betement et tout bonnement ; gros gibier = gros mots , ; il s’agit de la même chose sur paroi de grottes ; point, point, poi,nt, poi,nnt, poi,nt, point, etc, et mains négatives à foison , ou mainsq positives à foison : scansion lors des rites, aà-coups sur paroi, xchoses scandées à la mesure du toc toc sur roc, des maitres animaliers, des chamans, des hommes de la roche etc ; il s’agit de rites, il s’agit de la vie du temps qui va se consumant en nous (ingraciosité du temps) et nous rabougrit méchamment, et nous des lors d’y aller de nos insultes et autreezs insanités, sa ns la moindre retenue etc  ; nous insultons et ces insultes sont des animaux = les mots du sexe tout autantc  ; nous disons les choses crument : ici animaux, ailleurs les mots du sexe

, de l’intimité vitale etc ; il s’agit de choses simi l;:aires : ivresse, alcool fort, absence totale (?) de retenue etc, il eswt bon d’y aller de la sorte et de com:prendre les enjehux en jeu sur place ; nous collons au temps, nous colllonssur plac e au temps ; nous voulons coller au temps et prendre ce chemin de coll:e ; nous sommes elle et moi, nous sommes attenants, nous collons  ; nous voulons aller loin dansla compréhension des choses en question, sur pla ce et maintenant, soit en direct live, car ce que nous voulons comprendre doit l’(ztre au sein dela durée et pas autrement : c’est ainsi que nous le voyons ; nous pensons qu il est ainsi préférable de comprebndre latrame des chosesainsi, en y allaznt ainsi : en collant à la pa roi du temps (et pas autrezment) ; nous ne voulons pas d’une vérité lointaine, à chercher là bas, à trouver devant  c’sst à dire loin, nous vboulons d’une vérité chevillée ; nous cherchons la vrille-vérité  ; cet entrlacs, cette vrille, cette volte, ce looping peut etre , cettte chose sur elle-même entortillée et qui est ce temps de paroi peinte, cette chose des temps lointains (préhistoriques) etc ; nous aimons la vrille tout autant que l’entrelacement coïtal ; nous aimons la vrille du temps de l’entrelacement coïtal , de la langue animale, des mots de l’animal xde somme ; njous collons ainsi à la paroi, ou du moins nous esssayons de coller le plus que nous pouvons à cette paroi du temps qui fi ;:le son train d’entrelacs ; nous voulons rester ainsi dans cette insulte (pulsion) en nous, qui bat son tic ta c vital et nous pousse contre la roche, nous fait dessiner les betes de somme, les grosses betes (les gros mots) qui sortent de nous et qui vont buter, contre la paroi de la grotte : vlam, plouf, ploc, tac, toc ; nous butons ; njous sommes en butée, nous cherchons le contact sur le haut de notre cr:âne, comme de bien vouluu ; nous cxherchons ce conta ct crane / paroi ; nous voulons cette assurance d’un contact tenu, poursuivi, continu etc , avec la roche et n

e voulons jamais  nous voir comme désolidarisés de cette même roche du temps : le contact = le coït = les gros mots = les grosses betes, les gros animaux, lesq choses de forte teneur ; les alcools, les ivresses, les tetes tournées etc  ; njous buvons des alcolls forts, nous sommes ivres, nous buvons des alcollls qui tournent la tete et nous rendent ivres ; nous prenons ezn  nous des chosezs qui nous rendent ivres, ailleurs, desq substances, nous sommes sous emprise de choses qui nous rendent ivres et nous poussent à commezttre des choses sur roc , insanités, fortes betes de charges guerrières , scènes de chasse, etc  ; nous pa rlons haut et aussi nous disons des gros mots , comme des enfants nous disons des gros mots, nous disons des gros mots commes  des enfants ; nous sommes comme des enfants quand ils disent des gros mots ; nous sommes 

comme des enfants qui rougissons de dire des gros mots ; n,ous disons des choses, nous sortons des mots de notre bouche, nous disons desq mots gros, nous disons des animaux de grosse taille : les dessinons ; nous disons des points : les marquons szerrés sur roche ; point et point et point et point et point et poiint et point et point et point ; nous les inscrivons tous les deux car nbous sommes deux et nous sommes deux à inscrire, à graver, à marquer, à dire des insanités, pour un coït, pourr une embardée dans les fourrés, pour une entrée inopinée en grotte et une découverte tout aussi inattendue de peintures pa riétalaes préhisqtoriqueqs, nous aimons les embardées de ce type et nous aiomo,ns aussi beaucoup les découvetrtes , car nous sommes comme deux enfants qui nous promenons sur les chemins de campagne à larecherche d’une entrée de grotte, d’un trésor p^réhistorique etc ; nous adorons tout cela ; nous aimons beaucoup les peintures pa riétales des hommes anciens, des aurignaciens et des maghdaléniens etc ; nous adorons ce genre de réprésentations animalières anciennes, si lointaines ; nous szommes tres attentifs, nous sommes tres amoureux aussi de ces cavernres ornementées ; nous avons un e véritable dévotion (vouons) à ces grottes ornementées etc ; nous disons des insanités, des mots gros, nous deessinons des animaux gros, nbous sommes nous m^mes animaux de forte taille dans nos mots, nous collons à laréalité p riétale et ne souhaitopns pas nouys en déta cher de sitot ; notre amour est naissant sur roche ; nos mots sont des animaux et seulemeznt cela ; nous parlons animal ; nous parlons comme lk’animal ; nos mots sont des animaux ; les mots qui sortent de notre bouche sont des animaux ; nous parlons une langue animale en cette cxhose que de nos bouches en sort des animaux, des animaux sortent, ils sont de sortie et forment une tige caudale, ce genre de bec ou dee trommppe, etc, qui vient buter contre, quyi vient tracer des choseqs (sur paroi du temps) ; nous aimons ces choses ainsi les voir tracées ; nous ne sommes pas chiche ni de gros gibier dessiné, ni de gros mots proféreés ; nous sommes hurlan, nous sommes qui hurlons nos mots-animaux, à la cantondae, ou bien sur pa roii ; à la cantonade en hurlant, en les hurlant haut et fort (point, point point, point etc) et sur paroi en dessinant des animaux de grossetaille (la plupart du temps)  ; nous aimons cette chose qui est de dessiner des animaux gros, et cette autre chose , qui est de proférer des gros mots ; le gros mot est un animal gros, on l’a dit : le gros mot est du gros gibier qui charge, qui pèse, qui ne fait pas dans la dentelle ; le gros mot sort de la bouche comme un animal sort de la bouche : expression de forte teneur en matière de ferveur ; il s’agit d’une effervecscnce dans la diction, il s’agit de passion, de poids émotionnel, etc ; la charge est présente et pèse (de fait) son poids émotiionnel, son poids de charge émotionnelle : rougeur, chaleur, tuméfactiobn, douleur  = les signes (cardinaux) de l»inflammation ;

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17/03/2020 

où vont les animaux qui sortent de nos -bouches ? ou s’en vont ils ? que deviennen,t ils ? que rejoignent ils ? nous ne savons pas mzais nous cherchons, nous sommes sur un poste, nous cherchons avec un coeur vaillant en n ous ; notre coeur est vaillant, nous sommes pétris de coureage, nous avons envie de connaitre des vérités ou la vérité sur ce monde qui nousd entoure, nous ne voulons pas mourir idiots, nous voulons mourir intelligents, nous voulobnbs mourir qavec en nous des savoirs concernant la moprt des animaux qui sortent de notre bouche, la mort ou la vie d ces bêtes, c qu ils adviennent, ou ils vont, ce qu ils deviennent une fois sortis de notre bouche, où vont ils des lors ; c’est tout cela que nous aimerions savoir avant de mourir ; avant de mourir nous aimerions savoir ce qu il e-n est des betes qui sortent de nous, de toutes ces betes (litanies et ribambelles) quyi sortent de nous , ce qu «elles adviennent dans la nature, une fois délivrée de nous ; jnous ne savobns pas, nous ne savons quoi en penser et en dire, nous voulons savoir mais hélas nous ne savons pas, nous aimerions en savoir plus mais hélas nous n’en savons pas plus ; nous sommes courts ; nous ne savons pas lourd et nous cherchons dees lors à en connaittre plus sur la question mais il n’est pas facile d’en apprendre plus car les betes sorties de notre bouche sont invisibles , ne sont guère viisibles et il n’est pas facile de dire des choses sur une chose qui n’est pas tres visible voire pas visible du tout à l’oeil nu ; nous aimerions beaucoup en savoir plus et d’ailleurs nous n,e désedspérons pas en vérité d’un jour en apprendre long sur cette question : nous sommes occupé ; nous sommes occupés, envahis, pleins à rabord, nous sommes contenants d’animaux de chasse, d’animaux de toutes tailles mais surtout de gros gibier (genre buffles) ; nous sommes vraiment comblés ; nous avons en nous beaucoup ainsi d’animaux qui sortent de nous quand nous parlons et nos mots sont des betes de somme, nbos mots sont du gros $gibier, nos mots sont des animaux de campagne, des betes à chasser, à porursuivre à la sagaie, à la lance, ; nous sommes des hommes préhistoriques, nous sommes munis de sagaiie, nous  chassons le gros gibier qui sort de notre bouche,n, nous sommes comme, nous sommes ainsi, nous sommes de la sorte, nous sommes comme cela = nous sommes comme ça, des hommes comme pré historiques, c’est à dire qu'avant que n’advienne en nous la parole pour ainssi dire, c’est à dire qu'avant qu en  nous (ghommes de peu préhistoriques) n’advienne pour nous la parole , eh bien, avant, cela sortzait de nos bouches = une cohorte (suite) d’animaux de type de ceux qui sont visibles en grotte, nous avions pour nous qui sortaient de nous des bêtes (gros gibier) qui étaient pour ainsi dire les mots qui étaient les notres à cette éposque (nous disons-nous) et qui étaient des sortes de «figures de mots», des sortes de prémots etc, qui donc faisaient office de langage de type articulé, ou pas loin ; nous parlons avec ces betes qui sortaient de nous, de nos bouches, nous avions en n ous cdes betes qui étaient pour le coup contenues dans nos bouches et qui des lors que nous ouvrions la bouche sortaient de nous et allaient fissa dans la campagne ou la forêt se disqperser et se cachher de nous  ; npus utilisions cela en tant que langage, nos mots ou ces substitus de mots étaient ces animaux qui sortaient de nos bouches à nous, à tous, nous sortions ainsi des betes de nous, elles allaient fissa toutes se disperser dans les alentours et à nous (rebelote) d’aller leur courir apres à la sagiae pour les attrapper, les chasser pour les tuer, les prendre, les coincer, les faire capituler et les emporter sur notre épaule ou à deux sur un baton posé sur nos épaules respectives , car pour chasser le gros gibier de type sanglier il vaut mieux etre deux au minimum, ; si l’on veut poouvoir ramener la bete tuée au bercail (dans notre grotte) ; à deux c’est plus sip^mle, on prend une branche , que l’on prend soin de déposer chacun sur son épaule et on glisse l’animal dessous , attaché par les pates entre elles etc, on y arrive mieux à deux ; à deux c’est mieux ; on arrive mieux à faire à deux ; deux c’est préférable, nous sommes deux et c’est mieux ainsi pour agir, nous sommes deux pour ramener lma bête ; ; nous sommes deux chassuers sachant chasser qui ramenons la bête au bercail, à l’intérieur de la grotte, nous allons la faire cuire, nous allons la cuire, nous allons faire cuire cette viande, nous sommes des cuisiniers à notrte façon, nous cuisinons, nous faisons cuire, nous allons à l’intériuer de la grotte ; nous aimons la viande cuite, nous aimons chasser et ramener du gros gibier au bercail et dessiner ce même gros gibier sur les parois, le dessiner d(‘une façon fidèle car nous sommes fidèle à ce gibier qui est sorti de nous, de nos tripesz, de notre antre, de notre ventre, de notre trou de bouche etc ; le gibier sorti de nous a pour une part été chassé et le voilà en partie vsur la table d’offrande, et ce même gibier sorti de nous se retrouve d'autre part dessiné sur les parois qui nous entoure ; nous sortons du gibier de nous, ce gibier est distinguable en cette chose qu il vient à etre déposé sur une table dite table d’offrande et pour une autre part, ce gibier qui sort de notre bouche vient à se coller, se déposer-coller à une paroi (un rocx, un rocher, etc) sur laquelle nous mettons nos mains d’enfants, surr laquelle nous pouvons (pour ainsi dire) voir la trace de nos mains d’enfant ; nous avons dans notre bouche une floppée de bêtes qui cherchent mordicus à sortir de nous ; pour partie pour aller se cogner aux parois qui nous entourent, et pour une autre partie pour se déposer sur pierre d’oofrande ; et eznsuyite peut etre d’a utres arrivent à s’enfuir, cela nous ne le savons pas ; nous sortons de nous une foultitude, floppée, ribambelle, cohorte, nuhèe, chiée etc de betes de gros calibre ; nous avons en noys des betes, nous sommes faits de betres, notre intérieur est ainsi fdaçonné avec de l’animal en nouds, animal qui est en nous, comme un habitant des lieux, il s’agit de son intérieur (piège ?) et il cherche par tous les moyens à sortir de nous (par la bouche est le meilleuir moyen) et à s’enfuir comme en sauve-qui-peut à la va-vite ; l’animal en nous sort de nous par notre bouche ; l’animal est un animal de bon format (gibier de belle taille) et cet animal qui sort de notrte bouche, est un animal à (de fait) chasser à la sagaie, à la pique, à la lance ; njous courons apres les animaux qui sortent de notre bouche ; notre bouche contient des animaux apres lesquels nous courons une vie durant ; la vie est une course ahpres des animaux sortis de notree bousvhe ; les animaux du dehors ont transité, pour certains (seulement pour certains ? ), par notre bouche un temps donné ; njotre bouche s’ouvre et d’elle qu ‘en sort il ? des animaux de grssse taille : du gibier de première main, de la belle bête  ; nous ouvrons une bouche comme ça  c’est à dire grande, et d’elle en sort des bêtes en cohorte ou en ribambelle, c’est fou ; nous sommes pétris et remp lis (rabord) d’animaux, nous avons en nous une floppée de bêtes et chaque fois que nous ouvrons la bouche en sort une trainée, une nuée, une floppée, une ribambelle, un ruban, un chemin , un chemin de vie a nimale, un serpentin animal, une sorte de nuée ou de floppée ou de ribambelle (un ruban) de bêtes, de type sanglier, buffle, bison, taureau, bovidés etc ; nous avons en nous pareilles betes et notre bouche se plait (qui parlant) à faire ainsi qu’en sortent des chiées de betes, de type bovidé, de type chevreuil ou antilope ou bhouquetin ; nous avons une bouche pour nous en servir : nous pzarlons , nous respirons avec la bouche etc, nous ouvrons la bouche pour mille raisons etc et losqyue nous l’ouvrons de nous dès lors sort une cohorte ; de notre bouche ouverte, d’entre nos lèvres, sort une cohorte ; nous sommes qui avons pour nous une chiée de bêtes en n ouys qui ne demandent qu à sortir de nous et les voilà qui sortent : un métalangage, etc ; les hommes de la préhistoire faisaient ainsi et savaient cette chose et cela se retrouve sur les parois des grottes qu ils occupaiernt et ainsi on peut se rendre compte que l’animal avait alors une place prépondérante (sidérante) et plus que ça sans doute : majeure et massive (boum, un coup de massue) et des lors , on peut voir que l’homme préhistorique vivait avec une obsession en tête ; il s’agit de la bête ; nous pouvons nous rendre à l’é  vifdence de cette chose, comme quoi l’homme de néandertal avait en tête une obsession (seumelm,t en tête ?) et cette obesesiion était l’animal qiuu sortait de lui, de sa bouche ; il ouvrait la bouche et en sortait des animaux (des mots, pour l’époque) et voilà pourquoi on retrouve ceux ci, à profudsion et quasi exclusivement, en tant que représentationb etc, sur parois de grottes, il s’agit d’une obsession, il s’agit d’un envahissement de sa sphère existencilelle, mentale , quotidienne etc ; l’animal est massif, majeur, il déboule, il est gros de lui même, il pèse lourd, il charge, il perce la joue, il esrt fort, ilest trapu, il est vigoureux, il fonce, il va vite, il ne fait pas dans la dentelle, il est fort et vif, il y va, il frappe, il cogne, il est brute, il est costaud, il brise, il obsrtue, il prend la place, il est proéminent, il en impose, il ne vient pas pour rien, il est entier, il  cavale, il sort en troupeau , meute, troupeau ou cohorte, meute ou floppée, il sort de la bouche de lm’homme et ce sont de fait des images-mots qui sortent de sa bouche : un métalangage, le notre, le notre car nous continuons ensemble à parler ce même langagze «animal» sauf que la donne a changé passablement depuis cette éposque, et aujourd hui nous parlons avec des mots ; les mots d’aujourd hui ne ressemblent plus à des animaux comme autrefois , les mots ne sont pas des buffles, et cependant les mots ont gardés en eux , encore aujuor dhui, quelque chose des buffles ou des bisons de l’age des cavernes ; car en nous survit encore (un peu ?) l(age des cavernes ; nous sommes encore des hommes rupestres, nbous continuons à décorer des salles avec des représentations (pigmentées etc) ;: nous cvontinuons à ouvrir la boucghe et les animaux-mots sortent de nous comme cohorte, comme ribambelle, litanie ; nous faisons sortir de nous des betes en parlant et ces betes sont des mots et ces mots sont des betes et ces betes sont des mots qui sortent de nous par le biais de cette vbouche que nous arborons, heureuse bouche trouée qui est notre bouche-trouée pour un passage animalier de type non encore visibvle à ce jour mais la chose ne saurait tarder ; nous avons des bvetes en nous, nous sommes qui avons en  nous des betes et ces betes un joiur nous les verrons sortir de notre bouche et alors nous comprendrons mieux certtzaines choses de la vie et de la mort ; nous aurons un meilleur point de vue ; nous serons ouvert, nous serons prêt pour comprendre certaines choses, nous y verrons mieux, nous pourrons nous faire une idée plus juste ; nous pourrons alors nous faire une idée plus juste sur ce qu il en est de toute cette histoire de vie et dee mort, ; lorsque nous verreons sortir de nous , de notre bouche trouée, des cohortes d’ani maux de belle taille, alors nous comprendrons mieux certaines choses liées aux questions de vie et de mort ; car les animaux que nous contenons sobnt des animaux qui gravitent d’un monde )àà un autre ; ils sortent de noius et sortant de nous iuls entrent dans un monde qui n’estpas nous, qui est extérioeur à nous , mais qui est ce monde quyi nous attend ; l’animal gravite vite ; il est un animal qui fait  des va et vient entree deux mondes : entre le monde de notre dedans (antre, outre, etc personnelle) et le monde de l’en deça ou de l’au delà etc, qui est ce monde qui commence à partir de nous et nous environne comme un nuage ; l’animezlm en nous est une bete de somme ; l’animal en nous est une bete de somme, qu on se le dise ; il se’agit en nous d’une bete de somme quyi est  tapie, qui est couchée, qui sommeille en nous,, qui est en  nous comme un animal qiu pait, qui est cet animal qui est en nous comme un animal à faire sortir de son enclos poure aller paitre aillezurs ; nous avons en nous une betye et cdette bete nous aimerions bien la voir s’échapper de nous, sortir de nous, car nous c’est nous et il nous gêne fort de contenir en nous des betes, l’idée n,ous répugne un peu, et cependeant tel est le cas ; nous possédons en nous des animaux, et ces animaux sont en nous dees occupants, nous sommes ces animaux, ou bien nous ne sommes pas ces animaux ? nous ne savons comment dire, nous pensons que nous sommes en partie, nous pensons que cess betes sont pour paertie nous, ou bien ne sopnt-elles pas nous ? sont elles à l’intérieur de nous sans etre pour autant parties constitutives de nous ? nous ne savons quoi penser, nous ne savons pas où se logent ces betes, où donc se logent elles , où vont elles en nous se nicher, nous l’ignorons ; nous ne savons pâs où ces betes vont se nicher, nousd ignorons où donc ces betes vont à se n-icher en nous, en quel recoi n  ; nous ne savons pas où ces betes trouvent leur repaire en nous et comment font elles pour y rester et quand d»écident elles de sortir de nous ?  ; nous ne savons pas quoi penser de ces betes en nous, nous ne savons quoi penser de ces betes en nbous, nous ne savons quoi dire de ces betes en  jous, porquoi sont elles en nous ?  ; pourquoi ces betes sont elles en nous ? nous ne savons pas pourquuoi ces betes ont trouvé repaire en nous, nous aimerions en savoir long sur cette question, nbous aimerions etre plus informés sur cette question des mots-animaux en pareticulier, car les mots sont des animaux ; les mots en nous sont des animaux en nous ; des lors, la question à seposer est la suivante : où donc se logent les mots en nous ?  où sont leurs repaires ? savons nous où donc lexs animaux se logent à l’intérieur de notree organisme de vie ? savons nous où donc les mots -animauix sont cachés en nous pour fissa sortir de nous des la première ouverture de bouche (par exemple pour pren dre de l’air, pour cracher opu avaler de l’air) ; nous ne savons rien ; nous glissons sur une patinoire, c’est étrandge ; n,ous portons des mots avbec nous, nuit et jour, et ces mots portent eux m^emes cette chose qui est un sens qui est un sens compréhensible pour chacun de nouys qui parlonsle même patois ; nous avons un patois pour nous, nous nous exprimopns dans ce patois ; nous parlons avec des mots (animaux) qyue nous avons en commun (quelques-uns) ; noius parlons unelangue commune ; nous parlons une langue qui est une langfue commune, et cette langue est faite de mots-animaux qyui sortent de nous, du trou de noptre bouche ; notree bouche a subi un forçage , une forte poussée et a cédé sous la pression du buffle ; nous parlons à quelques uns une sorte de sabir que nous comp^renons entre nous (à peu près) et qui nous permet d’échanger des mots entre nous, des mots-bêtes que nous crachons ou laissaons filer de notre bouche vers du coup la bouche d’autrui, ou de notre bouche vers (peut-être) l’alentour de notre bouche ; nous crachons des betes (goutellettes) à mesure que nous parlons et ces betes sont des animaux de forte taille : gibier des cvampagnes et des forêts ; buffles ; pour ainsi dire buffles et bovidés ; nous sortons de nous des betes ; des betes sortent de nous, nous parlons un sabir de buffle ; notre patois est la langue-buffle de cet en-dedans de nous qui vient à la surface ; nous parlons entre nous un parler patois-buffkle, et celui ci est une chose qui sort de nous , de notre bouche, en une sorte de serpentin (la langue, le membre) qui va son chemin devant nous qui (pour le coup) le regardons voler au vent ; nous parlons une la-ngue)-sabir ; la langue (langage) est la langue (organe) : bien sûr  ; nous avons cette langue, pour $nous, qui est un sabir, de type animal craché, de type buffle craché, et ce sabir nous permet de communiquer et d’échanger ; nous dessinons sur des pa rois ces mots qui sortent de nos bouches: nous embrassons les parois ; et c’est ainsi qu embrassant les parois des grootes, nous laissons la pmarque (le dessin) de tous ces animaux jusque là cointenu en nous: nous dessinons des betes avec notree bouche (ba iser de mots) et c’est ainsi que ces images arrivent à existence, sur roc, sur roche ; nous dessinons en baisant la roche ; nos lec-vres se collent à ekle ; nous dessinons (représentons) des animaux qui sont des mots, ceux d’un sabir (patois) que nous parlons entre nous ; nous parlons un patois, je pârle un patois, nous parlons un patois, nous sommes patoisant, nous parlons une langue que peu connaisse,nt, à l’échelle de l’humanité ; nous parlons à l’échezlle de l’humanité, des époques passées et à venir ; nous parlons-écrivons à cette échelle des temps passéés, présents et à venir ; jnous avons dans noptre bouche une lan,gue et cette langue est un organe , et cet organe est comme un support, est un socle, un tremplin, une bouée ; nous parlons une langue connue entre nous de nous ; nous parlons cette langue qui est notrte langue, qui est un patois, quyi est une langue de peu, un idiome commun, nous parlons cette même langue dite des animaux, desc cohortes d’animaux dits pariétaux ; nous avons cette langue pour nous, fzaite d’images d’animaux de belle taille (gibier), et nous dessinons cette nuée, cette ribambelle, ce ruban (fresque) sur paroi (baiser) pour conjurer le sort qui nous attend ici, en nous mêmes, ou bien pour conjurer le sort qui nous attend dehors, ou sinon dehors ... ailleurs, etc ; nous dessinons sur du papire, sur les murs directement, surv plein de supports différents, nouys laissonsles empreintes de notre passage ; nouys dessinons, nbouys figurons la vie ; nous essayons de figurer quelque chose de la vie dans ce qu elle a de plus vif en elle ; notre projet est celui ci de figurer la vie dans ce que celle ci a de plus prononcé en tant que tel ; notre souhait, ce à quoi nous aspirons est cette chosex: de figurer (représenter) la vie, dans sa teneur la plus hjaute, en sa teneur la plus haute, la plus élevée, dans toute sa vitalité constitutive ; nous essayons de fifigurer ensemble sur paroi (en galerie, partout) la vie, dans sa vitalité la plus marquée, la plus aboutie, poure faire accroire que, etc ; c'est notre souhzait le plus cher ; nous avons une ambition et cette ambition est celle de faire de la sorte que soit inscrit, ou gravé, sure les parois de la roche de cette  grotte (etc), ce message, cette vie en pleine forme, etc, cette pleine forme sur paroi, cette figure, cette chose d’un mot-animal, ce mot du patois, ce mot-image en notre patois, etc ; nous envisageons ; notree souci ; notre souhait, nous souhaitons, il va sans dire qaue nous souhaitons et envisageons cette chose qui est ici (en grotte) de faire en sorte que quelque chose de la vie, dans sa teneur la plus élevée, dfans sa vitalitéc la plus grande, da ns ce plus-plus de vie , dans ce plus-plus de vie la pluws prononcée ou aboutie, quelque chose de cela soit donc gravé et fasse effet, fasse un effet boeuf, etc ; notre souci est de faire en sorte que cela le «fasse» ;que cela fasse face ; que ça puisse faire face , tenir devant, tenir de son tenant d’un maintenant du temps attenant etc ; que cela puisse faire face ; que ces mots -animaux puissent le»faire» ; puissent passer pour et donner le chjange et qu’ainsi nous puissions, chacun, poursuivre notree temps de vie terrestre ; nous avons des mos-animaux en bouche, et ces mots-animaux viennent à se graver oou dessiner (ou finir) sur ces parois de grotte ; nous avons en nbous des mots -$animaux quyi viennent, sur des parois de grotte, sur des roches, sur des rocsn,, sur des rochers, sur desroches lisses, érodées ; nous dessinons sous emprise ; nous voulons donner le chanfge ; nous voulons que la mort puisse patienter avec la vie offerte en pis-aller d’images cde betes ; nous sommes envahis en nous et cet envahissement en  nous est un envahissement bestial en cette chose que nous contrenons en nous des betes (sabir) que nous faisopns sortir par notre bouche (ce trou) pour mieux aller à se fixer sur la pareoi (devant nous) qui est ici ce présent de roche ; njous dessinons des animaux, des scènes de chasse etc ; les animaux sont notreobsessions car les animaux sont notre langage et le langage est une obsession qui nous occupe au plus haut point (occupation) comme toute les obsessions, et comme toutes les obsessions il nous est impossible d’en découdre  comme ça, comme par enchantement ; nous sommes obsédés, c’est à dire que nous sommes envahis, nous sommes envahis = nous sommes prisonnioers ; nous sommes envahis c’est à dire que nous sommes faits prisonniers du lmangage en cette chose qu il n,ous est impossible de l’envoyer promener comme ça, en un tour de manche, rien à faire, il s’accroche, il s’arcqueboute, il tient à la roche, etc ; les motsz sont collés ; les mots collent au temps, ou plutot les betes collent au temps, les mots -betes collent au temps, s’arcqueboutent, s’accrochent à la roche ; les mots font face et figure, tiennent le choc, tiennent boon, sont tenaces : tiennent  ; les lmots -animaux tiennent lke choc ; il s’agit de mots-ani ma ux qui tiennent bon, sur cette paroi de grotte, ils s’accrochent ; il s’agit de betes qui tiennent le choc sur ces parois de roches, sur ces rocs, sur ces parois , sur ces murs, sur ces toiles, sur ces socles, sur ces feuilles, sur ces cartons, sur ces tissus, sur cette terre, sur cette terre-mère etc ; les mots-animaux tiennent bon, et donc font leur petit effet qui vise àç figuerer la vie (vitalité plus plus plus )pour faire croire, que la vie en entier est donnée à la mort qui n’attend que  ça et brûle d’impatience ; il s’a git d’un pis-aller, il s’agit d’un semblant, il s’agit de fausseté, de faux semblant ; on dirait la vie mais il s’agit du temps et passez muscade ; il s’agit de faux semblant et le tour est joué ; il s’agit de faux amis, defaux semblant, de hjeux, il s’agit de mots et les motrs ne sont pas la vie mais seulement du temps, des faux semblants , animaux chassés dans les fôrets, sabir compris entre nbous, qui sommes d’une même tribu ; nous aimerions  dénouer les sa cs de noeu  ds, et nous avons cette ambition, d’arrivcer à dénouer des sacs de noueds, nous sommes desz dénoueurs de sac de neouds, nous avons une ambition qui esrt d’ordre scientifique, notre ambition est scientifique, s’inscrit dans une recherche de type scientifique ; notree ambition est pour le coup de mettre à jour des choses qui viendraient par devers nous se déposer ici, sur parois, et nous donneraient par la même des indications sur les profonduers des chosesz de la vie;nous avons cette envie en nous comme chevillée à nous et nous espérons pouvoir un jour arriver à dire des choses de vérité, la vérité, une vérité, une vérité sdu sabir, une vérité qui dirait quelque chose’ de solide, defiable, d’intemporel et de définitif comme une vérité ; car la vérité est définitive ou alors ce n’esst pas une vérité ; la vérité est une chose d’allure et pas seulement d’allure d’ailleurs, définitive, oui : la vbérité est toujours une chose définitive ou alors ce n’est pas la vb&érité, et sur qsuoi que ce soit ; il s’agit desz lors pour nous de nous mettre en position d’avccueil, pour une vérité (de fait) à venir, concernant les sujets qui sont, pour nous, les plus importants (prioritaires)  ; notre ambition est ainsi de nous mettree en position, en cette posture d’accueil, en cette chose d’un acceuiil en route possible, un acceuil en chemin , cet acciuel qui est cette chose (en marche) qui file et permezt (comme un filet) une capture éventuelle d’une vérité flottante , flottante comme une nuée, etc ; nous avons toutes cesz betes en  ous qui ne demandent qu à soretir de nous ; nous les gravons sur des pzarois, la chose esrt enfantine et coule de soi ; ul suffit de se pencher sur la parooi et de noter ce qui sort de nous, de cette bvouche (trou) que nous avons au lmilieu de la figure ; nouys nouys penchons et nous inscrivons cette chose sur paroi, ce baiser en sabir, cette chose de type animal, ce baiser animal sur roche, ; cette accroche, etc ; nous avons en nbous des betes qui dorment puis sortent, à la vue de notreebouche qui s’ouivre, et ce que nous disons hop illico se grave sur le roc ; il s’agit de sabir ; il s’agit de patois, nous pzrlons un patois ; nous patoisons ; jnous disons ce qui vient en n ous ; nous parlons ce patois qui vient dans notre bouche, nous avons en commun c e patois que nous nous échangeons : figures anima les ; njous parlons cette lma ngue pzatoisante entre nous et nous nous comprenons car nous avons en nous ceparler-animal et ici ce parler-animal est un parler commun que donc chacun de nous arrive à comprendre sur paroi de roche ; nous pzarlons et dessinons par là même ; le dessin est fait de mots qui s’agglutinent ; à) chaque fois, il s’agit de mots qui viennent s’agglutiner, quyi forment des cohortes, des p hrases, des strophes etx, des litanies etxc, des nuées, des rubans et des serpentins chemins ; nous sommes pazrlants et dessinants ; nous parlonset nous dessinons ; ce que nous disons passe par la main  ; ce que nous dison,s passe immanquablement par la main, nous ne pouvonsfaire autrement qu en faisant ainsi ; nous dessinons et nous parlons dans le même temps ; le temps est ainsi fixé et cela est cette chose du sabir que nous échangeons entre nous ; nous parlons une langue animalière, nous avons ce sabir pour nous qui est une la,ngue animalière ; notre langue est animalière ; nous parlons animmalier ; notre langue a pour nom l’animalier ; nous dessinons sur des parois de grotte notre langue animalière et gravons nos mots qui sont les mots d’une obsession en ce sens où nous sommes envahis , c’est à dire prisonniers, nous sommes sous l’emprise (le joug) d’une chose en n ous qui nous pousse à dire le temps pour reste r en vie, et à ne pas céder à l’appel (en nous) de la «fin-de-vie» c’est à dire de la mort , de cette mort en  nous qui renackle, qui rale, qyi cxherche à prendre le dessus la salope ; il s’agit de la mort -salope en nous qui cherche ; il s’agit d’une sorte de saleté en nouysqyuiucherche à prendre le dessus sur nous, et nous nous tenons bon avec notre sabir (inculqué) qui ne part pasz, qui ne file pas, qui reste logé à sa place, qui fait tampon, qui tamponne, qui fait face et figfure, pis-aller qui peut «le faire» et qui tient le choc sur paroi de groptte ; la salope est cette mort en nous qui pousse au cul et harcèle, il semblerait ; nous pouvons voir ; nous dessinons, nous gravons sur roche, nous tenons le choc, nous ne voulons pas lacher, nous essayons de tenir bon ; nous essayons de ne pas lacher et de tenir bon avec notredparler animalier ; nous avons cette langue pour nous inculquée (ouf) qui nous permet et de cooller à la paroi du temps et de ne pas mourir sur le champ comme la mort en nous nous le demande expresseément, avec sa furie coutumière, son mordant, sa vilénie, sa force etc ; nous ne savons pas ce qui npus attend mais nous savons que le langage est un tampon ; il s’agit de mots-animaux (d’animaux quyi sortent de nous, de notre bouche) qui vont ainsi se coller à la paroi du temps lorsque nous parlons-vivons (souffle) ; les mots sont ainsi inscrits et font face : ne s’envolent pas (la mémoire aidant)  ; nous tenons bon ; nous sommes debout ; njous tenons les deux bouts, nhous tenons bon et tenons les deux bouts de la vie, grace ici à ce lan,gage animalier en nbous, qui rue, qui s’ébroue , qui a du répondant, qyui est fort et  joue de sa pûissance et de sa vitalité toute ma rquante ; ,nous dessinons des animaux sur la paroi, nous deesinons des betes, des betes fauves, qui tiennent la route (nuée) et qui arrivent à s’accrocher à la paroi, à s’y fixer et à donnezr le change ; les mots sont la colle ; les mots collent à la paroi du temps ;, ils permettent ainsi une sorte de  pis-allezr pour aller encore et toujours de l’avant sans succoomber exp^ressement sous les coups de butoir de la mort en nous qui nous harcèle et nous en conjure, et nous de rétorquer, par des fresques (etc) pariétales ou autrees faits d’arme de type art, de type art contemporain (?) ou autre  ; nous allons ainsi cxhevauchant la roche et dessinons en transe, dessinons les betes les plus courantes, celles qui en imposent, qui sont lourdes de charge, beters de sommes,  vives et costaudes ; nous dessinons des animaux sur les parois et ces animaux sortent de nos bouches, il s(agit d’une obsession ; nous deessinons des animaux sur des parois de grottes, nous les dessinons en transse, nous dessinons les mots qui passent par notre bouche et ces mots sont des animaux et des lors il est naturel que ces mots viennent à se graver sur roche devant nous et nous permettent de voiir venir, de repousser l’heure  fatidique , cette heure de notre mort, de la mort qui frappe en nous son maretau -piqueur, qui hurle en nbous son cri de bete , qui renackle et râle en nous comme une pute, comme une saleté, cvomme une m... ; nous essayonsde tenir bon et laxla ngue animalière un temps nous le permet ; njous tenons un temps le temps ; nous le tenons autant de temps que nous pouvons, nous essayons de tenir le temps le plus possible et ce n’estpas si simple , et du coup nous é-crivons des mots, sur les murs, sur des toiles, sur des feuilles, sur des feuille»ts, partout où nous pouvons ; nous marquons ; nous écrivons des choses sur des parois, sur des roches ; nous avons des craies, nous avons des torches, des pigments, nous avons des couleurs pour nous, toutes les couleurs, les plus vives, les couleurs qui en imposent , qui puissent faire accroire etc, à la mort en nous qui frappe, que cette chose offerte sur pierre d’offrande ou sur oparoi de roche est de la vie , de la vraie vie, de la vie dans ce qu elle a de plus en vie en elle, une vie vive , une vie encore en vie etc alors qu il  n’en est rien et que nous faisaons mine de montrer de nous une paert vive quand il ne s’agit en vrai que de la mort du temps poassé, etc, le nôtre,  notre temps passé, ce temps derrière nous, ce temps qui ressemble fort à la vie mais qui n’en est pas : ces signes, ces dessins , ces grigris, des sign es kabbalistiques, ce sa bir de mots masqués, ces mots -bêtes ou mots-animaux, ces gravures etc ; tooute cette cghose gravé»e ou dessinée pour faire accroire etc ; pour faire semblant ; cette semblance, à visée de tromperie sur la marchandise etc ; nous tenons ainsi acco ;lé au temps,et le langage est la colle qui nous permet uine fixation qui piusse tenir sur la longueur, et nous «prions» que cette chose (de la fixationn) ait une durée assez longue , une durée qui nous puiisse voir venir en,core et toujoures, sur notrec hemin , aller plus loin si possible encore un peu, nous projeter ; nous avons une paroi pour cela ; nous avons deux mains pour cela, deux mai nn et demain ; nous essayons de nous projeter et c’est ainsi que nous nous retrouvons dessiné (animaliers) sur une paroi de grotte , car nous sommes pétris d’animùaux en  nous, nous en sommes pétris c’est à dire qu en nous l’an,imal est incorporé, il s’agit d’un anuimal incorporé et rien de plus ; nous sommes pétris d’animzaux en nous cvzar nous sommes intérioeurement envahis par des betes entrées en nous (par quel moyen ?) et qui chercheznt (pâr la bouche) à sortir de nous ; njous sommes pétris, nous cherchons à graver la bete sur laroche, la fixer ; nous sommes remplis et pétris, et bnous parlons cettre langue a niumalière, sous la pression de cette chose en nbous qui va ruant dans les brancardfs, et cette chose est buffle, est bison, est sanglier, est une bete de somme etc : elle pousse et troue la joue et vien (mot) s’inscrire sur une paroi, une feuille de papier, un tissu, de la terre glaise etc : un support ; nous avons pour nbous cette langue en nous qui nous permet de voir venir et de repousssrv l’échéance (une chance) ; nous tenons bon et nous n’hésitons pas car la main est tenue qui dessine le rhinocéeros ou l’an,tilope ou le bouquetin, nous sommes sous le hhjoug ou l’emprise (les deux) et nous marquons ce semblant de vie à mesure que nous avançons sur ce chemin, sur la voie que nous traçons avec nos pas, sur le chemin qui est le nottre sur laterre mère ; nous dessinons des betes ; nous dessinons des choses de type grigris ; nous aimons dessiner des betes, et dé jà tout court nous aimons dessiner, il est plus favcile de dessiner que d’écrire des lmots, et c’est ainsi que nous dessinons des animaux-mots, nous deessinons ce que nous savons et nous savonsles mots-animausx et voilà poiurquoi c’est eux en priorité que nous dessinons, nous dessinons des betes sur les parois, les parois sont des supports fiables, nous les dessinons à la queeue leu leu ;,  n ous dessinons des cohortes ; nous aimons les sezrepentins, les rubans, les nuées ; à dire vrai nous raffolons desz nuées, nous les adorons, nous les aimonsfollement ; nous adorons les  nuées, les cohortes, les serpentins, ; les vrilles, nous aimons car nous avonds en nous cet amour qui est (de nous) cette chose en dur qui fait face et fait figure ; nous aimons les vrilles qui partent de nous (de nottre bouche) et vont se perdre dans le vide (?) intersidéral ou bie,n dieu sait où ; njous aimons les ribambelles, les coohotes, les floppées, les nuées, les rubans, les serpentinsqui partent de notrte bouche et forment une sorte de langue longue, qui se perd, de langue du genre ruban, du genre qui se perd, une sorte de bec , ou bien une sorte de chose alloongée qui sort de nous comme un manchon , qui de nous sort comme une vrille etc, une plante, une tige etc ; nous avons qui sort de nous cettec chose d’une tige etc ; nous avcons qui sort de nous une tige etc et nous aimons cela, qui sort de notre bouche, comme une queue, un bec, une tige, une ribambelle de choses (boeufs) agglutinés qui formen,t flot, quyi forment flux, floppée, nuée, etc ; et nous voyons, cette langue qui dessine, qui s’inscrit, qyi vient a-envahir à présent les parois du temps, et fait que la mort (son heure) est repoussée, encore une fois repoussée et nous en so:mmesz heureuxd ; nous ne voulons pas (en nous) encore de la mort pour nous ; nous tenons , nous faisons face, nous essayons dee tenir, nous esswayons de faire face et bonne figure , et cela en trichant, en faisant passer les vessies pour des lantezrnes , les vessies (les mots) pour les lanternrze (la vie) et ainsi colmatezr, repousser les échéances  et tenir encore un peu sur le chemin de vie, de la vie, de cette vie qui est notrte vie ici en propre ; nous tenons ainsi, nous essayons du mieux que nous pouvons et pour cela nous essayons de faire le plus ressemblant à la vie possible ; il s’agit dxe cela que nousappelons art, un art de faire cette chose comme sil se fut agi de la vie en vrai ; njous essayons de faire cette chose de faire semblzant avec nos mots-animaliers, qui s’imposent (transe) depuis nous qui sommes envahis par une sorte d'obsession qui ne nous lache paz (comme toutes les obsessions ?) : esprit, spiritu, esprit de la roche, esprit de la roche du temps etc ; nous sommes pétris, nous sommes pitreees,  nous sommes pétris, nous sommes pitres ; nous sommes qui dessinon,s en transe ces mots, ces mots animalieers, sur la roche , sur la paroi ; nous tenons le coup, nous ne nous laissons pas démonter par la mort, nous essayons de lui tenir tête (cap) et ainsi laissons cette chose d’un dessin de cap ;  nous donno,ns ce qui en nbous nous envahit ; nous offrons c e qui en nous envahit notre être, nous ne pouvons aller contre car nous sommes envahi, nous ne pouvo ns contrecarrer cette chose , ce t a-renvahisdsement, cette obsession en n ous, cette brulure ici du temps, que nous déposons sur table d’offrande (à l’horizntale) et sur paroi de roche (à la verticale)  ; nouys ne pouvons aller contre, nous sommes soumis, nbous sommes sous l’éteignoir, nous sommes mis sous l’éteiignoir de cette chosec animalière (lzangagière) en nous, qui nouys tient les mains qui dessines nt, et celkkes (aussi bien) que nous apposons sur la roche, à même la pierre et que ou dont nous faisons le contour etc ; nous avons des  mains à appooser, nous apposons ; nous posons nos mainssur la roche, nous dessinons autour, nous sommes sous le hhjoug, nous sommes prids en nous d’une frénésie qui nous pousse à  ;l’action , et ce faisant nous  tuons dans loeuf toute veélléitécguerrière en nous qui seraiyt l’oeuvre de la mort perswonnifiée, celle qui est en nous et qui pousse en nous pour nous empecher d’aller de l’avant ; nous posons à la vezrticale et à l’horizontale, nous déposons à la verticale et à l’horizontale : les deux ;, les deux choses : à la verticale et à l’horizontale ; nous posons ces chose  de ces d eux -façons, nous posons à plat sur roche et à pklat sur sol ou table ; lza table étant un sol ;suréléevé comme tapis volant etc ; nous déposons nos mains ; notre temps, sur ces supports de temps ; nous posons nos mains sur la paroi du temps, elles tiennent le choc du temps, elles tiennent bon, il s’agit de mains quyi tiennent, qui ont de la tenue, qui sont fortes, qui sont des mains renouvelées, qui sont des mains qui sont mains du temps ; nous avons des mots en bouche et ces mots sont des betyes (des troupeaux de betesq) qui sortent de  nous et filent au-devant en des sortes de serpentins de betes aggultinées qui forment filin, qui forment fil, qui forment filandre , qui foerment un fil qui va son chemin devan,t nous, qui file vdevant nous, au devant de nous former filin, filandre etc , et va de l’avant ; nos mots sont de type animalier et filent au devant de nous pour former filin, fil ou filandre etc : un chemin sinueux, un serpentin, une nuée qui va loin se perdre dans l’espace du devcant xde soi ; nous avons en bvoucxhe tous cesanimzaux quyi sont notre obsession, qui sont cet envahissement dont nouys sommes lk’objet ; nous avons en nous des mots qui sont des imahges d’animaux qui cxhargent, qui pèsent, qui le «font» ; ces animaux qui sortent de nos bouches sont des mots que nous employonbs pour coller au temps mais cela bien malgré nous qui sommes pris d’assaut et ne pouvons  nous mettrree en face et casser la chose, rien du tout : nous sommes forcés, comme une porte est forcée etc:, nous ne pouvons contrecarrer et c’est ainsi que nous sommes soumis à cette chose quii est de dessiner sur les parois autour de nous tous ces animaux qyui sortent de  nous comme les mots d’un langage inculqué et contre lequel nous ne pouvons plus  opposer quoi que ce soit ; njous sommes sous l’emprise d’une langue en nous (animalière)  qui  nous sauve des a ssauts répétés en nous de sieur ou de dame (les deux ? ) la mort, de sieur et dame (ce couple) la mort ; nous ne savons pas, nous disons qu il s’agit de cette chose, nhous disons que la mort en nous ghrignote et nous pousse à nous livrer à elle illico presto (cela en nbous) et nous de renacler plus d’une dfois et de nous soustraire à ses griffes, de nous y soustraire en continu via cette action que nous menons, qui est gravure sur paroi du temps dfes mots appris (inculqués) du langage animalier ; nous agissons ainsi afin de nous soustraire, et ainsi faisant nous laissons notre cape (ces fresques) aux mains (lesq deux ? ) du temps qui instamment les prends par devers lui, nos capes, qui pre,nd notre cape et la conserve par devers lui (sur paroi) pour des siècles des siécles ; nous faisons aionsi ; nous faisons cette cchose , de laisser cette chose, cette cape (ce cap) aux mains (ici même) de nos poursyuivants, qui s’aggrippe à nous et n’atrttrrappent que (la cape du temps) etc ; nous laissons aindsi (pis aller) de nous notre cape (cap) du temps qui passe sur paroi de grotte et fait de fait son petit effet un  temps, un certain temps ; nous sommes ainsi qui faisons cette cxhose, d’une duperie, d’une rouerie, d’un semblant via la cxhose du temps, etc ; nous ne pouvons faire autrement du temps de notre vivant, nous sommes sous le joug, nbous sommes betes de somme, nous sommes (nottre eztre est) cette betye de somme que nous portons ; nbous sommes porteur en  ous d’une bezte de somme et ne pouvcons faire autreezment que de la déposer devant nous, comme étant la vie en nous alors mêlme que cetee bete de vsomme (ce boeuf) n’est jamais que le temps présent en nous, offrande de nous qui brûle en n ous comme un holocauste et rien de plus pour le moment, passez muscade ! la mort : la mort ? passerz muscade !, ; nous avons des mots -animzaux ; il s’agit de pré langa ge, babil ; nous avons avec nous des mots -anioamaux, nous ghravons devant nous des:mots animaux et celà est qui fait illusion un temps et ce temps de l’’illusion est tres exeactement le temps, c’est à dire le temps qui est notre temps de vie ; nous ghravons devant nous (loopîngs) des betes de somme ; nous déposons devant nous (loopi ngs) des betes de sommexs: sur table d’offrande, pierres, ou à =même le sol ; nous faisons de cette façon qui est cette façon ici qUE e nous connaissons car c’est elle qui nous a été inculqlqué da,ns notre enfance et ainsi nous l’avons comme en nous qui surnage et s’accroche à la roche en nous , à laroche (laparoi) du temps en n  ous, ce temps qui tient debout comme une roche, du fait que les mots inculqués la soutiennent, la portent, car les mots portent (soutiennent) le temps ; les mots en nous inculqués, appris, tienent la paroi, la terre, le temps de sa (propre) vie sur terre ; nous porton le temps (la roche du temps) avec nos mots animaliers ; les mots sont fixés comme bete de somme au hjoug du temps, et c’est ainsi que l’ensemble se tient debout et ne flanche pas de sitot ; lesq mots inculqués sont indélébilles et font ici venir le temps pour nous devant nous : pierre d’achoooepeement ; nous ne pouvons lacxhezr en chemin les mots (animùaux en n ous ) inculqués : ilsd sortent de notre bouche et vont se graver sur paroi ; mais en  nous il en nait continueelement , qui entrent et sortent en nous en permanence : souffle de la vie en nous, esprit, spiritum, anima, âme du monde, soufflerie perpétuellec, mots-aniamaux a-e n  nous qui tiennent l:e tout du temps devant nous et nous permettent ainsi, étayant l’ensemble , de tenir deux bous ts : celui de notre naissance et celui de notre mort, les deux bouts (soi disant) de notre vie sur terre ; et ainsi nous tenons debout grâce à l’emploi, inculqué en,  nous (indécrottable, indélébbile), d’un langage verbal, de ce verbe animùalier en nbous qui jamais ne cesse de sortir de nous  ; njous sommes munis, nousqsommes armés, nous sommes outillés, nbous sommes achalandés ; nousq avons ce qu il faut en maga sin : mots en nous gravés, pour une tenue franche d’une paroi (en dur) du temps qui va son chemin, et fait ses sortes de loopings  pour nous, qui sommes ses obligés, ca r en  nous la langue est figée qui ne peut etre mise de côté c’est à dire oubliée ; nous sommes des betres de sommme ; nous marchons commùe des betres de somme ; nous parlons une langue animalière, ; nous parlons tous une langue animalière, et cette langue est une langue de somme ; nous avons en nous (indeéboulobnable) une langue animaliè!re, et cette langue est une lmangue inculquée c’est oà dire enracinée, une langue dont nous ne pouvons pas nous détacher et c’est ainsi, grace à cette emprise en nous , l’emprise de cettec langue sur nous, que nous pouvons tenir à) laparoi du temps, à cette roche du temps, à ce rocher du temps (la terre, la planète tezrre , ) et ains-i repousser en nous les assauts de la mort qui est en nous, qui est à l’intérieur de nous un hurlement, un e saleté, un gros mot si vouds préférez ; la mort est en nous une insulte proférée, un cri , un e insulte hurlée en nous, qui cher ccxhe à nous déstabiliser, à nous faire soretir cde nos gonds, nous sentons en nous trtès fort ccette chose ; il y a en  n ous la lmmort qui nbous insulte en nous hurlant dessusu et qui de la sorte essaie de nous pousser à bout, à cet autre bout de la vie  ; la mort nous crie dessus, nous donne ainsi ses injures, tous les noms d’oiseaux possibles, elle essaie en nbous de nous déstabiliser en  noustraitant de tous les  noms d’oiseaux possibles et imaginables, elle essaie cde nous mettre à bout, elle essaie de nous fgaire sortir de nous, elle essaie de nousfaire sortir de nos gonds et perdre pied, et ainsi de nousfaire chuter ; et nous de tenir bon le plus possdible, via les mots-animaux en  nous inculqués, nou essayons de tenir bon tout du long le plus longtemps possible, en nous plaquant aioinsi contre le temps, contre la paroi en dur du temps, contre cette roche du temps, ce roc ; nous essayons de nous plaquer (main négative, corps animal en entier négatif , notre corps) au temps, à cette (donc) paroi du temp^s qui nous fait face, notre face, nhotre front, notre devanture, notre chance, notre pazroi en dur comme temps en dur pour unre sorte de durée en dur etc ; nous essayons de nous plaquer ainsi collé sur du dur qui nous soutienne, qui nous tienne un temps, le plus long temps possible ;, ainsi plaqué s le plus long temps possible ; nous voulons de ce pl ;acage, de cette chose plaquée de nous et les mots ici sonrt des animaux ; les mots sont des animaux qui sont représentés, et sont ceux qui peuventt nous tenir ainsi collésau temps ; les mots sont cette colle qui nous sert pour nous faire tenir plaqués ; les mots sont des aniamux dessinés au mur et qui nous cvollent à lui comme des morts de faim à une vitrine ; nous collons à la paroi comme des ventouses, nous sommes des betes de sommes ; nous sommes des betes de somme qui collons à la paroi dyu temps ; nous sommes représentés ain si collé à la paroi du temps, en galerie, en grotte, en cavernes etcx ;: nous sommes hommes et femmes des cavernes qui parlons notre langue animalière entrte nous et nous nous cvomprenons pour un salut du temps (de vie) le plus long possibvle ; nous renouvelons et renouvelons lkes offrandes ; nousessa yons de renouveler et de renouvel ;rer si possible les offrandes afin de faire ici durer en dur le plus long temps possible notre temps de vie ; la paroi est le temps ; les mots sont des animaux ; les animaux sont des mots ; le lmangage eswt une colle qui se fixe au temps et permet de le faiore pour le coup tenir en dur, en durée, comme une roche, comme de la pierre ; le présent est le cvadeau offertt, ce cadeau du temps, c’est à dire du verbe ; nous allons a insi par des chemins de traverse pôur blouser la mort avec le temps de vie qyui n’est pas le temps de la vie en soi, ou plutot qui n’est pas la vie en soi mais seulement une durée, une dureté, la terre mère : la paroi de grotte, l’art paréieétal ; nousdessinons notre temps de vie, nbous blousons, nousfaisons mine, nbous grimaçons pour tromper la mort, et cela dans notre sabir ou patois que nous échangeons entre nous, et que nous seuls (entre nous : notre église) connaissons ; nbous nous amusons de noptre patois, et ce patois nous permet de coller au temps comme un animal à une paroi pour ll’homme xde né»andertal ; nous p^laquons, nous nous collons à la paroi, nous sommes des betesde somme ; nbous nous plaquons à la pa roi (à la roche) du temps , et nous tenons ainsi un temps a ccolé, nous profitons de l’aubaine, cette chance nous est offerte, nous a vons des mots inculqués en nous pour notre aubaine car ainsi npous pouvons tenir en vie debout ; nous tenons les deux bouts, nous tenons debout, nbous tenons par les deux bouts, nous tenons, nous sommes en vie, nbous restons en  vie ; nous tenons ainsi debout grace aux mots appris dans notre petite en fa,nce et c’est grace à euxw que nous restons envie ca r le temps est tenu ainsi, qui nous permet de voir venir et de tenir bon, un temps, face aux assauts (répétés) de madame ou monsieur (personnifiée) la mort, en nous la mort ; ezn nous cette mort qui frappe : il s’agit d’une insulte, il s’agit d’une insanité hurlée en nous ; nous avons ezn nous une insanité qui nous est continuellement hurlée et qui cherche par tous les moyens à nousdéstabiliser et nous faire chuter et à cela nous opposons notre langage patoisant, qui est langage animaliezr, le lan gage-bête de somme, langage inculqué et par conséaquent inséré enn profondeur, teznant bon et qui nous donne ceette assisse ou assiette terrestres dont nous avons besoin pour vivre, pour aller notre chemin de type serpentin ; nous cvontinuons ainsi, grace en nous à ce serpentin , à cette chose qui sort de notre bouche , ce chemin de mots-animaux, cette langue animalière inculquée et indébou ;lonable, et$c, cette langue (cet organe langue tout aussi bien) que nous tirons pour fair la nique, pour niquer, pour nnbous moquer et passer outre, poure aller cxhemin et poursuivre notre promenade sur notree chemin ;

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16/04/2020

nous sommes des enfants qui nous amusons, nous sommes des enfants qui nous plaisons à chercher des trésors ; notre enc-vie est une envie de découverte, nous sommes des enfants qui nous plaisons à découvrir ; nous sommes dans un bois, nous aimons les bois ; nous sommes dans un bois, nous cherchons une entreee de grotte ; nous sommes deux enfants , nous sommes des (deux) enfants ; nous avançons à pas comptés dans la forêt, dans les champs et dans les prés ; nous marchons cote à cote ; nous allons pour nous rapprocher de la grotte, nous y sommes presque ; nous aimons les grottes et en général toutes les formes qyui sont des secrets ; nous sommes entrés dans la grotte, nous nous avançons conjointement ; nous sommes entrés dans la grotte, nous nous faufilons à l’intérieur ; la grotte est cet endroit que nous aimons et dans lequel nous nous réfugions souvent ; il y a de la place et des trésors à découvrir ; en règle générale nousc aimonds beaucoup les grottes (les enfdroits secrets) et les trésors ; nous aimons beaucoup nouds réfugier à l’abri ou à l’écart du monde bruyant, et ainsi nouscretrouver ici, sous les peintures des chevaux, des buffles etc , qui sont au dessus de nos têtes ; nous nous plaisons ainsi à nous calfeutrer, à nous protéger, à nous retirer, à nous mettre à l’écart du monde bryuyant, à nous immiscer dans pareille faille à même la roche ; nous avons beaucoup de plaisir (entre nous) à agir de cette façon et nous entrons souvent dans cette grotte que nous connaissons assez bien à présent, retrouver les peintures pariétales, les gnous, les bisons, les antilopes, les rhinocéros, les  buffles, les mammouths, les chgevaux, les ours des cavernes ; nous aimons beaucoup les peintures pariétales, nous les approchons avec nbeauccoup de plplaisir, nous aimons beaucoup les peintures des hommes préhistoriques, les choses incroyables du passé ancien, les secrets en règle générale, les trésors cachés, les choses à découvrir, les choses à révéler, les trouvailles, les découvertes sur le monde ancien, les ci vilisations englouties, les trésors des cavernes ; nous aimons tout ce qui ressemble de près ou de loin à un secret ; nous aimons tout ce qui ressemble de pres ou de loin à  un trésor caché ; nous aimons cce genre de chose énormément, et nous aimerions nous mêmes être à l’origine d’une découverte ; nouds aimerions beaucoup découvrir quelque chose de la vie, comprendre les choses de la vie de façon assez profonde, ou d’une maniière qu on puisse se dire que nous sommes comme à l’origine d’une découverte inouie sur les ressorts caché d u monde, ou du moins sur un, sur un des ressorts, sur un des ressorts cachés du monde : le mettre au jour, faire pleine lumière sur le ressort, essayeer autant que possible de faire la lumière sur un quelque chose des secrets du monde, des secrets que recèle le monde qui nous encvironne ; ah si seulement nous pouvions découvrir (pour nous déjà) un mystère concernant ce que c’est que la vie et la morrt ; et dejà s’il est juste de parler en ces termes de la vie et de la mort ; car à présent nous avons de gros doutes, nous avons pasq mal de doutes ; nous sommes pétris, farcis ou remplis de doutes, nous avons beaucoup de doutes en besace,  dans notre sacoche, dands le sac : nous sommes plein de doutees concernant certaines choses qui relèvent de questions aussi importantes (primordiales) que celles concernzant la vie et la mort , etc, sur la terre ; nous sommes farcids de doutes, ; nous sommes pleins de ces doutes (en nous) qui vous font tanguer or nous nous ne voulons pas tanguer, nous voulons tenir droit, tenir debout, nous voulons rester dressés, nous voulons rester dans une position érigée, droit comme des i ; nous voulons tenir et ne pas tanguer, telle est notre volonté, nous voulonds tenir et pouvoir parler sans avoir à mettre en doute l’ensemble des choses dites qui sortent ou sortiraient de notre bouche, nous voulons pouvoir parler entre nous sans souci auttre que celui de formuler des mots entre nos lèvres, pour un échange, pour un jeu partagé ; nouds sommes nous comme embêté car le doute a tot fait de nous assaillir et ce n’est certe pas ce que nous voulions pour nous, mais tout au contraire : du jeu, du bon jeu à partager en souriant, de la belle et bonne humeur et non point une tete d’enterrement devant chacun des mots sortzant de bouche, oh non certe pas cette chose, c’’eest sûr ; ce que nous voulions pour nous ne ressort pas de cette chose triste en soi , qui voit les mots etre prononcés sans réelle et profonde conviction, et cela car le sens des mots pretent à caution, ou comment dire cette chose comme quio le sens dees mots a du plomb dans l’aile ? ; nous sommes ainsi ensemble dans une grotte, nous avons une ambition qui est celle de percer un secret de l’univers (un des secrets) et ainsi de voir clair sur ce secret, ou bien de voir mieusx, d’etre enfin éclairé, plus intelligent ou plus voyant, ou pls avertis ; nous avopns bon espoir d’y arriver un jour et ainsi de comprendre ce qu il en est de la vie et de la mort, de quoi s’agit il, de quoi il en ressort, ce qu il en ressort, pourquoi ces choses, et d’abord est ce que les mots peuvent suivre etc ; nous nous essayons dans de ces échanges verbzaux qui nous amusent et nous poussent à réfléchir sur le sens des choses ; nous voulons comp^rendre c’est à dirre opercer, crever, passer à travers, fidssurer, ouvrir une brèche, casser en deux, etc, le monde afin de comp^rendre enfin ce qu il en est des choses de la vie et pourquoi on parle de mort, de vie, de douleur, etc ; nous avons  cette envie en nous, nous sommews tres  motivéés pour cette chose, nous voulons comprendre les ressorts du monde, les arcanes, les choses cachées les mettre à jour, ou au jour, les placer sur le devant de la scène, nous voulons placer les choses cachées jusque là sur le devant de la scène et enfin comp^rendre le monde : ce qu il est ; nous ne savons pas grand chose et nous avons pour ambtition d’en savoir plus ; nous connaissons quelque vocables, quelques expressions, nous connaissons quelques mots du langage humain, nous avbons en nous cet apprentissage inaltérable (a priori) et nous essayopns de voir ce qu il en est de cette chose, d ces vocables, leur utilité en ce qui nous concerne, qu en faire et comment les utiliser afin de mieux comprendre les choses du monde ; y a t il un emploi du la,ngage qui serait en soi plus efficace pour une plus grande copmpréhension des choses ?  ; nous nous posons la question, nous avons des doutes, nous nous posons cette question en effet car nous avons de gros doutes, nous nous disons que non, les mots du langage ne peuvent pas aller jusque là, jusqu à expliquer les choses (ressorts, arcanes) secrètes, il nous semble que cela n’est pas possible, il nous semble que cette chose est un leurre et que les mots nous entrainent dans une sorte de compétition ou de surenchère tres certainement (dans une sorte de course à l’intelligence) mais que cette chose, cette surenchère etc n’est pas juste, ne correspond pas à nos attentes, ne répond pas à notre envie de découverte en soi, ou de découverte pour nous, pour une clarté, pour une clarté qui soit une réponse ; la réponse aoppooprtée par une intelligence n’est pas la clarté ; la réponse apportée par la raison n’(est pas à prop^rement parler une clartté définitive et définitivement intégrée ; nous cherchons à trouver une entrée de grotte, une fissure, une faille dans laquelle ou à travers laquelle nous immiscer, nous cherchons mordicus à trouver une faille dans l’intelligence, dens cette chose dite d’intellige,nce, nous voulons commpprendre et entrerr plus avant dans un e clarté, dans la vbision, dans le pouvoir d’une vision ; cela n’est pas trop possible peut etre et cependan,t nous cherchons ou recherchons cette chose, ce pouvoir d’y voir, cette chose d’un pouvoir d’y voir, d’y voir plus et mieux les choses du monde ; nous avons pour nous un langage et ce langage nous le manipulonds entrte nous ; pour quelle finalité ? eh bien nous le manipulons pour nous pour cette finalité qui est celle qui regarde vers des sujets tels que ceux qui concernent la mort (par ecxemple)  : ce qu il en est de la mort, ce qu il en est du temps, etc ; nous explorons à notre façon (avec des mots apppris) des pans entiers de la vie des termes, nous expl ;oreons à notre façon des pans entiers de la vie des vocables accolés, des mots mis ensemble, des pans complets de textes mis bout à bout ; nous sommes des chercheurs qui essayons de fracturer quelque chose en parlant avec les mots qui sont ceux que nous avons acquis au passage ; nous essayons de casser la tirelire des mots ; nous avons en  ous pas mal de vocables appris, inculqués et emmagasinés, et ces vocables nous essayons de les bousculer, d’une manière ou d’une autrte, pour voir (devant nous) ce qu ils ont à nous dire (révéler) sur l’origine du monde et de la vie humaine ; nous voulons savoir et pour ce faire nous cherchons à trouver une faille, une fissure ; nous sommes dans une grotte pour cette raison , nous mettons nos mains à plat sur une des parois rencontrées, nous plaquons nos mains, nous dessinons autour des mains, nbous avons une envie qui est celle de comprendre, de cerner, de percer, de fracvturer, d’ouvrir, d’ouvrir une porte, un passage, une possibilité etc ; nous avons en n ous des mots inculqués et cette course en nous vers le raisonnement, vers la vérité raisonneuse, etc , et l’autorité des vocables etc, cette autorité du vocable, porté par lui (tout seul) qui nous fait dire des choses toujours péremptoires alors même que nous ce que nous voulons était simplement cette chose : d’aller vers cette paroi apposer nos mains et tracer autour et comprendre le pourquoi, ,pourquoi cette chose etc ; nous sommes réunis dans une grotte pour cela, nous nous réunissons dans des grottes ,n, ici ou là, pour cette raison : nous voulons en découdre avec un cerztain emploi inefficace (tournant à vide) du langage de la raison raisonneuse, nous cherchons à comprendre le pourquoi du comment ces mains négatives, ces bisons et ces buffles, ces charges pariétales, ces cohortes etc, alors même que nous , nous trouvons que le lan,gage porte en lui des charges non point pâriétales mais péremptoires etc ; qu en est il de ce péremptoire du langage ? nous disons péremptoire pour dire quelqque chose, maids il n’est opas sûr ici que ce mot de péremptoire soit le mieux choisi pour signifier ici ce que nous avons à dire, nous disons le mot péremptoire mais rien n’est moins sûr concernant le bien fondé (de notree coté) d’une utilisation pareille de ce vocable en particulier ; nous disons que le langage est le langage de la foi dands le lmangage, car le langage est un lan,gage inculqué c’est à dire en raciné, et que  la foi est quelque chose d’enracinée, la foi est quelque chose qui déborde l’etre et un point c’est tout ; la foi en cette chose du langage est quezlque chose qui fonctionnne sans que même nous ne puissions aller contre ; nous pouvbons dire ce que nous voulons, nous pouvons même dire le contraire, il n’empaeche qu ezn nous il y a cette foi qui préside à toute assertion  ; à toute parole qui sort de notre bouche ; parler c’estt ass»éner, c’est faire preuve d’une autorité, c’est croire ; parler c’est faire preuve d’une autorité inhérente au langage et c’est croire intrinséquement à des sens véhiculés par les mots inculqués, un point c’est tout ; parler c’est croire , et comme parler ne peut pas etre une chose que l’on peut soustraire d’un coup d’un seul, comme parler, dire des chosees, n’est pas une chose que l»’on peut soustraire ainsi d’un coup de baguette magique, alors parler contient en lui même ce pouvoir de dire des choszes sensées etc, qui renvoient à une croyance en des significations, en des définitions, etc ; la parole (le langage) véhicule alors des significations auxquelles nous portons crédit et dès lors nous croyons, nous sommes pétris de foi, et des lors nous pouvons dire que la parole ou plutot le langage est un langage de foi, que tout langage est un langage de foi ou de la foi en lui même et dees lors nous pouvons dire que parler c’est croire au langage, doonc c’est croire en quelque chose, donc c’est ici que se loge la foi dont on nous rebat les opreilles ; nous avbons en nous dees mots que nous voulons placer (plaqués) sur une paroi, l’inscrire là, marquer là nos empreintes (mains négatives) et nous faisons cette chose ensemble : nous sommes deux ; nous mettons nos mains sur la paroi, sur la roche, le roc : njous plaçons nos mains à bonne hauteur sur la roche, sur le roc, sur la paroi ; nous disons la foi pour dire la croyance pour dire le roc et la paroi : nous posons n,os mains  ; la main est cette foi en  ous que nous n,ommons la foi dans le langage  ; nous nommons la main ; nous nommons le lan,gage, et nous accolons la main et le langage et ainsi, nous avons le produit de notre addition, et ce produit est le temps : main + lan,gage = temps et c’est lma raison pour laquelle nous posons nos mains péremptoires sur la paroi et dessinons autour d’ellesz ; nous dessinons avec application ; nous y mzettons notre coeur ; nous mettons tout ce que nous avons en termes de richesses intérieuresq, nous voulonbs mettre tout ce que nous avons en n ous mêmes en termesc de richesse intérieiures , dans cette chose d’une main négative péremptoire ; nous apposons et nous déposons, nous posons devant nous  : nous pro-posons, nous présentons, nous mettons sur un devant cde scène une chose qui nous tient à coeur : le coeur ; nous mettons le coeur à l’ouvrage, nous posons notre coeur sur lma table, sur cette table des ooffrandes, nous déposons notre propre coeur (?) sur cette table des offrandes et aussi sur cette paroi nue qui nous fait face ; nous donnons = nous offrons := nous posons notre coeur ; nous avons une chose en  nous qui est la chose la plus chère et cetee chose est notre coeur ; notre coeur est la chose en nous que nous avons de plus chere, njous avons en nous une chose qui est la plus chere et cette chose est notre coeur, notre coeur est la chose en  nous que nous avons par deverds nous et qui est la chose la plus chère que nous ayons ; nous avons en  ous une chose chère, nous avons en  nous une chose qui est chère, qui est tres chère, en laquelle nous croyons beaucoup, qui nous porte, qui nous aide à vivre, qui est de tous les instants de notre vie et cette chose c’est cette chose que nous nommons coeur ; ,nous sommes pétris, nous deessinons des mains ; nous posons cette chose qui est notre coeur, le coeur à l’ouvrage, nous fondons bezaucvoup d’espoir sur cette chose, nous avons beaucpou d’espoir, nous sommes pétris d’espoir, nbous déposons le coeur, nous posons et déposons, nous mettons sur le cdevant de nous cette chose sortie de nous (un semblant de sortie, d’extraction ? ) et cette chose c’est lui, cette chose c’est le coeur, le coeur sorti de sa loge ou de sa gangue, de sa graisse, de son sac de graisse , de sa gangue naturelle ; nous avons ce coeur en nous, il est cette chose qui a le plus de valeur à nos yeux, nous le plaçons sur la paroi et sur la table ; nous posons ainsi toute notree richesse dans la balance, les mots qui accompâgnent pareille richesses sont des mots hurlés, s-ont des mots à forte intensité car il est important que tout marche ensemble et que l’aspct précieux de notree offrandre soiit accompâgné par des mots qui aillment loin en nbous et soit extraits comme on extrait un coeur de sa loge  ; nous dessinons les maions et les beters, nous avons plaisir et joie d’ainsi offrir, avec des hurlements de joie, des offrandes aux dieux qui nous entourent qui sont dieux des parois, etc ; nous posons des choses sur une pierre, soit de type table , soit de type mur ; nous posons ainsi, sur des sols, sur des parois, verticalement ou horizontalement nos coeurs déchirés extraits retirés saignants, qui sont nos cheretés de coeur en offrande, nous les déposons devant nous, nous sommes toujours vivant, cest cette chose que cela veut dire, cette chose comme quoi nous sommes toujours en vie, nous ne sommes pas morts, nous tenons le coup et nous sommes toujours debout, nous ne flanchons pas, nbous tenons sur nos peattes arrière, nous sommes droit comme des piquets, nous sommes dressés etc ; nous posons des choses cdevannt nous et espérons za t isfaire ainsi les dieux (les dieux ?) de la roche, du roc, de la paroi ; les dieux du monde qui nous entoure, environne, encercle ou enserre ; nous sommes comme nous sommes et cela va sans dire et cependant il semblerait que nous soyons pétris d’iinterrogations or n’est-ce opas là la plus grande erreure ? celle de s’interroger , comme si les mots servzaient à ça ! comme si les mots pouvaie,nt nous etre utiles en quoi que ce soit ! nous avbons une foi indécrottable et inaltérable en cette chose qu ‘est le langage et nous allons ainsi gaiement comme des enfants (chenapans) dands le lan,gage, da,ns le péremptoire ou l’au torité naturelle du lan,gage, la fleur au fudsil pour ainsi dire sans nous retourner mùais comment se retourner ; il est vrai qu il nous est impossible de nous retourner car comment voulez vous retourner le ,langage ? le langage n’est pazs une chaussette, qu on se le dise! ; le langage non seulemeznt n’est pas une chaussetee, mais en, plus de ça le langage est péremptoire, le langage est autorité, il dit des choses à l’»emporte pièce, il ne peut que cela (pauvre autorité) que de dire des choses à l’»emporte pièce, et les pièces changent au fil des siècles mais il n’empeche que la chose, en soi, ne varie pas et le lmangage continue toujours (il continuera toujours) à assener des vérités, à les accumuler au fil des siècles, à les avancer, les porter comme autant d’offrandes aux dieux du temps, aux dieux de la vérité du telmps, le langage assène et assénera car il erst en nous comme un membre , une jambe (une guibolle) qui marche presque malgré elle et assène ses pas sur la terre mè!re ; nous marchons et nous disons des choses en marchant : nous avons une auotritré n,aturelle, nous sommes pétris, nous sommes farcis, nous dessinons des bêtes, nous allons à travers les champs, qui en rigolant, qui en pissant, qui en parlant, qui en jouissant, qui en s’amusant, qui en pleuurant, quyi en maudissant, qui en hurlant, qui en chiant, qui en mangeant, qui en pleurzan,t toutes les larmes de son corps (ou de son coeur ?)  ; nous sommes pétris de sentiments, nous parlons à tort et à travers, nous souffrons, nous sommes vifs, nous sommes im matures, nous sommesverts, nous chantons à tue tete, nous disons des insanités en rigolant à gorge d»p^lo yée, nous portons des ailes, nous volons (voguons), nous pissons en chemin et mangeons des baies ; il se peut que le langage soit comme une jambe ; nous avons deux jambes pour marcher et en nbous dees mots inculqués, nous croyons en nous = en nos jazmbes il ya croyance ; nous avons en nous une croyance, c’est à dire dans nos jambes, c’est à dire que nos jambes croient, nos jzambesz ont en elles cette croyance qui les pousse à aller de l’avant, à bouger etc, et marcher ; les mots idem : ils sont en  ous et vont de l’avant pareil, porté par lea vie en nbous qui est cette chose qui pousse )à azller (allons -y) et qui nous porte (sustentation)  ; nous dessinons sur des toiles, sur des supports divers, nous créons des choses avec nos mains (nos mains qui tiennent) et ainsi nous avons de quoi pouvoir offrir en offrande sur un mur à la verticale ou sur un sol ou une table à l’horizontale: ces deux chosesc , sol ou mur, en gros ; nous sommes avec dans nos mains (dans le creux de nos mains) des choses ^par devers nous à devoiir (?) déposer devant nous à la verticale ou à l’horizontale ou de baiais ou n’impoerte comment, mais à depéoser devant, à poser devant soi, sur cette cxhose qui est ici ce plateau en dur, ce plateau des mille vaches etc ; nous podsons des choses que nous avbons en nous (en magasin) et ces choses sont des mains ; nous posons des mains devant nous, il s’agit de déposer des mains devant nous, il est important de déposer des mains devant nous, les mains sont desc mains et sont à déposer devant nous,, nles mains sont des mains d’enfants ou d’adultes et sont à poser sur des parois, par exelmpe sur des parois, sont à dessiner, avec des marqueurs , avec d la cenndre, avec des pigments etc ; njous avons des mains à dessiner au devant de nous et ces mains sont des mains de nous c’est à dire des mains d’enfants, car nous sommes des enfants et nous dessinons devant nous des choses et ces choses sonrt des mains d’enfants, ces choses sont des mains qui appartiennent à des encfants, il s’agit de voir cette chose comme quoi ces mzains sont des choses, et ces choses sont des mains et ces mlains sont le temps que nous inscrivons ainsi (almanach) sur des parois de grotte ; nous n’avons pas peur d’inscrire des mains sur des parois de grottes, car nous sommes  nous mêmes des mains, car nous portons en  ous des mains, car nous sommes mainset étant main nous pouvons nous plaquer sur une paroi et léopouser et ainsi etre paroi et glisser ainsi d’une idebntité à une autre, de nous (etre à bec ) à  la mùain et de la mùain à la paroi etc, nous n’avopn,s pas peur aussi car nous sommes à l’abri dans notre cachette,,, danns cette grotte que nous avons dévouverte nous nous sentons comme à l’abri, la grotte ici nous abrite et nous protège, nous nous sentons ici (à l’intérieur de cette fgrotte) en sécurité et nous pouvons nous laidssser aller, nous détendre car jusque là nous é»tions tendus comme jkamais et à présent que nous nous sentons à l’abri et au calme, dans cette grotte, nous pouvons eznfin voir venir et dessiner des choses sur des parois, dessiners nos mains par exemple, nos mains d’enfant ; nous sommes des enfants et nous pouvons dessiner nos m=ains sur lesq parois de la grotte, les mains se pretent bien à faire des dessins et c’est toujours amusant de faire cela, le tour des doigts avec un crayon, une mine quelconque, un marqueur, c’est toujours tres amusant de faire le tour des doigts, dela paume, de la main entière, la dsroite et la gauche, il ne faut pas oublier lmamain gauche, il faut faire le tour des deux mains ; il est important de ne pas oublier la main gauche et de bien faire , avec application, le tour des deux mzains, la droite et la gauche, surtout ne pas oublier de faire le tour des deux mains et ne pas en laisser (de préférence) une de côté, une pour compte ou plutot pour non-compte, une qui serait laissée ainsi de co^té comme ne comptant pas, une qui serait de la sorte ignorée et rejetée, une qu on mettreait sciemment à l’écaert et cela n’est pas une bonne chose ; nous devons veiller à faire le tour des deux mains et ne pas en laisser une à l’écaert, il nb’est pas bon et il n’est pas juste de laisser les choses à) l’écart ou de laisser des choses à l’écart ; il est impoortant de bien prendre en compte les mains dans leursspécificités et leurs particularitée ; la droite n’est pasla gauche ; il faut regarder les choses comme elles sont, les chosesz ne sont pas toutes pareilles, il y a de grandes différences entre les choses, nous sommes d’accord pour dire qu il y a de grandes différences entre les choses ;: nous ne pouvonspas dire que les choses soient équivalenbtes, nous n’avons pas le droit de dire que les choses sont équivalenbtes, il est bien évident que nous n’avons pas le droit de dire que les choses sont éqauivalentes, il y a parmi les choses des choses qui sont comme ci et d’autres qui sont comme ça, nous ne pouvons pas dire que les choses sont toutes lzes mêzmes ; on voit bien les différeznces entre les choses, une chose qui ressort des choses degauche et une chose qui ressort des choses de droite ; on voit bien qu il ne s’agit pas de la même chose, on voit bien que les choses en elles mêmes sont différentes entre elles, il n’y a pas deux choses réellzzment similaires, on peut le penser mais cela n’est pas  vrai ; on dit parfois que les choses se ressemblent or il n’en est rien, les choses sont tres différentes, il y a de grandes différences entre les choses, jamais deux choses ne sont pareilles exactement ; il n’y a pâs deux choses qui soient pareilles exactement, il n’ya pas au monde deux choses dont nous pouvons dire qu elles soient oareilles ; il est évident qu il n’y a pas au monde deux choses qui sioent pareilles, chaque chose est différentes ; il peut s’agir de différeznce minimes voire tres minimes il n’empêche que la chose est ainsi que jamais vous ne trouverez dsans le monde deux choses exactement égales ou pareilles, ça n’exisqte pas ; les choses ne sont jamais exactement pareilles, cette chose n’existe pas, il n’y a pas au monde deux choses qui soient les mêmes, ; bnvcvous pouvez cherchezr que vous ne trouverez pas car cela n’existe pas ; il n’y a pas au monde deux chose, deux mains, deux bras, deux buffles, deux bisons, deux phacochères, deux rhjinocéeros, deux antilopes etc qui soient pareils, qui soient exactement pareil ; vous pouvez chzrcher autant de temps que vous voudrez que vous ne trouverzrz pas deux choses exactement équivalentes ; aucun rhinocéros n’est exactement semblable à un autre rhinocéros p^ris au hasard, quand bien même les deux , à première vue, se ressembleraient beaucoup, en regardant mieux on verrait qu il y a de nombreuses différences entre kes deux betes pourtant apparteneant à unre même espèce ; alors bienn sûr uyn rhinocéros ressemblera toujours plus à un autre rhinoceros et non point à une gazelle , on est d’accord, et cependant je vous mets au défi de trouver deux rhinocéros dans le monde qui seraient réellement copie conforme, franchement, ma main à couper que cette chose n’ewcxiste pas ; il m’étonnerait que vous puissiez trouver, dsans le monde, au sein du monde, deux choses exactement équivalentes, je ne pense pas que cela existe , et cette cxhose que je dis ici vaut pout-r beaucopup de choses à travers le mond, vaut pour tout et toutes les choses à travers le monde ; le monde ainsi est parsemé de choses dissemblables ; et deux mains négatives sur une paroi ne se ressemblent jamais tout à fait, il ne s’agit jamais tout à fait de la même main ; il y a toujours de grandes (ou de petites) diffé»rences entre deux dessins de mains négatives, on peut s’amuser à les chercher, ; nous nous amusons parfois ; nous avons pour nous de l’amusement en réserve, nous aimons particuliètrement nous amuser, nousaimons plus que tout nous amuser, nous avons beaucoup d’appeétence pour l’amusement et pout le dessin ezn particulioer, et en particulioer pour le dessin desxmains négattives, nous aimonsbeaucoup cette chose ; nous ne sommes jamaids les derniers pour dessiner sur des parois, qui des animaux à taille réelle, qui des mains négativres, qui des signes kabbalistiques etc ; nous ne sqommes jamais les derniers pour dessiner desz choses sur du papier , sur de la toile, sur du bois etc , et ensuyite nous prenons nos dessins avec nous, sous le bras droit ou sous le bras gauche, pas de jzaloux, et nous alloons les déposer en galerie comme des offrandes, nous posons  notre production , nous la déroulons et nous montrons nos petits travaux ; et alors là surprise car le regard de l’autre , posé sur nos chgose, tout d’un coup modifie celui que nous avions nous, à part nous, dans notre atelier, sure nos oeuvres ; le seul nouveau rezgard posé sur des oeuvres encore jamais vues en dehoors de nous , -change sinon du tout au tout en tous cas beaucoup le regard que nous avions nous, à part nous , sur ces petites choses déroulées ou déposées ; ah mùisère ; nous nous sentons un peu honteux, nous avbons honte (un peu ou beaucoup) de nous, de notre production, nous avons un peu ou beaucoup ho,nnte ; nous avons en nbous cette honte, cette honte quyui nous monte aux joues et nous rougissons ; nous connaissons la honte, nous avons la honte facile, nous ne sommes pas en dehors de cette chose que l’on nomme honte, il est évident que la honte nous connait ; il est évident que la honte nous connait bien et n’est jamais en reste pour nous phagociter et nous monter aux joues comme la moutarde etc, comme le piment etc, ou le poivre parfois : la honte est en nous, elle n’est pas une chose extérieure à nous, elle est inséré comme le langage est inséré ou comme la peur peut etre ou commme la lymphe ou tout autre substance en cicrulation dans notre organisme ; nous pôuvons dire cette chose comme quoi la honte nous concerne au premier chef ; nous n’avons pas peur de dire cette chose, comme quoi la honte nous concerne au premier chef, nous sommes tres facilement honteux ; nous avons la honte (

la moutarde  ? ) facile ;  nous sommes vite rouges (incarnat) de honte ; vite fait nous devenons rouges ; nous avons tot fait de devenir pivoine, incarnat ; il ne nous en faut pasz beaucoup pour devenir pivoine ; la honte nous connait, ou bien la honte ça nous connait ; nous sommes facilement honteux de nous, de ce que nous faisons, ou de ce que nous produisons, ou tel que nous apparaissons ; ce n’est pas facile d’apparaitre ; il nb’estjamais facile d’apparaitre, de se mo nbtrer, il n’est ljamais facxile de se montrerr en public, de montrer son etre etc, il n’est jamais facile de se montrer en public et de faire part de ses choses à soi, de ses productions par exemple ; il n’est jamais tres facvile de montrer ce que l’on fabrique ou ce que l’on produit, on produit et endsuite on veut montrer et là catasrtophe : on se ramasse ; il n’est jamais super facile de montreerr ses prpoprres productions et quelqquefois on ferait mieux de ne rien montrer du tout , de bien s’en garder, et d’aller son chemin ailleurs, d’aller ailleurs se promener ou d’aller à la pisvine ou faire un tour dans la forêt ou tout autre activité moins engageante ou a priori moin-s engageante ; nous allobns parfdois dans la fotêt nous promenerr, car la forêt n’estxpâs loin de chez nous, c’esqt juste à deux pas, derrière, et il nous est facile de nous y rendre rapidement, il est évidfent que la honte existe ; nous habitons à deux doigts de la for êt ; il est évident que la honte est quelque chose qui existe, qui existe en l’homme, il s’agit d’une v&érité, nous la voyons à l’euvre dans cxes rougeurs dont nous faisons montre parfois : sur nos joues, dans notre exopression etc ; la honte est quelque chose qui existe et il faut savoir le reconnaitre, il existe une chose qui s’appelle la honte et il est important de croire en cette chose, on ne peut opas la sousestimer comme ça, ou disons qu on ne peut opas dire que cette cxhose n’existe pas ; on n’a pasd le droit de dire quye cette chose n’existe pas ; non , on n’a pas le droit de dire que ceztte chose n’existe pasd car elle existe bel et bien, il suffit de voir nos joues par vmoments ; nous parlons à tort et à travers, nous parlons en pensant dire des choses définitives, disons - nous des choses défiinitives ? qui dit des choses dséfinitives ? qui c’est qui dit des choses définitives ? y a t il au monde une seule personne qui ait jamais dit des choses définitives ? je je n,^pense pads qu il n’y ait jamais eu au monde une seule personne qui ait dit des choses que l’on puyisse qualifier de définitive, je ne pense pas ; je ne vpense pas qu il n’y ait jamais eu au mo nde une seule personne, quelqque soit l’endroit ou le moment pour cette chose, qui ait jamais prononcvé une paroile définitive, il n’existe pas de parole définitive, et celle ci (que je viens de prononcer) pas plus qu une autre  ; il n’existe pas dans le monde de paroles définitives, il n’eswxiste pas dans le monde de paroles réellement définitives ; existe t il dans le monde des paroles définytives ? existe til dans le monde des paroiles réezllement définitives, ; j’aimerai savoir,  j’aimerai savoir si positivement il existe dans le mlonde une seule parole définitive , une définition peut etre, une définition du dictionnaire, est ce cela que nous a ppelons paroles définitives ? est ce la définition du dictionnaire quye nous appelons pareole définitive ? nous aimerions le savoir ; nous aimerions sacvoir ce que c’est que cette cxhose que nous appelons entre nous parole définitive, de quoi s’a git il  ; nous ne savons pas de quoi il s’agit, nous pensons que ça n’exisqte pas, alors nous posons la question ; nous posons des qyuestions, nous avons beaoucp de quyestions à poser, nous faisons comme cela : en opposanbt des questions, pour nous en tirer ; pour nous en tirer ou bien pour nous en tirer à bon compte (?) nous faisons comme cela : en posant des questions, car une question ne mangze pas de pain ; une question ça ne mange pas de pain, nous pensons que le mieux encore est de opposer des questions et ne pas y répondre ; mais cela ne ma rxche pas vraiment car les questions induisent des réponses , et aussi car les questions sont (dans leur genre) des réponses etc ; nous l’avons facile, nous sortons de la maison et hop, presque tout de suite, nous sommes dans un bois, dansla forêt derrière, presque tout de suite nous sommesau grand air de la forêt, il n’estpas comp^liqué de voir cettezc chose, njous sommes les voisins de la forêt alorsq on l’a facile, on sort et on y est ; il n’estpas compliqué de voir cela, de voir cette chose, on peut vite s’en rendre compte, il suffit de pôinter le nez dehors, faire quelques pasd et vous y êtes, rien de plusd direct, enfantin , un jeu d’enfant pôur quelqun de valide ; nous sommes à deux pas ; nous sortonset nous y sommes, il n’y a rien de plus facvile, il est aisé de s’en rendre compte ; nous sotrtons de la grotte et là il y a la nature avec ses dangers de type animalier ; nous avonbs à chasser la bête (sauvage) pour nous sustenter ; nous devons trouver ,un bison , une antilpoe, un bufffle, un animal à tuer et à reamener pour le cuisiner (?) et le manger, à l’intérieur de notre grotte ; nous p^zarlons avec des m:ots appris, nbous avons appris beaucoup de mots au fil des ans, dans nptre enfance puis par la suyite, nous avons en nbous beaucoup de mots à pmouvoir prononcer sans honte ; il s’agit de mots quyi nous ont été inculqués de gré ou de force pendant nos années de formation, pendant notre enfance et aujourd hui nous pouvons les ressortir et nous en servir ; nous pouvons prononcer des mots (§les articulker entree eux) pour dire des choses sensées ; nous avons les moyezns de prononcer des mots et de créer ainsi des phrases, des phrases au complet, pour dire des choses sensées, ; il est évident que nous avons de qsuoi ; njous sommes munis, jouys avons de quoi dans notre petite sacoche intériuere personnelle ; nous avons en nbous tout un assortiments de vocables à pouvoir utiliser à l’occasion c’est à dire souvent ou même (presque) sans arret ; nous avons beaucoup de vocabulaire et aussi nous connaissons pas mal de tournures et du coup nbous poubnons faire (fabriquer) des phrases sensées, des phrases qui viennent en nous comme à notre insu : nous nous parlons m^$eme dans nos rêves etc ; ,ous avons pour nous cette possibilité de pouvoir fabriquer des phrases sensées et il s’agit même d’un quelque cxhose qui dépasse cette idée de possibilité car il s’agit en nous d’une chose qui va seule son chemin ou son bonhomme de chemin, et se moque bien de notre opposition à nous, ou de notre sentiment sur la question : les mots filent et fusentjusque dans nos rêves, soit en dehors de notre gouverne à proprement parler ; nous prononçonbs dees mots qui nous échappent c’est à dire qui écxhappent à notre contrô ;le ; nous disons des mots qui échappent à notre contrôl ;e, ou dit autrement : nous disons dees choses sensées quand bien même nous ne croyons pas tout à fait à ce que nous disons mais comment faire ? nous sommes baisés ; nous disons cette chose comme quoii nous sommes baisés par le langage et disant cela que disons-nous au h-$juste ? ; si je dis que nous sommes baisé par le langage alors cela signifie que le langage me baise, que le lmangage m’embrasse peut etre et même surement contre mon gré, il s’agit d’un viol ; nous sommes baisé par le langaaege disons-nous et disant cela, nous parlons d’un viol du langage sur notre personnne, mais alors commùent dire cette chose ? ; si le lmangage quye nous utilisons tous les jours, si lesmots nous violent, comment pouvons nous dire cette cxhose (d’un viol sur notre personne) , c’est à dire acev quoi le dire, avec quoi pouvons nous dire ce viol puisque les mots que nous avons en magadsin (en boutique) sont ceux là même qsui nous violent, alors il est impossible de dire le viol ou comment ? le dessiner ? pis-aller car le dessin contient le mot (de fait) à bas bruit, il s’agit comme de motsqui seraient chuchotés, il s’agit dands le dessin (dessin au sens large) de mots cachés sous une couche de peintures (comme un maquillage, comme du fond de teint, etc)  ; les mots nous violent et allez- y dire le viol avec les mots du viol (du violeur)  ; impossible de dire le viol que les mots font sur notree persopnne (assènent ou font subir)  ; il est impossible de dire le viol avec des mots care ce sont préciseément les mots qui nouds viol ;ent, azlors du coup nous voilà bien embêtés car nous bne savons pas comment faire et aussi nous voyons bien que nous ne pouvons pas envoyer valdinguer les mots comme ça, nous sommes baisés, il est difficile des lors de trouver une parade à cette chose ; comment faire , ; comment faire pour sortir de ce schéma là ? ; comment peut on s’-y prendre pour sortir (avec des mots )) de cette ornière car il s’agit bien sd’une ornière, comment faire et quelle ruse ou quelle aparade etc, quelle ruse adopter et quelle parade mettre en place ? nous cherchons  ; nous cherchons paretout, nous cherchons une solution, nous disons que la solution existe (c’est dejà ça de dit)  ; nous nous disons qu une solution existe, qu il y a forcément une solution, que la solution passe trtres certtainement par cette chose de jouer lle jeu ; qu il n’y a pâs d’autre solution que celle de jouer le jeu, en faisant comprendre l’immaturité de la chose que nous présentons par devers nous, ou comment s’y prendre ?  ; nous didsons que peutettre la solution passe par le fait de jouer le jeu du sens, de larecherche, de cette recherche par tamponnement etc, de cette recherche à coup de tampons etc, et que cette recherche avec des mots, ainsi tamponnés (les mots) montre des facettes qui sont celles de la recherche contre son gré, ou de sa recherche ou de la rechertche par défaut ou comment pouvons-nous nous exprimer sur lza question ? nous cherchons ; nous sommes des chercheurs, nbous cherchons des entrées de grottes ; njous avons pour ambition de trouver des entrées de grottes c’est à dire de mettre à jour dans le langage pas seulement des sens ou des directions attenan,ts à laphrase elle même, pas seulement un sens par phrase mais cette cxhose que nous essayopnsde faire est liée à un ensemvle qui en tant que tel mettrzait à jour des choses qui seraient des lors révélatrices d’une chose autre (derrière) que les mots en eux mêm:es (sens direct) ne diraient pas en toutes lettres aussi vite ou aussuii directement ; nous disons des chose dans un sens (premier) mais à la longue, à travers ces dires, des choses apparaietraient qui diraient plus ou mieux ou du moins autre chose, une chose qui viendrait des lors en plus dee ce qui était formulé colmme ça , dans un premier temps, pour parler, pour dire tout autre chosexau départ etc ; il s’agit de surmontée, de surnagement, etc ; on espère ainsi ; on se dit que la solution passe pâr l’emploi à escient du langeege, dans une sorte de rentre-dedans vert et jeune, pâr une sorte de furie jeuniste, par une sorte d’entrée dans le tas quyi en ferait sortir des choses encore mal faites mais ainsi détélées permettrait de passer muscade ; n,ous espérons, nous sortons ; nous allons faire un petit tour dxansla forêt ; nous allons faire un petit tour au bon air des bois qui sont à deux pas de chez nous : nous sommes deux ; nous allons par derrière, empruntant le petit chemin de terre qui part de chez nouset qui nous mène dans les boisq directemebntnt (une aubaine dans cette période de confinement,) , une chance ; nous sortons et nous nous promenons, nous aimons nous promenerr, nous nous promenons dans la forêt, dansla cvampagne environnante, nous aimons les chgemins de terre, la nature, les oiseaux etc ; nous nous promenons en dehors des grottes, loin des images animalières, looin des tables d’offrandes, loin des galeries d’art contemporain, loin des montages, loin des expositions de dessins et de gravures animalières, nous allonsailleurs, nous sommes dans une campagne au milieu des animaux, nous sommes parmi des animaux, nous sommes dans une campagne et noussommes parmi desz animaux qui se cachent à notre passage ; nous sommes dans la campagne et les animaux nous guettent en cachette (tres certtainement)  ; nous n’avons pas d’offrande à faire, autre que celle que nous faisons à chaque pâs ; nous donnons tout ce que nous avons en nous de plus cher à notre coeur, nous savons que le prix est important, que le prix conditionne beaucoup, que le prix eswt une chose qui compte plus qu-e tout dans la balance, nous sommes ignare (§nous le sommes) mais tout de même nous savons cette chose , que nous deevons poser (déposer) dans la balance une chose de prix, une chose qui possède un prix fort ou pour laquelle l’ensemble des hommes a déc-cidé d’apposer un prix élevé, car cette élévation du prix est capitale, est centreale, est sur le bûcher, en tête de proue, en cap et première ; elle est capitale : surnage, est tres importante : cette cherté accordée par les hgommes à la chose offertte en offrtande au xdieu de la mort ; en galerie d’art c’est la même chose ; en grotte et en galerie ; il s’agit (pour le déposant) de poser sur piezrre une chose chère, chère à ses yeux, au prix élevé, le plus possible élzevé ; on voit bien c e qu il en est, on voit parfaitement bien ce qu il en est sur cette question, il est évident que la chose est limpide (eau de roche, stalactite ou stalagmite, etc)  ; nous ne sqommes pas dupes de cette chose, nous y voyons clair, nous cherchons à crever la bulle qui brouiille la vue, nous cherchons -à crever cette bulkle et enfin y voir avec netteté ce qu il en est et peut on parler, peut on arriver à dire ? que peut on dire ? est ce qu il y a quelmque chose qui puisse etre dit plutot que rien ? il s’agit de cette affaire ; nous esswayons par ce moyen brutal de perforer la bulle ; nous essayo,ns par un moyen de brute, d’aller ainsi à perforer, à perforer la bulle, nous nous y employons ; nous voulonsfaire cette chosec : perforer la bulle, ,, ous voulons faire cette chose depuis notre enfance et enfin à présent nous avons pris le taureau par les cornes et nous y allons : allons -y ; nous cxherchons une entreée dans cette bulle, nous cherchons à percer afin de trouver une entrée dans cette bulle et ce n’est pas simple car nous glissons sa-ns cess sur la bulle, nous glissons sur elle sans cesse, nous solmmmes comme voulant perforer 

maios comment perforer , cvomment faire pour perforer ? nous essayons de perforezr mais c’e’st difficile et aussi nous sommes desc enfants et donc nbpotre expression s’en ressent , qui nouds fait hopnte passabnlement car nous sommes blmésssés par notre propre expression passablement immature ; nous essayons de percer la bulle, nous essayons la bulle de la déchirer , le voile , la bulle, perforeer la bulle, déchirer le voile ou latenture, nous cxherchons à faire un trou ; nous cherchons à faire un trou, nous cherchons à perforer mais rien à faire nous glissons comme si nous étions sur une patinoire, ça glisse du feu de dieu et pas moyen de casser (briser) la glace et de voir ce qui se trame, en dessoous (?) ; en dessous ou à coté, pas moyen, ; c’est difficile, c’est loin d’etre évident, nousfaisons tout ce que nous pouvons ; nous voulons essayer au mieux et crever la glace ou la bulle etc, njous avons cette envie en nous, nous y allons, nous essayons mais voilà ça fiile, ça glisse coomme sur une patinoire et c’est loin d’etre évident, ce n’estc pas «é vident du tout , parce qu en pl ;us on parle avec des mots qui nous ont été (de force) mis en bouche et que nous employons un peu comme on peut, et cela non plus n’est pas évident pour nous, car nous nous sentons passablement floué et baisé ; nous nous sentons baisé, nous nous sentons comme pris aux piège et ce piège nous le portons avec nous et il nous constitue , ce piège est un piège de langage ; il s’agit d’un langage de paroi, d’un langage rupestre ; il est évident à présent que nous avons affaire à du langage rupestre, il est plus qu’évident à présent, que nousq avons affaire (en nous, dans nos bouches qui propnoncent des vocables) à du lzangage animalier rupestre : bisons, bufflesq, antilopes, bouquretins ; nous alignons dees phrases qui toutes sont des représentations abnimalières  ; nous dessinons des animaux (plein de vie ) en parlant ; de nos boucxhes qui parl:ent sortent des animaux ; les lmots que nous pronondçons sont cxdes animaux ; chaque mot que nous prononçons, que nous disons, chaque mot qui soort de notre bouche est un animal ; nous crachons, nous expectorons,  nous expulsons, nous sortons de nous (par notre bouche, cette joue trouée) des animaux en pagaille, crapaufds sortant de bouches nottres ; il s’agit de choses qui sortent de nous et ces choses qui sortent de nous sont des animauxc car cxhaque mot que nous disons représente un animal mort mais comme s’il fut plein de cette vie que nous avons à rendre  (?) ou à donner à dieu la mort qui en nous nous pousse etc ; il est diffivcilre de s’y retrouver mais nous cherchons, vaillament, nous cherchons en glissant sur une patinoire, nous cherchons avec beaucoup de coeur, nous crachons nos betesxau fur et à mesure que nous prononçons des phrases: : voilà ce que nous faisons ; nous avabçnons ainsi, nous nous plaàçons ainsi sur la marche, nous faisons ainsi, nous parlons ainsi ; chaqsue phrase est un animal , chaque mots ou phrases ou vocable etc ; les animaux sortent de nos bouches, ils sont morts, ils sont des an,imaux morts et cependant ils semblent vifs, il semble que les animaux sortaznt de nos bouches soient vraimeznt vivants, on les croirzait encoreplein de vie , le temps aidant, le tempsq de l’élocution aidant (peut-être) ; nous crachons-parlons nos bêtes en nous, nous sortons de nous des betes, les voyez vous ? comment faire pour -les voir ? oh ce serait bien (vraiment) de pouvcoir les voir mais commùent faire ? existe t il une caméra (à infra rouge ou violet ou vert ? ) qui pourrait filmezr cette chhose, d’animzaux sortant de nous : merveilleusement dessinés ; existe t il  cette chose ? njous voulons savoir ; njous aimerions pouvoir dire cette chose et monter cette chose et la montrer en galerie : cette sortie de bouche, cette expulsion de bouche ou d’une bouche humaine ; nous voudrions montrer cette chose , cette chose qui sort de lma bouche ; nous aimerions sortir de nous cette chose, nbous aimerions sortir cette chose de nous et la présenter sur uun devant et faire en sorte qu elle puiisse etre vu par d’autres que nous , mais dejà par nous, afin d’en avoir le coeur net , car il y a longtemps que la chose nous tarabuste ; il y a bzelle lurette que cette chose nous occupe, cette chose de paroles ditesx animalières etc ; il y a belle lurette que cette chose nous intéresse, nous tarabuste, nbous occupe, de savoir , ce savoir, ce quyi en nous surnage lorsque nous parlons : de quiooi en est il (en dehors de ce que nous disons par le menu, etc) ? ; n,ous 

nous posons beaucoup de questions, nous nous posons un grand nombre de questions sur ces choses que nous sortirions de nous (par la bouche) en parlant , cxar il nous semble que ce qui sort est plus que ce qui sort à première vue ; il nous semble que les paroiles que nous prononçons excèdent de tres loin le pauvre sens (ou les paubvres sens) qui les accompagne : animaux (pluriel d’anima ?)  ; nous nous posons beaucoup de questions, et ces questions ne cessent d’aller et venir, et de faire des contorsions (loopîngs ) sur elles mêmes et les voilà des lors qui réapparaidssent au décours d’un petit sentier dans la forêzt ou dansla campagne ; njous faison,s ainsi des loopings, des contorsions, nous torsa dons etc ; il s’agit d’une pensée un peu comme ça et cependant elle surnage depuis un moment : ces animaux qui sortent de nous, de nos bouches etc ; il s’agit de vocables, etc ; des hommes de la préhistoire ont par leurs dessins (ces animaux, ces meutes) écrit des mots, des vocables, etc, du prélangage articulé, du pré (de langage) articulé ; précédent etc ; nous avons la convicttion aujouird hui que ces peintures (rupestres) d’aniamux (gnous, buffles, bisons, taureaux, chevaux etc) sont une sorte de langage articulé, ou de pré langage etc, il s’agirait de phrases, de  mots avant les mots, de métalangage etc, avant l’apparition des mots )à proprement parler, et de fait on peut pensser que les tout premiers mots ont désignés des animaux : le bison, la biche, le chevreuil, le taureau, le sanglier, le phacvochère, le rhinocéros, le mammouth, etc ; les premiers mots des hommes sur terre ont été pour désignezr les animaux, ma main à couper ; on a cette idée pour nous (entre nous) comme quoi les premiers mots qui ont été prononcé part un hommev ont été pour désigner des animaux, il noudss semble que c’est la lkogique ainsi, il nous sremble à nous que la logique serait que les premiers mots prononçés par les premiers hommes l’ont été pour donner un nom aux animaux qui les entouraient : cercle ; nous avons cette idéee,n nous que le mot est animal ; qu un mot est un animal ou bout (morceau ?) d’animal, etc ; si le mot , le langage est la dénomination à chaque fois d’animaux en nous alors il est probable que l’emploi du langage ait un tout autre but que la seule dénomination des choses pour un e communication inter-peuple ; il est p^robable (hum) que l’emploi du langzage ait d’autrtes finalités que celle concernant la communication au sein des hommes entre eux ; nous pensons que l’emploi du langage a un autre but ; les mots peuvent véhiculer bien des usages ou des objetctifs ; les mots seraient véhicules, m=ais non point seulement de pensées de ve$érité (de clartés raisonnantes) mais autre chose en eux de subliminal ou de non aperçu )àà première vue , et ces choses c’est des animo ; ces chooses cé dé animo ; il semblerait ; ; il nous sermble à nous, que cé chose cé dé animo, on le voit ainsi , on cherche, on est pas au bout de nos peines, on est certainement pas au bout de nos pêines, on cherche vaillament car nous sommes braves, nous sommes de braves ghens, nous nous targuons (entre nous) d’être de braves gens, nous n,ous targuons entre nous d’etre braves, bravassees ; nous sommes gens honnetes, nous ten,dons à l’etre ; nous sommes gens qui essaient le pluds possible d’etre honnetes, etc ; nous veillons à ne pasd nous faire plus beau que ne le sommes, ou du moins nous veillon,s à ne pas nous sur-quelque chose, nous surestimer ? ou bien nous surévaluer ? nous ne savons pas exa c tement ce qu il en est mais nous savons cette chose pour nous, comme quoi nous essayons d’etre, dans notre approche, le plus honnete possible : franc jeu autant que possible = à plat ; nous essayons de faire du mieux possibvle et de jouer franc jeu le plus possible et de ne pas faire semblant et ainsi de suite : de jouer carte sur table et si des animaux doivent sortir de notre bouche, eh bien qu ils sortent et si quelqu un de plus avisé ou de plus dégourdi ou de plus voyzant sque nousvoit en effet sortir de nos bouches bouquetins et autres buffles , qu il nous le dise, et qu on se le dise, le langage humazin est le langage de la foi en quelque chose qu il contient et ce quelque chose est animal au sens où il s’agit là d’animaux qyui sortent de nos bouches, quyi sortent d’entre nos lèvres, et ces animaux chargeant pêrforent la bouche (joue) et créent cette ouverture que nous arborons sur la figure ; il y a eu charge ; il y a cette chose d’un buffle en nous qui a chargé et a percé ce qui alors n’était qu une joue centrale (au milieu de la figure) et qui aujourd hui porte le nom de bouche, voilà l’origine ; et de fait nous n’avons pas cessé depuis de sortir des betes de nous , à chaque souffle animé par de la parole que nous rejetons par la bouche, sortent des betes , de la grosse bete de chasse, nous sortons de nous des bisons, des sangliers, des chevreuils, des buffles etc ; nous les sortons mais personne (à ce jour) ne peut les voir : langage ; et les hommes préhistoriques faisaient de même sauf que voilà, en ce qui les concerne, ils n’avaient pas pour eux un langage de vocables assez avancvé pour s’exprimer comme nous le faisons et des lors les dessins qu ils faisoiaent sur les poarois des grottes eétaient leurs mots à eux, une sorte de méta langage soit  de langage -avant l’apparition proprement dite du langage articulé ; ils faisaient ainsi, ils dessinaient des animauxd et nous nous parlons avec en bouche des buffles, des rhinocéros, des chevreuiols, des biches, des mouflons, des bouquetins à première vue invisibles, à ce jour invisibles, tres certainement àç ce jour encore invisible pour la plupart d’entre nous , mais un jouir viendra où nous serons à même de voir ces cohortes, ces ribambelles (litanies) sortir de nos bouches ouvertes, béantes, bées, bouches beéantes, baillant, bouche baillante, bouche-trou, ttrou bouche laissant opasser, trou de bouches laissant cvirculer ainsi tout un troupeau de betes buffantes ;

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15/04/2020

nous aimons ces images d’animaux et cest la raison pour laquelle nous nous empressons de coller notre joue à) la paroi, notre joue blanche, fine de bambin, ; nous collons nos joues ; nous collons nottre tete, notre crane, le dessus de notre crane, nous tournons, nous gardons le contact avec la paroi, nous ne perdons pas le contact avec cette paroi de grotte ; nous tournons sur nous mêmes et notre cap conserve un contact (sur le haut du crane) avec la paroi, nous aimons ainsi et c’est ainsi que nous faisons ; nous ne voulons pas perdre le contact avec la poaroi, nous souhaitons toujours conserver ledit contact ; surtout ne pas perdre le dit contact avec la paroi, nous aimons cette image d’un contact avec paroi, nous avoons en nous cde besoin (cette pente) d’aimer c’est à dire d’adhérer, de coller, de nous joindre, de nous mettre avec, de nous accoler à une image en vrai et en dur d’une chose devant nous comme par exemple une paroi de grotte, ou tout autre paroi qui se présenterait devant nous en vrai et en dur ; nous sommes aimants, amants, amour, aimantés ; voilà le phénomène, il est d’aimantatation , d’attirance, d’attirance vers une chose qui est dure, quiu est solide, qui exuiste à l’état physique etc ; nous allons vers une chose par aimantation de cette chose ; nous allons vers une chose par aimantation envers cette chose, par une sorte d’attiraance forcée, par une prise d’adhérence quasi forcé, quasi obkligée par l’image, quasi forcé en ce sens que l’-image nous attire à elle, nous sommes attirés ; nous sommes tirés vers une image avec ce phénomène, présent, qui est un phénomène d’attirance-aimantatation ; nous sommes dans cette chose d’un accolement de deux parties, les choses s’agglutinent, ont besoin de ce contact, de ce rapprochement par aimantation ; cette chose de vouloir faire deux ; cette chose de vouloir coller, colller à une paroi, à une chose en dur, en vrai, à une chose physique rencontrée sur son chemin, ce souci ; nous avons en nous cette chose de vouloir nous accoler et nous rapprocher comme par attirance mutuelle, comme par une sorte de phénomène d’aimantatation réciproque : paroi et nous ; nous nous avançons d’une image, vers elle, nous allons vers elle et là nous nous collons à elle, nous cherchons à nous coller à elle, à l’éprouver en dur, à nous confronter, à toucher, à toucher cette image, cette envie de toucher l’image ; nous avons cette envie de toucher l’image en nous ; nous avons en nous cette envie de toucher l’image, nous avons en n ous cette envcie de nous vconfronter, d’affronter, de toucher une image de bête ; nous avons une envie en nous, en notre coeur, de toucher une image et cette image est une image de bete (d’animal) ; nous avons en n ous une en vie de touccgher, une envie en vie de toucher une image, de la toucher physiquyement avec nos mains mais pas seumlement (cap) ; nous voulons en nous, nous avons en nous (en notre vie) cette envie de toucher (toc) cette image devant nous, cette image du présent qui se présente, se propose devant nous, cette peinture, cette sculpture, cette installation sur socle ou autrement, ce dessin d’artiste x, nous avons en nous cette envie, de nottre vivant , en nous c’est àç dire dans le coeur de notre élan de vie, de toucher (toc) l’image proposée à notre cap, soit devant nous, au présent, comme une offrande déposée pour on ne sait quel dieu de la vie ou de la moprt ; notre pente est ainsi que nous aimerions toucher, mais ... « ne pas toucher » ; notre envie est contrariée ; nous aimerions à la folie toucher, nous aimerions de folie toucher ; la folie est l’envie de toucher (toc toc) ; nous avbons cette envie de toucher en  ous et nous nous refrenons, nous ne touchopns poas, nous nous retenons, nous ne touchons pas, nous nous retenons de toucher ; et pourtant ce n’est pas l’enccvie qui nous manque ; et cependant non, nous nous interdisons de toucghehr la chose, nous nous retenons de faire cette chose, nous ne voulons pas toucher la chose, ou pluotoo si mais nous nous retenons ; nous voulons toucher la chose, nous la voulons toucher avec nos mains, notre visage, notre joue, notre crane, nos jambes ; nous voulons nous coller à cette chose en  v   rai ; nous voulons casser l’aspect de simple image et époruver la chose en vrai c’est à dire en dur de chez dur = physique ; nous voulons éprouver cette chose en vcrai de vrai, comlme une chose en dur que nous enlacerions, il y a cela ici que nous avons en nous (en vie) cette envie en  n ous de pour le coup vouloir toucher la chose présentée comme une offrande ; nous avons en nous une chose qui est présentée ici comme une offrande, nous l’avons devant, nouys l’avons en ; nous lm’avons en  nous et devant nous, comme deux aimants, nous avons une chose en nous qui tend vers cette chose devant nous, et voilà que nous sommes comme intertdits de contact avec cette chose présentée, avec cet objet qui nous fait fa ce ; on nous dit de ne pas toucher ; on bbnous dit de ne pas apposer nos mains sur la chose, cette pièce, ce morceau, cet objet, cette façon , ce chantourenement devant nous, cette torsion , cette vrille devant nbous ; nous sommes subjugués de cette chose, nous sommes sidéxrés de cette chose, car nous avons une envie folle de vouloir toucher, de coller à la chose, de faire un, de nous unir à la chose, de nous plaquer co ntre la paeroi de la grotte et de l’épouser, de la prendre pour soi comme une soeur, comme une chose qui serait de nous, qui serait nous, qui serait réellement proche de nous au point de se fondre avec nous ou en  nous ; tenir la distance, ne pas toucher l’objet en galerie, cette chose artistiquement élaborée ne pas la toucher : relique de saint ; relique de sainte ; nous avions cette envie mais cette envie est réfrénée ; njous avions en nous cette envie de vouloir toucher mais cette envie (voilà tout) est réfrénée par, ici, un interdirt qui vient s’interposer, il s’agit d’un interdit, dun dit posé entre la chose et nous ; il s’agit d’un dit qui est posé (interposé, déposé) entree la chose et nous ; voilà l oeuvre ; il s’agit d’une chose déposée comme un interdit entre le monde (que l’interdit masque) et nous c’est à dire notrte en-vie en nous, notre statut de personne en vie, c’est à dire de personne qui brule le temps de son temps à vivrre etc ; nous allons en galerie à la recherche (confrontation) de cet interdit , de cette interposition, de cet interpositionnement etvc ; il s’agit d’un aller vers une chose qui nous brûle, qui nous émoustille, qiui nous ravigote et nous émoustille ; nous sommes devant la paroi et nous voyons les betes au-dessus de nos têtes,nous voyons le dessin fin et précis de ces bêtes, nous pensons aux hommes qui , il y a si longtemps, ont réussi cette prouesse, ont réussi cette vchose, de dessiner avec autant de netteté et de ressemblancfe, de sembvlant, de semblant, ces betes à cornes ou pas à corne, ces betes qu ils connaissqaient, c’est bluffant ; nous les regardons et voyons devant nous ces images que les mains nous brûlent de vouloir toucher ; il y a des bisons et des buffles, des bouquetrins et des antilopres, des rhinocéros et des mammouths, nous sommes sous le joug d’une surprise et d’un ravissement énormes, nous sommes scotchés à la paroi et nous sommes scotchés tout court, nos yeux sont scotchés,n, nos yeux adhérent ; il y a collage, il y a frottage et colage, il y a rapprochement et zamour par aimantation ; il y a cette chose de vouloir coller à la chose, cette envie en soi (l’en vie, le fait d’etre en vie) qui nous pousse à aller devant (avancer soit vivre) et du coup coller à la paroi qui se situe là devant soi et qui est l’autre, l’animal, la bête à manger, ou bien la paroi de roche : le dur de dur, ou bien un écueil, ou bien un corps , ou bien quoi ?  ; nous sommes sidérés et nous ouvrons nos yeux en grand devant des opeintures semblables, nous sommes comme ravis (entrés en ravissezment)  ; ravis (de « ravissement ») comme le fait d’etre pris, d’etre emporté contr notre (ou son) propre assentiment, ravis de « ravisseurs», etc ; nous sommes emportés, nous sommes pris à la gorge comme un animal (un chaton)  ; nous sommes pris par devers nous, nous sommes amenés ailleurs contre notre gré ou malgré nbous ; nous sommes emportés malgré nous, nous sommes ravis et nous colloons, et les choses ainsi sont collés, viennent adhérer entre ellesq, s’aimantent ; nous avons affaire à un phénomène général, univrersel et sidérant d’aimantartion réciproque , iic comme ailleurs (en tous lieuxd) ; nous avons ici affaire à un phénomène courant et général d’aimantation, qui fait que les choses (les pensées de la même manière) viennent régulièrement (constamment ?) se télescoper entre elles, pour aboutir à une sorte à chaque fois de boule de choses, d’agglutinat qui fait que cette chose est difficile à décxhiffer ; nous avons affaire à) de l’agglutinat qui rend les choses difficiles à déchiffer, c ar p^rises dans une sorte de boule, de conglomérat ou d’a gglutinat qui rendent le tout quasi sans forme bien déchiffrable ou identifiable ; il est difficile xde s’y retrouver, les choses sont agglutinées, il est difficile de trouver comment, la façon, la méthode ; il est tres difficile ici de trouver méthosde de déchiffrement devant pareil agglomérat, devant pareil conglomérat de choses accolées entre elles par une sorte (on dirait) d’aimantatation, derappreochement exigu ou à l’exigu par aimantation ; nous sommes tres g-^enés pour nous y retrouver, nous avons un mal de chien ; nous sommes genés par cette chose d’un accolement des parties du monde ; il y a des cotés et ces cotes viennent s’agglutiner l’»un contre l’autre et du coup il est difficile de voir où une chose débute en elle même et s’arrete et sa consoeur ou sa chose soeur etc, la même chose, où donc les choses s’arretent ; il est difficile de dire où les choses commencent et où les choses s’arretent ; il n’est pas facile du tout de dire cette chose et du coup de comprendre où ça s’arrete et où ça commence, et si début dejà, et si fin, car nous ne savons pas déchiffrer c’e’st à dire décoller des choses aggluitinées, et décoller c’est abimer quasi de fait, ou abimezr même immanquablement car allez décoller des choses agglutinées, allez y, chose difficile, chose compliquée, pas simple, pasfacile, vraiment c’est difficile et nous aimerions y arriver mais allez y , allez décoller des choses entre elles agglutinées ; nous aimerions à la folie ; njotree envie en  nous (le fait d’etre en vie) est cette chose d’un vouloir (fort) de décoller les chosesz, ou bien de coller aux choses, kles deeux peut etre ; nous aimons coller, et nous aimonds décollezr , peut etre ; nous sommes sommes devant une paroi peinte et nous aimons coller à elle, nous plaquer contre elle et l’épouser (en épousqer les formes)  ; notre volonté est ainsi que nous avons cette chose en nous de vouloir épouser les formes de l’autre, de la paroi, de l’animal, mimétisme ? ou simple collage en bonne et due forme par «épousailles ?  ; nous aimons épouser les formes , autant que faire se peut = faire le tour d’une certaine manière ; nous aimons épouser et nous épouson

s ; notre en vie ici est d’épouser et nous épousons, nous épousons la forme de la paroi en nous y collant contrte, nous collonqs à la paroi, nous allons contre, nous aimons coller à la pareoi, nous voulons coller à la paroi et nous l’épousons, il s’agit d’un collage et le collage est roi ; nous épousons cette chose posée (interposée) devant nous et qui nous attire énormémeznt, qui est une chose qui énormément nous attire à elle, on dirait par une sorte d’aimantation, part une sorte d’attirance par aimantatation, ce genre de phénomène et nous bien sîur de tomber dansle panneau et de nous laisser attirer et de nous blottir ou même aggluitiner à cette chodse posée devant soi : le temps ; nous collons au temps présent comme à une image ; nous sommes scotchés au temps comme à une image quyi nous attirerait par aimantatation dfes parties sensibles ; ,nous sommes attirés-aimantés par une image qui nous entreaine , ainsi, à nous coller à elle et à ne faire qu un : nous et le temps, cela est ain si que cela se passe en direct live, nous dirions que la chose est ainsi qu elle arrive, ou qu elle survient, par un e sorte d’attirance à la base, et ,nous voil ;à scotché à la paroide la grotte ; nous voici et nous voilà scotchés, la chose n’a pas duré ; nous sommes unis à elle (paroi) et l’épousons : en épousons les formes ; nous sommes unis à une paroi de roche, nous collons à elle, notre en vie ici s’unit à cette chose intemporelle dans sa dimension rupestre ; dans cette dimension en elle qyui renvoie aux calendes grecques d’un temps lointain, cellui  bien sûr dhommes et de femmes primitifsn, des chasseurs cueilleteurs, des hommes et des femmes natifs, des hommes et des femmes debout, dréssés devant des parois et des tablesz d’offrande ; nous les aimons = nous nous scotchons ; nous avons en nbous cette chose d’un amour toujours naissant pour un accolement de paerties (libido) ; nous sommes tres attirés par la paroi nue, brute, dure, en dur, et qui nous montre ses facettes ici au présent, en tant que paroi peinte, paroi décoré pour la bonne cause etc ; nous avons beaucoup d’amour pour ces parois ; nous sommes plein d’amour pour ces parois,, nous avons en nous cette chose qui est un amour infini pour des parois que nous aimerions embrasser c’e’srt à dire dont nous aimezrions épouser les formes, le relief ; nous avons pour nbous, en bnous, par devers nous, quelque part en, nous, cette chose (ce désir) d’aller pour le coup épouser le relief de ce qui nous fait face, cette face du temps au présent, cette offrande du temps, cette chose du temps qui est ce devant de nous vivant (toujours en vie) et que nous nous voyons, avec nos yeux ouverts en grand = enfantins ; nous voyons tout cela, nous sommes face, nous voyons toutes ces choses devant nous , et qui nous font face, nous ne perdons pas de vue toutes cesz choses, nous sommes tres conscients de toutes ces choses devant nous, car nous les voyons avec des yeux écarquillés et sidérés mais cependant connezctés avec la réalité tangible des choses ; njous sommes en galerie, il y a des oeuvres déposées en forme d’intrpôsition, il y a des choses (formes) déposées en interposition , déposition-interposition , et cet interdit partout : ne pas toucher, cette chose non écrite mais convenue ; il semblerait que nous sachions cela , que nous savons, et cependant non nous ne savbons pas forcémlent car nous sommes des enfants et les enfants touchent jusqu’à temps que les parents ou les adultes (plus généralement les adultrss) leur disent (expressement) de ne pas toucher : l’enfant touche, l’enfant aura tendance à vouloir toucher, à prendre et à saisir etc ; donc il sera alors important de dire à cet enfant de ne pas toucher car la chose exposée ici ne doit pas etre touchée , de peur detre abimée etc, avec cette peur que l’enfant puisse aisément et rapidezment abimer la chose ainsi montrée, la chose ici est limpide ; il s’agit d’un interdit, d’un dit interposé masquant le monde qui se situe derrière, ici, cette chose de l’interdit ; il y a un interdit et cet intertdit s interpose et concerne essemlntiellement les enfants, les enfants et les personnes inconscientes ; cet interdit concerne en priorité les enfants, et aussi certzaines personnes qui ne seront pas conscientes de ce quyi se passe en galerie, à savoir de cet interdit catégorique, de cette chose d’un interdit radical et qui crée (en partie) l oeuvre exposée ; il s’agit des fous par exemple ; nous nous empechons de toucher car nous sommes adultes et non seulement adultrsmais bien éduqués (policés : police) ; nous avons compris le mécanisme, nouys sommes informés, nous sommes au jus, nous sommes de la partie, nous connzaissons les arcanes, nous connaissons la règle du jeiu, nous connaissons le jeu et sa règle : il y a un jeu en galerie (le jeu dit de l’interdit) eyt nous le connaissons car nous l’avons appris mzais il est naturel et bien entendu que tout un chacun ne connait pas la règle du jeu et certains auront tot fait dee toucher et du coup d’enfreindre la loi (la regle du jeu) et xde se faire enguirlander par la police, par la volante, par cette sorte de gendarmerie affiliée à la galerie, à la plupart (toutes ?) des galeries ; nous sommes des en,fants et nous touchons (toc, toc toc) et nous touchons avec nos mains, et notre joue contre la paroi : par amour, soit par aimantation, par élan vers cette chose, par élan vers chose, attrait, attirance-attrait, traytt direct, vers cette chose en devannture, dezvant soi, face à soi, et qui se présente en tant qu il s’agit du temps qui va son train au ryhtme de notre (votre) vie (envie) en vous ou en  ous : l’en-vie, le fait d’etre en vie en  ous mêmes, etc ; nous faisons corps, nous épousons les formes ; épousons les formes, allons verts ce type de chose, alloons épouser, faisonsépousaille, faisons corps, collons  ; et ainsi nous voyons que des corps, des choses s’agglutinent, se collent entre elles et des lors il est ecxtremement colmmpliqué et diffificlie de déplier, déplisser les choses ainsi repliées, collées ou accolées etc ; il y a tant de plis, il y az tellement de plis, c’est compliqué et ce n’est pas simple ; il y a des plis qui se forment, car qui dit épousailles dit plis ; qui dit d’epouser desz formes dit aussi plis ; il y a des plis qui se forment, des plicatures, des plissuresq, des repliements, des pliures etc , car les épousailles de choses entre elles ezntrainnent pareils phénomènes, il s’agit de phénomènes liés (tous) à une cezrtaine attiran,ce quasi physqique, de choses entre ezlles (ébonite) ; il, ; sembelrait que -nbous ayons affaire ici à une sorte d’aimantation entre ellles de choses qui essaieznt -dse s’accoupler dans une sorte d’épousailles de formes, comme tenons et mortaises etc ; il semblezrait que nous ayons ici affaire àç des épousailles de type tenon et mortaise ; nous pensons qu il s’agiit ici à nos yeux de types ou de sortes de rapprochements et d’emboitement comme ailleurs (ébenisterie) tenon et mortaise, nous voyons cela, nous ima ginons cette chose ; nous sommes agglutinés, nous collonbs, nous sommes svcotchés, nbous a&dhérons ; nous sommes cvontre (tout contre) une paroi de grotte, nous faisopns corps, nbous ne pouvons pas nous en détacher, nous sommes qui adhérons, nous adhérons, nous sommes contre une paroi de grotte sur laquelle sont dessinés des animaux majestueux et de grande taille  ; nous sommes contre eux, notre bec à nous colle à la paroi ; nous colons à la pareoi, nous sommes scotchés et comme soudfés à cette paroi, notre joue, nos ailes, notre bec  , njos opattes adhèrent, nous sommes soudés ; nous sommes contre une pareoi rupestre, nous sommes collés ou scotchés au mur ; nous sommes collés au mùur d’une galerie, nous sommes scotchés au mur d’une galerie, nous sommes fixés au mur d’une galerie, nous sommes attenants ; nous avonsla joue collée à la paroi, nous avons une joue collée à la paroi, puis notrte cap, pius notre cape ; nous sommes collés, nous sommes sqcotchés à cette oparoi sur laquelle est dessiné un gnou, un bison , et deux antilopes ; nous aimons les antilpoes et les bisons, nous aimons les gnous et les brebis, les buffles et les sangliers, nous sommes sqcotchés, nous sommes sidérés, nous sommes babas, nous n’en revenons pas ; nous sommes colléset faisons corps, et faisons cette chose e’une épousaille en grotte, devant témoin ; nous sommes deux ; nous sommes accolés ; nous sommes au moins deeux ; nous sommes collés à une chose dessinée et nous l’épousons car nous l’aimons et la désiron,s ; nous sommes acvcolés à une chose dessinée sur une paroi de grotte ;: nous nous aimons et nous plaisons en ces grottes, nous les aimons ; nous aimons ces grottesq et nous nous plaisons en ces grottes ; nous les adorons, nous sommes tombés en adoration, nous sommùes tombés en grande adoration, nousaimons follement, il y a de la folie dans l’air ambiant, la folie en nbous est l’amour poure ces roches, est cet amour que nous portons envers ces roches peintes, avec ces litanies de bêtes dessinées, vaec ces suites, ces cohortes de bhetes essdinées comme en vrai ; il s’agit de semblances, deressemblances pour faire semblant qu il s’agit en vrai dxe vrai de betes des chzamps qui charfgent, qui sont toute en vie, toute pleine d’énergie et de vitalité, or il n’en est rien ; nous coloons ; nous sommes contre, nous sommes accolés, nous sommes scotchés, nous sommes sidérés, nous sommes ravis = emportés, nous sommes pris par un raz de marée sensible, nous sommesemportés par la cohorte , laribambelle, nous sommes pris dans la nasse (et la masse physique de pareilles b etres de poids, de somme)  ; nous sommes pris par une cohorte, nous sommes embarqués et sidéres par cette charge, sur nous , qui vient nous ravir au sens de prendre au sens de saisir au sens de nous ravir (comme enfants) de « ravisseurs »  : qui les emportent (malgré eux) ; nous sommes aux mains de ravisseurs, nous sommes p^ris, nous sommes ravis, nous sommes sidérés et notre bouche est grande ouverte et gobe, les mouches de la grotte, les mouches entrées dabns cette grootte ; njous sommes bouche bée,, nous regardons les animaux peints sur la roche, njous voyons les superpositions, nous sommes collage, nous voyons la vie comme du collage, collage et décollage et recollage et redécollage et rerecollage et reredécollage ainsi de suite ; nous avons des envies en  ous et ces envies nous mène à des épousailles de formes de type tenon et mortaise, nous aimons, cx’est ç-à dire que nouys nous colloobns aux parois, nousessayons du moins d’épouser (coller) aux parois etxc , et ainsi pour etre contre soit tout contrte ; nous espérons cette chjose, qu elle dure ; nous la voulons, cette chose, qui puisse durrer dans le temps, nous voulons que lépousaille collat au temps longuement, nous voulons d’une épousaille du temps , que celle ci puiiuisss allert dans le temps asserz lmoin, assez ou suffisamment loin ; nous avons ce bvesoin en nous d’une épousaille de temps ou du temps ; nous avons en nbous cette pente ou cette envie d’une épousaille avec le temps, coller à lui, le prendre avec soi (le ravir) comme un enfant qu on enlève etc ; nous sommes des enfants nous mêm:es qui touchons le temps betement ; betement car nous ne savions pas, personne à ce jour ne nous avaait dit qu il eétait interdit formellement de toucher aux oeuvres ; comment aurions nous pu savoir ? nous ne savons pas cette chose, nous ne savions pas cette  chose, njous ignioriiions cette chose, personbne ne nous l’avait dit, et nous d’y aller franco, touche que tu toucheras, nous ne saviiions pas ; persone jamais ne nous l’aviat dit avant d’entrter ; nous sommes entreéset nous avons touchés les chose ou aux chosex expoosés et bien sur, comme de bien entendu, nous avons pris un soufflon par la surveillante de la galerie , nous nous sommes faits enguirlandés, il ne nbous a rien manqué et nous sommes ressortis tout penaud sans avoir vu réellement ce qu il en était de l’expo, nous sommes marris, nous avonsla haine et les boules, nous sommes tristes, nous sommes embarrasées, nous sommes b lessés et meurtris, nous sommes bleéssés, nous sommes comme meurtris c’est à dire vexés, nous n’avons pour ainsi dire rien vu ; nous n’avons pas vu grand chose, nous avons touchévà une oeuvre et nous nous sommes faits remués et du coup nous sommes sortis illico presto, vexés et meurtris ; nous sommes couillons, nous ne volons pashaut, nous avons de petites ailes,nous sommes natifs, nous sommes des enfants, nous sommes puérils, nous sommes nigauds, nous sommes d’un niveau assez bas, nous sommes proches du sol, nous ne sommes pas loin de terre-mère ; nous sommes pres du sol, nbous rasons le sol (en age et en taille) pour ainsi dire, nous collons au parterre ; nous ne sommes pas bien loin  du sol ; njous sommes encore proche du sol de terre-mère, nous ne nous en sommes pas encore tres éloignée ; nous ne sommes pas bien loin de terre mère, nous sommes proches de terre mère, nous sommes à un rien , trois pommes , de terre mere, à deux pommes, à une pomme deterre mère, à rien du tout, à que dalle, à pas grand chose, à un rien de terree mère, à un rien du tout de ce parterre sous nous qui nous soutient comme une assiette de sustentation et huereusement que nous l’avons, heureuselment qu il en est ain si et que nous avobns sous nous pareille plan ète pour nous permettre de tenir debout, une chance ; il s’agit de notre grande chance, la première de nos chances, car il est évident que le jour où nous sommes ,nés nous aurions pu naitrte da ns le vide intertsidéral et voguer planer depuis dans le creux , le vide des sphères célestes eh bie,n non ; nous avons été recueilli par la planète terre, par l:e sol sous nous, ce plkancher sous nous, cette dureté sous nous et nous en sommes ravis , d’une cetrtaine manière nous disons que nous en sommes ravis ; nous aimons ce plancxher des vaches salvateur  ; il nous a sauvé la vie à la naissance, il nbous a sauvéc la vie à notre naissance et nous lui en sommes reconnaisszant, il y a ici reconnaissance, il y a une reconaissance, il y a cette chose d’une reconaissance, cette chose à la naissance : ce soutien, ce plancher des vaches et non point le vide intergalactique ou intersidéral, mzais ce sol, cette terre, cette terre solide, ce plancher, ce pareterre fleuri etc : du solide, du bien costaud qui soutient son bonhomme ; nous aimons beaucoup ces choses solides = nous adhérons à elle, voilà tout notre amour, nous adh»éérons physiquement à une condsition terrestre temporelle , physique, sur p l;ancheer des vaches, nous sommes accolés ; nous aimons c’est à dire que nous sommes collés à une condition qui nous voit adhérer au temps de la vie, à ce temps qui est un déroulé de vie, qui est notre déroulé de vie, qui est un enchainements de choses dans le temps ; ce temps nous l’épousons, c’est à dire que nous collons à lui, nous cherchons à coller à lui ; nous voulobns coller à lui ; nous voulons etre collé à lui, nous ne voulons pas nous désunir de lui ; nous sommes comme collésx a u temps et nous voulons rester collés au temps, ici le collage, ici est le collage ; nous ne voulons pas nous décoller xde cette chose qu est pour nous le temps et nous cherchons par tous les moyens de coller à lui, de ne pas lacher prise, de rester agglutinés à lui ; le temps est cette forme que nous épousons ; le temps est cette forme que nous épousons en se collant à lui, en se collant expressement et religieusement à lui car nous avons la foi, nous avons la foi en lui, nous croyons en lui c’est à) dire en son déroulé, nous croyons au déroulé de la vie, nous croyons au temps en tant qu il est un déroulé ; nous sommes natifs, nous sommes naifs et natifs ou -natifs et naifs, et betes comlme chous ; nous croyons au déroulé du temps, nous croyons que le temps est un d»éroulé qui va de a à b et puis marre ; nous pensons qu il s’agit d’un ruban (déroulé) comme un serpentin, avec un début et une fin, nous p$ensons qu il s’agit d’un bout découpé ; nous imaginons une découpe au départ et une autre à l’arrivzée : une coupe ; à l’(arrivée une coupe, et au départ une coupe, la coupe est pleine (!) ; il s’agit d’une croyance ; il sagit de la foi ici en ces coupes franches, or rien n’est moins sur, rien n’est sur, rien ne repose sur du sur, et rien ne va de soi, il va sans dire que rien de rien ne va de soi ; il est évident ici comme ailleurs que rien de rien ne va de soi ; il va de soi que rien de rien ne va de soi ; il va de soi ici comme ailleurs que rien de rien ne semmble aller de soi ici bas ; que dire ?  ; il sembleraiot que les choses ici bas allassent de soi, temporellement parlant, or rien de moins sur, rien n’est sur ; qu est ce qui est sur ? quoi est sur ? que peut on dire de ce qui est sur ?  ; nous ne sqavons pasd car nous sommes sqcotcxhés au temps, nous sommes scotchés, nous adhérons, njous sommes collésn, njous épousons la forme du temps : notre personne épouse la forme du temps et voil ;à pourquoi nous ne pouvons y voir clair sur quoi que ce soit ; nous épousons religieusement (betement) la forme du temps , sa forme en tant quil en a une avec ses composantes d’enchainements ; nous épousons une forme temporelle et ce faisant nous collons à elle (le nez sur la truffe) et des lors impossible d’avoir le recul nécessaire pour savoir, pour comprendre quoi que ce soit de ce qui se passe ou de  e qu il advient sur terre, en cette chose d’une vie (avec mort) terrestre , comment comprendre, comment saisir, comment déceler, comment trouver, comment déchiffrer, comment raisonner quand on colle à la paroi ?  ; il est bien évident que de coller à pareille paroi de grotte (sur l’animal représenté) n’aide pas à y voir clair, il est bien évident que de coller ainsi à pareille paroi n’aide en rien , ne peut aider vraiment , car nous sommes sqcotchés = sidéreés, nouys n’en revenons pas, nous n’en sommes pas revenus, nous dsommes toujours attenants, nous sommes toujours tennants, njous sommes toujours la main tenant, nous sommes toujours cette main tenant à la paroi, nous sommes toujours depuis la nnuit des temps dansla nyuit des temps a vec main qui tient (coll»ée) à la paroi etc ; nous n’ezn sortons pas, nous sommes collés, nous sommes tenants, nous sommes collésc à parois de grottes, nous ne pouvons pas prendre ce recul qui nous serait bien nécessaire pour y voir mieux , plus clair et nous faire une idée des en jeux, quand nous sommes si accolés ou acculés au tmps que nous sommes rééellement dans l’incapacité quasi globlae de nous donner un peu d’air (hors du temps) , souffler et comprendre  ; hé non ; nous ne pouvonsfaire cette chose ; nous collons au temps, nous sommes acculàés contre la paroi, nous ne pouvons nous échapper (cape, cap) de la paroi, nous somlmes sidérés,, nous ne pouvons nous éloignezr du temps , du moins du temps de notrte vivant car pour le reste (la mort) nous ne savons rien ; nous collons à la rondseur temporelle de la paroi- ; nous sommes collés à une  rondeur, à la terre mère, à laroche de la terre mère, à cette rondeur pl ;anétaire delaterre mère, à cette rondeur de globe de terre mère : nous sommes sur elle, collés à elle, nous n’en sortons pas ; nous pouvons deslors interposer des inretdits en galezrie et sermonner, et faire les gros yeux, et empecher à l’enfant que nous sommes de toucher, nous pouvons admonester, nous pouvonbs en guirlander, geueler apresq l’enfant ; nous pouvons lui passer un soufflon, lui souffler dessus ; nous pouvons nous faire souffler dessus ; nous pouvons nous faire enguirlander ; nous pouvons prendre un soufflon, l’anima, le souffle de vie, ce sermon, cette enguelade pour avoir touché, pour avoir posé l:a main , la joue etc, les lèvres, baiser la paroi, baiser l’image au mur, l’image dressée, l’image en pied  ; nous avons touché l’image en galerie et nous nous sommes fait enguirlandé commme il faut : il ne nous a rien manqué, nous a vons fauté»  et tout de suite le coupezret est tombé : engueulo en bonne et due forme ; par le galeriste cette foois ci ?; une enguelade maison ; une belle remontée de brtetelles, je vous dis pas ; une belle remontée de brettelles au bon endroit, colmme il se doit, en bonne et due forme ; une enguelade du feu de dieu ; bref : n,ous sommes sortis de la galerie la queue entre les jambes, tout penauds et meutrtis, nous n’en menions pas larghe ; nous somlmes sortis la queue entre les jambes, tout rabougris, tourt penauds, on n’en menait pas la rge, on était meiurtris ; on était tout chose, on n’osait plus pareler ; on a pris un soufflon ; on sest fait gueuler (le souffle, le soufflon) dessus et nous voilà partis ; nous sommes sortis, nous sommes sortis ; nous sommes sortis de la galerie, on n’aurait pas du toucher aux oeuvresq, on a touché alors que non, nous n’aurions opas du ; toucher est interdit, de toucher c’est interdxit ; les enfants touchent , qui touche ?  ; nous n’aurions pas du poser nos mains (toutes nos mains) sur les parois, nous avons posé nos mains (toutes nos mains) sur les parois de la grotte ; on voit toutes nos mains d’enfant sur les parois ; il y a sur les parois toutes ces mains d’enfant ; il y a toutes ces mains d’enfant sur les parois : tout se tient car tout est accolé au temps ; le temps est le suoppport sur lequel vienneznt se coller les mains d u monde ; le temps est la paroi = le support sur lequel vieennent, les mains  (maintenant et demain), se coller ; ici, se collent les mains, du mondeen entier ; ici sur la paroi du temps, la p ;anète temps etc ; le temps est cette chose sur laquelle viennent se coller des mains, des mains d’enfants car l’enfant touche, l’enfant et le fou touchent ; le fol et l’enfant, voilà ceux qui touchent ; ceux celles ; nous, nous toucjhons les paroiis du temps ; le temps a des parois que nous touchons, attirés par tant de betes dessinées de fait avec précisions (reconnaissables)  ; nous touchons à des parois de temps uo du temps, nous touchons avec nos mains à des parois qui sont en quelque sorte lza parois du temps que nous pensons (le temps) comme un serpentin mais qui en vrai est un globe ; nous pensons le temps comme un serpentin acve coupes franches fois deux, or rien de tout cela , mais tout le contriare : point de coupes franches mais une sorte de continuité qui va son trait, son chemin, sa courbe, loopings ilm swxemblerait ; nous sommes acculés et accolé  à la paroi du temps, à cette pazroi qyi nous fait front, qui est en front de nous, qui est contre nous en termes de front, de chose qui nous fait front , qui nous est frontale ; le temps ainsi nous fait front, et nous de nous y accoler betement, religieusement, sans autre savoir que celuyi qui est foi, sans autree avoir ou savoir que la foi en nous envers les tenants et les aboutissants (supposés) du temps auquel nous sommes collés un temps ; nous sommes un temps collés au temps, njous croyons que nous sommes un temps ; njous croyons que nous sqommes collés au temps, nous avons la foi, njous sommes croyants care nous croyons au temps, nous avons la foi pour dcroire au temps, ou bien nous avons lza foi de croire au temps, aux tenants et aux aboutissants du telmps et ce via le langage de la foi, ce lmangage qui nous constitue en cela que nous sommes attenants à lui ; nous avons la foi de  croire au temps via le lan,gage de la foi qui est ce langage que nous possédons en  nous et dont nous ne pouvons nous départir ou nous décoller ; nous sommes collés au temps, cela est la foi, et le langage de la foi est la colle ; njous avons en nous cette colle qui est du langage ou de langaege, la colle est langage, le langage est cette colle qui nous ssctoche au temp^s ; nous avons en ous cette croyance comme quoi le temps existe da ns toutes ses composanteszs etc, et cette foi est ou passe par des mots (du langage, une langue) qui est une colle quyi nous permet de n ous plaquer contre la paroi et de tenir, d’adherer, de coller plkaqué, etc ; nous nous plaquons, nous adhérons, nous nous mettons, nous sommes contre, nous sommes collé ou accolés à la paroi ; le lmangage est la colle, les mots sont la colle qui nous maintiennent comme collant ou collés au temps ; nous sommes quii épousons la paroi du temps et les mots sont cette colle qui nous colle à cette paroi du temps sur laquelle nous tenons avec la colle de maintien, de soutenance, collle de mots ou faite de mots ou avec des mots, colle-langage, colle-foi qui nous flanque contre la paroi, contre ce mur du tempsauquel nous croyons via ce langage en n ous, qui est une colle etc ; nous sommes ainsi à faire des looopings avec des mots de foi au temps, ou de foi en un temps qiu est ce temps auquel nous croyons deepuiis le début, coupe franche du cordon et coupe du vainqueur à l’(arribv»ée, le jour de la mort ; nous avons ces mots , ce langage de la foi en nous, pour nous inculqués, nous avons acquis un langage, nous avons acquis une langue en nbous et cette langue est une colle qui nous colle au temps auquel nous croyons via le langage appris ; nous avons acquis une langue, cette langue est une colle -foi, cette langue ou ce langage est le langage ou la langue de la foi en cette chose d’un temps existant ; le langage est le langage de la foi point barre, et accessoirement dxes choses pratico-pratique de la vie de tous les jours, maids l’eessentiel n’est pzas là ; l’esentiel n’est pas dans l’emploi du langage pour des choses pratico-pratis-ques, non  ; l’essentiel n’est pas dans l’usage ou l’emploi du langage à visée scie-ntifiques ou pratico pratiques , non ; le langage est av ant tout le langage de la foi, c’est à dire le langage qui permet , e,n tant que coolllle, la soudure, l’agrippemeznt , le plaquage de soi à la paroi du temps ; le langage est ce quyi permet à letre de coller au temps, d’y croire en y étant collé ; nous sommes ainsi qui croyons au temps, aux diverses composantesxsupposées du temps et nous y creoyons car nous avbons en nous (inculqué) une colle qui nous colle à la paroi du temps ; njous sommes scotchés, nous sommes ébahis, bouche bée, bébés babas devant les peintures rupestres des cavernes, des grottes, des gouffres, etc ; nous sommes sidérés car nous sommes surpris ; nous sommes surpris de voir combien ces hommes primitifs (premiers) avaient de génie pôur représenter avec autant de précision des animaux de grandes taille ; nous sommes sidérés de voiir à quel pioint ces ghgommes avaient du génie en eux, cet esprit en eux, cette force, cette puissance, cet élan en eux, pour représenter avec autant de précision des betes fauves, dezscbuffles, dews bidsons, des antilopes, des betes féroces, des rhinocéros, desxlmammotuths, desz bouquetins etc, sur des parois, sur des roches aux rob-ndeurs faites, aux rondseurs de l’érosion ; nous sommes surpris et nous ghardons la bouche ouvertte et de notre bouche sort quelque chose, quoi sort de notre bouche ? qu est ce qui sort de notre bouche ? ; une sidération ? une sidération ou un étonnement majeur ? ; nous touchons la paroi ; nous avons en bouche une cxhose qui, bouche bée, trouve une issue : une mouche ?  ; nous touchons la pâroi, nous avons la bouche ouiverte et xde cette bouche sortent des chosesq, peut etre des mots, des mots de lman,gazage, le lmangage de lafoi, des mots sortent de notre bouche ; nous posonsnos mains d’enfant sur la paroi, nous dessinons tout autour pour en inscrire les empreintes, nous dessinons ainsi autour de nos dix doigts ; nous dessinonsq sur les parois nos mains respecxtives, nous les dessinons en nous applkiquant ; njous sommes collés à la paroi c’est à dire au temps ; nous collons au temps c’est à dire à la paroi ; le langage est le langage de la foi ; le langage que nous emlployons est le langage de la foi  ; parler = croire en ce que des mots véhiculent des notions etc ; impossible d’y echapper hors la folie qui, elle, peut, elle peut sortir de la cape et du cap et aller gambader, possible ; hors la tete ; hors la cape ; etc ; nous pârlons avec des mots qyui tous re levent d’une foi en eux mêmes, comment agir autrement ? il semblerazit qu il en soit ainsi : nous collons à la paroi du temps ; nous sommes sqcotchés à la paroi du tempsn,, nous  ne pouvons faire autrement que de coller à la paroi du temps, nous ne pouvons agir autreement que de coller à la paroi du temps, nous agissons ainsi et ne pouvons agir autrement que de coller à la paroi du temps ; nous sommes collés, nous adhérons, nous n’avons pas le choix, nous croyons en ce que nous disons, nous sommes collés au temps, nous croyons au temps pour  ;la simple et bo,nne raison que le langage nouys y scotche ; le langage est le lan,g age de la foi que nous avons envers le temps, envers le bien-fondé du temps et pas autre chose ; ou si, autre chose ? ou comment ?  ; nous croyons au tempsq, nous sommes collés, nous collons, nous adhérons, nous sommes contre, nous nousq collons contre, nous essayons de nous tenir contre, njous pklaquons nos mains contre la paroi et dessinonsautour : art contemporain ; nous dessinons autour : art contemporain, en galerie d’art contemporain, en galerie tout court ; nousq dessinonsautour de n os mains, nous ne faisons riezn d’autrre que de dessiner le pourtour de nos mains, et des betes fauves ; nous dessinons le pourtour de nos mains, nous dessino,nsq le tour de nos mainsq, nous créons ainsi un cxertai,n arty contemporain fait de pourtour et de contour de mains ; nous créons notre façon qui est la fa çon qui va ainsi faisant le pourtour d’une chose, ici une main ; nousfaisons dees pourtours, nous faisons dezs mains néghatives, nous ne faisonsrien d’autre que cela, nous faisons des tours et des pourtours et des retours sur des pourtours de tours en pourtours de tours ; njous faisons des tours et des pourtours de contours de tours en retour ; nous contournons les doigts, les paumes, nous faisons le tour des doigts et des paumesq des deux m=mains, nousfaisons le tour des doigts des deux mains, nous dessinonqs ainsi sur roc, sur roche, nous créons ainsi des empreintes, nous signons ainsi notre passage, nous sommes passés et nous avons laisssé de fait la marque sur roche d’une main plaquée tout contre ; nous plaquons nos mains et dessinons autour, nous plaquons nos mains et  nousdeessinons, autour des doi gts, de la paume et du poignet ; nos mùains sont des mains d’enfant ; nos main,s siont petiotes car ce sont des mains d’enfant ; nous n’avons pas de grandes mains car nous sommes des enfants et les enfants ont des mazins de petiotetaille le plus souvent ; le langage est le langage de la foi ; il selmblerait cette chose, ici , qui serait à dire, comme quoi le langage est toujoudsrs, le langage de la foi, est toujours cela, il semblerait que cela soit ainsi, que toujhoursclelangage soit langage de la foi et surtout ça ; il se’mlblerait que le langage soit touhjours le langage de la foi, que le lmangage en soi soit le langage de la foi essentiellement et non pas (seulement) le langage pratico-pratique de la science des itiné»raires et de la balistique etc ; il semblerait que le langage de la vie en soi, que le langage inculqué en soi, que ce langage en soi inculqué, cette langue maternelle en soi , soit le langa ge de la foi  dans le langage et cela fait colle, cela permet de coller au temps qui est une paroi ; njous pensons ainsi que le langage est le langage de la foi en cette choses qU' est le langage et du même coup , ou de ce fait, ce langage adhère au temps, et le tour est joué, passez mucade, les jeux sont faits ; il semblerait ainsi que les choses du la,ngage soieznt de cette sorte et que le temps soit ainsi cette cxh ose en nous qui est comme collé aux mots que nous employons ; il semblerait que les mots soient ainsi comme collés (la foi) au temps qui les supporte en tant que le temps est une roche, un roc, que dis je un roc, une paroi ; le temps est cette paroi qui tient pour elle une cxhose qui est nous : notree etre plaqué, ou scotché contree, vlam ; nous sommes collés et nbous adhérons comme une ventouse, et quoi fait ventouse sinon cette chose entre nous et la paroi, cette chose que nous appelons le lma,ngage mais que nous pourrions tout aussi bien dénommer lmangage de la foi, ou : langage de la foi dansd le llangage, impoissible d’en sortir, sinon pa r lafolie peutrerte (court-circuit ? ; nous collons à laparoi, njous sommes accol:és, nous sommes plaqués, nous épousons les formes (rondeurs) de la paroi ; nous épousons les rondeurs, les angles émoussés de la paroi, nous collons à elle, nous l’entourons de nos bras accolés, accolade, entourage, les entours, les a tours, nous nous collons à elle, nous l’embrassons, nous embrassons le temps -petite vie, nous baisons le temps petite vie, nous collonsd au temps mordicus, nous collons au temps et la colle est ce lan,gage en nous qui est langage de la foi en cxette chose du langage en soi (en nous) ; nous sommes collés, nous solmmes assignés, nous sommes ra vis, nous som:mes empportés, noussommes pris dansla paroi, contre elle, nous sommes des enfants qui pour le coup nouxs amusonsà nous plaquer contre ; à nous plaquer contre le temps ; en utiliqsa bnt les mots jamais désqappris, en usant de cela ngage en nous qui est ce langa ge de la foi (hum !) dans le langage : allons-y ;

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14/04/2020

nous nous promenons sur le plateau des vaches, nous sommes nus, nous sommes en joués, nous avançons ainsi que nous kle faisons, soit enjoués et cherchons pour nous une entrée  ; de quoi s’agit il ? il s’agit d’un trou, il s’agit d’une faille où se glisser, où pouvoir se faufiler, dans laquelle s’immiscer ; nous cherchons une faille c’est à dire une porte, une entreee, une porte pour nous : une faille pour nous ; nous sommes à la recherche d’une porte à laquelle frapper et entrer, pour laquelle entrer, vers laquelle entrer, nous cherchons ; nous n’avons pas trouvé la porte, nous la cherchons vaillamment, nous sommes en quête d’une entrée de grotte, une faille, un trou quelquepart qui nous offre l’opportunité d’aller plus avant dans les entrailles de la terre mère, de nousfaufiler plus en profondeur vers nos origines, d’aller loin vers le passé ; nous cherchons à n-retourner sur nos pas d’hommes des temps reculés ; nous cherchons à retrouver les pas (les traces de pas) d’hommes tres anciens, tout ceux qui nous ont précédés sur le chemin ; nous cherchons un chemin dejà emprunté et à retrouver des traces de pas d’hommes plus anciens, les plus anciens parmi les plus anciens, n ; nous cherchons vaillamment une entrée de grotte, nous cherchons et furetons partout dans la vallée ; peut être trouverons nous quelque chose, une faille, un trou quelque part ? nous cherchons un trou dans la vallée ; nous recherchons vaillamment un trou dans la vallée ; il n’est pas si simple de trouver une faille opu une entrée de grotte, il faut s’armer de patience, il faut avoir l»eoil aguerri et en alerte, il faut etre observateur, il faut etre à l’affut de la moindre faille, il faut etre éclairé, vif, il faut etre vif argent ; il est nécessaire d’etre vif argent et éclairé et fin et vif et bien campé et bien éclairé ; il est nécessaire , pour trouver une entrée de grotte, d»-’etre vif et bien campé, et d’avoir les yeux ouverts sur le monde  ; une entré est là qui reste à trouver, nous la recherchons avec beaucoup de sérieux, nous recherchons ce trou ou cette faille dans la roche avec un grand seérieux, avec un sérieux digne d’élo ges, avec le plus grand sdes sérieux, nous recherchons cette fzaille et nous espérons la trouver incessamment : nous avons besoin d’une faille, d’un trou dsans la roche, de cette embardée, de cette avancée, de cette immisciiure dans la terre mère, de cette entrée, de cette descente au sein des cavernes, des gourrffres, des troius profonds et des puits anciens ; nous aimons beaucoup ce genre d’incursion, nous aimons beaucoup découvrir des choses incroyables ou magiques, des vchoses en tous points incroyables et spectaculaires et aussi des choses secrètes ; nous partons à la recherche de choses secrètes, nous aimons beaucoup le s choses secrètes, nous aimons beaucoup la recherche, les découvertes, les secrets, découvrir, trouver, nous aimons les mystères de l’humanité, les choses incroyavbles, les mystères du seigneur, les grottes et leurs dessins rupestres, les animaux qui so nt en ribambelle dessinés sur les parois des grottes anciennes ; nous cherchons des choses à découvrir, nous aimerions trouver et lever des secrets ; notre envie première est de trouver et de lever, notre envvie prinx-cipale, notre souhait le plus cher, nortre souhait premier est celui ci : de trouver, de trouer la roche et trouver des peintures murales , pariétales, des animaux, des dessins d’hommes ancien,s, des images ; notree envie est de découvrir une chose ancienne , une chose qui serait restée secrète pendant des millénaires (introuvée) et que nous autres (nous deux) nous trouverions ensemble, comme par miracle ; nous chercherions iune entrée de grotte dans la roche et nous la trouverions et nous faufilerions à travers les galeries de ladite grotte et là, à l’intérieur d’une sa lle , nous tomberions nrez à nnez sur des peintures pariétales, nous tomberions nez à nez sur des images (représentations) d’animaux dessinés avec beaucoup de précision ; nous tomberions, nous tombons, il s’agit d’une chute : nous sommes tombés sur, nous sommes tous deux tombés sur des images ou représentations d’animaux féroces, chargeant, représentés en une scène de vive poursuite, nous regardons ces images, ces ribambelles d’animaux chassés, nous sommes ébahis, nous avons les yeux grand ouverts et la bouche bée ; nous n’en revenons pas et nous sommes sur le cul ; nous sommes assis, ; nous sommes assis sur le sol de la grotte, nous sommes assis et regardons au-dessus de nos têtes toutes ces choses dessinées avec tant de précision, la chose est stupéfiante et nous sommes ébahis, nous n’en revenons pas  ; et aussi dx’avoir découvert pareille fresque ; nous sommes trop heureux d’avoir découvert cette chose ; notre ambition était (est toujours) de découvreir quelque chose, c’est à dire de lever une part du voile ; nous aimerions, durant notre vie , pendant ce laps de temps que reprédsente notre vie, nous aimerions découvrir des choses , nous aimerions décpouvrir mille choses de ce grand mystère qu est la vie sur terre ; nous serions tres heureux, tres honoré, tres fiers de découvrir quelque chose de ce grand mystère qui nous en toure et nous encercle et nous contient ; n,ous sommes au coeur du mystère ; nous sommes le mystère tout autant que ce qui nous entoure ou nous encercle ; nous voyons bien que nous sommes le mystère et nous aimons beaucoup ce genre d’incursion au centre de la terre ; nous aimons follement nous faufiler au coeur des roches, passer muscade, passer par une faille, nous glisser, nous immiscer et aller plus en profondeur à la recherche de trésors, de secrets, de choses non révélées à ce joiur ; à la recherche d’un secret sur la nature ou la constitution du monde terrestres ; nous aimons beaucoup les mystères, les choses s-ecretes à révbeler, associer notre nom à une découverte peut etre, découvrir, seulement cela : découvrir peut etre, cette envie seule (pure) de découvrir pour nous, pour notre joie peut etre ; nous sommes des enfants et nous aimons les choses secrètes, nous faufiler à l’intérieur des grottes et trouver un trédsor  ; nous cherchons à découvrir un trésor, nous adorons les trésors, nous sommes friands de trésotr, nous cherchgons partout des trésors, nous cherchons à lever une part du voile de la réalité qui nous entoure à la recherche d’une vérité ancestrale, solide comme un roc, fiable, digne de foi, qui nous mette devant un fait inoui, qui nous ravisse de joie, qui nous plaise, qui nous enchante ; nous aimerions lever le voile, soulever une part du voile, nous voulons soulever une part du voile, notre souci autant que notre souhait serait (est) de lever de la réalité une part (aussi infime soit elle) de son voile et du coup d’y voir plus clair sur ce mystère qui est notre monde qui nous entoure , nous encercle, nous copntient ; notre souci autant que notre souhait est (serait) de lever une part de ce voile qui recouvre la réalité, qui masque, qui cache la vérité des choses du monde ; nous voulons crever le voile, nous voulons déchirer et percer ; nous voulons percer, déchirer le voile, l’hymen de cette vérité du monde,, décxhirer ce voile qui englobe, qui entoure ou enveloppe ; nous voulons trouer, déchirer, trouver la vérité sous le voile de la mariée, nous voulons trouer et trouver le secret, nous cherchons le se cret à révéler, notre plaisir autant que notree joie ou notre ambition ou notre allant ou notree souhait est celui ci : de trouver (découvrir) un secret : le voile de la mariée le soulever, le secret le mettre au jour, nous cherchons la trouée, la découvetrte, la mise en, lumière ; notre am-bition est de trouver une chose tenue d-secrète jusque là, notre ambition est de trouver une chose tenue secrète jusque là, de faire  la lumière sur cette chose, de l’écklairer, de trouver un secret, de découvrir quezlque chose du ressort du monde : pour soi déjà ; nous voulons trouver quelque chose du monde, du grand secret et lever une part du voile, et plonger à l’intériuer de la grotte à la recherche de peintures parioétales, les peintures de ces hommes si anciens, de ces hommes si lointains, de ces hommes et de ces faemmes nous ayant précédées et vers lesquelqs nous revenons  ; nous aimons les secrets, nous avons du gout pour les mystères de l’humanité, nous voulons trouver quelqURe chose du grand mystère, nous sommres ébahis ; nous ouvrons grandes nos mirettes, nous avons les yeux écarquillés, nous sommes subujugés, nous n’en revenons pas, nous voulons en savoir davanta ge  ; comment pourrions nous faire pour en savoir davantage ? comment pourrions nous faire pour connaitre le fin mot, toute l’histoire de la création , des hommes et des femmes , etc ? nous sommes subjugués, nous parlons entre nous avec des mots appris entre nous : on n’en sort pas ; nous voulons connaitre le fin mot, quel est il ? nous vouklons connaitre le fin mot, quel est il ? qui nous dira ce qu il en est du monde, qui connait la vérité ? qui sait le pourquoi du comment le monde ? qui peut se targuer de savoir le poiurquoi du comment du monde ici bas ? qui pourrait nous renseigner sur le pourquoi du comment le monde, ses secrets, son m,ystère, ses tenants et ses aboutissants, toute l’affaire : de quoi s’agit il ? cette chose, peut on l’approcher avec nos mots, avec les mots qui sont les notres (entre nous) , avec ces lmots que nous avbons appris (entre nous, ça fausse) : peut on ? nous cherchons à percer le mystère de l(humanité ; nous voulons connaitre le fin mot ; nous cherchons des réponses aux questions qui nous taraudent depuis toujours, depuis notre plus tendre enfance ; nous cherchons des réponses, nous cherchons des réponses au mystère du grand tout ; nous ne voulons pas mourir idiotds et nous voyons bien que nous en prenons le chemin ; notree ambition est de lever une paert du voile, de percer l’hymen, de comprendre les choses qui se cachent sous le voile du réel , des choses qui sont devant nous, qui nous entoure, qui nous encerclent et nous contiennent (nous faisons partie du grand tout) ; notre souhait le plus cher est de soulever une part du voile de la marioée de la réalité ; nous avvons cette ambition chevillée à nous, il s’agit d’un désir d’enfance, d’un souhait en  nous qui remonte à loin , à des années lumières, à  beaucoup de teemps en arrière en  nous, nous cherchons une entrée de grotte ; il s’agit d’un souhait que nous avons en  ous depuis tres longtemps, depuis de nombreuses années, cela remonte au temps de notre enfance car en effet lmorsque nous étions petits nous aimions beaucoup ces histooires de mystères et de secrzet sur les origines ; nous aimions beaucoup touteezs ces histoires entourant les secrets de l(humanité, du pourquoi du comment etc ; nous étions tres frians et du coup, par là même, la chose nous est restée, nous aimons toujours ; nous aimerions comprendre, connaitre, soulever, percer, lever, enrtreer , nous immiscer, trouver une faille, découvrir lke voile : le soulezver un poil, un tantinet, un chouia, une miette ? nous cherchons une entrée de grotte à nous mettre sous la dent ; notre encvcie est de découvrir quelque chose du secret du monde, nous allons à l’intériuer de la grotte avec , comme but affiché, ce souhait , cette envie forte, de trouver sur les parois de ladite grotte , des dessins ou des gravures, des traces gravées, des treaces d’hommes anciens , des traces ou des marques ou des dessins d’hommes tres anciens ; notre envie est violente, piussante, vive, massive, envahissante, elle se dresse en,  nous et nous dresse ; nous sommes drsessés, nous sommes redressés, nous nous tenons debout dressés, nous sommes érigés, nous sommes droit comme des i ; nous entrons dans cette grotte ; nous aimons enttrer dans lkes grottes, nous nous tenons par la main, nous entrons dans cette grotte ; nous aimons beraucoup les grottes et la part (inouie) de mystère que cezlles ci recelent ; nous nous faufilons à l’intériuer de la grotte, le mystère est ghrand, nbous nous posons beaucoupo de questions avec nos mots à nous , c’est à dire entre nous, mais ça ne sort pas d’entre nous et nous nous disons que les quyestions que nous nous posons (du coup) sont peute etre mal posées et comment faire ? comment faire alors ? nous avons en n ous tout un arsenal de mots que nous nous échangeons, maids il se peut que ces mots ne soient pas à même de crever le voile , de percer le voile, l(hymen, le voile de la mariée de la réalité qui nous entoure, nous fait face ? nous commençons à nous poser beaucoup de questions, nbous n,e sommes sur de rien ; nous aimerions avoir des certitudes ; nous aimerions savoir plus de choses sur tout, sur le mystère de la vie, sur le monde comme il va, etc, tout sur tout, mais hélas nous ne savons pas grand chose, et ce que nous savons nous commençons à le mettre en doute  ; nous ne sommes surs de rien , ou si ?  ; sde quioi sommes nous surs ? de  ;l’eau chaude, de l’aeau froide ? nous avons quelmques certitudes et cepêndant nous sommes un peu fébriles sur ces questiuons, nous avons des doutes, nbous ne pouvons pas nous empecxher d’avoir pas mal de doutes sur tout, voire même sur la chaleur ou la froideur de l’eau, c’est dire  ; nous avons des doutes sur tout, nous cherchons une entrée de grotte, nous voulons des certitudes, nous voulons lever le voile de la mariée, nous entrons dans la grotte, nous avons da ns les mains des choses qui sont comme des offrandes à déposer sur une table et de ce fait nous cherchons la table  ; où donc se trouve la table ?  ; la table est la terre mère ; la table en quyestion  est cette terre mère qui nous soutient, qui nous porte ; nous sommes portés par la terre m ère, elle ne nous lmache pas, elle nous entraine dans ses loopings ;: nbous sommes tenus et agrippés, nous sommes scotchés, nous sommes collés à la terre mère, elle ne nous abandonne pas en chemin, elle nous entraine avec elle (révolution) et nous tient comme collmés à elle : nous apprécions ; nous aimons beaucoup les secrets, les mystères, les découvetres, les choses tennues secrètrsx pendant longtemps et un beau matiin voilà quelqu un (un savant) qui découvre le pot aux roses apres des annnées et des années de recherche acharnée ; il s’agit d’un trésor qui serait trouvé dans une grotte ou une caverne ; nousq espérons (durant nottre vie) trouver un trésor ; nous cherchons ce trésor partout, nous portons des choses à part nous et ces choses sont une sorte de temps, oui une sorte de temps, du temps, oui on peut dire cette chose , que cela que nous portons en offrande à déposer eh bien cela est du temps, c’est à dire le temps de nottre vie en vie ; nous allonbs par les voies jusquà trouver cette entrée (de grotte) et là, une fois trouvée, nbous entrons , et nous allons pour déposer notre temps de vie sur cette table qui nous attend, cette table qui est une table stable, plane, qyui est plane, c’est à dire sur laquelle n  nbouds pouvons tenir debout, sur laquelle nous pouvons nous dresser , sur laquelle nous pouvons nous tenir droit ; nous avons une table devant nous et cette table est une table sur laquelle nous pouvons nous tenir droit, nous dresser, nous mettre debout, la terre mère nous soutient, il s’agit d’une assiette, il s’agit d’un tapis, de’une assise, d’une zone de sustentation sur terre  ; nous apprécions, nous sommes en sursis ; nous aimons les tables, les assises, les assiettes, les zones planes ; nous nous tenons debout érigés, nous marchons sur les sentiers, nous nous promenons et en avançons ainsi, nous nous échangeons des mots dans cette langue à nous que nous parlonbs entre nous : nous nous comprenons ezntre nous, nbous nous comprenons entre nous c’est à dire que les mots que nous employons ne sont pas connus de tout un chacun : nous parlons une langue à part ; beaucoup d’hommes sur la terree ne connaissent pas les mots que nous employons, ne comprennent pas un traitre mots de ceux que nous utilisons entre nous, et ne peuve,nt des lors point ressentir la richesse du vocabulaire et la beauté de nos excpressions, il est impossible à beaucoup de cerner toutes ces choses, il est impossible pour beaucoup d’hommes, il s’avère qu il est impossible pour ou à de nmombreuses personnes sur terre, de cerner la beauté ou la richesse ou la profondeur de nos dires si tant est ; il sepeut que des lors la question de la beauté, de la richesse, et de la profondeur des mots de notre langue, de notre idiome, de notre patois, de notree sabir , soit chose vaine et que l’essentiel se situe ou se situat aillkeurs et par exemple ici : sur les parois de cette grotte, nous ne savons pas ; nous avons découvert des peuintures pariétales ; nous avons trouvé une issue ; nous cherchons à lever (soulever) le voile, c’est à dire le voile cde la mariée de laréalité tangible : notre but est clair et net ; nous cherchons une entrz»é de roche dans le langage, nous cherchons (en marchant) à trouver une faille, une fissure dans laquelle nous pourrions nous immiscer comme dans une faille à ^mem la roche, à même le roc, la pierre de la gvrotte ; notre ambitiuon n’a pas d’autres mots, notre ambition tient en quelques mots, quyi sont mots de la tribu hélas et ne portent pas bien loin ; nous sommes avec des mots qui semblent porter loin mais qui en  vérité ne portent pas bien loin , si la question est de con naiotre le pourquoi des choses ; nos mots (de la tribu) ne vont pas loin, s’arretent en chemin, ne vont pas jusqu’au bout, sont pauvres choses en vérité, pourt une approche de la vbérité ; nos mots sont pauvres choses, sont choses de peu et guère utiles ou bien guères bien , guere, sont pzauvres, sont pauvres chose, sont misères, guère pratiques en vérité ; nous parlons avec nos mots et trouvons les peintures joilies ; nous le disons , ou plutot nous nous le disons entre nous, nous disons entre nous que nous trouvons ces peintures(d’animaux) jolies, ou même nous disons que nous les troouvons super, que nous trouvons ces peintures vraimùent supert, elles sont magnifiques, nous disons le mot magnifique ; nous aimons découvrir, nous avons une passion pour les découverttes, pour les mystères, les secrets ; nous aimerions à l’avenir découvrir quelque chose de l’ordre du monde ; nous nous demzandons comment  njous pourioons faire pour cela , comment pourrions nous faire ? nous aimerions devenir des découvreurs, trouver quelque chose d’inouï, ; comp^rendre le :monde, comprendre, cerner, découvrir, soulever, lever, prendre pour soi, creuser, aller profond, azller lkoin, trouver les clés, trouver un secret, découvrir un mystère, trouver une faille dans la roche et s’y faufiler ; notre ambition serait celle ci ; nous voulons cette chose ; la chose que nous voulons est celle ci ; nous voulons comprtendre ce qui se trame, les mots peuvent ils nous aider ? que faire des mots ? les mots oint ils pouvoir pour nous aider à trouver le fin mot ? y a t il un fin mot ? les mots sont ils aidants ou tout le contraire ? que peuvent les motds nous apprebndre ? ont ils quelque chose à nous apprendre , ou plutot  : les mots peuvent ils nous aider à formuler les chgoses s-ecrètes ? les mots ont ils pouvoir de formulation, ont ils capacité à formuler en toutes lettres des vérités ? est ce que le mot peurtt dire la vérité ? est ce qu un mot peut dire la bvérité sur les choses ? qu est ce qu il en est de ce qui nous entoure dans la grotte et au delà ?  ; nous dessinons sur les parois, nous dessinons en transe sur les parois , oh la chose est d’une simplicité à toute épreuve, il s’agit de fermer les yeux, de se laisser guider par une intuyition, par un geste, un geste intuitif, il s’agit de se laisser porte r par une intuition en soi et y aller de son tracé à même la roche ; nous dessinons des animaux, ils sont majestueux, on peut dire cette chose qu ils sont beaux car ils en imposent, ils font comme vrais ici  ; on dirait des buffles en vrai, des bisons, des rhinocéros en vrai ; l’ambition -ici est de véra-vicité et de similitude : il est nécessaire ici de faire croire à un troupeau d’animaux qui chargent pour de  vrai, à une collection d’images mouvantes qui semblent réelles,  il est nécessaire de faire ainsi : de faire croire, à travezrs une suite d’animaux-)images, d’animzaux de fausseté, de faire ainsi croire, wq uil s’agit en vérité de vrai, de vrais animaux, qu il ne s’agit pas de feaux, de faux animaux ; la volonté ici est de faire croire (en galerie) que la chose proposée renvoie à du vrai, à du solidement campé sure ses pieds, à de la vie en branche dép^loyée : printemps ; or on voi t que la chose n’est pas tout à fait ceklle ci et que les animaux proposés sur les parois ne sont pas des animaux en vrai mais sont du faux : mensonges, faussetés, pis aller, ersatz etc ; nous avons affaire à une tromperie ; nous avons affaire à une image qui renvoie à quelque chose qui existe en vrai, cette chose qui existe en vrai nous essayons (par des pieintures ou gravures pariétales) de lareproduire le plus fidèlement possible afin de faire croire qu il s’agit de vrais animaux, et de la vraie vie en acte ; or bien sur il n’en est rien, il ne s’agit pas de cette chose, ici la vie est simul»é, ou bien simplement une représentation de la vraie vie mais non point la vraie vie pour elle même ; nous trichons, car nous devons tricher : vivre ici = tricher ; nous n’avons pas d’autre choix que ce choix là et nous devons de cette façon nous en excuser, comment nous en excusqer ? ; nous devons de cette façon (offrande) nous excuser ou comment dire cette chose ? nous vivons = nous brûlons la vie à petit feu = nous marchons = nous allons dans le temps = nous offrons le temps = nous donnons le temps qui meurt au fur et à mesure = nous donnons la mort = nous donnons ce temps en n ous (?) qyui meurt sous nos semelles = nous brûlons à petit feu = nous allons = nous trichons = nous donnons du faux = nous offrons de la fausse vie = nous offrons le temps en lieu et place de la vie = nous sommes soumis à pareille vilénie = nous ne pouvons faire autreement que de faire ainsi = nous sommes soumis = nous n’avons pas le choix = nous sommes obligés = nous sommes obligés d’agir ainsi = vivere est ainsi que nous sommes soumis d’agir de la sorte et par conséquyent d’ogffrir des animaux morts sur la table (nos temps) et des animaux vifs (ou tout comme ) sur parois ; qu avons nous d’autre comme solution ? nous n’avons pas d’autre solution,  nnous faisons cette chose par nous même, e,n nous même, sans même nous en rendre compte : nous dessinons des choses sur les murs, nous essayons de dessiner la vie sur les murs , sur les plafonds, sur les sols, partout, nous essayo ns de couvrir la surface du monde (quasiment) : l’entrprise est totalitaire, est globale, est globalisante  ; nous cxherchons à figurer la vie sur roche, sur toile, sur mur, sur supoort quelcons$

que  ; figurer la vie pour faire accroire et conserver ainsi la vie (la vraie) en nous , nous n’avons d’autre choix que celui là qui nous constitue , car vivre = cette cxhose, vivere est cette chose que nous faisons : de donner des semblances ; nous sommes ainsi à l’intérieur de cette galerie, nous aimerions la remplir de choses diverses, nous avons apporté nos pas ,  nos empreintes ; nous aimons soulezver les voiles ; nous avonsgrand plaisir à soulever des voiles de réalité et c’est à cette chose que nous nous attelons avec vaillance et une grande volonté dans le faire et un grand souci dansla façon  ; notre envie est de dévcouvrir une chose pour nous , pour soi, pour le moi, pour je ; notree envie est de trouver une chose, une chose vraie, une vérité, la trouver à l’intériuer et de l’intériuer et en marcheant = en allant le coeur vaillant ; notre ambition est de comprendre quelque chose de l’ordre en vironnant en ce bas monde et des lors de mieux aller, de mieux se porter (?) , de mieux tenir, ds’aller mieux ; nous espérons trouver cette chose en  ous faufilant : loopings sur nous mêmesq dans un ciel dégagé, celuyi que nous essayons de faàçonner par nous mêmes, qyue nous essayons de créer par nous mêmes, en paroles qui vont de l’avant le coeur vaillant ; nous cherchons toujours et encore une entrée de grotte dans la galerie, nous cherchons dans la galerie (d’art contempoirtain) une entrée de grotte, nous tentons et nous testons ; nous imaginons, nous avançons ; njotre soouhait est de comprendre quelque chose à ce qui se trame autour de nous (nous y compris) et nous sommes comme des enfants qui espèrent soulever le coin du voile de la marié»e de laréalité ; nous a vons en  ous ettec chose qui est en fantine et cependant qui ne nous lache pas : cfette envie de vérité, cette pente, cette recherche, cet élan vers cette chose  ; nous cherchons ensemble une clé ; nous aimerionbs beaucoup trouver une clé, notree amour va là, vers la recherche et la découvetrte d’une clé du monde ou bien d’une des clés du monde ; où sont elles ? dans les grottes ? dans les galeries d’art contempoorain ? dans des musées ? dans des foires à l’enca nn ? où ?  ; nous cherchons vaillament, nous faisons des  kilom ètres, nous marchons avezc beaucouop de coeur ; nous mettons ainsqi beaucoup de gnac en cette a-ffaire, en cette rezcherche ; notre coeur est là qui va son train et se tient au rendez vous, et tient le coup ; notre coeur est bien présent au rendez vous et tient la route, le choc ; nous avançons sur un chemin, rocailleux (pavé d’embûches)  ; nous avançons avec beaucoup de courage, de coeur et d’envie : il s’agit de notre vie, il s’agit de cette vie qui est notrte vie, qui est la vie que nous avons à vivre  ; nous devons la vivre en entier, nous avons cette vie à vbivre en entier = le plus loin possible ; notre volonté , sur la terre comme au ciel, est de rester en vie le plus longtemps possible , ou plutot : de rester en santé en vie le plus longtemps possible, la santé est prioimordiale ; la santé (l’absence de douleurs) est quelque chose de primordial, nous devons y veillezr et prier que la douleur ne vienne pas, ne viennec jamais nous enva hir de trop, nous phagociter etc, cxar la douleur est une chose terrible, qui peut vous flanquer à terre , vous atterré, vous mettrec minable, vous foutre à pl ;at, mettre son bonhomme à plat, à terre, etc ; la douleur est une choseterrible et qui peut envahir son hommle ou sa femme et  fgoutre à)à plat celui ci ou celle ci et les achever, les faire capituler ; nous ne voulons pas de ça ; nous voulons connaitre la vbérité, toute la vérité ; nous entrons dans une galerie pour cette chose, pour connaitree la vérité, toute la vérité, nous entrons dans une galerie pour voir cette chose : des pis aller, des semblances d’animaux, des illusions, des représentations qui puissent «le faire», qui puissent faire accroire que ; nous entrons dans la grotte ; nous sommes dedans ; nous regardons au dessus de nous ; nous voyons des images ; nous voyons cettte cohorte d’animaux poeints avec beaucoup d’ingéniosité et nous nous posons des questions avec nos mots de peu et entre nous ; nous nous posons entre nous des questions avec les mots de peu qui sont les notres ; nous voyons ces choses sur les murs (parois) de la grotte, de la galerie : il y a conjuration ? il y a absolution ? il y a quoi ?  ; nous optons pour une illusion offerte par devers soi (à son insu) ; nous optons pour une sorte d’illusion offerte afin de faire croire à une vie en vraie des animauxd, alors qu il n’esn est rien et qu il s’agit tout au contraire d’une vie ezn faux : fausseté, mensonges, illusions, pis aller mùais tout cela est notre vie de temps ; toute cette fausseté est exactement notre temps de vie offert ainsi au compte goutte : échelonné ; nous offrons notre temps de vie dans la balance (cxes aniamux sur pa rois) à un dieuy du monde, à ce dieu de la mort, c’est à dire à la mort personnifiée ; la mort étant pertsonnifiée à l’intérieur de nos hyeux, de notre regard, la mort étant dans nos yeux une chose personnifiée, nous pouvons dire ainsi que nous offrons des choses sur parois, des dessins en galerie, des objets d’art etc (peu importe l’appelation) qui sont comme des pis aller car ce n’est pas cela que la mort (pertsonnifiée) attend de nous mais nous : nous sxavons cela, il s’agit d’un savoir, nous avons en nous ce savcoir ; nous avons en nous cette cxhose capitale (de tete) qui est que -nous nous disons que nous allonbs mourir ; czela conditionne ; nous avons en nous cette chjose (chose de tete) que nous nous disons que nous allons mourir et ce dire est en nous comme un organe est en nous ; nous nous disons cette cxhose, que nbous sommes gens (betyes) mortelles, njous voyons cela, nous l’avopns comprixs, nous nous le disons ; ce n’est pas une chose banale ; ce dire est le fait en  nous de la vie ; notre vie en  nous est ce fait de se dire cette chose de la mort pour nous ; nous n’y couperons pas ; nous sommes ezngagés, nous sommes engaggés dfans un processus qui nous mènera à un port en pareticulier et cette chose de ce port nous lo’avons en nous (cap = tete) intégré et assimilé comme un aliment ; nous dessinons sur des parois des animaux»vivants» car nous savons l’issue (l’appel) qui nous attend : qui est en n ous le temps vers cela, vers cette fi n pour nous ; nous avons dessiné, nous dessinon,s ; nous avons autrefois dessiné des animaux «vivants» pour faire illusion, pour faire croire, pour faire croire = pour donner foi, pour donner du crésdit, de l’avoir, une chance, donner ; nbous avons autrefois dessiné sur des parois, à l’intériuer de grottes (sdu sud de la France ou aillezurs à travers le monde) des sortes d’ersatz dze vie ou des sortes de pis aller ;: nous avons dessiné autrefois des animaux «vivants» sur des parois pour gagner la foi de l’autre (= mort personnifiée) ; nous avons procédé ainsi, notre but étaiit tel, notre but était précis, était direct, bn’aétait pas caché ; il n’y abvait pas de but caché, nous cherchons une entréee, nous essayons de comprendre ; nous essayons de comprendre ce qu il en est ; la chose est en nous et pas aiilleurs il semvblerait ; nous avons dessiné a utrefois (sur des parois de grottes) des animaux, des animaux «vivants», c’est à dire des animaux que nous avons essayé de rendre le plus vivants possible et ce afin de gagnezr la foi et la confiance de la mort, de la mort personnifiée ; nous avons essaayé (nos pas, nos empreintes, nootre souffle inscrit dans le temps) de ruser ainsi ; notre ruse ; nous essayons en galerie pareillement de ruser ainsi, de ruser, de tromper le monde, de le tromper pour errester en vie ; nous essayons de tromper (masquer, grimer) le monde, de le recouvrir, de masquer la vue, de masquer la vue directe, de recouvrir le monde, d’interposer des choses entre le monde et soi, de ruser, de masquer, de faire croir qu il s’agit de la vérité vraie des choses tangibles etc, de  vie en vra i alors que non : il y a interpositions, il y a interposition constitutive ;: nous interposons des choses (sur mur blanc) et ces choses sont des masques, des couvertures, des tapisseries, des écrans de fumée etc ; holov-causte, tromperie, foutaises (?) , foutages (?), nous trompons  ; nou s sommes ainsi qui sommes des vivants et de cefait notre temps ,  le temps que nous laissons derrière nous peut sembler etre de la vie en vraie à offrir (en recouvrir les parois du monde réel ) or bien sur que non, rien du tout, il ne s’agit pa s de cette chose ; nous recouvrons les parois du monde avec de la vie en faux, avec de la fausseté de vie qui peut faire son effet (en mettre plein les yeux) mais ça ne fait rien pôur autant, il n’empêzche, vous pouvezz ,  vous pouvez recouvrir le monde de votre peinture, vbous pouvez ainsi faire et toutes les parois du monde, etc : que rien n’y fera, il sz’agira toujours, encore et troujhours de choses mortes, de temps morts, de  cetemps offert, de ce temps du derrière de  vous (le passé) qui semble etre de la vie (le temps semble etrte de la vie ou la vie) or que dalle : que non : il ne s’agit pas de la vie, il s’agit d’un semblant (une semblance, ue,ne ressemblance ?) de vie , non point la vie en vrai ; nous couvrons = nous interposons ; nous interposons (en galerie d’art) des choses sorties de nos main (le temps présent ) entre le monde (la réalité du monde) et nous qui sommes à l’intérieur du monde et voyons en nous l’appel de la mort (savoir)  ; nous mettons entre, nous glissons entre, nous interposons ; il y a interpositions ; nous faisons cette chose à notre insu, qauasiment, ou bien est ce une question encore ?  ; il y a interposition entre le monde et ce savoir en nous d’une mort prochaine (cet appel)  ; nous ne sommes pas dupe ; nous interposons des choses ; quoi interposer , qu interposer ?  ; que dzevons nous ou devons nous interposerr ? qu interposqer ? quoi interposer entre l:e monde (la nature, les objets de la nature) et cet oeil en nous qui voit (où ?) cet appel en nbous (jambes ou guibolles) de la mort en attente ; nousd avons en  nous une chose qyui est cette chose : la mort ; ce mot et cette chose, cet appel en  nous (vie) ; nous sommes perdusz, nouys ne savons pas où donner de la tete, nous interposons des objets (au sens large) dans des galeries, des musées, des centres d’art , etc : objets ditsd «d’arty» ; nous interposons, nous déposons dans un espace d’interposition, cela est v&érirfdiable, cela est ; nous interposons dans un espace d’interposition obligatoirement, il s’agit d’un espace protégé (haute protectionb), il s’agit ds’un espace surveillé, d’un espace un peu à part, ou qui semblerait se situer ou etre situé un peu à part dans le monde, un peu comme un temple ou une église semblent se situer -ou etre situés un peu à part ; un pas de côté, mais cela est il pôssible ?  ; il sembbvlerait que nous ayons affaire à un espace à part (cloturé, sacralisé) à lk’((‘intéreiur de la sphère monde : deux mains refermées sur elle mêmes comme pour tenir enfermé une petite bete (une mouche ? un scarabée ?  ) entre elles à même le sol   ; il sembklerait que nous ayons affaire à une sorte de cloche, de temple, ds’église, de cloche à fromage, de couvercle, de mains fermées sur elle même en coquille de noi

x, etc, et cette chose à part, cette enclave à l’intérieur du monde se veut ainsi : comme une sorte de chose en interposition et pouvant faire accroire (illusion) vers cette autre poersonne qui nous suit de loeil en nous (notre oeil qui a vu, notre oeil en  nous qui a su , qui connait l’issue, qui «entend l’appel, notre oeil, notre ouie, nos sens , etc)  ; nous sommes suivis, nous sommes en  nous suivis, pistés, nous sommes suivis en nous sur notre chemin ; nous sommes suivis (pistés) en nbous même sur notre chemin de vie ; il ,semblkerait cette chose , que nous serions comme suivis en nbous sur notre chezmin de  vie et que des lors la c-vie devaeint qUelque chose de particulier, de spécial, de bizarre : nous sommes comme (en nous) sous un oeil qui nous suit , qui nous observe en  nous mêmes c’est à dire au plus profond de nous mêmes : un oeil voit loinb en  nous ; il s(agit de l oeil de la vie en nous (le tic et le tac de la vie en n ous) , ; nous interoposons des choses entre le monde et cet oeil en n ous de la vie (la vraie pour le coup) en nous ; nous interposons des chodses entre le monde (ainsi recouvcert, masqué) et cet oeil de la vie en  nous,  ; non point un oeil qui voit en nbous, qui scrute (ou si ?) mais loeil en nous qui est la vie en  nous (en nos artères, en nos cellules etc : le tic et le tac de cet élan en  ous démarrreé on ne sait comment ni quand exactement)  ; nous solmmes ainsi qui interposons des choses en galerie (ou ailleurs) ;: il s’agit des lors de cette cxhose que (par ailleurs) nous appelons art : il s’agit de cette chose ; nous avons ce mot , art, et cet autre mot , artiste, et ces deux mots nous les questionnons, nous essayons d’en tirer le suc, le jus, l’extrème ; quel est il ? ; nous essayons ici d’extraire le jus et pour cela nous pressons le train et la chose (pensant que, ou ayant lafaiblesse de penser que)  ; nous pressonbs le train et essayons ensemble de co=mprendre le pourquoi du comment des peintures (de ces pientures) pariétales , et alorsq nous en arrivons à la conclusion , à cette conclusion, que  c es peintures avaient une fonction d’interpositiuon évifdente ; il nous apparait à présent que ces peintures d’animaux a-vaient une fonction évideznte ds’interposition ; d’interposition entre la pa roi , le mur, la roche (le monde réel, le monde en dur, celui qui fait mal ou occasionne des douleurs) et l’appel, l’appel de cette chose ici pezrsonnifiée, cette chose en nous (tic et ta c) qui est cettte chose de l’appel, de cet appel en n ous, de cet appel qyui est en nous l’appel de la mort, cette mort inscrite (savoir) en  ous , cette mort qui nous a ppelle ; cette mort qui nous appelle en  nous, en nos jambes, en nos guibolles, etc ; nous interposons des images censées figurer la vie à donner à la mort en  ous (qui veille) ; nous donnons sur parois des images censées représenter (offrir) la vie en vraie , car nous ne voulons pas mourir : répondre illico (fissa) à l’appel en nous (ce savcoir que nous avons) de la mort personnifiée, personnifiée en cette chose que nous sommes nous nm^me une personne qui contient (savoir) la mort à l’ oeuvre, dou l oeuvre en galerie etc ; nous dé ;livronds de nous une chose (sé&paration) $que nous interposons entre le monde (de ce fait masqué, ca ché) et en nbous la mort à l ‘oeuvre en actions ; nous interpôsons entre le monde (du coup caché) et nous , notre sentiment de la mort , une  oeuvre d’art ou de façon , dite «de façon» ; nous mettonsv, entre le monde et notre for, une oeuvre de façon , de mains, une oeuvre sortie des mains : le temps ; nous mettons le temps sur ou entre le monde et nous, notre for, notre savoir ; nous interposons entre le monde et notre savoir de la mort letemps ; nous interposons le temps entre le monde et le savoir en acte en nous ; nous mettons sur le monde (qui le cache) notre temps de vie (morte) et voilà la chose, la chose que nous faisons  ; nous interposons en,tre le monde (qui se voit masqué) et notre savoir de la mort en  n ous (en action de jambesc : arpentage) , cette oeuvre, cette chose, cet objet, ce temps passé, entre n,ous et le monde; entre nous et le monde ?  ; nous déposons , nous déoposons le temps passé, la mort ou lapetite mort de tout ce temps passé et qui se tient derrière nous, nous le déposons entre le monde et notre savcoir (en nous, en acte) de la mort prochaine : cet appel ; donc : entre le monde, la réalité (mais qui se voit masquée) et l’appel en nous de la mort, il y a , qui est déposée comme une offrande , le temps présent continuellement réactivé, qui vien t se loger ainsi, sur parois en intérioeur de grotte, ou sur les murs blanchis de la galerie d’art ; nous sommes des etres pzarticuliers (par rapport aux animaux) en cela que nous posons des chodses sur des murs ou sur des sols (etc) qui viennent (ces choses) s’interposer ; en fait il  s’agit d’interposi tions, de dépositions ou de dépôt en interposition , entre deux choses ; il uy a ces deux choses : le monnde (le réel, ou ce qui nous apparait comme tel : ce qui fait mal pour le dire vite) et la mort, qui est en nous en acvtion en tant qu elle hurle en nous son appel ou son rappel ; il y a cesq deuxw chosesx: le réel qui claque (la beigne) et en nous le rappel continu d’un savoir, et entre les deux il ya le temps, que nous déposonsvc, que nous interopsons, notre temps, le temps que nous passons et dont nous laissons (ou pas ) des traces, selon les motivations ou les envies (libido) de chacun ; nous interposons ainsi une sorte de libido du temps passé , du temps mort, or riezn qui ne ressemble plus à la vie que le temps mort, quand bien même il s’agit de la mort, de quelqU e chose qui est mort, et cela les hommes préhistoriques l’avaient en eux (en esprit), ils connaissaient cette cxhose ; les gghommes préhisztoriques savaient (en eux, en esprit) cette chose, cette cxhose du temps en nous, ils connaidszaient cette chose du temps qui se meurt en nous , et cependant qui est la chose qui ressemble le plus à la vie, et par conséquent ils offraient cette chose sur le devant, ils lk’exposaient, ils créaient ders installations ainsi, ils posaient des vivres sur table d’offrandes et dessinaient des animauix «vivants» sur des parois de grottes, pour faire croire qu il en était ainsi que de vrais animaux chargeraient, allaient et venaient , en pleine forme ; il y avait pour eux cette volonté de faire croire, de donner crédit, de faire comme si et cela bvien sûr pour rester en vie, pour s’excuser de vivre, de continuer à vivre (les douleurs, le réel) et ne pas se donner (soi, et directement : de suite) à cet appel, se donner à cette chose qui appelle sans arret, à ce rappel en soi incessant, etc ; l homme de néandertal connaisqzait en lui ce rappelk,n, il lk’entendait, le sentait en lui , qui faisait tic tac ; l’homme de n»éanderthal interposait ders anilmaux «vivants» (ou tout comme le plus possible) entre le monde en dur (celui qui cogne et qui fait mal) et le rappel de la chose en lui, homme de n»éanderta$l ; ce rappel en lui  (piqure) incessant, lancinant, le sang dans ses veines (la sagesse : le savoir, dans le sang)  ; il est ainsi, il voit la chose ainsi, il comp^rend les choses ainsi, il agit ainsi, il dessine ainsi avec un but précis qui concerrne une queswtion cruciale de vie ou de mort, il ne fait pas les choses pour la para de, ou disons quil ne fait pas les choses pour rien, il a un but ; sontravail sur parois n’est pas vain au sens où il dessine a vec derrière la tête) une idée précise, une idée d’interposition etc ; il ne fait pas les choses sans idée, il a une idée, il est nanti d’une idée ; l’homme de n»éandertal a une idée derrière latête ; il ne fait pas les choses en l’air pour s’amuser ou ce genre de choses, il est animé d’une volonté en particulier et il mène bon train dans une direction qui est précise et voulue ; il agit d’une manière qui est dirigée, il agit dans une direction précise, il ne fait pas les choses en vain ou dans le vide, disons dans le vide, mais tout au contraire il agit avec une idée derrière la t^tet ; il a une idée derrière la t^tet et il essaie de mener sa barque (sa gouvern) à quai ou à bon port : il s’agit pour lui -de figurer la vie le plus possible et pas n’importe quelle vie, mais celle précisément qui concerne ces etres dont il a lui même (pa r la chasse) retiré la vie ; l’homme des cavernesxessaies (sur des parois en particuklierr) de figurer la vie le plus possible , la vie de ces etres , de ces betes en l’occurrezncxe, dont il a par ailleures retiré lui même la vie, en les chassant et en les tuant : il a porté atteinte à la vie, il a porté atteinte à la vie , à la vie des bêtes, de ces betes comesticvbles, c’est à dire à la vie tout court, il a tué, tout se tient, tout est collé ou accolé, toutes les partiezs se tiennent, il a porté atteinte à la vie ; l homme de néandertal a porté atteinte à la vie, il a tué des bêtes, il veut réparer son crime, il est un criminezl,n les choses sont accolésd, sont collées, les choses sont collées entrte elles, c’est difficile de les décoller sa ns les abimer ; il a tué, il a porté atteinte à la vie et cherc he à réparer le mal qu il a fait, et qu il a fait bien ob ligé, il a tué des animaux pour se nourrir et rester en vie, les choses se tiennent, il y a colle, accolement : il dessine la vie, le plus possible de choses qui renvoient à cette vie des animaux qu il vient de tuer  ; il fait offrande, il s’excuse, il veut conhjurer, il cherche la conjuration par la trompereeie d’images qui font mine mais qui ne sont pas , par le biais ou l’entreemise d’images qyui font cvomme si en effet il s’agissait de vrais betezs vivantes or rien du tout, il ne s’agit pas de vraies betes en pleine forme (vie) mais xde dessins ou de gravures à même la roche  ; il ruse, il est animé en lui de ruse ; il est rempli dune chose ici et cette cxhose semblerait ressembler à de la ruse ; il dessine la vie de bête, il dessine avec beaucoup d’application, avec beaucoup de précision des a nimaux quyi semblent réels, qui sembkent etre en vcie, il s’excuse ainsi de devoir en passer par là pour (lui) vivre, à son tour vivre, ou paer-devers lui vivre, il n’aguère le choix et cependanr il s’excuse (ainsi dessin ant et par des offrandes en holocauste) de vivree c’est à dire de continuer à vivre (en action des jambes etc) et de ne pas illico presto répondre à l’appel de la morty qui court en lui (§sang/sagesse) ; il a compris (sans motsq ?)) ces chodses ; il est ainsi qu il semble avoir compris beaucoup de choses, en répondant en lui à des injonctions, en répondant en lui à des contre-appels, à des envies en lui qui lui font dessiner sur parois les animaux qu il a ou aura chassé au préalable : il est intellei gent ; il en a dans le crane, il n’est pads sqi betye que ça, il l’est moins que nous peutret re(§moi ?), il est fin et dessine bien les betes, il est fin et sait dessiner les betes ; il est tres fin dsans ses dessins, il dessine tres bien l’antilope, le rhinocéerosq, le bison, le buffle, etc, c’est impressionnant ; il nous semble tres inbtelligent, de cette intelligence pure qui est réponse en esprit à des appels en soi ou à des injonctions en soi, à des appels en soi qui poussent à agir ou à agir en pensée ; il est ain si qui répond en lui à des appels ou à des injonctions : il ne peut aller autreement qu en y répondant, il est ainsdi comme mû parr des pensées en lui (en esprit) quyi le pousse à certaines choses dans certaines directions, et cela est sa grande i n telligence, sa pureté, son élan en esprit ; il est fortiche, il est tres fort, il est doué pour ce qui est de dessiner des betes sur des parois, on dirait qu il est tres fort, tres doué, l’est il intrinséquement ? est il mû, est il guidé?  ; on l’imagine comme mû (en partie) et motivé dès lors par en lui un esprit (esprit de la grotte ?) quyi le pousse à agir ainsi qu il fait en dessi nant qui des buffles qui d es sangliers  ; il s’agit d’un artiste de premier ordre, il s’agit d’un artiste de premiier plan, il est tres doué, il est guidé, il est enva hi, il est porteur et porté, il se tient debout sur son assieztte, il est avec ezn lui un esprit qui le pousse à dessiner des antilopes ici et des bouquetibns là, il est fortiche, il est fort, il est doué, il n’est pas en reste de savoir certaines choses dans kles détails, il n’y a quà voir la précision qui est la siennec dans la production, dans l’élaboration, dans la constitution d’images animalière etc ; il est tres doué, il est pl ;ein de dons, il a en lui du don, il est don, il est dessin, il est gravure, il est don, il est opffrande, et nous sommes : don, offrande, dessin, gravureetc ; nous avons en nous des choses qui se nomment dons, et ces dons nous constituent et nous poussent à être, nous ne sortonspas de rien, nous sortons d’un ventre : accolé ; nous y allons dans la vie de cette façon que nous faisons  : en tombant d’entre des jambes ; njous sommes nés un jour d’une femme ; nous avonsfait des dessins rupestres, nous avons chassév dans la nature avec des sagaies, nous avons tué des animaux, nous lers avons dépecé et nous les avons mangé ; nous avons écrit, dessiné et peint et puis nous avons prése,ntés tout cela sur une table, une table en dur ; nous avons présenté des chjoses sur des tablesz, nbous avopns montré des choses sur des tables, au mur, nous avons ainsi agi que nous avons dessiné des buffl ;es, des rhinocéros, des mammouths, des chevreuils, des antilopes, des bousquetinsn,, desz chevaux, des bisons, etc ; jnous savons dessiner car nousa vons een nbous ce savoir qui est un savoir  que nous avon quelque part en nous, qyui est un savoir qui nous guide, qyui nous pousse, qui est un acte, ce savoir est un acte en  ous ; il est ce savoir quyi est en nbous un acte, une action de vie ; nous avons en n ous cette action de vie quyi nous pousse à dessiner sur des parois des animaux qui semblent plus vivants que de nature ; nous essayons ainsi de nous racheter, nous essayons ainsi de conjuerer les choses, il y a du rachat dans l’air, il y a tres certainement du rachat dans l’air, nous voulons comprtendre ; il y a tres certainemeznt du rachat dans l’air mais les choses sont accolées, nous eessayons dee les deécoller, de déplisser etc ; tout se tient ; tout est collé ; difficile des lors de séparezr les élémeznts entrte eux, un magma peut etre pas mais une sorte de boule, de bulle, de chose entassée ou comment, et qui nous donne du fil à retortdre ; nous voulons commprendrte quelque chose à cette histoire qui nous enserre, nous avons ce désir en  nous de décxouverte, nous avons cette envie en no us de trouver une chose, de découvrir, de soulever un voile, de voir dessous ce qui se trame : la trame ; latrame nous interesse beaucoup, la trame est quelque chgose qui nous interesse beaucoup ; nous avons ce désir en  nous d e chercher à deécouvrir la trame, de chercher à trouver quelque chose de la trame, de nous immiscer dans quelque chose qui a trait a la tralme du monde ; nous aimerions beaucoup trouver ainsi dans le monde une entrée , une faille ou un trou dans lequel (enfants) nous pourrions nous immiscer, ou comme des enfants, danslaquelle (faille) nous immiscezr et voir pazr en dessous la trame, le détail de latrame ; nous aimo ns beaucoup les choses tenues secrètes et les trésors, nous voulons découvrir un trésor ; notre volonté ici est de découvrir un trésor, de creuser pour découvrir, de creuser et de découvrir, notre but, notre désir, notre envie, notree souhait et notree volonté ; trouver un trésor, voilà ce qui nous anime, nbous sommes animés par une volonté qui nous est chevillée, qui est attenante, qui est forte en nbous (tres forte) et cette volonté concerne cette chose qui est que nous aspirons à trouver, de notre vivant (laps de temps) un trésor sur lequel nous aimeerions nous pencher, dans la caverne,  ; notre plaisir, notre joie, notre volonté, notre rêve, trouver un trésor dans le monde, dans ce monde ci que nous connaissons de visu ou auttrement, nous avons un rêve et nous avons une volonté, nous sommes friandsq, nous sommes gourmands, nous aimons les trésors, lesq découvrir, les ouvrirs, les toucxher, kles prendre et les montrer ; nous aimons beaucoup les trésors, nous les aimons comme les enfants les aimeznt et nous mêmes aimons comme des enfdants aiment : des trésors et les découvertes, des trésores et aussi les trouvailles, les inveentions etc ; nous aimons beaucoup les trésors et nous axons notre gouverne en cette direction d’une recherche pour une découverte et une jhouissance  ; notre bu-t est de trouver (en grotte ou ailleurs) un trésor à pouvoir interposer entre le monde et cette chose en nous qui est piqure (incessante) de rappel, comme quoi la vie nous sera retirrée un jour : la mort à l’oeuvrre en n ous ; il y a en nous  un rappel qui sonne en perman,ence, il est ce rappel de cette chose, il est ce rappel qui nous pousse sur le devant et nous actionne, vers la recherche d’un trésor à poser en offrande : présent ; un trésor qui brille, de l’(or ; trouver de l’or, des choses étincvellantes ; nous aimons les choses étincellantes, nous aimons les choses rutilantes, nous aimons l’or et les trésors en or , et les coffres remplisq d’or ; nous cherchons, nous voulons trouver, une vérité sur quelqUe chose, une vérité de vie ; nous cherchons à l’intériuer des grottes, des cavernes, notre souci ; nous sommes animés en nous d’une volonté intrinsèque qui nous guide et nous pousse à dessiner sur les paerois ces animaux «plus vrais que nature» on croirait ; nous nous approchons de la paroi, nous colloons notree joue à la paroi, nous collons nos mains à plat sur la parois, tout est accollé, tout se tient comme accolé, il n’est pas aisé de s’y retrouver sans rien abimer car tout se tient, tout semble accolé comme en des feuillets de roche, des plis, des tissus les uns posés sur les autres, des couches de choses, des assortiments de choses collés les uns aux autres, des cxhoses en tasszées, des choses commes collées entre elles par le temps ;

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13/04/2020

nous sommes debout sur la table, nous sommes montés sur la table, nous nous sommes dressés sur une table et c’est sur celle ci que nous marchons, nous sommes comme si nous étions debout sur une table et que nous marchions au petit bonheur, guidés par nos pas, vcomme si nous étions sur une sorte de table mouvante, volante, flottante, etc sur laquelle nous marchons continuellement et de laquelle nous ne tombons pas, ou disons : de laquelle nous ne sortons pas ou pas vraiment ; nous sommes debout sur une table, cette table est notre zone de marche dans le monde (zone de déambulation ou de pérégrination), nous avançons à même ce sol ou ce p^lateau, nous sommes érigés et tenons de bout, nous avons un aplomb parfait et nous pouvons dès lors nous promener sans trop de risque de chute car nos pieds adhérent (pour ainsi dire) à la surface de cette table-monde, ou table-cercle etc ; nous sommes collés au sol, nous ne nous détachons pas de lui ou sinon en des moments (sauts) assez brefs ; sauts ou vols dans les airs ; nous sommes sur la table comme collés à elle, nous ne pouvons pas réellement nous en détacher seuls, nous sommes comme collés à cette terre ferme, à ce p^lancher, à ce plateau, à cette assiette, à cette zone autour de nous en cercle, zone qui avance (bouge)- avec nous ; c’est nous qui faisons en quelque sorte la zone, nous faisons en quelque sorte cette zone, car c’est nous qui, en déambulant (bougeant) créons ce cercle autour de nous, cercle qui est notre zone de déambulation-sustentation, ce cercle est notre surface de maintien, de tenue, notre socle etc ; nous sommes montés sur socle, sur pupitree, sur colonne, nous sommes soclés, nous sommes montés ainsi sur des socles qui sont des surfaces de sustentation en même temps que des supports de monstration ; nous sommes sur des socles ; nous sommes marchant sur des surfaces qui ressemblent grandement à des supports pour des oeuvres, ou à des supports pour des pièces (diverses) à garder ; nous sommes sur des suppotrrts, qui nous permettent une tenuedroite, droite comme un i, nous sommes debout, nous sommes tenus et érigés, nous sommes dressés, nous nous redressons, nous nous dressons, nous sommes des hommes qui nous dressont et qui tenont bon dans une station droite, rectiligne, dressée, etc : nous marchons ainsi sur nos chemins la tête haute et notre assiette (pour ainsi dire) nous suit partout ooù nous allons ; nous aimons beaucoup cette chose, d’aller ainsi marcher à travers le monde ; nous avons sous nous (sous nos pieds) une assiette de sustentation qui est une sorte de tapis volant ou bien de support de musée (de monstration)  ; nous avançons ainsi sur la terre, nous marchons debout en nous tenant droit sans trop de problème, nous sommes érigés, nous sommes montrés ainsi dans une posture droite, qui tient debout, qui ne flanche pas, qui ne coule pas, qui ne sombre pâs, q<ui tient son tenant et qui est ainsi comme dressée sur ses pattes arrières ;: nous sommes des hommes qui pouvons ainsi marcher debout sur notre assiette, cette assiette est notre support, nous déposons nos pieds qui marchent sur l’assiette , nous les déposons au fur et à mesure ; nous déposons nos pieds qui marchent (marchant) au fur et à mesure , sur ce sol ferme, nous déposons nos pieds sur ce sol, nous ma rchons, nos pieds touchent la terre, nos pieds forment des marques au sol au fur et à mesure que nous avavançons, nos pieds s’inscrivent sur la terre et laissent dès lors des empreintes (des traces de notre passage)  ; nous marqyuons ainsi le sol ; nos pieds s’inscrivent sur le sol et laissent des empreintes, il s’agit d’empreintes signant le passaghe d’un être, il s’agit de marques du passé, de ce passé, de ce passage, de cet être qui passe, qui va de l’avant et laisse derrière lui les traces de ses pas, du passage sur sol de ses pieds, etc ; nous marchons et laissons des traces ; le sol est un support, il s’agit d’une assiette, nous teno,ns debout, nous marchons, nous tenons sur nos deux jambes, sur nos pieds, sur notre zone de déambulation, nous tenons debout, nous sommes dréssées comme des etres rectilignes, comme des plantes qui poussent droit, etc ; njous sommes sur la terre ferme et nous marchons, et sous n,os pieds il y a une zone de déambulation qui est noptre propre zone, à chacun , de déambulation ; il s’agit x’une zone de déambulation que chacun de nous avons en propre, il s’agit d’une surface de circulation qui est la surface que chacun de nous a sous ses pieds, pendant ce temps de la vie sur tertre : chacvun sur terre a cette zone sous ses piedfs, chacvun a sous ses pieds cette surface dxe déambulation , surface qui le suit, qyi est attenante, accolée, qui est la base, qui est l’étai etc de la personne vivante de type dressée sur ses pieds ; la personne qui ainsi va et déambule sur la terre ferme est comme une sorte de plante en marche, un arbre qui marche etc, il s’agit d’un o bjet en cette chose que la personne ici est physiquement dressée sur son socle (support etc) et se prete donc à une monstration de l’ensemble du module : il y a monstration, il y a exposition, il y a montage etc, comme d’autres choses ailleurs (dans des lieux réservés à ce genre de présentation)  ; nous sommes dressés, nous sommes debout sur nos socles, nous marchons et la marche ici est génératrice de traces, nous avançons comme nus sur sdes sentiers ou sur des chemins de vie, et ceux là nous suivent à la trace , à moins que ce soit nous (nous mêmes) qui suivont pareils sentiers ou chemins (etc) ; nous sommes érigés comme des arbres, mais pour le coup comme des arbres (plantes) qui ne tiendraient pas en place, qui se sentiraient pousser des ailes: nous sommes obligés de bouger, nous sommes mus, nous sommes comme motorisés par (en nous) un petit moteur de première classe , qui va comme sur des roulettes quand tout va, et qui nous propulse loin sur des chemins ou sentiers de vie , à la mesure (cadencée) du métronome ; il s’agit d’une marche qui est en nous comme incluse, comme inhérente, une marche : une volonté, un besoin, une demande en nous, etc ; nous sommes montés sur des supports fermes qui permettent une monstration de l’oeuvre  ; cette oeuvre est ce dont nous faisons don (perpetuellement) en vivant, ou disons que la vie en nous se consume à petits feux et ce petit feu ou ces petits feux sont ce dont nous faispns offrande en, permanence (jusqu à notre mort) à la vie , c’est à dire à la mort ; nous donnons de nous perpétuellement une chose qui en nous est contenue, cette chose que nous contenons (la vie qyui se consume : soit le temps, le temps qui passe), cette chose nous l’offrons ainsi en acte (en gestes) , et c’est ainsi que nbous allons droioit (tenus, érigés) sur notre sentier ; nous marchons droit, nous offrons notre temps passé, nous donnons beaucoup de nous au fur et à mesure que nous avançons dans la vie ou sur le chemin de notre vie, nous donnons notre temps sinon la vie en elle même : c’’sst cela que nous donnons ; nous ne donnons pas rien , au fur et à mesure, mais bel et bien le temps, tout ce temps passé (de nous) que nous avons derrière nous, que nous laissons derrière nous comme effluves etc , c’est un sezrpentin ; nous donons tout ce que nous avons de disponible à offrir et de plus cher, de plus cher à notre coeur, nous offrons tout ce que nous avbons en  nous de disponible, tout ce squi en nous est disponible et qui se prete à un don sur table ou socle ou sol , c’est à dire : le plancher des vaches ; nous donnons nottre temps passé, njous offrons de ce temps passé, tout ce passé accumulé est exactement ce que nous offrons sur socle (propre) en galerie, etc, en exposition (ici ou là peu importe)  ; nous offrons lke temps passé, nous donnons le temps passé à voir, nous donnons à voir le temps passé, ce temps qui nous suit à la trace etc, ces traces de notre passage, ces maigres traces, ces quelques emprientes choisies  (celles ci plutot que celles là) afin de nous distinguer les uns des autres, ces traces là en particulier, cers traces ici particulières, cers traces choisiesz en particulier et qui nous distinguent les une des autres, en tant qu untel est plutot ceci quand tel autre est plutot cela ; chacun avons nos priopres empreintes, nous avons chacun nos propres empreintes, nous avons des empreintes chacun particulières, en priopre et reconnaissable si possible : que l’on puisse nous reconnaitre entre mille, etc ; nous avons chacun nos empreintes, nous sommes tous qui avbons chacun, nous avons tous qui sommes chacun etc, des empreintes, des traces, des marques de notre paqzssage, des marques particulières, des empreintes identifiées, des traces identifiées, des traces en propre, nous avons chacun en propre des empreintes particulières, nous laissons chacun en propre des traces particuklières apres notree passage sur la terre ferme ; nous avons des pieds ainsi qui laissent des traces sur le sol à chacun des pas que nous faisons lorsque nous marchons : nous laissons des marques reconnaissqables, signées et pazrticulière, njous traçons ainsi le passage de notre venue, nous traçons a vec nos pieds le passage, nous nous inscrivons à même le sol, dans une marque signée et identifiée part là-même ; nous sommes ainsi des etres quyi passons (e,n marchant) sur la terre ferme (tezrre-m^è§re) et ce faisant nous laissons des traces (maigres, pauvres) sur celle ci, sur ce sol ci, qui est notre socle, noptre support, notre zone de monstration etc, et qui nous donne l’assise, dans la vie , assise dont nous abvons besoin pour marcher (courir ou nous tenir droit) et qui est aussi une zone de présentation (d’exposition au plein du jour) ; nous nous tenons ainsi debout sur cette surface quyi nous est échut, nous sommes droit, nous tenons drooit comme des i, nous sommes debout ; de là nous voyons autour de nous le monde alentour, nous voyons l’ensemble des choses qui nous entourent, l’ensemble des cghoses qui se montreznt à nous, qui nous encverclent ou qui nous entourent, nous sommes donc commùe déposé sur socle avec pourtour ou alentour que nous voyons (à portée de vue) depuis notre place, depuis cet endroit sur tertre qui est le notre (chacun a le sien) et qui bouge avec nous bougeant, etc ; nous voyons le monde autour de nous et le monde autour de nous peut nous voir, nbous voyons le monde, nous sommes en un centre, nous sommes comme situé au centre de quelque chose et ce quelque chose est notre zone (surface) de sustentation : assise, maintien, érezction, droiture, morale, prise en considération des choses des alentours à soi même etc ; toutes ces choses attenantes à cette sorte de tenue au sol (agrippement, collage) qui fait de nous des etres de c ercle, des etres appartenant à des cercles et chacun son cercle  ; nous avons chacun pour soi so, propre cercle, il s’agit ici d’un  ercle assez étendu dont les bords sont flous ou plutot dont les bords se perdent dans les lointains (visuels) qui cependeant ne sont pâs en vérité des lointaions trop éloignés, il s’agit à chaque fois d’une (pour ainsi dire) vision de lointains assez (relativement) proches, lointains de proximité, lointains à portée de main (de regard) ; nous sommes centrés en nos zones, et nous sommes portés pazr un socle mouvant , par un tapis volant, par une assqieette qui va fendant l’air, par un socle d’oeuvre etc ; n,ous laissons ainsi des traces de nos pas derrière nous : ce sont nos euvtrees, ou plutot : tout ce que nous laissons de nous, toutes nos peaux, toutes nos traces (ce peut être une odeur etc) , tout cela est l’oeuvre d’art qui est dé&pôsé sur la terre ferme , proprement, archivée et mise à l’abri , comme reliques, comme reliques de nous : nous déposons de nous, en continu, mille choses produites par notre passage sur la terre (ou induites) et ces chosex (d’une manière ou d’une autre) sont nos oeuvres d’art, nos oeuvres laissées du coup à disposition pour une conservation, nous dépodsons des oeuvres ainsi sur des supports qui sont de type ferme, de type plancher, de type solives, etc ; nous laissons ainsi de nous pas mal de chgoses par devers nous, de choses qui sont de nous en ce sens qu elles sortent de nous  mais qui bientot ne seront plus tout à fait de nous de la même manière, ou à nous de la même manière, car une fois sorties de n ous , ces choses topmbent, sont séparées de nous, il y a séparation, cassure, coupure du cordon ombilical qui reliait -ces choses produites par nous à nous autres, ou )à nous mêmes ; ces choses une fois sépârées ne nous appartiennent plus, au sens où ces choses, séparées de nous, ne sont plus de nous, ou à nous ; disons que ces choses ne sont plus de nous au sens où elles sont séparées de notre mobile (d’allant -marcheur), ces choses sont séparées, ces choses ne sont plus accolées, elles sont coupées de nous et nous aimerions, nous aimerions pour notre part, nous serions plutot content de pouvoir conserver (parfois, pas toujours) une main sur ces choses séparées de nous : une main qui maintient mla chose collée à nous, ou quyi maintiendraiot la chose collée à nous, qui ferait en sorte qu elle restât comme collée à nous, ou dans nbotre giron etcv ; une main sur la chose : un nom ? le notre bien sur  ; ici le nom pour une main etc ; nous aimerions cette chgose énormément (parfois) , de pouvoir conserver une main sur une chose sortie de nous , afin de ne pas la perdre trop vite, afin d’y rester attaché un temps (la chose est sentimentale) etc : cette main que nous posons sur une chose sortie de nous, cette main est comme une main qui signe la chose, qui la repère ( lui donne rep^ère) et ce faidsant l’identifie, comme appartenant à untel et non à tel autre  ; il s’agit d’une posture sentimentale et d’une sorte de fixation un peu faussée, da,ns la mesure où la chose n’est plus  attenante à notre mobile, à notre mobile corporel, la cghose a chu ; la chose n’est plus en nous, elle en est sortie (avec pertes et fracas ?), elle n,’est plus dans nottre corsage, elle n’e’st plus en npotre intéréur ou for intériuer etc, elle a chu de nous, elle s’est ramassée (avec plus ou moins d’en,combres, de soucis etc) : ; la chose a chu , elle est tombée de nous, elle ne mnous appartient plus totalement et alors bien sur il est toujours possible de marquer dessus (sur la xchose) un nom, un nom qui indique et la provenance et l’appartenance et /ou l’appartenance etc, cela est tout à fait possible, on peut faire cette chose de noter, on peut faire cette cghose de marquer un nom sur une chose (pas toujours aisélment cependant, c’est variant, c’est selon les différents supports etc ) ; nous pôuvons marquer un nom, le noter au revers (?) de la chose ; nous pouvons noter un nom au revers d’une chose chue (de nous) quand la chose comporte un revers, nous pouvons parfaitement (nous en avons le droit) noter notre nom sur le sol , pres de lm’empreinte (près ?) ou disons asserz pres, afin de faire en sorte que pareille empreinte de pas sur le sol, puisse etre reconnue comme de fait ayant appartenu à untel plutot qu à tel autre, une empreinte distinguée, une empreinte qyi se distingue, une emprteinte particulièreement distinguable etc ; une empreinte qui sort (sortirait ?) du lot des empreintes lambdas ? qui sortirait du lot tout court ,  ; dfu lot de quoi ? du lot de l’ensemble des empreintes existantes sur la surface de la terre, du lot d’un ensemble, d’une masse : distinction, montée en épingle, montée au pinacle, montrée, montée = montrée, etc ; nous faisons ceette chose : nous marquons nops noms sur les choses (au dos ? au revers ? où ? où marquer le nom sans abimer la cghose ?  ;: npus faisons cette chose, de marquer nos noms sur les choses, nous insqcrivons des noms,  les notres, sur des cghoses tombées de nous, de nos bras etc, au sens large tombées des bras, etc ; nous marquons le nom : étiquette ; oui mais où ? sur la chose elle même ? au cul de la chose ? sur un mur , sur le mur de la galerie ? fléche, fléchage ?  ; pour dire que cette chose ici exposée est une chose qui sort du giron (corsage) d’untel et nopn de tel autre : distinction, épingle, pinacle, perspetcives, etc ; nous écfrivons le nom sur le mur, pas loin de la chose, nous étiquettonsq, nous précisons le sens de la visite, nous disons q -ue ces choses sortent du giron ou du corsage (du centre du cercle ) de telle personne en particulier (ou groups de personnes ) ; nous écrivons sur des murs, sur des affichettes, sur des papiers volants, sur des vitres, sur des écrans, sur des supports de toutes sortes, le nom de la personne ayant sorti (de son giron) une chgose (ou des choses) excposzées sur socle ici ou là à la vue de tout un chacun qui passera (passeraiyt) la porte de la galerie ; nous disons que ces choses (au sens  large, au sens tres large) sont (émanent) de untel, de telle personne, etc ; cers choses sortent du corsage, du ventre, du centre, du corps, des mains, de la bouche, etc , de cette personne (l’aryioste-auteur ou autrice etc) en particulier et que cette personne ainsi repertoptriée ou ainsi repérée, ou ainsi distib-ngué par une étiquette, se voit comme monté sur socle etc, comme exposzée à la vue du monde etc, cette personne est identifiée par le ou la galeriste , comme une persone ayant dee son giron (corsage, intérieur, de ses mains) , ayant sorti des choses qui sont ici comme des empreintes d’un passage passé, d’un passé de passage ou d’un passage d’un passé, etc, d’une pezrsonne en particulier ; le ou la galeriste ici distinguent une personne en particulier (ou un groupe identifié) : soit un nom, soit un e personne via son nom ; nous avons ici affaire à un nom qui se voit distingué pa r une galerie, galerie qui montre des choses passées, des choses appartenant au passé plus ou moins ancien de la personne qui esxpôse ; le ou la galeriste montrent des choses qui appartiennent au passé d’une personne dist§inhguée, qui est montée au pinacle d’un support x ou d’un support y ; nous sommes témoins en tant que nous sommes des spectateurs de ladite montée, ; de cette montée d’un nom en exergue , en majesté, au pinacle etc ; il s’agit d’une montée, cela monte, ça grimpe, ça monte, ç va de l’avant dans lke sens d’une montée, nous voyons tout le processus de cette chose d’une montée pare des ga leristes, nous voyons tout le système d’une montée, d’un soulevage, d’une mise sur des hauteures, d’un soulevbage d’offrande etc, vers le ciel, vers le ciel de la galerie ; mais qu est-ce donc qUe le ciel d’une galereie ? plafond ? est ce seulement un plafond ? n a t on ffaire qu à du plafond ? n’a t on affaire qu à cela ? il est difficile de répondre à cette question ; nous avons affaire à un plafond certainement , et à un plafond blanc ( à 99 pour cent) ; nous avbons affaire à un plafond , mais où est le ciel des lors ? où don,c est le ciel de la galerie, c’est à dire obù est cette choses vers laquelle les bras (des galeristes, des artistes-auteures) sont tendus ? comment savoir de quoi il en retourne, de quoi sur ce sujet il en retourne au juste, sur cette question du plafonsd, du cviel etc ? ; c’eswt assez compliqué ici, il s’agit ici d’une question plutot épineuse ; nous avons un ciel, ce ciel des offrandes,  ,nous avons un plafonds, le plafond blanc de la galerie  ; nous avons ces deux choses et si nous essayons de superposer ces deux choses, si nous essayons de faire en sorte que ces deux choses au bout du compte n’en fassent qu une eh bien ce n’estpas facile, c’est compliqué, ce n’est pas évident, ce n’est pas simple ; comment s’y prendre ? nous voulons essayé de faire cette chose, nous voulons bien essayé, jous ne sommes pas contre le fait d’essayer, nous sommes partant, nous voulons bien, nous voulons superposer kles deux choses et voir en effet ce qui l’en ressort, ce qui ressort de pareille superposition : sol et ciel, ciel et sol ; nous sommes partants ; nous voulons bien, nous voulons bien essayer, nous ne sommes pas contre les essais, nous sommes partants, nous voulons voir ce qu i l’en serait de pareille supezrposition virtuelle  ; imaginons le ciel au plafond de la galerie, imaginons un ciel, imaginons le ciel à la placve du plafonsd, imagfino,ns un ciel ouvert à la place d’un plafond clos, d’un plafond fermé, imaginons une ouverture, un trou, une cheminée ; imaginons une cheminée, un conduyit, un tube, à la place du plafond, imaginons un trou, un conduit, une ouverture à la place de ceete chose du plafond borgne et blanc qui, à ce jour, fait office, au sein des galereies (toutes ?) de ci ;el ou de plafond céleste, etc ; nous voyons ce ciel au dehors et nous l»imaginons au deda ns et cela ne marche pas, car nous avons besoin de rester rivés, de rester fixé ici, aux choses montrées, nous avons besooin de restezr scotchés ou fixés aux choses exposées et ne pas les voir comme perdues dans une sorte d’aspiration qui viendrait du plafond et engloutirait les oeuvres, ne serait-ce que symboliquelment, non ; nous tenons  à ce que ces choses (offrandes) soient là et y restent en attente, dans l’atteznte d’une prise un jour, dan,s l’(attente un jour d’une prise (mainmise) ; nbous tenons à ce que ces choses montrées (montées) soient là conservées pour un maintien dans le temps et non point une asqpiration par le haut qui viendrait a bsorber un objet ou une chgose qui  , à nos yeuxd, ne doit plus bouger ... car il s’agit d’une offrande, d’une offrande i-ci déposée en tant que telle , d’une offrtande qui dit son statut d’offrande et n’arrete pas de le dire ; l’objet présenté (au sein d’une galerie d’art contempoireain) est un objet qui se présente , comme se présenterait une offrande sur une table (ailleurs) et cette offrande en galerie se doit de garder ce statut d’offrande, ne jamais le perdre ; il s’agit du statut , d’un statut à ne pas pezrdre en chemin ; il est important que le statut d’offrande reste attaché à la chose exposée, ne quitte jamais le chose, ne jamais quiitât la chose : cela est d’une importance cruciale, cela est capital ; nous devons bloqsuer l’issue céleste en galerie, nous de vons fermer le passage vers les hauteurs physiques (conduit de cheminée etc)  ; nous devons offrir ce blocage : mainmise ; la main ici est mise sur la chose, il y a une main posée,une mlain qui tient par devers elle  ; tres visible cela ; il y a une main (en galerie) qui tient les chodses en elle, par devers elle, il y a une main en galerie, il y a une sorte de maiin en galerie, une main qui tient les choses exposées cvontre elle, contre ses murs (giron) , contre ses seins, contre son corps nu, contre ou à même sa peau, un toucher ainsi, une couvade etc ; il s’agit ivci d’une main mise du temps ; il s’agit ici d’une main mise sur une couvée (cuvée) par des galerisrtes, qui donc protègent, couvent etc une chose étiquetté (un nom et des choses liées au nom) en dehors de toute possibilité de fuite non autoreisées, par exemple par voie aérienne via un quelqconque conduit de cheminée, ou par une ouverture à même les p^lafonnettes, etc ; la ga lerie est une cloche ; la galerie est une cloche à froma ge ; une ga lereie est une cloche à fromages ; nous allons voir des expositions de fromage (souvent) ; nous allons voir  des exposituions ouvertes au public, nous allons voir des expositions de fromages divers et variées, nous allons voir sous cloche des choses et autres, mais squrtout : point d’ouverture vers le ciel, tout doit   être réservé et confiné, et maintenu comme si la chose, ce tout, était sous cloche, était maintenu sur place (fixé, collé) par des mains de géants, par des mains qui tiennent ou qui se tiennent par dessus , empêchant toute vélléité d’envol ou de fuite aérienne inopinée ; nous voyons parfaitement les mains des galeristes, nous voyons tres bien les mains des galeristes sur la chose couvée, protégée par des paumes, par des doigts, par un giron, par des seins, par une peau de contact, par un sein ou feu centreal, etc ; on voit ici le feu (le foyer) central ; on voit cette chose chaude ; cette chaleur des mains qui couvent, qui protègent, qui mzaintiennent, cette chaleur qui répond de cet ordre de la distinction, cette froideur dans l’exposition d’une chose (sur table de pierre froide) mais dans un,e sorte de chaleur humaine provenant du giron des (de) galeristes (la galeriste) ; ou bien s’agit il d’un, galeriste ?  ; nous voyons le giron , les quatre murs de cette galerie (d’atrt contemporain à façon)  ; nous voyons les murs et ce sont des mains : couvade, poussins, progénitures, etc ; il y a lzes quatre murs et le plafond et le sol de cette galerie, ce cube avec une porte d’entrée, nous entrons ; il y a des choses à voir ; il y a des choses qui sont exposées à la v-ue et nous pouvons (nous avons le droit) de déambuler au milieu des chgoses montrées, au sein de cet espace de monstration, au milieu de cet espace de monstration, nous ,nbnous promenons d’un objet à l’autre, au milieu de cet espace de monstration, nous nous promenons d’un objet à l’autre, nous déambulo ns, nous allons d’une chose exposée à l’autre, nous passons d’une chose à l’autre, nous sommes entrés, nous sommes à l’intérieur, nous somlmes dedands, nous sommes entrés dans cet espace de monstration, d’exposition et de distinction : il y a des choses (traces du passé) élues, il y a ici et là traces ou empreintes, des marques, des choses appartenant à un passé qui est le passé du coup de la personne exposée (ou du groupe de personnes) ; nous allons d’une marque, d’une trace, d’une chose distinguée à une autre chose disqtinguée ; nous allons d’une chose élue et mise en exergue à une autre cghose élue et mise en exergue, nous n’avons pas peur d’aller d’une chose mise en exergue à un e autree chgose mise en exergue ; nous n’avons pas peur du tout d’aller d’une chose élue (allouée, montrée exp^ressement) à une autre chose élue de la même manière ; tout ce qui est montré ici est baptisé, comme baptisé, c’est à dire que l’ensemble des choses de l’exposition a été adoubé par le sein (le conseil, le giron) des galeriste : au sein du conseil d’admnistration ou du conseil des choses artistiques, etc ; le tout (l’ensemble : le montage) a été adoubé en ce lieu à son heure, par l’ensemble (?) de la direction de ladite gazlerie : il y a eu acceptation, imprimatur, absolution, et décision de monstration sur le devant ; il n’y a pas eu un niet, ou un veto en l’occurrence mais tout au contriare un oui qsui adoube, qui monte, qui distringue, qUI donne valeur : qui monte au pinacle (l’estimation) ; il y a ici une montée, un montage, une monstration éle v ée, une élévation, un surplus dd’estimation, un surplus dans l’appréciation, une montée au pinackle d’une chose façonnée (plus ou moins) par l’artiste-auteur dans son coin ... qi peut être celui de la galerie, ou représenté par la galerie, ou formé par elle ; l’artiosyte-auteur dépose ses marques temporelles dans cette sorte de chose de type couvade, de type  couvercle , sous cette chose de type incubateur etc, il s’agit d-’une sorte d’incubateur, l’artiste dépose et quiite les lieux (son nom reste sur la vitrine)  ; il y a iv-ci cette chose que nous pouvons souligner comme quoi kl’artiste, ayant déposqé ses frusqueqs et autres bidules peut des lors qsuitter fissa les lieux : son nom est noté (scotché) sur la vitre de la vitrine, à l’entrée ; nous abvons affaire à un artiste qui fuit, qui s’en va, qui sort, qui n’est plus là , qui n’est déjà plus là : il a fait offrande, il a hurlé avec les loups, il a saigné et à présent il peut s’éliognezr, se porter ailleurs, il a fait ce qu il a pu, il a offert son temps et c’est une choses := c’est une chose importante ; l’artisyte ici est cette personne qui est venue déposé sous cloche (incubateur) une chose, une chose qu il avait sur lui (en lui, avec lui) et l’ayant déposé il s’éloigne et va ailleurs se mettre, se poser, s’installer ... pour une autre dépose ? ; l’artiste marche ; le vivant humain, le vivant sur terre ; l’artiste comme celui quyi est cette pêrsonne sur terre qui veille à ses traces, qui veille sur ses traces, qui cherche traces distinctes,, ou distingables, etc ; un artiste ici est une personne qui essaie de faire en sorte que quelque chose sortant de lui ne soit pas perdue à tous les coups : il cherche à conserver ses marques, ses orrfffrandes au dsieu de la mort ; il sort de la galerie (laissant ses oeuvres deriière lui) et traverdse la rue et va se porter ailleurs ; l’artiste a fait don au dieu ou à on ne sait qui, a fait ceette chose d’un dépôt de temps (le sien) passé , d’un temps du passé, d’un passage temporel (spatio-temporel) et à présent il peut sortir de la galerie , traverser la rue et se porter aillzurs, aller voir ailleurs, etc ; l’artiste offre en don (offrande) le temps passé (le temps morts de sa vie) et non point sa vie à la mort la grande, à Mort la grande etc : il donne une part (quote part) et fiche le camp en courant (d’une certaine manière)  ; son travail erst un travail de don ; son travail est un travail de don, d’(offrande, de dépôt en offrande etc, son travail se situe à cet endroit : il donne des choses de lui (son temps passé = mort) sur une pierre froide (la galerie) et file de l’autre côté, fissa, vers la rue de derrioère etc ; il s’agit d’une fuite en -quatrième vitesse, apres don (offra nde) d’un soi temporel à -type de trace ou de marque au sol: voyez la trace, voyez la marque ; nous aavons affaire à une personne (cet aretiste) qyui est une personne qui a récupéré de lui-même les choses tombées de lui (de ses mains) et ces choses sont toutes des choses liées au temps, à son temps passé à lui, au passé de cette personne : il s’agit des lors de choses mortes ; donc la galerie expose la mort d’un aretiste ; la galerie expose quelque chose de la mort de l’artiste, une mort , une sorte de mort vive, de couleur vive, vivannte au sens de bariolé ou colorée ou toute en chair etc  ; l’artiste ici donne de lui son temps passé en des couleurs vives vivaces vivantes -etc ; il est tenu à cela ; il est tenu à donner ce qui peut passer pour la chosexla plus vive (en vie) qui soit, il est tenu à cette chose (en son for intérieur) et c’est cela qu il essaie cde faire : offrande vive et valorisé par -la monsttration, par l’exposition délibérée par le conseil du ou des galeristes ; l’aritiste est cette personne qui a , par devers lui (ou elle) un pasdsé de soi à montrer (monter) sur pierre d’offrande, pour un holocauste : on y est: ; nous avons affaire ici à une personne qui vient déposer quelque chose d’emllle même en offrande, il s’agit d’un don par défauut car la personne n’offre ^pas sa vie mais seulement sa vie passée soit son temps échu (chute) qui n’est pas la vie à proprement parler mais qui y ressemble : d où son choix ; l’artiste dépoose aindsi en galerie (pierre froide) une chose morte (tombe) et cette chose est comme récupérée on va dire chaudement dans le giron (le corsage ) de la galeriste ou du galeriste, son sein, sous cloche comme le fromage ; l’aritiste est une vpersonne qui donne sous cloche, et à dire vrai il semblerait que tout un cxhacun fasse la même chose, mais cela avec plus ou moins de bonheur, car si tout le monde s’y mettait (à offrir sous cloche) les cloches existantes n’y suffiraient pas  ; il faudrait quelques milliards de cloches à fromage, il en faudrait quelques unes, du moins (en plus ) ; il faudrait d’autres encore et encore d’autres cloches à froma ge, pour la protect§ion du passé offert en guise (en lieu et pl aczee ) de la vie : l’artiste -auteur est donateur de pis aller, donne par défaut et senfuit à la six quatre deux ; couard ? ; il file, il fuit, il s’échappe, il sort, il sort de la cape, il meurt ;: il fout le campp ; il s’enfuit en courant, il ne veut poas rester plus longtemps, il ne veut pas etre reconnu, il a posé son pa quet d’offrande sur latable et cela suffit à sa joie (?) et le voilà qui déjà fiche l:e camp pour se pôrter ailleure : il ne veut pas entendre parler plkus longtemps de toute cette affaire, il a déposzé et la chose est entendu et à présent il faut débarrasser le pla ncher et s’en aller aillzurs porter sa misère : il file, il fuit, il quitte les lieux, il s’enfuit, il chasse de sa présence cette surface, ce plan, cette zone, ce suppotrt etc de l’exposition, il préfè!re ainsi  ; il est une personne qui préfère ne pas rester à cette même place plus l ;ongtmeps, de cette galerie d’art contemporaion intimidante  ;: la froideur de la pîerre, la distinction, la montée au pinacle publique, etc ; il préf!ère se tenir un peu à l’écart du feu, de la flamme, du gibier, de l’offrande en holocauste  ; la fumée s’élève dans le ciel, quelque chose brûle ici et depuis ce foyer une fumée s’élève et vient embaumer de son fumet l’ensemble de la galerie, de cette galerie en forme de grotte ; nous avons une fummée qui vien t sélever, qui vien embaumer, qui enrobe, qui va se loger partout au sein de cette galerie, une fumée qui envahit les lieux, qui vient tout remplir, une fumée suffocante, une fummée sombre ; nous avons affaire à de la fumée, à du feu ; l’artiste a déjà quyiitté les lieux, l’offrande (faite par lui) brule (se consuume sur sa table en pierre) comme un holocauste ; il y a holocauste, il y a brûlure, il y a cette chose d’une offrande d’animaux brîuulés, de betes mortes,  ; ces betes mortes repreésentent (sont) le temps mort de la personne offrante : il s’agit de son temps passé (chassé) et qsui est ecxposké ici, en galerie, sous cloche : protégé, couvé, couvade, poussins ; il s’agit d’une couvade ; il s’agit de cloches, de cloches à fromage ; l’artiste est cvelui ou celle qui tenait les renes, il en faut, il faut des qui tiennent, il en faut ; l’a rtistes est cellui , ou celle, qui tient les rennes, qui tient le pinceau, qui tient les vcouleurs vives, qui tient le mobile, qui porte l’offrandfe, qui est désigné pour porter l’offrande, qui a été élu pour tenir le temps, qyui a été élu pour être du temps à passer sur terre : ses empreintes sur le sol sont des oeuvres par lui (ou elle) lzaissées ; il opu elle s’avance a vec dans les bras du temps passé, qu il ou elle vient à déposer sur la pierre froide de la galerie, et une fois fait, une fois cela fait l’artiste hurle ou n,e hurle pas, l’aretiste file, il sort de la galerie et part en courant si ses jambes le portent si possible suffismment ; l’artiste a des jambes, un pasdsé, du temps morts, des offrandes , holocauste  ; il va bruler tout ce qui en lui est du temps passé, et ce passé est cette b rulure en  v   érité  ; tout cela sera déposé de son vivant sous haute protection ; tout cezla sera déposé par lui l’artiste et ce de sqon vivant sous haute protection à type de cloche à fromage : il dépose les victuailles sous cloche en réserve, il y a là une réserve (frigidaire) et ces chodses ainsi offertes le sont en attente, l’attente est massive ; il s’agit de choses déposées en, attente, dans l’a ttente, ici l’attente est princière ou principale, princeps, ; est une chose considérable, tres importante : en réserve, stock ; la notion de stock ; ici (en galerie) sont parqués sous cloche des dispositions de choses (offrandes) en attente : il est important de ne pas toucher à ces choses, il rst important de  ne pas les abimer, ce sont ders offrandesz, il s’agit de choses en attente, en réserve, parc, stock, il s’agit de victuailles, de vivres, de vie morte : le temps ; le temps est offertt, le temps en galerie est offert, il s’agit du temps ; le temps en galerie est ce qui est offert, on offre, il est offert ; le temps est offert, il est donné car il est dé&posé, il est déposé car il est donné ; le tempsq se voit déposé en galerie en tant qu il est un don (de l’artiste) à une table, à un plateau, à un support et pas seulement , il est don , donation , offrande au monde, au monde des morts et des vivants, au monde des morts, il erst offrande au monde des morts et se prése,nte ici sous la forme de vivres qui sont disposés avec soin sous cloche (le giron des galeristes, des surveillants) ; les artiste sont légion, on ne les compte plus, ils sqont aussi nombrezux qu il existe sur terre des hommes, des femmes, qui gravitent, qui vont et qui viennent :  dont le coeur bat ; nous sommes donc a insi beaucopup à laisser des traces, ; des empreintes, des bruits, des choses façonn,ées, des choses autres que des déchets  ; certains ainsi ne feraient que des déchets ? certaoions vraiment, réellement, ne feraient sque des déchets sous eux quand d’autres (eux) seraient artistes de leurs mains et façonneraient mille et une chose chantournées (baroque) à déposer sur tazble d’offrande ? ; c’est à dire que tout le monde ne serait donc pads à même de faire des choses de leurs dix doigts, choses qui seraient à déposer pour soi sur sa table (assiette de sustentation) à soi : victuailles, etc ; il semblerait que nous ayons affaire àç deux types de personnes : ceux qui sont artistes, ou qui s’affichent (?) comme tels , et d’autres personnes qui elles tout au contraire ne s’affichent pas du tout en tant qu’évezn,tuelles aretistes , en tant que pareillement artistes, en tant qu artistes avec la consqcience d’en etre, etc ; la cxhose ainsi serait qu il y aurait cces deux choses, ces deux groupes : des personnes dites artistes et d’autres hors du coup ; qu en est il dans la réalité ou en pratique ? nous laissons, en pratiq ue, tous, nous laissons tous, en pratique, des traces derrière nous : dans le temps ; njous laissons tous des traces de nous dans le temps ; ces traces sont elles sauvegardées ? pas toujours ; ces traces sont elles façonnées (en les faisant) afin de leur donner une durée de vie dabns la mort ? pas troujours ; ces traces sont elles tournées ou chantournées à la base dans le but de leur donner une manière d’être qui les salvassent de la mort-engloutiisement ? pas troujouirs ; certains chantournent , avec comme pensée de sauver les meubles ; certains chantournent avec pour objectif de sauver les meubles du temps passé , et ensuite (ces meubles) de les déposer , de les déposer sur la pierre ou sur la table, d’y aller pour une dépose sur cette table qui est cette nappe sous nous : cette zone de sustentation : nous déposons ces choses sur la pierre froide (dans la chaleur du giron de la ga leriste) : nous déposons tou ce temps passé en gamerie , sous la cloche de l’incubateur , pour un élévage -élévation  ; nous déposonsq notre temps passé, nous lui a vons donné» une forme prése,ntable et distinguable ; nous donnons ce qui sort de nous = du temps mort, nous le donnons en offrande, sous cloche, en galerie, nous donnons cette c hose sous cloche pour ceux et celles qui voudront peut etre jeter un oeil sur cette choses exposzée, sait on jamais ; nous offrons un peu de nous sur une pierre, cette pierre est froide, il s’agit d’une pierre mortuaire ; ici un holocauste ; nous brulons à petits feux (du temps de nbotre vivant) : une mort en sourdine ;: nous brûlons, nous nous consumons à bas bruit et ce bas bruit nous l’offrons en galerie à présent, nous le déposons à même le sol de la galerie, nous déposons ce temps brûlé sur le sol ou sur les murs dela galerie ; nous voulons déposer tout notre barda sur le sol ou sur les murs et cela fa it quitter les lieux, nous enfuir, allezr de l’a utre côté de la rue, nous ne tenons pas à nous incrustezr ici (au sein de la galerie )-cloche) ; nous traversonsla rue, nous courons vers la for êt, les champs, les prés, nous sommes deux, deux qui cherchons l’entrée cde la fameuse grotte, nous cherchons l’»aentrée de la fameuse grotte, nous sommes heureux de retrouver la fameuse (ladite) grotte que n,ous recherchions : nous entrons ; nous sommes deux qui entreont dans la grotte, nous entrons dens cette grotte, il y fait frais, il fait sombre, nos voix résonnent, nous nous avançons  ; nous entrons dans  la gajlerie, nous sommes dans la galerie, il y a des peintures (ou gravures) d’animaux (des gros) sur les paerois qui sont autour de nous qui nous tenons au milieu de la galerie ; les animaux, ces rugissements, ces hurlements, cette vie morte, cette chose offerte, ces erzats, ces pis-aller, cette pseudo-vie, cette vitalité dansles traits, ce chantournements pour une salvation, pour un salut ou un sauvetage ; nous sommes dans la grotte, nous regardons autour de nous toutes ces peintures , elles sont étonnantes car elles sont parfaitement exécutées dans le sen,s où elles sont tres ressemblantes, c’eswt «étonnant ; nous voyons toutes ces choses au mur, il y a beaucoup de choses, il y a beaucoup d ‘oeuvres, il y a beaucoup de tra ces, de dons, d’offrandes, chacun fait son don ou son offrande ; nous avons cxhacun une sorte d’offrande à donner , ou plutot chacvun par devers lui fait offrande de son temps passé (petite vie) à la place de sa vie en vrai ou pour de bon ; il y a la petite vie (qui est le temps) et lagrande vie  (qui est le souffle vital ou comment dire?) ; il y a ces deyuux choses, une petite vie qui n’est pas le tout de la vie , et puis lagrande vie qui est la vie qyui s’opoosoe à la mort ; la petite vie est donc celle qui contient ou qui décrit ou que décrit le temps passé, le temps derrière soi, cela est la petite vie , et c’est cela qui est ain si (il semblera iot) exoposé dans les galeries, et puis il y a lma grande vie qui est du coup lma vie pour de vrai soit celle qui s’enfuit lorsque l’on meurt ; il y a les deux vies, une petite et une grande ; nous avons affaire à deux sortes de vie : une petite vie et une grande vie ; la petite vie est donnée en offrande sous forme de victuailles ou de vivres ou même d’holocauste au fur et à mesure que nous sommes ici à bruler la semelle sous nos pieds, c’est àdire tout du long de notre vie (l’zenchainement des jours) et la ghrande vie est celle qui s’arrete pour de  bon et pour le coup (coup de fusil) le jhour où nous mourrons ; nous donnon s zen offrande la petite vie (chantoourenements diversq) et nous nous réservons de ne pas dpoonner lagrande vie ; nous offrons (déposons en galerie) la petite vie et nous nous réservons le dr’oit , ; ou nous nous adjurons la possibilité de garder pour nous , e,ncore et encore, la grande vie pour nous, en nous mêmes ; nous ne voulons pas mourir, nous sommes appelés (en nous, en nous ) à mourir, maéis nous ne mourrons pas aussi sec, il y a en nous le temps de vivre, ce temps des vivres, des victuailles à mettre à depot ou à depose sur le devant : mouvement de la vie ; nous ne voulons pas mourir, ou plutot nous ne mourrons pas (disons : pas tous) des le premiezr zouffle , nous tenons par le fait de notre ou de cette vie qui tic taque en nous, et cette vie qui tic taque induit  du temps derrière rejeté ou repoussé, ce temps est la petite mort ; ce temps est cette petite mort que nous exposons ezn galerie : de gré ou de force ; nous ne pouvons, étant vivant, faire autrement que de poser (déposer) offranfde sur support (quel qu il soit) en galerie: nous posons des objets diverts (temps mort ou petikte vies) et nous gardons pour nous le morceau de choix : nous en tant que nous sommes encore et toujours en vie et non point morts ; voilà toute l’affa ire: nous déposons le tamps (petite vie) de derrière et allons, devant nous, rencontrer (à la rencontre) des buffles, des bisons, des chevreuils, des r(ghginocéros, des antrilopes, de cet temps chassé, de cette chose d’un temps passé, d’un temps mort, qui s’éloigne de plus en plus : ce temps inscrit ici sous forme de tableau de chsasse, sous forme de hhaute vitalité animalière, nous déposons tout cela devant nous, en galerie, à même le sol par exepml ;e, il est balayé et astiqué ; nous aimerions comprendre ce qui seopasse, nous donnnerions cher pour comprendre ce qui sepasse exactement, quelle est cette affa ire ici ? que se passe t il ? où sommes nous ? que pouvons nous dire ? qu est ce qu il en est de toute cette affaire ici de petite et de grande mort ? ; en gros, la petite mort est cela même que nous exposons en galezrie, pis-aller honteux mzais qui , un temps, peut etre, peut «le fair» ; et d’un autree coté lagra nde mort, ou lma gran,de vie plutot, qui = la mort (à vrai dire) ; la grande vie est ce qUe nous donnons (à la mort) à notre mort ; à la mort ou à la vie... à la mort qui encercle, qui enveloppe et absorbe,  à la vie qui est vie de la mort ; nous avançons ces deux volets, ces versants, ces deux choses : vie petite et vie grande ; do,nner en offrande la vie petite c’est vivre  ; donner en offrande vie grande c’est mourire ; ne peut-on pas résumer les choses ainsi ?  ; don,ner en o ffrande sur pierre de taille (froide) en galerie d’art contemporain (le monde) c’est vivre ; et donner  sa vie en mourant c’est mourir, ce ghenre ; nous disons cette chose : donner la mort grande = mourir ; voilà la chose que nous disons, nous disons cette chose commùe quoi donner la vie ghrande c’est mourir bel et bien, donner vie grande équivaut à mourir u-ne foisd pour toutes (?)  alorsq que (tout au contraire) donner petite vie c’est vivere ; donnezr la vie petite c’est donnezr sa vie )à petits pas = vgivre ; art = vivre ici ; l’art du coup comme exagération du fait de vivre, de se consumer, ou suivi de cette cramoison, suivi tracé de cette brûlure ; l’art comme suivi tracéou tracé tout court de cette consumation en nous à petits feux , consumation qui équivaut au fait brut§ de vivre ; art comme brulure ou consumation soulignée ou exacerbée ?  ; il semblerait que les cxhoses se présentassent de cette fa çon et -que de fait nous ayonsaffaire à cdeux sortes de vie, lma petite et lagrande ; l’une équivalant au fait de v givre, ou &équivalaznt le fait de vivre , c’est à dire de xe consumer à bas bryuits, petits feux, en nous, une petite vie pour un effacement (mort) de soi à petits pas, voilà pour la petite vie ; et puis la grande vie qyui sezrait celle du mourir du coup pour de bon ; la mort ^pour de bon, comme couperet, comme arret brutal, quand la pêztite vie est une sorte de petite mort en cela qu elle étouffe son bonhomme à petits feux : cuisson, etc ; nous sommes ainsi animés de deux sortes de vie : cellke liée au temps et celle liée au couperet de la mort ; nous avons (nous sommes porteurs de) en nous deux sortes de vie (et non pas seulement une, voilà l’erreure peut etre) : nous sommes soumis à deux sortes de vies en nous : nous sommes p^orteurs en  ous de deux sortes de vie ; la première est liée a u temps, au temps que nous laissons derrière nous au fur et à mesure que nous avabnçons en pâge et puis une autre  vie qui est celle liée a u couperet (brute, brutzal) de la mort, de la mort en bonne et due forme, c’est à dire celle qui absorbe jusqu à notre dernier souffle ; nous sommes soumis à ce double en jeu de deux vies-morts, de deux morts-vies, de ces deux mouvements, de ces deux choses en suspens, de cette chose difficile à cerner, à tenir avec des mains: la vie et la mort quasi indissociables , et du coup lorsque nous disons le mot vie nous aimerions tout de suite à la placve dire le mot mort et inversement, lorsqUE nous pronponçons le mot mort nous voudrions en lieu et placve dire ou prononcer le mot morty ; nous sommes un peu perdus danslesq termes car les deux cxhoses sont lesq deux faces d’une mê=me chose, et cela déjà du temps de notre vivant  ; pôur rappel : petite mort = le temps laissé derrière soi = le passé, cette vie de nous a u passé ; nous nous emmelons favccilement les pincxeaux a vec ces questions de vie et de mort et l’emploi des motrs (de ces deux mots) portent presque à chaque fois à confusion, porte la confusion ou prete à confusion , cela , de manière automatique pour ainsi dire  ; nous nous emmelons tres volontiers ou tres facilement, aisément , les pinceaux (les piedsq) avec cette quesrtion ou du moins avec les vocables (de vie et de mort) liés à cette question ; autreement dit, nous avon,s tendance à dire le mot vie pour le mot mort, et inversement, car l’emploi des mots ici, l’emploi de ces deux mots est souventv problématique et prete à confusion, prête à confusion à tous les coups pour ainsi dire  ; nous avons tot fait de nous embrouiller ou de nous emmeler les pinceaux, avec ce mot et a vec cet autre ; lka mort pour la vie , la vie pour lma mort ; nous sommes vite perdus, nous perdons vite fait le nord, nous sommes vite perdus avec ces vocableqs et disons facilement la mort pour direla vie et la vie pour dire la mort ; nous avons tôt fait de nous tromper, nouys ne sommes pas tres fute- fute ;  nous ne sommes pas tres malin ; nous ne sqommes pas de ces personnes que d’aucuns désignent comme des tetes, des tetes supérieures, certains disent ainsi : que ceux ci ou ceux là sont des tetes ; certains parlent de tetes bien faites ou bien pleines, eh bien, en ce qui nous concerne, pour ce qui est de nous autres, nous n’avons pas ce sentiment , pour nous, d’a ppartenir à cette sorte de pezrsonnes supérieures ou décrétées telles, loin de là ; notre sentimentb est celui ds’appartenir plutot à une autre sorte de personnes, la sorte de ceux et celles qui naviguent au ras des paquerettes, qui sont à ras  de terre,pour qUI rien pour eux ne vole bien haut : ils voien,t (nous voyons) la motte de terre, la touffe d’herbe : la touffe : hgens dee touffe ; nous ne sqommes pas bien fute -fute, nous évoluonbs au ras des paquerettes, nous n’a vons pas inventé l’aeu cxhaude ou l’aeu tiède, nous nous en tenonsà des choses ba siques, nous ébvoluons ras la touffe (la touffe d’herbe) et c’est ainsi que nous pouvons nous rendre com^pte de certaines choses qUI, sur la terre, peuvent se passszer du coup sous nos yeux qui sont au ras du planchezr des vaches ; nous voyons : les coups de sabots sur le sol, les ruades, les  pieds fourchus, les pieds de betes, les c ambrures de pieds, les talonsq, les coups de pieds, etc: ; nous voyo ns (depuis notree poste d’observation) le contact des eztres à la terre m:ère et cela n’est pas sans prix ; nous voyons desq choses fouler la terre mère, nous sommes aux premièrers, nousq ne sommes pas si mal placés, nous sommes aux premières, nous voyons les choses (plus ou moins) à la racine : choses natives, naïves, choses sortant de l’oeuf pour ainsi dire ; notree position n’est pas la moins bvonne ; nous avons une vue imprenable sur le cxoup cde pieds, les cambrures de chevilles et autre talons et plantes des pieds, njous sommes au ra s des paquerettts, des fleurs de pissenlits, etc, des nombrils de vénus etc ; nous voyons depuis le plancher des va ches et cela n’est pas si mal ; nous voyons depuisles mottes, le gravier et le gravillon ; nous solm:=mes allongés, nous voyons depuis le sol, nous sqommes couchés, nous sqommes sur le sol, à même le sol, à même la tzerre du sol, du plancher dxes va cxhes, nous sommes à plat et  nous dessinonsq à même le sol ca r nous sommes couchés, nous sommes allongés, nous dessinons allongés, nous sommes en vie, nousq ne sommes pas mort, nous donnons de nous notre (donc) petite vie ezn offrande : nos temps, nos périodes, nos âges, nos différents âges, l’ensemble, du premiier jour au jour de maintenant ou d’hui ; nous offrons l’ensemble de nos jours en offrande, soit le premier jour de notre vie et l’ensemble en entier des jours qui ont suivi ce premier jour, et ce, jusqu’à ce jour d’hui qui nous voit allongés au ras des pâquerettes, à dessiner des victuailles, animaux, etc. à offrir en offrande, en lieu et place de notre vie grande, ou mort grande, ou vie-mort grande, ou mort-vie grande, etc. ;

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3/04/2020 

il nous semble ici que l’art, l’abojet d’art est une chose qui est déposée, sur sol ou mur ou table (etc) pour se faire bien vooiir, pour passer bien, pour un passage et pour un examen ; il nous semble que l’art ici est une chose en particulier (nommée, signée) qui est ou serait déposée sur table ou sur mur ou sur sol , etc, pour se faire bien voir et «pzasser» ; il semblerait que la chose soit ainsi, il semblaerait, il nous semblerait ou il semblerait à beaucoup que la chose ici, c’est à dire l’objet ou l’oeuvre d’art (elle peut revêtir de nombreuses formes), soit une chose en particulier (distincte des autres oeuvres formant ensemble) qui est déposée sur un sol ou bien sur un mur etc avec comme but avoué (ou pas) d’aider à «passer» bien, aupres de qui veut (etc) ; il semblerait que la chose soit ainsi, il nous semblerait que la chose soit ainsi ; on aurait des lors une oeuvre, une chose élaborée en galerie, une image au sens large et cette image , cette image globale de l’exposition en son ensemble, serait image pour amadouer, pour passer, pour se fzaire remarquer en tant que pezrsonnev valable, en tant que personne qui en impose d’une certaine manière, en tant que personne qui compte, qui fait partie du bon wagon et pas du mauvais ; il semblerait que la chose ici (en galerie) ait cette forme, qu emlle soit ainsi faite afin de opouvoir octroyer à l’artiste -auteur une sorte d’imprimatur et d’adoubement qui font de cet artiste-auteur une personne reconnue en tant que personne valable et par conséquent permette,nt à celle ci ou à celui ci, l’artiste-auteur , de passer bien, de montere de lui ou d’elle un bon visage, un visage qui le fasse, un visage qui plaise, qui ait une sorte de (en lui) défense naturelle pour une sorte de (en lui) reconnaissance qui serait ou irait vers lui , serait un allié ; il nous semble ainsi que cette chose de déposer un objet ou quoi que ce soit en fait d’oeuvre , à l’intérieur d’une galerie, à l’intérieur d’une salle blanche , d’une salle d’exposition blanche, ce seul fait suffit pour donner à la personne qui expose, une sorte de (pour elle) assise, assiette, une zone pour elle, une surface de reconnaissance en même temps que de pouvoir ; cette zone (de sustentation et de maintien en position debout, idoine) , cette zone offre à l’artiste-auteur une sorte d’assiette, de maintien, qui lui permettent (à cet artiste-auteur) de pouvoir (enfin ?) voir -venir : il y a au fond de la salle blanche deux mains tendues, deux bras ouverts, une personne n’est pas loin de venir vers vous, de vous rejoindre ou bien c’est vous qui re joi ngnez cette personne aucx bras ouverts, et ce dans la lumière blanche de la galerie -salle d’exposition ; nous avons d’un côté une personne dite (nommée, désignée) artiste -eauteur devant l’éternel, et de l’autre coté une sorte de dame blanche (la galeriste ? le galeriste ?) , cette dame blanche aux bras ouverts, ou bien est ce la bouche grande ouverte, les bras et la bouche, les bras ou la bouche, quoi qu il en soit il s’agit bel et bien d’une ouverture de quelque chose qui s’apporoche, qui est tout pres, il s’agit d’une sorte de béance, une ouverture en toute clarté, une béance devant soi, ouverture blanche et lumineuse, cette chose , cette chose ici (white cube devant l’éternel) cette chose ici est une sorte de clarté d’accueil, d’emprise, de prise à deux mains, deucx mains sont là qui s’ouvrent, nous voyons tres bien les deux mains, nous avons affaire à deux mains ouvertes, elles s’ouvrent en grand ; la lulmière est  massive et ébluioot ; nous avpns affaire à une lumière massive, éblouissante, forte, et qui vous enveloppe ; la galeriste et le galeriste sont là à l’appel ; il y a du monde, s’agit il d’un vernissage ? que vernit on ., ; que faisons nous ensemble dans cette lumière ?  ; nous voyons parfaitement bien, cette lumièere, cet aura, ce feu, cette clazrté, cette lumière : bklanche  ? frioide ? chaude ?  ; qu’est ce qu il en retourn,e ? nous voyons tres bien c ette lumiere froide, ou chaude, chaude ou froide , devant nous ; nous avbons des choses déposé à terre, chose avons déposeé à terre ou sur un support ou sur un mur ou du plafopnsd que sais je , le produit de notre façon, nous avons déposé pas mal de choses depuis un moment, nous avons fait cela à plusieiurs, , nous avons posé beaucoup de choses depuis «le début» et à prédsent nous sommes debout, nous tenons debout c’est à dire que nous sommes des humains vivants, nous sommes ainsi ici des humains vivants qui xse tiennent droit, qui regardent devant eux c’est àç dire ddans la clarté,, dans la lumière blanche la lumière blanche, la clarté ; ils sont debout ; nous sommes debout ; nous regardons devant nous ; nous sommes du côté de la lumière blanche, de la galerie-salle d’expositiobn, salle d’armes, mess, nous faisons ainsi la preuve de notre réelle capacité à nous tenir debout, à nous montrer vivant, à) montere à quel point nous sommes vivant, à) quel point ce souci de montere (exposer) , élever la vie est primordial, est capital, est important, est lala chose la plus impoortante : nous monbtrons en nous posititionnanr de la sorte (debout et droit en tantr qu’artiste-auteur) que nous sommes des vivants à leur maximum, que nous sommes au plus vivant que nous puissions et que nous donnons de nous cette image survitaminée qui en impose, qui donne le change, qui est d’attaque, qui peut «le faire», qui est là et bien là, qui est massive, une attaque massive pour un maintien dans des mains qui tiennen,t fort, qui tiennent bien, qui contiennent parfaitement ; nous nous tenons debout, nous avons avec nous des joujoux, une corbeille (hotte) entière  ; nous avons apporté nos frusques, nos jouets, nbos objets,n nos oeuvres, notre matériel, nos misères, etc ; nous apportons avec nous pas mal de choses que nous prenons la peine d’agencer entre elles , ici -même en galerie-sazlle d’exposition à la lumière ; nous les disposons avec un soin infini (ou fini ?) et nous restons ainsi au beau milieu de nos offrandes-victuailles, et nous attendons le jugement dernier du  galeriste ou de la galeriste, auréolé ou nimbé d’un pouvoir d’attraction massif, lumineux et fort (puissant-ce de l’aura) et ainsi , nous nous tenons debout, bien arqué sur nos jambes, nous essayons le plus possible de ne pas flancher ; nous sommes debout, nous tenons sur nos guibolles et essayons de ne pasflancher, de ne pas nous laisser impressionner, nous sommes debout, nous tenons debout sur nos deux jambes ; nous tenons sur nos deux jambes debout, le temps passe et presse, nous tenons, et nous tenons dans la lumière, nous sommes sous les feux de la rampe, nous sommes éclairés pour la photographie, nous sommes sous les feux des lumières alentour, tout autout de nous, nous sommes flaschés, nous sommes nimbés, nous sommes dans la blancheur qui nimbe et auréolise, nous sommes sanctifié dans le sein des xseins : ici, en ce lieu blanchi, en cet espace-mausolée, en cet espace de perte et de rattrappage ; nous sommes debout et nous tenons de cette façon debout, nous sommes au milieu de cette pièce auréolisante, nous sommes sanctifiés, nous sommes bénis des dieux, nous sommes reconnus comme personnes valables,  comme personne qui compte, dont le nom apparait dans la liste des noms déja dénombré ; nous sommes ainsi comme pris en bon compte ici même , soit ici bas, pour un voyage intergalactique de notre nom ainsi repéré et ainsi reconnu par une lumière, par une clarté et le pouvioior en place ; nous sommes debout, nous regardons devant nous les mains tendus, nous cherchions des mains, nous cherchions depuis longtemps des mains, nous cherchions des mains depuis tellement longtemps, il y a tant et tan,t d’années qui se sont écoulées depuis ce moment, ce moment de n otre naisszan,ce et a present nous avopns enfin trouvé des mains secourables, des mains maternantes, des mains qui adoubent, qui se posent (s’imposent, imposebnt etc) sur nous, sur notre visage, sur bbnotre crane etc ; nous avons enfin trouvé des mains secourables, une imposition , et nous en sommes ravis (soulagéds) et pouvons voir venir ; voir venir quoi donc ? ; nous pouvons enfin voir venir et aller devant, sans plus de crainte que ça car nous sommes bé ni, nous sommes adoubés, nousd avons été baptisés ainsi ou pris en compte dans les fichiers, notre nom apparait, nbous sommes sauvés, mais qui est sauvé ? eh bien nous, nous autres, nous les autrreess, tous les autres en nous, tout ce petit monde en  nous ; nous sommes enfin comme sauvés, nous avonsv en nous cette chance sur nous, e,n nous ou sur nous (imposition) cette chance, cette chance énorme, cette joie sur nous et en  ous qui nous fait aller ghentiment vers ces deux mains tendues à notre approche ; nous venons vers elles ; nous allons vers elles ; nous sommes debout, et nous nous tenons bien droit, bien campés sur nos positions ; nous allons ainsi avec nos frusques, nos juoets, nos choses diverses, nous nous tenons de cette façon avec nos offrandes en mains, nous dépodsons les offrandes (mue) , nous les posons par terre, sur la terre ferme, sur cette ferme ou fermette de terre dure, ce plancher (fiable) des vaches ; nous posons ces choses à nous (nous appartenant jusque là) et nous avançons ou nous nous avançons d’un pas ; nous poso,ns tout et avançons ; nous nous dénudons, nous sommes nus, nous sommes seuls, nous sommes pauvres , nus, et nous avons les yeux ouvetrts ; nous nous avançons vers le ou la galeriste , et nous nous mettons ainsi (nus et debout) à le ou la regarder en face, dans les yeux, fermement, sans faiblir ; nous sommes contenus, nous sommes dans une sorte de capsule ; nous sommes debout , nus, contenn us, debout ; nous sommes ainsi ; nous nous avançons petit à petit vers ces bras trendus, cette bouche ouverte, cette béance, cette ouverture dans la roche, ce passage étroit , cettre fissure, cette excavation et nous nous faufilons, il y fait froid ; lzza lumière est là qui nimbe et réchauffe un peu à l’entreé mais la sensation générale d’emblée est celle d’un grand froid qui vous saisit ; nous entrons un peu plus ava nt dans la grotte, nbous entrons ainsi ezn étant nus , nus et frais ; nous avançons, nbous gagnons les salles aux peintures et autres gravures ; nous regardons comme à l’intériuer d’une galerie -salle d’exposition ; nous admirons les oeuvres, nous aimons les oeuvres, nous les regardons, nous portons des coups d’oeil, nous ouvrons nos yeux sur les oeuvres, nous les inspectons, nous regartdons ces choses et autres, ces oeuvres confectionnées, ces oeuvres de façon ; nous regardons ces oeuvres de façon, ces oeuvres confectionnées, ces oeuvres humainse faites sous emprise, nous les inqspectons, nous sommes étonnéds, bébés babas, nous regartdons tout cela avec un minimum d’attention, nous sommes ébahis, babas, nous sommes saisis, nous sommes tenus, nous sommes debout, nous sommes nus (dénudés), nous regardons tout cela kles yeux grand ouvert, nous regardons avec nos yeux écarquillés et admirons-aimons, regardons-inspectons, allons vers les parois pour les toucher, elles sont froides, les embrasser, elles sont gelées ; nous aimons e mbrasser les parois de pareilles grottes-galereies ; nous embrassons les stalactites et les stalacmites ; nous zaimons-admirons ; nous sommes nus et nous nous approchons des animaux qui sont dessinés ici tout autour de nous ; nous nous approchons de ces betes furieuses, vives, au rendu vif en tant qu ‘eeles sont des oeuvres d’art, des oeuvres de façon ; une galerie, une galerie de portraits, nous regardons ; nous sommes nus devant pareille galerie, nous voyons l’ensemble du cheptezl et il y a beaucoup d’animaux différents qui sont représenntés, ce n’est pas toujours le même animal qui est représente»é, il s’agit d’une belle brochette ; nous les regardons chzarger ; ils chargent ; ils attaquent, ils sont massifs et leur attaque est forte, puissante et massive ; il s’agit d’une ataque massive, nous voyons tout cela avec nos deux yeux, avec bbnos yeux d’enfant, nous avons deux yeux d’enfant pour voir tout cela (§pas trois) ; nous avons des yeux pour voir, des yeux de jeunes enfants perdus, nous regardons avec nos yeux d’en,fants tout cela, il s’agit d’une belle brochette, il s’agit d’une belle série d’animaux massifs, chargeant comme des fous en grotte, en cette grotte )-galerie, ils chargent puissamment, ils sont costauds, ils sont puissants, ce sont qui des buffles, qui des bisons, qui des taureaux, ou des gnous ou des rhinoc»éros, ou desx mammouths ; ils sont forts et puissants, ils en imposent, ils vous posent là, ils vous laissent pântois, ils vous subjuguent, ils vous font un effet boeuf, c’est énorme, c’est considérable, c’est fort de café, c’est dingue, c’est fou, c’est énoreme, c’est considérable, c’est complètement dingue, etc ; nous sommes ébahisq ; nous prenons une claque ; nous sommes scotchés, littéralement scotchés à la paroi, à ces dessins de betes furieuse, à ce gros gibier ; nous sommes estomaqués, n,otre estomac fait un bruit d’intérieur de cave ou d’aven ou même de grotte ; nous sommes comme avec en nous pareille grotte vide, et pleine de choses, vide et pleine de choses avalées, vide par moments, et pleine à d’autres moments (de choses avalées : victuailles, vivres)  ; nous sommes qui avons en nous une caverne, un trou à nourrir, un trou à remplir, un trou qui sera rempli puis à nouveau (vidé) à reremplir etc ; nous regardons ces choses dessinées au mur, sur les murs, sur les parois, sur papier, toile, carton etc, toutes sorte de supports, nous regardons ces choses planes ou en reliefs, ces choses à ne pas toucher, à voir seulement, ces choses mises ainsi en majesté, ces choses instaurées et auréoléesetc ; nous avons envie de les ingurgiter d’une manière ou d’une qautre (comment ?)  ; les faire notree, soit les incorporer à nous, mais commùent ?  ; on boit bien qiul s’agit d’une sorte de vivre à prendre avec soi, des vivres données en offrande, déposés en galerie-salle d’exposition d’art à faço,n  ; nous voyons tres bien qu il s’agit xd’une offrande qui est faitee, d’un plat cuisiné, d’une sorte de plat cuisiné déposzé en galerie-salle de bal, etc ; nous avons affaire à une sorte de chose cuisinée offerte à qui veut bien mais voilà, il nous est interdit de toucher la chose ; il s’agit de victuailles, nous sommes bouche bée devant, nous sommes babas, nous avons la bouche ouverte, pour prendre de l’air ? pour prendre à manger ? pour avaler quoi ? quoi avaler ici ? et cependant nous ressentons parfaitement cette chose comme quoi nous devons «avaler» soit «incorporer» en nous quelque chose de cette cxhose ici expoosée, cette chose en entier ou pas mais la qusetion ici est celle ci , à savoir que nous sommes babas et que du coup nous ouvrons une bouche, en nous (béance, creux à l’estomac ?), énorme, et que notre envie, principale, massive, majeure, grande et vive , est celle ci  : d’absorber de la chose, un peu de cette chose, ou comment nous exprimer sur la question , car nous sommes babas ; nous n,’en revenons pas, devant pareilles offrandes : à nous adressées ? à qui adressées ? nous regardons ces choses, nous zavons envie de les toucher ; mais l’interdit est si grand que l’envie nous passe ? l’envie nous passe t elle ? nous nous approchons des objets exposés sans les touvcher, nous nous approchons et reluquons, nous regardons jusqu’aux étiquettes, aux sockles, aux supports, tout dans les détails , et m^meme le grain des murs de cette salle, le côté rugueux ou lisses des murs, des sols, etc ; nous regardons tout, nous regardons dans le détail ; nous nous approchons des objets sur colonnes ou socles etc ; nous aimons-admirons -visionnons, tout cela d’un même élan car nous sommes cet élan, , soit cette bouche ouverte, cet estomac criant famine, cette chose en nous hurlant son vide etc ; nous voulons dee ces vivres, cde ces vies présentées, ces vies sont des offrandes, ce sont des dons fzaits en offrande sur un support nus ; il s’agit de dons faits en offrande sur des supports nus déposés ; nous tournons autour de ces dons donnés, nous tournons et retournons, nous sommes nus, nous sommes habillés, nous sommes écartés, nous sommes au ban, nous ne sommes pas élus, nous sommes à l’écart, nous sommes extérieurs, nous ne sommes pas piedestalisés, nous sommes au rebut, nous sommes mis de côté autour des socles, des colonnes ; nous déambulons, nous nous promenons à l’intérieur de la galerie, de la grotte , de l’aven, de la caverne, etc ; nous sommes comme des e,nfants mis au ban, des enfants mis au ban d’une société d’adultes adoubés, élus ; nous sommes comme des enfants qui sont intertdits de quelque chose, nbous sommes interdits de quelqque chose : de toucher, de gouter, de dévorer, de manger, de prendre dans ses mains, de poser les mains dessus, de faire tomber, de gesticuler autour au risque de fair tomber, de lécher, de tripoter, de mettre ses mains ales dessus, de pisser dessus, de faire pipi dessus ou de pisser dessus, de faire des betises ; nous n’avons pas à toucher ces choses qui sont des vivres, des victuailles, le fruit (les fruits) d’un treavail , celui d’un czaretiste-auyteur devant l’éternel , auréolisé, piedestalisé etc par un ou une galeriste, les intercesseurs ; nous n(avons pas à toucher l’objet, il est interdit de le toucher, de lmanger ; il s’agit de vivres, de victuailles en offrande (déposés en guise d’offrandes) mais il est formellement interdit d’y toucher, la chose est sa&crée, la chose est sacralaliée, elle a bénéficié d’un sacre d’aboubement, elle est auréolisé et auréolisée par la milice, elle a bénéficié d’une chose d’un adoubement majeur, adulte, avéré et responsable, il y a eu accord, il y a eu une police d’intervention massive , qui, iici, a dit oui et a conservé la chose en toute sécurité, en bonne et due forme , avec cet interdit affiché, ce diktat de tous les instants  ; cette chose de l’adulte autoritaire, du papa, de la maman, des parents qui imposent leurs vues, cers pare,nts qui disent ce qu il est autorisé ou pas de faire, etc ; il s’agit sinon d’une milice, d’une police, d’e gendarmes, ils sont les gendarmes, ils sont les autoritée, ilds sont ceux qui disent oui ou non, ils nous donnent les consignes etc ; il s’agit de personnes qui disent si oui ou si non ; nous les vboyons, nous vboyons tres bien ce qu il en est, il y a des offrandes déposées, il y a des vivres (ce peut etre des jouets, peu importe) et nous, ; nous sommes interdit d’y toucher, il y a cet interdit affiché, il est interdit de toucher à tout ce qui est déposé, il est i,nterdit d’y toucher, il y a des alarmes, il y a la police, il y a des alarmes de police, il y a des gens qui sont payés pour surveiller et veiller au grain ; ce sont des choses chères, qui sont tres couteuses,n, quui sont tres cheres, ce sont des choses qui sont données en offrande mais qui sont précieuses, auxquelles il edst préférable de ne pas , pour lesquelleq il est préfeérable de ne pas, etc ; nous sommes interdits, nous n’avons pas le droit, l’autorisation , nous sommes empêchés, nous n’avons pas l’autorisation de , etc ; nous sommes des ghamins, dnous sommes des enfants qui regardons pareilles sucreries qui nous font envie, mais de quelle envie s’agit il ? envie d’air frais ? d’oxygène ? envie de manger ? envie d’avaler, d’incorporeer, de déguster ? envie de prendre en bouche ou plus loin ? envie d’ingurgiter plus loin ;, plus en profondeur , estomac ?. ; nous regardons toutes ces choses agencées, toutes ces oeuvres, ces choses déposées ici ou là pour la bonne bouche mais laquelle ? laquelle des bouches ? car nous avons de nombreuses bvouches, nous en avons plein en nous en réserve, nous ne sommes pas en manque en nous de bouches, nous sommes remplis de bouche, nous ne sommes que des bouches, nous sommes farci de bouche ; tout notre organisme est une somme de bouche ... à boucher ?  ; nous sommes une somme de bouche, nous avbons en nousq une grande quantité de bouches à nourrir ou à remplir , à combler ?  ; nous avons en nous une foultitude de bouche à remplir, à comlbler ou quoi d’autre ? ; nous sommesq des bouches ; nous avons des bouches ; notre corps en entier est une somme ou une addition de bouches agglutinées les une saux autres ; nous sommes une collection de bouches toutes agglutinées les unes aux autres ; nous déambullons dans une galerie (disons white cube) en tant qu’agglutination de bouches ouvertes, nous marchons ainsi vparmi les oeuvres, nous sommes des bouches ouvertes (un paquet massif) et nous allons d’une oeuvre à une auttre ainsi, toutes bouches en n ous ouivertes, nous sommes habillés mais sous les habits il y a ces bouches avides , affamées, qui restent béees, qui restent cois, quyi regarden,t « et demandent, et happent ; ielles sont ainsi ouvertes pretes à happer ; elles sont à deux doigts de happer, lelles sont à un rien de happer tel ou tel objet, elles sont sur le point de happer, lells sont sur un point, une pointe, une pique, elles sont sur une cimme, sur le bout du bout de ce qu elles sont et elles meurent d’envie de happer les choses exposées, de les ingurgiter ou comment ? absorber d’une manière ou d’une autre ? ou aspirer comme une hotte ? ; nous sommes ainsi des enfants qui déambulent parmi des choses à ne pas toucher, gare au gendarme, à la police, au méchant monsieur ou à la mécxhante dame qui te surveillent ; nous sommes des enfants en toutes occasions, nous ne sommes pas grands, nous sommes des enfants qui déambulons au sein d’une galerie comme dans une grotte dans la vie, nous allons d’une paroi à une autre, nous allons toucher les parois, nous les approchons, nous faisons pipi contre les parois,n, nous ne respectons pas les parois, nous sommes des bébés, nous sommes tres petits, des enfants petits, nous sommes des bébés, nous sommes de petits enfants et nous ne savons pas tout ; nous ne savons pas beaucoup de choses de l’extérieur  ; nous savons des choses en nous mais le monde est rempli de choses extérieures à nous que forécément nous ne savons pas, alors même qu’en nous nous sommes rempli de choses (une infinité) que nous savons mais il semblerait que ces choses, pour le monde extérieur, n’aient pas le même prix, ne comptent pas pareil que tout ce qui , autour de nous, nous entoure et qui n’estpasnous ; nous sommes plein de savoir mais voilà, ces savoirs ne pesent pas autant dans la balance que d’autres savoiirs (adultes ? ailleurs ? extérieurs ?) qui eux repreésentent un tout autre poids, pésent différemment, bien différamment par rapport à nous, à nos choses à nous, nos choses internes ; nous avons pourtantv pas mal de choses en nous qui pourraient s’avèérer etre ou comme étant de belle facture, des choses importantes, pas plus ou pas moins mais tout de même, ni plus ni mpoins que d’autres et aussi qui pourraient vpeut-être intéresser pas mal de monde, sait on jamais ; nous avons en nous des richesses, des trésors, des vivres, des choses de grande valeur au sens de poids, de pesée, de choses qui paèsent ; nouys sommes farcis ; nous sommes riches, nous sommes pleins , nous sommes remplis, nous contenosn ;nous sommes des enfants qui conteneons pas mal dxe choses en eux, de choses de belle facture, des choses de poids, de choses qui le font, ou qui pourraient le faire ; nous avons en nous des choses dites «enfantines» mais pour autant elles pèsent, elles ne sont pa-s rien ; nous les tenons contre nous, contre notre coeur, nbous tenons ces choses et nous tenons à ces choses, njous y sommes attachés ; nous avbonbs du sentiment pour ces choses, nous avons beaucoup de sentiments pour ces choses que nous transportons, nous y tenons comme à un doudou, nous tenons à ces choses ; nous sommes amoureux de ces choses, nous sommes tout amour pour ces choses, nous y tenons comme à la prunelle de nos yeux, ils s’agit de choses en nous quyi remplissent, qui pesent leur poids en nous, qui sont un lest, qui pesent leurr petit poids stabilisant, leur poids de culbuto, leur petit poids de stabilisation, leur poids faisant contrepoids, il s(agit d’un poids en nous de contrepoidsq, il y a en  nous un poids de contrepoids, et ce poids de contrepoids, certains le perdent en route (et le recherchent toute leur vie, ou les jours  leur restant à vivre) et d’autrezs n,on ; certains perdent en grandissant le contrepoids , et d’autre ne le perdent opas ; il y a des personnes qui en grandissant, en passant à l’age adulte, perdent ce poids en eux de contrepoids, et du coup ils passent oub passerontv leur temps, des lors, à rechercher un contrepoids à placer en eux, à installer , et puis il y a d’autres personnes qui , elles, n’ont pas besoin de contrepoids, soit parce qu elles l’ont déjà (elles ne l’ont pas perdu en chemin) soit parce que tout simplement elles n’en ont pas besoin (il y a de tout) ; il y a des gens sur terre qui recherchent en ellls (des personnes) , en ils , en eux (des gens), des contreepoids, qui recherchent des sortes de contrepoids pour leur gouverne (navigation, assiette, stabilisation, sustentation etc) ey-t puis il y a des personnes ou des gens qui eux n’ont nullemment besoin de ce genre de choses en eux, tout bonnement ou tout simplement car ils ou elles sont déhjà outillés ou munis, ou attifés (etc) de pareil organon ou de pareille cxhose , de pareille prothèse ou comment dire ? voyez laforme et la chose qu ‘est un culbuto, voyez czrtte cxhose, cette chose à contenaznt ; nous nousd promenons (déambulons) à l(intérieyur d’une galerie (ici) d’art contemporain, nous allonbs et venons à kl’intériuer d’une galerie d’att contemporain, nous sommes deux p(apar exemple) et nous déambulons, nbous allonbs d’une pièce exposée à une autre, selon le schéma qui s’impose à nous (gouvernail) ; nopus cherchons le contrpoids, nous cherchons à absorber une chose ici offerte comme le serait sur table d’offrande un plateau de fruits ou une pièce animalière encore saignaznte, fumante, etc ; nous sommes en galerie pièce razpportée qui observons et nous pourléchons les babines comme affamés, mis en appetit par tant et tant de victuailles déposées sur table d’ooffrrande ; njous nous pourléchons les babines, nous cherchons de l’air , nous cherchons une nourrirute, nous cherchons une chose qui pourrait combler et nous aider à nous tenir debout en définitive, est ce cela ? est ce de cela qu il s’agit ? est ce ça ? est ce de ça qu il s’agit ? cela ? ça ? comment savoir ! ; npous sommes ainsi qui nous promenons à) l’intérieur d’une sorte de grotte -galerie d’art rupestre, d’art des roches, des rochers de grotte, etc, nous sommes extérieurs à ce monde perdu, nous sommes toujours extérieurs à un monde ( le notre ) perdu, les hommes de néanderthal 

étaient-ils tout aussui extérieur à leur monde ? il y avait en eux un contrepoids, y avait-il en eux un contrpoids ? faisaient ils l’affaire, je veux dire : arrivaient ils à tenir droit ? arrivaient ils à se tenir droit, à tenir bien droit avec ou sans contepoids ? culbuto ? étaient ils des culbutos ? comment faisaient ils pour tenir bien droit et voir (rezgarder) devant sans fléchir, sans peine ?  ; nous nous promenons dans la caverne d’ali baba et c’est nous qui sommes babas, nous aimons-adorons-admirons ces choses gravées, ces images ; nous sommes à) l’intérieur d’une image, nous aimerions pouvoir comprendre tout (le tout) de cette image globale ; nous avons envie de tout comprendre, nous cherchons à tout comprendre, nous avons une envie et cette envie est de comprendre le tout du monde, nous avons une envie qui est cette envie en  nous de comprendre le tout du monde, ce que le monde recèle, ce qu est le monde, ce que le monde contient, ce qu il est au fond, à quoi pouvoir se raccrocher, à qyuoi pouvonbs nous nbous raccrocher : nous avons envie de comprendre et de connaitre les fondements, les soubassements et savoir à quoii pouvoir s’en tenir, se raxcccrocher, à quoi se tenir ; nous voulons comp^rendre le fonctionnement et nous aimerions savoir à quoi nous en tenir, à quoi on peut se raccrocher, à quoi se tenir, qu est ce qui est de l’ordre de la vérit»é des choses, qu est ce qu i n’est pas de l’ordre de la vérité ; nous voulons savoir, nous cherchons à comprendre le monde, nous essayons de comprendre le monde en faisant ainsi que nous faisons, en se plaçzant ainsi que nous nous plaçons : loopings dans les airs, looping the loop, etc ; nous voulons comprendre de quoi il en retourne et pourquoi le comment et comment le pourquoi, est ce naïf ? est ce bête ? est ce idiot ? sommes nbous idiots de vouloir cette chose instamment, est ce idiot ou sommes nous idiots de vouloir instamment (férocement, brutalement) cette chose ? nous voulons comprendre ce qui est de la vie et de la mort sur terre, et les réponses nous lesq chercghons dans les questions, voilà tout ; comment faire autrement , qu avconds nous d’autres que des questions ? nous avons des questions (foultitude) à part nous et nous du coup nous essayons de voir à l’intériuer de ces questions ce qu elles pourraient bien pouvoir contenirt xd’intértessant pour nous, notre gouverne, notre gouvernail ; nous cherchons dans notre barda de paroles diverses (questions) ce qui pourrait bienn , éventuellemeznt , nous servir à comprendre les choses du monde environnant, nous sommes directement axés (branchés) sur les questions qui tara udent, les principales, les plus graves au sens de primordiales etc : nous sommes tres interessés, nous sommes au coeur, nous sommes au beau milieu, nous nous plaçons ainsi en plein milieu, nous ne voulons pas bnbous placer ailleurs, nous voulons rester au milieu, nous placer là définitivement pour savoir ce qu il en est, ce qu il en retourne, de quoi il s’agit, ce qui est et ce qui n’est pas ; notre ambituion est tres simple et se résume (peut se résumer) en quelques mots , à savoir cette choses que nous regardonbs (les yeux grand ouvertt) devant nous (les deeux mains ouvertes) ce qui apparait à notre vue et ce qui apparait nous l’enregidstrons en nbous (magasin) pour nous en imprégner et comprendre ce qu il en retourne , à savoir : tour et retours et tour encore et re re tours sur soi même, à la mabnière d’une sorte de voltigeur des airs qui , sur lui même, tourne que tu tourneras, ou bien d’un vélocipédiste , qui d’un coup d’un  seul, sur une piste affectée à pareille chose, tourne sur lui même complètement : tour complet du cercle, loooping the loop, la boucle est bouclé»é ; nous cherchons pareille issue, nous cherchons la boucle afin de pouvoir nous projezter ainsi (cul par dessus tete) dans une perspective changée qui nous ouvrirait les portes d’un savoir complet (360 degrés) qui pour le coup nous permettrait d’y voir autreelment plus clair les choses du monde, du temps, de la vie, etc ; nous sommes gourmands, friands, intéressés, bnous sommes comme  des enfants gourmandsq, nous sommes tres intéressés, nous regardons avec avidité, nous cherchons à trouver l’issue, le passage, le trou à souris, etc, l’endroit où nous faufiler, l’entrée de la grotte, l»’e,ntrée ou le passage secrets, nousq cxherchons le petit trou, le petit trou pour passer de l’autre côté et nousretrouver au beau milieu de cet espace «décoré» qui est celui de cette galerie-salle d’exposition d’art contemporeain à façon , ou bvien celui de la grotte de typee préhistorique ; nous aimons ainsi chercher des passages, des passages qui soient secrets, notre but est ainsi de trouver des passages secrets, de découvrir, de cghercher une issue qui nousdonnerait des informations xtenues secrètes jusque là ; notree but ici est cette chose, nouys la voulons et c’est elle que nous recherchons : nous voulons comprendre, nous voulons connaitre et nous voulons savoir, le mystère (le grand mystère de l’univers) nous intrigue fort, nous passionne et nous interpeklle, il nous hèle, c’est lui qui nous appelle, avec sa voix forte, gutturale et autoritaire ou sévère ou disons d’allure sévère, njous voulons aller là où les choses seront expliquées, et découvrir des sezcxrets, notre but est celui là, de trouver avec ou au milieu des mlots employés des secrets, des choses à) soulever etc ; tel est notre ambition à ce jour,  telles sont nos volontés, telle est notre volonté, telle est notre en vie, nous voulons de cette chose pour nous pour notre avenir, nous voulo ns trouver des choses ainsi en disant des choses en vitesse (fisza) et peut etre y arriverrons nous un jour ou l’autre, c’esttout le mal que nous nous souhaitons à nous même ; nous voulons de cette chose pour nous, nous avonsz pris ce parti d’aller de cette sorte avec des mots et notre ambvition est de nous y tenir le plus possible, il s’agit d’une recherche de passage, une recherche comme exa ctement des enfants chercheraient une grotte dans la roche ; nous cherchobns un passage pour une entrée à l’intéreiur d’une cavbité, ce peut etre (cette cavité) une grotte, un gouffre, une caverne d’ali baba, une galerie -salle cd’exposition d’arty vcontemporain à façon , ; etc, ce peut etre un trou à rat, un trou de souris, un trou de taupe dans la terre, sur le chemin, ce peut etre mille cxhoses tenues secrètes, nous, nous avons pris ce plis (cette décision) d’aller de l’avant ainsi, d’aller ainsi de l’avant et de fouiller à notre façon, les mots du langage humain (le notre), pour voir ainsi ce que ces mots-là que nousz abvons en bouche , auraient à nous dire (dune certaine manière) sur cette choses qui est de la marche du mondexc: la vie , la mort, les formes de mla vie, l’approche de la mort, l’approche temporelle de la mort etc ; les choses du monde ; nous sommes tres intrigués, nous sommes des enfants qui sommes tres intrigués, nous allons de ce pas verts une sorte depassage qui nouds tend les bras et quel est il ?  ; nous pazsons notre petit corps par la faille, nous cherchons à nous faufiler (immiscer) par ce passqage, nous cherchons à nousfaufiler par ce petit trou qui s’ouvre à nous dans la roche, vers la galerie aux betes féroces , betes féroces (brutes) qui semblent en vie, tellement elles nous apparaisseent comme ressemblantes aux vraies betes, tellement elles nous semblzent reesssemùblazntes ; la chose de laressemblance est capitale, cxette chose de la ressemblance est une chose capitale, il s’(agit d’une chose capitale, exteremement importante, il fdaut comprendre que cette chgose, il faut bien comprendre ici que cette cghose de la ressemblance, cette question , est tres importante, elle est capitale, elle est centreale, elle est primordiale, elle règne, elle est cxette cxhose qui trone, qui est devant, qui s’impose à notree vue car elle nous fait face, elle est cette image que nous avons face à nous  ; et cette chose ici de la ressemvblance, cette question, nous fait face, nous l’avons ici (une image du monde alentour) en face de nous : il s’agit de notre «présent d’alentour», il sq’agit de cette chose qui nous environne : cette chose du pourtour,, de notrte pourtour, nous sommes ainsi qui voulons cette chose pour nous, c’est à dire ce savooiir ; la ressemblance est capitale, il s’agit ds’une question primordiale, nous devons vooir cette question comme étant une parmi celles qui sont les plus imoportantes à devoir débatttree entre nous : qu en est il de cette chose de la ressemblance à ce point voulue ett recherchée ? n’est ce âs une question centrale ? lza question du coeur des choses, nest ce pas cela ? qyui répondra ? qui veut répondre ?  ; nous cherchons des réponses dans les questions car que pouvons nous faire d’autre en tant que nous sommes des en,fants qui parlons avecv des mots fraichement appris de par notre entourage, nos parents, l’école etc ; nous sommes des enfants qui nous intéressons aux secrets du monde qui nous environne, nous nous plaisons ainsi, à explorer les secretts, les grandes questions, nous voulons les explorer, nous voulons faire cette chosexw en forme, en des formes chantournées qu i le fassent, qui fassent mouture, qui fassent melon, qui fassent pain, qui fassent chose, qui fassent paquet, qui fassent boule, qui fassent tas ainsi tourné ou retourné (tourne que tu tourneras) afin de donc pouvoir ici déposer la chose ainsi chantournée (travaillée, oeuvrée) sur un support qui puisse pour le coup stabiliser le tout sans crainte, nous cherchons une chgose, nous cherchons à) confectionner u ne chosec à partir des questions du monde, de toutes ces choses en suspension dans le monde (questions en suspension) qui nous entoure, ces choses, ces choses qui donc sqont en suspension dans le monde, notre ambition (toute enfantine et native-naïve etc)  est de donc comprendre, prendre avec nous, ces choses en suspension, ttoutes ces choses en suspension dans le monde qui nous environne , les prendre avec nous, dans nos mains, les chantourner, les malaxer, et en faire des objets à pouvoir déposer ici ou là, en galerie ou ailleurs mais à l’abri, afin de les pouvoir déposer dans le temps, dansun temps qui estle temps de l’immortalité, dépposer ces choses ainsi en suspension non plus dans l’espavce qui nous environne mais dans le temps qui nous environne, faire cette chose d’un depot minute dans le temps (de l’immortalité des chosesq déposées a insi) depuis une ou un comment dire, depuis un espace ou à partir d’un espace (le monde) matériel , qui est cet espace en pourtour, en pourtour de nous qui sommes nés au monde ici ou là, et qui le regardons (le monde) de nos yeux ouvert en grand et bouche bée ; nous sommes ainsi qui rega rdons le monde bouche bée, nous regardons le monde bouche bée et essayons (de base) de cvomprendre (à l’intérieur du langage, sa ns en sortir, en ous y logeant dans son temps de survenue continue) le monde et les choses du monde ; comprtendrecx soit prendre avec nbous pour ensuite d»époser la chosqe (tourneboulée par nos soins) à l’a bri, dans une sorte de petite cachette que nous nous fabriqsuons et qui est une sorte de petit musée personnel, une sorte de  petite vitrine personnellle où tous nos trésors seraient contenus et mis à l:’abri ; notre idée est donc celle là, de faire de la sorte des recherches(à ka recherche de secrsedts concernant le monde) , ces secrets les prendre avec nous (tournebilifacations internes et propres à nous) puis, ces choses ainsi tourneboulées, les déposer dans notre petit espace muséal ou comment dire à nous, à nous autres, à part nous, petit espace d’exposition en propre, disposition réfléchie et soignée , de toutes ces xchoses (nos secrets) trouvés sur notre chemin : des trésors du monde  ; nous cherchons cela de cette façon et voulons les montrer de celle ci ; nous sommes dans une galeerie, nous déposons nos petits trésors tourneboul»és, nous avons quelques petitesz choses ainsi que nous déballons de notre baluchon, nous les posons sur le sol, à même le sol de la galerie, nous montrons nos choses ainsi , nous déplions notre baluvchon rien de plus, njous avons des baluchons que nous déplions, il s’agit tout betement, tout connement et tout bonnement de nos baluchons dépliés, il ne s’agit que de ça, que de ces choses , que de cette chose, de baluchons dépliés ou ouverts à plat sur le sol d’une galerie, et ce que ces baluchons contiennent se dispose seul ainsi faisant (ouvrant baluchon) et rien de plus, il s’agit d’une ouverture, sur sol, de  baluchon de contenance ; il s’agt d’une ouverture de baluchon, sur sol de galerie -(salle d’excopposqition) d’art contemporain à façon  ; et là la nôtre (defaçon) quii montre des choses, récoltées ici ou là et choses censéees renseigner le monde (?) de l’état des choses du monde, versant secret ; nous dséposons nos frusques (et autres moutures fabriquées par nos petitec mains) dans le baluchon, nous le pliobns sur lui même, puis nous faisons en sorte de ne rien perdre pendant le voyage qui nous mène ensemble à la galerie, cet endroit parfait pour un essai de déploiement de soi, son frusquin, sa chose, son baluchon, ses frusques, ses bidules en baluchon etc ; déploiement, dépliement, ouverture, dépliage etc et peut-etre déception en définitive, c’est un peu la loterie, c’est la chance (?) qyui préside, c’est peeutetre la chance (la loterie) ici qui préside , peutetre est-ce ici en définitive la chance (une chance) qui préside et qui conditionne et qui prévaut et qui au bout du compte dit oui ou dit non, permet ou pas une conservation, un recueil, un sauvetage, un salutn$- , etc, des choses ainsi déposzées et montrées ; nous ne pouvons pas le savoir à lk’(avance, comment pourrions nouys savoir ? nous avons mis des choses dans notre petit baluchon et au moment de l(‘ouvrir nous ne savons dejà plus ce que pareil baluchon comporte en fait de choses cvonservées, la surprise aussi (en partie) sera pour nous ; nous avons glisszé a u fur et à mesure des choses de vie dans notre antre (en nous) et ces choses du temps passé, du temps chassé, ces choses nous les déposnos mortes sur pierre d(‘offrande et les voilà, ainsi disposés (baluchon), sur sol ou mur de galerie d’art et ainsi mises elles s’offre,nt à la vue et trompenbt le monde en cela qu elles n e sont que du temps perdu (limbes) et rattrapé in extremis par la volante (la lice, la police ) des choses de lart, des choses de lart consacxré etc ; il s’agit d’une affaire des plus sérieuse, elle est importante, il s’agit ds’un sauvetage en vol, d’une récupérattioon in extremis d’un objet volant (loopings) qUE nous pensions perdu à jamais (dansles limbves de quel précipice ?) ; nous voyons ainsi ce baluchon deéposé, et tous ces objets, tout cet atytirail, cette chose d’un attirail de choses diverses ; nous voyons deevant nous (à nos pieds ) -ces présents de vie (ready made) qui jonchent le sol ; ces présents (ces offrandes) sont le temps présent rarrtrappé in extremis dans sa chute (vertigineuse, comme toutes les chutes) par le galeriste et la galeriste, soit les deux mains du sau vetage (demain) ; nous sommes ainsi qui pouvons nous sentir plus léger et débarrassé de ce poids en nous qyui nous empechait d’aller de l’avanbt auussi gentiment que souhaité ; nous nous sentons enfin libéré et pouvons aller p^lus librement ou plus aisément dsa,ns le monde et tout cela car nous avons donné (déposé en sauvegarde») tout ce barda que nous trimbzallons avezc nous depîuis le dfébut, depuis le premiier jour , depuis le jour de notre naissance  ; nous sommes libérés de ce poids  du passé, des jours derrière nous, de cette obscurité derrière nous que nous avons (en tas) dépposé, sur chassis de toile ou sur socle en bonne et due forme en galerie d’art , nous avons fait cette chose d’une dépose, de temps (nôtre) passé et comme cela, ainsi ou de la sorte, comme ça ou de cette façon , de cette manière, noussauvons (en quelque sorete, e, n quelque manière) les meubles du temps nôtre, les meubles du temps, des meubles, certains meubles, quelques meubles, on dira quelques meubles du temps notre, de ce telmps derrière nous que nous dirions comme étant le nôtrte, celui que nous avons travezrsé nous, celui là mêlme que nous-même avons traversé, celui là même que nous-même en tant que tels avons traversé avec nos petits pieds, nos petites jambes, etc ; nous avons déposé tout notrte barda en galerie et à présent nous sommes plus à mêzme de voir venir, de nous faufiler ici ou là car notre  orgaanisme, notre petite machine , notre corps, notre étant etc, sont , est, plus léger ainsi soulagé  ; nous ne sommes plus les mêmes, nous sommes d’autres, nous ne sommes plus les :mêmes, nous sommes d’autres que nous-m$êmes ou d’autres que nous nétions ou que nous étiopnsjusque là ; nous sommes différents ; nous ne sommes p^lus les mêmes ; nous avons touché les parois rupestres, nous avons touché les parois des grottes où nous sommes allés ; nous avons touché des yeux et aussi des mains, les deux : des yeux et des mains ; nous sommes entrés à lk’intéreiure de cavités anciennes, de cavités si vieilles, si anciennes, datant ds’époques si reculées (de fait) dansle temps, eh bien, nous, nous y sommes entrés et nous avons touché et des yeux et des mains... et des pieds qui ont touché le sol ( qui ont marché) à l’intériuer de la grotte, ces trois chjhoses  ; les yeux, les mains et les pieds, ces trois choses capitales  ; eh bien voilà : nous sommes entrés dans une grotte, nhous nous sommes faufilés dedans, nous sommes allés dedans, nous sommes entrés dans la grotte ou dans une grotte  ; nous sommes entrés dans une grotte ensemble, nous avons regardé les parois, njous avons touché les parois et aussi nous avons embvrassé les parois, nous avons embrassé les parois, nous avons toucxhé les peintures pariétales, nous avons touché les toiles, les sculptures, les dessins, les choses installées etcxc, nous avons touché les choses exposées, nousq avons mis la main dessus subrepticement, sans nous faire voir (pendsions-nous)  ; nous sommes des petits malins, nous défions l’autorité, nous sommes des bambins, nous sommes des enfantsq, bnous sommes de petits enfants, nous ne respectons pas les interdits, nousfaisons comme si nous respections les interdits :mais en vérité rien du tout, nous ne esqrpectons pas les inetrdits affichés, lezs autorités , etc ; nous faisons des écarts, nous nous écartons, nous ne voulons pasd etre (totzalement disons) dans le moule ou dans la ligne  ; un peu (puisquil le faut bien , non ? ) mais pasccomplètement et du coup^ nous en faisons un peu à notre têtre et nous nous écartons un peu de nos obligations telles qu elles nous ont été en vrai demandées ou telles qu elles nous ont été en vrai formulées ; nous en faisons (un peu) à notrte tête, nous essayon,s de truander un peu en n’en faisant (un peu ) qu ‘a notrte tête ou à notrte tête  ; nous truandons un tant soit peu, nousfaisons quelques écarts, nousq sommes coquins, nous sommes un peu coquins, nous sommes des petits coquins ou coquinous qui faisons un peu comme ça nous chante, comme ça nous chante en nbous, comme en nbous les choses nous chantent, les choses du monde ; les choses du monde en nous nous chjantent ainsi ou autrement et c’est ainsi que nous faisons , en fa isant comme nous chjantent 1 les choses du monde et 2 les effluves, l’air ambiant, les courants marins, les courants, l’air etc ; ce qui flotte dans les airs et dans les mers, etc ; tout ce chamboulement de chsoes en perpétuelle mutation , ou en perpetuel chamboulementt etc ; tout ce barda, §tout cela : le monde et ses mutations ^permanentesetc, tout ce barda (baluchon ) nous faisons mine de le déppooser ici ou là, nous cherchons à déposer (de fait) une chose, ce barda ou autre chose, nous cherchons à deposer notre barda de temps mais où le déposer ?. où donc déposer notre baluchon (ou barda)  ? où le déposer dans le monde ? où deposer le monde dans le monde ? où deposer l’ensemble des choses du monde ... dans le monde ? cela (ça) est définitivement impossible dans ce monde ci ... peut-^ztre dans un autre monde oui, peut -être, quyi le sait ? mais dans ce monde-ci cette chose (cela, ça) est définitivement impossible, qu on se le dise  ; ja mzais de la vie on (nous) ne pourra (ne pourrons) etc ; cela (ça) est impossible à faire  ; 

allez donc déposer baluchon du monde en entier dans ... baluchon du monde en entier ! comment faire entrer un ver dans ... ce même ver ! ou bien soi même en soi même ! cela est rigoureusement impossibvle, cela (ça) ne ressort pas des choses possibles sur terre, peut-être ailleurs, peut-être sur une autre planète ou dans un autre espace-temps, ou dans une tout autre configuratioon exitentielle, peu-être, quoi que rien nb’est moins sûr, on ne sait pads ; nous ne savons pas ; qui sait ? qyui sait cela ? qui sait cette chose ou ça ? qyui sait ça ? qui le sait ? qui sqait cela ? comment savoir ? ; nous cherchons à savoir mais c’est loin d’être une choses facile, nous cherchons à comprebndre mais évidemmeznt que la chose esqt loin ds’etrte chose aisée, nous aimerions que la choses soit aisée, à comprendre , à déchiffrer mais cela est loin d’être le ca s, cela ou ça, cela , c’erst ou ça est loin ds’^rtre le cas, c’est une évidence, cd’est difficile de savoir ou bien xc’eswt tres compliqUé, c’est tres comlpliqUé et tres difficile de trouver le biais ( quel biais dès lors ? ) pour arriver à déchiffrer l:es choses du monde, cest tres difficile pour trouver, c’est assez dfifficile, c’est plutot compliqué, c’szst assez compl iqué et plutot difficile : ce n’’st pasfacile, non ce n’estc pas du tout facile, c’est difficile, c’est assez compliqué et difficile, nous on aimezrait, nbous nous aimerions, on aimezrait pouvoir ; on aimmerait réellement pouvoir , nous, autant que nous sommes, nous approcher de la vb&érité et savoir , du monde (de la vie et de la mort etc) ce qu il en retourne, eh bien c’est facile, ce qu il en retourne est tres exactement cela : ce qu il en reztourne , soit ce qui retourne, c’est auusi bête que ça ; cest tout con, c’est bete comme chou ; ce qu i  retourne est tres exactement ce qui retourne, ce qui tourne et retourne, ce qui tourne et qui retourne, boucles et reboucles, ni plu s ni moins ; ce qu il en retourne du monde eh bien c’est tres exactement cette chose et rien d’autrees, )à savooir cette chose de (sortes de) loopings à l’infini etc, des tours et retours et détours de deuix enfants dans une grotte du sud de lafrance, au mas d’asil, ou ailleurs ; il faut comprendre cette chose qui est d’importance, cette choses est capitale : il s’agit de grotte ancestrale, il s’agit d’un temps anceien, il s’agit de messages qui tous nous parviennent depuis desd temps tres anciens, des messages venant quasiment del’au delà puisqu ils provbiennent d’un temps situé au delà de lhistoiree des hoommestelle que ceux ci on t pu lanarrer ; il s’(agfit de messages proven$ant de temps qui se situent au delà de l’histoiree, en ça qu ils sont (en cela qu ils sont )pré-historiques, de la pré-$histoire, etc ; ils proviennent (ces messages rupestres) d’un temps qui n’a pas d(histoire narrée ; et voilà pourquoi ces messages , pour nous, sont tres important et même plus : ils viennent de l’au delà, ils sonbt comme provenant d’un temps hors du temps ; ils sont situés dans l’espa ce mais proviennent d’un temps qui n’est pas chiffrable (peut-être) de la m$^meme manière (à la main) ; difficile de chiifffrer, on peut essayer (carbone 14) mais la choseest douteuse ou bien la chose demande une science compliquée ou bien la chose requiert la science, alors que voilà devant nous (sans autre science que celle de nos pas allant etc) une somme de betes alignées (dessinées ) sur paroi, sans autre science que celle qui nous a mené (à petits pas)  jusquà eux ; l’espace d’une promenade, etc ;  nous avons pris ainsi les jambes à notre cou et avons couru jusqu ici comme guidé par notre bonne étoile et une fois entrés dans la grotte , nous avons vu les animaux, nous avons vu lesq troupueau-x, les buffles, nous avons soufflés un peu avec eux car nous étions passablemeznt essouflés, nous nous sommes assis sur un gros caillou au milieu de la cavité et nous avons regardé ces chosesq dessinées, cette sarabande, et alors nous avons compris que ces chodses venaient de loin dans le temps, que ces choses provenaient de très loin da,nbs le telmps, dee la nuiit des temps, quand dans l’espace nous étions pres d’elles ; ceete proxilmité spatiale avzec cette non proxcimitétemporelle (ce grand écart) est ce qui nous a troublé ou nous a ébahi le plus, ou ce qui nous a le plus fait bizarre, et cette bizareté (hors carvbone 14, hors science des scientifiques adultes, en dehors de la science des adultes savants , informés, formés etc), cette chose est la xwchose qu i nous retient, qui nous plait, que nous admirons, que noues regardons, que nous soupesons ; ce grand écart est tres exaeactement celui que nous vivons au jour le jour dans  pareil espace de vie (le monde) qui est notre pourtour de vie alors même que le temps pour lui nous échappe, qui sort de nous comme un filet de sang qui coulerait ici, de la gueule d’une bete morte ;

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2/04/2020

nous voulons comprendre ; nous ne voulons pas rester en rade ; notre volonté ppremière est de comprendre ; de quoi s’agit il ? qu’en est il de cette table ? qu ‘en est il de cette table aux offrandes et qu en est il de cette grotte ? nous voulons comprendre, déchiffrer, approcher la vérité, nous avons bon espoiir d’un jour pouvoir aborder ces chose, abborder ces choses de vérité avec les mots de cette langue que (de fait) nbous avons pour nous ; nous voulobns savoitrr de quoi il en retourne, nous voulons connaitre la vérité et nous allons tout faire pour l’approcher mais comment cela ? nous entrons dans une grotte et nous essayons de comprendre ce qui se joue sur les parois, dans ces gravures  ; nous voyons des animaux qui sont représentés et nous essayons de comprendre, nous essayons de déchiffrer les éniglmes p^roposées, nous essayons de saisir quelque chose dans ces représentatations animalières, ces combatd, ces profils de bêtes ; nous essayons de comprendre quelque chose, de saisir et de cerner, la chose n’est pas simple, nous avançons à pas comptés à l’intérieur de la grotte et nous regardons au dessus de nous ce qu il en est de ces représentations ; nous sommes étonnés et subjugués car les animaux gravés ou peints sont tres reconnaissables, ici uyun bison, ici un cheval, ici un bouquetin ; il est assez facile de s’y retrouver et cette chose c’est déjà énorme à nos yeux car ces dessins datent de si longtemps, sont si anciens, se rapportent à des temps où l’on a du mal à imaginer ce que l’homme pouvait etre )à ce moment là et cependant cet homme arrivait à dessiner des choses aussi ressemblantes, c’est tres «étonnant et impressionnant ; des choses aussi ressemblantes en effaet, ce qui signifie que cet homme des temps reculés ou tres reculés cherchait visiblement la ressemblance, cjherchait de façon évidente la ressemblance avec l’animal en vrai, mais cette chose alors, cette recherche de ressemblance, cet homme des temps reculés, la cherchait-il pour lui même ou bien la cherchait -il pour quelqu un d’autree ? pour qui l’homme des temps reculés cherchait il la ressemblance ? ; car il est évident, cela crève les yeucx, cela saute aux yeux, que l’envie de ressemblance avec le vrai semble etre voulue, semble etre tres recherchée, la ressemblance, l’envie de ressemblance elle est majeure ou  semble ; il semblerait que cette envie de ressemblance souligneé est quelque chose ou soit quelque chose de tres important pour cet homme des temps anciensq, il semblerait que cette envie en lui soit tres importante, soit première, soit à lza base, soit la chgose recherchée, disons cette ressemblance ; l’envie ici de ressemblance, l’envie et la ressemblance, et qu en est il des lors de cette envie ? ; il y a l’envie, l’en-vie, cette chose d’etre en vie, et la ressemblance ici avec des animaux en vrai ; il y a une envie première, il y a cette encvie de faire ressemblant, cette en vie de faire, cette en vie de faire en vie la ressemblan,ce, cet élan dans le faire le plus ressemblant possible, cette chose en cet homme, de faire ressemblant le plus possible et en lui il y a cette envie qui est première, q<ui est fondamentale, qui est à la base, qui est le socle, qui est la base qui maintient en lui (en cet homme) cette chose d’aller, contre une paroi, dans une grotte, dessiner un buffle , un bison ou une antilope ; nous voyons trres bien à présent comment cet homme a eu en lui une envie irrepressibkle de peindre la vie comme si la vie en ces peintures était en vrai ; ici l’en vie est première, cette envie est forte, le mot envie est là qui nous parle à travers ces représentations animalières subjugantes en cela qu elles sont terriblement ressemblantes, on s’y tromperait, et peut etre est-ce justement ici la chose qui était voulue, recherchée et voulue par ces hommes, peut etre justement cherchaient ils ces hommers à faire le plus ressemblant possible afin que nous puissions nous y casser les dents dessus  ; nous c’est à dire nous les hommes du futur, les hommes pour lui du futur , car peut etre s’adressait il s à des hommes du futur, aux hommes à venir, à des créatures (comme nous) du futur ou de son futur, sinon à qui s’adressait il ?  ; aà) qui s’adressait l’homme de néanderthal ? ; nous ne savons pas, il est difficile de le savoir, peut etre s’adressait il à quelque divinité par lui élue, ou bien s’adressqait il à lui m^eme, ou bien à nous par delà les siècles , comment savoir ?. ; il est difficile de se forger une opinionn sencée sur cette question ; il est difficile de se faire une opinion juste et étayée, comment pouvons nous savoir ? peut etre s’adressait il à lui même et mettait il un point d’honneur à faire le plus ressemblant possible, pour la galerie, pour le collègue, pour le frère etc, pour l’épouse, pour les enfants, pour les plus anciens ou bien pour qui d’autre ? nous ne savons pas ; mais ici nous pouvons voir qu il s’agit d’une recherche inouïe et puissante et voulue, voulue dans la force, une recherche de ressemblance, voulue dans une force et dans un déxsir, une envie incroyable pour un homme de temps aussi reculéés, disons à nos yeux, incroyables à nos yeux, venant d’un homme de temps aussi anciens ; à nos yeux la chose parait incroyable, nous n’arrivons pas à le croire, nous essayons de comprendre, nouds eesayons d’y voir clair sur la qusetion, nous voulons savoir, nous cherchons, nbous esswayons de nous mettre dans une perspective qui puiisse nous amener des éléments de clarté mais la chose n’est pas simple, il n’est pas facile de comprendre , il est difficile de comprendre ici , ce qui se trame ou se joue, qu’est ce qui donc pourrait ici se jouer, en ces représentations aussi ressemblantes, qu en est il ?  ; quel jeu ici ? quel jeu pour quel enfant ?  ; nous cherchons à comprendre, nous essayons de déchiffrer, et déjà cette notion d’envie, cette envie en lui, en cet homme ancien, en lui cette envie, il y a en lui une envie inouïe , il y a en lui une envie forte, une envie comme ravageuse, il s’agit sans doute d’une envie comme d’un ravage en lui, une envie puissante, une force de vie en lui, une grande puissance de vie en lui , qui lui fait dessiner des choses (antilope ou buffle) aussi ressemblantes , car on distingue parfaitement bien sur ces pareois ici la tête du buffle et là la tete de l’antilope ; en cet homme il y a une envie, il y a une envie -^ravage en lui, une envie de tous les instants, en, lui est une envie puissante, ravagheuse et presque déstabilisante ; il y a en cet homme des temps reculés une puissance de vie qui le fait dessiner ou graver sur parois des choses follesc : des choses à ce point ressemblantes qu elles dénotent d’un esprit fou  ; il s’agit uici de dessins ou de gravures xcomme de dictées, comme dictées, comme poussées en cet homme, comme poussées en lui en vie, il s(agit ici de peintures animalières qui traversent l’ homme les faisant, il s’agirait peuterte de choses qui traversent un homme et ces chgoses en vie en lui sont puissantes et travbezrsent son etre de chair et d’esprit comme un ravage le traverserait dee pied en cap, sous grotte, sous abri ; il s’agit d’un homme des temps reculés, dessinant à même la roche, le roc, des animaux de la savane, de la plaine, de la forêt, des betes connues de lui , il les dessine sur la roche, il grave , il fait ressemblant, il cherche une ressemblance, il veut que la chosqe (l(animal) soit reconnaissable ; pourquoi cela ? ; pourquoi cherche til une ressemblance ? pourquoi cherche t il une ressemblance à ce point visible ? ou plutot pour qui ? pour qui cherche t il une ressemblance à ce point visible ? a qui s’adresse t il ? a un critique ? -a un enfant pour son éducation ? à une femme pour l’impressionner peut etre ? à un collègue pour l!limpressionner peuterte tout autant ? à qyui peut il s’adresser ? à lui même ? à l’animal lui mêmùe ? qui le sait  ; nous opterions pour une divinité, une chose de cet orsdre ; nous aurions la faiblesse d’opter (pour nous) pour une sorte de divinit»éé ; nous disons : divinité ; nous disons : dieu ; nous disons : une force surnaturelle ; nous disons  ; croyance ; nous disons le mmot : croyance ; nous disons ces mots de dieu et de divinité et de croyance, nous disons cesz mots de croyance et de divinité ; nous cherchons à comprendre ici le pourquoi du comment cette ressemblance avec le vrai chez cette personne des temps reculés, le temps ici est reculé et l’homme de ce fait nous apparait aussi comme reculé c’est à dire retardé, car il y a en nous cette tendance à penser que si les temps sont reculés alors lmes hommes de ces temps sont reculés soit peu avbancés dans l’évolution de la pensée et des choses de l’intelligaence ; or il nous apparait à nous que la chose est plus compliquée et que l’homme de ces temps était moins embrouillé et que sa vision des choses était peut-être plus dégagé que la notre , car la notre est tres encombrée de chose et autres, fatras de chose sétant entassé en nous depuis tant de temps, alors que nous pouvons penszer que pour cet homme des temps anciens, les choses étaient plus distinctes à ses yeux, car ses yeux étaient moins embrouillés de choses et d’autres ; il y voyait mieu

x, il voyait mieux, il voyait plus vite, il voyait beaucoup mieux car sa vision est pure, est beaucoup plus directe, moins de chemins de traverse,  moins de  b  rouilla rds de pensée, moins de fatras de pensqée, une vision de l’animal qui est une vision claire et directe, etc ; cet homme y voyait mieux, sans doute y voyait t il mieux que nous autrees de nos temps ; nous pensons ainsi, nous avons la faiblesse de penser ainsi, nous pensons que l’homme ancien n’aétait pas aussi évolué peutetre sur un plan intellectuel, sur un plan intellectuel pur et dur mais il était en prise directe avec des cghoses de la vie brute que pour nptre part nous n’arrivons plus à voir aussi distinctement  ; il voit l’animal d’un coup d'oioeil, il voit l’animal et à travers lui il voit autre chose, il voit cet animal des milliers de fois, il voit cet animal en vie, en furie, il voit cet animal charger, ilm voit l’animal dans son trop-plein de vie de charge, dsans le paroxysme d’une vie qui charge, qui fons, qui pousse fort cette chose d’une charge etc ; il voit la puiissance et la reproduit : il bdessine ressemblant, car il est dans l’oeil la chose ;  la chose en son oeil existe ; il est oiel qui voit et qui contient les traits, la chose en lui est grabvée, il est le receptacle de cette chose en lui gravée, il est la rétine sur laquelle sont venues brutalement s’inscrire , s’imprimer des chose précises, à savoir des traits précis, et des ressemblance des lors sont venues sur rocjhe sous ses doigts ; voyons le faire ; il dessine au pied de la roche, il grave au pied de la roche, il a une allure un peu bestiale, on le voit avec une allure un peu bestiale, il grave d’une façon des lors un peu bestiale et cependant parfaitement bien, il est guidé, il est secondé, il fait ses ressemblances pour l’éternité, il est comme guidé ou secondé et sa main dessine cette chose rétinienne qu il a ou aurait en lui et qui donc guide le tracé ; il est un homme secondé, il est un homme guidé, il est un homme sous lm’emprise d’une envie en lui de faire ressemblant le plus possible et cette envie en lui est une chose en vie ;: il s’agit en lui d’une chose en vie qui est en lui , comme seconde, une en vie seconde en lui, une en-vie qui est en lui en  vie, qui est vive et vivace et virulente et vierge et volontaire et pleine dans un vide en lui qui l’accyueille ; il s’agit d’un homme qui donc fait des choses ressemblantes: le buffle est un buffle ; il s’agit d’un buffle ici, et là d’une antilope, et là d’une biche, et là d’un cochon, et là d’un bison etc ; il accumule, il prend son temps, il est sous le joug ; on voit commbien il est sous une emprise en lui folle de rage, folle de vie rageuse ; il dessine avec cet air de se faire violence sur une paroi, il dessine avec sur lui un air de rage, il est plein de cette violence en lui qui le fait faire ressemblant car il semblerait que la ressemblance passât par la rage et la violence et la vie paroxystique ; nous voyons l’animazl à cornes, ou bien les bois sur le crane s-d’un cervidé ; nous voyons cette envie folle à) l oeuvre ixi ou là , sur des parois nues ; nous imaginons ce «petit» homme dessinant des choses ressemblantes, il est debout, comment se tient il  ? et il grave ou dessine, de tete ? d’apres motif ? a t il sous les yeux un animal en vie ou bien a t il sous les yeuxc un animal mort, qui llui permettrait de suivre des yeux son motif et de moins se tromper dans l’exactitude des traits de cette bete (dessinée) en particulier , il semblerait que le dessin ait été fait de tete, de cap ; il semblaerait que cet homme ait eu en lui suffiseamment de ressources rétiniennes pour parfair l oeuvre sans autre support visuel que l’image en lui (de l’animal) imprimée et gravée ; il semblerait que cet homme eut de la mémoire ou bien sa mémoire était -e lle rétinienne essentiellement et comme plaquée , comme projetée directe sur parois, comme une impression ? il semblerait que cet homme avait en lui l’image de l’animal, et que cette image est venue directement (par l’entrezmise de sa main) directement sur roche, directement copmme une impression , une projection directe, sans effort autre qu’une main levée ; on voit lesq resse’mbla,nces comme des choses acquises sur rétine, comme choses imprimées dans la chair de cet homme qui dessine sur parois ; on voit ces dessins comme des projections mentales directes, non troublées et non freinées ; on imagine, on voit, ons dit, on pense, on croit ainsi : on a aussi des visions, on pense savoir, on subodore et l’on émet des hypothèses, on fait des plans sur la comète, on cherche, on essaie de comp^rendre ; on fonce, on essaiee de voiir ce qu il en est, de ces représentations rupestres ; nous avbons notre petite idée, elle passe par des connaiszaances brusquées mais comment savoir exactement ? car il semblerait que cet homme était comme un manchon par lequel passait des images et ces images des lors venaient se projeter sur des parois, ces images venaient se graver ou s’inscrire sur des parois, sur des murs, sur des supports solides, costauds, pouvant résister au temps, etc ; pour des siècles, opur des éternités de temps, pour tenir dfans la durée et ne pas disparaitre de sitot ; les hommes songeaient à cette chosev , de faire durrer et de s’inscrire dans la durée, ils avaient ce souci, de faire ressemblant pour l’éternité, c’est à dire pour toujours, ; pour ttres longtemps, de faire ressemblants et que cette ressemblance soit à s’y casser les dents et ce pour toujours, soit une vie éternellee ; soit une vie éternelle dans la ressemblance», cettte ressemblance (à) sy casser les dents) est recherchée pour une éternité de mise en place ou en peine ; il semblerait qu ici nous ayons àffaire à une recherche (une volonté) de resselmblance (en vie) pour  l’éternité ; en vie pour l’éternité, la vie éternelle des betes de charge ; nous voyons cette cxhose ainsi, telle est notre hypothèse, nbous penpons que cette chose est ainsi, qu elle se trame de la sorte, nous pensons que ces hommes recherchait à faire vivants (dallure vivante l) le plus possible et aussi pour l’étentité des temps ; njous avons cette impression que ces hommes cherchaient cela, cherchaient de cette façon une sorte de ressemblanvce avec le vrai de la vie, ils cherchaient à faire vrai et que ce vrai (de vie) soit étern,el, soit gravé cvomme sur du marbre, soit gravé pour l’éternité ; l’homme ici voulait l’éternité sur les parois, il recherchait l’éternité sur lkes murs, il cherchait à fixer la vie (ou tout comme) pour l’éternité et ainsi mettree en p ;lace un dsispôsitif de display en galerie d’art , qui puisee le faire comme dans la vraie vie , ici, comme dans la vie la vraie, il s’essaie, il essaie c’est à dire qu il recherche, il est dans cette dynamique de vouloir, à tous prix, chertcher une  ressemblance avec la vraie vie (celle ici qui se passe en dehors de la grotte, dans le monde)  ; il chertche à faire comme, et donc à leurrer pour l’éternité car il s’agit de leurres puisq uil ne s’agit pas de vrais animaux mais de copies, de doublons, de reproductionbs, de représentations à l’identique ou du moins des plus ressemblantes-: il constitue ainsi un cxheptel ; il constitue et organise ; il fait une sér(ie, il construit une dynamique, il recherche une logique, il monte son oeuvre comme une suite de choses qui se font écho ; il protège et soigne son oeuvre ; il est concentré et attentionné envers son oeuvre ; il fait attention nc’e’st à dire qu il s’applique, on voit tres bien, ; pârfvaitement bien cette application dans ses gestes à travers les différents tyracés relevés dans tant de grottes à travers le monde ; il est quelquun qui s’applique ; il suit une ligne ; il a un souci de véracité ; il fait les choses comme il faut dans la ressemblance, il est brillant, il est traversé, il suit le guide, il est travaercsé par des esp^rits, il est traversé par des guides qui l’incitent, qui l’aiguillonen,t, qui le pousse et lm’initient ; il est brillant en cela qu il brille d’un espreit en lui qui vient allumer sa flamme, sa torche, qui vient guider sa main , ses doigts, son oeil ; il est comme un oracle ou bien comme un miracle ou comment ? ; il est tout à son affaire et  dessine ainsi à mains levée, sans support, sur un mur de roche ; il est comme envahi et se laisse porter et guider ; il a envie en lui de faire ainsi, de se laisser guider e

t porter ; il dessine furieusement l’animal furieux, il est en osmose, il dessine ra geusement l’animal chargeant comme un fou sur un autree, chargeant et buffant comme un fou sur un co nfrère, sur une autre bete ; l’homme ainsi crée des scenettes de vie, il souhaite tres certainement que l’on puisse sy casser les dents, à la lumière des flammes dansantes ; les flammes sont dansantes, et ainsi dansant projetent des lumières mouvantes sur les parois de la grotte, parois sur lesqauelles sont dessinées des betes en furie, comme vraies, comme si elles fussent de vrais betes et non point des représe,tatatiopns ; il s’applique pour cela, il fait les choses comme il faut, il essaie de fairec ressemblanrt et que les betes aient l’air d’etre vraies, d’étre veritablement en vie, il essaie de tromper son monde ; dejà pour lui peut etre, ou bien poure quelque esprit, pour quelque divinité de son esprit ; il dessine à main levé à la lumière des flammes, sous le feu d’un bûcher ou dune torche ; il dessine bien ; il fait les choses bien ; il fait les choses comme il faut, il essaie de faire ressemvblant, il s’essaie aux ressemblances ; il veut car il a en lui cette volonté de vouloir une ressemblance à s’y méprendre et voilà exactement ce qu il recherche ; il voudrait (cet homme) que l’on (nous ?)  nous y méprenions, que l’on s’y méprenne, que l’on s’y ca sse les dents comme en vrai, les dents cognées ; il aimezraitrt visiblement ; cet homme a cette ambition ; cet homme a une ambition ; il voudrait créer des leurres : en galerie par exemple, des leurres pour tropmper «son monde» (laequel ?) à l’intériuer d’une galeerie (par exemple) ; nous avons ainsi cette galerie qui présente des leurres, des appeaux, des faux semblantsq, des comme-si, des absurdités en quelque sorte ou comment, car l’homme de néanderthal crée des absurdités, en ce sens que cela est fauxn, cela est du faux, cela est du faux mzais non point absurdes du tout, cela n’est pâs plus absurde que non absurde ou plutot cela non bn’est point absurde, halte là, il y a là tout au contraire une réelle et profonde motivation (si c’est de cette chose qu il est question, si cela est ainsi que cette chose semble, que cette chose, cette question soit ici pour nous, si cela, cette question d’une absurdité, cette question soulevée, serait ainsi lié e à lla question de la motivation) ; voit on ainsi ? a t on ainsi une vision pareille, comme quoi l’absurdité serait liée à la question de la motivation ? de quelle motivation parle t on , ici en grotte et là en galerie ?  ; ; la question de la motivatiobn apparait centrale, la motivation est rée lle, de quelle motivation ici et là parle t on ? la motivation de la «beauté «, la motivation de la pensée, de la pensée magique, la motivation éducative , de quelle motivation parle t on , ; nous cherchons à comprendre (toujours) les motivations soit le pourqyuoi , pourquoi comme ci et pourquoi comme ça ? ou biien pourquoi cette chgose, ou pourquoi cette autre chose ? la recherche est comlpeète, la recherche pour nous est réelle car nous avons en nous ce besoin de savoir opu de connaitre les motivations qui sont présentes derrière le geste ; ou bien non ? seul le geste et cela suffit ?  ; nous voulons connaitrte, nous voulons savoir pourquoi l’homme des temps reculés peignait essentiellement , dans ses grottes et dans ses cavernes, des betes , des betes à chasser etc ; pourquoi cela essentiellement et pa

 s des arbres ou des fleurs (par exemple) ou des torrents, ou le soleil, ou la lune etc ; pourquoi eseentiellement des betes ? eh bien notre réponse est la suivante : car il en avait besoin ; il est un homme qui a besoin, un homme qui a des besoins, il est un homme qui a besioibn, -un hgomme qui toujours a des besoins, et -ces besoins sont de représenbtations, et si possibvle à s’y casser les dents, à s’y méprendre et ses motivations ici (pour le coup) ne sont pas claires pour nous et nous cxherchons à comprendre, nous ne savons pas, nous sommes laissés à nos interrogations et nous nous posons des questions sur toutes ces questions de motivation, mais non et nonb, il ne s’agit pas d’absurdité, c’est à dire que les choses sont motivées, elles n’ont pas été créée en l’air comme ça, pour la seule raison oubpour le seul motif de faire des choses jolies (par exemple) , cela il est difficvile de le croire, et d’ailleurs quan bien même il s’agirait de la seule raison ou du seul motif d’explicvations, que l’idée que la chose fut absurde tomberait tout autant à l’aeu ; non et non ; il y a des raisons ; oui il y a , ,il y a gforcément des raisonsq car il y a des choses qui reviennent, qui sont récurrentes, cela signifie qu il y a des choses qUI sont profondément ancrées en l’homme , puisqu il apparait que des choses reviennent ici ou là toujours plus ou moins les mêmes, et donc si ellexs reviennentt c’est donc qu elles sont dominantes en l’homme, qu elles le constituent, qu elle constituent en lui quelque chose d’inhérent, de puissant et d’essentiel ; nouds penspons comme cela, nous avons cette faiblesse ;: nous ne pensons pas que les choses se font comme ça pour de rien, c’est à dire sans motivation, c’est penser cela qui nous semble absurde ; il y a obligatoirement des raisons, puisque à travers les siècles et en des lieux fort éloignés les uns des autres nous pouvons retrouver des schoses extrèmement semblables dans des grottes, des motivations ou plutot des interets équiva lents pôur la figure animalière par exemple, etc ; c’est donc qu en l’homme existat des points d’a,ncrage précis liés à des motivations (ancestrales et innées) précise, ou comment ? ; l’interet pour la figure animalière est do:minant ; il est d’une importance capitale, il gouverne, il est ce cap dont nous parlonjds, ;: lza chose est entensdue ; l’homme imite, l’homme cherche une imitation sur roche de la bete en vie ; l’homme cherche sur roche à dessiner un animal qui fasse comme s’il fut réellezmentb en vie ;voilà l’envie de lm’homme en lui ; il est donc cet hgommùe qui partout dans le monde cherche à montrer la vie sur la roche ; ce qui l’intéresse ici c’est la vie, c’est la rep^résentation de la vie, du mouvement , du mouvement de la vie, du mouvement de cette cxhose qi est la vie ; l’homme ici comme ailleurs comme partout dans les grottes cherche à representer ()à présenter à nouveau) la vie dans ses choses les plus vivantes, dsans son allure, dans son visage etc le plus à même comme étant , de donc pouvoir ruser et tromper l’ennemi (son monde)  ; l’homme cherche sur parois à reporoduire (à quelle fin ? ) la vie existante par ailleurs  ; l’homme cherche à reproduire la vie, son souci est de reproduction ; l’homme cherche la reproduction ; l’homme cherche sur parois à reproduire la vie existante (celles des betes étant la plus visible, ,la plus duplicable visuellement) ; il cherche (l’homme) à reproduire, à refaire, à remmetre , à renouveler, à reprendre, à re-, areu il cherche, il cherche areu , à renouveler quelque chose de l’existant du monde vivant, il fait cette chose dans son babil, il agit ainsi en son babil car il cherche à faire en sorte que sur les parois la vie du monde soit, que la vie soit ainsi comme veritablement représentée tout autour de lui et des flammes du bucher ; il veut cette chose de pouvoir montrer des chosesen vie pour la galerie, des choses ici sont représebntées, sont présenhntées pour tromper son monde, pour tromper un monde, pour trompre l’ennemi, pour faire semblant, pour faire croire, pour tromper et leurrer des personnes ou bvien quelques divinbités, comment fait il ? ; il fait cette chose: il dessine rtessemblantr des betes en vie, des betes qui tiennent debout, qui sont en action ; il peint des betes en action ; il peint des betes en vie et cela pour montrer la vie peutetre plus que les betes ; pourquoi montrer v(reproduire ?) la vie ? pourquoi vouloir montrer la vie ? pourquoi vouloir à ce point pendant des millénaires et partout dans le monde, montrer ainsi la vie à l ‘oeuvre ? qu en eswt il de cette volonté qui a traversé les époques et les lieux, qui a traversé les temps les plus reculés et un peu partout dansle monde a disséminé ou bien a surgi de soi m^$eme ? pourqauoi ? pourquoi la vie ? à qsui montrer la vie ? aux enfa nts, aux freres, aux soeurs, aux anciens, aux betes ? aux esperits de la grotte ? qzui sont les esprits de la grotte ? de quoi erst fait un esprit ? qu en est il des esprits de la grotte ? de quoi s’agit iul lorsque nous parlons des esprits de la grotte ? du vide habité par l’air, par le vent qui s’engouffrree, par les flammes , les fumées , etc ? de quoi s’a git il ? ; nous pensons qu il s’agit de questiuons de vie et de mort, à savoir que la propre vie de l’homme des temps reculés a à voir avec celle qui est rechercjhée (représentée) sur les parois de sa grotte ; nous pensons que sa propre vie d’homme de néanderthal a à voir avec la vie qui est reproduite , recherchée sur les parois autour de lui ; il cherche à montrer la vie (la vie éterneel) sur une paroi, il le fait en figuerant des animaux, il donne la vie (un semblant de vie) éternelle à son monde ; il montre un semblant de vie («ça peut le faire»)  ;il montre une semblance, soit une ressembalnce, il montre une semblance ou un semblant de vie sur des parois de galerie : des semblants en gal:erie, des semblants de vie en galerie, de lka vie ressemblante, quelque chose pluttot que rien, il montre une chgose en vie ou du moins comme si ; il creeé des comme si à répetition, il ne craint pas de renouveler cette opération de représentation ; il s’y attelle, il est appliqué, il est treavezrsé et sa main levée est guidé par des esprits (rétiniens) en lui qui le pousse à dessiner d’une maniè!re ou d’une autre et cela de façon à pouvoir faire figurer ainsi sur roche quelque chose de la vie (réelle) dans une oeuvre qui relève , relèverait des choses factices ; il est soumis, il sous emprise, il est sous le joug, il ne peut controler ses actesq, il essaie de trouver une issue rupestre ; il essaie des choses ainsi, en dessinant des buffles et des antilopesq ; il dessine une chose qui semble vivante, il offre des choses qui semblenbt vivantses, il conjure ? ou bien il  offre ? il donne ou bien il conjure le sort qui veut qu e cet homme unjour passe l’arme à gauche, cvomment penser ?  ; il fait ainsi sur des parois preuve de sa malignité, ou bien de sa ruse inhérente, ou bien de son fond désespéré, ou bvien de son en,vie chevillée à lui etc ; il dessine des semblants de vie pour faire cxroire qu il s’agit (en effet) de la vie ici ; il fait comme si, il creée des choses qui peuvent tres bien faire accroire que la vie ici, sur pa rois, bat son plein, qu il y est question d’un plein de vie qui est représzenté, que la chose est appliquée et ne représentte pas à moitié ; il fait en sorte que la chose soit crédible et «puisse le faire», il n’est pas en reste ; il et guidé, en lui l’esprit de quelque chose domine, il est envahi, il suit les implusions, la dictée des traitsq ; il eqst envahi par un esprit en lui qui le fait dessiner la vie ou un sembvlant de vie, il fait du mieux qu il peut, il est tres)-appliqué, il cherche à faire du mieux possible, il cherche à faire le mieux possible, il cherche à représentert le buffle ou l’antilope du mieux possible afin que d’aucuns s’y cassent les dents ; commes si ; comme s’il, sq’agissait de la vraie chose dans lza vraie vie , à savoir de la vie en vrai (puissance, élan) brutalité) ; il est à la rechercxhe d’une image  ; l’image d’un battement ; szon grand souci est celui ci, de représenter la vie d’une manière ou d’une autre , afin de faire croire en la vérité, vraisemblance, de son  image, de cette représentation  animale ;: il fait du mieuw qu il  pêut,on pourrait s’y casser les dents, on pourrait y aller et croquer, man ger l’animal, on pourrait le manger, on en mangerait preswque, on y croirait presque comme à du vivant pour le coup en vrai ; on voit ce souci, et pourquoi cela ? ; parce qu il veut conserver sa vie, parce qui il  ne veut pas mourir, parce qu il veut se faire bien voir de la mort qui tue ;  parce qu il veut tebnir ezncore en vie et dans la vie, parce qaue son souhait c’est de ne pas mourir de sitot ; voilà ce qu il dit avec ses peintures ou gravures pariétales ; voilà ce que l’homme des temps reculés tente d’exprimer, il dit clairement qu il ne veut pas mourir, il le dit à sa façon qyui est en prise directe avec les dieux de la mort, il n’est pas dans une gallerie, il ne fait pas de l’art si art a poure sens une recherche esthétique isolée et qui se suffirait ; il ne cherche pas à faire «beau» mais à figurer la vie qui bat ou battrait son plein( sur parois, sur roche, etc) ; il a un soucxi, il a ce souci de chercher à figurer la vie qui bat son plein , la vie brute et vive, la vie la plus rude,  native possible, un cri d’enfant noucveau né ; il cherche a insi à figurer la vie, et auussi il s’agit d’animaux, il s’agit ici d’animaux qui sont betes chassées pour la p^lupart, donc en lien avec la chasse ; il semblerait que l’homme de néanderthal aimat ainsi figurer des scènes de chasse, y a t il une raison à cela ? tres certainement, et la raison la voilà : parce qu il les mangzent, il mange des betes qu il chasse , q<u il tue ; il tue et mùange, soit incoropore l’animal en lui ; il fait sien ou corps avec l’animal ; il fait sien (corporelement parlant) de l’animal tué par ses soins ; l’animal va en lui ; il s’en nourrit, il porte de cet animal qu il a mangé en lui, il man ge des betes et ce»la n’est pas sans lien avec kle fait qu il les dessine : tout setient ; il mange des betes qu il tue ; il tue des betes dehors, dans la nature, avec des lances ou des sagaies qu il propusent (il a des propulseurs)  ; il tue et ramène à la maison l’animal tué ; il le fait cuire ou pas ; il man,ge à même lmla chair sanglante, il man,ge le sang, il se salit la bouche ; sa bouche est toute sanglante du sanf g de l’animal ; il est plein de sang, il est rouge de sang frais ; il est tout moustrou de sang frais, il est sanguinolent, il est ensa nglanté, sanglant, plein de sa ng, en sang mais il s’agit du dsang de l’animal : il mange du sang ; il est ainsi, il mange ainsi ; il n’a pas peur de manger du sang, il représente les betes qu il tue et qu il mange ; ainsi, les mangeant, au sein de la grotte, il peut bénéficier d’images peintes de combat de cha sse ou aurtres scenettes de chasse etc ; il mange l’animal et pour cela il doit tuer, l’homme tue, l’homme est tueur, l’homme tue pour s’(alimenter ; l’homme mange ce qu il a tué, l’homme des temps reculés est un carnassier, carnivore, il aime la carne, il dessine des betes vivantes, des betes à chasser, il le fait sur des parois de grotte, il n’a pas peur de dessiner des a nimaux (représentations, effigies) sur des parois de grotte ; il pourrait avoir peur, il pourrait craindre, et peut etre a t il peur mais quoi qu il en soit  ;la peuxr (la  crainte) ne l’empeche pas d’agir et de dessiner encore et toujours et ce pendant des millénaires et aux 4 coins du monde ; cela est étrange, cette chose, ces récurrences entre des hom:mes de lieux et de dates éloignés, entre des hommes qui furent en des temps «éloignés les uns des autres et en des lieux situés pour chacun d’entre eux à des antipodes de ceux sur lesquels ils vivaient et chassaient ; ces récurrences montrent l’importance capitale de ces dessins dits pariétauxd, et autre gravures animalières ; il y a là un savoir qui dort ; comment le réveiller ?  ; il faut voir les choses avec distance, il faut faire des rapp^rocjhements, il faut visionner, il faut se rapporocher des parois, les sentir, il faut les embrassezr et les respirer et peut etre alors trouvera t on des réponses  a nos interrogations ; notre volonté est ainsi faite que nous voulons connaitrte la vérité en tout ; nous voulons savoir ce qui nous attend, nous voulons connaitre les ressorts cachés (de la vie) et les voir ainsi devant nous comme des objets reconnaissables et nommés ; notre sou-hait est celui ci, nous voulo ns connaitre ce qui est, ce qui se trame , cxe qui nbous attend ; comment savoir ? la réponse est elle en mot ? la réoponse est elle danslesq mots ? nous tapons dans le tas des mots, nous avons envie de savoir ce qu il en est de la vie sur terre ; njous cherchons des réponses a u mystyère du grand tout, dela terre et du ciel ; njous voulons savoir le pourquoi du comment les cghoses arrivent ; un homme des temps reculés s’est approché de la paroi et a commencé à dessiner, sous le reghard des enfants, des femmes etc ; des femmes ? et si c’était les femmes ? et si (qui dessinaient) c’esqtaient lesq femmes, qu en sa i tron ? qaue savon,s-nous des femmes de ce temps là  ?  ; que fa ire, comment sa voir ? ;: nous cxherchons bien évidemment des réponses à toute ces questions concernant les femmes de cetemps l à (et d’autres) ; qu étaeinrt elles ? que faisiaeint elles ? que disaient elldes , que pouvaient elles ?  ; nous voulopbns qs acvoir, les femmes dessinaient elles ? car il est possbivle qUe pa reils dessins pariétaux aeint étécfaits, conçus par des femmes et non pardes ghgommes, qu «‘en savons nbous ? on peut tree bien imaginer des femmes dessinants des betes, et des hommes au bucher alluuùmant le feu pour des holocaustes (des offrandes d’animaux br^ulés) ; pourqUYOI pas ? nous ne sa vons pas, ou bien  sa vons nous ?  ; nous vvoyo,ns toutses ces peintures squr les murs, il y en abeaucoup , elles se chevauchent poure certaines, il y a une recherche de profusion, ou bien : l’activcité primait et du coup faute de place, l’homme (ou lafelmme) trouvaient comme ils pouvaient des endfdroits sur rochje où renouvelezr l’opeération , ou comment ? peut on penser que les peintures (ou ghravures) ont été une fois et une auttre renouvelé&es ou repoéteeésq sur ces parois ? peut on penser qu une fois (un dessin, exeécuté en transe) a suffitt et que ce dessin a perduré, ? ou bien s’a git il d’opération de chamanisme pariétal renouvelé et renouvelé ezncore ? les dessins résistaient ils longtemps aux conditions climatiques etc des temps  ? que penserde cette chose , comment imaginer ? une fois et puis c’est fini ?. une fois par une p

erso nne et puis on en parle plus (d’a utres chats à foueetter) ?  ; possible ; tout à fait possible : pas que ça à faire , mais aussi à continuer ezncore et rtoujours , de chasser la bete à l ;’extérieur ; on peut pen ser cette chose , que l’homme des temps reculés ne passait pas tout son temps à dessiner et -que les peintures une foisfaites d’abord pouv aient durer longtemps et du coup n’avaient pas à être renouvelés, et ensyuite que cet homme avait fort à faire pâ r ailleurss et ne passait pas son tezmps en tant w»qu’artiste» pariétal averé ; il semvblerait que cette chose fut ainsi: l’artiste néanderthalien n’avait pas que ça à faire (foutre) et la cxhasse l’occupait beaucoup ; peut etre en était il ainsi ; il chassait et pêchait et ceuilletait et partfois il dessxinait, est ce ainsi ? ou bien etait ce les femmes qui dessinaient ? les femmes chassaient elles ? chassaient elles avec leur mari ? les femmes accompâgnaieint elles les hommes ( ;leurs hommes ) à la cha sse et à la pêche , pêutetre que la chasse n’était pas entièrement réservée aux hommes mais acxtivitécpartagée ? ; nous voyons que des cscenes de chasse sont dessinées sur les parois, par conséquent : si l’empreinte rétinienne a  fonctioonn»é à plein, alors nous pouvons  nous dire que la personne qui était derrière telle ou telle représentation de chasse connaissait la chasse ? ou cxomment ?  ; nous voyon s les betes fauves, nous avons une vision directe en grotte, sur ces parois : nous voyons ces betes saign antes et nous :mêmes avcons du sang de bete sur les babines ; nous mzangeonsla viande crue ; nousq mangeons la bete, nous mangeons de la bete ; notre pe n te est de ma nger de la viande a nimale et de morrdre à pleine bouche dans la carne toute saignante : nous n’avons pas peur d’ainsi faire, nousz n’avons pas peur de mordre dans le sa ng de l’animal ; nous croquons l’animal cxomme nous croquons une pomme ou dans un e pomme  ; nous n,’avons pas froid aux yeux ; nous y allons franchement et nous y allopns gaiement, nous sommes gais d’ainsi croquer dans l’animal, dans la pomme et dans kla vie : nous mangeons la vie à) pleine dents, nous croquons dans la vie à pleine dents, nous ne sqommes pas effrayé, njous y allonbs car nous n’avons pas froid ausx yeuix ; nous so:mmes dans une grotte, nous nous a britons dans un,e groptte ; nous avons dees visions c ar nous sommes envahis ; la faim nous tenaille, nous avons gran,d faim, nous avons  hgrand soif, la soif nous ceinture ; nous avons fort soif, nous bu-vons et nous mangeons, le sang dégouline sur nous, ce sang anilmal, il erst sur nous qui nous dégouline dessus ; les animaux sqont tués ; des animaux sont tués par nos soins, nous n’avons pas froid aux  yeux, nous tuons car nous sommes des tueurs, nous présentons des offrandes d’abnimaux morts, nous n’avons pas froid aux yeux ; notre souci prez:miier, la première chose qui nous occupe en grotte est celle ci  : de présenter des betes moertees en o ffran de, sur une table dite des offrandesq: ; nous présentons des betes que nous tuons: nous tuons puis offrons le érsutlta de ce meurtre ; nous donnons sur une t aBle un peu du produit de npottre chasse, car nous le devons, nous devons fournir ainsi cette brûlaison ; nous sommes faits de cette trempe et de ce fait tuons mais offrons rachat en quelqure sorte et c ela sur une pierre (ou tavvble) d’(offrandes, nous n’avons pas froid aux yeux ; njous voulons nous racheter (?) ^pour cette chose d’avoir tueé une ou plusieurs bztes, quelle folie ! ; nous tuon s la vie et cherchons coute qUE  COUute à montrer la vie en action ; nous tuons et vou ;lons offrir la vie en action et pasxseulement en image (cinéma) ; notre volonté est celle ci : de vouloir montrer la vie en a ction , ou un semblant, du moins, de vie en action ; nous sommes des chasseurs et ezn tant que tel , npotre souci est de donner sur pierre d’offrande une chose conséquente , soit une chose qui le fasse a swsez, qui soit conséquente, quyi puisse lefaire, qui le fasse grave et pas qUun peu ; notre souci est de faire ainsi que cette ribambelle d’animaux sauvages sur paroi ( horde) puisse figurer la vie en vraie : vvraies actions pour de vraies betes pour de la vraioe vie  ; voilà l’objecxtif, et cela mpour nous faire pardonnezr d’avoir dû tué pour nous sustenter et tenir debout, ou bien, pour nous faire pardonner de (nous) reswter en vie et ne pas nous donn,er (nous) en offrande oou bvien quoi d’a utre ? nousq ne nous donbnons pas nous même en offrande ; c’’st à dire que nous restons encore et toujours en vie, nousq ne nous donnons pas mort, nous ne donnons pas nbotre mort à la mort ou comment dire ? nous ne donnons pas de notre vie à dieu la mort, nousq ne dsonnons pas de notre vie complète ou entière (dun seul coup et d’un seul tenant) notre vie entière, à dieu la mort devant, nous ne donnons paspas un seul tenant, d’un seul tenant ; nous donnons un tenant de temps sur pierre, nbous donnon s un maintenant, un tenant ici, sur pierre, nous offrons le maintenant c’est à dire le temps au présent , c’està dire le présrebnt du tmps vécu, nous don,nons ain si ; notre don en offran de est le temps qui est passé, qui nous suit ainsi, qUI est derrière nous comme une déhjection, une chose en déchets de nous ; nous domnnons cette chose, njous donnons du semblant de vie , ; ce semblant de vie est cette chjose en nous que nous donno ns durant le temps de notre vie, nous viivons longtemps ; nous donnonbs le plus tartrd possibvle ; nous offrons des vies anima les, nous les offrons sur pierre deta ille et sur parois ; nous faisons certte chose qui est d’offrir des attrape couillons à la mort, à la déesse de la mort ou au dieu de la mort ; nous offron s ainsi =la mort vivante, ou comment nous expri:mer , ce n’est pas notre mort que nous offrons mais la mort animale, la mort animal ;ière, il s’agit du souffle d’animaux en nous, du souffle expiré (mort) de la vie ezn nous, nous agissons de la sorte ;il est vrai que nous aimerions  vraiment connaitrte le fin mot sur tout et notrte travail ici est un travail de recherche ; njotre souci erst de trouver et pas seulement d’agencer et de confecxtionnezr des objets ; notre souci est de découvrir ce qu il en est de ce que l’on découvre au fur et à =esure, c’est à dire dans le temps ; le temps (mort) est donnéc en offra de en lieu et place de la vie que nous avons en nous ; nous offronds le temps en lieu et pl ;ace de la vie : le temps contre la vie, voilà ce qu nous pouvcons dire ; notre offrande est le temps présent, ce main tenant, ou cette main tenante puis lachant la cghose et voilà la chose reprise en main , voilà la chose reprise dans le temps (à deux mains) ; il se peut que l’offrande-faite le fut sous cette forme sanglante d’animaux (de souffles) donnés pour le temps (mort , chassé, les secon des égrénées et situées toutes derrière soi)   ^ ;: oui pour le temps mort, ce temps qui est mort car il est passé ; nous donnons du temps (passé) pour de la vie ou une vie pour le coup conservé, nbous donnons le temps (passé) pour la vie gardée,, nous oofrrons de nous le temps de  notrze vie à la place de nottre vie vivante, vive ; la vie vive nous la conservons (notre vivant) et donnons au jour le jour ou pas apres pas cette chose du temps que nous brulons au fur et à mesure que nous avançons en age : nous donnons sur table le temps calciné, le temps brulé passé à marcher, le temps de la marche, ces pas chassés et ce temps du vivant qui n’est pas la vie mais qui esqt lma consumation de l:a vie vive, sa brulaison etc ; voilà ce que nous donnons : un semblant parieétal et tableé, de vie vive pour des clous oui, tintin et milou ! ; nous trichons ; ce que nous faisons c’est de la tricherie, et cette tricherie première, prim=aire, nous y tenons par forcxe, car nous tenons (nous tenons) a la vie qui va, à cette vie qUI  va en nous via le sang circulant dansd nos veines ; par conséquent, que pouvons nbous penser del’art trouvé en galerie d’art ?. que penser de ce qyi est , et qui est exposé en galerie d’art ?, qu en dire ? il y a en galerie des montages qui tous rappelent l’univers archaïque de la grotte pré-historique, il y a en galerie des ressemblances avecc des chosex rencontrées à l’inteérieur des grottes rupstresq, avec des choses rezncontrées en grotte et relevant de périoodes ou d’ages canoniqUues, de périoodesz pré- historiques soit daatant de temps quii précéde l’histoire narrée, soit de périodds précedant l’existence du langage ou desq mots articulée pour des relations langaggiéres cohérentes ; nous voyons en galerie d’art (dans toutes lesq villes du monde, dans toutes les grandes villes du monde ou dands toutes les villes de moyenne importance du monde) des choses quyi rappezllent l’univezrs des griottes, il y a ainsi dans de nombreuses villes du monde , des univers qui sont comme des intériuers d’agencement, comme desq univers d’intéreiursz de griottes rupestrtes ; il yt a des galkeries qui sqont comme des grottes, améné&gées commes des grottes ; il y ades choses en galezries qui sont comme des aménagements ou comme agencements comme en des grottes d’ages pré-historiques ; on voit des peintures pariétales, on voit des chevauchées, on voit le temps exposés, on voit les offra ndes, les chosesq entassées sur table, il y a du san$g, il y a des coulures, il y a des agencements, il y a des zones de présdilection pour des sortes d’oolfrandes ; il y a des choses à ne pas toucher, il y a des esprits, une qualité sonore, une chapelle, il y a des coupoles, il y a une cloche qui cxhapeaute et empecxhe de touchezr certaines choses ; il y a des hurlements, des cris, une ambiance particulière, le tout présenté d’une manière concertée ; la grotte est proche ; la grotte est une galerie et la galerie est une grotte ; les oeuvres sont des offran des sanglantes ; les oeuvres sont des bouts de cxhoses en effigie, il s’agit de choses offertes à la vue d$e quelque divinités car il est important de ne pas les souillezr, de ne pas les toucher ; nous avons affaire à des objets de prix , de valeur : ces objets sont valorisés et sacralisés ; il s’agit d’objets de valeurs, ils sont piédestalisé ; il s’agit d(ob jets qui couten t, quyi un coût elevé, il s’agit d’objets élevés en tant que tel (coût) ; comme offrandes sur table d’holocauste, ; la même chose ; les obhjets ont un coût, ils sont montrés en l(‘air, soulevés et valorisés, il s’agit de chosesq élues (quoi quelles fussent) ; nous montrons, nous élevons, nbous :montons au pinacle, au plus haut des cieux, nous cherc hons le haut dxes cieux, en grotte et en galerie, il y a ce haut des cieux, les hauts des cieux, le haut du ciel i, il y a ce haut du ciel ; il y a ces hauts, nous les ambitionnons, il y a véritablement une volonté ici et là , qui découle d’une ambition, de montrer des choses clairement (à la vue libre et dégagée) et cela en les montant, cx’està dire en les soulevantt, en les élevabnt vers le haut du ciel, vers lehaut, vers les hauteurs  : de prix, de valeur, d’estime etc ; nous élevons, nous montons, nous montrons à bout de bras etc, au plus haut des cieux ; nous faisons ceztte chose en galerie d’art, car il y a ceetee chose posée (ceette oeuvre) qui est une forme, un agencement formel, une forme travailllée c’est à dire tourneé (comme au tour du potier) ; ceette forme tournée est une chose qui est comme une chosexs à digérer (à manger) mais qui cependant n’estpas à manger ; on peut évoquer ici xdes vivres, des victuailles ; la cxhose (dart) est une chose chantournée, tournée, torsadée, tordue etc, prise et ainsi tra vaillée (malaxée etc) et déposée (haussée) comme prete à etre mangée or non : elle ne l’est pas ; comme un plat qui ne serait pas à manger, non pas car il ne serait pas comestible (il le serait tres probablement) mais parce qu il en serait ainsi qu il serait deéposé sur une table à l’adresse ou pour un convive pârticulier, un convive a bsent ou bien un convive en cours de venue vers, en cours de venue, un convive qui serait sur le chemin , qui ne serait pas :loin mais pas encore arrivé jusqu’à nous: il s’agirait des lors d’un plat qui serait mangeable :mais qu il serait içnterdit ou qu il nbous serait interdit de manger , ou même seulement d’y toucher : voilà un pl ;at qu il ne faut surtout pas manger ni toucher (offrande, victuaille en offrande)  ; cela ressemble à un plat, à une chose plane, à une assiette, à un tas de victuailles , une corbeille, une boule de pain, ; un pain de sucre ou de miel, une jambe, une piece de vioande saignante, une chose posée à ne pa s toucher : ni mangezr, ni consommer, ni toucher, ni abimer, mais respecter, laissser en l’état, cette cxhoses est valorisée, elle est montée en épingle, elle contient tout ce que l’homme y met en termes de richesse qu elle serait à même de contenir, ell:e est riche des valeurs ou de la valeur que l’homme lui prete, cette chose exposée en galerie est riche des cxhoses de  valeur ou de valeur que dx’aucun lui y prete, l’y prezte, que d’aucuns y lui prete, de cette valezur que xccete chose ou dont cette chose hérite au passage, il s’agit d’un héritage, une chose est exoposée en galerie, qui hérite d»une valeur qui lui est accordée par la bande, et voilà la chose montée, portée, soulévéé, au plus haut des cieux, ou tout comme, pour une maintenue ou un maintien de tenue dans le temps : tenue, tenue par des mains ; 

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1/04/2020

le chemin est devant nous qui nous tend les bras ; nous disons «qui nous tend les bras» mais peut-être devrions-nous dire plutôt «qui nous ouvre ses mains» ; il s’agit de mains ouvertes, il s’agit de bras tres-certainement mais aussi de mains ouvertes ; on peutv tres bien imaginer des bras ouverts mais pour autant les mains (de ces bras là) pourraient etre fermées, les poings fermés, on peut tout imaginer  ; on peut imaginer des mains fermées, on peut imaginer -des bras sans mains ; or il s’avère ici , que nous avons des mains ouvertes devant nous ; devant nous il s’avère que nous avons (qui nous attend) deux mains ouvertes, deux bras tendus vers nous, nous avons devant nous deux bras et deux main, nous allons vers ces deux mains c’estàdire que nos pieds se brûlent ou brûlent d’aller vers ces mains devant nous ouverte, il s’agit de mains qui sont ouvertes pour nous recevoir, et nous, comme de bien entendu, que faisons nous, que fait notre coeur, que font nods jambes, que faisons nous sinon de répondre à l’appel qui est devant nous, qui n’est pas derrière dans l’obscurité mais qui est devant dans la lumière ; nous répondons à un appel qui vient de devant ; il est évident que nous allons par les chemins qui sont devant nous dans une réponse que nous faisons à un appel , qui est un appel qui nous hèle, qui nous  interpelle, qui ne cesse de nous héler, il est devzant nous les mains ouvertes (un appel aux mains ouvertes) et il nous hèle, il nous crie dessus car il n’est pas en reste de nous sermonner car il s’agit ici d’un dr^ole de pélerin ; il s’agit d’un drôle de coco, il s’agit d’une lumière ; nous pouvons voir qu’il s’agit ici d’une lumière devant nous, c’est-à-dire un drôle depélerin, un drôle de zigotto, il est devant nous en poste, il se tient droit devant nous, il ouvre grand ses bras et ses mains, il les ouvre en grand et il nous dit (il nous demande instamment) de le rejoindre, d’aller vers lui, de venir vers lui pour le rejoindre, il nous dit cela en nous hurlant dessus , d’une certaine manière : on voit bien, à sa bouche grande ouverte, qu il nous hurle, qu il nous crie dessus, il n’est pas gentil spécialement , il hurle, il a des hurlements d’enfer ; il nous crie dessus comme un charretier, il n’est pas tendre ; on voit ses bras et ses mains ouvertes, il nous tend ses bras et nous demande de bien vouloir le rejoindre le plus tôt possible car il est pressé, mondsieur est pressé ; on voit bien que cette personne devant nous est un drôle de zigotto ou de pélerin et nous, forcément, on se voit dans l’obligation de répondre (en actes) à ses paroles, à sa demande, comment faire ? ; il s’agit pour nous d’une demande qui nous vient comme de l’intérieur, car son cri nous rentre dans les os pour ainsi dire ; son cri est si fort qu il nous rentre en nous, jusque dans nos os, on a cette impression d’avoir son cri en nous, jusqu’au plus profond de nous ; on a cette drôle d’impression d’avoir en nous (qui nous actionne) le cri de cette chose charretière devant nous, le cri de cette personne gueularde, de cette personne qui hurle, qui nous crie ou gueule dessus et son cri vient se loger en nous, au plus profond de nous, on dira dans nos entrailles ; on est bien monté ; on est obligé de répondre en actes à cette demande car le cri est si perçant qu il nous transperce (pour le coup) et vient à se glisser en nous et voilà comment nous nous retrouvons à devoir aller sur un chemin et marcher jusqu’à plus soif ; voilà comment on en arrive à (pour le coup) se retrouver sur des chemins de vie, à se retrouver sur des pistes, sur des pistes pour des envols, voilà comment on en arrive à se retrouver sur des chemins que nous avons dès lors à arpenter, en passant ; nous n’avons pas d’autres choix que de faire cette chose, en vivant nous arpentons, c’est à dire que vivre, vivre c’est arpenter, on dira que vivre c’est arpenter, vivre c’est borner un chemin , vivre c’est comme de concevoir ou d’élaborer des plans cadastraux ; nous vivons eh bien celea signifie qure nous marquons un teritoire avec nos pas, c’est à dire que nous comptons le nombre de pas que nous faisons en allant d’un endroit à un autre, et cette chose est due à ce cri perçant en nous, à ce cri venant de devant, des mains tendus, de cette personne aux mains tendus, ce cri vient du devant, du levant, ce cri vient de cet endroit au devant de nous, et ce cri est si fort qu il en vient à nous donner cet élan de vie en nous et du coup nous actionner, nous donner ce qu il est nécessaire d’avoir en nous poure aller de l’avant sur notre chgemin ; nous avons en nous le cri de cette bête ; car il sembleraitr qu’il s’agisse d’une bête ; nous avons en nous, en notre sein, un cri qui nous pousse à filer  devant, à avancer fissa, etc, un cri qui nous actionne , et ce cri on a l’impression de l’avoir en nous (en notre sein, quelque part en nous) comme s’il,  s’agisszait du cri d’un animal en nous qui hurlmerait à travers nous, qui hurlerait en nbous et ce hurlement en nous serait cet élan de vie en nous que nous avons lorsque nous allons etc, losrque nous allons par les chemins ; on a cette impression d’avoir en nous ce hurlement, qui serait le bruit du battement de notree coeur ou bien le bruit de notre respiration peut-être ; cet élan de vie ou ce souffle de vie en nous, on le ressent comme venant en nous d’un endroit qu il est difficile de situer, d’un endroit qui serait celeui de la blessure, de cette blessure en nous laissée par le bruit (le cri) perçant de l’animal, de cet animal devant nous, cet animal devant nous est un grand gueulard, il a ouverrtt grand sa bouche ou gueule, il s’agit plutot d’une gueule puisqu il semblerait que nous ayons plutot à faire à une sorte d’animal ; quel animal ? dieu seul le sait, mais c’est l’impression ou le sentiment qui domine en nous ; il semblerait que nous ayons àà faire à une sorte d’animal qui serait posté devant nous, qui nous hurlerait dessus jusquà nous percer les tympans, d’où la blessure peut etre, et dsonc l’entreee en nous de ce cri de vie ou comment appeler ce cri qui vien t ici se loger en nous, qui vient nous envahir et nous donner de fait notrte élan de vie? nous sommes transpercés par ce cri animal qui vient à se loger en nous via nos oreilles, nous avons ce cri en, nous, nous avons en n ous un cri animal, le cri d’un animal ; nous avons en nous ce cri animal qui est la vie en nbous ou l’élan de vie en nous, cette chose en élan qui serait d’un ordre (ou de lordre) animalier, qui proviendrait d’une sorte de rugissement ou de hurlement de cette chose devan-t nous postée, qui se tient debout, un élan peutetre, un gnou , un buffle ? on ne sait pas, il s’agit tres certainement d’un élan, il s’agit tres surement d’une sorte d’animal avec des bois ou avec des cornes, on ne sait pas  ; peutertere en effet s’agit il d’une bete à cornes, ou d’une bete à bois, nous ne le savons pas, mais nous avons en nous cette impression tenace d’avoir affaire à une sorte d’animal à grande et forte gueule, de quel animal s’agit il ? nous avons cette impression d’avoir affaire à un drôle de zigotto en la matière, peutere s’agit il d’un animal avec des bois, du genre élan , allez s-donc savoir ce qu il en est , nous ne savons pas de quoi il en retourne ; nous abvons, en nous, un cri animal (un souffle de bête) tres certainement, et ce cri en nous, continu, est notre élan de vie, comment dire cette chose ? il sembl:aerait que nous ayons, en nous, un élan, un élzan de vie qui bêle ou qui braie ou qui meugle ou bien s’agit il d’un soupir ouiuu bien un rire ou quoi d’autre ? il s’agit de quelque chose qui braille en nous et ce quelque chose qui braille en nous est le cri d’un animal, son souffle bruyant, et ce souffle en nous est la vie en nous ; il semblerait donc que ce cri provenant de l’extéreiur, ce cri animal venant du ddevant ou de levant, eh bien nous l’ayons en nous , par l’entremise de notre ouïe, et que ce bruit nous donne ou nous ait donné cette chose en nous que nous appelons la vie ; il semblerait que la chose soit ainsi : nous aurions en nous un cri venant de devant (le cri à la mort d’une bete féroce, ou bien le cri à la vie à la mort d’un animal, d’une bete carnivore) ; il semblerairt que nous ayons devant nous un animal féroce nous hurlant dessus à la vie à la mort, il semblerait que nous ayons ici cette chose d’un animal gueulard nous crtiant dessus comme à un enfant à la vie à la mort , et nous d’entériner ou d’emmaghasinner pareil cri, de le prendre en nous (par devers nous) et voilà comment nous nous retrouvons par la suite comme etre de vie, comme etre d’élan de vie, comment dire, comme etrte humain allant par monts et par vaux, arpenteant les terreirtoires ; nous sommes ainsi transpercés par un cri aigu, un cri d’animal ezn furie, une bete fauve, une bete affreuse, qui nous gueule dessus comme il gueulerait apres un enfant, ou comme d’aucuns gueuleraient apres  un enfant ; on se demande un peu ; on est en droit de se demandser un peu car on ne comprend opas tout, on est loin de tout comprendre, on voudrait comprendre mais non, on comprend tres peu de choses ; on aimerait en savoir long sur le phénomène de la vie en  ous mais tintin on ne sait rien ou si peu, on subodore, on a l’impression de certaines choses qui existeraieznt, on a cettez impression parfois de l’existence de choses en particulier, on a une impression parfois que des choses existent en particulier, que des choses sont, que des choses se trament, des choses que nous ne pouvons voir de visu mais que nous ressentons ; parfois on a des impressions ; on a parfois des impressions étranges, bizarres, on a parfois de drôles d’impression concernant la vie ; il nous semble des choses, on se dit des choses, on se parle à soi-même ; on n’e’st pas en reste de se dire plaein de choses au sujet de ce que c’est que la vie , laa mort etc, ce que ce serait ou bien ce que cela pourrait être ; on se dit des choses, ; on est bien obligés de se dire des choses, c’est à dire qu on est obligés de se dire des choses, c’est à dire qu on ne peut pas y couper ; y a t il au monde une seule persopnne qui arrive ou arriverait à couper cela, à ne pas se dire des choses, des choses au sujet de la vie et de la mort etc, y a t il au monde une seule personn,e qui y arrive, qui arrive à couper net, à ne rien d-se dire kjamais, pas la moindre petite pensée d’ordr métaphysique disons, y a t il une seule personne ainsi ? je ne sais pas ; il me semble que c’est impoissible, il me semble que la chose est impossossibkle et que fatalement tout homme , tout etre humain , à des moments de la journée , se dit des choses, ne peut pas ne pas se dire des choses, des choses concernant les choses de la vie et de la mort, il nous sembkle que c’est ainsi, que les choses sont ainsi ; il nou

s apparait que les choses pourraient être ainsi et qu il est peu  probable que sur terre existat un homme, une femme, ne se posant aucune, pas la moindre , questions, concernant la mort etc, comment la chose szerait elle possible ? on n’y croit pas ; on ne croit pas à cela ; on croit à l’inverse ; on se dit que plein ou la plupart ou plutot tout le monde, on se dit que tout le monde à un moment ou à un auttre , obligé que tout le monde se pose ou posât des questions sur ce que c’est que la vie, la mort etc ; il nous semble que c’est obligé et que pareil questionnement est inhérent à la nature humaine ; il nous semble à nous que pareil questionnement est inhérent à la ,nature humaine et qu il est impossible d’y couper ; alors oui à certtains moments on peut y couper, mais au fond de soi les choses surnagent toujours, au fond de soi-même les choses (les questions) continuent à exister et c’est faux de dire que non, que les questions n’existent pas, car elles existent, elles existent comme surnageant, comme si elles surnageaient en,  nous, comme si elles étaient tapies en nous qui refusont de les mettre sur le devant , mais il n’e=mpêcxhe que c’est ainsi qu ‘lles sont ou qu ‘elles seraient en  nous : des choses qui surnagent, qui nagent, qui flottent quasi en surface, qui sont juste en dessous de la surface, si on creuse un peu, si on regarde avec une loupe ou dans l’eau avec un masque etc ; on pourrait voir cette chose ; on verrait les questionnements qui naghent comme des pêtites pôissonsz ; on les verrait existant, on verrait quils sont toujours là existants et que c’est pas demain la vieille quils s’en iront, on ne peut pas se débarrasser comme ça de choses inculquées en nous, c’est à dire de choses que charrient la langue que nous parlons ; la langue que nous parlons charrie en elle tant et tant de choses que du coup nous continuons à véhiculer comme à notre insu ou par devers nous, c’est ainsi ; même avec la meilleure des volontés , si on le voulait, si on voulait couper, qu on ne le pourrait pas car comment faire pour désapprendre une langue ? allez donc désapprendre une langue, c’est impossible ; donc voilà comment les choses se passent ; on est victime d’une inculquation en nous et puis voilà et du coup on continue à véhiiculer des choses en nous, choses qui sont inhérentes à la langue qu on parle , on est ainsi ; on ne peut pas y couper, o, n porte en nous ce cri de vie, ce crti de vie animal , le cri d’un animal blessé, meurtri, on est les porteurs ainsi d’une sorte en  ous de cri d’animal blessé, de cri d’animal touché et ce cri en nous est la vie en nous, c’est à dire dans nos jambes qui marcheznt, nos mains qui trafiquent etc ; nos mains font mille choses, nos mains sont des mains ouvrières, on l’a vu ; les mains ont besoin de faire des choses , comme les jkambes ont besoin de marchezr ; les mains sont de bonnes ouvrièrress, elles n’arretent pas de confectionner des choses, des choses qu elles posent devant elles, soit devant soi, car c’eet ainsi que font les mains, les notres ou celles de qui que ce soit, les mains fabriquent, confectionnent et puis une fois qu’elles ont confectionné elles viennent déposer les choses ainsi fabriquées par devers elles , elles viennent les déposer sur une table, par exemple sur une table ; nous avons deux mains, nous sommes munis de mains au nombre de deux, deux mains pour tenir les choses ; demain pour tenir ? deux mains et demain pour une sorte de tenue des choses que nous faisons car nos mains font, nos mainsfabriquent, elles trafiquent, elles font , elles fabriquent, elles confectionnent, elles créent etc ; elles ne restent pas ou rarement (pas ?) sans rien faire ; nos mains n’hésuitent pas beaucoup au moment de devoir choisir la chose à faire, elles n’ont pas beaucoup d’hésitations, nos mains sont de bonnes ouvrières en cela qu elles n’arretent pas et sont toujours à faire quelqUe chose, toujours ou presque toujours, ou non : tuojours ? j’inclinerai à penser que nos mains sont toujouirs à faire quelque chose, elles sont en action perpétuelle dans la mesure où eklles sont vivantes, car même lorsque nous dormons nos mains vivent et sont présentes dans une sorte de faire à bas bruit (endormi) mais toujours de mise ; nous avons cette idée de nous dire que la main ne cesse jamais de tenir à la vie, ce genre de choses ; nous disons des mains bonnes ouvrières etc, car en effet, les mains «aiment» faire, elles font, elles sont soumises à l’action de faire car c’est ainsi que lma vie est : nous sommes soumis et la main est soumise, elle est ainsi qu’elle est obligée ou qu elle se voit obligée d’agir, de confectionner, de trafiquer, de bricoler etc, d’agir: la main agit, la main est action , elle est le moteur de l’acvtion sur le monde, elle est cette chose de nous (en, première ligne) qui agit sur le monde qui nous entoure ; nos pieds laissent leurs empreintes (la trace des pas ) sur le sol et nos mains trafiquent, boulotent, confectionnent, bricolent etc des choses et ces choses parfois sont appe:lées oeuvre, oeuvre d’art car elles sont faites , oparfois (toujours ?) selon une manière, une manière particulkière, une sorte de façon particulière en cela qu elles sont fabriquées avec une méthode ou bien une vision, un tour de main etxc qui en font des choses à part entihère , c’est à dire qui se suffisent ; car un objet utilitaire ne ce sudffit pas ; un objrt utilitaire a besoin d’autre chose, de son complélment d’objet direct pour etre a part entière ; un couteau a besoin d’une pomme à peler etc, une pioche a besoin de terre à piocher, etc etc ; alors qu une oeuvre dite d’arty n’a besoin de rien d’autre qu elle même pour etre ou pour exister à temps plein pour ainsi dire, une oeuvre n’a besoin de rien de pl us, quant bien m^eme sera-ce un couteau ou une pioche, si les choses (le couteau, la pioche) sont ainsi conçues avec art, avec cette approche de l’art, alors ces choses (au demeurant utilitaires dans un autre contexte) peuevent tres bien se suffire à elle m^meme en tant que telle, sans autre fonction que celle d’exister poure la parade ou pour la galerie, etc ; nous avons ainsi, entre nos mains, des choses qui sont faites de manières différentes à chaque fois, ces choses ont une forme, des formes, qui en font des objets qui sont comme chantournés, qui sont objets chantournés (tournés) et ces formes tournées, tournées et retournées, sont des objets utilitaires ou pas, mais quoii qu il en soit, sont des objets présentant une forme qui en fait des objets de forme disons artistiques ; comment dire ? ; njous avons des objets entre nos mains, ces objets restent un temps entre nos mains et puis nous les lachons car cvommeznt faire autrement, nous ne sommes pas gfaits pout tout garder entre nos mains, nous sommes obligés de lacher des chose, de lacher les choses (chantournées, tournées, passées au tour) que nous portons, que nous tenons entre nos mains ; toutes ces choses que nous portons entre nos mains, il faut bien à un moment s’en débarrasser et les laisser tomber, car elles encombrent, el:les sont vite de trop, nous ne sommes pas taillés pour garder tant de choses entre nos mains, nous devons voir à nous débarrasser au fur et à mesure de toutes ces choses en transit entre nos mains, et elles sont légion car nos mains n’arretent pas ; nos mains sont ouvrières et des ouvrières, elles font les trois huit car même lorsque nous dormons nos mains tiennent à la vie, elles poursuivent leur mission qui est de tenir, de tenir la vie etc, ou de tenir à la vie, la main est tenante, elle tient bon, elle tient ou elle contient etc : elle contient le temps ; la main ainsi est productrice perpétuelle ; elle agit en continue car elle contient le temps en continu, elle porte, elle tient en elle etc ; les mains tiennent, les mains sont qui tiennent ; nous tenons, on le voit pas, on voit bien que nous tenons et puis un moment, ou à un moment donné nous lachons, car il nous est impossible de tout conserver, de tout garder , nous devons lacher au fur et à mesure, tout ce temps passé, tout ces tours de choses passées, comment nous exprimer, toutes ces choses tenues, toutes ces choses nous deevons les laisser tomber, les abandonner, les laisser choir et voilà comment les choses se passent : certains laissent choir les choses comme elles sont et  (il semblerait) ne s’en soucient pas plus que ça, ces gens là laissent tomber les choses de leurs mains et n’essaient en rien defaire en sorte que ces choses puissent etre sauvées d’une manière ou d’une autree, et puis il y a des personnes qui tout au contraire ne veulent pas que ces choses tombassent ainsi et tombassent ainsi dans l’oubli, etc, ces personnes ne veulent pas lacher le morceau comme ça et elles chezrchent par tousq les moyens (art) à sauver les meubles , à sauver les choses tournées ou cha nrtournées entre leurs mains (un temps) ; ces personnes cherchent par tous les moyens (lkes techniques sont o combien diverses et variées) à sauver les meubles, les choses, les scultpures entre leurs mains, toutes ces choses en transit : nous le voyons bien : il y en a qui sauvent ou cherchent à sauver, et puis il y en a d’autreszx qyui ne sauvent pas, ou bien qui ne font pas attention à la manière dont les choses qu ils font trouvent ou comment dire, à la mani ère que prennent les choses pour choir, pour tomber et se casser la pipe ; nous voyons qu il existe des personnes qui jamais ne se soucie de la manière que prennent les choses pour tomber d’entre nos mains : les choses tombent comme elles tombent, aucune importance a priori, et puis il y a des personnes (plus conservatrices , les artistes, disons les artistes) qui elles tout au contreaire font gaffe et prennent soin de ce quii passe entre leurs mains, c’est à dire de ce qu elles font ; pourquoi cette chose, pourquoi ceratins font attention et d’autres non ? pourquoi cette chose qui est tout de même curieuse, en soi, pourquoi donc ? c’est difficile à dire ; il y a là quelque chose qui échappe à l’entendement, ou bien il est difficile de comprendre cette chose du pourquoi certzains font attention et cvertains non, car si l’on part du postulat que tout le monde fait (comme on dirait de tout le monde qu il fait sous lui etc), si l’on part du postulat que tout le monde fait, alors pourquoi certains font tout pour sauver les meubles et d’autres non, certains s’échinent ou s’escriment à sauver ce qu il peubvent sauver passant entre leurs mains (en gros : le temps) et d’autres rien du tout, ils ne cxherchent pas à sauver le temps, c(‘est compliqué, c’est coton, on peut dire cette chose que c’est cvoton ou cvomlpiqué ; on ne comprend pa s bien , et il nous semble que cette question est la question ; que cette qusetion est la seule au fond qui ait une importance capitale , qui ait a propos des choses de l’art, du chantournement etc, une importance colossale ou capitale ; nous voyons que les choses (le temps) sont tenues par des mains qui sont des mains ouvrières, des mains prolétaires, nous voyons tres bien que des mains tiennent, que des mains sont qui tiennent par devers elles et puis elles lachent et les choses chutent, les choses tombent, il y a chute, il y a tombe : onn  le voit ; on voit parfaitement bien à la lumière du jour (c’est une chance) que des choses topmbent, que des choses ne sont plus tenues ; elles tombent des mains tenant jusque là et c’est alors qu il y a cette choses des mains qui , a coté ou où mais en effet, d’autres mains viennent se glisser dessous la chose pour la rzattrapper au vol : il s’agit des deux mùains qui sont postées juste devant nous ; dfonc nous voyons tout le mouvement à présent : il y a ces mains qui la chznt, qui tombent les choses et ces mains devant, qui ratrapent au vol, on peut presque voir le mouvement et cependant nos yeux sont encore brouillés et ne voient pas tout, nbe comprennent pas tout de toute cette opération ; pas mal de détails sont encore à affiner, on voit qu il y a beaucoup de choses encore qui sont à affiner sur ces questions d’art etc, c’est à dire de choses tombées des mains et rarttrappées au vol par d’autres mains car il semble que cest de cela qu il s’agit ici : d’une manière de faire tomber ou de lacher afin que la chose soit de nouveau prise en main d’une certaine manière également, une sorte de passage de relai, ce genre de chosees ; nous voyons cette chose qui est que nous sommes ainsi qui nous passons des choses peutetree ... en nous m^mes ? car telle est la question centrale, et bnrulante  ; est-ce que ces questions de passage de relais ne seraient tout bonnement pas celles qui sont au coeur d’une réflexion que nous avons concernant notree vie , notre vie humaine etc, inscrite dans le temps ? est ce que ce ne serait pas de cela qu il s’agit en vérité, concernant ce pa ssage de relai ? est ce que cela, ce que nousq voyons là, cette chose, ne serait pas tout bonnement (connement) une sorte d’élucidation ou comment nous expirimer sur cela, est ce que cette chose (d’objets chus et rattrappés au vol) n’escplxpliqureait pas le mouvement pendulaire du temps en nous , notre vie pendulaire ou temporelle etc ?  ; o, n sepose des questions, on s’en pose pas mal, on n’est pas en reste de se poser des questions sur tout cela, sur toutes ces questions concernant les mains oucvvrières (en nous») qui tiennent la chose, qui portent ... et tombent la chose connement, et pourquoi connement ? parce qu elles ont été perturbées, elles ont été dérangées, elles ont été distraites par quelque chose qui fait qu elles onbt oublié qu elles portaient une chose entre elles et du coup elles se sont ouvertes, elles se sont écartés comme une bouche s’ouvre etc, et ezlles ont fait tomber ce qu elles avaient, de fait, tenu jusque là ; il y a eu un phénomène de distraction qui a fait que voilà ce qul s’est passé, il s’est passé qu ‘elles ont été passablement distraites et elles ont lacxhé la proie pour l’ombre etc, ce genre de choses, ou alors elles se sont assoupies (la fatigue aidant) et dans leur léthargie elles ont laché prise et la chose a chu, la chose est tombée et voilà comment les choses se sont retrouvées à devoir etre rattrappéé au vol ; nous voyons que des choses tombent, des choses tombent des mains, il y a dans toute cette histoire la questions des mains, des mains ouvrières ou prolétaires, ces mains tiennent le présent (le temps) en otage (pour ainsi dire) jusqu’au moment où elles lachent prise, par mégarde, par distraction ou par le fait qu’elles trouvent le sommeil ou bien qUelles baissent la garde un temps qui fait qu’lles sont couillonnées, elles s’assoupissent peuterte un rien de temps mais ce rien n’est pas rien totalement et suffit largement (il faut peu) pour faire en sqorte que la chose jusque là tenue en vienne à chuter et se casser la pipe ; il faut peu, une seconde, un quart de seconde, même moins, ouun court instant, une peccadille et voilà la chose lache»é, et cest con ; la chosec jusque là avait été tenue parfa itement, et à présennt la chose chute, tombe, est lachée d’entre des mains qui ont baisszé la garde pour ainsi dire ; il s’agit d’un moment de rien , qui a cependant suffit pour que l’objet confectionné tombat d’entre les mains de l’ouvrière, il a suffit d’un rien de temps, une peccadille, une merdouille, un rie,n et voilà la chose lachée qui se retrouve dans l’air, dans l’espace, isolée, nue, seule, orpheline etc, orpheline des mains (hors du tempsz, fichue) jusqau moment où (peuterte) cette chose se verra comme recueillie par des mains autres , desz mains devant soi , au devant de soi, et qui sont mains qui prennent au vol, qui sont comme prenant la chosex au vol (volée) et ainsi, ces mains (cces deux mains) attrappant la chose la sauve ; il s’agit d’une action de salut ; il s’agit ici d’une action que nous pourrons identifier comme étant ou relevant d’un a cte de salut (bonjour) pour cette chose, envers cette cxhose : un salut salvateur et un salut donnant son bon jour , c’est à dire sa lumière, sa possibilitépa r lalumière de visionnage de la chose ou d’éclairage de la chose ; le jour de ce bonbjour est une lumière venant éclzairer la chose qui sans lui , sans ce jouir, se serait perdue dans les limbes soit l’obscurité d’un espace mort, etc ; on peut le pênsezr, on peut se dire que la chose a bénéficié dune lumière, celle du jour)o, qui a permis aussi le visionnage ou repérage de la chose sous nos yeux et du coup l’attrappage de la chose par des mains amies qui sont celles du temps futur, ou celles du temps de ce futur proche qUe nousq avons, pour nous, devant nous (si tout va bien) ; nous voyons tout cela de façon encore un peu embrumée mais nous ne désespérons pas d’y voir plus clair un de ces jours prochains, nous avons ceztte ambition en nous (chevillée) de trouver des réponses à toutes ces questions existencielles qui sont celles qui concernent lkes choses del’art tout autant que celles qui tournent et retourn ent autour de la qusetion de la vie et de la mort ; on voit que la question du temps , et du temps présent, est centreale, on voit que la question du temps est capitale , qu elle se loge au coeur de la problématique et c’est donc cette question qu il nous est nécxessaire de devior creuser plus avant, et c'est cela que nous envisageons de faire, c’est pprécisément à cette question que nous aimerions pouvoir répondre, cette question que nous voudrions creuser entre nous, ou ici, en ce lieu de l’écrit , de l’écriture ; notre ambition est de comp^rendre ce qui réellement se joiue en cette chose d’une chute et d’un rattrappage, et nous tournons autour du pot ; nous cherchons à comprendre ce qu il en est et c’estla raison pour laquelle nous tournosn, car il est important detourner ; notre travail essentiellement est lié à cette chose du tour, du tournage, à cette  qustion d’un tournage comme il en exisqte chez un potier par exemple, comme il en existe dans certaines pratiques manuelles comme par exemple celle du potier, qui tourne et retourne sans cesse, ou du moins longuement , pour à la fin trouver la forme (à la terre glaise, à l’argile) qui cvonvienne à son appropche, qui convienne à so n goout ; on voit le potier, on voit la poterie, il y a le potier, il y a la poterie tourenée, il y a le tournage, il y a les tours et cela est au centre ; il y a des mains qui tiennent, puis lma chose chute (loopings) et hop la voici qui est recueillie d’une manière ou d’une autre par des mains qui sont celles du demain, du futur proche : des mains lachent le présent qui se voit illico presto recueilli , dans son looping, par deux mains qui sauvent : les mains d’un sauveur ; il y a ces choses, il y a cette chose, il y a le cri de l’animal, il y a le christ, le cri et le christ ; nous voyons cela comme une chose capitale qu il va nous etre urgent de devoir résoudre, il y a une question cezntrale qui est celle ci, d’un quelque chose (quoi ?) qui tombe dans le vide, fait des loopings et tout de suite apres est rattrappé au vol et se voit sauvée : cette chose est un cri d’animal en soi, cette chose nous est rentrée opar les oreilles (l’ouïe) et la voilà qui trone en  ous comme un roi, comme un pacha ; et cette chose ezn nbous est sans ceese comme distraite, est comme une chose qui tombe un court instant mais est rattrappée au vol, il y a ceette question d’une chose permamnmment ou continuellement rattrapée au vol, il y a cette question d’un quelque chose qui est en permanennce rattrappée au vol ... par deux mains qui sont cezlles du futur que nous connaissons devant nous, que nous subodorons, ce futur de proximité qui est cet espace éclairé, lumineux, l’espace du jour et du bonjour, cet espace devant nous ou devant soi qui est donc le salut pour notree chose chue ; nous avons un espace devant nous, un espace de réception ; nous avbons un espace de recueil, de réception devant nous,nous cherchons à comprendre de quoi il en tourne et retourne ; nous voulonbs cxomprendre et ce n’est pas simple ; on cherche ; on se lance des perches ou plutot eon émet des hypothèses, on essaie d’avancer comme oin peut mais ce n’est pas facile car les choses sont imbriquées et c’est même cela qui est (peut-être) le noeud ou le  coeur du problème, que les choses soient à ce point imbriquées (un mur) à un point tel que c’est difficle, qu il est difficile de s’y retrouver ou de se re pérer, ce n’est pas facile ; on subodore mais ce n’est pas simple pour y voir clair, on cherche ; peuteêtyre fginira t on par trouver mais rien n’estc moins s ûr, on l’espère et on croise les doigts, o n va en avancer quoi qu il en soit ; on a décidé d’en avancer et de ne pas lacher lme morceau trop vite (jamais ?) ; on va en avancer fissa si possible, la question d’aller vite est centrale car on voit qu il n’y a plus une minute à perdre ; nous devons nous loger dans le temps pour comprendre le temps, pour saisir au vol quelque chose du temps, saisir cette choses c’est à dire avec des mains, les deux mains du futur proche, essayer autant que faire se peut de trouver une parade et de rattrapper le morceau en plei n loopîng ; nous avons une ambition en n ous qui est celle de trouver la parade pour comprendre, l’ambition ici est liée à cet art, qui est une façon de trouver parade, peut -être, nous avbons cette ambition, tout le monde ne l’apas mais nous oui, nous avons ce mot en bouche (art) et nous essayons de le situezr sur l’eéchelle existencielle des choses de la vie et de la mort, commùent peut-on situer cette chose, en considérant cette choses comme n’allant pas de soi forcément ; nous essayons de comp^rendre ici comment faire avec ce mot (art) et comment l’inscrire dans un schéma plus large qui est le schéma des quyestions liées à la vie et à la mort ; car on dit l’art mais de quoi il en retourne et de quoi s’agit il exactement et quel en estle bien fondé, quel est le bien fondé réel de cette chose de l’art sur la terre, toutes ces questionsq ; nous abvons en effet un grand nombre de questions à nous poser ; nous avons beaucoup de questions à nous poser, notre ambition s’inscrit là exaceztemnent dans cet espace situé enxtre les mains tenant et les deux mains qui, ici,  se tezndent devant nous ; njous logeons le mot art, art x, art y, dans cet espace ou cette loge (cuvette) qyui est ce creux, ce bref moment ou cet endroit de peu où l’art serait ainsi contenu un temps, un temps court ; nous essayons ensemble de situer l’art, sur l’échiquier des choses de la vie ; où donc se situe l’arty sur cet écxhiquieer ?  ; le mot art lui même déjà ; ce mot est important, il résonne comme un juron, une sorte de pendant (pendentif) à une sorte de juron, son reflet de choix, une sorte de pendant en reflet face à un juron, à un mot gras etc ; il semblerait que ce moty (art) ait ainsi ou porte en lui ainsi une charge (essence) qui en fait l’équivalent inversé d’un juron quelconque (gras ou bien gras en tout cas) ; il semblerait que ce mot de «art» soit comme un gros mot inversé, une sorte de mot qui brûle, à ne pas prononcert plus quil n’en faut car un peu délicqat à manipuler ; nous disons ce mot et ce mopt est donc logé quelque part parmi l’ensemble des dires possibles ; on devine que ce mot a sa place quelque part au niveau d’un ensembvle de dires existantes ; peuetre entre x et y, peutere entre la pluie et lebeau taemps, le jouir et la nuit , que sais je , nous cherchons ; la proximité des qyestions relatives au temps , des questions relatives au temps présent et au temps en tant que présent c’est à dire de cvadeau ou de don (offrande), cette proximité nous incline à penser que la question de l’art (et lmême du mot art) a à voir avec  cette question d’un temps perdu ou chassé puis, dans la fouleé (les pas sur le plancher des vacghes), recueilli ; il semble, il nous apparait, que la question de l’art, est liée entioèrement à la question centrale du tzemps  égrénée ; il nous semble qUe cette question ici du temps, est au vcentre des questions concernant cette chosex appelée art, dénommée ainsi, comme dite par une personne ui serait honteuse d’un pareil vocable, etc ; la qusetion de l’art est une question capitale ici, en ce débat, car l’art apparait comme étant logé au coeur du débat concernant l ;e temps et notamment le temps présent, le temps donné, le présent qui serait déposé à nos pieds, qui serait cette chose déposée aux pieds, à des pieds ; nous disons ce mot pour désigner une chose donnée, c’est à dire une chose présentée, mise sur le devant soit séparée de nous et voilà pourquoi nous parlonsq de don, car ce qui est séparé de nous (évcarté, perdu ou chassé) ne nous appartient plus vraiment et du coup tombe dans le domaine sinon public du moins privé de quelqu un d’autre que nous ; nous avons affaire à une chose (le présent, soit le temps présent) qui tombe de nous pour etre rattrappé par nous au vol, opar nous ou par quelqun d’auttre, par quelqun qui sauve la mise, qui sauve la cxhose d’un présent offert, c’est à dire perdu ; car un cadeau est une cxhgose perdue en tant qUe telle ; un présent ou un cadeau est une chose qui est perdue, qui est complètemebnt aba andonnée un instant et de  c     efait il est cvompliqué par la suite de révcupérer la chose, d'où l’art ; nous avons ainsi un art qui est une cxhose de récfupréaration , qui est larécupération au sens de salut d’une chose chue ; nous voyons cette chose d’une éventuezlle récupération (via lart) dune chose chue ; nous voyons cette chose via un art de lal’attrappage ? via un art du rattrappage ?  ; il est fdifficile de comprendre toute cette affaire mais continuons, essayons de comp^rendre, essayons de comprtendre où se situe l’art (le mot et la chose) dans toute cette affa ire, car il nous semble évidfent (vu l’importance grandissante au fil des temps de cette chose appelée art), il nous sermble important de com^prendre et situer cette chose de l’art dans le contexte existenciel , dans ce contexte général dxes questiuons touchant à la vie et à la mort , etc, essayer de comprendre en situant la question dfe l’arty au milieu ou au centre puyisqu il apparait que l’art est partout, que cette questionb dse l’art est pzartout, que lma question ou même le lmot art est de ces mots, ou la question est de ces questions, mot et question qui sont tous deux des choses que nous avons en vérité de la pêine à évoquer tant le mot brûle celyui qui se hasarde à le prononcer, un peu comme le mot dioeyu ; on voit bien que l’art est partout grandissant et florissant, cette question frise l’exponentialité générale des cxhoses grandiussantes au fil du temps, o,n le voit : l’art est partout au sens où les galeries, les muisées, les expositions, les conservateurs et conservatrices et autres curateurs et curatrices ou commissqaires et les artistes etc sont de plus en plus nombreux partout dans le monde,  tout cela va grandisqsant de plus en plus, il sz’agit d’une invasion à l’échelle de la terrte, l’arty envahit les sphères, l’art va grandissant partout dans le monde , tout en étant une sorte de gros mot, de mot brùûlabnt les lèvres (un peu comme le mot dieu autreefois peutetree, aujourdhui (il semble) moins) ; on  voit bien que la sphère de l’art est exponezntielle ; l’art va grandissant, l’art envahit le monde, il fait tache d’huile, il se répand à vitesse grand v, il envahit l’ensemble de la planisphère et cela est important de ce fait d’essayer de comprendre le phénomène et du coup le bien fondé de pareil phénomène, soit le pourquoi du comment ; nous voulons cxomp rendsre alors nous faisons ainsi : nous posons une foultitude de questions au langage, à lalangue déjà, afin d’essayer de comprendre (en vitesse) ce qu il en résulte, etc, ce qu il en est, ce qu il en retourne , tourne et retourne ; nous voyons que devant nous se situe le jour soit la lumière, on voit que le devant est le levant, on voit aussi que le devant est ce demain qui nous tend les bras : la mort est la vie, en ce sens que ces deux mains (cette mort à veznir) sont des mains qui sauvent le temps (le présent) chu de nous en nous ; nous avopns deux mains devant nous pour sauver notre  tezmps passé (chu) sur terre ; l’arty est l’art de la chute , l’art sezrait il l’art de la chute ?  ;l’art fait flores pârtout dans le monde, l’art est un enva hissqeur, l’atrrt envaghit le monde ; l’(art est une façon ou une manière, l’(aret erst un objet façonné ou bien la façon ou les deuix, par contiguiteé : la façon sur l’objet et par là même l’objet façonné, nous essayon,s de comptrendre ; il y a ici un objet qui est façonné par des mains tenant, les mains tenant fa bçonnent par devezrs elle, elles tiennent et du même coup (un coup) elles forment (formennt ou défoerment) une chose qui est cette chose qu elles tombent (chute) et cette chose en cxhute se voit receuilli instanténanément pour ainsi dire par deux mains qui sont celles sinon du futur-futur , du moins celles que nous avons (en pleine lumière, le bon jouir) devant nous, soit là : tout pr§ès ; et cette réception est donc ici cette chose salvatrice ; et l’art ainsi se situe quelque part par là; où exactement ? ; eh bien peuetre là où donc les deux mains sont situées ; c’està dire sinon da ns ce futur -futur qui est l’endroit de la mort, peutetre dans ce futur proche qui est aussi l’endrooit de lamort mais pour le coup (un coup) l’endroit de la mort sa uvée, l»’’endroit de la llmmort du temps (sa pertte à jamais ) sauvé ; nous voyons quun temps ici est sauvé, ce présent chuté etc, celui ci se voit sauvé par deuxd mains de l’à vzenir ;,, ces deux mains sont du temps aussi, du temps de postyérité, de poste héritée comment dire, la chose est postée ou posée sur un socle à l’intériuer d’une galerie, la chose est déposée ainsi (il y a dépot pour la vie) et ainsi nouysq avons affaire à un salut du temps qui est art ; ce s&alut d’un temps chassé, tombé perdu ou mort est donc cet art du salut, car il s’agit on le voit d’un art du sqalut : du bonjour , du bon jour soit de la bonne lumièttre et du  du salut en tant que la chse (le présent) se voit secouru ; nous voyons que cette chose du salut est capita le, il, s’agit xd’une chose capitale ici et qui concxerne    peut-être tout le monde sur terre ; on voit que cette chose du salut sur terre (du temps chu) est une chose qui concerne beaucoup de monde et (il semblerait) de plus en plus de monde ;  le monde entier à présent s’intéresse à l’arty  du salut, à ce que nous pouvons appeler un peu impropremennbt l’art du salut, un peu improprement car l’art est  ;le salut, car l’art et le salut ou ce salut dont il est qusetion sont une seule et même chose, or nouys distinguons ici les deux choses, nous les séparons un poeu en disant ces termes ou en, prononçant ces termes d’art du salut, comme si les deux choses étaient indépensdantes ou en partie indépendantes, le sont ellezs ? l’art du salut se loge au coeur de la question de la chute du temps ; l’art du salut se loge (où zexa ctemeznt ? ) au coeur de la cxhute du temps, de cetemps jusque là tenu par des mains et qui , mains ( ;le temps d’un court moment d’inattention) ou : lesquelles (mains) ont laché la proie (le présent) pour l’ombre (le passé ? ) mais que le futur ou ce futur proche (d’autres mains) ont vite rattrappé et sauvé : ces mains sont cet art (dirait on ) dont il est qustion aux 4 coins dee la terre ; l’art ici est don c cette chose du salut desq limbes, du salut desq limbes au sens où une xchose (un présent, un don, un la cha ge dansl’espace(?) des limbesetc) a eu lieu, et voilà l’art qui rattrappe au vol ; il y a vol, il y a une envolé, il y a une chose en suspension, il y a suspen,s ;  et du même coup (le coup fatal) il y a reprise, réception, art de la chute ? art du salut, il y a réception et rattrappage au vol ; sagit il dès lors d’un art de la chute d’un coté et d’un art du salut ou de la réception de l’autree (loopings) ? difficile de se prononcer ; il est difficile de se prononcer et detranchezr, il y a peut-être en effezt d’un coté un art de la chute (loopings) et d’un autre un art du salut  (réception au sol) et peutre les deux, art de la chute et art du salut sont une seu ;le et même chose, difficile de sa voir à ce stade de nos rechercxhes mais en fin nousc avons bon espoir de trouver quelques réponses qui se tiennent dans l’avenir ; notre ambition ici se situe à cet endroit qui est (de fait) l’endroit des réponses ; nous ne quiitons pas des yeux cet endroit, nous ne vou ;lons pas quiitter des yeux cet endroit car nous ne pouvons pas quitter des yeux cet endsroit ; on peut bien évidemment faire comme si , c’est à dire faire semblant de quiitter des yeux cet endroit ;, mais pour ce qui nous concerne nous décidons de ne pas le faire, soit de jouer franc jeu ; notre ambition ici est de jouer franc jeu continuellement et de ne pas quiitter des yeux pareil endroit, de ne pas chercher à noyer le poisson, mais tout au cointriare de toujours chercher à le garder bien visible et vivant devant nous : ce poisson est devant nous, il s’agit en effet d’un e belle prise (une perche ?) ,nous l’av ons en face cde nous et nous ne voulons pas nous défiler, nous l’avons faceà nous et nous ne voulons pas le négliger ou faire comme si pareillle prise n’exisqtait pas, nous devons nous coltiner pareil animal, pareil poisson , nous ne devons pas le noyer mais tout au contriare le mettre en avant dansq toute sa splebndeur s-$qui esqt recherche de la vérité ; nous devons pl ;acer cette recherche de la vérité au coeur de notre démarche , de notre marche ou de notrteallant sur le chemin de promenade ; nous devons placer cette recherc he de la vérité au centre puisque tel est le machin qui nous incombe, puisq ue telle est cette possibilté donnée ou offerte par le langage, puiusquil semblerait que lers mots v euillent dire une vérité , veuillent la contenir, ou la contiennent ; puisqu’il semn$blerait que les mots soient les véhicules de la vérité alors jhouons jle jeu et essayons de faire dire aux mots toute la vérité et rien que la veérité ; rien que la vérité avons-nous dit ; notre projet se situe ici, se situe donc, notre projet ;,, donc , se situe exactement à cet endroit, se situe aux croisements des choses , soit entre le momzent où la chose quitte des mains pour en trouver d’autres ; nous situons notre projet exactemen,t à cet endroit, à ce niveau, nous ne vloulons pas nous situer ailleure : rien que la vérité, notre projet se situe exaxcvtement à cet endroit et nous avons,  pour ambitiuon , de faire cracher le fin mot aux mots, que faire d’autre ? ; notre projet , ou notre ambition ici se situe exactement à cet endroiot qui veut que nous fassions exactement cette chose, cette chose exactement, qui est de vouloir ici se situer zexaxtement à cet endroit de vérité ; nous ne voulons pas nous p^lacer ailleurs, nous voulons nous p^lacer exactezment à cet endroit ; nous cherchons la vérité, notre souci est de vérité, notre souci dernier , ultime et radical et même révolutionnaire au sens premier du terme est la v érité ; nous cherchons , à l’intérieurt du langage, la vérité, et cela qUand bien même le langage , le langage articulé des mots, ne s’y preteraientt pas, nous disons que cette chose n’a pâs de sens ; le langage articulé est un langage de vérité, il n’est rien d»’autre qu un langage de v cvérité ; ce qui ne veut pas dire qu il dise à tous coups la vérité, bien nous en garde, nous disons que le langage des mots d’une langue est un langage de vérité et que même sil ne la dit pas (cette vérité sur les choses du monde etc), même si d’aveznture le langage articulé ne dit pas la v érité il n’em^pêche qu il est susceptible de dire icelle car il est intrinséquement tourné vers elle, il est intrinséquement tourné» v ers la veérité ou la recherche de la vérité, et dès lors nous prenons ce parti des chose, nous pren ons ici ce parti de nousq tourner obscurémzent, volontairement et obstinément, ou obstinémeznt plus qsqu obscureémnent, vers la recherche (intrinsaéqu-e au langa ge )) de la vérité, ; nous ne voul ;ons pas nous situer ailleures et d’ailleurs nous ne sommes pas en capacité de nous situer ailleurs, nous avons le feu au derrière, le feu au derrière nous pousse ; nous avons le feu au derrière, feu qui nbous pousse à devoir allezr à tel endroit plutot qu a tel auttre, et cet endroit est de vérité, car l:e langage , réellement poussédans ses retranchzements, va sur ce chemin de la vérité ; les retran chezments du l:angage sont de vérité et nulle part ailleures, il en est ainsi et c’est ainsi que nous envisageons la chose soit nos recherches ; nous cherchons la vérité et puisque nous disons ce mot (art) alors nous cherchons la vvérité (en, marchant) de ce mot art ; nous aloo ns ain,si de cette façon dans notre promenade, à la recherche de la vérité des choses duu monde, nous allons buter, nous allonstaper à la porte, nous alloons essayer de frapper et de faire sauter le verrous et voir ainsi ce qu il en est de tout ; nous voulons faire de cette sorte et telle est l’ambition qui est la notre et que nous voulons afficher, on se situe aux antipodes d’un phrasé qui séloignerait ou s’éloigne d’un e rezcherche de la vérité, non ; nous nous ne voulons âs nous en éloigner, nous vou l ;ons savoir de quoi il en retourne de la mort ; nous voulons qsavoir de quoi il en retourne de la chair et de la souffra nce, de ces mots rapportés à deschose et ce à l’intériuer du langage ; nous voulons coller notre visage sur la vitre ; nous voulons poser et coller nos lèvres, notre bouche sur la vitre et regarder ainsi de l’autre côté de la vitre ce qui se passe, ce qu il y a  et ce quil y a à voir ; y a t-il quelque chose à voir ? nous voulons savoir, nous voulonbs comprendsre, nous voulons nous inscrire dans la gra nde tradition langagière d’un e recherche continuelle, continue, lancée, les bras dezvant, de la vérité des choses existencielles ; nous nous inscrivons dans cette chose dune recherche du sens des choses à travers les mots de vérité, les mots de désignations: nous c)ollons notre bouche sur la paroi, nous embrassons la paroi, nous ermbrassons à pleine bouche la paroi de la grotte ; nous posons nos lèvres sur la paroi froide de la grotte, à l’intériezur de la grotte, nousq nous scotchons à cette paroi, nous voulons faire corprs avezc cette paroi et c’est pour cel a que nous nous plaquons contre ellle, nous nous pl ;aquons contre la paroi de la grotte, nous ne voul ;ons pas nous pla cer ailleurs, nous voulons nous plaquer contre elle et c’est cela que nous faisons ; nous nous plaquons contre la paroi de la grotte, nous l’épousons, nous faisons corps avec elle et notre bouche se déforme à l’embrasser, à embrasser pâreimlmlle paroi rupestre, nousq l’embr assons, nous baisons ladite paroi de grotte et ses animaux gravés ou tracés dessuqs ; nous baisons embrassons collons à cette paroi, la baisons comme nous baisons ses animaux dessinés ou gravés ; , nous l’aimons, nousq ne voulons pas la perdre des yeux, njous voulons la connaitre, ; nousq voulons szavoir de quoi il en retourne, nous cherchons à comprebndre ce qu il en est, de quoi il en retourne (loopings) , de quoi il s’agit, nous voulons essayer de percer les mystères de la vie et cel a par le biais de ce que nous avons en magasin à savoir ce langage de vérité, ce la,ngage de la vérité qui nbous a été donné à la naissance ; nous allonsq essayé de percer les mystères à toute vitesse via le langa ge de la vérité, et ^pas autrement , voilà ce qu il en est de notre ambition ; notrte ambition se situe ici où elle est scotchée : elle est tenue à cet endroit, elle vient se loger à cet endsroit, elle ne lorgne pas ailleuirdss, elle ne cherche pas latangente, elle ne veut pas se loger ailleurs, elle veut rester bien cxoncentrée sur la quqestion centrale , la seule qu il nous est possible de soulever car la question est inhérente au langage ; le langage contient la qusetion, le langa ge en luimême co,ntient  la qusetion et de ce fait nous ne pouvons pas nous en é»loign er  ; nous allons resté rivés à elle, un pieu ici, planté et con solidé ; nous faisons cette chose à présent et cette chose ne sq’éloigne pas dx’un e sorte de recherche du sens ou dit autrezment : de la vérité ; nous voulons comprendre la qusetion de l’art, nous voulons comprendsre la qusetion de cet art du sa lut, cet art de la lumière faite sur une cxhose récupérée, qui avait chu et qui a été sa uvé in extremis : au vol, à la volée ou à la volette ; la chose est continuellement sauvée et rattrappée, oui cela en continue, la chose en continu est réguliuèrement sauvée au vol ou à la voleette, nous le voyons sous nos yeux, ; et l’art des lors est un art du salut  ; le présent eswt récupéré in extremis à chaque secousse ; on voit que le présent (ce don) est in extremis récupérée à chaque battement de coeur, par cette chose du jour bon qui veille à sauver et conserver par devers lui (qui en galerie qui ailleurs, mais toujours à l’abri d’(un nouvelle cxhute qui, celle là, pourrait lui etre fatale, etre fatale à pareil objet donné en offrande (un don de temps))  ; nous voyons tout cela devant nous ,n, autour de nous, nous voyons les choses se mettre en place, nous sommes entourés par quelqUes dizaines peut etre d’animaux (du gros gibier) représentés sur les parois de cette groote dans laquelle nous nous sommesq réfugiés, nous voyons ces animaux comme autant de temps sauvés, comme autant de momebnts de vie sauvés ; nous les voyons ainsi, nous avons des animaux tout autour de nousq qyui font mine ds’être en vie or ils ne sont que des représentations trompeuses ; nous voyons que nousq avons affaire à des leurres, à des reprédsentations d’animaux  censés reproduire la vie en marche, en acte, or seule la flam:me de nos torches ou du bûcher viennt donner un semblant de vie mouvante à ces effigies murales ou pariétales, la flamme du bûcher faisant trembler les animaux, les dessins, les gravures d’animaux, les faisant tremblezr a vec son propre tremblement de flammes  ;nous voyons tout cela trembler autour de nous et avons l’impression que l’ensemble (le troupeau) est encore en vie mais rien de tout cela n’est encore en vie ou en vie tout court: rien de tout ce que nous posons sur la table et rien non plus de ce que nous posons sur les parois ; les animaux sont : ou faux (sur les parois) ou morts (sur la table aux offrandes) ; il s(agit de leurres, il s’agit du temps mort, il s’agit de présents passés, il s(agit du tmps passé, de pas ch&assés etc, la mort en offrande à la place de notre propre vie, à la pla ce de cette vie en nous ou sans cesse sauvée  en nous (à chaque battement de notre coeur) , cette vie en nous sauvée ainsi à chaque pulsation , cette vie en n ous égrénée dans le temps de la chute et du recueil, dans ce temps de la chute du présent (du don, de la perte) et du salut perpétué,  ;

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31/03/2020

nous donnons à cette terrre devant nous, nous offrons par devers nous, nous offrons ce qui se trame en nous, ce qui se consume, ce qui meurt à petits feu, ce qui se trame = ce qui sous tend, ce qui est qui va et file et tourne et retourne en nous ; nous , nous sommes, nous nous allons, nous allons ainsi, nous filons doux ainsi, nous y allons et nous nous consumons ainsi , et voilà le don, ce don initial, cette chose en devoir, en somme, en affect, etc, que nous portons, eh bien la voilà déposée à même la terre de la salle blanche ou grise, de la salle nue, de la pièce nue, de cet endroit donné, de cettte chose ouverte (cet antre) qui est cette chose où pouvoir d»épôser nos frusques et autres machins confectionnés ; white cube ici, pour une dépose d’un soi initial, d’un don de données brutes : notre souffle, nos pas d’allant, nos bizaerreries ; nous sommes qui allons et allant nous sommes ; il suffit de cette chose , d’un allant de soi, d’un élan donné à notre mobile et ainsi nous pouvons aller, par les champs et par les bois, nous balader, musarder, ainsi faisant nous y allons et nous faisons (donc) offrande à qui mieux-mieusx et filons doux et allons ainsi pour une gouverne, pour une donnée de soi en offrande, etc ; nous faisons, nous allons, nous déposons notre chose aux pieds et filons fissa depuis cet endroit vers un autre endroit où, de la même façon, nous allons d»époser, notre chose aux pieds, et pareillement fisssa nous en allons de là et allons vers à nouveau un autre endroit où déposer les pieds , etc : la marche de vie, cette chose d’un élan-allant de soi en tant que nous donnons les pas (les traces  # les empreintes) et ainsi allons plus loin vers une issue grottesque (ou pas) ?) qui nous tzend les bras ; nous allons, nous faisons cette chose d’uun don ; cdonner est le verbe, il s’agit du don d’une chose perdue (par devers soi)  ; une chose a été» perdue, une chose est tombée de nous (de nos mains tenant) et la voilà chue sur la terre ferme (white cube) et de là (de cet endroit de chute) nous filons fissa (hourra) vers un autre endroit où pareillement nous allons tomber (à nouveau) une chose (un objet ou tout autre machin) sur la t-terre ferme, le plancher des vaches, cette chose, nous la tomberons, la tombe, nous tomberons, cette chose-tombe, cette chose nous la tombons, nous tombons la chose, nous la tombons, nous sommes qui tombons la chose, nous la tomberons encore et encore, nous tombons à chaque pas que nous faisons, ce temps passé perdu est chu, il est à terre (white cube) et git là dans sa tombe matérielle : nouds faisons  ; nous faisons et nous allons, nous gravitons, nous sommes de gravitation, nousd filons fissa ; nous sommes de la paretie = nous jouons, le jeu est princeps ; nous y allons, nous jouons ensemble,  ; nous déposo,ns à chaque pas (nos frusques, nos machins = nos oeuvres) , et nous filons fissa, vers d»’autres endroits où, à nouveau, nous allons pour déposer fissa (donner) nos choses pour nous alléger et du coup repartir de plus belle vers (à nouveau) un nouvel endroit où (donc) nous poser deux minutes, fissa, déposer nos choses (pas de soi = empreinte sur la terre matérielle) et de là, allons fissa à nouvaeu, filer, filant, filons, filandreux : nous sommes qui faisons ; nous y allons de cette façon, nous allons et gravitons, nous sommes des qui faisons de cette façon et quittons un lieu pour un autre  ; nos pas s’incrustent, nos pas marquent sur le sol (white cube) et cela est précieux qui marque (inscrit) ici et là notre passage, notre survenue, cette chose de notre venue sur terre un temps qui est ce temps perdu que nous donnons sur pierre d’offrande (= la terre) ; et allons d’ici à la-bas, en sifflotant  ; l’homme dégagé ; cette chose d’etre ainsi comme dégagé, d’etre de la sorte comme libéré de pas se marquant (s’inscrivant ainsi) sur un sol de terre , sur sol retenantt (ou pas) l’empreinte de ces pas de vie d’allant, de ces pas de vie, de mise en effet de vie ; nous faisons ; nous sommes ; nous allons ainsi vers des lieux neufs à chaque fois : n,ous marchons et chaque pas est une marque au sol (oeuvre)  ; chacun de nods pas marque, et chaque marque est nombre et chaque nombre est oeuvre et ainsi nous laissons de nous ces traces (tous) qui sont oeuvres de passage, oeuvres d’un corps dee passage (élan, allant) qui a pour le coup marqué la terre de son empreinte, qui va ; nous sommes, nous allons ; et voilà le don ainsi qui s’incruste dans la terre meuble, argile, nous faisons, nous gravitons ; nous y allons de cette façon et jouons à cette chose, pas à pas, nous jouons, nous allons, nous sommes, pas à pas nous sommes, nous jouons, nous allons, nous sommes ; nous allons de cette sorte ici d’allant, vers un lieu neuf, vers une finitude (?) , laquelle ? nous allons, nous y allons, nous marchons et chaque pas est don de soi sur terre ferme, sur un sol dur, sur un établi, une pierre, un pareterre, un tapis, une toile, un treillis, un chassii, un morceau de roche, un caillou ou un morceau de fer ou d’acier ; nous allons ; nous avobns devant nous cet espace qui nous tend ses bras, les bras devant nous sont tendus vers nous, nous voyons devant nous ces bras ouverts, tendus vers nous et nous allons vers eux, ; nous nous destinons vers ces bras tendus, ces deux bras tendus = ouverts grand, ces deux bras ouverts en grand, tendus vers nous, vers nous tendus = ouverts en grand, en pleine lumière, ces deux mains, ces bras ouverts, cet hypnotisme, cette chose ouverte, cette ouverture, cette béance, des b ras, de la bouche, cette béance, cette ouverture, cette béance ou cette ouverture = deux bras, deux mains, nous allons ainsi : nous ùmarchons : deux mains, deux bras, nous y allons ; nous marquons sur le sol notre passage par la trace de nos pas ; nous sommes qui marquons sur sol la trace de notre passage par des pas ou par des emprientes, ou par des marque de pas, etc ; nous marquons, subjugués ; nouds y allons, nous sommes qui allons, nous faisons ; notre oeuvre ici est cette marque à chaque fois, à chjaque pas une oeuvre, nous faisons des marques, nous marquons = nous faisons dees marques ; nous marquons de nos pieds, nous allons fissqa et marquons avec nos pieds à chaque rebonds ; nous marquons chacun de nos pas sur un sol meuble, mou suffisamment pour prendre la marque, on l’espère, on est, on file, on y va, on avance, on file fissa vers les deux bras, vers deux mains tendus, ouvertes  ; nous allons, nous écrivons avec nos pas (nos pieds) sur la terre fraiche, notre passage sur terre, nous inscrivons avec nos pieds comme des charretiers, nous marquons empriente et y allons de plus belle, à pas chassés, vers une finitude de bras , de mains ouvertes ; nous allons ainsi par les chemins, nous faisons don à chaque fois (rebond) sur notre passage et ce don est l’oeuvre (chantournement = démarche) que nous déposons sur support adéquat, ici et là ; nous y allons = nous faisons oeuvre à chaque fois = à chaque pas, nous marquons (de notre passage) la terre fraiche ; nous marquons = écrivons = inscrivons = notons = nombroons etc, le passage et ainsi fait nous filons fissa vers deux mains tendues = ouvertes = une béance ; nous sommes ainsi : nous donnons de notre passage ceci que nous laissons (intact si possible) par devers nous (derrière nous = temps chassé) pour une exposition ensoleillé de notre passage ici bas , sur terre fendue de nos pas ; nous allons = y allons ; nous fendons la terre = inscrivons, écrivons, notons, oeuvrons ainsi : nous sommes, des qui faisons, qui allons par les chemins : dons de soi renouvelés à chaque pas = oeuuvre = art = chantournement = danse en quelque sorte ; nous marchons-oeuvrons de cette façon et continuons sur notre lancée vers un but final qui est d’emprise par deux bras ouvetrts (tendus) en fantins et joueur ; nous faisons partie, nous sommes de la partie = jeu ; nous jouons, nbous sommes de la paretie et nous faisons cela que nouqs aimons faire = jouer ; nous jouons nos pions, nous sommes, nous allons de cette façon, nous y allons par ces façons, nous allons ainsi, nous y allons, nous jouons, nous faisons, nous gravitons, nous sommes en gravitation, nous tenons debout, nous marchons, nous allons à pied s par les chemins, par les sentiers et chaque pas que nous faisons laisse son empreinte (intacte, belle) que nous abandonnons sur place (obligé : le temps presse) ; et ainsi faisons qui abandonnons , obligés, notre situation, pour une autre à proximité et ainsi de suite : temps chassés, peintures ruprsetres, hommes des caversnres, nous marquons, nos pas, nos mains, nozs souffles, notre pâssage est ainsi noté ; nous allons et marquons le produit de nos passages ici et là, sur parois, sur pierre, sur sol meubvle, frais, nous marquons , gravons, faisons oeuvre de passage, nous y allons de cette façon ; nous faisons nos petits dessins animaliers, nous déposons nps objets debvant nous qui faisons des pas, sur terre ferme, sur la terre solide (sgphysique) sous nos pieds ; nous marquons avec nos piesd ; devant-derrière ; nous avons comme présent les pas, nous sommes qui marquons à qui mieux mieux , notre passage au fil des pas, nous inscrivons, nous sommes qui marquons avec les pieds, trace de notre passage, devant derrière ; nous sommes ainsi des etres de passage remarquable, en cela que nous laissons la tra ce (à remarquer) de nos pas d’allant, nous sommes qui faisons, de nos pas d’allant qui faisons, qui à chaque pas faisons, nous faisons, à chaque pas, oeuvre de chair, oeuvre qui est oeuvre de chair de passage ; nous allonsq, nous sommes, notre passage, la chose ainsi, cette chose de passage, nbous la faisons, nous oeuvrons, nous disons, nous marquons, nous élaborons, nous sommes qui marchons vite, vite ailleurs et vite nous enjambons : nous avons deux jambes pour marcher ; nous allons vite vers notre destinée d’attente, nous allons vite fait vers une destinée en attente de nous, bras ouverts, nous filons ; nous essayons de comprendre ce qui se trame et ce n’est pas simple ; nous sommes entrés dans la salle (white cube) et nous avons vu des choses exposées, il y en avait un certain nombre ici ou là ; nous avons visité l’exposition puis ensemble nous  sommes allé faire un tour à l’extérieur, nous avons marché un moment, puis nous nous sommes assis sur un banc ; la salle était nue , il y acvait des oeuvres mais peu, nous aviions faim, nous avons cherché un restaurant ; nous sommes sortis et nous avons cherché un restaurant ; nous avons vu lexs oeuvres sur les murs et sur le sol  ; nous avons mangé au restaurant ; nous avons regardé de prs et de loin, autant que possible de loin ; nous avons regardé les oeuvres ; nous sommes entrés dans la salle de la galerie, nous sommes entrés l’un derrière l’autre dans la salle nue de cette galerie d’art contemporain ; nous sommes tous les deux entrés dans cette galerie nue (blanche) d’atrt contemporain, nous avons ouverts nos bras et la chose est tombée, nous sommes ressortis, nous avons marché, nous sommes sortis de la salle, nous avons marché un petit peu ; nous avons ouverts les bras, nous avons fait chuter nos pas, notre passage, les choses tenues, le temps chassé perdu est tombé, a chu, salle blancxhe (la salle blanche) et nous avons perdu ces choses à nos pieds, chute mortelle, destinée, white cube, nous avons vu cela avec nos yeux d’enfants ébahis, nous avons mangé un bout au restaurant, pas si loin de là, = à deux pas ; nous avons  mangé deux trois bricoles pour nous sustenter , puis nous sommes repartis ; nous avons donné ainsi, notre chose de tenue, nous avons offert, nous avons déposé cette chose , cette chose qui tenait jusque là et qui se cramponnait entrte nos bras = à nos bras, nous avons donné, nous donnons, ce don est cette chose déposée ici sur la table (white cube) et ainsi fait, nous y allons dee plus belle, sur le chemin qiui nous appelle ; nous sommes ainsi qui allons et nous faisons chemin de destinée ; nous dessinons des betes,, nous déposons des betesx : les deux ; objets et représentatation ; l’objet -mort de la bete chaude (presque vivante mais non)et sa représentation sur parois nues ; nous dessinons les betes sur les murs, ces betes de vie, ces betes féroces, cette férocité, cette énergie, cette brutazlité, ce brut et ce brutalisme, ce coup de pied ou de sabot, ce coup de corne etc, etc , sur la table (livre) devant soi (présent) cette chose d’une bvete morte (le temps déposé) qui est encore toute chaude, sanglante et qui est prete à monter au ciel, qui est comme préparée (display) pour une ascension (en fumée) dans la cheminée ; nous déposons cette bete, nous deposons cette chose en core saignante, ce bout de chair animale, ce volume, cette saleté arrangée, ce mort, cette mort ; ce mort et cette mort, cette mort et ce mort ; nous déposons ce mort, cette mort sur une table , sur une pierr , sur une chose ferme : une toile, un chassis, une planche, une feuille, un carnet, une tuile, un bout de fermette ; nous déposons, nous agençons, nous organisons (démarche, déposition, aveu, disposition, assemv$

blage, collage, rameutage etc) ; nous disposons (display) et exposons aux qutre vents du gouffre ; nous donnons cette chose ainsi en offrande, nous déposons cette chose (l’anima) sur une pierre (la terre) = le souffle des pas chassés ; nous offropns cette chose animale en offrande à chaque expiration: anima, souflle et esprit saint ; nous le donnons, nous le donnons, nous le donnons ; nous a vançons de cette façon vers une finitude extrème, en termes de fin de vie de mezrde ;= de merdum = dé»position = entassement = choses bricolléees en tas , amassées, mises en tas de choses de merde = pas chassés, déjections = merde en barre etc ; nous posons toutes nos frusques ainsi (nos insanités verbales) , nous les déposons de cette façon (art, chantournement, torsion) sur la terre ferme (fermette) et nous continuons notre chemin de merde, notre chemin d’allant qui fait des choses (derrière) = qui éjecte, qui chie, qui chie sa chose par devers lui, etc ; nous faisons ; nous avons cette chose à faire et nous la faisons (bien obligés)  ; nous allons et nous faisons ; nous faisons des sortes de modules, en papier maché, en carton, en terre glaise, en chose mouvante, en sapin, en pierre, en métal, en aluminium, en résine etc ; toutes ces choses faites sont des choses faitesxainsi pour une sorte de dépose animalière : il s’agit à chaque fois de choses dites animalières, d’effigies et d’offrandes, de chgoses saignantes ou sanglantes ; il s’agit de choses de sang , que nous déposons, que nous donnons, le sang de la course à travers les champsq, vie de déjection du souffle passé, tombé, chu, chassé ; nous expirons (soufflons ) notree vie passée, au fur et à mesure que nous avançons dans notrte marche (debout, allant, vitesse’) ; nous allons et donnons nos choszes, nos représentations animalières et nos présentatitions animalières : représentations (rupsetres) animalières et présentation sur table d’offrande : d’animaux saignants, soufflant (buffant) leurs dernières cartouches de vie presque morte (de fait) ; nous sommes ; nous donnons , nous offrons cette chose double : 1 les représentations murales = pariétales = rupestre = white cube, cette chose au mur, cette représentation, cette image représentative, et 2 cette chose déposée sur table = présentées , une présentation, une naissance, une chose donnée pour ce passage de vie à trépas = naissance à autre chose (à la mort) ; nous offrons la vie à la mort (la vie morte) ; nous donnons : et présentation (présent, vie ou temps chassé) et représentation : de ces animaux féroce, ebn pleine xfcconnnaisza,nce de leurs puissances, etc, nous offrons ces choses , nous donnons ces chose, nous opfrrons et ceci et cela, nous donnons ces choses aà qui de droit, nous donnons = nous faisons ce geste ; nous offrons = nous faisons ce geste ; nous donnons ces choses = nous faisons ce geste double, cette double chose, cette chose ensemble, ce faire commun , cette chose faite ou dite ou hurlée, appuyé ; nous donnnons ces choses ensembvle, même chose concomittament, d’animaux féroces, gibiers ; nous ogffrons, il s’agit d’offrande, nous donnons, il s’agit de dons que nous faisons , dans une grotte, dans une galerie des offrandesq, nous posons desq choses sur une pierre, sur un socle, sur une planche, sur un jouet, sur une tringhle, un tissu, un fruit, une biscotte, etc ; nous offrons, nous donnons, nous donnons, nous offrons : pas chassés, nous y allons dee nos pas chassés : een galerie d’art (offrande) et en grotte préjhistorique, genre de celles que nous découvrons ici même dans nos promenades ; nous avançons pas à pas vers les peintures rupstres, nous voyons tout cet ensemlbe (ribambelle) dx’animaux repreédsentés, nous voyons la puissance, la férocité, la méchanceté, la force, lénergie de vie qui se dégagent, il s’agit de vie puyissante en eux, cette énergie brutale, entière, pleine, puissante, cet élan de bête représenté, cette énergie déployée ; nous voyons cette chgose au mur, ce brutalisme, cette brutalité, ce brut déga gé, cette puissance déployée, cette énergie, cette méchanceté, ces injures, cette salacerie, cette imagerie brutale, féroce, salace, cette énergie brutale, ces injures, ces mots injurieux, cette énergie verbale, ces jurons, ces mécxhancetés, cette vitesse, cette énergie vive, ces mots brutaux, ces cris de haine, cette vitesse, ce vertige, cette énergie de vertige, cette énergie brutale ; nous voyons, nous entendons les hurlements d’injures, nous entendsons les cris animaux, les cris des animaux, les cris des animaux, les hurlements de betes, njos betises, nos saletés verbales, l$e sang et les excréments, les souillures disposées (display) prorpement sur pierre de taille  ; effigies, brulures, présentateation, modèles, modules, disposition, distribution etc, sur table d(offrande ; nous avançons nos billes ; nous donnons = nous jouons = nous disposons = nous oeuvrons = nous jouons serré = nous nous amuusons = amulette = choses offertes en ddon du passage, nous y allons, nous oeuvrons: nous donnons,, nous sommes, nous a gissons  ; nous sommes de passage dans la grotte et nous regardons les peintures, les représentations sur les parois, cette ribambelle d’animaux féroces et brutaux, cette vie, cette opuissance de vie  ; et nous regardons à oprésent la table (la pierre) sur laquelle ont é»té déposés des choses saignantes, une (ou plusqieurs) vie mais fichue, morte, une ou plusieurs vies mortes, de la vie mais mortes, les mêmes betes que celles par ailleurs représentées ici et là sur les parois alentour, salle de garde, salle blancjhe, murs et sols, sur une table la présentation, sur un mur la représentation, etc ; nouys voyons ce cinémùa, cette chose d’animation : d’animaux et d’anima = cinéma total ; nous allons ainsi, nous voyons ainsi ; il y a cette double vcie morte ; ces deux vies mortes, mais comme pleine de vies chacunes : leurres ; nloous donnons des leurres, leurres = l’heure ; nous donnons des leurres, nous offrons des leurres : vivre = leurrer son monde , car vivre = rester en vie et n,on point mourir sur l’heure, or vivre = mourir : à petits feux, nous y allons, nous allons ici, nous sommes là, nous donnons ; nous donnons de nous, et faisons ces choses ainsi, sur table ou sur mu-rette, ou sur socle ou sur cimaise, sur mur, sur toit, sur sol de pierre ou de terre fraiche ; nous offrons ces choses vers le ciel, vers le haut, verts le dessus : en l’air, vers ces hauteurs de dessus de tête de nous ; nous donnons pour l’espace total du monde alentour = haut et bas, mais du coup, partant de nous (bas) allant vers le haut, vers cet espace, qui va depuyis nous, qui va )à partyir de nous, jusqu’à l’horizon lointain et les hauteurs célestes ; nous donnons de cette façon des choses depuis nous et tout autour = coupole céleste = cloche ; nous sommes dans une cloche = grotte = salle = white cube ; nous donnons pour le partout de notre alentour , de cet espace en cloche (total) qui nous encercle : cage, cloche, pourtour, chose sur nous, cape, coupole, cupule, cxhose qui cxhapeaute, etc ; nous offrons vers cette cloche, vers une cloche de couvrance, nous offrons nos frudsques ainsi vers le ciel, les montrons, nous sommes tres obligfés par les sortes de choses en nous qui oblkigent, qui nous poussent à agir de cette sorte : mouvements de bas en haut  ; tuojours ce mouvement de bas en haut, obligatoirement, car nous sommes posés au sol et debout et prenons les choses (les animaux morts, les jurons) et ces choses nous les tenons ainsi vers le ciel, obligatoirezment, cxhose de la vie, physique, chimique etc, qui font que nous sommes ainsi tres obligés d’agir de la sorte : de bas en haut, vers une élévatioion du mobile, de l’objet, de l’animal crevé, etc ; des jurons proférés à la cantonade : hurlements, nous sommes ainsi qui faisons ainsi car nous sommes soumis à un état de fait physique, quasi chimiqUE etc, qui nous pousse à agir ainsi : nous n ‘avons pas beaucoup de choix, car nous avbons dees bras qui se lé èvent, se soulèvent, nous avons un corps ainsi debout qui tend à sélever, à se soulever : soulèvement etv élévation, car ainsi est fichu notre corps que nous sommes tenus àç agir de la sorte, dans un mouvement qui va du bas (la terre) vers le haut, du mmloins de notre vivant ; nous dsonnons ainsi ces choses mortes (entre nos mains) nous les montrons ; nous montrons haut et en hurlan,t (cri»éée, charretier) ces choses à la volée, à la volette ; nous crions, nous allons ainsi criant et crieurs ; nous hurlons, nous injurions, nous disons haut et fort notre verbe, comme nous offrons aussi haut et fort nos betes puantes, saignantes, déjections putrides, etc ; nous donnons c e qui est de nous le plus fort en la matière, ces vies vives, ces morts de vies vives ; nous offrondss cet embrouillamini de vie-mort au ciel, aux hauteurs de cloche, aux clodches ou coupoles etc ; nous offrons ainsi cxes choses fortes, cxes odeurs fortes, ce verbe haut et fort (jurons et insanités)  ; nous jurons, nous offrons des saletés de vies pourries, puazntes, faitees, mortes ; nous donnons les odeurs fortes, les puanteurs, les puissances, l’effervescence, le paroxisme animalier sous forme de ribambelle rupestre ; nous offrons l’optimum ; nous donnons mles limites de nos vies, nous donnons tout en ses limitres de vie la plus ; nous offrons toutes choses des limites, des limites effervescentes, fusionnelles, fusion, nous offrons des choses limites = fusions, en fusion, des choses à leurs limites, au pire de vie possible (jurons, récits macabres, choses sales, chopses tres salesq)  ; noyus donnons le pire en offrande = vie par devers soi = leurres ; nous offrons des leurres en offrande ; nous donnons des leurres, des vies mortes, des représentations et des prédsents de choses mortes : leurres ; le temps chassé, le temps morts, ce temps de  vie morte ; njous offrons des choses de cette sorte et allons à hurler à la table, au livre, sur la pierre, sur la plancxhe, sur  ;le tissu écru, pour une représentation d’un hurlement de puissance contenu ; perclus de haine, de choses des limites ; nous donnons nos limites en tout , nous offrons nos limites en cxhaque chose offerte ; nouds offrons nos injures, et le sang qui bout dans nos veines  ; bouillir = pulser ; nous donnons tout ce qui en nous ressort des limitess de la vie humaine ; nous donnons de nous tout ce qui en nous répond des limites, renvoie aux limites, se rapporte aux limites en toutes choses ; nous donnons ainsi le pluys ou le pire, le plus du pire, le pire du plus, nous donnons ainsqi le pire du plus possible ; nous offrons ces choses ainsi, nbous les déposons sur une feuille blanche (propre)  ; ou nous les déposons sur un support sale mais qiu lui même sera déposé sur un support propre (mur etc) d’une galerie d’artt cvontemporain ici ou là ba s ; nous irons ; nous irons ensemble déposer la chose, cette chose dessinée ou peinte ou mon trée-agencée, scotché griffonée, au marqueur indélébile, à l’acrylique, au pastel, au brou de noix, à l’encre de chine, à l’huile, au fusain ;, au  pépin etc, nous irons, nbous chanterons ; nous irons chanter par les p^rés, nous donnerons nos idées, njous dfonnerons nos traits, nos rons et nos carrés etc ; nous offrons = nous déposons = nous donnons = nous faisons des pas = nous marchons = nous ambitionnonsc = nous abvons pour ambtioin d’aller de l’avant = élan de viie en nous = sang qui pulse et nous pousse à vieillir ainsi, a grandir ainsi, à pousser ainsi comme plantte, etc : croissance, crédence etc ; nous faisons = croyons ; vivre = croire  au tic et tac, = crioire = etre = aller = faire = gravir = faisander: nous faisons ; nous y allonsq ; nous marchons à travers les prés et y allons ainsi en marchant sur le sol ferme de la terre sous nos pas et regardons le ciel (pzar moments) au dessus de nos tetes comme une cloche ou comme une coupole ou comme un drap ou comme un linceul ou comme une housse ou comme une chose qui nous couvre, qui nous protège (peut-être) du pire ; nous sommes allant, nous allonsq ; nous exposons nos objets ainsi, sur des supports choisis, nous déposons des objets à même le sol : une organisation pour une offrande , pour un don à faire (parfaire) en galerie dx’art contemporain ; nous le disons : affichons, nous donnons notre nom à l’entreé, nous disons qu il s’agit de nous, qu il s’agit d’un don que nous faisons nous, nous mêmes, avec nos mains ; il s’agit d’une offrande que nbous signons d’une manière ou d’une autre ; il s’agit d’une offrande que nous faisons ici, pour la galerie, pour le monde, au monde, à qui veut, ici entre 4 murs, sur un sol apprpoprioé, sur une surface balayée ; nous disposons des choses et autres (des choses et autres) sur des supports, sur des parterres, des murs, sur des murs propres, nous disposons, nous é»laborons, nous mettons, nous organiisons, nous faisonsla lumièeree, nous éclairons, nous mettons en lumière, nous expérimentons, nous faisons des constructions, nous mettons à sac, nous faisons des boules, des tas, des amoncellements, nous emballons, nous découpons, nous séparons, nous déchirons, nous plabçons dans l’aeu, dans le sang, dans la bière, dans du jus, dans du sable, nous découpons en prtits morceausx, nous déchiquetons, nous détruiosons , bnbous faisons desq confettis des choses ; nous faisons des cobbnfezttis des choses, nous imaginons des scenari, o, nous coupons de la vaisselle, nous crachons sur des efffigies, nous cabossons de la tolle, nous emballons avec du papier cadeau, nous prenons et tordons les choses, nous torsadons les choses, nous chantournons les choses etc ; nous agissons sur le monde, nous actionnons, nous imaginons des scenari, des choses sont imaginées dans le sens d’une action montée de toutes piuèces par une personne (un particuliert) qui signe (signature) l’action in ventée ; nous offrons ces choses ainsi , sur des supports divers, nous les élaborons par devers nous ; nous offrons ainsi des choses données sur des pierres ; nous donnons des choses offerstes sur des toiles ; nous découpons les toiles ; nous découpons la tolle, le bois , le marbre, le platre, nous découpons la viande, nous faisons saigner, n ous agissons, nous entrons ainsi en action pour une action dirigée qui touche aux choses du monde alentour : le notre ; nous sommes ezntre nous ; nous agissons entre nous, pour nous, nous nous débattons, nous aghissons entre nous, nous scions, nous brulons, nous découpons, nous faisons des schémas, des croquis de nos acvtions, nous sommes activiste, nous dsommes agissant, agitateurs, nous sommes acteurs, nous actons, nous surgissons, nous intentons un e action en, procès du monde a lentour, nous agissons d’une manière , nouq-$a gissons d’june manière ou nous agissons d’une autre manière, nous avons une manière, notre manière est telle qu il s’agit d’un agissement, d’une action ; nous abvons une action pour nous à déployer, debavnt un public, devant un parterre ; nous deéployons une action devant un parterre, nous donnons une représentation animalière ; nous avons une choses en nous que nous donnons : anima ou analmi en nous ; nous déposons toutes ces choses devant nous ; nous abvons un devant devant nous et sur ce devant nous déposons tout ce que nous avons  ; nousq avons beaucoup de choses et toutes ces choses que nous avons eh bien nous les déposons devant nous, sur ce devant , c’est à dire à nos pîeds, ou pour ainsi dire à nos pieds ; nbous avons à poser des choses, nous avons des choses à poser car nous sommes tres chargés et il nous tarde de nous délivrer de toutes ces choses que nous portons, nous ne pouvons pas les garder pour nous cent sept ans, nous devons les déposer ; nous devons nous délivere de toutes ces choses que nous portons sur nous, que nous portons dans nos bras, nous en avons un bon nombre, nous sommes vraiment tres chargés et il nouds tarde de nous délester de tout ce fatras qui nous encombre passablement car nous sommes fatigués de porter tant et tant de choses, il nous semble à présent que le temps est venu de déposer tout ce que nous portons, qui sur une table, qui sur un sockle, qui sur un mur ou même à même le sol, peu importe, mais le plus important à présent est cette chose, que nous avons à faire, que nous devons faire ou qu il nous reste à faire, et cette chose est celle ci : de déposer, c’est à dire de poser tout ce qui , dans nos bras , c’est à dire par devers nous, nous gene car ça nous encombre pas mal, nous sommes chargés, nous portons un poids mort de choses, ces choses sont lourdes ; nous portons un poids mort et ce poids eh bien, ce poids est celui de tout ce pâssé que nous trimballons depuis un bon moment à présenbt, nous trimballons un passé lourd de choses diverses, un véritable baluchon, nous trimballons un passé bien loursds, bien rempli, nopus avons un passé bien loursd à déposqer ici ou là et nous avons hate de faire cela, de déposer notre baluchon quelqUe part et pourquoi pas sur un parterre, dsans une galerie, ou alors, dans cette même galerie, sur un mur, sur un mur ou par teerrre, ou ailleurs, peu importe, ce qui compte c’ewst que nous devons nous alléger ; il ne faut pas continuer comme ça avec autant de poids sur soi, nous devons poser tout notre barda, noos choses, nos frusques, toute notree vie passée, toute ces choses qui nous pèse, nous devons nous libérer de tout ce poids entre nos bras et les poser (les tomber peut-être ? ), les poser ou les tomber, en tout cas les abandonner ; et pourquoi ne pas les a bandonner à l’intériuer d’une galerie d’art contemporain ? ppourquoi ne pas les abandonner, toutes ces chgoses, dsans une galerie d’art contemporain ? on pourrait faire ainsi que nous nous amenions en groupe, et chacun y va (ici et là) de son abandon en galerie ; nous pourrionsfaire cette chose d’un abandon, cette chose d’un dsépôt, cette chose d’une déposition, d’un aveu etc, et tout cela à l’intérieur d’une galerie ; ça pourrait le faire ; ça pourrait etre bien , de faire ça ici comme ça ; ça pourrait etre impeccable et nous convenir, ça pourrait etre parfait pour nous, il nous semble que pour nous ça pourrait etrec tres bien car ainsi nous nous sentirions beaucoup plus légers, nous pourrions nous sentir ainsi beaucoup beaucoup beaucoup plus légers, beaucoup plus à même d’aller et venir dans la vie, car nous serioons enfin libres, dég&agés, comme libérées dun poids qui ne nous aidait pas vraiment pour déambuler dans la vie ; nous serions ainsi beaucopup plus à ême d’aller et venir n’importe ou, n’importe ou ou nous irions ou n’importe ou ou nous allons, nous sezrions ou bien nous sommes ou serons enfin dégagés de tout ce poids en nous qui nous pesait tant jusque là ; enfin nous allons pouvoir évoluer à notre guise ou disons en étant en fin débarrassé de tout ce fatras de choses que nous pôrtions, qui étaient des choses du passé donc un poids incropyable, une somme, un baluchonb, une cargaison, un coffre, une valise, ou même plusieurs valises, nous étions réellement épuiszés, nous étions à bout et ne pouvions plus avancer comme nous aurions voulu ; et voilà qu à présent nous nous sentons vraiment mieux et pouvons agir de façon beaucoup plvus souple, nous sommes dégagés, nous aghissons comme des êztres enfin dégagés, qui peuvent déambuler d’unev manièrec beaucoup plus facile, beaucoup plus aérieznne aussi, obligatoirement, car nous voilà enfin libéré du poids du passé : nous avons déposé notre barda à l’entrée, à l’entrée de la galerie d’art contemporain ou alors à l’entrée de la grotte préhiostorique, peu importe car ce qui compte à présent c’est cette chose que nous venons de faire, cette chose de nous libérer de ce barda que nous portions jusque là à bout de bras, eh bien à présent nous sommes libérés de cette charge, nbous sommes et nous sentons beaucoup plus légers ; njous allons enfin pouvoir nous promener tranquillement où que nous voulons sanbs cette cxha rge sur les épaules, enfin libérés, en fin débarrassé de ce poids affreux qui nous cisaillait, ça nous faisaiyt mal, nous en avbions plus qu’assez, njous en avions plus que marre ; à présent nous voilà enfin débarrassé de cetteccharge des ans et des années sur les épaules, ouf, nous voilà mieux, nous voilà enfin soulagés, nous pouvons nous promener d’un pas léger et poser nos piesds sur le sol, marcher quoi, sans tout ce tra lala qui nous faisait du tort tout compte fait ; nous apprécions beaucoup le changement à présent que nous sommes allégés de cette charge affrteuse finalement, car elle nousq c-isaillait, elle nous faisait mal, elle nous rentrait entre les ompolplates, elle nous faisait mal ; nous spmmmes soulagés, nous pouvons envisager l’avenir sous de nouveaux auspices à présent, nous en sommes ravis ; nous pouvons entrer dans une grotte, ou dsansd une galerie (les deux) sans plus nousq souciier de ce poids affreux qui nous rentrait dans la chair et nous aura it fait saigner presque, tant il nous appuyait dessus, il nous rentreait dansla chair ; nous pouvons envisager l’avenir à présent tout autrelment, nous avons envie de voir l’avenir auterement ou disons que nous nous sentons à présent comme pouvant en-visager l’avenir sous de nouveaux auspices, ou sous un autre jour ; nous avons des envies, nous avons envie cde certaines choses, nous nous sentons un peu libérés, un peu beaucoup à présent et du coup nous avons envie de prendre la vie autrement et du coup de nous promener à notre guise, de déambuler autrement, auterement que nous ne le faisioons jusque là avec notre barda sur les épaules ; nous avons envie d’une autree vie et surtout d’un autre style de vie, nous avons envie d’un style de vie tout autre, différent de celui que nous avions jusque là, jusqu’à ce moment qui nous voit enfin comme libérés de tant et tant de soucis qui nous pesaient sur nos épaules ; à présent nous avons envie de voir la vie autrement, d’envisager les choses de la vie sous un nouveau jour, sous un autre jour, nous avons envie de voir les choses de la vie autrement, d’une tout autre manière, nous espérons pouvoir y arriver, car telle est notre ambition ; notre ambition aujourd hui est de voir les choses de la vie tout autrement, notre ambition aujourd hui est de voir les choses autrement, d’envisager la vie autrement, de voir tout de la vie, l’ensemble des choses qui constitue la vie autrement et du coup de repartir d’un nouveau pied, de pouvoir enfin avancezr en se sentant bien, en se sentant un peu plus libre dans la vie pour aller de l’avant, pour gravir les échelonbs ou si-non pour gravir les échelons, sinon cela peutetre pour en avancer dans la réa ;lisation de soi,  en avancer dans la réalisation de c e qu l’on est au plus profond de soi, ezssayer du moins (enfin) d’envisager cette chose, d’en,fin pouvoir trouver un acces quelqueqpart, quelque part c’est à dire dans la vie, pour pouvoir se réaliser, pour pouvoir déployer ce qu e l’on est vraiment, ce que l’on est au fond de soi, ce que l’on est au plus profond de soi ; ce qui serait important aujourd hui pour nous, il me semble, ce seraiit cvette chose , de pouvoir enfin arriver à déployer ses ailes et nous libérer de tous ces carcans qui obstruent le passage ou plutot qui empechent le mouvement de se déployer complètement ; nousavons tant de choses en nous qui nous encombvrent, qui nous empechent de nous déployer, de nous réaliser, de nous cdonner la possibilté d’eztre (vraiment) ce que nous avons en nous ; nous avons tant et tant de choses en nous qui encombrent le paysage ; nous avons envie de pouvoir enfin nous déployer,, c’est à dire déployer nos ailes (nos petites ailes) et aller de l’avant dans notre vie , sans nous sentir gênés outremesure, sans nous sentir bloqués, contenus ou retenus, sans nous sentir freinés dans tous nos élans ; nous voulons aller de l’avant en toute candeur, en douceur et sa ns trop d’entraves, surtout ça, c’eswt cela que nous voulons ; nous avons cet espoir de pouvoir enfin nous déployer et aller plus loin sur notre chemin sans nbous sentir freinés en, permanence par des choses qui viendraient se metttre en trav ers de nbous, comme des barres, commes des freins qui nous empêcheraient d’avancer ghentiment ; car nbotrte volonté première est d’avancer gentiment sur notre chemin, notrte volonté est d’a vancer sans faire de vagues, nous abvons -envie d’avancezr sans faire de vagues, sans randam, nousq avons envie d’avancer gentiment, sans nous faire remarquer plus que ça, sans nous faire repérer ; ous voulons avancer sur notree chemin sans nous faire remarquezr plus qu il n’en faut ; nous voulons avancer gentiment sur notre chemin, nous voulons avancer le plus gentiment possible, notre souhait (notree désir) est d’avancer dans notre vie le plus gentiment possible et cx’est tout ; nous ne voulons pas faire auterement, njous voulons etre tranquilles dans notre vie, nous voulons aller gentiment par le monde et nous promener si besoin sans faire de raffut ou sans encombre, sans empechement qui viendraient nous foutre en l’air ou bien sans empechement qui viendraient se placer en travers de notre chemin et quyi mettraient un terme à notre xdéambulation ; non, ce n’est pas ce que nous vouklons ; nous, ce que nous vbpulons, eh bien ce n(‘est pas cette chose ; njous, ce que nous voulons, cx’est autre chose ; cze que nous voulons , nous, c’est de pouvoir déambuler autrement, sans entrva, sans gêne, sa ns souci outreemesure, sans réel souci qui mettrait un terme à notre action  de vie ; njous ce que nous voulons c’est de pouvoir nous promener hentiment dans la campagne ou n’importe où et ainsi d’aller et venir à notrte guise, au gré des chemins etc ; ce qui nous plait le plus , à nous, c’estr de pouvoir aller et venir sans etre importunés par qui que ce soi ou quoi que ce soit ; nous voulons nous sentir libre de nos choix, libres de ce que nous avons envie d’entreprendre ou disons le plus libres possible, dans la mesure de ce quui est autoirisés bien sur, dans la limite de ce que la loi des hommes autorise, oui bien sur, mais cependant, nous ne voulons pas nous sentir entravés plus qu il n’en faut ; nous voulons en avancer, nous voulons aller de l’avant, jous voulons progresser, nous voulons faire du chemin et profiter le plkyus possible de ,notre temps c’est à dire dsu temps que nousq avons à vivre ; notre idée à nous est d’employer le temps de la vie le plus possible pour nous réaliser c’est à dire pour aller jusqu’au bout de ce que nous pouvons etre, jusqu’au bout de ce que nous avons en nous, que nous portons en nous, et que nous aimerions pouvoir, de notre vivant (a$vant qu il ne soit trop tartds) dépl ;oyer ; tout ce que nous portons en nous et que nous pourrions déployeyer ; tout ce que nous portons en nous, que nous pourrions délpoyer dfu temps de notre vivant, eh bien tout cela nousq aimerions pouvoir le mettre sure le devant, nous aimerions pouvoir y donner jour, nous aimerions pouvoir déployer nos ailes jusqu’au bout, nous aimerions pouvoir nous réaliser en tant que nouys sommes des etyress humains qui avons des ail:es à déployer, en tant que nous avons des ailes (façon de parler) à déployer toout du long, tout du long de notre vie ; jous avons des ailes à déployer et nous aimerions pouvoir le faire du temps où nous sommes en vie (encore en vie) c’est à dire avant qu il ne soit trop tatrrd ; njous avons des ailes à dépl ;oyer et notrte envie est de les dép^loyer du temps de notre vivant et cette chosex passe par uun sentiment, soit pâr le sentiment de nous sentir bien, de nous sentir bien à notrte place, enfin à njotre place, enfin libéré d’un cxarcan ; pour nous déployer du temps de nbotre vivant nous avons besoin de nous sentir bien, nous avons besoin de nous sentir enfin comme qui dirait à notrte place, comme qsui dirait à sa place, njous avons besoin de nous sentir bien dsa ns la vie c’est à dire situé (nous -mêmes) à un endroit du monde qui nous sermbvle nous convenir, qui nous parait pouvoir nous convenir soit nous aller pour une possible extension de nos ailes, pour un possible déploiement de l’ensemvlbe de nos ailes, de cete ensemble que constitue chacune de nos ailes, cette chose du délpoiement complet des ailes que nous avons, que nous portons ; njous sommes ail:és, nous portopns des ailes et nous devons essayer le plkyus possible (dfu temps de notre vivant) de les délpoyer, ou d’aariver à les déployer le plus possible, le pklus grandement possible, de toute leutr envergure nous devons, nous avons cette chose à nous mettre en tete pour la vie , cette chose s-d»’essayer le plus possible à chercher à déployer nos ailes le plus possible c’est à dire judsqU’au bout, jusquau plus d’envergure pôssible ; car nous avons des ail:es (fgaçon de parler) poure cela, des ailes pour qu elles soient le plus posdsible ouvertes, des ailes pour cette chose, des ail:es pour enfin pouvoir cette chose, nous avons des ailes (nous portons) pour enfin pouvoir cette chose faire (dans la vie) à savoir les déplier au plus grand de leurs envergure et ainsi faisa nt nous aurons réaliser la xchose entièrement, ainsi faisant , ou ainsi fait, njous pourrons dire alors que nous a vons réussi enfin ce mouvement, cette chose, cette cxhose du délpoiemnent complet, du délpoiement total des ailes que nous portons ; si nous arrivons (du temps de notre vivant) à comp^lètement (entièrement) d»épl ;oyezr nos ailes alors nous pourrons dire cette chose comme quoi nous avons enfin réussi la chose, nous nous sommesq réalisé ou bien nous avons réalisé entiè!rement ce pour quoi nos ai ;les éta ient en nous, ou pour nous ; nous avons réalisé complèitement cette chose qui en nouis était comme en attente, car nous pouvons nous dire cette chose sans trop nous tromper sans doute, nous pouvons nous dire cette chsose, que si nous avons (sommes porteurs) des ailes  pour nous, en nous, si njous sommes porteurs d’ailes, si nous sommes munis d’ailes, si nbous avons en  njous des ailes à déployer, ce n’estcpas pour ne pas le faire, ce n’est pas pour les garder contre soi et ne pas nous en sezrvir ; si nous avons des ailes en nbous (pour nous) ce n’est pas pour ne pas les ouvrir , ce n’est pas pas pour ne pas ouvrir et déployer icelles ; nous devons nous mettre dans la tête que si nous avons des ailes, si la nature nous a octroyé icelles eh bien ce n’est pas pas pour ne pas nous en servir et tant qu à faire pour ne pas les dép^loyer jusqu au bout de ce qu elles peuvent atteindre commme envergure (au cas par cas) ; nous devons nous mettre cette chose en tête, nous devons comprebndre cette cdhose et nous mezttre ainsi en tete de toujours chercher à déployer le plus possivle l’ensemble de nos ailes respectives, l’ensembvle de ce qui nous constitue en tant qu ‘être humain sur cette terre, cx’eswtçà dire tout cve que nous avons en n ous qui puiisse etre (dune manière ou d’une autr) etre déployé du temps de notre vivant (de notre vie sur terere) ; nous avon s des ailes ? eh bien déployons les : jouons le jeu ; qu avons nousq d’autre à faire sur terre que de faire ces choses, que de jouer le jeu pour lequel il sembla-erait que nous ayons été conçu, que pouvons-nbous faire d’autre ? nous avons des ailesx: déployons les et le tout ou tout le reste idem, tout à l’avenant, toutes nos ailes ; tout ce que nous avons en fait d’ailes, etc ; nous avons des ailes ? déployons-les  ; nous avons des ail:es en, nous ? eh bien le mieux que nous avons à faire est de les déployer, de les déployer jusqu’a u bout, n’allons pas contrareier la nature, usons de toutes nos possiblités huamines, dépl ;oyons nos ailes jhusqu’au bout, ne soyons pas chiche de ce que la nature nous a donné, ne soyons pas chiche de tout ce que la nature nous a  octroyé en termes de capacités, nous avons des ailes, nous avons des bras, nous avons des jambes, nous avons des pieds, nous avons une bouche, nous avons des yeux etcx, une langue pour parler etc ; nousavons un corps pour aller de l’avant eh bien allons y ; ne soyons pas chicxhe, allonsq de l’avant, allons devant, avançons nous, allons marcxher sur les chemins, allons nous promener, allons de lm’avant et faisons ainsi usage de tout ce qui  nous constitue en tant qu etre humain ailé etc ; nous sommes formés d’une mnanière particulière, en cela que nous porttons des ailes, a vons des bras, des jambes etc, eh bien allons y, jouons le jeu cde la vcie, nbe soyons pas chiche, avançons, portons nous devant, faisons  ns du chjemin, avançons-nous le plus possible sur notre chemin ou sur ce chemin quyi nous porte et qui est le notrte : chacun a son chemin et chacun a cette chose à faire , d’aller de l’avant le plus possible et le plus loin posssible ; nous avons ce chemin devanbt nous )à parcourir, chacun a devant soi un chemin à parcourir, eh bien à chacun de le parcourir, i lk  l est ainsi que chacun a un chemin qui s’ouyvre davant lui et ce chemin qyui s(‘ouvre est un chemin qui est à parcourir (de fait) pour chacun ; chacun a devant lui un chzemin qui s’ouvre, un cxhemin qui s’ouvre devant lui, une piste, une piste ouverte, nousq avons chacuun un chemin davant nous qui s’ouvre, qui s’ouvre pour nous et nous devons cha cun , tous et toutes autant que nous sommes, devons y aller, nous devons aller, nous devons le parcourir, nous devons emprunter et parcourir ce chemin qui s’ouvre, nous devons arpenter ce chemin qui s’ouvre, nous avons ce chelmin devant nous qui s’ouvre et que nous deevons prendre et arpenter tout du long, nous n’avons pas à tergiverser, njous n’avons pas plus de questions que ça à nous poser, jous devons nous prendre par la main et y aller, et aller ainsi de toute notrte volonté , par ce cxhemin y aller et foncer ; nous devons nous prendre par la main, par la peau des fesses ou par la peau du cul et foncxer, nous n’avons rien d’autre à faire qyue czette chose, nous devons foncer, nous devons y aller, nous n’avons aucune questions à nous poser, quee pourrions nous nous posqer cvomme questions ? quelle question aurion -npus à nous poser en vérité ? ; nous devons nous avancer sur ce chemin de vie ou chemin de la cvie, = sur ce chemin ; nous devons nous poster ainsi, nous devons nous positionner aionsi, bnous devons nous flanquer opu nous mettre ou nous poser ou nous déposer ainsi, nous bn’(avons pas d’a utres possibilités ou d’(autrezs choix que d’aller ainsi nous positionner sur pareil chemin de vie qUI i est de fait notre chemin de vie à chacun ;  nous avons chacun notre chemin de vie et nous devons agir de cette façon : nous devons le prendre, l’emprunter, nous devons nous positionner le plus podssible sur ce chemin là qui est le notre et tant qu à faire éviter de nous positionner sur le chemin de qUelqu un ds’autre, si tant est que cela sepuisse ; nous devons nous positionner sur un cxhemin c’est à dire sur celui qui est le notrte, sur ce chemin ci qui nous tend les bras et non pas sur ce chemin là qui n’est pas le noptre ; donc : il est important de bien savoitr distyinguer les différents chemins qui s’offrent à nous ; il est tres important , il est même capital de bien savoir dsisqtinguer les différents chemins qui peuvent s(‘ouvcrir devant nous, il ersqt i:mportant de savioir disqtinguer parm:i tous ces chemins celuyi qui est poure nous et celui quin n’est pas pour nous ; celuyi qyui est pour nous de celui qui ne nous irait pas et qui de cefait ne nous concerne pas ; le chemin qui nous concerne de celui qui ne nous concxertne pas ca r il ne nous va pas, il n’es

t pads le bon, il ne nous conviendrait pas si jamais nous vouulions l’empunter  ; car il y a des chemins qiui nous vont bien , et d’aiutres qui ne nbous vont pas, qUui ne nous sont pas adaptés ; il y a des chemins qui nous sont adaptés et d’a utres chemins (debva nt nous) qui ne le sont pas, qui n’iraient ni à notre teint ni à quoi que ce soit d’autre venant de nous ; nous avons un chemin (un seul) pour nous et à njous de le découvrir, de le trouver au fur et à mesure ; nous avons un chemin pour nous, un seul chemin qui nous est destiné, et c’est à nous qu il incombe de le découvrir, de le trouver ; nous avons pour nous un chemin un seul, et à nous de  le découvrir, de le trouver parmi l’ensemvble des chemins possibles ; il nous incombe à nous de trouver le chemin, le notrte, celui là et pas un autre, celui là seul qui puisse convenir à notre teint et à tout ce qui nous constitue en tant que nous sommes des etres humains ; nous avons cette chosex à faire, nous avons à faire cette chose : deép ;loyer les ailes ; nous avons une chose à faire et cette chose esqt de chercher , au plus que nous puissions et dfu temps de notrte vivant, cette cxhose de cxhercher à toujours plus dép^l ;oyer ses ailes, toujours au plus que nous pouvons ou puissions, chercher à davantage toujours déployer, de fgaçon à serealiser ou à réaliser ce pour quoi nos ail:es sont faites : voilà ce qu il nbous incombe de faire : treouver le chemin et déployezr les ailes ; voilà ce que nous avons de p ;lus urgent à faire : dépl ;oyerles ailes, dép ;loyer les ailes et trouver le bon chemin de déploiement, car c’est de cela qu il s’agit, nous devons trouver le chemin qui convien t à un délpoiement d’(ailes qui soit correct, à un dép^l ;oiement d’ailes correct, à un déploiementr de nos aioles en bonne et due forme ; nous devonsq trouver le bon chemin pour un bon dép ;oiement des ailes, un dépl ;oiement correct cf’est à dire complet ; nous devpons trouver ce chemin pour nous, pour un déploiement d’ailes complezt, afin de pouvoir (ce faisant ou se trouvant ?) d»éployer nos ailes le plus possible en vue d’un envol ; nous devons trouver  le chemin c’est à dire la piste d’envol ; nous avons cette chose à faire et cette chosqe est celle ci : de chercher la piste ; car qui dit envol dit piste ; nous devons trouver la piste d’envol, nous devopns chercher et trouver la piste d’envol, voilà ce que nous avons à faire ; n,ous avonsà faire cette cxhose ; nous avbons une chose à faire et cette chose est celle ci et non pas une autre en l’okoccurrence, sur ce chemin, sur cette piste, trouver cecxhemin, trouver la piste, voilà ce quil nous in combe de faire ; trouver le xhemin sur le chemin , trouver la piste sur la piste ; nous devons trouver le chemin sur le chemin et nous devons trouver la piste sur la piste ; nous avons cette chose à faire aujourd hui ;

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30/03/2020

nous ouvrons en grand nos mirettes, nous faisons du mieux que nous pouvons, nous ouvrons en tres grand nos mirettes, nous les ouvrons le plus possiblke, nous voulons écarteler nos mirettes, nous voulons ouvrir en tres grand, le plus possible, élargir le plus possible, faire aoinsi que nous ayons en nous de quoi voir au plus possible, au plus grand et au plus profond possible et au mieux possible etc : nous vboulons d'une lucidité maximale, nous cherchons une lucidité la plus grande, soit une intelligence la plus large, la plus fine, la plus décveloppée ; nous voulons voir au mieux et au plus juste, nous voulons voir la vérité au plus juste, au plus mieux, au mieux du plus possible, cette chose devant nous, ce tapis volant de la réalité fuyante, flottante, sous nos yeux : nous checghons à développer une intelligence des choses à comprendre ; nous voulons du judicfieux, nous voulons une vision juste et profonde, nous voulons un écarquillement des mirettes, nous voulons écarquiller le plus possible les mireettes et voir au mieux les chgoses du tapis volant, notre ambition, notre volonté, notre souhait, nptre inclinaison, notre inclination, notre pente, notre désir, nbotre envie, notre souhait, notree travail etc, est (son() de comprendre les choses du tapis volant, sont ou est, est ou sont, d’écarter les paupières et de voir profond = intelligemment = le plus possible, le mieux possible, le plus profondément, lucidement possible , éclairer le plus possible, comprendre le plus possibles les arcanes, fouiller les recoibns, avoir une vision large, la plus étendue pôssible, ; avoir du monde du devant de soi la vision la plus fine possible, la plus juste possible, la plus intelligente possible c’est à dire la plus éclairée possible, c’est à dire la plus regardante possible, c’est à dire la vision soit la compréhension la plus englobante possible, soit qui prend dans son giron le plus de choses possibles, le plus de paramètres possibles, le plus de détails etc et de mises en lien des choses du tapis, etc ; nous voulons etre de ces hommes ou de ces femmes qui voient loin et mieux, qui sont fotrts et fortes, qui en imposent par leur vision large, qui ont des mirettes qui voient loinb et profond, qui sont des qui voient mieux, qui englobent, qui embrasse,nt, qui ouvrent en grand les mirettes, qui les oiuvrent le plus qu ils ou qu elles peuvent : ils et elles ont un pouvoir de compréhension (de prise) considérable, qui sort des normes  ; ils et elles peuvent voir longftemps, bveaucoup, finement, intelligemment, fortichement kle tapis devant ; ils sont fortiches et elles sont fortiches ; ils et elles sont fortds, ce sont des gens intellifgents, qui brillent par leur finesse, par leur pouvoir de compréhension, par leur façon de pouvoir comprendre, de prendre devant eux, par une façon qu ils ont ou qu elles ont de faire, de tisser des liens à paretir des données brutes, des objets de dépots, des choses déposées sur tapis, sur ce devant de soi tissé ; ils et elles sont intelligents et intelligezntes, sont sur cette chose de l’intelligence maximale, de cette sorte d’intelligence au taquet, ils sont, elles sont ; ils sont et elles sont, nous les envions ; nous n’avons pas de ces mirettes qu il serait nécessaire d’avoir pour soi afin de voir loin et mieux les choses du monde (comme eux) ; nous sommes malvoyants, nous sommes idiots ; nous sommes de pauvres personnes non tres fine ni intelligentes, nous voyons peu et mal (ce que nous voyonsz) ; à peine si nous distinguons devant nous le devant de nous : tapis vole ; nous voulonbs bien, nous serions ravi de mieux voir, d’être des qui seraient des intelligences, des têtes, mais rien de cela, notre vision est bête, ânonne, et est retardée et embrumée, non pure, elle est (notrte vision) embrouillé et a tendance à répezter (ânonnner) des chgoses ionculquées et cela , sans prebndre le moindre recul qui lui permettrait, qui nous permettrait de mieux voir, avec plus de précision et d’intaelligence( de clarté) ce qui trone (le roi) devant nous, soit le réel, real, cette chose qui trone et que nous voyons devant nous, comme une sorte de tapis volant à hauteur de la ceinture ; nousq voyons ce tapis, mais notre intellifgence est limité et tourne à vide et fait pitéié, notree intelligence est triste , en cela qu zelle est limitée, qu elle est naive, en cela qu elle n’est que naive etc ; nous avons sur ce tapis une vue directe et cependant sous le tapis, sous ce tapis volant, qu iy a til dessous, qu y a tr il sous ce tapis volant, qu est ce qui se trame dessous, et dessus on voit des motifs, on voit des desseeins, de l’arty en branche etc, nous voyons dessus des volutes, des frrises, des arabesques etc, des choses animalières etc, nous voyons toutes ces choses flottantes, qui bougent avec la lumière, toutes ces choses qui bougent et sembleznt (du même coup) vraies ou tout comme , ainsi de suite ; nous les voyons, nous voyons ces choses flotter, nous voyons qu il s’agit de choses qui bougent sous l’effet de l(air porteur (souffle dessous) ou bien sous l’effet de la luymière (changeante) etc, il s’ensuit que nous sommes comme si, par extraordinaire, le tapis de la realidad volait devant nous (bel et bien) ; nous le regardons, nous voyons que nous sommes bnêtes ; nouys sommes tres betes même, nous pensons de s choses et ces choses nous vienneznt ainsi en nous, dans nos tetes réduites (réduction) qui ne peuvent réellement y piper grand chose car ici cette cghose que nous n’avons pas (mirettes de précision) et qui des lors nous manque, pour ce faire, bien cruellement, bien bien ; bien nous man,que bien évidemment, de quoi mirer loin , soit avec une grande intelligence de vue, de comp^réhension, de finesse, et de vista ; de vista surtout, cette intelligence, cette finesse, cette luciditgé, cetee capavcité de compréhension cdes choses, cette grande ^propênsion à faire des liens entre les éléments disséminés du monde, etc ; nous ne sommes pas bien munis, nbous sommes mal armés, nous ne sommes pas bien achalandés, nous sommes limités, nous ne somùmes pas ouytillés suffisammenrt, nous sommes mal outillés, nous sommses pâuvres hères, pauvre d’esprit, pauvreté en la matière, nous sommes couilloons, tout chose, sortant de l’oeuf, comme sortant de l’oeuf, comme natifs, comme nouvellement apparus sur terre, comme des qui nouvellement subitement viennent au monde : naissent à la lumière ; nous naissons, nous sommes natifs, nous sommes naissants ; nous venons de naitre, nous venons d’advenir, nous avons des yeux pour voir, des yeiux pour comprendre, pour distinguer, pour faire un tri parmii les choses (du réel) proposées, etc : nous faisons le tri, nous voyons le tout, npous voyons un tout, nous sommes sous une lumièree ; nous voyons des choses autour de nous, nous sommes des bébés qui voyons ces choses, nous sommes des bébés qui faisons areu, nous disons nottre areu devant le monde réel qii nous entoure (encercle)  ; nous voyons ce monde, autour de nous, comme depuis une sorte de tapis volant sur lequel nous auriuons deéposé nos frusques, nos choses, nos présents, notre temps présent, nottre moment de vie sur terre, notre temps de vie ; il s’agit de cette chose que nous déposons, et cette choses est art , est-elle art , est ce cela ? peut on parler d’art à cet endroit ? nous ne savpons pas , ou plutot : npous disons que nous ne savons pas ; nous aimerions sqa voir des choses, nous serions tres interessés par le fait d’etre en capacité de comprendre et de parler ainsi, de toutes ces choses comprises, avec une voix dite d’intelligence , avec cette voie de l’intelligzence quye nombre de pezrsonnes ont, toutes ces personnes ; il y a des personnes ainsi, qUIi ont une grande intelligfence en eux, et ces personnes arrivent à dire des choses fines, des choses d’une tres grande finesse et d’une tres grande intelligence sur le monde, sur les choses du monde ; et puis il y en a d’autres qui n’ont pas (ont ils par devers eux ?) cette même intelligence des choses, ; ceux là sont des pauvres d’esprit, ils n’y voiuent pas clair, leur esprit est enfumé, ils ne comprennent pas grand chose de ce qui se trame dans le monde, autour d’eux , etc ; ils sont betes ; iils sont idiots, quelquefois ign ares ; ils ne connaissent pas grand chose ( ?) ou bien s ils connaissent des choses , ces choses ne sont pas bien explor»ées , dans  le sens où ils ne tissent pas vraiment des lmiens entre les différentes choses en eux (leur savoir) qu ils poss-èdent en propre etc ; ce sont des pouilleux en esprit ; poussières, sont des pauvres ; ils sont pauvres, ils ne sont pas riches, ils n’ont pas de ces richeessses de pe,nsée que certainbs philosophes etc ont, sur le monde, sur les sujets du mondeetc ; ils sont pouilleux, ils sont tout merdeux, ils sont tout cons, ils sont tout misérables, tout couillons de la lune : obtus et ébahis : natifs -naifs, ils n’y pipent quoi, ils n’y pipent rien, ils y pipent mais quoi ils pipent ? ils pipent peu ou non ? ils pipent mais personne (?) ne le sait, ou comment ? s ils pipent ils pipent d’une façon que, à première vue , on ne le dirait pas, ou pas francxhement, est ce cela ?  ; nous n’y pipons rien ou peu ou mieux ? qui sait, qui le sait ? ; nous voyons tapis qui vole devant nous, et nous : nous ne sa vons pas vraiment où nous situer ? faisonbs nous partie du tapis ? ce tapis nous comprensd il ? sommes nous comme faisant partie du tapis ? qu en est il de la compréhensuion, de la prise ? que pensons nous de cette compréhension tapiesque, que penserr de ce tapis qui prend, qui en globe, qui porte, qui tient ? nous sommes (notre temps de vie) sur le tapisq, ou plutot : nous sommes en tant que présent (obole) sur tapis , mais non point complètement : nous donnons notre tezmps de vie sur tapis : poszé, déposé, couché etc ; nous donnons notrte temps de vie sur ce tapis : nous donnons notre temps de vie, nous le déposons comme une bete morte sur table, ou sur tapis ; nous déposons ce lapin, ce faisan, cette palombe, ce renard, cette chose morte, sur le tapis, nous donnons nottre temps de vie , nous le donnons sur ce tapis, nous sommes en tant que présent (don) sur le tapis, et ainsi nouds pouvons dire que oui : nous sommes (en partie) sur le tapis ; nous sommes (en partie) sur ce tapis du temps réel, du monde des rtéalités, de cette royauté tronante devant soi, cette chose devant = ce trone = ce siège = ce fauteeuiol de roi ouu de royauté = ce fauteuil de roi ou de pacha, cette chose royale : devant  ; ce présent du monde est pour nous le nottre  ; il s’agit ds’un trone, d’un siege royal ou pontifical : dans nos yeux, cxar nos yeux ont en eux le trone, le siège royal (devant) ou pontifical (devant) : ils l’ont ; ils ont en eudx, il s’a hgit d’une vision «intrinsèque», il s’agit de cette vision incluse, intégrée, en nos mirettes, d’une cghose régnante devant soi et cette chosex  eswt trone, cette chose dfu devant de soi est une sorte de trone en nos yeux qui matent , en nous, un trone qui trone, un siège pontifical, une chose ainsi qui se présqente devant nous (yeuxd) qui voyons ces choses cvomme autants déléments qui  peuvent ainsi etre rapporochés et constituer les morceaux dx’un trone pour un roi défunt, ou pour un quelque cghose au devant , qui erst l’absent, puisqaue seul le trone du real existeetc ; il semblerait quil en soit ainsi , mirettes ; il semblerait que nos mirettes voienbt ainsi, voient cette chose (car : en nos mirettes etc) ; nous voyons cette chose devant, ce tapis volant ou flottant, nous aimons le voir, nous adorons, notre amour pour les tapis flottant ou volant est grand, il est énorme, il est incommeznsurable, il est gigantesque, il est de la taille du monde, nottre amour est ceztte cxhgosec li»ée au regard que nous portons, il est cette chose qui englobe à sa façon : il est une intelligence sans intelligence, ou bien il est une intelligence sans les affres, sans la peine, sa ns les peines de l’intelligence ouvrière, de cette intelligence laborieuse  des intelligents ; nous voyons ce qye nos yeux nous laissent voir et cela est une chose que nous faisons comme (à la fa çon) les en,fants (des enfants) ; comme eucx, comme eux nous faisons : nous faisons comme eux = vccomme les enfants, qui voient ébahis, qui voient boucxhe bée ; nous avons pour nous un pied ici et un pied là , nous sommes comme en porte à faux dans la vie : un pied sur tapis et quoi ou comment aillleurs ? nous parlons avec des mots qui de fait nous trompent ; nous utilisons une langue trompeuse ; nous utilisons des mots qui de fait nous trompent, qui abusent de nous , de nous qui sommes quoi ? qui ne sommes rien ? rien d’autre que cela que nous disons en disant l’abus, la tromperie des mots de la tribu ?  ; nous parlons àç tort et à travers, avec des mots tous de l’intelligence reconnue, ou de l’intelligence entre nous reconnue en tant qsue telle, de cette intelligence de tête, dfe cette intelligence en nous , piteuse, de tête, d’intellect, de cette chosex en nous qui raisonnons et tirons des conclusions ; nous pensons ; nous sommes qui faisons de cette façon et rega rdons le tapis du dev ant comme un tout à déchiffrer , avec des chiffrezx à nous ... qui sont petites chose, qui ne vont pas loin, qui font illusion, <qui fon comme si, comme s’ils pouvaient mais ils peuvent peu, ils en imposent, ils sont dans cette sorte d’imposition dx’un soi ou d’une autorité en soi : qui adjuge, qui certifie (donne certificat) etc : péroraison ; nous disons cette choses à part nous, que les mots nous trompent, les mots sont et ne sont pas nos alliés, nous les regardons de biaisw, comment rehgarder de biais , commùent biaiser ? peut on biaiser ? commen,t faire pôur biaiser ? commenbt biaiser ? qui et quioo biaisent et comment, comment faire ? nous avgons pour ambition de chercher un biais, pour aller icvi sur ce chemin de la chose contournée, ou bien pour quitter l’endroit de cette chose en nous (langue, langage) où nous perdons notre latin , ou ce genre de choses, nous avons pour souci (ambition) de faire cette chose, pour nous  = dépose, ce souci de déposition, ce souci de mise à plat de choses et autres : cette mise à plat existentiezlle serait l’art ou quelque chose d’approchant ? sera ce ? ou bien non ne sera, ou ne sera pâs ? nous aimerions : notre ambition ; ambition, souhait, inclinaison, inclination, pente, souci, exigence ; désir, volonté etc ; vers (du coup) un chemin de traverse ; vers une solution autre ; vers une porte dérobée ? vers un quoi pour nous, qui pourraitb nous renseigner, nous éclairer, nous parler de vive voix, nous dire la vérité, nous dire les choses du monde, nous dire le pourquoi etc des choses du monde  ; nous sommes qui allons ; nous sommes qui cheminons, nous aimons cheminer, en nous est cet amour : il est intrinsèque et il ne se commqande pas, il est ce moteur de joie («gaiement’) en nous et ce moteur de joie est en nous comme une force qui va son allant d’elle même, soit en dehors (vraiment ?) de nottre gouverne personnelle (cap) ; nous disonsq cela ; notre but est donc de faire cela , d’aller ainsi comme porté, bbnous y allons ; nous allons dans le monde comme porté par (en nous) la joie d’aller, au sens de : entrain, cet entreain, cette chose en nous qui va fissa ; fissa ; quii va loin  ; loin , etc ; nous sommes de ces personnes qui faisons des pas, de ces personnes qui faisons pas à pas, qui faoisons des pas, qui allons ; nous marchons vers la terre promise ; nous marcxghons, nous allons ainsi ; nous marchons, nous faisons des pas, nous cherchons, nous cgherchons une entrée de grotte, nous voyons devant nous le monde, le tapis volant, la terre est un tapis volant, nous le savons depuis la nuit des temps, nous connaissons, nous sommes farcis de connaissance, nous allons sur ces chemins du monde, chemins de biais, de biaisage ; nous les arpentons ; nous voulons déposer des choses, déposons des choses = art ; notre ambition (art) est d’aller à dépose de choses (art) ; nous déposons (art) du temps de vie (présent), et ce temps de vie sur tapis volant (la terre) est un temps qui est comme cde l’art en branche, en baton ; comme un art que nous faisons, du temps de notre v ivant ; nous faidsons , nous faisons du temps, nous faisons ; nous faisons, nous disons, nous calibrons, nous confectionnons (vivants) du temps de dépose, du temps (présent ) qui est temps offertt, qui est don pour une entité, qui est dfon de soi, cet art en branche, cxet art au kilo:mètre etc ; notre ambit§ion, il s’agit d’une ambition, le critère est l’ambition, soit l ;’envie, c’est à dire ce fait de vie en soi, ce fait d’etre en vie, de vouloir se sentir ainsi, en tant que nous sommes en vie le plus ; nous allons ainsi et faisons, et portons voire prêchons : le prêche, la leçon , le cours, le magister, et le professeur, cette autorité qui parle, ces mots sortis de swa bouche, ce pl ;at, cette présentation langagière à plat, sur un plateau, sur une soucoupe ; nous y allons ; nous voudriobns comprendre mais il s’avère que : nous n’y comprenons que ... quoi ? nous ne comprenons que peu ; nous sommes des qui, des qui n’y pipent, des qsui peu y pipent ; nous sommes légers (a llégés) d’avoir déposé no tre vie d’allant (temps de vie) sur le tapis, sur ce tapis, cette chose du  tapis et ce temps de vie déposé, ce temps dépôsé, cette chose d’un temps (le notre) déposé ; nous le mettons, nous le msttons à plat, délicate ment et soigneusemnet ; nous avons notre temps de vie à offrir sur tapis du monde , nous le faisons ; ce tempsq de vie est cet art, est l’art, art en bato, en battonnet ; l’art est ce temps, cet art est du temps, cet art d’aller à dépose d’un art, de cette sorte d’art, de cette chose del’art ou d’un a rt, nous avons un art , ou deux arts, nous abvons des branches, nous avons des bouts, des morceaux, des morceaux de choses = des bouts, des morceaux comme des bouts de choses ; ces bouts nous les déposons (le temps présents) et ainsi nous confz-ectionnons (ainsi faisant) une chosexplusd grande (tapis) quyi cdevient une oeuvre vive ; nous confzectionnons une chose vive, cette chose est un art du faire, ou bien un art de malfaire soit un art du faire tout de m^eme, il s’agit d’une branche, d’un bout d’a rbre etc ; nous y allons ; nous déposons des branches, nous les agençons sur le sol, la place, le tapiis, etc ; nous disposons tout cela consciensiuesement concomittament, nous déposons et disposons avec sélection, avec un souci, bbnous disposons avec le souci du faire, nous déposons des choses (vie) que nous alignons disposons déposons confectionnons ; nous aimons ; nouds faisons ; notre soouci du faire est réel ; nous aimons ce faire, cette chose d’aller à dépose, de confectionner co nsciencieusemenbt, à plat, sur un tapis volant ;: nous déposons nos choses, notre art (noos branches, nos vrilles, nos façons chantournées de dire, nos dires chantournés, plus ou moins chantourné, nods dires chantournbés ou pas ou oui , chantournés quoi q u il en soit) ; nous = nous qui ; n,ous disons, nous disons chantourné, nouys disons le mot chantourné et cela demande une petite expl ;icva tion ; nous disons le mot chantourné et cela demande ici une explication ; le mot qsue nous employons est celui là, est ce mot de «chantourné» et c e mot ici nous oblige à vous donner un sembvlant d’explicartion ; il s’aghit d’un mot pareticulier ici , c’ewst à dire d’un mot choisi à dessein ; il s’agit d’un mot qui renvoie aux vrilles de la vigne, etc., à ce mouvement que fait lma nature dans sa floraison temporelle, dan s ses mutations grainetières, dans son évolution xsaisonni!ère, dans ses agissements de sous bois en sous main etc ; nous avons pour nous la vrille ici, la vrille l’emporte, la vrille est princeps ; il en est ainsi ; nous y allons ainsi ; notre but ici est cette chose, de faire, à savoir la vrille ; nous aimons la vrille, nous voulons la vrille, nous l’adorons,  car : elle est en nous, nous sommùes la vrille, nous sommes ce chantourenement en  nous meêms de la vie allant ; de la vie allant son chemin de vie saisonnier ; nous y allons, et ce chantournement de l’allant de vie est cet art que nous déposons : des ares ; une façon de poser des ares ... en attendant la somme  complète ; des ares ; art, brancxhes, cette choses chantournée, nous faisons cette chose, nous faisons une choses qui est (serait) chantournée comme le mouvement (l’en-soi) de la vie qui va, qui va saisonnière etc ; nous avons pour nous ce savoir en n ous d’un chantourtnement des cxhoses sortant de nos mains, de notre tête, de notre existence ; nous pouvons ainsi faire cette chose d’un dépot de soi (temps) sur tapis volant : vol ; nous aimons des lors l:e chantournement : vrille (lloopings) de la vigne, etc ; nous avons ain,si ici une petite pârt cde nous qui part en fumée mais cependant , le gros de nous reste vivant ; pis-aller, vrille pour un don de soi temporaire, et temporel ; nous déposons un peu de npous, c hantourné, cette choses est chantournée, qui ne dépose ? ; qui au monde ne dépose pas ? qui est  celui ou celle qui ne le fait pas, qui ne fait pas cette chose, d’un dépot de soi (son temps de v ie) sur tapis volant : terre ferme, qui ? qui ne fait pas (au monde) cette chose et qui des lors ne sezrait pas considéré comme un artiste, comme pour certains (d’aucuns etc) qui eux, tout au contraire, sont considérés en tant que tel , car leurs c hantournements est spectaculairs etc, qui ? qui ne peut, qui n’e’st pas, qui est dit comme n’étant pa s, qui ne le fait ? quyi ne fait pas chantournement en étant en vie sur terre, en l’étant ? qui ne le ? qui peut pas ? qui ne peut ? qui ne le veut ou peut ? car ainsi vivant, le quidam ewt là qui agit, qui marche et chantourne, et tourne et vrille, etc, et cela est son oeuvre tout autant, tout autant que des oeuvres des autres, que l’oeuvre d’ un autre, d un quelconqsue autre qui lui, tout a l’inverse, etc, sera montré d’une manière et monté, et mis sur socle et détaillé d’une façon spectaculaire et non privée : ainsi fait ; nous le voyons et voyons ces choses ainsi ; nous avançons sur un chemin ardu, ilm est le chemin d’une vie, il est chemin de vie, il s’agit du chemin d’une vie, il s’agit du chemin (vrille) de vie qui est un chemin de vrilles , de bifurcartionbs, de replis et de plis, etc = chantournements = art de vivre (?) ou bien a rt en branche : voyez ; nous allons sur ce chemin, nous sommes sur (?) en partie , sur tapios volant, sur ce tapis, nous sommes en partie sur ; nous sommes sur tapis volant (aladin)  ; nous sommes aladin , sur tapios volant, njous sommes des alaxdins sur des tapios volant, tapis volant qui nous soutient, contient, qui est le notre ; nous voulonsd faire cette xcghoses du chantournement d’un e vie allant ou durant§ ; nous aimonqs ainsi faire ; nous a vançons sur vce chemin qui va de là (point) à là (point) : nous a imonsz, nous faisons ; notre souci est de trouver cette sorte de chantournement parallèle ou comment nous exprimer ici ; la question ici, nous espérons ; nous espérons faire de la sorte parallèle, notre ambtiioon est de faire en parallele, en sorte de, en sorte de vie vrille, de vriillage de la vie, faire une sorte de parallèle, de choses en parallèle, de mise en parallèle dans l’esprit, notre souci ; notre souci ici est donc, de faire une sorte de dépot, devant nous, d’une chose à laquelle nous travaillons depuis un long moment ; nous avons ainsi (en nous) des compétences, qui toutes nous permettent d’avancer sur ce chemin, qui nous m,ène , devant nous, à une éternité de temps ou d’esp^rit, une éternité pour le coup visée, et quui , pour nous, serait salutaire ; noptre  vie ainsi serait comme dupliquée (ou comment nous exprimer sur la question ? ) ; notre vie ainsi serait dupliquée, serait comme dupliquée et des lors, notre ambtition serait enfin amenée à terme ; nous voyons cette chose d’une ambition menée à terme, nous voyons cette chose comme en nous l’aiguillon, la pointe première (ce soleil) qui nous permet d’aller de l’avant et de pousuyivre sur notre voie ; nous avons pour nbpous cette chose que nous déposons : ces vrilles, ces chantournements, ce baroque, ce comment, cette chose enfin affichée dans sa forme de vie vrillée, de vie chantournée ; nous l’aimons ainsi = faite et déposée ; nous la déposons, nous = tous ; nous la déposons soit là soit là, nous déposons en divers endsroits, nos cxhoses de vie a&insi ; nous sommes qsui faisons cette chose d’une dépose d’objets sur tapis volant, etc, et cet objet est nottre temps de vie courante ; nous y allons, tel est notre credo de vie, notre credo est celui ci , comme quoi «nous y allons», «y» (ici) est cette chose en nous qui est comme extérieure à nous, qui est notrte extérieur, notre nous extériuer  etc ; nous y allons, nous allons y = nous allons là en faisant ainsi , ici, ensemble, des choses, des  branches, des vrilles , des choses baroques = tordues, vrillées = chantournées, le baroque ixci est constitutionnel et constitutionnellezmen,t instauré en nous, comme la fa(çon  rudimentaire ou élémentaire ou première ou primitive ou même a rchaïque de faire = de faire cet art, d’artfaire ainsi les choses de vie, de faire av ec nos mains, de faire avec nos mains des objets, de confectionner, cde concevoir,n de finaliser, de construire, de batir, d’(organiser etc ; cet archaïsme est donc cette façon d’(allezr, de construire une voie sur uun plan de terre, etc ; sur plan dur, sur planisphère ; nous sommes des qui fa iso,ns a&insi allégeance oui (certainement) mais pas seulement : nous construisons, nous confecxtionnons, nous élaborons (vrilles) des architectures de vie en don de soi sur table d’offrande, oui (certainement) mais pas seulement, pas uniquement sur table, aussi sur tapis, sur bâche, sur sol à même le carrelage ou lke revetement (quel qu il soit) ; nous posons nottre temps de vie sous une forme ou une a utre (vrille) et cette f forme est breloques, cette forme est dépouill, cette forme est une sortie ; une entrée et une sprtie , les deux ; une entrée est toujours une sortie et une sortie est tounjours u ne entrée ; nous entrons dans cet espacve du tapis volant et nous sortons de, eh bien d’un espace que nous laissons derrière nous (comme déjections) ; njous allons fissa, nouys allons fissa, nous allons fissa : fissa est le maitre mot ; nous y allons, «y» est ce mot (cette lettre) qui i ci importe,  : nous : y : allons ; nous allons y, nous sommes tous qui allons y, nous allons à cet endroit, ainsi a llant = y ; njous allons y, vvers un aven,ir, versq destination, verts point à l’horizon, notre en-vie = notrte allant, est ce chantournement plus ou moins spectaculzaire = notre vrille de vie allant, ou notre vrille d’allant en vie  ; nous allons en vie ainsi que nous faisons (art) pour en avancer ; njous y allons, nous sommes sommés, nous n’avons pas d’alternative et ce manque d’alternative fait de nous (tous et toutes) les faiseurts agenceurs de vie (les notres ) en tant que nous en sommes les qui forment , déforment etc = forment, les qui formons, les qui forment des vrilles, des chantournements branchus, etc, qui sont autant de vies (oeuvres) déposées sur une table (tapis) = pl ;an , qui permet dépose, offrande, don, mise à plat du temps de notre vivant, de choses à sauver, loopings ; nous aéimons, nous faisons ; notre envol, notre joie, nous allons gaiement, nous faisonsq ces choses de dépot de soi sur table du temps ou du temps brulé, ou dub temps perdu ; nous déposons tout cela à nos pieds, nbous sommes debout sur le tapis, sur cette sorte de tapis volant qUI esqt  notrte monde alentour, qui est notre QG, notrte quartier, notre alentour de vie contemporaine ; nous nous y aimons ; notre vie est ainsi que nous allons pour le coup par des voies qui permettent le chantounrment plusd ou moins spectacxulaire = public ; il s’agit de plus ou de moins ; notre ambition ; il s’agit d’une a mbition, d’un degré en plus ou en moinsq ; notrezambition est de faire allégeance (en faisanbt offrande) mais pas seulement puisqu’il s’agit aussi d’aller de l’avant, de gagner en pas d’ava ncée, en pas de course, en pas tou court sur cheminb pentu de vie à vivre jusqu’au point de fin de vie, jusquà ce point de fin d’aventure, ce point de final de vie à vivre (brûler)  ; notre vrille ; nos vrilles, nos loopings, etc ; notre vie est cette choses que faisons ensezmble vers là bas qui tend des bras ; et sommes npous pressés ? nous sommes préssés ; nous sommes co:mpressés, nous sommes poussés, nous avançons comme compréssés par cette chose en nbous qui nous pousse (tic tac) à aller (fissa) cde l’avant : nous n’avons pas d’autre choix, nous sommes tenusq, nous sommes condamnés ; notre sort est celyui x’un condamné à mort ; notre sort est celui d’un etre (dun étant) condamné à devoir mourir, ; à devoir passer, à devoir lacher, à devoir cesser et céder et laisser dépouille sur table lavée, qui permezt l’envol des fumées : volutes = vrilles = art = cxhantournemnetsq = tours = loopings etc ; nous avons à faire des choses à donner de nous comme le temps, le temps que nous passons ; nous dxonnons de nous des choses qui sont des sortes de choses chantournées = torsadés : des effets de loopings, des choses tournées, chantournées, vrillées, torsadées = barrocco ; notre ambition, notre souci, nos envies, notre désir, notre pente , notre pente est celle ci : de laisser volutes ou vrilles par devers nous (comme en souvenir de nous) sur table d’offrande : san glier = gros gibier ; nous avons cette ambition (en nous) de donner de nous le (temps) présent en npous qiu est du temps que nous avons à déposer publiquement (en plus ou en moins) sur une table de mixage ; etc, table d’offrande, table de montage, table : sur table ; notree souci est celui ci de donc poser (mettre) et mixer eznsemble (organiser) un montage de choses mortres ; njous donnons des choses mortres ; notre vie est attendue (on l’a vu) mais ce n’est pas elle que nous donnons mais des bouts d’elle pour ainsi dire, partie d’elle , qui n’est pas  exactezment celle attendue par qsui nous savons (muerte) mùais bout d’elle, en cette chose du tempsq, du temps offert, du temps de vie, ce temps passé, ce temps qui est du passé, et  c e temps est donné en lieu et place de :la vie, de la n otre, qui sera bien a ssez tot donnée un de cesq quatre, un de ces 4 matins, la vie (entière) sera donnée, un de ces 4 matins nous aurons à donnezr et nous donnerons, nous aurons à donner et nous le ferons ; un de ces 4 matins il nous sera demandé de donner et nous doonnerons, nous le ferons, nous ferons cette chose, nous la ferons, nous ferons cela : nous donnerons notre vie, nous nous donnereons en vie, nous ferons offran de de notre vie ; nous donnerons notre vie entière, unb de ces 4 matins, un de ces jours  prochains, un de ces jours, un de ces jhouirs prochains nous serons d’accord (?) pour donner notre vie et pas seulement, notre vie et pas seulement le temps, notre vie et pass sezulement de notre vie ce temps passé, ce pâssé, ce pa ssé de nous (passé par nous) qui esr derrière nous (excréments) du temps passé, temps morts, temps perdus du cul etc ; il s’agit de cette chose , et , de cette queswtion des choses tombées, des choses qui sont mortes et qui sont perdues (limbes ?) ; n ous donnons, nous donnons le tempsq, notre tempspassé, brûlés, fichu, sur table, sur un e table de montage = table d’offra de , de collages, d’assemvblage, micxage, montage, assemblages (a ssortiments)  ; etc ;  n,ous montons, nous élevons, vrilles de la vigne ; nous montons ensemble : pièces montées ; nous montons des choses (pièces montées) en vrille, loopin gs, etc sur table ; nous agissons de cette façon, : montage , montrage, montée en épingle d’un temps passzé à dépose ou d’un temps de vie qui est temps passé à dépose = chantournement, vrilles et loopings sur terre, sur ciel, sur support en dur ; nous faisons, nous agissons, nousq confectionnons, nous confectionnons ; etc ; nous avons des mains au temps présent pour aller ainsi à d»épose, à confeeesse et à confection (toutes choses égales)  ; nous faisons aveque nos mains choses de temps mort à devoir déposer sur pierre (table)  ;à même la roche, la froideur , et ce sont des choses chaudes, encore chaudes, voire brûlantes = feus, par nous allumés, nous y (feu) allons ; nottre en-vie, njos en-vies, nos envcies dy a ller : montage, montée, montons, montrons nos montages = vrilles spextaculaires ; notre beau souci est ainsi , de dfaire preuve de :montage, de montrage de montage à pl ;a t ; jnous aimons montrer, ce que le tempsq de vie nottre  est, ou ce dont le temps de  vie  (le notrte ) est rempli, ou ce dont ce temps de vie-mort est riche : riches -heures dun temps de vie entier, en entier, etc ; notre temps de vie-mort est déposé, sur u e pierre, sur une table, devbant nous : la table est la vie, etc ; notre table (assiette) de vie est cet espace (temps espace du même coup) cdevan t nous (à nos pieds) qui est un espace de monstration (en plus ou en moins) soit : white cube (en plus ou en moins white, et en plus ou en moins  cube) : npous agissons dans ce sens, nous confecxtionnons de quoi pouvoir aller à dépose avec ; notre souci majeur (= beau = beauté = esthétique) est de déposert agencé, de déposer confectionné, mixé, avec un soin particulier et cela dit de par la constitution ou la pente qui sont (en nous) les notres ; nous a gençonds ; njous agençons nos bouts de bois, ,nos bouts de choses et a utres, nousq agençons des choses ensembvle sur la table ou squr le tapis : table ou tapis volant, une table est un tapis volant, une table est un tapis qui a quiité le ras du sol, la terre ferme, le p ;lancher desz vaches  ; un e table est un tapis qui s’est pour le coup envolé comme à mi hauteur de nous environ : à peu de chose près ; il s’agit dd fait d»’un tapis volant : une table ewst un tapis volant (= mi hauteur) à quelque xchosexprès  ; il s’agit de chowses équivalentes ; table ou tapis ; corbeille pour(ici) loopingds de choses , vrilles déposées, en guise d’offrande a llouée  ; à qiiu ? entité ; nous sommes des qui faisons offrande : choses allouées ; offfres ; nous ddonnons, nous aimons (obligés : constitution) donnezr alors nous  l;e faisons : vivre = faire ; npoptre ambition préside = vie en nous qui vibre et nous pousse à ainsi en avancer sur chemin tracé ; nous y allons ; notre souhait ; la pente ; la montée en fumée : élé vation,  npous montons ezn fumeé (temps bru^lé = animaux offerts en offrande : nous poussons, nous grandiissons, nous paertons (temps passé) en fumée , semmelles brûlées dx’avoir ma rcxhé ; nous sommes qui alons ainsi à traversq les champs, nous cxherchons l’entrée d’une grotte dans la roche ; notre szouhait ou notre ambition , est de trouverr une sorte d’entreeé , une sorte de porte, à même la roche, porte quyui serait une entrée de grotte ; cette entrée de grotte nous permettrait de pouvoir tous ensemble, autant que nous sommes, nous introduire, nous immiscer , dans cet antrte, dans ce ventre, que constitue, d’une certaine manière, la grotte en ezlle même ; notre souhait est donc de nous introduire (immiscer) à lm’intérieur de cette grotte, découverte par nous, tandsisq que nous nous promenions sur les terres avoisinantes ; njotres désir est ainsi d’entrer et de nous faufiler à tra vers les roches, parmi les dessins d’animaux gra vées ou dessinnés , gravés sur les parois ou simplement dessinés, sur des parois en intérieur de grotte ou de cavernes ; nous sommes entrés dans lma grotte, nous avons fgra nchi le pas, nousq avopns franchi ce pas d’entrer et de nous faufiler en profondeur ; nous regardons à présent les parois et sur celles ci les dessins préhistoriques d’animaux chjassés etc: nous sommes ébahis, nous sommes entrés, nous sommes dans une obscurités naturelles, nous faisons un don, notre temps de vie sera ici déposé ; il y a la vie passée (le temps) que nous déposons , en entrant dans une grotte ; notre vie est une entrée dansu  ne grotte ; nous entrons permanemment, nous entrons dans la nuit puis dans le joiur, puis à nouveau dans la nuit, puis à nouveau dans le jouir puis à nouveau danqs la nuit, puis à nouveau dsa ns le jour ; nbousq sommes dansq la nyyuit de la grotte , et sur les murs : enluminures, en jolivement à ytype d’enluminuires, enluminures autour de la table (le livre) des offrandes ; il y a sur le mur des enluminures qui enjolivent mais pas seulement : pourtours de table (texte, tissus, choses tissées, toile, tableau toiles, tissage, confectiuon, frusque  brûlées, viande, chair, texture etc)  ; nous voyons dans la nyuit de la grotte, à la lumière des torches, des enluminures rupestres (murales) qui sont des sortes de pourtoutrs en action (la flamme vacille et crée des ombres, mouvbements, danses sur paroi) de la cha ndelle centrale ou du feu ; nouys brulons les tissus, nous brulons le tissu charnel, nous nouys consumons au fil (tissu) du temps qui passe ; nous y allons  ; y ; nous sommes ce y qui va là, tissu, sur table-tapis, toile écru, peiunture, laque, choix des bêtes, disposition : mixage ; nous donnons ce que nous avons de plus précieux en magasin hormis la vie (la notre) et par con séquent nous offrons le fil (texte, fil de soie)  dtu temps, d u temps n,otre, le fil de ce temps qui file, va, s’éteint, meurt, aïe ; nous ainsi donnons sorte de fil ; nous le déposqons sur le tapis table ; nous donnon s ces cxhoses ensemble : mixage, montage, assemblage, confection, etc ; ces mises, ces choses mises bout à bout ou autremeznt sur table : création et montage en épingle  fuméée, en fumée montage, etc, de fil de texture, de tissu  fileux ou filandreux : à brûler pour montée, pour élévation ; nous éclairons l’ensemble de la ca vité, jour sur la nuit ; nous éclairons les animaux peints ou gravés sur les parois ; nous avons cette cghose autour de nous en cerclke (litanies) et nous sommes au centre : temps passés consummé ; nous sommes au milieu de la grotte, nous nous situons en son pl ;ein centre , cheminée ; nous brulons sur pierre et l’ensemble du foyer permet dès lors l’éclairage des murs (parois) alentour et la danse des betes comme en vrai : cinéma, similitude, etc ; nous voyons ainsi cette mascarade en a ction, ce déboulement de charges animales, furies, et nos cris à nous : emportements, etc ; nous sommes à genoux ; les animaux déboulent en nombre, troupeaux, ce sont ces mêmes que br^ûlons sur tertre pour dire la chose ; nous la disons, nous aimons, notre amour est cvonstitutionnel : tissu , que nous brûlons : pas à pas ; et nous donnons, nous offrons, nous déversons du sang, des litres, nous offrons, nous offrons du san,gh, de la vie en nous , ce sang qui bat en nous, voici que nous l’offronsq (rouge vif) sur la table (coulure) et nous implorons, nous disons notre mot comme quoi nous ne sommes pas encore mort : quoi lke dit en, n ous ? quoi en nbous dit ce mot ? nos pas ? nos gestes ? quoi dit cette chose ? nous y allons ; notre ampour est de donner ce sang qui pulse ou qui pulsait tantot, ce moment tout pres ; nous donnons et faisons ceztte chose de doonner le sang pulsant, ce sang mort de nous par le temps passé, etc ; jnous voyons lma sarabande sur les murs, nous sommes comme perdus à jamais, nous pleurons et implorons, nous sommes persdus, nous pleurons, nous voulons voir le sang cvouler des betes sur la table, le tapis, la toile de bâche, la toile du chassis, la feuille, le drap, la toile de tente ; nous avons du sang qui coule en nous et pleurons ce sang de bete en nous qui coule, nous avons ezn nous ce sang qui coule , il s’agit de sang animal ; nousqoffronsd du sa,ng animal ; brulure, nous donnons ; nous offrons du sang animal, nous donnons tout ce sang dégoulinant, nous offrons tout ce sa ng dégoulin ant sur peire de taille, il pisse dru, il erst rouge vif, il est en nbous qui pulse en npous, qui vza pulsant en nous, qui est nôtre de pulsation vive, sacca dé, morcellement du temps qui file son fil, brulure, estompe, mort au compte goutte, sang perdu et larmes : notre allant de vie présente ; au coup par coup = au compte goutte ; nous pleurons implorons crions hurlons nos injures, nous crions hurlonds nos injures, nous disons que cela suffit, que c’est marre, il suffit, stop, nous disons stop, nous hurlons notre désaccord, nous donnons des vies de bêtes, nous hurlons p^leurons, nous donnons, donnons des vies de betes moertes, cela est étrange : nous offrons des vies mortes, commen t exprimer la chose, cette choses que nous sommes à donner des vies qui sont mortes, des vies non point en vie mais mortes, ou des morts de vie, ou comment exprimer notre embarras , comment ne pas exprimer notre embarras, cvomment outrepa sser npotre embarras , comment ? ; nous soulevons l’offrande et la montron s haut, entre nos mains, au pls haut possible ; brulure des ma ins ; nous pleurons et implorons ; nous sommes plusieures autour de la table, nous sommes une chiée ; nous sommes nombreux, nous hurlons ensemble, nous injurions, nous disons les mots les plus violents qUe nous connaiisqsons, les plus violents, les plus sales, les plus injurieux, les plus gras ou vulgaires ou gros ou osés etc ; les mots les plus vifs, les plus gras, les plus gros, les plus injurieux, injures, p^rofanations, mots des injhures à l’enconfttre de quelqUN ou quelque chose ; les injures :  merde, putaion, saloperie, pute, pute borgne, sa leté de salissure, salope et saloperie, enculage, enculé de pute , salae pute et sale putain, putasse, groosse putasse, espèce de groosse pute ou de grosse putasse, saleté de groosse merde, putasserie existezntielle, grosse putasse, groqs cul, grosse bite, grosse merde à couille, couillasse, grosse couille de merde, putasse de merde, grosse putasse de mes deux, grosse putassière, enculage de merde, qaueue sal, queue merdeiuse, queue toute f,létrie de merde puante, bitye à cul, grosse sa&lope mertdeuse, gtrosse pute à merde ; saleté de salope ; pute à bnouffer du cul ; bouche à bite, bouche à merde, bouche à) queue, chatte putasse, chatte à merde, chartte à queue de merde, grosse enculée, encxulée de mes deux deuix, couillasse à foutre à quatre, bite à pisse, cul de merde, cul de saleté merdeuse, cul sale, cul poilu merdeux, cul plein, cul troué, cul décxhiré, gros cul de merde, enculée de mes deux putes, put à cul de merde, putasdse chiennassse, couillasse merdeuse, merd à battre, merdeuse, merdeux, pute redoublée, pute à merde en brancxhe ; pute et repute ; putasse ; pute à foutre ; foutre à merde ; mélange ; sucrerie, soulèvement, hosannah au pl ;us haut des cieux, nous donnons, nous offrons, nous élevons, nous donnons au ciel, à bout de bras, la cxghose bbrul»ée encore sa ignante = le temps, de notre vivant  = le temps de npotre vivant, ainsi offert : hauteur, bout de bras, implore, imploration, imp^lorement, pleurs, ploraison, ploration , nous implorons, saleté dfe merde, sang de merde, saleté de sang pissant, pissure, pissadou, coulure, écoulement de sang sur la table d’offrande ou tapis volant ; il s’agit ainsi d’une nappe, d’un plan dur et plan, il s’agit d’un support propre, une surface de déposition, un espace d’exposition :  pute, bite, merde, salope, connasse, pisse, chierie etc, sur une table, sur une toile, sur un caisson, ou dans un caisson, à même le mur : des injures, des insanités, des mots ainsi prononcés qui sont mots vulgaires au plud haut point ou dits vulgaires  ; nous dsisons vulgaires, des mots les plus sales nous disons ; nous disonsq les mots les plus sales , sur toile, sur chassi, sur bâche, sur support  diversq ; nous proférons, nous prononçons, nous y allons, nous n’avons pas froid aux yeux, nous hurlons nos mots les plus sales, nous disons des insanités, les mots les plus cochons, sales, mauvais, les mots du mal, les mots du mal dire, du maudire, les mals mots du dire salace, des dires de merde, les saletés dans le dire mal, les putasseries du langagr-e grras: gros mots, les pires gros mots, le plus en la matière ; nous disons les lmots les plus sales et mettons ainsi au plus ce que portons entre nos mains ; nous mettons cette chose haute, avec des mots sales (hot) chauds, salement dits, hurlés, connement, des putasseries de merfde ; nous les disonsq, nous prononçons, nous disons nos putasseries en bord de ta ble ; nous disons les mots les plus sales, nous faisons saigner la bete, njous crions et nous hurlons, les injures sont les mots violents, l’injure est première, le juron est fondateur, le trou dfu cul, la salope, une putasse, une vraie putasse, une vraie salope, uun gros salopard, une merde ambbiante, un cul de merde, un salaud qsui pue, une pisse, la merde au cul, une sa lope la merde au cul, une grosse salope la merde au cul, cette putasse, cette merdouille, cette saleté de putasse de merde, ce connard fini, cette chienne dessinée, sur paroi, tout pres de nous, ce chacal, ce bison, cette vache, cet animal qui bouge et rue dans les brancardss, à la lumière du feu de joie sur la table d’offran,de , sur le ta pis volant ou la table d’offrande ; nous pissons chioons en cxhoeur, nous hurlons avec les loups pêints sur les pa rois, nous hurlons nos injures salaces ; nous voulons ces injures en nous, nous voulons le plus haut degré de sa laceries, nousq voulons le plus chaud du cul  ; nous voulons le pire, la butée, la cognée, les limites, lm’expéreince des limites, le cri, la transe, la putasserie des flammesq, nous puons, nous sommes salis du sang pissant des betes mortes, déposées sur table, soulevées, pissant sur nous, dégoulinantes, sur nos épaules, sur nos bra s, sur notree visage, sur nos chevezux, sur notre torse, sur notre entrejambe, sur nos jambes et sur nos pieds ; nous pataugeons dans le sang ; nopus sommes salis, souillés, honteuxw, vivants, sous une coucxhe de sa ng salissant ; nous sommes vivants , nous ne sommes pas morts ; njous offron s ce qu avons en nbous de pire (force) à offrir, cette limite de soi vivante (avant la mort) ; le pire en nous de vie préceédant la mort , le pire en nous juste à précéder la mort ou qui juste se tieznt là, avant, juste avant, dans cette chose d’une limite, d’une extreémité ; nous injurions, nous essayons d’atteindre la limite, la limite avant que la chose en nous-même bascule , basculasse, avant qu en nous la xchose (de vie mort) basculasse en plein, comme une putasse de vie de merde, comme putasserie de vie fuyante ; l’expérience des limites d’un langage charrié vers des tas de choses entassés, verrs tas de merde entassée, vers cette cgose d’une merdouille, d’une déjection, d’un hosannah,  d’une élévation vers le ciel enfumé de la groote aux peintures rupestres, vers elles ;

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13/03/2020

nous marchons, nous y allons, nous ne pouvons cesser ; nos pas (notre coeur et ses battements) s’enchainent ; il s’agit des lors d’une chose lancée en amont et qu il est nécessaire de (pour le coup) soutenir en aval, par des apports en viande quotidien ou sinon quotidien réguliers, afin de nous permettre la poursuite ici des opérations engagées, et cela , ou de cela nous avons à nous excuser, aupres de la vie (mort) et du monde qui nous entoure, qui est en cercle autour de nous : nous devons nous excuser de ces choses (mal) que nous faisons en chassant la biche ou le sanglier : en tuant ; nous avons à nous excuser aupres du monde : de la vie, et de la mort ; de la vie en tant que nous portons atteinte à la vie des bêtes, et de la mort en tant que nous donnons la mort à des betes, et que cela n’est pas dans les suites attendues par cette Chose qui nous hèle : il s’agit pour elle de la mort la notre, qui est attendue et espérée, il s’agit pour elle, chose hélante, d’avaler (engloutir) la vie notre en elle, puits à morts, bouche à morts, puits-bouche à morts entassées, nous y allons mais nous gardons la notre (de vie-mort) pour nous pour l’heure ; nous voulons reculer le moment, nous gardons cela pour plus tard, nous voulons reculer ce moment final, nous avons pour nous de vouloir ainsi le reculer afin de poursuivre en avancée notre chemin qui nous entraine, qui est nôtre par les chzmps ; nous voulons mais point trop tot ; la vie nous est chère ; nous lui donnons un prix fort ; nous donnons ainsi un prix et ce prix nous le plaçons haut sur l’échelle, la vie est pour nous une chose chère, il s’en faut de peu que nous ne le disions, pour nous, comme quoi la vie , est pour nous : chose méga-chère, alors : le disons ici, nous le disons, nous y croyons ; la mort attendra apres nouds ; nous sommes ainsi qui feront attendre, nous aimerions, nous le souhaitons, notre souci est celui de pouvoir ainsi, faire attendre, faire reculer, pousser les heures, les repousser dans une aatente telle, que la mort pourra peut etre lacher prise, à l’usure , qui sait ? ; nous allons ainsi à dépose, sur un banc de pierre, un support quelconque, à dépose de choses, nous allons à dépose, nous y allons : nous déposons des choses sur un support, et ces choses ne sont pas nous, ce sont des choses autres, il ne s’agit pas fde nous ; nous c’est nous, et les choses ici déposées (pour mort la bouche) sont des choses qyui ne sont pas nous: il s’agit de vies mais point de la notre : point ; il s’agit de vies d’animaux, il s’agit d’offrandes, d’offrandes de vie, et présicément de vies animales et non point la notre, non ; nous y a llons ; il s’agit de vies qui ne sont pas (de fait) notre vie, nous disons qu il s’agit de vies autres, de vies non attenantes à la notre  ; nous allons vers bouche et nous donnons des vies (animales) dans l(‘intervalle, nous irons, nous savons que oui, mais nous donnons, des vies d’animaux chassés puis tués par nous, dans l’intervalle ; l’intervalle est ici le temps présent, le temps de l’offrande = le temps ; il s’agit d’une chose temporelle , qui contient ces choses de vies non offertes , notres, qui sont attendues par bouche la grande ; nous ne donnons pas nottre vie, nous gardons notre vie pour nous, nous ne la donnons pas si vite ou si facilement : le coeur va son tic tac en résistance : nous gardons-conservons notree vie pour nous ; nous donnons vie de betes mortes à la place, nous les déposons sur un support stable (table) et en faisons offrande : nous donnonds, le don ici est pis aller, il s’agit d’un cadeau par défaut, dans l’intervalle = l’attente , l’attentte d’un présent de nous, qui sera de fait le temps de vie de nous, en son intégralité ; nous donnerons : nous finirons bien par donner, nous le ferons ; nous avons une vie (la nottre) à donner, et nous donnerons (cette vie) le moment venu mais pas encore, si possible non ; car nous tenosns au tic et tac de nos coeurs qui battent ; nous y tenons ardemment, nous tenons à eux sincèrement : nous aimons : nous sommes très-obligés, nous y allons contre ou avec gré, nous cheminons ; nous alons sur les sentiers de balisage et en avançons ainsi, à pas cadencés, vers un lieu imprécvis qui est ce lieu de clap de fin, et qui est bouche, qui est ouverture, qui est faille, qui est fente (trou) dans la roche ; nous voyons cela, nous le savons, nous sommes très-avertis, nous voyons (chez les autres) la mort à l’oeuvre, nous savons des entrées de grotte pour tous, nous savons que pour tous et toutes, nous imaginons, nous savons que pour tous et toutes, ainsi, des entrées sont là, qui permettent le passage et la d»éécouverte ; nous allons par ces chemins ainsi, )à la découverte d’une entrée de grotte = de mort, de mort-bouche, qui guette ainsi, qui nous hèle : nous y allons ; mais (dans l’intervealle) offrons (en guise d’offrande) des animauxmorts encore chgauds de vie, sur une table plane, un sol de galerie, une pièce froide, une chambre froide, une talbe de pierre lavée et astiquée précautiuonneusement entre deux betes sacrifiées ainsi, ilmmmolées, et adressées à qui de droit pour les siècles des siècles, amen : nous y allons ainsi, nous allons ainsi, nous donnons nos pas (tic et tac) ainsi et faisons ces chose (de marcher, d’aller, de tenir debout) ainsi, afin de (donc) tenir (le chemin) (la route de vie) de la sorte : ici, dune manière maniérée peut etre, mais nous sommes seuls, en nous, nous sommes fichus selon des modèles qui, pour chacun, nous constitue untel ou tel autre, chacun d’une manière (main) qui fait la chgose telle qu ‘elle se présente en nous ou par npous : comment y couper ? ; nous sommes (pour le coup) ainsi façonnés, = maniérés, faits main ;  fait par des mains tenant ; faits, en tant que nous sommes ce présent pozé sur tertre ferme (tombé du nisd) ; nous sommes ces présents accumulés, tas, et cesx présents en suyite font, que nous en sommes comme façonnés (torsadés) de telle ou telle manière, que voilà : nous sommes faits, nous sommes «eus», nous nous sommes faits avoir, nous sommes faits comme des rats ; nnous sommes comme faits = couillonnés ; nous ne pouvons en réchapper si facilement  ; nous aurons à donner nottre vie le temps T venu qui sera jour J pour notre gouverne = l’heure fatidique, ce présent de vie de nous dès lors offert à cette heure H : nous irons ; nous y sommes comme préparés par la mort des autres ; nous savons car nous voyons la mort des autrtes autour de nous ; nous savons bien que l’heure un jour sonnera pour nous, nous serons (aussi nous) demandés et appelés, à dire vrai nous sommes (en nous) déjà appelés et demandés, mais la vie en nous répond par des pas sur la terre, et l’heure va attendre : nous irons le jour venu ; nous le savons, nous connaissons l’issue, nous déposerons notre barda alors au complet : nous déposerons nos choses de vie, nous donnerons notre vie en entier : sur la table plane, nous ferons ainsi et la déposerons à lplat, les pieds devant : npous le ferons, mais, pour le moment = dans l’intervalle, nous sommes ainsi qui préférons ne pas, et nous en tenir loin, et, pour faire patienter la «bête», nous offrons (par devers-nous) des vies animales en trompe-couillon = trompe-la-mort, qui pourront peute etre le faire, un temps : le temps de l’intervalle, ce srzait bien, nous en serioons ravi ; nous donnons ainsi des choses de vie animales et implorons ainsi, cramons, brûlons ainsi, faisons ofrffrande ainsi, et espérons ainsi, et montrons ainsi toutes ces vies , o quelles sont nombreuses ! o voyez comme elles sont nombreuses, voyez donc le nombre : la profusion que nous vous apportons , nous montrons les betes peintes sur les parois, betes peintes qui viennent ainsi se rajuoter à celles données en offrande : et ainsi, nous avons ces choses déposées et ces choses peintes qui se rejoignent ici pour une offrande (présent) de temps actuel ; il s’agit de l’offrande du temps à la mort , ou dit autrement : nous offropns par la présente (bete morte) le temps à la mort ; nous offrons le feu de la vie présente, du présent de la vie à la mort, qui donc l’avale, l’absorbe et ainsi de suite : njous sommes ainsi qui tromponbs l’ennemi, qui le tournons ren ridicule, ou sinon en ridicule,nous sommes qui (de fait) abusons de sa crédulité, ou sinon : nous sommùes qui jouons avec le feu ; nous sommes qui $jouons avec le feu, on peut se brûler ! : nous jouons avec le feu, nous donnons sur table du gibier mort, nous donnons du gibier motrt sur table : nous abusons d’une crédulité, nous sommes ain si, nous faisons ce que coeur le grand en nous tic-et-taque-dit pour nous qui l’écvoutons et marchons à ses côtés ; nous écoutons notre coeur et celui ci nous pousse  dans la marche à suivre : que faire à part nous qui ne sommes riezn que ce tic tac en nous (le coeur vit sa vie qui est la notre qui est la sienne, etc, serpent qui se mord la queue)  ; nous disons que cette chose nous incombe (de vivre la vie) et cependant on peut se rendre compte de cette chose (autre chose) commùe quoi : le mouvement de vie est comme ici lzancée p âr devers nous et qu’ainsi emballé que faire ? ;  nous sommes ainsi qui progressons et cependant les choses sont ainsi, qu i nous voient aller ainsi, les bras le long du corps, à la recherche d’une sorte de station, pour une pause avant de repartir, porteur de croix pareille, vers lieu de rendez vous de fin, ou vers ce lieu du (donc) dernier des rdv qiui nous attend (ou attendrait) de la sorte au bout , soit à la queue ici du machin: nous y allons ; nous sommes et faisons comme ci-devant : allégeance par tapis de sol, pierre de dépot, mur d’enceinte, cimaise ou portique, etc, afin d’y aller tantot mzais pas tout de suite : des offrandes, des betes, de la mort, du bete, du feu, du sanguinolent, du brûlé, du calciné, du moche de la mort, du péteux mouru, des choses ainsi qui sont pour nous chères, ont prix conséquent, mais cependant moins chère que la notrte prunelle des yeux, car il s’agit d’yeux d’autrtes, d’yeux d’animaux tués ; il ne s»agit pas des nôtres, nous nous gardons bien de nous offrir nous -même en holocauste : nous préférons les animaux, nous les utilisons à cet effet, pour effet de tromperie, pour tromper la mort qui est bien naïve peut etre, qui le sait ? ; nouds donnons ainsi des choses brulées, des choses mortes, de la vie morte, la vie mais morte, nous donnons cette vie attezndue mais la donnons morte, nous la donnons mais il ne s’agit pas de la notre, nous donnons des vies (mortes) d’animaux et non point la notre, nous donnons ainsi des vies de phacochères et non point la notte, cependant si attendue en nous : dans nos jambes de vie allant, dans nos jambes de vie qi va ici son chzmin de vie ; nous donnons des vies d’animaux morts, sur la place, la table, ;  en galerie, pour tropmper son monde, et tromper la mort ; le monde = la mort ; pour tromper son monde = pour tromper la mort ; nous y allons, fissa et gaiement , les deux ; nous allons fissa (ce faire) et allons gaiement : la fleur (ici) au bout du fusil ; nous sommes qui allons ainsi et faisons cette chose, de tuer ; nous tuons et montrons le résultat, pensant obtenir un sursis, et ce résultat est le temps = le présent perpétuel, ce déroulement, cette chose en déroulé et que nous explorons (en nos vies) sur terre, nous l’explorons, nous alons ainsi, qui faisons le temps ainsi dans l’intervalle : offrant le temps des vies d’animaux morts  ; nous faisons comme ci devant : tuons l’animal, pan !, l’avons tué et le déposons sur la pierre et implorons le ciel, nous nous agenouillons, nous levons les yeux au ciel, nous prions, nous sommes ain si qui prions ; nous nous agenouillons et implorons le ciel , de bien vouloir accepter nos excuses, celle  1, concernant le fait de tuer (des bêtes) et celkle 2, de ne pas lui donner nottre vie en entier en offrande, mais plutot, de la vie autre que la notrte (viev animale consacrée ainsi) et, ainsi fait, nous pourrons des lors nous sentir mieux peut etre, et aller gaiement sur lenotre, de chemein de vie devant ; nous rions de  notre sottise ; nous rions et chantons deans l’interva lle ; nous sommes qui allons et rions dsans l(‘interva lle, nous pissons de rire ; nous allons dans l’in tervalle, chassant l’animal, le ramenant à bon port et le cuisinant au petits oignons ; nous aimons, ainsi, agir en cuisine ; nous aimons manger, nous en sommes arrivés à aimer = intégration, de la chose de nécessité, acclimatation et délectation au final, avec palette complète des gouts existants: gout en fin de mouture ; nous allons zainsi qui mangeons, qui engloutissons de la bonne viande des grisons etc ; nous mangeons, nous avalons, nous sommes abva leurs, nous collectons et venons (en venons) à nourrir en nous les cellules de vie (le sang transbordeur) afin de sustenter la bete (nous ici) pour la bvien toujours tenir droite rectiligne : important cela, nous y allons : nous sommes ensemble un ensemble de persopnnes en sustentation au sein d’une tribu donnée, nous nous redsseemblons, nous cvommuniquons par des simagrés (?) et allonbs ainsi notre chemin ensemble vers chasse et peche à faire pour tout le sein restant (en maisonnette) de notre dite communauté de vivants sur terre ; nous sommes des qui sommes sur terre : tribu, feu de camp, cercles, etc ; nous allons ainsi par les chemins, nous offrons par moments des choses = notre vie sous fgorme de temps (présents accumulés en tic et tac d’avancée vitale) ; nous offrons le présent = le temps, car le temps est le prése,nt ; il s’agit des lors d’un son par défaut : un défaut dans la cuirasse ; il s’agit des lors d’un gros défaut et ce défaut est cette chose ; cette offrande-intervalle, cette offrande intermédiaire : nous offrons le temps en lieu et place de la vie, nous offrons le temps présent = le temps en lieu et place, et, faisant ainsi, nous déplaçons la donne entière vers du faux -uyant de vie offerte ; nous trichons ; il y a tricherie ; nous offrons le temps (ces animaux représe,ntés sur les parois des grottes ancestrales) ; nous offrrons le temps en lieu et place de la vie : oui il s’agit de la vie mais sous forme (tromperie) d’allan de vie dans un temps qui est le temps présent, et non point notre vie (mort) totale avérée ; nous trompons  notre monde, nous abusons de sa crédulité, nous donnons notre (donc) temps de vie, en lieu et place de nottre vie, o h la chose (bourde) ici faite, et par nous en continu, tic et tac de vie sur terre, nous ne sommes pas gênés ! et pourtant le sommes, qui ne cessons de dire par le feu (les flammes) notre embarras, nous donnons diu feu de vie brulée au fur et à mesure (cartouches du temps) ; nous y allons dans ces excuses là, que nous pérorons de la sorte, via le coeur tic-et-taquant sa vie de battement métronomyque : nous faisons ; nous disons que nous faisons ainsi, il y a ce faire en  ous qui dicte et propulse les jambes, le bassin, les pieds etc, vers un mouvement de marche continue jusquà nouvel ordre,  ; ;nousd faisons, ; nous marchons ; le temps est ce que nous offrons ; l’oeuvre d’art ici (façonnée) est du temps et que  ; du temps en offrande (et que), du temps brûlé (et que ainsi) ; nous donnons de nous ce temps qui est ce temps de vie qui brule sa chandelle ; il se peut que pour certains il faille mordicus imager la chose, et pour d’autres moins ; il se peut que pour certains il soiyt ainsi qu ils aient ce besoin (?) d’imager le chose : temps (tic et tac) offert à Mort la bouche p... de mes d..., qui attend ou attendrait de nous tout auttre offrande, il va de soi ; il est ainsi que nous donnons nottre (de fait) temps de vie, en lieu et place de nottre vie, et cela est la grande faute, l’impardonnable, pour Dieou ou Mort de bouche ouverte chatelain ; cela est impardonnable ; nous allonqs ainsi qui donnons ce temps (présents) en galerie d’art, sous une forme ou sous une autre ; lle donnons nous ? ; nous avons pour nous les mains pleines, un chargement complet, d’une lourdeusr qui commence à faire, et nous en délester sezrait le bienvenu, bien entendu ; nous cherchons ainsi à déposer ici pareil encombrant (ce temps) sur une pierre plane (la planète terre) au fur et à mesure de nos déambulations-pérégrinations rustique, etc ; nous faisons ainsi pastorzale, allons ainsi par chemins et monts, par monts et par vaux, par vaux et chenals, nous y allons ; nous donnons en plus en galerie, nous donnons en plus en lieu de pose vive, consacrée, adoubée et surveillée, nous donnosb par les pas qui vont et aussi par les pas qui vont en galerie , vers déposition, ou comment ? ; nous donnons le temps par défaut, ce présent est un cadeau, un usinage de chose en offrande ; il s’agit d’une chose belle ; il s’agit d’une beauté, il s’agit ici de la beauté ; nous allons ainsi par la route en beauté, forme de beauté d’élan vers final attenant ; nou s allons ainsi , de cette façon qsui est la nottre, vers un final qui tend ses bras (demain) et qui est cette chose que nous redoutons (un tant soit pey-u) car il s’agit d’une bouche dentée ; nous déposons des choses = pas, ce sont pas que nous déposons : pas, pas, pas, pas, pas, pas du pied gauche, et pas du pied droit, ainsi de suite ; il s’agit de pas, et ces pas peuvent prendre de multiples formes, il y en a beaucoup de possibles (tous les gouts sont dans la nature) ; il s’agit de pas, de trace de pas, et de pas : les deux, le pas et sa trace sur la terre ferme ; il s’agit de traces de pas sur la terre ferme , ces pas peuvent etre des chose , des choses montrées comme des sculptures (ou sorte de) ; cela peut aussi se présenter sous la forme d’une peinture (ou sorte de , tout autant) ; cela peut aussi se montrer sous une forme de film, ou bien d’ensemble d’ensemblier, etc ; il y a tant et tant de moutures possibles, elles nev manquent pas, elles sont légions , nous sommes (ici) tous et toutes des artistes qui allons par les chemins ; nous sommes tous et toutes, pour le coup des artistes de nos pas (ou traces) sur chemin de vie : à chacun ses pas, nous en faisons tous, sauf les culs de jate, et encore ! car ils laisse nt au sol l’empreinte de leurs doigts et mains, et s’en vont tout autant (que nous) vers final de vie buccal : tout autant ; nous y allons avec aussi kles culs de jatte et avec tant d’autres : ensemble, un ensemble (ici) de grande dimension (étendue) qui pour le coup nous engloutit (tous et toutes) pour une fin plutoot ressemblante pour chacun ou chacune pris séparément : pplus ou moins la même pourt tous ; nous laissons les traces de notre passage = ce temps, qui est ainsi ce défaut de cuirasse (cuir) ou ce défect, ce manque, cette faille etc ; il s’agit de fait d’un défaut par défaut  ; il s»-)’agit dune chose offerte par défaut, faute de mieux pour le moment ; nous laissons les choses brulées, les choses calcinées, nous laissons les choses qui sont ainsi brulées, calcinées, les offrons au dieu de la mort en bouche, ou dieu de bouche de la mort en plaaie, ou dieu de plaie de bouche-mort, etc, nous donnons ; il y a des chodses ainsi que nous donnons, il y a ainsi des chosescque nous donnons, ces choses bnous les donnons pzar défaut, ce sont choses brûlées (passées) qui sont déposées (amende honorables) sur une table d’orientatationb (?) ou plus bvolontiers d’offrande ; nous déposons, nous offrons notre butin (de vie morte = temps dfe vie : passé, présent, ... et futur à venir ?) sur une pierre froide  ; nous offrons ces choses calcinées, nous les posons d’une manière qui nous appartient, en (nom) propre : signée, reconnue par nous = assumée en terme derespônsabilité ; nous donnons ces choses sur table, nous les offrons, nous donnons sur table ces chose, nous donnons ainsi des choses ainsi, des cghoses de la vie qui va et laisse des traces de  pas, donc ces traces de pas ; nous donnons les traces de nos pas ailés, de nos semelles  brûlées, etc : cela ; nous offrons ainsi à notre place, nous offrons le temps qui est ici, cet allié de circonstance, en pis-aller donné, mais, pour nous : sursis, renvois aux calendes grecques, etc ; n,ous offrrons pas (et traces de pas) en galerie, morceaux de viande calcinées, choses et autres qui partent en fumée, pis aller, choses pour une opffrande en forme de  fausset ou de fausseté , etc ; fausseté d’ioffrande à la manque ? ; nous offrrons des pas = du temps ; nous donnons le temps écoulé : brûlé ; nous offrons de l’écoulé et du brûlé, nous donnons la vie des animaux à notre place (les avons mangé) ; nous vivons = nous faidsons offrande ; vivre c’est faire offrande, en continu, du temps de vie en nous (ou où ?) et ce faisant nous sommes pris entre deux feux ; nous sommes ainsi qui sommes comme pris, ou serré, nous sommes comme pris dans un e ntredeux, entre deux choses qui nous constituent, en façon , ou qui nous étayent : une chose de nous sustenter (tenir dfroit à la marche et au reopos debout) et une chose de nous sustenter (à table, où manger et nous alimenter) ; nous offrons des présents ainsi, des choses ainsi qui ont grande valeur à nos yeux : la valeur du temps passé, car tout ce taemps passé est nottre valeur, est nottre richesse, est richesse, ce temps passé est nottre propre trésor d’ali baba ; nous sommes babnba d’émotions devant notre passé, nous sommes et nous restons comme baba devant notre passé qui nous émeut aux larmes (?) quel qu il soit (?) ; on dirait cela ; il s’aghit d’un passé bien bien émouvant en soi (pour soi) et qui nous, nous retournant, nous ferait pleurer (ne pas se retourner !) ;nous  déposons des c choses ai,nsi (larmes ?) sur pierre d’offrandes, nous les posons avec la mzanière = notre démarche (faàçon de marcher) à chacuun  ; nous déposons les choses avec une (certaine) manière de faire , avec une main, qui est celle pour le coup que n ous avons en magasin : la notre ; nous faisons (ainsi) deposition (aveu /nom) sur pierre de taille, pareillement, avec une (donc) main de façon, et cela pour faire illusion et tromper la moprt qui rode ; nous donnons en galerie à voir des choses toutes mises à l’écart, protégées voire sur protégées, e’tc, et cela est (de fait) chosess brûlée du temps passé ; il s’agit des choses qui ont brûlé (pneus !) dans leurs cousrse ; nous avons ainsi ces choses (posées) à part nous, ces choses brulent sur une table et la fumée s’élève, monte vers kle cviel, nous donnons ainsi des vies à Mort qui est friande ai nsi de vies (toutes, elle les veut toutes, et fissa !) ; la mort est gourmande, elle veut des vies, elle a besoin (?) de vie ; la mort est ghrosse de ça qu elle mange en permanence et nous de lui donner des vies de betesx, en attente ou dans l’attente (dans l’intervalle)  ;  nou s deposons le temps, nous posons le temps, nous déposons-reposons le temps, nous posons le temps (un animal) sur la table aausxw offrandes ; c’eswt lui (le temps) que pour le coup nous déposons sur lea table aux offrandes, il s’agit de lui, il s’agit bel et bien de lui (le temps) que nous déposons, comme des armes sur une table : nous posons le temps, nous donnon s ce temps en offrande et en galerie de la même façon : nous offrons du temps, ce temps, ce temps brûlé, ce temps qui est un ca deau par défaut : car faute de grives, etc ; nous donnons le temps , tout le temps en offrande et ce perpétuellement, nous ne cessons pasc jusqu’au point final (point, il s’agit d’un point, il s’agit d’une pointe, de-une pointe ou queue de vie) ; nous donnons (cette chose) sur la tabkle, à voir par qui de droit,  par le juge, par l’inbstigateur (?) , par qui veut voir et dire oui ou non ; nous donnons cela (le temps) en terme de choses larguées, jetées par dessus borsd, larguées pôur l’éternité, jeté par dessus le bord de la vie notre (no-tre épzaule) ; nous déposons par dessus bord et cela va, sur pierre d’offrande, et ainsi va ; noud disons «ainsi va la vie» ; nous avançons, nous sommes qui allons, ainsi, à dépose, nous faisons ainsi et allons, nous y allons ;,nous faisons cadeau, présents, nous donnons à chaque pas ou à chaque tic et à chaque tac, nous offrons en galerie, à dépose, montrons, nous le faisons, nous avons décidé ensemble de sauver les pas (traces) de notre passage sur la terre ferme (champs) ; nous avons décidé de faire don,  ainsi, en galerie, chéremment, de choses chères à notree coeur, chères poour nous, ici qui plus est encore valorisée de plus, ou plus encore, ou de plus : valorisée, encore, par le marchand ou par la marchande ; le prix compte, il s’agit d’une relique, un reste de tres-grande valeur des tres-hautes heures de notre vie ; nous le voulons, nous donnons à des quidams ; la plupart du temps à des quidams, nous faisons ainsi qui donnons ainsi des choses du temps (nôtre) passé, qui est du temps mort, qui est vie morte comme un animal tué est une vie morte : tout pareil ; la vie morte (chassée) est comme l’animal mort (chasszé)  ; du reste l’animal est nottre vie, du reste la vie morte est animal  ;--: en nous ? ; nous voyons l’animlal en nous, la bete en nous, qui est elle ? quelle est donc cette bete en nous , ce temps, ce présent, cette présence, ce don en nbous, cette chose en nous ? ; qui est donc cette bete en bnous, qui donc est du tzemps, le temps passé = le temps mort (chassé, chassé par la force des choses qui du coup pousse au cul) ; il s’agit d’une chose morte, un passé chassé, déposé en galerie sur un socle (sous le socle ?) ; nous y allons : en galerie, voir l’exposition de machin chose ou bien de  machin bidule : nous sommes de sortie ; nous allons en galerie voir ainsi la chose à mater et c’est du loursd, du solifde étayé, du balèze-costaud, du costaud des épinettes: le temps ; il s’agit du temps ici exposé au soleil ; il s’agit ici du temps exposé au soleil, exposé à la lumière ; nous pouvons voir ; il s’agit (ici donc) du temps chassé, qui donc est exposé à la lumière, en galerie d’art de quartier : une galezrie de qua rtier présentant foultitudes d’artistes à longueur d’abnnée, il s’agit d’une galerie dite des fauves, d’une ghalerie de représentatation de bêtes fauves, de phacochères, de bisons, de buffles ; qui présente et représente des artitstes fauves, des fauves, des bêtes sauvages ; qui prédsente au mur, au sol, des choses animales : buffle, antilope, bisons, phacochères, ; rhinocéros, lazpins de garenne, lièvres sauvages, girafe, mammouth,, etc  ; sanglier, etc ; les présente ainsi, sur des murs blanchis ou sinon blanchis sur des murs propres qui mettent en valeur, entoure de mille soins, encadre, encercle, couronne, adoube, etc, l’oeuvre de chair : la carne, la viande ainsi proposée, sur le présentoir ou à l’étalage ; nous sommes artistes qui (pour le coup) déposons des choses, installées , xdisposées ou présentées (proposées) aux spectateurs dans un dispositif qui en fait des oeuvres ici de ghrande participatio n, des oeuvres ici de grandes propositions, des oeuvres qui sont des suites (toutes) de choses montées, mises en bout à bout ; nous montrons (ainsi) des choses de bouts, des choses en bouts, des bouts, des choses debout aussi, des bouts de choses debout, des choses qui sont (toutes) debout et tiennent : sont soutenues, et donc protégées, consacrées, etc, par un enviroll,nnement qui prnête à ça, c’esst à dire aà cette sorte de mise en exergue ou mise en majesté des choses (proposées) en son wsein : sur un sol et des murs prpres, et durs comme tout ; nouds voyons cela ainsi, nous voyons cette chose ainsi, nous la voyons ainsi : cette disposition-déposition, cette chose d’appellation contrôlée, cette chose npommée adoubée ; il s’agit de temps chassé ; il s’agit du temps chassé derri!ère, d’un temps qui est chassé, qui n’estplus, et ce qui reste c’est la fumée ; cest quoi ? ; nous y allons, nous donnons ainsi à voir, au quidam, à l’amateur, au collectionneur de reliques, de fumées, de temps chassé (perdus) ; nous donnons ainsi à voir offrandes, à Bouche la grande , pzar son ouverture ou : de par, ainsi dénommée ; il sagit d’une bouche, il s’agit de cette chose ouverte en grand : grande gueule ouverte, pour absorption d’une vie donnée, une vie de plus ; il s’agit ainsi de choses offertes à conserver par devers soi, pour les siècles des siècles, hors le sol des morts ; ainsi, la galerie propose des choses adoubées, valorisées et coûtant cherot (la peau du cul) car il est ainsi, qu il s’agit ici d’un p^lacement peut-être pour l’éternité : un placement, une place allouée à pareil effet, il s’agit d’un coffre-fort, d’un reliquaire en or ; il s’agit d’or, nous avons compris la chose, qu il s’agit de cjhoses en or, nous comprenons ; il nous semble que nous comprenons, il nous semble que (cette fois ci) nous avons compris, ou que nous comprenons, il nous semblke que cette cfois ci nous y comprenons quelque chose (enfin!) ; il nous semble que cette fois ci , nous y com^prenons un peu p^lus sur cette qauestion, à savoir celle concernant cela : que la galerie affiche des prix de haute volée, car les objets ici présents (ces présenrs) sont valorisée, son t consacrés et monte en estime de ce fait : dou la tres grande (oh, tout est relatif) cherté desdits : il s’agit de viande chère, de chair chère, il s’agit de carne chère, tres-chère que nous regardons : la viande qui saigne, qui pisse le sang sur la pierre ; nous voyons ces choses qui pissent : chevreuils qui pissent, biche-bambi ; etc, nous voyons cela : ce sang qui va dégoulinant (encore chaud) en galerie : il s’agit de cette chose, de cette sorte de pissée ou de pissure (coulure) de pisse chaude : de sang épais, brulant de vie récente récemment cramée, récemment brûlé&e ; nous voyons ainsi en galerie , pareille coulée, coulure, dégoulinade, etc : nous les voyons bien, l’espace est dégagée, nous aimons = nous faispns des pas ; aimer c’est arpenter : nous aimons = arpentons les bois ; nous aimons= arpentons les forêts ; nous sommes ainsi : nous (donc) regardons l’animal immolé se consumer à petit feu (sous nos yeux) et ce en galerie : nous y a llons ; nous voyons les choses ainsi aller , vers brûleerie (?) ou bien ici vers une mort douce» = entezrrée, ou comment la douceur ici ? ; nous nous déplaçons au zsein de cette galerie et regardons les oeuvres des uns et des auttresx  (si tant est) et cela fait nous sortons et allons déjeuner (une cote de boeuf ?) et ainsi, avons vu (de nos yeux vu)  l;e boeuf (au sein de la galerie) et cependant tout de suite après, allons, ensemble, en dévorer une cote, au restaurant du coin, soit dans le restaurant situé tout près : une cote de boeuf cuite à point ; nous sommes visiteurs ou galezriste ou aretistes etc, et pour nombre d’entre nous nous mangeons de la viande de boeuf, ou de bien d’autres animaux comestibles et cela, nbous le faisons de temps à autre, nous mangeons aussi des fruits, des lmégumes, des betises, tout un tas de choses biensur, afin de (donc) nous sustenter et nous faire ainsi forme (de nous) à pouvoir nous tenir debout ; nous sommes ainsi qui nous alimentons pour tenir dezbout et résister aux coups du sort qui (peut-être) voudraient attenter à notre vie, ou moins que ça : nous faire chuter, la t^te toute cabossée d’avoir cogné sur la chaussée ; njous allons ainsi en galerie voir des choses brbîuleées , mortes ; nou s avons la mort a insi en tant que chose à voir ici, sur des cimaises, sur le sol, sur des rideaux, etc , toutes sortes de choses, en terme de ppossibilité ;: nous donnons a insi en galerie : à voir des choses br^luées, du temps chassé ; il s’agit des lors de temps morts : de pauses ? de dépose tresq certainement : sur table d’»offrande, sur pierre de taille, sur table d’équarissage, etc ; nousaimons ce que nous mangeons, nous sommes par cdevers nous anamoureux ou tout amour pour viande etc, nous sommes ainsi, qui aimons = mangeons = disposons sur table et cela en mzarche ; nous avons ainsi pour nousd, jambes de marche et d’allant : nous allons, njous marchons (= nous aimons) car nous allons ainsi sur des chemins d e rase campagne, nous faisons ainsi qui allons, qui nous promenons ainsi , vers des lieux à borner, à cadastrer par la présente marche, etc ; nous sommes des en,fants, qui nous embrassons ; nous allons ensemble par des chemins de campagne, nous nous embrasso,ns dans des coins écartés, en des coins reculés des passages les plus fréquentés ; nous cherchons ainsi des entrées de grotte ; nous aimons lesw grottes, les coins reculées, ; les coins cachés pour nous em brasser ; njous aimons nous embrasser dans des coins un peu cachés des pâssages les ^lus frtéquentés, nous y allons, nous entrons dans une grotte, et nous découvrons ainsi des  fresques, des suites de pêinturesruopestresq, des représentations e’animaux morts, sacrifiés, des betes fauves, des rhinocéros, des antilppoes, des chevreuilms, nous avançons ainsi sur chemin pareil qui mène à la bête ; nous allons ainsi en ces grottes cachées, pour nous embrasser, et là nous tombons nez àà nezavec des fresques, avec des betes dessinées sur des parois, des  betes de’ssinées qui diovent dater très-certainement ; nous tomnbo,ns ainsi nez à nerz et nous voyons ces betes et en comprenons l’importance, il s’agit de choses de grande valeurs, il s’agit de ces chosesauxquelles nous poretons tres -grande valeur : nous aimons, il s’agit du coeur, de choses de coeur ; il s’agit de voir cela, le coeur , la valeur, et aussi «de valeur» au sens pécunier du tezrme ; il s’agit de cherté ; nous aimons ces animaux morts et les déposons sur la pierre, nous déposons sur table d’offrande objets et autrezs de grande valeur  ; il sagit d’une offrande ; il s’agit d’une chose donnéeen tant que nous offrons un change,  de cette façon de faire ici mê me (galerie) pour une étérnité allouée ; nous sommesainsi : nous donnons ainsi et nous alloons ainsi ; il s’agit de choses ainsi, offerttes à la vue (mais de qui ?) qui ainsi se présentent sqous un cerzatain jour (manière, façon) à un public éventuel ; nous progressons au centre de la galerie, de la grotte, de la galerie en ghrotte: il s’agit d’une grotte ; nous en avançons, nous progressons à kl’intérieur, nous allonsq ainsi dedans  en pvrogressant à) petits pas, pour ne rien brusquer, ne rien cohgnezr,, ne rien abimer, ne riezn louper etc ; nous sommes dedans ; nous y sommes et comment donc y sommes -bnous ? ; nous sommes à l’intéreiuer : et de la galerie (de la galerie d’art), et de la grotte préhiostorique ; nous -avons cxhemin tracé à parcourir : la chose est similaire ; il s(agit d’un ensemble ; il s’afgit d’une chose d’(ensembvle, proposée ici et là ; il s’agit d’un ensemble (une chose d’ensemble) qyi est pour le coup proposée à la vue, nous allo n s ainsi qui reghardons par le menu ; nous allons ainsi qui entrons, et regardons par le menu, et voyons les bisons, les buffles, les rhinoceros ;, les phacochères, les bichjes, les chevreuoils, les vaches, les taureaux, les antipoles, les bouquetins, les isardsqc , etc, il y a ainsi cette ribambelle, cette chose belke, cetteb  beauté de chose entaszées ou alignées ou disposés ici et là , nous voyons tout cça, nous touchons, nous voyons et touchons ou bien voyons et ne touchons point, il s’agit ici de ce point, de cette chose ici pointé, cette chose de renom ; il s’agit ici d’une chose re-nommée ; il s’agit ici d’une chose encore chaude, un animal mort mais encore chaud de sa belle  vie récente, soit récemment encore en vie ; nous allons ai nsi qui regardons les oeuvres, il sagit d’oeuvre de chair, il s’agit d’oeuvre de chair chères ; il s’agit de choses qui sont mortes, qui sont choses tombées du nid, et nous de lkes ramasser, de les mettre au propre et dee  ;es exposer à la vue : nous donnons, nous redonnons  ; nousallons ainsi, nous allons de cette façon  ; nous mangeons, nous donnons à manger à nos entrailles, nous déposons ainsi chose à manger à nos entrailles : nous sommzes gens (artistes) qui donnons a insi, déoposons, faisons cette chose ; nous sommes qui cuisons des choses à) manger ; nous dé^pposons, nous prenons et allo n s deéposer ; nous avons faim, nous sommesq des prédateurs, et nous avons faim ; nous avançons en galerie et voyons des choses peintes, peintures rupestres, et voyons des choses sur le sol, nous sommes ainsi qui voyons, nous voyons des ob jets divezrsw, nous voyons des choses ezxposées, nous voyons mille choses exposées à longueur d’année ; nou voyons des cxhoses, nous voyons des betes mortes, des cxonstructions de chose, des choses sont ainsi montrées et nous les approchons comme des

nous nous approchons des betes, nous les évitons, nous évitons dee les toucher, nous nous contenton,s de les toucher des  yeux, etc ; nous progressons, nous allo ns ainsi pas à pas, njous szommes ainsi ; nous abvançons à petits pas, et nous inspectons (?) kles oeuvres, la beauté ; la beauté est la cherté et le prix de base en matière de façonnage, nous donnons ; il s’agit de dons en temps et heures ; il s’agitr de choses d&atées (aussi) et qui présentent bien (beauté) en galereie = des choses du tmps, qui sont c hoses qU i vont ainsi comme se déroulanbt sur des temps choisis ; nous regardone en galerie ces choses et le s nommaons (titrages) afin de les bien isoler et (aussi) de leur donner,  qi plus ewst , davantage de contzenance, de poids ; nous nous approchons des oeuvres : peintures (on le dirait) animalière ; ,npus donnons (ainsi) des vies sur desq tables : à manger ; nous donnosn (ainsi) des vies  (mortes) sur des tables d’ooffrande, ces vies sont vies à manger  ; sont des vies qui restent à manger : à ingurgiter, à faire siennes depuis l’intériuer : la chose est jouable , il s’agit de gibiezr : nous aimons (nous so,mmes en vérité très-obligés, ici, dans l’amour)  ; nous aimons, nous sommes aimùant, amoureux transi, nous sommes en amour, nous sommes Amour et tout-amour, nous disons cela que nous sommes amour, nous sommes un amour qui veille sur ses b iens, sur sa progéniture, etc : son entourage ; l’entoura ge ; nnous aimons = nous sommes cerclés (entourés ; entourage ) nous aimonsq, nous sbommes entourés, nous sommes encerclés de choses en or, de choses et autres (d’une cape, etc)  ; nous aimons ainsi, nous montrons ainsi en galerie, nous sommes ainsi qui montrons, qui montrons des cjhoses toutes disposées d’une manière chantournée qui (de fait) nous appartient ; nous l’avons en nous (toute ingurgitée, chevilleé = amour)  ; nouds faisons cette chose, d’un amoure en nous comme faisant partie d’un nous si profond q, que cet amour là est comme chevillée (de cheville) à) ces profondeurs ; nous allons ai n si au plus profond, vers des mots d’enfants en grotte, nous reculons les choses plus loin, les poussons-disposons plus loin encore : nous poussons loin les choses, nous montrons en galerie le fruit de nos rechezches des lointains= au plus profond de nous en nous = tel quel ; nbous allobns ainsi, qui poussonsc loin les recherchesc en grootte : enfance qui cherche : ces choses montrées, découvertes, a-à but de monstration toute de proximité ; nous montrons cesq choses enfouies, uyne bête, une forme de type, il semblerait) animùale ; nous voyons des abnimaux qui vont et viennent, nous voyons en nous des betes, en nous des animaux des prés, des brebis, des moutons, des vaches, des veaux, nous les vboyons (parfaitement bien) en  ous, qui paissent en nous, dans nos yeux, dans nos chairs, nous voyons parfazitemenbt bien e nous oareilles betes meuglantes, quyi font meuh ou beeèèe, qui sont en nous = dans nos yeux, dans nos rétines car la chose est rétinien nes ; nous  voyons des choses ainsi, qui sont des choses de formes animales, en  nous = au plus du plus profond de nos chairs (en propre) d’etrtes carnassiers : nous voyons, nous sommes qui voyons ainsi ici et idem en ga lerie : des animaux morts portés sur des plats, desq betes cramé (mortes donc) déposés sur des tentures, sur le sol ; des bzetes qui sont déposéees, posées à même le sol et saignant ezncore,par les naseaux ou le museau , ou les oreilles, posées sur le sol : voilà nos temps chassés, poussés par lea force des cxhoses (en suite de) : il s’(agit ainsi de pas chassés, il s’agit de pas chassés ici, en une galerie (d’art) du jour, qui est un lieu comme une sorte de  grotte cachée, sous une foule de wvégétations agglutinées, il y a ainsi des trous de roche en guise d’entrée, de grottes à dévcouvrir , lestrous et les grottes, tout pareil ou tout autant : nous avons chezrché et nous avons trouvé, des entrées et des cavités, et et des traces de passage humain, en icelles ; il s’agit de traces anciennes (tres-ancieennesns) que nous regardons au dessus de nos tetes: il s’agit de nos pas : de nos tres riches heures (tres chères) que nous aimons en nous = avons, avons-aimons en nous (au plus loin) et squi nous cvonsttitue de mémoire ; nous sommes ainsi ; nous voyons le buffle en nbous , l’antilope en nous, la vache en n us, le taureau en nous, la bete quyi saigne en nous, la bete avalée en nbous, cette chose en nous saigne dans nos veines, le temps est le sang qui va en nos veines, et auussi des lors cette btete saignante en nos veines (également) et qui rugit en nous , sa mort brutale, sa mort en nous qui meugle : qui rugit, est en nous brutazle, brute, bete, idioite, ignare, énorme, con, stupide , bete comme tout en nbous, qui alklons par les prairies, par les chzamps, bete comme chou des champs, beters comme tout, ignare, stupides, nous allons de betise en  nous en betise en nous: nous sommes des c rétins des alpes, des crétins de base, nous n’inventons rien d’autre que notre betise, c’est paeut-être déjà ça  ; nous n’inventons rien ds’auttre que notre betise, nous sommes des brutes épaisses en terme de betises, nous sommes très-cons, tres idiots, tres cretins, des crétinos, merinos cretinos, nous en tenons une couche épaisse, nous sommes ttres fournis en la matière, nous sommes trtes tres cons, et même tres tres tres cons, cons à l’infini ; nous sommes tres couillons et tres connards, nous sommes idiots: ; nous sommes des idioits, nous avons une approche iodiote des choses, nous sommes betres, avons en nous de betes qui réègnent, nous avpons en nous de betes qui gouvernent, qui regnent, qui trônents, qui occoupent des places et des fo,nctions ; nous sommes con-cons, nous sommes cucu, nous sommes ridicules et betes cvomme chou ou comme tout : nous ne comprenopns rien à rien, nous ne savons pas nous y prendre, nous sommes de la piétaille, nous sommes des couillons de la lune, nous n’avons d’idées sur rien ou plutot non : avons (oui) des idées sur tout (peut etre) mais il s’agit d’idées à la con sur tout, nous sommes con comme l:a lune, nous ne voyons clair sur rien du tout, nous n’avons que des idées à la con, que des idées de rien , pauvres choses que nous sommes, et pauvres pensées que nous avons, nous sommes tres couillobsn, nous sommes rtres tres betes et pauvres d’esprit, nous n’avons pas la cvomprenure ouverte, elle est moitié fermée voire entièrement, elle eswt comme elle eswt et leele ne va pas loin (telle qu elle est)  ; à pleurer ; nous avançonss ainsi en notre betise ; nous sommes ainsi qui abvançons , et ainsi alloo ns qui regardons, qui voyons ces choses (présents en offrande) sur des tapis de galeries, sur sol et mur, sur socles, sur portes, sur chainons, surr chaise, sur vitres, sur rouleuax, sur montres etc ; nous voyons la betise (crasse) des temps offertts en présents d’offrande ; à qui ? à qui de droiit = cette Chose au fond, qui règne, trone et gouverne, notre gouvernbe, il s(agit de cette bete moche, fauve, qui rugit dans les brancards, qui est excédée , en nous, et de ce fait permet la marche folle, par champs et par monts, cette marche alpestre, cette matrche de nature, dans les prés et les forets, cette chose en nous qui dit tic et tac, cette chose animalière sur parois , à l’intériuer des grottes cachées, à même la roche dessinée, ces betes, ces scènes de chasse, ce temps chassé en nous sevonde apres seconde, ce sang qui reflue, cette chose chasszée en  nous, cette chasse du temps en nous, offert en offrande, cette chose en n ous offerte en offrande ; iul s(agit des animaux, nous avons en nous des animaux, ils sont en n ous qui meuglent, qui font meuh et beeèe, et hi han et cocorico , etc, chacun sa langue, ; nous baignons ainsi de l’intérieur , dans unsang de veau, de génisse , de bete des chamlps, sang de veau pour une marche folle en prairies, en prés, sur la terre ferme de terre mère ; nous y allons ; nous allons ainsi, nous avançons, nous baignons (de l’intériouer) dans le sa,ng djune génisse ; nous aimons = nous biaignons ; nous aimons = nous allons = nous baignons dand du sang de veau ; nous baignons ainsi : dans du sang de veau en bnous ; nous avançons ainsi, nbous allons ainsi dansq les profondeurs, et nous voyons  (découvrons) les motifs ruprsetres sur parois nues ; nous voyons qu il s’agit d’animaux tous de sacrifices, tous comestibles (?) ; nous aimons les animaux pour nous, à manger, à entendre meugler en nous : dans nos jambes et dans nos bras ; il s(agit des noptres, de nos propres betes, pour nous, pour nous sustenter, tenir, pôur aller fissa par les champs (courses folles animalière) ; nous allons ain si qui faisons ainsi : nous portons en nous des betes de taille, nous portons en nous des betes de belle taille, nous les avons qui vont en nous comme un sang qui pisse en nos veines, nous sommes ce sang et cette génisse et ce veau ; nous allons ainsi, nous courons, nous allons fissa, nous allons ain si : courant dans les prés, nous filons, nous sommesq du sang de génisse, de veau ; nous portons, nous emporrtons, nous allons ainsi, nous avançons ainsi, nous y allons,  ous filons, nous allons ainsi, nous voulons ainsi aller par les territoirees ; nous mangeons de la viande de veau, de génisse, de sangliuier, de taureau, de vache, de mouton, de brebisn, de biche, de chevreuil, de rhinoczé»ros, de mammouth, etc  ; nous en sommes friands, nous en avvons en profondeur, fibres, fuseaux, nervures, dendrites, fuselages et muscles, jambons ; sommmes ainsi constitués et portons en nous les marques (gravées) de pareilles betes incorporées ; nous sommes les grottes ; nous mangeons et avançons de ce pas allant, qui nous voit courir bientot dans les champs ;  npous aimons et nous allons ainsi ; nous voyons les choses aller ensemble : lres présents etre disposés, les présents sur table, sur bache, sur socle : dispôsé déposé, déposés disposés, et faire effet ; il s’agit de présebnts de base , betes comme chous, sans langue, dénudé de mots , dénudés de base de par la betise qui les constitue , comme bete des champs : vaches et veau, moutons et agneaux, etc : des obdjets de peu, tronant sur socle ou autre support, mise au propre de l’agneau naissant, tout penaud, débile, concon, cucu, con, cu, betye comme chou, cucu cocncon, et ainsi posé : sur socle, sur support quelconque : une mise au prpopre : draps blancs, draps propres de récetption ; il s’agit de chosex t§ombés du camion, il s’agit de choses tombés du cul, il s’agit de bricoles installées, receuillies, valorisées, présentées au prporpre, mise au propre, mise ainsi en bonne maiins de mise au prpopre,  ; il s’agit ainsi d’u ne mise au prpopree pour l’éternité : arrêt sur une image proposée ; il s’agit ainsi d’un e chose de prix = valorisée, haussée, reconnue en tzant que chose de grande (jhaute) valeur : valable, honnete, conséquente, qui compte, belle, une belle image = une image de $valeur = une image valable = valorisée = haussée du col, etc ; il s’agit d’une image belle : qui est ainsi qu elle nous apparait comme étant l’image d’un présent (une offrande) en tant que ce prséent est temps présent, est ce pis-aller, cette chose de peu dans cette enclave d’une sorte d'intervalle  ; la beauté ainsi d’un pis-aller offert par défaut :  à qui ? eh bien à qui de droit ! c’est à dire ? à celui qui est et qui voit, à celui qui est qui voit, à cette Chose ici, en fond de prairie, cet animal à grande gueule ouvertte ; en galerie ? en galreeie on dira oui  ; on dira que que oui ; on dira un oui, en gaklerie le mot sera oui ; oui sera le mot , le mot sera oui ; en cette galerie d’animaux montrés, en cette galerie d’aven, en cette grotte -galerie aux animaux peints, aux traces de main, en  ceelieu de choses au mur, en ce lieu de choses exposé, en ce lieu de choses proposées à la vision claire, nous donnons le mot qui convcient, nous avons un mot qui est ce mot, nous disons le mot oui, comme un cri étouffé, comme le petit cri d’un petitou, le petit cri , le petitou ; comme le petitou cri d’un petit de bete , sang de veau, oui de bete à l’étouffé ;

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12/03/2020

nous mettons et installons sur pied, nous mettons sur pied et installons un tout, poour une monstration de choses entre elles ; nous faisons la chose ici, sous nos yeux, à nos pieds, entre 4 murs, sur un sol argileux, un sol de pierre dure ; nous faisons ainsi notre déballage, nous mettons ainsi la toile sur le sol, nous mettons ce qui se doit de l’etre ensemble, sur le sol, ^à même la bache ; nous les mrettons ensemble, choses et autres ensemnlbe, sur un sol dur, sur un sol fiable, qui tienne le tout ; nous posons le tout sur une bache, sur une toile, sur une tenture, sur une table, sur un tablier : nous installons, nous prenons le soin de tout installer de bonne facture, à façon ; nous mettons les choses proprement, nous cherchons une organisation des choses ; nous mettons tout prprprement, nous installons les choses entre zrlles, nous mettons comme il se doit, nous installons les choses comme on peut, comme il se doit, tel que nous le pouvons, les choses se mettent ainsi, il y a un support, nous regardons ; il y a un support et nous organisons les ensembles, nous mettons des choses entre elles, en un tout qui fasse tout, un tout qui le fasse en tant que tout de bache, de toile au sol, de tapis déposzé ; nous mettons notre baluchon, le déplions pour la bonne cause, il s’agit de notre baluchon, nous le déplions, nous l’installons pour la chose d’une monstration ; nous avons notre camelote, nos frusques, nos gris gris, nous déba llons l’ensemble en un tout qui parle pour lui ; nous déballons notre camelote sur un tapis, sur une toile, sur un support au sol ou sur un mur, nous cherchons l’endroit qui aille à pareille retombée de choses ; les choses tombent de nos bras, nous les tenions contre notre coeur et les voilà qui tombent, sur un tapis, sur une toile étalée au sol, une couverture, un drap, de la bache, du plastique, du papier journal, n’importe quelle matières susceptible, d’etre à la réception de nos choses qui tombent : il s’agit de nos chose qui tombent des bras ; des chose tombent de nos mains, bnous lachons, nous lachons des choses, nous les lachons betement, nous lachons des choses de nos mains : il s’agit de choses qui tombent, qui s»éloignent, il s’agit de prsénts, il s’agit d’offrande, le do n, le don et la chose, il s’agit de choses données, car les voilà qui tombent d’entre nos mains, nods mains ne sont plus de taille (?) à les conserver à part elles ; elles n’en peuvent plus (?) , elles lachent : elles cèdent ; les mains ne peuvent plus tenir, elles cèdent et font tomber (sur sol dur) les choses qu elles tenaient, tres fort, jusque là, contre le sein ; nous tombons, le temps chute, il s(agit du temps, du présent, la chose est posée, elle a été amortie ; il s’agit d’une chose ,déposée sur le sol dur, il s’agit d’une chose en dépot, en don, une chose qui est une chose pour un don, pour une offrande, pour cadeau , pour etre ainsi reciuellie, pour ettre prise, une chose à prendre, une chose en attente d’etre recueillie, une chose qui se doit d’etre ainsi interceptée par un sol d’accvueil, qui vient amortir la chute, il s’agit d’une chose tombée de nos mains, un présent qui vient tomber sur terre ferme, sur un sol pierruex, sur une surface xen etat d’accueillir ledit sans encombre, il s’agit de terre, de plancher des vaches, de sol plan, de terre mère ; il s’agit d’une terre solide, arquée, arqueboutée, qui puisse recevior le temps en offrande, le prédsent d’entre nos mains, les choses qui tombent, qui s’éloignent, qui meurent ainsi à petit feu : de la mort en continu, à petits doses, au fur et à mesure  ; nous déposo,ns nos choses ; il s’agit de formes, de choses udsinées ; nous déposons des choses devant, sur cet espoace dédié à la dépose : nous vivons, nous nous consumons, nous brulons nos cartouches, nous sommes le feu, la fumée, l’animal tué qui brule (se consume) en nous, à petit feu, et part en souffle, en fumé, sur les hauteurs ; nous avons déposé ; nous déposons, nous mettons, nous installons sur un sol ferme, une rinbambelle de choses en offrande, déposées ainsi, organisées, mises en relation, nous metteons cela pour un oeil extérieur qui verra le tout mieux que nous : il s’agit de vies que nous déposons, pour un oeil, pour une vision, pour un regartd, pour une mesure ; nous déposons des chodses mortes, des choses mortes qui font le depot, l’offrande, la chose allouée ; nous donnons ain si sur un sol (ferme) un peu de la mort (en nous) : animale ; nous y allons signifie que nous sommes en vie , que nous tenons le cap, la barre, et ne cédons pas aux appels du lointain, qui nous exhorte, qui  hurle à la mort, d’aller le rejoindre fissa ; nous tenopns ; nous déballons, nous déballons, nous déballons = nous tenons, nous freinons des 4 fers, nous essayons de freiner ainsi, des 4 fers, comment faire ? ; nous posons = déballons nos choses à montrer : il s’agit d’objets manufacturés, il s’agit d’objets passés entre nos mains, il s’agit de choses ouvragées, il s’agit d’objets d’art = maniérés ; nous faisons ainsi des montages de choses entre elles, nous alignons des points, nous reculons des tiges, nous éclairons des étagères, nous pendons des filins, nous brîulons des fibres, nous étirons des réseaux de cables, nous peignons des animaux, nous meublons l’espace ; nous donnons à voir des images : les images ici sont ce qui est à voir, cet ensemble créé de toute pièces en tant qu il forme un tout à voir : une image ; il s’agit ici d’une image , une qui est ainsi à pouvoir approcher, ici, entre 4 murs blanchis, mise en valeur de la sorte : il s’agit d’une image censée représenter la chose, à savoir le sens, la chose d’un sens en réserve : il s’agit dsd’une chose censée, une chose qui a des étais solides, qui tient sur ses 4 jambes, comme une tabmle, comme une chvaise, comme une jument ou un phacochère  ; il s’agit d’une image présentée, il sagit à cghaque fois d’une ima ge, nous donnons ainsi une images à voir, nous la déballons, nous l’organidsons, nbous proposons une image censée, une image or geanisée, une organisation de choses et autres pour une image ainsi proposée au public, aux etres ainsi voyant les choses exposées, les détails ; nous y allons, nous sommes organisés, nous déposons, ; nbous fabriquons un carré, un cercle, un tombeau, une table ainsi agencée, nous donnons à voir une image et aussi à faire de la sorte que le feu prenne, là, à cet endroit, à cet endroit précisément, où le feu a pris, et d’où la fumée s’élève ; nous faiosons ainsi , qui mettons le feu : nous mettons le feu, nous faisons ainsi, qui foutons le feu à l’image (?) ou bien à la tablme : pour une image, opur une représentation de choses en souffrance : nous brûlons, nous offrons en holocauste des betes brulées (mortes) sur table d’offrande : une image qui part en fumée ? ; nous déposons les choses mortes de la vie ; nous les mettons surr tzable, et npus alignons, nous disposons, nous faisons tout cela avec un soin infini ; nous posons des chose : nous décorons par la même ; nous mettons des choses en relation : il s’agit d’une image, l’image de la vie (morte, ici) en offrande (montrée)  ; nous faisons qui montrons la vie en offrande donnée par la même, sur pierre de taille : offerte morte ; nous la mettons, nous installons, nous orga,nisons, nous y allons ; nous avons ainsi en réserve, une image ici, une image de mort sur pierre, de mort qui saigne ; nous disons la vie morte qui est saignante et va à brûler ainsi : sur une pierre propre, nettoyée ; nous déposons une brebis, elle est morte = nous donnons sa vie, nous l’offrons, elle est morte, des lors sa vie  (qui s’est enfuie) est le don que nous faisons ici, sur table, sol, mur, bache, support quelconque en sorte d’eswtrade, de chgose pour une monstration en bonne et due forme ; nous déposons quelqque chose de moprt, et ainsi nous montrons que la vie est offerte à la mport ; nous offrons la vie d’une chgèvre ou d’une brebids à la mort, nous offrons la vie d’une chèvre à la mort ; nous le lui montrons : image, holocauste, table d’offrande : nous créons une image, nous montrons que nous donnons la vie à la mport : la vie s’est échappée d’icelle (chèvre) et ainsi fait, nous faisons le don d’une vie de plus,  à la mort (devant) qui nous tend ses bras (demain) ; nous y allons, nous montrons icelle sur pierre ; nous n’avons pas froid aux yeux car le feu réchauffe, qui nous brûle les paupières, les cils ; nous sommes proches du foyer, nous hurlons à la -mort de la chèvre, de la brebis, de l’animal consacré et sacrifié : nous donnons de cette vie morte ; nous donnons la vie morte à lza mort ; nous donnons à la moprt la vie morte, nous donnons la vie morte à la mort, nous la lui donnonds, nous lui donnons une image, qui part en fumée : une image qui part en fumée ; nous donnons ainsi : une image, un feu, une chèvre, un  veau, une brebis , un taureau, un sanglier, les animaux que nous avons en nous , car les avons mangé un joiur ou l’autre, et de ce fait, ils nous constituent de fait, ils sont en  ous : ils nous constituent, ils sont nos étais, ils sont pour nous un peu de nous ; nous mangeons de l’animal, et nous soufflons ainsi (buffons) comme pouvons, sur nos chemins, qui allons à la chasse au gibier mangeable ; nous faisons ainsi pour la wsorte, qu ayons à manger, des choses mangeables : antilopes, brebis, marcassins, veaux et béliers ; nous aimons, nous sommes porteurs d’animaux en  nous, qui mangeons la viande, la cuisons pour l’avaler et nous sustenter : debout les morts! ; sommes qui ainsi faisons ces choses et de ce fait allons par la suite, déposer des corps de biches mortes : offrande au divin ; offrande à qui regarde ainsi la mort, partir en fumée, ou bien la vie ? ; s’agit il de la vie , ou bien de la mort , quoi part ? ; nous déposons et la vie s’envole, nbous déposons et agençons pour un envol de vie ainsi vers les cieux, nous déposons et la vie ainsi s’enfuit qui s’envole, qui montee en fumée : une vie de chèvrte, nous posons un animal mort (image) sur une pierre (plane) qui sert de table, qui permet dépôt, qui permet l’offrande ; nous dépopsons une biche, un marcassin, un chevreuil ; nous faisons aionsi dépot de choses mortes, et c’est la vie (de fait) qui monte en fumée, pour nourrir la mort, la gueule ouiverte de la mort braillante ; nous offrons, nous donnons ainsi, nos choses déposées, nos agencementsq, tout ce décorum d’autel de culte, toute cette mascarade, ou bien toute cette cavalcade, ou bien toute cette installation, qui est une image, nous la faisons, ainsi, pour un envool, pour une montée, une envolée ; nous faisons ainsi, bnous donnons ainsi, bnous donnons ainsi, bnous fgaisons ainsi ; nous donnons des objets, des peluches, des tapis, des fibres, des matières, des ustensiles, des socles, des étiquettes, du papier gribouillé, des bouts de choses dures ou molles, ou vertes ou bleues, nous donnons ; il s’agit de choses données, pour une brulée, pour une flambée ; pour holocauste à la gloire de : eh bien de la bouche qui braille, qui geint, qui demande à voir : la mort dans la mort, la réuniopn des morts en e lle : elle vbeut ainsi, et nous (dès lors) d’offrir le présent à la place = le temps qui sécoule, qui va ; nous offrons en échange, en lieu et place ; nous offrrons à la place, nous hurlons avec la gueule ouivertte , mais n’offrons que (que) la vie morte des betes brulées ; que ; nous donnons ainsi à la place, à dieu la bouche de la mort ouverte, donnons, nous donnons des choses qui sont mortes, mais non point la vie notrte, car  y tenons, y sommes accrocxhés comme à un piquet, nous luttons, nous offrons des masques (mascarade) à dieiuu la grande gueule ouiverte, nous offrons que dalle ; nous donnons la mort des betes en nous = le présent = le temps ; nous donnons le temps qui part en fumée, nous déballons le temps sous forme de choses à bruler : un grand feu ; il s’agit d’un feu : feu ! ; nousd faisons (ainsi) feu de tout bois : feu ; nous tuons ainsi, nbous faisons un feu, et ce feu se faufile, le feu se déploie, il va dans le temps, il est malin ; il est le feu malin, nous sommes malins, il est le feu malin ; nous sommes malin qui foutons le feu à la table ; nous sommes ainsi qui offrons le feu , le feu qui fait feu de tpout bois, le feu qui part en fumée, le feu quii reste sur table, qui est ainsi qu il n’e,n déborde pas ; nous organisons le feu = la mort ; nous organisons le feu = une image de la mort : il s’agit des lors de donner ainsi une image, une sorte d’image, une image de la vie morte, il s’agit de donner ainsi une image de vie morte, qui file (part) et s’élève (monte) pour une sorte ici de monstration funèbre ; àqui veut ou peut ; nous donnons , et ce don du feu est image, en lieu et place d’un corps mort (le notre) qui viendrait de fait combler une bouche trouée (le trou de la boucjhe) : celle de la mort ; dsde la moprt qui hèle, qui appelle ; nous sommes ainsi, qui donnons des choses sur un tapis, bnous les déployons délicatement (ou non : tout à trac, peu importe) et organidsons ainsi l’ewspace du feu, le travail du feu (de la mort) à venir : de ce feu de joie à créer de toutes pièces : nous faisons, nous créons des feux, des choses ainsi en offrande, vers un ciel de bouche à combler (soigner) ; nous disons : le feu ; nous disons : l’or ; nous disons : la bouche ; nous disons : les choses déposées aux pieds, sur un tapis, sur un socle délimités ; nous disons un socle, une table, deux mains qui soutiennent, une sorte d’étai ou de pilotis , pour mieux conserver et proptéger, et mettre en exergue, et présenter cette chose qui est déposée , et que nous nommons : chose consacrée, que nous appelons ainsi : avec un nom en toutes lettres, un nom de pezrsonne ; nous donnons ainsi le nom à bruler, = le temps de la diction du nom = le temps de déployer (épéler ?) le nom donné, le nom reçu ; le temps de dérouler son nom, son nom d’avril, son nom du printemps ou autre : le mettre ainsi sur socle, sur tapis, il s’agit du nom qiu est ainsi dit, qui est dans le temps prononcé, il s’agit ainsiu du nom dit, qui est ainsi déployé, déroulé un temps certain, le temps requis pour prononcer, ici, le dit nom, qui se doit de l’etre ainsi (le dit nom), déroulé, dans le temps, le temps requis à prononcer, à dire haut et fort : en hurlant avec les louops ; nous szommes des qui hurlons avec ; nous donnons le nom, et cela, en déroulant la chose (temporelle) de la diction, de la prononciation sur table, au milieu des flammes ; nous donnons ainsi: nnotre nom, à la bouche hurlante, car blessée, car elle saigne, elle a mal : trouée en elle (entre les joues) et plaei béante : bouche bée ; sommes ainsi qui voyons cela et donnons notre nom : pour l’instant ; pour un temps, pour le temps de la vie notre ; nous donnons ainsi nos noms et rien d’autres que cela de nous : pour l’instant, et sinon des betes mortes, saignées, déépôsées, alignées, installées avec un soin particulier ; nous do,noons de cette façon nos noms et des betes mortes, sur une pierre d’offrande: nous disons ce la, nous entérinons la chose : nous donnons, nous faisons cela, nous donnons nos noms, nous les marquons, nous signons, nous nous désignons, nous disons haut et fort, à intelligible voix ; nous disons nos noms à chacun, en les hurlant, en hurlant comme des bêtes, nous fgaisons ainsi qui hurlons comme des bêtes ; nous y allons dands le hurlement, nous ne craignons rien, nous craignons la bouche, mais non point de hurler à la mort, à la mort de la brebis, de la chèvre, du chgeval, de la jumzent dûment déposées sur pierre d’offrande : tuées, cxalcinés, la fumée s’élève ; nous aimons ainsi et le faisons : nous donnons ainsi des sortes d' installations de chgoses ezn offrande, sous notrte nom offert en attente ; nous donnons ainsi : nous offrons la mort )à la mort, un peu de la vie des bêtes, pour   combler la bouche ouverte (bouche qui sai gne), cette plaioe ouverte ; car il s’agit d’une plaie ouverte, il s’agit d’une gueule, une gueule hurlant, il s’agfit d’une plaie douloureuse : un trou, dans la joue, formant bouche: une plaie de joue à combler (soigner) pour une guérison complète, pour une vie douce ; nous disons pour une vie douce, nous disons : pour une vie plus en douceur, moins hurlante ; nous disons pour une vie douce, nous disons pour une vie comblée  ; nous disons pour une vie (un trou, une bouche) comblé»e = remplie, enfin remplie, enfin suturée ; nous aimons et le disons ainsi, nous offrons ainsi : nous organidsons des espaces : sur sol, sur table, sur toile, sur mur etc ; nous organisons des espaces délimités, des carrés, des cercles, des rectangles, des cubes, etc: nous orgzanisons des espâces : avec du soin ; nous donnons ainsi à voir des images, il s’agit d’images d’espace agencé : toile ou drap ;, mur ou  caissette etc ; nous organisons à notre manière (à chaque fois) le feu sur pierre, plancha ;, nbous donbnonsd, nous sommes ainsi qui fdaisons des choses de flammes, de fumée ; nous organisons la chose sur son socle (white cube) et la montrons à qui de droit : le public, les gens, les personnes, les spécialistes, lkes non -spécialistes, les crétins, les non crétins, les qui sont avertis et les qui ne le sont pas ; nous sommes tous crétins, nous sommes des qyui sommes tous ; nous le sommes : crétins des alpilles, nous le sommes tous ; tous npous le sommes, nous sommes qui sont des crétins, des peu doués pour la comprenure : bouché à l’émerit ; nous sommes fermés, nous essayons d’ouvrir, comment ouivrir ? ; nous sommes clos sur nous même s élas, ou sino comment, comment faire ? pôur se déboucher , pour comprendre enfin de ce qui  l en retourne : cette mascarade (?), cette cavalcade etc ; nous dansons ; nous aimons ; nous disons que nous aimons ; nous dansons ; nous y allons, ; nous donnons nos noms en offrande ; nos vrais npoms, nos faux noms : tout de même nos noms: nous les offrons ;, nbous donnons les noms (les nôtres) à brûler, nous fichons le feu : le feu est centrzal : il réchauffe la pierre, les mainqs, les pieds adjacents ; nous donnons nos noms à la pierre, nbous les déposons par des hurlements de bête fauve ; nous allons ainsi à dépose et faisons de cette sorte : don ; faisons don de cette sorte, nous faisons, nous donnons ; il y a des noms qui sont inscrite, il est bon de ne pas se tromper, les choses sontb mentionnées avec des noms attachés, nous donnons, nous sommes qui donnons des vies d’animaux morts (pour nous) à cette bouche ouverte , plaie béante qui hurle à la mort, qu on vienne (fissa, le plus possible) la soigner, nous y allons : nous allons soigner, nous irons soigner, nous sommes à deux pas d’aller soigner, nous soignerons : nous finirons  (bien) par soigner : nous sommes faits pour ; nous soignerons, nouds irons, nous prendrons le temps de soigner la plaie, de cette joue percé en son milioeu, cette chose : la soigner pour la guérir ; nous faisdons ainsi que nous sommes à devoiir soigner sur socle, sur tapis sur toile, quoi ? la plaie de la joue (ou bouche) ; nous decvons soignezr, nous soignerons, demain nous soignerons, nbous ferons le nécéessaire, nous irons demain pour soigner la mort, la combler, lui offrir de quoi avecque notree propre vie, la sagouine, la p..., la sal.., il s»’agit ainsi d’une demande (en nbous) : un appel (en nous) de la mort : qui nous acvppelle à l’ordre ; qui veut de nous, qui nous veut à nous, à notrte tour, la moprt nous appelle (en nous = en vie) et elle attend, elle saigne, elle a gueule en sang, elle a gueule ouverte ; elle saigne ; nous y allons, nous irons, rien ne presse ; nous allons aller, bnous irons, nbous sommes qui devons aller, un de ces quatre matins, et nous le ferons ; en attendant ... nous attendons sur socle, sur toile, sur chassis etc : nous sommes l’attente, ou plutotr nous sommes l’écart, lcvette chose qui se traine et n’est pas pressée ; nous ne voulons rien précvipityé car nous tenons (quasi par devezrs nous : tic tac) à la vie qui est la notre ; nous tenons à elle comme à un piquet, un piquet de cloture, nous y sommes attach»é, nous sommes coincés, nous sommes cloturés ; nous sommes attaché à la vie qui va, nous y sommes ligotés : par le temp^s ; xcomment faire ? ; nous allons ainsi et nous  nous baladons sur les chezmins, nous sommes qui nous baladons = qui nous entrainons mutuellement, vers des lieux précis qui sont curiosités, balises, bornes ou espaces nus de monstragtion : nous entrons dans une galerie : il y a des choses disposées, il fait frai, nous sommes dénudés, nous avons faim ; nous sortons de la galerie et allons manger tous et toutes ensemble : le corps animal broché et calciné ; njous aimons la viande, nous aimons manger des animaux, njous les faisons entrer dans notre bouche, nous les fourrons à l’intéereziur de nottre bouche, nous n’avons pas pdeur de les fourrer à l’intérieur de notre cavité budccale : cette bouche hurlante (qui hurle son nbom), cette bouche qui gueule les chiose, qui pour elles comptent : à manger, à boire etc ; il faut manger, il faut se sustenter, cela est un ordre, il s’agit de s’alimenter au hjouir le hjour : il faut des nutriments, cette viande rouge etc, ou blanche etc ; nouds mangeons, nous  brulons, nous sommes plein d’animaux en nous : ces lapins, ces poulets, ces veaux, ces vaches etc : nous avons mangé et nous en excusons, nous donnons en holocauste, nobn point tant que ça l’animal que sa vie allé, paretie vers la bouche , pour un semblant de comblement ; nous allons ainsi qui faisons : donnons = déposons, nos objets, nos créations : nos productions, nos produits, nos choses, nos objets de peu, nos dessins, nos peintures, nos montages, nos installatuions, nos films, nos livres , etc ; nous n’avons pas peur de montere, nous déployons, nous sommes des etres qui, en vrai, déployons sans peur, wsur un parterre ici prévu, des objets d’art = des choses fabriquées pour etre isolées ; il s’agit de choses orphrelines, sépoarées de nous ; il s’agit de choses oprphelinse, de choses qui sont déposées dans un éloignement qui pour le coup les sépare de nous qui faisons, qui créeons ces choses à dessein ; nous dfévoilons, nouys déployons, nous donnons des dispositions, des choses à suivre religieusementr, des consignes du feu de dieu, des choses à ne pas oublier, capitales etc ; nous disons ce qu’il nous semble avoir à dire ici : là mettre, là déposer, là déployer, là commettre ; nous faisons notre tambouille, nous nous installons pachament, nous donnons, nous nous en donnons, nous affrontons : nous pposons pour une excposition, nous sommes des artistes avérée, estampillész = reconnus en tant que tel par des npon-artistes et par des artistes : les deux ; nous faisons ainsi, qui allons par des chemi,ns , à la poursuite du qui dam qui daignera du coup écouter notre parole, comme quoi la grotte eswt découverte, la fameuse grotte ; nous aimons cette chose faire : aller à la renconttre du quidam, qui aura compris le simulacre, ou comment? mascarade ? ou peut etre cavalcade ? ; nous simulons ? nous avbançons aindsi, nbous allons ainsi, nous gagnons du terrain sur le passé mort, et perdons du terrain sur ce même passé mais à venir ; noustremblons, nous avons envie de poursuivere sur toile ou sur papier ; nous avons envie ainsi de fdéployer des choses sur tapis et y foutre le feu : calcination, digestion apres ingurgitation: nous aimons, nous faisons ainsi et y allons : nous donnon,s des choses en offrande : les mettons à l’abri, bnous sommes méticuleux ; nous aimons nous appliquer,  n ous aimons soignezr les choses ; nous y allons, nouys sommes qui faisons ainsi allégeance et prenons un temps la poudre d’ewscampette : nous filons ; nous ne craignons pas la mort mzais nous souhaitons rester le plus longtemps possible en vie, nous avons faim ; allons tuer ; nous tuons et mangeons tuerie ; nousz ne sommesc pas chiches ; nous aimons, nous uy allons, nous aimons y aller, nous voulons poursuyivre l’aventure, nbous sommmes ainsi qui faisons, nbous ne craignons pas d’y aller gaiement car que faire d’aytre ? se morfondre , etc ? ; il s’agit d’un espace-temps en terme de lieu (ici) de déposition pour une oeuvre ; il s’agit de’un tapis volant (la notion de tapis-volant...) ; nous agençons nos frusques, nos idoles, nous faisons place, nous aimons ces choses, nous les astiquons avzant de les montrer à qui de droit, sur socle (soclée) ; nous aiçmons faire ainsi que nous faisons : nous déployons nos bricoles sur table ou seuil ; nous dép^loyons les objets qui sontr prêts, qui sont prets à l’endroit, qui sont prets à déposer en cet endroit ; à l’endroit = dzaazns un sens qui aille (aà nos yeux) en tant que le sens en xerait respecté ; nous dféposons ainsi ; nous disposons le temps, sur la bache, sur la pierre, sur son sockle etc ; il s’agit d’une nature : un sens ; il s’agit d’une chose allant dans un sens, celui de sa chute dans le temps ; il s’agit ainsi, d’une disposition crédencée, une disposition cadencée, qui doit faire son petit effet à l’auditoire ; il s’agit de temps disposé s pour une monstration se déroulant ainsi, d’un point à un autre, dans un lieui clos ; il est bon de lme voir ainsi : un déroulé, une chose historiciszée, historiqiue (datée) et historicisée car s’inscrivant dans un déroulement de rouleau de printemps ; nous y allons, nous sommes qui faisons ainsi des choses sur les murs : des espoaces sont agencés, il sz’agit toujours d’espace agencé, de distances entre des points qui sont situés ici ou là et forment zone (espace) de monstration du monstre = le temps présent, offert en pature , en lieu et place de Vie la -Nôtre, coome arttendu par ailleurs (ailleurs)  ; nous explorons des champs de choses à déployer, à agencer entre elles ; nous avons de l’imagination ; nous co fectionnons des images, nous ouvrons des perspectives, nous organisons des espaces, nous déployons des draps, des tentures, des baches, des tissus, des couvertures eztc à même le sol, afin d’y pouvoir déposer  nos choses (présents) en un lieu sûr, et qui puisse le faire : faire son effet , ou bien son peztit effdet temporel : nous y allons ; nous pouussons la chose, nous donnons, nous sommes qui donnons ainsi, qui alklons ainsi, qui assemblons des pièces entrte elles : des pièces de puzzle, des morceaux, des bouts, et ces bouts de choses : les organisons ensemble, le pouvons ; nous dsonnons ainsi une forme à voir = forme d’ensemble , sur fond nu (galerie) qui met en valeur = fait ressortir (obligatoirezment) ; nous déployons des trésors d’ingénuité artistiques, à) base de tuyaux, dfe matelas, de choses et autres à même le sol uni (gris) de la galeri : unifié ; nous allons ainsi comme à confesse , déployer nos noms, dans le temps néceszaire à la diction desdits ; nous faisons des ouvrages de toute beauté, nous fabriquons des choses absolumenbt splendides : des objets de grande beauté (présennce) : des présents, l’ensembke est présent)  ; des présents, des présences sur toile, des espaces (quels qu’ils soient) )à organiser, en beauté, p,our une offrande à pour le coup développer sur pierre de taille ou autre support stable : une table ; nous faisons aibnsi qui allons offrant, donnant, des mots, des mots qui sont des images, des images qui cachent (?) des mopts : nous ouvrons les coffres  : ils sont rezmplis d’or ; nous donnonbs l’or à la bouche hurlante  ; or, orus ; nous donnons des choses ainsi, à cette bouche, à la mort qui braille sa douleur de bouche ; nous offrons, nous sommes qui donnons tout l’or du monde  ; nous l’aimons et nous le donnons : à cette bouche : sur tapis volant, le tout agencé, comme de bien entendu (l ;e soin) avec (en vérité) le souci de l’exsthétique = du souci de mettre ensemble des niveaux de choses pour la construction (l’élaboration) d’un ensemble «cohérent» ; nous disons ainsi que nous donnon s des cohérences, ; dese’sthétiques  = des rapports ; des rapports de choses entre elles, des relations, des choses en relation toute de proximité, sur une pierre, une toile, un drap au sol ; peu importe le type d’espace, il s’agit d’agencer icelui dans un sens (disons une esthétique : chantournement) qui en fasse un «objet» qui tienne debout ; chantournements et tenue stable sur plancher des vaches ; nous déployons de la sorte, sur un sol stable, des objets qui devront ensembvle créer cet ensermble sus -décrit : chose organisée, pour un salut (tapis volant) de la chose envolée dans le temps ; nous aimons ainsi, nous mangeons les animaux, nous planons, nous sommes plein de vie en nous, nous offrons des vies qui viennent de s’éteindre comme des étoiles ; nous offrons des vies sur tapis, dans un agencement digne dx’éloges, pour une chose à faire de la sorte et qui est : l’  oeuvre, ici déposée, sur un socle en dur, pour une commémoration ou pour un feu de joie, ou bien pour aibnsi  ici dévposer son nom et ainsi mettre ce nom à l’abri (peut-être) des intempéries ; nous dinons d’animaux saignés à blanc, nous nous en excusons, aurions nous d^u ? ; nous pleurons, nbous sommes agenouillés au pied de la table d’ offrande ; nous sommes au pied, nous pleurons, nous nous en remettons au jugemeznt de la bouche geuelarde, nous disons que nous nous relevons ainsi, dans ce souci de (toujours) nous en remmettre, à pareille bouche ; à bouche de dieu le père, cette Chose, qui est cete chose que nous détestons : cette chose au devant, qui tend ses bras  ; cette moprt qui hurle son fait, sa douleur de hjoue tranchée ; non et non ; nous nous cramponnons, bnous esswayons de nous tenir (retenir) aux branches, nous ne voulons pas nous envoler dansles espaces morts, ceux de cette mort qui touche, qui est hurlant ici son fait de blessure : nous voulons tenir ; nous tenons ; nous voulkons aller, nous allons, nous voulons nous dresser, nous nous dressons ; nous nous sommes relevés, nous avons marché vers la sortie (de cette grotte) et nous nous appretons à gagner lqa sortie de ladite grotte ;, bnous sortons ;l nouds mettons le nez dehors, il fait bon, il y fait meilleur que dans la grotte, nbous allons ainswi ma rcxhant à travzrs les champs, nous aimerionstrouver quelqu’un à qui nous adresser pour lui narrer par le menu, notrte découverte, toutes ces peintures des temp^s anciens, nous avons pour nous cette envie mordantee de tout raconter à qui veut l’entendre  ; qui pourra ou voudra nous croire ?  ; nous y allons ainsi à travers les bois, nous avons fuméc le gibeir sur la table, il est prêt à etre mangé ; nous donnons des vies wen pature, à bouche Grande la vgueularde, nous avons honte ; il n’aurait opas fallu, il ne facllait pas ; il ne faut jamais, il ne faut pas ; nousy allo s ainsi (faux pas) vers une destinée bancale ixici, qui pour le coup nbous voit marcher ainsi avec la honte en nous, qui est maussade, fait la triste mine en nous : de par la honte que nous trimballons : de manger des b êtes, voilà le hic ; nous sommes mal,  vu, nous sommes mal mis, nous sz ommes mal déployé, ne faites ainsi que nous soyons meurtris trop tot, de grace, ne le faites, ne le faites ainsi que le soyons de fait trop précocément : ainsi disons, ainsi faisons sur pierre de taille ; nous pleurons, nous disons, nous donnons ainsi ; nous ne voulons pas passer trop vbite,nous voulons tenir sur nos jambes, nous mangeons la vie animale, nous mangeons le sang, nous sommes des comme des chiens qui ont à carnasser ainsi, déchiqueter ainsi, viande de bouef, de veau, de vache etc ; nous allons ; nous sommes qui déployons sur des tapis, des choses à montrerre, avec un sens donnné pour une installaztion digne xd’envol ; il faut ainsi voir cela copmme une combinaison de choses entre elles avec sens de la marche inclus, en son centre : des choses posées, des choses élaborés dans un espace (circonscrit) en particulier = une table, u ne toile, un tableau, une nappe, etc, tout cela comme recouvert et ache vé pour un décollage vers l’éternité (à notre place) ; njous disons ain si, il n’en est pas sûr mais disons de la sorte ; le faisons du moins, quoique rien n’est sûr et que la chose (en son vol) peut tres bien capoter fisza  et perdre crédit etc ; njous demandons à une personne de nous écouter, nous lui demandons instamment, expressement ou gentimenjt ou délicatement de nous écouter (installation) : nous avons vu des cxhoses en grotte, les voici ici, telle que nous pouvons vous les représenter : entrez dans la grotte ; nous sommes ainsi qui accostons dees gens (qsuidam) dans lza natureet leur posons de fait la question qui tue : ceklkle -là qui leur va comme un gant en vérité = celke concernant la vérité ; la vérité sur la véracité, etc, de choses ruprsetres, de choses tres anciennes et qui vienbnent d’ette rtévélées, étonnamment, nous y croyons ; nous pensons quiil s’agit vraiment de peinturesruprstres d’un temps tres ancien, ici cvonservées au frais des ca versnes, sur des parois qui les abritent etc ; nous sortons des grottes gelés, nos avbonbs pris froid, nous sommes enrhumés, il fait frisquet, nous sommes congelés, nous avons le froid en nous, jusque dansles os, nous sommes frigorifiés, nous sommes ensemble qui sortons (gelés) des cavernes, des bois, des  for^ts , des champs en hiver, au printemps, en toutes saisons ; nous marchons côte à) cxôte, nous sommes qui sortons de cette grotte et nous alloons à lma rencontre d’un quidam, d’une âme soeur qui veuille bien écouter notre chose de relation ; nous avons vu la vierge, avons vu des choses chose, nous les avons vues, nous sommes surs de nous, njous jurons, nous certifions, nous avons vues des choses folles : sur parois de roches, le buffle, le bison, le phacochèyre etc ; que du gros gibeir, une chose Enorme, une beauté, des formes ciselées, finement louvragées, des formes en beauté, en agencé de confection, en relation entre les parties etcx : des installations murales etc ; des choses finies ; des  choses de toute grandeur et belles, de toute beauté et grandes, géantes, sur parois humides ou szèches : nous les avons vu, nous les avons touché, nous avons posé nottre joue dessus, nous cherchons la fraicheur réparatrice ; nous glkissons, nous sommes qui  glissons dfans des intérieurs, dsan des  grottes, des avens, des gouffres cachés, enfouis, des excvavations, des trous de roches, des entrées de ,nature, et nous de nous y faufiler, d’y aller ainsi, de faire ceztte chose ainsi, d(‘aller loin dedans, et de présenter sur table, sur tapis, le fruit de notre chasse = notre chasse ; nous faidsons, nous faisons des choses sur tapis, nous aligno,ns, nous organisons, nous tablons, nous incrustons, nous aligno,ns des traits divezrs, nous organisons des espaces dans le temp^s ; nous sommes qui organisons ainsi : des plans, des trajets, des courbes, des directions, des sens de chute, des attributions, des quartiers, des pelotons, des installations sur tapis ou table etc ; nous donnons ainsi à voir des choses entre elles, nous donnons à voir ainsi des choses d’image, des choses de temps, des choses entreelles comme reliées par des fils, par des cables etc ; nous disons : reliées, ou comme épinglées entre elles, pour former des cadresq, des chassis, des socles, des colonnes où pouvoir (sur lesquels) poser mille choses ouvragées (toutes) par devers nous : dans nos ateliers ; choses de vie mortes  ; nous osons, nous donnons, nous en ressentons le besoin ou la nécessité, car nous avons faim ; la faim de viande p^rime ; la viande ici est une bonne chose, nous la’»imons, nous aimon s ainsi en manger, de la viande cuite, de la viande de bison ou autres bestioles : nous aimons et nous mangeons, nous mangeons le sang, nous le dévorons, nous sommes êtres carnassiers, nous sommes des êtres qui bouffons la  iande animale = morte ; nous mangeaons la moert, nous mangeons de la mort en branche, en meule, en nombre, en somme, en étais, en temps : il s’agit d’une seule et même chose, cette cjhose du sang avalé, de la vie tuée pour une sorte d'avalée (bouchée) de viande (de sang) en retour de baton ; nous aimmons ainsi et ainsi faisons, nous aimons cette chodse ainsi, nous faisons ainsi de tuer l(‘animal, nous le faisons, nous tuons, nous faisons cette chose de tuer, nous sommes qui faisons ainsi : tuerie animal ière, et mangaeille animalière aussi bien : nous disons hélas, mais comment faire ? ; comment s’y prendre ?N;nous avons tué, nous le disons haut et fort, nous avons tué, nos ancetres, nous, eux en nous = nous ; nous sommes des assassins : nous le disons et nous en repentons, nous sommes assassins qui tuons des bêtes et les mettons en nous via une bouche ouvertte (la notrte) et ce faisant nous sommes ainsi qui devenons (partie) animaux en nous : fatalement, et allons ain si (animal des champs) dans la na ture : nous pleurons d’avoir mangé, nous sommes véritablement génés aux entournuresq, nous regrettons mais il est trop taRD, nous avons failli à tous nos devoirs, nous sommes faibles, qui devons manger de la viande, pour nousq redresser, et marcher à travers les champs ; nous avons mangé de la viande de boeuf, nous sommes idiots ; nous smmes tres pauvres d’esprit ; nous sommes pauvres en esprit, nous sommes des qui n’allons pas loin en esprit, nous sommes tres-limités, nous sommes des crétins des alpes, nous pârlons à tort et à travers : que disons-nous =? ; que penser ? ; nous sommes idiots, nous ne sommes pas tres fut-fut, nous n’avons point inventé l’eau chaude , ni même l’(aeau tiède ; qu en penser ? que devons nous faire ? monter le niveau ? ou bien le rabaisserr, tout le contreaire ? que faire ? ; nous sommes qui avons ici cet espace (de sustentation) commun , devant nous, à devoir agencezr : trouver des équilibres etc ; sur une toile tout pareil : ccet espacze de sustentation pour une sorte de tenue en équilbilbrec(pas trop casse-pipe de préférence) ; nous faisons = nous alignons, des jambes , étais, fuseaux, fusées pour un e tenue droite ou  présentant une équilibbre qui le fasse (ezn tant que tel) ; nous chezrchgons des équilibres de sustentation, sur table devant soi etc, afin de donc pouvoir ainsi offrir   équilibre, sur tapis volant, pour un vol qui tienne durant etc ; nous disonsq, nbous faisons, nous cherchons, nous organisons, nous agençons, nous disposons ainsi des cxhoses en équilibvre sur tapis, pour rendre un vol de tapis possible : etc, il s’agit de ce»la : tapis vole ; nous cherchbons (sur table ou sur tableau, essentiellement) des équyilivbdfcbres de sustentatation : qui puissent ainsi nous faire tenir droit, sur tertre ferme, sur tapis de sol, pour une sorte de tenue qui fasse son petit effet de tenue réglée, de tenue dans un sens qui aille ; nous faisons de cette sorte des objets ou autres présents sur table d’ooffrande, nousfaisons -créons des objets qui sont des équilibres de sustentatation (ou m^me culbuto etc) qui puisse ainsi a ller ainsi, sur tapis de vol : pour une éternité de station stable: nous aimons, et cdest ainsi que nous cherchons la chose : bien czampée sur ses deux pieds, et cela est que nousfaisons cela avec la mort des betes, etc ; nous pleurons la moprt des bêtes ; nous nous lamentons, nous sommes tristes, nous avons mangé, nous sommes carnassierrts, nbous sommes punissables, nous ne sommes pas a ppréciés, nous avons trahi un pacte, nous avons attenté à la vie (ici animale) et de c e fait de-vons (ici même) nous en repentir, étéernellement, sur table (tableau) d(offran de : une toile fera l’affaire , gribouioons, nous y allons ; nous sommes qui faisons du mal aux pzauvres bêtes ;  nous en tuons toute l’année, le temps passe ; nous sommes qui parlons avec nos lèvres, nous zavons bouche pour parler ; la bouche eswt ce trou dans la figure ; nous dessinnons le trou de la figure, nous avons un trou, njous avons un trou de figure en nous et ce trou serait à comblker, par des mots, par xdes phrases tout droits sortisz de nottre bouche ouverte ; nouys pleurons la mort des  etres, et les déposons sur la table (une table) d’offran de, où nous allons les sacrifier, nous les sacrifioons, nous y mettons le feu, nous les tuons deux fois, nous les immolons = deuxième mort, apres la mort pâr arme blancvhe ; nous faisons notre installation sur pareille table ou sur pareille planche, ou à même le sol, nous y allons ainsi en sauvegarde, et donnons des choses de nous (rattappées in extremis) et faisons de la sorte display de choses avérées dans une sorte d'équilibre : nous posons, nous y allons, nous avons faim, nous cherchons cet équilibre de la faim en nous, ici sur toile, ou planche, ou table ou à même le sol gris de la galerie ; sur plancher des vaches, alleluia ; nous disons ; nous avons ainsi installé nos objets et nous regardons les équilibres: ce qui tient et comment ça tient ? pâtr l’op^ération de l’esperit saint ? ou bien grace à des étais formels qui permettent un ensemble , un e composition qui le fasse ,? nous disons : grace aux equilibresq ; nous évoquons les équilibresq, nous sommesxa insi qui donnons des betres mortes, pour un éqsuilibre de table = de sustentatation = nôtrte ; nous posons sur le plateau d’une balance, ou miezux : sur la toile d’un tapis volant : un équilbre est à rechercher : bon pied bon oeil ; il s’agit de l’équilibre du tapis volant, de cette cchose à compôser partout  : mur-sols ; nous aimons et y allon s ainsi : nous calculons, nous disons ainsi : équilibrons, tout cela pour ça : zone de sustentattion, équilibre des pattes arrières, et redressement, et tenue droite fiable : que ça tienne, que cela tienne (debout) = que cela le fasse = que cela soit ainsi que cela aille = à la selle ou comment ? ; debout pour tenir et aller son train, en avalant des choses par devant (vitales) et déféquant des choses (v itales) par derriières également  : également vitales : nouys allons, nous sommes deboutr sur la bache ; nous sommes debout sur une sorte de surface de sustentation , et celle ci est notre (de fait) surface de vie (comité central) qui nous permet cde conservzer la vie par devers nous : un équilibre, une chose en équilbdre ; nous aimons ain,si, nous cherchons cette chose ; il s’agit encore et toujours d’un équilibre, d’une chose ainsi posée sur tab le : un équilibre pour un e tenue, une tenue pour un envol, un envol pour un e éternité etc ; la chose est ainsi que nous voyons ici, une chose pôsée et un équilibbre trouvé = une p^résence = un présent sur sol, qui aille dans un sens de bonne marche, etc: et non de guingois de préférence, pour les siècles des siècles en l’état ; la chose est ainsi que nous faisons cela sur bache, toile, table, tabvleau etc, il s’agit ici d’une image, nous veillons sur elle, elle est devant nous, nous l’avons posé ici pour mieux la regarder, nous laregardons qui l’avons posé et nous l’examinons dee pres : il s’agit d’une peinture de type rtupestre, il s’agit de peintrure de grotte, en fouie, au fin fond d’une excavation ; la pierre de taille est la table ; la roche est nue, le sol est dur quoiqu’humide, les parois sont peintes, recouvetrtes de dessins de b êtes, les betrss sont essse’ntielles ; les bêtes sont pour nous des etres de chair )à manger (pas toutes, mais certaines) ; nous mangeons, nous cherchons sur toile des équilibre, ou à l’intérieur de la toile, ou à l’extériuer, nous cherchons des équilibres anima liezrs, des peintures, des choses représentées sur roche, et ce depuis une éternité (temps immémoriaux)  ; nous avons gra vé, njous avons dessiné, nous a vons peint, nous avons chassé le buffle, nous avons fait (peut -etre) des incantatations ; nous avons fait des feux et brûler des chodse ; nous avons mangé des fruiots, des légumes, des feuilles, des betes, des choses diverse ; nous avbons besoin de manger = de féabriquer (dès lors) des outils, de fabriquer des lances (= ou implique) ; nous faisons, nous nous tenons debout, nous allons à la recherche (perpetuelle) d’équyilib re et cela partout où nous allo ns : un équilbire de sustentatation ; nous mordons dans la pomme, njous croquons et mangeons ; nous faisons des choses illicitses : nous croquons et déséquilibrons, alors à nous de retrouver un équilibre ; nous poussons ainsi et faisons, et dès lors retrouvons notre assiette et pouvons repartir d(un bon pied et nous tenir droit ; nous mangeons du gibier ; nous mangeo,ns la carne, nous tuons, nous sommes des prédateurs ; nous avons honte, la honte est sur nous qui mangeons à tire l’arigot de la viande animale, nous faisons cela et nous en avons honte : la honte est sur nous, n,ous sommes reouge de honte ; nous ne devrions pas faire cette chose ; nous devrions ne pas faire cette chose ; nous devrions lacher prise et ne plus chasser, ne manger que des baies ; nous avons une zone à nous (de sustentation) et cette zone est le tableau et le tableau de chsaase, pour un équilibre qui nous soit fiable, susceptible de nous tenir droiitet bien disposé ; nous plaçons ici et là des choses sur npotre tapis et regardons des lors, en vol, l’équilibre (ou le déséquilibre) obtenu : à nous de hjongler, de reprendre pied, de voir comment nous en sortir pour cette chose d’un équilbre à trouver pazrtout : tapis mùais pas seulement  ; nous cbherchons, nous recherchons, nous sommes en recherche d’équilibre, nous cherchons partout, et ici (zone) pareillement ; nous marchons dans les bois ; nous avons pieint des choses équilibrées, qui tiennent deb out, qui le fassent, qui tyiennent bon sur leurs chassis ou sur leurs échasses, sur leurs pilotis ou sur leurs deux jambes etc : équilibre d’un ensemble de composition, à donner instament pour un éventuel salut (dans les siècles des siècles) de la chose déposée ; nous posonsq, une chose, un e autree, et prions : que la cxhose soit en équilbre, que la chose puiisse, soye, puidssse aller ainsi, et tracverser les décennies, il suffit de cela, a priori : un bon équilibre de squstentation, sur pierre d’offrande, et le feu : torche! ; nous mettons le feu, nous sommes équipés, nous allumons la bete morte en son poitrail, nous y allon s, nous n’avons pas peur d’y mettre le feu, nous fgaisons a insi, c’est ainsi que nous élaborons la chose : nous brûlons, nous sommes sur du feu, le feu est sous nos pieds, nous sommes qiu brulons ainsi sous la plante de nos pieds, nous brulons par en dessous : le feu nous lèche ; le feu est la Chose qui lèche, il s’agit d’un cfeu de chose qui va son allant : qui pousse à la marcxhe, se conbsume ainsi ; il s’agit ainsi d’une chose d’allant ; une cxhose qui poiusse, qui entreaine, et dans le mouvement (de vie) permet l’équilib re = cetgte chose en bon suspens ; njous sommes comme en suspension dans la vie, et nous allons, de la sorte, notre chemin, nous aimons a insi ;: nous sommes qi faisons ainsi, nous alloons ainsi sur une voie qui nous conduit des lors à cette sorte d'équilibre recherché» ; vive l’équilibre, nous le recherchons et veillons dès que trouvé ; nous aimons l:es équilibres, nous mangeons, nous allons aux toilettes, nous nous promen ons, nbous nous lavons, nous deesinons, nous collons, nous faisons de s collages dans la vie, nbous tentons des chodses, mais toujoutrs avec en tete cette ideeé dune rtecherche de styabilité, déquilibre de port, de portage de soi dans la marche allée ; nous veillons ainsi , par la marche azussi, à ce qu’ainsi nous puiisdsions aller, fissa, sans chute, sans grabuge ; nous marchons par les sentiers, nous vivons dans la prairie, nous avançons, nous sommes plusioeurs, nous avons des parents, de la famille, nous dessinons des beters sur de grandes feuilles de papier, nous gravons des choses sur des pierrers, nouscherchons ici ou là un équilibre de sustentation , qui puisse le faire et surtout : qUIi puisse le faire longtemps, nous cherchons, nous sommes ainsi qui cherchons : sur des parois, dans des grottes, sur des feuilles de papier, sur des sols de galerie de quartier, sur des caisses et sur des meubvles, sur des boites et sur des soclesx ; nous fouillons ainsi , en quête d’équilibre de susqtentation pour une sorte d'avenir qui chantera ainsi, à travers les bois et l:es forêts, à travers les champs et les prés ; nous sommes en quête d’une sorte de stabilité qui nous permette une station  deebout parfaite et la possibilité, ici, de marcher et de marcher vite : l’(oereille interne ; nous cherchons une chose ainsi , qui puisse nous aller longtemps, nous voulons pour cela aller , vers du gibier, vers des mets, qui puissent ainsi alimenter notre bonne chaudière intérieuere, afin de lui donner de quoi se sustenter sans trop de faiblesse, ou sans trop de passage à vide : nous sommes des chasseurs de carne, nous dessinnons celle ci sur des parois à l’intériuer des grottes, nous mangeons la vie des betes, la vie des betes nous nourrit et nous permet bonne sustentation, elle nous offre cde quoi, nous le prenons en  ous, nous dezvenons dès lors des betes (pour partie) et devenus tels nous nous en repentons et nous en excusons : nous faisons allégeance, sur des chassi , sur des toiles, dans cdes galeris , dans des espaces blanchis et nettoyée à grandes eaux: nous disons que nous avons fauté, qUe nousq avons péché, nous disons nos méfaits, les avouons permanemment et ainsi fait pouvons nous sentir plus légers pour marcher, le ventre libéré ;

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11/03/2020

il est ici un petit moineau qui se voit recueilli en galerie , soclé ou scotché au mur : il est mort, il est tombé et il est mort, il est sauvé en tant quil ne navigue plus dans les espaces nus de l’espavce, dans le vide noir des espaces perdues, des zones sidérales et abyssales etc, oui, et cependant, quoique sauvé ainsi d’une sorte de vie de vols à l'infini, de survol infini dans un (ici) temps-espace du coup abyssal, ici le voilà , le moineau, recueill i et donc sauvé mais mort, mort et froid, froid et mort ; il est fichu en tant qu il n’est plus cet oiseau en vie qu il était, il n’est plus cet oisillon là, il est devenu un objet de culte : dféposé sur un socl ;e, ou dans un reliquaire (sous cloche) ou scotché ou punaisé au mur : lze voilà qui trone, mais mort ; court circuitage ! ; il s’agit ainsi ds’un objet de nous, tombé vivant, et mort dans sa chute, tombé depuis notre giron, depuis le rond (cercle) que forme nos bras, nos mains qui tiennent ; une cghute dans le temps, le temps tenait , au présent, et voilà qu il ne tient plus, il ne tient plus à deux mains comme il faisait : le temps a failli, comment dire, le temps a manqué, a failli, le temps manque, il a manqué du temps, commrent dire, il semblerait cela, que le temps a manqué ici, qu il a ici manqué du temps pour sauver la chose (d’une cghute du nid) et la conserver à part soi , en son giron, en son antre, sa grotte etc ; le petit oiseau est tombé du nid, et c’est lma terre ferme (le p^lancher des vaches) qui l'a recueill i ; il s’agit ici d’un recueiul, d’unr reception, d’un atterissage ou d’un alunissage ; il s’agit ici d’une retombée tout en douceur, ou pas, mais d’une réception salutaire, non pooint en ce qui concerne la vie (non sauvée) de l’animal chétif, mais en ce qui concerne la vie, sauvée ici, en cela (salutaire) qu il (l'animal) se voit ré cupéré en tant qu objet à conserver, dans un reliqua ire, sous cloche, sous vide ; il s’agit de l’art : il s’agit ici d’objets d’art, d’art des choses exposées, etc, des choses qui sont exposées, qui sont poséees, qui sont ouvragés, qui sont chantournées, qui sont vrillés, disposées à dessein, qui sont présentés avec des intentions (ou pas) mais qui tronent : ces choses là tronent, comme trone l’oiseau mort, le petit moineau ; il s’agit xd’un trone  ; socle, caissette, cageot, cimaise, outillage en support, toutes sortes de support, mur blanchi à la chaux etc ; qui permettent bonne réception et bonne lecture, il s’agit ici d’un support, d’un sol ferme, qui permet la réception et la lecture de la chose : de quoi s’agit il ? il s’agit d’un poetit oiseau, un oisiillon qui est tombé du nid, il a chu et , en retombant, il s’est tué sur le coup, et nous, nous l’avons ramassé, arrangé et l’avons présenté à l’écart du monde, ou plutot à l’écart des sales pattes du monde ; nous l’avons choyé, nous ld’avons proposé à la vue sous cloche, ou scotché ou punaisé ou cloué au mur, sur une croix, ou sur un bout de bois, un piquet, un poteau, une tringle, un petit morceau de tissu découpé et collé au mur ou sur une pla n,che de multipli, etc ; nous avons ainsi montré (sauvé) l’oiseau mort (tombé du nid) et cet objet a fgait ainsi la chose, d’une exposition en public, sous les lumières (blanches) de la galerie de quartier, nous y étions, nous avons remarqué les ailes abiméees ; nous voyons les ailesq, le corps de l’oiseau, sur son socle, empaillé, naturalisé sur pattes  ; il nous plait, il est à notre gout et convenance ; nous l’aimons et nous disons oui à cet oiseau, à cette présence, à ce présent fichu, cette cbgose morte, qui trone,, qui est reine , qui est roi l’objet, etc ; nous aimons, des lors nous disons un oui qui signifie amen, nous adoubons, nous disons oui au fait qu on puisse en faire un objet qui trone, oui au trone, uoi au petiot trone, nous le disons ; nous disopns oui au trone  ; nous voyons l’exposition de ce petrit oiseau, sur un trone-socle, il est mort (naturalisé) , il est empaillé, il regne, il est debout, ou couché ou peu importe, sa p^résence est là qui s’impose à nos regards  ; nous avabnçons vers lui et avons interdiction  de le touicher, sous peine 1 de l’abimer et 2 de nous faire repérer et enguirlander âr la volante ; nous sommes des lors cointenu à part nous, nous restons sage : nous nous contenons, nous veillons à ne rien toucher sans autorisation des autorités, nous respectons religieusement les consignes, nous sommes obéissants, nous sommes de gentils garçons et filles, nous faisons tres attention à ne rien toucher par mégarde, nous évitons toute mégarde, nous essayons de nous tenir hors de toute mégarde, nous essayons de rester ainsi tres concentré pendant la visite et faisons attention où nous mettons les pieds ; il s’agit donc d’une attention cvontinue ; il s’agit de bien faire attention où nous mettons les pieds , et de ne rien toucher même par inattention, etc ; on fait attention, on essaie de faire gaffe sans gaffe ; on évite les gestes vifs, les gestes amples, les sautes d’humeur, les grandes gesticulations ; on évite de courir ; on se tient à carreau et obéissant, on est gentil, sage, on est bienveillant, on a pas les doigts sales, et de toute façon on ne touche rien, on s’en garde bien ; on déambule pa rmi les objets déposzés, les oeuvres, on déambule gentiment, religieusement, sans mouvements désordonnés, sans gestes intempestifs de quelques nature que ce soit : on avance tranquillement, les mains derrière le dos ou sur la tete, on va dun point à un autre, on suit le tracé délimité, on suit les traces au sol comme dans un jeu de marelle etc ; un jeu ; nous jouons, il s’agit d’un jeu de piste, nous jouons à aller d’un endroit tracé à un autre et cela sans rien toucher (sauf autorisation ) au passage : jeu de piste, jeu ou parcours de jeu, jeu de piste ou parcours de jeu ; nous faisons ainsi, nous nous promenons ainsui ; , parmi les oeuvres ; nous avançons ainsi parmi les oeuvres exposées, les oiseaux morts ; il s’agit d’objets de chute, d’objets (de fait) sauvés en plein vol, objets tous de réception, quioque non vivants: il s’agit de choses, chantournées à dessein, vrillées à dessein, d’objets de dépose (tous) qui sont (ici) objets de déposition (d’aveu) ; nous voyons l’ensemble du dispositif, nous évoluons parmi ces objets, ces choses ; nous allons ainsi d’une chose à l’autre : déambulation et jeu de piste ; nous avançons et allons ainsi parmi les choses ici exposées ; nous aimons ; nous ouvrons la bouche pour dire oui, que nous aimons, notre bouche s’ouvre, l’air en sort en rentre ; il s’agit d’un conflit, il s’agit d’une chose ainsi qui est que nous entrons de l’air et expirons (sortons) de l’air : entrée sortie part le même trou de la grotte ; nous aimons tel ou tel objet exposé et nous disons oui, que nous aimons, notre bouche (notre coeur) dit ouyi ; nous didsons que cela nous plait, que cela nouys est gré, que cela nous convient , c’est à dire que cela (le moineau mort) nous convient bien, nous plait, cela entre dans notre champ de choses acceptées, nous disons oui ; nous sommes qui disons oui ; nous sommes qui approuvons, nbous disons oui ; nous sommes qui disons que cela nous convient, que cela nous va, que cela est bien pour nous, pour notre regartd ; nous aimons = nous approuvons, nbous disons oui ; nous ne disons pas non, il y a du oui dans l’air ; loiseau même mort nous plait, il s’agit d’un objet épi,nglé , d’un objet désolidirdarisé de sa base, et qui trone ici recueilli , en tant que chose monté en grace etc ; nous avons vu cet objet devant nous, bnous voyons cet objet devant nous, sous cloche, protégé, prpopriété ; nous regardons cette chose devant nous, et cette chose est un objet présenté sur une sorte de piédestal, d’estrade ; il s’agit dune  chose ainsi qu i se voit valorisée ici, par un display ici qui l’adoube et le propose ainsi q uil en est recueilli haussé ; il s’agit ainsi d’une chose, d’un dispositif autour de cette chose, un dispositif de monstration = display, et nous le voyons, nous voyons pareille chose sur socle, ce bout de rien mort, nous voyons la chose en spectacle, nous voyons cette chose tombée, qui a chu, cette chose montrée, nous la voyons, nous voyons son trone, le piédestal, la lumière faite sur la chose, nous voyons tout le dispositif attenant, l’ensemble des conditions, ici, de monstration : monstration d’une chose morte tombée du nid : il s’agit ici d’un display qui est montrement de choses mortes : display de choses mortes pour un montrement public, avec tracé au sol de déambulation (ou pas)  ; nous faisons ainsi qui allons ainsi parlmi les choses ainsi exposées : ce sont des choses physiques, des choses matérielles, du dur, du solide quoique il se peut fragile, et cependant : du dur en tant qu il s’agit de choses matérielles, qui sont là en exposition : à l’écart des bruits du monde dehors ; il s’agit de choses en dedansq, au dedans d’un gouffre, à l’écart des da,ngerrs provenant pour le coup de l’extérieurk, à l’écart des buffles, des rhinocéros, etc ; il s’agit d’un lieu nettoyé, un lieu de présentation, de display de choses mortes ; il s’agit d’un lieu de choses fichues pour la vie telle qu elle est en vie, telle qu elle apparait en vraie vie du monde : il s’agit de lieu de monstration de choses sous cloche ; il s’agit de choses ainsi qui sont toutes (toutes ou presqUe) montrées sous cloche : la cloche ; nous y allons ainsi, passant parmi les cloches de protection ; il s’agit s--donc de passer ainsi, entre les cloches de protection, tout est mis sous cloche, tout est ainsi, il semblerait qu ainsi ce soit qu e les choses sont : la plupart du temps ; des choses et autres, des rayons, des lumières, des briuts, des choses gluantes, des choses liquides etc , mises sous cloche = protégées sauf autorisation contraire etc ; il est ainsiu que nous allons parmi les choses exposées, qui sont des matières, des façons, des choses bricolées ou manufacturées, disposées avec soin, d’une manière ou d’une autre : vrille de la vigne ; nous faisons ainsi qui allons parmi les vrilles, et nous déambulons de la sorte, et nous respirons, nos poumons se gonflent et se dégonflent : display ; nous disons ainsi, qu il s’agit ainsi, d’une sorte de dispositif, pour une accroche visuelle, de chosesà ne pas toucher ; il semblerait qu il noud faille ainsi nouys tenir à carreau , car la police veille sur lobjet sous cloche ; attention les yeeux ; nous ne sommes pas sortis de l’auberge, nous ne sommes pas sortis, nous tournons au sein de la galerie, nous allons ici et là à petits pas, sans faire le moindre gestes intempestifs, sans faire de gestes brusques, en faisant ainsi doucement, en y allant ainsi doucement, en faisant gaffe, en faisant vraiment gaffe et ne rien touchzant sauf les prospectus (les flyers) ; nous allons ainsi parmi kles choses et déambulons aibnsi d’une chose à l’autre ; nous aimons ; la bouche dit oui ; le dit ainsi en s’ouvrant grangd, ou en s’ouvrant petit, elle dit oui, ou elle dit non ; la bouche parle ; il s’agit de bouches qui s’expriment et de jambes qui déambulent ; il y a ici un esprit, un espirt de mise, il y a ici un esprit comme au sein d’une église, ou bien comme dans un funérarium, un peu de cela, qui faitr que nous marchons à petits pas et sans hausser le ton, et sans gestes inconsidérés, nous allons ; nous allons ainsi au sein, car nous sommes dans le sein ; la chose est ainsi que nous sommes dans le sein ; il s’(afgit d’un sein, d(‘un temple ; il s’agit d’un endroit pointé sur la carte ; il s’agit d’un endroit pointé, il s’agit d’un sein, un endroit pointé, il sagit d’un sein pointé ; il sagit ici de loucherie sur un sein pointé, une chose exposée en son sein, en son sein une chose pointée, exposée ; il s’agit de loucherie, il s’agit d’yeux qui louche, et vise ainsi cette chose sur socle, sur pupitre, en vitrine, sur cimaise ou portiques etc ; nous allons parlmi les toiles exposées présentées au mur, accrochées ; nous allons parmi des bouts de choses vrillées, chantournées, toutes maniéerées en plus ou en moins, ou alors toutes (quoi quil en soit) maniérée, des lors qu il s’agit de choses chues ; et il s’agit de choses chues ; elles ont (toutes) quyitté le giron d’entre nos mains, nous avons ainsi ces choses ainsi qui onrt quitté le coeur, le centre, le sein, le giron, l’antre, la bouche, la bouche s'est ouvetre (en grand) dans un immense baillement (de grande fatigue) et la chose manufacturée (la chose des mains) est tombé ainsi, par mégarde, de pareille bouche ouvert e, de grande grande bouche ouverte ainsi, a chu, et s’est retrouvée le cul à terre, sur sol ferme (une chance) et peut des lors naviguer ainsi : entre les obvjets de la galerie ; nous y allons ; nous allons ainsi, parmi lkes objets de la galerie  ;noius allons ai,nsi : par les champs et par les bois, noius avons perdiu quelque choes et ce quelque chose est tombé par là ou opeut-etre par ici : nous le cherchons, nous allons ainsi à sa recherche : où peut il etre ; nous cherchons la chosqe chue, il s’agit d’un petiot moineau, d’une bricole frele, toute frele et fine, une chose de rien , tenant à peine à la vie ; est elle encore en vie ? ; nous avançons sur ce chemin , en espérant trouver ainsi la chose tombée, la chose ainsi qui a chuté de la bouche baillante ou bien d'entre nos mains la chant la chose betement pendant le baillement ; qu en est il ?  ; nous pensons qu il en est ainsi  ; une chose est tombée d’entre nos mains , pendant que la bouche baillait aux corneilles, ou bien : de nos mains (nos deux mains en cercle) la chose a chu, elle s’est ici retrouvée lâchée, car la bouche a baillé et l’individu s’est assoupi et ainsi faisant, la cxhose s’est produite de la sorte ; peut etre en effet, peut etre en effet la chose (qui le sait ?) a trouvé» ainsi un récit, une situation, une chose, de se voir ainsi accueillie, ici, sur un sol ferme : une terre ferme = la terre ; le plancher des vaches = du dur ; et voilà que la chose ainsi tombée aura besoin d’etre recueillie, peut-être, par une amê charitable , en galerie (?) pour une monstration «propre» : en bonne et due forme ; car la chose, dans sa chute , a trouvé la mort : il s’agit d’une vie morte ; la chose , chutant, a trouvéc la lmort ; il s’agit de qurlque chose qui est mort ; il s’agit d’un oiseau mort ; d’une vie morte, une chose , venant se poser ainsi pour un décor, pour un ensembkle, pour un décorum, un habillage de lieu, pour un habillage ou un décor , pour déambulation, pour allées à l’intériuer de la cxhose d'un dispositif, ; à l’intéreiur, de pareil espace de monstration = une galerie de choses (en attente detre vue, pezrçue, entendue etc) ; nous sommes ainsi qui portons sur nous des choses, nous sommes la bouche qui baille, et voilà que nous tombons ces choses à terre ; n bnous sommes betes ; nous avons laché notte surveillance, bnous nous sommes endormi, nous aviions grand sommeil, il faisait nuit, nos yeux se sont fermés, et nous avons alors baissé notre vigilance, avons lacghé prise, avons lâché notre prise, cet animal, cet oiseau en gueule, cet animal entre nos mains, entre nos main tenant, et bien voilà que les mains ne tiennen,t plus, les mains lachent, ce présent au pied de qui de droit = la tezrre, la terre ou le planchezr des vaches: ce petit (?) animal  mort, nous lachons la prise, nous sommes ainsi que nous avons parfois (par moments) sommeil : nous lachons la surveillance, nous déconnectons ; nous szommes ainsi qui sommres ainsi qui faisons ainsi qui dormons ainsi et lachons ici la proie dans l’ombre, pour lo mbre, et nous endormons betement, et tombmons la prise, l’animal pris, cette chose de taille à pouvoir ainsi etre conservée nous l’avons la)âché, cette chose (animale) de taille )à pouvoir etre , ainsi , conservée entre nos mains (pratique) nous l’avons laché, nous l’avons perdu, nous l’avons tombé et nous sommes tristes (las) de cette chose, comme quoi sommes idiots, sommes ainsi que nous sommes et idiots et tristes (le comble) , à devoir ainsi pleurer, ici, sur le sort qui nous est donné, sur cette chose d’une chute telle, et d’une perte, déperdition, perte d’animal, perte de choix, nous sommes juste embêtés ; nous sommes tristounets ; nous avons les boules ; nous pleurnichons ; nous sommes dégoutés, et nous pleurons ; nous sommes dégoutés et pleurons ainsi, car bnous tenions à cette chose entre nos mains , cette chose ainsi étaiit tenue, elle tenait à nos mains et nos mains la sezrraient fort ; nous sommes dégoutés ; nous avons honte e n nous ; nous aimerions retrouvé la chose, cette chose est valorisé dans sa chute et cela est sa chance ; il s’agit des lors d’une cghose qui s’est vue tomber et s’est retrouvé assommée (et morte sur le coup) sur la terre ferme = le monde (le notre) ; voilà tout ; il s’agit d’un objet de taille humaine, à notre échelle, il s’agit (en vérité ) d’une chose en déreoulé, un rouleau de printezmps, une chose de temps ; il s’agit d’une chose en déroulé de temps car il s’agit du temps, voilà ; il s’agit du temps présent, il s’agit d’un montrement (display) de temps présent ; voilà tout ; et cela est qui est ainsi ici : monstration, montrement (spectacle, théatre) d’une chose déroulé, d’un tapis de sol, d’une chose de temps, de temps de vie morte, etc ; il s’agit ici du présent de vie, déroulé, au fur et à mesure de sa mort à loeuvre etc ; il s’agit des lors d’une chose ainsi qui vient à dérouler,  sa chose en direct, en chose de temps, en chose qui file son temps entre 4 murs, qui va ainsi déroulant son tapis ; une chose chue, ubne chose de temps préseent ; une chose chue qui vient ici trouver un lieu (espace) d’accueil ; il s’agit d’un espace d’accueil aéré, blanc ou  du moins blanchi ou du moins a ppropri ; il s’agit d’un espace (un lieu) de display (de monstration, de montrement) pour une expposition ouverte, une chose en exergue et en mahjesté ; il sagit d’un reliquaire, il s’agit d’une chose sacrée, il s’agit d’une chose protégée dans une sorte d’évcrin ou dans une loge (autel) et qui ainsi est protégée dfes mains qui souillent ; il s’agit d’un e chose protégée de toute souillure du temps ; il s’agit dune chose sur fond propre, à l’abri, mise en majesté comme une relique (d’un saint, x ou y) ; il s’agit d’une relique, une chose protégée, une chose tenue, une main secourable, une main ici qui vient à secourir la chose, de cette sorte de chose de la mort, de cette sorte de petite mort dans la vie, de mort à l(interiuer de la vie, ce semblant de mortv à l’intériuer de la vie, ce jeu de chose etc, cette chose de lma mort (de fait) in situ ; nous voyons toutes ces choses en expôsition, ici et là àtravers le monde , oeuvrant dans le beau, oeuvrant dans une esthétique, etc ; nous voyons toutes ces chodses ainsi protégées et mises au propre (esthétique) ici, pour une monstration publique (display, dispositif d’accroche, de prise) ; nous faisons ainsi, qui montrons des choses (objets divers, ou pârfois sans objets etc, toute la gamme) ; nous avançons, nbous sommes ainsi qui ava nçons, parmi les colonnes ; nous aimons et le disons, une histoire de bouche ; nous disons toutes ces choses ; il y a ainsi des choses en galerie, le  ;luxe d’etre protégé, nbous allons, parmi les colonnes de display, nous avanço ns, nous aimons, njoys sommes recueillis, nous sommes dans un antre, dans un ventre, dans une baleine, n ous sommes dedans, nous sommes dans le venttre d’une ba:leine, nous sommes dans une grotte, nous sommes dans un intérieur cossu, ou bien dans un intérieur valorisé, ou bien dans un intérieur qui valorise (pluto) ; nous allonq-s ainsi qui allons parmi les colonnes, les dents, les choses de bouche : couronnes en or ; il y a des trésors, il y a des coffres du butin, des choses de vol, de captures, etc ; nous avançobns, nous sommes comme pris dans la bouche (-geéante) de la baleine  ; nous allons ; nous voguons ; nous sommes qui alons ainsi, nous allo,ns ainsi, nous sommes qui allons ainsi, nous y allons ; nous voyons les trésors, les coffres ouvertts, l’or partout ; nous solmmes cerclés (encerclés ) d’or ; nous somes cerclés d’or, nous sommes comme , cerclés d’or ; nous sommes comme cercklés d’or et d’argent ; nous sommes cerclés d’or et allons parmi les caisses, les corbeilles, les outres, pleines (remplies) d’or et de rubis ; nous allons parmi les ors, à confesse, penauds, déambulants comme des enfants ; comme enfants qui se doivent de se contenir , parmi les ors ainsi disposész ici et là : il s’afgit de choses en or ; il n’ya que de l’or ici, tout est or, tout est en or, les tableaux, les sculptures, les differebntes choses exposées sont en or ; il n’y a que de l’or ; il n’y a quye cela : tout est ainsi (comme ors qui scintillent) en galerie ; ikll s’agit ici de scintillements (divers) en galerie (de choses en or)  ; que cela ; l(‘or est partout ici, qui scintille de tous ses feux = du feu ; le feu est là qui brille-brûle ; il s’agit du feu de tablee, il s’agit ds’un feu sur table ; il s’afgfit d’un feu et le feu brule et brille : et donc pas touche ! ; un feu dit de joioe brule et brille ici et gêne une touche, et gêne fort ; il s’agit des lors d’une chose, ainsi , quii est, comme quoi le feu brille et brule , et gêne l’approche tactile :ors, ors sur toute la ligne, or froid mais qui scintille de tous ses feux ; l’or est froid, il est la valeur supreme, l’or est la valeur, l’étalon ; il est la Chose, il est cette chose qui est ainsi cette chose à ne pas toucher avec des mains sales ,  (toutes les mains sont sales et tombent des choses par inadvertance un jour ou l’autre, hélas)  ; nous sommes qui aloons aindsi parmi les ors, il s’agit d’or zinsi, et nous allons, parmi, à travers les chjoses ainsi expôsées ou parmi ; il s’agit d’une foret, il s’agit d’un pré, il s’agit de nuages, il s’agit de tentures, il s’agit de pièces de monnaies, ou d’outils de garage etc ; il s’agit de mille choses en or ; il s’agit de mille choses cerclées d’or , cerclées d’encadrement fait en or fin ; il s’agit de cadres en or ; il s’agit d’or, nous dormons, il s(‘agit du sommeil, nous allons, nous alloons plus avant au sein de la grotte-display ; nous avons pour nous cet abri, et nous nous réfugions en son sein , et là, à la clarté de la torche ou de la cxhandemlle, nous voyons les peintures rupestres, nous voyons les choses sur parois, les re-présentations, les animaux ; il y a des animaux, ils sont ainsi qui meublent et qui font nombre, ils sont ainsi qu ils sont ainsi dessinés gravés etc, sur des parois de grvotte nue ;: il est ainsi une paroi de grotte nue, et, sur elle : des animaux peints, par des hommes ou femmes de la préhistoire, il s’agit d’animaux gravés ou tracés à même la roche : une beauté de roche, etc ; il s’agit d’une ribambelle, il s’agit d’une cohorte, d’une meute, d’une chose en nombre, suite de bêtes sur parois de gvrotte, comme une chiée, une chose ainsi qui se vmontre  ;une chiée plus un ; nous voyons ainsi cesz cghoses qui sont, de laz sorte, reproduite : pour quel effet, ou bien à quel usage ? pour faire nombre ? tres certainement ; nous les voyons et nous sommes babas, nous regardons ensemble les animaux pieints et nous restons babas devant, nous sommes babas, nous sommes ébahis, nous sommes comme des enfants, nous sommes et reswtons babas, nous sommes ébahisq et nous restons babas , devant ces betes peinbtes, ces parois ; nous reswtons baba, nous sommes baba, comme des eznfants qui sont là, babaa, comme cois, comme deux rond de flan resteznt ; sont babas devant, et nous pareillement, nous n’en revenons pas, de pareillez chose en ribambelle : un nombre certain, une suite animalière, pour une monstration animalkière d’envergure : déploiement ; nous voyons ainsi ces choses peintes et restopns cois, en rewsto,ns cois (médusés) devant : nous sommes ainsi qui restons comme médusées, comme étonnés, comme surpris, comme ébahis, et nous continuons aionsi dans cette sorte de surprise grande, allant de choses en choses, en galerie, mais toujours sa ns rien toucher : comme deux rond de flan , ébahis, les yeux ainsi, qui voient mais pas davantage, ne pouvant toucgher ; nous sommes qui allons ainsi parmi les pièces du musée ou de la galerie : cet endroit d’adoubement, cet endroit de choses valorisées, de choses adoubées, aux cxhoses valorisées, aux choses adoubées ; nous aimons et le disons, nous sommes qui aimons ; nous voyons l’or : en barre, en branche, en bâton ; nous aimons l’or, qui n’aime pas l’or ? nous aimonsz ainsi «toucher» dsdes yeuds, nousv disons que nous aimonbs ; nous allons par les champ et par les forets ; nous sommes au milieu des choses, nous aimons l’or et l’argent ; nous aimons l’argent et l’or, nous spmmes maniérés, nous faisons des choses avec nos dix doi gts, nous n,e sommes paes en reste ; nous faisons mille choses avec nos dix doigtsq, nous moulons, nous façonnons, et nous exposons au soleil, etc ; nous sommes qui exposons mille choses et cezs choses (or) sont valorisées aibnsi, et montrés dès lors entre 4 murs blancxhis ; nous les aimons : et les choses (or) et les murs (propres comme sou neuf)

 ; npous aimons ainsi et aloons parmi les ors, nous naviguons, nous sommes qui allonsa insi , d’or en or ; nopus sommes qui naviguons d’un or (butin) l’autrte, allons ainsi qui allons de la sorte, en grotte, en temple, en galerir, en sc!ène  quelconque qui puisse le fair : or autour de nous ; il s’agit bien de cette cvhose, quyi est, que nous sommes (en galerie) cercxlé d’or et déambulons ainsi, faisant montre du souvci, perp^étuel, de ne rien toucher c’est à dire abimer ; nous nous tenons à carreau, nous veillons à suivre (consciencieusement) les consignes : njous sommes éduqués, nous sommes polis et propres, nous ne cherchons pas à salir ni à détériorer ; nous sommes propres, nous veillons à rester propres (les mains surtout, et les pieds : les surfavcces, debout , de nous, de contact probabvles, et de contact sur ,, question pieds) ; nouts aallons dans les forets, nous allons dans les bois, nous nous promenons ainsi, nous nous preomenons dans les champs de blé, dans les champ d’avoine ou d’orge, nous nous promenons dans les champs de sésame, nous aimons, nous nous promenons car nous aimons, nbous allons aindsi nous promenant parmi les fleurs des prés, nous aimons, il y a de l’or, il y a de l’argent ; nous alloons ainsi et nous nous promenons ainsi : nous aimons ainsi nous promener ainsi, nous aimons ainsi aller, nous y allon s , nous sommes dans les prés, nous marcghons, nous aimons marcher, nous avançons à pas ca dencés, nous aimons avancer ainsi, nous avançons ainsi : nous marchons, nous allon s ainsi, nous aimons ainsi, nous voyons l’or vdans les préz, nous voyons l’or dans les forets ; nous sommes qui allons par les forets à la recherche decl’étalon-ort, nous l’aimons ; nous aloons dans les forêts et nous voyons ces choses exposées, cces zarbres, ces fourrés, ces ronces en or ; nous aimons, nous le disons ; nous sommes qui allons ainsi et disons de quio il s’agit : il s’agit de choses en or, de choses adoubées, valorisées ;, acceptées, et contenues sauvés (des abysses) ; nous aimons ainsi, nous avançons ainsi, nous aimmons ces choses montrées, ces choses à bouche ouverte, ces choses qui nous laissennt bouch ouverte ; nous aimons ainsi gober ces choses, bouche bée, ouvcerture ou béa nce de bouche entre deux joues ; il s’agit d’un e béance en nous , qui adoube et dit des lors oui à tout ce fatras ou amas de choses en, or : caisses entières, coffres, tapis etc : la table d’oofrande, nous aimons car nous sommes des eznfants,  et l’enfant aime les butins, les  butins et l’or ; nous sommes des eznfants quyi allon qs ainsi, au milieu des caisses, des caissseettes, des chassis, des tableaux, des choses ici ou là déposées à même le sol , tout cela est pour le coup de l’or en branche ou en baton et nous (en tant que sommes des enfants) nous ai,mons et nous disons oui avec nottre bouche car avons une boucxhe pour dire oui (ou non) ; nous aimons les butins, nou bdisons oui ; nous aimons ces chodses qui sonten or, qui brillznt, scintillent, de mille feux sure table de’offrande : simili feu, simili betes sur les parois : pour ezn rajouter dans lm’offrande ( betes et feux de joie, feux d’holocauste joyeux) ; il semblerait qu il en soit ainsi , nous voyons cela : caisses, caissettes ; nous voyons ainsi et allons de le$a sorte, à la recherche d’une sorte de soretie de bouche : expiration ; nous cherchons une sortie de bouche, et peut etre la trouverons -nous ? ; bnous aoimons l’or ; nous sommes dfeux e,nfants qui allons a insi ,à l’intériuer d’une grande grande bouche ; nous cherchons de l’or, nous troubvons des peintures murales, nous cherchons des choses en or et nous trouvons des animaux (cohortes) peints à même la paroi de cette groottte ; nous voyons ces animaux grandeur nature, qui font nombre sur les photos, et peutere pas seulement là (sur les photos) lmais aussi ici : autour de la table dite des offrandes: nous brulons les animaux, nous posons de l’or, nous cherchons de l’or, nous voulons la chose kla plus chère (à nos yeux) qui soit, nous voulons le cxher, le plus cher, nous chezrchons à dépooser la cxhose p our nous la plus chhère = l’or (en  dehjors peut-être de la prunelle de nos yeux) ; nous voyons les peintures ruopestres, nouys nous approchons desdites peintures : nous sommes interloqués, nousq sommes ébahis, nous en restons baba, nous n’arrivons pas à le crioire, nous trouvons ainsi et wommes pressés d’en parler : nous courons pour vite aller en parler : nous sommes ainsi qui partons fissa pour vite allaer en parler à quelqu’un , à qui que ce soit mzais qui nbous croit, nous l’y amènerons si  nécessaire, sil ne nous croit pas ; nous a llons vite chercher quelqun pour parl ;er de ça, ; nous avons besoin de quelqu un ; nous avons besoin de quelquun en plus ; n,ous avons besoin de quelqun comme nous (en plu) qui puisse aussi rester ébahi , commùe nous, devant pareillle ribambelle de betes peionttes, de betes finementb peintes ; nous cherchons un troisième larron, pour davantage ebventuellement de crésdibilité, aupres des instances ; nous aimons l’or et les pierres précieuses, mùais nous aimons les paintures paritales (en grotte) aussi , cela nous plait au plus hzaut point, nous aimons en découvrir, nous sommes des enfants, nous aimons cette chose, bnous aimons ainsi, il faut voir que nous aimons ainsi et le disons et en parlonbs autour de nous ; nous sommes enfants qui aimons chasser, tuer, ramener giberi sur pierre d’offrande et hurler avevc les loups ; nous aimons hurler avec les mloups, nous sommes qui avançons ainsi pas à pas, nous y allons à pas comptés, nous aimons les pas comptés pour aller ainsi vers demain ; n nbous aimons aller vers  demain, vers des bras tendus, nous y allons,  n ous aimons : nous avançons ainsi en grotte, voyons les peintures, nous les voyons, nous voyons les peintures, nous voyons les animaux, nous aimons en nous les animaux, nous sommes des choses, nous sommes des choses en nous, sommes choses qu avons été ? ou bien non ne sommes plus choses qu’avons été ? ; sommes nous en nous toujours chose qu»avons été, ou bien non, ne sommes plus du tout en nous chose qu avons été, il y a longtemps, en des temps tres reculés (préhistoire par exemple)?  ; sommes nous encore ce que autrefois avons tous et toutes été en nous mêmes? sommes nous en nous m^memes (tout ou p ârtie, en plus ou en moins) chose qau’autrefois nous avons été, par exemple : à la préhistoire, etc .? sommes nous ainsi ? sommes nous encore et si oui où ? où en nous ? si oui : où en nous ? ; nous sommes ainsi qui proférons mais comment savoir ? ; nous y allons , nbous fonçons, nous percutons, nous sortons à toute blinde de la caverne ; nous allons à la recherche de quelquun, qui veuille bien nous entendre, nous écouter dans toute cette histoire, cette chose de l’or des cavernes, des peintures millénaires pariétales, etc ; cette cghose d’une grotte aux cavités (ainsi) décorées, nous aimons, nous en sommes restés baba, bouche bée, bouche béa nte : béance, nous avons ainsi pensé des choses, avons vue ces choses pêintes, sommes sortis en courant, nous avons ainsi vu des peintures d’animaux sur les parois, il y aen avait beaucoup, des suites entières, des rhinocéros, des buffles, des antilopes, des cheveaux, des bouquetrins, des taureaux, dingue, ce fut et c’était, cela est ; il s’agit de cohorte, de suite, de ribambelle, d’alignement, une ribambelle d’animaux sauvages, des csènes de chasse , des scènes entières, des sortes -de scènes de chasse à l’ancienne, avevc lance, avec piquet pointu pour tuer ; on voit des dessins sur des parois, on kles distingue à la torche éléctrique, on aime, on voit on aime ; il s’agit de betes sauvages, de prés, de champs, de forets ; il s’agit d’animaux cvomestibles, pouvant etre chassés pour etre mangés, il sagit (tous) d’animaux mangeablesq, comestibles, tués pour cela, pour le repas, pour le diner, pour la bonne bouffe ; nous voyons ainsi qu il s’agit essentiellement ou exclusivement d’animzaux pouvant etre mangés ; il s’agit de ces betes comestibvlkes représentées,et l ;es voyons, les voyons sur parois ; il s’agit pour toutes, de ces betes qui sont comestibles, que l(on peut là-bas voir, représentées sur parois, en cette grotte découverte, ce trou dans la roche, ce passage et on y est, il suffit de le trouver et de sy aventurer ; nous sommes entrés et nous avons vu, il y avait ainsi (et seulemen) toute une suite d’animaux de type comestibles ; l’avons vu de nos yeux vus ; nous les avons vus de nos yeux vus, nouds sommes entrés et les avons vu, puis nous sommes ressortis et avons couru : nous avons couru, nous avons filé fissa jusdqu’à vous, jusqu’à la premierèe personne rencontrée, le premier venu, pour lui raconter notre histoireet lui narrer par le menu nos découverttres ; nous avons trouvé des peintures rupestres, des peintures sur paroi d’homme préhistorique, nous les avons vu, nous cherchions de l’or, des trésors, nous aimons les trésors, nous voulons des trésors, nous en cherchions, nous aimons les trésors ; nous solmmes entrés dans la grotte, il y faisait noir comme dans la nuit, nous avons allumé nos torches, nous avons éclairés au dessus de nous, les plafonds, les côtés et c’’st là que nous avbons ensemble dévcouvert ces choses incroyables dont nous vous parlons ; nbous avons trouvé des peiontures du temps passé, des chgoses en offrande, des vies mortes en offrande, sur une table en pierre, sur un e table faite expres à cet effet, pour ces occasions de don en nature, pour ces offrandes à faire, au hjour le jour peut etre, etc ; à chaque hjour suffit sa peine ; nous allons dans la grotte et nous ytrouvons des animaux, alors nous a vons pris la poudre d’escampette (les jambes à notre cou) et sommes sortis dare dare, à la recherche du premier venu et nous tombons sur vous : nous avons découvert une grotte, et dans c ette grotte des dizaines d’animaux représentés, dessi és, peints, par des hommes anciens, ils étaient dégourdis, ils savaient peindre ; nous avons trouvé des cohortes et des ribambelles, des suites et des alignements, nous avons dévouvert, nous avons soulevé un voile, nous avons trouvé bouche bée, la notre ; nous avons compris ces choses , cvomme animaux qui sont chassé, avons (nous) la comprenure difficile, en temps ordinaires, mais cette fois ci, nous avons vu d’abord et compris ensuite : l’importance ; malgré que nous soyons bete comme des eznfants, nous sommes des enfants, nous sommes betes comme des enfants, nous aimons,  nous avons aimé ; nous avons trouvé, nous aimons, nous avons aimé, nous aimons et avons aimé ; nous sommes restés bouvche bée, la bouche ouverte, gobe-mouche on va nous appeler, nous avons aimé, nous aimons, nous sommes des enfants, nouys avons trouvé une grotte ; nous sommes des enfants, nous trouvons les grottes, nousz aimons les grottes, nous avons trouvé et aimé, nous sommes ainsi qui aimons, nbous sommes ainsi qui aimons les grottes et les peintures pariétales, les peintures d’animaux chassées, nous aimons ainsi ces animaux ; nous les aimons beaucoup et les mangeons, nous les aimons par gout : à les manger, npus aimons la viande, nous mangheons la viande, nous l’aimons beaucoup ; nous mangeons car nous aimons ; il s’agit de scènes de chasse, il s’agit de chasse à l’animazl sauvage : le buffle et le sanglier, nous y cvourons apres avec nos sagaies, nos lances, nos flèches, nos baton pointus ; nous allons ainsi à la recherche d’animaux que nous pourrions ingurgiter pour nous sustenter, car nous av ons faim, nous devons manger pour tenir debout ; nous mangeons la vie et de fait nous nous en excusons, car cela est mal, de manger la vie des animaux, cela n’est pas le bien, cela est le mal, car il est tres  mal de ainsi manger la vie des animaux, mais voilà nous avons faim ; nous tuons mais comment faire ? ; nous sommes des etres qui abvons faim, qui doivent mùanger ; nous dezvons manger du gibier, nous tuons, nous sommes qui tuons, nous tirons sur les betes, pan, pan pan, avec des fusils, nous les assassinons commes des laches, et ensuyite nous les ramenons à la mzaison et les cvuisinons (cuisons) pour les manger : pour nous sutentetr = pour tenir debout sur nods jkambes, et continruer de vivre de la sorte, etc ; nouys sommes qui ainsi allons, par les chgemins de campagne, à la recherche de gibier (gros) à chasser, nous aimons la chasse, nous aimons mùanger , nous avons faoiim ; nous sommes deux enfants qui avons faim ; nous avons levé la tête et vu lesq dessin s sur la roche, nous sommes restés comme deux ronds de flan, incroyable avons nous dit, nous avons dit que pour nous la chose semblait (de prime abord) incroyabvle, jamais vu chose pareille, incroyable est le mot ; et tres vite nous sommes ressortis, pressés que nous étions de pouvoir partager notre dévcouvertte, pareille découverte hors du commùun: nous mangeons les bêtres, nous sommes carnassiers (les deux) ; nous aimons manger de la viande, et pour cela il faut d’abord tuer la b ête, il est nécessaire de la tuer pour la dépecer, et ensuite seulement nous pourrons la cuire (en broche) et ensuite la manger, en fin de course ; nous aimons la viande cuite, nous la mangeons ; nous aimons ingurgiter la viande, la glisser (foutre) sdans notre bouche, la mâcher, l’avaler, comment faire ? ; nous aimons mettre de la viande morte (cuite) dands nous, cette vie que nous avbons tué, la foutre du coup en bnotre organisme : dedans, en dedans, au fond, pour nous alimeznter afin de subvenir à nos besoins, n’avons pâs le choix hélas, ou si ? ; nous mangeons, nous tuons pour manger, nous tuons ces betes (toutes) représebntées, nous avons tués celle ci : le phacocvhère, celle ci : le rhinocéros, celle ci : le sanglier, celle ci : l’antilope, celle c i : le bouquetin, celle ci aussi : le taureau etc ; nous le disons sur les ,parois, nous disons cette chose : lesquelles, nous nous excusons de cette chose, nous sommes gênés, nous avons tué, nous avons chuté, nous sommes tombés, nous avons dégringolé la plaine, nous nous sommes ramassés, nous avons laché la proie pour l’ombre  ; nous aimons, nous avons aimé man ger de la viande, sommes nous en nous la mémoire de l’homme, et ce depuis la nuit des temps (l’éternité) ? ; sommes nous en nbous la mémoire de l’homme ? de tous lmes hommes ? pris dans le détail ? sommes nous vraiment ainsi ? portons nous en  ous la mémouire de l’homme ? sommes nous qui portons en nous une mémiouire provenant de l’ancien ancien ancien temps des hommes premiers ? somlmes nous porteurs, oui ? sommes nous encore porteurs : depuis le temps ? sommes nous encore, depuis le temps, porteurs ? sommes nous encore des porteurs et qu»’en reste t il si oui ? nous a vons mangé (autrefois) de la viande ; nous aimons la viande, bnous avons mangé autrefois de la viande et nous en sommes dé&solés, nous n’aurions pas du peut etre, aurions nous du ? il fallait manger, nous offrons des vies en offrande ; des vies mortes, xc’est à dire la mort,  ; ; nous devrions offrir la nottre (de mort) mais n’e’st point à cette heure encore au rendez vous fixé (il semblerait) etde ce fait nous offrons ce que nous pouvons en guise de mort  ; nous faisons comme nous pouvons, et nou s dessinonsdes betes sur l:es murs, sur les parois, sur les outils etc ; nous faisopns ainsi car sommes des enfants, nous suivons le mouvement = de l’enfance en  n ous, cette pente ; et nous y allons (du coup) de la sorte, pas )à pas, nous francghissons les passages eytroits, nous traversons la roche humide, nous faisons, nous y allons, nous en avançons de la sorte : à travers la roche, la torche à la main ; nous avançons jusqu’aux peintures, jusqu’aux salles les plus amplesq ; nous y allo ns ezt voyons l’exposition : pas touche ; nous savons qu il s’agit doeuvfre sacrée, sacraliszée, à ne pas toucher : peinture fraiche, feu, braise, objet sacré ; jnous aimons ain si rebgarder en l’air et c’’st ainsi que nous avons trouvé (sur les plafonds) des suites entière, des scènes de chasse complète , des sc ènes de chasse diverses ; nous avons aimé ainsi, nous sommes ainsi allés et avons trouvé, nbous voyons cela qui est autour de nous, qui fait cercle, autour d’une sorte de foyer cventral qui est nous, qui nous déplaçons ; nous sommes au coeur, nous nous av ançons des murs (des parois) , nous rtegardons attentivement ou négligemment la touche du peintre, de l’artiste, de cette personne qu’il y a eu derrière pareille peinture ; nous aimons, nous voyonds, notre coeur fait boum ; nous aimons beaucoup, nous adorons, nous sommes ébahis par tant de découverttes, et par des oeuvres (toutes) si fines, si précises, reconnaissables , c’est à dire en elles: le bison, le buffle, le rhinoceros, l’antilope, le bouquetin, etc ; nous ai:mons cela et le voyons, nous sommes tout amour, nous sommes proches, nous longeons, nous touchons à peine (pour nous rendre compte) ; nous ne voulons pas abiméer, nous sommes des enfants sages, des enfants qui respectons ; nous y allons fissa : courons par les champs, à la recherche du premier venu, qui sera t il ? ; nous courons dans les prés, à travers les bois et les forêts, nous courons à grande enjambée, nous tombons et nous relevons, nbous courons à grande enjambeée vers le premeier venu, qui sera-t-il ? ; nous longeons les bois et les forets, nous sommes excités, nous couurons, nous sommes tres excités et coureons à pertdre haleine, nos bouches sont ouverttes, jnous soufflons profond»ément, nous sommes chaussés de bottes de sept lieues, nous y allons = nous en avançons, nous sommes vifs, vif l’éclair (chacun) et allons gaiement à travers les champs, à la recherche du premier venu, allons gaiement ainsi, à travers les champs et les prés fleuris, vers le premier venu que nous rencontrerons, le bousculerons gentiment, le ferons trébucher peutetree ;: écoutez nous, écvoutez nous, écoutez ce qu ‘avons à vous dire, écoutez nos choses , nous sommes transis, nous sommes cois, nhous avbons touché, nous avons aimé : nous sommes des chenapans, nous avons vu la Chose, cette chose l’avons trouvé, nous sommes des enfants   ; nous sommes des enfants et avons vu la Chose devant nous, cette chose dessiné , qui est un buffle, un taureau, une antilope, un gnou, une chèbvtre, une brebis, une vache, un veau, un sanglier ;

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10/03/2020

nous donnons des choses devant nous, betes mortes encore fumantes, et nous allons ainsi faisant ; nous allons ainsi : nous donnons choses fumantes, encore chaudes d’une vie passée, toute proche, qui vient de s’éteindre : il s’agit de vie animales, de souffles de vie, de choses reécemment tuées ; nous faisons ainsi que nous faisons : à dépose ; nous allons ainsi que nous allons : pazr les sentiers, jusquà l’endroit de l’ouverture, dans la roche ; nous passons ainsi le temps, les peintures sont sur des parois qui nous regardent, nous sommes ainsi que nous alolons par les chemins : nous naviguons ; nous sommes ainsi que nous allons par les chemins, nous allons gaiement, nous sommes enjoués, nous sommes vifs et traçons  ; nous sommes frais et allons : nous marchons ; nous sommes qui marchons par les champs et les bois, nous allons ainsi marchant, à travers les bois et les prés verts ; nous sommes ainsi qui faisons cela : à plusoieurs, parmi les fleurs, et avaançons de cette sorte que allons ensemvble : à dépose, sur pierre d’offrande, notre gibecière  ; nous sommes gais, nous sommes enjoué, nous sommes des chasseurs, nous sommes gais chasseurs qui faisons offrande ; nous sommes ainsi de gais chasseurs et nous faisons offrande sur pierre de taille  ; nous avons pour nous que nous sommes gais et que nous sommes vifs, nous sommes en survol, nous sommes vifs et allons ainsi comme en survol, sur terre de champs, sur terre de prés et de bois, ; nous sommes ainsi qui survolons, qiu allons vifs par les forets, par les champs et les prés, nous allons gaieme,nt et en avançons ; nous sommes qui enn avançons giaement, ardemment ; nous acvons rempli notre gibecière, nous sommes qui faisons dépose (à présent) sur la pierre = sur la table de pierre blanchie ; nous déposons notre butin, le fruit de nos promenades (à travers les champs), notre gibecière ; nous sommes ainsi plusieurs ensemble à gzaiement chasser le gibier en campagne ; nous y allons ; nous n’avonds pas peur, nous sommes aguerris , et faisons ainsi main basse, sur chevreuils, sur biches, sur sangliers, sur lapins, sur bécasse, sur rhinocéros, sur vaches, sur brebis, sur moutons, sur veau, sur bouquetin, sur izards ; nous allons ainsi par les chzamps, à chasser gibier pour offrande, pour sustentation et offrande ; nous sommes ainsi qui allons par les chemins et les sentiers, chasser du gibier pour sa subsistance et pour l’offrande : sur pierre de taille, à l’intérieur (ou à l’extériuer) de la grotte : nous déposons sur la table ; nous faisons déposition, nous déposons le chevreuil fumant et la biche morte, envcore pleine d’un sang rouge qui pisse de son museau, nous allons ainsi à dépose de sang rouge ; nous faisons depot de sang, de sang pissant, de bete chaude, de chevreuil, de biches, de veau, de bouquetins ; nous vfaisons de la sorte dépot, sur la pierre froide, d’un corps chaud animal : il fume, il saigne ; le sang est rouge, il est frais, il pisse, dégouline, sur la pierre de taille : rouge et encore chaud ; nous allons ainsi, enselmbvle, à déposer betes encore tièdes, encore chaudes, nous sommes ainsi ensemble qui les déposons pour offrande ; nous donnons ainsi : il s’agit d’un don de vie ; il s’agit du don d’une vie morte , soit une vie ; il s’agit ici d’offrir vie, à pas cadencés, animaux en soi, qui respire, expiration et inspiration, inspiration et expiration ; il s’agit en soi d’animaux qui saigne, d’un sang vif et rouge, et qui pisse dans les veines, il s’agit en soi d’une vie qui bat, qui va ainsi, battant, en soi animale ; il s’agit ainsi d’une chose en soi, offerte, sur pierre de taille, sur terre mère, sur le plancher de vaches : nous allons ; nous allo,ns gaiement , sur le plancher des vaches, nous sommes chasseurs qui allons gaiement et cherchons la bete à travers champs et prés ; nous sommes des chasseurs qui ainsi faisons et nous mettons en quête, nous avons ae,n nous du sang frais, qui pisse , à l’intériuer de nos veines, qui nous tient en vie : nous sommes ainsi qui allons gaiement ; nous sommes de gais sacripans, nous dsommes gais chenapans, nous sommes gais chasseurs, nous sifflons ou sifflotons ; nous sommes gais et allons par les prés, ainsi chantant ou sifflotant ; nous sommes de gais chassuers qui allons ainsi, le sang dans les veines, le donnons sur pierre de taille, sur table tombale, terre mere et plancher des vaches ; nous allons ; nous tuons ; nous rapportons le gibier mort et le déposons en offrande sur la table mise, propre, blanchie et nettoyée à grandes eaux ; nous avons un chevreuil et une biche mort ; un chevreuiol encore chaud et une biche morte ; il s’agit de notre butin, il s’agit de fruits ; il s’agit de vivres ; nous donnons vie morte devant nous, nous déposons notree vie morte, car avons vie moetre, avons une vie morte en nbous, à faire ainsi don en dépot, à ainsi faire ainsi, déposition, don, dépose, sur la table propre ; nous déposons, nous donnons notre vie morte ; il s’agit bien de cela : que nous déposons ; il s’agit bien de cette chose, que nous déposons, à savoir toutes nos vies mortes (dans l’intervalle)  ; ce que nous déposons sur la terre ferme = nos pas, nps souffles, notre vie d’allant, qui est une vie morte d’allant ; nous la déposons sur une roche, sur un rocher, sur un monticule, sur une pierre, sur un socle solide, sur un mur ; nous faisons cette chose de vie déposée, nous faisons ainsi dépose de vie, de nos vies mortes, allons ainsi et faisons, nous faisons ainsi qui déposons nos vies ; nous avons des vies, nous les posons, nous les brîulons, nous les offrons ; nous offrons nos vies, au fur et à mesure que nous allons sur les chemins, eh bien cette chose que nous faisons, à savoir : de déposer nos vies ; car nous avons des vies, nous en avons plein, nous sommes ainsi qui donnons nos vies ; nos vies mortes, il s’agit de vies mortes, nous en avons toute une ribambelle, nous en avons toute une collection, de ces vies en nous, qui sont mortes et enterrées, sous nos pas d’homme qui marchent : nous allons, par les chemins, à travers les champs et les prés, nous y allons ainsi et nous nous avançons : nous donnons nos pas, nous donnons ainsi ces vies à chaque pas, le coeur le dit, le coeur dit la vie morte et la vie donnée ; nous sommes qui donnons, à chaque pas, vie morte, sur pierre de taille  = d(‘offrande ; nous faisons ainsi qui donnons de nous, à chaque pas, l’animal tué, l’animal en nous (ingurgité) et qui est cettte chose en nous qui se meurt ainsi : encore fumante ; nous sommes : chasseurs qui fulmons, buffons, allons par les champs : nous y allons ; nous sommes qui donnons des vies et ce sont des vies mortes, que nous ainsi donnons à chacun de nos pas : il s’agit de vies qui toutes sonyt mortes  ; nous les déposons sur la table = à nos pieds, nous déposons le tout à nos pieds, sur tapis, sur table, sur le sol bala yé, sur lez sol nu ; nous avons vies mortes à donner pour nous faire pardonner de n’etre pas mlort tout à dfait ; nous déposons sur une table ; la table est en dur ; il s’agit d’une table en pierre de roche ; nous sommes qui ensemble (à plusieurs) déposons des vies ; il s’agit de nos vies mortes : nous les posons en toute douceur, nous déposons nos vies ainsi, sur table de roche : en toute douceur, nous agençons, nous composons, nous sommes des qui faisons avec de la douceur, avec de la délicatesse, avec technicité, avec attention = avec un soin particulier, car il s’agit d’un pis aller, il s’agit ici de vies mortes, à déposer pour la bonne cause : il y a un intérêt, il y a une bonne raiso,n ; nous le faisons, notre vie fait que, nous sommes tres-obligés ainsi par la vie allant, nous avons en nous cette chose d’aller à dépose en vivant : vivre est ainsi cette chose ; nous faisons ainsi qui allons, par les champs et par les bois, allons ainsi et déposons sur une pierre propre : une table, une roche, un sol propre, une pierre plane  ; nous déposons nos vies et c’est ainsi que nous faisons, nous y allons, nous faisons de cette sorte, comment autrement ? ; il s’agit de vies qui sont mortes en nous qui restons vivant, et cela est que nous sommes ainsi, déposant, sur pierre de sol, des pas (de choses de vie), qui allons ainsi ; nous avançons, nous courons, nous allons gaiement, nous sommes frais et vif comme le sang neuf ; nous sommes des chenapans ou des sacripans ou de fieffés coquinqs qui allons pissant, qui allons chantant et sifflotant par les chemins ; nous sommes de fieffés garnements qui allons pissant contre les murets, et chantons à gorge déployée ; nous pissons, et chantons à pleine voix ; nous sommes ainsi qui allons et nous avançons sur nos pieds , debout et tendus, vifs et précis, nous sommes debout à l’affut, nous chassons ; nous allons, ainsi, à la chasse au gros gibier, nous chassons le sanglier, le bisopn, le phacochère, et l’antilope ; nous avons en nous des choses d’animaux qui pissent : il s’agit du sang qui va en nos veines, il s’agit de sang frais, vif, et rouge ; il s’agit d’un sang animal, d’un souffle, d’un ru qui parcouirs nos veines ; il s’agit de sang neuf, jeune et rouge ; il s’agit d’un sang en nous, pour une dépose sur pierre de taille : il s’agit de sang neuf et vif, il s’agit d’un sang de vie en nous, qui est sang mêlé, animalité, nous y allons ; nous sommes qui faisons, ainsi, don de vie, il s’agit de vie mortes, de vie animales en nous, vie de chevreuyil et de phacovchères, nous sommes en vie, nous allons, nous déposons nos vies sur un socle en dur : pierre, table, rocher, muret ; nous sommes qui, de fait, déposons nos vies mortes, car nous déposons nos vies mortes, nous sommes qui déposons, nos vies qui sont mortes, nous les déposons, nous nous en dépouillons, nous lestons la chose, nous en délestons, nous nous allégeons, nous sommes tenus de nous alléger, nous donnons de nous ainsi toutes les secondes : donnons ; nous donnons de nous ainsi en permanence, vies mortes, sur table d’offrande, nous donnons, nbous sommes qui donnons ainsi, nbous donnons ainsi, nous sommes qui ainsi (de cette sorte) donnons à la mort ; nous sommes ainsi qui donnons notre vie, mais il s’agit de notre vie morte = le temps, ou de nos vies mortes = les minutes du temps, les très-riches heures, nous donnons ; nous sommes ainsi qui donnons de nous nos tres riches heures : nous les déposons sur la terre ferme, nous déposons avec nos pas sur table d’offrande : il sq’agit d’un lieu de culte, lieu d’exposituion, lieu de dépôt ; nous allons ainsi à dépose, nous nous délestons : nous posons, nous proposons, nous mettons, nous installons, nous agençons, nous faisons des compositions : des bouquets ou un bouquet, un bouquet de fleurs, une composition aux fleurs coupés, aux betes saignantes, aux fruits de saison, aux herbes médicinales ; nous donnons de nous ainsi, qui allons ainsi, à travers les chemins, les champs, les foreets, nous allons ; nous allons à travers les bois, nous allons à travers les champs ; nous faisons ainsi et nous en avançons fissa, la fleur au fusil ; nous sommes chasseurs sachant chasser ; nous pouvons le dire, il peut le dire : nous y allons, nous sommes des chasseurs de vies (animales) à ingurc-giter : nous mangeons, nous ingurgiteons, nous fourrons dans nos gosiers de la viande animale, nous tuons la vie, nous tuons la vie à coup de fusil, à coup de massue ; nous tuons la vie avec des lances, des piques, des sagaies ; nous tuons la vie, et cette vie morte la mangeons, nous mangeons la mort, soit la vie morte ; nous mangeons lma mort, nous en mangeons, nous mangeons de la mort ; nous sommes qui mangeons la mort : nousd tuons la bete et la mangeons cuite, ou crue, mais la mangeons = mangeons de la vie morte, ou de la mort vive ; nouys allons, et nous faoisons, et nous mangeons ; nous tuons la vie et l’ingurgitons : nous sommes qui devons ainsi, dire, sur pierre d’offrande, cette chose d’ingurgitation : nous devons dire = avouer, cette chose d’ingurgitation : nous devons parler, nous devons chanter cette chose , haut et fort pour etre entendu ; nous disons cela haut et fort ;, nous disons que nous tuons, que nous sommes des carnassiers, que nous mangeons la mort pour vivre, échange de bons procédés, nous tuons pour vivre, nous allons par les chemins, nous sommes des tueurs qui allons gaiement, qui chassons gaiement, qui ingurgitons: nous allons aionsi à dépose déposer nos chose, nous les déposons ; nous installons, nous agençons avecv soin, le soin est divers ; nous agençons et ainsi présentons notre installation , comme un lieu de culte, de vie, lieu pour un don offert en échange, en échange de chose de vie vive, en échanghe d’un maintien pour une vie vive, et non point pour une vie morte ; nous sommes ainsi qui installons nos vivres ainsi, sur une table, un sol, un mur, à l’intérieur d’une pièce de culte, nous agençons nods vivres ainsi, nos trouvailles, nos pièces de vies mortes  ; nous les déposons avec un soin particulier, c’està dire qui nous appartient ; nous faisons ainsi, nous le faisons d’une manière qui nous appartient = la notre ; nous faisons notre tambouille, nous construisons, nous façonnons, nous élevons, nous installons nos choses et nos frrusques ; nous sommes ainsi qui ambitionnons, qui allons de cette façon à travers les chemins : ainsi fagotés ; nous attifons ; nous nous attifons, nous mettons des objets sur le sol, il s’agit de vie mortes = du temps ; il s’agit de tezmps passé, de temps morts, derrière (où ?) qui est à nos pieds ; nous sommes ainsi qui alloonbs (devant, derrière) par les champs, sifflotant, vers un lieu de culte ; nous allons, nous faisons ; nous avançons ainsi déposant des choses , qui sur un muret, qyui sur un socle, qui dans une caisse, qui sur une table ou encore sur une tablette ou une bache ; nous déposons nos vies (notres) sur bache, tablette, table ou à même le sol balayé de cla galerie ou du lieu de culte ou d’exposition : nous y sommes , nous y allons ; nous sommes plusieurs ; nous sommes en nous si nombreux : tous ces animaux, toutes ces vies mortes, au fur et à mesure, cet égrènement, cette courte chose qui file, en tic tac précis, saccadé, qui va son chemin de vie vive ; nous allons ; nous sommes ainsi qui faisons la vie ; nous y allons : à déposqer nos frusques et nos objets et autres représentations , en amont ; nous allons ainsi qui donnons en amont et filons fissa , de la place ; allons ainsi : à déposer nos betes mortes en  nous, nos betes mangées, il s’agit de temps brûlés soit de betes mangées, englouties, ingurgitées et incorporés: nous sommes animaux, anima, anima et animaux, nous sommes plusieures, nous sommes bien nombreux, nous habiton s, nous nous logeons ; nous sommes qui allons ainsi rassemblés sous une bannière ; ainsi nous sommes rassemblés en nous, sous bannière de vie nommée, et allons par les prés et les forets ; nous avons des objets entre les mains , de quoi s’agit il ? de fruits, de victuailles= de vivres, et aussi d’objets de chasseurs, et auusi des outils, et aussi des etres , des betes, des enfants petits, quoi d’autres ?  ; nous portons ainsi quoi d’autres, qu’ouitls, qu’armes, ou etres de chair de petite taille ? quoi d’autrte pouvons nous porter, que des vivres etc ?  ; nous sommes ainsi qui avons , sur nous, dans nos bras, des objets qui nous en combrent: devons-nous les déposqer et où ? ; nous sommes qui devons ain si déposer des choses ; nous sommes qui ainsi devons, déposer des choses, nous en libérer,nous alléger ; nous sommes qui devons : déposer des outils et des armes de chasse ; nous sommes outillés et armés, nous portons casque ; nous avons des vies entre nos bras ; nous sommes qui avons (de fait) des vies sur les bras ; nous avons tués,nous avbopns chassé le buffle et le sanglier, et le rhinocéros, et le chacal ; nous avançons en âge, nous posobns des vivres sur pierre d’offrande et c’est cette chose, que nous disons : que nous faisons = cette dépose, de taille, encore sanglante (ru de san) sur une pierre dure, radfraichie ; il s’agit du sang qui coule (ruisselle) dans nos veines ; il s’agit de choses de nous aqui allons en vie de la sorte = vers une sortie : la manière est la sortie ; la manière de s’y prendre (pas, démarche, allant) est la cxhose de sortie qui nous incombe, il s’agit ici d’une chose de sortie pour nous, vers lieu de culte ; nous allons ainsi (maniéré) et faisons sortie ainsi vers un lieu de culte ou d’exposition: notre manière est notre sortie, ou façon de sortir, ou avançée vers une sortie, ou recherche d’une sortie de grotte ; nous sommes comme dans une grotte, nbous sommes comme à l’intériuer d’une grootte et nous envisageons la sortie ; nous cherchons, nous cherchons par devers-nous, nous sommes trs -obligés, nous n’avons pour ainsi dire pas le choix, nous avançons ainsi en âges, nous avanço ns dansla grotte, nbous cherchons issue, nous vbivons = cherchons manière, une main pour dire, pour trouver, pour aller droit, pour aller vers, et droit en dsirection de cette salle d’arme, ou lieu de culte où déposer les armes sur pierre de taille de roche : nous faisons ; nous sommes ainsi qui y allons ainsi ; nous y allons ainsi que nous faisons, à savoir : à pas cadencés, pour des vies mortes à déposer à chacun de nos pas et ainsi fissa, allons par les prés ; nous sommes ainsi qui faisons de cette sorte : sortie ; vers un lieu de culte, lieu de vies à déposer ; nous sommes qui avançons, et allons ainsi vers un lieu de culte ; nous sommes qui allons ainsi, qui avançons, qui fuyons, d’une manière particulière, démarche, faisons, allons, et ageznçons sur uene pierre plane : nos découvertes, nos victuailles, nos vivres, nos armes, nos animaux (ou âmes) morts (ou mortes) ; nous allons qui faisons ces choses, et voulons ainsi conjuert le sort (?) ou donner le change (?) ;  nous allons, nous faisons ; nous sommes plein d’énergie, nous sommes remplis de vie, nous sommes plein à rabord, nous sommes pleins ; nous sommes nombreux ; nous sommes , nous faisons, nous y allons, nous ma rchons ; nous sommes qui allons ainsi par la marche, par les pas, par des dépots de pas, sur la terre ferme : nous marchons à pas cadencés ; nous sommes qui ensemble déposons nos pieds comme autant d’offrandes sur pierre de taillle ; nous sommes ainsi qiu déposons sur pierre de taille, qui allons à pas cadencés, nous allons, nous allons ainsi : avec art, avec un e manière, avec une main, abvec deux mains qui teinnent des chose, à part moi, à part nous, qui tiennent des présents, qui tiennent le temps à mettre ainsi, par devers soi, sur une table propre, bien mise (nappée) ou bien sur un sol balayé, nettoyé ; nous déposons nos temps morts ainsi, sur un sol : nous avons une manière en propre, une manière qui est notrte, qui est à nous en tant qu elle nous appartient, elle est cette manière d’y aller ainsi : à dépose, vers déposition , aveu de nom ; nous disons ainsi et désignons, et sommes reconnaissables ; nous disons ainsi et y allons ainsi, nous faisons cette chose ainsi : d’une dépose en bonne et due forme : il s’agit d’un dû ; nous avons à  ; nous ne sqommes pas épargnés, nous devons ; nous sommes en nous (le sang) qui devons et faiosons de la sorte (sortie) par devers nous = sans cxhercher plus loin que de faire les choses, par pas cadencés, et ainsi aller : par chemins tracés, en pleine campagne, par les bois et par les préz ; nous sommes ainsi qui avons pour nous ce centre en nous : de déposition, de choses mortes, sur la terre ferme = des pas, des traces de pas, une manière de tenir le temps entre les bras : xwhite cube ; nous allons ainsi qui faisons des pas et qui faisons des traces, il s’agit d’une manière, nous l»’avons pour nous (elle nous constitue et nous distingue) ; nous allons ainsi , en avançant, vers un lieu (dit «de déposition») qui est un liue pour des aveux (: à confesse) et cela étant nous faisons de la sorte : une sortie, vers ce lieu devant, qui est ce devant (ici )qui est sous nous, ou sous ce devant de nous, qui est cette chose d’avenir prochain = proche : sous n,os pas , cette terre ferme, cette trerre dure, cette chose en dur qui nous soutient = la terre ; nous sommes ainsi qui faisons ces choses en quasi aveugle : allons par les champs, allons par les prés, nous y sommes  ; nous agissons car nous sommes rassemblés : nous sommes plusiuers, en nous, à agir = à faire = à aller = à vivre = à donner = à pisser le sang dans nos veines ; nous sqommes qui faisons ainsi cfomme une alleégence (ou une offrande) de vie, une vie en  ous (=le temps) qui ainsi se présente sous nous, sur nous, ou comment, sous notrte cape, sous notre pelisse, nous sommes ainsi qui faisons ces choses, d’une donc sortie de route en beauté = manière de teznir le temps (dans nos bras) un temps ; nous, nous allons ainsi, nous donnons ainsi : nous sommes ainsi ; il s’agit d’un don de vie morte, en attente de ; ou comment dire : sur parois dessinés on voit, il s’agit, des animaux chassés, d’animaux chassész, et ainsi nous sommes qui multiplions les entrées ; nous multiplions les entrées , pour une sorte de sortie, en beauté : de la grotte ou de la caverne ; nous sommes à l’intérieur et nous voyons, ainsi, des entrées sur des parois, il s’agit ici d’autant de peintures, d’autant de dessins pariétaux, sur parois de grootte, dessinés et peints, il s’agit d’animaux blessés, de représentatations animalières : de présentatations sur table en vrai et renouvezlés sur des parois froides ; njous les voyonds, nous sommes dedans ; il y a des entrées de la sorte peintes ; il y a ainsi des choses peintes, comme autant d’entrées de grotte, comme autant de possibilités d’entrées, comme autant de choses qui vont dans le sens d’une dépose renouvlée ; nous déposons sur table et multiplions les images ; il s’agit d’une présentation (et représentation associée, sur parois de grotte) d’animaux (anima) donnés par le souffle  des temps traversés ; il s’agit de temps de souffle mort, offerts en offrande, et réitéreés sur parois murales ; nous y sommes ; il s’agit ainsi de choses données, offertes, déposées, il s’agit du temps de passage déroulé, un temps mort qui est offert et cela est l’animal en nous, déposé donné au coup par coup (pas à pas) à mesure que nous avançons en âge = dans la vie :   dans la vie il y a ce don de nous (=une sortie) et des entrées partout sur les parois : multipilcation des petits pains ou animaux de chasse ; nous sommes ainsi qui disons, car nous allons ainsi que faisons, nous y allons de concert : il s’agit ainsi d’un ensemble de vies, il s’agit ainsi d’un ensemble conséquent de vies en nous dont certazines sont mortes et de ce fait, pretes à) etre déposées aux pieds de qui de droit ou vsur table d’offrande : en nous ; il s’agit d’un petit théatre personnel, avec estrade et gradins (en nous)  ; nous avançons (pour le coup) de cette façon, nous avons multipliés les images (de vies mortes, données, en offrrande) pour faire impression , pour rajout : nous donnons ainsi ces choses murales, en décor d’offrande (sur table) : sus ; nous y allons de la sorte = exagération ? ; nous donnons de nous, toutes ces images, nous donnons de nous toutes ces images, nous les déposons, nous avons ainsi, ces images, ces animaux, ces choses, ces betes, ces vivres, comme autzant d’offrandes en multiplication : nous multiplions ; nous n’hésitons pas, nous ne lésinons pas, nous sommes généreux, nous offrons beaucoup, nous sommes qui offrons beaucoup, quyi déposons beaucoup (de nos vies mortes)  ; nous sommes ainsi qui offrons é normément de nos vies mortes, gén é»reusement, et sur table et sur parois (présentées et représentées) : cinéma ; nous faisons ainsi de la sorte l’entreé des artistes, la sortie de grotte, l’enz,tré-soretie vers un lieu de culte = d’exposition , qui est ce lieu que nous cherchgons à préserver ; nous sommes qui cherchons à préserver ou protéger ce lieu, cette chose d’un endroit qui serait protégé = à l’abri des intempéries et des saccages ; nous voulons protéger ce lieu de sortie, nous voulons conserver intact, nous veillons sur lui ; nous avons pour nous une chandelle ; nous veillons sur lui avec la chandelle, nous veillons sur icelui, avec notre chandelle et allons ainsi, pissons, chantons, nous sommes qui allons ainsi, nous sommes entourés, nous sommes sous le regard de tant d’ames représe,ntées ; nous sommes dans cette grotte, et nous regardpns au dessus de nous les choses représentées et il s’agit d’animaux de chasse, d’animaux de grosse taille pour le plus grand nombre: il s’agit d'échos, il s’agit d'échos en reflet, il s’agit de répétitions pour faire le nombre, pour multiplioer les présentartations de vies mortes ; nous avons ainsi qui sommes ainsi : des mùulytipklicateurs, nous multiplions, nous ne lésinons pas car nous tenons à notre peau, nous tenons à rester en vie : en nous mêmes tenons = mzanière = art ; car bnous avons une manière de tenir le temps en nous mêmes (entre nos mains) et cette manière est , ici, appelée : art, ou de ce mot de : art, il s’agit du mot art qui s’applique ici à une manière et à un obkjet  ; il s’agit ici d’une manière de tenue, et d’un objet tenu = vie morte, vie donné en tant que donnant le change , d’une vie autrement vive ; nous donnons et y allons : nous multiplions les images (entrées et sortie) et ainsi, nous avons cette imprpression de nous p^rotéger, de mieux nous protéger, par cette donc mesure en multriplication des images peintes ou offertes sur table (caissette)  ; nous sommes ainsi qui faisons et continuyons de la sorte = en vie ; la vie en nous gagne , jusqu’à temps qu’elle se voit mùeurtrie et défaite ; il s’agit d’une lutte ou échange de bons procédsdés ; il s’agit d’un dionnant-donnant affecté à un orghanisme ;: il sq’agit dès lors d’une chose dont il erst préfezérable de se délester petit à bpetit : à prtits feux, feus nos pas sous nous ; nous y allons  ; y = cet endroit, qyui est notrte sortie du bal, de la grotte du Mas ; il s’agit d’un endroit de culte, il s’agit d’un temple, il sq’agit d’une image ici qui nous hèle, ou d’une sorte (d'image) qui nous hèle, qui intervient ; on voit les images sur les parois, il y a aussui l’image du bûcher sur la table d’offran de, et enfin l’image d’une sorte de ... sortie vers un lieu de mort qui serait nôtre (en particulier) : appel ; nous faisons ainsi allégeance et offrons des images, ces images sont offertes, il s’agit d’un don, nous avons ici (sur parois) des images offertes, ces images ne sont pas gratuites, il s’agit d’un don ; commebnt dire cette chose ? ; il s’agit d’un don, il sq’agit d’images offertes (à qui de droit) accompagnant celle du bûcher, de la pierre d’offrande, il s’agit de dons de nature animalière, il s’agit de dons donnés, de dons offerts, d’offrandes offertes ici, sur parois et sur table de pierre ; les images sont multipliés à dessien, car telle est mla volonté ; car il s’agit ici d’une volonté farouche : le tout est farouche ; il s’agit ici d’une réelle volonté farouche d’aligner ainsi, en nbombre, tant et tant de vies mortes, d’êames mortes, d’animaux comme reflets de souffles saccagés , tombés , sur pierre de taille : souffles déposés = vies (ou petites vies) mortes : nous y allons ; nous avons pour nouds  cette chose d’unb brasier, d’un bûchezr ; nous brulons des ames, des animaux, des souffles, nous brûlons nos souffles, n,ous carbonisons, nous cramons ; nous szommes ainsi qui dépopsons et faisons image : sur table et (répeétées) sur parois (d’alentour de grottesx) ; nous avons pour nous des images , nous avons autant d’images, nous en avons d’autant, ; nous avons beaucoup, nous les collectrionnons = nous les amassons, nous multiplions, nous renouvelons, nous donnons à profusdion ; nos vies mortes à profusion, nous sommes qui donnons à profusion, nous donnons des images ainsi, sur des parois, à l’intérieur des grottes du haut atlas, ou du haut périgord, ou ailleurs encore : nous offrons, nous donnons ainsi en multiplication pour faire le nombre : il y faut le nombre ; il faut le nombre adéquat, il y faut le nombre convenant ; il suffit d’y mettre les formes sur un mur de grotte, pour faire ainsi le nombre qui semble ; nous donnons autant d’images : de betes mortes, de betes mangées, d’offrandes ; nous mangeons les betes tuées, nous donnons des images de betesq, comme s'il se fut a-gi (peutetre) de vraies, aux yeux de qui de droit qui égale la mort , njous allons ainsi ; qui se fut ainsi, qui fut de la sorte : images comme en vrai = un trompe la mort ; il s’agit ainsi ici d’une sorte (en définitive») de trompe la mort dessiné, offert sur tablée nappée, sur fond blanc d’une pièce vide : white cube ; il s’agit en nous (en nous mêmes) d’un trompe la mort cadencé, régulier, et imité ailleurs : pour faire le nombre, y allons ; nous sommes ainsi qui faisons ces choses en trompe couillons, croyant que, nous avons la grotte en  ous; et ses peintures rupestres ? ; qu avons nous en n ous de la sorte ? ; nous avons en nous des choses de la mort des  betes (avalées) ; nous avons mangé la viande morte ; nous avons tué la viande, nous avons trué, njous sommes etres malfaisants : des garnements si nous sommes enfants, sommes nous enfants ? ; nous allons de cette façon avec nos images ; l’animal dessiné comme en vrai pour faire illusion, trmpoe-l’oeil de la mort en bout, qui est cette mort que nous regardons, vezrs laquelle nous nous tournons, vers laquelle nous nous dirigeons  ; nous diseons ainsi (dieu pour la mort) pensant nous en sortir ainsi : de la grotte ; avons en nous ; disons des choses ainsi, pour une sortie, pour une escapade, pour une sortie de cape  ;nous allons ainsi, par monts et par vaults, et chassons, qui le buffle, qui le sanglier ; nous disons dieu pour dire la mort, nous disons dieu pour dire la mort ; nous mettons ainsi sur la table le gibier = la vie, mais de cette vie morte du gibier qui est , ici, offrande pour un pis aller ou trompe couillon: trompe la mort ; nous avons ainsi des images, il s’agit de celles d’animaux, soit vrais (encore saignants) déposés sur table, soit représentés comme en vrai, comme de vrai, sur des parois de grotteqs ; nous les offrons en quantité, et nous espérons pouvoir de la sorte nbous en tirer à moindre frais, nous nous iullusionnons ; nous espérons avec la quantité, avec le renouvellement des prières, des images, avec la profusion au quotidien, avec la réitaeération des offrandes sur tablev  ; la table est le pla n dur, la pl ;ace faite, il s(agit de table en dur, prete à recevoir les coulées de sang, et le feu des animaux brûlés,  calcination : njous faisons ; nous allons ainsi : à dépose, et faisons tout cela dans un but prédcis, nous craignons la mort, nous avons conscience de la mort, il s’agit de la conscience, avons nous conscience (en nous ) de la mort qui ici nous tend les bras ? ;: la mort nous tend les bras, ilk y est question de bras tendus ; la mort nous attend ; qu en savons nous ? que savons nous ? ; qu avons nous en n ous comme savoir (concernant mla mort) ? ; que savons nous en nous de cette chose de la fin du temps, de cette fi n dfe chose nôtre, qu’en savons nousq ?  ; que savoirr ? ; njous allons ainsi par les champs, brûlant nos semelles de vent (= le temps) et offrant nos semelles à la table là, pour offrande : un présenbt, que nous donnons fissa, que nousq offrons encore chaud d’un passé récent  ; nous y allons de la sorte et multiplions les re présentations d’animaux comme en vrai, sur parois de roche, sur faces pariétales en intérieur de grotte ou cavernes, ou aven ou gfourffre = à l’intériuer de terre-mère nottre bienfaitrice (plancher des vaches, plan dur pour nous recevoir (de nos chutes) et excavation ebn tant que ce sont des abris) ; nous opouvons ainsi reporter les choses brulantes (mortes) en images (pariétales) et ainsi tromper (qui sait ?) le couillon desq lieux, le celui, qui est cette Chose, en attente, devant = white cube ; nous sommes ainsi qui créons des choses (temps) entre nos mains ici les tenant, avant d’aller, de la sorte, à dépose , sur une sorte de dezvant de culte , brasier-bûvcher, pour une image offerte = don ; nous sommes ainsi, qui donnons ; qui faisons le don, ce don donné, cette chose en offrande sur pierre , brûlée, défaite ; cette vie mangée, oups = engloutie ; nous y allons, nous szommes ainsi, nous allons ainsi, nous faisopns, nous dsonnons ainsi des images , car il s’agit d’images : ce sont des images, ce sont dses choses imagées offertes, pour tromper son monde ou comment ? ; nous donnons ainsi qui faisons allégeance : nouys donnosn, nous avons des choses en attente = du temps ; il s’agit ainsi de temps passé (= derrière) qui est là, comme présents de culte ; avons ainsi des temps ainsi passés, en tant que présents donnés sur un devant de cène ou de scène, pour une représentatation de vie, mais il s’agit d’une vcie morte : trompe-la-mort ; nous faisons, nouys allons ainsi, nous donnons, nous essayons de faire ainsi allégeance, nous allons ainsi qui faisons et allons ainsi en faisant des sortescd’images pariétales, animaux en série ; syuite rupestre ; njous faisons nos choses gravées dans la roche : gravées pour l’éternité, qui tiennent, qui aillent, qui le fassent un temps durable, pour tromper la mrot, nous tentons ; nous faisons ainsi spectacle, nous sommes qui ainsi organisons des montages d’images grotesqaues, nous donnons ainsi ici des images, en repprésentatruon d’une vie vraie mais il s’afgit d’une vie morte, il ne s’agit pas de notre vie à npous, mzais de celles d’animaux ici présentés sur table d’offrande et murs (pariétaux) de grotte ; nous avonsz ainsi des images en don de nous, qui allons ainsi, donnant donnant nous l’espérons ; nous croyons ; nous sommes ainsi qui faisons, nous allons aindsi qui faisons, nous donnons, nous donnons de nous, nous donnons de nos images, nous les donnons, il s’agit de faire don, de faire dominum ; nous faisons de cette chose un don sur table : le temps, c’est à fdire le temps qui s’écoule (pisse) derrière, chienlit ; il s’agit des lors d’un temps qui est le temps en vrai qui sécoule par devers nous, et ce temps est une image ici (représentation) d’un animal chassé, dun animal de prairie ou des bois ; il sz’agit d’une image, qui est ainsi déposée (gravée, inscrite) sur parois, et qui de fait re-présente ici cet animal offert (par ailleurs) en offrande (holocauste) , sur une table de pierre : il s’agit d’une image-don, d’une image)-dieu, qui est posée, une image déifiée (?) déposée, consacrée et sqacrée, ou haussée, il s’agit d’un haussement, d’une hauteur-valeur donnée, d’un don de valeur, d’une image haussée d’une vie (temps) xdonnée sur pierre ou table = déposée à plat, soignée dans sa présentatation : hausszée, relevée, valorisée, hautement montée (montrée, à qui veut) en milieiu de grotte ; nous déposons ainsi cette image haussée, sur pierre de taille haussée également (surélévation) et ainsi faisant nous consacrons = déifions, donnons importance grande, nous donnons ainsi (faisons don ) = faisons dom ; faisons dominum, domaine de joie, de grandeur ; nous y allons, nous sommes aionsi qui allon s ainsi vers telle donnée, vers telle offrande, vers une telle offrande en donnée de choses ici de vie morte= trompe-la-mort bete ; njous allonqs ain si vers les parois , et les touchons, dessinons des betes ; nous allons ainsi vers des choses à dire par des traits, nous aimons ai n si dire avec des traits, car nous cherchons à dire,, nouys recherchons : notre volonté est de dire = montrer, les animaux vifs, aux alentours, cette vie d’animal (non tué) qui va alentours, et les morts (d’animaux) sont donnés sur table (d’offrande) en tant que tels : fumant comme vivant ; nous solmmes qui (de ce fait) essayons de tromper son monde : le monde ; il est ainsi que ,nous tentons ainsi pareille couillonade, nous essayons ; nous tentons ainsi telle couiillonnade, nous espérons ; nous envisafgeons, nousq espérons et nous prions ; nous avons pour nous cet espoir , d’arribver à tromper l’enbnemi en lea personne (?) de la mort : nous pârlons ; nous disons des choses, y voyons nous cvlair ? ; qu en est il ? qu en penser de cela ? de cette chose des images offertes, de cela en offrande ici, en grotte ca chée ? ; qu en penser ?  ; nous disons cela que nous voyons, nous disons que nous voyons cela sur des parois, nous disons que nous sommes ainsi qui vo yons des buffkles, des taureaux, des antilopes, etc ; nous dessinons, nous gravons, nous agençons, nous présentons et présentons à nouveau, nous faisons présents, nous faisons le présent = le temps, nousfaisons le présent = le temps, nous peignons squr roche, sur toile, nous prqséentons et re-présentons ; nous donnons à voir, nous dessinons des animaux pour faire n,ombre, pour le faire en trompe-la-moert, pour faire penser qu il sagit ainsi de’animaux vivant, encore fumant de cxhaleur de vie ; nous sommes qui dessinons ainsi des sortes d’ersatz de vie vive ; il s’agit de couillonnades ; il s’agit de faux ; fauuse vbie vive, ou alors les animaux mangés comme en s’excusant, comme autant d’excuses réitérées, comlme autant d’excuses faitezs à faire ainsi, à offrirr ; nous nous excusons : pour avoir tué et mangé la vie (ou la mort : les de»ux) ; njous confondondss ; nous confondons la vie et la moert ; nous sommes ainsi qui faisons confusion, nous confondons ; nouys disons la vie pour la mort et la mort pour la vie, nous sopmmes beters, nous sommes idiopts, ignares ; nous sommes à la masse, nous sommes idiots et ignares et betes, nous sommes comp^lèement -

nous sommes complètement à la masse, à la ramasse, nous sommes  idiots, y voyions-nous mieux autrefois, y voyions nous plus plus clairs, y voyions nous mieux autrefois, il y a de cela quelques milliers d»’(années ?  ; solmmes nous clairvoyuants ?  ;l’avons nous été ? ; avons nous été autrefois (nous) clairvoyants ? ; avons nous nous été , autrefois (nous autres ) clairvoyants et branchés de meilleure foi, sur les choses grosses, et branchés de meilleure façon sur les divinités, avons nous autrefois été mieux lottis sur des choses de taille, pour nous, sur des choses de grandes importance pour nous (directement) ?  ; avons nous autrfois été, ainsi, mieux lottis, car moins embrouillés, moins de la sorte embrumés , avons nous eu une vision claire (plus claire) des choses de vie d’importance ?  ; nous avons eu, nous avons eu peutretrertt, des choses pour nous, des choses en terme de vue, en terme d’éclaircissement, de visions directes, plus proches, décantées ; avons nous eu en terme de décantartion, visions préférables, plus nette ? ; nous sommes ainsi qui croyons cela, qu’autrefois, il y a ainsi quelques milliers d’années, avons eu (nous) en nous, vision plus claire, décantée etc, des choses d’importance, branchement direct, branche directe, branche courte ; nous pensons ; nous disons cela que nous pensons ainsi, qu’autrefois, nous étions moins embrouyillés ou enfumés et voyions ainsi pliius judicieusement, les choses du monde : les v raies qui comptent, nous pensons, nous cherchons, nous chercxhons les choses décantées ; nous pênsopns ainsi ; nous pensons ces choses ainsi, que nous avons été (nous ?) un jouir, il y a longtemps = autrefois, des hommes branchés = de branche ; nous pensons ainsi , que nous avons éte, un jou, il y a des années, des hommes connectés, en -connection, connectement connectés = bnranchés = de branche (de connection) , avec les questions directes, avec les visions directes, avec pareilles visions directesqui nous font défaut, qui nous manquent  ; embrumés nous sommes, nous sommes embrumés ; nous n’y voyons goutte ; nous avions eu visions (peut etre) et à présent : n’y voyons goutte ; nous cherchons visions, nous recherchons des visions, soit des images, des images de visions, ders visions de choses vraies ou avérées ou d’importance ou de tête au sens de capitales : de choses, de branches, de pierre ; nous essayons : nous faisons des tentatives, nous faisons ainsi que nous cherchons : à faire ainsi des tentatives, des visions, des choses ainsi, des façons de faire ainsi visions : entre quatre murs, protégées, à l’abri des inconvenants ; nous allons ainsi qui faisons des choses ainsi avec nos petites mains ; nous allons ainsi (en marchant) qui faisons (en marchant = en vie) des choses (images) avec nos mains de temps qui file, qui trace, qui trace des traits (des betes) sur parois de grotte : nous y allons ; nous sommes qui faisons ainsi, betassous, enfantillages ; nous les faisons ; nous faisons ainsi, nous gravons, nous voyons peu, nous ne comprebnons de la cxhose que peu et avons -nous compris plus autrefois, en nos réponses par pierre d’offrande, par pierre de taille posée, à même le sol, en guise de lieux pour des dons à qui de droit l’attend ? ; à qui qui est ce dieu qui est, qui attend , ou disons la mort , en butée, en collage de butée ; nous allons ainsi qzui faisons : coollages et autres choses à présenter, sur paroi de roche, à ne pas touvcher ; njous allons ainsi qui disons ainsi des gros mots , du r-ge,nnre putain, du genre salaud, ou pute, ou merdum ; nous y allons dans l’invective, nous nous soulageons de la sorte, nousd hurlons, nous sommes hurlant ; nous y allons dans l’invective et les gros mots, et les insultslse et injures ; nous allons vers, nous allons vers elles : les injures ; nous allons vers les injures, nous nous glissons, nous prenons la pente des injures ; nous glissons, nous prenons pente, nous allons ainsi vers des profaanations, vers des prononcements, vers des proférations d’injures ainsi formulées : nous en avons la bouche pleine ; nous faisons ainsi qui disons des injures, nous deisons nombre d’entre elles :la bouche pleine par devers nous ; nous sommes envahis, nous controlons mal, bnous sommes envahis de mots d’injure en nous ; nous peignons sur parois et chantons nos louanges xd’injures, nous peignons des animaux vifs (simili vifs) sur l ;es parois des grottes, et, par devsers soi, injurions à haute voix : il s’agit d’ injures, nous en sommes plein en bouche, en avons à couille ; nous sommes remplis de toutes sortrsz d’injures, qui sont dans nos bouches comme des crapa uds que nous sommes alors à devoir cracher : sur table d’offrandes ? ou )àà coté de pareille ta ble ?  ; nous crachons, nous avons crapauds à cracher, nous sommes à devoir cracher, nous avons des crapauds plein la bouche, nous y allons : nous crachons = invectivons = injurions = disons des insannités, des saletés, du sale, sur tavbbvle d’(offrande, du sale saignant, cette sa leté de chose morte, cette injure à la vie : nous la proférons, nous l’exposons, nous la présentons (toute sale) sur le propre de la table de pierre, sur lesq murs propres (de la galerie de qua rtier) ; nous présentons ainsi toutes nos injures, les termes : les plus sales qui soient ; nous déposons ainsi ces injures, ces mots sales, ces corps de bêtes (betes) morts ; nous posons bêtises, insanités, injures, mots de peu, qui collent à la mort des betes ; nous crions notre misère en termes de mots peu gracieux, car nous avons honte, nous sommes tout honteux (entièrement, complètement) d’avoir ainsi fait injure (tuerie) à la vie, en tuant des bêtes ; nous sommes hobnteux ainsi ; nous sommmes des merdes ainsi, nous ne valons rien, nous diso,ns notre peu de valeurs et injurons notre nous mêmesq en terme de cxhose de peu, qui tue betement, qui ose attenter à la vie desq b etes ; nous sommes peu de choses, nous sommes des excréments ; nous disons que cela est ainsi que nous sommes ; nous ne valons rien ; njous hurlons devant la table ; nous sommes qui hgurlons nos insultes à nous mêmes (?) devant cette table d’offrande: les mots sont des mots forts, de forte (forte) intensité, en matière de mots employés, usi-tilsés ; il y a ainsi des injures qui fusent, cela fuse ; il y a ainsi des mots employés, de forte intensité, qui font rougir, mots de passion, mots de’emportement, transe ; il y a des mots forts, des mots pârmi les plus forts, les plus osés, lesq plus condamnables, qui ici sont donc émis ou proférés -hurlés, à même le feu de la table : fumée ; nous sommes qui donnons ainsi de nous des motshurlés, de passion, et mauvais : crions, hurlons nos injures ; njous faisons cette chose que hurlons, nous proférons, nous insulttons, nous déposons ces animaux morts, nous mettons, nous déposons des cadavres, des chairs de biche sanguinolente ; nous sommes qui hurlons avec, nous crions avec ce sang qui coule ; nous sommes qui hurlons avec le sang, nous sommes qui hurtlons en même temps (concomittament) que le sang coule : de cette bête en particulier ; nous sommes ignares ; nous sommes idiots ; nous sommes bêtes ; nous sommes crétins ; nous ne comprenons rien ; nous hurlons avec les loups, avec le sang poisseux pissant de la biche tuée par nos soins ; nous hurlons avec le sang qui va, qui coule : concomittamzant ; nous hurlons, nous hurlons-injurions ; nous crions les termes adéquats, du style de ceux qui font rougir, qui blessent, qui sont hors la loi, qui présentzaent mal ; nous y allons ; nous acvcvompagnons, par des gros mots, le sang qui pisse de la brebis morte ; nous donnons ainsi une image forte, de notre colère, ou bien ? ; nous d onnons ainsi de nous une image, raccord ; nous faisons ainsi une image -raccord, pour une représentatation totta le, d’une chasse en bonne et due forme, offerte à la mort, afin de peutere, de la sorte, y trou v er bon vcompte ; nous alooons ainsi qui faisons allégeance à base d’insultes (proférées), à base de mots de merde, etc, à base de gros mots (gros) prononcés à même le feu (les flammes) sur table : à proximité ; nous avons ainsi vu ou su des choses , autreefois , ; avons nous vu ou su des choses, il y a des années ? nous pensons que nous , dans notree betiose acvons vu, avons autrefois vu : dans notre betise ? ; avons nous vu autrefois dans toute notre betise, cette pureté, ceztte chance ? ; avons-nous vu mieux et plus autrefois, de par notrte petitesse (peut-être) intellectuelle ? avons nous vu autrefois plus, de par notre petite tete et notre betise de vue, qui onf fait que nous étions (nous) branchés au mieux sur des choses natives, crues, directes, mzeilleures , ou meilleurement visibles ?  ; nous étions dans notre bpêtise : ainsi connectés ?  ; nous étions attenants, collés ? ; sommes nous décollés, détachés, défaits de l’emprise ? nous sommes ainsi, qui allons par les chemins, qui cherchons une entrée de grotte: nous sommes des petits enfants, qui allons par les chemins à la recherche d’une entrée de grotte, nous cherchons, nbous voulons trouver, nous cherchons avec impatience, nbous cgherchons un trou, une faille, une fente, une brisure, une échancrure, une porte, un passdage, un endroit iouvert, une petite faille pour nousq : à nortte échezlle, pour nous : à nottre niveau et à noottre taille  ; un passage dans lequel nous nous immisçerions, l’un apres l’autrte, et ainsi fait, nous entrerions dans une cavité de grande importance, avec sur les parois (il semblerait) des représentatations : public de salle, à type d’animaux chassés, en alentour de coeur de grotte (pourtour) ; nous allon q sainsi qui le faisons de cette sorte : allégeance ; nous sommes entrés dans la grotte, nous avons franchi le fourré, nous nous sommes glissés vers le coeur d’icelle : nous entrons et découvrons : tout un panel en pourtour de nous, comme estrade, comme gradins , comme pubvlic ; comme ainsi public alentour, nous allons ainsi à la recherche de mille choses en découverte, de choses animalières (de type re-présentation = (icide la vie fausse) de la vie de chassee : nousdécouvrons, nbous soulevons, nous veillons à ne rien abîmer ; nous sommes des enfants ; nous sommes betes, nous sommes ig n ares ; nous n’avons pas pas le savoir del’adulte ; l’adulte connait beaucoup de choses, il a une grande expérience des choses et il a lu beaucoup de livres ; il connait beaucoup de chgoses sur beaucoup de choses : il en connait un rayon ; un rayon entier de livres sur cette question : des peintures pâriétales ; il s’agit icvi de toutes ces choses, qui sont choses peintes à dessein ; qui ont des raisonsq, qui ne peuvent pas etre gratuites, qui ont une foncxtionb, une utilité ; il s’agit de peintures fonctionnelles, il s’agit de peintures animalières fonctionnelles, qui ont un but n,on avoué, un but qui n’est pas écrit dessus, sur le front des betes ; il s’agit  ici de betes présentées , avec une idée attenante = une fonction de tete ; il s’agit d’une bete avec fonction, avec raison non affichée, il s’agit d’une bete cde chasse, chassée, qui , ici représentée, a une fonction, un but no-n dit, tres certaionement une fonction-but, ou fonction-cible, et cela reste à découvrir pour l’adulte des temps prése,nts, avec son intelligzence avancée ; et l’enfant conserve, en revanche, de son côté, son intelligz,nce non -avancée, plus jeune, plus jeune-tendre, moins affirmée et réduite, petite, proche peutetre en cela de celle de cet homme des cavernes ayant dessiné sur des parois de grotte pareil phacochere ; il s’agit des lors d’un rapport entre l’intelligence et la betise ; il sq’agit d’une confrontation entre l’intelligeznce avancée (la logique) et l’intelligence reculé (la betise ou simili intelligence, ou comment ? ;nous faisons qui allons ainsi, en terme de bêtise, vers parois rupestres et raegaerdons, et que voyons nous ? une ribambelle ; et ainsi nous savons ; nous savons des lors cette chosex icvi, qu il s’agit des lors : d’une ribamlbelle = un rideau, une tenture, un paravent aussi, une chose en panoramique ; une chose en alignement, un public, une réponse, un trompe-la-mort : njous y allons de notre intelligzeence ; nous sommesq ainsi comme enfumé par notre intelligence, que faire et que dire ? ; nous allons par les chemins, nous allons ainsi par les chemins, nous marchons : cela est réponse ; nous sommes qui allons par les chemins, et cela est une réponse (en pas) à la question posée, par le bouche qui hèle, qui nous semble aller hélant, qui nous semble ainsi qu’ elle hèle apres nous  ; apres nos bras, nos jambes: nous sommes ainsi, en dedans de la grotte : njous voyons : ribambelle, litanie, en filade, suite : un public, une poroximité pour un foyer centeral à type de feu en offrande : fumée montante ; nous voyons les parois dessinées, les peintures pariétales, nous sommes ainsi quii les regardons d’en bvas, de notre place ; nous avons ainsi pour nous ces images, elles sont images en cavalcade, en suite imagée, en ribambelle, une armée, une chgose étalée, une choses dans le temps, une chasse, une suite d’animaux en vie ; nous faisons cette chose de regarder ; nous sommes qui allons ainsi à la recherche d’une entrée de grotte, et, dedans, d’une sortie de grotte, pareiillement ; nous sommes betes, nous n’avons pas un haut degré (niveau) d’intelligence, nous sommes de la base, nous sommes du bas, nous sommes par terre, nous sommes attachés à laterre, tenus, nous sommesles pieds sur terre, npous sommes attenants à la terre, collés ; nous sommes collés au sol, au plancxher, nous sommes les pieds collés au plancxher qui est nottre socle ou base de sustentation ; nous tenopns devbout par les pieds (sur la terre ferm) ; nous sommes debout et tenons par les pieds ; nous sommes qui tenons ainsi, par les pieds, debout, devant la table, devant la paroi, devant le mur, devant la peinture, devant la gravure, devant une installation ou un agencement, devant une sculpture, une chose pendue au plafond : mobile ou stalagtite ; nous regardons pareillement ; nous sommes qui regardons ensemble les choses ainsi prpoposées, au devant de nous, à nos pieds, sur le devant qui nous fait face, qui est cet espace de la table ou de la pierre d’offrande, cet espace clos et circonscrit de la table où deposer la mort , soit la vie morte ;

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9/03/2020

nous sommes les yeux grand ouverts, écarquillés ; nous ouvrons nos yeiux en grand sur le monde ; nous sommes ainsi qui ouvrons nos yeux en fgrand sur le monde ; il s’agit de l’iniouï et de l’impossible ou de l’incroyablement inouï du monde alentour : zone de découverte du monde ; nous sommes ainsi aux yeux grand ouvert , qui voyons autour de nous l’incroyablement coloré du monde alentour, les choses à proximité, les solides, les sculptures et les choses déposée sur urne, sur pilotis, sur ponton, sur cimaises ; nous avançons , pas à pas, et touchons ainsi les parois froides ; nous sommes aux yeucx grand ouiverts et regardons ce qui sous nos yeux se présentent à nous : nous sommes des bébés baba ; nous avons les yeux ouverts ; nous voyons ce qui se trame sous nos yeux et en restons comme deux ronds de flan ; nous avopns pour nous les yeux grands ouverts, bébés baba, et regardons les choses ainsi , qui se présentent à nous ainsi que nous voyons ; nous touchons le frois de la paroi rupestre ; nous avons deux mains (chacun) pourr toucher paroi et se rendre compte ainsi, nous rendre compte, ainsi, du frois des parois, des choses à toucher ; nous sommes qu i ainsi sommes à découvrir pareilles choses de proximités, incroyablement impossiblement inouï des alentours ; nous les touchons dans l’incroyable inouie de leur venue, ou de la survenue ici pour nous -de pareils solides ; nous sommes des bebés quiui, nous sommes bébés qui : allons ainsi au coeur de la grotte, toucher le frrois de la pâroi, le frois des llieus ici et des parois autour de nous, parois qui sont froides comme tout ; nous y allons les yeux ouverts et voyons les choses solides, humides ; nous touchons l’humide, nous voyons les choses à toucher : peut on les toucher ? a t on le droit de toucher le froid, les parois gelées, a t on ce droit ? d’ainsi toucgher paroi gelées et d’avancer ou poser pied sur sol sacré, sur sol qui est cet inouï alentour ? nous acvançons en pays inconnu : a ton le droit d’aionsi bafouer ? nous avançons ensemble en pays secret, protégé, inconnu de nous ; et cette chose d’avancer ici , et de toucher : de toucher ce monde alentour , de choses solides et liquides etc, a t on le droit d’y poser nos pieds dessus ? a ton le droit de poser pied ? nous avançons dans ce monde clair, expurgé, et nous allons posant ainsi les pieds ici et là quand il ne faudrait pas faire cela, tres certainemùent , ou bien en a t on le droit ? nous nous projetons : nous posons les pieds ; nos pieds souillent ; nous sommes ainsi qui : entrons dans ce monde inoui de la grotte  ; cette bouche grande ouverte nous absorbant, nous sommes donc ainsi qui nous voyons ainsi touchant, des parois du monde : physique, coups de pieds ou de botte au cul, d’une vie-chose des réalités tangibles, ou autres coups de front sur parois rupestres ; nous y allons ainsi qui sommes jetés ; nous avançons ainsi dans cette sorte d’incroyablement tangible du monde autour, et nos pieds toucghent terre : en a t on le droit ? c’est à dire : d’etre ici, ici en cette grotte, dans cet intérieur à paroi colorée , en a ton le droit ? ou bafouons nouqs ? nous avons franchi la porte faille, nous sommes entrés, nous voyons l’incommensurabilité, l’impossibilité, l»’intouchabilité, l’interdictionnabilité, la chose impensable, interdite, incommensurable , incroyablement interdite, ici, des parois, des roches, des cavités, de cette grotte-monde ainsi franchie ; nous avons pour nous des choses qui disent : «ils ont pu» ; nous avons pour nous des excuses ; nous avons trouvé par hasard, une faille-fente, où nous loger, dans laquelle nous loger et la franchir, et c’est ainsi que nous sommes arrivés, bébés babas, ainsi donc, en cette grotte froisde, monde vivant rustique, physique, pariétal ; nous avons franchi la barrière, noius avons franchi les cordons de surveillance, nous sommes ainsi qui sommes entrés dans l’incommùensurabilité globale, de cette grotte ; des parois sous nos yeiux, des stalactites et des stalagmitrs qui tronent ; nous avons des raisons pour nous qui ont présidées à notre entrée de la sworte en pareille grotte : nous sommes en,trées, nous avbons vu, nos yeux se sont ouverts, il y avait des buffles et des gnous (sur parois rupestres) et nous les avons touché de nos mains : ainsi faisant, ainsi touchant le frois des parois, ainsi faisant = bravant l’interdit ; il s’agit ici d’une sorte d’interdit ruperstre ; il s’agit d’un interdit rupestre à type d’entrée dans un monde incommensurablement total, et qui est ce monde parito-grootesque ; il s’agit de cette sorte de monde qui nous entoure aux quattre coins et nous absorbe comme bouche ; nous sommes ainsi qui sont entrés ou sommes, de la sortte, entrés à deux (ou plus) en ce lieu clos, en ce lieu froid et sévère ; il s’agit d’un monde sévère ; nous y sommes entrés ; nous voyons ces peintures au murs, nous voyons ces dessins représentants de scènes de chssse ; nous voyons ces dessins sur les parois, il s’agit de scène de chasse ; ; nous avons ainsi nous nos yeux des scènes de chasse rupestres ; nous avons des scènes, sous nos yeux, de combat ; nous voyons les animaux ; les animaux sont des anima ; nous avons devant nous des anima qui sont des animaux, des animaux, nous en sommes baba, qui sont des anima ; nous y allons ; nous y sommes tres-obligés, nous allons en cavité , toucher parois ; nous sommes très-obligés en  cela et nous entrons de cette sorte que nous faisons : pas à pas, au plus loin d’en,trée, et faisons passage ainsi devant des peintures de gnous, de buffle, d’antilopes, de rhinocéros etc ; nous voyons des choses du souffle qui est ce vent de grotte, nous avons pour nous ce courant d’air qui nous siffle, nous avons ce courant d’air froid à nos oreilles, à nos cheveux ; nous sommes debout, la lumière est derrière nous,  les animaux sont dessinés sur des parois en hauteur, nous faisons des pas interdits ; nous sommes entrés dans une grotte inconnue, nous sommes en pays inconnu qui nous attire ; il y a ainsi des gnous et des rhinocéros ainsi gravés, dessinés sur des parois nues et froides ; nous avançons, nous posons nos pieds, nous n’avons pas le droit de poser nos pieds , nous sommes des bébés baba qui entrons ainsi dans ce monde pariétal et voyons peintures rupestres = des ames ; nous les voyons en des scènes de chasses ; des ani:ma, des ames, des animaux ; nous kles voyons gravées-dessinées sur paroi de grotte, de caverne, il y a des gnous et des chevreuils, des taureaux et des brebis ;  nous voyons les animaux qui sont ce nous = nottre souffle  ; il s’agit d’un souffle ici dessinant, nous voyons ici le souffle à l’oeuvre, qui va dessinant sur parioi cette chose de l’anima à travers l’animal de type rupsetre ; il s’agit ici d’une chose qui est cette chose : d’une ame, d’un animal, d’une chose incroyable, ; inoïue, incompréssible, incroyablement incommenwsurable et cettte chose est celle ci : d’un passage à l’acte ; il y a ainsi la chute ici en cette grotte, d’un passage à l’acte : chute mortelle ; nous sommes entrés malgré l’interdit, il y avait cet interdit , et nous sommes entrés quand même : ah la la ; il ne fallait pas ; nous avons bravé l’interdit : nous sommes entrés dans la grotte ; nous avons fait cette chose quil ne fallait pas, il ne fallait pas faire cette chose, cette chose était interdite, il ne fallait pas s’y risquer ; il ne fallait pas entrer ; nous sommes entrés, il ne fallait pas faire cela et nous retrouver en cette grotte froide, aux murs (aparois) peintes, décorées ; nous avons vu et nous avons touché : il ne fallait pas, ni voir ni toucher : il ne fallait pas voir et il ne fallait pas toucher, il ne fallaiot pas toucher les parois : pas touche ! ; et il nbe fallaiot pas voir ou regarder, regarder ces mêmes parois, ces dites peintures, ces animaux morts, ces offrandes, des discours, ces offrandes déposzées, ces choses de l’ame (la nôtre) avec ainsi du sang de lutte, du sang qui va dégoulinant sur les parois, il ne fallait pas, il nous était interdit, il nbe fallait pas nous risquer ainsi, il nbous était interdit de : nous n’avions pas le droit et nous l’avons pris, nous avons regardé (ouvertts les yeux) et toucher (poser pied à terre) et voilà que la terre (le monde) est pour nous souillé : à jamias ; nous sommmes ainsi qui avons cette chose faite : cette chose l’avons faite connement ; nous avons touché le sol avec nos pieds et ouverts les yeux sur le monde des etres dessinés, des chevaux et des sangliers, etc : sur ce monde alentour qui est grotte, qui est ciels de grotte et parois ; nous sommes qui avons ainsi précipités les chodses et à présent nous nous retrouvons ici, en  e lieu de choses dessinées, en cet espace décoré, en cette salle froide aux parois humides, nous sommes ainsi qui regardons les alentours et voyons des buffles, des bisons, des tigres, des chacals, des vaches, des sangliers, des serpents, des brebis, des veaux, des rhinocéros dessinés sur ces parois, nous voyons des animaux divers, animaux de chasse, gros gibiers que nous portons en nous et délivrons de nous : nous donnons, nous offrons ainsi nos animaux (notrte anima) par ces dessins au sang, au fusain, au brou, de choses marquantes, sur parois nues de grotte enfouie ; nous offrons nos animaux, nous sommes plkusieurs, mon anima, je sui seul ; nous y allons ainsqi = gaiement, car nous sommes gais comme des pinsons, enfant s qUI i allons ainsi à l’intérieur et bravons tous les interdicts : nous sommes entrés, interdit, nous avons touché le sol intérieur, intertdit, nous avbons vu les animaux morts, interdits, et leur double représentatif sur les parois, interdit o cvombien ; nous sommes dand les interdits, nous sommes qui ne devons pas et cependant la messe est dite : nous sommes en vie ; nous n’avons plus le choix, l’avons-nous jamais eu en l’occurreznce , a vons nous jamais eu, l’avons nous eu un jour, ce choix, en nous ? l’avons nous, un jour, eu en nous ? avons nous été consulté , ; a vons jamais été nous consulté iuici ? avons nous ? avons jamais été, avons nous jamais été, avons nous été ? ; nous sommes entrés et avons vu, et touché, les ames , les animaux morts, offerts en offrandes, et leur double-réplique-accumulation pour faire le nombre ; nous voyons ces choses offertts = motrrtes ; nous voyons ces choses offertes = la mort ; nous voyons ces choses offertes = la vie ; ici c’est la vie qui est offerte = donnée ; donner la vie ici c’est offrir des morts, animaux = anima = ames ; ici on voit que la chose est ainsi que nous donnons en offrande des vies qui sont mortes, et donc il ne s’agit plud de vies mais de morts, mais c’est ainsi que nous disons  : que nous donnons des vies en offrande, mais non point la notrte, parlons bien ; dsommes ensemble qui donnons des vies sur la table : la posons  ; les posons ; nous posons cette vie morte = un don de nous qui faisons ainsi allégeance et conservons la nottre (de vie) en l’occurrence, et par là même ; nous y allons ; nous n’avons pas froid aux yeux ; nous y allons = comme quoi nous (nous ensemble) n’avons point frois aux yeux  ; nous y allons signifie que nous sommes qui n’avons nulmlement froid aux yeux et bravons gaiement l’interdit ; nous y allons ; nous faisons le pas ; nous y allons volontairement ; nous allons aionsi volontairement et franchissons ici le passage, entrons en cacverne, sommes ainsi qui entrons en c  averne et regardons, découvrons et ainsi nous mettons hors la loi du genre ; il suffit d’ainsi voir cette chose que nous faisons , comme quoi nous franchissons ici un passage = cordon ; et de nous retrouver ainsi ayant comme bravé, et là nous voyons : les animaux morts, et aussi leur échos sur parois , pour faire nombre leur échos ; nous voyons cette sarabande ; nous sommes qui voyons ces ames, des vies mortes, ces vies mortes offertes ; il s’agit de vie morte ; la vie morte ; il s’agit de la vie morte ; incraoyablement incommensurablement inouïe ; il s’agit de la Vie morte, incroyablement ainsi ; cette chose d’une vie qui meurt et devient morte ; cette chose morte en vie, cette vie morte en vie ; cette vie morte en soi ; ceett vie offerte moerte ; ici on a une vie morte en offrande, voici ici de la vie odfferte (en tant que vie morte) ; ce n’est pas la nôtre encore, pardon, ce n’est pas encore la nôtre, mille pardons, il ne s’agit pas encore de la nôtre et nous disons mille pardons, nous faisons ainsi : nous didsons pardon, pardonnez, nous disons pardonnez nous ; nous déposons des vies mortes sur la table, nous déposons des vies mortes devant nous : sur la table = à nos pieds ; nous les déposons de bonne grâce, nous donnons le change, nous donnons de la vie morte ; nous répondons à la demande comme nous pouvons ; nous avbons des animaux , des ames, autour de nous partourt dessinés représentatives ; nous avons autour de nous des ames dessinées, des ames d’animaux, des animaux-a mes, nos ames, sdes ames nôtrees, nous avons des animaux en nous, nous avbons ames, animaux, en nous, à déposer sur pierre bmlanche = white cube ; nous y allons = comme quoi bnous ne sommes pas transis de peur ; nous allons ainsi à dépose et faisons cela : de mettre, de poser, de déposer, de glisser sous la porte un courrier ou une missive ; nous sommes ain si qui allons ainsi , en grotte, à dépose : une vie morte ; une morte-vie, des mortes-vies ; nous avobns des mortes vies à déposer et ce sont des aniamux, des betes, des brebis tuées, saignées à blanc ; nous les avons pour dire de dépots, à déposer ici, sur table propre ; nous avons des brebis, des phacochères, des singes, des grizzlis, etc ; nous avons tout un tas de betes en nous qui sommes baba ; nous avons en nous tout un tas de betes , qui sommes bébés et baba d’ainsi nous retrouver, entre les parois, à déposer ainsi des ames à bruler, des souffles, de la vcie morte, notre vie mourante, notre vie qui meurt au fil du temps, nos heures, nos tres riches heures et tres chères hjeures passées ; nous les déposons sous leur forme anima(le) et allons aoinsi en caverne, faire ainsi des chgoses visibles, faire choses ainsi de dépose : sur table de déréliction ; nous sommes plusieures et faisons ensemble offrande = ces vies moirtes les posopns, nous les déposons et le faisons ainsi, et donnons aindsi ; nous sommes plusieures autour de la table, nous sommes au milieu de la caverne ; nous sommesq debout en plein , nous sommes au milieu et nous déposons, nous déposons les armes de chasse, nous déposons le gibier, nous posons tout ce qui nous est le plus cher, nous donnons notre vie morte, des vies mortes = des vies, de la vie, ce que nous avons en matière de vie à offrir, nous donnons, nous sommes ainsi qui donnons ainsi, qui offrons ainsi de la vie (= de la mort) ; c’est ainsi que nous donnons de la vie , que nous donnons de la vie de nous, vie de nous et vie morte de nous : nos heures précieuses, nos heures passées, ce temps de nous (animaux, anima) passé et donc mort et enterré, il est qui est ainsi offert sur table : tavoola ; nous pouvons le voir , ce temps calciné ; nous voyons ce temps brûmlé, nouis voyons ce temps calciné et brulé au chaud de nos pas qui marche = en vie d’allant ; nous avons du chaud sous la semelle ; nous voyons ce chaud en notre marche, notre marche en vie, qui va pour nous porter d’un endroit d’ici à tel autre, au fil du temps dépensé, brûlé, détruit et à présebnt offertt, sur pierre de taille : animaux-anima ; nous y allons = nous n’avons pas frois aux yeux ; nous avons des anoimaux en nous, pliein la bouche, souffle ; nous sommes de bouche animal ; njous avons en nous des ames qui sont des animaux, des animales ; nous avons des animals en nous qui sont animales, qui sont anima et (au pluriel) animaux : des âmes ; nous avbons des souffles, des respirations, des bruissements respiratoires à donner cramés ; nous les donnons ; nous donnons cette vie de notre souffle mort, nos respirations et perspirations, nous les offrons, nous donnons les animaux de chasse, nous offrons des animaux de chasse, nous en dessinons sur les murs (white cube) pour augmenter l’effet de l’illusion du nombre, chambre, miroirs réflexifsq, etc ; nous y allons, nous n’avons pas peur, nous n’avons pas froid aux yeux, nous y allons gaiement = en sifflant, en poussant la chansonbette ; nousq chantons et offrons des vies mortes sur table d’offrande : chantons, hosannh au plkus haut des cieux, brulons, offrons, allons, ritualisons, gravons, allobns-y, poussons ainsi de notrte voix de graissette, allons y, poussons la xhansonnette, allons poussant, allons y poussant, faisons cette chose : d’une ainsi chansonnette poussée, ici, en pleine caverne, entre 4 murs ; nous sommes plusiuers, nous sommes nombreux, nous donnons, nous renvgoyons ainsi image, don de beters, don de vie de betesz, à la place et en lieu de nous, qui conservons la vie par devers nouqs ; qui sommes ainsi écartelés par ce que nbous donnons de nous (souffle, mort du souffle, temps passé) et ce que de nous ne donnons pas = vie en vie ; nous sommes écartelés, nous sommes marchant ; nous donnons et ne donnons pas ; ce que nous donnons = morts du souffle, et ce que ne donnons = vie en cours d’avancée ; nous donnons, nous ne donnons pâs ; nous donnons, nous ne donnons pâs ; nous donnons puyis nous ne donnons pas , ou bien : et : nous ne donnons pas ; nous donnons, ou : nous ne donnons pas, ou les deux en même temps ; nous sommes debout et donnons, voyez les bras qui donnent ; nous sommmles au milieu, nous avons pour nous des choses en nous, nous allons qui donnons ce qui trombe (chute, cramoison) de nous  ; nous donnons de nous au fur et à mesure : voilà ce que nous donnons ; nous -donnons ainsi au fur et à mesure ; nous donnons ainsi, nous donnons ainsi au fur et à mesure ; nous donnons ainsi : au fur et à mesure ; nous sommes ; nous donnons ainsi : au fur et à mesure, des choses de nous : qui tombent ; nous donnons des choses mortes, pas la mort entière et complète, non point lma mort entière encore = complète, entièreme,nt offerte, non point cette chose encore mais : des bouts = animaux , de nous, de nos ames, de nos choses à nous, du temps de vie notre ; nous donnons nos animaux, nous donnons les animaux, nous en donnons beaucoup, nous ne sommes pas chiche, nous donons tout ce que nous pouvons en terme d’animaux morts ; en raison, en terme, en choses ; nous en donnons beaucoup, un grand nombre, nous en dessinons sur les parois, nous voulons cela ce nombre, cettez cxhose en nombre  ; nous voulons de nous donner beaucoup de ce qui nous est cher le plus ou au plus ; nous voulons donner de nous beaucoup, beaucoup beaucoup, d’animaux morts, de vies mortes en lieu et place de la nbotre ; nous voulons des lors donner beaucoup, comme pour nous racheter de ne pas donner tout, de nous, de  notre vie en vie ; nous donnons beaucoup (des animaux en nombre) pour nous racheter ou nous excuser, de ne point donner le tout de nous = l’intégrale ; nous donnons de nous beaucoup = foultitude d’animaux ; nous donnons de nous foultitude, nous donnons foultitudfe de nous en matière de : animaux = ames = anima = esprit = souffle = morts petites du fur et de la mesure ; nous donnons cette chgose en nbous qui meurt à petit feu mais n’est point la mesure ou le fur entier d’une vie complète (etre de vie) comme espéré ; comme espérré par qui de cdroit ; comme peutetre espéré par qui de droit, par qui est azinsi qui est la mort  ; la mort ; nous y allons ; njous n’avons pas froids aux yeux ; nous faisons, nous offrons ainsi en étant vivant ; nous donnons ainsi, en étant vivant, nous donnons de la vie en nous qui transite et meurt à petit feu : sur table d’offrande, white cube ; nous y allons : nous offrons ainsi, donnons, posons et espérons ; et chantons, et poussons ainsi la chansonnette ; nous faisons = nous vivons ; nous donnons = nottre vie passée : nous la donnons au fur et à mesure ; nousq avons ainsi (comme présentement) dessiné, foultitude d’animaux morts, foultitude d’animaux, de scènes de chasse etc, sur les parois, nous avons dessiné foultiotude de choses sur parois, ce sont des choses sur paroi en écho de choses sur table ; nous avons augmenté le nombre, nous offorns au mieux, nous cherchons à offrir au mieux, nous cherchons à offrir le mieux, le plus, le plus grand nombre , de ces animaux en nous= ames ; nous faisons du mieux que nous pouvons  ; nous faisons ce que nous pouvons, nous faisons du mieux que nous pouvons, nous essayons de faire cela, cette chose, au mieux, nous cherchons à faire au plus, au mieux, au plus du mieux, pour la bonne cause ; nous donnons, nous essayons de donner, nous déposons, nous y allons, nous donnons de cette façon (art) cette chose azinsi dé posée, qui est notre vie morte au fur et à mesure = le passé , ou plutot le temps ; il s’agit du temps du fur et de la mesure ; il s’agit du temps , que donc nous donnons ici, sur table d’offrande ;: nous le donnons au fur et à mlesure, nous en faisons chute, nous donnons de ce temps de vie qui erst ce temps de mort ; nous donnons temps de vie qui est temps de mort ; nous donnons par le temps vie et mort à la la fois ou comment ? ; nous donnons le temps, et ce faisant donnons ce que avons de plus cher, nous donnons temps et ce faisant donnons ce que de plus cher avons ; nous donnons le temps, nous le donnons à plat, nous l’offrons cramoisi, mort, nous donnons ce temps de vie qui est temps de mort, et cela pour change, et cela comme monnaie d’échange, et cela comme argent comptant et tré buchant, cela comme monnaie (art) d’échange ici, entre 4 murs, nous le donnons ; nous donnons , nous donnons cet argent, nous donnons ce temps, cette somme de temps, cet avoir, nous donnons notre avoir en terme de temps et le déposons sur la pierre froide, nous donnons notre avoir, en terme de temps mort, de souffkle expiré rejeté = mort ; nous le donnons de cette sorte et cette sorte est égale à une somme (grandissime) d’animaux morts, encore saignants, expirant, ces souffles, ces âmes, sur une pierre nue, propre, prête, blanchie, lessivée, récurée, adpatée, mise de la sorte en attente de réception, prete à erecevoir kladite bete encore chaude en son frois de pierre nue, calcaire, dure, peu amène pour un corps en vie mais parfaite pour un corps e,n mort ; il s’agit d’une pierre ou table d’offrande, il s’agit d’un reliquaire, d’une salle d’attente, d’une pierre tombale ou table tombale, il s’agit d’une pierre plane, d’un cxhassis d’attente, d’une toile nue ; nous savons cela et le disons , comme quio cela est ainsi : table ou tombe, sommes complètes des ames moertes ; nous sommes ainsi qui allons ainsi vvers pareille offrande à fournir et nous le faisons : en vie, en étant vivant, en suffoquant ; nous sommes qui le faisons et y allons, nous allons ainsi à dépose et faisons cette chose, nous faisons cela que nous faisons ici en allant ainsi à dépose : nous donnons, nous donnons de notre vie, nous vivons = donnons de notrte vie un peu plus chaque jour que dieu fait ; nous donnons ainsi un peu de nous chque jour, nous chaque jour donnons un peu de nous au fur et à mlesure et allons, nous y allons, nous avons ainsi donné, nous donnons ainsi, nbous sommes, nous allons à déposer somme, nous donnons, nous déposons la somme : le magot, cette cherté de chose morte ou pas loin, encore chaude : cet animal, cette anima, cette ame, ce souffle court et puis plus ; nous donn,ons ces vies ou de ces vies mortes, nous les donnons mortes, nous donnons de ces vies mortes, nous les donnons par devers nous en galerie (white cube) = mausolée, nous les donnons ainsi entre 4 murs blanchis, entre 4 murs propres, nettoyés, repeints, remis au propre pour nouvel accueil, pour nouveauté, pour nouvelle expo d’animaux brûlés, de temps passzé s, de choses mortes données en offrande, au beau milieu, sur une table, sur un socle qui tienne debout, sur un plan dur et protégé des divers quidams et des mains baladueses et des intrus et des profanateurs et aussi des mystificateurs, nous les voyons, nous voyons les oeuvres, nous voyons les choses exposées, nous voyons les choses posées sur des socles ; nous sommes, nous donnons ; etre = donner ; nous donnons, nous sommes, nous avançons au sein de la caverne, nous avons un peu froid car il y fait humide et le soleil nb’y entre pas, il y fait somvbre ;  nous sommes assis ; nous avançons puis nous nous asseyons et regardons les parois, les peintures animalières et songeons, et voyons-songeons ; nous regartdons, nous sommes ébahis-étourdis ; nous voyons, nous ouvrons les yeux ; nous regardons les buffkles et les animaux de compagnie ; nous regardons les animaux blessés, chassés, poursuivis, nous voyons les animaux chassés, les scènes de chasse représentées, les scènes de chasse vive, nous voyons ce vif, ce sang qui pisse, nous voyons tout ce sang qui pisse, nous voyons tout ce sang qui pisse dru, ce sang qui dégouline, ces dégoulinades de sang piosseux, de sang incarnat, ce don ; nous voyons tout cela, nous vocyons tout ce sang qui pisse, nous sommes assis ou debout mais ne bougeant plus, qui regardons cela = ce sangg ; njous voyons le sang, cette vie fuyante, cette vie vive, cette vie offerte en lieu et place ; ceete vie qui, allant ainsi, donne à la mort par devers nous : nous n’y sommes pour rien = nous donnons par devers nous, et les peintures ici renseignent -de cela, du sang,  nous donnons ; nous donnons, du sang donnonds, nous y allons, nbous n’avons pas les chocottes, nous donnons de cette sorte et y allons, notre vie est don, helas au compte goutte ? ; nous donnons au co:mpte goutte et nous en excusons : «hélas» ; nous sommes , ainsi, qui donnons, ainsi, au devant nous, il y a un chemin ; le chemin est devant nous qui nous tend les bras ; nous disons «qui nous tend les bras» mais peut-être devrions-nous dire plutôt «qui nous ouvre ses mains» ; il s’agit de mains ouvertes, il s’agit de bras tres-certainement mais aussi de mains ouvertes ; on peutv tres bien imaginer des bras ouverts mais pour autant les mains (de ces bras là) pourraient etre fermées, les poings fermés, on peut tout imaginer  ; on peut imaginer des mains fermées, on peut imaginer -des bras sans mains ; or il s’avère ici , que nous avons des mains ouvertes devant nous ; devant nous il s’avère que nous avons (qui nous attend) deux mains ouvertes, deux bras tendus vers nous, nous avons devant nous deux bras et deux main, nous allons vers ces deux mains c’estàdire que nos pieds se brûlent ou brûlent d’aller vers ces mains devant nous ouverte, il s’agit de mains qui sont ouvertes pour nous recevoir, et nous, comme de bien entendu, que faisons nous, que fait notre coeur, que font nods jambes, que faisons nous sinon de répondre à l’appel qui est devant nous, qui n’est pas derrière dans l’obscurité mais qui est devant dans la lumière ; notre vie de nous vivante et tout de suite morte = chaude: nous donnons du chaud, du encore chaud ; ce que nous donnons ici est encore chaud quoique mort ; nous donnons le chaud de nous, sang chaud ; nous en donnons ainsi ainsi, nous en donnons de la sorte de la sorte ; nous donnons ainsi ainsi sang chaud sang chaud ; nous donnons de la sorte : nous donnons et redonnons, donnons et redonnons, donnons et encore donnons au fur et à mesure ; nous donnons le plkus (en terme de nombre) que nous pouvons : multitude, ames, congrégations, foule, amoncellement d’animaux présentés ; nous donnons le plus que pouvons ; nous le pouvons dès lors le faisons ; nous pouvons le faire, il peut le faire ; le faisons, nous le faisons, nous donnons le pklus que nous pouvons : amoncellement, tas, multitude, foule, tas d’animaux sur une table, une tablée d’animauxd brûlés, au temps cramé, une brassée, une mesurée d’animaux enta ssés ; un bon nombre, que ça puisse faire = le faire ; il se peut que ça le puisse ; il se peut que puisse faire cela est ; que cela puyiissse aoinsi, faire en sorte que : ça puisse et ça pisse : le sang encore br^ulant , presqu’encore vivant ; il se peutr que ça le puisse ; nous le faisons, donnons par devers nous, sommes de la paertie, ne pouvons fgaire autrement : donnons , un peu plus à chaque fois que nous allons ainsi, en souffle, en anima, en animaux : les animaux de la prairie, les animaux de la forêt, les animaux qui sont comestibles = ceux qui nous importent car ils nous maintiennent = en vie ; nous sommes ; nous y allons ainsi ; nous a vançons ainsi, nous nous offrons ainsi, nous somlmes en vie = nous sommes qui allons et brulons ; nous brulons = nous faisons offrande, nous ne sommes pas en reste de donner ; nous donnons le plus que nous pouvons = sur table et sur parois ; nous faisons au plus ; nous faisons (vivons) au mieux ainsi ; nous donnons tout ce que nous pouvons (grand nombre) au mieux que nous le pouvons , le plus cher à nos yeux que nous avons, les choses qui , les choses qui nous sont ainsi les plus précieuses : notre souffle, au compte gouutte du temps qui passe ; nous donnons, nous le donnons ; nous donnons, nous le doonnons ; nous donnons de npotrte souffle, nous le donnons ; nous donnons de notre souffle au fur et à mesure ; nous le dessinons sur les parois de grotte ; nous le donnons ainsi dessi-né + sur table, ici = sur table d’offrande ; nous le dessinons (notre souffle )= animaux comestibles, animaux de bouche, animaux qui comblenbt la bouche, qui entrent par notre bouche, qui sont des ameszs mortes, qui sont souffles, qui permettent ainbsi le souufle cart comestibles, car ainsi sont que nous pouvons les mettre en bouche en nbous : lma bouche, cette bouche, ce trou à nourrir, àréparer ; nous le donnons, l’anima, à notre bouche : entrée-sortyie danbs un temps conjoint, nous donnons cela , ce sang sur la pierre ; il pisse ; il sz’agit du temps ; il s’agit d’une vie morte mais encore chaude, peinte au sang, sommes ainsi, sommes métronomiques, nous allons ain si déposant ; nous déposons des choses mortes sur table d’ooffrreande et dessinons aussi sur parois, et cezla va de pair : nous voulons donner le plus, de cette anima en nous qui occupe le lieu (le notre) et opart en fumée via le temps de nottre passage sur terre ; nous donnons ainsi cette chose au fur et à mesure, ici le fur et la mesure, nous donnons ; nous sommes qui donnons ainsi, nous eswsayons de donner, nous donnons ; nous allons ainsi au dezvant et courons ainsi à travers les champs ; nous soimmes des , qui courons, nous sommes des etres ainsi qui vont à travers champ, nous courons ; nous fuyons ; nous y allons, nous n’avons pas peur, nous sommes sortis de la grotte, nous n’avons pas pêur ; ou si, nous avons peur mais y allons cependant et courons, et chassons, et chassons le buffle, l’antilope, le renard, le sa nglier, le chacal, la loutre, le grizzli, l’ours des prés, le chien errant, la belette, le lapin des champs, la truite, le matou, le grand faucon, la girouette, le moineau, la  btrezbis non galeues, le pintadeau, la girafe, le lion, l’esturgeon, le boa, la pigne, etc ; nous sommes dehors ; nous chassons ; nous prenons des vies, nous tuons ; nous sommes des chasseurs qui tuent ; nous tuons lma vie ; la vie morte ainsi sera (pour paertie) offerte, nous ttuons des vies = nous truons la vie ; nous faisons de la vie la mrto ; nous tuons, nous tuons la vie ; nous tuons, nous truons la vie, nbous chassons, nous avons tué, nous tuons, nous déposons notre butin de chasse, nous donnons cette vie morte (chaude) en offrande, nous truons, nous sommes des tueurs, nous sommes des chasseurs, nous siommes des engloutisseurs, nouys sommes qui mangeons de la vie morte, nous mangeions la vie, nous mangeons des choses vivantes mortes ; nous mangeons du vivant mort ; nous mangeons la mort, nous mangeons la mort ; nous sommes qui mangeons de bouche, nous manfgeons de bouche, nous mangeons la mort ; njous y allons, nous sortons de la grotte pour aller chasser brebis, chacal et mammifères divers ; nous y allons ainsi, armés et courageux ; nous allons ; nous mangeons la vie morte, nous l’absorbons, nous mangeons cette vie en bnous, nous l’avons absorbés, nous avons mis vie morte en bpouche, nous donnons en échange souffle = anima ; nous donnons le souffle, nous offrons sur mur nu et nettoyée, propre à l’emploi ; nous donnons sur un e table, nous offrons sur une table : il sz’agit de représentatation, il s’agit de préswentatation renouvelée, il s’agit de re-présentation, de nouvelle présentatation, de présentation, de présent, d’un présenbt, du prése,nt ;, du présent donné, présenté = déposé, le présent est présenté = déposé sous des yeux ; il s’agit de représentation d’animaux chassés, d’animaux vivants, d’animaux en vie, rencontrés, qui sont à nouys en ce qu ils sont en nous = ingurgités, mis en nous par la bouche, car la bouche est le passage vers le deda ns, vers notre dedans  ; nous mangeons (via la bouche) des animaux ; nous meettons en bouche l’animal, l’anima en bouche en sort, il s’agit d’aller et venue, tic tac du xcoeur, qui va et vient, d’animaux en bvouche ; nouys mangeons, nous mettons en nottre bouche des animaux que nous avons tué, nous les incorporons à notrte eztre, noue les en faisons notre, nous faisons de nous des etrtes plein de ce ou de ces choses mortes à type d’animaux, car tous ces animaux tués et mangés, viennent nous remplir, nous maintenir présen,t en vie : nous sommes ainsi des animaux en nous, présents grace à eux, sommes qui tenons ainsi et suppotrtons, et filons, et tenons bon la barre ; nous tenons ; les animaux sont qui nous nourrissent, ils sont les animaux qui nous nouirriisent et nous maintiennnent en maintenant de vie ; nous y sommes ; nous allons, nous y sommes, nous allons, nous sommes, nous faisonsq ; animaux en nbous car animaux mangés ; et anima qui sort de notre bouche = souffle de ces animaux = derniers souffles ; nous allons sur les chemins, chasseurs de betes sur patte ; nous allons ainsi à la recherche de betrees sur pattes, nous cherchons puis tuons puis ramenons, puis mangeons pour partie et autre donnons, nous donnons partie et mangeons partie, nous donnons sur pierre de taille, nous en donnons, nous en faisons offrande et peintures avec ; échos ; nous sommes ainsi qui faisons : échos, ainsi échos, pierre de taille ; nous faisons échos, nous donnbons, nous faisons, nous y allons : ecco ; sommes ainsi qui allons ainsi et faisons écxghos et allons à dépose : de la sortrte ; nous faisons écho sur parioi, sur pierre, sur feuillet, sur mur blancjhi et sol nus, sur sol propre (balayé), sur sol propre (lessivé)  ; sur sol nettoyé par des petites mains de rien: nous posons nos gibiers et nos gibecières, nous déposons des choses, nous marquons et dessinons, nous faisons marquage, nous comptons, nous donnons ainsi : le sang et la chair, le sang et la carne ; nous faisons, nousd donnons sang et carne, nous présentons, nous donnons et redonnons ; nous avons des betes mortes en gibecière et les sortons d’icelles pour les déposer sur u e table préparée (propre) à cet effezt ; njous avons aionsi, échos dessinés, échos sous forme de choses de l’art : installées en lieu sûr ; nous sommes ainsi qui faisons échos nbombreux, qui échos nombreux faisons ainsi, que nous allons ainsi chassant, chassant ainsi allons gaiement, gaiement sifflant allons ainsi, ainsi faisant chassons gaiement lers animaux de la prairie , et les ingurgitons tout à l’avenant, en notrte bouche ouverte en grand et mangeons ; mangeant ; nous mangeons et ainsi faisant tuons, tuant, tuons betes fauves, tuant betes fauves ; tuons tuant ; faisons faisant ; mangeons mangeant ; allons allant ; allons marchant ; marchons et marchant ainsi allonbs, par les sentiers, par les champs, à travers les prés, nous allons et nous chassons ; nous avons des betes à tuer pour nous sustenter ; nous y allons, nous sommes qui allons allant ; nous marchons à travers les prés et les champs, nous donnons de nous par le souffle animal mangé en nous qui buffons comme buffle ; nous sommes ; nous y allons ; les animaux en nous incorporés soufflent l’anima sur paroi de grotte : souffle ; sur paroois de grotte : anima ; sur les parois et sur la table, sur la table (encore chauds) et sur les parois : wghite cube = cube = cavité ; nous allons ainsi qui reportons ainsi afin de (donc) multiplier les choses en don : anima ; animaux ; nous dessinons sur les parois, nous dessinons en cca vité, dessins de cavité rupestre ; nous aimopns ; nousq asommes amants, nous sommes qUI aimons, nous sommes amant aimant, nous siiommes qui aimons ingurgiter, nous sommes qui allons aimant, qui aimons, nous aimons ; nous allons ainsi, nbous y sommes,  ; nous allons ainsi et dessinons sur les parois des murs de la grotte : white cube ; nous dessinons, nous gravons, nous multiplions les vues, les animaux, nous multiplions les choses de vie en offrande ; nous voulons rester en vie, nous cherchons à rester en vie, nous faisons cela pour rester en vie ; nous faisons tout cela (tout) pour rester en vie , nous faisons cela, sang, pour rester en vie = ce sang ; nous le faisons (cela = ce sang) por rester = demeurer ; pour tenir en vie en, grotte, en champs ; nous essayons, nous tentons, nous faisons de notrte mieux, les animaux en tant que dons ou offrandes, ceux là même que nous mangeons = d’autres ; nous mangeons, nous respuirons, nous expirons, nous sommes anima ; nous déposons, nbous allons, par les chemins, à dépose, nous donnons dee notre souffle, nous faisonqs ainsi que nous sortons (ressortons) de nous anima, pour aller ainsi vers offrande en retour, vie ou simili de vie = souffle expurgé, nous allons a insi, nous faisons ainsi, nous allons ainsi, nous faisons ainsi, nous allons ainsi = échos, de nous-animal en nous, de notre nous-animal en n ous (ingurgité, avalé, mangé = tué = mort) ; cet animal ; cette abnnima ; cette animale ; cet anima ; ce sang en nous, qui tape en métrono=me, tape, va, tique-taque son allant : vie et mrt de l’animzal en nous : tic tac ; nous allons, nous sommes ; nous allons = nous sommes ; nous mangeons, nous re-présentons sur table = à nouveau , cette chose en nous présente pui de nous expurgé, extraite, expulsée, cette chose en sortie animal de nous = anima = souffle = cxhose qui ainsi (écho) vient combler le trou = de la bouche : anima, animal, âme ; nous donnons le souffle en échange eyt  en attebnte = un peu de nous ; bientôt le tout, il viendra ; nous sommes ainsi écxho qui donno ns sur parois échos qui donnon s ainsi : white cube ; dessins, des choses de nos mains, des dispositions, des oeuvres ouvragés, des ouvrages oeuvrés de la sorte, en sortie de nous anima ; nous allons ainsi qui donnons ainsi : écghos, écghos des évxcchos sur murs propres, sur sol nettoyé -à la serpillère ; njousdéposons ainsi échos des échos d’animaux mangés ; nous y allons ; nous ne sommes ^pas poltrons, nous sommes couillus, nous avons de quoi et allons (pissons) à la cha sse : oula, hourra ; avons de quoi, nous sommes tenus, nous sommes ainsi montés, nous y allons ; nous sommes ainsi qui allons chasser, hourra ; nous pouvons, notre corps le peut, notre organisme, nous pouvons ; nous allons à travers les champs à la recherche d’un bison, d’un buffle, d’une bete à tuer et à manger, à faire enttrer dans notre bouche : pardon, cette vie (animale) prise pour nous, en nous : pardon ; cette chose accaparée, pardon encore ; encore pardon ; ces pardons multipliés, nous y allobns ; nous disons pardon, d’avoir incorporé, ingurgité, avalé autant de bêtes en nous, par notre bouche, à l’intériuer de la bouche, des vies tuées, pour nous alimenter, pour tenir, pour nous maintenir prése,nt = cadeau = chose encore en viie, chose séparée, retrait : le cadeau est ce qui est encore dans un entre-deux, entre la vie et la mort ; nous avons ce cadeau = nous, entre la vie et la mort : tic tac ; le tic est mort quand le tac est vie, nous y allons ainsi : nous dessinons pour faire le nombre, pour rajout, nousrajoutons, nous faisons rajout, nous faisons des rajouts, nous donnons, nous faisons ainsi des rajouts, des sommes, des tas, nous accumulons, nous faisdons des accumulations de choses en tas, en sommations, en présentations: nous donnons ainsi en échang, nous donnons des choses, npous posons, nous donnons des choses moertes, des vies mortes sur tapis de sol, nous étalons, nous présentatons, nous mettons à plat, nous déroulons le temps cramé, le temps mort, cette vie de temps mort, de compte-goutte, cette vie de temps en compte-goutte : sommations ; nous allons par les routes et les sentiers, tic -tac, nous faisons offrande au fur et à mesure ; représentation = spectacle = chose en spectacle ou mise en tant que tel ; chose mise, déposée, en chose de spectacle sur le devant = sur la table = spectaculaire = chose vive présentée, cette chose en feu = spectacle, spectaculaire comme un feu de joie ; nous déposons notre feu, feu la Vie, nous déposons sur pierre une vie en feu, ce feu de la vie qui va , qui ain si va se consum

ant ; nous donnons (ecco) cette chose en vie , de nous nous vconsumant et cela est ces animaux morts sanglants ; cela est cela : cette chose en nous animale (ingurgitation, alimentation) ; nous avons mangé et nous mangerons et nous en excusons par la présente : faisons offrande abondamment = dabns une abondance de choses posées, déposées, en présentation : arts et métiers ; njous avons une chose à déposer et cela est l’écho d’une ingurgitation animale de survie ; la survie est telle , qu ‘elle est sur la vie = par dessus, comme une cape, une coiffe ; nous allons ainsi en survie = en survol = en représentation de chgoses tuées, en présentation de choses de vie morte ; nous faisons cela ainsi = échos ; nous donnons de nous à mesure qaue nous perdons pied ; mettons le pied devant à mesure que perdons , le pied, derrière ; nous mettons pied de vie devant et perdons pied de vie derrière = allons ; nous sommes qiu sommes an,imaux par ingurgitation, par mangeaison ; nous sommes redevables = représentations, nous sommes qui devons (re) présenter l’animal ; nous devons re -présenter l’animal, nous devons le présenter = l’offrir, nous devons offrir l’animal, nous devons donner animal en re-présentation, expulsion de nous, expurgeaison, nous devons offrir un animal, le re-présenter à qui de droit, présenter ou représenter  ; et présenter sur table et représenter sur paroi, nouds devons faire présent sur table et sur paroi : des animaux, des anima et des animaux, nous solmmes tenus par le temps, à présenter (représenetr ) des animaux vivants, morts -vivabnts, des  animaux morts mais encore saignants, sur table, sur sovcle, sur parois, sur murs, sur papiers, sur caretons, sur drap de lits, sur chassis, sur pilotis, sur morceau de bois, de jute, de crin, de pierre, de griillage, sur fer forgé, sur chassis automobile, sur goutte d’eau, sur boiserie, sur porte, sur pupitre, sur pièce échantillon, sur frigidaires, sur chevalk, sur cuivre, sur lino, sur fusée, sur chevalet etc ; nous sommes qui faisons art ainsi aen y allant, nous sommes qui offrons et l’offrande ici est une chose de suspens ; il s’agit de choses (manufacturées, ouvragées) en suspens, qui de  ce fait flottent dans les airs , de cette sorte qu elles sont ainsi comme à ne pas toucher = flottent ; nous voyons ainsi ces cxhoses qui sont, elles sont ainsii qu elles flottent dans le temps de leur exacte  survenue : nous voyons, nous voyons sur les parois, sur les tables, il sz’agit de prolongements, il s’agit de chemi,ns de prolongements, depuis notre etre en perdition ; nous avons sur la table des vivres ; nous avons des vivres, nous avbons des victuailles, nous avons des vivres ; nous avons du gibier mort, nous avons des tas, du chiffre, en matière d’animaux passés à trépas, nous avons nombre, nous avons tas, avons nombre et amoncellement : des tas de betes mortes , posées à même le sol : présents à l’appel ; présents !, ; nous sommes qui disons présents , ainsi répondanbt à l’appel, nous donnons ; nous y allons ainsi que nous faisons = allégeance ;nous faisons qui disons égale ; nous donnons cette chose que nous faisons avec nos mains, avec nos petites mains nous faisons et nous donnons le fruit de notre travail, nous le donnons de cette fa çon, nous donnons ici (sur table en galerie) une chose ouverte, une chose lachée ; nous ouvrons lacxhons et ainsi donnon s, pareille retombée ; nous y allons ainsi faisant ; nous sommes qui donnons ainsi des choses, sur le devant, ces choses sont choses ouvragées, nous les donnons , cx’est à dire que nous les déposons devant nous, nous posons ns ouvrages de main, nous les dépôsons sur des supports divers, ces choses (sortie cde nos mains) sont des choses de dépose, elles sont ainsi offertes et comme données au temps, elles sont ainsi comme données à un temps d’accueil, elles sont ainsi qu elles viennzent à etre mises ainsi en un lieu sûr d’exposition de soi : nous donnons ; il s’agit de nous, nous y allons  ; nous sommes d’expositio n, nous sommes  ainsi vus d’une manière qui est manière maniérée, nous y sommes ; nous faisons, nous y allons, nous mangeons des animaux, nous les tuons et tuant la vie nous sommes fautifs, nous sommes qui fautons, nous y allons ainsi, nous faisons ainsi comme demandant, cvomme voulant le pardon, la chose, cette chose que voulons : njous sommes fautifs et l’avouons, aveu ou déposition, nous montrons l’animal mort, nous le déposons, nous posons l’animal mort, le souffle, l’âme de nous ainsi expulsée, expectorée comme un crachat, nous posons , nous disposons = art ; nous faisons ai nsi qui disposons ains i (aux regards) des choses et autres sur support et à ne plus toucher : à ne pas manger szurtout: oiseaux blessés et morts, volaille, animaux divers (de prairie, de forêts) ; nous les déposons avec la manière, nous le faisons avec une manière, avec nos mains qui tiennent = ce temps en vie et mort, cette chose du temps vie-mort permanente, ce roulement de tambour ; nous posons avec une manière inhérente, nous posons ces chose en vie-morte, nous déposons ces choses mortes, cet assemblage, cette composition rupesrtre, cet amoncellement, cette chose dénudée, cette chose sur ilot, sur pil:otis, cette chose isolée, cette offrande, ce don, ce don animalier,  cette carne, ce sa ng, ce sang ruisselant, nous nous excusons, nous vivons = nous excusons ; vivre = s’excuser de vivre ; ces vivres sur pierre ; cette somme, cette chose en tas ; nous déposons, nous rassemblons et ainsi faisant déposons ces choses ici réunies, ce montage ou ce collage : il s’agit de choses rassemvbvlées et réunies sous une bannière ; njous les agençons ainsi et cette cghose ainsi produite nous la présentons entre nos mains pui la déposons (la lachons) en cet endroit nu, propre, blanc, seul, etc, qui lui correspond, qui est comme une assiette qui convieznt ; nous dépôsons ainsi ces chodses mortes, cette vie moetr, ces vivres, ces choses de vie pour des vivress, ces choses-vivrres pour des vies, nous allons ainsi ; nous faisons, nous disons, nbous recherchons, nous creusons, nous sommes allant ; nous sommesq des etres qui faisons offrande , en vivant ; notre vie qui va est offrande, nous offrons vie qui va à Mort lagrande, car il semble ici évident que cezlle-ci ait (a) d’autres attentes, nous  le savons (le sang le sait) qui allons en réponse (à cet appel, à cette demande) par les champs et par les bois ;nous sommes ainsi qui alloons de cette façon : donner ; nous donnons, nous sommes offrande au présent, nous sommes le présent de cette offrande que nous faisons en étant vivant (=vivan,) ; njous sommes nous mêmes offrande, nous sommes qiu dfonnons de nous peu à peu, de vie morte = le tempsq, et cela est de l’animal que nous avons en  ous (= nourriture) ; nous faisons comme nous pouvons, nous allons par les chemins, nous sommes ainsi qui allons, nous essayons de com-prendre ; nous sommes des etres ainsi constitués, qu ils chzeerchent à comprendre = prendre = prise = chose à attrapper, à saisir, avecque des mains ; nous cherchons ainsi, nous espérons, bnous sommes qui faisons ainsi comme donnant, et en vérité nous exposons, nous présentons en don, mais cela est que cela est ainsi : comme dons mais pour qui = en attente, en arttente de saisie , ou en attente de’une saisie avec desq mains, avecque des mains = prise manuelle d(un don de soi ; prise aveque des main (autres, devant) de  ce don de soi offert en échange, offert en tant qu’échange : nous donnons pour recevoir , un imprimatur, une obole, un oui pour la vie ; nous allons ainsi qui faisons des choses en attente et ces choses les déposons devant nous : il s’agit d’oeuvre représentative, il s’agit essentiellement de figures animales, de scènes de chasee, dereprésentations animalières, de grigris sur des parois , de dessins de présentation, échos de betes mortes déposées sur table, sur pierre d’offrande, il s’agit d’échos muraux, il s’agit de nombre, il s’agit d’accumulation, de choses en accumulation, de raisons accumulées, dfe choses de raison en accumulation , pour une poursuite, une expiration-poursuite : une respiration rendue possible en sa poursuite en vie, il s’agit ici d’une respireation rendue possible, et reconnue comme pouvant, des lors , être poursuivie, ici et là, par les chemins, sur les champs, à l’intériuer des grottes et autres cavernes ; il s’agit ici d’une reswpiration, pour le coup maintenue, ou xd’un maintien autorisé, d’un échange cde boons procédés entre les parties ; il s’agit d’un donnant-donnant : tic tac ;

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28/02/2020

zone commune de sustentation, zone commune de sustentation, zone commune de sustentation, zone commune de sustentation, zone commune de sustentation, zone commune de sustentation, 

nous marchons main dans la main, zone commune de sustentatation ; nous sommes ensemble et déposons  ; et cela est cette chose, que cela que nous déposons = nous ; nous sommes sur notre zone, nous habitons aibndsi cette zone de sustentation commune, et cela que nous déposons, én vérité = nous ou quoi de nous ? cela (en nous) qui est mort = le temps, le temps brulé, cela est ainsi que nous donnons de nous, cette chose de ce temps passé (passé par les flammes), et ce faisant nous espérons nous libérer (un peu) de l’appel forcé de la bouche d’appel, de cet appel forcé ou forcéné ; nous essayons ainsi , soit en offrant de npous le temps passé par le feu de l’enfer , de pour le coup nous libérer un tant soit peu de cet appel de forcéné en nous, qui est appel de bouche et qui nous pousse à (ici) toujours aller, et de l’avant allons, du fait que c’est ainsi que répondons à (ici) un tel appel ; nous sommes qui devons ainsi aller vers cette chose d’une bouche, en nous, ouverte, et allons ; noius sommes qui donnons du temps passé , en guise de présent donné, offrande déposé, et cela est qui est (pour nous) notre chose ou propre chose offerte pour une éternité ; nous allons ainsi , déposant nos frusques et autres, sur une pierre blanche, nous la déposons pour la mettre en valeur, nous déposons et, ce seul fait de déposer = mise en valeur de ladite chose en depot ; nous sommes (ensemble) qui ici déposons des choses ainsi : choses sur pierre blanche, nous les arrangeons au mieux de ce qu il nous semble, au mieux de ce qu il nous parait ici et maintenanrt, nous arrangeons les différentes choses déposées au mieux, nous sommes ainsi qui faisons ;n nous sommes ainsi qui arrangeons sur la pierre blanche pareil dépôt de choses offertes ; nous les arrangeons au mieux, nous sommes qui les arrangeons au mieux et faisons offrande, nous donnons pour le coup de ces choses, mortes en nous , qui sont le temps passé par npous, en nous, le temps cramé, et ce temps est déposé ou comme déposé pas à pa sur la terre ferme, et allons ainsi, et allant ainsi nous sommes ainsi qui déposons nos traces par là même = empreinte de nos pas ;il s’agit des lors de traces à voir et étudier ; nous les regardons ainsi et voyons cela qui est la trace ici d’un passage furtif ; nous sommes qui voyons la trace et avançons ainsi, et laissons ainsi = art ; nous les donnons ainsi = art ; nous faisons de la sorte enjambées = art ; nous avons une façon à nous (chacun sa façon ) de faire enjambeé = art ; nous y allons ensemble = art ; nous sommes ensemble qui allons vers une bouche , la notre = art ; nous sommes qui allons ensemble vers une bouche et avançons de la sorte vers elle et courrons, et allons ainsi déposant nos frusques, nos tuyaux, nos canevas, nos fers forgés, nos collages, nos montages, nos dessins à la va vite, nos crayonnés de mode, nos assemblages en bois, nos grattages et polissage, nos asticots en platre ou en etain, nos paroles proférées, nos paroles gravées sur du granit, nos parapluie en bronze, nos chats de gouttiere en cristal, nos ronds de serviette , nos ajouts, nos additifs, nos sédatifs, nos soulagements en pierre , etc ; nous les aqvons qui sont (par devers nous) à déposer sur le sol meuble ou sur le sol ferme ; nous sommes qui faisons cela que déposons = pas à pas ; chaque pas est dépose sacré , d’un présent de fait, = chose morte ; nous sommes qui de fait le faisons de la sorte : chose à déposer, sur sol ou pierre ou table ; nous les avons ainsi qui sont sous nos pieds = sous nous : zone de sustentation , et cela est cette table de recueil, qui reçoit ainsi ces choses, quiest cette table de recueil , qui reçoit ainsi ces choses mortes, ces données, ces choses du temps, ces paroles et tous ces objets amassés par devers soi ; nous déposons ainsi marchant le temps passé à vivre sur la terre mère et ainsi faisant nous donnons un peu de nous , ou d’un nous mort à chaque pas, à cette sorte de bouche d’appel ; nous donnons ainsi , à chaque pas, à chacun de nos pas, nous donnons ainsi faisant : marchant, laissant empreinte, un peu de nous = mort , = mort mais nous poursuivons la promenade, il s’agit de pis aller, nous sommes à nous en excuser : pardon , des milliers de fois = pas ; noues sommes ainsi qui faisons ainsi des choses ; nous allons ainsi à dépose et cela fait continuons : d’aller à dépose, et cela à chaque pas que nous faisons ; nous sommes qui faisons et allons ainsi, nous sommes ainsi qui faisons offrande et allons plus loin sur le chemin, donnant du passé à cette bouche ici d’appel qui hurle en nous sa faim de vie de nouds ; nous sommes qui avons en nous l’appel, en nos enjambées ; nous sommes qui allons ainsi et faisons ainsi offrande, et donnons ainsi des choses  déposées sur pierre de taille : il s’agit d’un lieu d’exposition ; il est s&cré, il est à part, il est loin du reste des choses du monde, ou bien s’il est dans le monde il s’en distingue de la façon la même dont : une église, un temple etc, s’en distingeunt ; il s’agit d’un lieu particulier, en cela qu il est comme consacré, il est à part dans la mesure où il valorise, il hausse, il isole une valeur, il donne un prix ; il s’agit d’un lieu de dépose pour l’éternité ; il s’agit d’un arret sur image ou dans le temps, il s’agit d’un arret du temps ici, sur pierre polie, il s’agit d’un stop au temps qui passe, à la mort ainsi égrénée sous nos pas wqui marchent ; nous sommes qui allons ainsi à dépose, et laissonbs ces temps morts sur la terre ferme (pierre de taille : rocher)  ; nous sommes qui faisons ainsi des dépots de choses diverse, pour un stop du temps en un lieu dédié, nous le faisons de cette façon = art, qui est notre = la manière dont nous disposons les choses entre ellles : il s’agit d’une insta llation, d’une disposition, il s’agit d’un ensemble organisé, etc ; nous y déposons (  sur pierre de taille) toutes ces bricoles ici confectionnées ou ramassées ; nous avobns pour nous plein de chose à mettre ainsi en ce lieu ; nous sommes qui les mettons, nous faisons ainsi que nous donnons ainsi des traces ; il s’agit des traces de nos pas, de nos pieds sur le sol mouillé, il s’agit des traces de nos pieds sur le sol sec ; il s’agit de traces qui sont les -notres sur sol ferme, terre-mere qui reçoit ainsi offrrande ; nous y allons ; nous faisons que nous allons et ainsi , il est qUue nous faisons cela en cadence: offrir en cadence nos pas, nos traces d’empreinte ; il est que nous allons ainsi offrant : le temps, passé par les flammes, = du temps mort donné, nous donnons, nous l’avons ainsi, en nous, qui est ainsi confectionné par nous, et nous le déposons (ce temps brulé) sur la table, comme du gibier ; il s’agit du produit de notre chasse : un peu de mort ici déposée sur la nappe ; il s’agit ici de ce peu qui fera l’affaire un temps, peut etre, en attendant plus : ce n(‘est pas nous qui décidons, ce n’est pas nous qui dsécidons du moment, ce n’est pas vraiment nous qui décidons ainsi du moment ; il y a des choses qui sont et cela est, que nous voyons ainsi ces choses déposées sur table : il s’agit de choses mortes, de choses qui ici saignent abondamment, il s’agit d’offrande en holocauste, nbous brûlons nos semelles, il s’agit d’offrande en holocauste ici, sur une table en pierre, poropre et nettoyée au préalable = avant dépose, il s’agit d’une table ainsi qui reçoit le gibier mort, les fruits et les objets précieux, ce quil y a de mieiux en terme de cherté ou de choses auxquelles nous tenons, nous avons ainsi qui est là sur pierre, choses de grande valeur ; nous sommes ainsi déposants ; nous déposons = nous posons = nous reposons = nous sommes morts = nous donnons de notre mort , ivci le temps, le temps brîulé calciné : calcination ; nous sommes ainsi qui faisons cela que reposons choses et autres sur une pierre ; nous repoosons choses et autres de prix ; nous donnons ce qui nous est pour nous le plus cher : la vie d’animaux, le temps en nous ; nous sommes qu i faisons cette chose , de faire ainsi offrande d’animaux morts et plein de sang dégoulinant, il s’agit de sang rouge, il est dégoulinant, il s’agit du sang animal qui est ainsi offert et dégouline sur la pierre blanche, sur la table d’offrande, sur la table des choses offertes ; nous voyons le feu prendre à nos semelles ; il s’agit ici du feu de l’enfer, l’enfer sous n os pas ; nous aloons ainsi à grande enjambée, nous comptons nos pas, nous allons sautant, nous sommes vifs car nous sommes en vie ; nous allons ainsi par les chemins et disposons (art) des choses et autres (peu importe : le prrix compte seul, = ce quil nous en coute)  ; il est ainsi que nous faisons ainsi ce qui est qui soit, ici, pour nous, n-une chose qui coute une blinde : uyne chose chère, une chose chere à nos yeux, une chose qui nous en coute beaucoup ou mêmme la chose qui, pour nous, nous en coute le plus ; il s’agit de la vie, sinon la notre celle d’autres etres, comme des bébés ou des animaux ? ; il s’agit ici d’un don de soi qui serazit ainsi adopté par qui de droit, mais serait il pour autant satisfait ? ; nous allons ainsi faisant, sur chemin, et comblons le temps ; nous y allons ensemble ; nous faisons ainsi des choses et faisons encesmble ; il est ainsi que nous allons ensemble  : à dépose, déposer ; nouds faisons une chose qui est de la manufacdture : la main intervient ; nous faisons avec nos mains et ce qui est fait tombe des mains = dépots ; il s’agit alors de choses qui tombent, qui pèsent, qui encombrent : place nette ; et ce qui tombe ainsi se voit de la sorte posé, sur la terre ferme, et recueiulli ou protégée (entours) comme relique dans reliquaire ; nous les avons ainsi tombées, ces choses des mains, et ainsi allons qui enjambons les choses ; nous sommes qui enjambons et allons ainsi, fuyards, vers des liueux qui sont au loin , qui sonrt sur chemin, qui sont autant d’étapes sur notre chemin ; il y a cette chose de la vie ainsi qyui se déroule et va, son bonhomme (!) de chemin ainsi : temps passé, temps présent, temps futru ; nous sommes deux, nous voyons cela, bnous avons cette c-hose en nous et nous avançons, il s’agit en nous du temps que nous laissons par devers nous comme une oeuvre d’art = chose déposé sur tapis au sol ; nous avons quyi protégeons des oeuvres = des chooses en  deépot, et choses qui sont vtemps passé ainsi, cramé = brûlé = mort ; ainsi, il s’agit de laisser la vie ici (donc de donner un peu de sa mort) sur une pierre dédié à cet effet ; nous laissons pzar devers nous ; ce temps en nous , (e,n nous ?) est du temps que nous offrons en holocauste, sur la tables des offrandes ; nous avons ainsi pour nous du temps à offrir, en artttendant mieux ; nous avons à ainsi donner le change, en attendant une mort complète : corps et temps, ou temps et corps, etc ; il s’agit d’un don désinteressé, il s’agit de répondre à l’appel qui est en nous = notre bouche qui crie cette chose, d’un don total ; nous avons une bouche en nous, qui est bouche d’appel, il s’agit pour nous d’une bouche d’appel, il s’agit ici d’une bouche d’appel, qui est en nous, qui est celle qui hurle en  nous, nous avons en nous une bouche d’appel ; nous sommes qui avons en nous une bouche, une bouche ouverte, une plaioe ouverte, qui hurle son mal, qui dit ici sa chose à souffrir et cette bouche en nous , dit la chose d’un devoir mourir : prochainement ; nous l’avons ainsi (en nous) qui est cette (donc) bouche d’appel en nous : gueulante, gueulant sa douleur, sa plaie, son malaise ; il s’agit ennous d’une bouche d’appel, qui hurle en  os veines , circule en nous :  cri de joie et de peine mêlées ; nous sommes ainsi qu i déposons du temps (présents) sur une table à cet effet , et faisons ainsi allégeance, allons ainsi qui faisons sur cette table : déroulons nos victuailles, faidsons don de soi (en partie),  donnons ce que nous pouvons qui nous est cher : le prix compte ; il s’agit de donner le mieux de ce qui est pour nous à nos yeux : en,semble, nous fixons le prix ensemble = la valeur ; nous avbons ainsi cette chose à faire, de fixer le prix, de donner un prix de  valeur ou pas, de donner le mieux, ce qui nous est cher, la vie passée, le temps brûlé, offrande sur table = choses déposées (avec soin = art) pour les siècles des siècles = arret du temps (semblant ?) ; nous y allons, de, de la protection, de la conservation, de la squrveillance ; nous déposons et guettons ; nous avons cette chose de grande valeur, déposé, qui impose : une surveillance assidue, une surveillance sérieuse, une grande surveillance ; nous avons pour nous une grande surveillance, à devoir ainsi offrir aux choses déposées sur table ; nous sommes, comment, des artistes, ainsi disons = faisons, depositions sur table avec un soin particulier = consciemment, sciemment avezc soin ; nous voulons que nous soyons et nous le sommes ; il s’agit ici d’une sorte de volonté, une affiche ; il s’agit ici d’une chose qui est comme une a ffiche : deposons aindsi ou autrement : nos frusqueqs, nos images, nos tréteaux, nos chambres à air, nos grilles, nos chansons, nos perdreaux saignant, nous y allons de cette sorte , qui faisons ainsi allégeance et nous affichons ; il y a ainsi des objets à déposer ici, sur ce carré ou pré carré qui est le lieu parfait ; nous sommes ainsi qui déposons , qui son soulier, qui sa voix, qui son croquis, qui son potage ; il y a à donner, il y a à offrir, il y a à partager, il y a à poser-déposer ; nous sommes, et étant nous allons ainsi qui faisons des pas, de moyenne, de petite, de grande eznjmabeé selon nos ages : petites, ; moyennes ou grandes ; nous sommes qui faisons vibrons, qui allons ainsi et donnons de nous: nous faisons des chose avec nos mains, nous faisons des choses pour une valeur, nous voulons une valeur, nous voulons creer une valeur avec nos mains, la question est celle de lma valeur, du prix de la chose, de la cherté dans tous les sens du terme, nous faisons ainsi pour dsonner le produit de nos façons ; nous faisons avec nos mains, nous faisons des choses avvec nos mains = des objets, des choses à jetert sur tapis de sol, en offrande = choses confectionnées , qui se doivent de nous être chère, et elles le sont : nous y attachopns du prix, nous en sommes fiers, nous sommes fiers de nos productions sortie de nos mains et (chute) tombées, sur (ici) tapis du sol de la terre mère, et ainsi fait deviennent offrandes, deviennent dépots en offrande ; il s’agit de chose ainsi qui se voient tomber d’entre nos mains, il s’agit de choses qui, de  la sorte (sortie) sortent d’ezntre nos mains (menottes) et tombent sur la terre mère, terre ferme et hop : éternité ; nous y allons ainsi tombant des choses: nos foulées ; nous sommes ainsi qui faisons des dons de petite, moyenne ou grande enjambée ; nous sommes ainsi qui faisons cela et allons, nous faisons ces choses ensemble, bnous les faisons, nous y allons, nous faisons et allons ensemble, ici bas, à petite , moyenne ou grande en jambée ; nous donnons de nous ainsi qui allons et faisons ces choses, sur tapis de sol : il s’agit de choses brûlées, il s’agit de choses calcinées ; nous donnons des choses calcinées, nous faisons ainsi et ainsi allons, sur chemein ouvert, devant nous, avec ce cri en nous : ce cri du coeur, cette chose hurlante en nous et qui nous pousse, instamment, à filer doux ainsi, à petite, moyenne uo grande en jambée ; nous sommes ainsi faisant qui déposons nos pieds comme autant de pas en offrande ; nous allons offrant ainsi, et faisons ainsi donation : de pas sur plancher des vaches ; nous allonbs qui faisons ainsi des pas, nous confectionnons des objets entre nos mains, entre nos doigts ; nous confectionnons des choses en tre nos bras, entre nos doigts, nous les faisons, nous faisons des choses que nous déposons (chute) ; une chance ; sur tapis d’accuiel, ouf, et allons ainsi, de saut en saut comme un cabri ; nous déposons, des objets que nous fabriquons = du temps mort ; nous déposons un veau, une vache, un chevreuil, un poulet, une poule, une oie, une pintade, un cochon, une mule, un agneau, une truie, un verrat, un ceval, une jument, un coq, une outre, sur la pierre blanche ; nous avons dépose à faire de la sorte : en sortie de mains  ; nous avons qui faisons ainsi ces choses, de dépose-bête ; il est ainsi que nous sommes de la sorte = de la sortie ; nous sommes ainsi de la sortie des mains de nous qui faisons, qui allons ainsi faisqant : nous tombons et la truie et l’oie etc ; nous avons tout un cheptel ; une basse-cour ; nous sommes qui faisons ainsi sur pierre d’accueiul : une chance, une vraioe aubaine ; il s’agit ici d’une aubaine ; il est ainsi que pour le coup nous sommes sur ce chemin comme sur  une sorte de table stable ; nous sommes sur table stable et là est l’aubaine, une chjance , une chute pour une chance, une chance pour une chute, chute-chance allant de pâir ici, et q<ui erst que : nous sommes poszés sur un terre-plain, et pouvons sautiller à notre guise, ou pas loin ; nous so:mes qui faisons ainsi travaux des champs, ou des choses rustiques et alloo ns ainsi, en faisant ainsi, choses et autres pour une (ici) dépose du temps: nous avpons (ici) du temps en dépots, du temps à mettre là, en terme de dépots à faire, sur stable, sur table tsable ; nous sommes qui ainsi allonds pzar les voies et donnon s ainsi le passé brûlé ; nous donnons en continu ; nous confectionnons des habits, des ustensiles ; nous avons des cxhoses à faire, d’ordre pratique ; nous avons des choses àb faire que devons faire instamment ; nous confectionnons des objets que nous faisons à temps perdu ; nous avons des choses à faire : elles sont légion ; nouds faisons des objets avec nos mains, nous les installons devant nous : il s’agit du temps présent ; ce temps de vie est ce que nous donnons faute de mieuxx (la mort, la notre) ; nous avons cette chance, de pouvoir voir nods  choses recueillies (ensemble) dans le temps du monde ; il s’agit d’une chute ; nous l’avons en nous ; elle nous constitue ; npous sommes du temps ; nous avpons chuté dans le temps et revenons ainsi, avec nos pâs d’enjambées vives, nous sommes enjambeurs, qui filons ainsi (sur la terre ferme) ou filant ; il y a qui est cela que nous sommes ainsi, qyui faisons de la sorte sortie, depûis nous, de choses du temps ; nous y allons ; nous sommes ain si qui faisons et allonbs ainsi, nous sommes ainsi qui faisons et allons de la sorte, vers des vioies futures qui sont, qui nous voient venir, qui sont pour nous comme en destinée ; nous faisons des objets (confectionnons) et les déposons sur le devant de nous = ensemble= face à face, sur tapis d’offrande, nous sopmes ainsi qui déposons sur ce tapis de zone de sustentation : debout ; nous sommes qui faisons ainsi, nous y allons, nous avons des choses faites (par devers nous) à déposer ainsi sur ce tapis de sol, nous allons ainsi qui déposons sur ce tapis de sol, des choses qui sont, qui demeurent ainsi comme mottrrtes , malgré le sang vif qui en sort, par gueule, ou museau ; nous sommes ainsi qui donnons ici des animaux morts en offrande (ils sont en nous, il s»’agit du temps brûlé) ; nous avons en nous des animaux morts, il y a en nous des animaux morts, anima  : ; = anima + anima = animaux, qui pas à pas, ainsi, passent et meurent et saignent en nous pour un tic tac du coeur soutenu ; sommes ainsi : nous sommes ainsi : nous ; et avons ainsi qui est en nous, des choses, que faisons de la sorte, sortir d’entre nos mains, et les laissons tomber (chute) sur tapis terreux, sur sol à cet effet, cloturé, grottr, abri ; nous allons a-à l’intérieur de la grotte,nous entrons dans celle ci, il fdait noir, nous avons des torches pour nous éclairer, nous progressons sur les roches, nous entrons dans une salle humide, il fait frais, les gouttes perlent des rochers, il y fait noir, il fait froid, nous sommes ensemble, nous regardons les parois et trouvons des marquess puis des choses dessinées, il sezmblerait que cela soit des anibmaux chassé, il semblerait qu il y soit dessiné des animaux cxhassés, des cseènes de chasse guerrière, des choses guerrières, il semblaerait que nous ayons affaire à des scènes de chasse, avec armes de chasse, avec piqures dans le coeur des betes, avec lances acérées, qui entrent dans la chair du buffle, du sanglier, il est ainsi que nous voyons (tout cela) de nos yeux d’enfants découvreurs : nous alloons ainsi de découvertes en découvertes, nous sommes des enfants qui trouvons des chose : sur parois ; avons ce besoinb en nous de découverte, car sommes de la sorte : enfants qui cherchont, enfant des recherches ; besoin en nous (en tant qu’enfants) de découvertte, de recherche dans les profondeurs de la terre, de parois rupestres peintes, de peintures animaliè!res, nous avons cela, nous sommes qui cherchons ainsi, grattons pour découvrir et faisons cela, ainsi, entre quatre murs , au fond du gouffrre ou de l’aven, allons cherrchant ainsi ensemble , avec torches et victuailles ; nous y allons, nous descendons, nous allons profond ; nous aimons les grottes comme des enfantsq ; nous aimons les grottes, nous aimons cela, la forme de la grotte et cette chose en elle à découvrir, nous allons ainsi dedans à la recherche : il s’agit d’objet de recherche, il s’agit d’objet à découvrir, nous voulons ainsi aller ensemble de recherche en découverte : nous creusons profond et grattons, nous vouklons cela aller, et faire ainsi cela dans les profondeurs de la terre ; nous y allons, nous voulons et espérons ; nous voulonscette chose, nous regardons et allons profond, nous déposonsz ; nous sommes en dépot, nous sommes des depots de chsose ; nous allons ainsi qui faisons offrande sur tapis ou mur ou sol nu ; nous déposons, ainsi, sur sol nu, certaoines choses (de fait) en offrande et cela est, que nous faisons ainsi vivant, et cherchons à souligner la xchose, sur tapis de sol extérieur, propre, avéré, nettoyé et présentant bien le présent de soi, ; nous sommes qui ainsi essayons diverses méthodes de disposition ; il s’agit à chaque fois de disposition nouvelle, il s’agit de nouvelle disposition à chaque fois, il s’agit à chaque fois de dispositions neuves, de choses déposées de différentes façons et qui devienbnent ainsi installation à ne pl ;us toucher ; n’y touchons plus ; à un moment n’y touchons plus ; il n’y faut plus toucher à un momment : pas touche ; il est important cela de dire ici que cette cxhose, à un moment, cette chose ainsi, se doit de ne plus être remué d’aucune manière, il y a ainsi à un moment un moment ainsi, ou les chose doivent de la sorte ne plus etre du tout touché par qui que ce soit ; il est important ; la cxghose esqt enfin posée et doit etre non-touchée, cela est d’importance : à un moment ; il s’agit d’une chose qui est que nousq devons suivre, copmme quoi il y a une fin ; cvomme quio il y a une cloture : physique (piquets, barbelés autour de l’oeuvre) et technique : stop travail, stop disposition, stop agancement, il est un arret, il le faut = une clotûre dans la façon , et cela est ainsi quil faut arreter le moment où la chose devient ainsi chose à deposer telle quelle et plus aucune toucherie de quioi que ce soit : un ordre ; il s’agit donc ici d’un ordre des chose, d’une ordinnation dans un rang des choses closes pour une dépose, et un ordre de soumission ; il s’agit ici que la chose soit ainsi achevée = morte, il s’agit d’oofrir la mort sur un tapis, et ain si faisons qui de nous (en nous) offrons la mort du temps passé à courir la voioie ; nous aloons ainsi par les chemins et suivons celui qui est le notrte ; nous avons ainsi à faire fort ; nous sommes qui allons ainsi et disons stop = pas, chaque pas comme un stop dit, et cela est que nous faisons ainsi des pas d’(arret , des pas de rebond,  pour une foulée, nous faisopns ainsi ; nous allons ; nous sommes en vie ; nous sommes vivant ; nous ne sommes pas mort ; noius continuons notre bonhomme ()!) de chemin, nous allon s, nous y allons, nous longeons le fleuve, nous gravitons autour des prés, des forêts, njous avons deux jambes pour marcher, nous déposons nos pas ,  n os traces de pas, sur la terre ferme, nous avons ezn nbous une foulttitude de betes mortes ; nous sommes une basse cour, une ménagerie, un cheptel, nous sommes un trpoupeau, nous sommes une meute et une troupe (en nous) ; nous sommes (en nous) comme un cheptel, et nous a llons ainsi filant sur chemin de fortune, nous faisons ainsi faisant sur chemin, allons aindsi, poussons de la sorte la chose et gravitons : nous vivons nous gravitons ; nous ne pouvons autrement, nbous sommes qui ne pouvons autrement, nous allons ainsi, nbous sommes ainsi ; nous y allonsq, nous cherchons ainsi à comprendre, à cerner, à découivrir, à soulever des pièges etc ; il est ainsi cette chose que nous faisons de la sorte allégeance : un art du pardon, des chgoses d’excuse, nous nous excusons, nous nous excusons abondamment et donnons le change en échange, que faire ? que donner ? nous donnons de force, nous sommes en vie ; le don est lié au fait de la vie, nous donnons par devezrsq nous, ces choses mortes en  nous : cheptel ; nous avons en nous présents (offrrandes) à deposer ici pas à pas et cela est cheptel , en nous, sous forme de choses à donnezr , ain si, qui teombent, sur tapis, sur tabkle , tablette, tableau, tablée, etc ; nous y sommes ; nous avons cette chose, que nous sommes attablé pour ainsi ddire ; nous yallonsz ainsi comme attablés et faisons ces choses de lma sorte : chute sur tapis de sol = terre-mère notre ; nous qui faisons, nous qui aloons, sommes ainsi debout sur l’assiette (zone de susqtentation) et courons à perdre haleine ; nous sommes qui courons à perdre haleine et allons ainsi, nous sommes qui faisons ainsi, nous y allons : nous déposons des toiles, des tentures, des objets cerclés d’or et de rubis, des  animaux morts, des bagues, des dsdiamants, du luxe, des crayonnés sur papier de soie, etc ; nous posons ; nous déposons, nous reposons un peu de nous : ce que nous avons de plus cher (luxe du sang de l’animal)  ; nous cherchons le trou de la grotte, nous sommes qui cherchons ensemble le trou de la  grotte, nous aimerions ainsi ensemble faire, trouver, le découvrir, car nous aimons les découvertes, nous sommes des enfants qui aimons les découverttes, nous cherchons cette chose d’une entrée de grotte, nous voulons que cela soit ainsi pour nous : un trou à dé»couvert et une entrée vers les entrailles: nous aimons ; cela est que nous aimons cela ; cherchant ainsi que nous faisons ces choses, de recherche ardente ; nous aimons et trouvons (via cet amour) ; nous sommes ainsi qui gravitons et finissons par découvrir l’entrée et (de fait) le reste à l’avenant ; nousq aimons cela : fouillons, sommesq des fouilleurs, des arpenteurs et des découvreurs ; nous aimons cette chose et nous la faisons de bon coeur ; il y a ain si cette chose que nous faisons , qui est cette chose qui est ici, que nous déposons de nous (d’en nous) le s anima, les animaux moerts, il semble ; il estv  ainsi que nous faisons ainsi des dons de soi, depuis son dedans, et ces dons sont des ames ou animaux qui meurent en n ous, pas à pas (tic-tac) au rythme dee notrze coeur, au rythme de nos pas : d’allants sur chemin ; nous avons ainsi, quyi sont ainsi, des battements de coeur, qui battent ainsi, frappent ainsi, abiment ainsi et tuent ainsi l’animal en  nous : au fur et à mesure, et ainsi soit il de l’animzal donn,é, en offrande, sur latable froide ; il est cet animal brûl»é en nbous, qui est du temps mort : kle nottre, en tant que nous offrons cela , sur ce lieu s’offrande ; il est ainsi, que nous le faisons (de fait) advenir : dononons, donnons, doinnons ; nous donnons, nous nous donnons ; nous n’arretons pas de donner : tic tac du coeur, et cela est aindsi , que ces dons sonbt le temps passé et non point (du tout) la vie en  nous, et nous, nous en excusons de la sorte : le don est aussi kl’excuse, loucherie, rattrappage ; nous avons en nous, ainsi, uun cheptzl (trpooupeau) qui est du temps,  passépar kes flzammes = mort, et cela est que nous offrrons cela : nous nous en libéreons comme d’un souffle  ; animal en nbous, l’anima, l’animal en bnous, l’anuima mal, l’animale, il s’agit ainsi d’une chose qui est comme allée à dépose, et nous le faisons, nous y allons : nous posons, nous mettons, nous installoons, nous pendons, nous décorons, nous agençons pour la bonne cause (un salut) latable d’offra nde ; le salut ici est le coucou (fumée, feu) et le salut de la cxhose en vrai = une éternité convoitée ; nous alloons ain si faisant cette chose, d’un salut à l’adresse ici de celui ou celle qui  ; nous pouvons ainsi faire et le faisons : ce salut qui est, qyui part en fumée, nous allons ; noussommes ainsi qui faisons et le faisons ainsi, qui alklons ; nous posons sur table, nous déposons, nous agençons, décorons l’espace de culte : arrangements, arrangements pour l’éternité, nous cherchons de la décoration, de l’agencement, du décoratif, du joli ici  = gentiment, sérieusement, agencé = a vec un soin pour le coup affiché ; nous sommes ainsi qui affichons le soin que nous mettons à décorer, agencer le lieu des ofrrandes = temps, temps morts agencés ; nous dessinons ainsi et faisons ces choses sur table : il s’agit de la beauté ici des choses agencéesq = façon ; il est ainsi cette façon, il,en est ainsi, nous le voyons, et faisons ; nous sommes ainsi, qui alloons de cette sorte (ou façon) pour une dépose en bonne et due forme, sur une pierre, une table ou un mur ou même un plafond etc ; nous dessinons, nous faisons ainsi, nous agençons, nous faisons preuve de gout, nous avons ce gout affirmé, nous affichons nos gouts, nous mettons nos gouts en avant, nous ne craignons pas de mettre nos gouts en ava bnt, nous n’avons pas peur de les afficher, de les montrer à qui de droit : animaux saignants, fruitsd et autre s victuailles, etc  ; les affichons-affiormons, les déposons certifions approuvons  ; nous faisons cette cxhose d’un depot de prix (du moins à nos yeux : ici et maintenant)  ; nous de»posons ainsi ces choses et les affichons dee la sorte : sorties de nos mains, ces choses se retrouvent ainsi comme récupéreés au vol sur la terre ferme et cxes choses sont : choses du don ; nous affirmons, et nous affichons ; nous donnons ainsi tournure, il en est ainsi ; nous avons cette tournure et la montrons à qui de droit : il s’agit d’une tournure, d’une façon, d’une chose ainsi qui erst cette chose tournée, faite, agencée ou même chantournée, avec volutes, qui est cette chose ezn dépot , de type offrande ou même de type holocauste : nous allons ; il suffit ainsi , que cette chose soit, comme déposée en tanbt qu offrande : animaux ou anima réitéré, nous soufflons, nous sommes des  b uffles, nous allons ainsi à fond de train surv les chemins, ou sur les champs, nous sommes ainsi qui faisons offrande = oeuvre, d’animaux mourants ou mort, et le faisons sur une pierre, sur un caillou plat comme une table, nous faisons cela ainsi, nous donnons de notre vie à chaque «expiration-chute» : animaux, temps comme calcinés, il s’avère et nous en excusons car ne sommes pas morts tout à fait : comp^létude intacte, eh nopn, point encore ; et ainsi nous sommes qui avançons et donnons de nous qyui déposons: nouys avons en nous cette chose, de l’artiste (alorsq) qui donne , chodses et autres (bateleurs, jongleurs) sur tapis de sol, et jongle, nous jonglons ; nousallonqs ainsi qui déposons, nous sommes des artistrsz = qui grave son bois à sa façon toute d»écorative : table d’offrande = autel à agencer au mieux = valeur et prix d’un ernsemble ainsi souteznu ; nous sommles qui donc avançons ain si nos billes travzaillées, art et métiers ; nous sommes qui faisons ainsi des billes ouvragées, et qui les déposonsq ainsi, sur tapis de’offea n de, il s’agit des lors de billes ds’offrandeqs, de belles billes que voilà ; nous les avons ainsi en main et nous les deposons (chute) sur un support propre, pret à accuiellir les dites billes et (ainsi faisant) les valorisons et leur donnons le gout (le prix) de l’eternelle ; il suffit ainsi de faire ainsi, une dépose, sur table appropriée et approprie ; il est ainsi, qu il est préférable d’agir de la sorte : tapis, tapis vole ; nous ainsi faisons et combinons dès lors desq sortes d'agencements, en vue d’une conservation possible pour kl’éternité, nous sommes qui ensemble enviusageons de (pour le coup) lester ainsi, temps passé par les flammes = mort, et ainsi alloons, qui faisons ainsi offrande , de ce temps passé et alloons ainsi vers demain, avec ainsi du temps donné, en offran de, temps et souffle = même chose en temps réel ; nous allons ainsi qui faisons-donno nds, qui alloons -donnons, qui alloons -faisons ; nous donnosns, et ce temps et ces choses d’offrande en sus = animaux morts, pour un holocauste ; nous avons ainsi qui allons (nous) vers demain ; nous sortons de nous et allons vers nous : en quelque sorte (= sortie) ; nous sommes qui faisons des dons, des cxhoses ici sont données, bnous voulonbs ainsi nous recentrter , sur ces dons, ces choses de prix , valeur , à offrir ainsi en tant que cxhoses de la mort, = pour elle ; la mort nous appelle, nous y répondons en dons, en choses, en objets donnés, qui sont autant de chosesq mortes pour donner le change = change ; nous donnons le change comme nous pouvons, nous donnons le change ici comme il se peut que le pouvons, car sommes ainsi que nouds faisons, njous y allons ainsdi, bnous déposons ainsi au fur et à mesure de nos vies, le temps passé, sur la pierre de taille : où est elle , est ce la terre nourricière ? est ce ailleurs : église, temple, lieu d’exposition  , etc ? que vpenser et où placer cela ? ; nous déposons de nous ou de nous-mort à mesure ici que nous allons en vie, nouys faisons cette chose : nous déposons, décorativement, des choses mortes  (de nous) = le temps, sur la terre ferme et allons plus loin , vers une bouche qui nous hèle ; nous sommes ainsi qui faison,s ainsi, bien des chodses en don, sur tapis, choses en dons sur tapis ou table : d»écorons, ornons, faisons en sorte que la chose ait du prix, soit chose de valeur (le plus) car il s’agit d’un pis aller , succédané, d’une tromperie sur lamarchandsise, puisqu il est dit et ezntendu que nous restons en vie dans l’intervalle,  ; iul est ainsi que nous restons en vie et nbe donnons de nous que des choses mortes, mais comme rehaussées pour leur donner comme un semblant de vie qui le fasse ; nous cherchons l’entrée de la grotte, nous allons fissa, vers ladite ouverture, gais commes   des pinsons, nous courons ; nouds nous affichons ainsi qui courons à tracvers les prés, nous courrons ainsi à tra vers les bois ; nous déposons en courant (latrace de nos pas, gardons-la intacte = reliques = objets, au sens la rge, de grande valeur ) ; nous allons ainsi à travers les champs, nous sommes des enfants, qui jouons à trouver une issue dans la terre mère = grotte, aven , gouffre, etc ; nous avons 12 ans, 14 ans, nous avons 20 ans ; nous sommes des enfants , et cherchons ardemment ; nous cherchons l’issue, vers un souterrain, nous cherchons un souterrain, il s’agit ici de souterrain, de choses enfouies et d»’abri où se mettre à l’abri ; nous sommes qui soufflons -buffons, et ce faisant , crachons des buffles, des brebis, des vaches, des  cerfs et des biches : avons animaux (tout plein) en bouche : les crachons sur tapis d’offrande, nous mangeons des animaux, nous crachons (recrachons-les) desq animaux, nous nous excusons, nous disons opardon , et aussi pour les fruits, les légumes, les victuailles de terre mère, les rendons à qui de droit et nous nous excusons d’ainsi tuer des etres de vie, pour notre survie, comment faire ? et du coup : en offrons par devers nous, à qui de droit, comme monnaie d’écxhange ; nous tuons dees betes pour manger (survie) et danbs le lot en conservons certaines  ( de ces bêts) à déposer (pour mieux se fairexpardonner) sur tapis d’oofrande, et brulage et fumée, ainsi de suite ; nous nous repentons, nous sommes meurtris, nous nous  excusons d’ainsi faire sur la terree ferme : chasse et pêche, comment faire, ceuiellette, etc ; et comment  faire ?  ; nousw sommes des qui devons survivfre ici, sur lza terre, et nous devons comme abimer ainsi, et nous devons manger, nous devons ain si faire que devons nous sustenter, nous le devons, nous nous en excusons : offrande, sur table d’offrande ; nous nous excusons, nous avons ainsi en nous excuses à fournir, à déposer ;,, nous faisons ainsi, et nn ous excusons de la sorte : pour ces victuailles, pour ces animaux en nous et hors de nous ; nous avons en nous des animaux et nous avons des animaux dehors, qui broutent, etc ; nous sommes ain si qyui avons ainsi, animaux de ferme ou animaux des prés, animaux sa uvages ou domestiqués ; nous alonnsq ainsi qui donnons ainsi, animaux de la ferme en offra n de : morts ; la mort sur la tavle, la mort sur un e table ornée, ornements de la mort sur table, tablée, cuisson, donation: brûlure, nous faisons, nous allons ainsi, nous marchons, nous avançons de cette sorte de façon qui est un art = une manière de tenir la chose et de (aussi) la lacher ainsi : disposition, sorte de déposition en terme de disposition, de rassemblement de choses (ramassages, ramassis) sur un support et tout cela poour un ornement, une décorartion de table : betes mortes et autres fruits ou légumes, ou chose de prix (à nos yeux) ; nous allons ainsi qui sommes ainsi des etres ainsi qui alloons ; nous avons ainsi qui allons ainsi qui sommes ainsi des etrees de prix ; nous faisons ainsi qui alon s ai n si qui faisons ainsi des choses en don ; nous donnons ainsi qui allons ainsi sur routes ainsi en recherche de voiie ; nous faisons de la sorte qu’allonsde la dsorte vers trou de sortie de grotte ; nouys voul ;ons et nous faisons, nous sommes ainsi que nous disons : l’artiste est celui ou celle qui (pour le coup) agence ses pas, qui bat la mesure de l’agence»ment, de pas sur terre ferme  =  le danseur, l’acrobate, le jongleur, le tailleur de pierre, le montreur d’ours, vers l’offrande en commun sur table des dons = hol:ocauste, fumée, foyer, brûlure des cxhoses en don : voyez la fumée qui s’élève ; nous allonq s, qui disons ainsi et faisons cette chose d’un don, vers une encleave, dans un lieu de choix qui est une table ou un tableau : nous dessinons, nous dessinons l’animal mort offert en holocauste ; nous disons cela, que nous dfessinons cela, nous disons cette chose , que nous dessino,ns cela, nous faisons ainsi que disons, nous disoons ainsi que faisons, et le faisons ainsi que le dessinons sur les parois et sur lkes murds, et sur les tableaux, et sure les tables : partout dessinons cela que nous voyons : animaux sauvages ; nouqs sommes qui les dessinons, les montrons, les mettons à portée de vue, nous les figurons, a fin de bie n se souvenir des chosesq , ainsi , vues dehors ; nous avabnçons ainsi, et allons ainsi à dépose : nous sommes qui, vivant , ainsi vivant, déposons, comme pierres le petit poucet ; nous allons ainswi qui faisons ces choses, de dépots de choses diverses, nous ambitionnons ainsi cette chose, d’aller à dépose de la sorte : objets qui tombent ; nous faisons ainsi qui tombons des choses de nops poches, de nous qui filons et courons sur la terre-ferme, nous y allons, nous faisonsq, nous sommes qui faisons cela, y alloobns, nous sommes ainsi qui faisons ces cxhoses, les faisons sur table nue, blanche, propre, sans g^enes, les faisons ainsi que nous alloon s vers elle ; nous allons vers ellec: la table ; nous allons vers elle c: la tablée: nous alloon s dans la dirextion de cettecpièce nue, pour la présentratation de notre collection : cxhosexet autres, posées à même le sol mais entouéres ici d»’»un cordon de sécxurité, afin de se voir ainsi preotégées , de nos mains sales , de nos mains cracras, qui puent la charogne ; il s’agit aiunsi d’une chose en  bois, imprimée, qui revient, qui est une chose emmagasinnée et qui ressorrt àç un :momebnt ou à un auttre et vient dès lors se déposer, incidemment, sur pareille table d’iooffrandse à disposition ; nous faisons ainsi bout de cxhezmin ensembkle, nous allons eznsemble par les chemins, semmelle de vent, et couurons dee la sorte eznsemble : fuyons, que fuyons-nous ? ;: allons ainsi que le faisons par les chemins ; nous y aloons, nbous soommes artistes saltimbnanques et donnonds de nous (nos choses) en petit comité, sur tabvle d’(offrandeqs, pieds et poings liés le gibier saignant ; njous sommes qui donnons ainsi, le rappelons, sommes ainsi qui sommes des enfants en chasse, nous sommes ainsi qui devons aller, ici, pklus avant en âge et le faisons, et à chaque souffle (expiration) un don ; bnous sommes des enfants qui faisons des dons de choses de prix, sur une table, sur un tableau, sur un tableau noir, sur un tabloïd, etc ; nous sommes qui deposons, en tant qu’enfantsq, des choses de prix, de poids, sur la table, nous y alloons, nous  ne lambinons pas, nous courrons = nous fuyons ; nous avons fait ; nous sommes soulagés, nous cherchons l’issue, nous chercghons issue, nous cxherchons comment sortir ; nous sommes qui avons ainsi des chodses faitesxentre nos mains et asqpirons à kles montrer à qui de droit, sur un socle dédié, ou sur une bouée, ou sur une plabnche, ou sur un tapis de mousse, ou bien : sur un fourré ou un arbre, ou bien : sur une voiture flambant neuve, ou bien : sur du papier fin, pappier cigarette ; il s’agit à chaque fois d’une oeuvre de don pré»cieux ; il est ainsi chaque fois ainsi chose, de type précieux = de valeur = de prix, car l’enjeu est de taille : change ; il qs’agit d’une chose donnée sur table d’offeande, cette cxhose est une chose offerte à notre pklace, et nous espérons qu elle compensera avec ce qu il en est en  ous de la vie battante ou trébuchante ; il s’agit de choses et autres données en échange d’une vie laisseeé ezn cvie, ou comment ? ; nous dobnnons le  change (une éternité ) pour en nous conserver vie de près ; nous sommes qui donnons le change (une oeuvre d’agencement de choses mortes à notreplace) et ainsi faisant espérons, prions ; nous avons a insi que nous donnons ainsi des choses, sur tapis ; ces choses, nous les donnons comme en écxhange d’une vie (la nottre) à conserver par devers soi : donnons, agençons, créeonsq ainsi pareils agencements,n ou pzareilles dispositions sur table ou tableau = pièce d’accueil (ou salle) pour kl(aritste ainsi représenté = la personne à l’origine du dispositif sur table d’offrande, celle ci et nulle a uttre pour le coup ; chacun sa chose ; il suffit des lors d’aller de la sorte et de poursuivre son chemin, nous savons, nous alloons ainsui par les chemins ; nous sommes vivants et nous offrons la mort en offrande = à notreplace ; nous tuons des betes pour notre gouverne (avcons faim) ; nous sommes qui allons ainsi par divers chemins vers un animal à cha sser, nous sommes des chasseurs qui venons déposer le butin de leur chasse, nous sommes ain si qui faisons ces choses dans les champsou dans kles bois, etc ; nous avons entre les mains(entre nos mains) des objets que nous allonbs à déposer, nous avons entre nos bras certaines choses que nous déposons au quotidien , sur une tavvle, pour une offrande, un pardon, etc ; nous sommes qui faisons ainsi des choses sur table : agencement, disposition, ornemaentation, décoration , avec ici  un iquement des choses de prix, un iquement des choses chères, des cxhoses qui nous sont chères ; nous sommes qui faisons ces choses (de déposition, d’o rnementation) ensemble : nous sommes qui fdaisons ces choses ensemblke : nous sommes ensemble, nous allons ensemble et faisons ces choses sur la même table ou pierre de taille : offrande, avec art = façon ; nbotre façon est pour le coup cet art que nous avons de faire offrande = holocauste d’un animal mort, donné brûlké, cuit calciné ; nous sommes qui faisons cezs choses icci, sur la terre ferme, nous faisons : nous fabriquons : nous créons de toutes pièces, nous usinons, etc, des objrts (au se,ns large du terme) que nous déposons, à l’abri de tout vandalisme etc, et cela est ainsi que de ces choses, ainsi façonnées (art) pazr nous-mêmes, ainsi fait que nous faisons, dès lors, de ces pièces, un cadeau d(‘offrande, en tant que nous donnons le change en nbous, à qui de droit qui attend davantage ; faisons l’éternité, nous y allons ; nous sommes a insi qui décidons ainsi de déposer ainsi pareille oeuvre ; nous allons ainsi que déposons ainsi des choses de prix (à nos yeux) pour un sursis ; nous allons, ainsi que nous faidsons, pour déposer choses et autres sur tapis de soin ; nous sommes et allo,ns ensemble déposer, il s’agit d’un ensemble de déposition, il s’agit ici d’un agencement : mobilier, table ainsi agencée, pour un travail de choses à déposer ; nous filons ; nous filons qui déposons ain si filant ; nous avons en nous (par devers n,ous) foultitude de choses, de dépost à faire, de choses à poser ; de dé^po^t à faire : foutitude ; nous sommes qui faisons celza ensembvkle et allons ainsi vers une sorte de dépose en bonne et due forme, et ici la forme est capitale, qui est reconnue en tant que telle : offrande sacrée, sur table sacrée , ds’un agneau ou d’un veau sacré ; njous y allons ensemble et découvrons les choses en don fumantesz, et saignantes: veau, agneau, vache, mouton, bouquetin, brtebis, etc ; nous sommes remplis (en nous ) xd’(animaux ; nous en avons plein, quelques centainesvraisembvlablement ? ; nous azllonq ainsi à dépose, ;, et la pièce est nue qui nous ouvre ses portes : nous voyons les murs propres, les écrins, les cadres, les vitrtines etc  ; les murs de la pièce sont nus, et nous voyons cela et déposons ici et là ; agencement, décoration, installation d’intérieur comme un agencemeznt précis : nous soommmes au travail ; il y a ce travzail à fournir, nous travaillons sur  cette chose ici, d’un agenvcement précis, sur table d(‘ooffrande, de choses et autrtes, sur table de pierre de taille, pour une installation-déposition de choses avouées : tuerie d’animaux comeswtibles ; nous avons ainsi cette chose qui nous guide, en n ous, ce souhait d’aller à dépose déposer ; nous aimons cette chose et la faisons ; nbou s a imons cela et le faisons, et ensembkle le faisons, en petit comité, temps ou périodes données, sur zone délimitée qui est zone de sustentatation : mangeons, car nous avpons faim, prenons à manger, allons-y ; nous a vons des choses (foultitude) en magasin et nous devons ainsi faire : aller vers cette table (cène) d(§offrande aux animaux morts, et demandons la grâce et le pardon pour pareille tuerie ; nous avons ainsi, à disposition , une table (tablée) comme espace sd’agen cement, un espace d'agencement : cube-galerie pour une exposition (pour ainsi dire) pleine ; nous avons devant nous , pour nous, une place nette : le présent, le contempoeain = zone de sustentation commune = ce qui est qui nbous entoure : présent (passé et futur proche inclus) qui est le prsent que nous faisons nbous mêmes avec nos pieds, à nos pieds, il s’agit de nos pîedsq ; le temps présent = nos pieds (les noptresq : à nous), nous ensemble) = pieds qui sont, qui donc sont là qui tronent, marquent: le présent est dans nos pieds (nos jambes)  ; ikl s’agit d’une façon qui est de mettre ; il s’agit xd’une mabnière de mettre sur table : entortillée ? torsadée ? chantournée? ou comment : façons de faire, toutes se valent, il s’agit de façons de faire ain si, sur tabkle d’offrande, don de soi = morts peetites  ; etc ; nous sommes ainsi qyui faisons ainsi ensembkle autour de la table, une zone sur laquelle n ous sommes, et gravitons de cxonserve : un art de deux arts ; il se peut que nous allions a insi que faisons, que nous allions de la sorte par les champs, et ainsi fait nous gravitons pazr les chemins et sur la terre ferme, à la recxgherche d’un e entrée de grotte : nhous sqommes ain si qui donnons de nous (en art de faire) des choses (de nos mains) à déposer sur tapis des prés ; nous allons ainsi, nous donnons ainsi, sur tapis fleuri, sur place n ette, en chalmbre nue, sur un e plaque plane, dans une assiette, quelque chose de propre : mangeons propre ; de la propreté, il suffit, et cela est égakl ; il nous apparait, que nous sommes donc qui devons aller, ainsi, à la recherche d’une grotte, d’un trou (de bouche, en nous, à boucxhezr) qui serait une issue = une sortie, d’entre nos mains , chute, chance, nous tombvons mais nous tomvbons par terre : sur la terre ferme ; le ferme est là qui bloque l’issue de la chute : fermeture ; et ainsi tombant ou tombé nous pouvons nous relever (redresser) et aller par les xchemins : nous avobns des créations par devers nous = actions sur le monde alezntour : nousd pouvons ainsi faire pipi (sur le monde) = action ; nous avons pour nous des choses (en réserve) à montrer , pas seulement des déjections lmais ces choses de bouche : ouf de sortie de nous, qui sont à déposer sur pierre froide, pour offrande-change ; l’avons ainsi décidé ; nous avons décidé cette chose, de faire ai n si une chose d’une place nette, entre 4 murs ; nous déposons cette gerbe, nbous déposons ces chauusseures, nous déposons un peu (un pot ?) de peiuntrure, nous déposons des sacs en meatière plastique, ainsi de suite ; il est ainsi que nous sommes munis de choses, en ous, à pouvoir amener en dépose, à dépose ainsi , choses de la vie courante, choses ainsi de vie courante, à devoir (pouvioor) déposer ainsi, sur tapis de sol, à même la table , sans nappe, ou avec nappe = propre ; nous ambitionnons pour du propre, nom propre, propreté ; nous y allons tout droit, nous sommes ; nous faisons et cherchons ainsi, noussommes qui cherchons ai nsi et allons pour nous : ici et là , à dépose à chaque pas, nous sommes des qui alons l:à et ici à chaque pas, sauts de cabri, sauts de puce, faisons ainsi : nous allons ; nous sommes qui ainsi fdaisons l ;es choses et allons vers des lendemains, et ceux là sont là qui attendent, apres nos sauts et nos enjambeeés de petit ou de mo yen éccart, ou de grand écart, il suffit ; nous y alloons ; il suffit d’allerr, il est important d’uy aller, d’aller, nous allonsq, nous fgaisons, il est capital : nous sommes qui faisons, nous allons, nous sommes, nous sommes qui allons ainsi et le faisons et que faisons-nous ? l’aumone, la manche ; nous faisons ainsi que nous donnons, pour don en retour, une prière, nous faisons que nous avons poour nous retour ou renvoi d’acesnseur , en cette chose d’un retour sur soi d’un sursaut de vie = tic et tac en continu, de par la prière et le don d’offrande : on y va ; il s’a-git ainsi d’une chose offerte comme une prière = maintenez la chose, un maintien de chose en état, une prière pour un maintien, il s’agit dè!s lors de cette chose d’un maintiezn, d’une prière déposé comme pour donner le change : (je) te donne un peu de ces choses, (je) recupère en change un peu ; ainsi faisant  ; nous donnons, nous sommes donateures ou donneurs et donneuses, nous déposons = nous donnons ; nous nous appliquons dans notre  don , et cette 

applicartiuon (art) est une mabnière = chantournée, ou torsadée , etc, qui signe la chose, comme quoi il y a quelqu un (ici) qui préside, qui est comme président de cette chose , en dépot de soi sur table nue ; nous y allons de cette sorte que nous présidons la chose ; nous allons ainsi présidant et déposons ainsi nos objets d’(offrande ; le culte ici est là pour nous comme un renvoi ; il s’agit de faire ainsi offrande, pour renvoi, pour envoi et retour d’envoi, crédibilité, quoique miensonges ? ; nous sommes, nous faisons, nous avons, nous dictons, nous essayons, nbous cherchons, nous ambitionnons, nous déroulons, nous allon s ensemble par les chemins, zone commune de sustentatio,n, petit comité, contemporaneité des époques, nous allons fissa, nous développons, agençons, décorons la table d(oofrande, décorons la pièce nue, salissons, déroulons tapis, sommes qui avons ainsi la cxhance de pouvoir ainsi,  tomber sur nos pattes = terre ferme  ; fermons et ouvrons : la bouche du temps en  nous  ; sommes qui pleurons dès lma n,aissance, chezrchons une issue ; nous allonqs ainsi qu il sied  vers une issue de bouche et faisons mine de n’en rien savoir, nous y alloons : nous pleurons, nous cherchons l’entrée de la grotte, nous trouvons une ouverture dans la terre mère et nous nous faufilons par (ou en) cette ouverture, nous  nous faufilons fissa et glissons ainsi vers des salles sombres, des cavités, des trous de roche ; nous sommes des enfants qui ensemble nous faufilons, les mains pleines de choses à poser ici ou là au passage, nous avons ainsi pour nous des choses (d’offrandes) à donner et pour cela nous cherchons le lieu, il est ce lieu de ca vité, il s’agit d’un cube, il s’agit d’une trouée dans la roche, il s’agit d’un trou en tant que cavité nue, claire, ouverte, un trou dans une roche nue, il s’agit d’un mur de paroi nue, sur laquelle dessiner des buffles, des antilopes, des chevreuils, des biches, des taureuax, des gnous, des cochons, des chevaux, des oiseaux, des sangliers, des bouquetins, des renards etc ; pour une sorte de vision globale des temps brûlés ;

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27/02/2020

l’oeil ne dort pas, l’oeil est ouvert, on voit l’oeuvre sur son socle : une chose mise en avant, une chose approprie mise sur un devant : le nôtre ; on voit ceete chose qui est ici posée devant soi, dans un écrin : tout cela au propre et séparé ; la séparation est primordiale et il en va de la séparation comme de la trace ici ou là d’un pied (une empreinte) sur la terre ferme ; il en va ainsi de l’objet (au sens large) présenté séparé , dans un écrin sinon (du moins) propre, cet objet , il en va de lui comme de la trace (sur le sol) de pas d’enjambée = large, car : les pas ne sont pas des pas de fourmis, les pas ne sont pas comme pouvant couvrir d’un coup d’un seul la surface entière de la terre, les pas sont des pas d’enjambées, de foulée, de sauts, ou de sautillements : cloche pied ou autrement mais il en va des pas (et des oeuvres dans le cube) comme de pas squr la terre ferme (empreintes ou traces ) = séparées ; tout cela se rejoint dans la séparation ; il en va ain si qu il s’agit d’une séparation d’avec un univers autour, ou d’un monde vu en entier ; il s’agit dès lors de traces parcellaires, isolées (ilots) qui sont au milieu, qui trone, qui sont donc à part, vcoupés et protégés par des entours qui en font des objets ou sujets de culte (d’une certaine manière) dans la mesure où il est (quasi) interdit (à chaque fois ou presque) d ‘uy poser (sans autrorisation) la main dessus, sous peine d’être enguirlandé, et aussi acvec ce risque d’abimer la chose en question ; il est ainsi que nnous avons adffaire à un objet (au sens large) couvé-choyé comme un nouveau-né, et qu il est préférable de ne pas toucher pour ne pas le suoiller de ses papattes crades ou ainsi de suite = nouveaun é à la peau douce, propre comme tout (sou neuf), et qu on risquerait de blesser ; nous voyons ce pas (trace) sur la terre ferme = séparé de cet autre pas du même, puis nous avons, cette chose dans cette pièce : protégée, isolée et mise en aveant = devant nous, comme ondirait peut-être cette même chose, d’une trace, sur un chemein, une empreinte de quelquun ; noud disons une empreinte ; il s’agit ici d’une empreinte, ou trace de pas, d’une personne ou d’un animal, et cette trace est isolée d»une autree trace, du même, à quelques encablures (centimètres) et cela est un peu (beaucoup) la même chose dans la galerie (ou le musée) qui isole et sépare des choses de-u reste du monde = il y a le monde, et à l’intérieur de celui ci il y a cet objet entouré de précautionds, isolé, et mis comme en quarantaine, comme on le ferait d’un pestiféré ; il s’agit d’un objet déplacé pour ainsi dire, ou bien isolé, ou mis en quarantaine, ou bien protégé comme une relique dans son reliquaire, il s’agit d’une trace de pas, seule, à part, propre, dans le sens de bien dessinée, dans le sens de : entière, complète, non abîmée, non touchée par ailleurs, non tripotée, non détruite, ni par le vent ni par la pluie, ni par le passage par dessus de quelqu un d’autre : elle est pour ainsi dire dans son jus de base, elle est propre, dans le sens ici où elle n’a pas été souillée par quoi que ce soit, et c’est ainsi que cette trace doit etre de la sorte (protection) respectée et mise en comme on dirait quarantaine : on devrait voiir ainsi, cette trace, comme trace à ne pas abîmer = sacrée = conservons-la intacte : voilà ce qu il en est ; il s’agit à chaque fois d’un quelque chose à conbserver intact : non détérioré de préférence, et de ce fait comme sacré, oui, car l’idée et la tendance sont de ne pas abimer ladite chose de naissance, la au mieux conserver en son état premier, nartif, et complet: nousd allons ainsi qui aimons cela : sacrer ou consacrer = conserver au mieux, entier, complet, la trace marquée , sur une terre ferme, par un homme de passage : pas puis pas à quelques centimètres d’encablure ; il s’agit ici dès lors de traces de pas isolées et consacrees-protégées, elles bénéficient ‘une police de survaillance : barbelés, pourtours, cordon et ainsi personne (a priori) ne pourra a bimer la dite empreinte et ai,nbsi nous pourrons en joiur (la regarder) pour une durée bien longue, qui tendrait à l’infini des siecles des siecles, pour toujours pour ainsi dire = pour l’éternité ; nous sommes devant la trace, elle est de fait entourée d’un cordon de policiers qui veillent sur elle, il est interdit de la toucher, la chose est protégée ici et sacrée là mais il s’agit de la même chose  ; nous sommes ainsi qui voyons, que les traces sur la terre (des pas de l(‘homme volant, ou approchant l’homme volant) , traces (celles ci) sont : comme des pas qui valent, traces de pas qui touchant terre valent = ont valeur ; il y a cette chose , que les traces de l’homme (non-rampant), qui sont traces de conta ct (parcellaires), ont valeur, en ce que chaque ici contact avec la terre ferme a valeur, ou dit autrement : chaque contact de l’homme avec la terre (traces de pas) a valeur sacrée ; il semblerait ainsi que nous ayons affaire à des choses sacrées, protégées, consacrées et mises à part par mesure de protection (voir e d’hygiène)  ; il semblreait qu’ainsi nous puissoions de fait nous rendre compte de cette chose, qu il y a des traces sur un sol, que ces traces sont à conserver, surtout ne pas y repasser dessus : voilà la chose ; il est important, ici, de ne pas repasser sur cette trace, ou disons qu il est préférable , de ne pas repasser sur cette trace et pour le coup de la garder intacte pour l’etude, pour un retour, et aussi pour une mise sous tutelle ici comme éternelle, de par les autorités qui e-n décident ; qui savent ; nous disons qui en on t décidé ainsi, du fait il semblerait de leur position privilégiée de regardeurs de traces, etc ; nous voyons qui l est ainsi que nous devons faire : ne pas repasser deux fois au même endroit, et ce, afin de ne pas souiller la trace (empreint e au sol) ; il est mieux de faire de la sorte, il est préférable d’agir ainsi, il est ainsi mieux et préférable d’ainsi ne pas = repasser sur ladite trace au xsol, et de la protéger comme un enfant naissant, un enfant sorti de loeuf, un petit d’homme tout nouveau tout beau ;  nous disons que cela est ainsi , qu il y a cette chose au sol : ne l’abimes pas, ah ne l’abimes pas, s’il te plait, n’y touche pas, pas touche , ne pas toucher ; il est préfrérable de ne pas toucher la chose , cette marque au sol, conserve la, sois respectueux, gardons c ela intact pour les siècles des siècles, et qu en est il des lors de ce souci (ici et là) de conservatiobn à tout crin ; nous disons à tout crin  , mais il s’agit de choses (ici et là ) en particulier, ou choses -élues oen particulier parmi d’autres (on ne saurait choisr) ; élire le monde en entier : où le mettre ? ; il s’agit ici de choses en pazrticulier qui se voiient élues et protégées ; et non le tout ? ; comment pourrions nous ? ; comment pourrions nous isoler le monde du monde et  le monde isolé l’inclure en  galerie, qui des lors ferait aussi partie du monde inclus, alors comment ? ; nous isolons ici ou là la «jolie» (c’est à dire intacte) trace au sol, elle est pleine = complète et pure = non touchée (abîmée) ; nous découpons autour quand nous le pouvons, nous prenons sans détériorer, nous prenopns par devers nous et déposons, au propre, à l’abri, dans un reliquaire ; nous disons un reliquaire, et la chgose peut ici naviguer des lors et voyager son petit bonhomme de chemin d(objets sacré ou sacralisé, et pourquoi ? ; parce quil s’agit d’une emprteinte intacte, d’une empreinte  = d’un contact avec la terre mère ; nous avons un homme volant, qui fait des enjambées, un homme quasi volant qui va ainsi de pas en pas, en enjambée et qui de la sorte laisse derrière lui, ici et lmà , les traces isolées et ponctuelles de son passage : pointdss ; nous voyons l’ensemble de ces points qui sont ainsi des traces d’un passage en vie, d’un homme ici : ces traces (ici) sont commes des choses mortes, du temps de passage mort : un passé, un passé par des flammes et qui a brûlé (de ce fait) la plante du pied (de cet homme qui passe) ; nous avons un homme qui passe, qui ici puis là , à pas cadencés, laisse les traces (sur la terre meuble) de son passage : il s’agit de choses mortes, mais intactes, ne les souillons pas, essayons de les protéger, de les conserver, de garder un peu de cette vie passée (morte) , de garder traces de cette vie qui est passée ici : la vie est passée ici (vie sacrée ?)  ; la vie ici est passée et a laissé des traces de son passage : folie ; nous voyons ici qu’un homme est passé (sauts, enjambées) qui a touiché la terre (contact) et a de la sorte marqué celle ci de son empreinte de valeur ; de valeur qui plus est car intacte (la trace) ; il s’agit d’éternité, il s’agit de souillure ; il s’agit d’éternité, il s’agit de choses resteés (conservées) intactes ; il n’a pas plu sur la trace au sol, il n’a pas neigé sur la trace, le vent n’a pas souffdlé dessus, aucun autre animal ou etre quelconque n’a souillé d’un noiuveau passage la trace ainsi repérée et protégée, et dès lors protégée, aucun autre homme, personne, personne n’y est repassé et du coup la trace est nette , magnifique du fait qu elle est ain si nette = intacte  ; la beauté ici tient à son caractère de choses intacte, complète, non souillée, non détruite, et s’il en manque un bout ou un morceau alors : que le restant pareillement reste ou restât non souillé, propre, impec, juste dessiné coome ci devant dsans le temps de son apparution, ou de sa conception (fabrication , naissance)  ; nous avons devant nous = à nos pieds, la trace intacte (= belle) de cette trace d’un pied d’homme ou de femme, ainsi passée par là, ainsi protégée la trace, le chose, la marque, pour des siècles des siévcles ; nous avbons ainsi à prptéger les traces : nous aimons ainsi protéger intactes des traces ; nous veillons à conserver intactes des traces de pas (sauts et contacts parcellaires)  ; nous aimons cette chose, de conserver, de garder, de contenir, de prendre en considération et conserver par devers soi les traces du passage humain sur un sol meuble : ces formes ; nous aimons les formes, nous voulons des formes, nous adorons, nbous chérissons, nous avons besoin de formes devant nous = à nos pieds, notre devant, nbotre devanture, cet espace devant nous, qui est espace étranger et qui est espace personnel de base de sustentation ; nous avons besoin de formes = de brulures devant nous (feux)  ; nous avons besoin de formes, de choses à toucher : à ne pas toucher ; nous avons ce besoin d’un socle devant, d’un écrin devant, d’un endroit pour la conservationb devant, sous nos yeux = à nos pioeds = devant nous = futur proche ; d’objets (au sens large) posés -déposés sur le devant de nous, qui sommes ici tournés dans le sens de la cxhose exposée, nous la regardons, nous voulons des formes, nous voulons voir, nous voulons cela, nous avons  ce bsesoin, nous sommes friands, nous voulons ces choses posées, comme sacralisées, comme sacréesn, nous voulons de ces choses-formes devant nous les regharder, ne pas les toucher, tourner autour et ne pas les abimer, nous avons ce besoiin de formes ; nous sommes friands, nous avons (ici ) une fringale ; nos yeux nos etres ; nous voulons de cette chose devant, ces formees de futru proche ; nous voulons donner ainsi figure à ce futur proche, nous voulons ainsi nous placer ainsi comme cherchant l’image exacte de ce futru proche qui est (serait) le notre  ; nous cherchons ainsi l’entrée de la grotte, nous essayons ainsi de faire cette chose, cette chose en faire une chose qui convienne , ou bien cette chose devant soi, cet objet à ne pas toucher, ou ce montage, bref cette image devant soi(en tout = uune image) qu elle soit celle que nous recherchons comme (en tant que) entrée de grotte, image pour un futur proche, image du présent = déposé a ux pieds, à nos pieds (cet espace partagé) ; nous cherchons l’image, une image ; nous cherchons une image, l’image ; nous voulons ainsi une image = des formes devant, devant = ce futur de proximité : devant dans le temps ; il y a cet espace (white cube) où nous voyons distinctement image déposée, soit des choses (formes) formant une image pour soi sur son devant de vie (esopace et temps) = bulle ; nous avons pour nous cette image devant nous et nous voyons, cela, de cet oeil que nous avons sur ce côté-ci de la tête (et non derrière)  ; njous voyons l’image, nous avons cette içmage devant, une imadge devant, et quelle est cette image, quelles sont nos attentes encvers cette image ? ; celle de la mort ? ; une réponse ? ; nous voyons ainsi image debvant nous, sous nos yeux et à nos pieds, nous voyons ainsi image devant soi qui est images de formes diverse, il s’agit de formes, il y a des formes ; nous sommes ainsi sous cette chose d’une ribambelle de formes exposzées, au fil des années, des litanies, fdes multiytudes, des monceaux de formes devant, de formes-devant, qui nous sont montrées en tant qu image du devant de soi, d’un présent dépossé aux pieds, cadeau princier, holocauste, donnéess de base pour une excursion dans un monde flou : celui de la fumée qui monte (toujours) vers le ciel haut ; nous voyons des chose ici qui vont là ; nous voyons des choses là qui vont ici ; nous sommes devant ce feu, devant cette plaie, cette brûlure, cette inflammation, cette douleur, cette valeur, ces pieds ; nous sommes devant des traces d’homme ; ou derrière ? ; nous avons devant nous traces d’homme, imadge, forme, brulure de la terre meuble, marqueage au fer ; nous sommes ainsi, qui voyons sur le devant ici du mobile humain (le notre) des marques au sol, protégées, conservées, et qui nous interpellent = qui nous interpellent en cela que nous sommes nous mêmes comme en attente, devant ainsi pareille chose déployée (image) sous nos yeiux et à nos pieds (espace ou surface de sustentation)  ; nous voyons-voulons, cela est ; nous voulons-voyons, cela est également ; nous avpns ainsi pour nous image (à ne pas toucher : une image) et allons ainsi en son sein ; nous avons cette image, il s’agit de formes diverse, il s’agit d’un ensemble , d’un tout-compris qui se présente à nous qui sommes debout, et qui regardons ; nous sommes debout, nous regardons, il s’agit d’un ensemble de formes, de choses diverse, l’ensemble en tant que tout, devant nous, qui sommes ainsi c-omme pris à partie, ou comme faisant partie de l’ensemble, comme (en tant que) élément constitutifs de l oeuvre, peut-être, comme faisant partie de l oeuvre, qui sait ; nous sommes dedans ; noyus voyons l’image, nous sopmmes dans l’image, je suis fdans l’image, nous allons ainsi , qui faisons partie de cette chose, nous allons ainsi, qui faisons partie de ce montage , de cette chose , de ce montage dans lequel nous allons ainsi mais en passant entre les gouttes de préférence, car la chgose est ainsi faite que : nous ne devons pas toucher les choses (formes) de l’image, ou pas trop, ou plutot nous ne pôuvons pâs jusqu’à temps que nous nous n’e n soyons autorisé ; nous ne pouvons pas toucher les choses jusqu’à telmps que nous le puissions , par auortisation donné (de type policieré)  ; une auoristation peut, une auorisation se peut ; il est possible que on puisse ainsi nous donner une autorisation , comme quyoi nous pouvons touchger, comme quoi il nous est possible de toucher les choses ainsi exposées, il est possible que : nous puissions, par autorisation (permission, comme à l’école ou à l’armée) donnée par qui de droit : les autorités, l’artiste, le policier, la maitresse ou le maitree d’école , ainsi de suite ; il s’agit d’un passe-droit offert, mais qui dit offert dit , mais qui dit offert dit comlme faisant partie de l oeuvre , ce passe-droit, comme étant un élémént (de fait) contenu dans l’oeuvre, etc: comme il en est du sol sur lequel nous marchons (toucherie, contact) losqu’aindsi nous allons , déambulant), au sein de la galerie ou de la salle du musée d’art contemporain ; nous faisons ainsi que nous marchons (souillons) le sol du musée, en quelque sorte, et nous le savons ; nous sommes élémentr de saleté, face à l’ oeuvre, potentiellement souillon ou souillable, ou comment ? ; nous sommes comme l’élémént sale qui entre et potentiellement peut etre amené à tacher souiller, salir enlaidir kles choses montrées ; elnlaidir au sens de massacrer, ou d’abimer la tra ce pure (intacte) à même le sol (de cette empreinte d’homme passé (ou de passage)); nous sommes (visiteurs) éléments de possible souillerie ; nous sommes (visiteurs) éléménts potentiellement dangereux pour l’oeuvre, il se peut que nous fassions preuve de légèreté, voire davantage, et venions à abimer, à dessiein ouu malencontreusement, de nos mains sales par exemple, l’oeuvre exposé, la chose d’image, cette cghose dans laquelle nous nous inserrons mais ici comme élémeznt rapporté impropre et potentiellement nocif ; nous pouvons ainsi nous rendre compte de cette chose : il y a là un ensemble (image)  à protéger, nous sommes les témoins d’une image , image à conserver intacte ; nous sommes comme pris à témoin d’une image à conserver intacte, ; nous sommes ainsi comme pris à témoin d’une image entière, protégée, intacte, à conserver, à ne pas abimer, et si nous sommes autorisés à l’abimer , alors l’autorisation a valeur d’ oeuvre, ou d oeuvre de valeur, il s’agit de ceci ; il s’agit d’une cghose que nous devons faire, que nous devons voir et nous le voyons ; il y a une image et cette image est cette chose, que nous voyons et qui est à ne pas toucher, qu il est capuital (le Capital) de ne pas abimer avec nos mains sales de visiteurs : nous sommes ici dans le temple de Monsieur Propre ; il s’agit pazrfois de saletés , mais présentées au sein du temple de Monsieur Priopre, cela est ; il est ainsi, nous voyons, qu il s’agit de cette chose, qui est que nous sommes comme invités à ne pas salir l’ensemble, de nos vies souillonnes, nous sommes ainsi invité à ne pas enlaidir au sens de détériorer quelque chose, une  oeuvre qui est jusqu’alors intacte = complète en soi : un tout ; nous avons ce tout devant nous, il est ce qu il est et se propose ainsi de combler un trou, un trou chez nous, qui sommes en demande ; y a t il demande ? ; nous sommes qui allons à la recherche de formes-devant ; ces formes-devant sont image, constituent une image, une image se forme là, devant nous qui nous tenoons droit, face à face ; nous avons cela au devant pour nous, une image, et celle ci est telle qu elle se représente, ou se présente (à nos yeux) comme l’image d’un tout offert, un tout en tant qu il s’agit du présent direct, de ce futur proche sus mentionné ; il s’agit d’un présent qui est ainsi dséroulé, ou déployé sous nos yeux, cvomme dans la vie, mais ici choisi, nettoyé, protégé, consdtitué de telle ou telle manière, il s’agit d’une manière de présent, un caderau posé à même le sol, une chose déposée là à dessein, et qui représente (image) une image ; qyui est image, image d’un présent possible, isolé et nettoyé en son pourtour ; un présent possible pour l’éternité, une chose du présent possible : pour l’éternuité des sièckles ; nous voyons ainsi la chose icvi, comme ce présent qui est, cette chose en soi déployée qui est, et qui est image complète, intacte, pleine, un tout-monde ici-bas, soit cette chose en reliquaire, cette chose déployée sous cloche ; nous voyons ainsi qu il s’agit (ivci) de parois, de peintures, de concrétions et nous allons de concrétions en concrétions et de peintures sur parois en pientures sur parois ; nous faisons ainsi, nous allons ain si, nous cherchons ainsi : nous voyons les choses en tournant autour, nous sommes des qui voyons, et qui tournons ; nous sommes qui allons ainsi autour des choses contenues, nous avons ainsi ici des choses à voir, à appréhender ; nous regartdons, nous touchons des yeux, nous sommes de sales morveux aux mains souillées, nous ne sommes pas des gens propres, nous puons la crasse et la crasse nous suit à la trace, des merdeux et des peignes-culs, en regard de l oeuvre, ainsi présentée, dans son écrin de choix, blancheur nacrée et tout à lx’avenant ; nous sommes des saligaugds, comme peut etre l’ oeuvre elle-même d’ailleurs, l oeuvre séparé de  sa séparration ; il s’agit d’une chose qui serait là, comme une chose de choix, mais qui serai t tout aussi sale et merdeuse que nouys mêmes, visiteurs et visiteueses, or il s’avère que la chose ici ainsi prpotégée, quoique tout aussi merdeuse que nous pouvons etre, il s’av ère ainsi, que voilà, nous la voyons d’un oeil de deux yeux, car la xchose est isolée, elle est prise à part et montée au pinacle ou seulement haussé par valorisation et sa cralisalisation ; nous sommes ainsi séparée d’elle, et cependant l’imagfe est là qui est image se supertposant à d’autrees images, à des images rencontrées ailleurs, hors de cette salle, des images du monde alentour, du monde profane, insatisfaisant (?) et qui est c e monde dans lequle nous gravirtons au joiur le jouir, nous avons cette image quyi vient pour nous comme une redistribyution des cartes : il s’agit de cela ; une redistribution des cartes du monde, et ce nouveau jeu, devant nous, cette nouvelle donne, cette nouvelle donne de force, est ainsi qu elle vient s oofrir en terme d’image donnée, elle s’oofre en cette chose d’une image : une image = un bon point, une chgose est ainsi donnée comme image, comme image possible du présent, du temps présent offert en offrande, une iumage de ce prsént = ce devant de soi, cett espace de sustentation , etc ; cette image est image possible du présent en tant qu il s’agit d’une zone de sustentation dans le cours du monde ; nous disons : cette chose (image) est chose qui vient à se montrer, à se placer devant, à se glisser dans cette zone de sustentatation qui est la sphère de nbotre futur ou futur proche : là ; nous allon s ainsi comme à la rencontre d’une image d’un présent quyi, devant nous, nous donne son jeu, nous montre son jeu (= donne) en tant qu il s’agit d’un futur (proche) possibkle : une possibilité de formes pour commbler nos trous, quant à nos désirs de formes ; nous allons qui voulons ainsi : nous sommes friands sinon preneurs ; nous allons ainsi qui cxherchons, nous ouvrons la porte, nouys regardons, nous voulons des formes, nous voulons tyrouver, nous alloons à la chasse, la chasse est là, dans cette recherche d’imafges, de formes ; nous ambitionnons ainsi de trouver des formes dessinées, des choses sur parois, des choses qui seraient ainsi, dessinées, sur parois, sur parois de grotte ; nous allons ainsi à la recherche (en cxhasse) de gibiers , de formes diverses, d’images à combler , à cvombler nos trous, à cvombler nos trous des yeux ; nous voulons et décidons ainsi d’entrer dans tel espace propre et aux muurs blanchis , en quête d’image à superposer à celles que nous connaissons : formes, choses, arabesques ou comment, sinuosités, fa brications artisanales, jeté de cimenbt, coulures divers, saletés sur piéce, etc ; nous voulons, nous aspirons car ces images que nous recherchons nous en sommes friands au sens ou dans le sens où notre bouche a faim de ces images, notre bouche, notre corps entier ; nous avons faim de ces images, il s’agit de faim, nous vouylons, il s’agit de dbesoin, nous avons ce besoin d’images, il s’agit d’un besoin ; nous sommes da ns le besoin- ; nous avons un grand besoin d’images, nous avons ce grand besoin en nous d’images, il s’agit en nous d’un besiouin immense d’images, il s’agit pour nous d’un besoin considérable d’images ; li s»’afgit pour nous d’un besoin qui se fait jour, il est en nous, nous l’avons en nous, au dedans de nous, et il s’agit de cette chose, nous voulons, nous sommes cette volonté, nous chgerchgons, nous avons faim, nous partons en quête, il y a ce besoin en nous d’une chose sur notre devant (une image au sens large) qui puisse (sans qu on la touche : image) nous donner de quoi nous combler , à savoir : une chose de poids, une choses qui puisse peser, qui puisse valoir, qui puiissse avoir un pesant en elle qui puisse le faire pour nous, en terme de chose qui comble, qui donne, qui offre, l’image d’u n plus , l’image d’un quelque chose de valorisé, l’image d’un quelque cghose de valorisé au plus ; il s’agit de la recherche d’une forme-image, ou image-forme qui (à travers le jeu de ses formes) puisse ainsi nous donner un semblant = une entrée, une solution à cette entrée que nous cherchons ; nous voulons ainsi faire que recherchoins des choses ici, à savoir au sein de cette galerie = pièce-temple pour une donne ; il s’agit ici d’une pièce ou salle d’exposition (de tapis de sol) pour une vente ou pas, pour un échange de bons procédés en tout cas, nous gravitons : de pièces en pièces ; nous voyons, nous sommes qui voyons, nous allons d’approche en approche ; il suffit de cela faire , de ne pas toucher lers pièces, il suffit cela de faire : xd’aaller ainsi, d’une pièce l’autre, et de se contenter de regarder = faire ainsi aumone ; il se peut ainsi que nousfassions cela pour ça ; il se peut que vnous fassions cette chose pour ce»la ou bien pour ça ; n,ousq allonsvers l’intériuer de cette grotte, nous progressons à petits pas, nous sommes timides, il s’agit d’un temple ; nous ne touchons rien et sommes tout intimidés, pouvons nous toucher ? non, il nbous est interdit de toucher ; nous allons de cette fdaçon à l’intériuer dudit tremple et agissons de cette sorte que faisons ainsi des choses ; nous alloons ainsi que nous faisons, à pas comptés, timidemaent, doucement, sans faire de bruit, silencieusement-religieusement, lentement, à petits pas , et regardons et ne touchons rien (de l’installation)  ; que doit on penser ? qaue voit on ? q’uen est il de cet ensemble = de cette image sous nos yeux, sinon qu il en est ainsi : qu il s’agit d’une image possible d’un présent réel, sous nos yeux , en tant qu il est cprésent-offrande au monde : chose-forme offerte en don comme une donne (coupe au jeu) ; nous allons qui ainsi déambulons dans la grotte, nous commençons à nous décontracter, nous découvrons des images, il s’aghit de pieintures rupestres : millénaires ; nous sommes ébahis ; nous disons : ouh ; nous disons des choses puériles, nous aimons les choses puéeriles, nous alons au fin fo nd de la grotte, nous aimons cela, d’aller au fin fond ; nous a vons cette eznvie en nous de choses ainsi qui puisse nous faire pklaisir, comme de trouver des écritures, des marques, des traces sur un sol ou sur des murs dans une grotte ; nous sommes puérils car nous sommes des enfants ; nous sommes qui abvons ainsi des mots d’(enfants et nous regardons les images ; ces images viennent s’imprimer ;  elles sont qu ‘elles viennent s’imprimer sur nous, sur nos yeux, elles s’impriment en notre esprit, elles sont images qui viennent ainsi apporter des formes en nous pour une alimentation en formes en esprit, il, s’agit aindsi d’une réponse ; nous imprimons, nous avbons en nous ces choses imprimées qui viennent se surajouter à d’autres choses imprimées en nous au préalable : il s’agit de formes, de sezrpents ; nous avons cette chose en nous, d’un comblement à satisfaire = serpents de formes ; nous voulons ; nous sommes qui voulo ns des serpentins, des formes serpentines exaxctement ; nous voulons ainsi , que se grave en nous, ; des formes diverse, des diversités de formes = serpentin de formes (un défilé, une parade) et ainsi répondre )à notre envie ou faim de formes en nbous ; nous aimons ces chgoses des formes et les aimons ainsi qu elles se logeznt ici en nous ; nous avons ces choses en nous logées et que nous aimons : nous voyons, nous découvrons, nous voulons des images : images, images, images ; et ainsi faisons qui azllons ain,si, d’image en imagee = de présents offerts en présents offerts, = des devant-de-soi pour une chose d’un désir de ciel ; nous faisons ainsi : image d’un, panorama, d’unb ensemble, et le prenons pour tel en notre sein ; en nous nous prenons, et allons ainsi en quête de cxhoses murales de type reliefs ou bas reliefs, ou bien à-plats, peu importe : devant soi ; ce devant de soi est la cxhose à prendre en compte en premier lieu et a pour nous une importance capitale , car il s’agit de ce que nous vivons ; nous déambulons aibnsi dans un monde et des images viennent nous remplir ; nous les appelons, nous les subissons et du même coup nous en appelons de nouvelles, de type  nouveautés, de types neuveutés ; nous sommes qui cherchons ainsi, formes (feferrpentins) , qu i puisse nous donner en nous comme un fil à retordre ^pour la jourenée, un fil comme à retordre pour les jhours passész à vivre le monde alentour, nous avons ce fil à retordre (en nous) et cela nous plait de la sorte ; il nous est donné ainsi un fil à retordre et ouf, car nous aimons cela, ces fils, et en avons besoin, les voulons en nous, les preno,ns pour nous, dans notre besace, nous prenons ces choses et nous les combinons en nous pour former ici des choses de choix,, qui puiisent nous combler (nourrir) u n temps ; nous aimons ainsi nous retrouver avec (aux pieds) des tapis de sol couverts de victuailles (vide graeniers) et ainsi aller de tapis en tapis, nous aimons cela p^lus que tout, nous aimons cette chose à la folie ou jusqu’à la folie : cette chose de cxhercher, de chercher des formes, objets et autres présenbts qui puissent figurer le temps pour nous = le temps de devant, ce temps que nous brûlons, oou bien ce temps qui est feu en nous = des brûlures, et ces brulures sont en galerie, affichées, placées, mises, surélevées, disposées, montrées, défenduesz, positionnées, couchées, alignées, alignées au cordeau etc, afin de nous offrir de quoi ; nous allonsq ainsi qui donc nous promebnons ainsi sur des choses ainsi que nous voyons ainsi avec nos yeux ; nous marchons ainsi sur des endroits ainsi que nous pouvons ainsi souiller de nos pieds ; nous voyons ainsi des eznfddroits ainsi où poser nos pieds entre deux o bkjets  ; nous sommes qui oposons ainsi nos souliers, nous sommes habillés pour l’occasion, nous marchons à pas comptés entre les pièces du musée et ne touchons rien, il y a le feu, et le feu non p^lus n’est pas à toucher, car il brûle ; ne touchons ; il xse peut que nous fassions ainsi des chgoses malhheureuses et cognons tel objet ou telle peinyutere, aïe ; nous n’avons pas fait exprès ; nous sommes des eznfanbts, intelligen,ts comme des enfanbts, et bétassous comme des enfants ; nous sommes ainsi qui faisons des choses que nous regrettons parfois et nous nous en excusons, pas grave ? ; nous allons ainsi qui faisons des choses ainsi qui pleurons ainsi pour un rien : un tableau touché, mais il n’y a pas de mal ; nous sommes qui parfoios touchons malencontreusement, car nous sommes des enfants, nous sommes qui ainsi faisons, qui sommes enfants devant ce monde d’intérieur, devant pareils objets en galerie d’art ; nous : nous sommes ainsi, en galerie, comme enfants meurtris, passablement agac»és, du fait qu ils ont touché, mais qu ont ils touché? ; il suffit de regarder ; nous voyons , une chose ici ou une autre là, mais rien de grave ; il y a une chose icvi, et une autre là, nous sommes bléessées, nous nous excusons, nous ne voulons pas toucher, nous sommes des enfants, nous regardon s de biais les choses, nous courons, nous sommes vifs, nous sommes des feux follets, nous sommes ainsi qui faisons la course, qui disons des chose tout haut, nous allons ainsi que nous faisons ainsi que nous crions ainswi en galerire ; nous pleurons ; nous pissons au froc (à la culotte) ; nous sommes : enfants ainsi ; nous sommes : enfants-ainsi, quyi disons tout haut certaines cxhoses, comme quoi nous cherchons des formes = formations = concrétions =: caillasse = menhirs = sculpture de roche = cailloux pour un bout de cxhemi,n ; nous y allons ensemble, nous pleurons ensemble ; nous cherchons ainsi pareil caillou ensemble ; nous allons ensemble à la recherche de pareil caillou ; nous allonbs ensemble pour cela, nous recherchons ensemble et nous guettons ensemble ; il se peut que nous fassions ensemble une découverte ; nous cherchons et rechercfhons, ; nous aimons aller à la recherche et nous y allonbs ; nous aimons telle chose d’aller ainsi ensemble, à l’intérieur de la grotte, chercher formations concrètressx = sculpture de roche, en forme de cxhoses dobnnées, de formes isolées données, à montrer, à conserver intacte , ou traces de pieds ; nous aimons les traces de pieds ; nous regardons toutes les traces au sol, à la recherche expresse d’une marque ou treace ou empriente d’un pied humain ; nous aimons , alors nous recherchons ; nous regardons, nous aimons, nous aimons , nous regardons ; nous voyons ces tout qui nous sont offetrts ; nous passons entre les ilots ; nous sommes qui passons entre les ilots, il nous plait ainsi, de passer entre les pièces exposées : choses et autres, films, dessins, concrétions, tuyaux, chapeaux et autre trublions ; nous y allons de la sorte eznsemble et évitons de toucher les pièces ; nous nous glissons entre les pièces ; nous allons, nous faisons, nous sommes ainsi qui alloon s, njous faisons ainsi qui alloons, nous allons ainsi et faisons ainsi : nous déambulon s ; nous sommes deux ; nous sommes qyiu faisons ainsi ensemble le tour de l’exposition et nous regardons les choses exposées, nous marchons là où nous devons : les pareties communes, lmes parties molles, nous maerchons aindsi où nous le pouvopns par décision , nous sommes qui allons ainsi qui marchons sur des pareties qui sont condamnées eyt pâr conséquent autorisées ou réservées, ou comment, permises, pour la déambulation dudit public aux mains sales : saleté ; nous y azllonsensermblke et fzaisons de cette sorte, que nous d»écidons de marcher ensemble, au milieu des pièces exposées ; il s’agit d’un dispositif, il s’agit d’une disposition, il s’agit d’une déposition, il s’agit d’un tapis posé à même vle sol, il s’agit d’une vente à la cr iée, il s’agit d’un tapid de vide-grenier ou aux puces, posés par terre, et nous (ensemble) d’y aller fureter et regarder afin de chercher la perle, il se peut ainsi : que nous soyons ainsi : en recherche = en quête , d’une pièce ou perle rare = imafge, d’un temps présent : calciné ; cela est qui nous pend aux yeux ; sommes de la partie, sommes partisans ; nouds faisons ainsi que nous allons parv les chemins, à la rechertche d’une entrée de grotte ; nous faisons ; nous allons a insi que nous faisons ainsi aumone, ou bien nous allons, ou bien nous faisons, et nous allons -faisons ainsi qui faisons l’aumone ; nous faisons et nous allons, nous sommes ensermble et déambulons parmi kles pièces du musée, de la white cube ainsi dénommée, ou de la salle de MJC ; nous alloons ; nous faisons, et ainsi nous pouvons nous renseigner et voir l’image proposée comme une image d’un temps donné, une forme sophistiquée qu il nous plait d’emmagasiner pour notre gouverne : nous aimons ; nous sommes friands de pazreille imagee devant nous, nous avons cette cxhose en  nous = ce désir, de trouver ainsi une image = l’image qui soit, qui puisse, qui soit celle qui se puiisees aller, pour nous, en nous, pour nous satisfaire ou nous comlber = combler le trou de la bouche (notre bouche, comme étoupe)  ; nous aiomons cela, quoi ? l’étoupe ; nous aimo ns, nous sommes qui aimons l’étoupe, nous allons ainsi qui cherchons du regard étoupe, afin de se donner ainsi, à façon, pour un com blement ou remplissage de la bouche, de la bouche nôtre ; nous sommexs ainsi qui nous donnons ainsi comme à combler, par un peu d’étoupe = une image offerte, un devant-soi qui puisse le faire = conve nir = venir vers soi et donner le change  ; nous aimons, nous y allons ainsi et acceptons ce jeu d’étoupe en galerie, nous aimons ce jeu, nous y allons, nous aimons ce  jeu d’étoupe, nous sommes qui aimons ce jeu d’étoupe en galerie et nous prêtons au jeu, et faisons cela ensemble : toi et moi ; nous formons ainsi cette chose d’une  bulle au sol, cet espace, cette zone de susqtentation, cette chose ainsi portée, devant soi, comme un tapis de sol, et qui est le présent du présent du monde vivant ; nous sommes posés et nous habitons cet espace, et cette image ici rencontrée devient une image qui puisse ainsi aller avec celle que nous recherchons, une chose ainsi qui se puyisse aller, en comblementr, en chose de remplissage si besoin ; nous la regardonbs (cette image) de biais et courons paertout comme des enfants fous ; nous sommes qui allonsainsi dans la galerie , entre les pièces exposées ou parlmi les choses, et nous sommes ainsi expôsés tantot, comme objets de dépose, et cela : à notre corps défendant ; nous avons cette chose qui nous attend, qui nous tend les bras ; nous sommes des enfantsq ; nouys voulobns ainsi voir de pres, nous rapprocher et toucher, au risque de nous bruler ; nous nous rapprochons et patatras nous nous brûlons ; nous sommes ainsi qui nous brûlons, et nous pleurons apres avoir crié, ; ;nouys sommes benets ; nous avons de quoi nous mordrees les doigts ; nous sommes des petits qui pleurons de tout, nous sommes des petits qui pleurons pour tout ; nous avançons, et nous logeons ainsi, au sein d’une galerie, qui est celle qu’avons choisi de visiter ainsi, et nous voyons des choses qui (ici) nous semblent comme pouvant (oui) convenir le cas échéant : pour combler le trou (ici) de notre bouche de petit ; nous sommes enfants qui allons ainsi pour combler un trou, avec une image offerte, ce présent présent, qui est : ce deva nt de soi pour la vie ; il sagit d’un devant de soi pour la vie que le monde autour de   nous représente, et l’image ainsi offerte au joure le jour , par ce monde autour, est image qui peutetre ne peut convenir, car salie souillée ou bien peutetrere trop arpentée, ou de quyoi s’agit il ? ; nous pouvons voir une image neuve, et bien (proprement) présentée à part dans un reliquaire, et pouvonbs-nous toucher ?. ; nous pouvons ne pas touchezr ; nous sommes les deux qui ne pouvons toucher, et de ce fait allons ainsi un peu plus avant dans la grotte ; nous aimons cezt espace de grotte et filons entre les parois, nous regardfons les peintures animalières, nous avons eznvie de toucher car nous avons des mains et une sensibilité au bout de chaque doigts, nous aimerions, nous nous interdisons, nous nous disons non eznsemble : dans un même élan, nous sommes deux ; nous y allons et regardons la pierre ca lcaire, cette concretion, ce concert des choses exposées, cette chose qui est une chose comme offertte en holocauste : brulante ; nous larezgardons et en faisons le tour, nous qaimons, njoyus disons que nous aimons, ; nous diosons ouyi à) cette chose, nouys lui disons oui, nous disons : que oui, nous disons : et oui et que oui, nous aimons ; nous  sommes ainsi qui aimons et le démontrons en disant oui , ou comment ? ; nous touchons la pierre, nous touchons la pierre, nous touchons la pierre et allons, ; nous faisons ainsi preuve de tact ; nous touchons la pierre concrète, nous allons plus loin au sein de la grotte, njoyus descendons plus bas, nous cherchons l’image ; nous aimons ainsi nous combler ainsi d’images ainsi développées ; nous y allons, nous n’avons pas peur, nous allons dedans, nous allons au plus profond, dedans, à l’intérieur de ladite grotte du Mas ; nous sommes qui dedans allo,ns et fouinons, à la recherche d’une imagee : pourquoi une i mage ? ; nous ne savons et cepebdant allons ; car nous allons, car nous savons-allons ; nous sommes qui allons ainsi, en quête d’une image, et faisons ainsi qui allo ns ainsi en quête d’une image, et  cette image a ou doit ainsi : faire ou affaire à, une chose en nous = comblemenrt, d(‘un trou quelquepaert, comme un trou de bouche, comme trou de bouche à combler, une pl ;aie ; nous cherchons ainsi à soigner azinsi avec une image qui est (pour le coup) le présent offert sur table d’offrande ; il s’agit alors ainsi d’»un temps présent, qui brûle en nous = dans cet espace ou dans cette zone de sustentatation occupée ensemble = sphère ; nous disons que cette chose exposée, est du temps présent offert en offrande (holocauste) à dessein particulier, et c’est ainsi qu il en est ainsi d’une zone parttagée (en petit comiyté) telle une -sphère ou zone de susqtentation commun e, et cette chose est une image partagée et don de soi (de nous) en tant qu il s’agit de la vie qui va donnée pour une mort qui est en cours de réalisation, mais non point la mort sure ou vraie, effective, etc ; il est ainsi que nous sommes ainsi comme mis ainsi sur billot, ou table, ou platteau : présent offert, mort petite, en lieu et pla-ce de grande la notre (mort à jamais, ou siinon comment ?) ; nous alons ainsi qu i faisons cela dans la grotte : une recherche, nous faisons cette chose de’unec recherche : en grotte ; nous faisons ainsi recherche et allons, nous faisons ainsi une recherche, faisons de la sorte inspection et raegardons tous ce qui nous en toure, en fait de parois rupestres : image, ensemble, un ensemble, ikl s’agit d’un ensembvle, il y a un ensemble: ; il s’agit d’un cercle, et dans ce cercle , au sein de celui ci, nous ne sommes pas seul ; nous sommes plusieurs, nous ne sommes pas seuls et nous cohabitons de la sorte, nouys allons ensemble ; nous faisons ainsi, qyui allons ensemble : il s’agit zainsi d’une chose ainsi qui est cette chose qui est ; nous smmmes ensemble ici présent ; nous sommes ce présent des chgoses ensemble en tant que donnés ensemble sur table d(offrande : zone ou base ou cercle de sustentation : nous sommes tenus ; nous avons ainsi cette chose en nous qui est que nous sommes ensemble réunis en cet endroit de monstration de choses divers  : consacreées ; nous sommes qui allons ainsi et faisons ensemble le tour , et nous donnons ensemble ainsi, comme chose consacrée offerte en offrande : plateau de fruits , choses diverse valorisées ici par ce geste telqu il nous semble etre , ainsi, en cette chose d’un plateau d’offrande, d’une table ainsi approprie sur laquelle seront déoposées des victuailles et du gibier muort ; nous sommes sur cette table ; nous nous tenons debout sur la table, et la table est le contact que fait le pied le nottre avec le sol : sacralisation de cet endroit (du sol) en  contact: ; nous sommes ainsi qui faisons cette chose et allons gaiement dans ce sens, d’une comme sacralisation du cvontact piedf-sol : ensemble = table d’offrande = temps présent = image d’ensemblee = installation = concrétion mise, ou permise ici ;, ce debvant  de nous qui est devant-de-vie ici ; nous sommes et allons, faisant cette chose, alonsq et faisons ensemble cette chose, sur pierre de taillle et d’offrande : fumée ; nous sommes ainsi qui nous donnons (en partie) en offrande et continuons de la sorte (ensemble) nottre chemin  ; nous y allons ensemble : zone en commun de substantation = petit comité ; une image est évoquée, il s’agit d’une image d’installation, devant nous, à nos pieds ; il s’agit à nos pieds, d’une inmage ou de l’image d’une installation qui est une disposition (savante ou pas, mzis savante = artistique =  maniérée quoi quil en soit) de choses déposées, de choses et autres offertes en offrande, au monde ou bien à qui de droit ; nous y allons ; nous szommes qui allons, et qui déposons de la sorte une chose ou une autre et cela est cette image : l’uimage xd’un dépo^t, cette image et ce dépôt, cette image et l’image de cette chose : on en sort pas ; nous sommes juge et partie, nous ne sortons pas, nous ne pouvonsq en wsortir ; nous avons pour nbous qui sommes : une cghose en nous qui est  pour nous cette chose offerte conséquemment mais qui ne peut combler la bouche de la mort , car seule notre vie offerte (holocauste) pourra convenir ; nous  ne pouvons ainsi subsequemment donner plus pour le moment, mais le tour (le notre) vien dra ; il s’agit des lors de l’image de la moert, mais non point (encore, à cette heure) la notre pour lke coup, mais des petites morts de choses en ofrzande, pour faire comme diversion ou bien pour donner le cha nge ; un  change est donné qyui fait diversion et peut un temps faire illusion ; il se peut, et cette chose (bouche ) est peut-être en nous ... ou bien hors de nous ? ; n,ous sommes qui allons ainsi à la recherche d’une chose, d’une nouveauté, d’un nouveau-né qui crie (criaille) et s’étouffe presqUe d’ainsi poussezr sa gueulante ; nous le voyons, nous ne voulons pas x’une chose ainsi déboussolée, nous voulons d’une chose sereine ; nous voulons ainsi aller dans la sérénité, nous voulons ainsi aller vers la sérénité, nous cherchons une image : installation d’un ensemble serein, qui puisse le faire = combler un trou, et ce trou est celui de la bouche (une pl ;aie au lmilieu des joues) ; il s’agit ainsi d’une chose à mettrte, de type étoupe, il faut ; nous y allons, nous sommes ensemble, une installzation , un ensemble de choses manufactruées oou bien manuellement fabriquée par soi (avec les mains), et ainsi nous voyons ces chodses ensemblke comme un tout-monde qui pourrait aller mais où ? car la pla ce est prise : le monde ; car ainsi que dit, la place eest prise par le monde autour , qui est ce monde autour de nous, quyi est ce monde alentour qui est ce monde de sustentatation auoutr de nous ; nous faisons et nous allons ainsi, nhousallons et nous faisons ainsi que dit ; la pla c e (pour l’ima ge) est comme dejà prise et comment s’y prendre, comment faire, comment aller, où se mettre, où et comment se mettre dans la galerie ? où est notrte place ici ? au coeur du sein du centre ?  ; où se mettre ici, qui ou comment croire ? ; nous alloons ainsi qui trouvons où aller parmi les objets valorisés mais nous ? qui donc pour nous placer ainsi parmi les cghoses ainsi valorisées exposées, mises sur le devant = dans la  vie ou bien dans cet espasce de vie-valeur ; ou commenbt ?, nous avons en  nous une plka c e, et cette pklace en nous est nous, qui la voulons voir mise : sur le devant de vie = valorisée en tant que tel = zone de contact pied -terre = zone à cvoncrértiser en tant que zone à surveiller : plaindroit, plkain cxhamp  à pvrendre en compte et à consacxrer de la sorte en tant que zone àv prendre de côté et surveiller en continu ; nous pouvons ainsi voir cette chose aller de la sorte, nous pouvons ainsi voir cette chose aller de la sorte : une image, une image en lieu et place d’une autre image, nous voyons cette chose ainsi, nous voyons ains i cette chose ; nous la voyons ainsi, nous voyons une image, nous avons par devers nous (?) ou devant nous, cette chose d’une image offerte et nous d’y vouloir figurer en son sein mais comment ? car comment faire ? comment y rentrer ? comment faire pour y rentrer ?  nous sommes ainsi qui voulons ; nousq sommes ainsi qui voulons entrer da,ns l’image mais cela comment ? ; nous aimerions beaucoup cette chose, d’entrer dans le sein ou l’antre, dans ce ciel ou centre de l’image offerte, comme un ci-devanbt en offrande, mais ne voulons pour autant mourir da n sl’imah-ge, nous voulons mais ne voulons : tic-tac ; ne voulons cela, ne voulons plus que cela, nous voulons mais ne voulons pas ; nous voulons etre encerclé et pris comme tel , en tant qu objet de cultec = de valeur, et ne voulons car , tic tac, la vie est en nousq qui dit le mot de tic et celuyi de tac ; nous cherchons comme une issue qui sezrait l’entrée concomittament = entreé et sortie : tiic tac du coeur ; nous sommes qui allons ainsi en comme tic-taquant de lma sorte, à travers l’image du monde donnée ; nous sommes qui allons ainsi et faisons ains i chose qui va , de la sorte, son chemin entre 4 murs, mais comment ? ; il s’agit d’un ensemble qui brûle, ou bien il s’agfit d’une combinaison de chgoses (parlanbtezxs) entre elles, ou bien il s’agit d’une pierre de taille en guise de table d’offrande ou bien il s’agit d’un extérieur à soi et valorisé hors de soi, oiu bien il s’agit d’une banque ou bien il s’agit d’un reliquaire, ou bien il s’agit dfe valeurs cotées en bourse, ou vbien il s’agit d’un tapis volant ou bien d’un tapisq au sol cxontenant des objets de rien mais se voyant valorisé du fait du tapis, et tout cela est cette chose en nous (en jambe, en vie) qui va et vient mais renacle à passer à ghauche : il s’agit ainsi d’une chose en nous qui renacle, se refuse, se porte ainsi comme renaclant et faisant reésistance, une chose qui brûle (en nous) mais ne ropmpt pas, en sursis, uil s’agit d’un arc , il s’agit dun pont, il s’agit sd’une chose au dessus d’un ru, il s’agit d’une chose en arc et qui n e cède pas : nous sommesainsi qui formons l’arc et cet arc est un pis aller, est une chose qui est de la soertte comme déplacée comme pis aller = erzats, etc ; il s’agit de poudre aux yeux, il s’agit d’un semblant (du semblant) ou d(un faux sembklant), il s’agit d’une fausseté ; nous ne mourrons pas, nous tenons le coup, nous ne voulons capituler mais donnons,  brin apres brin, un peu de mort à bouche de la mort, à bouche cousue, à bouche de lma mort, donnons choses et autrtes , comme autant d’offrandes (ce présent de vie qui est) , cette chose qui est donc cela que nous voyyons ici à nos pieds, sur le devant = ce devant de soi iumagé, quel est il ? qu en faire pour sesauver = setailler >? que faire d’iceluyi, de ce présent de vie déposé , cette chose allée ezn dépose ici, sur pierre ou surtable : sur table ainsi dressée, que faire ? ; il y a ici cettetable ainsi dressée, il y a cette table propre, cette chose d’une proprézté pour une installation de cghoses offertes, y allons-nous ? y montons nous ? montons nous sur nous ? comment remplir soi de soi ? comment s’y prendre ? comment y aller ? comlment faire pour etrte et faire, comment faire pour etrte et aller ain si, comment entrer en soi et aller ? comment faire pôur entrter en soi et s’offrir ainsi , tout chaud tout b bkiuvc-eau? ; nous allons paer 

les chemins et nous faisons cettrec chose d’une promenade aérée, nous sommes ensemble et gravitons de lasorte , parmi les pierres, parmi les cailloux, nous nous baladons, il fait bon, nous sommes ensemble et nous marcghons, et nous sommes plein d’images, et nous arpentons notre zone commu ne de sustentation : nous tenons debout et allons dee la sorte et chassons le gibier ou bien cherchons des entreeés de grotte, ici ou là, à même le sol: ; nous allons ainsii qui nous promenons, main danbs la main, enfa nbts en permission qui chercxhons dès lors un enfddroit précis comme entrée de grotte, ou trou d’aven, nous y allons, nous cherchonsardemment et faisons ainsi promenade de pas vchamp^retres, allabnt dsans le sens d’une quête  ; nous cherchons et nous trouverons et alors verrons ce que nous verron s ; nous solmmes ensremble sur zone ou sphère commune de sustentation, et l’image (que nous voyons) ne nous dit rien d’autre que  ce qu elle se propose ici de dire en terme de présent au monde ; et des lors ? quoi d’autre ? quoi de plkus ? nlous n’en sommes pas comblé, nous n’en sommes pas rempli, en nous persiste un tro u à boucher, quyi est l:e trou de notre (votre ? ) bouche : trou de bouche en n oous qui appelle comblement avec étoupe ou autre matière ou chose réparatrice ; n,ous allons ainsi qui nous promenons près des berges, sur les champs et dans les fourrés, nous cherchons étoupe, nous y allons ; nous cherchons étoupe en tant que matière ou chose pour un comlblement, pour satisfaction, pour comblement de trou de nous ;

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26/02/2020

il s’agit d’alimenter la bouche ; il s’agit d’alimenter la bouche, il y a ainsi ce quelque chose de la mort des autres, autour de soi, ce quelque chose de la mort que nous voyons à l’oeuvre sur les autres: nous voyons la mort à l’oeuvre sur les etres (humains, animaux, etc) et nous savons , de ce fait, que notre tout r viendra, nous savons que notre tour viendra, car nous voyons la mort partout autour de nous, nous savons que cette chose existe , cette chose-bouche, nous voyons cette chose-bouche qui aspire, cette chose-bouche aspiree les etres, nous savons que cette chose-bouche, ou Chose, asqpire les etres immanquablement et qu elle en est friande, et en nous est réoponse (la vie) à l’appel de cette chose-bouche ; en nous il y a la réponse : en vie ; nous sommes ainsi (nous-mêmes) la réponse à l’appel de la mort  ; nous sommes ainsi réponse en nous mêmes à cet appel de la bouche chose, cette chose bouche, cet appetit d’ogre, nous nous soommes (nos jambes sont, notre coeur) cette réponse à cet appel, cette chose de la vie en nous qui est la réponse : la mauvaieese = qui ne répond pas, au sens de contenter, à cette chose, cette chose bouche : la contenter ; notre réponse ne contente pas ; nos jambes et le tic tac du coeur, ne peuvent répondre et de ce fait, ne pouvanrt répondre, il y a cette chose du présent fumeux, du présent sur la table d’offrande, présent que (pour le coup) nous déposons, éteint, calciné, cramé, cassé, détruit = mort, afin de contenter (dans l’intervalle) la bouche de la mort, la chose bouche, cette chose là qui nous hèle expresseement sauf que voilà , en nous coule du sang vif, du sang de vie, en nos jambes depuis notre coeur, en nous circule le sang de la vie, en nous va la vie, en nous il y a la vie, qui est circulante, qui va et vient, qui fait son tic tac ; nous sommes la vie et ne pouvons répondre illico presto, instantanément, à l’appel de la chose (hotte) aspirante (bouche) ; nous sommes qui faisons offrande (pis aller)  ; nous faisons offrande , sur table, sur tablée, sur sol propre, de choses mortes, cramées, kaputt, complètementb out, afin de pouvoir , contenter un temps ou faire illusion, ou faire semnblant etc, faire en sorte que la mort à l’oeuvre soit toujours présente, et puisse ainsi faire que ça passe pour nous autres, qui sommes en vie : chance, nous essayons ; nous sommes en vie, et nous en excusons de la sorte : offrandes faites sur pierre de taille, costaude, stable, solide, prete à accueillir mille betes mortes l’an, sommes qui voulons que la bete morte puisse ainsi, sur table, d»égouliner, dégouliner tout le sang de ses artères et veines, sommes qui avons ainsi en réserve ce présent , ce temps, qui est donc un animal dégoulinant de sang, une bete morte  ; le temps ainsi est une bete morte, le temps qui est pour nous devant = temps de vie autour, est une bete morte, est de la mort, est mort, la voilà et nous l’offrons sur table, sur tablée, sur cène, sur bache ou nappe, sur sol appropri, sur mur de galerie, sur socle ou pupitre ; nous offrons ainsi le temps mort, bete morte, le temps est la bete que nous offrons, en galerie, sur des murs blanchis pour du propre, pour qu ainsi le propre soit, qui puisse mettre, ainsi, la chose du temps (brûlé, cramé, passé) en valeur : le temps est cette bête (morte) que nous offrons, sur des tables vides, blancvhes, nettoy»ées, parfaites, de grandes larges tables capables d’accueillir ainsi des choses et autres toutes mortes de leur belle mort : disposées (ces choses) , disposées avec soin (en chute de nos mains) ; les choses sont ainsi qu elles nous sont toutes tombées des mains, des bras , et se sont ramassées la figure, ainsi (une chance), sur la table blanche, propre, en une sorte de disposition (figure) ainsi qu elle fut, et non autrement, desssin formé du fait de (pour le coup) la chute-chance, le dessin de la figure ; une figure (forme) s’est ainsi formée, nous avons tombé et voilà le temps passé (brûlé) qui est ici, sur tapis de terre ferme (le plancher des vaches) et qui est cette chose en offrande, en don de soi , en offrande pour le chose- bouche, en don comme une chose qui serait solide et répondrait à la demande en nous  ; nous sommes ainsi qui avons, en nous, la vie et la mort ; et nous déposons ce qui est mort en nous en attendant mieux, sur table ou tableau, sur tablette, sur nappe, sur bache, sur surface plane qu elle qu elle soit ; nouds déposons chose et autres qui sont mortes : il s’agit de betes mortes (la vie est passée) et ces betes ainsi poseées (le temps de la vie qui passe) sont ainsi ce que nouqs offrons, en guise de mort pour la mort ; offrir de la mort à la mort, excusez ; nous offrons nous nous excusons ; nous sommes ainsi à déposer le temps sur la pierre, nous déposons du temps mort, sur la pîerre de taille ; nous deépodsons du temps mort sur la pierre de taille, nous sommes qui déposons du temps mort sur la pierre de taille ; nous avons en magasin : nous avons un maggasin, un commerce, ; nous faisons ici commerce de vie, nous avons un magasin, et nouds déposons ainsi sur table ou tableau du temps mort, du temps passé, du temps qui part en fumée, de la mort de bete, de la mort animalre, des choses et autress déposées avec soin et attention, sur une pierre plane : nous posons nos frusques, nous déposons ainsi des choses du passé, de la mort en branche, en baton, en pieces, en poutree, en objets divers, nous déposons de la mort en branche : ainsi que nous faisons = art ; nous sommes ainsi qui déposons , sans nous en rendre compte obligatoirement, de la mort en branche = en continue, sur la table ferme de la terre plane ; nous faisons ainsi qui vivons cela, nous déposons, au jour le jour , égrénons le temps et le déposons, au quotidien , sur terre ferme,, cette chose, cette vchose du temps mort, du temps qui s’égrene, ces grains, cette bete en nous, nous faisons et cela est que nous faisons ainsi  : cette chose, d’un égrainement du temps sur table, tabloïd, tablette, tablée, tableau, tabule, tabula, etc ; le faisons qui est en nous par devers nous : faisons immanquablement cette chose, ce temps qui est la bete morte en nous et cette bete nous la déposons encore chaude de la vie passée et saignante (elle dégouline) , nous la déposons sur la table blanche ; il s’agit du temps ; nous l’avons en nous ; nous sommes ce temps, nous avons en nous ... cette bete morte ?  ; nous avons en nous ce temps qui est passé (brûlé) et que nous déposons ainsi sur la pierre d’offrande, dehors, aux quatre vents, ou dedans , dans la grotte aux parois éytanche ; nous allons ainsi, nous faisons ainsi, nous allons de cette manière (art) vers une offrande en bonne et due forme : due ; nous sommes ainsi qui allons ainsi vers cette bouche-mort qui est ainsi comme appelante en nous, en nos guibolles ; nous sommes ainsi soumis en nous à une sorte d’appel de la mort , auquel nous répondons (ici) de la sorte : en posant le temps brûlé sur la pierre d’odffrande, sur la pierre blanche : soigné (le temps) comme il se doit : bien mis, au mieux, arrangé, coiffé et pomponné comme il se doit en l’occurrence (art) ; nous faisons ain si ce don du temps, il s’agit d’un pis aller, nous voyons la mort à l’oeuvre autour de nous, nous donnons le temps à la place de la vie, nous donnons le temps (la bete morte en nous) à la place (en lieu et place) de la vie en nous, jusquà preuve du contraire ou jusqu’à nouvel ordre, nouys donnons de nous ainsi le temps soit le temps mort en nous, ce temps calciné, ce temps cramé, brûlé, fichu, ce fichu, cette chose sur la table des dons, des offrandes, le sang coule, nous allons ain si ; donnant le temps mort ; un peu de la mort mzais non point la toute qui fut, mais cele (pour le coup) du temps  , celle du temps passé, nous faisons comme, nous faisons cette chose ; il s’agit de temps morts et ce temps morts est notre don, il s’agit du sang mlort qui est notre don, ici, que nous déposons, sur la pierre de lave ; nous posons sur cette pierre , sur cette roche, un peu de ce sang mort, qui pisse son jus qui dégouline, nous faisons (ainsi) donation ; nous sommes les qui donnons, qui sommes donateurs ici, d’ un temps (sang) passé, qui pisse ; nous donnons du temps en lieu et place de la vie : à la Chose mort, à la Chose de la mort , celle là que nous savons ; nous donnons en bonne et due forme ; nous donnons en bonne et en due forme, nous donnons en formes, nous donnons le du, nous donnons le du , ici, sous la forme du temps (le sang mort) mort, qui est le temps passé de nous, le temps qui est ce temps passé de nous, et qui un temps peu (peutetre) faire comme un semblant, une illusion, peut un temps le fgaire, passer pour ; nous avons en magasin des choses à offrir, ici, sur table d’accueiul, sur cette place nette, en galerie-temple, en chose de l’enfdroit idoine ; nous donnons ainsi cela que nous portons en nous , et qui est donc : du temps mort et enterré, ou même sdu temps mort cramé, calciné, brulé, passeé par les fglammes, car le temps passé est du temps : passé par les flammes, passé par le feu : feu machin chose ; nous sommes qui avons ainsi la bete moerte en nouys du temps passé par les flammes , par le feu des choses de l’allant de vie ; nous sommes qui donc déposons les choses quii sont notres un temps, sur ou dans un espace dédiée à cet usage : nous installons tout cela (il s’agit dès lors de l’oeuvre) et nous sommes ainsi qui sont ainsi nommés et pris en compte de la sorte, par cette juste chose de déposition de choses et autres ; nous avons ainsi cette chose de déposition, nous allons ainsi vers cette chose, nous déposons ; nous sommes les enfants qui allons ainsi déposer des choses sur une pierre ; nous sommes des jeunes enfantds qui ainsi vont, déposer des cjhoses sur pierre, des choses mortes, du temps mort, tout ce temps mort passé par le feu, nous sommes qui déposons ce feu sur une terre ferme, nous allons marchant d»éposant un peu à chaque pas du temps passé soit passé par les flames ; et ce feu déposé, pas à pas, sur le plabncher des vaches, enfant, est du feu de joie, est feu qui bondit, qui saute, qui va et vient, feu follet, qui va et qui saute comlme un cabri sur le plancher des vaches: nous allons `= nous vivons = nous bnrûlons = nous donnons ce qui en nous (cette bete en nous) meurt , au pas cadencé, meurt en cadence  ; sur la table de la terre ferme, sur table de ferme, sur ferme et fermette, sur tableau rustique, ou rupestre : l’oeil de l’animal ; nous allons enfant sautillant, donnant à chaque pas un peu de notre temps qui passe de la sorte (meurt) et donnons cela à la table -ferme , fermette , qui est ce monde, qui est cette chose du monde, ce monde ou cette chose pour le coup d’un monde-chance = de retour, de récupération de fait de mobile, d’attrappe -vol, de chose ainsi qui se met en dessous, qui attrappe au vol ; nous sommes qui avons la chance = chute comme (toute) en douce, nous avons cela, nous sommes ainsi, nous avons le temps passé à donner ainsi , en allant ainsi : nous donnons ; nous donnons ; nous sommes ainsi qui allant donnons , de notre bete en nous, morte = ce temps, qui va fumant, qui est tromperie, qui n’est pas sérieux, qui n’est pas la mort en vrai = la toute globale = la notre ; nous donnons ainsi le temps de la sorte, nous le figurons par des choses en dur ; nous donnons ainsi des chhoses en offrande, sur tapis de sol, sur table de pierre, nous faisons saigner la bete du temps, elle pisse le sang du temps, nous y allons gaiement car nous sommes en vrai des enfants frais, fraichement émoulus, nous sommes qui venons de naitre ; nous sommes jeunes, nous sommes comme sortant de l’oeuf, nous sommes tout frais émoulus, nous sautillons comme des cabris ; nous égraenons les minutes d’un temps que nous offrons en holocauste (poudre aux yeux) en lieu et place de la vie (la notre) gardée en réserve = par devers nous = en magasin ; nous dopnnons cela par devers nous, nous donnons ce qui est que nous sommes ce temps des sautiillements, pas à) pas, sur la terre ferme = le plancher des vaches ; nous sommes ainsi qui donnons (de nous) de ce temps passé passé par le feu (holocauste) et qui ainsi part en fumée (montante) et qui un temps peut donc : faire illusion, ou comment ? ; nous faisons ainsi cette chose en nous qui remonte, qui est comme débordante (débord)  : nous faisons ainsi cette offrande, nous voulons ainsi cette offrande, nouds faisons ainsi cette offrande, nous voulons ainsi cette offrande faire, offrir  de ce temps de jeunesse, de ce temps passé par le feu de la jeunesse, etc, nous voulons ce temps, passé par le feu, donner ; nous voulons donner de ce temps passé par le feu, nous voulons faire illusion, nous avons la vie pour nous, nous donnons ce qui est mort (de nous) en offrande ; nous donnons ce que nous avons , par devers nous, de mort à donner ; ce qui en nous pour ainsi dire pue la mort ; nous donnons ce qui en nous pour ainsi dire pue grave la mort : en nous, et il s’agit de la béte qui saigne, qui pisse le sang du temps qui défile, il s’agit en nous de cette bête en nous, qui pisse le temps qui défile ; il s’agit en nous d’une bête qui, ici, pisse le sang grave, qui le pisse grave, il s’agit en nous d’une pute de bête qui pue, qui pisse, une pute une putain, une qui pue la bête morte, en nous, et c’est le temps, pâssé par la famme, par le feu, par le feu qui brûle les ailes du temps, par ce feu qui ppeut, par ce feu qui peut, par le feu qui peut ainsi : faire, de donner la mort ; nous avons des lors , par devers soi, nous avons dès lors cette chose, d’un temps mort à poser (en offrande) sur la pierre, à donner ainsi en tant que nous donnons un peu de mort, nous avons cela (pour l(‘instant) à offrir, en tant que nous offrons un peu, de mort à la mort ; nous n’avons pour l’instant, que cela : cette chgose, à offrir à la bouche (mort), qui appelle en nous, qui pisse en nous, qui est en nous l’appel dans nos jambes etc, nous avons en nous l’appel de la mort -en )-nom-prpopre ; nous devons faire ainsi cette chose du don et nous donnons quoi, nous donnons ainsi faisant : la mort du temps en nous, passé par le feu: le feu est présent, ce feu du temps est du feu cramant les minutes ; nous avons en nous ce feu, qui brûle le temps : nous avons en nous le feu (la passion) qui brûle le temps et ce temps brûlé nous le posons, nous le déposons, nous le mettons, nous faisons de la sorte que, nous faisons ainsi que, nous nous employons ainsi, de cette sorte, à le déposer, à le disposer, à faire ainsi que nous le disposions, à pas chassé, d’une manière ou d’une autre = art ; l’art de tous (toutes) et non l’art pour tous (toutes) ; nous sommes ainsi qui faisons, disons des choses, de ce temps brûlé = offrande : tous (toutes) ; nous (tous et toutes) faisons cette chose, d’une offrande, d’un don à la bouche, nous (tous ou tout un chacun) (toutes) faisons la chose, d’une offrande de temps (brûl»é, cramé, cramoisi) sur table ou sur sol : en un endroit précis sur la terre ferme, du temps de notrree vivant ; notre vivant est ce temps de vie cramé ; nous avons tous (toutes) qui déposons tous (toutes) des choses en offrande sur teable d(‘offrande ; nous tous (toutes) faisons de la sorte ; tout le monde en est, qui dsépose ; qui ne dépose ? ; nous tous (toutes), allons à dépose (le temps, du vivant de la personne x) sur table dédiée ; nous allons tous (toutes) sur table dédiée déopposer des choses = du temps, soit du temps de nous (de chacun chacune) passé par les flammes ; nous , nous avbons, nous tous abvons, nous avons tous, nous sommes tous, nous tous nous sommes, nous avons : tous et toutes avons du temps passé à dédier ici sur table de pierre et à offrir en don vers on ne sqait en vérité quel ciel de bouche : là, en fumée ; nous sommes qiiu donnons de nous : des choses et autres, objets divers, façons, etc, sur une ferme, une fermette ici de terre plane, sur support : quel quil soit ; donnons sur support des choses manufacturées, ou des choses briocolées, ou des objets détritus, ou des coups de craie ou de crayon sur peua de bete, ou peau de toile, ou paravents, ou autres supports, et ce sont ceux là , ces objets offerts, qui figueerent de fait lke cramé du temps du monde vécu ; du monde ainsi vécu par nous qui passons, qui sommes ainsi qui allons ; nous sommes ainsi qui faisons ici la chose du don ; nous sommes des enfants dans une grotte ; nous avons 12 ans ; nous sommes enfants qui allons ainszi de découverte en découverte : depuis cette chose du temps qui brûle par devers nous = en nos jambes (guibolles) et en nous  = notre coeur, notre coeur et nos vaisseaux : nous allons, nous sommes: ; nous faisonqs ainsi que nous allons ainsi dans des dxirections, dans des lieux sur la terre fertme,= nottre monde ; nous sommes qui allons ainsi par le monde, nous allons ainsi et faisons des choses ainsi, qui sont du temps passé, qui sont du temps, qui sont ainsi du temps passé, qui sont temps brûlé opu passé par les flammes de l’enfer en nous, ou comment le dire , nouys avons ainsi en nous des choses du temps qui est de la sorte passé par les flammes, puis déposé, puis posé, puis mis ainsi, puis ainsi mis sur table = terre ferme : chute, sur le sol dur, une chance car ainsi le voilà déposé, recuielli = sauvé, en quelque sorte  ; nous sommes ainsi qui faisons des choses, que nous mettons sur un plateau, que nous disposons avec soin ou grand soin, ou bien petit soin mais il s’agit toujours d’un soin puisque nos maoins font ; nous disposons sur un plateau, des chose, des objets, des choses mortes, des objets divers, des choses de la vie de tous les jours, des bricoles, des morceaux, des bouts, des formes, des déchets, de l’or, des rubis, du papier etc, et le plateau ainsi couvetrts est déposzé, est posé, il est pour le coup cet espace propre sur la terre, cet espace sur terre, ce morceau d’espace sur tertre : deégagé, mis au propre, dédié, etc : une enclave, un lieu dit, un mas, une ferme, un endroit de relpi ; un endroit vclos ou cloturé ; nous pensons ainsi, qu il s’agit d’un endroit circonscrit et dédié à cet effet : de faire des offrandes ou bien de recueillir offrandes divers, encore chaudes de la vie qui va, qui est cette vie alentour, cette vie ddu quotidien de vie, et ce plateau = cet espace dédié pour déposer en vrai quelque chose (mort) de la vie ; ce plateau est ainsi configuration ; il s’agit ici d’un plateau (une plaine) de cette chose qui est configuration : plaine plane, espace sur terre mais attention : deédiée, cloturée, circonscrite , une brassée, un tour de bras, une accolade sur terr, cette chose d’un cercle de déposition , de la grandeur d’une accolade de géant, ce genre de cxhoses ; avons cette accolade sur terre battue, nous voyons cette chose d’une accolade : nous savons ; nous voyons cette chose d’un espace clos sur terre (collision ou loucherie) qui est comme l’endroit élu (!) sur la terre ferme, pour donc ainsi se voir comme receuillant les choses en offrande : nous cdécidons par choix (qui ? nous) de dégager ainsi sur terre un endroit précis (ici ou là) et qui des lors devient sacré au wsens où pas touche : ma propriété, mon endroit, me , moi, notre, le notre, notre endroit qui est dévolu ou dédié, attention, on y entrtee pas avec les pieds sales  ; nous avons ainsi déssiné sur tertre cet endroit (architecture) qui est comme un temple : on se deécouvre, on enlève ses chaussures sales, crottées ; on a dessiné par terre un cercle, large comme une accolade grande, et ainsi nous disons qyu il sz’agit ici d’un endroit de culte, ou dédié à une sorte de culte, de culture, de cultivation = dépot de choses, dépots de choses mortes, oboles, offrandes, dimes données, sommes offertes, etc : or et métaux précieux, eh bien, tout ce que nous avons dee plus précieux par devers nous (=en boutique) et ainsi faisons : un cofrfree fort, une banque de choses précieuses, des choses qui donc sont offertes déposées ainsi, sur tapis d’or, sur table de taille, nous donnons toutes ces choses ainsi, pour la mort, nous les donnons (toutes vces choses) pour la bouche -mort, pour cette chose que nous ici voyons en nous = cette mort qui gagne ; nous savons et nous délimitons un espace de don, un espace pour les dons de choses, en nature ou en espèce : le cout de la vie ; nous avons qui faisons qui donnons qui brûlons qui pissons ainsi le sang : qui est le sang des betes en nous ; nous avons en nous du sang de betee ; nous avbons du sang de bete en nous ; nous avons en nous du sang de bete, nous allons ain si avec en nous du sand de bete, et nous déposons nos choses mortes, nos choses diverse, sur ce tapis, sur ce tas de choses existantes en ce lieu sacré = dédié ; nous pouvons déposer lla mort du temps passé (de fait) par les flammes ; nous pouvons déposer un peu, de la mort dans l’intervalle (de la cvie qui est notre vie, de notre vivant) ; nous pouvons et nous déposons ; nous sommes qui ainsi pouvons aller, à depose sur ce tte chose, d’un tapis de culte = de depot de chose précieuses, de choses du monde, ce qui nous est cher, ce qui est cher, ce peut etre n’importe quioi (une merde) aujourd hui mais chère, une crotte chère, il suffit que cela soit cher ; il suffit que la chose soit chere, représente des valeurs du chezr, soient valeurs de haute tenue, soient cherté de base et ce peut etre n’importe quyoi, du monde vivant, cela peut etre n’importe quelle sorte de chose existante, il suffit que la chose, ainsi élue , ou ainsi décidée, ou ainsi volée ou prise soit placé sur ce tapis de prix, sur ce tapiqs quyi dicte le priw, qui hausse le prix de par sa fonction de tapis hausseur ; il suffit ainsi que le tapis ainsi se voit couvert pour que la chose qui le couvre en soit cvomme récompênsée = compensation par un prix fort de lma chose qui de base n’a peutertre rien de plus à déclearer par elle même, en tant que chose de valeur , ou en tant que cose possiblement comme étant de valeur ; le tapis fait la valeur, un poinrt cest tout: le point du tapis  ; un point sur terre ; le tapis (la table, le mur, l’endroit élu) fait la valeur, il se suffit: il s’agit d’un point ; le point ici (vu du ciel) est l’endroit de culte (banque à coffre fort) ; nous savons xcela que l’ensdroit de culte est ainsi qu il est cette chose qui voit des dépots s’accumuler, s’entaseeer ; njous avons ainsi bien des choses à déposer sur ce tapis, il s’agit de tout ce que vous voulez, qui prend prix haut du fait de la dépose cons&éacrée ; nous allons ainsi comme faisant des choses qui donnent du prix, qui allons ainsi, qui faisons, qui sdonnons, quii brulons le temps passé ainsi ; nous sommes qui faisons ces choses de brûler, de calciner, de cramer, nous faisons ces chose de cramer le temps et de le déposer ainsi (haut prix dès lors, ou cherté acquise) sur tapis de culte = la table d’opffrande = l’endriot (le point) dans le monde (le lieu, le lieu dit, l’enclave, la grotte) élu par nous tous (?) et toutes (?) pour ainsi sezrvir de tapis d’offrande ou de pierre d’offrande, ou de mur d’enceinte sacré, etc, qui puissent dès lors accuiellir les choses de base, de la vie couranbte, marchante ou marcxhande, etc, les prendre de fait en tant que choises devenues, par la force des choses d’un tapis posé, choses de haute valeur : n,ous avons de cette sorte à faire (fort) ; nous voulons ainsi faire, nous faisons ainsi monter le prix : banque, culte, temple, et les chaussures qui resrtent en dehors, c’est à dire dans le mondz des choses sans prix ou de moindre valeur ; nous do nnons ainsi des choses , nous offrons sur drap rporopre, nous donnons au propre, nous donnjons avec soin ces choses , auxqulees nous donnons de fait le prix fort, nous les voulons qui soient les choses les plus chèrers, chèrers ici le plus parmi les choses chèrers, de ce seul fait que nous posons ; nous sommes ainsi qui pour le coup cherchont à donner chjerté ; un cxapital, le (grand) capital du culte ; nous donnons ces choses ainsi que nous faisons et faisons ainsi que nous donnons, nous faisons de la sorte des dons de cghoses moprtes, de la vie courante et trébuchante, et ces choses les déposons (les pieds nus, propres) sur un tapis propre (temple) qui est ainsi comme situé, sur un point précis du monde, ici et pas ailleurs : ce lieu de grand culte est ici, et non là ; il s’agit ici de cet endroit du bmonde, ou bien alors le monde entier est cet endroit de culte ?  ; le monde en entier est il l’endroit du culte ? ; a t on besoin de loucherie ? dfoit on loucher ? ; devons nous loucher de la sorte ? ; devons nous loucher sur un endroit précis, surveillé, et fermé à clé ? ; nous devons veiller à ce que les objets ne soient pas dérobés ; nous devons mettree ces objets de culte (de dépositions) sous bonne suirveillance, il s(‘agit de choses chères, porécieuse pour nous et préciieuses tout court ; nous devons placer ces choses, les plkacer sous bonne surveillance ; nous devons placer ces choses sous un oeil qui guette et surveille commùe permanemment ; nous devons faire cette chose ; faire en sorte que, nous devons ainsi, comment faire ?  ; nous debvons ainsi faire, nous faisons ainsi que nous faisons, et cela est ceztte chose d’un endroit mis en bonne garde, d’un endroit clos (cvloturé) mis en bonne surveillance , car il recèle d’objets de valeur, objets de valeur, il en est rempli : il est plzin de choses de grande valeur , du fait que ces choses ont été déposées en un lieu pareil : lieu qui fait la côte ; nous sommes qui faisons ainsi la c ote en faisant ainsi dépose ; nous faisons ainsi , vcote, par dépose, du fait que nous posons, que nous déposons, njous posons et déposons et disposons ; nous avons des chose de la vie courante, mortes, à deposer en ce lieu de culte et de côte ; nouys faisons qui déposons des choses, qui allonsgaiement à dépose, pazr les champs , jusqu’au point deralliement qui est ici cet endroit (ce temple) dédié aux choses à déposer : à nos pieds, car il s’agit tout bonnement et tout compte fait sd’un endroit situé à nos pieds : nous avons cet endroit, nous savons ce qu il en est, il zs’agit d’une sorte de temple-banque de données ; nous sommes qui savons cette chose que nous avons = )à nos pieds ; nous avons = à nos pieds ; il sugffit de voir vcvela , que nous avons (=à nos pieds) des choses à faire ainsi en sorte que les déposions délicatement, les posions avec soin, posions avec soin, sur un tapis, sur un socle, sur un sol, sur yun mur, sur de lma pierre, sur de la terre, sur de la glue, sur de la graisse etc, choses qui sont des lors (depuis) devenues valeurs ; nous les chouchoutons ; nous avons ainsi, à nos pieds (pléonasme), choses que avons ainsi déposé pour valeurs, ou comme (en tant que) valeurs de bourse, avons ainsi à déposer des choses données qui se sont vues des lors haussées, dans la game (échelle) des prix, et ainsi ,nos nos chose, nos données, nos dons, nops offrandes prennent (s’envolent) dans la gamme une hausse, dans la gamme des prix envol, prenent en vol dans cette gamme et ,ainsi , deviennent de l’or : transsubstantation ; nous avons ainsi découvert la cxhose, il suffit de laremarquer ; nous sommes des enfants en promenade, nous allons gaiement par les fourrés, et que gfaisons nous ? nous cherchons l’entrée de la groptte, nous faisons ainsi que nous recherchons, lea journée, l’entrée de la grotte du Mas, ou bien celle, qui est pleine de buissons ardents ; nous allons ainsi qui dfaisons rtecherche de chose d’entyrée, de groote ardentes ; nousfaisons de la soprte que fissa allons, dansant dansle monde : nous allons, njous cherchons, où doncx est la grotte ; nous aimerions trouver l’entrée et aussi nous aimerions aller ainsi , à l’intérieur, dedand la grotte, y entrer ensemble et découvrir les animaux peints, les bufflkes, les bicjhes, les chevreuils, sur les parois du temple  ; les buissons ardents, la chaleur, le feu dyu temps : nous alloons par ces chalezurs à la recherche d’une bête, sur paerois de grottr, la féaço n rupestre de peindre, découvrons et nous aimerions, ainsi, cette chose, faire ; nous tous, aimerions sur terre, cette chose faire : trouver sur la terre le buisson ardent derrière lequel est ou serait l’entrée de la grotte, tous nous aspirons, nous voulons, nous cherchons lm’entrée, nous sommes ainsi qui cherchons, qui allons, qui faisons cette chose, ds’aller à dépose, d’aller ainsi à dépose, d’aller à dépose ainsi dans la grotte, sur les parois, dans le temple, sur les murs, dans cet espacequi est dévolu ou dédié, qui est ce cube, cet espace cu bique, cette chose sacré où nou déposqons nos frusques et nos objets de faible poids en terme de cherté, njous le fgaisons et tombons lesdites choses, ploc, et ainsi tombvées (comme elles tombent) se voient rehaussées dun prix allant avec, comme sacrement ; avonqs ainsi choszes à o ffrrir qui sont choses mortes, mortes brûlées par le feu du temps qui opasse : ces chose, au fur et à mesure, tombent d’elles mêmes (de nos bras) et devienneznt ainsi choses mortes à donner, en offrande, encore saignantes ; nous faisons cela que nous disons ; nous faisons cette chose et court-circuitons ; nous allons par les chemins (nous sommes des enfanbts) à la recherche d’une entrée de grotte, njous allons ainsi pa r les chemins à la recherche d’une entr»ée de grotte, nous allons ainsi par (ici) tous les chemins quyi mènent à Rome, à la rtecherche d’une entrée de grotte, et nous trouverons, nous avons pour nous une étoile, nous cherchons, nous sommes en recherche active : nous courons la vie ; nous sommes enfant qui faisons offrrande , de temps pasdsés à rechercher pareillme entrée, nous voulonbs, nous sommes qui voulons, nous cherchons ardemment, nous voulons ardemment : nous recherchons, nous fouinons partout, nous aimerionstrouver cette entrée, nous cherchons une ezntrée, nous recherchons une entrée, nousaimerions en savoir davantage, nous allons ghaiement ainsi, nous voulons, nous recherchons, nous sommes qui recherchons, nous sommes ainsi qui recherchons et voulons et allons ainsi par les chemins à la recherche d’une entrée, qui puisse le faire, qui puisse etre, qui puisse convebnir, qui puisse azller, qui soit idoine, qui tombat parfaitement bien pour nous qui allons, qui fut, qui puisse, qui aille ; nous sommes en recherche : sommes des enfants qui sommes en recherche : nous cherchons activement : à pas cadencés ; nos pas signent la recherche, nos pas sont la recherche, il s’agit de pas qui vont de la sorte, vers le lieu qui est le lieu (exact) de l’entreé de la grotte ancienne ; nous pouvons car nous sommes jeunes ; nous allons car nous marchons vite, nous courons car sommes en vie ; nous marchons fissa car nous sommes vif sddans l’envie d’aller ici plus en avant (encore) dans le sens des choses, de ce qsui est qui nous attend, qui est devant, qui est entrée, qui est boucxhe et gouffre ; nous faisons ainsi que nous allons vezrs une bouche, une ouverture, une plaie ; nous amllons comme ainsi alons vers plaie ; nous solmmes enfants qui ici nous avançons ainsi et chgercghons de quoi, dans les preés, dans les collines avoisinantes, nousc cherchons de quoi voir entrée à proximité, nous recherchons ; nous sommes en rechezrcxhe, nous allons par les chemins, nous faiosons ainsi que nous allons par les chemins ; il y a des points ainsi ou lieu de culte, séparées ; il ya , il serait juste, il y a ainsi  : des points ici ou là, qui sont entrée et lieu de culte (de déposition, il est juste, il serait  juste ; il y a aimnsi, ici ou là, il y a ainsi des points, il y a ainsi des lieux qui sont des lieux de pose ou de dépose , il est ainsi juste, il s’avère ainsi, qu il est juste ou qu il serait juste, il y a ainsi ici ou là des choses de dépositions (offrandes ) qui sont justes, qui sont de justiczee, il semblerait que nous ayons des points de ralliement, de rassemblement, des cercles (sur la terre ferme) ici ou là et que ces points sioient justes, ou qu il soit juste ainsi que cela soit = points pârcellaires = poinbts ici ou là et pas laterre entière, et cela pourquoi  ? ; il semblerait qu il existat des points de ralliement ou de rassemblement (= de concentration) = des centres, des points de centre, des recentrement, autour d’un feu ou d’un foyer commun, des cxhoses ainsi , posées dans un cercle : à l’intériuer d’un cercle = point ; le cerclle est un point ; jnous avons ainsi qui allons, cvers des centres ainsi qui sont des points de ralliement, des points de valeur, lioeu de culte, table d’offra nde, lieu deralliement, de concentration ; nous allons ainsi à dépose ensemble vers des lieux de ralliement, comme lieux de culte ou tables d(‘offrande ; nous allons ensemble (enfants) vers des lieux de ralliement : ici ou là, car nous marchons, nous ne sommes pas empotés, njous sommes dégourdis, nous ne sommes pas gourds, nous sommes des feux folletsn, nous sommes vif lv’éclair, nous allons fissa et de ce fait : de pasen pas = de lieu en lieu (les bottes de septv lieux)  ; nousfaisons des pas = nous faisons ensemble des pas d’enkjamnbbée et c haque pas est lieu de culte : séparé ; chaque pas est liuue de cuylte séparé du monde, car nous enjambons le monde, nous sommes ainsi qui enjambons, nous faisons cette chose d’enjamber le monde et ce permanemment : nous faisons ensemble des pas d’enjambeé et chaque pas est point, est lieu élu, est culte, temple, et lieu de valorisation sdes pas et des choses de dépose à commencer par les pieds  , propres de préférence) ; non : sommes qui fdaisons dees pas = posons les pieds sur la terre ferme, et les pieds ainsi posés sont peutetrre tout crottés ou pas, nous faisons des pas peut-être de nos pieds crottés ; chaque pas marque une empriente, chaque empreinte est sacrée ou reconnue (valeur) en tant que telle : nous faisons ainsi, comme preuve (des pas d’enjambée) de nnotre passage, de notre pâssage du coup ici même, là et pas là ; npus faisons ainsi qui allons ainsi, par les champs, sur la terre ferme, en pas d’envolée, nous touchons terre ici et là , et chaque pas est consacré, estc lieu, est marque, est empreinte, est lieu dit ; est lieu ; est empreinte ; est lieu qui est dit, par le fait du pied (sale ?) qui se pose, qui fait sa dépose : offrande ; nous faisons, nous  allons ainsi à pas parcellaire ; morceau du monde à chaque pas faisons, et disons, nous faisons et disons le nom (le lieu-dit) et ainsi faisant allons de la sorte, allons vers sorte de choses, allons ainsi vers une sorte de choses juste ou qui est de justice : chaque pas cvompte, chaque pas est pris en cxompte, de nos enjeambeés aériennes ; nous faisons qui faisons dees pas ( = d’enjambée) et à chaque pasd (emprienbte) nous donnons nom et cela est qui devient tapis, qui devient lieui, qui devient lieu dit, borne et marquage au sol : nous sommes les enfants du marquage au sol, bornage et arpentage cadastral, par vol d’enjkambée céleste, pas à pas, qui marquent à cxhaque fois (inscrivent, initient) des lieux qui ainsi sonbt points et donc se mettennt en sorte d’^tre des endroitrs de culte = de valeur : ivci et pas là , c’est à dire ici où notre pied a touché terre et pas là où notre pied (à co^té) n’a pas touché terre ; ainsi faisons, et ainsi allons et peu à peu faisonsq (de pluys en plus) de laterre entière : lieux de culte, du fait des arpentages successfis et nombreux, de plus en plus nombreux, faisons dee la sorte, faisons ; nous allons ainsi, de jour en jour et de plus en plus, déposer nos pieds sur laterre ferme, ; nous allobns ainsi faisant, et augmentons ainsi le nombre des lieux,  qui deviennznyt de fait liuex de culte, alons qui peu à peu augmentons le nomnmbre dees lieux dits, arpentons large et augmentons la taille (ou le nombre) deslieux qui deviennent Lieux, qui deviennent lieux sérieux, lieux à chaque fois comme pris en grande considération comme cultuelle ; nous allonsainsi et faisons et essayons, et cherchons une entré, à pas cadencé, et chaque pas pose le pied, et chaque pied  posqé devient lieu de culte sacré ; n,ousfaisons qiu allons ainsi à dépose de pied, qui signents, qui disent, qui incitent ainsi ; qui désignent, nous allons ainsi et gravitons (gravité) ; nous sommes qui faisons des pas et chaque pas est pied posé = dépose = don ; chaque pas est un don, sur la terre ferme ; il s’agit à chaque pas d’un don ds’offrande ; nous alloons ainsi, brûlant nos semmelles, nous allons dee la sorte (sortie) brûlant nos semeklles, nous bru^lons le temps (passé par les flammes), nousallons ainsi qui donnons ces temps morts (ce passé par les flammes) à  paschassé, grandes foulées, sur la terre ferme, marquant nos empeirentes de passage vif, marquant nos empreinte ou de nos emperintes un passage vif, alerte, éclair, nous alloons ainsi qui marquons ici de nos empreintes nos passages écvlairs, et chaque empreinte est marque au sol d’un tempq$s, passé par les flmammles = offrandes ; nous donnons ainsi à la terre , nous donnons ainsi à la terre mère, nous donnons (faisons offrande) ainsi à laterre , de nos empreintes, des emperintes de nos pas chassés, nous donnons ains i à la terree des marques = pieds posés, marques de pieds posés à pasd chassés et cadencés, et ces marques sont points , deviennent des points, punctum, sont ainsi des points, piqures, sur la terre ferme, et sont dons à la terre, dons-offrandes, de ce temps passé par les flammes = mort ; nous essayons ainsi, nos mots sont des depots, nos mots cvomme nos pas, nos mots sont déposes ; n,ous allons ainsi , par les champs, à dépose de pieds et de mots attenants, cadastraux ; nous nommons les lieux de nos pas chassés ; nous sommes enfants qui allons ainsi ainsi nommant les champs et faisons de la sorte sortie (de nos capes du temps) au fur et à mesure de nos enjambees, vers une ezntrée (nouvelle) de grotte , et allons ainsi , vers une entrée via une sortie : enjambées ; nous sommes qaui allons ainsi, d’entrée en sortie et de sorties en entrées ; nous chassons nos pas de la sorte, et fissa allons ; nousq sommes ainsi qui ensemble allons vers le futru, qui filons fissa vers demain , qui donnons marques sur le sol, ici ou là , et non pas partout d’un seul coup, mais ainsi faisant : enjambzeées, pas cha ssés, cadence, cadastre, géometrees nous-mêmes de nos pas chassés, nous sommes qui allons ainsi ; nous marquons cela, qui faisons ceci = des pas$ ; nous sommes qui faisons ceci et allons ainsi pzar les bois et par les champs, à la recherche d’une entrée de grotte ...  ou de quoi d’autre ? un trou dans la terre, un trou qui soit une sorte d'entrée pour une découverte souterraine, à type de grottr rupstre, avec parois pientes, animaux sauvages ou d’élaevage, dessins sur la roche, gracvures, à-plats, peintures animalières, offrandes, sacrement, sacrifices, holocaustes, etc, sur parois lav»ées, propres et mises à la disposition de l’artiste-donateur = la personne qui pose son pied, qui va de l’avant = vivante ; nous faisons ainsi recherche par champs et pré , d»’entrées de grottes anciennes ; nous voulons trouver ainsi arentrée de grotte, njous voulons ainsi trouver entrée de grotte et recherchons, furetons, courons et allons ainsi à sa recherche : où est-elle ? ; njous cherchons ain,si une sorte d' entreé dans laterre m ère, u n trou, une faille, une fente, un endoitr où se loger, nous cherchons un abri, un temple, une église, une maison, un toit, une pièce blanche, un espace de dépot, où nous nous déposer ou un peu de nous = temps morts ; nous cherchons un endroit de dépose, nous cherchons endroits de dépose, nos pas ; nous traço ns de nos pas, nous dessinons (emprientes) avec nos pas, soit de nos pieds, nous traçons, nous dessionons de force, nous sommes qui traçons de force, avec nos pas qui vont, marques sur le sol, xcxomme autant de dons ou d’offrandes = temps dès lors passés par le feu = par le feu des pas, des enjambées vives, vifs, pas vifs, enjambées vives ; nous allon s ainsi qui dessinons, sur la terre ferme, avec nos pieds, des marques au sol, qui sont ici marques d’enviolées (d’enjambées) et qui signent notre passage ; nous allons ainsi qui signont avec nos pieds, njous allons ainsi qui signons d’avec nos pieds, nous marquons, nous marquons des choses avec nos pieds, njous marquons-signons notre passage = signatures ; nous sommes qui signons notrte passage = enviolée, foulée, enjambeée, de marques ainsi sépârées, lointaines les une des autres ; nouys ne voulons pas ainsi aller faisant, nous voiulons aller allant et, cependant, nous faisons : marques au sol, comme autant de dons ; nous sommes qui faisons = marquons  ; nous sommezs qui marquons notre passage ; et du coup, toutes ces marques accumulées font  que laterre entièxre est devenue la Chose, est devenue comme la Chose, avons ainsi qui pour le coup avons (à force)à qezmprunter-arpenter nous-mêmes l’ensemble du monde ; nous avons ain si comblé ; nous avons ainsi saturé le monde de nos pas chassés, et à plusieiurs ; nous avons tous , toutes, ainsi, passé ainsi, avons tous, toutes, ainsi ;-, à force de passage à pas chassés, saturé la surface du monde = comblement= plénitude ; et de ce fait nous avons fait, de l’ensemble du monde, le Temple ; avons de ce fait fait , de mla sorte, du monbde, un Templ ;e, ou bien une tezrre d’oofrande, terre entière comme table ? ; nous avons ainsi marqué partout, ou bien comment avons marqué ? ; nous sommes qui faisons ainsi des marques, et nos pieds dès lors laissent des empreinbtees, et chacune d’elle est une oeuvre : à ne pas souiller, à ne pas salir, à ne pas effacer, à conserver, mais où et comment ? ; dans des endroitrs peut-être surveillés, à part, isolé ( des ilots, des iles) et qui puiisent ainsi nous permettre, de garder une valeur, de gharder valeures, de conserver ainsi des valeurs, ou valeur aux chose ou à des chosesxc : valeurs ; nous avons ain si à devoir condserver de la valeur à ici certaines choses et donc à protéger ces choses (ces pas, ces traces de pas) deéjà d’autres traces de pas, qui viendront s’a:monceler au même endroit ; nousq avons ainsi à prpotéger ces traces de soi (nommés, identifiés) d’autres traces d’autres personnes qui viendraient ainsi, par dessus, effacer , recouvrir, abimer vos proprestraces, en pazssant au même endroit sur terre etc, il s’agit de passages fréquents, il s’agit du fait que nous sommes nombreux (de plus en plus) et que le risque est grand (de plus en plbus) de voir vos marques (oeuvres) ainsi recouverttes, abimés, bousculées par d’autrezss passages de gens, et don c il est important des lors de les protéger, de les enfermer, de les mettrre oà lk’abri desdits passages ultra-fréquents, et de leur conserver a$insi toute leur valeur , ou de leur donner ainsi un e valeur que les foulées (la foule) par dessusc leur auraient ou lui auraient oté ;  ; nous veillons oà ainsqi conservcer (donner) valeur à pareilles marques au sol , de la trace de vos pieds nus ; ou de nos pieds nus ; nous marchons , et chaque trace de nos pazs est comme sacrée ; nousd marchons à grande enjambée, par enjambée, et cers eznjambzéesq laissent des marques au sol, laissent marquent au sol, et ces marques sont des dons, desv marques qui désignent, qui nomment par désignation, désignation -arpentage ; ces marques au sol (traces mortes) sont ainsi des dons, des offrandes, sur laterre mère ; nous faisons ainsi qui faisons des offrandes à chaque pas ; évitons dee les souiller, conservons les : traçons autour des (comme des) clotures ; desq encveintes ; des clos ; des piquets sont là qui délimitent, pour chaque pas, une zone à ne pas fouler ; il y a ainsi pour chaque paslaissant sa marque une cloture, une zone délimitée, nousfaisons ainsi ; nous domnnons ainsi à chaque pas, à chaque pas (de fait) d’enjambée ; nous agissons de la sorte, nous sommes a insi qui agissons de la sorte, nous essayons ainsi d’agicr de la sorte, en délimitant, en protégeant (par zonage) des lieyux de dépose (de pieds) sur la terre ferme : sur ce sol en dur qui est la planche, la squrface plane, par où déposer nos choses mortes (brûlées) comme traces de pieds ou autres traces sur le sol ezn dur = sur la terre nourricière ; nous sommes ainsi qui essayons de (pour le coup) sa voir, qui creusons, qUi cherchons : où donc se trouve l’entrée de la grotte ; nous faisons -agissons ainsi, nous allo ns ainsi par les chemins, nous disons que nous veillons à sauver des traces, nous disons que nous veillons à sauvegarder, à sauver, à conserver (certaines traces, certaines marques, certaines choses de notre passage) en lieux sûrs = policiers ; nous faisons ainsi attention àà bien conserver par devers nous des choses (au sens large) que nousq nous empressons ou du moins que nous veillons à conserver à l’abri de tout ce qui pourrait leur nuire, et faisant cela , nous donnons crédit (importancxe ) à ces chodses, et du même coup nous donnons une certaine valeur, d’estime et marchande, l’une découlant de l’autree, à cesq ditees choses que nous conservons, que nous p rotégeons de tout contact qui pourrait leur etre nuisible ou néfaste ; nous veillons à bien conserver les traces de nos pas (emprientes du temps) ; nous veillons ainsi, dans nos temples aux murs propres, dans nos écrins, en nos écrins, àç conserver intact, pour les sièckles des siécles, des temps morts ; nous voulons ainsi fdaire  = conserver des chioses mortes, conservers dfes choses qui sont mortes, les poser, les disposqer comme autant d’okfrandes : traces de nos pas d’enjambée ou de foulée humaines ; nous veillons à conserver ainsi pareilles chgoses dans des galerireszs, fermées à clé comme des coffre forts : pour pl ;us dee sureté pour les siecles des siècles ; nous veillons ainsi, nous conservons, nous gardons, nous veillons, nous sommes à veiller, nous faisons des rondes, des toursn ,, nous nous relayons, nous ne sommes pas seuls à veil ;er, à surveiller, il y a toute une infrastrucrture, tout un dispositif, nous avons une infrastructure, un dispositif complet , qui noud permet de conserver toujours ubn eil sur la chose ainsi porotégée (et du même coup valorisée)  ; njous vbeil ;lons à coinserver un oeil (en permanence = une permanebnce) sur l’objet ainbsi gardé à part, et protégé de toute salissure ou de toute souillure : gardons-le propre, c’estc à dire tel qu il est, au final, qauand bien même il serait sale ; il est ainsi qu il est préférable de conserver, au propre et en propre (signé), leuvre de l’artiste = ici latrace du quidam, qiu donc est trace sauvée là, quand ailleurs elle ne l’est pas : montage de chose articulées ; il s»’agit de montage de chosesx articulées entre elle : disposition pour un dispositif, comme sur pierre d’offrande : tapis, tapis vo ;le ; nous voyons ainsi voler dans les siecles des siecles, pareil tapis, avec sur le dessus des choses disposées (=art) d’une manière (x) ou d’une autre (y), et ces choses ainsi sont comme sur tapis volant, sont comme surélévees, haussées, soit ainsi faites ; il s’agit de co nsqervation-surélévation = élévation-protection: abris ; nous avbopns ainsqi des abris parasismiques pour des o euvres d’art = o euvres d’homme ou de fe:mme l ;aissant derrière eux et elles des tra ces de lezur passage et ainsi de suite ; nouys avons des suites ainsi de choses et autres laissées derriere, ou laissées au dserrière, et cers choses sont alors récupérées en cela qu elles bénéficient d’un contournement afin de les pouvoir con server intacte (au fil du temps) le pl ;us possible ; nous sommes ainsi qui faisons des choses de nos mains, ou :marquons le sol de nos pas, et cela que nous faisons devient oeuvre d’un temps qui est (de fait) mort pour nous , un passé (par le feu) que nous disposons (avec soin) sur un socle ou sur un plateau, et protégeons de tout vandalisme ou de tout type de détériroation, de tout type d’abimage, nouys voulons ain si ; nous disons ainsi ; nous faisons cette chose : de protection ; nous faisons cette chose d’une protection des choses déposées, sur tapis d’offrande (volant, dans les siècles des siècles) ; nous faisons ain si, cette chose, et nous veillons à ce que, cela (ces choses) , ne soient pas touché par des mains cracras (ou impures) ; nous veillons à ce que la chose ici restât, ou restît propre , restât proppoore ; il s’enb faut de peuu ; njous veillons et nous surveillons ; nous avons aussi des yeux pour surveiller l’oeuvre ; nos yzeeux visent à veiller sur l’oeuvre, nous voyons leuvre ezn elle même (peut etre) mais surtout l’oeuvre à surveiliier ; nous sommes les matrons de loeuvre, nous veillons sur elle = nous veillons sur l’offrande, sur le don, sur cette chose en holocauste, ce temps donné qui est temps mort car passé : il s’agit de passé, il s’agit d’un temps passé, il s’agit d’un temps (ici) pass

é par le feu : brûlures ; nous veillon s sur nos brûlures, nous veillons sur des brûlures, cela es t chaud, nous devons veiller à ne pas nous brûler au contact ; ne toucjhons pas l’oeuvre qui br^ule, ne touchjons pas loeuvre-brûlure, ne touchon s pas l’oeuvre car elle brûle son passé, ne la touchons pas car elle est brûlante, nous risquerions de nous brûler )àà notre tour  ; oeuvre chaude, brûlante, hyper-chaude ; nous avons ainsi à bien faire attention à ne pas nous brûler à son contact, nous veillons à cette chose ; nous veillons sur la flamme, il est important de veiller sur la flam:me, il est imoprtant de veiller comme il se doit sur la flammae , à savoir : l’empecher de sq’éteindre etc ; il est capital, il semble qu il soit capital, de veiller sur la xchose, ainswi déposée et disposée ; nous veillons avec sérieux ; nous devons veiller avec un grand sérieux et faire en sorte que la chose , ainsi disposée àb même le sol, ou sur les murs propres, puyisse ainsi étant traverser les temps ; nous veillons à ce que pour le coup la chose (l oeuvre) soit ainsi sous protection ou sous telle protection que rien ne puyisse lui tomber dessus et l’abimer, nous veillons d’un oeil, nous survceillobns les spectateurs, leurs gestes, leurs façons  de déambuler autour des marques de pas au sol : que personne ne viennent y passerr dessus et les fouler, que personne ne vint à depasser l’espace autour de l'oeuvre = autour du pas, esqpace de protection ; qyue persobnne ne vienne saccager les plates bandes ; que nul ne vienne à saccager ni les plates bandes de l’oeuvre, ni l’oeuvtre elle-même, il est important de bien regarder l’ensemblke des personnes étant amené à tourner ou circuler autour des oeuvres ou des marques de pas (enjambée) sur la terre ferme : nous veillons, nous sommes à l’affut, chasseurs ; nous veillons ainsi, nous surveillons de la sorte, nouys devons ainsi, nous sommes amenés ; nous voulons surveiller et nous surveillons ; nous vboulons que l’oeuvre, la trace, la chose restassent intactes, car la chose intacte est plus belle = plus valorisée ; ou comment dire : la chose intacte a plus de valeur, la chose intacte est pleine d’elle et rayonne en plein, la chose abimée ne rayonne pklus, elle se dégonfle, elle est ballon qui se dégonlfe et perd de sa squperbe, de son étant soi ; une chose ici abimée meurt deux fois ; il s’agit ici d’une valeur qui meurt, une valeur surajoutée, nous veillons à la valeur cdes choses exposées, à la valeur des choses disposées, nous veillons à la valeur des choses disposées et déposées, de lécrin à la xchose, nous veillons ainsi : à la valeur des choses montrées, à cette valeur surajoutée , comme en supplément de l'oeuvre : cloture, piquets, barbelés, etc autour de la trace du pas de l’homme ou de la femme aux enjambées, l’arpenteur-arpenteuse terrestre ; nous voulons ainsi, protéger latrace de toutes sortes d’envahissuers ou d’envahiisement, ce peut etre la pluie, ce peut etre des vers, des microbes de type acariens, ce peut etre des mites ou des puces de plabncher, ce peut etre le fait d’un vandale etc ; nous sommes la police, nous sommes de la police, nous sommes des policiers, nous allon s ainsi faisant des tours de garde : quarts pour chacun à tour de rôle ; nous allons faisant, nous faisons ainsi quui ragardons les choses disposéeset ces choses sont adressées, visent un public, visent un oeil,, visent des yeux autrees que les nôtres (soit ceux de surveillants purs et dures, ou plu ou moins purs et durs) : ; nous sommes qui vezillons (comme des gens de la police : par tours de garde et rondes réitéreées) l’ensemble (protégé) des pas sur le sol ; bnous sommes qui ensemble conservons ainsi, et protégeons ainsi, et surveillons ainsi, ces traces (ici) de pas d’un animal (mort et enterré depuis) ou bien de qui  ?  d’un homme ou d’une femme auussi pareillement mort ou morte et enterrés pareillement depuis ; nous vbeillons, nous avons les yeux ouverts, loeil ne dort pas ;

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25/02/2020

nous sommes à l’abri, nous sommes à l’écart des dangers, nous sommes dans la grotte : white cube ; nous voyons les choses d’un oeil apapisé ; nous voyons un ensemble d’un oeil apaisé ; nous voyons la paix, nous voyons l’intérieur de ladite grotte que nous occupons : nous sommes à l’intérieur et nous voyons ladite grotte que nous occuponss, comme une pièce de protection : où nous pouvons, ainsi, nous poser, nous détendre, nous assoire, nous mettre à l’abri ; nous avons un abri ici en cette pièce blanvche (ou pas) mais neuttre , en cela qu elle permet dépose, elle permet cela : une dépose en bonne et due forme = proptre, arrangée, attifée, etc ; nous avons ici, dans cette pièce ou grotte, un espace de détente, de recul et de paix, hors du rang des meurtriers, etc ; nous sommes qui avons ici en cette grotte un espace sûr, un espace blanchi à la chaux : un cadre, un espace nu et blanchi à la chaux qui est le cadre, qui est l’écrin, qui est la grotte à parois nues, à parois porteuese, nous avons une chose ici pour nous, et cette chose est cette chose que nous sommes nus, que nous sommes comme nus, que (à l’intérieur de cette grotte) nous sommes (tous ?) comme nnus, à savoir que nous entrons ici (white cube) comme dans une grotte, nous entrons comme dans une grotte préhistorique, nous sommes hommes d’un autre age, nous entrons ainsi comme nus, et nous nous enfermons ainsi, à l’abri du monde et du ressac ; nous sommes des hommes et des femmes ; nous avons un nom, chacun son nom ; nous avançons ainsi sur nos deux jambes ; nous allons ci faisant à l’intérieur de notre grotte et nous nous y calfreutons, nous nous y serrons (de la sorte) à l’intérieur, nous nous collons aux parois, nous allons ainsi en ce lieu de paix ; nous sommes ainsi abrité ; nous sommes à l’intérieur d’un lieu de paix ; nous sommes à l’abri ; ici nous sommes comme à l’abri ; nous sommes protégés par les murs et le plafond ; nous sommes comme protégés par les 4 mrurs et le plafond de ladite grotte , white cube ; nous avons oté notre couvre chef ; nous sommes qui otons le couvre chef ; nous sommes à l’intérieur de la grotte, nous sommes entrés à pas comptés et à présent nous voyons des choses, des choses ici sont déposées, nous sommes qui voyond des c hoses dféposées ; nous sommes entrés et nous voyons des choses déposées, nous voyons les depose minute, voyons les dépose, les dites déposes ; nous sommes qui voyons les dites dépose, nous sommes qui voyons ainsi les dites dépose , ici, sur des autels, sur des colonnes, à même le sol, ou bien sur les murs, ou bien pendus au plafond, ou bien sur des socles, ou bien autrement ; les choses ici sont à dépose = à nos pieds ; nous sommes des pieds ; nous sommes des pieds sales ; nous sommes des pieds et nous avançons, ainsi, entre : entre et parmi, nous avançons enttre et parmi ; il y a des chose, il y a foultitude de choses diverse, il y a monceaux, il y a tas, il y a détritus, il y a des collages de choses diverses, en x dimensions, collages divers de chose et autre : tas, ossements, calcinations, choses bru^lées ou non, animaux naturalisés ou non, animaux morts, animaux brûlés etc ; nous sommes à l’intérieur de la grotte et nous voyons cela qui nous effraie (?) ou pas : ces betes mortes, ces betes offertes, ces brulures, ces choses calcinées sur pierre d’offrande  ; nous sommes qui avons ainsi cette chose là : cette chose d’une table, d’un devant de soi qui est présent de soi, qui est son propre temps au :monde , cette chose ; nous avons pour nous chose, qui est ce temps qui est dépot, qui est déposition, qui est brûlure, qui est calcination, qui est chose morte mais point de nous, point d’une mort qui serait nôtre ici (pas encore) mais mort à tous les coups : nous, nous avo,ns, nous sommes dépose, nous avons dépose ici qui est (donc) ce dépot d’unn peu de quelque chose mort à notre place , c’est-à-dire : un peu, ici, de la mort offerte en offrande (sur pierre de table) et cette (donc) petite chose de la mort, ou cette mort de peu, ou ce peu de mort autre (cet animal par exemple) est prédsent au monde, offert en attente, offert en continu afin de faire patienter le monstre, afin de faire attendre ... qui ? le monstre, afin enfin , de faire attendre ainsi, le monstre de la mort venue, le monstre venu de la mort, le monstre du lointain, le monstre-monstre qui donc est, celui ci, que nous disons , lorsque nous disons : «autre», cettte chose, ce lieu, cet emballement dans cette aspiration , dans cette aspiration envers nous, dans ceeet soufflerie aspirante du temps, des moments du temps ; nous poussons ainsi les choses: pas à pas ; nous sommes en intérieur, nous avançons ainsi, nous sommes dans la grotte, nous voyons la grotte et ses paroois, nous sommes ainsi qui voyons la grotte et ses parois ; nous sommes à l’intérieur de la grotte, nous sommes en intériuer, nous sommes à l’intérieur de la grotte et nous regardons les parois, nous sommes ainsi qui regardons : nous sommes ai nsi qui voyons, qui regardons  ; nous sommes de la sorte qui voyons, qui regardons, qui voyons les feux ; nous sommes qui voyons les feux, les animaux morts, les os, les choese ainsi offertes, de fait, au dieu temps, sinon à qui ? ; nous sommes qui voyons les choses, brulées a ,notre place : choses de substitution, offertes en continu, qui sont le temps du monde ainsi déroulé en fumée , dans une sorte de grotte à parois, dans un cube, une boite, un lieu clos ; nous sommes qui faisons de la sorte allégeance et ainsi allons par les voies tracées, nous sommes dans une grotte, nous sommes au pied de la table aux offrandes : en permanence ; nous offrons en permanence, ce présent à notre place, nous sommes qui offrons présent (de nous) à la place de nous, nous sommes ainsi qui offrons cette chose d’un présent de nous (calciné) à la place de notrte propre nous effectif ; nous offrons un substitut, nous offrons chose à la place de nous = de nous morts ; nous n’offrons pas nous morts, mzais un quelque chgose d’autre que nous et mort , pour le coup ; nous offrons ainsi quelque chose de mort à notre place, nous offrons ainsi sur table = socle = pupitre = vitrine = caisse ou caissette au sol ou sur les murs ; nous offons la mort mais non point la notre (encore)  : subsitut ; nous sommes à l’intérieur ainsi et nous offrons la mort en continue : prése,nt = temps de vie ; nous offrons notre temps mais non point notre etre mort, nous sommes qui offrons, de par ce fait d’etre en vie, iun peu de nous , ou plutot un peu beaucoup de notre temps, un peu cela, ou beaucoup cela : ce temps qui est ce présent offert sur socle, sur panneau, sur tenture, sur bache, sur conduit, sur pièce, sur chaise, sur ballon, sur seuil, sur choucroute, sur piege etc ; nous sommes ainsi offrant ce temps présent en continu à notre place = à la place de nous comme étant morts : pour le coup ; substitut, tromperie surv la marchandise, holocauste trompeur, fumée aux yeux ; nouys avons ainsi cette chose à offrir et nous le faisons ; nous avons chose ainsi à offrir et nous le faisons ; nous essayons ainsi , cette chose, cet holocauste, ces brulages, ces choses brulèes calcinées, nous essayons (en quelque sorte) de les amener ainsi, de les déposer ainsi, en échange = en lieu et place ; nous ne tremblons pas, nous posons délicatement, nous exposons = nous posons devant = dans le temps ; nous exposons ainsi devant , cjhose et auttre, ; nous faisons cette chose d’exposer ainsi devant des choses formant grotte avec table d’offrande et brulage et fumée de brulage ; nous sommes ainsi qui faisons cela  ; cvhose de brulage, chose ainsi, chose de la sorte  = chose de brulage ; nous faisons ainsi , qui faisons ainsi chose d’un brulage de bete saignantes ; nous allons marchant, nous sommes à l’intérieur d’une sorte de grotte à parois, à faces, et nous allons ainsi vers cette table , vers cette chose d’une offrande, nous sommes, nous sommes ainsi qui faisons du feu et de la fumée ; nous sommes ainsi qui faisons du feu , et de la fumée, qui offrons, qui disobns la mort à la place de faire la mort, ou disons : qui disons la mort par offrande ici d’animaux brûlés , à la pla ce de nous donner (nous) en holocauste, nous mêmes ; nous sommes ainsi : tricherie, tromperie, et cette chose de cet holocauste est une tromperie, une tricherie ; nous sommes qui cherchons cela : à tenir encore, hors du rang des calcinés etc ; nous sommes qui essayons, qui tentons, qui essayons cette chose, de nous tenir encore à l’écaert, de tenir ainsi : encore à l’écart, nous tenir ainsi, encore à l’écart de cette chose, en offrant un peu de cette chose, ici, sur table d’offrande : cette mort-à-notre-place que donc nous donnons en tant quil s’agit d’un présent = le temps (le notre) qui nous voit pour le coup etre en vie ici et maintenant : nous allons, nous faisons, nous nous fatiguons, nous lambinons, nous chassons, nous musardons, nous avons des impératifs, nous allons nous mettre en chasse de choses à manger, nous sommes des hommes nus, nous sommes des hommes qui chassons nus ; nous avons des choses à ioffrir ; nous domnnons par procuration ? nous donnons des choses ainsi, nous déposons différents butins, nous essayons de disposer ainsi des choses sur pierre de table et du coup de les offrir ainsi (à qui ?) à notre place = à la place de notre etre mort ; cela peut attendre ; nous voulons ainsi faire durer, nous bvoulons de cette sorte faire durer la chose ; nous voulons de cette façon faire = durer : la chose ; nous voulons, nous avons en vie, nous sommes qui avons en nous ainsi en vie, de faire, d’agir, daller ainsi, vers cette chose , d’un délai, d’un temps d’attente, d’un parcours ainsi qui nous protège ; nous voulons ainsi faire cette chose, de nous tenir un temps soit peu, un tant soit peu, un temps soit peu à l’écart de cette chose , dun nous mort , alors nous déposons des choses à la place = art, art car disposés : poszés disposés, posés ou déposés mais aussi disposés = art ; cela est ainsi que cela est, que pareil déposz ou pareille dépose est disposition = aert, sur table d’offrande, dans ce lieu de grotte v(gtrotesque) et ainsi faisons des grimaces, ainsi truquons de la sorte, ainsi faisons pour complaire, pour faire semblant, pour faire durer, pour tenir le temps par devers soi, pour aller ainsi dans une attente, pour faire durer ; nous sommes qui faisons ainsi des dépots disposés de telle sorte (art) que nous pensons que cela peut peutetre , quioo ? jre ne sais pas ; quelque chose est là qui tombe comme il tombe : de nos bras ; nous avpns donc, à disposition (dans nos bras), des choses qui sont ainsi que ce sont des choses qui sont posées par nous, et qui dit posées par nous dit disposition, dit installation : d’une manière ou d’une autre ; cette installation (disposition etc) est donc une offrande, une chose offerte en lieu et place de notre corps (etre) mort, ;,nous sommes qui faisons offreande ici du temps à notre place ; nous sommes qui faisons offrande du temps (disons au monde) à la place ou en lieu et place dee notre etre (mort) ; nous donnons le  temps présent = le temps , en lieu et place de la mort de l’etre (du notre)  ; nous sommes ainsi danbs une offrande au sol, sur cimaise, par les murs ou autrement, sur tapis ou sur sovcle, ou dans un écrin blanc, ou bien sur un mur de cha ux, ou sur un fond uni ou sinon propre pour le moins, proprement disposé , disposé proprement, qui dit disposition dit propreté ; qui parle de disposition obligatoirzement parle de proprété, il s’agit ainsi d’un euphémisme, il s’agit d’une tautologie, d’une lapalissade, disposé ipmlique propreté de la disposition : obligatoirement et donc souci  et soin ; etc ; nous avons des choses ainsi, devant nous, qui sont le temps de nous, en une sorte de disposition ou d’installation sur pierre de table, et nous voyons ces choses-ersazts, nous sommes ainsi devant, ou derrière, nouds avons de face, nous voyons ainsi ces choses qui sont devant nous à la place du mort ; qui sont mortes, qui sont devant nous de la mort, mais non point la notre encore : ouf, uffa, le temps là, le présent (le nottre) à notre p^lace ; nous allons ainsi qui fdaisons ainsi des chose, qui faisons ainsi des chgoses et allons de la sorte ; nous faisons, nous allons, nous déposons, nous posons , nous disposons du temps, nous disposons de temps, nous disposons de cette manière ou bien de cette autre, quoi ? du temps ; nous disposons ainsi des choses du temps en offrande, sur pierre plate (plateau, assiette, plat, soucoupe) et (ainsi fait) nous espérons : nous prions que cela le «fasse» à notre place, ou bien : que cela puisse le «fair» en lieu et place d’un nous mort déposé-disposé sur table, sur socle, à plat ; nous prions que cela pyuiise mùarcher, que ce temps offert puisse marcher, et jouer le truc, et faire office ; nous avopns cet espoir de nous dire ainsi cette chose, que le temps ainsi déposé (disposé = art) est du temps pour office, pour faire office, pour tromper le monde : tromperie ; cet art est inéluctable ; cet art de la table est inéluctable, il s’agit d’une chose plus forte que nous, nous disposons et ce faisant le faisons avec art, car : nous ne pouvons agir autrement qu en particulier ; notre façon est façon de particukiers ; nous avons chacun notre façon (art) de faire la chosec : disposition ; dé»position )-disposition ; nous avons chacun une manière différente (art) de faire cette chose (inélucaatlbe) d’une déposition sur table = disposition, qui donc implique une faço n neuve pour chaque dépose, une sorte de chose noucvelle à chaque dépose, une disposition renouvélée, une disposition fraiche : de choses et autres en offrande ; nous soommes qui faisons ces chgoses de la sorte, qui allons ainsi comme faisant des choses en offrande, nous faisons cela que nous offrons des choses, des objets, des oeuvres, des choses qui sont mortes, des choses et autre toujours mortes, nous tuons dans loeuf et donnons, et offrons, sur table d’offrande, choses et auttres, nous offrons ainsi des choses, nous offrons un peu, nous donnons un peu, nous donnons du peu, nous donnons peu car beaucoup ce serait donner nous, nous en entier c’e’st-à-dire nous mort en entier = complètement ;, tout notre etre  ; donner notre mort à nous en offrande ; et cela serait beaucoup pour le coup et non peu comme ci devant : offrande de disposition en groptte ; nouys offrons en disposition, nous offrons dispositions, nous offrons au monde, nous donnons à la face du monde, nous donnons au visage du monde, nous offrons choses diverses (mortes) à la face du monde : ersatzs, nous donnons erszats, et allons ainsi donnant : priant ; nous espérons, nous espérons ainsi (art) pouvoir tromper le monde, l’enfumer, l’étourdir un temps, le temps de notrte vie ; nous espérons (prions : prière) ainsi faisant, d’étourdir ou étourdir ledit monde, et nous, de nous tenir à l’écaert avec rire sous cappe (un temps) ; oui, nous avons bon espoir de poasser ainsi et de nous y (pour le coup) retrouver ainsi sans passer ainsi à trépas trop vite, ou trop brutalement ; nous sommes qui faisons (ainsi) tricherie : donnant des betes (en pature) en place de nous, ; nous faisons ainsi, nous sommes des coquins, nous sommes des margoulins ; nous allons de la sorte , enfumant le monde ; nous sommes de petits malins ; nous sommes le mal, nous sommes mal, nous sommes immoraux, nous sommes des tricheurs, nous sommes des petits malins-)tricheurs ; nous sommes des margoulins, nous sommes des petits futés, nous sommes des petits coquins, nous sommes petrits, nous sommes des petits, nous sommes enfantins, nous sommes des enfants, nous sommes enfanbts qui faisons ainsi : le mal en tricherie, en tromperie, ersazts, subsititut, etc ; nous faisonqs ainsi que nous didsposons, comme des enfants, de la mort sur table ou tableau : sclupture de mort, sculptrure de choses ainsi comme mortes, offertes en présent, à la face du monde, en lieu et place (lieu et place) de notre prop^re mort offerte, de cette mort de nous (de notre être) qui serait offerte, qui serait ainsi offerte, qui serait donnée de la sorte, qui serait ai nsi déposée, qui serait posée, qui serait ainsi mise, disposée, installée, disposée de cette manière ou de cette autre manière = art, art inéluctable ; avec ainsi art ; avec ainsi art de la disposition , avec ainsi disposition = art , de touteezs les manières ; avec art en soi ici = inéluctable, puisque lié de fait (en fo nd) au fait de la disposition sur table, tableau, tablette etc ; nous avons ainsi résolu la chose ; nous avons ainsi découvert un chemin ; nous allons ainsi faisant par les chemins et entrons de la sorte : dans la grotte ; nous sommes dans la grotte ; à présent nous sommes dansla grotte ; nous voyons ce que nous voyons : images de chosesq diverses disposées ,d’une manière ou d’une autre , et de ce fait : cette manière (quoi qu’elle soit) est consacrée, est prise en compte, est pesante, a son poids, est véridique et approuvée et tenue par respect et de ce fait , se voit comme distinguée, etc : ne pas toucher ; il semblerait que nous ayons affaire ici à un ensemble de choses consacrée, du fait qu il s’agit d’une disposition de type posée, là déposée et pas autrement : point de chute ; il semblerait ici que cela, ce point de chute, est capital ; et aussi le capital (la chose qui pèse, qui a du prix = de valeur) : lza chose physique , physiquement posée de telle ou telle manière comme autant de points de chute, nous voyons cela : chute ainsi, chute à respezcter ; ainsi fait ou faite ; nous voyons cela, disposition en tant que point de chute (depuis nos mains) et ainsi fait, ainsi faite, cette chose, nous ne devons plus y toucher : cela est sortie de nos mains = pas touche ; nous avons ainsi cette chose à faire, cette chose est à faire, nous avons ainsi cette chose à faire et nous le faisons, nous disposons = art ; nous faisons aiinsi une offrande (de choses mortes) et ce faisant nous rions sous cape ; nous sommes des enfants, nous rions sous cape (de nos méfaits) comme des enfants, car nous sommes des enfants ; nous rionsq sous cape comme des enfants, car nous sommes des enfants ; nous sommes ainsi qiu rions sous cape, qui rions, nous sommes puérils, nouys sommes jeunes et innocents, nous rions à gorge déployée ; nous sommes des enfants : nous disposons le temps sur la pierre blanche, nous disposons du ou le temps : le présent, en offrande, dans l’attente de, on l’a vu, cette chose d’une mort complète, absolue qui serait la notre ; nous sommes des enfants qui rions sous cape (sujet : je) et faisons ainsi a llégeance (sous cape) dans l(‘attente de la mort , celle, qui serait (la nôtre) à déposer sur pierre-tabkleblanche ou du moins propre, et ainsi fait nous serions ainsi comme déposé, comme fichu, comme morts ; nous serions ainsi fichus, nous serions ainsi quoi ? ; nous ne pouvons nous déposer tout seuls, nous serions fichus, nous ne pouvons y aller seuls, nous ne pouvons nous donner ainsi ou si ? ; nous faisons office, nous faisons offrande, nous faisons don, nous faisaons comme office plutot = nous donnons des substitus (en pature) pour office, ou faisant office et nous : de rire sous cape comme des enfants, nous sopmmes comme enfants qui rions sous le manteau (par-devers soi) et nous sommes ainsi qui faisons le mal : innocemment ? ; nous sommes ainsi qui faisons du mal, qui tuons pour donner (offrande) la mort en pature, en lieu et place d’un (il semblerait) quelque chose de nous qui seraiyt (pour le coup) notre etre mort, notre etre mort et bel et bien kaputtici ; nouys serions ainsi : déposé disposé ; nous serions ainsi : déposé, disposzé, njous donnons des oeuvres (oeuvre, oeuf) à notre place, à la place d’un etre (le notre) mort et enterré, à la place d’un qui serait bel et bien kaputt et qui serait nous, nous mêmers ; nous donnons des choses mortes en offrande au monde de la mort ; au monde ; au monde de la mort ? ; nouys donnons en offrande : choses et autres disposées (art) sur table ou tabl,eau-tablette, tabloïd, sommes ainsi qui faisons de la sorte : don, nouys faisons ; nous donnons des choses et ce don est disposition (art) de choses sur plan dur, sur plan platk, sur assiette de sustentation, etc, ces choses données (mortes) sont un pis aller, un  e sorte de ; nous voyons que nous faisons ainsi preuve d’enfantillage : fumée dans les yeux, une farce ; a lloons ainsi qui faisons ainsi qui allons ; nous faisons ainsi qui allons ainsi qui faidsons ainsi : des choses sur table ; nous faisonbs et nous allons, nous faisons et nous allons ainsi, qui faisons table = mettons table, = mettons tablée ; nous sommes ainsi qui mettons la table = art ; nous sommes ainsi que nous mettons la table et cela est art ; nous faisons de la sorte que mettons, nous mettons, table, la tablée et c e fgaisant = art, puisqu’il s’agit d’une disposition particulière (toujouirds et à chaque fois) ; nous mettons ainsi tablée = disposition (imp ;lique notion d’art = de façon) etc, et ce faisant nous faisons ainsi que nous donnons, que nous faisons don, que nous donnons d’une certaine manière et que celle ci plaise ou pas, il s’agit d’une manière, d’une chose de disposition sur tab le : mise en place, insallation de choses et autrtes, qui (en fait d’installation) peut ne pas séduire (qui ?) et cependant = art, inéluctablement, puisque : façon = art, piusque disposition = manière de faire = art = façon , nous y sommes ; nous sommes là, nous sommes enfants, nous jouons, nous jouons notre chose d’un pion, nous allonqs ainsi faisant qui dséposons des choses en présent, en terme de présents, en terme de présent ;, disposons des chodses en terme de dons, déposés -disposés, et nous rions sous cape, nous rions abondamment, nous rions vraiment, nous rions pleinement, nous sommes doux rieurs, nous rions comme il se doit pour des enfants  ; nous sqommes des rieurs ; nous déconnons ; nous sommes des déconneurs, nouys somme comme des qui seraient déconneurs, nous sortons du coin et nous rions, nous sommes qui sortons du petit coin et nous rions, nous sortons du con ,naissons et rions ; rions ou pleurons ? ; nous sortons du con et crions, crions rions, nous sorttonbs, nous faisons la chose : disposition, présentation, déposition, installation -exposition, sommes qui allons de cette façon à travers le monde et faisons ainsi, nous faisons ainsi qui allons ainsi, donner des cghoses à notre place, par mesure de, par mesure de tromperie, ou en mesure de, en mesure que nous sommes des tricheurs, qsui donnons (rire) sous cape(je : sujet) des choses en offrande (la mort) mais non point la notre : coquinerie, en attendant d’etre (pour le coup) démasqués ; nous alons ainsi qui faisons ainsi : choses et autres, sommes qui allons ainsi, qui faisons, qui allons à dépose, sur table tabloïd, des choses (dons) qui sont mortrtes, qui peuvent un temps faire leurt effet ou leur petit effet (diversion ) mais non point toujours : le tempps de l’enfance ? ; alloons ain si qui faisons ainsi comme diversion  ;, par le fait de dons ainsi effectués, en grotte, entre quatre murs, dans unb espace ici dévolu à cela que nous faisons en déconnant = en sortant du con, du minou, de la chattière ; nous sommes ainsi qui faisons choses sur table = sol = murs = espace dévolu = temple =  lieu de culte = liue affecté ; nous pouvons ainsi , dans la grotte, faire ainsi : dans la grotte faire ainsi que déposons ainsi sur table ou tableau  : des choses, qui sont chgoses mortes çà et là à disposition, en dispositions, en place, nous faisons ; nous avons qui faisons ainsi des dispositions de choses sur table : nous déposons-disposons, nous faisons cela et faisons diversion , ou faisons diversion : trompons l’ennemi ; nous sommes ainsi qui donc allons en trompant l’ennemi, nous sommes ainsi qui allons ainsi , trompant, flouant, floutant, enfumant, uffa ; nous , nous sommes des enfanbts et nouys enfumons l’ennemib : afin de tenir en vie ; nous voulons tenir en vie ; nous avons cette volonté en nous de tenir en vie ; nous avons en nous cette volonté de tenir, de tenir longtemps, d’aller et venir dans le monde  ; cette en-vie en nous qui sommes ce qui est devant : nous sommes l’en-vie que nous tenons par devers nous comme une offrande faite, ici, au visage du monde, faite à lui qui nous attend, qui nous regarde, qui nous voit ainsi faisant ; nous faisons cette chose d’une chose qui est que nous sommes ain si qui faisons cela : un don de soi mais qui n’est pas soi ; un don d’anima mzais plutot d’anuimal, le mal, le mal-don, la maldonne, il y a, qui est, qui est posée, qui est cette chose qui est déposé, qui est cet animal à notre place : condamné, qui est holocauste, qui est substitutu, qui est couillonné : des animaux (le mal donné, maldonne, mauvaise donne et rire sous cape) , ce mal donné quyi est ainsi comme une chose qui est ainsi posée, disposé e  pour faire son effet ; son effet d’anima, son effet de souffle v ital , ou ici pour le coup décédé ; animal pour anima, et mal pour anima mal = fausseté ; = tricherie, = tricherie et foutage de gueuyle, de face, de visage ; avons qui sommes ; nous faisons ainsi cette chose d’une tricherie et nous allons ainsi faisant, par les chemins, par les routes, sur les sentiers, comme des enfants qui rient sous leur capes ou capelines ; nous allons ainsi qui faisons ainsi qui allons ainsi qui faisons de la sorte ; nous faisons ainsi qui allons ainsi qui faisons ainsi et jouons de la sorte, nous jouons, nous faisons, nous allons, nous crions au sortir du ventre : pleur ou rire ? nous l’ignorons ; nous déposons, nous disposons le temps sur pierre d’offrande, disposons ainsi, en guise de tricherie sur la marchandise, ou en lieu et place d’une chose autre qui serait la mort, la notre, pour le coup, et ainsi faisant (tyricheri sur la marchandise) nous nous présentons comme des enfants : légèreté ; nous sommes comme des enfants qui fdaisons ainsi poreuve de légèreté,nlous sommes ainsi qui faisons preuve de légèreté, comme des enfants qui ne savent pas ce qu ils font, ou plutot si, ils savent, mais s’en moquent comme d’une guigne : légreèt é; nous sommes des qui, ainsi faisons ; nous sommes qui faisons offrande ainsi et allons ainsi, par delà les terres, les frontières, nous promener ainsi, en riant sous cape ; nous avons une chose pour nous qui est que nous sommes enfants, des enfants ; nous avons cette chose pour nous que nous sommes enfants, que nous sommes des enfants, nous sommes des enfants et avons cette chose pour nous ; nous sommes des enfants qui rions sous cape ; nous sommes des enfants qui rions sous cape et nous allonbs ainsi, nous promener, riant à gorge déployée ; nous avons déposé et disposé, et par là m^zeme disposé ; déposer = disposer ; déposer = immanquablement disposer = immanquablement art ; il y a cette chose : si vous déposez alors immanquablement vous disposez, c’est-à-dire que vous installez des choses d’une certaine manière (il y a toujours une certaine manière) et cette manière est comme unique, en soi, propre, est donc comme consacré, est distinguée ou distincte des autres façons, unique en son genre : il sz’agit ici d’une chose unique ; il s’agit d’une chose unique, il s’agit d’une chose en particuklier, il s(agit d’une chose particulière, et qyui se présente toujours de la sorte : en particulier  ; dépot ou déposition, mise sur table, misée, tablée, dépositions, dfidspositions, rangements, arrangemeznts, montage, assemblage, rassemblement, mises en formes, forme de présentation, exposition ; exposition , déposition, disposition  ; nous voyons, nous regardons, nous sommes ainsi qui voyons (si nous avons des yeux) les choses déposées, disposées, étalées, mises, jetées, scot chées etc ; nous voyons et devisons devant ; nouys voyons ces choses qui sont mises d’une certaine façon qui estla façon de l’artiste , à savoir du déposeur, ou du qui dispose, ou de l’exposant (?) ou de celui qui fait don = donateur ; ici l’artiste est le donateur , il dispose d’un espace de déposition , ou de dépôt, il dispose d’un lieu où disposer des choses en offrande : des fruits, des mzatières, des animaux, des couleurs, etc ; il met ainsi des choses sur le devant = le temps, non point celui (?) de son etre mort mais du temps comme chose de substitution = à la place de sa mort à lui (dans la balance) ; il s’agit d’un don effeectué ainsi en nature (nature morte) et qui peut peut-ettre faire son petit effet trompeur un temps ; il s’agit d’enfantillages ; il s’agit d’une tromperir, d’une farce ; il s’agit d’un pis aller quand l’attente ici est oplutot celle qui nous voit ainsi comme devant nous déposer nous, ou du moins (de nous) : l’être mort ; nous sommes qui allons ainsi et faisons ainsi et allons de la sorte, et faisons chose d’un don de soi qui n’estxcpas soi mais comme un succédané ou pis aller, enfumant le monde ; nous mettons le feu, la fumée s’élèvre, la fumée toujours s’élève, nous mettons le feu et allons ainsi, ainsi faisant, comme des enfants , en sifflotant ; nous sommes comme des enfants ; nous sommes joueurs-déconneurs ; nous sommes sortis du cvon , nous sommes comme des enfants sortis (récemment : hier) du con ; nous sommes sortis d’un con, d(‘un trou ; nous sommes sortis d’où ? ; dun trou ; nous disposons sur table : le temps de la vie ; ce temps dee la vie est offrande en lui même, il s’agit d’une offrande que nous faisons, nous sommes nous mêmes offrande, seulement voilà : nous sommes en vie ; or l’offrande ici ne correspond pas à l’attente ; nous sommes en vie et l’offrande n’est pas celle qui est attendue, en vérité ; il semblerait, il semlblerait en vérité que, en effet, l’offrande ici (nous en vie) ne soit , n’estc pas, que l’offrande ne soit pas la bonne, que l’offrande que nous faisons (de nbous sur terre) ne soit pas la bonne, ne soit pas celle qui est attendue ; il semblerait que notre vie (notre vie vivante) ne soit pas tout à fait ce qui est attendu au sein du monde , à savoir la mort ; alors que faire, sino n offrir par devers soi des choses en pis aller, en espérant que cela passe de la sorte, sans accrocs, ; nous offrons notrte vie en offrande quand il s’agit (en vérité) de la mort qui est attendue (la nôtre) , et, de ce fait, nous faisons cette chose : de ruser, tromper l’ennemi en lui offrant la mort en continue, mais non point la notre (pas folle la guêpe) mais celle d’animaux chassés, par exemple, et ainsi faisant nous pensons (comme des endfants) être parées, êytre à l’abri, dans notre grotte, dans notre espace de prédilection ; noussommes ainsi qui faisons ces choses par devers nous , qui sont : offrerandes -tricheries , d’aniamaux sacrifiés (sacrifices) qui peuvent des lors peut etre faire diversion : fumée qui monte ; nous sommes qui ainsi donnons de la mort, de cette mort, donnons un peu de mort, un petit peu de mort, nous donnons un peu ou un poetit peu de mort et nous pensons n ous en sortir ainsi, hé hé ; nous donnons ainsi ces choses, nous donnons ainsi ces choses mortes, nous donnons ainsi ces choses mortes, des animaux, un animal, unanima -mal, un mal -anima, à la pla ce de notre anima, nous donnons mal -anima à la place de notre anima, nous donnons aoinsi en tricherie ; nous rusons, nous essayons de faire comme pouvons, à savoir preuve d’ingéniosité, somlmes ainsi qui sommes soumis à la vie en nous (qui court) et donc : nous nous excusons de n’être pas mort mais cela n’est pas tout à fait de notre ressort, njous sommes des enfants, de petits bambins, nous n’y sommes pour rien, nous sommes soumis, nous sommes soumis à la vie ou à êtrte en vie et de ce fait, si nous sommes toujoiurs en vie cela est que c’est ainsi que cela est tombé (sur nous) et que faire, alors nous nous voyons comme dans l(‘obligation de déposer des choses mortes sur le sol, comme pour dire oui à la mort, oui à la mort qui est, oui à cette mort qui est qui est là, oui à cette mort en tant que nous sommes mourants, que nous sommes de futurs mourants, ou bien appelés à mourir (nous sommes appelés)  ; oui en tant que nous sommes appelés à mourir et ok , du fait que oui, nous le reconaissons, nous ne sommes pas morts, pas encore morts, alors oui, nous reconnaissons cette chose, nous approuvons et avouons par la présente, par ce présent en offrande, que nous ne sommes pas encore morts, que le moment apoproche mais il nb’est point là encoire pour nous, nous avouons par ce présent posé, déposé, disposé, sur cette table , sur cette tablette, sur ce tableau ; nous avouons, nous disposons, nous mettons à pl ;at, nous disons les choses : la mort, mais non point la notre ... puisque nous sommes en vcie ; puisque nous sommes en vie ; pyuisque nous sdommes en vie ; puisque nous sommes en vie ; nous sommes en vie, nous ne sommes pas mort ; nous sommes en vie, nous ne sommes pas mort, tout notre être dit cela, que nous sommes en vie, notree corps le dit, tout ce que nous sommes le dit : nous sommes en vie, nbous ne sommes pas mort, nous comprenons la mort, nous sommes appelés à mourir ; nous ne sommes pas à l’appel, nous ne sommes pas encore à l’appel, nous ne sommes pas encore devant l’appel, nous sommes devant l’appel mais nous nous cachons sous cape, sous je ; nous ne sommes pas pressés ou plutot  : quelque chose de la vie en nous tient toujours : tic tac ; nous sommes qui voyons l’appel,  le comptons pour vrai  ; nous sommes qui comptons cet appel à la mort comme une chose à laquelle nous devons répondre : notre réponse ; nous sommes ainsi que nous devons répondre, nous avons à faire ainsi , ce devoir, nous avons à devoir répondre, nous devons répondre ; nous deevons faire cette chose, nous devons répondre ; nous devons faire ainsi, nous devpons donner une réponse, nous avons à donner une réponse, nous nous devons de donner une réponse ; nous allons donner une réponse, nous devons donner, nous avons à donner, nous devons donner, nous avons à donner, nbous devons donner et nous allons donner une réponse, et cette réponse est cette offrande = ce temps, ce présent que nous donnons, cette offrande, ce don en temps, ce présent -cadeau venu de soi, xce temps qui est le porésent perpétuel et continu, donné en offrande comme pis aller, et nous  de nous en excuser, et nous de prier que cela puisse aller, comme don en lieu et p ;ace d’autrte chose, d’une chose autre qui est en attente : tic tac, sans que soyons vraiment les responsables (ou coupables ) de cette chose, surtout (voilà) que nous sommes des enfants petits, presque des bébés, ou bien même des bébés, peut etre ; nous sommes des bébés peut etre et ce que nous donnons de nous n’est pas la mort, mais la vie ; nous ooffronds notre vie au monde et non notre mort, alors comment faire ? faire passer des vessies (la vie) pour des lanternes (la mort) ? hé hé ; nous sommes des enfants et nous faisons ainsi, nous sommes des enfants et nous faisons cette chose, nousq sommes des enfants et nous allons là, faire cette chose, qui nous voit ainsi faire pour faire, donner pour donner, substitut, erzats, diversion, poudre aux yeux, fumée : la vie pour la mort, hé hé ; et des semmblants sur table ou sur tablette, des animaux à notre place, ou bien quoi ?  tout ce quye nous pouvons en fait de morts, de morts avec s ou sans s ; nous donnons tout ce que nous pouvonbs en fait de morts : animaux de la forêt, animaux de la prairie ; tous les animaux ; nous faisons comme nous pouvonsq, nous faiosons ainsi que nous le pouvons ; nous faisons comme il nous est possible de faire, nous faisons comme il nous est possible, loisible, de faire, nous donnons des animaux morts ; nous tuons dees animaux et les offrons en holocauste, poudre aux yeux, fumée ; nous faisons ainsi et prions que cela passe = le fasse ; prions cette chose, alimentons ainsi la bouche de la mort (ce four) avec des morts, avec tout ce que nouys pouvons donner trouver, trouver-donner en fait de morts divers, en fait de choses ou d’êtres morts, direct dansla gueule du loup ; faisons comme nous pouvons pour alimenter et maintenir perpétuelle la combustion, que la bête soit satisfaite, la satisfaire ; nous faisons comme nous pouvons, nous faisons ainsi comme nous pouvons, nous essayons de toujours maintenir vivante la cmort, ou bien cette chose d’une combustion (un feu) toujours vif, toujours en cours, toujours présent ; nous essayons de notre mieux, nous avons la vie en nous et non point la mort alors nous voulons donner la mort, il s’ahgit d’un don ; nous voulons donner la moprt, nous devonds, nous avons à , nous sommes soumis = jetés = je  ; nous sommes sujet et de ce fait nous sommes tenus à donnezr la mort, car la mort appelle la mort , la mort (la gueule) appele la mort = la nôtrte : nouys appelle ; la mort appelle et nous dès lors de nous voir répondre (en dispositions) à l’appel de la forêt ; nous a vons ainsi à répondre et nous le faisons, sous forme de pardons (d’être en vie, ou d’être encore en vie) ; nous répondons à l’appel de la mort sous forme de pardons : d(‘holocauste, de dons de choses et autres qui sont notre présent sur tere, ce présent qui brûle en npous au fur et à mesure que nous en arpentons les surfaces ; dons ; didspositions ; art ; nous faisons : cet art , cette  cette disposition des choses, sur cette table qui est le temps, le temps est la table ; la table est le temps (table ou tablette ou tableau ou tabloïd ou autre surface pla nes) ; nous sommes qui brûlons la vie en nous (holocauste) et ainsqi allons, donnant cette chose, ainsi allons qui donnons du feu, des flammes ou fumées de soi au fur et à mesqure, et pourquoi certains ainsi et d’aurtres autrement ? ; pourquoi certain s donnant des animaux morts et d’autres qui ne le font pas ? ; certains le font car d’autres ne le font pas, et certaiuns ne le font pas car d’autres le font à leur pk ;ace, est ce cela ? ; nous cheminons ; nous sommes sur une voie, nous arpentons ; certains vont à depose (la mort) et d’autres n’y vont pas ou alors n’y vont poas de cette façon ; nous allons ainsi, nous sommes ainsi, nous brîulons des calories, nous vieillissons et brîulons petit à petit ;: nous sommes en vie et nous nous excusons de l’être car la mort nous appelle et nous devons  répondre (d’une manière ou d’une autre) à son appel ; nous sommes en vie et nous avons à dire le pourquoi des choses en vie et non point mort, ou plutot : njous devons offrir , d’une façon ou d’une autree, qUelqure chose en lieu et place (échange) de ce qui en nous n’est pas mort : pardon ;  pardon et pardons ; nous aloons ainsi faisant qui déposons des choses mortes, saignantes, sur la table, les brpûlons, les calcinons ; il s’agit de chodses mortes, il s’agit d’animaux, il s’agit de choses qui peuvent faire croire quil s’agit de nous ou plutot de n,otre mort à nous or il n’en est rien, nous sommes des enfants ; nous sommes qui allons ainsi trompant (un temps) l’ennemi ; les choses sont ainsi que cela est en nous ; il suffit de se pencher  de fait sur soi meme et de voir ce qu il en retourne et là , nous voyons qu’en effeft nous ne sommes pas mort, que l’appel de la mort, de jour en jour, devient de plkus en plus insistant et comment faire ? sinon ainsi en offrant du temps, en offrant du temps à la la mort, en offrant (on) du temps à la mort, en lui offrant (de fait) ce présent (de temps) en offrande, et ce temps sous forme d’un animal mort, d’un anima, d’une anima, d’un animla mort, moerte-anima, mal -anima morte, mort, ce substitut de notre mort à nous ; nous ne voulons pas auterement, nous voulons (notre coeur) nous voulons (nootree coeur veut) nous voulonbs ; nous sommes qui voulons-allons et du coup nous offrons, par-devers nous des choses(sur table , cène) mortes ; nous offrons sur table des chose, nous offrrons des choses mortes sur table, et ces choses sont de l’anima mal, du faux ou de la fausse animan, et non point la notre : point ; nous offrons ce point d’une chose (animale) morte et nous allons ainsi, gaiement, comme des enfants, sur le chemin de la vie, sur ce chemin qui est celui que nous traçons au fur et à mesure que nous avabnçons en âge ; nous sommes des enfants qui déposons ce que nous trouvons en matière de chgoses mortes, afin d’alimenter la guueule (le foyer) de la mort, c’est ainsi que nous faisons : nous alimezntons, nous donnons à manger, nous donnons des victuailles, nous donnons de quoi manger, nous donnobns des choses nourrissantes (mortes) et espérons, ainsi faisant, que nous arriverons ainsi à nou tirer d’affaire et faire reculer ce moment fatidique de l’appel ; nous essayons, ce sont des essais, nous disposons à plat = bien visible ; nous disposons en tas = plein ; des choses mortes, des vbictuailles, du gibiers chassés, nous les déposons sur la table, nous les brûlons, nous brûlons l’ensembvle : il s’agit d’une installation ; le s choses tombent comme elles tombent et cette chute (disposition) dès lors (du moment que la terre, la table est touchée et cvontient solidement lkes choses) sont cons&éacrées, sont validées, sont à ne pas toucher : chute-chance si table en attente et en prise ; chute qui est sur table ainsi et qui fait que les choses de la sorte vont à dse déposqer ainsi, se posent, selon une disposition qui est ce qu elle est mais qui (sortie de nos mains pour ainsi dire) ne doit plus être touchée , une fois la chose disposée ; nous voyons cette chose comme une offrande, un don, une chose donnée, un cadeau, un cadeau de noël, une jolie chose offerte, une chose déposée (tombée) arrangée (jetée) qui est sur la table comme une offrande : offre, don et chose qui est comme un holocauste ; nous voyons la chose, nous voyons devant nous la chose, nous avons en dépot cette chose, nous avons cette chose en dépot et nous voyons quil ne s’agit pas de notre souffle, mais du souffle coupé d’une bête moerte, entourée de fruits et autres victuailles, et aussi d’or, et aussiu d’objets de valeur (amulette) ; nous avons des choses devant nous, cube, sommes qui les voyons , sur un fond dégagé ou approprié ; nous les voyons ; il s’agit d’objets (amulettes) destinées àb conjurer le sort, il s’agit d’amuklette appropriée, il s’agit de choses déposées et disposqées, il sq»’’agit de choses et autres disposées avec art (pléonasme) et que nous voyons mais ne devo ns toucher : à présent plus, car sont, car elles sont en place, elles ont chutés et par chance elles sont tombées, ici, sur la terre ferme, plan dur, et la disposition des choses ainsi tombées est une forme , une chose à ne plus touchezr à présent : présent, offrande, laissons a gir ; nous avons une chose déposée qui est une chose disposée ; nous avons une chose qui est disposée d’une mabnière telle que cette manière devient cvonsacrée, devient valeur et ne doit plus être tripotée ou modifiée (a priori) ; npus voyons la chose devant nous et nous sommes qui <faisons ainsi : regard sur la chose, mais surtout pas touche ; nous sommes qui faisons de force cettre chose de ne pas toucher kla chose, nous ne touvchons plus la chose, nhous nousz obligeons à ne plus toucher (souiller) la chose : elle est prop^re, elle est en propre, en nom propre, elle est au propre, elle est con sacrée comme chosze en proprree(appartenant à untel et non à tel autre) et voila ainsi les choses qui sont : elles sont de la sorte : nommées ; nous sommes ainsi qaue nous sommes nommés, nous sommes ainsi que nous portons noms ; nous sommes ainsi que nous avons un noom et devons (de fait) répondre (de lui) à l’appel ; le nom que nous avons est pour l’appel de la fôret ; le nom que nous portons, est pour nous désigner en tant qaue tel et non point tel autre, et éviter les coinfusions (dans la fumée) le jour de l’appel : nous signons nos oeuvres = offrandes de cvonjuration, ou alimentations offertes, nousfaisons ainsi qui allons de cette façon : disposition, installation, depot par chute (de nos mainsq) , assemblages et à partir de là : ne plus toucher a priori : la chose esqt sacrée, elle appzartienbt en propre àç un quelqu’un qui seul pourrait la modifier, en dehors de tout problème de réparation ou de restauration par exemple : propriété ; la propriété ; la propriété est découlant du fait, découle du fait, que nous déposons des choses mortes, en propre (white cube) sur la pierre des offrandes, nous le faisons en notre nonm, en notre nom personnel ou bien au nom de notre clan ou tribu mzais la chgose est nommée, ou bien appartient à une personne ou un groupe de personne nommé ; nous aonvs ainsi un nom à la clé ; nous a vons un nom attaché à cette offrandre, un nom qui désigne le coupable-responsable : n’y touchons plus ; nous avons cette chose que des choses ainsi sont rattachées (pour l’éternité) à des personnes en pzarticuylier : il s’agit de dons, il s’agit de choses offertes la plupart du tempqs ; il s’agit de choses déposées sur une table ou à m^zme le sol, ou sur un tapis, et ces choses ainsi sont telles que nous nous les voyons comme des offrandes adressées à dieu sait qsui, au monde peutetre, il sq’agit de fruits et de victuailles, de gibier chassé, de choses diverses présentant de la valeur, et non point de la gnognote ; nous sommes qui voyons cela devabnt nous = notre futur proche (ce présent autour de soi : ready made autour de soi, pour mille et milkle offrandes ; la fumée, la joie, des chgoses brûlées , la vie brûlé, etc ; nous allonbs à l’intérieur de la grotte et nous regardons les parois et voyons les pinetures ruperstres, lespeintures préhistoriques : nous sommes ainsi qui avançons à l’inbtérieur de la grotte et nous voyons les peintures rupestres, nous nous approchons des peintures, nous nous approchons au plus pres, nous sommes contre elles, nous pouvons toucher la paroi de la grotte, nous touchons, nous pouvons toucher, nous avons envie de toucher, nous voulons toucher les dessins, les peintures, les parois sur lesquelles nous voyons pareiilles peintures ou dessins : des animaux, des betes, des animaux et le feu, des animaux pour des anima, nous voyons ces animaux, nous sommes la joue contree la paroi et nous sentons le froid de la roche : joue plaquée contre l’animal dessiné, nous avons dévouvert la grotte, nous avons découvert les peintures sur les parois et sur les plafonds ; nous avons dévouvert des dessins ; nous avons dévouvert des traits et des formes, il s’agit d’animaux tués, d’offrandes, il s’agit d’offrandes à la mort, il s’agit d’animaux = de morts ici qui sont comme offerts, qui sont pour conjurer, qui sont semblants, qui sont semblances, ressemblances avevc la (notre) mort, n,on point tout à fait la notre (mort) mais animaux morts comme diversion, et non point notre (la) mort en vrai, celle d’animal et d’animaux en lieu et p ;lace ; il y a des animaux qui sont dessinés ; il y a des animaux qui sont présents ici sur les parois de la grotte ; nous voyonbs ; nous voyons ; nous avons vu ; nous avons vu des animaux, nous avons vu des animaux sur les parois de la grotte ; quellke grotte ? cette grotte ; nous vboyons car nous avons des yeux pour voir  ; nous voyons des animaux et du coup nous sommes ainsi heureux de cette chose, ds’avoir vu ; nous voyons, nous distinguons, l’(holocaauste sur les parois, les animaux morts pour nous, tombés pour nous, en première ligne, pour alimenetr la Chose, nous avons ainsi ; nous sommes ainsi, que nous alimentons la Chose avec des offrandes , situées et dispiosées, avec soin, comme autant de choses en présence ayant valeur d’échange : cherté, le prix est celui qui s’impose ; il s’agit de choses de grande valeur , équivalent la vie (la notre)  ; prix ; nous avons ainsi déposé ici des choses de prix = un capital : la mort des animaux, soit ce que nous pouvons donner qui nous soit le plus cher, nous avons dsonné ce qui par devers nous nous coute le plus de donner, voilà qui est dit ; nous avons donné ce qui nous est , pour nous, chose la plus chère, à nos yeux notree progéniture, ou bien des animaux , pour notre survie ; nous donnons ce qui nous coutte le plus de donner, sinon en vrai ce n’estc pas du jeu, cela ne pourra pas marcher, nbous ne serons pas reconnu, nous ne serons pas crédibles, nous ne serons pas à la hauteur de l’attente, car il y a une attente ; tic tac ; nous voulons donner nos choses les plus chères (en prix) sur l’assiette : sur le plateau = la table ; tablée, table, tableau, une table, des tableaux, une belle table, bien dressée, un tableau , bien mis, bien dressé ; un e table dressée peut-être comme un animal : tenue, ici de latenue, du soin, de la tenbue cxomme d’un soin ; soignée, belle tablée soigné, art des choses soignées, art pour disposition de choses soignées, ou disposition soignée de choses malades (ou mortes, pluto) ; disposition de choses frêles, acev art disposées ; nous voyons les parois de la grotte, njous avançons, nous allons à l’intérieur, nous sommes à l’intérieur de la grotte ; nous voyons des choses ; nous sommes à l’intériuer de la ghrotte, nous regardons les parois, nous voyons l’intérieur de la grotte, nous disposons, nosu mzettons squr plan, sur surface pl ;a ne, disposons les choses : animaux morts, il s’agit d’animaux morts offerts en holocauste : la vie dans nos membres, la vie qui brûle, nous sommes et nous avons ; où sommes nous et qu avons nous ? ; quel est notre avoire, notre richesse (et notte prix) et que soommres-nous en tant qu etre = cxhose = choise pleine, pleine d’elle, à quel point pleine ?  ; nous sommes qui faisons ainsi le tour de la grotte, nous voyons les peintrures murales, les peinturesw des parois, il s’agit d’holocauste, il s’agit de choses données, il s’agit de dons, il s’agit de choses de prix, de choses ayant valeur, il s’agit de choses de valeur, il s’agit de choses présentant une valeur, il s’agit d’une chgose de grande valeur à nos yeux ; nous voyons ces choses de prix, nous nous approchons des parois et nous trouchons, nous touchons encore, ces choses, ces peintures d’animaux, ces choses de prix, ces valeurs ; nous nous ava nçons ainsi et nous touchons (de nos mains) ces choses qui, un temps, ont servi ; il sa git de choses étranges, il sz’agit de choses étranges ; il s’agit de choses offertes, il semblerait ainsi, qu il s’agit de choses données , d’offrandes données a la vie ou a qUI ? de choses offertes, qui sont comme déposées ainsi sur parois rupestres, exposées, une installation de choses manufacturées, une installation de choses et autre : offrandes, de cxhoses du monde ... pour le monde, ainsi faite ; il s’agit d’une installation (disposition) de choses du monde ... pour le monde ou pour les yeux du monde, loucherie ; nous allons ainsi louchant sur le monde, il y a des peintures ruprsettres, il y a des offrandes, il y a des plateaux de fruits et autres victaiulles, il y a des choses en tas, des choses amassées, des choses ceuiillis, il y a bien des choses, posées sur pierre = table : il s’agit d’une offrande, il s’agit d’alimenter la bouche, il s’agit de bien de bouche, de biens de valeur, de bien quil nous en coute fort ; il s’agit de biens qu il nous en coute fort ; il s’agit du bien, de faire bien, de donner ces biens ainsi à cette bouche qui aime cela: l’absorption des choses mortes ;

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24/02/2020

nous envisageons l’espace, nous le regardons, nous voyons devant nous ce rond, ce cercle, nous voyons devant nous un espace « dévolu » ; ce terme est important ; devant nous est cet espace, ce cercle « dévolu », ce rond de tapis, qui va nous permettre, ici, d’aller (rapidement) à dépose et d’ainsi se délester de choses, de choses disons, passablement encombrantes ; il en est ainsi que ces choses, une fois déposées, vivront , peut-on dire, leur vie propre (en propre) ; nous décidons donc de cette chose (à part nous = ambition) , d’aller à dépose, et de par conséquent poser sur un tapis (un rond) les choses qui , pour le coup, jusquàalors, étaient entre nos bras (blotties)  ; nous ne pouvons pas tout garder ; nous devons utiliser cet espace (deévolu), devant nous, poour ces choses de déposes ; nous avons un espace, devant nous, dévolu à cet effet, et nous devons l’utiliser (ambition) ; nous pouvons nous contenter d’y déposer nos pieds et seulement nos pieds (marches) mais voilà que non, cela ne nous semble pas suffisant ou suffisamment concluant, car nous avons (grandement) les mains prises ; nous devons nous délester ; nous ne pouvons agir autrement qu’en nous délestant, nous ne pouvons agir autrement qu’en nous délesteant de toutrees ces choses que nous portons par devers nous, il y en a beaucoup ; nous devons aller ainsi (rapidement car ça pèse beaucoup) à dépose, là, devant soi, juste à ses pieds, il suffit de déposer ce qui vous envcombre, ce qui encombre et pèse son poids ; nous devons (pour certains et certaines) aller à dépose : mettre, poser, glisser, installer toutes ces choses , les organiser devant soi au propre ; pourquoi cela ? ; car nous avons les mains pleines ; nous sommes chargées plus quil n’en faut, nous ne devons pas aller plus loin ainsi chargés, nous avons à nous délester ; nous sommes chargés, nous avaons les bras chargés de chose et ces choses nous devons voir à les déposer devant nous (sinon où ?) ; nous avons les bras chargés de chose et nous devons voir, nous avbons cette chose à faire (ambition) d’aller ainsi à dépose afin de nous alléger, de nous rendre plus légers et volatils ; nous déposons devant nous (= dans la vie) des choses et autres qui jusqu’alors encombraient nos bras ; nous avons par devers nous des choses, d’où viennent ces choses ? nous avons ainsi des choses, par devers nous, que nous avons à déposer au tout devant de soi = cet espace devant nous, qui nous parait idoine ; il y a, devant chacvun, cet espce de déposition, qui est à nos pieds, et qui permet une sorte (pour soi) d’allégement des charges ; nous deevons ainsi aller à faire cette chose, d’un d»épot de soi, nous devons ainsi aller à faire cette chose, d’un dépot de choses et autres, devant soi : organisées, arrangées, asserment'annoblies, prises comme il faut etc, afin que ces chose, afins que cet ensemble de choses ainsi déposées, puissent nous apparaitre (ambition) te lles qu’elles nous conviennent, telles qu elles nous semblent aller comme il faut ; il nous apparait ainsi que ces choses de dépot, de déposition, à nos pieds, doivent etre installées d’une manière telle que, à nos yeux du moins (ou déjà) l’ensemble ait pour nous un semblant de paix en lui même ; il ya la question ici posé d’une paix à concevoir, d’une paix à concevoir à la dépose, nous cherchons cette chose, nous sommes qui chercyhpons cette chgose ; nous voulons de cdette chose et du même coup ou élan nous cherchons, nous espérons ; nous avons  ce besoin (?) ou ambition, cette ambition , d’aller à dépose mais alors d’une façon toute particulière , qui est celle ci : manière arrangée, manière précise, manière maniérée si l»’on peut dire, manière toute sépciale , en cela que nous veillons à ce que, par conséquent, l’ensemble des objets, l’ensemble du dépot, soit ainsi, de cette manière sus précisée, déposé avec cette façon que nous avons de chantourner les choses, pour au bout du compte obtenir la paix, une certaine paix = pacifier ; nous avons entre nos bras : des choses et autrtrees , qui nous pèsent grandemeznt et nous obligent presque à les voir déposées, à nous mettre ainsi à devoir déposéer et où d»époser, sinon : au plus pres de nous (longueurs des bras) soit au devant (exactement) de nous : là ; c’est ainsi que nous avons par devers nous des choses à déposer, et la dépose est l’art ; disons que la dépose (la façon de déposer) est ce que l’on peut, quelquefois, appeler de cette manière ; nous posons ces choses devant nous, selon une certaine technique de déposition ou de pose ; nous avbons pour nous une certaine façon de faire , qui est la notre (elle passe par nous) ; cette façon est notre art de faire, ainsi : déposition, dépot, dsépose, de nos pieds (démarches) mais pas seulement , car nous abvons les mains pleines, les bras chargés et bien du gibier dans notre besace ; nous devons le déposer ; la chose (le gibier) appelle la dépose, et c’est ainsi que nous allons nous mettre de la sorte à déposer ainsi des choses sur la table de dépositions ; nous sommes debout, nous ouvrons notre besace et nous attrappons le lièvre et nous le déposons (d’une certtaine manière toute artistique) sur la table de$vant soi = le présent ; le présent est la table et la chgose concocomittament ; notre manière de déposition est particulière, elle nous appartientt, car nous sommes ainsi que nous sommes en nous (séparés des autrtes) et vivons (douloureusement) la vie quyi est celle de séparation d’acvec l’ensemble de nos congénères ; nous pouvons ainsi ouvrir besace et aller à dépose de la sorte: notre faço n d’aller à dépose est notre art , ou bien manière, ou bien technique ;nous aimons cette chose : l’ouverture de la besace, et la déposition de l’objet sur la table : notre chose = notre gibier ou ce gibier, ce lièvre, cet oisillon ; nous poouvons ainsi poser sur table (le présent ; l’espace présent devant nous = à bout de bras) ; nous pouvons à présent déposer la chose sur table et la voir ainsi : arrangée d’une certaine manière, c’est à nous de voir ; nous avons cette chose à devoir ainsi, ouvrir gibecière, ou bien comment, car pourquoi certains et pas d’(autres, pourquoi des chasseurs et pas pour certains, pour certains chasseurs et pour d’autres non , quand il est éc-vidennt que tout un chacun doit s’alimenter (chasseur au sens large : ramasseur de victuailles pour se sustenter tout aussi bien)  ; nous sommes tous à devoir en passer par là, manger pour vivre ; nous avons tous ce besoin de faire , ainsi, repas quotidien, pour tenir la route, pour pouvoir de la sorte poursuivre sur la voie tracée, nous dezvons nous alimenter a fin de pouvoir, ainsi alimenté , nous mettre sur la route et continuer incidemment de la sorte ; nous avons à nous sustenter et cependant certains ne chassent pas, ne font pas de courses ; nous sommes ainsi voyant cela ; cette chose, qui est presque étrange, du pourquoi des qui déposent des objkets dans des endroiits ainsi dévolus à pareille dépose (de type , disons, artistiques) et d’autre non, pourquoi des qui font ainsi déposition de choses (avec art) et d’autres non ? ; pourquoi ainsi cette chose, pourquio ainsi ? ; nous devons réfléchir à cette chose ; nous a vons à réfléchir à cette chose ; nous devons nous regarder en face et réfléchir, nous dezvons voir, nous devons ouvrir les yeuxd, nous devons nous poser ainsi en face à face, et réfléchir à cette chose, pourquoi cela ? pourquoi certains vont à dépose, artistiquement dirons nous (= maniéré) et d’autres non : zéro manière, et peut etre zéeo dépose (déjà) ; nous devons nous poser la question, nous devons y réfléchir ; nous sommes installés en face à face et nous avons cette question au centre et nous devons la voir, la saisir, la prendre : l’inspecter ensemble : qu en est il ? ; nous allons ainsi ensemble à la découverte d’une raison ;nous aimerions beaucoup connaitrte le fin mot de cette chose de déposition : pourquoi certains (des cueilleurs) et pas d’autresq, quand tout le monde a faim, ou ce genre d’approches ; nous sommes ainsi à devoir nous demander pourquoi, pour quelles raisons, quelles sont les raisons, quelles sont les motivations qui président, quelles sont elles, de quoi en retourne t il ? ; nous avons en nous ce désir d’en savoir plus, et npous travaillons en ce sens ; nous avons pour nous cette chose, qui nous occupe, qui nous tient en haleine, de savoir cela : pourqyuoi certains oui, et pourquoi certains non, pourquoi cette chose ; nous sommes tres-intrigués ; nous sommes tres étonnés de ce»la, car nos mains (à tous et toutes) sont pleines, qui pour qui, qui n’a pas pas, qui peut se targuer de n’(avoir pas, ainsi, les mains pleines, les bras chargés ? ; qui pour dire cette chose ? ; nous sommes chargés, nous avons en nous (= partout en nous) -des choses encombrantes, des milliers et des milliers (peut-etre) de chose en nous = par devers nous : où ? ; nous avons en nous quelquepeart, qui nous encombre, qui nous gene, qui occupe une place considérablde, des chose, des objets, des pebnsées, que sais je, et tout cela forme une sortye de boule de souffle ou de je ne sais quelle autre matière ou chose, cette boule est en nous ; nous en sommes les porteurs sains, nous avons por nous cette boule et elle nous pèse beaucoup et de ce fait nous préférons nous ezn débarrasser ou délester, mais cela, et c’est là que se loge la question qui nous occupe, de le faire (cette chose : de la faire) ainsi que nous faisons = avec façon, au singulioer ou au pluriel : façons ; nous a cvons ainsi cette boule de souffle en nous ; cette boule immatérielle ? cette boule matérielle ? ; nous avons boule , en nous, qui pèse ; elle nous pèse fortement et nous avons à nous en délester mais « comment » = dépose attentionnée, car il s’agit ici du présent, que nous faisons, aux pieds de, eh bien aux pieds du monde en vérité : monde ici , comme sorte de divinité , au sens de monde de valeur, de belle, de grande, de monstrueuses (presque ) valeur ; nous devons cette chose fzaire, c’est ainsi que nous pensons ; nous devpons cette chose faire et faisons, et déposons, nous nous apprêtons ainsi et déposons, nous faisons ce geste, de déposer au sol, ou sur une table = à pl ;at ; nous posons à plat lmes chose, nous mettons les choses à plat, sur du plat, nous mettons ainsi du plat ou des plats, des plateaux, des assiettes, des caisses, etc, sur la chose plane devant nous : exposons ainsi les choses contenues en nous = boule de souffle = boule de vie = matière de vie = souffle = cette chose en nous qui obstrue, qui gène aux entournures ; nous ne pouvons pas faire autrement ; notre vie est ainsi ; nous sommes guidés par la vie ; la vie en nbous est cette chose d’un dépot de soi devant soi ; nous voulons cette chose = nous sommes forcés ; il y a une chose de la vie en nous qui obstreue et demande à se voir déposée à nos pieds ; nous avons (sommes porteurs) en nous , d’une sorte de gibierr (?) à déposer ici, à présent, en tant que présent, en tant qu iul s’agit du présent : nous devbons, cela est notre devoir (comme à l’école) ; nous avons en nous une chose qui est la Chose, que donc, nous avons à devoir (école) déposer ici : à nos pieds de vie ; nous avons une chose qui est notre chose, ou bvien qui est la chose de tout le monde mais voilà : elle transite par nous, elle passe à travers nous, elle est de nous, elle nous colle aux basques un temps ; nous déposons sur un plateau, un espace plat ou plan, une chose particulière en cela qu’elle transite par «nou» et cette chose ainsi déposée est le présent = le temps présent , ou du temps ; nous devons ainsi faire que la vie en nous est ce présent du souffle qui anime et permet dépose (pas à pas ) de pieds sur laterre ferme ; nous déposons nos pieds et aussi le souffle (buée) qui donbc ainsi fait, ainsi faite, la déposition, ainsi fait , le dépot, nous pouvons alors, voir la chose du présent de soi ici et mainten ant, comme offert au monde ; aux yeux, aux yeux du monde ; nous sommes ainsi qui faisons cette chose d’aller à dépose, et cela nous importe beaucoup et nous occupe grandement ; nous sommes qui faisons ainsi, qui allons ainsi, qui agissons de cette sorte, qui parlons ainsi, qui disons ainsi, qui allons ainsi, qui gravitons ainsi, qui nous exprimons ainsi, qui faisons des choses ainsi, qui marchons ainsi, qui crions ainsi, qui pleurons ainsi, qui embrassons ainsi, qui pissons ainsi  ;, etc ; nous avpons des manièresq ; nous sommes particularisés ; nous avons des signes distincxtifs, nous ne sommes pas les mêmes (exactement) et de ce fait nos mabnières divergent ; de faire les choses, d’aller à dépose ; nous avons en nbous une chose, cette choes est comme attenante à nous, elle est notre souffle de vie, nous avons ce souffle en nous (anima) qui part de la bouche = devant , et va au devant se deposer dans les confins du monde :  devant ; nous sommes ainsi qui avons devanbt quyi sort de notre bouche lk’anima ; nous allons et posons nos pieds sur la terre ferme ; nous avons des pieds, njous avons un souffle ou du souffle ; nous posons le souffle par terre, nous déposons un peu, de nous, mort ; nous avons une cxhose à faire, nous avons , dsans la vie, une cjhose à faiore, cxette chose est de déposition ; nous avons à faire dabns la vie une chose de déposition ; nous sommes qui avons à faire dans la vie , une chose de déposition et cettye chose (de fait) est première, est vraiment d’importance, cette chose est première, principale, le début de tout ; nous avons la vie en nous à deposer morte : un peu ; cette choses est une chose principale ; nous avons ainsi à déposer de nous un peu de notrte mort, sur un tapis, sur un tapis dur, sur un plateau, à plat = par terre = le sol = l’(assiette ; nouys sommes quyi avons ainsi (vivant, marchant) à devoir déposer (continuellement) un peu de nous (la paretie morte) sur plateau d’argent, à visée de visibilité globale ; sommesa insi, nous sommes ainsi (chacun) à marcher (vivre) ainsi allant, à sortir de nous (souffle, anima) à dépose : sur plateau dezvant = terre ferme = plan dur = solide ; nous déposons, nous sommes qui sortons, de nous, vie (u n peu) et cvette vie la déposons morte, un peu de cela, dans l’attente du grand tout, de nous, en terme de déposition : la mort ; nous allons ainsi, déposant la mort sur plateuae d’argent ou d’or, installée avec soin (art) et ainsi faiseons le préswent exister, ou vbien présent de nous (un peu de nous étant-mort, ou bien un peu de notre nous-mort) ; nous déposons un peu ainsi (maniéré, forcémeznt maniéré) un peu de nous au devant de nbous ; nous sommes qui ainsi devons déposer un peu de quelque chose en nous, qui est vivant en nous mais qui est un peu de la mort de nous une fois déposé à nos pieds ; nous avons une chose en nous, (quoi ?) qui , sortie de nous (manière) se voit déposée sur un tapis pl ;an, sur un espace en dur (un solide) à plat, qui permet d’etre tenu et de ne pas chuter  ; nous sommes qui avons une chose en nbous = vie du souffle vif, nous voulonbs ce souffle ici le déposer puisqu il en est ainsi que nous dezvons, mais au compte goutte = art : l’art du compte goutte ; nous pouvons ainsi , faire cette chose , d’un dépot de soi en atteznte : un peu de soi mort, puisquil y a une attente du tout ; il faut voir cela, qu il y a dans le monde, un e attente , celle ain si de nous voir mort ; la mort appelle, abjure, oblige et soumet, et nous de lambiner ainsi ou comment dire : dépôpsant des choses mortes, à la pl ;ace, en lieu et place de nous, à notre place ; nous posons la mport (un peu d’elle) en lieu et place de notre présence en tant qu ettres  mort ; nous allons a insi qui déposons (à pieds) des choses de nous , des choses et autres , de substitution ; nous avons ainsi cette chose à faire, nous le sentons ainsi ; nous voulons ainsi, nous avons ain si cette chose, nous voulonbs ainsi cette cghose, nous faisons cette chose ainsi, nous allons ainsi (de ce pas) vers cette chose en attente de nous ou dun nous kaputt ; nous sommes qui faisons ainsi preuve de malignité, de malice = le mal, en quelque sorte ; nous faisons ainsi prteuve de malignité, nous déposons des choses mortes, des choses kaputt, en lieu et place de choses autrees , qui seraient nos corps morts (en ezntier, et pas à moitié) ; nous essayons ainsi de ruser , tromper son monde : nous essayons de la sorte, nous disons à la mort que oui, noua allons arriver, nous donbnonbs un peu en pature, nous donnons un peu de nous (de quelqUe chose passé par nous) , en présent, en terme de présent au monde: nous sommes = nous sommes présenht (cadeau) au monde ou dans le monde : le présent que nous vivons en vie est cette cxhose offerte de nous (vie-mort accouplés) au monde autour de nous ; nous voulonbs ainsi agir et faire cette chose ainsi, de dire des choses de cette façon , comme quoi nous trompons un peu le monde, et donnons un peu de nous (présent  = temps) mais pas tout de nous (= mort) car nous sommes ainsi qUI allonbs ainsi, nous promenant ainsi ; nous avons une chose en nous qui est ce présent, et ce présenbt nous en sommes les dépositairesq (avec ou sans manière ? ) et ainsi allons ; nous sommesq ; nous faisons ainsi cette chose d’aller (en vie) dans le monde, déposant des chosew (le présent, le nottre) comme autant d’objets ou de morceaux de nous (morts) que nous poosons ainsi à plat : souci de bien faire (le mal de la malignité)  ; bien faire le mal, ; tromperie ; bien faire pareille chose d’une treomperie, nous devons ainsi agir de cette sorte et faire ainsi, faire de la sorte, cette chose de’un présent posé aux pieds du monde ; le monde ainsi comme étant le globe qUI nous environne : bulle  ; nous avons en nous une chose à déposerr en attendant pire ; nouys avons ainsi de nous à déposer des chose, non point nous ezn entier (= mort) mais des substituts, des trompe couillons ; dsans k’espoir que cela marche ? ; nouys avons a insi à déposer des choses, des objets, des choses à bhrûler, des choses qui partent en fumée, nous avons des cghoses à déposer, nous posons à plat des choses, nous les arrangeons avec art (souci de bien faire, de mettree proprement les choses à pl ;at) et ain si de suite, dans l’espoir que cela ma rche un temps, que cela fonctionne, que cela le fa sse ; nous sommes ainsi qui devons, car nous sommes tenus ; njous posqons un peu de nous (= xdu transit) et ces chgoses (aux pieds) sont comme une excuse = pardon, de ne pas être mort ou quelqUE chose d’approchanbt ; de n’eztre point mort «tout à fait» , et voilà ces présents en offranbde, dsanbs l’attente (en attente) ; nous sommes = nous déposobns ; nous sommes = déposons ; nous sommes signifie cette chose que nous déposons, dépositions, aveux, tout le mal que nous faisons en restahnt ezn vie (envie) ; nous sommes ainsi qui déposons des choses, d’une manière qui est l ;a notre = d’une certaine man,nière, et ainsi faisant nous nous allégeons et faiso ns a llégeance ; nous avons ainsi ces choses que nous déposons (de nous ou qui ont transité par nous) et ces choses n ous les installons sciemment ou précisqément, selon une manière qui nous appe$artient en propre (notre nom, le notrte, et non celui du voisin) car nous tenons à ne pas «ptrendre» pour quelqun qui ne serait pas nous, «prendre» au sens de punition , etc ; nous allons ainsi qui déposobns (nos choses) avec art : représentations, choses, objets, figures, traits, quioo qu il en soit qui puisse rtépondre de notre nom et non point de celui du voisin ; nous voulobns ainsi n’etre puni (si punition) que pour nos méfaits, les notrtes en vrai, en propre, et non pour les méfaits dont le voisin aurait fait preuve ; nous sommes ainsi consqtitués que nous allons par les chemins de vie, et ce faisant déposons ici ou là des sortes d’offrande à la la vie ou au monde, qui atten dent, qui sont dans l’attente, qui nous appellent ; nnous faisons ains i gerbes, bouquets, arrangements divers, soignés, de cette sorte qui est la notre (et non celle du voisin) en espérant tres-fort ainbsi que notre tour (de partidr, de mourir, etc) pourra attendre encore, et, ainsi faisant, nous sommes qui allons de cette soprte contre ; njous fai sons ainsi du cobnttre ; nous agissonsq contre, nous voulobns ainsi agir, nous allons contre, nous voulons ainsi aller, nous voulobns nous opposer , ou bien nous attirer les bonnes graces ; nous repoussons ; nous essayons de tenir à distance ; nous voulobns ainsi, nous sommes, nousallons ainsi ; notre but est là, il est clair, il erst en dépot, il est bien disposé, il est soigné, il est protégé et surveillé (coinsacré en quelque sorte) ; nous faisons des chgoses ainsi avcec nos mains, nous faisons ainsi des choses avec nos mains, nousallons ainsi avec nos piedqs ; nous déposons = nous vivons = nous allons = nous soufflons ; nous sommes souffle déposé ou de dépose en tant que chose = le présent (temps de notre, ici, passage sur la terre ferme)  ; nous aimons cette chose ; nous sommes ainsi qui arrangeons des choses (maniérées) devant nous, dans un espace (salle) dévolu à cet effet, nou sommes qui posons avec souci, avec soin , en réfléchjissant (plus ou moinbs) à la manière, à la façon , ou bien à la disposition ; la disposition est capitale car elle signe notre nom en toutes lettres, ou quelque chose de cet ordre ; nous devons ainsi faire, déposer = vivre, avec un nom (en particulier) : lke notrte (et non un autre) ; cvette chose est essentielle, cette chose est première, et a un e importance capitale: le nom qui préside, qui chapeaute, car offrant nous nommons , et la cghose du présentv , et nous qui sommes cette chose , en dépot, et pleine d’ele ; nous sqommes ainsi qui dséposons-vivons ,les cxhoses du monde,dans le temps d’une déposition en bonne et due forme (art) ; nous allons ainsi de temps en te mps, nous allons ainsi naviguabnt, nous sommes ainsi comme ballottés, nous faisqons ainsi preuve de soin, de souci, nous allons ainsi dans le sens qui est celui d’une vie à vivre en tenant le coup , sans sombrer ; nous allons ainsi faisa nt, à depose (continue) vers une chose qui est cette chose que , donc, nous ne voyons pas véritablement , mais voyons chez les autre , ou dont chez les autre s voyons les effets ; nous sommes ainsi qui devons aller, vers des choses, devant nous (assiette) et à depose, sur sol, sur tapis, sur plat, sur plkateau, sur drap, sur mur ou en tout cas sur matière plane et solide : fiable ;, nous avons construit un petit (ou uun grand) quyelque chose (de l’ordre du jeu, comme un enfant) et nous sommes encombré d’icelui au point que nous dezvons nous ezn débarrasser, le déposer ici ou là afin de pour le coup nous délester de cette chose, afion de pour le coup pouvoir continuer notre bonhomme de chemin sur terre ; nous essayons (il semblerait) de constuire une cabane, une chgose devant nous : propre, sécurisée, sur laquelle des gens veillent à nottre place, vivante au sens d’éternellement secourue, soignée, et bichonnée pour kes siècles des siècles (a priori) : conservation ; nous avons ainsi notre bichon, il trone, il est sous haute surveillance, il n’a pas de prix, tellement grande est sa va&leur ; il s’agit d’un bichon par nous ouvragé, élu, cxhoisi, mis en exergue et monté aUpinackle pour l’éternité ; il s’agit d’un présent au monde = contemporain ; nous avonbs ainsi cette chose qui est exposée au monde, au propre, secourue, soignée et protégée de toute détérioratiuon ou de tout vanda&lisme ; nous som:mes ainsqi qui déposons un peu de nous, da ns lattente de la mort (la notre) ; un peu de nous = quelque chose passée par nbous et que , d’un e certaine mànière (nécessairement, obligatoirement) nous devopns sortir ainsi, d’une certaine, d’une manière certainec = particuklière, nous devons d’une manière (maniérèe obligatoirementr) sortir = déposer cdes choses sur t(apis (ou plateau) ou à même le sol ; nous avobns en nous (entre nos bras) des choses qUe, des cxhoses que nous poserons incxessamment , ces choses sobnt des cadeaux, des offra ndes, des choses confectionnées ou dérobées, cela n’a pa s d’imporetance ; nous avons en nous ou sur nous (par devers nous) des choses qui sont des présents (du présent, du temps présent, du temps) et cette ou ces choses sont ainsi que nouys les déposons au propre et en propre ; notre nom les accompagne ; il est importabnt que nottre nom (de coupable) accompâgnat lesdits objets ou lesdites choses ici, sur tapis de sol, car nous ne sommes pas encklins à vouloir prendre (ramasser) pour celui ou celle (voisin ou voisine) que ne sommes pas ; que nous ne sqommes ; nous voulonbs ainsi aller à déposer (lla vie) ainsi faisant : fleurs, gerbes, choses = objets sur tapis, ou bvien des mots doux) ; nous déposons ainsi ici certtaines bricoles sortanbt de nous, que nous soignons, qaue nous offrons szoignées, qui sont de notrte cru, qui sont notres, qui signent ainsi leur appartenance, qui ont besoin ou appelent cette a ppartenancxe, ont besoin de cette apparte,nance ; nous avons ain si une cxhgose en nous qui est cette cxhose de’un vouloir le nom attachée à la chose, avons (il nous semblke) pour nous ce vouloir, d’une étiquette (d’une manière ou d’une autre) attachée à l’oeuvre ainsi déposée ; njous faisons ainsi que déposons a ux yeux (à ceux avertis, du moins) du monde ; des gens a vertis, des personnes qui donc donnent les bons pointsz (zet les mauvais)  ; nous avons fabriqUé des chgoses, conclu, nous avons conclu des chose, fdavbriqué, nous avons des chose s fabriqUée avec nos mains, avec l’ensemble (peut etre ) de ce que nous avons de disponible en nous à cet effet (dans c e but) ; nous avons fabriqué des choses, nousq avons conclu des chose, nous avons signé des choses, nous y tenons ; nous voulonbs ain si faire en sorte que la chose là, deva bnt nous, puisse etre considéreé à sa juste valeur et la bichonnonbs = la oprésentons, proprement, bien mise et policièrezment surveillée (propriété à visée d’éternité) ; nous sommes qui ainsi déposons des cxhoses de toute éternité, des cghosex qUI sont précieusqes, qui ont cette valeur d’éternité, nous avons en bnous ce désir ; nous voulons faire de la sorte,comme preuve d’autorité ;, nous sommes qui voulons, faire ainsi cette chose : donner ; nous donnons, le don (le présent, le temps présent) est (ici) tres précieux, tres important, voire ca pital (chef de proue) ; nous avons une chose en don que nous avonbs àç déposer sur un tapis ; nous avons un e chose en don que nous devons ain si (manière) déposer , sur tapis de sol ou autre pla n dur, ou autre base de sustentation fiable ; nous avbons une cxhose, elle est cxhose fabriquée (montée) et cette chose est importante en tant que don ; cette chose déposée est don ; il s’agit d’une chose délestée, il s’agit d’un don de soi ; il s’agit de quelque chose répondant à un nom en particulier, il s’agit du don d’un nom, d’une chose nommée et non point à)à la six qUatre  dee»ux, mais a pres examen des mots en maga sin : nom propre et prénomls ; nous voulons a insi faire don de soi , d’une part de soi, à cette chose qui appelle, a ttire-appele ; l’attirance ici (les âgesws) est appel de la forêt : est axppel, ets  contrainte ; nouds allons ainsi comme à confesse, et c’est à dépose ; nou s faisonbs don de quelque cxhose en nous , que nous offrons ainsi au monde environnant ; nous soo:mes ainsi, qui offronbs de nous quelque chose : formes, tecniques, et allons a insi faisant vers des lieux de dépose, et de dévotion ; nous alloon s de la sorte )à la recxgherche d’»un endroit (un petit coin) où nous retrouver, où nous retrouver nous mêlmes, afin de (donc) déposer pareil objet en don, sur tapis du présent au monde ; il en va ainsi ; nbous sqommes tres certain de c ette chose ; nous avons ce don en réserve ; ,ous avons à donner et nous le faisons, nbousq jn’avons pas peur de le faire ; nous avons une chose à faire, donner ; avons nous peur de faire cette chose ? ; nous allons ainsi, avec nos bras chargés, et pourquoi nous ? ; qui n’a pas les b ras chargés ? ; qui a les bras chargés ? qui veut ainsi fa ire, qui se déleswte, et qui non, ne se déleste ; nous avons (toutes et tous) besoin de légèreté (pour monter au ciel) ;nous nous délestons du mal ; nous déposons cette mal-mort sur pierre de taille, tapis d’ooffrande, muraille, drap de sol, etc ; nous sommes munis d’une chose en dur (ou pas) que nous voulonbs (ainsi faisant) déposer sur la terre ferme ou bien sur un tapis d’offrqandr, ou bien sur tissu, au propre ; ce mal-mourir en nbous est ce présqent de vie dont nous nous exwcusons de cette manière (art, art en tant qu’excuse) ; nous nous excusons de cette manière, de cette façon, nous nous excusons de cette chose, de nottre non-tout-à-fait-mort encore en nous ; car il s’agit d’excuses (pardon) ; pour donc, etre ainsqi : encore en vie, alors nous dsonnons autre choses que nous (bien obligés) ; nous donnons tout auttre chose (de soigné) de nous = depuis cet endroit sur terre qUe nous occuponsq ; nous nous excusons ainsi fai sant ; nous sommes qui devons ainsi nous excuser en faisant cela -, un don sur plateau : white cube ; nous avons la chance ici (au monde) d’avoir un espace de monstration ; nous avons cette chance, ici au monde, d’avoir , pres de nous (pieds) un espace de montrement qui erst idéal, qui est idoine, qui est nickelk, qui se présente sous la dforme d’un cube,d’une piéèce carrée ou rectangulaire (écrin) blanc immaculé ou, sinon blanc : juste immaculéev = propre, pour ue sorte de oprésentation (naissance, position) propre des choses ; nous avons (pour nous) cet espace (propre) de présentation ; nous prsé,ntons ainsi, nous présentons bien ; nous présentons bien ainsi (propremenbt) jusqu’au sa le, jusqu’au méga-sale,  jusqu’au cradingue absolu (la merde, le pyo, le pûtride etc) mais toujoiurs ainqsi : de manière soignée, poarfaitemeznt soignée (nous essayons) de mabnière à pouvoiur ainsi rehausser la chose de mise ; nous avons le souci, ici, ici et maintenant, temps présent, espace d’alentour de soi, de mettre aibnsqi (les choses présentées) en bonne configruation de proprteté ; nous ne voulons pas salir le sale (ou le propre, sur le sale ça se voit moins) ; nous ne voulons pas saklir le propre, ou kl’objet en propre ; nous ne voulons pas salir l’objet (même sale) en propre et du coup nous allons ainsi (de cette façon ) en présentabnt ainsi : propremebnt, des choses nommées ou dison,s qui portent (d’une manière ou d’une autre) le nom (ici) de leur créateur ou inventeur ou passeur ; nous déposons ainsi des chosesz choses en propre : sur du propre, et ainsi faisant rehaussons, ou pltôt mettons en exergue, en expoqsition, en prezmière, en avant ; nous le voulonbs, nous voulonbs une punition (si punition) juste ; nous ne voulons pas (en rien ) casquer pour le voisin ; nous voulons une justice dans la mort ; nous exposons proprement nos méfaits ; ce mal fait (cette mal-mort pour ainsi dire) nous essayons (au mieux) de (pour le coup) la présenter (temps présent, cointemporain) au mieux de ce que nous pouvonsq, au mieux de ce que nous pouvons = proprement, a-vec soin et précision ; nous sommes qui cherchonbs les bonnes grâces ? sommes nous qui recgherchons les bonnes graces ? ; nous a llons aibnsi dé»posant nos choses : une sculpture, une peinture, une installation, un film , etc, les déposons en lieu et pl ;ace idoine (à notre plaece =: à la place de notre être mort) ; nous déposons un film, nous déposons une peinture, nous deposons une pienture, déposonbs par exemple un film ; nous déposons un dessin, un croquis, une pelle àç tarte, un néon, un bout de gruyère, de la bave, du sang, des choses en matière plastique, du tube iro, des montres suisses, des carafes en verre, des poeles à charbonb, de fusain, du crayonné fissa, de la mayonnaise : nous exposons un bon peu de mayonna ise, bien jaune, bien huileuse, sur tapis cde sol, sur mur blanchi à la chaux ; sur mur de couloeur blanche ou autre ; nous avons souci, nous prenons grand soin de cette mayonnaise ai nsi présentée sur fobnd blanc (ou autre) ; le soin, le souci, les égardss, lk’attention, l’assurance, la précision et l’application dsansle déplacement (pour tout dépla cement) de cette chose ; nous voyons ainsi ce souci xde oprésentation cxomme l’art en soi ici, afin de bien aibnsi déposer ;afin de déposer incidemment avec le soin qui ici s’impose, lo’euvre de soi, cette mayonnaise, cette bouillie, ce ca neva s, cette lampe ouvra gé&e, cette chose cwrayonnée ; nous avons des choseàç déposer sur la table en pierre ; et y mettre le feu ? ; npous avgons choses et autres, nous avons les mots, nous avons n’importe quoi qui passe par nous, à travers nous, via nous, à travers notre corps, par nos mains ou notre bouche : cris ; nous avons mille et mille obvjets de chute : là, sous nos pieds posés ; nous avons ainsi mille chute possibles, nous allons tomber tzlle chose ou (oups) non, déposer avec art , cx’est à dire acvec soin (le médical, la médecine) ; nous sauvons la chose sur tapis , nous la sa uvons du fait du tapis, et dela dépose, ; nous avonqs qui voulons ainsi déposerr pareil objet posé, pareil objet de dépose, avons et voulonbs, à dséposer pareil ob-jet de jet, de dépose sur tapis de pose : à cet égartd ; nous voulons ainsi, aller dans ce sens, nous voulons ainsi aller da ns ce sens d’(une dépose-sauvegardxe ; oups du temps qui est un puits sans fond ? ; nous voulons ainsi faire, que déposons chose, que déposons ce faire ai nsi, ce semblant-substitut, cette chose à la place de moi , pour l’éternité de la police ; nous voulons ainsi faire à dépose, objet de police (surveillé) pour les siècles des siècles, à part moi, à ma place : cet objet de dépose posé, sur la pierre froide (chaude ?) qyui sert de lieu d’offrande ; voilà la chose ; elle se sitrue là, sur pierre d’offra nde ; on peut penser cela que la chose ici se sqitue là ; nous pensobns cette chose que la chose ici , se situe là tres-exa ctement, c’es-à-dire à cet endroit oprécis qui est l’endroit du don de soi, soi offrande, soi incomplet, ruse = mal, mais cela bien présentés comme une pilule (qui serait amère) ; nous avons ainsi une chose à faire = à déposer, un ob-jet, une xchose, une bricole, un objet fabriqué, un tableau, de la peinture acrylique, de la bave d’escargot sur du velin, de la peinture epoxy sur carcassae automobile, de la craie sur tableau noir, de la pisse contre mur blanchi, de la merde en branche sur portique ou sur cima ise, du crayon de couleur, du pl ;atre, de la pisse de cheval bouillie (la pisse)etc ; nous exposonsq, nous posons, nous déposons, nous déposons tout et n’importe quoi qui est par devers nous  = du monde ; il s’agit de choses du monde, des choses trafiquées, bricolées, manufacturées, bricolées ou pas mais toujouirs qui sont ou passaent, sont passées ou opassent : nous faisons, entre nos mains (esprit) ; nous, nous faisons, puis nous posons ; nous sommes dansla matière ; nous posons ici et là, sur un sol fiable, sur des supports fiables, des choses du monde , choses passées par nous ; ce passage par nous signe l’oeuvre (quelle qu ‘elle soit) ; ce passage par notre ezntremise (intermédiaire) est passage qUi ma rque l’empreinte d’une signature : en particulier ;, ce âssage est donc passage-signature-aveu : nous signons = nous assumons = nous disons qu il s’agit de nousc : à la base ; nous ne voulons pas faire porter la chose, le képi, le casque , le chapeau, à quelqUun ds’autre que nous mêmes, nous ne voulons pas une in-justice ; souci de soi = souci de justice pour soi ; chacun ses méfaits (signés) ; nous déposons des obvjets divers, d’une manière telle (art) que nous comptons sur cette chose d’une distinction , à bon escient, précise et juste: césar à césar ; nous voulons ainsi que justice soit faite, et que la chose soit ainsi qu elle soit reconnue ; nous allons comme de l’avant danslareconnaissance ; nous espérons ; noutre but est ainsi, que nous voulons ainsi, que nous esqpérons, que  nous avons souci, que nous avons cet espoir, que nous avons souci, espoir, envie, cette cxhose, de la voir ainsi proétégée, au propre, mise au vert ou a l’abri ; nous voulons la voir ainsi la cxhose protégée (pâr la police des tecniques) ; nous sommes qui aimobns ainsi déposer des choses sur table : ici l’amour ; il y a ce qui font et déposent, et ceux qui non ne font et ne déposent pas ; la qUestion de l’amour, nous aimons, nous allons tout amour vers ladéposition de cxhoses sur la table froide (chaude ? brûlante ? feu ?) ; nous essayons cette chose, de porter des choses belle:ment bien mises, si possible ; nous avons souci de bien mettrte sur pierre ; ce souci du bien , pour nousq faire beaucoup pa erdonner  : de n’être pa sencore mort ; nous ne sommes pas mort, ; sommùes nous mort ?  ;: nous ne sommes pas mort, nous déposons (ouvrageons) pour dire cela, au monde (?) que nous ne sommes pas (e-ncoire) morts ; nouys avons souci de dire proprement (il y a gros à jouer) que nous ne sommes pas encore morts ; nous avons souci (soin) de dire (déposer = vivre) avec précision, avec soin, bellement = oproprement, que ne sommes encore : point tout à fait kaputt : encore ; nous diso ns (exposons) que la mort de nous (attezndue) aépproche, oui, bien entezndu ; nous disons déposons vivons = allons, allons ainsi, nous déposons sur un pl ;an dur = fiable et ce fa isant nous sommes comme jugéspar nos pairs (monde) et a insi a llons qaui nous faisons juger et peut etre sermonner ; nous y &llons ; nous avançons cette chose d’un substtitu, d’iun semblant: déposons semvblanrt, du semblant, du presque pareil, du ressemblant, du mim»étique, ou ce geznre de choses = presque npus mais cependanr ce n’estcxpas npus ; il s’agit de cghoses du mlonde mais de type ressamblance, nous pensons ains i ; nouys allons ain si ; 

quand nous déposons (des oeuvres) nous faisons a llégeance, nouys faisons comme si (nous étionbs mort)or voilàç qu il n’en estrien (à cette heure) et aussi qure nous allons (ains i faisant) comme si, comme = comme en ressemblance, comme étabnt en ressemlblance ; nouys alons donnons erzartsz, nous allons donnons subsitutit ; nous sommes rusés, nous trichons, nous agissons mal, nous ne voulons pas ainsi faire que nous soyons pris en défaut de ceztte chose que voulons de la sorte dire que ça : est  : njous ; nommés ; nous ne voulons pas d’une chose ai nsi, qui soit nous-mort, mais plutôt : que des bouts de substitution : brîuklés, brulure ; sommes qui brulons ainsi, de nous, substitution, et pas nous entier, nous complet = nous mort en entier, tuons des bouts de choses (les brulons) pour figurer la chose d’un nous mort que ne voulons ; nous ne le voulobns, alors tuons (brûlons) choses et autres en lieu et pl ;ace de nous mêmes ; njous sommes pour le coup dans cette chose ici , ; de ce vouloir là, de cette ambition, de cette volonté, d’un dire éternel , à base de fumée (de feu) )à partir de choses mises, au devant, sur table de pierre, en holocauste (sorte de) ; nous pouvons de la sorte voir cela que nous sommes comme, ici ; ici nous sommes comme, sommes comme morts, nous nous exposons ainsi , par le biais ainsi de cghoses et autres, choses tuées, = mortes : à nottre place, car l’appel est là (la chose du monde, cette chose du monde) qui nous aspire avec sa boucxhe, et nous de lui donnezr : feu-fumée, erzarts, holocaustes, tromperies sur la ma rchandise : en attendant ; en attendant, voilà ce que nous donnons ; en attendsant voilà ce quil est important de donner, voilà ce que nous donnons : ce présenbt au monde, à type de présentatation et  mobile ainsi expulsé qui vient à (ne pas tomber dansle noir abyssal) mais ainsi se voir comme déposé délicatement (plume) sur un ou une, sur support ou toile, sur écran, sur pierre, sur une surfavce p ;ane, ou un support plan, pl ;at : un pklat ; une pl ;ume sur un plat : un tapis ; nous avons à ainsi nous donner mais (attezndant) : sommes aspirés ; volonté est comme aspiration qui vient de devant, et non de derrière ; nouys alloons, qui faisons ainsi cette chose, que nouys sommes comme aspirés et du coup nous lachons (proprement) des choses devant, en lieu et place de nous, qui nouys accrochons aux parois, aux portières, aux portes, aux meubles, pour ne pas filer fissa comme englouti oups en un rien de temps: nous posons ; nous avons en magasin = cvommerce, de quoi = ob-jets, sustenter la bhête, avons une chance  : de ne pas chuter = tomber dans le visde, mais de nous retyrouver squr plancher des vachesq, sol plan, pla t, sol ;ide-physique, et d’ainsi pouvoir aller = don , dans la vie = monde, et faire = ouvrager, fabriquer, des choses de nos deux mains = portage ; nous avonbs ceztte chose (bébé) que nous portons puis nous en délestons, nous avons un bébé à pondre ; nous sommes la ponte ; nous avons un bébé à pondre (présentation, exposition) et ce bébé tombe comme ci (manière) ou comme ça (a utre manière) ; il en existe plein, de ces manières, et nous de voir cela comme un art ici de maettrre à bas, ou bas ; de poser, d’être, d’aller et venir sur la terre ferme, avisés ; nous allons ains i sur lka terre ferme, allons marchant ai,nsi et nous avisons : ce qUI nous entoure : de ce qui nbous entoure, nouys avisonsq, nous dezvons aller : aspirés ; bouche, nous nous crampoonnons, donnons à la place des choses , aspirées : des habits, des chaussures, des bouts de bois, des voitures, des ferrailles, des bêtes mortes, des boites, des mots, des voilages, des truites, des camions, etc, tout ce qUE nous pouvons : en attenda nt pire, en atteznda nt, soit sdans l’attente d’une a spiration gflobale de notre etre en chair : ,nous ambitiuonnons ; notre ambition ici est de sauver les meubles ; voilà la chose, l’ambition est ici de voir à cela : de sauver les meubles ; nous voulons, nous avons une chance, nous avons cette chance, nous avons chance, nous voulons, nous marchons sur la terre ferme, dans le monde ; où sommes nous ?  ; nous sommes dansle monde, et nou sonmmes le monde ; où sommes nous ? ; nous sommes  le monde et nous sommes da ns le monde ; nous arpentons ; notre soin est là visible sous les yeux, d’aller à dépose avec soin ; vnous allons ainsi, nous allons ainsi avec soin à dépose, en propre (en notre nom) et au propre (présentation de type x ou de type y du mobile foetal que nous sommesp) ; nous y allons, nous brulon s = mort, ;nous donnonss ainsi d’un peu de nbous qui brûle en nous au fur et à mesuure : au fur (oui) et à mesure (ausssi) ; nous allons de la sorte (ainsi) qui allons marchant ; nous allons ainsi qui allons ma rchanht, déambulant ; nous sommes ainsi qui faisons de la sorte, vers une sorte de grande machine aspirante, une sorte de hotte géa nte ; nous allons ; nous a vons eznvie de marcher ainsi, et allons ainsi, un peu plu loin à cghaque pas, nous y allons ; nous acvançons ; nous avons des choses en depot, à deposer, à poser, des images, des objets, nouys déposonsq, arrangeons, pour le juste prix ; le prix est capitakl, est le capital ; le prix est le capuital ; le capital ; le prix de la chose qui est sans prix ... ou qui est avec prix ? ; nous allons ainsi voir à déposer cettre sorte de capital : chereété de la chose mise : chair, et chère ; nous la déposons a insi, sur table de pierre, comme un capital de dépot ; nous nous disons cela ici ; nous nous disons cette chose que nous faisons, que nous metton s comme le capitakl sur la balance : stabilité ; nous avons ce capital, cette chereté, cette chose de prix, qui pèse, que vaut son pesant, ce veau ds’or, cette bricole sur la balance, sur la terre ferme, sur ce plan dur, sur ce pklateau-tableau, table d’holocauste ; nous posons notre petit veau tout saignant, notre capital ; il nous a ppartient = il tient à nous par nos deux mains ; il est ce capital-veau qui tient par nos deux mains à nous, qUI sommes debout, vivant ; nous posons l’agneau, nouis posons le veau, nous posons la vache, le canard, l’oie, la bête morte : notre capital, notre fondsq ; nous avons une chance ici, en vrai, de pouvoir tenir sur la terre ferme , dezbout, devant la table en pierre des offrandes, avons trué la bête, donnons un peu, à la mort, de la mort, en la personne ici d’un bête morte ; nous donnons un peu icvi de la mort, par le biais du veau ou de l’agneau d’or ; nous donnons un peu de quelque chose ici de nous (capital) quyi soit de la mort, qui puisse le faire ; nous donnons : capital: juste prix: mort de nous a minima ; le prix d’ami ; nous avançons ainsi et nous posons ainsi , nous avançons ainsi et nous posons ainsi ; et allons, et faisons, et mangeons, et brulons en nous le veau : l’agneau, brulons ; nous brulons en nous (présent : cadeau) le veau ou l’agneau ; nous avons en nous un agneau et cet agneau nous le brulons, nous le sectionnons ; nous brulons en nous un agneau (presence au monde) et ainsi faisant nouys donnons un peu (fumée) de la mort à la mort  ; le temps se consume, le présent, il nous appartient (capital) d’en consumer ainsi à petites feux qui sont autant d’offrandes ezn holocauste d’un nous qui se tient, ainsi, debout, devant la ta ble , au monde ; nous voulons aller dans ce sens et le disons: exposition (dès lors) d’art sacré : le capital ; nous avons ezn nous l’animal saignant (sanguinoleznt) qui brûle ; n,ous : nous avons, en nous, sanguinolent, un animal, un animal qui brule, une bete, une bete féroce, un animal brule en nous, un animal qui est un capital ; il y a en nous un animal qui est un capital , le notre, et qui brule à notre placve, et la fumée monte ; la fumée montre rtoujours, un capital dont la fumée monte ; noys avons en nous un animal, deposons le sur la pierre : déposition (aveu et aert) qui ainsi nous situe, nouys fixe, nous met en lumière, nous hjuge ; nous déposonsl’animal mort, nous le déposons sur la pierre tombale ou sur la pierre d’offrtande, nous avons en nous un agneau , un veau qui est notre capital , que nous déposons de la sorte (sortie = art) sur une pierre : white cube ; et ainsi faisons : allons; nous posons notre peua de bete, nous deposons l’agneau, npous posons le veau ; nous voulons de cette sorte (art) déposer : exposition, installation, arrangement, montage: le veau (ou l’agneau) qui breûle ezn nous, sortons-le = art ; d’une manière ou d’une a utre : la sortie, ; nous avançons ainsi vers ce chemin d’exposition solaire, nous brulons de milli feux notre agneau en n ous, la fumeée depuyis nous part ainsi au dessu de nos tetes : capital ; nous abritons pareil agneau fumant, se consumant ; nous sommes a insi qui abritons, nous sommes a insi quyi abritons, qUI avbons : en nous : un agneau, un veau, des animaux : un troupeau  ; nous nous empressons, nous avançons fissa, l’aspiration est efficiente, nous nous empressons, nous allons fissa ; nous pouvons ainsi en propre nous positionner (white cube) afin de mettre en place une sorte de stratégie, un montage, un piège, tout un ensemble piégeant, un parcoure, une échelle, etc, qui soit comme une pierre d’holocauste  ; prise, mise, dépot, installation, chazpitaeau, table, plat, a ssiette, soucpouope  volante ou tapis volant ; tapis, tenture, prise, mise, choix ; nous sommes ainsi dséposa nt nos pièges, substitus et autres faux  fuyants, sur pierre de taiile, plate, belle en ce que voilà : elle accueille ; elle nous permet, elle prend (tout)  ; elle autorise (large) ; elle est ouvert (follement)  ; elle nous ouvre ses porte , pleinementr, et nous des lors de nous y engouffer fissa = de nous engouffrer dans pareille grotte ou gouffre : une grottre, une grotte, une grotte avec des paroisq, avec des murs de parois, avec des murs d’enceinte, avec des plafonsds d’enceinte, a vec des brisées d’enceinte, coupe vent, abris contre les animaux sauvages, abrid de passage, grotte abriteuses, grottes pour la vie : des grottes pour la vie, des excavations où (donc) se mettre à l’abri : white cube, à parois sombres, nus, dures, froides, belles en cela qU elle nous contiennent, nous admettenbt, nous autorisent, nous preznnent ; nous sommes ain si pris dans une chose de type grotteuse, qui nous prend par devers elle et nous protège un temps, le temps du dedan = de la vie en vie ; grotte qui est cette espace de vie sur terre  qui, grotte-espace de vie sur terre ;

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14/02/2020 

nous sommes qui tenons, dans nos bras, des produits sortis de nous, des choses et autres, choses-et-autres que nous calinons et tenons fortement serrés contre nbous, entre nos bras = dans nos mains : nos mains sont pleines, nos mains contiennent et nous faisons-allons ainsi par le monde, ainsi contenant entre nos mains et choyant les produits que nous faisons nous mêmes, que nous produisons par nous mêmes et choyons comme des nourrissons : nous sommes ainsi qui faisons cette chose et allons marchons-faisons ainsi, à travers le monde, et ces produits sont tenus par nous (giron) comme des etrres chers que nous calinons, ou sur lesquels nous veillons, et que nous conservons pzar devers nous, en faisant le mieux possible attention attention à n’en perdre aucuns, en n’en tomber pas le moindre, à faire de la sorte que, pareils produits contenus, ne tombassent pas sur le sol et ainsi faisant s’abîmant mais restassent bien au chaud au sein de notre giron, contre nous = entre nos mains : serrés contre mon coeur ; il y a des cgghoses que nous faisons, choses faites, que donc nous aimons tenir contre nous (amour) contre notre sein = dans nos mains ; nous veillons sur elles, nous sommes fiers et nous sommes plein de cet amour pour elles, pour ces choses frêles que nous concervons chèrement et précau- tionneusement contre nous = dans notre giron ; ces chose faiotes sont donc des choses que nous conservons jalouse- ment ; nous les aimons et n’avons du tout du tout l’envie d’en perdre la moindre, nous veillons et lorsque nous veillons nous faisons de la sorte que pareilles choses (objets au sens large) ne tombassent point sur la terre ferme, à nos pieds, au risque de se peerdre ou de se briser ; nous veillons jalousement sur notree progéniture, nous sommes fiers ou jaloux, nous sommes fiers et jaloux, nous veillons jalousement et conservons par devers nous, en les serrant fort contre nous, le schoses ainsi faites, nous les aimons, les serrons contre nous et ne voulons les perdre : point du tout ; ce qui nous anime dès lors est cette chose , que nous avons ainsi, en nous, cette façon pour nous de conserver entre nos mains : des choses faites par nous, choses faites que nous portons , jusqu’à un certain point, car il est sûr que nous avons un jour à lâcher la chose , car la chose un jour devient si grande, si volumineuse, que dès lors comment s’y prendre, entre nos mains, avec pareil encombrement ; il est évident que, à partir d’une certzaine grosseur, à partir d(‘un certain volume, il est bien évident que donc ainsi avec un poids entre les bras aussi volumineux, aussi important, il est sûr que , un jour ou l’autre, un beau matin, nous nous voyons comme dans l’obligation, bien évidem- ment, de poser la charge ; nous sommes chargé et nous devons poser la charge quelque part ; nous avons entre nos mains des choses faites, nous conservons, nous serrons jalousement contre nous, entre nos deux bras refermés, puis nous ouvrons nos bras, grand, et ce faisant tombons notre progéniture, la tombons au sol, voyez lz mouvement : bras fermés contre soi, jalousie, contenance, enlacement, piuis bras ouvert en grand, les doigts , les mains, et plof , la progéniture, au sol par terre, cassée la pipe, nous voyons ainsi les dégâts, les choses faitees tombées à terre, nous voyons ainsi ces choses sur la terre ferme (boue, fange, terre labourée ou non, poussière) et nous pleurons sur notre sort ; nous ouvrons les bras, nous fermons les bras ; nous fermons les bras, nous ouvrons les bras, nous sommes ainsi qui faisons ce grand (ample) mouvement d’ouverture des bras, bêtement, oubliant entre nos bras les choses faites, afin d’accueillir des choses entre nos bras, des etres, des choses autres, venant du monde extérieur, nous ouvrons (large sourire) nos bras au monde et faisant cela nous tombons nos chose, nos choses en propre et les salisssons de la sorte en les flanquant ainsi dans la bouillasse, ou dans la poussière qui jonche (nappe) le sol ; nous sommes bêtes ; nous ouvrons bêtement nos bras et tombons des choses de nous, nous sommes un tantinet idiots, nous ne réfléchissons pas avant d’agir, nous ne faisons pas attention, nous avons la tête dans les nuages, dans la lune, nous sommes des enfants ; nous sommes comme des enfants qui ne réfléchissent pas à ce qyu’ il font et voilà ce quyi arrive, patatras, nous abvons tombé des choses, nous les avons ainsi sali, nous avons salopé, ; sali des choses, celles là que nous tenions entrte nos mains et à présent nos mains sont vides, nos bras sont vides : ouverts et vides, prêt à accueillir , du monde extérieur, d’a utrees choses ou êtres ; nous sommes légers ; nous sommes bien légers en la matière, nous avons été bien légers et nous sommes tristes, nous faisons triste mine : voyez notre mine : triste ; nous sommes comme des en,fants qui portent une chose et puis la tombent, ils sont légers, ils ne réfléchissent pas suffisamment, ils sont pris par autre chose = distrait, distraction, nous faisons comme eux, nous en sommes là, nous faisons de la même manière preuve d’immaturité ; nous sommes des enfants qui allons de la sorte dans les champs et tombons par terre des choses, des objets, des choses faites, nous tombons des choses et ces choses sont comme des pertes, sont comme des choses perdues, oubliées, des choses entre nos brads dont le souvenir ou dont la pré- sence, en notre giron ... etc ... oubli ; nous sommes ainsi oublieux, oubliant, de chose faites tenues, nouys les avons serrées contre nous et cependant, par distraction, nous les oublions et les tombons par terre, nous sommes des etres étranges en cela, qui tenons fortement des choses (contre nous mêmes, contre notre torse) et voilà que nous pensons à autre chose ou bien sommes distraits par autre chose et alors nous tombons ce que nous serrions pourtant si fort, c’est étrange ou à peine croyable, et cependant, c’est ainsi que nous agissons ; nous créons, nous contenons, nous tenons fortement, nous aimons ainsi = en contenant, et puis voilà que nous lâchons prise lâxchement : nous lachons le mobile foetal, nous lachons l’objet conçu, nous le déposons à nos pieds, à nos pieds et à vos pieds, à nos pieds jusqu’ici et à vos pieds à partir de là , mais où est la limite entre les deux zonezs ? ; nous lachons -déposons le mobile ici, devant nous (futur proche ou prédsent) et ce mobile déposé vient à se loger en cet endroit précis qui est cet espace mais entre qui et qui ? et où exactement ? ; nous déposons l’objet (chose faite) devant nous et ce faisant nous posons à nos pieds ou bien à vos pieds, car nos pieds respectifs ne se touchent pas : il y a une disqtance ; et notre paquet ainsi viendrait à se loger ici , dans cet entre-deux qui nous fait face, à proximité mais pas complètement à nos pieds dès lors ; nous avons déposé la chose, et ainsi déposée à nos pieds (ou donc un tout petit peu plus loin) nous alloons ainsi qyui sommes llégers, qui sommes ainsi prets à concevoir de nouvelles chhoses avec nos mains, etc ; nous avons devant nous ce devant de nous = prédsent, cette offrande déposée à proximité, apres nos pieds, avant les vôtres quyi nous faites face, nous avons ce paquet du présent devant, face, tourné de la sorte, ce présent de proximité et ce futur proche, et ainsi nous déposons cette chose qui fait le présent (l’offrande) , qui le constitue : ce présent est le don = l’offrande = le dépot = l’oeuvre = l’art alors ; on peut donc ainsi se laisser aller à penser que l’oeuvre alors est ce cadeau ici déposzé = ce présent devant (futur proche) et donc, il s’agit d’un faire posé ou déposé devant qui est faire d’offrande ; nous offrons de la sorte ce présent de soi , ou sorti de soi = de nos mains ouvertes : plof ; avons perdu ; nous sommes ainsi faisant que nous allons ainsi faisant, par les sentiers, déposant presaents de soi (de notre giron , coeur, antre, corsage) et faisant ainsi allons dans la vie, présents puis présents, allons par lres routes, déposant ainsi des choses faites = du temps ; nous sommes qui faisons ainsi, avec nos petites mains, des choses, toutes sortes de choses, nous n’arretons pas, nous faisons des choses en permanence, nous sommes tres-pro- ductifs et nous plaisons ainsi ou sinon comment, car nous sommes soumis ; nous n’avons guère kle choix à dire vrai ; nous semons ; nous avons beaucoup en magasin : de quoi fournir, de quoi alimenter, de quooi protéger aussi, nous avons, nous sommes ainsi tres - achalandés, nous sommes ainsi qui avons beaucoup de choses faites en magasin, quelques centaines de milliers et tres certainement plus, -tres certainement quelques millions que nous portons, que nous serrons contre nous , contre notre coeur, dans notre giron : cercle, enlacement ; les bras en cercle : toutes ces choses blotties ; nous conservons ainsi par devers nous tant et tant de faires que nous avons faits de notre c^té au fil du temps, et ces faires sont ainsi que nous avonbs à les tenir bien contrte nous, contre nous m^$emes, dans notre antre ou cercle, contre notre torse ; contree nous = devant mais contre = collés ; ces faires collés sont à nous, ils nous appartiennent, nous en sommes les auteurs-producteurs (dune certaine manière) ; nous sommes des producteurs et nous avons en magasin car la chose est du commerce ; nous sommes ainsi qui avons en magasin des choses faites, nous sommes de la sorrtte qu’avons ainsi, en nous = contrte nous (devant, ou ^coté face) des choses faites par nous et sur lesquelles nous veillons jalousement jusquà temps que nous baissions la garde (le regard) et que nous oublions, que nous nous endormions peut-être et que nous tombions le mobile foetal, et le voilà qui est à terre à présent = le présent ; ce don de soi comme par mégarde, ce don de soi bêtement car don pas tout à fait prévu au départ, ou bien peu envisagé ; nous sommes qui avons, et ce faisant nous sommes ainsi comme blessée, couillonnés, nous sommmes un peu commùe groggy, nous ne nous at- tendions pas à pareille chose et nous voyons la chose à terre, aux pieds (les nôtres, les votres) , disons à nos pieds auu sens large : nous voyons la chose chue, nous voyons ce don du ciel qui traine, qUI est là qui jonche le sol, quib est là sur la terre ferme, un présent ou une offrande : le temps- don du présent déposé par devant ; cette chose nette, cette chose offerte, ce bébé, cet objet, cet art de la chute etc, qui se verra bientot peut être recueilli et posé ailleurs, à l’abri du gibier qui rode et de tout autre danger éventuel : protégeons ; nous avons ainsi un art qui est cet art de la chute pâr devant de soi, cet art est donc façon, cet art est façon , il est cette chose en dépot soit du temps présent = un don du ciel, disons ce don ou cette offrande que donc nous faisons ainsi, à la hauteur ou de la hauteur qui est celle de nottre coeur,, de notre giron ; la chose (mobile) est tombée de là = de cette hauteur, de toute sa hhauteur (?) ou d’une hauteur, ou disons d’en haut (doù le ciel) et s’est retrouvée dès lors aplati la pauvre, ainsi jonchant, à plat dos quasi, sur so ;l boueux, fangeux, et poisseux ; nous avons trouvé la chose ainsi devant nos pieds et vous devant les votres, en cercle = le cercle du temps = présent (don) et futur proche (horizon) ; nous sommes ainsi qui regardons cette chose à terre et qui nous empressons de faire ainsi qu elle soit comme prise à part de nous et déposée pour le coup en lieu sûr et protégé, ou bien déposée à part de nous et consacré, fêtée ; nous mettons ainsi des choses à terre, ces choses que nous faisons ; ce faire est une chute ; ces faires sont chutes ; ces faires sont à chaque fois comme malgré soi, comme venant (tout à trac) comme imposées, comme si les choses venaient ainsi se voir déposer en continu sur la terre ferme, à nos pieds, ; et nous de recueillir ces choses et de s’en occuper = soigner : les mettre à l’abri, les nettoyer, leur donner vie, etc ; nous avons ainsi pour nous des objets que nousq déposons devant nous, à nos pieds, ce sont des sortes de bébés, des ogbjets d’art = des façons, des objets artistiquement travaillés = formés dans une direction choisie, des objets qui sont artistiquement conçus, c’est à dire qui ont ou auront bénéficié d’une approche particulière , en cela que lamain qui conçoit, la mùain et le cerveau, le fait ou le font, d’une manière telle que la chose s’en trouve annoblie : il y a ennoblissement ; nous avons une chose artistiquement conçue, il y a là une chose artistiquement conçue, il s’agit d’une chose qui donc a été conçue avec à la base (avant conception) un désir, une volonté, etc ; il y a une chgose qui est née et cette chose a été voulue, a été concçue avec un désir de voir ainsi pareille chose mise à jour, ou bien cette chose artistiquement conçue l’a éte de cette manière car voulue, désirée ainsi, ou comment ? ; il y a une chose qui sort de nous, dans une forme particulière (quoi qu il en soit) et cette forme (toujours particulière) est une forme travaillée ; il y a travail, et ce travail de la forme est l’art, est toujours ainsi, est capacvité à donner une forme, cet aert ici est dopnc cette capacité à faire, à donner une forme, à offrir une forme de plus ; il y a l’art de former, de faire, il s’agit d’un aert de faire, soit d’une manière (manuelle) d’attaquer la chose, d’y mordre dedans etc ; il s’agit , en tant qu il s’agit d’un art, d’un art dobnt on voit qu il concerne la manièrede s’y prendre ; on voit qu il s’agit d’une manière, d’une faço n , dune façon qui considère, qui fait attention, il s’agit ainsi x’une chose (toujours) qui est ainsi façonnée d’une manière particulière, qui ennoblit, qui fait que la chose est rehaussée, est montée en flèche (pinacle) et non laissée par terre ; nous faisons dees choses qui tombent et le relevage du présent est là qui ennoblit la chose chue ; nous avons des choses qui tomb ent (de nos bras) puis donc du (sorte de) relevage artistique ; ou bien nous disons art pôur dire manière, un art = une manière = une façon de prise en main, une facçon = une manière de faire, soit la façon dont nous faisons = dont nous posons les mains ou tenons (au présent du don) : nous abvons des mains qui tiennent (maintenant) et ces mains qui tiennent tiennentv d’une certaine mainnière, manière, et cette mainière, manière etc, est donc cette chose que nous voyons et que nous appelons art ici, ou peutetre s’agit il de ceette façon que nous avons de relever la chose au sol ; ou bien plutot cette chose que nous faisons en prenant le mobile à terre et en le nettoyzant, ou le tout : cet aspect des choses ; nous avons une manière à nous qui est notrte façon de tenir la chose avec nos mains : bien ou mal, prete à tomber ou non ; nous avons une manière (façon) de tenir, de tenir avec nos mains, et cette façon conditionne la tenue des chose, nous tenons plus ou moins bien (art) et ainsi nous pouvons être à même de tomber la chgose, sur le sol meuble, sur le sol hfangeux, au risque de le perdre ou de le blesser etc, de le blesser = de l’abîmer (abîme) ; nous sommes ai,nsi faits qui tenons (bien ou mal) la chose ; nous risquons gros ; nous sommes plus ou moins habiles ; nous avons une manière à nous qui est une manière qui nous appartient et qui conditionne la tenue en main (maintenant) d’un présent en soi, d’un don, d’une chose du présent devant, etc ; nous sommes mains ... tenant objet foetal et risquons gros, de le voir ainsi tomber à terre, risque frappant ; nous sommes qui allons par les chemins avec, dans nos bras (mains tenant), des choses serrées, des objets du quotidien : des bricoles, artistiquement tenues ou conçues ou comment ? ; nous sommes qui faisons avec art des choses = attention, souci, présage, etc ; nous ne faisons pas n’importe comment, il y a des régles de bonne conduite, de tenue correcte ; nous sommes qui avons (de l’art) ainsi, une manière, une façon, une main particulière = un doigt»é, une façon de faire à nous, en propre = propre à nous = propre à chacun = art ? ; nous allons ainsi par les chemins avec en propre du propre, nous allons aionsi par les chemins avec en propre du propre qui est notre, qui est la façon dont nous pouvons aller ainsi : qui sommes ; nous avons pour nous de l’art en nous qui est façon qui est ... manière maniérée ? ; nous pouffons ; nous avons une façon de faire en sorte que donc, le mobile soit toujours tenue et bien tenue (guidée) et puisse ainsi (main tenant) aller au bout du terme envisagé, etc ; il se peut que l’art vienne ainsi (de cette manière de faire) faire aller le mobile ; nous avons ainsi une façon de faire ; à ; nous avons ainsi une façon à chacun de faire, pour chacun, nous faisons chacun, nous avons chacun une manière ; nous avons une manière de poser les mains, et de tenir ainsi le mobile en question, et plouf le voilà qui tomberait à l’eau ; nous ne sommes pas fiers ; nous sommes tristes ; une manière de tenir les choses, les brides, il s’agit d’une manière ainsi de faire les choses ainsi tenues, tenues à part nous = dans notrrre giron:, ; une manière de tenir le temps avec les mains, une manière de tenir le temps ain si, avec des mains, avec nos deux mains, nous sommes qui tenons ainsi avec les mains, et cette tenue est le temps de notre vie: la main pour le temps qui est ainsi ce qui nous fait etre, en vie ici, sur terre, sur la terre ferme (meuble ?) ; nous allons ainsi faisant (tenant mobile) et faisons (art) de la façon que nous pouvonds pour, de fait, aller au terme de ce que donc nous avons à vivre ; nous faisons (art) d’une manière (art) que nous sommes (art) avvec de mains (art) qui nous permettent (art) d’aller de l’avant dans la vie ; nous tenons bon (art) ; nous avons un art pour ainsi faire de la sorte, ainsi faire aller ; nous aimons cette chose de tenir ainsi le mobile ; l’aimons, la voulant entière, et longtemps tenue ; cette chose est nôtre, qui voulons que la chose ainsi puisse etre donnée à autrui en bonne et due forme = art ; nous avons de l’art qui nous permet ai nsi, cet art est un apprentissage, cet art est un apprentissage en cela que les chgoses viennent au fil du temps , s’incsrivent dans le temps, le temps de leurs survenues ; il s’agit d’une opération au long cours, il s’agit d’une chose qui est comme inscrite dans le temps, qui se déploie au fur et à mesure, et ce déploiement se fait sur des durées longues et de ce fait acquyiert une certaine chose en lui (ce déployement) qui est forme, aspect, de telle ou telle facture, selon ; nous avons ainsi des cghoses naissantes, qui vont dès lors grossir et grandir (croissance) et cette façon alors qu elles auront pour ce faire sera une chose (art) que nous pourrons de fait observer à la lumière ; nous voyons se former ainsi des mobiles ; nous voyons ainsi des mobiles se former et nous envisageons les choses sous nos yeux ainsi éclairés ; nous voyons, à la lumière du hjour, des etres ou des choses pousser, grandir, croitre, se développer dsans une manière (main) qui fait qu’elles ou ilks se retrouveznt comme chantournées ; nous voyons tout cela d’un oeil neuf, à la lumière de, ou en pleinevllumière ; nous voyons le chantournement (art) des mobiles ; nous sommes tres-avertis ; nous commencçons (temps) à l’aetre, du fait que nous nous inscrivons, tous, dans le temps de notree passage sur terre, dans ce temps de passage sur terre, ;,nous chantournons, de la sorte (art), une xcxhose que nous tenons ; nous sommes qui chantournons nos vies (art) et ce faisant, cette chose qui est chantournée est ainsi forme, est ainsi forme aertistique = métier ; nous pouvons ain si faire que nous alloons vivant par les chemins en chantournant, et cette manière de tenir le temps, ou bien cette main tenue du temps par nos mains qyui tiennent mobile, est donc comme un art de faire la vie, la sienne, et d’aller vers l’oubli final ; nous avons une manière = une main = une façon , nous dirons main ; nous avons une main qui tien,t (donc à dsa façon ) la chose foetale, nous avons une main de faire qui est main qui tient, qui tient bon (et non mauvais) , qui sait (aert) tenir car ainsi que nous allons en -vie, que nous sommes envie, nous faisons, nous sommes ainsi qui faisons la vie par la main = forme= façon ; nous allonq ainsi qyui faisons de main en- tière, de main forte, de main pleine, les choses = art ; notree faàçon (notre main) de tenir les choses = cette vie que nous menons ainsi vivant ; notre vie est tenue de main ferme par nous et aussi malgré nous pour beaucoup ou comment ? ; nous tenons (art) les choses de nos mains = la vie ; la vie ainsi en nous passe par nos mains, il s’agit par nos mains de tenir le temps ou bien la vie, ou bien tenant le temps nous faisons ainsi que nous allons devant, vers une sorte de fin dramatique ; drame ? allons ; peut etre faisons-nous ainsi une chose, et cette chose la faisant ainsi alors on dit ce terme (art) pour d»ésigner la main ; qu en est il de cette main qui tient ? qui ne lache pas a priori si facilement ; il s’agit d’une main quyi est ainsi qu elle tient comme il faut, qu elle s’y tient, qu elle n’en démords pas, aggrippée ; il s’agit d(une main qui tient agrippée et zqui n’en démords pas, eelle ne lache pas, elle tient bon, elle nbe veut pas lacher, elle est cramponée on dirait, elle est ainsi qu’elle se tient mordicus et ne veut en aucun cas lacher la chose, et cette manière de s’aggripper est donc une main (manière donc) qu e nous pouvons dès lors désigner sous cette appelation d’(art, ou de «art», il s’agit ici d’une chose qui est tenue, qui est main-tenue, qui est ce présent en acte, ce don du présent devant soi : propre ; nous logeons ainsi en ce lieu devant (présent/futur proche) qui est lieu de dépose, et la dépose est la dépouille d’un soi continu, qui meurt ainsi toute les sevcondes et ce soi se voit ainsi à terre, alors le relever ? comment ? ; nous voyons ainsi que nous avons à voir ainsi une sorte de chose qui se doit d’aller ainsi ; nous avons ainsi une chose en nous qui est dépouillee , qui est dépot, qui se voit ainsi déposée sur tere ferme, à nos pieds, à nos pieds à tous ; en cercle ; nous allonqs ainsi deposant nos dépouilles, allons ainsi comme déposant perpétuellement la dépouille de nous (du temps) nous allons ; nous alloons ain si comme déposant perpétuellement une dépouille, celle que nous laissons par devers nous, nous allons de la sorte faisant ; nous avons ainsi cette chose : dépouille de nous, déposée au fil du temps, et une et deux et trois, ainsi va ou ainsi faisant ; l’art de la dépose-minute ; soyons ain si que nous allons sur le chemin de vie à ainsi dépouiller, à dépouiller ainsi, nous déposer ainsi, à dépouiller ou déposer aionsi : nos dépouilles ; nous allons ; ainsi nous faisons ; nous faisons ainsi ; nous sommes qui ainsi déposons au coup par coup (toutes) nos dépouilles (main tenant) et qui allons par les chemins ainsi ; nous allons ainsi par les chemins, dépouillant les chose d’une vie qui ici va son chemin soit celle là que nous vivons chacun en propre = en notre nom ; car le nom est le propre aussi, une manière, une main ; nous allons ainsi qui faisons de main ferme, pareille avancée sur un chemin de vie qui est chemin (de vie) de grande avancée ; nous faisons = nous allons ; nous faisons = nous créons ainsi , au fur et à mesure, des objets de vie qui sont, au fur et à mesure, autant de dépouilles (tenues) à déposer tantot aux pieds de l’arbre, ou bien à nos pieds : devant = présent ; nous nous dépouillons, nous sommes qui nous dépouillons au fur et à mesure ; et c’est ainswui que la main agit, la main agit ain si faisanbt au fur et à mesure ; elle ne peut autrement la main qu’ainsi faisant avec le temps ; le temps de llza main est azinsi qu il fait cette chose ; il s’agit d’une chose que le temps permet, il s’agit d’une chgose que le temps autorise ; nous allons ainsi faisant sur les chemins, nous faisons ainsi une part du chemin ainsi : allant ainsi vers une finitude pleine, complète ; nous avançons et prenons la main en nous ; nous sommes donc qui allons et essayons de voir, ce qui pourrait être en lla matière = en ce quyi donc concerne la main ou la main mise sur les choses que nous concevons au fur et à mesure ; nous sommes ainsi qui concevons des choses au fur et à mesure que nous avabnçons dans la vie ; nous concevons, nbous créons nos dépouilles etc ; à chaque pas ainsi sa dépouille, nous allons de cette sorte ; nous a 

vançons ainsi de cette sorte que nous faisons, devant, devant nous, objets de culte = de chute ; nous faisons ainsi que de nous sort (art) des choses du culte, à déposer devant, les yeux baissé, et ce dépot est temps de vie en cela qu il est présent de vie donné ; nous sommes qui faisons, qui façonnons à part nous (malgré nous) vie de dépouilles ; nous plongeons ; nous avons pour nous une main qui fait, en cela qu elle tient le don pour elle, elle tient contre elle ce qui est un don , donc à offrir ; la main ( la nôtre) tient contre elle (coeur) cette chose en don qu elle renâcle encore à donner de sitot ; elle ne veut ; main ainsi qui ne veut donner trop vite ou comment veut-elle, main qui ne veut donner d’(elle trop vite cette chose en don qu elle maintient contre elle au présennt, ce présent, ce cadeau, xcette chose ici main-tenue contre soi et non point jeté là bas loin vers cet âge qui donc est celui qui sera, ou qui se verra, plus loin (tard) à notre déces ; nous sommùes ainsi, qui tenons avec plus ou moins d’art ; est ce ainsi que nous pouvons dire ? ; nous avons en nous plus ou moins la main sur les choses qyui, de nous, sortent en continu ; on dirait ; nous avons ainsi pour nous la main ; la main pour nous est ainsi qu elle trône, qu elle contient ; la, les ; la main, les mains ; nous avons ainsi une main quyi tient le trône, qui tient bon avec comme un art consommé de la chose : présent à déposer aux pieds de ... eh bien nous ne savons ! aux notres , du moins ou pour le moins, de cela nous sommes sûrs ; nous avons à déposer ainsi la chose à nos pieds, nous avons à faire ainsi que ka chose soit, qu elle soit ainsi déposée, à nos pieds, a près avoir été tenu longtemps par devers nous, contre nous ; l’art de la tenue, l’art dès lors de la tenue contre, cette manière (main) de faire (fer) qui nous est constitutive en plus ou ezn moins ; nous avons une santé, nous avons une énergie, la vie en nous qui nous permettent le main-tien, santé, énergie et vie, ou comment dénommer cette chose en nous qui est main, main tenant le mobile = l’enfant en nous , qui va son cxhemin de vie à terme, etc ; nous sommes ainsi qui faisons (art) manière (main) afin de faire (art) en sorte que puissions aller (main) le plus loin possible ; l’arrt est ainsi alors la main ; la main est l’art ; la main = l’art : de tenir ; la main = l’art de tenir , ou alors : la main est l’art, l’art est la main ; la main est art qui est art qui sait, qui peut ; nous avons ainsi un art (ou n’avons pas ?) qui est celui là qui tient à la vie ; nous avons, nous faisons avec art = la main ; nous faisons le temps ainsi, le passons dee la sorte : «de la sorte» et «ainsi» = mains = art 

de vivre ainsi son chemin ; il y aurait ainsi une manière su- périeuree et une mùanière infériuere, il y aurait ainsi le plus et le moins en la m-atière, c’est-à-dire une façon plus et une fa çon moins , c’est-à-dire une manière plus (à part) et une façon ou une manière moins (à part) et de la sorte on dirait que pour certains il s’agirait d’art et pour d’autres non : comme un don du ciel que certzains ont et que d’autres n’auraient pas ; il s’agirait de distinguos ;, il s’agirait alors d’un distinguo entre ceux qui ont et ceux qui n’onbt pas ; nous pensons que non ; nous voyons la vie au coeur du phénomène, nous voyons la vie = la main, car la vie est la main ; et la main = la façon , et toutes les façons se valent, il n’y a pas une façon plus qu une autre qui serait ainsi (d’aller vers la mort) qyue nouys dirions qyue celle ci est mieux que celle (celle ci) qui donc serait (celle ci) moins bien en son genre ; non ; car pour nous il y a : main, mains au pluriel, qui tiennent la vie à bout de bras, ou bien le mobile de vie en soi (cet enfant) qui donc est tenu (et non lâché lâchement ou bêtement) et cxette main en nous contient ainsi ce temps présent en nous (ce maintien) qyui fait que cette chose en don (en attente) est à nous jusqu’à preuve du contraire ou jusqu’»à temps que la chose chute, d’entre nos bras, que la chose chutât ; nous portons ainsi cette chose du mobile, cette chose ainsi est qui est par devers nousq dans nos bras et nous la serrons bien contrte nous, nous szerrons ce mobile, nous sommes ainsi qui serrons et faisons ainsi art de serrage contre soi, d’un mobile de vie, qui va son chemin ; nous poussons a i nsi la chose devant, nous avançons ; nous allons de l’avant, nous faisons dees pas à notre façon : démarches ; nous a llonqs ainsi vers un lieu lointain ; nous allons ainsi vers un lieu ; nous allons ainsi ; nous allons = nous faisons devant : des pas, des pas qui chassent des pas ; nous faisons ainsi qui allons de cette sorte = avec art, nousq allons avec art = njous gravitons avec art etc, cela signifie en gros que notre façon est artistique, c’e’st à dire chantourbnée, et elle l’est ! ; nous faisons ainsi que donc nous cxhantournons au fur et à mesure, nous allons sur le chemin en chant ournant les cjhoses = les pas, soit notre démarche (chacun sa démarche) ; nous allonq ainsi qui chantournons ainsi parezille chose d’une sorte de dsémarche qyui ainsi se forme au fur et à mesure de la vie qui va (art) son xchezmin de vie ; nous allons de la sorte (art) vers un e forme (art) qyui ainsi (art) peu à peu se dessine, aux yeux des autresq, à travers les nôtres ; nous faisons cette chose d’aller, nous faisons cette chose de tenir les choses créées contre nous, contre notre sein , nous ne lachons pas, nous ne voulons lacher ce présent à faire, nous faisons ainsi que nous ne lachons pas cette chose du présent (temps) en offrande : aux pieds ; nous avons dees pieds pour marcher, une bouche pour parler, un museau, une crinière, des bagues aux doigts, nous y allons, nous formons, nous dessino,ns des cercles de vie, noustraçons au sol des cercles qui sonbt cercles de sustentation ; nous a vançons en faisant des ronds, nbous a vançons en faisant des cercles ; nous avançons de la sorte avec art = cercles, chantournements ; nous sommes qui avançons de cette façon qui va son allant comme chantourné sur la terre ferme ; nous ne pouvons fairexautrement ; nous voulons savoir, ; nous avons une ambition qui est celle ci, de vouloir savoir le pourequoi du comment ; il s’agit pour nous de vouloir comprendre ce qui est de cette affaire, de cette chose, et cela à travers une façon (art) qui puisse donner acces, ouvrir une porte ; nous voulons aller vers une porte ; nous avons deexs portes pour nous qui voulons et cela est pour nous des choses que donc nous avons en nous qui voulons ; cette chose en nous que nous voulons nous la voulons ainsi qui xsoit , comme déposée ici =:: là : là exactement, en cet endroit précis : nous la voulons là ; nous avons pour nous une chose tenue (vie) avec la main (art) qui puisse ainsi nous mettre là, le jour venu, ici exactement ; nous voulons ainsi faire que nous envisageons cette chose de cette façon ; nous avons la main ; jusquà nouvel ordre (art) nous avons la main ; jusquàà nouvel ordre (art ?) nous avons la main : nous essayons, nous allons peut-être vers des lendemains qui chantent ; nous n’allons pas (ou bien nous allons) vers deesx lendemains qui peut-être chantent (ou ne chantent pas) et cela étant dit : nousfaisons, nousfaisons ainsi que nous sommes en vie, nous tenons , nous avons (main) pour tenir et ce faisantt offrons ; nous soommesx qui faisons ainsi, comme allant avec art ... ou pas aert ? comment ? ; nous allons ainsi sans art = sans tenue ; nous allons avec art = avec tenue ; ici le distinguo ; sans art = sans tenue = sans présen,t = mort ; avec art = avec tenue = avec tenue contre son sein = avec tenue forte, acharnée contrte soi, contre son torse, en son giron = le présent = le vcadeau ; ce cadeau longtemps contenu, sil vien t à tomber alors nous l’aurons perdu dans les limbees ; nous avons une envie qui est celle cxi, qui est celle de tenir avec des choses tenues tout contrte nous, notre giron ; ce giron contient ainsi des chgoses, nous les voulons (ces choses) conserver pour nous : par devers nous car nous tenons à elles ; alors ain si avons en -vie de faire ici des choses (avec nos mains) pour apres aller (en suite) les déposer à vos pieds, comme un cxhien fait de son bâton ; nous avons en nous cette envie de faire ainsi (mains = art) des chosex à pouvoir déposer, par la syuite, au pied de qUelquun , aux pieds d’un passant ; cette en -vie de vouloir déposer est tres exactement l’en vie d’etre ainsi en vie, sur la terre ferme ; l’en-vie de dépot ; len-vie de faire ainsi (des choses) avec ses mains devant, puisqu’avons ainsi des mains devant ; façonner, imaginer, faire des choses (images) et ces choses les déposer au pied deon ne sait qui ou quoi : ici, dans cet espace blanc, propre, quyi met en lumière, qui isole du reste des choses (surtout ça) ; nous envisageons cette chose ainsi, de vouloir déposer pareiille création sortie de soi = de ses bras en propre vers le propre de la salle blanche = propre ; nous faisons comme cela devant : du propre (propre perso et propre poulit), et derriere le sale ; sommes ainsi qui faisons dee la sorte (art) cette sortie : devant et cette sortie : derriere ; double entreé ou double sortie : celle du devant dans la clarté et la blancheur, et celle de derrière , dans la nuit et la noirceur : devant vers le propre (signé) et derrière vers le sale (non signé, anonyme ... fuyons !) ; nous avons deux sorties , une qu i donc se loge derrière nous, qui nous suit à la trace ;, mais que nou s fuyons vite fait, lachement, sans laisser d’adresse ( «c’est pas nous !») et devant nous, oui : notre nom (aert) sur la chose en luminée, ; enjolivée par la clarté, rutilante du fait du soleil qui darde ses rayons sur elle (art) ; nous avons devant nous le soleil quii darde, et derrière : la nuit et le sale, le beurk ; avons devant nous des choses en dépot en dépot de nous qui voulons ainsi déposer du propre , du propre dans le propre : les beaux draps qui sentent le propre et le frais ; nous voulons ainsi, pour une dépose du temps, de la main tenue, nous voulons du proopre devant, nous avons du propre devant, nous accompagnons le propre du devant de nous, nous accompagnopns hautement, tete haute, ce devant de nous et ainsi faisons (art) cette chose : l’accompagnement ; nous validons, nous approuvons, ; nous disons oui, nous assumons le devant de nous, nous assumons = signons cette chose , ce devant qui est devant nous , pour chacun de nous, nous le disons ainsi, nous di- sons ainsi cette chose d’un devant qui est nous, notretemps , celui donc que nous vivons, qui est le temps de notre main tenant ; qui est temps de la main qui tien 

t, pour nous , l’offrande, qui la maintient contre son sein : contre le sein = en son giron : nous allons-faisons ainsi vie = en vie ; nous allons de la sorte en vie, et sommes, en vie, de la sorte, et de la sorte acceptons, et cette acceptation est donc cette cxhose que nous faisons par devers nous ; nos mains font, certaines mains oui ... certainee mains non ? ; qu’en penser ? ; nous faisons ainsi qui allons ainsi et faisons de la sorte devanbt : des chosesc louées, car, en lumière, en pleine clarté, de façon signée, et assumée par une signature ; ou assumée par une signature ; nous allons ainsi da ns la clarté du jour de notrte vie qui va ainsi son cxhemin de clarté, chemin enluminé ; nous enluminons de la sorte, nous enjolivons de la sorte, éclairons ; ,nous poursuivons notre chemin, qui allons vers un endroit fatal, avec nos pieds, en avançant ainsi, les mains pleines ; les mains façonnent, les mains façonnent des choses : trafiquent (toutes ne le font pas ?) ; certaines mains trafiquent ainsi, tripâtouillent ; certaines mains font et défont, certaines non ; ou bien : lzees mains toutes font ; toutes les mains font puis déposent ; toutes les mains font avant de déposer ; certaines mains font avant de déposer ; toutes les mains font avant de déposer, ainsi font font font toutesxles mains avant de déposer les armes, aux pieds d’icelui ou d’icelle qui nous fait (ou ferait) face ; nous allon s ainsi (font) par les cxhemins de vie, ; nos mains façonnant ; nous allons sur les cxhemins ainsi façonnant, nous aimons ; nous allons ainsi par les chemins , façonnant, et ainsi allon s qui créons des choses avec nos mains devant : boulettes, bricoles, choses de rien, bidouillages, malaxages de matières diverses, tentures, toitures, tentures ou toiles, nervures, choses et autrtes quyi transitent entre doigts de nos mains : diverses choses combinées entre elles ; nous faisons et ces choses sont le présent et certains le reco nnaiisseent, certains reconnaissent le présent que forment les formes créées et d’autrtes (ou d’aucubns) ne savent pas le reconnaitre, ne voient pas le pourquoi du comment ces choses, le mot de la fin , ou bien l’intéere^t, ou bien le bien-fondé en tant que ces choses modelées entre nos mains sont le temps ou bien le présent (don, cadeau) pour un seigneur qui, ou bien pour faire de la sorte que, etc ; il se peut que cela soit qque ce qui sort d’entre nos mains soit (de toute façon : art ?) un cadeau à offrir en fumée, devant soi, une chose ici déposée en offrande, à la gloire de, à la gloire ainsi du dieu-temps qui file, ou bien comment ? une chose en dépot (de soi) qui est là qui trône devant, qui est ce devant temporel (présent) qui est ? nous sommes ce présent en don (en vie de l’etre) et allons-faisons ainsi (art) quyi donnons de nous ; -qui donnerons de nous à notre morrt, et en attendant : depot devant, sur coussinnet, sur tapis, en offrande, en don , art, enn attendant le don de soi global à notrte mort : petitezss morts en attendant (holocauste sur table de -ierre) ; nous sommes ainsi qui déposons avec souci de la déposition, nous sommes ainsi qui déposons ainsi, avec souci, nous déposons ainsi (art) des choses devant, dans l’attente du tout en nous qui est présent, qui est cette main qui tient pour nous (en vie dx’etre) qui est en nous cette cxhose en offrande en attente : nous allons un jour donner notre vie, mais pour le moment nous donnons autrement : des offrandes devant, aux pieds ; nous offrons des choses sur table : gibiers ; nous donnons un peu de mort, nous donnons un peu de la mort, nous donnons un peu de mort, de la mort, des morts, un peu de la mort, etc ; nous donnons ai nsi déposée (art) de la mort que nous aurons de nous un jour complète à devoir devoir ; nous donnons, nous donnerons ; à ce jour nous donnons et c’est l’art de la déposition, de la compôsition sur table, art floral de la composition ; certains a gencent, certains jettent (crachat) ; certains jettent , d’autres déposent délicatement : tout en délicatesse ; certains déposent avec délicatesse (art) sur la table de pierre, d’autre non ; d’autres comme d’un crachat ; cxertains donc font et d’autres s’en fichent et font n’importe comment font ; ils sont ainsi, ; certains font et d’autrtesq non, cadeau ou présent de choses en attente ; il y a ceux qui donnent une avance ou font comme si, et ceux qui non ne font ; il y a ceux qui font comme si (qui simulent le don , squi se sentent ainsi comme soumis, comme soumis de devoir ainsi, qqui ainsi se sentent obligés et font donc des choses sur la table propre) et d’autres qui au contraire ne voient pas pareil exactement, et ne se sentent en rien tenus à devoiir de la sorte faire cvomme une avance ou bien faire ainsi comme allégeance ; nous avons d’un côté des personnes qui donc déposent sur table un peu de 

la mort, et d’autress qui non ne déposent pas sur table un peu de la mort ; certains le font , et s’app ;liqueznt (art) et d’autres s’en ficheznt et ne le font pas, ou du moins pas sur table ; certains font cette chose et d’autres non, certains déposent , et d’autres non ; il y a ceux qui déposent (morts) et ceux qui ne déposent pas, qui ne le font pas ou du moins pas à cet endroit ; cepenndant cet endroit est l’endroit idoine,, l’endroit dévolu ; il s’agit de la table idoine pour dépositions de toutes sortes à visée d’offrande : la mort ; nous voyons ainsi cette table, qui est la table des offrandes, nous savons que cette table est la table des offrandes ; nous voyons que cette table, ainsi, est cette table des offrandes ( présents de vie, main tenant) ; noudss savons q<ue cette table est bien la table des offrandes = des choses mortes, des choses qui sontv mortes et que nous déposons ici, nous savons que la mort est ce qui nous guette, nous attend, la mort est nôtre qui est écrite , et cependant nous sommes qui nouys excusons par des of- frandes , de ce fait que nous ne sommes pas encore morts ; nous nous excusons ainsi de ne pas à ce jour encore etre morts, nous offrons ainsi un peu comme de lza mort en cette chose de ces choses mortes (gibiers etc) ; toutes ces morts d’animaux etc ; ces objets, nous les déposons sur table, nous les posons, nous déposons ainsi sur tables, nous donnons ainsi, nous faisons cette cghose, nous déposons des morts etc, des animaux morts etc, dans l’attente, fdans cette attente qui est celle (notre) qui nous voit encore vivant et comme nous en excusant ; nous nous excusons de la sorte et donnonbs, faute de mieux (notre vie morte) la vie morte d’animaux, d e choses etc, nous donnons ces choses prése,ntes, ce présenbt, cette chose, cette bricoles, ces choses mortes mais ouvragées, soignées, nous soignons ces choses, de soins mortuaires, etc, ce soin = cet art, cet art = ce soin, cet art qui est soin, qui est ce dire d’excuse oub-vragé, appliqué, soigné, etc ; nous déposons sur table, en plein jour, ces choses, que nous nbous efforçons de faire ainsi que cela puisse de la sorte aller vers le haut clair, la lumière du haut de nous, au-dessus de nous : faisant ainsi allégeance et nous excusant de la sorte : en attendant ; nous faisons une chose ainsi, nous faisons cette chgose ainsi- ; nous déposons des chodses mortes sur table de pierre ; nous foutons le feu et calcinons les choses ainsi ; nous faisons ainsi : nous calcinons, nous brulons et la fumée ws’élève ; holocauste ; ainsi faisons ; nous calcinons ; nous allons ain si faisant ; nous allons ainsi vers ce faire-là qui monte en fumée, nous voulons dire ainsi notre excuse, nous voulons dire ici notre façon de voir ainsi , soit le dire en fumée, le fait que nous ne donnions pas de notre chose de vie propre encore ; nous nous excusons en offrant sur table : du gibier décédées ; nous donnons ainsi, nous faisons ainsi, nous allons ainsi, enfants, allonqs ain si et en enfants faisons, ainsi, dons de choses et autres (gibiers morts et autres) que nou déposons avec art (souci) sur la table de pierre = la table claire ; nous déposons avec souci (sérieux etc, et rires) sur table, pareil gibier, pareil gibier mort, qui dit la mort en attente (la notre) et notre excuse du fait que donc cette chose, comme quoi nous sommes encore, nous autres, encore sommes, sommes encore en vie en très, sommes encore de la vie en très, sommes encore en vie : très, très en vie encore sommes et devo,ns dès lors, ainsi faisant, le dire hautement : fumée, calcination, brulage ; nous sommes ainsi qui allons de ce pas en faisant cette chose : sommes ainsi qui faisons cette chose, de ce pas allons pour amener des choses sur la table , en holocauste, pourqyuoi ? pourqyuoi ? eh bien car nous avons encore en nous (un peu) du présent qui vit, et que notre mort n’est pas pour ce jour encore, quoiqu’il se peut que la mort vienne incidemment mais encore non , alors nous déposons, des animaux morts en attente, nous offrons ce que nous pouvons, faute de mieux (mieux = nous) et brulons le tout afin que la fumée ainsi produite, en montant dans le ciel, puisse faire, etc, au mieux : allégeance ; faute de mieux et nous en excusant : une table soignée, bien mise, bien agencée, une table d’offrande biien agencée, un agencement parfait, ou du moins avec soin , avec du soin agencée, ou du mpoins agencée avec soin et attention, avec délicatesse, avec du métier, avec du soin dans les détails ; sommes qui augurons, qui voulons de la sorte ici nous attire r les bonnes grâces, cherchons de la sorte à paraitre bien, à nous montrer ainbsi comme étant à même de pouvoir de la sorte rester un moment encore un peuu en vie sur terre : merci ; sommesxainsi qui cherchons à conserver la vie en donnant de la mort en fumée, donnant ainsi pature à notre place, donnant ainsi à chaque fois que faisons cela, donnant à chaque fois un peu à paittre : fumée de mort, fumée de mort pour donner à paitre, appaturage ainsi, un peu de la mort (des bêtes) à la place de la notre, et faisant ainsi allégeance, disant notre merci, disant merci à qyui ? disant merci au monde autour de nous, à tout ce monde autour de nous, disant merci de nous laisser en vie : installation sur table, agencement, installation soignée, objrts divers déposés en offrande, morts d’aniamux, des fois que ça marche : est-ce idiotie ? ; des fois que voilà ; sauf que c’est inscrit dans le mouvement de la vie, ce n’est pas réfléchi au sens de raisonné, mais c’est incarné, c’est ce sont, choses chose, incarnée incarnées ; il suffit cela, de voir que l’en-vie en nous déborde et choisit par elle et pour elle, etc ; nous déposons ainsi des choses sur des tables, nous aimons les tables, nous aimons cela (déposer) et faisons cela acvec application, avec soin, nous faisons des choses que nous déposons par terre sur tapis, aux pieds, ou bien sur table lessivée par l’eau de pluie ; nous déposons et cela le faisons avec le but (inavoué) de faire en sortee que pâreil dépot nous fasse bien voir si possible de l’eglise des hommes, de l’église des hommes entre eux ... ou bien de cette église des hommes morts, déjà morts ? ; nous sommes ici qui déposons des choses sur table, nous sommes ici qui déposons des choses sur table ; nous déposons des choses, des bricoles, nous agençons, nous installons d’une certaine manière (art) de façon à trouver, ou à pouvoir trouver, la chose qui puisse, celle xci, nous faire bien voir c’est-à-dire sous un jour plaisant, de nos proches, et etre vu de cette sorte comme amenant notre chose de nous sur le chemin qui mène on le sait à un bou fatal, à un bout tristement fatal ; nous poussons ; nous y allons ainsi attifés, nous allons de la sorte vers ce bout allé, qui est tout au bout du bout qui attend notre tour, notre tour de garde, notre venue ; nous faisons ainsi art de faire all»éfgeance en faisant dépot ; nous alloon s qUi fa isons deépot sur table : agencement, art ; nous faisons depot sur table, , nous faisons des depôts, nous y allons, nous acceptons, nous revendiquons, nous continuons à faire ces depots, nous es- sayons, nous avons ain si à deposer des choses dans l’atteznte, ou en attente ; sur tapis ou table, au propre, devant, dans le blanc, depositions, aveucx, poour se faire voir à la lumière = bien voir : regardez moi, regardez moi dans la lumière, reghardez ma face, mon côté fa ce, mon devant ; mon devant est le temps présent, mon devant est le temps de l’offrande, est offrande : je doonne, je doonne un peu de la mort, j’espère ainsi conjurer le sort ; je me donne ainsi, je donne de moi, nous donnons un peu de la mort : pour nous faire bien voir à la lumière, à la lumière qui éclaire bien, les traits de notre c^oté face, nous sommes ainsi qui déposons sur table claire, rase, chose faite, chose agenc»ée ; sur la table cet agencement ; sur la table cet agencement de choses ouvragées, cet art donné, ce don artistiquement usiné, cette chose qui est installé d’une manière (main) qui puisse le faire, qui puisse convenirr ; ccette chose déposée est un peu de mort en attente, ou de mort dans lattente, dans ce laps de temps où nous sommes en -vie, où nous sommes encore en vie et teznons bon, tenons debout, tenons envie ; 

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13/02/2020

nous déposons, et ce que nous déposons sort de nous, non point comme quelque chose qui serait à l’intérieur de nos entrailles, mais comme une chose qui sort ou sortirait d’entre nos mains ; ce qui sort de nous sort d’entre nos mains ; il y a ce moment où la chose nous appartient, dans le sens où nous la tenons contre nous, nous l’avons en main et tenons la chose contre nous, comme un doudou ; et puis il y a ce moment choisi où nous posons la chose devant nous, il y a ce moment précis, crucial et à repérer, où nous posons (jet de pierre, crachat) la chose à nos pieds, ou bien un tout petit peu plus loin ; il y a ce moment où nouds posons la chose devant nous : la déposons avec délicatesse, sur tapis à cet effet, nous posons la chose ; cette chose entre nos mains , ou jusque-là entre nos mains, est une chose usinée, elle a subi nos actions d’usinage, elle en a vu de toutes les couleurs, elle a été brinquenballé bien comme il faut : chose usinée, trafiquée et faite à la façon qui est la notre ; nous avons chose entre nos mains ici , qui est chose à déposer là ... ou là-bas ; nous posons là, soit à nos pieds, ou bien ... là-ba s c’est -à-dire un tout petit peu plus loin, notre chose, nous la jetons comme un crachat, ou bien la déposons comme un oiseau mort sur un bout de tissu ou de feutre ; nous posons-jetons l’objet que nous portons : doudou ; nou s posons-jetons l’objet ainsi devant nous, il s’agit ainsi d’un obkjet devant nous que nous lâchons et déposons, sur un socle, sur un coussin, un tapis, un cadre, une boite, un quelque chose en recueil comme une table, une caisse, etc : nous avons de quoi puisque nous avons ce devant de nous qui nous sert de chose de recueil , nous pouvons des lors déposer dans ce futur proche, à nos pieds , le fruit de nos entrailles (?) ou bien le fruit de notre propre travail de façonnage ; notre travail de façonnage : il s’agit du travail que nous effectuons sur ce doudou (entre guillemets) que nous possédons entre nos mains, nous possédons ainsi doudou que nous travaillons au corps, doudou au sens lzarge ; nous avons ainsi cette chose à part nous, contre nous, contre notre sein, contre notre ventre ou contre notre coeur, nous l’avons avec nous et arrive un moment (lequel préciséement ? ) où nous lachons lachement la chose : horreur ; nous lachons la chose lachement, nous la jetons ou la tombons à nos pieds ; nous la jetons là bas dans le futur proche (présent étendu) ou bien la tombons à nos pieds, tout près ; cette chose est doudou travaillé, cette chose est tel un doudou d’enfant mais travaillé, distendu, usiné, trafiqué, malaxé, tourneboulé etc, à ,notre façon , et donc se présente aux yeux du monde comme oeuvre de chair, ou oeuvre nommée, ou oeuvre sortie de nous, ou chose à montrer, à voir etc ; cette chose est l’oeuvre à voir, à ne pas toucher obligatoirement, cette oeuvre sortie d’entre nos mains se retrouve ainsi déposée ici ou là soit devant nous (devant = futur proche) et se voit ainsi comme pouvant etre approchée et considéreé ; nous avonbs perdu doudou ; nous avons montré patte blanche ; nouys avons perdu une chose d’entre nos mains et cette chose à présent est déposée sur un tapis de sol ou sur une table, est déposée sur un socle, sur un pupitre, dans une boite, dans une armoire, sous cloche, sur un mur etc ; cette chose a trouvé refuges et soi,n à l’abri, au propre, à l’écvart et cette chose n’est plus la notre ; nous pouvons voir que cette chose, n’étant plus notre, est comme à prédsent sectionnée, coupée ; on voit la coupure, elle est comme tombée dans le domaine public, elle est tombée de nous et s’est ramassée ainsi sur tapis de sol, de douche, de bain, serpilliere ou bien tavola, ou tableau noir mural, ou drap tendu, ou caissettte ; nous avons nos caissettes, et aussi nos draps, nous posons et déposons ; nous cherchons à faire de la sorte que la chose ainsi déposée sur tapids ou dans caissette puisse alors bénéficier d’atours et d’attention qui en feront quelque chose (au bout du compte) de propre, de bien présentée = proprement ; nous tenons beaucoup à cette chose ; nous envifsageons ce lacher de doudou, d’objet, sous cet angle, vers du propre, vers du nickezl, vers du soigné ; l’oeuvre ici est cette chose en soin ; nous soig nons le jet pour un soin en retour ... ou ne soignons pas le jet mais il serait bien que la chose ainsi jeté, ainsi sous le jet, ainsi jetée ou posée, soit prise en compte d’une fàçon qui puisse la mettre en valeur, sur tapis de drap, ou tableau noir, ou bien sur table, ou sur socle ou colonne ; nous aimons ; ce qui est ici est que, si on voit doudou déposé alors nous voyons qu il y a séparation ; nous vboyons cela, que la chose jeté, la chose sous le jet ou comment dire, cette chose qui donc a quiité nos bras, cette chose à preésent vit sa vie en propre, au propre et en propre, à part de nous = en propre, au propre, en propre = propre ; cf’est à dire propre et propre, cette chose ; et par conséquent nous sommes ainsi qui sommes en retrait de la chose, nous sommes ainsi que nous voyons la chose séparée de nous, nous sommes ainsi que nous v oyons cette chose sortie de nous comme une chose qui dès lors vit ou vivra sa vie, la vit déjà, à part de nous , )à part de notre sein, et nous la pleurons ; nous sommes ainsi qui regardons la chose tombée, elle a chu, elle est sur le sol ; il faut la recueillir et la soigner, il faut la présenter de belle façon, de bonne façàon ; il faut, c’est à dire que : la chose ainsi chue a besoin de moultes attentions et d’égards, et ainsi elle peut etre recueillie, dans son malheur, cette chose, si tant est que vous puissiez vous en occuper, si tant est que vous ou qui que ce soit puissiez ou puisse ; nous tombons cette chose de nos bras dans l’air, dans les airs eéthérées, dans les nuages alentours, la tombons ainsi ; nous sommes qui tombons de nous, devant , des choses à nous, nous cherchons ainsi, nous ouvrons nos bras et tombons, nous ouvrons nos bras et d’eux tombent ainsi des choses nous appartenant, et cela est qui n’est pas sans nous faire tomber des larmes ; sorte de doudou ; nous avons une chose à nous qui tombe de nos bras, nous avons de nous (d’entre nos mains) des choses qui tombent, qui chutent, qui nous échavbppent et ces choses se retrouvent ainsi comme flottant dans les airs , jusqu’à ce qunun quidam, ou dieu sait qui , veuille et accepte de s’en occuper, il semblerait que donc cet objet jeté ou sous le jet, ou posé, cet objet est ainsi comme récupéré au vol ; nous avons donc cette chose de nous travaillée, elle est passée par nous, elle porte nos emprieintes ; cette chose portant nos empreintes est une chose qui donc peut se voir comme récupérée au vol et choyée, et calinée, et prise en compte, et archivée, et nettoyée, et présentée comme il se doit et des lors il devient interdit d’y toucher, à moins de pouvoir c’est à dire d’ettre habilité, afin de, afin de prendre soin, afin de se voir habilité à oprendre soin, à ranger, arranger ; nous avons cet objet avec nous, contree notre sein et puis cet objet est tombé d’entre nos bras, et cet objet dés lors ne nous appartient plus, il n’est plus à nous ; cet objet tombé est recueilli et choyé, il est nettohyé et bien présen nté, il estv pris en considération etb porté, il devient objet soclé de monstration = une oeuvre de musée, ou pas loin ; et par conséquent nous sommes ainsi qui versons une larme, nous pleurons, nous sommes tout plein de ces larmes qui sur nos joues tracent des filets qui brillent ; nous avons comme cela en nous des larmes pretes à l’emploi ; nous voyons l’oeuvre ; nous voyons ce devant de nous qui est l’oeuvre, l’oeuvre qui est ce devant de nous, qui est ce pré- sent ou futur proche ; loeuvre est ce temps-espace du devant de nous = ce temps p roche et cet espace proche = autou r dee nous ; ce temps et cet espace est l(‘oeuvre de nous: ce remplissage temporo-spatial, cette chose ainsi comblée qui est ce pourtour, qui est cette chose autour en terme d’ewspace et de temps ; nous avonbs pour nous cette chose d’un temps-espace autour de nous, et ce temps-espace est donc ainsi qu il nous voit de son endroit comme point de mire, et nous commùe cercle ; nous abvons un cercle pour nous, qui est le cercle de l’exposition, de l’endroit des chutes ; nous voyons ainsi endroit qui est pile celui où donc l’objet a chuté, est tombé de nous ; nous voyons où donc l’objet sera logé dès lors ; nous pouvons voir, nous pouvons nous rendre compte, nous voyons cela et nous pouvons considérer la chose chue avec des yeux neufs ; nous voyons, nous pouvons voir ou visionner ; nous n’avons pas les yeux à la poche, nous pouvons parfaitement regarder et donc inspecter ; nous sommes zainsi qui voyons et voyons ainsi la chose devant nous comme le devant de nous, et ce devant de nous est espace-temps de l’oeuvre déposée, est donc l’oeuvre elle même ou bien soeur jumelle de l’oeuvre, ou quoi d’autree ? ; nous voyons cette chose en dépot, nous l’inspectons, nous avons des yeux pour voir la chose usinée, nous avons malaxée la cghose à part nous, et maintenant, en pleine lumière, nous pouvonbs la voir, mais elle a cghuté, elle n’’est plus entre nos bras ; elle est là bas, ou là ; elle n’est plus entre nos mains ;, les mains sont vides ; les mains sont tristes ; nous pleurons, nous versons des larmes, nous sommes tristounets ; nous pleurons notre doudou tombé du lit dan s les eaux marécageuses, pleines de serpents et de caïmans ; nous avons perdu quelque chose et ce quelque chose est loin à présent, coupé de nous qui le pleurons ; nous avons pezrdu quelque chose qui est à présent si loin et nous de le pleurer comme un enfant pleure son doudou tombé du lit- cage ; nous l’avons perdu ; notree objet ; cet objet, il est perdu ; il est tombé, il a chu, il est perdu pour nous, il est loin et séparé de nous ; il s’agit d’un objet séparé, soit qui n’a plus d’attache ; nous avons perdu notre objet, notre jouet, notre doudou, notre petite voiture, notre poupée de son, notre chose, notre petite chose : perdue car tombée dans les marécages remplis d’animaux voraces ; c’est fichu ; nous sommes attristés, nous versons des larmes ; l»’objet a chu, il n’’st plus entre nos bras, nous l’avons laché lachement, nous avons ainsi tenté cette chose et l’avons éprouvé et à présent nous savons, et nous savons aussi que la chose ne reviendra pas toute seule : cet objet, hélas non , la chose, la chose ne ne reviendra pas seule, non ; nous savons, nous le savons, nous sommes conscients de cela, ceztte chose tombée est du temps-espace de proximité ; le temps-espace de proximité est tombé de nous, a chu , et nous sommes coupés, nous sommes comme sectionnés, nous sommes à part, nous sommes ainsi qui voyons autour de nous ce temps-espace en cercle et voulons dès lors l’habiter mais voilà, il n’est pas en nous, nous ne pouvons nous y glisser, comment pourrait on s’y glisser , comment faire, comment on peut, il faudrait connaitre l’astuce, comment faire pour s’immiscer ainsi dans le cercle ? ; il faudrait pouvoir sortir de soi mais comment ? ; sortir de soi pour entreer dans le cercle alentour, et comment cela ? ; en déposant des choses ainsi, ici et là ? ; comment oon peut ? on veut ainsi déposer des choses ; on pose, on dépose ; on fait, on fait des choses avec nos mains puis on pose ces choses de- vant, on essaie de bien faire, on cherche à bien faire, on cherche du bien, le bien, on cherche à faire du bien ,le bien, on cherche des choses ainsi, on cherche des choses à faire bien , du moins à nos yeux, ce devant de soi : la vie devant soi : bien ; nous voulons ainsi cette chose faire, à savoir cette chose la façonner , l’usiner de telle manière qu elle devienne bien, qu elle devienne le bien, qu elle soit ainsi considérée comme relevant du bien, du bien fait, du bien fondé, etc, et non du mal fait rejeté, du mal fichu relargué, etc ; nous veillons à ce que ce que nous faisons puisse ainsi apparaitre et nous apparaitre comme quelque chose de bien, de bien fichu, de bien foutu, de bien fait, quelque chose de bien = à valeur ; qui n’est pas de la gnognotte, et qui n’est pas de la merde ; nous voulons et faisons ainsi, ce devant de nous ainsi : lumineux, clair, aéré, relavé, etc, et bien ; avons donc en nous cette volonté (ou en-vie) d’aller ainsi à faire (confectionner, créer, concevoir, agencer) le bien devant nous, au devant de nous, = sous nos yeux ; nous cherchons, nous cherchons une com-bine, nous cherchons un biais, nous voulons, nous aspirons cette chose d’un vouloir faire bien et le bien ; nous avons cette volonté de faire quelque chose avec nos mains, et cette chose : à déposer ici, ci devzant, ci apres, ci devant nous, sur un sol propre, la poser, la déposer, cette oeuvre, cvette chose bien, ce bien, déposer ce bien sur un tapis d’offrande, déposer = bien agir ; avouer, ; deéposer le mal est déposer en bien le mal ; déposer ce qui est mal , c’est bien agir et par conséquent c’est déposer le bien ; il s’agit ici d’un retournement des choses à son avantage, voulons ainsi : déposer quelque chose de mal, mais ce faisant nous agissons d’une manière qui puisse plaire, qui puisse trouver un assentiment, etc ; nous sommes à déposer une chose et essayons ainsi de rentrer dans les bonnes graces du monde ; nous avons tombé de nous, en aveugle, le doudou-oeuvre et pleurons et espérons que pareill mal soit réparé, un socle, une colonne, un pupitre, un chevalet, un mur, un sol etc, pourraient faire l’affaire ; nous avons à faire = fort à faire, nous avons des chose à faire, nous voulons, nous cherchons, nous avons à faire des chose, nous cherchons des choses, nous voulons chercher, nous ambitionnons et vou- lons ainsi chercher une issue, une combine, un biais afin de pouvoir déposer notre cvhose ainsi sur socle, colonne, pié- destal, drap propre, tableau, mur nickel, galerie blanche, white cube, etc ; nous sommes à le vouloir ainsi afin de pouvoir voir sur fond immaculeé avec plus d’acuité loeuvre tombé du nid ; nous avons une chose chue par devers nous, que nous souhaitons ainsi comme voir recueillie par dieu sait qui qui pourra choyer pareillle chose : oiseau ; nous le voulons, nous avons ce désir, cette en-vie en nous majeure et qui commande, qui est train de vie ; nous sommes ainsi qui allons et faisons : confectionnons des objets pour la galerie ; nous faisons des choses: confectionnons, usinons, travaillons, faisons preuve de volonté ; nous aimons ; nous voulons donc que cela d’entre nos bras sortât de nous, d’entre nos mains, d’entre nos bras sortât, ou sortît : nous le désirons, que de nous tombât du nid l’oiseau : de nous = du nid, etc ; nous voulons, nous sommes qui voulons que du nid tombe l(‘oiseau, et celuyi ci de se voir recueilli, soigné, protégée, mis à l’abri etc ; nous sommes qui voulons cette chose et la voulons fort ; nouys aimons, nous sommes amour ; nous voulons cette cghose la voir ainsi arrivée et nous envisageons cette chose, ainsi, de la voir, de la voir arriver, nous voulons, nous sommes qui voulons que cela soit ; nous aimons cette chose : voir ; nous aimons cette chose aussi : de voir loiseau tombé du nid, doudou, à présent choyé et mis à l’abri, protégé, soigné, présenté avec soin et amour ; avec du soin et beaucoup d’amour, ou comment ? ; nous, nous envisageons cette chose ainsi : l’oiseau est tombé du nid, la chose a chu et s’est retrouvé dans ce domaine du devant = hors de nous, a chuté par terre , s’est cassé la pipe, et nous de pleurer, jusqu’à ce que voilà quelqun, qui vient à s’occuper de pareil oiseau chu, qui donc vient le recueillir et s’en occuper : nous aimons ; nous avons cette chance ; nous aimons la chance ; nous avons eu du bol, nous avons de la chance, avons chance dans notre chute, dans chute abvons chance, nous jouions, nous nous amusions, nous étions à nous amuser dans notre lit-cage et voilà que doudou-oiseau est tombé du nid, de nos mains, on y est pour quelque chose) et nous de couiner, de pleur- nicher, et voilà t il pas que voilà, quelquun qui s’en vient recueillir la chose et la bichonner, oh ; nous sommes ravis, nous ne pleurons plus ; nous sommes aux anges, nous ne versons plus de larmes ; nous avons ainsi cette chance, nous aimons avoir cette chance, c’est chouette, c’est vraiment génial, ah ; nous sommes qui avons une chance de cocu, nous avons grande chance ainsi, nous voyons cela comme chance inouïe , liée au fait que nous sommes chanceux il se pourrait, il se pourrait que si chance avons, c’est que chance devions, ou quelque chose d’approchant : destin ? ; vraiment ? ; sommes ainsi qui ne pleurons plus et voyons l’oiseau, doudou-oeuvre, chose façonnée , usinée ou manufactureé, etc, tombée du lit, du nid, des entrailles, de l’antre, du coeur, des mains ou des bras, de notre bouche ; ou de notre bouche ; cette chose tombeée, chue, est ainsi qui se voit recueillie par qui de droit qui va ainsi s’en occupant comme de bien entendue en choyant et coucounant ; nous avons bien de la chance car nous sommes nés peutetre sous une étoile qui veille sur nous à merveille, nous sommes bien chanceux, nous sommes vraiment chanceux, avons étoile sur nous (bonne) qui veille à merveille, sommes véritablement sous une bonne étoile : oeuvre, oeuvre d’art, oeuvre qui s’apparente à une oeuvre d’art, à une oeuvre façonnée par nous, ou du moins estampillée comme rekle- vant d’une propriété à savoir la notre : nous appartenant ; cette chose serait oeuvre = cette chose en vrai de vrai, trô- nant, et ainsi offerte à la vue ; nous avons fabriqué une oeuvre et cette oeuvre nous disons de l’art, nous disons qu il s’agit dune oeuvre d’art, que cela est oeuvre, à savoir une oeuvre d’art, de l’art, une façon de dire, de montrer des choses = un regard, une vision, une façon de faire ; une façon en propre, le propre d’une façon devient ici cette chose d’art ; cette façon en propre de se présenter ainsi = prop^rement dans un lieu blanchi : sain, sanctifié ainsi ; nous voulons, nous avons cette volonté de fabriquer, avec nos mains, des objets que nous soumettons, que nous glissons dans l’entrebaillement de la porte, ou sous la porte sou mettons, mettons ainsi comme par en dessous, et cette chose glissée sous est l’oeuvre que nous avons faite ainsi dans ce but: oeuvre d’art = à glisser sous, à soumettre, à glisser ainsi sous le jour d’une porte, etc ; nous avons ainsi fait ceztte chose (usinée) afin de la glisser dessous, comme en contrebande ; nbnous avons cette chose en nous de vouloir ainsi glissser cette chose sous la porte et d’essayer ainsi de la faire passer : avaler, accepter, approuver, cette chose est donc ainsi glissée par en dessous, dans l»’espoir de se voir recueilli comme petit oiseu tombé du nid : doudou ; nous pleurons, nous ne pleurons plus ; le petit oiseau ; nous ne pleurons plus lke petit oiseau, notre oeuvre, il s’agit d’une oeuvre d’art, nous avons une chance inouuïe,, de voir ainsi l’oiseau recueilli ; l’oeuvre est l’oiseau ; l’oeuvre est l’oiseau recueilli, il s’agit ainsi bd’un petit oiseau tombé du nid, doudou jeté par nous lachement ou bêtementt, et à présent comme idiots que nous sommes pleurons, alors même qu avons agi de la sorte : à dessein, avons jeté l’oiseau, le doudou, en toute connaissance de cause, eh bien à présent voilà que nous pleurons la perte, pleurnichons la perte ; l’oiseau est tombé du nid, l’oiseau a chuté, il est tombé sur le sol, les limbes, dans le vide, ouh ; il a chu ; il est quasi mort ; nous sommes tristes ; nous pleurons ; nous sommes estomaqués ; nous avons agi avec légèreté ; nous sommes couillons ou couillons de lala lune, vraiment, sommes couillons d’agir de lza sorte, nous avons jeté, mis deessous, glissé, mis sous le joug, sous la porte, nous sommes cons ; nous sommes des couillons, ou même nous sommes cons ; d’agir ainsi est bien con, nous n’avons pas mesuré les choses à leur juste valeur ; quelle bêtise, quelle idiotie, nous sommes des idiots qui agissons ainsi : jetage intentionnel , en espérant ou dans l’espoir peut-etre que donc la chose (le doudou, l’oiseau) reviendra seule, le pourra, alors que nous savons que non: l’oeuvre, nous savons ; nous savons pertinemment, nous ne sommes pas idiots et cependant nous agissons idiotement, ah ce décalage, pour quelle raisons ? pourquoi ? ; nous sommes quelqu un ; nous sommes quelque chgose ; nous sommes vraimùent coquins, d’agir de la sorte, jeter ainsi, et vas-y que tu ramènes ! ; nous sommes coquins, ou coquinous, d’agir ainsi, nous ne manquons pas de toupet, nous sommes coquins ; nous n’y allons pas de main morte ; nous sommes quelque chose ; nous déposons par jet ; nous déposons des choses là, dans l’espace des caïmans, nous déposons (jetons nos jetons) dans l’espace dévolu au mal ; nous sommes ici qui : déposons des choses = oeuvre d’art, = oeuvre usinée, façonné, trafiquée ou machouillée-malaxée, dans un espace qui est espace perdu entre le blanc de la salle de garde et nos mains qui restent coites ; nous sommes quui regardons à terre (limbes) l’oeuvre perdu ou à moitié perdue ... et qui pour recueillir, qui ? sinon le passant qui passe ! nous faisons ai nsi et nous voyonbs que la chgose a chue, elle est qui trône sur le sol , avant de se voir comme sauvée par qui de droit et mise sur vsocle et exposée en pleine vlumière ; nous aimons ; cette oeuvre est donc un produit de chute, un produit d’une chute(un jeter) intentionnellme ; nous avons intentionnellement balancé doudou par dessus bord, vers ce là bas qyui nous encercle : zone de choix, zone des peurs hors de soi et qui commenvce à partir de soi ; nous avons jeté la chose intentionnellement : l’oeuvre, cette chose que nous, )à part nous ou par devers nous, avons machouillé, trituré, malaxé, déquanillée, etc , pour nous, pour le fun ; nous avons ; ainsi avons ; nous avons agi de la xsorte, sur doudou ; nous ne l’avons pas ménagé, nous sommes coquins, nous lui avons arraché les yeux ou nous lui avons découpé les oreilles en pointe, ou bien : toout autree méfaits, nous avons agi mal, nous sommes ainsi qui agissons (à dessein) mal ; nous avons mal agi envers lui et le jetons , dans l’espoir que le passant qui passe veuille bien rendre doudou au petit enfant, qui va s’empresser (je) de renouveler le jet (jeu) ; avions ; nous sommes qui avions jouet et jouet a été jeté par dessus la rambarde, hors bras, et voilà que la chose trône aujourd hui danbs une galerie (pour la galerie) ; nous aimons cette chose que nous faisons = faire ; cela est notre nature, notre nature est de faire, dire et faire, il s’agit de notre nature, la nature commande ; il s’agit de notre nature : faire des choses avecnos mains , ce peut etre n’importe quoi, ce peut etre de triturer, de tripatouiller etc ; ce peut etre du tripatouillage, ce peut etre bien des choses en somme, mille ; nous aimons tripatouller avec nos menottes, nous aimons le tripatouillage, le malaxage idem, etc ; nous agissons ainsi, ainsi faisant, -faisant feu de tous bois, façonnant, et oeuvrant ; ainsi, nous avons construit , bati, confectionné une oeuvre de’art, une oeuvre à exposer devant des murs propres, ou dans un endroit adapté, nous l’avons confetionné dans notre giron, nous abvons confectionné une forme, et cette forme nous la soumettons à l’approbation des gens qualifiés, nous avons une chose par devers nous, que nous avons confectionné (et signé du même élan) ; nous sommes les auteurs de cette chose ; nous aimons etre les auteurs d’une chose ; cette chose est tombée du lit (ou du nid) ; nous aimons faire tomber des choses du lit, ou du nid ; nous faisons tomber (choir) ; nous aimons faire et faire tomber, nous ne pouvons autrement que faisant, nous sommes en -vie, nous faisons ainsi comme de faire tomber, comme faisant tomber ; nous sommes qui faisons des choses avec nos têtes, avec nos mains , et ces choses sont produits de façonnage, de triturage, trichotillomanie ; nous sommes ainsi qui tricotons nos oeuvres et allons ainsi pour les montrer au passant qui passe : elles sont sortties d’- entre nos mains, nos bras ; elles voyagent ; elles ne sont plus à nous, ce ne sont plus nos oeuvres, il s’agit d’objets qui sont là, en dépot, qui sont détachés de nous, qui ne tiennent plus trop à nous, mais qui, quelquefois, pas tou- jours, porte nt encore notre nom d’artiste sinon de la vraie vie, ou un nom quelconque ; nous avons devant nous un produit de façonnage, ce produit est important pour nous car il fait partie d’un corpus assez larges fait de choses et d’autres nous incombant ; nous avons construit, nous avons bati ; nous sommes les auteurs, nous avons haussé, hissé, avec l’aide du passant qui passe ; sur un sockle, sur un piédestal, une colonne, nous avons monté et montré ; nous avons monté, montré, haussé, hiszé, monté en estime, hissé haut, etc, l’oeuvre, la chose sorti du devant de nous, avons ainsi agi ou dans ce sens ; derriere : à bas ; devant : en haut, ainsi de suite ; notre volonté, notre e,n-vie ; nous avons agi ainsi, et cette chose fabriquée est un couteau, une malle, un chevalet, une vitre, un vitrail, une gourde, un bateau, une valisette, un chemin, une phrase, un bout de pain, une boule de gomme, un gateau, une fleur en matière plastique, un robinet, une charge, un coquelicot en papier, un e remorque, un poids, un service gagnant, une cuiller, un gobelet, un bijou, une pierre taillée dansc la masse, une ; etc ; nous avons déposé la chose sur le registre, nous avons fait déposition et voyons la chose devant nous : tableau, tenture, sculpture, pzain, menuiserie pvc, toile écrue, sculpture en matière polastique, ballon dirigeable, sapin de noel, peinturlure, colriage, nuage, page, cahier d’écolier, etc : chose ; et nous de dire ainsi que cette chose est pzassée par nous, et que cette chose nous l’avons signé de notre nom qui donc e,n marque la marque d’une appartenance : propriété privée, valeur, prix, etc ; la chose ainsi faite (=art) est donc une chose lambda que nous faisons pa r devers nous: un tableau = un bateau, une peinture = une cuillère ; il y a ainsi des objets appelés cadres, et ces objets appelés cadres sont objets comme sont cuillères, ou passo doble (oups ?), ou pinceaux, ou pelure d’oignons, ou boite à fromage, ou souricière, ou piège à rat ; nous voyons que cela est la même chose en vérité : un objet parmi d’autrees objets tombés du camion ; nous avons ainsi des objets qui sont ainsi déposés et qui sont ainsi visibles, et qui devienneznt ain si des choses estampillés, signées ou pzas ; nous signons = mettons notre nom sur la chose, il est vrai ainsi que nous faisons cela ; nous ne signons pas la souricière, nous ne signons pas le pain ( sinon du signe de la croix, sur le dessous) ; nous signons le tableau (dans son cadre à fixer au mur, ou pas) ; nous signons le dessin , de notre belle signature, apres moults entrainements ; nous avons belle signzture avec moults entrainements au préalable ; nous sommes ainsi qui avons fait que nous avons cherché notre signature longtemps ; nous avons recherché notre signature, nous avons fait beaucoup d’essais et nous avons (moméntanément) trouvé de quoi ; nous avons fait moults essais, nous avons utiliszé beaucoup d’encre, il nous a fallu un peu de temps, même encore il n’est pas sûr que nous gardions pour toujours la signature qui, en ce moment ou pour le moment, est la notrte, elle peut encore changér, elle peut tres bien xchanger dans les mois ou les annnées qui vienneznt, rien n’est arreté, même si il se peut qu à partir d’un certain âge (en age adulte) la chose , à un moment, finit par se fixer et s’enkyster dans une forme qui pourra , hjusqu’à la fin, ne plus trop bouger ; nous aimons ainsi faire que nous disons que cette chose est valeur, à titre d’oeuvre (d(art) et peut donc se voir ainsi recueiilie , adoubée par qui de droit, et vendue à plus ou moins bon prix ; nous faisons commerce ; le cadre, les cadres, le cadre pour la peinture, un faiseur de cadres, de peinture, de la peinture, de la pâte sur un mur, de la pâte sur une toile, sur un tissu, de la pâte colorée sur un support, un cadre, de la décoration, un cadre qui décore sur le mur, une image, une image sur un mur, le mur et son image accrochée dessus ; le mur avec son image, le mur avec son cadre et le petit meuble sous le cadre, et le spectateur avec ; nous aimons ainsi nous présenter comme étant celui ou celle qui donc a apposé sa signature (paraphe) au dos du cadre ; nous avons apposé notre sign ature, nous avons signé l’oeuvre tombée du nid, nous sommes les auteurs de ce jet hors du foyer ; nous sommes les responsables-auteurs de ce jet de soumission, et nous le disons ou montrons, en signant au dos ou ailleeurs l’oeuvre vendable (commercialisable et commercialisée) ; argent, ; nous avons une sign ature à part nous (un entrainement de jeunesse, une mise en plaxce à l’age adulte) ; nous voulons ainsi que cette chose de façonnaghe, dise quelque chose du jet, de la soumission sous porte, etc ; nous voyons nos mains nues et nous pleurons la perte ; nous sommes à devoir pleurer une perte de doudou, nous sommes qui pleurons un doudou tombé (en vérité vjeté par nous, signature, à dessein) ; coquinous ; nous avons de la coquinerie en nous, nous avons de la coquinerie en nous ; nous sommes des coquinous qui jetons nos jetons, nous avons ain si jetons à jeter et le faisons, et faisons au devant cette chose : jet (je) ; et derrière faisons autrement : derreière nous caché, sale, saleté ; nous jetons devant (jetons) et derrière faisons( étrons) ; cezla est ainsi que devant nous jetons nos en-vies, faisant devant ainsi que nous s-ommes en-vie s ... de jeter par dessus bord et loin, pour le passant qui passe ; nous faisons ainsi que jetons en -vies, sommes de la sortte : comme tres-obligés par l’en-vie en nous, qui nous voit jeter jetons (je) par dessus bord ; je = signature ; le prix de la signature, du jet (je) paraphé ainsi ; sur sol, sur socle, sur toile, sur tenture, sur tissu, sur chjoses diverse, sur carrosserie, sur n’importe quoi en recueil de chute ; nous avons de la sorte jeté doudou par dessus la barrière et le voyons par terre, inerte, en attente d’une bonne âme, un passant qui passe, qui voudrait volontiers nous rendre la chose, nous la redonner ; nous voulons ainsi parapher ; nous ambitionnonbs, nous disons je ; nous disons grand je, nous disons qu il s’agit d’un je, nous disons le je de l’(euvre ici, e,n la personne de doudou à terre ; nous disons que nous disons cela, nous façonnons, nous usinons ;, nous faisons : devant (les couillons) et derrière ? des cochonneries ; sommes donc coupables (je) et devons ou devrons payer ? ; nous avons, nous faisons, nous agençons, nous mettons en place, nous avons des oeuvres ici qui sont en attente : entre nos mains ; nous avons des choses usinées qui attendent d’etre comme montrées en majesté ; nous avons ainsi cette chose (devant) qui est que des choses trainent par terre (c’est nous qui les avons jeté ;) qui seront peut- être à terme ramassées, nettoyées plus ou moins mais surtout présentés proprement (en propre : signés) xans un enxroit dédié à cet effet : temple, église réformé, galerie d’(art ou white cube ; il se peut que le doudou soit ramassé, que les choses par terre trouvassent un point de chute ailleurs que sur le sol mièvre, sali, et piteux (triste) ; nous croisons les doigts et espérons que cela soit ; des bras, des mains pour faire = façonner des chose, jetées elles trouveront peutetre chaussures à leurs pieds, etc ; nous espérons, nous voyons cela depyuis notre lit, notree nid, nous voyons toutes ces choses par terre balancées, toutes ces choses jetées par terre nous les voyons : doudous, cadres, dessins, jouets, etc, et voilà comment les choses se passenbt, nous voyons que nous sommes ainsi qui faisons des choses par devers nous, et ces choses seront ou ne seront pas ramas- sées par le passant qui passe, et montrés à qui veut = pour la galerie ; nous sommes ainsi qui faisons cela, qui montrons, qui allons ainsi ; nouys avons une chance ou la chance ici de tomber sur celui ou celle qui ramassera, il y a cette chose : cette possibilité, tout n’est pas perdu ; nous pouvons ainsi espérer,, nous essayons d’y croire, nous avons en-vie d’y croire, nous trimballons notre baluchon, nous sommes chanceux ; nous bénéficions de bien des égards ; nous, nous sommes les bénéficiaires de bien d’égards à nottre enseigne, ou envers notre enseign e, nous aimons, et nbous nous entera înons à faire ainsi, une signature qui le fasse = adulte, vraie, comme il faut, qui se tienne, qui ait de la gueule pour nous, sachant que nous nous ne pouvons avoir confiance en nous car nous voyons que nous ne sommes pas encore suffisamment adulte, pour savoir si vraiment telle ou telle signature peut le faire ou pas, nous voyons pertinamment que nous manquons en l’occurence et pour l’occasion de la maturité necessqaire ou qui nous serait utile ou nécessaire même, pour cela : pouvoir nous dire si oui ou non telle ou telle signature convvient, soit : qui le fait = qui le fait comme le font les autres, celles qui se tiennent, cellles qui ont l’air d’aller, qui font adulte, et pas enfant, notre signature à nous fait enfant alors que nous nous voudrions tant qu elle fasse adulte, nous aimerionds tellement q<ue notre sign,ature fasse adulte mais rien du tout, notre signature, quoi qyue nous fassions, ne fait pas adulte, elle fait gamin, on dirait la signqature d’un gamin, d’un petitou, on dxirait la signature d’un bambin et cela ne nous convient pas vraiment, cela nous met en rage, de voir que nous avbons beau, beau nous échiner à marquer et marquer sans ceesse, sur un cahier dédié à cet effet, mille et mille exemples (essais) de signatures, nous avons beau jeu de nous entrainer sans fin , à la recherche d’une signature qui le fasse, c’est à dire qui fasse mature, eh bien que dalle, que tchi, nous n’arrivons à rien de bien fameux, chaque signature porte en elle l’empreinte (l allure) de nootre jeune age : nous sommes dégoutés ! et en plus nous ne sommes pas sûrs d’y voir clair, d’être lucides (du fait justement de notree jeune age, ce dont nous ne sommes pas dupe) ; par conséquent : c’est à désespérer, c’est rageant ; nous aimerions tellement pouvoir parapher comme il faut et etre crédible,, et ne pas avoir une signature risible et qui fasse enfantin ; nous aimerions beaucoup pouvoir sortir de nous une signature qui le fasse ; oeuvre, chose, chose adulte, chose ou oeuvre qui le fassent, la signature qui le fasse et aussi l’oeuvre qui le fasse ; nous somlmes un peu dégouté de cela, de cette chose que don,c, ce que nous faisons criaille un peu , ou comment dire, montrât sa voix de jeune personne,, nous sommes un peu meurtri de cela, nous avopns les boules ; nous nous entrainons ; nous passons notre temps à nous entrainer, dans l’attente (un jour) de pouvoir sortir de nous peut-être quelque chose qui le fasse ; jusque là : entrainement, et que cela ; nous faisons ainsi que, que cela nous faisons ; à savoir nous entrainer, nous entraîner jusqu’à plus soif, c’est une chose ! ; nous passons le plus clair de notre temps ainsi à nous entrainer, nousfaisons moults essais, nous n’en finissons plus d’essayer, de tenter, de griffoner et de jeter ; nous sommes jeunes ; nous disons (nous nous disons) que nous sommes jeunes ; nous sommes des jeunes ; nous sommes jeunes, nous espérons : nous sommes remplis d’espeérance, nous envisagheons, nous ambitionnons, de trouver paraphe le bel, qui puisse nous satisfaire au fil des ans et pour les ans à venir : longtemps, ou même à jamais : pour toujours, aimerions ; nous envisageons, nous aimerions, nous avons cette en-vie d’aller ainsi par les chemins de notre vie vers le futur ; nous ambitionnons ; nous sommes qui nous entrainons à faire ainsi des signatures et des signatures (pour nous) et jamais elles ne conviennent, jamais elles ne nous conviennent, c’’st rageant, c’est marre ! ; nous aimerions beaucoup ainsi pouvoir, nous aimerions beaucoup ainsi arriver à nos fins ; les choses tombent, les doudous les chose ; les choses tombent, elles tombent du nid, du giron ; lexw choses tombvent du giron, du coeur, du ventree, du nerf centreal ; les choses tombent du giron et nous vboyons cela (futur proche) et espérons cela, que ce qui tombe soit repris par qui de droit : le passant qui passe ; nous aimerions beaucoup cette chose ; les objets, les choses par terre, les objets qui jonchent, les détritus, les choses de valeur, les merdes ou bien non, les choses qui comptent: nous voulons ainsi, nous espérons, nous avons cette ambition et nous y tenons, il se peut que nous voulion-s ainsi ; nous sommes ainsi qui cherchons du regard le passage d’ un passant ; il se peu que pareil passant vint à passer ; l’espace devant nous est jonché ; lespace du présent (futur proche) erdst jonché, ilk est recouvert, il est plein de choses et autres ; cet espace du devant, est l’espace d’un faire ; l’espace de derrière aussi, mais d’une autre teneur ; il se peut ain si que les deux faires soient , d’une manière ou d’une autre, mis en parallèle (rapprochement) ; faire et faire ; les deux faire ; il y a ces deux fairezs, chacun pour soi ; le faire arrière et le faire avant ; le faire avant est celui de l’industrie du faire bien ; ou bien de l’industrie d’un faire qui se veut comme du bien faire , ou comme faire de valeur, repechant pour le coup le faire du derrière, ou comme sauvant les meubles ; il se peut que l’industrie des faires avant permette en effet , ainsi, le rachat du faire (ce sagouin) arrière ; il se peut que cela soit ainsi en effet ; arts et métiers ; pour un rachat hypothétique ici d’un faire de sagouin-arrière, ou en effet pour le rachat ou une sorte de rachat, vis à vis d’un faire-arrière , qui puerait, qui sentirait mauvais, quyi ne serait pas ok à nos yeux, etc ; nous espérons pouvoir ainsi nous racheter, jetant nos jouets, pour une «pêche» éventuelle, d’un passant qui passe, jetant nos jouets pour, éventuellement (d’un passant qui passe) pêche, ce serait parfait ; nous espérons sur le passage d’un passant qyui passerait innovcemmenrt et donc ramasserait : le doudou tombé, le jouet, la trompette, le chemin, la pelle, le brouet, le livvre, le cadre, l’empreinte, le pain, la fourchette, le cheval, la laine, le commzerce, le roman, la vinaigrette, le poil, etc ; il y a foultitudes de formes possibles qui jonchent ou joncheraient le sol ; nous voulons que la chose soit entérinée, nous voulonsque soit ainsi la chose ramassée et posée sur socle, ce serait parfa i t , notre visage défait ; nous aimerions ainsi que cela soit, et nous disons ce que nous pensons ; nous pensonbs et subodorons, nous y allons et pensons ainsi, espérant ; ,ous voulons de cette chose : ramassage ; nous espérons et voulon savoir de quoi il en retourne, de quoi les choses sont faites, nous sommes in dustrie, petit génie du civil, nous construi- sons des ponts, des orfdinateurs, des paquebots, des routes etc, nous y allonbs ; l’en-vie- ; nous construisons des choses diverses, à longueur de temps ; nos mains ; nous aimons nous montrer de la sorte et nous allons ainsi par les chemins, bien forcés d’aller ; nous faisons ; nous avons des mains, des bras pour faire, cela est ; nous sommes munis ou outillés et nous faisons ainsi des choses comme par devers nous ; nous amllons ; nous espérons pouvoir de la sorte aller et montrer et faire en wsorte que chose soit ainsi sauvée qui treainait opar terre (je) à dessein : un dessin d’oiseau: ; il s’agit ici d’un dessin, là sd’une casserole, et ici d’une toupie ; il s’agit d’un siempretieso (ou culbuto) ; nous avbons de quoi donbc agir et donc des mains pour façonner des choses que nous soumettons : sous la porte ; nous disons, nous voulons ainsi, nous aimerions, nous envisageons, nouys sommes ainsi quyi envisageons, nous aimezrions beaucoup ainsi, nous aimerions beaucoup, nous aimons , nous aimerions beaucoup de la sorte ,, ce serait chouette, ce serait parfait, c’est notre plus grand souhait, nous voulons cela, nous espérons, nous aimons, c’est ainsi que nous imaginons la chose, nous aimerions ainsi voir que la chose fusse ; tombés du nid, tombés du lit, le sool en est jonché ; nous voulons, nous espérons, nous aimerions, cela est notre en-vie qui va par le chemin , cvomme forcée forcément d’aller puisqu’en-vie est, et par conséquent cela est que la cxhose va, qui façonne à sa façon (signature) et ainsi avance ses pieds, sur chemin tracé ; nous sommes ainsi qui nous montrons ainsi et appelons : afin que, donc, le passant, ou le passant éventuel, etc, veuille bien, dans sa grande générosité, etc, ramasser le jouet et le poser sur une colonne ; nous espérons, nous sommes pklein ds’espoir, nous avons envie, nous sommes en vie ; nous avons envie, et nous sommes en vie ; nous avançons sur le chemin de la vie, nous voulons ainsi faire que nous soyons pour le coup reconnu sur le chemin comme la personne, qui vient de jeter son jouet, c’est elle (égards) et nous espérons ain si que la chose soit de la sorte, c’est-à-dire que passant passe, que passant passât ; nous ambitionnons et voulons ainsi et nous regardons au loin, nous avons devant nous un devant de nous qui nous fait face et qui est cet au-delà de nous , qui commence à partir de nous, à partir de notre peau etc, et jusqu’à l’infini de ce que nous voyons au loin ; l’au delà est là et en tant que tel il est choy»é, il est -sacré, il est sacrément choyé, il est un espace , cet au-delà, qui, à nos yeux, représente un monde incroyablement sur- prenant : valeur ; le monde autour = l(au delà de nous ; avons plein de choses que nous faisons nous mêmes (avec nos petites mains) en magasin : le magasin ici estl’arrière- boutique (for intérieur ?) et ces choses, nous les tenons un temps entre nos bras, et puis un beau matin nous les jetons par dessus bord, et ouste, ou comment ? ; on ne peut dé- cemment conserver tout de soi par devers soi ou alors il y faut une place monstre, alors nous jetons ; cela est ; nous jetons et nous regardons si des fois quelque belle âme voudrait bien, ainsi, devant nous, se plier pour ramasser le fruit de notre façonnage au nid ; nous balançons, nous déposons, nous posons des choses par terre, nous les déposons ou les jetons, nous sommes plein d’espoir, nous posons des choses, nous déposons des choses ; nous sommes vraiment plein d’espoir de voir tout cela qui jonche le sol un de ces quqtre ramassé par qui de droit, et piédestalisé si jamais, nous avons cette cxhance de pouvoir de la sorte espérer en la venue du passant quyi passe, qui absout, salvateur, qui vous récvupère d’une certaine manière sous son aile : passant qui passe et sauve, et prends avecv lui, et vous met en avant, vous ou votre oeuvre , cette chose de rien ; cette misère ? ; nous espérons fortemebnt que nous pourrons ainsi un jour compter sur pareil passant, il se peut wqu un jour, dieu sait, qui d’autre, il se peut, allons savoir, qui pourrait le dire ? ; nous savons que cela est ainsi, que nous sommes debout , dans le lit-cage, lit à barreau, qui trépignons, dans l’a ttente, car doudou fois x sont à terre qui jonche le linoleum ; doudous x fois je ne sais combien, jonchent le revetement du sol, en attente ; nous sommes, nous attendons, nous aimons ce jeu, bnous jouons, nous sommes jeu, nous sommes qui attendons et espérons en la venue d’une âme (bonne : bon sama ritain) qyui veuille bien nous prendre sous son aile, ramasser nos choses : bateau, fleurs, chie,n, coloriages, peintures, services de table, colle, patrons, choupettes, chezval, carambar, dîme, trompette ou ciseaux ; sommes des créateurs puisque créons, c’est-àdire que nous fabriquons de nous mêmes des choses, choses que nous gardons entre nos mains jusquà nouvel ordre, et parfois ces choses : nous les soumettons au passant qui passe, dessin sous la porte ; avons ain si cette chose que voulons que cela soit, soit que nous soyons (ou puissions être) ainsi adoubé et pris en considération , nous espérons beaucoup en sa venhue, ce n’est pas évident et ce n’est pas gagné ; nous prenons comme viennent les choses, et nous nous tenons sur nos gardes ; nous sommes qui espérons -attendons : pour les siècles des siècles ; nous avons pour nous notre chance, nbous voulons y croire, nous sommes joviaux, nous sommes frais, nous sentons bon le bon parfum de femme opu d’homme, nous nous parfumons de parfums de marque, nous aimons ainsi : nous parfumer tous les matins et jusqu’à plusieurs fois par jour si nécessaire et selon notre plein gré, nbous voulons, nous sommes qui le voulons, ; à notre guise, selon notrte gré, à notre nbon plaisir (ou selon ) : voulons ; ainsi nous parfumer, le voulonqs ai nsi : sentir bon nous aimons ; nous ne voulons pas sentir mauvais, nous voulons présenter bien cx’est à dire propre, nous vboulons d’une présentation correcte, propre , en bonne et due forme, de nos chose ; nous voulons ains i sque nos choses soient bien présentées = dans des drtaps propres (merde ! c’est le minimum !) ;le voulons de cette sorte ; nous voulons de cette sorte de présentation, nous ne sommes pas difficiles mais voulons ainsi : propre ; la question de la beauté des choses proposées proposées à la vue des gens ne se pose pas vraiment mais plutot la question du propre ; il s’agit que (même une merde) ce que donc nous proposons, le soit dans une sorte d’enveloppement (présentation) qiu rehausse le tout (soit la merde éventuelle) ; nous voulons ain si que la chose soit comme rehaussée = soulignée = soignée ; cest ainsi que les chgoses vont, que les choses vont bien : c’est ainsi que les choses vont bien (sans anicroches, sans constipation d’aucunes sorte) ; nous pouvons nous dire que la chose est bien encadrée, ou bien insta ;llée, ou bie,n mise en va leur, etc ; nous sommes ainsi qui regardons les choses de :la sorte en espérant que la chose ainsi sera mise en valeur ; n,ous aimons ce que nous faisons, nous faisons ce que nouys aimons ; nous sommes qui faisons et devant et dezrrière, l’un devant racheter l(‘(autree ; et pour cela, nous avons besoin d’un soigneur, d’un rebouteux, d’un marabou, df’un soignant fiable, qui viendra nous aider à la tâche, à savoir : de faire de la sorte que puissions ainsi compter sur un rehaussement des bricoles ( notres) tombées à terre : debout les morts ! ; nous espérons fort et guettons les passages, nous envisageons ainsi beaucoup de choses et voulons nous y retrouver : nous envisageons cette chose de nous voir (un de ces quatre) reconnus et adoubés, etc ; il serait ainsi parfait pour nous que nous soyons de la sorte accepté, ce sezrait royal, véritablmement ; nous sommes qui allons ainsi par les chemins , qui posons devant, qui posons, qui posons devant des choses, qui posons pour la postérité, qqui déposons notre butin , table, gibier, ghibecière, et cèpes à l’(occasion ; nous prenons les jours comme ils viennent, nous ne sommes pas chiche du temps, le temps est devant, lieu de dépose, nous éspérons plaire avec nos butins, la table est propre, npous espé»rons l’adoubement, nous cheminons , nous sommes sur le chemin de l’attente, de la chose prise et aimée ou commment ? ; nous sommes qyui faisons du chemin ainsi dans l’attente, nous avons jeté cul par dessus bord nos cxhgoses créées, nos bricoles, nos objets, nos chose, nous hjetons, nous jetons par terre, sol jonché ; nous hjetons par terre, sol jonché, dans l’espoir que : que nous puissions compter, sur quelque passant qui passe (passerait) et du même coup nous rendrait les choses, les reconnaitrait dès lors ; nous pouvons le voir ainsi : chose ramassée = chose reconnue, inchallah ! ; nous aimons cela, notre joie profonde, rire, chanson , nous sommes ravis ; nous espérions et cela fût, oui ! ; nous espérions comme des mort de faim et la chosex est arrivée et nous en sommes ravis, bien évvidemment, car nous attendions cette chose ; nous aimons, nous voulons, nous sommes fieers de cela et nous le disons, en nous pavanant un tant soit peu : gloriole ; piedestal, colonne, pupitre, socle divers ; nous avons fait tout un tas de choses que nous allon s ainsi pouvoir sauver peut-etre ; nous avons mis sur socle certaines chose, le socle est couvert ; nous avons pris acte et sommes fiers : nous paraphons, nous soussign ons de notre belle plume, nous signons de notre belle plume mature, nous avons s de quoi en boutique = arrière boutique, nous sommes munis, a rmés, achalandés, ou bien plein de choses en ré- serve (= en nous) ; nous avançons, nous avançons sur le chemin de la vie, nous sommes en route= en- vie ; nous allons ainsi d’un pas enjoué et gravissons les monts ; devant nous est ce temps-espace, et derrière est,... eh bien ce temps-espace aussi ? ou bien de la , ou bien quoi ? ; nous sommes ainsi dans une sorte de démarche positive qui nous voit nous présenter ici sous un jour sérieux, bien mis, propre sur soi pour allezr à la rezncontre d’autrui dans le monde ; nous aimons cette cxhose et la revendiquons, à savoir que nous sommes en-vie, et , du même coup, ou du m^me pas, que nous alloons-faisons d’un même élan , et cela est notre peine et notre joie, ce pas qui va vivant, ou cette vie qui va ^passant, nous sommes ainsi allant-vivant les pas que nous faisons, et ce faire là est notre oeuvre de vie à voir éventuellement en galerie, sur fond blanc ; 

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12/02/2020

il y a ainsi devant nous un lieu de dépose ; cve lieu est notre, dans la mesure où chacun a son propre lieu de dépose, il est donc propre et propre ; propre à chacun car chacun a son lieu de dépose en propre et propre car il est poulit ; il est tel que chacun peut en effet déposer ici, de vant soi, au devant, sur tapis déposé à même le sol, ou bien sur une table devant soi, recouverte d’une toile blanche, chacun en effet peut de la sorte déposer des choses, des objets, de la matière ou bien des phrases lancées à la cantonade ou tout auttre oeuevre sortie ou passée par soi : corps, cordes, mains, etc ; nous sommes avec nos deux mains qUi posons des choses sur une table, sur une nappe, sur un drap, sur du blanc qui rehausse : entoure, encercle, nimbe, et amène cette touche de propre, de propret, qui permet une présentation, des choses déposées, en bonne et due forme ; nous dépoxsons sur la nappe nos choses qui sont choses de dépose ; quelles sont ces choses ?. ; il s’agit de choses passées par nous, donc nommées, des choses passées par nous, sortant de nos mains, etc, et que nous posons sur du propre ; nous posons choses sales parfois mais sur du propre et cela change tout car le blanc en pourtour rehausse et adoube ; le banc nimbant est là qui vient donner l’absolution à une chose qui, seule, à part, dans sa fange, ne présenterait pas de la même façon ; il s’agit dès lors d’une chose qui est en tant qu elle vient nimber, la chose déposée , de son auréole de propre ; il s’agit d’une manière de sauver des choses posées, de les amener à être autre, en étant de la sorte déposzée sur un linge propre, dand du blanc salvateur, dans du blanc nimbant et amenant cette touche de propre autour de la chose sale, ou éventuellement sale, c’est à dire de la chose mal, ou du mal ; il y a une certaine chose ainsi qui se fait ainsi, il y a ainsi une chose qui se goupille, une chose se goupille ainsi , qui voit un objet du mal se faire ainsi ainsi nimber et absoudre, et ainsi l’objet bénéficie d’une sorte d’absolution amenée par le blanc de la nappe sur table, ou bien des murs d’une piéce = white cube ; nous sommes ainsi qui envisageons les choses sous l’angle du propre et du sale ; amenons nos frusques, amenons nos chose, faisonns passer entre nos mains et déposons la ou les choses sur pazreille nappe immaculée, propres comme sous neufs ; nous avons ainsi une table, une nappe, des draps, du sent-bon à revendre, du frais de chez frais, tout un attirail printanier à offrir à qui veut , voudra, déposer ainsi choses sur devant de soi : cet espace qui jouxte notre zone de sustentation ; il s’agit de l’espace au sol qui est juste devant nous, à portée de vue et de bras, cet espace est l’espavce par exemple de la gerbe que nous déposons au ras dè’une tombe, etc ; cet espace du devant de soi est précis, il est pour chacun l’espace en propre du devant de soi, et il permet l’accueil, et l’absolution de choses en dépots, depotoir ou lieu de dépot mais pour le coup d’une auttre teneur, car il s’agit ici , non point d’un dépotoir en soi mais d’un lieu nimbé du fait du blanc qui le caractérise, du blanc c’est à dire du propre, qui, nimbé ainsi et ce faisant, vient à recueillir christiquement une chose de peu, qui est fragile, qui est frele, qui tient quasi par oppas grand chose (opération du saint esprti) ; il s’agit d’un lieu d’abdsolution, un lieu de salut, d’accueil, de prise en compte et d’aureolisation ; il s’agit de ce devant de sois = à nos pieds ; car à nos pieds est cet espace de juxtaposition à nous qui accuielle, qui permet la dépose sur , qui permet dépose et qui permet aux choses de nous quitter = quittus ; nous posons ainsi notre gerbe, nous posons ainsi nos plaques mortuaires, nos fleurs sur une tombe, disons nos fleurs sur tombe, ; nous avons à nos pieds une tombe, cet espace devant soi, cette vie devabt soi, cet espace ou lieu précis qui est ce lieu du devant , nous pouvons l’appeler tombe, car il se peut que cela soit, que cet espace ainsi délimité , carré ou rectangle, cette forme de géométrie est ou soit la tombe et ainsi, nous déposons gerbes sur tombes, chose sur tombe, etc ; nous avons à nos pieds un espace de jouxtement qui est cette forme géométrique, délimitée, qui est celle prête à acceuillir les chose que nous déposons ; : des obkjets pour les défunts ; qu»en penser ? nous sommes à genoux, nous posons un genou à terre, nous déposons des fleurs, nous posons devant des fleurs, de la bonne odeur sur la tombe de nos défunts, sur les tombes qui sont devant, car la trombe est devant, le trou de la tombe, voyez-le, est au devant de nous qui nbous penchons sur pareille excavation et y jetons fleurs odorantes, belles, fleuris, rose, ou rouges, ou jaunes, colloréess, et sentant la rose, le jasmin, que du bon en terme d’odeur, que du bon à sentir ; nous avançons ainsi dans la vie ; bonne et mauvaises odeurs, fleurs et ... le derrière de nous, dont nous ne voulons pas ici ; nous avançons de la sworte avec devant nous un espace de monstration, une salle d’exposition, une pièce blanche où nous pouvons deposer nos gerbes : gerbes, gerbes, et ainsi nous avons avec cet espace un lieu ou une sorte de lieu qui auréolise, qui nimbe et sauve ; nous sommes avec devant nous un espace de monstration, un lieu de déposition des aveux, une chose ainsi qui nous jouxte, et qui , d’une certaine ma- nière, est notre tombe ; il se peut que nous ayons ainsi à nos côéts, c’est à dire ici devant nous, un lieu ainsi qui est cet espace où nous deposons des choses qui ont transité par nous, nous nappons, nous mettons, nous déposons, nous imbibons, nous développons, nous trafiquons ainsi de vant nous, les mains ainsi font et font et ce faisant elles font comme dxu dépots de choses sur un devant de soi qui est un drap de mort, ou bien un drap de bain, ou bien une nappe sur la table de la cène, ou bien une feuille blanche, propre , nette, impeccable ; nous avons ainsi devant nous une feuille parfaite et cette feuille ou ce feuillet ou ce drap ou ce linceul, ou ce mur blanc sont ainsi pour nous cet espace ou nid d’acciuel, d’atteriisage ou d’alunissage ; nous pouvons voir en cet espace devant nous un lieu d’atterrissage ou d’alunissage, d’absortpion, un lieu qui est là pour accueillir à bras ouverts (les bras ouverts) les choses-gerbes que nouds déposons ; nous avons ainsi à déposer chose de nous et pourquoi cela, eh bien peutetre car nous sommes qui avons les bras chargés, et nous devons nous libérer de pareil chargement: nous avons des bras pliein de choses ou autres, nous sommes chargés comme des mulets, nous devons ainsi nous déchargéer, nous devons ainsi déposer devant, des formes, des objets, des formes qui ressemblent à quelque chose obligatoirement ; nous créeons par là même des formes, appelons cela des formes ; nous sommes ainsi qui façonnons, qui faisons, nous figurons, nous avons des mains, ces mains modèlent, ces mains cherchent à ainsi modeler la terre, nous modelons, nous sommes à ainsi, à la main , faire chose de cette sorte ; nous avons mains qui font, petit patapon ; ce genre de mains, qui faisons ainsi, via des gestes de mains, qui faisons ainsi choses à déposer comme gerbe au devant de soi = à nos pieds : par terre, sur la terre nourricière ; nous avbons des mains qui font , qui forment, c’est à dire qui ne peuvent autrement faire qu’ainsi faire à former des formes ; nous avons des mains qui ainsi modèlent la terre, la forme, lui donne forme, des mains qui malaxent, qui font mille choses et dces chose une fois faite, on ne peut les conserver sur soi, à part soi, elles prennent de la place : elles nous tombent des mains ; ces choses sont choses tombantes, et où ? à nos pieds, ainsi faisons devant : les mains qui font, ainsi faisons derrière, l’anus qui fait ; et ainsi devant-derrière nous allons, tube, travaersant kle monde , avec devant soi l’odeur magi

que des fleurs de saison ; nous sommes qui faisons avec nos mains, faisons des chose que nous déposons dans des écrins, nous déposons nos encombrants, nous laissons ainsi sur place, nous avançons de cette sorte entre les fleurs que nous écartons, ainsi, pour nous frayer un passage dans la vie ; nous sommes nus, nous sommes habillés, nous avançons dans la vie, nous aimons etre ainsi lavés, nettoyés, propres pour al:ler devant, nous promener ainsi dans le monde, nous allons ainsi ; nous sommes habillés de pied en cap, nous avons fait notre toilette, nous avons des mains et des jambes ; nous dessinons un visage sur une paroi ; nouds faisons un petit grigri sur une toile tendue, nous faisons de la peinture sur un mur, nous dessinons sur un mur, nous dessinons avec de la craie ou du fusain ; avec du charbon de bois ; nous faisons des formes, malaxage et les posons devant ; devant nous faisons avec nos mains, nos mains font et défont ; nos mains s’agitent et créent des choses de dépositions ou de dépots, de dépose-minute ; nous avons des mains qui nous permettent du dépopt de chgoses, nous avons ainsi des mains qui font que nous pouvons ainsi faire que nous déposons des choses sur des tables, sur des nappes, sur le sol, sur le mur, sur des supports divers et variés ; nous avons dexs mains de dépot ; nous avons au bout des bras des mains qui peuvent ainsi faisant faire ainsi des choses à déposer, gerbes, choses, objets, objets de dépose, tas ou tout autre chose physique à pouvoir ainsi poser pdevant soi cest à dire là ; nous pouvons déposer choses qui passennt par nous et que nouys ainsi voulons sauver, en déposant de la sorte : pour les siècles des siècles ; nous voulons ainsi déposer des choses et ces choses prennent comme qui dirait le train de l’éternité, ainsi déposées sur tapis (propre) d’accueil ; nous, nous allons ainsi à dépose ; et hop le tra in part aussi sec ; il y a de la sorte des trains ai nsi qui partent pour des temps futurs de longue durée ; nous pouvons ainsi espérer que nos choses ayant pris le train, se verront de la sorte adoubées = sauvées pour l’éternité : cette dépositionb de chgoses : pour l’éternité, pour des durées longues, nous pôsons ainsi à njos pieds gibiers soit le butin de notre promenade guerrière (?) ; nous sommes ainsi qui allons, déposer nos trophées de chasse, nous déposons ainsi, nous avons ainsi par devers nous : objets à deéposer, animaux morts, fruits, etc ; nous avons des choses, nous posons des choses, nous posons devant nous, nous mettons un genou à terre, nous avons des tables de dépots, nous aimons nos tables, nous aimons les tables de dépots, nous aimons nos tables, nous aimons ainsi pareille tables de dépositionbs, de déposition des aveux, des choses tuées, des choses brisées, nouys les déposons sur nos tables, nous avons des tables, de dépôsitions d’aveux de choses et autres, comme chasse ou peche, cuiellette, quoi d’autre ? ; n,ous pouvons ain si sur nos tables, déposerr nos butins, nos chasses, nos choses, où sinon ? ; où sinon devant soi ? nous déposons, posonbs notre gibecière, nos trophées, nos animaux tués à la chasse, etc ; nous les posons devant nous, par terre, sur une natte, sur un tissu, une peau, sur un drap, sur quelque chose de propre, de non contaminant ou de non contaminé, soit du prop^re pour un accueil propre ; nous avons à déposer des choses sur une table qui est à une bonne hauteur pour nous, ces choses nous les posons et ce faisant elles quiitennt l’espace de nos bras pour entrer dans un espace qui nb’’st plus lez notre : fuite, chute, fuite, chute, ainsi que ces choses font ; nous pouvons voir la chose chuter jusqyu’a aller se déposer sur une table qui ici est cet espace debvant nous : qui nous fait face, et chacun le sien ; les choses tombant de nous (de nos bras, de nos mains) sont ainsi comme receuillies par un support qui sauve ; il s’agit d’un salut ici qui est ce salut des choses posées ; nous posons pour l’éternité des chose, nous pôsons des choses pour l’éternité et des choses ainsi déternité, car les choses vivent longtemps celles qui résistent au temps, qui sont solides et passent ainsi à travers les temps, l’usure, l’érosion ; nous avons des cailloux, du gibiers, des armes ; nous pouvons ainsi déposer avec nos mains , sur un espace ainsi d’accrochage ; nous pourvons ainsi au mur accrocher nos armes, nos trpoophées de chasse, nos pierres, nos lances, notre gibier dégoulinant de sang, le sang dégouline, le sang sort de la bête morte et dégouline, sur la terre des trophées de chasse ; nous posons sur table ; la table est l’espace devant ; la table est lm’espace carré qui est l’aespace de déppots, qui est un espace de dépositioions, de remise, de dépose, de choses et autres ; iln s’agit ici d’un carré ou d’un rectangle, il nous fait face, il est à la bonne hauteur ; ou bien par terre un carré de tissu, et nous alors de poser genou à terre ; mais sinon la table, ce carré, cette chose dev ant nous : devant, cette devanture, ce devant, cette forme d’accueil au devant, ce devant-soi, cette vie devant soi, cet à-venir, cette chose là, tout devant, cet espace de proche futur, ce lieu du devant, ce lieu qui est devant nous, cette ouverture devant, cette porte ouverte, cette porte, cette table ainsi, blanche, belle, blanche et belle, cette propreté, cette chose où nous pouvons sans crainte déposer notrte gibier, nos victuailles, nos choses, sur du prop^re, sur du propre devant soi ; et cet espace du devant, qui n’est pas nous, est cet espace du monde sacré, d’un monde qui brille de son aspect de «monde hors de nous» ; nous voyonds cette table comme la figure du monde hors de nous, qui brille, rutile, absout, est domaine qui échappe à notre entendement direct ; nous pouvons voir cet espace de la table blanche commùe celui qui nous permet de déposert des choses pour l’éternité, car le monde est l’éternité , c’est à dire tout autour de nous ; le monde autour de nous est lm’éternité ; et la table , qui est le monde devant nous, est la figure de l’éternité : deéposons des choses dans l’éternité du monde alentour, dans une éternité concrète qui est ce monde autour, soit devant ; nous posonbs devant nous dans l’éternité du monde adjacent ; cette éternité partout visible, terre d’accueil, qui nous permet des déposes-minutes de choses et autres, qui sont autant d’offrandes, de dons, de déposes ainsi foprmés dans un but ainsi formé de faire cette chose : lâcher, tomber, laisser filer, laisser ; nous pouvons   dépose r des choses sur une ta 

ble et cette tabl est propre, elle a été blanchi, elle peremet des dépots prop^res, pris en compte ; nous pouvons ainsi fzaire des dépots et nous en retourner ; nous pouvons déposqer des milliers de chose, de type forme, nous pouvons ainsi faire que nous déposons des formes = le gibier, la volaille, un sanglier, un marcassin, une pa lombe ; une chose ainsi tuée, est-ce ainsi une chose de poids ? est-ce ainsi en l’occurrence une chose de poids, une forme ? une palombe, une bécasse ; est-ce que du gibier = forme ? ou vbien est-ce que du poisson p^éché, ou bien un caillou, ou bien du sang coulé = forme ? ; nous déposons, nous faisons nos petites dépositions, nous allons ainsi rezmplisqsant l’espace, peu ou prou, ; nous allons ainsi déposant des chose, nous déposons des choses ; nous avons à déposer car nous sommes chargés,  à dos de mulets nous xchargeons , trimballons, nous avons à déposer, nous déposo,ns sur une table, des taches, des bouts, ce que nous avons en réserve, ce que nous abvons entre les mains et tac : dépots, dans la soucoupe, dans la ronde ; nous pouvons ainsi faire des choses en dépots de soi sur soucoupe et ainsi nous faisons, dans le sens où nous posons, njous posons chosex et autres à type de butin, de recel, de larcin, = le mal, ce mal est deposé, ce mal-agi est dépôsé, il est posé sur la t

able, notre misère est déposée sur cette table recouverte d’un drap blanc, nous dépopsons ce que donc nous avons fait de mal et ce mal est ainsi montré les mains ouvertes, nous montrons l’intérieur de nos mains, couvertes ou non de sang ; nous montrons nos paumes, jnous montrons n os cartes, nous montrons ce que nous pouvons de nous,n nous ne pouvons pàas tout montrer , nous ne pouvons montrer nos entrailles mais le fruit de nos entrailles oui ; quel est il ? quel est l e fruit de nos entrailles ? ; nous posons des fruits, du sang, des animaux, des choses diverses, nous posons deevant nous = la vie devant nous ; la cvie de vant nous est espace déternité de dépot de choses de nous ou transitant par nous ; cet espace de dépot de choses tombées de nos mains est notre espace de présent- futur proche, de vie sur terre = sur terre éternelle, nous avons ainsi à aller = déposer ; aller c’est déposer, nous allons, et ainsi allant nous déposons, devant et deriière, fuseau, tubage, passage, travers, et ainsi faisons, que déposons de- vant et derrière ; nous sommes ai,nsi qui déposons de nous gerbes de vie, qui allons ainsi, nous déposons nos larcins = le mal propre, sur du propre, notre saleté en propre = affichée, nommée, avouée, nos aveux : dépositions, sur une table lavée par la plyuie, par le temps qu il fait ... par le Temps ? ; nous pouvons ainsi déposer des choses dans l’éternité et ces choses sont comme regroupées ainsi comme sur des pieds, sur des tenants ; nous avons une chose ici deavant nous décposée ou en dépots, cette chose est dépposée ainsi et mise de la sorte «en circulation» de toute éternité terrestre, ; nous posons pour une éternité dite «d’alentour», car l’éternité nous encercle, nous entoure, l’éternité n’est pas au delà du monde mais au delà de nous : devant ; nous pouvons ainsi voir dans le monde l’au delà de nous , qui commence apres nous, dès que de nous tombe des choses dans ce monde ; nous pouvons ainsi montrer ce qui tombe de nous et cela nb’est pas que de la merde ainsi du cul tombée, de notre arrière-train, mais aussi dezvant, dans cet au delà de nous = le monde autour de nous ; donc ce monde autour de nous est le monde de l’éternité, est le monde éternel, est la vie éternelle : sacrée, il semlberait ; nous avons ainsi, passé nous, le monde = ce devant de soi, cette chose, devanht et derrière soi, qui est une chose-monde sacréev et que donc nos étrons souillent en tombvant de nous, comme fiente, comme merdes, etc, etrons, ainsi faisons que nous souillons, déposons des choses sales, et du coup nous sommes gênés ; nous demandons à ce que ainsi nous puissions nous racheter de pareilles chutes ; nous pouvons si nous faisons devant ; si nous faisons devant nous et pas que dezrri§ère ; nous pouvons si nous faisonds devant nous des choses, ces choses tombant depuis nous tombent ainsi dans le monde éternel (de toute éternité) qui nous entoure ; nous déposons a insi auttrement ; nous déposons ainsi des choses autrement, choses du cul derrière et, devant, chosesv rachetant, choses nous rachetant, choses cherchant rachat, équilibre, rachats pour soi, etc ; nous essayons ; il s’agit d’une tentative, d’un coup d’essai ; nous avons une a&mbition qui est ce lle de tenter, ainsi faisant devant, le rachat de nos faires de derrière, que hélas ne pouvons contrôler car ils sont plus forts que nous : nous ne pouvons agir contre la merde ; nous pouvons la cacher mais de qui ? ; nous avons à deès lors nous racheter devant = la vie, la vie alentour, ce monde au delà de nous et qui est le monde de l’éternité, des temps infinis ; nous pouvons essayer cette chose de nous racheter en déposant au propre du devant, des choses transitant par nous mais pour le coup autrement que par notre seul tube digestif, que par cve tube (digestif ) de merde (rempli de merde) ; bnbous pouvons, nous essayons, nous ambitionnons ; notre volonté est ainsi fa ite, notre désir- élan ; nous avons tube en -vie qui est celle de faire, par nos mains, tube ; nous aimons cette chose, que nous envisageons de faire, et qui est ainsi de vouloir faire ainsi des choses par nos mains, avec e lles, une sorte de conduit, de tube manuel, cette chose d’un faire qui est comme une action tubaire de faire ; comme appareil ; mais non comme l’appareil exactement qui permet de faire derrière, mais commme l’appareil ici qui permet (pêrmettrait) de faire devant : du faire ; le faire est ainsi devant et l’espace du devant : faire ; nous pouvons ainsi voir que cette chose est ainsi qu elle vient, devant, se voir déposer sur une table qui est table des sacrifices ; nous lachons, nous abandonnons, nous laissons, nous faisons ainsi que les choses nous tombent des mains, nous sacrifions, etc, sur table ainsi approprie, nous faisons cette chose et nous en sommes heureux car le rachat (du reste) est au bout ou du moins nous l’espérons, nous avons la merde au cul hélas, aussi comment faire pour nous racheter sinon de la sorte, par des deépositions (aveux) sur table qui est table des sacrifices : nous avons tués pour manger, nous avons tués pour vivre, nous tuons, nous sommes sales, nous sommes abjects, etc, et le montrons carte sur table avec ; ainsi faisons du faire ; car nous avons à faire ; nous avons des choses à faire, nous voulons ainsi, faire devant, aller en faisant, poursuivre en faisant choses à dépot, ou à dépose ; nous faisons, nous sommes faisant, nous faisons des choses, nous voulons faire, nous avons des choses à faire, nous allons faisant ainsi devant et derrière, nous ne pouvons faire autrement, le monde autour de nous est notre au delà, il s’agit ici du monde quyi nous entoure, le monde sacré, que nous consacrons, que nous aimons), le monde ainsi que nous portons haut est le monde autour de nous, il est ce monde alentour, et ce monde est à choyer, à pomponner, est monde à protéger, il est vmonde autour de nous qui est à protéger, comme monde sacré, comme monde haussé, comme un monde qui est hors de nous, qui commence à part nous, hors de nos main s, et hors de nos mains les choses peuvent chuter et se briser, alors nouds déposons délicatement sur table mise à cet effet ; nous voyons les objets entre nos mains puis les objets passant ainsi hors de nos mains ; nous avons deschoses en main (tenues) puis non ; nous voyons que le monde commence apres nous, apres nous en tant que nos corps s’arretent dans l’’sspace : le monde commence apres, le monde qui nous entoure commence à la fin de nos bras, de nos mains ou de nos doigts ; il s’agit ainsi d’un monde nimbant, nimbes autour de nous qui allo ns par le monde, faisant (bien involontairement) devant et derrière nous ; nous ne pouvons autrement , que faisant ; ne pouvonsz autrement ; nous laissons tomber de nous derrière, nous voulons nous racheter et faire devant, et ce faire le poser sur du prop^re afin quil ne puuisse pas etrtee confondu avec le reste, avec ce qui tombe de nous par derrière ; il ne faudrait pas, il ne faut pas que la cghose, ainsi faite, puisse preter à confusion, ou soit mal interprétée, il est important que la chose soit ainsi bien interprêété, ainsi déposeé sur du propre ; rachat ; nous avons des choses ainsi, en depot sur table, et nous voulons de lla sorete nous racheter et nous allons dès lors par la vie, ainsi faisant des deux c^$otés : faire, faisons, faisant ; nous pouvons ainsi de la sorte, sortir de nous, pas seulement des selles du derrière, tombantes comme crottins, mais du faire du devant, qui sort de nos mains et hop, lâchaage, lâchement, lâcherie, lâcheté du faire pour accueil direct sur une tavola, qui recueille pareil faire et le soumet ainsi aux regards ; nousavons ainsi à deposer des choses sur la tavola, nous posons, nous déposons ainsi des choses et ces choses ne sont plus entre nos mains, elles sont ainsi en dezpot et nous n’avons plus la main dessus, elles sortent, elles sont de sortie, elles sortent de nous, de nos bras ou de nos mains ouvrières, ouvriers nos bras, nous sommes ainsi, nous poussons ainsi, nous grandissqons de la sorte, nous sommes ainsi que nous déposons des choses sur une table, sur une pierre, sur un parterre protégé des bêtes carnivores, protégé de la saleté du sol, nous déposons nos choses faitezs sur du propre, nous déposons nos chose, le frruit de notrte faire, ainsi sur du propre, nouys voulonbs déposer ainsi nos faires sur une surface qui soit propre et nue, qui accueille ainsi faisant les produits de nos faires, nous avons en -vie, nous sommes qui avons en)-vie et nous faisons, et par derrière honteusement, et par devant, tout aussi honteusement mais là avec lk’(espoir que cela du devant rencontrera l’approbation, que la chose déposée sera (l’est deéjà de par la dépose ? l’action de la dépose ?) approuvée ; nous déposons et ce geste hors de nous traverse la chose du filtre qui donc nous sépare du monde ssacré, nous sépare de fait ; nous sommes ainsi comme séparé du monde, à savoir que le monde commence apres nous et que cet a pres nous est ce monde au delà, ce monde apres nous est monde d’un audelà , qui nous subjugue, et dès lors, deposant nos faires, nous les déposons dans cet autre monde , ce monde qui commence à partir de nous, ou au sortir de nous, ce monde est un monde qui commence sous nos yeux à compter de nous , et tout ce que nous faisons, que nous déposons, se trouveb donc dans ce monde de l’audelà de nous, se voit ainsi comme admis par ce monde = la bascule : la cxhose qui passe ainsi du monde de nous au monde de l’au delà de nous; deposition sur une table prop^re ; nous voyons la table comme table propre, et propre pour dépositions ou dépot de choses et autres, produits de nos actions ; nous voyons cette table comme cette nappe comme ce drap comme cette toile blanche comme ce mur blanc : white oui, et propre , clean ; nous voyons tout cela ainsi, et nous avançons dans la vie de la sworte à la recherche d’une table, nous pouvons aller ainsi de par le monde ; nous akllo,ns et nou voyons la table sur laquelle pouvoir déposer nos choses qui trainent ; nous avons en,vie et cette encvie est de l’en-vie = fatal ; nous ne pouvons y couper, nous n’avons pas d’alternatives, nous faisons de la sorte, nous allo ns de la sorte et espérons, nous voulons tenir ainsi, avec xd’un côté cette chose qui est nous et d’un autre côté cette chose qui est monde, ; on peut penser que l’au delà un jour a reculé d’un cran , ou comment ? ; nous deposons des choses sur cette table et ce sont des choses diverse, des choses qui sont des larcins, des choses sanglantes, des choses qui sont du sang, du sang sur des pierres, des dolmmens ; nous deéposons ; nous déposons des choses qui sont des choses volées, tuées, produits de nos méfaits ; ici les méfaits ; nous déposons tres facilemvent, nous sortons de nous = de nos mains ; nous laisso ns choir (cela est facile) le produits de nos méfaits que nous offrons ainsi sur table à ce monde, de kl’au delà de nous, mais non point de l’audelà du monde mais plutôt de l’au delà de notre organisme vivant qui est délimité par ce corps que nous trimballons sur la terre ferme ; nous donnons au monde, nous rendons grâces ; nous donnons une part, nous montrons au monde, nous faisons cette chose de montrer au monde, nous montrons à ce monde auutour de nous , et qui commence à partir de nous ; nous essayons de montrerr et oofrir un e partt de notre chasse ; nous voulons que cette part soit comme vue et surtout comme rendue, ou bien nous souhaitons que cette chose soit vue : ce méfait ? dépositions, aveux ; nous disons notre vilénie constitutive, nous disons tout ce qui en nous est vilénie, nous jouons à découvert sur table des sacrifices, car nous sacrifions une part de notre butin, que nous montrons aumonde au delà de nous (de notre corps) et ainsi faisant nous pouvons ainsi faire que nouds montrons nos actes ou le fruit de nos actesq ; nous ne sqommes pas fiers, nous sommes honteux, nous déposons à la fa ce du monde, nous sommes des chasseurs qui faisons couler le sang, holocauste, sacrifice, nous sacrifions une part de notre butin ; nous montrons qui nous sommes en tant que nous sommes visible de l’extérieur, en tant que nous sommes des chasseurs , soit des tueurs qui y allons gaiement (?) ... ou pas ; qui allons par la campagne tuer, ou gaiement ou pas gaiement ; nous allons et re’venons et sacrifions une petite part de notre chasse, comme pour nous faire mieux voir du monde, rachat ; rachat pour dire ainsi que nous sommes purs mais que le monde nous oblige, nous pousse à mal faire, mal agir, et du coup nbous nous montrons sous un autre jour, nous faisons ainsi, nous sqommes tenus, le choix n e nous incombe pas : nouys n’avons pas choisi d’avoir des déchets, etc ; nous aimerions rester toujours des etre du devant fleuri, du parterre, hélas cela n’est point tout à fait possible ; nous faisons de notre mieux pour faire dépose et ainsi nous allon s de cette façon et fa isons ; nous sommes ainsi qui allons par les chemins et faisons des choses avec nos mains (façons) et nous sommes ainsi comme des faiseurs de chose attitrés, nous pourrions penser que nous sommes ainsi titrés ou attitrés et que nous avons à faire = fort à faire ;: nous sommes qui faisons et par devant et par derrière, et notre souhait est de continuer à faire par devant ce devant, et de cacher ce qui tombe, ploc, du derrière ; nous préférons ; notre en-vie est légitime, notre en-vie est forte d’aller au devant déposer gerbes ou autres sur tapis blanc, sur surface et lieu propre et blanc, non chargé, vide, pour dépose au clean ; nous voulons ainsi pouvoir déposer, le produits de nos vies, etc, sur table, ici prévue à cet effet : propre, nettoyée, nickel chrome, de manière à faire place nette de cet endroit ; nous cherchons à aller ainsi de l’avant vers table d’en-vie ;nous sommes tant ; nous sommes nombreux, nous sommes des quantités astronomiques, sur la terre comme au ciel : vu le nombre ; et vu le nombtre nous pensons que, d’après nous, la terre entière n’y suffira pas un de ces quatre ; pour pouvoir deposer nos morts ; nous seron s nombreux, nous serons encore plus ; nous allo ns de cette façon de par le monde du devant de soi et ne pouvons nous empécher de faire par devant (choses et autres) et par derrière (peu ragoutant) ; notre’ «mission» ici est de faire et devant et derrière : autel ; nous avons ai nsi devant nous autels ; nous avons des a utels ou bien des sortes d’autel devant nouys, qui sont des autels de fortune diverses ; nous poussons car nous grandissons comme des plantes ; l’en-vie en 

nbous est cette chose qui fait qUE nous sommes pour le 

coup forcés comme une porte ; nous pouvons, nous sarclons, nous cueillons, nous effeuillons, nous semons, nous sommes des ja rdiniers ; nous allon qs ainsi et nous nous demandons a insi commeznt faire a insi pour aller devant et voir, c’e’st à dire sans sortir de soi, en restant en deça de ce monde-ci d’a lentour, qui est monde d’une sorte d’ audelà de soi (et non du monde, bien sûr) ; ce monde alentour est comme une terre sacrée, ici bas ; ce monde -sacreé, ce monde devant, ce monde audelà de nous , est monde qUe nous regardons (extérieur) comme subjugués, fort surpris ; nous voyons ce monde (le nôtre) comme le début d’un monde sans nous , ou sinon sans nous, disons : qui part de nous ; nous voyons ainsi ce monde autour de nous, et ce monde nous appa rait comme partant de nous, il sort de nous, il semblerait qu il sorte de nous, de nos mains etc ; il s(‘agit d’un monde étrange, étonnant, qui nous subjugue : nous tombons ou en tombons des cxhoses, nous avons entre nos mains des choses , et ces choses nous les déposons sur la table et nous continuons a insi ; nous allons par les chazmps et cgherchons forme ; cette forme est une quintessence ? ; ceette forme est forme sortie de nos mains, elle se présente ainsi, comme un don offert à l’appréciationb ici des uns et des autres ; nous sommes des gens qui essayons de fa 

ire en sorte que, de fait, nous puissions aller, vers demain = devant, deposer des gerbes, fleurs etc, sur des tombes ; nouds posons des choses sur des tombes, nous avonsq plein de choses en réserve, nous avons qVulques milliers de choses pres de nous, des milliards, nous sommes ainsi faits que ne pouvons nous emp êcher de faire, et devant et derrière ; pour ce qui est du devant, il sz’agit de fruits ; pour ce qui est du dezrrière, il s’agit de crottrin ; nouqs pouvons a insi distinguer les choses ; nous allons ainsi et faisons cette chose, de nous mettre à genou devant une tombe, et prions (semblant de prière) et chantons (semblant de cxhanson) ; nou s fredonnons plutot, nous sifflons ;, nous sommes de gais pinson ; ; nous sommes ainsi aveec devant de soi, pour dépose de soi qui peut ne pasplaire bien évidemmenrt ; nouys sommes ainsi que nous allons comme à dépose et posons notre baluchon = nos méfaits ; xwhite cxube ; nous poussons plus loin les chose s et nous organisons afiin d’aller plus loin, plus loin en besogne ; nous sommes qui faisons et par derrière et par devant ; nous voulons faire, et par devant et par dezrrière, nous voulons continuer ce fa ire ; cette chose nous va bien, nous avons en-vie ; nous allons (de ce»tte façon) et «y» alloons (de ctte façon), notre volonté est ainsi faite ; nous aimons cette cxhose, d’aller ainsqi à la dépoose, nous voulons, nous faiso,ns, nous nous servons de nos mains, de notre corps, de notre organisme ; nous y allons ; nous modelons, nous faisons des choses : à déposer sur le cerceuil ; nous sommes pris ain si par une vie devant qui nous rehgarde, qui se mêle de nos affaires ; notre faire n’est pas de la meu, mais plutot tout auttre chose : ici white cube et sacralisation par le vide alentour ; notree joie sur terr, notre superbe, notre acclimatation, notre devenir, etc, par cette chose de se mettre au prop^re, tabula rasa et nous y voyons cla ir enfin et pouvons déposer un peu de nos objets qui tombent de nos mains : nous ; alorsq a insi faisons ; nous faisons une chose ^ppareille qui est que nous allons ainsi au devant du monde, par la force des choses, n’avons guère le choix davantage ; nous poussons ainsi toujours plus loin notrte en-vie et ce faisant faisons = un faire = oeuvre = tabula rasa= exposition au soleil = monstration vers le ciel, et ce, dans un endroit frais, printanier, aéré et propre comme tout ; nous allons ; nous sommes ainsi qui faisons sous nous mais pas seulement, et allons par devant, au devant de nous, vers la table claire, nette, bien lavée, lessivé, astiquée : propre comme un sou njeuf ; nousqa imonsbea ucoup cette table ; nous ai- mons beaucoup la forme de cette table, qu en est-il de cet amour ? ; nous aimons bea ucoup la forme de cette table, cette forme qu elle a sous nos yeux, cette forme nous plait, du plaisir, il s’agit d’un plaisir, cette table répond tres bien , parfaitement), aux critères formels qui sont les n^rotres (dans nos yeux, inculqués) ; cette table répond pârfaitement à certains criytères qui sont en nous sans que nous puissions obligatoirement les mettre en lumière, les exposer, et les hjustifier : inhérence ; nous avons en nous des critères, qui tiennent à dieu sa&it quoi, et c es critères conditionnent fort nos choix en ma tière de tout, choses et autres ; nous avons nombre critères, et la table ici nous plait beaucoup, nous la regardons attentivement, nous la voyons, nous la voyons plus que ne la regardons ou regarderions atte ntivement : voyons voir ; nous avons table pour nous (white cube) et pouvons dès lors poser, déposer, poser, déposer, bien des marc handises, des objets, bien des choses en holocauste, en présentation ; nous sqommes qui faisons, il s’agit de faire et de choses faites, de’objets faits, le faire ici domine , et est donc la première chose sur laquelle s’appuyer pour tenir longtemps : faisons et faites ; nous avons du faire en magasin , et c’est donc ce faire que nous exposons au soleil ; nous sommes etrees faisa nt, nous faisons des choses avec notre corps, nous les faisons puis les déposons dans cette boite blancxhe, sur table, sur tapis propre, sur du propre et du bien odorant ; nbous avons du faire en magasin, ce faire est fortement conditionné par nos vies, nos capacités ; ce faire cependant est TOUJOURS du faire et cela seul compte car une fois faite , la cxhose est ainsi présentée comme en holocauste, et est le fruit d’entrailles plus ou moins plkaisantes ; il s’agit de cela, d’un faire du devant ; le faire du devant n’est pas le faire du derrière ; le faire du devant est du faire à dépose, il s’agit d’un fa ire de rachat, et donc d’un faire à déposer dans ce lieu de tabula rasa de l’au delà du corps le notre ; nous pouvons, sommes en capacvité (plus ou moins) de faire des choses, d’agir ainsi et de produire ; le fruit de notre travail (ce faire) est donc ainsi constitué qu’i l peut tres bien à un moment ou à un autre nous tomber des mains , et qu il nous teombera des mains un jour ou l’autre , c’’set fatal ; on dit : le monde alentour est l’audelà ; le monde qUI nous entoure est le socle, il suffit dès lors seulement de trouver (mais c’est devant soi) du propre où pouvoir deposer ce qui sortant de nous, et passant de l’autre côté, devient ob- jet valorisé du fait qUue le monde est ainsi quil est à nos yeux hors de nous et incroyablement devant ; nous avons deevant nous ce monde qui nous voit et dans lequel nous allons pouvoir incessamment déposer des choses qui auront au préalable transité par nous ; avons des objets, avons des choses, nous confectionnons, nous fabriquons, nous avons des milliersq de choses, nous pouvons ainsi faire, nous faisons, nous sommes ainsi ; nous pouvons et nous faisons ; notre faire est un faire manuel en,n grande partie et lorsqu il nous tombe des mains il vient à se déposer dans 

l’éternité du monde étonnant alentour = au delà de notre espace (corporel) de présence au monde ; nous sommes qui allons ainsi à travers les champs, filant doux pour trouver ainsi endroit(devant nous) de déposze : objets ; sommes ainsi que nous déposons de la sorte : devant soi jetés ; nous sommes ainsi qui allons par les champs ; en recherche d’endroits de dépose ; objets par devers nous tenons et voulons déposer : white cube ou temple ; avons ainsi par devezrs nous objets que nous serrons entre nos bras, mais que aurons incessamment à devoir poser, déposer (jeter) devant nous : au sol ou sur autre support ; nous avons à jeter ; nous avons à dire et faire cette chose, que nous devons, que nous devrions, que nous sommes enn mesure de ; cette chose est que cette chose est que ; cette chose est que nous sommes ainsi qui jetons ou tombons à nos pieds (souvent) gibiers, butins, breloques ; tabula rasa puis nous pouvons ainsi poser sur table propre et donc vidée et laisser ici le fruit de notrte travail, ainsi exposé ; nous exposons (au soleil) le fruit de notre traa vail comme d’une corbeille, à la vue du monde qui est ce monde au delà de nous, et l’objet sortant de nous, quittant notre main (voir ici ce moment de quittus), l’objet donc, qui vient à nous quiitter (chute libre avec atterrissage à nos pieds), cet objet est comme un jet de pierrre, est comme une pierre, il est comme une pierre qui serai jetée, qui serait lancée au loin au devant de nous, il s’agit, il semblerait ; il semblerait qu il s’agisse ainswi de quelque chose qui est jet, forme-jet, et nous l’avons ainsi qui est tombé de nous, ou depuis nous, tombé-jeté au devant de nous, chose ou autre ; nous tombons des cbhoses, nous sommes chargés, nous tombons de nombreuses chose ; nous sommes chargés comme des mules ; il nbous incombe cette chose d’aller de lavant, dansc l’en-vie qui nous gouverne ; il est sûr que c’est ainsi que nous allons, comme des mulets ; nous marchons sur chemin aride ; notre volonté de faire est intacte et nous faisons, derrière (hum) et devant, du mieux possible = en toute clarté, si tant est que nous puissions ; nous cherchons ainsi à faire, objet de dépose, une chose, une bricole, une forme, donner une forme, offrir un objet, une forme d’objet, un tableau est un objet comme une bouteille ou un livre sont des objets, un tableau comme une clé, comme une voiture, comme un chevalet, comme une grille, comme une porte ou une bécane ; nous poussons comme des champignons, nous créons avec nos mains des choses diverse, de tout type ; nous sommes inventifs ; nous sommes même tres-inventis, nous poussons les choses devant, sur la table, du bout des doigts ; nous poussons ainsi telle et telle chose, nous évoquons ces choses : il s’agit de choses poussées, manufacturées ; nous avons des choses dans la gibecière : animaux, nous pouvons ainsi déposer ; nous déposons, nous déposons délicatement, sur la pierre propre de la table rase ; nous envisageons les choses ainsi, nous envisageons ainsi les choses, nous aimons les choses ainsi, nous aimons ainsi les choses ; nous voulons voir clair, nos objets déposés sont offra nde : fleurs et fruits, en dons ; nous a vons des fleurs et des fruits en réserve, en nbous, pour nous, entre nos mains, nous aimons les fleurs et les fruits, nous aimons les bonnes odeurs des fruits et des fleurs ; déposons au propre, et du coup ce qui est ainsi déposé wsur du prop^re est vu différe:mmeznt que cette même cxhose posée n’importe où, ^à m^zeme un sol ;, dégueulasse par exempl ; le blanc, le propre modifie la donne : exactement ; nous pouvons a insi voir l’objet déposé comme une sorte de valeur en soi, ce qui est curieux peutetre, ce qui est peut-être curieusx, oui ce peut l’être, il se peut que ce le soit ; il s’agit à chaque fois d’une chose donnée, présentée, exposée sur pierre chaude, au soleil, et cette chose ainsi exposée (sorti de nos griffes) axcquiert dès lors un statut tout autre, qui est statut ou du statut ou qui est le statut, ou qui est un statut, de la chose qui est, bon an mal an, ou peu ou prou, valorisée par ladite dépose sur un support propre ; statut ; le statut ici est changé, de par la dépose ; le statut acquis par ladite dépose est plus mieux, est bien mieux, est une d’autre paire de manches, il s’agit d’un tout autre statut, il s’agit d’une affaire tout autre, ici un changement de paradigme, ou de point de vue, ou m^eme de vie ; vie nouvelle pour une bricole déposée ainsi par des mains qUI lâchent, qui deposant lâchent (jettent ?) = ainsi faisant ; nous le voulions ; il s’agit d’une cxhose que nous voulions, nous aimons ; notre souhait était bien celui ci, de vouloir ai nsi déposer, et de faire ainsi dépose sur table propre ; notre volonté ici est dans la dépose dune chose bricolée, fabriquée de toute mains, ou bien ayant simplement transitée par nos mains un temps (manufacturée) ; cette chose la déposer sur la pierre et ainsi lui donner staztut de chose haussée, et non rampante : sur la table -piédestal ; ceete chose haussée, sur pilier, etc , devient alors chose du monde au delà de nous ou de ce monde au delà de nous qui ne pouvons comme de rien quiitter la pla ce que nous occupons ; il y a forcément la mort quelque part qui rode ; nous posons notre objet sur la pierre, notre objet de peu ; nous posons divers objets de peu, sur la pierre, sur la table de pierre, nous y allons, sur la table 

propre et nette ; nous pouvons déposqer des formes diverses : rondes, carrées, rectangulaires ; des objets divers : carton, chapeau de paille, gri gri ; des objets du quotidien : n’importe quel objet pourra faire l’affaire ; tas de terre, débris de calandre ; pommeau de douche, carafon, etc ; nous déposons à même latable mille choses du monde, mille objets, quelques uns du moins, car la table n’estpas extensible, elle est limitée, elle aussi, da ns sa forme, nous aussi mais elle aussi : nous pouvons ain si aller à dépose et organiser attentivement l’assemblage fleurs-fruits (par exemp^le) ; nous orghanisons le dépôt, nous orghanisons un tout qui se tienne debout ; nous organisons , nous mettons des choses, nous posons dees objets, nous déposons, nous glissons ainsi des choses au sol ou sur socle ou sur table, nousadorons cette chose, notre coeur est gros de cette chose que nous faisons au quotidien, don de notre vie ou souffle, nous prenons ainsi la décision de lacher prise et de laisser courir les choses seules, qu elles filent et fa ssent bon voyage ; nous les aimons mais nous devons les lacher à un moment ou à un autre ; nous aimons les choses, les objets, les motifs, les choses du monde, les formes etc, il y a toutes ces formes, et cependant, nous devons les laisser choir, sur socle, ou drap, tenture, toison, pelure, etc ; nous les aimons (dee tout coeur) mais l’objet est fait pour etre jeté, il est fait pour nous échapper ; posé sur socle, colonne, table, ou sur le sol etc ; white cube, sa cralisation : ne pas toucher ; nous avançons sur des chemins ardus, nous sommes des devant-derrière qui faisons, et devant et derrière ; avons besoin de rehauussement et ce rehaussement est généré du seul fait du lâchage de chose en monde ; il y a ainsi ce lâc hage cde chose, cet accouchement puis c et autre monde, monde del’accueil des cxhoses mises à bas ; nous avons à voir cela de cette maniè!re ; nous avons des choses qui en nous transitent, elles passent par des tubes et viennent à choir, qui derrière qui devant, et devant il y a des chances de voir pareille chute accepté ou même recueilli, il s’agit d’un faire du devant, il s’agit dun faire exposable : ce faire du monde de soi, de ses mains, de ses propres mains propres (ou pas) ; ; nous aimons ainsi fournir de quoi à cette table de piezrre ; un de ces quatre nous le ferons ; nous avons breloques, avons mille choses, pouvons fournir ; nous sommes seuls en nous, et pouvons lacher prise sur certains objets, les lacher pour donc les voir aller se déposer sur pierre, sur caillou, sur table d’orientatation, sur parterre fleuri, sur mur blanc, etc ; nous façonnons avec nos petitesws mains des bricoles que nous aimerions voir pour le coup appreéciées, nous fabriquons, nous oeuvrons, nous faisons des choses : fabriquons, découpons, brûlons, sectionnons, délivrons de l’apesanteur ; nous faisons triste mine parfois, d’avoir ainsi à sectionner ; nous allons ainsi à dépose etce geste est toute une chose, voire une chose tres particuli!ère, il s’agit d’un geste tres-particulier en cela qu il y a là un moment de relai , et ce moment est tres particulier et nous intrigue beaucoup ; ce moment de relai entre donc le moment où la xchose est entre nos mains, et cet autre moment où la chose se voit déposée , soit laché hors de nous ; changement de paradigme ; changement total ; prière ; nous faisons ainsi de la sorte que allons à déposer des choses sur une colloonne, un socle, une page , un mur etc: ; le blanc qui bla,ncghit, qui est du propre ;, le propre plus que le blanc ; du propre, c’est ce que nous espérons ; nous aimerions beaucoup avoir du propre pour nous accuiellir, ou comme accueil, nous aimons cela et le propre sent bon, le prop^re est plaisant, il nous plait énormémemnt’, nous aimons ; le propre est majeur ; le propre a des qualités qui nous intéresse ; le propre est une valeur sûre ; nous aimons beaucoup nous entourer de prop^re et c’est exactezment ce que nous recherchons ; nous avons tel objet entre nos mains et nous aspirons à placer cet objet sur collonne de monstration (par exemple) ; nous sommes de cette catégorie de gens (tout le monde ne l’est pas) qui faisons, qui faisons pour ensuite placer la chose ainsi faite sur une colonne ou dans une vitrine ou autrement mais toujours au propre ; nous aimmons les colonnes, les socles, chassis, etc ; nous aimons beaucoup déposer des choses et les lâcher ainsi dans la nature, nous exposons des choses au soleil, nous envisageons, nous regardons devant nous, la chose se passe devant, nous faisons, il suffit de faire et de déposer, il suffit d’un faire et la déposition suivra, le depot de ladite chose qui est chose que nous aimons ; nous posons et rega rdons : de quoi s’agit il ? ; nous entrons et déposons à la lumière du néon ; nous avons fort à faire, des milliersq de choses ; nous aimon faire et faisons sans ceesse, car l’en-vie en nous est pressante et nous pousse ainsi dans nos retranchements, pour des faire en pagaille et ainsi de suite ; nous allons a insi qui faisons sans ceesse et de ce fait , avons par devers nous foultitude d’euvres qui rigolent ; 

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11/02/2020

il y a un moment où donc la chose est entre nos mains , on dit entre nos mains = de notre côté, il y a ce moment encore particulier, il y a ce moment où la chose est entre nos mains ou de notre côté ;, et pui s ce moment où la chose sort d(‘entre nos mains, nous échappe, tombe, sort ou fuit, ce moment où la chose quitte nos mains, sort de nous , et va se déposer sur le devant de nous ; ce devant de nous, quel est il ; ce dev ant de nous à quoi ressemvble t il , ce devant de nous nous fait face, il est face à nous qui sommes ainsi, dans la vie, tourné vers, qui sommes dans la vie ainsi tournés que nous avons pour nous un devant qui nous fait face, et ce devant est l’espace qui, est donc l’espace qui, va, tres certainement, devenir cet espace de déposition : il y a face à nous cet espace de déposition de choses et c’est cet espace = ce lieu de dépot qui va accueiullir cette chose, passée par nous, que nous allons déposer sur un tapis ou sur un piédestal, ou bien directement par terre, ou sur un tissu, un baton, une boite, un mouchoir, une sorte de pu- pitre, un socle, un cadre, une barre, un treuil, une corde, une tige, un poincon, une carapace, un cheval, une douille ou tout autre support qui nous fait face ou s’offre à nous = devant nous ; ce devant a belle allure au sens ou il est ainsi ou tel, au sens ou celui ci a des caract»éristiques qui sont comme particulières à chaque fois : différentes les unes des autres, et cependant à chaque fois il s’agit d’un devant de soi, le deavant de soi étant cet espace dévolu à la réception de cette chose passée par nous et que nous ne pouvons pas garder en nous ou pour nous, ou par devers nous ; nous déposons cette chose sur ce devant , qui est devant d’adoubement et de fuite ; il y a ce devant de nous qui est l’exacte réplique d’une face ; d’une face de nous qui sommes en face et regardons ce lieu de dépot comme qui dirait en attente (appel) de nous voir déposer une chgose ou une autre ; nous voulons ainsi ce lieu devant nous le voir comme comblé ou disons plein : d’une chose que nous posons et qui est une oeuvre ; l’oeuvre ici est une chose que nous déposons, une chose, une crotte, que donc nous allons deposer devant nous, dans cet espace au devant de nous, et qui donc nous fait face et nous regartde, et nouys épie ; il est ce lieu qui finte, qui mate, qui reluque, qui est ouvert ou bouche ouverte, aaaah ; sa bouche, à ce lieu, est grande ouverte et ce lieu est support à nous voir ainsi pour un depot que nous faisons / ferions, nous voit déposer une chose, nous avons une chose ; nous déposons une chose, nous avons une chose ; nous avons une chose à déposer par devers nous , l’avons, avons une cghose par devers nous que nous ambitionnons de déposer au devant de nous, ou sur le devant de nous, car il y a cet espace au devant de nous , qui est lieu de dépot et de déposition : nous avouons, nous donnons, nous déposons les armes, nous jouons carte sur table, nous pointons, nous déposons ce que par devers nous avons en boutique ou en réserve : notre chose, notre butin, notre petite bricole ; nous avons une bricole en nous, passant par nous, par nos mains etc, à dépôser sur ce devant de nous, devant instable , devant qui peut prendre bien des formes ; nous avons un devant qui nous regarde , nous épie, nous reluque et nous de donc soumettre à ce devant cette chose que nous possédons par devers nous, cette chose faite, menuisée, bricolée, manufacturée, conçue, etc, et que nous allons déposer bientôt, là, nous déposons, ; là nous posons, nous mettons, nous intégrons = nous passons le pas , et la chose ainsi posée est là qui nous regarde , d’une certaine manière ; cette chose nous regarde d’une certaine manière ; sa manière est ainsi ou autreement mais la chose est là : de la bricole, du dépot, une chose de plus, ; un depot qui trone, un depot qui est au devant de nous qui n’avons dejà plus la main sur lui et le regardons attristé, ou bien un dépot d’une cghose qui déjà n’est plus à nous, au sens où cette chose est sortie de nous, d’entre nos mains ; nous voyons ce devant de nous comme un espace dans lequel nous ne pouvons pas nous loger , cvar il est impossible pour nous de sortir de nous pour nous poster dans cet espace qui est devant nous ; comment pourrions nous faire cette chose ; faire ainsi que nous passerions de nous où nous sommes à cet espace devant nous, qui est là tout pres devant, qui nous tend les bras, qui nous demande et nous appelle, il est cet espace appelant, hélant , juste au devant de nous, de notre côté face, du coté qui lui fait face : nous voyons ; nous avons face à nous ce devant qui est donc cet espace de déposition, de choses à poser, cet espace de dép^osition ou nous avons de quoi poser , ou nous irons poser, ou nous avons en nous l’envie c’est à dire un souffle, un air, quelque chose de l’ordre du souffle qui nous anime, et nous pousse à : poser ici, sur ce devant, sur cet endroit, par dessus, dessus, mettre ; nous voulons voir ce devant de nous comme cet espace face à nous qui est un espace où nous aimerions pouvoir déposer quelque chose, c’est à dire quelque chose de solide, une chose qui se tienne =qui tienne debout, qui soit stable, qui puisse tenir, qui puisse faire l’affaire, convenir : aller ; une chose qui puiisse aller et donc ainsi se tenir d’attaque, nous ambitionnons ; notree désir, notre volonté, notre foi, notre chance ; etc, nous voulons ; il y a une chose ainsi que nous faisons par devers nous = du tricotage de forme, une forme à montrer ici devant, une forme d’un quelque chose à poser ou mettre sur ce lieu qui nous fait face, qui est notre devant comme notre ombre, il se pourrait ; nous avons un espace au devant de nous avec soleil derreiere nous , pour creéer ombre devant nous pour lieu de depot d’une chose de nous ou sortant de nous = d’entre nos mains ; nous avons une chose en nous, par devers nous, pour nous, passant par nous, qui est chose qui se doit ainsi de se voir déposée de la sorte sur tapis de bain, moquette, plancher, parquet, paillasson, serpilliere, tapis de salon eetc, une chose au sol : un drap, une bache, qui viendrait ainsi acceuillir comme notre ombre ou bien nous si nous pouvions sortir de nous tel que nous serions ; nous voulons ainsi faire dépot, = montre de mansuétude et d’obligation ; nous faisons des lors montre de mansuétude et d’abnégation dans l’obligation ; nous avançons nos billes, mles déposons, posons notre chose, notree parapluie, notre crotte, notre porte manteau, notre bidule et allons voir ainsi de quoi il en découle ; nous posons sur ce debant de nous , qui est face à nous, cet espace ou lieu dénommé ombre, ou nommé d’une lettre , par exemple la lettre v ; nous voyons un espace qui s’ouvre à nous (appel) et qui est cet espace où devoir déposer quelque cghose d’une forme ou chose formelle, ou chose industrielle, une chose de l’industrie des hommes, nous ne savons ; nous posons ; il y a cet espace au devant de n ous , qui est espace d’un face à face, qui est face contre face, qui est l’espace de déposition, de dépot, de face à face, de miroir, de miroir et de face à face ; nous sommes ainsi au devant d’un espace devant nous où nous déposons des choses (choses et autrtes) que nous voulons ainsi laissé là en dépot, posées, déposées, mises, mises sur un support, ce peut être le sol tout simlpement, la terre, les mottes de terre ; nous pouvons ainsi déposer toutes nos chose, nos choses formelles, nos formes sur le tapis, sur le drap déplié ; nous pouvons déposer nos formes, nos images, nos objets, nos écritures, nos parapjhes, nos marques, nos traces ainsi sur le tapis, en tas ; nous pouvons et nous faisons ; le dépot d’une chose formelle, pourquoi ; le dépot d’une forme sur un devant de soi, cette action de déposer une chose sur un tapis du genre : moquette, mouchoir posé au sol, tapis de douche, serpillère, etc ; nous faisons cette chose et essayons ainsi diverses formes ; nous avons par devers nous des formes, des choses, des images, du fretin et nousx le déposons sur terre, nous le mettons hors de nous (de nos mains) au devant de nous, ce peut etre en l’air, sur un arbre, un pylône, une chaise etc ; ce peutr etre n’importe où mais en face à face on peut dire = devant soi ; cette chose devant soi que nous posons est une chose que nous voyons comme une forme, une forme que nous déposons ici, sur un devant de soi qui est un devant que nous avons en face, tout en face qui reluque, qui nous gueyte et nous appelle, noud fait coucou ; nous déposons une chose sur un tapis et cette chose a une forme, est précise dans l’espace, il s’agit d’une forme particulière avec des signes distinctifs et qui sera vu par plein , ou pas par plein, ou pas, mais tout de m ême : risque fort d’être vu par des personnes qui , comme nous, gravitent de la sortez, autour du tapis de dépot ; un tapis de dépot est un carré de toile la plupart du temps, comme un drap ou un tapis de bain, etc ; il s’agit le plus souveht d’un morceau d’étoffe que nous déployons à même le sol, contenant des choses et autres, et ainsi déployé sur le sol, il s’offre à la vue de qui passera pres de lui , au petiot bonheur la chance : nous dé- posons ainsi nos choses sur tapis, sur devant de nous, cet espace est devant nouys et c’est ainsi que nous nous agis- sons , en bricolant des formes sur ce devant, cet espace al- loué ou cet espace que nous trimballons d’une certaine manière avec nous comme un ba lluchon ; vision que nous avons ; nous deéposons des choses formelles, cette forme que nous déposons, ces formes, sont formes qui sont donc à devoir mettre, déposer, poser ici, devant, soit délicatement (dans l’imagerie) soit non (dans une autre imagerie) et nous nous appliquons des lors à viser juste et poser ainsi devant, dans le monde, le notre, le contemporeain ; nous posons une forme, une bulle, une boule, une bricole, un objet quelconque, une sculpture, nous disons une sculpture ici pour dire la forme en relief ; cette chose est ce qui est devant = une image = une vision ; nous voyons cette chose, nous avons pour nous cette chose, nous avons en dépot au devant, nous avons une chose = une forme qui est cette chose que nous déposons et que nous laissons ainsi comme vivre sa vie de choses posée ; nous = nous, faisons a insi que nous = nous ; nous avons une chose qui est une forme et cette chose nous faisons en sorte q<ue elle puisse etre vue sur tapis, etre découverte ; nous avan- çons ainsi nos billes et les déposons les unes aprres les autres, nous avons ainsi des billes à avancer , à depôser au sol, des billes = des reliefs et ces reliefs nous les déposons ainsi sur tapis d’offrande, nous agissons de la sorte et cependant ces formes quelles sont elles, nous avons à fabhriquer des formes ou du moins à présenter des formes, des objets, des reliefs, des reliques, des bricoles que nous déposons sur notre carré ; nous voulons ainsi car notre volonté sur terre comme au ciel, etc, nous dirions ou comment dirions nous, en regard de ceci que nous ambitionnons, cette chose d’un depot de soi ou passant par soi (le nom de famille) ; nous avons cette ambition en nous de vouloir à tout prix faire dépot, ou comment auttement = sortir de soi, de son nom de famille, une forme ; cette forme peut prendre un grand nombre de figures, elle peut être d’une forme à chaque fois différente, elle peut ^etre cette forme , différente de présentatation à chaque exposition ; elle peut cette forme prendre ai nsi bien des visages, mais qu en est il de sa qUIintessence, de sa figure originelle, de son bien fondé aussi, de son substrat, de son sqquelette : squelette de la forme où es tu ? ; nous cherchons à deposer un squelette, nous cherchons à poser devant nous : nous, mais auttrement , autrement formé, autreement présent, nous sommes dans la perspective de vouloir ainsi nouys voir de la sorte comme forme morte mais nous : visionnant la chose , notre figure de mort mais nous : la voyant, notre face à face, njotre figure ainsi de dépot qui est les yeux baissés sur un tapis d’offrande ; deéployons notre tapis au sol (à même le sol) et posons tout ce que nous avons sur nous, en nous, par nous et en dedans de nous, nous posons tout cela délicatement, nous nous affranchissons, nous nous libérons, nous débarrassons, retirons cette barre en nous qui nous gene aux entournures, qui nous bloque et hop nous pouvons comme sortir de nous (corps) et aller ainsi par les ciels, les espaces, aller ainsi volant, voltige, allons ainsi ; nous pouvons voir ainsi cette chose déposée comme un lest jeté par dessus bord pour nous envoler : lests ; nous sommes ainsi comme déléestés et pouvons aller chemin d’une manière plus décontractée : nous pouvons ; et cette chose d’avoir ainsi à déposer sur un tapis du lest de soi, ou bien une forme de valeur, ou bien une forme de valeur ? ; nous deposons une valeur, nous déposons quelque chose qui a du prix, nous déposons quelque chgose qui n’est pas de la merde, nous déposons une chose en, laquelle nous croyons, ou nous voulons croire, nous déposons une chose(forme) en laquelle nous voudrions et aimerions croire, nous déposons une forme qui est pour nous une forme de valeur, un objet, une forme, un rien, une bricole, une exposition de choses de valeur c’est à dire qui à nos yeux prsé»ente ou présenterait une valeur, représente, est là pour ça, est là pour quelque chose d’autre qui est valeur : une chose qui est là pour autre chosqe (représente) et cette autre xchgose est : valeur ; ce qui compte ici c’est la valeur (le prix au sens large) de la cxghose, il y a là une économie ; ce qui compte (qui fait compte : les bons comptes, etc) , ce qui compte ici c’est ça la valeur de la chose plus (peut on dire ?) que la chose en elle même, ou forme de la chose ; nous déposons et ainsi faisant nous ambitionnons de poser une chose qui a de la valeur , qui vaut ; chose qui vaut, qui vaut son pesant, son pesant d’or, son pesant de cacahuètes, son pesant ; nous ambitionnons , de ce pesant, en être l’auteur ? ou bien ambitionnons, de cette chose, cette forme, y voir valeur en elle même , y voir une valeur et non point cxe la merde ; nous sommes qui voulons poser devant, nous posons derrière (merde) et ,nous voulons (parallèle) poser devant, mais non point de la merde mais tout le contraire : valeurs de haut prix, de bons prix ; nous posons derrière nous, ploc, notre étron de merde et de la même manière voulons déposer au devant de nous, parallèle, symétrie, etc, une forme qui elle aura de la valeur, rehaussera les chose ou équilibrera les choses ; devant et derrièere ; derriere une forme ploc qui tombe du cul comme fiente, bouse, etc ; et devant ce depot délicat sur soie, tissu de velours, offrande soigne»é, sur tapis deofpfrande ; nous sommes ainsi qui voulons donner autre chose que cette seule merdouille tombée du cul, nous sommes ainsi que nous voulons donner de nous (passant par nous : tube) autre chose que seulement de la merdouille qui tombe du cul ; notre volonté est faite, sur la terre comme au ciel, de vouloir donner de nous (gouverne, tube) autre chose que cette chose qui tombe du cul, ploc, prout ; non , ne voulons que, nous ne voulons pas que,nous voulons réequilibrer les chose, égaliser, rehausser et nous monttrer sous un autre jour, nous le voulons, nous déposons à nos pieds et aux pieds de qui d’auttre, des autres, des objets, des choses, des bricoles, du fretin, butin, objets divers manufacturés, usinés par des hommes, nous ou pas nous, peu importe : nous pôsons les dittes choses ainsi de la sorte : aux pieds, à nos pieds, aux pieds de, aux pieds don ne sait qui , à des pieds déposons : nos frusques, nos reliques, nos merdes bien lavées et rehaussées, nos bricoles de choix, nos bidouilles, formes diverses et diversement présentées, nous nous appliquons, faisons propre, voulons le propre, cherchons le propre, nous voulons du propre, rendre une copie propre d’une chose qu elle qu’elle soit mais propre ; derriere le sale (le caca qui pue) et devant le propre : bien mis, bien arrangé, bien installé, bie,n posé, bien déposé ; nous ambitionnons d’ainsi faire, dans un espace propre, blancvchi, nettoyé, vidé, appropri, etc, afin de pouvoir y déposer (devant nous) une chose sur écrin, sur socle, sur cadre etc, le lieu étant socle et support etc ; nous avons cette ambition, nous cherchons cette chose, nous voulons cette chose , nous avons ce désir d»équilibre, rehausser les choses ; rétablir ; équilibrer, la merde au cul = derrière , et devant : du propre ; le propre étant essentiellement dans la présentation de la chose, la présentatation fait tout, il s’agi- tessentiellement d’une question de présentation, présenter bien ; nous devons ainsi voir cette chose , d’une présen- tatation, qui est ca pitale , en cela que le propre de la chose vient d’elle : de cette présentation en question, d’elle : présentation ; nous voyons la chose surtout ainsi dépen- dante de sa présentation, nous voyons surtout cette chose présentée dépendante de la manière (propre ou pas) dont elle sera ainsi offerte à la vue ; nous voyons le propre, l’aspect propre, voulons du propre, voulons que les choses soient propres, nous voulons expressement que les choses soient propres, soient bien mises, bien présentées, rangées soignées, le soin apporté ici est premier et conditionne, il s’agit d’un soin de dépose ; il s’agit ici d’un soin apporté à une dépose sur tapis à même le sol (par exemple) ; il s’agit d’une dépose soignée = propre ; c’est propre ; nous voulons du propre et pas du sale ; et si au milieu c’est sale alors nous l’entourons de propre, nous l’encerclons, nous en faisons le tour avec du propre, nous cerclons la chose de propre, il faut, il est indispênsable, nous voyons la chose ainsi, que la chose présentée, queand bien même elle serait (cette chose) du sale, eh bien il est capital que cette chose soit , encore plus si elle est sale ou merdeuse, cette chose il est indispensable, il est capital, que cette chose de merde (ou pas mais admettons) soit bien présentée = entourée de propre : comme il faut ; il est importantdans l’affaire, il s’avère qu il est important , capital, premier, indispensable que cette forme, cette chose en exposition sur mle tapis, ; le soit, exposée, que cette forme ou chose soit sur ce tapis blanc (un drap) exposée proprement, présenté proprement, le propre ; derrière le sale, devant le propre ; derrière le sale , le mal famé, et devant le propre, les draps propres , qui sentaent bon, le frais, le lumineux, le ciel pur, du blanc sur les m urs, du printemps partout, de l’air : aéré, de l’air : ventilé ; il est capital ainsi xe faire de la sorte que nous fassions ainsi, sale derrière puisqu il en est ainsi et du coup propre devant , et quil ne soit poas dit que nous ne sommes que : des souillons qui pétons, chioons etc, pas que ; nous avons ainsi à présenter de nous une auttre image, une image de face, dans des draps propres, des draps blancs, cochonneries dans des draps blancs peu importe du moment que les draps sont blancs, sentent bon, sentent le propre et renvoient , globalement, une image de propre (de nous) ; nous allonqs ainsi à la dépose mettre ainsi sur fond blanc nos petites cochonneries (peut-être) et ainsi faisant nous déposons devant nouys ; cette dépose du devant est quelque chose d’important, il s»’a git x’un besoin ; il s’agit de quoi ? ; nous avons ainsi en magasin : en nous, par devers nous ou en boutique, de quoi, et cette chose que nous possédons (ou bien qui un temps est notre) nous voulons la déposer aux pieds de, eh bien disons, aux pieds qui sont ceux qui nous feraient face ; cette dépose (sdépot, dépositions, aveux) nous voulons ainsi la pôser , la mùettre sur du propre, nous blanchir de la sorte ; des aveux (lma chose est nommée, signée d’un nom) ; est une dépose qui permet ainsi de blanchir, nettoyer, a bjurer, etc, la chose (merdouilkle du devant) ; car il y a ainsi la merdouille du derrière ou de derrière( indécrottable) et la merdouille du devant , qui elle, éventuellement, pourrait se voir, à certaines conditions, sous certaines conditions, valorisée ; nous déposons blanchissons ; nous déposons pour blanchir, nous faisons cette chose : blanchir (l’argent sale, ou éventuellement sale) pour nettoyer ; nous faisons ainsi une chose qui est nettoyage, blanchisserment, nous blanchissons, nous posons des formes (objets divers) dans des draps blancs et ce faisant nous blanchissons l’argent sale du cul ou comment ? ; nous y alloons, dans la dépose de soi ou de quelque chose transitant par soi, nous voulons y aller ainsi et redorer le blason : équilibre, à toi à moi ; nous voulons ainsi faire en sorte que : ce que nous posons sur le tapis, soit bien présenté, soit bla nchi, soit mis au propre = soigné, soit blanchi = soigné, soit pris en compte = soigné, soit valorisé = soign é, soit pris pour de bon ou pour de vrai et pas par dessus la jambe comme une crotte de chien ou crottin de cheval ou bouse de vache ou fiente d’oiseau ; nous voulons cette chose d’une forme claire et belle, fraiche et sentant le propre ; oh que ça sente le bon, le frais, le doux, le blanc : blancchi, appropri, soigné, mis au propre sur fond blanc qui sauve, salut, sauve et salue ; nous avons cette chose devant nous qui est du blanc, du propre, devant nous du blanc, du propre, et pas de la merde noire ; nous avons devant nous ou ambitionnons, notre volonté, notre désir, notre vouloir, etc : cette chose , blanche et lumineuse ; devant c’est le carré blanc, dezvant c’est le carré blanc que nous visons, voulons, nous le voulons, nous vouklons dun carré blanc, d’une blancheur au devant de nous, qui nous ouvre ses portes blanches, lumineuses, claires, white cube ; avons cette envie pour nous de voir ainsi devant nous du b lanc qui se montre et nous montre le chemin pour dépose, dé»pot , déposition, aveux en notre non : les aveux ; et donc aoinsi faisons, à genoux déposons, un genou à terre, les yeux baissés pour déposqer, notre chose, notre petite chose, sur le tapis blanc qui est ce monde du jour levant, du devant, ciels clairs, avons ce carré ezt nous déposons ainsi notre chose sur carré proprre ; nous voulons du propre, que devant (demain) soit propre et puisse accueiullir proprement notre chose à nous (merdouille ?) et ainsi la mettre en valeur : rehaussée, la mzettre ainsi en lumière, perspective, et lui donner beelle allure ainsi = propre, donner du propre, faire et présenter propre ; et non point sale, faire, montrer, présenter, s»’afficher etc dans le propre et non pôint dans le sale, nous ambitionnons, voulons ainsi nous présenter sous un jour (un jour, une clarté) propre sur nous , ou bien sur le tapis : sale et pouilleux peut etre mais sur tapis blanc et sentant bon ; pouilleux et mal foutu peut-etre mais sur tapis propre, blanchi, nettoyé, vide, prêt ; nous sommes ainsi des etres qui voulons cette chose, nous la voulons, tout le monde ne la veut pas, pourquioi nous, pourquoi les auttres non, pourquoi nous oui et tant qui ne cherchent pas ou bien non ? comment expliquer cette chose, à quoi cela tient d’ainsi vouloirr quand d’autres (tant) s’een fiche comme d’une guigne ; que faire ? ; nous voulons, nous voyons, ce carré blanc= ce devant = ce jour = demain = l’horizon := l’ambition et allons de ceztte façon à dépose ; allons à dépose ; nous alons ce jour à dépose et faisons, sur des draps propres, blancs, oeuvre, et ainsi fait nous passons notre route et espérons ; avons ; nous prenons donc cette chose à coeur , de nous montrer ainsi, de déposer de la sorte pareille bricole, objet, pensée, jouet, oeuvre, sculpture ou autree : bouteille, ainsi de la sorte : sur fond blanc qui re- hausse, blanchi et on l’espère (on croise les doigts) adoube ; nous alloons ainsi à dépose, à confesse, à dépose, déposer nos frusques sur fond propre, blanc ;,, nickel, nickelé, comment dire ? ; avons cette chance, devant nous = ce devant de nous= le présent, cette chose offerte, cette luminosité, cette xchose offerte devant nous et qui est ce devant de nous lumineux, blanc comme le jour , clair et net et sentant bon: nous voulonbs cela et c’est ainsi que nous allons, que nous poursuyivons, dans cette volonté de printemps toujours renouvelé (éternel) : jeune et frais, clair et lumineux, aéré, bien odorant, etc ; nous cherchons cela, nous ambitionnons ; nous espérons et voulons ; nous avons cette chose en nous, nous la désirons ; nortree voeu le plus cher, notre voeu le plus cher (cherté) , le voulons ; nous sommes qui ainsi voulons chèrement cette chose , d’une mise à prix fort, hors de nous, posée sur tapis blanc et propre (drap) et ainsi faisons dépose, aveu, signé, nous signons et nous nous signons, ainsi de suite : aveu, blancheur, blanc comme neige, propre, net, le désirons, nous voulons, notre désir, il s’agit de notre désir, c’est ainsi que nous le voulons et pas autremment, nous avons en nous cette ambition et nous voulons cette chose qu ce soit ainsi bla nchi lavé , neettoyé ; que nous puissions présenter propre, présenter bien , présenter nickel ; notre souhait est là, notre souhait est ainsi, il est celui ci, nous avons pour ambition de présenter bien,, de présenter proprement, un présent : une offrande propre, dans le clair du jour présent, au présent, nous avons cette ambition ; nous voulons ainsi passer à dépose dans le jour du présent clair et frais et sentant bon les odeurs de printemps, sentant le jasmin , la rose ; nous voulons ainsi nous présenter de la sorte sentant bon : parfumé, entouré, entouré d»un parfum, comme de mùurs blancs, présentés ainsi : parfumés, bien entourés, bien encadréz, bien pré- sentés, soignés, etc, comme si nous étions tout puants et que nous cherchions à nous laver, lessiver etc et parfumer , pour nous présenter sous les meilleurs auspices : propresq ; parfumés ; parfumés de bon ; ce qui sent bon et ce qui pue ; les odeurs, le bien et le mal via les odeurs ; l’odeur de merde, l’odeur du pus, de la chieenlit, etc ; le pus, le pyo ; il y a des odeurs qui vous feraient vomir : le bien et le mal, le reéezl ; il y a des odeurs qui vous feraient vomir, qui puent grave, gravezment, c’est grave, il y a des odeurs aionsi qui vous retournent l’estomac, le bien et le mal, ce qui est propre et ce qui pue, ce qui nb’est pas propre, des odeurs qui vous retournent l’estomac, à vous retourner l’estomac, des odeurs de merde, des odeurs qui puent sxévère, c’est sévère, ce n’’st pas rien , ça compte, ça pue grave, ou sévère, ou ça pue sévère := beurk ; et là nous encadrons, nous soignons et mettons au propre, nous changeons les draps si besoin, nous mettons au propre, nous astiquons, nous soignons, nous faisons le nbécessaire pour que la personne (loeuvre, la chose déposée devant : présent) soient ainsi prise en compte : en considération et placée ainsi à nouveau dans du propre bien mis, dans du blanc qui sent la rose : des roses, des fleurs, des choses entourées d’attention : encadrement, encadrement, prise en compte sur fond blanc et clair : printemps ; nous avons par conséquent cette ambition et cette volonté en nous, cette pente, ce désir , cette possibilité, ce souci de nous nettoyer, de nous laver, de faire une toilette quotidienne, chaq<ue jour que dieu fait le soleil se lève, le jour appa rait, la clarté du jour, ce présent, et nous voulons nous présenter ainsi au proprre, dans des habits propres, lavés, soignés-, soigneux, nous voulons nous présenter ainsi pour nous déjà, pour à nous mêmes nousfaire du bien : présenter ainsi , propre, soigné, avec des habitss propres, soignés, et aller dans le monde ainsi , si possible :propre et bien mis, bien posé, bien déposé, sur fond blanc immaculé, white cube ; nous ambitionnons quotifdiennement , de nous présenter de la sorte et ainsi il nbous semble que la cxhose va ainsi d’une manière beaucoup plus à même de nous voir ainsi sous un jour qui pourrait, éventuellement, nous valoriser, noyus hausser dans l’estime, nouys monter plus haut, nous soule- ver, nous mettre dans les bonnes graces, plaire ; nous sommes ainsi qui chezrtchons draps blancs, qui cherchons cercle clair, qui cherchons murs et sols blanc : bain doucxhe ; avons pour nous cette chose que nous cherchons ainsi à nous mettre dans les bonnes grâces de dieu sait qui , dans des draps propres, dans du propre et non dans du sale, nous aimons cela ; nous nous levons et voulons nous montrer au propre, nouys devons nouys montrer ainsi, élément de vie ; nouys devons en vie, avons envie, devons ainsi, élément de vie ; élément consqtitutif ; nous chzerchons, nous devons, nous nous lavons, nous espérons, nous ambitionnons, nous voyons le jour naitre, nous voyons la clarté du jour, nousq lavons notre figure, la figure, les bras, le ventre, les cotes, le quiqui, nous lavons tout, nous nous nettoyons en nommant les pareties du corps afin de ne pas en oublier certaines, nous ambitionons, désirons, avons envie, allons, maerchons, nous levons du lit, mettons un pied devant l’autre : propre ; le devant de nouys est le pré- sent, le temps présent en offrande, ce présent déposé sur un drap blanc, propre, sentant bon , repassé si nécessaire ; nous avons cette chance de pouvoir des l’aube ainsi pouvoir aller par les chemins clairs, à dépose, à confesse ; allant par chemins clairs, au matin , à dépose : ce blanc des draps, ce blanc des murs, cette blancheur qui cercle, entoure, en cercle, enveloppe et présente bien ; nous sommes ainsi à chercher ceci, d’une chose mise de la sorte : écrin, socle, mur, etc, qui puissent ainsi nous hausser du col de la sorte : offrande haussée, hosannah au plus haut des cieux, cette offrande, ou cet holocauste (?) ; nous voyons ce qui est posé, nous posons ce que nous voyons, nous le déposons, nous le mettons au propre, secouru, choyé, protégé et mis en valeur : valeur, le prix et ainsi nous faisons commertce ; nous allons vers la blancheur et le propre , le commerce clair, lme commerce, le voyons ainsi : déposons, mettons, achalandons notre petit pupitre, notre drap de bain, notre drap de plage, notre serviette à ^même le sol et dessus de la marchandise, nous jouons à la marchande ou au martchand ; nous posons nos bricoles sur tapis et vendons camelote à la criée, holà du passant, ; ; nous donnons dee la sorte à voir et toucher , ou pas ? ; nous mettons ainsi à voir, à autrui voir, nous mettons ainsi à portée de vue, nous montrons a insi , ; présentons et cette chose présentrée est une offrande qui a un prix, xce prix est valeur, est valorisation, cette valorisation a une valeur ; c’est ainsi que valorisation a un prix fort, a prix, a du prix, peut même avoir prix fort, cette valorisation de la chose ainsi déposée a prix fort pzarfois, peut ; la valorisation de la chose, valorisatiobn xd’une chose déposqée au xclair, à la lumière, sur fond blanc, nous la déposons, que déposons-nouys ? ; nous déposons une cxhose en cours de valorisation, ou coursant la chose ; déposons matinaleùment, quotidiennement, toilette, cghose en recherche xe cela : valorisation, valeur : de valeur et soignée des lors = valorisée, mise en valeur , pomponnée, mise au propre, bien mise, soignée, bien arra ngée, présentant bien : plaisir, cxharme, le souci de soi, de son apparence physique et au delà, ce souci du bie n paraitre, de bien présenter dans le monde, en société ; ce souci de bie n s’afficher ou se montreer : bien mis, propre, sentant bon (et pas la merde ou la sueur) etc ; nous avons ce souci du devant, du présenbt, du jour naissant, du printemps, du propre du jour, du frais du jour et non du rassi etc ; nous avons ainsi souci et faisons et ce soin est appel ; nous allons ainsi par les chemins et nous faisons de la sorte appel, appel de frais, appel d’air, nous avons ainsi en nous cette volonté de déposer au propre notre présent, notre jour quyotidien ; nous avons pour nous ce souci de bien déposer sur du propre , au propre, proprement cette chose du présent du jour, de la clarté fraiche, frais, du frais, du clair, du bien odorant, etc, nous sommes donc ainsi debout, vivant, frais, lavé pomponné, présentant au mieux une figure fraiche, bien mise, fraicxhe, et allons en société ainsi , présenter figure lavé et bonne odeur : l’odeur, revenons aux odeurs ; nous nous présentons ainsi au quotidien , dans un souci de soi manifeste, et allons ainsi par devabnt, enjambant , tapis sur le sol, le tapis est sur le sol, le tapis de présentation, la chose, l’oeuvre ici est cette chose présentée qui est agrément, qui est cette chose en agrément, cet agrément = cette fioriture, cette chose de plus : ce colifichet, nous allo nqqs ainsi par les chemins ain si coiffés et pomponnés et faisant de la sorte mine de nous prsésenter sous le meilleur jour, sous un jour qui nous paraisse le maeilleur à mettre devant, à montrer à autrui, en société ; nous nous montrons avec nos bijoux, avec nos quolifichets, nous nous montrons ainsi avec nos choses en plus, pour agrémenter, pour rehausser, fignoler et enjoliver dans un souci de propreté global = de soin ; notre souci est de nous présenter ainsi soigné, colifichezts ; nous avons un souci, et ce souci est quotidien ; nous avons un soucxi et ce souci est de nous présenter au mieux,n en société, habillé et si possible bien, bien mis dans des habits propres et non merdeux, culoote, changezment de culotte, de slip ; nous vou;lons le propre ;,, mettre au proprre, notre souci là est de faire propre, prséenter propre, nous mettre au propre ; à la recherche du propre, présenter une chose, la mettre devant, dezvant soi, face, la poser devant et cela dans un pourtour de chose qui soit propre et bien mis, valorisé, adoubé, plaisant, répobndant à des critères qui font que la chose (au milieu) sera de valeur ou perçue comme telle ; nous ambitionnons cette chose, colifichets, ; nous avons pour ambition de faire ainsi que ce que nous nous déposons (aux pieds de qui ?) soit ainsi du propre ou plutot dans du prpropre ; dans du proptre oui ; nous voulons déposer quelque chose dans du propre, nous avons quelque chose à déposer dans du prpropre , abvons nous quelque chose à déposer dans du propre ? ; avons nous fatalement, obligatoirezment quelque chose à déposer dans du prop^re ? ; avons nous fatalement, nécessairezment, quelque chose à déposer dans du porpre , quoi ? avons nous tous ? avons nous tous quelque chose à déposer dans du propre et si non, pour quoi ? poyurquoi pas tous ? ; avons nous quelque chose à) déposer (tous) dans du propre et si oui, quoi ? ; que devaons nous, ou qu avons nous à déposer de si urgent de la sorte dans du propre, à nos pieds, aux pieds, sur la terre ferme ou devanbt nous ? ; des armes ? quoi ? qu avons nous de si important à poser sur le tapis blanc, sur tapis, au propre, non en contact avec la boue du sol, avec les merdes qui joncxhent le sol : protégé de tout ce qui traine et qui n’’st pas propre ; qu avons nous à déposer ainsi sur ce tapis qui est protection, et séparation avec laterre ferme, avec la poussieère et la boue etc ; avec les déchets, etc ; nous avons qUelque chose d’urgent à déposer dans le drap blanc, sur lui, ici et maintenant et cette chose àç déposer fissament, fissa, est cette chose que nous avons, cet avoir, cette chose à voir, cette chose que nous possédons, que nous avons en possession , qui est possession, qui est liée aà nous, appartenance, qui a avec nous un lien fort, cette possession dont nous voulons montrer là, sur tapis, le visage, la figure, est figure, cette possession est figure, il s’agit d’une figure, d’un visage, du visage que nous possédons, du visage qui est notre, qui nous est échu,, qui nous a été donné, dont nous avons héerité : héritage, cette chose sur tapis de drap blanc est une figure en héritage : la notre, notre gueule attenante à nouys, comment faire pour la découper , scalper pour ainsi dire, ezt la poser ainsi au propre, sur drap blanc etc ; nous aimerions a insi pouvoir ainsi faire : tables, avec draps blancs en guise de nappe, des draps blancs et swur ces draps des choses, quoi ? des assiettes ? des couverts, une tablée ainsi constituée ; repas , scèene, nous ambitionnons ; nouys voulons ainsi déposer des choses , sur table, cartes ? nous voulons, notre pente, nous glissons, nous glissons sur pente raide, enneigée, luge, glissons ; nous allons ainsi glissant et voulons cette cxhose, de poser sur longue table de cène une chose ici , une cxhose là : des tables, des draps blanc, des assieettes emmpilées, des couverts, une table à mettre pour un repas de cè!ne, nous allons ainsi pouvoir faire de la sorte cette chose, de meettre la table, mettons la table ; nouys allon qs ainsi pouvoir faire cette chose, de meettre la table, le repas, pour un repas, pour repas de cène ; nous mettons les assiettes blanches, nous mettons des assiettes blanches sur la table, nous mettons ainsi du blanc, et des assiettes blanches, nous mettons pour un repas : des assiettes, du blanc, peintrure, blanchiment, blanchissons ainsi := nous mettons du blanc, nous blanchissons, nous sommes dans du blanc, nous allons ainsi en blanc, vers du blanc = du propre : vaisselle propre ; que tout soit propre , les couvetrs pour manger propres ; nous voulons du prpopre au mieux pour le quotidien, nous avons ce besoin de trouver du propre da nsle quotidien ; nous cherchons le propre dans le quotidien, nous ambitionnons, notre ambition est de trouver du propre dans le quotidien, notre vouloire, notre volonté, notre envie, notre en - vie, notre chose au quotidien est ce vouloir, cette en -vie qui est en nous dès le lever du jour et dès notre lever, d’aller ainsi prpoprement par le monde : nous cherchons du propre pour nous présenter : mise au jour ; nous faisons des mises à jour ainsi, nous voulons ainsi faire des mises à jour, renouvellement , rafraichiissements ; rafraichissements ; nous allons ainsi à dépose et rafraichissons les images pour du proprement emballé, pour du proprement déposé, du proprement mis ; nous allons ainsi comme à dépose et faisons : devant, présent, d’une chose, don, de valeur, entourée, soignée, danss un nid douillket : blancx, propre, net, et cette chose déposée est une chose qui est comme déposzée de la sortte, quelle que soit la chose : blanche ou noire mais : dans un écrin propre ou nid douillet propre ou drap, sur teerre mère, nue ; nous glissons ainsi cette chose passée par nous, la déposons, la metton s sur une table, la mettons sur quoi, la mettons ainsi déposée et cherchons de la sorte cette chose équilibrante : nous sommes pile et face, l’oeuvre est côté pile, est comme «pilée», ou non : l’oeuvre est coté face, est comme «fa cée» ; commeznt dire ? ; sommes ainsi pile et face et faisons cette chose, de poser /déposer des choses co^té face, et pile est derrière, le passé, le cul, la merde, ce qui tombe et meurt et fait plof, plof ; nous avons pour nous ce côté face à montrer, clair, quand bien même il y a du pile en lui , mais bien présenté, encadré etc, dans du blanc qui rehausse, alors le côté pile est bien mis ainsi qui se voit ainsi adoubé et sauvé, salut ; nous avons une chose ainsi qui se présente et cette cxhose est une chose qui est mise ainsi dans le sens de la marche claire, lumineuse, encadrée, vive, blanchie ; ,nous la voulons ainsi, notre figure, figures, formes, posées sur le tapis du sol ou sur la table a ux nappes blanches (nappée) ; nous nous avançons ainsi, pas à pas, et déposons les choses sur la nappe (au sol ou sur la table) ; ce sont choses que nous avions avec nous par devers nous, choses qu’avions en poche, ou qu’avions par devers nous en magasin, reliques, frusques, que n ous trimballons, choses de trimballement : baluchon ; nous avons baluchon ainsi à mettre à dépose sur drap blanc d’offrande ; fruits ; nous allons ainsi à dépose des fruits de notre labeur, nous alooons ainsi comme à dépose de fruits, corbeilles ; nous déposons, nous faisons dépositions, cartes sur table, clair, nous ammllons , nousfaisons, nous déposons l’oeuvre ; l’oeuvre est une oeuvre claire ; l’oeuvre est une chose lourde, loeuvre est une chose de poids, pesante, l’oeuvre alors est pesxante, pèse, est lourde : pèse son prix : pas de la gnognotte, pas de la merde, pas une sombre merde, maisd là, dans la cla rté du jour et du cadre, dans cette clarté du jour qui nait , présent de la vie, clarté du jour, propreté du jour clair et naissant, blancheur de nouveau-né, propreté naissante, ce bébé, cette chose qui nait ici, se voit déposée ici sur une nappe blanche, cette chose, ce bébé, cette chose bébé, il y a cette chose du bébé, il y a cette chose qui vient ainsi à être dé&posée sur un drap blanc, propre, que du propre pour le bébé ; nous allons ; qque cela, que du, que cela, que du, que du propre pour bébé, le voir ainsi déposé, le bébé, la déposition d’un bébé, le bébé est sur le drap, nu, prêt pour la photographie, nous a llons par les routes et les chemins ; le bébé nu est sur le drap blanc ; notre oeufvre est laquelle et quel est son poids ? ; nous allons par les chemins et les sentiers, nous nous sommes ainsi levé de boonne heure et deposons nos choses (lesquelles ?) sur drap blancs ou nappes blancxhes, et ainsi nous sommes sûrs, ; au moins, que la chose sera présentée sous de bons auspices, présentation du bébe au sortir du ventre : ce moment où l’enfant sort des entrailles et coupure, cut, du cordon, et l’enfant est sorti, est loin , est sorti des mains, est sorti, sort, coupure, cut, le cordon , les clamps, les deux clamps, un clamp côté maman, un clamp côté bébé, et le coup de ciseau entre les deux clamps ; nous sommes ainsi sûrs de ça, que bébé sort ainsi et va dans des draps, il est sorti ainsi, on va le nettoyer, présentations, dif- férentes présentations eutociques : céphalique, podalique, transverse etc ; les présentatations, faire les présentations, nous allonsq, nouys fuyons, nous sortons des limbes, qui- toons les entrailles, la merde ; allons, nous quiittons, nous fuyons, nous allons, nous poussons plus loin ; et ainsi nous voyons cette chose claire, ce bébé sanglant mais neuf, frais, merveille, sous une couche d’onguent, de cxhrème, de merde, de sang et de jus maternel ; nous sommes ain si qui voyons cette chose qui est, qui se présente, face, profil, dos et devant ; sommes, nous le voyons, devant ce bébé qui est devant nous, qui est détaché de nous, qui n’est pas nous mais qui a tra nsité par nous : manufacturé ; ready made, l’a vons, nous l’avons cerné, nous voyons un peu ce qu il en est et voyons cette finesse sous cette cxouche de chrème (vernix) -, d’onguent, de saletés maternelles etc ; nous voyons cela, il y a du sang, il y a du caca, mais l’enfant dessous est parfait = entier, complet, bien fichu comme il se doit, comme il doit etre, tout bien en place, impeccable sous le non peccable ; nous le voyons, il est beau, il est beau ce petit, il est beau ce petitou, il est beau comme tout, comme un tout ; ce petit est beau, ce petit est réussi, il est parfait, il a tout où il faut comme il faut, tout est bien en placxe : il est beau, il n’est pas vilain, rien ne manque à l’appel, il est parfait, il est clos, il es t entier, il est plein, il est comme il faut ; ce bébé est beau ; Bébé ; ce bébé est parfait et nickel chrome sous le chrème du vernix, du sang et du caca de sa maman, il est impeccabkle voire deux peccables ; il est nickel chrome, oh le beau bébé, il est parfait, il ressemble à qui, il est né le divin enfant, il est sublime, beau comme un astre, il est à laver, astiquer, pomponer, parfumer, peigner ou soigner etc, et à présenter à la face du monde, face à face ; devant ; le présent ; le tapis ; les pieds de qui ; les pieds de plus grands que soi ? ; les pieds ; le drap ; le tapis de douche ; le drap blanc immaculeé ; white cube ; le ciel clair ; le printemps ; le propre qui sent bon le parfum des fleurs ; le printemps fleuri, le jour, la clarté du jour ; la joie de la cxlarté du jour ; nnous allons ainsi, déposer au propre, mettre au propre, soign er la mise, soigner l’allure, présenter, proposer à la face du monde, soi, da ns un éccrin de soie, soi, à la face du monde allon s , et ainsi présentons cette chose au propre, une chose (sale ?) au proopre devient une chose prpopre, voir les relliques et autrees ossements de saints ; avons donc un e chose peutetre sale à présenter dans du propre et peutetre pour une valorisation d’icelle, sait on jamais ; nous allons ainsi par les chemins présenter aux pieds du monde (?) une chose dans du propre, pas touche, pas salir, pas endommager, sacrée, sacrilège ; nous posons nos conditions ; nous faisons cette chose d’un dépot devant, aux pieds de, allez savoir qui ou quoi, aux pieds de quelque chose ou de quelqu un ; de- vant, devant soi, la vie ainsi, dans le clair du jhour naissant, lumière sur la ville, sur le drap au sol ou déposé sur une longue table : tiré ; nous voyons cela qUue nouys déposonsq, ce peut etre sale, auquel cas le drap rehausse (d(une certaine manière) ; nous avons pour nous une chose, un objet, une fabrication maison, une chose trouvée, etc, cette cxhose nous ambitionnons de la voir, une fois déposée sur un tapis de soin , la voir ainsi, l’envisager, envisager de voir ainsi pareiille chose comme valorisée du fait d’une présentation soigneé, céphalique, podalique ou transverse ;, maisq qui soit ainsi comme un soin attentif, valorisation, ou mise en valeur, du mobile foetal de cette cxhose de ce bout de chose déposée, une oeuvre, une chose ; une oeuvre ? ; une chose d’envergure ? ; déploiement des ailes ; nous avons cette ambition ainsi de déplkoyer de nous nos ailes etc, apres la sortie du ventre, des entrailles : déploiement, cela est qui se doit de la sorte ; nous posons : figure ; nous avons des ailes ainsi à déployer et nous avons cette ambition, au sortir de l’oeuf, de déployer de la sorte, aile x 2 ; ainsi a vons cette chose en nous, où ? de faire ainsi ; peut etre ; nous sommes ainsi qui voyons à deposer, pousser le chose sur le tapis, vers l’Autre (?), vers là bas, pousser devant soi cette chose, l’installer ainsi la poussant devant sur la nappe = l’eloigner de soi, la pousser, l’offrir, offrir cette chose sur du propre, c’est quoi ? ; nous essayons ainsi de pousser pour éliogner petit à petit cette chose, de nous vers autrui, ou vers là, là bas, plus loin, devant, poussant, reculant etc ; l’éloignant, la poussant a insi pour l’éloignezr petit à petit, nous poussons, nous éloignons peu à peu cette chose, nous la voulons positionner un peu éloi- gnée de nous, pour autrui, pour quelqauuun d’autree que nous ; pour quelquun d’aurte que nous, sans qu on sache qui au juste, pousser, pousser, pousser ; nous tentons cette chose d’un dépot minute, sur drap blanc, d’un qUelque xchose propre ou sale, mais qui se voit, du fait du drap, du pourtour, comme rehaussé dans le propre, et ce vers quezlquun d’autre : nous poussons le mobile = la chose = l’oeuvre = cette chose déposée au présent = un présent de soi qUi est là ; aux pieds du géant ? ; nous allons de la sorte poussant la cxghose vers des pieds geéanbts ou quelqu’un d’autre, versq quelqU un d’autre dont nous ignorons l’identité, et ce mobile est dans de beaux draps à présent, immacuylés, et le voilà receuilli, pris, embarqué pour etre nettoyé, pomponné, rafraichi, astiqué et parfumé pour etre montré à la face du monde (visage) ; astiqué, pomponné, nettoyé, parfumé, peigné, soigné etc et montré habillé avec appellation = nom, titre, petit nom, ainsi de suite ; nous voyons bébé ainsi détaché, à part, miracle, avons ce bébé à part avec ce sentiment d’un miracle devant pareille perfection dans le faire au sens où tout est là , qu il s’agit d’un tout, que rien ne manqUe à k’appel, le bébé est complet ; un bébé complet ; rien ne manque, on voit que tout est là et quil s’agit d’un tout, ramassé, bien foutu, bien mis, bien organisé de lka tête aux pieds, une petite mawchine bien faite, bien fichue, tout est en ordre, en ordre de ma rche, efficacité, finesse, finitions ; tout est ok ; tout du bébé sembkle aller, du moins extérieurzement, il sembble que tout pour Bébé aille bien et que Bébé se pôrte bien et quil n’y a pas de probllèmes ; il semblearit qure tout aille pour le mieux, que Bébé est complet, que rien ne fait défaut, et cela ne laisse poas d’etonner le monde ; 

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10/02/2020 

l’art ; l’art est une chose qui m’attire et m’intéresse, l’artt est une chose qui m’attire et m’intéresse beaucoup, l’art est une chose à pzart moi, qui m’attire et m’intéresse, l’art est cette chose à part de moi qui m’intéresse ; il s’agit ici d’une chose qui est hores de moi, qui est extérieure à moi et quil me plait de voir évoluer pres de moi ; il s’agit ici d’une chose qui, hors de moi, va vivre sa vie de chose ; une chose qui pres de moi va peu à peu vivre sa vie, va vivvre sa vie = sa vie à part moi, sa vie de chgose posée ; sa vie de chose déposée ; il s’agit d’une chose qui est pres de moi ; il y a une chose qui est pres de moi ; nous avons, il y a , nous sommes ; il y a cette chose qui est une chose déposée, une chose est déposée et il s’agit d’un objet ; une chose est posée sur tapis ; une chose est posée sur tapis, il s’agit ici d’une chose ; il y a , devant moi, déposée, une chose, une chose qui est travaillée, dans le sens où cette chose a été usinée ; une chose usinée est déposée à mes pieds, ou en face de moi, disons donc en face de moi, et cette chose est travaillée disons : d’une manière telle que voilà : la chose est là = existe devant moi, dans une forme ; cette forme est une forme travaillée = usinée = passée par des mains ;: il y a devant moi une forme usinée, passée entre des mains et cette forme est travaillée au corps, et ce au sens étroit comme au sens large = travaillée de prés ; nous avons ici des lors une forme usinée déposée ; cette forme usinée déposée est un objet, peut etre un objet, peut e^tre mille chose, cet objet peut etre mille chose, il s’agit d’un objet posé au sol, il s’agit d’un objet, d’une chose, posée devant soi ; devant soi est le terme exact, ou l’expression ; devant soi est l’expression exacte ; il y a devant soi posée une chose, cette chose est un objet qui est travaillé = usiné par des mains etc ; il y a ici cet objet qui est travaillé et déposé et qui trone ainsi : il s’agit d’un trone, il s’agit d’un objet trone qui est devant soi, qui est au devant de soi déposé et le voilà qui trone ; il est cet objet usiné qui trone, il est cet objet manufacturé, ou quoi quil en soit travaillé , qui trone, qui est tout devant, qui nous fait face ; il y a ainsi un objet qui nous fait face et qui est un objet travaillé = le fruit d’un travail, en usine ; un objet est travaillé ou le fruit d’un travail , est un fruit, est un fruit déposé sur un tapis, soit une offrande ; un objet est déposé, fruit d’un travail, offrande, est posé devant, nous fait face, il s’agit d’un fruti, il s’agit du fruit d’un travail humain : il y a ainsi devant , soit déposé, le fruit d’un travail des mains, ou d’un travail sorti des mains, ; le travail est sorti ; le travail ainsi usiné sort des mains d’un humain qui est le travailleur dudit objet ;il y a un travailleur, il y a toujours un travailleur, un ou plusieurs mais toujours derrière, à côté, devant = à part, un travailleur qui initie, qui débute, qui usine , qui a pris la chose en main, qui est à l’origine ; l’origine est le travailleur, l’origine ici de l’objet déposé est ce travailleur qui donc a usiné la pièce, devant lui, et l’a déposé sur un tapis rouge, ou bien sur un plateau doré, etc ; un travailleur préside, est à la base, a conclu la chose et l’a déposé sur un tapids dev ant lui, pas loin ou loin mais toujours en face de lui , du moins le temps de la dépose: ainsi nous avons un objet déposé sur tapis, devant des bras, devant un regard, devant une personne, celle qui dépose, et nous pouvons des lors , regarder ledit objet sous toutes ses coutures, car l’objet est usiné, il a été façonné, il ressemble à quelque chose = il a des caractéeristiques ; nous sommes donc en présence d’un objet manufacturé, ou usiné, façonné par un homme , d’une manière ou d’une autre, et cet objet, manufacturé par l’homme, ou bien usiné en atelier, ou en chambre, ou auttre part, est objet déposé : il y a dépose, il y a là une sorte de dépose-offrande ; nous pouvons donc nous rendre compte de cette chose, que là nous avons affaire à un objet usiné en atelier par un ou plusieurs hommes, un obkjet est usiné en atelier par un homme ou par plusieurs hommes, ou femmes, ou par un groupe de femmes, par des hommes, par des femmes qui donc usinent, fabriquent, concoivent, font de leurs mains, chacun , objet de dépose, objet pour une dépose devant, ou au devant de soi ; on voit la chose ainsi façonnée, elle trone, elle est là, axactement, exactement là, qui trone ; l’exactitude ici est importante en cela que la dépose se fait là, ou ici, mais que l’endroit, quel qu il soit , est d’une importance majeure en cela quil s’agit d’un endroit exact : celui ci, ou bien celui là, mais d’importance, en cela quil s’agit d’un endroit défini ou choisi, ou que le hasard ou l’occasion choisit, peu importe: nous avons ici un endroit précis de dépose, ou ezxact, et cet endroit est important à cause de cette chose quil devient des lors l’endroit élu pôur une offrande : un tapis, une corbeille, un socle, un plateau, etc: un endroit élu qui a son importance obligatoirement ; il s’agit du lieu, il s’agit d’un lieu élu qui a par ce fait une importance considérable, et pas touche ; on a ainsi une chose posée devant soi , qui est objet d’offrande, déposé et comme présenté, une dépose, une présentatation au propre, une chose lustrée, travaillée, usinée, façonnée, construite, montée, batie, développé, faite, etc devant soi qui sommes donc, nous sommes, comme séparés de cette chose offerte, dans la mesure ou cette chose a qyitté nos mains, nous est comme tombée des mains, nous a quitté, nous est devenu étrangère : posée, déposeé, séparée de nous ; nous sommes séparés de cette chose posée en offrande, nous avons comme tiré un trait et cette chose est de ce fait loin de nous, loin ou pas tres loin mais quoi quil en soit : séparée ; cette chose n’est plus parmi nous au sens de : entre nos mains, elle ne l’est plus ; cette chose est sortie du creux de nos mains, de nos griffes, de npos pattes ; nous avons décidé en toute cvonscience , a priori, de poser ou déposer pareil objet devant soi mais il s’agit ici d’un objet qui n’est pas à toucher, un objet qui sorti de nous, de nos mains pour ainsi dire, tombe dans une sorte de domaine comme sacré, ou comme sacralisé ; nous avons une chose enttre les mains, qui est la chose que nous façonnons, et cette chose à un moment donné nous allons nous en séparer pour lka déposer devant nous sur une estrade, un socle, un tapis, un coussin, un plateau, quoi que ce soit de cet type, à savoir sur un objet qui vient recueillir l’objet, l’entourer, ou le porter, et des lors, cet objet laché, qui n’est donc plus au contact de notre peau, de nos mains, etc, qui n’est donc plus en contact tactile, eh bien cet objet devient des lors un objet intouchable, au sens ou là ou nous déposons l’objet valeur est donnée ; nous disons valeur pour dire que l’endroit , ici, de dépose, est comme sacralizé, est précieux, a une importance, est élu: un endoit «élu pour une dépose ; nous avons devant nous un objet qui est un objet de dépose, à nos pieds, sur tapis, et là ou l’objet est mis, cet endoit devient un endroit d’élection, et par conséquent : prend de l’importance ; un endroit est élu lors de la dépose, lors de la pose de l’objet fabriqué, lors de cette dépose d’un objet devant soi, objet fabriqué par des mains d’homme : nous avons cela devant nous qui est posé, qui est sorti, qui a franchi un cap , à savoir celui de s’éloigner de nous, de nos mains 

uusineuses, de nos mains usineuses, à savoir celui de s»éloigner de nous, de nos mains usinuueuse, des mains qui juqdsque là tenaient à cette chose, ou bien des mains qui jusque là tenaient la chose, contre soi ou avec soi ; nous avions jusqu’alors cetgte chose contre nous, ou avec nous, nous faisions comme corps, nous avions la main ; nous avions jusque là la main sur cette chose et voilà quà présent nous déposons la chose et perdons la main, nous sommes donc comme séparés à jamais, nous déposons la chgose cdans un temps qui est celui du courant des choses, ou du courant des choses déposées, ; nous sommes ainsi déposant devant nous des choses séparées, qui sortent de nous , de nos mains, et ces choses ainsi séparées de nous se voient ainsi monter dans une sorte de train ou courant ou flux, etc, de vie comme sacrée, sacralisée ou disons valorisée, train d’une vie autre en ce sens qu elle se situe devant, qu elle est dev ant nous qui regardons devant ; si je me place ainsi debout et regarde ainsi, devant moi, ce que je vois ; si je regarde devant moi, debout, fixement et donne, si je dopnne ; si ainsi je donne ainsi, si de cette manière je donne, si ainsi je donne, si je donne dfe cette manière devant moi, debout, les bras devants, comme sur un coussin une clé, ou bien ainsi faisant en déposant l’objet wsur un tapis = devant moi = devant mes yeux, ou devant mon corps tourné ainsi ; face, ainsi tourné, pile et face, devant et derrière, et donc pour le coup ici devant = je regarde devant moiu, je regarde fixement et là il y a le champ dans lequel je viens à faire ma dépose, je fais de la sorte ; je dépose cette chose devant moi et ainsi faisant je m’en libère et met cette chose hors d’atteinte, ou disons : je dépose cette chose en lieu sur, un lieu pour l’éternité, un lieu qui devient un lieu surveillé, protégé, qui ne doit pas etre saboté, etc ; dépose d’un objet devant soi sur le tapis roulant de l’éternité, dépose devant soi d’un objet faàçonné par mes mains d’homme, qui que soit l’homme, et ce sur un tapis roulant protégé et hors d’atteinte, ou du moins : considéré comme ne pouvant pas etre saccagé, ou bien saboté, ou fissuré etc : surveillance optimale de la chose déposée en lie u sur, en lieu précieux, en un lieu qui est un lieu qui ne doit pas etre saccagé, frappé, déboussolé etc, il se doit ce lieu de rester le plus en eétat d’origine possible pour l’éternité, il est ce lieu de dépose comme escalator vers une étaernité, il est ce lieu qui doit etre surveillé et chouchouté en tant quil est pour l’éternité des éternités : nous avons dépopsé cet objet devant nous pour une éternité de surveillance assidue, attentive, policière : un veillezuir, un surveillant = un maton ; nous avons décidé ainsi de façonner un objet et ledit objet , de le déposer devant nous, c’est à dire de le lacher des mains et zou : éternité, ou du moins tel le est notre volonté ou bien notre geste, ce geste de se séparer de cet objet sans autre fonction que de servir à cette chose : de passer les siècles, de se retrouver sur un tapis qui doit vous mener à l’éternité des choses ainsi déposées ; nous faisons ce geste de déposer et ce faisant il y a ce moment ou l’objet quitte nos mains = le contact, un moment ou , donc, le contacrt est rompu et voilà l’objet déposé sur un petit tapis au sol, ou bien sur un trone ou socle, l’objet ainsi devient l’élu parmi les objets, ou bien le coussin, ou le socle ou le tapis, et cet objet sur socle ou tapis ne devra plus, des lors, etre touché, c’est à dire servir à autree chose qu’a cela qui est sa fonction, à savoir cette déposition ou ce dépot ; cette chose d’un dépos sur tapis ou coussin, ou socle ou mur etc ; nous avons cette chose devant nous qui est déposé par terre , lmais non point jeté comme un chien, ou comme un objet de rien, mais déposzé, l’objet est déposé dans la nuit des temps ; il peut cependant etre jeté comme un chien quil ne sezra pour autant pasq vraiment jeté ainsi = comme un chien car il est déposé , l’objet, dans le temps : nous déposons dans le temps ; nous posons des objets dans le temps, nous les déposons et où est le temps pour que nous déposionbs ainsi pareils objets usinés , où donc est le temps , c’est à dire autour de nous, pour que nous puissions déposer des objets en lui, ou sur lui, où donc est le temps autour de nous ; nous ne savons comment nous y prendre sinon de ceette maniere donc qui nous voit déposer ; nouys ne savons pas bien comment agir et des lors nous faisons cette chose d’une dépose, hors de soi, loin de nos bras, de cette chose façonnée, de cet objet, de cette chose passée par nous, sorti de nous ou pas, peu importe, l’important est qu elle soit passée par nous, npous sommes inclus, nous sommes de mèche ; nous sommes partie prenante et cela est imoprtant, nous sommes parti prenante, nous sommes au miloieu ou du moins : de la partie et du coup nous déposons une chose en nom propre, nous la déposons en notre nom, et ce quelque soit la provenance de ledit objet, nous déposons un objet qui a donc atteri entre nos mains et cet objet nous le déposons devant nous, sur un lieu élu, dans un écrin, un tapis, un socle, un coussin, quoi que ce soit qui prenne soin, qui porte et protège, qui maintient la chose en état et lui permet ainsi d’etre exposée aux quatres vents du temps infini, du temps d’éternité, de ce temps qui est train de vie qui entraine avec lui pour des siècles des siècles tout objets élus, valorisés, maintenus ainsi dans une sacralisation ; nous pouvons regarder pareille sacralisation mais il est interdit de toucher , dégrader, kl’objet déposé, précieux, ne doit pas etrte abimé, sali, souillé ou dégueula ssé ou détéruuiioré ; nous prenons soin de l’objet ain si déposé et nous y veillons, nous veillons à ce que personne ne vienne abimer celui ci et l’empecher des lors de franchir les ages, cette possibilité ; nous veillons à ce que cet objet puuisse rester le plus longtemps possible en état et ne soit touché de personne qui pourrait ainsi souiller, ou bien franchir le rubicon de l’espace et du temps ou comment nous pourrions exprimer cette chose d’un espace qui serait à ne pas dépasser car le dépassant nous touchons, entre guillemets, au temps: offrande au temps, ou comment, car il y a ainsi ici comme une notion qui est que nouys créeons ficti- vement, ou comment, une sorte de zone tampon, de zone à ne pas franchir et cette zone serait celle du temps majuscule, du temps qui va sa route de l’éternité, nous sommes ainsi comme dépositaires d’un objet pour les siècles des siècles, derrière le paravant qui serait une sorte de tenture à ne pas dépasser, dans l’espace alentour, cette sorte de tenture, de chose entre : d’interface ; comme si le temps ainsi pouvait etre palpable ; comme si ainsi le temps pouvait etre comme touchable, comme si le temps pouvait devenir matériel,, physiquement touchable, ici ne pas toucher car c’’st toucher au temps mais il ne faut pas ; ici le temps est comme pris en compte dans une existence palpable ; nous voyons cela ; nous voyons un temps qui est comme palpable, qui est tempsq qui sezrait espace, et du coup nous faisons cette chose d’une offrande, sur un ta pis, ou bien sur un plateau d’argent, nous déposons dans ce que nous imaginons etre le temps, le lieu du temps, cette chose d’un lieu du temps ; nous faisons comme si nous pouviuons déposer une chose dans le lieu du temps, et du coup : pas touche, car il s’agit d’un lieu sacré, sacralisé, o combien valorisé, majoré, qui est le liue du temps, ou bien considéré comme tel : de l’auttre côté, du côté qu e nous ne cdevons pas toucher, du côté de l’intouchable ou de l’interdit ; nous dépoosons lobhjet sorti de nos mains ou passés par npous dans un interdit qui est surveillé par des hommes en faction: police ; nous déposons ainsi des objets en des lieux surveillés qui sont censées etre les lieuix du temps, les lieux des temps éternels, nous faisons cette chose de déposer devant nous , sur un tapis au sol, des objets censés grimper ainsi sur le tapis du temps, dans le train du temps ou nous, pôur notre part, n’avons pas de place pour nous, n’avons place car, car sommes ainsi que nous sommùes mourants, nous ne pouvons, nous mêmes pour nous mêmes, ne pouvons hélas, car nous sommes des etres mourants, nous ne pouvons aller sur le tapis, le tapis de la mort, nous ne pouvons aller sur le petit coussin dorée, car nous sommes des etres qui allons mourir alors ainsi nous faisons cettree offrande au tapis, à l’éternité, nous faisons cette chose d’une dépose d’un objet pour l’éternité, nous vpoulons de cette dépose pour nous, nous sommes forcés par les choses en nous qui nous poussent à faire ainsi don ; à donner chose au temps, de l’auttre côté, dans un lieu dédié au temlps, au dieu temps, comme pour dire ; nous faisons don ainsi dx’une chose que nous déposons sur tapis du temps en espérant que celui ci jouera le jeu et perdurera, nous l’espérons ; nous voulons voir le tapis intact, pour des siècles des siècles, nous aimerions, alors nous veillons à cela et pour ce faire nous employons une police de surveillance, qui voit tout ce qui se tra me tout autour de ledit objet déposé ; nous avons voulu dune police , dite : police du temps, ou police de l’éternité, nous avons voulu d’une police pour veiller au grain, aux détéeriorations éventuelles, spécialistes, veilleurs, policiciers de cette chose par nous déposée ; passée par nous, nommée ainsi, puis déposée aux pieds, sur sol, sur parterre, sur terre ferme, sur socle, sur chape, sur support et ce quel quil soit, un support quelconque et cest joué, le tour est joué, il nous suffit d’un support et l’offrande est faite ; une offrande = un objet passé de l’auttre co^te = lieu du temps ; il s’afgit des lors de la création par l’ homme de lieux du temps, ce sont ces lieux que nous cgherchont à connaitte, nous aimerions connaitre ces lieux, les situer dxans lespace : ou donc se loge le lieu du temps dans l’espace, et ainsi aviser ; voir, aimerions cela évidemment beaucoup, de voir pareil lieu ; ce lieu du temps ; nous aimerioons beaucoup bien évidemment connaittre ainsi kl’emplacement aexact dans l’espace de ce lieu du temps éternel ; nous serions ravi de connaittre exactement ou donc se situe pareil lieu, car il nous interesse, il nous serait plaisant, etc, de savoir, pareil lieu, où donc est il , et donc que faisons nous, nous faisons comme si et développons toute une stratégie de socle, écrin, tapis, support, etc comme autant d’escalator vers les cimmes inatteignables du temps d’éternité, ou d’un temps que serait cvette éternité ; nous voulons voir devant nous pareil objet déposé dans la nuit des temps, dans l’éternité ; nous veillons et faisons veiller, nous aimons penser cette chose : d’un objet passé par nous et à présent déposé = laché sur un support de tempsq, pour un voyage dans le temps : soucoupe, supoort, nous déposons cet objet sur un support qui doit propulser ledit objet vers les temps de l’éternité ; nous ambitionnons de pouvoir ainsi agir pour que cet objet puisse continuer ainsi pareil mouve ment ascendant dans le temps, ou quoi d’autre, ; nous déposons un objet, cet acte de déposition, de dépot, nous posons au sol, le p^lus simple est de poser au sol, sur le sol, pareil objet de peu, pareil objet passé par nous et nous de continuer le chemin de l’objet, le déposant comme si nous avions ainsi ceette chose, comme si nous avions à faire en sorte que l’objet ainsi puiisse continuezr son cbhemin de vie, nous ne pouvons garder cet objet en nous, il n’est pas possible de le conserver, de l’intégrer à un nous immortel, etc, cet objet nous ne pouvons faire autremeznt que de le deétacher de nous, de l’envisager comme d’un objet deé^-taché, nous ne pouvons faire autrement sque d’envisager cet ogbjet comme étant de trop, en nous, comme ne pouvant intégrer un nous éternel en nous, une place, alors nous devons faire suivre, nous devons faire circuler l’objet, nous avons cette chose à faire : déposer pour faire circuler = dans le temps, le temps ici devient le lieu ; il s’agit du temps qui vient donc rafler la mise, qui vient prendre, qui prend avec lui : c’est cela que nous voulons, c’est cela que nous envisageons, nous voulons cette chose, que lobjet ici soit, ainsi déposzé, valorisé, soit béni des dieux, soit apprécié et du coup sauvé , du coup mis à l’abri : abrité, mis à part et surveillé , et protégé, ainsi de suite, par une police des objets sacrés ou sacralisés : montés au pinacle ; nous voulons ainsi et déoposons, objets divers, une forme : nous déposons une forme sur le sol, cette forme eswt telle que nous aspirons à ce qu elle reste intacte, protégée, mise à l’abri : un abri, un socle, un pylone, quelque chose qui protège : un casque, un quelque chose qui puisse faire de la sorte qUe nul ne puisse le détériorer, pareil objet ; nous veillons, nous avons pour nous un policier qui veille et empeche certains choses, comme de toucher lobjet et qui plus est, comme de voler pareil objet sacralisqé ; nous avons installé une police pour veiller la chose ; nous ne sommes pas en reste de voir la police, les surveillants, prendre cette chose vraiment à coeur : de surveiller la chose, cette chose déposée, cette forme déposée sur ta pis, sur petiyt coussin, sur socle, sur squpport, nous espérons que la chose franchira lmes siècles et pourra rester ainsi en vie , à notre place ?. peut ettree à notre place, ou peeut etre pas ; ce besoin en n ous d’agir ainsi tient au fait que n os corps nus, bruts de décoffrage, n’ont pas de poche, et où déposer les objets que nous tenons entre les mains ; nous devons déposer, nous ne pouvons pas conserver ibndéfiniment tous les objets que nous possédons, nous sommes nus et n’avons pas de poche, nous sommes nus ezt n’avons pas de quoi conserver ainsi sur nous, en nous, tant de choses, et du même coup nous devonbs nous en séparer et comment sinon ainsi faisa nt : hop pour l’éternité, hop hop, et l’objet ainsi se voit embarqué dans une aventure temporo spatiale, temporalle et spatiale, l’objet, l’objet se voit ainsi emporté, raflé, zou, coup de vent du temps qui emporte, et pas touche ; pas touche à l’objet qui doit ainsi monter au pinacle, doit pouvoir monter, grimper et continuer xson chemin d’objet ; et donc nous avons ainsi en nbous , pour ceratins, ce vice de voulir ainsi fa ire avec tap is, avec coussin, avec support , évcrin , etc ; nous déposons quelque chose de nous, soit passé pa r noous, dans la nyuiit du temps et pourquoi cela ? ; nous déoposons un objet, un objet qui a transité entre nos mains, nous déposons un objet et ainsi faisant nous nous en libérons par la même occasion, ; nbous le libérons et nous en sommes klibérés, nous pouvant voir venir , ainsi dé&gagé, nous déposons ; lorsque nous déposons nous savons tres bien cette chose, qU e nous déposons ainsi pour l’éternité, que nous déposons pour que la chose soit conservée, soit protégée, ne soit pas abîmé&e, soit surveillée d’éventuel voleurs etc : conservé le plus possible et par conséquent maintenu lo ngftemps dans le temps ; nous espérons que notre objet fera l’objet de toutes les attezntions nécessaire à sa bonne coinsezrvation pour des siècles et des siècles ; nous voulons que cet objet puisse consezrver sa forme, son état le plus longtemps possibke, et pa r conséquent , nous ne souhaitons pas nvoir cet objet abimé ou détériorié au fil du tempsq ; nous voulons le cxonserver le plus en état possible, nous voulons cela, consezrver, protéger, surveiller, etc ; nous avons ce s ouci , de vouloir coute que c oute pro- téger ledit objet et faire en sorte quil puisse traverser les temps sans accroc ; ce seraitb tres bien , et c’est cette chose q ue nous voulons ; déposer une chjose façonnée, une chose valorisée par des avis approbatifs, entre hommes ; aime, aimerions que lk’objet en question, puisse consezrver longtemps ( à jamais ?) toutes ses qualités, nous veillons de la sorte à ce que cet objet déposé puisse traverser les épreuves du temps sans trop de dommages ; nous sommes ainsi veillant à ce qUe pareil objet déposé restât en etat le plus posible ; il s’agit d’un objet façonné, il s’agit d’une chose, objet ou autre, qui est déposée sur le tapis et qui n’en bouge plus, il s’agit du lieu, il s’agit du leiu dfe l’objezt x ; nous voulons que cet objet soiyt p)rotégé et qui le décide, qui décide de ce qui ‘est a doubé ou retenu et du reste, de ce qui n’est pas reten,u ? ; nous sommes ainsi qui déposons objet, représentation, image, etc, sur pierre de socle, sur soie de coussuin, sur velours, sur tissu soyeux, sur beauté de tissu ; nous nous avançons et déposons la gerbe ; nous nous avançons ezt déposons la chose sur tapis et ainsi faisant nous nous déchargeons, nousq sommes lgers, nous a vons allégé notre masse ; nous avons réduit le poids de notre mobile ; nous avons réduit le poids de notre mobile corporel, de notre corps dfe vie : nu et alla n t gaiement ; nous avons posé objet faç!onné», objet de fa çonnage, objet d’usinage devant soi et nous voyons cet objet devant nous (ou pas si nous sommes aveugle) et plus du tout la possibilité d’aller le toucher, car il est comme passé de l’auttre côté, il est ailleurs : lieu du temps ; il s’agit d’un lieu fictif, jusquh’à) preuve du contraire, il s’agit d’uin lieu fictif car le temps n’’set pas palpable ; lieu fictif par excellence ; il s’agit d’un objet xdéposé qui ainsi déposé , continuye sa vie d’objet, continue son chemin ; il s’agit d’un obkjet qui est déposé sur tapis, et doit pouresuivre son chemin, il s’agit d’un objet au sezns la rge, et donc il avance sur son chemin, il continue sa vie d’objet mis en circulation ; il est cet objet usiné, façonné, fabriqué, etc que l’un dépose pour le temps des chose, pour autrui, pour mille raisons, il s’a git d’un objet qui se voit posé et nous de l’admirer ? nous sommes proches de lui, nous le lachons, il nous tombe des mains, il y a ce moment précis ou l’objet cesse sa vie d’obvjets profane-, il y a un moment où l’objet va cesser sa vie profane et passer de l’autre côté, vers une sacralisation ; il faut voir kl’objet ainsi, comme objet pro- fane, qui devient sacré par une institution quelconque , de type socle ou tapis, et ainsi cet objet pourra bénéficier de tous les égards liés à sa constitution, etc ; un objet posé ce peut être un temple ; un objzet posé ce peut être un bonbon, ce peut ettre une bouteille, un porte bouteille, une cloison en placoplatre, un bijou, une serviette de bain, un dessin d’e nfant, une fleur, un lapin mort, une verrue, une bicyclette, un chapeau de gendarme, une mukltiprise, un bouddha en bronze, un chameau en osier, une carafe d’eau, un mot, une vibration, un pintadeau, une belette, une poire, une boite en bois, un fermoir, un sarcloir, une chanson, un chalumeau, un chacal, une brouette, un songe, un désir, un plombage, un caramel, une voix ; ce peut ettre mille cxhose, ce peut etre n’importe quoi posé sur tapis et ça peut le faire, ça kle fait si qUOI , ça le fait si la forme dudit objet rencontre un agrément, ou un assentiment ; si la chose est valorisée alors ce sera oui, et si la chose n’est pas valorisé ça ne le fera pas ; nous espérons que pareille chose ainsi déposée par nous , sur ce socle, ou sur ce tapis, pourra le faire, pourra passer ainsi, hop, à postérité : ce genre de cbgoses, et comme cela nous serons libérés, allégés, et nous pourrons poursuivre notre route ainsi alléhgés ; nous aimons cette légèreté et la recherchons : débarrassons-nous de tous ces encombrants qui se tiennent ainsi, pour nous, comme des poids loursd qui nous encombrent, nous freinent dans notre marche, notre élan ; n,ous déposons, nous posons, nous faisons ce geste de poser, nous faisons ce geste manuel ; nous posons une chose, cette chose a une forme ; nous posons une forme sur un support ; cette forme est un dezpot pour une utiliqsation de type sauvetage ; nous posons, nous mettons, nous déposons, nous faisons attention en déposant, ou ne faisons pa s attention, peu importe ici puisque, ce qui ccompte réellement, est cet acte de dépot ; nous posons à plat, nous posons comme nous pouvons, nous avons ce geste à faire, ce geste à mener jusqu’au bout ; nous posons une chose squr un support , par terre, par exemple ; cette chose par exemple serait un engin, serait une machine, ou un outil ; cette chose sezrait un outil, un outil d’ébéniste : un ciseau à bois, une gouge ; posons une gouge sur un support : socle ou tapis de feutre, par exemple ;posons cette gouge, nouys la voyons, nous aimerions que cette gouge, telle qsu’elle se présente, franchisse les sièckles, que pouvons nous faiore ? ; nous aimerioons beaucoup que ceette gouge, ainsi déposée à plat sur un tapis à même le sol, nous aimerions que cette gouge disais je , franchidsse les ages ; nous aimerions ; comment nous y prendre >? ; comment faire en sorte qu une simple gouge d’ébéniste, de sculpteur sur bois, etc, puisse traverser les âges et de la sorte perdurer ; nous voulons savoir, nous voulons trouver une recette: comment faire? ; car nous aimerions beaucoup la lancer( cette gouge) dans le ciel et qu elle soit prise ainsi par l’atmosphère ou bien lka stratosphère et hop : en orbite, voilà une solution ; si nous mettons les choses en orbite alors nous pouvons peutetre donner à pareilles choses une sorte d’éternité ; si nouds faisons cette chose, de mettre la gouge en orbite ; il s’agit de mettre en orbite, nous cherchons cela ; notre but est de mettre des choses en orbite, donc soit par une sorte de sacralisation des choses (le bien et le mal) soit par le fait de cette possibilité relativement réceznte, de pouvoir ainsi placer en orbite tout et n’importe qUoi si nous le souhaitons, et si le pouvons ; parallèle ici entre mise en orbite et sacralisation, et cette chose alors est ainsi comme un changement de taille, dans l’histoire ; cette chose est un changement xdans l’histoire, cette cghose est un grand changement, cette chose est neuve, est nouvelle, relativement récente ; cette chose de pouvoir placer un certain nombre de choses en orbite, car j’imagine que nous pouvons envoyer n’importe quoi en orbite et éternelmlmlement ce n’importe quio tournera et tournera encore etc, et ce : intact ? ; ou bien non ? ; il se peut que la mise en orbite d’un objet entrainat sa détérioration par le fait des flux de courants d’air , il se peut que ç a ne soit pas vraiment vraiment le meilleur calcul pour une chose déposzée, pour pareille chose déposée sur un tapis volant et hop, en orbite : nous voyons cela qUue nous avons ceztte possibilité éventuelle, de pouvoir déposer des choses en orbite ou bien sur la terre ferme : le plancher des vaches ; dépositions, dépots, et nous passons notre chemin et la chose ainsi déposée tourne son chemin, tourne que tu tourneras ; la chose déposée, ezlle, tourne que tu tourneras son chemin de vie éternelle, o,n peut le penser ; donc nous avons ces deux possibilités qui s’offrent à nous : soit par l’entremise d’un dépot de proximité, la clé sur le coussin dorée, soit par l’intermédiaire d’une éventuelle mise en orbite stellaire, gravitationnelle ; nouys voulons déposer ; soit l’orbite, soit la déposition sur tapis devant soi ; nous voulons, envisageons, devons, avons ce penchant, sommes sur le point, voulons déposer ; donc, soit l’orbite, soit le socle ; avec le risque à chaque fois d’avoir au bou du compte un objet mal conservé, c’est possible ; il se peut tres bien qu un objet subisse les affres du temps, les guerres, etc, et se voit blessé, abimés, ou détruits, ou dsdisparus, il se peut: ; l’orbite ou le socle avec à chaque fois le risque , bien évidemment, que pareil objet déposé subisse (ait à subir) les épreuves du temps et n’aille pas au bout du bout, son souvenir, un fragment, un nom attaché à lui persisteront encore peutertre et de ce fait maiintiendront un semblant de vie éternelle à pareil objet ; nous ; nous sommes ai nsi qui voulons faire en sorte que nos choses perdurassent dans le temps, nous aimerions nbeaucoup cette chose: se libérer, mettre bas, mettre sur du plat des chose nous appartenant, nous libérer de certaines choses passées par nouys ; nous en tant que pâssages ; nous en tant que vecteurs, passages, couloirs ; nous qyui vouloins eztre ce passage pour une éternité d’un quelque chose, ce passage que nous sommes ; nous avons entre les mains, nous aspirons à deposer cet avoir, où ça ? eh bien en orbitte, ou bien, sur un socle ; posez donc cela sur ce tapis ; et ainsi fa isa nt nous nous allégeons, nous spmmes mieux, nous sommes plus mieux ; nous allons ainsi pAr les chemins et déposantr donc cette chose que nous tenons et squi se prete parfaitement à une misze en «orbite» temporelle ; nous aimons bien ainsi agir de la soerte et faire cela : mise (hop) en orbite des choses passées par nous ; nous aimons alors nous faisons : ici l’amour ; nous aimons ainsi déposer, nous avons en nous ce désir, cet élan, cet amour ; nous déposonsq une chose passée par nous, et ce faisant y donnons valeur, bien evi- demment que cette valeur ne tient quà nous, à nous tous, bien évidemlment, bien évidemmeznt que cette valeur donnée est un leurre, est une chose subjective qui ne tient qu à nous qui sommes sujets ; sommes des sujets, bien évidemment, que donc ainsi fait (ceete dépose) nous pouvons nous sentir autree : moins encombré disons ou videé- soulagé, comment dire , il y a cette chose en nous qui a opéré, et qui se nomme mise à part de nous = dédoudblement,oumieux,passa ge ; nous avons pour nous cette possibilité de pouvoir deposer devant nous une chose, délicatement (ou pas) nous le faisons ; nous déposwons gerbe ou bien petit objet de culte, ou bien du pain, ou bien une clé ; nous avons beaucoup d’objets et beaucoup de choses, nous avons un tres grand nombre de choses à pouvoir déposer, et le faisons-nous ? nous faisons, nous avons grand nombre, foultitude ; nous deposons donc un objet de notre ressort, sur un tapis ou sur un socle, nous le posons à plat, qu il tienne, ou plutot : nous le deposons ou le posons de mùanière qu il tienne commme on le souhaite, et cela fait nous espérons fort qu il (cet objet) entrera en orbite, ira en orbite, ira ainsi dans un e éternité et pourquoi cela : réflexe ? façon de faire naturelle ? penchant ? besoin ? pente ? amour ? ; eh bien optons pour la pente ; nous laissons derrière nous un objet déposé et cet objet szra ou ne szra pas pris en compte, participera ou pas du grand compte (pla nétaire et immémorial) ; nous déposons un petit objet, quoi que ce soit, en espérant le voir perdurer et ne pas dispa raitre à la première tempête, nous espérons car nous sommes plein d’espérance ; un objet déposé est une chose qui se tient ou : qui tient debout, au sens propre ou et au sens figuré, et /ou ; il se peut que nous fassions ceette chose, cxe dépot, de ceete manière, ce geste, cette façon, la fassions ainsi, dans un but de mise en orbite, avec ce but avoué ou pas de mise en orbite : pour des siècles des siecles = que la vie perdure pour lui, cet objet, passé par nous (d’une manière ou d’une autre) = pour nous ; nous = passages, nous = passages pour une mise en orbite de nous : indirexctement ; comme si , via l’objet déposzé, nous pouvions pa r là même faire en sorte qau’un peu de qsuelque chose de nous, trace de nous au passage, passât vers une éternité, vers une éternité de type orbital : à jamais ; quelque chose chose de n,ouys aspire (mouvement de vie) à frapper ou marquer un support vers une liberté d’orbite, vers une éternité orbito-tenue ; pour des siecles des siecles, les sieckles des siècles, amen, pouvons peut-etre ; nous voyons ainsi des chose, nous voyons ainsi des choses usinées, manufa cturées, faàçonnées, dessinées etc, servir aionsi comme d’un trem- plin, comme soucoupes, commes étoiles ; nous avons un désir qui est en nous de faire une chose qui s’appelle déposer, qui s’appelle mettre, poser sur une surface une chose qui a transité (peu ou prou) par noous ; nous déposons une chose et ce faisant nous nousq signons ; n,ous faisons le signe de la croix ; nous déposons un objet sur un tapis, il s(agit par exemple d’un objet trouvé, une chaussette ; cette chaussette, ou chaussure ; cette chaussure nous la déposons sur un socle, ou sur un tapis ; cette chaussure nous la posons sur un piédestal (pinacle) ; nous posons cette chose sur un socle, nous disons que ceztte chose ainsi posée est de grande valeur, est qu’elle ne doit plus ettre touché pa r le commun des m:ortels, seuls les ghardiens du temple, médecins, prêtres, hpeuvent ainsi, ouvriers de la chose, peuvent ainsi : toucher la chose, la toucher, la soigner , la déplacer si besoin pour la bonne cause, personne d’autres ; à savoir des gens habilités, assermentés, et prets à se salir, ou comme «se salir» ; seuls ; nous autres homme du commun : non ; nous ne pouvons pas : toucher cette chose ; chaussure donc ; prise ainsi comme objet de valeur, et donc à ne pas toucher au risque d’abimer la chose ; cette cxhaussure ainsi déposée par nous va voir les années passer sans etre portée ; elle va vieillir mais sera toujours vue comme objet de valeur, qui ne doit pas etre portée car sa fonction en tant que cxhaussure jn’existe plus ; sa fonction n’’stplus la même, elle l’a perdu en route ; le socle ; le socle, l’entoura ge aux petits soins, la pièce fermée à clé, le gardie,n, le policier da ns la rue et voilà notre chaussure bien surveillée et protégeé (du vol, des intemperires, des détériorations ou dégradations éventuelles, du vandalisme éventuel, etc) ; cette chazussure devient un objet qui est coucouné pour les siècles des siècles et par conséquent maintenue pour durer, pour traverser le mieux possible et le plus possible les temps en l’état ; la chaussure est isolée et sur protégée : couvée ; nous avons ainsi de nous sauvé cette chose, d’une chaussure datée, pour d’autres époques avec d’autres modes ; de sorte qu à terme pareille chaussure risque fort de devenir unique, ra re, car ses soeurs de forme auront périclités, il y a des chances, d’avoir été mises ; nous avons sauvé des temps un e chaussure, nous avons donné valeur, avons sauvé ; nous sommes des sauveurs, à défaut de nous sauver nouys ? ; ou bien ca r de nous se passent, passent, par nous transitent, comment dire ainsi qu en nous il y a la vie qui est appel, qui passe en nous et veut ainsi transitant laisser trace dudit transit , ou pas ? ; qu en est il de cette envie en nous de socler chaussure de marche ? de socler chaussure lambda ? ; nous soclons pour la bonne cause ? nous soclons pour valoriser et permettre u ne conservation à visée d’éternité, nous avons en nos mains une forme et cette forme dans nos mains, une mousse, une sculpture en mousse, une épaisseur quelqcobnque, cette forme , que nous avons entre nos mains: tiens, prends ; nous donnons à prendre, telle est la pente ; alors peutetre ce souci de rester pour les siècles des wsiècles, sous forme chaussure, ou alors peut-etre ce tiens, prends, tiens : je te donne, ce tiens , attrappe, ce tiens, prends cette chose que je porte ; je te donne, je te donne, je te donne ; il y a ainsi une question qyui est ce don , cette chose que nous avons en nous de vouloir donner ou : faire don ; faire = façonner, don = chose ; nous donnons une chose à voir , à ausculter, à visionner ; nous déposonsq une chose sur un tapis ou sur un socle et cette chose ainsi déposée devient cvomme une sorte de don = séparation d’avec le donneur, car le donneur ici se sépare du don, il y a cette séparation qui est capitale : nous lachons, nous expulsons, nous faisons transiter à travezrs nous, ce peut n’etre que par notre nom apposé ou accolé, une chose qui donc se voit séparée de nous, qui nous tenons en retrait, en deça, et qui voyons la chose déposée comme une sorte de chose en don, prête à étre recueilli mais par qui, afin que celle ci puiisse perdurer dans le temps des temps ; nous déposons = nous donnons, il y a élan, il y a flèche ; «donnons» est différent d’un simple «déposons» à l’aveuglette, non, «donnons» dit la flèche, c’est à dire la direction visée, le but, l’objectif, qui est une adreesse ; l’adresse ici est le but final, eswt un but, un objectif, donner est objectif ou à objectif intégré, donner a objectif, donner entend un objectif, cette notion ; nous voyons ainsi que nouys posons pour donner, mais posons sur tapis sans savoir à qui, cet élan du don : inhérent à certaines natures ? que faisons nous quand nous donnons ? ; il y a des natures qui donnent, il y a peut-etre des natures qui plus volontiers donnera ient et deposezraient leur camelote sur un tapis, sur un socle, sur u n support, afin de voir le don protégé, car alors c’est le don qui est valorisé, protégé et mené à terme = une éternité désirée ; alors c’est le don ?? ; nous voyons la chaus- sure en tant qUEe telle, nous voyons la chaussure en tant que chaussure isolée, socl»ée, et point du tout comme un don donné, comme don offert, cvomme don en soi, comme don ; nous voyons une chaussure piédestalisée et nouys tournons autour d’icelle comme on le ferait d’une déesse statufiée ; nous allons a insi tournant et en effet, ceette chaussure est don, d’une certaine manière, disons cette chose ; donnée à voir ; donnée à approcher, donnée à contourner, à devoir éviter d’y toucher etc ; il y a tout de même là une sorte de don, de donné, de chose donnée, il y a cvomme une chose (que nous contournons) qui s’offre à nous, cela est ; nous voyons la chaussure soclée et la contournons et nous pensaons chaussure-sclupkture et non point seulement chaussure, ou chaussure-chaussure ; nouds la voyons comme un objet qui a transité par des mains de personne valorisant, de personnes qui donnent valeurs, lesdistes valeurs des lors maintenues vivaces par tout un attrouppement de petites mains , non plus ghrandes mais petites, qui toutes participent à la c-onservation de ladite chaussure-sculpture = valeur ; la valeur ici = prix en soi, valorisation , valeur donnée, surplus, plus ; nous la voyons ainsi valorisée, piédestalisée, nous voyons qu il sq’agit d’une chaussure posée là par une pezrsonne , et interdit d’y toucher, donc chaussure avec interdit : objet + interdit, cela maerche ainsi, en couple, lobjet a$vec un interdit, ou comment ? avec un interdit posé qui est de détérioration : interdxit ; ou alors comment ? nous posons une chaussure, nous posons une chose et cette chose n’est plus nous, ne transite plus par nous autrement que par notre nom qui y est accol ;é, ou pas ; ou pas ; sommes alors comme si nous avions perdu une chaussure et eklle est posée m:ais même nous nous n’avons pas le droit de la récuprter ca r il ne s’agit plus tout à fait d’une simple chaussure égarée mais d’un objet monté au pinacle, et qui de ce fait est devenu autre chose, plus qu une chaussure : nouvelle foncxtion ; nous tournons autour de la chaussure et veillons à ne pas la toucher ou sinon oups, sans qUon nous voit mais nous sommes filmés (attention) comme des enfants, et ce par la police, par la surveillance ; attention à ne pas nous faire prendre ; nous tournons autour de la chaussure et nous évitons d’entrer en contact avec elle : sacralisée, sacrée, valorisée etc , de sorte que n,ous n’avons pas le droit (disons comme ça, de nous mêmes) de la toucher, au risque de nous faire sermonner, c’est sûr ; nous sommes interdits de touche-touche , avec cette chaussure isolée exposée ; nous n’avons pas le droit de toucher cette chauussure, il s’agit d’une sculpture, il s’agit d’un objet que nous sauvons des perditions, des déchets, des déchetteries ; nous sauvons, nous sauvons une chaussure mais pas seu- lement ; nous sauvons un salut ; nous saucvons une chaussure mais pas seulemnryt une chaussure, nous sauvons une chose de la déchéance ou de la perte, mais pas seulement, nous sauvons une valeur ajoutée à la chaussure, car ici la chaussure exposée est chaussure + valeur ajoutée à cette chaussure, et nous sauvons le tout, ou pluoto nous sauvons une valeur attenante à un objet monté au pinacle d’un socle d’exposition ; nous sommes ainsi qui sauvons une valeur surajoutée, c’est cezla que nous sauvons ; nous sauvons de la mort ;: nouys sauvons de la mort une chose qui est comme une valeur ajoutée ou surajoutée ; nous sa uvons de la mort, nous sauvons une chose posée et la valorisation qui va (marche) avec, cela est sûr ; cela est presque sûr, cela sembvle une évidence ; nous sauvons et employons du monde pour , nous sauvons et employons du monde pour, poumpoum prolétariat, lumpen prolétaires ; avons tout un tas de gens qui sont des opetites mains qui sont là autour de la chaussure élue afin de la bichonner, la surveiller afin que ladite chaussure-sculpture npous survive, aille ainsi dans le temps pour une éternité de vie ; lumpen prolétaires, qui surveillent, nettoinet, astiquent, veillent ; sont des gens de peu, de lombre, des gens de rien = des parias puisque eux sont habilités à pouyvoir toucher, avec mil:le précautions, la dite oeuvre non touchable d’ordinaire = par le commun des mortels ; mais ici le proleéta- riat en question peut topucher car il en a le droit car il est agréée, il a le droit de toucher comme un infirmier a le droit de toucher les parties intimes, le corps nu ;-, le corps à soigner , etc d’une personne qui, en dehores du soin, ne se ^pretera pas aussi facilement à tants de contacts, etc ; nous voyons les petites mains astiquer la relique, la sculpture, la chaussure, et nous , pour nous : interdit, sous peine de se voir ficher à la porte ; car la sculpture erst une chose de valeur et donc attention aux choses de valeur, pas touche ; nous n’avons rien d’autre à faire aqu’à tourner autour et apprécier la vision offerte, nous avons à regarder etc, mais il est interdit (ici, dans ce cas précis) d’entrer en contact avecladite chaussure-sculpture autrement que par les yeux, par exemple les yeux, mais surtout pas vec les mains ; les mains ; les mains sont centrales on le voit à tous les mailloons ; nouys pouvons nousrendre compte ici que les mains, les mains sont centrales, les mains à tous les maillons ; nous voyons et nous rezndons compte que, ici, sur ces questions, la question de la main qui touche ou ne touche pas, la question de la main qui touche ou qui ne ne touche pas, etc, est centrale = capitale ; on voit que la main est diversement reconnue, que la main est de différent statuts ; la main de la personne «créatrice», non d’abord de la personne qui a fabriqué la chaussure, de la ou des personnes, qui ont fabriqués la chaussure, mais pour un usage pédestre et non scuptural en soi, la ou les personnes, celles ci, ont donc fabriqués cette chaussure pui : une personne est arriveé qui a dit , cette chaussure, je décide par moi même, en tant que je sui s et m’appelle untel, tartempion, je décide donc, du haut de ma superbe, de socler la chose, de la mettre sur un piédestal : valorisation de cette chose en tant qu objet que joffre à tout un chacun , au sein d’un dispositif de valorisation à visée d’éternité et pas touche ; ainsi nous avons une autre personne maillon ; et ensuite tout cet attirail-attroupements de petites mains qui vont veiller à la conservation , à la bonne consezrv atrion de la dite chaussure soclée, puis les personnes qui regardent et ne peuvent toucher, c’est à dire beaucoup de monde, habilités /non habilités ; il y a ainsi des gens, des personnes, du personnel, certains donc habilités, et d’autrees personnes qui elles, non, ne le sont pas : non -habilités ; ainsi des qui peuvent toucher, et des qui n’ont pas le droit de toucher ; le lumpen-prolétariat ; nous avons ainsi des personnes qui sont des petiteezs mains à differents stades de la chose, la peztite main qui crée la chaussure, qui la fabrique, la petite main qui l’achète au maga sin et qui l’apporte dans son atelier, la petite main qui prend la chaussure et décide de la faire socler, la petite main qui socle, la petite main du mu- sée quyi pr»ésente, surveille, nettoie, interdit l’approche de contact ; etc, la petite main du musée ; on voit toutes ces petites mains de prolétaires, ce sont mains de prolétaires, ce sont mains de prolétaires et la personne qui décide de faire socler est main prolétaire à des moments et pas à d’autres, dirait-)on ; la main prolétaire, la main non prolétaire ; nous voyons la chaussure d’un oeil et cet oeil est possible, -n’est pas interdit, il peut ; loeil peut voir mais la main ne peut pas toucher ; loeil a le droit de voir mais la main est interdite, sinon de quelques personnes du musée ou del’arrtiste lui même ; la main interdite ; loeil peut regarder, loeil peut tourner autour, loeil a le droit, il s’agit d’un droit, loeil est assermenté ou alors habilité, il peut ; la main pas toujours : entrer en contact : peut pas toujours faire cela, d’entrer , de toucher, de se poser sur ; elle n’a pas toujours kle droit et la xchose est spécifiée et réglementée : il y a des interdits, il y a des regles de conduite, et cet objet posé n’est pas n’importe quoi, il est surveillé et valorisé, et vous aussi etes surveilleés, alors attention, méfiez vous, ne faites pas n’importe quoi, tenez vous comme il faut, la police est là qui veille sur la sculpture, sur la chaussure sculpture, sur lobjet posé, sur le tapis, sur le coussin, sur la clé sur le coussin ; 

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